Destination favorite des voyageurs épicuriens, Tain-l’Hermitage est la capitale du chocolat gastronomique et, plus encore, celle du vin. Il abrite quelques fleurons devenus des références internationales dans la production de ce précieux nectar, dont l'exploitation M.CHAPOUTIER. Dirigée par Michel CHAPOUTIER, l’entreprise a construit ses valeurs autour du partage et de l’échange avec la création notamment d’une importante offre oenotouristique. Un cadre exceptionnel pour l’œnotourisme Hermitage, Saint-Joseph, Condrieu, Châteauneuf-du-Pape, Côte-Rôtie... L’âme de la maison M.CHAPOUTIER se reflète à travers sa large sélection de vins d'exception issus de différents terroirs partout en France, en Espagne, au Portugal ou encore en Australie. Ces derniers se découvrent à l’occasion de sessions de dégustation au sein du Caveau situé 18, avenue du Docteur Paul Durand. Plusieurs formules avec des vins préalablement sélectionnés sont disponibles bien que les visiteurs puissent également composer eux-mêmes leurs propres formules. Des sommeliers sont présents sur place et apportent les meilleurs conseils. Pour pousser l’expérience à son paroxysme, les œnophiles avertis ou débutants sont conviés à participer aux nombreux ateliers organisés durant lesquels des repas bistronomiques à base de produits frais et de saison sont préparés par les chefs de la maison. Certains sont organisés de façon hebdomadaire. Bien entendu, place est donnée aux accords mets/vins qui affinent les connaissances autour de ce divin nectar. Différentes thématiques sont formulées à la carte avec possibilité d’organiser des ateliers sur mesure. Une immersion au cœur des vignobles Les amoureux de vins, pour qui une simple dégustation ne suffit pas, sont conviés à vivre une aventure plus enrichissante directement au cœur des vignes grâce à des balades à vélo. De nombreux parcours sillonnant le vignoble de Saint-Joseph ou bien la colline de l’Hermitage sont à découvrir via des vélos électriques. Une application sur smartphone sera mise à disposition afin de guider les cyclistes au cours de ce périple. Il est possible de faire durer davantage ces moments exquis dans l’univers viticole en passant carrément un séjour prolongé au sein des quatre gîtes de la maison plus un qui est actuellement en cours de rénovation. Ces havres de paix garantissent un maximum de confort en proposant tous les équipements nécessaires. Ils ont la chance de bénéficier d'une situation exceptionnelle qui donne sur un panorama de rêve. Le Gîte Tour du Pavillon installé au coeur du vignoble de l'Ermitage propose une vue sur les coteaux de Saint-Joseph, les vignes à perte de vue, et le château de Tournon-sur-Rhône. Les Granits donnent sur les magnifiques coteaux de Saint-Joseph et sur le Rhône. Si l'Ermite 1 vous offre un sublime aperçu du vignoble de Crozes-Hermitage plongeant vers le Rhône, l'Ermite quant à lui propose un panorama sur le Rhône et la Tour Carré dominant la colline de l’Hermitage. ...
Le collège santé de l'université de Bordeaux met à votre disposition les outils pour répondre à ces défis. Son Unité Mixte de Formation Continue en Santé (UMFCS) propose les formations dispensées par ses différentes composantes dans une approche pluri-professionnelle, médecine, pharmacie, odontologie, santé publique, maïeutique, biologie, sciences infirmières, métiers de la réadaptation... Elle transforme la pédagogie grâce aux apports du numérique et s'appuie sur des équipements innovants tels des salles de télé présence immersive et un centre de simulation en santé. Apprendre devient un jeu.... Découvrez nos formations ! Professeur Jean-Luc Pellegrin, Directeur du collège des sciences de la santé de l'université de Bordeaux ...
Avec l’arrivée des réseaux sociaux de proximité, on avance à grands pas vers l’idéal de smart city ou de la ville connectée. La révolution s’opère progressivement à l’échelle de notre immeuble ou de notre quartier, en interagissant intelligemment avec nos voisins. La plate-forme ma-residence.fr est le leader français qui a introduit ce concept dès 2007. Et aujourd’hui, elle pousse encore plus loin sa vision, en offrant les moyens de favoriser la cohésion sociale et d’entreprendre des actions solidaires à travers son site web et son application. Remettre l’humain au cœur des interactions L’inscription s’effectue directement et gratuitement sur le site ou en téléchargeant l’application sur un smartphone. Les utilisateurs sont des habitants, des associations ou des commerçants qui souhaitent partager des informations locales, se rendre service, faire connaissance ou se rencontrer autour de centres d’intérêt communs. Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, ce réseau social permet de faciliter l’entraide entre voisins et les échanges au sein de son immeuble, de son quartier ou de sa ville. Que ce soit pour un coup de main pour du bricolage, du baby-sitting, un emprunt de livre ou de matériel, ou une offre de covoiturage, les membres peuvent librement publier sur le site ou utiliser le service de messagerie privée. Il est aussi possible de proposer des évènements et bons plans dans le quartier, d'échanger autour de centres d’intérêt, d'organiser ou de participer à des actions civiques (nettoyage du parc du quartier, collecte de vêtements ou de nourriture pour les plus démunis, etc…). Par ailleurs, ma-residence.fr propose aussi un écran dynamique, le Hall’Numeric, à installer dans les halls d’immeuble ou les lieux publiques où s’affichent les dernières actualiés locales et échanges dans l’immeuble ou le quartier. Bref, ma-residence.fr doit sa réussite à une collaboration participative de ses utilisateurs pour créer une nouvelle forme de bon voisinage et de vivre-ensemble. Solidar’IT pour soutenir les personnes âgées isolées Ce réseau social de proximité veut inciter les voisins à créer de la solidarité dans leur communauté. Agréée Service numérique et citoyen, elle s’intéresse plus particulièrement aux personnes âgées, et a lancé le projet Solidar’IT avec un pilote, en partenariat avec la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, mis en place dès 2015 dans une dizaine de villes d’Ile-de-France. Grâce à Solidar’IT, le Centre Communal d’Action Sociale d’une ville peut piloter la solidarité sur le territoire en mobilisant des voisins volontaires pour venir en aide à des seniors isolés dans leur quartier ou de leur immeuble et faciliter leur quotidien (changer une ampoule, faire quelques courses, accompagner pour une balade, discuter autour d’un café, etc.). Suite à ce pilote, ce sont près de 15 % des utilisateurs qui se sont montrés intéressés pour venir en aide aux seniors de leur ville qui vivent souvent seuls et ont besoin de petits coups de main. Grâce à cet outil, ma-residence.fr accompagne pas à pas les collectivités désireuses de répondre aux enjeux d’isolement et de fracture numérique en permettant à chacun d’entre nous de faire preuve de solidarité au quotidien. ...
Convaincue que la culture participe à une plus belle compréhension du monde, sa fondatrice d’origine russe, Darya Brient, imagine ce lieu d’amitié entre les peuples comme un facilitateur de dialogue et d’échanges. Elle incite donc les badauds curieux à découvrir des artistes méritant d’être médiatisés en France, provenant généralement de Russie et des pays de l’Est, mais sans s’y limiter, allant ainsi jusqu’au pays occidentaux.. Un autre regard sur les pays de l’Est Souvent considérés comme inaccessibles, les pays de l’Est dévoilent ici quelques visions intimes perçues de l’intérieur. En découvrant les œuvres exposées, le public est invité à partager les regards singuliers et résolument contemporains des artistes sur le monde. Peintres, graphistes, photographes, de notoriété internationale ou promis à elle, accrochent aux murs des univers pleins, solaires ou mélancoliques. Car si l’Ouest se raconte avec des mots, l’Est se confie en images. Un sens profond de la métaphore témoigne d’une intense vie artistique, oscillant entre quotidien et poésie, réalisme et résilience. Des langages sans concession s’inventent, dépassent les murs et les frontières. Des célébrités et des nouveaux talents La programmation de la Galerie de l’Est affectionne les pépites et favorise les artistes contemporains qui ont choisi de vivre de leur passion. Darya Brient parle avec ferveur de ces « fouilleurs d’âmes » en quête perpétuelle de profondeur. Alexei Lantsev,,peintre originaire du sud de la Russie, aux toiles heureuses, traverse avec simplicité les territoires où la vie est reine. Ses empreintes aux couleurs éclatantes précèdent aux aquarelles abstraites et en relief de l’artiste Polina Egorushkina qui dépeignent l’ensemble des entités du paysage. La galeriste expose aussi les photographies mystérieuses du photographe Stephane Spach, qui puise son inspiration dans une nature mélancolique - ainsi que dans l’infiniment subtil, tout comme les sculptures organiques en porcelaine de Daria Surovtseva. Prochainement, ce lieu proposera de découvrir l’univers évaporé, méditatif et puissant d’Evgeniya Buravleva. Exposées dans plusieurs pays du monde, ces célébrités partagent les murs avec de nouvelles figures non moins remarquables. Des diamants bruts dont le talent n’attend que de croiser notre regard. À titre d’exemple, “Fragile” – l’une des dernières expositions de la galerie – présente la photographe polonaise Laura Makabresku, une artiste imprégnée d’une dimension onirique et spirituelle singulière, inspirée par la nature humaines et ses relations. Une adresse précieuse Conçue dans un esprit de partage, la Galerie de l’Est est une adresse précieuse où il fait bon de laisser vagabonder les yeux. Ses portes sont grandes ouvertes aux échanges et à la rencontre. Le public de Compiègne ou d’ailleurs peut y entrer librement, discuter avec la maitresse des lieux et remplir son sac d’émotions tenaces et impalpables. Pour la galeriste, « l’art est un art de vivre ». Et elle le sait : voir et savoir sont deux intentions essentielles pour faire connaissance. Un rendez-vous multiculturel à saisir absolument et à savourer longtemps. ...
Sis dans un ancien hôtel particulier du 15e siècle, le restaurant La Closerie a été entièrement pensé pour répondre aux besoins des clients. Il se décline en effet en deux salles différentes, avec deux ambiances spécifiques. La première salle, côté jardin, propose un cadre élégant et intimiste marqué par la présence d’un beau plafond à la française et d’une cheminée en pierres de Bourgogne. Envie de prendre un verre entre amis ? La seconde salle, côté cour, est l’endroit idéal. Ce bar à vin dont l’animation est assurée par un sommelier distille une ambiance lounge et décontractée, où règne également la convivialité. Une cuisine authentique dans un cadre de charme La Closerie propose une cuisine raffinée et surtout faite maison, comme l'exigent les critères d'affiliation au titre de Maître Restaurateur, où les recettes traditionnelles se mêlent à l’inventivité et à l’imagination du chef Emeric Buisson. La réputation de ce chef s’est construite à travers ses menus élaborés avec des produits frais et de premier choix qui évoluent au gré des saisons. Dans la gamme des plats phares qui font sa renommée figure le jambon persillé assorti de crème fouettée à la moutarde, une entrée très appréciée de la clientèle. En ce qui concerne les plats, la joue de bœuf confite au vin rouge, fricassée de légumes se distingue du lot. Les fins gourmets apprécieront la tendreté et l’onctuosité de la viande, laquelle a fait l’objet d’une concoction de vin rouge durant un minimum de huit heures. Enfin, dans le registre des desserts, la maison se fait un réel plaisir de proposer le vacherin au cassis et pain d’épices. Sa particularité réside dans la combinaison parfaite de deux produits du terroir. Le chef a également utilisé du pain d’épices issu de la fameuse maison « Mulot & Petitjean » pour sublimer ce dessert très particulier. Les vins de Bourgogne à l’honneur La carte des vins de La Closerie fait la part belle aux vins de Bourgogne, lesquels sont certainement les mieux indiqués pour accompagner les plats concoctés dans cet établissement dijonnais. Dans la liste de ses meilleures références figurent les vins de la Côte de Nuits, de la Côte de Beaune ou encore de Gevrey-Chambertin. ...
La Fédération Enfants Cancers Santé fait partie des principaux acteurs engagés dans cette lutte acharnée contre les cancers des enfants en finançant les programmes de recherche clinique, biologique et thérapeutique en cancérologie pédiatrique menés sur le sol français et européen. Travaillant en étroite collaboration avec de nombreux partenaires, à l’instar de la Société française de lutte contre les cancers et les leucémies de l’enfant et de l’adolescent (SFCE) et de l’Institut national du cancer (INCa), la Fédération ECS s'est donnée pour mission d'aider la recherche à trouver des solutions adaptées aux problèmes rencontrés au cours du traitement des enfants et des adolescents atteints de cancer, tout en permettant une guérison avec le moins de séquelles possible ainsi qu'une meilleure prise en charge lors des rechutes. Ses campagnes de sensibilisation sont orientées vers le grand public, son coeur de cible dans la collecte de dons. Sa présence active auprès des équipes de chercheurs ainsi que ses actions menées auprès des parlementaires tant français qu'européens ont abouti à la refonte du protocole pédiatrique européen arrivé à terme, introduisant l'autorisation d'appliquer les nouvelles molécules en faveur de jeunes patients en rechute pour lesquels il n'y a plus de solution alors que ces nouveaux traitements étaient initialement réservés pour les cancers des adultes.. Une fédération de soutien aux actions de recherche sur le cancer des enfants La Fédération Enfants Cancers Santé œuvre principalement pour soutenir les actions de recherche visant à améliorer les résultats des traitements octroyés aux enfants et adolescents souffrant de leucémie ou d’autres pathologies tumorales. Chez ces patients, dont l’âge est compris entre 0 et 20 ans, il existe soixante types de cancer, contre une dizaine seulement chez l’adulte. L’évolution de ces tumeurs reste incontrôlée et aucune prévention n’est possible. La prise en charge de ces malades reste ainsi compliquée sans compter le fait que le traitement des cancers d’adultes soit favorisé au profit de retombées commerciales plus conséquentes, le nombre d’adultes atteints du cancer étant bien plus élevé. Les moyens donnés aux médecins et aux praticiens chargés de soigner ces jeunes patients restent ainsi infimes et nécessitent une mobilisation collective, aujourd’hui amorcée par les efforts de la fédération regroupant une centaine de bénévoles sur tout le territoire français. Au cours des dernières années, elle a, en effet, financé plus de 130 recherches biologiques, cliniques et essais thérapeutiques, tout en donnant aux 47 centres de cancérologie pédiatrique, aux professionnels de la santé et aux chercheurs spécialisés en cancérologie pédiatrique les moyens de fédérer leurs efforts et leurs connaissances en la matière. C’est ainsi que, suivant les Plans Cancer et grâce aux donations, la Fédération Enfants Cancers Santé a financé la création d’une plate-forme de communication par visioconférence, permettant aux médecins d’organiser des réunions bimensuelles en vue de rapprocher et de partager les résultats de leur étude diagnostique des tumeurs infantiles et de leur traitement. La plupart de ces résultats associés à ceux des instituts de recherche seront ensuite confinés dans une bibliothèque en ligne, la tumorothèque virtuelle nationale des cancers pédiatriques, toujours financée par la Fédération. Enfin, Enfants Cancers Santé a créé, au sein de la SFCE, des postes en relation directe avec son domaine d’intervention, à savoir la recherche. Les postes clés d’attachés de recherche clinique et biologique et de médecin coordonnateur scientifique ont ainsi contribué à structurer la SFCE et à donner les mêmes chances de guérison à tous les enfants et les adolescents souffrant du cancer. SFCE et Enfants Cancers Santé : un partenariat pour les traitements de demain La Société française de lutte contre les cancers et...
Construit en 1879, ce restaurant de charme chargé d’Histoire est un véritable voyage dans le temps. Lieu bien connu et apprécié des Picasso, Apollinaire, Toulouse-Lautrec et autres célèbres personnages comme Van Gogh, Le Bon Bock est une excellente adresse à découvrir. Baignant dans un décor chaleureux et cossu où s’accordent parfaitement mobilier en bois, lumières tamisées, lustres et tableaux anciens, l’établissement a gardé ses décors d’époque, qui lui confèrent un cachet particulier. Estampillé « fait maison », le restaurant propose une excellente cuisine traditionnelle et familiale à base de produits soigneusement choisis chez des fournisseurs privés tant pour la viande que pour les fruits et légumes. Une carte de plats traditionnels En marge du menu du midi entrée-plat-dessert à 19,50 €, ou entrée-plat ou plat-dessert à 15,50 €, et de celui du soir à 25,50 €, l’enseigne propose également un menu spécial pour les groupes, avec à côté des repas à la carte qui rappellent des saveurs d’un temps passé. En entrée, quelques suggestions à retenir : le Foie gras maison, le très populaire Gratiné à l’oignon ou encore le Tartare de saumon. Au registre des plats, laissez-vous tenter par son Entrecôte Salers, son Poulet camembert ou son Parmentier de canard aux deux purées sucrées-salées. Pour terminer, craquez pour sa Brioche rôtie, sa Tarte aux pommes ou pourquoi pas son Parfait à l’absinthe ! Quel que sera votre choix, la satisfaction sera toujours au rendez-vous ! Pour accompagner chacun de vos repas, le restaurant suggère une très belle carte des vins de toutes les régions de France, dont l’Oratoire de Chasse-Spleen, le Vin de Merde du Languedoc, le Blaye Côtes de Bordeaux mais aussi le Crozes-Hermitage qui figurent parmi les références les plus demandées par les clients, sans oublier une dégustation d’absinthes préparées à l’ancienne qui font la particularité de la maison. Une ambiance conviviale pour toutes les occasions Pour un apéro entre amis, un brunch familial ou un diner intimiste avec votre dulcinée, faites une halte gourmande dans ce charmant estaminet de Montmartre, où des animations se font tous les mercredis (avec un pianiste) et tous les dimanches (avec une chanteuse). La salle arrière étant privatisable, ceux qui souhaitent y tenir des évènements privés sont tout à fait les bienvenus ! ...
Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans quand George Jobert, un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis de père en fille, de fille en fille, de fille en fils et de fils en filles. Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, ce sont les sœurs Charlène et Marine Loriot qui sont à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5ha de vignes. Afin de préserver ce précieux héritage, Marine Loriot s’occupe de l’aspect environnemental des activités et oriente ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient leur père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Brut, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Rosé, Fragment Brut, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Brut illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir. Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et 0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...
Le mécanisme du moulin tourne encore, non pas pour moudre le grain mais pour servir de valeur ajoutée au repas des convives dans les salles. L’eau qui actionne la roue vient de la petite rivière du Garon qui longe la terrasse. C’est un aperçu de ce qui attend les gourmets durant une pause gustative au restaurant Le Petit Meunier. Les assiettes et les vins y sont d’une grande variété, alliant tradition et modernité. Une qualité issue de la tradition Jérôme privilégie une cuisine du marché, donc très variée. Il travaille aussi bien les poissons que les viandes et légumes. Le Petit Meunier se trouve à Messimy, petite commune sise à côté de Thurins connu comme étant la capitale de la Framboise. Ce fruit fait donc partie des produits phares de la maison et reste très apprécié en dessert. Le restaurant Le Petit Meunier est particulièrement exigeant sur la présentation des assiettes, mais surtout sur la qualité et la fraîcheur des produits. Pour s’en procurer, les propriétaires favorisent le circuit court en construisant des relations avec les producteurs locaux. Ils font même partie d’une association de producteurs et de restaurateurs de la région. Le restaurant présente une carte gastronomique qui change tous les six mois, des plats du jour ainsi que différents menus tels que le menu des saveurs, le menu des délices, le menu prestige et le menu enfant. Pour une belle entrée en matière, le Chef suggère des Saint Jacques juste poêlées et croquettes de pied de porc pannées accompagnées d’une crème aux lardons et romarin. C’est une recette qui plait énormément aux gourmands et gourmets car elle incarne un parfait mariage entre terre et mer. En plat principal, il faut choisir entre des assiettes de poissons comme le Pot au feu de Lotte, gambas et légumes oubliés ou les préparations à base de viandes telles que le Cœur de Ris de veau sauté à l’ail, servi avec le jus corsé de veau. En dessert, le sablé spéculoos avec sa mousse mascarpone et ses framboises fraîches est un clin d’œil de Jérôme Gagneux à Thurins. Pour accompagner tout cela, la maison suggère des vins très variés. Parmi la sélection, le Coteaux-du-Lyonnais issu domaine du Clos Saint Marc fait partie des plus prisés. Un cadre à l’image de la cuisine Comme la cuisine, le cadre allie également l’ancien et le moderne. Dans une salle aux poutres et murs de pierres apparentes, les convives peuvent manger au coin de la cheminée en contemplant le mécanisme du moulin à travers la grande baie vitrée. Les douces vibrations de la roue accompagnent cet instant gourmand. L’ambiance est beaucoup plus moderne mais tout aussi chaleureuse dans l’autre salle. La réception d’évènements Le restaurant Le Petit Meunier est disponible pour différentes réceptions personnalisées, avec buffet ou à la carte. Il accueille les repas d’anniversaire, les réunions de famille ou les fiançailles. D’autres évènements se sont également déroulés au Petit Meunier comme la 30ème Soirée Network du Club Plaisirs Gourmands, des chefs d’entreprises qui veulent développer leur réseau professionnel et leur business à travers la gastronomie. Dernièrement, l’établissement a organisé un « repas dans le noir » un geste de solidarité au profit de l’Ecole des chiens guides d’aveugles à Marcy l’étoile. ...
Sous la dynamique de son équipe féminine à la cave, la maison élabore des vins qui reflètent avec finesse le savoir-faire familial. Le bio à l'honneur « Cela fait 10 ans que nous pratiquons l’agriculture biologique », déclare Hélène. Ce mode cultural est aujourd’hui à l’origine de l’élégance et de la saveur des vins. Parmi les cuvées phares : « Gigondas » et « Châteauneuf du Pape », deux grands crus qui se distinguent par leur forte personnalité. ...
Dans quelles circonstances l’association Tanguy Moya-Moya dont vous êtes le vice-président est-elle née ? À l’âge de trois ans, Tanguy, mon petit fils, est soudainement devenu amorphe. Alors qu’il se développait normalement, il a brusquement perdu l’usage de la parole. On a pensé qu’il avait peut-être des problèmes d’audition. Mais cette piste a été écartée car après vérification, il entendait très bien. Nous avons alors envisagé l’autisme mais il s’est avéré qu’il ne s’agissait pas de ça non plus. La prise en charge de Tanguy a été pour le moins « erratique » jusqu’à ce qu’un médecin nous diagnostique finalement la maladie de Moya-Moya, une affection des vaisseaux cérébraux. Nous avons alors créé l’association afin de récolter les fonds nécessaires pour financer une opération neurochirurgicale en Suisse pour mon petit-fils. Mais entretemps, il est apparu que la petite soeur de Tanguy souffrait, elle aussi, de la maladie. Un chirurgien de l’hôpital Necker pratiquant une opération très similaire, leurs parents ont fait opérer leurs deux enfants en France. Nous avons alors décidé de consacrer l’argent que nous avions récolté aux personnes atteintes de la maladie de Moya-Moya afin d’améliorer leur prise en charge. Quelles sont les actions que vous menez au sein de cette association ? Comme dans la plupart des associations de maladies rares, nous cherchons à faire connaître la maladie, à sensibiliser le grand public, à apporter un soutien aux familles ainsi qu’aux malades et à favoriser la recherche médicale. Un médecin m’a d’ailleurs dit que c’était nous, les associations, qui les motivaient. Parce qu’à travers nous, ils avaient un contact direct avec les malades. L’association a fiancé ou cofinancé plusieurs projets de recherche. L’un qui visait à déterminer les causes de la maladie de Moya-Moya. Et un autre destiné à évaluer le nombre de personnes atteintes. C’est d’ailleurs la première étude de ce genre à avoir été réalisée sur cette maladie. Il en est ressorti qu’en France, 300 personnes environ souffraient de cette maladie. Enfin, depuis plusieurs années, nous participons financièrement à la constitution d’une banque de données concernant l’une, les adultes et l’autre, les enfants. Qu’est-ce que la maladie de Moya-Moya ? C’est un syndrome qui touche plus particulièrement les populations asiatiques. Il s’agit d’une sténose des carotides qui fait que celles-ci disparaissent progressivement. Et le cerveau n’est plus irrigué. Se crée alors dans le cerveau une circulation parallèle des vaisseaux sanguins. En réalisant une IRM, on distingue comme un nuage de fumé, Moya-Moya, en japonais. Comment la traite-on ? Il n’y a aucun traitement. Deux types d’opérations chirurgicales visant à revasculariser le cerveau peuvent être pratiquées mais elles ne soignent pas la maladie. Les dommages causés au cerveau ne peuvent pas être réparés. Sa plasticité neuronale lui permet toutefois de rétablir des connexions qui viendront prendre le relais. Quant aux médicaments, il n’en existe pas. On dénombre environ 7 000 maladies rares. Seulement 1 % d’entre elles bénéficient d’un traitement médicamenteux. La maladie de Moya-Moya fait partie des 99 % restants…Qu’est-ce que les malades et leurs familles viennent chercher auprès de votre association ? Ce qu’ils veulent avant tout, c’est ne plus être seuls. Rencontrer d’autres personnes qui ont le même problème que vous, échanger, partager avec elles permet de sortir de sa solitude. Rencontrer d’autres patients permet aussi de s’apercevoir que l’on peut vivre avec cette maladie. Nous aidons aussi les malades et leurs familles en les orientant vers les bonnes personnes. Parfois, nous pouvons aussi aider financièrement des malades et leurs proches. Nous avons affaire à beaucoup de femmes seules dont le couple n’a pas résisté à la maladie. Si un enfant doit se faire opérer, nous pouvons, par exemple, prendre en charge tout ou partie de la « maison des parents ». Nous nous efforçons également de maintenir l’espoir chez les malades. En leur montrant, par exemple, que la recherche progresse et que derrière nous, il y a toute une équipe médicale qui tente de trouver des solutions. À ce titre, je trouve que notre Conseil médical est extraordinaire : des spécialistes de grand renommée assistent bénévolement à toutes nos assemblées générales. De plus, ils répondent de façon humaine et compréhensible aux questions des malades et de leurs familles. Dans quel état d’esprit se trouvent les parents qui vous rejoignent ? L’annonce du diagnostic fait l’effet d’une bombe. Lorsqu’ils arrivent chez nous, les familles sont complètement désemparées. À terre. Et notre rôle, à l’association, c’est alors de les aider à se relever pour continuer d’avancer. Nous nous efforçons de leur redonner de l’espoir. De les écouter et de les comprendre. Il est important qu’ils sentent qu’on les a écoutés et qu’on les a compris. Il faut qu’ils se disent « je ne suis pas seul(e), d’autres s’en sont sortis alors pourquoi pas...
A Saint-Mars-la-Jaille, le restaurant le Chalet fait le bonheur des locaux et touristes de passage, désireux de découvrir une vraie cuisine du terroir. En salle ou en terrasse, la carte traditionnelle illustre le talent et l’inventité de ce chef passionné et décontracté. Un art maîtrisé à la perfection Jean-Marc, originaire du Sud-Ouest de la France, privilégie une cuisine traditionnelle préparée à base de produits bruts et frais issus du terroir local. Ce qui lui a valu une récompense le 15 Décembre 2015 : celle de Maître Restaurateur. Un label témoignant de la qualité et de la fraîcheur de la cuisine proposée. Ce titre de Maître Restaurateur nécessite entre autres l’adoption du circuit court. C’est pourquoi le chef s’approvisionne auprès des fournisseurs régionaux comme la boucherie La Désirade, le Druide du Boisiller, les producteurs bios du wagon pour ne citer que ces exemples. Effectivement, il concocte une cuisine simple et de qualité qui éveille la sensibilité gustative. Il déclare d’ailleurs «travailler les produits locaux différemment.» En résulte alors des plats gourmands comme ces Ravioles d’escargots de Monsieur Leroy aux pleurotes qui sont à tomber. Une cuisine du sud-ouest La formule du midi invite à prendre un menu express à 11€ ou un menu complet à 13€50, avec une entrée, un plat et un dessert, au choix. A la carte, le Saumon fumé accompagné d’une crème légère et d’un pain grillé avec une salade gourmande « la salade Landaise » qui est composée de gésiers, de magret fumé, de foie gras joints à un croustillant de canard est servi en entrée. En plat de résistance, le Civet de Gambas au chorizo comble les gourmands amoureux de bonnes saveurs. Pour finir le repas en beauté : « La Bretonne » une glace à la vanille, double caramel au beurre salé, avec des éclats de crêpes dentelles à la crème fouettée maison. En outre, Jean-Marc travaille énormément le boudin artisanal qu’il a lui-même conçu avec un artisan-boucher-charcutier du coin mais aussi le canard qui est une des spécialités du Sud-Ouest. Quant à la carte de vins, elle est assez éclectique avec une prédominance des vins de Loire et du Sud-Ouest. « L’été, on va privilégier les vins frais (…) Il y a toujours le petit côté découverte», selon le maître des lieux. Les plats de bistrot et service traiteur A la fois restaurant, traiteur et pizzeria, le Chalet satisfait toutes les envies. De nombreuses spécialités incontournables sont à découvrir à la pizzeria : « l’Espelette » préparée à base de fromage, du bœuf épicé, des poivrons, des oignons et des lardons ou encore la pizza « Saint Marsienne » concoctée avec du fromage, du boudin noir artisanal, des oignons et d’une pomme fruit. Pour les événements privés, le service-traiteur se tient prêt à proposer des services personnalisés et peut dresser un devis adapté à tous les budgets. « Nous proposons des plats différents qui nous distinguent des autres traiteurs. Notre clientèle apprécie cette singularité.», confie-t-il. Chaque tapas, tartine, pinchos et autres petits sandwichs espagnols sont réalisés avec des produits de saison. ...
Le Vintage propose un accueil chaleureux et convivial, à l’image de son équipe aux petits soins. L’ambiance y est sublimée par un décor conjuguant le confort d’un lounge au raffinement du bois et de la pierre. Reflétant un savant équilibre entre touche festive et cadre intimiste, Le Vintage propose également une carte tendance. Au rendez-vous : une cuisine traditionnelle française étoffée par de délicieux snacks, ainsi qu’un bar et une cave à vins de premier choix. Une carte variée et des produits frais pour tous les goûts Au carrefour des traditions et des tendances culinaires, l’établissement se propose de satisfaire les gourmands et les gourmets les plus exigeants. La carte dévoile des spécialités de la gastronomie française, des entrées jusqu’à de délicieux desserts, en passant par des plats savoureux. La cuisine du Vintage privilégie la diversité et la qualité. « C’est une cuisine faite avec 99% de produits frais ! », nous souffle-t-on. Parmi les plus emblématiques figurent le Foie gras de canard maison entier mi-cuit, la Souris d’agneau rôtie à la fleur de thym ainsi que l’Entrecôte black angus. Un large choix de desserts allant du Brownie maison à la coupe de glace Vintage promet une belle prolongation de ces moments de plaisir culinaire. Une brasserie tendance et sélect Le Vintage propose une carte à vins bien fournie pour satisfaire ses convives. Des sélections éclectiques issues de toutes les régions viticoles du pays permettent d’accompagner délicieusement la cuisine proposée par l’établissement. Pour offrir un maximum de détente, la brasserie propose également une fine sélection de whisky. A cela s’ajoutent de délicieuses recettes de cocktails qui subliment le côté festif des soirées. ...
Implantée au cœur des Cévennes de Lozère, cette structure a pour objet la fabrication de toute une gamme de produits aux saveurs représentatives de la région, avec un goût proche du fait maison. À travers une passion remarquable nécessitant une patience à toute épreuve, elle s’investit dans la transformation de fruits issus de producteurs locaux et qui a donné naissance à une confiture artisanale, qui dépasse de loin celles de nos grands-mères. Des coulis renversants d’une qualité exceptionnelle Existant depuis 1987, cet atelier de transformation de fruits a toujours œuvré pour la production de confitures, de pâtes de fruits et de coulis à base de fruits purs riches en sucre et rigoureusement sélectionnés, où les colorants, les gélifiants et tout autre produit conservateur n’ont pas leur place. Grâce à un mode de cuisson spécifique qui nécessite des récipients en inox et des produits en petite quantité, le travail permet de préserver la saveur et la couleur des fruits. Depuis, toute une gamme de produits s’y est développée dont notamment un coulis d’abricot et ses pâtes de fruits, primés par ailleurs au Concours Lozère Gourmande. Une large palette de confitures et de pâtes de fruits gourmands Le Fruitier des Cévennes, c’est aussi 24 parfums de confitures présentés sous des conditionnements de 320, 100 et 40 grammes, 6 parfums de coulis de 300 grammes ainsi que 6 parfums de pâtes de fruits présentés en sachet de 200 et 320 grammes ou en pavés de 300 grammes et en boîtes de 380 grammes. C’est aussi l’occasion de découvrir cinq parfums de sirops allant des nectars de cerises aux jus de raisins. Réputé pour être un artisan chevronné, cet atelier produit tout aussi bien des croquants aux amandes que des madeleines et des guimauves fabriquées dans le respect de la tradition et du savoir-faire des Cévennes. Des recettes emblématiques très appréciées À travers une activité essentiellement axée sur la mise en avant des fruits locaux, cet atelier artisanal de grande renommée n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Tout un assortiment de confitures, de coulis artisanaux et de pâtes de fruits à base de fruits rouges entier et de châtaignes continue également à s’y développer, richement décliné sur une palette de vingt-cinq à trente produits, dont, notamment, la surprenante confiture de cynorhodon familièrement appelée « la confiture de gratte-cul », et une autre au cassis, primée au Concours de la Lozère gourmande. ...
Historiquement, Vacances passion et La Ligue de l'Enseignement ont été parmi les premiers à intégrer la protection de l'environnement à leur projet, en participant au sommet de la Terre à Rio en 1992, puis avec la création en 1998 du label CED (Citoyenneté, Environnement, Développement durable). Aujourd’hui, Vacances passion a évolué vers la certification de ses structures par l'Ecolabel européen, plus en adéquation avec les enjeux actuels. Aujourd'hui, vacances passion et la Ligue accompagnent 30 villages de vacances et centres de séjours vers l'obtention de l'Ecolabel, affirmant ainsi leur engagement pour un tourisme durable, respectueux de l’environnement. Vacances passion sensibilise également par de nombreuses actions ses convives, résidents aux bonnes pratiques en matière d’écologie pour des vacances écoresponsables. L'Ecolabel, une certification d'excellence pour un tourisme durable Créé en 1992 par la Commission européenne, l'Ecolabel garantit un niveau d'exigence élevé en matière de limitation des impacts environnementaux. Les structures doivent répondre à 22 critères obligatoires et 29 critères optionnels portant sur le management environnemental, les économies d'eau et d'énergie, la réduction des déchets, l'usage de produits chimiques, l'encouragement aux mobilités douces et la gestion écologique de l'environnement. Acteur majeur du tourisme durable Vacances passion engage ses villages dans une politique commune en matière de tourisme et de transition écologique. Grâce à cet Ecolabel et à sa démarche accélérée d'écolabellisation sur l’ensemble de ses villages vacances, elle devient aujourd’hui un acteur majeur du tourisme en France respectueux de la protection de l'environnement mais pas uniquement. En effet, en matière de voyages et de séjours éco-responsables, elle rassemble également ses équipes autour de cette dynamique passionnante qu’est l’écologie, véritable enjeu du XXIe siècle, pour sensibiliser ses vacanciers (de plus en plus attentifs) à travers des programmes éducatifs et ateliers ludiques. Spécialiste des vacances en famille, Vacances Passion gère aujourd’hui un réseau de 30 villages vacances et plus de 100 résidences locatives et campings partenaires. Sensible à un tourisme responsable, elle propose au sein de ses villages vacances des expériences inédites et des infrastructures à même de répondre aux exigences nécessaires à notre transition écologique. Des investissements d'avenir importants mais également des mesures éducatives et de sensibilisation pour mieux appréhender l’importance et les enjeux d’un tourisme durable. Des obligations et chantiers pour l'Avenir Les structures de Vacances passion et de la Ligue de l’enseignement, telles que le Manoir du Chambon à Montignac, la Fontaine d'Annibal à Buis-les-Baronnies et Le Château de la Turmelière à Liré Orée d'Anjou, sont parmi les premières à avoir obtenu l'Ecolabel. Au-delà des critères du label européen, Vacances passion a mis en place des actions supplémentaires, telles que la gestion différenciée des espaces verts, l'autonomie en énergie biomasse et des investissements pour le recyclage des mégots. Pour aller encore plus loin dans la préservation de l'environnement, les village Vacances passion s'engagent à répondre aux exigences du décret tertiaire, de la loi Egalim sur l'alimentation et de la loi AEGEC sur les biodéchets. Ces mesures visent à renforcer les rénovations énergétiques, réduire le gaspillage alimentaire et valoriser les déchets biodégradables. Pionnière dans le tourisme durable, l’opérateur Vacances passion continue aujourd’hui d'écrire son histoire dans le respect de l’environnement. Un voyage engagé, porté par une volonté forte de préserver notre planète pour les générations futures. ...
Depuis sa création en 1989, Inter-Croisières a pour cœur de métier la location de bateaux pour des croisières hors des sentiers battus le long de la Charente, qualifiée de « plus beau ruisseau du royaume ». Aujourd’hui gérée par la seconde génération de la famille, la société ne cesse de renouveler et d’enrichir l’expérience séjour de ses clients en leur offrant la possibilité de se créer des parcours de voyage personnalisés. Une quinzaine de modèles de bateaux S’embarquer à bord d’un bateau de croisière, signé Nicols, rime avec sentiment d’évasion et de liberté. Conçus pour offrir le maximum d’autonomie et de confort, ces bateaux mis à disposition des estivants par Inter-Croisières ne requièrent ni permis ni expérience préalable dans la navigation. Ils ont été conçus pour s’adapter à chaque type de séjour : aventure en amoureux, vacances en famille ou pourquoi pas une virée week-end entre amis. Ainsi, la capacité et l’aménagement de chaque modèle sont pensés de façon à rencontrer les exigences de chaque clientèle.« Nous avons des modèles de bateau simples offrant le confort nécessaire et d’autres qui sont plus spacieux, dotés d’une terrasse, d’une cuisine et de salles d’eau entièrement équipées et certains peuvent aussi être aménagé d’une piscine chauffée», révèle Audrey MOTTA, aujourd’hui à la tête de l'entreprise ayant succédé à ses parents. Avant de partir, les hôtes sont briefés sur une initiation à la navigation et aux dispositifs essentiels de sécurité. Une fois le permis provisoire de navigation en poche, ils peuvent prendre le large et profiter pleinement de leur aventure. La liberté de personnaliser son voyage Le parcours imaginé par Inter-Croisières permet à tout un chacun, à sa guise et selon ses envies, de sillonner la Charente au départ d’Angoulême jusqu'à Rochefort. Autrefois desservie par un commerce fluvial de marchandises, la Charente est bordée par des villages pittoresques au charme intemporel. Dans ce décor atypique, au milieu d’une nature luxuriante, les plaisanciers peuvent s’arrêter pour explorer le patrimoine historique de Saint-Simeux et de Châteauneuf ou encore Saint-Simon, découvrir les vestiges du passé de Bassac, Jarnac, Cognac, Saintes, Rochefort. Tout au long de la descente, le fleuve se rapproche des champs de vignes, des vieux chais et des distilleries qui perpétuent l’élaboration de cognac et de pineau dans le respect des traditions ancestrales. Après cette petite parenthèse viticole, une dégustation de la gastronomie charentaise s’impose. Celle-ci se distingue notamment par ses recettes authentiques à base de fruits de mer et de Cognac. Pour varier les plaisirs au cours de la croisière, les clients peuvent s’adonner à une baignade en pleine nature ou dans l’une des petites plages aménagées qui jalonnent la Charente ainsi qu’une partie de pêche. Petit bonus, le bateau est équipé d’une échelle qui donne un accès direct à la surface de l’eau à tout moment de la journée. « Mais finalement, rien qu’être à bord d’un bateau est un moment de bonheur en soi : se perdre, se déconnecter, et savourer la quiétude du paysage », nous souffle notre interlocutrice. ...
Un peu d’Histoire… Bolivie : entre Cultures Chanés, Inca et Espagnol Située au cœur de l'Amérique du Sud, la Bolivie est un pays riche en histoire et en diversité culturelle. Ses racines culturelles sont profondément ancrées par trois grandes influences : les cultures Chanés, Incas et Espagnoles. Les Chanés étaient l'un des peuples autochtones précolombiens de la région, contribuant à la richesse culturelle de la Bolivie avant l'arrivée des Incas et des Espagnols. Ils étaient réputés pour leur expertise en agriculture, en particulier dans la culture du maïs et du manioc, et ont laissé un héritage agricole durable qui persiste encore aujourd'hui. L'empire Inca, avec sa capitale voisine de Cuzco au Pérou, a étendu son influence sur la Bolivie au cours du XVe siècle. Ils ont apporté leur architecture spectaculaire et leur système d'irrigation sophistiqué, laissant derrière eux des vestiges tels que le site archéologique de Tiwanaku près du lac Titicaca, dans la région d'Altiplano. Les Incas ont également laissé une marque profonde sur la culture et la langue, de nombreuses coutumes et traditions incaïques étant encore célébrées par les populations autochtones boliviennes. L'arrivée des Espagnols au XVIe siècle a marqué un tournant majeur dans l'histoire de la Bolivie. Sous la colonisation espagnole, de nombreuses cultures autochtones ont été soumises à des pressions pour se convertir au christianisme et adopter la culture européenne. Cependant, les Boliviens ont également intégré des éléments de la culture espagnole dans leur propre identité, créant une fusion culturelle unique. Aujourd'hui, la Bolivie est un pays où les héritages des cultures Chanés, Incas et Espagnoles coexistent harmonieusement. Ses festivals, sa cuisine, sa musique et ses danses reflètent cette riche mosaïque culturelle qui en fait une destination rare avec des parcours, des visites grandioses. Sur les traces de sites remarquables de Bolivie Voyager en Bolivie, c’est partir à la rencontre de Monuments et Sites Naturels souvent classés au Patrimoine Mondiale de l’UNESCO. Voici quelques repères incontournables à découvrir lors de votre séjour avec Thaki Voyage. Fort de Samaipata, une merveille architecturale Après notre arrivée par Santa Cruz, capitale économique de la Bolivie, notre voyage commence (Jour 2) par la visite du Fort de Samaipata, une merveille architecturale, taillée à même la roche, nichée au cœur des montagnes verdoyantes de la région de Santa Cruz. Le fort était autrefois un lieu sacré pour les peuples autochtones locaux, mais il a également servi de point de contrôle stratégique pour les civilisations précolombiennes et plus tard pour les colons espagnols. La pierre a été sculptée avec une précision remarquable pour former des représentations complexes de divinités, de motifs géométriques et de symboles culturels. Taillé à même la roche, le Fort de Samaipata est un exemple exceptionnel d'architecture rupestre qui témoigne de l'ingéniosité des anciennes cultures de la région. Dès les premiers jours du voyage (Jour 2), il offre une expérience immersive dans l'histoire et la culture de la Bolivie et symbolise la richesse du patrimoine culturel bolivien. Le même jour, notre visite passe par le Parc de « Cascadas de Cuevas » à la rencontre d’une véritable merveille naturelle constituée de trois magnifiques cascades. Niché au cœur d'une forêt luxuriante, ce site remarquable offre pour les amoureux de la nature une expérience inoubliable, un spectacle époustouflant avec des cascades alimentées par des ruisseaux cristallins et leurs eaux dévalant des rochers escarpés. A la rencontre des fougères géantes de Samaipata et du Parc national d'Amboro Au 3éme jour de notre arrivée, nous partons à la rencontre des fougères géante du Parc Amboro. La Forêt de fougères géantes de Samaipata et le Parc national d'Amboro sont deux joyaux de la biodiversité situés en Bolivie, qui offrent un aperçu exceptionnel de la nature foisonnante de l'Amazonie. La Forêt de fougères g&ea...
Du charme médiéval de Flavigny-sur-Ozerain aux vestiges gallo-romains d’Alésia, la Côte-d’Or a plus d’une corde à son arc pour séduire les amoureux de parcours patrimoniaux. L’agenda culturel de la destination sera particulièrement festif à la perspective du triple anniversaire célébré en 2018 sous la signature #EpiquesEpoques2018 : les 900 ans de l’abbaye de Fontenay, le 450èmeanniversaire de la naissance du comte de Bussy-Rabutin et les 250 ans de la forge de Buffon. A vos marques. Prêts. Explorez. L’abbaye de Fontenay : 900 ans déjà Premier monument français répertorié au patrimoine de l’Unesco, l’Abbaye de Fontenay fait partie de ces ouvrages qui forcent le respect. Respect pour le génie des hommes – Saint Bernard de Clairvaux et comparses – qui l’ont construit. Respect pour le caractère de sa structure, sans ostentation mais d’une imparable précision. Du cloître à la salle capitulaire, en passant par l’église abbatiale – parmi les composantes ouvertes aux visites – on plonge dans l’essence originelle de l’architecture cistercienne. Arcades, bas côtés, voûtes et nef sont d’ailleurs dans un impressionnant état de conservation, 900 ans plus tard ! Château de Bussy-Rabutin : authentique Maison des Illustres Impossible de faire l’impasse sur ce château qui a abrité l’exil de l’un des sujets les plus importants de Louis XIV. Roger de Bussy-Rabutin, dont l’extravagance n’avait, que peu de limites, y a vécu entre 1659 et 1666. Un séjour qui fut loin de manquer de piquant pour cet académicien, général du roi, libertin, pamphlétaire, philosophe et courtisan de son époque. De ce château Renaissance implanté à Bussy-le-Grand, l’on retiendra naturellement la richesse de la décoration intérieure : les 25 portraits des dames de la cour du roi, la galerie des ducs de Bourgogne et des rois de France, la salle des devises, le salon de la tour dorée… Les 34 hectares de parc alentour constituent, de leur côté, le prétexte à une exploration à part entre le labyrinthe de charmille, les parterres de rosiers anciens, les fontaines et autres buis richement aménagés par Le Nôtre. Dijon, la belle endormie La capitale de la Bourgogne, ville d’Art et d’Histoire offre un secteur patrimonial sauvegardé exceptionnel. Si la cité est gentiment surnommée la Belle endormie, le lieu bouillonne de vie et déploie des offres de découvertes passionnantes et souvent gratuites ! Palais des ducs de bourgogne, Musée des beaux-arts – un des plus beaux de France – et hôtels particuliers construits entre les XV et XVIIIe (plus de 70 au centre ville) sont naturellement des symboles que le berceau du patrimoine viticole de Bourgogne entretient fièrement. ...
Flashmatin : Pouvez-vous présenter l'Institut de la Vision ? Serge PICAUD : L’Institut de la Vision a pour missions principales de comprendre le fonctionnement de la vision et de prévenir les pathologies pouvant entraîner la perte de vue. Le jury international réuni par l’HCERES (Haut Conseil de l'Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur) a conclu que ce centre de recherche fait partie des meilleurs centres de recherche mondiaux dédiés aux maladies de la vision. Les vingt équipes académiques se répartissent sur cinq axes majeurs : le développement du système visuel, la génétique des maladies visuelles, le traitement des informations visuelles, les thérapies et le développement de techniques d’imagerie ainsi que de nouveaux instruments diagnostiques. Quels sont les résultats innovants et les solutions thérapeutiques qui y ont déjà été développés ? En dix ans d’existence, l’Institut a enregistré des avancées significatives dans la compréhension des maladies de la vision et le développement de stratégies thérapeutiques, dont certaines arrivent aujourd’hui au stade de l’essai clinique. Pour vous donner quelques exemples, GenSightBiologics, une start-up de l’Institut de la Vision, est en train de mener des essais cliniques sur une pathologie héréditaire appelée « Neuropathie Optique Héréditaire de Leber » (NOHL). Pour cette première mondiale par thérapie génique, les résultats montrent une amélioration durable de la vision et de la qualité de vie des patients traités. D’autres essais cliniques portent actuellement sur des implants rétiniens développés pour restaurer la vision de patients aveugles par Pixium Vision, une autre start-up de l’Institut de la vision. Leur implant photovoltaïque est actuellement en essai clinique sur des patients souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), qui peuvent à nouveau lire des mots ! Des essais cliniques très prometteurs viennent également d’être lancés avec une approche alternative, la thérapie optogénétique : nous utilisons le génome d’une algue pour transformer les neurones résiduels de la rétine en une sorte de photorécepteur. L’objectif est encore de restaurer la perception visuelle chez d’autres patients devenus aveugles. Enfin, nous avons participé à l’amélioration des traitements pour le glaucome en retirant un conservateur toxique des gouttes. Fin 2018, vous avez été labellisé IHU (Institut Hospitalo-Universitaire). Que va apporter cette nouvelle structuration ? Le premier ministre, Edouard Philippe, a en effet avalisé l’avis du jury international en attribuant au Pr Sahel la mission de construire l’hôpital de demain en ophtalmologie. Cette nouvelle structure va réunir l’Institut de la Vision et le Centre Hospitalier des Quinze-Vingts pour accélérer le transfert clinique des innovations thérapeutiques et diagnostiques. L’objectif est d’améliorer l’accès aux soins et la prise en charge des patients pour leur apporter une réponse thérapeutique, quelque soit le stade de leur pathologie. Cet objectif est extrêmement ambitieux puisque de nombreuses pathologies rétiniennes n’ont pas encore de traitement pour prévenir leur évolution vers la cécité. Nous devons également former les personnels soignants et techniques pour permettre le déploiement des innovations thérapeutiques sur l’ensemble du territoire. L'Institut de la Vision est soutenu par la Fondation Voir & Entendre et ses donateurs. Pouvez-vous nous expliquer l'importance des dons et legs pour vos recherches ? A l’Institut de la Vision, chercheurs et cliniciens travaillent pour prévenir l’évolution des maladies de la vision vers la cécité. Pour développer nos recherches et être soutenus par les agences de financement publiques, nous devons leur présenter les preuves de concept des futures stratégies thérapeutiques. Grâce à nos donateurs, nous pouvons amorcer ces projets et obtenir les preuves de concept initiales. Les dons sont donc essentiels ! Ils sont de véritables déclencheurs de la recherche et permettent aux chercheurs d’initier tous leurs t...
Une entrée sur l’histoire de la Ville L’établissement intègre un espace patrimonial situé au cœur du bâtiment, face à l’enceinte gallo-romaine. Produit et mise en oeuvre dans le cadre du label Ville d’art et d’histoire, l’espace patrimonial permet de découvrir la construction et l’évolution de la ville depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours. Pensé comme une expérience, cet espace offre différents outils ludiques à expérimenter en famille. Un lieu de médiation de l’art La programmation du Quadrilatère associe une politique d’expositions temporaires, un programme culturel et éducatif à destination d’un large public. Les expositions monographiques ou collectives présentent des oeuvres et recherches artistiques contemporaines et accompagnent l’évolution des pratiques artistiques. Proposée comme des temps de rencontre entre les oeuvres et le public, la programmation culturelle se construit autour de dispositifs de médiation et d’accompagnement à la découverte de l’art contemporain. Une équipe aux petits soins pour le public L’équipe du Quadrilatère utilise son imagination afin de proposer des actions de médiation innovantes. Le but étant de rendre accessible au plus grand nombre la découverte des arts et du patrimoine. Pour cela, les expositions et les médiations favorisent souvent l’expérience, qu’elle soit artistique, scénographique, chorégraphique, ou gustative et toujours conviviale! ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
Au cœur de la station de ski Serre Chevalier, Le Caribou accueille en hiver comme en été les vacanciers affectionnant les bons petits plats. La maîtresse des lieux, Liane Cunin, et sa petite équipe, composée notamment du chef Louis Blain du Poète, proposent des menus complètement différents selon les saisons. En effet, les repas servis ici sont plutôt montagnards durant la période hivernale, alors qu’ils sont entièrement improvisés lors de l’arrivée des beaux jours. Des saveurs authentiques à découvrir Le « fait maison » occupe une place importante au sein du Caribou. La plupart de ses plats phares sont essentiellement préparés avec grand soin à l’aide d’ingrédients frais et de saison. C’est le cas de son foie gras maison ou de sa truite fumée maison de Châteauroux, qui sont servis en entrée. Les réjouissances continuent avec du gibier, à l’instar du chevreuil aux airelles avec légumes anciens ou du dos de cabillaud aux deux citrons pour les amateurs de poisson. Le repas s’achève sur un entremets au chocolat, une tarte au citron meringuée ou des crèmes brûlées sous toutes leurs formes. Les vins originaires des Hautes-Alpes accompagnent dignement le festin. La trentaine de références parmi les plus sollicitées en rouge et en blanc comprend le Domaine Allemand, par exemple. La clientèle est également très friande des Côtes-de-Provence et des Côtes-du-Rhône. De la convivialité au menu Dans le restaurant Le Caribou, on se délecte de la vue imprenable donnant sur les Hautes-Alpes. La beauté de l’établissement est encore plus saisissante une fois à l’intérieur. Il est en fait implanté dans une ancienne bergerie datée du XVIIe siècle. Il a su garder son charme d’antan grâce à sa pièce voûtée en pierre apparente, qui lui confère une ambiance assez chaleureuse. ...
Destination idéale pour tutoyer les cimes entre France et Italie, Saint-Véran attire autant l’hiver que l’été. Réputé pour sa beauté et ses 2.040 mètres d’altitude, le village abrite l’hôtel l’Alta Peyra à l’architecture remarquable alliant luxe et authenticité. Tout y est pour passer un moment d’évasion exceptionnel: des chambres chaleureuses, un paysage de rêve, un personnel attentif sans oublier la touche gastronomique proposée par le jeune chef Alexandre Lechêne, issu de l’école Ducasse, et développant sa première grande table avec le Roc Alto. L’élégance à l’honneur Le Roc Alto est situé au dernier étage d'un des chalets qui composent l’Alta Peyra. Tout comme l’hôtel, il allie parfaitement l’élégance à la sobriété. Dès la porte franchie, l’atmosphère sereine et intime de la salle se ressent. La décoration combine des matériaux nobles et naturels qui s’intègrent parfaitement à l’esprit du village de Saint-Véran. Ainsi, le mobilier contemporain de Ligne Roset contraste à la perfection avec le parquet de vieux bois qui couvre le sol. Dans cette ambiance feutrée, l’ancienne cheminée dénichée auprès de l’antiquaire Zunino apporte un brin de romantisme à l’ensemble. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre. Il propose grâce à sa cuisine ouverte aux yeux des convives, un spectacle inédit où le chef et sa brigade en sont les talentueux artistes. Pour couronner le tout, le Roc Alto jouit d’une vue imprenable sur les sommets alpins du Queyras. Une escalade du plaisir gourmand Tout comme le lieu, l’authenticité de la cuisine proposée allie les plus grandes exigences. Des grands classiques méditerranéens en passant par les incontournables spécialités italiennes, le restaurant met à l’honneur la beauté et le goût des produits du terroir. La carte et les menus évoluent au rythme des saisons et des produits du marché. La carte propose trois entrées, quatre plats (poisson ou viande) et trois desserts au choix. Quant aux menus, les convives auront droit à un voyage culinaire décliné en trois étapes pour 58 €, ils se laisseront surprendre par la cuisine du marché et l’inspiration du chef avec le menu « Grands espaces ». Pour 78€, le menu « Les Contrepentes de l’Estoilies » reprend, quant-à-lui, les plats phares de la carte. En entrée, le choix s’annonce cornélien entre le fameux Petit épeautre de Lazer, le caviar des céréales typique de la Haute-Provence ou une nouvelle version du risotto accompagné d’asperges vertes de Roques-Hautes et de son jus. En plats, deux options se présentent : côté viande, la savoureuse côte de cochon des Hautes-Alpes accompagnée de radicchio et oignons rouges braisés au vinaigre balsamique démontre l’alliance maitrisée des saveurs et des textures. Côté poisson, le saumon de Fontaine du Rabious ravira par son goût délicieux, relevé par la sauce d’oignon Topea qui l’accompagne. En dessert, le citron en sucre soufflé accompagné d’agrumes épate les papilles par sa douceur et sa simplicité. Un chef passionné et passionnant Derrière ces œuvres culinaires aux accents méditerranéens se cache un chef aussi créatif que talentueux : Alexandre Lechêne. Après un parcours brillant dans les établissements d’Alain Ducasse, « Le Louis XV » et « La Trattoria » à Monaco, « Aux Lyonnais » à Paris, Alexandre décide de se poser à l’Alta Peyra où il met en exergue son savoir-faire et à sa créativité depuis 2012. Petit à petit, il affine son empreinte culinaire en sélectionnant rigoureusement les meilleurs produits proposés, d’artisans et de petits producteurs de la région, créant ainsi une cuisine sublimée par le travail des herbes de montagnes. Une confiance mutuelle s’est ainsi installée entre Alexandre et ses partenaires sans qui, rien ne serait possible. ...
Maison familiale depuis la fin du XIXe siècle, cette distillerie artisanale est dirigée par Jean-Marie Leisen, épaulé par sa fille Sarah Leisen, qui se tient prête à reprendre le flambeau. Une recherche de la qualité Afin de proposer une production de qualité, la distillerie met en avant un savoir-faire traditionnel mais surtout l’utilisation des meilleures matières premières. Pour confectionner ses cidres et ses jus de pomme par exemple, elle opte pour des fruits 100 % bio et présentant un niveau optimal de maturité. Côté vieillissement, la maison a recours à des techniques spécifiques. Ainsi, la mirabelle de Lorraine, un de ses produits phares, se conserve une année dans des cuves en inox, puis une autre année dans des barriques en fût placées dans les caves. L’eau-de-vie passera ensuite 5 ans dans des cuves en grès, placées cette fois-ci dans les greniers. En agissant de la sorte, la maison fait profiter son nectar d’une variation de température propice à son vieillissement. ...