La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé, créée en collaboration avec le monde socio-professionnel, s’appuie sur une pédagogie innovante et active, et répond parfaitement aux besoins actuels et émergents du marché en matière d’employabilité. Une pédagogie professionnalisante, gage d’employabilité La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé se distingue par son approche multidisciplinaire, transversale et professionnalisante. Les candidats peuvent rejoindre la spécialité génie biologique et santé après 2 années de classe préparatoire intégrée en biologie, accessible via le concours national GeiPi Polytech, ou après un bac+2 via le concours interne de l’école. Il est également possible d’intégrer la deuxième année du cycle préparatoire intégré après une première année commune aux études de santé validée (Paces ou équivalent) via le dispositif Pass’Med. « Dans les secteurs de santé, les étudiants vont intervenir non pas dans les soins, mais plutôt dans la partie organisationnelle, gestion des risques et management de la qualité. Il existe un lien très étroit et très intéressant entre la démarche qualité-gestion des risques dans les industries de santé (agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique..) et celle des structures sanitaires et médico-sociales », explique Nathalie Faisant, chargée de communication. « Les étudiants ont cette double compétence de pouvoir passer d’un secteur à l’autre », poursuit-elle. Cette approche est innovante car, « sur l’université d’Angers et globalement au niveau nationnal, il n’existait pas de formation d’ingénieurs dans cette spécialité », continue Jean-Michel Oger, directeur du département Issba. Tout l’intérêt de cette formation repose aussi sur la méthodologie novatrice adoptée. « Les étudiants sont amenés à réfléchir autour d’une problématique plutôt que d’acquérir des connaissances pures », souligne Alphonse Calenda, responsable de la formation continue et directeur adjoint de l’Istia. Par ailleurs, des stages de longue durée, s’étendant au total sur 15 mois, permettent la mise en œuvre des différentes compétences professionnelles. Tout au long de son cursus, l’apprenant travaille sur son projet personnel et professionnel dans le cadre d’un accompagnement spécifique par des « coachs » professionnels. Ceux-ci vont l’accompagner de manière à pouvoir identifier non seulement un secteur d’activité mais aussi une fonction dans l’entreprise ou un métier sur lequel il va davantage vouloir se diriger après l’obtention de son diplôme. À l’issue de la 4e année et après un premier module de pré-approfondissement, l’étudiant peut choisir en connaissance de cause la voie qu’il veut suivre durant sa 5e année. Trois voies sont proposées : Ingénierie innovante des produits de santé, Management des processus complexes en santé et Gestion des risques des secteurs de santé. A terme, l’ingénieur pourra occuper différentes fonctions dans le management de structures et de projet, dans la qualité, dans la gestion des flux, dans la gestion des risques, dans l’innovation et la conception. Des formations continues pour les professionnels en activité Les secteurs de la santé et du sanitaire et médico-social font actuellement face à une rationalisation organisationnelle modifiant considérablement la gestion de leurs ressources. Les ingénieurs sortant de la spécialité génie biologique et santé sont progressivement préparés à ces profondes mutations. De leur côté, les salariés en activité ou en reconversion doivent s’adapter pour pouvoir anticiper ces évolutions et poursuivre leur action, en mettant à jour leurs connaissances et en complétant leurs compétences. « La formation continue proposée par l’école représente alors pour eux une r&...
Un accord national interprofessionnel à la fin de l’année 2013, une loi le 5 mars 2014… voici maintenant venu le temps d’appliquer les nouveaux dispositifs de la formation professionnelle. Ces nouvelles mesures, portées et soutenus par la CFDT ont un double objectif : sécuriser le parcours professionnel des salariés et des demandeurs d’emploi avec une meilleure formation et qualification ; renforcer le développement et la compétitivité des entreprises. Des nouveautés avec trois dispositifs Parmi les nouveautés, trois dispositifs sont notamment intéressants pour le grand public. Le Compte Personnel de Formation : jusqu’à 150 heures de formation Le Compte Personnel de Formation : remplace le Droit individuel à la formation (DIF), lancé en 2009, mais qui a été un échec. Alors que le DIF se limitait à 120 heures de formation, le CPF peut monter jusqu’à 150 (à raison de 24h de crédit d’activité professionnelle par an). Et surtout, ces heures peuvent être intégrées et compléter une formation plus longue. Le Compte Personnel de Formation, dont chacun bénéficie depuis le 1er janvier 2015, réalise de bons débuts dans la région Occitanie. 41 000 personnes en ont déjà profité, dont 35 000 demandeurs d’emploi et 6 000 salariés. La grande majorité des bénéficiaires (25 000 personnes) sont aujourd’hui les 26-49 ans. La durée moyenne de formation est de 186 heures pour les salariés et 520 heures pour les demandeurs d’emploi. Le conseil en évolution professionnelle : vous vous interrogez sur votre avenir au sein de votre entreprise ? Sur votre réorientation de carrière ? Un nouveau dispositif émerge avec cette loi : le conseil en évolution professionnelle. Chaque salarié et demandeur d’emploi a un accès gratuit à du conseil, effectué par un opérateur désigné (APEC, Pôle Emploi, Missions locales, Cap Emploi et Fongecif). Ce conseil est réalisé en trois étapes : la première est plus généraliste, la seconde affine le projet tandis que la troisième cible une formation. Se former tout au long de la vie professionnelle L’entretien professionnel tous les deux ans : jusqu’en 2014, l’entreprise était présumée avoir rempli ses responsabilités en justifiant annuellement avoir dépensé au moins 0,9% de sa masse salariale annuelle brute pour des actions de formation. Cela évolue. Les employeurs sont tenus de s’entretenir tous les deux ans avec leurs salariés. Désormais, l’entreprise devra faire un état des lieux individuel tous les six ans : a-t-elle proposé une action ou formation qualifiante au salarié ? Le salarié a-t-il progressé en terme de salaire ou de poste ? A-t-il obtenu une certification ? Si deux des trois items ne sont pas respectés, l’entreprise sera pénalisée. La gouvernance évolue aussi La formation professionnelle a également connu des modifications dans sa gouvernance. Le COPAREF (Comité paritaire interprofessionnel régional pour l’emploi et la formation) a remplacé la COPIRE (Commission paritaire interprofessionnelle régionale pour l’emploi). Cette instance regroupe les partenaires sociaux (organisations salariales et patronales). Elle a une grande responsabilité, notamment celle d’inscrire les formations éligibles au Compte Personnel de Formation. « Il y a eu quelques bras de fer, sourit Stéphane Bonnetain, secrétaire régional CFDT Emploi-Sécurisation des parcours professionnels, et co-président du COPAREF. Les Régions voulaient que l’intégralité des Plans Régionaux de Formation soient repris dans les listes éligibles au CPF, nous voulions remplir notre mission en toute objectivité. Mais nous en avons repris un grand nombre. » Autre structure nouvelle : le CREFOP (Comité régional de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles) remplace le CRE et le Ccrefp. Cette organisation quadripartite est invitée à donner son avis sur les politiques d’orientation, la formation professionnelle, la cohérence des différents programmes et plans de formation dans la région. Après quelques tensions dues à la fusion des régions et aux logiques de territoire, « on ...
A l’écoute des tendances et des évolutions alimentaires de la société actuelle, l’Institut parisien à la renommée internationale a imaginé ce programme novateur et inspiré. Dans la continuité des formations existantes, bases et techniques sont administrées aux étudiants, sauf qu’ici, une attention toute scientifique est accordée aux produits. Recettes sans gluten, sans sucre ou sans œuf, végétariennes ou végétaliennes sont réalisées, sous les conseils des Chefs Pâtissiers Le Cordon Bleu et experts dans le domaine de la nutrition. Ce diplôme répond aux attentes de son époque. Aujourd’hui, savoir ce qu’on mange, d’où viennent les produits, quelles sont leurs compositions ne sont plus des informations prises à la légère. Sensibles au recyclage, à la transparence des circuits, les consommateurs se responsabilisent face à leurs achats. Les nourritures saines, bios, voire végan connaissent un essor significatif. Une pâtisserie d’avenir La pâtisserie traditionnelle est l’œuvre d’un savoir-faire et de techniques qui ont traversé les générations. Elle donne aujourd’hui naissance à des gourmandises plus naturelles. « La pâtisserie de demain, c’est se faire plaisir avec un goût franc, c’est être son propre docteur et savoir ce qu’on met dans son corps », explique Chef Fabrice Danniel, Directeur Adjoint des Arts Culinaires et Responsable du Département Pâtisserie et Boulangerie. Le secteur de la pâtisserie saine et équilibrée connaît une forte croissance, élargissant toujours plus le champ de ses opportunités. Son marché ne cesse de fleurir, profondément ancré dans les traditions, tout en se renouvelant. Mariage, anniversaire, fêtes, les douceurs ne sont jamais absentes du repas idéal. Des concepts de boutiques se réinventent, dédiés à un produit unique ou aux pâtisseries végétaliennes. Place à l’imagination et aux recettes éclairées. Les chefs s’y donnent à cœur joie pour le plus grand plaisir des dégustateurs. Et Le Cordon Bleu Paris veille à former la relève. ...
Il réunit une cinquantaine d’équipes spécialisées en biologie végétale, issues de cinq instituts de recherche de la région sud parisienne : l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB), l’Institut de Sciences des plantes de Paris Saclay (IPS2), l’Institut de Biologie intégrative de la cellule (I2BC), l'UMR de Génétique quantitative et évolution (GQE-Le Moulon) et l’UMR Biologie et gestion des risques en agriculture (BIOGER). Ce projet est soutenu par 9 institutions : l’INRA, le CNRS, le CEA, AgroParisTech, les Universités Paris-Sud, Evry-Val d’Essonne, Versailles-Saint-Quentin et Paris-Diderot, ainsi que l’Université Paris-Saclay qui porte le projet. L’objectif principal des EUR consiste à renforcer la relation entre recherche et formation et à internationaliser les formations, le but à terme étant de créer des « graduate schools » avec un continuum master / doctorat / laboratoires de recherche. Pour cela, SPS-GSR dispose de programmes d’enseignement réunissant un large panel de disciplines de la biologie végétale et d’infrastructures permettant aux étudiants de se former aux nouvelles technologies et approches dans ce domaine. Le LabEx SPS SPS-GSR s’appuie sur le Laboratoire d’Excellence Saclay Plant Sciences (LabEx SPS), un projet Investissements d’Avenir qui a développé depuis 2011 un grand nombre d’activités axées sur la biologie végétale incluant recherche, formation, innovation et développement d’infrastructures. « Plus qu’un projet, Sciences des plantes de Saclay est un véritable réseau avec comme objectif de faire fructifier les interactions entre les équipes impliquées », souligne le Dr Marie-Jeanne Sellier, manager du projet. SPS met l’accent sur quatre thématiques prioritaires, à savoir 1) l’intensification durable de l’agriculture dans un contexte environnemental fluctuant, 2) l’amélioration de la qualité végétale pour diverses utilisations alimentaires et non-alimentaires, 3) les plantes pour comprendre les mécanismes biologiques fondamentaux et 4) le développement de nouvelles ressources ou biotechnologies pour la recherche, l’innovation et le transfert de technologie. Les recherches s’étendent sur différentes échelles du gène à la plante entière et font intervenir de nombreuses techniques d’analyse différentes grâce aux infrastructures de pointe des laboratoires (biochimie, imagerie, biologie moléculaire et cellulaire, approches omiques, modélisation, bioinformatique, etc.). Enfin, en matière d’innovation, SPS se veut être un accélérateur d’innovation végétale. Il joue pour cela un rôle d’intermédiaire en favorisant les interactions entre les équipes de recherche et des partenaires privés dans des secteurs liés aux ressources végétales. « Nous avons identifié six domaines d’application dans lesquels nos recherches, fondamentales et appliquées, peuvent offrir des débouchés dans le monde industriel », développe le Dr Marie-Jeanne Sellier. Ces six domaines d’application concernent l’adaptation des plantes à leur environnement, la sélection variétale et les biotechnologies, les semences et le rendement, l’alimentation et la nutrition, la cosmétique et la santé et enfin la bioénergie et les matériaux biosourcés. En parallèle, SPS soutient financièrement des projets innovants dans la démarche d’aller jusqu’aux brevets et start-up. L’obtention du projet EUR « Saclay Plant Sciences Graduate School of Research » a entraîné la reconduction des activités du LabEx SPS jusqu’en 2027. « Les deux projets ne font à présent plus qu’un. Les activités de formation seront renforcées tout en continuant à développer recherche, innovation et infrastructures dans les années à venir », rapporte la manager. ...
Des voies d’accès à la profession plus lisibles. Entre les différentes réformes, il est parfois difficile de s’y retrouver. Quels parcours doivent emprunter les plus jeunes pour devenir professeur ? Les modes d’accès à la profession se sont simplifiés au fil des années afin d’être plus lisibles. La voie royale reste celle du concours de recrutement. Il est aujourd’hui accessible dès que l’on est inscrit en Master 1, pour une majorité de filières. Les épreuves du concours externe, identiques pour le concours du public et du privé, se déroulent de mars à juin (en fonction du parcours 1er ou 2nd degré). « Bien que les modalités de recrutement des enseignants soient identiques entre l’enseignement privé et l’enseignement public, le candidat doit effectuer un choix qui sera déterminant pour sa future carrière, explique Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique Nord - Pas-de-Calais à Lille. Si au final, le métier est le même, il faut savoir qu’il n’existe quasiment pas de passerelles entre le public et le privé une fois que l’on devient enseignant. ». Le choix du concours engage donc une carrière au sein de l’enseignement public ou bien de l’enseignement privé, (majoritairement des établissements catholiques d’enseignement). Une fois ce concours obtenu, les étudiants intègrent un Master 2 MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation). Il s’agit d’une année de formation par alternance. En effet, le professeur stagiaire est rémunéré à temps plein, dès cette cinquième année d’étude, pour se former, tandis que l’autre partie du temps est consacrée à enseigner, à mi-temps dans une classe. Chaque étudiant est bien sûr accompagné par deux tuteurs, l’un en établissement, l’autre à l’IFP. D’autres concours dits réservés ou internes existent pour ceux qui n’empruntent pas la voie du Master 2. Ces concours sont notamment ouverts à ceux qui font des remplacements depuis plusieurs années. Prof à 40 ans : et pourquoi pas vous ? On ne naît pas prof, on le devient par la formation et la pratique professionnelle. On peut aussi le devenir au cours de sa carrière professionnelle… même si, jusqu’alors, elle n’avait pas grand-chose à voir avec l’enseignement. C’est un phénomène nouveau observé par Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique du Nord-Pas-de-Calais à Lille. Depuis quelques années, un nouveau public s’oriente vers le métier de professeur. « Avant, nous accueillions essentiellement des étudiants. Désormais, on observe de plus en plus de personnes, en reconversion professionnelle, qui souhaitent réorienter leur carrière dans l’enseignement ». Ceux-là peuvent avoir subi un licenciement, avoir l’impression d’avoir fait le tour de la question dans leur ancien métier et veulent changer d’orientation, ou avoir tout simplement envie de transmettre les compétences acquises durant 10, 20 ou 30 ans. Les métiers de l’enseignement leur sont également accessibles, d’autant plus en cette période « où les demandes de chefs d’établissement pour des remplacements sont importantes ». L’IFP Nord-Pas-de-Calais accueille et accompagne ces personnes en reconversion professionnelle, qui peuvent être suppléants avec un niveau licence. Cet accompagnement se fait en plusieurs étapes : un entretien préalable, pour clarifier les intentions ; un stage d’immersion en collège ou en lycée, pour appréhender les réalités du métier ; une proposition d’entrée en formation et/ou en suppléance (remplacement) ; enfin, une formation professionnelle adaptée. Les professeurs en espagnol, en sciences-physiques, en mathématiques sont très recherchés… Alors, pourquoi pas vous ? Parce que le futur enseignant, professeur des écoles, professeur de mathématiques ou de boulangerie, cela peut bien être vous ! ...
Travailler avec le CNRS est désormais possible pour tous les professionnels. L’entrée se fait simplement en déposant une demande sur le site web de Trouver un Expert, conçu pour faciliter les relations entre la société et les acteurs de la recherche du CNRS et de ses partenaires. Ces demandes sont étudiées par une équipe de 4 scientifiques qui vont ensuite identifier le personnel de la recherche le plus à même de répondre à cette demande. « En général, nous avons identifié un ou plusieurs chercheurs au bout de 15 jours. Cela va vite ! », explique Edith Wilmart, directrice du service Trouver un Expert. Des demandes très variées Depuis ses débuts, le service Trouver un expert travaille sur des sujets divers et variés : aménagement du territoire, instrumentation médicale, transformation environnementale, recherche sur l’énergie... Pour citer quelques exemples de demandes, une grande entreprise de cosmétique a soumis au CNRS une demande de sciences humaines et sociales autour de la perception de ses produits. Une autre entreprise a sollicité des recherches pour limiter la pollution atmosphérique de son activité. Un service territorial a géré avec le CNRS un risque explosif ou encore, un grand groupe a demandé au service Trouver un expert de l’aider à monter en compétences sur des questions d’électronique de puissance. « De par sa diversité, notre job est passionnant ! », commente Edith Wilmart. En sus de ces demandes « classiques », le service reçoit des demandes de recherche d’autres laboratoires pour monter des projets collaboratifs afin de répondre à des appels d’offre européens ou autres, ou encore des demandes d’investisseurs qui souhaitent avoir une expertise scientifique des projets dans lesquels ils envisagent de s’impliquer… Les sociétés souhaitant garder leur démarche confidentielle peuvent l’indiquer dès le dépôt de la demande. Dans ce cas, l’anonymat ne sera levé que lors de la mise en relation. 65% des demandes déposées viennent des TPE et PME A ce jour, ce sont essentiellement des TPE et des PME qui font appel au service Trouver un Expert avec près de 65% des demandes déposées. Ces types d’entreprises se rapprochent du service dans le cadre de leur projet de développement quel que soit son niveau de maturité, car leur département R&D, lorsqu’il existe, est souvent peu développé. Mais cela ne les empêche pas d’investir une partie de leur Chiffre d’Affaires dans la R&D ! Souvent, ces entreprises franchissent la porte de Trouver un Expert lorsqu’elles ont une idée innovante en lien avec leur activité ; elles attendent un état de l’art écrit, analysé et pensé par des scientifiques du domaine pour se lancer puis, in fine, elles recherchent un accompagnement dans leur stratégie d’innovation. Aussi, les TPE et PME font appel au service car elles souhaitent valider un concept, étape qui peut être déterminante pour une petite entreprise car cette validation pourrait lui permettre d’obtenir une subvention, essentielle dans le développement de son projet. Les ETI, les Grandes Entreprises et Trouver un Expert Les entreprises de taille intermédiaires et les grandes entreprises, elles, font appel à Trouver un Expert car elles recherchent les savoirs et savoir-faire interdisciplinaires des laboratoires du CNRS. C’est alors la méthodologie et la capacité que possèdent toute une équipe de scientifiques à trouver une solution pertinente, adaptée et qui était préalablement inexistante à un problème donné ou pour le lancement de leur projet qui les attire ; elles ne veulent pas de solutions « prêtes à l’emploi » déjà existantes sur le marché. Trouver un Expert, pour la multiplication des liens entre public et privé Mêmes si ces entreprises attendent des solutions différentes de la part du CNRS, elles sont conscientes de l’importance de nouer une relation de confiance avec la recherche publique : les laboratoires de recherche publique et les entreprises sont complémentaires dans leur quête à l’innovation ! C’est pourquoi, de plus en plus de programmes sont proposés pour multiplier les liens et les partenariats publ...
L’Immersive Learning pour accompagner les parents et professionnels de l’éducation : découvrez pourquoi Harvard a choisi de s’appuyer sur l’expertise d’Uptale. Reach Every Reader : un programme mondial pour faciliter l'alphabétisation À l’origine du projet Reach Every Reader : le constat qu’une partie des enseignants et des parents sont démunis face aux difficultés ressenties par certains enfants pour apprendre à lire. Et cela malgré les nombreux outils à disposition. L’objectif est donc d’offrir une aide aux adultes pour accompagner ces enfants. Pour cela, les acteurs de ce projet (la fondation Chan Zuckerberg, Harvard et le MIT) ont choisi d'utiliser Uptale pour créer des expériences immersives et pédagogiques en Réalité Virtuelle. Les raisons de ce choix : sa prise en main facile et immédiate offrant une plus grande autonomie aux professeurs et étudiants. Un exemple concret : l'utilisateur se retrouve immergé dans un environnement connu où sont révélés des supports simples d'apprentissage de la lecture (liste de course, calendrier, etc.) ; favorisant ainsi une prise de conscience et un changement de comportement vis à vis des réflexes à avoir pour favoriser l'apprentissage de la lecture. La réalité virtuelle au service des entreprises et universités Nous connaissions la réalité virtuelle dans les jeux vidéo. Aujourd’hui, cette technologie est en train de transformer complètement le marché de la formation. Fini l’apprentissage passif. Grâce à l’Immersive Learning, il est possible de s’immerger complètement dans un environnement interactif et pédagogique. De nombreux usages sont possibles: onboarding de nouveaux arrivants, formation sécurité, gestes techniques, découverte de la réalité du terrain, gestion de scénarii clients complexes. Uptale : une start-up qui a déjà déployé sa solution chez de nombreux grands comptes Fondée en 2016 par quatre amis venant de différents univers (informatique, formation et communication), Uptale a réussi à croitre rapidement. Aujourd’hui, elle dispose d'une équipe d'une quinzaine de personnes qui s’occupent au quotidien de créer de nouveaux modules et de former leurs clients à cette solution innovante. Parmi les grands noms qui leur ont déjà fait confiance : Danone, Randstad, Disney ou PSA. Des débuts très prometteurs pour cette jeune start-up. Uptale continue de perfectionner le réalisme des expériences et sentiments d'immersion en branchant sa plateforme à des services cognitifs (reconnaissance vocale, prise de décision, détection d'émotion) pour offrir aux professionnels de la formation une modalité pédagogique unique. Reach Every Reader s’inscrit parfaitement dans cette démarche. ...
Dans le cadre de sa mission de transférer ses savoirs et savoir-faire vers le monde socio-économique, ce service s’adresse aussi bien aux start-up, PME, grands groupes qu’aux collectivités et services de l’Etat nécessitant une expertise dans un domaine spécifique. Face à des besoins de plus en plus variés et fréquents, une équipe avisée assure le dialogue, la confidentialité et est une véritable passerelle entre le monde de l’entreprise et celui des laboratoires du CNRS. Des expertises de pointe dans tous domaines Le CNRS est une des plus importantes institutions de recherche du monde. Ses travaux pointus touchent tous les domaines possibles que ce soit la matière, l'espace, les sciences humaines ou biologiques. Sa Direction des Relations avec les Entreprises (DRE), a pour mission de développer les liens entre les entreprises et ses laboratoires de recherche. Pour faciliter l’accès des professionnels désireux de travailler avec le CNRS, elle innove avec le service "Trouver un expert", dont tous les projets soumis se succèdent mais ne se ressemblent pas ! Les thématiques sont larges et le réseau, solide. Edith Wilmart, responsable du service, le reconnait en chœur avec son équipe, les solutions élucidées sont parfois étonnantes. Toujours passionnantes. Chaque demande est étudiée afin de bien définir la compétence à solliciter parmi les 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires, partout en France. Ces échanges peuvent conclure à une prestation de service, à une consultance ou à une collaboration dont la durée se mesure aux objectifs convoités. Des connexions fructueuses au présent et pour l’avenir Interventions ponctuelles ou durables, les situations croisent les thématiques, voire induisent des collaborations pluridisciplinaires. D’une entreprise de literie de luxe à un brevet récent sur des polymères biosourcés, d’une entreprise agro-alimentaire à une spécialiste de l’explosion pour une production moins chère et moins polluante : les exemples attisent inspirations et respect. A des travaux classiques de prestations de services, d’analyses, de conseils, de formations, précèdent parfois des alliances a priori improbables. La preuve. Une industrie de cosmétique va ainsi collaborer avec une écologue anthropologue pour in fine concevoir une huile relaxante naturelle pour homme. Une autre a bénéficié de l'aide d'un expert en efficacité énergétique (éclairage, chauffage) pour transformer des conteneurs en espaces habitables. Gains de temps, de compétences, les plus-values proposées par le service Trouver un expert sont nombreuses et riches de sens. D’une part, parce que la recherche ouvre toujours plus largement ses portes au monde socio-économique, en participant à le qualifier durablement. D’autre part parce que le chemin est aisé pour y parvenir. Grâce à un simple formulaire à remplir sur trouverunexpert.cnrs.fr, les sciences les plus avancées se mettent à la portée de tous, pour un lendemain viable, éclairé et acteur de son environnement. ...
L’Unité Mixte de Développement Professionnel Continu en Santé (UMDPCS) propose près d'une centaine de formations : diplômes nationaux, diplômes universitaires et inter-universitaires, formations courtes et formations ou colloques validant le DPC (développement professionnel continu). Les formats sont adaptés au cas par cas : présentiel, e-learning, hybride, MOOC, etc. La mixité, une spécificité de l'UMDPCS La mixité est d'abord celle des professionnels et des acteurs de santé eux-mêmes. Sont concernées toutes les professions de santé, y compris celles dont la formation initiale ne relève pas de l'université, qui ont pour objectif et/ou obligation de se spécialiser ou de se former tout au long de leur vie professionnelle. A ce jour, l’UMDPCS a formé plus de 7000 personnes. La mixité est également celle des intervenants - universitaires et professionnels - qui contribuent aux actions de formation dans le domaine de la santé. Plus de 50 responsables pédagogiques sont garants de la qualité scientifique et pédagogique de l'offre de formation. En plaçant, aussi souvent que nécessaire, les acteurs de santé « ensemble » en formation continue comme ils le sont « autour du patient » au quotidien, l’UMDPCS contribue au maintien d’un exercice pluriprofessionnel de qualité tenant compte de l’évolution des pratiques recommandées. Co-construire des formations innovantes avec l'UMDPCS L’UMDPCS a pour vocation de développer des actions de formation continue répondant aux attentes des professionnels de santé. Pour y parvenir, elle propose un soutien et une assistance exclusive dans l'élaboration de projets de formation continue répondant à ses objectifs de qualité (supports pédagogiques, administratifs et logistiques). ...
En 2014, INNOPREV lançait le "Flashmob Gestes et Postures" Ces chorégraphies musicales réalisées sur mesure, permettent de développer les compétences en lien avec les risques physiques tels que les Gestes et Postures de Travail. Cette formation a fait ses preuves auprès de groupes de différents secteurs d'activité comme ErDF, LACOSTE, Kellogg’s ou Albéa-Lacrost. Aujoud’hui, « Serious-Dance » va plus loin Positionnées comme prestation « anti-crise », dans un contexte de télétravail et d'isolement des collaborateurs, les « Serious-Dance » remettent l'humain au cœur des organisations. En lien avec la culture de l’entreprise, les « Serious-Dance » instaurent des bases communes pour améliorer les liens sociaux et la cohésion des collaborateurs tout en développant leurs compétences. Sollicitant le visuel, l’auditif et le kinesthésique, l’apprentissage par les « Serious-Dance » est global et performant, car il met en action les corps et les esprits. Faites l’expérience des Danses Sérieuses Les « Serious-Dance » sont des formations expérientielles, elles rentrent dans la catégorie des « Serious Games » et s'intègrent parfaitement au plan de développement des compétences, aux événements d’entreprise ainsi qu’aux démarches de prévention des risques professionnels. ...
« Il y a de nombreux emplois maritimes dans ces domaines, confirme Alain Pomes, directeur du Centre européen de formation continue maritime (CEFCM). Et ça ne va pas s’arrêter : l’avenir de l’humanité repose sur l’eau, l’énergie et la nourriture. Ces trois éléments, c’est la mer qui les fournira.» Dans l’immédiat, la pêche, l’aquaculture, l’algoculture ou encore les énergies marines renouvelables font également partie des secteurs qui recrutent. Centre européen de formation continue maritime : 2 700 stagiaires chaque année Pour répondre à la demande, le Centre européen de formation continue maritime accueille 2 700 stagiaires chaque année. Ceux-ci peuvent se former aux métiers d’officier de marine marchande, de matelot, de mécanicien, etc. Un marin français sur deux passe par le CEFCM ! Deux sur trois accèdent à ces métiers par la formation continue. Ces professions sont souvent plébiscitées par des salariés en reconversion. Car les métiers maritimes ne manquent pas d’atouts, notamment en termes de rémunérations : ils sont deux à quatre fois plus payés que des équivalents sur la terre ferme. « L’avancée dans une carrière peut être très rapide, reprend Alain Pomes. De plus, les reconversions sont faciles, la mer est un véritable ascenseur social, les marins, grâce à leur polyvalence, n’ont aucun mal à retrouver un travail à terre.» ...
Le CFA SMS Centre-Val de Loire a été créé en 2012. Il forme par l'apprentissage aux métiers du secteur social et médico-social. En 2017, un nouvel arrivant : le diplôme d'État d'infirmier, dispensé par les Unités de Formation d'Apprentis de l'Institut Régional de Formation Sanitaire et Sociale (IRFSS) de la Croix-Rouge à Chambray-lès-Tours (37) et de l'Institut de Formation aux Soins Infirmiers (IFSI) de Dreux (28). La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche Associative, Sanitaire, Sociale et Médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région. Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA va s'engager avec la Région Centre - Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap. Devenir infirmier par l'apprentissage C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (3 ans) et des 1800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus. ...
C’est en misant sur des offres de formations personnalisées ainsi que sur un partenariat efficace avec des entités industrielles de renom que « cette juridiction indépendante propose des formations adaptées au besoin de chacun et axées sur la professionnalisation des salariés actifs des entreprises », nous explique Isidore Torres, directeur du centre. La formation sur mesure : l’assurance d’une employabilité effective Créé en 1970 par des entreprises, sous l’impulsion de la loi sur la formation professionnelle, l’AFPI CENTRE Val de Loire a pour objectif d’apporter les compétences métiers parfaitement adaptées aux besoins des entreprises et de proposer des formations qui s’adaptent au public à former. Un processus personnalisé prenant en compte les besoins de chaque personne, jumelés à ceux de l’entreprise, constitue à cet effet sa marque de fabrique. L’AFPI se veut également être « un "assemblier" en mettant en place un panel d’interventions riche assuré par des formateurs professionnels dans le but de satisfaire les besoins des bénéficiaires », reprend Isidore Torres. En bon « assemblier », ce centre propose un large éventail de formations qualifiantes pour des corps de métier touchant des domaines de pointe, à l’instar de l’aéronautique, de la métallurgie, de la pétrochimie ou de l’énergie, ainsi que des métiers de l’organisation, pour ne citer que les ressources humaines. « Afin de garantir l’employabilité des formés, l’AFPI mise sur une approche inductive en priorisant les formations axées métier dont, 80 % des activités sont menées en entreprise », nous indique-t-on. Ainsi, grâce à cette maîtrise des besoins des entreprises, le centre affiche un excellent taux d’employabilité de plus de 75 % pour l’ensemble des formations. De cela, rigueur, excellence et adaptabilité trouvent ici un terrain d’expression, notamment grâce à la création d’une démarche de formation basée sur « une évaluation préformative pour chaque formé, un contenu et un plan de formation totalement individualisé ainsi qu’une certification à la clé ». À tout cela, s’ajoute le développement de plates-formes numériques collaboratives permettant à tous les acteurs de chaque formation d’interagir en tout lieu et en tout temps. ...
Tirer parti de ses données est une arme puissante pour les entreprises. Pourtant, peu savent réellement l'utiliser. Jedha propose ainsi des formations de qualité pour populariser ces outils, et une plateforme d'apprentissage unique en son genre. Jedha en quelques mots Depuis sa création, Jedha a souhaité fournir à ses élèves des formations en Data poussées, techniques et orientées pratiques, délivrées en présentiel ou distanciel avec le contexte sanitaire que nous connaissons. Le monde de la Data intéressant une large diversité de profils, il était nécessaire de mettre en place des programmes répondant aux besoins de chacun. De ce fait, 3 parcours ont été créés : -Programme Essentials (40h) pour acquérir les fondamentaux de la Data Science ; -Programme Fullstack (420h) pensé et conçu pour être professionnalisant, permettant de maîtriser l'entièreté du pipeline Data ; -Programme Lead (70h) pour se spécialiser sur des compétences actuellement très recherchées, en DevOps et automatisation. Chacune de ces formations s’appuie maintenant sur la plateforme d’apprentissage JULIE, une plateforme inédite dans la formation en Data. JULIE : la plateforme d'apprentissage qui suit les élèves durant toute leur carrière Pour travailler sur des projets Data, posséder une machine avec une bonne puissance de calcul et de stockage reste nécessaire, surtout lorsque l'on veut réaliser des modèles complexes. Pour contourner cette contrainte à laquelle se heurtent certains, Jedha offre à chacun de ses élèves un environnement de code dédié, l'accès à une plateforme baptisée JULIE. Chaque élève profitera d'environnements de code Cloud, permettant de créer des modèles robustes et poussés, sans avoir à installer quoique ce soit sur son propre ordinateur. Grâce à JULIE, les apprenants peuvent donc manipuler de gros volumes de données, s'initier au Deep Learning et Big Data en toute sérénité. Accessible à vie, JULIE accompagne les élèves de Jedha dans leur apprentissage tout d'abord, et dans leur carrière ensuite, les aidant à développer les modèles qu'ils auront à créer dans leur environnement professionnel. En exclusivité pour ses élèves, JULIE dispose aussi d'un portail de contenus sur lequel sont postés tous les supports de cours, des fiches d'apprentissages, des flashcards ainsi que des coding challenges proposés par les entreprises partenaires, le tout visant à s'entraîner en vue des entretiens et processus de recrutements. Bref, tous les aspects de la formation jusqu'au recrutement sont couverts ! ...
Produit de santé employé à des fins thérapeutiques ou diagnostiques pour compenser par exemple un handicap, le dispositif médical (DM) forme un écosystème innovant en pleine expansion. Cette discipline appartenant au domaine médical joue le rôle d’interface technique ou technologique entre la santé des patients et l'univers médical. En 2017, le secteur a représenté un marché de 28 milliards d’euros et a généré pas moins de 85 000 emplois directs en France. Pour être à la hauteur des nouveaux défis imposés par la filière, l’Institut supérieur d'ingénieurs de Franche-Comté (ISIFC) renforce son engagement de préparer des ingénieurs qualifiés et polyvalents, qui vont élargir le champ des possibles dans le génie biomédical. Appuyé par un réseau d’experts « Notre école est agréée CTI depuis sa création en 2001 et nous basons notre expertise sur le DM, depuis la conception jusqu’à la mise en marché, en passant par la fabrication et la validation », introduit Vincent Armbruster, directeur de l’institut. Le génie biomédical, défini comme « un art d’appliquer les sciences et les techniques les plus avancées à la conception et à la validation d’appareils pour prévenir, diagnostiquer, traiter et assister les patients », intègre une dimension transversale qui sous-tend une approche pluridisciplinaire. De ce fait, cet institut d’excellence s’entoure d’une solide équipe pédagogique regroupant des enseignants-chercheurs de l'université de Franche-Comté au sein des laboratoires de recherche, mais aussi des formateurs issus des entreprises et des centres de soins locaux. L’ISIFC jouit également de la synergie développée avec le CHRU, l’EFS et l’incubateur de Besançon, le SNITEM, le pôle de compétitivité des microtechniques de Franche-Comté et la CDEFI. Développer des compétences et des talents Le génie biomédical offre l’opportunité aux étudiants d’œuvrer dans le secteur de santé sans forcément passer par médecine. La formation proposée par l’ISIFC s’intéresse à trois cultures spécifiques : la technique qui traite les sciences de l’ingénieur, le médical ou la biologie santé et le volet réglementaire. « Le champ d’application de notre filière est très vaste mais exige un niveau de connaissance très précis et très pointu », explique notre interlocuteur. « Durant la première année du cursus, on va venir établir un socle commun de connaissances sur lequel fonder les futures spécialisations de nos étudiants. » Ce travail met l’accent sur l’aspect mécanique, électronique, mathématique, informatique et biologie santé pour permettre à tous de partir sur une base homogène et d’évoluer vers des compétences plus affirmées et plus ciblées. Pendant la seconde année d’études, cette approche se complète par un approfondissement de la réglementation et de l’éthique, un sujet particulièrement sensible quand on parle de DM. « L’idée étant de former des ingénieurs spécialistes dans le volet réglementaire qui vont développer des produits tout de suite certifiés par les normes européennes, et ainsi accélérer les procédures de mise en marché », reprend-il. La troisième et dernière année du programme prévoit la possibilité de conclure un contrat pro (formation en alternance) et offre trois options de spécialisation : la bio-ingénierie, l’e-santé, et la biomécanique et microsystème. En outre, différents stages (stage découverte, stage hospitalier, stage R&D, stage industriel) et projets tutorés sont obligatoires et représentent près de la moitié du temps de la formation, avec un encouragement à partir à l'international. Pour les professionnels et les entreprises, plusieurs formations thématiques à la carte et sur mesure sont à découvrir, allant des formati...
Mettre le participant au cœur du séjour, telle est l’ambition d’Atout Linguistique. Ce spécialiste des séjours linguistiques assure l’efficacité de son offre grâce à des prestations innovantes, respectant une charte qualité très stricte. Des séjours adaptés à chaque profil, des conseillers disponibles toute l’année et 24h sur 24 durant les séjours, des dossiers traités individuellement depuis la commande de brochure jusqu’au retour du séjour, un service billetterie/transports… Tout est fait pour que l’expérience soit la plus favorable possible. Les formules one to one pour progresser efficacement Atout Linguistique se distingue des autres organismes opérant dans le secteur en donnant l’opportunité aux jeunes de bâtir leurs séjours de A à Z. Chaque détail est personnalisable allant des dates, à la durée en passant par la destination jusqu’aux activités et loisirs. « L’objectif est de concocter un voyage qui corresponde à la personnalité du participant », fait savoir Aleksandra Stamenkovic, responsable de l’organisme. Cette approche est particulièrement adaptée au programme « One to One », ou « cours particulier chez le professeur ». Le participant sera accueilli dans une famille triée sur le volet dont l’un des parents est professeur. En plus des cours particuliers sur mesure, il pourra pratiquer toutes sortes de loisirs, de sports ou d’activités culturelles. « Un de nos avantages : nous proposons des destinations encore peu répandues comme la Chine, le Japon ou encore le Brésil. Et à part les activités classiques comme le golf, le surf ou le tennis, nous avons aussi des activités spécifiques selon les pays », explique notre interlocutrice. Un nouveau regard sur le monde lors de séjours en résidences internationales Les jeunes ne désirant pas vivre en famille d’accueil peuvent opter pour les hébergements en résidence. Garantissant un encadrement permanent, le séjour s’effectue dans une résidence ou une université de renom aux États-Unis, au Royaume-Uni ou ailleurs dans le monde. Au programme : cours de langue + sport, excursion, activités artistiques, visites, etc. Toujours en quête d’innovation, Atout Linguistique suggère une nouveauté sur cette formule à travers le programme London Secret City. Aleksandra Stamenkovic nous éclaire sur les particularités de l’offre. « L’hébergement s’effectue en résidence internationale. Du lundi au vendredi, l’étudiant participe au cours l’après-midi. Le reste du temps, il s’adonne à de nombreuses activités : sortie au studio Harry Potter, Night market de Londres, visite de l’Arsenal FC Club, initiation dans une école de trapèze, etc. ». Une autre formule résidentielle qui plaît beaucoup : les summer camps américains et canadiens. Ou comment progresser en anglais dans un vrai cadre de vacances, en plein cœur de la nature, une tradition chez les jeunes d’Amérique du Nord. Pour plus d'informations sur les nouvelles offres, commandez la brochure. ...
Une offre des formations renouvelée « L’université de Franche-Comté fait de l’innovation un élément constitutif suivant une méthodologie très exigeante, nous proposons de nouvelles formations caractérisées par un changement de philosophie et par une évolution des contenus », nous explique Frédéric Muyard, vice-président de la formation et de la vie étudiante. Les cursus de formations sont fondés sur la professionnalisation, comprenant une sensibilisation à l’entrepreneuriat, des ateliers de projets professionnels et un renforcement des langues étrangères, avec des certifications à la clé pour les étudiants en master. L’université de Franche-Comté propose, par exemple, huit Cursus master ingénierie (CMI) - dont la géologie appliquée ou encore la géographie, l'information et la communication - pilotés par le réseau Figure, une initiative d’excellence en formation innovante. « Ces cursus, s’appuyant sur un continuum licence-master, visent à former les ingénieurs sur le modèle européen intégrant une forte interaction avec la recherche », selon Frédéric Muyard. Enfin, dans ce renouveau, l’université garantit la qualité des formations grâce à l’élaboration de son propre référentiel de formation suivant les standards européens et l’accompagnement d’un dispositif d’appui à la qualité pour tous les cursus. Un gage d’employabilité à long terme grâce à la Formation tout au long de la vie Il s’agit ici, selon Laurence Ricq, vice-présidente chargée de la formation tout au long de la vie et des relations avec le monde socio-économique, « de répondre aux besoins des salariés ou des demandeurs d’emploi qui souhaitent se reconvertir professionnellement, reprendre des études et acquérir de nouvelles compétences». Plusieurs dispositifs ont été mis en place par l’université de Franche-Comté. Ils incluent la reprise d’études à distance, en présentiel, en alternance ou les trois combinés, des formations courtes sur mesure effectuées en entreprises ou la modularisation et la capitalisation, c’est-à-dire l’obtention d’un diplôme par blocs de compétences. Accessibles et s’adaptant aux mutations constantes du monde professionnel, ces formations sont un gage d’employabilité sur le long terme. Une ouverture internationale réussie Priorité de l’Université de Franche-Comté, l’internationalisation se traduit par l’accueil de plus de 6 000 étudiants et stagiaires étrangers chaque année, dont plus de la moitié au sein du Centre de linguistique appliquée (CLA), le plus grand Centre universitaire de français langue étrangère en France et où l’on enseigne également neufautres langues. Cet atout majeur confère à l’Université de Franche-Comté un rôle de premier plan dans la promotion et la diffusion de la Francophonie dans le monde. « Des parcours sur mesure combinant formation linguistique et culturelle à des cours disciplinaires, ainsi que des cours enseignés en anglais, sont aussi proposés aux étudiants internationaux afin de faciliter leur intégration et leur réussite. Les étudiants de l’UFC ont, quant à eux, la possibilité d’effectuer des mobilités au sein de quelques 300 universités partenaires dans le monde », explique Anne-Emmanuelle Grossi, vice-présidente chargée des relations internationales et de la francophonie. Tout étudiant engagé dans un programme d’échange bénéficie d’un accompagnement personnalisé. La qualité de l’accueil se traduit également par l’engagement de l’UFC auprès du public migrant au travers d’un important dispositif de formation linguistique permettant la poursuite d’études en France. Enfin, la spécificité géographique transfrontalière de l’UFC favorise une mention particulière des coopérations de l’UFC avec l’Allemagne et la Suisse. L’université de Franche-Comté fait ainsi de ses relations avec la Suisse un axe de développement à l’international, et une fen...
Le Lycée français Rodolphe Töpffer a repris comme leitmotiv la phrase de ce pédagogue genevois et inventeur de la bande dessinée : « Aimer l’école aujourd’hui, c’est aimer la vie demain ». Dans cet esprit, le lycée met tout en œuvre pour apporter à chaque élève un enseignement sérieux, solide et valorisant, dans une atmosphère familiale et bienveillante. N’accueillant que 200 élèves chaque année, avec des classes à effectif réduit, le lycée veille ainsi à l’équilibre et à l’épanouissement personnel de chacun. Une pédagogie à l’écoute des élèves L’équipe professorale, expérimentée, motivée, disponible et avec un sens pédagogique affirmé, reste à l’écoute des élèves pour les guider de façon personnalisée. Etudes surveillées et soutien individuel sont programmés chaque jour. Elle transmet aux élèves des méthodes de travail leur permettant d’acquérir faculté de raisonnement, apprentissage de l’autonomie, développement du sens critique, esprit d’initiative et inventivité. Le Lycée favorise le désir d’apprendre et la curiosité en organisant entre autres la Fête de la francophonie, de la poésie, de la science ou la semaine des talents. Il donne une grande importance aux langues avec des cours supplémentaires pour préparer les diplômes de langues comme le Toefl, le Cambridge ou encore une initiation au chinois. Bien préparer les élèves au monde de demain Le lycée souhaite que chaque élève devienne un citoyen acteur du monde de demain. Il a donc mis en place un programme destiné à préparer les élèves à leur avenir. Avec entre autres des cours de robotique, une option d’arts plastiques et un atelier de création de startup avec la collaboration de Graines d’entrepreneur. Il accompagne les élèves dans leur orientation en les invitant à se rendre au Forum des formations universitaires, aux portes ouvertes des Universités ou encore au stage boussole de l’Université de Genève afin d’y suivre quelques cours. ...
Le Collège du Léman a été fondé en 1960 à Genève par Francis et Inge Clivaz. À l’époque, de nombreuses sociétés et organisations internationales ont décidé d’installer leur siège dans la ville. De plus en plus de familles ont ainsi demandé l’ouverture d’une école internationale à même d’offrir un enseignement académique d’excellence à des étudiants venant des quatre coins de la planète. « Nous sommes à la fois un collège international, un internat et un externat », explique Cédric Antonio, le directeur de la communication. Aujourd’hui, l’établissement accueille près de 2 000 étudiants (du préscolaire à la terminale) de 120 nationalités différentes, et âgés de 2 à 18 ans. En 2015, le Collège du Léman intègre le groupe Nord Anglia Education, une organisation qui réunit 55 écoles d’excellence à travers le monde. L’école forme tout simplement la plus grande entité constituant ce groupe. La philosophie d’éducation repose sur trois principes ancrés dans la vie du Collège du Léman : développement personnel, l’excellence académique et citoyenneté. Des infrastructures ultramodernes et haut de gamme Installé sur la rive droite du lac Léman, le campus bénéficie d’un emplacement idéal avec un cadre verdoyant qui s’étend sur huit hectares. Les infrastructures ont été conçues afin d’apporter un environnement accueillant, sécurisé et agréable à vivre pour tous les étudiants. Avec une capacité d’accueil de 250 élèves, l’internat dispose de 15 « Boarding House ». Ces villas illustrent parfaitement le souci d’offrir une grande qualité de vie à tous les pensionnaires et leur donner l’impression d’être comme chez eux. En effet, chaque maison est dotée d’une cuisine équipée, d'un salon avec télévision, wi-fi, espace de détente et de travail. Un programme bilingue et des diplômes variés Dès la maternelle, les élèves peuvent être placés soit dans une section francophone, anglophone ou bilingue. Différents programmes suggérés préparent les étudiants aux diplômes les plus prisés comme le I.B (International Baccalaureate), le Diplôme de fin d’études secondaires américain ou encore le baccalauréat français. Afin d’assurer la réussite scolaire, l’excellence académique est placée au cœur du processus d’apprentissage. Par ailleurs, chaque étudiant bénéficie d’un suivi personnalisé avec un programme qui s’adapte en fonction de ses besoins. Plus de 80 activités extrascolaires Le Collège du Léman suggère à ses étudiants un riche programme extrascolaire incluant notamment des activités sportives (golf, voile, natation, judo, etc.), artistiques (musique, sculpture, peinture…) et sociales (collecte de dons, aides aux personnes nécessiteuses…). Une très grande flexibilité qui fait toute la différence. « Nous sommes à proximité du lac léman et des montagnes, donc on a la possibilité de faire une multitude d’activités… », souligne M. Cédric Antonio. Pour les étudiants, ces activités ont pour objectif de développer la confiance en soi, la capacité d’adaptation et la sociabilité. En outre, les élèves peuvent aussi adhérer au club de leur choix et pratiquer par exemple les jeux d’échecs, la magie ou la méditation. ...
D’abord un rappel essentiel : la formation professionnelle tout au long de la vie constitue une obligation nationale. Elle permet à chaque personne, indépendamment de son statut, d'acquérir et d'actualiser des connaissances et des compétences favorisant son évolution professionnelle, ainsi que de progresser d'au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle. Elle comporte ainsi une formation initiale, comprenant notamment l'apprentissage, et des formations ultérieures, qui constituent la formation professionnelle continue, destinées aux adultes et aux jeunes déjà engagés dans la vie active ou qui s'y engagent. En faisant le lien entre les formations et les besoins du monde économique, la formation continue tout au long de la vie dans l'enseignement supérieur permet à ceux qui sont entrés tôt dans la vie active d'avoir une chance d'accéder aux cursus, diplômes ou titres de l'enseignement supérieur. La formation continue tout au long de la vie permet également d'optimiser les temps de formation en prenant en compte les savoirs et savoir-faire de chacun et de répondre plus efficacement aux besoins et aux attentes des individus, des entreprises et de la société. Une formation pour qui ? La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur s'adresse aux actifs, afin de permettre leur maintien dans l'emploi, de favoriser le développement de leurs compétences et l'accès aux différents niveaux de la qualification professionnelle, de contribuer au développement économique et culturel, à la sécurisation des parcours professionnels et à leur promotion sociale. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse aussi aux personnes souhaitant un retour à l'emploi après une interruption de leur activité professionnelle. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse enfin aux personnes en situation de handicap : des dispositifs spécifiques ont été mis en place dans tous les établissements de l’enseignement supérieur pour adapter les modalités d’accès et de suivi de formations aux différents handicaps et nommer un référent handicap pour suivre les participants de leur candidature à leur diplomation. ...
Créé en 1910, le Collège Alpin Beau Soleil compte parmi les plus anciens établissements d’enseignement privés de Suisse. Depuis sa création, le collège a été dirigé par trois générations de la famille de Meyer jusqu’en 2010. L’établissement offre une éducation internationale en internat avec une capacité d’accueil de 250 étudiants. Il reçoit des élèves de 11 à 18 ans issus de plus 50 nationalités différentes. La philosophie de la maison est bâtie sur quatre axes essentiels : responsabilité, respect, détermination et ambition. Pour insuffler un nouvel élan à son développement, le collège adhère en 2011 au groupe Nord Anglia Education, une organisation regroupant 55 écoles de haute qualité à travers le monde. Ce partenariat lui permet de maintenir une atmosphère familiale tout en tirant profit des opportunités uniques qu’apporte un réseau éducatif de portée mondiale. Un collège, deux cursus L’établissement propose deux cursus diffé-rents comprenant le « french curriculum » et l’« international curriculum ». Au sein d’un environne-ment bilingue, la section française accueille les classes de la 3eme à la terminale et prépare les étudiants aux examens officiels tels que le diplôme national du brevet et le baccalauréat français. Afin de garantir la réussite scolaire, chaque élève bénéficie d’un suivi personnalisé dispensé sous forme d’un tutorat. En effet, un tuteur attitré veille à ce que l’étudiant assure un progrès constant. « Avec un ratio de quatre étudiants par enseignant, nous avons les moyens de proposer une éducation adaptée à chaque élève », explique Kevin Foyle, Directeur de l’établissement. Quant à la section internationale, elle inclut les classes qui vont du 6th grade (sixième) au 12th grade (terminale). Issue des meilleurs systèmes d’éducation, cette section prépare notamment les élèves à l'IGCSE (International General Certificate of Secondary Education) et l’IB (International Baccalaureate). À travers ses deux cursus, Beau Soleil peut se vanter d’obtenir chaque année des résultats académiques exceptionnels. À titre d’exemple, pour les résultats au baccalauréat international (2012-2016), le collège affiche 100 % de réussite. Un succès qui n’est pas dû au hasard et s’explique par de nombreux efforts axés à tous les niveaux. Sur le plan pédagogique, l’établissement dispose d’une équipe d’éducateurs passionnés qui concilie parfaitement expériences et approches innovantes. Afin de permettre un soutien personnalisé, l’institution privilégie des classes à effectif réduit. En ce qui concerne la vie en internat, tout est fait pour que les élèves se sentent comme chez eux ! Les « Boarding houses » offrent non seulement un espace propice à l’épanouissement personnel mais donnent aussi lieu à de nouvelles rencontres. Entre les traditionnels barbecues, les après-midi en cuisine ou les activités du week-end, les occasions ne manquent pas de se faire des amis. Des efforts ont été entrepris pour procurer un environnement chaleureux et accueillant. Une expérience unique dans un environnement d’exception Installé à 1 259 mètres d’altitude dans les Préalpes vaudoises, le Collège Alpin Beau Soleil profite d’un emplacement idéal. Le campus a récemment ouvert une extension du campus qui lui ont permis de doubler de volume sans pour autant augmenter l’effectif des élèves. Ces bâtiments intègrent des installations modernes tout en offrant une magnifique vue sur les Alpes suisses. C’est dans ce cadre privilégié que les élèves auront l’occasion de vivre des expériences inoubliables. À commencer par les voyages et découvertes en tout genre. « Chaque année, les élèves doivent faire un voyage, qui peut être culturel, d’étude ou dédié aux...
Le manque d’assurance, la difficulté à faire confiance, l’instabilité émotionnelle ou encore la peur d’être abandonné se rejoignent sous une qualification : le blocage émotionnel. Celui-ci explique le comportement renfermé ou excessivement agressif d’un individu, sa façon à lui de construire un mur de défense par rapport à son environnement. Vivre avec un blocage émotionnel est épuisant, psychologiquement mais aussi physiquement. Mais aujourd’hui, grâce aux travaux de recherche de Dr Pierre-Noël Delatte, chacun peut adopter une nouvelle façon de vivre en apprenant à contrôler son énergie émotionnelle. Comprendre la PBA© La psycho-bio-acupressure (PBA©) est une méthode innovatrice développée par Dr Pierre-Noël Delatte vers les années 1990, qui s’inspire de l’acupuncture. Le principe consiste à appuyer fermement, et trois fois de suite, cinq points réflexes qui forment des circuits imprimés selon un ordre bien particulier. Ce protocole précis permet dans un premier temps de rééquilibrer le système énergétique de la personne et d’évacuer, par la suite, le blocage émotionnel accumulé qui fait emprise sur le mental et le subconscient. « La PBA© agit parfaitement dans plusieurs états de mal-être et de pensées négatives, comme le stress, l’angoisse, la colère, la dépression, la peur, l’anxiété, l’hyperémotivité, etc. », explique Fairouz Rouzaud, cofondatrice de l’Institut Delatte, qui assure l'évolution de la méthode depuis le décès du Dr Delatte. Même les blessures plus profondes, notamment les échecs à répétition et les souvenirs douloureux accumulés dans l’enfance, peuvent être libérées grâce à la PBA©. En outre, cette technique présente aussi l’avantage d’être non invasive et totalement adaptée aux femmes enceintes et aux bébés. D’ailleurs, la passion de madame Rouzaud pour la vie intra-utérine, les divers types de naissances et leurs impacts émotionnels sur l'individu l'a amené à développer une thérapie particulière pour soulager ces derniers. En France, il existe environ 150 thérapeutes/praticiens agréés par l’Institut Delatte à proposer des consultations PBA©. Mieux former pour mieux guérir Chacun peut apprendre à gérer ses émotions et son état énergétique via la PBA©, grâce à une initiation de base dispensée par cet institut de référence. L’on y apprend comment identifier les points d’acupressure et maîtriser le protocole fondamental. À partir de là, plusieurs autres niveaux de perfectionnement sont proposés à ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances. Le cursus échelonné s’achève sur une formation à vocation professionnalisante, un parcours exclusif pour devenir praticien homologué, référencé sur l’annuaire officiel des praticiens agréés et régis par un code de déontologie. « Aussi, l’institut organise tout au long de l'année une formation/recyclage et perfectionnement à destination de nos diplômés sortants.» Fairouz Rouzaud elle-même ainsi que trois autres confrères assurent ces formations au sein de l’Institut Delatte. La cofondatrice se déplace également à l’étranger, notamment au Canada, aux États-Unis, en Suisse, à l'Ile de La Réunion, en Nouvelle calédonie et àTahiti pour partager son expertise. En parallèle, le site psycho-bio-acupressure.com reste un portail d’informations de référence pour mieux comprendre la PBA©, l’Institut Delatte et ses missions. La liste des praticiens agréés, le calendrier des stages et des formations y figurent également. ...
Si la plupart des étudiants désirent poursuivre leurs études dans un pays étranger, tous n’ont pas la possibilité de réaliser leur rêve. En effet, il est souvent difficile d’intégrer les universités étrangères, notamment quand il s’agit d’une institution de renom international. Conscients de cette difficulté à laquelle sont confrontés les jeunes, Christian et Monique Peltier ont choisi de mettre leur expertise à leur service en fondant un cabinet de conseils en poursuite d’études à l’étranger : Chrismo Consulting. Qui est Chrismo Consulting ? Chrismo Consulting & Training est un cabinet de conseil en études à l’étranger et en séjours linguistiques. Basé à Paris, il coopère avec de nombreuses universités au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, au Canada, en Irlande, au Japon et aussi en Allemagne. Chrismo accompagne les étudiants depuis le choix de l’université qu’ils veulent intégrer jusqu’à leur retour en France à la fin de leurs études. Par rapport aux études supérieures, les missions du cabinet consistent à aider les étudiants à choisir l’institution qui correspond le mieux à leurs aspirations et à leurs possibilités. Le cabinet les accompagne dans l’élaboration de leur candidature, la rédaction de leur lettre de motivation (personal statement), la demande de visa, la recherche de logement. Autrement dit, Chrismo aide les étudiants à constituer un dossier complet et les accompagne tout au long de leur cursus. Ils gardent un contact permanent avec les étudiants jusqu’à parfois leur rendre visite dans l’université ou assister à leur remise de diplôme. Pourquoi étudier à l’étranger avec Chrismo Ayant fait carrière dans l’enseignement et dans des entreprises d’envergure internationale, les fondateurs de Chrismo Consulting ont la capacité de guider et d’aider les étudiants à atteindre leur objectif. En tant que cabinet conseil, Chrismo tient compte de tous les aspects du séjour de l’étudiant à l’étranger, parmi lesquels le coût et les conditions de vie dans le pays de son choix. Grâce à l’expérience des fondateurs, étudier à l’étranger avec Chrismo, c’est aussi s’assurer de l’adaptabilité des études faites à la réalité française et aussi découvrir les enjeux de la carrière envisagée. A cet effet, le cabinet met à la disposition des étudiants les services d’un coach d’orientation certifié pour les soutenir. Par ailleurs, le partenariat que Chrismo Consulting a développé avec de nombreuses universités étrangères facilite l’adhésion des étudiants à celles-ci. Dans ce cas l’accompagnement est gratuit. Néanmoins, le cabinet s’occupe également de ceux qui souhaitent intégrer des universités non-partenaires. Dans ce dernier cas, Chrismo applique un forfait déjà défini. Faire des études supérieures à l’étranger avec Chrismo permet aux étudiants d’obtenir des diplômes mondialement reconnus dans plusieurs domaines. Quelles filières pour obtenir son Master ? Après avoir obtenu sa Licence ou son Bachelor, un étudiant est prêt à passer son diplôme de niveau 7 : le Master. Le diplôme se prépare pendant un an ou 18 mois selon l’université. L’étudiant peut s’orienter vers un enseignement classique ou vers la recherche pour obtenir un Master Msc ou un Master Ma. Les étudiants en Sciences, Technologie, Ingénierie et Mathématiques passent généralement un Master Msc. Le Master Ma quant à lui touche les Sciences Sociales, les Arts et les Humanités, le Business et le Management même si parfois, certaines filières comme les Sciences sociales et la Psychologie permettent aussi d’avoir un Master Msc. Ceux qui suivent des études en commerce et marketing au Royaume-Uni peuvent obtenir un Master 2 en un an. Il existe également des universités spécifiques comme l’UCFB où les étudiants peuvent se former sur une filière spécifique comme le sport, plus particulièrement le football. A l’Université...
Créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par une ordonnance du 9 octobre 1945 en même temps que l’Ecole Nationale d’Administration et l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, Sciences Po Strasbourg fait partie des dix IEP de France et représente le plus ancien IEP de région. Il est né d’une volonté de moderniser et rénover l’Etat via un projet de formation des élites administratives, politiques et privées. Cette filière d’excellence a bâti sa notoriété sur la base d’un ancrage régional fort se manifestant par ses relations étroites avec l’Université de Strasbourg. « Nous sommes l’un des rares Sciences Po à être intégré dans une université », fait savoir d’emblée, Gabriel ECKERT, directeur de l’institut. Un statut particulier qui est stratégique pour les étudiants ayant la possibilité notamment de réaliser des doubles-cursus de licence en économie et sciences sociales ou de suivre une formation au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) qui est une autre composante de l’Université de Strasbourg. Des cursus pluridisciplinaires Les cursus de Sciences Po Strasbourg reposent sur un schéma identique à celui adopté par les autres instituts d’études politiques. Depuis la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat), l’institut propose une formation de cinq ans répartie en deux cycles. Durant les deux premières années du premier cycle, les étudiants acquièrent un socle de connaissances renforçant leur esprit d’analyse et de compréhension des grands enjeux européens. « Le programme est pluridisciplinaire et généraliste car nous voulons que nos étudiants perçoivent tous les problèmes du monde. Ces derniers doivent être abordés aujourd’hui pas seulement sous l’angle d’un technicien spécialisé mais de manière globale et générale», déclare le directeur de l’institut. Les cours sont orientés autour de cinq champs disciplinaires à savoir le droit, l’économie et la gestion, l’histoire contemporaine et les relations internationales, les sciences sociales et la science politique et enfin, les langues. La troisième année est celle de la mobilité à l’étranger. « Grâce à nos 140 conventions d’échange avec des universités étrangères, nos étudiants passent cette année obligatoire à l’international dans une de nos universités partenaires ». Cette année à l’étranger peut également prendre la forme de stages ou d’activités professionnelles. Le second cycle pour sa part s’organise autour d’une progressive spécialisation. « Si le socle commun de compétences, la transversalité de notre formation et sa pluridisciplinarité sont absolument essentielles dans la carrière et la vie professionnelle de nos étudiants, pour entrer dans une activité professionnelle, il faut une spécialisation. », explique notre interlocuteur. En quatrième année, les étudiants choisissent alors entre l’une des quatre filières : droit et administration publique, économie/entreprise, études européennes, politique et société. Une ouverture sur l’Europe et le monde entier Sciences Po Strasbourg se nourrit d’une forte vocation européenne et internationale. Une orientation qui s’est faite naturellement grâce son emplacement stratégique au cœur de l’Europe, dans une ville frontière abritant les plus importants organismes européens (le Parlement Européen, le Conseil de l’Europe, la Cour Européenne des Droits de l'Homme, le Centre Européen de la Jeunesse etc.). Cette proximité ayant contribué à créer des partenariats avec les plus grandes institutions européennes donne l'opportunité aux étudiants internationaux inscrits au Certificate of European Studies de comprendre l’Europe au cœur de sa capitale. Ce programme enseigné en anglais s’organise chaque semestre et se concentre sur l’Europe dans une perspective globale. L’engagement à l’international se manifeste également par l’adhésion aux éch...