Stress, surmenage, pollution, fatigue, tabac, malbouffe… : Notre mode de vie et notre environnement sont source de déséquilibres et de perturbations pour notre corps. La vie que nous menons est de plus en plus exigeante, et il devient difficile de concilier mode de vie sain et contraintes quotidiennes. Nous développons alors des carences en micronutriments tels que les acides gras Oméga-3, minéraux ou certaines vitamines, et cela se fait ressentir au niveau de notre bien-être et notre vitalité notamment chez les personnes âgées. 

Santé et alimentation

Comme l’a si bien résumé Hippocrate à travers sa célèbre citation "Que ton aliment soit ta première médecine", nous prenons conscience du lien entre la santé et notre alimentation. De nombreuses maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers, dépendent aussi de ce que nous mangeons. Plusieurs études montrent maintenant le lien direct entre l’alimentation et l’apparition, la prévention ou la prise en charge de ces maladies. 
Toutes les études le confirment : la santé passe avant tout par une bonne alimentation. L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail l’a d’ailleurs confirmé dans son étude INCA 2 : nous sommes de plus en plus soucieux du contenu de nos assiettes. Mais de nouveaux cas liés à une mauvaise hygiène de vie ne cessent d’apparaitre.

Micronutrition

L’étude menée par l’ANSES a également révélé de nombreux résultats négatifs notamment en ce qui concerne des apports en micronutriments insuffisants. Une grande part de la population étudiée est déficiente en Vitamines D (100%), 99 % de la population présente des apports également insuffisants en Oméga-3, et enfin, plus de 2 adultes sur 3 présentent des apports insuffisants en Magnésium.

Notre alimentation est composée pour une grande part de macronutriments, mais elle permet également de nous apporter les micronutriments essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Pour mieux comprendre la différence entre ces deux termes : 
• Nous retrouvons par exemple des macronutriments dans la viande, les œufs, le poisson, ou encore les légumineuses comme les lentilles. Ces macronutriments sont des protéines. Les macronutriments comprennent aussi des glucides simples et complexes (présents dans les confiseries, les pâtes, sodas, riz, gâteaux…), et enfin les lipides ou graisses (contenus dans le beurre, les huiles, la crème…). Ces macronutriments apportent l’énergie à notre organisme.
• En parallèle nous retrouvons dans notre assiette les micronutriments, qui quant à eux comprennent les vitamines (C, D, B1, B2…), des minéraux et oligo-éléments (comme le fer, le magnésium…), des acides gras essentiels (Oméga-3), acides aminés, polyphénols, ou antioxydants…

Cependant, nos apports en micronutriments ne couvrent pas toujours nos besoins journaliers. De nombreuses études ont effectivement prouvé que l’alimentation actuelle ne permettait pas de couvrir les besoins nutritionnels et surtout micronutritionnels de notre organisme. Or, si nos cellules ne disposent pas de ces « bons carburants » en qualité et en quantité suffisantes, nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme, notre corps ne pourra pas fonctionner correctement.

Ces insuffisances peuvent alors occasionner des déséquilibres donc des dysfonctionnements à l’origine de troubles de la santé : des états de fatigue, des troubles du sommeil, des problèmes articulaires, ou encore digestifs… 
Cet appauvrissement en micronutriments de notre alimentation est en partie causé par une alimentation déséquilibrée mais aussi par des habitudes de cuisson (le micro-ondes…), des choix de plus en plus fréquents d’aliments transformés et plats industriels, et plus en amont, des nouvelles méthodes de cultures intensives. Par exemple, les poissons d’élevage que nous consommons majoritairement n’ont plus les teneurs en Oméga-3 qui nous permettraient de satisfaire nos besoins quotidiens, du fait de leur alimentation industrielle. Quant aux poissons sauvages, la ressource diminue et ils présentent souvent des taux de polluants préoccupants.

Une micronutrition, par la consommation de compléments alimentaires, permet d’apporter, en complément de l’alimentation, certains micronutriments que notre organisme ne sait ou ne peut pas synthétiser en quantité suffisante. Elle permet de pallier certains de nos déficits nutritionnels et donc, maintenir durablement un bon état de santé.

Le Laboratoire Dielen

« La nutrition au cœur de votre santé », c’est d’ailleurs la devise du Laboratoire Dielen, qui depuis près de 40 ans, développe des compléments alimentaires santé d’origine naturelle avec des exigences de qualité pharmaceutique. Des études cliniques spécifiques conduites en milieu hospitalier ont permis de démontrer les propriétés bénéfiques des compléments alimentaires développés par l’entreprise familiale dirigée par Antoine Noël, pharmacien et fils du fondateur.
« La qualité et l’efficacité de nos produits » sont selon Monsieur Noël, au cœur du succès que l’entreprise rencontre depuis quelques années dans des pharmacies en France. Le dirigeant de l’entreprise explique également le succès de Dielen par l’investissement continu en recherche et développement qui lui a permis de développer une réelle expertise sur le secteur des « ingrédients santé » d’origine naturelle et en particulier les peptides bioactifs. Ces molécules, qui ont fait l’objet de plusieurs brevets d’innovation sont issus de poissons sauvages.  
Selon Paul Violette, directeur de Dielen, les perspectives de l’entreprise sont excellentes. La prise de conscience de chacun de l’importance des produits de santé naturelle en complément d’une bonne hygiène de vie en France mais également à l’étranger offre de belles opportunités à l’entreprise. 
Dielen exporte déjà le complément alimentaire Molval®, pour la santé cardiovasculaire1, au Japon depuis de nombreuses années. Ostéocalm®, désormais fer de lance de la gamme sur la santé des articulations2, est numéro 1 des ventes en Turquie et dans certaines régions françaises.

(1)EPA et le DHA contribuent à une fonction cardiaque normale. L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 250 mg d’EPA et de DHA.
(2)La vitamine C contribue à la formation normale du collagène pour assurer la fonction normale du cartilage. La vitamine D et le calcium contribuent au maintien d’une ossature et d’une fonction musculaire normales.

Pour votre santé, mangez au moins 5 fruits et légumes par jour : www.mangerbouger.fr