Lancé en mars 2015 par Jacques Lavie et Léo Bonnet, diplômés de l’ESCP, BnbLord est un service de conciergerie, exclusivement en ligne, pour les personnes mettant en location leur bien (appartement ou maison). Avec sa cinquantaine de salariés, BnbLord gère actuellement plus de 900 biens dans deux pays (France et Portugal) et 12 villes (Paris, Marseille, Lyon, Strasbourg, Toulouse, Nice, Bordeaux, Biarritz, Montpellier, Lisbonne, Porto et dans les Alpes). Ce qui représente également plus de 3000 réservations gérées mensuellement. Une impeccable gestion locative Faisant partie des pionniers et des leaders en matière de gestion locative, BnbLord est bien plus qu’un simple service de conciergerie. Un véritable intermédiaire entre propriétaires et voyageurs délivrant à ces deux parties une solution « clef en main ». Contre une commission de 20% des loyers, BnbLord s’occupe de tout. De la mise en valeur de l’annonce et son référencement à la qualité de l’accueil, en passant par l’état des lieux et d’autres tâches, BnbLord veille au grain et assure un suivi précis et complet. Un accompagnement gratuit au choix d’investissement d’un bien saisonnier BnbLord intervient également dans le choix de l’investissement d’un bien saisonnier. Et ce, gratuitement. Cet accompagnement porte en particulier sur le choix de l’emplacement de la propriété. Par exemple, BnbLord conseillera fortement à un investisseur une acquisition immobilière près de la gare de Strasbourg, malgré le modeste standing du quartier, car cela attirera des voyageurs. ...
Riche d’une histoire remontant à plus de deux millénaires, le Château Calissanne a su développer des gammes de produits de qualité avec la volonté de respecter autant l’environnement que son terroir. Château Calissanne : histoire et évolution On pourrait indiquer que l’histoire du Château Calissanne remonte à 2001, avec l’achat et la restructuration du domaine par Philippe Kessler. Pourtant, ce ne serait pas rendre hommage à ce territoire vieux de deux millénaires qui était, au temps jadis, la voie principale entre Rome et l’Espagne. Place forte au IVe siècle, c’est aussi à cette époque que les Romains commencèrent à y planter des vignes et des oliviers. Il a fallu, ensuite, attendre le XVIIe siècle pour que le château actuel y soit construit (par M. de Leydet, parlementaire de la Cour d’Aix-en-Provence). Deux siècles plus tard, la propriété sera rachetée par Charles Auguste Verminck. À cette époque, on y cultivait, en plus du raisin et des olives, des cerises, des amandes et des asperges. Mais ces cultures seront peu à peu abandonnées pour se concentrer pleinement sur le vin et l’huile d’olive. Depuis 2001, Philippe Kessler et son épouse Sophie sont les nouveaux propriétaires du domaine de Calissanne. Leur objectif : améliorer la qualité des vins en mettant en valeur le vignoble Château Calissanne (AOP Coteaux d’Aix-de-Provence) et Domaine de la Clef de Saint-Thomas (AOC Châteauneuf-du-Pape). Viticulture et élevage des vins Profitant d’un climat méditerranéen (caractérisé par un air chaud et sec) et d’une douce brise marine, la vigne est inondée de soleil pendant une majeure partie de l’année. Les sols, quant à eux, sont riches et aérés. Ce qui permet d’y cultiver aisément de nombreux cépages : - Syrah, cabernet sauvignon, mourvèdre, grenache, cinsault, rolle, clairette et sémillon au Château Calissanne (divisés en 4 ilots de plusieurs parcelles) ; - Grenache, syrah, mourvèdre, cinsault, clairette, vaccarèse, bourboulenc, roussanne, counoise, muscardin, picpoul, picardan et terret noir à la Clef de St Thomas (3 terroirs divisés en 4 lieux-dits). Sans oublier les olives, le miel, les céréales et, plus étonnant encore, la truffe qui se plait au sein de ce territoire. Le Château Calissanne s’est engagé à pratiquer des méthodes de culture respectant les normes environnementales. Cela lui a permis d’obtenir une certification HVE de niveau 3 pour tous ses produits. Des créations pour toutes les envies Le Château Calissanne produit annuellement environ 50% de rosé, 40% de rouge et 10% de blanc en AOP Coteaux d’Aix-de-Provence. Parmi ceux-ci, on trouve : - Rocher Rouge (96% mourvèdre et 4% syrah) qui est un vin rouge mêlant arôme épicé et notes de framboise ; - Clos Victoire en rouge (60% syrah et 40% cabernet sauvignon), rosé (90% syrah et 10% grenache) et blanc (50% sémillon et 50% rolle) pour accompagner tous vos repas ; - Calisson de Calissanne (50% grenache, 40% cinsault et 10% rolle) qui est un vin rosé aux notes florales et d’agrumes ; - Epidaure (60% syrah et 40% cabernet sauvignon) : un vin rouge boisé, élégant et équilibré ; - Château Calissanne rouge (40% syrah, 40% cabernet sauvignon et 20% grenache), rosé (33% grenache, 33% mourvèdre et 33% syrah) et blanc (60% vermentino et 40% sémillon) qui feront le bonheur des amateurs de vins méditerranéens ; - Les Terres de Provence rouge (40% syrah, 40% grenache et 20% cabernet sauvignon), rosé (25% grenache, 25% cinsault, 25% mourvèdre et 25% syrah) et blanc (20% sémillon, 20% grenache blanc, 20% clairette, 20% vermentino et 20% bourboulenc) ; Le domaine de la Clef de Saint-Thomas propose quant à lui majoritairement du rouge mais aussi du blanc en AOC Châteauneuf-du-Pape : - Clef de Saint Thomas rouge (50% grenache, 30% syrah et 20% mourvèdre) et blanc (50% roussanne, 20% clairette, 20% grenache et 10% bourboulenc) aussi complexe que charmant ; - Pierre Troupel rouge (60% grenache et 40% syrah) et blanc (40% bourboulenc, 30% grenache et 30% clairette) qui est un vin jeune, mais puissant. ...
1. Les filières de santé représentent les maladies rares Pour sensibiliser les professionnels de santé et diffuser l’information auprès d’eux, les filières de santé maladies rares conduisent des actions de communication conjointes, notamment en participant régulièrement à des congrès professionnels nationaux : • Congrès des médecins généralistes, • Congrès des internes, • Congrès de pédiatrie, • Congrès des urgences, • Assises de génétique, • Congrès des différentes sociétés savantes, • Congrès « Rare ». D’une grande richesse, ces événements constituent de réels moment de partage. Ils sont l’occasion d’échanger sur le vécu des patients atteints de maladies rares, sur leur prise en charge et sur les outils développés par les filières pour les professionnels mais aussi pour les patients. La présence des filières de santé maladies rares sur ces différents congrès est essentielle. Rappelons que ces structures ont notamment pour objectif de communiquer, de faire connaitre, d’interpeller et de sensibiliser les professionnels aux enjeux des maladies rares. Parce qu’ils bénéficient d’une très grande fréquentation, ces congrès nationaux offrent une importante visibilité aux filières. Ce sont de véritables lieux de rencontres qui permettent de mettre un coup de projecteur sur les maladies rares et sur leurs enjeux. 2. Les filières développent des outils nationaux Dans le but d’améliorer la prise en charge des patients atteints de maladies rares, les filières ont développé une large palette d’outils innovants dont voici quelques exemples : Les cartes « urgences » sont des cartes personnelles d’information qui ont pour but d’améliorer la coordination des soins des patients atteints de maladies rares, notamment en situation d’urgence. Proposées aux malades par les centres de référence maladies rares, ces cartes sont distribuées par des médecins spécialisés. Elles indiquent les symptômes devant être pris en compte dans l’évaluation du malade. Ces cartes synthétisent également les gestes à effectuer - ou, au contraire, à éviter - en situation d’urgence. Plus complètes et prenant la forme de recommandations pratiques pour la prise en charge des patients atteints d'une maladie rare et qui nécessitent des soins médicaux en urgence, les fiches « urgences » sont destinées aux médecins urgentistes. Ceux-là mêmes qui interviennent sur le lieu de l'urgence (à travers la régulation du SAMU) ou au sein des urgences hospitalières. Expliciter aux professionnels concernés la prise en charge diagnostique et thérapeutique optimale actuelle ainsi que le parcours de soins d’un patient atteint d’une maladie rare donnée, tel est l’objectif des PNDS (Protocoles Nationaux de Diagnostic et de Soins). Ce dispositif permet, en effet, d’optimiser et d’harmoniser la prise en charge ainsi que le suivi de la maladie rare sur l’ensemble du territoire Le PNDS peut également servir de référence au médecin traitant en concertation avec le médecin spécialiste. Il est possible de se procurer les PNDS sur les sites : ▪ de la HAS, ▪ du centre de référence compétent, ▪ des filières de santé maladies rares elles-mêmes. Les réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP) regroupent des professionnels de santé de différentes disciplines dont les compétences sont indispensables pour prendre une décision accordant aux patients la meilleure prise en charge qui soit. Les professionnels du soin peuvent ainsi soumettre - pour avis - des dossiers de patients aux centres de référence/experts afin qu’ils soient discutés lors de RCP. Le Programme & référentiel de transition consiste, ...
La richesse de la gastronomie italienne ne se résume pas qu’aux pizzas et aux spaghettis. Prenez une grande inspiration : le restaurant Conti vous propose une totale immersion dans la cuisine italienne et vous la dévoile dans toute son authenticité. Ensoleillée, généreuse, conviviale, elle a tout pour vous séduire. Halte gourmande dans une ambiance de charme Prônant un décor cosy et chaleureux, le restaurant Conti vous invite à évoluer dans un espace raffiné. Banquettes de velours, grand miroir sculpté, murs tapissés de rouge, détails dorés : le cadre s’inspire des codes du théâtre vénitien. Au milieu de la salle trône des lustres en verre Murano, un pur chef d’œuvre issu de la tradition vénitienne. Avec son cadre spacieux et son climat feutré, le restaurant Conti se veut être un vrai lieu de détente aux salles intimistes. « On peut se parler sans gêner les autres » nous souffle-t-on. La meilleure de la cuisine italienne Afin de garder toute l’authenticité de ses plats, ce restaurant s’approvisionne à la source. Les produits à l’instar des fromages par exemple arrivent directement d’Italie. Les autres matières premières quant à elles sont issues des producteurs locaux. Comme les professionnels de la gastronomie aiment à défendre que « c’est le produit qui fait le plat », le restaurant Conti ne déroge pas à cette règle d’or. Un souci et une recherche permanente de la qualité qui se ressentent naturellement dans les assiettes. Une simple bouchée des Langoustines Huile de truffe noire, du Carpaccio de coquilles Saint-Jacques ou du Risotto aux truffes suffit pour vous en rendre compte ! Au Conti, les pâtes sont également à l’honneur ! La maison vous propose des pâtes fraîches, là aussi entièrement faites maison. Pour achever ce périple culinaire, rien de mieux qu’un délicieux Tiramisu fait maison. La carte des vins quant à elle rend un bel hommage à La Botte. Pour accompagner vos plats, quelques perles issues des plus grandes régions viticoles du pays vous attendent. Les vins de la Toscane et de la Sicile sont particulièrement appréciés bien que d’autres références méritent également toutes les attentions. ...
Les 3 Épiciers entend rendre hommage au savoir-faire des artisans, des producteurs et des fermiers de France. « Nous avons voulu représenter les petits artisans qui viennent des quatre coins de la France afin de les regrouper sous notre marque d’épicerie fine », déclare Jean-Marc Annaloro, l'un des fondateurs de la marque. La boutique « Les 3 Épiciers », sise à Lourmarin, propose donc une large gamme de produits sélectionnés suivant une charte-qualité exigeante élaborée par les fondateurs eux-mêmes. Objectif : proposer des produits authentiques, 100 % français. Allant des spiritueux aux épices, en passant par la confiserie, « ici, tout est exclusivement fait à la main par un producteur français », continue notre interlocuteur. De quoi satisfaire les épicuriens en quête de saveurs authentiques, gourmandes et célébrant toutes les bonnes choses que la gastronomie française a à offrir. « Retrouver le goût des bons produits » C’est en ces termes que Jean-Marc Annaloro définit la motivation qui l’a poussé, avec ses associés, à créer cette marque placée sous le signe de l’authenticité. Dans cette optique, la charte-qualité très stricte qui guide la sélection repose sur des critères exigeants. « Nous avons nous-mêmes sélectionné le meilleur de chaque produit en allant à la rencontre des artisans, des producteurs et des fermiers dans leur propre domaine. Nous avons alors découvert des histoires, des savoir-faire ainsi que des méthodes de fabrication qui répondent aux exigences de notre charte », reprend notre interlocuteur. En conformité avec cette charte-qualité, les ingrédients sont rigoureusement contrôlés afin de proposer uniquement des mets, des condiments et des spiritueux sains, fidèles à leurs origines. Dans cette logique, « nous sélectionnons uniquement des produits français de haute qualité, faits à la main et ne contenant ni colorants, ni arômes artificiels, ni conservateurs », rajoute-t-il. C’est ce noble engagement envers la qualité qui fait ainsi la particularité des chocolats, des liqueurs, des épices, des confiseries, des biscuits et des spiritueux commercialisés par l’enseigne « Les 3 Épiciers ». À chaque produit son histoire Les méthodes de fabrication de certains artisans et producteurs ont été transmises de génération en génération et constituent un patrimoine gastronomique à valoriser. C’est, par exemple, le cas des calissons élaborés par un maître confiseur aixois. Le calisson est fabriqué à partir de fruits confits (citron, melon et orange) et d'amandes. C'est une douceur typique d'Aix-en-Provence. L’épicerie propose, entre autres, du miel de garrigue et du miel de lavande, récoltés et conditionnés à la main dans le village de La Roque-d'Anthéron. Des sirops bio garantis sans arômes artificiels ni colorants avec des recettes originales telles que le sirop méditerranée à base d'anis vert, de menthe poivrée et de verveine, font également partie des produits phares de l’enseigne. Ceux-ci incluent, en outre, une gamme de crèmes de fruits et de liqueurs faites à base de plantes et de fruits directement récoltés et distillés de manière artisanale dans les Alpes du Sud. Dans cette catégorie, la liqueur de thym sauvage de Provence accroche de nombreux adeptes. Découvrez, par ailleurs, une cave composée des meilleurs spiritueux de France. Le blanc du domaine Moreau-Naudet, cuvée Valmur 2014 (appellation chablis grand cru) ainsi que le rosé du Château d'Esclans, cuvée Garrus 2015 (appellation côtes-de-provence), élu meilleur rosé du monde. Whisky breton, caviar, produits truffés et champagne haut de gamme viennent s’ajouter à ce répertoire pointu, 100 % français. ...
Située au cœur du 15e arrondissement de Paris, cette enseigne aux dehors innovants, en plus d’être populaire, tranquille et un rien bobo, met le quartier en ébullition. À travers une cuisine bistronomique à base de produits frais et de saison, l’établissement propose une carte évolutive intégrant trois entrées, trois plats et trois desserts qui changent tous les mois, avec, à côté, un menu du midi composé de deux entrées, deux plats et deux desserts, qui, chaque semaine, ne sont jamais les mêmes. Misant sur la fraîcheur et la qualité des produits, l’établissement met à l’honneur le « fait maison ». Son menu bistronomique séduit plus qu’il ne surprend avec ses cinq variétés de plats, à savoir un assortiment d’amuse-bouches, une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert. Les ingrédients sont ingénieusement agencés dans les assiettes, dans une intéressante alliance de couleurs et de saveurs. Magret de canard, Saint-Jacques et autres matières premières d’exception sont délicieusement mis en scène. Une ambiance bistronomique La Table des Insolents, c’est un fond de cuisine un peu fusion aux tendances légèrement orientales. Avec un brin d’audace, comme le laisse supposer le nom de l’établissement, les classiques sont ici revisités avec des plats à l’image du restaurant. Dans un décor assez épuré aux tables d’une grande sobriété, l’accent est mis sur la qualité et la simplicité, pour une belle harmonie. ...
Qui a dit qu’il fallait absolument posséder des hectares de vignes pour produire les meilleurs vins ? Christophe Kaczmarek prouve que l’expérience et un carnet d’adresses bien étoffé suffisent à l’élaboration de cuvées d’excellence. Car ce négociant tisse d’étroites collaborations avec des producteurs certifiés en agriculture biologique et biodynamique pour concevoir sa gamme pleine d’authenticité et de générosité. Retour sur le parcours de ce personnage au caractère bien trempé et sur sa marque French Beaches, productrice de vins, de bières et de spiritueux. Le Master Blending comme source d’inspiration Christophe Kaczmarek se découvre une passion pour les vins lors de ses études à l’EDC Paris Business School. Intégré à la junior entreprise de son école, il travaille avec ses camarades sur le projet « Compositeur de grands vins » pour le compte du célébrissime Bernard Magret. Une fois son cursus achevé, il décide de se plonger dans les méandres de l’univers vinicole en démarrant comme vacataire chez le caviste parisien Le Repaire de Bacchus. De fil en aiguille, il consolide son background en se formant auprès des plus éminents sommeliers tels que Paolo Bouca Nova ou Jean-Michel Deluc. « A partir de 2011, j’ai intégré le domaine Paul Màs et ensuite, j’ai travaillé au sein du groupe Castel », raconte-t-il pour témoigner de son riche parcours. Le déclic survient en 2015. Christophe quitte son poste chez Castel et se lance dans l’aventure de l’entrepreneuriat. « J’ai deux structures dont l’une se nomme Coq au vin et l’autre French Beaches. Avec Coq au vin, j’opère comme agent à l’export pour une douzaine de vignerons et quant à French Beaches, j’y produis mes propres cuvées ». Il puise son inspiration dans le procédé de Master Blending utilisé dans la conception de whiskies. « Le Blended whisky est le résultat d’un mélange de différents whiskies d’âges et d’origines différentes. […] La technique a été créée au Japon et elle est relativement récente puisqu’elle date d’à peine 10 ans », fait savoir notre interlocuteur. Pour élaborer ses vins, cet artisan procède alors à des assemblages de différentes parcelles choisies auprès de ses partenaires vignerons. À la manière d’un parfumeur, il goûte de nombreuses cuves et décident de celles qui peuvent s’associer en se concentrant sur les qualités organoleptiques de chaque jus. Des cuvées festives et généreuses pour le plaisir de tous En quête de repères inédits, contemporains, élégants et identifiables, les consommateurs sont très à cheval sur le packaging des produits. Conscient de ce phénomène, French Beaches choisit par exemple des bouteilles Paris pour mettre en valeur ses cuvées. « Le vin est un produit noble, j’ai voulu lui donner un bel écrin », explique Christophe. Et comme cet artisan ne fait rien dans le conformisme, même ses étiquettes sont conçues de façon sur mesure par des artistes. « Au détour d’une librairie, je suis tombé sur un roman graphique d’Anne-Margot Ramstein qui m’a interpellé. Nous avons conclu une collaboration et elle réalise certaines de nos étiquettes ». Pour partager son goût pour l’audace et le beau, French Beaches dispose de huit cuvées déclinées en deux gammes : « Classique » et « Équinoxe ». Le Vin de pays « Zesty White » s’inscrit comme l’un des fleurons de la maison. Il est produit avec l’aide des Vignerons Catalans installés dans le Roussillon, riche d’une mosaïque de terroirs exceptionnels. Élaboré avec 80 % de sauvignon blanc et 20 % de grenache blanc, Zesty White est un vin gourmand et rayonnant dont les arômes nous plongent dans une salade d’agrumes frais. Ses notes croquantes, fraîches et minérales jouent sur un bel équilibre pour émoustiller les palais. La gamme Classique se compose d’une autre pépite à découvrir abs...
Maxime Renault, le fondateur, a commencé son activité en 2013 en voulant apporter un coup de pouce aux activités des artisans. Avec ses associés, Hugo et Mario, il a créé une vitrine numérique pour le compte des boulangeries artisanales de France. Étant conscients que les nouvelles technologies pouvaient constituer un véritable levier en termes de communication, ils ont bondi sur l'occasion pour pouvoir préserver ce savoir-faire unique qui a tant fait la renommée du pays. Si, à l’origine, ils voulaient seulement aider les artisans à faire face à la pression de la concurrence industrielle, c’était sans compter sur le destin qui en a voulu autrement… 2015 marque un tournant décisif dans l’histoire des trois associés. Lors d’une invitation à une soirée, un défi de taille s’esquisse pour Maxime Renault et son équipe. « Nous devions présenter notre site dubonpain.fr en organisant un buffet avec un budget relativement faible. Nous avions donc fait avec les moyens du bord en faisant appel à notre réseau d’artisans boulangers comme partenaires », nous confie Maxime. Cet événement marque le début de la mise en place d’un nouveau concept : proposer un service traiteur innovant et accessible où la passion et l'expertise des artisans seront mises en avant. La démarche de l’entreprise Maîtrisant du bout des doigts les rouages du métier, Monbanquet.fr et ses partenaires agissent comme de véritables logisticiens traiteurs. Toute l’expérience client est optimisée pour pouvoir répondre efficacement à chaque type d’exigence. Des partenariats avec des artisans locaux comme des boulangers pâtissiers, des fromagers charcutiers, des épiceries fines et des restaurateurs ont été établis. Ces artisans sont minutieusement sélectionnés pour leur expertise et leur proximité par rapport au client. Une manière de garantir la fraîcheur des produits. « En fonction du lieu de l’événement, du contexte et du budget du client, nous proposons des menus qui correspondent à ses besoins », fait savoir notre interlocuteur. Après avoir été minutieusement préparés par les partenaires artisans, les produits sont livrés clé en main. Au besoin, des maîtres d’hôtel et des équipes de serveurs se déplacent au moment de l’événement pour réaliser le service. Les particularités de Monbanquet.fr La promotion de l'économie de proximité est une valeur à laquelle Monbanquet.fr adhère activement. Ayant à cœur de fournir une prestation de qualité accessible à tous, la maison élabore des formules démarrant à 3 euros par personne. Les produits sont préparés de façon artisanale pour conserver des saveurs authentiques. Ce qui fait la signature de la maison, c’est cette adaptabilité qui lui permet de répondre à toutes les exigences, allant des réceptions intimes de quelques dizaines de personnes, au grand gala prestigieux de trois mille personnes. D’ailleurs, selon le fondateur de Monbanquet.fr « la capacité de la maison à offrir un service à la hauteur des attentes de chaque client dans le respect de ses contraintes budgétaires est une autre de nos particularités ». Cerise sur le gâteau : plus besoin de devis. Le client a la possibilité d'obtenir un menu qui correspond à son événement entièrement en ligne. ...
Dans un terroir au sol perméable et argilo-calcaire poussent des cépages typiques des Pays de la Loire. C’est au cœur de cette région historique qu’est situé le Domaine de l’Enchantoir, produisant des cuvées répondant à l’appellation unique « Saumur Puy-Notre-Dame », qualifiant le vin fait à un seuil minimum de 85 % de cabernet franc. Fiers de cette distinction, Jean-Michel et Fabienne Brunet, heureux propriétaires de cette exploitation séculaire, nous emmènent à la découverte de cette terre déjà viticole depuis le Moyen-Age. « Un milieu dédié aux vignes » Ces propos de Jean-Michel et Fabienne Brunet justifient la forte réputation vinicole de Puy-Notre-Dame, une notoriété datant du 19ème siècle. Grâce à son microclimat d’altitude propice à la culture vinicole, ce terroir est le lieu de prédilection de deux cépages caractéristiques, à savoir le cabernet franc, pour le vin rouge, et le chenin, pour le vin blanc. Afin de rendre hommage à cette terre généreuse, le Domaine de l’Enchantoir privilégie ces deux cépages, avec un peu de chardonnay, sur ses 17 hectares de vignobles. Par cette recherche de l’authenticité, cette maison produit des cuvées rouges, blanches, rosées et pétillantes riches en saveurs subtiles et voluptueuses, et fortes de la mosaïque d’arômes propres à ce « terroir qualitatif », précise nos interlocuteurs. L’agriculture bio mise à l’honneur Certifié « Agriculture biologique », le Domaine de l’Enchantoir se veut être la figure de proue de plusieurs générations de vignerons soucieux de l’environnement et prônant un processus de vinification traditionnelle. Les cuvées issues de cette culture raisonnée gardent ainsi toute la typicité gustative du terroir, à l’instar du « Terres pourpres », un saumur rouge au caractère affirmé et succulent en bouche. Toujours dans cet esprit, les trois vins blancs produits par la maison ont le mérite d’être certifiés 100 % bios afin de préserver ce riche patrimoine naturel de Puy-Notre-Dame. ...
OPUS MI développe un concept de l’événementiel ayant pour ancrage la culture et le patrimoine. L’approche joue la carte du privilège en alignant les valeurs des entreprises clientes à des actualités culturelles à fort potentiel, ou à des lieux chargés d’histoire. Entre accès privés à des monuments et transformation du QG de la firme en galerie d’art éphémère, l’agence n’est pas à court d’inspirations pour booster l’image interne et le rayonnement ses clients dans le respect de leurs singularités et de leurs valeurs. Des écrins valorisants pour des événements d'exception et attractifs « Votre image d’entreprise est un objet précieux, traitez-la en conséquence. » C’est un peu dans cette perspective qu’OPUS MI met son savoir-faire au service de ses clients. Les prestations de l’agence parisienne repose sur un principe : offrir aux événements de chaque firme des cadres d’exception, à travers des programmes et des mises en scènes authentiques. Frédéric Le Compagnon, le fondateur, parle tout simplement d’ « écrins valorisants » pour évoquer les lieux que son agence ouvre aux événements que pilote celle-ci, afin d’en garantir le rayonnement. Dans la même foulée, l’apport de la maison rend ces programmations plus authentiques, plus à même d’attirer les participants qui sont souvent très sollicités. Les cadres-écrins en question varient, selon le cas, entre des monuments et d’autres lieux patrimoniaux, notamment à Paris, dont OPUS MI organisent l’accès privilégié et la visite exclusive. Exclusive en termes d’horaires : les groupes investissent les lieux en dehors du créneau normal d’ouverture au public. Exclusive en termes de contenu et d’expérience : des accompagnements personnalisés par d'excellents conférenciers qui offrent une expérience VIP aux participants. Des moments de convivialités autour d’une coupe de champagne, d’un petit déjeuner ou d’un cocktail peuvent agrémenter ces instants d’exception. Communiquer intramuros autour de l’art L’événementiel en entreprise constitue un autre créneau où OPUS MI intervient avec une offre des plus singulières. Le temps d’un événement, l’agence transforme les antres de la firme cliente en une galerie d’exposition éphémère. Elle apporte dans les murs de l’entreprise un événement qui fait l’actualité, à travers un choix d’œuvres sélectionnées selon un parcours qui fait du sens par rapport à son axe de communication. Les œuvres photographiques accrochées apportent également un autre cachet à la décoration. De quoi hautement impressionner les partenaires qui viennent visiter. D’autant qu’un conférencier qui a travaillé sur l’exposition peut intervenir dans les locaux du client. En notant que l’élaboration de cette exposition respecte entièrement la communication de l’entreprise: ses valeurs ou les réflexions qu’elle porte voire son cœur de métier. ...
Situé au cœur de Paris, à deux pas de l’Odéon et du boulevard Saint-Michel, l’établissement tire son nom du veau de lait Ferrandais, une race bovine typique du Puy-de-Dôme qui fait partie du terroir auvergnat. Dans une ambiance du 17e siècle, ce restaurant à la belle devanture propose une cuisine traditionnelle française faite de produits frais, et travaille directement avec éleveurs pour sa viande et des producteurs des fromage et de charcuterie. Renouvelée tous les mois, la carte de l’établissement présente des menus variés tous aussi succulents les uns que les autres. Le menu à 37 € est composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. À travers son menu dégustation à 55 €, bénéficiez d’une variété de six plats composés notamment de deux entrées, un poisson, une viande, un fromage et un dessert. Une cuisine de tradition Démarrez l’aventure culinaire avec son velouté de potiron, châtaignes et lard paysan à tomber par terre, suivi de sa blanquette de veau de la Ferrandaise accompagnée de riz basmati. Terminez ensuite sur une note de douceur avec son délicieux coing en jus aux saveurs d’hiver, accompagné d'une glace à la gentiane et d'un biscuit tendre aux marrons confits. Pour accompagner chacun de vos plats, La Ferrandaise propose une belle carte de vins, représentative de toutes les régions, achetés directement aux vignerons, comme le Pech Abusé de M. Daniel TISSOT du sud-ouest et quelques vins de Côtes d’Auvergne, la Frondeuse, pinot noir, de M. Pierre Goigoux ou les Terrasses en bio , syrah, de M. Yvan Bernard. ...
Près de la Tour de Constance et du centre des monuments nationaux, dans la Rue du 4 septembre de la cité d’Aigues Mortes, le restaurant Le Dit Vin reçoit les locaux et voyageurs de passage. C’est dans une ambiance chaleureuse et conviviale que le personnel de l’établissement accueille les convives au bar, dans les salles ou dans le patio. Grâce à une jeune équipe aux fourneaux, la carte évolue au gré des saisons. Une partie vitrée du plancher du rez-de-chaussée laisse entrevoir l’impressionnante collection de vins qui est bien gardée entre les murs de pierres anciennes de la cave. Bar à tapas Pour une journée gastronomique bien remplie chez Le Dit Vin, on a le choix de savourer des tapas autour du comptoir ou déguster un menu selon les suggestions de la Carte et de le savourer autour d’une belle table. Un large choix de tapas froids, chauds, salés et sucrés ainsi que de fromages et mini-desserts figurent à l’ardoise. Pour 12 euros, une proposition constituée de 5 mini-brochettes de bœuf ou de gambas est proposée. Et pour moins que cela, il est possible de déguster 6 croquettes de jambon ou un bol de frites maison. Si les préférences penchent pour les tapas froids, la Bûche et pâté Landais, le Tartare de Daurade aux agrumes et mangue ainsi que les huîtres de Bouzigues sont disponibles. Du Muscat, une coupe de Champagne ou un Américano maison peuvent s’accorder à ces amuse-bouches ainsi qu’une sélection maison de vins au verre issus de différents domaines de Languedoc comme l’Ermitage du Pic Saint Loup et le Château Puech-Haut, de Condrieu comme le Château Mont de Lys ou de Beaujolais tel que Marcel Lapierre. A la carte figurent plus de 100 références dont une majorité venant de la région. Une nouvelle formule, « la Carte OFF » a été élaborée récemment pour y présenter quelques flacons de renom, à découvrir sur place. La carte et les formules du restaurant Selon les envies, chacun peut composer son propre menu en choisissant à la carte qui change chaque saison. Parmi les entrées, du Foie gras de canards élevés en plein air mi-cuit maison ou poêlé en croquette et du Nem de taureau accompagné de purée de maïs et d’aïoli au Wasabi. Ensuite, le choix est ouvert entre une assiette de poisson comme la Lotte marinée au lait de coco et gingembre, en wok de nouilles chinoises ou un plat de viande accompagné de garniture de saison comme l’Epaule d’agneau cuite 7h au four, jus de cuisson, ail et échalotes. Pour clore le repas en beauté, l’Assiette gourmande de la pâtissière du restaurant est simplement divine. Accueil des groupes Le restaurant a la chance de bénéficier de plusieurs espaces aménagés parmi lesquels figure le coin bar, la terrasse, le patio et le rez-de-chaussée. Son agencement facilite l’accueil des groupes ou d’événements privés. A l’étage se trouve une grande salle dans laquelle de nombreux professionnels organisent des réunions, des séminaires ou des assemblées générales. L’équipe en place se charge de s’occuper de tout selon les besoins des clients. ...
À L’Horloge gourmande, les convives sont accueillis dans un cadre sobre et un esprit de maison bourgeoise. Rien de trop guindé : ici, on privilégie la simplicité avec une décoration qui tranche, entre l’ancien et le moderne. Dès l’entrée, l’immense horloge ornant le mur du fond attire forcément l’attention. Dans la salle règne une ambiance intimiste, qui invite au calme et à la détente. Objets et accessoires de décoration exposés en vitrine, intimement liés à la vie et au parcours des propriétaires, contribuent au charme des lieux. Durant l’arrivée des beaux jours, la terrasse verdoyante fait le bonheur des amoureux du grand air. Cette véranda, donnant sur l’arrière de l’établissement et annexée à la salle principale, et peut être privatisée pour les groupes à l’occasion de communions, d’anniversaires, de baptêmes ou encore de repas de famille. Le brillant parcours d’un chef passionné Le chef Olivier Roch s’intéresse très tôt à l’univers de la cuisine. Il fait ses débuts au sein du lycée hôtelier François Rabelais de Dardilly. Son BEP en poche, il suit une formation en pâtisserie, ce qui lui permettra d’intégrer une compagnie de croisières en Floride en tant que pâtissier. Il continue son parcours en exerçant notamment auprès du chef étoilé Philippe Gauvreau. C’est auprès de ce dernier qu’Olivier Roch a appris à œuvrer avec une haute technicité pour offrir des plats dignes de véritables chefs-d’œuvre artistiques. Une cuisine qui parle aux fins palais L’Horloge gourmande est spécialisée dans la cuisine de bistrot, privilégiant l’usage de produits nobles comme en gastronomie mais traités de manière plus simple. À midi, la maison propose une formule « Déjeuner » constituée de deux ou trois plats réalisés avec des produits du marché et quotidiennement mis à jour. Le chef Olivier Roch met aussi à disposition des fins gourmets deux types de menus : le menu « Horloge », à 32 €, et le menu « Tassilunois », à 45 €. En soirée, le choix se fait à la carte. Celle-ci change à chaque saison ; il existe néanmoins certains « best-sellers » qui apparaissent de manière récurrente comme le foie gras poêlé, l’onglet de bœuf black angus, le cabillaud… De vrais délices pour les papilles. Toutes ces suggestions sont élaborées avec des produits frais, rigoureusement sélectionnés. Les fonds, les jus, les fumets… tout est fait sur place. Côté vins, le chef fait appel aux services de Philippe Gerin, caviste à Condrieu. La sélection s’effectue en fonction de la carte du restaurant. En tout, une quinzaine de références mettent à l’honneur toutes les régions, dont celle de la vallée du Rhône. ...
La Maison de La vache qui rit, créée en 2009, se situe à Lons-le-Saunier, sur le site même de la première usine de la marque à ses débuts en 1921. Elle s’étend sur une superficie d’environ 2 000 m², avec une surface extérieure de 1 300 m² transformée en un parcours en plein air comportant divers jeux et animations ludiques pour les enfants. Une mise en scène vivante Bien plus qu’un simple musée, La Maison de La vache qui rit est aujourd’hui un véritable lieu de vie qui offre une belle rétrospective de l’évolution de la marque. « Sur le projet, nous avons collaboré avec un collectif d’architectes qui s’appelle Encore Heureux, une équipe très engagée et pleine d’imagination », souligne Laurent Bourdereau, le directeur de la marque. Elle arbore désormais une nouvelle identité, plus artistique, plus innovante, et toujours aussi amusante ! Après ce bain de jouvence, La Maison de La vache qui rit offre une découverte encore plus enrichie, présentée sous divers angles allant du parcours historique de la marque jusqu’aux ateliers création, en passant par de nombreuses séquences audiovisuelles et objets publicitaires. C’est d’abord un espace très artistique et animé, grâce aux nombreuses affiches, illustrations, expositions à thème et expositions permanentes reprenant les anciens packagings, dont la fameuse première boîte commercialisée. En outre, un parcours multimédia explique en détail le mode de fabrication de ces délicieuses portions La vache qui rit, et les visiteurs peuvent même s’adonner à une séance de dégustation pendant les ateliers cuisine. « Les enfants sont ensuite conviés à l’étage pour participer à une session d’art manuel de transformation d’emballage, dans une ambiance très créative et interactive », continue notre interlocuteur. Bref, La vache qui rit est une marque à partager en famille ! ...
Lancée en 1981, La Roumanière est un Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) implanté dans le département du Vaucluse. Elle fait partie des établissements fondés par l’Association Vauclusienne d’Entraide aux Personnes Handicapées (www.aveph-asso.com). Un établissement en plein essor Établie sur le village de Robion, une localité située au cœur du verger provençal, La Roumanière se spécialise dès son origine dans la fabrication de confitures, qu’elle complète par celles de biscuits et de miels. Ses activités se sont tournées principalement vers les marchés du domaine de l’agroalimentaire. « On a continué à développer l’activité avec une biscuiterie en 2009 et, depuis 2012, nous avons développé un site de production à Avignon », précise Norbert Guillarme, le directeur de l’établissement. L’enseigne compte actuellement plus de 600 clients actifs. Ces fidèles consommateurs sont composés de maisons d’hôte, de commerces de proximité « et même de compagnies aériennes », nous souffle-t-on. Insertion sociale et professionnelle Fidèle à ses valeurs et à ses engagements, La Roumanière favorise l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. Son personnel est constitué de quatre-vingt-trois personnes « extraordinaires ». « J’ai trente-huit personnes sur le site originel de production situé à Robion, cinq autres personnes assurent la logistique et la préparation des commandes en expédition dans le monde entier, et quarante personnes sur le site de production d’Avignon », précise notre interlocuteur. «Ces personnes bénéficient d’un accompagnement socio-professionnel permanent. » Des produits prestigieux Grâce à leur saveur exquise, les confitures sont des douceurs indétrônables de la gastronomie française. Afin d’être à la hauteur des besoins des consommateurs, La Roumanière propose une quarantaine de variétés de confitures avec des conditionnements variés, allant du pot en verre de 25 g à 1 kg. « Les best-sellers, ce sont les confitures très classiques à base d’abricots, de fraises ou de figues. Nous avons aussi une dizaine de variétés qu’on appelle "la confiture de prestige" », fait savoir Norbert. Catégorisées dans les produits haut de gamme, les confitures de prestige sont confectionnées à partir d’un cocktail de fruits et d’alcool. Conçu à partir d’une recette traditionnelle, le confit de figue au nougat est un autre incontournable qui fait des ravages surtout en période de fin d’année. Ce produit gourmand au goût authentique accompagne parfaitement un plat de foie gras. Attestant de la qualité des produits, ces derniers sont référencés dans les meilleurs guides comme Le Guide du Routard ou Le Petit Futé et cela, depuis plus d'une dizaine d'années. ...
Que vous soyez de passage pour une nuit ou pour un séjour plus long, arrêtez-vous au restaurant de l’hôtel Belle Vue, à Fouesnant. Ouvert tous les jours pour les pensionnaires et du mercredi au dimanche pour les gastronomes de passage, apprêtez-vous à découvrir des plats originaux et délicieux. Le cadre et l’emplacement : une bonne raison de manger au restaurant Belle-Vue Que vous soyez adepte de randonnée ou en visite dans la région, vous tomberez sous le charme du cadre idyllique de ce restaurant. En effet, vous vous trouvez en bord de mer. Ce qui vous permet de profiter d’une magnifique vue panoramique sur la baie de Forêt-Fouesnant. De ce fait, c’est tout l’Océan Atlantique qui s’offre à vous pendant votre déjeuner (accueil de 12 h 30 à 13 h 30) ou diner (accueil de 19 h 30 à 21 h). Idéal pour se mettre en appétit avant de savourer des mets variés et gourmands. À savoir : la salle du restaurant se trouve face à la mer. De plus, il est possible de déjeuner en terrasse (en fonction de la météo et de la période de l’année). Les visiteurs apprécieront la vue imprenable sur la baie de la Forêt-Fouesnant. Que ce soit pour un diner en amoureux, un repas familial ou entre amis ou bien un déjeuner d’affaires, vous apprécierez tout autant le décor chaleureux que le service. Attention toutefois : il vaut mieux réserver pour être sûr d’avoir une table. Les propriétaires préférant accueillir moins de monde afin de prendre le temps de s’occuper de tous leurs clients. C’est grâce à tout cela que le restaurant a obtenu les récompenses 3 cocottes au guide des Logis et 2 fourchettes au guide Michelin. Restaurant Belle Vue : des produits frais et une carte évolutive Après avoir profité du paysage unique qui s’offre à vous, il ne vous reste qu’à goûter les plats proposés par l’établissement. Attention : explosion de saveurs en perspective ! En effet, le chef étant curieux de nature, il aime tout autant utiliser des produits frais qu’il s’est procurés auprès de producteurs locaux que réaliser des associations originales entre éléments de la région et produits extérieurs. Ainsi, en règle générale, la carte change quatre ou cinq fois durant la saison, en fonction des arrivages. Évidemment, en vous arrêtant dans ce restaurant, vous trouverez du poisson et des fruits de mer (véritable spécialité du coin grâce aux nombreux ports de pêche environnants), mais aussi quelques créations intéressantes qui démontrent l’originalité du chef et son talent. Nous vous conseillons la volaille récupérée chez le volailler local et le fromage breton. Un vrai régal ! Si vous aimez prendre un verre de vin avec votre plat, vous apprécierez la carte étoffée et les bouteilles sélectionnées avec attention auprès de producteurs régionaux. À noter : Anne et Yves Kervénez proposent aussi des repas de famille commandés et vous accueillent pour des anniversaires, des communions ou des mariages. L’occasion de célébrer un heureux événement tout en profitant du bon rapport qualité/prix de ce restaurant. Yves Kervénez : un chef surprenant et généreux En plus d’être cogérant de l’établissement familial, Yves Kervénez en est aussi le chef. Ainsi, chaque fois que vous vous rendez au restaurant Belle Vue, ce sont ses plats que vous prenez plaisir à déguster. Vous apprécierez tout autant son côté curieux qui se ressent dans sa cuisine que sa façon de travailler les produits frais à sa disposition. Son talent : créer des recettes originales sans dénaturer le produit tout en restant autant attentif à leurs saveurs qu’à leurs présentations. Ce qui démontre chez lui une volonté de bien faire et une grande générosité. Midi et soir, tout au long de l’année, il se démène avec son équipe en cuisine pour satisfaire les envies et les goûts de chaque visiteur. Ce n’est pas pour rien que de nombreux clients fidèles du coin s’y rendent souvent ! Surtout que les maitres des lieux font leur possible pour venir discuter...
Discrètement lovée sur les hauteurs de Biarritz, la demeure blanche aux volets rouge vif donne du pétillant et de la dynamique à ce quartier calme. C’est bel et bien à cet endroit que le couple Rosier exerce sa passion depuis 2008. Elle, meilleure ouvrière de France ; lui, grand chef passionné. Ensemble, ils relèvent avec brio le pari de proposer une cuisine gastronomique qui plaît pour sa constance et sa simplicité. Une cuisine à quatre mains, harmonieuse, où chacun des chefs met en valeur les produits qui lui tiennent à cœur, en veillant à leur laisser leur plus belle expression. Bienvenue au restaurant Les Rosiers. Meilleure ouvrière de France Le choix de ces volets rouges n’est pas le fruit du hasard. Car, après un détour vers la maison familiale de la chef, on sait d’où vient l’idée. En réalité, tout cet amour qu’elle voue pour la cuisine, Andrée Rosier la doit à ses parents, notamment à sa mère qui se plait à travailler les produits du terroir pour concocter des plats typiques du Pays basque. Après avoir effectué une formation hôtelière à Biarritz, en 1994, elle fait ses débuts dans le milieu professionnel à titre de commis au sein de la Villa Eugénie de l’Hôtel du palais de Biarritz. Le destin a voulu qu’elle y rencontre l’homme qui deviendra son époux : Stéphane Rosier. Grâce à son talent, ce grand gaillard à lunettes séduit les plus grandes maisons, dont l’Hôtel du palais où il exerce en tant que 1er sous-chef de cuisine durant 4 ans. Il a également exercé dans le célèbre restaurant 2 étoiles La Chèvre d’or, à Eze. En 2007, c’est la consécration pour Andrée Rosier certes, mais aussi pour son époux qui n’a cessé de l’épauler. Elle est la première femme à obtenir le titre de meilleure ouvrière de France. Ce défi relevé, elle s’en fixe un nouveau : ouvrir son propre établissement. De là est né Les Rosiers. Quand la simplicité s’allie à la perfection Le couple Rosier concocte une cuisine gastronomique concrétisée dans le respect des traditions culinaires régionales et qui fait totalement honneur à sa distinction. Car n’oublions pas que, en 2009, l’établissement a reçu la prestigieuse étoile au Guide Michelin. Chaque matin, Andrée et Stéphane se rendent ensemble au marché pour trouver les produits qu’ils sublimeront le midi. Parmi les plats à ne manquer sous aucun prétexte : ce succulent crabe en fine gelée de crustacées, caramel de fenouil et pomme verte, que l’on sert en entrée. En plat principal : une belle assiette de filets de rougets cuits à l’unilatéral, daube de cochon et châtaigne en crépinette, frites de polenta, sauce vin rouge. En bouquet final : un moelleux au chocolat, glace crémeuse au gingembre, écume de lait à l’huile de cacahuète. Vos palais n’en reviendront pas. Le duo Rosier possède une technique et une maitrise imparables, qui lui permettent de mettre en valeur le produit brut, sans jamais le dénaturer. Toutes ces belles propositions culinaires sont rehaussées par une carte des vins éclectique, suggérée par le maitre d’hôtel, Pierre Ransinangue. ...
La Rotonde propose à ses invités une cuisine traditionnelle à la fois savoureuse et généreuse où les plats sont faits maison. Un cadre somptueux Sans conteste, La Rotonde conjugue aisément raffinement et air du temps. En été, les convives peuvent bénéficier d’un jardin verdoyant à l’ombre de grands parasols en bois. Ils pourront également profiter de la cascade taillée dans une pierre des ardoisières de Morzine avec une vue magnifique sur les montagnes. Pour les soirées plus fraîches, une magnifique terrasse tout en parquet et entièrement vitrée confère un style moderne et contemporain à l’établissement. A l’intérieur, trois salles permettent d’accueillir des groupes. L’ambiance est différente mais c’est tout aussi agréable. Une cuisine traditionnelle et régionale La Rotonde aspire à répondre aux attentes de chacun que ce soit les enfants, adultes en couple, en famille, amis ou collègues. Dans cette perspective, le Chef propose des plats soignés, qui évoluent au fil des saisons, et des envies. Des suggestions qui changent toutes les semaines permettent d’ailleurs à ce dernier d’exprimer toute sa créativité, et aux convives, de découvrir en permanence de nouveaux plats. Vous y retrouverez les spécialités régionales comme la raclette ou la Potence (morceaux de bœuf flambés au whisky) qui sont à la carte toute l’année. Ces dernières sont servies à volonté pour rassasier même les plus gourmands. Durant les beaux jours, garden party et barbecue sont organisés tous les dimanches dans le jardin. Le restaurant proposant également des plats végétariens et sans gluten (également possible pour les pizzas et les fondues), il va sans dire que même les plus difficiles y trouveront leur bonheur. La carte des vins est mise en place par le directeur de la maison, François, sommelier de formation. Une sélection de vins au verre est également proposée toutes les semaines, permettant à tous les palais de trouver l’accord parfait entre le met et le vin tout en étant plus accessible à tous les budgets. Vous pourrez même avoir le plaisir de découvrir des vins « biologiques ». La Rotonde est un endroit cosy, où on aime prendre le temps de partager un plat de la carte soignée, dans un cadre somptueux avec des personnes que l’on apprécie. Le restaurant est ouvert à l’année, ce qui permet aux morzinois et vacanciers d’un week-end de profiter de l’un des seuls restaurants ouverts en ces périodes plus calmes. N’hésitez pas à vous y arrêter, vous ne serez pas déçus. Le restaurant est le fief des morzinois à l’entre-saison et devient alors le cœur du village. ...
Fondé en 2008, Satsuki est une épicerie important 90% de ses produits du Japon, le reste provenant de l’Europe. Exclusivement en ligne à ses débuts, l’enseigne compte depuis 2012, un point de vente physique à Lyon. Une offre complète et diversifiée Satsuki dispose d’une offre comprenant 3000 références, sans oublier les conseils prodigués. On retrouve tous les ingrédients nécessaires à la préparation du sushi, de l’algue au riz, en passant par les graines de sésames, le gingembre et l’huile de soja. Les nouilles et les soupes figurent aussi en bonne place en matière de nourriture proposée. Tout comme les boissons, qu’elles soient alcoolisées ou non : le Ramuné (limonade), le célèbre Saké ou encore du Whisky (le seul parvenant à rivaliser avec le scotch). Outre l’alimentaire, l’épicerie japonaise propose de la vaisselle et des ustensiles, en bois, en céramique ou encore en mélamine. Il y a également un large choix d’encens, des sels de bains, des patches chauffants, des produits de beauté et de bien-être, des poupées Kokeshi, de l’origami, des boites Bento (utilisés pour les repas), des figurines et des livres. Des gammes spécialisées de thé vert biologique Satsuki importe du thé vert biologique du Japon, grâce à deux grandes familles japonaises : les Hayashi et les Morimoto. La famille Hayashi produit du thé, cultivé sans pesticides, à Kirishima dans le sud du Japon depuis 1897. Le temps d’augmenter le nombre d’espèces de théier comme l’Asatsuyu, le Yabukita, le Kanaya Midori et le Zairaishu (tiré de plantes à graines de thé). Dans la ville de Miyazaki, se trouve l’ile de Kyûshû et les jardins de thé vert biologique de la famille Morimoto. Cette dernière cultive sept variétés d’arbustes : le Yabukita, le Kanaya Midori, l’Oku Midori, l’Oku Yutaka, le Minimi Sayaka, le Sakimidori et l'hybride Assamica Benifuki. ...
Une table délicate au cœur de Saint-Dizier Après avoir fait ses classes auprès de quelques-uns des grands noms de la gastronomie française (notamment François Clerc à la Vieille Fontaine), Didier Muckerhirn s’est lancé dans l’aventure en reprenant en solo un ancien établissement du centre-ville de Saint-Dizier. Mais la passion pour la cuisine lui est venue dès son plus jeune âge ; déjà tout petit, il consacrait une partie de son argent de poche à l’achat de livres de cuisine. « Le besoin d’ouvrir mon propre restaurant est venu en même temps que l’envie de mettre plus de créativité dans mes plats. C’est une petite structure familiale de 25 places assises et je travaille avec ma femme et mon fils », nous explique le chef. Maître restaurateur de France, Didier Muckerhirn essaye au maximum d’avoir des circuits courts et des produits locaux afin de faire profiter ses clients de son savoir-faire et des saveurs d’une région. « Pour nos viandes, on travaille avec un petit producteur de Saint-Dizier, nos cailles grandissent à moins de cinquante kilomètres de nos fourneaux. Comme nos fois gras et nos canards. On essaye de coller au maximum à ces valeurs de proximité. » Une carte qui change tous les mois La proposition de Didier est surprenante : avoir une carte-menu qui affiche 4 entrées, 4 plats et 4 desserts différents, qui changent chaque mois. Même si le restaurateur n’a pas encore trouvé son « plat-signature », les critiques, comme les clients, sont unanimes sur la qualité générale des assiettes qui sortent de cette cuisine. Le cadre est, lui, à l’image de la cuisine. Intimiste, la décoration relève avec goût le charme de la vieille maison. En été, on profite de la terrasse située dans la cour intérieure du bâtiment pour se régaler d’un magret de canard à la mangue accompagné de quelques rigatonis d’épeautre, tout ça devant la grande fresque murale qui habille magnifiquement l’espace. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
C’est en 1935 que Fernande Gobert fonde À la Reine Astrid. Fervente admiratrice de la défunte princesse Astrid de Suède (Reine de Belgique à cette époque), Melle Gobert a été autorisée à donner à sa chocolaterie le nom de la Reine à une seule condition : l’excellence des chocolats. En 1975, elle laisse les rênes à Melle Granjean qui continuera à rendre hommage à la princesse à travers l’extrême qualité des chocolats. Reprise en 1998 par Geneviève Salomon, l’enseigne continue son essor à l’international. Puis, en 2012, arrive Christophe Bertrand. Au fil du temps, la réputée maison À la Reine Astrid a toujours su préserver la qualité prestigieuse de ses produits. Elle est désormais devenue une référence de la chocolaterie française. L’excellence travaillée dans l’éthique Désireuse de garantir la qualité et de construire celle-ci sur des valeurs responsables, la chocolaterie À la Reine Astrid privilégie le circuit court. Sauf pour le cacao certifié bio et équitable, dont une coopérative haïtienne est le fournisseur. « Ce qui compte quand nous achetons nos matières premières, c’est la qualité du produit et la proximité du fournisseur. Je préfère même me fournir chez des gens que je connais où une certaine éthique est assurée », déclare Christophe Bertrand. De la fève conjuguée aux talents du chef À la recherche de l’idéal chocolatier, À la Reine Astrid a choisi de rejoindre les rares fabricants qui font usage de la fève. Ce produit d’exception ne sera confié qu’aux mains du chef Nicolas Morin. Perfectionniste et passionné, ce dernier a passé une dizaine d’années chez la réputée Maison du chocolat à Paris. Son talent a d’ailleurs été récompensé par la médaille de bronze à la Coupe de France des jeunes chocolatiers confiseurs. Des petites douceurs au grand succès L’ultime perle des trésors chocolatiers de la marque À la Reine Astrid est le praliné. La particularité de ce chocolat est constituée de la note affirmée de la noisette et de l’amande. Et pour symboliser un évènement heureux avec douceur, l’enseigne propose la plaquette personnalisée, un produit faisant aussi honneur à la maison. « C'est une plaque de chocolat dans laquelle on ajoute des amandes, du raisin sec et du riz soufflé pour que cela croustille. Puis le message symbolique choisi par le client sera écrit dessus », explique Christophe Bertrand. Une belle idée de cadeau alliant gourmandise et raffinement. ...
À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil. Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant. Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible). Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie… La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges. Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...