Selon les données de l’INSEE, 60% des entreprises françaises employant plus de 50 salariés ont recours aujourd’hui à la sous-traitance. En délocalisant une partie de leurs activités, ces entreprises peuvent ainsi se concentrer davantage sur leur cœur de métier. Si cette tendance se confirme, les offres en free-lance vont très vite connaitre une forte hausse. Le freelancing peut donc s’avérer intéressant d’autant plus que les travailleurs indépendants sont aujourd’hui mieux rémunérés par rapport aux salariés. Les études menées par l’INSEE révèlent une augmentation de 2,9% (2006-2011) des revenus des indépendants contre moins d’1% (début 2008) pour les salariés. Si ces derniers y voient une opportunité leur permettant de compléter leur revenu, les seniors, les personnes en recherche d’emploi ou de reconversion, les salariés et les jeunes étudiants peuvent également se mettre à leur propre compte afin de développer un business en ligne et arrondir leur fin de mois. Cependant, ceux qui souhaitent se lancer doivent faire face à une problématique : quel est le meilleur moyen pour faire connaître ses activités tout en se démarquant de la concurrence et décrocher rapidement ses premiers contrats ? cyboolo est la solution qui répond justement à ces besoins. Valoriser le savoir-faire et les compétences des indépendants cyboolo est une plateforme LMS qui accompagne les indépendants quel que soit leur statut - auto entrepreneur, micro entrepreneur, EI(RL), SASU, EURL -, dans la création de cours en ligne. « Ces cours en ligne constituent un puissant vecteur pour mettre en avant ses compétences professionnelles et sa personnalité », explique Olivier Truc, le fondateur. En effet, les free-lances et les indépendants rencontrent les mêmes problèmes au cours de leur démarrage. L’isolement, l’absence de référence, et de visibilité sur le web pour certains, des moyens financiers limités, manque de temps pour gérer la prospection commerciale et le développement de réseau de clients,... la liste est loin d’être exhaustive. Avec cyboolo, les indépendants accèdent à une plateforme clé en main intégrant un support e-marketing, un outil e-learning et une solution e-commerce grâce notamment à un système de paiement intégré. Vendre une formation en ligne ou tout simplement dénicher des clients ou des missions en suggérant un service gratuit de formation en ligne : la solution répond au besoin spécifique de chaque utilisateur. De multiples avantages L'application cyboolo, accessible depuis un explorateur web, a été conçue pour faciliter la prise en main de ses utilisateurs. Quelques minutes suffisent pour créer son propre site internet, son catalogue de formations en ligne et du contenu multimédias (textes, images et vidéos). A l’image d’un éditeur de texte, l’outil séduit par sa simplicité d’utilisation. Il développe une interface simple et intuitive, fonctionne sur tous supports (ordinateur, tablette ou smartphone) et convient aussi bien à un novice qu’à un expert en informatique. D’ailleurs, la connaissance du code n’est pas requise et l’utilisateur n’a pas non plus à se soucier des contraintes techniques telles que la gestion de base de données ou la création et le stockage de vidéos. « Tout peut se faire depuis la plateforme, et l’utilisateur n’a pas besoin d’un compte associé sur un autre service », fait savoir notre intelocuteur. Générateur de mentions légales, conformité au RGPD, gestion de la franchise en base de la TVA, Chat en ligne et commentaires vidéos viennent compléter la panoplie des fonctionnalités offertes aux utilisateurs. Des utilisateurs, de plus en plus nombreux, qui vont du coach sportif au consultant informatique en passant par le thérapeute ou le photographe freelance. En offrant aux indépendants la possibilité de publier des contenus uniques, essentiels pour exister sur les réseaux sociaux, ainsi qu’une alternative innovante aux blogs souvent chronophages, cyboolo les aide à se démarquer et à renforcer leur image de marque de manière simple, rapide et abordable. ...
Avec un site principal à Metz et un site délocalisé à Sarreguemines, l’UFR compte aujourd’hui 50 enseignants chercheurs et une équipe administrative impliquée, dont un service dédié à l’orientation. Elle mobilise environ 250 intervenants professionnels chaque année, permettant aux étudiants une approche toujours plus concrète des métiers convoités. Sa dimension à taille humaine lui permet de considérer chaque parcours, comme le souligne son doyen également professeur de droit, Pierre Tifine. Des formations porteuses d’avenir La faculté dispense des formations initiales allant de la Licence au Master. Cinq Licences (Droit, AES, Economie, Franco-allemand, Administration publique) sont proposées. Les étudiants en première année peuvent s’inscrire en sus à un dispositif d’accompagnement dédié, visant à les soutenir et à mieux les orienter. Ils peuvent ensuite choisir parmi sept Masters 1 : Droit public, Civil, Fiscal, Économie appliquée, Administration économique et sociale, Droit des affaires, Public franco-allemand, et parmi neuf Master 2, dont on citera pour exemples : Collectivités territoriales et coopération transfrontalière, Urbanisme et construction, Économie sociale et solidaire, Procédure et fiscalité, ou encore Droit des affaires transfrontalières. Parmi les formations continues, le diplôme universitaire (DU) Droit et Administration des Collectivités territoriales et le DU Fiscalité transfrontalière s’adressent aux personnes déjà en activité professionnelle. Les personnes intéressées peuvent aussi s’inscrire à la préparation aux concours administratifs ou à la préparation aux métiers judiciaires (CRFPA) La Faculté s’adresse aussi aux non bacheliers en leur permettant de suivre la Capacité en droit, un diplôme leur permettant de rattraper un niveau Bac et d’accéder aux études universitaires. Une pédagogie alliant théorie et pratique Afin de confronter les étudiants aux réalités professionnelles et faciliter leur insertion sur le marché de l’emploi, l’université construit de nombreux partenariats avec les institutions administratives ou judiciaires. Rencontres, conférences, webinaires, stages, forum viennent animer et enrichir la vie étudiante. Des échanges avec le Québec permettent chaque année à une poignée d’élèves méritant de partir étudier sur place (très bon dossier requis). En moyenne, l’Université de Droit, économie et administration compte 450 nouveaux diplômés par an. Un indicateur de réussite conséquent, dont peut s’enorgueillir la Lorraine. ...
Les chiffres sont éloquents. Le taux d’insertion professionnelle des diplômés de l’UFR Droit Économie et Gestion confirme l’attractivité de ses formations. Selon la dernière enquête*, 90 % d’entre eux sont entrés dans la vie active 30 mois après l’obtention de leur diplôme. 75 %** trouvent un emploi dans les 12 mois qui suivent l’obtention de leur diplôme. Deux performances qui confirment le bien-fondé de la stratégie menée par la faculté. Allier les compétences d’un corps enseignant de qualité (150 enseignants-chercheurs) avec celles des praticiens de l’entreprise, des collectivités territoriales et de l’administration (plus de 350 intervenants extérieurs). Et entretenir des liens forts et pérennes avec le tissu économique, les entreprises, les associations professionnelles (ANDRH, CNFPT, l’ordre des experts-comptables, la magistrature…). L’apprentissage en alternance, clé du succès Désormais, la moitié des masters dispensés par la faculté est proposée en apprentissage, une formule qui associe l’immersion en entreprise et le cours théorique. Grâce à cette séquence d’une année, l’étudiant valide une première expérience professionnelle de découverte et d’orientation dans un secteur qu’il a choisi. Il bénéficie d’un accompagnement personnalisé assuré par un tuteur universitaire et un maître d’apprentissage en entreprise. Une période qui exige détermination et disponibilité. Ce sont les capacités opérationnelles et d’adaptation qui s’en trouvent améliorées. Des lignes précieuses sur un CV quand il s’agit de convaincre un employeur. Ainsi, la faculté signe chaque année plus de 150 contrats d’apprentissage mais aussi près de 900 conventions de stages. La construction du projet professionnel n’est pas laissée au hasard : tout au long du cursus universitaire, des ateliers CV, lettre de motivation, préparation à l’entretien et des rencontres avec des professionnels sous forme de petits déjeuners et de forums métiers sont proposés aux étudiants. Des laboratoires de recherche reconnus De même, le niveau de recherche soutenu par la faculté conditionne la qualité de l’enseignement. Comme l’explique le doyen de la faculté, le Pr Cem Ertur, de tels niveaux d’excellence sont le fruit d’une harmonie entre recherche et enseignement, véritable écosystème favorable. « La faculté ne pourrait se prévaloir d’un tel classement si nos formations hautement qualifiantes et très recherchées par les entreprises n’étaient adossées à la recherche d’excellence dans nos laboratoires : le laboratoire d’Économie d’Orléans, le Centre de recherche juridique Pothier et Vallorem, le laboratoire de recherche en management. » * Enquête nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, décembre 2014 et avril 2015. ** Enquête réalisée par les services de la faculté de Droit, d’Économie et de Gestion. ...
Situé au CNIT, à La Défense, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Franco-Britannique est sous l'égide de l'Œuvre du Perpétuel Secours, association loi 1901. Il a pour mission de former des professionnels de santé compétents à même de s’adapter à l'évolution des pratiques soignantes et de répondre efficacement aux besoins de santé des personnes. Des formations tout au long de la vie Madame Danielle BENALI, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Étudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP) au sein de 12 salles de formation dont 2 dédiées à la pratique des soins et un pôle simulation avec chambre et mannequin reproduisant le contexte hospitalier. À ce titre, l’IFSI offre deux départements de formation : - Une formation initiale préparant aux diplômes d’infirmier, d’Aide-Soignant et d’Auxiliaire de puériculture. Dans ce cadre, les étudiants infirmiers ont la possibilité de réaliser un projet de stage à l’étranger ou en Europe via le programme Erasmus +. L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience. - Une formation continue professionnalisant des personnels de santé tout au long de leur exercice professionnel ou favorisant une nouvelle orientation professionnelle (VAE, Passerelles …). Un encadrement de qualité et des méthodes pédagogiques diversifiées L’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre pour que les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant. Pour ce faire, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un master. Les méthodes pédagogiques pratiquées s’inscrivent dans l’innovation et privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables. De plus, il est intéressant de préciser que l’IFSI a développé de nombreux partenaires parmi lesquels « Médecine Sorbonne Université » et le Conseil Régional de l’Ile de France. ...
Depuis sa création, l’objectif de l’établissement reste le même : assurer la réussite aux concours et l'épanouissement artistique de ses étudiants. Aujourd’hui, l’école a relevé brillamment le défi puisqu’elle affiche chaque année des résultats plus que satisfaisants aux concours des grandes écoles d’art et d'animation. À titre d’exemple, en 2018, sur les 81 candidats admis à la prestigieuse École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (ENSBA), 21% sont issus de l’Atelier de Sèvres. Développer une personnalité artistique Les ateliers préparatoires permettent aux étudiants de se familiariser avec les outils techniques tout en assimilant les connaissances qu’ils devront mobiliser lors des concours. L’école propose un enseignement polyvalent en adéquation avec les réalités artistiques du moment, tout en laissant libre cours à l’expérimentation. Chaque étudiant doit développer « sa patte », trouver un regard unique en tant qu'artiste. Une préparation sur-mesure Les étudiants des classes Intermédia, qui font preuve d'une plus grande expérience artistique, sont suivis individuellement tout au long de l'année par un enseignant, la plupart du temps issu de l'école visée par l'étudiant. Il les guide dans leurs recherches et dans l'élaboration de leur dossier artistique, en apportant sa connaissance des attentes du concours et son expérience d'artiste. Car les enseignants de l'Atelier de Sèvres ont tous une pratique artistique. Afin de mesurer le progrès effectué, des concours blancs et simulations d'oral sont réalisés au cours desquels les étudiants sont tenus de présenter leur dossier artistique devant un jury. Ce travail de préparation soutenu et rigoureux constitue une des clés de réussite de l'Atelier de Sèvres. L'atelier supérieur d'animation Atelier de Sèvres a ouvert une formation supérieure de 3 ans en animation, à la suite du constat des professionnels sur le manque de scénaristes. La formation se concentre tout particulièrement sur le travail d'auteur, d'écriture de l'animation d'art et réunit aussi bien les compétences créatives que techniques afin que les diplômés maîtrisent toute la chaîne de production. Les étudiants créent un film chaque année au cours de l'atelier de réalisateur et sont en contact permanent avec les professionnels du secteur, que ce soit en cours, en workshop ou lors de conférences thématiques. C'est cette recette qui fait le succès de cette formation ouverte sur la création contemporaine. Les étudiants participent d'ailleurs au Festival d'Annecy, à la NEF Animation de l'Abbaye de Fontevraud, au Festival du film d'animation de Paris, au Festival international du film d'animation de Rennes, au festival Anima de Bruxelles, etc... ...
La Faculté de Théologie Protestante est l’une des 37 facultés au sein de l’Université de Strasbourg. Celle-ci fait partie des plus anciennes universités d’Europe dont les origines remontent à 1538. La Faculté de Théologie Protestante présente la particularité d’être aujourd’hui l’unique institution à délivrer des diplômes en théologie protestante sur le plan national. « Les autres facultés qui existaient auparavant en France sont devenues privées suite à la publication de la loi de 1905 », informe Rémi Gounelle, Doyen de la Faculté. Ouverte sur le monde, l’institution accueille des étudiants de tout horizon et ce, quelle que soit leur appartenance religieuse. Sa mission : assurer une formation universitaire, scientifique et critique en théologie protestante et plus largement sur les religions. Des formations pour façonner la société de demain Afin de permettre aux étudiants d’acquérir les connaissances fondamentales, la Faculté propose la licence Théologie Protestante. Il s’agit d’un parcours interdisciplinaire qui couvre l’ensemble des éléments constitutifs d’une religion : origines, documents fondateurs, système de croyance, mode d’organisation,… Ce parcours unique débouche ensuite sur quatre masters dont deux qui viennent d’être lancés récemment : Textes Religieux de Référence et Théologie & Société. La mention « Textes Religieux de Référence » assure à l’étudiant une spécialisation dans l’étude de textes religieux de référence tels que la bible, le coran ou d’autres textes sacrés. « Nous formons les étudiants pour qu’ils soient capables d’analyser des textes religieux et de s’interroger sur la façon dont ces textes ont été lus, compris et utilisés », explique le Doyen. Quant à la mention « Théologie & Société », elle vise à examiner, à tous les niveaux, la place de la religion dans la société civile. Mis à part le parcours Licence et Master, la Faculté de Théologie Protestante propose également dix Diplômes d’Université (DU). Parmi eux, le DU de Médiation socioreligieuse vise à former des acteurs de terrain à même d’intervenir dans des situations conflictuelles en lien avec la religion. « Ils doivent être capables de comprendre ce qui se passe et de proposer des solutions pour apaiser les tensions entre les acteurs en présence ». Enfin, le DU Initiation aux Religions s’adresse plutôt à un large public qui souhaite comprendre les phénomènes religieux actuels. Ce qui implique entre autres une initiation aux grandes religions comme le christianisme, l’islam, le bouddhisme, le judaïsme, etc. Ouvertes au monde professionnel, les formations présentent de nombreux débouchés : ministère pastoral, animation socioculturelle, journalisme, enseignement religieux, etc… Des classes virtuelles L’intégralité des formations dispensées par la faculté est accessible à distance. « Nous avons mis en place toute une série de dispositifs pour que l’étudiant puisse suivre les cours depuis chez lui » rapporte notre interlocuteur. La diffusion du cours se fait donc de manière synchrone à travers une solution numérique et les étudiants ont accès à toutes les documentations via des plateformes dédiées à cet effet. Une fois par an, chaque étudiant doit cependant rejoindre l’Université de Strasbourg afin de passer ses examens. ...
« Dans une classe de sixième accueillant 30 élèves, l’on sait qu’il existe en moyenne deux ans d’écart de niveau en mathématiques. Ce constat montre une faille dans l’apprentissage », constate Laetitia Grail, cofondatrice de myBlee Math également professeure de mathématiques pendant dix ans. Ainsi disponible sur iPad, l’application myBlee Math veut aider les enfants de 5 à 12 ans à s’améliorer dans cette discipline non pas en les cloisonnant à un niveau mais en découpant l’apprentissage en différentes phases pour qu’ils puissent évoluer en fonction de leurs capacités et à leur rythme. L’innovation technologique au service d’une pédagogie innovante myBlee Math est un outil complet enseignant les mathématiques de la maternelle à la sixième. Il est le fruit d’un travail de partenariat avec des enseignants et entités spécialisées dans l’enseignement. « Il a fallu trois années pour créer la bibliothèque de 2 000 exercices et leçons conformes au programme des cycles 1, 2 et 3 de l’Éducation nationale », explique la CEO. Les contenus se décomposent en plusieurs modules et notions, avec des niveaux de difficultés progressifs. L’équipe de myBlee Math a choisi d’intégrer les meilleures pédagogies utilisées en France et dans le monde, telles la pédagogie Montessori ou la méthode de Singapour. Aujourd’hui, elle ne cesse d’explorer de nouvelles pratiques en se penchant sur les neurosciences. L’innovation se trouve également au niveau de la technologie utilisée. L’interface intuitive, le game design, la reconnaissance d’écriture manuscrite, la correction adaptative ou encore le texte-to-speech sont conçus de façon à optimiser l’interactivité et l’efficacité d’apprentissage. « L’enfant peut tourner un rapporteur aussi facilement sur une tablette que sur une feuille de papier ! », déclare Laetitia Grail. Un parcours d’apprentissage personnalisé De plus, l’application myBlee Math utilise un moteur d’adaptive learning basée sur une intelligence artificielle pour créer un parcours d’apprentissage personnalisé et adapté à chaque profil. Concrètement, le niveau d’exercice proposé est pertinemment choisi en fonction de l’évolution de chaque enfant. « L’application comprend l’enfant : il l’évalue et l’accompagne dans sa progression. » L’usage de myBlee Math se fait sous la houlette des professeurs et des parents. À l’école, les enseignants disposent d’un mode de pilotage pour suivre les activités de la classe et de chaque élève, puis pour attribuer, corriger ou planifier des travaux. Les parents ont aussi accès à une fonctionnalité similaire. Ils peuvent consulter le reporting, visualiser le parcours de leur enfant et lui confier des exercices depuis leur smartphone. ...
« Il y a de nombreux emplois maritimes dans ces domaines, confirme Alain Pomes, directeur du Centre européen de formation continue maritime (CEFCM). Et ça ne va pas s’arrêter : l’avenir de l’humanité repose sur l’eau, l’énergie et la nourriture. Ces trois éléments, c’est la mer qui les fournira.» Dans l’immédiat, la pêche, l’aquaculture, l’algoculture ou encore les énergies marines renouvelables font également partie des secteurs qui recrutent. Centre européen de formation continue maritime : 2 700 stagiaires chaque année Pour répondre à la demande, le Centre européen de formation continue maritime accueille 2 700 stagiaires chaque année. Ceux-ci peuvent se former aux métiers d’officier de marine marchande, de matelot, de mécanicien, etc. Un marin français sur deux passe par le CEFCM ! Deux sur trois accèdent à ces métiers par la formation continue. Ces professions sont souvent plébiscitées par des salariés en reconversion. Car les métiers maritimes ne manquent pas d’atouts, notamment en termes de rémunérations : ils sont deux à quatre fois plus payés que des équivalents sur la terre ferme. « L’avancée dans une carrière peut être très rapide, reprend Alain Pomes. De plus, les reconversions sont faciles, la mer est un véritable ascenseur social, les marins, grâce à leur polyvalence, n’ont aucun mal à retrouver un travail à terre.» ...
TÉLÉPILOTE SAS est née en 2014 d'une volonté pour les fondateurs de diffuser vers un très large horizon cette technologie innovante qu'est le drone civil. Sa pratique professionnelle en France nécessite de connaître parfaitement les règles de sécurité et de la législation Française. Les missions de survol en drone se déroulent pour une grande partie en agglomération, proche du public, un scénario sensible et pointu : le scénario S3. « Venant du terrain et comprenant ces difficultés, il était très important pour nous de transmettre notre expérience dans notre formation» explique Bénédicte Moussier, la co-fondatrice. L'observation aérienne et la réalisation d'images en basse altitude en drone nécessite de savoir piloter parfaitement dans les conditions les plus difficiles et de connaître parfaitement la logistique, la machine, le capteur qui lui est associé ainsi que la réglementation. Côté emplacement, le centre de formation a pris ses quartiers dans les Yvelines et profite d’un environnement favorable à l’apprentissage. « On a deux hangars et des terrains extérieurs qui nous permettent de toujours voler quelle que soit la météo», souligne-t-elle. TÉLÉPILOTE SAS privatise des sites pour entraîner les stagiaires à l'inspection, à la prise de vue ainsi qu'à la modélisation des bâtiments. Par ailleurs, l'enseigne bénéficie également, pour les sessions techniques spécialisées BTP, d'un partenariat avec le CEREF BTP ( le Centre régional de formation du BTP à Bourgtheroulde en Normandie). À propos de la formation TÉLÉPILOTE SAS est spécialisée dans la formation de pilotage de drone civil. Selon leur spécialisation, chaque apprenant a droit à un programme spécifique. Cela illustre bien le fait que le drone embrasse aujourd’hui différents champs d’application. La durée de la formation dépend de la spécialisation en question, mais il faudra compter au minimum trois semaines. Le programme alterne à la fois une partie pratique (réglementée) et une autre théorique (obligatoire). « Au niveau du matériel, nous n’utilisons pas de simulateur puisque, dès le premier jour, les apprenants ont l’occasion de piloter en réel, les commandes en main », rajoute Bénédicte Moussier. En ce qui concerne les formateurs, ils viennent tous du milieu professionnel et utilisent le drone comme leur principal outil de travail. Compétents et expérimentés, ils assurent un apprentissage de qualité. En tant que centre de formation, TÉLÉPILOTE offre aussi des opportunités et de réelles perspectives en termes d’emploi. Les formations proposées Parmi les nombreuses formations proposées par le centre figure la formation drone BTP. Elle a pour objectif de permettre à l’apprenant, une fois sa formation achevée, d’effectuer des missions dans le cadre d’une activité liée aux métiers du bâtiment et des travaux publics. « On peut par exemple se servir d'un simple drone pour des prises de vue aérienne. Cette technique, la photogrammétrie, est très plebiscitée par les géographes et topographes du fait de son côté pratique pour les travaux de réalisation des plans et cartes topographiques. Toutefois, la photogrammétrie ne se résume pas aux activités cartographiques mais s'étend également à l'environnement, l'urbanisme, le génie civil et bien d'autres domaines... », nous fait savoir notre interlocutrice. La formation de prise de vue dans le milieu de l’audiovisuel est aussi une option intéressante. Le but est d’offrir, après la formation, la possibilité à l’apprenant d’être opérationnel au cadrage aérien en utilisant un drone multirotor pour la télévision et la production audiovisuelle. Outre ces deux types de formation, TÉLÉPILOTE suggère aussi une formation drone intra-entreprise consistant à appuyer les entreprises qui souhaitent évoluer sur le marché du drone. ...
C'est là qu'intervient Admission Accomplie : en vous fournissant toutes les clés nécessaires pour réussir votre projet d'études à l'étranger, le cabinet aide à faire face aux défis qui se présentent et à saisir toutes les opportunités qui s'offrent aux futurs étudiants. Avec ce soutien expert tout au long du processus d'admission et d'intégration dans votre nouvelle vie académique, vous pouvez être sûr(e) de prendre la meilleure décision possible quant à votre avenir professionnel et personnel. Les facultés de commerce de renommée : une alternative efficace à la classe préparatoire traditionnelle Les filières les plus prisées par les étudiants français demeurent les sciences sociales, tandis qu’un Bachelor d’eco-gestion est devenu un alternatif populaire au système traditionnel des classes préparatoires en France. Des établissements tels que la London School of Economics et l'Université de Warwick au Royaume-Uni, l'Université Bocconi à Milan, l'Université IE à Madrid, ainsi que RSM aux Pays-Bas offrent une éducation de renommée mondiale, des opportunités d'apprentissage pratique et des liens solides avec l'industrie, tout en permettant une admission parallèle aux Grandes Écoles. Les stratégies de candidatures multi-destinations pour optimiser les chances d'admission En développant les services de soutien aux étudiants dans leurs candidatures pour plusieurs destinations, Admission Accomplie vise à répondre à l'évolution des attentes et des besoins liés à l'étude à l'étranger. Avec les contraintes liées à la pandémie de Covid-19 et au Brexit, la mobilité des étudiants entre la France et le Royaume-Uni a été affectée. Les frais de scolarité plus élevés et l'exigence croissante des parents et des étudiants de rejoindre les meilleures institutions ont modifié la façon dont les familles envisagent l'étude à l'étranger dans son ensemble. Afin d'optimiser leurs chances d'admission, les étudiants adoptent désormais des stratégies de candidatures multi-destinations. Cependant, ces candidatures multi-destinations nécessitent la mise en place de différentes stratégies dès la Seconde afin d'enrichir le profil des étudiants en termes d'expériences et de compétences, augmentant ainsi leurs chances d'admission dans les pays ciblés. S'engager dans des activités parascolaires pertinentes peut aider à démontrer aux universités leur engagement, leurs compétences en leadership et leur passion pour un domaine spécifique. Cela peut inclure des stages en entreprise, des clubs ou associations, du bénévolat ou des projets personnels. La soumission de candidatures multiples pour différentes destinations demande du temps et des connaissances approfondies. Cela peut rapidement devenir stressant pour les étudiants dans une période où ils s’efforcent de se concentrer sur leurs études. C'est dans ces situations qu'un soutien tel que celui d'Admission Accomplie devient essentiel. Un processus complexe nécessitant une expertise et un soutien personnalisé Le processus de candidature à l'international est complexe, avec des exigences spécifiques pour chaque université, pays et programme d'études. Les étudiants doivent consacrer du temps à la recherche approfondie des programmes, à la rédaction de lettres de motivation percutantes, à la préparation des examens standardisés, et à la constitution des dossiers de candidature. Le Cabinet Admission Accomplie intervient ici en tant que ressource précieuse. Leur équipe d'experts possède une connaissance approfondie des procédures et des exigences spécifiques des différentes universités. Ils peuvent guider les étudiants dans le choix des universités appropriées en fonction de leurs aspirations et de leurs capacités, les aidant ainsi à optimiser leurs chances d'admission. Une solution précieuse pour maximiser les chances d'admission En travaillant en étroite collaboration avec les étudiants, le Cabinet Admission Accomplie soutient les étudiants dans toutes leurs rédactions ...
La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche associative, sanitaire, sociale et médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région. Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA s'engage avec la Région Centre-Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap. Devenir infirmier par l'apprentissage C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (trois ans) et des 1 800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus. ...
L’institut Le Cordon Bleu forme chaque année plus de 20 000 étudiants partout dans le monde aux Arts Culinaires et au management hôtelier. Mais son vaisseau amiral reste à Paris, fleuron de la gastronomie mondiale. Dans un établissement où la passion et l’excellence anime tous les gestes, il fallait des enseignants et des intervenants au moins aussi prestigieux. Et c’est d’ailleurs l’une des forces de l’institut Le Cordon Bleu Paris : le corps enseignant est composé de professionnels reconnus, respectés et de nombreuses fois récompensés. A la direction des Arts Culinaires, on retrouvera donc Eric Briffard, ancien chef de la table du Cinq, meilleur ouvrier de France, et deux étoiles au Michelin. Et pour le département hôtelier, on croisera, entre autres, Franck Ramage, ancien chef sommelier adjoint au Crillon deux étoiles au Michelin. Pour tous ces professionnels, la transmission des gestes, de la passion, et du goût des belles choses est essentiel. Tous ces arts ne peuvent pas simplement s’expliquer dans les livres : il faut les pratiquer sous l’oeil attentif d’un mentor, encore et encore pour en avoir une maîtrise parfaite. Et c’est donc tout l’intérêt de l’institut Le Cordon Bleu. Mettre en relation des professionnels prestigieux et reconnus avec ceux qui le seront demain. Un réseau social qui ouvre de nouveaux horizons L’une des forces de cet institut est aussi de mettre en relation des étudiants aux cultures riches et diverses. Qu’ils soient anciens professionnels en reconversion ou jeunes bacheliers. Qu’ils viennent d’ici ou d’ailleurs (l’Asie, l’Amérique Latine, l’Afrique …), la diversité des cultures et des expériences est une richesse inestimable pour les étudiants. Elle leur permet de développer leur créativité, d’élargir leurs connaissances des usages à l’international, et d’explorer des idées nouvelles. Comme ces deux étudiantes, l’une chinoise et l’autre taiwanaise, associées pour créer un restaurant de cuisine fusion franco-taiwanaise dont la notoriété ne fait que grandir. Lors de leur cursus, les étudiants vont également faire des stages dans de grandes maisons renommées. Ces expériences pratiques, choisies en fonction de leurs projets personnels, leur permettront de faire leurs armes. Ils y rencontreront aussi des professionnels aguerris, souvent de vrais références, afin d’étoffer leur réseau. Les étudiants en management hôtelier sont soumis à un régime spécial. Ils doivent impérativement suivre un cursus de trois mois dans l’une des matières culinaires. Et peuvent le faire à l’étranger, dans l’une des écoles du réseau. Un environnement de travail ultra innovant Mais pour que les 1000 étudiants parisiens puissent travailler dans les meilleures conditions, un bâtiment éco-responsable ultra innovant est à leur disposition. Situé sur les bords de Seine, ces 4000m2 ont été conçus pour optimiser l’apprentissage. Ils comportent sept salles de classes pour les cours de cuisine, boulangerie, ou pâtisserie. Chaque étudiant y a son poste de travail, comme dans un vrai restaurant. Un chai a aussi été reproduit à l’identique pour les futurs sommeliers. Mais des salles de cours plus classiques sont aussi disponibles pour les cours théoriques. L’exigence dont font preuve les enseignants Le Cordon Bleu Paris, leur passion, et leur envie de transmettre font aujourd’hui encore de l’établissement une référence mondiale dans les Arts Culinaires et de l’hôtellerie. ...
D’abord un rappel essentiel : la formation professionnelle tout au long de la vie constitue une obligation nationale. Elle permet à chaque personne, indépendamment de son statut, d'acquérir et d'actualiser des connaissances et des compétences favorisant son évolution professionnelle, ainsi que de progresser d'au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle. Elle comporte ainsi une formation initiale, comprenant notamment l'apprentissage, et des formations ultérieures, qui constituent la formation professionnelle continue, destinées aux adultes et aux jeunes déjà engagés dans la vie active ou qui s'y engagent. En faisant le lien entre les formations et les besoins du monde économique, la formation continue tout au long de la vie dans l'enseignement supérieur permet à ceux qui sont entrés tôt dans la vie active d'avoir une chance d'accéder aux cursus, diplômes ou titres de l'enseignement supérieur. La formation continue tout au long de la vie permet également d'optimiser les temps de formation en prenant en compte les savoirs et savoir-faire de chacun et de répondre plus efficacement aux besoins et aux attentes des individus, des entreprises et de la société. Une formation pour qui ? La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur s'adresse aux actifs, afin de permettre leur maintien dans l'emploi, de favoriser le développement de leurs compétences et l'accès aux différents niveaux de la qualification professionnelle, de contribuer au développement économique et culturel, à la sécurisation des parcours professionnels et à leur promotion sociale. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse aussi aux personnes souhaitant un retour à l'emploi après une interruption de leur activité professionnelle. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse enfin aux personnes en situation de handicap : des dispositifs spécifiques ont été mis en place dans tous les établissements de l’enseignement supérieur pour adapter les modalités d’accès et de suivi de formations aux différents handicaps et nommer un référent handicap pour suivre les participants de leur candidature à leur diplomation. ...
Plus que jamais, les solutions numériques dédiées à la formation professionnelle ont le vent en poupe. Les nouvelles réformes de la règlementation relative à la formation et à l’apprentissage risquent bien d’amplifier encore plus le phénomène. Dans ce contexte, Innoprev repousse les limites en créant une plateforme collaborative où tout le monde peut trouver, partager, organiser ou demander des formations partout en France. Démocratiser l’accès et le partage de savoirs « Nous voulons lancer une application entièrement flexible, gratuite et accessible à tous, sans exception », introduit Martial David, fondateur d’Innoprev. Ainsi, l’application permet aux salariés, aux étudiants, aux stagiaires ou aux particuliers de réserver instantanément des places de formation disponibles auprès des organisateurs de formation, via une simple inscription en ligne. Ces utilisateurs peuvent comparer et choisir parmi toutes les offres, en se référant aux informations fournies à chaque annonce : thématique, zone géographique, date et durée de formation, nombre de places, tarif, etc. Pour ceux qui expriment des exigences plus spécifiques, Partage Formations leur donne la possibilité d’élaborer une demande de formation sur mesure, qui sera diffusée par la suite sur l’ensemble du réseau. « Il s’agit vraiment d’une mise en relation la plus directe et la plus transparente possible, pour satisfaire entièrement chaque utilisateur », soutient le fondateur. Un outil de communication Inversement, les organisateurs peuvent rentabiliser leurs sessions de formation internes (formation intra-entreprise, interentreprises, MOOC ou e-learning), en proposant les places libres aux particuliers souhaitant y participer. « En plus de conquérir un public extérieur, cela permettra d’obtenir un retour sur investissement de manière très rapide et immédiate », explique notre interlocuteur. Du gagnant-gagnant. D’autres fonctionnalités payantes et plus performantes sont également à leur disposition, dont l’abonnement à la notification personnalisée. « Concrètement, ces organismes de formation reçoivent un message à chaque fois que la plateforme identifie une demande de formation correspondant à leurs critères de notifications. » En outre, Partage Formations assure la promotion marketing des annonces, l’intégration Web du système d’inscription ou encore la gestion des inscriptions reçues. ...
Créée en 2016, la plateforme Formalis est devenue, en quelques années, un site incontournable de formations e-learning. Des formations en ligne pour tous les besoins et toutes les envies Après l'obtiention d'un Master à New York University, Harriet Marin s’installe en France. C’est en suivant de nombreuses formations dans les domaines qui la passionnent que lui est venue l’idée de Formalis. Au début, la plateforme ne proposait que des formations en bien-être. Puis, son champ d’action s’est élargi vers d’autres domaines tels que le web, le coaching ou la déco. L’objectif a cependant toujours été le même : développer des formations accessibles à tous qui permettent d’être autonome dans un monde en pleine mutation. Alternant parties théoriques et pratiques, chaque formation vise l’excellence. C’est d’ailleurs pour cette raison que le taux de satisfaction est de 4,8/5. ...
À travers une pédagogie innovante qui intègre des cours théoriques en e-learning et des workshops pratiques en présentiel, adLearnMEDIA accompagne les acteurs médias dans leur souhait de reconversion, d’évolution ou de spécialisation. Qu’ils soient des jeunes diplômés, des entreprises ou des professionnels dans le domaine du marketing et du commerce, cet organisme agréé DataDock et Pôle Emploi propose différentes formules adaptées à leurs exigences. Répondre à un réel besoin Au cours de ses expériences au poste de directeur commercial et marketing, Franck Terrier, fondateur d’adLearnMEDIA, s’est rendu compte de la nécessité d’accompagner les commerciaux face à la digitalisation des médias. « J’ai voulu former mes collaborateurs, mais il n’y avait quasi pas d’organisme de formation spécialisé sur une approche commerciale et marketing pour les régies ou les agences », précise-t-il. Afin de répondre à ce besoin, Franck Terrier décide de lancer son activité non sans avoir effectué au préalable une étude de marché auprès de nombreux acteurs médias (annonceurs, régies, agences…). E-formation et mix-formation : deux formules gagnantes Cet organisme formateur propose des formations novatrices et disruptives, déclinées en deux formules : l’e-formation et la mix-formation. La première s’adresse aux jeunes diplômés et aux professionnels, issus du secteur commercial ou de la publicité et souhaitant évoluer très vite dans leur domaine. Exclusivement prodiguée en ligne et accessible de partout en France, elle comprend des cours théoriques présentés sous forme de fiches, de vidéos et d’interviews. L’apprenant accède au module suivant en répondant correctement à un quizz. La formule est disponible en 3 packs déclinés selon le nombre de modules choisi (4, 9 ou 14). La mix-formation, quant à elle, alterne e-learning et formation en présentiel. « Tous les 4 modules validés, vous avez des workshops en présentiel sur Paris, incluant des cours de mise en pratique et des ateliers animés par des professionnels en activité », souligne le fondateur. Prévue pour septembre 2018, la nouvelle session s’étale sur une période de 4 mois. AdLearnMEDIA, c’est aussi des solutions de formation sur mesure pour les entreprises. Grâce à une méthode pédagogique en « blended learning » associant e-learning et workshop, l’organisme offre un parcours de formation adapté aux besoins des acteurs. Différentes formules sont présentées : formations courtes ; en période de professionnalisation ; contrat de professionnalisation au cours duquel les salariés profitent d’un accompagnement tout au long de leur parcours en entreprise. Plusieurs modules disponibles Dans la gamme des 14 modules mis à la disposition des apprenants figure, par exemple, la formation « Web, display et programmatique ». Celle-ci intègre, entre autres, la connaissance des modes d’achat et les technologies utilisées afin de mieux comprendre les évolutions des achats d’espaces publicitaires en ligne. Le module « Introduction aux médias » permet à l’apprenant d’acquérir une approche globale du cross média. Sur ce point, les réseaux sociaux font aujourd’hui partie des supports indispensables dans le domaine du B2B, mais encore faut-il savoir les utiliser ! Autre choix : le « social selling ». Ce module a pour objectif de faire comprendre les enjeux des médias sociaux pour le développement des ventes, d'en connaitre les bonnes pratiques puis de pouvoir élaborer une stratégie de vente adaptée. Enfin, compte tenu de l’importance de la gestion d’un site, adLearnMEDIA suggère aussi le module « Search, SEM, SEO, SEA » pour bien comprendre les systèmes de référencement et optimiser sa visiblité dans les médias sociaux. ...
Encourager et porter les candidatures féminines dans le parcours d’ingénieur était et reste un cheval de bataille pour l’EPF. L’ancienne pépinière de femmes ingénieures initiée par Marie-Louise Paris accueille désormais un auditorat mixte. Autre changement marquant pour cette institution forte de quelque 10 000 diplômés, ses pédagogies innovantes qui placent l’individu au cœur de la méthode. Priorité pédagogies A l’aube du 21ème siècle où excellence et parité constituent le cœur des enjeux, l’institution prend le pari de réviser profondément ses manières d’enseigner. Valorisation de la personnalité, modes d’évaluation remis au goût du jour, intégration d’outils et de méthodes plus avancés. L’EPF adapte ses vues aux mutations de notre époque pour former des ingénieurs qui s’adaptent aux exigences du futur. L’arrivée du numérique a impulsé des transformations profondes dans notre société, ces dernières années. Les pratiques d’enseignement ont peu, ou pas, suivi la cadence, faisant l’objet d’un vrai statu quo. « On ne s’est pas suffisamment penché sur la révolution d’Internet qui amène une relation au savoir complètement différente » déplore le directeur d’EPF Montpellier. « L’accès au savoir étant désormais facilité, il faut davantage accompagner les étudiants dans l’appropriation des connaissances et l’articulation de ces connaissances entre elles » préconise-t-il. C’est dans cette optique que l’institution prône désormais les pédagogies dites mixtes, tout en privilégiant un nouveau mode d’évaluation. Tirer parti des plateformes numériques pour concevoir des scénarii d’apprentissage intelligents, afin de tendre vers une plus grande autonomie de l’apprenant. C’est autour de ce concept central que s’articulent les pédagogies mixtes promues à l’EPF. La plateforme pédagogique Moodle est le support numérique de cette approche qui n’exclut pas entièrement les séances en présentiel. Celles-ci sont désormais réservées à des séances de synthèse, et surtout à des accompagnements requis dans des sujets plus élaborés (ou plus complexes), alors même que l’étudiant investit un statut plus actif dans son processus d’apprentissage au travers des classes inversées. L’acquisition de compétences comportementales d’engagement, de prise de risque, d’intégration à une équipe, d’échanges, de communication, en plus des compétences purement techniques, constitue l’avantage de ces innovations chez les ingénieurs sortants de l’EPF. Une formation étoffée, polytechnique et internationale « La volonté de l’école est de prodiguer une formation véritablement polytechnique » souligne Elisabeth Zerahian, Responsable du Département Communication & Marketing à l’EPF. Les 3 premières années de formation structurent ainsi, chez l’étudiant, l’acquisition d’un socle scientifique solide. Les 7 majeures proposées dans la suite du cursus ouvrent la voie à un diplôme d’ingénieur généraliste « polytechnicien, adaptable, polyvalent » et promu à toutes perspectives d’ouvertures selon les opportunités qu’il rencontre sur son parcours professionnel. Le grand atout supplémentaire des formations à l’EPF est justement la place accordée à l’ouverture internationale. Outre l’obligation d’apprendre 2 langues étrangères, les étudiants bénéficient d’opportunités d’échanges à travers un réseau de partenaires riche de 150 universités. Des formations binationales (franco-allemande ou franco-québecoise) ou bi-diplomantes figurent d’ailleurs parmi les options qui s’ouvrent aux Peufien-ne-s en devenir. Les doubles-diplômes se préparent dès la première année avec des institutions allemandes ou québécoises. A partir de la 4ème année, d’autres universités des Etats-Unis, du Mexique ou du Roy...
Le coronavirus bouscule les habitudes de consommation, fragilisant un secteur qui doit aujourd’hui composer avec un avenir incertain. Comment se traduit aujourd’hui l’impact du Covid-19 sur l’hôtellerie ? JFG : On entend pas mal de chiffres mais ils ne sont pas consolidés. Nous disposons d’une première étude très récente sur le parc hôtelier de Singapour. Cette étude indique un choc de demande, qui a baissé drastiquement et dont les prévisions à court terme sont du même ordre. Les hôteliers se retrouvent avec des recettes en forte baisse et des coûts fixes importants qui eux ne bougent pas. Nul ne sait vraiment quelles sont les pratiques de consommation du tourisme qui vont s’établir dans notre monde d’après : envie de se déplacer ? Choix des destinations (plus ou moins contraints par les ouvertures de frontières et des liaisons aériennes) ? Pour les gestionnaires des hôtels, c’est impossible à ce stade de se projeter dans l’après en posant des hypothèses d’activité (volume, durée). Comprenons-nous bien, ça ne veut pas dire qu’ils ne vont pas s’en sortir ! Un nouveau paysage économique Les acteurs de l’hôtellerie sont-ils tous égaux pour surmonter cette crise ? JFG : On peut mettre en avant trois variables qui vont être importantes. D’une part les pays où une partie des pertes pourra être prise en charge par des mécanismes globaux : on pense au chômage partiel comme en France et en Allemagne. Ensuite, on va voir des zones géographiques où l’activité va reprendre, quand les conditions sanitaires seront acceptables. Enfin, la crise va impacter les grands groupes mais les décisions de gestion les plus difficiles seront probablement sur les épaules de patrons de petites structures. De l’incertitude au renouvellement Le marché hôtelier doit-il changer de modèle ? JFG : La question se pose sur certains outils de gestion et méthodes. Par exemple le pricing dynamique se trouve remis en cause dans une période critique de demande. Mais il retrouvera son utilité le jour où le marché sera revenu sur un équilibre classique. On peut imaginer que les gestionnaires hôteliers vont intégrer des contraintes beaucoup plus fortes de l’environnement dans leur plan stratégique. Une des questions qui émerge est celle d’une remise en cause du modèle d’internationalisation de l’hôtellerie, avec des logiques plus régionales. L’avenir nous le dira… ...
Si la plupart des étudiants désirent poursuivre leurs études dans un pays étranger, tous n’ont pas la possibilité de réaliser leur rêve. En effet, il est souvent difficile d’intégrer les universités étrangères, notamment quand il s’agit d’une institution de renom international. Conscients de cette difficulté à laquelle sont confrontés les jeunes, Christian et Monique Peltier ont choisi de mettre leur expertise à leur service en fondant un cabinet de conseils en poursuite d’études à l’étranger : Chrismo Consulting. Qui est Chrismo Consulting ? Chrismo Consulting & Training est un cabinet de conseil en études à l’étranger et en séjours linguistiques. Basé à Paris, il coopère avec de nombreuses universités au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, au Canada, en Irlande, au Japon et aussi en Allemagne. Chrismo accompagne les étudiants depuis le choix de l’université qu’ils veulent intégrer jusqu’à leur retour en France à la fin de leurs études. Par rapport aux études supérieures, les missions du cabinet consistent à aider les étudiants à choisir l’institution qui correspond le mieux à leurs aspirations et à leurs possibilités. Le cabinet les accompagne dans l’élaboration de leur candidature, la rédaction de leur lettre de motivation (personal statement), la demande de visa, la recherche de logement. Autrement dit, Chrismo aide les étudiants à constituer un dossier complet et les accompagne tout au long de leur cursus. Ils gardent un contact permanent avec les étudiants jusqu’à parfois leur rendre visite dans l’université ou assister à leur remise de diplôme. Pourquoi étudier à l’étranger avec Chrismo Ayant fait carrière dans l’enseignement et dans des entreprises d’envergure internationale, les fondateurs de Chrismo Consulting ont la capacité de guider et d’aider les étudiants à atteindre leur objectif. En tant que cabinet conseil, Chrismo tient compte de tous les aspects du séjour de l’étudiant à l’étranger, parmi lesquels le coût et les conditions de vie dans le pays de son choix. Grâce à l’expérience des fondateurs, étudier à l’étranger avec Chrismo, c’est aussi s’assurer de l’adaptabilité des études faites à la réalité française et aussi découvrir les enjeux de la carrière envisagée. A cet effet, le cabinet met à la disposition des étudiants les services d’un coach d’orientation certifié pour les soutenir. Par ailleurs, le partenariat que Chrismo Consulting a développé avec de nombreuses universités étrangères facilite l’adhésion des étudiants à celles-ci. Dans ce cas l’accompagnement est gratuit. Néanmoins, le cabinet s’occupe également de ceux qui souhaitent intégrer des universités non-partenaires. Dans ce dernier cas, Chrismo applique un forfait déjà défini. Faire des études supérieures à l’étranger avec Chrismo permet aux étudiants d’obtenir des diplômes mondialement reconnus dans plusieurs domaines. Quelles filières pour obtenir son Master ? Après avoir obtenu sa Licence ou son Bachelor, un étudiant est prêt à passer son diplôme de niveau 7 : le Master. Le diplôme se prépare pendant un an ou 18 mois selon l’université. L’étudiant peut s’orienter vers un enseignement classique ou vers la recherche pour obtenir un Master Msc ou un Master Ma. Les étudiants en Sciences, Technologie, Ingénierie et Mathématiques passent généralement un Master Msc. Le Master Ma quant à lui touche les Sciences Sociales, les Arts et les Humanités, le Business et le Management même si parfois, certaines filières comme les Sciences sociales et la Psychologie permettent aussi d’avoir un Master Msc. Ceux qui suivent des études en commerce et marketing au Royaume-Uni peuvent obtenir un Master 2 en un an. Il existe également des universités spécifiques comme l’UCFB où les étudiants peuvent se former sur une filière spécifique comme le sport, plus particulièrement le football. A l’Université...
Depuis 5 000 ans, l’Ayurveda, littéralement « science de la vie », et médecine intégrative est pratiquée en Inde comme un art de vivre. Cette ancienne médecine holistique est reconnue depuis 45 ans par l’Organisation mondiale de la santé. Elle est enseignée en Inde, en universités et instituts gouvernementaux (une centaine), le doctorat de base, étant de 6 ans (BAMS : doctorat en Ayurveda, médecine et chirurgie). Narendra Modi a créé le ministère des médecines traditionnelles : AYUSH ( Ayurveda, yoga et naturopathie, Unani, Siddha et homéopathie), dont le Dr Kotecha en est le secrétaire d’état. Faire connaitre une partie des connaissances liées à cette discipline et les partager à travers des formations combinant à la fois théories et pratiques, tel est l’objectif de l’AssPPA (Association pour la promotion et la pratique de l'Ayurveda). Une médecine douce Médecine traditionnelle indienne, l’Ayurveda traite l’individu dans son ensemble. « Elle se fonde sur l’observation de l’être humain, de son environnement mais aussi sur son hygiène de vie et alimentaire », explique Marie Christine Campo-Paysaa, la fondatrice de l’association. Pour les soins et les thérapies, l’Ayurveda utilise essentiellement les massages, des plantes, des pierres et des minéraux, mais aussi des métaux tels que le cuivre, le zinc, le fer, le mercure, l’argent, l’or. En médecine ayurvédique, le corps et l’esprit sont indissociables. Ainsi, pour restaurer l’équilibre et l’harmonie globale, le yoga, la méditation et les massages occupent une place privilégiée. Une rencontre déterminante L’association voit le jour en 1995 sous le nom de Corps et Conscience. « À l’époque, nous ne proposions que des séances de hatha yoga et de yoga nidra », nous indique-t-elle. En 2003, Marie-Christine Campo-Paysaa fait la connaissance du Dr Kotecha, un éminent médecin ayurvediste. « Cette rencontre a été comme un déclic et nous nous sommes tournés vers l’Ayurveda », raconte notre interlocutrice. C’est dans ce contexte que va naitre le Centre Ayurveda d’Aquitaine. Des formations complètes Le centre dispense des formations diplômantes, portant non seulement sur les bases théoriques de l’Ayurveda mais également sur les pratiques des différentes techniques de massage. S’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels désirant se reconvertir, ou compléter leurs connaissances, ces formations durent entre 15 et 17 jours, impliquant 6 jours d’enseignement théorique. Grâce à un partenariat noué avec Chakrapani Ayurveda Clinic & Research Center (clinique fondée par le Dr Kotecha) basée à Jaipur, les étudiants ont l’opportunité de finir leur cursus en Inde. ...
Le Centre national d’enseignement e-learning, ou plus communément appelé CNEEL, est un établissement d’enseignement à distance qui s’adresse particulièrement aux élèves français expatriés ou adoptant l’instruction en famille (IEF). Le CNEEL a recours au système du Web présentiel, qui permet, entre autres, de créer une véritable interaction entre l’élève et l’enseignant. Ainsi, chaque partie est en mesure de poser des questions et d’obtenir des réponses directement, comme dans une vraie salle de classe. De la maternelle à la terminale, les élèves du CNEEL sont suivis de près par des enseignants qualifiés et sélectionnés selon les critères de l’Éducation nationale. Une solution unique en son genre « Nous proposons exactement les mêmes conditions qu’un établissement classique, bien que nous œuvrions à distance », indique l’équipe pédagogique du CNEEL. Les cours sont entièrement interactifs et prennent l’ambiance d’une véritable école traditionnelle. Jusqu’à présent, le CNEEL est le seul établissement scolaire à proposer cette méthode d’e-learning. De plus, l’établissement cultive une certaine proximité à travers un contact quotidien avec les élèves et les parents. Selon les enseignants, « le CNEEL est vraiment l’école qui s’invite à la maison ». Une structure fiable Le CNEEL agit sous la tutelle du ministère de l’Éducation nationale. Comme tout établissement, il reçoit régulièrement la visite d’inspecteurs du travail qui contrôlent les enseignants, les cours ainsi que les supports pédagogiques. Un programme bien organisé Comme beaucoup d’établissements scolaires, le CNEEL s’appuie sur le logiciel Pronote. Pensé pour faciliter l’organisation de l’enseignement, ce dispositif permet notamment aux élèves de consulter leur emploi du temps et de consulter tous les cours enregistrés. Ainsi, même en cas d’absence, l’élève peut facilement obtenir le contenu du cours qu’il a raté. Pronote met à disposition des élèves les devoirs à faire, les leçons à réviser et, éventuellement, les contrôles à travailler. Très important : le nombre de places chez CNEEL est limité en fonction de chaque année scolaire. ...
Il réunit une cinquantaine d’équipes spécialisées en biologie végétale, issues de cinq instituts de recherche de la région sud parisienne : l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB), l’Institut de Sciences des plantes de Paris Saclay (IPS2), l’Institut de Biologie intégrative de la cellule (I2BC), l'UMR de Génétique quantitative et évolution (GQE-Le Moulon) et l’UMR Biologie et gestion des risques en agriculture (BIOGER). Ce projet est soutenu par 9 institutions : l’INRA, le CNRS, le CEA, AgroParisTech, les Universités Paris-Sud, Evry-Val d’Essonne, Versailles-Saint-Quentin et Paris-Diderot, ainsi que l’Université Paris-Saclay qui porte le projet. L’objectif principal des EUR consiste à renforcer la relation entre recherche et formation et à internationaliser les formations, le but à terme étant de créer des « graduate schools » avec un continuum master / doctorat / laboratoires de recherche. Pour cela, SPS-GSR dispose de programmes d’enseignement réunissant un large panel de disciplines de la biologie végétale et d’infrastructures permettant aux étudiants de se former aux nouvelles technologies et approches dans ce domaine. Le LabEx SPS SPS-GSR s’appuie sur le Laboratoire d’Excellence Saclay Plant Sciences (LabEx SPS), un projet Investissements d’Avenir qui a développé depuis 2011 un grand nombre d’activités axées sur la biologie végétale incluant recherche, formation, innovation et développement d’infrastructures. « Plus qu’un projet, Sciences des plantes de Saclay est un véritable réseau avec comme objectif de faire fructifier les interactions entre les équipes impliquées », souligne le Dr Marie-Jeanne Sellier, manager du projet. SPS met l’accent sur quatre thématiques prioritaires, à savoir 1) l’intensification durable de l’agriculture dans un contexte environnemental fluctuant, 2) l’amélioration de la qualité végétale pour diverses utilisations alimentaires et non-alimentaires, 3) les plantes pour comprendre les mécanismes biologiques fondamentaux et 4) le développement de nouvelles ressources ou biotechnologies pour la recherche, l’innovation et le transfert de technologie. Les recherches s’étendent sur différentes échelles du gène à la plante entière et font intervenir de nombreuses techniques d’analyse différentes grâce aux infrastructures de pointe des laboratoires (biochimie, imagerie, biologie moléculaire et cellulaire, approches omiques, modélisation, bioinformatique, etc.). Enfin, en matière d’innovation, SPS se veut être un accélérateur d’innovation végétale. Il joue pour cela un rôle d’intermédiaire en favorisant les interactions entre les équipes de recherche et des partenaires privés dans des secteurs liés aux ressources végétales. « Nous avons identifié six domaines d’application dans lesquels nos recherches, fondamentales et appliquées, peuvent offrir des débouchés dans le monde industriel », développe le Dr Marie-Jeanne Sellier. Ces six domaines d’application concernent l’adaptation des plantes à leur environnement, la sélection variétale et les biotechnologies, les semences et le rendement, l’alimentation et la nutrition, la cosmétique et la santé et enfin la bioénergie et les matériaux biosourcés. En parallèle, SPS soutient financièrement des projets innovants dans la démarche d’aller jusqu’aux brevets et start-up. L’obtention du projet EUR « Saclay Plant Sciences Graduate School of Research » a entraîné la reconduction des activités du LabEx SPS jusqu’en 2027. « Les deux projets ne font à présent plus qu’un. Les activités de formation seront renforcées tout en continuant à développer recherche, innovation et infrastructures dans les années à venir », rapporte la manager. ...
Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...
Une offre des formations renouvelée « L’université de Franche-Comté fait de l’innovation un élément constitutif suivant une méthodologie très exigeante, nous proposons de nouvelles formations caractérisées par un changement de philosophie et par une évolution des contenus », nous explique Frédéric Muyard, vice-président de la formation et de la vie étudiante. Les cursus de formations sont fondés sur la professionnalisation, comprenant une sensibilisation à l’entrepreneuriat, des ateliers de projets professionnels et un renforcement des langues étrangères, avec des certifications à la clé pour les étudiants en master. L’université de Franche-Comté propose, par exemple, huit Cursus master ingénierie (CMI) - dont la géologie appliquée ou encore la géographie, l'information et la communication - pilotés par le réseau Figure, une initiative d’excellence en formation innovante. « Ces cursus, s’appuyant sur un continuum licence-master, visent à former les ingénieurs sur le modèle européen intégrant une forte interaction avec la recherche », selon Frédéric Muyard. Enfin, dans ce renouveau, l’université garantit la qualité des formations grâce à l’élaboration de son propre référentiel de formation suivant les standards européens et l’accompagnement d’un dispositif d’appui à la qualité pour tous les cursus. Un gage d’employabilité à long terme grâce à la Formation tout au long de la vie Il s’agit ici, selon Laurence Ricq, vice-présidente chargée de la formation tout au long de la vie et des relations avec le monde socio-économique, « de répondre aux besoins des salariés ou des demandeurs d’emploi qui souhaitent se reconvertir professionnellement, reprendre des études et acquérir de nouvelles compétences». Plusieurs dispositifs ont été mis en place par l’université de Franche-Comté. Ils incluent la reprise d’études à distance, en présentiel, en alternance ou les trois combinés, des formations courtes sur mesure effectuées en entreprises ou la modularisation et la capitalisation, c’est-à-dire l’obtention d’un diplôme par blocs de compétences. Accessibles et s’adaptant aux mutations constantes du monde professionnel, ces formations sont un gage d’employabilité sur le long terme. Une ouverture internationale réussie Priorité de l’Université de Franche-Comté, l’internationalisation se traduit par l’accueil de plus de 6 000 étudiants et stagiaires étrangers chaque année, dont plus de la moitié au sein du Centre de linguistique appliquée (CLA), le plus grand Centre universitaire de français langue étrangère en France et où l’on enseigne également neufautres langues. Cet atout majeur confère à l’Université de Franche-Comté un rôle de premier plan dans la promotion et la diffusion de la Francophonie dans le monde. « Des parcours sur mesure combinant formation linguistique et culturelle à des cours disciplinaires, ainsi que des cours enseignés en anglais, sont aussi proposés aux étudiants internationaux afin de faciliter leur intégration et leur réussite. Les étudiants de l’UFC ont, quant à eux, la possibilité d’effectuer des mobilités au sein de quelques 300 universités partenaires dans le monde », explique Anne-Emmanuelle Grossi, vice-présidente chargée des relations internationales et de la francophonie. Tout étudiant engagé dans un programme d’échange bénéficie d’un accompagnement personnalisé. La qualité de l’accueil se traduit également par l’engagement de l’UFC auprès du public migrant au travers d’un important dispositif de formation linguistique permettant la poursuite d’études en France. Enfin, la spécificité géographique transfrontalière de l’UFC favorise une mention particulière des coopérations de l’UFC avec l’Allemagne et la Suisse. L’université de Franche-Comté fait ainsi de ses relations avec la Suisse un axe de développement à l’international, et une fen...