En quoi la transition d’un patient - atteint de maladie rare - de l’adolescence vers l’âge adulte est-elle une phase critique ? Avant de répondre à cette question, il est important de préciser ce qu’est une maladie rare. Il s’agit d’une maladie, le plus souvent d’origine génétique, qui s’est manifestée très tôt dans l’enfance du patient et qui est, par conséquent, relativement méconnue de beaucoup de mes confrères en charge de patients adultes. D’autre part, on constate que s’est souvent tissé un lien très fort entre l’enfant et l’équipe pédiatrique qui assure sa prise en charge. C’est pourquoi, en amont du passage du service pédiatrique au service adulte, vers l’âge de 18 ans, il est essentiel que tout ait été mis en oeuvre pour éviter qu’une rupture du parcours de soins ne survienne. D’où l’importance de préparer non seulement le jeune patient mais aussi sa famille à ce changement, de les rassurer et de leur expliquer que la prise en charge dans un service adulte sera équivalente à celle qu’ils ont connue jusqu’à présent. L’enjeu, c’est vraiment d’éviter à tout prix que soit rompu le parcours des soins. « La transition, c’est la préparation au transfert plus que le transfert lui-même » Quels sont les besoins spécifiques des adolescents souffrant de pathologies rares qui quittent un système médical pédiatrique pour une prise en charge en médecine adulte ? Il est important de souligner que le transfert du service de l’équipe pédiatrique vers le service adulte se fait progressivement. Pour qu’il s’effectue dans les meilleures conditions, ce transfert est largement anticipé. Il ne se fait pas brutalement, du jour au lendemain. La phase dite de transition désigne donc la préparation au transfert plus que le transfert lui-même qui n’en est que l’aboutissement. C’est précisément là tout l’enjeu de la « transition ». Celle-ci débute dès l’âge de 12/14 ans. L’équipe pédiatrique aide le jeune à acquérir progressivement une autonomie vis-à-vis de sa prise en charge médicale. De cette façon, en arrivant dans un service de médecine pour adultes, le jeune aura déjà une connaissance suffisante de sa maladie et sera capable de se prendre en charge. Cette préparation doit impliquer également l’équipe référente adulte qui prendra en charge le jeune patient. C’est pourquoi, dès l’âge de 16 ans, le malade verra son suivi assuré conjointement par l’équipe pédiatrique mais aussi par l’équipe référente adulte avec laquelle il pourra commencer à tisser des liens. De même, tout au long de la transition, outre l’accompagnement de l’équipe médicale, le patient pourra compter sur le soutien des infirmières, des psychologues et des assistantes sociales. Car encore une fois, pour que la transition « enfant-adulte » se passe bien, il essentiel de ne pas agir de manière isolée, chacun de son côté mais, au contraire, d’agir de concert. « Entre 16 et 21 ans, l’adolescent pourra passer de la pédiatrie au service adulte » Comment optimiser la prise en charge médicale globale des jeunes atteints de maladies rares qui arrivent à l’âge adulte ? Comme je l’évoquais, tout repose sur cette préparation du jeune et de sa famille à ce transfert. L’adolescence, c’est grandir mais c’est aussi devenir autonome. Notre rôle, c’est donc de préparer ces jeunes à se prendre en charge. Mais il est au moins aussi important de préparer les équipes d’adultes à recevoir ces jeunes qui, pour beaucoup, auront tissé des liens très forts avec l’équipe pédiatrique. Partant de constat, j’ai commencé à réfléchir, au niveau de la filière des maladies du foie de l’enfant et de l’adulte, à la façon d’optimiser la prise en charge médicale à cette période critique du transfert. J’ai alors initié un groupe de travail composé d’hépatologues pédiatriques mais aussi de médecins adultes, d’infirmières de liaison pédiatriques et adultes, de psychologues et d’assistantes sociales. Réunir tous ces acteurs a permis de préciser un certain nombre de recommandations visant à optimiser la prise en charge de ces jeunes et de rédiger un référentiel disponible sur le site de la filière de santé Filfoie.Quels sont les points à surveiller en priorité pour assurer une bonne continuité des soins et que le transfert de la responsabilité médicale s’opère dans les meilleures conditions ? Tout d’abord, il faut veiller à maintenir une bonne collaboration entre l’équipe pédiatrique et l’équipe adulte au moment du transfert, l’objectif étant d’éviter la rupture du parcours de soins. C’est pourquoi il est essentiel que le transfert ait été anticipé. Notamment en permettant au jeune patient ainsi qu’à sa famille de rencontrer, si possible au sein même du service pédiatrique et avant son transfert, le référent médical adulte qui prendra le relais. Il est souhaitable de programmer une ou deux consultations communes ou alternées si l’éloignement géographique pose problème. Enfin, pour faciliter le transfert du jeune patient vers le service adulte, nous avons créé une fiche de liaison qui permet à l’équ...
La Maison Mathieu-Princet a été créée par Michel Mathieu et son épouse Françoise Princet qui exploitent leur vignoble depuis les années 1960. Aujourd’hui, le couple est épaulé par leurs filles Sylvie et Véronique ainsi que par Patrick Lefebvre, Responsable de l’exploitation. Cette maison travaille sur un vignoble de 9 ha, réparti sur 5 communes de l’appellation Champagne, dont 2 en Premier Cru, à savoir Grauves et Bisseuil. Des cuvées reconnues pour leur qualité Récoltant-manipulant, Vigneron indépendant, la Maison Mathieu-Princet maitrise toute la chaine de production en mettant en avant le savoir-faire artisanal. Chaque étape fait l’objet d’une attention particulière. Les champagnes Mathieu-Princet se démarquent surtout par un long vieillissement sur lies, pouvant aller jusqu’à 5 ans, voire plus, pour les millésimes. À l’image de la cuvée « La Réserve des Alice » (la Grande Réserve Brut), qui a vieillit 5 ans en cave et est considérée comme étant la plus représentative de la maison. Issue d’un assemblage de 70 % chardonnay et 30 % de pinot noir, ce champagne Premier Cru dévoile des odeurs de sous-bois, des arômes de pain grillé, vanille et goût boisé. En bouche, on trouve une belle harmonie entre la finesse du chardonnay et la puissance du pinot noir. Élégance et compléxité caractérisent cette cuvée à déguster à l'apéritif ou au cours d'un repas. Mais une cuvée sort du lot. Outre sa fraîcheur, la délicatesse de ses arômes, le caractère rarisime de sa bouteille sérigraphiée fait de la cuvée Blanc de Chardonnay la cuvée coup de cœur de la maison. ...
En 1953, alors que l’appellation Buzet n’existe pas encore, un groupe de viticulteurs s’allie pour former la coopérative Les Vignerons de Buzet. La coopérative Les Vignerons de Buzet représente aujourd’hui 95% de l’appellation Buzet. Elle s’engage à vinifier et commercialiser des vins issus de pratiques responsables et durables. Une démarche responsable et durable à tous les niveaux « Nous sommes une coopérative fortement engagée sur le thème du développement et de la transition agroécologique », introduit Mariane Riboulet, responsable de la communication chez Les Vignerons de Buzet. Depuis 12 ans maintenant, cette philosophie est appliquée de la vigne à la bouteille. A cet effet, les vignes sont conduites en agriculture raisonnée et certains traitements chimiques sont supprimés. Ce qui signifie : zéro engrais chimiques, zéro désherbants chimiques résiduaires, zéro produits CMR (cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques). Et comme la coopérative veille méticuleusement à la préservation de l’écosystème, les insecticides nocifs pour les abeilles, dont les néonicotinoïdes, sont également bannis du cahier des charges. Par ailleurs, la question de l’économie d’énergie est réellement prise au sérieux. Les Vignerons de Buzet misent notamment sur les couverts végétaux afin de mieux gérer la ressource en eau dans les vignes. Toutes ces initiatives sont volontaires et vont au-delà de l’aspect environnemental. « Ces démarches écoresponsables ne se limitent pas au niveau du traitement des vignes », ajoute Mariane Riboulet. « Nous nous employons à ce que tout le processus d’élaboration du vin soit conforme à notre vision. C’est pourquoi nous travaillons aussi à l’écoconception de nos bouteilles, cartons, coffrets, etc…». Des vins pour tous « Baron d’Ardeuil » est un vin représentatif de la coopérative. « C’est la cuvée historique de la maison », nous confie notre interlocutrice. Le Baron d’Ardeuil se décline en rouge et en blanc. Baron d’Ardeuil rouge est issu de terroir de graves et d’argilocalcaires où les cépages Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon s’enracinent harmonieusement. Baron d’Ardeuil rouge est un vin plutôt puissant, boisé sans excès. De son côté, la cuvée Petit Baron se révèle être une porte d’entrée dans l’univers des vins de Buzet. Lancée en mars 2019, sur les trois couleurs (rouge, rosé et blanc), la gamme Petit Baron est née d’une volonté de donner une place à la chouette Chevêche d’Athéna, espèce protégée qui accompagne les viticulteurs des Vignerons de Buzet depuis longtemps car elle a été réintroduite dans le vignoble. Guidés par la chouette, Les Vignerons de Buzet reversent 1% des bénéfices générés par les ventes de cette cuvée en soutien à des initiatives environnementales, via l'organisme "1% for the Planet". La coopérative a également développé des vins sans sulfites ajoutés. Cette fois-ci, on dit non au soufre ajouté, additif qui a désormais rejoint le rang des allergènes. Parmi les ambassadrices de cette gamme de vins figure la cuvée "Sans", qui se décline en vin sans sulfites ajoutés rouge, rosé et blanc. Dans l’atelier du vigneron Les Vignerons de Buzet proposent une visite guidée dans le vignoble. L’animation est assurée par un viticulteur et un apiculteur qui se feront un plaisir d’exposer le cœur de métier de la coopérative. « Ces experts expliqueront respectivement toutes nos pratiques culturales liées à la transition agro-écologique. Les visiteurs découvriront, par exemple, comment sont préservés les insectes pollinisateurs, notamment les abeilles », éclaire Mariane Riboulet. Notons que la coopérative est engagée dans le label Bee Friendly qui promeut fervemment la protection des abeilles. Cette balade pédestre s’achève par une séance de dégustation où les visiteurs peuvent apprécier les vins et les produits du terroir en toute convi...
Créé en 1952 par le Dr Michel Pistor, la mésothérapie est une technique médicale dont le principe est d’injecter de faibles doses de médicaments directement sous le derme. Vulgariser cette technique auprès d’un public élargi reste aujourd’hui la mission principale de la Société française de mésothérapie (SFM). Une dernière étape à franchir Depuis 2003, le Conseil national de l’Ordre des médecins reconnait la mésothérapie au même titre que l’ostéopathie, l’acupuncture et l’homéopathie. Par ailleurs, la mésothérapie fait partie des quatre médecines non conventionnelles à être couvertes par la Sécurité sociale. « C’est une pratique qui est de nos jours reconnue par la caisse primaire de l’assurance maladie », rajoute le Dr Jean-Marc Piumi, président en exercice de la SFM. Il faut savoir également que la mésothérapie est enseignée dans 5 facultés de médecine. Toutefois, afin de lever les derniers doutes sur le fondement scientifique de la discipline, la SFM s’attèle à promouvoir la recherche et notamment des études susceptibles de déboucher sur une publication dans une grande revue médicale. Des recherches en cours Parmi les projets en recherche clinique, une étude portant sur l’intérêt de la mésothérapie dans le cas de l’algo-neurodystrophie est actuellement en cours auprès de l'hôpital Édouard-Herriot, situé à Lyon. « L’algo-neurodystrophie est une pathologie excessivement fréquente pouvant survenir des suites d’une chirurgie articulaire et celle-ci s’avère très invalidante », nous explique-t-on. Afin d’assurer une observation la plus neutre possible tout en évitant au passage les biais méthodologiques, l’étude s’effectue en double aveugle (une procédure dans laquelle les sujets participant à une étude clinique ignorent quel traitement ils ont reçu). « L’intérêt de cette étude, c’est d’écarter toute interférence humaine et psychologique. On réalise une étude uniquement sur des résultats cliniques qui vont être mesurés », confie le Dr Jean-Marc Piumi. Outre cette étude, la SFM apporte son appui à deux étudiants en médecine dans le cadre de la préparation de leurs thèses. Celles-ci se penchent sur les bénéfices de la mésothérapie dans le traitement des lombalgies et des épicondylites. ...
Riche d’une histoire remontant à plus de deux millénaires, le Château Calissanne a su développer des gammes de produits de qualité avec la volonté de respecter autant l’environnement que son terroir. Château Calissanne : histoire et évolution On pourrait indiquer que l’histoire du Château Calissanne remonte à 2001, avec l’achat et la restructuration du domaine par Philippe Kessler. Pourtant, ce ne serait pas rendre hommage à ce territoire vieux de deux millénaires qui était, au temps jadis, la voie principale entre Rome et l’Espagne. Place forte au IVe siècle, c’est aussi à cette époque que les Romains commencèrent à y planter des vignes et des oliviers. Il a fallu, ensuite, attendre le XVIIe siècle pour que le château actuel y soit construit (par M. de Leydet, parlementaire de la Cour d’Aix-en-Provence). Deux siècles plus tard, la propriété sera rachetée par Charles Auguste Verminck. À cette époque, on y cultivait, en plus du raisin et des olives, des cerises, des amandes et des asperges. Mais ces cultures seront peu à peu abandonnées pour se concentrer pleinement sur le vin et l’huile d’olive. Depuis 2001, Philippe Kessler et son épouse Sophie sont les nouveaux propriétaires du domaine de Calissanne. Leur objectif : améliorer la qualité des vins en mettant en valeur le vignoble Château Calissanne (AOP Coteaux d’Aix-de-Provence) et Domaine de la Clef de Saint-Thomas (AOC Châteauneuf-du-Pape). Viticulture et élevage des vins Profitant d’un climat méditerranéen (caractérisé par un air chaud et sec) et d’une douce brise marine, la vigne est inondée de soleil pendant une majeure partie de l’année. Les sols, quant à eux, sont riches et aérés. Ce qui permet d’y cultiver aisément de nombreux cépages : - Syrah, cabernet sauvignon, mourvèdre, grenache, cinsault, rolle, clairette et sémillon au Château Calissanne (divisés en 4 ilots de plusieurs parcelles) ; - Grenache, syrah, mourvèdre, cinsault, clairette, vaccarèse, bourboulenc, roussanne, counoise, muscardin, picpoul, picardan et terret noir à la Clef de St Thomas (3 terroirs divisés en 4 lieux-dits). Sans oublier les olives, le miel, les céréales et, plus étonnant encore, la truffe qui se plait au sein de ce territoire. Le Château Calissanne s’est engagé à pratiquer des méthodes de culture respectant les normes environnementales. Cela lui a permis d’obtenir une certification HVE de niveau 3 pour tous ses produits. Des créations pour toutes les envies Le Château Calissanne produit annuellement environ 50% de rosé, 40% de rouge et 10% de blanc en AOP Coteaux d’Aix-de-Provence. Parmi ceux-ci, on trouve : - Rocher Rouge (96% mourvèdre et 4% syrah) qui est un vin rouge mêlant arôme épicé et notes de framboise ; - Clos Victoire en rouge (60% syrah et 40% cabernet sauvignon), rosé (90% syrah et 10% grenache) et blanc (50% sémillon et 50% rolle) pour accompagner tous vos repas ; - Calisson de Calissanne (50% grenache, 40% cinsault et 10% rolle) qui est un vin rosé aux notes florales et d’agrumes ; - Epidaure (60% syrah et 40% cabernet sauvignon) : un vin rouge boisé, élégant et équilibré ; - Château Calissanne rouge (40% syrah, 40% cabernet sauvignon et 20% grenache), rosé (33% grenache, 33% mourvèdre et 33% syrah) et blanc (60% vermentino et 40% sémillon) qui feront le bonheur des amateurs de vins méditerranéens ; - Les Terres de Provence rouge (40% syrah, 40% grenache et 20% cabernet sauvignon), rosé (25% grenache, 25% cinsault, 25% mourvèdre et 25% syrah) et blanc (20% sémillon, 20% grenache blanc, 20% clairette, 20% vermentino et 20% bourboulenc) ; Le domaine de la Clef de Saint-Thomas propose quant à lui majoritairement du rouge mais aussi du blanc en AOC Châteauneuf-du-Pape : - Clef de Saint Thomas rouge (50% grenache, 30% syrah et 20% mourvèdre) et blanc (50% roussanne, 20% clairette, 20% grenache et 10% bourboulenc) aussi complexe que charmant ; - Pierre Troupel rouge (60% grenache et 40% syrah) et blanc (40% bourboulenc, 30% grenache et 30% clairette) qui est un vin jeune, mais puissant. ...
La transmission du savoir-faire de père en fils a contribué à maintenir la qualité des vins de la Grand’Vigne et de construire sa notoriété. Cette exploitation se transmet donc depuis quatre générations et la cinquième est bientôt prête à prendre le relais. Deux terroirs aux caractéristiques différentes s’expriment à travers la Grand Vigne Cuvée Traditionnelle, Les Fournerys et Florian. Appellation Coteaux-Varois-en-Provence : les caractéristiques d’un terroir d’exception Le domaine de la Grand’Vigne est perché à 240 mètres d’altitude, à côté de l’ancienne voie romaine « Via Aurélia ». Il bénéficie d’un climat méditerranéen froid et rigoureux en hiver, chaud et sec en été. Les courants marins sont stoppés par les nombreuses collines. Situé essentiellement près des sites d’extraction de bauxite, le terroir de la Grand’Vigne est fait d’argile rouge de bas de pente. La profondeur du sol permet d’amoindrir l’effet de la sécheresse estivale. Entre garrigues, pinèdes et genêts, le terroir des Fournerys possède des sols caillouteux qui garantissent la typicité des vins. La Grand’Vigne : vinification et savoir-faire Les procédés des paysans des bastides provençales dans les travaux de la vigne, les vendanges et la vinification connaissent un tournant en 1948 avec l’adhésion à la coopérative des Cordeliers. Ce n’est qu’une cinquantaine d’années plus tard que la production et la vinification s’effectuent à nouveau à la propriété. Depuis, la tradition et le savoir-faire œnologique des viticulteurs du Var leur permettent de viser l’excellence, un objectif qui se concrétise par les médailles et récompenses de guides et concours. La vinification suit différentes démarches pour les vins blancs, rouges et rosés. Celle du blanc commence par la macération préfermentaire à froid en milieu inerte, une technique qui consiste à retarder le départ de la fermentation. Elle permet d’extraire en douceur les arômes, tanins, pigments et donne au vin un côté fruité intense. L’étape suivante est le débourbage statique ou la séparation des bourbes et du mout. Le liquide passe maintenant dans des cuves thermorégulées entre 16 et 18 °C pour la fermentation. Le vin est élevé sans être séparé de ses lies pour augmenter ses arômes et sa rondeur. Le procédé finit par un collage doux avant la mise en bouteille. L’assemblage et la mise en bouteille sont précoces pour le blanc et le rosé. La méthode pour le rouge se distingue par une sélection des parcelles, puis l’éraflage en totalité. Il y a également le remontage et délestage régulier, suivi d’une cuvaison de 12 à 15 jours en maitrisant la température entre 24 et 26 degrés. Selon le millésime, une macération post-fermentaire peut être effectuée avant l’élevage en barrique partiel. ...
Le domaine du Champagne Pierre Moncuit sublime sa terre depuis plus d’un siècle. Ses vignes courent sur 20 hectares, dont 15 en grand cru, où des pieds de Chardonnay d’une moyenne d’âge de 50 ans, s’épanouissent et s’expriment sous le regard bienveillant de leurs propriétaires. Vigneronnes de mère en fille Nicole Moncuit, fille de Pierre Moncuit, reprend le domaine dans les années 80 en tant que vinificatrice. Avec son frère, Yves, pour la partie commercialisation, elle dessine dès lors la renommée du domaine et de ses cuvées, devenues incontournables pour les amateurs de Champagne. Cet amour de la terre et du métier, elle le communique à sa fille, Valérie, aujourd’hui à la tête du vignoble. Toutes deux travaillent à la production, complices et habitée par les mêmes valeurs. Ici, la viticulture est certifiée Haute Valeur Environnementale. Le sol est chéri et confie toute son élégance aux champagnes du domaine. La production ne se fait jamais au détriment du temps ou de la nature. La sagesse et la précision révèlent des cuvées aux fruits sublimés, aux aromes complexes et à la longueur en bouche admirable. Si Valérie Charpentier parle avec ferveur des différentes cuvées, elle cite avec une tendresse toute particulière la cuvée du nom de sa maman, Nicole Moncuit. Réalisée à partir des plus vieux pieds du vignoble (90 ans d’âge), elle en révèle tout le caractère et la sagesse. Il n’y a plus qu’à sortir les coupes pour savourer la perfection d’un champagne délicat, aux bulles joyeuses et raffinées. ...
Situé à quelques pas du centre historique de Bordeaux, rue Georges Bonnac, l'Hôtel Burdigala illustre le mariage réussi entre tradition et modernité. Dès l’entrée, sa façade en pierres blondes de Frontenac évoque le style architectural bordelais du XVIIIe siècle. Mais, une fois la porte franchie, la demeure séduit par sa décoration moderne, chic et cosy. Elle propose aujourd’hui un hôtel quatre étoiles et un restaurant bistronomique : La Table de Burdigala. Une très bonne table ! Installée sous une agréable verrière, La Table de Burdigala opte pour un décor contemporain et « urban chic », avec son subtil jeu de voilages. À l’image de la bâtisse, le restaurant dégage une ambiance à la fois élégante et détendue. Il plonge ses convives dans un confort unique et un calme feutré, en contraste avec l’agitation urbaine. À la hauteur de la beauté du lieu, la qualité des plats est irréprochable. À base de produits frais issus du terroir, le Chef Denis Lemercier - Maître Restaurateur revisite le répertoire de la gastronomie classique française en y apportant une touche dosée de modernité et d’originalité. Au gré des saisons, la carte et les menus proposent une grande variété de plats, pour satisfaire toutes les envies, même les plus exigeantes. Parmi eux, le gravlax de saumon et raifort, blanc de poireau en viennoise de sésame noir, en entrée ; et le paleron de bœuf du Limousin braisé aux morilles accompagné de pommes fondantes et de rutabaga, en plat principal, sont les plus prisés. ...
Eh non, l’Amazonie n’est pas réservée uniquement aux aventuriers ! Et c’est également loin d’être un endroit hostile que beaucoup de gens imaginent. Qu’il s’agisse d’une balade en forêt, d’une promenade en pirogue ou encore d’une pêche aux piranhas, Heliconia fait parler son expertise et son professionnalisme pour offrir des séjours agréables adaptés à toute la famille. L’Amazonie, une destination nature avant tout D’après le WWF, l’Amazonie abrite entre 50 et 75 % de la biodiversité mondiale. Destination nature par excellence, celle-ci est dotée d’une faune et d’une flore exceptionnelle. À ce jour, près de 80 000 espèces de plantes y sont répertoriées. Au niveau de sa faune, de nombreuses espèces d’animaux sauvages peuplent encore de nos jours les forêts tropicales amazoniennes. « C’est une destination articulées autour de deux éléments importants que sont le fleuve et la forêt », souligne Rémy Harbonnier, cofondateur. Des séjours sur mesure Avec plus de 20 ans d’expérience dans l’organisation de séjours sur mesure, Heliconia est à même de s’adapter aux besoins des voyageurs. Ces derniers sont en quelque sorte les principaux artisans de leur propre voyage. Durée du séjour, activités, type d’hébergements…C’est selon les envies du voyageur. « Les possibilités sont presque infinies, nous pouvons modifier, rajouter ou enlever certaines choses », nous indique-t-on. Une croisière inoubliable Offre phare de l’agence, une croisière sur le fleuve Rio Negro permet une immersion totale au cœur de l’Amazonie. À bord d’un bateau privatisé, les croisiéristes partent explorer la forêt et ses richesses cachées. Pendant toute la traversée, les voyageurs ont à leur disposition une équipe totalement aux petits soins dans le but de rendre leur séjour le plus agréable possible. Côté distractions, la croisière est ponctuée par des activités diverses, comprenant, par exemple, une baignade en compagnie des dauphins roses, une randonnée en forêt, une visite d’une communauté indienne ou encore l’observation des caïmans à la nuit tombée. ...
Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive. Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution. Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises. Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable. Un partenariat gagnant-gagnant Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire. Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy. La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com ...
L’exploitation est implantée dans le village de Nuits-Saint-Georges et s’étend sur la Côte de Nuits et la Côte de Beaune. Des appellations qui sont connues pour l’élaboration de vins rouges de qualité. Aujourd’hui, l’ensemble du domaine Moillard est conduit en viticulture raisonnée, sous l’œil avisé de Jacques Briday, chef de culture. De la vigne au vin, tout se fait dans le respect de la tradition bourguignonne. Une famille, un domaine La famille Moillard et le vin ne font qu’un. Bien avant la Révolution française, cette famille menait déjà une importante activité viticole à Nuits-Saint-Georges. Mais ce n’est qu’en 1850, sous l’impulsion de Symphorien Moillard, que la maison a connu un réel essor. « Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de Bourgogne, dont les valeurs sont l’authenticité, la qualité, l’héritage, la générosité et le savoir-faire », souligne Cathy Stoffel, cheffe de produit. Un adepte de la viticulture raisonnée Sur ce vignoble d’une dizaine d’hectares planté en pinot noir et en chardonnay, Jacques Briday et son équipe appliquent une viticulture raisonnée, tout en adoptant des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, chaque parcelle est travaillée selon ses propres besoins. Résultat, des raisins de qualité qui atteignent une maturité optimale et qui seront vendangés manuellement. De longues cuvaisons La maison Moillard se démarque par des techniques de vinification qui nécessitent très peu d’intervention humaine. « Une des particularités du domaine réside dans le fait que la réception en vendange et la vinification se font par système de gravité », explique Baptiste Corrot, œnologue au domaine. Pour élaborer ses vins rouges, la maison procède d’abord à un tri rigoureux des baies avant de les acheminer vers les cuves grâce à des petits bacs. Les jus font l’objet d’une macération post-fermentaire durant plusieurs jours. Au niveau des blancs, les raisins sont délicatement pressés puis débourbés. Suivent une fermentation en cuve thermorégulée ou en fût de chêne (selon les appellations) et un bâtonnage régulier en vue d’apporter plus de complexité aromatique. Des cuvées d’exception Le domaine Moillard produit pas moins de 4 appellations, dont Bourgogne Hautes Côtes de Nuits, Côte de Nuits Villages, Savigny-lès-Beaune et Nuits-Saint-Georges Les Argillats. Parmi les nombreuses cuvées de la maison, la cuvée « Nuits-Saint-Georges Les Argillats » est la plus représentative. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits rouges mâtinés d'épices. En bouche, celui-ci se révèle riche, dense, rond et suave, porté par des tanins fins et soyeux. ...
Ce bar-restaurant est un lieu d’exception qui met particulièrement à l’honneur la Bellerose, une bière fabriquée par la Brasserie des Sources. Mais un large éventail de bières est à découvrir : des bières à la pression, des bières artisanales (craft beers) sans cesse renouvelées, à la pression, en bouteille ou même en édition limitée. Elles vous feront incontestablement voyager puisqu’elles sont produites dans le monde entier (Etats-Unis, Ecosse, Pays-Bas, Autriche, Japon, …). Vous n’avez pas fini de vous rendre au Bellerose si vous voulez explorer l’ensemble de la palette de bières que l’établissement propose.Côté restauration, le Bellerose s’est spécialisé dans la confection de burgers gourmets originaux à partir de produits frais de qualité. Tous les burgers sont préparés spécialement pour vous, à la minute, avec une parfaite cuisson de la viande.En cuisine, une équipe de 4 cuisiniers unis par leur goût pour la Street Food offrent un univers culinaire assez varié. Ils travaillent leurs burgers au gré de leurs envies pour proposer de nouvelles recettes qui s’ajoutent à ceux de la carte permanente.En consultant celle-ci, vous aurez peut-être envie de vous régaler d’un burger Little Italia avec pain ciabatta, cheddar, steak, speck, oignons frits, salade roquette et tomates confites, agrémenté d’une sauce moutarde. Le "Oh my goat" avec steak, chèvre, miel, oignons frits, bacon, salade et tomate, est aussi très apprécié.Si vous êtes végétarien, pas de souci, venez savourer le Veggie avec son bun boulanger, steak de mozzarella panée, tomate fraiche, roquette, tomates confites, sublimé par une sauce basilic.Ici tout est prévu pour les gros mangeurs puisque vous pouvez demander un burger avec un, deux ou trois steaks. Et les indécis choisiront plutôt le duo de mini-burgers.Toutes les assiettes sont préparées avec soin, toujours servies avec des frites et de la salade. Les desserts sont également faits maison, vous pourrez par exemple vous régaler avec un cheesecake.Pour le midi, vous pouvez déguster le burger du jour accompagné d’une bière Bellerose pour seulement 12 euros.Si vous venez entre amis, partagez quelques mix tapas (Guacamole, onion rings, beignets de calamar et chicken wings ) sans oublier de commander votre bière préférée.Sa salle tout en longueur est partagée entre bar et restaurant. La décoration privilégie une ambiance industrielle et vintage avec des tables en bois noir et des tabourets. De la bonne musique en fond sonore, une lumière tamisée, un accueil sympathique et chaleureux, des bières de qualité, des burgers gourmands, tous les ingrédients sont réunis pour passer un moment convivial....
« TOURISTES CURIEUX, AMATEURS DE VINS, ENTREPRISES, VENEZ DÉCOUVRIR, COMPRENDRE ET APPRENDRE LA DIVERSITÉ DES VINS DE CHAMPAGNE » Entourée de ses adhérents et implantée au cœur du vignoble, l’Ecole des Vins de Champagne vous invite à la découverte des vins de Champagne. Soutenue par la profession, elle est complémentaire aux actions de promotion et d'accueil mises en œuvre par les différentes maisons de champagne, coopératives, viticulteurs ainsi que par l'interprofession. Tout au long de l'année,plusieurs sessions ludiques et pédagogiques sont proposées au grand public qui vont de l'initiation à la dégustation simple jusqu’à un parcours plus approfondi mêlant dégustation, gastronomie, visites et découverte du vignoble. Lors de ces « cours de dégustation », comme le souligne Étienne Monet, directeur de l’établissement, l’institut tient à « faciliter la transmission du savoir par le biais de termes et de techniques faciles à retenir ». La Villa Bissinger est le lieu de dégustation de prédilection avec une cave pédagogique riche de plus de 250 références. Cette mosaïque de pinot noir, de pinot meunier, de chardonnay et d’assemblage « fera comprendre au public le potentiel de diversité que nous offre les vins de Champagne », toujours selon Étienne Monet. Une formation enrichissante au cœur de la Champagne Allant des journées découvertes aux programmes personnalisés, en passant par les parcours initiatiques, l’Institut international des vins de Champagne offre des prestations variées, « à la carte », selon vos envies. Entre amis, en famille ou avec des collègues, déambulez ensemble au pays du champagne en découvrant ses Hommes, ses Vins et la richesse de son histoire. ...
Dans le cadre élégant et design d’un hôtel 4 étoiles éponyme, le restaurant Lumen met dans ses plats un mélange de saveurs italiennes et japonaises qui plait aux foodies avides d’une cuisine aussi délicate que gourmande. Une belle localisation Sur une charmante petite place, entre la rue des Pyramides et l’église Saint-Roch, cette adresse parisienne a de quoi satisfaire les épicuriens. Ici, plaisir des pupilles avant celui des papilles. Les convives sont invités à s’installer dans la salle habillée d’immenses baies vitrées qui donnent directement sur cette jolie rue à l’abri du brouhaha de la capitale. Dans ce petit coin de dolce vita, « plusieurs formules modulables et variées qui s’adaptent aux goûts et aux préférences de la clientèle sont proposées », déclare Steven Bernot, Directeur du restaurant. Ode à la gourmandise Comme le restaurant Lumen travaille beaucoup les produits de saison, cette tendance laisse deviner de nombreuses variations dans les plats. Toutefois, quelques incontournables méritent d’être cités tels que son délicieux Carpaccio de poisson dressé à la japonaise, présenté avec des condiments japonais, ses étonnantes Linguine aux crabes et cèpes subtilement accompagnées de confiture de citron ou son incontournable Tiramisu au thé vert matcha qui reste le dessert favori de nombreux clients. Un poisson de ligne et une viande soigneusement choisie qui varient selon les arrivages du marché sont également toujours proposés à la carte. Une adresse prometteuse, déjà devenue culte chez les habitués. ...
À la recherche de farniente et de dépaysement, l’Hôtel Bambou vous attend. Idéalement implanté au cœur d’une commune réputée haut lieu du tourisme, Les Trois-Îlets, l’établissement a élu domicile sur la plage de l’Anse-Mitan. L’accueil y est à l’image du doux climat qui règne sur l’île et tout semble avoir été pensé pour que confort et exotisme cohabitent dans les 193 chambres de l’Hôtel, dont 40 supérieures et 8 mini-suites, 22 labellisées tourisme et handicap, des bungalows en jardin où trônent bananiers et bougainvilliers... Leur agencement a été opéré de telle sorte que chacun puisse se plonger dans une thématique particulière, au gré de ses envies : Musique et traditions, Terre de rhum, Mer des Caraïbes, Culture créole... L’histoire avait pourtant commencé avec seulement une capacité d’accueil de six chambres. C’était en 1960 et l’entreprise, créée par Ginette et André Rivéti, s’appelait alors Miami Plage. En 1983, leur fils a repris l’affaire familiale et l’Hôtel Bambou a vu le jour. Les années passant, l’établissement a acquis ses lettres de noblesse et, du haut de ses 2 étoiles décrochées en 2008, il est, depuis 2015, triplement labellisé : un label qualité, un label écologique et un label tourisme et handicap. Déguster un plat les pieds dans l’eau Côté cuisine, l’Hôtel Bambou éveille vos papilles en vous proposant d’apprécier, les pieds dans l’eau, des saveurs métissées avec, en vedette, des langoustes grillées et du colombo de poulet. Ou alors de la cuisine française mais toujours agrémentée d’une petite pointe créole, tel un magret de canard nappé d’une sauce tamarin. Pour étancher sa soif, deux bars sont également à votre disposition. Et s’il vous prenait une envie d’aventures, tout un assortiment d’activités s’offre à vous : initiation à la plongée, aquagym, animations musicales, ballet traditionnel… Sinon, aux alentours, vous pourrez vous enivrer de la visite du musée de la Canne, ou encore de la Savane des Esclaves. Enfin, l’Hôtel Bambou peut aussi accueillir des événements professionnels (séminaires, formations…) et familiaux (mariages, baptêmes…) et y dédie même une équipe pour accompagner leur réalisation. ...
Depuis ses débuts dans l’univers du vin, Jean-Luc Thunevin a souhaité briser les codes du milieu. Le vin Bad Boy en est un exemple concret. Bad Boy : un vin pas comme les autres La première chose qui interpelle quand on observe la bouteille, c’est son étiquette. Cette dernière reprend les codes qui ont fait la réputation de Jean-Luc Thunevin. Le mouton noir, tout d’abord. Mais aussi la notion de « vin de garage » et enfin, le nom. Jean-Luc Thunevin est, en effet, surnommé le Bad Boy de Saint-Émilion. Créé à partir d’un cépage 100% Merlot, ce vin est élevé en barrique neuve pendant 14 mois. D’après les commentaires de son créateur, le vin Bad Boy est très facile à boire et peut facilement être vieilli pendant quelques années supplémentaires. À cela, il faut rajouter le fait qu’il soit proposé à un excellent rapport qualité/prix et que les différents millésimes sont particulièrement bien notés (entre 86 et 90/100 en moyenne selon les millésimes). ...
Ce havre de paix au décor de carte postale invite à l’activité physique. Tout est mis en œuvre pour que chaque passage en couple ou en famille devienne un moment de ski « sur mesure » dans les deux stations-villages du territoire : Saint-Jean-d’Aulps-Domaine Roc d’Enfer et Montriond - Domaine d’Avoriaz. De plus, les professionnels de la montagne proposent des alternatives pour satisfaire une clientèle qui en redemande. Le paradis des skieurs La première station-village est le village de Saint-Jean d’Aulps, avec son domaine « ski grandeur Nature » du Roc d’Enfer. Ce domaine offre des espaces débutants, qui, loin de la foule des grands domaines skiables, permettent aux novices et aux enfants de pratiquer un ski tranquille et itinérant. Parallèlement, petits et grands de tous les niveaux peuvent trouver leur bonheur sur les 50 kilomètres de pistes du domaine. Pour les déplacements, des navettes Skibus assurent gratuitement la liaison entre les villages et les stations durant toute la saison d’hiver. Mais les amateurs de balade détente et revigorante seront aussi tentés par le circuit de plus de 20 kilomètres qui serpente en forêt. De leur côté, le village de Montriond et le domaine d’Avoriaz offrent une expérience de rêve grâce à leur accès direct aux Portes du Soleil. Ce domaine skiable franco-suisse est l’un des plus grands du monde avec ses 650 kilomètres de pistes. Pour leur part, les 77 kilomètres de pistes du domaine d’Avoriaz donnent la possibilité de visiter le village des Lindarets, village des chèvres en été, enfoui sous un manteau neigeux. Un immense terrain de jeu Des activités innovantes et insolites sont aussi à découvrir. La plongée sous glace au lac de Montriond est ouverte à tous sous l’encadrement de professionnels. Pour les amateurs de sensations fortes, il serait dommage de rater le speed riding (parapente et ski) ou le Yooner. Des jeux compétitifs peuvent aussi être mis en place, notamment le Raquett’arc. Les stations-villages possèdent des écoles qui proposent des cours d’apprentissage ou de perfectionnement pour la plupart des activités. Les nombreux restaurants d’altitude restent ouverts pour de petites pauses gustatives. Et à la fin d’une intense journée, rien de tel qu’un lit douillet dans l’hébergement de votre choix pour vous reposer et vous ressourcer avant de reprendre cette intense expérience le lendemain. ...
Construite à partir des pierres anciennes récupérées du temps où la prison de la Bastille avait été démolie, la bâtisse abritant le restaurant conserve l’authenticité des éléments de l’époque. À cela s'ajoutent les couleurs flamboyantes, les poteries, les tableaux, les luminaires berbères, les poutres apparentes… Une décoration qui mène les invités sans détour vers le Maghreb. Cette alliance d’art, d’histoire et de culture apporte une ambiance chaleureuse et accueillante au restaurant La Ferme Saint-Bernard. Un chef venu d’ailleurs Ayant travaillé dans le domaine de l’administration dans son Algérie natale, l’actuel propriétaire du restaurant La Ferme Saint-Bernard a très vite décidé de changer de cap. Il entreprit quelques voyages avant de s’installer en France il y a maintenant 20 ans. Animé par la passion culinaire et l’amour de sa culture, Hamou Messaoudi a instauré, depuis 2007, dans son restaurant, un concept très précis : « Prôner l’art berbère, faire découvrir les bijoux culturels du Maghreb en s’investissant dans les particularités de sa cuisine. » De l’entrée jusqu’au dessert, les invités rencontreront les saveurs de l’Afrique du Nord ainsi que celles de la Méditerranée. Les délices du Maghreb dans l’assiette La dégustation commence par le felfel, une entrée constituée de piments écrasés avec des tomates, arrosés d’huile d'olive et qui s’accompagne de galettes kabyles. D’autres entrées feront aussi le bonheur de ceux qui savent les apprécier : les différentes variations de bricks (au thon, au fromage ou à l’œuf) ou le chakchouka, une spécialité maghrébine non piquante à base de poivrons, d’oignons, de pommes de terre et qui est escortée d’œufs brouillés. Mention spéciale également pour la fameuse boulette de semoule marinée dans la menthe fraiche et la coriandre, pour les différentes sortes de tajines (boulettes, poulet, agneau, végétarien) ou encore pour les couscous à la vapeur. Outre l’incontournable thé à la menthe qui termine traditionnellement les repas maghrébins, des glaces ou une variété de pâtisseries garnies de miel sont aussi parfaits pour achever ce doux voyage. ...
Pour Marie Blangeot, « Coup de cœur rime avec rigueur ». Voilà assurément les deux valeurs cardinales de l’équipe de Parcours & Voyages. Sans oublier le sur mesure. Et cela commence naturellement par l’écoute du client, demandeur d’une expérience unique autour d’un prochain voyage de golf en France ou à l'étranger, seul, en famille, entre amis, avec un Pro ou une association. L’équipe se charge alors de conseiller, de dénicher et d’organiser le séjour golfique de rêves pour en faire un moment aussi privilégié qu’inoubliable en « essayant toujours de satisfaire la demande, de trouver une solution adaptée. » Le modèle de l’agence se rapproche ainsi d’un service de conciergerie, avec un encadrement et un accompagnement permanents. La passion du Golf est évidemment ce qui pousse les clients vers Parcours & Voyages. D’ailleurs, 99% d’entre eux sont des pratiquants. Il convient donc de leur proposer, en marge de leur passion, une destination touristique avec des séjours à la carte en réalisant tous les forfaits selon leurs envies et leurs critères (budget, standing, durée, temps de vol). « Une destination peut être déclinée à l’infini selon le profil du client, qu’il soit seul ou en groupe » précise d’ailleurs Marie Blangeot. Des séjours Golf à la carte Pour l’équipe de Parcours & Voyages, la personnalisation est donc un atout majeur. De fait, les clients rencontrés parfois même au gré de parcours de Golf, sont naturellement attirés par ce privilège et cette part de rêve sur mesure. Avec cette idée que leurs désirs de vacances golfiques doivent être satisfait dans le moindre détail. Car il doit évidemment correspondre à la hauteur de l’investissement, en temps et en budget. « Analyser les attentes, proposer, recommander » est essentiel dans un secteur très concurrentiel, selon Marie Blangeot. L’équipe doit également prendre en compte l’évolution des parcours, 18 ou 9 trous. Ainsi que les nouveaux Resorts sur les destinations émergentes. Il en va de la confiance et de la fidélité des clients. Sans oublier le service et l’écoute. Comme savoir dire non, parfois, quand le profil d’un client ne correspond pas à une offre. Chez Parcours & Voyages, la confiance est capitale. La grande tendance des "Croisières Golf" Dans l’univers du tourisme golfique, le client est donc roi. Qu’il s’agisse d’un chef d’entreprise désireux de vivre une expérience sans contrainte, sans stress, parfaitement gérée. Ou qu’il s’agisse de passionnés, amateurs de Golf et avides de partager des stages avec des joueurs professionnels. Chacun pourra confier ses désidératas à l’équipe de Parcours & Voyages, prête à orchestrer les demandes avec les prestataires sur place. Parfois même avec de belles rencontres golfiques, comme le confie Marie Blangeot : « Il arrive que nos clients soient conviés à partager un verre, un dîner avec des champions en marge d’un tournoi. Une plus-value très appréciée. » Car l’équipe propose aussi des destinations sur des événements majeurs, grâce à des accords avec les organisateurs de grands tournois. Tout comme elle propose des croisières-golf, la grande tendance du moment, qui permettra de proposer aux clients des séjours dans les Caraïbes à partir de décembre prochain. Une grande première pour ceux qui désirent construire un voyage golfique inédit. « Avec Parcours & Voyages, vous vivrez une expérience unique », conclut Marie Blangeot. Un savoir-faire d’ailleurs récompensé par l’Award du Meilleur Tour Opérateur spécialisé golf en 2019. ...
Situé en Normandie sur la route du cidre, au cœur du pays d’Auge, le domaine familial Pierre Huet se compose de 30 hectares de vergers hautes et basses tiges, sur lesquels on compte plus de 25 variétés de pommes à cidre. Grâce à un terroir naturellement propice à la production de pommes, le domaine Pierre Huet produit et commercialise dans le monde, selon des critères très stricts, quatre des six Appellations d’origine contrôlée (AOC) cidricoles normandes : - Calvados pays d’Auge - Calvados - Pommeau de Normandie - Cidre pays d’Auge Des cidres et des calvados authentiques… Au sein de cette production, la fabrication des cidres et des calvados constitue un savoir-faire inestimable, transmis de génération en génération depuis plus d’un siècle. En conjuguant tradition et innovation, la famille Huet a ainsi pu acquérir une grande notoriété par la commercialisation de son précieux breuvage : le calvados. Elle est passée maître dans l’art des assemblages subtils et délicats. Cette pratique, fruit d’une longue expérience, consiste à assembler des eaux-de-vie de maturité et d’âges différents pour obtenir une qualité constante. …et d’autres produits issus de pommes ou de poires Vous pouvez choisir un poiré demi-sec, un cidre de poires, qui se marie à merveille avec les desserts aux fruits. Pour l’apéritif ou pour accompagner un foie gras, optez pour le pommeau vieilli en fûts de chêne. Le Domaine Pierre Huet propose également de la crème de calvados, de la crème de pomme verte, de la liqueur de poires au calvados, du jus de pommes, ou encore du vinaigre de cidre ou de poiré. Visite du domaine Le domaine Pierre Huet ouvre ses caves à la visite tout au long de l’année. Grâce à votre guide, vous découvrirez l’élaboration du calvados depuis la pomme jusqu’au produit fini. En 2010, un nouvel espace d’accueil comprenant boutique et distillerie a été construit sur le Domaine. Les alambics chauffés aux copeaux de bois y ont une place primordiale, dans une optique de développement durable et d’économie d’énergie. Cet espace a été totalement pensé pour une production plus raisonnée. Une distillerie innovante et unique en Normandie ! Le Domaine vend environ 60 % de sa production en direct à la propriété, 25 % à l’export dans de nombreux pays comme la Belgique, l’Allemagne ou l’Autriche ou encore les États-Unis et le Japon. ...
Idéalement situé au bord de la Méditerranée, La Grande Bastide accueille les touristes et vacanciers venus profiter du soleil et du doux climat de la région. Elle fait partie des 30 villages de vacances du réseau Vacances passion, le spécialiste français des séjours en famille. La Grande Bastide : un village de vacances pour les familles En prenant la direction du Lavandou, entre Hyères et Saint-Tropez, se trouve le Village La Grande Bastide***. Installé au cœur d’un jardin arboré de 1,8 ha et situé à 800 m de la plage, ce village de vacances combine l’avantage d’être installé en pleine nature et au cœur d’une station balnéaire. Au centre du Lavandou, le paysage est ponctué par les plages de sable fin, les criques, les vignobles et les massifs des Maures. Les familles peuvent choisir entre deux formules pour leurs séjours chez Vacances passion : la formule Location ou la formule Flexipass. La première formule s’adresse aux personnes préférant passer leurs vacances en toute liberté et vivre chaque jour selon les envies de chacun. La deuxième formule est faite pour les adeptes des vacances sur-mesure. La Grande Bastide propose des hébergements de 24 m² pour 2 à 5 personnes dont l’équipement dépend de la formule choisie par les vacanciers. Les services d’hébergement comprennent le Wi-Fi, le parking privatif et le matériel bébé. En Flexipass, le linge de lit et de toilette est aussi inclus, tout comme les clubs pour enfants et ados et l’animation pour les adultes et toute la famille. Loisirs et détente au Village La Grande Bastide Côté activités, le village « La Grande Bastide » incarne parfaitement sa promesse de séjour familial. Il offre à ses vacanciers plusieurs loisirs à apprécier en famille : aquagym pour bien commencer la journée, piscine avec pataugeoire, courts de tennis, terrain de volley, boulodrome, tables de ping-pong, bibliothèque et jeux de société, et enfin salle d’animation et de spectacle pour bien terminer sa soirée. Le Village de vacances organise différents types d’animations destinées à tous les âges afin que chacun puisse se divertir selon ses envies. Le printemps et l’automne sont l’occasion de participer à des jeux, des tournois sportifs, des balades de découverte, ainsi que des soirées animées organisées par les équipes de la Grande Bastide. En été, les animations familiales se diversifient : en soirée, les touristes peuvent assister à des concerts sur la terrasse du restaurant, à différents types de concours ou encore participer à une soirée dansante. Les enfants ne seront pas en reste : le village de vacances dispose d’une aire de jeux ainsi que d’un personnel d’animation dédié pour encadrer des activités d’éveil, des jeux et différents types d’animations adaptées à l’âge des enfants. Ils ont même droit à leur propre cabaret en fin de semaine ! Quant aux adultes (et aux enfants qui ont l’âge requis), ils sont invités à s’initier à la plongée sous-marine. Ils peuvent également participer à des séances de yoga et de réflexologie plantaire lors de leurs séjours à La Grande Bastide***. C’est véritablement le point de départ pour vivre la Provence pleinement, sur les rivages de la Méditerranée. Les autres atouts du Village La Grande Bastide Pour régaler les papilles, La Grande Bastide s’est offert les services d’un chef de talent qui met un point d’honneur à mettre en avant la gastronomie régionale. Le soir, le village propose en effet des repas à thèmes variés et basés sur les spécialités locales. Afin de satisfaire les convives, ils sont servis sous forme de buffet pendant la haute saison. Par ailleurs, Vacances passion promeut aussi le tourisme durable et responsable. Pour cette raison, les villages vacances appartenant à l’opérateur touristique privilégient les produits locaux issus de l’agriculture biologique. Pour Vacances passion, il s’agit également d’une manière de soutenir l’économie locale et de minimiser le gaspillage alimentaire. Passer ses vacances chez Vacances passion, c’est inviter ch...
La propriété familiale existe depuis 5 générations. En 2015, Laurent reprend les rênes avec l’objectif de « réaliser les plus grands vins possibles », nous confie-t-il. Le vigneron profite de la localisation géographique privilégiée de son terroir pour signer des Grands Crus d’exception issus de l’appellation Gevrey-Chambertin et des cuvées de finesse et d’élégance de l’appellation Bourgogne. Le vignoble se trouve effectivement au cœur des Côtes de Nuits, sur les hauteurs du village de Gevrey-Chambertin et s’étend sur une superficie de 6,5 hectares. Ces hauts-lieux bourguignons sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui constitue une preuve irréfutable de leur richesse et de leur singularité. Un vigneron responsable et passionné Dans son travail, Laurent s’évertue toujours à prendre en considération l’héritage à laisser aux générations futures. C’est pourquoi le domaine opère dans le strict respect de l’environnement. L’adoption d’une démarche raisonnée dans la gestion des vignes est antérieure à l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale niveau 3 (HVE 3). Depuis toujours, la maison exploite ses terres dans un souci d’instaurer l’harmonie entre l’homme et la nature. Elle a aussi fait le choix d’opter pour des rendements faibles dans une volonté d’obtenir des vins plus concentrés capables d’exprimer la quintessence de leur terroir. Les récoltes s’effectuent à maturité optimale. « Nous attendons notamment que les raisins atteignent un niveau de sucre adapté afin d’arriver à un meilleur équilibre possible », explique le vigneron. Des vins de parfums et de matières À l’issue des vendanges manuelles, le pinot noir, le chardonnay et l’aligoté subissent un processus de vinification en cuve inox d’une durée de 15 jours puis un élevage en fûts de chêne entre 12 et 18 mois en fonction des appellations travaillées. De ces méthodes prônant un savoir-faire séculaire naissent des cuvées authentiques et généreuses qui tiennent toutes leurs promesses. Parmi les best-sellers de la maison figurent les cuvées Les Carougeots et Vieilles Vignes, du 100 % pinot noir qui se veut charmeur et expressif. ...
Tout d’abord installé en plein centre du bourg de Sorges, l’écomusée de la Truffe a déménagé en juillet 2010 dans une ancienne ferme rénovée datant du XIXe siècle, à l’entrée du bourg. Sur environ 300 m², il se situe au 1er étage du bâtiment, au-dessus de l’office de tourisme et à côté du centre de documentation pour les passionnés de truffe. Ici, vous allez pouvoir découvrir tous les secrets de ce champignon. Caractéristiques de la truffe noire du Périgord La truffe est un champignon se développant sous terre, entre 5 et 20 cm de profondeur, au pied d’un arbre tel que chêne ou noisetier. Elle préfère les sols calcaires. On compte jusqu’à 40 espèces de truffe. D’un diamètre entre 2 et 7 cm, la truffe noire du Périgord est en forme de tubercule de couleur brun noirâtre avec une surface bosselée. Elle est récoltée en hiver, de novembre à février. Sa chair est ferme. Elle a une odeur forte, très aromatique. Grâce à son goût subtil, elle est très appréciée pour sublimer de nombreuses préparations culinaires. Environ six à dix tonnes sont produites chaque année dans le Périgord. Visite de l’écomusée de la Truffe Lors de votre visite de l’écomusée de la Truffe de Sorges, vous traverserez plusieurs salles avec vitrines et panneaux explicatifs, vous découvrirez dessins et schémas qui vous éclaireront sur les différentes espèces, vous comprendrez l’association de l’arbre et du champignon, vous apprendrez comment s’effectue le cavage, c’est-à-dire la récolte des truffes. Mais aussi vous pourrez apprécier le matériel du parfait trufficulteur et visionner une vidéo sur son savoir-faire. À la sortie, place à la gastronomie avec des vidéos de recettes de cuisine, puis avec la boutique où vous pourrez trouver une belle palette de produits régionaux. Des tablettes sont disponibles pour accompagner votre visite : des visites adultes, des visites enfants et traduites en plusieurs langues. Ou vous pourrez opter en été pour une visite guidée. L’écomusée est accessible aux handicapés. Le sentier des truffières Si vous souhaitez approfondir votre découverte de la truffe, vous pouvez emprunter le sentier des truffières, long de 3,5 kilomètres, qui vous permettra de vous immerger dans la faune et la flore spécifiques des truffières. Grâce aux différents panneaux explicatifs, vous constaterez la diversité des lieux de production de ce champignon (le plan est disponible au musée). Des visites guidées sont organisées en juillet et août les mardis et jeudis après-midi. ...
L’exploitation familiale se trouve à Meurville. Ici, Yoan Tapprest élabore des champagnes de vigneron, connus pour être parmi les plus représentatifs, cisélés et avec un caractère plus ancré. Mené en viticulture raisonnée, le domaine s’inscrit dans une démarche de qualité et de respect de la biodiversité. Des champagnes au style traditionnel Notre vigneron a opté pour la fermentation malolactique. « Cela adoucit les vins, en diminuant l’acidité et en leur conférant des arômes beurrés », affirme-t-il. Après une vinification en cuve, une partie des vins est élevée en fûts durant 12 à 18 mois, selon les caractéristiques des vins pour élaborer les assemblages propres au domaine. ...