Il réunit une cinquantaine d’équipes spécialisées en biologie végétale, issues de cinq instituts de recherche de la région sud parisienne : l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB), l’Institut de Sciences des plantes de Paris Saclay (IPS2), l’Institut de Biologie intégrative de la cellule (I2BC), l'UMR de Génétique quantitative et évolution (GQE-Le Moulon) et l’UMR Biologie et gestion des risques en agriculture (BIOGER). Ce projet est soutenu par 9 institutions : l’INRA, le CNRS, le CEA, AgroParisTech, les Universités Paris-Sud, Evry-Val d’Essonne, Versailles-Saint-Quentin et Paris-Diderot, ainsi que l’Université Paris-Saclay qui porte le projet. L’objectif principal des EUR consiste à renforcer la relation entre recherche et formation et à internationaliser les formations, le but à terme étant de créer des « graduate schools » avec un continuum master / doctorat / laboratoires de recherche. Pour cela, SPS-GSR dispose de programmes d’enseignement réunissant un large panel de disciplines de la biologie végétale et d’infrastructures permettant aux étudiants de se former aux nouvelles technologies et approches dans ce domaine. Le LabEx SPS SPS-GSR s’appuie sur le Laboratoire d’Excellence Saclay Plant Sciences (LabEx SPS), un projet Investissements d’Avenir qui a développé depuis 2011 un grand nombre d’activités axées sur la biologie végétale incluant recherche, formation, innovation et développement d’infrastructures. « Plus qu’un projet, Sciences des plantes de Saclay est un véritable réseau avec comme objectif de faire fructifier les interactions entre les équipes impliquées », souligne le Dr Marie-Jeanne Sellier, manager du projet. SPS met l’accent sur quatre thématiques prioritaires, à savoir 1) l’intensification durable de l’agriculture dans un contexte environnemental fluctuant, 2) l’amélioration de la qualité végétale pour diverses utilisations alimentaires et non-alimentaires, 3) les plantes pour comprendre les mécanismes biologiques fondamentaux et 4) le développement de nouvelles ressources ou biotechnologies pour la recherche, l’innovation et le transfert de technologie. Les recherches s’étendent sur différentes échelles du gène à la plante entière et font intervenir de nombreuses techniques d’analyse différentes grâce aux infrastructures de pointe des laboratoires (biochimie, imagerie, biologie moléculaire et cellulaire, approches omiques, modélisation, bioinformatique, etc.). Enfin, en matière d’innovation, SPS se veut être un accélérateur d’innovation végétale. Il joue pour cela un rôle d’intermédiaire en favorisant les interactions entre les équipes de recherche et des partenaires privés dans des secteurs liés aux ressources végétales. « Nous avons identifié six domaines d’application dans lesquels nos recherches, fondamentales et appliquées, peuvent offrir des débouchés dans le monde industriel », développe le Dr Marie-Jeanne Sellier. Ces six domaines d’application concernent l’adaptation des plantes à leur environnement, la sélection variétale et les biotechnologies, les semences et le rendement, l’alimentation et la nutrition, la cosmétique et la santé et enfin la bioénergie et les matériaux biosourcés. En parallèle, SPS soutient financièrement des projets innovants dans la démarche d’aller jusqu’aux brevets et start-up. L’obtention du projet EUR « Saclay Plant Sciences Graduate School of Research » a entraîné la reconduction des activités du LabEx SPS jusqu’en 2027. « Les deux projets ne font à présent plus qu’un. Les activités de formation seront renforcées tout en continuant à développer recherche, innovation et infrastructures dans les années à venir », rapporte la manager. ...
Savez-vous que près de 40 % de la consommation électrique mondiale est due au fonctionnement des moteurs électriques dans l’industrie ? Depuis sa création, en 1993, le Laboratoire Systèmes Électrotechniques et Environnement (LSEE), situé au sein de la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université d’Artois, à Béthune, est devenu spécialiste de l’amélioration de l’efficacité énergétique des machines électriques. « Les solutions développées mettent en œuvre des matériaux nouveaux ou des structures originales, tout en prenant en compte cycles de fonctionnement et contraintes industrielles », explique Jean-Philippe Lecointe, professeur en génie électrique et directeur du LSEE. Les chercheurs du laboratoire ont développé des compétences très pointues comme, par exemple, l’utilisation des champs magnétiques externes que rayonnent les machines pour diagnostiquer leur état de santé ou analyser leurs performances énergétiques. « L’écoconception vient en superposition de ces travaux, avec l’utilisation de matériaux moins polluants ou de procédés de fabrication écoresponsables ou plus écologiques », poursuit le directeur. Le LSEE s’est d’ailleurs distingué en concevant, en partenariat avec EDF et l’ADEME, un moteur à faible impact environnemental : un « moteur vert », avec rendement amélioré, procédés de fabrication et matériaux respectueux de la planète, analyse du cycle de vie, etc. Une expertise de plus de 20 ans Cette réalisation résume bien l’ambition des recherches du LSEE. Le laboratoire va même plus loin en essayant de limiter les bruits et vibrations des machines. Ces investigations, menées depuis plus de 20 ans au laboratoire, reposent sur une modélisation analytique des machines électriques. Elles permettant de créer un lien direct entre les grandeurs électriques et les grandeurs acoustiques. Outre des améliorations notables concernant le confort acoustique au voisinage des grandes machines électriques, ces travaux ont également permis de mettre au point des méthodes de diagnostic très innovantes. « L’expertise du LSEE se manifeste également dans le domaine des systèmes d’isolation électrique. Les isolants constituent un facteur essentiel de la durée de vie des machines électriques et l’anticipation de leur vieillissement permet de réduire notablement les coûts de maintenance et d’améliorer la sûreté de fonctionnement des équipements », détaille Jean-Philippe Lecointe. Le LSEE développe donc des solutions innovantes pour évaluer ou accroître la durée de vie de l’isolant des fils utilisés pour bobiner les actionneurs électriques, comme un diagnostic non invasif on line des équipements, une réduction des contraintes par agencement fin des conducteurs dans leurs encoches, une étude des problèmes d’isolation liés aux hautes températures. Que ce soit en préconisant des solutions de bobinage innovantes ou en utilisant des matériaux tels que les céramiques pour assurer le fonctionnement à températures élevées, le LSEE est au cœur des préoccupations de l’isolation des machines. Depuis plus de 20 ans, les chercheurs du LSEE analysent et conçoivent des machines électriques pour accroître leur efficacité énergétique, réduire leur émission acoustique ou les rendre plus fiables. ...
Surfant sur la vague de l’économie collaborative, Anthony Brice s’est lancé dans un projet ambitieux avec seulement 5 000 € en poche. Il a créé une plateforme de mise en relation entre les particuliers désireux d’apprendre et de transmettre aux autres grâce à un système de matching offre-demande. « Plus tard, je me suis demandé comment je pouvais orienter ma solution vers les professionnels et les centres de formation. C’est ainsi que m’est venue l’idée de réaliser ce nouveau projet », nous raconte le fondateur-CEO de la start-up. À ses débuts, Tutos’Me Pro a démarré avec quelques formateurs déjà inscrits sur Tutos' Me avant d’évoluer vers un collectif de 5 300 formateurs, professeurs et intervenants éducatifs œuvrant dans 300 secteurs différents. Centre de formation sous-traitant Tutos’Me Pro met à disposition des institutions (écoles, centres de formation, entreprises, collectivités, etc.) ses meilleurs formateurs, expérimentés et multidisciplinaires. La plateforme veut révolutionner le parcours classique du recrutement d’intervenants professionnels qui est non seulement lourd et contraignant, mais très souvent infructueux. Comment ? En sélectionnant à la place du client le formateur qui saura répondre précisément à ses besoins. Anthony Brice explique : « Les clients nous soumettent directement leurs demandes, puis nous leur envoyons le formateur le plus pertinent et en mesure de répondre à leurs objectifs. C’est aussi simple. » Pour se montrer encore plus persuasive, la plateforme Tutos’Me Pro accompagne aussi le montage des projets pédagogiques et des projets de formation interne en entreprise en s’appuyant sur son réseau d’experts. Cette formule clé en main inclut la conception d’une formation sur mesure, la création d’une antenne de formation jusqu’à la mise en place d’un partenariat d’appel d’offres. « L’idée est de permettre aux entreprises de former leurs collaborateurs au sein de leur propre structure tout en nous confiant la gestion de ce projet. » La solution gagnante L’innovation apportée par Tutos’Me Pro est de permettre aux institutions de trouver un formateur « en moins de trois jours », mais surtout de prendre en charge toutes les questions liées au recrutement (négociation, contrat, paie, déclaration unique d’embauche, arrêts maladie, etc.) sous une facture unique. « Mieux, les clients gagnent la flexibilité du paiement par session au lieu de recruter des formateurs internes en contrat en CDI », renchérit notre interlocuteur. ...
Le collège santé de l'université de Bordeaux met à votre disposition les outils pour répondre à ces défis. Son Unité Mixte de Formation Continue en Santé (UMFCS) propose les formations dispensées par ses différentes composantes dans une approche pluri-professionnelle, médecine, pharmacie, odontologie, santé publique, maïeutique, biologie, sciences infirmières, métiers de la réadaptation... Elle transforme la pédagogie grâce aux apports du numérique et s'appuie sur des équipements innovants tels des salles de télé présence immersive et un centre de simulation en santé. Apprendre devient un jeu.... Découvrez nos formations ! Professeur Jean-Luc Pellegrin, Directeur du collège des sciences de la santé de l'université de Bordeaux ...
L’Institut IRPALL (Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts, Lettres et Langues) et le Théâtre du Capitole de Toulouse travaillent main dans la main pour proposer chaque année un panel d’événements éclairant la richesse de l’opéra, spectacle complexe aussi bien inscrit dans le patrimoine que porté par une créativité contemporaine, reflet du passé et miroir de notre modernité. Théâtre du Capitole et Institut IRPALL, partenaires de longue date D’un côté, l’IRPALL, structure fédérative de l’Université de Toulouse 2-Jean Jaurès, qui développe des programmes de recherche pluridisciplinaire de pointe tout en favorisant le partage scientifique et culturel pour le plus grand nombre. De l’autre, l’opéra produit au Théâtre du Capitole : une œuvre d’art total mêlant musique, paroles, décors et sollicitant voix, corps, matières et sonorités. Étudier l’opéra réclame une démarche scientifique pluridisciplinaire puisque plusieurs champs de spécialités et de compétences sont requis (littérature, histoire, esthétique, philosophie des cultures…). En 2009, le Théâtre du Capitole et l’IRPALL ont signé une convention de partenariat qui n’a cessé de se développer. Associer une institution culturelle lyrique et une structure de recherche, toutes deux de renommée internationale, relevait du défi. Pari réussi : elles organisent désormais diverses manifestations par an, des journées d’étude, des rencontres avec le public, des ateliers d’écoute et 28 journées d’étude à ce jour dont le contenu capté en vidéo est disponible pour le grand public sur le site institutionnel de Canal-U (collection Recherche et Opéra). Des passerelles entre recherche et création artistique La variété d’activités proposée par l’institut implique le monde universitaire dans son ensemble. Par exemple, les Journées d’étude réunissent des chercheurs français et internationaux, spécialistes de littérature, de musicologie, de langues, d’histoire et d’art. La convention abrite également une plateforme d’expertise autour de l’opéra, constituée de chercheurs spécialistes participant activement aux opérations de médiation culturelle organisées par le Théâtre du Capitole et secondées à l’occasion par des étudiants du Master de Musique dans une perspective professionnalisante. Sous la responsabilité de Michel Lehmann (directeur de l’IRPALL spécialiste de l’opéra du XIXe siècle) et de Christine Calvet (secrétaire générale de l’IRPALL, forte d’une expérience de plus de 20 ans dans le pilotage de la recherche pluridisciplinaire), cette Convention affiche son dynamisme. Mélomanes, artistes, critiques, amateurs, étudiants, chercheurs et groupes scolaires fréquentent d’ailleurs ces activités qui favorisent les passerelles entre recherche et création artistique, université et cité, quartiers urbains et centre-ville, publics avertis et éloignés. ...
Seules cinq équipes universitaires de recherche en chimie en France sont à l’origine d’une molécule actuellement produite sur le marché de la santé. L’équipe « Onco et Neurochimie » fait partie de ce quinté prestigieux avec le développement du Valdoxan. Commercialisé depuis 2008 par les laboratoires Servier, ce médicament est utilisé pour le traitement des épisodes dépressifs chez l’adulte en cadrant l’horloge biologique. « Notre objectif est de dépasser le stade de la publication des résultats scientifiques dans des revues académiques pour aller vers la valorisation et le développement de candidats-médicaments », explique le Pr Patricia Melnyk, qui dirige ce laboratoire orienté à la fois vers la chimie et le développement thérapeutique. « Actuellement, nous travaillons sur une deuxième molécule, qui est en phase de test chez l’homme. Au-delà de l’effet physiologique, nous nous attachons à décortiquer son mode d’action », poursuit-elle. Alzheimer, sclérose en plaques, cancer Ces nouveaux travaux pourraient avoir une influence sur les maladies neurodégénératives et, notamment, la maladie d’Alzheimer. En effet, dans cette pathologie, on observe deux mécanismes physiopathologiques : la pathologie amyloïde et la tauopathie. La première résulte de l'agrégation extraneuronale de peptides amyloïdes et la seconde de l’accumulation intraneuronale de protéine Tau hyper- et anormalement phosphorylée. Le nouveau composé, dont le premier brevet date de 2004, permet à la fois de diminuer la pathologie amyloïde et de réduire le développement de la pathologie Tau. Cette découverte est le travail d’un projet de recherche collaboratif entre l’équipe « Onco et Neurochimie » et l’équipe « Alzheimer et Tauopathies » des Drs Luc Buée et Nicolas Sergeant. « C’est la première fois qu’un composé est capable d’agir sur les deux lésions », affirment-ils. Cette nouvelle molécule, développée par AlzProtect, une société émanant de cette collaboration, est au stade des essais cliniques de phase 1 chez l’homme et a aussi obtenu le statut de « médicament orphelin » pour le traitement de la paralysie supranucléaire progressive (maladie neurodégénérative rare), auprès de l’Agence européenne du médicament. Une dizaine de personnes, comprenant des chimistes et des biologistes, travaillent actuellement sur ce projet, au sein des laboratoires académiques ou chez AlzProtect. D’autres projets en cours L’équipe « Onco et Neurochimie » étudie le rôle de cibles biologiques impliquées dans la dégradation des protéines altérées pour les traitements des maladies neurodégénératives. Cela passe par la conception de sondes chimiques permettant d’interagir avec ces cibles. L’équipe intervient dans le domaine de la sclérose en plaques et travaille depuis plusieurs années en collaboration avec l’équipe du Pr Patrick Vermersch de l’unité LIRIC (Lille Inflammation Research International Center), l’un des leaders du domaine. Un partenariat vient d’être signé avec la société pharmaceutique Genzyme Sanofi pour l’étude de molécules novatrices. « Nous travaillons aussi à la conception et à la synthèse d’inhibiteurs d’interaction protéine-protéine qui vont complètement modifier la survie cellulaire. Cela peut avoir une application dans le domaine des cancers du système digestif (colon, pancréas). » ...
Sous l’égide de l’Institut, elles mettent en commun leur expertise bicentenaire afin de poursuivre deux grandes ambitions : développer des programmes de formation d’excellence et une recherche de pointe. Grâce à l’ancrage de ses cinq Écoles fondatrices, l’Institut Polytechnique de Paris se positionne comme une institution d’enseignement et de recherche leader en France et à l’international. L’École polytechnique, l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, Télécom Paris et Télécom SudParis ont contribué aux révolutions industrielles et technologiques majeures de ces deux derniers siècles. Parmi les diplômés de ces Écoles figurent plusieurs prix Nobel, ainsi que de grandes personnalités du monde politique, économique et de la recherche. Un Institut d’enseignement, de recherche et d’innovation L’Institut Polytechnique de Paris développe des programmes de formation et de recherche pluridisciplinaires s’appuyant sur une communauté de 1000 enseignants-chercheurs oeuvrant au sein de dix départements disciplinaires. Cette approche croisée crée des synergies inédites entre différents domaines, favorisant par exemple l’application des nouvelles technologies aux domaines d’ingénierie traditionnels tels que la physique ou les transports. Le transfert de connaissances vers l’économie et la société est au coeur des missions de l’Institut, dont le réseau d’incubateurs et l’écosystème dynamique favorise l’innovation de pointe et stimule l’inventivité des étudiants. Une offre de formation variée et d’excellence L’Institut Polytechnique de Paris et ses Écoles offrent une importante variété de formations couvrant les besoins des étudiants mais aussi des professionnels. Les étudiants, admis suite à un recrutement hautement sélectif, bénéficient d’un enseignement de haut niveau dispensé par des enseignants-chercheurs et des experts reconnus dans leur domaine. Les programmes de l’Institut Polytechnique de Paris permettent à ses futurs diplômés d’acquérir les compétences nécessaires pour s’adapter à un marché du travail de plus en plus compétitif et ce quel que soit le secteur visé. ...
Cette école de Management est intégrée, depuis ses débuts, à l’Université de Caen. « Sa vocation est de former des étudiants et des salariés aux métiers de la gestion et du management tout en développant des activités de recherche en lien avec ces domaines d’expertise », nous explique Patrice Georget, Directeur de l’IAE Caen. Avec le développement en 2011 d’une filière complète par e-learning, cette école se veut être un des pionniers de la formation à distance basée sur une pédagogie interactive qui place l’étudiant au centre de son apprentissage. Excellence et innovation se retrouvent ainsi dans une offre de formation en présentiel ou à distance adaptée à chaque apprenant et surfant sur la vague du progrès technologique. Une formation mixte : identité de l’IAE Avec une identité basée sur une expertise académique et une connaissance accrue du domaine du Management, cette école universitaire s’est forgée une solide réputation dans le domaine de la formation avec ses 40 cursus diplômants proposés en formation initiale ou continue, en présentiel ou à distance. La formation initiale, suivie par plus de 1 300 étudiants chaque année, est dédiée aux jeunes désirant faire carrière dans le management, le commerce ou dans d’autres domaines du secteur tertiaire. Sanctionnée par une Licence ou un Master, chaque formation initiale associe maîtrise académique du management et connaissance pratique du milieu professionnel. La formation continue, quant à elle, est « principalement pensée pour les salariés en entreprises désireux d’obtenir une plus forte mobilité professionnelle, tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger, d’avoir une promotion de carrière ou de changer d’orientation professionnelle en reprenant leurs études », poursuit son directeur. Grâce à un large éventail de cursus, l’école propose ainsi des formations continues en management d’entreprises, en finances et en management du social et de la santé. Allant des ressources humaines au management d’établissements de santé en passant par l’ingénierie financière, chaque programme, avec un Master à la clé, est adapté à tous ceux qui souhaitent élargir leur horizon professionnel et saisir de nouvelles opportunités. La gérontologie, les métiers d’agence bancaires, le contrôle de gestion ou le marketing digital, n’auront plus aucun secret pour les apprenants, quelles que soient leurs origines professionnelles. Véritables tremplins, tous les parcours, en formation initiale ou continue, sont conçus et prodigués par des enseignants universitaires, 50 au total, et par près de 350 enseignants issus du monde professionnel « gages de leur qualité et de leur aspect professionnalisant », souligne Patrice Georget. L’innovation toujours au service de la formation Les lettres de recommandation sont aujourd’hui un véritable passeport pour l’emploi. L’IAE Caen l’a bien compris et a ainsi développé un système similaire pouvant être inséré dans son CV : les badges. Ces derniers sont produits en collaboration avec le CEMU (Centre d’enseignement multimédia de l’université de Caen). Leur objectif, toujours selon Patrice Georget, est d’« évaluer le savoir-être de l’étudiant et de révéler qui l’on est et trouver une forme de reconnaissance qui va au-delà du diplôme ». En effet, certains étudiants travaillent de nuit et étudient le jour, dépassent ainsi leurs limites et franchissent des obstacles apparemment infranchissables pour arriver au bout de leurs études. Ces efforts, trop souvent ignorés, sont désormais affichés au grand jour grâce au badge « Battant ». Symbole de persévérance et de détermination, ce badge sera le témoin des difficultés que l’étudiant a su surmonter. À celui qui s’investit dans la représentation de son école à l’occasion, par exemple, de concours d’entreprises, sera décerné le badge « Ambassadeur ». Le badge « Communiquant &raq...
Le Lycée français Rodolphe Töpffer a repris comme leitmotiv la phrase de ce pédagogue genevois et inventeur de la bande dessinée : « Aimer l’école aujourd’hui, c’est aimer la vie demain ». Dans cet esprit, le lycée met tout en œuvre pour apporter à chaque élève un enseignement sérieux, solide et valorisant, dans une atmosphère familiale et bienveillante. N’accueillant que 200 élèves chaque année, avec des classes à effectif réduit, le lycée veille ainsi à l’équilibre et à l’épanouissement personnel de chacun. Une pédagogie à l’écoute des élèves L’équipe professorale, expérimentée, motivée, disponible et avec un sens pédagogique affirmé, reste à l’écoute des élèves pour les guider de façon personnalisée. Etudes surveillées et soutien individuel sont programmés chaque jour. Elle transmet aux élèves des méthodes de travail leur permettant d’acquérir faculté de raisonnement, apprentissage de l’autonomie, développement du sens critique, esprit d’initiative et inventivité. Le Lycée favorise le désir d’apprendre et la curiosité en organisant entre autres la Fête de la francophonie, de la poésie, de la science ou la semaine des talents. Il donne une grande importance aux langues avec des cours supplémentaires pour préparer les diplômes de langues comme le Toefl, le Cambridge ou encore une initiation au chinois. Bien préparer les élèves au monde de demain Le lycée souhaite que chaque élève devienne un citoyen acteur du monde de demain. Il a donc mis en place un programme destiné à préparer les élèves à leur avenir. Avec entre autres des cours de robotique, une option d’arts plastiques et un atelier de création de startup avec la collaboration de Graines d’entrepreneur. Il accompagne les élèves dans leur orientation en les invitant à se rendre au Forum des formations universitaires, aux portes ouvertes des Universités ou encore au stage boussole de l’Université de Genève afin d’y suivre quelques cours. ...
En proposant ses ateliers de programmation informatique, Magic Makers poursuit deux objectifs : d’une part, mettre les enfants dans une posture d’acteur vis-à-vis de la technologie en leur permettant, de manière ludique, d’exprimer leur créativité et d’autre part, leur donner les moyens de comprendre et de les préparer au monde de demain. Interrogé sur les raisons qui l’ont poussé à lancer ce projet innovant, la fondatrice Claude Terosier nous explique que « l’enjeu est de permettre aux enfants d’inventer leur métier étant donné que 85% des métiers de 2030 n’existent pas aujourd’hui ». Tout sur Magic Makers Basée à Paris, Magic Makers a été créée en 2012. A l’époque, ancienne étudiante de Télécom Paris Tech, Claude Terosier cherche vainement des ateliers de programmation pour son fils. Convaincue qu’il est possible d’apprendre la programmation de manière simple et ludique, cette ingénieure décide de créer Magic Makers en proposant des ateliers de programmation créative dédiés aux enfants. Leader et pionnière dans le domaine, Magic Makers mobilise aujourd’hui plus de 40 animateurs et organise 150 ateliers par semaine à raison de 1000 inscriptions hebdomadaires. Depuis sa création, environ 10 000 enfants ont pu bénéficier de ses ateliers. « Comme pour un cours de musique, les enfants peuvent s’inscrire toute l’année ou bien suivre des stages pendant les vacances », nous indique-t-elle. Une pédagogie active « Apprendre à coder pour apprendre à créer », c’est en s’appuyant sur cette approche innovante que la start-up construit sa pédagogique. En effet, la démarche veut que l’enfant devienne acteur de son apprentissage. C’est le principe même de la pédagogie dite « active ». « Nous nous sommes inspiré de la pédagogie active du MIT et nous utilisons « scratch », un outil de programmation simplifié », précise Claude Terosier. Mais que l’on ne s’y trompe pas, l’objectif n’est pas de transformer les enfants en véritable « crack » de la programmation ! Ici, l’important, c’est de créer tout en s’amusant. Au cours d’un atelier, l’animateur montre deux ou trois exemples et c’est au tour des enfants de créer leur propre projet : dessins interactifs, jeux vidéo, robots...Tout est prétexte à leur imagination. Les enfants expérimentent, apprennent de leurs erreurs et partagent leurs acquis avec les autres. « En cas de blocage, les enfants posent des questions et l’animateur les aide pour qu’ils trouvent eux-mêmes les réponses ». ...
Depuis plusieurs années, la filière Sciences, Technologies Santé de l’université Lille Sciences et Technologies occupe la 2eplace en France pour l’insertion professionnelle de ses diplômés. Le taux d’insertion frôle les 100% ! La politique de stages en entreprise, initiée dès la 4eannée du master et développée en dernière année, et les liens étroits noués entre les entreprises et le monde économique facilitent évidemment le recrutement, ainsi que la taxe d’apprentissage. Exemple : les diplômés de master en formation initiale occupent des emplois à temps plein à 97 %. Et un sur cinq occupe un emploi stable. Durée de recherche d’emploi : à peine 2 mois. Les licences professionnelles ne sont pas en reste et le taux d’insertion est de 90 %. De même, neuf sur dix des diplômés de licence occupent des postes de cadres, un gros progrès. La licence ER2E vient d’être distinguée en 1reposition dans le classement EDUniversal des formations dans le domaine des énergies renouvelables. Une très large palette de métiers partout dans le monde Car les métiers de la physique sont presque infinis ! Et les emplois sont variés. D’ingénieur recherche-développement à ingénieur technico-commercial en passant par ingénieur de production ou responsable marketing, la palette est large. Des profilstels que journaliste scientifique, chargé d’études ou responsable ressources humaines. Sans oublier, bien sûr, le consulting et le conseil. Côté secteurs à fort potentiel de développement, la liste est aussi longue. Citons : les énergies renouvelables, la santé, la recherche médicale, l’aéronautique, l’astronomie, la biologie médicale, l’enseignement et la diffusion des connaissances, l’environnement, les télécommunications et le multimédia, les transports… Autant de profils et de métiers de plus en plus recherchés en France et en Europe, voire dans le monde. Un haut niveau de recherche L’un des derniers accords signés par l’UFR de Physique porte sur la création d’une unité de recherche commune avec le Commissariat aux énergies alternatives et le laboratoire de physique des lasers atomes et molécules de Lille (CNRS) et consacrée à la fabrication et au développement de la fibre optique. Un dispositif unique en Europe. Voici un bon exemple du très haut niveau de recherche développé par l’UFR. Les laboratoires et les équipes de recherche sont associés aux grands organismes tels que le CNRS, l’INRIA ou l’INSERM. Plus de 250 chercheurs et enseignants-chercheurs, dont 75 doctorants, forment les équipes pédagogiques dédiées à plus d’un demi-millier d’étudiants. Les formations initiales et professionnelles vont du DEUST au doctorat et s’inscrivent dans un environnement idéal et propice au développement d’un esprit scientifique adapté au monde de l’entreprise. Ainsi formés aux clés de l’innovation et du développement économique, les étudiants bénéficient de plateformes techniques dernier cri, adossées à des unités de recherche à la pointe du progrès. ...
Vous voulez devenir un spécialiste en médecine chinoise ? Suivez la formation de l’École Zhōng Lì. Des outils modernes au service d’un savoir millénaire Cela fait des millénaires que la médecine chinoise est capable d’apaiser et de soigner des millions de personnes à travers le monde. En se basant sur des pratiques ancestrales (telles que l’acupuncture), elle est de plus en plus appréciée en occident. Ainsi, que vous soyez un salarié ou un étudiant intéressé par la médecine traditionnelle chinoise, l’École Zhōng Lì vous ouvre ses portes en vous proposant une formation complète et exigeante. Pour obtenir votre certificat, préparez-vous à suivre un cursus sur 5 années. Grâce aux 3 premières années, vous obtiendrez les bases indispensables afin de vous orienter vers une professionnalisation. Les deux années suivantes vous permettront de développer vos connaissances et vos compétences afin de devenir un véritable praticien en médecine traditionnelle chinoise. Les cours en présentiel se déroulent à Aix-en-Provence, une dizaine de week-ends chaque année (du vendredi au dimanche). Ils sont complétés par des cours en ligne. Pendant le cursus, vous alternerez entre cours théoriques, pratiques et stages en cabinet. Sans oublier un stage de 140h en Chine. École Zhong Lì : historique L’École Zhōng Lì a été fondée en 2015 par 3 collègues pratiquant et enseignant la médecine chinoise traditionnelle depuis plus de 10 ans. C’est après la fermeture d’une autre école, où ils enseignaient, qu’ils ont décidé de fonder leur propre organisme de formation. Pour être sûrs d’assurer des cours de qualité, ces 3 enseignants se forment en continu auprès de spécialistes français et internationaux. De plus, ils ont été rejoints par d’autres enseignants (une quinzaine en tout) qui interviennent ponctuellement. Quand on leur demande le point fort de leur école par rapport aux autres structures, ils répondent que c’est le retour vers les textes anciens pratiqués au sein de leur établissement qui fait la différence. En effet, sous l’ère Mao Zedong, la médecine chinoise a été simplifiée, voire dénaturée. Ce qui incite les véritables spécialistes en Chine et partout dans le monde, à se tourner de plus en plus vers les écrits originels, rédigés il y a plusieurs milliers d’années. De ce fait, en suivant les cours de l’École Zhōng Lì, vous êtes assuré de vous rapprocher de la médecine chinoise classique, telle que pratiquée à ses origines. ...
Travailler avec le CNRS est désormais possible pour tous les professionnels. L’entrée se fait simplement en déposant une demande sur le site web de Trouver un Expert, conçu pour faciliter les relations entre la société et les acteurs de la recherche du CNRS et de ses partenaires. Ces demandes sont étudiées par une équipe de 4 scientifiques qui vont ensuite identifier le personnel de la recherche le plus à même de répondre à cette demande. « En général, nous avons identifié un ou plusieurs chercheurs au bout de 15 jours. Cela va vite ! », explique Edith Wilmart, directrice du service Trouver un Expert. Des demandes très variées Depuis ses débuts, le service Trouver un expert travaille sur des sujets divers et variés : aménagement du territoire, instrumentation médicale, transformation environnementale, recherche sur l’énergie... Pour citer quelques exemples de demandes, une grande entreprise de cosmétique a soumis au CNRS une demande de sciences humaines et sociales autour de la perception de ses produits. Une autre entreprise a sollicité des recherches pour limiter la pollution atmosphérique de son activité. Un service territorial a géré avec le CNRS un risque explosif ou encore, un grand groupe a demandé au service Trouver un expert de l’aider à monter en compétences sur des questions d’électronique de puissance. « De par sa diversité, notre job est passionnant ! », commente Edith Wilmart. En sus de ces demandes « classiques », le service reçoit des demandes de recherche d’autres laboratoires pour monter des projets collaboratifs afin de répondre à des appels d’offre européens ou autres, ou encore des demandes d’investisseurs qui souhaitent avoir une expertise scientifique des projets dans lesquels ils envisagent de s’impliquer… Les sociétés souhaitant garder leur démarche confidentielle peuvent l’indiquer dès le dépôt de la demande. Dans ce cas, l’anonymat ne sera levé que lors de la mise en relation. 65% des demandes déposées viennent des TPE et PME A ce jour, ce sont essentiellement des TPE et des PME qui font appel au service Trouver un Expert avec près de 65% des demandes déposées. Ces types d’entreprises se rapprochent du service dans le cadre de leur projet de développement quel que soit son niveau de maturité, car leur département R&D, lorsqu’il existe, est souvent peu développé. Mais cela ne les empêche pas d’investir une partie de leur Chiffre d’Affaires dans la R&D ! Souvent, ces entreprises franchissent la porte de Trouver un Expert lorsqu’elles ont une idée innovante en lien avec leur activité ; elles attendent un état de l’art écrit, analysé et pensé par des scientifiques du domaine pour se lancer puis, in fine, elles recherchent un accompagnement dans leur stratégie d’innovation. Aussi, les TPE et PME font appel au service car elles souhaitent valider un concept, étape qui peut être déterminante pour une petite entreprise car cette validation pourrait lui permettre d’obtenir une subvention, essentielle dans le développement de son projet. Les ETI, les Grandes Entreprises et Trouver un Expert Les entreprises de taille intermédiaires et les grandes entreprises, elles, font appel à Trouver un Expert car elles recherchent les savoirs et savoir-faire interdisciplinaires des laboratoires du CNRS. C’est alors la méthodologie et la capacité que possèdent toute une équipe de scientifiques à trouver une solution pertinente, adaptée et qui était préalablement inexistante à un problème donné ou pour le lancement de leur projet qui les attire ; elles ne veulent pas de solutions « prêtes à l’emploi » déjà existantes sur le marché. Trouver un Expert, pour la multiplication des liens entre public et privé Mêmes si ces entreprises attendent des solutions différentes de la part du CNRS, elles sont conscientes de l’importance de nouer une relation de confiance avec la recherche publique : les laboratoires de recherche publique et les entreprises sont complémentaires dans leur quête à l’innovation ! C’est pourquoi, de plus en plus de programmes sont proposés pour multiplier les liens et les partenariats publ...
L’Immersive Learning pour accompagner les parents et professionnels de l’éducation : découvrez pourquoi Harvard a choisi de s’appuyer sur l’expertise d’Uptale. Reach Every Reader : un programme mondial pour faciliter l'alphabétisation À l’origine du projet Reach Every Reader : le constat qu’une partie des enseignants et des parents sont démunis face aux difficultés ressenties par certains enfants pour apprendre à lire. Et cela malgré les nombreux outils à disposition. L’objectif est donc d’offrir une aide aux adultes pour accompagner ces enfants. Pour cela, les acteurs de ce projet (la fondation Chan Zuckerberg, Harvard et le MIT) ont choisi d'utiliser Uptale pour créer des expériences immersives et pédagogiques en Réalité Virtuelle. Les raisons de ce choix : sa prise en main facile et immédiate offrant une plus grande autonomie aux professeurs et étudiants. Un exemple concret : l'utilisateur se retrouve immergé dans un environnement connu où sont révélés des supports simples d'apprentissage de la lecture (liste de course, calendrier, etc.) ; favorisant ainsi une prise de conscience et un changement de comportement vis à vis des réflexes à avoir pour favoriser l'apprentissage de la lecture. La réalité virtuelle au service des entreprises et universités Nous connaissions la réalité virtuelle dans les jeux vidéo. Aujourd’hui, cette technologie est en train de transformer complètement le marché de la formation. Fini l’apprentissage passif. Grâce à l’Immersive Learning, il est possible de s’immerger complètement dans un environnement interactif et pédagogique. De nombreux usages sont possibles: onboarding de nouveaux arrivants, formation sécurité, gestes techniques, découverte de la réalité du terrain, gestion de scénarii clients complexes. Uptale : une start-up qui a déjà déployé sa solution chez de nombreux grands comptes Fondée en 2016 par quatre amis venant de différents univers (informatique, formation et communication), Uptale a réussi à croitre rapidement. Aujourd’hui, elle dispose d'une équipe d'une quinzaine de personnes qui s’occupent au quotidien de créer de nouveaux modules et de former leurs clients à cette solution innovante. Parmi les grands noms qui leur ont déjà fait confiance : Danone, Randstad, Disney ou PSA. Des débuts très prometteurs pour cette jeune start-up. Uptale continue de perfectionner le réalisme des expériences et sentiments d'immersion en branchant sa plateforme à des services cognitifs (reconnaissance vocale, prise de décision, détection d'émotion) pour offrir aux professionnels de la formation une modalité pédagogique unique. Reach Every Reader s’inscrit parfaitement dans cette démarche. ...
Découvrez l'interview de Madame Sylvy Morineau, Directrice Académique de l’institut Le Cordon Bleu Paris. Pourquoi faire un MBA en leadership hôtelier et culinaire ? Afin d’apporter une prestation d’excellence tant dans le domaine gastronomique qu’hôtelier, et de travailler sur la performance en management dans ces domaines et à l’international. Le Cordon Bleu Paris s’associe avec Paris Dauphine – PSL, pour délivrer un MBA in International Hospitality and Culinary Leadership. Ce programme d’un an est destiné à un public de managers expérimentés, conscients des enjeux et des spécificités d’un marché en perpétuel renouvellement qui cherchent une évolution professionnelle stratégique vers des postes de direction, de responsables confirmés ou encore d’entrepreneurs. En quoi ce programme est-il différent des autres MBA en gastronomie et de l’hôtellerie ? Ce qui nous différencie, c’est d’abord notre réseau d’experts Le Cordon Bleu Paris et Paris Dauphine - PSL, qui vont permettre aux candidats d’acquérir des connaissances pour pouvoir devenir des futurs leaders dans le secteur. Ce MBA s’appuie sur la transmission des connaissances professionnelles des consultants de l’institut Le Cordon Bleu Paris, avec ses 125 ans d’expérience dans l’enseignement culinaire et de la gestion de structures. Il s’appuie aussi sur l’expérience professionnelle appliquée de management de 5 mois incluse dans le MBA, ainsi que sur les connaissances théoriques et approfondies dans le management de Paris-Dauphine – PSL, une université attachée à l’excellence académique valorisant la pluridisciplinarité́. Ces deux établissements jouissent d'un rayonnement international grâce à leur expertise en formation des futurs dirigeants du secteur de l'hôtellerie et de la restauration. Grâce à la dimension multiculturelle de l'institut Le Cordon Bleu Paris, qui accueille chaque année près de 90 nationalités différentes, nous avons l'ambition de former des étudiants tournés vers l'autre et centrés sur l'humain. Les diplômés font partie de deux réseaux internationaux des anciens étudiants. Ces réseaux de l’institut Le Cordon Bleu International et de l’Université Paris-Dauphine-PSL s’étendent également à l’ensemble des professionnels et experts qui interagissent dans le programme. Deux réseaux actifs qui constituent un appui très efficace pour créer de nouvelles opportunités. Pour en savoir plus sur le MBA in International Hospitality and Culinary Leadership, cliquez ici. ...
EduFactory a été lancée en 2000. On vous décrit comme le « pionnier du e-learning sur-mesure en France ». Pourquoi avoir choisi de vous positionner sur ce secteur à l’époque, alors qu’Internet en était quasiment à ses débuts ? Alexandre Lect : Nous avons commencé notre activité en tant qu’acteur de la formation présentielle. Mais, très rapidement, nous nous sommes rendus compte, avec l’arrivée des nouvelles technologies et la pénétration d’Internet, que le secteur de la formation digitale allait être extrêmement prometteur. Nous nous sommes donc positionnés assez tôt sur la formation « blended-learning » pour ensuite basculer vers l’e-learning fin 2010. Nous avons voulu être en quelque sorte des précurseurs, puisqu’à l’époque, le marché était à ses débuts. Aujourd’hui, l’e-learning connait une croissance à deux chiffres et nous sommes parmi les premiers à nous positionner sur ce secteur. C’est un grand avantage pour nous puisque les clients font confiance à notre expérience. Votre positionnement stratégique et commercial porte donc sur les formations sur-mesure. Pourquoi ce choix ? En matière de formation, nous estimons que les solutions génériques ne s’appliquent que sur des sujets transverses. À partir du moment où il est question de formations plus complexes nécessitant l’acquisition de compétences spécifiques ou qui touchent la culture et l’ADN d’une entreprise, il est essentiel de s’orienter vers le sur-mesure. Par ailleurs, de plus en plus d’entreprises souhaitent personnaliser les expériences de formation de leurs collaborateurs, en optant pour ces solutions sur-mesure justement. Quel est l’intérêt de proposer cette approche sur-mesure aux entreprises ? Quels sont les avantages pour les apprenants ? Nous proposons aux entreprises de placer leur besoin de formation au centre de la stratégie que nous allons mettre en place. Concrètement, nous avons développé trois métiers qui nous permettent de faire bénéficier aux entreprises de tous les avantages du sur-mesure. En premier lieu, il s’agit de les conseiller et de les accompagner dans leur programme de digitalisation. En second lieu, il s’agit de procéder à la création de contenus sur-mesure qui est notre cœur de métier. Sur ce point, nous proposons plusieurs formats en fonction des objectifs pédagogiques : du vidéo-learning, du e-learning, de la simulation, des serious game, etc. Tout cela permet aux entreprises de bénéficier d’un large éventail de solutions complètement personnalisables. Enfin, nous leur proposons des solutions d’hébergement pour leurs contenus. S’agissant des apprenants, notre priorité est de faire en sorte qu’ils puissent retenir l’information de manière très simple et le plus rapidement possible. Pour cela, nous leur proposons une expérience de formation entièrement personnalisée, tout en veillant à optimiser leur ancrage mémoriel. Les contenus, les formats et les supports de formation que vous proposez sont innovants. Vous proposez également des formations gamifiées qui cassent le côté soporifique des formations traditionnelles. Pouvez-vous nous en dire plus ? Le monde de la formation s’inspire en grande partie des techniques de neuroscience, de l’industrie cinématographique et des jeux vidéo. L’idée est de susciter des émotions chez les apprenants et cela dans le but d’améliorer l’ancrage mémoriel. La gamification s’appuie sur les leviers du jeu, en se servant des mécaniques ludiques et émotionnelles. C’est un accélérateur puissant de l’expérience d’apprentissage et donc de la rétention d’information. Même chose pour la scénarisation, où nous allons également jouer sur l’émotion de l’apprenant en faisant en sorte qu’il se reconnaisse dans une situation, qu’il ait envie de réagir ou qu’il s’attache à des personnages. Avez-vous quelques exemples de projets menés avec vos clients à nous citer ? Nous nous adressons à la fois au secteur public et aux entreprises privées. Nous avons eu la chance de remporter le réf&e...
Le site Voyage-Langue.com a été lancé par des spécialistes des séjours linguistiques parmi les plus reconnus de France. Fort d'une expérience de plus de 10 ans sur ce marché, les maîtres-mots de l’organisme sont exigence de qualité et objectif constant de pratiquer les meilleurs tarifs du marché. La qualité garantie aux prix les plus bas Lorsque nous cherchons un séjour linguistique pas cher, nous ne souhaitons en aucun cas faire de concessions sur la qualité du séjour ! Afin de garantir cette qualité, les conseillers visitent chaque école de langue avant de les sélectionner en suivant différents critères fondamentaux : Les écoles doivent être reconnues et accréditées (par le label British Council par exemple) ; Elles doivent se situer en centre ville et être accessibles aux transports en commun ; Elles doivent être équipées de tout le matériel moderne nécessaire à l’apprentissage d’une langue (tableau interactif, ordinateur etc.). Chaque classe ne doit pas dépasser le nombre de 15 étudiants ; Les étudiants doivent être répartis par niveau de langue grâce à une évaluation dès le premier jour ; Les formations doivent être diversifiées (cours standard, semi-intensif, intensif, préparation au TOEFL, IELTS, TOEIC, Business, Juniors, Adultes, Ados, Seniors, …) ; Le taux de Français par établissement ne doit pas être supérieur à 7 ou 8%. En plus de ses exigences de qualité, Voyage-langue offre une garantie de prix les plus bas. L’organisme ne facture pas de commission supplémentaire et négocie avec ses partenaires des promotions pour chaque séjour. En aucun cas la baisse de prix est la conséquence d’une réduction du temps de cours ou d’une baisse qualitative de la formation. Des programmes adaptés aux besoins de chacun Voyage-Langue.com propose aujourd’hui plus de 50 destinations de séjours linguistiques et vous permet d’apprendre 7 langues différentes (anglais, espagnol, allemand, italien, arabe, chinois et japonais). Le site se distingue également par la diversité des formations proposées avec entre autres des séjours linguistiques pour les enfants et ados de 8 à 17 ans, des séjours réservés aux personnes de 30 ans et plus, des préparations au TOEFL, TOEIC, IELTS ou encore des cours d’anglais des affaires. Séjour linguistique ado et enfant Les plus jeunes, de moins de 17 ans, bénéficient de programmes Juniors tout compris incluant le logement en famille d’accueil ou résidence, la pension complète, les transferts d’aéroport et les activités encadrées par l’école de langue. Séjour linguistique étudiant À partir de 18 ans, Voyage-Langue offre l’opportunité d’apprendre l’anglais et d’occuper un emploi grâce à trois programmes : La formule « Anglais+Job » à Londres, Oxford, Brighton, Cambridge ou Malte. Les cours d'anglais sont concentrés sur une demi-journée afin de permettre à l’étudiant de travailler à mi-temps. Des cours spécialisés sont organisés pour guider l’étudiant dans ses recherches de job, l’aider dans la rédaction de son cv en anglais et la préparation de ses entretiens d’embauche. Le programme « Anglais+Job » à Brisbane ou Gold Coast en Australie. Cette fois-ci, le programme garantit un job dans l’hôtellerie ou la restauration de luxe après une période de 2 à 3 mois de cours d’anglais. La formule « Diplôme+Job » à Toronto ou Vancouver de 10 mois à 1 an : ce programme diplômant permet d’étudier puis de travailler au Canada sans le PVT (Permis Vacances Travail). Séjour linguistique adulte Enfin, les personnes de 30 ans et plus ne sont pas en reste puisque Voyage-Langue a sélectionné pour eux des écoles de langue réservées à leur tranche d’âge à Londres, New York, Malte et Toronto. Cette formule leur permet d'apprendre ou de perfectionner leur anglais avec la garantie de cours adaptés à leurs intérêts ainsi que des activités de découvertes spécialement pensées pour eux. ...
Le manque d’assurance, la difficulté à faire confiance, l’instabilité émotionnelle ou encore la peur d’être abandonné se rejoignent sous une qualification : le blocage émotionnel. Celui-ci explique le comportement renfermé ou excessivement agressif d’un individu, sa façon à lui de construire un mur de défense par rapport à son environnement. Vivre avec un blocage émotionnel est épuisant, psychologiquement mais aussi physiquement. Mais aujourd’hui, grâce aux travaux de recherche de Dr Pierre-Noël Delatte, chacun peut adopter une nouvelle façon de vivre en apprenant à contrôler son énergie émotionnelle. Comprendre la PBA© La psycho-bio-acupressure (PBA©) est une méthode innovatrice développée par Dr Pierre-Noël Delatte vers les années 1990, qui s’inspire de l’acupuncture. Le principe consiste à appuyer fermement, et trois fois de suite, cinq points réflexes qui forment des circuits imprimés selon un ordre bien particulier. Ce protocole précis permet dans un premier temps de rééquilibrer le système énergétique de la personne et d’évacuer, par la suite, le blocage émotionnel accumulé qui fait emprise sur le mental et le subconscient. « La PBA© agit parfaitement dans plusieurs états de mal-être et de pensées négatives, comme le stress, l’angoisse, la colère, la dépression, la peur, l’anxiété, l’hyperémotivité, etc. », explique Fairouz Rouzaud, cofondatrice de l’Institut Delatte, qui assure l'évolution de la méthode depuis le décès du Dr Delatte. Même les blessures plus profondes, notamment les échecs à répétition et les souvenirs douloureux accumulés dans l’enfance, peuvent être libérées grâce à la PBA©. En outre, cette technique présente aussi l’avantage d’être non invasive et totalement adaptée aux femmes enceintes et aux bébés. D’ailleurs, la passion de madame Rouzaud pour la vie intra-utérine, les divers types de naissances et leurs impacts émotionnels sur l'individu l'a amené à développer une thérapie particulière pour soulager ces derniers. En France, il existe environ 150 thérapeutes/praticiens agréés par l’Institut Delatte à proposer des consultations PBA©. Mieux former pour mieux guérir Chacun peut apprendre à gérer ses émotions et son état énergétique via la PBA©, grâce à une initiation de base dispensée par cet institut de référence. L’on y apprend comment identifier les points d’acupressure et maîtriser le protocole fondamental. À partir de là, plusieurs autres niveaux de perfectionnement sont proposés à ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances. Le cursus échelonné s’achève sur une formation à vocation professionnalisante, un parcours exclusif pour devenir praticien homologué, référencé sur l’annuaire officiel des praticiens agréés et régis par un code de déontologie. « Aussi, l’institut organise tout au long de l'année une formation/recyclage et perfectionnement à destination de nos diplômés sortants.» Fairouz Rouzaud elle-même ainsi que trois autres confrères assurent ces formations au sein de l’Institut Delatte. La cofondatrice se déplace également à l’étranger, notamment au Canada, aux États-Unis, en Suisse, à l'Ile de La Réunion, en Nouvelle calédonie et àTahiti pour partager son expertise. En parallèle, le site psycho-bio-acupressure.com reste un portail d’informations de référence pour mieux comprendre la PBA©, l’Institut Delatte et ses missions. La liste des praticiens agréés, le calendrier des stages et des formations y figurent également. ...
Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...
FlashMatin ׀ Bonjour Monique et Christian ! Monique et Christian Peltier ׀ Bonjour ! Tout d’abord, pouvez-vous nous expliquer votre parcours et ce qui vous a poussés à créer votre cabinet ? M P ׀ Pour mon parcours, j’ai fait toute ma carrière dans l’enseignement. D’abord, dans l’enseignement secondaire, ensuite dans l’enseignement universitaire. Après, j’ai été responsable de formation et responsable de l’internationale. Toute ma carrière, l’anglais et les voyages ont été des éléments majeurs. C P ׀ Moi, j’ai eu un parcours un petit peu différent puisque je suis originaire du monde de l’entreprise. J’ai fait toute ma carrière dans une entreprise internationale, avec l’usage de l’anglais au quotidien, pendant pratiquement 35 ans. J’ai maintenant une certaine expertise dans ce qui peut être attendue par les entreprises chez de jeunes candidats. M P ׀ À un moment donné, notre fille a voulu faire ses études en Angleterre. J’ai pensé que c’était très simple puisqu’on parlait anglais, on avait l’habitude et on connaissait le pays. Pourtant, il s’est avéré autrement parce que la candidature à l’université en Grande Bretagne est totalement différente d’une candidature en France. C’est cela qui nous a donné l’idée d’aider les jeunes dans cette même situation. Chez Chrismo, vous êtes certifiés par plusieurs organismes. Cela vous permet de garantir une qualité et une mise à jour perpétuelle de votre accompagnement. Mais en quoi consiste exactement votre accompagnement ? M P ׀ Depuis la rencontre avec le jeune ou l’adolescent qui me dit : « voilà ce que j’aimerais faire », le processus consiste à déterminer quel serait l’établissement, l’université qui lui conviendrait le mieux, et la candidature bien évidemment. En Grande Bretagne, le gros morceau c’est le Personal Statement c’est-à-dire le fait de savoir rédiger une lettre de motivation très documentée, jusqu’ à la candidature elle-même, à l’université ou aux universités. Pour l’accompagnement sur les visas, il s’agit vraiment de donner un guide, mais en aucun cas de le faire car c’est interdit. Pour l’accompagnement sur le logement, on peut dire : « voilà ce que vous avez comme solution ». Jusqu’au bout de vos études, et même pendant l’université ou l’école, on reste en contact avec l’étudiant pour savoir si tout se passe bien et si leur scolarité ou leur année universitaire correspondent à ce qu’ils attendaient. Quelle serait la toute première démarche à effectuer pour un ou une étudiant(e) ? M P ׀ Bien évidemment, nous contacter et nous parler, c’est-à-dire qu’il doit vraiment nous expliquer son but, le pays dans lequel il veut étudier et la matière qu’il veut étudier. C’est souvent la période qui demande le plus de temps, parce qu’on a beaucoup de jeunes qui n’ont pas une idée très précise de ce qu’ils veulent faire. En rencontrant ces jeunes pour la première fois, j’entends très souvent : « Je veux aller à Londres et je veux étudier le business. » Ainsi, il faut écouter et savoir ce qu’ils entendent par business. S’agit-il plus d’un Business Marketing ou d’un Business Management ? Il faut arriver à cerner ce qu’ils ont envie de faire et discuter dès le début sur les conditions de vie, que ce soit en Grande Bretagne ou aux Ėtats-Unis. En effet, il faut savoir le coût financier aux Ėtats-Unis, car quand on dit aux parents que c’est 40 voire 50000$/an ou plus même, cela peut être un frein. Il en est de même pour La Grande Bretagne. Vivre à Londres est nettement plus cher que vivre à Manchester ou Buckingham. Ainsi, il faut prendre tous ces éléments en compte, pour essayer de trouver la ou les université(s) qui correspondront le mieux. C P ׀ C’est là aussi où j’interviens en appuyant sur mon expérience dans la mesure où cela me permet de raconter des métiers, que fait un chargé d’étude marketing, que...
La faculté de chirurgie dentaire de Nantes délivre 12 diplômes nationaux et 8 diplômes d’université. Les cours dispensés à l’UFR d’odontologie de Nantes permettent aux étudiants ayant leur PACES de poursuivre leurs études par la formation initiale de chirurgie dentaire. Ils peuvent également s’inscrire en master 1 Biologie Santé et master 2 Signaux et Images en biologie médecine. Dès la 5e ou la 6e année, les étudiants peuvent accéder après concours au cycle long et suivre une des 3 filières d’internat prévues, à savoir : la chirurgie orale, l’orthopédie dento-faciale et la médecine bucco-dentaire. Toutes les disciplines de l’odontologie Tout au long de leur vie professionnelle, les chirurgiens dentistes déjà diplômés pourront parfaire ou approfondir leurs connaissances en participant à une des formations continues proposées. Ces formations concernent toutes les disciplines de l’odontologie, les pratiques expertales en odontologie légale, la restauration esthétique dentaire, l’endodontie, l’implantation orale, la radioprotection… La faculté organise également des soirées thématiques, où des praticiens viennent partager leur savoir avec les étudiants d’une manière directe et conviviale. ...
Le coronavirus bouscule les habitudes de consommation, fragilisant un secteur qui doit aujourd’hui composer avec un avenir incertain. Comment se traduit aujourd’hui l’impact du Covid-19 sur l’hôtellerie ? JFG : On entend pas mal de chiffres mais ils ne sont pas consolidés. Nous disposons d’une première étude très récente sur le parc hôtelier de Singapour. Cette étude indique un choc de demande, qui a baissé drastiquement et dont les prévisions à court terme sont du même ordre. Les hôteliers se retrouvent avec des recettes en forte baisse et des coûts fixes importants qui eux ne bougent pas. Nul ne sait vraiment quelles sont les pratiques de consommation du tourisme qui vont s’établir dans notre monde d’après : envie de se déplacer ? Choix des destinations (plus ou moins contraints par les ouvertures de frontières et des liaisons aériennes) ? Pour les gestionnaires des hôtels, c’est impossible à ce stade de se projeter dans l’après en posant des hypothèses d’activité (volume, durée). Comprenons-nous bien, ça ne veut pas dire qu’ils ne vont pas s’en sortir ! Un nouveau paysage économique Les acteurs de l’hôtellerie sont-ils tous égaux pour surmonter cette crise ? JFG : On peut mettre en avant trois variables qui vont être importantes. D’une part les pays où une partie des pertes pourra être prise en charge par des mécanismes globaux : on pense au chômage partiel comme en France et en Allemagne. Ensuite, on va voir des zones géographiques où l’activité va reprendre, quand les conditions sanitaires seront acceptables. Enfin, la crise va impacter les grands groupes mais les décisions de gestion les plus difficiles seront probablement sur les épaules de patrons de petites structures. De l’incertitude au renouvellement Le marché hôtelier doit-il changer de modèle ? JFG : La question se pose sur certains outils de gestion et méthodes. Par exemple le pricing dynamique se trouve remis en cause dans une période critique de demande. Mais il retrouvera son utilité le jour où le marché sera revenu sur un équilibre classique. On peut imaginer que les gestionnaires hôteliers vont intégrer des contraintes beaucoup plus fortes de l’environnement dans leur plan stratégique. Une des questions qui émerge est celle d’une remise en cause du modèle d’internationalisation de l’hôtellerie, avec des logiques plus régionales. L’avenir nous le dira… ...
Pour apprendre une nouvelle langue aux plus jeunes, il faut avoir de la créativité. En effet, pour les 10 à 14 ans, l’apprentissage doit encore s’assimiler aux jeux pour plus d’efficacité. Et quoi de mieux que les colonies de vacances pour joindre l’utile à l’agréable ? Pour ceux qui veulent perfectionner leur langue étrangère dès l’enfance, il est même possible de partir en colos à l’étranger afin de s’immerger dans la culture du pays où la langue en question est naturelle et quotidienne. Les colonies de vacances : une manière ludique d’apprendre une langue étrangère Si la plupart des enfants adorent les colonies des vacances, c’est parce qu’elles leur donnent l’opportunité de se retrouver avec des amis du même âge pour profiter de l’été. Néanmoins, cette période peut apporter bien plus que des divertissements. Les colonies de vacances peuvent aussi devenir un moyen d’apprentissage ou de perfectionnement d’une langue étrangère. Avec les colos organisées par des écoles spécialisées comme EF Education First, les participants peuvent côtoyer des élèves issus du monde entier pendant leurs vacances. C’est un excellent moyen de découvrir d’autres cultures, d’enrichir leur vocabulaire et d’élargir leur horizon. Grâce aux échanges et aux activités organisées par des professeurs ou des coachs professionnels, les enfants apprennent naturellement sans se mettre la pression. Etant une institution d’envergure internationale, EF Education First dispose des infrastructures nécessaires pour accueillir les groupes d’élèves et rendre leurs séjours agréables dans le pays de leur choix. Où partir en colonies de vacances ? Si vos enfants partent en colonie de vacances avec EF Education First, ils pourront apprendre l’anglais, l’espagnol, le japonais, l’italien, l’allemand ou encore le coréen dans une cinquantaine de destinations à travers le monde. Pour ceux qui veulent pratiquer l’anglais avec les natifs, le choix est multiple, selon l’envie de chacun. Pour ne pas envoyer vos enfants trop loin de la France, il est par exemple possible de partir en colonie de vacances à Malte. Ils pourront profiter du soleil de la méditerranée tout en pratiquant leur anglais avec les locaux ou entre eux. S’ils sont séduits par la monarchie et l’histoire du Royaume Uni, ils peuvent aller en Angleterre ou aussi en Irlande. Ceux qui souhaitent essayer le mode de vie américain ont le choix entre plusieurs villes dont New York, Los Angeles, Miami, Boston et Hawaï. Les plus aventuriers pourront partir pour l’Afrique du Sud, l’Australie ou encore la Nouvelle-Zélande. Quant à ceux qui cherchent à parfaire leur espagnol, ils peuvent choisir l’Espagne ou le Costa Rica pour découvrir la culture latino-américaine. Dans tous les cas et quelle que soit la destination, EF Education First priorise toujours la sécurité et le bien-être de ses étudiants, raison pour laquelle elle a pensé à intégrer diverses activités dans l’apprentissage de la langue en colonie de vacances. Allier passion et apprentissage Afin de faciliter le choix de la destination pour les prochaines colos de vos enfants, pensez à leurs passions. Dans les camps d’été, vos enfants peuvent à la fois pratiquer leurs activités favorites et améliorer leur niveau de langue. Si votre enfant est un passionné de foot, il sera ravi de partir au Summer Camp en Angleterre. S’il préfère le Surf ou les sports nautiques alors pensez dès à présent à son voyage en Californie ou à Malte. S’il a l’âme d’un artiste, il y a des colonies de vacances dédiées au théâtre, à la danse et à la mode à Oxford, à Torqay et à Londres. Avec EF Education First, les participants pourront aussi combiner sport, art et apprentissage de langue étrangère grâce au Classic Estival Camp Junior. Bref, ces colonies de vacances permettent aux enfants de s’épanouir totalement : ils découvrent de nouvelles cultures et de nouvelles personnes, ils améliorent leur niveau de langue étrangère, ils gagnent en autonomie et ils profitent de moments heureux avec leurs amis à partager différentes passio...
Depuis sa création, l’objectif de l’établissement reste le même : assurer la réussite aux concours et l'épanouissement artistique de ses étudiants. Aujourd’hui, l’école a relevé brillamment le défi puisqu’elle affiche chaque année des résultats plus que satisfaisants aux concours des grandes écoles d’art et d'animation. À titre d’exemple, en 2018, sur les 81 candidats admis à la prestigieuse École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (ENSBA), 21% sont issus de l’Atelier de Sèvres. Développer une personnalité artistique Les ateliers préparatoires permettent aux étudiants de se familiariser avec les outils techniques tout en assimilant les connaissances qu’ils devront mobiliser lors des concours. L’école propose un enseignement polyvalent en adéquation avec les réalités artistiques du moment, tout en laissant libre cours à l’expérimentation. Chaque étudiant doit développer « sa patte », trouver un regard unique en tant qu'artiste. Une préparation sur-mesure Les étudiants des classes Intermédia, qui font preuve d'une plus grande expérience artistique, sont suivis individuellement tout au long de l'année par un enseignant, la plupart du temps issu de l'école visée par l'étudiant. Il les guide dans leurs recherches et dans l'élaboration de leur dossier artistique, en apportant sa connaissance des attentes du concours et son expérience d'artiste. Car les enseignants de l'Atelier de Sèvres ont tous une pratique artistique. Afin de mesurer le progrès effectué, des concours blancs et simulations d'oral sont réalisés au cours desquels les étudiants sont tenus de présenter leur dossier artistique devant un jury. Ce travail de préparation soutenu et rigoureux constitue une des clés de réussite de l'Atelier de Sèvres. L'atelier supérieur d'animation Atelier de Sèvres a ouvert une formation supérieure de 3 ans en animation, à la suite du constat des professionnels sur le manque de scénaristes. La formation se concentre tout particulièrement sur le travail d'auteur, d'écriture de l'animation d'art et réunit aussi bien les compétences créatives que techniques afin que les diplômés maîtrisent toute la chaîne de production. Les étudiants créent un film chaque année au cours de l'atelier de réalisateur et sont en contact permanent avec les professionnels du secteur, que ce soit en cours, en workshop ou lors de conférences thématiques. C'est cette recette qui fait le succès de cette formation ouverte sur la création contemporaine. Les étudiants participent d'ailleurs au Festival d'Annecy, à la NEF Animation de l'Abbaye de Fontevraud, au Festival du film d'animation de Paris, au Festival international du film d'animation de Rennes, au festival Anima de Bruxelles, etc... ...