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Musée de La Fabuloserie
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Comité Régional de la Conchyliculture Bretagne-Nord
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LES ARTICLES LES PLUS LUS

ChromaLys :
un projet innovateur dans le traitement des tumeurs mobiles

En partenariat avec des centres de recherche sur le cancer, à l’instar du Centre Oscar Lambret de Lille ou celui de Sainte-Catherine d’Avignon, ChromaLys a développé un dispositif efficace dans le traitement par radiothérapie des tumeurs mobiles. L’équipe de chimistes de la start-up en effet a créé un produit de contraste injectable afin d’identifier et de rendre facilement détectable les mouvements des cellules cancéreuses lors des séances de radiothérapie. Les tumeurs mobiles efficacement ciblées Les tumeurs mobiles sont des cellules tumorales mouvantes de par la respiration du patient. « Ces tumeurs sont la plupart du temps thoraciques et abdominales et se situent notamment dans le foie, les poumons ou le pancréas », explique Marc Verelst, directeur de ChromaLys Le traitement par radiothérapie de ces cellules mobiles pourrait causer des effets secondaires notables, car « le faisceau de rayons gamma curatifs pourrait endommager les tissus sains si la tumeur mobile n’est pas clairement ciblée ». C’est ainsi afin « d’éviter de détruire du tissu sain qu’il est nécessaire de marquer la tumeur et permettre au robot de viser la tumeur au millimètre près ». Cette technique de détection tumorale dynamique par un liquide injectable, en cours d’essais préliminaires, est alors baptisée Tumor-Track. Le Tumor-Track : un dispositif aux multiples avantages Outre le fait que les tumeurs soient ciblées grâce à la technologie Tumor-Track, facilitant ainsi le traitement curatif, cette révolution dans la lutte contre le cancer comporterait d’autres avantages. En effet, trente séances en moyenne sont nécessaires pour soigner une tumeur par radiothérapie. « Si on améliore le ciblage des cellules tumorales mobiles grâce à la technologie Tumor-Track, une méthode efficace mais peu coûteuse, nous pouvons réduire les séances de radiothérapie de trente à cinq », souligne le scientifique. « Cela représenterait un avantage conséquent en matière de coût et d’efficacité, notamment pour les hôpitaux qui pourront ainsi traiter à l’année six fois plus de patients, mais également pour les personnes âgées ou à mobilité réduite suivant ce type de traitement » conclut-il. ...

En Loire-Atlantique :
deux sites patrimoniaux à visiter sur les bords de Sèvre

Au château de Clisson : l’art militaire médiéval Forteresse du Moyen Âge, le château de Clisson est situé « sur les marches de la Bretagne » qui constituent « la frontière entre le duché de Bretagne et le royaume de France avant le début du XVIe siècle », évoque Pierre Fardel, directeur adjoint de Grand Patrimoine de Loire-Atlantique et responsable des publics. Grâce à sa position stratégique, cette forteresse permettait de contrôler un territoire complexe à la jonction de la Bretagne, de l’Anjou et du Poitou. La famille Clisson s’y établit dès la seconde moitié du XIe siècle. Le château devient ensuite la résidence du dernier duc de Bretagne, François II, qui renforce son dispositif militaire et lui donne son allure imposante. Le jeune sculpteur François-Frédéric Lemot le transforme en ruine romantique à partir de 1807. Le château de Clisson a conservé de nombreux exemples d’éléments de défense d’un château fort tels que les archères, les canonnières ou les assommoirs. Aux beaux jours, le château de Clisson propose une programmation culturelle riche et gratuite : reconstitutions historiques et spectacles vivants. Ainsi, les 16 et 17 juillet prochains, des troupes de reconstitution historique investiront le site pour faire revivre le quotidien dans un château du XIe siècle. Le château de Clisson est classé monument historique. Il est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10 h 30 à 18 h (de mai à septembre). Droits d’entrée : 3 € (plein tarif) ; 2 € (tarif réduit) ; gratuit pour les moins de 14 ans. À la Garenne Lemot : architecture et création artistique Patrimoine végétal et patrimoine monumental se mêlent dans ce paysage de 13 hectares que constitue le domaine de la Garenne Lemot. Le patrimoine monumental rassemble des fabriques. « Il s’agit de petites constructions qui permettent de décorer le paysage : temples, statues antiques, grotte dédiée à Héloïse et à Abélard, rochers gravés de citations et de poèmes, tombeau… », décrit le directeur adjoint. Une maison de style rustique à l’italienne et une villa néoclassique complètent le tableau. Au début du XIXe siècle, c’est dans l’imaginaire de François-Frédéric Lemot, sculpteur de Napoléon, que nait ce magnifique décor. Inspiré par ses séjours en Italie, l’artiste recompose des motifs proches des paysages qui l’ont tant impressionné. Il introduit notamment le pin parasol dès 1809. Dans ce cadre propice à la rêverie, des spectacles vivants sont organisés tout l'été. Le 31 juillet, un concert flottant, Le Piano du lac, se produira sur la Sèvre. Les musiciens joueront sur l’eau pendant que le public appréciera le spectacle depuis la berge. Et, chaque année, une exposition temporaire ouvre ses portes à la villa Lemot. Pour les spectacles comme pour l'exposition, l'entrée est gratuite. Ce domaine est classé monument historique. Le parc de la Garenne Lemot est en accès libre et gratuit, de 9 h à 20 h (de mai à septembre). Vivez le patrimoine ! ...

La table de Yo : ambiance bistrot dans la cité des ducs

À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie. Cuisine savoureuse et respect des produits  Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier. Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir. Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression. Yolaine : artiste à multiples facettes À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux. Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats. ...

Parc Alpha, à la rencontre des loups

En plein cœur du Parc national du Mercantour et à quelques kilomètres de la commune de Saint-Martin-Vésubie, le Parc Alpha est situé au Boréon, c’est-à-dire à l’endroit même où le loup a fait son retour. L’engouement du grand public pour cet animal fascinant est tel que, depuis 2013, sous l’impulsion d’Éric Ciotti, président du Syndicat mixte pour le développement de la vallée de la Vésubie et du Valdeblore, le parc connait une affluence de 63 000 visiteurs par an. Actuellement, il héberge 24 loups de 2 sous-espèces différentes, réparties en 3 meutes, vivant en captivité dans de vastes espaces clos. Les objectifs du parc Depuis son retour en France, le loup est sujet d’une polémique au sein de la population locale, entre les éleveurs et les défenseurs des animaux. Le débat, qui s’est propagé au niveau national, est axé autour de la présence à l’état sauvage de ce prédateur dans la région. Le Parc Alpha a pour principal objectif de concilier les parties et de rétablir un dialogue constructif entre les différents protagonistes, en expliquant les enjeux et la problématique liés au retour de cet animal. Il sert aussi de terrain d’expérimentation grandeur nature pour développer la recherche scientifique autour du loup. Le parc animalier contribue, en outre, à redynamiser le pôle touristique de la région et à favoriser le développement économique local en utilisant l’image du loup. Sur les traces du loup S’étalant sur une surface de 12 hectares, le Parc Alpha est subdivisé en 3 secteurs bien distincts. Le chemin aménagé appelé le « Pas du loup » mène au pont de Cerise, situé à l’entrée du parc. L’accueil des visiteurs s’effectue au « Temps des hommes », où se trouve un espace de pique-nique en plein air et deux anciennes « vacheries ». Ces deux étables de l’époque de l’industrie laitière ont été restaurées et reconverties en salle de spectacles, boutique de souvenir et point de restauration. La visite commence dans la salle de spectacles avec la projection de 3 scénovisions, des récits vidéo réalisés grâce à un décor et à des effets spéciaux spécifiques. Ces vidéos racontent l’histoire des rapports entre l’homme et le loup au fil du temps et présentent quelques points de vue sur le retour du loup dans le Mercantour. Autre activité incontournable : la ferme pédagogique d’Auguste et de Marie, permettant aux enfants de découvrir les différents animaux de la ferme. L’observation effective des 3 meutes présentes au parc se fait, quant à elle, au « Temps du loup ». Cinq affûts de bois sont disséminés au sein de cet espace et ont été agencés de façon à ce que les visiteurs puissent découvrir les animaux sans empiéter sur leur lieu de vie. Vivre au plus près d’un prédateur Le Parc Alpha propose également d’aller au-devant de cet animal fabuleux au travers de certaines activités insolites. Les visiteurs sont conviés à vivre une véritable immersion au plus proche des loups, en accompagnant le personnel du parc et en devenant soigneur le temps d’une journée. Ils participent, notamment, à la préparation de la nourriture de la meute du Boréon. ...

Windsor : un restaurant de charme aux accents niçois

Idéalement situé à cinq minutes à pied de la plage et de la Promenade des Anglais, le Windsor constitue un véritable havre de paix où opère en permanence une belle magie. Le restaurant a tout pour plaire et offre un cadre atypique, marqué par une étrange volière logée dans le creux d’un vieil arbre et par un jardin tropical hors du commun qui abrite un caoutchoutier de taille impressionnante, entouré de troènes, de néfliers, de palmiers et de bambous géants.      Profitez des beaux jours à l’ombre de son caoutchoutier géant qui abrite quelques tables installées en terrasse, ou, pendant l’hiver, du décor intimiste à l’ambiance chaleureuse de son Wi Lounge, près de la cheminée. À travers une savoureuse cuisine locale aux touches provençales, le Windsor met ainsi en valeur des produits aux cuissons maîtrisées et à la présentation soignée. Une belle cascade de saveurs Riche du titre de maître restaurateur, le Windsor s’adresse également à une clientèle végétarienne qui apprécie d’autant plus les légumes bios. Grâce aux liens de partenariat qu’il entretient avec ses fournisseurs, l’établissement se fait un point d’honneur à fournir des produits de qualité. Dans un voyage culinaire plein de surprises, découvrez sans tarder sa salade d’artichauts frais marinés, son millefeuille de saumon fumé aux tuiles de parmesan ou ses petits farçis à la niçoise. Enchaînez avec un aïoli aux petits légumes, ou un magret de canard au miel et à l'orange, ou encore un gigot d’agneau rôti au miel et au thym, pour terminer avec son fameux "tiramisu revisité au spéculos"  la spécialité du chef, non sans oublier ses entremets rafraîchissants aux glaces et sorbets bio. Une riche carte de vins vous attend au sein du restaurant, avec une belle représentation des vins de la région tels que les Côtes de Provence, comme le Château La Coste ou le Pink Floyd du Domaine de Miraval.   ...

Respect de la tradition et de l’environnement pour les Champagne Delavenne

Transmis de génération en génération depuis la fin du XIXe siècle, le savoir-faire familial et l’amour du champagne perdurent encore aujourd’hui avec Maelle & Jean-Christophe Delavenne, représentant la 4e génération de ces Récoltants-Manipulants. Les 10 hectares de vignes sont plantés en Pinot noir et Chardonnay sur les communes de Bouzy, Ambonnay et Cramant, pour une production d’environ 70.000 bouteilles par an. Une démarche respectueuse de l’environnement Jean-Christophe Delavenne pratique une agriculture raisonnée depuis de nombreuses années, sans aucune utilisation d’herbicide. Il s’inscrit dans un processus de culture durable, respectueuse de l’environnement et garantissant une biodiversité maximale. La majorité des travaux que nécessite la vigne, comme la taille ou le palissage, est réalisée manuellement, le sol est travaillé au moyen d’une charrue hydraulique. Leurs Champagnes et Bouzy rouge Tous les raisins sont récoltés uniquement sur la soixantaine de parcelles du vignoble. Ils sont ensuite pressurés sur place, cépage par cépage. Puis les jus sont mis en cuves. Aucune fermentation malolactique n’est effectuée afin de conserver la fraicheur des fruits et offrir une longueur en bouche plus intense.  A cela s’ajoute une vinification naturelle longue puisque le tirage n’a lieu qu’au mois de juillet. Ainsi naissent les Champagnes Grand Cru Delavenne, que ce soit le Millésimé 2012, la Cuvée Réserve, La Cuvée Rosée, la Cuvée Blanc de Blancs ou la Cuvée Tradition, tous vieillissent pendant 3 ans minimum dans des caves creusées dans la craie. En hommage à leur première fille, ils ont récemment créé « Amour de Louise », une cuvée prestige mariant 70 % de Chardonnay et 30% de 8 Millésimes (2004-2011) et produite à 3048 bouteilles. Les Delavenne produisent également un Bouzy rouge, un vin non pétillant spécifique de cette région champenoise.  Sur des notes de cerises griottes, c’est un vin léger qui s’apprécie légèrement frais. Quelques adresses pour déguster Hormis lors de votre visite dans la nouvelle salle de dégustation du domaine, vous pourrez gouter aux champagnes Delavenne dans différents restaurants étoilés comme Le Grand Cerf (Villers-Allerand), et même désormais au restaurant Kokkeriet à Copenhague. ...

Le Vieux Couvent : une étoile de la gastronomie alsacienne

Le Vieux Couvent a décidément tout pour plaire. Son cadre déjà, sous ses airs bucoliques, s’admire à travers les grandes baies vitrées qui surplombent la salle et qui donnent sur la rivière du Brunnwasser. Sa cuisine, bien sûr, mise en scène avec délicatesse et passion par Alexis Albrecht. Dans l'assiette : les légumes du jardin, les herbes aromatiques, les fleurs comestibles, les poissons sauvages et de la pêche locale, les gibiers de nos chasseurs et les producteurs locaux remplacent les produits industriels. Le talent et le savoir-faire d’une référence gastronomique Après son apprentissage à Ottrott avec Patrick Fritz, Alexis Albrecht évolue auprès des étoiles de la gastronomie française, dont Jacques Maximin à Vence, Émile Jung au Crocodile et les frères Pourcel à Montpellier. De retour au Vieux Couvent en 1997, il y seconde son père, Jean Albrecht. Maître restaurateur, membre des étoiles d’Alsace ainsi que du club gastronome Prosper Montagné, Alexis dirige maintenant le restaurant étoilé. Ses menus dévoilent une mélodie de saveurs qui se succèdent harmonieusement depuis l’entrée jusqu’au festival de desserts. Un détail important qu’il nous fait savoir : « Je me sens autant cuisinier que pâtissier et je pense qu'il est important d'avoir une vraie continuité entre la partie salée et la partie sucrée. » En effet, Alexis a été élu « pâtissier de l'année 2015 » par le guide Gault & Millau. Une cuisine au naturel et au rythme des saisons La maison propose une cuisine inventive, inspirée de la nature et des produits issus du jardin de la maison familiale. « La nature, de la fourche à la fourchette, fait partie de notre façon de travailler. J’y puise toutes mes idées », fait savoir Alexis Albrecht, pour expliquer l’évolution de la carte du restaurant. Les plats emblématiques de la maison, comme le carpaccio d’espadon, le foie gras d’oie ou la matelote recuisinée, restent sur la carte généralement toute l’année mais se retravaillent différemment au fil des saisons. Côté vins, Alexis et son équipe proposent près de 350 références de vins français et étrangers garantissant des accords en parfaite harmonie. ...

Restaurant Le Vauban : les fines saveurs du terroir d’Alsace

Niché au cœur de ce village fleuri, le restaurant Le Vauban se trouve à 150 mètres des trois frontières suisse-allemande-française et à seulement quelques minutes du parc des Eaux-Vives. Cette impressionnante bâtisse, construite à l’époque des fortifications de Vauban, fait office d’hôtel-restaurant depuis plus d’un siècle. Dès la porte franchie, l’on s’y sent déjà comme à la maison. Sans doute grâce à la décoration à la fois rustique et raffinée, l’ambiance familiale sans chichi et l’accueil chaleureux qu’Isabelle Godhbane réserve à ses clients. « L’amabilité, la gentillesse et vouloir bien faire sont nos maîtres mots », précise-t-elle. Les spécialités de la maison Le Vauban propose une cuisine authentique et généreuse, assumant avec caractère toutes les saveurs de la cuisine traditionnelle française et alsacienne. « Nous travaillons principalement avec une carte de base qui reprend les classiques de la cuisine française sur laquelle on rajoute des plats typiquement alsaciens, surtout en hiver », explique la gérante, Isa pour les habitués. À ses côtés depuis quatre ans, le jeune chef Mickaël Deleau, toujours fidèle à lui-même et à ses plats audacieux et hauts en couleur. De ses mains d’artiste, celui-ci n’hésite pas à jouer sur les textures, les saveurs, les épices et les aromates et à miser toujours sur la saisonnalité et la fraîcheur des produits. Si de nouvelles suggestions sont à découvrir chaque semaine, la carte reste inchangée toute l’année pour « retrouver les incontournables de la maison ». Parmi eux, les fameuses tartes flambées à commander selon le goût de chacun : forestière gratinée, bourguignonne, roquefort, tomate mozzarella, végétarienne, munster, ou encore « La savoyarde ». Sans oublier de mentionner les planchettes (assortiment de fromages, plateau de charcuterie) à déguster en solo ou à partager à l’apéritif. Des recettes de burger tout aussi originales qu’alléchantes sont également à découvrir sur place. Cuisine inspirée et recettes de saison Puisque l’établissement fait la part belle aux ingrédients frais provenant des producteurs de la région, le chef peut se permettre de varier ses propositions au rythme des saisons. « Maintenant que la saison d’été arrive, nous proposons cinq nouvelles salades en guise d’entrée et ça change très régulièrement », renchérit Isabelle. En plat, les gourmets peuvent savourer le steak tartare préparé à la minute et devant les clients, hachée à la commande et accompagnée de sa sauce, le tout servi avec des toast et des frites. Ou encore le fameux cordon-bleu de veau, en pièces XXL de 350 g, avec jardin de légumes et frites maison. Mieux, les créations sucrées du chef en surprennent plus d’un. Le Paris-Brest revisité avec mousse au basilic et crème pâtissière framboise est un grand coup de cœur. « On peut noter aussi la crème brûlée à la rhubarbe et la brioche à la mangue. » Les petits choisiront une coupe de glace artisanale aux parfums exotiques. Quand le soleil est au rendez-vous, on opte pour la belle terrasse à l’extérieur, un lieu de vie agréable pour une parenthèse gourmande entre proches, amis ou collègues. Une excellente carte de vins La carte est éclectique, toutes les régions de la France y sont dignement représentées : des bordeaux, des vins de Bourgogne, des côtes-du-rhône et bien sûr des vins alsaciens. La liste évolue tous les trois mois en gardant toujours quelques références alsaciennes. Une sélection de cuvées du domaine Pierre Adam à Ammerscwihr est particulièrement mise à l’honneur, car elle reflète fidèlement toutes les richesses du terroir. Pour sublimer la dégustation, Isabelle Godhbane a eu « la folle idée » de servir tous les vins de table au verre ou en pichet, de quoi faire plaisir à tous les amateurs de bonne chère. ...

Domaine Filhea,
entre les fleurs et le vin il n’y a qu’un pas

Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il  confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration. Une nouvelle aventure pour la famille Fille​​ L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture  à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité. Un grand succès pour une première​ Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 «  On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation. ...

Allier plaisir et efficacité dans le coaching

Des prestations de coaching et de formation adaptées aux besoins de chacun Parce que chaque entreprise est unique et se voit confrontée à des problématiques qui lui sont spécifiques, il est essentiel de les accompagner différemment. « Aucun des programmes d’accompagnement que nous mettons en place, qu’il s’agisse de coaching ou de formation, n’est identique » précise Isabelle Charvin, Directeur Général associée de Neocoach. « Une entreprise a des besoins qui ne sont pas les mêmes que ceux d’une autre. Et ces besoins sont susceptibles d’évoluer avec le temps. L’expérience de nos équipes - chaque coach de Neocoach a occupé, à une moment donné de sa carrière professionnelle, des fonctions de direction ou de management - leur permet de s’adapter rapidement à leur interlocuteur ». En fonction des besoins qui auront été identifiés, les équipes de Neocoach endosseront leur costume de « consultant, de formateur ou de coach ». Les stratégies qui seront mises en place seront parfaitement adaptées. « Si l’on devait comparer le coaching et la formation à l’industrie textile, chez Neocoach, nous ferions du ‘’sur-mesure’’… avec du design créatif » explique Isabelle Charvin. « Nos programmes sont uniques. C’est à dire qu’ils sont conçus au cas par cas, de sorte qu’ils puissent répondre précisément aux besoins managériaux spécifiques de chacun de nos clients : un manager qui souhaite réussir sa prise de poste, un dirigeant qui désire développer son leadership ou faire franchir un cap à son entreprise, des problématiques de conflits d’équipes à gérer, la recherche d'efficacité des équipes de direction mais aussi de commerciaux à améliorer… Les demandes que l’on nous adresse sont très diverses. Et s’y adapter nécessite une grande agilité ».  Une approche qualitative et centrée sur les résultats S’appuyant à la fois sur le vécu professionnel de ses équipes - parce qu’ils ont tous été, dans une vie antérieure, des dirigeants ou des managers, les coachs de Neocoach savent de quoi ils parlent - et sur la solidité de la formation qu’elles ont reçue - Isabelle Charvin ainsi que tous ses affiliés sont certifiés ICF -, Neocoach dispose de nombreux atouts pour accompagner efficacement les dirigeants qui ont recours à son expertise. « Notre objectif, c’est d’avancer avec nos clients avec efficacité mais aussi avec plaisir » précise-t-elle. « Notre rôle consiste à les aider à gagner en confiance et à faire émerger leurs solutions gagnantes. En tant que coachs, nous ne devons pas fournir de réponses ‘’toutes faites’’ à nos clients mais, au contraire, faire en sorte qu’ils trouvent en eux les réponses aux questions qu’ils se posent ». En effet, un coach - s’il est compétent, qu’il a suivi une formation sérieuse et qu’il respecte les règles de déontologie qui s’appliquent à son activité - évitera de se substituer à la démarche de son client mais mobilisera les ressources de ce dernier. « D’ailleurs » ajoute Isabelle Charvin, « ces réponses, ce sont nos clients eux-même qui sont le plus à même de les trouver ».  ...

« Les Assises de génétique Humaine et Médicale sont un lieu d’échange entre les professionnels impliqués dans les maladies rares »

En quoi consistent les Assises de Génétique Humaine et Médicale ? Les Assises de Génétique Humaine et Médicale sont le principal congrès de génétique de langue française. Cet événement a lieu tous les deux ans. Et cette année, pour la première fois, c’est à Nantes qu’il s’est déroulé. Il s'agissait de la 9ème édition des Assises. Qui y a participé ? De nombreux professionnels impliqués dans la prise en charge des maladies génétiques rares tels que des médecins, des biologistes, des chercheurs, des techniciens et des conseillers en génétique y ont pris part. Nous avons aussi accueilli parmi nous des étudiants dans le domaine des maladies génétiques rares. Les Assises de Génétique Humaine et Médicale sont un lieu d’échange très apprécié. Cette année, une vingtaine d’associations de malades étaient également présentes.Combien de personnes ont fait le déplacement, cette année ? Si l’on exclut les associations et les sponsors industriels, ce sont plus de 1 500 personnes qui ont participé aux Assises de Génétique 2018.Quel est l’impact médical et scientifique des Assises de Génétique ? Il s’agit du lieu de communication scientifique le plus important à l’échelle nationale dans le domaine de la génétique humaine et médicale. La qualité des intervenants mais aussi des travaux et des présentations dépasse cependant largement le cadre national. De nombreux travaux scientifiques qui sont présentés lors des Assises font l’objet de publications dans de prestigieux journaux scientifiques de langue anglaise ainsi que dans des congrès internationaux. Les Assises sont donc tout à la fois un événement de très haut niveau scientifique et un lieu d’échange. Il a été dit que les Assises étaient "un melting-pot très productif et un moment clé de la vie de la génétique française ". Vous confirmez ? Tout à fait. C’est une définition qui nous convient. Car encore une fois, au-delà des présentations magistrales et des communications orales, les Assises sont un lieu d’échange. Entre les praticiens, les associations de patients et les industriels. Ces derniers profitent, en effet, de la tenue des Assises pour venir présenter les toutes dernières avancées technologiques. Selon vous, en quoi les Assises contribuent-elles à améliorer le diagnostic et la prise en charge des malades atteints de maladies rares ? Les Assises contribuent à stimuler la recherche et à diffuser la connaissance en créant des relations entre les chercheurs. Dans un monde qui devient de plus en plus virtuel, on ne peut que se rendre compte de l’importance d’un véritable lieu d’échange entre les professionnels impliqués dans les maladies rares. Face à des pathologies très diverses, certaines équipes peuvent parfois se sentir quelque peu isolées. Un événement comme les Assises permet, au contraire, de créer des collaborations entre les équipes médicales et de recherche. Et d’avancer conjointement.L'apparition du séquençage à très haut débit du génome humain creuse l’écart entre les capacités de production des données et les capacités d’interprétation. Est-ce préoccupant ? Aujourd’hui, les capacités de production de données génétiques ont considérablement augmenté. Dans un proche avenir, il sera même possible de séquences l’intégralité du génome d’un patient en routine. C’est une avancée technologique majeure qui va contribuer à améliorer la prise en charge des personnes souffrant de maladies génétiques rares. Pour un certain nombre de patients atteints, par exemple, de déficience intellectuelle, on arrivait jusqu’à présent à identifier le gène en cause dans 10 à 15 % des cas. Grâce au séquençage à haut débit, le gène peut être identifié dans 40 à 50 % des cas. Pour autant, on est en train de se rendre compte que produire des données n’est pas une fin en soi. Et que l’interprétation de ces données est une problématique très complexe qui ne peut être réglée uniquement par l’intelligence artificielle. Le développement de la bio-informatique est indispensable à l’interprétation des données biologiques. Il reste cependant essentiel de pouvoir s’appuyer sur les compétences de spécialistes biologistes et de généticiens en nombre suffisant pour répondre à une demande et à une complexité croissantes de l’interprétation des données de génomique....

Saclay Plant Sciences : comprendre les plantes pour répondre aux défis de demain

Il réunit une cinquantaine d’équipes spécialisées en biologie végétale, issues de cinq instituts de recherche de la région sud parisienne : l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB), l’Institut de Sciences des plantes de Paris Saclay (IPS2), l’Institut de Biologie intégrative de la cellule (I2BC), l'UMR de Génétique quantitative et évolution (GQE-Le Moulon) et l’UMR Biologie et gestion des risques en agriculture (BIOGER).  Ce projet est soutenu par 9 institutions : l’INRA, le CNRS, le CEA, AgroParisTech, les Universités Paris-Sud, Evry-Val d’Essonne, Versailles-Saint-Quentin et Paris-Diderot, ainsi que l’Université Paris-Saclay qui porte le projet. L’objectif principal des EUR consiste à renforcer la relation entre recherche et formation et à internationaliser les formations, le but à terme étant de créer des « graduate schools » avec un continuum master / doctorat / laboratoires de recherche. Pour cela, SPS-GSR dispose de programmes d’enseignement réunissant un large panel de disciplines de la biologie végétale et d’infrastructures permettant aux étudiants de se former aux nouvelles technologies et approches dans ce domaine. Le LabEx SPS SPS-GSR s’appuie sur le Laboratoire d’Excellence Saclay Plant Sciences (LabEx SPS), un projet Investissements d’Avenir qui a développé depuis 2011 un grand nombre d’activités axées sur la biologie végétale incluant recherche, formation, innovation et développement d’infrastructures. « Plus qu’un projet, Sciences des plantes de Saclay est un véritable réseau avec comme objectif de faire fructifier les interactions entre les équipes impliquées », souligne le Dr Marie-Jeanne Sellier, manager du projet. SPS met l’accent sur quatre thématiques prioritaires, à savoir 1) l’intensification durable de l’agriculture dans un contexte environnemental fluctuant, 2) l’amélioration de la qualité végétale pour diverses utilisations alimentaires et non-alimentaires, 3) les plantes pour comprendre les mécanismes biologiques fondamentaux et 4) le développement de nouvelles ressources ou biotechnologies pour la recherche, l’innovation et le transfert de technologie. Les recherches s’étendent sur différentes échelles du gène à la plante entière et font intervenir de nombreuses techniques d’analyse différentes grâce aux infrastructures de pointe des laboratoires (biochimie, imagerie, biologie moléculaire et cellulaire, approches omiques, modélisation, bioinformatique, etc.). Enfin, en matière d’innovation, SPS se veut être un accélérateur d’innovation végétale. Il joue pour cela un rôle d’intermédiaire en favorisant les interactions entre les équipes de recherche et des partenaires privés dans des secteurs liés aux ressources végétales. « Nous avons identifié six domaines d’application dans lesquels nos recherches, fondamentales et appliquées, peuvent offrir des débouchés dans le monde industriel », développe le Dr Marie-Jeanne Sellier. Ces six domaines d’application concernent l’adaptation des plantes à leur environnement, la sélection variétale et les biotechnologies, les semences et le rendement, l’alimentation et la nutrition, la cosmétique et la santé et enfin la bioénergie et les matériaux biosourcés. En parallèle, SPS soutient financièrement des projets innovants dans la démarche d’aller jusqu’aux brevets et start-up. L’obtention du projet EUR « Saclay Plant Sciences Graduate School of Research » a entraîné la reconduction des activités du LabEx SPS jusqu’en 2027. « Les deux projets ne font à présent plus qu’un. Les activités de formation seront renforcées tout en continuant à développer recherche, innovation et infrastructures dans les années à venir », rapporte la manager. ...

Auberge des Bouviers : une cuisine traditionnelle de haute volée

Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la  présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...

Château La Gaffelière, un domaine viticole authentique

Le vignoble Saint-Émilion couvre environ 5 400 hectares de terrains et est encépagé de 60 % de merlot, de 30 % de cabernet franc et de 10 % de cabernet sauvignon. Il se trouve sur des terroirs calcaires, argilo-limoneux, sableux et bénéficie d’un climat doux et tempéré.  L’AOC Saint-Émilion, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est une subdivision du Libournais. Elle comprend les appellations Saint-Émilion simple et Saint-Émilion Grand Cru, cette dernière regroupe elle-même les grands crus classés A et B, sa plus haute distinction, et les grands crus classés, sa seconde. Le classement Saint-Émilion Grand Cru existe depuis 1955 et se renouvèle tous les 10 ans. Ces vins sont complexes, charpentés avec une bonne longueur aromatique en bouche. Leur production demande une plus grande attention et des conditions plus rigoureuses par rapport aux vins d’AOC Saint-Émilion simple. Le Château La Gaffelière, un vinificateur de vins fins et élégants Ce vignoble est encépagé majoritairement de merlot, à coté duquel on trouve du cabernet franc. Depuis la création du Château La Gaffelière jusqu’à nos jours, la famille Malet Roquefort y accorde une attention particulière. Pour cela, elle y vit afin de contrôler en permanence son système de production. La famille Malet Roquefort, respectueuse de l’environnement, est une fervente défenseuse de l’agriculture raisonnée. Tout le travail de la vigne se fait selon des méthodes traditionnelles, en utilisant des produits bio. « On travaille des parcelles avec un cheval et on exige des produits bio pour le traitement des vignes », explique Françoise Morice, une représentante du Château. Le Château La Gaffelière, un vin fruité avec un boisé harmonieux Le Château La Gaffelière est un premier Grand Cru classé de Saint-Émilion qui a une capacité de garde de plus de 25 ans. Il est connu pour sa longueur en bouche et pour s’accorder parfaitement avec des côtes de bœuf et des mets à base de gibier, de fromage et de viande rouge.  Millésime 2009 : à l’œil, il est de couleur violette profonde. Au nez, il est intense et on sent ses arômes fruités. En bouche, il est complexe, rond, suave, avec un boisé harmonieux.  Millésime 2010 : il charme à l’œil par sa couleur grenat et au nez par ses expressions de fruits mûrs. En bouche, il est moyennement complexe, sec et très léger, avec une touche boisée.  Millésime 2014 : il a une belle robe rouge rubis. Au nez, il est élégant et a des expressions florales et fruitées. En bouche, il est puissant avec une bonne longueur.  Clos La Gaffelière, un vin jeune, élégant et soyeux C’est un jeune vin d’appellation Saint-Émilion Grand Cru qui a une capacité de garde de 5 à 7 ans. Il s’associe bien avec une pièce de bœuf et les mets à base de viande rouge et de fromage. ...

12e Biennale d’Issy : « Paysages, pas si sages »

Quel regard portent les artistes sur le paysage qui nous entoure ? Contrairement à leurs aînés des grands courants picturaux (classique, baroque, romantique, réaliste, impressionniste…) qui se sont passionnés pour le paysage, les plasticiens contemporains ne l’abordent plus seulement pour l’idéaliser ou le traduire. Les artistes de la Biennale d’Issy nous livrent leur vision du monde à travers la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin et la vidéo. La puissance de la nature au cœur du réchauffement climatique Les artistes s’attachent aussi bien aux aspects les plus alarmants de l’intervention humaine sur Terre qu’à l’évocation de la majesté et de la beauté de la nature. Ainsi, Nils-Udo traduit la force créatrice de la nature dans sa peinture tandis que François Bard représente des rocs inamovibles. Frédéric Oudrix nous offre une végétation exubérante, Stéphane Erouane Dumas des forêts de bouleaux figés par le givre se reflètant dans un lac gelé. Traqueur d’orages, Basile Ducournau parcourt le Nouveau-Mexique pour capter le moment précis où la foudre tombe parfaitement dans l’axe d’une route qui s’éloigne en direction de l’horizon. Madame Briot, un arbre sculptural à l’élégance féminine, semble être renversé. Mais il est bien réel et révèle la richesse méconnue de la nature. Dans les autres œuvres d’Emma Tandy, la végétation y apparaît luxuriante, tout comme dans les friches que photographie Yann Monel. Le paysage soulève de nombreuses questions, notamment celle de l’environnement. Avec ses Paysages nucléaires présentés en diptyques, Jean-Pierre Attal met en perspective un avenir nucléaire incertain, avec une usine implantée dans son environnement naturel d’un côté, le même site dépourvu d’installation humaine de l’autre. Brigitte Sillard aborde la question du changement climatique avec son image d’un palétuvier qui dépérit à Madagascar dans une mangrove disparue. Régis Rizzo peint des lycaons de la savane africaine sur fond de paysage industriel pour illustrer le retour des animaux sauvages dans les villes. Cristina Ruiz Guiňazǔ présente un ange assoupi sur le sol d’un désert s’étendant à l’infini, et Pierre Monestier d’étranges quadrupèdes à gueule de canon décimant une armée sans armes. Quant à Rubén Fuentes, il peint des étendues montagneuses dont les cimes prennent la forme de silhouettes d’anciennes déesses précolombiennes, dénonçant la disparition des forêts primaires. Le paysage, terrain d’expression des artistes engagés Les artistes présentent aussi leur vision de l’évolution du paysage, avec lucidité, de manière parfois engagée. Ainsi, Caroline Secq dénonce l’apparition d’un 8e (in)continent avec une installation d’objets et de sacs plastiques rejetés par la mer qu’elle récolte sur les plages. Christophe Dalecki détourne nos objets du quotidien en plastique et donne naissance à de grands bouquets d’ombres et de lumière verte.  Certains artistes révèlent l’empreinte de l’homme sur le paysage, comme Justin Weiler avec ses dessins semblables à des partitions dont les notes s’avèrent être des impacts de balles ; une musique douloureuse, témoin du lourd passé de la guerre civile au Liban. A Beyrouth, les anfractuosités provoquées par les tirs deviennent des nids d’oiseaux dans les fresques réalisées et photographiées par le street artiste Anoy. D’autres, comme Barthélémy Toguo, sensible aux situations de détresse en Afrique et dans le monde, nous livrent des œuvres engagées : ainsi, Jugement dernier est composé de deux mains levées, comme en joue face à l’obstination de l’humanité à s’autodétruire. Avec ambivalence, les aquarelles de Jean-Michel Alberola inspirent la quiétude de scènes champêtres, alors que nous sommes face à la désolation du camp de Birkenau où la nature finit par recouvrir la voie ferrée et ronger les baraquements. Dans une architecture sans vie, Anselm Kiefer mêle ses ...

Centre du congrès du WTC Grenoble, le succès de vos événements d’entreprises

Érigé le 8 juillet 1993, à trente mètres de la gare, le centre du congrès du WTC Grenoble représente la référence dans l’accueil des congrès, des conférences, des assemblées générales, des séminaires, des salons et autres forums dans la ville. Il accueille près de 200 événements chaque année grâce à ses espaces fonctionnels et lumineux s’étendant sur une superficie totale de 2 500 m2. Le centre de congrès est notamment doté de deux espaces principaux à savoir l’Atrium, d’une surface de 1 200 m2 et l’auditorium pouvant recevoir des plénières de 530 participants. Douze salles modulables accueillent, quant à elles, les ateliers, les réunions, les sous-commissions ou les séminaires. Pour une organisation placée sous le signe de la réussite, le matériel joue un rôle crucial, c’est pourquoi le centre met à disposition des équipements de pointe tels que les éléments pour la vidéo projection, le wifi, etc. Une équipe à l'écoute Les prestations ne se limitent pas à la location de salles toutes équipées puisque le centre de congrès dispose d’une équipe de professionnels pour assurer un accompagnement sur mesure. Celle-ci peut prendre en charge toute la partie organisationnelle et la logistique comme la gestion de l’inscription en ligne ou l’édition des badges par exemple.   Les chargés d’affaires sont en mesure de dresser un plan de conception en conseillant dans le choix et l’aménagement des salles. Les mises en scène nécessaires sont également prises en charge par cette équipe expérimentée. Elle peut installer des tribunes, des tables rondes, des pupitres et d’autres équipements spécifiques. Pour optimiser la visibilité, rien de tel que de miser sur une banderole extérieure placée sur la façade du bâtiment, un visuel qui met en avant l’entreprise, son événement et ses éventuels partenaires et sponsors. Le centre dispose aussi d’écrans LDC dans le hall d’accueil comme devant toutes les salles. Ces écrans donnent les indications pour s’orienter dans le centre de congrès, afficher un message d’accueil personnalisé ou encore présenter le nom de l’atelier ou le titre de la réunion. L’entreprise peut installer d’autres supports, à l’instar des stands parapluies et des kakémonos. L’équipe offre une assistance de qualité tout au long de l’événement. Plus que de simples loueurs de salles, les chargés d’affaires se qualifient eux-mêmes de « facilitateurs d’événements », proposant tout un panel de services complémentaires. Grenoble, la référence en tourisme d’affaires L’histoire de la ville de Grenoble remonte à l’Antiquité, dont elle garde quelques vestiges, dont une crypte baptismale. Avec des activités économiques, universitaires et industrielles qui montent en flèche, Grenoble devient l’une des destinations préférées en matière de tourisme d’affaires. Elle est l’une des dix villes françaises, et l’une des cent villes européennes, qui reçoivent le plus de congrès. Elle est en outre la deuxième ville préférée des cadres, après la capitale française. Par ailleurs, selon le magazine américain Forbes, Grenoble est la cinquième ville la plus innovante au monde. Elle est notamment prisée pour son accessibilité optimale, puisque se trouvant à quelques heures de train depuis Paris, Genève et Lyon, à moins d’une heure de deux aéroports, avec des navettes qui desservent ces aéroports et la gare.Comme le centre de congrès du WTC le prouve si bien, Grenoble est une ville d’événement par excellence. Les voyageurs d’affaires ont en l’occurrence un large choix en matière d’hébergement. Par ailleurs, la ville met à disposition des lieux de réception d’exception, tels que la Bastille, qui est l’emblème de Grenoble avec son superbe panorama donnant sur la ville et sur les montagnes. La ville doit justement sa réputation de capitale des Alpes grâce à sa grande proximité avec les massifs alpins ...

Fromage de Langres : le goût unique d’un fromage de terroir

Fromage au lait de vache entier, à la forme unique et au goût authentique, fabriqué dans le respect de traditions ancestrales, le Langres doit sa renaissance dans les années 1950 à quelques fromagers passionnés. Ses origines Connu depuis le XVIIIe siècle, le Langres est évoqué pour la première fois par le prieur des dominicains de Langres. Un siècle plus tard, un livre dédié à la production fromagère le compare au Maroilles et au Livarot. Alors qu'à l’origine il est fabriqué essentiellement pour une consommation familiale et locale, la production de Langres s'élève à près de 1 000 tonnes à la fin du XIXe siècle. Les fromages sont alors expédiés vers Paris, vers l'est de la France, et parfois même vers la Suisse. Cette période florissante voit le développement du Langres jusqu'au début du XXe siècle, avant qu'il ne tombe dans l'oubli et manque de disparaître dans les années 1950. Parce qu'il est un savoir-faire préservé, le Langres a obtenu en 1991 sa reconnaissance en appellation d’origine contrôlée (AOC), puis en 2012, celle d'appellation d’origine protégée (AOP) grâce à la mise en place d'un cahier des charges strict. Un bon fromage artisanal La fabrication du Langres n'a que peu évolué au fil du temps. La première étape de la fabrication est l'emprésurage au cours duquel le lait est mis à cailler. Lorsque le caillé est suffisamment ferme, il est tranché avant d'être mis dans des moules où il s'égouttera pendant environ 24 heures. Démoulés, les fromages sont salés à sec et séchés sur grille. Lors de l'affinage, ils sont frottés avec une solution additionnée ou non de rocou. La fontaine du Langres, cette petite cuvette à son sommet, est sa caractéristique essentielle. Elle est obtenue naturellement, car le fromage n'est jamais retourné au cours des différentes étapes de sa fabrication, mais toujours posé du même côté. Traditionnellement, certains Langres sont affinés au marc de Bourgogne ou de Champagne, versé dans la fontaine. Comment déguster le fromage de Langres ? L'AOP Langres est un fromage à la pâte fine et fondante et à l'odeur de crème. Sa saveur, d'abord fruitée et lactique (goût de yaourt, de crème), devient plus typée avec l'affinage du fromage, mais toujours sans outrance. S'il est avant tout un fromage de plateau, traditionnellement servi en fin de repas, le Langres révèle également toutes ses saveurs en cuisine : chausson de volaille au Langres, profiteroles au Langres, croustillant de Langres… Son association avec un vin de cépage chardonnay est idéale. ...

Château Rasque : « Par amour de la terre »

L’idée de créer un domaine viticole a surgi comme un vent de folie chez les Biancone. En 1983, Monique et Gérard ont décidé d’allier leur passion pour le vin et les vignes, en bâtissant ensemble le prestigieux Château Rasque. Un paradis créé de toutes pièces Le domaine est localisé à Taradeau, un village situé dans le centre du Var. Monique, fille de viticulteurs bordelais, et Gérard, passionné de vin : la vocation de vignerons s’est révélée comme une évidence chez les Biancone. Gérard, notamment, a également su déployer ses talents de maçon pour aménager le domaine à l’image de ses prestigieux ancêtres, les Rasque, une famille de notaires dracénois ayant occupé les lieux au XVIe siècle. Une des plus grandes fiertés de la famille est l’acquisition du Clos Jasmin, une irrésistible propriété de 12 ha, située au pied de la Sainte Victoire, sur laquelle s’enracinent de vieux ceps centenaires produisant exclusivement des rouges. Au fil des 35 ans passés, Monique et Gérard Biancone ont transmis leur passion ainsi que leur savoir-faire à leurs cinq enfants, qui ont tout simplement grandi au rythme de la vigne. À tel point qu’en 2005 leur fille Sophie reprend les rênes de l’entreprise familiale. Avec l’aide de son frère Enzo, « l’enfant des vignes », elle va apporter un vent de modernité qui ne sera que bénéfique dans la promotion de leurs vins en appellation Côtes-de-Provence. Notons qu’en 2003 la famille a également succombé au charme du domaine Hermitage de Saint-Pont, à Figanières, doté d’un vignoble de 31 ha et de 7 ha de bois. Un terroir particulièrement attachant Le vignoble du Château Rasque s’étend sur un sol argilo-calcaire de 30 ha. Perché à 260 m d’altitude, il bénéficie naturellement des conditions adéquates pour mener les vignes à parfaite maturation. D’autant plus que la couverture caillouteuse du sol limite les écarts de température entre le jour et la nuit et donc stabilise la température pour le bien-être des plantes. Le mariage de l’argile au calcaire permet le bon drainage du sol, ce qui prévient le stress hydrique chez les vignes. Ces traits caractéristiques confèrent d’onctueux arômes exotiques aux blancs et aux rosés, et leur tanicité soigneusement équilibrée aux rouges. Dans la liste des cépages travaillés figurent les célèbres variétés comme le rolle, le grenache, le cinsault, la syrah et l’ugni blanc. La vinification se fait de manière traditionnelle dans le but de tirer le meilleur du raisin, tout en le respectant. Il s’agit également de « valoriser l’âme du terroir », une terre pour laquelle la famille Biancone témoigne d’un amour particulier via une agriculture raisonnée. Ainsi, après les vendanges à la main, les raisins sont refroidis dans un échangeur tubulaire avant de passer au pressoir pneumatique. Le moût sera fermenté dans une cuve en inox, équipée d’un groupe de froid permettant de maintenir la température idéale pour la vinification. L’élevage des vins s’effectue dans des foudres de chêne installés à 8 m sous le sol, afin d’obtenir des cuvées authentiques au reflet de leurs racines. L’élégance en bouteille Grâce aux 3 domaines viticoles qui le composent, le Château Rasque peut produire différents types de vins. Réputée pour ses rosés, la maison consacre 50 % de sa production à ces cuvées. Le reste du pourcentage est départagé entre les rouges (30 %) et les blancs (20 %). Toutefois, la cuvée emblématique est la « Pièce noble », un vin rouge intense, dont la particularité se révèle à travers ses arômes de fruits confits légèrement épicés. Sa longueur en bouche et sa finale chocolatée s’avèrent être un réel plaisir pour le palais. Le Château Rasque est également connu pour ses blancs frais et complexes comme le « Blanc de blanc 100 % rolle » ou le « Clos de Madame ». ...

PALM HOTEL & SPA MICE : un cadre exceptionnel pour un évènement professionnel unique

Installé en pleine nature, PALM HOTEL & SPA bénéficie d’un environnement d’exception mêlant luxe, confort et ambiance zen. Ici, tous les ingrédients sont réunis pour faire de chaque évènement une expérience inoubliable. Un hébergement haut de gamme Pour chouchouterles séminaristes, l’établissement dispose de quatre catégories de chambres : les chambres supérieures, les chambres de luxe, les suites, suites familiales et les lodges. Les chambres Deluxe bénéficient des mêmes équipements que les chambres supérieures mais disposent en plus d’un salon et d’une varangue qui donne sur les jardins. Les suites sont équipées de douche extérieure et d’une varangue avec solarium et bain à remous. Quant aux lodges, outre le superbe panorama qu’ils offrent sur la Baie de Grand’ Anse, ils proposent aux invités la possibilité de profiter d’une terrasse aménagée avec louveuse et bain à remous. Expériences culinaires inédites PALM HOTEL & SPA dispose de trois restaurants, dont un gastronomique pour assurer la partie « restauration » au cours des séminaires, rendez-vous business ou réunions de travail. Chaque restaurant présente un cadre et une ambiance particulière où les invités sont conviés à découvrir des saveurs exotiques les plus surprenantes. Le Chef Claude POTHIN met en avant les produits locaux tout en sublimant par la même occasion le terroir réunionnais. Des salons et équipements adaptés Pour mener à bien les journées de travail, PALM HOTEL & SPA met à la disposition de ses clients un espace modulable de 200 m2. Ce dernier accueille jusqu’à 3 salons climatisés. En plus de la connexion wi-fi gratuite, divers équipements tels que paper-board, feutres, stylos, papiers, eaux minérales ou gazeuse sont aussi fournis. En option et selon la formule choisie, des matériels comme un ordinateur portable pour l'animateur du séminaire, des vidéo-projecteurs et des écrans ou encore visio-conférence sont disponibles. Cerise sur le gâteau, l’hôtel est doté d’une terrasse panoramique de 1200 m2, le KAH Beach. Elle est dédiée aux cocktails et réceptions pour clôturer en beauté un séminaire, un lancement de produit ou autres. Cet espace de repos est équipé d’un bain à remous et d’un hammam avec un restaurant de plage et une vue imprenable sur l’océan. Privatisable pour différentes réceptions, il fera le bonheur des professionnels en quête d’un endroit d’exception pour leur évènement. Des activités indoor pour des séances de team building réussies Que ce soit à travers des ateliers ou des formations, de nombreuses activités sont proposées aux collaborateurs désireux de renforcer leur esprit d’équipe. PALM HOTEL & SPA peut leur suggérer un programme sur-mesure à même de répondre à leurs besoins. On peut citer par exemple parmi les options incentives de l’établissement : l’expérience œnologique qui consiste en une dégustation de vins,l’atelier sushis & makis, le spectacle de close up ou l’élaboration et dégustation de cocktail. Des activités outdoor pour des expériences sensationnelles En collaborant avec des prestataires de service, PALM HOTEL & SPA offre aux entreprises une occasion unique de développer la motivation de leur personnel. De multiples activités riches en découverte et exploration attendent les participants. A l’instar des randonnées aquatiques durant lesquelles les aventuriers pourront bénéficier d’une session de canyoning au pied de la fameuse cascade de Grand galet à Langevin. Pour les amateurs de sensations fortes, PALM HOTEL & SPA propose le survol en hélicoptère à la découverte des cirques de Cilaos, Salazie et Mafate. Sans oublier le passage au dessus du Piton de la Fournaise, un volcan toujours en activité. Enfin, les excursions en voiture tout terrain seront particulièrement appréciées des explorateurs en herbe. C’est une manière plus pratique d’admirer de  près la beauté du relief. Un parcours enrichissant qui regroupe le passage à proximité du volcan, la découverte des plaines ...

Luxury Wine Experience : une invitation à la découverte de l’art de vivre à la bordelaise

L’oenotourisme à la bordelaise, signé Bernard Magrez, se conjugue avec visites, séjours d’exception et haute gastronomie au sein de Châteaux Grands Crus classés ainsi que dans son  boutique-hôtel 5*. « Grand propriétaire de domaine viticole, avec 42 vignobles dans le monde, cet amoureux du bon vin est animé par le désir de partager sa passion à travers l’hospitalité, la gastronomie, la culture et le vin », nous confie Cécile DAQUIN, Directrice Générale de La Grande Maison Bernard Magrez et Luxury Wine Experience. Un oenotourisme propice au développement des sens L’expérience oenotouristique se vit au sein des trois châteaux : le Château Pape Clément, le Château Fombrauge et le Château La Tour Carnet. Des séjours, des visites de vignobles et de chais, des dégustations de vins et bien entendu, la découverte de ces châteaux sont au programme. D’emblée, le charme néogothique  du Château Pape Clément, Grand Cru Classé de Graves ne laisse personne indifférent. Les plus anciennes vendanges datent ici du XIIIe siècle et les arbres séculaires y trônent fièrement, perdus dans un écrin de verdure. Dans ce joyau de Pessac, hommage au savoir-faire vinicole du pape Clément V, vous serez séduit par l’élégance des chambres et des suites dont les noms rappellent la douce symphonie des 60 ha de vignes murant le château. Toujours dans ce raffinement, le Château Fombrauge, une ancienne chartreuse du XVIIe siècle, perpétue une tradition vinicole authentique vieille de plusieurs siècles.  Son vignoble de 60 ha et datant du XVIe siècle, fait fière figure d’ambassadeur de cet héritage. L’histoire, celle d’un des plus Grands Crus de Saint-Emilion, se raconte dans les suites luxueuses nichées dans le charme intemporel  de ce château d’exception.   Enfin, imprégnez-vous des temps médiévaux figés à jamais au cœur du Château La Tour Carnet, Grand Cru Classé du Haut-Médoc. Deux suites apaisantes, véritables mémoires de l’intime,  font l’esprit de cette forteresse médiévale, « une des plus anciennes propriétés du Médoc » selon les dires de notre interlocutrice. Vin, gastronomie et culture A part les visites et dégustations de vins, Bernard Magrez Luxury Wine Expérience organise des ateliers inédits intitulés B-winemaker. « Le vin de Bordeaux est un vin d’assemblage. Luxury Wine Experience propose alors aux invités d’apprendre à créer leur propre vin en faisant eux-mêmes les assemblages de différents cépages en fonction de leurs goûts. Ils créeront, par la suite, leur bouteille, leur étiquette et repartiront avec leur bouteille de vin personnalisée », nous indique Cécile DAQUIN.   L’immersion au sein de ce nouvel Art de Vivre véhiculé par Bernard Magrez ne sera pas complète sans un passage dans le boutique-hôtel 5* La Grande Maison de Bernard Magrez située en plein cœur de Bordeaux. Propice à une escapade épicurienne, l’hôtel abrite six luxueuses chambres ainsi qu’un restaurant étoilé dirigé par Pierre Gagnaire. Au sein de celui-ci, une cuisine tendre et sincère fidèle à la richesse du terroir est exécutée par cet éminent chef élu homme de l'année 2016 dans la catégorie gastronomie par le magazine international GQ et élu également meilleur chef étoilé du monde par ses pairs en 2015. Pour l’épauler, il fait appel à son équipier de toujours Jean-Denis Lebras. Chaque repas sera sublimé ici par une carte de vins unique au monde enrichie de 259 références et proposant tous les Grands Crus Classés de Bordeaux et assimilés (Bourgeois et Pomerol).   L’expérience peut s’achever au sein de l’Institut Culturel Bernard Magrez situé en face de la Grande Maison de Bernard Magrez. Ayant pour mission de faciliter la création contemporaine à tous, cet espace ouvert en 2011 propose une riche programmation d’expositions d’art contemporain et moderne. Dans une optique d’aider à la production d’œuvres inédites, des artistes en résidence y sont ...

Le Buron du Ché :
une cuisine rustique aux mille et une saveurs

Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle.  L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux.  Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel.  ...

Musée Bartholdi – Colmar :
hommage à l’un des plus grands artistes statuaires français

Le bâtiment qui abrite le Musée n’est autre que la maison natale de l’artiste lui-même avec un espace d’exposition s’étendant sur les deux niveaux que compte l’édifice. Un florilège d’œuvres à découvrir « La majorité des œuvres exposées au Musée Bartholdi sont celles de Bartholdi lui-même, composées de sculptures, de dessins, de peintures et de photographies » note Isabelle Bräutigam, conservateur du Musée. La société des Amis du Musée Bartholdi ou SAMBA, créée en 2003, ne cesse d’enrichir cette collection par de nouvelles œuvres de l’artiste ou de ses pairs.   « En garde, l’art s’engage ! » Cette exposition temporaire qui a lieu actuellement au Musée « se fait en partenariat avec le FRAC Alsace, et présente des œuvres d’artistes contemporains mis au regard avec les œuvres d’Auguste Bartholdi » explique Isabelle. « Elle met en évidence le rôle politique que les artistes d’hier et d’aujourd’hui jouent dans notre société », car il ne faut pas oublier le fait que Bartholdi était un humaniste engagé. Et si l’exposition ne véhicule dans les faits pas de message, elle peut interpeller quelques-uns et peut-être bien leur changer leur vision du monde. ...

Restaurant La Cocagne : Cuisine traditionnelle française revisitée

Situé à quelques pas de la rive gauche du Rhône et du quartier de la Guillotière, La Cocagne est un restaurant qui cultive le « bien manger », tout en invitant ses convives à la détente. Ce bel écrin, détenant un « certificat d’excellence TripAdvisor », est le lieu d’une cuisine riche des voyages culinaires entrepris par les deux propriétaires à travers le monde. Une cuisine qui offre un rapport qualité-prix exceptionnel, en plus du service professionnel. Tradition culinaire française à la sauce méditerranéenne et lyonnaise Les délices du restaurant sont tirés des classiques de la cuisine française, ainsi que des inspirations méditerranéenne et lyonnaise. Ici, les produits sont frais, la cuisine faite maison, le terroir de Lyon mis en valeur dans des préparations se rapprochant des saveurs d’ailleurs. Aux fourneaux, les recettes sont fabuleusement élaborées par Sandrine Bernard. Celle-ci a déjà eu à faire ses preuves dans des restaurants tels que la « Meditrina » et « Un Moment à Part », toujours à Lyon. La carte change environ tous les trois mois, mais quelques plats et desserts reviennent de temps en temps. Des desserts du soir, comme le pain perdu au caramel au beurre salé, qui est un peu comme une signature de la maison et très apprécié par la clientèle. En guise de plat, tartare du chef et ses frites maison, assaisonné d’épices chinoises du Sichuan dont a le secret Sandrine. Par ailleurs de nouvelles recettes sont souvent testées pour le plus grand plaisir gustatif des hôtes. C’est le cas du vitello tonnato et ses frites de polenta. Une savoureuse recette italienne de tranches de veau cuites au lait, et nappées d’une sauce au thon et aux anchois. Egalement à la carte, des salades à l’instar du céviche de cabillaud, qui est une recette péruvienne élaborée à partir d’une petite marinade d’oignons assaisonnée avec du piment et du jus de citron. Le mélange va saisir les filets de cabillaud qui vont ensuite être débités, pour intégrer la marinade en accompagnement de coriandre fraîche. La cuisine du restaurant propose un ticket moyen aux alentours de 18 euros. Sylvain Armand de son côté, propose de très belles bouteilles se mariant à la perfection avec la cuisine de Sandrine Bernard. Celles-ci sont servies en verre ou à la bouteille. En accompagnement du vitello tonnato, un Gamay coteaux du Lyonnais vinifié à Taluyer en agriculture cloisonnée. C’est un vin rouge peu gras sur la longueur et conseillé pour ne pas écraser la saveur du vitello tonnato qui est un plat servi frais. Le tartare du chef et ses frites maison étant plus fort, il peut être accompagné avec un AOC Vacqueyras du Domaine Colline St Jean coûtant 29 euros. Celui-ci est suffisamment soutenu pour tenir les épices de la maison. Esprit bistrot et ambiance cosy sans chichi Cadre chaleureux au sein d’une rue paisible avec vue directe sur Fourvière et sur l’Hôtel-Dieu de Lyon, le restaurant La Cocagne accueille dans une ambiance à la bonne franquette. L’établissement affiche un décor boisé au minimalisme épuré très convivial, façon bistrot lofté. En terrasse, bon air et vue imprenable permettent de savourer chaque bouchée. La conception et le dressage des tables sont très particuliers, de même que le traitement acoustique qui fait des vagues sur du panneau de chêne. L’espace quant à lui est aéré et bien éclairé. En soirée, la lumière tamisée offre aux couples un moment privilégié dans le petit étage aménagé à l’intérieur. C’est aussi une adresse privilégiée pour les sorties en famille et entre amis. ...

Au Cœur des Collines Cathares : place à la découverte et au dépaysement, le temps d’un séjour

Ce terroir authentique chérit son histoire, préserve jalousement ses paysages naturels et ses trésors architecturaux. C’est la destination idéale pour vivre une expérience stimulante et inspirante lors d’une escapade en couple, en famille ou entre amis. La circulade de Bram: un joyau unique Dès la sortie d’autoroute entre Narbonne et Toulouse, une première halte s’impose à Bram.  Erigé à partir du XIème siècle, le centre ancien est considéré comme le plus grand village circulaire d’Europe. Les fouilles archéologiques ont aussi révélé de nombreux vestiges de l’époque gallo-romaine : ce riche patrimoine archéologique est présenté au Musée Eburomagus. Bram révèle bien d’autres curiosités comme la maison des Essarts qui, pendant tout l’été 2021, fait honneur à un éminent photographe, Raymond Depardon, à travers l’exposition « La Terre des Paysans ». Le village circulaire est relié par une piste cyclable avec le canal du Midi et le lac de Buzerens où des activités estivales telles que les baignades surveillées ou le téléski nautique attendent les voyageurs. Un riche patrimoine historique et culturel Plus largement, le Cœur des Collines Cathares s’illustre pour ses innombrables ressources historiques et culturelles disséminées aux quatre coins de ses différents villages. Situé entre Toulouse et Carcassonne, Fanjeaux est l’une des pépites du pays cathare et mérite amplement le détour à l’occasion d’un séjour sur le territoire. La cité porte en elle un lourd passé qu’elle partage désormais avec le public à travers un parcours scultpurel qui matérialise les grands épisodes historiques du village. Dans un coin de verdure, au dédale d’une ruelle ou au gré du hasard, les visiteurs font la rencontre de dix personnages évoquant l’époque médiévale. Cette œuvre signée Loïc Tellier est un bel hommage à la mémoire des hommes qui ont façonné le pays cathare. Pour une découverte encore plus immersive, des visites commentées sont possibles grâce à l’application mobile Au Cœur des Collines Cathares ou aux audioguides. Une maquette interactive et un jeu d’énigme pour enfants dénommé « Fanjeaux et le mystérieux sortilège » sont aussi disponibles pour que la découverte se fasse de façon ludique et énigmatique. Le territoire est fortement investi dans les nouvelles technologies et les expériences de découverte proposées au fil des visites se font sous le signe de l’innovation. Ainsi, après ce passage à Fanjeaux, les voyageurs peuvent faire une halte à Villasavary au sein de la chapelle saint-Martin de la Salle, dite de Besplas, située au cœur d’un ancien cimetière et réputée pour ses immenses contreforts et son abside semi-circulaire. En cas de fermeture des lieux, un QRCode est mis à leur disposition afin qu’ils puissent malgré tout visualiser l’intérieur. Dès l’époque romane, le Cœur des Collines Cathares a battu au rythme de la foi religieuse, impossible donc d’envisager un séjour sans un détour par les à la chapelles Notre-Dame à Cazalrenoux, Saint-Christol de Fonters du Razès ou encore Notre-Dame des Cazazils. Autre incontournable : la fameuse Collégiale Saint-Vincent à Montréal d’Aude riche d’un éventail de curiosités à l’instar de ses soixante-six stalles sculptées ou son Grand Orgue classé aux Monuments Historiques. Une pause en pleine nature pour toute la famille Pour continuer la découverte historique sur un volet nettement plus sportif, rien de mieux que d’opter pour les nombreux parcours de randonnées orchestrés par le territoire. L’histoire autour du pays Lauragais et du territoire des collines cathares se révèle à travers le parcours des dédales du temps au départ de Villasary qui convie les randonneurs à découvrir les paysages locaux et les hommes qui sont à leur origine. Les amoureux de vieilles pierres pourront s’engager dans Le Sentier du dessin et des chapelles romanes, qui en plus de sillonner les chapelles romanes de Cazalrenoux et G&ea...