Une école où le « savoir-être » prime le « savoir-faire » Organisme de formation au coaching professionnel bénéficiant d’une large implantation sur l’ensemble de l’hexagone, Coaching Ways France propose à ses élèves des formations à la fois sérieuses et certifiées. Mais alors que d’autres établissements se cantonnent à l’accompagnement des personnes, Coaching Ways France propose à ses élèves d’aller plus loin. « Notre but » précise Arnaud Hélard, Directeur Marketing de Coaching Ways France, « c’est que les personnes qui suivent nos formations acquièrent véritablement une posture de coach. Qu’elles soient en mesure d’incarner cette posture. Car c’est précisément cette approche qui permettra à nos élèves, une fois devenus coachs eux-mêmes, de contribuer à faire évoluer les consciences ». Au-delà d’un « savoir-faire », c’est donc un « savoir-être » que Coaching Ways France entend transmettre. Une approche centrée sur l’humain Fondé en Belgique - en 2005 - par Max Meulemans, Coaching Ways s’est rapidement exporté en France. Sous l’impulsion conjointe de Caroline Pinguet et de Christian Legrand, plusieurs écoles ont ainsi vu le jour à Lille et à Paris dès 2012. Ont suivi Aix-en-Provence en 2013 puis Bordeaux et Strasbourg en 2015 et enfin Nantes qui accueillera une école Coaching Ways France en 2019. Tous ces établissements ont en commun une même approche, à la fois innovante (car prenant en compte les évolutions structurelles, sociétales et comportementales), globale (appréhendé dans son entièreté, l’individu est contextualisé à son environnement et systématiquement replacé dans son écosystème) et centrée sur l’humain (« savoir-faire » et « savoir-être » sont indissociables). « Notre approche contribue, par le biais des formations que nous proposons, à favoriser un développement durable et vertueux des individus » explique Arnaud Hélard. Car la seule, la vraie clé du succès d’une transformation, c’est l’humain. Et tout au long de leur formation, les apprentis-coachs réaliseront que leurs futurs clients auront déjà en eux, sans même le savoir, les réponses à toutes leurs questions. En effet, à la différence d’un consultant, un coach ne se substituera pas à son client. Car « le meilleur outil dont dispose celui-ci n’est autre que… lui-même ! L’idée, ce n’est pas de fidéliser le client mais plutôt de l’aider à s’autonomiser au maximum. Découvrir que la solution vient de lui pérennisera son évolution et lui (re)donnera confiance en ses capacités ». C’est pour toutes ces raisons que l’enseignement prodigué par Coaching Ways France, en accordant une large part au facteur humain et à l’expérience humaine, constitue une réelle expérience de vie. Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine À l’image de Montaigne (1533-1592) qui estimait que l’important n’était pas de remplir la tête des étudiants de toutes sortes de connaissances (culturelles, scientifiques, etc.) mais plutôt de les éduquer afin qu’ils soient capables de faire le tri entre les informations qu’ils engrangeaient, Coaching Ways France fait l’emporter la qualité de l’enseignement et des compétences pédagogiques sur le nombre de techniques enseignées. « Lorsqu’ils arrivent, nos nouveaux élèves sont avides de méthodes de coaching, de techniques. Ils sont persuadés qu’un bon coach se doit de connaître le maximum d’outils. Mais c’est davantage la posture qu’ils acquerront progressivement qui comptera que le nombre de techniques qu’ils étudieront. D’une part, parce qu’une fois acquise la posture du coach, l’efficacité des techniques de coaching sera décuplée. D’autre part, parce que ça prend du temps de digérer, d’assimiler et de s’approprier les techniques ...
Le restaurant Bellini invite les épicuriens en herbe à découvrir ou à redécouvrir toutes les subtilités et les saveurs de la cuisine traditionnelle italienne. Un décor sobre mais authentique S’inviter au restaurant Bellini est synonyme de voyage pour les sens. Comme préambule à une expérience gustative unique, le décor annonce d’entrée la couleur ! Un cadre cosy, simple et élégant attend les convives. L’ambiance se prête idéalement à un dîner en famille, entre amis ou collègues. Les invités notent une touche d’authenticité qui transparaît à travers ces pierres apparentes. Bien visible, un four à bois s’offre au regard des convives. Bref, tout concourt à donner à ce bel endroit un charme presque inimitable. Une cuisine savoureuse Le chef, Rémi Barthe, concocte avec amour et passion une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits frais. Ainsi, viandes, poissons, fruits et légumes proviennent essentiellement des producteurs locaux. Pour les produits secs, cet établissement importe directement d’Italie. Chez Bellini, la carte se garnit, au gré des saisons, des nouvelles trouvailles du chef. Celui-ci suggère à ses invités d’entamer leur escapade gastronomique par un assortiment d’antipasti suivi d’un succulent veau à la milanaise, fettucines au marsala. Et pour achever comme il se doit ce voyage culinaire, rien de tel qu’un tiramisu aux cerises pour donner l’envie aux grands gourmands de réitérer cette agréable expérience. Mais le restaurant Bellini, c’est aussi des pizzas délicatement cuites dans des fours à bois. D’authentiques pizzas italiennes à emporter ou à déguster sur place selon les envies ! Côté vins, entre les rouges et les blancs, les connaisseurs trouveront certainement leur bonheur parmi une trentaine de références. ...
Créée en 2016, la plateforme Formalis est devenue, en quelques années, un site incontournable de formations e-learning. Des formations en ligne pour tous les besoins et toutes les envies Après l'obtiention d'un Master à New York University, Harriet Marin s’installe en France. C’est en suivant de nombreuses formations dans les domaines qui la passionnent que lui est venue l’idée de Formalis. Au début, la plateforme ne proposait que des formations en bien-être. Puis, son champ d’action s’est élargi vers d’autres domaines tels que le web, le coaching ou la déco. L’objectif a cependant toujours été le même : développer des formations accessibles à tous qui permettent d’être autonome dans un monde en pleine mutation. Alternant parties théoriques et pratiques, chaque formation vise l’excellence. C’est d’ailleurs pour cette raison que le taux de satisfaction est de 4,8/5. ...
Les amateurs de vins d’Alsace et les néophytes souhaitant en apprendre plus sur cette région sont tous invités à se rendre au domaine de la famille Kuentz. Entre modernité et méthode de travail traditionnelle : chaque visite est une véritable expérience. Une exploitation familiale fière de ses origines L’histoire du domaine débute dans les années 1950. Au début, seule de la vente en vrac était proposée. Puis, au fil du temps, la famille Kuentz a commencé à développer la vente en bouteille. D’après Jean-Marc Kuentz, le vigneron de quatrième génération en charge du domaine, ce sont les membres des deux dernières générations de sa famille qui ont commencé à développer la vente en bouteille. Ce qui a permis au domaine de faire connaitre ses cépages et ses créations originales. La particularité du domaine Kuentz : le fait de posséder un vignoble à 380 mètres d’altitude sur un sol à dominante marno-calcaire et argilo-calcaire. Ce qui fait de lui le plus élevé d’Alsace (avec tout ce que cela implique en matière de conditions climatiques). Ce qui frappe le plus quand on visite le domaine, c’est la volonté du viticulteur de travailler à la façon des anciens. Ainsi, les vendanges sont évidemment faites à la main. De plus, les bouteilles possèdent des bouchons de liège naturel et les vins sont vieillis en foudres traditionnelles de 1500 à 5000 litres. D’ailleurs, Patricia Nagel, la gérante du domaine, nous indique qu’une formation HVE (Haute Valeur Environnementale) est en cours. La durée de l’audit prenant une année environ, celle-ci devrait être effective en 2021. Les cépages et vins du domaine Kuentz Avant de parler des créations du domaine Kuentz, intéressons-nous aux raisins. Il faut, en effet, savoir que les vins d’Alsace Alphonse Kuentz sont issus de 7 cépages. Les spécialistes reconnaitront les grands noms de la région que sont le Sylvaner, le Pinot Blanc, Gris et Noir, le Riesling, le Muscat sec et le Gewurztraminer. Chacun proposant des goûts et des arômes différents pour se marier avec les plats typiques de la région (et d’ailleurs). En 2020, le domaine propose ses millésimes 2017 et 2018, ses grands crus 2015 et 2016 ainsi que ses vendanges tardives 2009 et 2015. À savoir : tous les vins sont issus à 100% d’un cépage et aucun assemblage n’est réalisé. Ce qui permet de bien apprécier le fruit. Du Gewurztraminer cuvée « Marie-Louise » qui accompagne à la perfection un apéritif ou un dessert à un Riesling Grand Cru « Pfersigberg » pour aller avec du poisson ou de la choucroute en passant par un Pinot Noir vieilli en fût de chêne qui se marie à merveille avec de la charcuterie ou du gibier : tout le monde y trouve son compte. Sans oublier le célèbre Crémant d’Alsace. Bien qu’il soit difficile de choisir un vin en particulier, la cuvée Marie Louise semble tout indiquée pour apprécier à sa juste valeur le travail de la maison Kuentz. On reconnait bien avec cette boisson savoureuse cette volonté de privilégier la qualité avant tout. Même si cela doit impliquer un rendement limité. C’est d’ailleurs ce qui permet aux cuvées Kuentz d’obtenir de très bonnes notes dans les plus grands guides de vin (souvent au-dessus de 15/20). Oenotourisme et visite de la cave Évidemment, comme tous les grands domaines français, le domaine Alphonse Kuentz ouvre ses portes aux visiteurs de passage. C’est le moment parfait pour en apprendre plus sur l’histoire de cette famille de vignerons tout en goûtant (gratuitement) les différentes bouteilles proposées. Vous pourrez ainsi en apprendre plus sur la méthode de travail traditionnelle employée dans le domaine et poser vos questions au moment de la dégustation et/ou en visitant le vignoble. Ne manquez d’ailleurs pas la petite chapelle Régelé qui domine les vignes alentours. Ce petit bâtiment et l’emblème de la famille Kuentz dessiné par l’artiste renommé J.J. Waltz font la fierté de ces exploitants très en lien avec leurs racines. À savoir : une extension du caveau est prévue pour accueillir plusieurs nouveaux événements. ...
L’appellation « herbes de Provence » n’impliquant aucune obligation de la part du fabricant, on se retrouve avec des produits le plus souvent importés. Venant du Maroc, de Pologne et d’autres pays de l’Est, ces fausses herbes de Provence inondent les rayons des supermarchés avec une qualité très discutable. Inacceptable pour Vincent Mignerat qui a milité activement pour la structuration d’une filière plante aromatique en Provence. Premiers pas Il y a 35 ans, les plantes aromatiques du sud de la France faisaient l’objet d’une exploitation sauvage. À cela s’ajoutait une diminution de la régénération naturelle des plantes liée au déclin du pastoralisme. C’est dans ce contexte qu’arrive une demande venant de la Scandinavie portant sur du thym gris des collines. Pour répondre à cette demande, une filière plante aromatique s’est mise en place dans la région. Au départ, Provence Tradition était une marque née de la volonté d’une poignée de producteurs de proposer aux consommateurs locaux des produits authentiques. Devenue entreprise, elle s’attaque très rapidement au marché national prenant comme cible l’épicerie fine. Les saveurs de la Provence Misant sur la qualité de ses produits, Provence Tradition décroche des clients prestigieux tels que la Grande Épicerie de Paris ou Lafayette Gourmet. En parallèle, l’entreprise se tourne vers la grande distribution pour permettre aux budgets modestes d’accéder à des produits de qualité. Provence Tradition affiche effectivement un label rouge, gage d’une qualité irréprochable. À travers les herbes de Provence et le thym en particulier – les deux produits phares de la maison –, le consommateur retrouve toute la puissance aromatique des plantes. Leur secret réside dans la teneur en huiles essentielles qui obéit à un cahier des charges strict du label rouge, exigeant un minimum de 2 %. Autre particularité du terroir provençal, les plantes profitent des meilleures conditions. « La plante souffre juste ce qu’il faut », souligne Vincent Mignerat. ...
5 000 étudiants et une centaine d’enseignants et chercheurs se croisent sur le campus de l’UFR des Sciences de la santé Simone Veil ou Faculté de médecine Paris Ile-de-France Ouest. Des étudiants qui ont choisi la santé comme parcours professionnel que ce soit en tant que médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme, infirmier ou psychomotricien. « Nous avons choisi de renommer la faculté en tant que Sciences de la santé pour représenter le panel des formations médicales et paramédicales », commente Pr. Djillali Annane, doyen de l’UFR des Sciences de la santé. Tous les ans, l’UFR fait amphi comble, refusant des candidats malgré une offre de formation qui s’étoffe d’année en année. « Il y a un besoin, une attente autant de la part des étudiants que des professionnels de santé pour diversifier les formations, notamment en paramédical », constate le doyen de l’UFR. Professions paramédicales : des métiers d’avenir Pour le Pr. Annane, les professions paramédicales sont des métiers d’avenir à l’instar de l’ergothérapeute qui prévient, réduit ou supprime les situations de handicap en tenant compte de l’environnement et des habitudes de vie. « Au vu du vieillissement de la population, l’ergothérapie est appelée à se développer très vite alors qu’elle est encore largement méconnue par les lycéens », constate le doyen. Car c’est en dernière année de lycée que la plupart des choix professionnels se décident. Combien de nouveaux bacheliers se dirigent par défaut, sans réelle motivation et ni connaissance de leur futur métier dans des voies dites de garage ? Le doyen de l’UFR les invite à pousser les portes des UFR pour éveiller leur curiosité aux métiers de l’imagerie médicale, de la nutrition ou de la dermatologie ou de nombreuses autres professions. Faire le lien entre les médecins surspécialisés et les soignants Si l’UFR propose des formations “classiques”, tous les étudiants ont le choix de poursuivre en se spécialisant. Un élève qui aura fini ses trois années en soins infirmiers pourra enrichir son parcours : compétences cliniques avancées en soins palliatifs, coordination de réseaux de soins, responsable de projets cliniques, consultant en éducation du patient, superviseur de pratiques soignantes... L’infirmier devient ainsi référent dont les compétences lui ouvrent de nouvelles fonctions au sein des unités hospitalières et/ou en transversal. Des parcours enrichis qui intéressent fortement les employeurs et chefs de service. « Dans un contexte où les médecins se spécialisent de plus en plus voire se sur-spécialisent, un fossé en termes de compétences s’est creusé au sein des équipes de soignants entre paramédicaux et médecins, analyse le Pr Annane. A l’UFR, il nous a semblé important de combler ce fossé en permettant à des paramédicaux d’acquérir une compétence particulière et ainsi de faire le lien ». Canadiens et Suisses en master 2 La force de l’UFR est aussi ses master 2, innovants et rares en France. Des master Agents infectieux, Méthodologie des interventions en santé publique ou Handicap neurologie. La renommée des formations de l’UFR Simone Veil dépasse le cadre hexagonal : Canadiens, Suisses, Belges, Luxembourgeois et Norvégiens candidatent en deuxième année de master, notamment celui en sciences cliniques en soins paramédicaux. « Les pays nordiques européens et le Canada sont, depuis longtemps, tournés vers la prophylaxie [NDLR : prévention] et leurs formations socles sont de très grande qualité, souligne le doyen. Ils viennent ici chercher une nouvelle compétence hautement spécialisée ainsi qu’une expérience au sein du système de santé français. » ...
Déployé à Nantes et à Angers, cet institut prodigue des soins complets aux malades atteints de pathologies cancéreuses et qui sont à la recherche de traitements innovants. Ici, chaque patient bénéficie d’un parcours de soins personnalisé et d’un suivi thérapeutique complet. Mis à part cette prise en charge globale de qualité, l’institut accueille également les chercheurs ainsi que les professionnels de santé pouvant apporter leur contribution à cette lutte humaine grâce à leurs connaissances et à leurs expériences. Radiothérapeutes, oncologues médicaux, chirurgiens, anatopathologistes ou mêmes infirmières s’adonnent main dans la main à des activités de recherche entamées avec un partenariat solide entre le centre, le CRCINA (Centre de recherche en cancérologie et immunologie Nantes, Angers, regroupant des laboratoires INSERM et CNRS), les CHU de Nantes et d’Angers (centres hospitaliers universitaires) et d’autres institutions travaillant pour la même cause. Ainsi, l’ICO teste des molécules innovantes, adapte chaque traitement à la résistance des tumeurs, améliore les protocoles de traitement par radiothérapie et les protocoles de chirurgie, s’investit dans la médecine nucléaire et se focalise sur une thérapie de précisiontout en assurant un lien effectif entre la recherche fondamentale et la recherche clinique. Il en découle une expertise reconnue tant au niveau régional qu’au niveau national, une renommée qui fait la force de ce pôle d’excellence dans la lutte contre le cancer. Un pôle d’excellence composé d’équipes pluridisciplinaires « Ici, chaque discipline est organisée de manière à pouvoir effectuer des recherches dans plusieurs domaines à la fois », explique le Professeur Mario Campone. « La recherche est menée avec des spécialistes de ce type de pathologies, mais aussi et surtout avec des médecins et des infirmières, afin de maximiser la collecte de données cliniques et favoriser la transition entre la recherche clinique et la recherche fondamentale. » Les essais cliniques sont d’ailleurs conduits suivant une politique de qualité au niveau de chaque salarié du centre, une politique qui a valu au centre d’obtenir en 2017 la certification ISO 9001-V2015 pour son département de Recherche Clinique. Ce label de qualité garantit pour les laboratoires pharmaceutiques le savoir-faire et des résultats de haute qualité produits par l’ICO. Toujours suivant cette politique de l’excellence, le centre participe à l’évaluation des futurs nouveaux médicaments. Les équipes chargées d’effectuer les tests axent leurs essais non seulement sur l’efficacité de ces médicaments, mais également sur leur capacité à contrer la résistance des cellules tumorales aux précédents traitements. Le centre est également le premier centre français de radiothérapie et est doté d’un parc de onze accélérateurs comprenant un accélérateur peropératoire. Le perfectionnement de la radiothérapie figure d’ailleurs parmi les priorités du centre, qui voit en cette technique la technologie curative de demain. Les radiothérapeutes ont pour priorité de rendre leurs interventions efficaces tout en préservant les cellules saines non touchées par les tumeurs. Les chirurgiens, de leur côté, œuvrent également pour améliorer le traitement chirurgical de chaque patient, en misant par exemple sur des recherches en robotique. Des soins d’accompagnement psychologique, esthétiques et même kinésithérapeutiques sont également prodigués au sein de l’ICO. La prise en charge de chaque patient est de ce fait assurée par une équipe pluridisciplinaire, dont les membres s’appliquent à donner le meilleur d’eux-mêmes afin de mener à bien la lutte contre le cancer et de proposer des traitements adaptés à chaque individu, allant du diagnostic au traitement. La recherche pour sauver le plus de patients Allant de la recherche fondamentale à la recherche clinique, en passant par la recherche dite de transfert, l’ICO multiplie ses pôles d’intervention en travaillant en partenariat avec des équipes de recherche fondamentale du C...
Passionnée par l’humain, Magali Ménard, coach certifiée et fondatrice d’Actea Formation Conseil, place l’individu au centre des préoccupations et en fait le principal acteur de l’innovation relationnelle. Ses thématiques d’intervention : confiance en soi, performance et intelligence collective, leadership, intégration en entreprise et conduite du changement. Partenaire en innovation relationnelle Ayant développé son propre concept, Actea se fonde sur 4 leviers d’action interdépendants : la relation à soi, aux autres, à l’organisation et au changement. Autour d’un maillage de différents outils et approches, Actea propose du coaching individuel pour les dirigeants et managers. Cet accompagnement peut se faire en présentiel ou à distance via Skype. Le rôle et les missions du coach ? Stimuler le développement du leadership, l’habileté relationnelle, l'intelligence émotionnelle, la gestion des priorités, l’aptitude au changement, le déploiement des potentiels et talents…. En lien avec vos objectifs et les enjeux pour l’organisation. Le coaching autrement, en plaçant l'individu au cœur Je considère mon client comme un partenaire... Mon rôle d'accompagnant nécessite de comprendre vos enjeux professionnels sans toutefois vouloir être l’expert de votre métier. Je tenterai de poser les bonnes questions, vous avez déjà en vous les réponses. C’est l’art du questionnement où l'approche repose sur le coach lui-même. Le coach EST la méthode. Je me fonde sur quelques principes clés : respecter le caractère unique de chacun, une posture orientée "solutions", un angle de vue "positif" des événements, la mise en mouvement comme moteur pour se transformer et évoluer. Chaque coaching est différent car adapté à vos besoins, dans votre unicité et dans le respect de votre rythme. Nous sommes co-acteurs de votre réalisation avec pour moteurs mon intuition et votre motivation. Des prestations variées, personnalisées, créatives et innovantes Les séminaires de Team-building entièrement créés sur-mesure avec un réseau de partenaires pluridisciplinaires (théâtre d’entreprise, créations artistiques…), les conférences sur la confiance et l’estime de soi dans les organisations, l’accompagnement de CODIR ou organes directionnels, les formations personnalisées sur le bien-être au travail, le développement personnel ou l’expérience client font également partie des activités de l’organisme. En fonction de la nature de l’intervention, Magali Ménard mobilise des outils de coaching adaptés tels que les neurosciences, la psychologie positive, le théâtre d’entreprise ou encore l’innovation managériale. ...
Depuis des années, l’agence de voyages Viamonts Trekking fait le bonheur des amoureux de marche. En effet, en plus de proposer de nombreux circuits permettant de découvrir la France sous un nouveau jour, elle offre la possibilité aux voyageurs de partir à la rencontre de nouvelles cultures, sur (presque) tous les continents du globe. Une agence humaine, spécialiste des voyages à pied Située au pied des Pyrénées, Viamonts Trekking s’est construite grâce à la passion d’un homme : Thierry Modolo, le créateur de l’agence. Natifs de la région, lui et son équipe l’ont parcouru en long et en large. Ainsi, cela leur a donné envie de partager ce goût de l’aventure avec tous les amateurs de randonnées, de tous les niveaux. D’ailleurs, ils proposent à leurs clients plusieurs thématiques de voyages, accompagnés par un guide, en famille ou en liberté. Partir à la découverte du désert, vivre un réveillon unique ou gravir une haute montagne : c’est possible grâce à Viamonts Trekking. En s’occupant entièrement de la partie logistique, le tour-opérateur permet au voyageur seul ou accompagné de profiter pleinement de chaque moment. Un grand choix de destinations pour toutes les envies et tous les niveaux Pas besoin de partir à l’autre bout du monde pour trouver des paysages à couper le souffle. En France et en Europe, à toutes périodes de l’année, il est possible de suivre des chemins méconnus pour en apprendre davantage sur notre pays et nos voisins allemands, italiens ou espagnols. Cela étant dit, pour les explorateurs à la recherche de dépaysement, rien de mieux qu’un circuit de randonnées de la Namibie au Zimbabwe, d’un trek entre Vietnam et Laos ou d’un voyage en famille vers les mystérieuses cités d’or du Pérou. L’occasion unique de découvrir les richesses d’un nouveau pays par ses paysages, sa population locale, mais aussi ses us et coutumes. ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
Frais Émincés, c’est avant tout une entreprise à taille humaine, employant une quarantaine d’employés. « Chez nous, la valeur familiale est très ancrée dans notre culture du travail », renchérit Marc Pajotin, le directeur de l’enseigne. Cette dimension humaine pousse l’entreprise à privilégier une démarche locavore, non seulement pour honorer les produits de la région Loire-Atlantique mais surtout pour avoir la garantie d’obtenir des produits frais à tout moment. Du producteur à notre assiette La fraîcheur et la qualité constituent l’ADN de Frais Émincés. L’entreprise s’approvisionne directement et quotidiennement auprès des maraîchers régionaux travaillant en agriculture raisonnée. « On vérifie à la réception la bonne qualité des fruits et légumes, car on a des critères exigeants sur le choix de matières premières », explique notre interlocuteur. Les produits sont alors épluchés, débactérisés et lavés avant d’être découpés sous plusieurs formes : en rondelle, en émincé, en julienne, en cube, en lanière… À partir de là, des procédés variés permettent alors de réaliser différents types de produits, soit par simple mélange pour les apéritifs et snacking, soit par une technologie à haute pression afin de conserver plus longtemps la fraîcheur, soit par des méthodes de découpe particulières pour répondre aux demandes spécifiques des clients de la restauration. Les produits sont alors prêts à être conditionnés et sont envoyés à la livraison. Et toutes ces étapes sont réalisées en un temps record, pour relever le défi de « livrer dans la journée toute commande reçue le matin et ainsi ne pas altérer la fraîcheur ». Une gamme de fruits et légumes prête à l’emploi et prête à la consommation « À la base, notre idée était de fournir des produits super frais prêts à l’emploi aux restaurateurs pour leur faire gagner du temps », reprend Marc Pajotin pour expliquer le concept. En effet, les légumes et fruits découpés présentent un double avantage pour les restaurateurs, aussi bien sur la rapidité de la préparation que sur la qualité de la présentation des plats, pour être à la hauteur des exigences de leurs clients. Toujours avec cette même expertise, Frais Émincés a décidé d’adapter ses offres à une demande plus large et pour un usage quotidien, en essayant de varier les recettes et le mode de cuisson. En 2005, donc, elle a lancé le plateau apéro qui se compose de bâtonnets de carottes, de céleris et de courgettes accompagnés d’une petite sauce pour manger sainement tout au long de la journée. De savoureux shakers de fruits ont été également introduits quelques années plus tard au sein des rayons frais des fruits et légumes en Grande Distribution. C'est la société Frais Emincés qui récemment a lancé les spaghettis de légumes ou une nouvelle gamme de fraîche découpe bio que l'on retrouve dans les rayons frais des Fruits et Légumes en Grande Distribution. « Il est important pour nous de proposer un large choix de produits de qualité et surtout des produits qui ont du goût », termine-t-il. ...
C’est au cœur de la côte des Blancs, à Oger, que la maison Klepka Sausse, du nom des époux Klepka et Sausse, fondateurs de la marque en 1976, produit le meilleur du terroir. Les Grands crus de la marque sont issus d’un vignoble au sous-sol crayeux dédié exclusivement à la culture du Chardonnay. Laurent Klepka, héritier de cette marque prestigieuse, nous emmène dans un voyage au cœur de l’excellence champenoise. La qualité et l’excellence comme maîtres-mots Priorisant la bonne qualité des vignes et du raisin, la maison Klepka Sausse est le pionnier du champagne de haute gastronomie. La marque, maintes fois récompensée, perpétue l’art et la tradition champenoise dans le but de concevoir des cuvées de qualité. En étant « dans la mouvance de la viticulture durable », selon Laurent, elle privilégie la production de cuvées respectueuses de l’environnement, authentiques et exquises de par la conservation des arômes et des saveurs du terroir. À la découverte du métier La famille Klepka accueille ses hôtes dans un cadre enchanteur et authentique appelant au partage et à la découverte de leur riche héritage passionnant. En partenariat avec l’office de tourisme d’Épernay, la maison Klepka Sausse propose des « visites de cave, des visites parcellaires ainsi que des visites du vignoble », selon Laurent. Une immersion dans le métier est également proposée au travers d’activités diverses ayant pour but, toujours selon le vigneron, de faire « glisser les visiteurs dans la peau d’un vigneron champenois ». Les hôtes s’attèleront ainsi au travail viti-vinicole et pourront même parrainer un plant de vigne qu'ils mettront en terre eux-mêmes. À la suite des séances de dégustation, « un diplôme non officiel attestant de leur participation à cette Viti Vini Expérience » leur sera, par la suite, distribué par Laurent lui-même. Un reportage photo fera également partie des cadeaux offerts à l’issue de cette expérience authentique et inoubliable. ...
L’hommage au Père Labat, de son vrai nom Jean-Baptiste Labat, est inévitable pour la famille Rameau, par son histoire qui a longtemps habité les Antilles. De son vivant, cet homme d’Église a contribué pleinement au développement de la culture de la canne à sucre, tout en modernisant les techniques de fabrication de l’eau-de-vie. Aujourd’hui encore, cette tradition et ce savoir-faire anciens font de la distillerie Poisson un incontournable du patrimoine historique antillais. Une exploitation digne des grands terroirs Chaque rhum a sa particularité, tant dans sa fabrication que pour son goût. À la distillerie Poisson, les soins apportés à la canne à sucre, matière première utilisée dans la fabrication du rhum, sont très importants. Sur un champ de 150 hectares, chaque plant est coupé à la main. Un travail de longue haleine et rare puisque « nous sommes les seuls à encore user de cette technique dans le monde » déclare avec fierté Jean-Cédric Brot, PDG de l’entreprise. S’en suit la transformation du jus de canne frais, par la fermentation qui va jusqu’à 72 heures. Durant le processus, notre interlocuteur nous fait savoir que « seule la levure boulangère est utilisée pour la fermentation ». Et lui de continuer « nous nous distinguons aussi pour nos colonnes à distiller en cuivre, ancien héritage du Père Labat, qui donnent un arôme puissant et authentique à l’eau-de-vie. » Du rhum authentique La distillerie Poisson fabrique plusieurs variétés de rhums : le rhum blanc agricole, le rhum doré, le rhum ambré, le rhum vieux… Chaque année, 300 000 bouteilles sortent de l’exploitation, dont 80 % sont directement dédiées à l’exportation. L’Europe reste le continent qui apprécie le plus le rhum traditionnel des Antilles, suivi par les Amériques et l’Asie. Pour Jean-Cédric Brot, le coup de cœur reste pour le rhum millésimé Père Labat 1997, « boisé et fruité en arôme et assez complexe en bouche », selon ses termes. Il cite également le rhum blanc 59° Père Labat, grand classique de Marie-Galante, souple et suave en bouche qui est en production limitée. Un dernier né, Le rhum soleil 59° et 55°, unique, légèrement boisé puisque séjourné 6 mois en foudre de chêne avant d’être mouillé puis embouteillé. Il nous informe également « qu’une nouveauté vient récemment de voir le jour : la liqueur Père Labat mint ». Elle est élaborée à partir de rhum agricole et de menthe et se boit très frais ! ...
L’oenotourisme à la bordelaise, signé Bernard Magrez, se conjugue avec visites, séjours d’exception et haute gastronomie au sein de Châteaux Grands Crus classés ainsi que dans son boutique-hôtel 5*. « Grand propriétaire de domaine viticole, avec 42 vignobles dans le monde, cet amoureux du bon vin est animé par le désir de partager sa passion à travers l’hospitalité, la gastronomie, la culture et le vin », nous confie Cécile DAQUIN, Directrice Générale de La Grande Maison Bernard Magrez et Luxury Wine Experience. Un oenotourisme propice au développement des sens L’expérience oenotouristique se vit au sein des trois châteaux : le Château Pape Clément, le Château Fombrauge et le Château La Tour Carnet. Des séjours, des visites de vignobles et de chais, des dégustations de vins et bien entendu, la découverte de ces châteaux sont au programme. D’emblée, le charme néogothique du Château Pape Clément, Grand Cru Classé de Graves ne laisse personne indifférent. Les plus anciennes vendanges datent ici du XIIIe siècle et les arbres séculaires y trônent fièrement, perdus dans un écrin de verdure. Dans ce joyau de Pessac, hommage au savoir-faire vinicole du pape Clément V, vous serez séduit par l’élégance des chambres et des suites dont les noms rappellent la douce symphonie des 60 ha de vignes murant le château. Toujours dans ce raffinement, le Château Fombrauge, une ancienne chartreuse du XVIIe siècle, perpétue une tradition vinicole authentique vieille de plusieurs siècles. Son vignoble de 60 ha et datant du XVIe siècle, fait fière figure d’ambassadeur de cet héritage. L’histoire, celle d’un des plus Grands Crus de Saint-Emilion, se raconte dans les suites luxueuses nichées dans le charme intemporel de ce château d’exception. Enfin, imprégnez-vous des temps médiévaux figés à jamais au cœur du Château La Tour Carnet, Grand Cru Classé du Haut-Médoc. Deux suites apaisantes, véritables mémoires de l’intime, font l’esprit de cette forteresse médiévale, « une des plus anciennes propriétés du Médoc » selon les dires de notre interlocutrice. Vin, gastronomie et culture A part les visites et dégustations de vins, Bernard Magrez Luxury Wine Expérience organise des ateliers inédits intitulés B-winemaker. « Le vin de Bordeaux est un vin d’assemblage. Luxury Wine Experience propose alors aux invités d’apprendre à créer leur propre vin en faisant eux-mêmes les assemblages de différents cépages en fonction de leurs goûts. Ils créeront, par la suite, leur bouteille, leur étiquette et repartiront avec leur bouteille de vin personnalisée », nous indique Cécile DAQUIN. L’immersion au sein de ce nouvel Art de Vivre véhiculé par Bernard Magrez ne sera pas complète sans un passage dans le boutique-hôtel 5* La Grande Maison de Bernard Magrez située en plein cœur de Bordeaux. Propice à une escapade épicurienne, l’hôtel abrite six luxueuses chambres ainsi qu’un restaurant étoilé dirigé par Pierre Gagnaire. Au sein de celui-ci, une cuisine tendre et sincère fidèle à la richesse du terroir est exécutée par cet éminent chef élu homme de l'année 2016 dans la catégorie gastronomie par le magazine international GQ et élu également meilleur chef étoilé du monde par ses pairs en 2015. Pour l’épauler, il fait appel à son équipier de toujours Jean-Denis Lebras. Chaque repas sera sublimé ici par une carte de vins unique au monde enrichie de 259 références et proposant tous les Grands Crus Classés de Bordeaux et assimilés (Bourgeois et Pomerol). L’expérience peut s’achever au sein de l’Institut Culturel Bernard Magrez situé en face de la Grande Maison de Bernard Magrez. Ayant pour mission de faciliter la création contemporaine à tous, cet espace ouvert en 2011 propose une riche programmation d’expositions d’art contemporain et moderne. Dans une optique d’aider à la production d’œuvres inédites, des artistes en résidence y sont ...
Réputée pour ses vignes et son histoire, la famille Boulachin Chaput perpétue depuis plusieurs générations cette tradition dans la fabrication du champagne. Étendues sur huit hectares et reposant sur un terroir argilo-calcaire, les vignes ont cet avantage d’être exposées sous un soleil naturel, offrant ainsi aux baies une belle maturité et une qualité exceptionnelle. Une culture de grande valeur La maison Boulachin Chaput obtient en 1924 sa première médaille d’or grâce à Paul Boulachin pour sa cuvée Carte blanche brut réserve. Une tradition champenoise que la descendance veut à tout prix préserver en travaillant pour cela dans le respect des gestes ancestraux. Sur les terres de la Côte des Bars, les cépages sont représentés en majeure partie de pinot noir (60 %), mais aussi de pinot meunier (10 %) et de chardonnay (30 %). La famille pratique depuis près de dix ans la viticulture durable sur l'exploitation, et lutte en faveur de la conservation de l’écosystème et le développement du terroir certifié par le Label Terra Vitis. Une ode à la nature « Prendre le temps et laisser s’exprimer la nature au maximum », tel est le leitmotiv des Boulachin, qui propose par exemple son Brut nature sans dosage à déguster dans toute sa pureté et son authenticité ou la Carte noire, un mélange de pinot noir et de chardonnay, qui est assez mûre et vineuse. La Dame noire, fait avec 100 % de pinot noir, millésimée 2006, 2009, 2012 et qui tient son nom d’une parcelle de la vigne de Dame noire, fait partie des autres cuvées phares. Marc Veyrat, célèbre chef cuisinier français, est un grand amateur de ces nectars produits par la maison Boulachin Chaput. Plusieurs projets sont en cours entre la marque et le grand chef rentrant dans le cadre de la promotion des produits du terroir. La tradition d’abord Le succès des champagnes Boulachin Chaput repose sur leur mode de fabrication réalisé dans le respect des traditions, notamment par rapport au vieillissement qui peut aller jusqu’à cinq ans. La fermentation s’effectue dans une cave réchauffée naturellement, pour l’obtention d’un vin de caractère, plus fin et plus complexe. La mise en bouteilles est réalisée courant mai et juin, période où la température est idéale pour le repos des vins. ...
Une nouvelle aventure au cœur de la Provence verte Avec une branche de sa famille en Bourgogne, Harry avait déjà un pied dans le monde du vin. Il a pourtant fait toute sa carrière dans l’univers de la finance et de la programmation informatique. Tout juste sorti d’une société éditrice de solutions logicielles, qu'il avait créée à destination des traders sur les marchés financiers, il achète un domaine viticole en Provence. « Avant de me jeter corps et âme dans le monde du vin, j’ai travaillé une quinzaine d’années sur les marchés financiers entre Londres, Paris, New York et Bruxelles, puis une quinzaine d'années dans le monde des logiciels. Il y a de nombreux parallèles à faire entre ma première vie et la vigne. Par exemple, même si l'on ne maîtrise pas tous les paramètres, il faut réussir à mettre en place certaines méthodologies pour créer quelque chose qui soit nouveau et, dans le cadre du vin, séduisant pour le consommateur. » Toute sa vie, il a cherché de nouveaux challenges, préférant la complexité à la facilité, explorant au cours de sa carrière des univers qui lui étaient inconnus. « Ce récent bouleversement vient d’une volonté de changer complètement de rythme de vie. Je voulais travailler avec Céline sur un projet concret, très local. » Au lieu de défendre l’économie numérique française, il s’emploie aujourd’hui avec son équipe à protéger le patrimoine agricole et viticole de sa région d’adoption. « On ne touche que très peu nos vins » Situées à flanc de coteau sur un sol principalement argilo-calcaire exposé plein nord, à l’exception de quelques parcelles plus limoneuses en pied de vallée, les vignes du jeune viticulteur jouissent d’une belle exposition au soleil tout en profitant de la fraîcheur du mistral qui balaie cette région du sud de la France. L’ancien propriétaire avait, avant de se séparer de son domaine, replanté l’intégralité des cépages et travaillait depuis ses débuts la terre manuellement. Bien avant la certification Agriculture biologique ( AB ), que le domaine a obtenue en 2014, les syrah, grenache et sauvignon s’épanouissaient déjà sur une terre vierge de tout intrant chimique. La Mongestine travaille aujourd’hui avec une douzaine de cépages, principalement des AOP coteaux-d’aix, plantés à flanc de colline et à l’orée de la forêt qui domine la vallée. Harry a gardé les bonnes méthodes de son prédécesseur et la même équipe pour continuer à s’occuper des vignes. Cette conduite du plant très rigoureuse se note visuellement lors d’une visite du domaine : au lieu de pieds plus sauvages, une caractéristique des plantations biologiques classiques, les trente hectares plantés sur les 120 ha du domaine affichent des rangées bien droites, très alignées. En cave, Harry ne travaille qu’avec des levures indigènes, permettant à chaque cépage d’exprimer librement toute sa palette. Les jus sont très peu sulfités et du coup beaucoup plus ouverts, plus expressifs. Ces conditions donnent des vins aux degrés alcooliques stables, autour de 13°. Grâce à une fermentation poussée, ils gardent une très bonne tension et une jolie structure et, particulièrement sur les rosés, une rondeur presque soyeuse. « On essaie de travailler à la limite de ce que le terroir peut exprimer des cépages et sans prendre trop de risque en termes de transport et conservation. Par exemple, on arrive à avoir sur des rosés, qui font souvent moins variés que des rouges ou des blancs, des vins qui sont justement différents et qui peuvent exprimer pleinement ce terroir provençal. » Une nouvelle cuvée surprenante Le domaine de la Mongestine a récolté en 2017 sa première cuvée IGP coteaux-du-verdon. Vinifié en mono-cépage dans trois couleurs (roussanne, pinot noir, merlot) et destiné à être commercialisé en entrée de gamme, le millésime s’est montré particulièrement expressif et très aromatique, au-délà des espéran...
Une cité millénaire au bout du monde Pays aride, montagneux, très étonnant, le sultanat d’Oman a été pendant plusieurs siècles une destination très peu connue des touristes occidentaux. Ce pays du bout du monde est souvent cantonné à son histoire de grand port commercial entre l’Orient et l’Occident. Points de passage obligatoires, ses ports ont servi pendant des siècles d’escale aux navires qui revenaient vers l’Europe chargés d’or, d’épices et d’encens. La précieuse sève, qui s’échangeait alors aux prix du métal jaune, laisse encore aujourd’hui flotter cette odeur si particulière dans tous les souks du pays. Souks où l’on se laisse bercer par les histoires de princesses et de marins cherchant gloire et fortune sur les sept mers du monde. Depuis une dizaine d’années, cette jeune monarchie parlementaire ne cache plus ses ambitions de devenir un grand pays touristique. La capitale du pays, Mascate, illustre parfaitement ces aspirations. La ville est délicatement située entre les montagnes du Hajar à l’ouest et l’océan Indien sur son flanc est. Les dernières découvertes archéologiques font remonter son histoire au cinquième millénaire avant notre ère, faisant de Mascate l'une des plus vieilles cités du Moyen-Orient. La ville royale captive l’œil des visiteurs avec ses marchés aux poissons qui s’animent dès les premières lueurs de l’aube et ses souks regorgeant de bijoux, tapis colorés et épices. Un « must-see » lors d’un passage dans la ville est la grande mosquée du Sultan Qaboos. Inaugurée en 2001, elle est richement décorée d’or, de bleu et de blanc et possède l'un des plus grands tapis de prière au monde. Le front de mer de la ville offre aussi un moment de détente exquis, très apprécié des Omanais, particulièrement au moment du coucher du soleil. Entre déserts, montagnes et mer Les « wadis » sont indissociables des régions montagneuses qui serpentent le pays du nord au sud. Ces vallées au fond desquelles courent de petits ruisseaux ou de grandes rivières et abritent pour certains des piscines naturelles offrent une infinité d’activités pour tous les âges et tous les goûts. On peut y faire du canyoning, de la marche à pied, ou plus simplement du tourisme tellement elles proposent de paysages époustouflants. C’est là aussi que l’on peut voir des systèmes d’irrigation (les aflaj ou falaj au singulier) particulièrement ingénieux qui remontent, pour les plus anciens, à plus de 4 500 ans. L’eau, repartie équitablement entre tous les habitants de ces zones verdoyantes difficiles d’accès, y coule toujours aujourd’hui et irrigue des roseraies situées à flanc de montagne. Chaque année entre les mois de mars et de mai, les fleurs s’ouvrent et offrent un tableau étonnant de délicates nuances de rose. Plusieurs de ces systèmes d’irrigation sont classés sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. On retrouve au milieu de ces vallées les fameuses plantations de palmiers-dattiers. Ces fruits gorgés de soleil et de sucre sont une des fiertés du pays et trouvent toujours leur place dans les bagages des touristes. Une majeure partie du sultanat reste recouverte de sable. C’est dans ces grands déserts que l’on trouve encore des Bédouins qui pratiquent les travaux de saisons ou l’élevage de dromadaires que l'on surmonne ici "les vaisseaux du désert". Plusieurs excursions avec guides permettent de passer plusieurs nuits sous des tentes dressées au milieu des dunes. Le littoral, lui, est parsemé de plusieurs centaines de forts. D’influences diverses, perse, portugaise ou arabe, ils sont l’héritage de la riche histoire du pays. Plusieurs ont été restaurés à l’initiative du sultan actuel et une vingtaine de forts sont actuellement ouverts à la visite pour les plus férus d’histoire. Le fort de Bahla, situé dans l’oasis du même nom, est classé au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1987. ...
C’est près des Gorges du Verdon ainsi que du lac de Sainte-Croix que se trouve la cité Riez-la-romaine, là où se situe Le Rempart. Depuis 1999, ce restaurant chic et convivial propose des plats exquis dans le but d’épater les convives qui s’émerveilleront en même temps en découvrant les œuvres d’art exposées à l’intérieur. La réputation de cet établissement de la rue du marché est telle que les plus grands guides le recommandent pour son originalité ainsi que sa cuisine gourmande. Quand l’originalité s’allie à la créativité Faisant office de galerie d’art, ce restaurant travaille en collaboration avec les artistes locaux qui exposent au Japon ainsi que sur Paris. Au moyen d’un vernissage, l’artiste expose pour la première fois ses œuvres dans les salles pouvant accueillir 80 personnes. Rappelant la savane, les chaises de couleur zébrée ou unie donnent de l’exotisme au décor de la salle principale. Rondes ou rectangulaires avec des pieds droits ou sculptés, les tables en bois sont intensément vernies. En plus des lampadaires et des grands bougeoirs aux coins des murs, les tableaux et les grands miroirs, que ce soit au rez-de-chaussée ou en étage, participent énormément à l’embellissement de l’établissement. Un peu partout dans la salle, des sculptures, de la poterie et de la faïence sont à mis en exergue. A l’extérieur, lors de l’arrivée des beaux-jours, la terrasse ensoleillée promet encore plus de convivialité. La terrasse à l’ombre quant à elle est située sur la rue piétonne. Cet espace en plein air est entouré de tonneaux de vins, d’une tonnelle fleurie ainsi que des pots d’arbustes. Les peintures d’empreinte de pieds marquent le passage se dirigeant vers l’accueil, près duquel se trouve une boutique de produits provençaux. Repas des plus succulents Dans un souci de fraîcheur, le chef Ismaël Cardoso se ravitaille auprès de fournisseurs bios d’Allemagne-en-Provence pour les légumes. La viande de bœuf, quant à elle, est issue de Charolles tandis que l’agneau provient des Alpes. Au restaurant, il présente le menu express du midi et la formule brasserie dite rapide et chic. Parmi les plats phares du Rempart figure la farandole de spécialités provençales, une assiette bien garnie composée notamment d’artichaut barigoule, de mesclun, de tomates anciennes, de jambon cru, de chèvre chaud et de plusieurs autres ingrédients provençaux. Agréablement décorée, l’incontournable Assiette du pirate fait aussi la réputation de la maison. Elle est préparée avec une tartare de dorade rose, une salade de mesclun, des tomates anciennes, des gambas, des noix de Saint-Jacques, des langoustines, des moules, des palourdes et des poulpes en persillade flambés au Pastis et fruits de saison. Pour les plus gourmands, la carte propose la côte de bœuf charolaise grillée au barbecue servie avec une farandole de légumes et une salade accompagnée d’un panaché de sauces et sel de Guérande. A savoir que le restaurant propose plusieurs menus dont celui intitulé « Autour de la truffe » composé d’une petite brouillade de truffes, de ravioles de foie gras de truffes et d’un filet de bœuf rossini aux truffes ou de Noix de Saint-Jacques aux truffes. ...
Construit sous le règne de Louis XIV à l’initiative de Pierre-Paul Riquet, le Canal du Midi est l’un des plus vieux canaux d’Europe qui continue de fonctionner aujourd’hui. Inscrit au patrimoine mondial par l’Unesco en 1996, il relie l’Atlantique à la Méditerranée en traversant toute l’Occitanie. Il fait partie des principales attractions du Cap d’Agde, une station balnéaire qui accueille le plus grand nombre de visiteurs en Europe en saison haute. Il concentre en effet plusieurs activités adaptées au tourisme familial. Le Cap d’Agde et le Canal du Midi : un haut lieu d’activités nautiques Situé au bord de la Méditerranée, traversé par l’Hérault et le Canal du Midi, le Cap d’Agde est un véritable concentré de spots pour les activités nautiques. Les amateurs de sports nautiques peuvent aussi bien pratiquer la planche à voile, que la voile ou encore le kitesurf, le stand-up paddle, le catamaran, le jet ski, la pêche mais aussi la plongée sous-marine. Les Posidonies du Cap d’Agde disposent en effet d’un sentier sous-marin balisé de 200m. Les touristes peuvent emprunter 5 parcours types à travers un fond marin d’origine volcanique. Les sites de plongée permettent d’aller de 0 à 5m en plongée libre. L’occasion de nager au milieu d’une faune et d’une flore typiques. Dans les eaux vives, les plus aventureux ont le choix entre le canoë, l’hydrospeed, le kayak, le rafting, la via ferrata ou aussi le canyoning. Sur le Canal du Midi, la croisière fluviale permet aux navigateurs en herbe de s’initier à la navigation. En effet, naviguer sur le Canal du Midi ne nécessite pas d’être titulaire d’un permis de bateau. Le canal offre en outre de belles perspectives pour admirer la beauté du paysage de l’Hérault au fil de l’eau. Des ports de plaisance et des services de proximité ont été aménagés pour rendre les promenades en bateau pratiques et agréables. Balades et loisirs sur les berges du Canal du Midi Le Canal du Midi peut aussi s’apprécier depuis la terre ferme. Les aménagements réalisés autour du canal permettent en effet de parler de tourisme fluvestre : au bord du canal, les chemins de randonnée et les pistes cyclables attirent de nombreuses familles venues profiter de l’ombre des platanes et des cyprès. Les berges du Canal du Midi et ses alignements d’arbres abritent diverses espèces animales et végétales. Ils sont devenus un endroit idéal pour les pique-nique, pour découvrir les ponts et les beaux villages qui le bordent et pour déguster les produits du terroir. Les balades sur les berges du canal permettent aussi aux visiteurs de découvrir le système d’irrigation mis en place pour aider les agriculteurs de la région. Outre la richesse naturelle de l’endroit, on trouve aussi à proximité l’Hôtel Riquet, un bâtiment datant du XVIIIè siècle, ayant hébergé autrefois les Services de l’Administration du Canal. Une ancienne chapelle du XVIIIe siècle construite en basalte subsiste aussi sur la route de Bessan. A la découverte des ouvrages d’art qui ponctuent le Canal du Midi Véritable chef d’œuvre à la fois technique et artistique, le Canal du Midi est ponctué par quelques infrastructures particulières. Le Pont-Canal de Béziers qui fait passer le Canal du Midi au-dessus de l’Orb en fait par exemple partie. Il s’agit de l’un des plus grands ponts de France, classé monument historique depuis 1962. L’écluse d’Agde qui est l’unique écluse ronde du Canal se démarque aussi par son architecture et sa technicité. Elle est en effet construite sur 3 niveaux d’eau différents et permet aux bateaux de tourner sur eux-mêmes pour choisir leurs issues. Cet ouvrage est également inscrit Monument Historique depuis le 29 août 1996. On notera également les Ouvrages du Libron, ces aqueducs mobiles uniques en leur genre qui se trouvent à Vias. Ils furent construits par Urbain Maguès, un célèbre ingénieur du XIXè siècle dans le but d’évacuer la crue vers la mer sans perturber la navigation sur le Canal du Midi. Un peu plus loin, à Béziers, les 9 écluses de Fonseranes font aussi partie des curiosités du Canal. C’est le troisième s...
Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle. L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux. Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel. ...
Apprendre à identifier (et à exploiter) nos sensations corporelles Élaborée par Oliver Masselot et Samy Kallel et conceptualisée à travers le livre "Le Leadership du Coeur (éditions GERESO), l'Intelligence Neuro-Sensorielle s’appuie sur la mise en valeur d'une source d’informations d’une très grande richesse mais pourtant largement sous-exploitée. « Un nombre incalculable de messages nous parviennent par le corps, via le ressenti corporel » explique Olivier Masselot. Pour nous aider à identifier et à analyser efficacement toutes ces informations, l'Intelligence Neuro-Sensorielle combine, entre autres, des outils issus des neurosciences (entre autres l'ANC du Dr Jacques Fradin) et d’autres, liés à la sensorialité. « Cette approche dynamique de l’être humain, à la fois globale et holistique, permet d’en avoir une vision différente, plus lucide, de mettre en place rapidement les protocoles adéquats et de révéler des choses qui échappent généralement aux approches plus classiques » précise Olivier. Mieux armé pour affronter l’inconnu et gérer les imprévus Partant du principe que « nous sommes responsables de notre façon d’interpréter et d'aborder les situations qui se présentent à nous », Olivier Masselot travaille sur la sensorialité afin de permettre aux personnes qui font appel à ses services - des leaders, des créatifs et des managers, pour la plupart - « d’être capables de gérer l’imprévu avec davantage de lucidité et d’agilité ». En effet, notre crainte de l’inconnu provient très souvent du fait que nous privilégions « notre cerveau ‘automatique’ qui ne réagit qu’en fonction de ce qu’il a appris, au détriment de notre cerveau ‘adaptatif’, lequel nous permet d’improviser et donc de mieux aborder l’inconnu. L’idée, c’est de passer d’une ‘dynamique de peur’ axée sur la résistance et le désir de tout contrôler à une ‘dynamique de coeur’, orientée sur l’ouverture ainsi que sur la connexion à l’autre et à l'environnement » fait remarquer Olivier. Appliquée au monde du travail, l’Approche Neuro-Sensorielle aide un manager, par exemple, à « mettre en place un management moins rigide qui favorise l'intelligence collective et les initiatives, à prendre les bonnes décisions au bon moment, à entretenir de bonnes relations avec chacun et à favoriser un consensus ‘gagnant-gagnant’ avec ses collaborateurs, ses fournisseurs et ses clients ». Remettre l’humain au centre des stratégies « La philosophie de l’Approche Neuro-Sensorielle, c’est que plus l’humain s’épanouit, plus l’entreprise va s’épanouir également » explique Olivier. Mais il est fréquent qu’un management trop rigide débouche sur de mauvaises réponses. Ou encore que la culture d’une entreprise ne soit plus en phase avec ce que vivent et ce que ressentent ses salariés. Or une telle situation qui « créera plus de problèmes qu’elle n’enrésoudra » s’avère préjudiciable non seulement aux hommes et aux femmes qui composent ses effectifs mais aussi à l’entreprise elle-même. En proposant une autre vision du rapport manager-collaborateur-environnement, l’intervention d’Olivier peut conduire à une véritable refonte de la culture d’entreprise, plus résiliente, parce que davantage centrée sur une dynamique collaborative. Et pour permettre aux dirigeants d’intégrer parfaitement - et durablement - ce qu’il leur aura révélé au cours de son accompagnement, Olivier Masselot a mis en place au sein de l'Approche Neuro-Sensorielle une belle bibliothèque d’entraînement en e-learning. ...
Construit en 1750, le Château de La Dauphine rayonne aujourd’hui de par son histoire, sa philosophie de travail, la qualité de ses vins et son dynamisme en matière d’œnotourisme. Incontestablement, cette culture de l’excellence placée à tous les niveaux fait de ce domaine un des fleurons de l’appellation Fronsac. Le respect de la Nature Implanté sur les coteaux de Fronsac, le vignoble de 53 ha se compose majoritairement de merlot (85 %) et de cabernet franc (15 %). Le domaine, certifié bio depuis 2015, prône une méthode culturale respectueuse de l’environnement à travers la pratique de la biodynamie. Un choix justifié par le souci de replacer la vigne dans un milieu où elle puisse se développer en parfaite symbiose avec la Nature environnante. Afin de favoriser cet « échange », un projet ambitieux a été mené consistant à reconstituer la biodiversité autour des vignes. Plantation d’arbres et de haies, mise en place de ruches et de nichoirs à oiseaux, conception de points d’eau, réinsertion d’animaux… Tout est fait pour créer un équilibre naturel dans lequel la vigne ne sera qu’un élément d’un vaste ensemble végétal. Côté vinification, le domaine se dote d’outils modernes à la pointe de la technologie tels que les cuviers circulaires à gestion gravitaire. Ceux-ci permettent d’avoir une totale maitrise de la vinification parcellaire. Un vin à l’image d’un grand cru classé Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Château de La Dauphine 2015 » sort du lot. « Il s’agit de notre premier millésime certifié bio à la suite de 3 années de conversion », souligne Marion Merker, responsable œnotourisme et Brand Ambassador. Issu d’un assemblage de merlot et de cabernet franc, ce vin présente un nez très élégant avec des notes de fruits rouges mûrs associées à quelques touches d’épices. En bouche, rondeur et souplesse caractérisent ce grand millésime doté d'un excellent potentiel de garde. Le 15 avril 2019, à l’occasion de la réouverture des appartements du dauphin et de la dauphine de France au château de Versailles, le Château de La Dauphine a été l’unique vin autorisé à être servi pendant la soirée de l’inauguration. Preuve que cette cuvée est à classer dans les hautes sphères des vins d’exception. Un domaine qui excelle dans l’œnotourisme Étant un des acteurs les plus dynamiques de l’œnotourisme dans la région, le Château de La Dauphine multiplie les offres de qualité qui sont régulièrement récompensées. « Au concours Best of Wine Tourism, nous avons obtenu 3 Best Of d’or dans différentes catégories », précise la responsable. En 2018, le domaine s’est, par exemple, illustré dans la catégorie « Valorisation œnotouristique des pratiques environnementales » grâce à son offre « Visite nature ». Un riche parcours proposant une balade écologique à la découverte des actions éthiques et environnementales de la propriété. L’exploration commence dans les vignes. « Nous expliquons aux visiteurs les typicités de notre terroir, le cycle végétatif de la vigne et certaines de nos pratiques environnementales », nous dévoile-t-on. La visite s’enchaine ensuite à l’atelier biodynamique, véritable « sanctuaire » dédié à ce mode cultural qui repose avant tout sur le respect du vivant. Là, les visiteurs sont initiés à la biodynamie et découvrent les ustensiles, les plantes et différentes préparations. « Tous les ingrédients de la biodynamie y sont présents, les gens peuvent toucher, sentir », rapporte Marion Merker. La promenade se poursuit au rucher, qui se compose d’une dizaine de ruches, une autre manière pour le domaine de contribuer au biotope étant donné le rôle essentiel des abeilles dans la pollinisation. Puis le parcours mène les promeneurs dans un potager planté sur le principe de la permaculture (forme d’agriculture ayant pour but de développer des modes de vie qui...
Rétablir la balance après les repas de fête, requinquer son niveau d’énergie après un coup de fatigue ou de stress, ou simplement chouchouter son organisme en lui apportant le meilleur des fruits et légumes. Les motifs pour commencer une cure detox sont variés. Kitchendiet fait de la démarche un jeu d’enfant en livrant chez soi des jus frais dont le mélange de saveurs a bénéficié de la touche du chef Mauro Colagreco. Accorder un break à son estomac « Ces cures ont pour objectif d’éviter à l’estomac de surfonctionner. L’idée c’est de s’affranchir de tout ce qui est protéique et de tout ce qui est céréales, gluten, etc., pour vraiment avoir des apports uniquement de fruits et légumes », rappelle Vincent Guillet, sur le principe de la détox. Dans ces conditions, une cure permet, en même temps, de faciliter la purification naturelle de l’organisme sans trop solliciter le foie. L’ensemble du corps profite alors d’une sorte de mise en vert qui lui est bénéfique à bien des égards. Le maximum de fruits et de légumes dans des jus frais Les jus détox Kitchenbreak apportent à l’organisme tous les bienfaits des légumes et des fruits à travers des préparations centrifugées desquelles on extrait le jus. Celui-ci est directement conditionné, sans aucun rajout. Les recettes disponibles sous le label de la maison bénéficient, en plus, d’intéressantes associations de saveurs signées par un chef doublement étoilé. « Selon le moment de la journée, on aura des jus soit un peu plus énergétiques, soit un petit peu moins énergétiques », précise le fondateur de l’enseigne pour souligner les avantages nutritionnels de cette gamme de produits. Selon les besoins, le client pourra s’orienter vers une cure « PURE JUICE » de 1, 3 ou 5 jours post fêtes ou stress ou vers une cure « FULL DETOX » de 4, 8 ou 12 jours. Cette dernière mélange des jus et des plats et se présente comme une excellente alternative pour les personnes souhaitant étendre les effets de la détox à un objectif de perte de poids. Vous pourrez également vous orienter en complément d’une alimentation saine (voire vegan pour les experts) vers une cure de thé détox à vocation énergisante ou relaxante en choisissant respectivement les formules d’infusions VITALIZE ME ou KEEP CALM sur une période de 14 ou 28 jours. ...
Ambiance chaleureuse, recettes authentiques, personnel qualifié, autant d’ingrédients qui caractérisent le restaurant Pisanov. Aux manettes : Vasil Pisanov, un vrai passionné, qui a eu le privilège de travailler auprès de grands chefs étoilés comme Christian Constant, Alain Ducasse, Christophe Moret et Alain Pégouret. Une cuisine fine et authentique Au sein de son restaurant, Vasil Pisanov propose une improbable rencontre entre deux cuisines totalement différentes. La cuisine bulgare caractérisée par sa touche slave et méditerranéenne à la fois s’associe dans des notes très harmonieuses avec la cuisine française. Résultat : des recettes originales et variées qui donnent l’eau à la bouche. « Il y a toujours une touche personnelle dans la création de mes plats », nous confie le chef du restaurant. Les mets sont préparés à partir des produits de saison et frais « acquis auprès des producteurs locaux ». Côté spécialités bulgares, vous vous régalerez avec le kapama, du chou fermenté avec quatre variétés de viande ; ainsi que le mijoté de boeuf au vin rouge, un des dix plats traditionnels de la Bulgarie composés généralement de viande de porc, de volaille, de veau, de lapin et de chou fermenté. Pour des plaisirs gustatifs où les mets et les vins s’accordent dans une douce harmonie, le restaurant propose une sélection de vins français et bulgares comme le Trastena, un vin uniquement composé de framboises 100 % bio ou un vin issu du mélange de framboises et de merlot bulgare fermenté selon la méthode ancienne. Avec sa douceur, sa rondeur et ses saveurs fruitées, il se combine parfaitement avec la viande, le fromage et le foie gras. ...