Laurent Pichaureaux œuvre seul en cuisine. Chaque jour, suivant ses inspirations, ses intuitions et, surtout, les produits bio de saison, il invente de nouvelles compositions, où herbes, fleurs et épices douces subliment les plats. Il privilégie les poissons, les crustacés et les végétaux. Il aime utiliser les fruits secs, le sésame, l’anis vert. Les alliances sucrées-salées sont souvent mises à l’honneur, comme une sauce de soja avec décoction de miel ou de la marjolaine avec un beurre mousseux agrémenté d’un jus salé. Une ambiance végétale Ouvert fin 2012, le restaurant Esens’All se situe dans une rue peu passante, parallèle à la rue de Rome, dans le 17e arrondissement de Paris. Ici, tout est fait pour que le client se sente à l’aise, au calme, loin de l’agitation parisienne. Un mur végétalisé, du chêne, des galets, de l’espace entre les tables, de petits rideaux aux fenêtres, une lumière douce, un fond musical : tout pour une ambiance résolument cosy et intimiste. Chaque assiette comme un tableau Ici, vous vous laissez guider pour un voyage gustatif en 6 ou 8 assiettes. Le chef prend en compte vos contraintes alimentaires (végétarien, sans gluten, allergies…). De plus, il ne propose ni abats ni huitres. Si vous optez pour 6 assiettes, vous pourrez découvrir une entrée froide, une entrée chaude, un poisson, une viande, puis le choix entre 2 desserts ou fromage et dessert. Pour 8 assiettes, vous pourrez déguster 2 entrées supplémentaires. Chaque assiette est conçue comme un tableau, qui se dévore des yeux, avant de révéler tous ses pouvoirs au niveau des papilles. Vous pourrez, par exemple, vous régaler en entrée d’un saumon fumé au bois de châtaignier, wakamé, yaourt grec et marinade à base de câpres. Ou d’une mozzarella au jus de truffes servie avec du céleri croquant. En poisson, d’une lotte au cresson sauvage et cerfeuil tubéreux. Et en viande, d’un filet de canette de Challans maturé, jus aux airelles, accompagné d’une purée de panais et de poires confites au miel de châtaignier. Enfin, le chocolat termine toujours le repas sous la forme de ganache, de biscuit, de moelleux ou de fondant. Des vins essentiellement bio Le restaurant privilégie les vins bio, mais vous pourrez également accompagner votre repas d’un bordeaux ou d’un bourgogne. Tous les soirs, 3 verres de vin à découvrir sont suggérés pour le menu à 6 assiettes. ...
Bonjour Sophie, pourquoi selon vous de plus en plus de personnes font appel à des coachs professionnels ? Après quelques années dans la vie active, souvent lorsque l’on a entre 35 et 45 ans, on ressent le besoin de faire un bilan de sa vie et notamment de sa vie professionnelle. On compare alors ses aspirations avec la réalité et on peut se rendre compte qu’il y a un décalage entre les deux. A cette étape, que Carl Gustav Jung appelait la « mi vie », beaucoup sont prêts à remettre en question ce qui ne fonctionne pas ou plus. Vous parlez de la tranche d’âge 35-45 ans, pourquoi cette étape est-elle charnière ? Cette tranche d’âge est souvent celle des désillusions et des remises en question. On ouvre les yeux sur la réalité, on se rend compte que le temps passe vite et on se dit que c’est le bon moment pour opérer des changements. C’est aussi l’âge où on commence à avoir davantage confiance en soi et où on sait ce qu’on veut et ce qu’on ne veut pas ou plus. Sur un plan professionnel, à cet âge-là, on travaille généralement depuis 10 à 20 ans déjà. On peut avoir des responsabilités professionnelles importantes parfois lourdes à gérer ou bien à l’inverse, se sentir frustré de ne pas avoir les responsabilités professionnelles que l’on souhaiterait avoir. On peut aussi se rendre compte que la voie dans laquelle on évolue ne correspond plus à nos valeurs ou nos aspirations. Sur un plan personnel, ceux qui ont des enfants peuvent avoir du mal à trouver un équilibre entre travail et vie familiale. Et ceux qui n’en ont pas peuvent se mettre la pression pour en avoir ou bien peuvent être confrontés à la question du renoncement à la parentalité. Il n’est pas rare aussi que les 35-45 ans ne puissent plus s’appuyer comme auparavant sur leurs parents et recherchent le soutien de mentors ou de coachs pour les guider et mettre en adéquation leur « vie » avec leurs « envies ». Que permet l’approche globale ? Les personnes qui viennent nous voir ne savent pas toujours clairement pourquoi elles ressentent le besoin d’évoluer ou pourquoi elles ont un sentiment d’insatisfaction. Elles croient que c’est parce qu’elles n’ont pas assez de résultats professionnels. Ou alors elles pensent que c’est parce que leur domaine d’activité ne leur correspond pas. Mais en général leurs envies de changement sont plus profondes et plus subtiles : - Ce chef d’entreprise pense qu’il manque d’autorité alors qu’en réalité, il a une blessure émotionnelle qui lui fait tout interpréter personnellement et contre lui. Le moindre geste de ses salariés est reçu comme une agression, il se ferme, et le malaise qui en découle altère son autorité. Nous transmettons des techniques pratiques qui l’aident à cicatriser sa blessure et à se relier aux autres avec authenticité, ce qui change radicalement son leadership. - Ce manager pense qu’il n’est pas compétent car il n’est pas reconnu dans son travail. En réalité son entreprise rencontre des difficultés d’ordre financier et son chef n’arrive pas à lui transmettre des feed-back positifs dans ce contexte. Nous lui proposons des exercices et des méthodes qui lui permettent de se détacher du regard de l’autre pour qu’il s’auto-évalue de manière juste. Il apprend la communication non violente qui lui permet de dialoguer avec sa direction, en exprimant sereinement ses besoins et ses attentes. - Ce salarié ressent qu’on l’utilise, qu’on le « surcharge », qu’on ne considère pas ses alertes sur le fait qu’il en fait trop. Alors qu’en réalité c’est lui qui culpabilise de ne pas arriver à faire plus, il ne sait pas dire « non » et le surmenage lui fait petit à petit perdre son tonus physique et son enthousiasme. Nous le mettons en situation pour qu’il gagne en assurance et améliore ses capacités de communication. Ce qui lui permet de redevenir maître de son existence et de ne plus avoir le sentiment de subir. - Cette femme veut créer son entreprise mais n’arrive pas à avancer sur son projet. Il s’avère en fait qu’elle souhaite réaliser son projet parce qu’elle est persuadée qu’elle gagnera plus d’argent. Or, ce n’est pas une motivation suffisamment solide pour pouvoir mener à bien un projet de création d’entreprise. Nous l’aidons à se recentrer sur ses aspirations profondes et à imaginer une carrière en adéquation avec ce qu’elle est vraiment. - Cette employée donne tout, elle est au bord du burn-out, son corps somatise, elle pense devoir changer de travail. Nous l’aidons d’abord à équilibrer sa vie tout en lui apprenant à reconnaître ses limites et à les exprimer. Elle retrouve force, courage et confiance en elle pour transformer son poste actuel. Elle apprend à continuer à se développer en toute autonomie et à trouver ses propres ressources pour ne plus revivre ses erreurs passées. Dans l’approche globale, on éclaire les parts invisibles de l’être humain qui sont en jeu dans la problématique amenée. Par une méthode fine d’évaluation des différents domaines de la vie de la personne, on élabore sur-mesure des exerci...
Lors de son acquisition en 1997, Gontran Dondain, passionné de vin, a imaginé pour ce domaine un projet visionnaire et ambitieux, axé sur l’univers du vin et qui offrirait au terroir du Languedoc la place qui lui revient dans le monde viticole français et mondial. Actuellement, ce projet est d’ores et déjà une réussite. Toutefois, avec sa soif de perfection, Gontran Dondain ne cesse d’apporter des améliorations continuelles au Château Cabezac. Quatre terroirs gages de vins exceptionnels En plein cœur d’une terre gorgée de soleil, Château Cabezac exploite 40 hectares de vignes se déclinant en quatre terroirs complémentaires. Le mont des Capitelles est caractérisé par un sol pauvre disposé en pente mais profitant d’une bonne alimentation hydrique. Son exposition face à la méditterannée le rend propice au développement des cépages blancs, qui apporte aux vins finesse, arômes et complexité. Les Garrigots sont un terroir alluvionnaire recouvert de galets, très bien drainé, qui convient parfaitement à l’élaboration de vins rouges. Le plateau de Belvèze et son sol composé d’argiles schisteuses et de cailloux métamorphiques en provenance de la Montagne noire permet d’obtenir des vins de garde sublimes. Enfin, situé à 200 m d’altitude, le plateau de Cazelles dispose d’un sol riche en matière organique et recouvert de pierres blanches, qui possède une certaine typicité apportée par ses calcaires de gélifraction. Viticulture raisonnée en adéquation avec son terroir Afin de pérenniser son terroir et de respecter la nature et les hommes, Château Cabezac a fait le choix murement réfléchi d’appliquer une agriculture raisonnée tout au long de ses procédés d’élaboration du vin. En aval, les rendements sont limités en de çà de la normale, en fonction des parcelles et la vendange s’effectue essentiellement à la main à la maturité optimale des raisins. Une équipe menée par les œnologues Cathie Fournié et Mathieu Dubernet, assistée par l’agronome Jean-Dominique Fourment, supervise rigoureusement la vinification en amont. Celle-ci est pratiquée à la sélection parcellaire et par gravité pour préserver au maximum l’intégrité du fruit au sein de l’ancienne cave du Château, datant de 1900, entièrement restaurée et modernisée. Des vins dignes de son terroir Gilles Goujon, Guy Savoy et Pierre Gagnaire, Four Seasons et le Park Hyatt, notamment, figurent parmi les cuisiniers et les hôtels prestigieux et étoilés qui ont récompensé le travail d’orfèvre mené au Château Cabezac depuis 19 ans. Parmi toutes les cuvées exceptionnelles mises en avant par ces restaurants, « la Cuvée Les Capitelles » Minervois est incontournable. Médaillée à de multiples reprises et citée par plusieurs guides spécialisés, cette cuvée d’assemblage présente une robe pâle aux reflets argentés. Son nez citronné, aux notes anisées, est suivi d’une belle rondeur et d’une souplesse en bouche marquée par une agréable fraicheur. Il n’en est pas moins du Carinù Minervois Rouge, issu de vieilles vignes de carignan et élevé en fûts de chêne français durant 18 mois. Cette cuvée à la robe rouge grenat livre des arômes de fruits rouges bien mûrs, avec des notes d’olives noires au nez, et une bouche charnue et ample, avec des notes de cerise noire et d’épices. Dernier et non des moindres : la Grande Cuvée Belvèze Minervois Rouge, qui est issue de macération traditionnelle et a été élevée en fûts de chêne français 18 mois avant d’être mise en bouteilles. D’une grande complexité, ce vin s’ouvre sur des notes de torréfaction minérales, suivi d’une bouche puissante avec une finale long. La grande cuvée Belvèze doit être mise en carafe quelques heures avant de pouvoir dévoiler sa finesse et son élégance. ...
Chez les Leconte, la passion pour la viticulture débute en 1870, à l’époque d’Onésime Leconte, qui fait l'acquisition de ses premières parcelles. Depuis, la tradition se transmet de génération en génération, jusqu’à Xavier Leconte. Nourri de sa passion, et des ambitions plein la tête, il mise tout sur la qualité et la typicité de son terroir pour obtenir des vins expressifs. Aujourd’hui, son fils Alexis veut maintenir les valeurs de la maison dans la fabrication des champagnes en ayant recours à une démarche qualitative initiée par ses ancêtres, et qui continue à porter ses fruits. Des techniques d’antan Amoureux de ses terres, Xavier Leconte a voulu partager cette passion avec ses enfants. C’est certainement pour cette raison qu’il a décidé de baptiser deux de ses cuvées L’intuition d’Alexis et le Charme d’Anaïs, pour leur faire honneur. Alexis, en tout cas, entrevoit déjà, dès son jeune âge, sa carrière de vigneron. Et c’est avec un grand plaisir qu’il reprend les rênes de l’exploitation en 2003. Comme le faisaient ses ancêtres avant lui, il soigne son vignoble et ses vins, selon les cycles lunaires. Particulièrement à l’écoute de la nature, il mise ainsi sur ce qu’elle a à offrir de meilleur, pour garantir la qualité de ses vins ; tout cela sans jamais déroger au style de la maison. Des terroirs d’exception, pour des vins expressifs Le vignoble, réparti sur 40 parcelles et établi à Troissy, Dormans, Mareuil-le-port, Vandières et Aÿ, est traité selon une démarche raisonnée, dans le respect de l’environnement et de la biodiversité. Après la récolte, les trois cépages, à savoir le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier, sont à 25 % vinifiés fûts, et le reste en cuves inox thermorégulées, preuve que, malgré un fort attachement aux gestes ancestraux, Alexis mise également sur l’innovation pour rester dans l’air du temps. Cette heureuse alliance entre tradition et modernité se découvre au sein la cuvée l’Héritage de Xavier de 70 % de pinot noir et de 30 % de pinot meunier. Appelée aussi Cuvée Prestige, elle se révèle ample et complexe. De quoi faire le bonheur des épicuriens. ...
« De tous les arts, l'art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme. » C’est avec cette belle citation de Pierre Dac que le Bistrot des Anges fait son entrée en matière. Une manière de dire qu’au sein de cette brasserie bordelaise on vient pour le plaisir de déguster une cuisine savoureuse et traditionnelle, revisitée selon l’inspiration et l’humeur du chef. Une manière aussi de vous assurer qu’on y privilégie l’art de bien recevoir. Des anges pour s’occuper de vous Durant l’arrivée des beaux jours, vous ne résisterez pas à l’envie de vous installer sur cette belle et spacieuse terrasse ombragée. Il faut dire que, depuis la rue, on n’a d’yeux que pour elle. À l’intérieur, la salle invite aussi à passer de bons moments. Toute l’attention se focalise sur cet immense bar en bois éclairé par des luminaires encastrés. En face, des tables et des banquettes en cuir accolés en mur rappellent immédiatement l’ambiance bistrot. Une autre salle beaucoup plus intimiste est proposée aux clients en quête de discrétion à l’arrière du restaurant. Celle-ci révèle des couleurs claires qui procurent un effet élégant et apaisant. Dans cette ambiance conviviale et chaleureuse, vous serez accueilli par les anges. Aux manettes : Vincent, qui est le chef d’orchestre de cette équipe de professionnels et qui fera de votre passage au sein du restaurant un pur moment de plaisir. Aux fourneaux : Nuno, un chef passionné qui concocte une cuisine généreuse, à l’image de sa personnalité. Il régale les papilles avec ses plats traditionnels mâtinés de saveurs issues des quatre coins du monde. La maison propose des menus qui changent tous les jours en fonction des arrivages du marché. À midi, 4 formules, dont les tarifs commencent à 10 €, sont élaborées. Le soir, une carte modifiée régulièrement attend les habitués ou les voyageurs de passage. En entrée, le raviole au foie gras et sa crème de cèpes émoustilleront vos palais. En plat principal, optez pour les gambas flambées au pastis et risotto à l’encre de seiche. Une grosse faim ? Dans ce cas, la côte de bœuf d’un kilo accompagnée de salade et de frites pour 2 personnes est proposée. La touche de douceur, quant à elle, sera apportée par la sphère chocolat irish cream. Pour vos moments de détente La nuit tombée, l’ambiance prend une autre tournure. Le rythme effréné du midi destiné à servir rapidement les clients pressés est délaissé au profit d’une atmosphère plus conviviale et bon enfant. Que vous soyez en groupe, en couple ou solo, le Bistrot des Anges vous garantit un accueil digne de ce nom. Le Cocktail des anges, le Mojito royal, la Pinacolada, le Daiquiri, le Bloody Mary… grâce à la large sélection de cocktails, il y a de quoi passer une bonne soirée. L’établissement a sélectionné également un large choix de vins français et étrangers ainsi que de bières ; à consommer avec modération, cela va de soi. Pour les petites faims, des tapas à partager. Au choix : les calamars en persillade et balsamique, l’assiette de brebis, confiture de cerises noires ou, pourquoi pas, la grande planche du Bistrot. Dès l’approche du weekend, la température monte d’un cran au Bistrot des Anges. Sur un fond de bonne musique, vous pourrez échanger, partager et faire des rencontres. ...
Riche d’une histoire remontant à plus de deux millénaires, le Château Calissanne a su développer des gammes de produits de qualité avec la volonté de respecter autant l’environnement que son terroir. Château Calissanne : histoire et évolution On pourrait indiquer que l’histoire du Château Calissanne remonte à 2001, avec l’achat et la restructuration du domaine par Philippe Kessler. Pourtant, ce ne serait pas rendre hommage à ce territoire vieux de deux millénaires qui était, au temps jadis, la voie principale entre Rome et l’Espagne. Place forte au IVe siècle, c’est aussi à cette époque que les Romains commencèrent à y planter des vignes et des oliviers. Il a fallu, ensuite, attendre le XVIIe siècle pour que le château actuel y soit construit (par M. de Leydet, parlementaire de la Cour d’Aix-en-Provence). Deux siècles plus tard, la propriété sera rachetée par Charles Auguste Verminck. À cette époque, on y cultivait, en plus du raisin et des olives, des cerises, des amandes et des asperges. Mais ces cultures seront peu à peu abandonnées pour se concentrer pleinement sur le vin et l’huile d’olive. Depuis 2001, Philippe Kessler et son épouse Sophie sont les nouveaux propriétaires du domaine de Calissanne. Leur objectif : améliorer la qualité des vins en mettant en valeur le vignoble Château Calissanne (AOP Coteaux d’Aix-de-Provence) et Domaine de la Clef de Saint-Thomas (AOC Châteauneuf-du-Pape). Viticulture et élevage des vins Profitant d’un climat méditerranéen (caractérisé par un air chaud et sec) et d’une douce brise marine, la vigne est inondée de soleil pendant une majeure partie de l’année. Les sols, quant à eux, sont riches et aérés. Ce qui permet d’y cultiver aisément de nombreux cépages : - Syrah, cabernet sauvignon, mourvèdre, grenache, cinsault, rolle, clairette et sémillon au Château Calissanne (divisés en 4 ilots de plusieurs parcelles) ; - Grenache, syrah, mourvèdre, cinsault, clairette, vaccarèse, bourboulenc, roussanne, counoise, muscardin, picpoul, picardan et terret noir à la Clef de St Thomas (3 terroirs divisés en 4 lieux-dits). Sans oublier les olives, le miel, les céréales et, plus étonnant encore, la truffe qui se plait au sein de ce territoire. Le Château Calissanne s’est engagé à pratiquer des méthodes de culture respectant les normes environnementales. Cela lui a permis d’obtenir une certification HVE de niveau 3 pour tous ses produits. Des créations pour toutes les envies Le Château Calissanne produit annuellement environ 50% de rosé, 40% de rouge et 10% de blanc en AOP Coteaux d’Aix-de-Provence. Parmi ceux-ci, on trouve : - Rocher Rouge (96% mourvèdre et 4% syrah) qui est un vin rouge mêlant arôme épicé et notes de framboise ; - Clos Victoire en rouge (60% syrah et 40% cabernet sauvignon), rosé (90% syrah et 10% grenache) et blanc (50% sémillon et 50% rolle) pour accompagner tous vos repas ; - Calisson de Calissanne (50% grenache, 40% cinsault et 10% rolle) qui est un vin rosé aux notes florales et d’agrumes ; - Epidaure (60% syrah et 40% cabernet sauvignon) : un vin rouge boisé, élégant et équilibré ; - Château Calissanne rouge (40% syrah, 40% cabernet sauvignon et 20% grenache), rosé (33% grenache, 33% mourvèdre et 33% syrah) et blanc (60% vermentino et 40% sémillon) qui feront le bonheur des amateurs de vins méditerranéens ; - Les Terres de Provence rouge (40% syrah, 40% grenache et 20% cabernet sauvignon), rosé (25% grenache, 25% cinsault, 25% mourvèdre et 25% syrah) et blanc (20% sémillon, 20% grenache blanc, 20% clairette, 20% vermentino et 20% bourboulenc) ; Le domaine de la Clef de Saint-Thomas propose quant à lui majoritairement du rouge mais aussi du blanc en AOC Châteauneuf-du-Pape : - Clef de Saint Thomas rouge (50% grenache, 30% syrah et 20% mourvèdre) et blanc (50% roussanne, 20% clairette, 20% grenache et 10% bourboulenc) aussi complexe que charmant ; - Pierre Troupel rouge (60% grenache et 40% syrah) et blanc (40% bourboulenc, 30% grenache et 30% clairette) qui est un vin jeune, mais puissant. ...
L’enquête nationale menée par le DREES révèle que le taux de croissance du nombre de passages aux urgences en France connaît une augmentation moyenne de 4 % par an. Il a été prouvé qu’un sur cinq de ces passages aurait pu être résolu à l’échelon local par une simple consultation auprès d’un médecin généraliste. Ce constat a conduit le docteur Cyrille Charbonnier, vers une réflexion autour d’une solution permettant de relier les médecins généralistes indépendants et les patients qui expriment des besoins de consultation non programmée. C’est ainsi que le projet Mediveille est né. Un service ciblé et immédiat Incubée par le Busi Incubateur d’Auvergne et Le village by Crédit Agricole et le Bivouac à Clermont Ferrand, la start-up vise déjà le marché national en mobilisant les quelque 60 000 médecins généralistes libéraux en France à rejoindre la plate-forme. « Notre solution permet de désencombrer les urgences hospitalières en redirigeant un flux de patients vers les plages horaires disponibles des médecins généralistes », explique Stéphane Mosnier, responsable commercial et des opérations de la start-up. Disponible en version application sur Smartphone et en version web, cette plate-forme profite des avantages du responsive design pour offrir une navigation simple, ergonomique et fluide qu’importe le terminal utilisé. Pour les patients, il s'agit de consulter le site médiveille sur son téléphone, sa tablette ou son ordinateur et pour le médecin, de télécharger une application mobile. Du côté des utilisateurs, elle fonctionne avec une technologie de géolocalisation qui permet de visualiser sur une carte la liste des médecins disponibles à proximité de l’endroit où se trouve le patient. Et pas seulement les médecins de bureau ou remplaçants indépendants, mais aussi les maisons de garde, les SOS médecins et les services d’urgence, en fonction des besoins de l’utilisateur. « Contrairement aux autres applications, Mediveille ne sert pas à programmer un rendez-vous avec un médecin mais de le déclencher instantanément, au moment où le patient a besoin de ce service. » Ce moment peut se présenter en soirée, le week-end, en vacances ou en déplacement professionnel. À terme, cette solution va contribuer également à lutter contre la désertification médicale et à rétablir l’équilibre des activités médicales sur certains territoires. Un réseau de partenaires Le soutien du ministère des Solidarités et de la Santé atteste de la valeur réelle du projet aussi bien sur la gestion des coûts affectés aux services d’urgence que sur la favorisation de la continuité des soins sur toute la France. Plusieurs conseils de l’Ordre des Médecins sont également fédérés autour de cette plate-forme. En parallèle, la start-up souhaite s’ouvrir à d’autres professionnels de la santé tout en multipliant les collaborations, notamment avec les services SAMU. ...
Pour en savoir plus sur le domaine du Mas Llossanes, il faut prendre la direction du Roussillon. Historique du domaine du Mas Llossanes Créé en 2016 par un couple de trentenaires qui ont commencé leur carrière en Toscane, ce vignoble a été mis en place dans les années 40. À cette date, il est géré par la famille Bertrand. Après le départ en retraite du dernier membre de cette famille, Solenn et Dominique ont pris en main cette vigne exceptionnelle. Couple dans la vie et dans le travail, Dominique Génot possède un diplôme d’œnologue et d’agronome tandis que Solenn est sommelière de formation. De plus, ils ont choisi de travailler de façon respectueuse en privilégiant la culture biodynamique. Ce qui, d’après Solenn Génot, donne d’excellents résultats sur les vignes qui résistent mieux aux maladies et aux intempéries. Ce qui les a poussés à racheter cette vigne : aussi bien le terroir très qualitatif que la possibilité de créer des vins d’exception en apportant, à chaque étape de la production, leur propre empreinte. Sans oublier les magnifiques dolmens, en plein milieu de la vigne, vestiges d’un passé empreint de spiritualité (en catalan, Llossanes se traduit par "Lieu Sain" ou "Lieu Saint"). À noter : bien que le vignoble soit classé AOC, les gérants ont choisi de déclasser leurs vins en IGP afin de pouvoir utiliser librement le Chenanson et le Chasan, deux cépages atypiques, dans leur création et de pouvoir créer des vins mono-cépage. Au Dolmen et Dotrera Pour en apprendre plus sur le domaine, intéressons-nous aux cuvées Au Dolmen et Dotrera. Au Dolmen est un vin très accessible. Bien que la composition puisse évoluer en fonction des millésimes, en règle générale, il comporte une majorité de Carignan à laquelle on ajoute Syrah et Chenanson. Ce qui lui apporte des arômes de baies rouges avec une pointe de violette, un caractère épicé ainsi qu’une finale à la fois fraiche et surprenante. Le Dotrera, quant à lui, possède un profil nettement plus gastronomique. Proposant un assemblage de Carignan, Grenache, Syrah et Chenanson et élevé en barrique, il a besoin de quelques années pour s’ouvrir pleinement. Après l’avoir laissé murir pendant 4 ans, vous apprécierez d’autant plus sa complexité, ses notes de fruit des bois, de moka et de violette ainsi que son côté boisé. À savoir : Solenn Génot nous explique que la composition des cuvées peut varier d'une année à l'autre. En effet, selon les équilibres dégagés par chaque lot lors des dégustations sur cuve, Solenn et Dominique créeront les assemblages les plus prometteurs. ...
Grâce à Yescapa, louez facilement un camping-car et sillonnez les routes de France et d’Europe selon vos envies. Un voyage placé sous le signe de la liberté Quand vous partez en vacances, vous n’aimez pas être contraint. Pour cela, vous évitez autant que possible le train ou l’avion. Par contre, même en voiture, une fois sur place, vous devez réserver une chambre d’hôtel qui vous oblige à vous enregistrer et à quitter la chambre à des horaires précis. Ainsi, avec un camping-car, un van ou un fourgon aménagé, vous découvrez un mode de transport original, entre mobilité et hébergement. Arrêtez-vous à tout moment sur votre route et expérimentez une nouvelle façon de voyager, plus libre et moins contraignante. Yescapa : l’assurance de louer en toute sécurité En louant un véhicule par le biais de Yescapa, vous profitez de certains avantages en matière de sécurité. En effet, tout d’abord, le site vous fournit l’assurance multi-risques qui s’adapte à vos besoins. Proposées par des entreprises leaders du secteur, vous pouvez voyager dans toute l’Europe sans crainte. De plus, une fois au volant de votre véhicule, vous bénéficiez d’une assistance 24 h/24 h 7 j/7 j pour vous dépanner en cas de pépin. Finalement, vous bénéficiez d’un contrat de location déjà édité par le site, d’une vérification des identités des deux partis (propriétaires et personne qui loue) ainsi que d’un paiement sécurisé en ligne. Il ne vous reste plus qu’à rencontrer le loueur et à obtenir les clés pour prendre le volant et profiter à fond de votre périple. Le partage : une valeur importante pour Yescapa D’après les créateurs de Yescapa, la confiance est un élément-clé pour que le système puisse fonctionner. Ainsi, l’entreprise fait son maximum pour bâtir une communauté solide centrée autour d’une même passion : les vacances nomades. Pour information, aujourd’hui, le site enregistre plus de 140 000 utilisateurs (de 74 nationalités différentes), 4000 véhicules disponibles en France, Espagne, Allemagne et Royaume-Uni ainsi que 200 000 jours de location au total. Autant d’expériences uniques vécues par les amoureux du voyage itinérant. Du couple qui souhaite parcourir une région précise au sein d’un van aménagé à une famille qui préfère le confort du camping-car en passant par un groupe d’amis qui veut vivre une épopée sauvage au volant d’un fourgon aménagé : chaque location est une nouvelle aventure que les utilisateurs n’hésitent pas à partager dès leur retour. À noter : en 2018, il sera possible de parcourir de nouveaux pays. De plus, l’application Yescapa (sur Android et iOS) s’enrichira de nouveautés pour répondre aux envies et besoins de la communauté. ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
Depuis la création de Sensilead, en 2004, Fabienne Vaillant et son équipe de coachs internationale ont développé une approche holistique pour favoriser l’humain et l’Être qui sommeillent dans nos entreprises souvent asséchées, manquant de cette eau de vie que pourraient nourrir : l’autonomie, l’initiative, la confiance, la responsabilité, la bienveillance et de vraies Relations respectant la différence… l’autre. Fabienne Vaillant : une coach favorisant l’humain et l’Être dans son ensemble Universitaire, thérapeute et coach certifiée : Fabienne Vaillant a eu un parcours riche en expériences diverses et passionnantes. Ainsi, aujourd’hui, en plus d’être coach d’entreprise, elle est aussi psychothérapeute psychocorporelle et analyste de rêves (Jung). Ce qui lui permet d’enrichir sa capacité d’écoute et ses propositions d’accompagnement. Son objectif : travailler avec des hommes et des femmes, des entrepreneurs, des managers, des dirigeants voulant grandir et réussir tant professionnellement que personnellement. Au-delà des interventions « classiques » en coaching individuel, coaching d’équipe et transformation des organisations, elle développe des expériences novatrices pour explorer le champ des possibles à partir d’une conscience plus ouverte et profonde, pour déconstruire les idées reçues, détecter et capitaliser les talents, connecter les idées, les personnes et les projets. Avec son équipe, elle s’appuie sur la démarche The Human Element® de W. Schutz, pionnier du développement personnel en entreprise qui confère à la dimension humaine une place prépondérante dans la réussite des organisations. Une approche éthique, dynamique et systémique des relations humaines. Dans sa forme actuelle, c’est le mélange astucieux d’une variété de méthodes, y compris la visualisation, non verbale, la méditation, la conscience sensorielle, et d’autres impliquant le corps et l’énergie. La facilitation de ces groupes se concentre sur l’ici et maintenant. Elle permet de mieux comprendre le comportement humain et les clefs de motivation dans de multiples situations personnelles et professionnelles. Elle explore les trois dimensions de base de toute relation que sont l’inclusion, le contrôle et l’ouverture pour décrire aussi bien les dynamiques des individus que celles des collaborateurs, des équipes et des organisations. Découvrez la formation être et agir en leader Pour répondre au besoin de plus en plus vital de quête de sens de nombreuses personnes, toutes générations confondues, Fabienne Vaillant a développé depuis 16 ans une démarche innovante qui intègre toutes les dimensions de la personne « le Projet de Vie personnel et professionnel ». En un temps concentré et intense qui permet de relire votre vie pour en découvrir le fil rouge et en extraire les facteurs clefs de votre talent unique, Fabienne vous apporte les repères existentiels et les clefs de compréhension nécessaires pour déclencher la motivation et la vision d’un projet de vie unique et motivant. L’enjeu pour la plupart de ses clients ? Trouver sa place dans le monde, dans son travail et dans sa vie. Le résultat obtenu ? Devenir leader de sa vie et dans sa vie ! ...
La brasserie La Gaëlle ouvre ses portes aux amateurs de bière le vendredi et le samedi soir. Pour promouvoir ses produits, Christophe Hordé propose de la restauration sur réservation, des soirées ou une visite de la brasserie. Un bar-brasserie La Gaëlle produit des bières 100 % céréales « avec un peu plus de houblon que des bières classiques », précise Christophe. Outre la blonde de base, La Gaëlle sert une blonde dite d’automne pour son côté fruité et sa longueur en bouche qui est plus importante. Il y a ensuite la cuvée Judicaël, la rousse et la bière ambrée, qui a permis à la brasserie de remporter la médaille de bronze au concours régional des bières de Bretagne. Enfin, la maison produit trois brunes : la normale, celle d’été et une plus épicée, qui sort à Noël. La cuvée Judicaël Liée à l’histoire de la commune, la cuvée Judicaël a un franc succès auprès des visiteurs. Historiquement, la bière a toujours été brassée par les moines. C’était le cas au royaume de la Domnenet, l'un des quatre royaumes bretons au 7e siècle. Le prince Judicaël, qui s’était retiré au monastère de Saint-Jean-de-Gaël, après avoir été écarté du trône, y a découvert un breuvage fermenté et il introduit dans cette recette le houblon, plante connue pour ses vertus médicinales. Cette bière révélait un goût fruité, très original à l’époque. Une fois arrivé à la tête du royaume, Judicaël inventa une bière baptisée La cervoise d’or. Cette dernière était servie à chaque événement de sa vie. Judicaël l’aurait également présentée au roi Dagobert, connu pour avoir développé la production de bière en France par l’intermédiaire des abbayes. La brasserie La Gaëlle fidèle à cette tradition a créé une bière blonde, la Judicaël, conçue avec une levure belge trappiste. ...
Le pays de Dieulefit-Bourdeaux, blotti entre le Dauphiné et la Provence, se situe dans la région touristique de la Drôme Provençale. Le doux parfum des lavandes mêlé aux premiers oliviers et vignobles plane dans cet environnement exceptionnel et protégé, riche de ses paysages de moyenne montagne. Au sein de cette terre d’accueil, des réfugiés des guerres de religion et de la Seconde Guerre mondiale, les villages souvent perchés ont su conserver leur caractère et architecture médiévale hérités pour quelques uns des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Longtemps considérée comme une région de repos qui procure le bien-vivre, le pays de Dieulefit-Bourdeaux est habité par une longue tradition d'hospitalité et de générosité de ses habitants. Destination patrimoine Véritables empreintes de l’histoire du pays, les sites historiques et les musées sont répartis un peu partout, du Poët-Laval à Comps en passant par Bourdeaux et Rochebaudin. Classé parmi les plus beaux villages de France. Le Poët-Laval abrite un site médiéval, perché sur une colline, qui fut bâti à la fin du XIIe siècle. Ce lieu historique renferme une chapelle et une forteresse née sous l’ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem. On se laisse aussi séduire par Dieulefit, labellisée « Ville et métiers d’art ». Effectivement, la réputation du pays en termes de savoir-faire potier n’est plus à démontrer. Le patrimoine potier de Dieulefit est mis en valeur à la Maison de la céramique. Une tradition qui fait d'ailleurs partie intégrante du pays depuis l’époque gallo-romaine, et que les artisans potiers d’aujourd’hui continuent de perpétuer avec talent. Au passage, depuis la tour de l’Horloge, l’église Saint Pierre, la fontaine du Terron ou encore la place des Boulevards, vous pouvez admirer la ville d’en haut. Entre les ruines des deux châteaux du XIIe siècle et la Maison Renaissance, site classé, Bourdeaux qui conserve son allure de village intime n’a rien à envier aux autres. Pour couronner les visites, impossible de faire l’impasse sur l’imposante église romane qui trône fièrement sur Comps, construite au XIIe siècle, entièrement restaurée et classée monument historique. Activités nature Bénéficiant d’un climat doux et tempéré au sein d’une région touristique singulière, le pays de Dieulefit-Bourdeaux possède tout le potentiel pour pérenniser l’écotourisme. Dieulefit, estampillé « Station verte », et le pays propose diverses activités de plein air et de loisirs. Randonnées et excursions sur la montagne Saint-Maurice, promenade à vélo, escalade, vol libre en parapente, et un Espace Sport d’orientation attendent les amoureux de la nature. Pour ceux qui veulent plutôt se détendre, le pays de Dieulefit-Bourdeaux regorge de sites de bien-être et de relaxation, offrant des soins en réflexologie, en ostéopathie, en sophrologie et esthétiques. En outre, l’Office de Tourisme de Dieulefit-Bourdeaux organise des séjours "clé en main" déclinés en plusieurs thématiques, pour découvrir les incontournables du pays. Les séjours poterie, lavande, truffe, bien-être et vitalité, ainsi que les formules week-end bio & terroir et week-end glamping sont autant de choix possibles s’adressant aux familles, couples, ou groupes qui veulent explorer le pays à leur rythme. ...
Une sélection de créateurs Pour explorer les bijoux de ces six créateurs, il faut notamment se laisser tenter par les élégants ballotins ou encore les box gourmandes, tout droit sortis des ateliers de la chocolaterie Puycard. Ce leader incontesté du savoir-faire artisanal suggère d’harmonieuses combinaisons de délices comme de succulentes tablettes faites maison, de gourmandes réglettes de calissons et de délicates barres de nougat dans une même offre à seulement 35,90 euros. Ce maître chocolatier fait, depuis sa création en 1967, le choix audacieux de se passer d’additifs, pour garder intacte la puissance de ses arômes. Avec ses “Cœur de France” et “Cœur de Nantes” , à seulement 21,30 euros, la chocolaterie Philippe Castelane, elle, livre sur chocolaterieonline.com une toute aussi prestigieuse gamme de produits artisanaux. Du haut de ses 25 ans d’expérience, ce maître chocolatier n’hésite pas à innover même lorsqu’il s’agit de proposer des classiques. Des valeurs sûres Chocolaterieonline.com a ainsi choisi de miser sur des valeurs sûres pour convenir au palais les plus exigeants. Les créations de Henri Le Roux avaient donc toute leur place dans ce panel de fines gourmandises. Le maître, qui a mis au point la recette du fameux caramel au beurre salé, vend sur cette plate-forme ses bouchées au praliné craquant et ses coffrets chocolats aux riches saveurs. Ses tablettes chocolat noir Madagascar ou Brésil à 17,60 euros sont un appel au voyage. Tout comme les créations de Sadaharu Aoki. Ce génie japonais qui a su combler les gourmets grâce à un style épuré. Un univers bien particulier, où l’explosion des couleurs se mêle à la diversité des saveurs, dans de surprenants coffrets bonbons maquillage, à 19,80 euros. Ses chocolats taillés avec finesse n’ont pas fini de faire leur effet. Même souci du détail, du côté du leader du praliné belge, Planète Chocolat. Cette enseigne fait dessiner ses petits bijoux par des artistes. Parcourir ses produits est un ravissement pour les yeux et pour les papilles, comme le prouvent ses coffrets chocolats pralinés à 44,90 euros. De véritables idées cadeaux à considérer en période de fête. Tout aussi agréable à regarder et surtout à croquer que les sublimes coffrets chocolat de Pascal le Gac. Ses ganaches et pralinés sont d’une complexité à ravir les passionnés de chocolat. Son coffret amandes enrobées à 28,80 euros promet une belle longueur en bouche et un fondant inégalable. ...
À mi-chemin entre le port de Noirmoutier et la plage du bois de la Chaise, cet Hôtel-Restaurant 3*** blotti dans un magnifique parc paysager arboré de palmiers et d’oliviers, invite à la félicité et au bien-être. Ses deux salles de restaurant ont été décorées avec goût et raffinement : grande baie vitrée, poutres en bois de pins, murs en bois clair, toiles au thème marin. À l’extérieur, une agréable terrasse ombragée disputant la vue sur le château Noirmoutier et les champs de vignes accueille les hôtes. Quelle que soit la saison, ce petit bout de paradis est l’endroit parfait pour partager une table gastronomique en famille, entre amis ou entre collaborateurs. Le concept du restaurant Le gérant propriétaire du lieu, Pierrick Wattecamps, définit si bien le style d’Éric Pichou, son chef de cuisine depuis 25 ans : « C’est une cuisine fine, créative, pleine de subtilité, et avec une pointe gourmande sans pour autant être très riche. »C’est précis et totalement maîtrisé. Noirmoutier-l’Île oblige, le chef s’inspire des parfums de la cuisine méditerranéenne et des couleurs de la cuisine de l’Atlantique dans l’élaboration de ses plats. « La saveur océane est vraiment notre spécialité. On travaille le poisson tout en finesse et on le prépare ensuite avec des produits du terroir procurés dans la région. » Ainsi, le restaurant a imaginé trois menus pour découvrir les incontournables de la maison : Saveurs de printemps, Éveil des sens et Au fil des saisons. Une farandole de saveurs et de textures En entrée, le chef fait plaisir aux épicuriens avec son saumon confit à 53°, fromage blanc au yuzu et gingembre, crème végétale et pickles d’oignons rouges. En guise de plat, le cœur balance entre le dos de lieu jaune rôti en croûte de piquillos, fenouil et safran, jus de crevettes à la verveine et l’entrecôte de cochon ibérique, pommes de terre façon Macaire. Ces assiettes sont accompagnées d’une cassolette de pommes de terre primeur rissolées au beurre salé, une petite merveille qui fait la signature de la maison. Une autre spécialité à ne surtout pas manquer : les intemporelles moules gratinées à la crème d’ail qui déclenche à chaque fois des émotions. D’autres plats plus recherchés et plus audacieux sont également concoctés, à l’instar des langoustines saisies au beurre demi-sel, pulpe de panais, réduction de clémentines, anis et vodka, ou encore le filet de canette laqué au sésame noir, aigre doux à la bière brune, navets confits et betteraves rouges. « Nous travaillons énormément sur les accompagnements, les sauces, les jus, les parfums, qui vont changer au gré des saisons », explique le gérant. Sur une note finale, des petites douceurs maison viennent embellir l’expérience culinaire : demi-sphère noire avec sa compotée de fruits exotiques, nuage de mascarpone et crème glacée au petit-suisse ou fraise Gariguette au naturel, éclat de meringue et thé vert matcha, sorbet fraise et crémeux à la menthe poivrée. Ce sont les créations d’un jeune talent, dont Pierrick Wattecamps est particulièrement fier : « Il est sans doute le meilleur pâtissier que nous avons eu depuis 25 ans. » Expérience à vivre en famille Pour les déjeuners ou événements en famille, la maison a réservé deux menus spéciaux aux jeunes gourmets. Ils peuvent déguster la terrine de foie gras de canard, la poitrine de veau fermier confite, jus parfumé au thym et seront gâtés par le carpaccio d’ananas, sorbet noix de coco. Les plus petits vont apprécier la salade de crudités de saison et l’éventail de charcuterie accompagné de pommes de terre de Noirmoutier. Au dessert, ce sera deux boules de glace au choix ou un yaourt aux fruits de chez Beillevaire. En outre, parents et enfants peuvent prolonger leur expérience dans l’hôtel 3*** et se laisser tenter par les activités offertes sur place : piscine chauffée, salle de jeux, aire de jeu extérieur (tennis de table, badminton, terrain de pé...
Quand d’autres méthodes font l’apologie de la restriction pour favoriser la perte de poids, Kitchendiet prend le parti de réinvestir le plaisir dans un repas minceur. Élaborés par un chef étoilé à partir de produits frais, ils préservent la saveur et le croquant de ces derniers grâce à une cuisson sous vide à basse température. Des calories réparties de façon rationnelle et le choix entre des recettes variées renforcent la motivation de maintenir le cap sur son objectif poids. Quand faire un régime devient une partie de plaisir « Renouveler l’offre de repas diététiques en proposant des aliments bien construits, bien cuisinés et qui puissent être livrés de manière souple à domicile. » C’est dans un tel esprit que l’enseigne fondée par Vincent Guillet, en 2009, accompagne au quotidien les personnes désireuses de retrouver la ligne. Au cœur de la démarche, le plaisir reprend ses droits à travers une gamme de repas aux apports caloriques contrôlés sans exagération et déclinée en de bonnes recettes concoctées par un deux-étoiles Michelin. Un programme bien structuré, imaginé avec l’éclairage d’une équipe médicale, garantit l’efficacité de la méthode dans la durée. Une gamme de repas minceur pour une vraie prise en charge pondérale Ce qui est bien avec Kitchendiet, c’est que le programme va bien au-delà de la seule problématique de poids. Les recettes et produits proposés prennent en compte des particularités comme les soucis de cholestérol. En quatre, huit ou douze semaines, chacun avance donc, sans prise de tête, vers l’acquisition de nouvelles habitudes alimentaires en accédant à une sélection large de petits déjeuners, plats frais, pains, desserts et collations. Des produits laitiers et une ligne dédiée détox enrichissent l’offre de la maison. En cours de programme, les consultations personnalisées avec une diététicienne permettent l’ancrage du client dans son projet de perte de poids. ...
Le restaurant Pramil se trouve dans une rue calme près de la Place de la République. Derrière une façade bleu ciel se niche ce doux cocon. La lumière douce diffusée dans la salle, la teinte sobre de ses murs et les pierres apparentes forment un ensemble feutré imprégnant une ambiance paisible mais conviviale. Un petit nid discret pour passer des moments gourmands. Une cuisine française à la touche originale La cuisine française estampillée Alain Pramil se réinvente légèrement à cette adresse, pour sortir des mets comme nulle part ailleurs. Le secret ? Les ingrédients frais de saison sublimés par l’inspiration du chef. Qualité et originalité demeurent les maîtres mots de l’établissement. Rien de tel que son foie gras mi-cuit avec anguille fumée pour entamer le repas. Continuez ensuite par le ris de veau aux navets nouveaux, une des spécialités du chef, ou le Saint-Jacques avec girolles et somen de Shimabara. Des plats qui révéleront une fois de plus le talent de l’hôte. Ne pas terminer sur une note gourmande sucrée serait bien dommage. Pour cela, succombez aux charmes de la tarte framboise, pomme Granny-Smith, poivron et Chantilly, ou les millefeuilles aux marrons glacés. Afin d’accompagner toutes ces merveilles comme il se doit, le restaurant d'Alain Pramil propose une large palette de vins. Sa cave à vins se trouve être un point de rendez-vous des grandes appellations et des petits producteurs. Toutes des références appréciées pour leur qualité, dont certaines sont servies au verre. ...
Hubsanté lance Hubnutrition, une application disposant de plusieurs programmes qui ont pour objectif d’aider les utilisateurs à adopter une alimentation à la fois équilibrée, saine et diététique. À propos de Hubsanté Lancée en mars 2015 par Jonathan Fontaine et son associé, Hubsanté est une jeune start-up spécialisée dans le domaine de la nutrition. « Initialement, Hubsanté a été créée pour les problèmatiques nutritionnelles liées aux maladies chroniques», explique Jonathan Fontaine. En effet, il faut savoir que beaucoup d'aliments sont susceptibles de représenter un danger pour les personnes diabétiques, d'où un besoin constant de faire attention à leur alimentation. Aujourd’hui, la start-up travaille aux côtés d’une centaine de spécialistes de la nutrition afin de permettre au plus grand nombre d’améliorer leur santé via une meilleure façon de s'alimenter. Pour ce faire, elle a développé une application dans le but d’apprendre aux gens à mieux manger et donc de pouvoir rester en forme plus longtemps. Hubnutrition, mieux manger sans se priver Hubnutrition est une application qui propose des programmes permettant à chaque utilisateur d’atteindre ses objectifs minceur ou santé. « Ce qui nous démarque des autres applications sur le marché est que notre approche bannit la gestion des calories qui est trop contraignante », précise le fondateur. S’appuyant sur l’expertise d’une diététicienne, l’application suggère trois programmes adaptés selon le cas. Le pack « Manger mieux » vise à inciter les « Hubinautes » à adopter une alimentation plus équilibrée, et ce, conformément aux préconisations du Programme national nutrition santé (PNNS). Ensuite, le pack « Détox » a pour but de revoir son alimentation de manière à favoriser l'élimination des toxines et de purifier les organes vitaux tels que le foie et les reins notamment après une période d'excès. Et enfin, « Minceur 3 mois » est un programme diététique qui aide les personnes souhaitant maigrir à perdre 3 à 10 kg de manière durable et saine. Une application agréable et facile d'usage Chaque pack est assorti de nombreuses astuces en vue de faciliter l’atteinte des objectifs. Par ailleurs, Hubnutrition a été conçu pour limiter les contraintes. « Un des problèmes majeurs des applications consacrées à la nutrition est que celles-ci obligent les utilisateurs à entrer un repas. Avec notre application, vous n’êtes pas obligé de saisir votre repas », développe Jonathan Fontaine. C’est simple, l’application donne une liste d’objectifs à atteindre et l’utilisateur n’a plus qu’à valider ceux qu’il a réalisés. Hubnutrition offre également la possibilité aux « Hubinautes » d’être coachés par un diététicien. Pour cela, il suffit de prendre une consultation grâce à une option disponible sur l’application. À l’aide des informations dont il dispose, le diététicien peut, à distance, aider l’utilisateur à gérer ses problèmes, répondre à ses questions ou commenter ses repas. Télécharger l'application ...
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie chronique qui provoque l’inflammation des articulations à l’origine de gonflements articulaires et de douleurs. Elle est dite « auto-immune » car elle résulte d’un dérèglement du système immunitaire qui se retourne contre les articulations provoquant leur destruction sans prise en charge adaptée. Bien qu’elle puisse se manifester dès l’enfance, à l’adolescence ou chez les sujets âgés, la maladie se déclenche davantage autour de 50 ans et concerne plus souvent les femmes. « Jusqu’ici, un flou entoure les origines précises du déclenchement de la PR », nous explique Sonia Tropé, directrice de l’ANDAR. Toutefois, on sait que le tabac reste le facteur environnemental le plus connu. S’il est associé à un terrain génétique favorable, le risque de déclencher une polyarthrite rhumatoïde devient alors plus élevé. Selon notre interlocutrice, « cette maladie est mal connue du grand public ». L’ANDAR est donc née dans une volonté de mieux sensibiliser autour de la PR, mais pas que… Un accompagnement et une information de qualité dans la gestion de la maladie « Un des principaux objectifs de l’ANDAR est de servir de trait d’union entre patients et professionnels de la santé pour améliorer la relation de soins, contribuer à la mise en place de la décision médicale partagée et favoriser l’implication du patient », fait savoir la directrice. L’association régie par la loi 1901 a été créée sous l’impulsion de personnes atteintes de polyarthrite appuyées par un réseau de professionnels de la santé qui jusqu’à aujourd’hui, continuent de collaborer de manière constructive avec elle. En plus de participer au développement de la recherche en accordant une bourse annuelle financée en partie grâce à la course Polyar’trottons®, elle a pour vocation de mettre à disposition des patients, des proches et des soignants une information validée sur la PR. « Nous veillons systématiquement à ce que l’information fournie soit justifiée par des publications ou des avis d’experts », tient à souligner Sonia Tropé. Une association aux nombreuses actions innovantes Proposer les formations gratuites en ligne fait partie des moyens mis en œuvre par l’ANDAR pour diffuser l’information sur la PR. Ce MOOC (Massive Open Online Course) est accessible à tous y compris ceux qui ne sont pas adhérents de l’association. Il en est de même pour les webconférences qui invitent chaque mois un expert à venir développer un sujet en lien avec la maladie. Ces conférences interactives sont disponibles en live ainsi qu’en replay. Dans ce même élan, l’ANDAR a développé une plateforme d’information autour de la problématique du travail et de la maladie chronique qui s’adresse aux personnes œuvrant dans le secteur privé ou public, sorties du monde du travail ou à la recherche d’un emploi. Pour rester informés sur la polyarthrite rhumatoïde et sur l’ANDAR, inscrivez-vous à la newsletter mensuelle ! http://bit.ly/ANDARNL ...
L’Institut culturel basque invite les associations à rejoindre le mouvement afin de bâtir des projets culturels autour de la culture basque. Présentation de l’Institut L’Institut culturel basque (ou ICB) a été créé en 1990 avec le soutien de l’Etat, du Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine, du Département des Pyrénées-Atlantiques et du Syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque (devenu aujourd’hui Communauté d’Agglomération du Pays Basque), et de ses 160 associations membres. Situé au Château Lota à Ustaritz, près de Bayonne, le but premier de l’ICB, depuis plus de 25 ans, est de favoriser la création de projets créatifs en lien avec la culture basque, de faciliter leur diffusion et de sauvegarder le patrimoine culturel immatériel de cette culture si riche. Mais ce n’est pas tout. Car l’Institut est aussi un organe de recherches et d’échanges culturels travaillant sur la meilleure façon de transmettre la langue et la culture basques. À ce titre, l’ICB développe ses projets pluriannuels sur des thématiques comme le chant, la musique, ou encore la danse basque. Ainsi, en plus d’aider à mettre en œuvre de nombreux événements culturels, l’ICB possède un site portail qui évolue régulièrement et qui se transforme, au fil du temps, en un véritable espace multimédia dédié à la diffusion de la culture basque. L’Institut culturel basque : ethnopôle depuis 2017 L’année 2017 a été importante pour l’ICB, car c’est la date où il a été labellisé ethnopôle, en partenariat avec l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). 9e ethnopôle national et deuxième de la région Nouvelle-Aquitaine, à travers une convention signée avec le Ministère de la Culture et l’EHESS, l’ICB s’engage pour 4 ans à travailler sur le patrimoine et la création, sur l’oralité, sur la valorisation des ressources numériques liées à la culture basque et sur les pluralités linguistiques. Tout cela s’intégrant au sein d’un programme de recherche, de diffusion pluriannuelle et de formation. De ce fait, il s’occupe de collecter et sauvegarder tous documents vidéos et audios basques par le biais du programme Eleketa (collecte de plus de 300 témoignages filmés) tout en travaillant sur le traitement des fonds sonores et audiovisuels basques numérisés par le service Archives du département des Pyrénées-Atlantiques. Cela lui a permis de devenir une véritable référence dans le domaine du patrimoine oral de la culture basque. Autre sujet important pour l’ICB : faire le lien avec la création contemporaine. Le centre en vient ainsi à s’interroger sur les enjeux de la création culturelle au Pays basque. Pour cela, il engage des débats sur les réalisations traditionnelles et modernes des artistes actuels par le biais de journées associant travaux de groupe, témoignages, échanges et conférences. L’ICB est donc aussi un véritable laboratoire de la mémoire et de la création. ...
Lancé en 1996, le restaurant tenu par Benoît Cantalloube se situe face à la basilique de Saint-Sernin, un des plus beaux monuments de Toulouse. Le « 7 » : une métamorphose accomplie Pour apporter un renouveau à l’établissement, Benoît Cantalloube engage Guillaume Momboisse, 26 ans, un ancien apprenti de la maison qui revient après une dizaine d’années. Ce dernier a suivi un riche parcours au restaurant Ô Saveurs, au restaurant Le Chalet de la forêt à Bruxelles mais aussi à Hong Kong au Twenty North. Son défi est de donner un coup de jeune au restaurant. Animé par son enthousiasme et sa créativité, Guillaume Momboisse y propose une cuisine délicate et raffinée. Gastronomie rafraichie et authentique Les plats se concoctent avec des ingrédients frais, achetés quotidiennement sur le carré du Marché de la Gare de Toulouse et vendus par les maraichers de la Haute-Garonne. Ses trouvailles du marché lui permettent de réaliser une cuisine respectueuse du terroir, où les produits méditerranéens forment un heureux mariage. Guillaume Momboisse travaille surtout les viandes de la région comme l’agneau du Quercy, le veau fermier de l’Aveyron ainsi que la sole du bassin d’Arcachon. Inspiré et créatif dans l’élaboration des plats Les convives sont invités à choisir entre trois menus : le Lunch, la Découverte et la Dégustation. À souligner : le menu Lunch, à seulement 24 €, est servi exclusivement le midi, avec une entrée, un plat de poisson ou de viande, et un dessert. Il est renouvelé toutes les semaines. Une carte des vins qui voyage Les vins de Saint-Chinian, de Gaillac, de Fronton et de Madiran sont à l’honneur. « Effectivement, puisque nous sommes installés à Toulouse, nous avons une très jolie carte de vins de région. Néanmoins, par curiosité et par gout, nous nous échappons un petit peu de notre région », indique Benoît Cantalloube. Le plaisir du chef est de faire découvrir de nouveaux horizons. « J’aime bien chiner les vieux vins. Parfois, on tombe sur de véritables petites perles », confie-t-il. Lors des foires et expositions, le chef et son équipe testent quelques vins du monde, notamment des crus de la Nouvelle-Zélande, d’Uruguay et de Chili, qui s’affichent dans une rubrique spéciale de la carte. ...
Ce restaurant indépendant ouvert 7 jours sur 7 (hors dimanche soir) propose à ses clients une cuisine authentique et simple agrémentée d'incontournables classiques Auvergnat. Dans un cadre convivial à l'esprit bistrot, un accueil chaleureux vous invite à déguster un grand classique de la région qu’est la Truffade Auvergnate. Il s’agit d’un plat typique à base de pomme de terre, assaisonné de poivre et d'ail et de tomme fraîche du cantal servi avec un jambon sec AOC d'Auvergne. Soucieux de la tradition, les 2 compères ont pris soin de vous préparer ce plat « à l’ancienne ». A déguster pour les puristes avec un cotes d'Auvergne rouge ou blanc selon vos envies. Une carte raisonnable mais variée Le Zinc se démarque de la plupart des enseignes par sa cuisine généreuse concoctée à base de produits frais. En effet, l’établissement privilégie les circuits courts et la proximité de ses fournisseurs locaux pour répondre aux exigences de fraicheur et de traçabilité des produits jusque dans l'assiette. En s’approvisionnant auprès de fournisseurs comme "la ferme Auvergnate" ou "lou vidalou" fromager affineur cantalou, la maison s'assure d’avoir les bons produits. En été comme en hiver, le chef vous propose ses incontournables rognons de veau aux morilles et le boudin noir au foie gras poelé du domaine de Limagne. Le Zinc se fait aussi une spécialité dans la viande, en mettant à l'honneur les races à viande locale : Charolaise, Limousine ou Aubrac et ce dès que possible. et que dire du vin ? La carte des vins du Zinc n’a pas à rougir face à celle d’autres établissements spécialisés. De nombreux vignobles exclusivement français y figurent, du sud en remontant par la vallée du Rhône, en s'arretant en Val de Loire et en Bourgogne jusqu'au bordelais pour finir, bien évidemment, sur les vins d'Auvergne à découvrir. Parmi une trentaine de références, le chef laisse le soin à ses clients de faire leurs choix mais ne manque pas une occasion de leur faire profiter de ses expériences si besoin. ...
Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique, fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...
7200 exposants de 109 pays, 160 000 visiteurs de 194 pays, 120 délégations, 21 secteurs d’exposition. Au Salon International de l’Alimentation, on ne voit les choses qu’en grand. Depuis 1964, cet évènement organisé par Comexposium rassemble les acteurs mondiaux de la filière agro-alimentaire en quête d’inspiration. Pour cette édition 2018, SIAL Paris place la barre encore plus haute en concoctant plusieurs nouveautés. A l’avant-garde de l’alimentation Tous les deux ans, SIAL Paris devient la vitrine de l’offre alimentaire mondiale en révélant les produits alimentaires issus des quatre coins du monde allant des boissons, à l’épicerie fine, en passant par les produits diététiques ou encore les produits traiteurs et plats cuisinés. De simples ingrédients ou des produits transformés qui aiguisent la créativité de chefs de renommée internationale invités à faire leur show dans l’espace « La Cuisine ». Ici, en plus des démonstrations culinaires, la nouveauté 2018 concerne l’organisation quotidienne de cours de cuisine à l’adresse des visiteurs. Les 100 meilleurs produits sont également récompensés à SIAL INNOVATION. Un jury hétéroclite a été rassemblé pour l’occasion, avec des professionnels de la restauration ainsi que des experts de l’alimentation et évidemment Yannick Alléno, parrain de cette édition 2018. En écho de SIAL INNOVATION, SIAL Paris 2018 présente en exclusivité un nouvel univers baptisé Future Lab. Projetant les idées et thèmes à l’horizon de l’innovation alimentaire, cette zone située à l’entrée du hall 6 se déclinera en trois univers. En premier lieu, le #foodlab 2030, un tunnel immersif et expérientiel où des scénarii futuristes développant les quatre thèmes abordés dans l’étude sur les grandes tendances du Food en 2030 réalisée par SIAL et AlimAvenir seront à découvrir. Puis, #Rising start-ups, un espace dans lequel 50 entreprises triées sur le volet auront l’opportunité de participer au salon. Enfin, #VR LAB ou « quand la planète food rencontre la réalité virtuelle ». Dans tout cet élan, l’évènement sera au coeur d’un phénomène majeur : l’Alternative Food. Les acteurs de ce secteur en plein boom échangeront et découvriront les innovations et opportunités de l’alimentation de demain, plus saine et respectueuse de la nature et de l’homme. A ne pas rater : l’Alter’Native Food Forum au cours duquel des visites guidées sur le thème de la santé et des ingrédients alternatifs seront organisées. ...