Dans la vie estudiantine comme dans la vie professionnelle, on entend souvent parler de la barrière de la langue. En effet, il n’est plus possible pour les étudiants, les travailleurs et les entrepreneurs de tous les niveaux de minimiser l’importance des langues étrangères dans ce monde globalisé. Pour suivre l’évolution incessante des échanges aujourd’hui, il faut pouvoir communiquer, comprendre et se faire comprendre à travers les langues. Si plusieurs écoles et institutions proposent déjà des cours de langues actuellement, une méthode se démarque des autres par son efficacité : un séjour linguistique en Irlande ou dans tout autre pays anglophone. Pourquoi apprendre une langue à l’étranger ? Bien qu’internet ait effacé les frontières et qu’il permette aujourd’hui d’apprendre une langue étrangère sans avoir à sortir de chez soi, ou faire un erasmus force est de constater que le résultat est loin d’être le même comparé aux études en immersion. Apprendre une langue ne se résume pas à maîtriser la grammaire et à avoir un vocabulaire de base. C’est aussi une culture à découvrir, une intonation et des nouvelles tournures que l’on ne peut découvrir qu’en côtoyant les natifs. Bref, si vous souhaitez parler l’anglais comme un anglais, il n’y a pas de meilleure façon d’y arriver que d’étudier en Angleterre ou de faire un séjour linguistique dans un pays anglo-saxon. Il en est de même pour toutes les langues étrangères. Afin de permettre à chacun d’apprendre la langue de son choix en immersion, certaines institutions comme EF Education First organise des séjours linguistiques dans différents pays du monde. Elle facilite énormément l’apprentissage pour les étudiants de tous les âges. Un large choix de destinations pour vos séjours linguistiques Si vous souhaitez connaître les subtilités d’une langue étrangère, partez en séjour linguistique dans le pays de cette langue maternelle. Avec l’aide de EF Education First, vous avez le choix entre 50 destinations à travers le monde selon la langue que vous voulez apprendre. Pour l’anglais, EF Education First vous propose des séjours linguistiques aux Etats-Unis, en Angleterre, en Australie, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud, à Malte, au Canada et à Singapour. Pour apprendre l’espagnol, partez en Espagne ou à Costa Rica. Avec Education First, voyagez aussi au Japon pour apprendre la langue du pays, en Allemagne pour parler l’allemand et en Italie pour maîtriser l’italien. Découvrez aussi la Corée du Sud tout en apprivoiser le coréen. Dans toutes ces destinations, EF Education First dispose de programmes adaptés aux enfants à partir de 10 ans, aux jeunes, aux adultes et aux entreprises désirant se perfectionner sur une langue étrangère. Afin de permettre aux étudiants de se concentrer sur leurs études, Education First organise des séjours linguistiques tout inclus. Comment réussir votre immersion Si vous êtes parti dans le pays où l’on parle la langue qui vous intéresse, c’est bien pour la pratiquer. Aussi, la première chose à faire est de parler cette langue quel que soit votre niveau de vocabulaire. Même si vous séjournez avec vos compatriotes, mettez-vous dans la peau d’un natif pour ce moment et vous allez acquérir naturellement tout le vocabulaire qu’il vous manque ! Autant que possible, choisissez de vivre chez l’habitant au cours de votre séjour linguistique pour une immersion totale. Vous pourrez acquérir rapidement l’accent des locaux, l’intonation et même les tournures typiques à la langue. Si vous n’avez pas cette chance, vous allez quand même pouvoir évoluer rapidement avec des spécialistes des séjours linguistiques comme EF Education First. Leur apprentissage est basé sur l’expérience. Vous aurez l’opportunité de rencontrer d’autres élèves ou étudiants du monde entier vu que l’institution possède ses propres écoles dans chacune des destinations qu’elle propose à ses étudiants. Elle organise de nombreuses activités qui vous permettront de dialoguer avec d’autres étudiants telles les...
La faculté de chirurgie dentaire de Nantes délivre 12 diplômes nationaux et 8 diplômes d’université. Les cours dispensés à l’UFR d’odontologie de Nantes permettent aux étudiants ayant leur PACES de poursuivre leurs études par la formation initiale de chirurgie dentaire. Ils peuvent également s’inscrire en master 1 Biologie Santé et master 2 Signaux et Images en biologie médecine. Dès la 5e ou la 6e année, les étudiants peuvent accéder après concours au cycle long et suivre une des 3 filières d’internat prévues, à savoir : la chirurgie orale, l’orthopédie dento-faciale et la médecine bucco-dentaire. Toutes les disciplines de l’odontologie Tout au long de leur vie professionnelle, les chirurgiens dentistes déjà diplômés pourront parfaire ou approfondir leurs connaissances en participant à une des formations continues proposées. Ces formations concernent toutes les disciplines de l’odontologie, les pratiques expertales en odontologie légale, la restauration esthétique dentaire, l’endodontie, l’implantation orale, la radioprotection… La faculté organise également des soirées thématiques, où des praticiens viennent partager leur savoir avec les étudiants d’une manière directe et conviviale. ...
L’Institut IRPALL (Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts, Lettres et Langues) et le Théâtre du Capitole de Toulouse travaillent main dans la main pour proposer chaque année un panel d’événements éclairant la richesse de l’opéra, spectacle complexe aussi bien inscrit dans le patrimoine que porté par une créativité contemporaine, reflet du passé et miroir de notre modernité. Théâtre du Capitole et Institut IRPALL, partenaires de longue date D’un côté, l’IRPALL, structure fédérative de l’Université de Toulouse 2-Jean Jaurès, qui développe des programmes de recherche pluridisciplinaire de pointe tout en favorisant le partage scientifique et culturel pour le plus grand nombre. De l’autre, l’opéra produit au Théâtre du Capitole : une œuvre d’art total mêlant musique, paroles, décors et sollicitant voix, corps, matières et sonorités. Étudier l’opéra réclame une démarche scientifique pluridisciplinaire puisque plusieurs champs de spécialités et de compétences sont requis (littérature, histoire, esthétique, philosophie des cultures…). En 2009, le Théâtre du Capitole et l’IRPALL ont signé une convention de partenariat qui n’a cessé de se développer. Associer une institution culturelle lyrique et une structure de recherche, toutes deux de renommée internationale, relevait du défi. Pari réussi : elles organisent désormais diverses manifestations par an, des journées d’étude, des rencontres avec le public, des ateliers d’écoute et 28 journées d’étude à ce jour dont le contenu capté en vidéo est disponible pour le grand public sur le site institutionnel de Canal-U (collection Recherche et Opéra). Des passerelles entre recherche et création artistique La variété d’activités proposée par l’institut implique le monde universitaire dans son ensemble. Par exemple, les Journées d’étude réunissent des chercheurs français et internationaux, spécialistes de littérature, de musicologie, de langues, d’histoire et d’art. La convention abrite également une plateforme d’expertise autour de l’opéra, constituée de chercheurs spécialistes participant activement aux opérations de médiation culturelle organisées par le Théâtre du Capitole et secondées à l’occasion par des étudiants du Master de Musique dans une perspective professionnalisante. Sous la responsabilité de Michel Lehmann (directeur de l’IRPALL spécialiste de l’opéra du XIXe siècle) et de Christine Calvet (secrétaire générale de l’IRPALL, forte d’une expérience de plus de 20 ans dans le pilotage de la recherche pluridisciplinaire), cette Convention affiche son dynamisme. Mélomanes, artistes, critiques, amateurs, étudiants, chercheurs et groupes scolaires fréquentent d’ailleurs ces activités qui favorisent les passerelles entre recherche et création artistique, université et cité, quartiers urbains et centre-ville, publics avertis et éloignés. ...
Pour améliorer la productivité et la motivation de vos salariés, la FFEPGV organise pour vous des sessions sportives adaptées. La FFEPGV : le Sport Santé à la portée de tous Fondée en 1888, la FFEPGV a la volonté de rendre accessible à toutes les personnes qui le désirent, la pratique d’une activité physique pour se maintenir en bonne santé. Pour ce faire, elle se base sur un réseau national de plus de 6000 clubs partout en France et de nombreux animateurs sportifs capables d’intervenir aussi bien en entreprise qu’à l’extérieur. En se caractérisant comme une fédération multiactivité non compétitive, elle fait le nécessaire pour promouvoir l’accessibilité et favoriser une activité sportive régulière qui peut se faire partout et à tout moment de la journée . Bien encadré, chacun peut apprendre les bonnes pratiques pour rester en forme tout en maintenant une motivation intacte de façon durable. Le sport en entreprise : une bonne alternative Le constat établi par le baromètre Sport Santé de la FFEPGV (Fédération française d’éducation physique et de gymnastique volontaire) en partenariat avec l’institut IPSOS nous donne une information intéressante : 72 % des Français estiment que le sport est une excellente solution pour diminuer le stress au travail et les émotions pénibles. 71 % déclarent qu’il peut diminuer les troubles musculaires et les problèmes de dos tandis que 67 % le voient comme un remède aux troubles du sommeil. Ces données sont à corréler avec celles d’une étude commandée par le Medef et menée par le CNOSF et AG2R La Mondiale expliquant qu’un salarié pratiquant régulièrement une activité physique serait plus productif qu’un employé sédentaire. Pour autant, malgré ces observations, seul 1 Français sur 2 ferait du sport. Cela à cause d’une réelle difficulté à gérer vie privée et vie professionnelle, empêchant l’inscription en club. Dans ce cas, il existe une alternative : amener directement le sport en entreprise. Ce que propose la FFEPGV Afin d’intéresser même les salariés les plus sédentaires, la FFEPGV est capable de s’adapter précisément à toutes les demandes. L’entreprise n’est donc plus seulement un lieu pour travailler, mais aussi l’endroit idéal pour se mettre ou se remettre au sport. Pour répondre à vos besoins, la fédération est capable d’accompagner l’entreprise et ses salariés dans la mise en place d’activités spécifiques dans les locaux (s’il est possible de disposer de salles adéquates) ou à l’extérieur. Cela peut se faire le matin avant la prise de poste, à la pause déjeuner, ou le soir pour évacuer toutes les tensions de la journée. La grande force de la FFEPGV : être multi activités. Vous pouvez donc lui demander de mettre en place des sessions centrées sur le cardio ou des séances plus douces tels que le pilate, entre autres. Sans oublier une marche ou course à pied en extérieur si les participants le souhaitent. Après une phase de tests pour jauger du niveau de chaque personne, le coach fait son maximum pour s’adapter aux besoins et capacités des participants tout en mesurant les progrès dans le temps. Vous l’avez compris : la FFEPGV a une pratique très personnalisée du sport en entreprise. De plus, si la société cliente le souhaite, la FFEPGV peut l’accompagner dans la réalisation d’un plan de communication sur le thème de la qualité de vie au travail en fournissant des outils de communication et des éléments à distribuer à chaque employé. L’objectif : pouvoir sensibiliser aux bonnes postures et aux bonnes pratiques quotidiennes. Actuellement, une centaine d’entreprises travaillent avec la FFEPGV. Parmi celles-ci, nous trouvons des PME et grands groupes (SNCF, EDF, Crédit Mutuel, Michelin, etc.) ainsi que des mutuelles et des administrations. Il faut dire que le tarif très compétitif pratiqué par la fédération fait la différence avec les clubs privés. Surtout que le coût de chaque séance peut être supporté par l’ent...
Fondé en 1947, le Centre d’Echanges Internationaux (CEI) est aujourd’hui un acteur incontournable dans l’organisation de séjours linguistiques de qualité à l’international. Depuis sa création, cet organisme n’a cessé de développer ses programmes et d’innover afin de s’adapter et de répondre à tous types de demandes. Ouvrir le monde aux jeunes Au départ, le CEI a été créé dans le but de réconcilier les jeunes Français et les jeunes Allemands après la Seconde Guerre mondiale. « Le projet s’est nourri des rencontres et des échanges interculturels entre les deux pays. Puis cela s’est étendu à d’autres pays, à l’instar de l’Angleterre ou l’Irlande », explique Annabelle Dupé, directrice de la communication du groupe. Au fil des années, le CEI s’est développé, en procédant au rachat d’autres organismes opérant dans le secteur de la jeunesse. Ainsi, le groupe a fait l’acquisition du Club des 4 vents (colonie de vacances), de l’école Cambridge Gardens College (en 2006) et, plus récemment, de deux organismes spécialisés dans les séjours linguistiques sur mesure : Les Échanges Franco-Irlandais (en 2006) et Atout Linguisti-que (fin 2017). « Grâce à ces deux structures, nous sommes à même de satisfaire toutes les demandes en ce qui concerne les programmes sur mesure », souligne Annabelle Dupé. Offrant un programme très varié, le CEI entend poursuivre sa vocation : ouvrir le monde aux jeunes. « Notre objectif est d’accompagner la personne depuis ses premiers pas en colonie de vacances jusqu’à son premier grand voyage ou son premier job à l’étranger. » Des colonies de vacances sportives et à thèmes Associer l’apprentissage d’une langue à une passion sportive. Le CEI s’appuie sur ce concept pour suggérer plusieurs offres en colonies de vacances. En fonction des thématiques choisies (bord de mer, montagne, etc.), les enfants profitent de nombreuses activités, tout en apprenant l’anglais en s’amusant. Au programme ? Du ski ou de la cani-rando, pour les plus jeunes. La garantie de sensations fortes avec le parapente, l’exploration en pleine nature ou encore la pratique du quad, pour les plus grands. Dans le cadre des colonies de vacances à l’étranger, l’organisme propose des city tour autour des villes scandinaves et de celles d’Europe de l’Est comme en Bulgarie. Ces visites s’accompagnent souvent d’activités diverses, dont les sports de plage. Aux 14-17 ans sont proposés des voyages de découverte qui privilégient les rencontres et les échanges. « Les adolescents partent découvrir un pays avec sa culture, ses traditions et surtout ses habitants », nous confie-t-on. Guatemala, Équateur, Vietnam, Dubaï, Miami… sont autant de destinations qui attendent les jeunes. Mais s’il y a bien une destination qui plait énormément, c’est sans conteste le Japon. « Nos programmes “Tokyo Express” et “Tokyo-Osaka” font un carton auprès des jeunes », lance Annabelle Dupé. Immersion en lycée étranger Le CEI offre l’occasion aux lycéens de pouvoir réaliser une année scolaire complète à l’étranger. Parmi les formules proposées par le CEI, l'immersion en lycée étranger reste le fleuron de ces séjours riches en apprentissage. Toujours selon la responsable, « le jeune est complètement immergé dans la vie d’un lycéen. Il intègre une classe avec des jeunes de son âge et il est hébergé par une famille d’accueil dont il partage le quotidien. » États-Unis, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Irlande, Espagne ou encore Allemagne : chaque destination promet une expérience unique. Des séjours linguistiques totalement maîtrisés L'Organisme met à disposition Cambridge Gardens College, un établissement implanté à Hastings, en Angleterre. Outre l'excellente qualité aussi bien de l'infrastructure que de l'encadrement, l'école bénéficie d'un emplacement idéal en plein centre-ville, proche de la mer. L'hébe...
Sortir de sa zone de confort est toujours une expérience enrichissante pour se découvrir de nouvelles aptitudes, et vous prépare aux mieux à la vie professionnelle à l’international. Pour diverses raisons, les pays anglophones tels que le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada se trouvent parmi les premiers choix des étudiants. Si vous vous intéressez à ces pays vous aussi, voici quelques informations qui vous seront utiles pour arrêter votre choix. Pourquoi faire ses études supérieures au Royaume-Uni ? Le Royaume-Uni est la troisième destination mondiale des étudiants internationaux, après les USA et l’Australie. Malgré les changements induits par le Brexit, il figure toujours parmi les meilleures destinations pour les études d’excellence. Le Royaume-Uni est l’un des pays les plus ouverts aux études internationales avec plus de 20% de ses étudiants venant de l’étranger. Il possède des institutions de renommée mondiale telles que les universités de Cambridge, Oxford, Imperial et St Andrews. Connus pour le niveau et la qualité de l’enseignement dispensés aux étudiants, ces noms prestigieux ont une grande notoriété pour la future carrière des étudiants. A l’issue de leur formation au Royaume-Uni, les étudiants obtiennent un bachelor, un M1 ou un M2 dans diverses spécialités comme l’économie, la littérature, l’histoire, le droit, la médecine et l’ingénierie. Ils peuvent se spécialiser dans des domaines spécifiques tels que la gestion des catastrophes ou encore les effets spéciaux, ou encore opter pour des combinaisons interdisciplinaires cotées (telles que PPE, par exemple, qui associe la politique, la philosophie et l'économie). Pour adhérer aux établissements britanniques, il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir un très haut niveau académique couplé à une certification CAE ou IELTS. Ensuite, ils tiennent comptent des accomplissements extra-scolaires de l’étudiant. Pour certaines filières, des stages en milieu professionnel ainsi que d’autres évaluations supplémentaires sont requis. Etudier au Royaume-Uni, c’est aussi se donner toutes les chances de perfectionner son anglais. En immersion totale, les étudiants apprennent à utiliser la langue à la manière des natifs et acquièrent tout le vocabulaire nécessaire dans leur domaine de prédilection. Outre le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada (surtout le Québec) attirent également les étudiants français. Obtenir un diplôme sur mesure aux Etats-Unis ou au Canada Mise à part l’attraction des jeunes concernant le mode de vie américain, les Etats-Unis représentent une destination de rêve pour de nombreux étudiants. Ils accueillent la plupart des meilleures universités au monde pour ne citer que Harvard, la plus prestigieuse pour apprendre l’architecture, l’Université de Pennsylvanie pour les études orientées business ou encore Berkeley, pour approfondir la littérature anglaise. En outre, les Etats-Unis disposent de campus et d’infrastructures de haute qualité pour recevoir les étudiants. Le cursus « Liberal Arts College » vous permet de mixer plusieurs disciplines librement – la biologie avec le Chinois, par exemple, ou l’histoire de l’art avec le développement durable. Les études sont sanctionnées par un Bachelor of Arts (BA) ou un Bachelor of Sciences (BSc) au premier cycle et un Master dans les mêmes domaines au second cycle. Depuis Covid, certaines écoles gardent leur statut « SAT optional », vous laissant le choix de présenter un SAT ou ACT, mais une une certification TOEFL ou IELTS reste fortement conseillée. Selon les établissements, la qualité de meneur et la capacité de créer un projet personnel peuvent aussi jouer sur la sélection des étudiants. Les conditions sont à peu près les mêmes pour ceux qui veulent faire des études d’excellence dans les institutions canadiennes. La différence, c’est la possibilité de choisir entre les établissements anglophones et les établissements bilingues. Néanmoins, une certification TOEFL ou IELTS est toujours requise. Les universités américaines et canadiennes se distinguent cependant par la possibilit&ea...
Il réunit une cinquantaine d’équipes spécialisées en biologie végétale, issues de cinq instituts de recherche de la région sud parisienne : l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB), l’Institut de Sciences des plantes de Paris Saclay (IPS2), l’Institut de Biologie intégrative de la cellule (I2BC), l'UMR de Génétique quantitative et évolution (GQE-Le Moulon) et l’UMR Biologie et gestion des risques en agriculture (BIOGER). Ce projet est soutenu par 9 institutions : l’INRA, le CNRS, le CEA, AgroParisTech, les Universités Paris-Sud, Evry-Val d’Essonne, Versailles-Saint-Quentin et Paris-Diderot, ainsi que l’Université Paris-Saclay qui porte le projet. L’objectif principal des EUR consiste à renforcer la relation entre recherche et formation et à internationaliser les formations, le but à terme étant de créer des « graduate schools » avec un continuum master / doctorat / laboratoires de recherche. Pour cela, SPS-GSR dispose de programmes d’enseignement réunissant un large panel de disciplines de la biologie végétale et d’infrastructures permettant aux étudiants de se former aux nouvelles technologies et approches dans ce domaine. Le LabEx SPS SPS-GSR s’appuie sur le Laboratoire d’Excellence Saclay Plant Sciences (LabEx SPS), un projet Investissements d’Avenir qui a développé depuis 2011 un grand nombre d’activités axées sur la biologie végétale incluant recherche, formation, innovation et développement d’infrastructures. « Plus qu’un projet, Sciences des plantes de Saclay est un véritable réseau avec comme objectif de faire fructifier les interactions entre les équipes impliquées », souligne le Dr Marie-Jeanne Sellier, manager du projet. SPS met l’accent sur quatre thématiques prioritaires, à savoir 1) l’intensification durable de l’agriculture dans un contexte environnemental fluctuant, 2) l’amélioration de la qualité végétale pour diverses utilisations alimentaires et non-alimentaires, 3) les plantes pour comprendre les mécanismes biologiques fondamentaux et 4) le développement de nouvelles ressources ou biotechnologies pour la recherche, l’innovation et le transfert de technologie. Les recherches s’étendent sur différentes échelles du gène à la plante entière et font intervenir de nombreuses techniques d’analyse différentes grâce aux infrastructures de pointe des laboratoires (biochimie, imagerie, biologie moléculaire et cellulaire, approches omiques, modélisation, bioinformatique, etc.). Enfin, en matière d’innovation, SPS se veut être un accélérateur d’innovation végétale. Il joue pour cela un rôle d’intermédiaire en favorisant les interactions entre les équipes de recherche et des partenaires privés dans des secteurs liés aux ressources végétales. « Nous avons identifié six domaines d’application dans lesquels nos recherches, fondamentales et appliquées, peuvent offrir des débouchés dans le monde industriel », développe le Dr Marie-Jeanne Sellier. Ces six domaines d’application concernent l’adaptation des plantes à leur environnement, la sélection variétale et les biotechnologies, les semences et le rendement, l’alimentation et la nutrition, la cosmétique et la santé et enfin la bioénergie et les matériaux biosourcés. En parallèle, SPS soutient financièrement des projets innovants dans la démarche d’aller jusqu’aux brevets et start-up. L’obtention du projet EUR « Saclay Plant Sciences Graduate School of Research » a entraîné la reconduction des activités du LabEx SPS jusqu’en 2027. « Les deux projets ne font à présent plus qu’un. Les activités de formation seront renforcées tout en continuant à développer recherche, innovation et infrastructures dans les années à venir », rapporte la manager. ...
Fondé en 1987, cet organisme formateur a rejoint le groupe européen de l’information professionnelle WEKA en 2014 pour construire son expertise autour d’un puissant réseau de marques spécialistes. Ce groupe fédère aujourd’hui Formations Directions, Tissot Formation, Techniques de l’Ingénieur, Stratégies Formations, MB Formations et Legal&Network, qui sont des partenaires d’excellence pour l’entreprise. Restructurer les savoirs pour répondre aux nouveaux exigences et enjeux stratégiques Interrogée sur le mode de conception de son programme de formation, Claire Pascal, Directrice Générale, explique que « le catalogue des formations veut s’adapter à l’ère du temps, à la culture des entreprises et aux besoins réels du marché ». À la confluence, elle souligne plus particulièrement le contexte global du secteur, en pleine ébullition dans la réforme de la formation professionnelle engagée depuis l’année 2014. Ce projet de loi bouscule les pratiques dans les entreprises et fait apparaitre de nouvelles demandes dans l’univers de la connaissance. Ainsi, Comundi Compétences intègre dans ses réflexions les nouvelles alternatives pédagogiques capables d’accompagner la réalisation du projet professionnel de chaque salarié tout en stimulant la compétitivité de l’entreprise. Dans ce champ opératoire particulièrement complexe, les 600 experts et consultants-formateurs assurent une veille permanente, anticipent les besoins, identifient les objectifs pédagogiques et apportent des solutions pertinentes. Ces dernières peuvent se décliner sous plusieurs formats en présentiel (coaching, formation métier, cycle long, parcours professionnalisant CPF, ateliers et conférences, etc.) et en digital learning (e-learning, portail MOOC, classe virtuelle, webinar, serious game, etc.). « Notre manière à nous d’apprivoiser et d’assembler ces briques digitales dans le but de composer un contenu innovant fait notre identité » souligne-t-elle. En parallèle, l’entreprise propose également un coaching individuel ou collectif ainsi que des prestations counseling en management et soft skills, ressources humaines et transformation digitale. Une approche pluridisciplinaire à la croisée du distanciel et du présentiel « Pour nous, l’innovation traduit la capacité à recréer et à réinventer l’existant en apportant une valeur ajoutée en plus pour satisfaire les besoins de notre marché ». En avançant ces propos, Claire Pascal illustre parfaitement le cœur du métier même de Comundi Compétences. Elle se réfère notamment à l’offre blended learning, définie comme une modalité d’apprentissage mixte qui altère une formation présentielle et une formation digitalisée. « Grâce à cette méthode, nous pouvons offrir une solution one-to-one, plus précise et plus engageante, pour donner un vrai sens à la formation collective». Toutes les ressources numériques du Comundi Store sont exploitées en avant, pendant ou après un présentiel pour dynamiser l’échange : module de formation MOOC, outils de reporting, application via des serious game, webinar, mobile learning, module d’évaluation et pack préparation concours. Au-delà d’un ensemble de dispositifs numériques, le digital learning est d’abord une culture qui révolutionne, non seulement la démarche pédagogique, mais aussi l’écosystème de l’entreprise à tous les niveaux : les méthodes, les acteurs, le processus, la communication, etc. Le créative learning trip, destiné aux dirigeants, cadres et managers, s’inscrit également dans cette volonté d’innovation. Prenant la forme de visites guidées dans les écosystèmes spécifiques comme les start-up ou les usines, ce programme, co-créé par Emulsion Creative, a pour objectif d’aider les entreprises à découvrir les nouvelles tendances dans leur secteur. Le processus créatif, le design thinking, la pédagogie collaborative, l’intrapreunariat et la transformation digitale seront les principaux thèmes mis en avant pendant les deux jours de visite. En outre, cette offre se décline &...
C'est là qu'intervient Admission Accomplie : en vous fournissant toutes les clés nécessaires pour réussir votre projet d'études à l'étranger, le cabinet aide à faire face aux défis qui se présentent et à saisir toutes les opportunités qui s'offrent aux futurs étudiants. Avec ce soutien expert tout au long du processus d'admission et d'intégration dans votre nouvelle vie académique, vous pouvez être sûr(e) de prendre la meilleure décision possible quant à votre avenir professionnel et personnel. Les facultés de commerce de renommée : une alternative efficace à la classe préparatoire traditionnelle Les filières les plus prisées par les étudiants français demeurent les sciences sociales, tandis qu’un Bachelor d’eco-gestion est devenu un alternatif populaire au système traditionnel des classes préparatoires en France. Des établissements tels que la London School of Economics et l'Université de Warwick au Royaume-Uni, l'Université Bocconi à Milan, l'Université IE à Madrid, ainsi que RSM aux Pays-Bas offrent une éducation de renommée mondiale, des opportunités d'apprentissage pratique et des liens solides avec l'industrie, tout en permettant une admission parallèle aux Grandes Écoles. Les stratégies de candidatures multi-destinations pour optimiser les chances d'admission En développant les services de soutien aux étudiants dans leurs candidatures pour plusieurs destinations, Admission Accomplie vise à répondre à l'évolution des attentes et des besoins liés à l'étude à l'étranger. Avec les contraintes liées à la pandémie de Covid-19 et au Brexit, la mobilité des étudiants entre la France et le Royaume-Uni a été affectée. Les frais de scolarité plus élevés et l'exigence croissante des parents et des étudiants de rejoindre les meilleures institutions ont modifié la façon dont les familles envisagent l'étude à l'étranger dans son ensemble. Afin d'optimiser leurs chances d'admission, les étudiants adoptent désormais des stratégies de candidatures multi-destinations. Cependant, ces candidatures multi-destinations nécessitent la mise en place de différentes stratégies dès la Seconde afin d'enrichir le profil des étudiants en termes d'expériences et de compétences, augmentant ainsi leurs chances d'admission dans les pays ciblés. S'engager dans des activités parascolaires pertinentes peut aider à démontrer aux universités leur engagement, leurs compétences en leadership et leur passion pour un domaine spécifique. Cela peut inclure des stages en entreprise, des clubs ou associations, du bénévolat ou des projets personnels. La soumission de candidatures multiples pour différentes destinations demande du temps et des connaissances approfondies. Cela peut rapidement devenir stressant pour les étudiants dans une période où ils s’efforcent de se concentrer sur leurs études. C'est dans ces situations qu'un soutien tel que celui d'Admission Accomplie devient essentiel. Un processus complexe nécessitant une expertise et un soutien personnalisé Le processus de candidature à l'international est complexe, avec des exigences spécifiques pour chaque université, pays et programme d'études. Les étudiants doivent consacrer du temps à la recherche approfondie des programmes, à la rédaction de lettres de motivation percutantes, à la préparation des examens standardisés, et à la constitution des dossiers de candidature. Le Cabinet Admission Accomplie intervient ici en tant que ressource précieuse. Leur équipe d'experts possède une connaissance approfondie des procédures et des exigences spécifiques des différentes universités. Ils peuvent guider les étudiants dans le choix des universités appropriées en fonction de leurs aspirations et de leurs capacités, les aidant ainsi à optimiser leurs chances d'admission. Une solution précieuse pour maximiser les chances d'admission En travaillant en étroite collaboration avec les étudiants, le Cabinet Admission Accomplie soutient les étudiants dans toutes leurs rédactions ...
Cette école de Management est intégrée, depuis ses débuts, à l’Université de Caen. « Sa vocation est de former des étudiants et des salariés aux métiers de la gestion et du management tout en développant des activités de recherche en lien avec ces domaines d’expertise », nous explique Patrice Georget, Directeur de l’IAE Caen. Avec le développement en 2011 d’une filière complète par e-learning, cette école se veut être un des pionniers de la formation à distance basée sur une pédagogie interactive qui place l’étudiant au centre de son apprentissage. Excellence et innovation se retrouvent ainsi dans une offre de formation en présentiel ou à distance adaptée à chaque apprenant et surfant sur la vague du progrès technologique. Une formation mixte : identité de l’IAE Avec une identité basée sur une expertise académique et une connaissance accrue du domaine du Management, cette école universitaire s’est forgée une solide réputation dans le domaine de la formation avec ses 40 cursus diplômants proposés en formation initiale ou continue, en présentiel ou à distance. La formation initiale, suivie par plus de 1 300 étudiants chaque année, est dédiée aux jeunes désirant faire carrière dans le management, le commerce ou dans d’autres domaines du secteur tertiaire. Sanctionnée par une Licence ou un Master, chaque formation initiale associe maîtrise académique du management et connaissance pratique du milieu professionnel. La formation continue, quant à elle, est « principalement pensée pour les salariés en entreprises désireux d’obtenir une plus forte mobilité professionnelle, tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger, d’avoir une promotion de carrière ou de changer d’orientation professionnelle en reprenant leurs études », poursuit son directeur. Grâce à un large éventail de cursus, l’école propose ainsi des formations continues en management d’entreprises, en finances et en management du social et de la santé. Allant des ressources humaines au management d’établissements de santé en passant par l’ingénierie financière, chaque programme, avec un Master à la clé, est adapté à tous ceux qui souhaitent élargir leur horizon professionnel et saisir de nouvelles opportunités. La gérontologie, les métiers d’agence bancaires, le contrôle de gestion ou le marketing digital, n’auront plus aucun secret pour les apprenants, quelles que soient leurs origines professionnelles. Véritables tremplins, tous les parcours, en formation initiale ou continue, sont conçus et prodigués par des enseignants universitaires, 50 au total, et par près de 350 enseignants issus du monde professionnel « gages de leur qualité et de leur aspect professionnalisant », souligne Patrice Georget. L’innovation toujours au service de la formation Les lettres de recommandation sont aujourd’hui un véritable passeport pour l’emploi. L’IAE Caen l’a bien compris et a ainsi développé un système similaire pouvant être inséré dans son CV : les badges. Ces derniers sont produits en collaboration avec le CEMU (Centre d’enseignement multimédia de l’université de Caen). Leur objectif, toujours selon Patrice Georget, est d’« évaluer le savoir-être de l’étudiant et de révéler qui l’on est et trouver une forme de reconnaissance qui va au-delà du diplôme ». En effet, certains étudiants travaillent de nuit et étudient le jour, dépassent ainsi leurs limites et franchissent des obstacles apparemment infranchissables pour arriver au bout de leurs études. Ces efforts, trop souvent ignorés, sont désormais affichés au grand jour grâce au badge « Battant ». Symbole de persévérance et de détermination, ce badge sera le témoin des difficultés que l’étudiant a su surmonter. À celui qui s’investit dans la représentation de son école à l’occasion, par exemple, de concours d’entreprises, sera décerné le badge « Ambassadeur ». Le badge « Communiquant &raq...
Les chiffres sont éloquents. Le taux d’insertion professionnelle des diplômés de l’UFR Droit Économie et Gestion confirme l’attractivité de ses formations. Selon la dernière enquête*, 90 % d’entre eux sont entrés dans la vie active 30 mois après l’obtention de leur diplôme. 75 %** trouvent un emploi dans les 12 mois qui suivent l’obtention de leur diplôme. Deux performances qui confirment le bien-fondé de la stratégie menée par la faculté. Allier les compétences d’un corps enseignant de qualité (150 enseignants-chercheurs) avec celles des praticiens de l’entreprise, des collectivités territoriales et de l’administration (plus de 350 intervenants extérieurs). Et entretenir des liens forts et pérennes avec le tissu économique, les entreprises, les associations professionnelles (ANDRH, CNFPT, l’ordre des experts-comptables, la magistrature…). L’apprentissage en alternance, clé du succès Désormais, la moitié des masters dispensés par la faculté est proposée en apprentissage, une formule qui associe l’immersion en entreprise et le cours théorique. Grâce à cette séquence d’une année, l’étudiant valide une première expérience professionnelle de découverte et d’orientation dans un secteur qu’il a choisi. Il bénéficie d’un accompagnement personnalisé assuré par un tuteur universitaire et un maître d’apprentissage en entreprise. Une période qui exige détermination et disponibilité. Ce sont les capacités opérationnelles et d’adaptation qui s’en trouvent améliorées. Des lignes précieuses sur un CV quand il s’agit de convaincre un employeur. Ainsi, la faculté signe chaque année plus de 150 contrats d’apprentissage mais aussi près de 900 conventions de stages. La construction du projet professionnel n’est pas laissée au hasard : tout au long du cursus universitaire, des ateliers CV, lettre de motivation, préparation à l’entretien et des rencontres avec des professionnels sous forme de petits déjeuners et de forums métiers sont proposés aux étudiants. Des laboratoires de recherche reconnus De même, le niveau de recherche soutenu par la faculté conditionne la qualité de l’enseignement. Comme l’explique le doyen de la faculté, le Pr Cem Ertur, de tels niveaux d’excellence sont le fruit d’une harmonie entre recherche et enseignement, véritable écosystème favorable. « La faculté ne pourrait se prévaloir d’un tel classement si nos formations hautement qualifiantes et très recherchées par les entreprises n’étaient adossées à la recherche d’excellence dans nos laboratoires : le laboratoire d’Économie d’Orléans, le Centre de recherche juridique Pothier et Vallorem, le laboratoire de recherche en management. » * Enquête nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, décembre 2014 et avril 2015. ** Enquête réalisée par les services de la faculté de Droit, d’Économie et de Gestion. ...
Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...
Les programmes de formation continue en santé (masters et MBA) de l’Université Paris-Dauphine, tous compatibles avec une activité professionnelle, ont été développés dans le but d’adresser le secteur pointu du Management à la santé. Cet établissement de renom, première université en management, mise sur des formations continues en santé « qui ont été pensées afin de couvrir les besoins de toute la ligne hiérarchique d’encadrement du secteur », souligne Béatrice Fermon, directrice associée de l’Executive MBA Santé et responsable du Master « Économie et gestion de la santé ». L’Executive MBA Santé : le management pour des cadres dirigeants appliqué à la santé Ayant pour objectif de développer les compétences des acteurs du changement dans le domaine de la santé, cette formation de haut niveau s’adresse principalement aux médecins, managers du secteur ou professionnels aspirant à le devenir. Ce programme, alliant des modules théoriques et pratiques, répond à un besoin « de mettre la théorie au service de la décision et de l’action des managers »d’articuler les enseignements académiques avec le monde professionnel », reprend Béatrice Fermon. Ces modules aux dimensions internationales traitent toutes les facettes du management et de la gestion du secteur, en mettant particulièrement l’accent sur la conduite de projets complexes. Le travail sur des situations professionnelles concrètes et les séances individuelles d’accompagnement professionnel favorisent permettent une montée effective en compétences de management. Master Economie et Gestion des Etablissements de Santé : pour une meilleure gestion des structures de santé Dédié aux professionnels des secteurs santé et médico-social ou à ceux en reconversion professionnelle, ce master allie approches sociologiques et économiques et acquisition ou renforcement des compétences managériales. L’objectif est de former des cadres aptes à piloter et à gérer des services grâce à diverses capacités, notamment la compréhension la réalité du monde de la santé pour allier le déploiement stratégique des ressources à la performance. Des compétences de diagnostic de situation, de pilotage de projets, d’innovations managériales et d’arbitrages tenant compte de l’éthique des décisions sont développées dans le cadre de parcours personnalisés. La mise en pratique des connaissances acquises est assurée par l’expertise reconnue des intervenants universitaires et des professionnels du secteur. Master Management Stratégique des Services et Etablissements pour Personnes Agées : un parcours humain Cette formation spécialisée dans le pilotage managérial de services et d’établissements pour personnes âgées est proposée afin de cerner les différentes méthodes de gestion des activités en rapport avec la gérontologie, la science du vieillissement. Elle s’adresse aux personnes en reconversion ainsi qu’aux futurs dirigeants d’établissements pour personnes âgées. Axé sur la mise en place de stratégies managériales efficaces et une maîtrise de l’environnement de cette science, ce cursus, comme le souligne Béatrice Fermon, « allie savamment éléments cliniques et gestionnaires afin de proposer une formation dédiée à la gestion des structures et des services destinés aux personnes âgées ». Les qualifications du corps enseignant ainsi que la pédagogie basée sur une approche participative font de cette formation un tremplin d’employabilité. Avec des postes dans l’encadrement supérieur à la clé, les cadres diplômés pourront apporter leur expérience et leur expertise dans un secteur en plein essor. ...
D’un côté, l’Institut IRPALL. Cette structure fédérative de l’Université de Toulouse 2 Jean Jaurès développe des programmes de recherche pluridisciplinaire de pointe, tout en favorisant le partage culturel pour le plus grand nombre. De l’autre, l’opéra. Une oeuvre d’art total, mêlant musique, paroles, décors et activant voix, corps et jeu de scène. Etudier l’opéra réclame une démarche scientifique pluridisciplinaire, puisque plusieurs champs de spécialités et de compétences sont requis, de la littérature à l’histoire en passant par la mythologie. Il y a 7 ans, le Théâtre du Capitole et l’IRPALL ont signé une convention de partenariat. Associer une institution culturelle lyrique et une structure de recherche, toutes deux de renommée internationale, relevait du défi. Pari réussi : les structures organisent désormais diverses manifestations par an, des journées d’études (15 depuis le début du partenariat), des rencontres avec le public, des ateliers d’écoute, des conférences d’avant-spectacle, etc. Institut IRPALL : étudier l'opéra nécessite une démarche scientifique pluridisciplinaire Cette variété d’activités implique le monde universitaire dans son ensemble. Par exemple, les Journées d’études réunissent des chercheurs français et internationaux, spécialistes de littérature, de musicologie, de langues, d’histoire et d’art. Les rencontres avec le public associent les étudiants en musique, ainsi formés à la prise de parole en public et à la diffusion des savoirs. Animée par Michel Lehmann, directeur de l’IRPALL et spécialisé notamment dans l’opéra du XIXe, et Christine Calvet, secrétaire générale, forte d’une expérience de 20 ans dans le pilotage de la recherche pluridisciplinaire, cette Convention affiche son dynamisme : amateurs, mélomanes, artistes, critiques, étudiants, chercheurs et groupes scolaires fréquentent ces activités qui favorisent les passerelles entre recherche et création artistique, université et cité, quartiers urbains et centre-ville, publics avertis et éloignés. ...
La masse de données qui circule dans le monde est si énorme que l’on aurait besoin d’un millier de forêts amazoniennes pour parvenir à toutes les transcrire sur papier. Heureusement que des solutions comme le big data existent et ont été conçus pour justement comprendre ces informations, les analyser afin d’en extraire les données utiles et essentielles au moment voulu. Jusqu’ici, la science des données reste la meilleure arme stratégique pour prédire l’avenir. Le concept Basé sur le modèle pédagogique des bootcamps, Jedha propose des formations présentielles et intensives de huit semaines pour maîtriser la data science : outils de web analytics, de data visualisation, SQL et Python appliqué au Machine Learning. Les 40 heures de cours s’alternent entre cours sur l’algorithme et statistiques d’une part, et des entraînements individuels et exercices de groupe, d’autre part. « Nous abordons chaque module en fonction des problématiques actuelles en entreprise, de telle sorte que l’ensemble de la formation puisse apporter une solution réelle et immédiate à nos apprenants », précise Antoine KRAJNC, CEO et fondateur de Jedha. D’autres consultants externes, issus d’une dizaine d’entreprises expertes dans le métier, viennent régulièrement échanger et partager leurs propres expériences avec les étudiants. La dernière semaine du programme est entièrement consacrée à la pratique avec un projet de Data Science. L’espace de travail se transforme en un véritable laboratoire où les apprenants peuvent expérimenter les techniques acquises, confronter leurs compétences et découvrir de nouvelles possibilités dans le but de résoudre une problématique donnée, avec pour finalité bien évidemment de décrocher le certificat. Une communauté collaborative En parallèle, le bootcamp organise des workshops dans ses locaux. Quand une trentaine de personnes connaisseuses et passionnées de la data science se réunissent autour d’un sujet, cela crée une vraie émulation d’idées et de connaissances. « La première heure est dédiée à la présentation, après les participants se retrouvent autour d’une bière ou d’un petit café pour discuter et se construire un réseau. » Le public de ces events se compose de jeunes étudiants, d’entrepreneurs, mais aussi de professionnels dans le métier ou en reconversion ainsi que des data analyst confirmés. Par ailleurs, l’équipe Jedha est à même de concevoir un accompagnement sur mesure des projets d’entreprise dans le data management et data analysis. Cette formule cible au plus près les besoins spécifiques de chaque écosystème tout en développant les compétences de l’équipe interne. ...
Professeurs, parents et élèves ont très vite adopté le magazine Kezako Mundi. Création et évolution du magazine Kezako Mundi Créé en 2015, le magazine Kezako Mundi est un projet qui a vu le jour grâce à la maison d’édition indépendante Enrick B. Éditions (fondée en 2007). À ses débuts, elle réalisait des fiches de droit et des ouvrages de sciences humaines et sociales pour les étudiants et les professionnels. Puis, grâce à Kezako Mundi, elle a voulu partir à la découverte d’un nouvel univers : celui de la presse. Enrick Barbillon, psychologue social et fondateur de la maison d’édition s’est entouré d’une équipe polyvalente pour mener à bien ce projet : Carole Billiout (juriste et rédactrice), Marie Dortier (directrice artistique en charge de l’identité visuelle du magazine) et Giovanni Jouzeau (illustrateur). Sans oublier la dizaine d’auteurs et journalistes qui rédigent certaines des rubriques ainsi qu’un comité pédagogique composé de juristes et professeurs validant le sérieux et la véracité de chaque élément publié. C’est grâce à cette équipe de passionnés que le magazine a pu passer d’une publication de 6 numéros de 44 pages par an à une publication de 10 numéros de 32 pages, ouvrant à cette occasion deux nouvelles rubriques : « Actualité » et « Ils agissent ». À l’heure actuelle, il est possible de s’abonner pendant un temps indéfini et sans obligation de durée, pour 2 numéros seulement (offre découverte) ou d’acheter le numéro souhaité sur le site. Un magazine avec une ligne éditoriale forte Kezako Mundi est un magazine généraliste coloré et facile à lire qui a été créé avec une seule idée : permettre aux adolescents et étudiants de 14 ans et plus de mieux comprendre et décrypter l’actualité en lien avec leur quotidien. Pour ce faire, chaque numéro se scinde en plusieurs rubriques afin de traiter tous les sujets d’actualité par le biais d’exemples concrets, de dessins humoristiques, de schémas et de visuels simples à comprendre. L’objectif : croiser les disciplines afin de permettre aux jeunes lycéens et étudiants de se poser les bonnes questions. Voici quelques exemples de sujets traités dans le magazine : – Kezako Mundi n° 15 : Dossier « Les Médias en 15 questions » qui offre la possibilité aux adolescents de découvrir le métier de journaliste. – Kezako Mundi n° 3 : « Pour ou contre l’euthanasie ». Un dossier complet qui s’accompagne d’un débat au sein duquel se confrontent les principaux arguments pour et contre. – Kezako Mundi n° 6 : la rubrique « Savez-vous combien ? » apportant plusieurs données chiffrées liées, dans ce numéro, au secteur du tourisme. – Kezako Mundi n° 13 : Décryptage média sur le pouvoir du like. Un sujet court pour évoquer la puissance des réseaux sociaux. – Kezako Mundi n° 15 : Les dessous de l’image avec les Premiers pas de l’homme sur la Lune Kezako Mundi et ses lecteurs ! En vulgarisant certains sujets complexes et en employant des termes accessibles, le magazine s’adresse aux jeunes sans les prendre pour des enfants. De plus, il est à noter qu’il a su évoluer au fil du temps. Aujourd’hui, son passage en format mensuel lui permet de traiter de nombreuses thématiques en profondeur (surtout via les rubriques Décryptage média ou Homme/Femme). À savoir : il est possible pour les lecteurs de proposer des sujets en contactant directement le magazine par le biais de son site ou des réseaux sociaux. Le web, d’ailleurs, parlons-en. Kezako Mundi a créé un site qui lui permet de mettre en ligne des brèves en lien avec chaque article afin d’apporter un complètement d’informations intéressant. Sans oublier des pages Facebook, Twitter et Instagram ainsi qu’une chaine YouTube : idéal pour relayer différentes actualités, des événements (prix Kezako de la littérature jeunesse, par ...
En proposant des formations de courtes durées, CNRS Formation Entreprises cherche à s’adapter au maximum aux rythmes et aux besoins des entreprises, de plus en plus pointus. « Nous savons que les ingénieurs et techniciens supérieurs ont peu de temps pour se former et qu’ils veulent être opérationnels très rapidement : c’est pour cela que nous proposons exclusivement des stages courts sur des sujets précis, avec les meilleurs experts du domaine », explique Edith Wilmart. L’offre de stages, en renouvellement constant, permet aux entreprises de bénéficier de l’apport de technologies de pointe utilisées en laboratoires. Le CNRS propose par exemple depuis deux ans une formation sur le traitement d’images utilisant un logiciel libre de droit (IMAGEJ), devenu une référence internationale dans le domaine. « Nous avons formé des professionnels venant de l’industrie pharmaceutique, automobile, du CEA, de l’INRA », explique Cédric Matthews ingénieur de recherche à l’Institut de biologie du développement de Marseille-Luminy et Christian Rouvière, ingénieur de recherche à l’Observatoire de Villefranche-sur-Mer. Méthodologie éprouvée En mettant à profit l’expérience de formations dispensées auprès de plus de 600 entreprises, dont la moitié de PME, PMI voire ETI, le CNRS dispose désormais d’une méthodologie éprouvée. « Personne n’est à la traîne grâce au travail en binôme, qui permet un suivi individualisé des stagiaires, renforcé par les travaux réalisés», poursuit Cédric Matthews. Le cours est dynamique. Les changements de rythmes permettent à chaque stagiaire de trouver sa place et de participer. Selon une étude récente, 85% des stagiaires du CNRS trouvent qu’il y a un bon équilibre entre la théorie et la pratique. Pour chaque formation, une large part est laissée à l’expérimentation, afin de résoudre les problèmes technologiques rencontrés par chercheurs, ingénieurs et techniciens supérieurs qui suivent les stages.« Ce sont souvent des difficultés que les experts du CNRS ont déjà rencontrées et résolues pour leurs besoins de recherche. L’objectif est que les stagiaires repartent en sachant faire ou du moins, en ayant de bonnes pistes pour trouver une solution », détaille Edith Wilmart. Nouveautés appréciées Dans leurs évaluations, les stagiaires disent apprécier les nouveautés apportées par les programmes de formation et la qualité des supports pédagogiques. Avec souvent la conviction que leurs stages leur sera utile voire très utile. Résultat : 90% des stagiaires recommanderaient le stage à leurs collègues. Mais une formation au sein du CNRS, c’est aussi et peut-être le début de nouveaux partenariats, toujours au service des clients. « Certains de nos stagiaires reviennent d’ailleurs vers les laboratoires où ils sont venus se former pour demander des conseils, des prestations de service ou monter des collaborations de recherche », constate la directrice. Le CNRS compte aujourd’hui un total de 220 offres de formation en lien avec les attentes du marché. La répartition géographique des laboratoires, présents sur l’ensemble du territoire permet une vraie proximité avec les entreprises. En 2015, plus de mille stagiaires ont été formés dont 40% d’industriels, 40% d’académiques, 20% de salariés d’EPIC, de services de l’état, de collectivités territoriales. Afin de proposer des formations qui « collent » au plus près du terrain, l’offre du CNRS évolue en permanence : rien que pour l’année 2017, ce sont près de 60 nouvelles formations qui seront proposées, sur de nouvelles thématiques comme le NoSQL (big data), CRISPR-Cas9, les LED et OLED, les batteries Li-ion, le SEC-MALS appliqué aux protéines, le criblage cellulaire et moléculaire, l’intelligence économique ou encore la synthèse de molécules chirales. Et CNRS Formation Entreprises prépare d’autres nouveautés pour son catalogue 2017. ...
Télécom SudParis propose en effet des formations diplômantes ou certifiantes, des formations en ligne (MOOC) et des formations sur mesure. L’école offre également un service de validation des acquis de l’expérience (VAE). Elle accompagne les créateurs d’entreprise dans le lancement de leur start-up et les entreprises dans la réalisation de leurs projets d’innovation. Comment est née Télécom SudParis ? Fondée en 1979 pour accompagner la montée en compétences des personnels des télécommunications, Télécom Sud Paris fut d’abord connue sous le nom d’Institut National des Télécommunications. Depuis plus de 40 ans, la grande école publique forme des ingénieurs généralistes et spécialisés dans différents domaines : les systèmes d’information, les réseaux, l’électronique, les sciences des données, l’intelligence artificielle, le traitement des images et la cybersécurité. Télécom SudParis fait partie du premier groupe d’écoles d’ingénieurs en France : l’Institut Mines-Télécom. Télécom SudParis est implantée sur deux campus dont le premier se trouve à Évry-Courcouronnes et le second à Palaiseau. Elle est également membre de l’Institut Polytechnique de Paris avec l’ENSTA, l’ENSAE, l’École polytechnique et Télécom Paris. Bien connue pour la qualité de son enseignement, Télécom SudParis ambitionne d’offrir à ses étudiants des formations d’excellence et de mener des recherches de pointe. L’école est ouverte aux étudiants et professionnels de tous horizons. Télécom SudParis favorise aussi le développement personnel de ses étudiants en appuyant les différentes associations et activités menées par les étudiants au sein même du campus. L’école travaille également en partenariat avec de nombreuses industries et entreprises afin de répondre aux nouveaux besoins et de pouvoir ajuster ses cursus de formation en fonction des attentes fixées par un marché du travail toujours en pleine évolution. Pour atteindre ses objectifs, Télécom SudParis propose différentes filières aux étudiants et aux professionnels. Les formations offertes par Télécom SudParis Créée pour permettre aux professionnels de performer face aux défis de la transformation digitale, Télécom SudParis offre divers cursus de formation. · Ingénieur généraliste Via un cursus en 2 cycles, les étudiants deviennent des ingénieurs diplômés immédiatement opérationnels grâce à une pédagogie par projet et par immersion en entreprise. Il est également possible d’obtenir un double-diplôme (ingénieur data-scientist, ingénieur-manager…) grâce aux partenariats de Télécom SudParis avec des écoles prestigieuses comme l’Institut Mines-Télécom Business School, l’ISUP ou encore l’ENSAE Paris. · La formation Ingénieur Réseaux par Apprentissage Télécom SudParis offre la possibilité de suivre un cursus d’ingénieur en alternance : les étudiants passent 3 jours en formation à l’école et 2 jours en entreprise. La formation dure 3 ans et est sanctionnée par le titre d’Ingénieur Diplômé Spécialité Réseaux. Le travail en entreprise est rémunéré et la scolarité gratuite pour l’étudiant. · Les formations Mastère Spécialisé® Il s’agit de formations post-masters conduisant à un diplôme de niveau bac+6 d’expert dans une spécialité du numérique. Elles s’adressent aux professionnels qui souhaitent devenir expert dans un domaine donné et aux étudiants désirant se spécialiser après leur formation d’ingénieur ou de Master. Elles durent 2 ou 3 semestres. Télécom SudParis propose 2 types de Mastère Spécialisé : Le Mastère Spécialisé Réseaux et Services : une formation complète à temps partiel pour maîtriser l’évolution des architectures des réseaux,...
Travailler avec le CNRS est désormais possible pour tous les professionnels. L’entrée se fait simplement en déposant une demande sur le site web de Trouver un Expert, conçu pour faciliter les relations entre la société et les acteurs de la recherche du CNRS et de ses partenaires. Ces demandes sont étudiées par une équipe de 4 scientifiques qui vont ensuite identifier le personnel de la recherche le plus à même de répondre à cette demande. « En général, nous avons identifié un ou plusieurs chercheurs au bout de 15 jours. Cela va vite ! », explique Edith Wilmart, directrice du service Trouver un Expert. Des demandes très variées Depuis ses débuts, le service Trouver un expert travaille sur des sujets divers et variés : aménagement du territoire, instrumentation médicale, transformation environnementale, recherche sur l’énergie... Pour citer quelques exemples de demandes, une grande entreprise de cosmétique a soumis au CNRS une demande de sciences humaines et sociales autour de la perception de ses produits. Une autre entreprise a sollicité des recherches pour limiter la pollution atmosphérique de son activité. Un service territorial a géré avec le CNRS un risque explosif ou encore, un grand groupe a demandé au service Trouver un expert de l’aider à monter en compétences sur des questions d’électronique de puissance. « De par sa diversité, notre job est passionnant ! », commente Edith Wilmart. En sus de ces demandes « classiques », le service reçoit des demandes de recherche d’autres laboratoires pour monter des projets collaboratifs afin de répondre à des appels d’offre européens ou autres, ou encore des demandes d’investisseurs qui souhaitent avoir une expertise scientifique des projets dans lesquels ils envisagent de s’impliquer… Les sociétés souhaitant garder leur démarche confidentielle peuvent l’indiquer dès le dépôt de la demande. Dans ce cas, l’anonymat ne sera levé que lors de la mise en relation. 65% des demandes déposées viennent des TPE et PME A ce jour, ce sont essentiellement des TPE et des PME qui font appel au service Trouver un Expert avec près de 65% des demandes déposées. Ces types d’entreprises se rapprochent du service dans le cadre de leur projet de développement quel que soit son niveau de maturité, car leur département R&D, lorsqu’il existe, est souvent peu développé. Mais cela ne les empêche pas d’investir une partie de leur Chiffre d’Affaires dans la R&D ! Souvent, ces entreprises franchissent la porte de Trouver un Expert lorsqu’elles ont une idée innovante en lien avec leur activité ; elles attendent un état de l’art écrit, analysé et pensé par des scientifiques du domaine pour se lancer puis, in fine, elles recherchent un accompagnement dans leur stratégie d’innovation. Aussi, les TPE et PME font appel au service car elles souhaitent valider un concept, étape qui peut être déterminante pour une petite entreprise car cette validation pourrait lui permettre d’obtenir une subvention, essentielle dans le développement de son projet. Les ETI, les Grandes Entreprises et Trouver un Expert Les entreprises de taille intermédiaires et les grandes entreprises, elles, font appel à Trouver un Expert car elles recherchent les savoirs et savoir-faire interdisciplinaires des laboratoires du CNRS. C’est alors la méthodologie et la capacité que possèdent toute une équipe de scientifiques à trouver une solution pertinente, adaptée et qui était préalablement inexistante à un problème donné ou pour le lancement de leur projet qui les attire ; elles ne veulent pas de solutions « prêtes à l’emploi » déjà existantes sur le marché. Trouver un Expert, pour la multiplication des liens entre public et privé Mêmes si ces entreprises attendent des solutions différentes de la part du CNRS, elles sont conscientes de l’importance de nouer une relation de confiance avec la recherche publique : les laboratoires de recherche publique et les entreprises sont complémentaires dans leur quête à l’innovation ! C’est pourquoi, de plus en plus de programmes sont proposés pour multiplier les liens et les partenariats publ...
Selon les données de l’INSEE, 60% des entreprises françaises employant plus de 50 salariés ont recours aujourd’hui à la sous-traitance. En délocalisant une partie de leurs activités, ces entreprises peuvent ainsi se concentrer davantage sur leur cœur de métier. Si cette tendance se confirme, les offres en free-lance vont très vite connaitre une forte hausse. Le freelancing peut donc s’avérer intéressant d’autant plus que les travailleurs indépendants sont aujourd’hui mieux rémunérés par rapport aux salariés. Les études menées par l’INSEE révèlent une augmentation de 2,9% (2006-2011) des revenus des indépendants contre moins d’1% (début 2008) pour les salariés. Si ces derniers y voient une opportunité leur permettant de compléter leur revenu, les seniors, les personnes en recherche d’emploi ou de reconversion, les salariés et les jeunes étudiants peuvent également se mettre à leur propre compte afin de développer un business en ligne et arrondir leur fin de mois. Cependant, ceux qui souhaitent se lancer doivent faire face à une problématique : quel est le meilleur moyen pour faire connaître ses activités tout en se démarquant de la concurrence et décrocher rapidement ses premiers contrats ? cyboolo est la solution qui répond justement à ces besoins. Valoriser le savoir-faire et les compétences des indépendants cyboolo est une plateforme LMS qui accompagne les indépendants quel que soit leur statut - auto entrepreneur, micro entrepreneur, EI(RL), SASU, EURL -, dans la création de cours en ligne. « Ces cours en ligne constituent un puissant vecteur pour mettre en avant ses compétences professionnelles et sa personnalité », explique Olivier Truc, le fondateur. En effet, les free-lances et les indépendants rencontrent les mêmes problèmes au cours de leur démarrage. L’isolement, l’absence de référence, et de visibilité sur le web pour certains, des moyens financiers limités, manque de temps pour gérer la prospection commerciale et le développement de réseau de clients,... la liste est loin d’être exhaustive. Avec cyboolo, les indépendants accèdent à une plateforme clé en main intégrant un support e-marketing, un outil e-learning et une solution e-commerce grâce notamment à un système de paiement intégré. Vendre une formation en ligne ou tout simplement dénicher des clients ou des missions en suggérant un service gratuit de formation en ligne : la solution répond au besoin spécifique de chaque utilisateur. De multiples avantages L'application cyboolo, accessible depuis un explorateur web, a été conçue pour faciliter la prise en main de ses utilisateurs. Quelques minutes suffisent pour créer son propre site internet, son catalogue de formations en ligne et du contenu multimédias (textes, images et vidéos). A l’image d’un éditeur de texte, l’outil séduit par sa simplicité d’utilisation. Il développe une interface simple et intuitive, fonctionne sur tous supports (ordinateur, tablette ou smartphone) et convient aussi bien à un novice qu’à un expert en informatique. D’ailleurs, la connaissance du code n’est pas requise et l’utilisateur n’a pas non plus à se soucier des contraintes techniques telles que la gestion de base de données ou la création et le stockage de vidéos. « Tout peut se faire depuis la plateforme, et l’utilisateur n’a pas besoin d’un compte associé sur un autre service », fait savoir notre intelocuteur. Générateur de mentions légales, conformité au RGPD, gestion de la franchise en base de la TVA, Chat en ligne et commentaires vidéos viennent compléter la panoplie des fonctionnalités offertes aux utilisateurs. Des utilisateurs, de plus en plus nombreux, qui vont du coach sportif au consultant informatique en passant par le thérapeute ou le photographe freelance. En offrant aux indépendants la possibilité de publier des contenus uniques, essentiels pour exister sur les réseaux sociaux, ainsi qu’une alternative innovante aux blogs souvent chronophages, cyboolo les aide à se démarquer et à renforcer leur image de marque de manière simple, rapide et abordable. ...
Créé en 1910, le Collège Alpin Beau Soleil compte parmi les plus anciens établissements d’enseignement privés de Suisse. Depuis sa création, le collège a été dirigé par trois générations de la famille de Meyer jusqu’en 2010. L’établissement offre une éducation internationale en internat avec une capacité d’accueil de 250 étudiants. Il reçoit des élèves de 11 à 18 ans issus de plus 50 nationalités différentes. La philosophie de la maison est bâtie sur quatre axes essentiels : responsabilité, respect, détermination et ambition. Pour insuffler un nouvel élan à son développement, le collège adhère en 2011 au groupe Nord Anglia Education, une organisation regroupant 55 écoles de haute qualité à travers le monde. Ce partenariat lui permet de maintenir une atmosphère familiale tout en tirant profit des opportunités uniques qu’apporte un réseau éducatif de portée mondiale. Un collège, deux cursus L’établissement propose deux cursus diffé-rents comprenant le « french curriculum » et l’« international curriculum ». Au sein d’un environne-ment bilingue, la section française accueille les classes de la 3eme à la terminale et prépare les étudiants aux examens officiels tels que le diplôme national du brevet et le baccalauréat français. Afin de garantir la réussite scolaire, chaque élève bénéficie d’un suivi personnalisé dispensé sous forme d’un tutorat. En effet, un tuteur attitré veille à ce que l’étudiant assure un progrès constant. « Avec un ratio de quatre étudiants par enseignant, nous avons les moyens de proposer une éducation adaptée à chaque élève », explique Kevin Foyle, Directeur de l’établissement. Quant à la section internationale, elle inclut les classes qui vont du 6th grade (sixième) au 12th grade (terminale). Issue des meilleurs systèmes d’éducation, cette section prépare notamment les élèves à l'IGCSE (International General Certificate of Secondary Education) et l’IB (International Baccalaureate). À travers ses deux cursus, Beau Soleil peut se vanter d’obtenir chaque année des résultats académiques exceptionnels. À titre d’exemple, pour les résultats au baccalauréat international (2012-2016), le collège affiche 100 % de réussite. Un succès qui n’est pas dû au hasard et s’explique par de nombreux efforts axés à tous les niveaux. Sur le plan pédagogique, l’établissement dispose d’une équipe d’éducateurs passionnés qui concilie parfaitement expériences et approches innovantes. Afin de permettre un soutien personnalisé, l’institution privilégie des classes à effectif réduit. En ce qui concerne la vie en internat, tout est fait pour que les élèves se sentent comme chez eux ! Les « Boarding houses » offrent non seulement un espace propice à l’épanouissement personnel mais donnent aussi lieu à de nouvelles rencontres. Entre les traditionnels barbecues, les après-midi en cuisine ou les activités du week-end, les occasions ne manquent pas de se faire des amis. Des efforts ont été entrepris pour procurer un environnement chaleureux et accueillant. Une expérience unique dans un environnement d’exception Installé à 1 259 mètres d’altitude dans les Préalpes vaudoises, le Collège Alpin Beau Soleil profite d’un emplacement idéal. Le campus a récemment ouvert une extension du campus qui lui ont permis de doubler de volume sans pour autant augmenter l’effectif des élèves. Ces bâtiments intègrent des installations modernes tout en offrant une magnifique vue sur les Alpes suisses. C’est dans ce cadre privilégié que les élèves auront l’occasion de vivre des expériences inoubliables. À commencer par les voyages et découvertes en tout genre. « Chaque année, les élèves doivent faire un voyage, qui peut être culturel, d’étude ou dédié aux...
Savez-vous que près de 40 % de la consommation électrique mondiale est due au fonctionnement des moteurs électriques dans l’industrie ? Depuis sa création, en 1993, le Laboratoire Systèmes Électrotechniques et Environnement (LSEE), situé au sein de la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université d’Artois, à Béthune, est devenu spécialiste de l’amélioration de l’efficacité énergétique des machines électriques. « Les solutions développées mettent en œuvre des matériaux nouveaux ou des structures originales, tout en prenant en compte cycles de fonctionnement et contraintes industrielles », explique Jean-Philippe Lecointe, professeur en génie électrique et directeur du LSEE. Les chercheurs du laboratoire ont développé des compétences très pointues comme, par exemple, l’utilisation des champs magnétiques externes que rayonnent les machines pour diagnostiquer leur état de santé ou analyser leurs performances énergétiques. « L’écoconception vient en superposition de ces travaux, avec l’utilisation de matériaux moins polluants ou de procédés de fabrication écoresponsables ou plus écologiques », poursuit le directeur. Le LSEE s’est d’ailleurs distingué en concevant, en partenariat avec EDF et l’ADEME, un moteur à faible impact environnemental : un « moteur vert », avec rendement amélioré, procédés de fabrication et matériaux respectueux de la planète, analyse du cycle de vie, etc. Une expertise de plus de 20 ans Cette réalisation résume bien l’ambition des recherches du LSEE. Le laboratoire va même plus loin en essayant de limiter les bruits et vibrations des machines. Ces investigations, menées depuis plus de 20 ans au laboratoire, reposent sur une modélisation analytique des machines électriques. Elles permettant de créer un lien direct entre les grandeurs électriques et les grandeurs acoustiques. Outre des améliorations notables concernant le confort acoustique au voisinage des grandes machines électriques, ces travaux ont également permis de mettre au point des méthodes de diagnostic très innovantes. « L’expertise du LSEE se manifeste également dans le domaine des systèmes d’isolation électrique. Les isolants constituent un facteur essentiel de la durée de vie des machines électriques et l’anticipation de leur vieillissement permet de réduire notablement les coûts de maintenance et d’améliorer la sûreté de fonctionnement des équipements », détaille Jean-Philippe Lecointe. Le LSEE développe donc des solutions innovantes pour évaluer ou accroître la durée de vie de l’isolant des fils utilisés pour bobiner les actionneurs électriques, comme un diagnostic non invasif on line des équipements, une réduction des contraintes par agencement fin des conducteurs dans leurs encoches, une étude des problèmes d’isolation liés aux hautes températures. Que ce soit en préconisant des solutions de bobinage innovantes ou en utilisant des matériaux tels que les céramiques pour assurer le fonctionnement à températures élevées, le LSEE est au cœur des préoccupations de l’isolation des machines. Depuis plus de 20 ans, les chercheurs du LSEE analysent et conçoivent des machines électriques pour accroître leur efficacité énergétique, réduire leur émission acoustique ou les rendre plus fiables. ...
La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé, créée en collaboration avec le monde socio-professionnel, s’appuie sur une pédagogie innovante et active, et répond parfaitement aux besoins actuels et émergents du marché en matière d’employabilité. Une pédagogie professionnalisante, gage d’employabilité La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé se distingue par son approche multidisciplinaire, transversale et professionnalisante. Les candidats peuvent rejoindre la spécialité génie biologique et santé après 2 années de classe préparatoire intégrée en biologie, accessible via le concours national GeiPi Polytech, ou après un bac+2 via le concours interne de l’école. Il est également possible d’intégrer la deuxième année du cycle préparatoire intégré après une première année commune aux études de santé validée (Paces ou équivalent) via le dispositif Pass’Med. « Dans les secteurs de santé, les étudiants vont intervenir non pas dans les soins, mais plutôt dans la partie organisationnelle, gestion des risques et management de la qualité. Il existe un lien très étroit et très intéressant entre la démarche qualité-gestion des risques dans les industries de santé (agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique..) et celle des structures sanitaires et médico-sociales », explique Nathalie Faisant, chargée de communication. « Les étudiants ont cette double compétence de pouvoir passer d’un secteur à l’autre », poursuit-elle. Cette approche est innovante car, « sur l’université d’Angers et globalement au niveau nationnal, il n’existait pas de formation d’ingénieurs dans cette spécialité », continue Jean-Michel Oger, directeur du département Issba. Tout l’intérêt de cette formation repose aussi sur la méthodologie novatrice adoptée. « Les étudiants sont amenés à réfléchir autour d’une problématique plutôt que d’acquérir des connaissances pures », souligne Alphonse Calenda, responsable de la formation continue et directeur adjoint de l’Istia. Par ailleurs, des stages de longue durée, s’étendant au total sur 15 mois, permettent la mise en œuvre des différentes compétences professionnelles. Tout au long de son cursus, l’apprenant travaille sur son projet personnel et professionnel dans le cadre d’un accompagnement spécifique par des « coachs » professionnels. Ceux-ci vont l’accompagner de manière à pouvoir identifier non seulement un secteur d’activité mais aussi une fonction dans l’entreprise ou un métier sur lequel il va davantage vouloir se diriger après l’obtention de son diplôme. À l’issue de la 4e année et après un premier module de pré-approfondissement, l’étudiant peut choisir en connaissance de cause la voie qu’il veut suivre durant sa 5e année. Trois voies sont proposées : Ingénierie innovante des produits de santé, Management des processus complexes en santé et Gestion des risques des secteurs de santé. A terme, l’ingénieur pourra occuper différentes fonctions dans le management de structures et de projet, dans la qualité, dans la gestion des flux, dans la gestion des risques, dans l’innovation et la conception. Des formations continues pour les professionnels en activité Les secteurs de la santé et du sanitaire et médico-social font actuellement face à une rationalisation organisationnelle modifiant considérablement la gestion de leurs ressources. Les ingénieurs sortant de la spécialité génie biologique et santé sont progressivement préparés à ces profondes mutations. De leur côté, les salariés en activité ou en reconversion doivent s’adapter pour pouvoir anticiper ces évolutions et poursuivre leur action, en mettant à jour leurs connaissances et en complétant leurs compétences. « La formation continue proposée par l’école représente alors pour eux une r&...
TÉLÉPILOTE SAS est née en 2014 d'une volonté pour les fondateurs de diffuser vers un très large horizon cette technologie innovante qu'est le drone civil. Sa pratique professionnelle en France nécessite de connaître parfaitement les règles de sécurité et de la législation Française. Les missions de survol en drone se déroulent pour une grande partie en agglomération, proche du public, un scénario sensible et pointu : le scénario S3. « Venant du terrain et comprenant ces difficultés, il était très important pour nous de transmettre notre expérience dans notre formation» explique Bénédicte Moussier, la co-fondatrice. L'observation aérienne et la réalisation d'images en basse altitude en drone nécessite de savoir piloter parfaitement dans les conditions les plus difficiles et de connaître parfaitement la logistique, la machine, le capteur qui lui est associé ainsi que la réglementation. Côté emplacement, le centre de formation a pris ses quartiers dans les Yvelines et profite d’un environnement favorable à l’apprentissage. « On a deux hangars et des terrains extérieurs qui nous permettent de toujours voler quelle que soit la météo», souligne-t-elle. TÉLÉPILOTE SAS privatise des sites pour entraîner les stagiaires à l'inspection, à la prise de vue ainsi qu'à la modélisation des bâtiments. Par ailleurs, l'enseigne bénéficie également, pour les sessions techniques spécialisées BTP, d'un partenariat avec le CEREF BTP ( le Centre régional de formation du BTP à Bourgtheroulde en Normandie). À propos de la formation TÉLÉPILOTE SAS est spécialisée dans la formation de pilotage de drone civil. Selon leur spécialisation, chaque apprenant a droit à un programme spécifique. Cela illustre bien le fait que le drone embrasse aujourd’hui différents champs d’application. La durée de la formation dépend de la spécialisation en question, mais il faudra compter au minimum trois semaines. Le programme alterne à la fois une partie pratique (réglementée) et une autre théorique (obligatoire). « Au niveau du matériel, nous n’utilisons pas de simulateur puisque, dès le premier jour, les apprenants ont l’occasion de piloter en réel, les commandes en main », rajoute Bénédicte Moussier. En ce qui concerne les formateurs, ils viennent tous du milieu professionnel et utilisent le drone comme leur principal outil de travail. Compétents et expérimentés, ils assurent un apprentissage de qualité. En tant que centre de formation, TÉLÉPILOTE offre aussi des opportunités et de réelles perspectives en termes d’emploi. Les formations proposées Parmi les nombreuses formations proposées par le centre figure la formation drone BTP. Elle a pour objectif de permettre à l’apprenant, une fois sa formation achevée, d’effectuer des missions dans le cadre d’une activité liée aux métiers du bâtiment et des travaux publics. « On peut par exemple se servir d'un simple drone pour des prises de vue aérienne. Cette technique, la photogrammétrie, est très plebiscitée par les géographes et topographes du fait de son côté pratique pour les travaux de réalisation des plans et cartes topographiques. Toutefois, la photogrammétrie ne se résume pas aux activités cartographiques mais s'étend également à l'environnement, l'urbanisme, le génie civil et bien d'autres domaines... », nous fait savoir notre interlocutrice. La formation de prise de vue dans le milieu de l’audiovisuel est aussi une option intéressante. Le but est d’offrir, après la formation, la possibilité à l’apprenant d’être opérationnel au cadrage aérien en utilisant un drone multirotor pour la télévision et la production audiovisuelle. Outre ces deux types de formation, TÉLÉPILOTE suggère aussi une formation drone intra-entreprise consistant à appuyer les entreprises qui souhaitent évoluer sur le marché du drone. ...