Le camp de Royallieu abrite depuis 2008 le Mémorial de l’internement et de la déportation qui propose au public de découvrir et de comprendre, le temps d’une visite, l’histoire tragique de ces milliers d’internés passés par ce lieu. Tout sur le camp de Royallieu Situé en périphérie de Compiègne dans le département de l’Oise, le camp de Royallieu était jadis une caserne militaire de l’armée française qui s’étendait sur une vingtaine d’hectares. Elle a été construite en 1913 et regroupe 25 bâtiments. En 1940, le camp sert de lieu de détention à l’armée allemande. Cette dernière y emprisonne des soldats britanniques et français qui ont été capturés. En juin 1941, l’administration allemande transforme Royallieu en un camp d’internement et de transit qui fut baptisé « Frontstalag 122 ». C’est là que les ennemis du IIIe Reich (ressortissants de pays alliés, juifs, résistants, prisonniers politiques…) sont internés. Entre 1942 et 1944, environ 50 000 personnes, dont la plupart des résistants, ont été internées puis déportées vers les fameux camps de concentration. Il est également important de noter la présence d’un camp juif à l’intérieur de Royallieu où des milliers d’individus ont transité avant leur déportation. Un lieu d’histoire et de mémoire Créé par la ville de Compiègne, le Mémorial de l’internement et de la déportation propose un parcours historique à travers une dizaine de salles permanentes et une grande salle d’exposition. L’ensemble du site est porteur de mémoire. L'intégralité des matières, couleurs et décors utilisés depuis sa construction a été révélée à travers des procédés ingénieux. À l’intérieur des deux anciens bâtiments du camp, les visiteurs ont droit à une visite interactive et autoguidée grâce à l’appui de nouvelles technologies audiovisuelles. Ces derniers découvrent notamment l’histoire du camp par le biais de témoignages sonores qui se déclenchent automatiquement en présence d’un visiteur, de projections sur les murs, ou encore de vidéos. Les visiteurs ont également accès à des documents reproduits comprenant notamment des lettres manuscrites, des documents administratifs ou encore des dessins. À l’extérieur, le jardin est également un lieu d’exposition. Tout au long de leur parcours, les visiteurs retrouvent des témoignages écrits et sonores, des plans du camp ainsi qu’une photographie des gardiens placée dans le contexte. En outre, des stèles en verre, construites par l’architecte Jean-Jacques Raynaud, « jonchent » les chemins sensibles de la mémoire. La visite s’achève avec un tunnel d’évasion découvert fortuitement en 2007. Là encore, des témoignages écrits et audiovisuels viennent expliquer plus en détail les rares évasions réussies au sein du camp. Pour ceux qui souhaitent se recueillir, ils peuvent se rendre dans la chapelle œcuménique située le long de l’enceinte sud. Enfin, dans le but de faire vivre ce lieu chargé d’histoire, le mémorial se dote d’une programmation culturelle variée comprenant notamment des conférences, colloques, projections, expositions, rencontres avec des témoins ainsi que des événements nationaux. Depuis sa création en 2008, pas moins de 114 000 visiteurs ont déjà emprunté les chemins de la mémoire de Royallieu. Le mémorial du wagon de la déportation Pour que toutes les générations prennent conscience et se souviennent de la souffrance de ceux qui ont vécu sous la barbarie des nazis, et afin qu'un hommage soit rendu à ceux qui se sont battus pour la liberté, le général Gamache, Président des Amis de l’Armistice, a émis le souhait que la ville possède un wagon de la déportation en 2003. 10 ans plus tard, son vœu a été exaucé. Le Mémorial du Wagon de la Déportation fut inauguré en 2013. Il est ouv...
Le chef Francesco Bertuna rapporte à Paris toutes les bonnes saveurs italiennes pour concocter des plats succulents. Il privilégie la création de recettes originales, revisitées ou classiques, élaborées uniquement avec des produits frais et de saison. Une singularité qui impressionne les convives. « Le restaurant propose 2 ou 3 plats du jour qui changent chaque jour. Les clients ne mangent jamais la même chose », indique le chef. En entrée, la salade de crevettes aux pousses d’épinard s’invite dans l’assiette. Cette suggestion fraiche et raffinée est assaisonnée d’huile d’olive, de vinaigre balsamique, sel et poivre. Une petite sauce à la cannelle légèrement sucrée l’accompagne. En plat de résistance, le choix s’annonce large. Entre le Risotto au champignon shiitaké, courgette et aneth et la Linguine au maquereau, fenouil et raisin sec, anchois, câpres et chapelure toastée, les papilles seront définitivement comblées. « Le tout à déguster avec un bon Renosu Rosso ou un vin de chez Marco Dettori », conseille Francesco Bertuna. Car sa carte de vins fait la part belle aux bouteilles italiennes réputées pour la richesse de leurs arômes et de leurs saveurs. Le voyage culinaire s’achève avec une classique tarte à la ricotta, ce célèbre fromage italien à pâte fraiche qui s’utilise dans des préparations aussi bien sucrées que salées. L’alliée favorite de tous les gourmands. Destination l’Italie À table, une généreuse coupelle d'huile d'olive et des baguettes fraiches accueillent les convives. Dans ce cadre très soigné de l’Olio Pane Vino, la clientèle plonge dans une atmosphère cosy et conviviale. Avec ses murs en pierres apparentes, sa décoration intérieure, où le blanc et la couleur crème dominent, rappelle le charme de l’Italie. Les photos en noir et blanc qui ornent les lieux et le mobilier tout en bois, du parquet au sol, créent un design épuré. La lumière intimiste et les longues tables procurent une ambiance parfaite pour les soirées entre amis ou en famille. Une adresse idéale pour des soirées privatisables ou à thème. ...
Spécialisé dans la formulation de compléments alimentaires et nutritionnels innovants, à destination des seniors notamment, Citrage est un laboratoire qui a été créé après une vingtaine d’années de recherche. Les quatre chercheurs à l’origine de l’enseigne se sont particulièrement intéressés à une molécule qui a révélé des propriétés antivieillissement particulièrement importantes. La L-citrulline, la star du laboratoire Citrage « Nous [les 4 cofondateurs] sommes tous des professionnels de santé, pharmaciens ou scientifiques de formation, avec, pour trois d’entre nous, des fonctions universitaires ou hospitalo-universitaires », précise d’emblée le docteur Cécile Loï, en évoquant la genèse de Citrage. Sur ces fondements, ce laboratoire travaille son positionnement en mettant en avant la rigueur des protocoles qui entourent la mise au point de ses produits. C’est notamment à partir de leurs travaux sur la L-citrulline que l’enseigne a vu le jour. Le potentiel exceptionnel présenté par cette molécule dans la lutte contre les effets du vieillissement a convaincu ces scientifiques d’en trouver une application accessible à ceux qui en ont le plus besoin. Un des premiers produits développés par l’enseigne vise d’ailleurs la fonte musculaire liée à l’âge qui se fait ressentir dès 50 ans. MyoCIT : en prévention de la fonte musculaire liée à l’âge Cette fonte musculaire peut évoluer en une pathologie : la sarcopénie. « C’est une perte de masse, de force et de fonction musculaires, liées à l’âge. » La description faite par notre interlocutrice de la sarcopénie laisse entrevoir ses possibles incidences sur la vie des personnes concernées. « Entre 20 et 80 ans, on perd la moitié de notre capital musculaire », ajoute-t-elle pour signifier que personne n’est épargné. Chutes répétées, incapacité à faire de longues marches ou à porter ses courses sont autant d'impacts affectant la vie quotidienne des sujets touchés. Dès 2011, Citrage a mis sur le marché un complément alimentaire ayant une portée sur le processus de fonte musculaire. Au cœur de la formule, la L-citrulline. Pourquoi cela fonctionne ? Parce que contrairement aux autres acides aminés qui sont retenus par le foie et les intestins pour leur besoin propre, à mesure que l’âge avance, la citrulline continue d’atteindre les muscles où elle stimule la synthèse des protéines. La production des protéines nécessaires au fonctionnement musculaire est ainsi entretenue. ...
C’est dans la partie occidentale de la montagne de Reims, au cœur du village de Jouy-lès-Reims, que le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier puisent leur structure, leur rondeur et leurs notes suaves. Ce terroir d’exception classé premier cru est l’expression de la mélodieuse symphonie d’arômes et de goûts qui caractérise chacune des cuvées Cossy. Une symbiose intime et sensible avec leurs vignes Les champagnes fruités et gourmands de la maison puisent leur richesse dans un sol poreux et une exposition optimale conférant touche florale et subtilité à chaque cuvée. Cette terre bénie, cette nature généreuse et cet environnement résolument dédié à la vigne sont choyés par des propriétaires écologistes dans l’âme et intimement liés à leur vignoble. « Nous avons revu les pratiques culturales vers une viticulture durable suivant une volonté de produire mieux dans le respect de la nature et des êtres vivants », nous confie Sophie Cossy. Le charme du champagne au féminin Les femmes Cossy, d’une main de maître, s’attèlent à exprimer le meilleur de leur terroir au travers « d’une exploitation tournée vers la féminité et d’un champagne fruité, floral, au caractère printanier et doté d’une rondeur et d’une finesse élégantes », nous raconte notre interlocutrice. Assemblage au gré des émotions, maturation aboutie et vieillissement optimal s’accordent à « l’équilibre traditions-modernité et à la sensibilité tant émotionnelle que technique qui accompagne la conception du vin ». Cette singularité féminine confère ainsi au champagne Cossy tout son charme maintes fois récompensé, à l’instar de la cuvée Origine, équilibrée et somptueuse en bouche, médaillée d’or en 2013 et en 2014 au concours international Gilbert et Gaillard. Des millésimes d’histoire et de secrets, à l’instar de la cuvée Vieilles vignes, médaillée d’or au même concours en 2012, viendront également sublimer vos instants galants de par leurs saveurs fruitées révélées dans des bulles pétillantes de fraîcheur. ...
Faisant frontière avec la Suisse, sur 230 km, la Bourgogne-Franche-Comté compte deux aéroports régionaux et dispose de six aéroports internationaux, à proximité. Une mobilité facilitée, également, par quatorze gares TGV, soit le réseau ferroviaire le plus vaste de France. Neuf autoroutes la desservent, et 1612 km de voies fluviales reconnues internationalement, entrelacent le paysage. Son emplacement est sans conteste stratégiquement favorable à l’entreprenariat transfrontalier et international. C’est d’ailleurs, un atout essentiel qui a propulsé la Bourgogne-Franche-Comté dans le palmarès des régions françaises destinatrices des IDE (investissements directs étrangers) en 2019 : la région s’est ainsi hissée au 5ème rang des régions pour le nombre total de projets et au 2ème rang pour le nombre de projets dans la production. Une croissance remarquable Les chiffres l’indiquent, les choix stratégiques d’investissement dans la recherche, la formation, l’industrialisation créent un écosystème favorable au développement économique. Avec un solde commercial excédentaire de 21,5 milliards d’euros d’exportation, la région se place au second rang des exportateurs français, pour un PIB égal à 72 milliards d’euros. Terreau fertile de connaissances et de savoir-faire à l’industrie fleurissante, la Bourgogne-Franche-Comté soutenue par son Agence Economique Régionale ne cesse de s'illustrer pour l’excellence de ses compétences. Un exemple : éminemment reconnus puisqu’inscrits au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO : les savoir-faire en mécanique horlogère et mécanique d’art de l’Arc jurassien, produits d’un travail binational suisse et français. « La forte culture industrielle, la présence de pôles d’excellence en recherche séduisent les investisseurs. Les capacités de R&D et le dynamisme des écosystèmes tournés vers le futur dont des atouts essentiels pour le développement de nouvelles activités » assure Arnaud Marthey, le Président de l’AER. » Ainsi cinq pôles de compétitivité se distinguent, la filière nucléaire, la plasturgie, les microtechniques, la mobilité et l’agroalimentaire. Un exemple : liés à la mobilité, le pôle "Véhicule du futur" et l’AER BFC œuvrent ensemble pour inventer les transports propres de demain, en développant une filière hydrogène. Ici, la productivité s’appuie sur un schéma structurel ; constitué, de plateformes technologiques, de clusters, et de centres de formation répondant précisément à la demande ; lequel est identifiable dans tous les domaines de développement, de la santé au luxe. La région Bourgogne-Franche-Comté accompagne jeunes et personnes en recherche de reconversion, en proposant une très grande variété d’enseignements professionnels, technologiques ou universitaires, initiaux ou continus, répondant aux besoins spécifiques du marché. Ainsi, en synergie avec l’ensemble de ses partenaires institutionnels et privés, de la formation et de l'emploi, l’AER BFC participe à faire se rencontrer les besoins en savoir-faire et en connaissances scientifiques, des entreprises et industries implantées localement. Des programmes uniques en France sont ainsi proposés en Bourgogne-Franche-Comté comme par exemple le "Master Energie" de l’UTBM qui garantit une expertise dans les domaines de l’efficacité énergétique et des énergies propres, avec une compétence particulière en matière d’Hydrogène ou le parcours « Ingénieur Mécanismes et Industrie du Luxe. » de l’ENSMM de Besançon ou encore les programmes en les sciences agronomiques de l’alimentation et de l’environnement de Agrosup à Dijon. La Bourgogne-Franche-Comté compte 60 000 étudiants et 19 200 jeunes en formation par apprentissage. Cinq thématiques d’excellence se dégagent, les sciences dures, les territoires, l’environnement, les aliments et la santé. Terre de recherche, d'innovation et de développement dura...
Poussez les portes du bureau de Corsazur et découvrez la Corse autrement. Corsazur : quand la Bretagne rencontre la Corse Des Bretons qui proposent des locations de voiliers avec ou sans skipper sur le littoral Corse : un concept qui peut surprendre le voyageur. Et pourtant, en échangeant avec Edmée et Étienne Delaisi, les chefs de base, vous comprenez rapidement les raisons qui les ont poussés à venir s’installer sur l’île de beauté. Expatriés depuis plusieurs années sur ce territoire, ils ont posé leurs valises en plein cœur du port d’Ajaccio afin d’aider les passionnés de voile à prendre le large. Avec leur flotte de 10 voiliers parfaitement entretenus, ils font leur maximum pour se démarquer de la concurrence. Comment ? En permettant aux amoureux de la mer de louer le monocoque de 30 à 50 pieds adapté à leurs envies et en proposant des services personnalisés de qualité. Avant de prendre le large, laissez-vous conseiller par ces deux passionnés qui prennent à cœur de satisfaire leurs clients. Les plus beaux paysages de Corse vus de la mer Pourquoi avoir choisi Ajaccio ? Parce que la côte ouest de l’île regorge de panoramas à couper le souffle. Véritable objectif pour tous les marins, c’est le point de départ de la route du nord menant vers la réserve de Scandola, Porto, Girolata et Cargèse ou de la route du sud avec des destinations telles que Senetosa, Bonifacio, Tizzano, Roccapino ou les îles Lavezzi. Choisissez l’une ou l’autre en fonction de vos envies (et de la météo !). Dans tous les cas, vous prenez la mer en toute sérénité. Laissez-vous porter par la brise marine et le flot des vagues et ressentez cette incroyable sensation de liberté si chère aux navigateurs. À noter : en téléchargeant le guide de croisière gratuitement sur le site, vous trouverez de nombreuses informations dont des trajets types qui vous aideront à vivre une expérience à la hauteur de vos attentes. Deux itinéraires vous sont proposés, avec chacun leurs lots d’escales et de lieux à visiter. ...
Avec Sing City, les plus prestigieux studios d’enregistrement parisiens deviennent le cadre parfait de team building inoubliables pour renforcer l’esprit d’équipe et remercier les collaborateurs. Les prestations de l’agence s’étendent jusqu’à la réalisation d’animations personnalisées pour les séminaires et les soirées, en passant par la création de contenus musicaux et visuels, comme les jingles, teasers et clips vidéo. Team building originaux au rythme de la musique Avec Sing City, l’esprit d’équipe et le sentiment d’appartenance sont gravés en musique. L’agence réalise depuis 2006 des activités et des animations musicales conjuguées à tous les styles, pour les projets de team building, séminaires et autres évènements d’entreprise. Entre autre, elle a développé un concept d’activité fédératrice inédite en partenariat avec de prestigieux studios d’enregistrement et salles de spectacle. Sur les pas des grands artistes, 5 à 150 collaborateurs, voire plus, relèvent le défi de chanter ensemble. De la composition musicale jusqu’à la finalisation sur CD, en passant par toutes les étapes de coaching artistique, l’agence fournit tous les moyens humains et techniques nécessaires à la réalisation du projet. « Nous sommes les seuls à aller aussi loin », souligne Fabrice Grimal, co-fondateur de l’agence. Les incentives musicales proposées par Sing City incluent également des ateliers thématiques allant du DJ-ing à la comédie musicale, en passant par les percussions et les grandes soirées de karaoké live avec orchestre. Tendance, l’agence propose aussi la mise en scène et le tournage de flashmobs, lip dubs, parodies, ainsi que d’autres types de clips vidéo amusants et fédérateurs. Une agence de référence pour réussir vos projets évènementiels « Pour animer les séminaires et autres évènements d’entreprise, notre agence parisienne propose aussi bien le standard que le sur-mesure » fait savoir notre interlocuteur. Des prestations d’un orchestre jusqu’à des démonstrations d’instruments de musique, en passant par l’animation DJ ou d’autres types de spectacles particuliers, l’équipe de Sing City peut identifier l’ambiance qui correspond le plus à vos besoins tout en s’adaptant à vos désirs. Devenue une véritable référence en matière d’animations musicales depuis ses 11 années d’existence, l’agence bénéficie d’un large réseau de partenaires. Cela lui permet de disposer de tous les moyens nécessaires pour donner à votre évènement ou projet la dimension que vous attendez. ...
Partir pour cette terre lointaine qu’est la Mongolie ne se résume pas à un dépaysement. C'est un véritable bouleversement. Partager le quotidien d’une population qui vit presque hors du temps, en pleine nature sauvage, est une véritable expérience de vie. La Mongolie, synonyme de beauté et d’immensité, est libératrice pour toutes les âmes avides de bonheur. Destination de rêve Grands pâturages, steppes à perte de vue, chaines montagneuses, paysage désertique… La Mongolie évoque à la fois la grandeur et la liberté. « Contrairement à ce que l’on peut croire, le pays offre une belle variété de paysages : lacs et rivières, forêts, montagnes, glaciers et canyons », décrit Sylvain Recouras de l’agence Horseback Mongolia. La vallée de l’Orkhon, l’aïmag de l’Arkhangai, le lac Khövsgöl ou encore le désert du Gobi font partie des plus beaux spectacles que réserve la destination. Les voyageurs ont le choix entre trekking, chevauchée à cheval, à yak ou à chameau, randonnée à vélo ou alpinisme pour explorer la Mongolie. L’observation de la vie sauvage est tout aussi captivante. La Mongolie compte une quinzaine de parcs nationaux. Parmi les incontournables, celui de Khustai Nuruu et celui de Naiman Nuur, perché à 2 400 m d’altitude. « Les voyageurs peuvent admirer la migration des oiseaux, la gazelle de Mongolie, le chevreuil de Sibérie, l’ours brun et les léopards des neiges. » Une destination de rêve pour les amoureux de la Nature et les photographes animaliers. Vie nomade et ferveur culturelle Au-delà d’une exploration en terre inconnue, le voyage en Mongolie est avant tout une aventure humaine à vivre intensément. L’agence réceptive Horseback Mongolia, fort de sa dizaine d’années d’expérience sur le terrain, a fait le choix de privilégier les séjours en immersion. « Pendant le circuit, nous alternons très souvent un logement sous yourte chez l’habitant et un hébergement pour touristes », précise l’équipe. Toujours dans cette quête insatiable d’authenticité, elle propose aussi une initiation aux activités traditionnelles mongoles : élevage du bétail, préparation de produits laitiers, confection d’habits traditionnels, travail du bois, fabrication du campement, etc. De nombreux festivals traditionnels permettent également de saisir la ferveur culturelle de ce pays multiethnique. Le festival du chamanisme et le festival du Naadam sont à ne pas manquer. « Ils font partie intégrante de l’itinéraire. Car ils apportent une dimension profondément humaine à l’aventure. » Véritable rencontre culturelle, ces évènements célèbrent tout à la fois l’Histoire, l’art, le savoir-faire, les sports et la gastronomie locale de la Mongolie. ...
C’est en 1895 que le premier Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s'est établi à Paris dans le but de perpétuer les traditions culinaires françaises au travers de parcours dédiés à l’hôtellerie, au tourisme et à la restauration. Ce leader de l’art culinaire s’exportera au fil des années à l’international en ouvrant des campus aux quatre coins du monde, ceci dans une volonté de faire rayonner la culture française, mais aussi de valoriser le patrimoine culinaire de chaque pays. Allant des professionnels aux particuliers, en passant par les étudiants souhaitant faire carrière dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie, « chaque formation sanctionnée par un Diplôme reconnu à l’international est un véritable passeport pour une carrière internationale », nous explique Sylvy Morineau, Directrice académique du Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier. Le renouveau de l’institut parisien L’excellence, la passion, la transmission, la créativité et surtout la modernité constituent les valeurs fondamentales animant le réseau Le Cordon Bleu. Dans cette optique d’harmoniser tradition avec innovation, Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier opère un renouveau en s’installant dans son nouveau campus de 4 000 m2 face à la Seine et la statue de la Liberté. De nombreuses salles dédiées à chaque spécialisation, un atelier dédié au public, un espace multimédia ainsi que des salles de démonstrations uniques font la singularité de ce campus prônant l’excellence pédagogique. Une de ses particularités réside dans la présence d’un jardin potager de 800 m2 sur le toit de l’établissement. « Cette végétalisation [véritable fleuron de l’agriculture urbaine] est utilisée comme un jardin pédagogique pour les étudiants en arts culinaires. Ces derniers pourront ainsi apprendre à monter un jardin potager et à reconnaître certains ingrédients pouvant pousser en jardin urbain, c’est-à-dire les herbes aromatiques, les fruits et les légumes », signale Eric Briffard, Chef exécutif et directeur des arts culinaires. À ce lieu, dont les produits sont utilisés dans les cuisines de l’institut parisien, s’ajoutent des ruches dont le miel est utilisé lors des classes pratiques en cuisine. Dans le rang des nouveautés, le campus est également fier de son tandoor (four en terre cuite) et de sa salle dotée de woks. Ces derniers, hommages à la cuisine asiatique, ont été aménagés afin de permettre aux étudiants de revisiter les plats traditionnels français en s’inspirant des succulences de l’Orient. Différents types de parcours C’est en proposant un panel riche et éclectique que Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s’est forgé une réputation solide dans le domaine de la formation. La cuisine, la pâtisserie, les métiers du vin, la boulangerie et le management hôtelier n’auront plus de secrets pour ceux qui auront l’opportunité de suivre des programmes dispensés par des formateurs expérimentés composés de chefs, d'experts internationaux, de professeurs universitaires et de spécialistes intervenant dans le milieu de l’hôtellerie et du tourisme. Des diplômes viendront clore chaque parcours, à l’instar d’un cursus sanctionné par un Bachelor en Management des arts culinaires ainsi que d’un programme débouchant sur un Bachelor en Management Hôtelier International. Chaque parcours sera dédié à la découverte des facettes des métiers liés à la gastronomie, des pratiques managériales et de la gestion d’entreprises spécialisées dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie. Ces bachelors, dispensés en anglais, offrant un trimestre d'études à l'étranger dans un des 35 instituts du réseau et complétés par un stage à chaque fin d’année, seront un gage de réussite ouvrant grand les portes de l’emploi. Les étudiants qui ...
150 ans d’existence au sein d’une même famille : c’est l’histoire incroyable du domaine de Cerberon qui s’est transmis de génération en génération. Héritée en 1929 par la grand-mère des propriétaires actuels, l’ancienne production de moutarde du 19è siècle se transforme peu en peu en production de vin. Domaine Cerberon : des vins pour toutes les occasions et toutes les envies Aujourd’hui, le Domaine du Cerberon met tout en œuvre pour magnifier le terroir de la Côte de Beaune. Cela passe, entre autres, par des vendanges manuelles et des techniques de viticulture durables. Mais aussi par l’agrandissement du vignoble qui passe d’un hectare et demi à ses débuts à 3 hectares aujourd’hui. Sans oublier les caves de vieillissement qui datent du 13e et 17e siècle. Cela favorise la création de vins blancs et rouges extraordinaires dont quelques premiers crus qui font le succès de la région. ...
Communiquer avec le grand public, mais aussi avec les professionnels de la santé sur les réalités des neurofibromatoses. Telle est la priorité de l’A.N.R. Cette association existe depuis la fin des années 80, mais il a fallu attendre presque vingt ans pour qu’elle se fasse reconnaître comme établissement d’utilité publique. Aujourd’hui, elle accompagne au quotidien les personnes souffrant de ces maladies à travers l’écoute, l’orientation, la diffusion d’informations et la collecte de fonds pour soutenir la recherche. Neurofibromatose de type 1 : une forme fréquente Il n’y a pas une mais des neurofibromatoses. Jean-Michel Dubois, président de l’association, précise que la maladie de von Recklinghausen, neurofibromatose de type 1, est la plus courante. Cette maladie neurologique affectant les gaines des nerfs, où siègent des tumeurs, a une manifestation externe d’expression cutanée. Il s’agit notamment de taches café au lait sur la peau. La maladie, dont le gène responsable siège sur le chromosome 17q11.2, apparaît dès la naissance indépendamment de l'origine ethnique et touche les deux sexes. Pouvant affecter le malade sous des formes mineures ou plus sévères, la neurofibromatose de type 1 peut aussi donner lieu à d’autres manifestations. Des symptômes osseux, oculaires ou viscéraux peuvent être observés. Des difficultés d’apprentissage et des troubles cognitifs sont assez récurrents dans les cas recensés. En soulignant que les seuls traitements pouvant être dispensés aux patients sont ceux des complications. Orthopédistes, ophtalmologues, neurologues et dermatologues, entre autres, doivent alors collaborer pour assurer leur suivi. De nombreuses autres neurofibromatoses Cette catégorie de maladies génétiques rassemble d’autres formes dont la neurofibromatose de type 2 (NF2), caractérisée par une atteinte du chromosome 22. L’incidence à la naissance de cette forme serait de 1 sur 40 000 contre 1 sur 3 500 pour la NF1. Les manifestations cliniques incluent des tumeurs de type épendymomes, méningiomes ou schwannomes dont la portée est d’autant plus préoccupante qu’elles sont volumineuses. La surdité est l'une des conséquences fréquentes selon la localisation de ces mêmes tumeurs. Le syndrome de Légius, à symptômes purement cutanés, ainsi que la schwannomatose constituent les autres types connus de la pathologie. Des formes segmentaires de neurofibromatose existent avec une localisation limitée sur le corps. Une association pour s'informer et agir Les neurofibromatoses apparaissent au répertoire des maladies rares. Porter et entretenir leur cas au centre de l’attention publique fait ainsi partie des gageures de l’association qui leur est dédiée. Il s’agit également de décanter un peu le flux des informations qui circulent sur les réseaux sociaux, pour donner accès à des données plus pertinentes. Épargner les malades et leurs familles de toutes formes d’exclusion figure aussi au cœur des préoccupations. « Quand on est moins seul, ça peut déjà aider à affronter la maladie », soutient le président de l’A.N.R. L’association entend également être une force de soutien à l’endroit des médecins intervenant dans les centres de référence et de compétences. Il en va de même pour la recherche à laquelle l’association injecte des fonds ou apporte le poids de son image pour argumenter la nécessité de travaux en particulier. ...
La malaria. Tout le monde a déjà entendu parler de cette maladie infectieuse propagée par les moustiques, essentiellement en Afrique subsaharienne. Il y a 10 ans, elle causait 1 million de morts par an. Bien que la mortalité ait régressé de moitié, notamment via des campagnes d’assèchement des lieux de reproduction des moustiques et la distribution de moustiquaires, le paludisme (l’autre nom de la malaria) reste un véritable enjeu mondial : c’est la première maladie parasitaire et le réchauffement climatique pourrait conduire à une plus grande migration des moustiques et à un allongement de la saison de transmission du parasite responsable. Lutter contre la Malaria : un combat mené par Jamal Khalife et son équipe de recherche à Lille... D’où l’importance des travaux du Centre d’Infection et d’Immunité de Lille, au sein de l’Institut Pasteur de Lille. Jamal Khalife et son équipe d’une vingtaine de personnes mènent plusieurs recherches, dont celle qui vise à utiliser la connaissance du génome du parasite afin d’identifier des gènes qui sont indispensables à sa survie. « Le parasite est obsédé par l’idée de se transmettre durant sa courte vie. Aussi, nous choisissons des protéines qui sont potentiellement importantes », décrypte le scientifique. « On les extrait, on les étudie pour voir si elles ont une action importante dans le cas du paludisme. » Identifier les gènes essentiels parmi les 5 600 que compte le parasite permettrait des avancées sensibles dans la lutte contre la malaria, qui aujourd’hui touche essentiellement les enfants de moins de 5 ans et les voyageurs dans les zones contaminées. « Au-dessus de l’âge de 5 ans, les hommes et les femmes qui vivent dans les zones endémiques développent une protection. En revanche, s’ils s’en vont durant 3 ou 4 ans dans un pays non touché par la malaria, ils redeviennent vulnérables. » La schistosomiase : deuxième maladie parasitaire mondiale Autre maladie infectieuse à laquelle Jamal Khalife et les chercheurs de l'équipe consacrent leur quotidien : la schistosomiase. C’est la deuxième maladie parasitaire mondiale et elle est provoquée par des vers parasites, qui sont éliminés dans les selles et se propagent dans l’eau des rivières via un mollusque. Chez l’homme, les œufs déposés par les vers sont responsables de manifestations cliniques hépatiques. Là encore, l’équipe lilloise, par des approches génétiques visant à interférer avec l’expression de certaines protéines du parasite, se consacre à déterminer quelles sont les protéines vitales pour ce ver et à comprendre comment leur expression est régulée. En 2014, on estimait qu’au moins 258 millions de personnes avaient besoin d’un traitement préventif contre la schistosomiase. Depuis Lille, des hommes et des femmes travaillent à ces avancées essentielles pour la médecine. Pour soutenir les projets de recherche de l'Institut Pasteur de Lille, faites un don sur www.pasteur-lille.fr ...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches »constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. ...
Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse. Ancien point relais de diligence Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône. Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin… Pour le plaisir des papilles Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …). ...
En proposant des formations de courtes durées, CNRS Formation Entreprises cherche à s’adapter au maximum aux rythmes et aux besoins des entreprises, de plus en plus pointus. « Nous savons que les ingénieurs et techniciens supérieurs ont peu de temps pour se former et qu’ils veulent être opérationnels très rapidement : c’est pour cela que nous proposons exclusivement des stages courts sur des sujets précis, avec les meilleurs experts du domaine », explique Edith Wilmart. L’offre de stages, en renouvellement constant, permet aux entreprises de bénéficier de l’apport de technologies de pointe utilisées en laboratoires. Le CNRS propose par exemple depuis deux ans une formation sur le traitement d’images utilisant un logiciel libre de droit (IMAGEJ), devenu une référence internationale dans le domaine. « Nous avons formé des professionnels venant de l’industrie pharmaceutique, automobile, du CEA, de l’INRA », explique Cédric Matthews ingénieur de recherche à l’Institut de biologie du développement de Marseille-Luminy et Christian Rouvière, ingénieur de recherche à l’Observatoire de Villefranche-sur-Mer. Méthodologie éprouvée En mettant à profit l’expérience de formations dispensées auprès de plus de 600 entreprises, dont la moitié de PME, PMI voire ETI, le CNRS dispose désormais d’une méthodologie éprouvée. « Personne n’est à la traîne grâce au travail en binôme, qui permet un suivi individualisé des stagiaires, renforcé par les travaux réalisés», poursuit Cédric Matthews. Le cours est dynamique. Les changements de rythmes permettent à chaque stagiaire de trouver sa place et de participer. Selon une étude récente, 85% des stagiaires du CNRS trouvent qu’il y a un bon équilibre entre la théorie et la pratique. Pour chaque formation, une large part est laissée à l’expérimentation, afin de résoudre les problèmes technologiques rencontrés par chercheurs, ingénieurs et techniciens supérieurs qui suivent les stages.« Ce sont souvent des difficultés que les experts du CNRS ont déjà rencontrées et résolues pour leurs besoins de recherche. L’objectif est que les stagiaires repartent en sachant faire ou du moins, en ayant de bonnes pistes pour trouver une solution », détaille Edith Wilmart. Nouveautés appréciées Dans leurs évaluations, les stagiaires disent apprécier les nouveautés apportées par les programmes de formation et la qualité des supports pédagogiques. Avec souvent la conviction que leurs stages leur sera utile voire très utile. Résultat : 90% des stagiaires recommanderaient le stage à leurs collègues. Mais une formation au sein du CNRS, c’est aussi et peut-être le début de nouveaux partenariats, toujours au service des clients. « Certains de nos stagiaires reviennent d’ailleurs vers les laboratoires où ils sont venus se former pour demander des conseils, des prestations de service ou monter des collaborations de recherche », constate la directrice. Le CNRS compte aujourd’hui un total de 220 offres de formation en lien avec les attentes du marché. La répartition géographique des laboratoires, présents sur l’ensemble du territoire permet une vraie proximité avec les entreprises. En 2015, plus de mille stagiaires ont été formés dont 40% d’industriels, 40% d’académiques, 20% de salariés d’EPIC, de services de l’état, de collectivités territoriales. Afin de proposer des formations qui « collent » au plus près du terrain, l’offre du CNRS évolue en permanence : rien que pour l’année 2017, ce sont près de 60 nouvelles formations qui seront proposées, sur de nouvelles thématiques comme le NoSQL (big data), CRISPR-Cas9, les LED et OLED, les batteries Li-ion, le SEC-MALS appliqué aux protéines, le criblage cellulaire et moléculaire, l’intelligence économique ou encore la synthèse de molécules chirales. Et CNRS Formation Entreprises prépare d’autres nouveautés pour son catalogue 2017. ...
Le Scoop est une adresse bien connue du Touquet, à Le Touquet Paris Plage (62520). Prônant une cuisine bistronomique, cet établissement doit son succès au bouche à oreille et retrouve une seconde jeunesse grâce à une nouvelle gérance arrivée le 29 juin 2017. Virginie Thomas, à la tête du restaurant, s’attache à respecter l’identité d’origine du Scoop que lui connaissent ses habitués, tant au niveau du service que des plats proposés. Une restauration traditionnelle et des spécialités thaïes Si Le Scoop a su acquérir de nombreux adeptes depuis de nombreuses années, c’est en partie pour la qualité de ses plats, préparés à la minute. Un de ses points forts : « Tous les ingrédients sont frais, tout est fait maison des entrées jusqu’aux desserts et les plats sont également à emporter », nous fait savoir la nouvelle propriétaire des lieux. Les tarifs ne sont pas pour autant exorbitants, car les clients apprécient aussi l’excellence du rapport qualité-prix. Le restaurant a surtout construit sa réputation autour d’une cuisine traditionnelle et thaïe. Sur la carte composée essentiellement de plats typiques de bistrot, les tartares de viande et de poisson sont énormément prisés. Si les frites fraîches constituent l'un des points forts du restaurant, le Scoop du Touquet suggère aussi d'autres plats à succès : « L’œuf cocotte aux cèpes et aux truffes ou les gambas croustillantes comme entrées, le tartare de saumon thaï ou le tartare traditionnel comme plats de résistance, le TiramiScoop, la tarte aux pommes ou le coulant caramel au beurre salé comme desserts ». Côté vins, la carte est riche en propositions, à travers de nombreuses références en vins bordelais, de Bourgogne, de la vallée du Rhône, d’Alsace, de Provence, du Sud, ou encore en vins étrangers. « Une adresse où le client est roi » Le Scoop applique à la lettre ce célèbre adage en mettant sur un pied d’égalité la qualité de ses mets et le sens du service. Virginie Thomas souligne ce principe propre à l’établissement depuis ses débuts : « Les gens viennent au Scoop pour la cuisine et l’âme du restaurant. Ils s’y sentent comme chez eux. Nous aimons être proches de nos clients, dont nous connaissons les habitudes, et nous sommes à l’écoute de leurs moindres désirs. » C’est ainsi qu’elle s’attache à faire régulièrement un tour de tables pour être à l’écoute des convives. « C’est important de nouer un contact avec les gens, ils aiment se sentir valorisés, savoir que l’on s’occupe d’eux », précise-t-elle. La satisfaction de la clientèle est donc primordiale pour ce restaurant proposant également une salle pouvant être privatisée pour des repas de groupes, séminaires ou anniversaires etc..., d’une ambiance intimiste à l’étage supérieur. Une nouvelle déco va parfaire le tout et favorisera l’esprit de sérénité et de zénitude souhaité par la maison. ...
Un parcours riche en rebondissements anime ce château appartenant à l’origine à la famille de Rothschild. Il sert d’abri aux Allemands durant la Deuxième Guerre mondiale, puis devient le couvent du Sacré-Cœur de Jésus. En 1969, cet établissement de charme est animé par des cours d’art. Le concept de château-hôtel naît en 1985. Vacanciers et voyageurs d’affaires apprécient cet endroit au cadre verdoyant, un endroit perdu à quelques kilomètres seulement de la capitale française et de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Luxe et confort vont de pair avec bien-être et détente Outre les chambres de haut standing et le restaurant gastronomique, le plus beau château-hôtel de France a toutes les cartes pour permettre au corps et à l’esprit de se relaxer et de s’évader. Les clients qui passent un séjour dans l’établissement apprécieront l’espace bien-être proposant un décor propice à la détente. Les lieux sont pourvus d’une piscine intérieure chauffée, accessible aux clients de l’hôtel. Un sauna et un hammam sont également proposés et procurent relaxation et vitalité. Pour aller plus loin dans votre quête d’évasion, laissez-vous tenter par un voyage sensoriel à travers les soins de modelage réalisés par une équipe de professionnels. Toujours en effervescence pour innover et satisfaire la clientèle, le château met au point une nouvelle carte modelage qui est personnalisée. Le corps et l’esprit se retrouvent dans un univers aux senteurs divines, au décor original et surtout avec des soins haut de gamme. Une seconde jeunesse pour les seniors, une petite échappatoire du train-train quotidien pour les autres, une occasion de changer de décor pour les jeunes et des moments magiques pour les petits. Du sport pour tout objectif physique La salle de fitness est dirigée par des coachs sportifs qualifiés qui restent à l’écoute pour mieux élaborer les programmes sportifs en adéquation aux attentes de tout un chacun sur rendez-vous : remise en forme, modelage de silhouette... Ils organisent à la demande des cours de fitness, de yoga et de pilates, individuels ou en groupe. Adieu toxines et stress, place à la tonification et à la détente. Éveil des sens, décor de prestige, senteurs enivrantes, soins personnalisés, ambiance sereine et conviviale… Le nec plus ultra ! ...
Le doyen du coworking en France Historiquement, La Bo[a]te est le premier espace de coworking à avoir ouvert ses portes en France. Excusez du peu. Ce doyen dans la location d’espaces de travail partagés est né de l’initiative de Martine Sousse et Marin Garrigues. Une dizaine d’années plus tôt, les deux complices animaient ensemble un espace de mécénat pour une grande marque internationale de soda. Ils mettaient alors à la disposition des jeunes du quartier un lieu, des ordinateurs, une connexion Internet et un savoir-faire pour leur enseigner à se servir des nouveaux outils numériques et les accompagner dans leur découverte du tout jeune réseau Internet. Capitalisant sur leur expérience, ils rachètent l‘endroit en 2007 et ouvrent cet espace de coworking, avant le nom donc, qu’ils nomment La Bo[a]te, en hommage aux ferrys qui traversent quotidiennement le Vieux-Port. Un lieu, plusieurs activités Au départ, il y a un lieu atypique du centre-ville de Marseille. Le sol est fait d’un vieux parquet en bois. Sur les murs, on remarque des affiches vintages, comme les meubles et les canapés qui trônent dans la pièce principale. On n’est pas du tout dans l’idée des espaces de coworking que l’on peut voir ailleurs. Il y règne une ambiance cosy et artistique. Plusieurs formules de coworking sont proposées aux start-up et aux petites entreprises. À partir de 50 euros (TTC) par mois, on y vient travailler bien sûr, mais aussi échanger et partager. « un espace de coworking sans animations et sans une communauté des coworkers qui collaborent entre eux, ce n’est que de la location de bureau, explique Marin Garrigues. Dans notre idée du coworking, il y a toute une partie de l’activité qui est consacrée à créer des synergies pour qu'ils développents leur activité et leurs projets grâce à l’organisation par exemple, de rencontres informelles, de MeetUp, de réunions autour de thématiques nouvelles, Machine learning, Design thinking, Veille autour d'appels a projets, Open data, ateliers du code (pour les enfants) » On vient à La Bo[a]te principalement pour travailler, mais on y discute aussi avec d’autres porteurs de projets innovants afin de grandir ensemble. Car au-dela du coworking, c'est aujourd'hui de "co-growing" qu'il faut parler. Le lieu, qui a gardé à cœur son esprit « mécénat », accueille régulierement des associations et collectifs autour de problématiques entrepreuneuriales, citoyennes et créatives. En 2018 la Boate va dupliquer le modèle avec un partenaire important de la Métropole Aix-Marseille. Une manière de consolider son offre au jeunes entreprises et aux porteurs de projets ...
Le spa des jardins de la Medina été aménagé sur l’une des principales terrasses de l’hôtel et domine le grand jardin luxuriant et sa piscine chauffée en hiver. Il permet aux hôtes de l’hôtel de découvrir ou redécouvrir la tradition ancestrale des soins du corps. Le hammam, élément incontournable de l’art de vivre marocain Invitation à la relaxation, le hammam est un excellent moyen de se détendre, de faire le vide et d'oublier ses soucis. On en ressort avec une véritable sensation de bien-être. Il est impensable de séjourner au Maroc sans expérimenter cette pratique incontournable de l’art de vivre marocain. Ce plus ancien rite de beauté relaxe les muscles, libère les toxines et purifie la peau, surtout lorsqu'il est associé à un gommage au savon noir parfumé à l'eucalyptus. L’art du massage Le massage est l’une des plus anciennes formes de thérapie populaire au monde. Il était pratiqué déjà près de 3000 ans avant J-C. Les médecins de l’antiquité grecque et romaine les utilisaient pour soulager et guérir. Et les orientaux, dont les turcs ont prolongé et adapté ces pratiques à leur propre usage. Les soins délivrés aux Jardins de la Médina sont inspirés des rituels orientaux. Ils s’adaptent à vos envies et/ou besoins du moment : Relaxation, décontraction, tonification. La thérapeute spécialement formée est à votre écoute pour faire de ces soins une parenthèse de bien-être personnalisée. Un barbier authentique et chic Le barbier est installé dans un petit salon authentique et chic. Il œuvre tous les jours sur rendez-vous et propose à sa clientèle masculine différents soins raffinés au choix comme le rasage, les soins de la barbe et du visage et, bien entendu la coupe de cheveux. ...
Les galettes et les crêpes bretonnes, surtout lorsqu’elles sont authentiques et préparées selon la tradition bretonne. Elles font partie de ces spécialités françaises dont on ne peut se passer ! La crêperie Pen-Ty en fait sa spécialité depuis plus de 40 ans ! Charmante et sympathique, avec juste ce qu’il faut comme espace, cette crêperie est une belle découverte pour ceux qui nous connaissent pas déjà car celle ci fait partie des plus connue à paris . La surprise (agréable bien entendu) est réellement au rendez-vous, et déjà l’envie d’y revenir ne se fait pas attendre ! Dans le respect de la tradition bretonne La Crêperie Pen-Ty est un lieu idéal pour un petit moment à deux ou en famille. Les portions sont généreuses et excellentes avec un bon rapport qualité-prix. Le crêpière s’applique à mettre les petits plats dans les grands afin de vous faire voyager au pays des galettes et des crêpes. Non contente d’être une authentique crêperie avec ces recettes traditionnelles, la crêperie Pen-Ty revisite aussi quelques régions avec des recettes aux différents fromages, au foie gras ou au boudin noir par exemple. Les desserts ne sont pas en reste avec une vingtaine de recettes et la possibilité de créer la sienne. Vous trouverez aussi une belle sélection de cidres, de jus de fruits bio et du vin de Bourgogne, mais pas que ! Découvrez ses boissons locales comme le chouchenn ou le pommeau de Bretagne, dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...
Fondé avec le concept de réception clé en main dans les années 80, Grand Chemin monte au créneau, en 2005, en mettant en avant son expertise de traiteur. Un service irréprochable et empreint de créativité assuré par une équipe en perpétuelle recherche d’excellence constitue le cachet de l'enseigne. ADN de la marque : une créativité sans limites en un temps record Tout le monde peut être traiteur mais seul Grand Chemin Traiteur sait assaisonner son art d’autant de créativité. Le savoir-faire et l’imagination foisonnante du chef, ancien de Peninsula, imprègnent naturellement son équipe. Un pool de passionnés attachés, sans relâche, à une seule ambition : trouver des concepts de plus en plus innovants, tant dans la scénarisation que dans la combinaison des saveurs. Flower Power, vitaminée, Candy Bar, lumineuse ou écolo, toutes les thématiques qui inspirent le client sont déclinées avec brio par José Morgado et sa suite. Le tout, avec une réactivité imparable. Les demandes de devis tardives, comme à 72 heures de l’événement, peuvent être prises en charge avec, à la sortie, la même authenticité et qualité du rendu. Pour porter cette créativité qui fait la signature de la maison, celle-ci s’est carrément dotée d’un comité Création & Innovation. Une enseigne durable à vocation organique Le développement durable constitue une valeur à laquelle Grand Chemin Traiteur adhère de façon active. Cette conviction commence dans la préférence accordée aux producteurs locaux, du Vexin en l’occurrence, dans la sélection des ingrédients, tous garantis sans OGM. Pour ceux qui ne sont pas disponibles via le canal interne, en tout cas. Il faut savoir, en effet, que la maison exploite 500 ha de terres agricoles qui leur fournissent l’essentiel des besoins en céréales, légumes et fruits. Ayant à cœur d’être un véritable « traiteur organique », l’enseigne entretient également une serre aromatique. ...
Pour trouver la maison de champagne Jean-Jacques Pessenet, il faut se rendre à Reuil, au sein de la vallée de la Marne et à proximité de la capitale du Champagne. Nous vous proposons d’en apprendre plus sur ce domaine pas comme les autres. Une exploitation familiale avec un seul objectif : créer d’excellents vins Pinot Meunier, Pinot Noir et Chardonnay : voici les 3 cépages champenois cultivés dans le domaine. Répartie en 55 parcelles sur 7 hectares, la culture se fait de façon raisonnée afin de préserver au maximum le fruit. Puis, les vendanges sont réalisées manuellement en respectant la typicité de chaque terroir. C’est cet amour de leur métier qui donne aux cuvées Jean-Jacques Pessenet leur formidable caractère. À ce titre, nous vous conseillons la cuvée Tradition ou la toute nouvelle Cuvée Nature. Idéal pour l’apéritif ou le dessert. ...
Ingénieur en génies des procédés, Hervé Grangeon a vécu une longue carrière dans le secteur de l’industrie. Fort de son background professionnel, ce fervent passionné de whisky décide alors de se mettre à son compte et de lancer son entreprise en 2015 après une formation au Centre International des Spiritueux à Segonzac. À la Distillerie Ergaster, il fabrique une sélection de whiskies et de gins, dont l’Herboriste, un nectar aux beaux reflets d’or qui incarne finesse et juste équilibre des arômes. Le gin Herboriste, comme une invitation au voyage 100 % bio, sans ajout de sucre, de colorant ni d'arôme et issu d’un procédé de fabrication artisanale, Herboriste est un dry distilled gin obtenu à partir de baies de genièvre très aromatiques, ramassées manuellement sur les hauts plateaux de Lozère, les Causses. Les baies sont associées à d’autres aromates très puissants tels que le cumin et la coriandre. Un processus de macération à base de citronnelle est ensuite réalisé pour apporter des saveurs inédites qui s’achèvent par un réglissé de gentiane. À l’œil, Herboriste dévoile une belle couleur aux reflets dorés obtenus grâce à cette association avec la citronnelle. Au nez, il se veut intense, expressif avec des arômes de fruits et d’épices. Toute la magie s’opère au moment de la dégustation. La bouche est à la fois suave, généreuse et capiteuse avec une longue persistance et une intensité marquée. À boire seul ou à sublimer en cocktail Herboriste apporte une touche de gourmandise à toutes les tablées. Il accompagne à merveille une cuisine méditerranéenne ou des spécialités orientales comme la Tajine de joue de bœuf aux pruneaux et amandes ou la Tajine d’agneau. Boisson apéritive et festive par excellence, Herboriste se déguste idéalement sous forme de cocktails. Pour préparer un rafraîchissement puissant et volumineux en bouche, rien de tel que de l’associer avec une Ginger beer, quelques zestes de Pomelo et quatre à cinq glaçons. ...
Situé entre plage et montagne, dans un paisible village entre Hyères et Toulon, le vignoble de la Navicelle longe les côtes méditerranéennes et bénéficie de conditions géographiques sans pareil lui permettant de produire d’excellents vins d’Appellation d’origine protégée Côtes-de-Provence. Depuis 2006, le domaine est sous la direction de Jannick Utard, un vigneron d’origine alsacienne aussi passionné que chevronné, dont la principale ambition est de combiner l’agriculture biodynamique à la viticulture traditionnelle. Un terroir aux cépages diversifiés Le domaine de la Navicelle s’étend actuellement sur 21 hectares de vigne, et limite ses rendements. Avec son climat méditerranéen, à la fois clément et tempéré ainsi que son sol composé essentiellement de schiste, il convient parfaitement à la culture de différents cépages. L’encépagement regroupe une dizaine de variétés de raisins, notamment « du blanc (rolle, muscat, clairette, sémillon), du rosé (tibouren, grenache, cinsault) et du rouge (syrah, grenache, cabernet, sauvignon, carignan, mourvèdre) », cite Franck Ruiz, responsable de la commercialisation. Labellisé bio et bientôt en biodynamie... Délicates et plaisantes, les cuvées de la marque sont élaborées avec talent et rigueur, et sont labellisées bio depuis 2014. Mais l’enseigne ne compte pas en rester là puisque « la conversion de l’ensemble de la production à la biodynamie devrait être appliquée l’année prochaine pour obtenir le label Demeter », explique notre interlocuteur. À côté des vins « Esprit » se démarquent les têtes de cuvées « Colle Noire » qui tirent leur nom de la colline éponyme à proximité du vignoble. Se déclinant en rouge et en blanc, elles constituent la signature de la Navicelle et s’invitent sur les grandes tables françaises et bientôt sur celles d'autres pays comme l’Angleterre ou les Etats Unis. Contrairement aux rouges, les blancs bénéficient d’un passage en fûts d’acacia et fûts de chêne pendant huit mois, « ce qui les rend originaux et gourmands », souligne Franck Ruiz. Une escapade entre détente et découverte Outre la vitiviniculture, le domaine de la Navicelle est également un lieu de détente où l’environnement est aussi paisible que dépaysant. À peine cinq minutes de la plage, il propose plusieurs gîtes spacieux et luxueux au décor moderne et provençal avec une vue immédiate sur la mer. En famille ou entre amis, les visiteurs peuvent s’adonner à différentes activités telles que randonnées pédestres, pétanque, tennis, golf, balades sous-marines, piscine ainsi que dégustation et visite du domaine et de la cave entre autres. ...