Nature Gourmande est un restaurant à la table fine, connu pour sa cuisine tendance et gourmande à vocation gastronomique. Ses plats d’obédience française mais aussi ouverte sur le monde sont élaborés à partir de produits frais et de saison, soigneusement sélectionnés par le chef en personne… Des gages de qualité et de fraicheur; tant dis que Gwenaëlle prépare les pâtisseries, Pierre œuvre côté salé... chez Nature Gourmande tout est fait en cuisine hormis les glaces et le pain. Une cuisine fine et inventive Collaborant avec des producteurs locaux de la Drôme mais également de France, l’enseigne a bâti sa réputation sur l’excellence des produits et des fournisseurs sélectionnés. Nature Gourmande fait partie de ces adresses absolument à recommander à celles et à ceux qui souhaitent calmer petites fringales ou faims de loup, c’est selon... Blotti dans un cadre végétal et boisé..., le restaurant surprend par sa « formule menu-carte innovante, composée de 3 entrées, 2 poissons, 2 viandes et 3 desserts, où les clients ont la possibilité d’établir eux-mêmes leur menu », tient à préciser Pierre, chef et propriétaire. Dynamique et inventif, il propose 3 menus : le menu Découverte à 35 €, avec entrée-plat-dessert, avec un choix de poisson ou de viande ; le menu Gourmet à 44 €, avec entrée, poisson, viande et dessert ; et le menu Dégustation, un ensemble d’entrée, de poisson, de viande, de fromage et de dessert, établi par le chef et qui fait office de dégustation pour la table entière. Durant la saison hivernale, il est particulièrement réconfortant de savourer le menu « Truffe noire de la Drôme », un menu unique concocté avec le « diamant noir » de l’amuse-bouche jusqu’au dessert. Comme la carte des menus évolue tous les deux mois, les plats-signatures ne sont pas vraiment mis en exergue. Toutefois, on pourrait citer en automne une entrée à base de champignons en trompe l’œil, qu’on laisse aux clients le soin de découvrir à table, ou le foie gras travaillé de manière originale : Foie gras boule de neige, compotée de mangue au poivre de Sichuan, coco et petit pain mollet. ...
Le Clos Saint-André est l’une d’entre elles. Depuis 2004, Jean-Claude Desmarty a repris cette micropropriété d’à peine 1 hectare, fondée par son arrière-grand-mère. Il en assure seul l’activité complète, du travail du sol à la commercialisation. Il produit 1 vin par an, en très petite quantité, véritable reflet de sa personnalité, de sa conception du travail de la vigne et du vin. Chaque millésime est différent, mais chacun possède un niveau qualitatif élevé. Un travail de précision, artisanal et réfléchi Les vignes du Clos Saint-André sont vieilles. Elles sont composées de Merlot (70%) et de Cabernet (30%). Jean-Claude Desmarty travaille l’intégralité de ses sols avec un cheval. Il veut favoriser au maximum la qualité de sa terre en développant sa biodiversité et en évitant tout tassement. Il attache beaucoup d’importance à la gestion de la surface foliaire de ses plantes, qu’il modifie en fonction du cycle et des besoins exprimés par la vigne. Il adapte son travail aux conditions météorologiques différentes d’une année sur l’autre, en se posant mille questions sur la manière d’améliorer encore ses interventions. Persuadé qu’il est important d’avoir des vignes vivantes, Il recherche en permanence des équilibres naturels qui vont faire la qualité de ses raisins. Jean-Claude Desmarty vinifie son vin de manière artisanale, avec un degré d’exigence rare concernant la qualité et la précision du travail effectué. Il s’attache à ramasser des raisins bien mûrs, à effectuer un tri extrêmement sélectif, et à travailler ses raisins de manière adaptée pour extraire au mieux les matières contenues dans les baies. Toujours en recherche d’équilibre dans le vin et de contact avec la matière, il privilégie une vinification naturelle, basée sur le brassage des raisins dans ses cuves, sous forme de pigeages, remontages et délestages. Le vin du Clos Saint-André est intégralement élevé en barriques dont les bois à grains fins et serrés sont issus de forêts du centre de la France. Elles sont fabriquées par un seul tonnelier, sélectionné pour sa capacité à proposer des barriques permettant de trouver chaque année le meilleur équilibre possible entre le vin et la barrique. C’est un élément essentiel pour préserver l’authenticité et le caractère fruité du vin. L’élevage dure environ 20 mois. Un vin de plaisir, alliant élégance et générosité Chaque millésime du Clos Saint-André est différent. Néanmoins, le plaisir qu’il procure aux privilégiés qui y ont accès est toujours élevé. S’il fallait décrire les caractéristiques propres au Clos Saint-André, on pourrait évoquer les arômes de fruits, l’élégance, le velouté et la richesse du vin, sa finale longue et gourmande….. Mais peut-être vaudrait-il mieux vous laisser le découvrir !!! ...
Perchée en hauteur, la propriété s’étend sur 680m² et est bordée par un paysage magnifique avec vue sur les monts du Luberon, sur les Alpilles et sur le village de Roussillon. Le Petit Palais d’Aglaé, nom inspiré de l’une des déesses de la mythologie grecque, évoque la splendeur, le bien-être et la beauté. Le culte de perfection L’espace extérieur aménagé autour d’un remarquable jardin, d’une grande piscine et d’un salon agréable invite à la détente et à la méditation. L’émerveillement se poursuit jusqu’à l’intérieur au moment de découvrir le style renaissance italienne, si affirmé et si élégant, qui habille le hall d’accueil. Celui-ci mène ensuite vers les 16 chambres proposées déclinées en chambre classique, chambre classique jardin, chambre deluxe, chambre deluxe terrasse et en chambre familiale. « Toutes les chambres sont dotées de toutes les commodités modernes, comme le wifi, une salle de bain privative, une télévision à écran plat et la climatisation » nous fait savoir Sarah Lauferon, la gérante du lieu. Le choix des meubles, des matières, des luminaires, des couleurs à attribuer à chaque chambre révèle un goût du travail soigné. Au réveil, les hôtes commencent la journée par un petit déjeuner diététique à la française ou aux couleurs provençales, servi en salle ou dans le jardin. Le buffet comprend des boissons chaudes, des jus de fruits frais, des mini-viennoiseries, des cocktails sucrés et salés et un assortiment de fruits. Par ailleurs, le restaurant Les tables d’Euphrosyne est ouvert tous les jours pour égayer le palais de ceux en quête d’une cuisine « bionomique » et créative. S’évader et se divertir Un moment de douceur et de relaxation au Thalie Spa s’impose lors du passage dans l’établissement. Cet espace bien-être prône les bienfaits de l’aromathérapie et travaille avec la marque Decléor pour assurer l’excellence à ses clients. À la demande, ces derniers peuvent également profiter d’une séance de yoga, individuelle ou en groupe. La piscine chauffée, le bar en terrasse et les lieux de sieste cachés sont autant de choix pour se prélasser. En outre, une excursion en ville est suggérée pour découvrir les incontournables de Gordes : le château renaissance, le village des bories, l’abbaye cistercienne de Sénanque, le marché du dimanche et les galeries d’art et de poteries. ...
Implantée sur trois sites (Saint-Nazaire, Guérande et Assérac), AlgoSource s’est dotée dès 1993 d’une branche de production principalement dédiée à la spiruline, Alpha Biotech. C’est ainsi la plus ancienne société de production de cette microalgue, mondialement réputée comme superaliment, pour sa teneur exceptionnelle en protéine, en fer et en d’autres minéraux marins. Des vertus redécouvertes et ré-exploitées, à raison, par nos contemporains après avoir profité à nos ascendants de l’époque antique. De la spiruline et plus encore La spiruline en tant que telle représente déjà de grands potentiels dans l’équilibre alimentaire des personnes affiliées à une façon de se nourrir particulière. Par exemple, les vegans peuvent parfaitement l’intégrer dans leur régime pour couvrir les besoins en protéines et en vitamines essentielles comme la B12. « Il y a à peu près quinze ans, nous avons commencé à travailler sur l'extraction de molécules d'intérêt de cette spiruline », retrace Jean-Michel Pommet, Directeur Innovation et Développement, pour évoquer la genèse de l’un des produits phares de la maison. Le Spirulysat® se reconnaît à sa pigmentation caractéristique bleu roi que lui confère la phycocyanine. L’enseigne a beaucoup investi dans des études cliniques pour démontrer les vertus santé de cette molécule. Un usage particulier et professionnel en expansion Durant les trois à cinq dernières années, l'engouement pour la spiruline a augmenté, tant pour les particuliers que les professionnels. Avec sa forme liquide particulière (95% de la spiruline est consommée en forme sèche), le Spirulysat ®, le groupe se développe de façon exponentielle et couvre aujourd'hui un réseau de quelques 500 points de vente sur le territoire national et hors frontières. Un liquide bleu qui nous veut beaucoup de bien « Le meilleur aliment du XXIe siècle », c’est ainsi que la Conférence des Nations unies pour l’alimentation décrit la spiruline. Sous l’appellation de Spirulysat®, AlgoSource commercialise la sienne en ciblant des publics de plus en plus préoccupés à puiser dans la nature ce qu’il leur faut pour entretenir leur bien-être. La molécule à pigment bleu affiche un grand potentiel de revitalisation qui en fait un complice des sujets appelés à fournir des efforts physiques ou intellectuels soutenus. Les préparations à base de ce composé pourraient rapidement concurrencer les boissons énergisantes chimiques pourtant bien implantées. La marque est d’ailleurs estampillée Sport Protect, comme le souligne notre interlocuteur, compte tenu des témoignages consommateurs sur leurs performances. De la même manière, de nombreuses personnes en convalescence ont témoigné d'un rétablissement plus rapide avec ce produit. La société AlgoSource poursuit ses investissements dans la démonstration clinique des bienfaits santé de son produit riche en phycocyanine afin d'obtenir des allégations santé reconnues d'un point de vue règlementaire au niveau européen auprès de l'Agence Européenne de Sécurité Alimentaire, l'EFSA. ...
Des résultats (plus que) prometteurs ! Implantée au sein du Pôle Léonard DeVinci, DeVinci Junior se compose à 100 % d’étudiants issus de l’École d’Ingénieurs (ESILV), de l’École de Management (EMLV) et de l’Institut de l’Internet et du Multimédia (IIM). Depuis son lancement, il y a deux ans, cette Junior qui compte parmi ses clients aussi bien des grand groupes que des PME et des start-ups, contribue à la réussite des nombreux projets qui lui sont confiés. « En 2017, DeVinci Junior a réalisé un chiffre d'affaires chiffre d’affaires qui luiu permet de se hisser parmi la tranche haute des chiffres d'affaires engendrés en unior-Entreprises » explique Nathan Gouët. « Et depuis le début de l’année, nous avons d’ores et déjà franchi le cap des 60 000 € de chiffre d’affaires signé ». Bref, vous l’aurez compris, le succès est au rendez-vous. Mais si les fées se sont clairement penchées sur le berceau de DeVinci Junior, ces Junior-Entrepreneurs « made in DeVinci » ne doivent leur réussite qu’à leurs idées (résolument créatives et novatrices), à leur esprit d’équipe (pour gagner, ils jouent « collectif ») et à l’enthousiasme dont ils font preuve. Associer la théorie et la pratique, une plus-value appréciable Parce qu’elles donnent l’occasion à des étudiants de mettre en application l’enseignement qu’ils ont reçu et de développer leur potentiel, les Juniors-Entreprises constituent un excellent moyen d’acquérir une expérience professionnelle dans son domaine de compétences. « C’est d’ailleurs dans cette optique qu’on été créées les toutes premières Juniors-Entreprises. L’idée, c’est d’apporter la pratique à des étudiants qui, jusque-là, devaient se contenter de la théorie. De les professionnaliser » précise Nathan Gouët. « Une fois que l’on est un ‘’Junior-Entrepreneur’’, on n’est plus seulement un étudiant. On rentre véritablement dans le monde du travail ». Et pour cause, ce sont les Junior-Entrepreneurs qui gèrent, de A à Z, les projets qu’ils décrochent. Les Junior-Entreprises auraient ainsi sur les étudiants qui ont la chance d’en faire partie, l’effet d’un accélérateur de maturation professionnelle. L’innovation et l’adaptabilité comme maîtres-mots DeVinci Junior ne manque pas d’atouts pour attirer de nouveaux clients. En effet, la structure même de DeVinci Junior lui garantit une grande réactivité. Il lui est, par exemple, possible de mobiliser rapidement de nombreux intervenants et de les faire travailler de manière transversale. « Nous disposons d’un riche vivier de talents et de compétences (ingénierie, design digital, business, marketing, commerce, finance, nouvelles énergies, etc.) dans lequel puiser » indique Nathan Gouët. « Les quelque 4 600 étudiants du pôle DeVinci sont autant de consultants potentiels ». Enfin, le fait que les étudiants soient « à la pointe des toutes dernières tendances » et proposent à leurs clients « des solutions résolument innovantes » finit de compenser - largement - les heures de vol dont certains esprits chagrins pourraient reprocher aux Junior-Entrepreneurs de manquer… ...
Art Mas, c’est le vignoble familial de Xavier Combe. Véritable hymne à la biodiversité, les thyms, les romarins, les sauges, les oliviers et autres senteurs colorent le paysage et le parfument d’une fragrance inoubliable. Le viticulteur cultive 11 hectares de vieilles vignes à l’encépagement noble, localisées dans l’aire d’appellation Côtes-du-Rhône Villages Visan. Sur ce sol argilo-calcaire, les vins, produits biologiquement, s’épanouissent sous le soleil méditerranéen, ce qui donne des breuvages fruités, équilibrés, concentrés, expressifs et d’une étonnante richesse aromatique. « Nous nous distinguons par de très faibles rendements », confie Xavier Combe. « Seulement 25 hl/hectare en moyenne, ce qui permet la parfaite expression d’un terroir unique, souvent qualifié comme l’un des plus beaux de Visan. » Domaine viticole Art Mas : un terroir d'exception.... Exclusivement récolté à la main, le raisin ne subit aucun traitement par des intrants chimiques. La phytothérapie est adaptée à la vigne en utilisant des principes actifs naturels afin de renforcer la plante. « Nous exécutons des pratiques traditionnelles et des méthodes ancestrales ». Ce respect de la tradition n’empêche pas la modernité et l’originalité. Les étiquettes de la gamme ont été redessinées par le vigneron en 2016. De quoi se faire et faire plaisir. D’ailleurs, de nombreuses tables étoilées dans toute la France le savent bien : elles ont du vin du Vignoble Art Mas à leur carte. ...
Véritable référence, la Cavavin Paris 16 vous accueille dans un cadre élégant et chaleureux. Plus de 1 000 références de vins et de spiritueux vous seront proposées avec, en prime, des conseils personnalisés octroyés par un caviste passionné afin d’orienter votre choix sur le spiritueux qui vous ressemble. Une collection riche en émotions Cordiale invitation au voyage, cette cave vous transporte dans toutes les régions viticoles de France ainsi qu’aux quatre coins du monde au travers de vins et spiritueux rigoureusement sélectionnés. Outre la plate-forme éclectique de l’enseigne Cavavin, le caviste, Patrice Castel, s’approvisionne également auprès de producteurs de renom, avec un accent mis sur « les vins de vignerons misant sur la qualité », nous confie-t-il. En découle ainsi une gamme élargie composée de vins prestigieux français et étrangers, dont des vins d’Italie, d’Espagne, ou encore d’Afrique du Sud, des USA, d’Australie et d’Afrique du Sud. Les spiritueux tiennent une place importante avec plus de 130 whiskies,plus de 50 rhums ainsi que des gins, vodkas, téquilas, cognacs, et biens d’autres alcools. « Allant des produits exclusifs Cavavin aux vins casher en passant par des cuvées d’exception », cette cave se veut être l’ambassadrice de l’excellence dans son domaine : de la qualité à un prix raisonnable est une des devises du caviste. Partager l’amour du bon vin Chez Cavavin, la découverte gustative rime avec extase du palais et saveurs d’ailleurs. Convivialité et échanges d’expériences seront au rendez-vous au sein de cette caverne d’Ali Baba. Du simple déjeuner au repas mémorable ou bien pour vos cadeaux, tout y est pour se faire plaisir et faire plaisir. L’art de vivre trouve ici tout son sens au travers de grands crus, de champagnes d’exception, de cognacs, de vins de Bordeaux et d’autres produits d’allégresse, typiques et célébrant la richesse et la diversité de leurs terroirs. Chaque vendredi soir de 17h à 20h découverte d’un vin en dégustation. ...
Seules cinq équipes universitaires de recherche en chimie en France sont à l’origine d’une molécule actuellement produite sur le marché de la santé. L’équipe « Onco et Neurochimie » fait partie de ce quinté prestigieux avec le développement du Valdoxan. Commercialisé depuis 2008 par les laboratoires Servier, ce médicament est utilisé pour le traitement des épisodes dépressifs chez l’adulte en cadrant l’horloge biologique. « Notre objectif est de dépasser le stade de la publication des résultats scientifiques dans des revues académiques pour aller vers la valorisation et le développement de candidats-médicaments », explique le Pr Patricia Melnyk, qui dirige ce laboratoire orienté à la fois vers la chimie et le développement thérapeutique. « Actuellement, nous travaillons sur une deuxième molécule, qui est en phase de test chez l’homme. Au-delà de l’effet physiologique, nous nous attachons à décortiquer son mode d’action », poursuit-elle. Alzheimer, sclérose en plaques, cancer Ces nouveaux travaux pourraient avoir une influence sur les maladies neurodégénératives et, notamment, la maladie d’Alzheimer. En effet, dans cette pathologie, on observe deux mécanismes physiopathologiques : la pathologie amyloïde et la tauopathie. La première résulte de l'agrégation extraneuronale de peptides amyloïdes et la seconde de l’accumulation intraneuronale de protéine Tau hyper- et anormalement phosphorylée. Le nouveau composé, dont le premier brevet date de 2004, permet à la fois de diminuer la pathologie amyloïde et de réduire le développement de la pathologie Tau. Cette découverte est le travail d’un projet de recherche collaboratif entre l’équipe « Onco et Neurochimie » et l’équipe « Alzheimer et Tauopathies » des Drs Luc Buée et Nicolas Sergeant. « C’est la première fois qu’un composé est capable d’agir sur les deux lésions », affirment-ils. Cette nouvelle molécule, développée par AlzProtect, une société émanant de cette collaboration, est au stade des essais cliniques de phase 1 chez l’homme et a aussi obtenu le statut de « médicament orphelin » pour le traitement de la paralysie supranucléaire progressive (maladie neurodégénérative rare), auprès de l’Agence européenne du médicament. Une dizaine de personnes, comprenant des chimistes et des biologistes, travaillent actuellement sur ce projet, au sein des laboratoires académiques ou chez AlzProtect. D’autres projets en cours L’équipe « Onco et Neurochimie » étudie le rôle de cibles biologiques impliquées dans la dégradation des protéines altérées pour les traitements des maladies neurodégénératives. Cela passe par la conception de sondes chimiques permettant d’interagir avec ces cibles. L’équipe intervient dans le domaine de la sclérose en plaques et travaille depuis plusieurs années en collaboration avec l’équipe du Pr Patrick Vermersch de l’unité LIRIC (Lille Inflammation Research International Center), l’un des leaders du domaine. Un partenariat vient d’être signé avec la société pharmaceutique Genzyme Sanofi pour l’étude de molécules novatrices. « Nous travaillons aussi à la conception et à la synthèse d’inhibiteurs d’interaction protéine-protéine qui vont complètement modifier la survie cellulaire. Cela peut avoir une application dans le domaine des cancers du système digestif (colon, pancréas). » ...
A deux pas du Centre Mériadeck, une maison au charme indéniable attire et séduit : Le Clos d’Augusta. Installé dans l’ancienne Bûcherie, le restaurant fait la fierté de ses propriétaires Samuel et Cristina Zuccolotto depuis maintenant treize ans. Avec dynamisme et passion, ils se surpassent au quotidien dans le but de satisfaire au mieux les attentes de leurs convives. En cuisine, Samuel enfile sa toque et surprend avec ses plats aussi originaux que savoureux. En salle, Cristina s’occupe de l’accueil et apporte une attention particulière à chaque convive tout au long de leur repas. Un havre de paix en pleine ville Dès l’entrée, la salle dégage une douce chaleur qui confère une ambiance feutrée et cosy. Travaillée et soignée, la décoration allie à la perfection le parfait mariage entre l’ancien et le contemporain. D’un côté, la salle arbore le style colonial et opte pour une couleur beaucoup plus sobre afin de ressortir son côté raffiné. De l’autre, le mélange blanc et vert révèle un brin de dynamisme et apporte de la modernité à l’ensemble. Mais au Clos d’Augusta, rien n’a été fait au hasard. A commencer par cette couleur verte qui a une importance particulière pour Samuel. En effet, elle reflète sa passion pour le golf. Ainsi, la moquette, les poutres apparentes et les vaisselles portent cette teinte vivifiante. D’ailleurs, il confie que le nom du restaurant a été inspiré par Augusta, le célèbre tournoi des maitres dédié aux golfeurs professionnels. Par ailleurs, la disposition des tables vise à apporter plus d’intimité, un critère particulièrement important pour une clientèle exigeante. Pour couronner le tout, les lumières subtilement disposées à travers la salle apportent un coup d’éclat à l’ensemble. Et, à l’extérieur, le jardin du restaurant prépare à une toute autre surprise. Véritable havre de paix, c’est l’endroit parfait pour un diner ou un déjeuner en toute sérénité. L’occasion pour les convives de passer une expérience culinaire inédite tout en admirant la beauté de la nature. Une cuisine créative Mais la surprise ne s’arrête pas à la décoration, elle est aussi et surtout présente dans l’assiette. En effet, les plats surprennent autant par leur présentation que par leur goût. Derrière ce grand art se cache un chef créatif et méticuleux : le chef Samuel Zuccolotto. Sans chichi, il revisite à la perfection les grands classiques et apporte une touche personnelle qui révèle sa parfaite maitrise des textures et des saveurs. Sans les dénaturer, il transforme les produits soigneusement sélectionnés sur le marché en des vrais chefs-d’œuvre culinaires. Parmi ces spécialités : le ravioli de langoustines, maïs à la vanille et voile de pistache qui révèle toute la fraîcheur des saveurs marines, le succulent dos de lieu jaune de ligne aux coquillages et céleri fondant qui promet une aventure gustative riche en émotions ou encore le dessert tout chocolat à la confiture de mangue qui apporte une sensation de douceur. Il est à noter que pour chaque plat, le chef arbore fièrement le « fait maison » y compris pour le pain. A midi, avec le menu affaire à 25 €, le chef Samuel propose une entrée, un plat de résistance et un dessert. Le soir, les convives peuvent composer eux-mêmes leur menu en optant pour l’Augusta à 47 € ou se laisser surprendre par un menu, choisi pour l’ensemble de la table avec la formule découverte à 67 €. En outre, il propose une carte qui évolue au rythme des saisons et qui se compose de plats particulièrement raffinés. Pour accompagner le repas, Cristina expose la magnifique collection de vins de l’établissement et dévoile ainsi son talent de sommelière pour conseiller les convives dans leur choix. ...
L’objectif spécifique de ce tour opérateur est d’offrir, pour chacune de ses destinations, un voyage authentique et insolite. Le choix des destinations ne s’est pas fait par hasard, mais bien au contraire après une mûre réflexion : éloignement, coût, saisonnalité, centres d’intérêt et activités diverses et variées. L’artisan de vos rêves Voyage de Légende crée, façonne, travaille le moindre détail pour obtenir le résultat optimal, à la manière d’un artisan, au service de vos rêves. La connaissance parfaite des destinations proposées constitue le point de départ de sa stratégie. Un avantage acquis à la suite des nombreuses années vécues dans les pays et aux visites régulières des équipes sur le terrain. C’est donc naturellement que Voyage de Légende peut se vanter d’avoir un réseau de partenaires locaux qui partagent sa vision et ses impératifs de qualité. Parmi eux, des chaînes hôtelières de luxe, mais aussi des hôtels des hébergements de charme, des excursions rigoureusement sélectionnées, des rencontres insolites… Ajouté à cela une équipe experte et polyvalente qui sait répondre aux diverses exigences requises en matière de prestations et de personnalisation de services, et chaque voyage devient un défi réussi. Des terres lointaines et préservées Expert de la Polynésie française, Voyage de Légende est aussi l’Agent Général du navire le Paul Gauguin, qui sillonne les lagons de Tahiti et ses îles. Tahiti, Moorea, Bora Bora (îles de la Société), Tikehau et Rangiroa (archipel des Tuamotu), Nuku Hiva et Hiva Oa (îles Marquises), figurent parmi les 3 archipels majeurs de cette destination mythique. Partir à la rencontre de ces îles lointaines, c’est en découvrir l’exceptionnelle diversité. Chacune d’entre elles est unique, différente et attachante, puissante ou douce, “haute” ou “basse”, “bleue” côté lagon, ou “verte” côté montagne. Immortalisées par Paul Gauguin, qui les considéra comme les plus belles îles au monde, d’origine volcanique et abritant des lagons aux eaux cristallines, de paysages en rivages, d’atoll à fleur d’eau en îles hautes aux montagnes verdoyantes, les îles polynésiennes imposent leurs différences au travers de cinq archipels. À six heures de vol de là se trouve la Nouvelle-Calédonie, autre terre de charme qui regorge de trésors à découvrir. La Nouvelle Calédonie est une destination atypique, authentique, multiple et d’une rare diversité : une terre lointaine, terre d’aventure, terre de charme, terre originelle, et terre de contrastes. Au Sri Lanka, la diversité culturelle qui a façonné l’histoire du pays est considérée comme sa véritable richesse. C’est un pays majestueux, presque sacré, comme en témoignent ses ruines d’anciennes forteresses, ses temples et ses stupas entourés d’immenses jardins. Abordé comme un puzzle de 4 pièces : histoire, culture, nature ou plages, pour suivre les pas de Bouddha ou prendre la route du thé, le Sri Lanka n’en finit pas de surprendre. Pour prolonger l’émerveillement, pourquoi ne pas terminer ce séjour par quelques nuits aux Maldives : 1 voyage, 2 expériences ! Changement de décor, et cap sur les Émirats Arabes Unis, pays de la démesure. Si Dubaï et Abu Dhabi accueillent des tours et édifices immenses aux architectures très avant-gardistes, Oman et le Qatar dévoilent les traces de leur histoire et préservent leurs patrimoines culturels. ...
Auréolé de nombreuses récompenses, les vins de Château Cadet-Bon font partie de l’appellation Saint-Émilion Grand Cru Classé. Sur ces plantations où la vigne pousse depuis le XIVè siècle, on y retrouve tous les plus grands cépages dont le Merlot et le Cabernet Franc. Le domaine s’étale sur plus de 5ha, où est majoritairement élevé le Merlot (80%), le Cabernet Franc occupant le reste des vignes. Historiquement, les premières traces de vigne sur le domaine remontent à la famille BON. Une famille de notables qui ont fait l’histoire de Saint-Émilion depuis le XIIIè siècle. En 1929, le « Féret » rapportait qu’à l’occasion de l’Exposition Universelle de Paris, les vins de Justin Bon avaient permis aux grands vins de Saint-Emilion d’obtenir une médaille collective. Le domaine fût par la suite racheté en 2001 par Michèle et Guy Richard. Ce couple originaire de Charente Maritime, issu d’une famille de viticulteurs, rénove la propriété et revoit de manière drastique l’exploitation du raisin. Aujourd’hui, il en ressort un vin de qualité où transparaît la passion du couple pour le bon vin. Idéalement situé, le Château Cadet-Bon prend ses 5ha à l’orée du village de Saint-Émilion. Il domine le paysage surplombant à 75m d’altitude sur la butte du Cadet. Avec ses tenants exposés plein sud, les vignes mettent en avant les caractéristiques géologiques de la région avec un sol dominé par le calcaire à Astérie, un type de roche à dominante jaune contenant des fossiles, notamment d'étoile de mer. Moyens et méthodes de production Plaçant le terroir au cœur de la production, le domaine s’attache à soigner sa production de la récolte à la vinification. Durant 5 à 6 jours, les vendanges sont ainsi faites manuellement avec l’aide de vendangeurs temporaires particulièrement bien choyés. Ces vendanges sont effectuées selon la maturité de chaque parcelle et en fonction de la météo. Une fois récoltés, les fruits sont vidés dans des bastes puis acheminés au chai. Le tout en assurant, un minimum de manipulation. Une fois aux chais, la production traverse une série d’éléments de tri pour ne garder que les meilleures grappes. Un système innovant reprend la suite pour l’encuvage. En effet, depuis 2007, le domaine a mis en place un système de transport des raisins par gravité vers les cuves. Ce qui permet de garder le fruit entier et de le vinifier en l’état. Les étapes de vinification sont extrêmement encadrées du protocole d’extraction en passant par les pigeages, une méthode manuelle ancestrale qui permet de libérer arômes et parfums du vin en cours d’élaboration. A l'issue de la vinification, on passe à l'élevage. On retrouve alors toute une palette d’outils qui viennent révéler la fraîcheur recherchée dans les cuvées Saint-Émilion. Une partie de la production est vieillie en barrique mais le domaine utilise également des amphores. Pour ce dernier, c’est 3 à 4% de l’assemblage qui est effectué dans des amphores en terre cuite de 7hl. 14 mois durant, le précieux nectar est élevé sous l’œil attentif des viticulteurs et de leur équipe. Une démarche dans le respect de la nature Dès leur acquisition du domaine, le couple Richard s’attelle tout particulièrement à faire de leurs vignes des vignes qui respectent la nature et l'expression authentique du terroir en AOC Saint-Émilion. Ils mettent ainsi fin à l’utilisation d’herbicide. Afin de lutter contre les effets du froid en hiver, les Richard ont aussi adapté des techniques peu communes. Par exemple, les semis sont protégés par des mélanges de céréales (seigle ou avoine) et de légumineuses comme la vesce auxquels sont ajoutés des crucifères comme la moutarde, le colza ou la Phacélie. Présentant de nombreux avantages, l’application d’une couverture végétale protège les sols de l’érosion ou des battances mais apporte aussi de l’engrais naturel. Depuis 2015, le domaine a fait le choix d’arrêter l’utilisation d’anti-Botrytis. Le botrytis est une pourriture...
C’est entre 1775 et 1779 que Claude-Nicolas Ledoux, architecte de renom, bâtit cette usine de transformation de sel suivant les ordres de Louis XV. Abritant onze bâtiments au total, dont certains dédiés à accueillir les ouvriers d’antan et leurs familles, ce lieu construit en arc de cercle symbolise alors le progrès industriel entamé, au milieu du siècle des Lumières, par des bâtisseurs de l’impossible. Cette ancienne usine, dédiée à la production de sel et premier site de son genre à être inscrit au patrimoine mondial, accueille le grand public lors d’événements culturels à l’instar d’expositions temporaires et permanentes, de colloques ou de concerts. La Saline accueille pour plusieurs années en Résidence artistique le célèbre musicien Jordi Savall et son ensemble Le Concert des Nations. Culture et histoire se retrouvent ainsi dans cette enclave où séminaires, congrès et réunions d’affaires seront organisés au cœur d’une ancienne cité industrielle, « véritable œuvre architecturale unique semblable à un palais », décrit Hubert Tassy, le directeur de la Saline. « Un patrimoine dédié à la culture » C’est en ces termes qu’Hubert Tassy continue la description de la Saline royale, acquise en 1927 par le département du Doubs après un siècle d’abandon environ. Reconstruite à quatre reprises avant d’être totalement rénovée en 1996, cette manufacture devient un centre culturel vers la fin du XXe siècle. De nombreuses manifestations culturelles inédites se tiendront dans les salles et dans les extérieurs du bâtiment, notamment dans les fameux jardins des ouvriers. « Ces jardins accueillent chaque année un festival de création éphémère. En 2017, le thème était, en correspondance avec l’exposition « Le monde d’Hergé » les personnages des albums de Tintin. » Des étudiants issus des écoles nationales du paysage ont concouru et ont été sélectionnés par un jury présidé par Alain Baraton. Hubert Tassy de rajouter que durant tous les week-ends d’été, « nous proposons une immersion spectaculaire dans un monde d’images animées et de projections monumentales sur une création musicale de Bruno Coulais, le spectacle Lux Salina retrace ainsi l’histoire, réelle ou rêvée, de la Saline ». Outre les expositions temporaires, ce Centre Culturel de Rencontre propose également trois expositions permanentes : une, intitulée « Histoires de sel », retraçant l’histoire du sel et sa transformation dans les salines ; une autre relatant l’histoire des lieux depuis sa fermeture en 1895 jusqu’à aujourd’hui, exposition baptisée « Mémoires du lieu », et une dernière dédiée à l’architecte-père de ce monument, le musée Ledoux. « Seul musée d’Europe dédié à un seul architecte, il abrite plus de 50 maquettes des réalisations, construites ou imaginaires, de Claude-Nicolas Ledoux. La plupart de ces œuvres sont tirées de son traité L'Architecture Considérée sous le rapport de l'Art, des Mœurs et de la Législation, ouvrage visionnaire qui a inspiré de nombreux architectes » relate notre interlocuteur. ...
Intégrant une équipe pluridisciplinaire, le centre s’illustre tout particulièrement par sa volonté de recourir à de multiples innovations pour assurer une prise en charge optimale à ses patients. Quelques mots sur le CHB Paul Brousse Le centre Hépato-Biliaire Paul Brousse a été inauguré en mars 1993. Il est axé sur le traitement des maladies du foie, des voies biliaires, et du pancréas. Le centre figure parmi l’un des tout premiers dans le traitement médico-chirurgical des tumeurs du foie et c’est le premier centre de greffe du foie au plan national. Outre les aspects chirurgicaux, il intègre tous les aspects multidisciplinaires de la prise en charge. Cette dernière est organisée de sorte qu’ « au lieu que ce soit le malade qui se déplace vers les différents services, ce sont les spécialistes qui sont autour de lui pour lui apporter les meilleures solutions en termes de diagnostic et de traitement », souligne le Pr René Adam, chef de département du Centre Hépato-Biliaire. Les atouts de la pluridisciplinarité L’un des points forts du CHB réside dans sa capacité à fédérer des compétences éprouvées issues de disciplines diverses. En effet, il peut compter sur une équipe multidisciplinaire réunissant des hépatologues, des chirurgiens, des anesthésistes, des oncologues, des radiologues, et des réanimateurs. Une synergie et une complémentarité qui offrent de nombreux avantages notamment dans le diagnostic rapide des tumeurs du foie. « Pour un patient arrivant dès le matin, tous les moyens sont mis en œuvre pour obtenir le diagnostic dans les 24 à 48 heures. Pour cela tous les spécialistes travaillent en concertation pour aller le plus vite possible », poursuit notre interlocuteur. En outre, une unité de recherche labellisée par l’INSERM qui réunit des cliniciens et des chercheurs est intégrée dans le bâtiment. Une institution ouverte à l’innovation Qu’elle soit chirurgicale, hépatologique ou au niveau de la recherche, l’innovation est au cœur de toutes les activités du centre. Ce dernier dispose d’outils et de matériels à la pointe de la technologie médicale pour le diagnostic et le traitement des maladies virales, des cirrhoses et des tumeurs du foie des voies biliaires et du pancréas. Le CHB développe tout particulièrement la chirurgie mini-invasive du foie et du pancréas. Aujourd’hui plus de 30% des tumeurs du foie sont opérées avec ces méthodes qui permettent de réduire la taille des incisions et les douleurs postopératoires. Conjointement à un programme de réhabilitation améliorée après chirurgie, les durées d’hospitalisation sont écourtées. En ligne avec ces objectifs, les outils connectés sont mis au service de la domomédecine et une étude pilote va bientôt permettre aux patients opérés au CHB de bénéficier d’une technologie qui assurera une surveillance à distance après leur sortie de l’hôpital. « Grâce à ces outils connectés, on pourra recevoir automatiquement des informations sur le rythme activité-repos d’un patient, s’il est couché, s’il est debout, sur l’évolution de sa température cutanée, de son poids et grâce à un questionnaire télétransmis, sur la façon dont il se remet de son intervention, le tout, sans qu’il soit nécessaire de le garder hospitalisé », poursuit notre interlocuteur. De leur côté, l’équipe médicale sera en mesure d’accéder à ces informations via un serveur et pourra contacter le patient en cas de perturbations importantes des paramètres surveillés. Le centre s’est doté récemment de machines de perfusion du foie qui offrent la possibilité de recréer les conditions physiologiques de perfusion des organes. « On peut mettre un foie et le perfuser ex vivo, ce qui permet de vérifier sa fonctionnalité, de tester si la greffe va marcher mais cela ouvre aussi la porte à des modifications que l’on pourrait effectuer sur des foies considérés comme trop risqués pour être transplantés d’em...
Petite commune tranquille de Haute-Garonne située à 10 minutes de Blagnac et à 20 minutes de Toulouse, Mondonville abrite une table gourmande qui fait la part belle aux produits du terroir. Aux Ecuries de la tour, le sud-ouest est à l’honneur à la carte comme dans la cave à vins. Vous y dégusterez des plats traditionnels gascons revisités selon l’imagination et l’inspiration de l’équipe en cuisine placée sous la houlette de Jérôme De Stéfani. Ce chef passionné saura éblouir vos papilles avec des associations de saveurs subtiles qui rappellent des souvenirs d’antan. Une cuisine goûteuse axée sur le régional La cuisine régionale des Ecuries de la Tour saura largement satisfaire les fins palais. Aux fourneaux, le chef Jérôme De Stéfani veut retransmettre dans ses créations culinaires, ses valeurs du sud-ouest et ses origines toulousaines. Il propose ainsi des plats gourmands entièrement qui prônent sa créativité. Etant également Maître Restaurant, le chef réalise du fait-maison avec des produits bruts. Tous les jours, le restaurant propose des formules « Midi » avec en option : un plat du jour unique à 12 euros, une entrée et un plat ou un plat et un dessert à 16 euros et enfin une entrée, un plat et un dessert à 20 euros. Toute la semaine de mardi à dimanche, en journée comme en soirée, la maison propose également deux menus que vous créerez vous-même à partir des suggestions à la carte. Vous avez le choix entre trois ou quatre déclinaisons, c’est selon les envies. Commencez cette escapade gourmande avec une Terrine de foie gras aux mendiants, puis enchaînez avec une Assiette de pêcheur ou un Filet d’agneau en croûte de moutarde, jus de romarin. Achevez cet agréable moment culinaire avec une note douceur en optant pour un Moelleux chocolat noir, caramel beurre salé, glace spéculos. Vos papilles ne s’en remettront pas. Vive le terroir Pour l’acquisition de ses produits, le restaurant s’oriente vers les agriculteurs et éleveurs locaux. Canard, foie-gras, cochon noir du Bigorre… tous les produits du terroir sont rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs de la région. Le sud-ouest s’invite aussi dans la cave à vins. Côtes de Gascogne, St Sardos, Pacherenc Sec… il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets. Bien sûr, d’autres régions sont représentées, de quoi vous offrir le maximum de choix. Une belle décoration atypique Le fameux esprit typiquement toulousain se ressent jusque dans la salle. La bâtisse qui date du XVIIème siècle offre une belle association entre chênes et briques rouges. Il a fallu huit années aux propriétaires avant de venir à bout des travaux et ouvrir enfin l’établissement qui a été inauguré en 2007. A l’intérieur, chaque détail décoratif compte : du verre soufflé servant d’appliques pour créer l’éclairage, à la balustrade réalisée par les Compagnons du devoir jusqu’à la collection de téléphones datant de 1890 et disposés un peu partout dans la salle. En quête d’intimité ? Installez-vous dans les petits box dans lesquels se trouvent seulement deux tables pour deux personnes. La grande salle quant à elle procure une ambiance plus conviviale. ...
Passer le cap du rêve à la réalité, c’est avec ambition, courage, travail que ce citadin parisien, passionné de longue date par le monde viticole a créé en 2018, un nouveau vin de Faugeres , le domaine de Monthélys . Un pari un peu fou qui aujourd'hui connaît ses premiers succès. Néo-vigneron, Henri Monteux, ancien imprimeur de métier, était à la recherche d’un grand terroir dans son département de cœur, l’Hérault ; il est tombé très vite amoureux des paysages du Piémont des Cévennes, à Faugères. Un terroir à prédominance de schiste Situé au cœur du village médiéval de Cabrerolles, dans le Parc naturel du Haut-Languedoc, perché à 300 mètres d’altitude, le domaine de Monthélys s’étend sur cinq hectares. Sur ce terroir spécifique, au croisement de la nature et de la montagne, le domaine bénéficie de tous les bienfaits du climat méditerranéen et de l’éclat du schiste présent dans le sol qui apporte son caractère et sa note de fraicheur aux vignes. C’est d’ailleurs cette typicité géologique singulière du schiste, signature du terroir de l’Appellation d’Origine Protégée Faugères, qui fait l’authenticité des crus du domaine de Monthélys…. une singularité des nuances de schiste, reflétée sur les étiquettes de ses crus, promettant déjà une dégustation ensoleillée, fruitée et empreinte d’émotions, pour accompagner les plats à une tablée ou tout simplement autour d’un apéritif. Des cuvées d’inspiration Les vins phares du domaine de Monthélys reflètent l’esprit du domaine et l’identité de ce terroir empreint d’histoire. Pour les Rouges, les cépages sont le grenache, la syrah, le mourvèdre, et le carignan. Les vins y sont solaires, gourmands et croquants comme la cuvée « Gris de schiste », couleur rubis, à dominante de grenache. Les crus arborent également des notes d’élégance comme « Bleus de schiste « (syrah récoltée en pleine maturité, mourvèdre et grenache) ou encore « Ors de schiste « puissant et complexe. Le Blanc est un assemblage de grenache blanc et de marsanne, aux arômes floraux, de poire, de pêche. Une certaine rondeur s’exprime en bouche, s’épanouissant par une belle persistance. Le Rosé, aux jolies notes d’agrumes et de groseille vient compléter la gamme. Une conversion en bio Engagé, prônant l’esprit de l’authenticité, respectueux du terroir et de l’environnement, le fondateur du domaine de Monthélys n’utilise ni herbicides, ni pesticides sur ses terres. Les vendanges se font à la main à juste maturité dans des cagettes traditionnelles. Il préfère d’ailleurs des élevages plus discrets en cuve que ceux en barriques. Dans cet esprit de conservation et de préservation de l’environnement, le domaine en est à sa troisième année de conversion en agriculture bio. La vendange 2021 de son vin Faugeres sera certifiée 100% Bio. ...
Ici, point de vitrine ni d’objet figé. Une fois les portes franchies, manèges historiques, cabinet de curiosités, gondoles vénitiennes ou montgolfière surréaliste prennent vie le temps d’une visite hors du temps. Redonner vie au patrimoine Baptisé Les Pavillons de Bercy depuis son installation dans les anciens chais Lheureux en 1996, on le connait aussi sous le nom de Musée des Arts Forains. Il est l’unique lieu en France qui présente des objets issus du patrimoine du spectacle et des arts forains de la Belle Époque. Construit sur un modèle économique indépendant, il est labellisé « Entreprise du patrimoine vivant » en 2009. Sa collection est celle de son maitre de cérémonie, l’ancien comédien et antiquaire, Jean-Paul Favand. Depuis 1972, l’homme réunit ces objets chargés d'Histoire et les restaure. Ce musée, entièrement scénographié, conserve un patrimoine tout en lui redonnant vie. Le site dispose d’ailleurs d’un atelier de restauration pour mener à bien sa mission. Le manège de vélocipèdes a ainsi demandé plus de 20 000 heures de travail et 18 corps de métiers différents pour revoir le jour. « Le rire et la fête n’avaient pas de musée, alors qu’il y a de nombreux musées qui montrent la guerre. J’ai créé un monde de rêve qui ne serait rien sans le public qui le fait vivre », avance Jean-Paul Favand. L’histoire d’un art désormais reconnu se lie à celle d’un homme qui a transformé ses recherches en musée vivant. Un monde réanimé par des visites participatives Au XIXe siècle, la fête foraine était un fait social. On y découvrait des nouveautés techniques telle que l’électricité, toutes les formes de spectacle vivant ou encore l’actualité. C’était un véritable média. Un monde artistique et artisanal dans lequel le musée plonge aujourd’hui ses visiteurs pour réveiller leurs âmes d’enfant. Chacun est invité à « jouer le jeu ». Comme dans un théâtre, le musée et ses acteurs s’animent. Impossible de laisser le visiteur déambuler seul. Ce sont les guides comédiens qui activent certains manèges centenaires et invitent le public à découvrir les différents espaces. Les Pavillons de Bercy se visitent sur réservation tout au long de l’année, plus particulièrement les mercredis, les weekends et durant les vacances scolaires. Pour que la magie opère auprès de tous les publics, il est aussi possible de s’y aventurer librement pendant les Journées du patrimoine ou lors du Festival du merveilleux, organisé chaque année pour les fêtes de fin d’année. Des espaces pensés pour l'évènementiel Cet univers onirique est aussi le théâtre d’évènements de prestige. Tous les espaces de ce musée spectacle peuvent se privatiser: les Salon Vénitiens, le Théâtre du Merveilleux, le Magic Mirror, le Musée des Arts Forains et sa rue privée en plein Paris nommée Théâtre de Verdure. Ces espaces de réception, tous de plain-pied et modulables, facilitent l’organisation de tout type d’évènements, du séminaire au dîner de gala. Les organisateurs professionnels et les particuliers en quête d'authenticité ont ainsi la possibilité de donner une dimension féérique, hors du temps, à leurs évènements. Un lieu rare, insolite et joyeux à découvrir comme on entre dans un conte. ...
La musique, la danse, le théâtre, la photographie ou la peinture deviennent avec elle des médiateurs, invitant à l’expression libre de soi. Jamais définie à l’avance, la discipline artistique se révèle au cours de l’échange, selon les affinités, les énergies et les besoins de la personne. L’art pour se révéler à soi-même Travail de respiration, gestes relaxants, écoute pleine, Christalline Christalle communique ses énergies bienveillantes puis invite l’autre à vivre un moment complice avec lui-même. En prenant contact avec sa vie intérieure via le matériel artistique, la personne est amenée doucement à exprimer les choses et à les modifier au gré de son imagination. Ces séances révèlent des facettes parfois inexplorées et participent à l’estime de soi, au lâcher prise et à l’ancrage dans l’instant présent. Parmi leurs vertus, la gestion du stress, la responsabilisation, le rapport aux autres s’en trouvent unifiés, fortifiés. En ligne ou à domicile, ces moments dédiés au bien-être durent 1h30. Des forfaits de 5 à 10 séances permettent d’approfondir la démarche. Pas de performance artistique ni de thérapie médicale ici. Christalline Christalle vous accompagne sur les chemins de l’harmonie, de la créativité et de l’optimisme. ...
Tombés amoureux de la montagne, Monique et Luc Debroux, des hôteliers lillois, décident de venir dans le Sud en 2004. Ils acquièrent l'hôtel Carlit*** et recrutent une équipe composée de natifs de Font-Romeu. L'hôtel, se trouvant sur le plateau de Cerdagne en pays catalan dispose d'une vue panoramique sur la chaîne des Pyrénées. Il possède un restaurant traditionnel qui accueille clients, locaux et touristes de passage. Trois en un Le restaurant de l'hôtel a trois salles dont les thèmes diffèrent les uns des autres. La première se nomme Foc. Elle reflète les couleurs de la Catalogne et œuvre dans un esprit de brasserie. Elle peut recevoir une trentaine de personnes. La seconde est dénommée Capcir. Avec une décoration inspirée de la montagne, la salle affiche une prépondérance de bois. Elle ouvre ses portes à une cinquantaine de personnes. La salle principale est appelée Cerdagne. Grâce à son importante capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 140 couverts, elle est surtout dédiée aux banquets, soirées dansantes et réunions de groupe. De succulents plats de terroir catalan Le restaurant propose une variété de choix de plats aussi succulents les uns des autres. Les plus petits ne sont pas en reste puisqu’un menu enfant leur est servi, ce qui tombe à pic pour les déjeuners en famille. Une cuisine gourmande et sans chichi privilégiant les spécialités montagnardes est à l’honneur. Le restaurant éveille ainsi la gourmandise avec certains classiques comme la fondue, la raclette, la tartiflette ainsi que le camembert rôti. Pour le plaisir des papilles, le Burger du Roussillon enrichi d’un émincé de veau local et de tomme catalane fera le bonheur des épicuriens. Ces derniers se laisseront également tenter par l’imposante entrecôte de bœuf servie avec une sauce roquefort ou une sauce au poivre qui fait près de 300 g. Amateurs de pâtes ? La « Pasta party » se compose de toute une sélection de linguine, spaghetti ou tagliatelle préparée de milles et une façon. Belle situation en haute montagne Le paradis pyrénéen, à 1800 mètres d’altitude, est constitué par des villages qui abritent les stations de ski les plus modernes. Dans la commune de Font-Romeu se trouve un domaine skiable composé de 40 pistes, s'étendant sur 58 km et détenant 500 canons à neige. Les pistes de skis sont naturelles et associées aux espaces panoramiques. Outre le ski, le relief favorise plusieurs activités telles que les sorties en motoneige et les balades en chiens de traineaux, randonnées, VTT, accrobranche… Et suite aux randonnées ou glissades sur la poudreuse, la salle de remise en forme est disponible et offre l'accès au sauna, hammam, et jacuzzi, sans oublier le massage bien-être. ...
Quelle est l’histoire de Margo ? Ma fille Margo a été diagnostiquée d’un cancer à l’âge de 14 ans. Malheureusement, il s’agissait d’une tumeur au cerveau incurable. Pendant seize mois, ma fille s’est battue contre cette maladie tout en organisant parallèlement une collecte de fond pour aider la recherche qui a permis de récolter plus de 100 000 euros. Ce combat, je l’ai vécu à ses côtés et cela m’a fait prendre conscience que les enfants n’étaient pas épargnés par les cancers. Il s’agit même de la première cause de décès par maladie des enfants de plus d’un an en France et en Europe. Lorsque Margo nous a quittés, elle a laissé dans un cahier ce message inspirant : « Vas y, bats-toi, gagne ! » J’ai alors créé, avec son père, mon mari, l’association Imagine for Margo afin de poursuivre le combat. Parlez-nous de la genèse de l’association ? Déjà, c’est un changement de vie complet. J’ai dû arrêter de travailler pour m’investir totalement dans l’association que je voulais professionnelle et qui s’est développée rapidement. L’objectif a rapidement été clair : faire bouger les lignes pour obtenir des traitements et des médicaments moins toxiques et plus efficaces pour les enfants au travers de l’accès sécurisé à une recherche innovante et du développement de la médecine de précision. Parallèlement, l’objectif est de rechercher et d’obtenir des financements en mobilisant différents acteurs qu’ils soient industriels ou politiques et faire évoluer la réglementation européenne en la matière. L’idée, aussi, est de sensibiliser l’opinion publique sur les cancers qui touchent les enfants à travers des campagnes de communication. Enfin, l’association entend également apporter du soutien aux enfants et à leurs familles dans leur combat. Quels sont vos partenaires financiers ? Il faut bien comprendre que le cancer de l’enfant est peu attractif pour les industriels du médicament, qui préfèrent privilégier la recherche pour les cancers des adultes qui concernent plus de patients. Face à cette réalité, nous avons mobilisé activement nos donateurs ; particuliers et entreprises. Ainsi, en 10 ans, l’association Imagine for Margo a affecté 17 millions d’euros à la recherche en oncologie pédiatrique permettant de cofinancer 42 programmes de recherche aboutissant, aujourd’hui à 28 nouveaux traitements bénéficiant à 3000 enfants en France et en Europe. Depuis 2020, nous avons aussi fait changer d’échelle notre combat. En effet, avec deux autres associations européennes au Luxembourg et en Belgique, nous avons créé, l’appel à projets, Fight Kids Cancer. Ce regroupement est inédit et significatif. L’objectif est de booster la recherche contre le cancer en mutualisant nos fonds afin d’agir plus vite contre ce fléau qui touche 35.000 enfants et adolescents en Europe. En 3 ans, ce sont plus de 12 millions d’Euros qui ont été affectés à des programmes de recherche innovants. Pour les chercheurs, le message est clair : Nous souhaitons qu’ils passent moins de temps à chercher du financement et qu’ils se consacrent à leur mission : créer un monde avec des enfants sans cancer. Parvenez-vous à sensibiliser vraiment les politiques et les industriels du secteur ? Il faut être volontariste. Ainsi, nous souhaitons que des fonds européens soient dédiés à la recherche pour les cancers des enfants. D’ailleurs, les lignes bougent avec le premier Plan cancer européen et la Mission cancer pour financer de nouveaux projets au niveau européen. Aussi, le changement de la règlementation européenne va être annoncé en mars et nous espérons que cela va aller en faveur du développement des médicaments anti-cancéreux chez l’enfant, comme cela est déjà le cas dans la règlementation américaine depuis 2020. Par ailleurs, des laboratoires pharmaceutiques commencent à mettre en place des équipes dédiées à la pédiatrie, c’est prometteur et nous e...
Pourquoi SKYdeals va-t-il devenir le site web indispensable pendant les vols ? Focus sur cette nouvelle technologie innovante qui intéresse autant les voyageurs que les compagnies. SKYdeals : la solution d’inflight « shoppertainment » incontournable Pendant les vols long-courriers, internet manque à de nombreux passagers (professionnels ou non). Ainsi, l’annonce de l’arrivée du WiFi dans les avions est une excellente nouvelle. D’ailleurs, bien que, pour le moment, ce service soit payant, les spécialistes estiment que d’ici quelques années, il n’est pas impossible qu’il devienne gratuit à bord. En partant de ce constat, il est évident que les grands acteurs du voyage par avion recherchent des solutions intéressantes pour elles et pour leurs passagers. À ce titre, avec le site SKYdeals, les personnes à bord peuvent accéder à des ventes privées de produits et services privés à destination ainsi qu’à des événements commerciaux pendant le voyage. Par exemple, il est possible de participer à des ventes flash de produits spécifiques en survolant certaines zones (fly-over) ainsi qu’à des offres groupées qui permettent de bénéficier de réductions intéressantes si plusieurs personnes y participent. De ce fait, cela permet aux voyageurs d’animer leur voyage tout en profitant du vol pour faire leur shopping. Ludique et pratique ! SKYdeals : de l’idée au déploiement SKYdeals est un site qui a vu le jour en janvier 2017 grâce à Julien Sivan et Céline Braems. Tous deux spécialistes du digital et du secteur aérien, ils ont vite compris que la possibilité de capter le Wifi dans les avions allait s’accompagner de nouvelles demandes des compagnies aériennes et des voyageurs. Les premières souhaitent rentabiliser aussi rapidement que possible cette nouvelle technologie tandis que les seconds espèrent en profiter pour s’occuper et bénéficier, par la même occasion, d’offres intéressantes. Ainsi, après une première levée de fonds de 300 000 € et des tests sur les passagers des vols French Blue (en 2017), il est prévu de déployer cette solution à l’international en 2018 (via des compagnies asiatiques et américaines). Pour atteindre cet objectif, une seconde levée de plusieurs millions d’euros est prévue en 2018. Bientôt, tous les passagers pourront donc profiter de ventes privées et événementielles en vol. ...
« La promesse du Sud ». C’est avec ce slogan très ensoleillé que l’agence de voyages ES Wine se lance dans le domaine de la création de voyages à destination du plus grand vignoble du monde. Son concept : tailler des expériences sur mesure pour faire découvrir le Languedoc et ses alentours. Au travers de ses vins, bien entendu, mais aussi de toutes ces facettes qui font de l’Occitanie une mosaïque de sensations. Foison de circuits pour toutes les gammes d’envie Emmanuelle Robert le dit d’emblée : la force de ES Wine, « c’est son expertise sur la région, sa connaissance pointue du milieu de l’hôtellerie, son partenariat avec différents prestataires, les services sur mesure et surtout une expertise sur le vin ». Forte de ces arguments, l’enseigne décline des offres de circuits à la découverte du Languedoc où le vin sert de fil conducteur. Les promesses de découvertes, elles, jouent la carte de l’éclectisme. De la Camargue au bassin du Thau, en passant par le massif des Corbières, l’Occitanie est en effet une terre de contrastes. Pour ne pas passer à côté de l’essentiel et frayer avec les grandes particularités, ES Wine prend donc le parti de combiner les expériences en des formules d’une journée à une semaine de cinq ou sept jours, sur différentes thématiques. Une journée à une semaine pour saisir le meilleur de l'Occitanie La Côte Vermeille, formule d’accès aux singularités roussillonnaises, s’apprécie, par exemple, en un week-end de trois jours. De Collioure à Banyuls, ce sont les vins doux naturels des Pyrénées qui se laissent percer dans leur secret. Les charmes de la montagne succèdent au charme bon enfant des paysages maritimes. Le musée d’Art moderne de Céret constitue l’incursion culturelle de ce parcours. Pour les grands pressés, le pic Saint-Loup constitue un excellent prétexte de balade dont les étapes permettront d’entrer dans l’intimité de trois domaines. Dégustations de vins et déjeuner de plats du terroir au programme pour cette incursion d’une journée. Le culturel est au cœur des parcours des Corbières, des occasions à saisir pour goûter aux meilleurs crus du Languedoc. Du palais des Archevêques à l’abbaye de Fontfroide, de Carcassonne aux châteaux cathares les yeux ne se lassent pas des fastes de ces patrimoines occitans médiévaux. Incursions savoureuses et œnologiques L'Occitanie via ES Wine, c’est également la possibilité de confiner ses activités à d’exceptionnels instants gastronomiques. Les repas œnologiques constituent des occasions de partage autour du vin. Proposé à des groupes restreints, ce parcours sensoriel inclut une pédagogie autour de crus d’un terroir donné, dispensée par un sommelier. L’expérience s’enrichit ensuite d’initiations savoureuses autour de mets de choix, arrosés naturellement du vin qui sied à l’occasion. Cette formule, au même titre que les offres de circuit, est également accessible à titre exclusif aux membres du Wine Club. Ce groupe de partage ouvre la participation aux ateliers de dégustation programmés par la maison, sur différents thèmes. Cette activité interactive peut, de son côté, être privatisée pour une initiation sur mesure. Service d’experts pour satisfaction sur mesure Les circuits de base proposés par ES Wine incluent l’hébergement dans un hôtel cautionné par l’enseigne et son expertise de la destination. Les domaines viticoles et les sites patrimoniaux méritant un détour sont minutieusement sélectionnés pour assurer une expérience inoubliable. Il en va de même des activités supplémentaires, type balade en bateau. Cependant, l’enseigne prend à cœur de tenir compte des souhaits de sa clientèle qui peut naturellement accéder à une programmation déclinée selon ses aspirations personnelles. ...
La maison a été fondée en 1949 par André Brochot. Actuellement, c’est son fils Francis Brochot qui dirige l’exploitation familiale. Cette maison travaille sur un vignoble d’un hectare établi sur les coteaux sud d’Épernay. Tirant profit de ce prestigieux terroir, chaque cuvée reflète parfaitement le soin particulier apporté aux vignes et à la terre. Un grand respect pour la Nature Une grande cuvée ne s’obtient qu’avec des raisins de qualité. Francis Brochot le sait mieux que quiconque, lui qui, depuis des années, prend soin de son vignoble en privilégiant une agriculture durable et authentique. Animé par un profond respect de la Nature, Francis Brochot travaille la terre « à l’ancienne ». « Mon vignoble n’a cessé d’être labouré, donc sans désherbage chimique, la fertilisation est assurée par des composts certifiés bio », nous explique-t-il. En outre, pour soigner ses vignes, ce vigneron passionné se sert uniquement de pesticides bio. Au moment des vendanges, les raisins sont triés et pressurés au cours de la journée de cueillette. La maison opte pour un pressurage traditionnel vertical. Quant à l’assemblage, il se fait exclusivement à partir des têtes de cuvées de chardonnay ou de pinot noir et meunier. Les cuvées de la maison André Brochot Les champagnes André Brochot se déclinent en trois gammes. La première gamme comprend trois cuvées : « Cuvée », cuvée Sélection et cuvée Millésime. « Pour cette sélection, la vinification a été faite en tête de cuvée pinot meunier », précise le propriétaire. Les cuvées Prestige, Millésime 2005 et Millésime 2010 composent la gamme « Grande Réserve ». Celles-ci sont obtenues à partir de l’assemblage de chardonnay, de pinot noir et de pinot meunier. Enfin, la gamme « Rosé », élaborée exclusivement à partir de pinot meunier, s’exprime en trois saveurs différentes : le brut, le millésime 2007 et le demi-sec. Ayant chacune leur spécificité, les cuvées ont en commun une qualité irréprochable. Ce n’est certainement pas un hasard si la maison André Brochot empile les succès lors de concours prestigieux comme les Féminalise (médaille d’or en 2011, en 2012 et en 2014) ou le concours d’Épernay (médaille d’or en 2011). Preuve que ses produits sortent vraiment de l’ordinaire, la maison a déjà remporté le prix d’excellence au concours général agricole en 2012. Cette distinction récompense la régularité du haut niveau de qualité des champagnes André Brochot. ...
La chaleur n’a pas quitté cette ancienne forge de Mesquer, bâtie en 1711 dans la presqu’île guérandaise. Dans ce bâtiment authentique aux murs de pierres et poutres apparentes, les vacarmes du marteau et de l’enclume ont laissé place à la mélodie des couteaux et des fourchettes. La Vieille Forge fait partie du « Collège culinaire de France ». Elle s’engage alors à offrir une cuisine régionale et faite maison et à faire connaître le métier de restaurateurs. Les produits de la mer, les pigeons et les vins issus de nos régions n’attendent que les gourmets dans cet établissement mesquerais. Le goût de la simplicité A La Vieille Forge, le Chef Ludovic Favrel revendique une cuisine simple et sans artifices. En d’autres termes, il préfère mettre dans ses assiettes quelques goûts que les clients identifieront, plutôt que d’y rassembler mille et une saveurs dans lesquelles ils risquent de se perdre. La carte et les menus évoluent au fil des saisons. Toutefois, certains produits sont servis toute l’année de façon à valoriser les ingrédients fournis par les producteurs locaux et promouvoir la richesse du terroir. La maison informe d’ailleurs ses clients sur la traçabilité des produits. Un terroir riche Les conditions environnementales de Mesquer sont propices à l’ostréiculture, d’où la présence de nombreux parcs à huîtres. Grâce à sa proximité avec la mer et les marais salants, le restaurant La Vieille Forge s’approvisionne facilement en huîtres de kercabellec frais. Le Chef Ludovic sert ces mollusques peu salés en nature, coulis ou sabayon. Les pigeons issus de l’élevage local sont très appréciés dans les meilleurs restaurants français. A La Vieille Forge, ils sont préparés de deux façons. Les filets sont poêlés et les cuisses confites pendant longtemps. Ils sont accompagnés avec des légumes de saison tels que les petits pois ou les navets et du jus à la réglisse. Les menus Quotidiennement, quatre menus sont proposés par le restaurant. Le menu dégustation peut s’ouvrir sur des Saint-Jacques ou un Croustillant de ris de veau avant de glisser vers du Poisson noble du marché et terminer avec de la Crousti noisette et son crémeux chocolat. Le menu saveurs régionales suggère les produits du terroir comme le Filet de dorade sauvage en cannelloni ou le Tournedos de lapin du bois de boule. Quant au menu du jour, il dépend du marché. Enfin, le menu surprise est servi à l’ensemble de la table. Avec cette formule, les clients font confiance au savoir-faire et au talent du chef qui leur fera la surprise. Le Cadre Le restaurant La Vieille Forge présente deux ambiances différentes dans ses deux salles. La première est plus ancrée dans la tradition avec les poutres apparentes en bois, les murs de pierres visibles et une lumière tamisée. Le soufflet du forgeron est resté pour orner la pièce. Dans le deuxième espace, le décor est un peu plus moderne avec la grande baie vitrée qui donne sur le jardin et son bassin à poisson. Le plaisir du partage Ludovic et Isabelle organisent des cours de cuisine environ six fois par an pour partager leur passion. Six personnes par séance profitent des conseils et astuces de Ludovic sur les thèmes « Poisson », « sucrée » ou encore « Les légumes ». Il est même possible d’assister au cours en binôme c’est-à-dire un adulte et un enfant. ...
Antonino D’ALPA n’a pas atterri dans son métier par hasard. Bercé par les effluves montant des fourneaux de la cuisine maternelle, ce petit-fils de restaurateurs intègre l’école hôtelière dès 13 ans. Début d’un parcours atypique, entre apprentissage des nuances du service en salle et appel de la création. Car c’est là que réside le secret de la touche D’ALPA : une inventivité forte assortie d’une recherche permanente de l’exceptionnel. La présence du chef au service, en sus. Début dans les salles Antonino D’ALPA a commencé très tôt une formation hôtelière. Du haut de ses 13 ans, le voilà s’initiant aux arts des services en salle dans une école spécialisée. Très dynamique, le jeune Sicilien aligne en extra les missions estivales jusqu’à l’obtention de son diplôme et son départ pour la capitale française. Il démarre ici dans des petits restaurants avant d’intégrer et de se faire une place au soleil au Plaza Athénée. De demi-chef de rang, il passe et finit maître d’hôtel pour cette prestigieuse adresse de l’avenue Montaigne. Il assure, par la suite, quatre ans durant, la direction d’un restaurant gastronomique italien à Paris avant de s’installer à son compte, fin 2014. L’aventure en solo, Antonino D’ALPA l’imaginait comme un heureux mariage entre ses deux passions. D’un côté, pour le contact et le relationnel, et de l’autre, pour la cuisine. « Le seul secteur qui puisse me faire marier les deux, c’est l’événementiel », dit-il, à ce propos. Le très entreprenant traiteur gastronomique ne se contente donc pas seulement d’organiser des événements d’exception pour son client. Il met un point d’honneur à participer activement au service lors de ses prestations. La touche Antonino D’ALPA Transmettre à Antonino D’ALPA les commandes de son événement, c’est s’assurer d’offrir un coffret de saveurs dont les convives parleront longtemps. Chez les particuliers comme auprès des professionnels, ce traiteur ne fait pas dans la demi-mesure. En petit comité ou pour des convives nombreux, sa démarche inclut toujours une recherche fine et créative, tant dans le choix du lieu, du mobilier et du décor des tables que dans le menu. Les particuliers verront pratiquement leur chez-soi muer en un restaurant chic éphémère, tant les services sont bien pensés. Raffinement et élégance sont au rendez-vous dans les cocktails dînatoires ou déjeunatoires à l’intention des entreprises. Un équilibre parfait entre le visuel et le gustatif, assorti d’une rigueur incomparable dans le choix des produits : c’est sur cette partition que l’équipe réalise sa chorégraphie de l’organisation. Question de saveurs, ce professionnel a un faible pour les sélections nobles qu’il a découvertes sur son parcours. Foie gras et truffes blanches se déploient dans une ambiance délicate, aux côtés de noix de Saint-Jacques et de tagliolinis tandis que l’Amarone coule en toute élégance dans sa robe vermeille. Des animations exceptionnelles Partager sa passion pour le goût fait partie des passe-temps de prédilection de l’équipe D’ALPA. Son show « Pâtes flambées au cognac » s’intègre avantageusement comme une animation pour un événementiel d’entreprise mémorable. Dans une meule de fromage au lait de bufflonne flambée au cognac, le chef verse ses pâtes à la crème infusée à la sauge. À la clé : des saveurs inédites formant un bel équilibre entre fromage et herbe aromatique. ...