Implanté à Vandières, sur les coteaux sud de la Marne, à 20 kilomètres d’Épernay et 40 kilomètres de Reims, le domaine Ardinat-Faust est constitué de 8,05 hectares de vignes implantées sur un sol argilocalcaire. Héritier des familles Simon, Dumont et Faust depuis 1972, José Ardinat a développé une grande passion pour cette activité, même s’il nous fait l’aveu « qu’au départ, ce n’était pas mon métier de prédilection ». Les parcelles qu’il entretient aujourd’hui sont cultivées des trois cépages à hauteur de 1,10 hectare de Chardonnay, 1,10 hectare de pinot noir et le reste en pinot meunier. Une grande collaboration avec mère Nature Depuis l’époque de Serge Faust, en 1968, qui fût l’un des premiers précurseurs d’une viticulture au « naturel », la maison est restée dans des traitements raisonnés malgré le boom des produits chimiques dans les années 60. Ferme dans cette démarche sans pesticide et bio depuis 1971, elle ne fait usage d’aucun produit chimique ou de synthèse dans son vignoble, pour préserver l’écosystème et renforcer le système immunitaire des vignes. Contrôlé par Ecocert depuis 1995, le domaine est également membre de la fédération de consommateurs et de producteurs Nature et progrès, prônant des approches biologiques et durables dans la biodiversité. Des bulles tout en finesse Le domaine assure une production annuelle d’environ 65 000 bouteilles, commercialisées essentiellement auprès des particuliers. Une grande partie est également exportée aux USA, au Japon, en Italie ou en Australie. Bien qu’elle soit associée au prestige, la marque de champagne Ardinat-Faust « veut rester parfaitement accessible, avec des prix moyens, comme le souhaitait mon grand-père », raconte Christophe Ardinat. « Le champagne bio n’est pas l’apanage de l’élite ; il est dédié à tous. » La cuvée Carte d’or élaborée de pinot meunier est l’ambassadrice de la maison, et émerveille les œnophiles par sa jolie robe patinée et ses arômes à diverses expressions. La cave recèle d’autres bijoux, comme la cuvée Spéciale à base de chardonnay et de pinot noir, qui plaît pour son effervescente élégance. ...
2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...
Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse. Ancien point relais de diligence Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône. Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin… Pour le plaisir des papilles Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …). ...
Le restaurant est situé dans la partie la plus ancienne de cette demeure princière aux magnifiques plafonds de cèdre sculpté. Plusieurs suspensions de cuivre en forme de gouttes d’eau finement travaillées laissent filtrer une lumière tamisée qui diffuse ses arabesques sur les murs ancestraux. Dès que le soleil apparaît le restaurant prend ses aises et se répand sur la grande terrasse qui ouvre sur la piscine et son grand jardin luxuriant. A chaque moment de la journée « Les Jardins de la Médina » offre l’occasion d’une expérience gastronomique unique et constamment renouvelée. Petit-déjeuner, réveillez vos papilles ! Chaque matin, le buffet des Jardins de la Médina est un moment privilégié à partager en famille ou entre amis. Des baguettes chaudes et croustillantes, des viennoiseries à peine sorties du four, des fruits de saison, des jus de fruits frais, des confitures maison, des crèpes marocaines (msemmens, beghrir), des œufs sous toutes les formes possibles, du fromage, du jambon, du saumon … Le petit-déjeuner des Jardins de la Médina est un régal pour les papilles et un plaisir pour les yeux. L’occasion de charger les batteries avant une journée bien remplie à la découverte des trésors cachés de Marrakech. Le déjeuner, la pause gourmande Au retour d’une excursion dans les environs de Marrakech ou d’une balade shopping dans les souks accordez-vous une pause gourmande sur la terrasse au bord de la piscine, à l’ombre du Jacaranda centenaire et savourez une salade d’araignée au guacamole et sorbet d’avocat, un tagine du moment ou plus simplement un tartare de veau préparé et épicé juste comme vous l’aimez. Le dîner, un voyage initiatique et romantique, un métissage des saveurs Soyez les bienvenus dans le salon de cette ancienne demeure princière transformé en un restaurant chaleureux et romantique. A la lumière des bougies et des suspensions en cuivre ciselé découvrez la nouvelle carte du dîner imaginée par la cheffe Sana Gamas. Ici la tradition se conjugue au présent et le savoir faire culinaire marocain s’ouvre sur le monde. La harira, soupe traditionnelle du ramadan, côtoie la tempura de crevettes parfumées à l’huile d’argan. La mourouzia de Fès au jarret de veau parfumé au raz el hanout vous fait hésiter avec un dos de cabillaud poché en mille feuilles de pommes de terre. Laissez vous guider par tous vos sens et faites vous une raison : Il vous faudra rester au moins une semaine aux Jardins de la Médina pour goûter à tous ces merveilleux plats. Des évènements incontournables « Les Jardins de la Medina » organise des évènements réguliers devenus incontournables. C’est le cas notamment du désormais traditionnel brunch qui se déroule chaque dimanche de 12 à 16 heures. Le brunch est imaginé et réalisé autour d’un thème différent chaque semaine : Brunch de la mer, brunch asiatique, espagnol ou breton … La surprise et la variété des plats sont chaque fois au rendez-vous. Les mélomanes sont également comblés. Grâce notamment, aux jeudis musicaux : Jalal et Jamal, guitariste et violoniste vous invitent chaque jeudi de 20 h à 23 h à une soirée endiablée et joyeuse aux rythmes d’une musique arabo-andalouse rythmée et irrésistible. Avec sa voie chaude, sensuelle et profonde la chanteuse libérienne Linda Johnson enchante les soirées du restaurant avec un répertoire inédit de musique black, soul, reggae et jazz. Elle se produit aux Jardins de la Médina le 7 avril, 21 avril et 5 mai 2018 de 20 h à 23 h. ...
Après plusieurs expériences réussies dans la restauration notamment dans de nombreux restaurants indiens, Julia et Sanjeev Kumar ont choisi de s’installer à Vannes. Ce sympathique couple de restaurateurs accueille ses convives du mardi au dimanche soir, dans son nouveau restaurant indien Les Saveurs de l’Inde, situé rue Thiers. L’établissement séduit par l’authenticité des goûts et les senteurs de ses plats, en plus d’offrir un cadre chaleureux et une fourchette de prix plus que raisonnable avec « un ticket moyen abordable de 16 à 20 € par personne », nous souffle-t-on. Familles, couples et groupes d’amis aiment s’y retrouver pour partager un repas en toute convivialité. Une authentique cuisine indienne Aux Saveurs de l’Inde, « c’est surtout les plats du Nord et la cuisine traditionnelle indienne avec des plats végétariens et d’autres avec de la viande », décrit Julia Kumar. Pour conserver la nature des aliments et en relever le goût, les produits et épices utilisés en cuisine (riz basmati, principales épices…) sont pour la plupart « directement importés de l’Inde », tient-elle à préciser, avec toutefois quelques infimes produits du marché, mais toujours préparés selon les principes de la tradition indienne. Les plats de viande sont majoritairement composés de poulet et d’agneau, mais on y sert aussi des fruits de mer. Avec ses 7 plats végétariens et ses formules pour végétaliens, Les Saveurs de l’Inde accordent toutefois une attention particulière à tous ceux qui ne sont pas friands de viande. Une carte des desserts variée La carte des desserts du restaurant est aussi riche que rafraichissante, avec un large choix de mangomastani, de coupes maharani à la mangue fraiche (la spécialité de la maison), de glaces maison aux pistaches (kulfi) et de gajarhalua (gâteau de carotte au cœur d’amande)… Un vrai délice pour les palais. Le restaurant propose également une longue liste de délicieuses boissons atypiques de l’Inde pour accompagner idéalement les repas, allant d’une ribambelle de thés variés aux liqueurs de mangue, en passant par des bières et vins d’origine indienne, particulièrement appréciés des clients. L’art de la culture indienne en tableaux Le restaurant Les Saveurs de l’Inde aime aussi faire découvrir à ses clients et visiteurs de passage la beauté de la culture indienne et ses particularités. Pendant deux mois ont été exposés des tableaux de peinture inspirés de la culture indienne (mandalas) et autres œuvres photographiques de la talentueuse Yona Colette Pruvot, une artiste locale et professionnelle de la danse traditionnelle indienne. Un évènement qui a particulièrement marqué les esprits par son originalité et son authenticité. ...
A déguster aussi bien sur les tables du restaurant Jules Vernes que ceux de Guy Savoie, les vins du vigneron Laurent Habrard se déclinent sous les appellations Crozes-Hermittage, Hermitage et Saint-Joseph. Cultivé sur des côteaux de granit, de LOESS et d’un peu d’argile, les vignes apportent des fruits qui font la particularité de la production. Pour la petite anecdote, l’une des parcelles du vignoble jouit d’un ascendant bien connu. En effet, la parcelle Hermitage a été achetée au gendre du général de Gaulle, Alain de Boissieu. Ces vignes vendangées à la main sont gérées par Laurent Habrard depuis 1998. Issu d’une famille de viticulteurs, il représente déjà la cinquième génération de la famille à travailler le vin. Ce vin dont certains sont vieillis en fûts quand d’autres sont vieillis dans des cuves de béton et d’inox. Une démarche complète et globale pour l’environnement Depuis 2008, les vins du domaine Laurent Habrard sont labellisés « Bio ». Une démarche soutenue depuis déjà longtemps en faveur de l’environnement associée à des méthodes de production sans sulfites notamment pour les vins rouges. Mais l’engagement du domaine ne s’arrête pas là. Afin d’adopter une démarche plus complète et globale, le domaine s’est associé à l’Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS). A travers cette association, le domaine souhaite tel que l’explique Laurent « remercier la nature de donner des récoltes ». Et cela en faisant un don de 25 000€, récupéré sur l’ensemble des ventes des cuvées de vin rosé de l’année passée. Grâce à différents dons, l’ASPAS achète du foncier pour ensuite le mettre sous cloche et laisser la nature reprendre seule ses droits. Grâce au domaine Laurent Habrard et sa contribution, ce sont 16 ha de réserve de vie sauvage qui vont être établies. ...
Ancien expatrié spécialisé dans l’export, Fabien Bonabaud s’engage dans une reconversion professionnelle à partir de 2017 en rachetant le Château Gauthier. Ce changement de carrière a finalement été tout naturel pour ce néo-vigneron qui a grandi dans une famille amatrice de vins. « J’ai monté ce projet avec mon père, mais il est malheureusement décédé. Poursuivre ce rêve familial est une manière de lui rendre hommage », explique-t-il. Au cœur d’un domaine vallonné, les vignes s’épanouissent dans un environnement naturel et préservé entre forêts, ruisseaux et paturages pour les chevaux. Sur ce terroir à dominante de sables et de petites graves, le merlot, le cabernet sauvignon ainsi que le cabernet franc se révèlent dans leur plus belle expression. Le vigneron envisage également de replanter certains cépages rares bordelais à l’instar du malbec, du carmenere et du petit verdot, qui sont très présents au Chili et qui font écho à sa jeunesse passée dans le pays. Des vins fruités, aromatiques et accessibles À travers son projet, Fabien Bonabaud a tenu à adopter une démarche éco-responsable en bannissant les fongicides, pesticides et autres herbicides et en réduisant l’impact environnemental dans toute sa chaîne de valeur de la vigne au verre. Certifié HVE 3 en 2019, le domaine s’engage dans une conversion bio en 2021. Cette démarche écologiquement durable aboutit à des vins réputés pour leur élégance et leur buvabilité en appellation Blaye-côtes-de-bordeaux. Le Château Gauthier est l’une des fiertés de la maison. La cuvée historique issue d’un minutieux assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon s’illustre pour son caractère très aromatique, ses saveurs de petits fruits noirs et ses tanins présents, mais fondus. À déguster idéalement avec des plats en sauce, des pâtes, de la viande blanche, du pavé de thon ou du risotto. La cuvée Nézereau se veut quant à elle plus fraîche et expressive. Ample et fruité en bouche, ce vin rehausse à merveille les saveurs des viandes rôties, braisées ou barbecues, les poissons gras ainsi que les plats végétariens. ...
Ce bar-restaurant est un lieu d’exception qui met particulièrement à l’honneur la Bellerose, une bière fabriquée par la Brasserie des Sources. Mais un large éventail de bières est à découvrir : des bières à la pression, des bières artisanales (craft beers) sans cesse renouvelées, à la pression, en bouteille ou même en édition limitée. Elles vous feront incontestablement voyager puisqu’elles sont produites dans le monde entier (Etats-Unis, Ecosse, Pays-Bas, Autriche, Japon, …). Vous n’avez pas fini de vous rendre au Bellerose si vous voulez explorer l’ensemble de la palette de bières que l’établissement propose.Côté restauration, le Bellerose s’est spécialisé dans la confection de burgers gourmets originaux à partir de produits frais de qualité. Tous les burgers sont préparés spécialement pour vous, à la minute, avec une parfaite cuisson de la viande.En cuisine, une équipe de 4 cuisiniers unis par leur goût pour la Street Food offrent un univers culinaire assez varié. Ils travaillent leurs burgers au gré de leurs envies pour proposer de nouvelles recettes qui s’ajoutent à ceux de la carte permanente.En consultant celle-ci, vous aurez peut-être envie de vous régaler d’un burger Little Italia avec pain ciabatta, cheddar, steak, speck, oignons frits, salade roquette et tomates confites, agrémenté d’une sauce moutarde. Le "Oh my goat" avec steak, chèvre, miel, oignons frits, bacon, salade et tomate, est aussi très apprécié.Si vous êtes végétarien, pas de souci, venez savourer le Veggie avec son bun boulanger, steak de mozzarella panée, tomate fraiche, roquette, tomates confites, sublimé par une sauce basilic.Ici tout est prévu pour les gros mangeurs puisque vous pouvez demander un burger avec un, deux ou trois steaks. Et les indécis choisiront plutôt le duo de mini-burgers.Toutes les assiettes sont préparées avec soin, toujours servies avec des frites et de la salade. Les desserts sont également faits maison, vous pourrez par exemple vous régaler avec un cheesecake.Pour le midi, vous pouvez déguster le burger du jour accompagné d’une bière Bellerose pour seulement 12 euros.Si vous venez entre amis, partagez quelques mix tapas (Guacamole, onion rings, beignets de calamar et chicken wings ) sans oublier de commander votre bière préférée.Sa salle tout en longueur est partagée entre bar et restaurant. La décoration privilégie une ambiance industrielle et vintage avec des tables en bois noir et des tabourets. De la bonne musique en fond sonore, une lumière tamisée, un accueil sympathique et chaleureux, des bières de qualité, des burgers gourmands, tous les ingrédients sont réunis pour passer un moment convivial....
Implantée à Sallèles-d’Aude, un village situé au sud de la France, en Occitanie, l’entreprise s’est spécialisée au début dans le conditionnement de vin. Aujourd’hui, elle change de cap en devenant experte dans la négoce de produits finis. Cette activité prospère se base sur un partenariat solide avec les producteurs locaux qui fournissent, entre autres, les ingrédients essentiels pour faire le vin. Il revient aux experts de CVS d’assembler et élever les cuvées pour finalement les commercialiser en produits finis. La qualité à tous les niveaux Les vins de CVS, baptisés sous la marque Princeps, sont élaborés à partir d’ingrédients de qualité achetés auprès de producteurs de la région. À cela s’ajoute un soigneux savoir-faire consistant à assembler et à élever les élixirs. Antoine Depoizier, responsable commercial, nous parle de « techniques d'assemblage sur mesure propres à CVS » qui attribuent un fort caractère aux vins. Les nectars en question représentent notamment les appellations du Languedoc-Roussillon, à savoir l’IGP Oc et l’AOP Corbières. ...
Ici, on entretient un lien filial avec la terre. Maurice Vesselle, fondateur du lieu en 1955, y consacre sa vie, avant de passer le flambeau à Didier et Thierry, ses deux fils. « C’était un personnage, un tempérament », raconte l’un d’eux dans un sourire. Aujourd’hui, les deux frères entretiennent un précieux savoir-faire et travaillent le vignoble comme autrefois. Ils buttent, déchaussent, à l’écoute des humeurs de la vigne. Grâce à ces pratiques, le domaine figure parmi les premiers en France a avoir été certifié Haute Valeur Environnementale. L’élevage, sans fermentation malolactique, leur permet en plus de garder longtemps les bouteilles en cave et de préserver arômes et fraicheur. Cette patience vaut la réputation de Millésimes largement récompensés. Des champagnes de caractère Un sol profitant de calcaire confie aux Champagnes Vesselle des notes légèrement iodées et une noble longueur. Le Pinot noir leur confère rondeur et puissance tandis que le Chardonnay y ajoute sa touche de fraîcheur pétillante. La Maison produit aussi un rare Bouzy rouge Champenois, lui-même issu d’une longue tradition, née bien avant de voir apparaître les premières bulles de Champagne. Au domaine Maurice Vesselle, « c’est le raisin qui fait le vin », résume t-on humblement. A cela, nous ajouterons volontiers: et l’authenticité de leurs vignerons. ...
Dans le Var, entre Lorgues et Le Thoronet, se dévoile un des plus anciens domaines viticoles de la Provence. Le Château La Martinette, blotti au cœur d’une nature luxuriante, invite à la découverte de vins de plaisir et équilibrés. À déguster : ses côtes-de-provence, qui sont produits sur ses 45 hectares de vignes. Un terroir d’exception, de précieux cépages Au Château La Martinette se développent, sur un sol argilo-calcaire, divers cépages dont ceux, traditionnels de la Provence comme le grenache, le cinsault, la syrah, le rolle, le cabernet-sauvignon et même le tibouren, qui « est un cépage un peu oublié et difficile à travailler, mais typique de la Provence et que le domaine a voulu reprendre », précise Sarah Idrissi Lorin, responsable marketing et communication. Ces précieux cépages prospèrent dans un environnement naturel unique de 350 hectares, traversé par l’Argens, fleuve provençal, et bordé de végétation typique comme les oliviers ou les lavandes... D’ailleurs, grâce à ses 1 400 pieds d’olivier, la maison produit de l'huile selon la méthode traditionnelle et actuelle. Le domaine propose également du miel et exploite un verger-potager. Le domaine cherche à tout prix à préserver ce magnifique cadre. « Notre credo est d’être au plus proche de la nature. La démarche philosophique de proposer des produits biologiques existe depuis 2012. Contrôlé depuis 2017, nous sommes actuellement en conversion biologique dans la perspective d'obtenir notre certification en 2020 », souligne Sara Idrissi Lorin. Le domaine met ainsi tout en œuvre pour tirer le meilleur des raisins en optant pour des vendanges et des tris à la main et en adoptant un travail par gravité. Des vins auréolés de récompenses Le Château La Martinette se distingue par ses rosés (de 75 à 80 % de la production), et notamment le « Reflets d’Argens » 2015. Issu des plus vieux et plus beaux cépages de grenache, de cinsault et de rolle, ce vin dont le nom se réfère au fleuve traversant tout le domaine, reflète bien l’identité de ce dernier : « Il exprime à la fois l’audace avec laquelle nous travaillons le raisin et notre exigence de qualité », indique Sarah Idrissi Lorin. Cependant, le domaine ne se cantonne pas au rosé. « Nous tenons à développer nos gammes de rouges et de blancs », fait remarquer notre interlocutrice. Pour l’heure, le Château La Martinette propose déjà 9 cuvées réparties en 3 gammes : « Rollier », pour les adeptes de la fraicheur ; « Parcellaire », magnifiant le terroir ; et « Château », signature du domaine. Le succès de ces vins est tel qu’ils ont été auréolés de plusieurs récompenses, en plus d’avoir depuis longtemps traversé les frontières françaises. Ils sont présents en Russie, en Belgique, à Hong Kong et au Québec. Le Château rouge 2016 s’est vu attribuer 2 étoiles et un coup de cœur par le Guide Hachette 2019. La cuvée Haut de gamme en blanc « Clos blanc 2014 » fait l'objet d'un coup de coeur du guide de référence Bettane et Desseauve. Par ailleurs, au concours des Vins de Provence, des médailles d'or ont été décernées à La Grande Pièce et au Rollier Rosé. ...
Au grand plaisir des clients en quête de bonne cuisine, l’ouverture du restaurant Au Bassin à Périgueux est une belle aventure culinaire qui ne fait que commencer. À partir d’une ancienne ambiance de café, l’établissement connait aujourd’hui une affluence différente avec la fréquentation d’une clientèle beaucoup plus exigeante qui y effectue le déplacement dans le but de partager un bon repas en famille ou entre amis. Un nouveau départ Judicieusement placé à la sortie de la voie des stades, le restaurant Au Bassin est, pour la plus grande part, fréquenté par les habitants de Coulounieix-Chamiers et des quartiers environnants, mais aussi par de nombreux groupes sportifs et clubs de loisirs différents. À travers des plats simples cuisinés sur place, la maison attire sympathie grâce à un accueil chaleureux et particulièrement convivial ainsi qu’une admirable volonté à aller de l’avant. Une cuisine traditionnelle Beaucoup plus qu’un simple restaurant, Au Bassin est surtout une très bonne adresse à la table sympathique très appréciée de tous ceux qui recherchent des recettes d’antan dans leurs assiettes. Les chefs aiment surprendre leurs clients à travers une cuisine entièrement maison et très goûteuse, préparée à base de produits frais, pour leur donner le plaisir de renouer avec la bonne cuisine traditionnelle à qui l'établissement reste fidèle. De la disponibilité à revendre Ouvert six jours sur sept et toute la journée, le restaurant Au Bassin l’est également les jeudis, vendredis et samedis soirs, l’avantage étant de pouvoir s’y rendre sans réserver et d’y trouver facilement une table pour 8 ou 10 personnes. Pour les autres jours, il est plutôt recommandé d’effectuer une réservation. Cette grande disponibilité apporte au lieu, un très grand avantage qui progressivement suit son petit bonhomme de chemin dans un effet très réussi, ce qui vaut à l’établissement, une fréquentation élevée. Un personnel accueillant Constamment à l’écoute des attentes de la clientèle, le restaurant Au Bassin se distingue surtout par le professionnalisme de son personnel. À travers une qualité d’accueil remarquable et un fort sens du service, il déploie tout un art pour répondre au plus près à leurs besoins. C’est un restaurant où on se sent particulièrement bien accueilli et où on a régulièrement envie d’y revenir. ...
Qu'elles soient sucrées, salées, amères, aigres, pimentées, toutes les saveurs et les subtilités qui font l’originalité de la cuisine chinoise se retrouvent dans les plats servis au Yushan Fang. Un style asiatique affirmé Une fois à l’intérieur du restaurant, les convives se laissent subjuguer par l’harmonie de couleur qui y règne. Le jaune et le noir semblent parfaitement s’accorder. Entre le mobilier tout en noir et les murs qui s’habillent d’une couleur jaune symbolisant la cour royale. Le style est à l’ancienne mais empreint d’une touche de modernité. Un air de « cité interdite » se révèle à travers les portraits d’empereurs et d’impératrices qui ornent majestueusement le mur. La touche asiatique s’achève sur un joli art calligraphique. Un concept original Chez Yushan Fang, les convives ne se contentent pas d’être servis sur un plateau d’argent ! Eh oui, ils mettent la main à la pâte et participent à l’élaboration de leurs plats. Le soir, toute la salle s’unit autour d’une même envie : une dégustation de la spécialité du chef qu’est la fondue chinoise. Jadis très prisée par la famille royale, cette recette s’est ensuite répandue dans tout l’empire. Grâce à des tables à induction, les invités prennent plaisir à concocter eux-mêmes leur bouillon à partir d’ingrédients délicatement placés sur une feuille. À côté de ce met des plus authentiques, les grands classiques n’en déméritent pas. Les nems et les nouilles faits maison sont également très appréciés. Pour les vins, la carte se veut être résolument éclectique. Pour accompagner idéalement la fondue, rien de tel qu’un brouilly, par exemple. ...
Ce mas, situé sur la commune de Tulette, est un héritage familial de Corinne Depeyre, venant de son père qui, lui-même, l’a hérité de son père Henri et de son grand-père Clément. Ainsi, après trois générations, Corinne est la première vigneronne de la famille à reprendre le flambeau. Un rôle qu’elle assure et assume pleinement avec passion. L’agriculture biologique, une réelle conviction Au sein du Domaine Corinne Depeyre, l’agriculture biologique est un véritable art de vivre. Pour la viticultrice, il s’agit d’un gage d’avenir. C’est pourquoi elle cultive ses 19 hectares de vignes suivant cette technique respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Les vignes vivent ainsi au rythme des labours, selon les cycles naturels et grâce à des techniques ancestrales destinées à lutter contre les parasites et les maladies. Corinne Depeyre cultive notamment la phacélie au milieu de son vignoble. Il s’agit d’une fleur qui a la propriété de régénérer les sols naturellement. Des rangées de rosiers ont été plantées au pied des vignes. En plus d’offrir un décor visuellement très attrayant, les rosiers préviennent de l’apparition de maladies comme l’oïdium provoqué par un champignon destructeur. Les vins de Corinne Le Domaine Corinne Depeyre commercialise trois gammes de vins bien distinctes. Parmi les plus connues figurent les cuvées Style, se déclinant en rouge, blanc et rosé. Le Style Rouge Côtes-du-Rhône est issu de vignes de 30 ans d’âge établies sur un terroir argilo-calcaire, recouvert de galets roulés. Il est élevé en cuve de béton souterraine. Le vin se pare d’une robe rouge grenat aux reflets pourpres, marqué par un nez intense, floral et fruité, avec des notes d’épices. En bouche, il développe beaucoup de fraicheur et de la souplesse. Le millésime 2015 a été primé d’une médaille d’or lors du Concours des vins d’Orange. Le Style Blanc Côtes-du-Rhône est né d’un assemblage à 50 % de clairette, 25 % de viognier et de 25 % de roussanne. Il est élevé en cuve en inox et fermente en cuve inox thermorégulée. La robe est jaune pâle avec des reflets verts. Il s’agit d’un vin subtil avec un nez aux notes d’abricots et d’agrumes. Il se savoure en apéritif et accompagne un fromage de chèvre ou un poisson en sauce. La cuvée 2015 a été récompensée d’une médaille d’argent lors du Concours des vins d’Orange et de celui de Mâcon cette année. La troisième cuvée est le Côtes-du-Rhône Rosé, un vin aux couleurs provençales, avec un nez d’agrumes et de petits fruits rouges. La gamme intermédiaire est représentée par la cuvée Phacélies AOP Côtes-du-Rhône Rouge. Elle rend hommage aux fleurs présentes sur les parcelles pour attirer les abeilles. Le vin est issu de vieilles vignes de 50 ans. Le millésime 2014 a été primé d’une étoile au Guide Hachette. Le haut de gamme se décline en deux cuvées rouge et blanc Âme du Chêne AOP Côtes-du- Rhône. La propriété possède également une cuvée dénommée Cuvée de l’Amitié, un vin de pays de Méditerranée encore très confidentiel. La vigneronne travaille uniquement avec le circuit traditionnel (cavistes, restaurateurs) pour commercialiser sa production. « Je n’ai pas du tout l’intention de travailler avec la grande distribution », souligne-t-elle. Elle projette néanmoins de s’ouvrir à l’export. ...
La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton. Crêpes et galettes bretonnes La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée. Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients. Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne. Un état d’esprit, une éthique La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients. Un restaurant ouvert aux artistes Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes. Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année. ...
Niché au coeur du pays des vignerons, la Table du Donjon vous accueille dans un cadre chaleureux contemporain. Les deux chefs de l'établissement, Jean Marc NABET et Mathieu MOUCHET rivalisent d'ingéniosité pour vous servir des plats d'exception. Du vrai « fait maison » La Table du Donjon, c'est la promesse d'une escapade gastronomique au beau milieu des vignes et du patrimoine architectural unique du village. Appréciez les plats privilégiant les produits locaux sur la terrasse, donnant sur les envoûtants Monts du Beaujolais des Pierres Dorées, ou dans l'une des deux salles joliment décorées, à la présentation soignée. Au menu ou à la carte, goûtez au nombreux délices alliant créativité et saveur du terroir, à l'instar des profiteroles de caille farcie au foie gras de canard fait maison, que vous accompagnerez d'un succulent dessert et d'un Brouilly de la Maison viticole Jérôme Mathon. Apiculteurs, vignerons et maraîchers locaux sont mis à l'honneur dans des plats raffinés représentant les authentiques succulences de la région. De la bonne cuisine au pays du bon vin Faites-vous plaisir à l'occasion d'un détour gourmand à la Table du Donjon. Au menu : délices du palais, convivialité et instants intimes ou en famille. Le restaurant propose notamment un éventail de choix en matière de vins, établis sur deux cartes. Présentant des cuvées issues de tout le pays,l'enseigne priorise, entre autres les vins locaux. Riche et fier de ce patrimoine, l'établissement affiche dans sa cave plus de 360 références. ...
À travers une histoire de famille plutôt réussie qui a commencé en 1987, le restaurant connait à ce jour 30 ans de succès bien mérité. Succédant à ses parents, initiateurs de l’aventure, Valérie assure, depuis maintenant un an, la gérance de l’établissement, guidée par la même passion du métier et son expérience professionnelle Shanghaïenne. Le Palais de Port-Marly a l’énorme avantage de proposer en un seul lieu un bouquet de saveurs gourmandes inspirées de trois pays que sont la Thaïlande, le Vietnam et la Chine. Disposant d’un menu à 26 € pour le midi et le soir, avec entrée-plat-dessert, l’enseigne dispose également d’une formule à 16,50 € « pour les gens plutôt pressés » et qui peut être servie en une demi-heure, incluant 1 entrée et 1 plat. Une cuisine pleine d’exotisme En entrée, il vous est conseillé les nems faits maison, « que nos clients apprécient énormément », selon Valérie, mais aussi les raviolis vietnamiens et les rouleaux de printemps au bœuf, servis tièdes, que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Dans le registre des plats, optez pour le bœuf sauté Mongoli qui n’est autre que du bœuf émincé mariné dans du soja et sauté avec des grains de poivre et des petits oignons sur plaque chauffante, « ce qui permet aux clients de choisir la cuisson de la viande ». Comme c’est rarement le cas dans la restauration asiatique, l’établissement est en mesure de proposer « de la viande bleue, à point ou saignante ». Les crevettes à la sauce piquante sont également à découvrir. Crevettes sauvages préalablement décortiquées, sautées avec des petits oignons, une sauce piquante parfumée légèrement aigre douce. Cette sauce se marie aussi très bien avec du cabillaud ou des Saint-Jacques. Parfait pour les amateurs de fruits de mer. Sans oublier le saumon au jus de coco pour un plat très en sauce au très joli rendu, accompagné de riz gluant ou de riz nature. Le Palais de Port-Marly pratique principalement la cuisine au wok, « pour une cuisson rapide et où la matière première ne perd pas de son goût ni de sa texture ». Cette technique contribue aussi de réduire l’utilisation de matière grasse. Toutefois, ce qui fait la particularité de la cuisine asiatique, ce sont les épices dont les préférées de la maison sont l’épice de saté à base de cacahuètes, de piment, d’ail et d’herbes concassés, qui permet d'obtenir une sauce accompagnant délicieusement le bœuf et les crustacés, et également le basilic avec son croquant en bouche, le curry et aussi la citronnelle. ...
Les Vignobles Jander s’épanouissent sur une exploitation de 17 ha, où le merlot (53 %) et le cabernet sauvignon (47 %) règnent en exclusivité. Le terroir est départagé entre deux types de sols : un terrain sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau et argilo-graveleux pour le Château Jander. Vinifier dans les règles du bio Depuis 2012, la maison conduit son exploitation selon les principes de l’agriculture biologique. Cette méthode assure que les vins gagnent en équilibre et expriment pleinement le terroir. Une réelle fierté, comme l’affirme Maxime Julliot, directeur du domaine : « Depuis 2015, nous sommes la seule propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Moulis et Listrac-Médoc. » Dès lors, le traitement des vignes respecte un cahier des charges bien défini, qui allie judicieusement tradition et modernité. La vinification s’opère dans un chai « très pratique à travailler », selon les termes de notre interlocuteur. L’endroit est en effet équipé de matériels de pointe comme des cuves thermorégulées, donnant la possibilité de diversifier les modes de fermentation, et des cuves extrêmement larges, qui permettent l’extraction des tanins pendant la fermentation. La maison met de côté le foulage pour permettre des vinifications plus respectueuses de la matière première. Par ailleurs, le processus de vinification est réalisé avec patience et délicatesse. À titre illustratif, la période d'élaboration de la cuvée « Sémeillan-Mazeau » s’étend sur presque 30 mois. Dans un premier temps, les récoltes des vendanges parcellaires sont vinifiées et élevées séparément pendant un an. Au bout de cette période, chaque lot de vin est encore retravaillé pendant 12 mois afin de bien accentuer toutes les caractéristiques des raisins (structure, arômes…). Ce temps écoulé, l’équipe du domaine procède enfin à l’assemblage dans les cuves. « La séance d’assemblage n’est pas qu’une somme des caractéristiques. L’objectif est de créer un juste équilibre entre ces différents composants », révèle Maxime Julliot. Et pour un résultat impeccable, six mois de plus sont nécessaires pour stabiliser les vins et les préparer à la mise en bouteille. Un vin pour une appellation À chacune des deux appellations correspond une cuvée qui arbore idéalement tous les traits particuliers de son terroir. « Notre stratégie de produits consiste à rassembler tous les vins d’une appellation dans une bouteille. » Ainsi, l’appellation Moulis est représentée par la cuvée « Château Jander », qui est un millésime aussi élégant que complexe. « Le Château Jander est fait pour les gens qui aiment les ‘’vins sérieux’’», a voulu préciser avant tout notre interlocuteur. En effet, ce vin fait partie du haut de gamme, à en juger par la qualité de ses cépages issus de vieilles vignes (25 ans en moyenne), élevées sur terroir argilo-graveleux, et la façon dont ceux-là sont travaillés. Ainsi, contrairement au Château Sémeillan-Mazeau, l’assemblage des cuvées s’effectue dès que la vinification est terminée. Au bout de longs mois d’élevage en barrique naît un vin puissant avec des tanins aussi souples qu’élégants. Quant à l’appellation Listrac, elle se révèle à travers les bouteilles de « Château Sémeillan-Mazeau ». Ces cuvées sont caractérisées par leurs notes de fruits rouges et de bois très harmonieuses. Tandis que la fraicheur de leurs arômes crée un véritable moment d’émotion pour les papilles, la souplesse de leurs tanins ne fait qu’accentuer le plaisir à la dégustation. Ainsi, le Château Sémeillan-Mazeau est aussi idéal en apéritif qu’en accompagnement du repas, sans compter qu’il se marie quasi avec tous les types de plats. On distingue parmi les meilleures références de cette cuvée le mill...
Dans la famille Cazals depuis quatre générations, le goût du bon champagne se fait ressentir de par la qualité exceptionnelle des cuvées de la marque. Avec des méthodes oscillant harmonieusement entre modernité et artisanat, la maison Cazals est une « maison familiale, très conviviale […] et forte de traditions héritées de père en fille », selon Camille Crochet, Sales Manager Marketing de la marque. Un vignoble riche en histoire C’est Ernest Cazals, alors tonnelier, qui fonde la maison Cazals en 1897 en choisissant un terrain noble et ouvert pour ses premières vignes. Un clos de 3 hectares, acquis par son fils Olivier Cazals dans les années 1930, va par la suite venir s’ajouter au domaine familial, donnant ainsi naissance aux 10 hectares de vignes classées Premier et Grand crus de la maison Cazals. Parmi les cuvées ambassadrices de la marque, appréciez les « grands crus d’exception nés de vignes de plus de cinquante ans », continue Camille. Délectez-vous ainsi de la Chapelle du clos, un 100 % chardonnay léger aux saveurs suaves, ou du millésime Clos Cazals doté d’une large palette de goûts et d’une mosaïque de succulences typées. Une passion et un héritage à préserver La maison Cazals, dans un élan d’engagement envers l’environnement, se trouve dans une phase de transition vers l’agriculture durable, avec la « volonté de certifier le clos Haute Valeur Environnementale (HVE) », reprend Camille. Outre cette promesse noble, la famille tient à préserver un patrimoine unique qui leur a été légué par leurs ascendants. Tout le processus de production, allant des vendanges à la maturation dans les caves voûtées en passant par la vinification en fûts de chêne, se fait ainsi suivant les méthodes artisanales utilisées dès la création de la marque. ...
L’encépagement du domaine est composé des sept cépages locaux d’Alsace : Sylvaner, Pinot Blanc, Riesling, Muscat, Pinot gris, Gewurztraminer et Pinot Noir. L’âge moyen de ces vignes est d’environ trente ans, mais certaines parcelles sont couvertes de vieilles vignes atteignant les 52 ans. C’est grâce à la variété des cépages couplée à une diversité de terroirs, ainsi qu’à un savoir-faire transmis de génération en génération, que la famille Halbeisen a pu élaborer une grande variété de vins. Bergheim, une terre bénie pour les vignes Les treize hectares de vignes du Domaine Halbeisen se trouvent aux abords de l’ancienne cité fortifiée de Bergheim, en plein cœur du vignoble alsacien. Cette cité médiévale bénéficie d’un éventail de sols parmi lesquels figure le lieu-dit classé « Grand cru » Altenberg connu pour ses vins dès le XIIe siècle. Le vignoble profite d’un terroir argilo-calcaire complexe et idéal pour la culture de la vigne. De plus, il jouit d’un microclimat chaud, favorable à une maturité optimale des raisins, grâce à une exposition plein sud et un éloignement du front vosgien. Les vignes sont situées sur des fortes pentes qui leur assurent ainsi une bonne hygrométrie tout au long de l’année, ce qui confère aux vins du domaine une grande régularité dans le temps. Une grande gamme de vins Savoir-faire familial, terroir fantastique et grand éventail de cépages, le Domaine Halbeisen use de tous ces atouts pour obtenir des vins d’une grande variété sans pour autant déroger à la qualité. Les « Meilleurs Terroirs de Bergheim » sont des vins d’une grande subtilité tirée de la forte personnalité de leurs sols. Les « Terra Aurea » ou Terre d’Or sont surtout issus de cépages de plusieurs terroirs. Ils sont élaborés à partir de raisins de vignerons, vinifiés et mis en bouteille selon une charte qualitative dans le respect de l’environnement et du terroir. Les « Vins d’Exception » sont plutôt atypiques, fruits d’une tradition retrouvée. Ils se déclinent en blancs et rouges, élevés en barriques de chêne et toujours issus de Vieilles Vignes. Les « crémants » pour leur part s’imposent naturellement pour faire pétiller les fêtes. Il s’agit de vins effervescents de grande qualité qui se dégustent en toute circonstance. N’oublions pas les « Grands Crus » issus de Bergheim dont la renommée remonte au XIIe siècle. Finalement, les vendanges tardives sont des vins blancs puissants, complexes et moelleux, dont les nectars riches et liquoreux se dégustent durant les grandes occasions. ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
Alexandre Chevrollier a créé le réseau Winetailors en 2013. Il met à disposition de ses agents affiliés une formation théorique, un backoffice logistique et commercial, une plateforme d’approvisionnement et un service règlements et recouvrement. Ces agents commerciaux servent d’interlocuteurs entre vignerons et restaurateurs. Winetailors sélectionne principalement les vins auprès de petits producteurs, de jeunes vignerons qui souhaitent développer leur distribution. Ainsi chaque mois, 1 à 4 nouveaux vignerons rejoignent l’offre de Winetailors qui est composée actuellement de 700 références avec 95% de vins français de toutes les régions de l’hexagone et 5% de vins étrangers produits dans 20 pays différents. De plus, Winetailors se charge d’acheter les vins aux vignerons, les stocke dans son entrepôt avant de les commercialiser auprès des restaurateurs, cavistes ou des bars à vins, de préparer les commandes et de les expédier. Aujourd’hui ce sont 25 agents commerciaux, exclusifs ou non exclusifs, qui sillonnent la France pour proposer cette offre unique aux restaurateurs, cavistes ou aux bars à vins. A la fin de l’année 2018, un objectif de 30 nouveaux agents expérimentés, déjà professionnels du vin, devraient renforcer l’équipe commerciale, une équipe parfaitement paritaire entre hommes et femmes. Pour son concept novateur, Winetailors a été récompensé en 2014 par le coup de cœur du trophée Oenovation devant 45 autres entreprises, trophée qui encourage l’innovation des jeunes entrepreneurs dans le secteur vitivinicole, toutes catégories confondues. Les avantages pour les restaurateurs Un applicatif informatique a été spécifiquement développé pour accompagner les agents sur le terrain. En fonction du type de cuisine du restaurant et du ticket moyen des consommateurs, ce logiciel sélectionne une liste des vins les plus adaptés à ces derniers. A partir de cette liste personnalisée et des conseils de l’agent, le restaurateur pourra effectuer un choix plus poussé à partir de la dégustation d’échantillons, puis passer commande auprès de son agent. Il sera livré dans les 72 heures suivantes. Ainsi une seule commande regroupe l’achat de vins à plusieurs vignerons via un seul interlocuteur, avec une facturation et une livraison uniques. Ce dispositif permet aux restaurateurs un maximum de simplicité, moins de contraintes et un gain de temps. En outre, Winetailors s’est investi dans la formation du personnel de salles de restaurant : par exemple comment présenter un vin, comment conseiller un client en fonction de ses goûts et du menu choisi. ...
Implanté dans une ferme à Beaumarchés au lieu-dit Barbat, à l’abri des bruits des grandes villes, Le Relais du Bastidou dresse des tables élégantes et conviviales pour tous ceux qui choisissent le calme et la fraicheur. Le couple Thierry met un point d’honneur à choisir les produits bios pour préparer des plats typiques de la région gasconne. Une liste de vins de renom et de qualité incontestable vient parfaire un moment de dégustation agréablement mémorable. Les spécialités du chef : les produits du terroir et les fruits de mer Après avoir passé une bonne quinzaine d’années dans une grande entreprise d’agro-alimentaire, René Thierry change complètement d’orientation pour intégrer le monde de l’hôtellerie et de la restauration. Son objectif pour le restaurant, utiliser les produits locaux et il décide de s’approvisionner auprès des meilleurs producteurs du Gers et des plus proches localités de Beaumarchés. Dans une ambiance authentiquement fermière, le chef fait découvrir les spécialités de l’établissement. Ici, le canard est le roi de la cuisine : foie gras, magret ou manchons sont des plats qui ne manquent pas d’apparaitre dans le menu. Les cuisses de canard confites sont une spécialité recommandée par la maison, spécialement pour ceux qui viendront la découvrir pour la première fois. Mais les fruits de mer y gardent aussi une place d’honneur. La langoustine ou encore les noix de Saint-Jacques y sont cuisinées avec un talent indéniable. Sans oublier les Côtes de porc de Bigorre, sauce aux girolles et la Croustade aux pommes et à l'Armagnac qui sont la signature de l’établissement. Le Relais du Bastidou se situe dans un cadre paisible et agréable. Rien que le chemin qui y mène fait le bonheur des fanatiques de la nature. Le paradoxe d’un paysage aussi brut et d’une cuisine aussi raffinée devient presque une poésie que chacun découvrira certainement avec émerveillement. Plats et vins en fusion la synergie parfaite de la bonne cuisine gasconne La Gascogne est célèbre pour sa bonne cuisine et c’est une réputation que Le Relais du Bastidou tient fermement à protéger. En accompagnement du menu ou des plats proposés à la carte, la liste des vins offre un choix plutôt riche des plus belles références régionales. Parmi les plus choisis, le Saint Mont, Madiran ou encore Pacherenc forme un mariage parfait avec les spécialités du chef. Le secteur viticole fait partie intégrante de la vie du restaurant. René Thierry lui-même pense que le vin n’est pas une simple boisson, c’est un élément indissociable de la table, surtout lorsque l’on s’apprête à déguster des plats préparés avec des ingrédients aussi nobles. Les visiteurs de la maison auront le choix entre plusieurs labels reconnus pour leur ampleur et leur élégance. Une sélection de vins riches en saveur et en authenticité met une touche exceptionnelle à l’ensemble de la table. Le restaurant est labellisé « vignobles et découvertes » ...
A tout le reste maudit, à la vigne ce terroir ravit D’origine médiévale, le Château La Salagre a hérité son nom d’une histoire tumultueuse entre un suzerain et son vassal. Selon la légende, du temps des guerres anglaises, le seigneur de Montcuq fut trahi par un de ses vassaux. En représailles et sous ordres du souverain, les terres de ce dernier furent recouvertes de sel et son manoir rasé. Si le nom de la Salagre (du latin saltunager) est resté, le sel a disparu, peut-être dans le ruisseau la Salègre qui traverse le domaine. Aujourd’hui, cette histoire des plus anecdotiques est le symbole de la force de ce terroir. La disparition du sel sur ces terres a permis l’expression des cépages merlots, cabernet-sauvignon, sauvignon et sémillon et la complexité des assemblages qu’ils composent. Conversion bio réussie dès 1999 Si la Salagre fut l’un des précurseurs de la viticulture bio à Bergerac, ce fut surtout le premier des châteaux de Bordeaux Vineam à se lancer dans l’aventure. Avec pas moins de 20 médailles récoltées en 16 ans, cette conversion sera une telle réussite, qu’elle mènera naturellement à celle des châteaux Bourdicotte et Grand-Ferrand en 2010 et Moulin à Vent, Grillon et Rocher Bellevue en 2015. Donnant naissance à l’un des producteurs bio incontournables de notre région. Une équipe enracinée depuis un quart de siècle Eric et Philippe chaperonnent la Salagre depuis plus d’un quart de siècle : ils ont été témoins des grandes gelées de 1991 et de 2013 et de la conversion des châteaux en bio. S’ils reconnaissent que le monde viticole a beaucoup évolué autour d’eux en 26 ans, Eric et Philippe en sont conscients, la qualité des vins qu’ils produisent, elle, demeure. ...