Un lien bimillénaire unit les vignerons à ce terroir. Volcanique, maritime, champêtre, la vie géologique confère forces et vulnérabilités à des vins emblématiques, fruits d’une sincère communion entre femmes, hommes et nature. Avec des savoir-faire affinés au fil du temps, la priorité aujourd’hui est, pour de nombreux domaines, la préservation de l’environnement. Des vins de convictions aux arômes du terroir Il y a trente ans, le Château de Montpezat et le Domaine du Petit Roubié furent parmi les premiers à produire des vins biologiques, c’est-à-dire sans aucun traitement chimique, avec des rendements maîtrisés du vignoble, un respect des cycles de la nature. Aujourd’hui, chacun cultive son histoire, ses traditions, ses sols et ses initiatives. Pour exemple, dans les domaines Le temps fait tout et La Garance, des chevaux labourent le sol, nourris au foins cultivés sur place. Pour la seule commune de Montagnac, les Domaines Paul Mas, le Domaine de Campaucels et le Domaine de la Conseillère, font appel à des bergers locaux et proposent leurs vignes comme terrain de pâturage, un bon moyen écologique d’entretenir les terres. Les caves coopératives comme celles de l’Ormarine et les Caves Molière jouent également le jeu en proposant des vins en agriculture biologique. D’autres choisissent de produire des vins natures, sans sulfites, exigeant un savoir-faire précis et beaucoup de patience comme les Domaines Fontedicto et Stella Nova. Les domaines La Croix Gratiot ou la Font des Ormes ont choisi la culture biodynamique pour préserver et encourager l’écosystème. Les énergies, les cycles terrestres et lunaires, les matières végétales, animales ou minérales utilisées sont ici considérées comme intrinsèquement liées. Démarrer ces méthodes demande par ailleurs un investissement humain et financier conséquent pour les domaines et certains hésitent encore à se lancer dans l’aventure. Leur nombre augmente pourtant et témoigne d’une dynamique locale pleinement engagée pour son avenir. A découvrir le temps d’un parcours œnologique ludique et réjouissant. ...
C’est en 1935 que Fernande Gobert fonde À la Reine Astrid. Fervente admiratrice de la défunte princesse Astrid de Suède (Reine de Belgique à cette époque), Melle Gobert a été autorisée à donner à sa chocolaterie le nom de la Reine à une seule condition : l’excellence des chocolats. En 1975, elle laisse les rênes à Melle Granjean qui continuera à rendre hommage à la princesse à travers l’extrême qualité des chocolats. Reprise en 1998 par Geneviève Salomon, l’enseigne continue son essor à l’international. Puis, en 2012, arrive Christophe Bertrand. Au fil du temps, la réputée maison À la Reine Astrid a toujours su préserver la qualité prestigieuse de ses produits. Elle est désormais devenue une référence de la chocolaterie française. L’excellence travaillée dans l’éthique Désireuse de garantir la qualité et de construire celle-ci sur des valeurs responsables, la chocolaterie À la Reine Astrid privilégie le circuit court. Sauf pour le cacao certifié bio et équitable, dont une coopérative haïtienne est le fournisseur. « Ce qui compte quand nous achetons nos matières premières, c’est la qualité du produit et la proximité du fournisseur. Je préfère même me fournir chez des gens que je connais où une certaine éthique est assurée », déclare Christophe Bertrand. De la fève conjuguée aux talents du chef À la recherche de l’idéal chocolatier, À la Reine Astrid a choisi de rejoindre les rares fabricants qui font usage de la fève. Ce produit d’exception ne sera confié qu’aux mains du chef Nicolas Morin. Perfectionniste et passionné, ce dernier a passé une dizaine d’années chez la réputée Maison du chocolat à Paris. Son talent a d’ailleurs été récompensé par la médaille de bronze à la Coupe de France des jeunes chocolatiers confiseurs. Des petites douceurs au grand succès L’ultime perle des trésors chocolatiers de la marque À la Reine Astrid est le praliné. La particularité de ce chocolat est constituée de la note affirmée de la noisette et de l’amande. Et pour symboliser un évènement heureux avec douceur, l’enseigne propose la plaquette personnalisée, un produit faisant aussi honneur à la maison. « C'est une plaque de chocolat dans laquelle on ajoute des amandes, du raisin sec et du riz soufflé pour que cela croustille. Puis le message symbolique choisi par le client sera écrit dessus », explique Christophe Bertrand. Une belle idée de cadeau alliant gourmandise et raffinement. ...
Nature Gourmande est un restaurant à la table fine, connu pour sa cuisine tendance et gourmande à vocation gastronomique. Ses plats d’obédience française mais aussi ouverte sur le monde sont élaborés à partir de produits frais et de saison, soigneusement sélectionnés par le chef en personne… Des gages de qualité et de fraicheur; tant dis que Gwenaëlle prépare les pâtisseries, Pierre œuvre côté salé... chez Nature Gourmande tout est fait en cuisine hormis les glaces et le pain. Une cuisine fine et inventive Collaborant avec des producteurs locaux de la Drôme mais également de France, l’enseigne a bâti sa réputation sur l’excellence des produits et des fournisseurs sélectionnés. Nature Gourmande fait partie de ces adresses absolument à recommander à celles et à ceux qui souhaitent calmer petites fringales ou faims de loup, c’est selon... Blotti dans un cadre végétal et boisé..., le restaurant surprend par sa « formule menu-carte innovante, composée de 3 entrées, 2 poissons, 2 viandes et 3 desserts, où les clients ont la possibilité d’établir eux-mêmes leur menu », tient à préciser Pierre, chef et propriétaire. Dynamique et inventif, il propose 3 menus : le menu Découverte à 35 €, avec entrée-plat-dessert, avec un choix de poisson ou de viande ; le menu Gourmet à 44 €, avec entrée, poisson, viande et dessert ; et le menu Dégustation, un ensemble d’entrée, de poisson, de viande, de fromage et de dessert, établi par le chef et qui fait office de dégustation pour la table entière. Durant la saison hivernale, il est particulièrement réconfortant de savourer le menu « Truffe noire de la Drôme », un menu unique concocté avec le « diamant noir » de l’amuse-bouche jusqu’au dessert. Comme la carte des menus évolue tous les deux mois, les plats-signatures ne sont pas vraiment mis en exergue. Toutefois, on pourrait citer en automne une entrée à base de champignons en trompe l’œil, qu’on laisse aux clients le soin de découvrir à table, ou le foie gras travaillé de manière originale : Foie gras boule de neige, compotée de mangue au poivre de Sichuan, coco et petit pain mollet. ...
Située à Marsauceux, La Ferme Benoist est une ferme familiale qui propose des produits issus exclusivement de sa propre exploitation et de son élevage de volailles, ainsi que des produits transformés de façon artisanale. À ses débuts, Gabrilet Fillette et son épouse y fabriquaient du fromage Feuille de Dreux, une spécialité régionale en Eure-et-Loir. De fil en aiguille, l’exploitation familiale s’agrandit et se diversifie pour aujourd’hui atteindre la superficie de 220 hectares voués intégralement à l’agriculture raisonnée. Depuis 1920, elle a vu défiler quatre générations de gens passionnés du travail qui ont placé le goût des bonnes choses au-dessus de la productivité massive. Offrir une variété de choix Des fruits et légumes de saison, de la volaille nourrie avec les céréales de la ferme, des œufs frais, des jus, des confitures ainsi que des cidres et des gelées fabriqués sur place constituent la gamme principale de produits proposés par La Ferme Benoist. Dans cette belle sélection, la qualité est assurée par une démarche 100 % producteur, un engagement qui témoigne l’attachement des fermiers à leurs récoltes. « Tout est fait par nous-mêmes, en intégralité. Ceci est notre marque de fabrique», précise Charles BENOIST, l’initiateur et responsable du e-commerce. Menée selon les principes de l’agriculture raisonnée, La Ferme Benoist applique des méthodes respectueuses de l’environnement et du sol, qui consistent notamment à limiter l‘utilisation des intrants dans la terre et à équilibrer la rotation des cultures. Naturellement, les fruits et légumes de saison sont favorisés, pour obtenir une belle fraîcheur et un goût plus savoureux. Au passage, l’on navigue aussi entre les belles plantes à massif cultivées sous serre et mises en vente pendant la période de floraison. Quant aux produits de l’élevage, les poulets, les coquelets, les canes ainsi que les canards et pintades sont préparés à la main et commercialisés entiers ou en pièces découpées. Une sélection des plus belles viandes de l’Ouest parisien à l’instar des dindes, poulardes, oies ou chapons, est proposée pendant les périodes de fête de fin d’année pour honorer les demandes des clients. Vente en circuit court et livraison à domicile La proximité est sûrement l’un des avantages offerts par La Ferme Benoist. Les clients peuvent s’approvisionner directement auprès de la ferme pour avoir des produits de saison récoltés à la minute. Être plus proche de consommateurs locaux permet également d’appliquer des prix raisonnables tout en étant accessible pour satisfaire convenablement leurs besoins. En outre, le site propose aussi un service de livraison à domicile ou sur le lieu de travail, dans toute la France. Ce service respectant scrupuleusement la chaine du froid est possible grace au partenaire chronofresh. Des produits frais chez soi en un clic. ...
Propriété familiale depuis 4 générations, le domaine a été repris en 1994 par Pascal Perceval, l’actuel gérant. En perpétuelle quête de l’innovation, il élabore aujourd’hui 47 vins différents, dont son fameux vin des glaces. Un vigneron pas comme les autres Au sein de son domaine de 50 ha, Pascal Perceval fait dans l’exceptionnel. Tout en préservant les vins traditionnels comme la mondeuse, la roussette ou l’apremont, ce vigneron ne donne aucune limite à son imagination. Et il se livre à des expérimentations plutôt réussies. À en juger, par exemple, à son vin de glace, dont le moût a été congelé à 3 613 m d’altitude dans le massif du Mont-Blanc. Une fois dégelé, le précieux nectar devient plus concentré en arômes. La dernière trouvaille de Pascal Perceval est ce qu’il appelle les « vins des profondeurs ». Des vins vieillis une année dans le lac Léman, à 30 m de profondeur. Résultat : après un an de vieillissement, les vins en prennent 4 ! Une accélération naturelle qui donne ensuite des nectars plus gras et plus fruités. ...
Situé au sud-est de Saint-Émilion, le Château La Croix du Merle est né de la passion de Marien Negre, un amoureux de ses terres et un vigneron expert qui décide de reprendre les rênes du domaine en 2006. Son objectif est de faire de ce terroir une référence dans la production de vins authentiques. Un domaine prestigieux Le domaine possède un vignoble de 2 hectares, composé de plusieurs petites parcelles. Les vignes ont chacune leurs particularités et bénéficient d’un sol argilo-sableux au pied des coteaux. Ce type de sol est souvent sec, et très drainant, ce qui permet de limiter l’excès d’eau. Le terroir est cultivé en monocépage 100 % merlot. Il s’agit d’un cépage utilisé pour la réalisation d’un vin concentré et fruité (notes de cassis, fruits rouges bien mûrs), dans le but de le rendre plus souple et plus aromatique. Un vignoble récompensé « Le Saint-Émilion Grand Cru 2010 a gagné 2 étoiles au Guide Hachette des vins 2013. Il est issu d’un vignoble de 2 hectares établi sur un sol argilo-sableux qui permet de produire des vins colorés et corsés », explique Marien Negre. La fabrication de cet excellent vin commence avant tout par un tri sélectif et des vendanges manuelles. Après le broyage pour obtenir le moût, les raisins subissent ensuite une vinification en cuve bois tronconique inversée. Enfin, pendant environ 12 mois, ils sont élevés dans des barriques de chêne français neuf. « C’est un vin né d’un seul merlot, il est encore très jeune et a besoin de mûrir trois ou quatre années avant d’être dégusté », conseille Marien. Le Saint-Émilion Grand Cru charme l’œil par une robe d’un rubis brillant à reflet grenat dans sa jeunesse. Le nez est dominé par des notes de petits fruits rouges très concentrés et ce bouquet dégage un délicat arôme de vanille, de figue, de crème de griottes, de pruneau cuit et d’amande grillée. En bouche, la richesse aromatique du bouquet se retrouve au palais, les tanins sont très présents, les saveurs de cerise, de cassis et de sureau envahissent les papilles. Avec sa force et son élégance, ce vin peut être servi avec des viandes rouges ou blanches et légumes (secs, verts ou grillés), du gibier et champignons, des gratins jambon et fromage. ...
Champagne Lacroix est une exploitation viticole répartie sur un ensemble de terroirs autour de Montigny, formés de parcelles de vignes de 13 hectares. Sur ses coteaux donnant sur la vallée de la Marne, l’Aisne et la vallée de l’Ardre se développent les raisins cultivés dans le respect de la terre. Des champagnes à l’image de la région Vallée de la Marne Au centre des vallées champenoises, le terroir du Champagne Lacroix est propice à la culture du chardonnay, du pinot noir et du pinot meunier. D’où en ressortent des cuvées riches en arômes. Très présent sur le terroir, le pinot meunier domine dans les encépagements. Ce détail distingue les champagnes Lacroix et lui permet de produire des vins monocépages, à l’instar de la cuvée Anthony. Par sa robe aux reflets ambrés, son nez minéral associé à des arômes d’amandes fraîches et une bouche équilibrée, elle saura plaire aux épicuriens. La cuvée Brut Tradition fait office d’ambassadrice du terroir, car elle est constituée des trois cépages : 70 % de pinot Meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. En apéritif, elle sera le compagnon idéal. Autre fer de lance de la marque : la cuvée Grande Réserve, exhalant un nez floral pour un palais généreux et épicé, qui rappelle la pomme et le pain d’épice. Une exploitation viticole exemplaire Anthony Lacroix est très à cheval sur l’entretien de la vigne et l’élaboration du champagne. Respectueux de l’écosystème, il s’attache à faire valoir la viticulture raisonnée qu’il aime faire découvrir aux touristes lors des visites. La balade, durant laquelle une explication détaillée sur la cueillette manuelle, l’élevage et la vinification de raisin est prodiguée, se déroule au cœur du terroir. Une visite qui s’achève dans le bâtiment viticole ouvert en 2010 et accueillant le centre de pressurage moderne, les caves ainsi qu’une nouvelle cuverie. À savoir que la maison innove toujours dans les moyens techniques, afin d’améliorer la qualité de ses cuvées. L’emploi de cuves en inox permet par exemple d’obtenir des champagnes plus expressifs en finesse et en minéralité. ...
Lancée par d’anciens camarades de fac, l’enseigne Mets Vins apporte un vent de fraîcheur dans le concept de dégustation. Pas besoin de se déplacer pour goûter à un cru ou à une singularité gustative régionale. Une box, livrée chez soi chaque mois, et place à une profusion de découvertes gastronomiques et œnologiques des plus originales. Concentré de plaisirs du palais en box Un site Internet. Un onglet pour s’abonner. Un coffret d’épiceries fines assorties d’une bouteille de vin livré au domicile du client chaque mois. L’approche adoptée par Romain Palayret et consorts pour faire (re)-découvrir les finesses de notre terroir est d’une grande simplicité et d’une imparable efficacité. Le focus est mis sur une région différente à chaque livraison qui compte entre 3 et 5 colis d’épiceries fines : confits, épices, confiseries, condiments ou autres. Les accords mets & vins sont disponibles en deux versions : « Terroir français » et « l’Excellence ». « Entre 2 vins », coffret destiné aux amateurs de vins inclut plutôt, comme l’appellation le suggère, deux bouteilles différentes. La composition de ces fameux box découle d’un long travail d’exploration, de dégustation et de sélection des articles à inclure, parmi les offres des producteurs. Un guide Mets Vins en bonus Les paquets mensuels expédiés par Mets Vins incluent également un guide informatif. L’occasion d’en découvrir plus sur la région d’origine des produits, ses appellations, les caractéristiques organoleptiques du vin. Ce feuillet pédagogique inclut encore tout ce qu’il faut savoir sur le domaine dont est issu le cru ainsi que la description des épiceries fines et de leurs producteurs. ...
Du bœuf de Kobe, à l’agneau d’Irlande en passant par le porc Genevois, le chef suisse doublement étoilé au Domaine de Châteauvieux Philippe Chevrier attise les braises dans son steak house à l’américaine. Cet authentique grill à l’américaine situé en plein cœur de Genève, sur la célèbre rue du Rhône est un repère idéal pour les fins gourmets. Célébrée dans un décor époustouflant, la viande est au centre des saveurs gastronomiques. Un peu de New York à Genève Pour Philippe Chevrier, cuisinier genevois doublement étoilé, c’est un vieux rêve qui s’est réalisé, avec l’ouverture de ce grill en fin 2015, à Genève. Le chef multi-restaurateur qui a bâti sa réputation au domaine mythique de Châteauvieux a toujours été fasciné par New-York. Preuve en est, il s’y rend régulièrement depuis 1984 pour participer au marathon. Plus qu’une inspiration, il a ramené du pays de l’oncle Sam de nouvelles façons de savourer la cuisine. Sur deux immenses étages boisés au chic incontestable tout de briques et de poutres, de matières brutes et de gros volumes, le décor de Chez Philippe semble tout droit sorti des quartiers de Brooklyn. Très fréquenté, l’établissement propose un dyptique au charme certain. Au rez-de-chaussée, le bar, lounge et décontracté propose à la carte burger, salades et viandes. Idéal pour un verre entre amis ou un repas sur le pouce. Le petit plus pour un moment after work : un pianiste qui accompagne les moments culinaires dans une ambiance conviviale. La brasserie est ouverte 7 jours sur 7 et prend les dernières commandes à 23h. A l’étage, c’est la partie grill-restaurant qui se dévoile. Plus intimiste, cultivant l’élégance et le raffinement cosy. Un immense loft au plafond haut et au décor vitré accueille le visiteur. Dans une ambiance tamisée et un design épuré, les chefs de Chez Philippe mettent sur le feu une gastronomie tendre et juteuse. Le succès du restaurant repose en effet sur la grande variété de viandes proposées sur le grill. A la carte, vous trouverez une vingtaine de pièces de viandes cuisinées et réputées pour leurs qualités gustatives. On y trouve, entre autres, de l’agneau d’Irlande, du porc Suisse, du boeuf d’Australie et du bœuf de Kobe (japonais). De quoi satisfaire toutes les envies des gourmets. Des tranches de rêve dans l’assiette Comme toujours dans les établissements signés Philippe Chevrier, les produits locaux restent à l’honneur avec des viandes suisses d’exception. Gourmandes, les recettes que l’on retrouve aux tables sont toutes réalisées avec maîtrise et savoir-faire sur le grill. Les plus belles races de bœuf, maturées sur l'os pendant 3 à 5 semaines sont travaillées par les chefs sur la base d’une cuisson au bois de hêtre dont les vertus sont reconnues pour une cuisine plus saine et diététique mais protéinée. Chez Philippe, la viande est aussi sélectionnée sur des marchés d’excellence incontournable, nous dit-on. En témoigne une collaboration fidèle depuis l’ouverture de l’établissement avec la grande boucherie du Molard, une institution Genevoise incontournable depuis 1921. Un boucher est d’ailleurs présent le midi pour découper la viande sous l’œil des clients dans les règles de l’art. Loin de se confiner à l’art terrien, la cuisine prend aussi le grand large. Homards, crevettes, noix de Saint Jacques snackées et autre mets de la mer connaissent également l’épreuve du feu avant de rejoindre le bois somptueux des tables et du bar. Le restaurant propose également un joli banc d’huitres d’Oleron. Du côté des desserts, les clins d’œil à New York se multiplient avec l’Empire State Building, ce gros gâteau meringué, servi aux fruits exotiques l’été et aux fruits rouges l’hiver. Le Genève-New-York est aussi à la carte, une sorte Paris Brest revisité et rebaptisé, véritable gourmandise agrémentée de chocolat et de café. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...
Stéphane de Luze, propriétaire du Château de Briat où il produit ses Armagnacs, porte avec passion l’héritage familial dont il représente la 5ème génération. Sa vocation a recueillir les fruits de la terre, à les transcender pour en obtenir des Armagnacs authentiques, s’accompagne d’une autre volonté : accompagner le précieux élixir dans sa nouvelle et légitime ascension. Loin des grosses productions dont profitent d’autres alcools plus populaires, l’Armagnac préserve sa rareté, enfant prodige de petits producteurs ou du "Craft Spirit" depuis toujours Un véritable savoir-faire derrière des Armagnacs charismatiques Les vignes du domaine Pichon-Longueville s’étendent sur 8 hectares, où s’épanouissent des cépages de Baco, de Colombard ou de Folle Blanche. Ici, la production est délibérément limitée. L’agriculture est raisonnée et conjugue tradition et modernité. Un long travail de distillation, un élevage et un vieillissement en barrique de chêne Gascon dont les Armagnacs retiendront la couleur ambrée et une maturité exceptionnelle, donnent à ces bouteilles leur caractère unique, fin et puissant à la fois. Une eau de vie à savourer lors de précieux instants et dont le domaine vous confie la quintessence et le poème. ...
Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine. Mariage de régions et de saveurs « Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins. Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012. Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines. Un amour effréné pour la Bourgogne L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. » ...
L’hommage au Père Labat, de son vrai nom Jean-Baptiste Labat, est inévitable pour la famille Rameau, par son histoire qui a longtemps habité les Antilles. De son vivant, cet homme d’Église a contribué pleinement au développement de la culture de la canne à sucre, tout en modernisant les techniques de fabrication de l’eau-de-vie. Aujourd’hui encore, cette tradition et ce savoir-faire anciens font de la distillerie Poisson un incontournable du patrimoine historique antillais. Une exploitation digne des grands terroirs Chaque rhum a sa particularité, tant dans sa fabrication que pour son goût. À la distillerie Poisson, les soins apportés à la canne à sucre, matière première utilisée dans la fabrication du rhum, sont très importants. Sur un champ de 150 hectares, chaque plant est coupé à la main. Un travail de longue haleine et rare puisque « nous sommes les seuls à encore user de cette technique dans le monde » déclare avec fierté Jean-Cédric Brot, PDG de l’entreprise. S’en suit la transformation du jus de canne frais, par la fermentation qui va jusqu’à 72 heures. Durant le processus, notre interlocuteur nous fait savoir que « seule la levure boulangère est utilisée pour la fermentation ». Et lui de continuer « nous nous distinguons aussi pour nos colonnes à distiller en cuivre, ancien héritage du Père Labat, qui donnent un arôme puissant et authentique à l’eau-de-vie. » Du rhum authentique La distillerie Poisson fabrique plusieurs variétés de rhums : le rhum blanc agricole, le rhum doré, le rhum ambré, le rhum vieux… Chaque année, 300 000 bouteilles sortent de l’exploitation, dont 80 % sont directement dédiées à l’exportation. L’Europe reste le continent qui apprécie le plus le rhum traditionnel des Antilles, suivi par les Amériques et l’Asie. Pour Jean-Cédric Brot, le coup de cœur reste pour le rhum millésimé Père Labat 1997, « boisé et fruité en arôme et assez complexe en bouche », selon ses termes. Il cite également le rhum blanc 59° Père Labat, grand classique de Marie-Galante, souple et suave en bouche qui est en production limitée. Un dernier né, Le rhum soleil 59° et 55°, unique, légèrement boisé puisque séjourné 6 mois en foudre de chêne avant d’être mouillé puis embouteillé. Il nous informe également « qu’une nouveauté vient récemment de voir le jour : la liqueur Père Labat mint ». Elle est élaborée à partir de rhum agricole et de menthe et se boit très frais ! ...
Depuis 40 ans, L’Etale a réussi le pari de surprendre à chaque fois ses convives en proposant une cuisine traditionnelle alliant à merveille fraîcheur, goût et générosité. L'institution de Morzine L’Etale est un établissement familial qui s’est transmis d’une génération à l’autre. En 1977, les grands-parents avaient commencé par un restaurant et, aujourd’hui, c’est Vincent Baud, le petit-fils qui tient les rênes. Le restaurant n’a pas subi beaucoup de changements mais les gens l’apprécient justement pour cela. Ce côté authentique que les propriétaires ont su fièrement préserver. L’Etale c’est l’endroit où aiment se retrouver les morzinois, tout comme les vacanciers ou les saisonniers. Certains sont même devenus de grands habitués, voire des amis de la famille. Un client nous souligne que « L’Etale, c’est un endroit chaleureux et très animé ». Pour ceux qui viennent en groupe, pas de panique ! A L’Etale, il y a de la place pour tous : la plage horaire étendue et le service continu permettant de manger à toute heure dans la rue la plus animée de Morzine. Une vraie brasserie de montagne Malgré un débit très important, l’Etale met un point d’honneur sur la qualité des produits. La cuisine épluche, émulsionne, taille les légumes, poche, déglace, blanchit, poêle, goûte, dresse. Ils se plaisent à dire « A L’Etale on cuisine ! ». D’ailleurs, le fait maison est le maître mot, même pour les pâtisseries. Avec ce restaurant éclectique, vous pouvez y aller pour un repas sur le pouce le midi comme pour un festin tard le soir. Et bien évidemment, tous les budgets et les palais s’y retrouvent. C’est également démontré par la carte de vin éclectique de l’enseigne. Par ailleurs, L’Etale n’oublie pas les végétariens ni les intolérances au gluten. Ici, vous avez la possibilité de déguster une fondue ou pizza sans gluten, ce qui en ravira plus d’un. Les grands classiques français comme la soupe à l’oignon ou encore les escargots de Bourgogne sont bien évidemment sur la carte. Les viandes sont de qualité et d’une traçabilité irréprochable. Ce sont des viandes provenant des races Montbéliarde, Charolaise, Limousine ou comme la Black Angus d’Argentine et qui ont reçu le label Grass-fed, prouvant que les bovins ont été nourri exclusivement d’herbes. Les spécialités de fromages et de viandes sont également à la carte et proposées à volonté comme la potence qui est un produit phare de la maison, de la viande de bœuf flambée au whisky, le tout exécuté sous les yeux conquis des invités. Un voyage gustatif s’offre à vous grâce à des plats venus des quatre coins du monde que ce soit du Japon, d’Inde ou encore du Cambodge, et ceci au gré des envies et des inspirations du chef. En toute fin de soirée, le restaurant change souvent de visage, il devient alors très festif et régulièrement tout le monde finit par danser autour du bar. Le chef barman, est quant à lui un personnage charismatique, expert autant en mixologie qu’en chauffeur de salle. Vous l’aurez compris, l’Etale est l’endroit à ne pas louper sur Morzine. Ses maîtres mots sont Rapidité, Qualité, Authenticité et Convivialité. ...
Lieu propice aux escapades gourmandes, le restaurant dévoile de belles surprises culinaires qui valent réellement le déplacement. Ce restaurant bistronomique à la carte évolutive est une excellente adresse à découvrir et à recommander, avec un clin d’œil particulier pour le côté fraîcheur et la qualité des produits. Son cadre à l’ambiance raffinée, qui enchante les pupilles et les papilles, permet un plaisir toujours renouvelé. Sous une véranda qui présente une incroyable vue panoramique sur le village de Gordes et la vallée, le lieu laisse opérer sa magie. Le chef exécutif Antoine James ajoute sa touche personnelle aux belles compositions dont il est le seul à détenir le secret avec Marc de Passorio, chef étoilé signant la carte pour Alexandre Deshaies. Une signature très appréciée et facilement reconnaissable par les habitués. Avec une carte élaborée en collaboration avec le chef étoilé Marc de Passorio, l’établissement a de quoi satisfaire gourmands et gourmets. Tatin d’échalote confite au Châteauneuf du Pape, carré de cochon des Pyrénées Label Rouge, chariot de fromages accompagnée de mesclun et d’une confiture maison sont autant de délices à découvrir, sans parler de son chou à la crème mascarpone et noix torréfiées. Des saveurs de saison Proposée à 25 €, sa formule exclusive du midi comprend une entrée et un plat, ou un plat et un dessert. Pour le midi et le soir, le restaurant propose également un menu au nom évocateur à 32 €, qui change toutes les semaines en fonction des produits disponibles sur le marché, à savoir, le menu Retour du marché. Ayant plus d’un tour dans son sac, L’Esprit des Romarins dispose encore du menu Esprit à 45 €, sans parler de la carte et les suggestions de la semaine. Difficile de résister à son savoureux foie gras, réalisé avec du muscat Beaume de Venise, ou à son carré d’agneau les Comtes de Provence, un agneau 100 % provençal, travaillé au naturel avec tous les condiments et les aromates qu’on peut trouver en Provence. Au dessert, craquez pour son délicieux chocolat Weiss, un très bon chocolat fait comme un After Eight, qui n’est pas sans rappeler les After Eight préparés chaque saison par le chef pâtissier Simon Pacary de Marc de Passorio, mais accommodés à notre façon. ...
Tombés amoureux de la montagne, Monique et Luc Debroux, des hôteliers lillois, décident de venir dans le Sud en 2004. Ils acquièrent l'hôtel Carlit*** et recrutent une équipe composée de natifs de Font-Romeu. L'hôtel, se trouvant sur le plateau de Cerdagne en pays catalan dispose d'une vue panoramique sur la chaîne des Pyrénées. Il possède un restaurant traditionnel qui accueille clients, locaux et touristes de passage. Trois en un Le restaurant de l'hôtel a trois salles dont les thèmes diffèrent les uns des autres. La première se nomme Foc. Elle reflète les couleurs de la Catalogne et œuvre dans un esprit de brasserie. Elle peut recevoir une trentaine de personnes. La seconde est dénommée Capcir. Avec une décoration inspirée de la montagne, la salle affiche une prépondérance de bois. Elle ouvre ses portes à une cinquantaine de personnes. La salle principale est appelée Cerdagne. Grâce à son importante capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 140 couverts, elle est surtout dédiée aux banquets, soirées dansantes et réunions de groupe. De succulents plats de terroir catalan Le restaurant propose une variété de choix de plats aussi succulents les uns des autres. Les plus petits ne sont pas en reste puisqu’un menu enfant leur est servi, ce qui tombe à pic pour les déjeuners en famille. Une cuisine gourmande et sans chichi privilégiant les spécialités montagnardes est à l’honneur. Le restaurant éveille ainsi la gourmandise avec certains classiques comme la fondue, la raclette, la tartiflette ainsi que le camembert rôti. Pour le plaisir des papilles, le Burger du Roussillon enrichi d’un émincé de veau local et de tomme catalane fera le bonheur des épicuriens. Ces derniers se laisseront également tenter par l’imposante entrecôte de bœuf servie avec une sauce roquefort ou une sauce au poivre qui fait près de 300 g. Amateurs de pâtes ? La « Pasta party » se compose de toute une sélection de linguine, spaghetti ou tagliatelle préparée de milles et une façon. Belle situation en haute montagne Le paradis pyrénéen, à 1800 mètres d’altitude, est constitué par des villages qui abritent les stations de ski les plus modernes. Dans la commune de Font-Romeu se trouve un domaine skiable composé de 40 pistes, s'étendant sur 58 km et détenant 500 canons à neige. Les pistes de skis sont naturelles et associées aux espaces panoramiques. Outre le ski, le relief favorise plusieurs activités telles que les sorties en motoneige et les balades en chiens de traineaux, randonnées, VTT, accrobranche… Et suite aux randonnées ou glissades sur la poudreuse, la salle de remise en forme est disponible et offre l'accès au sauna, hammam, et jacuzzi, sans oublier le massage bien-être. ...
Les 5 hectares de vignes (50% Chardonnay, 30% Pinot noir, 20% Pinot Meunier) sont situés sur les coteaux du Sézannais. Une viticulture à Haute Valeur Environnementale En 2000, Marlène Delong reprend la maison de champagne créée par son père en 1966. Pour cette amoureuse de la nature, il est essentiel que ses champagnes lui ressemblent. Elle s’est donc engagée, avec Damien, dans une démarche respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Elle a tout naturellement supprimé des intrants, privilégié les engrais verts, utilisé des levures et bactéries naturelles pour conserver l’identité du terroir dans ses différentes cuvées. ...
Situé à la pointe du Cap Ferrat, entre Nice et Monaco, le restaurant le Cap étoilé au Guide Michelin attise la gourmandise des locaux ou touristes de passage à Saint-Jean Cap-Ferrat. Installé au rez-de-chaussée du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat, A Four Seasons Hotel, il séduit par sa décoration à la fois chic et épurée. Dès l’entrée, la salle dégage une ambiance chaleureuse et conviviale. L’authenticité dans toute sa splendeur se dévoile avec la magnifique fresque réalisée par l’artiste Michèle Letang en hommage aux œuvres de Jean Cocteau, un client fidèle du Grand Hôtel. Pour couronner le tout, l’éclat des lumières apporte une certaine douceur à l’ensemble. Durant les beaux jours, la terrasse surprend par sa vue imprenable sur le grand bleu et sur les ravissants jardins de l’établissement. Cet espace extérieur à l’ombre des pins centenaires accueille jusqu’à une quarantaine de personnes. Des chefs hors-pairs Depuis 2007, la notoriété de ce restaurant n’a pas cessé de croître. Pour cause, un chef créatif et méticuleux se trouve à la tête de la brigade : Didier Aniès. Doté de plusieurs années d’expériences auprès de très grands noms de la gastronomie française, il a réussi à imposer son nom et son empreinte dans le monde culinaire. Ainsi, il a remporté le titre du meilleur ouvrier de France en 2000. Entouré d’une équipe compétente et gagnante composée des meilleurs artisans cuisiniers, il est épaulé par le chef pâtissier de renommée qui vient ajouter son nom aux multiples talents que compte déjà le restaurant. En effet, Gaëtan Fiard qui a été sacré champion du monde des Arts Sucrés 2014 promet de faire voltiger les papilles avec des saveurs douces et recherchées. Une cuisine inventive Tout comme la décoration, la cuisine joue sur le ton du raffinement et de l’authenticité. Créative sans être exagérément complexe, elle met l’accent sur les produits d’exception qui ont été minutieusement sélectionnés auprès des marchés locaux. Outre le menu, le restaurant propose une carte riche en saveurs et en idées. Parmi les plats phares : Les Langoustines à peine Pochées à la Pomme Verte surprend par l’insolite mariage entre le Céleri Blanc Parfumé au Citron Vert et les Perles de Hareng fumé. De son côté, le savoureux Turbot Cuit à basse température, Salicorne accompagné de Girolles, Pois Chiches au Persil plat, et d'une réduction d’Agrumes au Poivre de Timut relève d’un grand art maitrisé mais discret. Côté viande, le Carré d’Agneau « Allaiton de l’Aveyron » au Romarin du Jardin, Gnocchi à la Betterave et Ricotta Safranée, Petits Pois satisfait toutes les gourmandises. Le repas s’achève sur une note rafraîchissante avec le Citron de Menton à l’Huile d’Olive. Pour accompagner le diner, une carte de vins expose la grande collection de l’établissement. Pas moins de 600 références y sont présentes dont principalement les bouteilles du Château d’Yquem (depuis 1854) et celles du Château Lafite Rothschild. Par ailleurs, les amateurs de vins pourront découvrir les plus grands crus du restaurant, jalousement exposés dans l'écrin du « Salon des collections ». ...
L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs. À la découverte de la cuisine méditerranéenne Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison. Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre. Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu. Qui dit bon repas dit bon vin En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas. L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône. ...
Au cœur du village de Bourgvilain, l’auberge Larochette séduit par son décor unique mais simple. A l’extérieur, la façade artistiquement dressée attire instinctivement le regard des passants. Durant les beaux jours, la terrasse ombragée et fleurie permet de profiter pleinement de la beauté du paysage et de s’imprégner à l’atmosphère de la région. En rouge et crème, l’intérieur de l’auberge reflète le parfait équilibre entre le luxe et la simplicité. Les meubles anciens réaffirment le côté « vieille auberge » de l’établissement tandis que les objets de décoration contemporaine, signés Faïencerie de Charolles, témoignent de l’esprit jeune et moderne de ses nouveaux propriétaires, Céline Becker et Nicolas Guillaume. Dotés d’un esprit artistique, ils exposent plusieurs toiles de Marie Ecochard et de Thedy sur les murs, pour le grand plaisir des passionnés d’art. Et pour couronner le tout, la bougie allumée sur chaque table et le feu qui crépite de la cheminée apportent une touche chic & cosy à l’ensemble. Une symphonie culinaire Depuis une centaine d’années, l’auberge Larochette est un lieu emblématique de la ville de Bourgvilain. Aujourd’hui encore, l’auberge continue à maintenir les valeurs qui ont fait sa fierté : une cuisine gourmande dans un cadre chaleureux. En cuisine, le chef Nicolas fait preuve de justesse et propose des plats à la fois traditionnels et créatifs. Les convives auront le choix entre trois menus différents selon leurs envies en plus d’un menu du jour servi tous les midis et constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. Avec le menu tradition, ils redécouvriront le goût authentique des produits fermiers du terroir grâce aux plats simples et savoureux préparés avec passion par le chef. A l’honneur : une salade de pomme de terre, maquereau fumé maison accompagné de roquette suivi d’un suprême de poulet, déclinaison de patate douce, jus de poulet au miel de pissenlit et baies de Goji. Avec le menu du terroir charolais, ils pourront déguster aux plats phares de l’auberge comme l’entrecôte charolaise juste poêlée accompagnée d’un gratin dauphinois ou encore, en dessert, le fameux soufflé chaud aux fruits de la passion. Dans le menu gourmand, le chef les invite à découvrir des plats semi-gastronomiques et raffinés comme la mousse légère de crustacé accompagnée d’un crabe royal en salade et d’un espuma d’avocat ou encore du Rouget barbet doré aux poireaux, accompagné d’une soupe de poissons. Dans les assiettes, le chef cherche surtout à exposer le goût et les saveurs en laissant les produits s’exprimer. Et pour assurer la qualité de ses créations culinaires, il se montre particulièrement exigeant sur le choix des produits qu’il utilise et s’approvisionne autant que possible auprès des producteurs locaux. Par ailleurs, il veille à ce que chaque plat s’accorde avec la bonne collection de vins, régionaux et venus d’ailleurs, de l’établissement. D’ailleurs, les convives pourront même choisir deux ou trois bouteilles en même temps puisque la carte propose des vins en demi-bouteille. Un talent à découvrir Du haut de ses trente ans, le chef Nicolas fait preuve d’une grande maturité. A la tête de l’auberge depuis janvier 2015 avec sa compagne Céline, il s’est rapidement démarqué et s’est bâti une très bonne réputation qui grandit à une vive allure. D’ailleurs, moins de douze mois après son ouverture, l’auberge Larochette a obtenu son bib gourmand et sa fourchette auprès du Guide Michelin. Pour Nicolas, la cuisine est avant tout une passion. En quête de l’excellence, il ne cesse de se réinventer et de tester de nouvelles saveurs pour emmener ses convives vers un voyage culinaire inédit. ...
La marque Batisse Lancelot a été lancée dans les années 1970 au temps des parents de Guillaume Batisse, première génération de la famille à travailler les vignes et à élaborer du champagne. Les cuvées phares En quatre générations, la maison a su se démarquer à travers des cuvées comme « Prestige » et « Brut Rosé ». Tandis que l’une révèle l’équilibre parfait entre chardonnay et pinot noir, l’autre séduira les papilles avec ses arômes intensément fruités. ...
2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...
Entre les Brocard et les vins se cachent une véritable histoire d’amour. La grande aventure familiale a commencé en 1973, lorsque Jean-Marc Brocard rencontre son épouse, descendante d’une lignée séculaire de vignerons de Saint-Bris-le-Vineux qui partage avec lui une passion effrénée pour le vin. Le destin de Jean-Marc change radicalement lorsqu’il se rapproche de Louis Petit, un grand virtuose des vins qui l’initie dans l’art de manipuler la vigne comme il se doit, avec patience et respect. Ainsi motivé, Jean-Marc Brocard devient viticulteur et installe son domaine au cœur du vignoble, à Préhy (Yonne). Son fils Julien, ayant grandi au rythme de la vigne, se laisse séduire par le métier de vigneron à partir de 1995. Ce dernier étant passionné par la biodynamie, il décide d’insuffler un nouvel élan à la production en misant sur un mode cultural qui respecte la Nature. Le terroir de prédilection du chardonnay La maison Brocard a choisi de travailler en monocépage. L’heureux élu est le chardonnay, une variété tout à fait caractéristique de l’appellation Chablis. Aujourd’hui, ce cépage règne en maitre absolu sur 200 ha de sol argilo-calcaire. À noter que le chablis est un vignoble de bassin sédimentaire, c’est-à-dire une terre riche en matières et dont le sous-sol est constitué du fameux kimméridgien. Cet étage géologique datant du Jurassique supérieur est notamment composé de couches de marnes et de calcaires qui forgent tout le caractère des vins chablisiens. Ainsi, le chablis fait partie des rares vignobles d’appellation à pouvoir vanter expressément son identité géologique. Et pour les Brocard, se trouver sur un tel terroir ne peut être qu’une fierté. Qui dit « terroir exceptionnel » dit « traitement exceptionnel ». Julien Brocard insiste sur la contribution de l’agriculture biologique et de la biodynamie dans la qualité de ses vins : « Ces méthodes culturales nous conduisent à pratiquer une vinification naturelle. Ainsi, nous n’utilisons que des levures indigènes et laissons place à une fermentation spontanée pour obtenir des vins d’une harmonie optimale. » Les ambassadeurs de la maison Précision, force et fraicheur… Ces trois mots résument le style de production de la maison. Soit, tout ce que représente la cuvée « Sainte Claire ». Au-delà de ses arômes et de ses notes fraiches, caractéristiques du terroir, ce vin raconte une histoire. Son nom rend hommage à l’église voisine du domaine, autour de laquelle se sont enracinées les premières vignes de Jean-Marc Brocard. La cuvée « Montée de Tonnerre » quant à elle, est un emblème par excellence de l’AOC Chablis. « C’est un Premier Cru qui nous tient particulièrement à cœur et qui, d’autant plus, est très apprécié des amateurs de chablis », déclare fièrement notre interlocuteur. Idéal pour une longue garde, le vin en question séduit par ses arômes d’agrumes légèrement épicés et ses délicieuses notes toastées. Enfin, il est impératif de faire mention de « La Boissonneuse », le premier chablis conduit en biodynamie. Cette cuvée symbolise 20 ans de travaux acharnés dans le respect de l’environnement. « Des pratiques culturales entièrement saines qui vont vitaliser la terre et la vigne, afin de donner naissance à un vin naturellement exquis. » Découvrir le domaine Le cadre a tout pour plaire : un domaine, des vignes et une église du XVe siècle qui offre un beau panorama sur l’ensemble du vignoble chablisien. Quand des visiteurs viennent au domaine, les Brocard et leur équipe professionnelle se font un plaisir de les accueillir le temps d’une halte œnotouristique. Au programme : tour du vignoble à pied ou en gyropode, dégustation et déjeuner au domaine… Les œnophiles peuvent également acquérir quelques produits dans les boutiques de vente. Par ailleurs, une salle de réception est mise à disposition des clients désireux de fêter une occasion spéciale dans l’ambiance chablisienne. Les prof...
Winetailors a été créé en 2013 par Alexandre Chevrollier. Ce spécialiste dans la sélection, la commercialisation et la distribution du vin a fondé ce réseau pour répondre aux différentes problématiques rencontrées par les agents commerciaux ainsi que par les professionnels du vin et de la restauration. Un réseau d’agents indépendants Winetailors est un réseau d’agents commerciaux spécialisés dans la distribution et la revente des vins sélectionnés et destinés pour les restaurants, cavistes, hôtels et cafés. La structure s’est fixée deux objectifs. D’une part, apporter aux agents un soutien en matière de sélection, distribution, logistique, administratif et formation. D’autre part, accompagner l’approvisionnement et la vente auprès des professionnels du vin. Le réseau compte actuellement plus d’une cinquantaine d’agents commerciaux. Il propose jusqu’à 800 références issues de vignerons talentueux et reconnus pour leur savoir-faire. Du côté des restaurateurs, les avantages se bousculent. A travers son expérience éprouvée, Winetailors suggère une offre de vins sur mesure adaptée aussi bien au type de cuisine de l’établissement qu’aux envies des consommateurs. Dans la foulée, Winetailors s’engage dans la formation du personnel des restaurants, qui sera principalement orientée sur la vente des vins. Le réseau prend également en charge la promotion et l’animation des produits au niveau des restaurants. Enfin, les CHR peuvent s’affranchir de toute contrainte de volume, puisque le réseau leur offre une solution logistique à travers une livraison panachée des vins sélectionnés. YoW, une plateforme développée et pensée pour les agents commerciaux Toujours en quête d’innovation, Winetailors a développé une plateforme de vente qui réunit l’ensemble des outils ayant contribué jusque-là à sa réussite. Cette solution, dénommée YoW pour « Your own Winetailors », s’adresse essentiellement aux agents commerciaux disposant d’un portefeuille actif de vignerons. « Nous sommes les premiers en France à proposer cette solution », souligne fièrement Alexandre Chevrollier, le fondateur. YoW comprend une logistique personnalisée permettant, par exemple, aux agents affiliés d’intégrer les cuvées de leurs vignerons directement sur la plateforme. « Lorsque l’agent accède à son portail, il a à sa disposition la totalité de son catalogue vigneron et, à partir de là, il peut présenter les vins auprès de sa clientèle », rapporte notre interlocuteur. En ce qui concerne les commandes, la plateforme simplifie au maximum le travail des agents. L’outil leur donne en effet la possibilité de regrouper l’achat de vins effectué chez différents vignerons en une seule et unique commande. « Cela représente un gain de temps considérable car, en plus, l’agent n’a plus à se soucier ni de la livraison ni de la facturation. » La livraison s’effectue sous 72 heures dans toute la France. Mais YoW, c’est aussi un logiciel de vente (coup de cœur du trophée Œnovation 2014) et un back-office qui donnent un sérieux coup de pouce aux agents : accès aux sélections Winetailors depuis le logiciel, assistance quotidienne dans la gestion des commandes et règlements des clients… En utilisant cette solution, les membres du réseau profitent de nombreux outils qui vont les aider à obtenir un résultat optimal. Ils ont accès à des statistiques de vente et des tableaux de bord pour gérer leur développement. Ils ont également un accès au module de formation des clients, à des cartes de visite Winetailors. Et bien plus encore ! ...