La passion du métier et l’amour de la vigne sont au cœur de l’ADN de la maison Breton et fils. Depuis près de 70 ans, ce vigneron indépendant et récoltant-manipulant puise dans les techniques traditionnelles héritées de ses aïeuls pour élaborer des champagnes au caractère affirmé. Des cuvées reflétant le raffinement à la française qui savent séduire les palais les plus exigeants. La diversité avant tout Implanté dans deux départements, sur les coteaux du Sézannais, en plein cœur de la côte des Blancs, Champagne Breton Fils mise sur la diversité de son terroir pour élaborer des champagnes qui réunissent tous les désirs gustatifs. Son vignoble de 16 hectares est réparti sur 11 communes, avec une présence sur les premiers crus et les grands crus. Cette implantation sur de nombreux villages et coteaux s’inscrit dans la stratégie qualitative prônée par la maison. Questionné sur ce point, l’actuel propriétaire, Reynald Breton, explique que « la démarche permet d’avoir un juste équilibre sur des sols argileux, des sols calcaires et des sols argilocalcaires rendant propice la culture du pinot noir, du chardonnay et du pinot Meunier. » Les vignes particulièrement chouchoutées donnent des champagnes inimitables construits sur l’élégance, la générosité et la minéralité. Les efforts sont menés dans l’objectif d’avoir des crus de qualité, sans pour autant faire l’impasse sur le respect de la terre et la préservation du patrimoine. « Nous adoptons la viticulture raisonnée depuis plus de dix ans, et nous avons entamé le processus pour détenir le label "haute valeur environnementale" », confie le vigneron. La responsabilité écologique n’est pas prise à la légère, pour que les vins livrent naturellement toutes les caractéristiques du terroir. Des cuvées pour toutes les envies Animée par l’amour du champagne, le respect des hommes et celui des valeurs ancestrales, la maison Breton Fils s’est engagée à élaborer des cuvées au plus proche des attentes des consommateurs. Les collections « Les classiques », « Les Cuvées spéciales » ou « Les Cuvées Grande Cave » s’adressent notamment aux clients locaux. Parmi les perles de la gamme « Les classiques », s’inscrit le Brut Tradition, composé à parts égales des trois cépages champenois. Ce champagne à la robe jaune légèrement pâle, aux notes florales en nez, avec une bouche structurée et élancée, sera le compagnon idéal d’un dessert gourmand comme une tarte aux poires amandines, un opéra ou une charlotte au chocolat. Les adeptes de vins monocépages seront charmés par le caractère gourmand et complexe du Blanc de blancs Brut à 100 % de chardonnay. Ses notes pâtissières et sa douceur florale le rendent parfait pour accompagner un feuilleté de ris de veau, des huîtres ou un crémeux de homard. Afin de satisfaire sa clientèle à l’international, l’entreprise a aussi créé des marques pour différents marchés. La cuvée BRUUT, par exemple, est proposée exclusivement aux Pays-Bas. Idem pour la marque de luxe De Roval, qui est présente davantage à l’export. « Nous voulons partager notre passion et notre savoir-faire, et faire rayonner l’art de vivre à la française partout dans le monde. Nous sommes présents sur tous les continents », déclare Reynald Breton. ...
Le restaurant Claire’Marais est installé à Saint-Omer,en région Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Dirigée par Claire et Grégory Bluszcz, la maison propose un menu bistrot gourmand à ses hôtes. Sa cuisine se conjugue au féminin, car c’est Claire qui gère les fourneaux tandis que Grégory assure l’accueil et le service en salle. Ce duo complice et passionné met à profit expériences et savoir-faire du couple pour faire plaisir à chaque convive. Une chef passionnée et créative À l’âge de 29 ans, Claire a réussi le bel exploitd’ouvrir son premier restaurant. Au début,elle s’occupait surtout de la gestion et du service en salle et ce durant 8 ans. Au fil des années, elle se découvre une vocation pour l’art de la cuisine. Elle décide alors de suivre une formation professionnelle au lycée hôtelier Saint-Pierre de Calais. Soutenue par son mari Grégory, elle révèle aujourd’hui ses talents en tant que chef dans son propre établissement.Grégory, de son côté, a également suivi une formation hôtelière au lycée de Beuvry. Passionné et amoureux de l’œnologie et tout ce qui concerne le service en salle, il décide d’assurer la gestion du restaurant. La machine fonctionne et Claire et Grégory, aux atouts complémentaires, peuvent se targuer de leur réussite.Le secret : une cuisine gourmande et savoureuse, réalisée avec soin par une chef qui ne manque pas de dynamisme et de créativité. « Elle est passionnée et c’est l’une des meilleures chefs de la région. Elle est toujours à la recherche d’un nouveau produit pour créer des plats inédits », raconte son époux. Une bonne adresse à partager À l’intérieur, la salle est décorée de façon moderne et ornée de fleurs durant la journée. Le soir, une décoration sobre mais plutôt élégante domineet confère une ambiance feutrée. Pour se réconforter en été, les convives sont invités à profiter de la terrasse située au bord de l’eau et offrant une vue magnifique sur le jardin et le parc. Dans ce cadre sympathique, les assiettes sont présentées comme des œuvres d'art et sont mises en valeur par un art de la table particulièrement soigné.Autant de détails qui reflètent l’amour et le professionnalisme de Grégory. Une cuisine locale et de saison La chef propose une cuisine raffinée et utilise surtoutdes produits frais au service d'une vraie recherche créative qui régale les papilles. Sa carte et ses menus suivent la saisonnalité.Parmi les suggestions proposées figurele menu classique où les convives choisissent entre une entrée, un plat et un dessert à 22 € ou une entrée, un plat, des fromages et undessert à 27 €.Quant à la carte, elle est composée de quatre entrées, de cinq plats de résistance, d’une assiette de fromages et de cinq desserts aux choix.Le repas débute par des escargots de Radinghem poêlés à l’ail, crème de pommes de terre à la citronnelle, jus de cresson qui réveillent les papilles. Vient ensuite le délicieux bœuf rumsteak poêlé aromatisé au foin et aux herbes, pommes grenailles sautées à l’huile de truffe, sauce parmesan à l’ail. Sans oublier l’assiette de fromages affinés de P.A. Wullus.En dessert,les fraises gariguettes poêlées au miel et poivre du Sichuan et sa crème glacée sont un vrai délice. ...
Les Saveurs de l’Orient excellent dans l’art de vous transporter à l’autre bout du monde, où vos papilles savoureront des plats authentiques et résolument orientaux. L’art de dépayser les convives Les Saveurs de l’Orient vous accueillent dans un décor typiquement oriental, une véritable invitation à voyager au pays des Mille et Une Nuits, le temps d’un repas. Lumière tamisée, mobilier typique et précieux, photos de danseuses orientales… Autant d’éléments qui viennent agrémenter votre voyage, mais aussi pour vous procurer cette sensation de bien-être très propice à l’appétit. Cuisine maison, une véritable touche d’authenticité Aux Saveurs de l’Orient, les spécialités marocaines et libanaises sont concoctées dans l’esprit « cuisine maison ». Couscous, houmous, mezzé, tagine… Choisir entre les plats proposés est de nature à vous confronter à un dilemme permanent. L’assortiment d’entrées chaudes et d’entrées froides sera surtout à même d’éveiller davantage vos papilles, afin de vous permettre de mieux savourer les plats qui accompagnent chaque formule. Parmi celle qu’il ne faut pas rater figure la formule Pyramide, assortie d’un plat composé notamment de kefta riz salade, le garant d’un instant de pur bonheur. Combinant soupe harira, salade composée ou encore des assortiments de bricks, la formule Marrakech s’adresse, quant à elle, aux férus de plats légers plutôt revigorants. Les vins pour mieux savourer vos plats Les Saveurs de l’Orient proposent un large choix de vins en fonction des plats que vous aurez choisis. Vous avez jeté votre dévolu sur le mezzé rania ou le mezzé royal ? Le Kefraya ou le Ksara, deux références libanaises au gout fruité, attiseront votre appétit. Le fameux vin de Bordeaux est aussi au rendez-vous, comme pour vous aider à expérimenter un mix de culture, le temps de ce voyage culinaire. ...
Tous deux issus d’une longue lignée de vignerons, ces époux décident, en 1985, de perpétuer l’héritage familial. La marque Fabrice Lecourt est réputée pour les saveurs et les arômes de son champagne fin puisant sa typicité dans le sol argilo-calcaire de la commune de Cormoyeux. Des cuvées traditionnelles au goût authentique « Nos parents et grands-parents travaillaient déjà la vigne », s’exclame Véronique. Afin de mettre ce patrimoine vinicole de six hectares en avant, les Lecourt privilégient un champagne représentant les valeurs familiales que sont l’authenticité et la qualité. Au travers de leur Brut Tradition ou de leurs millésimes, la maison s’attèle à donner le meilleur du terroir en privilégiant les méthodes traditionnelles héritées des aînés à l’instar des vendanges manuelles ou de la vinification en fûts de chêne pour la cuvée Grains d’Arômes notamment. Cette dernière, véritable ambassadrice de la marque, accompagnera avec élégance les apéritifs de par son caractère gras tantôt épicé, tantôt fruité. Les plus audacieux ponctueront leurs plateaux de fruits de mer par un Brut Nature, une cuvée dotée d’arômes délicats, fraîche, mais fougueuse. Une viticulture dans le respect de la terre Dans le but de préserver « la richesse de la terre et [de valoriser] les vignes familiales », la maison Lecourt donne la primauté à la viticulture conduite de façon raisonnée. Les spécificités du terroir sont ainsi préservées dans chaque vigne. Le choix du cépage parcelle par parcelle est déterminant. C'est pourtant le meunier le cépage de prédilection de cette région champenoise. Chaque flûte de champagne Fabrice Lecourt révèle et sublime ainsi les caractéristiques propres de la terre. ...
Niché au cœur de ce village fleuri, le restaurant Le Vauban se trouve à 150 mètres des trois frontières suisse-allemande-française et à seulement quelques minutes du parc des Eaux-Vives. Cette impressionnante bâtisse, construite à l’époque des fortifications de Vauban, fait office d’hôtel-restaurant depuis plus d’un siècle. Dès la porte franchie, l’on s’y sent déjà comme à la maison. Sans doute grâce à la décoration à la fois rustique et raffinée, l’ambiance familiale sans chichi et l’accueil chaleureux qu’Isabelle Godhbane réserve à ses clients. « L’amabilité, la gentillesse et vouloir bien faire sont nos maîtres mots », précise-t-elle. Les spécialités de la maison Le Vauban propose une cuisine authentique et généreuse, assumant avec caractère toutes les saveurs de la cuisine traditionnelle française et alsacienne. « Nous travaillons principalement avec une carte de base qui reprend les classiques de la cuisine française sur laquelle on rajoute des plats typiquement alsaciens, surtout en hiver », explique la gérante, Isa pour les habitués. À ses côtés depuis quatre ans, le jeune chef Mickaël Deleau, toujours fidèle à lui-même et à ses plats audacieux et hauts en couleur. De ses mains d’artiste, celui-ci n’hésite pas à jouer sur les textures, les saveurs, les épices et les aromates et à miser toujours sur la saisonnalité et la fraîcheur des produits. Si de nouvelles suggestions sont à découvrir chaque semaine, la carte reste inchangée toute l’année pour « retrouver les incontournables de la maison ». Parmi eux, les fameuses tartes flambées à commander selon le goût de chacun : forestière gratinée, bourguignonne, roquefort, tomate mozzarella, végétarienne, munster, ou encore « La savoyarde ». Sans oublier de mentionner les planchettes (assortiment de fromages, plateau de charcuterie) à déguster en solo ou à partager à l’apéritif. Des recettes de burger tout aussi originales qu’alléchantes sont également à découvrir sur place. Cuisine inspirée et recettes de saison Puisque l’établissement fait la part belle aux ingrédients frais provenant des producteurs de la région, le chef peut se permettre de varier ses propositions au rythme des saisons. « Maintenant que la saison d’été arrive, nous proposons cinq nouvelles salades en guise d’entrée et ça change très régulièrement », renchérit Isabelle. En plat, les gourmets peuvent savourer le steak tartare préparé à la minute et devant les clients, hachée à la commande et accompagnée de sa sauce, le tout servi avec des toast et des frites. Ou encore le fameux cordon-bleu de veau, en pièces XXL de 350 g, avec jardin de légumes et frites maison. Mieux, les créations sucrées du chef en surprennent plus d’un. Le Paris-Brest revisité avec mousse au basilic et crème pâtissière framboise est un grand coup de cœur. « On peut noter aussi la crème brûlée à la rhubarbe et la brioche à la mangue. » Les petits choisiront une coupe de glace artisanale aux parfums exotiques. Quand le soleil est au rendez-vous, on opte pour la belle terrasse à l’extérieur, un lieu de vie agréable pour une parenthèse gourmande entre proches, amis ou collègues. Une excellente carte de vins La carte est éclectique, toutes les régions de la France y sont dignement représentées : des bordeaux, des vins de Bourgogne, des côtes-du-rhône et bien sûr des vins alsaciens. La liste évolue tous les trois mois en gardant toujours quelques références alsaciennes. Une sélection de cuvées du domaine Pierre Adam à Ammerscwihr est particulièrement mise à l’honneur, car elle reflète fidèlement toutes les richesses du terroir. Pour sublimer la dégustation, Isabelle Godhbane a eu « la folle idée » de servir tous les vins de table au verre ou en pichet, de quoi faire plaisir à tous les amateurs de bonne chère. ...
Fondée en 2015 par Hervé Grangeon, maitre artisan distillateur, la distillerie Ergaster propose des spiritueux de grande qualité 100% français. Des produits biologiques qui font le bonheur des amateurs de spiritueux Lorsque l’on goûte un whisky single malt, un gin ou un pur malt de la distillerie Ergaster, on se rend compte immédiatement du savoir-faire du maître artisan. Ces spiritueux produits en France seront bientôt tous biologiques. Les gins sont produits à l'année tandis que les malts, eux, sont éphémères. Chaque étape des créations est patiemment travaillée pour donner ce résultat final qui explose en bouche. Hervé Grangeon nous explique que l’utilisation d’un alambics Stupfler, le fait de faire vieillir les malts en chais secs, le choix des fûts de maturation et l'assemblage en plusieurs étapes sont pour beaucoup dans ce résultat étonnant. ...
Le Château Grand Callamand est, depuis 2004, la propriété de la famille Souzan-Delagrave. Actuellement, l’exploitation est dirigée par Nathalie Souzan. Sous sa supervision, le domaine familial poursuit sa double vocation : la production de vins et les séjours œnotouristiques. Pour ces derniers, il faut dire que le cadre s’y prête à merveille ! Respect de l’environnement Ce vignoble de 22 ha est mené en lutte raisonnée avec un souci permanent pour l’environnement. L’utilisation de produits est donc limitée au strict minimum et la maison se sert exclusivement d’engrais organiques bio. En outre, la vie sauvage est ici préservée grâce à la présence d’une forêt entourant le domaine. Un cadre enchanteur Implanté au cœur du parc national du Luberon, le Château Grand Callamand profite pleinement du calme et de la quiétude de la campagne. Dans ce cadre privilégié, une belle bâtisse du XVIe siècle, construite par François Malherbes, accueille les visiteurs souhaitant séjourner dans le domaine. Des chambres d’hôtes confortables et spacieuses sont mises à leur disposition. Pour ceux qui désirent organiser des évènements privés ou professionnels, différents espaces du domaine sont privatisables. La cuvée phare Tandis que la beauté des lieux laisse rêveur, les vins qui y sont élaborés risquent de réserver quelques surprises. À commencer par la cuvée « Le Vin noir », qui est présentée comme une curiosité à même d’offrir une expérience sensorielle originale. Issue d’une vendange tardive, cette cuvée spéciale 100 % alicante a été élevée 6 ans en barrique de chêne français. Ce vin séduit par ses arômes de griotte, de menthe, de chocolat et d’épices. Il développe un palais ample et structuré, avec de la rondeur et de la sucrosité. Idéal pour accompagner un gibier ou un dessert au chocolat noir. ...
L’histoire du Château de Lacarelle commence en 1750, au moment où la famille Lacarelle en fait acquisition lors d’une vente aux enchères à Paris. Depuis, neuf générations de la famille s’y sont succédé. Actuellement, trois générations de la famille, menées par le couple Elisabeth Durieu de Lacarelle et Xavier Marraud des Grottes, s’attellent avec passion à perpétuer cette tradition de produire des vins de garde bio et raffinés. Adoption d’une agriculture durable Le sol du domaine de Lacarelle est pauvre naturellement et aussi peu profond. Il s’est donc avéré nécessaire pour la famille de préserver et protéger ce milieu naturel afin de pérenniser le terroir. Pour ce faire, elle a développé une méthode de culture à la fois durable et raisonnée. Les parcelles du domaine sont issues de la décomposition lente du granit, qui est très sensible à l’érosion. Par conséquent, l’exploitation entame chaque année de lourds investissements pour lutter contre ce phénomène. L’utilisation de produits phytosanitaires est mûrement réfléchie, chaque année, afin de réduire les impacts sur l’environnement. Toujours dans cette démarche, le Château de Lacarelle travaille en étroite collaboration avec l’Agence de l’Eau du Rhône, Méditerranée, Corse et ne rejette dans le milieu naturel que de l’eau à la qualité irréprochable. Dans un futur proche, le domaine envisage de se reconvertir à l’agriculture biologique : « une vingtaine d’hectares sont en bio, et on compte agrandir petit à petit, avec une dizaine d’hectares en biodynamie. A terme, le but est de maintenir toute l’exploitation en bio » souligne Elisabeth Marraud des Grottes, gérante du domaine. Chaque année, deux hectares de vignes sont replantés pour assurer la persistance du potentiel du vignoble dans le temps. Une belle sélection de vins Le Château de Lacarelle exploite en tout 138 hectares de vignes sur des parcelles situées sur les coteaux de Saint-Etienne-des-Oullières, Saint-Etienne-de-la-Varenne et Arbuissonas, dans l'aire d'appellation Beaujolais- Villages. Il s’agit de la plus grande exploitation familiale du Beaujolais. Chaque année, elle produit environ un million de bouteilles destinées principalement à l’export vers la Chine ou les Etats-Unis. Depuis toujours, le domaine se voue à produire des vins jeunes mais de qualité. A l’image de son « Château de Lacarelle Rouge » AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde est issu de Gamay à 100% de 31 ans. Frais, léger et fruité avec des tanins souples, il se déguste avec des charcuteries, des fromages ou du chocolat. La production annuelle de ce précieux nectar est particulièrement importante car elle s’élève à 800 000 bouteilles. Le vin propose aussi un blanc issu à 100% de Chardonnay, le « Château de Lacarelle Blanc » en AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde sec, fruité aux notes de miel, vanille et fleurs accompagne les poissons ou viandes blanches, fromages ou desserts. Le « Rosé de Lacarelle » est composé de 100% de Gamay et élaboré de façon traditionnelle. Il présente une robe saumon clair avec des bulles fines. Ce vin de garde a été récompensé d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard en 2015. Le « Château de Lacarelle Crémant de Bourgogne » est quant à lui est un vin brut sec, à la robe or pâle avec des fines bulles. Il se boit dans l’année avec du foie gras, du caviar et tous les desserts sucrés. Souvent récompensé, il a été couronné d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard 2015. ...
Sur une superficie de 32 hectares, le terroir à exposition sud/sud-est est bercé par un doux microclimat méditerranéen. Il se présente sous une mosaïque de parcelles de vignes, organisée en terrasses, avec un sol à dominance argilo-calcaire. En équilibre avec la nature Les cépages sont repartis suivant les caractéristiques du sol, selon qu’il est plus calcaire ou argileux. Les cépages rouges, qui exigent un sol plus profond, dominent les vignobles à 80 %, à l’instar de la syrah, du mourvèdre, du grenache, de la counoise et du carignan. Les cépages blancs sont composés de rolle, marsanne, roussanne, grenache blanc, et sont cultivés en terroir argilo-calcaire. Le domaine s’épanouit dans l’application de la viticulture biodynamique, et s’est vu attribuer la certification Agriculture biologique (AB) et Demeter depuis 2011. Cette démarche consiste à utiliser notamment des composts de substances végétales ou animales dans le sol pour en extraire les principes actifs. Les vignes sont traitées avec délicatesse et en harmonie avec leur environnement immédiat afin d’obtenir des vins plus sains, expressifs et bien équilibrés. AOC Languedoc Pic-saint-loup Les cinq cuvées du domaine sont élaborées selon un savoir-faire particulier par une équipe passionnée. En blanc, le domaine propose le Château La Roque blanc 2016 AOC Languedoc, élaboré avec 30 % de marsanne, 30 % de rolle et 25 % de grenache blanc. En bouche, elle livre une attaque picotée par les agrumes et les litchis, pour finir sur une note plus pétillante. Un choix idéal pour accompagner poissons et fruits de mer. En rouge, l’on s’intéresse plus particulièrement au produit emblématique de la maison, celui qui représente fidèlement le terroir, il s’agit de La Cupa AOC Pic-saint-loup. Obtenue à partir de l’assemblage de syrah à 65 % et de mourvèdre à 35 %, cette cuvée revêt une robe grenat avec une belle nuance violacée. Vin de garde par nature, au nez, elle dégage une douce senteur de fruits noirs agrémentée par une note de cades et de genévriers. À la dégustation, elle fait une attaque marquée avec une belle complexité aromatique et se termine sur une finale plus onctueuse. Cette cuvée a déjà raflé la médaille d’or au challenge Millésime Bio France en 2012 et a été notée 90/100 par l’illustre critique en œnologie Robert Parker. ...
Créé il y a 60 ans, Le Café des Sources était à l’origine un petit café sympathique connu du quartier. « C’était un bistrot espagnol où les gens venaient plutôt pour boire, il n’y avait pas la cuisine », nous raconte Éric Vouriot, l’actuel propriétaire depuis 2009. Il a réussi avec brio le challenge de garder l’esprit de la maison et en faire une adresse iconique de la cuisine canaille à Genève. Cette identité genevoise se reflète bien dans la décoration de la salle : grande façade en baie vitrée, mobilier en bois, vieilles banquettes de 100 ans, l’intemporel tableau noir et un grand bar au milieu : « Un endroit qui est resté identique, authentique », comme le décrit si bien le propriétaire du lieu. Une cuisine simple et authentique La carte propose des plats qui épatent par leur succulence et leur générosité. Parmi eux, le ris de veau aux morilles, la quenelle de brochet soufflée avec sa sauce à l’américaine, ou encore le steak de calamar et crevettes au piment et gingembre, qui sont devenus les incontournables du restaurant et se savourent tout au long de l'année. En période de chasse, d'octobre à la mi-décembre, l'on se laisse facilement tenter par le filet de lièvre rôti au romarin et coings confits ou bien les noisettes de cerf sauce poivrade avec une garniture composée de choux rouge braisé, de spatzlis ou encore de la poire au vin et purée de céleri. Des spécialités typiquement suisses s’ajoutent également à carte, tels le malakoff ou le filet de bœuf à la moelle, bien tendre et délicieux. En dehors de la chasse, les saveurs gourmandes se déclinent pour toutes les saisons. Ainsi, que ce soit en printemps, en été ou en automne, les suggestions du chef ne manqueront pas de surprendre agréablement les épicuriens par des plats travaillés et finement présentés. En dessert, l’on se laisse tenter par le tiramisu au beurre caramel salé ou le baba au rhum et mangues confites. Et comment ne pas parler de la tarte Tatin aux poires caramélisées au beurre salé et sa glace, un dessert qui frôle la perfection. En outre, les clients peuvent se laisser séduire par les suggestions du chef, qui varient dans la semaine selon la saisonnalité et les produits au marché. Côté vins, la quarantaine de références proposées met à l’honneur les vins genevois. Une sélection de vins français, dont ceux en appellation côtes- du-rhône et les vins de Bordeaux, figure aussi sur la carte. Enfin, des vins en provenance du Valais, en Suisse, viennent compléter la liste. Label de qualité Le Café des Sources est le royaume du fait maison : plats, jus, desserts, sauces sont élaborés sur place avec des produits frais et locaux. « Nos produits viennent de Genève ou du Canton de Vaud », renchérit notre interlocuteur. Cette démarche engagée produits locaux lui a valu le label « Ambassadeur du terroir genevois », gage de la qualité de ses produits et de leur origine. Toujours en quête de l’excellence, le restaurant a raflé en 2017 le premier prix catégorie bistrot pendant le concours de la semaine du goût organisé par la ville. ...
Paléo Toi-même propose une solution unique et originale : des en-cas sains, gourmands et nutritifs. Si à l’origine le concept était destiné aux femmes actives, reines du grignotage mais qui tiennent à leur ligne, ces petites gourmandises à forte teneur en nutriments et en bonne graisse conviennent tout aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Un concept novateur Partant du principe que les oléagineux et les fruits séchés recèlent de trésors pour la santé, Pascal Baup, le fondateur de Paléo Toi-même a saisi cette opportunité pour en faire un concept novateur : des en-cas anti-grignotage car selon lui, « s’il faut grignoter en cas de petits creux, autant le faire intelligemment ». C’est ainsi qu’il se lance dans cette aventure, épaulé par Laurence Salomon, chef culinaire et naturopathe de profession qui lui fait part de ses précieux conseils pour assortir les produits de façon à optimiser les apports nutritifs et informer sur leurs vertus à travers des fiches nutritionnelles. Forte de ses 13 ans d’expérience au sein de son restaurant Nature & Saveur à Annecy, elle propose aussi des idées recettes à base de leurs produits. Des produits gourmands et pleins de ressources empreints d’un retour à la vie saine A l’image des snacks, barres de céréales et autres gâteaux préparés, ce ne sont pas les propositions qui manquent sur le marché. Pourtant, c’est Paléo Toi-même qui a pensé à allier gourmandise, santé et bien-être. Avec sa large gamme d'en-cas gastronomiques à base de fruits séchés et d’oléagineux, de chocolat cru, de baies, de muesli… les plaisirs sont variés et tout le monde y trouve facilement son bonheur. Les produits sont issus de la culture biologique, non transformés, exempts de conservateurs, pesticides, herbicides et autres perturbateurs endocriniens à effets délétères sur la santé. De plus, ils sont vegan et sans lactose avec des valeurs nutritives intenses qui ne sont plus à vanter. Contrairement aux goûters industriels, les offres de Paléo Toi-même sont dépourvues de sucres rapides, facteurs de prise de poids et de maladies. « On a l’offre la plus diversifiée » souligne Pascal Baup. Plus de 100 choix sont proposés. Ils sont disponibles sur la boutique en ligne et sur abonnement avec des box personnalisables au gré de toutes les envies car « les goûts des uns et des autres doivent être pris en compte », se plaît à dire notre interlocuteur. Impossible de les citer tous, mais à titre d’exemples, des produits atypiques comme les figues zagros bio, le Fenelar offrent des expériences gustatives à part. Des fruits séchés bio comme les bananes, litchis, fraises, des baies de goji qualifiées de super-aliment grâce à leur forte teneur en fibre et en nutriments ravissent également les épicuriens. Les Blissballs, fibreux et à effet coupe-faim, composés de canneberges, dattes, amandes crues, noix de cajou crues, raisins sultanine, noix de coco, baies d'acaï sont très plébiscités. Leurs apports combinés font de ce produit une collation idéale pour les enfants en pleine croissance. Paléo Toi-même propose aussi des coffrets de poche pratiques et non encombrants. Des petites boites réalisées avec du fer blanc et barquette en APET, des matériaux fiables qui se glissent facilement dans tous les sacs à main et les cartables, pour transporter ces collations d’exception. ...
La douceur de vivre n’a pas quitté le sud de Marseille depuis la naissance du restaurant Chez Aldo, sur le port de la Madrague, dans les années 1960. Dans ce cadre avec vue imprenable sur la mer, les poissons et les fruits de mer sont à l’honneur. Les produits frais de la mer arrivent tout droit des pêcheurs du port de la Madrague. Depuis 5 ans, ce sont quatre anciens employés qui se sont associés pour « poursuivre ce que faisait Aldo il y a 50 ans et qui lui a valu sa réputation ». Un restaurant de poissons et de spécialités locales provençales Le restaurant Chez Aldo sert, bien sûr, des recettes classiques comme le filet de bœuf grillé au feu de bois, le magret ou simplement une pizza cuite au feu de bois devant les convives. Toutefois, la maison est spécialisée en poissons et produits de la mer. Ces derniers sont grillés, préparés en tartare, en salade comme le poulpe de roche, en friture comme les seiches, en soupe comme les poissons de roche ou à la plancha tels que le thon mi-cuit au sésame, le merlan ou le rouget. Un restaurant de poissons, qui plus est marseillais, ne le serait pas si la traditionnelle bouillabaisse n’était inscrite à sa carte. Ce plat originaire de la Grèce antique est servi en deux temps : la soupe de poissons, puis une assiette de poissons découpés et accompagnés de pommes de terre. Rascasse, galinette, daurade, vive, merlan, saint-pierre, lotte, grondin et congre peuvent être utilisés par le chef pour cette préparation. La bouillabaisse est un pur régal ; toutefois, il faut la commander la veille. Le grand bleu comme horizon S’agissant de la décoration de la salle, les propriétaires de Chez Aldo ont choisi de miser sur la simplicité pour que les convives se concentrent sur l’essentiel : la mer. Effectivement, certains donneraient cher pour avoir une vue panoramique sur la Méditerranée le temps de déguster un bon plat de poissons ! Une ambiance qui occasionne à la fois plaisir et détente. Pour pimenter ce décor, le restaurant ouvre ses portes à l’art et aux artistes locaux. Les tableaux qui ornent les murs de Chez Aldo sont renouvelés tous les 2 mois. Parmi ceux qui y ont déjà exposé leurs œuvres, il y a le photographe Hugues Charrier, qui raconte à travers ses clichés la vie sur la façade maritime de Marseille. La carte des vins Le restaurant Chez Aldo met en avant les crus de la région. Avec la formule vins du mois, la maison essaie de faire découvrir tous les domaines qui figurent à sa carte. Cette dernière s’est constituée autour des vins de la vallée du Rhône, de la Loire, de Bourgogne, des Bouches-du-Rhône et de ses alentours. Certains vins comme le Côteaux d’Aix du Château Lacoste ou le Bandol du Château du Cagueloup peuvent être vendus en demi-bouteilles. ...
Destination idéale pour tutoyer les cimes entre France et Italie, Saint-Véran attire autant l’hiver que l’été. Réputé pour sa beauté et ses 2.040 mètres d’altitude, le village abrite l’hôtel l’Alta Peyra à l’architecture remarquable alliant luxe et authenticité. Tout y est pour passer un moment d’évasion exceptionnel: des chambres chaleureuses, un paysage de rêve, un personnel attentif sans oublier la touche gastronomique proposée par le jeune chef Alexandre Lechêne, issu de l’école Ducasse, et développant sa première grande table avec le Roc Alto. L’élégance à l’honneur Le Roc Alto est situé au dernier étage d'un des chalets qui composent l’Alta Peyra. Tout comme l’hôtel, il allie parfaitement l’élégance à la sobriété. Dès la porte franchie, l’atmosphère sereine et intime de la salle se ressent. La décoration combine des matériaux nobles et naturels qui s’intègrent parfaitement à l’esprit du village de Saint-Véran. Ainsi, le mobilier contemporain de Ligne Roset contraste à la perfection avec le parquet de vieux bois qui couvre le sol. Dans cette ambiance feutrée, l’ancienne cheminée dénichée auprès de l’antiquaire Zunino apporte un brin de romantisme à l’ensemble. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre. Il propose grâce à sa cuisine ouverte aux yeux des convives, un spectacle inédit où le chef et sa brigade en sont les talentueux artistes. Pour couronner le tout, le Roc Alto jouit d’une vue imprenable sur les sommets alpins du Queyras. Une escalade du plaisir gourmand Tout comme le lieu, l’authenticité de la cuisine proposée allie les plus grandes exigences. Des grands classiques méditerranéens en passant par les incontournables spécialités italiennes, le restaurant met à l’honneur la beauté et le goût des produits du terroir. La carte et les menus évoluent au rythme des saisons et des produits du marché. La carte propose trois entrées, quatre plats (poisson ou viande) et trois desserts au choix. Quant aux menus, les convives auront droit à un voyage culinaire décliné en trois étapes pour 58 €, ils se laisseront surprendre par la cuisine du marché et l’inspiration du chef avec le menu « Grands espaces ». Pour 78€, le menu « Les Contrepentes de l’Estoilies » reprend, quant-à-lui, les plats phares de la carte. En entrée, le choix s’annonce cornélien entre le fameux Petit épeautre de Lazer, le caviar des céréales typique de la Haute-Provence ou une nouvelle version du risotto accompagné d’asperges vertes de Roques-Hautes et de son jus. En plats, deux options se présentent : côté viande, la savoureuse côte de cochon des Hautes-Alpes accompagnée de radicchio et oignons rouges braisés au vinaigre balsamique démontre l’alliance maitrisée des saveurs et des textures. Côté poisson, le saumon de Fontaine du Rabious ravira par son goût délicieux, relevé par la sauce d’oignon Topea qui l’accompagne. En dessert, le citron en sucre soufflé accompagné d’agrumes épate les papilles par sa douceur et sa simplicité. Un chef passionné et passionnant Derrière ces œuvres culinaires aux accents méditerranéens se cache un chef aussi créatif que talentueux : Alexandre Lechêne. Après un parcours brillant dans les établissements d’Alain Ducasse, « Le Louis XV » et « La Trattoria » à Monaco, « Aux Lyonnais » à Paris, Alexandre décide de se poser à l’Alta Peyra où il met en exergue son savoir-faire et à sa créativité depuis 2012. Petit à petit, il affine son empreinte culinaire en sélectionnant rigoureusement les meilleurs produits proposés, d’artisans et de petits producteurs de la région, créant ainsi une cuisine sublimée par le travail des herbes de montagnes. Une confiance mutuelle s’est ainsi installée entre Alexandre et ses partenaires sans qui, rien ne serait possible. ...
Profondément enracinée dans le vignoble, les origines de la famille Beyer se confondent avec l’histoire de la viticulture alsacienne. Cette mémoire séculaire est le gage de leur savoir-faire. Son histoire est transcrite et relatée dans d’innombrables documents historiques dont le plus ancien date de 1792. Dans cette famille, c’est non plus du sang qui coule dans ses veines, mais du vin. Chaque génération a su, au fil du temps, transmettre la passion pour le vin et garantir la pérennité de l’entreprise. Visant toujours plus haut et plus loin, les descendants de Lucas Beyer ont agrandi progressivement le domaine, en faisant l’acquisition de nouvelles parcelles dans le cœur historique du terroir Grand cru. Un terroir d’exception Le domaine Émile Beyer possède un vignoble de 17 hectares, avec des parcelles réparties autour du village d’Eguisheim. Les vignes bénéficient de conditions météorologiques favorables. Grâce à cette proximité avec le massif des Vosges, qui empêche la formation de nuage venant de l’ouest, le terroir, très calcaire, composé essentiellement de marnes calcaires, de grès et d’argiles, profite d’un microclimat atypique, particulièrement sec et ensoleillé. C’est sur la parcelle Pfersigberg, qui signifie littéralement la « colline des pêchers », qu’est produit le grand cru du même nom, situé à l’ouest du village. La flore spontanée, calciphile et xérophyte, est représentée par l’origan, l’aristoloche ou le géranium sanguin. Cette végétation typique peut être observée également autour des pierriers bordés d’une strate arbustive composée d’érables champêtres, de prunelliers...Ce grand terroir va exprimer toute la pureté du calcaire coquillier en donnant aux raisins une acidité dentelée et une belle structure saline. Avec un sol formé de calcaires conglomératiques du Muschelkalk et du Jurassique interstratifiés de marnes gréseuses, l’endroit est idéal pour le riesling, véritable fer de lance du domaine. La « colline des chênes » est le terroir du Grand Cru Eichberg, situé entre 220 et 340 m d’altitude. Le sol est constitué de marnes de l’Oligocène et d’éboulis gréseux qui sont intégrés dans une matrice limono-argileuse et siliceuse plus profonde. Ces terrains plus frais sont légèrement plus tardifs. Le choix de la qualité Produire moins pour obtenir un raisin parfait, Christian Beyer a choisi l’exigence dans sa gestion du domaine. Les rendements y sont rigoureusement maitrisés avec une viticulture biologique (label Ecocert) et biodynamique et des fermentations sur lies fines de plus de 12 mois. La vendange se fait intégralement à la main, avec un tri très rigoureux. Cette rigueur de travail a porté ses fruits et a permis au domaine de porter haut les couleurs de l’appellation Alsace. Les vins sont régulièrement cités et recommandés par des guides français et internationaux comme dans les revues Les Meilleurs Vins de France ou le Decanter. Romain Iltis, sacré meilleur sommelier de France en 2012, a récemment mis en lumière la cuvée Riesling Grand Cru Eichberg. Depuis juillet 2011, le domaine Émile Beyer poursuit sur cette forte volonté de respecter la terre et le terroir, en commençant une phase de reconversion à l’agriculture bio et en suivant en conséquence un cahier des charges draconien. Il est désormais titulaire du label bio Ecocert. Pour cette année, le domaine compte passer en biodynamie. ...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante. Une gamme éclectique de cuvées S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise. Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison. Une expérience inédite au cœur de la Champagne Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé. Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est. ...
L’histoire de la famille Pinard et la viticulture est intimement imbriquée. En effet, la chronique familiale remonte en 1610, lorsque Jacques Pinard s’installe à Sézanne pour s’adonner à cette activité. Depuis, son savoir-faire s’est transmis de génération en génération, jusqu’à Dominique, Brigitte et Olivier Pinard, actuels propriétaires et garants de cet héritage familial. Une viticulture du « bon sens » Pour la maison Pierre Pinard, la qualité d’un vin prend naissance au vignoble. Raison pour laquelle l’exploitation reste particulièrement rigoureuse lors des travaux dans les parcelles, comme l’atteste Brigitte Pinard : « Nous appliquons au domaine une culture dite "de bon sens". Nous travaillons avec la nature et sommes très vigilants ; avec un très gros travail de surveillance sur nos parcelles, ce qui nous permet de traiter uniquement lors des moments critiques. » Ensuite concernant la vinification, la famille applique son savoir-faire transmis depuis des générations pour tirer de sa terre ses neuf cuvées. Des cuvées à l’image du terroir Si toutes les cuvées Pierre Pinard sont imprégnées du terroir sézannais, la plus représentative de celui-ci et de l’exploitation est certainement le « Brut Tradition ». Issue d’un assemblage 70% Pinot Noir et 30 Chardonnay, cette cuvée vieillit en cave trois ans avant d’être mise en bouteille, ce qui lui confère une très belle effervescence et un cordon de mousse persistant, avec une rondeur et une longueur en bouche des plus agréables. ...
Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la preservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est le principal centre d’activité de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour son centre de soin thermal. Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la decoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte , de jasmin , de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies. French touch et classe italienne au menu Attention les papilles ! Le restaurant de l’Hôtel, si romantique par son cadre, donne rendez-vous à un instant culinaire prêt à être gravé dans les mémoires. De mains de maître, le chef réussit merveilleusement le pari d’ une cuisine où la rigueur et la technicité des savoir-faire français s’associent à la nature d’une gastronomie italienne, plus simpliste dans son exécution, mais mettant davantage en avant la pureté du produit. La carte est variée et adaptée à garantir le respect et la fraicheur dus à la qualité des matières premières utilisées. Ici, le garde manger est bien évidemment frais et de saison, poissons et crustacés issus de la pêche locale ; les fournisseurs du continent (agriculteurs, éleveurs, fromagers, vignerons…) ont été sélectionnés parce qu’ils sont les dignes représentant de leur metier et qu’ils proposent l’excellence dans leur domaine. Les plats et les mets s’enchainent avec légèreté. Un dressage minutieux permet d’associer plaisirs olfactifs et visuels. En entrée, on retrouve crèmes, tartes et feuilletages élaborés, des tartares et poélées de poissons et de crustacés. Les Pasta sont exécutés dans le respect total de la gastronomie italienne, toujours inventive, harmonie subtile de formes et de sauces. L’assaisonnement et la cuisson des viandes et poissons sont parfaitement maîtrisés et souvent associés à des parfums de truffe ou d’épices du maquis. Les desserts ne dénotent en rien avec le reste et achève le repas par un florilège de douceurs sucrées. À 15 minutes seulement en bateau du port de Piantarella, situé sur la commune de Bonifacio, voici un adresse incontournable pour le fin gourmet… ...
Traditions, succulences et plaisirs du palais trouvent ici leur quintessence dans un cadre sobre et élégant. Cette table, fièrement dressée dans un havre de paix propice à la détente, est la promesse d’un voyage gourmand conjuguant découvertes culinaires, extase gustative et excellence gastronomique. L’art culinaire dans toute sa splendeur Les délicieuses assiettes concoctées avec passion et minutie s’apprécient soit dans une salle fastueuse et savamment illuminée, soit à l’ombre d’une terrasse face à la mer. Sublimant les produits du terroir, mettant les producteurs locaux en avant et révélant l’art méditerranéen de la table, chaque plat est un hommage à la région. Cette cuisine traditionnelle se revisite ici de façon plus moderne en ponctuant certains plats d’accents asiatiques et de saveurs d’ailleurs. Une langoustine royale, suivie de rougets cuits sur la peau, fera le bonheur des amoureux du goût authentique. Pour les accompagner dignement un excellent vin, le Clos Saint Vincent, un vin haut de gamme de l’appellation Bellet issu de la cave à vins de la salle de restaurant présentée dans une armoire murale. A cette décoration épurée, s’ajoute la touche artistique de l’art de la table illustrée par des assiettes de présentation signées ÉrickIfergan. Véritable ode à la perfection, ce restaurant accueille ses convives dans le charme intemporel de Cannes. ...
Saint-Jeannet a longtemps été connu pour l’agriculture, cette commune a même été surnommée « Saint-Jeannet le Riche ». Un muscat indigène a particulièrement intéressé une clientèle parisienne avant que les vignobles, victimes de la mondialisation, ne rétrécissent. Toutefois, un vigneron résiste grâce à un savoir-faire singulier et une connaissance du terroir. Le vignoble Le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur est perché à 400 m d’altitude, à 6 km de la mer. L’exploitation s’étend sur 4 hectares. Georges Rasse n’est pas près de rompre avec son vignoble datant de l’époque romaine, même si ses confrères ont jeté l’éponge depuis longtemps. Mieux, il garde la technique que son père René lui a transmise dans la stabilisation naturelle du vin au soleil. De nouveaux cépages sont introduits aussi, après quelques expérimentations par rapport à leur résistance au climat et à leur adaptation au sol. Georges Rasse s’engage également à respecter l’environnement, en entamant sa reconversion au bio. En attendant sa labellisation, il continue de satisfaire les palais. Une technique de vinification particulière En Provence, Georges Rasse fait partie des vignerons à être convaincus des bienfaits du soleil sur le vin. Il retravaille donc une technique traditionnelle de Saint-Jeannet pour stabiliser naturellement ses crus et ainsi éviter l’utilisation du sulfite et d’intrant de type collage. Les vins sont logés pendant 3 mois à 2 ans dans des bonbonnes disposées sur la terrasse du caveau. Seules les bonbonnes en verre blanc peuvent être utilisées pour ne pas modifier le vin. Œnotourisme En collaboration avec des tour-operateurs, le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur organise des visites et des dégustations de vins. Une formule « camping à la ferme » propose 25 emplacements de tentes aux pieds des oliviers. La moitié de la production est mise en vente directement sur place. Outre les visites, le vignoble participe chaque mois d’avril à une démarche collective baptisée « La France de ferme en ferme », qui consiste à partager son métier et sa passion. Chaque année, la Fête de la musique est rythmée par un concert. Georges Rasse rencontre également les sommeliers des restaurants clients une fois par an. ...
L’établissement se situe à Paris, au cœur du marais, dans un quartier sympathique. L’intérieur sobre et contemporain reflète l’âme de la maison, et l’ambiance familiale qui y règne apaise les clients. Ici, la cuisine a pour vocation d’offrir un plaisir culinaire exclusif aux épicuriens. D'autant plus que le menu de midi proposé à seulement 22.5€ pour une entrée, un plat et un dessert laisse l'occasion de découvrir au jour le jour des surprises gustatives qui ne laissent pas indifférent. Essayer d’autres combinaisons La cuisine de Julien Agobert ne rentre pas forcément dans une catégorie, et les clients l’apprécient justement pour cela. Un style propre à lui, façonné par une vingtaine d'années d’expériences dans des cuisines de palaces parisiens, de restaurants de prestige, mais aussi des petites structures indépendantes. Une cuisine inventive et multiculturelle qui laisse une empreinte de son aventure culinaire à l’étranger. « Ma cuisine est à la base une cuisine gastronomique, mais finalement il n’y a pas vraiment de règles, je peux ajouter une soupe Thaï à ma carte tout simplement parce que je trouve ça bon », explique-t-il. Et l’inépuisable énergie du chef déborde à chaque assiette : un mariage de saveurs inattendu, un jeu de texture, une palette de couleurs alléchante et un dressage quasi artistique. Les plats à découvrir La formule du soir – entrée, plat, dessert – est proposée à 37,50 €, et le menu dégustation à 55 €, composé de six plats. En guise d’entrée, la carte de cette saison suggère de la terrine maison, pickles, condiments betteraves jaunes, ketchup radis blancs et pommes, pain à l'ail. S’enchaînent ensuite les plats, à l’instar de « chicken crunchy crazy du chef » en deux cuissons, croustillant et confit au citron caramel et gingembre, aubergines grillées, sauce huile de sésame et soupe thaï. Au dessert, les clients ont le choix entre d’un côté, le moelleux au chocolat fumé coulant chocolat banc, sorbet tamarin et poires fermentées, et d’un autre, le globe de meringue garnie d’un crémeux à la rose, litchis, graines de lotus, riz au lait et sorbet au thé matcha. On vous l’a dit, le chef ne connaît pas de limite ! La carte de vins suit le même registre : éclectique et pleine de subtilité. Quelques cuvées d’exception issues du vignoble bourguignon et bordelais constituent la liste. Elle propose également des vins d’Italie, d’Espagne et d’autres pays. « Le monde entier, c’est ma région », confie-t-il. Développer un réseau de collaborateurs Le chef a passé des années à construire une relation privilégiée avec ses fournisseurs locaux et régionaux. Viandes, fruits et légumes, produits fermiers, produits de l’épicerie fine sont issus directement des petits producteurs et exploitations fermières. « Je privilégie le côté familial et humain dans ma relation avec les fournisseurs. » En outre, le chef invite régulièrement d’autres talents dans sa cuisine afin de partager sa passion et affiner sa signature. ...
Lorsqu’ils ouvrent leur premier magasin à Montreuil-sous-Bois, Les Nouveaux Robinson sont les pionniers dans la distribution de produits bio. Ils s’installent ensuite à Neuilly et Boulogne. Aujourd’hui ils comptent 20 magasins sur toute l’Île-de-France. Leurs produits Tous les produits vendus dans les magasins Les Nouveaux Robinson sont des produits biologiques de qualité. Ils privilégient notamment des labels tels que Nature & Progrès, Demeter et Bio Cohérence qui développent des cahiers des charges plus exigeants que la certification européenne. L’approvisionnement se fait en priorité auprès de petits producteurs locaux avec lesquels ils nouent des partenariats. Pour limiter les déchets, beaucoup de produits sont vendus en vrac et donc au poids : riz, pâtes, fruits secs, diverses céréales et graines, gâteaux secs … Leurs engagements Les Nouveaux Robinson ont fait le choix, entre autres, de garantir une rémunération juste des producteurs, ainsi qu’une redistribution des richesses vers leurs salariés et sociétaires. Ils s’engagent également au niveau écologique en alimentant l’ensemble de leurs magasins en électricité verte grâce à Enercoop. Ils développent aussi une politique de recyclage et de lutte contre le gaspillage alimentaire. Ils ont ainsi mis en place, en partenariat avec l’association Cap ou Pas Cap, un garde-manger et frigo solidaire devant leur magasin installé au 212 avenue de Daumesnil (Paris 12ème). Chacun peut venir y déposer et/ou prendre librement et sans obligation de réciprocité, des denrées alimentaires. Ainsi, il tend à sensibiliser les habitants à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à favoriser le lien social et la solidarité locale. Quant au magasin d’Ivry, il donne chaque jour ses invendus à Emmaüs pour leur distribution alimentaire. L’enseigne donne également ses invendus à des associations d’étudiants qui œuvrent en faveur de l’environnement. Les Alchimistes récupèrent quant à eux les invendus du magasin de Saint-Michel pour en faire du compost local et urbain. Depuis sa création, la coopérative soutient aussi annuellement des associations à vocation écologique et sociale, comme Emmaüs, Les Amis de la Terre, Demeter, Bio Cohérence, Terre de liens, Association Coup de Main, ou encore Nature et Progrès. Les Nouveaux Robinson ont également reçu l’agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale », renouvelé en 2014 pour 5 ans. Cet agrément délivré par la DIRECCTE atteste d’un engagement en faveur de l’équité avec une échelle des salaires réduite et une finalité de service à la collectivité ou aux membres plutôt qu’une finalité du profit. Le Panier Robinson Les Nouveaux Robinson s’engagent aussi pour permettre au plus grand nombre d’accéder à des produits biologiques. C’est pourquoi ils ont mis en place la sélection Panier Robinson composée d’une centaine de produits de consommation courante sur lesquels ils réduisent leurs marges. Depuis janvier 2018, ils ont fait le choix d’y intégrer également deux fruits et légumes de saison et d’origine française. Tous ces produits sont facilement identifiables dans les rayonnages grâce aux étiquettes spécifiques "Panier Robinson". ...
Une viticulture aux conditions propices Etendu sur quelques 70 hectares de terre, le vignoble du Château Vaudois repose sur des coteaux de gneiss-schisteux. Le sol propice d’une grande qualité bénéficie du fort ensoleillement typique du climat méditerranéen qui règne sur la Côte d’Azur. Outre le souffle du mistral, le vent de l’Est balaie les terrains pour les préserver des maladies courantes des vignes. Le choix des cépages a donc été fait en fonction de tous ces paramètres pour offrir d’exceptionnels vins de Provence. L’exploitation cultive du Grenache, du Syrah, du Cinsault, du Tibouren, du Rolle, du Mourvedre ainsi que du Merlot et du Viognier, pour réaliser à ce jour 60.000 bouteilles par an et à partir de 2021, 120'000 bouteilles par an. Après une récolte exclusivement manuelle, les raisins sont recueillis dans de petites cassettes pour être conservés dans une chambre froide à une température de 6 à 7°C pendant 24 heures. Ils seront ensuite soigneusement éraflés afin d’éviter au vin d’avoir un arrière-gout herbacé. A l’issu de cette étape, les fruits subiront un traitement spécifique selon la cuvée pour laquelle ils seront destinés. Des vins de caractère Sous l’AOP Côte de Provence, le Château Vaudois Rosé 2015 est un vin limpide à la robe saumon clair. Ce précieux nectar se compose de 40 % de Grenache, 30 % de Cinsault, 20 % de Mourvèdre et 10 % de Tibouren. Il a un nez complexe et intense qui fait ressentir la fraicheur et la minéralité des fruits rouges dont il est composé. Une rondeur en bouche se ressent après la première dégustation. La finale quant à elle est persistante. Le Vaudois Rosé est un excellent apéritif et peut être servi en entrée avec de la charcuterie ou sur un poisson grillé. Sous IGP des Maures, la Cuvée Christelle Vaudois Prestige Blanc 2013 laisse transparaitre une robe brillante. Un mélange floral, de fruitsà noyau, une note briochée et vanillée donne au Vaudois Prestige une intensité et une complexité étonnante au nez. En bouche, la proportion bien étudiée des cépages fait ressentir la fusion bien équilibrée de l’alcool avec l’acide. Ce qui laisse échapper une attaque franche et veloutée. Son mode de fabrication est spécifique. Après éraflage, les cépages subissent un pressurage direct par pressoir pneumatique à cage fermée. Fermenté et élevé sur lies avec batonnage en barrique pendant huit mois, les fruits donnent naissance à ce vin jaune intense avec des reflets dorés. La cuvée Jonathan Vaudois Prestige Rouge 2013 dispose d’une robe profonde, intense sur des nuances pourpres. Un nez complexe et intense, avec une belle harmonie entre les notes de fruits noirs compotés, les épices et le boisé. En bouche, une attaque franche, un bon équilibre entre gras et acidité.Les tanins sont présents mais pas agressifs et déjà bien fondus : les caractéristiques d’un vrai vinde garde. Beaucoup de matière et de complexité dans les arômes. ...
Le restaurant Villa Belle Rive est orchestré de façon magistrale par un jeune maestro, dynamique et passionné. À tout juste 38 ans, Sébastien Thébaud est reconnu pour son savoir-faire et sa passion pour la cuisine. Un chef qui aime surprendre S’initiant très jeune à ce métier, il débute à l’école hôtelière Nicolas-Appert. Une fois le CAP, le BEP et un bac professionnel du lycée hôtelier Valère-Marthe des Sables-d’Olonne en poche, il acquiert des expériences saisonnières dans deux restaurants durant quatre ans. Il continue son aventure et devient commis et maitre cuisinier à Val-d’Isère à 21 ans. Doté d’un esprit de challenge, il ouvre son propre restaurant à l’âge de 24 ans. Dans son établissement L’Escarpolette à Sucé-sur-Erdre, il commence seul en cuisine avant de se constituer une équipe de cinq personnes. Au fil du temps, sa créativité lui a permis de se construire une solide réputation. Les ambitions de ce chef passionné grandissent si bien qu’il décide de s’installer à Sainte-Luce en 2011, en reprenant notamment l’ancien restaurant du chef Delphin, qu’il rebaptise Villa Belle Rive. Sébastien vit sa consécration le jeudi 27 mars 2014. Il reçoit ce jour-là le fameux diplôme de l’innovation en art culinaire délivré par l’institut Édouard-Nignon puis le 6 Novembre 2014 où il gagne le Concours Métro- Gilles Goujon avec son équipe et une Première Toque au Gault et Millau en 2016. Un instant gourmet Villa Belle Rive ouvre ses portes à ceux qui veulent vivre une expérience culinaire mémorable. Avec une vue panoramique sur la Loire, dans un cadre spacieux et lumineux aux couleurs vives à nuance de gris, il offre une cuisine savoureuse, préparée avec soin par ce chef soucieux et attentionné. Celui-ci collabore avec des producteurs de la région qui lui fournissent des produits frais et de qualité. Sébastien a bâti sa renommée sur l’authenticité et l’originalité de sa cuisine. Il sublime les produits du terroir en les rehaussant de diverses sauces tout droit sorties de son imagination. En dégustant l’un des plats phares de la maison, à savoir le sandre au beurre blanc car il tient à respecter les traditions des bords de Loire également, vous aurez amplement un aperçu du talent et de l’inventivité du chef. Son foie gras mi-cuit est également très demandé. Différentes formules proposées aux convives Villa Belle Rive offre tous les jours trois menus gastronomiques et une carte qui sont renouvelés 4 fois par an. Parmi eux figure le menu de midi, le 12 O’clock. Servi spécialement au déjeuner du lundi au vendredi, il offre en plus des suggestions du jour, en entrée de l’avocat en cannelloni farci aux crevettes et effilochées de crabes, le tout agrémenté de sauce cocktail. La pièce du boucher snackée à la plancha est servie en plat principal et agrémentée d’une sauce barbecue ou bien encore un filet de mostelle sur sa bisque de langoustine au curé nantais. Au dessert, le fromage blanc de la Pannetière avec son coulis gourmand et le crumble de P’tit Lu fait bien l’affaire. Les convives peuvent aussi choisir le café gourmand, qui est une déclinaison de gourmandises et son café, ou bien la balade gourmande, composée d’une balade de fromager (trio de fromages sur son lit de verdurette et ses griottines) accompagnée d’un verre de vin ou de porto. ...
Depuis des siècles, les terroirs du village des Roques produisent l’un des meilleurs vins rouges du monde : le Cahors. L’Église orthodoxe en a fait un vin de messe ; et les rois d’Europe, leurs vins de table. François Ier (1494-1547) fut, par exemple, un de ses plus grands admirateurs. Eu égard à ce passé glorieux, Martial Guiette a réalisé un fabuleux rêve, en créant, en 2007, le domaine Les Roques de Cana, établi sur le terroir prestigieux du causse de Cahors. Son objectif ? Partager l’amour ainsi que l’émotion à travers des cuvées exceptionnelles et faire en sorte que les générations futures puissent aussi en profiter. Un cépage légendaire et bénéfique Historiquement, Cahors figure parmi les plus vieux vignobles de France. Il a ainsi été le seul vignoble que l’empereur Probus (IIIe siècle) a autorisé de replanter en Gaulle. Et c’est justement sur les plateaux calcaires du causse de Cahors que les premiers plants de vignes ont été repiqués. C’est également à cet endroit que le domaine Les Roques de Cana a choisi, quelques siècles plus tard, son lieu de prédilection pour élaborer ses prestigieuses cuvées. Exposées plein sud, les vignes y bénéficient d’un sol argilo-calcaire et ferrugineux. « La particularité et la force des terroirs des Roques de Cana reposent sur la présence de fer sur une quantité très équilibrée, ce qui apporte aux vins une grande finesse et ce côté très fruité », explique le propriétaire. Sur ce terrain à la fois très rocailleux et argileux, la vigne souffre juste comme il faut pour donner naissance à des fruits somptueux. Ici, le malbec, cépage emblématique des vins de Cahors, règne en maître absolu. Déjà aux temps de Jésus, il jouissait d’une excellente réputation et pouvait se targuer de produire le meilleur vin. Beaucoup plus tard, c’est au tour du pape Jean XXII, natif de Cahors, de reconnaitre les qualités de ce cépage particulièrement riche en tannins et en pigments. Celui-ci demande alors à ce que des pieds de Malbec soient plantés au château de Fontainebleau. Autre particularité de ce cépage : il renferme de puissants antioxydants qui lui confèrent des vertus bénéfiques sur la santé. Pierre le Grand (1672-1725), un des plus grands tsars de Russie, a été parmi les premiers à en constater les bienfaits. Souffrant régulièrement de maux d’estomac, celui-ci s’aperçoit que son état s’améliore après avoir bu du vin de Cahors. La quête de l’excellence Récoltant-manipulant, le domaine Les Roques de Cana maitrise toute la chaine de production. Il est mené en lutte raisonnée tout en mettant en avant une pratique culturale respectueuse de l’environnement. « Nous limitons au minimum l’utilisation de désherbants et autres produits phytosanitaires. Nous essayons d’optimiser nos techniques culturales pour faire le meilleur vin possible », nous indique-t-on. Par ailleurs, quelques parcelles servent aujourd’hui de terrain d’expérimentation à la culture bio. Mais il faudra attendre 4 ou 5 ans pour savoir si cette méthode est la mieux adaptée et surtout si elle permet de produire des vins d’excellente qualité. Côté vinification, le domaine s’est équipé de matériels de pointe afin de tirer le meilleur parti de son terroir. Table de tri, rampes de robots pigeurs, microbulleurs, cuves ouvertes en inox… Tout est fait pour assurer une production qualitative. Afin de garder intacte toute l’expression aromatique du vin, la maison privilégie un élevage en cuve ciment sur certaines de ses cuvées. Pour le reste, le vieillissement se fait en barriques qui sont renouvelées chaque année. Les spécialités de la maison Les Roques de Cana élabore un vin rouge d’exception décliné en 3 saveurs différentes correspondant aux 3 moments importants de l’Évangile : le vin des Noces, Sanguis Christi et le Graal Sanctus. Chacune de ces cuvées peut prétendre, de manière légitime, le titre de « cuvée emblématique » du domaine. « Toutes nos cuvées représentent tr&...