Produit de santé employé à des fins thérapeutiques ou diagnostiques pour compenser par exemple un handicap, le dispositif médical (DM) forme un écosystème innovant en pleine expansion. Cette discipline appartenant au domaine médical joue le rôle d’interface technique ou technologique entre la santé des patients et l'univers médical. En 2017, le secteur a représenté un marché de 28 milliards d’euros et a généré pas moins de 85 000 emplois directs en France. Pour être à la hauteur des nouveaux défis imposés par la filière, l’Institut supérieur d'ingénieurs de Franche-Comté (ISIFC) renforce son engagement de préparer des ingénieurs qualifiés et polyvalents, qui vont élargir le champ des possibles dans le génie biomédical.
Appuyé par un réseau d’experts
« Notre école est agréée CTI depuis sa création en 2001 et nous basons notre expertise sur le DM, depuis la conception jusqu’à la mise en marché, en passant par la fabrication et la validation », introduit Vincent Armbruster, directeur de l’institut. Le génie biomédical, défini comme « un art d’appliquer les sciences et les techniques les plus avancées à la conception et à la validation d’appareils pour prévenir, diagnostiquer, traiter et assister les patients », intègre une dimension transversale qui sous-tend une approche pluridisciplinaire. De ce fait, cet institut d’excellence s’entoure d’une solide équipe pédagogique regroupant des enseignants-chercheurs de l'université de Franche-Comté au sein des laboratoires de recherche, mais aussi des formateurs issus des entreprises et des centres de soins locaux. L’ISIFC jouit également de la synergie développée avec le CHRU, l’EFS et l’incubateur de Besançon, le SNITEM, le pôle de compétitivité des microtechniques de Franche-Comté et la CDEFI.
Développer des compétences et des talents
Le génie biomédical offre l’opportunité aux étudiants d’œuvrer dans le secteur de santé sans forcément passer par médecine. La formation proposée par l’ISIFC s’intéresse à trois cultures spécifiques : la technique qui traite les sciences de l’ingénieur, le médical ou la biologie santé et le volet réglementaire. « Le champ d’application de notre filière est très vaste mais exige un niveau de connaissance très précis et très pointu », explique notre interlocuteur. « Durant la première année du cursus, on va venir établir un socle commun de connaissances sur lequel fonder les futures spécialisations de nos étudiants. » Ce travail met l’accent sur l’aspect mécanique, électronique, mathématique, informatique et biologie santé pour permettre à tous de partir sur une base homogène et d’évoluer vers des compétences plus affirmées et plus ciblées. Pendant la seconde année d’études, cette approche se complète par un approfondissement de la réglementation et de l’éthique, un sujet particulièrement sensible quand on parle de DM. « L’idée étant de former des ingénieurs spécialistes dans le volet réglementaire qui vont développer des produits tout de suite certifiés par les normes européennes, et ainsi accélérer les procédures de mise en marché », reprend-il. La troisième et dernière année du programme prévoit la possibilité de conclure un contrat pro (formation en alternance) et offre trois options de spécialisation : la bio-ingénierie, l’e-santé, et la biomécanique et microsystème.
En outre, différents stages (stage découverte, stage hospitalier, stage R&D, stage industriel) et projets tutorés sont obligatoires et représentent près de la moitié du temps de la formation, avec un encouragement à partir à l'international. Pour les professionnels et les entreprises, plusieurs formations thématiques à la carte et sur mesure sont à découvrir, allant des formati...
L’Unité Mixte de Développement Professionnel Continu en Santé (UMDPCS) propose près d'une centaine de formations : diplômes nationaux, diplômes universitaires et inter-universitaires, formations courtes et formations ou colloques validant le DPC (développement professionnel continu). Les formats sont adaptés au cas par cas : présentiel, e-learning, hybride, MOOC, etc.
La mixité, une spécificité de l'UMDPCS
La mixité est d'abord celle des professionnels et des acteurs de santé eux-mêmes. Sont concernées toutes les professions de santé, y compris celles dont la formation initiale ne relève pas de l'université, qui ont pour objectif et/ou obligation de se spécialiser ou de se former tout au long de leur vie professionnelle. A ce jour, l’UMDPCS a formé plus de 7000 personnes.
La mixité est également celle des intervenants - universitaires et professionnels - qui contribuent aux actions de formation dans le domaine de la santé. Plus de 50 responsables pédagogiques sont garants de la qualité scientifique et pédagogique de l'offre de formation.
En plaçant, aussi souvent que nécessaire, les acteurs de santé « ensemble » en formation continue comme ils le sont « autour du patient » au quotidien, l’UMDPCS contribue au maintien d’un exercice pluriprofessionnel de qualité tenant compte de l’évolution des pratiques recommandées.
Co-construire des formations innovantes avec l'UMDPCS
L’UMDPCS a pour vocation de développer des actions de formation continue répondant aux attentes des professionnels de santé.
Pour y parvenir, elle propose un soutien et une assistance exclusive dans l'élaboration de projets de formation continue répondant à ses objectifs de qualité (supports pédagogiques, administratifs et logistiques).
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Fondé en 1903 par des prêtres dominicains, le Collège Champittet était, à ses débuts, un internat exclusivement réservé aux garçons. Aujourd’hui, l’établissement accueille également des filles et abrite non seulement un internat mais surtout un externat qui concerne 90 % des élèves. Le Collège propose une éducation académique à des enfants âgés de 3 à 18 ans. De par son histoire, il a des valeurs profondément inscrites. « L’école a des racines catholiques mais elle est ouverte à toutes les communautés, formes de pensée, de religion ou de croyance », précise Philippe de Korodi, le directeur. À travers ses 115 années d’existence, l’établissement a évolué et est passé d’une référence locale à un rayonnement international. En effet, 60 % des élèves inscrits viennent de toutes les régions du monde. De plus, l’école fait partie du groupe Nord Anglia Education, une organisation regroupant 55 écoles d’excellence dans le monde.
Un cadre unique avec des infrastructures haut de gamme
Située non loin de Lausanne, à 200 m du lac Léman, l’école dispose d’un campus arboré établi sur une surface totale de 40 000 m². Le cadre bénéficie de nombreux espaces verdoyant sous l’ombre de grands arbres majestueux. En hauteur, depuis les fenêtres du Collège, les élèves profitent d’une magnifique vue sur les Alpes. Outre les différents bâtiments scolaires, le campus est doté de plusieurs équipements sportifs incluant des terrains de sport ainsi que de deux courts de tennis.
Des cursus adaptés au profil des élèves
Le Collège Champittet dispense un programme bilingue (anglais, français) à tous ses élèves. L’école les prépare également à trois diplômes prestigieux à savoir : la maturité suisse, le baccalauréat français et le baccalauréat international. «Tous ces diplômes ont des caractéristiques différentes qui nous permettent d’orienter l’élève selon son profil personnel », développe le directeur. Pour les élèves non francophones, un programme spécifique dénommé F.L.E (français langue étrangère) leur permet d’atteindre en seulement une année le niveau B1/B2 du CECR (Cadre européen commun de référence). Un autre élément qui démarque le Collège Champittet porte sur son approche pédagogique qui prône l’usage des nouvelles technologies. « Les élèves ont accès à des iPad collectifs très tôt mais, dès l’âge de 7 ans, l’école leur fournit un iPad personnel », nous indique-t-on. Cette approche permet à la fois de booster la curiosité intellectuelle et de favoriser une meilleure collaboration entre les élèves. Depuis 2016, l’établissement a aussi entamé une nouvelle approche axée sur la multidisciplinarité. Le programme STEAM (science, technologie, ingénierie, les arts et les mathématiques) en partenariat avec le M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) a pour objectif de développer les aptitudes de l’enfant à trouver rapidement des solutions face à des problèmes concrets.
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L’iaelyon est rattaché à l’université Jean Moulin. Cette école de management publique fait partie des 32 écoles universitaires de management qui proposent des Diplômes d'Etat en Management et Gestion. L’école est certifiée Qualicert et bénéficie de l’accréditation internationale EPAS.
A l’iaelyon, vous pourrez choisir entre 7 licences générales, 12 licences professionnelles, 13 masters et un programme doctoral.
Mais cette école est devenue également un acteur majeur dans la formation continue.
Entretien avec Corinne Forgues, directrice du Développement de la Formation Continue
Quelle est l’offre de formation continue que propose l’iaelyon ?
L’offre est très large, à la fois diplômante avec des diplômes niveau master en français, un MBA en anglais, un Executive Doctorate in Business Administration en partenariat avec BSI, 5 diplômes d’université qui sont positionnés à bac+3 ou à bac+5. Nous avons également une activité d’offres sur-mesure pour les entreprises où nous construisons entièrement des programmes dédiés au public spécifique des entreprises. Nous proposons également des formations courtes, certaines certifiantes. Nous faisons de la VAE (Validation des Acquis par l’Expérience). Ceci sur tous les champs du management et de la gestion.
La demande est forte surtout sur les formations intra et sur les formations courtes en management. Nous avons également des formations techniques sur la finance, le marketing, etc.
La demande des entreprises pour des formations sur-mesure est en constante augmentation.
A qui s’adressent vos formations ?
Pour intégrer un master, il faut a priori au minimum un niveau bac+4, mais grâce à la Validation des Acquis par l’Expérience Personnelle et Professionnelle, nous pouvons intégrer des personnes qui ont un niveau d’études initial inférieur à bac+4 au vu de leur expérience professionnelle.
Les profils sont très variés. Nous avons des personnes avec des diplômes d’ingénieur, des diplômes de juristes qui viennent parce qu’elles ont besoin à un moment de leur carrière d’une nouvelle dimension managériale et gestion ou des participants qui veulent renforcer leurs compétences métier.
Nos participants viennent majoritairement des entreprises, mais également du monde de la santé, du monde des ONG, du monde associatif, du secteur public.
Pourquoi choisir l’iaelyon ?
L’école se trouve dans la Région Lyonnaise, donc à proximité de nombreuses entreprises dynamiques.
Nous avons une offre qui est très large et qui répond aux profils de nombreux professionnels. De plus l’offre est construite pour pouvoir concilier temps professionnel et temps en études. Nous essayons d’adapter au maximum les emplois du temps au rythme professionnel. Par exemple les populations commerciales ont du mal à libérer du temps en semaine, donc nous faisons des formations le vendredi après-midi et le samedi. Les contrôleurs de gestion ont besoin d’être libres en début de mois et en fin de mois, donc ils n’ont jamais de cours à ce moment-là. Avec la modularisation des formations, on peut obtenir un diplôme en 3 ou 4 ans, en choisissant chaque année quelques modules, pour à la fin aller vers le diplôme.
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Qu’on se le dise, les fonctions QSE ont de l’avenir. QSE ? Qualité, Sécurité, Santé au travail, Environnement. Nés dans les années 1980, ces métiers sont en prise directe avec le développement durable. Ils peuvent consister à assurer la qualité des produits et des services, à garantir la traçabilité, à prévenir les risques, etc. Et alors que les règlementations se durcissent et que les enjeux s’accentuent, les profils capables de maitriser ces champs sont particulièrement recherchés dans toutes les entreprises et organisations.
De solides compétences
L’École Supérieure pour la Qualité l'Environnement, la Santé et la Sécurité en Entreprise (ESQESE) forme à ces métiers depuis 1994. Avec succès : 60 à 80 % des titulaires de bac + 3 trouvent un emploi dans les six mois, un taux qui monte à 80 % à bac + 5. « Les entreprises apprécient les solides compétences opérationnelles (deux tiers des intervenants sont des professionnels), confie Vincent Goubier, directeur, mais elles apprécient aussi qu’une vraie proposition de développement personnel soit offerte à chaque étudiant, pour qu’il travaille son savoir-être et renforce ses capacités sensorielles, émotionnelles, et pas seulement son aptitude à raisonner. »
La formation bac + 3 de l’ESQESE est aussi accessible directement à bac + 2. En filière classique ou en alternance, 30 places sont ouvertes jusqu’en septembre. « Elles permettent à des étudiants qui ont un autre parcours d’avoir une double compétence. Par exemple, un chimiste qui souhaiterait s’orienter vers le poste de référent qualité de son laboratoire, ou un technicien qui voudrait acquérir des compétences en gestion des risques. »
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Créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par une ordonnance du 9 octobre 1945 en même temps que l’Ecole Nationale d’Administration et l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, Sciences Po Strasbourg fait partie des dix IEP de France et représente le plus ancien IEP de région. Il est né d’une volonté de moderniser et rénover l’Etat via un projet de formation des élites administratives, politiques et privées. Cette filière d’excellence a bâti sa notoriété sur la base d’un ancrage régional fort se manifestant par ses relations étroites avec l’Université de Strasbourg. « Nous sommes l’un des rares Sciences Po à être intégré dans une université », fait savoir d’emblée, Gabriel ECKERT, directeur de l’institut. Un statut particulier qui est stratégique pour les étudiants ayant la possibilité notamment de réaliser des doubles-cursus de licence en économie et sciences sociales ou de suivre une formation au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) qui est une autre composante de l’Université de Strasbourg.
Des cursus pluridisciplinaires
Les cursus de Sciences Po Strasbourg reposent sur un schéma identique à celui adopté par les autres instituts d’études politiques. Depuis la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat), l’institut propose une formation de cinq ans répartie en deux cycles. Durant les deux premières années du premier cycle, les étudiants acquièrent un socle de connaissances renforçant leur esprit d’analyse et de compréhension des grands enjeux européens. « Le programme est pluridisciplinaire et généraliste car nous voulons que nos étudiants perçoivent tous les problèmes du monde. Ces derniers doivent être abordés aujourd’hui pas seulement sous l’angle d’un technicien spécialisé mais de manière globale et générale», déclare le directeur de l’institut. Les cours sont orientés autour de cinq champs disciplinaires à savoir le droit, l’économie et la gestion, l’histoire contemporaine et les relations internationales, les sciences sociales et la science politique et enfin, les langues. La troisième année est celle de la mobilité à l’étranger. « Grâce à nos 140 conventions d’échange avec des universités étrangères, nos étudiants passent cette année obligatoire à l’international dans une de nos universités partenaires ». Cette année à l’étranger peut également prendre la forme de stages ou d’activités professionnelles.
Le second cycle pour sa part s’organise autour d’une progressive spécialisation. « Si le socle commun de compétences, la transversalité de notre formation et sa pluridisciplinarité sont absolument essentielles dans la carrière et la vie professionnelle de nos étudiants, pour entrer dans une activité professionnelle, il faut une spécialisation. », explique notre interlocuteur. En quatrième année, les étudiants choisissent alors entre l’une des quatre filières : droit et administration publique, économie/entreprise, études européennes, politique et société.
Une ouverture sur l’Europe et le monde entier
Sciences Po Strasbourg se nourrit d’une forte vocation européenne et internationale. Une orientation qui s’est faite naturellement grâce son emplacement stratégique au cœur de l’Europe, dans une ville frontière abritant les plus importants organismes européens (le Parlement Européen, le Conseil de l’Europe, la Cour Européenne des Droits de l'Homme, le Centre Européen de la Jeunesse etc.). Cette proximité ayant contribué à créer des partenariats avec les plus grandes institutions européennes donne l'opportunité aux étudiants internationaux inscrits au Certificate of European Studies de comprendre l’Europe au cœur de sa capitale. Ce programme enseigné en anglais s’organise chaque semestre et se concentre sur l’Europe dans une perspective globale.
L’engagement à l’international se manifeste également par l’adhésion aux éch...
On le dit peu, mais l’Etat recrute encore ! « Et notamment des cadres, insiste François Chambon, directeur de l’Institut Régional d’Administration de Metz (IRA). Les administrations engagent des réformes, et justement, elles ont de plus en plus besoin d’attachés d’administration pour les piloter. »
Pour préparer les futurs cadres de l’Etat à assumer leurs fonctions et leur mission de service public, il y a l’IRA. Soit cinq établissements en France, situés à Lille, Lyon, Nantes, Bastia… et Metz. L’établissement messin accueille des étudiants de la toute nouvelle région Grand Est, ainsi que d’Ile-de-France.
Trois voies de recrutement existent. Le concours externe pour les étudiants d’un minimum de bac + 3 (même si la plupart sont dans les faits titulaires d’un Master 1 ou 2) attire chaque année environ 700 candidats qui passent les épreuves entre février et mai. Seuls 70 d’entre-eux sont admis. Le concours interne est accessible aux fonctionnaires qui ont au moins quatre ans de service public : une cinquantaine rejoignent l’IRA chaque année. Enfin, il y a le Troisième concours, ouvert aux salariés du privé ou à ceux qui ont exercé un mandat électif pendant au moins cinq ans : 7 à 8 personnes intègrent la promotion de l’IRA par ce biais.« Nous avons donc ainsi 130 personnes par promotion, avec des profils et des âges très variés, du jeune étudiant au quinquagénaire qui souhaite donner une nouvelle orientation à sa carrière ».
La formation s’effectue ensuite durant une année… mais elle n’est pas seulement théorique. Quatre mois de stage sont obligatoires afin d’appliquer les compétences acquises. Cette année est rémunérée : les élèves externes bénéficient d’un traitement mensuel brut d’environ 1 590 €, les élèves interne ou issus du troisième concours touchent en moyenne à 1 770 €.
Administration scolaire, centrale ou territoriale
A l’issue de la formation, les élèves deviennent attachés d’administration. « Trois univers principaux s’ouvrent à eux, reprend François Chambon. L’administration scolaire et universitaire pour administrer le système éducatif français ; l’administration territoriale de l’Etat, c’est-à-dire les préfectures, sous-préfectures, directions régionales comme la Direccte ou la Dreal, où ils mettent en place les politiques publiques ; l’administration centrale, c’est-à-dire les services centraux à Paris, dans les différents ministères où ils participeront à des missions d’expertises, et à l’élaboration des projets de lois, de décrets, etc ». Les domaines d’intervention sont variés : ressources humaines, gestion budgétaire, juridique, management, etc. « A la sortie, chacun de nos élèves - sous réserve qu’il ait réussi sa formation – se voit proposer un poste par l’administration. Chaque années, les élèves ont eu des affectations essentiellement réparties entre le Grand Est et l’Ile-de-France.»
Une formation à l’IRA permet aussi d’accéder à de plus hautes fonctions à terme : par la voie de la promotion interne et par concours, les attachés d’administration peuvent ensuite devenir directeur de préfecture, administrateur civil, sous-préfet, conseiller de tribunal administratif, conseiller de chambre régionale des comptes ...
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Avec un site principal à Metz et un site délocalisé à Sarreguemines, l’UFR compte aujourd’hui 50 enseignants chercheurs et une équipe administrative impliquée, dont un service dédié à l’orientation. Elle mobilise environ 250 intervenants professionnels chaque année, permettant aux étudiants une approche toujours plus concrète des métiers convoités. Sa dimension à taille humaine lui permet de considérer chaque parcours, comme le souligne son doyen également professeur de droit, Pierre Tifine.
Des formations porteuses d’avenir
La faculté dispense des formations initiales allant de la Licence au Master. Cinq Licences (Droit, AES, Economie, Franco-allemand, Administration publique) sont proposées. Les étudiants en première année peuvent s’inscrire en sus à un dispositif d’accompagnement dédié, visant à les soutenir et à mieux les orienter.
Ils peuvent ensuite choisir parmi sept Masters 1 : Droit public, Civil, Fiscal, Économie appliquée, Administration économique et sociale, Droit des affaires, Public franco-allemand, et parmi neuf Master 2, dont on citera pour exemples : Collectivités territoriales et coopération transfrontalière, Urbanisme et construction, Économie sociale et solidaire, Procédure et fiscalité, ou encore Droit des affaires transfrontalières.
Parmi les formations continues, le diplôme universitaire (DU) Droit et Administration des Collectivités territoriales et le DU Fiscalité transfrontalière s’adressent aux personnes déjà en activité professionnelle. Les personnes intéressées peuvent aussi s’inscrire à la préparation aux concours administratifs ou à la préparation aux métiers judiciaires (CRFPA)
La Faculté s’adresse aussi aux non bacheliers en leur permettant de suivre la Capacité en droit, un diplôme leur permettant de rattraper un niveau Bac et d’accéder aux études universitaires.
Une pédagogie alliant théorie et pratique
Afin de confronter les étudiants aux réalités professionnelles et faciliter leur insertion sur le marché de l’emploi, l’université construit de nombreux partenariats avec les institutions administratives ou judiciaires. Rencontres, conférences, webinaires, stages, forum viennent animer et enrichir la vie étudiante. Des échanges avec le Québec permettent chaque année à une poignée d’élèves méritant de partir étudier sur place (très bon dossier requis).
En moyenne, l’Université de Droit, économie et administration compte 450 nouveaux diplômés par an. Un indicateur de réussite conséquent, dont peut s’enorgueillir la Lorraine.
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Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...
Les chiffres sont éloquents. Le taux d’insertion professionnelle des diplômés de l’UFR Droit Économie et Gestion confirme l’attractivité de ses formations. Selon la dernière enquête*, 90 % d’entre eux sont entrés dans la vie active 30 mois après l’obtention de leur diplôme. 75 %** trouvent un emploi dans les 12 mois qui suivent l’obtention de leur diplôme.
Deux performances qui confirment le bien-fondé de la stratégie menée par la faculté. Allier les compétences d’un corps enseignant de qualité (150 enseignants-chercheurs) avec celles des praticiens de l’entreprise, des collectivités territoriales et de l’administration (plus de 350 intervenants extérieurs). Et entretenir des liens forts et pérennes avec le tissu économique, les entreprises, les associations professionnelles (ANDRH, CNFPT, l’ordre des experts-comptables, la magistrature…).
L’apprentissage en alternance, clé du succès
Désormais, la moitié des masters dispensés par la faculté est proposée en apprentissage, une formule qui associe l’immersion en entreprise et le cours théorique. Grâce à cette séquence d’une année, l’étudiant valide une première expérience professionnelle de découverte et d’orientation dans un secteur qu’il a choisi. Il bénéficie d’un accompagnement personnalisé assuré par un tuteur universitaire et un maître d’apprentissage en entreprise.
Une période qui exige détermination et disponibilité. Ce sont les capacités opérationnelles et d’adaptation qui s’en trouvent améliorées. Des lignes précieuses sur un CV quand il s’agit de convaincre un employeur. Ainsi, la faculté signe chaque année plus de 150 contrats d’apprentissage mais aussi près de 900 conventions de stages.
La construction du projet professionnel n’est pas laissée au hasard : tout au long du cursus universitaire, des ateliers CV, lettre de motivation, préparation à l’entretien et des rencontres avec des professionnels sous forme de petits déjeuners et de forums métiers sont proposés aux étudiants.
Des laboratoires de recherche reconnus
De même, le niveau de recherche soutenu par la faculté conditionne la qualité de l’enseignement. Comme l’explique le doyen de la faculté, le Pr Cem Ertur, de tels niveaux d’excellence sont le fruit d’une harmonie entre recherche et enseignement, véritable écosystème favorable. « La faculté ne pourrait se prévaloir d’un tel classement si nos formations hautement qualifiantes et très recherchées par les entreprises n’étaient adossées à la recherche d’excellence dans nos laboratoires : le laboratoire d’Économie d’Orléans, le Centre de recherche juridique Pothier et Vallorem, le laboratoire de recherche en management. »
* Enquête nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, décembre 2014 et avril 2015.
** Enquête réalisée par les services de la faculté de Droit, d’Économie et de Gestion.
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L’Immersive Learning pour accompagner les parents et professionnels de l’éducation : découvrez pourquoi Harvard a choisi de s’appuyer sur l’expertise d’Uptale.
Reach Every Reader : un programme mondial pour faciliter l'alphabétisation
À l’origine du projet Reach Every Reader : le constat qu’une partie des enseignants et des parents sont démunis face aux difficultés ressenties par certains enfants pour apprendre à lire. Et cela malgré les nombreux outils à disposition.
L’objectif est donc d’offrir une aide aux adultes pour accompagner ces enfants. Pour cela, les acteurs de ce projet (la fondation Chan Zuckerberg, Harvard et le MIT) ont choisi d'utiliser Uptale pour créer des expériences immersives et pédagogiques en Réalité Virtuelle. Les raisons de ce choix : sa prise en main facile et immédiate offrant une plus grande autonomie aux professeurs et étudiants.
Un exemple concret : l'utilisateur se retrouve immergé dans un environnement connu où sont révélés des supports simples d'apprentissage de la lecture (liste de course, calendrier, etc.) ; favorisant ainsi une prise de conscience et un changement de comportement vis à vis des réflexes à avoir pour favoriser l'apprentissage de la lecture.
La réalité virtuelle au service des entreprises et universités
Nous connaissions la réalité virtuelle dans les jeux vidéo. Aujourd’hui, cette technologie est en train de transformer complètement le marché de la formation.
Fini l’apprentissage passif. Grâce à l’Immersive Learning, il est possible de s’immerger complètement dans un environnement interactif et pédagogique.
De nombreux usages sont possibles: onboarding de nouveaux arrivants, formation sécurité, gestes techniques, découverte de la réalité du terrain, gestion de scénarii clients complexes.
Uptale : une start-up qui a déjà déployé sa solution chez de nombreux grands comptes
Fondée en 2016 par quatre amis venant de différents univers (informatique, formation et communication), Uptale a réussi à croitre rapidement. Aujourd’hui, elle dispose d'une équipe d'une quinzaine de personnes qui s’occupent au quotidien de créer de nouveaux modules et de former leurs clients à cette solution innovante. Parmi les grands noms qui leur ont déjà fait confiance : Danone, Randstad, Disney ou PSA. Des débuts très prometteurs pour cette jeune start-up.
Uptale continue de perfectionner le réalisme des expériences et sentiments d'immersion en branchant sa plateforme à des services cognitifs (reconnaissance vocale, prise de décision, détection d'émotion) pour offrir aux professionnels de la formation une modalité pédagogique unique.
Reach Every Reader s’inscrit parfaitement dans cette démarche.
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Encourager et porter les candidatures féminines dans le parcours d’ingénieur était et reste un cheval de bataille pour l’EPF. L’ancienne pépinière de femmes ingénieures initiée par Marie-Louise Paris accueille désormais un auditorat mixte. Autre changement marquant pour cette institution forte de quelque 10 000 diplômés, ses pédagogies innovantes qui placent l’individu au cœur de la méthode.
Priorité pédagogies
A l’aube du 21ème siècle où excellence et parité constituent le cœur des enjeux, l’institution prend le pari de réviser profondément ses manières d’enseigner. Valorisation de la personnalité, modes d’évaluation remis au goût du jour, intégration d’outils et de méthodes plus avancés. L’EPF adapte ses vues aux mutations de notre époque pour former des ingénieurs qui s’adaptent aux exigences du futur. L’arrivée du numérique a impulsé des transformations profondes dans notre société, ces dernières années. Les pratiques d’enseignement ont peu, ou pas, suivi la cadence, faisant l’objet d’un vrai statu quo. « On ne s’est pas suffisamment penché sur la révolution d’Internet qui amène une relation au savoir complètement différente » déplore le directeur d’EPF Montpellier. « L’accès au savoir étant désormais facilité, il faut davantage accompagner les étudiants dans l’appropriation des connaissances et l’articulation de ces connaissances entre elles » préconise-t-il. C’est dans cette optique que l’institution prône désormais les pédagogies dites mixtes, tout en privilégiant un nouveau mode d’évaluation.
Tirer parti des plateformes numériques pour concevoir des scénarii d’apprentissage intelligents, afin de tendre vers une plus grande autonomie de l’apprenant. C’est autour de ce concept central que s’articulent les pédagogies mixtes promues à l’EPF. La plateforme pédagogique Moodle est le support numérique de cette approche qui n’exclut pas entièrement les séances en présentiel. Celles-ci sont désormais réservées à des séances de synthèse, et surtout à des accompagnements requis dans des sujets plus élaborés (ou plus complexes), alors même que l’étudiant investit un statut plus actif dans son processus d’apprentissage au travers des classes inversées. L’acquisition de compétences comportementales d’engagement, de prise de risque, d’intégration à une équipe, d’échanges, de communication, en plus des compétences purement techniques, constitue l’avantage de ces innovations chez les ingénieurs sortants de l’EPF.
Une formation étoffée, polytechnique et internationale
« La volonté de l’école est de prodiguer une formation véritablement polytechnique » souligne Elisabeth Zerahian, Responsable du Département Communication & Marketing à l’EPF. Les 3 premières années de formation structurent ainsi, chez l’étudiant, l’acquisition d’un socle scientifique solide. Les 7 majeures proposées dans la suite du cursus ouvrent la voie à un diplôme d’ingénieur généraliste « polytechnicien, adaptable, polyvalent » et promu à toutes perspectives d’ouvertures selon les opportunités qu’il rencontre sur son parcours professionnel. Le grand atout supplémentaire des formations à l’EPF est justement la place accordée à l’ouverture internationale. Outre l’obligation d’apprendre 2 langues étrangères, les étudiants bénéficient d’opportunités d’échanges à travers un réseau de partenaires riche de 150 universités.
Des formations binationales (franco-allemande ou franco-québecoise) ou bi-diplomantes figurent d’ailleurs parmi les options qui s’ouvrent aux Peufien-ne-s en devenir. Les doubles-diplômes se préparent dès la première année avec des institutions allemandes ou québécoises. A partir de la 4ème année, d’autres universités des Etats-Unis, du Mexique ou du Roy...
Créé en 1986, l’Institut supérieur des arts appliqués (LISAA) est une école d’enseignement supérieur privé, reconnue par le ministère de la Culture et de la Communication. LISAA forme notamment des créateurs dans le domaine du design graphique, de l’architecture d’intérieur et du design, de la mode, de l’animation et des jeux vidéos. Elle propose des formations préparatoires en arts appliqués mais également des formations au niveau Bachelor et Mastère.
Afin d’assurer un encadrement de qualité, toutes ces formations sont prodiguées par des professionnels en activité : artistes, architectes d’intérieur, designers…
Une pédagogie adaptée aux besoins du marché de l'emploi
LISAA privilégie un enseignement par projet, en partenariat avec des organisations publiques et privées. Ce travail en équipe permet aux étudiants de développer leurs compétences professionnelles et d'être opérationnels rapidement une fois sur le marché de l'emploi. Les écoles travaillent avec Carrefour, L'Oréal, Adagio, Orange, Made.com, Canal+, Sosh, Uniqlo, Givaudan, le festival d'animation de l'AFCA, WWF, Science & vie, le Théâtre du Rond-Point, le théâtre National de Strasbourg, le Petit Palais, le festival We Love Green... Pour compléter cette approche professionnelle, certaines formations sont proposées en alternance.
Un réseau de plus de 5000 diplômés
À travers l'excellence de ses formations et de ses résultats, l'école, qui accueille 3500 étudiants, fait aujourd'hui partie des écoles qui comptent sur la scène de l'enseignement des arts appliqués en France. Un classement dévoilé par le journal Le Monde (1er décembre 2017) la place parmi les 7 écoles d'arts appliqués privées les plus prestigieuses. LISAA est aussi la seule école à figurer dans le top 10 de tous les classements arts appliqués de l'Étudiant en 2018. Rien de surprenant lorsqu'on sait que de nombreux diplômés affichent de très beaux parcours professionnels comme René Richard, directeur artistique de Guy Laroche ou Xiang Fang Ye, co-fondateur de la marque Wasted mais bien d'autres encore : chef de produit maille chez Balenciaga, Architecture Project Manager chez Chaumet, webdesigner chez Publicis, Matte Painter chez Rodeo FX, 3D Generalist chez BUF company... ou encore des créateurs d'entreprise.
Des implantations en France et à l'international
LISAA est présente dans 6 grandes villes françaises : Paris, Rennes, Strasbourg, Nantes, Bordeaux et Toulouse, qui a rejoint le réseau en septembre 2018.
L'école est aussi implantée à l'international puisqu'elle dispose, depuis 2010 d'un campus en Inde (Bangalore) depuis 2016, un campus en Chine, dans la ville de Suzhou.
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Dans un monde devenant de plus en plus incertain, volatile et connecté, la nécessité de la transformation numérique est devenue une évidence pour les entreprises. Cela force à faire évoluer tant les organisations que les comportements et attitudes des managers. L’équipe d’iWips a compris rapidement le réel intérêt et l'impact d'une formation expérientielle et gamifiée dans ce processus de changement et de transformation. Grâce à sa méthode combinant une approche basée sur l’immersion, les émotions et l’intelligence collective, Leadership Valleyexperience® permet en effet aux managers une vraie prise de conscience de leurs comportements actuels, étape indispensable pour accepter, puis enclencher le processus de transformation de leurs pratiques.
C’est cette méthode unique et originale qui a déjà séduit plus de 400 participants et 50 entreprises avec des retours très convaincants : « Les neurosciences montrent aujourd’hui que pour maximiser l’ancrage des connaissances, il faut savoir jouer sur les émotions et offrir une expérience immersive aux collaborateurs », explique Caroline Vène, fondatrice sur cabinet iWips. « C’est la raison d’être de notre méthode Leadership Valleyexperience® »
La formation Leadership Valley experience® en trois phases
1. Vivre
Les participants, immergés dans un univers ludique et décalé, aux allures futuristes et doté d'une intelligence artificielle, adoptent rapidement des comportements habituels et spontanés, face à des situations transposées de celles pouvant être vécues en entreprise. Chaque chapitre du jeu réserve en effet un challenge qui met en œuvre des parallèles avec l’entreprise de demain, à l’insu même des participants. "Cela peut être une prise de poste, une prise de décision stratégique, l’exécution d'un plan d'action ou encore la résolution d'un problème dans un contexte plus ou moins stressant et complexe" indique Caroline Vène.
2. Comprendre
Pendant le jeu, et suivant une méthodologie rigoureuse, un coach spécialiste du management actuel analyse les comportements individuels et évalue la dynamique collective.Au cours du débriefing qui suit, et sur la base d'un algorithme mixant les observations du coach et le ressenti des participants, six radars représentatifs des grandes dimensions managériales explicitent les comportements individuels et collectifs des participants; cette prise de conscience s’accompagne d’apports pédagogiques dans le cadre de parcours allant d’une demi-journée à deux jours. Le coach « va alors s’appuyer sur les éléments observés pour faire le lien entre ce qui passe dans le jeu et au sein de l’entreprise », explique notre interlocuteur.
3. Agir
Chaque participant va élaborer un plan de mise en œuvre de sa transformation managériale. Coaching présentiel, formation digitale ou création d’une plateforme collaborative en entreprise vont permettre d’accompagner le participant dans la mise en œuvre de ses engagements.
En respectant cette démarche de co-construction et la méthodologie LVE®, un catalogue de formations spécialisées sur les soft skills a été construit, toutes adaptables sur mesure, autour de l’intelligence collective, le leadership d’influence, l’innovation et la créativité, l’intelligence émotionnelle, le management dans l’incertitude,la cohésion d’équipe,le recentrage personnel.
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Flashmatin | Bonjour M.Pinat.
Bernard Pinat | Bonjour Madame. Je m'appelle Bernard Pinat. Je suis Directeur général du groupe ESPI, une école avec plusieurs implantations en France. À titre personnel, je suis arrivé au sein du groupe ESPI en 2013. Depuis 2013, on a développé le groupe de manière relativement soutenue puisque quand je suis arrivé, il y avait 760 apprenants à peu près et là à la rentrée, on en a un peu plus de 3800.
Oui, je crois qu'on peut appeler cela une ascension fulgurante. Alors M. Pinat, est-ce que vous pouvez nous expliquer l'histoire de votre école ?
BP | : Absolument ! Parce que c'est une belle histoire. 1972, deux ans après la loi Hoguet qui est venue encadrer l'activité immobilière et a créé une obligation d'avoir une carte professionnelle. À l'intérieur de cette obligation, il y avait également une obligation de formation. Étienne LE SIDANER qui est le père fondateur de l'ESPI, qui était un acteur de l'immobilier, s'est associé avec deux ou trois personnes. Il s'est dit, plutôt que suivre la formation à l'université ou dans des écoles publiques qui n'existent pas, on va créer nous-mêmes un parcours de formation pour aider les personnes qui veulent répondre aux exigences de cette loi Hoguet. Cette formation, ils l'ont voulu très professionnalisante. Une formation terrain.
Tout cela s'est passé en 1970. Aujourd'hui, cet ADN est encore présent au sein de nos programmes. Depuis une vingtaine d'années, l'ensemble de l'offre de formation de l'ESPI s'inscrit dans le schéma LMD. Un bachelor puis des mastères avec des spécialisations.
Vous avez ouvert votre première école à Paris, puis une autre antenne a été ouverte à Nantes, à Marseille, à Montpellier, à Bordeaux, à Lyon, et une future école s'ouvrira même à Lille en septembre 2022. Vous y proposez donc une licence et plusieurs bachelors. Pouvez-vous nous parler de ces différents cursus ?
BP | : À Paris, il y a le Bachelor, car nous n'avons qu'un seul Bachelor, celui qui permet d'obtenir les trois cartes professionnelles. Donc c'est un Bachelor qui dessinerait au métier de l'agence. Celui-là, il est présent sur toutes les implantations. Nous avons un mastère qui est la continuité du Bachelor qui s'appelle le MAGI, le management administration et gestion de l'immobilier.
Nous avons un deuxième mastère qui s'appelle le MAPI qui est un peu notre mastère phare parce que beaucoup d'étudiants viennent à l'ESPI pour devenir responsables de programmes, directeurs de projets immobiliers. Voilà ce à quoi prépare ce mastère. Ensuite nous avons un troisième mastère qui est le mastère audit expertise-conseil. Ensuite, nous avons un quatrième mastère qui est un mastère lié à l'ingénierie financière qu'on appelle le MIFIM.
Ensuite, nous avons un nouveau mastère que nous venons de créer qui est le mastère MIDI pour préparer tous les étudiants au métier du développement durable. Enfin, le dernier mastère que nous avons, c'est le mastère MEPI. C'est un mastère en entrepreneuriat en projet immobilier.
De quoi devenir un vrai professionnel de l'immobilier, les étudiants de votre école ont le choix. Ils peuvent soit suivre une formation à temps plein ou bien en alternance. Quelle est la différence ?
BP | : On a effectivement des filières à temps plein et des filières en alternance. On a toujours cette fibre très professionnalisante. C'est la raison pour laquelle nous avons très largement développé l'alternance. Le contenu du programme est le même. A temps plein, on va plutôt s'adresser à des personnes qui ne se sentent pas toutes de suite à l’aise dans l'activité professionnelle. Elles vont d'abord suivre six mois de cours pour ensuite faire un stage pendant six mois. Puis l'alternance en apprentissage, nous avons un format et un rythme qui est d'une à trois semaines. C'est-à-dire une semaine de cours, trois semaines en entreprise.
Rappelons d'ailleurs que tous les étudiants qui suivent une formation sur le terrain bénéficient d'un contrat de travail, d'un sa...
Pour expliquer le succès de l’Ecole, on y retrouve comme principale qualité l’efficacité et la diversité. En effet, le Groupe ESPI propose un cursus riche afin d’élargir le panel de choix des étudiants. Pour cela, elle propose différents bachelors, tous orientés aux métiers de l'immobilier.
Une école aux cursus diversifiés
• Le Bachelor « Gestionnaire d’Affaires Immobilières » (GESAI), spécialisé dans la transaction et dans la gestion immobilière. Le titre délivré est reconnu par l’Etat, niveau 6. Il permet l’obtention des trois cartes professionnelles. Pour poursuivre le programme en 2ème ou en 3ème année, l’étudiant doit être titulaire d’un Bac+ 1 / 2 validé.
• « Management, Administration et Gestion de l’Immobilier » (MAGI)
Une fois le parcours GESAI achevé, les Espiens peuvent continuer en entamant ce master. Tout au long du cursus, ils apprendront la gestion juridique, technique et financière des actifs immobiliers. À l’issue de leur Bac+5, ils pourront devenir des Property managers accomplis, des administrateurs de biens ou encore des Responsables d’affaires.
• « Manager en Aménagement et Promotion Immobilière » (MAPI)
Les cours magistraux se concentrent sur l’aménagement ou la rénovation urbaine et le montage d’opérations. Il s’agit du Master phare du groupe universitaire puisqu’il tient pour objectif de former des futurs cadres dans le marché. Ainsi, le MAPI est fait pour ceux qui souhaitent exercer le métier de prospecteur foncier, directeur de projet ou responsable du développement immobilier.
• « Manager en Ingénierie de la Finance Immobilière » (MIFIM)
MIFIM résulte du lien naissant indéniable entre les domaines de la finance et de l’immobilier. Au terme de leurs études, les étudiants seront en mesure de maitriser les financements et en analyser les risques. De plus, ils développeront leur savoir-faire concernant l’acquisition et la valorisation des actifs immobiliers.
• « Manager en Immobilier Durable et Innovant » (MIDI). Ce Master Professionnel est le dernier en date. Il dispense un enseignement détaillé sur le développement durable, les stratégies et le management. En incluant la Finance verte dans leur cursus, le groupe ESPI inclut une problématique actuelle au cœur même des métiers de l’immobilier.
• « Manager en Entreprenariat et Projets Immobiliers » (MEPI)
Afin de soutenir les grandes ambitions des apprenants, le MEPI a été mis en place. Le long de leur parcours, ils boosteront leur confiance en soi pour réaliser progressivement leur rêve de piloter une entreprise immobilière.
ESPI, un formateur qui s’adresse à tous
Le Groupe ESPI se veut accessible et pratique pour tous les amoureux de la sphère immobilière. Ainsi, il offre plusieurs possibilités adaptées à chaque cas.
L’enseignement à temps plein est fait pour les étudiants qui veulent uniquement se concentrer sur la face académique de la formation. Il dure 6 mois et est suivi d’une période de stage.
En revanche, les cours en alternance soulignent l’importance de l’immersion professionnelle dès la formation. Comme son nom l’indique, ils alternent l’emploi du temps de l’Espien en lui proposant 1 semaine de cours présentiels et 3 en entreprise. La loi française exige une formation de 14 heures tous les 2 ans pour pouvoir mettre à jour sa carte professionnelle. Le Groupe ESPI ouvre ses bras aux dirigeants, managers, agents de maîtrise et assistants qui souhaitent se perfectionner davantage. Entre 2020 et 2021, près de 1200 professionnels ont bénéficié d’une formation en alternance. Des visioconférences et de l’E-learning sont proposés pour compléter les cours présentiels.
Un dispositif handicap associé à des formations professionnelles
Si les handicaps physiques et mentaux ont longtemps été un frein dans la poursuite des études, ESPI veut mettre fin à cela. Le directeur de l'établissement soutient que les différences ne devraient pas être un obstacle à l'éducation. Le groupe s'engage à apporter sa contribution en offrant des aides administratives et financières aux personnes à mobilit...
L’institut Le Cordon Bleu forme chaque année plus de 20 000 étudiants partout dans le monde aux Arts Culinaires et au management hôtelier. Mais son vaisseau amiral reste à Paris, fleuron de la gastronomie mondiale. Dans un établissement où la passion et l’excellence anime tous les gestes, il fallait des enseignants et des intervenants au moins aussi prestigieux. Et c’est d’ailleurs l’une des forces de l’institut Le Cordon Bleu Paris : le corps enseignant est composé de professionnels reconnus, respectés et de nombreuses fois récompensés. A la direction des Arts Culinaires, on retrouvera donc Eric Briffard, ancien chef de la table du Cinq, meilleur ouvrier de France, et deux étoiles au Michelin. Et pour le département hôtelier, on croisera, entre autres, Franck Ramage, ancien chef sommelier adjoint au Crillon deux étoiles au Michelin.
Pour tous ces professionnels, la transmission des gestes, de la passion, et du goût des belles choses est essentiel. Tous ces arts ne peuvent pas simplement s’expliquer dans les livres : il faut les pratiquer sous l’oeil attentif d’un mentor, encore et encore pour en avoir une maîtrise parfaite. Et c’est donc tout l’intérêt de l’institut Le Cordon Bleu. Mettre en relation des professionnels prestigieux et reconnus avec ceux qui le seront demain.
Un réseau social qui ouvre de nouveaux horizons
L’une des forces de cet institut est aussi de mettre en relation des étudiants aux cultures riches et diverses. Qu’ils soient anciens professionnels en reconversion ou jeunes bacheliers. Qu’ils viennent d’ici ou d’ailleurs (l’Asie, l’Amérique Latine, l’Afrique …), la diversité des cultures et des expériences est une richesse inestimable pour les étudiants. Elle leur permet de développer leur créativité, d’élargir leurs connaissances des usages à l’international, et d’explorer des idées nouvelles. Comme ces deux étudiantes, l’une chinoise et l’autre taiwanaise, associées pour créer un restaurant de cuisine fusion franco-taiwanaise dont la notoriété ne fait que grandir.
Lors de leur cursus, les étudiants vont également faire des stages dans de grandes maisons renommées. Ces expériences pratiques, choisies en fonction de leurs projets personnels, leur permettront de faire leurs armes. Ils y rencontreront aussi des professionnels aguerris, souvent de vrais références, afin d’étoffer leur réseau. Les étudiants en management hôtelier sont soumis à un régime spécial. Ils doivent impérativement suivre un cursus de trois mois dans l’une des matières culinaires. Et peuvent le faire à l’étranger, dans l’une des écoles du réseau.
Un environnement de travail ultra innovant
Mais pour que les 1000 étudiants parisiens puissent travailler dans les meilleures conditions, un bâtiment éco-responsable ultra innovant est à leur disposition. Situé sur les bords de Seine, ces 4000m2 ont été conçus pour optimiser l’apprentissage. Ils comportent sept salles de classes pour les cours de cuisine, boulangerie, ou pâtisserie. Chaque étudiant y a son poste de travail, comme dans un vrai restaurant. Un chai a aussi été reproduit à l’identique pour les futurs sommeliers. Mais des salles de cours plus classiques sont aussi disponibles pour les cours théoriques.
L’exigence dont font preuve les enseignants Le Cordon Bleu Paris, leur passion, et leur envie de transmettre font aujourd’hui encore de l’établissement une référence mondiale dans les Arts Culinaires et de l’hôtellerie.
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Dispensées par les experts les plus pointus, ces stages ont pour but de développer le potentiel des entreprises, en terme de compétences, de connaissances et de technologies. Elles touchent de nombreux secteurs et permettent un échange direct avec les professionnels de la recherche. Plus de 1600 stagiaires en profitent chaque année et accèdent ainsi aux compétences de l’un des 1100 laboratoires avec tutelle CNRS, partout en France.
Une passerelle entre laboratoires et entreprises
L’organisme de formation continue du CNRS, CNRS Formation Entreprises, fait partie du département "Services aux entreprises" de la Direction des Relations avec les Entreprises (DRE). En réponse aux attentes actuelles, l’offre de formation s’est développée de manière considérable ces dernières années, tout en favorisant la qualité au nombre. Le catalogue s’articule désormais autour de 16 axes thématiques, allant de la chimie à la biologie en passant par la sociologie, les sciences cognitives ou la bioinformatique. Afin de répondre aux attentes des industriels et des stagiaires, l’organisme crée chaque année une 30 aine de formations sur de nouvelles technologies de pointe.
Aussi bien destinées aux entreprises qu’aux organismes publics ou même aux particuliers, ces formations d’une durée d’1 à 5 jours sont flexibles et organisées en petits groupes. La théorie laisse une large place à la pratique dispensée par les personnels de la recherche directement au sein du laboratoire CNRS détenant la compétence et/ou la technologie. Cette interactivité participe à stimuler les interactions entre industriels et laboratoires et débouche même parfois sur des projets de collaboration.
CNRS Formation Entreprises est également à l’écoute de nombreuses demandes spécifiques et crée ainsi chaque année une quarantaine de formations pour une entreprise et ses collaborateurs. Ces formations intra-entreprises peuvent se décliner à partir d’une formation proposée au catalogue inter-entreprises ou être créées sur-mesure en réponse à un besoin original d’une structure.
Une offre variée, orientée vers de nombreux secteurs
Transport, cosmétique, informatique, biotech, hospitalier, pénitentiaire, collectivité territoriale … la plupart des secteurs sont concernés par les innovations technologiques et les nouveaux enjeux sociétaux. Pour mieux maîtriser une technique sur laquelle vous rencontrez une difficulté, pour avoir un état de l’art d’une nouvelle approche ou tout simplement, évoluer ou faire évoluer un collaborateur, de nombreuses situations invitent à une formation auprès d’experts du CNRS. Parmi les nouveautés au catalogue 2021 les formations : "Biologie dans les systèmes microfluidiques", "Procédés d’oxydation avancée pour le traitements des eaux" s’adressent à des profils divers : ingénieurs biologistes, techniciens ou encore managers.
Outre les formations technologiques qui constituent le cœur de son offre, CNRS Formation Entreprises propose des formations sociétales sur les politiques publiques de santé, les radicalités, les stéréotypes de genre ou encore sur le handicap en entreprises avec notamment une formation sur l’autisme "Personnes autistes dans l'entreprise : inclusion, innovation et création de valeur". Cette dernière est un réel succès qui a déjà permis de former plusieurs managers, référents handicap et professionnels de l’orientation, et suite aux stages inter-entreprises, l’organisme a été sollicité pour des demandes de formation intra-entreprises sur le sujet.
Enseignements à distance et interactivité numérique
En raison du contexte sanitaire et des mesures gouvernementales actuels, CNRS Formation Entreprises a décliné certaines de ses formations 2020 en format numérique à distance, lorsque cela a été possible. Ces adaptions ont concerné quelques formations inter-entreprises initialement prévues en présentiel comme le stage « Introduction au machine learning et au deep learning, mise en oeuvre en Python » et d’autres ont été réalisées sur-mesure suite à la demande d’une so...
Les programmes de formation continue en santé (masters et MBA) de l’Université Paris-Dauphine, tous compatibles avec une activité professionnelle, ont été développés dans le but d’adresser le secteur pointu du Management à la santé. Cet établissement de renom, première université en management, mise sur des formations continues en santé « qui ont été pensées afin de couvrir les besoins de toute la ligne hiérarchique d’encadrement du secteur », souligne Béatrice Fermon, directrice associée de l’Executive MBA Santé et responsable du Master « Économie et gestion de la santé ».
L’Executive MBA Santé : le management pour des cadres dirigeants appliqué à la santé
Ayant pour objectif de développer les compétences des acteurs du changement dans le domaine de la santé, cette formation de haut niveau s’adresse principalement aux médecins, managers du secteur ou professionnels aspirant à le devenir. Ce programme, alliant des modules théoriques et pratiques, répond à un besoin « de mettre la théorie au service de la décision et de l’action des managers »d’articuler les enseignements académiques avec le monde professionnel », reprend Béatrice Fermon. Ces modules aux dimensions internationales traitent toutes les facettes du management et de la gestion du secteur, en mettant particulièrement l’accent sur la conduite de projets complexes. Le travail sur des situations professionnelles concrètes et les séances individuelles d’accompagnement professionnel favorisent permettent une montée effective en compétences de management.
Master Economie et Gestion des Etablissements de Santé : pour une meilleure gestion des structures de santé
Dédié aux professionnels des secteurs santé et médico-social ou à ceux en reconversion professionnelle, ce master allie approches sociologiques et économiques et acquisition ou renforcement des compétences managériales. L’objectif est de former des cadres aptes à piloter et à gérer des services grâce à diverses capacités, notamment la compréhension la réalité du monde de la santé pour allier le déploiement stratégique des ressources à la performance. Des compétences de diagnostic de situation, de pilotage de projets, d’innovations managériales et d’arbitrages tenant compte de l’éthique des décisions sont développées dans le cadre de parcours personnalisés. La mise en pratique des connaissances acquises est assurée par l’expertise reconnue des intervenants universitaires et des professionnels du secteur.
Master Management Stratégique des Services et Etablissements pour Personnes Agées : un parcours humain
Cette formation spécialisée dans le pilotage managérial de services et d’établissements pour personnes âgées est proposée afin de cerner les différentes méthodes de gestion des activités en rapport avec la gérontologie, la science du vieillissement. Elle s’adresse aux personnes en reconversion ainsi qu’aux futurs dirigeants d’établissements pour personnes âgées. Axé sur la mise en place de stratégies managériales efficaces et une maîtrise de l’environnement de cette science, ce cursus, comme le souligne Béatrice Fermon, « allie savamment éléments cliniques et gestionnaires afin de proposer une formation dédiée à la gestion des structures et des services destinés aux personnes âgées ». Les qualifications du corps enseignant ainsi que la pédagogie basée sur une approche participative font de cette formation un tremplin d’employabilité. Avec des postes dans l’encadrement supérieur à la clé, les cadres diplômés pourront apporter leur expérience et leur expertise dans un secteur en plein essor.
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Madame RIGLET, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Etudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP). Avec ses infrastructures modernes, l’IFSI jouit d’un espace de travail de qualité comprenant 17 salles dont 3 sont dédiées à la pratique des soins et réparties sur deux niveaux. Un pôle simulation avec la reproduction d’une chambre d’hôpital, équipée avec mannequin haute-fidélité permet aux étudiants et élèves de développer leurs apprentissages et leurs compétences dans un environnement au plus près de la réalité du terrain et de répondre au concept « jamais la première fois sur le patient ».
Pour leurs recherches, les étudiants ont accès à une salle informatique et un centre de documentation informatisé et bénéficient des conseils d’une documentaliste. Leur confort étant aussi une priorité, des infrastructures adaptées ont été conçues pour eux, notamment un « foyer étudiants » donnant sur une terrasse extérieure leur permettant de se restaurer ou de faire des pauses en inter cours.
Des formations complètes
L’IFSI offre deux départements de formation distincts : un département de formation initiale et un département de formation continue. Dans le cadre de la formation initiale, les étudiants ont la possibilité de faire une expérience de stage à l’étranger, en Europe via le programme Erasmus + ou à l’international dans le cadre d’un projet de stage en santé humanitaire dans des pays comme l’Inde ou le Népal où un groupe d’étudiants est parti en 2018. « L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience », souligne Danielle Benali, directrice adjointe.
Le département de la formation continue permet de professionnaliser des personnels de santé en les préparant :
- Aux concours d’entrée en formation d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture. - Aux diplômes d’Etat d’aide-soignant et d’auxiliaire de puériculture dans le cadre de fomations modulaires.
- Au Diplôme d’Etat d’infirmier pour les médecins extracommunautaires.
- Au tutorat des étudiants et des nouveaux diplômés
- A la première année de formation infirmière afin de fournir aux futurs étudiants en soins infirmiers quelle que soit la filière suivie dans leur parcours scolaire, les outils, les méthodes et les contenus de base indispensables pour réussir une formation universitaire dans les meilleures conditions.
- A se présenter devant un jury de la validation des Acquis de l’Expérience pour les métiers du domaine médico-social
Un encadrement de qualité
Tout au long de son parcours au sein de l’institut, l’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre afin que l’étudiant bénéficie d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant et d’adapter ainsi son parcours de formation en fonction de ses attentes et de ses besoins afin qu’il réalise son projet professionnel.
Au niveau de l’encadrement, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un diplôme de master. Les méthodes pédagogiques pratiquées privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables.
A ce titre et dans l’objectif d’améliorer la qualité des formations, l’IFSI est engagé depuis un an dans une démarche qualité visant à l’obtention de la certification.
L’FSI en quelques chiffres :
- Diplôme d’Etat en Soins Infirmiers : 80% de réussite
- Diplôme d’Etat d’Aide – Soignant : ...
Situé au CNIT, à La Défense, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Franco-Britannique est sous l'égide de l'Œuvre du Perpétuel Secours, association loi 1901. Il a pour mission de former des professionnels de santé compétents à même de s’adapter à l'évolution des pratiques soignantes et de répondre efficacement aux besoins de santé des personnes.
Des formations tout au long de la vie
Madame Danielle BENALI, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Étudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP) au sein de 12 salles de formation dont 2 dédiées à la pratique des soins et un pôle simulation avec chambre et mannequin reproduisant le contexte hospitalier.
À ce titre, l’IFSI offre deux départements de formation :
- Une formation initiale préparant aux diplômes d’infirmier, d’Aide-Soignant et d’Auxiliaire de puériculture. Dans ce cadre, les étudiants infirmiers ont la possibilité de réaliser un projet de stage à l’étranger ou en Europe via le programme Erasmus +. L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience.
- Une formation continue professionnalisant des personnels de santé tout au long de leur exercice professionnel ou favorisant une nouvelle orientation professionnelle (VAE, Passerelles …).
Un encadrement de qualité et des méthodes pédagogiques diversifiées
L’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre pour que les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant.
Pour ce faire, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un master. Les méthodes pédagogiques pratiquées s’inscrivent dans l’innovation et privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables.
De plus, il est intéressant de préciser que l’IFSI a développé de nombreux partenaires parmi lesquels « Médecine Sorbonne Université » et le Conseil Régional de l’Ile de France.
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Situé au CNIT, à La Défense, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Franco-Britannique est sous l'égide de l'Œuvre du Perpétuel Secours, association loi 1901. Il a pour mission de former des professionnels de santé engagés et compétents, à même de s’adapter à l'évolution des pratiques soignantes et de répondre efficacement aux besoins de santé des personnes.
Des formations tout au long de la vie
Madame Danielle BENALI, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 95 Étudiants en Soins Infirmiers (ESI), 85 élèves Aides-Soignants (AS) et 65 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP) au sein de 12 salles de formation dont 2 dédiées à la pratique des soins et un pôle simulation avec chambre et mannequin reproduisant le contexte hospitalier.
À ce titre, l’IFSI offre deux départements de formation :
- Une formation initiale préparant aux diplômes d’infirmier, d’Aide-Soignant et d’Auxiliaire de puériculture. Dans ce cadre, les étudiants infirmiers ont la possibilité de réaliser un projet de stage à l’étranger ou en Europe via le programme Erasmus +. L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner tout au long de leur parcours de formation.
- Une formation continue professionnalisant des personnels de santé tout au long de leur exercice professionnel ou favorisant une nouvelle orientation professionnelle (VAE, Passerelles, tutorat, Soins d’urgence, soins critiques).
Un encadrement de qualité et des méthodes pédagogiques diversifiées
L’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre pour que les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de mieux connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant.
Pour ce faire, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un master. Les méthodes pédagogiques pratiquées s’inscrivent dans l’innovation et privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables.
De plus, l’IFSI a développé tout un réseau autour de nombreux partenaires parmi lesquels PARIS VI : « Médecine Sorbonne Université », le Conseil Régional de l’Ile de France, l’Agence Régional de Santé mais également avec des lieux de stage qualifiants et professionnalisants, notamment l’Hôpital Franco-Britannique / Fondation Cognacq Jay et des Centres de Formation en Apprentissage.
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Le CFA SMS Centre-Val de Loire a été créé en 2012. Il forme par l'apprentissage aux métiers du secteur social et médico-social. En 2017, un nouvel arrivant : le diplôme d'État d'infirmier, dispensé par les Unités de Formation d'Apprentis de l'Institut Régional de Formation Sanitaire et Sociale (IRFSS) de la Croix-Rouge à Chambray-lès-Tours (37) et de l'Institut de Formation aux Soins Infirmiers (IFSI) de Dreux (28). La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche Associative, Sanitaire, Sociale et Médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région.
Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir
Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA va s'engager avec la Région Centre - Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap.
Devenir infirmier par l'apprentissage
C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (3 ans) et des 1800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus.
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La première année commune aux études de santé (PACES) est toujours un casse-tête pour les candidats aux métiers de médecin, de pharmacien, de kinésithérapie, d’odontologie et de sage-femme. Les vocations ne manquent pas.
Animé par des étudiants de 2e et de 3e année, le Tutorat Santé de Tours accompagne leurs jeunes collègues dans leur préparation aux épreuves, si sélectives et si déroutantes.
Une équipe de bénévoles dynamiques et disponibles s’est donc réunie et organise « colles », concours et examens blancs corrigés. Des permanences de révisions sont proposées ainsi qu’un suivi via Internet. Plus de trois étudiants sur quatre bénéficient des entraînements du tutorat. Et plus d’un étudiant en 2e année sur deux a réussi son concours grâce à la seule préparation du tutorat. Le programme d’accompagnement est une alternative crédible aux solutions onéreuses. Le coût à l’année est de 50 €.
Le dispositif existe depuis plus de 15 ans au sein de la faculté de médecine de Tours. Le Tutorat Santé est dirigé par un bureau de 7 étudiants de 3e année élus par leurs pairs. Le corps pédagogique et universitaire de la faculté apporte son soutien et supervise les épreuves, les QCM et les concours blancs.
Tutorat Santé de Tours : des formations pour réussir dans les domaines de la santé
Rançon du succès, le programme est distingué par les associations nationales étudiantes de France et a reçu l’agrément OR. Question de bonnes notes !
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