Pour cette famille, la viticulture est passée au fil des générations au rang d’art de vivre, de philosophie. Métier constamment en évolution, les Bonnet s’appliquent à concilier modernité et tradition dans l’élaboration de leurs vins. Château de Respide, ancienne demeure de Louis Pascal Le premier bâtiment fut bâti du temps du Roi Soleil, par un de ses lieutenants M. de la Reynie. Ce dernier initia la viticulture au domaine. Le Château de Respide qui subsiste encore jusqu’à aujourd’hui a été édifié au milieu du 19e siècle par Ernest Pascal, préfet de Bordeaux, sur les vestiges de l’ancienne bâtisse. Elle fut le théâtre d’heures interminables de billard entre Louis Pascal et son cousin, le peintre Toulouse Lautrec. « Le château est un des plus vieux châteaux de l’appellation Graves » précise l’actuelle propriétaire, Christine Bonnet. A cette époque, le vignoble était déjà référencé par le guide Feret, véritable institution des vins de Bordeaux. Le château passa ensuite aux mains de la famille Rodies, qui obtint la première médaille d’or du domaine au Concours Agricole de Paris. Pierre Bonnet, père de l’actuel propriétaire se chargea de sa direction à partir de 1952. Sa mort en 1969 entraînera la vente de la propriété qui conservera quand même son vignoble et les bâtiments agricoles. Depuis 1990, Franck Bonnet, petit-fils de Pierre, prend en charge la gérance du domaine qui devient le SCEA Vignobles Pierre Bonnet. Le respect de l’environnement, un engagement de la famille Depuis toujours, le respect et la préservation de l’environnement sont au centre des intérêts de la famille Bonnet. Aussi, le vignoble est mené selon des procédés visant à le pérenniser. Les vignes sont enherbées de manière à éviter l’usage des herbicides et elles sont observées en permanence afin de pouvoir appliquer les traitements adéquats. Depuis 1997, une station d’épuration a été mise en place pour traiter les eaux usées. Près des cours d’eaux, des zones sont maintenues en permanence au repos. Dans un futur proche, le château prévoit d’installer des panneaux solaires sur son domaine. En effet, le domaine bénéficie d’un ensoleillement favorable tout au long de l’année. L’électricité ainsi obtenue permettra de diminuer drastiquement la consommation en énergie du château. Une vinification qui répond aux normes Construit en 1993, la cave du château est dotée de tout le matériel nécessaire permettant une vinification mettant en valeur le terroir et les raisins. Qui plus est, ces nouvelles installations permettent de diminuer énormément la charge de travail du personnel. En effet, « le viticulteur ne travaille jamais seul, on est quand même une équipe entre onze et quinze personnes, composée de permanents et temporaires » explique Madame Bonnet. Pour en revenir à la cave, son cahier des charges rigoureux répond aux normes en vigueur concernant la traçabilité et l’hygiène de la production. Le chai à barriques, rénové de fond en comble en 2000, peut désormais accueillir près de 900 barriques. Il est d’une ventilation thermorégulée qui permet d’avoir une parfaite isolation. Le catalogue des vins Le Château de Respide dispose d’une gamme complète de cinq cuvées déclinées en blancs et rouges qui sont tous en appellation AOC Graves. Le « Château de Respide Graves Blanc » est un vin de restauration qui se consomme jeune. A table, il accompagne avec délice fruits de mers, poissons et salades. Le « Château de Respide Callipyge Graves Blanc » est plus pour les amateurs de Grands Blancs bordelais. C’est un vin qui peut se consommer de suite mais peut patienter cinq ans en cave. Le « Château de Respide Junior Graves Rouge » est destiné aux jeunes, et se consomme lors des pique-niques. Le « Château de Respide Graves Rouge » doit se bonifier un an en cave avant d’être dégusté, et peut même patienter jusqu’à quinze ans. Et enfin le « Château de Respide Callipyge Graves Rouge » est ...
Située sur l’avenue Carnot, L’empreinte By Yannick Lecoq se veut simple mais raffiné. Le restaurant propose trois espaces aussi attirants et surprenants les uns des autres. Le premier propose un cadre contemporain avec une cuisine ouverte qui offre un spectacle inédit d’où il est possible d’observer le chef et son équipe. Ici, le partage et la convivialité sont les maitres mots. Dans le deuxième espace, l’ambiance est beaucoup plus intimiste. L’alliance du beige et du noir reflète le côté sobre et élégant du lieu tandis que la baie vitrée illuminant la salle procure une touche de douceur à l’ensemble. Et, durant les beaux jours, la grande terrasse permet de savourer à l’ombre du figuier, les délicieuses créations culinaires du chef. « Empreinte culinaire » Doté de vingt ans d’expérience, le chef Yannick Lecoq a réussi à affiner son « Empreinte culinaire ». Aujourd’hui, c’est au sein de son propre restaurant L’empreinte by Yannick Lecoq qu’il exprime et partage son talent. Fidèle aux valeurs de l’établissement, Yannick propose une cuisine raffinée à base de produits frais et de saison. Inspirés de ses voyages et de ses envies, ses plats sont aussi savoureux que créatifs. Chaque bouchée promet un voyage culinaire transcendant. Le souci du détail est mis en avant : un parfait équilibre au niveau des assaisonnements, un respect au millimètre près de la cuisson et un accord subtil des saveurs. Par ailleurs, le chef apporte une attention particulière aux produits. Dès leur sélection, il se montre extrêmement exigeant pour assurer la qualité et la fraicheur de ses plats et s’approvisionne autant que possible sur le marché local. Lors de la préparation, il veille à ce que les produits ne soient pas dénaturalisés. En outre, le chef apporte aussi un intérêt particulier aux vins. Etant un grand passionné, il veille à assurer les meilleurs accords. L’occasion pour les convives de découvrir la collection du restaurant comprenant 150 références environ. « Une cuisine qui s’adapte » Au menu, quatre formules différentes allant de 17 à 52 euros sont présentées. Pour chacune d’entre elles, les convives ont droit à une entrée, un plat et un dessert. A partir de 40 euros, un plateau de fromages de la Maison Mons vient s’ajouter à la liste. Pour les gourmands aventuriers, la formule à 52 euros leur est spécialement dédiée. Celle-ci est constituée de plats surprenants et authentiques comme le fameux Opéra de foie gras « pomme, pain d’épices et fruits de la passion », l’un des plats signatures du chef. A la carte, les convives choisissent entre : trois entrées, trois plats et trois desserts. C’est l’occasion idéale de déguster la fraicheur des entrées comme le tartare de saumon au citron et à la ciboulette ou encore les asperges blanches de Provence à la vinaigrette et au fruit de la passion, accompagnées d’un œuf poché. Le mélodieux repas s’enchaînerait ensuite sur un magret de canard au vinaigre balsamique ou une délicieuse souris d’agneau braisée au jus de cuisson à la tomate. Et pour finir, une note de douceur avec la salade d’orange à la vanille de Tahiti ou la crème marquise au chocolat et framboise. ...
Le domaine Les Clos des Suds a fait le choix de travailler certains vieux cépages qui font l’identité du Minervois mais qui ne sont pas toujours reconnus par les décrets des syndicats d’appellation. Conséquence : certaines cuvées sont proposées hors AOC. Cette particularité n’est en rien un handicap. « Avec les cépages classiques, les vins ont tendance à se ressembler et vont vers un même standard. Personnellement, j’aime les cépages qui jouent la carte identitaire », déclare Pierre. Des cuvées uniques À base de terret gris (cépage de raisins gris), la cuvée Note Bleue appartient à cette catégorie de vins hors AOC qui font la fierté du vigneron. Ce blanc très atypique à la fois aérien, discret et élégant affiche un faible degré alcoolique, « ce qui est très demandé aujourd’hui » précise Pierre. Du côté des rouges, 3 cuvées Bagatelle, Nocturne et Cœur de Pierre, chacune singulière, sont complémentaires, « car c'est de nos différences que nous avons à échanger », argumente le vigneron Pierre Aliste pour prôner la belle typicité de ses précieux nectars. A déguster au domaine sur rendez-vous. ...
La Junior Entreprise Hepia : un tremplin professionnel pour les étudiants qui en font partie Sauf à ce que vous ayez passé les deux dernières années reclus sur une île déserte (et encore…), ça n’a pas pu vous échapper : les Junior-Entreprises ont le vent en poupe ! Implantées au sein de grandes écoles ou d’universités, ces associations à but non lucratif permettent à des étudiants de passer de la théorie de la pratique en intervenant auprès de « vrais » clients. Basée à Genève, en Suisse, la Junior Entreprise Hepia permet ainsi aux étudiants de l’école du même nom, spécialisée dans le paysage, l’ingénierie et l’architecture, de mettre un pied à l’étrier et de rentrer dans monde du travail en adoptant une posture professionnelle. « Parce qu’elle est calquée sur les filières de l’école, notre offre de compétences est très large » précise Maxime Chapellier, le président de la Junior Entreprise Hepia. « Nos consultants sont capables d’intervenir dans des domaines tels que l’agronomie, l’architecture du paysage, le génie mécanique, la micro-technique, l’architecture, l’informatique, la micro-technique et le génie civil. Et bien que la communication et le design ne fassent pas partie des matières enseignée à l’Hepia, certains de nos étudiants n’hésitent pas à faire valoir des compétences qu’ils ont acquises en dehors de l’école ». Parmi les mandats qui ont déjà été confiés à cette Junior-Entreprise figurent, par exemple, le développement d'un instrument biomédical permettant de mesurer les différents paramètres de l'oeil ou encore la conception d’un rasoir révolutionnaire. « Il s’agit d’un rasoir qui sera aussi efficace qu’un coupe-chou de barbier mais plus simple d’utilisation ». La Junior-Entreprise, un système « gagnant-gagnant » Le principal atout de la Junior Entreprise tient au fait qu’en permettant à ses membres de perfectionner leurs compétences, d’accumuler de l’expérience et d’enrichir leur réseau professionnel, elle optimise considérablement leurs chances de trouver un emploi correspondant à leur formation. Véritable incubateur de talents, la Junior-Entreprise Hepia n’échappe pas à la règle. Mais ses clients y trouvent eux aussi leur avantage. « Nous n’avons pas encore été formatés par le monde du travail. C’est pourquoi nous portons un regard neuf sur les problématiques qui nous sont soumises par nos clients » explique Maxime Chapellier. « Pour cette raison, les solutions que nous leur proposons sont résolument innovantes. Quant à nos tarifs, ils sont plus avantageux que ceux d’une entreprise lambda. En revanche, il peut arriver que nos délais de réalisation soient un peu plus longs. En effet, nos consultants étant des étudiants, lorsqu’ils réalisent des missions, c’est en marge de leurs cours ». ...
En plein centre-ville de Chateauneuf-en-Thymerais, se dresse Le Relais d'Aligre, un retaurant qui a su s'affirmer dans cette contrée. Ici le travail d'équipe est la règle d'or. De la fourche à la fourchette, la maison fait découvrir sa passion des bons mets. Service traiteur, menus spécifiques, Eric Canville met les petits plats dans les grands. Ce qui lui a valu d'être valorisé par le Bottin Gourmand et labellisé Maître Restaurateur. Une cuisine valorisant les produits de mer et du terroir A l'intérieur du restaurant tous les sens sont en éveil, une vraie promenade gastronomique. Le Chef cuisine des spécialités faites maison, aux gouts et saveurs authentiques propres à la région. Ayant appris auprès de son père, Éric dès son plus jeune âge fréquente une école de restauration à Mont-Saint-Aignan. A la direction de ce restaurant depuis plus d'une vingtaine d'années, il travaille en étroite collaboration avec son chef cuisinier. Sa passion pour le bon produit le pousse à s'approvisionner auprès des agriculteurs les plus proches, pour allier au mieux produits frais de saison et instinct culinaire. En collaboration avec son équipe, il est toujours à la quête du nouveau et a pour concept de faire évoluer la carte au rythme des saisons. Les spécialistés de la maison sont originales et variées. Comme entrée, le restaurant propose la Tempura de gambas, vinaigrette au fruit de la passion, salade de légumes. Pour élaborer ce délice, le chef commence par préparer la pâte à Tempura qui est un mélange d'eau, de farine et d'oeufs. Il prend soin de nettoyer les gambas, d'enlever les têtes et le boyau noir. Les gambas sont trempées dans la pâte puis mises dans de l'huile chauffée. Le tout est accompagné d'une vinaigrette faite à base de jus de fruit de la passion, d'huile d'olive et de moutarde. Il y associe des légumes émincés et des feuilles de légumes. Ce plat s'impose par sa couleur jaune, sa forte odeur d'épices, et son côté croustillant en bouche. Le restaurant se distingue également par ses plats signatures comme le mijoté de ris de veau aux girolles, crème de porto blanc. Les ris de veau sont couverts avec de l'eau froide puis chauffés à l'eau bouillante. Après les avoir pressés avec du linge propre, le chef les mélange avec des carottes et des oignons, puis y ajoute du beurre fondu à la cocotte. Il y associe les girolles nettoyées et sautées à la poêle, pour finir en versant la crème de porto blanc au-dessus. C'est un mets très raffiné en bouche et d'une couleur rosée à l'oeil. En guise de dessert, embarras du choix entre de multiples variétés à l'instar du Sorbet alcool. Un mélange d'eau et de sucre porté à ébullition et refroidi quelques instants après. Le chef y ajoute ensuite du sirop, du jus de citron et de l'alcool. A vu d'oeil le sorbet a l'air cristallisé, au gout c'est d'un dessert onctueux et alcoolisé. Au Relais d’Aligre, il est question d'une cuisine traditionnelle rehaussée par une touche de modernité. Ici, le chef et son équipe sont en perpétuelle quête d'originalité. La carte des vins Au Relais d'Aligre, du vin rouge, blanc et rosé sont proposés en fonction des gouts et des repas. La carte fait la part belle aux produits viticoles de la région, tels que l'AOC des Coteaux du Giennois. C’est un vin issu des cultures viticoles situées sur les Coteaux de la Loire. Ils sont faits sur la base du cépage Sauvignon pour les blancs, et d'une combinaison de gamay et de pinot noir pour les rouges. Pour un meilleur accord mets et vins, les vignobles de la Vallée du Rhône sont aussi à l'honneur avec des sélections comme le Delas Saint Joseph Hedonisa et le P.Amadieu Châteauneuf du Pape. ...
Fondée il y a de cela 200 ans par Nicolas-François Billecart et Élisabeth Salmon, la maison Billecart-Salmon continue de pérenniser et de repousser sans cesse les limites d’un savoir-faire déjà reconnu et salué par les plus grands experts. Place à la nouvelle génération La maison Billecart-Salmon, c’est avant tout une histoire familiale. À l’origine, ils sont trois à avoir posé les premières pierres à l’édifice : Nicolas-François Billecart, son épouse Élisabeth Salmon et Louis Salmon, son frère. Jusqu’à maintenant, la maison a connu au total sept générations. Après trente ans de bons et loyaux services passés à la présidence, François Roland-Billecart va bientôt céder sa place à la génération montante. Ainsi, son successeur Mathieu Roland-Billecart se tient prêt à prendre la relève au mois de janvier 2019. Il est vrai que chez les Billecart, le vin est d’abord une affaire de famille. « Autour de cette famille, nous avons une équipe de personnes à la pointe de leur métier : Denis et Florent s’occupent de la création des vins, Jean Roland-Billecart reste très actif côté dégustation, Alexandre et Antoine pour la commercialisation », explique le futur président. Un savoir-faire exceptionnel L’équipe viticole travaille un domaine de 100 ha et s’approvisionne en raisins sur une superficie totale de 300 ha. « Nous nous approvisionnons principalement en premier cru et en grand cru afin de maintenir des vins de très grande qualité », souligne Mathieu Roland-Billecart. Pour cela, la maison profite de son emplacement à la croisée des trois régions hautement qualitatives de la Champagne que sont : la côte des Blancs, la vallée de la Marne et la montagne de Reims. En effet, c’est là où coexistent les grands crus de pinot noir, de chardonnay et de pinot meunier. Fidèle à son credo, la maison exploite également une parcelle entièrement vouée à la culture de l’excellence appelée Clos Saint-Hilaire. « C’est une vigne d’un hectare plantée en pinot noir, de vieilles vignes taillées en cordon permanent, on ne met que 3 à 5 grappes par pied », nous indique-t-on. Prestige oblige, chez les Billecart, on sacrifie volontiers le rendement sur l’autel de la perfection. Dans ce clos planté en pinot noir, la terre est choyée avec des méthodes ancestrales : le cheval de trait pour le labour et les moutons pour l’entretien du sol. Le clos Saint-Hilaire produit un champagne éponyme d’exception. Vinifié en fût, celui-ci offre une fraîcheur et une complexité hors norme. Autre particularité de la maison : une totale maîtrise d’une technique de vinification à froid, un style Billecart profondément ancré depuis plusieurs décennies. « C’est une vinification très lente mais qui permet de retrouver la finesse et l’élégance qui caractérisent notre style », dévoile Mathieu. Pour ce qui est de la maturation, il faut compter au minimum 10 ans pour les millésimes et 3 ans pour les non-millésimés. Des cuvées au sommet de leur hiérarchie 1999 est sans doute l’année de consécration pour la maison Billecart-Salmon avec l’obtention d’une distinction ultime, grâce notamment à ses deux millésimes. En effet, la cuvée Nicolas François Billecart 1959 fut auréolée du titre de « Champagne du Millénaire » lors d’une dégustation à l’aveugle effectuée par un panel d’experts. Le millésime 1961, quant à lui, arrive sur la seconde marche du podium. Parmi les « best-sellers », le rosé non millésimé fait particulièrement honneur à la maison. Il s’agit d’un rosé d’assemblage associant des cépages de chardonnay, pinot meunier et pinot noir vinifié en rouge. Cette cuvée allie harmonieusement finesse et élégance avec des notes plus fruitées. Ensuite, la cuvée Louis est également assez représentative de la maison. Un brut Blanc de Blancs Millésime 2006. « Là vous &...
Géré par Daniel Bouillard, 4e génération de « bouilleurs de cru », le Domaine du Puits Faucon perpétue un savoir-faire séculaire transmis de père en fils. De la vigne aux vins Vigneron indépendant, Daniel s’attache à mener son vignoble de 37 ha en lutte raisonnée. Enherbement, utilisation limitée de produits de synthèse, couverts végétaux pour limiter l’érosion et capter l’azote… Tout est fait pour assurer une production de qualité. Des produits primés Parmi les spécialités de la maison, le cognac X.O (20 ans d’âge), le vieux pineau (15 ans) et le pineau blanc (6 ans), tous vieillis en fût, sont les plus représentatifs. Gage de leur qualité, ces produits ont décroché respectivement une médaille d’or au Concours général de Paris (2014) et deux médailles de bronze au Concours des saveurs régionales (2015 et 2018). ...
Volupté, extase des sens et subtiles saveurs méditerranéennes se retrouvent dans chaque cuvée du terroir tropézien. Les vignes s’épanouissent sur une terre de gneiss métamorphique bénéficiant d’un ensoleillement idéal, et d’une légère brise marine conférant toute sa typicité au vin. Symbole de l’art de vivre à la tropézienne, cette cave figure parmi les plus grandes références dans le monde vinicole. Un terroir d’expression singulier Ce sont 180 hectares de vignobles perdus entre terre et mer, traités dans le respect de l’environnement, qui produisent un vin caractéristique rendant hommage à une terre bénie. Les particularités géologiques et climatologiques riches de ce terroir favorisent l’obtention de cuvées riches en saveurs, matures et complexes. « Ce vignoble au cœur du village de Saint-Tropez se veut [ainsi] être le fier représentant de l’identité tropézienne », nous confie Alain Guichet, directeur de la cave. Les vignobles de Saint-Tropez se font aujourd’hui les défenseurs zélés de cet héritage vinicole précieux. Chevalier Torpez : une ode au village Parmi les gammes emblématiques de la cave, la gamme provençale Chevalier Torpez fait fière figure d’ambassadrice de l’excellence vinicole tropézienne. Décliné en rosées, en domaines ou en bruts tradition, Chevalier Torpez est « un mélange d’histoire et de traditions », continue notre interlocuteur. En effet, en s’inspirant de l’histoire du chevalier Torpez, régisseur du temps de l’empereur romain Néron et élevé au rang de saint après être mort en martyr au nom de sa foi, l’origine de cette gamme ambassadrice est intimement liée à celle du village. Appréciez ainsi, lors de vos instants gourmands, les cuvées de cette gamme incluant le vin Château la Moutte, « produit dans un domaine ambassadeur de 4 hectares, dont le vignoble en coteaux, établi sur la pointe de Salin, fait face à la mer », reprend Alain. ...
Le couteau Laguiole n’est pas un simple objet utilitaire. Il est l’incarnation d’un art de vivre mêlant raffinement, authenticité et exigence. C’est un compagnon du quotidien qui se glisse dans une poche, se pose sur une table de fête, se transmet comme un bijou. Chez Iforge, cette philosophie transparaît dans chaque détail. Chaque couteau est conçu comme une pièce unique, façonnée à la main, dans un atelier où le geste de l’artisan est au cœur du processus. Ici, on choisit l’excellence, une part d’histoire, un fragment de patrimoine, un objet vivant façonné avec passion par des artisans. En somme, un symbole de l’élégance, d’un esprit à la française. Iforge, une tradition séculaire, un enracinement profond Cette coutellerie française trouve deux de ses piliers les plus solides à Thiers, dans le Puy-de-Dôme, et à Laguiole, en Aveyron. Elle s’inscrit au croisement de ces deux terres légendaires qui ont façonné l’Histoire de la coutellerie française. Thiers, capitale de la coutellerie, façonne des lames depuis le XVe siècle. Dès le XVIIe siècle, ses couteaux franchissaient les frontières, jusqu’au Moyen-Orient, portés par une réputation de robustesse et de finesse. Au milieu du XIXe siècle, près de 25 000 ouvriers y œuvraient à la production coutelière. Aujourd’hui encore, ce savoir-faire se perpétue. Mais Thiers ne règne pas seule. À Laguiole, petit village de l’Aubrac, le célèbre couteau voit le jour au XIXe siècle. Sa silhouette emblématique, son élégance discrète, son manche galbé, sont devenus des icônes du savoir-vivre français. Là aussi, le travail artisanal se transmet de génération en génération. Aujourd’hui, Iforge se nourrit de ce double héritage et de cette passion du couteau d’exception. Iforge ou l’art du couteau personnalisable Chez Iforge, chaque couteau est bien plus qu’un simple outil. C’est une œuvre d’art personnalisée. Cette maison propose à ses clients de concevoir un couteau sur mesure, adapté à leurs envies, à leur usage, ou à un moment particulier de leur vie. Le manche peut être façonné dans des matériaux aussi variés qu’élégants de bois nobles aux matières rares, en passant par des éléments uniques comme du fossile de mammouth, de la turquoise, du coquillage, ou même des matériaux encore plus précieux suivant la demande. La lame, elle aussi, se décline au gré des préférences : de l’acier au carbone traditionnel à l’extraordinaire acier de damas, connu pour ses motifs ondulés et sa résistance légendaire. À cela s’ajoute la possibilité de graver le ressort, situé sur le dos du couteau, avec des initiales, une date, un symbole ou un message. Et que dire de la mouche, ce petit ornement au sommet du ressort, habituellement en forme d’abeille ? Chez Iforge, elle devient un terrain d’expression artistique. L’atelier d’Art n’hésite pas à en détourner la forme pour répondre à une demande particulière. Ainsi, un modèle pour les pèlerins de Compostelle remplace la mouche traditionnelle par une coquille Saint-Jacques, clin d’œil au chemin mythique. Chaque couteau devient ainsi un objet singulier, porteur de sens, parfois même de mémoire. Cadeau, transmission, outil de tous les jours ou pièce de collection : tout semble possible pour cet atelier. Pour plus de renseignements sur le couteau personnalisable suivez ce lien. Un atelier vivant : entre réparation et perfection Fidèle à sa vocation artisanale, Iforge ne se limite pas à la création. L’atelier propose également des services de réparation et d’affûtage, prolongeant ainsi la vie des couteaux abîmés ou émoussés. Un Laguiole, comme tout bel objet, mérite un entretien à la hauteur de sa qualité. Que ce soit pour redonner du tranchant à une lame fatiguée, réparer un mécanisme ou remplacer un manche usé, Iforge s’engage à faire revivre les couteaux confiés par ses clients. Ce service est aussi une manière de respecter une certaine écologie de l’objet ou ici la règle e...
Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle. L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux. Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel. ...
Avec Doctocare, l’opérateur de santé du groupe Doctegestio, la philosophie est simple : proposer un accompagnement des patients tout au long de leur vie. Doctocare : historique Créé en 2000 par Bernard Bensaid, le groupe Doctegestio a souhaité se spécialiser dans trois activités : la santé, le médico-social (Amapa) et l’hôtellerie (Popinns). Ici, en l’occurrence, nous nous intéressons tout particulièrement à la santé avec Doctocare. L’un des objectifs de Doctocare : coordonner le médico-social et le sanitaire afin de faciliter la vie des patients et assurer une véritable qualité de prise en charge. Ainsi l’opérateur santé s’engage pour la qualité et la sécurité des soins, sur le décloisonnement hôpital / médecine de ville ainsi que sur les déserts médicaux et l’inégalité d’accès aux soins. Aujourd’hui, Doctocare possède plus de 64 établissements à travers la France (principalement en Ile-de-France, en Normandie, et en région PACA). De plus, Doctocare s’engage à travailler avec les instances politiques et sociales pour proposer des services innovants, ainsi qu’une bonne gestion des ressources des collectivités favorisant la sauvegarde des emplois et une plus grande maîtrise des comptes de l’assurance maladie. La bienveillance est une autre de ses valeurs aussi bien pour les collaborateurs que pour les patients. Les activités de Doctocare Les activités de Doctocare sont multiples et complémentaires avec celles des autres activités du Groupe. Voici ce que propose Doctocare : - 9 cliniques dont 5 hébergeant un centre d’imagerie médicale ; - 5 centres de santé ; - 1 centre d’hospitalisation à domicile ; - 4 centres auditifs avec audioprothésistes ; - 19 centres dentaires ; - 14 centres optiques et 4 centres optiques et audios ; - 1 centre thermal ; - 2 centres support. Concernant l’offre hospitalière des établissements Doctocare, les équipes en charge font leur maximum pour répondre aux attentes des patients dans le cas d’hospitalisations courtes ou plus longues. Cela afin d’optimiser le parcours patient et de proposer une prise en charge adaptée, aussi bien pour les maladies chroniques qu’aigües. Doctocare n’est pas encore présent dans toutes les régions françaises. Pour autant, l’opérateur de santé prévoit de se développer sur l’ensemble du territoire. De plus, le Groupe joue sur la complémentarité de ses offres et de ses autres acteurs pour proposer un excellent maillage territorial. Un exemple pour illustrer cela : l’implantation d’un cabinet dentaire au sein d’un Ehpad, permettant aux résidents de l’établissement médico-social d’améliorer leur hygiène buccale. ...
Saint-Graal est une création originale d’Alexis Briol, élu meilleur brasseur de l’année 2012 en Belgique. Elle est brassée par la brasserie Saint Feuillien, une référence et une icône en la matière en Belgique, réputée pour la qualité exceptionnelle de ses produits. Une bière blonde authentique La Saint-Graal est une bière blonde dite de triple fermentation conçue pour la dégustation. Sa robe est blond pâle, légèrement voilée. Ses bulles sont fines et sa mousse à flocons moyens tient bien, tout en offrant une légère texture crémeuse au centre. Au nez, elle propose des arômes donnant sur des fruits exotiques (pamplemousse et agrume) et floraux conférés par le houblon SAAZ. En bouche, elle est ronde, souple et maltée, avec des arômes orientés sur les épices. A la dégustation, elle offre une amertume fine et délicate qui se marie harmonieusement avec son goût très prononcé sur les fruits. Cette sublime complexité lui a valu une médaille de bronze France lors du dernier World Beer Awards. Un packaging pour sortir de l’ordinaire La bière Saint-Graal est conditionnée dans une bouteille classique de 33 centilitres, mais ce qui en fait sa particularité, à part ses saveurs spécifiques bien entendu, est son conditionnement très original. En effet, elle est présentée sous forme de coffret prestige « édition limitée » comprenant quatre bouteilles accompagnées d’un verre en bois du type calice, spécialement conçu pour sa dégustation. Elle est également disponible en cagette de bois composée de huit bouteilles. La bière Saint-Graal est disponible à la vente dans 120 points en France ainsi qu’en ligne sur le site minutevin.fr. ...
Installée dans des bâtiments neufs à la sortie de l’autoroute à Chemillé-en-Anjou dans le département du Maine-et-Loire, l’herboristerie Cailleau bénéficie de 4.500 m² pour recevoir, transformer, conditionner et expédier en respectant les dernières normes de production. Elle regroupe 2 secteurs d’activité : la vente aux détaillants comme les herboristeries, les coiffeurs, les magasins diététiques ou les pharmaciens et la vente aux industriels comme les brasseurs de bières, les industries agroalimentaires et cosmétiques La société ayant reçu son agrément pharmaceutique depuis un an maintenant, elle peut désormais vendre les plantes du domaine pharmacopée aux pharmacies. Aujourd’hui, l’Herboristerie Cailleau emploie 30 salariés à temps plein. Un catalogue de plus de 800 références Son catalogue contient plus de 800 plantes déclinées sous différentes formes : feuilles, fleurs, sommités fleuries, racines, coupées, entières, poudre… L’Herboristerie mise sur l’excellence botanique de ses produits et sur le savoir-faire de ses fournisseurs, pour procurer des plantes de haute qualité à ses clients. Elle en garantit l’identité botanique. Avec son pharmacien, la société analyse et contrôle chaque réception pour garantir in fine la sécurité des consommateurs. Elle se fournit au plus proche, favorisant les circuits courts et les producteurs locaux. Mais certaines plantes ne sont pas cultivées dans la région. Ainsi par exemple la lavande arrive du sud, le génépi des Alpes. D’autres doivent être importées, particulièrement de Pologne, Hongrie, Lituanie, Espagne, Portugal, Maroc, Tunisie ou encore Brésil. Elle s’est également engagée dans une démarche bio pour répondre à une demande de plus en plus importante. Actuellement les plantes bio représentent 25% du catalogue. Les plantes sont préparées sous toute forme (coupée, pulvérisée), transformées (gélule, macérât aqueux, huile essentielle, infusette) et conditionnées (de 250 g à 2,5 T) dans les locaux de la société, suivant les besoins et les demandes des clients. Plus de 2000 clients lui font déjà confiance. La qualité de ses produits est également reconnue à l’étranger puisque l’Herboristerie Cailleau réalise 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Depuis 1 an l’herboristerie a aussi ouvert un site de ventes en ligne dédié aux particuliers, répondant ainsi à l’ensemble des demandes de ses clients. ...
Le Village des Tortues, un espace naturel de deux hectares dédié aux chéloniens, est situé à Gonfaron, au pied du massif des Maures. Il a été créé en 1988 par l’association SOPTOM, dans le but d’étudier et de protéger la Tortue d’Hermann, menacée de disparition. Au fil des années, le centre a recueilli d’autres tortues, terrestres ou aquatiques. Ces animaux sont pour la plupart des cas blessés, abandonnés, ou donnés par des particuliers et les douanes. Le parc, ouvert au public, accueille 10 000 visiteurs chaque année, ce qui fait de ce lieu le troisième attrait touristique du Var. L’objectif et le mode de financement de l’association SOPTOM SOPTOM est l’acronyme de Station d’Observation et de Protection des Tortues et de leurs Milieux. Cette association à but non lucratif a été créée en 1986 par Bernard Devaux et le biologiste anglais David Stubbs, respectivement le directeur fondateur et le président. Leur motivation est de sauvegarder la Tortue d’Hermann, la seule tortue terrestre de France dont l’espèce est en voie de disparition. Dans ce but, la SOPTOM a fondé le Village des Tortues en 1988. Il s’agit d’offrir à la Tortue d’Hermann un milieu naturel de deux hectares où elle est réintroduite, observée et protégée. L’association accueille actuellement plusieurs espèces de tortues terrestres et aquatiques, provenant de 35 pays différents. Elles sont entretenues par des éco-volontaires qui arrivent par centaine chaque année. En somme, la SOPTOM a déjà accueilli plus de 1200 bénévoles, sans aucune participation financière. Les recettes de l’association se basent sur les tickets d’entrée au Village, les produits vendus en boutique ou en ligne, les adhésions à l’association et les parrainages des tortues. Dans sa lutte pour le respect de ces animaux sauvages et de leurs milieux, la SOPTOM s’engage à instruire le grand public. Outre les conseils lors des visites guidées, elle dispense aussi des formations deux fois par an : en avril et septembre. Les séances durent six jours, au bout desquels un Certificat d’Aptitude est délivré. Comme la SOPTOM défend la cause des tortues en général, elle étend ses activités hors de la France. Elle a ainsi déjà créé deux autres «villages » à Madagascar et au Costa Rica, et prévoit également de le faire au Maroc. Une Clinique pour les tortues La Clinique du Village des Tortues est le premier centre médical dédié aux tortues dans toute l’Europe. Chaque année, elle accueille et soigne 300 tortues abandonnées ou blessées. Des spécialistes qualifiés y soignent différentes pathologies: carapace brûlée dans un incendie, scalpée par une tondeuse ou écrasée par un véhicule, etc. Pour les patientes maintenues en terrarium, en l’occurrence, la clinique substitue l’ensoleillement naturel par des lampes à ultra-violet. Leurs carapaces y sont directement exposées afin de fixer leur calcium. Après les soins, elles passent leur convalescence dans la zone d’observation avant d’être relâchées dans la nature. Des tortues venues des quatre coins du monde Au début, le village a été prévu pour abriter la Tortue d’Hermann, la seule espèce terrestre qui ne se trouve qu’en France et pourtant menacée d’extinction. Depuis, il recueille également l’Emyde lépreuse et l’aquatique Cistude. Outre ces espèces autochtones, des tortues exotiques sont aussi confiées au parc par les Pouvoirs Publics. Ces chéloniens, pour la majorité des cas, ont été sauvés du trafic par les douanes. Tels sont les cas des tortues corses, des tortues léopards du Sénégal ou encore des tortues rayonnées de Madagascar. Celles-ci, très convoitées par les trafiquants, ont un enclos surveillé par une caméra vidéo. Parmi les résidents du village se trouvent aussi des tortues géantes de Madagascar et d’Aldabra. Bien que leur taille soit impressionnante, celle de leurs ancêtres préhistoriques l’est encore plus. Pour instruire les visiteurs sur l’évolution de cette espèce, le parc a créé une zone qui les ramène vers...
Alors que la COVID-19 a déferlé sur le monde, certaines entreprises, telles que Phenix Care, se sont lancées dans l’importation de masques de protection de haute qualité. Des masques de qualité premium Pendant le récent confinement, le stock de masques était une véritable problématique sanitaire. Aujourd’hui, si les choses ont changé, c’est en partie grâce à de nombreuses entreprises qui ont décidé de prendre ce problème à bras le corps. Parmi celles-ci, nous trouvons Phenix Care. Créée par Leonard Taine pour répondre à la demande de tous les Français (professionnels comme particuliers), l’entreprise a commencé par importer des masques chinois. Mais en voyant que les usines n’étaient pas aux normes hygiéniques, que la majorité des masques dit de « qualité standard » étaient pour la plupart de qualité médiocre voire même douteuse (des élastiques qui se cassent facilement, des odeurs qui se dégagent parfois à l’ouverture des boîtes, des masques posés à même la boîte sans film protecteur, une filtration bactérienne incertaine...), elle est allée voir d’autres fabricants. Aujourd’hui, Phenix-Care se fournit auprès de sociétés taiwanaises et coréennes conformes aux dernières spécifications européennes CE EN 14683:2019 certifiées ISO. L’objectif : fournir à ses clients des masques de qualité irréprochable en termes d’hygiène avec une filtration et un confort optimal. Des masques médicaux avec une filtration égale ou supérieure à 99% Pour se différencier sur ce secteur en pleine évolution, Phenix Care a choisi de proposer des masques grand public et professionnels aussi performants qu’originaux, à la pointe des nouvelles technologies. Ses choix se sont portés sur des masques FFP2 bactéricides nano fibres offrant un confort, une respirabilité et une protection exceptionnelle de 24h sans altération de son efficacité, et sur la possibilité d’obtenir des masques de différentes couleurs. En complément du bleu original, on trouve, en prime, du rose et du violet pour adultes et enfants, voire des masques blancs, noirs, jaunes… A partir de novembre, et tout au long de l'année, des éditions limitées vont aussi être lancées pour donner la possibilité, à ceux qui le souhaitent, à travers de multiples textures et couleurs, tels que le vert, l'orange nemo, le bleu turquoise et bien d’autres, d’allier la protection à l’élégance et l’utile à l’agréable. Phenix Care propose également d’autres produits sanitaires sélectionnées avec la même exigence de qualité, tels que thermomètre frontal, gants, oxymètre, étui bactéricide pouvant stériliser un masque... À noter : l’entreprise profite de réassorts constants (tous les 15 jours) et offre à ses clients une livraison rapide par DHL Express en 24h ou 48h. ...
Les 2 cofondateurs d’Ahooga travaillaient dans la même entreprise bancaire quand à 40 ans ils cherchent à donner plus de sens à leur quotidien. Ils font le constat que les infrastructures routières et de transport ne sont plus adaptées au changement démographique. Convaincus que le tout voiture ne fonctionne plus, ils souhaitent proposer une solution de transport plus efficace et plus heureuse. L’un amoureux de la ville, l’autre cycliste, ils optent rapidement pour le développement d’un vélo dédié aux déplacements urbains, pour une meilleure mobilité. Ainsi est né en 2015 le premier vélo Ahooga, un vélo de qualité, pliable, design, confortable, compact, électrique (ou pas), léger et facile à transporter plié. Grâce à ce concept, ce vélo peut facilement être rangé à l’intérieur de votre maison ou de votre bureau, un atout important pour le protéger des intempéries et limiter les risques de vol. Avec les vélos Ahooga, plus aucune contrainte de déplacement puisqu’il répond aux besoins des cyclistes urbains. Avec le vélo à assistance électrique, vous aurez l’impression que toutes les villes sont plates. Avec l’autonomie de sa batterie, vous pouvez parcourir jusqu’à 75 kilomètres en toute tranquillité. Avec son poids léger (10kg, 13kg avec la batterie et le moteur), sa facilité de pliage et sa taille compacte, il devient vite intermodal pour vous permettre de combiner les transports sans difficultés. Actuellement, 8 modèles sont proposés, pour toute personne mesurant entre 1m60 et 2m. Ces vélos sont disponibles chez 150 revendeurs dans 10 pays européens, dont 60 magasins spécialisés en France. Récompenses Malgré sa courte existence, le vélo Ahooga a déjà été récompensé par deux fois : en 2018 par le German Design Award et récemment par le Red Dot Design Award. ...
Siégeant à Montpellier, EcellFrance a pour mission principale de développer en France des thérapies cellulaires qui se basent principalement sur l’utilisation de cellules-souches mésenchymateuses (CSM) adultes. Elle a pour volonté de participer aux efforts d’innovations réalisés dans ce type de thérapies qui est assez récent et qui a pour but de régénérer les tissus endommagés chez un patient atteint d’une maladie chronique cellulaire ou victime de pathologies relatives à l’âge. La médecine régénératrice, un avenir prometteur Unique infrastructure de recherche nationale de médecine régénératrice basée sur les cellules-souches mésenchymateuses adultes (CSM), EcellFrance contribue grandement au développement de la biothérapie en Europe et dans le monde. Ces fameuses cellules-souches mésenchymateuses proviennent généralement de la moelle osseuse ou du tissu adipeux. Au cours du traitement, des cellules souches du patient ou bien d’un donneur sont prélevées et mises en culture pour être produites en quantité suffisante, avant d’être réinjectées chez le patient. Les thérapies cellulaires développées par Ecellfrance ont des applications thérapeutiques très larges en termes de régénération de l’os et du cartilage ainsi qu’en termes angiogénique (favorisant la revascularisation), et surtout parce qu’elles bénéficient de propriétés immunosuppressives. Ainsi, les spécialités d’applications d’EcellFrance se concentrent sur les pathologies ostéo-articulaires dont les recherches sont menées sur le site de Montpellier, les maladies cardio et cérébraux vasculaires sur les sites de Toulouse (EFS, Inserm, CNRS) et de Grenoble (CHU, GIN), les maladies de la peau et le traitement des brulures sur le site de Clamart (CTSA). Pour l’année 2018, Ecellfrance est impliqué dans onze essais cliniques nationaux et européens pour les pathologies suivantes : la sclérodermie, l'arthrose (genoux), la dégénération du disque intervertébral, l'AVC, l'ischémie myocardique, l’ischémie des membres inférieurs, la réparation osseuse (maxillofaciale et ostéonécrose de la tête fémorale), le syndrome de Lyell, la maladie de Crohn et les syndromes aigus de brulures par irradiation. ...
C’est en 1968 qu’un groupe de fromagers, ainsi que le conseiller général du canton, décide de créer le Syndicat de défense du fromage de Chaource afin que ce fromage soit reconnu en tant qu’Appellation d’origine contrôlée (AOC), label qu’ils obtiennent le 9 août 1970. Didier Lincet se trouve actuellement à la tête de ce syndicat qui continue de promouvoir le Chaource, mais également son terroir. Une fabrication artisanale L’obtention d’un fromage nécessite beaucoup de patience, mais également beaucoup de travail. Chaque étape de fabrication diffère selon les types de fromage, et selon les régions. Pour ce qui est du Chaource, tout commence par la collecte de lait dans les élevages, s’ensuit le stockage du lait en fromagerie. Puis, vient la maturation, l’ajout du ferment lactique et la coagulation, qui peut durer au minimum douze heures. C’est à l’issue de ces étapes que l’obtention d’un lait caillé solide permet de passer au moulage (manuellement ou mécaniquement), pour être démoulé après quarante-huit heures, salé, ensuite mis à ressuyer en hâloir durant vingt-quatre heures minimum, pour refroidir et perdre leur humidité . La dernière étape dans la fabrication est l’affinage, en cave, durant au minimum quatorze jours. La production annuelle avoisine, quant à elle, les 2 450 tonnes, dont 10 % partent à l’exportation vers l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les États-Unis et le Japon. Le goût du vrai Ce fromage, à pâte molle et à croûte fleurie, est fabriqué au lait de vache entier sans ajout de matière grasse. En bouche, il est légèrement acidulé et salé à la saveur douce. Son arôme rappelle celui de la crème, mais aussi du champignon frais et de la noisette. Très apprécié des restaurateurs, le Chaource inspire les créations culinaires. De nombreuses recettes existent pour mieux sublimer les saveurs, toute en délicatesse, du fromage comme la glace au Chaource, le gaspacho de courgettes au Chaource, ou la terrine de légumes au Chaource. À l’heure de l’apéritif, il se déguste volontiers accompagné d’un champagne brut ou rosé, ou d'un porto. ...
Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro. Manger simple mais bien… Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons. Le vin, une passion Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...
Le Cerf se plaît à surprendre ses convives à travers une cuisine qui allie parfaitement excellence, innovation et créativité. Un cadre enchanteur Entraînant ses hôtes dans un voyage intemporel, le restaurant du Cerf a choisi comme cadre une charmante bâtisse du Moyen Âge. Ici, les invités dégustent une cuisine d’exception dans une ambiance cosy avec un style soigné et créatif, le tout conservant une certaine sobriété. Bien visibles, des arches et piliers en pierre signent l’originalité et l’authenticité du lieu. Bref, un endroit idéal pour passer un moment agréable en famille, entre amis ou collègues. Une cuisine évolutive toujours au plus proche du produit. En cuisine, le chef Carlo Crisci, doublement étoilé au Michelin, accorde beaucoup d’importance au respect du produit et de ses origines. « L’inspiration vient du produit essentiellement », souligne-t-il au passage. Dans ses créations, le chef s’adapte ainsi en fonction des saisons. Résultat, les convives se retrouvent avec quatre menus au choix : surprises, fixe 4 entrées, prestige et gastro-business. Avec la promesse de pouvoir découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs, les menus surprises connaissent un large succès auprès des habitués. « Nous sommes en constante évolution. Nos clients n’ont ainsi pas l’impression de manger à chaque fois la même chose. Ils viennent justement pour cela, la découverte », explique le chef. Ainsi, le mardi, mercredi et jeudi, Carlo Crisci propose aux plus audacieux le menu surprise 2 entrées, accompagné de ses 5 crus au verre. Pour les moins téméraires, le chef leur suggère d’opter pour le menu prestige en dégustant par exemple une frivolité de turbot à la moelle, beurre fumé et émulsion d’oursins. Et pourquoi pas le menu fixe 4 entrées avec un filet de rouget rôti en écailles de taro matelote aux flaveurs de carvi. ...
A l’extérieur du village de Saint Paul de Fenouillet, à 37 km de Perpignan, se dresse le château de Peyralade, demeure du XVIIIème siècle où Véronique et Xavier Maury reçoivent leur clientèle en table et en chambre d’hôtes. Situé à 45 minutes de la mer et à une heure de la montagne, ce site est dédié à la culture œnologique et gastronomique. Géographiquement, le château de Preyralade s’inscrit pleinement dans le territoire viticole du Roussillon et de sa production où vins rouges et blancs secs disputent désormais la vedette aux célèbres et ancestraux Vins Doux Naturels (VDN) de Maury, Rivesaltes et Banyuls. Mais sa situation également proche de celle du vignoble de Limoux lui permet de bénéficier des célèbres Crémant et Blanquette, effervescents éponymes. L’occasion en un périmètre restreint, de présenter tous les types de vins au cours de ses ateliers oenologiques. Des ateliers œnologiques complets et variés Au château de Peyralade, Xavier & Véronique animent tout au long de l’année un large choix d’ateliers éclectiques (12 au total) qui traitent des vins classiques et spéciaux, de façons ludique et interactive. L’occasion de raconter l’histoire de cette boisson depuis les origines de l’humanité et son lien aux Hommes et aux civilisations, tout en dévoilant son usage médical, social, sacramentel et économique. Dans un autre atelier, sera contée l’histoire des VDN et de leur inventeur Arnaud de Villeneuve, emblématique personnage médiéval des XIII° & XIV° siècles célèbre théologien catalan et médecin du roi Jacques Ier d’Aragon. Xavier dévoilera l’approche sensorielle et les outils du goût, en révélant notamment à chacun ses propres niveaux de perception des quatre saveurs fondamentales et démystifiera le langage des professionnels du vin. Chacun aura également l’occasion de mieux connaître les deux seuls crûs du Roussillon, les AOP Maury et Banyuls, d’apprendre à cerner les contours de leurs terroirs, en piéger les senteurs et en découvrir les saveurs d’exception. Au château de Peyralade, Xavier invitera chacun à confronter les deux AOP Maury et Rivesaltes, ou à découvrir chacune d'entre elles grâce à deux leviers : le premier, intitulé "Verticale" comparera un seul et même vin mais issu de plusieurs millésimes, le second, dénommé "Variation" présentera les interprétations d'un seul et même millésime de plusieurs producteurs. Enfin, les Rancios sont également explorés. Ces vins spéciaux résultent d’un élevage oxydatif long et puissant. Leur mystère sera éclairci à la lumière de plusieurs vins remarquables secs et doux. Un hébergement cosy pour une restauration fine et délicieuse Le château de Peyralade dispose de 2 chambres doubles et d’une suite pour un couple et deux enfants (ou 4 personnes), toutes avec salle d'eau privative et non-fumeur. D.O 620 est la dernière chambre aménagée. Malgré sa grande taille (24 m²), elle est la plus modeste. Ses teintes murales bleues lui confèrent un esprit très cosy et sa salle d’eau au coté rétro offre tout le confort nécessaire pour un séjour de tout repos. La suite Flavène, aux teintes très nature, se compose d’une chambre principale claire pour les parents, et d'une seconde pour 2 enfants (ou 2 adultes) à l'esprit très "cabane". La Anthocyane allie, quant à elle, l’ancienneté de la demeure à la modernité des équipements, en témoigne la présence de meubles d’antan associés à une décoration et des matériaux contemporains. L’anthocyane est la substance naturelle du raisin qui teinte les vins rouges Fort logiquement, cette couleur donne le ton de cette chambre. Le petit-déjeuner est continental et toujours inclus dans le prix de l’hébergement (Breakfast possible avec supplément et réservation la veille). De plus, Véronique et Xavier convient chaque soir leurs clients à partager la table d’hôtes autour d’un apéritif traditionnel suivi d’un repas complet En termes de r...
Symboles de plaisir, de rêve et d’art de vivre, les Caves Legrand ont fondé leur réputation sur une sélection rigoureuse, la recherche d’excellence étant le cœur de métier et de l’esprit Legrand. Une cave aux vins identitaires et révélateurs des plus grands terroirs « Des vins pour le plaisir et pour faire plaisir », tel est la quête de l’équipe Legrand à travers le choix proposé. Riche de plus de 3 000 vins et 10 000 références, la cave représente 370 vignerons dont elle se fait l’ambassadrice. Des vins les plus accessibles aux grandes cuvées d’exception, en passant par les champagnes et les spiritueux, la sélection Legrand est le fruit d’un travail intransigeant et d’une constante remise en question. Chaque bouteille est le reflet d’un terroir, d’une histoire et d’un savoir-faire que les cavistes ont à cœur de vous faire partager avec des conseils personnalisés. Les accords mets-vins à l’honneur au Comptoir Placé au cœur de la Vinothèque, le Comptoir de Dégustation est un lieu de découverte et de convivialité autour du vin et de la gastronomie. À tout moment de la journée, il est possible de choisir un vin et de le déguster accompagné de quelques suggestions de produits du terroir. A l’heure du déjeuner, la jeune Chef Lucie Boursier-Mougenot élabore une cuisine moderne et raffinée à partir des produits de l’épicerie fine des Caves Legrand, en provenance directe des producteurs. Renouvelés chaque semaine, les plats sont proposés avec les meilleures suggestions d’accords mets et vins. Déguster, apprendre et rencontrer les vignerons Véritable lieu d’expériences, les Caves Legrand proposent des moments privilégiés avec les vignerons à l’occasion de dîners-dégustations (Les Dégustations du Mardi) dans l’ambiance intimiste et chaleureuse du Salon Lucien Legrand ou lors de concerts chaque dernier jeudi du mois dans la Vinothèque (Les Jeudis de Legrand). Pour s’initier à l’art de la dégustation, l’Ecole du Vin est quant à elle une invitation à plonger dans un univers passionnant et accessible à tous. ...