Saint-Jeannet a longtemps été connu pour l’agriculture, cette commune a même été surnommée « Saint-Jeannet le Riche ». Un muscat indigène a particulièrement intéressé une clientèle parisienne avant que les vignobles, victimes de la mondialisation, ne rétrécissent. Toutefois, un vigneron résiste grâce à un savoir-faire singulier et une connaissance du terroir. Le vignoble Le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur est perché à 400 m d’altitude, à 6 km de la mer. L’exploitation s’étend sur 4 hectares. Georges Rasse n’est pas près de rompre avec son vignoble datant de l’époque romaine, même si ses confrères ont jeté l’éponge depuis longtemps. Mieux, il garde la technique que son père René lui a transmise dans la stabilisation naturelle du vin au soleil. De nouveaux cépages sont introduits aussi, après quelques expérimentations par rapport à leur résistance au climat et à leur adaptation au sol. Georges Rasse s’engage également à respecter l’environnement, en entamant sa reconversion au bio. En attendant sa labellisation, il continue de satisfaire les palais. Une technique de vinification particulière En Provence, Georges Rasse fait partie des vignerons à être convaincus des bienfaits du soleil sur le vin. Il retravaille donc une technique traditionnelle de Saint-Jeannet pour stabiliser naturellement ses crus et ainsi éviter l’utilisation du sulfite et d’intrant de type collage. Les vins sont logés pendant 3 mois à 2 ans dans des bonbonnes disposées sur la terrasse du caveau. Seules les bonbonnes en verre blanc peuvent être utilisées pour ne pas modifier le vin. Œnotourisme En collaboration avec des tour-operateurs, le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur organise des visites et des dégustations de vins. Une formule « camping à la ferme » propose 25 emplacements de tentes aux pieds des oliviers. La moitié de la production est mise en vente directement sur place. Outre les visites, le vignoble participe chaque mois d’avril à une démarche collective baptisée « La France de ferme en ferme », qui consiste à partager son métier et sa passion. Chaque année, la Fête de la musique est rythmée par un concert. Georges Rasse rencontre également les sommeliers des restaurants clients une fois par an. ...
La commune de Sens, riche d’histoire, est célèbre pour ses paysages de fleurs, ses édifices, mais également pour son terroir. Au sein de cette belle localité, la Brasserie Larché est devenue, au fil des années, un patrimoine bourguignon, apprécié par les amateurs de bière. Elle fait partie des premières brasseries dans cette partie de la France, à fabriquer des bières de haute et double fermentation, ce qui consiste à jouer sur la quantité des matières premières afin d’obtenir une bière au corps plus corsé. Aujourd’hui, l’entreprise brasse dix types de bières différentes. Plus de vingt années d’histoire Depuis sa création en 1996, la Brasserie Larché fait partie des producteurs qui ont su préserver l’authenticité de sa marque. Elle reste surtout très présente en Bourgogne et un peu en France (région parisienne et PACA). « Notre zone de chalandise est restreinte mais la volonté de grandir et d’être mieux référencé au niveau national est bien réelle. » nous confie Eric Poirier, actuel gérant. Parmi les fleurons de la gamme figure la bière Alésia, 100 % bio, qui a reçu en 2016 une médaille lors du Concours général agricole dans la catégorie « Bières blondes ». La maison possède d’autres produits ambassadeurs qui font sa fierté à l’instar de la Thomas Becket Ambrée, première bière élaborée par la brasserie, à fermentation haute et refermentée en bouteille avec un ajout de miel de l'Yonne. La marque Thomas Becket se présente sous différentes déclinaisons : blonde, blanche, brune et ambrée et rousse également. De manière saisonnière : « nous brassons une bière de printemps et une bière de Noël » précise notre interlocuteur. Les amateurs pourront également se laisser tenter par la Burgindia (IPA), une bière plus houblonnée, plus pâle et plus amère au goût. Depuis peu, la Brasserie Larché intervient dans la fabrication de caramel de bière et de vinaigre de bière, faisant le bonheur des amoureux de cuisine originale. Et dans une volonté de faire découvrir son savoir-faire, elle se tient prête à accueillir le public dans le cadre d’une visite comprenant la découverte des techniques de fabrication, une dégustation et un passage en boutique. ...
Implanté au cœur du monument historique des Galeries royales Saint-Hubert, Le Comptoir des Galeries situé dans le centre-ville de Bruxelles impose son style en mêlant tradition et modernité et propose une cuisine bistronomique belge et française. Aux fourneaux : le chef Benjamin Lagarde assure une expérience gustative unique. Se restaurer dans un lieu mythique Le Comptoir des Galeries n’est pas un restaurant comme tant d’autres au cœur de Bruxelles. Déjà de par son emplacement privilégié et riche en histoire, il est le siège des anciens ateliers Hart, concepteur de la médaille de la Constitution belge et fournisseur de la Maison du Roi. Son intérieur est d’ailleurs empreint de son passé, avec la présence de matériels de presse à médaille datant de 1847 que les actuels propriétaires ont souhaité garder. Dans ce décor, la famille Flammarion, qui a acquis l’établissement en 2014, a choisi de mettre en avant sa passion pour l’art. Le cadre, chaleureux et moderne, est agrémenté d’un patio, tandis que le chef Benjamin Lagarde s’affaire dans une cuisine ouverte. Place à la cuisine de saison Les mots d’ordre de la cuisine du Comptoir des Galeries sont « qualité et fraîcheur des produits ». Comme l'indique la directrice de l'Hôtel/Restaurant, « le chef se fournit uniquement en produits de saison et ne propose que du fait maison, et la maison met un point d’honneur à ne pas dévier de ces critères ». Sur la carte composée de suggestions et de classiques, notre interlocutrice nous révèle quelques spécialités, comme « le trio de croquettes, la pluma ibérique à la plancha accompagnée d’un kimchi maison et la Dame blanche, un dessert à base de glace faite maison, simple mais parfaitement exécuté». Les fromages, de fabrication artisanale, proviennent de Julien Hazard, fournisseur de tous les restaurants étoilés de Bruxelles. Une large sélection de vins La carte des vins inclut une quarantaine de références variées. Les vins locaux représentant le terroir côtoient les vins français connus pour leur qualité. Des vins du monde enrichissent aussi la sélection et viennent accompagner les plats plus exotiques. En parallèle, une carte des vins au verre est proposée, avec une sélection modifiée chaque mois en fonction des saisons et des nouvelles découvertes. ...
Idéalement situé sur le port de Vannes, ce restaurant « bistrot chic » a tout juste re-ouvert le 31 janvier 2016, après d’importants travaux de rénovation. La décoration, entièrement refaite, révèle une tendance contemporaine agrémentée de touches asiatiques ; en témoignent les tableaux d’un grand maitre malaisien qui égayent les murs et la tapisserie aux motifs de fleurs japonaises. La salle dispose de 10 tables pour 30 places. Le service de qualité, les produits frais et l’accueil chaleureux forment le socle contribuant au succès du restaurant Rive Gauche. Une cuisine d’inspiration Après avoir passé plusieurs dizaines d’années en Asie, Dominique Blais a finalement décidé de se poser et d’ouvrir un restaurant à son propre compte. « Le Rive Gauche met en avant la cuisine française, revisitée avec une touche personnelle à tendance asiatique et des saveurs du monde», présente-t-il. C’est un chef qui fait une cuisine libre et un peu rebelle. Compte tenu de l’emplacement idéal du restaurant, sur le port de Vannes, celui-ci privilégie le poisson, les fruits de mer et les coquillages, sans toutefois délaisser les viandes et les volailles. Tous les produits utilisés en cuisine sont issus du terroir de la Bretagne et du Morbihan et proviennent des marchés locaux. Grâce à son inventivité et à son inspiration hors du commun, le chef parvient à sublimer ces ingrédients pour que ceux-ci livrent leur plus belle expression. Récemment, il a surpris ses convives en proposant sa papillote de fruits de mer et poissons nobles, servie avec une sauce aigre-douce à la mangue et aux agrumes, cuite et servie dans une feuille de banane. À la carte et à la cave Le restaurant Rive Gauche propose différentes formules. À 19 € et 25 €, les deux formules du midi offrent un rapport qualité-prix plus que satisfaisant. Elles sont composées de deux entrées au choix, de deux plats principaux avec une viande ou un poisson et de deux desserts. Dans la gamme des plats principaux, la papillotte de bar curry coco, mangue font le bonheur des fins gourmets. La carte du soir, à 36 € et à 42 €, se compose de trois formules différentes, avec trois entrées, trois plats principaux et trois desserts au choix. Parmi les plats les plus prisés figurent le croustillant de crevettes à l’avocat, la déclinaison au goût Asiatique. Rive Gauche étant un bistrot, la carte des vins se doit d’être en adéquation avec les suggestions culinaires. Elle est éclectique bien qu’elle privilégie davantage les cuvées de la région et des Pays de la Loire. La maison a surtout une préférence pour les vins bio ou produits par des petits vignerons passionnés. Le maitre Cuisiniers de France et la sommelière / Maitre d’hotel de Rive Gauche parcourent les salons consacrés aux vins pour sélectionner les cuvées dignes de la maison. Le parcours de Dominique Blais « La passion et le travail devraient former un seul tout », selon Dominique Blais. Le maitre Cuisinier a passé toute sa vie active à exercer dans le milieu de la restauration et de l’univers culinaire. Cela fait 30 ans qu’il parcourt l’Asie et le monde aux services de grands hôtels 5 étoiles de renommée internationale comme Starwood, Ritz ou Hyatt, où il a tenu le rôle d’Executive chef et de créateur de concept restaurant. En pratique, son travail consistait à concilier le domaine de la gastronomie de haut standing à celui du marketing. Fort de ses expériences, Dominique Blais n’a pas hésité à sauter le pas et à se mettre à son propre compte pour ouvrir Rive Gauche. ...
La Ferme Auberge du Rain des Chênes, c’est la promesse d’un voyage culinaire inédit dans un cadre empreint de fraîcheur. Les spécialités régionales sont au rendez-vous. Une cuisine à la fois simple et authentique, concoctée avec des produits de la ferme, pour un moment de convivialité en famille. La cuisine régionale à l’honneur Le chalet plutôt cosy avec ses rondins offre un cadre chaleureux, idéal pour les repas de famille. La baie vitrée, offrant une vue panoramique, laisse entrer la lumière, baignant l’auberge d’une clarté où il fait bon se retrouver autour de bons petits plats. L’ambiance est à la détente et la convivialité. Gourmande et généreuse, la cuisine de cette ferme auberge fait la part belle aux particularités régionales. Les produits utilisés (fromages, porc, bœuf…) viennent directement de la ferme, à 70 %. En fait de singularité, la ferme a récemment accueilli un troupeau de yaks. Les viandes de cet animal rustique, réputées pour leur qualité exceptionnelle, viendront donc garnir vos plats. Les fins gourmets savoureront les déclinaisons par le chef du sanglier ou du gibier. En plat principal, le cordon-bleu et des variétés de tartes flambées sauront combler les convives recherchant des goûts authentiques. L’on recommande les galettes vosgiennes garnies de viandes hachées, de fromage de montagne et de légumes pour s’imprégner des saveurs locales. Côté vins, les grands crus d’Alsace sont à l’honneur, le pinot noir et le pinot gris recueillant le plus de votes. ...
Faire plaisir, il n’en faut pas beaucoup plus pour faire le bonheur de ces deux épicuriens. Riches de leurs expériences passées et animés par une passion effrénée pour leur métier, Sébastien Riou et Catell Kergadallan peuvent se targuer d’offrir l’une des tables les plus réputées de Périgueux. A l’honneur : une cuisine gastronomique, gourmande et maîtrisée à travers laquelle vous vous laisserez surprendre par la créativité débordante du chef. Chaque plat raconte une histoire : celle d’une originale association de saveurs et produits triés sur le volet auprès de producteurs locaux. Un concept unique Ayant passé son enfance en Lorraine, Sébastien Riou fait ses classes dans de prestigieux établissements notamment à Carantec auprès du chef doublement étoilé Patrick Jeffroy ou encore à Valence chez Anne-Sophie Pic détentrice de trois macarons au Guide Michelin. Chez l’un, Sébastien s’initie à la sélection rigoureuse des produits, chez l’autre, il apprend à mettre en avant rigueur et inventivité. Grâce à ses talents, il décroche un poste important à Puylaurens au Cap du Castel dont il devient le chef de cuisine. Voulant s’épanouir davantage en ayant la liberté de faire sa propre cuisine, le chef décide d’ouvrir son établissement. Il vivra cette aventure avec sa compagne Catell Kergadallan, pour qui l’univers de la cuisine n’a plus aucun secret. Ayant grandi dans une famille de maraîchers, elle est très tôt initiée au goût des bons produits. Son parcours au sein des grandes maisons comme les Relais & Châteaux des Côtes Finistériennes ou encore chez Michel Chabran à Pont de l’Isère (26) l’a aidé à acquérir une importante expérience qu’elle met désormais à profit au Parfum de Gourmandise où elle assure l’accueil et le service. Au rythme des saisons, ce restaurant désormais incontournable à Périgueux s’est lancé dans le concept de menu unique. L’idée est de vous faire découvrir des produits nouveaux qui n’auront probablement pas attiré votre attention dans un autre contexte. Laissez-vous guider par le prodigieux talent du chef en cuisine et appréciez l’expérience. Une rigoureuse sélection de produits auprès de producteurs locaux Ce menu unique est à la base constitué de quatre plats à savoir deux petites entrées, un plat et un dessert. Toutefois, il est possible d’aller jusqu’ à cinq voire sept services pour ainsi goûter à toutes les propositions suggérées par la maison. La cuisine personnelle inspirée de l’enfance du chef promet de surprendre vos papilles. L’un des ingrédients pique votre curiosité ? Catell vous donne de plus amples explications et va même aller le chercher en cuisine pour vous le montrer. Ce moment d’échange contribue à amplifier votre expérience Au Parfum de Gourmandise. La création des menus s’effectue en fonction des produits disponibles chez les éleveurs et agriculteurs locaux. « Tout est réfléchi d’avance. Deux à trois mois à l’avance, on fait un point avec nos maraîchers pour savoir ce qu’ils vont pouvoir nous offrir d’ici quelques mois. C’est de là que naissent les idées du chef » raconte Catell. D’ailleurs, en consultant la carte, la liste de producteurs qui ont aidé le chef à monter son menu est affichée. Une manière de rendre hommage au fabuleux travail de ces professionnels. Quand la simplicité côtoie le raffinement Le décor mise sur la simplicité et le raffinement. Rien de trop guindé. La salle révèle un style sobre avec une prépondérance de couleur claire pour conférer plus de luminosité. La cheminée en pierre donne un côté rétro-chic tandis que les poutres apparentes procurent une ambiance plus traditionnelle. Les luminaires judicieusement agencées donnent du charme à l’ensemble sans oublier l’art de table, avec des assiettes notamment dénichées chez la céramiste du coin. En tout, le restaurant possède 16 couverts répartis sur 6 tables. Pour être sûr d’y avoir ses entrées, il est donc plus sage de r...
Niché sur le village médiéval du Haut-de-Cagnes, sur la Côte d’Azur, le Château Le Cagnard abrite un restaurant d’exception, qui met l’accent sur la cuisine gastronomique et méditerranéenne avec une parfaite maîtrise des produits locaux et de saison, de l’entrée au dessert. Château Le Cagnard : un vestige séculaire exceptionnel Vieille bâtisse datant du XIIIe siècle, le Château Le Cagnard a su conserver son charme médiéval et provençal qui envoûte les passionnés d’art et d’histoire. Sa cheminée voûtée installée dans l’ancienne salle des gardes en témoigne encore. Perché sur les remparts et les collines du légendaire château médiéval Grimaldi, le domaine se trouve en plein cœur d’un véritable site historique et dépaysant qui donne une vue panoramique sur la mer. En 1960, la famille Barel achète la bâtisse pour en faire un hôtel familial depuis plus de cinquante ans. Séduit par la splendeur de l’édifice et son architecture médiévale particulière, la famille suédoise Ivarsson décide de racheter la propriété en 2011. Sans attendre, elle commence à rénover complètement l'hôtel et le restaurant afin de lui apporter un renouveau tout en conservant les pièces historiques. Honneur à la cuisine gastronomique régionale Pouvant accueillir jusqu’à 50 couverts, le restaurant du château est un lieu historique et magique qui met merveilleusement en avant des meubles et des œuvres d’art d’antan, notamment celles d’Émile Wéry dans la salle des gardes. Les 200 fresques toutes peintes à la main, « couvrent le toit amovible de la salle qui s’ouvre sur le ciel d’azur pour procurer une ambiance romantique dans la salle », témoigne Gregory Cousaert, Directeur de l'établissement. À l’extérieur, juchée sur les remparts du village, la terrasse offre une vue imprenable sur la Côte d’Azur avec vingt couverts disponibles. Côté menu, le chef Stéphane Laurin concocte une cuisine divine, raffinée et régionale à base de produits du terroir et de saison dans laquelle on trouve le « menu de saison » avec trois plats et le « menu dégustation » avec quatre plats. Ici, « la carte est en constante évolution et les produits sont issus directement des producteurs locaux et quelques fois bio, pour les œufs par exemple ». Parmi ses spécialités, le chef suggère en entrée, des Crevettes Sauvages, courgette et vinaigrette de fraise, en plat de résistance, un Pigeon à l'ananas, fenouil et ricotta safranée et en dessert, un Soufflé parfum d'orange et son granité yuzu basilic. « On ne peut avoir de culture gastronomique sans vin ». Voilà un dicton de Julia Child qui ne laisse pas indifférent le sommelier du château. Pour accompagner et mettre en avant la cuisine régionale du chef, il propose « des vins locaux niçois ou de Côte de Provence de la plaine du Var, tels que le Clos Saint-joseph, le vin modelé du Domaine de Toasc et les Coteaux du Verdon », nous rapporte le directeur en continuant que « le restaurant dispose aussi de grands crus, de premiers crus et de crus classés de Bourgogne et de Bordeaux » pour le plaisir des amateurs de bons vins. ...
Situé à quelques pas du centre historique de Bordeaux, rue Georges Bonnac, l'Hôtel Burdigala illustre le mariage réussi entre tradition et modernité. Dès l’entrée, sa façade en pierres blondes de Frontenac évoque le style architectural bordelais du XVIIIe siècle. Mais, une fois la porte franchie, la demeure séduit par sa décoration moderne, chic et cosy. Elle propose aujourd’hui un hôtel quatre étoiles et un restaurant bistronomique : La Table de Burdigala. Une très bonne table ! Installée sous une agréable verrière, La Table de Burdigala opte pour un décor contemporain et « urban chic », avec son subtil jeu de voilages. À l’image de la bâtisse, le restaurant dégage une ambiance à la fois élégante et détendue. Il plonge ses convives dans un confort unique et un calme feutré, en contraste avec l’agitation urbaine. À la hauteur de la beauté du lieu, la qualité des plats est irréprochable. À base de produits frais issus du terroir, le Chef Denis Lemercier - Maître Restaurateur revisite le répertoire de la gastronomie classique française en y apportant une touche dosée de modernité et d’originalité. Au gré des saisons, la carte et les menus proposent une grande variété de plats, pour satisfaire toutes les envies, même les plus exigeantes. Parmi eux, le gravlax de saumon et raifort, blanc de poireau en viennoise de sésame noir, en entrée ; et le paleron de bœuf du Limousin braisé aux morilles accompagné de pommes fondantes et de rutabaga, en plat principal, sont les plus prisés. ...
Revendiquant exclusivement une cuisine fraiche et de saison, L’Amboise est une adresse lyonnaise qui fait le bonheur des locaux et des touristes de passage. La maison mise sur une décoration simple et épurée, relevée d’une petite touche industrielle, qui garantira le bien-être et le confort de chaque convive. Le grand bar métallique installé près de l’escalier attire l’attention. Au tableau le midi, à la carte le soir L’Amboise restaurant propose une cuisine française, fondée sur de bons produits frais et de saison. Ces derniers peuvent être issus du label rouge, origine France, mais également du marché et des structures qui mettent en lien les producteurs avec les restaurateurs. Néanmoins, la majorité provient de la région. Le chef apporte sa touche personnelle pour se distinguer et surprendre les gourmets. Le midi, pour répondre aux besoins des clients pressés, L’Amboise suggère une cuisine rapide, préparée bien entendu avec des produits frais et de saison. Le tableau affiche trois entrées, à l’exemple des salades Océane et César ou le velouté de légumes anciens. En plats, les convives ont le choix entre trois propositions, dont la brandade de poisson, le dos de lieu jaune au citron confit et l’omelette aux herbes. En dehors du plat du jour, les plats qui figurent au tableau peuvent y rester jusqu’à une semaine, selon la disponibilité des produits. La pause gourmet est plus calme le soir. Les convives prennent plus leur temps pour apprécier les suggestions à la carte qui changent tous les deux mois. Nombre d’entre eux viennent avant l’ouverture ou à la sortie du théâtre des Célestins qui se trouve à proximité. L’Amboise propose des terrines maison, des petits légumes au bouillon thaï ou du gravlax de saumon en entrée. La suite peut s’orienter vers des noix de Saint-Jacques avec sauce au chorizo ou un secreto de porc ibérique façon saltimbocca. Il faudra quand même laisser de la place pour les desserts : mousse au chocolat à la fève tonka, blanc-manger coco et passion ou tarte au pamplemousse et mousse à la vanille bourbon de Madagascar. Pour accompagner le repas, la maison privilégie les vins de la région. Si le choix du vin lui revenait, elle sélectionnerait la Grande Gallée rosé de Régis des Côtes, un vigneron situé dans le village de Millery. Celui-ci est très apprécié par la clientèle de L’Amboise. La Grande Gallée existe aussi en blanc. Les salles du restaurant L’Amboise restaurant peut recevoir jusqu’à 40 personnes, dont 22 à l’étage et 18 au rez-de-chaussée. Les deux salles sont privatisables pour les repas de groupe. Le rapprochement des tables rend l’ambiance chaleureuse. La belle hauteur sous plafond et les matériaux bruts comme le bois ou l’acier donnent au restaurant une allure chaleureuse et authentique. ...
Lieu propice à la détente et à la découverte, L’Auberge des roses ne manque pas de charme avec ses pierres et poutres apparentes, sa cheminée au feu crépitant et sa terrasse ombragée à la vaste pergola, qui n’attend que vous pour les beaux jours. Une salle divisée en 3 niveaux avec une petite estrade en hauteur, appelée « petit salon », et une grande véranda font par ailleurs la particularité de cet établissement de caractère, dont la réputation n’est plus à faire. À travers une cuisine traditionnelle et gastronomique, composée en grande partie de poissons de la criée de Saint-Jean-de-Luz, le chef et gérant Hervé Barrière régalera vos papilles dans un voyage culinaire authentique et gourmand, où le temps semble s’être arrêté. Le rendez-vous des gourmets L’établissement vous invite à découvrir son appétissante et rafraichissante cuisine avec un menu à 30 € au choix, ainsi qu’une carte avec des suggestions qui changent tous les jours. Difficile de ne pas succomber à son Croustillant de gambas sur coulis de mangue marinés et roulés dans une feuille de brique, sa savoureuse Parillada de poissons, un assortiment de 4 poissons sur un lit de moules, de chipirons et de gambas, sans oublier son Pain perdu brioché pommes caramel au beurre salé qui est un véritable délice ! Pour accompagner chacun de vos repas, la maison dispose d’une très belle carte des vins, représentative de toutes les régions, avec près de 45 références, dont les fief la grange, ainsi que le vin local du Jurançon en sec et en doux. Un très beau bouquet au choix pour un accord parfait met-vin. N’hésitez pas à demander conseil ! ...
Pour en savoir plus sur le domaine du Mas Llossanes, il faut prendre la direction du Roussillon. Historique du domaine du Mas Llossanes Créé en 2016 par un couple de trentenaires qui ont commencé leur carrière en Toscane, ce vignoble a été mis en place dans les années 40. À cette date, il est géré par la famille Bertrand. Après le départ en retraite du dernier membre de cette famille, Solenn et Dominique ont pris en main cette vigne exceptionnelle. Couple dans la vie et dans le travail, Dominique Génot possède un diplôme d’œnologue et d’agronome tandis que Solenn est sommelière de formation. De plus, ils ont choisi de travailler de façon respectueuse en privilégiant la culture biodynamique. Ce qui, d’après Solenn Génot, donne d’excellents résultats sur les vignes qui résistent mieux aux maladies et aux intempéries. Ce qui les a poussés à racheter cette vigne : aussi bien le terroir très qualitatif que la possibilité de créer des vins d’exception en apportant, à chaque étape de la production, leur propre empreinte. Sans oublier les magnifiques dolmens, en plein milieu de la vigne, vestiges d’un passé empreint de spiritualité (en catalan, Llossanes se traduit par "Lieu Sain" ou "Lieu Saint"). À noter : bien que le vignoble soit classé AOC, les gérants ont choisi de déclasser leurs vins en IGP afin de pouvoir utiliser librement le Chenanson et le Chasan, deux cépages atypiques, dans leur création et de pouvoir créer des vins mono-cépage. Au Dolmen et Dotrera Pour en apprendre plus sur le domaine, intéressons-nous aux cuvées Au Dolmen et Dotrera. Au Dolmen est un vin très accessible. Bien que la composition puisse évoluer en fonction des millésimes, en règle générale, il comporte une majorité de Carignan à laquelle on ajoute Syrah et Chenanson. Ce qui lui apporte des arômes de baies rouges avec une pointe de violette, un caractère épicé ainsi qu’une finale à la fois fraiche et surprenante. Le Dotrera, quant à lui, possède un profil nettement plus gastronomique. Proposant un assemblage de Carignan, Grenache, Syrah et Chenanson et élevé en barrique, il a besoin de quelques années pour s’ouvrir pleinement. Après l’avoir laissé murir pendant 4 ans, vous apprécierez d’autant plus sa complexité, ses notes de fruit des bois, de moka et de violette ainsi que son côté boisé. À savoir : Solenn Génot nous explique que la composition des cuvées peut varier d'une année à l'autre. En effet, selon les équilibres dégagés par chaque lot lors des dégustations sur cuve, Solenn et Dominique créeront les assemblages les plus prometteurs. ...
Vantant des origines anciennes et transmise par les familles paysannes de génération en génération, la cuisine italienne est une cuisine ensoleillée et naturelle offrant une vraie farandole d’arômes, de couleurs et de saveurs. Elio Bombace fait partie de ceux qui ont réussi à préserver toute l’authenticité des traditions culinaires italiennes. Dans son restaurant Crudus, il propose à ses convives de faire une halte gourmande sur la péninsule pour découvrir tout ce qu’elle a à offrir en termes de bons produits. Une cuisine italienne et bio Elio Bombace et son équipe misent sur l’utilisation de produits de grande qualité pour séduire les gourmands qui poussent les portes de leur établissement. La saisonnalité y est bien entendu privilégiée. Beaucoup de produits sont également importés directement d’Italie afin d’offrir aux clients un aperçu des saveurs qui font les particularités de la gastronomie transalpine. Les fournisseurs sont minutieusement sélectionnés dans un souci de maintenir cette charte qualité. Certains d’entre eux travaillent même depuis longtemps avec Elio. Autre particularité : le chef aime travailler le bio. Dans la mesure du possible, ses recettes seront agrémentées de ces produits sains et résolument gourmands. À travers ce choix rigoureux des matières premières, la maison est en mesure de proposer une carte très attrayante. Celle-ci suggère par exemple une salade puntarelle qui fait commencer les réjouissances. Cette entrée fraîche et délicieuse se compose ainsi de cette chicorée typiquement catalogne. Pour continuer sur cette lancée, un grand classique : fettucine aux champignons du marché et artichauts, qui seront servies en guise de plat de résistance. Ici, ces produits vernaculaires se travaillent de façon simple pour ne pas dénaturer son goût. Les amateurs de poissons pourront quant à eux se laisser tenter par les pâtes aux poissons à base de bar, de tomates et de câpres et les carnivores, opteront pour des rigatonis au ragoût de veau comme un dimanche à Naples. Pour clôturer en beauté le repas, rien de tel qu’un bon gâteau au chocolat. Ce festival de saveurs est sublimé par une carte de vins riche et éclectique. Dans sa cave, la maison propose une large gamme de vins italiens issus des régions vinicoles de la Campanie, du Fiano ou de la Toscane. Les convives se laisseront séduire par le goût subtil des vins transalpins réputés pour leur élégance. Un cadre chic propice à la détente Le restaurant Crudus veut mettre à l’aise ses convives en leur proposant un cadre convivial et chaleureux, où ils pourront déguster les spécialités italiennes en famille, entre amis ou entre collègues. Le décor épuré et élégant fait tout le charme de cet établissement. Le mobilier et certains objets décoratifs rappellent le style Art déco. Loin de toute ostentation, cette salle plaît pour son ambiance feutrée et cosy, qui donne l’impression qu’on est chez soi. ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
Sur une superficie de 32 hectares, le terroir à exposition sud/sud-est est bercé par un doux microclimat méditerranéen. Il se présente sous une mosaïque de parcelles de vignes, organisée en terrasses, avec un sol à dominance argilo-calcaire. En équilibre avec la nature Les cépages sont repartis suivant les caractéristiques du sol, selon qu’il est plus calcaire ou argileux. Les cépages rouges, qui exigent un sol plus profond, dominent les vignobles à 80 %, à l’instar de la syrah, du mourvèdre, du grenache, de la counoise et du carignan. Les cépages blancs sont composés de rolle, marsanne, roussanne, grenache blanc, et sont cultivés en terroir argilo-calcaire. Le domaine s’épanouit dans l’application de la viticulture biodynamique, et s’est vu attribuer la certification Agriculture biologique (AB) et Demeter depuis 2011. Cette démarche consiste à utiliser notamment des composts de substances végétales ou animales dans le sol pour en extraire les principes actifs. Les vignes sont traitées avec délicatesse et en harmonie avec leur environnement immédiat afin d’obtenir des vins plus sains, expressifs et bien équilibrés. AOC Languedoc Pic-saint-loup Les cinq cuvées du domaine sont élaborées selon un savoir-faire particulier par une équipe passionnée. En blanc, le domaine propose le Château La Roque blanc 2016 AOC Languedoc, élaboré avec 30 % de marsanne, 30 % de rolle et 25 % de grenache blanc. En bouche, elle livre une attaque picotée par les agrumes et les litchis, pour finir sur une note plus pétillante. Un choix idéal pour accompagner poissons et fruits de mer. En rouge, l’on s’intéresse plus particulièrement au produit emblématique de la maison, celui qui représente fidèlement le terroir, il s’agit de La Cupa AOC Pic-saint-loup. Obtenue à partir de l’assemblage de syrah à 65 % et de mourvèdre à 35 %, cette cuvée revêt une robe grenat avec une belle nuance violacée. Vin de garde par nature, au nez, elle dégage une douce senteur de fruits noirs agrémentée par une note de cades et de genévriers. À la dégustation, elle fait une attaque marquée avec une belle complexité aromatique et se termine sur une finale plus onctueuse. Cette cuvée a déjà raflé la médaille d’or au challenge Millésime Bio France en 2012 et a été notée 90/100 par l’illustre critique en œnologie Robert Parker. ...
Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le chef, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens. Avec, à chaque fois, la promesse d’un plaisir renouvelé ! Un cadre élégant Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux repas d’affaires. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une belle terrasse à proximité de la piscine pour plus de tranquillité. Le raffinement dans vos plats Grâce à un partenariat privilégié avec ses fournisseurs locaux, l’établissement s’assure d’offrir à ses clients les meilleurs produits afin de leur concocter des plats incomparables. Au gré des saisons et des saveurs, le chef se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française. En entrée, le duo d’œufs en meurette est juste à tomber. Un vrai régal pour les gourmands de passage. En plat, rien de tel qu’un filet de bœuf charolais avec sauce aux morilles pour s’imprégner des saveurs régionales. Tous les dimanches, ce restaurant a l’habitude de convier les initiés à son traditionnel brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». L’occasion aussi pour l’établissement de faire connaître aux convives le savoir-faire de ses trois pâtissiers d’exception et leur célèbre chariot de desserts. ...
Quête de l’excellence, esprit de conquête des marchés et transmission des savoir-faire sont l’ensemble des valeurs qui portent le succès et la longévité de la Maison Hennessy. Depuis les berges de la Charente, la Maison Hennessy vous invite à découvrir ses coulisses à travers un parcours multi-sensoriel innovant : une expérience de visite unique entre histoire et modernité. Entrez dans les coulisses d’une Maison d’excellence Hennessy donne le rythme dès le début de votre visite en vous proposant une traversée entre deux rives. Ce ne sera plus en naviguant sur l’embarcation traditionnelle de l’époque, la gabare, mais sur un bateau à énergie solaire que vous commencerez la découverte de la Maison Hennessy. Embarquez donc sur les flots de la Charente pour revivre l’esprit de conquête, découvrir la saga de la Maison qui vous sont révélés au cœur du Chai des pavillons : entre authenticité et technicité, Hennessy réalise ici une prouesse technologique qui transforme l’expérience de visite d’une manière complétement novatrice. Pénétrez ensuite dans un chai traditionnel de vieillissement toujours en activité, où vous pourrez découvrir, dans la pénombre, des siècles de savoir-faire qu’impose ce lieu. C’est ici que se révèlent la valeur et la maîtrise du temps qu’exercent les hommes de la Maison, pour offrir au cognac ses plus belles expressions. Un parcours qui prend toute son ampleur lors de la dégustation où l’on peut se glisser dans la peau d’un membre du Comité de Dégustation. Chacun des membres de ce comité est désigné au sein de la Maison Hennessy et est responsable d’une étape spécifique de l’élaboration du cognac. Le Maître-Assembleur est celui qui donne le ton lorsque ce comité se rassemble quotidiennement : il sélectionne les meilleurs échantillons d’eaux-de-vie en les évaluant quotidiennement avec rigueur et parti-pris. Ce poste est aujourd’hui occupé par Renaud Fillioux de Gironde qui incarne la 8e génération de Maître Assembleur après avoir succédé à son oncle Yann Fillioux en juillet 2017. Une étape de dégustation où vous apprenez à apprécier avec subtilité la maîtrise des assemblages Hennessy. Cette expérience de visite se termine avec la seule et unique boutique Hennessy au monde, rassemblant les cognacs de la collection Hennessy allant des éditions limitées aux pièces les plus exceptionnelles. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération. ...
Les cuvées Claude Thuillier et Filles sont composées des valeurs familiales chères à une maison artisanale héritée de pères en filles. Priorisant les méthodes traditionnelles d’élaboration du champagne utilisées depuis des siècles, cette marque fêtant ses 41 ans cette année élabore ses champagnes avec attention et patience. Au programme : bulles fines, fraîcheurs et arômes ! « Faire dans la continuité des traditions » Ces propos de Claudette Thuillier, l’une des héritières de l’exploitation, rappellent le parcours authentique de cette maison. En véritables amazones du vin, les filles Thuillier se distinguent par leur maîtrise parfaite du processus d’élaboration et par leur attachement au côté artisanal. La famille Thuillier, tout en tenant à moderniser leur exploitation, a choisi de remettre à jour les méthodes de vinification en fûts tout en continuant à utiliser des procédés traditionnels comme le dégorgement à la volée ou encore le remuage en pupitre. Tout cela pour produire des cuvées de qualité à l’instar de la Cuvée Spéciale, un assemblage classique au goût affirmé et englobant toutes les saveurs du terroir. Accessibilité et convivialité sont au rendez-vous En matière d’activités œnotouristiques, le domaine des Thuillier accueille ses hôtes dans un cadre typiquement champenois. Au programme : visite des quelque six hectares de vignoble, dégustations, visite des caves... Claudette, toujours dans un souci d’hospitalité, propose par ailleurs de se loger sur place dans un gîte dans le village, cela afin de vous assurer une immersion totale dans le pays du bon vin. En pleine conversion en vue de l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), la maison Thuillier priorise, entre autres, le respect de la nature, un engagement assurant la vérité du goût de ses cuvées. ...
Dominique Sendron a repris l’exploitation familiale il y a 22 ans. Elle perpétue le savoir-faire en veillant minutieusement à la manipulation des vignes, de la récolte à la mise en bouteille. Un terroir productif Le terroir est habillé d’un sol argilo-calcaire, où sont cultivés essentiellement du meunier (85 %) et du pinot noir. L’exposition sud favorise la maturation des vignes et procure une intensité aromatique aux champagnes. ...
Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...
Ouvert à la fin de l’année 2005, La Pizzetta a vu sa salle entièrement remplie, seulement trois mois après. Ce rapide succès est dû à certaines nouveautés, comme par exemple la pizza à base de farine complète ou les ingrédients sont utilisés après cuisson afin de garder pleinement toutes les saveurs et le goût. Situé au 22 avenue Trudaine, tout près de la place Pigalle, dans le 9ème arrondissement, La Pizzetta est une authentique trattoria de la cuisine traditionnelle. C'est-à-dire, un restaurant italien calme, populaire et sans prétention. Un endroit où l’ambiance est conviviale et le service est simple et assez fluide. Un menu varié constitué de plats de qualité à des prix raisonnables Le restaurant La Pizzetta est l’endroit idéal pour déguster une excellente pizza, version pâte classique ou intégrale. Les pâtes et le carpaccio sont également mis à l’honneur et parfaitement exécutés. Au total, on retrouve au menu 6 différents types d’entrées, 6 plats de pâtes, 14 variétés de pizza, 2 catégories de poissons et 2 choix de viandes, proposés à des prix très raisonnables. La preuve, si besoin en est, que la carte est largement variée. A l’instar de la pizza, on retrouve d’autres plats traditionnels italiens comme le succulent Paccheri avec des petits calmars, des olives noires, de l’ail et des petits-pois mais aussi les délicieux Gnocchi de pommes de terre aux palourdes, de savoureux Tagliolini au thon frais, avec du céleri, des tomates cerises et de l’oignon rouge, des succulentes Pennette sans gluten avec la sauce de tomates San Marzano, de l’ail et du basilic frais et de somptueux et exquis Fagottini au gorgonzola, avec des pointes d’asperge et du speck croquant. Sans oublier, les incontournables Tortiglioni all'ortolana avec des légumes frais de saison, de l’huile d'olive et du persil. La possibilité d’avoir un repas pantagruélique idéal pour satisfaire les palais les plus exigeants. D’ailleurs, le critique gastronomique Gilles Pudlowski ne tarit pas d’éloges à propos de l’établissement sur son blog en parlant d’une adresse connue depuis des années qui « vaut toujours la fréquentation et la revoyure ». Il s’émerveille de « l’authenticité des produits, de l’huile d’olive, des pâtes cuites al dente et du vinaigre balsamique de Modène ». Cette cuisine sincère à base de produits frais est servie par un personnel présent depuis l’ouverture de l’établissement. Ce qui engendre une nette fluidité dans le service et par une grande rapidité dans son exécution. Une ambiance conviviale et une décoration alliant tradition et modernité La Pizzetta dispose d’une petite salle de 35 places et d’une terrasse d’hiver avec 20 couverts supplémentaires. Le lieu s’enorgueillit d’une contre-terrasse en période d’été et peut ainsi accueillir 20 personnes de plus. Les moulures au plafond et sur les murs, rappelant l’époque de Napoléon 3 (vers 1850), rajoute une touche de baroque à un design moderne et provoque une ambiance très chaleureuse et conviviale dans un cadre calme, donnant envie aux clients de rester un peu plus longtemps. L’élégance et la simplicité de la décoration conjuguées à la chaleur de son accueil et à l’authenticité de sa cuisine font de cet établissement un moyen de téléportation vers l’Italie. Un voyage instantané dès que l’on entre dans ce sympathique et typique restaurant italien. ...
Le restaurant S’Zwilling Stuebel, établi depuis 1998 dans la rue Kuhn, dans le quartier de la Gare, à Strasbourg, est tenu par Joan et Maxime Bitzner. Un couple complice et polyglotte, qui se fait un plaisir à recevoir les convives venus de la région mais aussi de lointaines contrées. Ici, esprit de partage et valeurs culinaires traditionnelles sont à l’honneur. Le riche parcours du chef S’inspirant de ses voyages en Asie, notamment la Chine qu’il affectionne particulièrement, puisque son épouse en est originaire, Maxime Bitzner invite à la découverte d’une cuisine française revisitée qui se réserve quelques petites touches exotiques. C’est avec fierté qu’il nous confie : « Ma cuisine est influencée par les endroits que j’ai parcourus. » Il aime ainsi explorer les saveurs et les produits exotiques pour perfectionner ses créations culinaires. Sortant de l’école hôtelière de Strasbourg, ce chef passionné a effectué sa formation dans le Gers et a acquis ses premières expériences dans le Var, à Bordeaux, à Nancy et dans le nord de la France. Après avoir exercé un temps au Château de Pourtalès, il décide de poser ses valises à Strasbourg pour y ouvrir son propre restaurant. Fort de ses nombreuses années d’expérience, il propose une cuisine française, s’ouvrant au monde et préparée avec des produits frais. « Mon objectif est de ne jamais dénaturer le produit, de lui laisser sa plus belle expression », raconte-t-il. Une cuisine aux mille et une saveurs Pour les travailleurs pressés du midi, S’Zwilling Stuebel propose une formule à 10 € composée d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Pour ceux qui souhaitent déguster les spécialités régionales, un menu à 26 € met à l’honneur les saveurs du terroir. Pour le printemps, la maison réserve à ses convives une carte gourmande et savoureuse. En entrée, la déclinaison de pommes de terre à l’huile de noisette égaye déjà les papilles des plus gourmands. Le repas se poursuit avec une gibelotte de lotte rôtie au basilic accompagnée de petits légumes. Au dessert : rien de tel qu’une mousse au chocolat et coulis de fruits rouges ou un tiramisu à l’italienne maison pour apporter de la douceur à ce repas mélodieux. Côté vins, la carte privilégie les grands millésimes d’Alsace comme le riesling grand cru et du pinot gris. Et pour accompagner les gibiers agrémentés de sauces légèrement corsées, rien de tel que les côtes-du-rhône et les bordeaux, qui prennent une place importante dans la gamme des vins. ...
Une histoire de vins Créée en 1822 par Louis NICOLAS, la petite boutique de vins du 53 rue Sainte-Anne à Paris ne connaît son véritable essor que quelques années plus tard, quand le gérant a l’idée, saugrenue pour l’époque, de commencer à livrer ses vins au domicile des particuliers. NICOLAS avait déjà surpris le monde parisien quand il s’était lancé dans la commercialisation de vins en bouteilles, alors que ses contemporains n’achetaient et ne vendaient que leurs produits en barriques ou tonneaux. L’idée fonctionne et la Maison NICOLAS multiplie les ouvertures d’établissements, jusqu’à compter 42 enseignes partout en France au tournant du XXe siècle et près de 140, une vingtaine d’années plus tard. Aujourd’hui, le numéro un et plus ancien distributeur de vins en France est présent sur tout le territoire avec près de 500 boutiques (dont 10 dans les départements d’outre-mer) et à l’étranger grâce à un réseau d’établissements et de franchises. Le groupe confirme son ambition internationale en ouvrant régulièrement des succursales en Belgique et en Suisse et des franchises au Maroc, au Royaume-Uni et même à Beyrouth au Liban. Plusieurs innovations et idées nouvelles ont accompagné le développement de l’enseigne et continuent aujourd’hui à contribuer à la notoriété populaire de la marque. Car non content d’avoir démocratisé un nouveau format de bouteille auprès des particuliers, la Maison NICOLAS a utilisé a son bénéfice l’essor d’un nouveau média de communication, la publicité, en créant, en 1922 un personnage attachant et directement reconnaissable : Nectar, le livreur moustachu aux bras chargés de bouteilles. Plus tard, la Maison NICOLAS sera encore précurseur en proposant le beaujolais nouveau à grande échelle, puis en mettant les vins de pays de France à l’honneur de sa carte et à des prix abordables. Une qualité constante sur chaque bouteille Une équipe d’une demi-douzaine de personnes est dédiée à la qualité des vins dont trois d’œnologues qui œuvrent constamment en coulisse pour sélectionner chaque année les meilleurs nectars des différents terroirs français et des autres régions du monde où NICOLAS choisit ses vins. Tous les vins sont goûtés, même quand il s’agit d’un changement de millésime, par cette petite équipe (8591 dégustations d'agréage effectuées en 2017). Le chiffre est variable selon la période de l’année, mais ce sont près de 1 200 références qui sont disponibles sur Internet et dans les différentes boutiques de l’enseigne à chaque instant, et dont il faut s’assurer de la qualité constante sur chaque bouteille. Ce contrôle de qualité permet de retirer immédiatement de la vente une référence si elle n'affiche pas toutes les qualités qu'elle avait préenté lorsqu'elle a été agréée. De même, chaque bouteille qui revient en magasin, si par exemple le client estime que ses qualités gustatives sont altérées, est directement envoyée au laboratoire du Groupe pour vérification. Ce qui permet des échanges constructifs avec chaque fournisseur que la Maison préfère nommer " partenaire ". Cette qualité dans la sélection des bouteilles se retrouve tout naturellement dans les cuvées spécifiques de la Maison. Même s’il reste essentiellement un revendeur de vin, NICOLAS propose quelques « cuvées Nicolas » spécialement assemblées pour l’enseigne par sa propre équipe d'oenologues. Les gammes couvrent les trois couleurs classiques avec des propositions à des prix abordables. On retrouve dans la gamme Cub. Collection NICOLAS quelques merveilles dont un AOC côtes-du-rhône, composé principalement de syrah, qui s’avère surprenant. Proposé dans un format cubique à l’emballage moderne, il trouve facilement sa place sur un coin de table. Les Vinissimes, le nouveau salon haut de gamme Le premier caviste de France organise aussi chaque année un salon haut de gamme pour présenter quelques-unes de ses plus pres...
L’idée de départ était d’améliorer les troupeaux français en les croisant avec des têtes issues du cheptel anglais. Le système d’exploitation appliqué en Anjou, à cette époque, a favorisé le succès de l’expérience. Aujourd’hui, ce croisement de taureaux Durham à la Mancelle génère des viandes de haute qualité bouchère, réclamées par les connaisseurs. La plus anglaise des races françaises Reconnaissable à son allure longiligne, son fort gabarit et la pie rouge foncé de sa robe, la Rouge des prés était d’abord baptisée de la désignation Maine-Anjou. Elle portera ce nom jusqu’en 2004. « Longtemps, cette race qui est née au XIXe siècle a été exploitée de façon mixte, avec une production laitière relativement importante », précise M. Albéric VALAIS, le DG du Domaine rouge des prés. Aujourd’hui, elle s’aligne exclusivement dans les troupeaux allaitants, étant plus volontiers recherchée pour les riches caractères gustatifs de ses viandes. Un savoir-faire pointu pour l’élevage Question de terroir, les Pays de la Loire sont demeurés le site d’élevage de prédilection de cette race. C’est en tout cas la zone de couverture de l’appellation d’origine protégée. Ensuite, quelques troupeaux sont retrouvés au nord des Deux-Sèvres et en bordure de l’Ille-et-Vilaine. Des contextes particuliers définissent naturellement cette répartition des zones d’élevage. La race s’adapte à des facteurs pédoclimatiques doux. « Cette douceur angevine, elle cadence un petit peu notre année. C’est-à-dire que l'on a la chance chez nous d’avoir un printemps plus précoce. Ça permet de sortir les animaux à l’herbe très tôt. Au mois de mars, une bonne partie des troupeaux sont déjà arrivés en pâture », se réjouit Albéric Valais. Dans ces conditions, les bêtes jouissent alors d’une période d’alimentation à l’herbe très faste. Celle-ci se poursuit jusqu’en juin, voire au-delà. La douceur de l’automne permet de rattraper la « disette estivale » et de reprendre de l’état en perspective de l’hiver. Cette spécificité climatique offre aux éleveurs la possibilité de valoriser leurs prairies de façon optimale, alternant le recours aux prairies de fond de vallée ou de bord de ruisseau à l’exploitation des prairies sèches, à bon escient. La viande d’appellation Maine-Anjou Attribuée en 2004, l’AOC Maine-Anjou marque la consécration de la viande issue des Rouges des prés. Celle-ci se reconnaît d’emblée par sa couleur rouge intense, se distinguant tout de suite lorsque confrontée à des morceaux coupés dans d’autres races. Côté goût, ce sont les notes persillées du gras qui signent son originalité. La jutosité et la saveur de la chair sont typiques et très recherchées par les gourmets. Les néophytes en la matière peuvent toujours essayer la technique de la « mastication prolongée ». Loin du rendu granuleux qui se produit avec d’autres viandes, celle-ci a « une attaque en bouche onctueuse qui va rester même si vous mâchez longtemps ». Principalement découpés dans les quartiers arrière, les morceaux se déclinent en bourguignon, côtes, faux-filets, entrecôtes et rosbifs. D’excellentes pièces destinées au pot-au-feu ou aux recettes de fondues sont également proposées. Pour en arriver à ces produits de qualité éminemment courus, il a fallu respecter un cahier des charges rigoureux. L’homogénéisation des systèmes de production – « une vache et sa suite pour 1 hectare d’herbe » – et les conditions de finition des animaux sont parmi les priorités des éleveurs de cette appellation. Pour les dernières, le mot d’ordre est « matières premières mélangées et non OGM ». ...
Qu'elles soient sucrées, salées, amères, aigres, pimentées, toutes les saveurs et les subtilités qui font l’originalité de la cuisine chinoise se retrouvent dans les plats servis au Yushan Fang. Un style asiatique affirmé Une fois à l’intérieur du restaurant, les convives se laissent subjuguer par l’harmonie de couleur qui y règne. Le jaune et le noir semblent parfaitement s’accorder. Entre le mobilier tout en noir et les murs qui s’habillent d’une couleur jaune symbolisant la cour royale. Le style est à l’ancienne mais empreint d’une touche de modernité. Un air de « cité interdite » se révèle à travers les portraits d’empereurs et d’impératrices qui ornent majestueusement le mur. La touche asiatique s’achève sur un joli art calligraphique. Un concept original Chez Yushan Fang, les convives ne se contentent pas d’être servis sur un plateau d’argent ! Eh oui, ils mettent la main à la pâte et participent à l’élaboration de leurs plats. Le soir, toute la salle s’unit autour d’une même envie : une dégustation de la spécialité du chef qu’est la fondue chinoise. Jadis très prisée par la famille royale, cette recette s’est ensuite répandue dans tout l’empire. Grâce à des tables à induction, les invités prennent plaisir à concocter eux-mêmes leur bouillon à partir d’ingrédients délicatement placés sur une feuille. À côté de ce met des plus authentiques, les grands classiques n’en déméritent pas. Les nems et les nouilles faits maison sont également très appréciés. Pour les vins, la carte se veut être résolument éclectique. Pour accompagner idéalement la fondue, rien de tel qu’un brouilly, par exemple. ...