Même si nous la dégustons tout au long de l’année, l’huître de Bretagne a sa propre Histoire avec des caractéristiques bien particulières parfois méconnues mais aux multiples bienfaits et facettes qu’il est bon de connaître. Cette « Star » des gastronomes possède en sa coquille de multiples atouts dont Cancale, en Côte d'Émeraude, Capitale de l’Huître en France depuis François 1er, et inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco grâce à son savoir-faire en matière d’ostréiculture. Huître de Bretagne, une Histoire au fil des siècles L'histoire des huîtres en Bretagne-Nord remonte à la nuit des temps. De la Préhistoire à l’Antiquité, on la retrouve dès le VIe siècle dans les fastueux banquets de l’Empire romain, où l'huître plate de Bretagne avait déjà conquis une place de choix dans les menus. Importées par Rome depuis les côtes bretonnes lors des invasions en Gaule, ces délices marins ont traversé les âges. Un parcours parfois tumultueux, qui au fil des siècles, s’est toujours invitée à la table des plus fins gastronomes. Même si leur présence s'est estompée au cours du Moyen Âge, on la retrouve sous le règne de Louis XIV où l'huître retrouve ses lettres de noblesse, au point que le monarque en faisait sa pitance matinale. Au XVIe siècle, François Ier lui-même, épris de gastronomie, ne tarissait pas d'éloges sur l'huître de Cancale, contribuant à rehausser son statut. Le port et les côtes bretonnes deviennent alors le cœur battant de cette industrie florissante. Des étendues d'élevage s'étendent des baies de Saint-Malo et de Saint-Brieuc jusqu'aux côtes du Trégor et à la rade de Brest. Cependant, la frénésie d'exploitation au XVIIIe siècle engendre une surexploitation des ressources, menaçant la pérennité des bancs d'huîtres plates. Un édit royal intervient alors, interdisant la pêche du 1er avril au 31 octobre pour permettre la régénération de ces précieuses populations marines. Alors que les premiers conchyliculteurs utilisaient des coquilles d'huîtres disposées le long du rivage pour favoriser le développement des larves, c’est grâce à Victor Coste, médecin naturaliste au service de Napoléon III et de Ferdinand de Bon, commissaire de la Marine, que les prémices de l’ostréiculture moderne ont vu le jour au milieu du XIXe siècle. Leur méthode révolutionnaire, axée sur la restauration des bancs d'huîtres plates décimés par une surpêche, introduisit l'utilisation de collecteurs dédiés à la récupération des larves, instaurant ainsi un contrôle plus efficace du cycle de croissance et de récolte. De nos jours, les techniques d'élevage évoluent, accompagnées par le perfectionnement des outils d'exploitation et par une volonté permanente des jardiniers de la mer à s’assurer du respect des écosystèmes marins et de l’environnement (voir vidéo ci-dessus). Ce développement marque une nouvelle ère pour l'huître de Bretagne-Nord, assurant sa préservation et son rayonnement pour le plus grand plaisir des gastronomes. Huître de Bretagne, un merroir d'exception Les huîtres en Bretagne révèlent une diversité captivante en douze crus distincts, s'étendant de la majestueuse baie du Mont-Saint-Michel avec Cancale à la rade de Brest en passant par Paimpol, Tréguier, Arguenon, Fresnaye, Morlaix-Penzé, rade de Brest, les Abers, , offrent un éventail exceptionnel de terroirs propices à l'élevage de ces délices maritimes. Tel un vignoble ou en l'assemblage d'un vin avec ses multiples cépages, chaque cru d'huîtres, reflet fidèle de son terroir, dévoile des caractéristiques singulières, offrant ainsi une palette de saveurs uniques aux fins gastronomes. Ainsi, les ostréiculteurs, ces jardiniers de la mer, maîtrisent l'art minutieux de l'élevage des huîtres en Bretagne. Leur métier exige une expertise rigoureuse, de la pose des collecteurs pour capturer les larves jusqu'au délicat processus de demi-&ea...
Suite au décès de son mari en 2003, Brigitte Beaufort décide de changer de vie et de quitter son métier de chef de projet informatique. Elle souhaite récupérer les terres champenoises que louait son époux. Mais au préalable, elle doit retourner sur les bancs de l’école pour obtenir son diplôme d’exploitant viticole. Ce n’est qu’en 2008 qu’elle devient propriétaire d’une exploitation de 4 hectares avec 14 parcelles sur les communes de Bouzy, d’Ambonnay et de Tours-sur-Marne. En 2012, elle acquiert un bâtiment à Bouzy qu’elle fait rénover et agrandir. Il lui reste encore à faire l’acquisition de cuves pour devenir totalement indépendante. Dès le départ, Brigitte Beaufort a choisi de soigner ces cépages de Pinot noir et Chardonnay dans un processus de viticulture raisonnée et durable en prohibant les pesticides, en minorant au maximum les intrants et en privilégiant les molécules certifiées bio. Pendant la vendange, en tant que récoltant-expéditeur, elle fait presser et vinifier ses raisins chez un autre viticulteur. Par contre c’est elle qui reste maitre de l’assemblage, de la mise en bouteille, du vieillissement et du dégorgement. Avec l’aide du Syndicat Général des Vignerons, elle fait connaitre ses champagnes lors de salons professionnels en France ou à l’étranger. Plusieurs cuvées sont déjà présentes sur les tables de l’hôtel Crillon et au relais Richelieu. Ses champagnes sont également disponibles chez des cavistes, comme à St-Etienne et Béziers. Des champagnes Grand Cru Depuis le début, Brigitte Beaufort a pris le parti de ne réaliser que de petites cuvées mono-année. Avec ses 80% de raisins Pinot noir et ses 20% de raisins Chardonnay, elle crée des champagnes Grand Cru peu dosés en sucre. Par exemple, le champagne Expression Grand Cru aux fines bulles et aux parfums délicats de quetsche, ananas, citron et menthe. ...
Installé sur les hauteurs de Chiroubles et dominant la Vallée de la Saône, au cœur des dix crus du Beaujolais, le Château de Javernand a pris ses quartiers dans une belle maison bourgeoise d’inspiration italienne datant de la fin du XVIIIème siècle où il fait bon vivre avec sa grande terrasse ombragée par un noyer centenaire. Blottie dans un environnement naturel et coloré donnant sur la vallée, elle est devenue le berceau de la production de vins d’exception exprimant toute la beauté de leur terroir. Le meilleur du Beaujolais et de la Bourgogne La famille Fourneau se passionne pour les vins depuis maintenant une centaine d’années. Un héritage qu’elle reçoit d’Auguste Faye en 1917. En 2011, la 5ème génération reprend les rênes du domaine. Arthur Fourneau, déjà actif depuis quelques années est rejoint par sa cousine Mathilde Pénicaud et son mari Pierre Prost. Ensemble, le trio donne une nouvelle dynamique au Château de Javernand. Sur les 55 hectares d’un seul tenant, une vingtaine sont dédiés à la vigne. Le reste étant planté d’arbres et constitué de pâturages pour les vaches limousines et charolaises ainsi que les moutons. Le terroir de Javernand se distingue par ses coteaux granitiques et ses sols peu profonds sur « saprolite », du sable découlant du granite rose sur lequel le gamay noir s'exprime parfaitement. Grâce à une altitude entre 400 et 500 mètres, les vins révèlent plus de fraîcheur et d’équilibre. Depuis 2014, Javernand exploite aussi 3 hectares de vignes en Mâconnais composées de chardonnay et de pinot noir donnant des vins à la belle fraîcheur et minéralité. L'ensemble du domaine est en conversion progressive à l'Agriculture Biologique depuis 2018. Travailler dans le respect du sol Pour Javernand, l’objectif est d’aller au-delà du bio : via une démarche agroécologique, il vise un système de production équilibré, à la fois performant et durable, permettant d'améliorer la fertilité et la vie des sols, de renforcer la biodiversité déjà bien présente sur le domaine, mais aussi de mieux stocker/mobiliser l’eau et d'amortir les extrêmes climatiques… L’utilisation des couverts végétaux est une technique plébiscitée au domaine pour son intérêt agronomique. Au cœur de l’agriculture de conservation des sols, cette méthode permet d’enrichir la terre en matière organique, de la protéger contre l’érosion, de fixer et restituer l'eau et les éléments fertilisants aux sols. À Javernand, l’équilibre agroécologique passe aussi par l’agroforesterie. Ces deux dernières années, le domaine a planté plus de 1000 arbres sur ses terres : haies champêtres et arbres au coeur des parcelles (pratique appelée vitiforesterie). « Nous sommes un des domaines pionniers en Beaujolais [...]. Nous travaillons à la mise au point et au développement de ces pratiques au sein d'un collectif de vignerons », déclare Arthur Fourneau. Une sélection de cuvées de haute volée En plus de proposer 4 cuvées de Chiroubles aux profils variés, la maison produit également une grande diversité de vins : Mâcon-Villages et Bourgogne Blanc, Mâcon Pinot Noir, Rose de Gamay et un crémant de Bourgogne. Leur conception se fait de la manière la plus vertueuse possible. « Nous vinifions l'ensemble de nos cuvées avec pas ou très peu d'intrants (levures indigènes, aucun sulfite en vinification) afin d'obtenir des vins procurant un maximum de plaisir », fait savoir Pierre Prost. Parmi ses best-sellers figure la cuvée Chiroubles Les Gatilles à la fois classique, gourmande et élégante qui révèle des notes florales et la fraîcheur des fruits. La Cuvée Vieilles vignes est un vin d’exception d’une capacité de garde de 5 à 7 ans qui exprime une belle concentration de notes de fruits mûrs et de réglisse. Le Château de Javernand possède aussi dans sa gamme la cuvée Chiroubles Climax, un vin riche et complexe élevé en fûts de chêne qui révèle la grandeur de son terroir. Dernier et non des moindres : le Rose de Gamay, un Beaujolais-Village Rosé aux arômes ...
Anthony et Clemence Toullec, Récoltants Manipulants, vous invitent à déguster leur champagne de terroir cousu-main. Reprise des vignes familiales et création de la marque Toullec La Maison Toullec, c’est avant tout une histoire de vignerons qui se transmet de génération en génération. Aujourd’hui en charge d’un domaine de 5 hectares (en cours de certification « Exploitation de Haute Valeur Environnementale ») et cultivant 3 cépages champenois (Pinot Noir, Meunier et Chardonnay), Anthony et Clémence Toullec produisent 7000 bouteilles par an. Leur objectif : proposer un champagne de gastronomie capable de faire ressortir le terroir tout en préservant l’environnement. C’est pour cette raison que le travail est réalisé essentiellement à la main. ...
Cet ancien pavillon de chasse est repris par Félix et Élisabeth Milhard en 1870, qui décident de créer une exploitation viticole sur la propriété et de produire leur propre vin. Après la succession de quatre générations, c’est aujourd’hui Jérémie qui reprend le flambeau. Outre la production de vins, la famille Milhard-Bessard ouvre ses portes pour une visite classique, une visite prestige et une visite atelier. Le domaine bénéficie de nombreux labels qui garantissent la qualité de ses services touristiques. Il est, par exemple, reconnu par le « Best of Wine Tourisme » en 2014. Le domaine La propriété se trouve dans la commune de Petit-Palais-et-Cornemps, à 50 km de Bordeaux et à 12 km du village de Saint-Émilion. Plus précisément, elle est située à la limite de l’appellation Lussac-Saint-Émilion. Les caractéristiques du climat océanique, doux et pluvieux en hiver et frais et humide en été, s’allient avec le sol limoneux-argileux pour un développement optimal des vignes. Les cépages ont en moyenne 45 ans. Ils sont cultivés sur 10 hectares, dont 9 en rouge, composés de 70 % de merlot et 30 % de cabernet franc et 1 en blanc, exclusivement du sémillon. Le respect de l’environnement et des saisons font partie des valeurs de la famille Milhard-Bessard depuis 1870. Les méthodes ancestrales encore utilisées aujourd’hui ne nécessitent aucun produit et désherbant chimique. De simples gestes comme la taille bordelaise avec ébourgeonnage et l’effeuillage manuel à la fin de la floraison et avant les vendanges permettent à la famille Milhard-Bessard de conduire à maturité des raisins naturellement sains Et dans un souci de valoriser l’expression du terroir et de préserver la biodiversité et l’écologie, le Château Vieux Mougnac produit en bio et bénéficie d’une certification Agriculture biologique (AB) depuis 2012. La vinification Les vins sont vinifiés dans des cuves en béton, dont les volumes correspondent aux parcelles. Les températures de fermentation sont contrôlées attentivement lors de l’extraction des arômes et des composants phénoliques naturels. Le pressurage est toujours effectué avec le vieux pressoir hydraulique vertical des années 1940. Les vins vieillissent pendant 2 ans en cuves en béton, sauf les cuvées qui sont élevées 1 an en cuve et ensuite 12 mois en barriques neuves de chêne français. Les vins, quant à eux, sont mis en bouteille au château après clarification et stockés dans leur chai avant d'être commercialisés. ...
Depuis cinq générations, la famille Augé a fait du vin une passion et un héritage. C’est à Coulommes-la-Montagne, région ouest de la Montagne de Reims, qu’en 1919, la famille a commencé à cultiver les premières parcelles. Progressivement, les surfaces exploitées ont augmenté, pour atteindre aujourd’hui 8,35 hectares de vignobles. Sur ces terres classées Premier Cru, Damien Augé œuvre dans le respect des techniques héritées de ses aïeuls. Un trio de cépages bien placé Par sa position géographique, le vignoble bénéficie d'un climat où s'équilibrent les influences continentales et océaniques, permettant aux raisins d’affirmer tout leur potentiel et leur caractère. Le vignoble est planté des trois cépages champenois pour un rendement annuel de 60 000 bouteilles. Le pinot meunier accapare 70 % de la surface cultivée. Ce cépage est réputé pour donner naissance à des vins fruités. 20 % du vignoble est en chardonnay, sis en milieu de coteau, là où le soleil brille toute la journée. Le reste est planté en pinot noir. En ce qui concerne l'âge des vignes, 30 % d'entre elles ont entre 1 et 15 ans, 30 % entre 15 et 30 ans, et le reste supérieur à 30 ans. Certaines parcelles ont plus de 50 ans et servent le plus souvent à l'élaboration de la cuvée Brut Vieilles Vignes, produite avec 100 % de pinot meunier. Révélant une superbe expression aromatique et une certaine opulence, ce champagne ravira les œnophiles au moment de l’apéritif. Vers une agriculture durable Toutes les pratiques intensives usant de techniques mécaniques ou chimiques tendent à réduire la biodiversité. Damien Augé, soucieux de préserver cet héritage, se lance dans la voie de la viticulture durable, en s’efforçant d’entretenir la biodiversité du terroir tout en gardant la stabilité écologique des coteaux viticoles qui font le charme de la région rémoise. ...
Producteur laitier depuis 1988, Pascal reprend en 2003 la fromagerie de Nérondes afin de perpétuer un héritage gourmand faisant la renommée de la région du Cher. Cette dernière est, en effet, réputée pour la production du grand cru des fromages, le Crottin de Chavignol. « De nombreux critères exigeants, allant de la race des chèvres à leur alimentation, en passant par le processus d’élaboration, sont rigoureusement contrôlés afin de préserver la typicité de ce fromage d’exception », explique-t-il. Grâce à un savoir-faire et une structure d’élevage répondant à ce cahier des charges strict, la Fromagerie de Milly a obtenu cet AOP et produit aujourd’hui, avec le crottin, une large variété de fromages fermiers. Un savoir-faire au service de l’excellence Désireux de produire des mets de qualité pour sa clientèle exigeante, Pascal s’attèle à préserver un savoir-faire unique basé sur la production complète de tous ses fromages dans son exploitation. « 75 ha de terres sont ici cultivées pour l’alimentation de 200 chèvres laitières, [appartenant à la race alpine], rajoute notre interlocuteur. Nourries exclusivement avec des céréales et du fourrage provenant de ces terres, les chèvres produisent alors un lait de qualité propice à l’obtention de plusieurs variétés de fromages haut de gamme. La fabrication de ces dernières est entièrement assurée par la fromagerie qui, de l’emprésurage à l’affinage, garantit des étapes de production réalisées suivant une démarche éthique, dans le respect des traditions. Ainsi, outre le Crottin de Chavignol, appréciez lors de vos instants gourmands le Nérondais, un gros fromage de chèvre moulé à la louche, ou le Mini feuilletés, à déguster à l’apéritif. ...
Ce n’est un secret pour personne : La Grande Épicerie de Paris est un lieu incontournable de la gastronomie. Depuis novembre 2017, l’enseigne historique de la Rive Gauche a traversé la Seine et ouvert un nouveau magasin rue de Passy, dans le 16ème arrondissement. La Grande Épicerie de Paris : lieu de vie et de passion Rive Gauche comme Rive Droite, les rayons de La Grande Epicerie de Paris mettent à l’honneur une vaste sélection de saveurs d’ici et d’ailleurs : épicerie (thé, café, huile, pâtes, confiture etc.), produits frais (fromage, charcuterie, poissonnerie, boucherie etc.), références d’exception (caviar, foie gras ou truffe), cave (vins et spiritueux du monde), sans oublier la pâtisserie, la boulangerie et le traiteur dont les créations sont réalisées chaque jour par une centaine d’artisans passionnés dans les laboratoires, sous le magasin rue de Sèvres. Pour satisfaire tous les gourmets, La Grande Épicerie de Paris accorde une grande importance à la sélection de ses produits. C’est dans ce but qu’une équipe d’experts sillonne la France entière et le Monde à la rencontre des producteurs et artisans proposant les meilleurs produits mais aussi à la découverte d’innovations en tous genres dans le secteur de l’alimentaire : nouvelles textures, nouveaux ingrédients, packagings originaux, catégories de produits redynamisés,… La Grande Épicerie de Paris : une histoire à succès L’histoire de La Grande Épicerie de Paris débute en 1852. C’est à cette date qu’Aristide Boucicaut crée le premier grand magasin au monde : Le Bon Marché, où de nombreuses innovations virent le jour tels que la vente par correspondance, le blanc ou les soldes. Dès 1923, un « comptoir de l’alimentaire » est installé au sein du grand magasin et c’est en 1978 que La Grande Epicerie de Paris telle qu’on la connait aujourd’hui voit le jour. Depuis sa création, elle reste le lieu privilégié des gastronomes parisiens à la recherche de produits et d’expériences d’exception. Après un tour dans les rayons, chacun peut s’arrêter au choix sur l’un des comptoirs de dégustation essaimés dans les magasins (ibérique, thé et café, luxe et truffe entre autres) ou dans les restaurants : La Table de La Grande Epicerie (Rive Gauche) ou Le Rive Droite tenu par la chef Beatriz Gonzalez (rue de Passy). Lieu de découverte mais aussi de vie, La Grande Epicerie de Paris propose à ses clients une foule de services : de l’organisation d’événements, à la confection de corbeilles cadeaux sur mesure en passant par la livraison à domicile, le service voiturier ou la réservation de taxis. La Grande Épicerie de Paris sur le web La Grande Épicerie de Paris, ce ne sont pas seulement deux magasins dédiés à la gastronomie. C’est aussi un site internet complet et pratique qui met à disposition des internautes une vaste sélection de références livrables partout en France et en Europe et une multitude de recettes, tendances, d’informations sur les marques, les artisans et les savoir-faire. Prolongement de l’expérience en magasin, il regorge d’informations pratiques (plan, visite virtuelle, catalogue de produits) et de services complémentaires (demande de devis, privatisation du restaurant La Table…). ...
C’est en misant sur des offres de formations personnalisées ainsi que sur un partenariat efficace avec des entités industrielles de renom que « cette juridiction indépendante propose des formations adaptées au besoin de chacun et axées sur la professionnalisation des salariés actifs des entreprises », nous explique Isidore Torres, directeur du centre. La formation sur mesure : l’assurance d’une employabilité effective Créé en 1970 par des entreprises, sous l’impulsion de la loi sur la formation professionnelle, l’AFPI CENTRE Val de Loire a pour objectif d’apporter les compétences métiers parfaitement adaptées aux besoins des entreprises et de proposer des formations qui s’adaptent au public à former. Un processus personnalisé prenant en compte les besoins de chaque personne, jumelés à ceux de l’entreprise, constitue à cet effet sa marque de fabrique. L’AFPI se veut également être « un "assemblier" en mettant en place un panel d’interventions riche assuré par des formateurs professionnels dans le but de satisfaire les besoins des bénéficiaires », reprend Isidore Torres. En bon « assemblier », ce centre propose un large éventail de formations qualifiantes pour des corps de métier touchant des domaines de pointe, à l’instar de l’aéronautique, de la métallurgie, de la pétrochimie ou de l’énergie, ainsi que des métiers de l’organisation, pour ne citer que les ressources humaines. « Afin de garantir l’employabilité des formés, l’AFPI mise sur une approche inductive en priorisant les formations axées métier dont, 80 % des activités sont menées en entreprise », nous indique-t-on. Ainsi, grâce à cette maîtrise des besoins des entreprises, le centre affiche un excellent taux d’employabilité de plus de 75 % pour l’ensemble des formations. De cela, rigueur, excellence et adaptabilité trouvent ici un terrain d’expression, notamment grâce à la création d’une démarche de formation basée sur « une évaluation préformative pour chaque formé, un contenu et un plan de formation totalement individualisé ainsi qu’une certification à la clé ». À tout cela, s’ajoute le développement de plates-formes numériques collaboratives permettant à tous les acteurs de chaque formation d’interagir en tout lieu et en tout temps. ...
La maladie de Parkinson se caractérise par la disparition de certaines cellules du cerveau, les neurones dopaminergiques, impliquées dans le contrôle des mouvements. Cette maladie affecte ainsi la capacité des personnes qui en souffrent à exécuter des gestes simples de tous les jours, comme écrire, manger, se déplacer… À l’heure actuelle, la maladie ne se guérit pas. Mais il existe des traitements pour diminuer ses effets, avec des médicaments, associés à des séances de sport ou de kinésithérapie. Dans les premières années de la maladie, les patients vivent très bien avec les traitements symptomatiques, mais après dix ou quinze ans les patients présentent des troubles pour lesquels les traitements ne sont pas efficaces dans la durée. Sur le pied de guerre pour trouver des solutions curatives Si des traitements curatifs n’ont pas encore pu être trouvés, c’est parce que les mécanismes de la mort neuronale sont aujourd’hui mal compris, et par ailleurs on ne sait pas diagnostiquer assez tôt la maladie. En effet, la maladie de Parkinson se caractérise par une première phase prodromique, c’est-à-dire que, dans un premier temps, elle n’est pas visible. Et certains traitements pourraient être efficaces si l'on diagnostiquait plus tôt la maladie. Les chercheurs souhaitent donc identifier des biomarqueurs de la maladie, pour repérer au plus tôt les signes de la mort neuronale. Les effets de cette maladie sont différents selon les personnes : lenteurs, tremblements, visages figés… les symptômes sont variables. Cette hétérogénéité des troubles va en faveur de la mise en place de dispositifs de médecine personnalisée : chaque patient doit soigner sa maladie. Dans ce contexte, les jeux thérapeutiques, tels ceux développés par la startup BRAIN e-NOVATION, avec le Dr Marie-Laure Welter à l’ICM, permettent de prendre en charge les patients de manière personnalisée. Des recherches prometteuses Stéphane Hunot, chercheur à l’ICM, et son équipe, cherchent à comprendre les mécanismes à l’origine de la mort neuronale dans la maladie de Parkinson et testent l'effet protecteur de différentes molécules sur les neurones dopaminergiques. ...
Au sud-ouest d’Épernay, les Coteaux du Sézannais et du Petit-Morin sont les portes d’entrée de la Champagne. A 1 heure de Paris, vous aurez accès à la richesse d’un magnifique terroir alliant plaisir des yeux et des papilles. Au cœur de la Champagne Les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin produisent d'excellents vins de champagne grâce aux 300 vignerons exploitant les 2300 hectares plantés de vignes. Chardonnay, Pinot meunier et Pinot noir s’y côtoient sur les terres crayeuses, donnant d'agréables champagnes sur la minéralité et aux notes d'agrumes. Chaque viticulteur sera heureux de vous accueillir sur son exploitation pour vous faire déguster ce précieux nectar, célèbre dans le monde entier. Vous pourrez également savourer ces champagnes à l’occasion d’un repas au « Relais Champenois » à Sézanne, où les spécialités champenoises et les produits locaux sont mis à l'honneur, comme les escargots, les lentillons de champagne ou encore le fameux biscuit rose champenois. Côté Histoire... Les amateurs d’histoire seront ravis de parcourir cette région où le destin de notre pays s’y est joué à deux reprises. Ils pourront découvrir la colonne commémorative de Champaubert, célébrant la victoire napoléonienne de 1814 lors de la campagne de France, ou se rendre à Montdement-Montgivroux pour se souvenir de la bataille de la Marne de 1914 et découvrir son magnifique Monument de la Victoire. Mais la région offre aussi un merveilleux patrimoine architectural. Ainsi lors de votre venue, vous pourrez, entre bien d'autres choses, séjourner au château d’Étoges, cet ancien relais du Roi de France parfaitement restauré, au cœur d’un parc de 20 hectares ; vous balader dans les ruelles pavées de Sézanne, cette jolie cité médiévale fortifiée, classée petite cité de caractère ; visiter Notre-Dame du Reclus à Talus-Saint-Prix, cette abbaye cistercienne posée dans un cadre de verdure ; contempler les vitraux contemporains de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul à Villenauxe-la-Grande ou encore le splendide château de Montmirail. …. et Côté nature Si vous aimez les espaces naturels, vous pourrez admirer les nombreux animaux sauvages (faisans, canards sauvages, perdrix, chevreuils et sangliers) qui vivent dans les marais de Saint-Gond, véritable musée à ciel ouvert. Vous pourrez aussi vous ressourcer au cœur de la forêt de la Traconne, ancien domaine de chasse royal, massif forestier de plusieurs milliers d’hectares où des panneaux explicatifs vous permettront de différencier les différentes espèces d’arbres. En un mot, les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin offrent tous les ingrédients pour un week-end plein de charme et de plaisir. A consommer sans modération ! ...
Le cabernet franc et le merlot, de par l’exposition idéale des deux hectares de vignoble, révèlent tous leurs arômes et leur rondeur au travers des cuvées emblématiques du Domaine les Chagnasses. Au milieu des vignes de quarante ans d’âge, les membres de la famille Abecassis, nous entraînent au cœur de ce patrimoine authentique. Le goût de la tradition Après Jean Seynat, qui créait le domaine au début des années 60, Christine et son mari Georges Abecassis reprennent les rênes de l’exploitation en 1992. Ils perpétuent ainsi la tradition du vin bordelais en restant attachés aux valeurs familiales qui ont forgées l’identité de leur maison. Aujourd'hui ce sont leurs enfants qui reprennent l’exploitation. La quête de la qualité, faisant figure de valeur phare, s’illustre par « une maîtrise parfaite du processus d’élaboration du vin et par un contrôle complet de la chaîne », affirme Christine. L’appellation Lalande-de-Pomerol : une fierté et une réussite Situé au cœur de la région viticole bordelaise, les vignes ont une situation privilégiée au croisement des communes de Néac, Lalande de Pomerol et Pomerol. Le Domaine les Chagnasses conçoit du bon vin rouge à souhait répondant aux critères de l’appellation Lalande-de-Pomerol. Les vins bénéficiant de cette appellation sont, en effet, dotés d’une puissance en bouche et d’un bouquet gourmand en longueur, ce qui est le cas de la Douceur, millésime 2009, un vin du domaine élaboré à 100 % de merlot. Outre ce vin exquis, le Domaine les Chagnassess est fier de ses vieux millésimes riches d’une mosaïque de saveurs et d’un potentiel aromatique affirmé. Toute cette typicité gustative est mise en valeur par « une viticulture raisonnée conduite dans le respect du terroir ». ...
Situé dans le quartier du Marais, à Paris, le restaurant L’Alivi nous emmène dans l’atmosphère d’une auberge traditionnelle corse. Ses pierres apparentes, ses poutres, son superbe carrelage de tommettes d’époque ainsi que ses belles bouteilles en font un espace convivial. Il est également doté d’une terrasse très agréable sur une venelle piétonne. Des chants polyphoniques vous accompagnent tout le long de votre repas et participent à cette chaleureuse ambiance. Saveriu Cacciari, le propriétaire du restaurant L’Alivi, et toute son équipe vous accueillent avec plaisir tous les jours, midi et soir. Des plats et des vins 100 % corses Ici, tout est fait maison à partir de produits frais de saison ou typiquement corses, sélectionnés avec soin. Le chef aime façonner des produits bruts pour les mettre en valeur et révéler toute leur saveur. En semaine, la formule déjeuner à 15 € se compose d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Le soir, découvrez les formules 2 ou 3 plats, respectivement à 24 et 30 €. Ou choisissez dans la carte pour vous régaler de spécialités régionales corses. De nouvelles recettes sont mises à la carte régulièrement. Les gros mangeurs pourront savourer une côte fermière de cochon de 500 g, rôtie au four et accompagnée d’une purée maison parfumée à la nepita, une herbe typique du maquis corse dont le gout se rapproche de celui de la marjolaine. Quant aux autres, ils pourront se régaler avec un civet de sanglier ou un filet de loup corse à la plancha. En dessert, il faut absolument (re)découvrir le fiadone du chef et son limoncello, un gâteau traditionnel réalisé à partir de fromage frais de brebis, le brocciu. Bien sûr, vous pourrez également apprécier les charcuteries et les fromages corses. Pour accompagner votre repas, la carte des vins propose une belle sélection. Des vins 100 % corses issus de petits domaines, dont un tiers est en bio. Découvrez également la suggestion du mois : rouge, rosé et blanc. ...
Cette maison de maitre au style néoclassique attire irrémédiablement l’attention. Ancienne résidence de nombreuses familles dont l’histoire est liée à celle de Strasbourg, la villa Kayserguet prend un coup de jeune lorsqu’elle commence à abriter le Lieu d’Europe et se pare d’un espace vitré donnant sur le parc. Lieu d’Europe (Strasbourg) : un centre de partages et de rencontres sur l'importance des institutions européennes... À l’intérieur, la visite débute par l’exposition permanente qui « veut montrer le lien très fort entre la ville de Strasbourg, ville aux origines européennes anciennes, et la construction européenne », explique Anne Billaut, directrice. Dans la partie historique, elle déroule la construction chronologique des institutions européennes en démarrant avec le Conseil de l’Europe qui voit le jour en 1949. « Fait intéressant : ce sont les Anglais qui ont suggéré que Strasbourg soit la ville siège de cette organisation intergouvernementale européenne », souligne Anne Billaut. Cette première pierre angulaire a permis ensuite à Strasbourg d’accueillir les autres institutions. À l’étage, les visiteurs ont accès à un centre de ressources et d’informations sur les institutions européennes. « Documents et brochures en plusieurs langues sont en libre service. Une documentaliste est également présente et guide les visiteurs dans leurs recherches », indique la directrice de l’établissement. Lieu de débats, d’échanges, de partages et de rencontres, le Lieu d’Europe est également doté, au premier étage, d’une salle de réunion et de projection baptisée « Daniel Riot », en hommage à ce journaliste français spécialiste de l’Union européenne. ...
Son cœur de métier est la gestion de biens immobiliers permettant l’accueil industriel et tertiaire de ces entreprises. Elle répond aux besoins spécifiques liés à leurs activités : salles blanches ultra propres, laboratoires équipés, aménagement logistique et autres prestations sur site telles que des espaces collaboratifs et de co-working, des salles de réunion, un accès très haut débit fibré, une restauration de proximité, etc… Des parcs d’activités dédiés La SEML Route des Lasers assure l’aménagement, la construction, l’exploitation et la maintenance de 4 parcs d’activités dont un acquis récemment. Sur la commune du Barp, près du Bassin d’Arcachon, les parcs technologiques et scientifiques Laseris 1 & 2 s’étendent sur une surface totale de 40ha. Accueillant à l’origine les entreprises primo-contractantes du Laser Mégajoule exploité par le CEA-CESTA, ils offrent aujourd’hui un espace de développement privilégié aux sociétés souhaitant s’implanter en Gironde et bénéficier de l’émulation créée par le LMJ. Aujourd’hui, 35 entreprises, soit environ 300 personnes, travaillent quotidiennement sur Laseris. A Pessac, à proximité des grands laboratoires et centres de recherche de l’université de Bordeaux, la Cité de la Photonique accueille 27 entreprises, ce qui représente environ 400 emplois. Elle compte 7 bâtiments pour une surface totale de 23 000 m², le dernier étant livré en juin 2018. La SEML Route des Lasers a fait l’acquisition de l’ancien site industriel de Thales situé à Pessac-Bersol et a entrepris le réaménagement du parc pour y accueillir notamment des plateformes technologiques, des start-up, des ETI et des services. La société SERMA Technologies sera le premier occupant de ce parc de 11 ha à la fin 2018. Un accompagnement personnalisé pour l’implantation de votre entreprise La SEML Route des Lasers accompagne les entreprises souhaitant s’implanter en Gironde ou étendre leurs activités sur ses sites. Elle met à leur disposition son savoir-faire en tant qu’aménageur-constructeur, gestionnaire et mainteneur. Elle définit leurs besoins architecturaux, énergétiques et étudie avec elles les faisabilités techniques et financières de leur projet. Un écosystème environnant les aide dans leur développement technologique ou financier autour du centre de ressources Unitec, du pôle de compétitivité ALPHA-RLH, du centre technologique optiques et lasers, ALPHANOV, du CEA Tech et des nombreux laboratoires universitaires. ...
Le Château de Gensac porte en lui un riche passé. Surplombant la Vallée de l’Auvignon, un écrin pour de nombreux châteaux gascons, il n’a jamais connu un destin ordinaire. Après sa construction au XIIIème siècle, il sera utilisé de nombreuses fins notamment comme base militaire durant les grandes guerres, mais aussi comme orphelinat. À proximité du château se dresse une chapelle du XIVème siècle surmontée d’un clocher-mur. À l’époque, il s’agissait d’une église à part entière qui a subi des agrandissements au fil du temps. Désormais désacralisé, cet ancien lieu spirituel accueille des évènements culturels. En 2017, Jan et Kim Schürmann tombent littéralement amoureux de cette immense propriété de 300 hectares sise dans le Gers entre Toulouse et Bordeaux. Le couple décide d'en faire acquisition et mettent rapidement en place des modifications. Tout en conservant le cœur de Gensac, il modernise le profil des produits et créé une image et une philosophie contemporaines du Domaine. Un écosystème exceptionnel Sur les 300 hectares constituant la propriété, seuls 20 hectares sont dédiés à la culture de la vigne. Le reste est consacré à la culture de céréales, plantation de peupliers, forêts et prairie naturelles. Une grande partie des terres a été mobilisée à titre de pâturages pour offrir un cadre de vie heureux et épanouissant aux chevaux. Le Château de Gensac possède également une écurie proposant des pensions en box-terrasse ou en stabulation au public. D’ailleurs, l’image de marque du Château de Gensac est intimement liée au monde hippique. « Les visuels et les dénominations utilisés sur nos vins sont le reflet des pratiques de dressage en équitation comme le Piaffer ou le terre à terre pour faire le lien entre nos deux passions », témoigne Jan, totalement enchanté par la plénitude de cette nouvelle vie de vigneron. Après une longue carrière dans l’industrie agro-alimentaire, son arrivée au domaine sonne comme un retour aux sources. Un endroit qu’il façonne dans le respect d’une pratique éco-responsable. « Une grande naturalité et biodiversité se développe sur notre exploitation. Nous avons même décidé d’entamer une conversion bio pour matérialiser notre engagement. » Des vins de caractère et de grande qualité Le domaine propose des vins en IGP Gers et fait partie des rares maisons à se positionner sur cette appellation. La production de ces cuvées authentiques résulte d’un travail de longue haleine. Car prendre soin d’une grande diversité de cépages exige rigueur et implication. En tout onze variétés sont cultivées sur les terres à dominance argilo-calcaire à savoir le tannat, le malbec, le merlot, le fer servadou, le cabernet sauvignon, la syrah, le sauvignon gris, le sémillon, le petit corbu, le petit manseng et pour l’armagnac, l’ugni blanc et le colombard. Dans cette volonté d’élaborer des vins de grande qualité, les vendanges sont faites à la main et le domaine a volontairement choisi un faible rendement par hectare. Une fois les grappes acheminées jusqu’au chai ultramoderne, les vins passent par une vinification en cuve inox et un élevage en barriques neuves de chênes français. Un processus également appliqué dans la fabrication de l’armagnac qui constitue un autre fer de lance de la maison. Les vins obtenus prônent l’excellence et la beauté de leur terroir. À l’image de la cuvée Terre à Terre qui reçoit l’éloge des critiques internationaux tels qu’Andreas Larsson, James Suckling ou encore Jancis Robinson. Élaboré à partir de tannat, de malbec et de merlot, ce rouge puissant qui allie noblesse et saveurs gourmandes se déguste idéalement avec des ragoûts, des plats épicés, de la viande rouge grillée, des fromages forts ou encore des plats rustiques. Terre à Terre existe également en blanc sec issu d’un assemblage de petit courbu et de sauvignon gris. Un nectar qui accompagne à merveille des poissons en sauce, des fruits de mer, du foie gras, des poissons marinés et de la viande blanche gri...
Liée à l’histoire de Nevers, grand pôle faïencier depuis le XVIe siècle, sa collection maîtresse est celle de céramiques. La plus grande salle du musée est dédiée à la présentation de cette collection d’exception. Les oeuvres, très diverses, reflètent la richesse d’une production. Pièces en faïence de grand feu du XVIe au XXe siècle, les créations exposées dévoilent tout un pan de l’histoire d’un art, d’une activité économique mais également d’une société, art de cour au XVIe et XVIIe siècles, la faïence entre dans les maisons bourgeoises puis populaires au XVIIIe et XIXème siècle. Grands plats ornementaux, carreaux de pavage, bouteilles à décors, statues, plaques décoratives ou objets atypiques nous racontent cette épopée mêlant grande et petite histoire, savoir-faire technique et art. Une impressionnante collection de verre A cette collection s’ajoute celle de verres émaillés, dits verres filés. Cette collection de verre est la plus importante d’Europe et provient essentiellement de la Collection Loynel d’Estrie, déposée par le Musée du Louvre à Nevers en 1998. Collection insolite, elle donne à découvrir cet artisanat très prisé aux XVIIe et XVIIIe siècles et qui est aujourd’hui perdu. Nevers, foyer de formation des maîtres émailleurs, était doncle lieu idéal pour présenter ces boîtes et figurines. Fascinantes, tant par la variété des sujets abordés, scènes de genre comme scènes religieuses, que par la qualité. Les amoureux des beaux-arts trouveront aussi de quoi satisfaire leur curiosité, avec objets d’arts et tableaux de maître. Mais au-delà des œuvres, une véritable découverte du bâtiment s’offre aux visiteurs sur 2 100 m2 où se côtoient bâtiment contemporain et vestiges médiévaux. ...
Que ce soit en salle avec vue sur la cuisine, en terrasse ouverte, ou juste en terrasse couverte comme c’est le cas à Colomiers, BATbAt est d’abord un lieu de découverte de nouvelles saveurs. Son art particulier de cuisson des viandes infusées aux herbes aromatiques ou encore aux racines fraiches font de celles-ci un délice d’exception pour les palais. Au menu, des plats typiques de la cuisine de rue vietnamienne, et d’autres qui sont revisités grâce à la touche occidentale dont seul Olivier Barbot, fondateur de BATbAt, a le secret. Des plats traditionnels avec la touche BATbat Bo Bun au saumon ou à la viande de bœuf, pho dont la viande infuse dans le bouillon à la cannelle, au gingembre et à la cardamome noire, rouleaux de printemps à la viande ou au poisson, gâteau vietnamien au manioc, dessert à la banane fraiche… Autant de mets traditionnels mais préparés avec la touche BATbat qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. De quoi satisfaire pleinement les papilles des adeptes de la cuisine d’Asie du Sud-Est. Chez BATbAt, le plat phare est le bo bun. Il est proposé sous sa forme traditionnelle à base de bœuf ; mais il est également décliné avec du saumon, des crevettes ultra fraiches ou bien encore du porc légèrement épicé, accompagné de vermicelles de riz, d’herbes aromatiques et d’une sauce sans huile. Bien entendu, le pho, plat national du Vietnam, y est servi. Mélange de nouilles de riz accompagnées de viande de bœuf coupée en fines tranches, façon pastrami, et servies dans un bouillon bien chaud avec diverses herbes aromatiques : les aficionados y reconnaitront son excellence. Les rouleaux de printemps, autre spécialité typiquement vietnamienne, sont ici étonnamment préparés avec de la salade de papaye verte, garnis de poisson ou de viande, sans oublier les herbes aromatiques. Comme dessert phare, l’on retrouve le fameux che, une composition en couches translucides mêlant tapioca blanc, banane fraiche, crème de coco et cacahuètes pilées. Ambiance world food Pour accompagner tous ces plats, BATbat propose des boissons faites maison, à l’instar de la citronnade fraiche, des thés glacés déclinés avec des sirops maison de menthe, de framboise, sans oublier les thés chauds déclinés en différents parfums. La bière vietnamienne, quant à elle, est forcément de la partie : 33’ Export, Saigon, Hanoi et Lao. Enfin, le maitre des lieux Olivier Barbot a à cœur de présenter une carte des vins, constituée de vins de pays, entre vins rouges et rosés, souvent bio, comme des IGP Côtes-Catalanes, les vins des Vignerons d’Estézargues ou encore ceux du Domaine des Schistes. Par ailleurs, les restaurants BATbat proposent un service à emporter, une livraison à domicile et un service traiteur. Plats traditionnels et originaux à la carte ; vins bio, bières importées et thés qui se marient parfaitement ; prix très abordables, avec un ticket moyen de 13€ le midi 21 € pour un repas complet le soir… On l’aura compris, la cuisine de rue du Vietnam est la marque de fabrique de BATbAt, mais pas seulement : la finesse des préparations culinaires et la qualité de l’accueil attirent un nombre grandissant de fidèles de ces trois restaurants, devenus aujourd’hui une référence. ...
Situé en Normandie sur la route du cidre, au cœur du pays d’Auge, le domaine familial Pierre Huet se compose de 30 hectares de vergers hautes et basses tiges, sur lesquels on compte plus de 25 variétés de pommes à cidre. Grâce à un terroir naturellement propice à la production de pommes, le domaine Pierre Huet produit et commercialise dans le monde, selon des critères très stricts, quatre des six Appellations d’origine contrôlée (AOC) cidricoles normandes : - Calvados pays d’Auge - Calvados - Pommeau de Normandie - Cidre pays d’Auge Des cidres et des calvados authentiques… Au sein de cette production, la fabrication des cidres et des calvados constitue un savoir-faire inestimable, transmis de génération en génération depuis plus d’un siècle. En conjuguant tradition et innovation, la famille Huet a ainsi pu acquérir une grande notoriété par la commercialisation de son précieux breuvage : le calvados. Elle est passée maître dans l’art des assemblages subtils et délicats. Cette pratique, fruit d’une longue expérience, consiste à assembler des eaux-de-vie de maturité et d’âges différents pour obtenir une qualité constante. …et d’autres produits issus de pommes ou de poires Vous pouvez choisir un poiré demi-sec, un cidre de poires, qui se marie à merveille avec les desserts aux fruits. Pour l’apéritif ou pour accompagner un foie gras, optez pour le pommeau vieilli en fûts de chêne. Le Domaine Pierre Huet propose également de la crème de calvados, de la crème de pomme verte, de la liqueur de poires au calvados, du jus de pommes, ou encore du vinaigre de cidre ou de poiré. Visite du domaine Le domaine Pierre Huet ouvre ses caves à la visite tout au long de l’année. Grâce à votre guide, vous découvrirez l’élaboration du calvados depuis la pomme jusqu’au produit fini. En 2010, un nouvel espace d’accueil comprenant boutique et distillerie a été construit sur le Domaine. Les alambics chauffés aux copeaux de bois y ont une place primordiale, dans une optique de développement durable et d’économie d’énergie. Cet espace a été totalement pensé pour une production plus raisonnée. Une distillerie innovante et unique en Normandie ! Le Domaine vend environ 60 % de sa production en direct à la propriété, 25 % à l’export dans de nombreux pays comme la Belgique, l’Allemagne ou l’Autriche ou encore les États-Unis et le Japon. ...
Se lancer dans le saut en parachute avec l’assurance d’un accompagnement personnalisé en toute sécurité, c’est l’opportunité offerte par VIP Parachutisme à travers ses différents coffrets. Bonus de l’enseigne : tout le monde est bienvenu, même au-delà de 100 kg (sauf contre-indication médicale). Vous révélez l’un des plus beaux trésors du monde : « VOLER » Grâce à son expérience de vingt années de pratique dans le monde du parachutisme, sans l’ombre d’une hésitation, il vous « embarquera » pour un moment de vie sans précédent. Philippe Malié, fondateur de VIP Parachutisme vous entraînera avec passion, entre Terre et Ciel dans son « Open Space » à 4000 m d’altitude pour Vivre Intensément et Passionnément le parachutisme. Un art de vivre qui conjugue désir de découverte, stimulation, challenge et dépassement de soi. Une alliance subtile d’énergie et de palpitations à vivre sans limites… Confiance en soi requinquée et lâcher prise assurée. À partir de 15 ans, de 45 à 110 kg (sauf contre-indication médicale), bénéficier des capacités d’écoute et d’expertise des moniteurs. ...
Une entrée sur l’histoire de la Ville L’établissement intègre un espace patrimonial situé au cœur du bâtiment, face à l’enceinte gallo-romaine. Produit et mise en oeuvre dans le cadre du label Ville d’art et d’histoire, l’espace patrimonial permet de découvrir la construction et l’évolution de la ville depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours. Pensé comme une expérience, cet espace offre différents outils ludiques à expérimenter en famille. Un lieu de médiation de l’art La programmation du Quadrilatère associe une politique d’expositions temporaires, un programme culturel et éducatif à destination d’un large public. Les expositions monographiques ou collectives présentent des oeuvres et recherches artistiques contemporaines et accompagnent l’évolution des pratiques artistiques. Proposée comme des temps de rencontre entre les oeuvres et le public, la programmation culturelle se construit autour de dispositifs de médiation et d’accompagnement à la découverte de l’art contemporain. Une équipe aux petits soins pour le public L’équipe du Quadrilatère utilise son imagination afin de proposer des actions de médiation innovantes. Le but étant de rendre accessible au plus grand nombre la découverte des arts et du patrimoine. Pour cela, les expositions et les médiations favorisent souvent l’expérience, qu’elle soit artistique, scénographique, chorégraphique, ou gustative et toujours conviviale! ...
Le Village des Tortues, un espace naturel de deux hectares dédié aux chéloniens, est situé à Gonfaron, au pied du massif des Maures. Il a été créé en 1988 par l’association SOPTOM, dans le but d’étudier et de protéger la Tortue d’Hermann, menacée de disparition. Au fil des années, le centre a recueilli d’autres tortues, terrestres ou aquatiques. Ces animaux sont pour la plupart des cas blessés, abandonnés, ou donnés par des particuliers et les douanes. Le parc, ouvert au public, accueille 10 000 visiteurs chaque année, ce qui fait de ce lieu le troisième attrait touristique du Var. L’objectif et le mode de financement de l’association SOPTOM SOPTOM est l’acronyme de Station d’Observation et de Protection des Tortues et de leurs Milieux. Cette association à but non lucratif a été créée en 1986 par Bernard Devaux et le biologiste anglais David Stubbs, respectivement le directeur fondateur et le président. Leur motivation est de sauvegarder la Tortue d’Hermann, la seule tortue terrestre de France dont l’espèce est en voie de disparition. Dans ce but, la SOPTOM a fondé le Village des Tortues en 1988. Il s’agit d’offrir à la Tortue d’Hermann un milieu naturel de deux hectares où elle est réintroduite, observée et protégée. L’association accueille actuellement plusieurs espèces de tortues terrestres et aquatiques, provenant de 35 pays différents. Elles sont entretenues par des éco-volontaires qui arrivent par centaine chaque année. En somme, la SOPTOM a déjà accueilli plus de 1200 bénévoles, sans aucune participation financière. Les recettes de l’association se basent sur les tickets d’entrée au Village, les produits vendus en boutique ou en ligne, les adhésions à l’association et les parrainages des tortues. Dans sa lutte pour le respect de ces animaux sauvages et de leurs milieux, la SOPTOM s’engage à instruire le grand public. Outre les conseils lors des visites guidées, elle dispense aussi des formations deux fois par an : en avril et septembre. Les séances durent six jours, au bout desquels un Certificat d’Aptitude est délivré. Comme la SOPTOM défend la cause des tortues en général, elle étend ses activités hors de la France. Elle a ainsi déjà créé deux autres «villages » à Madagascar et au Costa Rica, et prévoit également de le faire au Maroc. Une Clinique pour les tortues La Clinique du Village des Tortues est le premier centre médical dédié aux tortues dans toute l’Europe. Chaque année, elle accueille et soigne 300 tortues abandonnées ou blessées. Des spécialistes qualifiés y soignent différentes pathologies: carapace brûlée dans un incendie, scalpée par une tondeuse ou écrasée par un véhicule, etc. Pour les patientes maintenues en terrarium, en l’occurrence, la clinique substitue l’ensoleillement naturel par des lampes à ultra-violet. Leurs carapaces y sont directement exposées afin de fixer leur calcium. Après les soins, elles passent leur convalescence dans la zone d’observation avant d’être relâchées dans la nature. Des tortues venues des quatre coins du monde Au début, le village a été prévu pour abriter la Tortue d’Hermann, la seule espèce terrestre qui ne se trouve qu’en France et pourtant menacée d’extinction. Depuis, il recueille également l’Emyde lépreuse et l’aquatique Cistude. Outre ces espèces autochtones, des tortues exotiques sont aussi confiées au parc par les Pouvoirs Publics. Ces chéloniens, pour la majorité des cas, ont été sauvés du trafic par les douanes. Tels sont les cas des tortues corses, des tortues léopards du Sénégal ou encore des tortues rayonnées de Madagascar. Celles-ci, très convoitées par les trafiquants, ont un enclos surveillé par une caméra vidéo. Parmi les résidents du village se trouvent aussi des tortues géantes de Madagascar et d’Aldabra. Bien que leur taille soit impressionnante, celle de leurs ancêtres préhistoriques l’est encore plus. Pour instruire les visiteurs sur l’évolution de cette espèce, le parc a créé une zone qui les ramène vers...
À seulement 2h30 de vol de Paris se trouve Malte, bel archipel de trois îles au cœur de la Méditerranée,possédant tous les atouts pour garantir le succès de vos évènements : une météo agréable toute l’année, des infrastructures modernes, un riche patrimoine historique et des professionnels engagés dans une exigeante démarche de qualité. Malte est sous les feux des projecteurs en 2018, grâce à sa capitale La Valette, Capitale européenne de la culture dont le fil conducteur des différents événements sera la fameuse « Festa », la fête maltaise. C’est l’occasion de redécouvrir l’archipel méditerranéen à seulement 2h30 de Paris. Le pays le plus au sud de l'Union Européenne, avec sa petite taille (316 km²), offre un cadre exceptionnel pour les groupes MICE. Doté d'un patrimoine historique très riche allant de la préhistoire à nos jours en passant par l'époque des Chevaliers de l'Ordre de St Jean, Malte connaît un renouveau grâce à la désignation de La Valette, Capitale européenne de la culture en 2018. La création de musées et de lieux de réceptions ainsi que la restauration des sites historiques et les ouvertures de nouveaux établissements ont renouvelé l'offre des îles de Malte, Gozo et Comino. Avec des temps de transfert courts, un climat doux toute l'année et la variété de lieux à disposition des événements, l'archipel maltais est un terrain de jeu formidable pour tous les organisateurs événementiels. La Valette, Capitale européenne de la culture Entrée dans l’Union européenne en 2004 avec un grand enthousiasme, Malte n’en finit plus de célébrer l’Europe. Après avoir assuré la Présidence tournante de l’Union Européenne au premier semestre 2017, le pays voit capitale La Valette nommée capitale européenne de la culture durant toute l’année 2018. Avec notamment des festivals de musique, de design, de littérature, des concerts, des opéras et des expositions, ce sont plus de 400 événements culturels qui sont programmés pour cette année exceptionnelle. Afin de préparer cet événement, la ville a su se renouveler : l’entrée de la ville a complètement été réaménagée. Son bâtiment le plus remarquable est le nouveau parlement conçu par l’architecte italien Renzo Piano. Moderne tout en s’intégrant totalement à la ville, le ton est donné et rappelle que La Valette est une ville historique mais résolument tournée vers le futur. Les édifices historiques, tels que le Fort St Elme à la pointe de La Valette ou le Fort St Angelo dans le Grand Port, ont été restaurés et aménagés. Au-delà de leurs parcours muséographiques, les espaces ont aussi été pensés dans un cadre événementiel avec une grande partie privatisable. La prochaine ouverture importante mi-2018 est le MUŻA, le Musée des Arts de Malte, qui prendra ses quartiers dans l’Auberge d’Italie, un des plus beaux palais de la ville. De nombreux et somptueux hôtels L’offre hôtelière de Malte surprend toujours par sa quantité et sa qualité. En effet, elle propose 15 hôtels 5 étoiles dont 13 sont équipés de centres de conférences et 41 hôtels 4 étoiles dont une bonne partie possède les infrastructures nécessaires pour accueillir des séminaires. Ainsi, Malte parvient à s’adapter à tous les budgets. St Julian’s, ville de bord de mer se situant à 15 minutes de La Valette, concentre la plus grande offre d’hôtels 5 étoiles, appartenant à de grandes chaînes internationales, ou des hôtels indépendants et des boutique-hôtels. Ces établissements sont à une distance de quelques minutes à pied les uns des autres, ce qui a permis d’accueillir de grandes conventions de plusieurs milliers de personnes. St Julian’s est aussi le cœur battant de la nuit maltaise. Bars et restaurants en nombre permettent aux visiteurs de profiter pleinement de la fête à deux pas de leur hébergement. Avec deux hôtels de cinq étoiles, La Valette est tout aussi accueillante pour les groupes. L&rsquo...
Au grand plaisir des clients en quête de bonne cuisine, l’ouverture du restaurant Au Bassin à Périgueux est une belle aventure culinaire qui ne fait que commencer. À partir d’une ancienne ambiance de café, l’établissement connait aujourd’hui une affluence différente avec la fréquentation d’une clientèle beaucoup plus exigeante qui y effectue le déplacement dans le but de partager un bon repas en famille ou entre amis. Un nouveau départ Judicieusement placé à la sortie de la voie des stades, le restaurant Au Bassin est, pour la plus grande part, fréquenté par les habitants de Coulounieix-Chamiers et des quartiers environnants, mais aussi par de nombreux groupes sportifs et clubs de loisirs différents. À travers des plats simples cuisinés sur place, la maison attire sympathie grâce à un accueil chaleureux et particulièrement convivial ainsi qu’une admirable volonté à aller de l’avant. Une cuisine traditionnelle Beaucoup plus qu’un simple restaurant, Au Bassin est surtout une très bonne adresse à la table sympathique très appréciée de tous ceux qui recherchent des recettes d’antan dans leurs assiettes. Les chefs aiment surprendre leurs clients à travers une cuisine entièrement maison et très goûteuse, préparée à base de produits frais, pour leur donner le plaisir de renouer avec la bonne cuisine traditionnelle à qui l'établissement reste fidèle. De la disponibilité à revendre Ouvert six jours sur sept et toute la journée, le restaurant Au Bassin l’est également les jeudis, vendredis et samedis soirs, l’avantage étant de pouvoir s’y rendre sans réserver et d’y trouver facilement une table pour 8 ou 10 personnes. Pour les autres jours, il est plutôt recommandé d’effectuer une réservation. Cette grande disponibilité apporte au lieu, un très grand avantage qui progressivement suit son petit bonhomme de chemin dans un effet très réussi, ce qui vaut à l’établissement, une fréquentation élevée. Un personnel accueillant Constamment à l’écoute des attentes de la clientèle, le restaurant Au Bassin se distingue surtout par le professionnalisme de son personnel. À travers une qualité d’accueil remarquable et un fort sens du service, il déploie tout un art pour répondre au plus près à leurs besoins. C’est un restaurant où on se sent particulièrement bien accueilli et où on a régulièrement envie d’y revenir. ...