Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...
La masse de données qui circule dans le monde est si énorme que l’on aurait besoin d’un millier de forêts amazoniennes pour parvenir à toutes les transcrire sur papier. Heureusement que des solutions comme le big data existent et ont été conçus pour justement comprendre ces informations, les analyser afin d’en extraire les données utiles et essentielles au moment voulu. Jusqu’ici, la science des données reste la meilleure arme stratégique pour prédire l’avenir. Le concept Basé sur le modèle pédagogique des bootcamps, Jedha propose des formations présentielles et intensives de huit semaines pour maîtriser la data science : outils de web analytics, de data visualisation, SQL et Python appliqué au Machine Learning. Les 40 heures de cours s’alternent entre cours sur l’algorithme et statistiques d’une part, et des entraînements individuels et exercices de groupe, d’autre part. « Nous abordons chaque module en fonction des problématiques actuelles en entreprise, de telle sorte que l’ensemble de la formation puisse apporter une solution réelle et immédiate à nos apprenants », précise Antoine KRAJNC, CEO et fondateur de Jedha. D’autres consultants externes, issus d’une dizaine d’entreprises expertes dans le métier, viennent régulièrement échanger et partager leurs propres expériences avec les étudiants. La dernière semaine du programme est entièrement consacrée à la pratique avec un projet de Data Science. L’espace de travail se transforme en un véritable laboratoire où les apprenants peuvent expérimenter les techniques acquises, confronter leurs compétences et découvrir de nouvelles possibilités dans le but de résoudre une problématique donnée, avec pour finalité bien évidemment de décrocher le certificat. Une communauté collaborative En parallèle, le bootcamp organise des workshops dans ses locaux. Quand une trentaine de personnes connaisseuses et passionnées de la data science se réunissent autour d’un sujet, cela crée une vraie émulation d’idées et de connaissances. « La première heure est dédiée à la présentation, après les participants se retrouvent autour d’une bière ou d’un petit café pour discuter et se construire un réseau. » Le public de ces events se compose de jeunes étudiants, d’entrepreneurs, mais aussi de professionnels dans le métier ou en reconversion ainsi que des data analyst confirmés. Par ailleurs, l’équipe Jedha est à même de concevoir un accompagnement sur mesure des projets d’entreprise dans le data management et data analysis. Cette formule cible au plus près les besoins spécifiques de chaque écosystème tout en développant les compétences de l’équipe interne. ...
Depuis 5 000 ans, l’Ayurveda, littéralement « science de la vie », et médecine intégrative est pratiquée en Inde comme un art de vivre. Cette ancienne médecine holistique est reconnue depuis 45 ans par l’Organisation mondiale de la santé. Elle est enseignée en Inde, en universités et instituts gouvernementaux (une centaine), le doctorat de base, étant de 6 ans (BAMS : doctorat en Ayurveda, médecine et chirurgie). Narendra Modi a créé le ministère des médecines traditionnelles : AYUSH ( Ayurveda, yoga et naturopathie, Unani, Siddha et homéopathie), dont le Dr Kotecha en est le secrétaire d’état. Faire connaitre une partie des connaissances liées à cette discipline et les partager à travers des formations combinant à la fois théories et pratiques, tel est l’objectif de l’AssPPA (Association pour la promotion et la pratique de l'Ayurveda). Une médecine douce Médecine traditionnelle indienne, l’Ayurveda traite l’individu dans son ensemble. « Elle se fonde sur l’observation de l’être humain, de son environnement mais aussi sur son hygiène de vie et alimentaire », explique Marie Christine Campo-Paysaa, la fondatrice de l’association. Pour les soins et les thérapies, l’Ayurveda utilise essentiellement les massages, des plantes, des pierres et des minéraux, mais aussi des métaux tels que le cuivre, le zinc, le fer, le mercure, l’argent, l’or. En médecine ayurvédique, le corps et l’esprit sont indissociables. Ainsi, pour restaurer l’équilibre et l’harmonie globale, le yoga, la méditation et les massages occupent une place privilégiée. Une rencontre déterminante L’association voit le jour en 1995 sous le nom de Corps et Conscience. « À l’époque, nous ne proposions que des séances de hatha yoga et de yoga nidra », nous indique-t-elle. En 2003, Marie-Christine Campo-Paysaa fait la connaissance du Dr Kotecha, un éminent médecin ayurvediste. « Cette rencontre a été comme un déclic et nous nous sommes tournés vers l’Ayurveda », raconte notre interlocutrice. C’est dans ce contexte que va naitre le Centre Ayurveda d’Aquitaine. Des formations complètes Le centre dispense des formations diplômantes, portant non seulement sur les bases théoriques de l’Ayurveda mais également sur les pratiques des différentes techniques de massage. S’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels désirant se reconvertir, ou compléter leurs connaissances, ces formations durent entre 15 et 17 jours, impliquant 6 jours d’enseignement théorique. Grâce à un partenariat noué avec Chakrapani Ayurveda Clinic & Research Center (clinique fondée par le Dr Kotecha) basée à Jaipur, les étudiants ont l’opportunité de finir leur cursus en Inde. ...
Capite Corpus a été créée en 2003 sous l’impulsion de Laurent Lagarde. L’entreprise est née d’un simple constat : en management, il existe, d’un côté, les concepts et les grandes théories et, de l’autre, la réalité du terrain. « Les apports très conceptuels du management ne permettent pas de résoudre certains aspects plus pragmatiques comme motiver son équipe, la remotiver ou encore la recadrer si nécessaire », explique Chrystel Belvisi, directrice associée. Capite Corpus part du principe que la plupart des gens savent « quoi faire », mais ignorent « comment faire ». Pour cela, l’organisme de formation se veut être un véritable centre d’entrainement, où chaque participant est placé dans des situations professionnelles réalistes pour l’aider à adopter de nouveaux réflexes de communication. « Les participants sont toujours dans une démarche active, participative voire de co-construction de la formation avec le formateur », souligne la directrice. En d’autres termes, la formation se fonde sur la valorisation des bonnes pratiques déjà acquises, en mettant en lumière les expériences de chacun. Des formations sur mesure Doté des certifications « NF Service formation » et « OPQF », Capite Corpus propose des formations sur mesure de qualité, adaptées aux attentes spécifiques des entreprises, sur des thèmes liés au management, au commercial et à la relation client. L’objectif étant d’améliorer le comportement et la communication des managers, des commerciaux ou de toute autre fonction qui autorise des interactions avec le client. « L’idée est de donner aux stagiaires les bons mots au bon moment en fonction de la problématique qu’ils vont rencontrer dans leur quotidien professionnel », nous précise-t-on. Par ailleurs, grâce à des formateurs formés au coaching, les participants sont également mieux accompagnés pour faire face aux difficultés et les dépasser. ...
Le Centre national d’enseignement e-learning, ou plus communément appelé CNEEL, est un établissement d’enseignement à distance qui s’adresse particulièrement aux élèves français expatriés ou adoptant l’instruction en famille (IEF). Le CNEEL a recours au système du Web présentiel, qui permet, entre autres, de créer une véritable interaction entre l’élève et l’enseignant. Ainsi, chaque partie est en mesure de poser des questions et d’obtenir des réponses directement, comme dans une vraie salle de classe. De la maternelle à la terminale, les élèves du CNEEL sont suivis de près par des enseignants qualifiés et sélectionnés selon les critères de l’Éducation nationale. Une solution unique en son genre « Nous proposons exactement les mêmes conditions qu’un établissement classique, bien que nous œuvrions à distance », indique l’équipe pédagogique du CNEEL. Les cours sont entièrement interactifs et prennent l’ambiance d’une véritable école traditionnelle. Jusqu’à présent, le CNEEL est le seul établissement scolaire à proposer cette méthode d’e-learning. De plus, l’établissement cultive une certaine proximité à travers un contact quotidien avec les élèves et les parents. Selon les enseignants, « le CNEEL est vraiment l’école qui s’invite à la maison ». Une structure fiable Le CNEEL agit sous la tutelle du ministère de l’Éducation nationale. Comme tout établissement, il reçoit régulièrement la visite d’inspecteurs du travail qui contrôlent les enseignants, les cours ainsi que les supports pédagogiques. Un programme bien organisé Comme beaucoup d’établissements scolaires, le CNEEL s’appuie sur le logiciel Pronote. Pensé pour faciliter l’organisation de l’enseignement, ce dispositif permet notamment aux élèves de consulter leur emploi du temps et de consulter tous les cours enregistrés. Ainsi, même en cas d’absence, l’élève peut facilement obtenir le contenu du cours qu’il a raté. Pronote met à disposition des élèves les devoirs à faire, les leçons à réviser et, éventuellement, les contrôles à travailler. Très important : le nombre de places chez CNEEL est limité en fonction de chaque année scolaire. ...
FlashMatin ׀ Bonjour Monique et Christian ! Monique et Christian Peltier ׀ Bonjour ! Tout d’abord, pouvez-vous nous expliquer votre parcours et ce qui vous a poussés à créer votre cabinet ? M P ׀ Pour mon parcours, j’ai fait toute ma carrière dans l’enseignement. D’abord, dans l’enseignement secondaire, ensuite dans l’enseignement universitaire. Après, j’ai été responsable de formation et responsable de l’internationale. Toute ma carrière, l’anglais et les voyages ont été des éléments majeurs. C P ׀ Moi, j’ai eu un parcours un petit peu différent puisque je suis originaire du monde de l’entreprise. J’ai fait toute ma carrière dans une entreprise internationale, avec l’usage de l’anglais au quotidien, pendant pratiquement 35 ans. J’ai maintenant une certaine expertise dans ce qui peut être attendue par les entreprises chez de jeunes candidats. M P ׀ À un moment donné, notre fille a voulu faire ses études en Angleterre. J’ai pensé que c’était très simple puisqu’on parlait anglais, on avait l’habitude et on connaissait le pays. Pourtant, il s’est avéré autrement parce que la candidature à l’université en Grande Bretagne est totalement différente d’une candidature en France. C’est cela qui nous a donné l’idée d’aider les jeunes dans cette même situation. Chez Chrismo, vous êtes certifiés par plusieurs organismes. Cela vous permet de garantir une qualité et une mise à jour perpétuelle de votre accompagnement. Mais en quoi consiste exactement votre accompagnement ? M P ׀ Depuis la rencontre avec le jeune ou l’adolescent qui me dit : « voilà ce que j’aimerais faire », le processus consiste à déterminer quel serait l’établissement, l’université qui lui conviendrait le mieux, et la candidature bien évidemment. En Grande Bretagne, le gros morceau c’est le Personal Statement c’est-à-dire le fait de savoir rédiger une lettre de motivation très documentée, jusqu’ à la candidature elle-même, à l’université ou aux universités. Pour l’accompagnement sur les visas, il s’agit vraiment de donner un guide, mais en aucun cas de le faire car c’est interdit. Pour l’accompagnement sur le logement, on peut dire : « voilà ce que vous avez comme solution ». Jusqu’au bout de vos études, et même pendant l’université ou l’école, on reste en contact avec l’étudiant pour savoir si tout se passe bien et si leur scolarité ou leur année universitaire correspondent à ce qu’ils attendaient. Quelle serait la toute première démarche à effectuer pour un ou une étudiant(e) ? M P ׀ Bien évidemment, nous contacter et nous parler, c’est-à-dire qu’il doit vraiment nous expliquer son but, le pays dans lequel il veut étudier et la matière qu’il veut étudier. C’est souvent la période qui demande le plus de temps, parce qu’on a beaucoup de jeunes qui n’ont pas une idée très précise de ce qu’ils veulent faire. En rencontrant ces jeunes pour la première fois, j’entends très souvent : « Je veux aller à Londres et je veux étudier le business. » Ainsi, il faut écouter et savoir ce qu’ils entendent par business. S’agit-il plus d’un Business Marketing ou d’un Business Management ? Il faut arriver à cerner ce qu’ils ont envie de faire et discuter dès le début sur les conditions de vie, que ce soit en Grande Bretagne ou aux Ėtats-Unis. En effet, il faut savoir le coût financier aux Ėtats-Unis, car quand on dit aux parents que c’est 40 voire 50000$/an ou plus même, cela peut être un frein. Il en est de même pour La Grande Bretagne. Vivre à Londres est nettement plus cher que vivre à Manchester ou Buckingham. Ainsi, il faut prendre tous ces éléments en compte, pour essayer de trouver la ou les université(s) qui correspondront le mieux. C P ׀ C’est là aussi où j’interviens en appuyant sur mon expérience dans la mesure où cela me permet de raconter des métiers, que fait un chargé d’étude marketing, que...
L’Université de Lille propose une offre de formation complète, comme l’atteste la diversité des filières de formation tout au long de la vie (FTLV), couvrant la totalité des champs disciplinaires au gré des cursus, diplômes et titres (DAEU, DEUST, DUT, licence, licence professionnelle, master, doctorat, diplôme universitaire), comme aussi des différents formats pédagogiques proposés : enseignement en présentiel, à distance, hybride, en alternance, par voie d’apprentissage… et ouvert à tous les publics (formation initiale, reprise d’études, formation continue). Des formations pluridisciplinaires A Lille, la complétude de l’offre de formation proposée encourage la création de diplômes bi- ou pluridisciplinaires facilitant l’accès à des métiers différents et à des compétences élargies, notamment droit-sociologie-numérique, droit et santé ou droit-finance à l’instar du master Finance, parcours Finance et Droit, option Gestion financière des patrimoines. Cette option vient compléter l’option Risque financier créée l’an passé. Ces dispositifs permettent aux étudiants de master 2 Droit privé (parcours Droit des contrats et Recouvrement de créances) et Droit des affaires (parcours Fiscalité) de suivre la même année le master Finance (parcours Droit Finance) grâce à une offre de cours numérisés. Ainsi, ils peuvent obtenir une double compétence facilitant leur insertion dans les métiers du droit et de la finance. La pluridisciplinarité est également au principe du master Ingénierie de la santé, dans son nouveau parcours Coordination des trajectoires de santé alliant les Sciences Humaines et Sociales à l’expertise médicale et sanitaire en vue d’une optimisation des parcours de santé dans ces diverses dimensions : prévention, soin, prises en charge médico-sociales. Attractivité internationale L’internationalisation est un défi. L’Université de Lille s’y emploie, en veillant à l’attractivité internationale de ses formations et, pour certaines d’entre elles, en dispensant des enseignements bilingues en licence (notamment en Sciences de la vie) et entièrement en langue étrangère en master : c’est le cas notamment du master Biologie végétale, parcours Plant Sciences. D’autre part, la qualité de l’accueil des étudiants étrangers est assurée grâce à un bouquet de services tels que des cours de français langue étrangère (FLE) et un DU Introduction à la didactique du FLE (ouverture en septembre). En matière d’excellence scientifique, l’attention est portée aux grands défis technologiques et sociétaux liés aux sciences, aux cultures et aux technologies de l’image et du numérique et à la transition énergétique. C’est notamment le cas du master Sciences et Cultures du visuel, seul à être proposé en France, qui ouvrira en septembre, et du master Mention automatique et Système électrique, répondant aux besoins en véhicules intelligents électriques de l’industrie automobile et du transport. Des formations pour tous publics Soucieuse des besoins de montée en qualification et de sécurisation des parcours professionnels, l’Université propose des cursus qui ont pour ambition d’être attractifs et accessibles à tous publics. En complément des diplômes d’État (licence, master, doctorat), elle propose des diplômes d’université (DU) et des certificats. Ces certificats font l’objet de validation de crédits qui permettent l’obtention partielle ou totale d’une licence ou d’un master. C’est le cas, par exemple, de 5 certificats en STAPS portant sur l’entretien de la santé et le développement de la condition physique, accessibles tant pour le grand public que pour les sportifs de haut niveau. Le diplôme universitaire de technologie (DUT) Carrières sociales s’enrichit d’une option Assistants sociaux, permettant d’accéder, via une 3e année d’études, au diplôme d’État d’assistant de service social. De même, le DUT Gestion logistique et Transport réaménage son programme de forma...
Pédagogie à la carte Fort de plus de 60 ans d’expérience, Nacel place la pédagogie au cœur de son action. La marque travaille en étroite collaboration avec des enseignants de tous horizons, afin de créer des séjours adaptés aux envies et aux objectifs de chacun. Chaque personne étant unique, l’organisme propose des formules sur-mesure permettant à tous, petits et grands, de trouver le séjour qui lui correspond. Les participants sont ainsi orientés vers les programmes convenant à leur niveau, leur âge, leur destination, leur objectif et la langue avec laquelle ils souhaitent se familiariser. Les immersions permettront des progrès rapides et un apprentissage naturel en partageant le quotidien d’une famille étrangère. Les préparations aux examens conviendront à ceux qui espèrent des séjours riches en contenus pédagogiques. Pour ceux qui veulent joindre l’utile à l’agréable, l'apprentissage se complète par diverses activités ludiques comme le sport, le théâtre ou le cinéma, des activités culturelles et des jeux propres à la culture de chaque pays. En famille ou en résidence, les participants peuvent profiter de séjours tout au long de l’année pour apprendre le monde le temps d’un voyage… Une offre riche et qui répond aux tendances actuelles Grâce à quelques 200 partenariats développés avec des établissements partout dans le monde, Nacel offre plus de 20 pays d’accueil, parmi lesquels la Grande Bretagne, les USA, la Chine, les Emirats Arabes Unis, Chypre, ou encore Malte. L’organisme dispose en outre d’un réseau intégré d’équipes implantées aux Etats-Unis, au Canada ou encore en Australie. Les destinations anglophones étant les plus plébiscitées, Nacel propose comme nouveauté 2018 , une immersion de dix jours à Dublin. Un séjour très intensif, rythmé par des activités et des séquences de discussion en one to one avec des intervenants anglophones. Avec un taux d’encadrement d’un natif pour un participant, l’apprentissage sur-mesure prend tout son sens… Nacel se diversifie en se montrant à l’écoute des tendances actuelles et organise des séjours de plus en plus originaux. Pour tous les férus d’informatique, il existe aujourd’hui des formules permettant un double apprentissage en programmation et en langue. L’organisme propose un séjour inédit anglais et coding à Londres. Durant 2 semaines, les participants jongleront entre cours d’anglais (15h) et cours de codage informatique (45h). Enfin, Dubaï étant devenue une destination phare, Nacel a créé un séjour riche en activités originales au cœur de la ville où tout semble possible. Outre les 30 heures de cours d’anglais en classe internationale, les participants visiteront l’îlot de modernité dans son ensemble… Des séjours de qualité et certifiés Réputé pour la qualité de ses séjours, Nacel fait partie des rares organismes à avoir obtenu la certification NF Service attribuée par Afnor Certification. Son adhésion à l’Unosel renforce sa fiabilité et son sérieux, puisqu’il est rigoureusement tenu de respecter une charte de qualité imposée par cette union professionnelle des organisateurs de séjours linguistiques. Maitrisant toute la chaine de l’organisation du séjour grâce à une implantation dans de nombreux pays, l’entreprise est aussi agréée IATA (Association Internationale du Transport Aérien). Ce partenariat lui permet d’offrir les meilleures conditions de séjour à ses clients en termes de prix, de destination et de prise en charge. Une trentaine de conseillers sont quotidiennement à l’écoute pour leur apporter un support permanent et un suivi personnalisé. Ce sérieux et cette expertise a valu à Nacel un indice de satisfaction de 16.4/20 en 2017. ...
Le collège santé de l'université de Bordeaux met à votre disposition les outils pour répondre à ces défis. Son Unité Mixte de Formation Continue en Santé (UMFCS) propose les formations dispensées par ses différentes composantes dans une approche pluri-professionnelle, médecine, pharmacie, odontologie, santé publique, maïeutique, biologie, sciences infirmières, métiers de la réadaptation... Elle transforme la pédagogie grâce aux apports du numérique et s'appuie sur des équipements innovants tels des salles de télé présence immersive et un centre de simulation en santé. Apprendre devient un jeu.... Découvrez nos formations ! Professeur Jean-Luc Pellegrin, Directeur du collège des sciences de la santé de l'université de Bordeaux ...
Madame RIGLET, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Etudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP). Avec ses infrastructures modernes, l’IFSI jouit d’un espace de travail de qualité comprenant 17 salles dont 3 sont dédiées à la pratique des soins et réparties sur deux niveaux. Un pôle simulation avec la reproduction d’une chambre d’hôpital, équipée avec mannequin haute-fidélité permet aux étudiants et élèves de développer leurs apprentissages et leurs compétences dans un environnement au plus près de la réalité du terrain et de répondre au concept « jamais la première fois sur le patient ». Pour leurs recherches, les étudiants ont accès à une salle informatique et un centre de documentation informatisé et bénéficient des conseils d’une documentaliste. Leur confort étant aussi une priorité, des infrastructures adaptées ont été conçues pour eux, notamment un « foyer étudiants » donnant sur une terrasse extérieure leur permettant de se restaurer ou de faire des pauses en inter cours. Des formations complètes L’IFSI offre deux départements de formation distincts : un département de formation initiale et un département de formation continue. Dans le cadre de la formation initiale, les étudiants ont la possibilité de faire une expérience de stage à l’étranger, en Europe via le programme Erasmus + ou à l’international dans le cadre d’un projet de stage en santé humanitaire dans des pays comme l’Inde ou le Népal où un groupe d’étudiants est parti en 2018. « L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience », souligne Danielle Benali, directrice adjointe. Le département de la formation continue permet de professionnaliser des personnels de santé en les préparant : - Aux concours d’entrée en formation d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture. - Aux diplômes d’Etat d’aide-soignant et d’auxiliaire de puériculture dans le cadre de fomations modulaires. - Au Diplôme d’Etat d’infirmier pour les médecins extracommunautaires. - Au tutorat des étudiants et des nouveaux diplômés - A la première année de formation infirmière afin de fournir aux futurs étudiants en soins infirmiers quelle que soit la filière suivie dans leur parcours scolaire, les outils, les méthodes et les contenus de base indispensables pour réussir une formation universitaire dans les meilleures conditions. - A se présenter devant un jury de la validation des Acquis de l’Expérience pour les métiers du domaine médico-social Un encadrement de qualité Tout au long de son parcours au sein de l’institut, l’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre afin que l’étudiant bénéficie d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant et d’adapter ainsi son parcours de formation en fonction de ses attentes et de ses besoins afin qu’il réalise son projet professionnel. Au niveau de l’encadrement, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un diplôme de master. Les méthodes pédagogiques pratiquées privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables. A ce titre et dans l’objectif d’améliorer la qualité des formations, l’IFSI est engagé depuis un an dans une démarche qualité visant à l’obtention de la certification. L’FSI en quelques chiffres : - Diplôme d’Etat en Soins Infirmiers : 80% de réussite - Diplôme d’Etat d’Aide – Soignant : ...
Créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par une ordonnance du 9 octobre 1945 en même temps que l’Ecole Nationale d’Administration et l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, Sciences Po Strasbourg fait partie des dix IEP de France et représente le plus ancien IEP de région. Il est né d’une volonté de moderniser et rénover l’Etat via un projet de formation des élites administratives, politiques et privées. Cette filière d’excellence a bâti sa notoriété sur la base d’un ancrage régional fort se manifestant par ses relations étroites avec l’Université de Strasbourg. « Nous sommes l’un des rares Sciences Po à être intégré dans une université », fait savoir d’emblée, Gabriel ECKERT, directeur de l’institut. Un statut particulier qui est stratégique pour les étudiants ayant la possibilité notamment de réaliser des doubles-cursus de licence en économie et sciences sociales ou de suivre une formation au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) qui est une autre composante de l’Université de Strasbourg. Des cursus pluridisciplinaires Les cursus de Sciences Po Strasbourg reposent sur un schéma identique à celui adopté par les autres instituts d’études politiques. Depuis la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat), l’institut propose une formation de cinq ans répartie en deux cycles. Durant les deux premières années du premier cycle, les étudiants acquièrent un socle de connaissances renforçant leur esprit d’analyse et de compréhension des grands enjeux européens. « Le programme est pluridisciplinaire et généraliste car nous voulons que nos étudiants perçoivent tous les problèmes du monde. Ces derniers doivent être abordés aujourd’hui pas seulement sous l’angle d’un technicien spécialisé mais de manière globale et générale», déclare le directeur de l’institut. Les cours sont orientés autour de cinq champs disciplinaires à savoir le droit, l’économie et la gestion, l’histoire contemporaine et les relations internationales, les sciences sociales et la science politique et enfin, les langues. La troisième année est celle de la mobilité à l’étranger. « Grâce à nos 140 conventions d’échange avec des universités étrangères, nos étudiants passent cette année obligatoire à l’international dans une de nos universités partenaires ». Cette année à l’étranger peut également prendre la forme de stages ou d’activités professionnelles. Le second cycle pour sa part s’organise autour d’une progressive spécialisation. « Si le socle commun de compétences, la transversalité de notre formation et sa pluridisciplinarité sont absolument essentielles dans la carrière et la vie professionnelle de nos étudiants, pour entrer dans une activité professionnelle, il faut une spécialisation. », explique notre interlocuteur. En quatrième année, les étudiants choisissent alors entre l’une des quatre filières : droit et administration publique, économie/entreprise, études européennes, politique et société. Une ouverture sur l’Europe et le monde entier Sciences Po Strasbourg se nourrit d’une forte vocation européenne et internationale. Une orientation qui s’est faite naturellement grâce son emplacement stratégique au cœur de l’Europe, dans une ville frontière abritant les plus importants organismes européens (le Parlement Européen, le Conseil de l’Europe, la Cour Européenne des Droits de l'Homme, le Centre Européen de la Jeunesse etc.). Cette proximité ayant contribué à créer des partenariats avec les plus grandes institutions européennes donne l'opportunité aux étudiants internationaux inscrits au Certificate of European Studies de comprendre l’Europe au cœur de sa capitale. Ce programme enseigné en anglais s’organise chaque semestre et se concentre sur l’Europe dans une perspective globale. L’engagement à l’international se manifeste également par l’adhésion aux éch...
Tirer parti de ses données est une arme puissante pour les entreprises. Pourtant, peu savent réellement l'utiliser. Jedha propose ainsi des formations de qualité pour populariser ces outils, et une plateforme d'apprentissage unique en son genre. Jedha en quelques mots Depuis sa création, Jedha a souhaité fournir à ses élèves des formations en Data poussées, techniques et orientées pratiques, délivrées en présentiel ou distanciel avec le contexte sanitaire que nous connaissons. Le monde de la Data intéressant une large diversité de profils, il était nécessaire de mettre en place des programmes répondant aux besoins de chacun. De ce fait, 3 parcours ont été créés : -Programme Essentials (40h) pour acquérir les fondamentaux de la Data Science ; -Programme Fullstack (420h) pensé et conçu pour être professionnalisant, permettant de maîtriser l'entièreté du pipeline Data ; -Programme Lead (70h) pour se spécialiser sur des compétences actuellement très recherchées, en DevOps et automatisation. Chacune de ces formations s’appuie maintenant sur la plateforme d’apprentissage JULIE, une plateforme inédite dans la formation en Data. JULIE : la plateforme d'apprentissage qui suit les élèves durant toute leur carrière Pour travailler sur des projets Data, posséder une machine avec une bonne puissance de calcul et de stockage reste nécessaire, surtout lorsque l'on veut réaliser des modèles complexes. Pour contourner cette contrainte à laquelle se heurtent certains, Jedha offre à chacun de ses élèves un environnement de code dédié, l'accès à une plateforme baptisée JULIE. Chaque élève profitera d'environnements de code Cloud, permettant de créer des modèles robustes et poussés, sans avoir à installer quoique ce soit sur son propre ordinateur. Grâce à JULIE, les apprenants peuvent donc manipuler de gros volumes de données, s'initier au Deep Learning et Big Data en toute sérénité. Accessible à vie, JULIE accompagne les élèves de Jedha dans leur apprentissage tout d'abord, et dans leur carrière ensuite, les aidant à développer les modèles qu'ils auront à créer dans leur environnement professionnel. En exclusivité pour ses élèves, JULIE dispose aussi d'un portail de contenus sur lequel sont postés tous les supports de cours, des fiches d'apprentissages, des flashcards ainsi que des coding challenges proposés par les entreprises partenaires, le tout visant à s'entraîner en vue des entretiens et processus de recrutements. Bref, tous les aspects de la formation jusqu'au recrutement sont couverts ! ...
Dans la vie estudiantine comme dans la vie professionnelle, on entend souvent parler de la barrière de la langue. En effet, il n’est plus possible pour les étudiants, les travailleurs et les entrepreneurs de tous les niveaux de minimiser l’importance des langues étrangères dans ce monde globalisé. Pour suivre l’évolution incessante des échanges aujourd’hui, il faut pouvoir communiquer, comprendre et se faire comprendre à travers les langues. Si plusieurs écoles et institutions proposent déjà des cours de langues actuellement, une méthode se démarque des autres par son efficacité : un séjour linguistique en Irlande ou dans tout autre pays anglophone. Pourquoi apprendre une langue à l’étranger ? Bien qu’internet ait effacé les frontières et qu’il permette aujourd’hui d’apprendre une langue étrangère sans avoir à sortir de chez soi, ou faire un erasmus force est de constater que le résultat est loin d’être le même comparé aux études en immersion. Apprendre une langue ne se résume pas à maîtriser la grammaire et à avoir un vocabulaire de base. C’est aussi une culture à découvrir, une intonation et des nouvelles tournures que l’on ne peut découvrir qu’en côtoyant les natifs. Bref, si vous souhaitez parler l’anglais comme un anglais, il n’y a pas de meilleure façon d’y arriver que d’étudier en Angleterre ou de faire un séjour linguistique dans un pays anglo-saxon. Il en est de même pour toutes les langues étrangères. Afin de permettre à chacun d’apprendre la langue de son choix en immersion, certaines institutions comme EF Education First organise des séjours linguistiques dans différents pays du monde. Elle facilite énormément l’apprentissage pour les étudiants de tous les âges. Un large choix de destinations pour vos séjours linguistiques Si vous souhaitez connaître les subtilités d’une langue étrangère, partez en séjour linguistique dans le pays de cette langue maternelle. Avec l’aide de EF Education First, vous avez le choix entre 50 destinations à travers le monde selon la langue que vous voulez apprendre. Pour l’anglais, EF Education First vous propose des séjours linguistiques aux Etats-Unis, en Angleterre, en Australie, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud, à Malte, au Canada et à Singapour. Pour apprendre l’espagnol, partez en Espagne ou à Costa Rica. Avec Education First, voyagez aussi au Japon pour apprendre la langue du pays, en Allemagne pour parler l’allemand et en Italie pour maîtriser l’italien. Découvrez aussi la Corée du Sud tout en apprivoiser le coréen. Dans toutes ces destinations, EF Education First dispose de programmes adaptés aux enfants à partir de 10 ans, aux jeunes, aux adultes et aux entreprises désirant se perfectionner sur une langue étrangère. Afin de permettre aux étudiants de se concentrer sur leurs études, Education First organise des séjours linguistiques tout inclus. Comment réussir votre immersion Si vous êtes parti dans le pays où l’on parle la langue qui vous intéresse, c’est bien pour la pratiquer. Aussi, la première chose à faire est de parler cette langue quel que soit votre niveau de vocabulaire. Même si vous séjournez avec vos compatriotes, mettez-vous dans la peau d’un natif pour ce moment et vous allez acquérir naturellement tout le vocabulaire qu’il vous manque ! Autant que possible, choisissez de vivre chez l’habitant au cours de votre séjour linguistique pour une immersion totale. Vous pourrez acquérir rapidement l’accent des locaux, l’intonation et même les tournures typiques à la langue. Si vous n’avez pas cette chance, vous allez quand même pouvoir évoluer rapidement avec des spécialistes des séjours linguistiques comme EF Education First. Leur apprentissage est basé sur l’expérience. Vous aurez l’opportunité de rencontrer d’autres élèves ou étudiants du monde entier vu que l’institution possède ses propres écoles dans chacune des destinations qu’elle propose à ses étudiants. Elle organise de nombreuses activités qui vous permettront de dialoguer avec d’autres étudiants telles les...
Créée en 2016, la plateforme Formalis est devenue, en quelques années, un site incontournable de formations e-learning. Des formations en ligne pour tous les besoins et toutes les envies Après l'obtiention d'un Master à New York University, Harriet Marin s’installe en France. C’est en suivant de nombreuses formations dans les domaines qui la passionnent que lui est venue l’idée de Formalis. Au début, la plateforme ne proposait que des formations en bien-être. Puis, son champ d’action s’est élargi vers d’autres domaines tels que le web, le coaching ou la déco. L’objectif a cependant toujours été le même : développer des formations accessibles à tous qui permettent d’être autonome dans un monde en pleine mutation. Alternant parties théoriques et pratiques, chaque formation vise l’excellence. C’est d’ailleurs pour cette raison que le taux de satisfaction est de 4,8/5. ...
Savez-vous que près de 40 % de la consommation électrique mondiale est due au fonctionnement des moteurs électriques dans l’industrie ? Depuis sa création, en 1993, le Laboratoire Systèmes Électrotechniques et Environnement (LSEE), situé au sein de la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université d’Artois, à Béthune, est devenu spécialiste de l’amélioration de l’efficacité énergétique des machines électriques. « Les solutions développées mettent en œuvre des matériaux nouveaux ou des structures originales, tout en prenant en compte cycles de fonctionnement et contraintes industrielles », explique Jean-Philippe Lecointe, professeur en génie électrique et directeur du LSEE. Les chercheurs du laboratoire ont développé des compétences très pointues comme, par exemple, l’utilisation des champs magnétiques externes que rayonnent les machines pour diagnostiquer leur état de santé ou analyser leurs performances énergétiques. « L’écoconception vient en superposition de ces travaux, avec l’utilisation de matériaux moins polluants ou de procédés de fabrication écoresponsables ou plus écologiques », poursuit le directeur. Le LSEE s’est d’ailleurs distingué en concevant, en partenariat avec EDF et l’ADEME, un moteur à faible impact environnemental : un « moteur vert », avec rendement amélioré, procédés de fabrication et matériaux respectueux de la planète, analyse du cycle de vie, etc. Une expertise de plus de 20 ans Cette réalisation résume bien l’ambition des recherches du LSEE. Le laboratoire va même plus loin en essayant de limiter les bruits et vibrations des machines. Ces investigations, menées depuis plus de 20 ans au laboratoire, reposent sur une modélisation analytique des machines électriques. Elles permettant de créer un lien direct entre les grandeurs électriques et les grandeurs acoustiques. Outre des améliorations notables concernant le confort acoustique au voisinage des grandes machines électriques, ces travaux ont également permis de mettre au point des méthodes de diagnostic très innovantes. « L’expertise du LSEE se manifeste également dans le domaine des systèmes d’isolation électrique. Les isolants constituent un facteur essentiel de la durée de vie des machines électriques et l’anticipation de leur vieillissement permet de réduire notablement les coûts de maintenance et d’améliorer la sûreté de fonctionnement des équipements », détaille Jean-Philippe Lecointe. Le LSEE développe donc des solutions innovantes pour évaluer ou accroître la durée de vie de l’isolant des fils utilisés pour bobiner les actionneurs électriques, comme un diagnostic non invasif on line des équipements, une réduction des contraintes par agencement fin des conducteurs dans leurs encoches, une étude des problèmes d’isolation liés aux hautes températures. Que ce soit en préconisant des solutions de bobinage innovantes ou en utilisant des matériaux tels que les céramiques pour assurer le fonctionnement à températures élevées, le LSEE est au cœur des préoccupations de l’isolation des machines. Depuis plus de 20 ans, les chercheurs du LSEE analysent et conçoivent des machines électriques pour accroître leur efficacité énergétique, réduire leur émission acoustique ou les rendre plus fiables. ...
Conscient de l’envergure des enjeux qu’impliquent le taux élevé du chômage, l’étendue de la demande sur le marché de l’emploi et la hausse de la reconversion professionnelle, le centre de GAP cadre l’intégralité de ses activités dans la formation pour l’emploi. Pour une facilité d’accès « Étant donné la précarité à laquelle notre société fait face aujourd’hui, on met en place des actions de formation qui visent à faciliter l’accès à l’emploi », explique Catherine Campagnoli, directrice du centre de GAP. Reposant sur des principes pédagogiques singuliers, ces formations sont axées sur un apprentissage en situation réelle de travail. Dispenser des connaissances de bases théoriques fait partie des démarches du centre. Mais c’est loin d’être la finalité espérée. Imprégner les stagiaires dans l’environnement professionnel de manière à ce qu’ils soient immédiatement opérationnels au sein des entreprises : tel est son objectif principal. Animé par la volonté d’atteindre ce but et d’optimiser davantage la qualité des formations, le centre de GAP propose plusieurs types de formations dans les métiers du bâtiment (maçon et maçon du bâti ancien, tailleur de pierre, etc.), du second œuvre (électricien, carreleur, plaquiste, installateur en chauffage, etc.) et dans le métier du tourisme ou du commerce (vendeur en matériels de sports, etc.) ou du tertiaire. Les conseillers de l’AFPA et les différents points d’information mis en place (journées portes ouvertes, catalogues, salons, etc.) sauront accompagner les intéressés dans leur choix : formation certifiante, qualifiante, préparatoire, compétences métiers ou solution entreprise. Une démarche d’insertion Les actions du centre de GAP ne se limitent pas aux formations. Le centre intervient également dans l’insertion professionnelle de ses stagiaires à la fin des apprentissages. Outre les périodes de stage en entreprise dont ils bénéficient systématiquement, les stagiaires peuvent effectivement compter sur tout un pôle d’accompagnement dans leur recherche de travail. « On met à leur disposition les outils nécessaires et un portefeuille d’entreprises avec lesquelles on collabore. Le but est de leur permettre d’élargir leurs propres réseaux et qu’ils démarchent auprès des entreprises avec des CV actualisés et orientés », continue Catherine Campagnoli. Et, cerise sur le gâteau, certaines entreprises viennent même recruter directement auprès du centre. Un large public cible Le centre de GAP s’adresse donc en tout premier lieu aux demandeurs d’emploi sans qualification professionnelle, en leur prodiguant une formation complète qui les prépare à leur futur métier. Même si nos publics sont demandeurs d'emploi, notre offre de formation s'adresse à toute personne souhaitant se former, artisans, entreprises, salariés, aux collectivités. ..Sachant que toutes les formations sont modulaires (Valider une partie de la formation en ne passant que certains modules), la possibilité d’acquérir des compléments de formation sur un domaine plus pointu s’offre aussi aux intéressés. C’est l’idéal pour ceux dont l’envie est de se reconvertir professionnellement. Ou encore pour ceux qui souhaitent acquérir un savoir-faire spécifique ou une technique particulière pour plusieurs raisons, dont la progression perpétuelle des technicités, des matières utilisés, des outils et du monde de l’entreprise en général. En dehors des particuliers, le centre de GAP est également un levier majeur pour les entreprises. Il contractualise des plans de formation avec ces dernières, suivant les besoins et l’évolution de leur secteur d’activité, afin d’améliorer les compétences de leurs ressources humaines. ...
C’est en misant sur des offres de formations personnalisées ainsi que sur un partenariat efficace avec des entités industrielles de renom que « cette juridiction indépendante propose des formations adaptées au besoin de chacun et axées sur la professionnalisation des salariés actifs des entreprises », nous explique Isidore Torres, directeur du centre. La formation sur mesure : l’assurance d’une employabilité effective Créé en 1970 par des entreprises, sous l’impulsion de la loi sur la formation professionnelle, l’AFPI CENTRE Val de Loire a pour objectif d’apporter les compétences métiers parfaitement adaptées aux besoins des entreprises et de proposer des formations qui s’adaptent au public à former. Un processus personnalisé prenant en compte les besoins de chaque personne, jumelés à ceux de l’entreprise, constitue à cet effet sa marque de fabrique. L’AFPI se veut également être « un "assemblier" en mettant en place un panel d’interventions riche assuré par des formateurs professionnels dans le but de satisfaire les besoins des bénéficiaires », reprend Isidore Torres. En bon « assemblier », ce centre propose un large éventail de formations qualifiantes pour des corps de métier touchant des domaines de pointe, à l’instar de l’aéronautique, de la métallurgie, de la pétrochimie ou de l’énergie, ainsi que des métiers de l’organisation, pour ne citer que les ressources humaines. « Afin de garantir l’employabilité des formés, l’AFPI mise sur une approche inductive en priorisant les formations axées métier dont, 80 % des activités sont menées en entreprise », nous indique-t-on. Ainsi, grâce à cette maîtrise des besoins des entreprises, le centre affiche un excellent taux d’employabilité de plus de 75 % pour l’ensemble des formations. De cela, rigueur, excellence et adaptabilité trouvent ici un terrain d’expression, notamment grâce à la création d’une démarche de formation basée sur « une évaluation préformative pour chaque formé, un contenu et un plan de formation totalement individualisé ainsi qu’une certification à la clé ». À tout cela, s’ajoute le développement de plates-formes numériques collaboratives permettant à tous les acteurs de chaque formation d’interagir en tout lieu et en tout temps. ...
Bonjour Madame Benali. Danielle Benali : Bonjour Emmanuelle ! Pour commencer, vous pourriez nous expliquer ce qu’est l’IFSI ? Danielle Benali : L’Institut de Formation Soin Infirmier est un institut qui a plusieurs formations dans ses cordes. Il y a les formations soin en infirmier, aide-soignant et auxiliaire de puériculture. Pour être précis, votre école s’appelle l’IFSI Britannique Œuvre du Perpétuel Secours. Un nom, qui j’imagine chargé d’histoire, non ? Danielle Benali : Historiquement, l’IFSI ou l’Institut de Formation en Soin Infirmier était et est toujours d’ailleurs sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous étions rattachés à l’hôpital franco-britannique à Levallois-Perret. En 2019, l’hôpital a été repris par la Fondation Cognacq Jay. Cependant, la fondation n’a pas repris l’Institut de Formation Soin Infirmier. Nous sommes donc devenus un centre de formation indépendant, mais toujours sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous avons gardé historiquement notre nom d’Institut de Formation Soin Infirmier de l’Institut Hospitalier Franco-Britannique, parce que nous étions rattachés depuis nombreuses années à ce centre hospitalier. Aussi, nous avons gardé des rapports très privilégiés avec l’hôpital franco-britannique à Levallois puisqu’il nous accorde une majorité de place concernant les stages pour nos élèves et nos étudiants. Depuis cette année 2022, nous avons intégré le pôle santé du groupe SOS, plus précisément depuis Juin 2022. Combien d’année d’étude il faut pour être diplômé de ces trois métiers ? Danielle Benali : Pour les infirmiers, c’est toujours 3 ans. Pour les auxiliaires de puériculture, c’est quasiment sur une année avec une rentrée en septembre également et une sortie en juillet de l’année d’après. Pour les aides-soignants, nous avons une rentrée en janvier, pour une sortie en décembre de la même année. Donc, on va voir la prochaine rentrée en Janvier 2023 pour une sortie en Décembre 2023. Ce qui est intéressant dans votre école Madame Benali est que nous nous formons à ces métiers en alternance. Comment cela se passe exactement ? Danielle Benali : Les aides-soignants et les auxiliaires de puériculture ont à peu près un parcours identique. C’est le contenu de formation qui n’est pas pareil. Les lieux de stage sont aussi différents. Ils ont 3 périodes de 5 semaines de stage et un quatrième stage qui est de 7 semaines. Ce dernier correspond à un stage qu’on pourrait parler de pré-professionnel pour qu’ils soient déjà immergés soit dans une structure où ils vont être embauchés, soit pour découvrir une typologie de service et de soin qu’ils n’ont pas pu découvrir jusqu’ici. Pour les infirmiers, ils ont des stages sur les 3 années. Il y a 15 semaines de stage sur la première année, 20 semaines de stage sur la deuxième année et 25 semaines de stage sur la troisième année. Puis, il y a ce qu’on appelle le service sanitaire durant la deuxième année, qui leur permet de faire des actions de prévention. Cela est organisé par l’IFSI. Les étudiants sont répartis au niveau de structure comme la médecine du travail, la médecine scolaire, mais aussi dans les établissements d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes, les entreprises et tous ces lieux où on peut faire de la prévention. Et donc pour vos étudiants et élèves un peu plus voyageur, vous avez des partenariats un petit peu partout en Europe avec d’autres écoles. Ils peuvent partir à l’étranger pour continuer leurs études ? Danielle Benali : L’Institut de Formation de l’IHFB (Franco-Britannique) a eu la charte Erasmus depuis de nombreuses années. Cela va faire quasiment une dizaine d’année et nous avons un partenariat avec environ 13 partenaires européens, avec l’Espagne, le Portugal, l’Italie, la Suède, la Belgique. Nous avons également des partenariats internationaux puisque nous avons aussi un partenariat...
Produit de santé employé à des fins thérapeutiques ou diagnostiques pour compenser par exemple un handicap, le dispositif médical (DM) forme un écosystème innovant en pleine expansion. Cette discipline appartenant au domaine médical joue le rôle d’interface technique ou technologique entre la santé des patients et l'univers médical. En 2017, le secteur a représenté un marché de 28 milliards d’euros et a généré pas moins de 85 000 emplois directs en France. Pour être à la hauteur des nouveaux défis imposés par la filière, l’Institut supérieur d'ingénieurs de Franche-Comté (ISIFC) renforce son engagement de préparer des ingénieurs qualifiés et polyvalents, qui vont élargir le champ des possibles dans le génie biomédical. Appuyé par un réseau d’experts « Notre école est agréée CTI depuis sa création en 2001 et nous basons notre expertise sur le DM, depuis la conception jusqu’à la mise en marché, en passant par la fabrication et la validation », introduit Vincent Armbruster, directeur de l’institut. Le génie biomédical, défini comme « un art d’appliquer les sciences et les techniques les plus avancées à la conception et à la validation d’appareils pour prévenir, diagnostiquer, traiter et assister les patients », intègre une dimension transversale qui sous-tend une approche pluridisciplinaire. De ce fait, cet institut d’excellence s’entoure d’une solide équipe pédagogique regroupant des enseignants-chercheurs de l'université de Franche-Comté au sein des laboratoires de recherche, mais aussi des formateurs issus des entreprises et des centres de soins locaux. L’ISIFC jouit également de la synergie développée avec le CHRU, l’EFS et l’incubateur de Besançon, le SNITEM, le pôle de compétitivité des microtechniques de Franche-Comté et la CDEFI. Développer des compétences et des talents Le génie biomédical offre l’opportunité aux étudiants d’œuvrer dans le secteur de santé sans forcément passer par médecine. La formation proposée par l’ISIFC s’intéresse à trois cultures spécifiques : la technique qui traite les sciences de l’ingénieur, le médical ou la biologie santé et le volet réglementaire. « Le champ d’application de notre filière est très vaste mais exige un niveau de connaissance très précis et très pointu », explique notre interlocuteur. « Durant la première année du cursus, on va venir établir un socle commun de connaissances sur lequel fonder les futures spécialisations de nos étudiants. » Ce travail met l’accent sur l’aspect mécanique, électronique, mathématique, informatique et biologie santé pour permettre à tous de partir sur une base homogène et d’évoluer vers des compétences plus affirmées et plus ciblées. Pendant la seconde année d’études, cette approche se complète par un approfondissement de la réglementation et de l’éthique, un sujet particulièrement sensible quand on parle de DM. « L’idée étant de former des ingénieurs spécialistes dans le volet réglementaire qui vont développer des produits tout de suite certifiés par les normes européennes, et ainsi accélérer les procédures de mise en marché », reprend-il. La troisième et dernière année du programme prévoit la possibilité de conclure un contrat pro (formation en alternance) et offre trois options de spécialisation : la bio-ingénierie, l’e-santé, et la biomécanique et microsystème. En outre, différents stages (stage découverte, stage hospitalier, stage R&D, stage industriel) et projets tutorés sont obligatoires et représentent près de la moitié du temps de la formation, avec un encouragement à partir à l'international. Pour les professionnels et les entreprises, plusieurs formations thématiques à la carte et sur mesure sont à découvrir, allant des formati...
Aujourd’hui, nous sommes tous en quête de sens dans notre vie. Alors que le stress envahit notre quotidien, de plus en plus de personnes ont besoin de prendre du recul et de souffler un peu. La mission du relaxologue est de les accompagner pour retrouver un véritable bien-être. Parmi les instituts les plus réputés pour devenir relaxologue, l’École du Stress est un nom à connaitre. École du Stress et métier de relaxologue Ce n’est un secret pour personne : notre rythme de vie s’est accéléré et il est devenu difficile de prendre soin de soi. Ainsi, certaines personnes se font envahir par le stress. C’est donc pour retrouver un bien-être social et humain qu’elles font appel à un relaxologue. En effet, ce professionnel qui utilise un certain nombre de techniques de relaxation accompagne les professionnels et particuliers de tout âge vers la connaissance de soi et la gestion du stress et des angoisses. Pour cela, il peut intervenir en séance individuelle, mais aussi en entreprise ou en centre de remise en forme. À noter : il peut aussi bien accompagner des enfants que des adultes et personnes âgées. Ceci étant dit, parce que ce professionnel est généralement libéral, il est important d’être bien formé pour pouvoir trouver des clients et les accompagner vers le chemin du bien-être personnel et professionnel. Comment l’École du Stress répond-elle aux besoins de ses élèves ? Créée il y a plusieurs dizaines d’années et agréée par la Fédération Internationale de Relaxologie, l’École du Stress propose des services complets aux entreprises et particuliers ainsi que des formations plus longues. Pour ce faire, elle enseigne à ses élèves la méthode Biosappia® qui utilise la relaxation, les visualisations, les méthodes sensorielles, corporelles et la respiration orientale. Sur 1 année d’apprentissage, le/la future/e relaxologue profite d’un enseignement dynamique et vivant basé sur les échanges et la possibilité de suivre 30% de cours à domicile, à son rythme. Grâce à un suivi individuel par un tuteur attitré, chaque élève a toutes les clés pour devenir, à son tour, un relaxologue confirmé. ...
Après avoir terminé leurs études secondaires, les élèves sont souvent en quête d'un enseignement supérieur prestigieux. Choisir des universités internationales de prestige leur permet d'accéder à des programmes spécialisés, ainsi qu'à des infrastructures de qualité et à des ressources technologiques de pointe. Cette expérience singulière constitue une opportunité stimulante pour le développement de compétences personnelles telles que la pensée critique, la créativité et la résolution innovante de problèmes. Un CV unique grâce à des études internationales ! Admission Accomplie offre un coaching précieux aux étudiants souhaitant intégrer les meilleures universités internationales. Forte de son expérience dans l'admission d'étudiants en Bachelor ou Master, vers les USA, le UK, le Canada, les Pays-Bas, et certains établissements d’excellence en Europe l'équipe d'Admission Accomplie guide les candidats pour constituer un dossier solide. De toute évidence, un parcours international est un avantage considérable pour les futurs candidats à l’emploi. En plus de l'enrichissement personnel, l'expérience d'études à l'international offre des avantages significatifs pour le CV. Elle démontre une ouverture d'esprit, une capacité d'adaptation et une grande résilience face aux défis culturels et linguistiques. Elle met en évidence la maîtrise de plusieurs langues, une compétence de plus en plus recherchée dans un monde globalisé. De plus, les études à l'international offrent une plus large perspective et une compréhension interculturelle approfondie. Autant d’atouts précieux dans un environnement de travail diversifié et international. Ces éléments renforcent d’ailleurs l'attrait des candidats pour les employeurs à la recherche de profils internationaux et polyvalents. Étudier à l'international permet également de vivre des expériences uniques qui enrichissent le parcours personnel et professionnel. Cela offre une opportunité précieuse de se présenter de manière convaincante aux recruteurs et de démontrer que l'on est la personne idéale pour l'entreprise. Le monde à portée de main ! Actuellement, la maîtrise d’une autre langue hormis la langue maternelle est indispensable pour élargir ses capacités de communication. Et le meilleur moyen d’apprendre une nouvelle langue est de vivre en immersion dans le pays où cette langue est parlée. . Rien de tel pour améliorer sa pratique et passer à un cap significatif Grâce à l'accompagnement d’un coach, les étudiants ont la possibilité d'organiser leurs candidatures universitaires à l'international de manière efficace. A Admission Accomplie, chaque coach prendra tout d’abord en compte les différences entre les systèmes éducatifs propre à chaque pays pour être en bonne adéquation avec la méthode d’apprentissage le plus adapté à l’étudiant. Avec de plus en plus de candidatures multi-destinations, Admission Accomplie offre une expertise précieuse pour choisir les meilleures universités selon le profil du candidat et le cursus choisi, monter un dossier solide et préparer les étapes clés de la candidature. Un parcours universitaire à l’international n’est pas seulement bénéfique pour apprendre des langues, mais permet également de développer des compétences interculturelles, linguistiques et d'adaptabilité. En vivant dans un pays étranger, on acquiert une compréhension plus profonde de sa culture, de sa langue et de ses traditions. On peut également élargir son réseau de contacts internationaux et se familiariser avec des perspectives différentes, ce qui constitue un atout précieux dans un monde de plus en plus globalisé. Mieux se connaître en partant étudier à l’étranger Vivre une expérience d'études à l'étranger est une aventure passionnante qui apporte de nombreux avantages sur le plan personnel aussi. Une facette enrichissante de cette expérience est la possibilité de tisser des liens d'amitié avec des étudiants...
C’est en 1895 que le premier Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s'est établi à Paris dans le but de perpétuer les traditions culinaires françaises au travers de parcours dédiés à l’hôtellerie, au tourisme et à la restauration. Ce leader de l’art culinaire s’exportera au fil des années à l’international en ouvrant des campus aux quatre coins du monde, ceci dans une volonté de faire rayonner la culture française, mais aussi de valoriser le patrimoine culinaire de chaque pays. Allant des professionnels aux particuliers, en passant par les étudiants souhaitant faire carrière dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie, « chaque formation sanctionnée par un Diplôme reconnu à l’international est un véritable passeport pour une carrière internationale », nous explique Sylvy Morineau, Directrice académique du Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier. Le renouveau de l’institut parisien L’excellence, la passion, la transmission, la créativité et surtout la modernité constituent les valeurs fondamentales animant le réseau Le Cordon Bleu. Dans cette optique d’harmoniser tradition avec innovation, Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier opère un renouveau en s’installant dans son nouveau campus de 4 000 m2 face à la Seine et la statue de la Liberté. De nombreuses salles dédiées à chaque spécialisation, un atelier dédié au public, un espace multimédia ainsi que des salles de démonstrations uniques font la singularité de ce campus prônant l’excellence pédagogique. Une de ses particularités réside dans la présence d’un jardin potager de 800 m2 sur le toit de l’établissement. « Cette végétalisation [véritable fleuron de l’agriculture urbaine] est utilisée comme un jardin pédagogique pour les étudiants en arts culinaires. Ces derniers pourront ainsi apprendre à monter un jardin potager et à reconnaître certains ingrédients pouvant pousser en jardin urbain, c’est-à-dire les herbes aromatiques, les fruits et les légumes », signale Eric Briffard, Chef exécutif et directeur des arts culinaires. À ce lieu, dont les produits sont utilisés dans les cuisines de l’institut parisien, s’ajoutent des ruches dont le miel est utilisé lors des classes pratiques en cuisine. Dans le rang des nouveautés, le campus est également fier de son tandoor (four en terre cuite) et de sa salle dotée de woks. Ces derniers, hommages à la cuisine asiatique, ont été aménagés afin de permettre aux étudiants de revisiter les plats traditionnels français en s’inspirant des succulences de l’Orient. Différents types de parcours C’est en proposant un panel riche et éclectique que Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s’est forgé une réputation solide dans le domaine de la formation. La cuisine, la pâtisserie, les métiers du vin, la boulangerie et le management hôtelier n’auront plus de secrets pour ceux qui auront l’opportunité de suivre des programmes dispensés par des formateurs expérimentés composés de chefs, d'experts internationaux, de professeurs universitaires et de spécialistes intervenant dans le milieu de l’hôtellerie et du tourisme. Des diplômes viendront clore chaque parcours, à l’instar d’un cursus sanctionné par un Bachelor en Management des arts culinaires ainsi que d’un programme débouchant sur un Bachelor en Management Hôtelier International. Chaque parcours sera dédié à la découverte des facettes des métiers liés à la gastronomie, des pratiques managériales et de la gestion d’entreprises spécialisées dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie. Ces bachelors, dispensés en anglais, offrant un trimestre d'études à l'étranger dans un des 35 instituts du réseau et complétés par un stage à chaque fin d’année, seront un gage de réussite ouvrant grand les portes de l’emploi. Les étudiants qui ...
Fondé en 1947, le Centre d’Echanges Internationaux (CEI) est aujourd’hui un acteur incontournable dans l’organisation de séjours linguistiques de qualité à l’international. Depuis sa création, cet organisme n’a cessé de développer ses programmes et d’innover afin de s’adapter et de répondre à tous types de demandes. Ouvrir le monde aux jeunes Au départ, le CEI a été créé dans le but de réconcilier les jeunes Français et les jeunes Allemands après la Seconde Guerre mondiale. « Le projet s’est nourri des rencontres et des échanges interculturels entre les deux pays. Puis cela s’est étendu à d’autres pays, à l’instar de l’Angleterre ou l’Irlande », explique Annabelle Dupé, directrice de la communication du groupe. Au fil des années, le CEI s’est développé, en procédant au rachat d’autres organismes opérant dans le secteur de la jeunesse. Ainsi, le groupe a fait l’acquisition du Club des 4 vents (colonie de vacances), de l’école Cambridge Gardens College (en 2006) et, plus récemment, de deux organismes spécialisés dans les séjours linguistiques sur mesure : Les Échanges Franco-Irlandais (en 2006) et Atout Linguisti-que (fin 2017). « Grâce à ces deux structures, nous sommes à même de satisfaire toutes les demandes en ce qui concerne les programmes sur mesure », souligne Annabelle Dupé. Offrant un programme très varié, le CEI entend poursuivre sa vocation : ouvrir le monde aux jeunes. « Notre objectif est d’accompagner la personne depuis ses premiers pas en colonie de vacances jusqu’à son premier grand voyage ou son premier job à l’étranger. » Des colonies de vacances sportives et à thèmes Associer l’apprentissage d’une langue à une passion sportive. Le CEI s’appuie sur ce concept pour suggérer plusieurs offres en colonies de vacances. En fonction des thématiques choisies (bord de mer, montagne, etc.), les enfants profitent de nombreuses activités, tout en apprenant l’anglais en s’amusant. Au programme ? Du ski ou de la cani-rando, pour les plus jeunes. La garantie de sensations fortes avec le parapente, l’exploration en pleine nature ou encore la pratique du quad, pour les plus grands. Dans le cadre des colonies de vacances à l’étranger, l’organisme propose des city tour autour des villes scandinaves et de celles d’Europe de l’Est comme en Bulgarie. Ces visites s’accompagnent souvent d’activités diverses, dont les sports de plage. Aux 14-17 ans sont proposés des voyages de découverte qui privilégient les rencontres et les échanges. « Les adolescents partent découvrir un pays avec sa culture, ses traditions et surtout ses habitants », nous confie-t-on. Guatemala, Équateur, Vietnam, Dubaï, Miami… sont autant de destinations qui attendent les jeunes. Mais s’il y a bien une destination qui plait énormément, c’est sans conteste le Japon. « Nos programmes “Tokyo Express” et “Tokyo-Osaka” font un carton auprès des jeunes », lance Annabelle Dupé. Immersion en lycée étranger Le CEI offre l’occasion aux lycéens de pouvoir réaliser une année scolaire complète à l’étranger. Parmi les formules proposées par le CEI, l'immersion en lycée étranger reste le fleuron de ces séjours riches en apprentissage. Toujours selon la responsable, « le jeune est complètement immergé dans la vie d’un lycéen. Il intègre une classe avec des jeunes de son âge et il est hébergé par une famille d’accueil dont il partage le quotidien. » États-Unis, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Irlande, Espagne ou encore Allemagne : chaque destination promet une expérience unique. Des séjours linguistiques totalement maîtrisés L'Organisme met à disposition Cambridge Gardens College, un établissement implanté à Hastings, en Angleterre. Outre l'excellente qualité aussi bien de l'infrastructure que de l'encadrement, l'école bénéficie d'un emplacement idéal en plein centre-ville, proche de la mer. L'hébe...
D’abord un rappel essentiel : la formation professionnelle tout au long de la vie constitue une obligation nationale. Elle permet à chaque personne, indépendamment de son statut, d'acquérir et d'actualiser des connaissances et des compétences favorisant son évolution professionnelle, ainsi que de progresser d'au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle. Elle comporte ainsi une formation initiale, comprenant notamment l'apprentissage, et des formations ultérieures, qui constituent la formation professionnelle continue, destinées aux adultes et aux jeunes déjà engagés dans la vie active ou qui s'y engagent. En faisant le lien entre les formations et les besoins du monde économique, la formation continue tout au long de la vie dans l'enseignement supérieur permet à ceux qui sont entrés tôt dans la vie active d'avoir une chance d'accéder aux cursus, diplômes ou titres de l'enseignement supérieur. La formation continue tout au long de la vie permet également d'optimiser les temps de formation en prenant en compte les savoirs et savoir-faire de chacun et de répondre plus efficacement aux besoins et aux attentes des individus, des entreprises et de la société. Une formation pour qui ? La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur s'adresse aux actifs, afin de permettre leur maintien dans l'emploi, de favoriser le développement de leurs compétences et l'accès aux différents niveaux de la qualification professionnelle, de contribuer au développement économique et culturel, à la sécurisation des parcours professionnels et à leur promotion sociale. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse aussi aux personnes souhaitant un retour à l'emploi après une interruption de leur activité professionnelle. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse enfin aux personnes en situation de handicap : des dispositifs spécifiques ont été mis en place dans tous les établissements de l’enseignement supérieur pour adapter les modalités d’accès et de suivi de formations aux différents handicaps et nommer un référent handicap pour suivre les participants de leur candidature à leur diplomation. ...