L’établissement propose un cadre rustique montagnard garantissant un accueil chaleureux et convivial. Trois salles aux décors de charme invitent à découvrir la gastronomie et les produits du terroir qui font la réputation de la Haute-Savoie. Sur une grande terrasse, l’on savoure les trésors culinaires proposés chez Mamie Lise en se laissant bercer par le lac d’Annecy qui mêle sa fraîcheur à celle des montagnes. Une cuisine traditionnelle aux couleurs de la région Aux portes de la Vieille Ville d’Annecy, le restaurant Chez Mamie Lise dévoile la riche tradition culinaire de la Haute-Savoie. Sa cuisine rend hommage à la générosité du terroir à travers une sélection soignée de charcuteries, de poissons et de viandes. Les spécialités fromagères sont notamment à l’honneur : reblochon, manigodine, beaufort, morbier et chèvre. Des entrées jusqu’aux desserts, la conception des plats proposés traduit une réelle passion pour la cuisine. « Je suis quelqu’un de très passionné, la cuisine c'est toute ma vie ! », déclame le chef du restaurant. Des spécialités et des saveurs à la savoyarde L’établissement a, entre autres, bâti sa réputation grâce à ses fondues, raclettes et autres tartiflettes. La fondue savoyarde aux trois fromages, la Manigodine cuite et fumée au bois de hêtre ainsi que l’Ercheu de jambon de montagne illustrent parfaitement la cuisine de chez Mamie Lise. Les poissons du lac d’Annecy sont également bien représentés avec, entre autres, les goujonnettes de féra en croûte de manigodine et le rôti de lotte au jambon de montagne. Par ailleurs, l’entrecôte Simentahl, le magret de canard mulard et le carré d’agneau sont à ne pas rater. ...
Qui a dit qu’il fallait absolument posséder des hectares de vignes pour produire les meilleurs vins ? Christophe Kaczmarek prouve que l’expérience et un carnet d’adresses bien étoffé suffisent à l’élaboration de cuvées d’excellence. Car ce négociant tisse d’étroites collaborations avec des producteurs certifiés en agriculture biologique et biodynamique pour concevoir sa gamme pleine d’authenticité et de générosité. Retour sur le parcours de ce personnage au caractère bien trempé et sur sa marque French Beaches, productrice de vins, de bières et de spiritueux. Le Master Blending comme source d’inspiration Christophe Kaczmarek se découvre une passion pour les vins lors de ses études à l’EDC Paris Business School. Intégré à la junior entreprise de son école, il travaille avec ses camarades sur le projet « Compositeur de grands vins » pour le compte du célébrissime Bernard Magret. Une fois son cursus achevé, il décide de se plonger dans les méandres de l’univers vinicole en démarrant comme vacataire chez le caviste parisien Le Repaire de Bacchus. De fil en aiguille, il consolide son background en se formant auprès des plus éminents sommeliers tels que Paolo Bouca Nova ou Jean-Michel Deluc. « A partir de 2011, j’ai intégré le domaine Paul Màs et ensuite, j’ai travaillé au sein du groupe Castel », raconte-t-il pour témoigner de son riche parcours. Le déclic survient en 2015. Christophe quitte son poste chez Castel et se lance dans l’aventure de l’entrepreneuriat. « J’ai deux structures dont l’une se nomme Coq au vin et l’autre French Beaches. Avec Coq au vin, j’opère comme agent à l’export pour une douzaine de vignerons et quant à French Beaches, j’y produis mes propres cuvées ». Il puise son inspiration dans le procédé de Master Blending utilisé dans la conception de whiskies. « Le Blended whisky est le résultat d’un mélange de différents whiskies d’âges et d’origines différentes. […] La technique a été créée au Japon et elle est relativement récente puisqu’elle date d’à peine 10 ans », fait savoir notre interlocuteur. Pour élaborer ses vins, cet artisan procède alors à des assemblages de différentes parcelles choisies auprès de ses partenaires vignerons. À la manière d’un parfumeur, il goûte de nombreuses cuves et décident de celles qui peuvent s’associer en se concentrant sur les qualités organoleptiques de chaque jus. Des cuvées festives et généreuses pour le plaisir de tous En quête de repères inédits, contemporains, élégants et identifiables, les consommateurs sont très à cheval sur le packaging des produits. Conscient de ce phénomène, French Beaches choisit par exemple des bouteilles Paris pour mettre en valeur ses cuvées. « Le vin est un produit noble, j’ai voulu lui donner un bel écrin », explique Christophe. Et comme cet artisan ne fait rien dans le conformisme, même ses étiquettes sont conçues de façon sur mesure par des artistes. « Au détour d’une librairie, je suis tombé sur un roman graphique d’Anne-Margot Ramstein qui m’a interpellé. Nous avons conclu une collaboration et elle réalise certaines de nos étiquettes ». Pour partager son goût pour l’audace et le beau, French Beaches dispose de huit cuvées déclinées en deux gammes : « Classique » et « Équinoxe ». Le Vin de pays « Zesty White » s’inscrit comme l’un des fleurons de la maison. Il est produit avec l’aide des Vignerons Catalans installés dans le Roussillon, riche d’une mosaïque de terroirs exceptionnels. Élaboré avec 80 % de sauvignon blanc et 20 % de grenache blanc, Zesty White est un vin gourmand et rayonnant dont les arômes nous plongent dans une salade d’agrumes frais. Ses notes croquantes, fraîches et minérales jouent sur un bel équilibre pour émoustiller les palais. La gamme Classique se compose d’une autre pépite à découvrir abs...
Le Cap : un restaurant incontournable Dans un cadre enchanteur, ce restaurant accueille ses convives avec une vue imprenable sur la Méditerranée. Proposant des plats faisant honneur aux spécialités du terroir, cette table reste une référence pour les amateurs de cuisine élégante. Elle privilégie des produits frais locaux et donne la priorité à des plats raffinés, à l’instar du rouget rôti précédé de Gamberonis accompagné d’un citron de Menton à l’huile d’olive. Le restaurant dispose, entre autres, d’une cave à vins forte d’une centaine de références nationales et internationales pouvant être dégustées dans un lieu privatif de l’établissement : le Salon des Collections. Le restaurant La Véranda : Raffinement culinaire et décontraction À mi-chemin entre le décontracté niçois et le luxe monégasque, cet établissement se démarque par son décor alliant sobriété et élégance. Propice aux instants gourmands en journée, en après-midi ou en soirée, cette table propose des plats rappelant les succulences méditerranéennes préparées avec les saveurs d’une nature généreuse. Pour un « afternoon tea » ou pour un brunch, les menus à la carte associent les meilleurs produits locaux, un savoir-faire traditionnels et une touche de l'Italie voisine, avec toujours la Méditerranée en toile de fond. Le Club Dauphin Ce restaurant situé en bord de mer est le lieu idéal pour se ressourcer autour d’un verre et de plats typiquement méditerranéens : Salades fraîches, viandes grillées, pêche du jour etc. Avec une cuisine à base de produits frais choisis pour leur qualité et pour leurs origines fidèles aux valeurs de l’établissement, le Club Dauphin, à l’ambiance agréable et conviviale, figure parmi les adresses incontournables sur la Côte d'Azur. ...
Situé en plein cœur de Paris, dans le 20e arrondissement, le restaurant Abyssinia est une invitation à la découverte d’un pays envoûtant qu’est l’Éthiopie. Les gérants, chaleureux et toujours prêts à vous servir, vous invitent à partager des plats exotiques amoureusement mitonnés par Tesfaye Kidane. Pouvant accueillir quarante couverts, la salle est ornée de peintures et de masques africains. Dans des tons de marron et de blanc, elle offre un contraste parfait entre modernité et tradition. Masenqo, krar et kissar (des instruments de musique éthiopiens) peaufinent cette décoration atypique. Voyage hors frontière garanti ! Des plats hautement recommandés… Ici, tout le monde y trouve son compte. Les plats aux noms énigmatiques émerveilleront vos papilles. Les épices, une valeur sûre dans la cuisine éthiopienne, promettent saveur et authenticité. Vous pouvez avoir une confiance aveugle en l’équipe qui vous aiguillera dans vos choix. Parmi les suggestions avancées par la maison, figurent par exemple le samoussa ou l’azifa (purée de pois chiche) en entrée, le Key Wot (ragoût de bœuf) ou le dorowot (poulet mariné) en plat de résistance et le baklava éthiopien (une sorte de mille-feuille trempé dans du miel) en dessert. Veillez à bien vous nettoyer les mains avant, car « ici, on mange avec les doigts », précise Monsieur Kidane, le propriétaire. Le concept est simple et unique : chacun commande son plat puis le tout est rassemblé sur un grand plateau pour cinq personnes dans lequel tout le monde pioche ici et là pour goûter aux plats des autres. Des avis enthousiastes… La maison se préoccupe particulièrement de la satisfaction de ses clients. Ces derniers ressortent de l’établissement avec le sourire aux lèvres et des souvenirs plein la tête. Ceux qui sont déjà venus reviennent avec entrain et conseillent l’enseigne aux amateurs de gastronomie tropicale… « Dans notre restaurant, vous découvrirez un petit bout de l’Éthiopie », déclare notre interlocuteur. ...
Créée en 2003, l’exploitation a été reprise en 2011 par Gilles Pedini, niçois de longue famille, amoureux de sa région Provençale et passionné par le monde du vin. Le Clos Gautier produit aujourd’hui trois cuvées en Côtes-de-Provence et le Campé d’Enroch en IGP Var Argens. Le domaine propose aussi de l’huile d’olive issues des oliviers multi centenaires de la propriété. Terroir et cépages typiques du Var Le vignoble du Clos Gautier s’étend sur une superficie totale de 33 hectares, au sein d’un terroir typique de la région, se distinguant par une terre argilo-caillouteuse avec un sous-sol argileux. Une partie des parcelles du domaine est située sur le terroir prestigieux de Mouton-Gautier. Grâce, notamment, à ce sous-sol en argile qui retient l’eau en profondeur, les pieds de vigne ne sont pas touchés par la sécheresse, ce qui garantit une maturation continue et linéaire des raisins pour des vins équilibrés. Sur les 33 hectares du Clos Gautier, 80 % des vignes sont dans l’appellation Côtes-de-Provence AOP et le reste en Vin de Pays du Var d’Argens IGP. L’exploitation possède aussi quelques parcelles exceptionnelles de vieilles vignes plantées en 1941 sur 2 hectares et en 1949 sur 6 hectares. Ces deux parcelles sont particulièrement soignées, et exclusivement vendangées à la main, car destinées à l’élaboration de cuvées haut de gamme. En outre, une replantation a été effectuée sur 5 hectares de vignes, en 2011, dans une démarche qualitative et de marche vers le bio. Quant aux cépages, ils sont représentés par la syrah, le grenache, le cinsault, le carignan, le rolle et l’ugni blanc. Quelques pieds de cabernet-sauvignon et de mourvèdre sont également présents Agriculture raisonnée Le Clos Gautier applique une agriculture raisonnée dans toutes ses démarches de production. Pour ce faire, les produits phytosanitaires sont employés de manière très limitée et sont remplacés dans la mesure du possible par des produits naturels tels que le soufre, le cuivre ou l’huile essentielle d’orange. Un îlot de 8,5 hectares autour de la cave est en cours de conversion en bio. La vendange ne s’effectue qu’à maturité optimale des raisins, avec des rendements inférieurs à la législation afin de garantir des jus plus riches. À la cave, les matériels de vinification sont à la pointe de la technologie : cuves en inox thermorégulées, pressoir pneumatique et cuves en béton unimoulées -sans joints- avec contrôle de la température. Les coups de cœur du domaine Parmi toutes les cuvées du domaine, la plus prestigieuse et la plus noble est sans aucun doute le Clos du Château AOP Côtes-de-Provence. Issue des vieilles vignes du vignoble, elle est élevée en barrique bordelaise de chêne durant 11 mois avant d’être embouteillée. Le millésime 2013 a été médaillé d’or lors du Concours des vignerons indépendants 2015 de Paris et médaillé d’argent au Decanter World Wine Awards de Londres. En 2014, la cuvée s’est étoffée d’une gamme de blancs élevée avec bâtonnage des lies fines dans des fûts de 400 litres et dotée de bouchons en liège naturel extra. Cette dernière a déjà remporté une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris en 2015. La cuvée Oser, issue de vignes de 40 ans, n’est pas en reste. En bouche, ce vin a une agréable rondeur avec des notes de fruits rouges. Il peut être servi en apéritif et accompagne savoureusement des plats en sauce. Au dernier Decanter World Wine Awards de Londres, le millésime 2014 a été couronné de la médaille d’or. ...
Ici, on entretient un lien filial avec la terre. Maurice Vesselle, fondateur du lieu en 1955, y consacre sa vie, avant de passer le flambeau à Didier et Thierry, ses deux fils. « C’était un personnage, un tempérament », raconte l’un d’eux dans un sourire. Aujourd’hui, les deux frères entretiennent un précieux savoir-faire et travaillent le vignoble comme autrefois. Ils buttent, déchaussent, à l’écoute des humeurs de la vigne. Grâce à ces pratiques, le domaine figure parmi les premiers en France a avoir été certifié Haute Valeur Environnementale. L’élevage, sans fermentation malolactique, leur permet en plus de garder longtemps les bouteilles en cave et de préserver arômes et fraicheur. Cette patience vaut la réputation de Millésimes largement récompensés. Des champagnes de caractère Un sol profitant de calcaire confie aux Champagnes Vesselle des notes légèrement iodées et une noble longueur. Le Pinot noir leur confère rondeur et puissance tandis que le Chardonnay y ajoute sa touche de fraîcheur pétillante. La Maison produit aussi un rare Bouzy rouge Champenois, lui-même issu d’une longue tradition, née bien avant de voir apparaître les premières bulles de Champagne. Au domaine Maurice Vesselle, « c’est le raisin qui fait le vin », résume t-on humblement. A cela, nous ajouterons volontiers: et l’authenticité de leurs vignerons. ...
La Bourgogne-Franche-Comté, une région de bonne cuisine La Bourgogne-Franche-Comté produit des escargots, le bœuf charolais et le poulet de Bresse qui servent à la préparation de plats délicieux comme le filet de bœuf charolais aux champignons et le poulet de Bresse à la crème aux truffes. Le comté, fromage produit en Franche-Comté, est un des plus utilisés dans la cuisine française. La région se veut être une des régions françaises les plus connues en matière de bonne cuisine. Les spécialités régionales sont, entre autres, le bœuf bourguignon et le coq au vin. Elle est aussi connue pour son vignoble qui compte plus de 80 AOC de Bourgogne et celui du Jura qui produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura ainsi que des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois. Le Rabutin, de père en fils Le Rabutin est un restaurant pizzeria traiteur ouvert en 2000 par M. Funès. Armé d’une quarantaine d’années d’expérience culinaire, il y travaille depuis 2002 avec son fils Mickael. Le restaurant charme par sa proximité avec le château de Bussy-Rabutin et le Muséoparc d’Alésia, dans la ville d’Alise-Sainte-Reine. À l’extérieur de l’établissement, on trouve une terrasse fleurie et ombragée. L’intérieur est magnifiquement décoré selon le gout du propriétaire. En effet Mickael Funès est passionné de Harley Davidson. « À partir du moment où le client entre dans le restaurant, il entre chez moi. Je l’ai décoré sur un thème un peu rétro, un peu Harley », nous explique-t-il. Le restaurant compte aussi un bar et dipose d’une salle des fêtes à proximité, qui accueille des concerts sur invitation et bien d’autres évènements. Une cuisine familiale et traditionnelle bourguignonne Le Rabutin propose des pizzas à l’andouillette et à l’époisses avec des huiles d’olive méticuleusement sélectionnées et des farines importées d’Italie. Mais le restaurant fait de la cuisine traditionnelle bourguignonne son véritable point d’honneur. Mickael Funès utilise 98 % de produits frais comme le bœuf charolais de Bourgogne, le poulet de Bresse, les betteraves, les concombres, les tomates, les œufs. Il s’assure bien évidemment que ce sont des produits locaux de qualité. « Nous proposons des assiettes très généreuses avec des produits de qualité. Nous servons du label Charolais de Bourgogne », souligne-t-il. Il travaille aussi avec des producteurs locaux bien connus comme Ma très bonne glace. Le Rabutin, c’est aussi un service traiteur avec des buffets campagnards, dont des plateaux de charcuterie issues du Jura, du Doubs et du Morvan. Pour l’entrée, le choix est vaste. Les œufs cocotte à la dijonnaise sont une cuisson d’œufs frais dans une petite cocotte, dans un four à pizza à très haute température. En fin de cuisson, on y rajoute une petite sauce crème à la moutarde à l’ancienne. Il sont servis avec des mouillettes et s’accordent parfaitement avec du vin blanc. La terrine de campagne maison est une terrine de campagne traditionnelle faite à base de gorge de porc et de foies de volaille. Cette entrée est dressée avec une tranche de terrine, un petit bouquet de salade verte à l’huile d’olive bio et au vinaigre balsamique, ainsi que des framboises. Elle s’accorde parfaitement avec le Boisset Bourgogne. Pour le plat principal, la tête de veau traditionnelle est cuisinée avec du veau Charolais de Bourgogne et servie chaude avec sa sauce Gribiche et des pommes vapeur. Les œufs en meurette sont des œufs pochés dans du vin rouge, égouttés, servis sur un crouton de pain aillé et nappés d’une sauce au vin rouge. Ils sont parfaits avec des vins d’appellation Maranges comme les Clos Roussots. La mousse au chocolat, la crème caramel, la crème brulée au grand marnier, la tarte aux fruits de saison et la crème de cassis de Dijon sont les principaux desserts du Rabutin. ...
Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le Chef Gonzalo Pineiro, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens, avec à chaque fois la promesse d’un plaisir culinaire renouvelé ! Un cadre élégant Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux déjeuners d’affaires. Pour des repas plus intimes, le restaurant dispose de beaux espaces privatifs comme le Salon Président et le Salon Bourgogne, pouvant accueillir respectivement 10 à 30 personnes. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une jolie terrasse, ouverte sur le jardin, à proximité de la piscine chauffée. Le raffinement dans vos plats Au gré des saisons et des saveurs, le chef Gonzalo Pineiro se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française, à travers des produits frais et de qualité. « En approvisionnement, nous privilégions au maximum les producteurs locaux », souligne Alexander Krips, directeur de l’établissement. La qualité et la fraicheur des produits utilisés se ressentent naturellement dans les assiettes. Pour s’en convaincre, il suffit de déguster les succulents escargots de Bourgogne au Chablis ou bien les Oeufs Bio en Meurette au Pinot Noir en entrée. Pour prolonger le plaisir, le Chef et sa brigade suggèrent le Filet de bœuf Charolais accompagné de son incontournable purée d’Amandine du Château à l’huile de Truffes, une spécialité de la maison ! Au Château Bourgogne, les poissons sont également à l’honneur : entre la Saint-Jacques, la Lotte ou le Turbot Sauvage, les invités ont droit à un choix alléchant. De quoi partager un bon moment autour de plats incomparables ! Le restaurant jouit d’une bonne réputation dans la région, notamment grâce à son célèbre plateau de fromages avec plus de 15 variétés. Pour les palais sucrés, les 3 pâtissiers régaleront les convives avec des douceurs entièrement faites maison. Côté vins, l’établissement présente une carte éclectique comprenant près de 300 références de Bourgogne et d’ailleurs. Demandez conseil au sommelier, qui sublimera vos plats et vous fera découvrir les cépages et appellations régionaux. Tous les dimanches, Le Château Bourgogne a l’habitude de convier les initiés à son propre brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». Chaque semaine, un nouveau thème est à l’honneur, avec une composition de menu différente. L’équipe en cuisine fait alors marcher son imagination et sa créativité pour sortir un repas complet et à volonté, salé, sucré, chaud et froid, pour un voyage gustatif garanti ! Le thème est dévoilé quelques jours à l’avance sur leur page Facebook. ...
Le vignoble de Ribeauvillé connait une histoire tourmentée. En 1895, à cause de lourdes restructurations qui mettent à mal la filière viticole, quelques vignerons décident de se rassembler en une entité unique dans une volonté d’élever le niveau de qualité de leurs produits. Dans cette optique, un mode de fonctionnement spécifique a été mis en place. Les adhérents rapportaient leurs raisins à la coopérative et, en contrepartie, ils bénéficiaient d’une rémunération. Au travers d’une équipe technique et commerciale, la cave se chargeait de la vinification, du vieillissement ainsi que de la vente. Au fil des années, elle a su renforcer sa notoriété dans le paysage viticole français. Régulièrement récompensée, elle vient d’ailleurs d’être élue cette année « Coopérative de l’année 2016 » par La Revue du vin de France. À propos de la cave La cave de Ribeauvillé regroupe une soixantaine de vignerons mais, dans les faits, ce sont 48 vignerons qui détiennent effectivement 95% de la surface totale de production. Dans les années 50, la coopérative s’est initiée à l’exportation et, aujourd’hui encore, une grande partie des débouchés se trouve à l’étranger. D’ailleurs, ses vins sont présents sur les tables de plus de 40 pays dans le monde. Dans un souci d’offrir une meilleure qualité, des sélections parcellaires ont été mises en place. Cette démarche a été adoptée dans l’optique de mettre en valeur l’ensemble des terroirs du domaine. En 2001, une charte de qualité a été signée par les coopérateurs pour que 235 hectares de vignes soient entièrement récoltés à la main. Particulièrement engagé, le domaine s’oriente également vers une démarche raisonnée ou bio, car sa priorité est de valoriser l’expression du terroir, de préserver la qualité environnementale. Les vins La Cave dispose dans ses caves de plusieurs cuvées aussi sublimes les unes que les autres. Hormis celle du clos Zahnacker, on peut citer notamment le Crémant d’Alsace La Grande Cuvée Brut, un vin fin, sec et équilibré, élaboré à partir de pinot noir et de chardonnay. Différents millésimes sont assemblés pour sa mise en bouteille. Le Gewurztraminer 2012 Grand Cru Altenberg de Bergheim Grande Réserve, est issu d’un vignoble fortement pentu au sud du Grasberg. Son terroir est riche en fossile, avec des sols marno-calcaires très caillouteux. Ce vin est long en bouche, structuré et puissant, avec des notes de litchis mûrs en nez. Le Pinot Gris Lieu-dit Silberberg, appellation Alsace Contrôlée, est de couleur jaune pâle. Ce vin, parfaitement équilibré, a été médaillé d’argent aux Grands Concours du monde 2015. Le Riesling 2014 Bio est en appellation AOC Alsace, certifié biologique par Ecocert. Son vignoble de 11 hectares n’utilise aucun traitement chimique. Œnotourisme La cave de Ribeauvillé est animée par de nombreuses activités. Chaque année, elle organise un « Rallye des grands crus », invitant le public à partir à la découverte des vignobles et des terroirs. Il s’agit d’une marche de 8 km s’effectuant à travers le vignoble, ponctuée de dégustations des cuvées et de jeux. En outre, la cave et le musée de la Vigne et de la Viticulture sont mis en avant par le biais de 2 visites guidées quotidiennes, hors weekend. Quant au caveau de dégustation, il est ouvert toute la semaine sans oublier le weekend et les jours fériés ...
L’histoire du vignoble remonte au temps de l’Empire romain, lorsque Lucius y cultiva les premières vignes et laissa son nom à la commune. Des moines bénédictins s’en occupèrent et firent sa renommée auprès de la cour d’Angleterre. À la fin du XVIe siècle, le père prieur de l’abbaye de Faize le légua à un des ancêtres de la famille Vauthier en récompense des services rendus. Ainsi, depuis 20 ans, Frédéric Vauthier perpétue au Château Lucas un savoir-faire transmis depuis 18 générations pour produire des vins de Lussac-saint-émilion authentiques. Une agriculture respectueuse de l’environnement Le vignoble du Château Lucas occupe 20 hectares sur le plateau de Lussac-Saint-Émilion. Il est installé sur une terre spécifique aux grands crus de Saint-Émilion, faite de sol argilo-limoneux sur roche mère calcaire. « Ce type de sol permet une belle maturité des raisins », explique Frédéric Vauthier. En outre, la présence de l’argile bleue appelée montmorillonite favorise une irrigation du sol et une redistribution d'eau règulière durant toute la vie de la vigne. Soucieux de s’adapter au fonctionnement des mécanismes de régulation biologique et de l’écosystème local, Frédéric et Anne Vauthier ont fait le choix d’une agriculture raisonnée au sein de leur vignoble. Le sol est labouré à plusieurs reprises dans l’année pour éviter l’usage des herbicides, et les traitements chimiques sont réduits au strict minimum. Par ces procédés, la plante réagit par elle-même et accroit sa résistance naturelle. Spécialiste des vins de bordeaux Au Château Lucas, la production de vins de bordeaux est un savoir-faire transmis de génération en génération. Frédéric Vauthier n’a pas dérogé à cette tradition dans l’élaboration de trois cuvées exceptionnelles : le « Château Lucas », le « Grand de Lucas » et l’« Esprit de Lucas ». Ces cuvées ont la particularité de garder leurs caractères aromatiques, amples, ronds, équilibrés, généreux et consistants à travers les millésimes. Vins fruités, floraux et tanniques, ils accompagnent les viandes rouges et blanches ou des fromages à pâte molle et les fromages de chèvre. Le « Château de Lucas » est un vin d’assemblage en parts égales de merlot et de cabernet franc, des cépages vendangés à la main en partie et à la machine. Une portion de 20 % de ce vin est vieilli en barriques afin d’apporter plus de richesse au reste de la cuvée. Sa production s’élève à 70 000 bouteilles environ par an. L'Esprit de Lucas n'est vignifié que sur les grands millésimes. La marque Tant d’Aime « Couple dans la vie de tous les jours, nous formons aussi un couple dans le travail », déclarent les maitres des lieux. De cette union est née la marque Tant d’Aime, une gamme de vins originale. « Au départ, chacun produit sa propre cuvée, qu’on assemble pour obtenir au final un couple de vins complémentaires en vin d’homme et en vin de femme, à déguster ensemble. On veut transmettre l’image du couple, le travail du couple à travers cette marque », décrypte Anne Vauthier. « Ce sont des cuvées intimes, avec de petits volumes, mais qui sont très appliquées », complète Frédéric Vauthier. Cette marque, lancée en 2014, varie de couleur selon les millésimes. Pour cette année, le tandem a choisi d’élaborer un rosé et un blanc. Le « Blanc de Anne et Fred » 2015 en AOP Bordeaux est une cuvée d’exception, dont la production est limitée à 6 000 bouteilles. Celle-ci est le fruit de l’assemblage de la cuvée d’Anne, fraiche, élégante et fine, et celui de Frédéric, plus aromatique et minérale, fermentée en barriques neuves. Elle a été couronnée d’une médaille d’or lors du dernier Concours mondial du sauvignon. Le Tant d’Aime « Rosé de Anne et Fred » 2015 AOP Bord...
Menthe poivrée, bergamote, violette, les rayons de la boutique que Mauricette Clech a fait tourner pendant plus de 60 ans n’ont pas fini de dévoiler les secrets bienfaisants de ces plantes. Et de tant d’autres que le numéro 35 de la place du Marché déploie sous diverses déclinaisons dans son intrigant « tisane & tea bar ». Quid d’une nouvelle tendance pour tirer des plantes leurs vertus millénaires. Une enseigne modernisée, un mode de consommation remastérisé Entre les plantes et Millymenthe, l’histoire était partie pour durer. Ouverte en 1934 et tenue par le dernier herboriste de France, l’adresse a traversé les décennies sans cesser, un seul jour, de vanter leurs bienfaits. Victoria Renaud-Foughali nous raconte avec enthousiasme l'historique des lieux : « C'est en novembre 2010 que Mauricette Clech, icône de notre herboristerie pendant 63 ans, cède sa place à ma famille. Pendant cinq ans, ma tante Sabine Foughali, diplômée d'un DU en phytothérapie et passionnée par les plantes médicinales, tiendra la boutique avant de m'en laisser les rênes début 2016. C'est elle qui m'a transmis ce savoir ancestral autour des plantes et de leurs bienfaits, ayant elle-même reçu de nombreux secrets botaniques de la part de notre prédécesseur. C'est un héritage immense qui perdure de famille en famille sur plusieurs générations et qui fait la renommée de l'herboristerie Millymenthe depuis tant d'années. » Reliftée par la nouvelle propriétaire, l'adresse est désormais connue de ses adeptes pour son bar à tisane et bar à thé. Un concept bonus pour goûter, façon XXIe siècle, à toutes les vertus de ces boissons. Les spécialités aromatiques sous forme de sirops, de préparations à infuser et de bonbons qui ont fait la renommée de la maison sont toujours commercialisées. Avec en tête d’affiche, l’illustre menthe poivrée – « la plus médicinale des menthes », selon la dirigeante – et ses déclinaisons. Huiles essentielles, gélules et autres préparations phytothérapiques enrichissent les offres auxquelles les habitués et les néophytes accèdent en poussant la porte de cet antre du « bien-être, des plantes et du naturel ». ...
Le1047 se distingue pour son cadre tantôt contemporain. Le restaurant, quant à lui, joue plutôt dans un registre assez classique, où la cuisine est excellente, avec en prime, vue sur le port. L’endroit parfait pour se délecter de délices gastronomiques Parmi les quelques adresses présentes sur le Quai de l’estuaire, le 1407 est l’une des plus en vue du moment. C’est dans un cadre plutôt classique, mais moderne, que le restaurant propose à ses convives de goûter à la haute gastronomie charentaise. La carte et le menu s’accordent parfaitement au paysage, faisant de cet endroit un espace de convivialité privilégié. En entrée, un Carpaccio de bar, suivi d’un Maigre de l’estuaire puis qui finit par une Sphère en chocolat. Côté vin, la Charente-Maritime est bien évidemment à l’honneur. La carte se compose de quelques trésors à l’exemple du vin bio de la Maison Arrivé qui connaît un large succès auprès des habitués du 1407. Brasserie Le Bar à Huîtres - Les Voiles Rien de tel que de goûter au plaisir de la mer, sous un ciel bleu et en plein air ! Le 1047 a dédié un espace exclusivement réservé aux amateurs de fruits de mer où les huîtres, coquillages et crustacés arrivent directement de la criée de Royan. Le Bar à Huîtres - Les Voiles propose des plateaux pour deux à quatre personnes ou composés de crevettes, de clams, de tourteaux, d’amandes, d’huîtres et de bulots, de quoi faire tout un festin ! Et pour les plus aventureux, avides de nouvelles expériences, les chambres d’hôtes ne demandent qu’à être découvertes. Révélant tout le charme d’une bâtisse ancienne et possédant un grand parc, ce domaine est l’endroit de rêve pour se détendre en famille, entre amis ou en couple. ...
Domaine du sud-est de la Drôme, le Domaine la Rosière est situé en plein cœur du Parc Naturel Régional des Baronnies Provençales. Dirigé par un homme entreprenant, Valéry Liotaud, le vignoble produit des vins authentiques en IGP Coteaux-des-Baronnies. Soucieux d’assurer la continuité d’une œuvre familiale qui date de plus de quarante ans, le propriétaire a permis à son domaine d’être régulièrement référencé dans de célèbres guides. Notamment Gilbert et Gaillard, le guide du vin en biodynamie de Mme Evelyne Malnic, il est régulièrement mentionné dans le guide Hachette, mais fait aussi partie de Vignobles et Découvertes, label national d’œnotourisme. Au cœur d’une agriculture biodynamique Les 25 hectares de vignes de ce domaine logé à 700 mètres d’altitude, sont travaillés en biodynamie, et assis sur un terroir argilo-calcaire. La particularité de ce dernier, réside dans la présence de roches calcaires éclatées en surface, et d’argile blanche en sous-sol. L’agriculture biodynamique dont fait usage Valéry Liotaud, exclut l'utilisation de tous produits chimiques.De plus, l’utilisation du calendrier astral est mise en avant à chaque étape des cycles de la vigne. D'autre part, la régénaration du terroir est stimulée des pulvévirsations de préparations à base de plantes, de silice et de bouse de vache. Ceci afin de favoriser l'épanouissement des vignes. Cette agriculture qui ne peut être pratiquée sans certification bio, possède les normes les plus restrictives de soufre autorisé dans le vin. Et donc, moitié moins qu’en agriculture biologique, et trois fois moins qu’en agriculture conventionnelle. Grâce à ce type d’agriculture particulier et à une implantation méthodique sur des parcelles sélectionnées, le domaine produit des vins authentiques et sans complexe. Les vins du Domaine la Rosière Le savoir-faire du Domaine la Rosière se décline en blancs, rosé et rouges, parfois renforcé par une sélection des meilleures parcelles et un élevage en barrique. Pour les vins blancs, c’est un assemblage de Chardonnay et de Viognier à part égale. Pour le vin rosé, prédominance de Merlot et Grenache avec un peu de Syrah. Concernant les rouges, le premier est un assemblage des quatre cépages du domaine et donc, Merlot, Grenache, Syrah, et Cabernet Sauvignon. Le deuxième est un assemblage de Merlot, Syrah et Cabernet-Sauvignon, ils sont récoltés sur des côteaux particuliers. Pour le cas particulier du troisième, il s'agit d'un mono-cépage de Syrah, issu de la parcelle du vignoble nommé « La Vertue ». Cette vigne qui a été plantée par les parents de Valéry Liotaud en 1970 pour fêter son année de naissance, constitue une cuvée emblématique du domaine. L'attache sentimentale de cette cuvée, perpétuée comme la mémoire du domaine fondé par les parents, s'exprime par la reprise de l'étiquette historique. Le produit de cette parcelle est le « Syrah La Vertue ». Ce vin à la robe rouge grenat foncé et profond, exprime tout le caractère de la Syrah, par un nez épicé de poivre et de clou de girofle. La bouche charnue et généreuse aux saveurs de vruits rouges confiturés est soutenue par des tanins amples arrondis par l'élevage en barrique. C’est un vin qui se marie bien avec l’agneau des Baronnies et à la charcuterie de caractère. Le Bio’Ronnies rosé, surprend par sa robe très foncée, pareille au rosé d'antan. Il est doté d’un nez épicé et légèrement fruité révélant des notes de grenadine et de safran. En bouche, c’est un mélange fruits-épices tout en équilibre qui s’accorde avec la cuisine exotique et les crustacés. A l’honneur chez les blancs, le Bio’Ronnies blanc, vin frais en bouche et doté d’une minéralité prononcée, il dissimule des notes de pain d'épices et de genêts. Il est un excellent compromis pour les dégustations de poissons et viandes blanches accompagn...
Sur une superficie de 32 hectares, le terroir à exposition sud/sud-est est bercé par un doux microclimat méditerranéen. Il se présente sous une mosaïque de parcelles de vignes, organisée en terrasses, avec un sol à dominance argilo-calcaire. En équilibre avec la nature Les cépages sont repartis suivant les caractéristiques du sol, selon qu’il est plus calcaire ou argileux. Les cépages rouges, qui exigent un sol plus profond, dominent les vignobles à 80 %, à l’instar de la syrah, du mourvèdre, du grenache, de la counoise et du carignan. Les cépages blancs sont composés de rolle, marsanne, roussanne, grenache blanc, et sont cultivés en terroir argilo-calcaire. Le domaine s’épanouit dans l’application de la viticulture biodynamique, et s’est vu attribuer la certification Agriculture biologique (AB) et Demeter depuis 2011. Cette démarche consiste à utiliser notamment des composts de substances végétales ou animales dans le sol pour en extraire les principes actifs. Les vignes sont traitées avec délicatesse et en harmonie avec leur environnement immédiat afin d’obtenir des vins plus sains, expressifs et bien équilibrés. AOC Languedoc Pic-saint-loup Les cinq cuvées du domaine sont élaborées selon un savoir-faire particulier par une équipe passionnée. En blanc, le domaine propose le Château La Roque blanc 2016 AOC Languedoc, élaboré avec 30 % de marsanne, 30 % de rolle et 25 % de grenache blanc. En bouche, elle livre une attaque picotée par les agrumes et les litchis, pour finir sur une note plus pétillante. Un choix idéal pour accompagner poissons et fruits de mer. En rouge, l’on s’intéresse plus particulièrement au produit emblématique de la maison, celui qui représente fidèlement le terroir, il s’agit de La Cupa AOC Pic-saint-loup. Obtenue à partir de l’assemblage de syrah à 65 % et de mourvèdre à 35 %, cette cuvée revêt une robe grenat avec une belle nuance violacée. Vin de garde par nature, au nez, elle dégage une douce senteur de fruits noirs agrémentée par une note de cades et de genévriers. À la dégustation, elle fait une attaque marquée avec une belle complexité aromatique et se termine sur une finale plus onctueuse. Cette cuvée a déjà raflé la médaille d’or au challenge Millésime Bio France en 2012 et a été notée 90/100 par l’illustre critique en œnologie Robert Parker. ...
Le propriétaire du Monsieur Bouillon, le chef Philippe Chevrier est notamment connu en Suisse pour sa cuisine étoilée au Domaine de Châteauvieux, seul restaurant 2 étoiles Michelin du canton de Genève mais aussi pour l’originalité et la diversité de ses autres établissements . Il possède en effet 6 restaurants qui ont chacun leur particularité. Si le bar tea-room Les Aviateurs intrigue par exemple par son concept et par sa décoration, le restaurant Monsieur Bouillon est le seul à Genève à dresser toute sa carte autour de 2 produits que nous avons l’habitude d’utiliser quotidiennement. L’œuf et le poulet à l’honneur Les deux produits phares du Monsieur Bouillon, ce sont l’œuf et le poulet. La volaille étant l’un des produits favoris du chef Chevrier, il a choisi de travailler avec des éleveurs locaux. Ce choix a aussi été motivé par les nombreuses possibilités offertes par le poulet et l’œuf en cuisine. Accompagné d’un produit de luxe comme la truffe noire, le poulet devient en effet un plat raffiné. Mais il peut aussi être associé à des recettes simples comme les œufs brouillés ou les œufs à la coque. En outre, le restaurant propose aussi au second plan d’autres viandes et du poisson. Au restaurant Monsieur Bouillon, la cuisine change selon la saison pour faire place à des touches méditerranéennes, à quelques plats végétariens et même à des plats exotiques inspirés de la cuisine japonaise comme les brochettes yakitori et les œufs de poisson. La carte du Monsieur Bouillon satisfait ainsi un très large public. Mais la variété des recettes n’est pas le seul atout du restaurant, il plaît aussi aux genevois pour d’autres raisons. Pourquoi Monsieur Bouillon ? Le chef Chevrier a choisi le nom du restaurant en pensant aux bouillons parisiens, ces endroits où les ouvriers pouvaient manger rapidement dans une ambiance très conviviale. En ouvrant le Monsieur Bouillon, il voulait recréer la même atmosphère tout en s’adaptant au marché local de Genève. Pour ce faire, le chef Chevrier a choisi un décor chic et moderne avec l’aide d’un architecte d’intérieur. Dans ce restaurant si particulier, le cadre est élégant et le service rapide. Le restaurant est accessible à tous au niveau des tarifs et la qualité toujours au rendez-vous. Il ne cuisine en effet que des poulets Romands certifiés IP Suisse, élevés en plein air. Les œufs sont également labellisés Genève Terre Avenir. Ils sont produits dans la Ferme de la Pièce à Céligny, dans la campagne de Genève. Et comme le dit le chef Philippe Chevrier, « le chef n’est pas la star, ce sont les produits. » Par ailleurs, le Monsieur Bouillon est aussi connu pour la générosité de sa cuisine, à l’instar des autres restaurants du chef. La cuisine axée autour de ces deux ingrédients est dirigée par le chef Simone de Santis. Un italien qui a été formé par le chef Chevrier lui-même dans ses autres établissements avant de prendre ses fonctions au Monsieur Bouillon. Un espace à privatiser Situé en plein cœur des quartiers des banques, le Monsieur Bouillon accueille en semaine une clientèle business. Le soir, il y règne une ambiance citadine et le week-end, il accueille de nombreuses familles. Outre le restaurant, le Monsieur Bouillon met aussi à la disposition de tous ses clients un espace privatisable à l’étage. Il s’agit d’un lounge qui peut accueillir différentes sortes d’évènements tels les lancements de produits et les cocktails dinatoires. Dans la même ambiance que le restaurant, le lounge est mis en valeur par des tableaux d’artistes, des œuvres d’art et des meubles vintage. ...
Créée en 2015 par Marie Garcia, nutritionniste certifiée, l’entreprise Cinq Sans s’adresse à toutes les personnes sujettes à allergies qui veulent se faire plaisir en toute sérénité. Des produits sains, garantis sans allergènes et 100 % bio L’idée originale de Cinq Sans : proposer des formulations fines et gourmandes, 100 % bio et pouvant être consommées par tout le monde, sans exception. En d’autres termes, cela signifie qu’en vous procurant un des biscuits Cinq Sans, vous ne trouvez aucun allergène majeur à l’intérieur. Pas d’arachide ni œuf, lait, soja, riz, mais, sucre, graisse transformée, OGM, conservateurs ou gluten. Idéal donc pour les consommateurs polyallergiques ou qui développent des intolérances alimentaires. Sans oublier les véganes, les personnes qui veulent perdre du poids ou celles qui ont du cholestérol. Grâce à son expérience de nutritionniste, Marie Garcia est capable de formuler des compositions aussi saines que savoureuses. C’est le cas, par exemple, des gourmandises Pécan Caramélisées et Citron Pavot, du petit-déjeuner chocolat ou des biscuits apéritifs au cumin (nouveauté 2017). À savoir : il sera bientôt possible d’acheter des encas et une préparation pour créer du pain. Cinq Sans : une entreprise artisanale proche de ses consommateurs L’entreprise Cinq Sans est fondée par Marie Garcia en 2015. En tant que nutritionniste certifiée, elle souhaite chercher et formuler des recettes originales pouvant être consommées et appréciées par ses patients. Pourtant, elle observe bien vite un véritable manque de choix. Ainsi, cela la pousse à créer des produits qui prennent en compte toutes les pathologies alimentaires connues tout en conservant le plaisir de manger. Pour ce faire, elle met en place une chaine de production artisanale dans le Rhône sans avoir recours à de la sous-traitance. Les matières premières sont choisies avec soin et sont transformées directement dans l’atelier de production de l’entreprise. Cela pour certifier de la qualité du produit. De plus, elle essaye de rester toujours au plus proche de ses clients afin de proposer des produits spécialement adaptés à chacun (en fonction des différentes problématiques rencontrées ou en faisant évoluer la texture par exemple). Aujourd’hui, ces produits innovants et reconnus par le milieu agroalimentaire sont proposés dans une soixantaine de magasins bio et épiceries fines (en Île-de-France et Rhône-Alpes). Sans oublier la possibilité de les acheter directement sur le site. ...
Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient. La poudre de baobab : un pré-biotique naturel Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. » Le baobab : une filière équitable Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle. ...
Saint-Louis est une Manufacture dans l’air du temps, savant mélange de tradition et d’innovation, qui n’a jamais cessé de puiser son inspiration dans les courants artistiques contemporains pour construire et renouveler son identité. Cette année, Saint-Louis présente la collection de bar et d’accessoires de cocktail Manhattan, ancrée dans l’esprit de la mixologie actuel, à mi-chemin entre inspiration américaine et convivialité à la française. Manhattan est tout d’abord le nom d’un célèbre cocktail issu d’une ville cosmopolite, verticale et vibrante comme le cristal. Y sont apparus les speakeasies, bars clandestins, nés sous la prohibition, de l’envie de continuer à faire la fête. Cette époque a eu une forte influence sur la mixologie. De nos jours, l’art du cocktail est dans l’air du temps, il s’invite chez soi pour créer et composer en toute liberté. C’est la proposition de Saint-Louis avec la collection Manhattan, interprétée par les trois fondateurs de l’Experimental Group, Romée de Goriainoff, Olivier Bon et Pierre-Charles Cros, créateurs de lieux où mixologie rime avec convivialité. Avec pas loin de treize produits, ainsi que deux coffrets, la collection a été pensée pour des usages spécifiques : les essentiels de la mixologie allant de la préparation à la dégustation. Pour amateurs ou experts, chaque pièce a été soufflée bouche et taillée main par des biseaux verticaux et horizontaux, révélant ainsi tout l’éclat du cristal à travers un décor architectural et résolument moderne. Imaginés pour les contenances internationalement standardisées des cocktails, chacun des verres et accessoires de la collection révèle une volonté de repousser les attentes en termes de qualité et de technicité. Le choix des verres n’a donc pas été laissé au hasard et se révèle d’une importance primordiale. D’abord esthétique : un cocktail doit être bu par les yeux en premier et donner envie. Technique ensuite : une dégustation réussie est notamment liée à la forme du verre. Rock et Double Rock pour les alcools « on the rocks », Shot pour les liqueurs, Highball pour les cocktails avec glaçons ou encore Coupe pour une préférence au mélange… Les accessoires comme le jigger, le bitter, les coupelles, prolongent également le plaisir en proposant une mise en scène spécifique qui magnifie les saveurs, tels des exhausteurs de goût. Les coffrets quant à eux ancrent immédiatement l’univers du cocktail au sein des intérieurs. Paré pour réaliser n’importe quel mélange avec le coffret Mixology composé d’un Shaker, d’un jigger en métal argenté et d’une cuillère Puiforcat. Aller encore plus loin avec le coffret Home Speakeasy où le Shaker se pare de cristal flanelle auquel s’ajoute quatre coupes. ...
« Grands Sites de Midi-Pyrénées », « Pays d’art et d’Histoire », « Plus Beaux Villages de France »... Décidément, Najac rafle toutes les récompenses et on comprend aisément pourquoi. Son paysage authentique et sa nature préservée insufflent un vent de sérénité que l’on ne ressentira nulle part ailleurs. Tendrement blotti dans cet environnement d’exception, le restaurant L’Oustal del Barry accueille les visiteurs amateurs de bonne chère. Au programme : une cuisine personnelle et contemporaine signée Rémy Simon. Un chef amoureux d’un terroir authentique Dès son arrivée en Aveyron, il y a un peu moins de 20 ans, Rémy Simon exprime déjà un amour fort pour les produits régionaux. Le savoir-faire et le métier des producteurs locaux suscitent en lui une véritable passion, si bien que sa cuisine tout en finesse et en élégance met en scène les trésors du terroir. L’objectif est de les travailler simplement, sans jamais les dénaturer pour exhaler les odeurs, les saveurs et les couleurs de chaque produit. Toute cette subtilité transparait au travers du menu mettant en avant certains plats emblématiques, à l’instar de l’Astet Najacois accompagné d’un aligot de fromage de Laguiole. Outre son menu terroir, l’établissement propose une carte gourmande privilégiant les produits de la mer et de la terre et évoluant au fil des saisons. En entrée, vous allez succomber au foie gras de canard mi-cuit servi avec son chutney figues-abricot, son pain d’épices et son sorbet mangue. Place ensuite à des bonbons de langoustine en brick de basilic ou à un pavé de veau servi rosé avec des échalotes compotées au vin rouge. Au dessert, vous prendrez bien évidemment le sublime du Barry et son pailleté de chocolat noir, dont l’intitulé donne déjà un aperçu de ce qui vous attend. Entre élégance et perfection La dégustation de toutes ces succulentes suggestions s’effectue à l’extérieur ou à l’intérieur, selon votre convenance. En salle, les grandes fenêtres permettent de profiter de la magnifique vue qui donne directement sur le château ou sur le potager de l’établissement. L’ambiance y est raffinée : salle lumineuse, profonds fauteuils tapissés, rideaux fleuris, pavage à l’ancienne et cheminée d’époque. Tout est fait pour garantir le confort. Une équipe jeune, dynamique et agréable est aux petits soins de ses clients. Mais si l’idée de pénétrer un autre univers vous intéresse, l’établissement organise de temps à autre des stages de cuisine. Le chef et sa brigade vous initient à l’art de la bonne cuisine dans une ambiance conviviale, où, progressivement, vous découvrirez les rouages de ce métier d’exception. Trésors historiques Aventuriers dans l’âme ? Najac regorge de trésors qui méritent amplement le déplacement. Classée monument historique, la forteresse royale datant du XIIe siècle fait partie des incontournables. En déambulant dans la rue médiévale, vous vous laisserez surprendre par la beauté d’un paysage jonché d’innombrables sites historiques : l’église Saint-Jean-l’Évangéliste, la fontaine des Consuls, la chapelle Saint-Barthélemy aujourd’hui devenue une habitation… ...
Ce n’est un secret pour personne : La Grande Épicerie de Paris est un lieu incontournable de la gastronomie. Depuis novembre 2017, l’enseigne historique de la Rive Gauche a traversé la Seine et ouvert un nouveau magasin rue de Passy, dans le 16ème arrondissement. La Grande Épicerie de Paris : lieu de vie et de passion Rive Gauche comme Rive Droite, les rayons de La Grande Epicerie de Paris mettent à l’honneur une vaste sélection de saveurs d’ici et d’ailleurs : épicerie (thé, café, huile, pâtes, confiture etc.), produits frais (fromage, charcuterie, poissonnerie, boucherie etc.), références d’exception (caviar, foie gras ou truffe), cave (vins et spiritueux du monde), sans oublier la pâtisserie, la boulangerie et le traiteur dont les créations sont réalisées chaque jour par une centaine d’artisans passionnés dans les laboratoires, sous le magasin rue de Sèvres. Pour satisfaire tous les gourmets, La Grande Épicerie de Paris accorde une grande importance à la sélection de ses produits. C’est dans ce but qu’une équipe d’experts sillonne la France entière et le Monde à la rencontre des producteurs et artisans proposant les meilleurs produits mais aussi à la découverte d’innovations en tous genres dans le secteur de l’alimentaire : nouvelles textures, nouveaux ingrédients, packagings originaux, catégories de produits redynamisés,… La Grande Épicerie de Paris : une histoire à succès L’histoire de La Grande Épicerie de Paris débute en 1852. C’est à cette date qu’Aristide Boucicaut crée le premier grand magasin au monde : Le Bon Marché, où de nombreuses innovations virent le jour tels que la vente par correspondance, le blanc ou les soldes. Dès 1923, un « comptoir de l’alimentaire » est installé au sein du grand magasin et c’est en 1978 que La Grande Epicerie de Paris telle qu’on la connait aujourd’hui voit le jour. Depuis sa création, elle reste le lieu privilégié des gastronomes parisiens à la recherche de produits et d’expériences d’exception. Après un tour dans les rayons, chacun peut s’arrêter au choix sur l’un des comptoirs de dégustation essaimés dans les magasins (ibérique, thé et café, luxe et truffe entre autres) ou dans les restaurants : La Table de La Grande Epicerie (Rive Gauche) ou Le Rive Droite tenu par la chef Beatriz Gonzalez (rue de Passy). Lieu de découverte mais aussi de vie, La Grande Epicerie de Paris propose à ses clients une foule de services : de l’organisation d’événements, à la confection de corbeilles cadeaux sur mesure en passant par la livraison à domicile, le service voiturier ou la réservation de taxis. La Grande Épicerie de Paris sur le web La Grande Épicerie de Paris, ce ne sont pas seulement deux magasins dédiés à la gastronomie. C’est aussi un site internet complet et pratique qui met à disposition des internautes une vaste sélection de références livrables partout en France et en Europe et une multitude de recettes, tendances, d’informations sur les marques, les artisans et les savoir-faire. Prolongement de l’expérience en magasin, il regorge d’informations pratiques (plan, visite virtuelle, catalogue de produits) et de services complémentaires (demande de devis, privatisation du restaurant La Table…). ...
En 2002, Mathieu et Gwenaëlle de Wulf rachète le domaine de Jas D’Esclans. L’ancienne ingénieure chimiste et le mari agriculteur décident de vivre de leur passion pour le vin et s’offrent l’un des vignobles les plus fameux de la région. Le Jas d’Esclans fait en effet partie des rares crus classés de Provence. Une classification obtenue en 1955, grâce à la qualité des sols, aux équipements et aux techniques de vinification. Outre cela, le vin produit sur place est également certifié « Bio » depuis 1990 par Nature et progrès et depuis 1992 par Ecocert. Une suite somme toute logique puisque depuis trois générations, les vignes sont élevées sans désherbants, ni insecticide, ni produits chimiques de synthèse. Sur place, ce sont 60 hectares de vigne dont dispose le domaine et 55 qui sont en production tous les ans. On y retrouve les cépages si chers à l’appellation grenache, mourvèdre, syrah, cinsault, et tibouren (le cépage local), pour les rosés et les rouges ; ugni blanc, clairette et rolle pour les blancs. Des vins à taille humaine Avec une production de 400 000 bouteilles par an, le domaine de Jas D’Esclans est avant tout un vignoble à taille humaine. Sept personnes y travaillent à l’année pour une production majoritairement destinée au marché local. Située sur les bords de l’Endre, le sol y est composé d’argiles rouges, de grès et de schistes de la période permienne issu de l’Esterel et des Maures. Alimenté par un climat marin, la mer se trouve à seulement 12km à vol d’oiseau. L’ensemble est protégé du Mistral par les collines environnantes. Les vignes sont travaillées à l’ancienne à travers des techniques qui respectent la nature et la biodiversité. Les techniques de culture consistent entre autres à chausser et déchausser régulièrement les sols pour permettre l’oxygénation de sols. En moyenne, les labours se font 10 fois par an permettant ainsi aux sols de favoriser la vie microbienne et l’enracinement profond des vignes. Outre des méthodes vertueuses d’élevage de la vigne, la vinification se fait également de manière naturelle notamment avec une cave entièrement construite en mode écoconstruction. Un éco-dôme qui vient perpétuer une tradition désormais familiale qui produit des vins de grande qualité. ...
Propriété familiale depuis 4 générations, le domaine a été repris en 1994 par Pascal Perceval, l’actuel gérant. En perpétuelle quête de l’innovation, il élabore aujourd’hui 47 vins différents, dont son fameux vin des glaces. Un vigneron pas comme les autres Au sein de son domaine de 50 ha, Pascal Perceval fait dans l’exceptionnel. Tout en préservant les vins traditionnels comme la mondeuse, la roussette ou l’apremont, ce vigneron ne donne aucune limite à son imagination. Et il se livre à des expérimentations plutôt réussies. À en juger, par exemple, à son vin de glace, dont le moût a été congelé à 3 613 m d’altitude dans le massif du Mont-Blanc. Une fois dégelé, le précieux nectar devient plus concentré en arômes. La dernière trouvaille de Pascal Perceval est ce qu’il appelle les « vins des profondeurs ». Des vins vieillis une année dans le lac Léman, à 30 m de profondeur. Résultat : après un an de vieillissement, les vins en prennent 4 ! Une accélération naturelle qui donne ensuite des nectars plus gras et plus fruités. ...
La traçabilité et la fraîcheur des produits locaux inspirent à un retour à l’alimentation saine. L’on ne s’étonne que peu du regain d’intérêt du consommateur à acheter local. Et pour cause, ces derniers sont de plus en plus attentifs à ce qu’ils mangent. C’est une aubaine pour la Ferme de Sigy qui se veut être un instigateur de la démarche locavore, au profit de l’économie et de la consommation locale. Si le projet d’Ottman et Omar de se lancer dans la transformation laitière n'a pu se réaliser à la date prévue, c'était sans compter sur leur détermination et leur volonté à défendre les produits du terroir, si chers à leurs yeux. Une transformation laitière à la démarche engagée Après avoir acquis quinze ans d’expérience au sein de l’industrie laitière, c’est en 2013 qu’Ottman et Omar se lancent dans l’aventure en reprenant la fromagerie de Robert Villain pour donner naissance à la Ferme de Sigy. La ferme a progressivement pris son envol pour devenir aujourd’hui une référence dans les produits laitiers. Les particularités qui font le succès de la maison ? Sa spécialisation dans la transformation laitière artisanale, la vente en circuit court et son implantation au cœur même d’une ferme laitière. Attaché à l’idée de rendre le produit local et les produits bio finis plus accessibles, de fournir des produits de proximité à prix raisonnable, le duo gagnant travaille en partenariat avec le groupement des agricultures biologiques d’Île-de-France, et leur enseigne est sociétaire de la coopérative bio de la région. La production est ainsi destinée pour la consommation locale et la maison fournit les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, mais aussi des magasins et supermarchés de la région, qui adhèrent à leur valeur et partagent leur conviction. Par ailleurs, un chalet de vente permet de mettre les produits finis directement à disposition des consommateurs avec ceux d’autres producteurs locaux, à l’instar du miel et d’autres fromages. Pour les deux associés, la croissance spectaculaire que connaît la maison leur offre une opportunité d’étendre leurs activités hors de Sigy. C’est ainsi qu’en 2016, ils se lancent dans la transformation du lait bio par le biais des nouveaux ateliers de transformation laitière biologique à la Bergerie nationale de Rambouillet. En dehors de l’approvisionnement des restaurants franciliens, les yaourts et le fromage blanc bio qui y sont fabriqués sont commercialisés par la SCOP Bio d’Île-de-France. Une large sélection de bons produits laitiers Véritables mordus du lait, ces artisans de talent veulent partager le bon goût des produits laitiers à travers une production diversifiée à l’instar du yaourt aromatisé dont la texture se rapproche de celle du yaourt maison. Rien à voir avec le yaourt industriel. Les parfums se déclinent dans toutes les possibilités à l’aide d’un arôme naturel pour éveiller les sens des fins gourmets. Avis aux amateurs, le yaourt bio La Ferme de Sigy élaboré avec le lait de la ferme de Beaulieau est disponible sur le marché depuis 2014. Les férus de fruits ne manqueront pas d’apprécier le Raïbi ainsi que le yaourt aux fruits conçu avec une base de préparation de fruit comme l’ananas, la myrtille, la cerise, la fraise, ou la vanille pour une touche d’exotisme. Ces produits sont élaborés avec des fruits de Nogent-sur-Seine pour qu’ils conservent toute leur fraîcheur, gage de qualité des produits de l’enseigne. Les crèmes desserts au chocolat, au caramel, ou au café sont des délices qui ravissent les papilles les plus délicates. Le fromage qui représente le patrimoine gastronomique français n’est pas en reste. La maison produit en l’occurrence du fromage blanc de campagne ainsi que du fromage frais et du fromage blanc bio. Le lait étant la base de fabrication de ces produits, la Ferme de Sigy élargit ses offres avec le lait pasteurisé ou fermenté et adapte les conditionnements aux besoins de la restauration. D’ailleurs, c’est une partie du lait issu de la bergerie qui sert à la fabricatio...
Depuis cinq générations, la famille Augé a fait du vin une passion et un héritage. C’est à Coulommes-la-Montagne, région ouest de la Montagne de Reims, qu’en 1919, la famille a commencé à cultiver les premières parcelles. Progressivement, les surfaces exploitées ont augmenté, pour atteindre aujourd’hui 8,35 hectares de vignobles. Sur ces terres classées Premier Cru, Damien Augé œuvre dans le respect des techniques héritées de ses aïeuls. Un trio de cépages bien placé Par sa position géographique, le vignoble bénéficie d'un climat où s'équilibrent les influences continentales et océaniques, permettant aux raisins d’affirmer tout leur potentiel et leur caractère. Le vignoble est planté des trois cépages champenois pour un rendement annuel de 60 000 bouteilles. Le pinot meunier accapare 70 % de la surface cultivée. Ce cépage est réputé pour donner naissance à des vins fruités. 20 % du vignoble est en chardonnay, sis en milieu de coteau, là où le soleil brille toute la journée. Le reste est planté en pinot noir. En ce qui concerne l'âge des vignes, 30 % d'entre elles ont entre 1 et 15 ans, 30 % entre 15 et 30 ans, et le reste supérieur à 30 ans. Certaines parcelles ont plus de 50 ans et servent le plus souvent à l'élaboration de la cuvée Brut Vieilles Vignes, produite avec 100 % de pinot meunier. Révélant une superbe expression aromatique et une certaine opulence, ce champagne ravira les œnophiles au moment de l’apéritif. Vers une agriculture durable Toutes les pratiques intensives usant de techniques mécaniques ou chimiques tendent à réduire la biodiversité. Damien Augé, soucieux de préserver cet héritage, se lance dans la voie de la viticulture durable, en s’efforçant d’entretenir la biodiversité du terroir tout en gardant la stabilité écologique des coteaux viticoles qui font le charme de la région rémoise. ...