Havanatour, c’est la promesse d’aventures sur la trace de l’histoire, des traditions, de la culture et de la richesse de la « Perle des Antilles ». Présente en France depuis une trentaine d’années et disposant ainsi de dizaines d’années d’expérience sur la destination Cuba, ce tour opérateur se distingue par ses nombreuses formules notamment les voyages à la carte. Cette filiale du premier groupe touristique à Cuba Havanatur S.A. propose ses services aux familles ainsi qu’aux groupes d’amis souhaitant découvrir les trésors que recèle cette île aux mille mystères. De villes en plages, et allant de nuitée à l’hôtel ou chez l’habitant, chaque formule est placée sous le signe de l’authenticité et de l’émerveillement. À la rencontre de l’âme cubaine Perdue en plein cœur de la mer des Caraïbes, l’île de Cuba est riche d’un passé empreint de patriotisme et d’une culture teintée de traditions préservées. Elle attire par son histoire, sa nature et son patrimoine architectural, tout en vous offrant une diversité de paysages à couper le souffle. Découvrez cette destination au travers d’une offre qui siéra à votre budget et à vos envies, et qui vous révélera l’âme de cette contrée insulaire découverte en 1492 par Christophe Colomb, jadis colonie espagnole, et où le temps semble s’être arrêté. Riche d’une architecture datant de l’ère coloniale, la Grande île des Caraïbes est un véritable musée à ciel ouvert où chaque recoin est objet de fascination. Cette richesse va également de pair avec l’hospitalité et l’amabilité légendaire des Cubains, qui, entrant dans une démarche d’authenticité entamée par Havanatour, vous accueillent chez eux à l’occasion de séjours emplis de partages, d’émotions et de souvenirs inoubliables. Imprégnez-vous ainsi de cette âme cubaine hypnotisante, pleine d’espoir et d’humanité. Au travers de road trips, de croisières en catamaran, de circuits organisés en groupes, d’escapades urbaines ou de journées farniente sur de magnifiques plages de sable blanc, profitez de chaque instant qui vous est donné de passer sur cette île ensoleillée toute l’année et qui dispose, entre autres, d’îlots à visiter, à l’instar de Cayo Santa Maria ou de l’archipel de los Canarreos, de véritables coins de paradis à conquérir. La région de l'Oriente : le joyau du bout du monde Parmi les nombreuses régions qui forment l’île de Cuba, celle de l'Oriente reste le fleuron de la destination. Consciente de sa richesse naturelle, historique et architecturale, Havanatour a concocté des séjours à la carte dans le but de révéler les trésors cachés de cette région. Découvrez cette « autre Cuba » située à l’est de l’île en sillonnant les rues animées de musiciens endiablés de la capitale régionale, Santiago, ou en profitant de moments de détente sur les belles plages de Guardalavaca. Un métissage marqué ainsi qu’une gastronomie fidèle au terroir caribéen viendront couronner votre séjour dans cette magnifique région, ambassadrice de la culture et des traditions cubaines. ...
Actuellement installé à Montreuil, Frédéric Marr et son équipe vont investir de nouveaux locaux en plein centre de Paris, non loin de la rue Montorgueil, dès septembre prochain. Fabrique et boutique y seront installées. La façade vitrée acceptera les regards des passants pour contempler à l’envi le travail des meules en pierre ou celui des chocolatiers. Le plafond sera végétalisé pour rappeler les origines naturelles de tous les produits utilisés. Pour la préparation des chocolats Rrraw, toutes les fèves de cacao proviennent de cacaoyers semi-sauvages de l’Amazonie péruvienne, cultivés à 800 mètres d’altitude. Ce qui fait dire à Frédéric Marr que « le cœur de l’Amazonie va battre au centre de Paris ». Un nouveau process de fabrication La vraie saveur du chocolat, sa délicatesse et ses arômes subtils sont révélés grâce au process de fabrication élaboré par Frédéric Marr : Bean to bar* (*de la fève à la tablette) à cru (sans torréfaction ni cuisson) Les fèves de cacao ne subissent aucune torréfaction ni de conchage. Elles sont fermentées puis sèchent au soleil. Elles sont ensuite broyées finement à la meule de pierre. Tous les autres ingrédients entrant dans la composition des chocolats Rrraw sont végétaux et biologiques. Epices moulues, fruits ou plantes déshydratées, sucre de canne intégral, sucre de fleur de coco, miel ou sirop d’agave, tels sont tous les composants soigneusement sélectionnés pour sublimer les produits Rrraw. Ne contenant aucun produit laitier, ni huile, ni œuf, ni lécithine, ni additif, ni arôme artificiel ni conservateur, les chocolats Rrraw peuvent être savourés par tous les consommateurs soucieux d’une alimentation saine et respectueuse de l’environnement. En effet, tous les produits sont certifiés bio, vegan, sans gluten et solidaire. Des chocolats pour un plaisir quotidien Pour vous faire plaisir au quotidien, vous pouvez choisir une des nombreuses truffes de cacao cru comme les truffes chanvre et cacao ou les truffes miel et pollen, une des tablettes de chocolat cru, nature ou aromatisées, des fèves de cacao cru, et encore du chocolat pâtissier, des pépites de chocolat cru ou poudre de cacao pour préparer de délicieux desserts. Chacun trouvera un chocolat qui lui ressemble, fondant ou croquant, doux ou fruité, brut ou enrobé. Tous feront frémir vos papilles grâce à leur excellence nutritionnelle et gustative. Vous pouvez acheter tous ces produits dans certaines épiceries fines, sur le site Internet et bientôt directement à la boutique sur Paris. ...
Une histoire de vins Créée en 1822 par Louis NICOLAS, la petite boutique de vins du 53 rue Sainte-Anne à Paris ne connaît son véritable essor que quelques années plus tard, quand le gérant a l’idée, saugrenue pour l’époque, de commencer à livrer ses vins au domicile des particuliers. NICOLAS avait déjà surpris le monde parisien quand il s’était lancé dans la commercialisation de vins en bouteilles, alors que ses contemporains n’achetaient et ne vendaient que leurs produits en barriques ou tonneaux. L’idée fonctionne et la Maison NICOLAS multiplie les ouvertures d’établissements, jusqu’à compter 42 enseignes partout en France au tournant du XXe siècle et près de 140, une vingtaine d’années plus tard. Aujourd’hui, le numéro un et plus ancien distributeur de vins en France est présent sur tout le territoire avec près de 500 boutiques (dont 10 dans les départements d’outre-mer) et à l’étranger grâce à un réseau d’établissements et de franchises. Le groupe confirme son ambition internationale en ouvrant régulièrement des succursales en Belgique et en Suisse et des franchises au Maroc, au Royaume-Uni et même à Beyrouth au Liban. Plusieurs innovations et idées nouvelles ont accompagné le développement de l’enseigne et continuent aujourd’hui à contribuer à la notoriété populaire de la marque. Car non content d’avoir démocratisé un nouveau format de bouteille auprès des particuliers, la Maison NICOLAS a utilisé a son bénéfice l’essor d’un nouveau média de communication, la publicité, en créant, en 1922 un personnage attachant et directement reconnaissable : Nectar, le livreur moustachu aux bras chargés de bouteilles. Plus tard, la Maison NICOLAS sera encore précurseur en proposant le beaujolais nouveau à grande échelle, puis en mettant les vins de pays de France à l’honneur de sa carte et à des prix abordables. Une qualité constante sur chaque bouteille Une équipe d’une demi-douzaine de personnes est dédiée à la qualité des vins dont trois d’œnologues qui œuvrent constamment en coulisse pour sélectionner chaque année les meilleurs nectars des différents terroirs français et des autres régions du monde où NICOLAS choisit ses vins. Tous les vins sont goûtés, même quand il s’agit d’un changement de millésime, par cette petite équipe (8591 dégustations d'agréage effectuées en 2017). Le chiffre est variable selon la période de l’année, mais ce sont près de 1 200 références qui sont disponibles sur Internet et dans les différentes boutiques de l’enseigne à chaque instant, et dont il faut s’assurer de la qualité constante sur chaque bouteille. Ce contrôle de qualité permet de retirer immédiatement de la vente une référence si elle n'affiche pas toutes les qualités qu'elle avait préenté lorsqu'elle a été agréée. De même, chaque bouteille qui revient en magasin, si par exemple le client estime que ses qualités gustatives sont altérées, est directement envoyée au laboratoire du Groupe pour vérification. Ce qui permet des échanges constructifs avec chaque fournisseur que la Maison préfère nommer " partenaire ". Cette qualité dans la sélection des bouteilles se retrouve tout naturellement dans les cuvées spécifiques de la Maison. Même s’il reste essentiellement un revendeur de vin, NICOLAS propose quelques « cuvées Nicolas » spécialement assemblées pour l’enseigne par sa propre équipe d'oenologues. Les gammes couvrent les trois couleurs classiques avec des propositions à des prix abordables. On retrouve dans la gamme Cub. Collection NICOLAS quelques merveilles dont un AOC côtes-du-rhône, composé principalement de syrah, qui s’avère surprenant. Proposé dans un format cubique à l’emballage moderne, il trouve facilement sa place sur un coin de table. Les Vinissimes, le nouveau salon haut de gamme Le premier caviste de France organise aussi chaque année un salon haut de gamme pour présenter quelques-unes de ses plus pres...
Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro. Manger simple mais bien… Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons. Le vin, une passion Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux. ...
Perché à 30 m de haut, Vertigo Restaurant/Skybar occupe les plus hauts niveaux du magnifique immeuble Ehundura, situé dans le quartier des Machines de l’ile de Nantes, un endroit assurément branché. Le restaurant offre un cadre moderne et épuré et bénéficie d’une vue imprenable sur la cité des Ducs. Trois niveaux, trois ambiances Pour tutoyer les cimes, rendez-vous au Vertigo, un établissement de caractère qui se décline en trois espaces. Au 6e étage du fameux immeuble, place à l’élégance et à la convivialité. Les convives ont accès à un salon privatif, à une salle de restauration, à un bar et à une cuisine ouverte. Toujours au 6e étage, le restaurant ouvre sa terrasse durant l’été pour servir les déjeuners ou les diners avec une vue surplombant la Loire et le centre historique de Nantes. Un étage plus haut se trouve la principale salle de restauration appelée La Verrière, offrant une vue sur le ciel, qui comporte un jardin extérieur, un salon privé ainsi qu’un bar et un piano. Le Skybar panoramique, au 8e et dernier étage, offre un magnifique panorama sur toute la ville et invite à passer des moments privilégiés entre amis ou entre collègues à déguster les savoureuses tapas accompagnées des cocktails maison. Une cuisine de maitre restaurateur Depuis 2013, Vertigo Restaurant/Skybar bénéficie du label « Maitre restaurateur ». En tant que tel, tous ses plats sont faits maison, élaborés essentiellement à partir de produits bruts et frais (80 % au minimum). Vertigo travaille par ailleurs en étroite collaboration avec les producteurs et les artisans locaux pour son approvisionnement. Il est aussi partenaire et ambassadeur du label « Saveurs DétonNantes », qui met en avant les artisans et les produits de la région nantaise. Changeant au gré des saisons, la cuisine du Vertigo est à la fois raffinée et contemporaine, ouverte aux saveurs du monde. Elle est dirigée en coulisses par Emmanuel Prévot, un chef originaire de Nantes. « Pourtant diplômé en restauration, je me considère plus comme un autodidacte », raconte-t-il. Il a en effet beaucoup appris du métier au contact de grands noms de l’art culinaire tels que Stéphane Gravouille du restaurant Bénureau, Bernard Pelhatre du Café Cult’ ou Thierry Martin du Roman Bleu. Ce personnage ouvert d’esprit et rigoureux affirme un gout du détail très prononcé. Son plat fétiche : la Saint-Jacques gratinée au chorizo, accompagné d’une purée de patates douces rhum-vanille et d’un écumé de roquette et chips de légumes d’antan. Cette suggestion culinaire se déguste de préférence avec un Bourgogne blanc, un Muscadet millésimé ou un Saumur Champigny. ...
La psychonomie est une discipline scientifique étudiant les phénomènes de conscience du vivant sous l’angle physique, émotionnel, social et cognitif. À travers cette approche holistique, elle contribue à réduire les blocages mécaniques et énergétiques avec douceur. « La psychonomie est une ostéopathie à dimension quantique. On parle d’une ostéopathie de nouvelle génération qui permet de restaurer les échanges d’information pour un fonctionnement harmonieux du vivant », explique Claude Yves PELSY, créateur de cette pratique de santé innovante et fondateur du CESP (Centre Européen de Pratique de Santé en Psychonomie) avec le Professeur Cornillot, doyen de la Faculté de Médecine de Paris-Nord. Une thérapie de restauration fonctionnelle Le corps est un organisme vivant qui n’est pas exclusivement composé que de matière. Pour fonctionner, chaque organe est lié à un savoir-faire, une intelligence de vie grâce à l’énergie. Lorsque cette information-programme ou cette intelligence est sollicitée au-delà de ses capacités, le savoir-faire est bloqué et sidéré, engendrant un dysfonctionnement concret avec des conséquences organiques. Les défaillances de l’organisme sont le résultat de traumatismes physiques et psychiques dus à des lésions mécaniques, toxiques ou émotionnelles. « Le rôle de la psychonomie est d’apporter une restauration fonctionnelle en remettant en cohérence de phase l’onde information de nature quantique avec l’onde énergie concrète qui procède au fonctionnement et à la structure de l’organe pour lui permettre de se rétablir », fait savoir notre interlocuteur. Cette pratique de santé intervient en complément aux thérapies classiques. Elle agit avec efficacité sur le système pulmonaire, la sphère ORL, sur les maladies psychosomatiques et neurologiques, les pathologies ostéo-articulaires, ligamentaires et tendineuses, digestives ou endocriniennes. Elle soigne les troubles généraux tels que l’angoisse, l’insomnie, la fatigue ou la migraine. Tout le monde peut y avoir recours allant des nourrissons aux personnes âgées. Une méthode de soin douce et naturelle Le soin s’articule autour de deux grandes étapes : la détection des lésions par empathie holographique et la restauration des dysfonctionnements par la symbionie. La première séance consiste à réaliser un bilan fonctionnel global. Affranchi des émotions et de la rationalité cognitive, le praticien recherche les défaillances éventuelles chez le sujet par une approche empathique pure. La perception s’effectue selon un protocole strict reposant sur les dernières avancées en embryologie. Une fois que les lésions informationnelles ont été ciblées, le praticien pose sa conscience sur l’échange d’information entre le programme source et l’organe et instantanément, le patient ressent un soupir tissulaire. Il est soulagé car son système redémarre. Cette méthode intitulée « symbionie » reconnecte le tissu lésé avec son information d’origine et favorise le processus naturel de guérison. Plus d’information : psychonomie.org ...
« En lisant les cartes de différents restaurants, je remarquais qu’il y avait beaucoup de vins chiliens, et pas forcément de vins d’Argentine. Or, moi qui suis originaire de ce pays et, de plus, fille de vignerons, je connaissais très bien la qualité des vins argentins ! », révèle Else Decker. La fondatrice d’Elsoli devient ainsi l’ambassadrice des vins de son pays, en créant sa propre société d’importation en 2005. Depuis, elle prend véritablement plaisir à dénicher les perles rares d’Argentine. Et elle les propose avec fierté sur le marché français, en collaborant avec différents distributeurs. De savoureux vins de terroir Selon Else Decker, le secret des bons vins argentins, c’est leur terroir. « Déjà, le vignoble bénéficie de 300 à 320 jours de soleil par an. Cela favorise la maturation des raisins. Grâce au bel écart de température qu’offre le climat, la vigne va s’enrichir en soleil pendant la journée, tandis que, la nuit, elle bénéficie de la fraicheur apportée par le vent. » Par ailleurs, les terroirs d’Argentine sont riches et variés, grâce aux différents éléments qui les composent : calcaire, argile, matières minérales... En outre, ils sont « très sains », puisque les viticulteurs privilégient des pratiques culturales nécessitant très peu de produits chimiques. En plus de révéler les particularités de leur terroir, les vins argentins symbolisent la passion et l’honnêteté du vigneron dans son travail. Des vignerons passionnés Else Decker travaille actuellement avec cinq vignerons qu’elle connait « personnellement », tient-elle à souligner. En quête de tradition et d’authenticité, elle a d’abord été séduite par les vins de la famille Roca, de Mendoza. « Quand j’ai fait déguster les vins à quelques bons restaurants et sommeliers reconnus en France, ils ont tous aimé ! À partir de là, j’ai fait venir ma première commande qui s’est vendue très rapidement. » L’aventure a continué avec Domingo Molina, dont le vignoble est situé entre 1 600 et 2 300 m d’altitude dans la vallée de Cafayate, à Salta . Cette maison a convaincu Else Decker par sa façon de vinifier le Torrontés, un cépage caractéristique de l’Argentine. Vient ensuite La Bodega del Fin del Mundo, un domaine basé à l’extrême sud de Patagonie. Ici, place à des vins de haute qualité qui arborent parfaitement les particularités du terroir « du bout du monde ». Une autre maison qu’Elsoli représente est celle des Bianchi, une famille de vignerons italiens qui se sont installés en Argentine en 1887. Leur savoir-faire est soigneusement préservé à travers leurs vins, synonymes de passion et de tradition séculaire. Enfin, la maison uruguayenne Bracco Bosca, qui doit notamment son succès à la cuvée « Ombù », un nom tiré de celui d’un arbre typique d’Uruguay. En choisissant ce domaine, Else Decker veut dépasser les frontières de son pays d’origine. « Aujourd’hui, on me demande de rapporter d’autres vins, pas seulement d’Argentine. À croire que je deviens un peu l’ambassadrice d’Amérique latine ! », conclut-elle, enthousiaste. ...
L’histoire des Servages débute en 1788 avec la construction de deux fermes d’alpage utilisées durant les périodes de pâturage d’altitude. Tombée sous le charme de ce paysage authentique, Armelle Linglin décide alors de transformer les lieux en un établissement hôtelier, où luxe, modernité et confort forment une belle harmonie. Un écrin situé aux pieds des pistes du Grand Massif, qui propose une table gastronomique délicate et gouteuse, fruit du savoir-faire de Pascal Flécheau, le maestro en cuisine. Saveurs d’ici et d’ailleurs C’est ici et nulle part ailleurs que cet ancien membre de l’équipe de France de ski veut couler des jours heureux. Armelle Linglin, avec l’aide de son époux, monte alors un projet de vie : celui de la réhabilitation de ces deux anciennes fermettes qu’ils métamorphoseront en un bel hôtel mettant en scène le luxe simple et montagnard. L’établissement 4 étoiles, qui se trouve près de Genève et de Chamonix Mont-Blanc dans la station des Carroz d’Araches, propose 10 chambres à la décoration chaleureuse et élégante. Ce lieu d’exception abrite l’un des meilleurs restaurants gastronomiques de la Haute-Savoie. Aux fourneaux : le chef Pascal Flécheau. Originaire des Rosiers-sur-Loire, il fait ses armes auprès des Meilleurs Ouvriers de France à l’instar d’Éric Pras et de Jean-Claude Garzia. Il y a 10 ans, il rejoint Les Servages d’Armelle, où il partage une cuisine soignée, actuelle et généreuse mettant en avant des produits de saison et de qualité. La carte concoctée par ce chef passionné évolue au fil du temps en fonction de la disponibilité des produits fournis par des agriculteurs locaux majoritairement biologiques. Côté poissons, vos palais s’émoustilleront avec un saint-pierre et des encornets grillés ou avec un homard, caviar « osciètre » bulgare, feuille végétale d’huitre. Côté viandes, vous vous laisserez bien évidemment tenter par un ris de veau poêlé avec son risotto de crozets faits par le chef au parmesan Reggiano et quelques morilles. Outre ces plats « haute couture », des spécialités savoyardes, des fondues, des raclettes et bien d’autres mets gourmands apportent un côté convivial à la carte, de quoi bien se requinquer après une journée à dévaler les pistes. Élégance à l’honneur L’intérieur du restaurant propose un cadre raffiné réalisé à partir du reste de bois de l’ancienne ferme. Authenticité et élégance, tels sont les qualificatifs qui nous viennent en tête devant cette subtile décoration. Les murs en pierres apparentes renforcent l’esprit campagnard, sans oublier la grande cheminée centrale autour de laquelle sont réparties les salles intimistes. Les grandes fenêtres donnent une vue imprenable sur les montagnes, ce qui permet de ne pas limiter l’expérience aux plaisirs des papilles mais aussi à ceux des pupilles. Les amoureux du grand air prendront place à l’extérieur, sur la terrasse exposée plein sud et située en bordure des pistes, d’où l’on admire le ballet des skieurs ou l’on contemple le massif préalpin des Aravis. En prolongement de cette terrasse, une véranda, donnant sur un magnifique paysage et où trône la rôtissoire, invite à la détente. Si l’envie vous en dit, des activités dédiées à la découverte des plaisirs de la montagne (ski, conduite sur glace, raquettes, motoneige, spa piscine fitness, chiens de traineau…) sont organisées. Décidément, aux Servages d’Armelle, tous vos sens sont sollicités. ...
Depuis plus d’un siècle, la famille Fagot élabore des champagnes d’une qualité rare qui font honneur à la réputation de cette boisson pétillante de saveurs. Réparti en deux terroirs – celui de la Rilly-la-Montagne et d’Hermonville –, le domaine de Michel Fagot profite des conditions exceptionnelles offertes par ses terres pour la production de ses vins de gourmandise dans le respect des plus pures traditions champenoises et des exigences de développement durable. Un vignoble classé premier cru Installé au cœur de la grande montagne de Reims, le vignoble de Michel Fagot occupe une superficie de plus de 15 hectares propices à la production de pinots noirs et de meuniers d’une grande finesse mais aussi d’excellents chardonnays. Grand passionné, Olivier Fagot, le premier responsable de la marque, se fait toujours un plaisir d’expliquer aux visiteurs comment « les vignes vont puiser leurs nutriments dans la terre » pour donner aux terroirs, donc aux champagnes, leurs « signatures olfactives typiques ». Une démarche qualité À partir de cépages à parts quasiment égales de chardonnay, de pinot noir et de meunier, la maison Michel Fagot produit des cuvées de premier choix dont le Blanc de Blancs Premier Cru, le Brut Rosé Premier Cru, le Millésime 2004 Premier Cru et surtout « Le Clos de Marzilly » qui est en quelque sorte l’ambassadrice de la marque. Afin d’atteindre un plus haut degré de perfection, celle-ci intègre dans ses outils de production aussi bien des cuves modernes que des pressoirs traditionnels tout comme des fûts tronconiques permettant d’ « adoucir un petit peu les vins » et de « rééquilibrer aussi l’acidité » selon les termes d’Olivier Fagot. Un partage de plaisirs Au détour d’un voyage en Champagne, le domaine se prête parfaitement à des visites empreintes de culture et de gourmandise pour le plus grand plaisir des œnologues en herbe. Ici, l’on peut s’initier aux techniques d’élaboration de champagnes, déguster les meilleurs crus de la marque et explorer ses différentes installations. Des moments de partage et de convivialité à la découverte d’un authentique propriétaire récoltant qui « défend un terroir, un savoir-faire », comme le souligne notre interlocuteur. ...
9 Rue Gachet à Pau, un endroit attire irrémédiablement l’attention. Forcément, avec cette foule qui attend dehors, il est à se demander ce qui se cache derrière cette façade verte sur laquelle est marquée « Les Sardines ». Une poissonnerie ? Certainement pas. Vous connaissez beaucoup de gens qui achètent leur poisson au milieu de la nuit ? En s’approchant un peu, l’écriteau devient plus visible. Cette enseigne n’est autre qu’un bar à vins, bières et alimentation spirituelle. Déjà la notion « d’alimentation spirituelle » intrigue. A vrai dire, Les Sardines ne sont pas qu’un endroit pour boire ou manger. On y va pour chercher cette ambiance fun et branchée qui rend heureux, léger. Une propriétaire pétillante Un bar à vins. C’est tout ce qui manquait dans cette commune tranquille du sud-ouest notamment réputée pour son château et ses 750 hectares d’espaces verts. Autant dire que Lydia Becerra a trouvé le créneau gagnant en y ouvrant le sien. Fait étonnant : rien ne la prédisposait au départ à se lancer dans ce métier. Initialement spécialisée dans le domaine de la compatibilité et de la gestion, elle part plusieurs mois en Amérique Latine. Mais c’est en France qu’elle retrouve ses marques et donne naissance à son premier enfant. Sa passion pour le voyage et les découvertes aura pourtant raison d’elle. Car même si elle se plaît au pays, elle décide quand même de partir pour l’Espagne où elle ouvre son premier restaurant. L’appel de la France n’est pas loin. Sa vie, ses amies, sa famille lui manquent terriblement si bien qu’elle reprend la direction des Pyrénées-Atlantiques. Rapidement, elle repère un endroit sympa bénéficiant d’une bonne localisation qu’elle décorera avec des objets de récup’ glanés ici et là notamment des tables et chaises d’écoliers qui nous replongent en enfance. Il faut dire qu’aux Sardines, il n’y a pas que l’ambiance qui est décalée. Le décor est aussi original avec cet immense bar ou encore ce plafond habillé de planchettes de bois disposées aléatoirement pour attirer l’attention. Sur les murs, des affiches vintage rehaussent le côté rétro-chic des lieux. L’établissement est aussi pourvu d’un deuxième étage privatisable à l’ambiance plus intimiste. Bonne cuisine, bonne ambiance Ouvert du mardi au samedi de 18h à 2h, le bar à vins est devenu le haut lieu des soirées animées du Palais des Pyrénées. Déjà, il doit son succès à sa formule de restauration. La maison propose beaucoup de plats à la plancha comme les couteaux, les sardines, le chorizo, les cœurs de canard, les calamars ou les moules. La carte est également constituée de rillettes de sardines, de croquettes de jambon, de croquettes de cèpes, foie gras mi-cuit maison et autres plats succulents et conviviaux qui sont servis jusque tard dans la nuit. A ne pas manquer : l’incontournable côte de bœuf du pays basque servie avec des pommes de terre et des cèpes, rehaussée de pimientos del padro. La carte des vins est particulièrement variée. Les vins du pays et ceux du monde entier y sont présents : Chianti « When we dance » Bio, Toscana « Alberia » pour les rouges, Gewurztraminer « Wolfberger », Jurançon « Domaine Lasserre » pour les blancs, Côtes de Provence « Les Hauts de Masterel », Roussillon « Miraflor » pour les rosés. Côté boissons exotiques et cocktails, ce ne sont pas les propositions qui manquent : Diplomatico, Don papa, Mojito, Caipirinha, Gin tonic… Il y a de quoi vous faire tourner la tête. ...
Auréolé de 4 étoiles, l'hôtel Borel est un vrai havre de paix, avantagé par sa situation géographique puisqu’il se trouve en face du port et près de plusieurs restaurants et magasins. Dès l’entrée, les clients sont éblouis par la décoration soignée et épurée de cet établissement édifié dans les années 50. Rien de trop guindé. Ici, place à l’élégance et à la simplicité. La qualité est aussi au rendez-vous et cela commence à l’accueil. Une équipe rompue à l’art de bien recevoir promet un service irréprochable à la clientèle. Des chambres luxueuses et reposantes L’hôtel est composé de 48 chambres spacieuses incluant des suites, des chambres standards pour une ou deux personnes et des chambres PMR et familiales. Les logis standards sont équipés d'un lit de 160 x 190 cm, de télévision Satellite ou Canal+, de mini-bar, et de salle de bains privative... Bref, toutes les commodités garantissant le confort de chaque client. Les neuf chambres confort quant à elles sont d'une superficie moyenne de 40 m2. Ces pièces sont pourvues d’équipements haut de gamme ainsi que de lits king size qui promettent des nuits douces et ressourçantes. Toujours dans cette volonté d’offrir la qualité à ses clients, l’hôtel Borel veille à assurer une rénovation continue des pièces afin de parfaire l'esthétique et l'attrait des lieux : « Petit à petit, on les rénove toutes. Du coup, elles seront toutes modernes […] », nous confient les membres de l’équipe. Tout pour la satisfaction des professionnels et des vacanciers Un salon spacieux est visible dans le hall de l'hôtel. Il s'agit du « Salon Le Leughenaër » dans lequel les gens peuvent se détendre, boire un verre, regarder la télé et côtoyer d'autres personnes résidant à l'hôtel. Une bibliothèque y est aussi disponible pour ceux souhaitant lire ou emprunter des livres. À noter que cet espace est disponible à la location pour accueillir des réunions ou des séminaires. La seconde salle baptisée « Le Corsaire » permet de prendre un petit déjeuner buffet. Les mets proposés sont diversifiés. Le service de plats chauds en chambre est également possible. Le menu est disponible dans chaque chambre. Ceux qui ont envie de se dépenser et faire du sport peuvent rejoindre le « Salon le Galérien » au 3e étage. Cette salle présente un lot de matériels sportifs dernier cri. Une palette de services disponibles L’Hôtel Borel a à cœur d’optimiser au maximum l’expérience de chaque client de passage. Il met à disposition une palette de prestations dont notamment un service de blanchisserie. À la réception, coffre-fort, ordinateur portable, trousse médicale de premiers soins et autres indispensables pourront être demandés. ...
EcoTree est né de deux constats, déclare Pierre-François Dumont Saint Priest, cofondateur de la startup : « D’un côté, la forêt française souffre d’un véritable manque de gestion et de renouvellement de ses peuplements. La forêt privée française représente plus de 12 millions d’hectares détenus par 3,5 millions de propriétaires. Ces propriétaires sont particulièrement attachés à leurs forêts mais trop peu ont les connaissances et/ou les moyens financiers pour bien la gérer et lui permettre de délivrer toute sa valeur écologique et économique. De l’autre, de plus en plus d’entreprises et particuliers, conscients de la nécessité d’agir pour la planète, sont prêts à s’engager dans des politiques environnementales, pourvus qu’elles ne pèsent pas trop sur un portefeuille souvent déjà bien sollicité ». Créer un patrimoine vert via EcoTree Le concept d’EcoTree repose sur une innovation juridique : dissocier la propriété du sol de la propriété des arbres, considérés comme « bien meuble par anticipation ». Le principe est simple : EcoTree reprend des terrains en friche ou des peuplements sans valeur d’avenir, mis à disposition par des propriétaires forestiers. Particuliers et entreprises peuvent alors, par l’intermédiaire d’EcoTree, devenir propriétaires d’arbres et financer ainsi le boisement ou la reprise en gestion de massifs forestiers. « Les entreprises ou les particuliers deviennent propriétaires d’arbres à hauteur de leurs moyens et de leurs ambitions. L’équipe d’EcoTree et son réseau de professionnels se chargeront de gérer et valoriser durablement le patrimoine forestier commun », nous indique-t-on. En grandissant, les arbres prennent de la valeur et séquestrent du carbone. Une fois qu’ils sont arrivés à maturité, les investisseurs bénéficient des revenus de la récolte du bois. Ce double bénéfice écologique et financier porte ses fruits dès aujourd’hui et se transmet aux générations futures. EcoTree conjugue gestion forestière durable et préservation de la biodiversité. Préférence est donnée à la gestion des massifs en futaie irrégulière, c’est-à-dire qui comprend des arbres de différents âges et grandeurs. « Ce mode de gestion promeut non seulement la biodiversité puisqu’il évite les coupes rases, mais favorise également la régénération naturelle», souligne notre interlocuteur. L’exclusion des produits phytosanitaires fait aussi partie de ce plan durable de gestion forestière. Ce sont toutes ces actions qui permettent la bonne croissance des arbres et qui garantissent à terme la bonne rentabilité des investissements. Un investissement aux retombées multiples EcoTree répond à trois critères fondamentaux du développement durable concernant les aspects environnementaux, économiques et sociaux. Sur le plan environnemental, un investissement chez EcoTree équivaut à un véritable engagement écoresponsable. En effet, devenir propriétaire d’arbre permet de contribuer à la baisse d’émission de CO2 dans notre atmosphère. « Nous avons choisi EcoTree pour compenser les émissions carbones liées à nos activités ! Cela était une évidence pour nous d’aller plus loin dans notre démarche en faveur de l’environnement », précise Alice Maréchal de chez Lemon Tri, une des entreprises partenaires d’EcoTree. En termes économiques, la startup mise sur un patrimoine vert qui se valorisera dans le temps. « Chaque année, l’arbre gagne 2 à 4 % de sa valeur. Qui plus est, aucune imposition ne s’applique sur la plus-value au moment de la coupe des arbres », affirme Pierre-François Dumont Saint Priest. En ce qui concerne son engagement social, EcoTree veut être réel soutien aux entreprises françaises. Plus particulièrement pour les acteurs locaux avec qui elle collabore étroitement afin de favoriser la bonne gestion des forêts. On peut citer, par exemple, un partenariat dévelo...
Vous êtes en surpoids ou sujets à des maladies (maladie cœliaque, maladies cardiovasculaires, syndrome de l’intestin irritable, diabète…), sportif ou tout simplement à la recherche du bien-être ? WeCook WeCare propose un régime sur mesure qui s’adapte parfaitement à tous les besoins. « Bien manger pour vivre mieux. » C’est sur la base de ce principe que la PME élabore l’ensemble de ses programmes. Un concept alliant à la fois santé et plaisir culinaire qui a déjà séduit des milliers d’utilisateurs. Une initiative pour le bien-être commun A l'origine du concept, une mère atteinte d'un cancer prend conscience de l'impact fondamental que peut avoir la nutrition sur la santé. Résolue à se battre, son premier reflexe est de changer radicalement de comportement alimentaire. Malheureusement, les recettes personnalisées pour accompagner un patient sont nettement plus restreintes, voire inexistantes en ligne, contrairement aux régimes amaigrissants. Partant de ce constat, son fils épaulé par deux autres amis décident alors de créer une solution simple mais efficace, destinée à aider les gens à se concocter des repas sains, équilibrés mais avant tout délicieux. En même temps, « cette solution doit répondre à toutes les contraintes médicales et personnelles », explique Jean-Philippe Santarelli, directeur marketing de l’entreprise. Et ce fut la génèse de WeCook We Care. Conscients qu’ils ne sont pas les seuls à être confrontés à cette problématique, Yannick, Severine et Alain décident de lancer une application qui agit comme un outil nutritionnel permettant à ses utilisateurs de mieux organiser leur journée. Trois ans après, la solution enregistre 37 000 inscriptions avec pas moins de 2 000 utilisateurs réguliers. Fort de ce succès, la PME enrichit son service et propose en plus un accompagnement diététique online assuré par des professionnels de la nutrition d’un nouveau genre : « les diététichefs ». Un générateur de menus intelligent qui simplifie la vie Trouver chaque jour des idées de repas à la fois simples, équilibrés et pas chers n’est pas à la portée de tout le monde. Avec My E-Meal Planner, c’est désormais possible ! Cette application génère des recettes adaptées à l’alimentation de chaque utilisateur, selon son budget et ses goûts. Plus de 3 000 recettes saines et de saison sont ainsi disponibles. « L’idée est vraiment d’apprendre aux gens à mieux manger. Les recettes sont détaillées et nous expliquons la façon de les réaliser », explique notre interlocuteur. Pour pouvoir en profiter il suffit de s’inscrire, d’indiquer ses goûts culinaires via un système de notation, ses allergies, ses préférences alimentaires… En tout, plus de 10 paramètres peuvent être pris en compte ! En quelques clics, l’utilisateur reçoit ses recettes de la semaine qu’il peut modifier et personnaliser selon ses envies. Une fois les menus fixés, l’outil va générer les listes de courses correspondantes. « Nos menus respectent les objectifs et les contraintes alimentaires de chacun, tout en privilégiant le goût et la saveur. » Un suivi nutritionnel personnalisé Un spécialiste de la nutrition a un rôle à jouer dans la prévention des maladies dues à un mode d'alimentation inadapté. De même qu'il doit aider tout un chacun à se nourrir en fonction de son état de santé, ou simplement aider un patient à se rétablir d'une maladie avec une hygiène alimentaire appropriée. Autant de raisons qui poussent Wecook à étendre ses offres. Outre My E-Meal Planner, qui programme pour vous des recettes saines élaborées par des diététiciennes confirmées, My E-Coaching et My Coaching Plus offrent les mêmes avantages en plus d'un suivi nutritionnel sur-mesure, jusqu'à ce que vous atteigniez votre objectif. L'abonnement sur ces offres se fait naturellement sans engagement, à l'exception de My Coaching Plus (3mois minimum) dans le souci d'un meilleur accompagnement. Selon les formules choisies, les utilisateurs bé...
Séminaires, conférences, réunions, team building... Le Frégate Provence renouvelle sans cesse ses prestations à destination des professionnels. Un lieu somptueux aux multiples atouts Depuis plusieurs années, Le Frégate Provence a acquis une forte réputation en matière d’organisation d’évènements d’entreprises. Cela s’explique non seulement par l’excellence du savoir-faire affiché par le personnel de l’hôtel, mais également par les infrastructures de haut de gamme dont il dispose. Parmi celles-ci, les professionnels apprécieront le centre de conférence « high tech » comprenant 892 m2 d’espace de réunion, 14 salles de séminaires à la lumière du jour dotées d’un accès Wi-Fi THD. Par ailleurs, l'endroit présente un côté pratique est non négligeable puisqu'il se trouve à proximité des Calanques de Cassis, du MUCEM et notamment de la rade de Toulon réputée pour être la plus belle de l'Europe. Près du circuit international Paul Ricard et la célèbre Route des Crêtes, il demeure une destination clé pour vos événements automobiles. Côté hébergement, l’hôtel dispose en tout de 160 chambres spacieuses, qui allient confort et modernité, toutes ouvertes sur une terrasse avec vue sur la pinède, le golf et/ou la mer. Pour vos déjeuners et dîners, Le Frégate Provence peut accueillir jusqu’à 160 personnes, en salle intérieure ou en terrasse à la belle saison. Le chef et ses équipes, de véritables passionnés du produits local et de qualité, préparent les menus exclusivement de saison et issus de partenaires régionaux. Il est possible d’organiser des déjeuners buffets, des barbecues à thème et bien entendu de somptueux dîners de gala pour clôturer votre événement ! Outre ses infrastructures, il jouit d’un atout majeur grâce à sa situation géographique, l'hôtel bénéficie d'une facilité d'accès à 40 min de voiture depuis l’aéroport de Toulon et à 50 min de celui de Marseille. De plus, l’établissement profite de sa proximité avec les gares TGV de Marseille et de Toulon, situées respectivement à 30 et à 20 min des lieux. Diverses activités Les amateurs d’activités de plein air seront comblés avec, notamment, 3 terrains de tennis, une piscine extérieure en cascade et deux parcours de golf considérés comme faisant partie des plus beaux parcours d' Europe. En outre, de nombreuses activités de teambuilding peuvent être organisées sur place : golf, footgolf, tennis, challenge rugby, boot camp, dégustation de vin, chasse aux trésors, etc. Aux alentours de l’établissement, les participants peuvent, par exemple, s’adonner à des activités nautiques, visiter la rade de Toulon ou partir à la découverte des calanques de Cassis et la route des Crêtes. Pour se remettre de leurs émotions ou tout simplement se ressourcer, les participants accèdent au Spa Sothys. Celui-ci comprend un spa, 2 cabines de soins, un sauna et un espace fitness. Une gamme de soins variés et adaptés aux envies de chacun complète les prestations. ...
Flashmatin | Bonjour M.Pinat. Bernard Pinat | Bonjour Madame. Je m'appelle Bernard Pinat. Je suis Directeur général du groupe ESPI, une école avec plusieurs implantations en France. À titre personnel, je suis arrivé au sein du groupe ESPI en 2013. Depuis 2013, on a développé le groupe de manière relativement soutenue puisque quand je suis arrivé, il y avait 760 apprenants à peu près et là à la rentrée, on en a un peu plus de 3800. Oui, je crois qu'on peut appeler cela une ascension fulgurante. Alors M. Pinat, est-ce que vous pouvez nous expliquer l'histoire de votre école ? BP | : Absolument ! Parce que c'est une belle histoire. 1972, deux ans après la loi Hoguet qui est venue encadrer l'activité immobilière et a créé une obligation d'avoir une carte professionnelle. À l'intérieur de cette obligation, il y avait également une obligation de formation. Étienne LE SIDANER qui est le père fondateur de l'ESPI, qui était un acteur de l'immobilier, s'est associé avec deux ou trois personnes. Il s'est dit, plutôt que suivre la formation à l'université ou dans des écoles publiques qui n'existent pas, on va créer nous-mêmes un parcours de formation pour aider les personnes qui veulent répondre aux exigences de cette loi Hoguet. Cette formation, ils l'ont voulu très professionnalisante. Une formation terrain. Tout cela s'est passé en 1970. Aujourd'hui, cet ADN est encore présent au sein de nos programmes. Depuis une vingtaine d'années, l'ensemble de l'offre de formation de l'ESPI s'inscrit dans le schéma LMD. Un bachelor puis des mastères avec des spécialisations. Vous avez ouvert votre première école à Paris, puis une autre antenne a été ouverte à Nantes, à Marseille, à Montpellier, à Bordeaux, à Lyon, et une future école s'ouvrira même à Lille en septembre 2022. Vous y proposez donc une licence et plusieurs bachelors. Pouvez-vous nous parler de ces différents cursus ? BP | : À Paris, il y a le Bachelor, car nous n'avons qu'un seul Bachelor, celui qui permet d'obtenir les trois cartes professionnelles. Donc c'est un Bachelor qui dessinerait au métier de l'agence. Celui-là, il est présent sur toutes les implantations. Nous avons un mastère qui est la continuité du Bachelor qui s'appelle le MAGI, le management administration et gestion de l'immobilier. Nous avons un deuxième mastère qui s'appelle le MAPI qui est un peu notre mastère phare parce que beaucoup d'étudiants viennent à l'ESPI pour devenir responsables de programmes, directeurs de projets immobiliers. Voilà ce à quoi prépare ce mastère. Ensuite nous avons un troisième mastère qui est le mastère audit expertise-conseil. Ensuite, nous avons un quatrième mastère qui est un mastère lié à l'ingénierie financière qu'on appelle le MIFIM. Ensuite, nous avons un nouveau mastère que nous venons de créer qui est le mastère MIDI pour préparer tous les étudiants au métier du développement durable. Enfin, le dernier mastère que nous avons, c'est le mastère MEPI. C'est un mastère en entrepreneuriat en projet immobilier. De quoi devenir un vrai professionnel de l'immobilier, les étudiants de votre école ont le choix. Ils peuvent soit suivre une formation à temps plein ou bien en alternance. Quelle est la différence ? BP | : On a effectivement des filières à temps plein et des filières en alternance. On a toujours cette fibre très professionnalisante. C'est la raison pour laquelle nous avons très largement développé l'alternance. Le contenu du programme est le même. A temps plein, on va plutôt s'adresser à des personnes qui ne se sentent pas toutes de suite à l’aise dans l'activité professionnelle. Elles vont d'abord suivre six mois de cours pour ensuite faire un stage pendant six mois. Puis l'alternance en apprentissage, nous avons un format et un rythme qui est d'une à trois semaines. C'est-à-dire une semaine de cours, trois semaines en entreprise. Rappelons d'ailleurs que tous les étudiants qui suivent une formation sur le terrain bénéficient d'un contrat de travail, d'un sa...
Implanté à Sainte-Gemmes-sur-Loire depuis plus de 160 ans, le Centre de Santé Mentale Angevin (CESAME), centre hospitalier spécialisé en psychiatrie générale et en psychiatrie infanto-juvénile, prend en charge la population du département du Maine-et-Loire à l’exception des arrondissements de Cholet et de Saumur. Des soins dispensés dans un souci de proximité Les services du CESAME sont regroupés en 7 secteurs adultes et 2 intersecteurs infanto-juvéniles, d’après un découpage territorial. Chaque secteur dispose de l’ensemble des structures permettant de dispenser des soins au plus près de la population : des Centres Médico-Psychologiques (CMP), des Centres de jour, des Centres d’Accueil Thérapeutiques à Temps Partiel (CATTP), des appartements thérapeutiques. Ces lieux d’accueil et de soins sont implantés dans de nombreux lieux du département et de la ville d’Angers. À ce réseau extra-hospitalier de proximité s’ajoutent des lits d’hospitalisation complète sur le site du CESAME, si la situation de la personne en souffrance le justifie. Un établissement tourné vers l’innovation Les missions dévolues au CESAME sont variées et recouvrent aussi bien les actions de prévention, de diagnostic, de soins que celles de réadaptation et de réinsertion sociale. Le nouveau centre de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Roger Mises, localisé au nord du CHU d’Angers, au cœur de la cité, regroupe les activités ambulatoires, les lits d’hospitalisation pour tout le département ainsi que le nouveau CATTP « pour et autour du bébé ». Le service de Soins Intensifs Psychiatriques à Domicile (SIPAD) offre de nouvelles modalités de prise en charge en lien avec les secteurs, afin de permettre à des patients de bénéficier de soins intensifs tout en restant dans leur environnement familial et social. L’Unité de Réadaptation Psychosociale est une structure d’hospitalisation complète qui vise à préparer la sortie de patients dont l’état nécessite un accompagnement plus structuré à la réappropriation des compétences sociales. Le CESAME dispose également d’une Unité Psychiatrique d’Accueil et d’Orientation, qui est avant tout une unité d’accueil pour des personnes traversant une crise psychiatrique, où une équipe soignante et médicale prend en charge les patients et leurs familles. L’évaluation psychiatrique réalisée vise à proposer l’orientation la plus adaptée aux besoins du patient. L’établissement s’inscrit dans une dynamique de développement de son activité autour des alternatives à l’hospitalisation, afin d’élargir la palette d’offres de soins pour répondre de la manière la plus adaptée aux besoins individualisés des patients. Des partenariats variés Le CESAME est au cœur d’un maillage territorial étoffé et travaille en partenariat étroit avec de nombreux établissements sanitaires et médico-sociaux sur les territoires couverts par ses secteurs. Le CESAME a signé plus d’une centaine de conventions de coopération : des médecins, infirmiers et psychologues se déplacent chaque jour dans des établissements partenaires (maisons de retraite, établissements pour adultes handicapés, etc.) pour y apporter un soutien quand un avis psychiatrique est nécessaire. Élaboration d’un nouveau projet d’établissement Le CESAME élabore cette année son projet d’établissement 2016-2020 et vient de valider le projet médical. Tout en se situant dans la continuité des précédents, le projet médical renforce l’offre de soins ambulatoires et d’expertise avec l’ambition, entre autres, de fluidifier les parcours de soins des patients, de s’inscrire dans un cercle plus large de partenaires et de participer à construire une réelle dynamique territoriale. ...
Chi va piano va sano e lontano : Qui veut voyager loin, ménage sa monture. Depuis 15 ans, le restaurant italo-méditerranéen Vapiano a su faire d’un célèbre proverbe, sa propre devise. Ici, celui qui désire aller loin, doit aller sereinement et manger sainement. Le concept de Vapiano en découle, par la qualité et l’authenticité de ses plats, tout comme par la convivialité de son atmosphère. Un cuisine italienne faite maison et des produits frais La philosophie de Vapiano se caractérise par des plats « faits maison » préparés sous les yeux des clients avec des produits frais. Chaque bouchée est un voyage en Italie, chez la mamma ! Au menu, on retrouve toutes les spécialités qui font la grandeur de l’Italie :antipasti, pizza, pasta, risotto, insalata et dolci. De l’entrée au dessert, les ingrédients sont frais, la pâte à pizza et les sauces sont préparées au jour le jour et les recettes changent au fil des saisons. Vapiano met aussi à la disposition sur toutes les tables des plants de basilic, menthe, thym ou encore de romarin afin que chacun puisse sublimer son plat à sa façon. Enfin, pour accompagner ces précieux mets, rien de mieux qu’un choix large de vins, cafés et thés de grande qualité ainsi que de boissons non alcoolisées. Un design naturel et une atmosphère chaleureuse : un parfum de dolce vita Vapiano a pensé son design et créé son ambiance afin de rappeler visuellement et olfactivement l’Italie. Grace notamment au travail de l’architecte et designer d’intérieur milanais Matteo Thun, qui a su traduire dans l’aménagement des restaurants toute la fraîcheur et la qualité de la cuisine Vapiano. L’association des matériaux nobles du mobilier, des oliviers centenaires implantés dans chaque restaurant, de la verdure des murs végétaux, ainsi que de l’éclairage identique à la lumière du soleil téléporte la clientèle dans un authentique lieu méditerranéen où elle pourra boire un verre et déguster des antipasti dans les espaces bar et lounge avant d’apprécier un repas entre amis autour d’une grande table en chêne clair. De l’ambiance conviviale, à l’art de recevoir, en passant par le design, chez Vapiano tout est pensé pour s’accorder une parenthèse italienne le temps d’un repas. ...
Située à environ 1h30 de Paris, Troyes est une ville Renaissance inspirée de la cité médiévale. Elle a su reconstruire dignement son identité même après un grand incendie qui l’a ravagée en 1524. Aujourd’hui ressuscitée, elle est labellisée « Ville d’art et d’histoire » et est plus resplendissante que jamais. Troyes nous ouvre son univers pour dévoiler ses innombrables richesses. Un héritage culturel multicolore Déambulant dans le passé et le présent, Troyes se démarque d’abord par son patrimoine architectural. Celui-ci présente une belle collection de maisons à pans de bois ainsi que bon nombre d’édifices fidèles à la Renaissance. Le centre-ville, formant un bouchon de champagne, est le joyau de la cité médiévale. C’est là où siège la majestueuse cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, le monument le plus visité de l’Aube. La Maison de l’Outil et de la Pensée ouvrière a également fait son nid au sein du « bouchon de Champagne ». C’est le seul musée au monde qui retrace soigneusement l’histoire des métiers d’artisans à travers sa collection de 12 000 outils de façonnage à main. Mais Troyes n’est pas que monuments et musées. Ancienne capitale mondiale du textile, elle tente aujourd’hui de regagner cette identité en s’imposant comme le grand pôle de magasins d’usine d’Europe. Le paradis du shopping Attirant plus de 3,5 millions de visiteurs par an, il est impossible de résister pour les shopping-addicts, surtout quand les grandes marques comme DD, Petit Bateau ou Lacoste sont au rendez-vous. L’image de Troyes en tant que ville du shopping et des bonnes affaires s’est développée à partir des années 1960, lorsque les magasins d’usine ont commencé à s’installer. Au total, plus de 250 boutiques et 400 marques s’offrent aujourd’hui aux visiteurs en proposant des prix très attractifs. Quand les papilles voyagent La ville est aussi une destination gastronomique parfaite, où les produits de terroir sont savamment mis en valeur pour offrir une surprenante expérience gustative aux visiteurs. Sa spécialité est l’authentique andouillette de Troyes, une recette servie dans quasi toutes les bonnes tables de la ville. La qualité de cette charcuterie traditionnelle est attestée par le label 5A. Les charcutiers Thierry ou Maury sont les maîtres en la matière. Cette spécialité locale s’associe parfaitement avec le fromage de Chaource, également fierté du territoire. Et après avoir dégusté les mets salés, pourquoi ne pas clore l’aventure culinaire avec une gamme de douceurs sucrées de chez Pascal Caffet, MOF chocolatier-pâtissier et champion du monde des métiers du dessert, dont la spécialité est le praliné maison à l’ancienne. Toutes ces gourmandises peuvent s’accompagner de la délicate prunelle de Troyes, la liqueur symbole de la ville distillée depuis 1840. Aux portes de la ville, les visiteurs peuvent rencontrer les vignerons de Montgueux et déguster notamment les nectars pétillants à base de chardonnay. À noter : la région produit également le fameux cidre du pays d’Othe. ...
C’est près de Saumur que Robert d’Arbrissel, un prédicateur itinérant, fonde l’Abbaye Royale de Fontevraud en 1101. Elle est alors constituée de quatre entités. Le monastère Sainte-Marie est le plus grand. Il est réservé aux femmes de l’aristocratie qui dédient leur vie à la prière et aux travaux de broderie. Le monastère Marie-Madeleine est destiné aux femmes du peuple. Des fouilles archéologiques sont en cours, avant d’éventuels travaux de rénovation. Le prieuré Saint-Jean de l’Habit est réservé aux moines. II est vendu à la suite de la Révolution comme carrière de pierres pour construire des maisons. Aujourd’hui, il n’existe plus. Quant au prieuré Saint-Lazare, il est à l’origine une léproserie, puis un hospice de religieuses, avant d’être l’hôpital de la prison. Aujourd’hui, l’hôtel quatre étoiles ainsi que le restaurant ont pris possession de ce lieu. Un peu d’histoire Robert d’Arbrissel, fils et petit-fils de curés, a une préoccupation forte du devenir de la femme. Il décide de créer une « cité idéale », où chacun a sa place et son rôle ; hommes comme femmes ; aristocrates comme gens du peuple. Pour installer sa communauté, il bénéficie de plusieurs soutiens dans la région. Il décide de donner les pouvoirs de cette abbaye à une femme, une position révolutionnaire au Moyen-Âge. Ainsi, 36 abbesses vont se succéder à sa tête, dont la première est Pétronille de Chemillé. La communauté s’inspire des règles établies par saint Benoît (travail, prières et silence). Henri Plantagenêt, époux d’Aliénor d’Aquitaine, devenu Henri II d’Angleterre, va donner beaucoup d’argent à Fontevraud pour son développement et son rayonnement. Sa femme décidera de le faire enterrer dans l’église abbatiale. Quelques années après, Richard Cœur de Lion, mortellement blessé dans le Poitou, demandera à sa mère d’être réconcilié avec son père dans la mort en y étant lui aussi enterré. Fontevraud devient ainsi la nécropole d’une dynastie royale britannique. Sous François 1er, ce sont des abbesses de la famille royale de Bourbon qui vont relancer d’énormes travaux de restauration de l’Abbaye à la suite de la Guerre de cent ans. Quant à Marie-Gabrielle de Rochechouart de Mortemart, dite la reine des abbesses, elle fera rénover les jardins et construire une orangerie. Quand la révolution arrive, une partie des religieuses partent. En 1792, les dernières sont chassées. L’Abbaye est abandonnée et entièrement vide. En 1804, Napoléon décide d’en faire une prison, qui voit le jour après dix ans de travaux. Y sont emprisonnés des hommes, des femmes et même des enfants, dès l’âge de huit ans. Elle ferme officiellement en 1963, bien que des prisonniers de droit commun y séjournent jusqu’en 1980 au monastère Marie-Madeleine et participent aux premières restaurations. Un patrimoine à découvrir C’est en 1975 que le site est ouvert aux visites et aux rencontres culturelles. Au cœur de ce domaine de 14 hectares, vous pourrez admirer le patrimoine architectural des différents bâtiments, mais aussi vous recueillir devant les gisants d’Henri II, d’Aliénor d’Aquitaine, de Richard Cœur de Lion et d’Isabelle d’Angoulême, exposés dans l’église. Vous pourrez déambuler dans les jardins en terrasse, les petits potagers déclinés en thématiques et les grands espaces herbeux, ou encore vous diriger vers l’est et remonter à flanc de colline pour une vue panoramique magnifique sur l’ensemble du domaine. Prévoyez au minimum 2 h 30 pour découvrir les différentes facettes du site. Une vingtaine d’écrans plasma proposent des films d’animation, avec images d’archives et textes synthétiques. Audioguides et visites guidées sont également à votre disposition. Dans la crypte archéologique, un film d'animation explique les origines de Fontevraud et les richesses de cet espace. Une visite ludique pour les enfant...
Réduire à 50 % les préjudices causés par les erreurs médicamenteuses est l’un des défis mondiaux de l’Organisation mondiale de la santé pour ces cinq prochaines années. À l’ère du tout numérique, le processus de préparation médicamenteuse repose encore sur des contrôles visuels, « avec une intervention humaine et possibilité d’erreurs humaines », comme l’a souligné Loïc TAMARELLE, cofondateur et président d’EUREKAM. Plus un préparateur augmente sa productivité en une journée, plus grand est le risque de faille lié à la manipulation de la molécule, du volume ou l’étiquetage du moyen d’administration. Face à ce danger qui s’expose aux patients et au personnel médical, la start-up lance DRUGCAM®pour assister et fiabiliser l’ensemble des étapes de la fabrication anticancéreuse injectable. Système de contrôle pré and post-process Innovation 100 % française, DRUGCAM® exploite une intelligence artificielle et un système d’enregistrement vidéo pour automatiser la préparation de la chimiothérapie injectable. Ce dispositif se dote d’un module de vision/détection s’installant sur l’environnement de production Hotte ou isolateur et d’un logiciel performant avec deux modules informatiques. « C’est une révolution : il va guider et assister le préparateur à chaque étape du protocole, depuis l’insertion de la prescription dans le logiciel, jusqu’à la validation de l’opération. » Concrètement, il va vérifier chaque information qu’il reçoit (la molécule, le dosage, la seringue, le code-barres, le flacon, l’étiquette, etc.) via la reconnaissance vidéo et les comparer au protocole établi pour chaque patient. Avec une précision millimétrée, DRUGCAM® analyse très finement ces données prélevées et alerte le préparateur au moindre écart ou erreur constaté. Mieux encore, le système identifie clairement l’origine et la nature de l’anomalie pour mieux cibler les actions correctives derrière. En même temps, toutes les phases clés de la préparation sont filmées et archivées pour faciliter la coordination entre les intervenants dans la libération de médicaments. Renforcer la sûreté dans l’organisation des soins « Notre technologie brevetée en France, mais aussi à l’international, est déjà opérationnelle dans une vingtaine d’établissements de soins (CH, CHU, cliniques et centre de lutte contre le cancer) en France et le nombre va bientôt augmenter », fait savoir notre interlocuteur. La plus-value apportée par la solution DRUGCAM® satisfait parfaitement le niveau de qualité et de sécurité exigé par le métier. En effet, avoir la certitude que le processus de préparation médicamenteuse a été entièrement contrôlé permet de rassurer les patients. Non seulement les patients, mais également le personnel médical, aussi bien en termes d’éthique (respect des bonnes pratiques) qu’en termes de sûreté (aucun risque chimique de contrôle a posteriori). En outre, le système aide à maintenir une efficacité optimale grâce à la rapidité d’exécution : plus cohérente, plus fluide et plus cadrée. Il garantit également une traçabilité informatisée de toutes les opérations, que l’on peut exploiter à tout moment ou utiliser en guise de preuves médico-légales. Enfin, adopter DRUGCAM® permet d’optimiser la démarche qualité des établissements de soins, tout en maîtrisant les budgets affectés aux dispositifs médicaux. Tout le monde en sort gagnant. Une belle aventure à succès Loïc TAMARELLE s’est associé à Benoît LE FRANC, pharmacien du groupe hospitalier La Rochelle Ré Aunis pour fonder la start-up EUREKAM en 2012. Elle a été propulsée par le Concours national d’aide à la création d’entreprises innovantes, et n’a cessé de collectionner des palmarès depuis, notamment pour son produit DRUGCAM®. L&rs...
Lancé en 1996, le restaurant tenu par Benoît Cantalloube se situe face à la basilique de Saint-Sernin, un des plus beaux monuments de Toulouse. Le « 7 » : une métamorphose accomplie Pour apporter un renouveau à l’établissement, Benoît Cantalloube engage Guillaume Momboisse, 26 ans, un ancien apprenti de la maison qui revient après une dizaine d’années. Ce dernier a suivi un riche parcours au restaurant Ô Saveurs, au restaurant Le Chalet de la forêt à Bruxelles mais aussi à Hong Kong au Twenty North. Son défi est de donner un coup de jeune au restaurant. Animé par son enthousiasme et sa créativité, Guillaume Momboisse y propose une cuisine délicate et raffinée. Gastronomie rafraichie et authentique Les plats se concoctent avec des ingrédients frais, achetés quotidiennement sur le carré du Marché de la Gare de Toulouse et vendus par les maraichers de la Haute-Garonne. Ses trouvailles du marché lui permettent de réaliser une cuisine respectueuse du terroir, où les produits méditerranéens forment un heureux mariage. Guillaume Momboisse travaille surtout les viandes de la région comme l’agneau du Quercy, le veau fermier de l’Aveyron ainsi que la sole du bassin d’Arcachon. Inspiré et créatif dans l’élaboration des plats Les convives sont invités à choisir entre trois menus : le Lunch, la Découverte et la Dégustation. À souligner : le menu Lunch, à seulement 24 €, est servi exclusivement le midi, avec une entrée, un plat de poisson ou de viande, et un dessert. Il est renouvelé toutes les semaines. Une carte des vins qui voyage Les vins de Saint-Chinian, de Gaillac, de Fronton et de Madiran sont à l’honneur. « Effectivement, puisque nous sommes installés à Toulouse, nous avons une très jolie carte de vins de région. Néanmoins, par curiosité et par gout, nous nous échappons un petit peu de notre région », indique Benoît Cantalloube. Le plaisir du chef est de faire découvrir de nouveaux horizons. « J’aime bien chiner les vieux vins. Parfois, on tombe sur de véritables petites perles », confie-t-il. Lors des foires et expositions, le chef et son équipe testent quelques vins du monde, notamment des crus de la Nouvelle-Zélande, d’Uruguay et de Chili, qui s’affichent dans une rubrique spéciale de la carte. ...
Lieu propice aux escapades gourmandes, le restaurant dévoile de belles surprises culinaires qui valent réellement le déplacement. Ce restaurant bistronomique à la carte évolutive est une excellente adresse à découvrir et à recommander, avec un clin d’œil particulier pour le côté fraîcheur et la qualité des produits. Son cadre à l’ambiance raffinée, qui enchante les pupilles et les papilles, permet un plaisir toujours renouvelé. Sous une véranda qui présente une incroyable vue panoramique sur le village de Gordes et la vallée, le lieu laisse opérer sa magie. Le chef exécutif Antoine James ajoute sa touche personnelle aux belles compositions dont il est le seul à détenir le secret avec Marc de Passorio, chef étoilé signant la carte pour Alexandre Deshaies. Une signature très appréciée et facilement reconnaissable par les habitués. Avec une carte élaborée en collaboration avec le chef étoilé Marc de Passorio, l’établissement a de quoi satisfaire gourmands et gourmets. Tatin d’échalote confite au Châteauneuf du Pape, carré de cochon des Pyrénées Label Rouge, chariot de fromages accompagnée de mesclun et d’une confiture maison sont autant de délices à découvrir, sans parler de son chou à la crème mascarpone et noix torréfiées. Des saveurs de saison Proposée à 25 €, sa formule exclusive du midi comprend une entrée et un plat, ou un plat et un dessert. Pour le midi et le soir, le restaurant propose également un menu au nom évocateur à 32 €, qui change toutes les semaines en fonction des produits disponibles sur le marché, à savoir, le menu Retour du marché. Ayant plus d’un tour dans son sac, L’Esprit des Romarins dispose encore du menu Esprit à 45 €, sans parler de la carte et les suggestions de la semaine. Difficile de résister à son savoureux foie gras, réalisé avec du muscat Beaume de Venise, ou à son carré d’agneau les Comtes de Provence, un agneau 100 % provençal, travaillé au naturel avec tous les condiments et les aromates qu’on peut trouver en Provence. Au dessert, craquez pour son délicieux chocolat Weiss, un très bon chocolat fait comme un After Eight, qui n’est pas sans rappeler les After Eight préparés chaque saison par le chef pâtissier Simon Pacary de Marc de Passorio, mais accommodés à notre façon. ...
Existant depuis 1898, l’hôtel-restaurant Morganti a été créé par l’arrière-grand-père de Jean-Toussaint. Le petit-fils prend la relève et invite les locaux ou les touristes de passage à découvrir une cuisine corse qui sublime la richesse du terroir. Cuisine de tradition Dans le calme olympien de la salle et de la terrasse ombragée de Morganti, les assiettes se révèlent gourmandes et respectueuses de la saisonnalité. Les recettes tirent leur riche saveur des produits exceptionnels de la mer et de la terre corse. Les langoustes proviennent directement des arrivages du cap Corse. Les poissons sont livrés à peine pêchés de Balagne. Les charcuteries, les fromages et les vins locaux sont les fruits du talent et de la patience des artisans œuvrant sur l’île de beauté. Vous l’aurez compris, chez Morganti, seuls les produits frais ont leur place. Et tout cela, sans que vous n’ayez à craindre une addition salée. La maison prône effectivement l’excellence de son rapport qualité/prix, ce qui lui a permis d’ailleurs d’obtenir la nouvelle distinction « l’Assiette » du Guide Michelin en 2015. Quelques plats emblématiques Le restaurant Morganti a bâti sa réputation autour de plats emblématiques, comme la bouillabaisse traditionnelle et les spaghettis à l’araignée de mer. D’autres plats viennent s’ajouter à la liste des ambassadeurs de la maison comme la soupe de poisson, sa rouille et ses croûtons ou la salade de poulpes. En dessert, rien de mieux que le moelleux à la châtaigne. Des signatures à accompagner de la traditionnelle planche de charcuteries corses et d’autres spécialités régionales typiques du maquis. Pour compléter ce voyage gustatif, les plats s’accompagnent d’une carte de vins faisant la part belle aux produits de la région, comme ceux du Domaine Pieretti ou du Domaine de Saparale. ...
Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...