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RECETTES DE CHEFS
Mille et une recettes de restaurants

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    Château Tour Castillon

    Le Château Tour Castillon ouvre les portes de son domaine à tous les amateurs de vins du Médoc. L’occasion de découvrir les créations uniques et originales de cette famille de vignerons depuis plusieurs générations. Château Tour Castillon : le domaine L’histoire du vignoble Peyruse remonte à 1914. À cette date, Théobal Peyruse acheta la propriété de Castillon, située à 60 km au nord de Bordeaux. Classée en appellation Médoc, la vigne s’étend sur 40 hectares. Puis, dans les années 90, ce fut au tour de Pierre Peyruse de prendre les rênes de la propriété avant de les laisser à ses enfants, Sébastien et Laure, en 2019. Ces derniers représentent la quatrième génération en charge du domaine et de l’élaboration du vin. Aujourd’hui, le vignoble est réputé pour ses cuvées nobles, issues de l’assemblage de 5 cépages : merlot, cabernet sauvignon, cabernet franc, petit verdot et carménère. Régulièrement récompensées, les créations de la propriété profitent d’un élevage en fût de chêne pendant 2 ans. Ce qui leur permet de révéler une grande élégance ainsi qu’une grande intensité aromatique. L’oenotourisme au château Tour Castillon Pour apprendre à découvrir les vins du vignoble Peyruse, plusieurs événements sont organisés tout au long de l’année. Ainsi, il est possible de visiter le domaine et de déguster les vins du vignoble du lundi au vendredi. Si vous passez dans le coin, sachez que la visite est gratuite. À savoir : il n’y a qu’en juillet/août qu’elle est sans rendez-vous. Le reste de l’année, il est préférable d’annoncer sa venue.   En complément, vous pouvez aussi réserver une balade commentée qui est un moment privilégié pour en apprendre plus sur le vignoble tout en profitant de paysages d’exceptionnels. Cette promenade qui peut se faire en famille débute directement dans la vigne et se termine dans les chais. Commentée par un membre de la famille Peyruse, c’est l’occasion unique de parfaire votre connaissance des vins de la région et de la viticulture en général. Il ne faut pas oublier non plus l’apéro estuaire qui vous invite à déguster du bon vin et apprécier une bonne planche de charcuterie dans une montgolfière ou sur un carrelet de pêche tous les mardis et vendredis de juillet et août. Finalement, si vous aimez la musique, vous devez noter dans vos agendas les dates des différentes soirées Music and Wine qui se déroulent au bord de l’Estuaire tout au long du mois d’août. Un groupe différent se produit sur scène à chaque fois. De quoi ravir les épicuriens à la recherche d’expériences de dégustation uniques mêlant musique, tapas et vins du Médoc. ...

    Une cuisine du monde avec des saveurs d'ici et d'ailleurs

    Ce restaurant au décor chic, épuré et délicatement boisé dégage une ambiance conviviale et chaleureuse qui vous met d’emblée à l’aise, comme à la maison. Ayant gardé précieusement en mémoire les saveurs extrêmes des plats riches et variés préparés jadis par sa maman, le chef Raoul Coly se plaît à refaire le chemin à l’envers pour faire découvrir à son tour la cuisine africaine, et notamment sénégalaise. En composant de belles assiettes inventives aux épices d’ici et d’ailleurs, il nous embarque dans un festival de couleurs et de saveurs, où l’authenticité et le goût sont à l’honneur. À ses côtés, toute une équipe œuvre avec passion pour vous garantir de précieux moments en famille ou entre amis. Comme le dit l’un des proverbes africains préférés du restaurant, « seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin ». Un club d’amateurs de saveurs exotiques Dans un voyage culinaire qui suscite aussi bien l’envie que la curiosité, découvrez une cuisine qui allie fraîcheur et originalité. Sa rafraîchissante salade Diola, avec son aïoli et ses herbes de Casamance, ou son fameux tartare de bar à la mangue et parfumé au cumbawa sont autant de véritables découvertes culinaires insoupçonnées. Poursuivez avec son savoureux thiéboudienne, le plat national du Sénégal, à base de riz cassé au poisson et ses légumes. Terminez sur une note joyeuse avec son surprenant ananas rôti dans son jus… Un beau parcours en perspective ! ...

    Repaire de Bacchus : le sacre du Printemps

    Depuis le 10 janvier, Le Repaire de Bacchus a pris ses quartiers sur les toits de Paris, au sein d’un univers dédié au meilleur de la gastronomie et de l’artisanat. Un défi passionnant pour l’enseigne qui intègre là une formidable vitrine internationale sans rien perdre des valeurs qui la caractérisent depuis sa création.Sur 200 mètres carrés, soit un espace quatre fois plus vaste que celui de ses boutiques habituelles, cette 40ème adresse propose la plus alléchante et prolifique route des vins hexagonale qui soit. 1500 références de vins, 350 références de spiritueux et 100 bières exclusivement françaises Dans un décor accueillant, sobre et chic, aux couleurs de l’enseigne, elles y sont savamment mises en scène. Dès l’entrée, un magnifique bar d’époque Napoléon III, ancien bar de l’Académie du Vin fondée par Steven Spurrier et Michel Dovaz, dédié aux champagnes donne le ton. On peut y savourer des références renouvelées régulièrement à partir de 10 € la coupe. Puis l’on parcourt toutes les régions de France : si l’on retrouve des références historiques de l’enseigne, cette nouvelle adresse a aussi adapté son offre à une demande qui ne sera pas celle d’une clientèle de quartier. -Plus de Bordeaux : c’est notamment le cas des grands crus classés, dont les 1er Grands Crus Classés que l’on peut dénicher dans 7/8 millésimes incontournables. -Une superbe sélection de Bourgogne : les climats les plus prestigieux de la côte de Beaune et de la Côte de Nuit ou du Chablisien sont présents à travers des vignerons ou des maisons emblématiques. Les Comtes Lafon, Domaine Leroy, Raveneau, Roumier, Dugat-Py, Dauvissat, Chevalier, la Romanée-Conti font rêver bien sûr, mais l’amoureux de bourgognes trouvera aussi largement son bonheur avec des pépites moins célèbres donc plus accessibles et judicieusement choisies. -Les autres régions telles que la Loire, la Vallée du Rhône, l’Alsace, la Champagne ou la Provence équilibrent leur offre entre quelques références emblématiques, découvertes et vignerons historiques de l’enseigne. Ainsi des cuvées Silex de Dagueneau, Château Rayas et Château Beaucastel dans plusieurs millésimes, la maison Trimbach côtoie une sélection de vins accessibles conçus pour un pur plaisir hédoniste bien dans l’ADN de l’enseigne. -Une gamme de prix très large pour tous les budgets : l’on déniche les bouteilles les plus accessibles à 5 euros et une grande partie de l’offre se situe entre 8 et 20 euros. Même si cette 40ème boutique intègre l’univers du luxe, elle n’en a pas perdu pour autant ce qui constitue l’âme de la chaîne : celui d’un caviste artisanal de rue proche de ses clients. -Une offre en magnum conséquente : chaque région s’assortit en moyenne d’une vingtaine de références proposées en magnum, un format très attractif et prestigieux. Et sans oublier les demi-bouteilles. De la rue des Acacias au Printemps du Goût Le Repaire de Bacchus, c’est 35 ans d’aventure humaine saupoudrée d’un grain de folie. Lorsque Dominique Fenouil créé son premier Repaire de Bacchus, en 1983, c’est un peu grâce à la coupe du monde de football 1982 ! Directeur de la promotion chez Radiola, il imagine de récompenser les meilleurs clients avec des caves à vin et part sillonner le vignoble, une passion chez lui. Budget : l’équivalent de 2 millions d’euros. Il prend goût à cette activité et créé donc l’année suivante une boutique, en réalité, plutôt un club d’amis épicuriens à la recherche de bons vins, pas forcément les moins chers du marché, puis s’installe rue des Acacias, dans le 17ème arrondissement de Paris. Rappelons qu’à cette époque, on prédisait la mort du caviste, laminé par l’émergence de la grande distribution. « Je me disais qu’il y avait un marché pour les amateurs. De fait, ça ne désemplissait pas : notre premier bénéfice, l’équivalent de 80 K€, représentait l’équivalent de 2 Porsche &agra...

    AIX Rosé : une belle expression de la Provence

    Créé en 1880 et dédié à la production de truffes, le domaine de la Grande Séouve où est situé la Maison Saint Aix a été reconverti en vignoble dans les années 1900. Aujourd’hui, il est la propriété d’Eric Kurver, viticulteur d’origine hollandaise qui s’est installé dans la commune de Jouques avec sa famille dans les années 2000. Le must de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence Niché près de la commune de Jouques, au nord d’Aix-en-Provence, le domaine repose sur un terroir de caractère. La Provence est réputée pour son originalité bien présente. Essentiellement argilo-calcaire, « la terre force les pieds de vignes à puiser l’eau profondément, ce qui confère tout son caractère à la cuvée », explique Eric Kurver. Le domaine exposé plein sud culmine à une altitude de 400 mètres au gré d’un courant d’air chaud et sec idéal pour les cépages comme le grenache, le syrah et le cinsault. Vignoble en agriculture biologique, le domaine de la Grande Séouve s’oriente vers une culture en harmonie parfaite avec l’environnement. Ses vignes vieilles de quarante à cinquante ans procurent une maturité exceptionnelle aux raisins. Un vin d’exception… Avec sa fraîcheur et son fruité, AIX Rosé s’impose comme une référence auprès des œnophiles avertis. Le « Great Rosé @ Great Places​ » trouve sa place dans toutes les caves des plus grands établissements parisiens, aixois et lyonnais, et s’exporte dans une trentaine de pays dont les États-Unis, l’Angleterre et la Suisse. La distribution est « très sélective pour préserver cette authenticité qui nous est chère », souligne Eric Kurver. La robe rose saumon hypnotique d’AIX Rosé révèle la qualité et la fraîcheur des meilleurs rosés de Provence. Sa générosité, sa structure ainsi que sa longueur en bouche font d’AIX  le rosé idéal à partager entre amis tout au long de la journée. ...

    Café du Soleil : un bistrot à la hauteur de sa réputation

    Café du Soleil est un ancien relais de chasse reconverti en auberge, pour devenir aujourd’hui un bistrot sympathique à l’identité bien affirmée. Le décor de la maison qui préserve son air d’antan malgré les rénovations subies raconte 400 ans d’histoire. Ici, les habitués comme les clients de passage se sentent très vite chez eux et se laissent emporter par l’ambiance chaleureuse qui rythme la salle, « comme dans un vrai bistrot », selon Adriano Dupraz, le gérant. Offrir une palette de goûts La carte est variée, alléchante et reprend les grands classiques de la cuisine bistronomique. « Elle change selon la saison : la chasse en automne, des plats plus légers et des salades en été, et des recettes plus consistantes à base de fromage en hiver. »D’ailleurs, la fondue suisse constitue la signature de la maison, un plat qui continue à faire son petit effet à chaque dégustation. Elle est préparée uniquement à base du fromage AOC Gruyère et relevée ensuite par du vin blanc. En guise d’entrée, le chef propose l’intemporelle salade paysanne ou encore la salade de foies de volaille, une assiette qui séduit à tous les coups. Les malakoffs, une spécialité locale, s’imposent également et prennent la forme de savoureuses boules de fromages. En guise de plat, les grillades sont au rendez-vous : steak de bœuf grillé servi avec, au choix, de la sauce au poivre vert ou un beurre maison aux échalotes, accompagné de frites maison et d’une petite salade. En parallèle, le chef suggère un plat du jour selon les produits de saison : de la choucroute maison garnie de charcuteries du pays, ou encore de l’escalope de saumon d’Écosse poêlé sur lit de chou et pommes vapeur. Le périple culinaire s’achève sur une touche de gourmandise. « Les clients ont le choix entre la meringue double crème de Gruyère, un dessert phare en Suisse, le moelleux au chocolat et sa boule vanille, ou l’ananas frais au basilic. » Côté vins, la carte met à l’honneur les vins suisses et les vins locaux. Parmi les références : du chardonnay issu du domaine Centaure Claude Ramu en blanc, de l’AOC Gamaret La Clémence de la Cave de Genève en rouge, du rosé de gamay du domaine Château l’Évêque Mevaux. En outre, la cave a toujours en réserve quelques vins étrangers pour satisfaire une clientèle internationale. ...

    Champagne Edwige François : l’élégance et la finesse du terroir

    Située à Charly-sur-Marne, cette exploitation familiale travaille ses 8 hectares en viticulture durable. Soucieuse de la protection de l’environnement, elle a proscrit les herbicides depuis 20 ans et privilégie les méthodes alternatives. Des cuvées récompensées Le savoir-faire de cette famille de récoltants-manipulants est mis en avant dans l’élaboration de leurs cuvées qui leur vaut chaque année des récompenses à différents concours comme le Tradition Brut, qui a obtenu la médaille d’or aux vignerons indépendants en 2017 et dernièrement une médaille d’argent pour la cuvée Magic Vintage 2009 pour ses notes gourmandes toute en finesse. ...

    Grosperrin : des cognacs d’une finesse rare

    Installée au cœur de l’appellation « Cognac », la Maison Grosperrin est la dernière maison de cognac située à Saintes, dans le département de la Charente-Maritime. Cette société indépendante ne cesse de parfaire sa prestigieuse collection et se nourrit d’une culture d’excellence et d’authenticité depuis 1992. Respecter un savoir-faire « Nous pratiquons le négoce comme il se pratiquait autrefois au XIXe siècle », nous souffle le propriétaire, Guilhem Grosperrin. Son métier est de rechercher auprès des viticulteurs (mais assez peu, puisque ces derniers à Cognac ne possèdent qu’une très petite partie des stocks de la région) des héritages, des distilleries, ou auprès d’indivisions de propriétaires retraités ou décédés, des cognacs anciens, souvent millésimés, et toujours rares. Ces Cognacs exceptionnels peuvent provenir de distilleries et d’exploitation aujourd’hui disparus. Tous ont leur histoire à raconter, étroitement liée à l’histoire des hommes qui les ont produits et conservés. Ce travail de sélection n’est qu’une partie du métier, puisque c’est dans les chais de la Maison GROSPERRIN que ces eaux-de-vie rares vont poursuivre leur lente maturation pendant 10, 15 ou 20 ans et progressivement révéler leur identité propre et leur caractère unique. C’est cette personnalité affirmée, façonnée par l’histoire de chaque cognac, que la maison s’attache à développer. Pour ce faire, la maison possède un vrai savoir-faire en matière de vieillissement, et préserve aussi ses cognacs des adjuvants tels que sucre, caramel et boisé. Les cognacs de la maison sont commercialisés auprès des meilleurs établissements de France et des importateurs spécialisés dans le haut de gamme à l’étranger. Le cognac, symbole du luxe et incarnant à la perfection l'art de vivre à la française est d'ailleurs dignement mis en lumière par le fameux photographe d'art Stephane Charbeau à travers ses photographies insolites. La Maison GROSPERRIN ouvre ses portes Visiter Grosperrin, c’est plonger dans un monde à part, presque un sanctuaire. « Les découvertes se passent dans une ambiance vraiment intimiste en petit groupe, c’est une immersion dans le monde confidentiel de Cognac. » Guilhem Grosperrin lui-même consacre un temps précieux pour expliquer la philosophie de la maison et faire découvrir la collection. Les visites commentées commencent par les chais historiques récemment rénovés pour comprendre le parcours des cognacs depuis leur arrivée en barriques jusqu’à l’embouteillage. Une dégustation sur fûts et au laboratoire s’enchaîne ensuite. La visite se clôture par un passage en boutique, où les visiteurs peuvent acheter directement les produits de cette collection exclusive. ...

    Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles

    Le Château Corbin Michotte et la famille Boidron La famille Boidron vit le vin comme une évidence de génération en génération à partir de 1760. Jean-Noël Boidron (Membre de l’Académie Internationale du Vin et de l’Académie des Vins de France) est un viticulteur chevronné et un œnologue, dégustateur reconnu et propriétaire de plusieurs crus en Libournais. Il élabore ses vins avec rigueur et passion. Il est également un homme très attaché à la terre. Il a acquis le Château Corbin Michotte en 1959. Le château était à l’origine une des parties d’un grand domaine féodal propriété du Prince Noir, Edouard de Woodstock, sous l’occupation anglaise. Remis en état par Jean-Noël Boidron, le domaine est devenu familial où il se fait assister par ses enfants Hubert Boidron (production), Emmanuel Boidron (commerce) et Isabelle Boidron (administratif). Dans les crus produits de la famille Boidron, il y a une philosophie qui exprime, comme dans les arts, un choix esthétique défini par cette devise : « Excellence, Harmonie, Humilité ».  Le Château Corbin Michotte Saint-Émilion Grand Cru Classé En 1980, les chais ont été reconstruits pour respecter la qualité des raisins. Les vignes sont plantées sur les sols sablo-limoneux brun-gris reposant sur un sous-sol sablo argileux très ferrugineux avec des graves en surface. Ce sol est l’un des plus riches en oligo-éléments d’où la typicité de ce vin. Prônant un retour aux sources pour un vin de qualité, le vignoble n’a jamais été traité avec de l’herbicide. Toujours dans l’esprit de démarche qualité, le processus est manuel de la vendange à la mise en cuve. La vinification se fait naturellement. La macération est longue, et elle est suivie d’une dégustation quotidienne. L’élevage se fait en fûts neufs et dure de18 à 24 mois. La répartition des cépages se décide chaque année selon la dégustation par les trois œnologues la famille. Conservés en cave, on y assemble que les lots de parfaites qualités atteignant la haute expression recherchée. Au service, le vin fait ressortir une grande profondeur dans sa couleur avec des reflets bleu-violet. Légèrement boisée avec des tannins bien présents, mais d’une grande finesse, en bouche ce n’est que du plaisir. Ce vin est l’illustration même des plus grands crus qui ont fait la renommée de l’appellation Saint-Émilion Grand Cru. ...

    Tamarillos - Atelier des fleurs comestibles : la gaieté en toute saison

    Ouvert du lundi au dimanche, le restaurant au style contemporain fait partie des meilleures tables de France et fait la fierté de Montpellier. Artiste dans l’âme, Philippe Chapon concrétise ses assiettes en empruntant leur aspect à des tableaux où les formes et les couleurs se mélangent, sans oublier l’alliance des goûts, faisant de sa cuisine, un délice digne de la haute gastronomie française. Le savoir-faire du sud de la France Depuis quinze ans, Le Tamarillos ne cesse de proposer de nouvelles recettes, tout en conservant un savoir-faire dont seul Philippe Chapon détient le secret. Pour agiter vos papilles, toutes les créations culinaires sont parsemées de fleurs aux couleurs, textures et saveurs différentes. C’est à travers les produits du terroir de la région que les convives découvrent ce qu’est la bonne cuisine du Sud, tantôt bistronomique (midi), tantôt gastronomique (soir). Le plus pour l’établissement est l’utilisation du chiller, outil qui permet de rafraîchir les boissons en quelques minutes seulement, ce qui fait le plaisir des amateurs de vin. Cuisine de façon nature… « Faire de la cuisine de façon nature, selon ce que la nature procure », dixit Philippe Chapon, passionné de cuisine et de pâtisserie. Le menu parfait est, pour lui, composé d’un carpaccio de noix de saint-jacques, de pamplemousse, de tartare d’algues et d'un festival de fleurs, suivi d’un filet de loup de région et d'une purée aux fines herbes, de jus à la vanille, accompagnée de fleurs de bourraches, pour s’achever avec une émotion fraise et rose. La cuisine est un don, une passion, une vocation chez Philippe, raison pour laquelle il projette d’organiser des expositions de vernissage en rapport avec les fleurs, toujours accompagnées de bons petits plats. Il est également auteur de plusieurs ouvrages dans lesquels il partage ses recettes (Éditions du Chêne). Une de ses signatures : il est créateur de la dentelle de fruits, une technique qui permet de réaliser de fines lamelles de fruits croustillantes. ...

    Tout & Bon : le spécialiste de la restauration livrée en entreprise

    Petit déjeuner, pause déjeuner, plateaux repas, cocktail ou encore buffet... Tout & Bon, c’est avant tout de nombreuses formules au choix, élaborées exclusivement à partir de produits sains, sélectionnés pour leur qualité et leur fraicheur.  Produits frais, réactivité, large choix L’enseigne a été créée en 2010 par Marc-Antoine Toulemonde. Celui-ci débute son aventure dans l’univers de la restauration en ouvrant un salad bar, implanté à Lille. Très vite, ce jeune entrepreneur se tourne vers la restauration d’entreprise et décide de se lancer dans la livraison de plateaux repas. Aujourd’hui, Tout & Bon se destine exclusivement à une clientèle B to B. L’enseigne se positionne en tant que premier réseau de restauration livrée en entreprise sur le marché de la livraison, avec plus d’une vingtaine d’établissements ouverts et en cours d’ouverture d’ici à fin 2018. Elle compte plus de 10 000 clients dans toute la France. Elle suggère une offre complète de produits frais directement préparés dans ses cuisines. Celle-ci inclut une gamme adaptée à des régimes alimentaires spécifiques (sans gluten, sans lactose ou végétarien). Ce qui fait surtout la force de l’enseigne, c’est sa capacité à apporter une réponse rapide et adaptée à toutes les demandes. « Nous avons su répondre à une demande grandissante d’un public de professionnels en quête de toujours plus de réactivité et de plus de choix dans leurs besoins de restauration. Ainsi, nous proposons la livraison de produits frais, commandés et livrés en un clic, même en dernière minute ! », fait valoir Marine Bolzan, chargée de communication de Tout & Bon. Un traiteur engagé En 2019, le traiteur national met l’accent sur le développement de packagings éco-conçus en intégrant des matières uniquement recyclées, recyclables ou biodégradables. Les coffrets de tous les plateaux repas Tout & Bon sont exclusivement fabriqués en France. L'enseigne propose également à ses clients un sourcing en faveur du « mieux manger » en incluant majoritairement des produits labélisés, respectant les divers régimes et contraintes alimentaires, en proposant une sélection de produits issus du commerce équitable, de l’agriculture biologique et des produits régionaux. Dans ce contexte, un partenariat avec l’association Reforest’Action a été établi pour compenser son empreinte carbone avec un objectif : 1 arbre planté tous les 100 repas servis ! ...

    Le Clos d'Augusta : la charmante maison bordelaise

    A deux pas du Centre Mériadeck, une maison au charme indéniable attire et séduit : Le Clos d’Augusta. Installé dans l’ancienne Bûcherie, le restaurant fait la fierté de ses propriétaires Samuel et Cristina Zuccolotto depuis maintenant treize ans. Avec dynamisme et passion, ils se surpassent au quotidien dans le but de satisfaire au mieux les attentes de leurs convives. En cuisine, Samuel enfile sa toque et surprend avec ses plats aussi originaux que savoureux. En salle, Cristina s’occupe de l’accueil et apporte une attention particulière à chaque convive tout au long de leur repas. Un havre de paix en pleine ville Dès l’entrée, la salle dégage une douce chaleur qui confère une ambiance feutrée et cosy. Travaillée et soignée, la décoration allie à la perfection le parfait mariage entre l’ancien et le contemporain. D’un côté, la salle arbore le style colonial et opte pour une couleur beaucoup plus sobre afin de ressortir son côté raffiné. De l’autre, le mélange blanc et vert révèle un brin de dynamisme et apporte de la modernité à l’ensemble. Mais au Clos d’Augusta, rien n’a été fait au hasard. A commencer par cette couleur verte qui a une importance particulière pour Samuel. En effet, elle reflète sa passion pour le golf. Ainsi, la moquette, les poutres apparentes et les vaisselles portent cette teinte vivifiante. D’ailleurs, il confie que le nom du restaurant a été inspiré par Augusta, le célèbre tournoi des maitres dédié aux golfeurs professionnels. Par ailleurs, la disposition des tables vise à apporter plus d’intimité, un critère particulièrement important pour une clientèle exigeante. Pour couronner le tout, les lumières subtilement disposées à travers la salle apportent un coup d’éclat à l’ensemble. Et, à l’extérieur, le jardin du restaurant prépare à une toute autre surprise. Véritable havre de paix, c’est l’endroit parfait pour un diner ou un déjeuner en toute sérénité. L’occasion pour les convives de passer une expérience culinaire inédite tout en admirant la beauté de la nature. Une cuisine créative Mais la surprise ne s’arrête pas à la décoration, elle est aussi et surtout présente dans l’assiette. En effet, les plats surprennent autant par leur présentation que par leur goût. Derrière ce grand art se cache un chef créatif et  méticuleux : le chef Samuel Zuccolotto. Sans chichi, il revisite à la perfection les grands classiques et apporte une touche personnelle qui révèle sa parfaite maitrise des textures et des saveurs. Sans les dénaturer, il transforme les produits soigneusement sélectionnés sur le marché en des vrais chefs-d’œuvre culinaires. Parmi ces spécialités : le ravioli de langoustines, maïs à la vanille et voile de pistache qui révèle toute la fraîcheur des saveurs marines, le succulent dos de lieu jaune de ligne aux coquillages et céleri fondant qui promet une aventure gustative riche en émotions ou encore le dessert tout chocolat à la confiture de mangue qui apporte une sensation de douceur. Il est à noter que pour chaque plat, le chef arbore fièrement le « fait maison » y compris pour le pain. A midi, avec le menu affaire à 25 €, le chef Samuel propose une entrée, un plat de résistance et un dessert. Le soir, les convives peuvent composer eux-mêmes leur menu en optant pour l’Augusta à 47 € ou se laisser surprendre par un menu, choisi pour l’ensemble de la table avec la formule découverte à 67 €. En outre, il propose une carte qui évolue au rythme des saisons et qui se compose de plats particulièrement raffinés. Pour accompagner le repas, Cristina expose la magnifique collection de vins de l’établissement et dévoile ainsi son talent de sommelière pour conseiller les convives dans leur choix. ...

    #SIALPARIS2018 : laboratoire de l’innovation alimentaire

    7200 exposants de 109 pays, 160 000 visiteurs de 194 pays, 120 délégations, 21 secteurs d’exposition. Au Salon International de l’Alimentation, on ne voit les choses qu’en grand. Depuis 1964, cet évènement organisé par Comexposium rassemble les acteurs mondiaux de la filière agro-alimentaire en quête d’inspiration. Pour cette édition 2018, SIAL Paris place la barre encore plus haute en concoctant plusieurs nouveautés. A l’avant-garde de l’alimentation Tous les deux ans, SIAL Paris devient la vitrine de l’offre alimentaire mondiale en révélant les produits alimentaires issus des quatre coins du monde allant des boissons, à l’épicerie fine, en passant par les produits diététiques ou encore les produits traiteurs et plats cuisinés. De simples ingrédients ou des produits transformés qui aiguisent la créativité de chefs de renommée internationale invités à faire leur show dans l’espace « La Cuisine ». Ici, en plus des démonstrations culinaires, la nouveauté 2018 concerne l’organisation quotidienne de cours de cuisine à l’adresse des visiteurs. Les 100 meilleurs produits sont également récompensés à SIAL INNOVATION. Un jury hétéroclite a été rassemblé pour l’occasion, avec des professionnels de la restauration ainsi que des experts de l’alimentation et évidemment Yannick Alléno, parrain de cette édition 2018.  En écho de SIAL INNOVATION, SIAL Paris 2018 présente en exclusivité un nouvel univers baptisé Future Lab. Projetant les idées et thèmes à l’horizon de l’innovation alimentaire, cette zone située à l’entrée du hall 6 se déclinera en trois univers. En premier lieu, le #foodlab 2030, un tunnel immersif et expérientiel où des scénarii futuristes développant les quatre thèmes abordés dans l’étude sur les grandes tendances du Food en 2030 réalisée par SIAL et AlimAvenir seront à découvrir. Puis, #Rising start-ups, un espace dans lequel 50 entreprises triées sur le volet auront l’opportunité de participer au salon. Enfin, #VR LAB ou « quand la planète food rencontre la réalité virtuelle ». Dans tout cet élan, l’évènement sera au coeur d’un phénomène majeur : l’Alternative Food. Les acteurs de ce secteur en plein boom échangeront et découvriront les innovations et opportunités de l’alimentation de demain, plus saine et respectueuse de la nature et de l’homme. A ne pas rater : l’Alter’Native Food Forum au cours duquel des visites guidées sur le thème de la santé et des ingrédients alternatifs seront organisées. ...

    Restaurant Le Chatillon : un endroit authentique pour déguster les produits de la mer 

    Très loin des quartiers touristiques, il faut sortir un peu du centre-ville pour découvrir cet établissement, perdu au milieu des entrepôts de pêcheurs et des ateliers de marée. En 1992, Patrice Baude, lui-même poissonnier depuis près de 40 ans, a repris Le Chatillon, tout en conservant l’histoire et l’esprit de la maison. Un autre univers « En 1950, l’établissement était conçu et réservé aux marins, dockers, mareyeurs ou fileteurs de Boulogne qui travaillaient jour et nuit dans le poisson », nous décrit le propriétaire en parlant des débuts du Chatillon. Depuis, il semble que rien n’a beaucoup changé. Le restaurant continue d’être une adresse incontournable autant pour les professionnels intervenant dans les métiers du poisson que pour les particuliers, à la recherche de délicieux plats à base des produits frais de la mer. L’établissement a aussi préservé son ambiance très dynamique et chaleureuse. De l’extérieur, la façade du restaurant se fond parfaitement dans le paysage et une fois à l’intérieur, l’on se retrouve plongé dans une atmosphère unique, au style marin. Les voiles, le gouvernail, le hublot, et les décorations murales transportent les clients vers une escapade en mer. Du choix et de la fraîcheur Le Chatillon bénéficie d’une clientèle variée composée d’habitués et de simples gourmands de passage. Les clients se laissent séduire par le menu unique à 23 €, qui se compose d’une entrée du jour et d’un plat qui varie selon les produits de la pêche, et enfin d’un dessert fait maison. La carte affiche également un large choix de plats de poissons frais cuisinés sur place. En entrée, les petits maquereaux marinés façon dieppoise, ou encore l’assiette boulonnaise avec son assortiment de saumon fumé, filet de hareng, lisette et maquereaux fumés sont un régal pour les papilles. En plat de résistance, l’aile de raie au beurre roux ou à la crème de Normandie reste un grand classique et connaît un franc succès du restaurant. « On fait notamment huit à neuf plats de poissons tous les jours », continue notre interlocuteur. En outre, les clients peuvent tenter le généreux plateau de fruits de mer, qu’il faut commander 24 heures à l'avance. Côté vins, Le Chatillon en propose quelques-uns venant des petits producteurs. ...

    Château Bellevue la Forêt : vitrine de l’appellation Fronton

    Le vignoble de 115 hectares d’un seul tenant profite d’un sol et d’un climat favorable au développement de la Négrette. Rapporté de Chypre par l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem au XIIème siècle, ce cépage autochtone et règlementé est spécifique à Fronton. Il donne naissance à des vins souples et au remarquable fruités. La Négrette à l’honneur En dégustant un vin à base de la Négrette, vous aurez l’impression de croquer dans le raisin frais. Elle procure une belle et douce fraîcheur au nectar. La Cuvée Rosé 2018 en est la preuve. Réalisé à partir de 85% de ce cépage, le vin dévoile un nez frais et intense et des notes suaves, équilibrées, rondes et vives en bouche, sur fond de fruits rouges. « Le Rosé est une particularité de Fronton. L’appellation produit 40 à 50% de ses vins en rosé. À part la Provence, c’est rare en France», révèle l’équipe du Château Bellevue la Forêt. ...

    Champagne Cordeuil :
    le goût de l’authenticité, l'élégance d'un champagne bio

    C’est sur le terroir de la Côte des Bar que les cuvées Cordeuil puisent leur typicité et leur mosaïque aromatique. Au cœur de la Champagne-Ardenne, dans le département de l’Aube, le vignoble de quatre hectares est ancré sur une terre propice à la viticulture. Salima et Alain y cultivent essentiellement 2/3 de pinot noir et 1/3 de chardonnay selon les principes de la viticulture biologique depuis 2012 et ont reçu la certification en 2015. La marque s’est engagée de façon officielle avec l’organisme ECOCERT afin d’offrir « une visibilité claire et indéniable au consommateur désireux d'un champagne sans intrants chimiques, sans pesticides », fait savoir Salima. Rigoureux dans la viticulture, ce couple de récoltants-manipulants l’est aussi dans la vinification. A la cave, les vins sont vieillis plusieurs années de façon à favoriser la meilleure expression de leur caractère. « Après tout, en Champagne, c’est au vigneron de faire vieillir son vin et non au consommateur » déclare notre interlocutrice. Ainsi, les vins issus de la gamme de 2011 n’ont été mis en vente qu’à partir de 2016. Une gamme qui s’étend d’année en année De ces procédés particulièrement stricts naissent les quatre cuvées de qualité qui ont « de la bouteille (de l’âge) ». Depuis 2014, la maison a produit une cuvée mono parcellaire appelée Les Charmottes, selon une démarche lente et attentive afin d’atteindre singularité et authenticité. Salima nous confie qu’ils sont également en train de travailler un mono parcellaire Blanc de Blancs qui constituera leur sixième cuvée. ...

    Hôtel & Spa Des Pêcheurs : un lieu idéal pour les événements d’affaires et les réunions en Corse

    Île privée s’étalant sur 120 ha, Cavallo fait partie de ces endroits privilégiés mais surtout préservés de la côte Corse. Son histoire mais aussi sa situation au cœur d’une réserve protégée en font l’endroit idéal pour se ressourcer. Mais Cavallo, c’est bien plus que cela... Une salle de conférence moderne et polyvalente Depuis le débarcadère de Pianterella, l’île de Cavallo se trouve à 2km de la côte Corse. Bercée par les eaux cristallines de la Méditerranée, siutée entre le détroit séparant la Corse et la Sardaigne, l’île constitue le point le plus méridional de la France Métropolitaine. Unique hôtel de l’île, l’Hôtel & Spa des Pêcheurs est un lieu de choix pour les événements d’entreprise en Corse. Idéalement situé, il offre le temps d’une escapade un cadre idyllique pour des réunions d’affaires et professionnelles. L’hôtel dispose ainsi d’une salle de conférence moderne et polyvalente qui peut accueillir jusqu’à 80 personnes et est équipée d’un système de sonorisation et de microphones pour les orateurs. Des équipements audiovisuels de pointe, tels que des écrans de projection, des projecteurs et des systèmes de présentation sans fil, permettent aux participants de profiter d’une expérience immersive et interactive. Moderne et spacieusement agencée, cette salle dispose aussi de toutes les connectiques nécessaires pour assurer le bon déroulement des réunions. Pour les déjeuners, les pauses et les dîners, le restaurant de l’hôtel saura ravir les convives. Une table renommée, où se côtoient cuisine italienne et française. Mer oblige, les produits locaux ont la part belle. Pour des réunions plus personnalisées de moins de 20 personnes, pourquoi ne pas privatiser le bar de l’hôtel. Un décor de rêve pour travailler L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est bien plus qu'un simple lieu d'hébergement. Il se distingue par sa personnalité charmante et sophistiquée, offrant 50 chambres et suites conçues avec goût. Chacune de ces oasis spacieuses est dotée d'un balcon ou d'une terrasse privée offrant une vue imprenable sur les eaux scintillantes de la mer. Afin d’accompagner la planification de vos évènements professionnels, l’hôtel met à disposition son équipe de planification. De véritables experts qui s'efforcent de faire de chaque séjour un succès en aidant les entreprises à concevoir et à exécuter un emploi du temps parfaitement orchestré. De la coordination des services de transport aux réservations de dernière minute, en passant par l’organisation des journées, rien n'est laissé au hasard. L'équipe se consacre à chaque détail pour garantir que les participants vivent une expérience inoubliable. Pour renforcer la cohésion et l'esprit d'équipe des entreprises et des groupes, l'hôtel propose une multitude d'activités de team building stimulantes. Au choix, les sorties en mer sont une expérience incontournable pour ceux qui souhaitent découvrir la beauté enchanteresse de la mer Méditerranée. ...

    Le Palais Bahia :
    une cuisine marocaine aux accents de la Méditerranée

    Dans un décor inspiré des plus beaux palais marocains, le restaurant baigne dans une ambiance conviviale et envoutante avec, à la clé, un généreux mélange d’épices et de parfums d’Orient. Tout, au Palais Bahia, donne la nette impression d’entrer dans un palais des Mille et Une Nuits, sans parler de la cuisine tout à fait à l’image du Maroc, qui est tout autant gouteuse que copieuse ! Une cuisine authentique Succulents tajines, différents couscous et savoureuses grillades rivalisent de concert pour émerveiller les papilles, dans un bel alliage de raffinement et d’authenticité. Préparée à toutes les sauces, chaque spécialité est une véritable découverte qui se décline en plusieurs variétés.    Belle découverte en plein cœur de Nantes, Le Palais Bahia dispose d’un large choix de menus. Le menu Midi Express à 10 € (sauf les weekends et jours fériés) vous donne le choix entre un couscous (poulet, agneau, merguez ou boulettes) et un tajine fassi (poulet citron confit ou agneau haricots verts) suivi d’un thé ou d’un café.  Le menu Aladin à 36 € est composé d’un cocktail Aladin, d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal (agneau cuit à l’étouffée ou poulet, pruneaux, dattes et miel) avec un dessert au choix, thé ou café.  Le menu Maison à 30 €, quant à lui, est composé d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal, d’un dessert au choix et d'un thé ou d'un café. Un menu Enfant à 8 €, composé d’une couscoussette à la viande et d’une boule de glace, est également proposé par le restaurant, ainsi qu’un menu Étudiant à 16 € comportant un cocktail maison, un couscous à la viande et un thé. ...

    Domaine Saint Andrieu : les vins rosés
    de la Provence dans toute sa splendeur   

    Ce sont Jean-Paul et Nancy Bignon, les heureux propriétaires du Château Talbot, grand cru classé Saint-Julien dans le Médoc, qui ont découvert ce trésor niché au cœur de la petite commune de Correns (Var). Il a fallu quinze années de travaux de restructuration pour hisser à l’international le domaine Saint Andrieu au rang des meilleurs ambassadeurs de l’appellation côtes-de-provence et de coteaux-varois-en-provence. Immersion dans cet univers exceptionnel.   Une démarche respectueuse de l’environnement  « Le domaine Saint Andrieu est immense. Nous sommes sur 650 hectares de terrain, isolés au milieu d’une Nature immaculée, entourés de collines, de champs d’oliviers et de quelques vieilles fermes », décrit Jean-Pierre Marty, directeur général du Château Talbot. Le vignoble fait 29 hectares, où sont plantés grenache, syrah, cinsault, mourvèdre et rolle pour faire honneur à la région. Il est morcelé en plusieurs parcelles. Une partie située au nord-ouest accueille l’aire d’appellation coteaux-varois sur un terroir agréablement exposé au mistral. Une seconde partie est consacrée à l’appellation AOC côtes-de-provence, essentiellement en sol argilo-calcaire favorable au drainage naturel. « En haut plateau, nous pouvons avoir jusqu’à 400 m d’altitude. La rencontre du climat méditerranéen avec la douceur continentale procure une belle fraicheur aux vignes. » Labellisé HVE (haute valeur environnementale), le domaine Saint Andrieu s’est engagé dans une démarche respectueuse de l’environnement en conduisant l’ensemble de son vignoble en lutte raisonnée. Cette philosophie s’applique essentiellement dans le travail du sol qui se fait mécaniquement mais également dans le traitement des vignes, bénéficiant d’un soin ciblé, grappe par grappe. « Quand vous êtes à Saint Andrieu, c’est la Nature qui s’impose à vous et pas autrement », déclare avec conviction Jean-Pierre Marty. Les cuvées de la maison Provence oblige, le rosé domine près de 85 % de la production annuelle de la maison. Celle-ci gravite autour de 150 000 bouteilles. La gamme se décline en 6 cuvées, 3 couleurs en AOC côtes-de-provence et 3 couleurs en AOC coteaux-varois-en-provence, avec une cuvée confidentielle baptisée Lily Rose. Le Domaine Saint Andrieu Rosé 2017, en appellation côtes-de-provence, se distingue par son assemblage issu des plus belles récoltes de grenache (44 %), cinsault (38 %) et syrah (18 %). Un nez exquis aux notes de fruits exotiques accompagne une bouche ronde et voluptueuse, agrémentée par une pointe d’agrumes. Sa belle vivacité se termine sur une finale élégante. Il se déguste idéalement avec la cuisine du terroir, en accompagnement avec des petits farcis de Provence ou des Saint-Jacques grillées à la provençale. Toujours en rosé, la maison fait découvrir sa cuvée ambassadrice signée Cuvée confidentielle Lily Rose AOC côtes-de-provence. Celle-ci est confectionnée essentiellement à partir de mourvèdre et de rolle, vendangés en septembre 2005. « Cette cuvée est réservée aux restaurants gastronomiques et aux cavistes qui cherchent du rosé de haut de gamme », nous souffle-t-on. D’une grande pureté, Lily Rose est un vin riche, tendu avec une belle minéralité et une agréable longueur en bouche. Une collection rare et limitée à 1 800 bouteilles. En raison de leur singularité, les vins du domaine Saint Andrieu sont très prisés par les restaurants gastronomiques ou étoilés. La Potinière du Palais, à Cannes, L’Hôtel Cheval Blanc, à Courchevel, ou encore le Bacon, à Antibes, ont ainsi choisi d'inclure les cuvées du domaine Saint Andrieu dans leurs caves à vins. ...

    La Ferme aux vins : un mix subtil entre cuisine traditionnelle et nouvelles tendances

    Un jardin fleuri et une grande piscine qui ajoute une note de convivialité tout en invitant à la détente. Bienvenue à La Ferme aux vins. Bourguignons ou voyageurs de passage sont accueillis par une équipe dynamique, souriante et chaleureuse, placée sous la houlette de Marie-Pierre Bêche, la directrice des lieux. Quand le temps le permet, les parasols s’ouvrent à l’extérieur pour recevoir les clients avides de soleil et d’air frais. L’intérieur est tout aussi propice à la convivialité. Le décor propose un doux et ingénieux mélange entre confort et modernité. C’est dans cette ambiance de charme qu’évolue le chef Xavier Bitarelle, un spécialiste de la cuisine traditionnelle qui maitrise son art à la perfection. Capital confiance La Coupole à Paris, Dalloyau, l’Hostellerie de Levernois : Xavier Bitarelle fait ses armes dans les établissements les plus prestigieux. Cette longue et riche expérience lui vaut toute la confiance de la famille Jacquier, qui lui confie les rênes du restaurant La Ferme aux vins en 2008. Rappelons que, depuis 4 générations, l’existence du groupe Hôtels Bourgogne Qualité est fondée sur les valeurs portées par la famille Jacquier, profondément attachée à la Bourgogne, et passionnée par les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Aujourd'hui, Hotels Bourgogne Qualité, ce sont 11 hôtels en Bourgogne, de l’économique au 5 étoiles, ainsi que 7 restaurants gourmets et gastronomiques. Xavier Bitarelle, un maestro de la cuisine bourguignonne Prêt à redynamiser La Ferme aux vins, ce chef efficace et fignoleur y sculpte les parfums, les goûts et les harmonies pour au final proposer une cuisine de terroir relevée par une pointe d’innovation. Ainsi, au fil des saisons, les clients sont sûrs de trouver une carte évolutive qui s’approprie les beaux produits qu’offre la Bourgogne. Car le chef reste des plus exigeants quant à la qualité et à la fraicheur de ses ingrédients commandés auprès de fournisseurs locaux. Toute cette rigueur et ce perfectionnisme se découvrent aisément au travers des plats proposés : magret de canard aux baies de cassis, volaille de Bresse à l’époisse... La carte affiche aussi ses spécialités, les fondues bourguignonnes, vigneronnes ou bressanes, pour faire honneur au concept de « cuisine conviviale ». On n’oubliera pas de mentionner les menus, dont celui qui est intitulé « Bourgogne » qui offre de jolis clins d'œil à la région. Sur l’ensemble, le prix moyen par convive de 35 € reste des plus raisonnables. Une belle carte des vins La carte des vins met en scène la Bourgogne. Elle est élaborée sur des coups de cœur et au fil des rencontres et des dégustations faites avec les viticulteurs. Pour que vous soyez au fait des meilleurs accords mets-vins, l'équipe de serveurs vous guide dans votre choix, qui peut vite devenir cornélien compte tenu de la richesse de la cave constituée de plus de 200 références. ...

    Cueillette Urbaine: Des potagers productifs et écologiques en pleine ville

    La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...

    Domaine de la Chapinière : des vins
    à la personnalité affirmée

    Le vignoble de 25 ha de La Chapinière est aujourd’hui dirigé par Florence Veilex, une passionnée pour qui le vin est avant tout un produit de partage. Une viticulture durable Près de la moitié du vignoble est planté en sauvignon. Cependant, d’autres petits cépages, dont le cot sélection Garnon (une spécificité du domaine), permettent à Florence d’élaborer des cuvées originales. Sur un sol composé d’argile à silex, toutes ces vignes sont cultivées sous le label Terra Vitis pour une Nature préservée et une viticulture durable. De la vendange à la mise en bouteille, le domaine s’efforce de limiter l’utilisation d’intrants. Résultat : des raisins sains atteignant leur pleine maturité. Les cuvées phares Parmi les spécialités de la maison, trois cuvées sortent du lot. Le sauvignon est un blanc sec qui séduit par sa maturité. Le gamay est un vin léger, fruité et facile à boire. Enfin, le cot Garnon possède une très forte personnalité avec un arôme spécifique. ...

    Champagne Jullion Rigaut :
    une marque tournée vers le futur 

    L’interconnexion entre tous les éléments. Voilà ce que Éric Jullion, ce poète passionné de vin et de vie, veut apporter dans nos verres. Une conversion en bio et biodynamie est ainsi en cours pour accroître la biodiversité des sols. Une tournure très prometteuse « Je ne cherche pas vraiment à avoir un rendement. Mais je tiens à faire transparaitre un état d’esprit dans mes cuvées », fait savoir le vigneron. Les premiers vins labellisés bio seront ainsi mis en bouteille en 2021 pour être commercialisés en 2023. ...

    Elite naturel : le leader mondial des jus bio

    Une petite soif ? Laissez-vous surprendre par le goût inimitable des jus de fruits Elite naturel ! Parfaits pour toute la famille, ils sont à consommer sans modération.  Un partenariat « juteux » Active depuis 1975, Elite naturel est une entreprise familiale de boissons implantée en Turquie. À partir de 2003, elle s’est lancée dans le bio et s’illustre rapidement dans le domaine. Devenue  leader des jus de fruits bio, la société a acquis depuis une renommée mondiale. Une notoriété qu’elle a su développer en partenariat avec la société Colibri. Cette dernière étant l’importateur distributeur de la marque Elite naturel. Colibri dispose d’un vaste réseau de clients auprès desquels il peut promouvoir non seulement sa propre marque mais également les marques Elite naturel.  « Colibri travaille avec 90 % des magasins bio de France, y compris des épiceries fines, des pharmacies et quelques restaurants », souligne Béatrice Claman, la responsable commerciale. Des produits toujours plus innovants Constamment à la recherche de nouveaux goûts à proposer aux consommateurs, Elite naturel ne cesse d’innover ses produits. Aujourd’hui, l’entreprise peut se vanter de disposer d’une riche gamme de jus bio aux saveurs surprenantes : cerise, pastèque, abricot, mulberry, myrtille, melon… autant de délices pour les papilles ! Béatrice Claman explique fièrement : « On arrive à proposer des jus extraordinaires qui n’existent pas en France. » Mais le produit « star » de l’entreprise reste sans conteste le jus de grenade bio. Une nouvelle variété a justement été lancée sous le nom de grenade « Pink ». Sa douceur et sa couleur rose naturelle offrent un réel plaisir pour les sens. D’un point de vue purement gustatif, les consommateurs apprécieront du 100 % pur jus, sans ajout de sucre ni d’eau. En outre, c’est « le seul jus de grenade équitable au monde », rajoute Béatrice Claman. Ce qui en fait un produit vraiment exceptionnel. ...

    Les Vignobles Jander :
    quand faire du vin devient un art

    Les Vignobles Jander s’épanouissent sur une exploitation de 17 ha, où le merlot (53 %) et le cabernet sauvignon (47 %) règnent en exclusivité. Le terroir est départagé entre deux types de sols : un terrain sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau et argilo-graveleux pour le Château Jander. Vinifier dans les règles du bio Depuis 2012, la maison conduit son exploitation selon les principes de l’agriculture biologique. Cette méthode assure que les vins gagnent en équilibre et expriment pleinement le terroir. Une réelle fierté, comme l’affirme Maxime Julliot, directeur du domaine : « Depuis 2015, nous sommes la seule propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Moulis et Listrac-Médoc. » Dès lors, le traitement des vignes respecte un cahier des charges bien défini, qui allie judicieusement tradition et modernité. La vinification s’opère dans un chai « très pratique à travailler », selon les termes de notre interlocuteur. L’endroit est en effet équipé de matériels de pointe comme des cuves thermorégulées, donnant la possibilité de diversifier les modes de fermentation, et des cuves extrêmement larges, qui permettent l’extraction des tanins pendant la fermentation. La maison met de côté le foulage pour permettre des vinifications plus respectueuses de la matière première. Par ailleurs, le processus de vinification est réalisé avec patience et délicatesse. À titre illustratif, la période d'élaboration de la cuvée « Sémeillan-Mazeau » s’étend sur presque 30 mois. Dans un premier temps, les récoltes des vendanges parcellaires sont vinifiées et élevées séparément pendant un an. Au bout de cette période, chaque lot de vin est encore retravaillé pendant 12 mois afin de bien accentuer toutes les caractéristiques des raisins (structure, arômes…). Ce temps écoulé, l’équipe du domaine procède enfin à l’assemblage dans les cuves. « La séance d’assemblage n’est pas qu’une somme des caractéristiques. L’objectif est de créer un juste équilibre entre ces différents composants », révèle Maxime Julliot. Et pour un résultat impeccable, six mois de plus sont nécessaires pour stabiliser les vins et les préparer à la mise en bouteille. Un vin pour une appellation À chacune des deux appellations correspond une cuvée qui arbore idéalement tous les traits particuliers de son terroir. « Notre stratégie de produits consiste à rassembler tous les vins d’une appellation dans une bouteille. »  Ainsi, l’appellation Moulis est représentée par la cuvée « Château Jander », qui est un millésime aussi élégant que complexe. « Le Château Jander est fait pour les gens qui aiment les ‘’vins sérieux’’», a voulu préciser avant tout notre interlocuteur. En effet, ce vin fait partie du haut de gamme, à en juger par la qualité de ses cépages issus de vieilles vignes (25 ans en moyenne), élevées sur terroir argilo-graveleux, et la façon dont ceux-là sont travaillés. Ainsi, contrairement au Château Sémeillan-Mazeau, l’assemblage des cuvées s’effectue dès que la vinification est terminée. Au bout de longs mois d’élevage en barrique naît un vin puissant avec des tanins aussi souples qu’élégants. Quant à l’appellation Listrac, elle se révèle à travers les bouteilles de « Château Sémeillan-Mazeau ». Ces cuvées sont caractérisées par leurs notes de fruits rouges et de bois très harmonieuses. Tandis que la fraicheur de leurs arômes crée un véritable moment d’émotion pour les papilles, la souplesse de leurs tanins ne fait qu’accentuer le plaisir à la dégustation. Ainsi, le Château Sémeillan-Mazeau est aussi idéal en apéritif qu’en accompagnement du repas, sans compter qu’il se marie quasi avec tous les types de plats. On distingue parmi les meilleures références de cette cuvée le mill...