CompéForma se fixe pour objectif principal de développer les compétences. L’entreprise se spécialise notamment dans les formations sur l’organisation de spectacles vivants, secteur dans lequel Erwan Nédélec a travaillé pendant plus de dix ans. Découvrir les métiers de la scène Les formations sont notamment axées sur les différents métiers exercés dans les coulisses du spectacle aussi bien au niveau technique qu'admnistratif. Pour une durée de 3 ou 4 jours, les participants peuvent acquérir ou développer leurs compétences dans différents secteurs que ce soit dans le milieu du spectacle mais aussi socio-éducatif ou bien d'autres encore. Tous ces modules sont pris en charge par des formateurs dont les années d’expériences témoignent de leur professionnalisme. À noter : CompéForma peut aussi offrir un accompagnement dans la démarche VAE (validation des acquis de l’expérience). ...
La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche associative, sanitaire, sociale et médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région. Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA s'engage avec la Région Centre-Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap. Devenir infirmier par l'apprentissage C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (trois ans) et des 1 800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus. ...
Fondé en 1947, le Centre d’Echanges Internationaux (CEI) est aujourd’hui un acteur incontournable dans l’organisation de séjours linguistiques de qualité à l’international. Depuis sa création, cet organisme n’a cessé de développer ses programmes et d’innover afin de s’adapter et de répondre à tous types de demandes. Ouvrir le monde aux jeunes Au départ, le CEI a été créé dans le but de réconcilier les jeunes Français et les jeunes Allemands après la Seconde Guerre mondiale. « Le projet s’est nourri des rencontres et des échanges interculturels entre les deux pays. Puis cela s’est étendu à d’autres pays, à l’instar de l’Angleterre ou l’Irlande », explique Annabelle Dupé, directrice de la communication du groupe. Au fil des années, le CEI s’est développé, en procédant au rachat d’autres organismes opérant dans le secteur de la jeunesse. Ainsi, le groupe a fait l’acquisition du Club des 4 vents (colonie de vacances), de l’école Cambridge Gardens College (en 2006) et, plus récemment, de deux organismes spécialisés dans les séjours linguistiques sur mesure : Les Échanges Franco-Irlandais (en 2006) et Atout Linguisti-que (fin 2017). « Grâce à ces deux structures, nous sommes à même de satisfaire toutes les demandes en ce qui concerne les programmes sur mesure », souligne Annabelle Dupé. Offrant un programme très varié, le CEI entend poursuivre sa vocation : ouvrir le monde aux jeunes. « Notre objectif est d’accompagner la personne depuis ses premiers pas en colonie de vacances jusqu’à son premier grand voyage ou son premier job à l’étranger. » Des colonies de vacances sportives et à thèmes Associer l’apprentissage d’une langue à une passion sportive. Le CEI s’appuie sur ce concept pour suggérer plusieurs offres en colonies de vacances. En fonction des thématiques choisies (bord de mer, montagne, etc.), les enfants profitent de nombreuses activités, tout en apprenant l’anglais en s’amusant. Au programme ? Du ski ou de la cani-rando, pour les plus jeunes. La garantie de sensations fortes avec le parapente, l’exploration en pleine nature ou encore la pratique du quad, pour les plus grands. Dans le cadre des colonies de vacances à l’étranger, l’organisme propose des city tour autour des villes scandinaves et de celles d’Europe de l’Est comme en Bulgarie. Ces visites s’accompagnent souvent d’activités diverses, dont les sports de plage. Aux 14-17 ans sont proposés des voyages de découverte qui privilégient les rencontres et les échanges. « Les adolescents partent découvrir un pays avec sa culture, ses traditions et surtout ses habitants », nous confie-t-on. Guatemala, Équateur, Vietnam, Dubaï, Miami… sont autant de destinations qui attendent les jeunes. Mais s’il y a bien une destination qui plait énormément, c’est sans conteste le Japon. « Nos programmes “Tokyo Express” et “Tokyo-Osaka” font un carton auprès des jeunes », lance Annabelle Dupé. Immersion en lycée étranger Le CEI offre l’occasion aux lycéens de pouvoir réaliser une année scolaire complète à l’étranger. Parmi les formules proposées par le CEI, l'immersion en lycée étranger reste le fleuron de ces séjours riches en apprentissage. Toujours selon la responsable, « le jeune est complètement immergé dans la vie d’un lycéen. Il intègre une classe avec des jeunes de son âge et il est hébergé par une famille d’accueil dont il partage le quotidien. » États-Unis, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Irlande, Espagne ou encore Allemagne : chaque destination promet une expérience unique. Des séjours linguistiques totalement maîtrisés L'Organisme met à disposition Cambridge Gardens College, un établissement implanté à Hastings, en Angleterre. Outre l'excellente qualité aussi bien de l'infrastructure que de l'encadrement, l'école bénéficie d'un emplacement idéal en plein centre-ville, proche de la mer. L'hébe...
A l’écoute des tendances et des évolutions alimentaires de la société actuelle, l’Institut parisien à la renommée internationale a imaginé ce programme novateur et inspiré. Dans la continuité des formations existantes, bases et techniques sont administrées aux étudiants, sauf qu’ici, une attention toute scientifique est accordée aux produits. Recettes sans gluten, sans sucre ou sans œuf, végétariennes ou végétaliennes sont réalisées, sous les conseils des Chefs Pâtissiers Le Cordon Bleu et experts dans le domaine de la nutrition. Ce diplôme répond aux attentes de son époque. Aujourd’hui, savoir ce qu’on mange, d’où viennent les produits, quelles sont leurs compositions ne sont plus des informations prises à la légère. Sensibles au recyclage, à la transparence des circuits, les consommateurs se responsabilisent face à leurs achats. Les nourritures saines, bios, voire végan connaissent un essor significatif. Une pâtisserie d’avenir La pâtisserie traditionnelle est l’œuvre d’un savoir-faire et de techniques qui ont traversé les générations. Elle donne aujourd’hui naissance à des gourmandises plus naturelles. « La pâtisserie de demain, c’est se faire plaisir avec un goût franc, c’est être son propre docteur et savoir ce qu’on met dans son corps », explique Chef Fabrice Danniel, Directeur Adjoint des Arts Culinaires et Responsable du Département Pâtisserie et Boulangerie. Le secteur de la pâtisserie saine et équilibrée connaît une forte croissance, élargissant toujours plus le champ de ses opportunités. Son marché ne cesse de fleurir, profondément ancré dans les traditions, tout en se renouvelant. Mariage, anniversaire, fêtes, les douceurs ne sont jamais absentes du repas idéal. Des concepts de boutiques se réinventent, dédiés à un produit unique ou aux pâtisseries végétaliennes. Place à l’imagination et aux recettes éclairées. Les chefs s’y donnent à cœur joie pour le plus grand plaisir des dégustateurs. Et Le Cordon Bleu Paris veille à former la relève. ...
FlashMatin ׀ Salut Stéphanie et Nikki ! Nikki Grady et Stéphanie Buller ׀ Bonjour Emmanuelle ! Comment vous est venu l’idée de créer Admission Accomplie ? Stéphanie Buller ׀ Admission Accomplie est un cabinet de conseil spécialisé dans l’accompagnement pour les études supérieures post-Bac enseignées en anglais (dont la plus grande partie se trouve bien évidemment en pays anglophones). Nous avons monté Admission Accomplie, il y a plus de dix ans. Nikki Grady ׀ Nos enfants ont tous été scolarisés en France. La création d’Admission Accomplie a été comme une évidence quand nous avons commencé à nous interroger sur leurs études supérieures. On voyait qu’il n’y avait pas assez de soutien sur le sujet, même dans les écoles internationales. Nous avions déjà été approchées plusieurs fois par des amis pour accompagner leurs enfants dans leur candidature UCAS, et cela juste parce que nous sommes britanniques. Ensuite, on s’est posée des questions sur d’autres destinations lorsque ma fille aînée Margaux a commencé à s’intéresser à postuler au Canada. Nous avons fondé Admission Accomplie en nous spécialisant sur les études d’excellence dans les pays anglophones. S B ׀ Nous sommes sœurs et nous avons eu un parcours assez atypique. Moi je suis née au Congo, et Nikki en Philadelphie, aux USA. On a fait des séjours un peu partout, à Sydney, Dakar, Londres, Istanbul et Libreville, au Gabon. Vers l’âge de 14 ans, nous avons toutes les deux intégrées la même école Boarding School en Angleterre et cela, avec l’optique d’avoir une continuité pédagogique. Cela est important quand on va postuler dans les universités. Nous avons toutes les deux fait nos études à Cambridge, en l’occurrence. N G ׀ Cela faisait un moment que Stéphanie et moi, on cherchait un projet commun. J’ai sauté le pas avec Admission Accomplie parce que pour nous, c’est une évidence. En effet, il y avait une vraie demande de la part des familles françaises. Pour assurer une qualité optimum à votre cabinet de conseil, vous êtes certifié et avez formé une équipe ultraspécialisée. Pouvez-vous nous en parler ? N G ׀ À notre création, nous sommes rapidement devenues un centre UCAS certifié. Mais de quoi s’agit-il ? C’est le système au Royaume-Uni de centralisation pour les dossiers en ligne qui nous permet de valider les candidatures. Pour consolider notre réputation, nous avons suivi une formation avec le British Council. Cela nous donne une expertise sur l’ensemble du Royaume-Uni. Sheila, notre spécialiste pour les Etats-Unis, vivait en France avant où elle était prof en école IB (bilingue). S B ׀ À mon tour, je vais présenter Liz, qui nous a rejointes dès le début. Elle a aussi fait ses études à Cambridge, dans le domaine de « Land Economy ». C’est un truc assez spécifique à Cambridge qui, en gros, englobe le droit et l'économie, gestion et finance. Après, il y a Robert, qui a obtenu son MBA de la fameuse IE à Madrid. Sarah est quant à elle diplômée de l’university of Bath et détient un master en enseignement tandis qu’Eva et Mascha, sont nos spécialistes au Pays-Bas. Elles ont fait des études très poussées au Pays-Bas et en France, dans les domaines de la relation internationale et de l’éco-gestion. Stéphanie, Nikki, vous avez fait le choix de ne pas avoir d’universités partenaires. Cela vous offre une objectivité totale face aux conseils que vous donnez aux étudiants. Les pays que vous proposez sont le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Irlande, le Canada, les Pays-Bas et c’est un projet à définir très tôt, même dès le début de la seconde non ? N G ׀ Tout premièrement, oui car il faut bien choisir ses spécialités, ses matières … S B ׀ Je vais vous faire un cas de figure assez typique car cela nous arrive assez souvent. Nous avons devant nous un lycéen qui veut intégrer un établissement d’excellence en Angleterre pour étudier l’éco. Pour étudier l’éco en A...
Parmi les divers établissements délivrant la formation au TP « ADVF » en Région, aucun ne le proposait par la voie de l'apprentissage. C'est maintenant chose faite avec la MFR de Rougemont, la nouvelle UFA du CFA SMS Centre-Val de Loire qui accueille les apprenti(e)s jusqu'à l'âge de 30 ans révolus. Une offre de formation qui ouvre des perspectives dans le secteur de l'aide à domicile Les employeurs du secteur de l'aide à domicile connaissent de grandes difficultés de recrutement et peinent à trouver des personnes qualifiées pour accompagner au domicile des personnes de plus en plus fragilisées. Par ailleurs, les dispositions de la loi relative à l'adaptation de la société au vieillissement (ASV) haussent les exigences de professionnalisation pour améliorer la qualité de prise en charge des personnes. L'ouverture du TP ADVF par l'apprentissage vient répondre à des besoins quantitatifs, tout en proposant un mode de transmission des savoir-faire professionnels sur le terrain, par l'expérience, tant sur le plan technique que celui des valeurs. C'est aussi une belle opportunité de rajeunir les équipes ! Devenir assistant(e) de vie aux familles par l'apprentissage En lien avec l'UFA de la MFR « Rougemont-Tours » et les professionnels du Service public régional de l'orientation (SPRO), le CFA SMS accompagne les candidat(e)s à réfléchir sur leur projet professionnel, à prospecter pour trouver un employeur et finaliser un contrat d'apprentissage. L'entrée en formation nécessite d'avoir au moins 18 ans, d'être titulaire d'un diplôme ou titre de niveau V, d'avoir un moyen de locomotion. 490 h de formation sont dispensées sur 15 mois. ...
Lorsqu'il s'agit de préparer ses études à l'international, il est essentiel d'avoir accès à des informations fiables et à un soutien professionnel. C'est là qu’Admission Accomplie entre en jeu. En tant que cabinet spécialisé, ils sont là pour vous guider à chaque étape de votre parcours. Leur équipe d'experts peut vous aider à sélectionner les meilleures universités en fonction de vos objectifs et de vos intérêts académiques. De plus, ils vous offrent un accompagnement personnalisé pour constituer un dossier de candidature solide, rédiger une lettre de motivation convaincante et préparer les entretiens d'admission. Grâce à leur expertise et à leur connaissance approfondie du processus d'admission, Admission Accomplie vous donne les outils nécessaires pour maximiser vos chances de succès dans votre projet d'études à l'international Le coach, un partenaire incontournable pour bien gérer les projets complexes Les raisons qui poussent les lycéens français à s’expatrier après le bac n’ont guère changées, mais se sont faites plus pressantes ces dernières années. Au même temps, le Brexit, la réforme du bac et les changements dans Parcoursup ont incontestablement influencé le paysage éducatif dans lequel ces étudiants évoluent et vers lequel ils postulent. Le nouveau bac garde les richesses de l’ancien, mais présente de nouveaux défis pour les étudiants postulant à des filières STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie et Maths) dans les écoles d’excellence. Un bon cabinet de conseil vous aidera à mettre l'accent sur les points forts acquis grâce aux atouts du système éducatif français, tels que l’esprit analytique et synthétique, et une culture générale solide et large. Et, pour augmenter vos chances d’être pris dans les universités les plus sélectives en STIM, Admission Accomplie conseille que les étudiants suivent des cours supplémentaires en sciences pour se mettre au niveau de leurs pairs britanniques. Suite à l’augmentation des frais de scolarité au Royaume-Uni, la mobilité des étudiants a été affectée. Au UK, on voit une exigence pour intégrer que les meilleurs établissements – on cherchera des écoles plus accessibles au Pays-Bas ou en Irlande, par exemple. Typiquement un étudiant va postuler dans trois voire quatre pays, et son projet doit être appréhendé dans sa globalité. De plus, ces applications multi-destinations nécessitent la mise en place dès la Seconde de différentes stratégies pour enrichir le profil de l’étudiant en expériences en compétences pour augmenter leurs chances d'admission dans les pays visés. La préparation adéquate pour effectuer des études à l'international nécessite l'accompagnement d'un coach expérimenté. Admission Accomplie, fort d'une expertise de plus de 20 ans, est un cabinet d'accompagnement renommé, composé d'agents certifiés de l'enseignement supérieur. C’est aussi un centre UCAS agréé. Leur connaissance approfondie des systèmes éducatifs et leur capacité à cerner les critères et les préférences des candidats garantissent un soutien personnalisé et efficace pour réussir leur parcours universitaire à l'international. Postuler dans une université internationale avec Admission Accomplie La candidature à une grande université étrangère requiert une attention minutieuse portée au parcours de l'étudiant, notamment ses résultats scolaires, lettres de recommandation, lettre de motivation et tests externes. Une lettre de motivation bien rédigée joue un rôle crucial pour se démarquer des autres candidats et exprimer son projet d'avenir en lien avec le programme de l'université d'accueil. En plus des éléments traditionnels du dossier de candidature tels que les résultats scolaires et les lettres de recommandation, la personnalité du candidat est également prise en compte lors de la sélection des dossiers par les établissements internationaux. Les stages effectués pendant les vacances scolaires démon...
Pour améliorer la productivité et la motivation de vos salariés, la FFEPGV organise pour vous des sessions sportives adaptées. La FFEPGV : le Sport Santé à la portée de tous Fondée en 1888, la FFEPGV a la volonté de rendre accessible à toutes les personnes qui le désirent, la pratique d’une activité physique pour se maintenir en bonne santé. Pour ce faire, elle se base sur un réseau national de plus de 6000 clubs partout en France et de nombreux animateurs sportifs capables d’intervenir aussi bien en entreprise qu’à l’extérieur. En se caractérisant comme une fédération multiactivité non compétitive, elle fait le nécessaire pour promouvoir l’accessibilité et favoriser une activité sportive régulière qui peut se faire partout et à tout moment de la journée . Bien encadré, chacun peut apprendre les bonnes pratiques pour rester en forme tout en maintenant une motivation intacte de façon durable. Le sport en entreprise : une bonne alternative Le constat établi par le baromètre Sport Santé de la FFEPGV (Fédération française d’éducation physique et de gymnastique volontaire) en partenariat avec l’institut IPSOS nous donne une information intéressante : 72 % des Français estiment que le sport est une excellente solution pour diminuer le stress au travail et les émotions pénibles. 71 % déclarent qu’il peut diminuer les troubles musculaires et les problèmes de dos tandis que 67 % le voient comme un remède aux troubles du sommeil. Ces données sont à corréler avec celles d’une étude commandée par le Medef et menée par le CNOSF et AG2R La Mondiale expliquant qu’un salarié pratiquant régulièrement une activité physique serait plus productif qu’un employé sédentaire. Pour autant, malgré ces observations, seul 1 Français sur 2 ferait du sport. Cela à cause d’une réelle difficulté à gérer vie privée et vie professionnelle, empêchant l’inscription en club. Dans ce cas, il existe une alternative : amener directement le sport en entreprise. Ce que propose la FFEPGV Afin d’intéresser même les salariés les plus sédentaires, la FFEPGV est capable de s’adapter précisément à toutes les demandes. L’entreprise n’est donc plus seulement un lieu pour travailler, mais aussi l’endroit idéal pour se mettre ou se remettre au sport. Pour répondre à vos besoins, la fédération est capable d’accompagner l’entreprise et ses salariés dans la mise en place d’activités spécifiques dans les locaux (s’il est possible de disposer de salles adéquates) ou à l’extérieur. Cela peut se faire le matin avant la prise de poste, à la pause déjeuner, ou le soir pour évacuer toutes les tensions de la journée. La grande force de la FFEPGV : être multi activités. Vous pouvez donc lui demander de mettre en place des sessions centrées sur le cardio ou des séances plus douces tels que le pilate, entre autres. Sans oublier une marche ou course à pied en extérieur si les participants le souhaitent. Après une phase de tests pour jauger du niveau de chaque personne, le coach fait son maximum pour s’adapter aux besoins et capacités des participants tout en mesurant les progrès dans le temps. Vous l’avez compris : la FFEPGV a une pratique très personnalisée du sport en entreprise. De plus, si la société cliente le souhaite, la FFEPGV peut l’accompagner dans la réalisation d’un plan de communication sur le thème de la qualité de vie au travail en fournissant des outils de communication et des éléments à distribuer à chaque employé. L’objectif : pouvoir sensibiliser aux bonnes postures et aux bonnes pratiques quotidiennes. Actuellement, une centaine d’entreprises travaillent avec la FFEPGV. Parmi celles-ci, nous trouvons des PME et grands groupes (SNCF, EDF, Crédit Mutuel, Michelin, etc.) ainsi que des mutuelles et des administrations. Il faut dire que le tarif très compétitif pratiqué par la fédération fait la différence avec les clubs privés. Surtout que le coût de chaque séance peut être supporté par l’ent...
Un accord national interprofessionnel à la fin de l’année 2013, une loi le 5 mars 2014… voici maintenant venu le temps d’appliquer les nouveaux dispositifs de la formation professionnelle. Ces nouvelles mesures, portées et soutenus par la CFDT ont un double objectif : sécuriser le parcours professionnel des salariés et des demandeurs d’emploi avec une meilleure formation et qualification ; renforcer le développement et la compétitivité des entreprises. Des nouveautés avec trois dispositifs Parmi les nouveautés, trois dispositifs sont notamment intéressants pour le grand public. Le Compte Personnel de Formation : jusqu’à 150 heures de formation Le Compte Personnel de Formation : remplace le Droit individuel à la formation (DIF), lancé en 2009, mais qui a été un échec. Alors que le DIF se limitait à 120 heures de formation, le CPF peut monter jusqu’à 150 (à raison de 24h de crédit d’activité professionnelle par an). Et surtout, ces heures peuvent être intégrées et compléter une formation plus longue. Le Compte Personnel de Formation, dont chacun bénéficie depuis le 1er janvier 2015, réalise de bons débuts dans la région Occitanie. 41 000 personnes en ont déjà profité, dont 35 000 demandeurs d’emploi et 6 000 salariés. La grande majorité des bénéficiaires (25 000 personnes) sont aujourd’hui les 26-49 ans. La durée moyenne de formation est de 186 heures pour les salariés et 520 heures pour les demandeurs d’emploi. Le conseil en évolution professionnelle : vous vous interrogez sur votre avenir au sein de votre entreprise ? Sur votre réorientation de carrière ? Un nouveau dispositif émerge avec cette loi : le conseil en évolution professionnelle. Chaque salarié et demandeur d’emploi a un accès gratuit à du conseil, effectué par un opérateur désigné (APEC, Pôle Emploi, Missions locales, Cap Emploi et Fongecif). Ce conseil est réalisé en trois étapes : la première est plus généraliste, la seconde affine le projet tandis que la troisième cible une formation. Se former tout au long de la vie professionnelle L’entretien professionnel tous les deux ans : jusqu’en 2014, l’entreprise était présumée avoir rempli ses responsabilités en justifiant annuellement avoir dépensé au moins 0,9% de sa masse salariale annuelle brute pour des actions de formation. Cela évolue. Les employeurs sont tenus de s’entretenir tous les deux ans avec leurs salariés. Désormais, l’entreprise devra faire un état des lieux individuel tous les six ans : a-t-elle proposé une action ou formation qualifiante au salarié ? Le salarié a-t-il progressé en terme de salaire ou de poste ? A-t-il obtenu une certification ? Si deux des trois items ne sont pas respectés, l’entreprise sera pénalisée. La gouvernance évolue aussi La formation professionnelle a également connu des modifications dans sa gouvernance. Le COPAREF (Comité paritaire interprofessionnel régional pour l’emploi et la formation) a remplacé la COPIRE (Commission paritaire interprofessionnelle régionale pour l’emploi). Cette instance regroupe les partenaires sociaux (organisations salariales et patronales). Elle a une grande responsabilité, notamment celle d’inscrire les formations éligibles au Compte Personnel de Formation. « Il y a eu quelques bras de fer, sourit Stéphane Bonnetain, secrétaire régional CFDT Emploi-Sécurisation des parcours professionnels, et co-président du COPAREF. Les Régions voulaient que l’intégralité des Plans Régionaux de Formation soient repris dans les listes éligibles au CPF, nous voulions remplir notre mission en toute objectivité. Mais nous en avons repris un grand nombre. » Autre structure nouvelle : le CREFOP (Comité régional de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles) remplace le CRE et le Ccrefp. Cette organisation quadripartite est invitée à donner son avis sur les politiques d’orientation, la formation professionnelle, la cohérence des différents programmes et plans de formation dans la région. Après quelques tensions dues à la fusion des régions et aux logiques de territoire, « on ...
On le dit peu, mais l’Etat recrute encore ! « Et notamment des cadres, insiste François Chambon, directeur de l’Institut Régional d’Administration de Metz (IRA). Les administrations engagent des réformes, et justement, elles ont de plus en plus besoin d’attachés d’administration pour les piloter. » Pour préparer les futurs cadres de l’Etat à assumer leurs fonctions et leur mission de service public, il y a l’IRA. Soit cinq établissements en France, situés à Lille, Lyon, Nantes, Bastia… et Metz. L’établissement messin accueille des étudiants de la toute nouvelle région Grand Est, ainsi que d’Ile-de-France. Trois voies de recrutement existent. Le concours externe pour les étudiants d’un minimum de bac + 3 (même si la plupart sont dans les faits titulaires d’un Master 1 ou 2) attire chaque année environ 700 candidats qui passent les épreuves entre février et mai. Seuls 70 d’entre-eux sont admis. Le concours interne est accessible aux fonctionnaires qui ont au moins quatre ans de service public : une cinquantaine rejoignent l’IRA chaque année. Enfin, il y a le Troisième concours, ouvert aux salariés du privé ou à ceux qui ont exercé un mandat électif pendant au moins cinq ans : 7 à 8 personnes intègrent la promotion de l’IRA par ce biais.« Nous avons donc ainsi 130 personnes par promotion, avec des profils et des âges très variés, du jeune étudiant au quinquagénaire qui souhaite donner une nouvelle orientation à sa carrière ». La formation s’effectue ensuite durant une année… mais elle n’est pas seulement théorique. Quatre mois de stage sont obligatoires afin d’appliquer les compétences acquises. Cette année est rémunérée : les élèves externes bénéficient d’un traitement mensuel brut d’environ 1 590 €, les élèves interne ou issus du troisième concours touchent en moyenne à 1 770 €. Administration scolaire, centrale ou territoriale A l’issue de la formation, les élèves deviennent attachés d’administration. « Trois univers principaux s’ouvrent à eux, reprend François Chambon. L’administration scolaire et universitaire pour administrer le système éducatif français ; l’administration territoriale de l’Etat, c’est-à-dire les préfectures, sous-préfectures, directions régionales comme la Direccte ou la Dreal, où ils mettent en place les politiques publiques ; l’administration centrale, c’est-à-dire les services centraux à Paris, dans les différents ministères où ils participeront à des missions d’expertises, et à l’élaboration des projets de lois, de décrets, etc ». Les domaines d’intervention sont variés : ressources humaines, gestion budgétaire, juridique, management, etc. « A la sortie, chacun de nos élèves - sous réserve qu’il ait réussi sa formation – se voit proposer un poste par l’administration. Chaque années, les élèves ont eu des affectations essentiellement réparties entre le Grand Est et l’Ile-de-France.» Une formation à l’IRA permet aussi d’accéder à de plus hautes fonctions à terme : par la voie de la promotion interne et par concours, les attachés d’administration peuvent ensuite devenir directeur de préfecture, administrateur civil, sous-préfet, conseiller de tribunal administratif, conseiller de chambre régionale des comptes ... ...
Capite Corpus a été créée en 2003 sous l’impulsion de Laurent Lagarde. L’entreprise est née d’un simple constat : en management, il existe, d’un côté, les concepts et les grandes théories et, de l’autre, la réalité du terrain. « Les apports très conceptuels du management ne permettent pas de résoudre certains aspects plus pragmatiques comme motiver son équipe, la remotiver ou encore la recadrer si nécessaire », explique Chrystel Belvisi, directrice associée. Capite Corpus part du principe que la plupart des gens savent « quoi faire », mais ignorent « comment faire ». Pour cela, l’organisme de formation se veut être un véritable centre d’entrainement, où chaque participant est placé dans des situations professionnelles réalistes pour l’aider à adopter de nouveaux réflexes de communication. « Les participants sont toujours dans une démarche active, participative voire de co-construction de la formation avec le formateur », souligne la directrice. En d’autres termes, la formation se fonde sur la valorisation des bonnes pratiques déjà acquises, en mettant en lumière les expériences de chacun. Des formations sur mesure Doté des certifications « NF Service formation » et « OPQF », Capite Corpus propose des formations sur mesure de qualité, adaptées aux attentes spécifiques des entreprises, sur des thèmes liés au management, au commercial et à la relation client. L’objectif étant d’améliorer le comportement et la communication des managers, des commerciaux ou de toute autre fonction qui autorise des interactions avec le client. « L’idée est de donner aux stagiaires les bons mots au bon moment en fonction de la problématique qu’ils vont rencontrer dans leur quotidien professionnel », nous précise-t-on. Par ailleurs, grâce à des formateurs formés au coaching, les participants sont également mieux accompagnés pour faire face aux difficultés et les dépasser. ...
À travers une pédagogie innovante qui intègre des cours théoriques en e-learning et des workshops pratiques en présentiel, adLearnMEDIA accompagne les acteurs médias dans leur souhait de reconversion, d’évolution ou de spécialisation. Qu’ils soient des jeunes diplômés, des entreprises ou des professionnels dans le domaine du marketing et du commerce, cet organisme agréé DataDock et Pôle Emploi propose différentes formules adaptées à leurs exigences. Répondre à un réel besoin Au cours de ses expériences au poste de directeur commercial et marketing, Franck Terrier, fondateur d’adLearnMEDIA, s’est rendu compte de la nécessité d’accompagner les commerciaux face à la digitalisation des médias. « J’ai voulu former mes collaborateurs, mais il n’y avait quasi pas d’organisme de formation spécialisé sur une approche commerciale et marketing pour les régies ou les agences », précise-t-il. Afin de répondre à ce besoin, Franck Terrier décide de lancer son activité non sans avoir effectué au préalable une étude de marché auprès de nombreux acteurs médias (annonceurs, régies, agences…). E-formation et mix-formation : deux formules gagnantes Cet organisme formateur propose des formations novatrices et disruptives, déclinées en deux formules : l’e-formation et la mix-formation. La première s’adresse aux jeunes diplômés et aux professionnels, issus du secteur commercial ou de la publicité et souhaitant évoluer très vite dans leur domaine. Exclusivement prodiguée en ligne et accessible de partout en France, elle comprend des cours théoriques présentés sous forme de fiches, de vidéos et d’interviews. L’apprenant accède au module suivant en répondant correctement à un quizz. La formule est disponible en 3 packs déclinés selon le nombre de modules choisi (4, 9 ou 14). La mix-formation, quant à elle, alterne e-learning et formation en présentiel. « Tous les 4 modules validés, vous avez des workshops en présentiel sur Paris, incluant des cours de mise en pratique et des ateliers animés par des professionnels en activité », souligne le fondateur. Prévue pour septembre 2018, la nouvelle session s’étale sur une période de 4 mois. AdLearnMEDIA, c’est aussi des solutions de formation sur mesure pour les entreprises. Grâce à une méthode pédagogique en « blended learning » associant e-learning et workshop, l’organisme offre un parcours de formation adapté aux besoins des acteurs. Différentes formules sont présentées : formations courtes ; en période de professionnalisation ; contrat de professionnalisation au cours duquel les salariés profitent d’un accompagnement tout au long de leur parcours en entreprise. Plusieurs modules disponibles Dans la gamme des 14 modules mis à la disposition des apprenants figure, par exemple, la formation « Web, display et programmatique ». Celle-ci intègre, entre autres, la connaissance des modes d’achat et les technologies utilisées afin de mieux comprendre les évolutions des achats d’espaces publicitaires en ligne. Le module « Introduction aux médias » permet à l’apprenant d’acquérir une approche globale du cross média. Sur ce point, les réseaux sociaux font aujourd’hui partie des supports indispensables dans le domaine du B2B, mais encore faut-il savoir les utiliser ! Autre choix : le « social selling ». Ce module a pour objectif de faire comprendre les enjeux des médias sociaux pour le développement des ventes, d'en connaitre les bonnes pratiques puis de pouvoir élaborer une stratégie de vente adaptée. Enfin, compte tenu de l’importance de la gestion d’un site, adLearnMEDIA suggère aussi le module « Search, SEM, SEO, SEA » pour bien comprendre les systèmes de référencement et optimiser sa visiblité dans les médias sociaux. ...
L’Unité Mixte de Développement Professionnel Continu en Santé (UMDPCS) propose près d'une centaine de formations : diplômes nationaux, diplômes universitaires et inter-universitaires, formations courtes et formations ou colloques validant le DPC (développement professionnel continu). Les formats sont adaptés au cas par cas : présentiel, e-learning, hybride, MOOC, etc. La mixité, une spécificité de l'UMDPCS La mixité est d'abord celle des professionnels et des acteurs de santé eux-mêmes. Sont concernées toutes les professions de santé, y compris celles dont la formation initiale ne relève pas de l'université, qui ont pour objectif et/ou obligation de se spécialiser ou de se former tout au long de leur vie professionnelle. A ce jour, l’UMDPCS a formé plus de 7000 personnes. La mixité est également celle des intervenants - universitaires et professionnels - qui contribuent aux actions de formation dans le domaine de la santé. Plus de 50 responsables pédagogiques sont garants de la qualité scientifique et pédagogique de l'offre de formation. En plaçant, aussi souvent que nécessaire, les acteurs de santé « ensemble » en formation continue comme ils le sont « autour du patient » au quotidien, l’UMDPCS contribue au maintien d’un exercice pluriprofessionnel de qualité tenant compte de l’évolution des pratiques recommandées. Co-construire des formations innovantes avec l'UMDPCS L’UMDPCS a pour vocation de développer des actions de formation continue répondant aux attentes des professionnels de santé. Pour y parvenir, elle propose un soutien et une assistance exclusive dans l'élaboration de projets de formation continue répondant à ses objectifs de qualité (supports pédagogiques, administratifs et logistiques). ...
EduFactory a été lancée en 2000. On vous décrit comme le « pionnier du e-learning sur-mesure en France ». Pourquoi avoir choisi de vous positionner sur ce secteur à l’époque, alors qu’Internet en était quasiment à ses débuts ? Alexandre Lect : Nous avons commencé notre activité en tant qu’acteur de la formation présentielle. Mais, très rapidement, nous nous sommes rendus compte, avec l’arrivée des nouvelles technologies et la pénétration d’Internet, que le secteur de la formation digitale allait être extrêmement prometteur. Nous nous sommes donc positionnés assez tôt sur la formation « blended-learning » pour ensuite basculer vers l’e-learning fin 2010. Nous avons voulu être en quelque sorte des précurseurs, puisqu’à l’époque, le marché était à ses débuts. Aujourd’hui, l’e-learning connait une croissance à deux chiffres et nous sommes parmi les premiers à nous positionner sur ce secteur. C’est un grand avantage pour nous puisque les clients font confiance à notre expérience. Votre positionnement stratégique et commercial porte donc sur les formations sur-mesure. Pourquoi ce choix ? En matière de formation, nous estimons que les solutions génériques ne s’appliquent que sur des sujets transverses. À partir du moment où il est question de formations plus complexes nécessitant l’acquisition de compétences spécifiques ou qui touchent la culture et l’ADN d’une entreprise, il est essentiel de s’orienter vers le sur-mesure. Par ailleurs, de plus en plus d’entreprises souhaitent personnaliser les expériences de formation de leurs collaborateurs, en optant pour ces solutions sur-mesure justement. Quel est l’intérêt de proposer cette approche sur-mesure aux entreprises ? Quels sont les avantages pour les apprenants ? Nous proposons aux entreprises de placer leur besoin de formation au centre de la stratégie que nous allons mettre en place. Concrètement, nous avons développé trois métiers qui nous permettent de faire bénéficier aux entreprises de tous les avantages du sur-mesure. En premier lieu, il s’agit de les conseiller et de les accompagner dans leur programme de digitalisation. En second lieu, il s’agit de procéder à la création de contenus sur-mesure qui est notre cœur de métier. Sur ce point, nous proposons plusieurs formats en fonction des objectifs pédagogiques : du vidéo-learning, du e-learning, de la simulation, des serious game, etc. Tout cela permet aux entreprises de bénéficier d’un large éventail de solutions complètement personnalisables. Enfin, nous leur proposons des solutions d’hébergement pour leurs contenus. S’agissant des apprenants, notre priorité est de faire en sorte qu’ils puissent retenir l’information de manière très simple et le plus rapidement possible. Pour cela, nous leur proposons une expérience de formation entièrement personnalisée, tout en veillant à optimiser leur ancrage mémoriel. Les contenus, les formats et les supports de formation que vous proposez sont innovants. Vous proposez également des formations gamifiées qui cassent le côté soporifique des formations traditionnelles. Pouvez-vous nous en dire plus ? Le monde de la formation s’inspire en grande partie des techniques de neuroscience, de l’industrie cinématographique et des jeux vidéo. L’idée est de susciter des émotions chez les apprenants et cela dans le but d’améliorer l’ancrage mémoriel. La gamification s’appuie sur les leviers du jeu, en se servant des mécaniques ludiques et émotionnelles. C’est un accélérateur puissant de l’expérience d’apprentissage et donc de la rétention d’information. Même chose pour la scénarisation, où nous allons également jouer sur l’émotion de l’apprenant en faisant en sorte qu’il se reconnaisse dans une situation, qu’il ait envie de réagir ou qu’il s’attache à des personnages. Avez-vous quelques exemples de projets menés avec vos clients à nous citer ? Nous nous adressons à la fois au secteur public et aux entreprises privées. Nous avons eu la chance de remporter le réf&e...
Pédagogie à la carte Fort de plus de 60 ans d’expérience, Nacel place la pédagogie au cœur de son action. La marque travaille en étroite collaboration avec des enseignants de tous horizons, afin de créer des séjours adaptés aux envies et aux objectifs de chacun. Chaque personne étant unique, l’organisme propose des formules sur-mesure permettant à tous, petits et grands, de trouver le séjour qui lui correspond. Les participants sont ainsi orientés vers les programmes convenant à leur niveau, leur âge, leur destination, leur objectif et la langue avec laquelle ils souhaitent se familiariser. Les immersions permettront des progrès rapides et un apprentissage naturel en partageant le quotidien d’une famille étrangère. Les préparations aux examens conviendront à ceux qui espèrent des séjours riches en contenus pédagogiques. Pour ceux qui veulent joindre l’utile à l’agréable, l'apprentissage se complète par diverses activités ludiques comme le sport, le théâtre ou le cinéma, des activités culturelles et des jeux propres à la culture de chaque pays. En famille ou en résidence, les participants peuvent profiter de séjours tout au long de l’année pour apprendre le monde le temps d’un voyage… Une offre riche et qui répond aux tendances actuelles Grâce à quelques 200 partenariats développés avec des établissements partout dans le monde, Nacel offre plus de 20 pays d’accueil, parmi lesquels la Grande Bretagne, les USA, la Chine, les Emirats Arabes Unis, Chypre, ou encore Malte. L’organisme dispose en outre d’un réseau intégré d’équipes implantées aux Etats-Unis, au Canada ou encore en Australie. Les destinations anglophones étant les plus plébiscitées, Nacel propose comme nouveauté 2018 , une immersion de dix jours à Dublin. Un séjour très intensif, rythmé par des activités et des séquences de discussion en one to one avec des intervenants anglophones. Avec un taux d’encadrement d’un natif pour un participant, l’apprentissage sur-mesure prend tout son sens… Nacel se diversifie en se montrant à l’écoute des tendances actuelles et organise des séjours de plus en plus originaux. Pour tous les férus d’informatique, il existe aujourd’hui des formules permettant un double apprentissage en programmation et en langue. L’organisme propose un séjour inédit anglais et coding à Londres. Durant 2 semaines, les participants jongleront entre cours d’anglais (15h) et cours de codage informatique (45h). Enfin, Dubaï étant devenue une destination phare, Nacel a créé un séjour riche en activités originales au cœur de la ville où tout semble possible. Outre les 30 heures de cours d’anglais en classe internationale, les participants visiteront l’îlot de modernité dans son ensemble… Des séjours de qualité et certifiés Réputé pour la qualité de ses séjours, Nacel fait partie des rares organismes à avoir obtenu la certification NF Service attribuée par Afnor Certification. Son adhésion à l’Unosel renforce sa fiabilité et son sérieux, puisqu’il est rigoureusement tenu de respecter une charte de qualité imposée par cette union professionnelle des organisateurs de séjours linguistiques. Maitrisant toute la chaine de l’organisation du séjour grâce à une implantation dans de nombreux pays, l’entreprise est aussi agréée IATA (Association Internationale du Transport Aérien). Ce partenariat lui permet d’offrir les meilleures conditions de séjour à ses clients en termes de prix, de destination et de prise en charge. Une trentaine de conseillers sont quotidiennement à l’écoute pour leur apporter un support permanent et un suivi personnalisé. Ce sérieux et cette expertise a valu à Nacel un indice de satisfaction de 16.4/20 en 2017. ...
Qu’on se le dise, les fonctions QSE ont de l’avenir. QSE ? Qualité, Sécurité, Santé au travail, Environnement. Nés dans les années 1980, ces métiers sont en prise directe avec le développement durable. Ils peuvent consister à assurer la qualité des produits et des services, à garantir la traçabilité, à prévenir les risques, etc. Et alors que les règlementations se durcissent et que les enjeux s’accentuent, les profils capables de maitriser ces champs sont particulièrement recherchés dans toutes les entreprises et organisations. De solides compétences L’École Supérieure pour la Qualité l'Environnement, la Santé et la Sécurité en Entreprise (ESQESE) forme à ces métiers depuis 1994. Avec succès : 60 à 80 % des titulaires de bac + 3 trouvent un emploi dans les six mois, un taux qui monte à 80 % à bac + 5. « Les entreprises apprécient les solides compétences opérationnelles (deux tiers des intervenants sont des professionnels), confie Vincent Goubier, directeur, mais elles apprécient aussi qu’une vraie proposition de développement personnel soit offerte à chaque étudiant, pour qu’il travaille son savoir-être et renforce ses capacités sensorielles, émotionnelles, et pas seulement son aptitude à raisonner. » La formation bac + 3 de l’ESQESE est aussi accessible directement à bac + 2. En filière classique ou en alternance, 30 places sont ouvertes jusqu’en septembre. « Elles permettent à des étudiants qui ont un autre parcours d’avoir une double compétence. Par exemple, un chimiste qui souhaiterait s’orienter vers le poste de référent qualité de son laboratoire, ou un technicien qui voudrait acquérir des compétences en gestion des risques. » ...
D’un côté, l’Institut IRPALL. Cette structure fédérative de l’Université de Toulouse 2 Jean Jaurès développe des programmes de recherche pluridisciplinaire de pointe, tout en favorisant le partage culturel pour le plus grand nombre. De l’autre, l’opéra. Une oeuvre d’art total, mêlant musique, paroles, décors et activant voix, corps et jeu de scène. Etudier l’opéra réclame une démarche scientifique pluridisciplinaire, puisque plusieurs champs de spécialités et de compétences sont requis, de la littérature à l’histoire en passant par la mythologie. Il y a 7 ans, le Théâtre du Capitole et l’IRPALL ont signé une convention de partenariat. Associer une institution culturelle lyrique et une structure de recherche, toutes deux de renommée internationale, relevait du défi. Pari réussi : les structures organisent désormais diverses manifestations par an, des journées d’études (15 depuis le début du partenariat), des rencontres avec le public, des ateliers d’écoute, des conférences d’avant-spectacle, etc. Institut IRPALL : étudier l'opéra nécessite une démarche scientifique pluridisciplinaire Cette variété d’activités implique le monde universitaire dans son ensemble. Par exemple, les Journées d’études réunissent des chercheurs français et internationaux, spécialistes de littérature, de musicologie, de langues, d’histoire et d’art. Les rencontres avec le public associent les étudiants en musique, ainsi formés à la prise de parole en public et à la diffusion des savoirs. Animée par Michel Lehmann, directeur de l’IRPALL et spécialisé notamment dans l’opéra du XIXe, et Christine Calvet, secrétaire générale, forte d’une expérience de 20 ans dans le pilotage de la recherche pluridisciplinaire, cette Convention affiche son dynamisme : amateurs, mélomanes, artistes, critiques, étudiants, chercheurs et groupes scolaires fréquentent ces activités qui favorisent les passerelles entre recherche et création artistique, université et cité, quartiers urbains et centre-ville, publics avertis et éloignés. ...
Le coronavirus bouscule les habitudes de consommation, fragilisant un secteur qui doit aujourd’hui composer avec un avenir incertain. Comment se traduit aujourd’hui l’impact du Covid-19 sur l’hôtellerie ? JFG : On entend pas mal de chiffres mais ils ne sont pas consolidés. Nous disposons d’une première étude très récente sur le parc hôtelier de Singapour. Cette étude indique un choc de demande, qui a baissé drastiquement et dont les prévisions à court terme sont du même ordre. Les hôteliers se retrouvent avec des recettes en forte baisse et des coûts fixes importants qui eux ne bougent pas. Nul ne sait vraiment quelles sont les pratiques de consommation du tourisme qui vont s’établir dans notre monde d’après : envie de se déplacer ? Choix des destinations (plus ou moins contraints par les ouvertures de frontières et des liaisons aériennes) ? Pour les gestionnaires des hôtels, c’est impossible à ce stade de se projeter dans l’après en posant des hypothèses d’activité (volume, durée). Comprenons-nous bien, ça ne veut pas dire qu’ils ne vont pas s’en sortir ! Un nouveau paysage économique Les acteurs de l’hôtellerie sont-ils tous égaux pour surmonter cette crise ? JFG : On peut mettre en avant trois variables qui vont être importantes. D’une part les pays où une partie des pertes pourra être prise en charge par des mécanismes globaux : on pense au chômage partiel comme en France et en Allemagne. Ensuite, on va voir des zones géographiques où l’activité va reprendre, quand les conditions sanitaires seront acceptables. Enfin, la crise va impacter les grands groupes mais les décisions de gestion les plus difficiles seront probablement sur les épaules de patrons de petites structures. De l’incertitude au renouvellement Le marché hôtelier doit-il changer de modèle ? JFG : La question se pose sur certains outils de gestion et méthodes. Par exemple le pricing dynamique se trouve remis en cause dans une période critique de demande. Mais il retrouvera son utilité le jour où le marché sera revenu sur un équilibre classique. On peut imaginer que les gestionnaires hôteliers vont intégrer des contraintes beaucoup plus fortes de l’environnement dans leur plan stratégique. Une des questions qui émerge est celle d’une remise en cause du modèle d’internationalisation de l’hôtellerie, avec des logiques plus régionales. L’avenir nous le dira… ...
Donner aux créateurs de demain le savoir et la compétitivité nécessaires pour faire face à un monde qui bouge sans cesse, c’est le cœur de mission d’Autograf, école de design parisienne ayant vu le jour en 1982. Un corps d’enseignants formé de professionnels rompus à leur art respectif, une incubation régulière des étudiants dans des situations réelles de création et la mise en avant de l’alternance. Tels sont les traits distinctifs qui font sortir cette institution du lot. Gros plan sur la MANAA : l’année préparatoire d’Autograf Intégrer un cursus supérieur en arts appliqués, sans s’y être nécessairement préparé en amont, c’est ce qu’offre Autograf à travers son parcours MANAA, à traduire par mise à niveau en arts appliqués. Cette année préparatoire, première année commune des Bachelors Design, permet par la suite d’intégrer les BTS et Bachelors proposés par l’école Autograf. Cette année d’apprentissage, planifiée sur le calendrier scolaire, se termine par quatre semaines de stage en entreprise pour une application pratique. Les candidats à cette formation reçoivent les bases en dessin, en graphisme, en analyse d’espace, en animation 3D et en infographie. Ils s’initient à leur secteur d’intention sous l’encadrement de professionnels qui y travaillent déjà. Le parcours MANAA présente comme grand atout de préparer les étudiants à être éligibles à l’alternance dès l’année suivante. Daniel Toupenet, Directeur d’Autograf le souligne : « Toutes les semaines, nos étudiants ont des cours sur les logiciels de création graphique afin d’être opérationnels et ainsi favoriser leur intégration en entreprise en alternance ». ...
« Dans une classe de sixième accueillant 30 élèves, l’on sait qu’il existe en moyenne deux ans d’écart de niveau en mathématiques. Ce constat montre une faille dans l’apprentissage », constate Laetitia Grail, cofondatrice de myBlee Math également professeure de mathématiques pendant dix ans. Ainsi disponible sur iPad, l’application myBlee Math veut aider les enfants de 5 à 12 ans à s’améliorer dans cette discipline non pas en les cloisonnant à un niveau mais en découpant l’apprentissage en différentes phases pour qu’ils puissent évoluer en fonction de leurs capacités et à leur rythme. L’innovation technologique au service d’une pédagogie innovante myBlee Math est un outil complet enseignant les mathématiques de la maternelle à la sixième. Il est le fruit d’un travail de partenariat avec des enseignants et entités spécialisées dans l’enseignement. « Il a fallu trois années pour créer la bibliothèque de 2 000 exercices et leçons conformes au programme des cycles 1, 2 et 3 de l’Éducation nationale », explique la CEO. Les contenus se décomposent en plusieurs modules et notions, avec des niveaux de difficultés progressifs. L’équipe de myBlee Math a choisi d’intégrer les meilleures pédagogies utilisées en France et dans le monde, telles la pédagogie Montessori ou la méthode de Singapour. Aujourd’hui, elle ne cesse d’explorer de nouvelles pratiques en se penchant sur les neurosciences. L’innovation se trouve également au niveau de la technologie utilisée. L’interface intuitive, le game design, la reconnaissance d’écriture manuscrite, la correction adaptative ou encore le texte-to-speech sont conçus de façon à optimiser l’interactivité et l’efficacité d’apprentissage. « L’enfant peut tourner un rapporteur aussi facilement sur une tablette que sur une feuille de papier ! », déclare Laetitia Grail. Un parcours d’apprentissage personnalisé De plus, l’application myBlee Math utilise un moteur d’adaptive learning basée sur une intelligence artificielle pour créer un parcours d’apprentissage personnalisé et adapté à chaque profil. Concrètement, le niveau d’exercice proposé est pertinemment choisi en fonction de l’évolution de chaque enfant. « L’application comprend l’enfant : il l’évalue et l’accompagne dans sa progression. » L’usage de myBlee Math se fait sous la houlette des professeurs et des parents. À l’école, les enseignants disposent d’un mode de pilotage pour suivre les activités de la classe et de chaque élève, puis pour attribuer, corriger ou planifier des travaux. Les parents ont aussi accès à une fonctionnalité similaire. Ils peuvent consulter le reporting, visualiser le parcours de leur enfant et lui confier des exercices depuis leur smartphone. ...
Depuis 5 000 ans, l’Ayurveda, littéralement « science de la vie », et médecine intégrative est pratiquée en Inde comme un art de vivre. Cette ancienne médecine holistique est reconnue depuis 45 ans par l’Organisation mondiale de la santé. Elle est enseignée en Inde, en universités et instituts gouvernementaux (une centaine), le doctorat de base, étant de 6 ans (BAMS : doctorat en Ayurveda, médecine et chirurgie). Narendra Modi a créé le ministère des médecines traditionnelles : AYUSH ( Ayurveda, yoga et naturopathie, Unani, Siddha et homéopathie), dont le Dr Kotecha en est le secrétaire d’état. Faire connaitre une partie des connaissances liées à cette discipline et les partager à travers des formations combinant à la fois théories et pratiques, tel est l’objectif de l’AssPPA (Association pour la promotion et la pratique de l'Ayurveda). Une médecine douce Médecine traditionnelle indienne, l’Ayurveda traite l’individu dans son ensemble. « Elle se fonde sur l’observation de l’être humain, de son environnement mais aussi sur son hygiène de vie et alimentaire », explique Marie Christine Campo-Paysaa, la fondatrice de l’association. Pour les soins et les thérapies, l’Ayurveda utilise essentiellement les massages, des plantes, des pierres et des minéraux, mais aussi des métaux tels que le cuivre, le zinc, le fer, le mercure, l’argent, l’or. En médecine ayurvédique, le corps et l’esprit sont indissociables. Ainsi, pour restaurer l’équilibre et l’harmonie globale, le yoga, la méditation et les massages occupent une place privilégiée. Une rencontre déterminante L’association voit le jour en 1995 sous le nom de Corps et Conscience. « À l’époque, nous ne proposions que des séances de hatha yoga et de yoga nidra », nous indique-t-elle. En 2003, Marie-Christine Campo-Paysaa fait la connaissance du Dr Kotecha, un éminent médecin ayurvediste. « Cette rencontre a été comme un déclic et nous nous sommes tournés vers l’Ayurveda », raconte notre interlocutrice. C’est dans ce contexte que va naitre le Centre Ayurveda d’Aquitaine. Des formations complètes Le centre dispense des formations diplômantes, portant non seulement sur les bases théoriques de l’Ayurveda mais également sur les pratiques des différentes techniques de massage. S’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels désirant se reconvertir, ou compléter leurs connaissances, ces formations durent entre 15 et 17 jours, impliquant 6 jours d’enseignement théorique. Grâce à un partenariat noué avec Chakrapani Ayurveda Clinic & Research Center (clinique fondée par le Dr Kotecha) basée à Jaipur, les étudiants ont l’opportunité de finir leur cursus en Inde. ...
Créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par une ordonnance du 9 octobre 1945 en même temps que l’Ecole Nationale d’Administration et l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, Sciences Po Strasbourg fait partie des dix IEP de France et représente le plus ancien IEP de région. Il est né d’une volonté de moderniser et rénover l’Etat via un projet de formation des élites administratives, politiques et privées. Cette filière d’excellence a bâti sa notoriété sur la base d’un ancrage régional fort se manifestant par ses relations étroites avec l’Université de Strasbourg. « Nous sommes l’un des rares Sciences Po à être intégré dans une université », fait savoir d’emblée, Gabriel ECKERT, directeur de l’institut. Un statut particulier qui est stratégique pour les étudiants ayant la possibilité notamment de réaliser des doubles-cursus de licence en économie et sciences sociales ou de suivre une formation au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) qui est une autre composante de l’Université de Strasbourg. Des cursus pluridisciplinaires Les cursus de Sciences Po Strasbourg reposent sur un schéma identique à celui adopté par les autres instituts d’études politiques. Depuis la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat), l’institut propose une formation de cinq ans répartie en deux cycles. Durant les deux premières années du premier cycle, les étudiants acquièrent un socle de connaissances renforçant leur esprit d’analyse et de compréhension des grands enjeux européens. « Le programme est pluridisciplinaire et généraliste car nous voulons que nos étudiants perçoivent tous les problèmes du monde. Ces derniers doivent être abordés aujourd’hui pas seulement sous l’angle d’un technicien spécialisé mais de manière globale et générale», déclare le directeur de l’institut. Les cours sont orientés autour de cinq champs disciplinaires à savoir le droit, l’économie et la gestion, l’histoire contemporaine et les relations internationales, les sciences sociales et la science politique et enfin, les langues. La troisième année est celle de la mobilité à l’étranger. « Grâce à nos 140 conventions d’échange avec des universités étrangères, nos étudiants passent cette année obligatoire à l’international dans une de nos universités partenaires ». Cette année à l’étranger peut également prendre la forme de stages ou d’activités professionnelles. Le second cycle pour sa part s’organise autour d’une progressive spécialisation. « Si le socle commun de compétences, la transversalité de notre formation et sa pluridisciplinarité sont absolument essentielles dans la carrière et la vie professionnelle de nos étudiants, pour entrer dans une activité professionnelle, il faut une spécialisation. », explique notre interlocuteur. En quatrième année, les étudiants choisissent alors entre l’une des quatre filières : droit et administration publique, économie/entreprise, études européennes, politique et société. Une ouverture sur l’Europe et le monde entier Sciences Po Strasbourg se nourrit d’une forte vocation européenne et internationale. Une orientation qui s’est faite naturellement grâce son emplacement stratégique au cœur de l’Europe, dans une ville frontière abritant les plus importants organismes européens (le Parlement Européen, le Conseil de l’Europe, la Cour Européenne des Droits de l'Homme, le Centre Européen de la Jeunesse etc.). Cette proximité ayant contribué à créer des partenariats avec les plus grandes institutions européennes donne l'opportunité aux étudiants internationaux inscrits au Certificate of European Studies de comprendre l’Europe au cœur de sa capitale. Ce programme enseigné en anglais s’organise chaque semestre et se concentre sur l’Europe dans une perspective globale. L’engagement à l’international se manifeste également par l’adhésion aux éch...
Favoriser la double carrière dans les couples expatriés, tel est l’objectif que s’est fixé Absolutely French. Cette startup leur offre un vrai coup de pouce. Comment ? Grâce à une formation de français, qui propose une approche à la fois ludique et conviviale aussi bien de la langue que de la culture. Conjoint.e d’expatrié.e Ayant été conjointe d’expatrié dans 6 pays différents, Armelle Perben, fondatrice d’Absolutely French, sait mieux que quiconque les conséquences qu’impliquent une telle situation sur la carrière professionnelle. « Dans la grande majorité des cas, ce sont presque toujours les femmes qui sacrifient leur carrière afin de suivre leur mari », explique-t-elle. Une fois arrivées à destination, ces dernières rencontrent ensuite énormément de difficultés pour décrocher un emploi. Si, finalement, elles y parviennent, le poste proposé ne correspond ni à leurs études ni à leurs expériences professionnelles. C’est en partie pour tenter de corriger cette situation qu’Armelle Perben crée Absolutely French en 2015. Pédagogie active La startup élabore les cours des français en fonction des besoins des conjoints. Ici, la pédagogie se veut être active : les participants évoluent dans des situations réelles qui les incitent à échanger directement avec les locuteurs natifs. « Nous les amenons au marché et ils font eux-mêmes les courses, cela leur permet, par exemple, de travailler les outils linguistiques servant à exprimer la quantité ou les chiffres », nous indique-t-on. Après le marché, tout le monde se retrouve ensuite en cuisine. Évidemment, les apprentis en profitent pour apprendre quelques notions grammaticales tout en cuisinant. Il est vrai qu’avec Absolutely French les apprenants n’ont pas le temps de s’ennuyer ! Et c’est justement le but recherché, puisque la startup se sert expressément des jeux comme leviers d’apprentissage. Partir à la découverte de Paris à travers des jeux de pistes, simuler un entretien d’embauche, visiter des lieux importants comme la mairie ou la poste… Quelle que soit l’activité proposée, celle-ci est toujours présentée de manière ludique. Les formations intègrent également les informations jugées utiles au quotidien. « Quand ils arrivent en France, beaucoup d’étrangers ne savent pas trier les déchets ou quel numéro composer pour appeler les services publics », rapporte notre interlocutrice. Projet de vie Afin de favoriser l’intégration des expatriés, Absolutely French les assiste et les accompagne dans leur projet de vie. Une mise au point portant sur l’avancement du projet ou sur les difficultés rencontrées est réalisée régulièrement. « Nous leur donnons des informations sur une école ou bien sur un travail qu’ils souhaitent faire. » Pour aller plus loin, Absolutely French intervient même sur le plan relationnel, en aidant les apprenants à développer leurs réseaux d’amis grâce au Club Absolutely. Régulièrement, des évènements sont organisés pour que les expats puissent se rencontrer dans une ambiance conviviale et partager leurs expériences. ...
Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...