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La sélection des meilleurs produits gourmands de France et d'ailleurs

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Gastronomie
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Quand les huîtres de Bretagne s'invitent à notre table...

C’est bientôt les fêtes de Noël et de fin d’année et il est grand temps pour nos repas en famille ou entre amis de retrouver notre meilleur compagnon de table avec au menu, l’incontournable plateau de fruits de mer et huîtres de Bretagne. Un merroir d’exception qui en côte bretonne apporte à ses huîtres une saveur si distinctive reconnue en France par les plus grands chefs et g...

Gastronomie
Produits-gourmands
CannElie où l’art de transcender la canne à sucre

À travers son concept innovant lancé en 2018, CannElie se réapproprie la canne à sucre pour la transformer en un nectar d’exception. L’usage d’un extracteur de jus imaginé par Elie Gomba donne un breuvage aux multiples vertus mis en scène au moyen de différentes recettes revigorantes et gourmandes.

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Cap d’Agde, le territoire de prédilection des vins de femmes

Cap d’Agde, en Languedoc, les femmes se sont entièrement appropriées les métiers du vin et de la vigne. Le territoire compte plus de 20 domaines tenus par la gent féminine.

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Domaines Prestige : vitrine du territoire agathois

Autour du Cap d’Agde, l’architecture et l’histoire sont incarnées en de sublimes domaines où le vin et la vigne sont à l’honneur. Une belle aventure oenotouristique entre tradition et modernité !

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Cap d’Agde : l’architecture contemporaine revendique sa place dans le paysage viticole

Internationalement reconnu comme station balnéaire, le Cap d’Agde, situé au cœur du Languedoc, tient également à se révéler à travers une nouvelle identité : l’architecture contemporaine de son vignoble.

Gastronomie Produits du terroir : Top 10 des bons producteurs

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Morlaix Cedex
Comité Régional de la Conchyliculture Bretagne-Nord
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Cannelie
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Sartrouville
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CannElie où l’art de transcender la canne à sucre
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Papilles & Mamies
Papilles & Mamies : délicieusement authentique
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Vitaline, une nouvelle génération de repas pour une nutrition optimale

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Champagne Jacques Chaput et fils : la marque à la salamandre

Sur la Côte des Bars, Champagne Jacques Chaput bénéficie d’un terroir exceptionnel établi sur un sol composé de marnes calcaires du kimméridgien, sur lesquels les trois cépages champenois se développent dans d’excellentes conditions sur un vignoble de 13,50 hectares. Grâce à une rigoureuse sélection des raisins et des assemblages issus d’un travail précis, la maison parvient à produire une gamme de champagnes exhalant des arômes typiques qui ravissent les palais les plus exigeants. De la vigne aux vins L’élaboration de champagne est un art qui se transmet de génération en génération au sein de la famille Chaput. Dans les veines de ces vignerons passionnés, ce n’est plus du sang qui coule, mais du vin. Au fil des années, la famille a acquis un savoir-faire traditionnel qui lui permet de produire de grandes cuvées. Ces champagnes associant finesse et élégance ont acquis une réputation qui dépasse les frontières de la France. Sur 100 000 cols produits chaque année, une partie de la production est effectivement exportée vers l’international, notamment aux États-Unis, « qui constituent un nouveau marché », raconte Jacky Chaput, l’héritier de ce riche patrimoine. Cette notoriété, la maison l’a acquise grâce à un travail strict qui débute dans les vignes. « Nous pratiquons une viticulture raisonnée avec une approche la plus naturelle possible. Quoiqu’il en soit, tous les vignerons seront d’ici peu amenés à recourir à des pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la biodiversité », tient-il à préciser. L’authenticité d’un terroir La création de ce domaine familial dans les années 50 par le père de Jacky a été un challenge. « Nous sommes sur un terroir qui n’était pas très connu dans les années 60, 70 ou 80. Cette partie de la Champagne a gagné rapidement ses lettres de noblesse, et dorénavant, de nombreux domaines de la Côte des Bars remportent d’innombrables médailles et récompenses et sont mis à l’honneur », se félicite Jacky. Aujourd’hui, le vigneron tient à offrir le meilleur de cette terre qui se reflète dans ses cuvées. Parmi les plus emblématiques de la maison, il cite la cuvée blanc de noirs, composée à 100 % de pinot noir et qui est le vin qui « a remporté le plus de récompenses ». Le vigneron, pour sa part, est plus attaché à sa Cuvée L’Authentic, « qui fait partie de celles que j’ai créées et lancées lorsque je suis revenu sur le domaine familial », indique-t-il. ...

La Cave d'Irouleguy : 65 ans d’excellence

Tout a débuté en 1952, lorsque neuf viticulteurs originaires du Pays Basque, s’associent pour créer une coopérative dont le but est de reconstruire un vignoble détruit par le phylloxéra ainsi que par le passage de la Première Guerre mondiale. « Aujourd’hui, la Cave d’Irouleguy, qui compte 42 coopérateurs en AOC Irouléguy, a pour volonté de perpétuer la notoriété de ce bout de terroir du Pays Basque et de mettre en valeur son produit de prédilection qui est le vin », indique Nadine Gaztambide, Directrice de la cave coopérative. AOC Irouléguy : des vins de qualité Territoire de beauté, bordé par la mer, oasis de verdure et couvert par des montagnes et des collines, les Pyrénées-Atlantiques abritent quelques trésors en matière viticole dont l’AOC Irouléguy. Incontournable dans le patrimoine gastronomique du Pays Basque, le vin d’Irouleguy tient la deuxième place après le jambon de Bayonne et le fromage de brebis. Il se distingue par la richesse de son cépage, classé en deux catégories, qui sont : les cépages noirs ; le tannat, le cabernet franc et le cabernet sauvignon et les cépages blancs : le gros manseng, le petit manseng et le courbu. L’appellation regroupe 250 hectares de vignes plantées, dont 60 % du vignoble est représenté par la cave coopérative. Onze domaines indépendants se départagent, quant à eux, les 40 %. « Selon l’INAO (Institut national des appellations d'origine), 1000 hectares de parcelle sont encore disponibles à la plantation, ce qui amène la Coopérative à redoubler d’efforts même s’il n’est pas simple de planter la vigne, puisque la culture s’effectue en terrasse », nous explique notre interlocutrice. Et elle de continuer que « malgré ces difficultés, le nombre de plantations augmente d’environ 10 hectares chaque année. » Par rapport au terroir justement, ce dernier est assez diversifié avec beaucoup de grès rouge et un peu de schiste. L’authenticité d’Irouléguy Afin d’améliorer les techniques viticoles, la cave d’Irouleguy effectue depuis deux ans une étude sur l’impact du climat sur la croissance des plantes en partenariat avec l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’ISVV (Institut des sciences de la vigne et du vin) de Bordeaux pour une durée de trois ans. Pour ce faire, elle s’est dotée de trois stations météo, trente-trois capteurs et trois pluviomètres. Les premiers résultats montrent que l’altitude constituerait le facteur prépondérant formant le terroir, et non uniquement le sol ou le climat. Forte de ses innovations, la cave est aussi très impliquée dans la préservation de l’écosystème. L’agriculture raisonnée constitue un véritable réflexe pour tous les adhérents à la coopérative. Beaucoup s’engagent aussi dans une démarche bio. « Nous avons de nombreux viticulteurs entamant une phase de reconversion. D’ici cinq ans, 50 % de la cave sera en bio », se félicite notre interlocutrice. Un environnement sain et préservé qui permettra aux jeunes générations de travailler dans les meilleures conditions. En parallèle, la cave investit énormément dans des équipements performants pour garantir la parfaite qualité de ses produits : vendanges en cagettes, réception gravitaire des raisins, … Aujourd’hui, plusieurs gammes issues de la coopérative sont à découvrir comme le Lehia, une cuvée Unique en blanc produite en très faible quantité, les cuvées Prestiges (Omenaldi enrouge et Xuri en blanc), les Incontournables (Le Mignaberry en rouge, blanc, rosé et le Kattalingorri, vin bio, en rouge et rosé) et les cuvées Plaisirs (Gorri en rouge et Argi en rosé). Parmi les produits, une attention particulière est portée pour le Mignaberry de la gamme Incontournable, facile à boire, frais et sec pour le blanc 2016, « très charmeur » pour le rosé 2016, qui est d’ailleurs cité au guide Hachette des rosés 2017-2018 et riche et harmonieux pour le rouge. ...

Le Revest au secours de l’arbre qui lui a lié son destin

Le châtaignier est « l’arbre à pains » qui a toujours veillé sur l’homme en lui apportant des fruits abondants et nutritifs, surtout en période de disette. Cet arbre humble et protecteur est cependant délaissé pendant les années 50, au risque de disparaître. Soucieux de sauvegarder leurs châtaigneraies, des agriculteurs revestois ont fondé l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Un pari réussi, puisque le Revest du Bion produit aujourd’hui annuellement 20 tonnes de châtaignes de haute qualité. Ce taux de production est encore modeste par rapport aux autres régions, mais la Haute-Provence peut être fière de la qualité de ses châtaignes. De plus, sa filière castanéicole est, à ce jour, épargnée par le Cynips, une micro-guêpe ravageuse originaire de Chine qui touche aussi l’Europe, y compris la France. Le futur est plutôt prometteur pour le pays de Jean Giono, la région unique où ces fruits d’avenir poussent au milieu des champs de lavande. Réhabiliter la châtaigneraie Depuis les années 50, le châtaignier est délaissé au fur et à mesure que la plaine offre de vastes étendues cultivables pour la lavande et les céréales. Le contexte socio-économique après la Seconde Guerre mondiale accélère, en outre, l’abandon des châtaigneraies françaises. Afin de sauver celle de Revest du Bion, un groupe d’agriculteurs a créé en 1985 une association loi 1901 l’Association pour la Valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Présidée par Eric Quenin, cette entité a pour principal objectif de réhabiliter la châtaigneraie et pérenniser son entretien. Dans sa première démarche de sauvegarde, elle abat 600 arbres forestiers afin de laisser la place à 200 jeunes châtaigniers. Elle vise ensuite à motiver et sensibiliser d’autres castanéiculteurs de toute la Haute-Provence, ciblant en même temps le grand public français comme clientèle potentielle. Un évènement annuel voit alors le jour : la fameuse Fête de la Châtaigne. La fête de la Châtaigne Chaque année, en octobre, la Fête de la Châtaigne est célébrée à Revest du Bion depuis 2000. En 2016 a lieu la 17ème édition. Soutenu par la Mairie, cet évènement festif et culturel est organisé par l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion, avec la collaboration de la Confrérie des amis de la ahâtaigne. Le but est de faire connaître l’existence de la châtaigneraie du plateau d’Albion, surtout celle de Revest sur Bion, au grand public et aux milliers d’amateurs de châtaignes. Plus de 10 000 visiteurs sont ainsi attendus chaque année pour célébrer le gout authentique de ce fruit ainsi que les produits du terroir. Chacun peut ramasser gratuitement les châtaignes dans les vergers, déguster les cornets de châtaignes grillées ou les consommer dans mille-et-une recettes : sous forme de soupe, de velouté, de confiture, de pâtisseries, etc. Le fromage de Banon AOC est inconditionnellement présent au rendez-vous, dans son écrin de feuilles de châtaigniers séchées. Dans cette ambiance festive et de bonne humeur, les gens profitent aussi de la beauté des vergers pour se promener et se détendre. En famille ou entre amis, le circuit pédestre s’avère un agréable moyen de découvrir la châtaigneraie ainsi que les paysages d’automne de la région. ...

Les vins Caritas :  des moines et des vignerons pour un projet solidaire

Ces hommes de prière, qui vivent dans le silence et la solitude, ont perçu l’impérieuse nécessité de travailler main dans la main avec les vignerons de cet écrin de nature sauvage qui  s’étend de la crête orientale du cirque des Dentelles de Montmirail aux contreforts nord-ouest du mont Ventoux. Le vin a toujours été symbole de partage et d’amour. Tout naturellement, les moines se sont sentis liés à leurs voisins vignerons. Cette amitié partagée dans le travail s’est épanouie progressivement jusqu’à donner naissance à de nouvelles cuvées au grand cœur : les vins Caritas.   Histoire des abbayes du Barroux En 1970, Dom Gérard Calvet s’installe à Bédoin dans la chapelle de la Madeleine pour vivre la Règle de saint Benoît : « Ora et Labora » (« prière et travail »). Il est rejoint par de nombreux jeunes désirant découvrir la vie monastique. La communauté grandissant, en 1980, la construction d’un monastère de style roman provençal débute au Barroux. Il sera achevé en 1988. Des vignes anciennes et nouvelles s’étalent sur les flancs de la colline silencieuse.   En 1986, un groupe de moniales s’installe à proximité, sur une propriété viticole, « La Font de Pertus ». La construction de l’abbaye Notre-Dame-de-l’Annonciation débute alors, tandis que les jeunes sœurs s’engagent à cultiver les vignes. Depuis 1986, les deux communautés (aujourd’hui 57 moines et 30 moniales) s’entraident pour faire prospérer cet héritage spirituel et viticole. Le vignoble des Abbayes Les 9 hectares en terrasses des deux abbayes sont complantés de cépages variés. Pour les rouges et les rosés : grenache noir, syrah, carignan et cinsault. Pour les blancs : roussanne et clairette. Situé entre 350 et 400 mètres d’altitude, le domaine des Abbayes est adossé aux célèbres terroirs de Beaumes-de-Venise et de Gigondas. Ses sols et ses expositions variés permettent l’élaboration de vins complexes où fraîcheur et puissante structure entrent en symphonie. Les vins Caritas À la suite de la rencontre avec Jean-Dominique Artaud, en 2010, moines et moniales adoptent de nouvelles méthodes de culture pour faire progresser la qualité des vins. Avec leurs amis vignerons, ils retrouvent des procédés ancestraux comme la haute densité (7 500 pieds par hectare), ou le palissage haut sur piquets de bois. Le travail effectué à la main – taille, ébourgeonnage, épamprage, écimage, effeuillage et vendanges – ressemble bien à de la haute couture vigneronne. Les moines utilisent des engrais organiques et travaillent les vignes avec des moyens mécaniques. En 2016, les moines commencent un projet commun avec les vignerons Lux Montis. Son nom : CARITAS. Son but : une valorisation plus juste des vins de caractère produits sur ce terroir de montagne classé dans les « vignobles héroïques ». Pour le bien des vignerons courageux du Barroux, de Beaumont-de-Ventoux, de Malaucène et d’Entrechaux regroupés sous la bannière Lux Montis. L’objectif avoué est de permettre à ces montagnards de maintenir leur activité, aujourd’hui et dans les générations à venir. Le territoire tout entier devrait bénéficier de cette belle aventure solidaire. La beauté de ce terroir aux paysages époustouflants et l’équilibre socio-économique de la région sont en jeu : pour ces moines, la vie agricole est l’un des principaux facteurs structurants de cette Provence des papes. Ils veulent donc mettre leur dynamisme à son service. Pour assurer l’excellence recherchée, les nouveaux pieds de vigne sont sélectionnés selon les profils géologiques des terres. La vigne est cultivée avec beaucoup de cœur pour obtenir des raisins généreux. L’élaboration des vins se fait sous la houlette d’un jeune œnologue de talent, Daniel Haïlé, épaulé par Philippe Cambie, œnologue mondialement reconnu qui apporte son génie pour affiner les assemblages et sublimer le travail vigneron. Cette nouvelle aventure a permis de proposer les premières cuvées haut de gamme en ...

Domaine du Moulin : que du vrai !

Ciblant un public averti pour les visites du vignoble ou des caves souterraines voûtées en pierres destinées à l’élevage du vin, le Domaine du Moulin est un domaine familial qui tire son nom d’un quartier de la commune de Vinsobres où se trouvait un moulin à huile d’olive. Les cépages classiques des Côtes-du-Rhône : grenache, syrah et divers autres sont plantés sur un vignoble de vingt hectares en appellation d’origine contrôlée (AOC) Vinsobres. Sur ces sols argilo-calcaires, les propriétaires adoptent l’agriculture raisonnée depuis si longtemps que cela leur semble naturel. D’ailleurs, ils sont surpris que l’on prenne aujourd’hui cette démarche comme quelque chose d’extraordinaire. Aujourd’hui encore, les vignerons ont su conserver le cep gobelet, un cep de vigne qui tient debout tout seul et dont la vendange ne peut être faite mécaniquement. « La vigne forme un petit arbuste comme il y a cent ans, et cela apporte une meilleure aération des grappes et une meilleure répartition du soleil », explique Denis Vinson. La famille veut rester dans la pure tradition du vignoble.   La cuvée ambassadrice La Cuvée ++ est la plus représentative du Domaine du Moulin. Sa robe couleur rubis, nuancée de violet donne un avant-goût des notes de fruits mûrs, d’épices et de moka relevés par des notes de vanille qui se dévoilent au nez. En bouche, on sent toujours du fruit avec des notes boisées sur la fin. Denis Vinson persiste à dire que chaque vin est exceptionnel, mais il faut savoir l’accorder avec les bons mets. ...

Le Bistrot des Sarments : une cuisine locale à La Turballe

La Turballe est située sur le littoral de la Loire-Atlantique, sur la presqu’ile guérandaise. Avant de devenir un port connu de l’ouest de la France, elle était d’abord un modeste hameau. Grâce à l’essor des conserveries de pêche, la commune s’est bâti une solide réputation dans le paysage aquacole. En outre, elle est reconnue pour ses nombreuses plages (Pen Bron, la Grande Falaise, la Croix de l’Anse et la plage des Bretons) et ses sites et monuments touristiques (église Sainte-Anne, église de Trescalan, château de Lauvergnac, moulin de Kerbroué…). Ce cadre balnéaire et historique a tellement séduit Sophie et Fabien qu’ils ont décidé de racheter un restaurant existant depuis 27 ans qu’ils ont rebaptisé Le Bistrot des Sarments, où une cuisine simple, un peu canaille, fait le bonheur des fins gourmets.   Une excellente adresse Les propriétaires travaillent avec le chef Éric Gouyette depuis qu’ils se sont approprié les lieux. Ce chef passionné, adepte de cuisine traditionnelle, a suivi une formation classique en restauration. Il a gagné 15 ans d’expérience, en travaillant dans de nombreux établissements prestigieux comme à l’Hôtel Barrière Le Royal La Baule ou à l’Auberge du Calvaire, à Pontchateau. Aujourd’hui, à la tête des fourneaux du Bistrot des Sarments, il propose une cuisine d’inspiration qui fait la part belle au terroir. Le restaurant est implanté dans un bâtiment traditionnel en pierre sis en bord de mer. Il dispose d’une véranda aux baies vitrées ainsi que d’une terrasse extérieure offrant une vue imprenable sur le grand bleu. À l’intérieur, la salle est marquée par une prépondérance de rouge, une tonalité qui dégage à la fois dynamisme et glamour. La cheminée, les grandes banquettes très confortables et le grand bar en bois confèrent à la salle tout son charme.   Le plaisir au déjeuner Le Bistrot des Sarments propose une cuisine traditionnelle valorisant les produits locaux. Les spécialités de la maison sont les grillades à la cheminée : vous aurez le choix entre un bœuf grillé ou un porc grillé accompagné de pomme de terre en robe des champs de type Samba au petit gout de noisette, que la seule touche de beurre demi-sel viendra aiguiser, ou encore un homard « bleu » breton grillé, à déguster sans chichis. Le fait maison est aussi à l’honneur. Les charcuteries, les poissons fumés salés, les foies gras : tout est préparé sur place. Côté menus, la maison sert une formule composée de deux plats à 15,90 € ainsi qu’une deuxième formule cette fois-ci composée de trois plats à 19,90€. Mais ce n’est pas tout. Désireux de satisfaire toutes les envies gourmandes, le bistrot propose un menu plus copieux de quatre plats avec une entrée, un plat, un fromage, un dessert à choisir dans la proposition de six entrées, six plats et tous les desserts. Quant à la carte, elle est saisonnière. Les fins gastronomes seront séduits par les spécialités de la maison, à l’instar de l’œuf cocotte façon Dédé servi en entrée. En plat de résistance, les papilles se délectent de la choucroute de la mer au beurre blanc maison, constituée notamment de Saint-Jacques, de filet de bar, de poisson du marché et de saumon. Pour finir, une note de douceur avec la tarte tatin tiède maison. ...

Champagne Lignier-Moreau : du champagne digne de vos plus heureux moments de vie

Établi sur un sol argilo-calcaire, le vignoble s’étend sur un peu plus de huit hectares. Ce sol a la particularité de souligner l’acidité naturelle des champagnes et leur permet d’exprimer une belle fraîcheur. « Nous, notre spécialité, c’est le naturel », décrit modestement Jean-Marc Lignier, le gérant du domaine. Le vignoble accueille les trois cépages traditionnels champenois : pinot noir à 70 %, chardonnay à 25 % et 5 % de meunier. Un engagement envers l’environnement Jean-Marc Lignier s’investit corps et âme dans son métier, comme en témoigne sa maîtrise totale des étapes de l’élaboration depuis la préparation du sol. Et ici, la qualité qui s’exprime si bien dans les champagnes est le résultat d’une démarche strictement régie par un cahier des charges, combiné avec un savoir-faire traditionnel. Certifié « haute valeur environnementale niveau 3 », le domaine travaille dans un respect quasi sacré de l’environnement. Un organisme certificateur réalise le relevé des indicateurs de résultats pour les comparer au degré exigé par le cahier des charges. « Notre manière à nous de préserver la biodiversité, c’est de respecter le sol dans la façon de le travailler et dans la manière de raisonner l’utilisation des produits phytosanitaires, tout en observant un calendrier bien précis », explique-t-il fièrement. Une initiative qui n’altère pas la méthode champenoise classique de l’élaboration de champagne, à savoir la vendange manuelle, le pressoir traditionnel, suivi d’une vinification en chais et deux fermentations, comme le veut la tradition. Du champagne brut zéro au champagne doux La gamme de champagnes Lignier-Moreau compte actuellement une dizaine de produits haut de gamme, dont du brut, du demi-sec, du blanc et du rosé. Une belle sélection pour parfaire les accords mets-champagnes en toutes occasions festives. Le champagne blanc de blancs est un produit élaboré uniquement avec du chardonnay. Sa robe d’un jaune or translucide suggère un nez très marqué par une senteur de fruits blancs agrémentée d’une touche florale. Il se distingue par une attaque bien soutenue, suivie d’une complexité aromatique en bouche, relevée par des notes d’agrumes, de zeste de pamplemousse et de citron. Idéal pour être servi en apéritif et en accompagnement avec des fruits de mer. L’on s’intéresse aussi au champagne ½ brut rosé, un assemblage prestigieux de pinot noir et de chardonnay. Des bulles fines pétillantes se joignent à l’élégante robe rose cuivré. Au nez, il dégage un arôme bien intense de fruits rouges mûrs en faisant un petit rappel à celui des oranges et mandarines. Un tourbillon de fraîcheur et de saveurs de fruits à noyau s’enchaîne après une attaque ronde en bouche, pour finir sur une belle persistance. Ces deux produits sont notés respectivement à 90 et 85 sur 100 par le select magazine Flavours From France. ...

Château de Panigon, Château Amour :
les merveilles du Médoc

La fille et le gendre des propriétaires, Corinne Leveilley Dadda et Georges Dadda ont repris en 2006 le domaine familial Château de Panigon. Le couple mise sur la production raisonnée et les techniques modernes pour produire des vins de renom.   Médoc et le Château de Panigon Médoc est situé au Nord-Ouest de Bordeaux, sur la rive gauche de l’Estuaire de la Gironde, le plus large d’Europe. Le terroir argilo-calcaire est recouvert de graves, des cailloux charriés par la Garonne depuis des siècles. Le climat tempéré subit des variations particulières propices au développement des vignes. Ces conditions météorologiques et géographiques conduisent les propriétaires du domaine Château de Panigon à adopter une démarche raisonnée par souci de protéger l’environnement.     Le domaine Château de Panigon est depuis toujours une exploitation familiale. En 2006, Corinne et Georges prennent en main l’avenir du Château. En respectant la tradition Médocaine, les propriétaires utilisent les techniques modernes pour le Château de Panigon et le Château Amour Rouge en AOC Médoc. La propriété de la famille Dadda s’étend sur 90 hectares dont 50 plantés à 45 % de Cabernet Sauvignon, un cépage dominant dans l’AOC Médoc. Ce premier cépage assure la finesse, la complexité et la structure tannin des vins. Le Merlot couvre la moitié de l’exploitation. Frais et rond, il donne le côté fruité. Les 5 % restant sont destinés au Petit-Verdot, un cépage qui apporte une pointe d’acidité. Le désherbage se fait avec des outils mécaniques et chaque parcelle est suivie hebdomadairement par des techniciens de la Chambre d’Agriculture de Gironde pour assurer le développement des plantes.   Vinification Le moût est vinifié par parcelle dans des cuves inox thermorégulées. Des délestages quotidiens aident à extraire délicatement la matière colorante. Le vin est ensuite élevé dans des barriques de chêne qui lui donneront des notes boisées. Ils y logeront pendant une période allant de 12 à 18 mois.    Le palmarès du Château de Panigon A part leurs parutions dans divers guides tels que Hachette, Bettane & Desseauve, Parker, Dussert Gerber et Decanter, les vins du domaine Château de Panigon participent et gagnent plusieurs concours régionaux, nationaux et internationaux. Depuis le millésime 2009, le Château de Panigon, Cru Bourgeois, remporte quatre médailles d’or au Guide Gilbert & Gaillard. Il rafle également deux médailles d’or et une médaille argent au Concours de Bordeaux. Il finit deuxième au WinEvent de Hong Kong en 2011. ...

Restaurant Saisons - Institut Paul Bocuse à Ecully : une gastronomie de haute volée

Inspirée par ses deux co-fondateurs visionnaires Paul Bocuse, référence mondiale des arts culinaires et Chef du siècle avec 3 étoiles Michelin depuis plus de 50 ans, et Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor, exemple de réussite managériale et entrepreneuriale - l’Institut bénéficie d’une aura unique de prestige en France et à l’international. Une visite au restaurant Saisons Situé dans le cadre prestigieux du château du Vivier, le restaurant Saisons propose un cadre de charme tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Il est agréable de déjeuner, aux beaux jours, sur la terrasse du château. Cet espace de repas extérieur offre une belle vue sur le parc verdoyant légèrement en vallon. Sous la responsabilité du Chef Davy Tissot - Meilleur Ouvrier de France 2004 - le restaurant Saisons est une histoire de rencontre entre tradition et modernité. Le désir de créer un souvenir, une émotion gustative et visuelle. Une cuisine contemporaine et créative Le Chef Tissot, dans sa quête quotidienne du dépassement, inspire son équipe avec rigueur et exigence, mettant un point d’honneur à proposer une cuisine aux saveurs harmonieuses selon les saisons. Par son expérience, il transmet à cette nouvelle génération ses valeurs de savoir-faire et de perfectionnement du service client afin d’atteindre l’excellence. Donner du plaisir à travers la cuisine et construire l’avenir. Les étudiants cuisinent comme dans une brigade, tels de vrais professionnels. La maison propose trois menus, variant au gré des saisons : le Partage des styles (déjeuner uniquement), la Noblesse du temps et l’Alchimie des sens. Le menu Noblesse du temps, dédié aux amoureux de la cuisine classique, revisite la tradition. L’Alchimie des sens  met en avant une cuisine moderne enrichie d’audace et d’originalité. Testé durant l’été, l’entrée est marquée par un carpaccio de saint-pierre à la crème de langoustine et d’une vinaigrette de grenadille. Ce plat divinement présenté est accompagné d’une fine tuile de pain à l’encre de seiche. La suite enchaine une série de plats, où le sel et le sucre s’accordent avec grâce. Le délice de Saint-Jacques, en l’occurrence, est servi avec du berlingot, de la citronnelle et du topinambour. En pré-dessert, ils osent une version sucrée de la raviole d’agrumes, exquisément baignée dans un bouillon de cannelle. Pour le dessert, place à des notes estivales avec la pêche de vigne agrémentée de feuilles de verveine. Tout au long de ce périple culinaire, le sommelier conseille les invités sur le vin. Il guide leur choix sur le verre approprié à chaque plat. Quelle que soit leur option, ce connaisseur attentif est toujours présent pour leur suggérer le meilleur accord. ...

Dans la bulle de la famille Loriot

Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans. L’arriere Grand pere de Xavier Loriot,  un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis  de fille en fils . Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, c’est Charlène Loriot qui est à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5 ha de vignes. Première Femme de la maison a travailler le vin, et qui est toujours sous l’œil vigilant de son père Xavier, afin de préserver ce précieux héritage. L’objectif actuel est de préserver l’aspect environnemental et d'orienter ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient son père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Meunier, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Meunier Rosé, Fragment de Noirs, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Meunier illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne  au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir.   Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et  0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...

Ker Soazig : 100 % bio, 100 % bon, à prix doux

Le restaurant Ker Soazig est né dans une volonté de mettre en avant les produits du terroir breton, de valoriser le circuit court et les produits de saison et, par-dessus tout, de prouver qu’il est tout à fait possible de manger bio sans forcément se ruiner. Particulièrement engagé dans cette démarche, Philippe Le Duff a lancé cette crêperie et ce bistrot breton en hommage à sa grand-mère Soazig Kersauson, dont le souvenir plane dans les moindres recoins de cet établissement au charme simple et naturel. Que du bio, que du frais « De la fourche à la fourchette », une notion qui prend tout son sens dès que l’on se met à décortiquer un peu le mode de fonctionnement du restaurant. Afin de respecter son engagement dans le développement durable et dans une optique de promouvoir une alimentation de qualité, Philippe Le Duff a créé la Ferme des loges (proche de Rennes), au sein de laquelle il cultive son propre blé noir 100 % bio (utilisé pour la fabrication des galettes). ILe blé est ensuite moulu à la meule de pierre, comme autrefois, ce qui préserve toutes ses qualités nutritives et gustatives. Pour le reste, la maison ira les chercher auprès des producteurs locaux. Elle travaille aussi en étroite collaboration avec des fournisseurs bio comme Biocoop. Des recettes d’hier et d’aujourd’hui « 100% bio, Ker Soazig essaie aussi d’être 100 % bon. » La carte a été construite selon des recettes inspirées de Soazig Kersauson, la grand-mère de Philippe. Véritable fermière bretonne, elle a su préserver les secrets de la bonne cuisine d’autrefois, qui contribuent aujourd’hui au succès du restaurant. Vous pourrez ainsi retrouver la fameuse crêpe épaisse, « Fraz Pitilig », un dessert typiquement breton. Des menus pour tous les budgets Premier restaurant certifié 100 % bio en France, Ker Soazig est aussi l’un des rares établissements à proposer des tarifs réellement adaptés à tous les budgets. Ainsi, pour moins de 10 €, il sera possible de déguster un menu composé d’un plat et d’un dessert. Le menu enfant, quant à lui, est tarifé à moins de 8 €. Toutes ces suggestions gourmandes se dégustent dans un décor intemporel à l’image de la Bretagne. Dans ce restaurant atypique, on se promène à la découverte de la maison Soazig à travers la remise, l’espace grenier constitué de mobiliers authentiques chinés dans les brocantes ou encore la salle centrale, dont le style est inspiré de son ancienne salle à manger. ...

Cibo’s Restaurant : l’art de cuisiner les produits frais

Membre de la présidence Euro-Toques Luxembourg, qui réunit des artisans cuisiniers utilisant uniquement des produits frais, le Cibo’s Restaurant, fondé en 2014, et tenu par le chef Étienne-Jean Labarrère-Claverie, sélectionne des produits frais et saisonniers, cuisinés avec amour et selon la tradition française. Fraîchement intégré dans le guide Michelin 2018, l’établissement a déjà été recommandé par le guide Gault & Millau 2015, 2016, 2017 et 2018 avec une note de 14/20 + 2 toques. Ce restaurant à l’esprit chaleureux, sis dans le bâtiment de la piscine de Bettembourg, au Luxembourg, est dédié aux épicuriens en quête de nouvelles saveurs. Des plats à déguster les yeux fermés Le Cibo’s Restaurant met en avant deux menus destinés à surprendre les papilles des convives. Le menu « Laisse-toi faire », à 66 € et servi le soir, est comme l’explique le chef Étienne-Jean Labarrère-Claverie, « préparé suivant mon inspiration ». On se laisse donc surprendre par le talent du chef à travers cette suggestion uniquement servie en soirée. Le menu « Fais-toi plaisir », à 44 €, proposé tous les midis ainsi que les mercredis et jeudis soir, a également été imaginé selon l’idée de se faire plaisir en dégustant des repas de qualité. Le fait maison et les produits de saison se retrouvent également dans les plats de la carte et dans le menu de la semaine, ce dernier proposant trois suggestions d’entrées, de plats et d’un dessert. La formule Bien-être, quant à elle, proposée au déjeuner, associe avec finesse fraîcheur des aliments et repas diététique. Les suggestions du chef Modifiée à chaque saison, la carte du Cibo’s Restaurant reflète toute la créativité du maître des lieux. Étienne-Jean Labarrère-Claverie nous en donne un exemple, à travers la côte de veau de Galice, un plat pour deux personnes et dont « la viande est d’origine espagnole, servie avec six légumes différents glacés au jus de volaille, du foie gras chaud de canard et des pommes dauphines » selon ses explications. La tartelette de rouget barbet, en guise d’entrée, est aussi recommandée par le chef. Il le décrit lui-même comme « un plat méditerranéen à base d’une sauce faite de courgettes, d’olives, d’huile d’olive, d’oignons, de citrons, accompagné d’une petite tapenade. » Côté desserts, le restaurant privilégie des valeurs sûres : crème brûlée, profiteroles, moelleux au chocolat ou encore brioche perdue sont proposés. Le chariot de fromages, à ne pas manquer pour les plus gourmands, est un concentré de plusieurs fromages sélectionnés par Xavier Thuret, sacré meilleur ouvrier de France en 2007. ...

Joseph Cartron
Une référence made in Bourgogne !

Origine - Qualité – AOC -  maîtres mots chez Cartron Judith Cartron, première femme à piloter l’entreprise a succédé à son père Xavieren 2011. Fière de ses racines, elle aime à rappeler l’héritage de la Bourgogne au travers du savoir-faire ancestral familial. Croquer dans le fruit est la promesse de la Maison.Aussi, pour y parvenir, le liquoriste sélectionne les meilleures variétés, assurance de puissance aromatique et d’excellence. Chaque fruit est alors récolté à pleine maturité, cassis Noir de Bourgogne, framboises Lloyd Georges, pêches de vigne, poires williams, abricots des Monts du Lyonnais, melon, mirabelles de Lorraine…, des fruits charnus et juteux.Cette exigence,Cartron l’applique à toute sa matière première, le gage d’un produit haut en goût qui réveille nos papilles. Parmi les incontournables de sa gamme de liqueurs et eaux-de-vie de fruits,  citonsla Crème de Cassis de Bourgogne Double Crème Joseph Cartron, fleuron de la maison dont sa grande puissance aromatique sculpturale nappe verre et palais. En 2015 elle a reçu comme sa Crème de Cassis de Bourgogne 15° l’appellation indication géographique Cassis de Bourgogne véritable gage de qualité pour les amateurs de crèmes de cassis haut de gamme.  Cette IG souligne l’excellence et la territorialité du produit dont la recette est gardée secrète de père en fille. Mais il y a aussi le Marc et la Fine de Bourgogne et leurs AOC…. un héritage qui se partage avec plaisir. Secrets de fabrication et trésor de goût Cartron un savoir-faire ancestral qui innove On connait Cartron par ses classiques, sa double crème de cassis, ses crèmes de fruits, ses eaux-de-vie de poire william, de vieille prune, son marc et sa fine de bourgogne et ses liqueurs de fruits bien ancrés sur notre territoire. Le distillateur aime aussi à se distinguer par son originalité. Il innove au travers de recettes uniques apportant un petit plus qu’il aime vous laisser découvrir. Ses dernières créations, ses liqueurs de thé rooibos, vert, fumé, sa crème de mirabelle, sa liqueur de sureau et la dernière-née, la liqueur de violette sont les muses des barmen.« Le consommateur comme les barmen aiment les nouveautés. L’innovation est primordiale, elle fait partie de notre ADN, de la marque Cartron qui aime surprendre et se positionne en véritable architecte du goût. » souligne Judith Cartron pour qui créativité est avant tout aussi synonyme de goût. ...

Restaurant L'Escapade marseillaise : une cuisine aux saveurs du Sud

À travers une cuisine aux saveurs du Sud préparée à la minute, cette belle adresse située au cœur du plus vieux quartier de Marseille n’a pas fini de créer la surprise. Embarquant avec la plus grande facilité les gourmands comme les gourmets, l’enseigne propose les meilleurs des plats marseillais avec, comme signature, le coup de patte d’un jeune chef à l’inspiration créative. Entre tradition et modernité  Décoré avec goût, notamment avec de beaux clichés de Marseille d’hier et d’aujourd’hui, ce restaurant à la cuisine inspirée porte bien son nom. Rivalisant avec les grands, cette adresse bien connue de la cité a reçu la nouvelle distinction « l’Assiette » du guide Michelin 2016. Dans une ambiance simple et conviviale, il propose un véritable cocon où tradition et modernité se marient dans une juste proportion. Se voulant plus chaleureuse, elle s’offre une seconde jeunesse pour un cadre plus moderne aux touches méditerranéennes. Un bel accord mets-vins Grâce à une carte originale qui change toutes les semaines, l’établissement est en mesure de proposer une cuisine d’instinct et de marché aux formules gourmandes qui laisse place à une véritable découverte culinaire. Laissez-vous tenter par sa tartine de sardine, son croquant de légume pour ouvrir l’appétit avant de continuer avec son thon mi-cuit minestrone à la provençale et pour terminer sur une note sucrée, son délicieux dessert choco-passion. À travers un bel accord mets-vins, l’adresse permet également de découvrir les meilleurs des vins du monde et de région tels que les vins de Provence, du Rhône, de Bourgogne et les bordeaux. ...

Une gastronomie traditionnelle comme on les aime

Le restaurant La Perle du Lac s’affirme dans un style traditionnel qui plonge sa clientèle dans une ambiance chaleureuse et douillette. Dans la salle principale et les salons privés aux larges baies vitrées, les tables se parent d’un ensemble de nappes, napperons et serviettes pour accentuer le charme séculaire des lieux. Sur la terrasse décrite comme « la plus belle terrasse de la ville » par M. La Marche, directeur du restaurant, les clients contemplent à volonté la vue sur le Mont-Blanc et la Rade. La cuisine d’autrefois revisitée aux goûts actuels M. La Marche qualifie la cuisine proposée de « bourgeoise et traditionnelle française ». Désireux de partager l’histoire des lieux avec ses clients, le restaurant propose, en plus du menu du jour, le menu Byron, en l’honneur du poète anglais ayant vécu sur les bords du lac Léman et qui aurait séjourné au chalet, et le menu Orangerie, pour rappeler qu’autrefois, ce chalet abritait les agrumes d’hiver de son ancien propriétaire Bartholomé. Une carte qui sent bon le raffiné À travers sa carte, élaborée selon le profil d’une clientèle internationale, La Perle du Lac propose des plats emblématiques, à l’instar du gratin d’écrevisses, servi principalement en septembre, l’omble chevalier meunière, la féra du lac à la sauce genevoise et le suprême de volaille du Nant d’avril relevé par une crème d’estragon. Pour l’entrée, les préparations au foie gras, en terrine ou poêlée avec du vinaigre de framboise, constituent la signature de la maison. Au dessert, le chariot savamment composé de huit assortiments de pâtisseries accommodés aux fruits de saison, d’une salade de fruits et d’une spécialité locale, fruits rouges accompagnés de meringue et de double-crème de gruyère, termine en beauté le repas. Pour accompagner avec délice les préparations traditionnelles concoctées par le chef et son équipe, le restaurant propose une carte de vin très éclectique réunissant des références genevoises, françaises, libanaises, argentines, espagnoles, etc. ...

LA CAVE LAMBERT, pour la sauvegarde du SEYSSEL, l'une des plus anciennes AOC Françaises

L’appellation Seyssel est reconnue pour sa méthode traditionnelle, une démarche ancestrale qui permet à un vin de devenir effervescent.  Seyssel est également un petit village de vignes, de vignobles et de vins vieux, dont les origines remontent à 2 000 ans. C'est au Ier siècle que les premiers écrits mentionnent la vigne dans la région, avec Pline l’Ancien, un philosophe romain qui vantait déjà les vins de Seyssel. Jouissant d’un climat particulièrement favorable, de mollasses sableuses et d'une bonne exposition au soleil, les vins de Seyssel se distinguent par la finesse des bulles et leur authenticité. Royal Seyssel, un vin, une histoire Dans une bouteille Seyssel, il y a du bon vin, mais il y a aussi quelque chose du passé qui dort là, c’est ce que nous raconte Gérard Lambert : « C’était un vin bu par les rois et reines qui venaient dans la cité voisine d’Aix-les-Bains. Il a été consommé par la reine Victoria et par d’illustres personnalités européennes. Il a été baptisé Royal Seyssel, en leur hommage, en 1901. » Au début, le Royal était effervescent, mais il s’est développé en vin tranquille, appelé le « Seyssel tranquille » issu du cépage Altesse.  Ce vin a connu une grande période de gloire mais a vite décliné lorsqu’il fut racheté par un grand groupe. « Il y a eu une dégringolade au niveau des ventes et le site de production a dû fermer en 2007. Cette fermeture a mis en péril tout le vignoble. Tous les vignerons qui apportaient les vendanges ont aujourd’hui les larmes aux yeux », déplore Gérard Lambert. Le Royal, fleuron de l’appellation Seyssel Touché par la disparition de ce patrimoine, le couple Lambert décide de sauver une partie de leur héritage. Mal compris par son entourage, il s’engage dans ce projet fou pour « sauver l’appellation, le tissu viticole et tous les vignerons encore présents ».  Il décide d’aller bien plus loin que ses confrères pour lesquels la méthode champenoise consiste pour la plupart du temps à 9-12 mois de vieillissement pour fabriquer les bulles, avant de tourner les bouteilles dans les caves à vin ou à champagne. Selon lui, pour obtenir un bon vin, il faut bien plus. Et de préciser : « Il y a beaucoup de mauvais champagnes, parce qu’ils ne les laissent vieillir qu’un an, alors que les bonnes maisons patientent 2 ou 3 ans avant de tourner les bouteilles. » Ce projet et cette vision lui donnent raison aujourd’hui. Un nectar de haute qualité sur le devant de la scène « Malheureusement, aujourd’hui, ce qu’on trouve dans les bouteilles est très souvent ACIDE, avec de grosses bulles et un dosage trop important.» En revanche, Gérard Lambert ne fait que du millésimé, c’est-à-dire qu’il ne mélange pas plusieurs années. Il laisse en moyenne vieillir ses bouteilles 4 à 6 ans, parfois même 10 ans. Cette méthode crée une qualité largement supérieure à la moyenne, avec une bulle très fine et un nectar pur. Grâce à cette ingéniosité, le Royal de Seyssel est revenu sur le devant de la scène et a été classé pour la deuxième année consécutive parmi les meilleurs effervescents au monde. Les cépages principaux sont la Molette et l’Altesse, qui donnent des vins blancs aux arômes fruités.  La Cave Lambert est un petit domaine de 4 ha avec plusieurs cuvées, spécialisé dans l’élaboration de vins de Seyssel en méthode traditionnelle, mais qui offre également une large gamme de vins de Seyssel et de Savoie.  À l’œil, le vin Royal Seyssel a une robe jaune avec des bulles très fines. Au nez, il est assez fruité et, en bouche, il est agréable et léger. Il est idéal à l’apéritif avec des canapés salés, des crustacés, des homards ou des langoustines. Une véritable merveille pour les papilles. ...

Château Bellevue : hommage au Morgon

Tristan Larsen, vigneron, travaille 15 hectares de gamay noir plantés en coteau, en adoptant une pratique culturale saine. Une vinification spécifique Pour offrir des cuvées uniques, la maison opte pour une vinification parcellaire. Après égrappage, chaque sélection parcellaire est associée à un type de cuve adapté avant de subir un élevage prolongé. Le domaine vient de construire un nouveau cuvage. Il permet d'élaborer les vins du domaine en Morgon, tous vinifiés climat par climat, parcelle par parcelle. Parmi les nectars proposés, « Les charmes » et « Le clos » sont incontournables. Le premier présente une harmonie et une belle palette aromatique ; le second est structuré et dévoile des tanins concentrés. ...

Roger Vidal : quarante ans d'expérience dans la fabrication de produits gourmets

Située au contrefort du plateau du Larzac, dans le sud de l'Aveyron, cette entreprise, transmise de père en fils depuis maintenant quatre générations, s’évertue à créer des produits gourmets. Tout commence par une sélection rigoureuse des ingrédients et des méthodes de fabrication qui, malgré l’arrivée des matériels divers très performants, restent artisanales. Notons par ailleurs que toutes les productions passent par un contrôle interne sous l’égide de la démarche HACCP mise au point en 1996. Cette discipline vise en l’occurrence à optimiser la qualité des produits et à offrir le nec plus ultra à la clientèle de la région, de toute l’Europe et du monde entier. Les textures onctueuses et les parfums quant à eux qui mettent l’eau à la bouche en séduisent plus d’un. Une grande renommée bien méritée Cette société connaît une ascension fulgurante dès ses débuts avec ses pâtés de grives. Elle sait surprendre agréablement sa clientèle de choix en misant sur le pâté de canard qui fait rage dès les premiers instants. La marque frappe encore plus fort en créant le pâté de Roquefort, avec le célébrissime produit régional fromage de Roquefort. Se caractérisant par un grand sens de l’innovation, cette enseigne se met à proposer des produits répondant aux demandes actuelles, avec neuf gammes de pâtés et quelques 70 références. À (re)découvrir : la gamme bio, fabriquée en collaboration avec des fournisseurs certifiés AB, qui sublime le goût du Sud dans des produits sains, et la gamme de produits sans viande tartinables. A savoir que l’entreprise s’approvisionne auprès d’abattoirs agréés CEE, gage de la qualité de ses produits. Une nouvelle gamme Premium est en train de voir le  jour avec un premier produit « Le Petit Effiloché de Cochonnet du Larzac ». Celui-ci offre l’avantage d’être fabriqué à partir d’un cochon BIO élevé en toute liberté, offrant une viande maigre, goûteuse, riche en protéines  et d’une saveur particulière.  Alliant savoir-faire, tradition et minutie, les produits de Roger Vidal sont dignes de la haute gastronomie et sont, de plus, dédiés aux cavistes, aux grands chefs, aux épiceries fines de gamme, aux grossistes spécialisés en bio et à la restauration collective. ...

La Grange aux dîmes : une ode à la gastronomie, un voyage dans le temps

Avec ses magnifiques poutres bicentenaires, sa salle de 180 m2, ses tables grandement espacées et ses 12 m sous plafond, cette magnifique grange au nom évocateur séduit par sa cheminée centrale. Telle une capsule dans le temps, elle abrite par ailleurs un petit coin de paradis d’une autre époque, tant au niveau du luxe que celui du décor.   Dans une ambiance chaleureuse et romantique où le temps date d’une autre époque, La Grange aux dîmes propose une cuisine moderne au gout du jour, tout le temps revisitée… Une cuisine gastronomique plus que traditionnelle, où de petites notes exotiques s’ajoutent au terroir français.  Souhaitant être le plus proche possible des producteurs, l’enseigne aime travailler frais et acheter local, en sélectionnant des matières premières de qualité, tout en essayant vraiment de chercher le côté original des produits. Un menu unique, clin d’œil aux produits locaux Découvrez son menu à 38 € du midi et du soir, composé de 2 entrées, 2 plats et 2 desserts au choix. À goûter absolument, ses Coquilles Saint-Jacques au panais et jus de barbe poêlées juste comme il faut pour en faire ressortir le gout, son délicieux Filet de Bavière au caviar de courgettes et aux pommes fondantes, préparé avec de la viande de Bavière maturée pendant plusieurs semaines, son Croquant de noisettes à la mousse de châtaignes et petites meringuettes ou son dessert tout chocolat aux kumquats confits. Une mention particulière également pour la cuisson toujours parfaite et à la nacre du chef pour le Thon saisi et sa variété de choux, une de ses plus belles signatures.    Pour accompagner chacun de vos repas, La Grange aux dîmes dispose d’une très belle carte des vins, qui met en avant tant les grandes appellations que les petits propriétaires. Des grands bordeaux aux champagnes, une riche sélection vous attend. Le Domaine Reignard, le Pouilly Fumé La Doucette ou encore la Maison Joseph Drouhin sont quelques références phares proposées par le restaurant. ...

Le restaurant Ô Puits :
un régal au cœur de la Bourgogne

Situé à Nevers, le restaurant Ô Puits fait partie intégrante du paysage de la gastronomie bourguignonne depuis plus de 30 ans. Il se démarque par son puits visible à l’entrée qui date du XIVème siècle. Selon la légende, les filles, y jetant une obole et faisant le vœu de trouver un mari dans l’année, se voient exhausser leur souhait. Dans ce lieu rempli d’histoire, le chef, qui a toujours voulu être cuisinier et avoir son propre restaurant au sein de sa ville natale, reprend l’établissement en 2009 dans l’unique objectif de partager une cuisine riche en saveurs. Cadre intimiste entouré d’un environnement généreux Ô Puits est disposé sur deux niveaux. A l’étage, la salle propose une vue imprenable  sur l’Eglise Saint-Pierre. Dans un cadre intimiste, elle affiche un décor bourgeois et moderne aux couleurs claires et offre une capacité d’accueil de 40 places. A l’extérieur, la terrasse est entourée d’un grand jardin calme et se tient prête à accueillir une quarantaine de personnes lors de l’arrivée des beaux jours. Cuisine copieuse et inspirée Le chef Noël Lantier, sortant de l’école Hôtellerie de Château Chinon, a fait ses gammes dans des établissements étoilés. Ressentant l’envie de pouvoir créer librement ses plats, il décide d’ouvrir Ô Puits où il propose une cuisine de terroir mettant en avant son inventivité et son expérience. Effectivement, il revisite les plats traditionnels français préparés avec des produits frais et locaux. Sa cuisine est copieuse et conviviale. Jusqu’aux glaces et tuiles, tout est fait maison. Des plats nobles à volonté Il suggère une formule du jour avec au choix trois entrées, deux plats (poisson ou viande) et trois desserts. Dans sa carte, le Saumon mariné maison au chablis et la crème fouettée au citron est proposé en entrée. En plat de résistance, les noix de Saint-Jacques poêlées ou le ris de veau poêlé accompagné d’une sauce aux morilles reflètent noblesse et saveurs enivrantes. Le tout peut être suivi d’un plateau de fromages affinés et d’une salade ou d’un dessert tel que le moelleux au chocolat et glace Chococaramel et tuile au grué de Cacao. Les formules de 25 € et 32,50 € quant à elles mettent à l’honneur un filet de bœuf charollais, un filet de sandre et des brochettes de veau au romarin. N’oublions pas le menu « Ô Puits » qui fait voltiger les papilles des fins gourmets avec l’incontournable escalope de foie gras de canard poêlé ainsi que le pigeon en croute et au foie gras. Carte de vins qui donne l’embarras du choix La sélection des vins s’effectue directement chez les vignerons. De prime abord, la carte privilégie les vins de Loire et de Bourgogne mais elle dispose notamment des crus de la Nouvelle Zélande. Parmi les vins blancs de la Loire, le Menetou Salon 2014 du Domaine Clément amuse les papilles. Un autre vin blanc à ne pas écarter : le Bourgogne Mercurey 1er cru 2008 du domaine Maréchal qui peut accompagner les plats à la carte. Au rang des vins rouges, les convives peuvent trinquer avec un bon verre de Coteaux Giennois 2013 du domaine Langlois, médaillé d’or dans le concours agricole 2014 ou le Beaujolais Brouilly 2014 du Domaine A.Merle,  récompensé par le guide Hachette. ...

Restaurant La Ferme Saint-Michel : une alternative à l’accueil et la restauration au Mont Saint Michel

Promotion des produits du terroir, authenticité, originalité, cuisine maison à des prix abordables. C’est en cela que  ce restaurant s’affiche comme une alternative à l’existant… Et pour atténuer les effets négatifs des dispositions calamiteuses imposées par les instances en charge du projet de requalification de l’accueil, l’établissement offre entre autres à ses clients le stationnement gratuit sur son parking privé : bienvenue au Mont Saint Michel ! Rétablir la réputation du mont Saint-Michel et de sa baie Au lieu d’une retraite bien méritée, Joël Lerognon, ancien maire de la ville voisine, ingénieur et ancien chef d’entreprise, enfant du pays, ne pouvait se résoudre à voir l’image du Mont écornée  aussi bien par les dispositions prises par les instances publiques que par certains comportements des acteurs économiques locaux. Malgré l’attractivité présentée par les nouveaux ouvrages, réalisés dans le cadre du grand  projet, remarquables par leur conception et leur gigantisme aux conséquences encourageantes sur le retour de l’insularité du Mont, la fréquentation des visiteurs est descendue à environ 2.300.000 visiteurs par an à comparer aux 3.200.000 d’avant les travaux et des 4.200.000 prévus à l’époque pour l’horizon 2015 ! Ces chiffres attestent d’une situation dont n’ont pas pris la mesure les responsables évoqués précédemment. Cette situation est d’autant plus regrettable que la réalisation du grand projet de rétablissement du caractère maritime, justifiée par près de 2 siècles d’erreurs de l’homme jouant l’apprenti sorcier, suivis d’un siècle d’études, d’essais de controverses pour aboutir à un projet d’équilibre et respectueux de la nature, conduit à un chantier de plus de 20 ans, véritable prouesse de nos architectes et ingénieurs. Il n’est pas présomptueux d’avancer que  par son ampleur et sa qualité technique et architecturale , cet ensemble d’ouvrages s’inscrit dans la continuité de l’œuvre des moines bâtisseurs du moyen  âge. On regrettera d’autant plus que les errements évoqués précédemment aient écorné l’aura du Mont et nuisent à l’économie locale. S’ajoutent à ce handicap, les innombrables entraves à l’action de ceux qui veulent entreprendre et sortir de la  banalité. La faute suprême étant la réussite quant elle apparait à l’horizon…. Voici le contexte dans lequel le fondateur de la Ferme St Michel a voulu procurer aux pélerins et touristes venant au Mont quelques moments de détente, de plaisir et de découverte. Ce projet il l’a réalisé, entouré d’une équipe passionnée et professionnelle, à laquelle il fixa le challenge de se placer en tête des établissements locaux. L’avenir confirmera ce pari ambitieux. Pour y parvenir, partant d’une ruine située à l’arrivée au Mont, une ancienne ferme des polders fut entièrement rénovée, faîte de pierres apparentes, de boiseries anciennes, d’une  charpente cathédrale, d’ une imposante  cheminée et d’ un four à pain. L’ensemble de 4 salles d’une capacité de 200 convives constitue également une exposition permanente de tableaux, dessins et sculptures d’artistes de la famille. La cuisine met en valeur des plats spécifiques à la baie, aux polders : le véritable agneau de pré salé, les carottes des polders, les pommes du verger familial, les moules et huitres de la baie  et bien d’autres …. Une clientèle très large se constitue mais exclusivement par la réputation acquise et le classement des guides : TRIP ADVISOR, la Fourchette, Michelin et bien sur le bouche à oreille compensant l’absence quasi-totale de la clientèle de passage suite à l’occultation par des rideaux d’arbres, imposés par les instances en charge de l’urbanisme local. S’ajoutent des mesures discriminatoires telles la fameuse barrière fable du site à travers le monde. La Ferme St Michel contribue chaque jour à redon...

Château de Tracy :
du sauvignon de gastronomie

Le Château de Tracy n’a jamais quitté le giron familial depuis le XIVe siècle. Aujourd’hui, c’est à Juliette d’Assay qu’incombe la tâche de le gérer et de perpétuer un savoir-faire qui s’est forgé au cours de six siècles de tradition viticole. Un vignoble ancestral Au coeur du vignoble Pouilly-Fumé, Château de Tracy s’étend sur une superficie de 36 ha, planté exclusivement en sauvignon. Le domaine a la particularité de disposer d’un vignoble historique, dont certaines parcelles sont plantées en vigne depuis le XIVe siècle. En effet, bien conservé dans les archives du château, un manuscrit de 1396 fait état de l’acquisition des vignes sur le lieu-dit « champ de Cris ». Chose étonnante, des sauvignons y sont encore plantés de nos jours. La maison offre ainsi aux amoureux de vins le privilège de déguster des vins blancs issus de ces cépages historiques. « Avec nos vieilles variétés génétiques de sauvignon, quelque part déguster un Tracy équivaut à déguster aussi l’Histoire ! », fait valoir Juliette d'Assay, la vigneronne. Sur les terroirs de Tracy, les sauvignons s’épanouissent sur des sols différents. Autour du château, ils bénéficient plutôt d’un sol à dominante d'argile à silex apportant aux vins minéralité, finesse et une grande aptitude au vieillissement. Sur les plateaux, les vignes reposent essentiellement sur un sol calcaire kimméridgien, qui va apporter à la fois structure, profondeur, finesse et le côté fruité aux vins blancs. Une agriculture permanente Depuis plusieurs années, le domaine a mis en place des pratiques culturales fondées sur la compréhension des lois naturelles du sol. Une agriculture « permanente », qui a notamment pour objectif de favoriser une parfaite synergie entre le sol, les vignes et le biotope environnant. « Nous n’utilisons presque plus de produits phytosanitaires de synthèse.​ Nous n'y avons recours que pour des cas vraiment extrêmes.  », nous indique-t-on. Des analyses sont effectuées par un laboratoire indépendant afin d'authentifier cette démarche.  Résultat, le Château de Tracy peut se targuer de produire des vins exempts de tout résidu de pesticides. Au Château de Tracy, le gros du travail se concentre sur les vignes pour aboutir à des vendanges manuelles. Afin d'acquérir un niveau de maturité bien précis, certaines parcelles font l’objet de plusieurs passages. « Nous sommes prêts à vendanger jusqu'à 5 fois les mêmes parcelles », explique madame d'Assay. Ces opérations vont permettre au domaine de limiter les interventions durant la fermentation pour que celle-ci se fasse de manière la plus naturelle possible. En cave, il est surtout question de laisser les choses aller d’elles-mêmes, quitte à prendre des risques. Ici, on laisse donc vinifier les jus en l’état et, pour éviter de trop marquer le vin, la maison choisit des élevages en cuves inox au lieu de barriques en bois. « Nous mettons tout en oeuvre pour être le plus possible fidèles au millésime. »  Des cuvées pleines d’authenticité La maison propose 4 cuvées différentes, reflétant idéalement la typicité des terroirs de Tracy : la cuvée « Mademoiselle de T » qui est actuellement épuisée mais dont l'arrivée du prochain millésime est pour février 2019, « Château de Tracy », « Haute Densité » et  « 101 Rangs ». La cuvée « Château de Tracy » est de loin celle qui représente le mieux le domaine. Il s’agit d’un millésime d’une rare complexité aromatique à l’identité affirmée. Obtenu exclusivement à partir de sauvignon blanc, ce vin présente un nez très intense avec des premières notes fraiches de fleurs de sureau, de poivre vert et de citronnelle. À l’ouverture, des notes plus fruitées se dévoilent associées à des arômes de fruits exotiques tels que le fruit de la passion et la mangue fraiche. Des notes florales et salin...

Weiss : la signature gourmande du Haut Chocolat®

Chaque chocolat Weiss porte en lui un concentré d’amour, d’innovation et de rigueur qui fait depuis 1882 la référence de la maison. « From bean to bar », de la fève à la tablette, celle-ci imprime à ses produits toute la passion qu’elle nourrit pour son cœur de métier. Dès ses origines, dans la Saint-Étienne de la fin du XIXe siècle et sous l’impulsion d’Eugène Weiss, l’enseigne avait à cœur de développer leurs chocolats avec attention, pour plaire au plus grand nombre.   Une approche intégrale du chocolat Lorsque le fondateur éponyme démarre dans la chocolaterie en 1882, sa vision était claire. S’inspirant du parcours de son père dans la viticulture, il ambitionnait de passer maître dans l’art de l’assemblage. Aujourd’hui encore, la maison tire sa fierté de cette particularité. Plutôt que de privilégier une origine dans ses sélections de matières premières, elle cherche sans arrêt des compositions issues de l’assemblage de fèves aux sources variées. Objectif : « obtenir un chocolat avec des goûts qui plaisent au plus grand nombre ». Autre signe distinctif de la maison : sa maîtrise de tous les cycles de production. Weiss est autant chocolatier que torréfacteur de fèves de cacao. L’enseigne a également développé des compétences de confiseur et de pralinier. Ce qui l’autorise, avec ses produits déclinés en gammes riches avec un savoir-faire centenaire, de satisfaire une clientèle faite de particuliers, de professionnels des métiers de bouche et d’entreprises. Le concept de Haut Chocolat® développé par la maison comme son label propre insiste d’ailleurs sur cette notion de chocolat de qualité, mais accessible à tout le monde. L’innovation rigoureuse pour des produits gourmands et sûrs Dépositaire d’un savoir-faire chocolatier perpétué depuis quatre générations, la maison Weiss n’a de cesse d’améliorer la qualité de ses recettes, tout en leur distillant sa fibre novatrice. Les ateliers de fabrication développent des recettes garanties 100 % pur beurre de cacao. Répondant aux critères du 100 % made in France, les produits de la maison sont également vérifiés exempts de traces de gluten. Les matières premières – fèves, épices et fruits – sont rigoureusement sélectionnées dans les meilleurs terroirs. Finalement, les adeptes de la marque accèdent à un choix vaste et raffiné de produits incluant des tablettes et des bonbons de chocolat à composer dans des ballotins ou prêts à offrir. Professionnels et pâtissiers du dimanche disposent d’une sélection dédiée. Les envies quotidiennes de douceurs sont tendrement satisfaites avec les boîtes de gourmandises, faciles à emporter partout. Aucun chocolat Weiss ne ressemblant à un autre, le Napolitain se démarque dans la liste des produits phares de la maison. Sa carte d’identité : naissance en 1926, un carré dont les arômes sont magnifiés par le café avec lequel il signe un heureux mariage. Ce petit péché, emblématique chez les connaisseurs, se décline en noir, blanc et lait. Les tablettes de la marque rivalisent d’originalité de goût, tous les palais s’y retrouveront. Depuis le Lait Manatée qui fond en bouche avec des effluves des Caraïbes à l’incontournable Noir Ibaria avec ses notes d’oranges. Ces recettes sont à découvrir dans les cinq boutiques de l’enseigne, dans les grands magasins, ainsi que sur le site Internet de la marque.  ...

Mon grain de Sel : toute la saveur d’une cuisine à l’ancienne

S’attabler à l’auberge Mon Grain de Sel, c’est la promesse de goûter à une cuisine concoctée exclusivement à partir des produits frais du terroir. Ici, toute la fraîcheur de la campagne se ressent jusque dans les assiettes. Des plats faits maison À travers sa cuisine bio, le chef Joëlle Casties prépare chaque plat avec toujours autant d’amour et de générosité. Travaillant ses gammes uniquement à partir de produits frais issus de l’agriculture biologique, elle éveille tous les sens par une cuisine traditionnelle typique des belles campagnes françaises. Dans cette maison familiale, les convives découvrent toutes les subtilités du fait maison. La tarte au fromage de chèvre et de brebis ou le flan de légumes en entrée présentés avec leur couronne de crudités offrent déjà une perspective de choix pour la suite. Ainsi, en plat de résistance, les invités ne pourront qu’apprécier la noix de joue de porc ou de bœuf en sauce médiévale. Une sauce spéciale faite à base de miel, un peu de vin rouge et des herbes aromatiques telles que le thym, le romarin et la lavande. Pour le dessert, le chef vous laisse volontiers l’embarras du choix. Entre la mousse au chocolat, les crèmes catalanes brûlées ou les flancs aux œufs, les fins gourmets vont à coup sûr hésiter ! Quant aux vins, les crus locaux suffisent amplement au bonheur des convives. Le fitou et les cépages des Côtes-du-Roussillon sont une priorité. À déguster avec modération. Ici, pas de bordeaux ou de beaujolais, le chef s’approvisionne auprès des coopératives locales et mise sur le goût prononcé des vins locaux. ...