Un mode de production spécifique Une viande gouteuse et tendre, voilà ce qui caractérise la viande de porc du Limousin Label Rouge. Les porcs sont nourris de céréales (au minimum 60% de la ration avec au maximum 20% de maïs)jusqu’à un âge minimum de 182 jours (contre 168 jours pour le porc standard) sur un territoire intégrant 3 départements du Limousin et certains cantons limitrophes. Il doit la qualité de sa viande à cette durée de croissance particulière. Stricte méthode de traçabilité Le porc du Limousin Label Rouge porte dès le sevrage, son numéro d’élevage et sa semaine de naissance. Après l’abattage, chaque pièce est étiquetée d’une vignette de labellisation permettant de distinguer son origine selon les principes de la traçabilité : côtes de porc, épaule, jambon… » relate Jean-Marc ESCURE, directeur de Limousin Promotion. Les caractéristiques d’une viande d’exception D’une belle couleur rose homogène, la viande de porc du Limousin label Rouge présente un gras de bardière blanc et ferme ainsi qu’une viande juteuse, savoureuse et particulièrement tendre. Le Label Rouge est le gage d’une viande au gout authentique et aux saveurs de qualité supérieure. Plus de 30.000 porcs du Limousin sont labellisés et commercialisés dans toute la France chaque année. 190 points de vente incluant grandes surfaces et boucheries artisanales distribuent aujourd’hui du porc du Limousin Label Rouge, une production certifiée et contrôlée « de l’élevage jusqu’à l’abattoir». ...
Vingt ans après sa toute première acquisition, l’investisseur chinois Peter Kwok est actuellement à la tête de sept vignobles bordelais : le Château Bellefont-Belcier en Grand Cru classé, le Château Haut-Brisson et le Château Tour Saint Christophe en Saint-Émilion Grand Cru, le Château La Patache et Enclos Tourmaline en Pomerol, Enclos de Viaud en Lalande-de-Pomerol, et le château Le Rey en Castillon Côtes de bordeaux. Ces propriétés s’épanouissent en parfait équilibre avec leur environnement et représentent dignement les typicités de leurs terroirs. Trois d’entre elles se distinguent et constituent aujourd’hui un pôle majeur d’attractivité touristique en Saint-Émilion. Château Tour Saint Christophe : un univers fascinant à préserver Le Château Tour Saint Christophe, en appellation Saint-Émilion Grand Cru, a rejoint le groupe Vignobles K en 2012 et devient par la suite son quartier général. Traversée par une histoire ancestrale, cette propriété se fait remarquer par son impressionnante mosaïque de terrasses viticoles. Parce qu’elles bénéficient d’une exposition optimale et jouissent du drainage naturel du terroir argilo-calcaire, elles laissent exprimer librement la complexité des vins. Pour conserver cet héritage, des travaux de restauration d’environ 1,5 km de murs en pierres sèches ont été engagés, avec l’objectif de faire renaître la configuration originelle de ce micro-paysage. Les vignes, dont l’âge moyen est estimé à trente ans, se composent essentiellement de merlot et de cabernet franc. Le Château Tour Saint Christophe Saint-Émilion Grand Cru est le fruit de cette combinaison en symbiose parfaite, élaborée selon une « vinification intégrale ». D’ailleurs, la propriété ouvre ses portes à tous ceux qui veulent découvrir son secret de vinification. Les visiteurs peuvent explorer les champs de vignes, le chai principal entièrement rénové ainsi que son caveau historique. Pour s’immerger encore plus au cœur du travail de la vigne, ils sont conviés à un atelier d’assemblage suivi d’une initiation à la dégustation des cépages et des vins. Le Château Tour Saint Christophe étoffe son offre œnotouristique par un service de restauration autour d’un menu gastronomique et traditionnel pour mettre à l’honneur les vins de la maison. Ceux qui préfèrent plutôt se promener dans le vignoble peuvent opter pour la formule pique-nique/déjeuner. En outre, la propriété se prête à la réception d’événements type séminaire ou réunion professionnelle, dans un cadre idyllique avec vue imprenable sur le parc paysager. Enfin, un appartement privé avec deux suites spacieuses est à disposition des visiteurs qui souhaitent prolonger l’expérience de plusieurs jours. Enclos Tourmaline : antre des grands millésimes Cette propriété est la plus sincère expression de l’appellation Pomerol. Elle est à l’image de la « pierre aux mille couleurs » et conjugue à merveille la diversité et la complémentarité de ses trois parcelles d’exception. Déployées sur un terroir d’argile bleue et de graves crasses de fer, ses vignes profitent d’un soin particulier, grappe par grappe. La cuvée emblématique de la maison, Enclos Tourmaline Pomerol, en monocépage merlot, s’élabore exclusivement lors des grands millésimes. À maturité optimale, les raisins vendangés à la main passent par une vinification intégrale incluant une macération pré-fermentaire à froid et une fermentation alcoolique. L’élevage se poursuit dans les mêmes barriques, pour une durée comprise entre 18 et 36 mois. La série de l’année 2015 était au nombre restreint de 3 000 bouteilles, une production rare et limitée. Vin à la robe intense, nez de confiture de fraise et de fruits noirs, l’Enclos Tourmaline Pomerol 2015 a une personnalité puissante et captivante. À la dégustation, la cuvée dévoile une attaque fraîche et complexe sur une finale plus généreuse et onctueuse. Elle allie harmonie et élégance, intensité et s...
Le Centre-Val de Loire, une grande région gastronomique Des pommes aux poires en passant par les cerises, les asperges et la mâche, la région produit de nombreux fruits et légumes primeurs de qualité pour agrémenter les repas. Le Val de Loire se veut aussi être une importante région productrice de fromages, de miel, de safran, de poulet connu sous le nom de géline de Touraine et de poissons tels que le sandre, le brochet, la carpe et la brème. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, des coquilles Saint-Jacques à la nantaise, du bar en croûte de sel, du matelote des tonneliers et de la tarte tatin. On y trouve aussi les crémets d'Angers, qui consistent en une crème fraiche battue avec du fromage et du blanc d’œuf, ainsi que le matelote d'anguille, une étuvée de poisson au vin rouge d'Anjou. Cette région est aussi connue pour son vignoble, qu’on appelle le « vignoble du Val de Loire », qui produit de délicieux vins d’AOC Muscadet et d’AOC Anjou. Il est encépagé, entre autres, de chenin, de cabernet franc, de cabernet sauvignon, de gamay, de sauvignon et de pinot noir. Tradition française et créative L’Arôme se trouve en pleine ville, à proximité de l’église Saint-Julien, dans une zone qui contient de nombreux restaurants. L’intérieur du bâtiment est sobrement décoré de tableaux de bouteilles de vin. Avant la création de L’Arôme, Mickaël Teluk a été sous-chef cuisinier à l'Atelier Étoile de Joël Robuchon et travaillé au Choiseul avant devenir chef cuisinier au Bistrot de la Tranchée à 24 ans. Sûr de ses compétences, il ouvre L’Arôme en 2010 afin de travailler à son compte et pour mieux exprimer ses talents culinaires. Mickaël Teluk propose une cuisine traditionnelle française créative. « En cuisine, le gout est essentiel. Nous souhaitons faire découvrir à nos clients une autre version de la cuisine, celle d’une cuisine traditionnelle française au gout revisité », nous explique-t-il. Une cuisine légère et authentique Le ticket moyen du restaurant est de 15 € le midi et de 30 € le soir. Mickaël Teluk met un accent fort sur la qualité, c’est pourquoi sa carte change au gré des produits de saison et de son inspiration. En guise d’entrées, le chef propose le marbré de cèpes : une terrine accompagnée de pommes de terre, de cèpes et de lardons ; il est servi avec une sauce bordelaise et s’accorde parfaitement avec la Folie du domaine Château Yvonne. Autre découverte : le Cromesquis de chorizo avec tartare de green zebra, préparé à base de chorizo et de lard ; il est accompagné par de la tomate fraiche et de la feta douce ; il s’accorde parfaitement avec des vins d’AOC Anjou comme le Château du Fresne Anjou. Après cette mise en bouche, enchainons avec les plats principaux. Le tronçon de joue de bœuf fondante est un assortiment de joue de bœuf, de choux croquants et de gnocchis. Pour la présentation, la joue de bœuf est placée au milieu d’une assiette plate autour de laquelle sont disposés les gnocchis poêlés. On y ajoute ensuite le jus avec des pétales de tomates séchées. La brandade safranée aux endives rouges braisées et moules marinières est une recette de pommes de terre cuites avec du safran, des endives rouges braisées au vin rouge et des moules marinières réalisées selon la tradition. Elle s’accompagne d’une sauce coraline réalisée à partir de têtes de langoustine. Les saveurs sucrées parachèvent d'assurer la réputation de L’Arôme. La barre chocolatée est un biscuit de pâte sablée à la polenta sur lequel on coule une ganache avec de la framboise fraiche. Le glaçage est ensuite réalisé avec du chocolat. Elle est servie avec un coulis de fruits rouges et un sorbet de framboise. La poire pochée aux épices, ganache au gingembre et crème glacée à la vanille bourbon est un assortiment de poire pochée, d’épices, de gingembre, d’une ganache au chocolat et de crème. ...
Restaurant au décor lumineux, moderne et agréable, Le Fanal est une adresse d’exception située en plein port de Banyuls-sur-Mer. Adresse reprise par Pascal Borell et sa compagne il y a plus de 3 ans. Le couple compose des plats inventifs, colorés et saisonniers, qui mettent en avant la cuisine du terroir catalan. Une cuisine qui leur a valu 1 étoile au célèbre Guide Michelin, et le certificat d’excellence Tripadvisor. Une cuisine coup de cœur Le restaurant Le Fanal tient sa renommée de sa cuisine créative, contemporaine et aux influences méditerranéennes, variant selon les saisons et portée sur la découverte de l’essentiel : « le beau produit ». Aux fourneaux, Pascal élabore des entrées et plats savoureux, tandis que sa compagne orchestre de magnifiques desserts et s’occupe du service en salle. Tous deux ont eu à faire leurs preuves auprès de grands restaurants étoilés tels que L’Arpège d’Alain Passard, à Paris, ou encore La Famille By Bardet de Jean Bardet, à Tours. Ici, la carte change régulièrement, et la cuisine est fonction des produits du jour. Dès l’entrée, le délicieux tartare de poisson issu de la pêche locale est accompagné d’une émulsion à base de lait de coco, de concombre et de jus de citron. C’est un plat préparé à partir de poissons découpés en petits morceaux et mélangés à un assaisonnement d’huile d’olive, de jus de citron, de ciboulette et d’un peu d’huître pour apporter une petite touche iodée. La petite crème émulsionnée est versée au-dessus du tartare pour donner plus de fraicheur au plat, sans oublier le caviar perle noir du Périgord en fin de présentation. Autre entrée signature, le cromesquis d’œuf à la truffe. C’est un beignet cuit à basse température et renfermant un œuf au jaune coulant. Croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, il est servi avec une purée de champignons sur laquelle il est déposé. Les champignons utilisés pour cette préparation sont issus de la cueillette du jour. En guise de plat principal, le merlu de ligne. Ce plat cuit à basse température est un tronçon de merlu posé au centre d’une assiette, avec de la quenelle de risotto de fregola sarde. Au-dessus, une sauce accompagnée de fumé et de gingembre. Les desserts sont également élaborés en fonction des saisons. Des desserts comme la nage de pêche à la verveine, qui est une soupe froide à la pêche accompagnée de sirop à la verveine. Celui-ci est servi sur une coupe transparente légèrement givrée, et dans laquelle sont mis le sirop et la pêche découpée en petites billes. Le dessert est complété avec un sorbet au yuzu, et du romarin. Le restaurant sert également trois sortes de pain fait maison pour chaque service : un pain à l’épeautre bio, un aux céréales et un autre au maïs. Et les jolis dressages sont un appel sûr à l’appétit ! Harmonie entre cuisine et vins Les vins de la cave du restaurant Le Fanal se marient merveilleusement bien avec les plats élaborés en cuisine. À la carte, Signature millésime 2014 du Domaine du Mas Blanc. Ce vin blanc sec du terroir de la Côte Vermeille, constitué de quatre cépages, confère une fraicheur aux fines notes citronnées et iodées. Il est parfait pour accompagner le tartare de poisson. Également le Banyuls blanc, indiqué pour la nage de pêche à la verveine. Ce vin doux et naturel est consommé jeune, il se marie efficacement avec les desserts. Légèrement sucré avec des notes fraiches de fruits blancs et des nuances de poire, ce vin blanc peut être conservé longtemps pour mieux apprécier son côté aromatique. ...
Lancée par d’anciens camarades de fac, l’enseigne Mets Vins apporte un vent de fraîcheur dans le concept de dégustation. Pas besoin de se déplacer pour goûter à un cru ou à une singularité gustative régionale. Une box, livrée chez soi chaque mois, et place à une profusion de découvertes gastronomiques et œnologiques des plus originales. Concentré de plaisirs du palais en box Un site Internet. Un onglet pour s’abonner. Un coffret d’épiceries fines assorties d’une bouteille de vin livré au domicile du client chaque mois. L’approche adoptée par Romain Palayret et consorts pour faire (re)-découvrir les finesses de notre terroir est d’une grande simplicité et d’une imparable efficacité. Le focus est mis sur une région différente à chaque livraison qui compte entre 3 et 5 colis d’épiceries fines : confits, épices, confiseries, condiments ou autres. Les accords mets & vins sont disponibles en deux versions : « Terroir français » et « l’Excellence ». « Entre 2 vins », coffret destiné aux amateurs de vins inclut plutôt, comme l’appellation le suggère, deux bouteilles différentes. La composition de ces fameux box découle d’un long travail d’exploration, de dégustation et de sélection des articles à inclure, parmi les offres des producteurs. Un guide Mets Vins en bonus Les paquets mensuels expédiés par Mets Vins incluent également un guide informatif. L’occasion d’en découvrir plus sur la région d’origine des produits, ses appellations, les caractéristiques organoleptiques du vin. Ce feuillet pédagogique inclut encore tout ce qu’il faut savoir sur le domaine dont est issu le cru ainsi que la description des épiceries fines et de leurs producteurs. ...
S’asseoir au Chamarré Montmartre, c’est offrir à ses papilles un intermède savoureux où l’exception est la règle. Une cuisine du terroir classique ? Très peu pour le chef tombé dans la marmite du métissage en étant petit. Tel l’aquarelliste cherchant les bonnes mesures de tons à accorder, ce virtuose du goût conjugue le sucré et l’acidulé, le salé et l’épicé dans une vibrante partition à laquelle les papilles disent un grand oui. Chamarré veut dire très coloré… Et c’est fidèle à cet esprit que le chef déploie son énergie à la tête des fourneaux dans une vibrante chorégraphie où ses racines susurrent aux produits du terroir des notes d’ailleurs. Un petit coup d’Asie, quelques influences d’Amérique du Sud, deux-trois souffles d’océan Indien. Il distille les ingrédients en faisant force usage de ses souvenirs de voyage et de ses racines profondes. Préparer les papilles à une explosion de saveurs où crustacés et coquillages frayent avec les agrumes dans la composition de prédilection du maestro aux commandes. Le condiment aux agrumes qui accompagne les huîtres leur confère une touche indéfinissable de fraîcheur. Les crustacés relevés des notes de mandarine du yuzu laissent en bouche une sensation fort agréable. À la saison des gibiers, l’on résiste mal à la cuisson lente et parfaite du rôti de lièvre. À l’ancienne SVP : au sautoir et avec du lard de Colonnata. La sauce à base de chocolat et d’épices en accompagnement est à tomber. Et puis, moment d’extase difficile à contenir quand le savarin maison fond sur la langue dans un fini voluptueux. Dans ce régal sucré, un mariage à trois très accommodant : vanille Bourbon, black mélasse et farine de sarrasin. ...
Réparti sur six communes aux alentours du village, le vignoble s’étend sur 13 hectares, exposés uniquement sur les coteaux sud. Bien entendu, les parcelles sont encépagées des trois variétés champenoises : chardonnay, pinot noir et pinot Meunier. La particularité du domaine est qu’il travaille principalement le Meunier, dont le terroir de la vallée de la Marne lui est propice. Un domaine certifié Haute valeur environnementale Respectueux de l’environnement et de la nature, le champagne Robert-Allait mène depuis des années des efforts continus dans le but de préserver son terroir. Un travail de longue haleine qui a été récompensé, puisque le domaine a été certifié « Haute valeur environnementale » de niveau III et « Viticulture durable » depuis 2015. Si ces certifications permettent, dans les faits, de protéger la biodiversité animale et végétale du domaine, cela n’en est pas moins favorable au vigneron. En effet, elles permettent de récolter des raisins sains et, par conséquent, d’en obtenir des jus de qualité contribuant à une vinification optimale. Vignerons indépendants et fiers de l’être Installés en Champagne depuis près de deux siècles, les Robert-Allait sont des vignerons indépendants chevronnés qui font tout de A à Z, de la récolte à la vente. « Les 100 000 bouteilles que nous produisons sont commercialisées en direct par nous-mêmes, par la vente à la cave, la vente à la propriété ou lors des différents salons auxquels nous participons », explique Sylvie Robert, la propriétaire. Parmi les sept cuvées qui font la fierté de l’entreprise, Stéphanie Robert, fille de Sylvie, recommande le Plaisir Nature. Un 100 % Meunier, non dosé, qui révèle particulièrement la fraîcheur et le fruité de ce cépage. La « Cuvée Prestige » est quant à elle la plus incontournable. Issu d’un assemblage judicieux entre les trois cépages, ce champagne élégant, mature et complexe fera le bonheur des connaisseurs par son côté fruité, sa très belle tenue en bouche et sa grande longueur. ...
Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes. À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs. Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur. Une farandole de saveurs Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés. Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment. ...
L’École de Boulangerie d’Aurillac a été créée en 1990 par Christian Vabret, désireux de promouvoir et de transmettre le savoir-faire des Meilleurs Ouvriers de France en boulangerie ou en pâtisserie. Aujourd’hui l’École Christian Vabret forme aux métiers de boulanger et de pâtissier, que ce soit par des formations initiales telles que le CAP ou par des stages professionnels. Tous les élèves préparant un CAP Boulanger, un CAP Pâtissier ou un CAP Boulanger-Pâtissier suivent des cours enseignés par des formateurs confirmés. Dans de spacieux locaux, ils peuvent acquérir les connaissances de base et bénéficier d’équipements modernes. Ces formations durent de 7 à 14 mois, elles sont complétées par des stages pratiques en entreprise. L’École Christian Vabret Boulangerie - Pâtisserie - Cuisine permet à 95% de ses élèves d’obtenir le CAP Boulangerie ou le CAP Pâtisserie. CAP Cuisine Deux nouvelles formations vont voir le jour à partir de janvier 2018 en collaboration avec l’Institut Paul Bocuse : le CAP Cuisine et le CAP cuisine-pâtisserie. Ces formations s’adressent à des adultes âgés de plus de 21 ans, en reconversion professionnelle. La formation pour l’obtention du CAP Cuisine dure 7 mois avec 7 semaines de stage en entreprise. 14 élèves peuvent s’inscrire et participer à chaque session. Pour celle concernant le CAP cuisinier-pâtissier, elle s’étale sur 14 mois avec 15 semaines de stage en entreprise, et accueille 14 participants à chaque session. Dans ce territoire où les produits du terroir tiennent une place importante, l’arrivée de professionnels de l’Institut Paul Bocuse et de leur expérience culinaire lyonnaise sera un plus pour les nouveaux élèves. Des formations courtes De nombreuses formations courtes de remises à niveau ou de perfectionnement sont dispensées tout au long de l’année. Elles s’adressent essentiellement aux professionnels mais aussi aux amateurs. Par exemple, en cette fin d’année le stage Galettes et bûches ou le stage Pains et Douceurs des fêtes sont proposés aux professionnels. Ils sont animés le plus souvent par des meilleurs ouvriers de France. Humanitaire Tous les trois ans, l’Ecole Christian Vabret, accueille 2 jeunes chinois de l’association Shanghai Young Bakers, association visant à offrir un métier aux plus défavorisés. Lors de leur passage à l’École Christian Vabret, ces jeunes apprennent le métier de formateur en Boulangerie ou en Pâtisserie et à leur retour en Chine, ils deviennent les formateurs de cette association. ...
À travers un cadre intimiste aux couleurs chaudes qui caractérisent si bien le Sud, l’enseigne est une très belle découverte à retenir au cœur de Paris. Situé dans le 18e arrondissement, juste au pied de la Butte Montmartre, cet authentique restaurant italien mérite qu’on s’y arrête. Dans un décor où se marient si bien la brocante, le cinéma et la musique, le savoir-faire italien transparait aussi bien dans le service que dans les plats. Il est vrai qu’au Bugigattolo, tout le monde met la main à la pâte ! C’est d’ailleurs dans ce bel esprit de famille que la Nonna, Patricia et les enfants Jean et Enzo souvent présents dans la salle ont habitué le restaurant afin d’y maintenir l’ambiance bon enfant, au grand plaisir des clients ! Vive la dolce vita Comptant déjà de nombreux habitués, ce petit coin sympathique est une excellente adresse où il fait bon s’attarder pour prendre un verre et calmer les petites et grandes faims. Laissez-vous embarquer par sa cuisine traditionnelle aux légères touches de malice, qui met à l’honneur des plats de terroir revisités, avec toujours une pointe de surprise, là où on s’y attend le moins et cela au premier coup de fourchette ! Ses pâtes fraiches et sèches constituent un vrai délice pour les papilles avec, bien sûr, ce fameux croquant « al dente » spécifique aux vraies pâtes italiennes… Les savoureuses pizzas accompagnées d’une petite sauce relevée préparée à la minute ou les délicieux raviolis dont seul le chef a le secret sont aussi à ne pas rater. Il Bugigattolo, c’est surtout une cuisine à base de produits frais, où les plats sont préparés sur place et mitonnés juste comme il faut. Pour offrir le meilleur dans vos assiettes, le restaurant privilégie la cuisine de marché, gage de fraicheur et de qualité. Chaque plat est empreint d’une touche personnelle qui le caractérise et c’est ce qui fait toute la différence ! ...
Fabien Castaing représente la 5e génération à être aux commandes du domaine familial. Reconnu pour son savoir-faire et sa capacité à réaliser de très grands vins, il a créé en 2010 sa propre maison de négoce aux accents du Sud-Ouest. Il met à profit ses 20 ans d’expérience et le savoir-faire hérité d’une longue lignée de vignerons à travers une gamme de vins beaucoup plus large. Aujourd’hui ils distribuent les vins du Domaine de Moulin-Pouzy, propriété historique de la famille Castaing depuis plus de 120 ans et du Château Les Mailleries. Le vignoble planté entre 110 et 130 m d’altitude sur un sol argilo-calcaire s’étend aujourd’hui sur 65 ha. Les vignes sont en AOC Bergerac, AOC Côtes de Bergerac, AOC Monbazillac et IGP Périgord. Elles jouissent du microclimat propre aux collines et plateaux dominant Bergerac : une pluviométrie très basse et une belle exposition au soleil. Créer des vins pour tous les goûts et pour chaque instant Attaché à son histoire et à sa terre, Fabien Castaing a orienté la production de ses vins en adoptant une démarche respectueuse de l’environnement. Le Domaine Moulin-Pouzy est certifié Haute Valeur Environnementale tandis que le Château Les Mailleries qu’il a repris en 2016 est en Agriculture Biologique. Créer des vins pour tous les goûts et pour chaque instant, c’est l’ambition de ce vigneron qui a créé de nombreuses cuvées. Épaulée par une équipe dynamique et un œnologue conseil indépendant (Œnoteam-Julien BELLE) dans la sélection des meilleurs crus et des assemblages, la maison utilise des techniques innovantes comme les cuves ovoïdes, la vinification sans souffre afin d’obtenir des vins plus ronds, plus fruités, tout en travaillant sur la minéralité et l’identité du terroir. « En plus de nos vins de Bergerac, nous produisons des Côtes-de-Gascogne et des Cahors sous nos propres marques ainsi que de la bière artisanale 100% bio», fait valoir le vigneron. Une maison de négoce tournée vers l'avenir Pour assurer la distribution des vins qu’il produit, Fabien Castaing crée la maison de négoce Vignobles Fabien Castaing. « Quand j’ai repris le domaine familial en 2000, j’ai orienté la distribution de mes vins en bouteille afin de faire des ventes en direct », explique le vigneron. Fort de ce succès, il intègre peu à peu de nouvelles appellations dans son catalogue. « Nous avons une parfaite connaissance de notre région et nous mettons à profit ce savoir-faire vigneron pour créer de nouveaux vins », ajoute-t-il. Pour le moment, la distribution des Vignobles Fabien Castaing est très axée sur la vente aux professionnels. Mais une belle surprise attend la clientèle : à partir de 2019, la maison « va entrer aussi sur le réseau traditionnel », confie notre interlocuteur. En attendant, les consommateurs peuvent trouver ses produits en grande distribution, dans les salons professionnels comme Millésime Bio ou ProWein, à Düsseldorf, et, bien sûr, chez les cavistes et les restaurants partenaires. ...
Le restaurant de l’hôtel quatre étoiles Palladia est installé dans une immense salle en ovale très éclairée et ornementée de baies vitrées, faisant de cet endroit un lieu contemporain et chic. Les couleurs chaudes qui y règnent, avec des teintes or et rouge, ainsi que du noir et du blanc, offrent un rendu visuel invitant à la détente. Ambiance chaleureuse et cosy, grand espace permettant à chaque table de jouir d’une excellente intimité… Tout a été pensé dans les moindres détails pour optimiser le confort des clients. Durant la belle saison, la terrasse couverte entourée de jasmins, de citronniers et d’oliviers invite, quant à elle, à passer de bons moments. Produits frais, cuisine de qualité Le restaurant Palladia a l’honneur de vous faire découvrir une cuisine traditionnelle et créative. N’utilisant que les produits de saison et du terroir, le chef garantit fraîcheur et saveur à chacun de ses plats. Les formules varient ainsi au gré des saisons, mais le saumon fumé fait maison reste la plus grande spécialité du restaurant. Ses menus semi-gastronomiques séduisent tous les palais. En entrée, la terrine de saumon aux coquilles de saint-jacques et à la langoustine a du succès. En plat principal, la palette de cochon rôtie et fumée avec l’os, accompagnée d’une polenta au citron et d’un confit d’oignons, en séduit plus d’un. La lotte et sa marinière de coquillages sont aussi très prisées en plat de résistance. Le crémeux des Aztèques en dessert est, quant à lui, un vrai délice recommandé spécialement par la maison. Il s’agit d’un mélange sucré acidulé sensationnel de crème au chocolat et de crème d’avocat citronnée, accompagné d’une flambée à la pina colada. Une chose est sûre, toutes les assiettes sont joliment présentées et divinement savoureuses. Qui dit bon repas, dit bon vin. Une carte agrémentée de quatre-vingts références de vins et de grands crus d’Occitanie accompagne les menus. Laissez-vous conseiller par les maîtres d’hôtel pour découvrir les accords mets-vins les plus harmonieux. ...
Avec sa terrasse ombragée idéale pour déjeuner en été, la Farigoule est un petit coin de paradis au cœur de Vence. Dans cette cité au riche patrimoine historique, l’établissement s’impose comme une adresse de choix pour déguster une subtile cuisine provençale et traditionnelle. Georges et Agnès Beeuwsaert font le choix de produits frais et du fait maison pour la préparation des menus saisonniers de leur restaurant. D’ailleurs, en guise de reconnaissance de ce travail acharné et de la priorité donnée à la qualité, le guide Michelin leur a attribué le Bib gourmand depuis 2015. Des menus saisonniers qui font toute la différence Chef autodidacte, Georges crée savamment les mets figurant dans les menus proposés à La Farigoule. Le menu Saison comporte deux entrées, plats et desserts au choix. En guise de plats pour cette formule, la restauratrice suggère vivement les joues de porc au cumin. « C’est délicieux et très fin », réplique-t-elle. Le Grand Menu donne le choix entre trois entrées, plats et desserts encore plus appétissants. Le « Caprice d’Agnès », dessert figurant dans ce menu, est assez particulier, comme l’explique notre interlocutrice : « Mon mari l’a créé pour moi, il s’agit d’un dessert à base de chocolat, sans farine, et qui est un mélange entre la mousse et le soufflé au chocolat. On utilise un cacao à 72 % que l’on met au four. » D’ailleurs, elle ne tarit pas d’éloges sur les douceurs sucrées élaborées par la maison. « Nous sommes très forts sur les desserts », clame-t-elle, avant de citer un autre incontournable : « Le carpaccio d’ananas, qui est de l’ananas coupé très finement que l’on met dans un sirop au rhum vanillé. » Un établissement historique Créée en 1958, La Farigoule est un restaurant vençois typique ayant su garder sa splendeur. Voilà dix ans que le duo de choc a repris l’établissement pour représenter ainsi la troisième génération de propriétaires. Au fil de son long passé, La Farigoule s’est bâti une excellente réputation grâce notamment au bouche-à-oreille, qui est, selon la restauratrice, « la meilleure publicité ». L’âme romantique des lieux a été conservée. Les meubles anciens, héritages de l’ancienne propriétaire Georgette, ont par exemple été restaurés et conservés permettant à l’endroit de respirer le charme et l’authenticité. La déco, quant à elle, a subi un lifting pour être totalement dans l’air du temps. Le patio ombragé aménagé avec 50 couverts constitue la cerise sur le gâteau. Cette « très jolie terrasse, fleurie en été », comme la décrit la propriétaire, se trouve à l’arrière de la salle du restaurant et reste unique en son genre dans le centre-ville de Vence. ...
L’histoire du Château Mons Delaunay remonte à loin, pour ainsi dire à l’époque gallo-romaine. Au cours de cette période, le commerce du vin est florissant grâce à la proximité avec l’estuaire de la Gironde qui favorise les échanges. Du XVème au XVIIème siècle, le Château de Mons a été agrandi et embelli et l’ajout d’un chai sur le site viticole a contribué à sa renommée. Tombé en désuétude au XIXème siècle puis renaissant de ses cendres à partir des années 60, il est à nouveau abandonné par ses propriétaires en 2006. Les lieux ne connaîtront décidément pas un destin ordinaire. L’arrivée de Philippe Delaunay à la tête du domaine en 2007 lui a redonné un nouveau souffle. Rebaptisée Château Mons Delaunay pour l’occasion, l’exploitation s’inscrit désormais comme l’une des perles du vignoble bordelais. À terroir exceptionnel, vin exceptionnel Situé à Blaye dans l’axe de la Gironde, le remarquable terroir fait la fierté de Philippe Delaunay. « Nous sommes établis sur des calcosols argilo-limoneux sur plateau calcaire à Astérie. Les vignes s’enracinent sur la roche qui se trouve à un mètre de profondeur. Cette barrière superficielle ne les empêche pas de se développer correctement grâce au sol calcaire qui garde l’eau et s’en sert pour les alimenter », nous fait part le vigneron. Le terroir présente des similitudes avec Fronsac et Saint-Émilion, ce qui explique son caractère exceptionnel. D’ailleurs, les terres de Mons sont considérées comme l’un des meilleurs vignobles de la rive droite. Sur ce terroir d’une belle singularité se développent principalement trois types de cépages à savoir le merlot, le cabernet sauvignon et le malbec. Les vignes établies sur 12 parcelles de 3,5 hectares sont âgées de 20 à 50 ans. Une pratique culturale respectueuse de la terre La maison s’est attribuée comme ligne de conduite de produire des vins naturels, intemporels, d’excellence et de passion. « Notre philosophie est de faire le maximum de travail dans la vigne pour tirer la substantifique moelle du terroir », déclare notre interlocuteur. Tout commence donc au vignoble dont le comportement est suivi avec la plus grande rigueur. Carences, vigueur, stress hydrique… rien n’échappe à Philippe Delaunay et son équipe. L’enherbement naturel ainsi que le travail mécanique des sols renforcent la résistance des vignes. Dans sa démarche, le domaine pratique une "agriculture raisonnée". Le domaine est dans une démarche de conversion bio. Les vendanges quant à elles s’organisent à maturité pour « essayer d’apporter le fruit le plus parfait possible au chai ». Au cours de la vinification, pas de filtration ni de collage et du So2 au strict minimum. Pour ce qui est de l’élevage qui dure entre 24 et 36 mois selon les millésimes, le Mons signe l’excellence de son vin en utilisant des barriques "Blend" de chez Radoux, joyau de la tonnellerie mondiale et d’autres de chez Remond. Des vins de garde et de prestige Le Château Mons Delaunay s’anime de cette volonté de faire découvrir des millésimes anciens et ouverts à un plus large public à travers ses grands vins de Bordeaux. La réserve normalement conservée pour la grande restauration est désormais accessible au plus grand nombre. Les millésimes âgés de plus de dix ans s’intitulent Château Mons Delaunay et Diane de Mons. Vin de « niche » à la fois élégant, pur et naturel, la cuvée Château Mons Delaunay fait le bonheur des connaisseurs en quête de l’introuvable. Ce vin de grande garde peut être conservé pendant encore 15 à 20 ans. La cuvée Diane de Mons est un second vin produit de façon exceptionnelle lorsque le millésime ne permet pas d’intégrer toutes les parcelles dans le Château Mons Delaunay. Exprimant la quintessence de son terroir, Diane de Mons subit le même processus de vinification avec toutefois un élevage plus court. ...
Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...
C’est en 1977 que l’aventure viticole de la famille Fayard commence par l’acquisition du domaine par Jean Pierre et Brigitte. La reconnaissance dans le monde du vin arrive dès le début des années 80. Le domaine commence sa conversion au bio en 2003 et obtient la certification « écocert » pour la totalité de ses vins en 2009. Depuis le millésime 2015, l’ensemble de notre production est inscrite à la Vegan society, car l’absence d’intrants d’origine animale convient à la communauté végétalienne et végétarienne. Le vignoble Situé sur le littoral Varois, le domaine du Château Sainte-Marguerite jouit d’un terroir typique de l’appellation Côtes-de-Provence avec un sol argilo-schisteux qui s’étend à l’île de Porquerolles, la ville de La Crau, la ville de Bormes-les-Mimosas et La Londe Les Maures. Les cépages utilisés sur les parcelles sont le Cinsault, la Grenache et la Syrah pour le Rosé. Les deux derniers cépages sont également utilisés pour le Rouge avec le Cabernet-Sauvignon et le Mourvèdre. Pour le blanc, le principal cépage st le rolle. Près de 550 000 flacons sont en moyenne issus de ces vignes dont 65% de Rosé, 20% de Rouge et 15% de Blanc. La désignation géographique complémentaire « Côtes-de-Provence La Londe » a été reconnue depuis 2008. La cave Grâce à la transmission de la passion et des secrets familiaux depuis des générations, la famille Fayard combine connaissance des traditions et techniques modernes. L’attention portée au terroir et à la vigne reste importante toute l’année avec un travail régulier du sol et une adaptation aux facteurs naturels. Le domaine investit donc dans les moyens techniques tels que les machines à vendanger avec tri embarqué et se dote d’une équipe de 40 vendangeurs. Ce sont les garanties d’une vendange à « top maturité ». Le pressurage direct avec le pressoir pneumatique permet d’éviter le déchirement de la peau ou « rebèche ». Les tiges qui tiennent les grappes sont retirées pour ne pas donner un côté herbacé au jus. Le vin rouge et blanc sont élevés en fut entre 12 et 24 mois suivant les besoins. Le Château Sainte-Marguerite est reconnu Cru Classé Côte-de-Provence depuis 1955. La cuvée Symphonie en est le navire amiral. Une symphonie de saveurs qui, en Blanc, s’habille d’une robe limpide et brillante à reflets or. Ce vin possède un nez fin et complexe, des senteurs d’agrumes, vanille et miel avec des notes grillées. Enfin, une bouche aromatique, riche et persistante glisse vers une finale délicatement miellée. Le palmarès Les deux Châteaux de la famille Fayard, Sainte-Marguerite et Saint-Martin, produit des cuvées de qualité. La Symphonie Rouge du Château Sainte-Marguerite a été médaillée d’argent au Concours Général Agricole de Paris. Pour l’Hermitage Saint-Martin, la cuvée Ikon a été récompensée par le Wine enthusiast avec une note de 93/100 pour le Rouge et 90 pour le Blanc et le Rosé. La Grande Cuvée Enzo en Rosé a aussi brillé lors de la foire de Brignoles. Le grand prix d’ensemble nous a aussi été décerné pour avoir été primé sur 5 vins dans les 3 couleurs au Concours des vins de la Méditerranée. Accessibilité La famille Fayard participe fréquemment à différents salons régionaux, nationaux et internationaux tels que la présentation des millésimes des Côtes-de-Provence à Mandelieu, le salon des clubs des professionnels du vin à l’hôtel Negresco de Nice ou encore Vinisud et Vinexpo. Par ailleurs, elle reçoit quotidiennement au domaine pour une dégustation des vins. Vous pourrez également retrouver ses vins chez de nombreux restaurateurs ainsi qu’un réseau de cavistes répartis sur toute la France. A l'international, la marque est présente dans une trentaine de pays dans le monde. ...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
Le Château des Annereaux, c’est l’histoire d’une famille installée dans la région depuis 1390. Fortement impliqués dans la production vinicole, les Annereaux ont participé entre autres à la lutte contre le phylloxera au XIXème siècle. Aujourd’hui, cette ferveur visant à améliorer la qualité des vignes et des vins perdure grâce au travail de Benjamin Hessel, représentant la dernière génération. Le bio pour protéger les hommes et préserver la terre À partir de 2007, l’ensemble du vignoble qui s’étend sur 25 hectares, dont 22,7 ha consacrés à l’appellation Lalande de Pomerol et 2,3 ha à l’appellation Bordeaux, est conduit en viticulture biologique. « Mon père, Dominique Hessel, a décidé de faire cette reconversion entre autres pour éviter que les employés travaillent dans des conditions dangereuses », confie Benjamin Hessel. Cette viticulture respectueuse de la terre combinée à un terroir favorisant la bonne maturité des raisins donne des vins harmonieux, fruités, à la belle expression aromatique. ...
Avec une cuisine traditionnelle concoctée essentiellement à partir des produits frais, ce petit restaurant de campagne se plait à chouchouter ses convives en leur proposant le meilleur des saveurs locales. Comme à la maison Simplicité et convivialité : voilà les deux mots qui résument parfaitement l’ambiance qui règne à L’Étoile. Dans ce restaurant familial, tout est fait pour mettre les invités à leur aise. « Chez nous, la bonne humeur et la sympathie sont toujours au rendez-vous. Les gens se sentent comme à la maison », confie Éva Tardy, la cheffe de cuisine. Côté déco, on trouve une grande variété de couleurs. Au bar, la star se nomme Betty Boop. Elle est visible partout, en hommage au grand-père d’Éva, qui était passionné par cette héroïne de dessins animés américains des années 1930. Privatisable, l’établissement dispose de différentes salles adaptées pour les événements privés ou professionnels. Une jolie véranda est prévue pour accueillir tout type de buffets : apéritifs, entrées ou dinatoires. À l’extérieur, les convives profitent d’une belle terrasse ombragée. Juste à côté, ils peuvent s’offrir quelques moments de détente grâce à des jeux de boule mis à leur disposition. Une cuisine simple mais authentique Soucieuse d’offrir une cuisine de qualité, la maison n’utilise que des produits frais, tout en assurant un approvisionnement en circuit court. Ainsi les fromages, viandes, poissons ou encore les vins proviennent directement des producteurs locaux. « Nous avons les mêmes fournisseurs depuis quinze ans », rapporte notre interlocutrice. Quant aux légumes, ceux-ci sont fraichement cueillis dans un potager familial soigneusement entretenu par Maxime, le père de famille. En cuisine, Éva fait parler son expérience et son savoir-faire pour sublimer comme il se doit ces produits d’exception. Parmi les spécialités de la maison, les gâteaux de foie de volaille, le poulet aux morilles, les grenouilles, les bréchets de poulet, les goujonnettes de carpe et les ris de veau enchanteront les papilles les plus délicates. À L’Étoile, on adore faire plaisir aux fins gourmets. Ainsi, les formules à volonté et les menus du jour sont servis toute la semaine, même les dimanches et les jours fériés. « Nous sommes à l’écoute de nos hôtes et nous pouvons changer le menu à leur convenance », nous indique-t-on. Pendant les weekends, Éva invite les convives à partager un moment chaleureux autour d’une délicieuse raclette, avec une variante au bleu de Bresse ou des fromages locaux. Des têtes de veau ou des tapas concoctés à partir des meilleurs produits de la région peuvent être également servis. Une carte au gré des saisons Pour offrir davantage de choix, l’établissement propose quatre menus classiques. Entre le pavé de truite au citron, l’entrecôte poêlée ou le canard au poivre vert, c’est selon les envies de chacun ! À part ses menus, l’établissement présente une carte qui évolue au gré des saisons. En été, les épicuriens pourront déguster différentes salades et autres assortiments de charcuterie. Afin de combler toutes les attentes, le restaurant L’Étoile suggère aussi de succulents plats végétariens, végétaliens ou sans gluten. « Nous nous adaptons aux demandes spécifiques de nos clients », souligne Éva. Côté vins, la maison propose un large choix qui s’accorde merveilleusement bien avec les saveurs de la région. Parmi les références, les côtes-du-rhône, les vins du Bugey, de Mâcon ou de la Loire sont les plus demandés. ...
Quête de l’excellence, esprit de conquête des marchés et transmission des savoir-faire sont l’ensemble des valeurs qui portent le succès et la longévité de la Maison Hennessy. Depuis les berges de la Charente, la Maison Hennessy vous invite à découvrir ses coulisses à travers un parcours multi-sensoriel innovant : une expérience de visite unique entre histoire et modernité. Entrez dans les coulisses d’une Maison d’excellence Hennessy donne le rythme dès le début de votre visite en vous proposant une traversée entre deux rives. Ce ne sera plus en naviguant sur l’embarcation traditionnelle de l’époque, la gabare, mais sur un bateau à énergie solaire que vous commencerez la découverte de la Maison Hennessy. Embarquez donc sur les flots de la Charente pour revivre l’esprit de conquête, découvrir la saga de la Maison qui vous sont révélés au cœur du Chai des pavillons : entre authenticité et technicité, Hennessy réalise ici une prouesse technologique qui transforme l’expérience de visite d’une manière complétement novatrice. Pénétrez ensuite dans un chai traditionnel de vieillissement toujours en activité, où vous pourrez découvrir, dans la pénombre, des siècles de savoir-faire qu’impose ce lieu. C’est ici que se révèlent la valeur et la maîtrise du temps qu’exercent les hommes de la Maison, pour offrir au cognac ses plus belles expressions. Un parcours qui prend toute son ampleur lors de la dégustation où l’on peut se glisser dans la peau d’un membre du Comité de Dégustation. Chacun des membres de ce comité est désigné au sein de la Maison Hennessy et est responsable d’une étape spécifique de l’élaboration du cognac. Le Maître-Assembleur est celui qui donne le ton lorsque ce comité se rassemble quotidiennement : il sélectionne les meilleurs échantillons d’eaux-de-vie en les évaluant quotidiennement avec rigueur et parti-pris. Ce poste est aujourd’hui occupé par Renaud Fillioux de Gironde qui incarne la 8e génération de Maître Assembleur après avoir succédé à son oncle Yann Fillioux en juillet 2017. Une étape de dégustation où vous apprenez à apprécier avec subtilité la maîtrise des assemblages Hennessy. Cette expérience de visite se termine avec la seule et unique boutique Hennessy au monde, rassemblant les cognacs de la collection Hennessy allant des éditions limitées aux pièces les plus exceptionnelles. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...
Sous la direction d’Élisabeth, Émilie et André-Yves Piaguet, le Restaurant Nouvel Hôtel Les Jeunes Chefs se distingue par ses mets originaux et raffinés, à prix raisonnable… Se dressant au cœur d’un village ancien entre Die et Crest, dans la commune de Saillans, Les Jeunes Chefs est l’endroit incontournable pour profiter de la nature et découvrir les paysages et les cultures de la Haute-Provence. Au programme : plaisirs culinaires, hébergements et divertissements. Des préparations culinaires à la portée de toutes les bourses En étroite collaboration avec un chef exigeant et une équipe de jeunes cuisiniers qualifiée, le restaurant Les Jeunes Chefs propose une cuisine recherchée à base de produits locaux et frais notamment des herbes de la colline drômoise, des volailles, des poissons et des truites. Entre culture culinaire et restauration-culture, les adeptes de la cuisine bistronomique trouveront leur bonheur, en été comme en hiver. Avec des tarifs entre 14 et 34 €, les amateurs de bonne cuisine pourront se régaler dans un cadre convivial et paisible. « Chez Les Jeunes Chefs, dites adieu aux plats conventionnels et habituels ! » s’exclame André-Yves Piguet, propriétaire des lieux. Non seulement les menus sont renouvelés chaque semaine, mais le chef s’efforce également de proposer une nouvelle carte tous les mois selon les produits locaux et les saisons. Les menus « Petites Faims », par exemple, sont composés d’une entrée et d’un plat ou un plat suivi d’un dessert. Quant au menu « Mise en appétit », différents plats sont proposés tels que de la truite à l’aneth ou des médaillons de volaille. Pour la « Découverte culinaire », les convives peuvent déguster des mets à base de poissons, de viande ou de volaille. « Il est trés important pour nous de spécifier que nos mets sont positionnés Coeur de Drôme : produits de la vallée et de la colline» déclare notre interlocuteur. Les amateurs de vins ne sont pas en reste. La carte reste éclectique pour satisfaire toutes les envies, même si elle réserve une place de choix aux Côtes-du-rhône dont une référence très appréciée, « la Clairette de Die, un vin emblématique de la Drôme », selon André-Yves Piguet Un lieu d’hébergement incontournable Les Jeunes Chefs, c’est aussi un hôtel proposant des chambres doubles, triples ou familiales, à prix attractif. Il dispose de sept chambres pouvant accueillir jusqu’à quatre à cinq personnes selon la formule choisie. Soigneusement aménagée avec des décors africains, la salle à manger de l’olivier est conçue pour recevoir jusqu’à vingt-six couverts par service, voire plus si besoin est. La terrasse des Lauriers rouges, quant à elle, offre une vue imprenable sur les paysages environnants. ...
Marque haut de gamme, Miel et Miels s’appuie sur le travail et le savoir-faire d’une centaine d’apiculteurs français réunis en coopérative pour mettre en pot le meilleur de leurs récoltes. Chaque miel proposé est un produit d’exception où authenticité et traçabilité sont garanties. Ainsi pour chacun, vous pouvez connaitre l’origine botanique et géographique. Des sens mis en éveil … Dans leur petit pot conçu comme un écrin, chaque miel se déguste déjà avec les yeux en dévoilant sa couleur caractéristique. Puis dès l’ouverture, leur arôme se faufile jusqu’aux narines. Il ne reste plus qu’à déposer une goutte de miel en bouche pour que les papilles se réveillent à leur tour. Un bonheur sans cesse renouvelé avec la collection de miels proposée par Miel et Miels. … Par la délicate collection Miel et Miels Miel et Miels a imaginé 3 gammes de produits : les miels de crus, les miels de terroirs et les mariages de saveurs. Les miels de crus sont issus d’une seule variété florale. Parmi ceux-ci, vous pourrez découvrir le miel de coriandre du Cher, un miel à la robe brun clair et à la texture fondante. Mais aussi le miel de carotte du Languedoc qui se caractérise par sa couleur joliment ambrée et son goût subtilement anisé. Et pourquoi pas le miel d’érable des forêts des Ardennes, ce miel aux arômes de caramel qui a obtenu l’Epicure d’Or 2017. Les miels de terroirs sont des produits multi-fleurs spécifiques d’un territoire. La couleur sombre du miel des forêts de Sologne vous donnera sans doute envie d’y gouter. Vous découvrirez alors un miel aux arômes boisés et sauvages. Mais vous préférerez peut-être le miel des Vallées du Dauphiné pour sa robe cuivrée et son goût affirmé. Quant à la gamme Mariage de saveurs, elle mise sur l’alliance du miel et d’ingrédients naturels pour proposer des produits gourmands. Le dernier produit de cette gamme, le mariage au thé Matcha, une recette raffinée et aux bienfaits incontestables, a déjà reçu le prix de l’originalité au concours Miam Bourgogne-Franche-Comté. ...
Animés par le désir de proposer une viande de premier choix pour satisfaire la demande croissante du marché français en viande ovine, les 1 000 membres de l’association d’éleveurs GIE Ovins du Limousin se sont rassemblés pour défendre un bien commun par une démarche qualité. L’obtention de l’IGP leur a permis d’assurer l’excellence de l’agneau Baronet, déjà très avantagé par le terroir sur lequel il évolue. Sa végétation, ses prairies, ses herbes, son climat, sa pluviométrie, sa géologie et son altitude font effectivement du Limousin un endroit idéal pour élever les moutons. « Il est voué à nourrir les animaux », affirme Didier Briantais, directeur du GIE Ovins du Limousin. Au-delà, les éleveurs doivent respecter les critères du cahier des charges pour fournir une viande conforme : lait maternel pendant au moins 60 jours, traçabilité, alimentation au foin et à l’herbe en période hivernale, avec éventuellement un complément de céréales et de fourrage… Un produit d’exception pour des repas gourmands « Grâce aux propriétés spécifiques du terroir et à la rigueur des méthodes d’élevage employées, les viandes offrent une chair tendre, délicatement parfumée, avec un taux de gras idéal », souligne Didier Briantais. Elles sont aussi facile à cuisiner : des chefs de renom tels qu’Alain Longeval ou Emmanuel Ardillon prônent d’ailleurs la marque en créant des recettes. Un véritable ravissement pour les papilles qu’offrent, par exemple, la « Selle d’agneau du Limousin et pommes dauphine » ou la « Roulade de poitrine d’agneau du Limousin farcie ». ...