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La formation, les métiers de demain et les filières d'avenir

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L’Institut de Sciences et de technologies

L’Institut Polytechnique de Paris est un établissement public d’enseignement supérieur et de recherche qui réunit cinq Grandes Écoles d’ingénieurs françaises : l’École polytechnique, l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, Télécom Paris et Télécom SudParis.

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Partir à l’étranger pour de nouvelles opportunités universitaires.

Les études à l'étranger offrent depuis longtemps une option efficace pour poursuivre un parcours universitaire. Toutefois, partir étudier dans un pays étranger nécessite une préparation minutieuse afin d'assurer une intégration réussie ainsi qu'un choix optimal.

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Bien s’organiser pour suivre des études à l’étranger

Décider de poursuivre ses études à l'international est une décision importante qui nécessite une préparation rigoureuse. Avec Admission Accomplie, vous pouvez bénéficier d'un accompagnement personnalisé pour vous aider à bien préparer cette expérience unique. Que vous soyez à la recherche d'une université renommée, d'un soutien pour constituer votre dossier de candidature ou de...

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Poursuivre ses études à l’étranger pour de nouvelles aventures.

Choisir de poursuivre ses études à l'étranger est un véritable challenge pour les étudiants souhaitant sortir de leur zone de confort. Cette aventure enrichissante permet de combiner l'apprentissage académique avec la découverte culturelle, tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour l'avenir.

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Podcast ׀ Admission Accomplie, un cabinet de conseil spécialisé dans l’accompagnement des études supérieures en pays anglophones

Bonjour à tous et bienvenus dans ce nouveau podcast « On en parle ». Aujourd’hui, on est avec Nikki Grady et Stéphanie Buller, créatrices et directrices du cabinet de conseil Admission Accomplie. Grâce à elles, vous pourrez être accompagné pour envoyer vos enfants dans des écoles anglophones supérieures d’excellence, dans les meilleures conditions.

Enseignement supérieur, l'offre de formation des universités en France

Education, enseignement : les formations et métiers d'avenir en France

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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Absolutely French : apprendre le français autrement pour réussir sa vie d’expatrié

Favoriser la double carrière dans les couples expatriés, tel est l’objectif que s’est fixé Absolutely French. Cette startup leur offre un vrai coup de pouce. Comment ? Grâce à une formation de français, qui propose une approche à la fois ludique et conviviale aussi bien de la langue que de la culture. Conjoint.e d’expatrié.e Ayant été conjointe d’expatrié dans 6 pays différents, Armelle Perben, fondatrice d’Absolutely French, sait mieux que quiconque les conséquences qu’impliquent une telle situation sur la carrière professionnelle. « Dans la grande majorité des cas, ce sont presque toujours les femmes qui sacrifient leur carrière afin de suivre leur mari », explique-t-elle. Une fois arrivées à destination, ces dernières rencontrent ensuite énormément de difficultés pour décrocher un emploi. Si, finalement, elles y parviennent, le poste proposé ne correspond ni à leurs études ni à leurs expériences professionnelles. C’est en partie pour tenter de corriger cette situation qu’Armelle Perben crée Absolutely French en 2015. Pédagogie active La startup élabore les cours des français en fonction des besoins des conjoints. Ici, la pédagogie se veut être active : les participants évoluent dans des situations réelles qui les incitent à échanger directement avec les locuteurs natifs. « Nous les amenons au marché et ils font eux-mêmes les courses, cela leur permet, par exemple, de travailler les outils linguistiques servant à exprimer la quantité ou les chiffres », nous indique-t-on. Après le marché, tout le monde se retrouve ensuite en cuisine. Évidemment, les apprentis en profitent pour apprendre quelques notions grammaticales tout en cuisinant. Il est vrai qu’avec Absolutely French les apprenants n’ont pas le temps de s’ennuyer ! Et c’est justement le but recherché, puisque la startup se sert expressément des jeux comme leviers d’apprentissage. Partir à la découverte de Paris à travers des jeux de pistes, simuler un entretien d’embauche, visiter des lieux importants comme la mairie ou la poste… Quelle que soit l’activité proposée, celle-ci est toujours présentée de manière ludique. Les formations intègrent également les informations jugées utiles au quotidien. « Quand ils arrivent en France, beaucoup d’étrangers ne savent pas trier les déchets ou quel numéro composer pour appeler les services publics », rapporte notre interlocutrice. Projet de vie Afin de favoriser l’intégration des expatriés, Absolutely French les assiste et les accompagne dans leur projet de vie. Une mise au point portant sur l’avancement du projet ou sur les difficultés rencontrées est réalisée régulièrement. « Nous leur donnons des informations sur une école ou bien sur un travail qu’ils souhaitent faire. » Pour aller plus loin, Absolutely French intervient même sur le plan relationnel, en aidant les apprenants à développer leurs réseaux d’amis grâce au Club Absolutely. Régulièrement, des évènements sont organisés pour que les expats puissent se rencontrer dans une ambiance conviviale et partager leurs expériences. ...

INNOPREV mise sur sa formation innovante baptisée « Serious-Dance »

En 2014, INNOPREV lançait le "Flashmob Gestes et Postures" Ces chorégraphies musicales réalisées sur mesure, permettent de développer les compétences en lien avec les risques physiques tels que les Gestes et Postures de Travail. Cette formation a fait ses preuves auprès de groupes de différents secteurs d'activité comme ErDF, LACOSTE, Kellogg’s ou Albéa-Lacrost. Aujoud’hui, « Serious-Dance » va plus loin Positionnées comme prestation « anti-crise », dans un contexte de télétravail et d'isolement des collaborateurs, les « Serious-Dance » remettent l'humain au cœur des organisations. En lien avec la culture de l’entreprise, les « Serious-Dance » instaurent des bases communes pour améliorer les liens sociaux et la cohésion des collaborateurs tout en développant leurs compétences. Sollicitant le visuel, l’auditif et le kinesthésique, l’apprentissage par les « Serious-Dance » est global et performant, car il met en action les corps et les esprits. Faites l’expérience des Danses Sérieuses Les « Serious-Dance » sont des formations expérientielles, elles rentrent dans la catégorie des « Serious Games » et s'intègrent parfaitement au plan de développement des compétences, aux événements d’entreprise ainsi qu’aux démarches de prévention des risques professionnels. ...

Les formations 2021 du CNRS toujours plus adaptées aux besoins du tissu socio-économique

Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles  CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...

Le savoir-faire des scientifiques du CNRS
au service des entreprises

En proposant des formations de courtes durées, CNRS Formation Entreprises cherche à s’adapter au maximum aux rythmes et aux besoins des entreprises,  de plus en plus pointus. « Nous savons que les ingénieurs et techniciens supérieurs ont peu de temps pour se former et qu’ils veulent être opérationnels très rapidement : c’est pour cela que nous proposons exclusivement des stages courts sur des sujets précis, avec les meilleurs experts du domaine », explique Edith Wilmart. L’offre de stages, en renouvellement constant, permet aux entreprises de bénéficier de l’apport de technologies de pointe utilisées en laboratoires. Le CNRS propose par exemple depuis deux ans une formation sur le traitement d’images utilisant un logiciel libre de droit (IMAGEJ), devenu une référence internationale dans le domaine. « Nous avons formé des professionnels venant de l’industrie pharmaceutique, automobile, du CEA, de l’INRA », explique Cédric Matthews ingénieur de recherche à l’Institut de biologie du développement de Marseille-Luminy et Christian Rouvière, ingénieur de recherche à l’Observatoire de Villefranche-sur-Mer. Méthodologie éprouvée En mettant à profit l’expérience de formations dispensées auprès de plus de 600 entreprises, dont la moitié de PME, PMI voire ETI, le CNRS dispose désormais d’une méthodologie éprouvée. « Personne n’est à la traîne grâce au travail en binôme, qui permet un suivi individualisé des stagiaires, renforcé par les travaux réalisés», poursuit Cédric Matthews. Le cours est dynamique. Les changements de rythmes permettent à chaque stagiaire de trouver sa place et de participer. Selon une étude récente, 85% des stagiaires du CNRS trouvent qu’il y a un bon équilibre entre la théorie et la pratique. Pour chaque formation, une large part est laissée à l’expérimentation, afin de résoudre les problèmes technologiques rencontrés par chercheurs, ingénieurs et techniciens supérieurs qui suivent les stages.« Ce sont souvent des difficultés que les experts du CNRS ont déjà rencontrées et résolues pour leurs besoins de recherche. L’objectif est que les stagiaires repartent en sachant faire ou du moins, en ayant de bonnes pistes pour trouver une solution », détaille Edith Wilmart. Nouveautés appréciées Dans leurs  évaluations, les stagiaires disent apprécier les nouveautés apportées par les programmes de formation et la qualité des supports pédagogiques. Avec souvent la conviction que leurs stages leur sera utile voire très utile. Résultat : 90% des stagiaires recommanderaient le stage à leurs collègues. Mais une formation au sein du CNRS, c’est aussi et peut-être le début de nouveaux partenariats, toujours au service des clients. « Certains de nos stagiaires reviennent d’ailleurs vers les laboratoires où ils sont venus se former pour demander des conseils, des prestations de service ou monter des collaborations de recherche », constate la directrice. Le CNRS compte aujourd’hui un total de 220 offres de formation en lien avec les attentes du marché. La répartition géographique des laboratoires, présents sur l’ensemble du territoire permet une vraie proximité avec les entreprises. En 2015, plus de mille stagiaires ont été formés dont 40% d’industriels, 40% d’académiques, 20% de salariés d’EPIC, de services de l’état, de collectivités territoriales. Afin de proposer des formations qui « collent » au plus près du terrain, l’offre du CNRS évolue en permanence : rien que pour l’année 2017, ce sont près de 60 nouvelles formations qui seront proposées, sur de nouvelles thématiques comme le NoSQL (big data), CRISPR-Cas9, les LED et OLED, les batteries Li-ion, le SEC-MALS appliqué aux protéines, le criblage cellulaire et moléculaire, l’intelligence économique ou encore la synthèse de molécules chirales. Et CNRS Formation Entreprises prépare d’autres nouveautés pour son catalogue 2017. ...

Tutos’Me Pro : trouver le formateur idéal
en moins de 72 heures

Surfant sur la vague de l’économie collaborative, Anthony Brice s’est lancé dans un projet ambitieux avec seulement 5 000 € en poche. Il a créé une plateforme de mise en relation entre les particuliers désireux d’apprendre et de transmettre aux autres grâce à un système de matching offre-demande. « Plus tard, je me suis demandé comment je pouvais orienter ma solution vers les professionnels et les centres de formation. C’est ainsi que m’est venue l’idée de réaliser ce nouveau projet », nous raconte le fondateur-CEO de la start-up. À ses débuts, Tutos’Me Pro a démarré avec quelques formateurs déjà inscrits sur Tutos' Me avant d’évoluer vers un collectif de 5 300 formateurs, professeurs et intervenants éducatifs œuvrant dans 300 secteurs différents. Centre de formation sous-traitant Tutos’Me Pro met à disposition des institutions (écoles, centres de formation, entreprises, collectivités, etc.) ses meilleurs formateurs, expérimentés et multidisciplinaires. La plateforme veut révolutionner le parcours classique du recrutement d’intervenants professionnels qui est non seulement lourd et contraignant, mais très souvent infructueux. Comment ? En sélectionnant à la place du client le formateur qui saura répondre précisément à ses besoins. Anthony Brice explique : « Les clients nous soumettent directement leurs demandes, puis nous leur envoyons le formateur le plus pertinent et en mesure de répondre à leurs objectifs. C’est aussi simple. » Pour se montrer encore plus persuasive, la plateforme Tutos’Me Pro accompagne aussi le montage des projets pédagogiques et des projets de formation interne en entreprise en s’appuyant sur son réseau d’experts. Cette formule clé en main inclut la conception d’une formation sur mesure, la création d’une antenne de formation jusqu’à la mise en place d’un partenariat d’appel d’offres. « L’idée est de permettre aux entreprises de former leurs collaborateurs au sein de leur propre structure tout en nous confiant la gestion de ce projet. » La solution gagnante L’innovation apportée par Tutos’Me Pro est de permettre aux institutions de trouver un formateur « en moins de trois jours », mais surtout de prendre en charge toutes les questions liées au recrutement (négociation, contrat, paie, déclaration unique d’embauche, arrêts maladie, etc.) sous une facture unique. « Mieux, les clients gagnent la flexibilité du paiement par session au lieu de recruter des formateurs internes en contrat en CDI », renchérit notre interlocuteur. ...

Des séjours linguistiques de qualité
grâce à Atout Linguistique
et Les Échanges Franco-Irlandais

Atout Linguistique et Les Échanges Franco-Irlandais proposent deux types de programmes de séjours linguistiques permettant aux jeunes d’apprendre une langue étrangère ou de la perfectionner. Rattachés au groupe Centre d’Échanges Internationaux (CEI), ces organismes visent tous deux à lier l’apprentissage au plaisir du voyage. Chaque programme a sa spécificité : les jeunes peuvent profiter d’un séjour sur mesure, adapté à leurs âges, à leurs niveaux ainsi qu’à leurs centres d’intérêt. Au-delà du perfectionnement linguistique, Atout Linguistique et Les Échanges Franco-Irlandais offrent une véritable expérience humaine qui guide le jeune à être plus mature et plus autonome. Atout Linguistique : des formules sur mesure adaptées à tous les âges Fondé en 1962, Atout Linguistique cible principalement les jeunes de 10 à 17 ans. « C’est, à la base, un organisme spécialisé dans les séjours pour les mineurs. Nous posons comme garantie notre savoir-faire de l’encadrement associé à l’expertise de nos contacts sur place, qui s’engagent sur la qualité des séjours », éclaire Aleksandra, manager d’Atout Linguistique. Les offres se déclinent entièrement selon les âges et la demande des participants. Toutefois, le principe reste le même : pas de voyage en groupe. « Tout l’intérêt du programme repose sur une immersion linguistique réelle. Le jeune est aussitôt mis en contact avec des locaux pour qu’il se détache entièrement de l’environnement francophone », poursuit notre interlocutrice. À cet effet, le programme exige du participant une certaine capacité à être autonome. Pour une première expérience, Atout Linguistique recommande les séjours « Summer Camp ». Il s’agit d’une formule permettant aux jeunes de découvrir une langue étrangère à travers différentes activités sportives et récréatives. Ainsi, le participant comprend l’intérêt d’apprendre une nouvelle langue et se familiarise plus efficacement avec cette dernière. Avec un minimum de capacité à communiquer dans la langue choisie, le jeune peut intégrer le programme « Campus International ». Les séjours ont lieu dans des collèges ou des universités de renom qui ouvrent occasionnellement leurs portes aux internationaux durant l’été. Quels que soient leur niveau, les participants bénéficient d’un encadrement permanent au cours de multiples activités. Enfin, la formule « One to One » propose un séjour en famille d’accueil avec des cours particuliers assurés par un membre de la famille. Diverses activités s’articulant autour des centres d’intérêt du participant peuvent être programmées. À noter : Atout Linguistique propose également des formules sur mesure pour les adultes désireux de se lancer dans l’aventure du séjour linguistique. Les Échanges Franco-Irlandais : profiter de l’accueil généreux des familles irlandaises L’association Les Échanges Franco-Irlandais (EFI) est née d’un partenariat avec Newchange, une société irlandaise spécialisée dans les formules novatrices de vacances linguistiques. Cette collaboration est d’autant plus encouragée par le grand sens de l’accueil des Irlandais. Leur culture rend les familles irlandaises « énormément attachantes », selon les termes de Nefissa, organisatrice chez EFI. « Une année sur l’autre, nous reprenons très souvent les mêmes familles. Parfois, ce sont les jeunes eux-mêmes qui décident de repartir dans leur ancienne famille d’accueil. » Ici, place à la « Irish Way of Life » ! Le programme, entièrement individuel, tient à ce que le participant soit en immersion totale durant son séjour linguistique. Un seul francophone par famille est autorisé pour faciliter les échanges. À l’expérience linguistique se marie la découverte d’une autre culture, puisque, effectivement, les Irlandais ont une façon bien différente d...

Royaume-Uni, États-Unis, Canada : 3 destinations phares pour des études d'excellence

Sortir de sa zone de confort est toujours une expérience enrichissante pour se découvrir de nouvelles aptitudes, et vous prépare aux mieux à la vie professionnelle à l’international. Pour diverses raisons, les pays anglophones tels que le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada se trouvent parmi les premiers choix des étudiants. Si vous vous intéressez à ces pays vous aussi, voici quelques informations qui vous seront utiles pour arrêter votre choix. Pourquoi faire ses études supérieures au Royaume-Uni ? Le Royaume-Uni est la troisième destination mondiale des étudiants internationaux, après les USA et l’Australie. Malgré les changements induits par le Brexit, il figure toujours parmi les meilleures destinations pour les études d’excellence. Le Royaume-Uni est l’un des pays les plus ouverts aux études internationales avec plus de 20% de ses étudiants venant de l’étranger. Il possède des institutions de renommée mondiale telles que les universités de Cambridge, Oxford, Imperial et St Andrews. Connus pour le niveau et la qualité de l’enseignement dispensés aux étudiants, ces noms prestigieux ont une grande notoriété pour la future carrière des étudiants. A l’issue de leur formation au Royaume-Uni, les étudiants obtiennent un bachelor, un M1 ou un M2 dans diverses spécialités comme l’économie, la littérature, l’histoire, le droit, la médecine et l’ingénierie. Ils peuvent se spécialiser dans des domaines spécifiques tels que la gestion des catastrophes ou encore les effets spéciaux, ou encore opter pour des combinaisons interdisciplinaires cotées (telles que PPE, par exemple, qui associe la politique, la philosophie et l'économie). Pour adhérer aux établissements britanniques, il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir un très haut niveau académique couplé à une certification CAE ou IELTS. Ensuite, ils tiennent comptent des accomplissements extra-scolaires de l’étudiant. Pour certaines filières, des stages en milieu professionnel ainsi que d’autres évaluations supplémentaires sont requis. Etudier au Royaume-Uni, c’est aussi se donner toutes les chances de perfectionner son anglais. En immersion totale, les étudiants apprennent à utiliser la langue à la manière des natifs et acquièrent tout le vocabulaire nécessaire dans leur domaine de prédilection. Outre le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada (surtout le Québec) attirent également les étudiants français. Obtenir un diplôme sur mesure aux Etats-Unis ou au Canada Mise à part l’attraction des jeunes concernant le mode de vie américain, les Etats-Unis représentent une destination de rêve pour de nombreux étudiants. Ils accueillent la plupart des meilleures universités au monde pour ne citer que Harvard, la plus prestigieuse pour apprendre l’architecture, l’Université de Pennsylvanie pour les études orientées business ou encore Berkeley, pour approfondir la littérature anglaise. En outre, les Etats-Unis disposent de campus et d’infrastructures de haute qualité pour recevoir les étudiants. Le cursus « Liberal Arts College » vous permet de mixer plusieurs disciplines librement – la biologie avec le Chinois, par exemple, ou l’histoire de l’art avec le développement durable. Les études sont sanctionnées par un Bachelor of Arts (BA) ou un Bachelor of Sciences (BSc) au premier cycle et un Master dans les mêmes domaines au second cycle. Depuis Covid, certaines écoles gardent leur statut « SAT optional », vous laissant le choix de présenter un SAT ou ACT, mais une une certification TOEFL ou IELTS reste fortement conseillée. Selon les établissements, la qualité de meneur et la capacité de créer un projet personnel peuvent aussi jouer sur la sélection des étudiants. Les conditions sont à peu près les mêmes pour ceux qui veulent faire des études d’excellence dans les institutions canadiennes. La différence, c’est la possibilité de choisir entre les établissements anglophones et les établissements bilingues. Néanmoins, une certification TOEFL ou IELTS est toujours requise. Les universités américaines et canadiennes se distinguent cependant par la possibilit&ea...

Le Cordon Bleu Paris : l’école de l’excellence

L’institut Le Cordon Bleu forme chaque année plus de 20 000 étudiants partout dans le monde aux Arts Culinaires et au management hôtelier. Mais son vaisseau amiral reste à Paris, fleuron de la gastronomie mondiale. Dans un établissement où la passion et l’excellence anime tous les gestes, il fallait des enseignants et des intervenants au moins aussi prestigieux. Et c’est d’ailleurs l’une des forces de l’institut Le Cordon Bleu Paris : le corps enseignant est composé de professionnels reconnus, respectés et de nombreuses fois récompensés. A la direction des Arts Culinaires, on retrouvera donc Eric Briffard, ancien chef de la table du Cinq, meilleur ouvrier de France, et deux étoiles au Michelin. Et pour le département hôtelier, on croisera, entre autres, Franck Ramage, ancien chef sommelier adjoint au Crillon deux étoiles au Michelin. Pour tous ces professionnels, la transmission des gestes, de la passion, et du goût des belles choses est essentiel. Tous ces arts ne peuvent pas simplement s’expliquer dans les livres : il faut les pratiquer sous l’oeil attentif d’un mentor, encore et encore pour en avoir une maîtrise parfaite. Et c’est donc tout l’intérêt de l’institut Le Cordon Bleu. Mettre en relation des professionnels prestigieux et reconnus avec ceux qui le seront demain. Un réseau social qui ouvre de nouveaux horizons L’une des forces de cet institut est aussi de mettre en relation des étudiants aux cultures riches et diverses. Qu’ils soient anciens professionnels en reconversion ou jeunes bacheliers. Qu’ils viennent d’ici ou d’ailleurs (l’Asie, l’Amérique Latine, l’Afrique …), la diversité des cultures et des expériences est une richesse inestimable pour les étudiants. Elle leur permet de développer leur créativité, d’élargir leurs connaissances des usages à l’international, et d’explorer des idées nouvelles. Comme ces deux étudiantes, l’une chinoise et l’autre taiwanaise, associées pour créer un restaurant de cuisine fusion franco-taiwanaise dont la notoriété ne fait que grandir. Lors de leur cursus, les étudiants vont également faire des stages dans de grandes maisons renommées. Ces expériences pratiques, choisies en fonction de leurs projets personnels, leur permettront de faire leurs armes. Ils y rencontreront aussi des professionnels aguerris, souvent de vrais références, afin d’étoffer leur réseau. Les étudiants en management hôtelier sont soumis à un régime spécial. Ils doivent impérativement suivre un cursus de trois mois dans l’une des matières culinaires. Et peuvent le faire à l’étranger, dans l’une des écoles du réseau. Un environnement de travail ultra innovant Mais pour que les 1000 étudiants parisiens puissent travailler dans les meilleures conditions, un bâtiment éco-responsable ultra innovant est à leur disposition. Situé sur les bords de Seine, ces 4000m2 ont été conçus pour optimiser l’apprentissage. Ils comportent sept salles de classes pour les cours de cuisine, boulangerie, ou pâtisserie. Chaque étudiant y a son poste de travail, comme dans un vrai restaurant. Un chai a aussi été reproduit à l’identique pour les futurs sommeliers. Mais des salles de cours plus classiques sont aussi disponibles pour les cours théoriques. L’exigence dont font preuve les enseignants Le Cordon Bleu Paris, leur passion, et leur envie de transmettre font aujourd’hui encore de l’établissement une référence mondiale dans les Arts Culinaires et de l’hôtellerie. ...

L’AFPA de GAP : vers un avenir professionnel plus radieux

Conscient de l’envergure des enjeux qu’impliquent le taux élevé du chômage, l’étendue de la demande sur le marché de l’emploi et la hausse de la reconversion professionnelle, le centre de GAP cadre l’intégralité de ses activités dans la formation pour l’emploi. Pour une facilité d’accès « Étant donné la précarité à laquelle notre société fait face aujourd’hui, on met en place des actions de formation qui visent à faciliter l’accès à l’emploi », explique Catherine Campagnoli, directrice du centre de GAP. Reposant sur des principes pédagogiques singuliers, ces formations sont axées sur un apprentissage en situation réelle de travail. Dispenser des connaissances de bases théoriques fait partie des démarches du centre. Mais c’est loin d’être la finalité espérée. Imprégner les stagiaires dans l’environnement professionnel de manière à ce qu’ils soient immédiatement opérationnels au sein des entreprises : tel est son objectif principal. Animé par la volonté d’atteindre ce but et d’optimiser davantage la qualité des formations, le centre de GAP propose plusieurs types de formations dans les métiers du bâtiment (maçon et maçon du bâti ancien, tailleur de pierre, etc.), du second œuvre (électricien, carreleur, plaquiste, installateur en chauffage, etc.) et dans le métier du tourisme ou du commerce (vendeur en matériels de sports, etc.) ou du tertiaire. Les conseillers de l’AFPA et les différents points d’information mis en place (journées portes ouvertes, catalogues, salons, etc.) sauront accompagner les intéressés dans leur choix : formation certifiante, qualifiante, préparatoire, compétences métiers ou solution entreprise. Une démarche d’insertion Les actions du centre de GAP ne se limitent pas aux formations. Le centre intervient également dans l’insertion professionnelle de ses stagiaires à la fin des apprentissages. Outre les périodes de stage en entreprise dont ils bénéficient systématiquement, les stagiaires peuvent effectivement compter sur tout un pôle d’accompagnement dans leur recherche de travail. « On met à leur disposition les outils nécessaires et un portefeuille d’entreprises avec lesquelles on collabore. Le but est de leur permettre d’élargir leurs propres réseaux et qu’ils démarchent auprès des entreprises avec des CV actualisés et orientés », continue Catherine Campagnoli. Et, cerise sur le gâteau, certaines entreprises viennent même recruter directement auprès du centre. Un large public cible Le centre de GAP s’adresse donc en tout premier lieu aux demandeurs d’emploi sans qualification professionnelle, en leur prodiguant une formation complète qui les prépare à leur futur métier. Même si nos publics sont demandeurs d'emploi, notre offre de formation s'adresse à toute personne souhaitant se former, artisans, entreprises, salariés, aux collectivités. ..Sachant que toutes les formations sont modulaires (Valider une partie de la formation en ne passant que certains modules), la possibilité d’acquérir des compléments de formation sur un domaine plus pointu s’offre aussi aux intéressés. C’est l’idéal pour ceux dont l’envie est de se reconvertir professionnellement. Ou encore pour ceux qui souhaitent acquérir un savoir-faire spécifique ou une technique particulière pour plusieurs raisons, dont la progression perpétuelle des technicités, des matières utilisés, des outils et du monde de l’entreprise en général. En dehors des particuliers, le centre de GAP est également un levier majeur pour les entreprises. Il contractualise des plans de formation avec ces dernières, suivant les besoins et l’évolution de leur secteur d’activité, afin d’améliorer les compétences de leurs ressources humaines. ...

CNRS Formation entreprises : la recherche en faveur de la transmission

Dispensées par les experts les plus pointus, ces stages ont pour but de développer le potentiel des entreprises, en terme de compétences, de connaissances et de technologies. Elles touchent de nombreux secteurs et permettent un échange direct avec les professionnels de la recherche. Plus de 1600 stagiaires en profitent chaque année et accèdent ainsi aux compétences de l’un des 1100 laboratoires avec tutelle CNRS, partout en France. Une passerelle entre laboratoires et entreprises L’organisme de formation continue du CNRS, CNRS Formation Entreprises, fait partie du département "Services aux entreprises" de la Direction des Relations avec les Entreprises (DRE). En réponse aux attentes actuelles, l’offre de formation s’est développée de manière considérable ces dernières années, tout en favorisant la qualité au nombre. Le catalogue s’articule désormais autour de 16 axes thématiques, allant de la chimie à la biologie en passant par la sociologie, les sciences cognitives ou la bioinformatique. Afin de répondre aux attentes des industriels et des stagiaires, l’organisme crée chaque année une 30 aine de formations sur de nouvelles technologies de pointe. Aussi bien destinées aux entreprises qu’aux organismes publics ou même aux particuliers, ces formations d’une durée d’1 à 5 jours sont flexibles et organisées en petits groupes. La théorie laisse une large place à la pratique dispensée par les personnels de la recherche directement au sein du laboratoire CNRS détenant la compétence et/ou la technologie. Cette interactivité participe à stimuler les interactions entre industriels et laboratoires et débouche même parfois sur des projets de collaboration. CNRS Formation Entreprises est également à l’écoute de nombreuses demandes spécifiques et crée ainsi chaque année une quarantaine de formations pour une entreprise et ses collaborateurs. Ces formations intra-entreprises peuvent se décliner à partir d’une formation proposée au catalogue inter-entreprises ou être créées sur-mesure en réponse à un besoin original d’une structure. Une offre variée, orientée vers de nombreux secteurs Transport, cosmétique, informatique, biotech, hospitalier, pénitentiaire, collectivité territoriale … la plupart des secteurs sont concernés par les innovations technologiques et les nouveaux enjeux sociétaux. Pour mieux maîtriser une technique sur laquelle vous rencontrez une difficulté, pour avoir un état de l’art d’une nouvelle approche ou tout simplement, évoluer ou faire évoluer un collaborateur, de nombreuses situations invitent à une formation auprès d’experts du CNRS. Parmi les nouveautés au catalogue 2021 les formations : "Biologie dans les systèmes microfluidiques", "Procédés d’oxydation avancée pour le traitements des eaux" s’adressent à des profils divers : ingénieurs biologistes, techniciens ou encore managers. Outre les formations technologiques qui constituent le cœur de son offre, CNRS Formation Entreprises propose des formations sociétales sur les politiques publiques de santé, les radicalités, les stéréotypes de genre ou encore sur le handicap en entreprises avec notamment une formation sur l’autisme  "Personnes autistes dans l'entreprise : inclusion, innovation et création de valeur". Cette dernière est un réel succès qui a déjà permis de former plusieurs managers, référents handicap et professionnels de l’orientation, et suite aux stages inter-entreprises, l’organisme a été sollicité pour des demandes de formation intra-entreprises sur le sujet. Enseignements à distance et interactivité numérique En raison du contexte sanitaire et des mesures gouvernementales actuels, CNRS Formation Entreprises a décliné certaines de ses formations 2020 en format numérique à distance, lorsque cela a été possible. Ces adaptions ont concerné quelques formations inter-entreprises initialement prévues en présentiel comme le stage « Introduction au machine learning et au deep learning, mise en oeuvre en Python » et d’autres ont été réalisées sur-mesure suite à la demande d’une so...

Un escape game pédagogique pour accélérer la transformation de vos managers

Dans un monde devenant de plus en plus incertain, volatile et connecté, la nécessité de la transformation numérique est devenue une évidence pour les entreprises. Cela force à faire évoluer tant les organisations que les comportements et attitudes des managers. L’équipe d’iWips a compris rapidement le réel intérêt et l'impact d'une formation expérientielle et gamifiée dans ce processus de changement et de transformation. Grâce à sa méthode combinant une approche basée sur l’immersion, les émotions et l’intelligence collective, Leadership Valleyexperience® permet en effet aux managers une vraie prise de conscience de leurs comportements actuels, étape indispensable pour accepter, puis enclencher le processus de transformation de leurs pratiques. C’est cette méthode unique et originale qui a déjà séduit plus de 400 participants et 50 entreprises avec des retours très convaincants : « Les neurosciences montrent aujourd’hui que pour maximiser l’ancrage des connaissances, il faut savoir jouer sur les émotions et offrir une expérience immersive aux collaborateurs », explique Caroline Vène, fondatrice sur cabinet iWips. « C’est la raison d’être de notre méthode Leadership Valleyexperience® » La formation Leadership Valley experience® en trois phases ​  1. Vivre Les participants, immergés dans un univers ludique et décalé, aux allures futuristes et doté d'une intelligence artificielle, adoptent rapidement des comportements habituels et spontanés, face à des situations transposées de celles pouvant être vécues en entreprise. Chaque chapitre du jeu réserve en effet un challenge qui met en œuvre des parallèles avec l’entreprise de demain, à l’insu même des participants. "Cela peut être une prise de poste, une prise de décision stratégique, l’exécution d'un plan d'action ou encore la résolution d'un problème dans un contexte plus ou moins stressant et complexe" indique Caroline Vène. 2. Comprendre Pendant le jeu, et suivant une méthodologie rigoureuse, un coach spécialiste du management actuel analyse les comportements individuels et évalue la dynamique collective.Au cours du débriefing qui suit, et sur la base d'un algorithme mixant les observations du coach et le ressenti des participants, six radars représentatifs des grandes dimensions managériales explicitent les comportements individuels et collectifs des participants; cette prise de conscience s’accompagne d’apports pédagogiques dans le cadre de parcours allant d’une demi-journée à deux jours. Le coach « va alors s’appuyer sur les éléments observés pour faire le lien entre ce qui passe dans le jeu et au sein de l’entreprise », explique notre interlocuteur.  3. Agir Chaque participant va élaborer un plan de mise en œuvre de sa transformation managériale.  Coaching présentiel, formation digitale ou création d’une plateforme collaborative en entreprise vont permettre d’accompagner le participant dans la mise en œuvre de ses engagements. En respectant cette démarche de co-construction et la méthodologie LVE®, un catalogue de formations spécialisées sur les soft skills a été construit, toutes adaptables sur mesure, autour de l’intelligence collective, le leadership d’influence, l’innovation et la créativité, l’intelligence émotionnelle, le management dans l’incertitude,la cohésion d’équipe,le recentrage personnel. ...

École supérieure des Arts Saint-Luc :
l’excellence depuis 1960

La première école Saint-Luc voit le jour en 1878, à Tournai, en Belgique, près de la frontière française. À l’époque, la gestion est assurée par quatre frères prônant l’idéal des frères des écoles chrétiennes. Depuis sa création, l'établissement ne cesse de se développer au fil des années. C'est en 1960, lors du déménagement de l'école dans ses locaux actuels, que fut créé l'enseignement supérieur des Arts.  Former les étudiants aux métiers de l’art L’école Saint-Luc propose à tous les étudiants, qu’ils soient du secondaire ou du supérieur, de suivre leur formation dans le même esprit humaniste initié par les frères fondateurs. Au sein de l’école supérieure des Arts, les formations dispensées s’étalent sur 3 ans et débouchent sur un diplôme de bachelor. Entre le domaine des Arts Plastiques, des Arts des visuels et Arts de l'espace, les étudiants ont  le choix entre 6 formations : Graphisme, Photographie, Publicité, Création d’intérieurs, Stylisme de Mode et Stylisme de l’Objet. Chaque discipline étant enseignée par des professionnels en activité. Mieux préparer les étudiants au monde professionnel Le but étant de préparer les étudiants à l'insertion professionnelle, l'école mise sur 2 piliers indispensables pour appuyer les formations. Les cours théoriques consistent à les aider à acquérir des bases fondamentales, tandis que la pratique développe leur langage plastique. ESA Saint-Luc Tournai s'emploie ainsi à prodiguer une formation approfondie aux élèves afin de développer leur sens critique tout en respectant la démarche et la singularité de chacun. La formation est ponctuée de conférences, visites culturelles, voyages d’études, workshops, de participation à des concours internationaux et des stages allant de 15 jours à 2 mois. Elle révèle des artistes capables de développer une démarche de création authentique et autonome.  « Ces stages sont réalisés avec des enseignants qui sont tous des professionnels dans le domaine », souligne Pierre-Henri Leman, enseignant. Par ailleurs, l’école est le théâtre d’une effervescence artistique emprunte d’innovations pédagogiques. Une attention toute particulière est apportée à la mobilité internationale et à la recherche artistique. Durant les voyages pédagogiques, les étudiants visitent pendant une semaine une grande ville culturelle. « En ce moment, les étudiants en option publicité sont à New York pour rencontrer les agences publicitaires sur place », précise notre interlocuteur. Autre particularité d'ESA Saint-Luc Tournai est son ouverture aux étudiants de toutes origines. C'est dans ce sens que le Pensionnat Passy-Troyennes accueille plus de 300 élèves issus d’horizons divers et désireux de suivre un parcours artistique. A cette structure s’ajoutent 50 chambres réservées aux étudiants du Supérieur. En pleine mutation, elle ambitionne de créer de nouveaux partenariats pédagogiques et culturelles qui fassent sens pour consolider des liens, créer des ponts utiles et amplifier les synergies artistiques. ...

Atelier de Sèvres : laboratoire des artistes de demain

Depuis sa création, l’objectif de l’établissement reste le même : assurer la réussite aux concours et l'épanouissement artistique de ses étudiants. Aujourd’hui, l’école a relevé brillamment le défi puisqu’elle affiche chaque année des résultats plus que satisfaisants aux concours des grandes écoles d’art et d'animation. À titre d’exemple, en 2018, sur les 81 candidats admis à la prestigieuse École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (ENSBA), 21% sont issus de l’Atelier de Sèvres. Développer une personnalité artistique Les ateliers préparatoires permettent aux étudiants de se familiariser avec les outils techniques tout en assimilant les connaissances qu’ils devront mobiliser lors des concours. L’école propose un enseignement polyvalent en adéquation avec les réalités artistiques du moment, tout en laissant libre cours à l’expérimentation. Chaque étudiant doit développer « sa patte », trouver un regard unique en tant qu'artiste. Une préparation sur-mesure Les étudiants des classes Intermédia, qui font preuve d'une plus grande expérience artistique, sont suivis individuellement tout au long de l'année par un enseignant, la plupart du temps issu de l'école visée par l'étudiant. Il les guide dans leurs recherches et dans l'élaboration de leur dossier artistique, en apportant sa connaissance des attentes du concours et son expérience d'artiste. Car les enseignants de l'Atelier de Sèvres ont tous une pratique artistique. Afin de mesurer le progrès effectué, des concours blancs et simulations d'oral sont réalisés au cours desquels les étudiants sont tenus de présenter leur dossier artistique devant un jury. Ce travail de préparation soutenu et rigoureux constitue une des clés de réussite de l'Atelier de Sèvres. L'atelier supérieur d'animation Atelier de Sèvres a ouvert une formation supérieure de 3 ans en animation, à la suite du constat des professionnels sur le manque de scénaristes. La formation se concentre tout particulièrement sur le travail d'auteur, d'écriture de l'animation d'art et réunit aussi bien les compétences créatives que techniques afin que les diplômés maîtrisent toute la chaîne de production. Les étudiants créent un film chaque année au cours de l'atelier de réalisateur et sont en contact permanent avec les professionnels du secteur, que ce soit en cours, en workshop ou lors de conférences thématiques. C'est cette recette qui fait le succès de cette formation ouverte sur la création contemporaine. Les étudiants participent d'ailleurs au Festival d'Annecy, à la NEF Animation de l'Abbaye de Fontevraud, au Festival du film d'animation de Paris, au Festival international du film d'animation de Rennes, au festival Anima de Bruxelles, etc... ...

AssPPA : faire connaitre l’ayurveda

Depuis 5 000 ans, l’Ayurveda, littéralement « science de la vie », et médecine intégrative est pratiquée en Inde comme un art de vivre. Cette ancienne médecine holistique est reconnue depuis 45 ans par l’Organisation mondiale de la santé. Elle est enseignée en Inde, en universités et instituts gouvernementaux (une centaine), le doctorat de base, étant de 6 ans (BAMS : doctorat en Ayurveda, médecine et chirurgie). Narendra Modi a créé le ministère des médecines traditionnelles : AYUSH ( Ayurveda, yoga et naturopathie, Unani, Siddha et homéopathie), dont le Dr Kotecha en est le secrétaire d’état. Faire connaitre une partie des connaissances liées à cette discipline et les partager à travers des formations combinant à la fois théories et pratiques, tel est l’objectif de l’AssPPA (Association pour la promotion et la pratique de l'Ayurveda). Une médecine douce Médecine traditionnelle indienne, l’Ayurveda traite l’individu dans son ensemble. « Elle se fonde sur l’observation de l’être humain, de son environnement mais aussi sur son hygiène de vie et alimentaire », explique Marie Christine Campo-Paysaa, la fondatrice de l’association. Pour les soins et les thérapies, l’Ayurveda utilise essentiellement les massages, des plantes, des pierres et des minéraux, mais aussi des métaux tels que le cuivre, le zinc, le fer, le mercure, l’argent, l’or. En médecine ayurvédique, le corps et l’esprit sont indissociables. Ainsi, pour restaurer l’équilibre et l’harmonie globale, le yoga, la méditation et les massages occupent une place privilégiée. Une rencontre déterminante L’association voit le jour  en 1995 sous le nom de Corps et Conscience. « À l’époque, nous ne proposions que des séances de hatha yoga et de yoga nidra », nous indique-t-elle. En 2003, Marie-Christine Campo-Paysaa fait la connaissance du Dr Kotecha, un éminent médecin ayurvediste. « Cette rencontre a été comme un déclic et nous nous sommes tournés vers l’Ayurveda », raconte notre interlocutrice. C’est dans ce contexte que va naitre le Centre Ayurveda d’Aquitaine. Des formations complètes Le centre dispense des formations diplômantes, portant non seulement sur les bases théoriques de l’Ayurveda mais également sur les pratiques des différentes techniques de massage. S’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels désirant se reconvertir, ou compléter leurs connaissances, ces formations durent entre 15 et 17 jours, impliquant 6 jours d’enseignement théorique. Grâce à un partenariat noué avec Chakrapani Ayurveda Clinic & Research Center (clinique fondée par le Dr Kotecha) basée à Jaipur, les étudiants ont l’opportunité de finir leur cursus en Inde. ...

Avec ISPA International, partez étudier dans l’une des meilleures universités étrangères.

Depuis plus de 20 ans, ISPA est devenu un acteur majeur dans les séjours diplômant à l’étranger. Il a mis en place plusieurs formules de séjours pour répondre aux divers besoins des élèves ou étudiants. Ainsi il propose principalement des programmes High-School pour les jeunes de 15 à 18 ans et des études dans les campus universitaires pour les étudiants de 17 à 26 ans. Mais aussi des séjours linguistiques pendant les vacances d’été, des séjours en entreprise ou encore des séjours au pair pour les 18-26 ans. Les jeunes auront la possibilité de choisir parmi de nombreuses destinations : USA, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Angleterre, Irlande, Espagne, Italie, Amérique du Sud. Pourquoi choisir ISPA ? ISPA permet à tous les jeunes de réaliser des études ou des séjours à l’étranger, quel que soit leur niveau, avec ou sans le Bac. Pour garantir sa réussite, le jeune bénéficie d’un encadrement permanent par une équipe de coachs et de spécialistes. De plus, des questionnaires sont réalisés tout au long de l’année pour un suivi personnalisé. En outre, pour aider le maximum de jeunes à partir, des promotions sont proposées tout au long de l’année. ISPA a également mis au point un nouveau programme exceptionnel d'une Bourse "garantie" dans une Université aux USA. L’ISPA souhaite rester en contact avec ses anciens étudiants, suivre leur évolution et les aider au maximum dans la poursuite de leurs études ou pour leur début professionnel. Certains deviennent ambassadeurs pour partager leur expérience lors de journées d’informations ou de salons par exemple. Quelques exemples d’université Suivant le parcours d’études choisi, l’étudiant pourra se rendre par exemple dans une des universités suivantes : UCLA Extension, University of California UC La Jolla, Cal State East Bay University, University of California UC Berkeley Extension ou Institut de Management de Manhattan. Quelques chiffres Chaque année, ISPA fait voyager plus de 300 jeunes dans le monde. Environ 120 élèves en séjours en lycées à l'étranger, 100 étudiants en universités dans plusieurs pays, 70 collégiens/lycéens/étudiants en séjours linguistiques sur mesure et environ 20 jeunes filles au pair aux États-Unis.  ...

Des formations en santé qui s’inscrivent dans une dynamique pédagogique personnalisée et bienveillante.

Situé au CNIT, à La Défense, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Franco-Britannique est sous l'égide de l'Œuvre du Perpétuel Secours, association loi 1901. Il a pour mission de former des professionnels de santé compétents à même de s’adapter à l'évolution des pratiques soignantes et de répondre efficacement aux besoins de santé des personnes. Des formations tout au long de la vie Madame Danielle BENALI, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Étudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP) au sein de 12 salles de formation dont 2 dédiées à la pratique des soins et un pôle simulation avec chambre et mannequin reproduisant le contexte hospitalier. À ce titre, l’IFSI offre deux départements de formation : - Une formation initiale préparant aux diplômes d’infirmier, d’Aide-Soignant et d’Auxiliaire de puériculture. Dans ce cadre, les étudiants infirmiers ont la possibilité de réaliser un projet de stage à l’étranger ou en Europe via le programme Erasmus +.  L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience. - Une formation continue professionnalisant des personnels de santé tout au long de leur exercice professionnel ou favorisant une nouvelle orientation professionnelle (VAE, Passerelles …). Un encadrement de qualité et des méthodes pédagogiques diversifiées L’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre pour que les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant. Pour ce faire, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un master. Les méthodes pédagogiques pratiquées s’inscrivent dans l’innovation et privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables. De plus, il est intéressant de préciser que l’IFSI a développé de nombreux partenaires parmi lesquels « Médecine Sorbonne Université » et le Conseil Régional de l’Ile de France. ...

Réflexion, formation et synergie stratégique sur la défense

C’est sous l’impulsion de l’amiral Castex que nait en 1936 le Collège des hautes études de défense nationale. Celui-ci devient en 1948 l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). En 1979, l’institut est officiellement reconnu en tant qu’établissement public administratif, à dimension interministérielle, qui agit sous la tutelle du Premier ministre. Chaque année, grâce à l’IHEDN, ce sont près de 13 000 personnes, auditeurs ou public de tous horizons qui sont formés ou sensibilisés sur les enjeux de la pensée stratégique de défense. Inculquer l’esprit de défense par des formations L’IHEDN s’engage dans deux principales missions : développer l’esprit de défense et sensibiliser les citoyens aux questions stratégiques internationales. Avec un regard ouvert sur le monde, l’institut élargit ses champs d’intervention sur la défense, l'armement et l'économie de défense et la politique étrangère. « Notre pédagogie inductive s’adapte aux hauts cadres de l’État, aux décideurs du secteur privé, civils et militaires, ainsi qu’aux étudiants et aux professionnels », déclare Linda Thisse, conseillère en communication de l’IHEDN. Concrètement, l’IHEDN accomplit sa vocation via ses nombreux programmes de formation. On y trouve aussi, par exemple, des formations à l’intelligence économique. Tandis que les sessions nationales s’orientent davantage vers les décideurs militaires et les hauts responsables civils, les sessions en région irrigent tout le territoire national. D'autres formations, cycles spécialisées et plus courts, s'adressent essentiellement aux acteurs sociaux, aux professionnels, aux jeunes militaires ou encore aux étudiants. En plus de servir de trait d’union entre le monde civil et le monde militaire, l’IHEDN se consacre au rayonnement de la politique de défense française à l’étranger. Les sessions européennes et internationales se focalisent sur la confrontation d’idées et de visions sur le futur de la politique de défense. Sont particulièrement abordées les problématiques actuelles, telles que la sûreté maritime, la cybersécurité et la citoyenneté ou encore la gestion civilo-militaire des crises extérieures. Chaque année, plus d’une centaine de pays dans le monde viennent participer à ces nombreuses rencontres stratégiques. Vecteur de la pensée stratégique de défense Pour promouvoir les initiatives de recherche sur les questions de défense, de sécurité et de relations internationales, l'IHEDN conduit plusieurs programmes annuels. A commencer par l'aide financière et pédagogique attribuée aux doctorants en sciences humaines et sociales. Dans ce cadre, avec le soutien de la Fondation de France, l'institut appuie aussi les jeunes chercheurs dont les thèses s'intéressent aux questions de défense et de la sécurité nationale. En outre, les meilleurs travaux de recherche sont primés par les prix scientifiques de l'IHEDN. Seul ou en partenariat avec des universités et des établissements supérieurs, l'institut participe également à des études, à des recherches et à des publications collectives traitant des sujets de défense. Parallèlement, dans sa mission de sensibilisation, l'IHEDN organise des évènements publics au cours de l 'année, qui se déclient en conférences, débats stratégiques, colloques et rencontres diverses. Le rendez-vous mensuel « Lundi de l'IHedn » réunit notamment un public de connaisseurs autour des sujets d'actualité sur les questions stratégiques de défense et de politique internationale. Toujours dans cette démarche participative, les « Rencontres IHEDN » donnent la parole aux experts, professionnels, organismes et organisations concernés par les enjeux de la défense et de la sécurité nationale.  Enfin, l'IHEDN fédère 43 associations autour de sa mission, où quelques 10 000 adhérents sont mobilisés. « Cette communauté est comme un ambassadeur de l’institut. Elle permet à nos auditeurs de véhiculer et de culti...

Des colonies de vacances pour apprendre une langue dès le plus jeune âge

Pour apprendre une nouvelle langue aux plus jeunes, il faut avoir de la créativité. En effet, pour les 10 à 14 ans, l’apprentissage doit encore s’assimiler aux jeux pour plus d’efficacité. Et quoi de mieux que les colonies de vacances pour joindre l’utile à l’agréable ? Pour ceux qui veulent perfectionner leur langue étrangère dès l’enfance, il est même possible de partir en colos à l’étranger afin de s’immerger dans la culture du pays où la langue en question est naturelle et quotidienne. Les colonies de vacances : une manière ludique d’apprendre une langue étrangère Si la plupart des enfants adorent les colonies des vacances, c’est parce qu’elles leur donnent l’opportunité de se retrouver avec des amis du même âge pour profiter de l’été. Néanmoins, cette période peut apporter bien plus que des divertissements. Les colonies de vacances peuvent aussi devenir un moyen d’apprentissage ou de perfectionnement d’une langue étrangère. Avec les colos organisées par des écoles spécialisées comme EF Education First, les participants peuvent côtoyer des élèves issus du monde entier pendant leurs vacances. C’est un excellent moyen de découvrir d’autres cultures, d’enrichir leur vocabulaire et d’élargir leur horizon. Grâce aux échanges et aux activités organisées par des professeurs ou des coachs professionnels, les enfants apprennent naturellement sans se mettre la pression. Etant une institution d’envergure internationale, EF Education First dispose des infrastructures nécessaires pour accueillir les groupes d’élèves et rendre leurs séjours agréables dans le pays de leur choix. Où partir en colonies de vacances ? Si vos enfants partent en colonie de vacances avec EF Education First, ils pourront apprendre l’anglais, l’espagnol, le japonais, l’italien, l’allemand ou encore le coréen dans une cinquantaine de destinations à travers le monde. Pour ceux qui veulent pratiquer l’anglais avec les natifs, le choix est multiple, selon l’envie de chacun. Pour ne pas envoyer vos enfants trop loin de la France, il est par exemple possible de partir en colonie de vacances à Malte. Ils pourront profiter du soleil de la méditerranée tout en pratiquant leur anglais avec les locaux ou entre eux. S’ils sont séduits par la monarchie et l’histoire du Royaume Uni, ils peuvent aller en Angleterre ou aussi en Irlande. Ceux qui souhaitent essayer le mode de vie américain ont le choix entre plusieurs villes dont New York, Los Angeles, Miami, Boston et Hawaï. Les plus aventuriers pourront partir pour l’Afrique du Sud, l’Australie ou encore la Nouvelle-Zélande. Quant à ceux qui cherchent à parfaire leur espagnol, ils peuvent choisir l’Espagne ou le Costa Rica pour découvrir la culture latino-américaine. Dans tous les cas et quelle que soit la destination, EF Education First priorise toujours la sécurité et le bien-être de ses étudiants, raison pour laquelle elle a pensé à intégrer diverses activités dans l’apprentissage de la langue en colonie de vacances. Allier passion et apprentissage Afin de faciliter le choix de la destination pour les prochaines colos de vos enfants, pensez à leurs passions. Dans les camps d’été, vos enfants peuvent à la fois pratiquer leurs activités favorites et améliorer leur niveau de langue. Si votre enfant est un passionné de foot, il sera ravi de partir au Summer Camp en Angleterre. S’il préfère le Surf ou les sports nautiques alors pensez dès à présent à son voyage en Californie ou à Malte. S’il a l’âme d’un artiste, il y a des colonies de vacances dédiées au théâtre, à la danse et à la mode à Oxford, à Torqay et à Londres. Avec EF Education First, les participants pourront aussi combiner sport, art et apprentissage de langue étrangère grâce au Classic Estival Camp Junior. Bref, ces colonies de vacances permettent aux enfants de s’épanouir totalement : ils découvrent de nouvelles cultures et de nouvelles personnes, ils améliorent leur niveau de langue étrangère, ils gagnent en autonomie et ils profitent de moments heureux avec leurs amis à partager différentes passio...

À la rentrée 2017, le CFA des métiers du travail social et médico-social s'ouvre aux métiers du secteur sanitaire

La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche associative, sanitaire, sociale et médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région. Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA s'engage avec la Région Centre-Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap. Devenir infirmier par l'apprentissage C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (trois ans) et des 1 800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus. ...

Faculté Droit, Économie, Gestion d’Orléans :
un taux d’insertion professionnelle remarquable

Les chiffres sont éloquents. Le taux d’insertion professionnelle des diplômés de l’UFR Droit Économie et Gestion confirme l’attractivité de ses formations. Selon la dernière enquête*, 90 % d’entre eux sont entrés dans la vie active 30 mois après l’obtention de leur diplôme. 75 %** trouvent un emploi dans les 12 mois qui suivent l’obtention de leur diplôme.  Deux performances qui confirment le bien-fondé de la stratégie menée par la faculté. Allier les compétences d’un corps enseignant de qualité (150 enseignants-chercheurs) avec celles des praticiens de l’entreprise, des collectivités territoriales et de l’administration (plus de 350 intervenants extérieurs). Et entretenir des liens forts et pérennes avec le tissu économique, les entreprises, les associations professionnelles (ANDRH, CNFPT, l’ordre des experts-comptables, la magistrature…). L’apprentissage en alternance, clé du succès Désormais, la moitié des masters dispensés par la faculté est proposée en apprentissage, une formule qui associe l’immersion en entreprise et le cours théorique. Grâce à cette séquence d’une année, l’étudiant valide une première expérience professionnelle de découverte et d’orientation dans un secteur qu’il a choisi. Il bénéficie d’un accompagnement personnalisé assuré par un tuteur universitaire et un maître d’apprentissage en entreprise. Une période qui exige détermination et disponibilité. Ce sont les capacités opérationnelles et d’adaptation qui s’en trouvent améliorées. Des lignes précieuses sur un CV quand il s’agit de convaincre un employeur. Ainsi, la faculté signe chaque année plus de 150 contrats d’apprentissage mais aussi près de 900 conventions de stages.  La construction du projet professionnel n’est pas laissée au hasard : tout au long du cursus universitaire, des ateliers CV, lettre de motivation, préparation à l’entretien et des rencontres avec des professionnels sous forme de petits déjeuners et de forums métiers sont proposés aux étudiants.  Des laboratoires de recherche reconnus De même, le niveau de recherche soutenu par la faculté conditionne la qualité de l’enseignement. Comme l’explique le doyen de la faculté, le Pr Cem Ertur, de tels niveaux d’excellence sont le fruit d’une harmonie entre recherche et enseignement, véritable écosystème favorable. « La faculté ne pourrait se prévaloir d’un tel classement si nos formations hautement qualifiantes et très recherchées par les entreprises n’étaient adossées à la recherche d’excellence dans nos laboratoires : le laboratoire d’Économie d’Orléans, le Centre de recherche juridique Pothier et Vallorem, le laboratoire de recherche en management. » * Enquête nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, décembre 2014 et avril 2015. ** Enquête réalisée par les services de la faculté de Droit, d’Économie et de Gestion. ...

L’IRA de Metz pour devenir l’un des futurs cadres de l’Etat

On le dit peu, mais l’Etat recrute encore ! « Et notamment des cadres, insiste François Chambon, directeur de l’Institut Régional d’Administration de Metz (IRA). Les administrations engagent des réformes, et justement, elles ont de plus en plus besoin d’attachés d’administration pour les piloter. » Pour préparer les futurs cadres de l’Etat à assumer leurs fonctions et leur mission de service public, il y a l’IRA. Soit cinq établissements en France, situés à Lille, Lyon, Nantes, Bastia… et Metz. L’établissement messin accueille des étudiants de la toute nouvelle région Grand Est, ainsi que d’Ile-de-France.  Trois voies de recrutement existent. Le concours externe pour les étudiants d’un minimum de bac + 3 (même si la plupart sont dans les faits titulaires d’un Master 1 ou 2) attire chaque année environ 700 candidats qui passent les épreuves entre février et mai. Seuls 70 d’entre-eux sont admis. Le concours interne est accessible aux fonctionnaires qui ont au moins quatre ans de service public : une cinquantaine rejoignent l’IRA chaque année. Enfin, il y a le Troisième concours, ouvert aux salariés du privé ou à ceux qui ont exercé un mandat électif pendant au moins cinq ans : 7 à 8 personnes intègrent la promotion de l’IRA par ce biais.« Nous avons donc ainsi 130 personnes par promotion, avec des profils et des âges très variés, du jeune étudiant au quinquagénaire qui souhaite donner une nouvelle orientation à sa carrière ». La formation  s’effectue ensuite durant une année… mais elle n’est pas seulement théorique. Quatre mois de stage sont obligatoires afin d’appliquer les compétences acquises. Cette année est rémunérée : les élèves externes bénéficient d’un traitement mensuel brut d’environ 1 590 €, les élèves interne ou issus du troisième concours touchent en moyenne à 1 770 €.  Administration scolaire, centrale ou territoriale A l’issue de la formation, les élèves deviennent attachés d’administration. « Trois univers principaux s’ouvrent à eux, reprend François Chambon. L’administration scolaire et universitaire pour administrer le système éducatif français ; l’administration territoriale de l’Etat, c’est-à-dire les préfectures, sous-préfectures, directions régionales comme la Direccte ou la Dreal, où ils mettent en place les politiques publiques ; l’administration centrale, c’est-à-dire les services centraux à Paris, dans les différents ministères où ils participeront à des missions d’expertises, et à l’élaboration des projets de lois, de décrets, etc ». Les domaines d’intervention sont variés : ressources humaines, gestion budgétaire, juridique, management, etc. « A la sortie, chacun de nos élèves - sous réserve qu’il ait réussi sa formation – se voit proposer un poste par l’administration. Chaque années, les élèves ont eu des affectations essentiellement réparties entre le Grand Est et l’Ile-de-France.» Une formation à l’IRA permet aussi d’accéder à de plus hautes fonctions à terme :  par la voie de la promotion interne et par concours, les attachés d’administration peuvent ensuite devenir directeur de préfecture, administrateur civil, sous-préfet, conseiller de tribunal administratif, conseiller de chambre régionale des comptes ...  ...

Magic Makers : le langage de programmation, un jeu d’enfants !

En proposant ses ateliers de programmation informatique, Magic Makers poursuit deux objectifs : d’une part, mettre les enfants dans une posture d’acteur vis-à-vis de la technologie en leur permettant, de manière ludique, d’exprimer leur créativité et d’autre part, leur donner les moyens de comprendre et de les préparer au monde de demain. Interrogé sur les raisons qui l’ont poussé à lancer ce projet innovant, la fondatrice Claude Terosier nous explique que « l’enjeu est de permettre aux enfants d’inventer leur métier étant donné  que 85% des métiers de 2030 n’existent pas aujourd’hui ». Tout sur Magic Makers Basée à Paris, Magic Makers a été créée en 2012. A l’époque, ancienne étudiante de Télécom Paris Tech, Claude Terosier cherche vainement des ateliers de programmation pour son fils. Convaincue qu’il est possible d’apprendre la programmation de manière simple et ludique, cette ingénieure décide de créer Magic Makers en proposant des ateliers de programmation créative dédiés aux enfants. Leader et pionnière dans le domaine, Magic Makers mobilise aujourd’hui plus de 40 animateurs et organise 150 ateliers par semaine à raison de 1000 inscriptions hebdomadaires. Depuis sa création, environ 10 000 enfants ont pu bénéficier de ses ateliers. « Comme pour un cours de musique, les enfants peuvent s’inscrire toute l’année ou bien suivre des stages pendant les vacances », nous indique-t-elle. Une pédagogie active « Apprendre à coder pour apprendre à créer », c’est en s’appuyant sur cette approche innovante que la start-up construit sa pédagogique. En effet, la démarche veut que l’enfant devienne acteur de son apprentissage. C’est le principe même de la pédagogie dite « active ». « Nous nous sommes inspiré de la pédagogie active du MIT et nous utilisons « scratch », un outil de programmation simplifié », précise Claude Terosier. Mais que l’on ne s’y trompe pas, l’objectif n’est pas de transformer les enfants en véritable « crack » de la programmation ! Ici, l’important, c’est de créer tout en s’amusant.  Au cours d’un atelier, l’animateur montre deux ou trois exemples et c’est au tour des enfants de créer leur propre projet : dessins interactifs, jeux vidéo, robots...Tout est prétexte à leur imagination. Les enfants expérimentent, apprennent de leurs erreurs et partagent leurs acquis avec les autres. « En cas de blocage, les enfants posent des questions et l’animateur les aide pour qu’ils trouvent eux-mêmes les réponses ». ...

Société française de sophrologie : pour une formation complète des praticiens de la discipline

Siégeant à Paris 8, rue des Favorites, la Société Française de Sophrologie est actuellement présidée par Claude Chatillon, elle-même sophrologue. Cette association regroupe les praticiens et les établissements dispensant des formations dans la discipline. La transmission d’un savoir de qualité, acquis par un cheminement d’études rigoureux figure ainsi parmi ses chevaux de bataille. La référence en matière de formation Étant le premier organisme constitué sur le sol français pour diffuser la sophrologie, la S.F.S. s’est logiquement investie dans la mission d’harmoniser et de cautionner les offres de formation. Les personnes souhaitant emprunter cette voie de professionnalisation peuvent ainsi trouver un établissement référencé sur le site de la Société française de sophrologie. De nombreuses écoles membres de la S.F.S forment chaque année des sophrologues, aussi bien en Métropole qu’à Nouméa. Assurer la qualité des contenus Telle qu’elle a été introduite par le professeur Alfonso Caycedo, la sophrologie renvoie à un ensemble de techniques, de concepts et de philosophie dont la mise en œuvre requiert un apprentissage rigoureux. La Société française de sophrologie a toujours accordé une priorité à la qualité du cursus mis à la disposition des personnes qui souhaitent en faire leur spécialité. L’organisme est ainsi l'un des acteurs principaux des états généraux de la formation qui ont permis d’en définir les critères de qualité. Le respect de ces derniers fait partie des engagements pris par les écoles qui sont affiliées à la S.F.S. Entre autres, il s’agit de respecter un volume horaire minimum qui est actuellement de 300 heures. Ce qui correspond à une durée de formation de 2 ans répartis entre « temps de formation, temps de maturation et de réflexion, et temps de pratique », pour reprendre les propos de Mme Chatillon. Par la suite, de multiples voies de spécialisation s’offrent aux sophrologues, au titre de formation spécialisée ou par la formation continue, professionnalisant un peu plus leur pratique. Les congrès professionnels, échanges ou supervisions sont autant d’opportunités qu’ils peuvent saisir, à cet effet. ...

À Orléans, les étudiants sont aussi des entrepreneurs !

Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...