Le Cap : un restaurant incontournable
Dans un cadre enchanteur, ce restaurant accueille ses convives avec une vue imprenable sur la Méditerranée. Proposant des plats faisant honneur aux spécialités du terroir, cette table reste une référence pour les amateurs de cuisine élégante. Elle privilégie des produits frais locaux et donne la priorité à des plats raffinés, à l’instar du rouget rôti précédé de Gamberonis accompagné d’un citron de Menton à l’huile d’olive. Le restaurant dispose, entre autres, d’une cave à vins forte d’une centaine de références nationales et internationales pouvant être dégustées dans un lieu privatif de l’établissement : le Salon des Collections.
Le restaurant La Véranda : Raffinement culinaire et décontraction
À mi-chemin entre le décontracté niçois et le luxe monégasque, cet établissement se démarque par son décor alliant sobriété et élégance. Propice aux instants gourmands en journée, en après-midi ou en soirée, cette table propose des plats rappelant les succulences méditerranéennes préparées avec les saveurs d’une nature généreuse. Pour un « afternoon tea » ou pour un brunch, les menus à la carte associent les meilleurs produits locaux, un savoir-faire traditionnels et une touche de l'Italie voisine, avec toujours la Méditerranée en toile de fond.
Le Club Dauphin
Ce restaurant situé en bord de mer est le lieu idéal pour se ressourcer autour d’un verre et de plats typiquement méditerranéens : Salades fraîches, viandes grillées, pêche du jour etc. Avec une cuisine à base de produits frais choisis pour leur qualité et pour leurs origines fidèles aux valeurs de l’établissement, le Club Dauphin, à l’ambiance agréable et conviviale, figure parmi les adresses incontournables sur la Côte d'Azur.
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La gastronomie, de la cuisine à l’œnologie en passant par la pâtisserie, cet ambassadeur de l’art de vivre, se découvre chez le Foodist au gré de cours prodigués par une équipe de professionnels alliant savoir-faire et savoir-être. Tous les jours, sommeliers, chefs et pâtissiers partagent leur passion avec les visiteurs de passage à Paris, en anglais. Mais ils partagent cette passion également avec les entreprises dont les membres sont conviés dans cette enseigne à l’occasion de team-building culinaires à Paris.
La gastronomie, parfaite pour fédérer les équipes
Une cuisine est un lieu parfait pour fédérer une équipe et créer de bons souvenirs : derrière un objectif commun, l’équipe collabore pour préparer un repas entre la pression de délivrer un résultat le meilleur possible, et bien sûr ceci implique la nécessaire collaboration entre les participants Un vrai projet !
Mais après l’effort viendra peut-être un autre réconfort, et pourquoi pas pour ce faire, une animation œnologique ? Cette animation, conduite par un sommelier œnologue sera l’occasion de découvrir les histoires cachées derrière chaque bouteille, d’aller à la rencontre du vigneron et de son vignoble au travers de ses cuvées, et de réussir les accords mets et vins. Ici, surprise et convivialité caractérisent chaque instant…
Enfin, vous trouverez également des cours de pâtisserie sauront souder vos équipes autour de délices sucrés élaborés ensemble. Autant de formules pour remercier, fédérer ou féliciter vos collaborateurs de la manière la plus gourmande possible.
Une animation œnologique unique pendant votre repas
Jugez plutôt : après votre atelier cuisine, il sera temps de passer à table. C’est alors que le sommelier-œnologue vous accueillera avec un verre apéritif et vous initiera à la dégustation à l'aveugle avec quatre sens : la vue, l’odorat, le palais, et même le toucher! Non seulement c’est bluffant, mais en plus, ceci est fait avec de l'humour.
Le Sommelier vous présentera ensuite un vins différent pour chaque plat , chaque vin étant choisi pour le meilleur accord. Sur chaque vin, il partage des histoires très mémorables – que vous serez probablement ravi de partager avec vos amis après cette initiation. Et il partage également sans retenue ses vrais trucs de professionnel pour reconnaitre l'origine d'un vin français sans l'étiquette. C’est surprenant, et une belle addition à votre team-building culinaires à Paris.
Et puis vous jouerez à des jeux type quizz gastronomique et jeu des arômes, pour stimuler cerveau droit et cerveau gauche. Tout cela se termine dans la bonne humeur avec une belle surprise et du Champagne, bien sûr.
Un cadre chaleureux et tout en finesse
L’écrin dans lequel Le Foodist partage sa passion pour la gastronomie est décoré avec simplicité et finesse. On s’y sent tout de suite bien, un peu comme à la maison. Car même si la cuisine y est une cuisine professionnelle tout est fait pour s’y sentir à l’aise. C’est dans ce cadre que le Foodist souhaite faire découvrir et partager cet art gastronomique au travers de programmes fondés sur la surprise, l’humour et la participation. Cours de pâtisserie, de cuisine ou animations œnologiques sont ici la promesse d’instants conviviaux, de moments uniques à savourer autour d’une ou deux larges tables composées des réalisations de chaque participant. Votre expérience unique de team-building culinaires à Paris dans ce cadre très particulier, sera une belle empreinte à laisser dans les annales culinaires.
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Lorsqu’ils ouvrent leur premier magasin à Montreuil-sous-Bois, Les Nouveaux Robinson sont les pionniers dans la distribution de produits bio. Ils s’installent ensuite à Neuilly et Boulogne. Aujourd’hui ils comptent 20 magasins sur toute l’Île-de-France.
Leurs produits
Tous les produits vendus dans les magasins Les Nouveaux Robinson sont des produits biologiques de qualité. Ils privilégient notamment des labels tels que Nature & Progrès, Demeter et Bio Cohérence qui développent des cahiers des charges plus exigeants que la certification européenne. L’approvisionnement se fait en priorité auprès de petits producteurs locaux avec lesquels ils nouent des partenariats. Pour limiter les déchets, beaucoup de produits sont vendus en vrac et donc au poids : riz, pâtes, fruits secs, diverses céréales et graines, gâteaux secs …
Leurs engagements
Les Nouveaux Robinson ont fait le choix, entre autres, de garantir une rémunération juste des producteurs, ainsi qu’une redistribution des richesses vers leurs salariés et sociétaires. Ils s’engagent également au niveau écologique en alimentant l’ensemble de leurs magasins en électricité verte grâce à Enercoop.
Ils développent aussi une politique de recyclage et de lutte contre le gaspillage alimentaire. Ils ont ainsi mis en place, en partenariat avec l’association Cap ou Pas Cap, un garde-manger et frigo solidaire devant leur magasin installé au 212 avenue de Daumesnil (Paris 12ème). Chacun peut venir y déposer et/ou prendre librement et sans obligation de réciprocité, des denrées alimentaires. Ainsi, il tend à sensibiliser les habitants à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à favoriser le lien social et la solidarité locale. Quant au magasin d’Ivry, il donne chaque jour ses invendus à Emmaüs pour leur distribution alimentaire. L’enseigne donne également ses invendus à des associations d’étudiants qui œuvrent en faveur de l’environnement. Les Alchimistes récupèrent quant à eux les invendus du magasin de Saint-Michel pour en faire du compost local et urbain.
Depuis sa création, la coopérative soutient aussi annuellement des associations à vocation écologique et sociale, comme Emmaüs, Les Amis de la Terre, Demeter, Bio Cohérence, Terre de liens, Association Coup de Main, ou encore Nature et Progrès.
Les Nouveaux Robinson ont également reçu l’agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale », renouvelé en 2014 pour 5 ans. Cet agrément délivré par la DIRECCTE atteste d’un engagement en faveur de l’équité avec une échelle des salaires réduite et une finalité de service à la collectivité ou aux membres plutôt qu’une finalité du profit.
Le Panier Robinson
Les Nouveaux Robinson s’engagent aussi pour permettre au plus grand nombre d’accéder à des produits biologiques. C’est pourquoi ils ont mis en place la sélection Panier Robinson composée d’une centaine de produits de consommation courante sur lesquels ils réduisent leurs marges. Depuis janvier 2018, ils ont fait le choix d’y intégrer également deux fruits et légumes de saison et d’origine française. Tous ces produits sont facilement identifiables dans les rayonnages grâce aux étiquettes spécifiques "Panier Robinson".
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Ce qui plait avec le champagne Pol Couronne : cette image moderne et décalée qui respecte les traditions liées à la fabrication des grands vins effervescents de la région.
De la vigne familiale aux cuisines de l’Élysée
L’histoire du champagne Pol Couronne débute en 2013. À cette date, Sixtine et Jean-Baptiste Prévost décident de reprendre la vigne familiale. L’objectif est clair : il faut moderniser l’image du champagne. Ainsi, un showroom est créé à proximité de la cathédrale de Reims pour accueillir les clients et mettre en place divers événements originaux et décalés.
Puis, au fil du temps, de nombreux partenariats avec des restaurants gastronomiques et des artistes permettent de mettre en valeur les créations du couple de vignerons. Jusqu’à conquérir l’Élysée puisque 2 cuvées y sont retenues.
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Dans cet établissement, la gastronomie française est à l’honneur. Benoît Hilaire et sa créativité étonnante vous feront découvrir des plats généreux et raffinés, dotés d’une petite touche personnelle à laquelle il est impossible de résister.
Le décor
À La Table du Huit, la décoration mise en scène par Maison Margiela inspire tradition et modernité, classicisme et avant-garde. Derrière cette façade haussmannienne créée en 1866 pour la duchesse de Rivoli, princesse d’Essling, se dévoile un univers heureux où luxe et sophistication riment parfaitement avec calme et intimité. Les portes en trompe-l’œil surdimensionnées, ainsi que les murs et le sol en béton ciré, qui tranchent avec le mobilier en lévitation et tout nappé de blanc, sont autant de détails qui rehaussent la beauté des lieux.
La féerie continue dehors, dans le jardin, qui se transforme en été en une oasis de verdure et de fraîcheur.
Une cuisine française inventive et généreuse
Animée par le désir de rester parmi les meilleurs, l’équipe de La Table du Huit orchestre des mets généreux et raffinés suivant les quatre saisons. Présentés sur une carte courte, les plats célèbrent la cuisine française, témoignent des talents du chef Benoît Hilaire et saluent la saisonnalité des produits.
Ravioles de gambas, bouillon de crevettes, lentilles du Puy en vinaigrette, croustillants de pied de cochon et terrine de canard, kumquats confits et mâche sont idéaux pour commencer votre escapade. Ensuite, il serait bien dommage de passer à côté des incontournables classiques du Huit, comme le César du Huit aux anchois ou le burger auvergnat au bacon, frites maison. La savoureuse tarte fine aux pommes, vanille de Bourbon, ou le délicieux cheese-cake aux fruits rouges n’attendent qu’à être dévorés en fin de repas.
Une carte de vins des plus éclectiques
En prime du décor royal et de la carte goûteuse, le sommelier de La Table du Huit a sélectionné les meilleures bouteilles, qui s’accorderont à merveille avec vos mets. Quelques grandes références issues des plus grandes régions sont au rendez-vous (Bordeaux, Loire, Jura, Bourgogne, Rhône…). La sélection de champagnes est aussi riche et variée : Dom Pérignon, Vintage, 2006, Moët & Chandon, Brut Impérial, Krug, Rosé…
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WinWinks valorise l’excellence hôtelière en commercialisant les services haut de gamme comme de véritables expériences auprès d’une cible locale : dégustation de vins, cours de cuisine, dîner gastronomique étoilé, brunch, mixologie, fitness et spa, locations de salles de réunion… Chacun peut y trouver son bonheur et réserver une expérience unique dans l’un des plus grands hôtels.
La plateforme mise sur une démarche de proximité à travers un catalogue exhaustif d’activités et d’offres exclusives packagées en transformant les écrins luxueux en véritable lieux de vie. Les utilisateurs peuvent choisir une expérience en fonction du lieu, de l’ambiance ou encore selon leur centre d’intérêts, grâce à une navigation fluide et intuitive.
Des activités pour tous les goûts
« On a aujourd’hui une vingtaine de prestigieux hôtels partenaires référencés sur notre site », fait savoir le fondateur de WinWinks. Parmi la sélection figurent le Lancaster Paris sur les Champs-Élysées, le Terrass Hôtel à Montmarte, le Novotel Paris Bercy, le Paris Marriott Ambassador, le COQ Hôtel et le fameux Buddha Bar dans le VIIIeme. Chacun des établissements met à disposition leurs services annexes dans le but d’attirer la clientèle extérieure en devenant une référence pour des sorties tendances et exclusives.
Mais l’enseigne va encore plus loin et devance ses concurrents grâce à la création d’événements sur-mesure et des offres packagées au sein des hôtels pour répondre aux attentes des utilisateurs. « Nous élaborons nous-mêmes des offres pour notre plate-forme en considérant le lieu géographique de l’établissement, son identité et sa capacité d’accueil, et nous assurons l’organisation et la logistique de A à Z », nous détaille Gilles BIKO RO BIEKO. Et le concept séduit, comme en témoigne le succès du Yogafterwork au Novotel Paris Centre Bercy ou encore la Raclette Party entre amis pour le COQ Hôtel, des événements phares signés WinWinks.
Du gagnant-gagnant
La plate-forme est une aubaine pour les établissements hôteliers qui veulent gagner en visibilité, conquérir de nouveaux clients potentiels et dynamiser leurs chiffres d’affaires. « Elle apporte de la plus-value aux activités déjà proposées par les hôtels mais qui ont été peu exploitées et ouvre aussi un univers de nouvelles possibilités », explique notre interlocuteur. D’un autre côté, les particuliers en quête d’un moment de bonheur à eux n’ont plus besoin de chercher bien loin pour satisfaire leurs envies de luxe et d’évasion.
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Brasseur d’idées et de bières depuis plus d’un siècle, la Brasserie Duyck se met dans l’air du temps et dévoile ses bières modernes au look branché. Après la Gamme Dégustation lancée en 2017, la Brasserie Duyck innove avec une nouvelle gamme de bières. Avis aux amateurs : la gamme Jenlain de type IPA débarque ! Avec trois saveurs particulières au choix, chacun y trouvera, à coup sûr, son bonheur.
Une histoire de famille
Tout commence en 1900, l’année où Léon Duyck installe pour la première fois une salle de brassage dans les Flandres, à Zegerscappel. Vingt ans après, Félix Duyck décide de suivre les traces de son père, en installant sa propre ferme-brasserie à Jenlain, un petit village situé à 10 kilomètres au sud-est de Valenciennes.
Félix Duyck est à l’origine de la célèbre « bière de garde », qui fera non seulement la notoriété de la maison Duyck mais aussi celle de tout un village. Et c’est également lui qui a eu la brillante idée de conditionner les bières Jenlain dans des bouteilles… peu communes. En 1950, face à la raréfaction des bouteilles disponibles au sortir de la guerre, Félix et son fils Robert trouvent une solution pour le moins originale : vendre leur produit en se servant des bouteilles champenoises. Soixante ans plus tard, la brasserie a gardé ces fameuses bouteilles non sans y avoir apporté quelques touches de modernité.
Mais si la maison Duyck a su conserver toute son authenticité, elle la doit en grande partie à son indépendance. Restée aux mains de la même famille, elle est l’une des rares brasseries historiques de la région à avoir su honorer ses valeurs de persévérance et d’indépendance.
Jenlain Ambrée, le fer de lance de la maison
La première bière de la Brasserie Duyck dénommée « Jenlain Ambrée » a largement contribué à son succès. Véritable signature de la maison, on retrouve dans cette « bière de garde » un style et un savoir-faire unique au monde. Pour confectionner sa bière iconique, la Brasserie Duyck applique la même recette depuis ses débuts. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette bière de fermentation haute, non pasteurisée, possède un gout inimitable. S’habillant d’une robe cuivrée, elle dévoile des arômes de fleurs et de caramel, de fruits cuits et de malt légèrement grillés. Largement reconnue pour la dégustation, la « Jenlain Ambrée » peut être aussi un compagnon idéal en cuisine.
Trois nouvelles saveurs
En 2014, l’arrivée de Mathieu Duyck, cinquième génération, impulse une nouvelle dynamique et un vent de fraicheur au sein de la brasserie familiale. Sa philosophie ? Faire preuve d’innovation tout en gardant l’esprit et le style propre à la maison. Misant sur le côté design et moderne, Mathieu Duyck dote la marque d’une nouvelle identité visuelle. Résultat, des bouteilles à la forme épurée associées à un packaging tout en sobriété et en élégance.
En parallèle, la maison lance une nouvelle gamme de bières de type IPA (type ale, brassé avec du malt pâle), incluant trois recettes originales qui offrent chacune des expériences gustatives différentes.
À commencer par la « Summer » ! Celle-ci est élaborée à partir d’un assemblage de houblon « barbe rouge », qui lui apporte des arômes de fruits rouges ainsi que du houblon « centennial » procurant des notes fruitées agrumes. Avec un taux d’alcool de 3,8 %, la « Summer » séduit par sa légèreté, sa douce amertume et son côté fruité. Ce qui en fait une boisson d’été de premier choix.
Quant à la « Session », deuxième bière de la gamme, la recette se compose de houblon « Citra » et « Chinook », apportant respectivement des saveurs d’agrumes citronnés intenses et des notes herbacées vertes et boisées. Cette bière blonde présente une am...
Située près des plages de la Côte fleurie, en Pays d’Auge, La Cavellerie est une propriété cidricole de 50 hectares, dont 40 % sont couverts de pommiers de différentes variétés. Son propriétaire Gontran Dondain est également propriétaire du Mas Roc de Bô, en Minervois, et du Château Cabezac.
Les pommes du Père Gontran
Le domaine de La Cavellerie est constitué d’un verger de 20 hectares sur lequel se développent 26 variétés différentes de pommiers dites de hautes tiges et adaptées à la fabrication de cidre et de calvados. Les pommes livrent des saveurs douces, amères, aigres et douces-amères. Parmi les plus connues et les plus représentatives du Pays d’Auge, il y a la Fréquin Rouge, la Rambault, la Moulin à Vent, la Cimetière de Blangy, la Marie Ménard ou la Douce Coët Ligné. Variant selon les caprices météorologiques, la récolte se fait au plus tôt à la mi-octobre et au plus tard vers fin novembre, avec un tonnage pouvant aller de 80 à 150 tonnes. Ce rendement est doublé lorsque les pommiers de La Cavellerie atteigneront leur pleine maturité d’ici à quelques années.
De la pomme au cidre
Après leur récolte, les pommes sont d’abord stockées plusieurs jours afin qu’elles puissent développer leur degré en sucre, nécessaire à la bonne teneur en alcool. Elles passent ensuite par la laveuse avant d’être réduites en morceaux par une broyeuse. La répartition des morceaux obtenus sur la machine à presse est la seule étape où le travail manuel est nécessaire. Enveloppée de toiles de jute, cette presse classique garantit la douceur et la constance du jus obtenu sans en altérer la qualité. Finalement, après 3 mois passés dans des cuves de fermentation, le jus de pommes est transformé en cidre.
Il faut remarquer qu’à la Cavellerie cette étape de fermentation s’effectue selon les méthodes traditionnelles, avec fermentation et prise de mousse naturelle. Une partie du cidre obtenu est conditionnée et mise en bouteilles sous le doux nom de « Père Gontran Cidre Brut » en appellation AOC Pays d’Auge. Ce cidre possède un caractère fruité et généreux et accompagne à merveille les plats traditionnels comme le lapin au cidre ou le poulet vallée d’Auge.
Quant au reste de la production, elle doit encore suivre quelques étapes de transformation avant de devenir un produit plus noble, typique du Pays d’Auge.
Du cidre au calvados
Le calvados s’obtient après une double distillation du cidre. Mais, avant, le cidre doit encore patienter 6 mois en cuve. Vers le mois de juin ou de juillet survient la première distillation dont est issu un produit dit « petite eau » ou « bouillis », qui deviendra le calvados. Celui-ci est alors élevé en futs de chêne, dans un chai de vieillissement, durant 3 ans au minimum avant d’être mis en bouteille. À 3 ans, un calvados sera dit « fin » ; à 4 ans, « réserve » ; à 5 ans, « vieille réserve » ; à 6 ans, « VSOP » ; et à partir de 7 ans, il est appelé « hors d’âge ».
La collection de calvados de La Cavellerie se décline en 8 cuvées en appellation AOC Pays d’Auge, classées selon leur âge, dont les plus fameuses sont le « Père Gontran Fine » de 3 ans, se caractérisant par des arômes de pommes fraiches et de fruits rouges et élaboré avec une seule cuvée.
Autre produit incontournable : le « Père Gontran hors d’âge 7 ans », élaboré avec une seule cuvée et livrant un nez vif et puissant aux notes boisées et fruitées.
Le « Père Gontran hors d’âge 24 ans », assemblage des millésimes 1989 et 1991 aux notes végétales puis boisées et caramélisées, figure, quant à lui, au panthéon des meilleurs produits du domaine.
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La Table de l’Ours, un restaurant gastronomique rendant un bel hommage à la richesse culinaire française. Ici, les produits locaux et régionaux se retrouvent dans une cuisine traditionnelle inventive où chaque plat distille des saveurs uniques. Les assiettes gourmandes, goûteuses et fidèles à leur terre, se dégustent à la lumière d’une cheminée révélant un décor de bois et de pierre, un cadre intimiste, chaleureux et raffiné, propice au régal et à la détente. A ces délices servis dans un havre de paix en haute montagne viennent s’ajouter un accueil et un service professionnels empreints de l’hospitalité et de l’amabilité des grands hôtels.
Un haut-lieu de la gastronomie des Alpes
Poussé par l’envie d’offrir des plats de qualités, le restaurant gastronomique « La Table de l’Ours » met un accent particulier sur le choix de ses produits tout en essayant de promouvoir les acteurs locaux. Le repas s’anime autour d’une cuisine simple et subtile dans laquelle truffes, poissons, fromages des alpages et autres ingrédients révèlent toutes leurs saveurs. Ces produits du terroir choisis au gré des saisons, sont mis en valeur par une équipe dirigée d’une main de maître par Antoine Gras, afin de vous faire passer un agréable moment autour de tables dédiées au régal, au partage et au plaisir des sens.
Théâtre de nombreux évènements
L’hôtel organise, par ailleurs, des soirées à thème axées sur la découverte d’un vin ou sur un évènement marquant en particulier, un calendrier évènementiel évoluant au fil des ans à surveiller. Vos dîners en famille, vos escapades gourmandes à deux ou vos soirées entre amis et/ou collègues seront alors empreintes de traditions, d’histoires et de cultures alpines, des instants de bonheur à la convivialité retrouvée.
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Le Domaine de Calet a élu domicile sur une terre bénéficiant d’un microclimat et de conditions géologiques favorables. L’endroit sis à 85 m au-dessus de l’eau et offrant une vue panoramique se conjugue idéalement avec la viniculture. Cette situation géographique exceptionnelle fait des cuvées en AOC Costières-de-Nîmes des vins naturellement bons.
La terre des galets roulés
Les sols du domaine prennent racine sur un vaste tapis de galets roulés. Ces petites pierres arrondies ont la faculté de capter les rayons du soleil de manière à chauffer convenablement le sol et la vigne. Elles permettent également de conserver la température idéale pour une parfaite maturation des raisins.
« Je ne vends pas du vin, je vends une manière de vivre »
Yvon Gentes a une vision bien particulière. Désireux de partager ses idéologies, il nous confie : « Pour moi, ce qui est important, c’est que le vin soit bien équilibré, mais surtout qu’il soit naturel. » En effet, notre vigneron s’est lancé dans l’aventure écoresponsable. De la plantation à la mise en bouteille, il veille à ce que ses cuvées subissent le moins de procédé chimique possible. De ce concept est né « Éternité », qui est la cuvée phare de la maison.
Et pour mieux commercialiser ses vins bio, le viticulteur se charge lui-même de la vente des nectars. « Je suis convaincu qu’il faut que le vigneron parle de ses produits », affirme-t-il avec détermination. Tout ce travail rigoureux lui a permis de rafler beaucoup de récompenses dans les concours nationaux et internationaux, notamment à Singapour.
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À ses débuts, le couple Forgeron travaille sur seulement deux hectares de vignes. Actuellement, le vignoble compte 24 hectares cultivés par leurs enfants Pierre et Christophe Forgeron. Méticuleux dans le travail et la conservation des traditions, les frères Forgeron n’ont pour seule ambition que de faire vivre et revivre l’histoire du cognac depuis leur village natal, connu pour être le premier cru du cognac…
Un travail où l’art est présent
C’est sur un sol de calcaire tendre que reposent les 24 hectares (ugni-blanc, folle blanche) de Michel Forgeron, où l’attention et le soin apportés tout au long de l’année vont conduire, début octobre, à la plus belle récolte possible. Vient ensuite l’étape de la distillation qui se fait au gaz durant les trois mois d’hiver, avec des alambics de type charentais, dont le plus ancien tourne depuis 1965. Le vieillissement, étape la plus importante dans la production de cognac, se fait dans des fûts de chêne, pour donner couleur, parfum et goût à l’eau-de-vie au fil des années. De la distillation à la mise en bouteille, rien n’est laissé au hasard chez la famille Forgeron. Bouteilles ou carafes, à chaque cognac son écrin.
Du cognac authentique
Le cognac est un produit exigeant se déclinant à l’infini au gré des assemblages concoctés par le « maître de chai ». Parfums, saveurs, persistance ou légèreté, à consommer seul ou en cocktail, les cognacs Forgeron représentent toute la palette des savoir-faire de Grande Champagne : VS, VSOP ou XO, mais également Réserve, Napoléon ou Hors d’âge, ce sont plus de cinquante ans de passions à découvrir et à déguster. Pour cette année 2017, la distillerie propose la Barrique 68, un cognac brut de fût vieillit près de cinquante ans. La Barrique 68 existe seulement en six exemplaires disponibles à la vente jusqu’à la fin de l’année.
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Entre bœuf et homard
Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel.
Une gourmandise authentique au cœur de Genève
Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville.
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Le Domaine du Somail se trouve à l’est du Minervois, à proximité de Narbonne. Une cité qui a une belle histoire à raconter car elle était la première agglomération romaine au-delà des Alpes en Gaule. À l’époque, Narbonne était déjà une région viticole. « Dans le vignoble et aux alentours, des vestiges de villas romaines ont été retrouvés et il semble que la culture de la vigne était présente depuis 2000 ans », racontent avec passion Julie et François Fabre qui possèdent le domaine. Ce duo d'artisans-vignerons sait qu’il profite d’un terroir très privilégié qui, en plus de recéler un riche passé, offre toutes les conditions nécessaires pour concevoir des vins d’excellence en AOC Minervois.
La terre de prédilection du mourvèdre
Le vignoble du Minervois est l’un des plus vastes du Languedoc Roussillon. Il produit majoritairement des vins rouges qui se veulent à la fois tendres et veloutés, aux arômes de fruits mûrs et de tanins soyeux. Le mourvèdre est le cépage phare de l’appellation et plaît pour la richesse de ses arômes et sa structure tannique de haute qualité. Au Domaine du Somail, il s’exprime dans toute sa splendeur au même titre que les neuf autres cépages composant le vignoble. Établies sur 16 hectares, les vignes s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire au sein d’un climat aux influences méditerranéennes. « Notre situation géographique nous permet d’avoir des vins en rondeur, ni trop puissants ni trop épicés, mais agréablement équilibrés », nous fait part Julie. Cette qualité ne résulte pas du hasard. Bien au contraire, la finesse, l’élégance et l’authenticité des cuvées sont obtenues grâce à un travail de très longue haleine respectant les préceptes de l’agriculture biologique et biodynamique.
Des pratiques agricoles salutaires pour l’homme et l’environnement
Sur les 20 hectares composant le domaine, 4 sont consacrés à la biodiversité. « Comme nous sommes en biodynamie, nous avons voulu avoir de la nature sauvage autour de nos vignes. Nos pourtours ont été aménagés pour créer une symbiose entre nos parcelles de vignes et l’extérieur. » Le travail des parcelles s’effectue de façon individualisée en priorisant les pratiques manuelles de la taille à la vendange. « Notre but est d’utiliser l’intelligence de la nature et de la reproduire dans nos cultures », fait savoir notre interlocuteur. Au-delà de la viticulture, cet état d’esprit qui se veut vertueux pour l’homme et l’environnement se reflète également dans les méthodes de vinification. Les vins sont sans sulfite et ne subissent aucun ajout tandis que les décantations sont naturelles.
Des cuvées enchanteresses qui fleurent bon leur terroir
L’assemblage des vins est aussi atypique car au Domaine du Somail, chaque cuvée révèle un cépage dominant. La cuvée « Vin de Plume » par exemple est composée à 80 % de mourvèdre et 20 % de syrah. Issue d’une culture biodynamique et d’une vinification classique en cuves en ciment brut, elle est gorgée de fruits, d’épices et de notes de garrigue et possède une capacité de garde de 5 à 10 ans. Preuve de sa qualité, ce cru a bénéficié de plusieurs distinctions : 90/100 par Robert Parker, 17/20 par Terre des vins 2020, 91 points par Wine Spectator 2020 sans compter la citation dans la Revue des vins de France 2020.
La cuvée « François » va davantage exprimer toute la beauté de la syrah associée au carignan et au mourvèdre. C’est un vin fruité, intense, persistant avec une belle rondeur. « C’est une de nos plus belles réussites car il a une excellente tenue et pourtant il est dépourvu de sulfite », déclare celui qui a emprunté son nom à ce précieux nectar.
Avec la cuvée « L’Authentique », le mourvèdre prime à nouveau et se combine tout en délicatesse avec la syrah. À la fois complexe et élég...
L’exploitation est implantée dans le village de Nuits-Saint-Georges et s’étend sur la Côte de Nuits et la Côte de Beaune. Des appellations qui sont connues pour l’élaboration de vins rouges de qualité. Aujourd’hui, l’ensemble du domaine Moillard est conduit en viticulture raisonnée, sous l’œil avisé de Jacques Briday, chef de culture. De la vigne au vin, tout se fait dans le respect de la tradition bourguignonne.
Une famille, un domaine
La famille Moillard et le vin ne font qu’un. Bien avant la Révolution française, cette famille menait déjà une importante activité viticole à Nuits-Saint-Georges. Mais ce n’est qu’en 1850, sous l’impulsion de Symphorien Moillard, que la maison a connu un réel essor. « Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de Bourgogne, dont les valeurs sont l’authenticité, la qualité, l’héritage, la générosité et le savoir-faire », souligne Cathy Stoffel, cheffe de produit.
Un adepte de la viticulture raisonnée
Sur ce vignoble d’une dizaine d’hectares planté en pinot noir et en chardonnay, Jacques Briday et son équipe appliquent une viticulture raisonnée, tout en adoptant des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, chaque parcelle est travaillée selon ses propres besoins. Résultat, des raisins de qualité qui atteignent une maturité optimale et qui seront vendangés manuellement.
De longues cuvaisons
La maison Moillard se démarque par des techniques de vinification qui nécessitent très peu d’intervention humaine. « Une des particularités du domaine réside dans le fait que la réception en vendange et la vinification se font par système de gravité », explique Baptiste Corrot, œnologue au domaine.
Pour élaborer ses vins rouges, la maison procède d’abord à un tri rigoureux des baies avant de les acheminer vers les cuves grâce à des petits bacs. Les jus font l’objet d’une macération post-fermentaire durant plusieurs jours. Au niveau des blancs, les raisins sont délicatement pressés puis débourbés. Suivent une fermentation en cuve thermorégulée ou en fût de chêne (selon les appellations) et un bâtonnage régulier en vue d’apporter plus de complexité aromatique.
Des cuvées d’exception
Le domaine Moillard produit pas moins de 4 appellations, dont Bourgogne Hautes Côtes de Nuits, Côte de Nuits Villages, Savigny-lès-Beaune et Nuits-Saint-Georges Les Argillats.
Parmi les nombreuses cuvées de la maison, la cuvée « Nuits-Saint-Georges Les Argillats » est la plus représentative. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits rouges mâtinés d'épices. En bouche, celui-ci se révèle riche, dense, rond et suave, porté par des tanins fins et soyeux.
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La bastide en pierre de Christian Bœuf se situe au cœur du village de Vidauban, commune viticole du Var sur les bords de l’Argens dont le fleuve aux eaux miroitantes à la couleur blanche fait référence au précieux métal : l’argent. Depuis que Christian Bœuf a remis sa toque et les fourneaux à son ancien commis Christophe Ciotta, devenu second puis Chef, la cuisine du restaurant a su conserver sa flamme et le culte dédié aux saveurs provençales de la Méditerranée. Ce jeune chef inspiré et passionné a l’exigence des plus grands : celle de satisfaire avant tout la clientèle de la Bastide des Magnans.
Une cuisine aux parfums de la Méditerranée
Christophe Ciotta, un Chef très inspiré, a redynamisé la cuisine du restaurant de la Bastide des Magnans. Ce maestro se distingue par la justesse de sa cuisson qui exalte les arômes. Ses plats se basent autour des saveurs simples et authentiques du terroir méditerranéen à l’exemple le Saint-Pierre au poivron grillé cuisiné à base d’huile d’olive au basilic. Des recettes classiques telles que le ris de veau ou les Saint-jacques figurent également à la carte. Ici, tous les produits issus de la région sont mis en valeur : huile d’olive, thym, romarin et citron confit accompagnent les assiettes de poissons et de viandes blanches et donnent toute la couleur à cette cuisine provençale.
Les propositions de la maison
Quatre formules sont suggérées par l’établissement pour découvrir une cuisine pétillante d’un Chef qui affectionne les beaux produits. Outre la formule du midi, la maison offre un choix entre la carte du restaurant le menu des Magnans, le Menu Terroir et le Menu gourmand à la Truffe. Le menu des Magnans présente une assiette avec sept produits différents qui évolue au fil des semaines et des saisons. Deux plats de viandes et un poisson accompagnés de légumes du moment tels que les fleurs de courgettes s’y ajoutent. La Langoustine est alors accompagnée de mijoté d’asperges.
La maison propose aussi des menus à thème qui rythment les saisons. Chaque mois est dédié à un produit en particulier : la truffe par exemple en janvier, la pomme en septembre, le gibier en octobre ou les crustacés en novembre.
Une équipe de choc
Le personnel du restaurant de La Bastide des Magnans forme une équipe aguerrie. Les 25 années de collaboration entre Christian Bœuf et Christophe Ciotta commencent à La Maison des Vins aux Arcs-sur-Argens. C’est là que Christian a acquis toutes les connaissances qui lui permettent aujourd’hui d’orienter les clients sur les vins. A la carte, les grands crus classiques sont présents toute l’année mais le reste évolue au fil des rencontres. Plus d’une soixantaine de références est proposée avec une prédominance des domaines varois.
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Plus que centenaire, le domaine du Revaou a été transmis de père en fils dans la famille Scarone, depuis Joseph Scarone, en 1898, jusqu’à Bernard Scarone, qui a pris la relève en 1994. L’exploitation tire son nom de la rivière qui passe à travers ses terres.
Une agriculture biologique
Situé entre Hyères et la Londe-des-Maures, le domaine du Revaou, de seulement 30 hectares, est installé sur des terres rouges, riches en bauxite et en fer typiques de la région. À seulement 6 km de la mer, les vignes du domaine du Revaou profitent d’un ensoleillement et d’une chaleur idéale tout au long de l’année. En 1999, dans une volonté de préserver l’environnement et la nature, Bernard Scarone a opté pour l’agriculture biologique. Il applique à la lettre les normes drastiques imposées par cette forme d’agriculture naturelle, saine et sans artifice. L’ensemble de la production est désormais certifié par le label AB Agriculture biologique. Il a signé en 1999 l’Engagement au Respect du mode de production bio avec Qualité France. Dans les vignes, aucun pesticide ni désherbant sont utilisés. La vinification, quant à elle, est effectuée de façon naturelle, sans ajouts d’aucune sorte.
Le domaine du Revaou produit des vins sur l’appellation sous-régionale Côtes-de-Provence La Londe sur les trois couleurs. Les cépages grenache, cinsault, syrah, mourvèdre et carignan participent à l’élaboration des vins rouges et rosés ; et l’ugni blanc, le rolle et la clairette à celui des blancs. Depuis un certain temps, une politique de renouvellement de cépages est menée au domaine, où, chaque année, de nouvelles parcelles entrent dans la production de ses millésimes.
Des vins d’exception
Annuellement, le domaine produit près de 30 000 bouteilles. Trois cuvées exceptionnelles sortent du lot et méritent d’être mises à l’honneur.
La « Cuvée Domaine du Revaou Blanc 2012 » se distingue par sa robe verte et argentée, avec des arômes de zeste de citron, de buis, de menthol et de vanille fraiche. Légère en bouche, elle révèle des notes d’agrumes frais et épicées, avec une finale iodée. Ce vin s’accorde harmonieusement avec les poissons de la Méditerranée en grillade et les fromages de chèvre frais.
La « Cuvée Domaine du Revaou Rosé 2014 » est appréciée pour sa fraicheur, au nez citronné qui évolue sur des notes de pamplemousse, de rose sèche et de pêche mure qui s’affirment en rétro-olfaction. En bouche, sa maturité s’affiche avec un volume généreux, une finale acidulée et framboisée. Sur la table, cette cuvée peut être servie en apéritif avec des tomates séchées ou du jambon cru et accompagne bien les salades, la soupe au pistou ou la bourride.
La plus prestigieuse de toutes les bouteilles est sans nul doute la « Londe Rosé 2015 », avec sa robe pâle aux reflets dorés. En nez, on remarque des arômes fumés qui évoluent en feuillage humide et agrume. En bouche, l’attaque est souple et on distingue des notes acidulées de groseilles, de carambole, de physalis et de pamplemousse rose. En finale, une senteur de zestes d’agrumes s’affirme. Ce magnifique rosé sera servi à 12°C avec des noix de Saint-Jacques et mousse de poivrons rouges, un dos lieu jaune à la plancha et sauce de seiche ou une cassolette de palourdes et de moules avec tombée d’anchois.
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150 ans d’existence au sein d’une même famille : c’est l’histoire incroyable du domaine de Cerberon qui s’est transmis de génération en génération.
Héritée en 1929 par la grand-mère des propriétaires actuels, l’ancienne production de moutarde du 19è siècle se transforme peu en peu en production de vin.
Domaine Cerberon : des vins pour toutes les occasions et toutes les envies
Aujourd’hui, le Domaine du Cerberon met tout en œuvre pour magnifier le terroir de la Côte de Beaune. Cela passe, entre autres, par des vendanges manuelles et des techniques de viticulture durables. Mais aussi par l’agrandissement du vignoble qui passe d’un hectare et demi à ses débuts à 3 hectares aujourd’hui.
Sans oublier les caves de vieillissement qui datent du 13e et 17e siècle.
Cela favorise la création de vins blancs et rouges extraordinaires dont quelques premiers crus qui font le succès de la région.
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Le trafic de la grande voie navigable a fait la richesse de la petite commune de Serrières. Le port était devenu le repère des mariniers qui s’y arrêtaient fréquemment durant leurs voyages d’exploration fluviaux. Ces mariniers ont laissé dans leur sillage des traces de leur passage, qu’il est aujourd’hui possible de découvrir au sein de l’église Saint-Sornin, abritant le célèbre musée des Mariniers du Rhône. On dit que les lieux sont toujours habités par l’âme de ces vieux loups de mer. Tous les trésors liés à la batellerie du fleuve du Rhône, à l’instar des fameuses croix, y sont précieusement entreposés.
Serrières est également jonché de vieux quartiers dans lesquels se trouve un superbe patrimoine bâti. Le soir, au soleil couchant, une balade sur le quai invite à vous délecter de la sérénité des lieux. Après avoir sillonné les rues de la ville, une pause gourmande s’impose. Au 65, quai Jules Roche, Le Bateau d’Émile s’est amarré près du fleuve pour vous faire découvrir son délicieux univers.
Un refuge qui plait aux gourmands et aux gourmets
Le Bateau d’Émile, ce nom vous est familier et c’est tout à fait normal. Il fait référence à ce vieux film sorti dans les années 1960, dans lequel Lino Ventura incarne Émile, un marin-pêcheur qui hérite d’un gros pactole malgré lui. À ses côtés : Annie Girardot, dans le rôle de Fernande Malanpin. Ce long métrage a inspiré le premier propriétaire des lieux, qui a créé le restaurant en 1988.
Vingt-six ans plus tard, Stéphanie et Benoît Durieux reprennent l’établissement au charme certain, localisé sur la N86, en face du Rhône, au pied du chemin qui monte jusqu’aux hauteurs d’Annonay. Ce choix ne s’est pas fait au hasard, puisque c’est ici que notre chef a fait son apprentissage il y a une quinzaine d’années. Afin de faire perdurer ses vieux souvenirs, il choisit de garder l’identité des lieux et le thème du restaurant, mais en y proposant une cuisine d’inspiration. Celle-ci témoigne de sa longue et riche expérience dans le milieu culinaire.
Benoît Durieux bénéficie en effet du titre tant convoité de maitre restaurateur. Cela implique de proposer une cuisine faite maison, réalisée à partir de composants bruts et généralement issus des circuits courts. D’ailleurs, le chef exprime une exigence pointue quant à la fraîcheur et à la qualité des produits qu’il trouve auprès de fournisseurs locaux. Cette rigueur lui permet de réaliser des plats délicieux, revisitant la cuisine classique française avec une touche d’originalité et de créativité.
Ambiance bistro
L’ambiance qui règne à bord du bateau est conviviale et chaleureuse. Vous pouvez vous installer à la terrasse durant les beaux jours. Sise en contrebas de la route, elle est ornée d’une belle verdure offrant un coin ombragé. À l’intérieur, la salle en longueur, avec son grand bar et ses banquettes confortables, dénote un décor bistro.
Le joyeux bateau compte plusieurs abonnés, qui y apprécient l’ambiance décontractée, bien qu’il accueille aussi énormément de touristes de passage.
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La Turballe est située sur le littoral de la Loire-Atlantique, sur la presqu’ile guérandaise. Avant de devenir un port connu de l’ouest de la France, elle était d’abord un modeste hameau. Grâce à l’essor des conserveries de pêche, la commune s’est bâti une solide réputation dans le paysage aquacole. En outre, elle est reconnue pour ses nombreuses plages (Pen Bron, la Grande Falaise, la Croix de l’Anse et la plage des Bretons) et ses sites et monuments touristiques (église Sainte-Anne, église de Trescalan, château de Lauvergnac, moulin de Kerbroué…).
Ce cadre balnéaire et historique a tellement séduit Sophie et Fabien qu’ils ont décidé de racheter un restaurant existant depuis 27 ans qu’ils ont rebaptisé Le Bistrot des Sarments, où une cuisine simple, un peu canaille, fait le bonheur des fins gourmets.
Une excellente adresse
Les propriétaires travaillent avec le chef Éric Gouyette depuis qu’ils se sont approprié les lieux. Ce chef passionné, adepte de cuisine traditionnelle, a suivi une formation classique en restauration. Il a gagné 15 ans d’expérience, en travaillant dans de nombreux établissements prestigieux comme à l’Hôtel Barrière Le Royal La Baule ou à l’Auberge du Calvaire, à Pontchateau. Aujourd’hui, à la tête des fourneaux du Bistrot des Sarments, il propose une cuisine d’inspiration qui fait la part belle au terroir.
Le restaurant est implanté dans un bâtiment traditionnel en pierre sis en bord de mer. Il dispose d’une véranda aux baies vitrées ainsi que d’une terrasse extérieure offrant une vue imprenable sur le grand bleu. À l’intérieur, la salle est marquée par une prépondérance de rouge, une tonalité qui dégage à la fois dynamisme et glamour. La cheminée, les grandes banquettes très confortables et le grand bar en bois confèrent à la salle tout son charme.
Le plaisir au déjeuner
Le Bistrot des Sarments propose une cuisine traditionnelle valorisant les produits locaux. Les spécialités de la maison sont les grillades à la cheminée : vous aurez le choix entre un bœuf grillé ou un porc grillé accompagné de pomme de terre en robe des champs de type Samba au petit gout de noisette, que la seule touche de beurre demi-sel viendra aiguiser, ou encore un homard « bleu » breton grillé, à déguster sans chichis. Le fait maison est aussi à l’honneur. Les charcuteries, les poissons fumés salés, les foies gras : tout est préparé sur place.
Côté menus, la maison sert une formule composée de deux plats à 15,90 € ainsi qu’une deuxième formule cette fois-ci composée de trois plats à 19,90€. Mais ce n’est pas tout.
Désireux de satisfaire toutes les envies gourmandes, le bistrot propose un menu plus copieux de quatre plats avec une entrée, un plat, un fromage, un dessert à choisir dans la proposition de six entrées, six plats et tous les desserts.
Quant à la carte, elle est saisonnière. Les fins gastronomes seront séduits par les spécialités de la maison, à l’instar de l’œuf cocotte façon Dédé servi en entrée. En plat de résistance, les papilles se délectent de la choucroute de la mer au beurre blanc maison, constituée notamment de Saint-Jacques, de filet de bar, de poisson du marché et de saumon. Pour finir, une note de douceur avec la tarte tatin tiède maison.
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Situé en Lorraine, le restaurant L’Arnsbourg est une invitation au partage, au plaisir et à la joie. Que ce soit pour déguster des plats originaux ou assister à des soirées organisées par des maisons de champagne, L’Arnsbourg est le point de rendez-vous de tous les amateurs de bonne cuisine du Grand-Est. Suggérer une cuisine à la fois savoureuse, raffinée et gourmande, tel est le souhait de Laure et Fabien Mengus, les heureux propriétaires de l’établissement.
L’Arnsbourg : un coin repas au cœur de la nature
La maison Mengus commence à gagner du terrain dans le monde gastronomique, aussi bien dans l’Hexagone que dans les pays limitrophes. Instauré en plein cœur de la forêt de Baerenthal depuis un an, L’Arnsbourg séduit plus d’un, non seulement par sa situation géographique singulière, mais surtout par la diversité et l’originalité des mets qu’il propose.
Bénéficiant déjà d’une étoile, l’établissement est un lieu d’expression puissant et convivial qui reflète l’image de ses propriétaires. Le couple trentenaire a radicalement transformé L’Arnsbourg en un véritable coin luxueux proposant une table gastronomique remarquable. Un jardin spacieux permet d'admirer la nature et le paysage environnant.
Le plaisir des épicuriens
En étroite collaboration avec les producteurs locaux, Fabien, le chef, travaille avec des produits frais et de saison qui raviront tous les palais, même les plus exigeants. Légumes, poissons, fruits de mer, viande… il y en a pour tous les goûts !
À L’Arnsbourg, trois types de menus sont proposés. À savoir le « Menu Plaisir », servi uniquement au déjeuner, du mercredi au vendredi, le « Menu Partition » entre trois ou cinq plats et le « Menu Intuition » qui est une succession de sept plats. En entrée, la délicieuse langoustine en quatre déclinaisons nous est suggérée. Le Paleron de bœuf black Angus servi sur charbon de bois sera proposé en guise de plat. Le dessert Mangue-Passion, quant à lui, achève en douceur ce périple culinaire. Ces plats à base de produits nobles et dont les accompagnements changent régulièrement sont sublimés par une carte de vins riche de mille références.
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Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration.
Une nouvelle aventure pour la famille Fille
L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité.
Un grand succès pour une première
Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 « On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation.
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Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque.
Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur.
La gastronomie Poyet
Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche.
Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère.
Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix.
Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues.
Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef.
La carte des vins
La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région.
Le cadre
Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local.
La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour !
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Entre Vézelay et Avallon, au bord de la route D606, vous ne risquez pas de la rater. L’Auberge des Chenets se distingue par son cadre accueillant et convivial. La façade en pierre, les volets aux couleurs vives et la petite végétation qui borde la devanture sont les premiers détails qui focalisent l’attention. A l’intérieur, on se laisse charmer par une salle intimiste à la lumière tamisée et à la décoration raffinée. D’entrée de jeu, la belle et grande cheminée confère une ambiance cosy et sereine. Les murs en pierre apparente embellis de tableaux contemporains dénotent d’un joli mix entre tradition et modernité : c’est d’ailleurs dans cet esprit-là que l’Auberge des Chenets a été créée.
Un chef amoureux de son terroir
L’histoire du restaurant Auberge des Chenets est celle d’un chef qui se passionne pour la cuisine notamment la pâtisserie dès son plus jeune âge. Après avoir effectué un apprentissage classique, il a la chance de travailler dans des relais et châteaux qui lui ouvrent les portes de plusieurs grandes maisons à l’instar du célèbre La Chèvre d’or à Eze Village. Suite à cette belle et longue expérience, il est temps pour lui de revenir aux sources dans sa région natale. Il décide d’ouvrir alors son propre établissement dans lequel il sert une cuisine raffinée et délicate qui comble les palais exigeants. Un repas à l’Auberge des Chenets, ce sont des étincelles assurées. Le chef imaginatif et curieux partage une cuisine qui tente de préserver l’identité régionale tout en sortant des sentiers battus.
Il travaille avec des produits frais qui mettent à l’honneur le terroir. Selon la saison, il sera alors possible de déguster certains produits phares qui font la réputation de la Bourgogne à l’instar des escargots. Au mois d’octobre, un menu spécial « homard » est affiché durant une quinzaine de jours. L’occasion pour les amateurs de ce met d’exception de le découvrir sous toutes les coutures. En hiver, des week-ends dédiés à la truffe sont organisés selon la disponibilité des produits.
Une riche carte de vins
La carte de vins est bien fournie, de quoi vous donner l’assurance de bénéficier des meilleurs accords. Etant donné la localisation de l’établissement, celui-ci privilégie les Chablis ou encore les vins de l’Yonne. Pour 2016, ces derniers sont à l’honneur lors de la fête viticole bourguignonne appelée Saint-Vincent Tournante. Créé au Moyen-Age, l’évènement est célébré durant le dernier week-end de janvier et change tous les ans de village viticole bourguignon.
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Le Château Rollan de By fait partie des vins produits sur Les Domaines Rollan de By. Ce vin remonte à l’origine du domaine puisqu’il sera le premier château dont le propriétaire fera l’acquisition en 1989. S’étalant sur 2 ha, cet écrin viticole grandira très vite à Bégadan, un village du Médoc. Au bout de six ans, l’ancien designer fera l’acquisition du Château Haut Condissas, puis s’enchaînent les autres Tour Seran, La Clare, Greysac et Château de By.
Chaque château a sa propre personnalité satisfaisant ainsi le palais de chacun.
Un vin au cœur de l’AOC Médoc
Le vignoble se compose de Merlot, Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc et Petit Verdot.
Avec un engagement fort pour la protection de la nature, le vignoble est conduit dans le respect du terroir.
Certifié Haute Valeur Environnementale (HVE3) mais aussi Natura 2000, les pratiques culturales des Domaines permettent à la vigne de pousser dans un environnement naturel, de protéger et de favoriser le développement de la biodiversité qui l’entoure.
Des vignes à la mise en bouteille
Les raisins principalement vendangés à la main sont ensuite vinifiés de manière parcellaire, visant l’équilibre parfait entre tradition et modernité.
Les bouteilles aux allures traditionnelles et rassurantes enferment des vins aux profils attrayants, modernes et accessibles.
Avec une large proportion de Merlot, les vins se dégustent aussi bien jeunes sur le fruit et la rondeur qu’après quelques années en cave ou l’élevage en barrique aura opéré toute sa magie.
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