Au départ de l’aventure, le Vélo du Soir parcourt les rues de Paris avec son triporteur pour proposer aux salariés des entreprises des paniers à cuisiner pour l’apéritif ou le diner. Quelques années plus tard, fort de son succès, la start-up continue de proposer des produits de qualité, modernes et originaux, à des tarifs compétitifs mais s’est spécialisée dans l’organisation d’événements de petites ou de grandes entreprises. Vous pourrez faire appel à ses services pour des petits-déjeuners, des apéritifs, des cocktails ou des buffets. Le concept du Vélo du Soir Le Vélo du Soir a développé un nouveau concept de traiteur événementiel en privilégiant les circuits courts et la collaboration avec de petits producteurs ou des artisans soigneusement sélectionnés. Ainsi lors de vos buffets ou vos cocktails, vous pourrez déguster des créations simples et modernes, confectionnées à partir de produits du terroir, de produits frais, de produits de qualité. Aucun produit industriel ni aucun produit surgelé. Vous pourrez savourer des compositions culinaires savoureuses respectant les saveurs authentiques des produits bruts qui sont mis à l'honneur : rillettes de thon et de saumon de la conserverie familiale Furic, olives Kalamata de la maison Kalios, jambon de Bayonne de la Ferme Elizaldia, Médaille d'Or du Concours Général, mozzarella, pesto et porchetta issus de coopératives italiennes. Au niveau boisson, vous pourrez gouter à des jus de fruits frais, à des bières produites par des microbrasseries, des thés issus d’une start-up ou encore du champagne Marquis de Pomereuil du Domaine familial des Riceys, dont le Vélo du Soir est le seul distributeur dans Paris intra-muros. Vous pouvez donc composer votre buffet avec de nombreux produits choisis dans la palette variée de ceux proposés. Le Vélo du Soir vous fait bénéficier de tarifs performants, avec possibilité de location de vaisselle, de verrerie, de nappes, voire de compositions florales. Le service par des serveurs compétents et professionnels est également proposé par la start-up. Le vélo triporteur des débuts est toujours le symbole de l’entreprise, il participe à de nombreux événements en tant qu’animation. Avec le Vélo du Soir, vous êtes sûrs de savourer des produits dont la fraicheur et le gout seront au-rendez-vous, dans des ambiances conviviales. ...
Origine - Qualité – AOC - maîtres mots chez Cartron Judith Cartron, première femme à piloter l’entreprise a succédé à son père Xavieren 2011. Fière de ses racines, elle aime à rappeler l’héritage de la Bourgogne au travers du savoir-faire ancestral familial. Croquer dans le fruit est la promesse de la Maison.Aussi, pour y parvenir, le liquoriste sélectionne les meilleures variétés, assurance de puissance aromatique et d’excellence. Chaque fruit est alors récolté à pleine maturité, cassis Noir de Bourgogne, framboises Lloyd Georges, pêches de vigne, poires williams, abricots des Monts du Lyonnais, melon, mirabelles de Lorraine…, des fruits charnus et juteux.Cette exigence,Cartron l’applique à toute sa matière première, le gage d’un produit haut en goût qui réveille nos papilles. Parmi les incontournables de sa gamme de liqueurs et eaux-de-vie de fruits, citonsla Crème de Cassis de Bourgogne Double Crème Joseph Cartron, fleuron de la maison dont sa grande puissance aromatique sculpturale nappe verre et palais. En 2015 elle a reçu comme sa Crème de Cassis de Bourgogne 15° l’appellation indication géographique Cassis de Bourgogne véritable gage de qualité pour les amateurs de crèmes de cassis haut de gamme. Cette IG souligne l’excellence et la territorialité du produit dont la recette est gardée secrète de père en fille. Mais il y a aussi le Marc et la Fine de Bourgogne et leurs AOC…. un héritage qui se partage avec plaisir. Secrets de fabrication et trésor de goût Cartron un savoir-faire ancestral qui innove On connait Cartron par ses classiques, sa double crème de cassis, ses crèmes de fruits, ses eaux-de-vie de poire william, de vieille prune, son marc et sa fine de bourgogne et ses liqueurs de fruits bien ancrés sur notre territoire. Le distillateur aime aussi à se distinguer par son originalité. Il innove au travers de recettes uniques apportant un petit plus qu’il aime vous laisser découvrir. Ses dernières créations, ses liqueurs de thé rooibos, vert, fumé, sa crème de mirabelle, sa liqueur de sureau et la dernière-née, la liqueur de violette sont les muses des barmen.« Le consommateur comme les barmen aiment les nouveautés. L’innovation est primordiale, elle fait partie de notre ADN, de la marque Cartron qui aime surprendre et se positionne en véritable architecte du goût. » souligne Judith Cartron pour qui créativité est avant tout aussi synonyme de goût. ...
Destination idéale pour tutoyer les cimes entre France et Italie, Saint-Véran attire autant l’hiver que l’été. Réputé pour sa beauté et ses 2.040 mètres d’altitude, le village abrite l’hôtel l’Alta Peyra à l’architecture remarquable alliant luxe et authenticité. Tout y est pour passer un moment d’évasion exceptionnel: des chambres chaleureuses, un paysage de rêve, un personnel attentif sans oublier la touche gastronomique proposée par le jeune chef Alexandre Lechêne, issu de l’école Ducasse, et développant sa première grande table avec le Roc Alto. L’élégance à l’honneur Le Roc Alto est situé au dernier étage d'un des chalets qui composent l’Alta Peyra. Tout comme l’hôtel, il allie parfaitement l’élégance à la sobriété. Dès la porte franchie, l’atmosphère sereine et intime de la salle se ressent. La décoration combine des matériaux nobles et naturels qui s’intègrent parfaitement à l’esprit du village de Saint-Véran. Ainsi, le mobilier contemporain de Ligne Roset contraste à la perfection avec le parquet de vieux bois qui couvre le sol. Dans cette ambiance feutrée, l’ancienne cheminée dénichée auprès de l’antiquaire Zunino apporte un brin de romantisme à l’ensemble. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre. Il propose grâce à sa cuisine ouverte aux yeux des convives, un spectacle inédit où le chef et sa brigade en sont les talentueux artistes. Pour couronner le tout, le Roc Alto jouit d’une vue imprenable sur les sommets alpins du Queyras. Une escalade du plaisir gourmand Tout comme le lieu, l’authenticité de la cuisine proposée allie les plus grandes exigences. Des grands classiques méditerranéens en passant par les incontournables spécialités italiennes, le restaurant met à l’honneur la beauté et le goût des produits du terroir. La carte et les menus évoluent au rythme des saisons et des produits du marché. La carte propose trois entrées, quatre plats (poisson ou viande) et trois desserts au choix. Quant aux menus, les convives auront droit à un voyage culinaire décliné en trois étapes pour 58 €, ils se laisseront surprendre par la cuisine du marché et l’inspiration du chef avec le menu « Grands espaces ». Pour 78€, le menu « Les Contrepentes de l’Estoilies » reprend, quant-à-lui, les plats phares de la carte. En entrée, le choix s’annonce cornélien entre le fameux Petit épeautre de Lazer, le caviar des céréales typique de la Haute-Provence ou une nouvelle version du risotto accompagné d’asperges vertes de Roques-Hautes et de son jus. En plats, deux options se présentent : côté viande, la savoureuse côte de cochon des Hautes-Alpes accompagnée de radicchio et oignons rouges braisés au vinaigre balsamique démontre l’alliance maitrisée des saveurs et des textures. Côté poisson, le saumon de Fontaine du Rabious ravira par son goût délicieux, relevé par la sauce d’oignon Topea qui l’accompagne. En dessert, le citron en sucre soufflé accompagné d’agrumes épate les papilles par sa douceur et sa simplicité. Un chef passionné et passionnant Derrière ces œuvres culinaires aux accents méditerranéens se cache un chef aussi créatif que talentueux : Alexandre Lechêne. Après un parcours brillant dans les établissements d’Alain Ducasse, « Le Louis XV » et « La Trattoria » à Monaco, « Aux Lyonnais » à Paris, Alexandre décide de se poser à l’Alta Peyra où il met en exergue son savoir-faire et à sa créativité depuis 2012. Petit à petit, il affine son empreinte culinaire en sélectionnant rigoureusement les meilleurs produits proposés, d’artisans et de petits producteurs de la région, créant ainsi une cuisine sublimée par le travail des herbes de montagnes. Une confiance mutuelle s’est ainsi installée entre Alexandre et ses partenaires sans qui, rien ne serait possible. ...
Les origines du château remontent au XVe siècle, plus précisément en 1419. En ce temps-là, le baron de Trubessé, Arnauton Guilhem du Vignau, découvre pour la première fois Cabidos et tombe sous le charme de ce lieu féérique. Il décide de s’établir sur ces terres et transforme une demeure modeste en château digne de son rang. Très vite, les premières vignes sont plantées et vont donner naissance à un vin blanc de qualité. Au cours de nombreux siècles, les générations qui se sont succédé tenteront de préserver cette tradition viticole. Aujourd’hui, le château et ses vignes font le bonheur de la famille Alday, qui s’est rendue propriétaire des lieux en 2015. Sous l’impulsion de Robert Alday, le domaine Château de Cabidos a acquis assez rapidement une belle réputation, grâce à la qualité et à la finesse de ses vins. Il est vrai que, pour magnifier ses nectars, le maitre des lieux a su s’entourer de spécialistes reconnus dans l’univers du vin comme Jean-Claude Berrouet (éminent œnologue) et Jean Brana (un pilier fort de l’AOC Irouléguy). Un terroir propice au petit manseng Le domaine travaille actuellement sur un vignoble de 9 ha, situé entre le vignoble de Jurançon et le vignoble de Madiran. Là, les vignes sont plantées sur des coteaux bénéficiant d’une exposition sud-est. Elles s’épanouissent sur un terroir argilo-calcaire caillouteux et profitent à cet effet d’un excellent drainage naturel. « Cela permet d’avoir une densité de plantation élevée qui dépasse 5 000 pieds de vigne à l’hectare », souligne Pilla Laborde, directeur administratif et financier du Groupe Alday, détaché au suivi de l’exploitation du Domaine de Cabidos. L’encépagement du domaine Château de Cabidos est composé à 77 % de petit manseng. Il s’agit d’un cépage autochtone des Pyrénées qui se distingue par une forte concentration en sucre ainsi que par une capacité à développer des arômes subtils de fruits confits. « C’est le cépage emblématique de notre vignoble. S’il est généralement utilisé en assemblage et pour faire des vins blancs doux, nous l’utilisons pour élaborer des vins blancs monocépages, y compris des blancs secs 100% petit manseng qui sont très appréciés», nous indique-t-on. Le reste de l’encépagement est complété par du chardonnay, du sauvignon et de la syrah. Cette dernière a été récemment introduite dans le vignoble afin de permettre l’élaboration de vin rouge. En route vers le bio La maison opte pour une culture raisonnée et rejette tout apport d’engrais. En outre, l’utilisation de produits chimiques reste limitée. Mais le domaine souhaite aller encore plus loin et a décidé d’entamer sa reconversion vers la viticulture biologique dès 2019. « Une phase de conversion d’un vignoble dure au minimum 3 ans, ce qui veut dire que nos cuvées 2022 seront entièrement biologiques », précise notre interlocuteur. Il est clair que cette reconversion sonne comme une évidence au vu des techniques culturales qui se pratiquent ici de génération en génération. En effet, dans ce vignoble, le gros du travail se fait encore manuellement. À commencer par l’effeuillage ! Une étape cruciale qui vise deux objectifs : diminuer la possibilité de pourriture et permettre aux grappes de bénéficier d’un maximum d’ensoleillement, essentiel pour assurer une bonne maturation. Ensuite, au domaine Château de Cabidos, on continue fièrement de pratiquer les vendanges à l’ancienne. Celles-ci se font en plusieurs étapes. La première vendange, qui a lieu la dernière semaine de septembre, porte sur le chardonnay, le sauvignon et la syrah. La deuxième étape concerne les vendanges tardives du petit manseng, qui se déroulent vers fin octobre-début novembre. S’enchainent ensuite une succession de vendanges tardives portant sur les jeunes et les vieilles vignes. Bref, toutes les opérations ne prennent fin que début décembre. Côté vinification, le domaine s’est doté d’un chai climatisé ainsi que des ...
Trois monastères subsistent de l’ancienne Abbaye royale de Fontevraud. L’hôtel et le restaurant ont investi l’un d’eux, le Prieuré Saint-Lazare, qui fut successivement une léproserie, un hospice pour religieuses et l’hôpital de la prison. Le restaurant : une explosion de textures et de saveurs Le restaurant a pris plus particulièrement possession du cloitre et de la salle capitulaire. Le chef Thibaut Ruggeri, Bocuse d’or Monde 2013, confectionne une cuisine française raffinée et créative. Il privilégie le terroir et les saisons, en partant de produits locaux majoritairement bio ou cultivés dans le potager du domaine. Vous pouvez choisir entre 3 menus, avec la possibilité de l’accompagner d’un verre de vin en accord avec chaque plat. Vos enfants ne seront pas en reste grâce au menu Robin des bois. Votre repas débutera inexorablement par une soupe, chaude ou froide suivant la saison, principalement à base de végétaux. Elle rend hommage à toutes les religieuses ou tous les prisonniers ayant un jour séjourné à l’Abbaye. Ensuite, vous pourrez vous régaler d’une Révolution du potager, une entrée à base de légumes et de plantes aromatiques. À l’automne, elle se compose, par exemple, de châtaignes, de chou-fleur et de légumes racines du jardin. Découvrez également le très apprécié Champignon de Paris à Fontevraud, un plat qui marie champignons blancs et blonds, crus et cuits, associés à du foie gras, pour une explosion de textures et de saveurs en bouche. En plat, poisson, volaille ou gibier sont régulièrement à l’honneur. En dessert, savourez le surprenant et délicieux Citron jaune-Olives noires, une crème brulée revisitée au gout subtil. La carte des vins privilégie les vins de Loire, de Saint-Nazaire à Sancerre, avec une grande place accordée aux vins d’Anjou et aux vins de Saumur, notamment Les Fines Bulles de Saumur, un crémant exceptionnel. Le restaurant souhaite surprendre les convives par la qualité de ces vins. L’hôtel : un moment inoubliable L’hôtel 4 étoiles met à disposition 54 chambres, dont 6 chambres familiales. Les designers Patrick Jouin et Sanjit Manku ont travaillé sur les matières et les couleurs pour offrir une décoration épurée, dans le respect de ce lieu historique. Tout invite au recueillement pour un moment inoubliable. Les chambres sont toutes du même niveau de confort, bien insonorisées, avec le même mobilier, composé notamment d’une literie spécialement conçue par Biosense en latex, coton et lin bio. Seule leur surface est différente, puisqu’elle s’adapte à la configuration du lieu (de 17 à 24 m²). Deux salons sont accessibles avec bibliothèque et machine à café. Les hôtes pourront déguster leur petit déjeuner dans la salle capitulaire. Ils pourront également s’approprier l’ensemble du domaine pendant leur séjour. Quel ravissement de déambuler la nuit dans les bâtiments, dans les jardins, loin de la foule de la journée ! Une façon de s’imprégner véritablement de l’ambiance sereine et reposante, de l’environnement pour des souvenirs à jamais gravés. Évènementiel à l'Abbaye royale Pensez à l'Abbaye royale de Fontevraud pour organiser vos évènements. La configuration du site permet d’accueillir des réunions de 6 à 2 500 personnes, des séminaires. Les repas peuvent soit être pris au restaurant de l’Abbaye, soit être confectionnés par un traiteur extérieur. Sont également proposées des offres d’activités à réaliser au sein de l’Abbaye. Bien sûr, le lieu peut aussi être loué pour des mariages. ...
D’un côté, les commerçants de proximité (épiceries fines, fromageries, boucheries…) souhaitent mettre en valeur leur savoir-faire. De l’autre, les consommateurs sont toujours à la recherche de produits frais, sains et locaux. Fraichy met en relation tout ce beau monde grâce à une plateforme à la fois ergonomique et très simple d’utilisation. Offrir plus de visibilité Fraichy est née sous l’impulsion de trois jeunes Montpelliérains : Thibaud Audry, Tom Vea et Gabriel Nuel. Ces amateurs de bonne cuisine issus d’une formation en management et entrepreneuriat se sont rendu compte d’un réel besoin sur le secteur alimentaire, notamment auprès des commerçants de bouche. « La grande majorité ne dispose pas de visibilité sur Internet ou se contente d’un site vitrine sur lequel il n’y a pas d’activités digitales », souligne Thibaud Audry. Et c’est donc de là que tout est parti. Fraichy, une solution avantageuse pour tous En intégrant la plateforme, les commerçants bénéficient d’un nouveau canal de distribution. Ces derniers profitent des apports du digital pour gagner en visibilité et accroitre leurs activités grâce à la mise en valeur de leur savoir-faire. « En se digitalisant, les commerçants vont non seulement agrandir leur zone de chalandise mais aussi augmenter leur chiffre d’affaires » nous indique-t-on. Mais pour faire partie de la communauté Fraichy, il faut avant tout répondre à des critères bien précis. « Nous sélectionnons nos commerçants selon une charte qualité incluant, par exemple, la provenance des produits ou encore les avis clients consultables sur Internet », rapporte notre interlocuteur. Du côté du consommateur, la solution peut représenter un gain de temps non négligeable. Ce dernier a ainsi la possibilité de choisir très facilement les produits dont il a besoin. En effet, une fois connecté sur le site, il lui suffit d’indiquer son adresse ainsi que les modalités de livraison, puis celui-ci accède à différentes catégories de commerçants et peut sélectionner tranquillement ses produits. La livraison se fait soit à domicile soit sur le lieu de travail du consommateur. À ce sujet, la startup privilégie une livraison écoresponsable en travaillant avec des coursiers à vélo cargo. « Nous pouvons regrouper toutes les commandes en une seule livraison », explique le cofondateur de Fraichy. ...
Fondée en 1932, cette entreprise familiale est aujourd’hui menée d’une main de maître par les frères Fabrice et Florent. S’ils ont hérité du savoir-faire et de la rigueur de leurs ancêtres pour mener à bien leur métier, ils le réalisent de plus avec une passion qui fait leur réussite. Un vignoble idéalement placé D’une surface totale de 15,8 hectares, le vignoble de la maison Autréau-Lasnot est réparti sur neuf communes aux alentours du village de Venteuil. Installé à flanc de coteaux avec un sol majoritairement argilocalcaire, celui-ci est idéalement exposé sud, garant d’une maturité exceptionnelle des raisins. Les trois cépages champenois y sont cultivés, mais, de par son apport en fruité et en rondeur, le pinot meunier est plus que favorisé, avec une part de 65 % du vignoble total. Rigoureusement entretenu, le vignoble tend plutôt vers la qualité que vers la productivité. Des vignerons indépendants et récoltants-manipulants Vignerons indépendants, c'est-à-dire que leurs cuvées sont uniquement issues de leur propre vignoble, les frères Florent et Fabrice sont également récoltants-manipulants, car ils maîtrisent toutes les étapes de la fabrication de leur champagne. Les cuvées y sont élaborées dans le plus pur respect de la tradition, selon les anciennes méthodes. Chaque année, 100 000 bouteilles sont commercialisées, réparties en neuf cuvées toutes aussi exceptionnelles les unes que les autres. Parmi ces neuf cuvées, celle qui reflète le plus le terroir et la personnalité de la maison Autréau Lasnot est le Blanc de Noirs « Bleue Nature » (La Minérale). Issu à 90 % de meunier et à 10 % de pinot noir, ce champagne sans dosage allie fraîcheur et rondeur. Idéal pour un apéritif entre amis. ...
Pour beaucoup, les vins de Bordeaux sont, essentiellement, des vins rouges relativement puissants. Il faut dire que la production de vins rouges représente plus de 80% des volumes produits par le vignoble bordelais. Si vous êtes amateur de blanc, profitez de notre « offre découverte » sur notre boutique en ligne. Agriculture Biologique et « Vitimobile » Pour remonter aux origines des vins du Château Bichon Cassignols, il faut revenir en 1919. Depuis cette date, ce domaine restera au sein de la même famille jusqu’aux actuels propriétaires : Jean-François et Marie Lespinasse. Au départ en agriculture conventionnelle puis raisonnée, le domaine est cultivé depuis 2008 en Agriculture Biologique ; favorisant ainsi la protection de l'environnement de ce vignoble périurbain et le fruit de son terroir. L'entretien de la vigne est facilité par l'utilisation d'un engin conçu pour préserver le dos des vignerons: « le Vitimobile ». Le développement d'une bande enherbée favorise la vie du sol ainsi que sa biodiversité et gère au mieux les incidents hydriques. Les travaux de chai ont pour fil conducteur le plus grand respect du fruit de l'année. À la découverte des vins Bichon Cassignols Cet amour du terroir permet de vous proposer des vins exceptionnels. En plus d’être fruités, les blancs sont amples et longs tandis que les rouges sont appréciés pour leur côté épicé. Nous vous conseillons de goûter le Graves Blanc Bichon Cassignols (Sémillon, Sauvignon et Sauvignon Gris), notamment remarquable sur des tajines ou des poissons en sauce. Récemment, des vins rouges et blancs sans sulfite ont été ajoutés à la gamme : Le Petit Bichon blanc (70% Sémillon et 30% Sauvignon) aux arômes minéraux et de poire et le rouge (70% Merlot et 30% Cabernet Sauvignon) à la fois souple et frais. Plus classiques, le Bichon Cassignols rouge et sa Grande Réserve accompagneront merveilleusement vos mets à base de viandes rouges ou blanches. ...
S’inspirant de leurs origines et de leur amour inconditionnel pour la gastronomie italienne, Eric et Raffi lancent leur concept avec la promesse de vous faire découvrir une cuisine ensoleillée et des pizzas à la coupe comme jamais vous n’en goûterez ailleurs à Paris. Amour pour la tradition artisanale, sélection de produits d.o.p. et un service de qualité, voici le secret! Véritable œuvre d’art Pour réussir à exprimer pleinement son talent, tout artisan qui se respecte se doit d’avoir les meilleures matières premières entre ses mains. Chez Acquerello, les farines blanches et intégrales servant à la préparation de la pâte sont sélectionnées avec le plus grand soin. Elles sortent directement du moulin d’un producteur italien. Tous les autres produits sont choisis pour leur qualité exceptionnelle allant de la mozzarella au lait de bufflonne au parmigiano (parmesan) reggiano en passant par la gorgonzola et la scamorza fumée, la pancetta (lard) italienne et la crème de truffe. Pour mettre en scène ces ingrédients, Eric se tient prêt devant son pétrin et son four (italien lui aussi) conçu spécialement pour la pizza à la coupe romaine. Ce passionné use de son savoir-faire et de ses talents de boulanger (talents appris à l’Ecole Grégoire Ferrandi et dans les meilleures boulangeries et pizzerias parisiennes)pour vous concocter une grande diversité de pizzas. Tartufo, Pancetta, Pesto : des noms évocateurs appelant à la gourmandise se découvrent dans la carte riche d’une vingtaine de variétés de pizzas (voir le menu sur le site www.pizzacquerello.fr) mais Eric est prêt à satisfaire les demandes les plus variées qui n’apparaissent pas sur la carte (chaque client à ses exigences!). Un service traiteur hors pair ! Acquerello accompagne également les particuliers ou les entreprises dans l’organisation de leurs évènements (anniversaire, réception, cocktail, buffet..). L’établissement bénéficie d’un matériel dernier cri lui permettant de rester opérationnel en toute circonstance. « Nous pouvons offrir nos services de traiteur même pour des événements dans des lieux qui sont dépourvus de cuisine et de frigo » nous souffle Raffi, la propriétaire. Acquerello s’adapte aux besoins de sa clientèle au niveau des menus proposés. Cette personnalisation de son offre est une garantie de satisfaire même les plus exigeants. Parmi les plats les plus demandés figurent les lasagnes (rouges et aux légumes), les focaccia, le petits pains tomates confites et mozzarella et bien sûr, les incontournables pizzas à la coupe. Quant aux boissons, «l’Italie s’invite aussi à table» déclare notre interlocutrice. L’occasion d’apprécier la richesse aromatique des vins du pays minutieusement sélectionnés, des boissons italiens (limonata siciliana, sodas San Pellegrino et bières italiennes). Mais Acquerello n’oublie pas le Services, avec la qualité: hygiène garantie (aller visiter leur laboratoire), ponctualité dans la livraison, possibilité de demander le service d’installation, fourniture du matériel pour buffets, personnel pour que les invités de votre événement soient servis comme il se doit en plateaux et boissons. ...
Tout commence dans le sud-est de la France, à Saint-Émilion, connu pour ses propriétés viticoles et son microclimat rare. La Famille Sadel décide alors de s’y approprier une parcelle de vigne pour produire son propre breuvage. C’est en 2014 que l’extension s’effectue jusqu’en Côtes-du-Rhône. Qualité et noblesse définissent le mieux le travail de cette famille qui n’en est qu’à ses débuts… Le rouge, tout un savoir-faire La Famille Sadel produit en majeure partie du vin rouge sous les appellations Lalande de Pomerol, Montagne Saint-Émilion, Gigondas, Vacqueyras et Côtes-du-Rhône. La principale exploitation se trouve en région bordelaise et s’étend sur onze hectares (60 % cabernet franc, 10 % cabernet sauvignon et 30 % merlot). Les grandes cuvées y sont produites, à l’exemple de la cuvée Alexandre 2012, un mélange de cabernet franc et de merlot, assez riche en bouche et très fruité (cerise, fruits confits, chocolat). Ce vin possède un potentiel de garde pouvant aller jusqu’à quinze ans. La Famille Sadel intervient également dans la production de rosé et de blanc, tous issus de vignes différentes (Côtes-du-Rhône, Macon Charnay, Côtes-de-Provence). Tout juste arrivé et déjà apprécié Preuve de la qualité et du savoir-faire de cette jeune famille vigneronne, la production annuelle compte jusqu’à 100 000 bouteilles. Les États-Unis, l’Angleterre, la Russie et la Chine font partie de ceux qui apprécient le plus les vins SADEL à l’étranger. Il n’en est pas moins pour la France, qui reste le premier consommateur et meilleur producteur de vin au monde. ...
Repris en 2009 par Didier Veysset, le restaurant Buldo est un établissement centenaire possédant une terrasse sur l’eau, unique à Lyon. En effet, grâce à son ponton sur pilotis, pouvant accueillir jusqu'à 90 personnes, Buldo permet de se restaurer et de se détendre sur les bords de la Saône. A deux ou en famille, il est possible de passer un moment de tranquillité ou de faire la fête. D’ailleurs, une salle de 20 à 70 personnes au premier étage peut être privatisée à l’occasion d’une communion, d’un baptême ou d’un anniversaire. Une cuisine copieuse et savoureuse Lieu de la convivialité et de la bonne chère, le restaurant Buldo propose une cuisine traditionnelle et familiale, notamment avec les grenouilles, proposées dans le menu à volonté bien connu des habitués. Des surprises culinaires sont à prévoir, grâce au chef et ses plats mitonnés, un délicieux mélange de saveurs inhabituelles, savouré de façon copieuse, dans une ambiance rendu agréable notamment par la qualité et la sympathie du service. Un cadre agréable et instructif Situés dans le 9ème arrondissement, le restaurant Buldo et ses terrasses offrent une vue imprenable sur l'Île Barbe, classée à l'UNESCO, Centre du Patrimoine Mondial. Véritable amateur d'art contemporain, le restaurant Buldo soutient l’œuvre du défunt artiste lyonnais Jean Couty en prenant l'initiative d’offrir la possibilité à sa clientèle d'accéder à son œuvre et de découvrir ou redécouvrir son univers à un prix réduit. Une belle manière de joindre l’esthétisme à la curiosité grâce à un cadre profitant d’un paysage idyllique et de la formidable œuvre d’un artiste lyonnais. ...
Installée dans la région depuis près de 400 ans, la famille Maillet a toujours travaillé la terre ou la vigne. Afin de perpétuer la tradition, Pierre Maillet reprend en 2004 le domaine créé par son grand-père, pharmacien à Mâcon il y a une centaine d’années. Une équipe passionnée À l’origine, Pierre Maillet était membre d’une cave coopérative. Mais, en 2014, l’ancien radiologue reconverti en vigneron décide de voler de ses propres ailes et de gagner en indépendance en sortant de cette coopérative. Pour mener à bien son projet, il investit dans des cuves et des matériels de vinification de dernière génération. De là nait le Domaine de la Jobeline. En bon dirigeant, Pierre Maillet s’occupe de la communication et du volet commercial. Caroline Maillet, l’épouse de Pierre, est responsable de l’administration. Le couple est épaulé par Laurent Alexandre, le chef d’exploitation chargé de la culture des vignes, de la vinification et de l’entretien de la cuverie. Grâce à la passion, à la volonté et à un travail acharné, cette équipe a permis au Domaine de la Jobeline de se faire un nom dans le paysage viticole de la région. Une agriculture raisonnée Orientées de l’est au sud, les vignes sont étagées de 300 à 400 m d’altitude. Leur excellente situation géographique leur procure un fort ensoleillement durant la journée, de l’air frais la nuit et une bonne ventilation. Plantées sur diverses parcelles, elles sont âgées de 25 ans en moyenne. Elles sont implantées sur un sol riche à composition argilo-calcaire et sont situées sur des coteaux bien drainés et modérément pentus. Le domaine d’une superficie de 11 hectares, avec une densité de plantation de 8 000 pieds par hectare, produit environ 550 hectolitres par an. La culture est menée de façon raisonnée, avec maitrise des rendements. Cette démarche s’accompagne de l’usage limité des intrants chimiques, de la valorisation des engrais naturels, de l’aération du sol par des labours et du respect des cycles biologiques. Les conditions climatiques favorables, les matériels de dernière génération comme les pompes péristaltiques, le pressoir pneumatique et les cuves thermorégulées en inox ont permis au Domaine de la Jobeline de produire des vins d’excellence. Un important palmarès Grâce aux efforts du trio Pierre-Caroline-Laurent, les vins du domaine ont acquis une belle réputation, s’illustrant au travers des nombreuses récompenses qu’ils ont obtenues. Dernièrement, le Mâcon-Villages 2014 a obtenu une médaille d’or lors du Concours international Gilbert et Gaillard 2016. Avec sa robe or éclatant, ce vin possède un nez équilibré et expressif, avec des notes florales et minérales. En bouche, il est structuré et précis. Parfait pour accompagner les poissons, les volailles ou les fromages de chèvre. Au même concours, le Mâcon Verzé blanc « en Prévisy » 2014 a également remporté une médaille d’or. Il a aussi été récompensé d'une médaille d'argent au Decanter World Wine Awards 2016. Ce vin de garde riche accompagne, quant à lui, les quenelles en sauce, les poissons, les viandes blanches et les fromages de type pâtes persillées ou le comté. ...
C’est en 1920 que commence l’histoire entre le champagne et la famille Bauchet. Initiée par Juliette Bauchet et son fils Félicien puis transmise de père en fils, la tradition vigneronne épouse aujourd’hui des équipements modernes, dans le respect du développement durable et de la traçabilité. Porté par ces valeurs, le champagne Bauchet associe qualité, régularité, élégance. Aujourd’hui, il acquiert une reconnaissance par-delà les frontières. Un terroir unique Le domaine Bauchet se situe à Bisseuil (Marne), au carrefour de trois grandes régions viticoles. Son vignoble, acquis dans les années 1960, est l’un des plus grands de Champagne. 34 hectares sont répartis sur les terroirs de la côte des Blancs, de la montagne de Reims et de la Côte des Bar, uniquement en cépages nobles, chardonnay et pinot noir, dont un tiers en premier cru. Fort de ces emplacements, le domaine ouvre désormais ses portes aux visites et aux dégustations via des formules séduisantes, à l’image de son effigie : une coupe de champagne au cœur. L'investissement du récoltant-manipulant Les membres de la famille assurent l’autonomie totale du domaine. Bruno et désormais son jeune neveu Robin s'occupent des vignes. Florence tient la direction et gère la commercialisation des 300 000 précieuses bouteilles annuelles. Une distribution qui va en Europe, de l’Angleterre à l’Estonie, et bien au-delà (Canada, États-Unis, Japon). Toutes les étapes de la fabrication ont lieu « à la maison ». Celle-ci est construite sur 250 m de caves creusées à 8 m de profondeur. Les bouteilles y reposent parfois 8 ans pour atteindre leur maturité. Les raisins récoltés sont écrasés là, dans des pressoirs modernes, jusqu’à obtention d’un moût clair et limpide, recueilli ensuite dans les belons, puis débourbé et stocké dans différentes cuves. Seuls les jus nobles rejoignent la composition des champagne Bauchet. L’œnologue du domaine, Bruno Charlemagne, est présent à toutes les étapes et veille aux exigences des styles désirés. Six cuvées, entre assemblages et millésimes Dans la lignée des Champagnes de tradition, la cuvée « Origine » (70 % de pinot noir et 30 % de chardonnay) est un champagne léger, pétillant. La cuvée « Séduction » est fraiche, aérienne, tandis que la cuvée « Signature premier cru » est vineuse, soyeuse en bouche (80 % de chardonnay et 20 % de pinot noir). La cuvée "Mémoire" Millésime premier cru a vieilli 5 ans en cave. Sa texture relève d’un style gastronomique. La cuvée « Saint-Nicaise », premier cru, blanc de blanc millésimé, est constituée à 100 % de chardonnay. Enfin, le succès 2018 est la cuvée « Contraste », un blanc de pinot noir dont la matière exprime un brin de minéralité, pure et harmonieuse en bouche. Cent ans d’expérience ont permis aux champagnes Bauchet d’atteindre une excellence digne d'une région reconnue au patrimoine de l’UNESCO. Leurs cuvées sont régulièrement médaillées d’or ou d’argent. Un succès légitime pour cette famille amoureuse de ses terres, qui conçoit ses vins et le raconte avec le raffinement poétique propre à une grande maison de champagne. ...
A mi-chemin entre Valence et Montélimar, La Treille Muscate est un charmant restaurant-hôtel trois étoiles au cœur du village de Cliousclat. Elle est implantée dans une magnifique bâtisse de pierre typique de la région, recouverte de vigne vierge, calme et paisible et qui jouit d'une vue imprenable sur les villages haut perchés de la vallée de la Drôme provençale. Une cuisine de saison A la Treille Muscate, les assiettes du chef Eric Richard sont de véritables œuvres d'art, à la fois délicieuses et élégamment présentées. La toque au Gault et Millau, la fourchette et le Bib gourmand au guide Michelin sont la preuve d'une cuisine d’excellence et raffinée. Le restaurant est également référencé dans de nombreux guides tels que le Guide du Routard, les Tables et Auberges de France, le Petit Futé ou encore le Gault et Millau. De même, il est présent dans le mythique guide du voyageur anglais : Alastair Sawday’s. Variant suivant les saisons, la carte propose en entrée un Foie gras de canard mi-cuit au torchon. Dans la gamme des plats de résistance, l’Agneau des comtes de Provence grillé au thym frais satisfera toutes les gourmandises. Pour clore en beauté le repas, rien de tel que les glaces et les sorbets faits maison présents à la carte toute l’année. Côté cave, la carte de la Treille Muscate est particulièrement bien fournie, avec une belle sélection de vins AOC Côtes-du-Rhône proposés par des vignerons locaux. Un endroit de charme Le restaurant la Treille Muscate offre une chaleureuse table dans un environnement calme et reposant propice au repas en famille, entre amis ou en couple. Pour profiter de la belle saison et d'une vue superbe donnant sur le lac, le jardin avec ses 55 couverts et la terrasse de 25 couverts invitent à la détente. Blottis dans ce cadre verdoyant, les convives profitent d’une ambiance conviviale et chaleureuse pour des moments gourmands inoubliables. A l’intérieur, la salle voutée capable d’accueillir 60 couverts, garantit quant à elle une atmosphère plus intimiste. La décoration joue sur les couleurs pour conférer plus de dynamique au restaurant. Les clients s’y sentent comme chez eux grâce à l’ingénieux choix des meubles embellissant les lieux et leur agencement. ...
La bière Singha, titrant à 5°, d'alcool, a été créée en 1933. Cette lager est une bière de type pils à fermentation basse, conçue par la brasserie Pathumthani. Fruit d’un procédé de fabrication ancestral, Singha accompagne nombre de touristes et de vacanciers tout au long de leurs voyages et séjours en Thaïlande. Véritable invitation au voyage, son nom, emblème de la bière, évoque l'un des lions légendaires habitant la forêt d'Himanapant. Il est représenté sur la plupart des fresques des temples bouddhistes de Thaïlande. On trouve ce lion dans toutes les cultures asiatiques. Singha, Thaïlande : une bière d'exception marquée du sceau royal Fabriquée à partir d’ingrédients de toute première qualité, et brassée exclusivement à partir de malt d’orge, Singha est une bière au goût particulièrement riche et rehaussé de saveurs de houblon. Cette bière est idéale pour accompagner les spécialités culinaires asiatiques, mais également pour une consommation rafraîchissante et festive. La bière Singha dispose du sceau royal marqué sur son col. L’emblème officiel de la famille royale est une distinction très rare en Thaïlande, attribuée à des institutions ou des sociétés au service de la cour royale depuis un certain nombre d’années (en l’occurrence, depuis 1939). Elle souligne l’excellence du produit et la qualité de ses services dans le royaume, et en fait un ambassadeur du pays. C’est la plus haute distinction donnée à une société et un vrai motif de fierté pour la marque. La bière Singha classique est distribuée en France par la société International Beers & Beverages, importateur officiel. Un nouveau format fût de 30 litres fait son apparition en 2017. ...
Dans leurs champs bio de quelques hectares, ces jeunes paysans d’un genre nouveau rayonnent. « Cette vie, nous l’avons choisie, par conviction, par passion », déclarent-ils. Leur crédo : l’agriculture biologique, le travail à la main, l’attention au climat, au terroir. Adrien l’affirme : « les plantes ont du goût, la palette aromatique de la nature est immense, nous soignons les plantes pour restituer ces saveurs ». Tout est produit sur place et séché dans un séchoir suisse de technologie CFT. « C’est le garant d’un résultat optimal. Infusée, la plante est comme fraîche, simplement réhydratée, elle reprend vie. » L’infusion, un produit gastronomique Claire parle de ce projet un peu fou : « Nous voulions sortir l’infusion de son carcan médicinal. La tisane de mamie, c’est fini. Aujourd’hui, les plantes offrent leur saveur pour le plus grand plaisir des gourmets ». Et les chefs ne s’y trompent pas, à la carte du Plazza Athénée by Alain Ducasse, au Clover Shop de Jean-François Piège pour leur camomille romaine ou dans les restaurants du très nature Éric Guérin, on peut retrouver les plantes et les créations des jeunes Bretons. Les épiceries fines aussi s’arrachent leur production très limitée… gage de qualité ! Prolonger l’expérience à table… En 2017, l’Amante Verte a ouvert sa table. « Nous souhaitions proposer aux amateurs de prolonger l’expérience de la dégustation des infusions », fait savoir le couple. Ils rénovent la vieille étable pour créer un lieu atypique. Un café-librairie nature orné d’un très beau jardin en permaculture, où se déroulent des balades botaniques sensorielles et autres ateliers de cuisine sauvage. Un stage permet même de créer son infusion sur mesure ! ...
Témoin incontestable du succès des plus grands noms de la musique antillaise, le restaurant La Canne à sucre perpétue la tradition familiale tout en mettant à l’honneur la cuisine antillaise. Situé dans le 18e arrondissement de Paris, à proximité de la Butte Montmartre, l’établissement vous invite à savourer de la bonne cuisine authentique et savoureuse des Antilles, dans un cadre tout aussi bien familial que convivial. Poisson rôti au four sauce chien (sauce antillo-guyannaise à base de piments, oignon, ail et plusieurs condiments), Croisière exotique pour deux et Flan coco sont autant de merveilles pour les papilles et, également, de belles découvertes culinaires qui vous feront voyager, accompagnés d’une belle sélection de vins rouges, rosés ou blancs. Laissez-vous agréablement surprendre par le plat le plus internationalement connu des Antilles qui est l’Accra de morue. Si, à l’origine, cette spécialité est uniquement composée de morue, aujourd’hui, elle s’accommode avec des crevettes et mêmes des légumes. Un bon diner dans une ambiance musicale Dans une ambiance particulièrement festive, Eddy La Viny accompagne votre diner en reprenant de grands classiques anglo-saxons ou ceux qui ont fait le succès de son père, Gérard La Viny, Mario Canonge ou Malavoi... tous les vendredis soirs. Vous pouvez même prendre la liberté de privatiser la cave voutée pour vous amuser en famille ou entre amis avec amuses-bouches antillais salés, vasque de planteur, gâteau et disc-jockey à la clé. Comme l’a toujours dit Gérard La Viny, « A kaz à La Canne à Sucre » ou, littéralement, « Vous êtes chez vous à La Canne à sucre ». ...
À La Gazette, les mets se dégustent dans un endroit bourré de charme, délicieusement mis en scène par les architectes Delphine Sauvaget et Pauline d’Hoop de Synghem. Le mobilier de style vintage, le motif à feuilles de bananier de la moquette, la couleur des accessoires et les lumières tamisées ont été choisis avec gout pour baigner les convives dans une ambiance branchée et raffinée, d'inspiration exotique. Des délices au rythme des saisons Une fois que l’on est installé confortablement dans l’un des fauteuils des années 1950 de la maison, les choses sérieuses peuvent commencer. Les saveurs fraiches que proposent les marchés de Paris seront suggérées sur une carte qui change toutes les deux semaines selon les ingrédients existants. En entrée, le Tempura de gambas au sésame a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse auprès des clients de La Gazette. Y gouter est presque impératif dans ce restaurant. Vient ensuite le moment de se régaler avec les fameuses Pâtes langue d’oiseau au jambon truffé. Enfin, le Cheese cake à la mangue et passion ou le Moelleux au chocolat et glace vanille sont là pour achever ce mélodieux repas. «Tout cela à un prix qui montre qu’il ne faut pas forcément se ruiner pour profiter d’une cuisine digne de ce nom dans le 16e arrondissement », se félicite Hugo Hussein Salami, propriétaire et associé. Dénicher le vin qui accompagnera le repas à la perfection ne sera pas une affaire délicate au restaurant La Gazette, étant donné la richesse et l’éclectisme de sa carte des vins. Celle-ci est très « ouverte à plusieurs régions », dixit Hugo Hussein Salami. Une promesse d’aller à la rencontre des meilleurs accords. ...
Menthe poivrée, bergamote, violette, les rayons de la boutique que Mauricette Clech a fait tourner pendant plus de 60 ans n’ont pas fini de dévoiler les secrets bienfaisants de ces plantes. Et de tant d’autres que le numéro 35 de la place du Marché déploie sous diverses déclinaisons dans son intrigant « tisane & tea bar ». Quid d’une nouvelle tendance pour tirer des plantes leurs vertus millénaires. Une enseigne modernisée, un mode de consommation remastérisé Entre les plantes et Millymenthe, l’histoire était partie pour durer. Ouverte en 1934 et tenue par le dernier herboriste de France, l’adresse a traversé les décennies sans cesser, un seul jour, de vanter leurs bienfaits. Victoria Renaud-Foughali nous raconte avec enthousiasme l'historique des lieux : « C'est en novembre 2010 que Mauricette Clech, icône de notre herboristerie pendant 63 ans, cède sa place à ma famille. Pendant cinq ans, ma tante Sabine Foughali, diplômée d'un DU en phytothérapie et passionnée par les plantes médicinales, tiendra la boutique avant de m'en laisser les rênes début 2016. C'est elle qui m'a transmis ce savoir ancestral autour des plantes et de leurs bienfaits, ayant elle-même reçu de nombreux secrets botaniques de la part de notre prédécesseur. C'est un héritage immense qui perdure de famille en famille sur plusieurs générations et qui fait la renommée de l'herboristerie Millymenthe depuis tant d'années. » Reliftée par la nouvelle propriétaire, l'adresse est désormais connue de ses adeptes pour son bar à tisane et bar à thé. Un concept bonus pour goûter, façon XXIe siècle, à toutes les vertus de ces boissons. Les spécialités aromatiques sous forme de sirops, de préparations à infuser et de bonbons qui ont fait la renommée de la maison sont toujours commercialisées. Avec en tête d’affiche, l’illustre menthe poivrée – « la plus médicinale des menthes », selon la dirigeante – et ses déclinaisons. Huiles essentielles, gélules et autres préparations phytothérapiques enrichissent les offres auxquelles les habitués et les néophytes accèdent en poussant la porte de cet antre du « bien-être, des plantes et du naturel ». ...
Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité. Cadre sympathie et accueil agréable Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée. Excellente adresse, excellent repas Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. En musique La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme. ...
L’histoire du vignoble remonte au temps de l’Empire romain, lorsque Lucius y cultiva les premières vignes et laissa son nom à la commune. Des moines bénédictins s’en occupèrent et firent sa renommée auprès de la cour d’Angleterre. À la fin du XVIe siècle, le père prieur de l’abbaye de Faize le légua à un des ancêtres de la famille Vauthier en récompense des services rendus. Ainsi, depuis 20 ans, Frédéric Vauthier perpétue au Château Lucas un savoir-faire transmis depuis 18 générations pour produire des vins de Lussac-saint-émilion authentiques. Une agriculture respectueuse de l’environnement Le vignoble du Château Lucas occupe 20 hectares sur le plateau de Lussac-Saint-Émilion. Il est installé sur une terre spécifique aux grands crus de Saint-Émilion, faite de sol argilo-limoneux sur roche mère calcaire. « Ce type de sol permet une belle maturité des raisins », explique Frédéric Vauthier. En outre, la présence de l’argile bleue appelée montmorillonite favorise une irrigation du sol et une redistribution d'eau règulière durant toute la vie de la vigne. Soucieux de s’adapter au fonctionnement des mécanismes de régulation biologique et de l’écosystème local, Frédéric et Anne Vauthier ont fait le choix d’une agriculture raisonnée au sein de leur vignoble. Le sol est labouré à plusieurs reprises dans l’année pour éviter l’usage des herbicides, et les traitements chimiques sont réduits au strict minimum. Par ces procédés, la plante réagit par elle-même et accroit sa résistance naturelle. Spécialiste des vins de bordeaux Au Château Lucas, la production de vins de bordeaux est un savoir-faire transmis de génération en génération. Frédéric Vauthier n’a pas dérogé à cette tradition dans l’élaboration de trois cuvées exceptionnelles : le « Château Lucas », le « Grand de Lucas » et l’« Esprit de Lucas ». Ces cuvées ont la particularité de garder leurs caractères aromatiques, amples, ronds, équilibrés, généreux et consistants à travers les millésimes. Vins fruités, floraux et tanniques, ils accompagnent les viandes rouges et blanches ou des fromages à pâte molle et les fromages de chèvre. Le « Château de Lucas » est un vin d’assemblage en parts égales de merlot et de cabernet franc, des cépages vendangés à la main en partie et à la machine. Une portion de 20 % de ce vin est vieilli en barriques afin d’apporter plus de richesse au reste de la cuvée. Sa production s’élève à 70 000 bouteilles environ par an. L'Esprit de Lucas n'est vignifié que sur les grands millésimes. La marque Tant d’Aime « Couple dans la vie de tous les jours, nous formons aussi un couple dans le travail », déclarent les maitres des lieux. De cette union est née la marque Tant d’Aime, une gamme de vins originale. « Au départ, chacun produit sa propre cuvée, qu’on assemble pour obtenir au final un couple de vins complémentaires en vin d’homme et en vin de femme, à déguster ensemble. On veut transmettre l’image du couple, le travail du couple à travers cette marque », décrypte Anne Vauthier. « Ce sont des cuvées intimes, avec de petits volumes, mais qui sont très appliquées », complète Frédéric Vauthier. Cette marque, lancée en 2014, varie de couleur selon les millésimes. Pour cette année, le tandem a choisi d’élaborer un rosé et un blanc. Le « Blanc de Anne et Fred » 2015 en AOP Bordeaux est une cuvée d’exception, dont la production est limitée à 6 000 bouteilles. Celle-ci est le fruit de l’assemblage de la cuvée d’Anne, fraiche, élégante et fine, et celui de Frédéric, plus aromatique et minérale, fermentée en barriques neuves. Elle a été couronnée d’une médaille d’or lors du dernier Concours mondial du sauvignon. Le Tant d’Aime « Rosé de Anne et Fred » 2015 AOP Bord...
Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle. Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine. Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée. Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie. Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence. Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages. Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins. Un virtuose de romantisme culinaire Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin. Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne. Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales. L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine. ...
Charles de Gasquet décide de développer le vignoble Mentone à la fin du XIXème siècle. Il agrandit les bâtiments et la cave. Puis, Marie-Pierre Caille, tombe sous le charme de ce Château du Var et en fait acquisition en 2003 avec l’aide de son père. Aujourd’hui, la famille Caille y produit des vins de qualité en suivant une démarche éco-responsable. Elle ouvre également ses portes pour l’oenotourisme. Culture et vinification D’une superficie de 170 hectares dont 32 hectares de vignes, le domaine s’étend à la fois sur les communes de Saint-Antonin-du-Var et d’Entrecasteaux. Château Mentone fait partie des plus anciens vignobles de l’appellation Côtes de Provence et une des trois AOP recensées dans le Var. Sept cépages parmi les onze de l’appellation sont cultivés au domaine : Syrah, Grenache, Carignan, Cinsault, Cabernet Sauvignon, Rolle et Clairette. Ces cépages s’adaptent parfaitement au sol argilo-calcaire, perméable et caillouteux et au climat continental du terroir, favorable à la maturité tardive des raisins. Après plusieurs années de viticulture raisonnée, Marie-Pierre Caille engage le virage biologique en 2008 dans le strict respect du cahier des charges ECOCERT. Cette reconversion trouve sa récompense en 2012 avec l’obtention du label AB pour la viticulture et la vinification. Pour aller toujours plus loin dans ce sens, le domaine opte pour la limitation des intrants chimiques au maximum, l’utilisation des levures indigènes et la réduction de l’utilisation du dioxyde de souffre. Ces techniques ont notamment été utilisées dans l’élaboration de la Cuvée Trilogie. Des efforts qui ont été récompensés par une médaille d’argent au Concours de Lyon pour le Rosé 2015. Les atouts de Château Mentone La maison d’hôtes du Château comporte cinq chambre à la décoration personnalisée et un SPA. L’ancien poulailler s’est métamorphosé en trois petites suites familiales en duplex appelé « Le Sévigné ». Le Lodge n’est pas en reste avec ses trois appartements en duplex, entièrement en bois. L’un des appartements est adapté aux personnes à mobilité réduite. Enfin, une grande maison de vacances a été aménagée dans un ancien moulin à huile. Ce dernier possède six chambres avec salles de bain privatives. Terrasses, tennis, pétanque, piscines et parkings privés complètent l’offre. Le domaine prête sur demande des VTT à ses hôtes. Dans un cadre alliant tradition et modernité au milieu des vignes, une cuisine méditerranéenne est servie à la table de la Ferme-Auberge. Les produits du domaine (oeufs, huile d’olive, fruits et légumes du potager), des producteurs locaux ou des marchés environnants permettent de préparer des mets en harmonie avec les vins bio du Château. Une grande salle de réception permet aussi de recevoir des évènements familiaux et professionnels. Un caveau de vente et de dégustation offre une dégustation individuelle gratuite de l’ensemble des vins du Château Mentone. D’autres produits locaux et souvenirs y sont également en vente. Les gammes de vins La gamme Emotion regroupe des vins qui résultent d’un « travail traditionnel, plus facile à comprendre et à déguster ». Entièrement composé de Rolle, l’Emotion blanc 2015 révèle un nez intense sur des fruits exotiques et une bouche aux notes d’agrumes. Ce qui lui vaut une médaille d’or au Concours Général Agricole de Paris en 2016. Le rosé a quant à lui reçu la médaille d’argent au Concours des Vins de Provence. La gamme Trilogie rassemble un rosé, un blanc et un rouge de terroir. Le Rosé millésime 2015 plus particulièrement a séduit les jurys du Concours de Mâcon qui lui a attribué une médaille d’or. La subtilité et la complexité de ce vin composé de 70 % de grenache, 20 % de cinsault et 10 % de clairette justifient son grand succès. La gamme Cuvée Excellence est un rouge de garde. Celle de 2005 a raflé le Prix de Vinalies 2010 et est élu Coup de cœur du Guide de l’Epicurien la même année. Elle dév...
Situé à 15 min de Chinon, entre Tours et Poitiers, le Château du Rivau présente l’énorme avantage d’abriter une ferme où sont plantés et cueillis ses propres légumes, ce qui lui permet une totale maitrise de leur provenance et une parfaite garantie de fraicheur. Une cuisine simple et gourmande Dans sa démarche constante de développement durable ancrée sur l’environnement, l’économie, le volet éthique et social, le Château du Rivau propose une cuisine simple préparée à base de produits frais du jardin. Derrière ses fourneaux, en cuisine, la chef Béatrice Allart déploie un impressionnant savoir-faire à travers une cuisine inventive et particulièrement saine, avec une option pour les végétariens, les végétaliens et aussi pour les intolérants au gluten. D’excellentes soupes artisanales Le Château est un établissement particulièrement réputé pour ses soupes artisanales, préparées à base des produits de la ferme du Rivau, notamment le velouté à la sucrine du Berry, une de ses soupes phares dont les habitués ne s’en lassent pas. Il s’agit d’une savoureuse soupe traditionnelle et artisanale préparée à base des produits de la ferme du Rivau, avec comme principal ingrédient la sucrine du Berry, une courge de variété autochtone, menacée de disparition et qui fait l’objet d’un plan de sauvegarde au sein du Conservatoire de la région Centre. Un salon de thé au cœur du château Tel un voyage dans le temps à l’époque de la royauté, le Château du Rivau dévoile une magnifique bâtisse à l’ambiance onirique et aux décors très contemporains, aménagée avec gout dans une belle association entre Histoire et modernité. Au milieu de ce décor, particulièrement en période de vacances scolaires, l’établissement ouvre les portes de son salon de thé, où il est possible de savourer de nombreuses variétés de thés et autres tisanes aromatisées, accompagnées de délicieux gâteaux faits maison, sans oublier des jus de fruits frais très désaltérants et du soda. Dégustation de vins Grâce à la généreuse contribution de quelques vignerons experts, une visite au Château du Rivau est l’occasion toute trouvée de déguster gratuitement d’excellents vins produits dans la région. La maison propose aussi des dégustations pour les individuels qui se déroulent d’avril à octobre et qui offrent deux formules possibles, à savoir les cépages de la Loire ou les 3 terroirs de Chinon (de type argilo-silicieux, graves ou argilo-calcaire) qui durent 30 minutes. En outre, des dégustations pour les groupes invitant à découvrir un vin de Loire ou un fromage de chèvre de Sainte-Maure-de-Touraine sont organisées dans le décor verdoyant des jardins du Rivau. Promenade ludique dans un cadre médiéval Le Château du Rivau laisse subtilement flotter une ambiance féérique. La magnifique forteresse médiévale est entourée de 14 jardins savamment agencés et minutieusement entretenus, où, selon les propos de Patricia Laigneau, créatrice des jardins, « chaque jardin évoque un conte de fée différent ». Baignant dans un cadre au charme authentique, il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO… Un carnet de voyage incontournable à découvrir en famille. ...