Le Vieux Couvent a décidément tout pour plaire. Son cadre déjà, sous ses airs bucoliques, s’admire à travers les grandes baies vitrées qui surplombent la salle et qui donnent sur la rivière du Brunnwasser. Sa cuisine, bien sûr, mise en scène avec délicatesse et passion par Alexis Albrecht. Dans l'assiette : les légumes du jardin, les herbes aromatiques, les fleurs comestibles, les poissons sauvages et de la pêche locale, les gibiers de nos chasseurs et les producteurs locaux remplacent les produits industriels. Le talent et le savoir-faire d’une référence gastronomique Après son apprentissage à Ottrott avec Patrick Fritz, Alexis Albrecht évolue auprès des étoiles de la gastronomie française, dont Jacques Maximin à Vence, Émile Jung au Crocodile et les frères Pourcel à Montpellier. De retour au Vieux Couvent en 1997, il y seconde son père, Jean Albrecht. Maître restaurateur, membre des étoiles d’Alsace ainsi que du club gastronome Prosper Montagné, Alexis dirige maintenant le restaurant étoilé. Ses menus dévoilent une mélodie de saveurs qui se succèdent harmonieusement depuis l’entrée jusqu’au festival de desserts. Un détail important qu’il nous fait savoir : « Je me sens autant cuisinier que pâtissier et je pense qu'il est important d'avoir une vraie continuité entre la partie salée et la partie sucrée. » En effet, Alexis a été élu « pâtissier de l'année 2015 » par le guide Gault & Millau. Une cuisine au naturel et au rythme des saisons La maison propose une cuisine inventive, inspirée de la nature et des produits issus du jardin de la maison familiale. « La nature, de la fourche à la fourchette, fait partie de notre façon de travailler. J’y puise toutes mes idées », fait savoir Alexis Albrecht, pour expliquer l’évolution de la carte du restaurant. Les plats emblématiques de la maison, comme le carpaccio d’espadon, le foie gras d’oie ou la matelote recuisinée, restent sur la carte généralement toute l’année mais se retravaillent différemment au fil des saisons. Côté vins, Alexis et son équipe proposent près de 350 références de vins français et étrangers garantissant des accords en parfaite harmonie. ...
Cet établissement du centre parisien accueille les noctambules du mercredi au samedi avec une programmation atypique du mercredi au jeudi, le juste milieu entre éclectique et décalée, et une programmation Aux platines, des DJ branchés électro-pop, deep house, et année 80. La passion du métier Notre chef cuisinier a passé quelques années dans les cuisines de la 5ème avenue et du Mini Palais. A tout juste trente ans, notre chef cuisinier est déjà considéré comme un des chefs les plus talentueux de sa génération. Cette reconnaissance trouve sa source dans un parcours alliant une parfaite maîtrise des techniques culinaires les plus pointues et une véritable passion. Exigeant sur le produit, minutieux sur les cuissons, il défend la saveur authentique avant tout. Carte sophistiquée dans un décor très particulier Le restaurant du Chacha mise sur une décoration atypique très favorable à l’appétit et au plaisir de la table. Miroirs dorés et lumières tamisées sont autant d'éléments qui plongent les fins gourmets au beau milieu des années 30, sans oublier le magnifique piano à queue, où pianistes et chanteuses soul/jazz vous accompagneront lors de vos dîners. A la fois sophistiquée et gastronomique, la carte met en avant la cuisine française contemporaine. Durant les beaux jours, le restaurant propose aussi sa terrasse extérieure donnant sur la chambre du commerce et ses jardins. Un lieu de spectacle par excellence Son côté intimiste forme le principal atout du Chacha. Pas d’open space spectaculaire mais plutôt un bel espace avec plein de petits coins et recoins, un critère favorable à de petites envies d’évasion le temps d’une soirée ou toute la nuit. Une décoration au style rétro, de belles pièces chinées aux quatre coins de la France, des oeuvres d’artistes contemporains, des curiosités des salons et des alcôves… les ingrédients sont réunis pour faire perdurer la magie. Notre barman Rigueur, créativité sans limite et gestuelle maîtrisée au millimètre sont sa marque de fabrique. Il y ajoute un don certain pour les belles histoires... C'est un érudit des cocktails qui sait les raconter avec humour et brio. Il connait tout aussi bien l'art de l'écoute... Dites-lui simplement ce que vous aimez... et dégustez ! Avec ou sans alcool, moment très fort garanti....
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Pavillon, restaurant méditerranéen Une véritable pause gustative attend les convives au Pavillon du Selman Marrakech. La carte, quant à elle, est résolument méditerranéenne. Elle dévoile des plats frais et goûteux à apprécier en toute décontraction. Spécialités italiennes, espagnoles… Mille saveurs méditerranéennes avec pour toile de fond mère Nature ! Le carpaccio ou la burrata en entrée, la bolognaise à la menthe basilique en plat, et, en dessert, la crème brûlée à la vanille macaron et friandise… Tous les dimanches de la saison, Le Pavillon accueille les convives pour partager son fameux brunch. Au programme : un buffet méditerranéen et marocain sublimé par une présentation des pur-sang arabes et par un groupe de musique live. ...
Tel un refuge à la table gourmande et bien dressée, Le Central est une bonne adresse nichée dans un ravissant jardin, propice au partage de purs instants de bonheur… Une belle occasion de découvrir le Marais poitevin, où la présence des bateliers est une promesse pour de superbes balades à travers des paysages enchanteurs ! Une cuisine délicate avec des produits frais C’est avec un plaisir sans cesse renouvelé que le couple Hervine et Jean-Paul Guenanten vous accueille dans l’univers lumineux de leur restaurant à Coulon, dans le but de vous faire découvrir une cuisine régionale aux gouts du terroir, qui, à travers de belles associations, vous fera voyager dans toute la France et pourquoi pas ailleurs… Considéré comme l’une des meilleures tables de la Venise verte, Le Central jouit d’un cadre aussi harmonieux que raffiné, sans parler de son patio fleuri ou de sa terrasse, à profiter aux beaux jours. À travers des menus très abordables à base de produits frais, l’établissement propose une formule de midi uniquement en semaine à 17,80 €, incluant un plat-un dessert ou une entrée-un plat. Pour 3 € de plus, accédez à un plat supplémentaire. D’autres formules à 30 et à 45 € sont à ne pas rater. Entre son Foie gras anguilles fumées à la gelée de pomme, son Gratin d’anguilles à la coulonnaise, où les anguilles sont cuites au four avec de l’ail, de l’oignon et de l’échalote, du persil, du vin blanc et du beurre, et son Coing moelleux aux pommes servi avec un sorbet d’angélique… vous n’aurez que l’embarras du choix ! À cela s’ajoute une belle sélection de vins du Bordelais, du Val de Loire, quelques vins de régions entre Loir-et-Cher et Bourgogne. Le restaurant est en mesure de proposer 130 références de vins français et quelques vins étrangers triés sur le volet, provenant d’Afrique du Sud, d’Espagne et d’Argentine. ...
Depuis 2006, ce domaine familial de quatre-vingt-dix hectares dont cinquante plantés est géré par les époux Georges et Corinne Leveilley Dadda dont la passion pour les vignes se reflète à travers la qualité de leurs vins. Un terroir favorable au développement des vignes Si les vins de Bordeaux connaissent un succès si spectaculaire dans le monde entier, c’est avant tout grâce à la combinaison de plusieurs facteurs plus que favorables à la viticulture. Installé à Civrac-en-Médoc, le Château de Panigon est en plein cœur de ce territoire et profite des largesses de Mère Nature pour obtenir des vins de grande qualité. En effet, le terroir argilo-calcaire recouvert de graves et de cailloux charriés par la Garonne est plus que propice au bon développement des vignes. « Le climat tempéré de la région permet aussi d’obtenir une maturité constante des raisins au fil des années et ainsi avoir des vins quasiment immuables en qualité » précise Georges Dadda. L’encépagement est composé de Merlot à 50%, de Cabernet Sauvignon à 45% et le reste en Petit Verdot. L’âge moyen des vignes quant à lui est de vingt-cinq ans. Entre tradition et modernité Toutefois, avoir des conditions aussi favorables soient-elles ne suffit pas pour autant à garantir au final la qualité des vins. Il est également important d’appliquer les bonnes techniques de vinification. Et c’est justement ce que Georges et Corinne s’évertuent à faire depuis qu’ils sont à la tête de l’exploitation. « À ce niveau, nous adoptons des méthodes modernes tout en respectant les traditions médocaines » note Georges. Les traitements sont menés toujours selon l’état sanitaire des parcelles, la fertilisation n’est jamais systématique et le désherbage est mécanique. Toutes les cuvées y sont élevées douze à dix-huit mois en barriques de chêne français avant d’être embouteillées. L’élégance pour le Château Panigon Cette cuvée, issue de l’assemblage des trois cépages du domaine et fermentée en cuves inox thermo-régulées, est produite à cent-soixante-seize-mille bouteilles en moyenne par an. D’une robe rouge grenat, elle marie harmonieusement des arômes de fruits rouges (mûres et cassis) et des fines nuances toastées au nez. En bouche, elle dévoile du gras et des tanins mûrs avec une longue finale donnant sur du fruité. Viandes rouges grillées, carré d’agneau et magret de canard sont les plats parfaits pour dévoiler tout son potentiel. La passion pour le Château Amour Vin d’assemblage entre le Merlot et le Cabernet Sauvignon en parts égales, le Château Amour présente une robe pourpre qui laisse présager de sa qualité. Au nez, il est délicatement parfumé aux olives noires de par la présence du Cabernet Sauvignon. Le vin est doux, aérien et juteux aux notes de pâtisserie en bouche. Cette cuvée s’accorde avec des fromages puissants, une poularde aux cèpes ou un carré d’agneau tout simplement grillé. En moyenne, le domaine en produit dans les cent-quatre-vingt-mille bouteilles par an. ...
Pour son deuxième restaurant, le chef Anthony Lopez opte pour le port de Lavandou et crée Planches et Gamelles. Un nom savamment choisi qui résume bien l’ambiance et l’esprit qui anime le restaurant, car ici, on vient pour bien manger, sans chichi, en toute convivialité. Un décor authentique Le détail le plus frappant au sein du restaurant Planches et Gamelles porte sur son identité visuelle. En effet, il s’en dégage une parfaite dualité voire une symbiose entre les objets anciens et ceux plus modernes. La décoration est originale. Les vieux objets tels que les casseroles, les gamelles et les vieilles photos provençales ornent les murs. Les meubles quant à eux témoignent aussi de ce mélange entre l’ancien (présence d’éléments en cuir) et du contemporain (éclairage finement étudié, tons chauds et vifs…). Cet ensemble confère au restaurant un esprit chic, sobre et moderne. Le confort n’est pas en reste. Les amis ou collègues venus prendre l’apéro trouveront plaisir à s’installer dans le petit coin salon, particulièrement cosy. Au sein de cette adresse, le propriétaire Anthony Lopez veut valoriser l’esprit bistrot. Jusqu’à l’agencement des vins, tout illustre ce concept. Les bouteilles trônent fièrement au milieu des trésors chinés dans les brocantes et antiquaires. La bonne synergie entre la cuisine et la salle, la qualité de service de l’équipe qui se reflète par un bon accueil et l’ambiance chaleureuse font de Planches et Gamelles, un rendez-vous gourmet incontournable. Découvrir la cuisine La maison met à l’honneur les produits frais issus du terroir qui sont travaillés avec inventivité par le jeune maestro Clément Mathieu. Son savoir-faire se découvre dans les menus qu’il prépare avec soin pour émerveiller les papilles. Clément Mathieu et Anthony Lopez veulent faire découvrir les plats traditionnels provençaux. Ils offrent des assiettes généreuses, riches et préparées sur la base de l’intuition et de la créativité. Le restaurant possède trois menus qui évoluent selon les arrivages et la saisonnalité. En entrée, une délicieuse salade piémontaise préparée à la façon provençale. En plat de résistance, le mignon cochon, polenta crémeuse agrémenté de saucisse fumée et courgette. Ou, pour les amateurs de poisson, le petit farcis version marine, tomates et courgettes farcies d’une brandade : un vrai bonheur. Côté dessert, le classique mais incontournable brownie au chocolat noir, noisettes et crème anglaise au popcorn régale les papilles. Le restaurant offre également des spécialités à ne pas manquer comme la lentille du Puy mijotée dans un savoureux bouillon de bœuf agrémenté d’œuf poché et croûtons. Le Parmentier de cabillaud mérite également le détour. Gratiné au poêlon, ce plat offre une expérience culinaire unique....
Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Le domaine travaille et préserve ce sol très typé avec le plus grand soin en engageant une démarche innovante, notamment un enherbement complet sur certaines parcelles. Cette méthode est une alternative, plus saine et plus durable, au désherbage chimique. « Cela nous permet d’avoir une très bonne vie microbienne et d’obtenir des vignes particulièrement équilibrées » explique fièrement Bruno de Villepin. Une vertueuse initiative qui a valu au domaine la certification HVE (Haute Valeur Environnementale) et très prochainement le label Viticulture Durable en Champagne. Des gages de qualité qui incarnent la philosophie de la maison. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...
Ce qui donne ce goût de craie à l’appellation Saumure-Champigny ? Ce sont ses tuffeaux, des formations géologiques de couleur blanche ou jaunâtre contenant quelques paillettes de mica blanc. Sur cette partie de la vallée de la Loire, se blottit Turquant où caves et grottes sont si nombreuses qu’on y compterait le plus grand nombre en France. C’est aussi ici que depuis trois générations, Denis Retiveau cultive son raisin pour produire six cuvées différentes ainsi que sa passion immodérée pour la navigation. Entre Turquant et Montsoreau, 10 km à l’Est de Saumur sur les bords de la Loire, il possède le domaine des Champs-fleuris. Un terroir viticole qui au milieu d’un climat océanique produit près de 200 000 bouteilles par an. Passionné depuis l’enfance par la viticulture, il reprend le domaine familial en 1995 après un brevet technique agricole en viticulture et œnologie. Des vignes qui s’étalent sur 29 hectares et où le vin rouge a pour spécificité sa densité, son côté charnu et élégant. Des vignes de 40 ans d’âge pour un saumur d’exception Avec 6 cuvées différentes, le domaine des Champs-Fleuris produit différents vins en mélangeant moderne et tradition. Les cépages alternent entre Cabernet franc (96%) et Cabernet-Sauvignon (4%) pour les rouges et on y retrouve les appellations Coteaux de Saumur, Crémant de Loire, Saumur Blanc et Saumur Champigny ainsi que du Saumur Rosé. Les vendanges y sont faites mécaniquement avec le tri embarqué et tapis élévateur dans le respect du raisin. Le vin fraîchement pressé est conservé dans de l’inox régulé et des fûts de chêne. Dans ces fûts, les vins sont conservés au moins un an. Une sensibilité particulière pour ce fruit produit sur des plants dont certains ont plus de 70 ans d’âge. Le terroir lui est certifié haute valeur environnementale. Le vignoble s’applique ainsi à utiliser des traitements conventionnels pour une culture raisonnée. Ainsi en 2021, sur 10 traitements, 8 ont été effectués en « bio ». Les grains profitent ainsi du climat océanique et produisent des vins légers et fruités. On y retrouve aussi des grands vins de garde, quand les raisins sont plus riches en sucre et que la macération est plus longue. ...
Héritiers d’une tradition qui remonte au 16e siècle, les produits Isigny Sainte-Mère sont issus d’un lait collecté auprès d’éleveurs respectueux de leur terroir, dans une zone géographique de 35 km dans le Cotentin et le Bessin autour d’Isigny-sur-Mer, en Normandie. Le climat océanique tempéré assure une pousse de l’herbe exceptionnelle, et le sol d’argile et de limons riche en sédiments donne au lait des vaches une richesse en sels minéraux, oligo-éléments et acides gras oléiques unique. La Coopérative Isigny Sainte-Mère rassemble 630 producteurs de lait au sein de ce bocage normand qui offre une terre de pâture d’une qualité rare. Chaque ferme suit un cahier des charges exigeant, assurant une parfaite sécurité sanitaire et traçabilité pour le consommateur. L’excellence de ce lait fait des produits Isigny Sainte-Mère des incontournables de la gastronomie française, qui rayonnent dans le monde entier ! Des produits de grande qualité ... Tous les laits collectés ont moins de 48 heures et sont transformés de façon traditionnelle, dès réception, en beurre (Beurre doux, Beurre salé, Beurre de baratte, Beurre de tourage), en crème (Crème fraiche, Crème liquide, Crème fouettée), en fromage (Camembert, Pont-l’Evêque, Mimolette), en fromage frais ou lait écrémé. Au respect de la tradition s’ajoute un grand soin apporté tout au long du processus de fabrication pour répondre à de hauts standards de sécurité, de qualité et de traçabilité. ... et innovants Au cours de ces dernières années, la Coopérative a continué d'innover pour répondre aux nouvelles tendances des consommateurs. Lancée en 2016, la Fondue Normande est une fondue prête à l’emploi, composée de Camembert, Livarot et Pont-l’Evêque. De nombreuses récompenses La Coopérative Isigny Sainte-Mère a été distinguée par le label Entreprise du Patrimoine Vivant en juin 2015. Ce label d’Etat français distingue des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence, assurant le rayonnement, tant économique que culturel, du pays. La Coopérative est également la plus médaillée au Concours Général Agricole dans la catégorie « Produits Laitiers », avec plus de 300 médailles sur ces 25 dernières années. Chaque année, les produits Isigny Sainte-Mère figurent au palmarès. Gage de qualité, de savoir-faire et de traçabilité, l’obtention d’une médaille est un signe incontestable d’excellence reconnu en France et à l’international. Au-delà des produits, les médailles récompensent également l’exigence et le savoir-faire des producteurs et des salariés d’Isigny Sainte-Mère, dont le travail garantit l’excellence des beurres, crèmes et fromages qui font la renommée de la Coopérative. ...
Ici, on entretient un lien filial avec la terre. Maurice Vesselle, fondateur du lieu en 1955, y consacre sa vie, avant de passer le flambeau à Didier et Thierry, ses deux fils. « C’était un personnage, un tempérament », raconte l’un d’eux dans un sourire. Aujourd’hui, les deux frères entretiennent un précieux savoir-faire et travaillent le vignoble comme autrefois. Ils buttent, déchaussent, à l’écoute des humeurs de la vigne. Grâce à ces pratiques, le domaine figure parmi les premiers en France a avoir été certifié Haute Valeur Environnementale. L’élevage, sans fermentation malolactique, leur permet en plus de garder longtemps les bouteilles en cave et de préserver arômes et fraicheur. Cette patience vaut la réputation de Millésimes largement récompensés. Des champagnes de caractère Un sol profitant de calcaire confie aux Champagnes Vesselle des notes légèrement iodées et une noble longueur. Le Pinot noir leur confère rondeur et puissance tandis que le Chardonnay y ajoute sa touche de fraîcheur pétillante. La Maison produit aussi un rare Bouzy rouge Champenois, lui-même issu d’une longue tradition, née bien avant de voir apparaître les premières bulles de Champagne. Au domaine Maurice Vesselle, « c’est le raisin qui fait le vin », résume t-on humblement. A cela, nous ajouterons volontiers: et l’authenticité de leurs vignerons. ...
Tout au long de l’année, la Promenade des Anglais attire autant les locaux que les touristes en quête de moment de détente. Réputée pour son fameux Carnaval de Nice, la promenade est aussi connue pour abriter les hôtels à l’architecture Belle Epoque des plus remarquables de la Côte d’Azur. Parmi eux, le Westminster Hotel & Spa. Rénové entre 2015 et 2016, l’hôtel en a profité pour dévoiler son tout nouveau restaurant : Le Duc. L’élégance à la française Tout comme l’hôtel Westminster Hotel & Spa, le Duc séduit autant par son élégance que par son atmosphère apaisante. Jouant sur la tonalité mauve, la décoration est à la fois contemporaine et chaleureuse. Sur les murs, les photographies signées Valéry Trillaud sont parfaitement exposées et mises en scène par un éclairage subtilement nuancé. En un instant, on se croirait presque dans une galerie d’art. Mais le vrai spectacle est celui offert par le chef et son équipe. En effet, le restaurant propose une cuisine ouverte, laissant ainsi aux convives le privilège d’admirer la brigade en action. Et pour couronner le tout, la magnifique terrasse vitrée et surélevée offre une vue imprenable sur la Méditerranée et la baie des Anges. Selon le souhait des clients, la vitre peut être ouverte pour s’imprégner totalement de l’ambiance de la Promenade des Anglais. Une cuisine traditionnelle mais créative Côté cuisine, la qualité des plats est à la hauteur de la beauté des lieux. Raffinés et authentiques, ils sont avant tout savoureux, frais et soigneusement concoctés. Digne fils de la ville de Nice, Le Duc met à l’honneur la cuisine méditerranéenne et traditionnelle à base de légumes, de saveurs et de senteurs provençales. La carte fait ainsi la part belle aux grands classiques niçois subtilement revisités par le chef Dominique Sgro. Au déjeuner, les convives pourront choisir entre deux formules. La première propose une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 19 €. La seconde offre un menu du jour à 25 € composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert qui changent selon l’ardoise du jour. Pour les deux menus, les amuse-bouches ainsi que le café sont offerts. Au diner, le Menu Niçois met à l’honneur les spécialités niçoises à 37 €. Pour accompagner le repas, l’établissement propose une sélection de vins où le terroir de la région est mis à l’honneur. La carte recèle quelques pépites comme le Bellet Château de Bellet Baron G millésime 2013 ou encore le vin rouge bordelais : l’AOP Saint-Emilion Château Berliquet Grand Cru classé millésime 2010. Le tout, servi par un personnel aussi avenant que motivé. A chaque jour sa spécialité niçoise Par ailleurs, Le Duc sort du lot avec son concept à chaque jour, sa spécialité niçoise. Selon la disponibilité du marché et des produits de saison, le chef met à l’honneur un plat typique de la région. Une occasion pour les convives de découvrir ce patrimoine culinaire niçois qui fascine et enivre en même temps. Le lundi, place au véritable Aïoli « Le Duc ». Le mardi, il travaille le cabillaud tandis qu’il surprend avec le succulent fricassé de lapin, le mercredi. Le jeudi, le délicieux Capon Niçois est servi. Le vendredi, le Rouget Grondin en portefeuille, sauce vierge émoustille les fins palais. Le samedi, une note de douceur apportée par l'Epaule d’Agneau Frottée à L’Ail et aux Herbes, Bayald attend les convives. Et pour achever en beauté la semaine, le chef sublime le Filet de Daurade à la plancha accompagné de conchiglioni farcis. ...
Après une escapade au musée d’Oléron, à la citadelle du château d’Oléron ou à l’issue d’une séance de char à voile ou de stand-up paddle, une petite pause gourmande s’impose. Pour cela, rien de tel que le restaurant Les Alizés qui salue dans chacun de ses mets la saisonnalité des produits. Et cerise sur le gâteau : le fait maison est y privilégié. Le charme et les saveurs d’Oléron Cette salle à l’ambiance cosy et chaleureuse, « qui fait penser à une cabane », selon Stéphane Auger, chef et propriétaire, mettra en appétit tous les convives. Pour les amoureux du soleil, un patio a été installé à l’extérieur et les accueille durant l’arrivée des beaux jours. Là, sous l’ombre, ils peuvent profiter en même temps des caresses de la lumière, de la brise de l’océan et des saveurs d’Oléron. La maison se spécialise surtout dans la cuisine traditionnelle raffinée. Pour commencer, l’entrée 9 huitres Fines de Claire Marennes Oléron, emblème incontournable de l’ile, mérite d’être dégustée. Stéphane Auger propose ensuite de rendre hommage à la qualité exceptionnelle des produits offerts par les pêcheurs du coin à travers la recette de la Chaudrée du littoral en cocotte. Le Chou Brest-Paris sauce chocolat lait noisette ou encore la Trilogie de sorbet maison seront concoctés pour couronner somptueusement le repas. En prime, 4 menus différents (Marché, Charentais, Plaisir, Enfant) ont été établis afin que la clientèle puisse se laisser tenter par d’autres délices. Côté vins, « le terroir est à l’honneur », s’exclame le chef. À ne pas rater : les vins de pays Ile d’Oléron comme le Cotinard ou Les Perles. Une sélection de vins de Loire, de Bourgogne, de Bordeaux ou de Bergerac enrichit aussi la carte de l’établissement. ...
C’est pour rendre hommage à leur trisaïeule dénommée Angèle, une femme à fort caractère, que les deux frères Jacques et David Florent ont décidé d’attribuer son nom à ce domaine familial. En effet, c’est elle qui a commencé à planter les premières vignes à la fin du XIXe siècle et a su développer le vignoble au fil du temps. Une viticulture raisonnée Le vignoble, d’environ 30 ha, repose sur des sols argilo-calcaires profonds et limono-argileux. Depuis 25 ans, Jacques et David Florent, les propriétaires du Domaine de l’Angèle, y mènent une lutte raisonnée. La santé du sol et des vignes est au centre de leur préoccupation, avec une attention toute particulière accordée à la faune et à la flore. « Nous avons semé des enherbements dans les vignes afin de favoriser une activité microbienne au niveau du sol. Et nous utilisons uniquement des engrais organiques », souligne David Florent. Pour traiter leurs vignes, les deux frères multiplient les précautions afin d’effectuer des traitements les moins agressifs possibles. La maison privilégie les vinifications en monocépage. La syrah, le grenache et le mourvèdre sont ainsi vinifiés séparément pour être ensuite assemblés. Le Domaine de l’Angèle se démarque également par ses longues macérations. « Pour les rouges, nous poussons les maturités le plus longtemps possible. En général, les fermentations durent 15 jours, puis nous procédons à 15 jours de macération sous marc, ce qui implique une durée de vinification de plus d’un mois », explique notre interlocuteur. Les cuvées La maison produit des vins en AOP (Ventoux et Luberon) et IGP (Vaucluse). Dans la gamme des rouges, la cuvée « Ludivine » mérite une attention particulière. Ce vin 100 % syrah est élaboré à partir de vieilles vignes. Il a fait l’objet d’une longue macération (plus de 30 jours) en cuve béton et a vieilli en barrique entre 12 et 16 mois. N'ayant rien à envier à cette dernière, la cuvée « Hippolyte » occupe tout aussi bien une place de choix parmi les vins du domaine. Un vin 100 % grenache noir qui a subi plus d’un mois de macération en cuve béton et a vieilli 12 à 16 mois en demi-muid. ...
L’huile d’olive vierge extra haut de gamme a maintenant son site de vente sur Internet avec Cave à Huile. Ce site sélectionne avec beaucoup de soins les huiles d’olive vierge extra qu’il vous propose à la vente. D’ailleurs toutes ont déjà été récompensées au niveau international. Elles proviennent principalement de France, d’Italie, d’Espagne, et de Croatie mais aussi de Grèce ou de Tunisie. Toutefois, l’Amérique du Sud n’est pas oubliée avec des huiles d’olive originaires d’Argentine et d’Uruguay. Sur chaque bouteille, vous trouverez inscrits le pays d’origine, le nom et l’adresse du producteur, la contenance ainsi que la date d’utilisation optimum, pour une transparence optimale sur leur origine. Toutes les huiles d’olive sont à conserver dans un endroit frais, à l’abri de la lumière et de la chaleur. Les caractéristiques des huiles d’olive vierge extra Une huile d’olive vierge extra se caractérise par son intensité. Le fruité vert caractérise les huiles issues d’olives récoltées avant leur maturité. Le goût est doux avec des arômes d’artichaut, de banane, de tomate verte ou d’herbe coupée. Il présente une légère amertume. Ces huiles sont riches en polyphénols. Pour le fruité medium, les olives sont récoltées mûres. Leur saveur est plus prononcée, peu amère. Des notes prononcées d’amande, de pomme, ananas, fruit rouge sont souvent présentes. Elles contiennent un maximum de vitamines et d’antioxydants. Quant au fruité noir, il résulte d’olives arrivées à pleine maturité et d’une fermentation contrôlée. Ces huiles d’olive ont une longueur en bouche caractéristique pour délivrer des arômes de confiture, champignon et cacao. Mais le sol et le climat ont également une grande influence sur le goût des huiles d’olive. Les huiles d’olive offrent donc une palette gustative très diversifiée. Il est donc conseillé de choisir son huile d’olive comme vous pourriez choisir un vin. Cave à huile organise sur demande des dégustations pour des groupes. Quelques exemples Variez les saveurs de vos plats en utilisant les différentes huiles d’olives proposées par Cave à Huile. En effet il existe une huile d’olive pour chaque palet et plat. Commençons par un fruité vert léger avec l’huile d’olive Pied d’Eve, une huile d’olive bio produite dans le sud de la France. Certes elle s’offre à vous dans une bouteille en verre opaque mais une fois versée, elle dévoile une robe verte avec des reflets dorés et vous envoûte avec ses saveurs végétales et son bouquet intensément frais. Cette huile d’olive accompagnera à la perfection vos viandes blanches et régalera les papilles simplement en filet sur un fromage de chèvre frais. Si vous aimez les huiles légèrement amères et piquantes, choisissez par exemple la Ol Istria Pendolino, une huile d'olive provenant de la Croatie. Jaune dorée, elle offre des arômes d’artichaut et d’herbes fraîches. Elle exalte particulièrement la venaison. Pour vous évader à l’autre bout de la planète, vous n’avez qu’à goûter la Colinas de Garzon bi-variétale, originaire d’Uruguay, elle vous enchantera par son parfum délicat de pomme verte. Elle saura accompagner à merveille vos plats de poissons et de légumes. ...
Dominique Sendron a repris l’exploitation familiale il y a 22 ans. Elle perpétue le savoir-faire en veillant minutieusement à la manipulation des vignes, de la récolte à la mise en bouteille. Un terroir productif Le terroir est habillé d’un sol argilo-calcaire, où sont cultivés essentiellement du meunier (85 %) et du pinot noir. L’exposition sud favorise la maturation des vignes et procure une intensité aromatique aux champagnes. ...
Lancé en septembre 2017, par Christelle Sol et Pascal Dubourgnoux, deux quadras épicuriens et désireux de créer leur propre entreprise, Miamz’y est une application mobile gratuite permettant de commander des plats à emporter dans des restaurants traditionnels. Une véritable alternative aux fast food permettant à tous ceux n’ayant pas le temps de cuisiner ou de s’asseoir au restaurant de déguster des plats de qualité. L’application est disponible sur iOS, Android et via le site internet. Miamz’y rentre désormais dans une phase de croissance, comptant dès cette année élargir son offre à tout le territoire Auvergne-Rhône-Alpes. D’ici trois ans, le service sera opérationnel sur tout l’hexagone. Un concept innovant et intelligent Plébiscité par plus de 51% des français (d'après l'Étude Next Content : « Click and collect, les principaux enseignements »), le « click and collect » est un service permettant aux consommateurs de commander en ligne pour ensuite retirer leur article dans un magasin de proximité. Miamz’y est la première start-up à utiliser cette solution dans le domaine de la restauration, ce qui en fait un concept inédit en France. En pratique, l’application permet à ses utilisateurs de commander et d’aller récupérer leur plat à l’heure voulue dans le restaurant sans aucune attente et sans payer de frais de livraison. De plus, les plats du jour de chaque restaurant sont mis en ligne quotidiennement sur l’application. Variés et peu onéreux, ils offrent la possibilité aux consommateurs de manger rapidement pendant la pause déjeuner. Une solution adaptée à la taille des villes et aux restaurateurs Les fonctionnalités de l’application Miamz’y ont été conçues afin de répondre aussi bien aux besoins des habitants de grandes métropoles que des villes de taille moyenne telles que Clermont-Ferrand. Elle concerne également tous les oubliés de la livraison habitant dans les petites villes aux alentours. Grâce à l’application, il est possible de découvrir rapidement les restaurants disponibles le long des trajets quotidiens par exemple, il suffit de renseigner son itinéraire « Travail – Maison » pour savoir où commander le soir en rentrant du travail. Les besoins des restaurateurs sont également pris en compte, puisqu’ils ont étroitement collaboré au développement de l’application Miamz’y. Le résultat de cette alliance permet de moderniser et de dynamiser toute une économie grâce à un nouvel outil numérique permettant d’attirer de nouveaux clients. ...
Sublimer les produits locaux dans une cuisine de saison. Développer des spécialités autour de la truffe et la décliner dans tous ses états. La table de l’hôtel-restaurant À l’Agneau a plus d’une corde à son arc pour rendre hommage à la gastronomie alsacienne. Un concentré de saveurs à découvrir sous la houlette d’un chef de brigade membre du club des « Étoiles d’Alsace ». Que l’on fasse un crochet rapide dans la ville ou que l’on ait réservé dans l’une des chambres de l’enseigne, l’expérience vaut le détour. Une cuisine de caractère dans un établissement typé L’hôtel-restaurant À l’Agneau connaît une longue tradition dans l’art de l’accueil, puisque l’auberge d’origine opérait déjà en 1769. C’est donc dans un établissement hautement typé que les convives sont accueillis. Beaucoup seront surpris par la décoration où se rencontre la tradition avec une tendance résolument zen feng shui. Les tons ivoire et chocolat de la salle invitent à une parenthèse de décontraction absolue, le temps de savourer ses petits plats. Préparer ses papilles à frayer avec une cuisine de saison où les produits locaux sont déclinés pour rappeler les bonnes saveurs traditionnelles, avec une bonne dose de créativité. À propos, ne surtout pas passer à côté du savoureux plat signature de l’enseigne, l’« Éclaté d’agneau en 3 cuissons ». Trois pièces différentes vont rendre ces trois préparations : une selle farcie à la florentine et cuite à basse température, des flanchets confits à la sarriette et des carrés grillés. À la sortie, un plat unique où opulence et légèreté trouvent un compromis pour découvrir l’agneau dans tous ses états. La carte des vins où l’Alsace tient une place de choix déploie un éventail vaste avec ses 350 références puisées dans le répertoire français. Côté douceurs, la maison aime s’allier la complicité des saisons pour varier les plaisirs. La « Confusion de fruits rouges » titille les papilles avec les notes de verveine où ils ont macéré. Une coque meringuée apporte la touche d’élégance à ce dessert enrichi d’un sorbet ultra-frais. Une spécialité « truffée » de créativité L’« Œuf sans coque avec tartelette aux truffes » est une spécialité de la maison que l’équipe des fourneaux concocte avec beaucoup d’amour. Anne Ernwein, propriétaire et chef du restaurant, nous accorde une expérience intime de sa préparation. Tout commence par la confection de la pâte, d’une finesse délicate. Cuite avec une fondue de truffe, cette tartelette reçoit ensuite une mesure de fontine que l’on fait également fondre. Un carpaccio de viande de grison (de bœuf ou d’agneau) rejoint la préparation, en même temps que les râpés de truffes. Le jaune d’œuf coulant à l’intérieur d’une coque injectée d’huile de truffe finit de donner à ce plat son cachet singulier. À savourer, selon les saisons, avec des verdures type mâche ou asperges assaisonnées de balsamique de Barolo. Au quotidien, la maison propose divers menus pour assortir les découvertes autour des produits que le chef aime travailler. Pendant les beaux jours, c’est au Jardin que l’équipe convie les gourmets à composer des repas fraîcheur ou se détendre autour de spécialités grillées. Gambas, filet de canette, T-Bone de veau sont apprêtés au feu de bois et relevés de saveurs toniques comme la sauce Teryaki, la béarnaise piquante ou des épices douces. ...
Bienvenue dans un univers magique ! Un majestueux palais fleurant bon la cuisine d’exception. Là où l’art, dans toute sa splendeur, règne en maître, les chefs-d’œuvre architecturaux contrastant élégamment avec une décoration contemporaine aiguisent l’appétit des hôtes friands de délices. Exaltation des sens et succulences raffinées viennent embellir ce lieu dédié à la perfection. Une cuisine expressive et prestigieuse Un déjeuner ou un plat à la carte, la cuisine délectable du Pré Catelan Lenôtre s’apprécie sans modération. Ici, la haute gastronomie se conjugue avec des produits maniés avec délicatesse et savamment révélés par une équipe passionnée et maîtrisant l’art de l’effluve culinaire. Allant du ris de veau, au goût flatteur, à la langoustine, audacieuse et succulente, chaque plat est une invitation à l’extase gustative. L’essence des assiettes revêt la forme d’une mosaïque de saveurs excitant les papilles. Idéalement accompagné d’un spiritueux d’une prestigieuse cave à vins et à champagnes aux mille références, chaque menu s’en trouve sublimé. Christelle Brua, pâtissière de renom et ambassadrice de l’excellence gastronomique au féminin, vient magnifier les assiettes de délices sucrés élaborés avec créativité et raffinement, à l’image d’un paris-brest onctueusement préparé pour illustrer l’élégance. Cette table prestigieuse, fière de sa réputation forgée sur plus d’un siècle au service de l’excellence, est l’expression même de la quintessence gastronomique. ...
Ce bistrot à la réputation déjà faite a été repris par des propriétaires bien sympathiques qui maîtrisent du bout des doigts l'art de recevoir. Une cuisine savoureuse réalisée sous la houlette d’un chef aussi créatif que talentueux, Mouss. Mouss et Muriel proposent au Bistrot Dumas une pause gourmande qui mérite le détour, dans une salle privatisable pouvant accueillir jusqu’à 50 personnes. Planté dans un cadre cosy et chaleureux, il séduit les épicuriens par sa cuisine bistronomique. Sa décoration soignée type Art déco s’illustre dans ses superbes vitraux qui ornent les luminaires et le plafond, en illuminant la salle de mille feux. Un festival de couleurs que l’on imagine comme un avant-goût de ce que la maison a à offrir. Ici, le ton est donné avec une salle spacieuse baignant dans une lumière naturelle, propice à des moments agréables à passer en toute décontraction et convivialité entre collègues, amis, ou en famille. Une carte riche au gré des saisons pour une invitation à la découverte À travers des plats succulents que lui connaissent ses habitués, la maison fait entreprendre un joyeux périple culinaire à ses convives. L'enchaînement des saisons se reflète à travers les couleurs ensoleillées des plats dont le visuel est soigneusement travaillé. En entrée, la carte variée et attrayante propose, par exemple, de commencer les réjouissances avec un velouté de courge muscade et butternut ou le saumon mariné houmous de betterave et délice au beurre. Comme plat de résistance, difficile de résister à l’appel du pavé de cerf ou des cuisses de grenouille à la persillade, des plats hors du commun qui constituent les spécialités de la maison. Pour continuer sur cette lancée, les œufs en meurette et la sole petit bateau cuite sur arête sont aussi des incontournables. Et que dire du tartare de bœuf coupé minute au couteau ou de la quenelle de brochet sauce homardine qui comblent les plus fins des gourmets. Les plus aventureux se laisseront tenter par l’os à moelle coupé dans la longueur pour découvrir une saveur qui fond en bouche, et pourquoi pas une salade de chèvre chaud. Le moelleux au chocolat, les meilleures tartes de Genève ou les mignardises faites maison sont d’une finesse incroyable pour finir les festivités sur des notes de douceur. Le plus qui fait le succès de la maison : des plats bien exécutés « concoctés avec des produits issus des agriculteurs locaux », nous confie le chef Mouss. ...
Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque. Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur. La gastronomie Poyet Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche. Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère. Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix. Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues. Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef. La carte des vins La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région. Le cadre Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local. La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour ! ...
Sur Talents culinaires, le catalogue part des petites accessoires comme les emballages ou les dosettes Nespresso aux moules en silicone. La boutique propose aussi une gamme diversifiée de cacao Barry, des ingrédients alimentaires et des livres de cuisine. Les apprentis cordons bleus peuvent ainsi réaliser des formules plus techniques, tout en s’inspirant des recettes d’illustres MOF. Le magasin de stockage est situé à Antony, à l’intersection de trois départements, desservie par des routes importantes qui facilitent la livraison des commandes. Des produits d’origine française et italienne Talents culinaires accompagne les professionnels ou les particuliers dans la réussite de leurs recettes grâce à une panoplie complète d’ustensiles culinaires. Les marques françaises et italiennes y sont privilégiées, garantissant ainsi la qualité et la sécurité d’usage conformément aux normes européennes. La boutique sélectionne ainsi la maison Louis François comme fournisseur exclusif de tous les ingrédients alimentaires. Côté coutellerie, les gammes Lion Sabatier ou Sanelli sont proposées aux meilleurs rapports qualité-prix. Sur tout l’ensemble du site, d’autres fabricants soucieux de la même éthique professionnelle estampillent des milliers de produits. Les gourmets y trouveront également une librairie en ligne, où de célèbres chefs comme Stéphane Glacier, J.-M. Perruchon, Joël Bellouet ou Jean-Yves Guinard dévoilent leurs plus belles recettes. ...
Revendiquant exclusivement une cuisine fraiche et de saison, L’Amboise est une adresse lyonnaise qui fait le bonheur des locaux et des touristes de passage. La maison mise sur une décoration simple et épurée, relevée d’une petite touche industrielle, qui garantira le bien-être et le confort de chaque convive. Le grand bar métallique installé près de l’escalier attire l’attention. Au tableau le midi, à la carte le soir L’Amboise restaurant propose une cuisine française, fondée sur de bons produits frais et de saison. Ces derniers peuvent être issus du label rouge, origine France, mais également du marché et des structures qui mettent en lien les producteurs avec les restaurateurs. Néanmoins, la majorité provient de la région. Le chef apporte sa touche personnelle pour se distinguer et surprendre les gourmets. Le midi, pour répondre aux besoins des clients pressés, L’Amboise suggère une cuisine rapide, préparée bien entendu avec des produits frais et de saison. Le tableau affiche trois entrées, à l’exemple des salades Océane et César ou le velouté de légumes anciens. En plats, les convives ont le choix entre trois propositions, dont la brandade de poisson, le dos de lieu jaune au citron confit et l’omelette aux herbes. En dehors du plat du jour, les plats qui figurent au tableau peuvent y rester jusqu’à une semaine, selon la disponibilité des produits. La pause gourmet est plus calme le soir. Les convives prennent plus leur temps pour apprécier les suggestions à la carte qui changent tous les deux mois. Nombre d’entre eux viennent avant l’ouverture ou à la sortie du théâtre des Célestins qui se trouve à proximité. L’Amboise propose des terrines maison, des petits légumes au bouillon thaï ou du gravlax de saumon en entrée. La suite peut s’orienter vers des noix de Saint-Jacques avec sauce au chorizo ou un secreto de porc ibérique façon saltimbocca. Il faudra quand même laisser de la place pour les desserts : mousse au chocolat à la fève tonka, blanc-manger coco et passion ou tarte au pamplemousse et mousse à la vanille bourbon de Madagascar. Pour accompagner le repas, la maison privilégie les vins de la région. Si le choix du vin lui revenait, elle sélectionnerait la Grande Gallée rosé de Régis des Côtes, un vigneron situé dans le village de Millery. Celui-ci est très apprécié par la clientèle de L’Amboise. La Grande Gallée existe aussi en blanc. Les salles du restaurant L’Amboise restaurant peut recevoir jusqu’à 40 personnes, dont 22 à l’étage et 18 au rez-de-chaussée. Les deux salles sont privatisables pour les repas de groupe. Le rapprochement des tables rend l’ambiance chaleureuse. La belle hauteur sous plafond et les matériaux bruts comme le bois ou l’acier donnent au restaurant une allure chaleureuse et authentique. ...
La ferme est nichée dans un paysage de prairie naturelle, mais se distingue grâce à ses imposants bâtiments en pierre qui abritent la grange et l’étable réaménagée. La salle de traite ainsi que la fromagerie se dotent d’une installation et d’un équipement plus moderne, pour répondre aux exigences du cahier des charges adapté à la production et la transformation laitières. S’engager pour la qualité Idéalement situé à 900 mètres d’altitude, la Ferme la Grange de la Haute Vallée peut se permettre de gâter son cheptel de 40 vaches laitières. « En été, elles jouissent librement de l’herbe fraîche et du pâturage à fertilisation naturelle, et en hiver, elles bénéficient d’une alimentation à base de foin », explique Alain André, le gérant. Ce troupeau de race montbéliarde a été soigneusement sélectionné pour satisfaire les impératifs de qualité et les besoins économiques de l’exploitation. En moyenne, le cheptel bovin parvient à produire 260 000 litres de lait chaque année, dont 90 % sont destinées à la transformation. Afin d’offrir sa typicité propre à chaque fromage, une technologie spéciale ainsi qu'une méthode de fabrication spécifique doivent être observées de façon stricte. Ainsi, les paramètres de fabrication, incluant décaillage et durée d'affinage varient d'un fromage à l'autre. Par ailleurs, le lait cru étant indispensable pour conférer leur onctuosité aux fromages, les normes sanitaires liées à l'hygiène alimentaire et à la conservation sont rigoureusement respectées et contrôlées tout au long du processus. Une gamme de produits gourmands La Ferme la Grange de la Haute Vallée propose des fromages AOP, deux types de fromages fermiers, et du yaourt nature au lait entier. On cite le fromage AOP Salers : « Un fromage saisonnier qui se fabrique uniquement sur la période de pâturage, du mois d’avril jusqu’au mois de novembre, le lait est réceptionné directement dans une cuve en bois de chataignier qu'on appelle la gerle, obligatoire pour la fabrication du fromage Salers », fait savoir notre interlocuteur. À base de lait cru, ce fromage pressé a un goût corsé et volcanique, à l’image du terroir. L’AOP cantal de son côté se distingue par ses saveurs plus lactiques, qui se bonifient avec une légère note fruitée au fil du temps. Ce fromage se décline en cantal vieux, cantal entre-deux et cantal jeune, qui ont raflé de nombreuses fois la médaille d’or et la médaille d’argent au concours général agricole de Paris depuis l’année 2011. « On essaye de maîtriser la qualité des produits et de la maintenir », souligne le gérant. En outre, le fromage AOP bleu d'Auvergne a une texture à la fois fondante et corpulente, révélant le goût d’un fromage d’antan. Enfin, deux fromages fermiers viennent s’ajouter à l’assortiment, dont le saint-timothée, type tome de montagne et le Pignou, un petit bleu plus typé. ...
Désireuse de préserver l´environnement et d´améliorer davantage la qualité des trois cépages cultivés, dont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, la famille Lecomte a adopté la viticulture raisonnée. Et quand un tel terroir d´exception s´allie avec d´aussi rigoureuses méthodes, quand le savoir-faire se conjugue à la passion, les champagnes promettent saveur et raffinement. Les trésors phares de la maison En parfait écrin du champagne, la marque Lecomte Père et Fils produit quelque 70 000 bouteilles, classées en huit cuvées différentes chaque année. Parmi ses bijoux œnologiques se distinguent deux cuvées, devenues emblèmes de la maison, le Darling et le Brut Tradition. Le Darling, lui, se veut surprenant. Élaboré à 100 % avec du pinot Meunier, le Darling est une cuvée très fruitée, qui convient aux palais les plus exigeants. Harmonieux assemblage des trois cépages champenois que sont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, et vieilli pendant trois ans dans les caves, le Brut Tradition est le champagne de tous les instants. Il peut être le roi de l´apéritif, mais il embellit également les repas, et particulièrement les viandes blanches et les poissons. De robe jaune or pâle avec une bouche révélant des arômes de fruits rouges, il accompagnera tout aussi parfaitement les desserts aux fruits rouges. Des instants « pétillants » au cœur des vignes Au sein de son domaine, la famille Lecomte ne se contente pas de produire des champagnes à faire pâlir d´envie les œnophiles. Elle a aussi ouvert les portes au public, offrant ainsi ce passionnant univers à ceux qui souhaitent le découvrir. Le domaine organise plusieurs journées portes ouvertes tout au long de l´année, au cours desquelles les gens peuvent se promener dans les vignes, découvrir l´histoire du village et du domaine, visiter la cave du champagne Lecomte ou même s’initier à la dégustation. Une balade en Cadillac au cœur des vignes et du vignoble y est aussi proposée. C´est la manière idéale d´admirer le paysage, d'apprendre davantage sur le vin et de se détendre, le tout en même temps. ...