Savez-vous que près de 40 % de la consommation électrique mondiale est due au fonctionnement des moteurs électriques dans l’industrie ? Depuis sa création, en 1993, le Laboratoire Systèmes Électrotechniques et Environnement (LSEE), situé au sein de la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université d’Artois, à Béthune, est devenu spécialiste de l’amélioration de l’efficacité énergétique des machines électriques. « Les solutions développées mettent en œuvre des matériaux nouveaux ou des structures originales, tout en prenant en compte cycles de fonctionnement et contraintes industrielles », explique Jean-Philippe Lecointe, professeur en génie électrique et directeur du LSEE. Les chercheurs du laboratoire ont développé des compétences très pointues comme, par exemple, l’utilisation des champs magnétiques externes que rayonnent les machines pour diagnostiquer leur état de santé ou analyser leurs performances énergétiques. « L’écoconception vient en superposition de ces travaux, avec l’utilisation de matériaux moins polluants ou de procédés de fabrication écoresponsables ou plus écologiques », poursuit le directeur. Le LSEE s’est d’ailleurs distingué en concevant, en partenariat avec EDF et l’ADEME, un moteur à faible impact environnemental : un « moteur vert », avec rendement amélioré, procédés de fabrication et matériaux respectueux de la planète, analyse du cycle de vie, etc. Une expertise de plus de 20 ans Cette réalisation résume bien l’ambition des recherches du LSEE. Le laboratoire va même plus loin en essayant de limiter les bruits et vibrations des machines. Ces investigations, menées depuis plus de 20 ans au laboratoire, reposent sur une modélisation analytique des machines électriques. Elles permettant de créer un lien direct entre les grandeurs électriques et les grandeurs acoustiques. Outre des améliorations notables concernant le confort acoustique au voisinage des grandes machines électriques, ces travaux ont également permis de mettre au point des méthodes de diagnostic très innovantes. « L’expertise du LSEE se manifeste également dans le domaine des systèmes d’isolation électrique. Les isolants constituent un facteur essentiel de la durée de vie des machines électriques et l’anticipation de leur vieillissement permet de réduire notablement les coûts de maintenance et d’améliorer la sûreté de fonctionnement des équipements », détaille Jean-Philippe Lecointe. Le LSEE développe donc des solutions innovantes pour évaluer ou accroître la durée de vie de l’isolant des fils utilisés pour bobiner les actionneurs électriques, comme un diagnostic non invasif on line des équipements, une réduction des contraintes par agencement fin des conducteurs dans leurs encoches, une étude des problèmes d’isolation liés aux hautes températures. Que ce soit en préconisant des solutions de bobinage innovantes ou en utilisant des matériaux tels que les céramiques pour assurer le fonctionnement à températures élevées, le LSEE est au cœur des préoccupations de l’isolation des machines. Depuis plus de 20 ans, les chercheurs du LSEE analysent et conçoivent des machines électriques pour accroître leur efficacité énergétique, réduire leur émission acoustique ou les rendre plus fiables. ...
Ensemble, on est plus forts Créée en février 2000, l’Alliance Maladies Rares compte parmi les pièces-maîtresses de l’échiquier des acteurs des maladies rares. Regroupant plus de 210 associations de malades et portant la voix de quelque trois millions de malades, cette structure est rapidement devenue incontournable. Mais sa force et son impact, c’est au collectif, c’est à dire à ceux qui la composent qu’elle les doit. Car plus qu’une simple association, l’Alliance Maladies Rares est « une force associative, un collectif, un réseau ». L’association couvre d’ailleurs tout l’hexagone par le biais de ses trente délégués régionaux. « Ensemble, on est plus forts. Réunir un grand nombre d’associations permet de combattre plus efficacement les maladies rares, dans leur ensemble, que si chacun reste dans son coin. On a plus de chances de faire bouger les choses si l’on peut s’appuyer sur un réseau solide » explique Nathalie Triclin-Conseil, la présidente de l’Alliance Maladies Rares. La force considérable de son réseau alliée à sa grande légitimité valent ainsi à Alliance Maladies Rares de participer activement à l’élaboration des politiques de santé et d’occuper une place centrale au sein de la Plateforme Maladies Rares. Son organisation a même été copiée hors de nos frontières. En Italie et en Espagne, notamment. Améliorer la vie des personnes atteintes de maladies rares Son action revêt plusieurs facettes. De la sensibilisation du grand public et des professionnels de santé à l’amélioration de la qualité de vie des patients souffrant de maladies rares en passant la promotion de la recherche médicale et le soutien apporté aux associations dans le combat qu’elles livrent quotidiennement, les missions de l’Alliance Maladies Rares s’articulent autour d’un dénominateur commun : accompagner les malades ainsi que leurs proches. L’Alliance Maladies Rares a d’ailleurs fait de l’émergence d’un véritable « droit à l’accompagnement » des malades souffrant de maladies rares, l’une de ses priorités. « Nous défendons au quotidien les droits des personnes atteintes de maladies rares et mettons tout en oeuvre pour que des réponses adaptée soient proposées aux malades. L’accès à la recherche, la réduction de l’errance diagnostique, l’intégration à l’école et au travail, l’annonce du diagnostic, la transition enfant-adulte ou encore l’élargissement du diagnostic néonatal font partie des questions que nous défendons » précise Nathalie Triclin-Conseil. Faire bouger les lignes Faire du « sur place » ? Très peu pour elle ! Si elle veut pouvoir remporter son combat, l’Alliance Maladies rares sait que c’est de l’avant qu’elle doit aller. Bien décidée à faire bouger les choses, cette association enchaîne donc - avec le soutien de ses nombreux bénévoles - les actions (Journée Internationale des Maladies Rares, Marche des Maladies Rares, formations, etc.) et multiplie les expérimentations sur le terrain. L’un de ces projets, les « Compagnons Maladies Rares », est actuellement expérimentée en Nouvelle Aquitaine. Ce dispositif vise à professionnaliser des patients mais aussi des aidants « experts » afin qu’ils soient en mesure d’accompagner des personnes atteintes de maladies rares jusqu’à l’autonomie. « L’idée, c’est qu’ils mettent leur vécu, leur expérience de la maladie au service des malades. Nous attachons une grande importance à l’éducation thérapeutique ». ...
Sous une valse de notes créatives et gastronomiques, le restaurant Le Lumière jouit d’un cadre romantique et hautement contemporain mettant à l’honneur le top des produits dans un décor d’une surprenante modernité. D’emblée, l’établissement accroche les regards avec sa superbe verrière ouverte sur la cour grandement ensoleillée de l’Hôtel Scribe qui, en soirée, baigne dans une belle lumière colorée. L’intérieur révèle un style inspiré des appartements haussmanniens avec de belles boiseries aux murs, des canapés de velours rouge et des images noir et blanc des premiers films des frères Lumière. Une cuisine dans l’air du temps La formule « Lumière du Jour » met en avant un menu déjeuner à 45 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, suivis d’un café. Faites vos choix entre une Terrine de canard à la chartreuse, Espuma de navet boule d’or, châtaignes grillées et compotée de figues ou une entrée du jour selon les produits du marché. Allez plus loin dans la découverte avec du Dos de cabillaud cuit sur la peau, daïkon au raifort, betterave laquée, riz d’Akita et jus de coriandre ou le plat du jour selon les produits du marché. Terminez ensuite sur la note joyeuse du dessert à la parisienne à choisir sur le chariot du Chef Pâtissier. 110 références de vins Le Lumière est également gratifié d’une carte de vins de collection comme le Coteaux du Layon du Domaine Cousin Leduc 1961. Les convives se laisseront guider par les suggestions du Chef Sébastien Crison garantissant les meilleurs accords. Parmi les évènements récurrents du restaurant, on pourra noter les Sofitel Wine Days, qui ont lieu de fin septembre à fin octobre, et qui célèbrent le vin et l’art de vivre à la française… Des occasions de découvertes et d’échanges enrichissants autour des vins de nos régions. ...
Situé aux portes du Verdon à seulement trente minutes des côtes varoises, le Restaurant Le Nid a ouvert ses portes au public en 2015, à l’initiative du couple Émilie et Davy Jobard. Postée sur la route de grands domaines de vins dans le charmant village provençal de Flayosc, on peut dire que cette ancienne pizzeria a plutôt réussi son incroyable reconversion. Un établissement au nom évocateur Sous des dehors de pépinière gourmande, à la table un chouïa bourgeoise, cet établissement au nom évocateur baigne dans une ambiance intimiste, à l’image d’un parfait nid douillet, où le jeune couple de cuisiniers a bien pris ses marques. Dans un cadre cosy où émane une belle convivialité, ce restaurant au service agréable séduit par son ambiance feutrée dans laquelle on aime se retrouver en famille ou en amoureux, à la recherche de détente et de bien-être. Oui, il faut dire que la cuisine faite minute et bien tournée du chef, combinée avec l’accueil personnalisé de la maîtresse des lieux, y sont pour beaucoup. Une cuisine de marché au fil des saisons Très belle enseigne pour amoureux, le Restaurant Le Nid est un haut lieu de restauration où les compétences et l’expérience de deux talents se valent et se complètent en parfaite osmose. À travers une cuisine de marché au fil des saisons, concoctée à base de produits qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs locaux, le lieu nous embarque dans une farandole d’authentiques saveurs provençales comme on les aime. ...
Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran Embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire. Les nations sans État comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans, les Kurdes... En fait, tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. » Éditions Yoran Embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran Embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français/roumain, français/lituanien, français/basque, français/gaëlique écossais, français/corse, français/kurde : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 22 nouveaux livres. » L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...
Les origines du château remontent au XVe siècle, plus précisément en 1419. En ce temps-là, le baron de Trubessé, Arnauton Guilhem du Vignau, découvre pour la première fois Cabidos et tombe sous le charme de ce lieu féérique. Il décide de s’établir sur ces terres et transforme une demeure modeste en château digne de son rang. Très vite, les premières vignes sont plantées et vont donner naissance à un vin blanc de qualité. Au cours de nombreux siècles, les générations qui se sont succédé tenteront de préserver cette tradition viticole. Aujourd’hui, le château et ses vignes font le bonheur de la famille Alday, qui s’est rendue propriétaire des lieux en 2015. Sous l’impulsion de Robert Alday, le domaine Château de Cabidos a acquis assez rapidement une belle réputation, grâce à la qualité et à la finesse de ses vins. Il est vrai que, pour magnifier ses nectars, le maitre des lieux a su s’entourer de spécialistes reconnus dans l’univers du vin comme Jean-Claude Berrouet (éminent œnologue) et Jean Brana (un pilier fort de l’AOC Irouléguy). Un terroir propice au petit manseng Le domaine travaille actuellement sur un vignoble de 9 ha, situé entre le vignoble de Jurançon et le vignoble de Madiran. Là, les vignes sont plantées sur des coteaux bénéficiant d’une exposition sud-est. Elles s’épanouissent sur un terroir argilo-calcaire caillouteux et profitent à cet effet d’un excellent drainage naturel. « Cela permet d’avoir une densité de plantation élevée qui dépasse 5 000 pieds de vigne à l’hectare », souligne Pilla Laborde, directeur administratif et financier du Groupe Alday, détaché au suivi de l’exploitation du Domaine de Cabidos. L’encépagement du domaine Château de Cabidos est composé à 77 % de petit manseng. Il s’agit d’un cépage autochtone des Pyrénées qui se distingue par une forte concentration en sucre ainsi que par une capacité à développer des arômes subtils de fruits confits. « C’est le cépage emblématique de notre vignoble. S’il est généralement utilisé en assemblage et pour faire des vins blancs doux, nous l’utilisons pour élaborer des vins blancs monocépages, y compris des blancs secs 100% petit manseng qui sont très appréciés», nous indique-t-on. Le reste de l’encépagement est complété par du chardonnay, du sauvignon et de la syrah. Cette dernière a été récemment introduite dans le vignoble afin de permettre l’élaboration de vin rouge. En route vers le bio La maison opte pour une culture raisonnée et rejette tout apport d’engrais. En outre, l’utilisation de produits chimiques reste limitée. Mais le domaine souhaite aller encore plus loin et a décidé d’entamer sa reconversion vers la viticulture biologique dès 2019. « Une phase de conversion d’un vignoble dure au minimum 3 ans, ce qui veut dire que nos cuvées 2022 seront entièrement biologiques », précise notre interlocuteur. Il est clair que cette reconversion sonne comme une évidence au vu des techniques culturales qui se pratiquent ici de génération en génération. En effet, dans ce vignoble, le gros du travail se fait encore manuellement. À commencer par l’effeuillage ! Une étape cruciale qui vise deux objectifs : diminuer la possibilité de pourriture et permettre aux grappes de bénéficier d’un maximum d’ensoleillement, essentiel pour assurer une bonne maturation. Ensuite, au domaine Château de Cabidos, on continue fièrement de pratiquer les vendanges à l’ancienne. Celles-ci se font en plusieurs étapes. La première vendange, qui a lieu la dernière semaine de septembre, porte sur le chardonnay, le sauvignon et la syrah. La deuxième étape concerne les vendanges tardives du petit manseng, qui se déroulent vers fin octobre-début novembre. S’enchainent ensuite une succession de vendanges tardives portant sur les jeunes et les vieilles vignes. Bref, toutes les opérations ne prennent fin que début décembre. Côté vinification, le domaine s’est doté d’un chai climatisé ainsi que des ...
Agence de voyages située à Lyon et créée sous l’impulsion de Michel Rigaud lui-même ayant vingt-cinq ans d’expérience dans le milieu, Voyage & Tradition possède un savoir-faire unique dans l’organisation de voyages en Asie, notamment au Japon. Une équipe franco-japonaise, avantagée par sa connaissance accrue des destinations locales, établit des circuits de voyage inédits au sein de l’agence. Offrir à ses clients la possibilité de découvrir librement des lieux différents des parcours habituels constitue l’une de ses spécialités. Un accompagnement de qualité Voyage & Tradition, avec l’aide de son équipe, accompagne pas à pas un projet de voyage. « Cette équipe composée de professionnels d’origine japonaise et française constitue notre valeur ajoutée. Notre force est que nous pouvons faire dans le détail, ce qui est rare dans le secteur », fait savoir Michel Rigaud, gérant de l’agence. Séjours en famille, en couple ou entre amis, voyages linguistiques, lunes de miel ou voyages d’entreprise sont cadrés dans des carnets de route très détaillés. Les roadbooks comprenant des traductions en japonais contiennent ainsi un panel d’informations : l’accès à l’hôtel par l’intermédiaire d’un plan de situation, les adresses utiles en japonais et un maximum d’indications pour voyager de façon autonome. Pour voyager également tranquille, Voyage & Tradition affecte dès l’arrivée à l’aéroport, une personne francophone jouant le rôle d’accompagnateur. Il se charge de l’accueil et explique comment utiliser de manière efficiente le carnet de voyage. Comment se repérer dans Tokyo depuis l’hôtel ? Comment se déplacer, prendre le métro ? Etc. Une seule journée passée ensemble avec ce guide suffit pour prendre ses marques et circuler librement. D’ailleurs, notre interlocuteur s’en félicite : « Avec nous, les gens passent leur séjour en toute sérénité, car tout a été pensé pour atteindre cet objectif-là ». Japon : quand tradition rime avec modernité Véritable terre de contraste, le Japon offre un panorama hors du commun qui émerveille par le paradoxe de ses paysages si l’on ne parle que de Tokyo et Kyoto. « D’un côté, Tokyo, une ville à la pointe de la modernité qui a été totalement construite après la Seconde Guerre mondiale, de l’autre, Kyoto, une ville qui a la plus grande richesse culturelle du pays et qui a été justement préservée de la Seconde Guerre mondiale », explique le propriétaire. La tradition s’allie à la modernité où l’une puise sa force chez l’autre et vice versa. Cela fait la particularité du Japon et intrigue ses visiteurs. Ces derniers auront ainsi la chance de parcourir le pays librement « car le voyage en toute liberté est la base même de notre concept »; tient à préciser notre interlocuteur. Tokyo, Kyoto, Hiroshima… telles sont les destinations phares qui attendent d’être découvertes sans contrainte, en train notamment, car c’est le mode de transport le plus utilisé offrant un confort inégalé. Activités insolites et adaptées à tout âge Outre la richesse de son patrimoine et la beauté de ses paysages, le Japon est aussi réputé pour sa culture plutôt insolite, et il est peu de le dire. Afin de s’imprégner de la richesse culturelle du pays, des activités adaptées à tous les âges peuvent être organisées. Pour les jeunes filles, s’habiller en lolita est l’un de leurs loisirs favoris. Elles arpentent les boutiques spécialisées à Tokyo à la recherche du costume approprié. Ensuite, place à l’itanail pour rester japonaise jusqu’au bout des ongles. En effet, le rituel de la manucure est typiquement nippon : une manucure 100 % manga, ou simplement un dégradé de couleurs. Elles peuvent aussi s’habiller en geisha et se promener en pousse-pousse dans les vieilles ruelles de la ville de Kyoto. Les plus âgés choisissent, quant à eux, des activités pl...
Le mercato des grands chefs de la Gironde a accueilli il n’y a pas si longtemps une étoile de la gastronomie française. Vivien Durand, un chef dynamique et passionné se lie d’amour pour ce somptueux domaine, où il décide de s’installer. Au Prince Noir, les nombreux défis qui s’esquissent devant lui ne le font pas trembler. Parmi eux : proposer une cuisine qui fasse honneur à ce lieu chargé d’histoire, classé monument historique depuis 1991. Un château, un homme… L’histoire du Château du Prince Noir est liée à celle d’un homme : Edouard de Woodstock dit « Le Prince Noir », personnage mythique lors de la Guerre de Cent Ans, régnant à la principauté d’Aquitaine. On dit même que les négociations signant la fin de ce conflit opposant la dynastie des Plantagenêts à celle des Valois ce seraient déroulées dans le prestigieux château. Détruit puis reconstruit, celui-ci ne connaîtra décidément pas un destin ordinaire. Depuis, une accalmie s’y est installée, sauf peut-être en cuisine où l’on entend Vivien Durand motivé sa brigade. Ce personnage pyrénéen d’origine a eu la chance d’évoluer au sein de l’écurie Ducasse à Monaco. Après avoir forgé ses armes auprès du chef Nicolas Masse au Grand Hôtel de Saint-Jean de Luz, il travaille sur un grand projet : l’ouverture de ses restaurants La Taverne Basque et Chez Claire et Vivien à Saint-Jean de Luz. En 2013, sa passion, son expérience et ses sacrifices seront récompensées par la distinction suprême décernée par le Guide Michelin. Son étoile en poche, il veut voguer vers de nouveaux cieux. La quête d’une nouvelle expérience le conduira en Aquitaine, au Château du Prince Noir dont il tiendra les rênes à partir de mars 2014. Une déco alliant tradition et modernité Bruno Grangé-Cossou s’est occupé de la décoration, de l’agencement et de l’identité visuelle du restaurant. On y découvre une belle dualité entre l’ancien et le moderne qui correspond tout à la fait à la personnalité du chef. Lui qui aime proposer une cuisine inventive basée sur du traditionnel. Le détail le plus frappant : cette véranda vitrée qui vous donne l’impression d’être à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. Entièrement métallisée, elle révèle une ambiance contemporaine aux couleurs sobres qui tranche avec le style d’époque de l’aile du château qui lui est attenante. La décoration sort des sentiers battus et dévoile une belle authenticité. Chaque meuble ou objet ornant les lieux est chargé d’histoire, à l’image de ces tasses à thé dépareillées, chinées probablement. Au Prince Noir, on cultive aussi un état d’esprit basé sur la convivialité. L’équipe chaleureuse et accueillante s’occupera de vous, non comme un client mais plutôt comme un convive. ...
Pourquoi cette banque est d’utilité publique ? Le faible nombre de malades, la faible couverture en termes de population et les biais des autres outils de mesure nationaux à disposition ne permettent pas d’assurer des études populationnelles de qualité dans le cadre des maladies rares. Le ministère de la santé a donc souhaité promouvoir la mise en œuvre d’un recueil de données spécifique aux maladies rares : la BNDMR. Cette base de données nationale vise à doter la France d’une collection homogène de données sur la base d’un set de données minimum (SDM) pour documenter la prise en charge et l’état de santé des patients atteints de maladies rares dans les centres experts français, et de mieux évaluer l’effet des plans nationaux. Que permettra cette banque ? Ce sera un outil essentiel pour le pilotage et la conduite des politiques publiques de santé. Notamment, ce recueil permettra de connaître le nombre global de patients atteints de maladies rares, ce qui devrait alors permettre d’adapter le réseau de soin pour la prise en charge des malades. C’est à dire : permettre l’adéquation de l’offre de soin avec les besoins de terrain pour assurer une couverture nationale équitable au niveau de la prise en charge ; permettre l’analyse des parcours de soins et de l’organisation des services ; mesurer l’impact d’un nouveau traitement ou d’une nouvelle politique de santé; mesurer l’efficience du système de soins maladies rares mis en place ( ex : mesurer l’errance diagnostique, estimer le nombre de patients qui ne sont pas passés par le réseau, ...) à destination des ministères, ARS etc. Qu’est-ce qu’on y met ? Les données contenues aujourd’hui dans les dossiers des patients atteints de maladies rares ne sont pas toujours adaptées à un recueil épidémiologique ou à la mise en place de cohortes ou d’essais thérapeutiques ad hoc. Il est cependant primordial d’avoir accès à la totalité des informations disponibles afin de pouvoir les colliger dans cette future BNDMR. Dans cette logique, un « set minimal de données maladies rares national » a été défini par l’équipe projet de la BNDMR à la suite d’un long processus qui s’est appuyé sur l’expertise des professionnels de santé des 131 centres de référence maladies rares et d’un groupe de travail ministériel (en 2013). Ce « set de données minimal national maladies rares » a pour vocation d’être recueilli auprès de chaque patient atteint d’une maladie rare reçu dans un centre de référence ou de compétences maladies rares labellisé. Il vise à minimiser le nombre de données collectées par centre afin de garantir la qualité de l’information recueillie et son exploitation. Il favorise la communication avec les systèmes informatiques de soins hospitaliers. Il constitue ainsi le socle d’information commun à toutes les maladies rares et à tous les acteurs de la prise en charge du soin. Le set de données minimal national maladies rares se décompose par chapitre de la manière suivante : • Consentement (réglementaire) • Identification patient • Informations administratives • Informations familiales (le cas échéant) • Statut vital • Parcours de soins • Activité de soins • Histoire de la maladie • Diagnostic • Confirmation du diagnostic • Traitement • Anté et néonatal (le cas échant) • Recherche (le cas échant) Il est constitué d’une soixantaine d’items. La limitation du nombre d’items nous permet de minimiser la double-saisie des données par les professionnels. Qui ? Comment ? Tous les centres spécialisés maladies rares ont obligation d’entrer leurs patients dans cette base de données. Elle ne sera donc pas exhaustive car certains patients ne se rendent jamais en consultation dans un centre de référence maladies rares. Mais elle constituera un recueil unique au monde (aucun pays n’a fait ça avant la France) et unique en son genre (un seul recueil centralisé national pour tout le monde). A l’heure actuelle il y a 2 manière...
Où en est la recherche sur le cancer aujourd’hui ? Thierry Philip : Nous avons fait beaucoup de progrès dans la compréhension du cancer, que ce soit du point de vue des mécanismes, de la génétique ou de l’immunologie. C’est-à-dire que nous savons désormais comment fonctionne une cellule malade du cancer. Pour résumer, quand une cellule devient malade, le fonctionnement normal voudrait qu’elle s’autodétruise. Or, avec le cancer, cette cellule oublie en quelque sorte de mourir. Nous comprenons mieux aujourd’hui ces mécanismes, ce qui nous permet de mieux combattre le cancer. Nous restons conscients que la maladie est horriblement complexe : à la manière d’un fleuve qu’on souhaiterait dominer, nous avons réussi à construire un énorme barrage mais nous ne savons pas encore comment éviter la formation de petites rivières de part et d’autre… D’où la nécessité de continuer à faire avancer la recherche sur le sujet ! Quelles sont les grandes avancées en matière de recherche ? Les progrès récents concernent tout d’abord la chirurgie. D’une part, lors de l’intervention : nous pouvons désormais pratiquer des interventions sous anesthésie de 12 à 13 heures sans problème, y compris chez les personnes âgées. D’autre part, après l’intervention : si la chirurgie détruit, nous pouvons reconstruire désormais un sein, une paroi abdominale, une bouche, etc. Le traitement par rayons a également énormément progressé : nous avons réussi à augmenter son efficacité tout en limitant sa toxicité. Nous travaillons actuellement pour aboutir à des traitements très efficaces sur des durées plus courtes. Quant à la chimiothérapie, la véritable révolution consiste à pouvoir faire le portrait des anomalies pour proposer un traitement personnalisé. Et encore mieux, nous espérons que, d’ici à cinq ans, nous saurons comment modifier les défenses de l’organisme pour rejeter la tumeur : c’est l’immunothérapie. Qu’en est-il des traitements ? Nous sommes désormais capables de guérir 80 % des enfants, 60 % des femmes et 50 % des hommes. Quant aux personnes que l’on n’arrive pas encore à guérir, nous leur permettons de vivre plus longtemps avec la maladie. Comme la moitié des cancers se déclare à plus de 65 ans, un allongement de dix ans de l’espérance de vie est une avancée importante. Quels sont les grands espoirs que porte l’Institut Curie aujourd’hui ? Nous nous réjouissons d’abord d’avoir enfin dans ce pays une vraie politique de prévention. Si, par exemple, tous les jeunes de moins de 20 ans décidaient aujourd’hui de ne jamais fumer, la mortalité due au cancer diminuerait de 50 % au cours des 50 prochaines années ! Ensuite, nous avons découvert que le sport est un vrai médicament de prévention du cancer, avec une activité physique, à allure modérée, de seulement 30 minutes à raison de trois fois par semaine. Enfin, les techniques de dépistage connaissent d’énormes progrès. Or, plus le cancer est détecté rapidement, meilleures sont les chances de guérison. À l’Institut Curie, nous développons des techniques permettant de détecter des cellules anormales présentes dans le sang. Ces techniques devraient permettre d’orienter les dépistages et donc de les rendre beaucoup plus ciblés et donc plus efficaces. Quels sont aujourd’hui la place de l’Institut Curie, son rôle, ses grands projets ? L’Institut Curie est l’ancêtre des centres anticancéreux, créés par le général de Gaulle en 1945. Dès 1909, nous permettions déjà des synergies entre la recherche, les soins et l’enseignement. Notre enjeu aujourd’hui, c’est de préfigurer le centre de cancérologie moderne, celui du XXI e siècle. Un endroit où la recherche fondamentale, celle qui cherche à comprendre, est présente : nous comptons 1 200 chercheurs de 77 nationalités différent...
Avec des caractéristiques de bière très spécifiques, la Brasserie artisanale du Sud a forgé sa réputation sur un mode de brassage très particulier qui la distingue des autres brasseries. « Nous faisons partie des rares brasseries artisanales à produire des bières de garde en France », affirme Fabienne Delorme, responsable commerciale. Ces bières de garde se distinguent surtout par leur finesse et leur fluidité, avec un processus de fermentation secondaire qui affine les arômes à froid (0 °C) durant 3 ou 4 semaines. Elles sont 100 % naturelles, sans aucun adjuvant, et sont principalement composées des matières premières fondamentales de la bière qui sont l’eau, les céréales, le houblon et les levures. Des bières aux noms évocateurs « C’est à partir des points caractéristiques qui lui sont propres que notre brasseries a développé une gamme de bières classées selon leurs moments de consommation et non selon leurs couleurs comme c’est souvent le cas dans le domaine de la bière », précise Fabienne Delorme. C’est ainsi que sont nées plusieurs familles de boissons aux noms évocateurs. Pour apaiser une grande soif, les bières de désaltération appelées aussi les Mange-Soif, déclinées en blonde et blanche, sont à l’honneur. En soirée ou lors d’un apéritif, les bières de convivialité appelées les Songe-Fête, avec des notes aromatiques marquées, sont idéales. Les bières de dégustation nommées Chante-Saveurs, des brunes, légères, sans sucre ajoutée, aux notes aromatiques de café et de caramel, font le bonheur des épicuriens. L’enseigne brasse également une deuxième bière de dégustation de 7° lancée à l’occasion de son 7e anniversaire, qui est d’inspiration abbaye. ...
En proposant des formations de courtes durées, CNRS Formation Entreprises cherche à s’adapter au maximum aux rythmes et aux besoins des entreprises, de plus en plus pointus. « Nous savons que les ingénieurs et techniciens supérieurs ont peu de temps pour se former et qu’ils veulent être opérationnels très rapidement : c’est pour cela que nous proposons exclusivement des stages courts sur des sujets précis, avec les meilleurs experts du domaine », explique Edith Wilmart. L’offre de stages, en renouvellement constant, permet aux entreprises de bénéficier de l’apport de technologies de pointe utilisées en laboratoires. Le CNRS propose par exemple depuis deux ans une formation sur le traitement d’images utilisant un logiciel libre de droit (IMAGEJ), devenu une référence internationale dans le domaine. « Nous avons formé des professionnels venant de l’industrie pharmaceutique, automobile, du CEA, de l’INRA », explique Cédric Matthews ingénieur de recherche à l’Institut de biologie du développement de Marseille-Luminy et Christian Rouvière, ingénieur de recherche à l’Observatoire de Villefranche-sur-Mer. Méthodologie éprouvée En mettant à profit l’expérience de formations dispensées auprès de plus de 600 entreprises, dont la moitié de PME, PMI voire ETI, le CNRS dispose désormais d’une méthodologie éprouvée. « Personne n’est à la traîne grâce au travail en binôme, qui permet un suivi individualisé des stagiaires, renforcé par les travaux réalisés», poursuit Cédric Matthews. Le cours est dynamique. Les changements de rythmes permettent à chaque stagiaire de trouver sa place et de participer. Selon une étude récente, 85% des stagiaires du CNRS trouvent qu’il y a un bon équilibre entre la théorie et la pratique. Pour chaque formation, une large part est laissée à l’expérimentation, afin de résoudre les problèmes technologiques rencontrés par chercheurs, ingénieurs et techniciens supérieurs qui suivent les stages.« Ce sont souvent des difficultés que les experts du CNRS ont déjà rencontrées et résolues pour leurs besoins de recherche. L’objectif est que les stagiaires repartent en sachant faire ou du moins, en ayant de bonnes pistes pour trouver une solution », détaille Edith Wilmart. Nouveautés appréciées Dans leurs évaluations, les stagiaires disent apprécier les nouveautés apportées par les programmes de formation et la qualité des supports pédagogiques. Avec souvent la conviction que leurs stages leur sera utile voire très utile. Résultat : 90% des stagiaires recommanderaient le stage à leurs collègues. Mais une formation au sein du CNRS, c’est aussi et peut-être le début de nouveaux partenariats, toujours au service des clients. « Certains de nos stagiaires reviennent d’ailleurs vers les laboratoires où ils sont venus se former pour demander des conseils, des prestations de service ou monter des collaborations de recherche », constate la directrice. Le CNRS compte aujourd’hui un total de 220 offres de formation en lien avec les attentes du marché. La répartition géographique des laboratoires, présents sur l’ensemble du territoire permet une vraie proximité avec les entreprises. En 2015, plus de mille stagiaires ont été formés dont 40% d’industriels, 40% d’académiques, 20% de salariés d’EPIC, de services de l’état, de collectivités territoriales. Afin de proposer des formations qui « collent » au plus près du terrain, l’offre du CNRS évolue en permanence : rien que pour l’année 2017, ce sont près de 60 nouvelles formations qui seront proposées, sur de nouvelles thématiques comme le NoSQL (big data), CRISPR-Cas9, les LED et OLED, les batteries Li-ion, le SEC-MALS appliqué aux protéines, le criblage cellulaire et moléculaire, l’intelligence économique ou encore la synthèse de molécules chirales. Et CNRS Formation Entreprises prépare d’autres nouveautés pour son catalogue 2017. ...
Situé en Normandie sur la route du cidre, au cœur du pays d’Auge, le domaine familial Pierre Huet se compose de 30 hectares de vergers hautes et basses tiges, sur lesquels on compte plus de 25 variétés de pommes à cidre. Grâce à un terroir naturellement propice à la production de pommes, le domaine Pierre Huet produit et commercialise dans le monde, selon des critères très stricts, quatre des six Appellations d’origine contrôlée (AOC) cidricoles normandes : - Calvados pays d’Auge - Calvados - Pommeau de Normandie - Cidre pays d’Auge Des cidres et des calvados authentiques… Au sein de cette production, la fabrication des cidres et des calvados constitue un savoir-faire inestimable, transmis de génération en génération depuis plus d’un siècle. En conjuguant tradition et innovation, la famille Huet a ainsi pu acquérir une grande notoriété par la commercialisation de son précieux breuvage : le calvados. Elle est passée maître dans l’art des assemblages subtils et délicats. Cette pratique, fruit d’une longue expérience, consiste à assembler des eaux-de-vie de maturité et d’âges différents pour obtenir une qualité constante. …et d’autres produits issus de pommes ou de poires Vous pouvez choisir un poiré demi-sec, un cidre de poires, qui se marie à merveille avec les desserts aux fruits. Pour l’apéritif ou pour accompagner un foie gras, optez pour le pommeau vieilli en fûts de chêne. Le Domaine Pierre Huet propose également de la crème de calvados, de la crème de pomme verte, de la liqueur de poires au calvados, du jus de pommes, ou encore du vinaigre de cidre ou de poiré. Visite du domaine Le domaine Pierre Huet ouvre ses caves à la visite tout au long de l’année. Grâce à votre guide, vous découvrirez l’élaboration du calvados depuis la pomme jusqu’au produit fini. En 2010, un nouvel espace d’accueil comprenant boutique et distillerie a été construit sur le Domaine. Les alambics chauffés aux copeaux de bois y ont une place primordiale, dans une optique de développement durable et d’économie d’énergie. Cet espace a été totalement pensé pour une production plus raisonnée. Une distillerie innovante et unique en Normandie ! Le Domaine vend environ 60 % de sa production en direct à la propriété, 25 % à l’export dans de nombreux pays comme la Belgique, l’Allemagne ou l’Autriche ou encore les États-Unis et le Japon. ...
L’OVAP se trouve dans le bâtiment de la mairie de Saint-Claude en Île Basse-Terre, lui-même une propriété coloniale historique auparavant gérée par le camp Jacob qui est aujourd’hui remplacé par l’université des Antilles-Guyane. L’OVAP se veut être un espace d’échange et de rencontre dont l’objectif est de promouvoir les patrimoines matériels et immatériels de Guadeloupe en tant que potentiel pour le développement d’un tourisme durable. Dynamiser les patrimoines historiques et culturels locaux Accueillir, informer, animer, soutenir, promouvoir sont autant de missions que s’est imposées l’OVAP, créée sous l’impulsion de Jean-Claude Dermonsir, l’actuel président. Toutes les activités culturelles et tous les programmes touristiques présentés au cours de l’année s’adressent aussi bien aux locaux, pour leur « permettre de s’approprier leur patrimoine et de mieux comprendre leur identité », qu'aux visiteurs et touristes de passage sur le territoire. « Nous voulons populariser cet espace afin que chacun puisse trouver toutes les informations qui les intéressent : randonnées, concerts, théâtres, expositions, plages, sources thermales, parc national, musées et bien d’autres encore », explique Arnaud Boa, qui fait partie de l’équipe. Par ailleurs, l’OVAP se dote de deux salles d’exposition destinées à faire connaître les jeunes artistes et futurs talents de la scène artistique de Guadeloupe. Vernissage de peinture-sculpture, expositions de photos, collections d’objets d’art et objets anciens, expositions de vêtements traditionnels indiens et bien d’autres événements y sont organisés régulièrement. Depuis quelque temps, ce lieu invite également à vivre des expériences gourmandes en mettant à l’honneur les spécialités culinaires typiques de la Guadeloupe, notamment à travers la journée du colombo et la foire aux marinades. Sans oublier l’organisation d’excursion à la découverte des attraits touristiques majeurs de la ville, à commencer par une promenade au parc paysager de l’OVAP, particulièrement riche de centaines de plantes médicinales, jusqu’à une randonnée pédestre vers le volcan La Soufrière. Tourisme en Guadeloupe Le contraste frappant entre ses deux terres (Basse-Terre et Grande-Terre) illustré par son histoire coloniale fait de la Guadeloupe une destination unique en son genre. La découverte de l’archipel peut être fractionnée sous plusieurs angles pour ainsi souligner sa richesse patrimoniale et culturelle ainsi que le lien qui existe entre les deux. Du côté des musées et sites historiques, Le Mémorial ACTe ou le premier mémorial de la traite et de l’esclavage, situé à Pointe-à-Pitre est un incontournable. « Il s’agit d’un lieu symbolique fort, qui retrace l’histoire de l’humanité, un témoignage vivant de notre passé commun », renchérit fièrement Arnaud Boa. Terre de nature, la Guadeloupe est bordée par des magnifiques plages immaculées et des eaux turquoise sur la Grande-Terre, qui conserve jalousement la troisième plus belle baie du monde, la baie des Saintes. Ce décor paradisiaque est surplombé par des montagnes volcaniques offrant une source thermale au pouvoir guérissant, de belles cascades et chutes naturelles à l’abri des forêts verdoyantes de la Basse-Terre. Une visite du parc national de la Guadeloupe s’impose également pour découvrir les faunes et flores endémiques à l’archipel. Le séjour ne serait pas complet sans avoir goûté à l’effervescence d’une soirée à l’ambiance locale, pour siroter le fameux rhum vieux si typique au terroir, et bouger au rythme du gweko, la musique traditionnelle guadeloupéenne. ...
Idéalement située au bord de la Méditerranée, sur le littoral languedocien, Agde est à la fois le berceau d’une belle station balnéaire et un haut lieu du tourisme historique. En effet, outre ses plages et ses richesses naturelles, la ville est aussi connue pour ses vestiges du passé, héritage de 26 siècles d’histoire. Etant l’une des plus vieilles villes de France, Agde est une destination de premier choix pour les passionnés d’histoire et de culture. Elle est passée par toutes les époques marquantes de l’histoire française et en porte les marques. Une ville empreinte de plusieurs civilisations L’histoire de la ville d’Agde remonte à l’époque grecque, au VIè siècle avant Jésus Christ. Elle était alors un comptoir du commerce avec Marseille et la ville espagnole d’Ampurias. A la fin du IVè siècle, la ville est envahie par les barbares et vit sous l’influence des Wisigoths jusqu’à leur conversion au christianisme environ deux siècles après. Elle devient un territoire du royaume franc au VIIIè siècle. Le siècle suivant, le christianisme reprend des territoires et marque sa présence par la construction de cathédrales, de remparts et de forts. Jusqu’au XXè siècle, Agde connaît également de nombreux conflits politiques et religieux dont la guerre entre la France et l’Aragon, la Guerre de Cent Ans, la Guerre de Religions et la deuxième Guerre Mondiale. Entre occupations, destructions et reconstructions, la ville d’Agde est devenue un monument vivant où les visiteurs découvrent une histoire de plusieurs siècles, des traces d’anciennes civilisations dont témoignent aujourd’hui l’architecture de la ville et ses nombreux sites historiques. Les activités économiques qui ont marqué ces époques restent également gravées à différents endroits de la ville. Après le commerce, les activités maritimes, la construction navale et la viticulture, Agde est désormais devenue une prospère destination touristique. Elle est même la première station touristique d’Europe en termes de nuitées en haute saison. Une histoire à découvrir à travers l’architecture et les monuments Fruit de diverses occupations et d’un mélange de plusieurs cultures, l’architecture de la ville d’Agde raconte à elle seule son histoire tumultueuse. Elle se démarque d’abord par l’aspect de ses monuments et habitations construits avec du basalte, une roche volcanique qui confère à la ville l’appellation La Perle Noire ou la ville aux pierres noires. Agde se trouve en effet au pied du volcan du Mont Saint-Loup. La commune d’Agde accueille aussi de nombreux musées qui racontent les modes de vie d’antan et renferment des vestiges du passé artistique et historique de la région. La forte présence du christianisme est quant à elle marquée par l’existence de nombreux édifices religieux tels que la cathédrale Saint-Etienne, un édifice roman fortifié qui date du XIIè siècle. Les visiteurs peuvent également découvrir l’histoire de la ville d’Agde au fil de ses ruelles bordées par d’anciennes maisons datant du 15è jusqu’au 18è siècle. Quant à ses activités économiques, la création du Canal du Midi au XVIIe siècle et l’existence de ses nombreux ports peuvent témoigner du développement de ses activités commerciales et maritimes. Parmi les nombreuses attractions historiques de la ville, nous avons sélectionné pour vous quelques sites d’exception à ne pas manquer lors de votre visite dans l’Hérault. Quelques sites historiques de la ville d’Agde Si vous êtes un passionné d’architecture, vous serez enchanté de visiter le Château Laurens dans le parc de Belle Isle. Construit entre 1898 et 1901, il se distingue par son style architectural néo-classique mélangé à de l’art oriental qui le rend unique en son genre. Pour ceux qui s’intéressent davantage à l’histoire, Agde accueille aussi des remparts dont la plupart datent de l’occupation grecque, du Moyen-Âge et du 16è siècle. Pendant votre séjour à Agde, ne manquez pas de visiter la glacière ...
Au Château la Pierrière, le temps semble s’être figé. La propriété qui date du XIIIème révèle encore quelques vestiges qui témoignent de son riche passé notamment sa cour intérieure, ses tours pentagonales du XVème siècle et ses douves creusées. Située à 45 minutes de Bordeaux et 7 minutes de Saint-Émilion, elle est considérée comme l’une des plus anciennes exploitations du Castillonnais. Un patrimoine reçu en dot par François de Lageard en 1607 lors de ses épousailles avec Marguerite de Puyperron. Depuis, ses descendants ont tour à tour apporté des améliorations sur le domaine afin qu’il marque son empreinte dans le paysage viticole bordelais. Une maison viticole engagée Le Château la Pierrière a la chance d’être installé sur un terroir de grande qualité. Le vignoble constitué de 30 hectares de plateaux calcaires et de 10 hectares de coteaux argilo-calcaires revêt une personnalité sensiblement similaire à celle de Saint-Émilion. Il est principalement encépagé de merlot, de cabernet franc, de malbec ainsi que de sauvignon blanc. Le domaine signe sa différence par la richesse et la beauté de son environnement. « Nous essayons de maintenir de la végétation naturelle et nous avons même un projet de plantation de haies pour renforcer la biodiversité au niveau des parcelles », fait savoir Olivier de Marcillac. Le vigneron est soucieux de l’héritage à laisser aux futures générations c’est pourquoi il a décidé de conduire son vignoble selon des pratiques agro-environnementales ayant abouti à l’obtention du label HVE. « Nous privilégions aussi la taille douce physiologique de la vigne pour garantir de meilleurs raisins et réduire les maladies », déclare-t-il. Des vins sur le fruit et la souplesse Le Château la Pierrière propose six cuvées, dont deux nouveautés à savoir « La Rencontre » sans sulfites ajoutés et « Fidélis ». Parmi les vins qui constituent son catalogue, la cuvée « Fondateur 1607 » retient toute l’attention. Conçue en hommage à François de Lageard, elle est issue d’une sélection parcellaire et se compose de 80 % de merlot et de 20 % de cabernet franc. Ce vin aux arômes fins et intenses avec des saveurs vanillées, réglissées et toastées peut patienter en cave entre 5 à 10 ans. ...
Cet établissement du centre parisien accueille les noctambules du mercredi au samedi avec une programmation atypique du mercredi au jeudi, le juste milieu entre éclectique et décalée, et une programmation Aux platines, des DJ branchés électro-pop, deep house, et année 80. La passion du métier Notre chef cuisinier a passé quelques années dans les cuisines de la 5ème avenue et du Mini Palais. A tout juste trente ans, notre chef cuisinier est déjà considéré comme un des chefs les plus talentueux de sa génération. Cette reconnaissance trouve sa source dans un parcours alliant une parfaite maîtrise des techniques culinaires les plus pointues et une véritable passion. Exigeant sur le produit, minutieux sur les cuissons, il défend la saveur authentique avant tout. Carte sophistiquée dans un décor très particulier Le restaurant du Chacha mise sur une décoration atypique très favorable à l’appétit et au plaisir de la table. Miroirs dorés et lumières tamisées sont autant d'éléments qui plongent les fins gourmets au beau milieu des années 30, sans oublier le magnifique piano à queue, où pianistes et chanteuses soul/jazz vous accompagneront lors de vos dîners. A la fois sophistiquée et gastronomique, la carte met en avant la cuisine française contemporaine. Durant les beaux jours, le restaurant propose aussi sa terrasse extérieure donnant sur la chambre du commerce et ses jardins. Un lieu de spectacle par excellence Son côté intimiste forme le principal atout du Chacha. Pas d’open space spectaculaire mais plutôt un bel espace avec plein de petits coins et recoins, un critère favorable à de petites envies d’évasion le temps d’une soirée ou toute la nuit. Une décoration au style rétro, de belles pièces chinées aux quatre coins de la France, des oeuvres d’artistes contemporains, des curiosités des salons et des alcôves… les ingrédients sont réunis pour faire perdurer la magie. Notre barman Rigueur, créativité sans limite et gestuelle maîtrisée au millimètre sont sa marque de fabrique. Il y ajoute un don certain pour les belles histoires... C'est un érudit des cocktails qui sait les raconter avec humour et brio. Il connait tout aussi bien l'art de l'écoute... Dites-lui simplement ce que vous aimez... et dégustez ! Avec ou sans alcool, moment très fort garanti....
Il crée une agence de voyages réceptive, Mont Saint Michel Voyages dans le but d’offrir un accueil et des prestations d’une qualité, à tous égards, à la hauteur de ce site hors du commun. Ce projet audacieux se justifie par la dégradation galopante de l’aura de ce site à travers le monde suite aux conditions d’accueil contestables dans tous les sens du terme. Disons tout de suite que cette obsession de l’initiateur du projet se révélera prémonitoire lorsque débarqueront sur le Mont les instances chargées de la « requalification de l’accueil » dernière étape du grand projet de rétablissement du caractère maritime. Cette agence a pour but d’organiser accueil, visites, séjours, circuits destinés à découvrir le site et sa région. Très vite, la direction de l’agence comprenant que sa réputation était largement entachée par la qualité contestable de la restauration offerte à ses clients et naturellement sous-traitée, décide de créer son propre restaurant, conforme à ses conceptions : c’est ainsi que nait La Ferme St Michel, aménagée dans une ancienne ferme des polders, implantée à l’arrivée au Mont, dernier vestige d’une ruralité en voie de disparition juste avant le Las Vegas, faubourg du Mont. Afin de mieux décrire cette nouvelle aventure, répondons aux questions du visiteur : Pourquoi cet ensemble sous l’égide du groupe familial Baie Mont et Merveilles ? La création d’une structure touristique offrant des prestations éclectiques, implique la collaboration et la participation de métiers très divers pour obtenir une cohérence et une adhésion aux valeurs de base présidant à l’exercice du métier. Les différents acteurs doivent accepter le principe d’un minimum de fédération. Par ailleurs, s’agissant de petites structures dans ce monde de la concentration autour de grosses structures, leur survie implique un regroupement. On y retrouvera les filiales familiales et des acteurs extérieurs. Quelles activités sont pratiquées et offertes aux clients ? La panoplie est large : tout d’abord des prestations « sèches » : hébergement, restauration, visites, activités religieuses, culturelles, sportives, ludiques. Puis des séjours complets pour des couples ou des groupes, des circuits à thèmes ou de découvertes, des conférences et des visites… Mais où se situe la différence avec l’existant et le banal ? Tel l’a voulu son créateur, quelques mots clés : aller à contre courant, cultiver la différence, à savoir sortir de la banalité, - respecter l’authenticité, les valeurs, l’histoire, le passé, la nature … - adapter les propositions à la sensibilité, au souhait du client : du sur-mesure ! Quelles sont les qualités dominantes de la prestation ? - Le souci de la qualité voire de la perfection, le soin du détail, l’exigence de la rigueur et un professionnalisme sans conteste. Pour quels clients ? - Des couples, retraités, familles, associations, entreprises pour des repas et séminaires, rencontres de promotions de grandes écoles, jumelages de villes. - nombreux autocaristes et agences de voyages. - administrations, écoles militaires, groupement d’officiers de réserve, les telecom, villes, collectivités - groupes industriels : pharmacie, agro alimentaire, bâtiment, travaux publics… ...
Le vignoble du château, qui fait 25 hectares, est installé sur les anciennes terrasses du Tarn et de la Garonne et s’étend sur trois communes et deux départements. Il produit annuellement 120 000 bouteilles principalement en rouge et réparties en deux gammes bien distinctes. Jules, Julie et Juliette Tels sont les noms des cuvées de la nouvelle gamme de vins proposée par le Château. La cuvée « Jules » est un vin rouge masculin, souple et généreux, qui s’adapte à tous les moments conviviaux, quels qu’ils soient, mais surtout en famille ou entre amis. Ce précieux nectar accompagne à merveille les apéritifs ou encore les grillades d’été au milieu du jardin. Avec sa robe rose pâle, la cuvée « Julie » est un rosé fin et délicat, aux notes d’agrumes prononcées. Après avoir été rafraichie, elle se déguste lors des moments festifs avec des plats comme les sushis, poissons grillés et plus particulièrement des beignets de légumes. La cuvée « Juliette » est la dernière née du Château. C’est un vin blanc de cérémonie, sérieux mais qui peut convenir à toute la famille. Sa bouteille, stylée et moderne, est à l’image de cette cuvée : légère et gourmande, avec un goût de fruit maîtrisé. Gourmandise, légèreté et plaisir immédiat sont au cœur de ces « 3 Jus ». La Négrette, à la base de toutes les cuvées De la vigne au verre, le processus de fabrication du vin relève de tout un art qu’il faut maîtriser à la perfection. Chaque vin, chaque millésime se distingue par son terroir, sa vinification et les différentes méthodes employées par les vignerons. Au Château Clamens, la Négrette est au cœur de ce procédé. Il s’agit d’un cépage millénaire endémique de cette région du Sud-Ouest de la France. Fine et délicate, elle confère aux vins des arômes délicats de fruits rouges et de réglisse. Elle est à la base de toutes les cuvées du domaine, en assemblage avec le Cabernet Sauvignon pour sa noblesse, le Malbec pour sa structure, le Cabernet Franc pour sa fraîcheur et la Syrah pour sa chaleur et sa souplesse. Les différentes combinaisons effectuées par le domaine entre ces raisins lui permet d’obtenir des vins de caractère et faciles à boire. Les cuvées AOC Fronton Les cuvées plus traditionnelles, en appellation Fronton, qui ont fait et font toujours la renommée du Château Clamens sont des rouges issus d’une longue tradition. La cuvée « Caractère » se démarque par ses arômes de violettes, poires et pruneaux, « Héritage » par ses arômes de fruits noirs cuits aux notes boisées et « Prestige » offre des arômes de réglisse et fruits rouges. ...
Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel. Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...
Après avoir terminé leurs études secondaires, les élèves sont souvent en quête d'un enseignement supérieur prestigieux. Choisir des universités internationales de prestige leur permet d'accéder à des programmes spécialisés, ainsi qu'à des infrastructures de qualité et à des ressources technologiques de pointe. Cette expérience singulière constitue une opportunité stimulante pour le développement de compétences personnelles telles que la pensée critique, la créativité et la résolution innovante de problèmes. Un CV unique grâce à des études internationales ! Admission Accomplie offre un coaching précieux aux étudiants souhaitant intégrer les meilleures universités internationales. Forte de son expérience dans l'admission d'étudiants en Bachelor ou Master, vers les USA, le UK, le Canada, les Pays-Bas, et certains établissements d’excellence en Europe l'équipe d'Admission Accomplie guide les candidats pour constituer un dossier solide. De toute évidence, un parcours international est un avantage considérable pour les futurs candidats à l’emploi. En plus de l'enrichissement personnel, l'expérience d'études à l'international offre des avantages significatifs pour le CV. Elle démontre une ouverture d'esprit, une capacité d'adaptation et une grande résilience face aux défis culturels et linguistiques. Elle met en évidence la maîtrise de plusieurs langues, une compétence de plus en plus recherchée dans un monde globalisé. De plus, les études à l'international offrent une plus large perspective et une compréhension interculturelle approfondie. Autant d’atouts précieux dans un environnement de travail diversifié et international. Ces éléments renforcent d’ailleurs l'attrait des candidats pour les employeurs à la recherche de profils internationaux et polyvalents. Étudier à l'international permet également de vivre des expériences uniques qui enrichissent le parcours personnel et professionnel. Cela offre une opportunité précieuse de se présenter de manière convaincante aux recruteurs et de démontrer que l'on est la personne idéale pour l'entreprise. Le monde à portée de main ! Actuellement, la maîtrise d’une autre langue hormis la langue maternelle est indispensable pour élargir ses capacités de communication. Et le meilleur moyen d’apprendre une nouvelle langue est de vivre en immersion dans le pays où cette langue est parlée. . Rien de tel pour améliorer sa pratique et passer à un cap significatif Grâce à l'accompagnement d’un coach, les étudiants ont la possibilité d'organiser leurs candidatures universitaires à l'international de manière efficace. A Admission Accomplie, chaque coach prendra tout d’abord en compte les différences entre les systèmes éducatifs propre à chaque pays pour être en bonne adéquation avec la méthode d’apprentissage le plus adapté à l’étudiant. Avec de plus en plus de candidatures multi-destinations, Admission Accomplie offre une expertise précieuse pour choisir les meilleures universités selon le profil du candidat et le cursus choisi, monter un dossier solide et préparer les étapes clés de la candidature. Un parcours universitaire à l’international n’est pas seulement bénéfique pour apprendre des langues, mais permet également de développer des compétences interculturelles, linguistiques et d'adaptabilité. En vivant dans un pays étranger, on acquiert une compréhension plus profonde de sa culture, de sa langue et de ses traditions. On peut également élargir son réseau de contacts internationaux et se familiariser avec des perspectives différentes, ce qui constitue un atout précieux dans un monde de plus en plus globalisé. Mieux se connaître en partant étudier à l’étranger Vivre une expérience d'études à l'étranger est une aventure passionnante qui apporte de nombreux avantages sur le plan personnel aussi. Une facette enrichissante de cette expérience est la possibilité de tisser des liens d'amitié avec des étudiants...
Après une carrière bancaire de plus de 20 ans dans le développement de la relation client auprès des grandes entreprises, Marie-Emmanuelle Thomas-Lepetit intervient dans des secteurs variés, avec une expertise plus particulière auprès des collectivités territoriales. Identité, puissance et développement pérenne sont au cœur de son accompagnement auprès des managers, leurs équipes et les organisations. Préparer un terreau favorable à l’épanouissement du capital humain de l’entreprise Bien qu’il ait longtemps été sous-estimé, le facteur humain doit être au cœur de la stratégie de l’entreprise. « Les résultats financiers d’une entreprise sont directement liés au bien-être de ses salariés » explique Marie-Emmanuelle Thomas-Lepetit, fondatrice de Melt Consultant. « Et dans le même temps, le développement d’une organisation mais aussi les limites auxquelles elle peut se heurter sont en lien avec le comportement de son dirigeant ». Ses nombreux clients ont d’ailleurs bien compris le bénéfice qu’ils pouvaient retirer de son coaching. « C’est un levier essentiel pour la réussite d’une entreprise. J’aide mes clients à développer durablement leur leadership mais ils me sollicitent également pour que je les accompagne dans des passages de caps, des prises de décisions importantes, la conduite du changement. Partagés entre l’opérationnel et le stratégique, beaucoup de managers éprouvent des difficultés à prendre de la hauteur ». En fonction de la demande de son client individuel ou équipe, Marie-Emmanuelle l’accompagne en l’aidant à mobiliser ses ressources càd en lui donnant la canne à pêche, soit en lui proposant des pistes, des solutions càd du poisson. « Mon rôle consiste à préparer un terreau qui soit favorable à l’épanouissement du capital humain au sein de l’entreprise » précise Marie-Emmanuelle. « Je mets en place les conditions pour que la ‘’plante pousse’’. Au final, c’est le dirigeant ou le manager qui décidera mais au préalable. Selon moi, c’est la clé d’un développement qui soit à la fois durable car éthique pour le manger et son équipe ». Aider ses clients à se focaliser davantage sur leurs points forts Parce que ses clients traversent bien souvent des périodes difficiles (contexte de crise, de restructuration, d’incertitude lié au changement au sein de l’organisation), Marie-Emmanuelle axe son approche sur la confiance. « Dans un contexte de transformation, nous avons généralement tendance à rétrécir notre vision, à nous focaliser sur nos faiblesses et à oublier nos points forts. Or, les neurosciences l’ont démontré, il est plus efficace de développer ce que l’on sait bien faire, nos talents, nos atouts, que de se concentrer sur ce que l’on maîtrise moins ». En tant que praticienne certifiée MBTI (Myers&Briggs Type Indicator) et DISC (ou « couleurs » pour Dominant Influent Stable Conforme) , Marie-Emmanuelle s’appuie sur la photo que donne l’analyse des résultats des ces questionnaires pour permettre au manager d’identifier clairement son comportement de celui de son équipe. L’objectif pour le manager et l’équipe est de dépasser ses différences pour fonctionner ensemble en complémentarité. Marie-Emmanuelle accompagne aussi régulièrement des parcours axés sur le leadership auprès des managers-clés et des dirigeants au sein d’entreprises du CAC40. La fondatrice de Melt Consultant développe actuellement des offres auprès des particuliers. Que ceux-ci aient à gérer une transition, à s’adapter à un changement (réorientation professionnelle, reconversion, départ en retraite) ou à surmonter une rupture de vie (divorce, décès, déménagement). « J’ai remarqué que bon nombre de jeunes démissionnaient quelques mois seulement après avoir démarré leur premier emploi » explique Marie-Emmanuelle. « La raison invoquée est qu’ils se sont rendu compte que ce n’était pas leur voie. Le coaching peut a...
Entre terres et mers, villes et campagnes, monuments historiques et parcs naturels, les Balkans sauront combler les attentes de chaque voyageur friand d’escapades hors du commun, loin des circuits et séjours habituels. « Le but est, ici, de faire découvrir des villes et des pays méconnus ne figurant pas dans l’offre touristique classique mais qui sont pourtant situés à seulement deux heures de la France », explique Laurent Abbondanza, directeur et fondateur de l’agence. Découvrez ainsi le meilleur de chaque pays des Balkans et imprégnez-vous de la richesse de ces contrées qui ont tout à vous offrir. Séjours d’immersion dans les pays des Balkans Les pays balkaniques regroupent tout ce qu’un explorateur en herbe désire retrouver dans un voyage. « Le culturel, les belles capitales à visiter et le tourisme vert se retrouvent tous dans ces pays », fait savoir Laurent. Allant du week-end au long séjour, en passant par les excursions, chaque pas est le début d’une entraînante aventure. À l’occasion d’une halte nature, accordez-vous un séjour personnalisable en Slovénie, la destination verte des Balkans. Au bord de son fameux lac Bled, surplombé par une île à la végétation luxuriante, adonnez-vous à vos sports nautiques favoris, à des randonnées entre cascades et rocailles au cœur des gorges de Blejski Vintgar ainsi qu’à une visite du château de Bled, bâti au XIe siècle et au sein duquel de nombreux événements redonnant vie au Moyen Âge sont régulièrement organisés. La Macédoine reste, quant à elle, la destination phare pour les inconditionnels des séjours culturels. Chaque ville est ici un musée à ciel ouvert où les empires romains et ottomans ont laissé des vestiges à jamais figés dans le temps. La ville d’Ohrid, classée avec son lac au patrimoine mondial de l’Unesco, vous ouvre ses portes à l’occasion de visites emplies de mythes, de traditions et de culture macédoniens. Faites un tour en bateau sur le lac majestueux d’Ohrid avant de poursuivre vers le parc naturel de Galicica à la découverte de la richesse faunistique et floristique du pays. Des escapades citadines d’exception Le temps d’un week-end ou d’excursions, profitez d’escapades citadines en plein cœur de Belgrade, la capitale authentiquement serbe, pour y découvrir des cathédrales et églises séculaires, des quartiers aux rues pittoresques et à l’ambiance festive ainsi que des monuments inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco, à l’instar du parc de Kalemegdan et de sa forteresse. « Des activités shopping, des moments de farniente dans les espaces verts et des détours gourmands dans les restaurants abordables de la ville figurent aussi au menu », reprend notre interlocuteur. Dans la même optique, la capitale bulgare, Sofia, se visite aussi au fil de vos envies. Allant des vestiges thraces et romains à la gastronomie, en passant par les musées, cette ville cosmopolite et dynamique se veut être le carrefour entre la Bulgarie traditionnelle et moderne, propice aux excursions récréatives empreintes de découvertes. Le temps d’un city break d’un week-end, Sofia révèle un visage accueillant, marqué par l’histoire. ...
En 2023, le MUPOP ponctue l’année de grandes expositions et évènements festifs. En effet, à l’occasion de son dixième anniversaire, le Musée revient sur son histoire et son parcours entièrement dédié à la musique populaire. Situé au cœur de Montluçon, avec sa collection de plus de 3500 instruments et objets musicaux, le MUPOP est l’un des rares musées consacrés à la musique populaire. De la vielle en passant par la cornemuse et les guitares électriques, on y trouve des collections autour de la musique pop du XVIIIè siècle aux années 90. Une rétrospective de ces dix dernières années Le 21 juin 2013, au cœur de la cité montluçonnaise, le MUPOP ouvrait ses portes. S’étalant sur une surface de 3300m², le Musée était implanté dans les hôtels historiques du centre-ville, les hôtels Charnisay et Méchain. Et la date n’avait évidemment rien d’anodin : quoi de mieux que la Fête de la musique pour inaugurer un tel musée. 10 ans plus tard, toute une série d’évènements et de sorties commemorera cette date. Ces dix dernières années, particulièrement riches, trouvent ainsi leur place à travers le livre évènement du MUPOP. Intitulé « Montluçon MUPOP Collections ». Sur 128 pages, il propose au lecteur de retracer l’histoire des collections du musée. L’occasion d’y découvrir les objets de la collection et les acquisitions récentes mais aussi la scénographie du MUPOP. Conservant toujours son aspect interactif, le MUPOP propose également, à partir du mois de Juin, une exposition d’affiches thématiques des évènements et expositions que le musée a reçu ces 10 dernières années. Polnareff, les Tubes de l’Eté, les LEGO… autant d’expositions qui en ont fait son succès. Pour les visiteurs et jusqu’à la fin de l’année, une série d’affiches s’exposent dans le hall d’entrée. Afin de plonger dans l’ambiance, un QR code permet également d’écouter directement une musique emblématique du thème représenté. A noter que la visite de l’expo est gratuite ! La musique à l’honneur à Montluçon ! Le MUPOP, ce n’est pas seulement un musée. C’est aussi un endroit qui se veut être le fer de lance de la culture à Montluçon. Pour cette occasion, les organisateurs n’ont pas hésité à mettre à contribution toute la ville. Le 3 juin dernier, sur la place Jean Jaurès, un évènement mêlant musique et danse a été proposé au cœur de la ville. Ce dernier a réuni plus de 110 danseurs professionnels issus de plusieurs écoles (Isadora, Françoise-Bourdin, Dida, Rock’n Star Center, Pole Stars, Grâce, Rythm’Attitude, Centro espagnol, Pascal Perlier). Le public à ainsi été invité à un grand flashmob en fin de spectacle. Pour la fête de la musique, le MUPOP a célébré celle-ci différemment. Habillées et personnalisées aux couleurs du MUPOP, ce sont des hôtesses spécialement dédiées qui ont distribué dans toute la ville des goodies à l’effigie du musée. L’occasion de mettre sous les projecteurs ce lieu mythique et surtout de séduite et d’attirer les jeunes. Enfin, jusqu’à la fin de l’année, hors de ses murs et en collaboration avec l’Ecole d’Art La Fontaine et de graphistes locaux, le Musée part à la conquête des vitrines de la ville. Les commerces inoccupés vont en effet pouvoir bénéficier d’un « ravalement de façade » à coup de visuels basés sur le thème de la musique populaire. Avec la possibilité pour chaque auteur d’imposer son style et pour que la musique populaire se découvre différemment ! Rock et iconique, « Du Son à Montluçon » Afin de marquer son anniversaire, le MUPOP s’est feint d’un visuel totalement original. Sur la thématique rock, le visuel reprend les codes de la pop des années 70 avec le visage d’une jeune femme qui tire la langue. Qui aurait oublié, en effet, la fameuse bouche roug...