Ce restaurant, repris en 2016 par Mouss Bouazza et son épouse Muriel, n’est plus à présenter. En effet, Le Bistrot Dumas a depuis longtemps conquis le cœur des Genevois à travers ses plats savoureux, qui font la part belle aux produits frais et de saison. Un décor, une ambiance Dès leur entrée dans la salle, les convives sont d’emblée séduits par un décor authentique, décliné dans un style Art nouveau. À table, une douce lumière tamisée diffusée par de jolis vitraux qui ornent le plafond les invite à la détente et à la bonne humeur. « Chez nous, l’ambiance est toujours conviviale, chaleureuse », aime à préciser Mouss Bouazza, le propriétaire-gérant de l’établissement. De nouvelles saveurs tous les mois Au Bistrot Dumas, les plats se suivent mais ne se ressemblent pas. C’est au gré des saisons que le chef concocte ses délicieuses recettes. « Notre carte change tous les mois et nous avons toujours des nouveautés à proposer », nous indique-t-il. Mais s’il y a bien un plat qui reste et qui fait toujours l’unanimité auprès des convives, c’est bel et bien l’entrecôte beurre Dumas. « C’est la spécialité de la maison, c’est un peu comme une entrecôte café de Paris revisitée et que nous servons avec des frites allumettes. » À part cela, les fins gourmets peuvent déguster en ce moment du foie gras de canard accompagné de marmelade pommes et fruits secs. En plat de résistance, le chef recommande la sole entière des côtes bretonnes cuite sur arêtes ou le filet d’agneau en croûte avec champignons. En dessert, petits et grands se laisseront tenter par une tartelette myrtilles, crème fouettée, crumble, croustillant vanille ou bien un flan caramel, orange sanguine, safran, croquant aux agrumes. Côté vins, les amoureux de grands crus seront gâtés, puisque ce restaurant dispose d’une carte éclectique incluant pas moins de 300 références. Des vins genevois, bien sûr, mais également de grands classiques français, à l’image des vins de Bordeaux ou des vins de Bourgogne. ...
En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...
C’est tout naturellement à Lyon, la ville gastronomique par excellence, que ce concours est organisé annuellement. « Situé au cœur de plusieurs régions viticoles, Lyon devient ainsi le cœur d’un événement fédérant tous les producteurs de vins et de spiritueux, étrangers ou français », nous explique Victor Gomez, directeur de l’entreprise organisatrice du concours, Armonia. Découvertes gourmandes et voyage gustatif sont donc au rendez-vous à l’occasion de cet événement célébrant la richesse et la diversité du vin, de la bière et des spiritueux des quatre coins du monde. « Placer la ville de Lyon au cœur du vin » C’est avec ses propos que Victor Gomez justifie la création de ce concours étant cette année à sa huitième édition. La réputation de cette célèbre compétition internationale est le fruit d’une riche collaboration avec des partenaires de renom à l’instar de Vitisphere, de Global Wine and Spirits, de l’Association des Sommeliers lyonnais, des Toques blanches lyonnaises et de la prestigieuse École du vin. Ce dernier, partenaire exclusif de l’édition 2017, apporte ainsi toute son expertise au service des dégustations, des conférences-débats et de la sélection des vins médaillés. Ces partenaires qualitatifs viennent ainsi forger la notoriété de ce « concours très engagé dans la gastronomie », selon les explications de Victor. En effet, cet événement se veut être l’ambassadeur d’une ville où le goût et les sens sont au cœur de la dynamique urbaine. Les membres du jury, qui, à l’issu des dégustations, récompensent les meilleurs des spiritueux, de la bière et du vin, sont composés de professionnels du vin (sommeliers, œnologues...), de chefs, d’acheteurs, et d’amateurs expérimentés. Élire le meilleur vin du monde « Le Concours international de Lyon est un des rares concours en France acceptant les vins internationaux », rappelle Victor, assurant que tous les vins du monde y sont représentés. La qualité reste toutefois le maître-mot de la sélection de ce concours qui, cette année, a été présidé par Gaëtan Bouvier, Meilleur sommelier de France. En effet, après la réception, chaque produit subit un contrôle rigoureux ponctué de vérifications documentaires poussées et parfois de tests en laboratoires avant de pouvoir intégrer les tables de dégustation. Exclusivement dédié au vin depuis ses débuts, cet événement intègre, en 2015, la bière et une multitude de spiritueux dans la compétition. À l’occasion de la huitième édition du 25 mars 2017, les bières auront été jugées dans 54 catégories différentes, et les spiritueux dans plus de 65 familles incluant les vodkas, les rhums, les liqueurs et bien d’autres encore. Plus de 800 dégustateurs, composés de professionnels et d’amateurs éclairés du monde entier ont ainsi goûté à près de 6 300 vins, spiritueux et bières afin d’élire les fleurons de chaque catégorie, récompensés ultérieurement d’une médaille. Les producteurs et les consommateurs trouveront ainsi une valeur sûre dans le caractère riche et éclectique de ce concours à l’issu duquel, « un jury cette fois-ci composé des meilleurs ouvriers de France, des meilleurs sommeliers de France et autres iront redéguster les meilleurs vins de la compétition pour désigner le meilleur vin du monde », conclut Victor. ...
Situé à 15 min de Chinon, entre Tours et Poitiers, le Château du Rivau présente l’énorme avantage d’abriter une ferme où sont plantés et cueillis ses propres légumes, ce qui lui permet une totale maitrise de leur provenance et une parfaite garantie de fraicheur. Une cuisine simple et gourmande Dans sa démarche constante de développement durable ancrée sur l’environnement, l’économie, le volet éthique et social, le Château du Rivau propose une cuisine simple préparée à base de produits frais du jardin. Derrière ses fourneaux, en cuisine, la chef Béatrice Allart déploie un impressionnant savoir-faire à travers une cuisine inventive et particulièrement saine, avec une option pour les végétariens, les végétaliens et aussi pour les intolérants au gluten. D’excellentes soupes artisanales Le Château est un établissement particulièrement réputé pour ses soupes artisanales, préparées à base des produits de la ferme du Rivau, notamment le velouté à la sucrine du Berry, une de ses soupes phares dont les habitués ne s’en lassent pas. Il s’agit d’une savoureuse soupe traditionnelle et artisanale préparée à base des produits de la ferme du Rivau, avec comme principal ingrédient la sucrine du Berry, une courge de variété autochtone, menacée de disparition et qui fait l’objet d’un plan de sauvegarde au sein du Conservatoire de la région Centre. Un salon de thé au cœur du château Tel un voyage dans le temps à l’époque de la royauté, le Château du Rivau dévoile une magnifique bâtisse à l’ambiance onirique et aux décors très contemporains, aménagée avec gout dans une belle association entre Histoire et modernité. Au milieu de ce décor, particulièrement en période de vacances scolaires, l’établissement ouvre les portes de son salon de thé, où il est possible de savourer de nombreuses variétés de thés et autres tisanes aromatisées, accompagnées de délicieux gâteaux faits maison, sans oublier des jus de fruits frais très désaltérants et du soda. Dégustation de vins Grâce à la généreuse contribution de quelques vignerons experts, une visite au Château du Rivau est l’occasion toute trouvée de déguster gratuitement d’excellents vins produits dans la région. La maison propose aussi des dégustations pour les individuels qui se déroulent d’avril à octobre et qui offrent deux formules possibles, à savoir les cépages de la Loire ou les 3 terroirs de Chinon (de type argilo-silicieux, graves ou argilo-calcaire) qui durent 30 minutes. En outre, des dégustations pour les groupes invitant à découvrir un vin de Loire ou un fromage de chèvre de Sainte-Maure-de-Touraine sont organisées dans le décor verdoyant des jardins du Rivau. Promenade ludique dans un cadre médiéval Le Château du Rivau laisse subtilement flotter une ambiance féérique. La magnifique forteresse médiévale est entourée de 14 jardins savamment agencés et minutieusement entretenus, où, selon les propos de Patricia Laigneau, créatrice des jardins, « chaque jardin évoque un conte de fée différent ». Baignant dans un cadre au charme authentique, il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO… Un carnet de voyage incontournable à découvrir en famille. ...
Lieu idéal pour tenir des rendez-vous d’affaires informels, le restaurant dispose d’un espace design et contemporain au coin de la cheminée numérique. Ses grandes baies vitrées donnent directement sur le patio, ouvert aux beaux jours, lequel offre un espace lumineux où il fait bon se retrouver. Baignant dans un cadre intimiste et chaleureux au décor atypique où le bois est très présent, l’établissement comporte un sous-plafond d’une très belle hauteur, ainsi qu’une magnifique verrière ornée de plantes vertes, dans un mariage réussi de belles matières et d’éléments uniques. Le Cinq Codet est une adresse discrète qui dévoile une cuisine simple et bien travaillée, préparée à base de produits de saison. Dans une belle alliance d’inventivité et de technicité, l’établissement propose une cuisine décontractée, haute en couleur, avec des fleurs et des herbes, ainsi qu’un bel accord de saveurs et de textures gourmandes. Comptant une clientèle mixte d’Anglo-saxons et de Parisiens, l’établissement organise tous les samedis une soirée jazz, un événement déjà bien connu et apprécié des habitués, mais qui ne cesse d’engranger de nombreux adeptes. Un beau mariage de saveurs Les clients ont la liberté de composer eux-mêmes leur menu ou opter pour des plats sur le pouce avec la carte de snacking. Ce qui fait la différence ? La maison travaille le meilleur du produit avec une technique de cuisson qui la distingue de celle des autres établissements ! Turbot, émulsion de coquelicot, fenouil vanille bourbon et Sphère chocolat, sorbet passion safran sont autant de gourmandises à découvrir ou à retrouver au sein du restaurant. ...
Créée en 1987, la manufacture Forge de Laguiole résulte d’un projet de passionnés qui a depuis relancé la production de son célèbre couteau, connu et reconnu depuis 1829. Toutes les étapes de fabrication sont à nouveau réalisées sur son lieu d’origine : Laguiole (se prononce « laïole »), village aveyronnais de 1200 habitants. Le design de l’établissement est confié à Philippe Starck qui traduit parfaitement la philosophie de l’entreprise : l’alliance de la création et de la tradition. Une architecture de verre et d’aluminium d’où s’élance une lame de 18 mètres de haut, symbole de l’activité et du dynamisme de l’entreprise. Une production entièrement maitrisée Chaque couteau laguiole demande plusieurs heures, voire plusieurs jours de fabrication. La qualité de sa finition, la résistance de sa lame et de son ressort, l'épaisseur de ses mitres et platines, ainsi que la précision de son ajustage sont les éléments qui contribuent à sa durée de vie. La manufacture intègre toutes ces étapes de fabrication. Elle forge et trempe les lames sur le site de Laguiole. Le dessin de chaque couteau doit respecter le profil général déterminé par les couteliers du XIXème siècle ; la ligne des couteaux de la Forge de Laguiole inspire aujourd’hui de nombreux designers. Plusieurs types d’aciers forgés sont proposés pour satisfaire les amateurs de modèles traditionnels comme ceux de couteaux modernes. L’acier au carbone est le plus ancien. Apprécié des collectionneurs, il possède un fil irréprochable et « vit » en s’usant et changeant de couleur. Le nouvel acier T12 est, pour sa part, inaltérable, il conserve son éclat et son tranchant au fil des ans. Un savoir-faire unique Une centaine de salariés hautement qualifiés opère, chacun selon sa spécialité. C'est un véritable voyage dans le temps que propose Forge de Laguiole, pas de course inutile à la technologie, ni de cadences infernales. Ici, on travaille à l'ancienne, selon des techniques éprouvées. C'est le lieu du toucher, de l'odeur des matières, de l'œil qui guide le travail millimétré des mains, des bruissements des frottes en lin ou du choc des rivets. Fabriquer un couteau pliant ou un couteau de table laguiole comprend de nombreuses étapes essentielles telles que l'estampage, la découpe, l'ébavurage, le blanchissage, le guillochage, le perçage, le façonnage, le détourage, le polissage et le lustrage… Assembler un couteau réclame entre 40 à 180 opérations. Toutes sont réalisées sur place. A commencer par les lames dont les aciers différents sont forgés trempés et finissent par se parer de toutes les variantes du rouge. Ici, on aime à dire que le Laguiole épouse le rouge-cerise, sa robe favorite. Celle-ci suivra ensuite le même circuit, le même rite. Elle croisera dans les couloirs ou dans les bacs les manches sculptés dans d'innombrables matières. Elle sera frappée du précieux logo, elle se dévoilera, sertie du ressort guilloché et la célèbre abeille lui sera apposée... Les mains du coutelier et les matériaux utilisés font de chaque couteau une pièce unique. Qu’il s’agisse de pliants aux manches façonnés en corne, en bois, en aluminium, en os ou en carbone, avec une lame de 7 à 21 cm, un tire-bouchon et un poinçon ou des couteaux de table : Tout se passe à l'œil, au jugé, au ressenti, au touché. Fabriquer un vrai couteau Laguiole est un processus complexe qui témoigne d'un authentique savoir-faire, c’est celui-ci qui fait la renommée de La Forge de Laguiole à travers le monde. ...
Labellisée AOC en France et AOP en Europe, l’appellation Muscat du Ventoux concerne près de 250 producteurs de la microrégion située entre le mont Ventoux et Avignon. Les 660 hectares de son vignoble couvrent 56 communes qui produisent entre 1 500 et 2 000 tonnes de raisins par an. Un raisin au riche passé Depuis l’Antiquité, le raisin a toujours été cultivé dans cette région. Cependant, la majorité de la production était destinée à la fabrication de vin. Les pieds de vignes pour les raisins de table ne se trouvaient la plupart du temps que devant la porte des producteurs. Pour le Muscat du Ventoux en particulier, il était produit dans cette région depuis le XIXe siècle, mais ce n’est qu’à partir des années 1960 que les viticulteurs de la région ont commencé à en produire en vue d’une commercialisation. La réputation grandissante de leur produit a poussé ces derniers à réglementer la filière, qui a abouti à une appellation d’origine contrôlée (AOC) en 1997 et à une appellation d’origine protégée (AOP) décernée par l’Europe en 1999. Un terroir particulièrement propice Une des composantes qui a favorisé la culture du Muscat de Ventoux dans la région est le terroir composé de roches sédimentaires calcaires et argilo-calcaires. Le sol est particulièrement riche et fertile, qui correspond tout à fait au bon développement de ce cépage. Les vignes sont installées sur des coteaux à 200 m d’altitude, faisant profiter les vignes d’un ensoleillement idéal, avec plus de 300 jours d’ensoleillement dans l’année. De plus, le mistral, qui balaye la vallée du Rhône, a un effet assainissant sur les vignes en asséchant le mildiou. Le raisin noir en appellation Muscat du Ventoux est cultivé dans la microrégion sur les pentes du mont Ventoux, dans le Vaucluse, dans la vallée du Calavon et sur une partie du massif de Luberon. Apt, Aubignan, Bonnieux ou bien encore Carpentras figurent parmi les localités productrices. Le Muscat de Hambourg Le cépage unique reconnu pour l’appellation est le Muscat de Hambourg. Son origine exacte est inconnue mais, selon l’Italien Pirovano, il serait issu d’un croisement entre le Muscat d’Alexandrie et le Frankental. Il est aussi connu sous les noms de Black Muscat, de Frankental, de Black Muscat of Alexandria, de Black Hambourg ou de Muscat de Ventoux en France. Après la Grèce, la France est le principal producteur mondial avec près de 3 605 hectares. Le Muscat de Ventoux est facilement reconnaissable par la grosseur de ses baies et ses grappes, qui sont moyennement compactes. La couleur des grappes peut varier du sombre bleuté au rosé violet clair, quel que soit leur degré de maturité. Le gout reste similaire. Le raisin possède une chair juteuse agréable et assez musquée. Un cahier des charges très rigoureux Pour bénéficier de l’AOC Muscat du Mont Ventoux, les producteurs doivent se conformer à de nombreux critères qualitatifs inscrits dans un cahier des charges très précis. Les grappes doivent faire au minimum 250 g, être homogènes au niveau visuel et avoir un degré de sucre supérieur à 18 (correspondant à 169 g de sucre par litre). De plus, la grappe doit être lâche avec des raisins à la coloration bleutée sans grain rouge, signe d’une maturité insuffisante. Tout grain flétri est à éliminer par ciselage. Enfin, une pruine doit être présente sur la peau du raisin. ...
Son propriétaire, Jérémy Thien, a passé les quinze premières années de sa vie active dans l’administration. Natif de la région beaujolaise, il sait apprécier les bons vins. Sa passion le pousse à se reconvertir dans le métier de vigneron, lorsqu’une occasion se présente à lui. « C’était un virage très important dans ma vie. C’est un métier qui ne s’improvise pas et il faut retourner à l’école » admet-il. Il a repris ce domaine fin 2012 et produit son premier millésime en 2013. La qualité avant tout Les 12 hectares de parcelles du Domaine des Frontières sont juchés à 350 mètres d’altitude sur un terroir de marnes bleues, qui confère au vin une belle concentration et des notes épicées et poivrées. Jérémy Thien met une rigueur particulière dans la culture de ses vignes, car pour lui : « tout part de la production du raisin ; la qualité du vin vient à 90% de la qualité du raisin ». Ses cuvées sont issues de vieilles vignes, vendangées entièrement à la main. La vinification se fait selon les procédés traditionnels du Beaujolais, avec macération semi-carbonique, poussée jusqu’à 14 jours de façon à obtenir des tanins soyeux et ronds. L’élevage est long afin qu’ils puissent être directement bus au moment où ils sont mise en bouteille. Les vins du domaine Le Domaine des Frontières produit deux cuvées en appellation « Juliénas » et une en appellation « Beaujolais ». Le « Domaine des Frontières Juliénas » est un vin issu à 100% de vieilles vignes Gamay Noir. Révélant une robe couleur rubis, il propose un bouquet floral et fruité au nez, avec des notes de cassis, cannelle et poivre. C’est un vin nerveux, charpenté avec une belle longueur en bouche. Il peut s’accompagner de côtes de veau, de poissons de rivière, de grillades de bœuf ou de desserts à base de fruits rouges. Le millésime 2013 a obtenu le deuxième prix de la Saint-Vincent des vignerons de Jullié. Le « Domaine des Frontières Juliénas Cuvée réservée » pour sa part est une pure merveille issue de vieilles vignes de Gamay Noir. La robe est rubis intense, le nez floral et fruité, avec des notes de cuir et légèrement boisé ; la bouche est très longue, nerveuse et charpentée. Ce vin peut évoluer et se garder jusqu’à sept ou huit ans. Il se savoure accompagné d’une blanquette d’agneau, d’un magret de canard ou d’un potage au potiron. Dernier et non des moindres : le « Domaine des Frontières AOC Beaujolais Villages » qui est issu de vieilles vignes de 60 ans de Gamay Noir à jus blanc. Sa robe est brillante, aux éclats violacés caractéristiques des vins jeunes. Au nez, on note des arômes de fruits rouges. En bouche, c’est un vin souple et frais. Pour un meilleur accord, il accompagne la charcuterie, la viande blanche, les escargots et les fromages. Le millésime 2014 a été récompensé de la meilleure note des Beaujolais Villages au Guide Rouge de la revue du Vin de France, tandis que le millésime 2015 a reçu une médaille d’argent au Concours des Grands Vins du Beaujolais. ...
Aménagée à cheval sur le Minervois et La Livinière, l’exploitation est dans la famille Mignard depuis les années 50. Le petit-fils Christian a repris une partie des parcelles en 2002, pour en faire un domaine répondant à la vision inspirée par l’un de ses mentors à l’école de viticulture : petit, autonome et prônant la qualité, celle du terroir en particulier. Minervois La Livinière, les singularités d’un terroir Tombé petit dans les traditions viticoles et ayant eu à cœur de parfaire ses connaissances via un parcours Viticulture –Œnologie, Christian Mignard gère son domaine de 22 hectares avec une remarquable précision. Il sait parfaitement tirer profit des variations pluviométriques et thermiques dont jouissent ses vignes, perchées entre 130 et 200 m sur les flancs de Siran. Ses cépages poussant sur des sols argilo-calcaires font, depuis 2012, l’objet d’un entretien respectant les exigences de l’agriculture biologique. Le vigneron distille des opus sur les créneaux AOC Minervois et Cru La Livinière et ce, à travers des processus de vinification bio. Les vins du Château Mignan : bio et attachés au terroir Dans le chai du Château Mignan, la sélection des cépages et la composition des gammes de vin constituent des affaires très sérieuses. « […] un blanc d’appellation est toujours constitué de trois à quatre cépages de blanc, si on veut faire quelque chose de bien, de bon, de régulier », précise d’emblée Christian Mignard. Le Minervois blanc produit sur son domaine est un mariage d’équilibre entre Marsanne, Roussane, Vermentino et Grenache blanc. La gamme inclut, de temps en temps du rosé, ainsi que la cuvée tradition Pech Quisou rouge à coté de laquelle on retrouve la cuvée Aurus, une édition de haut de gamme. En Cru La Livinière, L’Œil du Temps se révèle comme une interprétation unique de son terroir. Le mariage de Syrah et de Grenache s’entoure d’exceptionnels arômes de fruits rouges, de réglisse et d’aubépine. Cette grande cuvée persiste longuement en bouche avec son corps structuré fait de souplesse et de raffinement. Château Mignan, des vins à la carte de restaurants étoilés Michelin A Narbonne, le restaurant de Lionel Giraud, La Table de la Maison Saint-Crescent (2 étoiles Michelin) affiche fidèlement les crus de la Maison Mignard à sa carte des vins. Le Château Mignan fait également l’objet de sélections rigoureuses du Meilleur jeune sommelier de France, Albert Malongo. Ultime reconnaissance, à Fontjoncouse, à la table du 3 étoilés Michelin de Gilles Goujon, L'Auberge du Vieux Puits où l'on retrouve l'Oeil du Temps. Bref, des vins fortement appréciés dans les meilleurs restaurants de l'hexagone mais également en Suisse, Allemagne, Belgique, Chine, Japon, Thaïlande, Russie, Qatar et bientôt chez vous en commandant cette fois-ci sans intermédiare et en direct à la Propriété de Christian Mignard. ...
Le succès des champagnes Legret est le résultat de l’amour du terroir, du respect envers la faune et la flore, mais aussi des méthodes de travail naturelles offrant aux sols la liberté de s’exprimer avec autant de virtuosité. Des méthodes d'élaboration respectueuses de l'environnement et du consommateur Tout le processus de production du champagne s’effectue le plus naturellement possible, dans le respect de l’environnement et du consommateur. En effet aucun type de pesticides, d’herbicides ou encore d’engrais chimiques n’est utilisé. Et la vinification est réalisée sans intrants d’origine animale ou chimique, comme la levure. Le traitement des sols et de la vigne est effectué par le biais de méthodes biodynamiques, dans le cadre d'une agriculture végétalienne. Cela consiste à ne pas utiliser des produits d’origine animale dont les cornes ou la bouse et à privilégier des traitements végétaux ou minéraux (tisanes et décoctions de plantes, huiles essentielles). Pour le plus grand bien des consommateurs sans brader leur plaisir, les champagnes sont non dosés ou assez faiblement, d’où les cuvées brut nature, brut ou extra brut. La conséquence de ce dosage est la faible présence de sucre dans les bouteilles. 6 cuvées certifiées Vegan: une démarche innovante dans le cadre de l'appellation champagne Depuis le 11 novembre 2016, les 6 cuvées des champagnes Legret sont certifiées Vegan (Qualità Vegeteriana), de la viticulture (agriculture végétalienne) à la mise en bouteille et l’étiquetage. De plus, le domaine Legret n’utilise pas de produit d’origine animale dans la colle des étiquettes ni dans leur encre. Quant à la vinification, les étapes de clarification et de filtration se font avec une plaque filtrante en cellulose. Enfin, pour des raisons d’éthique, il n’y a pas de traction d’outils à la force animale dans les vignes. Des champagnes reconnus pour leur qualité exceptionnelle Vignerons indépendants, les Legret produisent leur champagne de A à Z puisque ce sont leurs vignes, leur pressoir, leurs cuves et leur cave. Ne faisant pas partie d’une coopérative, leur raisin n'est pas pressé par une autre société ou acheté. Ce qui signifie un contrôle complet des méthodes d'élaboration et de la qualité du produit. Les champagnes Legret sont de grande qualité car 4 générations se succèdent afin de prolonger le savoir-faire et la tradition. Perpétuant des méthodes d'élaboration ancestrales, Alain Legret pratique encore le remuage à la main pour certaines cuvées. Mais aussi un vieillissement de 4 ans minimum sur lattes long afin que le vin puisse exprimer toute sa complexité. A ceci s’ajoute la présence d’un personnel hautement qualifié voire couronné puisque Louise, une employée de 19 ans a reçu le sécateur d’or, en cette année 2018. Cette distinction est loin d’être unique puisque les champagnes Legret ont reçu de multiples médailles d’or et d’argent aux Concours des Vignerons Indépendants 2017, Concours International de Lyon 2018, Concours Mondial des Feminalise 2018, Concours des Meilleurs Vins et Spiritueux Français en Asie 2018 et à l'Asia Import News Wine Challenge 2018. Enfin, les champagnes Legret sont recommandés par the Decanter, une référence internationale dans la comparaison des vins. ...
Implanté depuis peu à Lyon, à la Croix-Rousse, le restaurant Chez Lucien est géré d’une main de maître par Benjamin et toute une équipe dynamique et passionnée. La formule simple mais raffinée du resto-bistrot ravira les papilles des fins gourmets à la recherche de plats créatifs et authentiques. Lucien, gentil bouledogue anglais et mascotte de la maison, quant à lui, est là pour veiller au grain. Le terroir comme source d’inspiration Mettant en avant la richesse du terroir, Benjamin privilégie un ravitaillement en circuit court auprès de « producteurs bio et de qualité [afin de cuisiner] avec 100 % de produits frais », affirme-t-il. Les saveurs locales sont ainsi mises à l’honneur dans des plats tels que le ragoût de pieds de cochon aux piquillos et gratiné à la moelle, une entrée exquise qui fait la renommée du chef, et qui sera suivie d’un plat de ventrèche de cochons issus de fermes du Pays basque. Pour les desserts, l’établissement mise entre autres sur les talents de Laëtitia Maggiar. Passionnée, la cheffe pâtissière d’origine italienne ne manque pas d’imagination pour transformer les grands classiques en de véritables perles comme le vacherin au marron, le tiramisu au café ou la tarte du jour qui varie selon les fruits disponibles sur le marché. Une véritable ambiance bistrot « Dans un décor de pierres apparentes, de poutres et de marbre, notre restaurant accueille les hôtes avec un fond musical léger rappelant les maisons de campagne », nous confie Benjamin. Cette table d’exception privilégie ainsi la convivialité en organisant notamment des « événements autour d’une recette avec une ambiance guinguette tous les premiers dimanches du mois ». Cet aspect authentique accomplit ainsi le défi que s’est donné Benjamin, celui « de proposer de la bistronomie conviviale et facile d’accès ». ...
Producteur laitier depuis 1988, Pascal reprend en 2003 la fromagerie de Nérondes afin de perpétuer un héritage gourmand faisant la renommée de la région du Cher. Cette dernière est, en effet, réputée pour la production du grand cru des fromages, le Crottin de Chavignol. « De nombreux critères exigeants, allant de la race des chèvres à leur alimentation, en passant par le processus d’élaboration, sont rigoureusement contrôlés afin de préserver la typicité de ce fromage d’exception », explique-t-il. Grâce à un savoir-faire et une structure d’élevage répondant à ce cahier des charges strict, la Fromagerie de Milly a obtenu cet AOP et produit aujourd’hui, avec le crottin, une large variété de fromages fermiers. Un savoir-faire au service de l’excellence Désireux de produire des mets de qualité pour sa clientèle exigeante, Pascal s’attèle à préserver un savoir-faire unique basé sur la production complète de tous ses fromages dans son exploitation. « 75 ha de terres sont ici cultivées pour l’alimentation de 200 chèvres laitières, [appartenant à la race alpine], rajoute notre interlocuteur. Nourries exclusivement avec des céréales et du fourrage provenant de ces terres, les chèvres produisent alors un lait de qualité propice à l’obtention de plusieurs variétés de fromages haut de gamme. La fabrication de ces dernières est entièrement assurée par la fromagerie qui, de l’emprésurage à l’affinage, garantit des étapes de production réalisées suivant une démarche éthique, dans le respect des traditions. Ainsi, outre le Crottin de Chavignol, appréciez lors de vos instants gourmands le Nérondais, un gros fromage de chèvre moulé à la louche, ou le Mini feuilletés, à déguster à l’apéritif. ...
Depuis 1999, la Toque cuivrée a redonné au canelé ses lettres de noblesse et en fait son produit phare. La marque se targue aujourd’hui de disposer d’un réseau de 18 boutiques et magasins, ainsi que d’un site de commande en ligne pour distribuer ce célèbre gâteau et d’autres gourmandises en France métropolitaine + Corse. Le canelé : la légende d’une friandise bordelaise Selon la légende, le canelé aurait été inventé par les religieuses du couvent des Annonciades de Bordeaux, qui le fabriquaient en récupérant la farine de blé tombée des cales des bateaux ou de sacs éventrés sur le quai des Chartrons. Elles complétaient leurs recettes en utilisant des jaunes d’œuf non utilisés des chais à vin. Car, à l’époque, seul le blanc d’œuf était employé pour le collage des vins. Distribué aux plus démunis et finançant le couvent, le canelé s’est vite lié à l’histoire de la ville portuaire de Bordeaux et de la Gironde. La recette s’est transmise de génération en génération et fait actuellement partie intégrante du patrimoine gastronomique régional bordelais. Créative, la Toque cuivrée élabore ses délicieux canelés dans le respect de la recette de l’époque, avec quelques notes d’amélioration misant sur le goût et la qualité de ses produits. Friandise à la robe croquante et caramélisée, le canelé de La Toque cuivrée est fidèle à ses origines, dévoilant un cœur moelleux, ainsi qu’un subtil goût de rhum et de vanille, des arômes rappelant les îles, jadis en liaison permanente avec le port. Des gourmandises pour toutes les tables À la Toque cuivrée, le canelé arbore divers formats et déclinaisons pour être dégusté en toutes occasions. Ainsi, le format Gros est servi en guise de dessert tandis que le format Lunch est idéal pour les petites pauses et les goûters. Cette pâtisserie sait également honorer les événements mondains, les cocktails et les cafés avec son format Bouchée. Pour satisfaire les plus gourmands, La Toque cuivrée décline cette gourmandise aussi en délicieux caramels aux éclats de canelés ainsi qu’en verrine de canelés imbibés de sirop de rhum, au format Bouchée. Des tourtières et des gâteaux bordelais sont également proposés pour régaler petits et grands. ...
Dirigé par la famille Petit, cet établissement entièrement rénové en 2012, axe sa cuisine sur son savoir-faire et sa passion pour le produit donnant naissance à un bistrot grill spécialisé dans les viandes et poissons grillés. Longé par la Mourachonne, petite rivière affluent de la Siagne ayant donné son nom au restaurant, il offre une atmosphère chaleureuse et exotique. Un restaurant riche en histoire Niché au cœur de Pégomas, ce restaurant fût jadis la boulangerie du village. Sa localisation centrale sur la place du Logis a toujours fait de cet emplacement un lieu de passage pour rallier le littoral. Au fil du temps, cette bâtisse faite de pierres de taille entièrement rénové à inspirer la famille Petit pour y créer ce lieu de ralliement dédiés aux passionnés de viandes et de produits du terroir. Dans cet endroit élégant et chaleureux où règne une ambiance authentique, les valeurs culinaires artisanales et l’esprit convivial de partage sont à l’honneur. La décoration et les matériaux choisis offrent un savant mélange entre chic et modernité. La salle principale baigne dans une luminosité grâce à une véranda entourée de baies vitrées donnant directement sur le jardin exotique en bambou. Le Grill M, c’est ainsi un cadre raffiné dans une atmosphère conviviale et familiale, à travers une équipe avenante vous faisant découvrir avec enthousiasme leur vision de la gastronomie. Rencontre avec les chefs Le restaurant vibre autour des deux maestros en cuisine. D’un côté, Lionel Loterie qui assure la direction de la cuisine et partage son amour pour la gastronomie française. D’origine parisienne et fort de ses nombreuses années d’expérience dans la capitale puis à l'embouchure marseillaise, ce chef propose des suggestions où souci du détail s’allie à l’art de la présentation des assiettes. Sa signature se reconnaît à travers la cuisson des poissons travaillés avec soin et au juste dosage des épices du monde qu’il peut associer à ses compositions. Il s’est également bâti une solide réputation dans l’univers de la pâtisserie. Quant à Michel Pietrus, il est l’autre atout du Grill M. Ce chef cuisinier, originaire des Antilles offre une cuisine riche et généreuse aux saveurs provençales, pleines de soleil. Il propose un incroyable voyage culinaire issu de son pays natal et de son expertise où viandes, marinades, et saveurs exotiques font partie de ses spécialités et de son identité. Une cuisine spécifique Le Grill de la Mourachonne doit sa notoriété à son bistrot grill qui met à l’honneur les viandes et les poissons grillés. Pour ce faire, les chefs travaillent en étroite collaboration avec les éleveurs, producteurs locaux et régionaux. Soucieux d’offrir des produits de qualité et dignes de ce nom, l’établissement s’approvisionne par exemple chez des éleveurs bien connus comme l'éleveur boucher Polmard ou encore le château Pesquié pour ses accords mets-vins. Une rigueur qui se reflète au travers de la carte et des suggestions quotidiennes recherchées et créatives. Pour réaliser cette cuisine faite maison, l’établissement s’attache à la recherche des beaux produits issus du terroir. Avec les producteurs locaux, il cultive des valeurs qu’ils défendent en commun : manger frais au fil des saisons avec une traçabilité optimale. ...
Créé en 1880 et dédié à la production de truffes, le domaine de la Grande Séouve où est situé la Maison Saint Aix a été reconverti en vignoble dans les années 1900. Aujourd’hui, il est la propriété d’Eric Kurver, viticulteur d’origine hollandaise qui s’est installé en Provence avec sa famille dans les années 2000. Le must de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence Niché près de la commune de Jouques, au nord d’Aix-en-Provence, le domaine repose sur un terroir de caractère. La Provence est réputée pour son originalité bien présente. Essentiellement argilo-calcaire, « la terre force les pieds de vignes à puiser l’eau profondément, ce qui confère tout son caractère à la cuvée », explique Eric Kurver. Le domaine exposé plein sud culmine à une altitude de 400 mètres au gré d’un courant d’air chaud et sec idéal pour les cépages comme le grenache, la syrah et le cinsault. Vignoble en agriculture biologique, le domaine de la Grande Séouve s’oriente vers une culture en harmonie parfaite avec l’environnement. Ses vignes vieilles de quarante à cinquante ans procurent une maturité exceptionnelle aux raisins. Un vin d’exception… Avec son élégance et sa fraîcheur, AIX Rosé, certifié bio, s’impose comme une référence auprès des œnophiles avertis. Le « Great Rosé @ Great Places » trouve sa place dans toutes les caves des plus grands établissements parisiens, aixois et lyonnais, et s’exporte dans une trentaine de pays dont les États-Unis, l’Australie et la Suisse. La distribution est « très sélective pour préserver cette authenticité qui nous est chère », souligne Eric Kurver. La robe rose saumon hypnotique d’AIX Rosé révèle la qualité et la fraîcheur des meilleurs rosés de Provence. Sa générosité, sa structure ainsi que sa longueur en bouche font d’AIX le rosé idéal à partager le temps d’une soirée, d’un repas, d’un moment… Agréable à l’apéritif, il accompagnera également vos salades, poissons et viandes grillés. ...
Entre une savoureuse cuisine du terroir et ses quelques spécialités montagnardes, L’Auberge de la Montagne promet une belle découverte au cœur d’Arpajon. Ce lieu de lumière au décor élégant baigne par ailleurs dans une ambiance décontractée où le bien-être et la convivialité sont toujours au rendez-vous. Saveurs traditionnelles dans vos assiettes Que ce soit dans une salle chaleureuse, sur une terrasse ombragée l’été ou dans le jardin d’hiver abrité par une verrière, le temps semble être suspendu… Un moment privilégié pour savourer sa salade d’avocat aux gambas grillées et décortiquées, servie avec une émulsion de tomate et un filet d’huile d’olive, ainsi que son délicieux rognon de veau poêlé, dégraissé, saisi et déglacé au cognac, puis mouillé avec un jus de veau et terminé avec une graine de moutarde légèrement crémée. Redécouvrez le goût du « fait maison » avec ses incomparables profiteroles qui soit dit en passant, constituent de véritables délices à tomber par terre ! Dans un décor montagne moderne aux tons gris avec des tables aux couleurs contrastées, des chaises aux couleurs chaudes et aux pieds noirs, L’Auberge de la Montagne constitue une véritable invitation au plaisir et au bien-être. De bons vins pour un repas parfait Le restaurant se démarque aussi par sa très belle carte de vins, qui met toutes les régions à l’honneur, notamment des spécialités de montagne, qui, selon Armand Norbert, chef propriétaire, « fonctionnent très bien » : principalement quelques Bourgueils et Beaujolais ainsi que d'incontournables Bordeaux. D’octobre à mars, tous les vendredis, c’est parti pour des soirées raclette à volonté, et des planchas à volonté tous les vendredis soirs, uniquement d'avril à juillet. La maison accueille tous types d’événements, allant des repas d’anniversaire aux banquets de mariage, en repas assis ou en buffet. ...
Installée au cœur de l’appellation « Cognac », la Maison Grosperrin est la dernière maison de cognac située à Saintes, dans le département de la Charente-Maritime. Cette société indépendante ne cesse de parfaire sa prestigieuse collection et se nourrit d’une culture d’excellence et d’authenticité depuis 1992. Respecter un savoir-faire « Nous pratiquons le négoce comme il se pratiquait autrefois au XIXe siècle », nous souffle le propriétaire, Guilhem Grosperrin. Son métier est de rechercher auprès des viticulteurs (mais assez peu, puisque ces derniers à Cognac ne possèdent qu’une très petite partie des stocks de la région) des héritages, des distilleries, ou auprès d’indivisions de propriétaires retraités ou décédés, des cognacs anciens, souvent millésimés, et toujours rares. Ces Cognacs exceptionnels peuvent provenir de distilleries et d’exploitation aujourd’hui disparus. Tous ont leur histoire à raconter, étroitement liée à l’histoire des hommes qui les ont produits et conservés. Ce travail de sélection n’est qu’une partie du métier, puisque c’est dans les chais de la Maison GROSPERRIN que ces eaux-de-vie rares vont poursuivre leur lente maturation pendant 10, 15 ou 20 ans et progressivement révéler leur identité propre et leur caractère unique. C’est cette personnalité affirmée, façonnée par l’histoire de chaque cognac, que la maison s’attache à développer. Pour ce faire, la maison possède un vrai savoir-faire en matière de vieillissement, et préserve aussi ses cognacs des adjuvants tels que sucre, caramel et boisé. Les cognacs de la maison sont commercialisés auprès des meilleurs établissements de France et des importateurs spécialisés dans le haut de gamme à l’étranger. Le cognac, symbole du luxe et incarnant à la perfection l'art de vivre à la française est d'ailleurs dignement mis en lumière par le fameux photographe d'art Stephane Charbeau à travers ses photographies insolites. La Maison GROSPERRIN ouvre ses portes Visiter Grosperrin, c’est plonger dans un monde à part, presque un sanctuaire. « Les découvertes se passent dans une ambiance vraiment intimiste en petit groupe, c’est une immersion dans le monde confidentiel de Cognac. » Guilhem Grosperrin lui-même consacre un temps précieux pour expliquer la philosophie de la maison et faire découvrir la collection. Les visites commentées commencent par les chais historiques récemment rénovés pour comprendre le parcours des cognacs depuis leur arrivée en barriques jusqu’à l’embouteillage. Une dégustation sur fûts et au laboratoire s’enchaîne ensuite. La visite se clôture par un passage en boutique, où les visiteurs peuvent acheter directement les produits de cette collection exclusive. ...
Depuis cinq générations, la famille Augé a fait du vin une passion et un héritage. C’est à Coulommes-la-Montagne, région ouest de la Montagne de Reims, qu’en 1919, la famille a commencé à cultiver les premières parcelles. Progressivement, les surfaces exploitées ont augmenté, pour atteindre aujourd’hui 8,35 hectares de vignobles. Sur ces terres classées Premier Cru, Damien Augé œuvre dans le respect des techniques héritées de ses aïeuls. Un trio de cépages bien placé Par sa position géographique, le vignoble bénéficie d'un climat où s'équilibrent les influences continentales et océaniques, permettant aux raisins d’affirmer tout leur potentiel et leur caractère. Le vignoble est planté des trois cépages champenois pour un rendement annuel de 60 000 bouteilles. Le pinot meunier accapare 70 % de la surface cultivée. Ce cépage est réputé pour donner naissance à des vins fruités. 20 % du vignoble est en chardonnay, sis en milieu de coteau, là où le soleil brille toute la journée. Le reste est planté en pinot noir. En ce qui concerne l'âge des vignes, 30 % d'entre elles ont entre 1 et 15 ans, 30 % entre 15 et 30 ans, et le reste supérieur à 30 ans. Certaines parcelles ont plus de 50 ans et servent le plus souvent à l'élaboration de la cuvée Brut Vieilles Vignes, produite avec 100 % de pinot meunier. Révélant une superbe expression aromatique et une certaine opulence, ce champagne ravira les œnophiles au moment de l’apéritif. Vers une agriculture durable Toutes les pratiques intensives usant de techniques mécaniques ou chimiques tendent à réduire la biodiversité. Damien Augé, soucieux de préserver cet héritage, se lance dans la voie de la viticulture durable, en s’efforçant d’entretenir la biodiversité du terroir tout en gardant la stabilité écologique des coteaux viticoles qui font le charme de la région rémoise. ...
Sur la Côte des Bars, Champagne Jacques Chaput bénéficie d’un terroir exceptionnel établi sur un sol composé de marnes calcaires du kimméridgien, sur lesquels les trois cépages champenois se développent dans d’excellentes conditions sur un vignoble de 13,50 hectares. Grâce à une rigoureuse sélection des raisins et des assemblages issus d’un travail précis, la maison parvient à produire une gamme de champagnes exhalant des arômes typiques qui ravissent les palais les plus exigeants. De la vigne aux vins L’élaboration de champagne est un art qui se transmet de génération en génération au sein de la famille Chaput. Dans les veines de ces vignerons passionnés, ce n’est plus du sang qui coule, mais du vin. Au fil des années, la famille a acquis un savoir-faire traditionnel qui lui permet de produire de grandes cuvées. Ces champagnes associant finesse et élégance ont acquis une réputation qui dépasse les frontières de la France. Sur 100 000 cols produits chaque année, une partie de la production est effectivement exportée vers l’international, notamment aux États-Unis, « qui constituent un nouveau marché », raconte Jacky Chaput, l’héritier de ce riche patrimoine. Cette notoriété, la maison l’a acquise grâce à un travail strict qui débute dans les vignes. « Nous pratiquons une viticulture raisonnée avec une approche la plus naturelle possible. Quoiqu’il en soit, tous les vignerons seront d’ici peu amenés à recourir à des pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la biodiversité », tient-il à préciser. L’authenticité d’un terroir La création de ce domaine familial dans les années 50 par le père de Jacky a été un challenge. « Nous sommes sur un terroir qui n’était pas très connu dans les années 60, 70 ou 80. Cette partie de la Champagne a gagné rapidement ses lettres de noblesse, et dorénavant, de nombreux domaines de la Côte des Bars remportent d’innombrables médailles et récompenses et sont mis à l’honneur », se félicite Jacky. Aujourd’hui, le vigneron tient à offrir le meilleur de cette terre qui se reflète dans ses cuvées. Parmi les plus emblématiques de la maison, il cite la cuvée blanc de noirs, composée à 100 % de pinot noir et qui est le vin qui « a remporté le plus de récompenses ». Le vigneron, pour sa part, est plus attaché à sa Cuvée L’Authentic, « qui fait partie de celles que j’ai créées et lancées lorsque je suis revenu sur le domaine familial », indique-t-il. ...
Petite commune tranquille de Haute-Garonne située à 10 minutes de Blagnac et à 20 minutes de Toulouse, Mondonville abrite une table gourmande qui fait la part belle aux produits du terroir. Aux Ecuries de la tour, le sud-ouest est à l’honneur à la carte comme dans la cave à vins. Vous y dégusterez des plats traditionnels gascons revisités selon l’imagination et l’inspiration de l’équipe en cuisine placée sous la houlette de Jérôme De Stéfani. Ce chef passionné saura éblouir vos papilles avec des associations de saveurs subtiles qui rappellent des souvenirs d’antan. Une cuisine goûteuse axée sur le régional La cuisine régionale des Ecuries de la Tour saura largement satisfaire les fins palais. Aux fourneaux, le chef Jérôme De Stéfani veut retransmettre dans ses créations culinaires, ses valeurs du sud-ouest et ses origines toulousaines. Il propose ainsi des plats gourmands entièrement qui prônent sa créativité. Etant également Maître Restaurant, le chef réalise du fait-maison avec des produits bruts. Tous les jours, le restaurant propose des formules « Midi » avec en option : un plat du jour unique à 12 euros, une entrée et un plat ou un plat et un dessert à 16 euros et enfin une entrée, un plat et un dessert à 20 euros. Toute la semaine de mardi à dimanche, en journée comme en soirée, la maison propose également deux menus que vous créerez vous-même à partir des suggestions à la carte. Vous avez le choix entre trois ou quatre déclinaisons, c’est selon les envies. Commencez cette escapade gourmande avec une Terrine de foie gras aux mendiants, puis enchaînez avec une Assiette de pêcheur ou un Filet d’agneau en croûte de moutarde, jus de romarin. Achevez cet agréable moment culinaire avec une note douceur en optant pour un Moelleux chocolat noir, caramel beurre salé, glace spéculos. Vos papilles ne s’en remettront pas. Vive le terroir Pour l’acquisition de ses produits, le restaurant s’oriente vers les agriculteurs et éleveurs locaux. Canard, foie-gras, cochon noir du Bigorre… tous les produits du terroir sont rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs de la région. Le sud-ouest s’invite aussi dans la cave à vins. Côtes de Gascogne, St Sardos, Pacherenc Sec… il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets. Bien sûr, d’autres régions sont représentées, de quoi vous offrir le maximum de choix. Une belle décoration atypique Le fameux esprit typiquement toulousain se ressent jusque dans la salle. La bâtisse qui date du XVIIème siècle offre une belle association entre chênes et briques rouges. Il a fallu huit années aux propriétaires avant de venir à bout des travaux et ouvrir enfin l’établissement qui a été inauguré en 2007. A l’intérieur, chaque détail décoratif compte : du verre soufflé servant d’appliques pour créer l’éclairage, à la balustrade réalisée par les Compagnons du devoir jusqu’à la collection de téléphones datant de 1890 et disposés un peu partout dans la salle. En quête d’intimité ? Installez-vous dans les petits box dans lesquels se trouvent seulement deux tables pour deux personnes. La grande salle quant à elle procure une ambiance plus conviviale. ...
Lancé en 1996, le restaurant tenu par Benoît Cantalloube se situe face à la basilique de Saint-Sernin, un des plus beaux monuments de Toulouse. Le « 7 » : une métamorphose accomplie Pour apporter un renouveau à l’établissement, Benoît Cantalloube engage Guillaume Momboisse, 26 ans, un ancien apprenti de la maison qui revient après une dizaine d’années. Ce dernier a suivi un riche parcours au restaurant Ô Saveurs, au restaurant Le Chalet de la forêt à Bruxelles mais aussi à Hong Kong au Twenty North. Son défi est de donner un coup de jeune au restaurant. Animé par son enthousiasme et sa créativité, Guillaume Momboisse y propose une cuisine délicate et raffinée. Gastronomie rafraichie et authentique Les plats se concoctent avec des ingrédients frais, achetés quotidiennement sur le carré du Marché de la Gare de Toulouse et vendus par les maraichers de la Haute-Garonne. Ses trouvailles du marché lui permettent de réaliser une cuisine respectueuse du terroir, où les produits méditerranéens forment un heureux mariage. Guillaume Momboisse travaille surtout les viandes de la région comme l’agneau du Quercy, le veau fermier de l’Aveyron ainsi que la sole du bassin d’Arcachon. Inspiré et créatif dans l’élaboration des plats Les convives sont invités à choisir entre trois menus : le Lunch, la Découverte et la Dégustation. À souligner : le menu Lunch, à seulement 24 €, est servi exclusivement le midi, avec une entrée, un plat de poisson ou de viande, et un dessert. Il est renouvelé toutes les semaines. Une carte des vins qui voyage Les vins de Saint-Chinian, de Gaillac, de Fronton et de Madiran sont à l’honneur. « Effectivement, puisque nous sommes installés à Toulouse, nous avons une très jolie carte de vins de région. Néanmoins, par curiosité et par gout, nous nous échappons un petit peu de notre région », indique Benoît Cantalloube. Le plaisir du chef est de faire découvrir de nouveaux horizons. « J’aime bien chiner les vieux vins. Parfois, on tombe sur de véritables petites perles », confie-t-il. Lors des foires et expositions, le chef et son équipe testent quelques vins du monde, notamment des crus de la Nouvelle-Zélande, d’Uruguay et de Chili, qui s’affichent dans une rubrique spéciale de la carte. ...
Le domaine se trouve à Saint-Dizant-du-Gua, sur la rive droite de la Gironde, à proximité de l’océan, et jouit d’un terroir argilo-calcaire, bercé par un climat doux et tempéré. Construit en 1470 par la famille De Vinsons, le château est repris par la famille de Beaulon en 1530 avant de redevenir une propriété familiale en 1712. Entre-temps, l’héritier Monseigneur de Nesmond a confié le domaine aux évêques de Bordeaux, qui ont élargi l’exploitation (consacrée uniquement au cognac à l’époque) et ont apporté les cépages de Sauternes, utilisés dans l’élaboration de pineau. Loyal à la tradition du XVIIe siècle Aujourd’hui, le château de Beaulon possède 94 hectares de vignobles, où sont cultivés neuf cépages anciens. « Nos cognacs ne ressemblent pas aux autres, pratiquement la totalité est issue du cépage que l’on appelle l’ugni blanc », renchérit Christian Thomas. Le cognac VSOP 7 ans d’âge, monocépage mythique Folle Blanche, avec une senteur florale et une personnalité bien fruitée, tient une place d’honneur dans sa gamme de produits. Le cognac XO Premier, Colombard, Montils, Folle Blanche, s’est vu attribuer une récompense d’or aux concours VinaliesInternationales Paris 2017, grâce à ses arômes très riches et très frais. Le château de Beaulon produit aussi des pineaux élaborés à partir de cépages identiques à ceux utilisés en Bordeaux puis vieillis en fûts de chêne. Petite précision de la part de notre interlocuteur : « Nous sommes bouilleurs de cru. Ici, on ne distille que les récoltes du château. » Inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques, le domaine constitue une attraction touristique phare de la région « hautement connue jusqu’à Bordeaux et bien au-delà », nous souffle-t-on. Environ une dizaine de milliers de visiteurs viennent chaque année pour apprécier la très belle demeure, le pigeonnier, le parc à l’anglaise… ...
En Saône-et-Loire, environ 3 000 acteurs touristiques incluant sites touristiques, hébergeurs, activités et équipements de loisirs bénéficient d’une promotion touristique relayée grâce aux supports promotionnels de l’agence. Consciente à la fois des richesses du patrimoine naturel et du paysage viticole de la région, cette dernière a décidé de concentrer ses efforts sur le développement de deux filières porteuses que sont l’oenotourisme et le vélotourisme. Un vignoble riche en diversité Le vignoble de Saône-et-Loire est le plus méridional de Bourgogne. Il s’étend sur une large bande de 50 km de longueur et 50 km de largeur. « Nous avons la chance d’être le plus grand vignoble de Bourgogne-Franche-Comté en termes de superficie », précise Arnaud Durix, président de Destination Saône & Loire. Mais le véritable atout de ce territoire réside essentiellement dans sa diversité. En effet, il se compose de 5 vignobles : les Maranges Côte de Beaune (inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2015), le Couchois, la Côte Chalonnaise, le Mâconnais et le Beaujolais. En tout, il abrite une trentaine d’AOC, comptant des appellations prestigieuses comme Maranges, Pouilly-Fuissé, Givry, Moulin-à-Vent et Côtes du Couchois. Côté production, 45 % des vins d’appellation de Bourgogne sont issus de Saône-et-Loire. Des vins de qualité exceptionnelle à l’image des Mâcon blancs et les vins rouges de la Côte Chalonnaise. Dans leur jeunesse, les premiers exhalent des parfums de fleurs du printemps tels que l’aubépine ou l’accacia. En prenant de l’âge, ils dévoilent des arômes de sous-bois, de noisette, de miel et de pain grillé. Quant aux rouges de la Côte Chalonnaise, ceux-ci sont souvent profonds, au fruité croquant, évoluant vers des notes d’épices douces. « La force de nos vins vient de leurs richesses aromatiques », fait valoir Arnaud Durix. Un haut lieu de l’œnotourisme La Saône-et-Loire possède de nombreux atouts en matière d’œnotourisme. La région abrite notamment de sites intéressants tels que le Hameau Dubœuf et le Château de Chamirey, véritables fleurons de l’œnotourisme local. « Ce sont des sites importants en termes de fréquentation touristique », nous indique-t-on. Premier œnoparc de la vigne et du vin créé en Europe, le Hameau Dubœuf, situé à Romanèche-Thorins, propose aux visiteurs un voyage inédit dans l’univers de la vigne et du vin. D’une manière ludique, les secrets des vignobles, leurs origines ainsi que les différentes techniques sont dévoilés au public. Une collection impressionnante d’objets rares, des spectacles d’animation et des attractions insolites (cinéma dynamique, cinéma en 3D…) feront le bonheur des petits et des grands. Quant aux œnophiles, ceux-ci ne rateront sous aucun prétexte les séances de dégustations. Deuxième pépite du département, le Château de Chamirey a la particularité d’offrir des activités variées. Il dispose d’un domaine viticole (visites suivies de dégustations), d’espaces de séminaires pour les entreprises et d’une chambre d’hôtes, le tout en plein cœur de la Côte Chalonnaise. Sans oublier également les balades organisées dans les vignes. Ces deux sites, labellisés Vignobles & Découvertes, permettent d’apprécier les potentialités du département d’un point de vue œnotouristique. Des conditions d’accueil optimales En choisissant la Saône-et-Loire pour destination de voyages, les touristes sont assurés d’être accueillis dans des conditions optimales. Grâce à un important vivier de structures labellisées Vignobles & Découvertes, les visiteurs profitent d’une offre touristique complète qui leur permet de faciliter l’organisation de leur séjour et de les orienter sur des prestations de qualité. « Notre ambition est de valoriser les professionnels labellisés Vignobles & Découvertes par le biais d’actions d’animation et de promotion menées auprès des touristes », souligne Arnaud Dur...
La distillerie a été fondée par Jean-Paul Metté dans les années 60. Autodidacte, il a appris les ficelles du métier au contact de l’un de ses voisins distillateurs. En 1985, il prend sous son aile le jeune Philippe Traber, son filleul, pour le former à son art. En 1997, à la suite d'ennuis de santé, Jean-Paul cède son affaire aux mains désormais expertes de Philippe et de son épouse Nathalie. Actuellement, la relève est assurée par Timothée et Mathieu, respectivement fils et neveu de Philippe. Le choix de la qualité Bien plus qu’une ligne de conduite, la qualité est une devise pour la distillerie Metté. Et c’est pourquoi la maison a toujours voulu préserver sa taille humaine tout en conservant les anciens procédés artisanaux alsaciens. Parmi les 87 types d’eaux-de-vie et 28 sortes de liqueurs fabriquées par la maison, la « Poire Williams » est celle parmi les incontournables. « Dans la bouche, elle est vraiment exceptionnelle. On a l’impression de croquer dans le fruit », s’enflamme Nathalie à son évocation. Toujours à la recherche de nouveaux produits, la distillerie Metté a lancé FASS, une collection de trois eaux-de-vie de caractère, avec des promesses d'expérience en bouche allant de soyeuse à franche. ...