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La sélection des meilleurs produits gourmands de France et d'ailleurs

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Gastronomie
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Quand les huîtres de Bretagne s'invitent à notre table...

C’est bientôt les fêtes de Noël et de fin d’année et il est grand temps pour nos repas en famille ou entre amis de retrouver notre meilleur compagnon de table avec au menu, l’incontournable plateau de fruits de mer et huîtres de Bretagne. Un merroir d’exception qui en côte bretonne apporte à ses huîtres une saveur si distinctive reconnue en France par les plus grands chefs et g...

Gastronomie
Produits-gourmands
CannElie où l’art de transcender la canne à sucre

À travers son concept innovant lancé en 2018, CannElie se réapproprie la canne à sucre pour la transformer en un nectar d’exception. L’usage d’un extracteur de jus imaginé par Elie Gomba donne un breuvage aux multiples vertus mis en scène au moyen de différentes recettes revigorantes et gourmandes.

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Cap d’Agde, le territoire de prédilection des vins de femmes

Cap d’Agde, en Languedoc, les femmes se sont entièrement appropriées les métiers du vin et de la vigne. Le territoire compte plus de 20 domaines tenus par la gent féminine.

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Domaines Prestige : vitrine du territoire agathois

Autour du Cap d’Agde, l’architecture et l’histoire sont incarnées en de sublimes domaines où le vin et la vigne sont à l’honneur. Une belle aventure oenotouristique entre tradition et modernité !

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Cap d’Agde : l’architecture contemporaine revendique sa place dans le paysage viticole

Internationalement reconnu comme station balnéaire, le Cap d’Agde, situé au cœur du Languedoc, tient également à se révéler à travers une nouvelle identité : l’architecture contemporaine de son vignoble.

Gastronomie Produits du terroir : Top 10 des bons producteurs

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Morlaix Cedex
Comité Régional de la Conchyliculture Bretagne-Nord
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Cannelie
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Sartrouville
Cannelie
CannElie où l’art de transcender la canne à sucre
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Papilles & Mamies
Papilles & Mamies : délicieusement authentique
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La Ferme de Gagnet
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Vitaline, une nouvelle génération de repas pour une nutrition optimale

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La Bodeguita : la bodega d'Arles

La bodega est en Espagne un bar à vins dans lequel se rassemblent les participants aux férias pour danser, discuter et boire. La Bodeguita revendique aujourd’hui cette étiquette de lieu de rendez-vous. Sa proximité avec les Arènes d’Arles est un atout favorable. Effectivement, les férias se déroulent dans cet amphithéâtre romain inspiré du Colisée de Rome qui est devenu le monument le plus visité de la ville.   Une cuisine méditerranéenne Le Chef Anthony Attouras aime mélanger les saveurs nord-africaines, italiennes et espagnoles dans ses recettes. Pour cela, il s’inspire un peu de tout. L’ardoise peut alors varier selon les trouvailles au marché, les saisons ou une illumination lors d’une émission culinaire à la télévision. Toujours en quête de la meilleure qualité de produit, le Chef n’hésite pas à franchir la frontière pour rencontrer ses fournisseurs en Catalogne ou à Barcelone. Cela ne l’empêche pas pour autant de travailler avec des partenaires locaux pour les fruits et légumes régionaux. Le restaurant n’impose aucun menu, les convives peuvent aussi bien commander une seule tapas que de savourer les assiettes généreuses du Chef. Ce dernier ne supporte pas l’idée que ses clients sortent insatisfaits de son établissement. La table de la Bodeguita s’identifie par les tapas et les plats à l’ardoise. Pour le premier, la maison suggère un voyage au-delà des Pyrénées. Avec le développement des produits espagnols, une nouvelle gamme de charcuterie 100% ibérique et de fromage espagnol a été ajoutée à la carte. « Jamon bellota ibérique la jabuguena » ou « Paleta belotta ibérique beher do guijelo », des appellations exotiques pour de savoureuses amuses-bouches. Pour les repas en groupe, la maison offre des formules comme la « planche XXL de charcuterie » ou la « planche de fromage queso espagnol » qui combine trois fromages d’Espagne. Toutefois, il est possible de commander une planche mixte. L’ardoise du restaurant affiche des propositions encore plus alléchantes, du camembert rôti au four farci de magret de canard fumé, des gambas à la plancha et différentes salades. La maison propose même des plats végétariens comme les champignons au vinaigre de Xérès ou les cœurs d’artichauts à la crème d’ail. Bref, il y en a pour tous les goûts. Cerise sur le gâteau : les commandes peuvent être à emporter.    La cave des vins français et espagnols La gestion de la cave repose sur la passion et l’expertise de la maîtresse des lieux Stéphanie Laugier. Elle travaille en étroite collaboration avec la Cave des saveurs pour acquérir les appellations de vins qui figureront à la carte. Leur sélection se fait généralement au coup de cœur. Le Bordeaux et la Bourgogne ont été laissés de côté pour faire découvrir les domaines issus des Côtes de Provence, de la Vallée du Rhône et de Languedoc. Stéphanie est aussi à l’aise sur la carte cocktails que sur les vins, c’est d’ailleurs elle qui en est à l’origine. On y trouve une gamme de shooters, de rhums arrangés et de cocktails traditionnels. La Bodeguita est la reine du Mojito sur Arles. La talentueuse compagne du Chef parfume cette boisson avec de la fraise, de la framboise ou de la banane. De délicieux mélanges à consommer avec modération.       Un écrin de culture et d’histoire, à l’image de la ville La Bodeguita est située en plein cœur de la ville d’Arles, une ville carrefour où se rencontre la route vers l’Italie et celle vers l’Espagne. Les passionnés de tauromachie, « aficionados » se donnent rendez-vous dans les Arènes de cette ville à l’occasion de la féria de Pâques qui se déroule du 25 au 28 mars, des fêtes des gardians en mai, des fêtes d’Arles en début juillet, de la féria des prémices du riz du 10 au 11 septembre, du Trophée des As en octobre et les courses de Camarguaises. En outre, la cité offre la possibilité de visiter le théâtre Antique, la place de la République, le Muséon Arlaten, le Mus&eac...

La Font des Pères : allier plaisir des vins et séjours œnotouristiques

La Font des Pères produit des vins AOC Bandol, IGP Mont-Caume et Côtes-de-Provence. Des élixirs qui ont la particularité d’être à la fois fins et complexes, dotés d’une belle ampleur et d’une grande fraicheur. Un terroir unique Dans ce vignoble se trouvant à quelques kilomètres des côtes méditerranéennes, les vignes sont implantées sur une colline taillée en restanque. Jouissant d’une exposition nord, celles-ci s’épanouissent sur un sol caillouteux, tout en bénéficiant de l’influence de la mer. Ici, le mourvèdre, cépage rouge typique des bords de la Méditerranée, règne en maitre absolu. « C’est un cépage qui murit assez tard. En combinant richesse et puissance, il procure au vin un relief aromatique unique », souligne Philipe Chauvin, le propriétaire actuel. Le reste de l’encépagement se compose de grenache, de cinsault, de carignan, de clairette, de bourboulenc, de rolle et d’ugni blanc. L’excellence comme leitmotiv Le domaine privilégie les vendanges manuelles dans la mesure où elles permettent de trier les raisins au niveau de chaque parcelle. « Afin d’assurer une qualité optimale, il nous arrive de vendanger une seconde fois avec quelques jours d’intervalle », nous confie-t-on. Côté vinification, les rouges, issus des plus vieilles vignes du domaine, subissent une longue macération avant d’être élevés 18 mois en foudre, en demi-muid ou en barrique d’au moins deux vins. Au niveau des blancs, ceux-ci font l’objet d’une macération pelliculaire à froid, afin d’extraire le maximum d’arômes. Un élevage sur lies est ensuite réalisé pour apporter davantage de structure et de rondeur. Quant aux rosés, les raisins ayant servi à leur élaboration ont été refroidis dans une chambre froide juste après la récolte. L’objectif de cette opération est de préserver les arômes. Les spécialités de la maison La Font des Pères propose au total 7 cuvées différentes. Parmi ses spécialités, les vins de Bandol font particulièrement la fierté du domaine. De l’aveu même du propriétaire : « Bien qu’il s’agisse d’une petite appellation, sa renommée est incontestable. »  Issu de l’assemblage de mourvèdre, de grenache et de cinsault, le rosé La Font des Pères 2017 dévoile des notes de buis, de fleurs, d’agrumes, tout en présentant une jolie trame minérale. Pour le blanc La Font des Pères 2017, celui-ci est obtenu à partir de 55,4 % de clairette, 39 % de bourboulenc et 5,6 % de vermentino. Le nez s’ouvre progressivement, avec finesse, sur une trame florale associée à des notes d’aubépine et de fruits blancs. Enfin, le rouge est issu à 90 % de mourvèdre et à 10 % de grenache. En bouche, ce vin est suave, équilibré, mêlant la fraicheur exprimée par les notes de rose et de mentholé à une finale structurée, avec des tanins enrobés, à la tonalité café, chocolat et pain grillé. ...

Le Pont Nantin : le fait-maison est à l'honneur

Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse. Ancien point relais de diligence Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône. Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin…   Pour le plaisir des papilles Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …). ...

Le colombier : le temple de la gastronomie toulousaine

Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement).  Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...

Concours International Wine In Box : le meilleur des vins en BIB

Dans l'optique de mettre en valeur un produit en plein essor, qui est le vin conditionné en bag in box, la compétition baptisée Concours International Wine in Box a été lancée en 2015. Car aujourd’hui, les vins sous forme de BIB n’ont rien à envier à ceux en bouteille. « Nous sommes partis du constat que le marché des vins en BIB connaît une forte croissance. Des efforts considérables ont été entrepris par les producteurs de vins et les négociants pour rehausser la qualité des vins conditionnés en BIB entraînant une hausse de la demande sur le marché », nous explique Anne-Marie Estampe, directrice de la société Amelovin. Et d'expliquer que « grâce à ce concours, les consommateurs ont la possibilité de repérer les produits de qualité désormais estampillés de leurs médailles, comme les grands vins. » Un concours d’une envergure internationale En trois ans, CIWIB est devenu une référence. Le nombre d'inscrits ne cesse d’évoluer. Depuis la première édition en 2015, les vins qui sont en lice ont connu une hausse considérable. « En 2015, nous avons eu 250 bags in box avec une augmentation de 20 % en 2016 et en 2017. Cette année, on a eu l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Bulgarie, la Grèce, l’Espagne, la France, le Luxembourg, les États-Unis… C’est vraiment un concours international, donc nous avons davantage de bags in box qui arrivent du monde entier », précise Anne-Marie. En tout, 384 compétiteurs notamment des producteurs, des coopératives, des négociants ou d'autres groupements de producteurs, ont concouru pour cette 3e édition du CIWIB. En France, les produits éligibles à la compétition sont surtout les «  vins tranquilles français » ainsi que ceux certifiés selon l’article R.665-24 du code rural. Quant aux crus provenant des autres pays, ils doivent être conformes au code international des pratiques œnologiques de l’Organisation internationale de la vigne et du vin. Une compétition réglementée Au cours du concours, chaque participant doit présenter en tout quatre échantillons de vins dans un contenant Bag In Box de moins de 5 litres. Pour assurer leur confidentialité, les vins sont classés selon les appellations IGP, AOC/AOP, VDL et par catégorie : millésime, cépage, couleur. Ces produits seront évalués par des professionnels du secteur lors d’une dégustation. L’équipe du jury de cinq personnes est constituée par des œnologues, des sommeliers, des cavistes, des restaurateurs... Elle est systématiquement présidée par un œnologue. La dégustation est aussi ouverte aux amateurs. « Nous avons beaucoup de clubs d’œnologie qui rassemblent des passionnés originaires de France ou d’autres pays qui sont capables de déguster un grand nombre de vins en un laps de temps court, ce qui n’est pas donné à tout le monde », fait savoir Anne-Marie Estampe. À noter que l’or représente l’unique titre octroyé lors de ce concours international. Les résultats sont publiés le lendemain de la journée du concours. Les producteurs lauréats, quant à eux, reçoivent leurs diplômes au cours d'une cérémonie officielle de remise des diplômes qui se déroule lors d'un salon viti/vinicole. En 2015, ce fut à Bordeaux lors de VINEXPO, en 2016 ce fut à Bordeaux lors de VINITECH, en 2017 ce sera à Montpellier lors du prochain SITEVI. ...

Bistrot Dumas : une cuisine bistronomique comme on l’aime !

Ce restaurant, repris en 2016 par Mouss Bouazza et son épouse Muriel, n’est plus à présenter. En effet, Le Bistrot Dumas a depuis longtemps conquis le cœur des Genevois à travers ses plats savoureux, qui font la part belle aux produits frais et de saison. Un décor, une ambiance Dès leur entrée dans la salle, les convives sont d’emblée séduits par un décor authentique, décliné dans un style Art nouveau. À table, une douce lumière tamisée diffusée par de jolis vitraux qui ornent le plafond les invite à la détente et à la bonne humeur. « Chez nous, l’ambiance est toujours conviviale, chaleureuse », aime à préciser Mouss Bouazza, le propriétaire-gérant de l’établissement.  De nouvelles saveurs tous les mois Au Bistrot Dumas, les plats se suivent mais ne se ressemblent pas. C’est au gré des saisons que le chef concocte ses délicieuses recettes. « Notre carte change tous les mois et nous avons toujours des nouveautés à proposer », nous indique-t-il.  Mais s’il y a bien un plat qui reste et qui fait toujours l’unanimité auprès des convives, c’est bel et bien l’entrecôte beurre Dumas. « C’est la spécialité de la maison, c’est un peu comme une entrecôte café de Paris revisitée et que nous servons avec des frites allumettes. » À part cela, les fins gourmets peuvent déguster en ce moment du foie gras de canard accompagné de marmelade pommes et fruits secs. En plat de résistance, le chef recommande la sole entière des côtes bretonnes cuite sur arêtes ou le filet d’agneau en croûte avec champignons. En dessert, petits et grands se laisseront tenter par une tartelette myrtilles, crème fouettée, crumble, croustillant vanille ou bien un flan caramel, orange sanguine, safran, croquant aux agrumes. Côté vins, les amoureux de grands crus seront gâtés, puisque ce restaurant dispose d’une carte éclectique incluant pas moins de 300 références. Des vins genevois, bien sûr, mais également de grands classiques français, à l’image des vins de Bordeaux ou des vins de Bourgogne. ...

Merci Bernard : une cuisine urbaine et gouteuse

2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...

Auberge Bienvenue, la cuisine traditionnelle autrement

Marie-Line et Michel Roche, les propriétaires commencent à faire des travaux à partir de 1988 pour construire un petit restaurant, puis une partie hôtellerie en 2002. Pour optimiser l’ambiance et le charme du lieu, ils aménagent l’extérieur d’un jardin personnalisé et mettent aussi sur pied une jolie terrasse ombragée. Les clients de l’Auberge y viennent pour « passer un bon moment et se reposer en même temps. », d'après Michel Roche. Aujourd'hui, l'établissement compte 60 places assises, 11 chambres et 4 suites. Une ambiance douce L’Auberge Bienvenue porte bien son nom. Son magnifique jardin fleuri et verdoyant reflète d’ores et déjà son accueil chaleureux. Ses murs extérieurs de couleur naturelle et les auvents roses présagent une ambiance conviviale, où il fait bon vivre. L’intérieur n’en est pas moins coquet et chic. Des belles arcades surplombent la salle, le bois modernisé apporte élégance et raffinement. Les chambres, quant à elles, sont décorées avec goût, bien spacieuses et confortables.   Une cuisine originale Au piano : Michel Roche se plaît à revisiter les recettes traditionnelles pour en faire ressortir des plats savoureux. Il ne cuisine que des produits frais, en grande partie issus du terroir. Ses sauces, dont il est le seul à connaître le secret, relèvent le goût de ses assiettes, ce qui lui vaut d’ailleurs d’être primé par plusieurs guides culinaires, tels que Logis, le Guide Michelin, le Bottin Gourmand et le Gault et Millau. Les menus sont tous attirants, l’entrée la plus prisée est la demi-mangue rôtie et son escalope de foie gras poêlée. En résistance, le filet de sandre rôti au four avec sa sauce rehaussée de vin savennières crée une explosion de saveurs qui séduit tous les palais. Pour finir en beauté, le parfait glacé au Cointreau et ses zestes d’orange confits est un incontournable « que l’on a régulièrement à la carte, ce dessert est très sollicité», souligne le maître des lieux. Une carte de vins élaborée au rythme des saisons vient valoriser chaque plat. En été, les vins du Val de Loire sont mis à l’honneur, tandis qu’en hiver, les Bordeaux et Bourgognes prennent le relais. « Il y a de quoi satisfaire les clients, autochtones comme plaisanciers », conclut notre interlocuteur. ...

Le Cornet d’Amour : concilier détente et gourmandise

Présent depuis 1934, le Cornet d’Amour a su diversifier ses prestations afin de satisfaire une clientèle de plus en plus exigeante. Véritable institution reconnue pour ses glaces aux parfums surprenants, l’établissement a également intégré une partie restauration. Les fins gourmets y trouvent une large variété de mets qui savent agréablement enchanter les papilles. Un décor qui en met plein la vue  Avec une capacité d’accueil à hauteur de 220 places, cet établissement dispose d’un espace suffisant pour assurer le confort de tous ses clients. La décoration toute en couleurs du Cornet d’Amour vous plonge dans un monde de fantaisie donnant libre cours aux imaginations les plus vives. Un décor pétillant avec différents styles de table vous attend pour garantir des moments fun entre amis ou en famille. Équipé d’une terrasse chauffée offrant vue sur la mer, le Cornet d’Amour revêt un cachet particulier. La proximité de la mer procure une sensation d’évasion et de plaisirs inédits. Une carte étonnamment variée et adaptée à tous les budgets Le Cornet d’Amour vous invite à déguster ses glaces artisanales dont le secret et le savoir-faire sont transmis de génération en génération. Tout est fait maison ! Savourez un mélange de saveurs déclinées en une cinquantaine de parfums tels que citron vert menthe ou fraise-basilic. Bien que le Cornet d’ Amour se soit illustré dans les glaces, l’établissement propose également à travers sa cuisine de brasserie des plats typiques de la région comme le welsh mais aussi des plats à base de poisson ou de viande. Les palais les plus exigeants sauront apprécier la qualité des produits frais et locaux qui entrent dans la composition des plats. ...

Hôtel Les Jeunes Chefs : un restau bistronomique au cœur de la Drôme

Sous la direction d’Élisabeth, Émilie et André-Yves Piaguet, le Restaurant Nouvel Hôtel Les Jeunes Chefs se distingue par ses mets originaux et raffinés, à prix raisonnable… Se dressant au cœur d’un village ancien entre Die et Crest, dans la commune de Saillans, Les Jeunes Chefs est l’endroit incontournable pour profiter de la nature et découvrir les paysages et les cultures de la Haute-Provence. Au programme : plaisirs culinaires, hébergements et divertissements. Des préparations culinaires à la portée de toutes les bourses En étroite collaboration avec un chef exigeant et une équipe de jeunes cuisiniers qualifiée, le restaurant Les Jeunes Chefs propose une cuisine recherchée à base de produits locaux et frais notamment des herbes de la colline drômoise, des volailles, des poissons et des truites. Entre culture culinaire et restauration-culture, les adeptes de la cuisine bistronomique trouveront leur bonheur, en été comme en hiver. Avec des tarifs entre 14 et 34 €, les amateurs de bonne cuisine pourront se régaler dans un cadre convivial et paisible. « Chez Les Jeunes Chefs, dites adieu aux plats conventionnels et habituels ! » s’exclame André-Yves Piguet, propriétaire des lieux. Non seulement les menus sont renouvelés chaque semaine, mais le chef s’efforce également de proposer une nouvelle carte tous les mois selon les produits locaux et les saisons. Les menus « Petites Faims », par exemple, sont composés d’une entrée et d’un plat ou un plat suivi d’un dessert. Quant au menu « Mise en appétit », différents plats sont proposés tels que de la truite à l’aneth ou des médaillons de volaille. Pour la « Découverte culinaire », les convives peuvent déguster des mets à base de poissons, de viande ou de volaille. « Il est trés important pour nous de spécifier que nos mets sont positionnés Coeur de Drôme : produits de la vallée et de la colline» déclare notre interlocuteur. Les amateurs de vins ne sont pas en reste. La carte reste éclectique pour satisfaire toutes les envies, même si elle réserve une place de choix aux Côtes-du-rhône dont une référence très appréciée, « la Clairette de Die, un vin emblématique de la Drôme », selon André-Yves Piguet Un lieu d’hébergement incontournable Les Jeunes Chefs, c’est aussi un hôtel proposant des chambres doubles, triples ou familiales, à prix attractif. Il dispose de sept chambres pouvant accueillir jusqu’à quatre à cinq personnes selon la formule choisie. Soigneusement aménagée avec des décors africains, la salle à manger de l’olivier est conçue pour recevoir jusqu’à vingt-six couverts par service, voire plus si besoin est. La terrasse des Lauriers rouges, quant à elle, offre une vue imprenable sur les paysages environnants. ...

Domaine Laurent Habrard : un vin reconnaissant envers la nature

A déguster aussi bien sur les tables du restaurant Jules Vernes que ceux de Guy Savoie, les vins du vigneron Laurent Habrard se déclinent sous les appellations Crozes-Hermittage, Hermitage et Saint-Joseph. Cultivé sur des côteaux de granit, de LOESS et d’un peu d’argile, les vignes apportent des fruits qui font la particularité de la production. Pour la petite anecdote, l’une des parcelles du vignoble jouit d’un ascendant bien connu. En effet, la parcelle Hermitage a été achetée au gendre du général de Gaulle, Alain de Boissieu. Ces vignes vendangées à la main sont gérées par Laurent Habrard depuis 1998. Issu d’une famille de viticulteurs, il représente déjà la cinquième génération de la famille à travailler le vin. Ce vin dont certains sont vieillis en fûts quand d’autres sont vieillis dans des cuves de béton et d’inox. Une démarche complète et globale pour l’environnement Depuis 2008, les vins du domaine Laurent Habrard sont labellisés « Bio ». Une démarche soutenue depuis déjà longtemps en faveur de l’environnement associée à des méthodes de production sans sulfites notamment pour les vins rouges. Mais l’engagement du domaine ne s’arrête pas là. Afin d’adopter une démarche plus complète et globale, le domaine s’est associé à l’Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS). A travers cette association, le domaine souhaite tel que l’explique Laurent « remercier la nature de donner des récoltes ». Et cela en faisant un don de 25 000€, récupéré sur l’ensemble des ventes des cuvées de vin rosé de l’année passée. Grâce à différents dons, l’ASPAS achète du foncier pour ensuite le mettre sous cloche et laisser la nature reprendre seule ses droits. Grâce au domaine Laurent Habrard et sa contribution, ce sont 16 ha de réserve de vie sauvage qui vont être établies. ...

Restaurant Assyl au Selman Hôtel Marrakech à Marrakech

Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies.   Le restaurant marocain de prestige, Assyl​ Le restaurant Assyl paraît tiré des Mille et une Merveilles du Royaume du Maroc. Il a remporté en 2016 le prix du meilleur restaurant de luxe au Maroc (Luxury Restaurant Of Morocco), délivré par Luxury Lifestyle Awards 2016. Dans un décor de charme, le menu est exceptionnellement gourmand et met à l’honneur toute la richesse de la cuisine marocaine. Le chef Bahija sublime les saveurs en y apportant sa touche créative personnelle. Les produits frais et les textures se mixent avec délicatesse et subtilité pour ravir les papilles des convives. Assortiment de salades marocaines façon Dada, tagine de lotte à l’Argan, ou la spécialité Selman Tride au poulet fermier, safran de Talouine lentilles et fèves, et autres spécialités marocaines s’invitent à cette table qui vaut le détour ! Une cuisine marocaine résolument authentique… Le dîner est animé par un duo live andalou et un spectacle de danse orientale. ...

Château La Dauphine et Château de Versailles : des liens forts depuis plusieurs siècles

L’histoire du lien qui unit le Château La Dauphine et le Château de Versailles remonte au 17e siècle. En 1634, le Cardinal de Richelieu fait l’acquisition du duché de Fronsac. Puis, en 1750, la Dauphine de France (épouse du fils héritier de Louis XV) lui donne son titre de noblesse suite à son séjour à la propriété. Depuis cette époque, ces deux châteaux possèdent un lien très fort. Un vin complexe apprécié pour ses « vertus thérapeutiques » Depuis le 17e siècle, le Château de La Dauphine est l’une des boissons les plus appréciées des convives du Château de Versailles. À noter : certains courriers de l’époque évoquent même le fait que ce vin pourrait calmer les maux d’estomac. Pour obtenir ce nectar savoureux, le domaine revendique une véritable philosophie environnementale et s’emploie à moderniser sans cesse son processus de vinification. Preuve en est avec sa conversion à l’Agriculture biologique découlant sur l’obtention de la certification AB en 2015 et des labels HVE 3 et SME en 2018. ...

Les caves Richemer :
une escale envoutante au port de Marseillan

Entre les deux guerres, les vins avaient perdu un peu de leur qualité et les ventes connaissaient un ralentissement. Face à cette situation, des vignerons décidèrent, en 1937, de s’unir pour remettre à flot l’activité viticole de la région : les Caves de Richemer étaient nées. Celles-ci tiennent leur nom d’Henri Richet, un vigneron de Marseillan qui aurait fait fortune dans le négoce de vins, le commerce et le transport maritime. Du fait de son activité axée autour de la mer, il a été surnommé Henri de Richemer.   Le vignoble et la vinification Le terroir des Côtes de Thau rassemble des sols sableux, argileux et caillouteux. L’étang apporte davantage d’humidité au climat méditerranéen. Cette fraicheur naturelle se fait ressentir dans les vins blancs des Caves de Richemer. Outre les cépages classiques, le Terret blanc, qui occupe une surface de 300 hectares, fait la fierté de la coopérative. Il s’agit d’un vieux cépage local, principalement basé dans le bassin de Thau. Grâce à une politique de replantation menée en 2010, les viticulteurs ont contribué à la préservation de ce raisin. Ils cultivent également d’autres cépages locaux comme le piquepoul et le marselan, dont la fraicheur est garantie grâce à une vendange de nuit.La cave de vinification, quant à elle, produit 65 % de vin blanc, 25 % de rosé et 10 % de rouge. Tout le système a été conçu pour permettre la fabrication de vins blancs et rosés. Les équipements incluent notamment des cuves réfrigérées, des pressoirs pneumatiques et un réseau de gaz inerte qui protège le jus et le vin contre l’oxygène.   L’hippocampe, un emblème porte-bonheur Le choix d’un hippocampe à titre d’emblème des Caves de Richemer apparait comme une évidence. Le siège de la coopérative se trouve dans l’étang de Thau, le deuxième étang européen après Arcachon à abriter le plus d’hippocampes. Cet animal reflète la richesse et la biodiversité de cet environnement naturel entre terre et mer.Ce symbole est apposé sur toutes les bouteilles. Une des cuvées a même été rebaptisée à l’effigie de cet animal : HippoCap. Celle-ci témoigne du succès des vins produits par la coopérative. HippoCap 2015 a en effet raflé 4 médailles d’or dans différents concours et le prix d’excellence aux Vinalies nationales.   Œnotourisme L’offre œnotouristique des Caves de Richemer est particulièrement développée. À côté des classiques portes ouvertes proposant, entre autres, des ateliers de dégustation met/vin, la coopérative organise des balades en mer avec, au programme, de la musique, une exposition, une dégustation de coquillages… Les visiteurs sont également invités à participer aux balades vigneronnes. Dans une ambiance conviviale, ils flânent dans les allées des vignobles pour découvrir la beauté du terroir. L’aventure s’achève sur une dégustation de vins dans les magasins. ...

Château Camille Gaucheraud : un domaine fortement engagé pour l’environnement

L’histoire du Château Camille Gaucheraud remonte à 1999. En empruntant le nom de son arrière-arrière-grand-père, Benoit Latouche tient à lui rendre hommage tout en développant sa propre gamme de vins. Très vite, la production devient une histoire de famille dans laquelle s’implique passionnément Freddy Latouche depuis 2012. Aujourd’hui, ce vigneron indépendant mise sur l’export pour étendre la notoriété des vins du domaine familial. En marche vers le bio Certifié HVE, le domaine souhaite aller encore plus loin dans sa démarche environnementale. Depuis juillet 2018, le nouveau défi consiste en une reconversion bio, qui devrait se concrétiser d’ici à l’horizon 2020. Dans cette perspective, la maison veille à ce que sa technique de vinification ait le moins possible recours à l’utilisation de produits chimiques tels que le soufre. « En alternative, nous incorporons une levure particulière afin d’éviter l’oxydation du vin pendant la fermentation. Le résultat semble très prometteur ! », confie Freddy Latouche. ...

La Table de l’Ours: l’excellence des saveurs savoyardes

La Table de l’Ours, un restaurant gastronomique rendant un bel hommage à la richesse culinaire française. Ici, les produits locaux et régionaux se retrouvent dans une cuisine traditionnelle inventive où chaque plat distille des saveurs uniques. Les assiettes gourmandes, goûteuses et fidèles à leur terre, se dégustent à la lumière d’une cheminée révélant un décor de bois et de pierre, un cadre intimiste, chaleureux et raffiné, propice au régal et à la détente. A ces délices servis dans un havre de paix en haute montagne viennent s’ajouter un accueil et un service professionnels empreints de l’hospitalité et de l’amabilité des grands hôtels. Un haut-lieu de la gastronomie des Alpes Poussé par l’envie d’offrir des plats de qualités, le restaurant gastronomique « La Table de l’Ours » met un accent particulier sur le choix de ses produits tout en essayant de promouvoir les acteurs locaux. Le repas s’anime autour d’une cuisine simple et subtile dans laquelle truffes, poissons, fromages des alpages et autres ingrédients révèlent toutes leurs saveurs. Ces produits du terroir choisis au gré des saisons, sont mis en valeur par une équipe dirigée d’une main de maître par Antoine Gras, afin de vous faire passer un agréable moment autour de tables dédiées au régal, au partage et au plaisir des sens. Théâtre de nombreux évènements L’hôtel organise, par ailleurs, des soirées à thème axées sur la découverte d’un vin ou sur un évènement marquant en particulier, un calendrier évènementiel évoluant au fil des ans à surveiller. Vos dîners en famille, vos escapades gourmandes à deux ou vos soirées entre amis et/ou collègues seront alors empreintes de traditions, d’histoires et de cultures alpines, des instants de bonheur à la convivialité retrouvée. ...

Patrelle : bien plus qu’une marque, une signature

Située sur la côte normande, à faible distance de Deauville, cette société emblématique a gagné ses lettres de noblesse avec un seul et unique produit « le Saveur des Potages », plus connu sous l’appellation « Arôme Patrelle » qu’elle doit à Louis Salve Patrelle, le premier du nom. Il s'agit d'un colorant alimentaire à base de glucose destiné à permettre le fonçage de sauces, marinades, potages, gratins,… Il permet également la couverture des préparations de viandes, comme le jambon, ou de volailles grillées (poulet, escalopes). Enfin, il s'utilise pour colorer les gélatines nécessaires à la préparation des charcuteries ou dans la liaison des sauces. Bref, un incontournable en cuisine. Grâce au Saveur des Potages®, chaque plat livre ses meilleurs atouts. Le succès d’une marque au fil du temps Fort du succès de la marque qui a autant séduit que fidélisé les consommateurs pendant près d’un siècle, Patrelle prend son envol en 1961 avec la partie confiserie et produit ses premiers délices aux saveurs sucrées : la boule coco (une meringue fantaisie enrobée de noix de coco râpée) et le roudoudou (le célèbre coquillage avec une sucette à l’intérieur). L’incroyable odyssée d’un authentique patrimoine familial     Sous la direction de Laurent Patrelle (de la cinquième génération) depuis 1987, la société Patrelle continue à se développer et à innover dans sa palette de goûts et de couleurs avec la création en 1993 des lignes de production des P’tits Top (goûter avec gressins et pâte à tartiner) et des bâtons à congeler, suivie dix ans plus tard par la ligne de production du Trio Top (goûter avec gressins, pâte à tartiner et boisson). En 2001, Patrelle marque sa présence à l’échelle internationale en matière de confiserie, notamment en Europe (Belgique, Allemagne, Portugal, Pologne et Roumanie), mais aussi aux Émirats arabes unis et en Nouvelle-Calédonie, puis récemment en Russie et au Sénégal. L’année 2013 voit, quant à elle, la commercialisation de trois nouveaux arômes Patrelle sur le marché, à savoir les arômes Patrelle balsamique, bœuf et barbecue. En 2016, la gamme snacking sucrée et salée entre, elle aussi, dans la danse avec de nouvelles saveurs telles que le spéculoos, le beurre de cacahuètes, et aussi les sauces ketchup, Barbecue et tex-mex. Et le petit dernier le « P’tite Pomme ». En effet, fort de son expérience dans le snacking pour enfants, la société Patrelle vient de lancer ce nouveau concept : des biscuits Petits-beurre et une spécialité de pomme pour offrir un goûter plus sain et équilibré. Vous pourrez découvrir tous ces produits dans leur magasin d’usine. ...

Vitteaut Alberti : l’excellence d’un crémant de Bourgogne

Créée en 1951 par ses fondateurs M. Lucien Vitteaut et son épouse Maria, née Alberti, la maison Vitteaut-Alberti ne cesse de s’agrandir au fil des années afin de maintenir la qualité et la richesse de ses cuvées. Elle exploite aujourd’hui 23 hectares de vignes réparties sur la côte de Beaune et les hautes-côtes de Beaune ainsi que sur la côte chalonnaise entre les villages de Rully et Mercurey. L’ensemble de ses vignes est cultivé selon le principe d’une lutte raisonnée, dans le plus grand respect du sol et de l’environnement. Par ailleurs, depuis trois générations, le domaine familial travaille le crémant de Bourgogne suivant la méthode traditionnelle, une technique presque similaire à la méthode champenoise sauf que 100 % du cépage utilisé doit provenir du sol bourguignon et que l’élevage se fait sur 12 mois et non sur 15 mois. Crémant de Bourgogne : la combinaison parfaite Chardonnay, pinot noir, aligoté sont les cépages de prédilection de la Maison Vitteaut Alberti. « Ce sont des cépages qui permettent d’obtenir des produits très frais, très subtils en termes d’arômes », souligne Sandie Deboissy, la responsable commerciale et marketing du domaine. Pour élaborer un crémant de Bourgogne, 80 % de chardonnay et 20 % d’aligoté en provenance de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune sont nécessaires. À la clé : un produit frais et raffiné qui séduit de plus en plus de monde. « Aujourd’hui le crémant de Bourgogne connaît une croissance incroyable. Les gens ne le consomment pas uniquement lors d’occasions particulières mais, à tout moment, en apéritif, durant les repas », tient à préciser notre interlocutrice. Sa vinification se fait par «  méthode traditionnelle » et c’est tout un art dont la maison Vitteaut-Alberti est fière d’en être la gardienne. Ce savoir-faire particulier lui a permis de rafler des récompenses dans des concours régionaux et nationaux : 1er prix au concours de vin de la côte chalonnaise 2017, coup de cœur Guide Hachette des vins 2014, sélection dans Cuisine et Vins de France Décembre 2013. Un nouveau style, le même esprit Le domaine propose une gamme de produits bien fournie : des crémants, des mousseux et récemment des cuvées spéciales. Parmi ses produits phares figure la cuvée Agnès. Elle a été introduite en 2006 et rend hommage à l’arrivée de la 3e génération, Agnès Vitteaut, qui a repris le domaine. La cuvée est élaborée uniquement à partir de la meilleure sélection de chardonnay de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune.  Elle est ensuite élevée jusqu’à 36 mois pour obtenir une complexité aromatique incroyable : côté vineux, une belle longueur en bouche, finesse de bulles. Désireux de parfaire sa collection, et surtout de raconter son histoire, le domaine prévoit de lancer chaque année une marque de cuvée spéciale. Pour cette année, il a concocté la cuvée Dentelle: « Un packaging original, fait main et tout peint sur la bouteille, 100 % chardonnay, cuvée très élégante, beaucoup de finesse, de légèreté, dans laquelle on ne prend que les premiers jus de presse, les plus fins », célèbre Sandie Deboissy. Elle ne sera commercialisée qu’au nombre de 4 200 bouteilles et sera spécialement réservée aux clients restreints du caveau. Car même si la production de la maison Vitteaut-Alberti atteint les 500 000 bouteilles par an, elle est avant tout un domaine familial qui souhaite préserver son intimité avec ses clients. Elle insiste pour offrir un accueil chaleureux et personnalisé à chacun de ses convives. ...

Maison Lichtle Benoît : fière représentante des vins d’Alsace

C’est au sein de cette cité médiévale et viticole située sur la Route des vins que les Lichtle remontent la généalogie jusqu’en 1650. À Gueberschwihr, leurs descendants possèdent aujourd’hui un vignoble de 5,5 ha établi sur un terroir au climat sec et aux sols marno-calcaires. Sous un micro-climat spécifique, le domaine travaille les sept cépages alsaciens permettant de produire des vins en AOC Alsace, AOC Crémant d'Alsace, AOC Alsace Grand Cru et Vendanges Tardives (sélection de grains nobles). Des vins pas comme les autres Les œnophiles en quête de vins hors des sentiers battus trouveront leur bonheur chez Lichtle Benoît, notamment à travers leurs cuvées telle que L’Inattendu. Avec ses saveurs de fruits jaunes en pâte de fruit et ses arômes de citrons confits, ce vin accompagne à merveille la cuisine asiatique ou les poissons crus. ...

Une cuisine de qualité dans un cadre de paix 

Ouvert par madame Blanc en 1979, le restaurant la Croix d’Ouchy est une adresse incontournable. Grace notamment aux deux chefs, Thierry et Christophe Lacanne, la cuisine de l’établissement est fine et d’inspiration italienne avec des pâtes et des risottos maison. La gastronomie française n’est pas en reste puisque l’on retrouve également au menu des rognons de veau et des filets de rouget. La Croix d’Ouchy attire une clientèle internationale et a une capacité d’environ 75 personnes (35 dans le café et 40 dans la partie restaurant) et peut être réservé pour célébrer des événements privés tout en bénéficiant d'un service irréprochable. En été, lorsque les beaux jours arrivent, les clients peuvent, profiter du calme de la magnifique terrasse disposant de 80 places et étant protégé de la circulation par une épaisse haie, et apprécier la vue d’un marronnier centenaire. L’établissement offre la possibilité de manger aussi bien dans le café que dans le restaurant, et propose toujours deux services,  comme le voulait la tradition des restaurants d’autrefois. Des plats faits maison et cuisinés à la minute Tous les plats proposés par le restaurant La croix d’Ouchy sont faits maison et préparés avec soin et à la minute. En particulier les pâtes entièrement confectionnées de manière artisanale. Ce qui est notamment le cas des raviolis, des pappardelles et des spaghettis accompagnés de diverses sauces: basilic, ricotta aux truffes ou citron. Mais aussi des succulents risottos agrémentés de différents parfums afin de satisfaire les palais les plus exigeants. On retrouve aussi, comme spécialités italiennes du jambon de Parme, de la salade de ricotta et du carpaccio. La cuisine hexagonale est également fortement présente sur la carte du restaurant grâce notamment au sublime médaillon de foie gras à l'Armagnac et oignons confits, aux délicieux rognons de veau à la graine de moutarde, au splendide cœur de filet de bœuf en croûte d’épices et au majestueux pavé de bœuf à la crème moutardée ou aux cèpes. Pour accompagner ses mets, La Croix d’Ouchy propose une sélection fine de vins provenant de Suisse, de France ou encore d'Italie. Un accueil chaleureux et un service impeccable dans un cadre idéal La quasi-totalité du personnel du restaurant de la Croix d’Ouchy est présente depuis plus de 30 ans. Ce qui soude les relations entre la direction et le reste des employés. Et engendre une certaine constance dans la qualité du service, accompli jour après jour, absolument réglé comme une horloge. En conséquence également, l’accueil est chaleureux et l’ambiance est familiale. Au niveau du design, si la partie restaurant est simple et élégante, celle du café est bien plus décontractée tout en restant très calme. Ce qui donne, au final, un cadre chic, assez tranquille et plutôt classique mais ne manquant cependant point de caractère. Considéré par beaucoup comme le meilleur restaurant de Lausanne, La croix d’Ouchy demeure une référence culinaire de cette grande ville suisse. D’autant plus que les prix fixés restent très abordables, rendant possible l’opportunité de déguster et de savourer une grande cuisine dans un environnement exceptionnel. ...

Champagne Martial-Couvreur : des cuvées alliant qualité et élégance

Actuellement, la maison Martial-Couvreur travaille sur un vignoble de 7 ha. Grâce à la richesse et à la variété géologique du terroir, le vignoble se compose de trois cépages dont 15 % chardonnay, 40 % meunier et 45 % pinot noir. C’est donc tout naturellement que les cuvées élaborées par la maison s’enrichissent des arômes issus de ces cépages. Un savoir-faire reconnu Pour pouvoir offrir des champagnes de qualité dignes des plus grands événements, la maison Martial-Couvreur mise sur une élaboration traditionnelle. L’exploitation privilégie une viticulture raisonnée avec un profond respect pour la terre. En ce qui concerne la vinification, celle-ci est confiée aux soins de l’Union des producteurs des grands terroirs de la Champagne. Une coopérative agricole dont le professionnalisme est reconnu et salué par les plus grands œnologues. « Cela fait partie de notre particularité, puisque nous faisons partie d’une coopérative, nos bouteilles ne renferment pas uniquement notre terroir mais un assemblage de terroirs différents », nous indique-t-on. Les cuvées phares de la maison Depuis quelques années, la marque Martial-Couvreur s’est spécialisée autour de la thématique du mariage. « C’est venu très naturellement avec le caractère de ma mère, elle a une véritable empathie pour les gens », confie Aymeric Couvreur. Les futurs mariés pourront donc faire leur choix parmi une palette déclinée en six nuances. À commencer par « La Ravissante ». Mêlant finesse, puissance et rondeur, cette cuvée est élaborée à partir de 40-45 % de chardonnay et 55-60 % de pinot noir. « La Palpitante » s’habille d’une robe or pâle avec des reflets verts et présente une belle longueur en bouche. Celle-ci s’obtient à partir d’un assemblage de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot. « L’Innocente », quant à elle, fait à 100 % de chardonnay. Une cuvée Blanc de Blancs dotée d’une grande finesse très appréciée par la gent féminine. « La Sémillante » adopte une teinte rose saumoné et se distingue avant tout par son caractère festif et fruité. Pour continuer, « La Charmante » est obtenue à partir d’un assemblage de 60-65 % de chardonnay et de 35-40 % de pinot noir. Cette cuvée de prestige est vieillie quatre ans en cave pour développer tous les arômes et acquérir une rondeur très particulière. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et présente « La Galante », un millésimé 2008 en hommage à Christian Couvreur. Il s’agit d’un vin d’exception qui réunit à la fois souplesse, élégance et onctuosité. Dix années de vieillissement en cave auront été nécessaires pour proposer un savant mariage de puissance aromatique et de fraîcheur. ...

Le restaurant Ô Puits :
un régal au cœur de la Bourgogne

Situé à Nevers, le restaurant Ô Puits fait partie intégrante du paysage de la gastronomie bourguignonne depuis plus de 30 ans. Il se démarque par son puits visible à l’entrée qui date du XIVème siècle. Selon la légende, les filles, y jetant une obole et faisant le vœu de trouver un mari dans l’année, se voient exhausser leur souhait. Dans ce lieu rempli d’histoire, le chef, qui a toujours voulu être cuisinier et avoir son propre restaurant au sein de sa ville natale, reprend l’établissement en 2009 dans l’unique objectif de partager une cuisine riche en saveurs. Cadre intimiste entouré d’un environnement généreux Ô Puits est disposé sur deux niveaux. A l’étage, la salle propose une vue imprenable  sur l’Eglise Saint-Pierre. Dans un cadre intimiste, elle affiche un décor bourgeois et moderne aux couleurs claires et offre une capacité d’accueil de 40 places. A l’extérieur, la terrasse est entourée d’un grand jardin calme et se tient prête à accueillir une quarantaine de personnes lors de l’arrivée des beaux jours. Cuisine copieuse et inspirée Le chef Noël Lantier, sortant de l’école Hôtellerie de Château Chinon, a fait ses gammes dans des établissements étoilés. Ressentant l’envie de pouvoir créer librement ses plats, il décide d’ouvrir Ô Puits où il propose une cuisine de terroir mettant en avant son inventivité et son expérience. Effectivement, il revisite les plats traditionnels français préparés avec des produits frais et locaux. Sa cuisine est copieuse et conviviale. Jusqu’aux glaces et tuiles, tout est fait maison. Des plats nobles à volonté Il suggère une formule du jour avec au choix trois entrées, deux plats (poisson ou viande) et trois desserts. Dans sa carte, le Saumon mariné maison au chablis et la crème fouettée au citron est proposé en entrée. En plat de résistance, les noix de Saint-Jacques poêlées ou le ris de veau poêlé accompagné d’une sauce aux morilles reflètent noblesse et saveurs enivrantes. Le tout peut être suivi d’un plateau de fromages affinés et d’une salade ou d’un dessert tel que le moelleux au chocolat et glace Chococaramel et tuile au grué de Cacao. Les formules de 25 € et 32,50 € quant à elles mettent à l’honneur un filet de bœuf charollais, un filet de sandre et des brochettes de veau au romarin. N’oublions pas le menu « Ô Puits » qui fait voltiger les papilles des fins gourmets avec l’incontournable escalope de foie gras de canard poêlé ainsi que le pigeon en croute et au foie gras. Carte de vins qui donne l’embarras du choix La sélection des vins s’effectue directement chez les vignerons. De prime abord, la carte privilégie les vins de Loire et de Bourgogne mais elle dispose notamment des crus de la Nouvelle Zélande. Parmi les vins blancs de la Loire, le Menetou Salon 2014 du Domaine Clément amuse les papilles. Un autre vin blanc à ne pas écarter : le Bourgogne Mercurey 1er cru 2008 du domaine Maréchal qui peut accompagner les plats à la carte. Au rang des vins rouges, les convives peuvent trinquer avec un bon verre de Coteaux Giennois 2013 du domaine Langlois, médaillé d’or dans le concours agricole 2014 ou le Beaujolais Brouilly 2014 du Domaine A.Merle,  récompensé par le guide Hachette. ...

Manoir du Kerhuel : tout pour le plaisir

Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre.            Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...

Château Gaby : le terroir Fronsac dans toute sa splendeur

Situé au sein de Canon-Fronsac, petite appellation de Bordeaux d’environ 300 hectares de vignes et qui réunit 46 producteurs, le Château Gaby, créé en 1660, est un vignoble emblématique de par sa situation et sa belle architecture. Celui-ci a été repris par David Curl en 2006, avec sous sa direction Damien Landouar. Le domaine s’est donné dès lors pour objectif de promouvoir la qualité du vin de Fronsac, en prouvant que le haut du panier n’a rien à envier aux grands crus de Saint-Émilion. C’est donc un travail des plus méticuleux qui est exécuté par Damien Landouar et son équipe, qui ont vu décerner à leurs belles bouteilles de magnifiques récompenses. Le travail minutieux de sols diversifiés L’ensemble des vignes du domaine s’étend sur 16 hectares de sols à dominance calcaire, dont 80 % en jolie exposition sud, très favorable à la culture du merlot. Dans ce fameux paysage vallonné surplombant la Dordogne et faisant le charme de Fronsac, le plateau est argilo-calcaire, et la plaine argilo-sablonneuse. C’est un microclimat frais, et plus précisément maritime bordelais, qui couvre toute la propriété. C’est une agriculture bio de grande exigence que met en avant le domaine, pour obtenir le meilleur des vignes. Ainsi, l’utilisation de produits certifiés bio, à l’instar de la bouillie bordelaise traditionnelle, est de rigueur, principalement pour traiter les vignes contre les maladies. L’élaboration des sols est faite à l’ancienne, et donc à cheval sur les meilleures parcelles. Le domaine sème ses propres engrais bio, et enlève tout ce qui est chimique, afin de prolonger la vie des sols. Les pesticides sont également prohibés et la présence des engrais biologique dans cette agriculture bio permet aux racines de s’enfoncer dans la terre et de chercher plus de richesses dans le sous-sol. Entre autres, le domaine travaille selon 4 principes : Vendanger un raison mur, vinifications naturelles avec peu de souffre et levures indigènes, élevages en barriques en cherchant des tannins élégants, pas de filtrage ou de collage avant la mise en bouteille. Des vins de caractère L’expression de Fronsac regroupe 12 Châteaux des appellations Fronsac et Canon-Fronsac, des vins de garde de qualité et de précision. Pour le Château Gaby en particulier, c’est 3 vins différents et 3 sélections parcellaires différentes. Les pourcentages de cépages utilisés par le domaine sont à 80 % de merlot, 10 % de cabernet franc et 10 % de cabernet sauvignon. Parmi les vins, la Cuvée Gaby, petite production confidentielle avec environ 1 800 bouteilles produites par an. Vinifié avec zéro soufre ajouté et des macérations froides pleines de particularités, c’est un vin complexe nécessitant beaucoup de carafage. Cette bouteille issue de la parcelle à dominance calcaire est reconnue à l’échelle mondiale pour son caractère atypique. La Cuvée Gaby s’est hissée en tête de classement des vins à l’aveugle, surpassant 600 bouteilles toutes appellations confondues, devant un grand jury en 2008. Le Château Gaby est non seulement un grand vin de garde, mais également le grand vin de la propriété. Il est issu des parcelles argilo-calcaires et, pour ce vin, environ 40 000 bouteilles sont produites par an. Élégant et équilibré, il est reconnu pour sa richesse et sa finesse de bouche ronde. Ce délice est est régulièrement un coup de cœur du Guide Hachette. Les Roches Gaby, c’est le vin issu de la plaine argilo-sablonneuse du domaine. Ce paramètre donne à cette belle bouteille un caractère souple, fruité et plein de richesse. Il est consommé plus jeune que le Château Gaby. Ces vins sont servis dans de grands restaurants de Londres comme chez Marcus Wareing au Berkeley Hotel, ou encore au Goring Hotel. De plus, les vins sont en vente directe à la propriété ainsi qu’exportés dans un vingtaine de pays du monde. ...