Que ce soit en famille, en amoureux ou entre amis, les occasions ne manquent pas pour partager un bon repas autour d’une excellente table, dont les plats et les services n’ont rien à envier aux autres établissements des alentours. Une cuisine de goût et de créativité La bonne humeur et la convivialité sont constamment au rendez-vous lorsqu’il s’agit de goûter à la cuisine bistronomique et de bon goût du chef, qui vous invite à de belles découvertes. Laissez-vous tenter par sa terrine de jarret de veau au romarin et aux noisettes, une cuisson faite au bouillon et reconstituée en terrine avec un peu de gélatine à laquelle s’ajoutent du romarin, des noisettes, un petit peu d’oignon et de carottes, le tout servi avec une petite vinaigrette. Continuez avec son savoureux rognon de veau, poêlé avec une sauce moutarde (cuisson 30 à 35 minutes) et des échalotes revenues au beurre, puis déglacé au vin blanc et mouillé au fond de veau avec de la moutarde. On crème un petit peu, on passe au chinois, on monte au beurre et on ajoute de la moutarde en grains. Servi avec une fondue de choux et des petits lardons. Terminez sur une note joyeuse par son moelleux au chocolat avec une glace vanille, qui est un savoureux mélange chocolat-farine-œufs, cuit au four avec un cœur légèrement fondant liquide. Pour accompagner chacun de vos repas, le Bistrot du Maquis propose une belle carte de vins issus de la culture raisonnée biodynamique, sélectionnés directement auprès de propriétaires, vignerons et autres représentants, parmi lesquels se distinguent le Marcel Lapierre, la Principauté-d’orange de Paul Daumene ou encore le Bouzeron du Domaine Cruchandeau. ...
Champagne Lacroix est une exploitation viticole répartie sur un ensemble de terroirs autour de Montigny, formés de parcelles de vignes de 13 hectares. Sur ses coteaux donnant sur la vallée de la Marne, l’Aisne et la vallée de l’Ardre se développent les raisins cultivés dans le respect de la terre. Des champagnes à l’image de la région Vallée de la Marne Au centre des vallées champenoises, le terroir du Champagne Lacroix est propice à la culture du chardonnay, du pinot noir et du pinot meunier. D’où en ressortent des cuvées riches en arômes. Très présent sur le terroir, le pinot meunier domine dans les encépagements. Ce détail distingue les champagnes Lacroix et lui permet de produire des vins monocépages, à l’instar de la cuvée Anthony. Par sa robe aux reflets ambrés, son nez minéral associé à des arômes d’amandes fraîches et une bouche équilibrée, elle saura plaire aux épicuriens. La cuvée Brut Tradition fait office d’ambassadrice du terroir, car elle est constituée des trois cépages : 70 % de pinot Meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. En apéritif, elle sera le compagnon idéal. Autre fer de lance de la marque : la cuvée Grande Réserve, exhalant un nez floral pour un palais généreux et épicé, qui rappelle la pomme et le pain d’épice. Une exploitation viticole exemplaire Anthony Lacroix est très à cheval sur l’entretien de la vigne et l’élaboration du champagne. Respectueux de l’écosystème, il s’attache à faire valoir la viticulture raisonnée qu’il aime faire découvrir aux touristes lors des visites. La balade, durant laquelle une explication détaillée sur la cueillette manuelle, l’élevage et la vinification de raisin est prodiguée, se déroule au cœur du terroir. Une visite qui s’achève dans le bâtiment viticole ouvert en 2010 et accueillant le centre de pressurage moderne, les caves ainsi qu’une nouvelle cuverie. À savoir que la maison innove toujours dans les moyens techniques, afin d’améliorer la qualité de ses cuvées. L’emploi de cuves en inox permet par exemple d’obtenir des champagnes plus expressifs en finesse et en minéralité. ...
Château Nestuby, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre. Celle d’une famille, la famille Roubaud, avec une terre unique baignée de soleil et irriguée par les eaux de la source qui lui donnent son nom. La légende veut en effet que le Roi-Soleil, Louis XIV, empruntant la route de Notre-Dame-de-Grâces lors d’un pèlerinage avec sa mère en 1660, se soit abreuvé aux eaux de cette source, devenant ainsi « l’eau du Roi »… C’est cette magie de l’eau qui confère aux vins de Nestuby une typicité et un goût inimitable. Le Vignoble Le vignoble de Château Nestuby s’inscrit dans le patrimoine historique et culturel riche du village de Cotignac. Ce dernier est en effet connu pour être le seul lieu au monde à avoir été le théâtre de l’apparition de deux grandes figures de la chrétienté : la Vierge Marie et Saint-Joseph, qui aurait demandé à un jeune berger assoiffé de déplacer une pierre pour faire jaillir de terre une source bienfaitrice. A l’instar de cette histoire, le Château Nestuby possède un sol pauvre et bien drainé composé d’argile et de calcaire, qui convient parfaitement à la culture de la vigne et permet d’en extraire le meilleur. Les vins qui en résultent allient complexité, rondeur et surtout authenticité. L’encépagement du domaine se compose d’une dizaine de cépages différents à savoir trois cépages blancs (Rolle, Sémillon et Ugni Blanc) et sept cépages rouges (Syrah, Grenache, Mourvèdre, Cabernet Sauvignon, Carignan, Merlot et Cinsault). Dans un écrin de nature préservée, les équipes partagent une seule et même philosophie : laisser la nature faire son œuvre. La conviction profonde est que la qualité finale des vins repose sur le soin apporté en amont à la culture des vignes (taille, labours et pâturage, palissage, vendanges en vert…), dans le respect des préceptes d’une agriculture raisonnée. Le Chai Un travail minutieux, de précision, qui se poursuit en cave. Aux cuveries historiques en béton sont venues d’ajouter, de manière plus récente, de nouvelles installations de pointe : cuves inox thermo régulées, pressoirs pneumatiques… dans une démarche permanente de recherche de la qualité. Le Partage : une valeur fondatrice Depuis bientôt 25 ans, Nathalie Roubaud met à profit ses qualités naturelles pour organiser l’accueil du public : aménagement d’une partie de la bastide familiale, dégustations des cuvées du domaine autour d’une belle assiette vigneronne…Dans un esprit jamais démenti de convivialité et d’authenticité, cinq chambres d’hôtes –portant le nom des différents cépages cultivés sur le domaine-, accueillent les visiteurs pour une plongée dans l’art-de-vivre méditerranéen. Mobilier chiné, tissus provençaux, épure des matériaux bruts s’accordant à la perfection avec des tonalités pastels, autant de détails qui distillent un charme discret et sans ostentation, invitant à la relaxation et au lâcher-prise. Un jacuzzi privatif, un sauna, et une piscine extérieure construite dans un ancien bassin sont également à la disposition des hôtes, de même que des activités imaginées sur mesure afin de faire de chaque séjour une expérience… INOUBLIABLE ! ...
Collectif créé dans le but de promouvoir cette destination en tant que destination d’affaires, Meet in Alsace est une démarche collective ralliant des prestataires ainsi que des professionnels du monde du tourisme d’affaires. Célèbre pour sa route des vins et ses vignobles, sa gastronomie ainsi que sa culture, cette destination reine, idéalement située dans une zone frontalière avec la Suisse et l’Allemagne et à seulement 1h48 de Paris, se veut être l’ambassadrice de l’art de vivre à la française avec trois principales villes attractives, dynamiques et dédiées à l’événementiel d’entreprises : Colmar, Mulhouse et Strasbourg. « Les villes alsaciennes attirent entreprises et organisateurs d’événements grâce à des infrastructures adaptées : qu’on opte pour Strasbourg l’Européenne et son Palais de la Musique et des Congrès entièrement rénové, Colmar l’hédoniste et son Musée Unterlinden, ou Mulhouse l’inventive et son Quartier Gare en pleine expansion, les villes alsaciennes savent répondre aux besoins d’une clientèle d’affaires exigeante.», nous explique Marie-Reine Fischer, Présidente de Destination Régions et 1ère Vice-Présidente de l’Agence d’Attractivité de l’Alsace en charge du tourisme. Découvrir les mille et une saveurs de Colmar Capitale des vins d’Alsace, Colmar se veut être une ville gourmande à l’authenticité préservée. Située sur la mythique route des vins, elle est la promesse d’un congrès, d’un séminaire ou d’un team-building d’exception organisés sous le signe de l’intimité d’une ville à taille humaine. En dehors de son patrimoine historique et culturel digne d’intérêt, inspirant de nombreuses activités extraprofessionnelles, Colmar est idéalement dotée d’un équipement de choix adapté aux événements d’entreprise. Hébergez, par exemple, vos collaborateurs dans une des 4 000 chambres de Colmar, et organisez vos congrès dans des centres dédiés ou au sein du Parc des expositions et de congrès. Avec ses 13 500 m2 de surface, cette infrastructure accueillera les manifestations de toute taille grâce à un espace modulable. Découvrez, entre autres, le fameux musée Unterlinden qui a fait l’objet de rénovations importantes permettant ainsi aux entreprises d’organiser leurs événements au cœur d’un cadre prestigieux, designé par les architectes Herzog & de Meuron, et doté de salles pouvant accueillir de 70 à 400 personnes. Pensez ainsi à Colmar pour vos congrès ou vos séminaires organisés sous le signe gourmand d’une ville axée sur le tourisme vitivinicole et culturel. Mulhouse : un musée à ciel ouvert Pour vos team-building, vos séminaires ou vos voyages incentive, pensez à Mulhouse, ville créative et inspirée d’un patrimoine industriel de renom. Séminaires organisés dans un parc botanique et zoologique avec vue sur le bassin d’ours polaires, team-building en forme d’olympiades ou séjours incentive au cœur de la gastronomie locale… Autant d’activités ludiques et culturelles qui surprendront vos clients et vos collaborateurs. Plongez également ces derniers dans un autre monde à l’occasion d’une visite de la Cité de l’Automobile, un musée unique pouvant accueillir vos congrès, séminaires et dîners de gala organisés au milieu de voitures de collection et de légendes, notamment une collection rare de plusieurs Bugatti. A deux pas, l’Écomusée d’Alsace à Ungersheim est le point d’orgue entre le passé et le présent, il se veut être le témoin d’une Alsace authentique mais mue d’une volonté de raconter une histoire toujours plus vivace, contemporaine et créative. Strasbourg : une ville à la pointe de la technologie Patrimoine d’exception, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO pour son centre-ville et sa Neustadt, troisième ville verte de France et infrastructures de pointe caractérisent Strasbourg en matière de tourisme d’affaires. Avec la rénovation récente du Palais de l...
Le Château Croque-Michotte est riche d’un passé qui remonte à 1906. À l’époque négociant en vins et en Cognac, Samuel Geoffrion s’intéresse au métier de vigneron. Il est séduit par le terroir de Saint-Émilion et décide de faire acquisition de quelques parcelles. À son décès, sa fille Hélène Geoffrion-Rigal reprend les rênes. Avec ses enfants et petits-enfants, elle crée un Groupement Foncier Agricole (GFA) qui est désormais propriétaire et exploitant. La gérance est assurée par Pierre Carle depuis 1992 qui s’est investi de la mission de sublimer ce terroir selon des pratiques éco-responsables. Par amour de la terre Dès son plus jeune âge, Pierre Carle savait qu’il voulait devenir vigneron. « À quatre ans, en me baladant dans les chais, je me souviens de cette odeur qui restera à jamais gravée dans mes mémoires. De là, j’ai su que je souhaitais travailler dans ce milieu », nous confie-t-il des souvenirs plein la tête. Le destin en a voulu autrement puisqu’il finit par suivre un cursus d’ingéniorat puis en architecture avant d’évoluer dans une entreprise spécialisée dans la pose de matériels de chemins de fer où il restera 14 ans. En dépit de ce changement de vocation, Pierre n’en oublie pas son rêve d’enfance. À la retraite de l’ancien maître de chai du Château Croque-Michotte, il s’engage dans une reconversion pour prendre la direction des cultures des vignes et de la vinification. Il agrandit le vignoble de 13,7 hectares situé à l’ouest de Saint-Émilion et faisant la frontière avec Pomerol. Bénéficiant d’une situation géographique privilégiée, le terroir se trouve à proximité de voisins prestigieux tels que Pétrus, l’Évangile, Gazin, Corbin Michotte, Cheval Blanc ou encore La Dominique. Un cahier des charges en agriculture biologique Le sol composé de graves et de sables sur socle argileux est propice au développement du merlot, du cabernet franc et du cabernet sauvignon. « Depuis plusieurs années, nous avons arraché les parcelles et replanté en cabernet franc pour augmenter la proportion, car ce cépage a plusieurs avantages : il est tardif et moins sensible aux gelées tardives, il est plus tannique ce qui permet d’avoir une bonne matière surtout lors d’élevages avec un gros pourcentage de barriques neuves pour masquer le goût de bois. Ce cépage peut se vendanger plus tard et supporte la surmaturité, ce qui donne plus de souplesse. L’acidité est plus élevée pour que les vins soient moins sensibles à l’oxydation et aux attaques bactériennes. » Le domaine s’évertue également à limiter au maximum les rendements pour permettre aux vignes d’être plus résistantes aux bactéries et pour gagner en concentration dans les vins. Grâce à des méthodes culturales respectueuses de l’environnement, il obtient la certification Ecocert dès 1999. « Soit 14 ans avant tous les crus classés de Bordeaux », fait savoir notre interlocuteur. Un mode de production résolument innovant Depuis qu’il gère le Château Croque-Michotte, Pierre Carle a apporté un vent d’innovation dans les méthodes de production. À l’issue des vendanges manuelles, les grappes sont transportées dans les chais pour être sélectionnées à l’aide d’un procédé ultramoderne par « tri optique ». Les graines vertes et les résidus végétaux sont ciblés par la machine puis refoulés vers l’extérieur. Seules les bonnes graines sont récupérées et véhiculées jusqu’aux cuves. « Notre signature est de produire des vins sans sulfites ajoutés au cours de la vinification et des premiers mois d'élevage. À la place, nous avons recours à des levures concurrentes qui empêchent les bactéries de saccager le mou ». Les vins sont ensuite élevés dans des barriques de chêne français à grain fin en provenance des meilleures forêts. L’élevage s’étend sur une période de douze mois. De ce long processus naît la Cuvée Croqu...
A quelques encablures du Lac Léman et non loin du Palais des Congrès, le restaurant Entre Nous est l’étape gastronomique incontournable à Evian-les-Bains. Dans cet établissement chaleureux, les clients ne manquent pas de témoigner d'une bistronomie originale pour cette belle table qui allie service décomplexé et agréable cuisine.Terroir, élégance et créativité sont trois termes qui décrivent parfaitement le talent de la maison. Une cuisine du terroir Passionnés par l'art culinaire, les Bernis ont développé un lieu de rencontre authentique autour de bons plats. Le restaurant utilise des produits locaux de saison, frais et sains. La cuisine ici valorise le terroir savoyard avec des poissons du lac Léman et les condiments de la Haute-Savoie. De l'entrée au dessert, tout est fait maison. Pour cette adresse qui ne dispose que de 50 couverts, la carte est bien évidemment courte. Un fait apprécié par la clientèle, avec des plats qui changent en fonction des saisons. En guise d’entrée, le restaurant propose de grands classiques à l'instar du tartare de féra. La féra est un poisson très prisé du lac Léman. Après avoir badigeonné d'huile d'olive la chair de la féra découpée en petits dés, il y ajoute de fines herbes, du jus de citron et de la vinaigrette. Une entrée simple et légère, relevée par un parfum d’aneth et de cerfeuil. Comme plat principal, le cœur de rumsteak. Plat traditionnel, il est orchestré à base de fromage d’abondance fondu dans du vin blanc, avec un accompagnement d’un écrasé de pommes de terre et d’herbes. Autre plat signature, la côte de bœuf au four. Pour élaborer ce plat, la viande est grillée de chaque côté dans une poêle, de façon à lui donner une coloration joyeuse à l’œil en plus de son gout de fumé. La côte de bœuf est par la suite enfournée à très haute température, pour être servie accompagnée d’une sauce au foie gras et aux morilles. Le généreux assaisonnement au sel et au poivre rehausse les senteurs épicées de ce plat. En dessert, crème brûlée à base de jaune d'œuf, sucre en poudre, d’une décoction de thé vert et feuilles de menthe fraîche. Le tout est battu au fouet afin d'obtenir un mélange homogène. Une fois la crème blanchâtre refroidie, elle est caramélisée à chaud. Le procédé confère une sensation de fraîcheur aux papilles. En somme, Sophie et Marc cuisinent des plats à la manière « Entre Nous », à travers une cuisine minutieuse qui marie admirablement recettes classiques et originalité. L’harmonie mets-vins La carte des vins est aussi courte que celle des plats, avec quelques bouteilles servies au verre. Celles-ci mettent remarquablement en valeur le terroir savoyard. Sophie Bernis a vite fait de comprendre que l'expression « Le client est roi », signifie non seulement repas succulents, mais aussi accord parfait mets-vins. En accompagnement des magnifiques dressages en assiette de la maison, des vins comme l’AOC Roussette Cru Marestel Tradition du Domaine Barlet. Ce vin blanc à la robe jaune or se marie parfaitement avec le tartare de féra. Il est doté d’un nez fruité exotique, mais aussi d’une bouche riche et moelleuse. Comme accompagnement pour le cœur de rumsteak, l’AOC Mondeuse d’Arbin Graine de Terroir du Domaine Perrier. Un rouge à la robe pourpre intense et équilibrée sur des tanins fruités, poivrés et vanillés. Sa bouche complexe révèle des notes réglisses du court passage en fut de chêne ...
Le domaine est actuellement dirigé par la quatrième génération de vignerons chez les Peyruse. Avec Laure, aux commandes de la gestion et de l'oenotourisme, et son frère Sébastien, habile dans la manipulation des raisins, l’entreprise familiale ne peut qu’être honorée. Le terroir Le vignoble s’enracine sur un sol graveleux, dont les particularités se révèlent à travers la qualité des vins de la maison. Riche et drainant, ce terroir de graves se prête parfaitement à la culture des cépages phares du Médoc, qui sont le merlot et le cabernet. La maison travaille également sur d’autres cépages, dont le cabernet franc, le petit verdot et le carménère. « C’est l’assemblage de ces cinq cépages qui donne naissance à nos vins classés crus bourgeois », explique Laure Peyruse, responsable de l’œnotourisme au sein du domaine. En matière de vinification, la maison s’appuie notamment sur un cahier des charges strict et rigoureux, tout en préservant l’empreinte familiale qui a toujours démarqué les cuvées du Château Tour Castillon. Des cuvées nobles L’emblème du domaine est « La Révélation de Castillon », le mariage parfait entre merlot (50 %) et cabernet sauvignon (50 %). « Cette cuvée représente idéalement Médoc et ses terroirs », nous indique-t-on. Elle est issue des meilleures sélections du vignoble du Château Tour Castillon. L’élevage du millésime pendant 2 ans en fût de chêne ne joue qu’en faveur de son élégance et de l’intensité de ses arômes. Les autres cuvées n’ont absolument rien à envier à cette dernière. Les médailles de bronze attribuées récemment aux millésimes « Château Tour Castillon 2017 » et « Château Moulin de Taffard 2017 » au Concours agricole de Paris sont la preuve que chaque élixir a sa spécificité. Par ailleurs, les Peyruse se concentrent actuellement sur une nouvelle expérience : l’immersion de bouteilles de vins rouge dans la baie de Paimpol, en Bretagne. Une dégustation plutôt prometteuse ! ...
Innovation gourmande, 100% bio et vegan La germination inspire au premier plan l’élan de Rachel et Jean-Luc lors de la création de GAIA en 1992. GAIA élabore alors une gamme de pains très originaux à cette époque, car aucun ingrédient du pain classique ne les compose : ni farine, ni levure, ni sel, ni sucres, mais uniquement du blé, du seigle ou de l’épeautre germé ! Moelleux et doux à souhait, agrémenté d’oléagineux ou de fruits secs, vous pouvez le trouver en 5 variétés de 500 g, 3 variétés en 250 g et 2 variétés en 2x100 g. La même famille se décline en une gamme de galettes aux fruits secs -se situant entre pain et gâteau- et se poursuit avec ses variantes salées : les galettes « repas » à base de lentilles, de pois chiches ou de haricots germés. La gamme des galettes est idéale au petit déjeuner, au goûter, aux repas, lors de randonnées ou lors d’activités sportives. Le plaisir sans gluten Avec les galettes et les macarons à base de sarrasin germé (en sucré et en salé), les pains d’épices, la pâtisserie au tofu et 100% végétale : « Tof’délice » disponible en 5 saveurs, les brownies aux noisettes et les gâteaux au gingembre, GAIA vous offre un plaisir sans contraintes. La gamme sans cuisson, également sans gluten Impulsée par les bienfaits de l’alimentation vivante, GAIA concocte des produits élaborés pour vous faciliter la vie en accompagnant vos plats CRUsinés. Le partage Depuis 2005, GAIA s’est engagée dans une démarche solidaire et équitable avec l’ONG l’Orange Bleue Afrique et des organisations paysannes du Burkina Faso. Le but principal est de promouvoir le fonio, cette céréale ancestrale sans gluten et aux protéines complètes, afin d’améliorer les conditions de vie des familles des petits producteurs. Avec le fonio demi-complet, vous pouvez confectionner des gratins, des purées et des desserts. Le fonio complet, cuit à l’eau en 8 minutes, se prête entre autres à préparer un couscous ou un taboulé. Quant à la farine de fonio, elle est parfaite pour élaborer de délicieux gâteaux. ...
Jolie cadre montagnard situé au cœur d’un environnement privilégié, à 1600 mètres d’altitude au milieu du Pic du Midi de Bigorre et celui de Piquette, l’Auberge du Lienz perpétue une cuisine du terroir pyrénéen, une cuisine gouteuse et légère faite au naturel. Tenue par madame Corret depuis 52 ans aujourd’hui, cette auberge s’est vue décerner sous la direction de celle-ci, la médaille de bronze du tourisme en 2015, et le trophée du tourisme de la Caillere de Midi-Pyrénées. Le voyage dans l’assiette La tradition ici commence aux fourneaux, avec une cuisine magnifiquement orchestrée par le chef Franck. Il utilise majoritairement des produits provenant d’agriculteurs, d’éleveurs et de producteurs locaux. Ce cordon bleu issu de l’Ecole Hôtelière de Bordeaux et doté d’une expérience culinaire riche de ses voyages, met en avant une cuisine dynamique, légère, et respectueuse du terroir. A cet effet, il utilise pour ses assaisonnements, des herbes et fleurs cueillies au petit matin, pour révéler les senteurs de la nature au travers de jolies dressages en assiettes. Comme entrée signature, ventrèche de porc noir sur tartine d’oignons de Trébons grillée, légumes d’été fumés. Pour élaborer ce délice, les aubergines, tomates, et poivrons sont fumés, puis composés en une terrine assemblée avec le jus de cuisson du fumé. Cette entrée est servie avec des tranches de pain toastées, sur lesquelles on étale des oignons de Trébons tombés à la graisse de porc. Au-dessus, de la poitrine de porc séchée recouverte de terrine. Le pain utilisé par l’Auberge du Lienz pour ce succulent bonheur au gout frais, est un pain bio à base d’épeautre et fait maison. Parmi les plats phares de la maison, la garbure complète à la soupe et au jambonneau de porc accompagnée de ses légumes. Plat orchestré avec des jarrets de jambon bouillis dans de l’eau, et où l’on ajoute des oignons, clous de girofle, carottes, pommes de terre, haricots tarbais et choux. L’assaisonnement utilisé pour libérer les senteurs est l’ail écrasé. Les jarrets de jambon sec mis en vedette dans cette préparation vont donner à la garbure son véritable gout traditionnel. Après cuisson, le service se fait dans une soupière contenant le bouillon, les légumes et le jarret de jambon entouré de sa couenne. Ce dernier est moelleux et sa jutosité est libérée dans le bouillon pour le rendre succulent et léger. Autre plat phare de l’auberge, la truite de Lau Balagnas marinée au poivre Sansho, brunoise fraîcheur. Celui-ci est élaboré de plusieurs manières, mais conventionnellement, le filet de truite est assaisonné avec une marinade de poivre Sancho, du gros sel broyé et un peu de sucre. Par la suite, le filet de truite est découpé en carpaccio, et est étalé dans l’assiette accompagné de radis, concombre, pomme verte et un peu de basilic. Juste à côté sa petite vinaigrette à base de tomates cerises, citron et huile d’olive. Un jurançon sec est bien indiqué pour accompagner la dégustation de ce plat. Le dessert phare ici est le tartare de myrtilles. C’est une composition faite à base d’une pâte sablée recouverte d’une crème de vanille, et de myrtilles dans une gelée de vanille. La convivialité et la beauté à l’honneur À l’Auberge du Lienz, la convivialité est mise en avant grâce à la valorisation du terroir pyrénéen, et à travers des préparations qui varient au fil des saisons. Les clients y viennent et reviennent, compte tenu du service de qualité et de l’accueil chaleureux. Entre belles assiettes et tables bien dressées, le décor de bois, la cheminée de pierre, ou encore le parfum de fleurs en terrasse, le lieu impose son penchant pour la beauté et le naturel. A l’extérieur, les hôtes ont l’immense plaisir de profiter de la vue sur le Pic du Midi de Bigorre, le Pic de la Piquette et ses pistes de ski, et même la forêt d’Ayré. Une expérience culinaire au cœur de la nature en altitude, et très accessible avec un ticket moyen de 30 euros. ...
Après une carrière bancaire de plus de 20 ans dans le développement de la relation client auprès des grandes entreprises, Marie-Emmanuelle Thomas-Lepetit intervient dans des secteurs variés, avec une expertise plus particulière auprès des collectivités territoriales. Identité, puissance et développement pérenne sont au cœur de son accompagnement auprès des managers, leurs équipes et les organisations. Préparer un terreau favorable à l’épanouissement du capital humain de l’entreprise Bien qu’il ait longtemps été sous-estimé, le facteur humain doit être au cœur de la stratégie de l’entreprise. « Les résultats financiers d’une entreprise sont directement liés au bien-être de ses salariés » explique Marie-Emmanuelle Thomas-Lepetit, fondatrice de Melt Consultant. « Et dans le même temps, le développement d’une organisation mais aussi les limites auxquelles elle peut se heurter sont en lien avec le comportement de son dirigeant ». Ses nombreux clients ont d’ailleurs bien compris le bénéfice qu’ils pouvaient retirer de son coaching. « C’est un levier essentiel pour la réussite d’une entreprise. J’aide mes clients à développer durablement leur leadership mais ils me sollicitent également pour que je les accompagne dans des passages de caps, des prises de décisions importantes, la conduite du changement. Partagés entre l’opérationnel et le stratégique, beaucoup de managers éprouvent des difficultés à prendre de la hauteur ». En fonction de la demande de son client individuel ou équipe, Marie-Emmanuelle l’accompagne en l’aidant à mobiliser ses ressources càd en lui donnant la canne à pêche, soit en lui proposant des pistes, des solutions càd du poisson. « Mon rôle consiste à préparer un terreau qui soit favorable à l’épanouissement du capital humain au sein de l’entreprise » précise Marie-Emmanuelle. « Je mets en place les conditions pour que la ‘’plante pousse’’. Au final, c’est le dirigeant ou le manager qui décidera mais au préalable. Selon moi, c’est la clé d’un développement qui soit à la fois durable car éthique pour le manger et son équipe ». Aider ses clients à se focaliser davantage sur leurs points forts Parce que ses clients traversent bien souvent des périodes difficiles (contexte de crise, de restructuration, d’incertitude lié au changement au sein de l’organisation), Marie-Emmanuelle axe son approche sur la confiance. « Dans un contexte de transformation, nous avons généralement tendance à rétrécir notre vision, à nous focaliser sur nos faiblesses et à oublier nos points forts. Or, les neurosciences l’ont démontré, il est plus efficace de développer ce que l’on sait bien faire, nos talents, nos atouts, que de se concentrer sur ce que l’on maîtrise moins ». En tant que praticienne certifiée MBTI (Myers&Briggs Type Indicator) et DISC (ou « couleurs » pour Dominant Influent Stable Conforme) , Marie-Emmanuelle s’appuie sur la photo que donne l’analyse des résultats des ces questionnaires pour permettre au manager d’identifier clairement son comportement de celui de son équipe. L’objectif pour le manager et l’équipe est de dépasser ses différences pour fonctionner ensemble en complémentarité. Marie-Emmanuelle accompagne aussi régulièrement des parcours axés sur le leadership auprès des managers-clés et des dirigeants au sein d’entreprises du CAC40. La fondatrice de Melt Consultant développe actuellement des offres auprès des particuliers. Que ceux-ci aient à gérer une transition, à s’adapter à un changement (réorientation professionnelle, reconversion, départ en retraite) ou à surmonter une rupture de vie (divorce, décès, déménagement). « J’ai remarqué que bon nombre de jeunes démissionnaient quelques mois seulement après avoir démarré leur premier emploi » explique Marie-Emmanuelle. « La raison invoquée est qu’ils se sont rendu compte que ce n’était pas leur voie. Le coaching peut a...
La sclérose en plaques (SEP) est actuellement reconnue comme une des causes principales du handicap chez l‘adulte jeune en France. La maladie s’explique par une inflammation du système nerveux central (SNC) et se manifeste par différents symptômes qui varient selon la localisation des lésions. Les symptômes les plus connus sont les troubles moteurs tels que la difficulté à marcher ou les troubles de l’équilibre. Mais il existe des troubles tout aussi invalidants que l’on désigne par « symptômes invisibles ». C’est ce que le hashtag #MyInvisibleMS tient actuellement à faire connaître sur la Toile et les réseaux sociaux. Une maladie auto-immune Les causes exactes de la SEP sont jusqu’à présent méconnues. Pour l’heure, les recherches révèlent uniquement les mécanismes de la maladie. Tout se déroule au niveau du système nerveux central qui comprend le cerveau, la moelle épinière et les nerfs optiques. On parle de SEP lorsque la gaine de myéline qui enveloppe ce système se dégrade à cause des inflammations. Notons que cette gaine de myéline a pour rôle de protéger les nerfs et d’augmenter la vitesse de propagation de l’influx nerveux. Une démyélinisation entraine des troubles neurologiques, puisque la transmission de l’information élaborée par le cerveau ou venant de la périphérie est perturbée. Mais, en général, la majorité de ces troubles disparaissent, ou du moins régressent, une fois que la myéline se régénère. Il faut noter toutefois que si la maladie évolue ou que les inflammations sont trop importantes, les mécanismes de réparation sont insuffisants. Dès lors, les symptômes persistent et le handicap s’installe. Par ailleurs, le fait que la SEP soit une maladie auto-immune rend la remyélinisation plus difficile. En effet, lors des poussées, le système immunitaire de l’individu concerné considère la gaine de myéline comme un corps étranger. Ce qui fait que la réaction immunitaire est menée contre le corps lui-même. Des symptômes multifactoriels Il est souvent difficile pour l’entourage du patient de reconnaitre et de comprendre les symptômes invisibles de la sclérose en plaques. Le patient lui-même a du mal à admettre sa maladie, s’efforçant de tenir le coup lors de la première poussée. Durant cette phase apparaissent les dénommés « symptômes invisibles » qui sont d’ordre neurologique : fatigue extrême, troubles de la mémoire ou de la concentration, dépression, anxiétés… L’aggravation de ces symptômes ou l’apparition de nouveaux signes cliniques est ce qu’on désigne par le terme « poussée ». Les symptômes de la SEP diffèrent d’une personne à l’autre, selon la zone lésée. Ainsi, certains patients souffrent de troubles de la sensibilité qui se manifestent notamment par des sensations de fourmillement ou de picotement au niveau des bras, des jambes, du thorax ou encore d’une partie du visage. Ces sensations sont souvent suivies d’une impression de froid ou de ruissellement sur la peau ou bien encore d’une sensation d’étau, voire des douleurs. Une personne atteinte de SEP peut également présenter une baisse de l’acuité visuelle accompagnée d’une douleur autour de l’orbite. Dans d’autres cas, on note une diplopie (vision double), ces symptômes étant dus à une névrite optique (inflammation du nerf optique). D’autres symptômes de troubles urinaires peuvent aussi se manifester. Traitement de la SEP : un défi encore à relever Malgré l’avancée des recherches, aucun traitement n’a encore été trouvé pour lutter efficacement contre la sclérose en plaques. Les solutions adoptées jusqu’alors ne permettent que de ralentir l’évolution de la maladie et de diminuer la fréquence des poussées. Par ailleurs, la prise en charge de la SEP est multidisciplinaire. Différentes compétences sont donc associées dans le but d’améliorer le quotidien des patients. Une première approche consiste à traiter la maladie par des médicaments à effet anti...
Créée en 2015 par la Maison des vins du Languedoc, l’Ecole des vins du Languedoc située dans un ancien mas vigneron du 17e siècle a été ouverte pour que tous les amateurs de vins puissent se former à l’univers du vin d’une manière ludique et découvrir le vignoble languedocien et ses différents terroirs. Les différentes formations que propose l’Ecole du Vins du Languedoc ont pour mission d’apprendre le vocabulaire utilisé dans l’univers viticole, s’initier à la dégustation, développer ses connaissances en œnologie et découvrir le vignoble languedocien. Toutes ces formations sont animées par des professionnels passionnés (sommelier, œnologue, …). Un espace dégustation professionnel de 100 m² avec crachoirs est mis à disposition des participants. Des formations découvertes et sur-mesure... Une des formations les plus demandées dans le catalogue de l’Ecole des vins est le « B.a.ba du vin ». Elle est proposée une à deux fois par mois. Elle vous enseignera les principes de base de la dégustation. Tout le vocabulaire du vin vous sera également dévoilé. Vous utiliserez vue, odorat et gout pour découvrir et déguster les vins proposés. Une expérience ludique et des clés indispensables pour choisir son vin et le partager. Vous pourrez également choisir la formation « Comment fait-on du vin », un des 3 instants gourmands pour vous former aux accords mets-vin, ou une de celles consacrées au goût des terroirs et arôme du vin. Toutes ces formations durent 2 heures et permettent de découvrir 5 à 8 vins. Elles peuvent être regroupées dans un coffret cadeau à offrir à un de vos proches, en en sélectionnant 3 au choix. … Des formations longues ou des journées œnologiques Les formations longues sont dédiées à l’initiation à la dégustation et à l’étude des terroirs. Regarder, sentir, goûter, identifier les arômes et leurs terroirs n’auront alors plus de secret pour vous. Elles durent une journée et offrent la possibilité de déguster 8 à 15 vins. Et des formations professionnelles Celles destinées aux professionnels se concluent par des diplômes reconnus et au niveau international : le Master Level Sud de France et le diplôme en “Vins et Spiritueux WSET niveau 2”. ...
La société capitalise une solide expérience et une expertise confirmée dans l’installation, la rénovation et le dépannage réseaux en Rhône-Alpes et dans la région PACA. Ses prestations professionnelles sur mesure se déploient sur plusieurs niveaux en fonction des besoins des particuliers, commerces, entreprises ou industriels. Aujourd’hui, Angel ‘Electricité axe ses prestations vers la domotique intelligente, une solution plus durable et plus écologique gage d’une meilleure qualité de vie. Des offres ciblées La société se spécialise dans les installations électriques pour logement, local d’entreprises et bâtiments hospitaliers. Conformément au cahier des charges fourni, elle est à même d’effectuer une installation complète des réseaux de communication et des équipements à commande automatique, des systèmes de verrouillage électroniques et des équipements de sécurité. « Nos métiers passent par l’alarme, le chauffage, l’éclairage, la climatisation, l’aspiration centralisée, l’interphonie, le multiroom audio, et la vidéosurveillance », précise Didier ANGELI, gérant de cette société rhônalpine. Outre le service de conception et de montage, Angel ‘Électricité intervient également dans la maintenance des éclairages techniques, le dépannage et la rénovation électrique sur des logements existants. En parallèle, elle effectue aussi des remises aux normes des équipements de sécurité, du contrôle d’accès et des installations thermiques, aussi bien sur les maisons neuves qu’anciennes. « À chaque intervention, nous appliquons le référentiel RT2012 afin de respecter les impératifs de sécurité et de sûreté exigés par notre métier. » Habitat connecté, la maison du futur Angel ‘Électricité entre dans une nouvelle ère en orientant son cœur de métier vers l’univers de la maison connectée. La domotique version light et la domotique intelligente figurent désormais parmi sa gamme de solutions. « En collaborant avec nos partenaires privilégiés, à l’instar de la marque Legrand Netatmo, Loxone, Delta Dore,et Hager, nous souhaitons nous développer dans un premier temps sur le marché de la rénovation. » Grâce à la micro-informatique, tous les appareils domestiques peuvent être reliés et centralisés sur une box, qui va piloter l’ensemble via des commandes numériques. Le smart home est synonyme de confort mais aussi d’énergie positive en tant qu’alternative respectueuse de l’environnement. Ainsi, la société apporte une panoplie de solutions dans la gestion de consommation de chauffage, d’éclairage et d’électricité pour réduire la facture d’énergie des foyers, sans engager de lourds travaux. Des prestations personnalisables sont aussi proposées à destination de ceux qui souhaitent évoluer vers l’installation connectée, que ce soit au niveau du système de sécurité ou d’automatisation des volets et portails. ...
Le Groupe Bolloré a fait l’acquisition récemment du Domaine de la Croix et de la Bastide Blanche, en 2001. Le groupe effectue d’énormes réhabilitations telles que le renouvellement de 80 % des vignes et investit dans les nouvelles technologies pour optimiser la cave et hisser la qualité des cuvées. D’excellents vins produits au Domaine de La Croix ont depuis fait voltiger les palais des fins connaisseurs à savoir La Croix Cru Classé Cuvée « Organdi », La Croix Cru Classé Cuvée « Eloge », La Croix Cru Classé Cuvée « Irrésistible » et Bastide Blanche Cuvée « TWOB ». Les portes du Domaine de La Croix restent ouvertes pour les visites, dégustation de vins ou réceptions. Le Domaine de La Croix Le vignoble de 100 hectares est classé comme le plus vaste des Crus Classés se situant en aval du village de la Croix Valmer, dans la Presqu’île de Saint-Tropez. Les cépages se développent sur un terroir unique bénéficiant notamment de belles influences maritimes. Un sol pauvre et schisteux accueille alors le Grenache et le Cinsault. La Syrah et le Cabernet se plaisent sur les terres argileuses et les Rolle, Mourvèdre et Tibouren se réservent le terroir sablonneux du bord de mer. Le domaine porte également une attention toute particulière au respect de l’environnement, d’autant plus qu’il bénéficie de ce cadre paradisiaque. L’eau est donc recyclée et la production des vins en AOC Côtes-de-Provence suit une démarche raisonnée. La Bastide Blanche Cet autre vignoble du Groupe Bolloré s’étend sur 15 hectares, en bordure du littoral. Si l’environnement est magnifique au Domaine de La Croix, ici, il l’est encore plus. Nichés entre le Cap Taillat et le Cap Lardier, les vignes côtoient une plage naturelle et des eaux turquoises. La préservation de cet environnement de rêve passe aussi par l’application d’une agriculture raisonnée. Un Rosé digne de l’appellation Côtes de Provence Sa douceur telle une caresse et ses saveurs de fruits font de la Croix Cru Classé Cuvée « Organdi » Rosé 2015 un vin haute couture. Transparente, cette Cuvée s’habille d’une robe rose pâle poudrée avec en nez, des notes florales de Violette et Rose. L’équilibre est gardé grâce à un arôme fruité de litchi et d’agrumes. L’expression aromatique complexe et sucrée s’accorde à une bouche ample et voluptueuse où la Violette est de nouveau ressentie et accompagnée d’arômes frais de mangue. Une texture minérale dense persistante donne une longue finale. Quelques mois de plus dans son flacon classique aux parures d’argent ne fera que du bien à ce Rosé gastronomique. Les garanties de la qualité Le Domaine de La Croix est classé cru exceptionnel des Côtes de Provence depuis 1955. De ce fait, il a une réputation à entretenir et à développer. Les récompenses du travail qu’a fourni l’équipe du domaine ont été mémorables lors du millésime 2013. L’année suivante a donc été une année de consécration pour les Rosés. La Cuvée Organdi Rosé a été décorée d’une médaille d’or au Concours des Vins de Provence 2014 et d’un argent au Concours général Agricole de Paris. Chacune des Cuvées Eloge Rosé du Domaine de la Croix et TWOB Rosé de la Bastide Blanche ont aussi remporté une médaille d’or au Concours Général Agricole de Paris 2014. Parmi les rouges, la Bastide Blanche Cuvée TWOB du millésime 2012 a reçu cette distinction. ...
La start-up eVeDrug en quelques mots Le constat : une législation qui confère au patient le droit de déclarer lui-même ses propres effets indésirables (depuis 2011) mais où le taux de déclaration patients ne dépasse guère 5%. Cela remet en cause l’efficacité du système de pharmacovigilance classique (la notification spontanée), d’autant plus que les patients se tournent de plus en plus vers les réseaux sociaux et les forums de discussion pour s’exprimer. La solution d’eVeDrug : une application qui permet aux patients et professionnels de déclarer les effets indésirables d’un médicament depuis tout type de support numérique (téléphone, tablette etc... ) et depuis tout pays de l'Union Européenne. Une transmission en temps réel vers les autorités de santé. L’innovation prend tout son sens : l’e-santé revisite la voie classique de la notification en prônant une voix plus rapide, fiable et sécurisée. My eReport : une interface entre les acteurs de la pharmacovigilance À la croisée des « enjeux de santé publique, commerciaux et concurrentiels », l'application My eReport, première application européenne à avoir été créée en 2013, joue le rôle d'un outil collaboratif permettant de collecter les effets indésirables à grande échelle. Traduite en sept langues, utilisable dans tous les pays de la zone européenne, l’application permet, sur la base de la localisation géographique fournie par le patient ou le professionnel de santé, l'envoi de la déclaration à l'autorité de santé concernée. En contrepartie de sa déclaration, le déclarant bénéficie d'un retour d'information lui indiquant, d'une manière très pédagogique (sans remettre en cause la qualité du médicament ni celle du traitement concerné), le nombre de personnes ayant présenté les mêmes effets secondaires déclarés avec les mêmes médicaments. L'application lui renvoie également l'adresse mail exacte du service auquel sa déclaration a été envoyée et propose, dans le cas d'une déclaration patient, l'envoi d'une copie au médecin traitant. Le patient désireux d'être recontacté par une autorité de santé peut s'authentifier, mais l'anonymisation est proposée par défaut (Toutes les études montrent qu'un patient obligé de s'authentifier ne déclarera jamais rien... la peur de mal faire. À l'heure du Patient expert, il faut respecter le choix du patient et prendre en compte les déclarations anonymes... D'ailleurs, les déclarations anonymes sont tout aussi pertinentes sur le fond que les autres). À noter que le système est le seul à proposer un retour d'information en temps réel (pour l'utilisateur de l'application, à la fin de sa déclaration... ou pour tous, par l'intermédiaire du site en ligne myereport.eu) Patients et professionnels ont donc tout intérêt à déclarer. Cette déclaration se fait uniquement vers les autorités de santé. À terme, il faudrait que ces données puissent être également utilisées rapidement par l’industrie pharmaceutique afin que celle-ci puisse mieux anticiper les risques liés à ses produits. « les circuits de déclaration sont à revoir afin de sortir des stéréotypes du style gentils Institutionnels (qui contrôlent les médicaments) contre méchants industriels (qui les fabriquent). Peut-être alors arrivera-t-on à parler de pharmacovigilance véritablement citoyenne où patients, professionnels de santé, laboratoires et autorités de santé travailleraient vraiment ensemble pour le bien des patients ». * Source ...
Le Vieux Couvent a décidément tout pour plaire. Son cadre déjà, sous ses airs bucoliques, s’admire à travers les grandes baies vitrées qui surplombent la salle et qui donnent sur la rivière du Brunnwasser. Sa cuisine, bien sûr, mise en scène avec délicatesse et passion par Alexis Albrecht. Dans l'assiette : les légumes du jardin, les herbes aromatiques, les fleurs comestibles, les poissons sauvages et de la pêche locale, les gibiers de nos chasseurs et les producteurs locaux remplacent les produits industriels. Le talent et le savoir-faire d’une référence gastronomique Après son apprentissage à Ottrott avec Patrick Fritz, Alexis Albrecht évolue auprès des étoiles de la gastronomie française, dont Jacques Maximin à Vence, Émile Jung au Crocodile et les frères Pourcel à Montpellier. De retour au Vieux Couvent en 1997, il y seconde son père, Jean Albrecht. Maître restaurateur, membre des étoiles d’Alsace ainsi que du club gastronome Prosper Montagné, Alexis dirige maintenant le restaurant étoilé. Ses menus dévoilent une mélodie de saveurs qui se succèdent harmonieusement depuis l’entrée jusqu’au festival de desserts. Un détail important qu’il nous fait savoir : « Je me sens autant cuisinier que pâtissier et je pense qu'il est important d'avoir une vraie continuité entre la partie salée et la partie sucrée. » En effet, Alexis a été élu « pâtissier de l'année 2015 » par le guide Gault & Millau. Une cuisine au naturel et au rythme des saisons La maison propose une cuisine inventive, inspirée de la nature et des produits issus du jardin de la maison familiale. « La nature, de la fourche à la fourchette, fait partie de notre façon de travailler. J’y puise toutes mes idées », fait savoir Alexis Albrecht, pour expliquer l’évolution de la carte du restaurant. Les plats emblématiques de la maison, comme le carpaccio d’espadon, le foie gras d’oie ou la matelote recuisinée, restent sur la carte généralement toute l’année mais se retravaillent différemment au fil des saisons. Côté vins, Alexis et son équipe proposent près de 350 références de vins français et étrangers garantissant des accords en parfaite harmonie. ...
1. Les filières de santé représentent les maladies rares Pour sensibiliser les professionnels de santé et diffuser l’information auprès d’eux, les filières de santé maladies rares conduisent des actions de communication conjointes, notamment en participant régulièrement à des congrès professionnels nationaux : • Congrès des médecins généralistes, • Congrès des internes, • Congrès de pédiatrie, • Congrès des urgences, • Assises de génétique, • Congrès des différentes sociétés savantes, • Congrès « Rare ». D’une grande richesse, ces événements constituent de réels moment de partage. Ils sont l’occasion d’échanger sur le vécu des patients atteints de maladies rares, sur leur prise en charge et sur les outils développés par les filières pour les professionnels mais aussi pour les patients. La présence des filières de santé maladies rares sur ces différents congrès est essentielle. Rappelons que ces structures ont notamment pour objectif de communiquer, de faire connaitre, d’interpeller et de sensibiliser les professionnels aux enjeux des maladies rares. Parce qu’ils bénéficient d’une très grande fréquentation, ces congrès nationaux offrent une importante visibilité aux filières. Ce sont de véritables lieux de rencontres qui permettent de mettre un coup de projecteur sur les maladies rares et sur leurs enjeux. 2. Les filières développent des outils nationaux Dans le but d’améliorer la prise en charge des patients atteints de maladies rares, les filières ont développé une large palette d’outils innovants dont voici quelques exemples : Les cartes « urgences » sont des cartes personnelles d’information qui ont pour but d’améliorer la coordination des soins des patients atteints de maladies rares, notamment en situation d’urgence. Proposées aux malades par les centres de référence maladies rares, ces cartes sont distribuées par des médecins spécialisés. Elles indiquent les symptômes devant être pris en compte dans l’évaluation du malade. Ces cartes synthétisent également les gestes à effectuer - ou, au contraire, à éviter - en situation d’urgence. Plus complètes et prenant la forme de recommandations pratiques pour la prise en charge des patients atteints d'une maladie rare et qui nécessitent des soins médicaux en urgence, les fiches « urgences » sont destinées aux médecins urgentistes. Ceux-là mêmes qui interviennent sur le lieu de l'urgence (à travers la régulation du SAMU) ou au sein des urgences hospitalières. Expliciter aux professionnels concernés la prise en charge diagnostique et thérapeutique optimale actuelle ainsi que le parcours de soins d’un patient atteint d’une maladie rare donnée, tel est l’objectif des PNDS (Protocoles Nationaux de Diagnostic et de Soins). Ce dispositif permet, en effet, d’optimiser et d’harmoniser la prise en charge ainsi que le suivi de la maladie rare sur l’ensemble du territoire Le PNDS peut également servir de référence au médecin traitant en concertation avec le médecin spécialiste. Il est possible de se procurer les PNDS sur les sites : ▪ de la HAS, ▪ du centre de référence compétent, ▪ des filières de santé maladies rares elles-mêmes. Les réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP) regroupent des professionnels de santé de différentes disciplines dont les compétences sont indispensables pour prendre une décision accordant aux patients la meilleure prise en charge qui soit. Les professionnels du soin peuvent ainsi soumettre - pour avis - des dossiers de patients aux centres de référence/experts afin qu’ils soient discutés lors de RCP. Le Programme & référentiel de transition consiste, ...
La madeleine est une gourmandise intemporelle. Dans la biscuiterie Jeannette, on révèle son goût raffiné depuis 1850. Dans la banlieue de Caen, elle est produite avec des ingrédients nobles : de beaux produits de la région, le savoir-faire d’un meilleur ouvrier de France, et surtout la détermination et la patience de son repreneur, Georges Viana et de ses équipes. L’excellence au service d’un beau produit. Une madeleine d’exception se confectionne tout d’abord avec de beaux produits : des oeufs de poule élevées en plein air, des farines normandes et du beurre AOP d’Isigny, l’un des deux seuls beurres AOP de France. Mais il faut aussi les idées et la maîtrise des gestes d’un meilleur ouvrier de France et champion du monde des desserts : Philippe Parc. Ce chef reconnu a également développé pour Jeannette la gamme J aux saveurs d’ailleurs. Des madeleines à la rose de Damas au parfum subtil et délicat. Les madeleines « soleil levant » un plaisir équilibré d’agrumes asiatiques et d’autres créations toute en finesse comme les madeleines à la vanille, au chocolat, ou à la noisette. Privilégier la qualité à la quantité : un véritable engagement Quelle que soit la recette, la biscuiterie Jeannette recherche avant tout la qualité. C’est aussi une démarche socio-économique. Pour Georges Viana, le repreneur, c’est un état d’esprit. Produire de beaux produits, est certes un peu plus cher, mais cela permet de créer des emplois en France, et de se faire réellement plaisir quand on les consomme. Et le pari est gagnant : la biscuiterie emploie aujourd’hui 30 salariés dans son usine. Et 40 salariés en situations de handicap en ESAT (établissement et service d’aide par le travail) qui mettent les madeleines dans les packagings. Une biscuiterie artisanale qui a su renaître de ses cendres. Il aura fallu beaucoup de ténacité et d’engagement pour faire revivre la marque Jeannette, la plus vieille biscuiterie de Normandie. Depuis 1850, elles confectionnait des biscuits secs, mais surtout des madeleines qu’elle vendait partout en France. Ses madeleines avaient même remporté la médaille d’argent au concours de Paris en 1900. A la belle époque, des années 70 à 80, la biscuiterie représentait 80% du marché français et avait jusqu’à 400 employés. Mais Jeannette n’a pas vu arriver les grandes surfaces et tous les changements qu’elles apportaient avec elle. La biscuiterie est donc vendue à une entreprise qui reprend la majorité de ses recettes et ne laisse à Caen que la fabrication des madeleines. Mais d’années en années, l’activité décline. Après plusieurs redressements judiciaires successifs, l’entreprise est finalement liquidée définitivement en décembre 2013. En 2014, le matériel est donc mis aux enchères. Mais de nombreux employés vont se battre pour essayer de le récupérer. Ils occupent l’usine et réussissent à empêcher la vente. La bataille aura aussi le mérite d’alerter les médias. C’est de cette façon que Georges Viana entendra parler de la biscuiterie Jeannette et surtout de ses salariés prêts à se battre pour elle. La situation était complexe, puisque juridiquement, l’entreprise n’existait plus. Georges Viana devait donc trouver, dans un premier temps, un moyen de récupérer la marque. Après avoir mis au point un plan d’action, il était temps de le faire financer. Mais les banques de la région ne voulaient plus avoir à faire avec la biscuiterie. Chacune avait eu à faire avec l’un des redressements judiciaires successifs. Le repreneur décide donc de se tourner vers le financement participatif. Aller là où on ne l’attend pas. Quand il contacte la plateforme de financement participatif pour fixer son objectif à 50 000€, ses interlocuteurs sont plutôt sceptiques. A l’époque, personne n’a jamais dépassé une levée de fond de plus de 20 000 euros sur leur site. Mais Georges Viana s’obstine. A raison. Puisqu’il obtiendra finalement plus de 100 000€ grâce à la mobilisation des internautes normands. Le tribunal de commerce lui attribut alors la marque « Biscuiterie Jeannette &raqu...
Installé en plein centre de Saint-Étienne, non loin de l’intersection de la rue Léon Nautin et celle des Martyrs-de-Vingré, l’Absinthe Café est le lieu d’une cuisine moderne, originale, aux inspirations thaïlandaises et japonaises. Le propriétaire des lieux David Durand, et son associé et chef Thomas Jacoud, ont fait de ce café de quartier piéton, une adresse de dégustation gastronomique attirant du beau monde.Les convives de passage profitent ici de plats revisités aussi succulents les uns que les autres. Des plats originaux et variés Dans cet univers culinaire, les hôtes prennent placent à des tables, n’attendant plus que les douceurs élaborées aux fourneaux par Thomas Jacoud. Ce chef qui est passé par une école hôtelière traditionnelle, des stages dans de belles maisons gastronomiques et restaurants étoilés, orchestre avec soin une cuisine originale qui change au fil des saisons, avec mise en avant des produits du terroir stéphanois. La maison propose à cet effet, des plats signatures tels que la tarte fine de morilles au parmesan et à l’huile de truffes comme entrée, ou encore le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison comme plat principal. Ce dernier est une interprétation du classique bœuf bourguignon. Il est fait à base de bœuf mijoté longtemps à feu doux pour donner une viande compotée à la texture effilochée, tendre et fondante en bouche, accompagnée de lardons et d’oignons. Des bouchées revisitées sous la forme de makis de bœuf bourguignon. Pour la garniture, en guise d’algues qui rappellent l’inspiration du chef pour la cuisine japonaise, des spaghettis de carotte. La composition forme un ensemble original avec au centre du hachis de bœuf accompagné de lardons et d’oignons. Des makis servis avec des pommes dauphines. Parmi les desserts signatures, le « croustillant de marron meringué ». Ce dessert est orchestré à partir d’une pâte à langue de chat très fine dans laquelle on met une mousse de marron. Le biscuit est ensuite roulé dans la meringue italienne, puis dans un craquant au praliné. Les clients apprécient d’autres délices comme « La minute de saumon » qui est un plat du midi reflétant l’identité de l’Absinthe Café. Ce dernier est élaboré avec un saumon levé et finement découpé comme un carpaccio qu’on étale dans une assiette, puis passé au four quelques minutes pour être mi-cuit. Le tout est recouvert d’une sauce beurre d’aromate composée à partir d’échalotes, de citron vert, de sauce soja et beurre noisette. Egalement à la carte, des recettes asiatiques comme le tataki, ou encore le dashi qui est un potage japonais. Une carte des vins raffinée L’absinthe est la boisson phare de cette généreuse adresse aux allures de bar, et à l’ambiance décontractée. Plusieurs variétés de ce spiritueux y sont servies, toujours de manière classique à l’aide de grandes et magnifiques fontaines, dans des verres traditionnels accompagnés d’une cuillère et de sucre. Les convives peuvent ainsi profiter d’une dégustation d’absinthe classique, de grande absinthe, d’absinthe parisienne, fait Suisse, et même à la française pour ceux qui exige la qualité. A cet effet, nous avons des noms tels que la Fée XS Suisse, l’Absinthe Pernod, et la Fée Parisienne. Egalement des vins rouges à la carte avec l’AOC Gigondas Saint-Joseph, qui se marie bien avec le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison. L’élaboration de celui-ci passe par un encépagement au Syrah, roussanne ou marsanne. Équilibré et élégant, c’est un vin fin à la robe pourpre soutenue, dégageant des senteurs de cassis et framboise évoluant vers une note de réglisse et de cuir. ...
Créé en 1880 et dédié à la production de truffes, le domaine de la Grande Séouve où est situé la Maison Saint Aix a été reconverti en vignoble dans les années 1900. Aujourd’hui, il est la propriété d’Eric Kurver, viticulteur d’origine hollandaise qui s’est installé en Provence avec sa famille dans les années 2000. Le must de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence Niché près de la commune de Jouques, au nord d’Aix-en-Provence, le domaine repose sur un terroir de caractère. La Provence est réputée pour son originalité bien présente. Essentiellement argilo-calcaire, « la terre force les pieds de vignes à puiser l’eau profondément, ce qui confère tout son caractère à la cuvée », explique Eric Kurver. Le domaine exposé plein sud culmine à une altitude de 400 mètres au gré d’un courant d’air chaud et sec idéal pour les cépages comme le grenache, la syrah et le cinsault. Vignoble en agriculture biologique, le domaine de la Grande Séouve s’oriente vers une culture en harmonie parfaite avec l’environnement. Ses vignes vieilles de quarante à cinquante ans procurent une maturité exceptionnelle aux raisins. Un vin d’exception… Avec son élégance et sa fraîcheur, AIX Rosé, certifié bio, s’impose comme une référence auprès des œnophiles avertis. Le « Great Rosé @ Great Places » trouve sa place dans toutes les caves des plus grands établissements parisiens, aixois et lyonnais, et s’exporte dans une trentaine de pays dont les États-Unis, l’Australie et la Suisse. La distribution est « très sélective pour préserver cette authenticité qui nous est chère », souligne Eric Kurver. La robe rose saumon hypnotique d’AIX Rosé révèle la qualité et la fraîcheur des meilleurs rosés de Provence. Sa générosité, sa structure ainsi que sa longueur en bouche font d’AIX le rosé idéal à partager le temps d’une soirée, d’un repas, d’un moment… Agréable à l’apéritif, il accompagnera également vos salades, poissons et viandes grillés. ...
Situés au cœur de Paris, à deux pas de la Comédie-Française, du Louvre, des jardins du Palais-Royal et des Tuileries, les restaurants Vin & Marée Saint-Honoré et Saint-Lazare vous accueillent pour un déjeuner ou un dîner après un spectacle à l’Opéra. Les restaurants ouvrent leurs portes tous les jours dès 11 h 30. Il est possible de venir s’y restaurer jusqu’à 00 h 30. Une cuisine raffinée Les restaurants Vin & Marée sont des restaurants gastronomiques spécialisés en fruits de mer et poissons nobles. Vous pourrez y déguster une grande variété de poissons : sole, turbot, homard bleu, saint-pierre, bar ou daurade royale, tous accompagnés d’une authentique purée de rattes à l’huile d’olive. Mais les amateurs de viande ne sont pas oubliés. Ils pourront par exemple savourer un succulent carré d’agneau parfumé au thym. Les plus gourmands ne manqueront pas l’incontournable baba au rhum en dessert. Ces belles adresses sont reconnues par la fraîcheur de leurs produits et la générosité de leurs plats. Des restaurants et des chefs qui vous assurent une table appétissante dans un décor raffiné sans être pour autant guindé. Une belle palette de vins Pour accompagner votre repas, dégustez des champagnes Grands crus, blancs de Blancs millésimés et des vins de Loire, Bourgogne, Grands bordeaux. Vous pourrez également vous laisser surprendre par les suggestions. ...
Une sélection de créateurs Pour explorer les bijoux de ces six créateurs, il faut notamment se laisser tenter par les élégants ballotins ou encore les box gourmandes, tout droit sortis des ateliers de la chocolaterie Puycard. Ce leader incontesté du savoir-faire artisanal suggère d’harmonieuses combinaisons de délices comme de succulentes tablettes faites maison, de gourmandes réglettes de calissons et de délicates barres de nougat dans une même offre à seulement 35,90 euros. Ce maître chocolatier fait, depuis sa création en 1967, le choix audacieux de se passer d’additifs, pour garder intacte la puissance de ses arômes. Avec ses “Cœur de France” et “Cœur de Nantes” , à seulement 21,30 euros, la chocolaterie Philippe Castelane, elle, livre sur chocolaterieonline.com une toute aussi prestigieuse gamme de produits artisanaux. Du haut de ses 25 ans d’expérience, ce maître chocolatier n’hésite pas à innover même lorsqu’il s’agit de proposer des classiques. Des valeurs sûres Chocolaterieonline.com a ainsi choisi de miser sur des valeurs sûres pour convenir au palais les plus exigeants. Les créations de Henri Le Roux avaient donc toute leur place dans ce panel de fines gourmandises. Le maître, qui a mis au point la recette du fameux caramel au beurre salé, vend sur cette plate-forme ses bouchées au praliné craquant et ses coffrets chocolats aux riches saveurs. Ses tablettes chocolat noir Madagascar ou Brésil à 17,60 euros sont un appel au voyage. Tout comme les créations de Sadaharu Aoki. Ce génie japonais qui a su combler les gourmets grâce à un style épuré. Un univers bien particulier, où l’explosion des couleurs se mêle à la diversité des saveurs, dans de surprenants coffrets bonbons maquillage, à 19,80 euros. Ses chocolats taillés avec finesse n’ont pas fini de faire leur effet. Même souci du détail, du côté du leader du praliné belge, Planète Chocolat. Cette enseigne fait dessiner ses petits bijoux par des artistes. Parcourir ses produits est un ravissement pour les yeux et pour les papilles, comme le prouvent ses coffrets chocolats pralinés à 44,90 euros. De véritables idées cadeaux à considérer en période de fête. Tout aussi agréable à regarder et surtout à croquer que les sublimes coffrets chocolat de Pascal le Gac. Ses ganaches et pralinés sont d’une complexité à ravir les passionnés de chocolat. Son coffret amandes enrobées à 28,80 euros promet une belle longueur en bouche et un fondant inégalable. ...
C’est Claude Grison, professeur de chimie bio-organique à l’université de Montpellier, qui est à l’origine de cette initiative innovante inspirée de l’écologie. L’objectif de son laboratoire, travaillant en partenariat avec le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), est « de combiner chimie et écologie afin de trouver des solutions écologiques, durables et inspirées de la nature et de résoudre les problèmes environnementaux liés à la dispersion des métaux de transition, non biodégradables », nous explique-t-elle. Les plantes, grâce à leurs propriétés extractives, figurent parmi ces solutions révolutionnaires qui guideront la chimie de demain. Une chimie verte au service de l’écologie Le tarissement des ressources mondiales de minéraux primaires et stratégiques est aujourd’hui une grande problématique environnementale et économique. La demande en éléments métalliques ne cesse de s’accroître alors que les ressources deviennent de plus en plus rares. Un phénomène qui pousse les exploitants à user de pratiques diverses d'extraction et d'exploitation conduisant inévitablement à la pollution des milieux naturels. « Dans une volonté de réhabiliter de façon écologique ces zones polluées, nous avons développé des phytotechnologies telles que la phytoextraction, la rhizofiltration ou la biosorption. L’idée est d’utiliser les capacités extractives de certaines plantes, terrestres et aquatiques qui peuvent extraire les métaux du sol, des systèmes aquatiques, des effluents industriels et les stocker par la suite dans leurs feuilles ou leurs racines », nous explique Claude Grison. Un problème continue pourtant à persister : il n’existe jusqu’alors aucun procédé destiné à valoriser cette biomasse riche en Éléments traces métalliques (ETM). Pour que cette biomasse ne soit plus perçue comme un déchet, Claude Grison et son équipe ont planché sur un moyen de recycler les ETM emmagasinés dans les plantes. Une approche intitulée « écocatalyse », qui permet à la biomasse riche en ETM de ne plus être un déchet, a été créée. « Désormais, ces déchets indésirables seront innovants et utiles en chimie écologique », se félicite la scientifique. ...
Tombés amoureux de la montagne, Monique et Luc Debroux, des hôteliers lillois, décident de venir dans le Sud en 2004. Ils acquièrent l'hôtel Carlit*** et recrutent une équipe composée de natifs de Font-Romeu. L'hôtel, se trouvant sur le plateau de Cerdagne en pays catalan dispose d'une vue panoramique sur la chaîne des Pyrénées. Il possède un restaurant traditionnel qui accueille clients, locaux et touristes de passage. Trois en un Le restaurant de l'hôtel a trois salles dont les thèmes diffèrent les uns des autres. La première se nomme Foc. Elle reflète les couleurs de la Catalogne et œuvre dans un esprit de brasserie. Elle peut recevoir une trentaine de personnes. La seconde est dénommée Capcir. Avec une décoration inspirée de la montagne, la salle affiche une prépondérance de bois. Elle ouvre ses portes à une cinquantaine de personnes. La salle principale est appelée Cerdagne. Grâce à son importante capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 140 couverts, elle est surtout dédiée aux banquets, soirées dansantes et réunions de groupe. De succulents plats de terroir catalan Le restaurant propose une variété de choix de plats aussi succulents les uns des autres. Les plus petits ne sont pas en reste puisqu’un menu enfant leur est servi, ce qui tombe à pic pour les déjeuners en famille. Une cuisine gourmande et sans chichi privilégiant les spécialités montagnardes est à l’honneur. Le restaurant éveille ainsi la gourmandise avec certains classiques comme la fondue, la raclette, la tartiflette ainsi que le camembert rôti. Pour le plaisir des papilles, le Burger du Roussillon enrichi d’un émincé de veau local et de tomme catalane fera le bonheur des épicuriens. Ces derniers se laisseront également tenter par l’imposante entrecôte de bœuf servie avec une sauce roquefort ou une sauce au poivre qui fait près de 300 g. Amateurs de pâtes ? La « Pasta party » se compose de toute une sélection de linguine, spaghetti ou tagliatelle préparée de milles et une façon. Belle situation en haute montagne Le paradis pyrénéen, à 1800 mètres d’altitude, est constitué par des villages qui abritent les stations de ski les plus modernes. Dans la commune de Font-Romeu se trouve un domaine skiable composé de 40 pistes, s'étendant sur 58 km et détenant 500 canons à neige. Les pistes de skis sont naturelles et associées aux espaces panoramiques. Outre le ski, le relief favorise plusieurs activités telles que les sorties en motoneige et les balades en chiens de traineaux, randonnées, VTT, accrobranche… Et suite aux randonnées ou glissades sur la poudreuse, la salle de remise en forme est disponible et offre l'accès au sauna, hammam, et jacuzzi, sans oublier le massage bien-être. ...