La Dordogne est un département français localisé en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, dans le Sud-Ouest. Il est connu pour son large patrimoine culturel, archéologique et historique. Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel du département. La truffe noire, les pommes de terre, les fraises, les noix et les cèpes du Périgord en sont ses produits phares. Les spécialités culinaires régionales sont composées de délicieux plats comme les confits de volaille, la sauce périgueux et le papitou, un assortiment de foie gras de canard, de chair de porc et de truffes. La Dordogne est aussi réputée pour son vignoble de Bergerac, qui couvre environ 12 000 hectares au sud-ouest du département et produit plus de 13 AOC, dont les plus connus sont le Monbazillac, le Montravel, les côtes de Montravel et le Haut-Montravel. Un bel espace gastronomique Le Relais de l’Ancienne Gare est facilement accessible, même pour les personnes à mobilité réduite. Il est privatisable et accueille les cérémonies festives dans une ambiance conviviale. À l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients, une magnifique terrasse fleurie et ombragée pendant l’été. L’intérieur est décoré d’une superbe collection de locomotives et de fresques sur les trains. Il contient une salle privative avec une véranda destinée aux petits groupes. Hervé Rodot, le chef cuisinier, a beaucoup d’expérience. Cuisinier depuis plus de 40 ans, il a travaillé chez Bernard Loiseau et dans des maisons référencées dans le Guide Michelin. Pour lui, la cuisine n’a plus de secret : « On n’invente rien en cuisine, mais on fait des associations personnelles », nous explique t-il. Les spécialités du restaurant Le chef travaille avec des producteurs de foies gras de Vendée et du Périgord. En hiver, il propose des plats à base de truffes noires. L’assiette de foie gras existe en 3 versions : la terrine de foie gras, le foie gras cru à la fleur de sel et l’escalope de foie gras poêlée aux pommes et jus miellé. Le dressage se fait par petites portions sur une assiette avec une salade en décoration. L’esturgeon Rossini est préparé avec un petit jus brun à la saveur de truffes. L’esturgeon poêlé, l’escalope de foie gras poêlée, la terrine de porcelet aux petits légumes et au foie gras, l’esturgeon au beurre rouge et aux giroles, les cuisses de canard braisées aux pêches et le cannelloni de cabillaud sont d’autres spécialités du restaurant. En entrée, on pourra commencer par le foie gras poêlé aux fruits rouges, qui est un petit jus déglacé avec un vinaigre un peu rouge, du foie gras et des fraises. Au dessert, on choisira, par exemple, un millefeuille de fraise, composé deux feuilles de pâte feuilletée fine et caramélisée avec de la fraise, de la chantilly et du coulis de fruits rouges. Hervé Rodot nous a fait la confidence qu’il envisage de proposer la tarte tatin d’abricot avec une glace d’amande amère ou avec un sorbet d’amande amère. Accords mets et vins Les vins sont choisis selon leurs accords avec les mets. Le foie gras s’accorde parfaitement avec des vins d’appellation Saint-Nicolas-de-Bourgueil comme le Chenin Blanc et l’Eclipse n° 8. Le Château Tour des Gendres Anthologia d’appellation Bergerac peut accompagner la délicieuse terrine de porcelet. Une multiple reconnaissance Le restaurant est ouvert tous les jours de 12 h 15 à 14 h et de 19 h 30 à 21 h, excepté les jeudis et dimanches soir. Membre de l’association des Toques du Périgord et de celle de la Route du foie gras, Le Relais de l’Ancienne Gare a reçu un certificat d’excellence de la part de Tripadvisor en 2014 et bénéficie du label « Tables et auberges de France ». Il a aussi été sélectionné par Le Petit Futé en 2012, 2013, 2014 et par le Guide Michelin en 2015 et 2016. ...
Les Aviateurs est la nouvelle adresse où le Chef Chevrier donne rendez-vous à ses clients. Idéalement situé sur la Rue du Rhône, l’établissement attire les genevois par son concept si particulier. Les Aviateurs, c’est plus un bar tea-room qu’un restaurant et il porte bien son nom. Il plonge les clients dans l’élégance du monde de l’aviation pendant qu’ils savourent leurs plats. Un cadre chic et atypique Le bar Les Aviateurs a vu le jour en 2017 sous l’initiative de IWC, une manufacture horlogère Suisse. En voulant offrir une carte plus élaborée pour répondre à la demande de sa clientèle, IWC fait appel au chef Philippe Chevrier. Plus tard, il y voit l’opportunité de créer un nouveau type d'établissement : un bar tea-room où les clients peuvent venir à tout moment. Néanmoins, l'adresse reste fidèle à son nom. Le chef Chevrier décide de conserver le design intérieur du bar. Le décor quant à lui met en avant des carlingues d’avion, des cadrans de montre, des photos d’aviateurs qui nous ramènent dans les années 30 et 40. Le bar attire les clients par un style élégant de Gentlemen club. Les clients y sont invités à se détendre sur des fauteuils en cuir, autour d’une table haute. Sous la responsabilité d’Elodie Décure, une directrice proche de sa clientèle, les Aviateurs accueille les habitués et les nouveaux clients dans une ambiance chaleureuse et accueillante. A la carte du bar tea-room Les Aviateurs Les Aviateurs ouvre ses portes aux clients dès le matin jusqu’à l’after-work. Pour commencer la journée, le bar tea-room propose des viennoiseries, des muffins et des salades de fruits frais au petit-déjeuner. Pendant la journée, les clients peuvent choisir entre burgers, tartares, croque-monsieur, tartes salées, quiches et salades. Les Aviateurs possède aussi son plat signature qui met à l’honneur les produits locaux : le Burger Les Aviateurs. Pour le préparer, ils utilisent du pain boulanger local, du steak de bœuf 100% suisse coupé au couteau ainsi que du gruyère suisse. En soirée, on y retrouve planches de charcuterie, pâté en croûte et fromages. A l’heure de l’after-work, le bar offre aussi à ses clients du saumon, des rillettes de crabe et de la volaille. Par ailleurs, Les Aviateurs dispose également d’une jolie carte de pâtisserie, œuvre du pâtissier-chocolatier Laurent Exbrayat, pour l’heure du thé. Etant un tea-room digne de ce nom, l’établissement est un endroit de premier choix pour prendre une tasse de thé ou de café seul ou entre amis à l’heure du goûter. Outre les boissons chaudes, le chef Chevrier a conservé la carte des boissons auquel les premiers clients étaient déjà habitués au moment de reprendre le bar. Pour l’enrichir, il a ajouté une carte de cocktails créatifs destinée à satisfaire la clientèle masculine qui y est nombreuse. Mise à part la particularité de son cadre et de son concept, Les Aviateurs s’adapte aussi aux saisons. Nouvelle saison, nouvelle atmosphère Les Aviateurs dispose d’un atout qui fait de lui un endroit privilégié par les clients tout au long de l’année : sa terrasse estivale. Pour profiter pleinement de l’été et du soleil, les clients peuvent prendre leurs repas, leurs goûters ou leurs tasses de café au milieu des oliviers et d’autres arbres méditerranéens. En hiver, la terrasse couverte est chauffée pour permettre aux clients d’y prendre leur verre de cognac ou de fumer un cigare malgré le froid. Pour toutes ces qualités ajoutées aux talents culinaires du chef, les clients fréquentent Les Aviateurs tout au long de l’année. ...
Situé à la pointe du Cap Ferrat, entre Nice et Monaco, le restaurant le Cap étoilé au Guide Michelin attise la gourmandise des locaux ou touristes de passage à Saint-Jean Cap-Ferrat. Installé au rez-de-chaussée du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat, A Four Seasons Hotel, il séduit par sa décoration à la fois chic et épurée. Dès l’entrée, la salle dégage une ambiance chaleureuse et conviviale. L’authenticité dans toute sa splendeur se dévoile avec la magnifique fresque réalisée par l’artiste Michèle Letang en hommage aux œuvres de Jean Cocteau, un client fidèle du Grand Hôtel. Pour couronner le tout, l’éclat des lumières apporte une certaine douceur à l’ensemble. Durant les beaux jours, la terrasse surprend par sa vue imprenable sur le grand bleu et sur les ravissants jardins de l’établissement. Cet espace extérieur à l’ombre des pins centenaires accueille jusqu’à une quarantaine de personnes. Des chefs hors-pairs Depuis 2007, la notoriété de ce restaurant n’a pas cessé de croître. Pour cause, un chef créatif et méticuleux se trouve à la tête de la brigade : Didier Aniès. Doté de plusieurs années d’expériences auprès de très grands noms de la gastronomie française, il a réussi à imposer son nom et son empreinte dans le monde culinaire. Ainsi, il a remporté le titre du meilleur ouvrier de France en 2000. Entouré d’une équipe compétente et gagnante composée des meilleurs artisans cuisiniers, il est épaulé par le chef pâtissier de renommée qui vient ajouter son nom aux multiples talents que compte déjà le restaurant. En effet, Gaëtan Fiard qui a été sacré champion du monde des Arts Sucrés 2014 promet de faire voltiger les papilles avec des saveurs douces et recherchées. Une cuisine inventive Tout comme la décoration, la cuisine joue sur le ton du raffinement et de l’authenticité. Créative sans être exagérément complexe, elle met l’accent sur les produits d’exception qui ont été minutieusement sélectionnés auprès des marchés locaux. Outre le menu, le restaurant propose une carte riche en saveurs et en idées. Parmi les plats phares : Les Langoustines à peine Pochées à la Pomme Verte surprend par l’insolite mariage entre le Céleri Blanc Parfumé au Citron Vert et les Perles de Hareng fumé. De son côté, le savoureux Turbot Cuit à basse température, Salicorne accompagné de Girolles, Pois Chiches au Persil plat, et d'une réduction d’Agrumes au Poivre de Timut relève d’un grand art maitrisé mais discret. Côté viande, le Carré d’Agneau « Allaiton de l’Aveyron » au Romarin du Jardin, Gnocchi à la Betterave et Ricotta Safranée, Petits Pois satisfait toutes les gourmandises. Le repas s’achève sur une note rafraîchissante avec le Citron de Menton à l’Huile d’Olive. Pour accompagner le diner, une carte de vins expose la grande collection de l’établissement. Pas moins de 600 références y sont présentes dont principalement les bouteilles du Château d’Yquem (depuis 1854) et celles du Château Lafite Rothschild. Par ailleurs, les amateurs de vins pourront découvrir les plus grands crus du restaurant, jalousement exposés dans l'écrin du « Salon des collections ». ...
Jouissant d’un emplacement privilégié donnant sur le Vieux-Port et sur Notre-Dame de la Garde, le restaurant Le Relais 50 est une escale chic et gourmande située au cœur de Marseille. Dans une ambiance et un style des années 50, l’établissement est une invitation permanente à la découverte et le plaisir de revenir est sans cesse renouvelé. La magie des couleurs et des saveurs dans vos assiettes À travers une cuisine gastronomique du monde où l’inspiration créative du chef se démarque comme une signature, le restaurant Le Relais 50 est un haut lieu de gastronomie et de partage qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Par ailleurs, la farandole des menus ne cesse d’entretenir la magie dans un beau mariage de couleurs et de saveurs. À la fois simples et raffinés, les plats préparés apportent du soleil dans vos assiettes, auquel viennent s’ajouter quelques notes d’exotisme et une bonne dose d’authenticité. Une cuisine gastronomique aux saveurs d’ailleurs Noël Baudrand aujourd’hui aux commandes derrière les fourneaux du restaurant, se plaît à composer de belles assiettes à travers une cuisine gastronomique du monde revisitée. Laissez-vous tenter par son maquereau de méditerranée fait de tartare minute, de coulis de roquette et de glace wasabi, avant d’enchaîner avec son plat signature qui est et restera la poitrine de cochon confite et caramel de tomate au poivre de Sichuan. Comme dessert, terminez avec son duo de banane et d'avocat en tube croustillant de noix de coco, une pure merveille du Japon accompagnée d’un zeste de gingembre… de quoi délecter les palais les plus exigeants. ...
Pionniers d’une ère nouvelle, ces producteurs engagés créent la Fromagerie de la Meix en 1985 pour transformer leur lait, puis Est Distribution Biogam pour vendre et distribuer leurs produits et d’autres produits 100% issus d’agriculture biologique sous la marque Biogam. Biogam, c’est une communauté, une famille mais aussi un acteur historique et incontournable de la filière laitière biologique en France. Dans les années 60, alors que l’agriculture biologique n’en est qu’à ses balbutiements, les agriculteurs fondateurs décident, en effet, d’installer la fromagerie au sein du GAEC de la Meix avec la volonté de faire connaître leur activité et leurs produits. Un pari réussi pour ces pionniers des produits laitiers bios de A à Z. Grâce à leur persévérance, leur enseigne fait désormais figure de référence dans les réseaux spécialisés bios historiques. Allant du fromage à la crème fraîche, en passant par le yaourt, chaque produit est le reflet d’une passion commune pour la consommation saine et le respect d’une fabrication artisanale. Collecte, transformation et valorisation Voilà près de 50 ans que la Fromagerie de la Meix est l’ambassadrice du bio dans la Lorraine. En effet, allant des critères de sélection des matières premières au processus de transformation, chaque maillon de cette chaine de valeur, véritable filière de proximité, est rigoureusement contrôlé afin d’assurer la traçabilité et l’authenticité des produits. « Nous nous fournissons en lait exclusivement auprès d’une quarantaine de producteurs que nous suivons depuis des années. Nous ne prenons jamais de lait auprès d’autres producteurs afin de pérenniser ce circuit de qualité », assure le gérant, Monsieur Laurent Berthomieu. Outre cette collecte basée sur la durabilité et la fiabilité, la transformation du lait répond à un savoir-faire artisanal et fidèle aux traditions, loin des méthodes utilisées dans le secteur industriel. « Ici, le lait est stérilisé en autoclave et le yaourt est fermenté très lentement en cuve. En découlent alors du lait et du yaourt ivoire à la texture douce et onctueuse », reprend Monsieur Berthomieu. D’ailleurs, l’unité d’embouteillage de Biogam à Reillon est, aujourd’hui, la seule de sa catégorie à être exclusivement biologique sur tout le territoire français. De plus, le fromage tient une place importante dans cette gamme bio grâce notamment à l’Emmental, fromage à pâte pressée cuite au lait thermisé ou au lait cru, des fromages à pâte pressée non cuite, à l’image de la Mimolette jeune, « une Mimolette vieille seulement de trois mois et dotée d’un goût de noisette et d’une texture plus souple » nous indique-t-on, et des fromages à pâte molle à croûte fleurie, tel que le Brie pasteurisé. Le respect des saisonnalités, des prairies et de l’alimentation des vaches laitières contribue à la noble qualité de ces produits laitiers traditionnels, sains, goûteux et représentant la richesse du terroir lorrain. Des délices, qui sont valorisés dans les réseaux de distribution dédiés uniquement aux produits bios. ...
Chamonixa été cédée à la France depuis l’époque de la Révolution et du Ier Empire. Après un accord avec la commune de Saint-Gervais-les-Bains, elle a pris le nom de Chamonix-Mont-Blanc. La présence du plus haut sommet des Alpes en fait une destination incontournable en matière touristique. Aujourd’hui, elle appartient au département de la Haute-Savoie, en Auvergne-Rhône-Alpes, et fait partie des plus grandes communes de France métropolitaine. C’est dans ce cadre historique et géographique qu’Auro Bucci a implanté son restaurant, où l’amour des produits, le plaisir de faire plaisir et la passion pour la cuisine forment un tout harmonieux. Un chef autodidacte et déterminé Il y a 25 ans, Auro Bucci découvre pour la première fois le plaisir de se mettre aux fourneaux. Depuis, il a décidé d’en faire son cœur de métier. Guidé par sa passion et ses sensations, il a tout appris par lui-même. Il a toujours accordé une grande importance à chaque produit utilisé, qu’il peut ensuite sublimer à sa manière. Ce grand passionné d’origine italienne élabore une cuisine simple et exaltante,qui respecte la biodiversité. Après un long et riche parcours professionnel,il exerce maintenant son art dans son propre restaurant. Pour lui, L’Impossible symbolise la concrétisation d’un grand rêve. Établi dans une vieille ferme du XIIIe siècle, le restaurant L’Impossible dispose d’une grande salle, réchauffée par une cheminée et offrant un joli spectacle de feu durant les longues soirées d’hiver. Les meubles affichent de belles boiseries qui confèrent du cachet au lieu, tout en apportant une touche de chaleur. C’est dans cette ambiance conviviale et sympathique que les fins gourmets ressortent avec le sourire, après avoir dégusté les nombreuses spécialités du chef. Une agréable découverte des plats méditerranéens Auro Bucci propose à ses invitésdes platsà base de produits du terroir, frais, de qualité et surtout faits maison. Le restaurant est aussi connu pour sa cuisine sans gluten ni produits laitiers. La farine bio et moulue à la pierre, par exemple,vient de chez Mulino Marinodu Piémont. La carte de L’Impossible est saisonnière. Celle du printemps est composéede trois entrées, puis de cinq plats et se termine par deux desserts au choix.En entrée, la mousse de ricotta et parmesan Reggiano au miel de châtaigne, petite salade au gingembre, poire au sirop gratinée au four avec « pecorino di Pienza », fait le bonheur des gourmets. En plat de résistance, place au tournedos d’agneau aux herbes aromatiques, sauce au yaourt, julienne de courgettes et cèpes. Au dessert, rien de tel qu’une tarte aux pommes raw, glace au safran. Quant au menu, les formules du printemps sont une ode à la gourmandise. Elles se déclinent en quatre types : menu du cœur, menu du marché, menu végétarien et menu enfant gourmand. La proposition intitulée « Menu du cœur », à 68 €, commence par des raviolis du « plin » à la fondue Valdôtaine, beurre et sauge. Elle continue ensuite sur un filet de bœuf, sauce moutarde et gorgonzola, servi avec des pommes de terre « La Ratte » et une salade de saison. Après la dégustation de fromages italiens, le repas s’achève sur une note de douceur apportée par le soufflé de chocolat et glace à la vanille. L’atelier de cuisine L’atelier de L’Impossible est l’atout de la maison d’autant plus que c’est le chef lui-même qui y enseigne. Le livre de recettes, le tablier de cuisine et une coupe champagne en apéritif sont inclus dans le tarif. Le maitre des lieux propose pour ses apprentis un après-midi de cuisine, un atelier de la pâte fraiche maison et des pâtes artisanales avec leurs sauces d’accompagnement. ...
Promotion des produits du terroir, authenticité, originalité, cuisine maison à des prix abordables. C’est en cela que ce restaurant s’affiche comme une alternative à l’existant… Et pour atténuer les effets négatifs des dispositions calamiteuses imposées par les instances en charge du projet de requalification de l’accueil, l’établissement offre entre autres à ses clients le stationnement gratuit sur son parking privé : bienvenue au Mont Saint Michel ! Rétablir la réputation du mont Saint-Michel et de sa baie Au lieu d’une retraite bien méritée, Joël Lerognon, ancien maire de la ville voisine, ingénieur et ancien chef d’entreprise, enfant du pays, ne pouvait se résoudre à voir l’image du Mont écornée aussi bien par les dispositions prises par les instances publiques que par certains comportements des acteurs économiques locaux. Malgré l’attractivité présentée par les nouveaux ouvrages, réalisés dans le cadre du grand projet, remarquables par leur conception et leur gigantisme aux conséquences encourageantes sur le retour de l’insularité du Mont, la fréquentation des visiteurs est descendue à environ 2.300.000 visiteurs par an à comparer aux 3.200.000 d’avant les travaux et des 4.200.000 prévus à l’époque pour l’horizon 2015 ! Ces chiffres attestent d’une situation dont n’ont pas pris la mesure les responsables évoqués précédemment. Cette situation est d’autant plus regrettable que la réalisation du grand projet de rétablissement du caractère maritime, justifiée par près de 2 siècles d’erreurs de l’homme jouant l’apprenti sorcier, suivis d’un siècle d’études, d’essais de controverses pour aboutir à un projet d’équilibre et respectueux de la nature, conduit à un chantier de plus de 20 ans, véritable prouesse de nos architectes et ingénieurs. Il n’est pas présomptueux d’avancer que par son ampleur et sa qualité technique et architecturale , cet ensemble d’ouvrages s’inscrit dans la continuité de l’œuvre des moines bâtisseurs du moyen âge. On regrettera d’autant plus que les errements évoqués précédemment aient écorné l’aura du Mont et nuisent à l’économie locale. S’ajoutent à ce handicap, les innombrables entraves à l’action de ceux qui veulent entreprendre et sortir de la banalité. La faute suprême étant la réussite quant elle apparait à l’horizon…. Voici le contexte dans lequel le fondateur de la Ferme St Michel a voulu procurer aux pélerins et touristes venant au Mont quelques moments de détente, de plaisir et de découverte. Ce projet il l’a réalisé, entouré d’une équipe passionnée et professionnelle, à laquelle il fixa le challenge de se placer en tête des établissements locaux. L’avenir confirmera ce pari ambitieux. Pour y parvenir, partant d’une ruine située à l’arrivée au Mont, une ancienne ferme des polders fut entièrement rénovée, faîte de pierres apparentes, de boiseries anciennes, d’une charpente cathédrale, d’ une imposante cheminée et d’ un four à pain. L’ensemble de 4 salles d’une capacité de 200 convives constitue également une exposition permanente de tableaux, dessins et sculptures d’artistes de la famille. La cuisine met en valeur des plats spécifiques à la baie, aux polders : le véritable agneau de pré salé, les carottes des polders, les pommes du verger familial, les moules et huitres de la baie et bien d’autres …. Une clientèle très large se constitue mais exclusivement par la réputation acquise et le classement des guides : TRIP ADVISOR, la Fourchette, Michelin et bien sur le bouche à oreille compensant l’absence quasi-totale de la clientèle de passage suite à l’occultation par des rideaux d’arbres, imposés par les instances en charge de l’urbanisme local. S’ajoutent des mesures discriminatoires telles la fameuse barrière fable du site à travers le monde. La Ferme St Michel contribue chaque jour à redon...
Situé dans le département du Calvados, sur le littoral de la Manche, Port-en-Bessin-Huppain est réputé pour son port de pêche. Chaque année, plus de 2000 tonnes de coquilles Saint-Jacques sont ramassées par les 150 marins pêcheurs de la commune. En 2004, Port-en-Bessin-Huppain crée une manifestation autour de la coquille Saint-Jacques baptisée le Gout du Large. Pendant un week-end de novembre, de nombreuses animations sont proposées aux visiteurs. Des animations tout au long du week-end Chaque matin, le retour de pêche est fêté en ouvrant la criée habituellement réservée aux professionnels à tous les visiteurs. Coquilles Saint-Jacques et autres produits de la mer peuvent être achetés pour un moment unique à vivre. Des cours de cuisine ainsi que des démonstrations culinaires vous dévoileront comment mettre la coquille Saint-Jacques à toutes les sauces, pour le plaisir des papilles des grands comme des plus petits. Vous pouvez également profiter de ce week-end pour découvrir le port de pêche grâce aux visites guidées. Au cours de celles-ci, vous en apprendrez plus sur les différentes techniques de pêches. Si vous êtes amateur de beaux gréements, vous pourrez en admirer quelques-uns comme la Jolie Brise. Démonstrations de sauvetage en mer, démonstration de savoir faire des ramendeurs ou comment réparer les filets de pêche, exposition de maquettes de bateaux, conférence sur l'histoire de l'activité portuaire et exposition de peintures viennent compléter les diverses activités présentées pendant le « Gout du Large ». En parallèle, le festival « Musique sous les embruns » Pour que la fête soit parfaite, les spectateurs pourront retrouver une ambiance festive autour de musiciens et de musiques évoquant l’océan et les voyages. ...
Depuis 14 ans maintenant, et investi totalement dans son rôle de vigneron, toujours épaulé par son père Jean-Pierre, ils exploitent ensemble les 10 ha de vignes que compte le domaine. Eparpillés sur 4 km de côte viticole, l'exploitation est fière de compter parmi ses parcelles quelques-unes dans l'aire d'appellation du Klevener de Heiligenstein. Domaine Herr : la gamme de vins Attaché à l'authenticité des cépages alsacien, le domaine Herr propose plusieurs gammes de vins. Des traditionnels ou " tout néophytes ou amoureux de vins d'Alsace doit s'y retrouver " aux cuvées en sur-maturation en passant par les Crémant ... Jamais à court d'idées, Yann se plaît à élaborer des cuvées insolites " j'aime sortir des sentiers battus et trouver dans nos cépages quelque chose de différent, actuellement je propose La cachette un assemblage de Riesling et de Muscat vinifié en macération ". Mais c'est dans ses "petits terroirs" qu'il trouve tout le mérite de son travail " quand je retrouve millésimes après millésimes les caractéristiques, l'identité de chaque lieux ". Les arômes épicés du Gewurztraminer Weinberg, l'acidité vibrante du Riesling Hoell ou encore l'intensité fruité du Muscat Berg en font quelques une de ces particularités. Toujours partant pour faire découvrir ses vins, le domaine Herr vous accueille sur simple rendez-vous. ...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
Un mode de production unique Le veau fermier du Limousin élevé sous la mère a la particularité d’être nourri au pis, selon une méthode traditionnelle de production, de la naissance jusqu’à l’âge d’être consommé. L’alimentation de chaque veau est constituée au minimum de 85% de lait maternel. Elle peut être complétée de façon limitée et dans des conditions strictement définies par un aliment d’allaitement reconstitué. L’accès à l’auge lui est interdit. Un savoir-faire authentique La production de la viande de veau fermier exige un certain savoir-faire. Le veau doit suffisamment téter sa mère matin et soir pour obtenir la qualité recherchée. 1500 éleveurs élèvent leurs veaux dans le respect de cette méthode traditionnelle de production, transmise de génération en génération. A l’œil, la viande au grain très fin présente une couleur blanche à rosée avec un gras blanc. Tendre et fondante, elle révèle une chair satinée un peu persillée révélant onctuosité et saveur en bouche. Une reconnaissance par deux signes de qualité Contrôlée de la naissance jusqu’à l’abattage, par un organisme certificateur indépendant, le veau fermier du Limousin porte deux signes de qualité : - le Label Rouge « Veau élevé sous la mère » pour une garantie de qualité gustative supérieure. - l’Indication Géographique Protégée « Veau du Limousin » pour garantir son origine Limousine. ...
Situé au cœur de la Provence verte, le Château la Curnière est une propriété provençale digne de ce nom, qui couvre en tout 121 hectares du village de Tavernes. Ame du domaine, le château proprement dit est un grand bâtiment qui a su traverser les époques et les générations de propriétaires sans perdre de son faste. Autour de lui se trouve son vignoble et sa petite oliveraie. Le reste du domaine est constitué d’un parc et d’un immense jardin à la française, avec ses allées et ses massifs de buis, une chapelle consacrée datant du XVe siècle ainsi qu’une cave et un caveau dédiés à la fabrication des vins. Une situation géographique privilégiée Le vignoble du domaine accapare 17 hectares sur les 121. « Nous avons le domaine le plus haut dans l’appellation Coteaux Varois en Provence » explique Tomasz Pawlak, responsable du vignoble. « Nous sommes installés dans une cuvette, ce qui nous met à l’abri des grandes intempéries, en l’occurrence le gel et la grêle » poursuit-il. Sans compter que sa situation en coteaux et son type de sol drainant lui offrent une irrigation idéale des vignes tout au long de l’année. Des procédés garants de la qualité Depuis les vignes jusqu’à la mise en bouteille, le Château la Curnière s’est imposé une méthode de travail garantissant la qualité de ses produits. Dans les champs, le domaine a fait le choix d’une agriculture raisonnée, sans aucune utilisation d’intrants chimiques. Au chai et à la cave, la vinification est menée selon les techniques traditionnelles. « Nous procédons à des analyses de nos vins qui montrent 0% de pesticides, comme quoi nos vins sont bons pour la santé, mais à boire avec modération bien entendu » explique Tomasz sur le ton de la plaisanterie. Quatre cuvées plusieurs fois récompensées Chaque année, le Château la Curnière produit dans les 450 hectolitres de vins qui se répartissent en quatre cuvées : « Château La Curnière » AOC Coteaux Varois de Provence en rouge, blanc et rosé ; « Château La Curnière Les 3 Croix » AOC Coteaux Varois de Provence ; « Domaine La Curnière Chardonnay » IGP Var-Coteaux du Verdon et « Château La Curnière Cuvée V » IGP Var-Coteaux du Verdon en rouge, blanc et rosé. Parmi tous les millésimes, le « Château La Curnière Rouge 2010 » mérite particulièrement d’être mis en avant, notamment en raison de ses multiples récompenses : une étoile au Guide Hachette 2012, trois étoiles au Guide des vins de Provence 2013 et une médaille d’or au Concours Interrégional des Vins de Brignoles 2001. Pour autant, les autres cuvées n’ont rien à lui envier, la majorité ayant également raflé des médailles lors des concours auxquels ils ont participé et font l’objet de citations régulières au sein des guides spécialisés. Un domaine ouvert aux amateurs de vins et de verdure Toute l’année, le Château la Curnière est ouvert à la visite sur rendez-vous, du mardi au samedi. Cette activité inclut un tour du domaine, la découverte des cuves des templiers, une balade dans le jardin et le parc ainsi que la découverte de la chapelle. Elle se termine autour de verres de vins et d’huile d’olive élaborés par le domaine. « Ponctuellement, nous organisons également des pique-niques chez le vigneron, avec des châteaux gonflables, des animaux de la ferme, des tirs à l’arc » conclut Tomasz Pawlak. ...
Le1047 se distingue pour son cadre tantôt contemporain. Le restaurant, quant à lui, joue plutôt dans un registre assez classique, où la cuisine est excellente, avec en prime, vue sur le port. L’endroit parfait pour se délecter de délices gastronomiques Parmi les quelques adresses présentes sur le Quai de l’estuaire, le 1407 est l’une des plus en vue du moment. C’est dans un cadre plutôt classique, mais moderne, que le restaurant propose à ses convives de goûter à la haute gastronomie charentaise. La carte et le menu s’accordent parfaitement au paysage, faisant de cet endroit un espace de convivialité privilégié. En entrée, un Carpaccio de bar, suivi d’un Maigre de l’estuaire puis qui finit par une Sphère en chocolat. Côté vin, la Charente-Maritime est bien évidemment à l’honneur. La carte se compose de quelques trésors à l’exemple du vin bio de la Maison Arrivé qui connaît un large succès auprès des habitués du 1407. Brasserie Le Bar à Huîtres - Les Voiles Rien de tel que de goûter au plaisir de la mer, sous un ciel bleu et en plein air ! Le 1047 a dédié un espace exclusivement réservé aux amateurs de fruits de mer où les huîtres, coquillages et crustacés arrivent directement de la criée de Royan. Le Bar à Huîtres - Les Voiles propose des plateaux pour deux à quatre personnes ou composés de crevettes, de clams, de tourteaux, d’amandes, d’huîtres et de bulots, de quoi faire tout un festin ! Et pour les plus aventureux, avides de nouvelles expériences, les chambres d’hôtes ne demandent qu’à être découvertes. Révélant tout le charme d’une bâtisse ancienne et possédant un grand parc, ce domaine est l’endroit de rêve pour se détendre en famille, entre amis ou en couple. ...
Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration. Une nouvelle aventure pour la famille Fille L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité. Un grand succès pour une première Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 « On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation. ...
« Que du frais et des produits de qualité ». Le restaurant Seb’on s’appuie sur ce concept pour séduire sa clientèle. Et ça marche ! « Nos clients viennent pour notre travail artisanal identitaire mettant à l’honneur le fait maison avec tendance gastronomique », raconte Sébastien Héloin, maître des lieux. Ainsi, pour préparer une glace au praliné, il préfère concocter sa propre praline lui-même, en caramélisant et en torréfiant les noisettes. Le plaisir de chaque convive étant la priorité de l’établissement, il s’efforce de changer ses menus toutes les semaines, en fonction des saisons et de la disponibilité des produits. « Néanmoins, grâce à un partenariat avec les fournisseurs de Rungis, il arrive que des changements s’opèrent en cours de semaine », annonce le propriétaire. Les spécialités de la maison Malgré la diversité de sa carte, l’établissement propose toujours son plat-signature depuis son ouverture, le 28 juillet 2014, à savoir le foie gras au vin rouge. Préparé avec des épices de vin chaud, de la cannelle ou des clous de girofle, ce mets est à faire précéder d’une entrée à base de poisson ou de viande. Il est très apprécié des « franchouillards », mais aussi des touristes venus visiter Montmartre, qui l’appellent parfois le « foie gras parisien ». Pour découvrir tout le savoir-faire du chef, les noix de Saint-Jacques snackées agrémentées de risotto noir et de jus de homard sont à déguster absolument. « Ce plat est préparé à base de riz noir riche en céréales, qui, autrefois, en Chine, était réservé à l’empereur », explique-t-il. Dans le registre du dessert, Monsieur Héloin fait preuve d’innovation en concoctant son diplomate au litchi, gâteau servi avec un crémeux de clémentine corse, le même que celui utilisé pour agrémenter les tartes au citron. Au coup de cœur… Pour accompagner les plats proposés par le restaurant Seb’On, le chef aime suggérer quelques accords à sa clientèle. Toutefois, toujours fidèle à son concept de diversification, il lui arrive de présenter d’autres vins choisis « au coup de cœur ». Ainsi, les convives pourront savourer des vins issus de la vallée du Rhône, de la Bourgogne ou des Hautes Côtes de Nuits, et notamment de chez Pierre Naigeon, un jeune passionné qu’il admire particulièrement. ...
Le nom du restaurant est tiré des jardins qui entourent le fameux palace de Marrakech et qui furent donnés au prince Mamoun par le sultan en cadeau de mariage. La Mamounia a été ouvert en 1996 par les parents des actuels propriétaires. C’est un endroit convivial et branché, qui convient à toutes les situations : diner en amoureux, déjeuner d’affaires ou tout simplement moment de partage entre amis ou en famille. Un décor dépaysant Le restaurant, installé le long des boulevards de Valence, propose un dépaysement total, transportant ses hôtes dans un voyage à destination du Maroc par son décor des mille et une nuits. Son plafond est entièrement fait de marqueterie traditionnelle marocaine (bois sculpté et peint à la main). Tous les éléments du décor sont des authentiques objets provenant du Maroc, depuis le tapis jusqu’au mobilier et aux banquettes, en passant par les assiettes en faïence. Un chef au parcours atypique Samir Ouazzani est à la fois le chef et le propriétaire de l’établissement. Cet homme ne s’était pas du tout destiné au métier de la restauration, ayant fait ses études et travaillé dans le domaine des techniques industrielles. Il n’a commencé à s’intéresser pleinement à cet univers qu’à partir de 2005, lorsqu’il a pris la relève de ses parents. « J’ai appris sur le tas, tout doucement, au contact de ma mère d’abord, puis avec un chef de cuisine qu’on a fait venir exprès du Maroc », raconte-t-il. Il propose une cuisine savoureuse et authentique, avec la noble intention de faire retrouver à ses clients la saveur des plats de son enfance. Un vaste choix de formules gourmandes « Le restaurant propose une cuisine familiale, trait d’union entre la tradition et de la modernité », explique son chef. Les plats sont élaborés à base de produits frais, issus des producteurs locaux. Les plus gourmands se laisseront tenter par le menu dégustation à 24 €, composé d’une entrée, d’un plat (couscous deux viandes au choix ou tajine au choix) et d’un dessert. Sinon, il est toujours possible de commander à la carte. En entrée, la tchackchouka, compotée de tomates oignons poivrons, ou la harira et ses dattes Medjool entrainent dans un délicieux voyage à la découverte des saveurs orientales. En plat de résistance, le choix s’avère cornélien entre le tajine zbib, composé d’émincés d’agneau, d’oignons au miel et de raisins secs, et le couscous royal, accompagné d’un assortiment de poulet fermier, agneau, merguez, brochette, sans oublier les boulettes de viande. Pour la touche sucrée, les papilles se régaleront du suprême d’orange à la rose et cannelle. La qualité et la fraicheur de la cuisine du restaurant lui ont valu une belle réputation à Valence, tant et si bien qu'il ne cesse d’être recommandé par le guide Gault & Millau depuis 1997. ...
Restaurant au décor lumineux, moderne et agréable, Le Fanal est une adresse d’exception située en plein port de Banyuls-sur-Mer. Adresse reprise par Pascal Borell et sa compagne il y a plus de 3 ans. Le couple compose des plats inventifs, colorés et saisonniers, qui mettent en avant la cuisine du terroir catalan. Une cuisine qui leur a valu 1 étoile au célèbre Guide Michelin, et le certificat d’excellence Tripadvisor. Une cuisine coup de cœur Le restaurant Le Fanal tient sa renommée de sa cuisine créative, contemporaine et aux influences méditerranéennes, variant selon les saisons et portée sur la découverte de l’essentiel : « le beau produit ». Aux fourneaux, Pascal élabore des entrées et plats savoureux, tandis que sa compagne orchestre de magnifiques desserts et s’occupe du service en salle. Tous deux ont eu à faire leurs preuves auprès de grands restaurants étoilés tels que L’Arpège d’Alain Passard, à Paris, ou encore La Famille By Bardet de Jean Bardet, à Tours. Ici, la carte change régulièrement, et la cuisine est fonction des produits du jour. Dès l’entrée, le délicieux tartare de poisson issu de la pêche locale est accompagné d’une émulsion à base de lait de coco, de concombre et de jus de citron. C’est un plat préparé à partir de poissons découpés en petits morceaux et mélangés à un assaisonnement d’huile d’olive, de jus de citron, de ciboulette et d’un peu d’huître pour apporter une petite touche iodée. La petite crème émulsionnée est versée au-dessus du tartare pour donner plus de fraicheur au plat, sans oublier le caviar perle noir du Périgord en fin de présentation. Autre entrée signature, le cromesquis d’œuf à la truffe. C’est un beignet cuit à basse température et renfermant un œuf au jaune coulant. Croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, il est servi avec une purée de champignons sur laquelle il est déposé. Les champignons utilisés pour cette préparation sont issus de la cueillette du jour. En guise de plat principal, le merlu de ligne. Ce plat cuit à basse température est un tronçon de merlu posé au centre d’une assiette, avec de la quenelle de risotto de fregola sarde. Au-dessus, une sauce accompagnée de fumé et de gingembre. Les desserts sont également élaborés en fonction des saisons. Des desserts comme la nage de pêche à la verveine, qui est une soupe froide à la pêche accompagnée de sirop à la verveine. Celui-ci est servi sur une coupe transparente légèrement givrée, et dans laquelle sont mis le sirop et la pêche découpée en petites billes. Le dessert est complété avec un sorbet au yuzu, et du romarin. Le restaurant sert également trois sortes de pain fait maison pour chaque service : un pain à l’épeautre bio, un aux céréales et un autre au maïs. Et les jolis dressages sont un appel sûr à l’appétit ! Harmonie entre cuisine et vins Les vins de la cave du restaurant Le Fanal se marient merveilleusement bien avec les plats élaborés en cuisine. À la carte, Signature millésime 2014 du Domaine du Mas Blanc. Ce vin blanc sec du terroir de la Côte Vermeille, constitué de quatre cépages, confère une fraicheur aux fines notes citronnées et iodées. Il est parfait pour accompagner le tartare de poisson. Également le Banyuls blanc, indiqué pour la nage de pêche à la verveine. Ce vin doux et naturel est consommé jeune, il se marie efficacement avec les desserts. Légèrement sucré avec des notes fraiches de fruits blancs et des nuances de poire, ce vin blanc peut être conservé longtemps pour mieux apprécier son côté aromatique. ...
Originalité et volupté se retrouvent dans une cuisine gastronomique fidèle aux succulences traditionnelles. Dans un cadre mêlant harmonieusement l’ancien et le contemporain, les assiettes révèlent le goût authentique de produits façonnés avec art et passion. Chaque recette, synonyme de virtuosité et d’extase gustative, est la promesse d’un voyage culinaire au pays de l’excellence. Les délices du palais dans un havre de paix La terrasse ombragée, les chambres douillettes, le charmant bar intérieur, les salles décorées de meubles contemporains signés Philippe Starck et les salons intimistes de cette magnifique bâtisse d’époque sont autant d’invitation au régal. A mi-chemin entre l’élégance ancienne et l’originalité moderne, chaque recoin du restaurant est savamment pensé afin de prodiguer une sensation gourmande de plénitude aux hôtes. Allant d’une entrée d’escargots revisités, à un plat de ris de veau en passant par un souffle chaud en guise de dessert, chaque bouchée est le reflet d’un savoir-faire culinaire d’exception. Des cuvées prestigieuses issues de la cave à vins, riche et intense, du restaurant viendront sublimer les menus dégustés au cœur d’un magnifique parc propice à la détente. Une passion à partager L’esprit généreux et allègre de la maison trouve son essence dans le désir de partager la passion de l’art culinaire et de savourer ensemble l’amour du bon vin. Des cours de cuisine et des séances initiatiques à l’œnologie sont ainsi organisés dans cette demeure facile d’accès et puisant une part de son charme bourguignon dans sa proximité avec les vignobles du Pouilly-Fuissé. ...
À travers un cadre intimiste aux couleurs chaudes qui caractérisent si bien le Sud, l’enseigne est une très belle découverte à retenir au cœur de Paris. Situé dans le 18e arrondissement, juste au pied de la Butte Montmartre, cet authentique restaurant italien mérite qu’on s’y arrête. Dans un décor où se marient si bien la brocante, le cinéma et la musique, le savoir-faire italien transparait aussi bien dans le service que dans les plats. Il est vrai qu’au Bugigattolo, tout le monde met la main à la pâte ! C’est d’ailleurs dans ce bel esprit de famille que la Nonna, Patricia et les enfants Jean et Enzo souvent présents dans la salle ont habitué le restaurant afin d’y maintenir l’ambiance bon enfant, au grand plaisir des clients ! Vive la dolce vita Comptant déjà de nombreux habitués, ce petit coin sympathique est une excellente adresse où il fait bon s’attarder pour prendre un verre et calmer les petites et grandes faims. Laissez-vous embarquer par sa cuisine traditionnelle aux légères touches de malice, qui met à l’honneur des plats de terroir revisités, avec toujours une pointe de surprise, là où on s’y attend le moins et cela au premier coup de fourchette ! Ses pâtes fraiches et sèches constituent un vrai délice pour les papilles avec, bien sûr, ce fameux croquant « al dente » spécifique aux vraies pâtes italiennes… Les savoureuses pizzas accompagnées d’une petite sauce relevée préparée à la minute ou les délicieux raviolis dont seul le chef a le secret sont aussi à ne pas rater. Il Bugigattolo, c’est surtout une cuisine à base de produits frais, où les plats sont préparés sur place et mitonnés juste comme il faut. Pour offrir le meilleur dans vos assiettes, le restaurant privilégie la cuisine de marché, gage de fraicheur et de qualité. Chaque plat est empreint d’une touche personnelle qui le caractérise et c’est ce qui fait toute la différence ! ...
Le Château de Salles est la propriété de la famille De Batz depuis le XVIIIe siècle. L’ancêtre de cette famille gasconne de pure souche est aussi illustre en France que dans le monde entier : Charles de Batz, plus connu sous le nom de d’Artagnan. Lorsqu’il a hérité du domaine en 1989, Henry de Batz a décidé de reprendre totalement les choses en main, après des générations successives de métayer et de fermiers. Au four et au moulin, il s’occupe à la fois de la partie plantation, vinification et commercialisation. Un vignoble idéal « Pour avoir du bon vin, il faut avoir un bon terroir » aime à dire Henry de Batz. Or, celui du Château de Salles est plus que privilégié. Il est composé de cinq hectares de vignes situées en plein cœur de l’appellation Buzet, avec une terre argilo-calcaire, graveleuse et peu profonde. Les vignes sont installées sur des coteaux, propices au développement de la vigne de par sa luminosité et son irrigation. L’encépagement est composé de Merlot, qui confère au vin finesse, souplesse et fruité, de Cabernet Franc qui charpente le vin et lui donne une note animale et de Cabernet Sauvignon, à l’origine d’une note épicée et poivrée. Une agriculture respectueuse de l’environnement Henry de Batz mène au sein de ses terres une politique d’agriculture raisonnée. Il est adhérent à l’organisme Terra Vitis, gage de la bonne marche de cette agriculture. L’épamprage des vignes est effectué manuellement et mécaniquement pour éviter l’utilisation d’herbicides. Des pièges ont été installés dans les vignes afin de comptabiliser les prédateurs et les parasites. Les données recueillies grâce à cette technique permettent ainsi de réduire drastiquement (- 30% en deux ans) l’utilisation des intrants chimiques. Une vinification classique Henry de Batz, vigneron depuis 1989, est un homme qui connait son travail sur le bout des doigts et l’effectue avec une rigueur infaillible. Il s’occupe lui-même de la vinification de sa production depuis 1994. L’intégralité de la vendange est effectuée manuellement. La fermentation des vins se fait dans des cuves en inox. Concernant l’élevage, une partie de la production s’effectue dans des barriques durant 18 mois, notamment celui de la Cuvée d’Artagnan. La maison étant membre des Vignerons Indépendants, l’embouteillement est réalisé au sein même du château. Des vins à la hauteur de ses ancêtres Chaque année, le Château Henry de Batz produit environ 35 000 bouteilles de vins en appellation Buzet AOP. En hommage à son illustre ancêtre, une cuvée intime d’exception a été nommée « Cuvée d’Artagnan ». Elle est issue de vignes de 30 ans d’âge et élevée 18 mois dans des barriques neuves, premier et deuxième vin. Ce vin à la robe rouge profond avec des reflets bruns offre des arômes de fruits mûrs, de café, de chocolat noir et de cachou au nez. En bouche, il est riche et puissant, très soyeux avec beaucoup de matières. Il s’agit d’un excellent vin de garde qui peut se conserver jusqu’à 8 ans. Pour 2016, son millésime 2012 a été récompensé d’une médaille d’or au Concours des Grands Vins Gilbert et Gaillard et d’une médaille d’argent au Concours des Vins des Vignerons Indépendants. Le reste de la production du domaine est décliné sous le nom de « Château de Salles – Buzet ». Son millésime 2010 est un vin à la robe rouge grenat. Au nez, il propose des notes de café, de réglisse, de chocolat noir et de fruits mûrs. Il est très charpenté et riche en bouche avec une très belle longueur, aux arômes de fruits mûrs, vanille, café et chocolat noir. A table, cette cuvée accompagne un jambon de Bayonne, une côtelette d’agneau ou une omelette aux cèpes. Sa grande qualité lui a valu une Médaille d'Or au Concours International des Vins de Lyon en 2014. ...
Issu d’une grande lignée de meuniers, Xavier Muller a choisi de baser son exploitation dans une ancienne minoterie de Marlenheim, qui est la porte de la route des vins de cette région alsacienne. De deux à vingt-cinq hectares Au départ, la famille Muller intervenait surtout dans la polyculture de céréales et tabac et l’élevage de vaches laitières. La belle histoire dans l’univers du vin n’a commencé qu’en 1960 lorsqu’elle a fait acquisition de ses premières parcelles de vignes qui faisaient en tout 2 hectares. Progressivement, elle s’approprie 3 hectares de vignes situées dans le Grand Cru Steinklotz. Aujourd’hui, le vignoble occupe une surface totale de 25 hectares, répartis sur la colline dominant Marlenheim, du Koenig au Sand. « Cinq membres de la famille s’occupent à temps plein de ce vignoble, ils y travaillent 365 jours par an » explique Xavier Muller. Une riche sélection de vins Selon Xavier, « la production annuelle avoisine les 33 000 bouteilles par an. Elle ne vinifie que huit hectares de son exploitation. Tout le reste part chez d’autres producteurs, d’autres négociants de la région ». Le domaine produit un grand nombre de vins et crémants d’Alsace. Toutefois, le produit qui contribue à son succès et ce, depuis le départ, est le « Crémant Chardonnay », toujours primé lors des différents concours auxquels il a participé. Il s’agit d’un vin issu à 100% de Chardonnay. Le millésime 2011 de cet effervescent à bulles très fines présente une robe jaune pâle, avec un nez très aromatique de fruits secs (noisette et amande), agrumes et pamplemousse. En bouche, il s’ouvre sur des notes de mûre avec une finale assez longue aux arômes de citron vert. Ce vin a gagné une médaille d’or au Concours des effervescents du Monde 2013. « Le Gewürztraminer Grand Cru Steinklotz fait aussi la grande fierté du domaine » affirme le propriétaire. Il s’agit d’un vin issu uniquement de Gewurztraminer. Le millésime 2011 a été élevé sur lies fines six mois avant d’être embouteillé puis bouchonné avec du liège naturel. Sa robe jaune aux reflets dorés propose un nez complexe et explosif, aux notes de rose suivies d’épices. En bouche, le vin présente une grande harmonie et une belle longueur, avec une attaque très souple aux arômes de gingembre confit. Ce vin se déguste de préférence avec une cuisine exotique. ...
Natif du Médoc, Pierre Jean Larraqué a grandi avec des valeurs terriennes transmises par son père et son grand-père. Petit, il s’initiait déjà à l’univers viticole aux côtés de ces deux hommes qui lui ont inculqué l’amour des vignes et de la terre. Cette notion de transmission est désormais profondément ancrée dans sa démarche. En faisant acquisition de ses trois châteaux, il opte pour un mode de production qui tient compte de l’héritage à laisser aux prochaines générations. Tous ces vignobles certifiés HVE 3 (Haute Valeur Environnementale) sont façonnés dans le respect de l’homme et de l’environnement. Au-delà de leur terroir d’exception, ils ont été choisis pour leur riche passé qui s’exprime à travers un patrimoine historique réhabilité par Pierre Jean Larraqué. Château Vernous Le Château Vernous marque le début d’une grande aventure pour Pierre Jean Larraqué et sa famille. Cette propriété de 50 hectares située dans le Médoc entre l’estuaire de la Gironde et l’océan atlantique date du XVIIIème siècle. Transformé en lieu de rendez-vous de chasseurs puis en zone d’occupation allemande au cours de la Grande Guerre, il finit par devenir un domaine viticole. Le Château Vernous renait de ses cendres lorsque Pierre Jean Larraqué succombe à son charme. D’importants travaux de rénovation notamment au niveau des extérieurs et des chais ont été entrepris. Le plus gros chantier quant à lui s’est déroulé dans les vignes avec la replantation de cépages minoritaires comme le malbec et le petit verdot et surtout l’adoption de nouveaux procédés agraires exempts de CMR. Le domaine détenteur du label HVE 3 produit aujourd’hui un Médoc-Cru Bourgeois éponyme issu d’un assemblage de 60 % de Cabernet Sauvignon et de 40 % de Merlot qui séduit pour ses notes de fruits et d’épices avec une bouche charnue, concentrée et toute en rondeur. Plus de 46 médailles ont été remportées par ce vin depuis une vingtaine d’années, preuve de son excellence. Château Le Virou Fermement décidé à prouver que le vignoble de Bordeaux est en mesure de se réinventer, Pierre Jean Larraqué poursuit son projet en rachetant le Château le Virou qui abrite, avec ses 100 hectares, le plus grand clos viticole ceint de murs d'Europe. Cet ancien monastère des Carmes Déchaussés datant du XVIIème siècle était un point de ralliement pour de nombreux moines du pays. Les carmélites y ont notamment construit plusieurs souterrains conduisant vers des zones stratégiques de la région. Aujourd’hui, un souterrain et une chapelle transformés en chais d’élevage et de vinification constituent les vestiges qui témoignent de ce passé. Pierre Jean Larraqué continue la réhabilitation de ce prestigieux patrimoine pour que l’histoire ne s’arrête pas là. Il compte notamment sur ses vignes pour faire connaître le Château le Virou. Établi sur l’appellation Blaye-Côtes de Bordeaux, le domaine labellisé HVE 3 est à l’origine du « Sublimus », un vin rouge de haute volée ainsi que de la cuvée « Vieilles Vignes » disponible en rouge et en blanc. Ces vins issus d’un terroir argilo-calcaire d’exception sont une ode à la beauté du merlot, des cabernets et du sauvignon blanc. Château Barre Gentillot Troisième propriété des Vignobles Pierre Jean Larraqué, le Château Barre Gentillot date de 1750 et a la chance d’être implanté sur le terroir de Graves de Vayres, dans le Libournais et à quelques encablures de Saint-Émilion. Le domaine se dote d’un impressionnant chai de vinification d’une capacité de 12 000 hectolitres. Dans une volonté d’instaurer une biodiversité sur le site et de promouvoir son engagement dans le développement durable, Pierre Jean Larraqué y a fait installer plusieurs ruches d’abeilles. Les vignes de 42 hectares quant à elles s’épanouissent sur un sol limoneux argilo-calcaire donnant des vins gourmands et sur le fruit. Le Château Barre Gentillot produits plusieurs cuvées dont « Châ...
L’entreprise familiale est implantée à Dorlisheim, dans le Bas-Rhin, sur la route des Vins. Dirigée par Vincent Goesel, elle prône actuellement les valeurs d’une agriculture raisonnée, respectueuse de la Terre et de la biodiversité. Terroir et saveurs, une conjugaison parfaite Le vignoble se dresse sur un sol de type argilo-calcaire, qui, grâce à ses éléments minéraux, donne vie et fraicheur à la vigne. « Nous produisons tous les cépages alsaciens », déclare Vincent Goesel. Parmi les variétés cultivées figurent le sylvaner, le riesling, le gewurztraminer ou encore le pinot noir. « À partir de ces cépages, nous produisons des vins blancs et rouges ainsi que des crémants. » Du vin pour tous les goûts La maison dispose d’une large gamme de vins et de cuvées. Parmi les plus appréciés, Vincent Goesel cite « Ma Petite Folie », un vin fruité et moelleux à base de muscat. Arborant un bel arôme de fruit mûr au nez, il offre une véritable révélation en bouche. « La Cuvée de la mer » figure également dans la liste des produits phares de la maison. « Il s’agit d’un assemblage dédié aux fruits de mer », confie le gérant du domaine. ...
Sénégal, Mali, Cameroun, Ghana, ici, on goute à chaque bout d’Afrique. Dans un décor basique, orné de tableaux typiques et de statuettes majestueuses, le restaurant est d’une simplicité chaleureuse. La musique est là pour rappeler l’identité du lieu dans des sons jazz, soul, makossa, mbalax, bikutsi ou des iles. Des soirées à thème invitent régulièrement les convives à la fête et à la danse. Un vrai melting-pot au Délices AFRICA où toutes les communautés aussi bien africaines qu’européennes, passent un moment hors du temps. Il y règne comme maitre-mot : la sympathie et la gourmandise. Inspiration africaine Préparés avec soin par la cheffe cuisinière, Marie Dumas, spécialiste en cuisine africaine, les entrées font sensation auprès de la clientèle friande de découverte. « Mon inspiration vient de toute l’Afrique », sourit-elle. En entrée, les accras de morue, croustillants et moelleux, des tapas typiquement antillais, sont plébiscités. La salade de morue avec ses avocats, ses concombres, ses citrons verts est également très demandée. La salade ghanéenne a aussi ses lettres de noblesse parmi la clientèle avec son goût sucré-salé. Pour cette entrée composée des crevettes, de l’ail, des œufs, de la banane plantain, de la laitue et d’autres crudités sont de mise dans un goût épicé selon les besoins du client. Les épices de poisson parmi lesquelles, les messep (basilic sauvage) et l’odzem (gingembre local) sont importées d’Afrique pour ravir les papilles des curieux et des amateurs de condiments exotiques. Des mises en bouche qui vous mettent en haleine puisque le vrai voyage, ici, c’est dans les plats. Florilège de saveurs Le poulet braisé fait mouche. Il est fermier (produit typiquement français) et préparé lentement au charbon de bois. C’est un incontournable du continent. Le poisson (bar, sole, tilapia) est aussi préparé dans ce savoir-faire. Les accompagnements conseillés par la Cheffe pour ces grillades braisées sont : le bâton de manioc, le chikouang, le riz parfumé et cantonné, la banane plantain et évidemment, les épices sur demande du client, c’est l’évasion faite maison. Direction Cameroun avec son poulet DG, accompagné de ses bananes plantains, de ses oignons fondants en bouche, de ses carottes et d’un coulis de tomates relevé au gingembre. Il est présenté dans l’authentique tradition africaine, où chacun se sert directement dans le plat. Un vrai florilège de saveurs ravira vos sens avec le classique mafé avec sa pâte d’arachide, du tiep bou diemme avec son riz typiquement sénégalais garni aux légumes. Une autre découverte camerounaise est le fameux que dis-je, le fabuleux ndolé avec (ses feuilles qu’on pourrait prendre pour des épinards) avec des cacahuètes vapeurs, bouillies garnies aux crevettes et à la viande fraiche. Pour les desserts, c’est une vraie expérience fruitée qui s’offre à vous avec des fruits exotiques (selon les saisons) tels que la mangue, la papaye, l’ananas, la noix de coco, les glaces ou encore le café gourmand dressés dans un style simple mais très étudié. Boire local Des boissons locales sont également suggérées pour accompagner vos spécialités. Le cocktail planteur typiquement antillais ravira les amateurs de rhum et de boissons sucrées pour un apéritif. La Flag, bière ivoirienne, se marie bien avec la salade ghanéenne ou de morue. Pour le Ndolé, une Castel. Une sélection de vins locaux est proposée pour accompagner les plats. D’humeur festive, le Pti-punch, sucré à souhait avec de la canne, du rhum et du citron ravive le gout sucré des tapas avec fraicheur. Vous y trouverez également des cocktails maisons : le Bissap ou le jus de gingemble au rhum, les tops ou les maltas Guinness. Le Restaurant Délices AFRICA possède également un service traiteur avec les mêmes spécialités pour notamment : les mariages, les anniversaire et d’autres cérémonies comme les séminaires, les repas d’entreprises, les repas syndicaux, etc...