S’alimenter autrement L’ANCF regroupe près de 250 adhérents chaque année, tous paysans producteurs fermiers et qui produisent dans leurs fermes à taille humaine une variété presque infinie de saveurs. De la viande de bison de Matthieu Peron, aux saucissons de canard d’Eric Degert, en passant par le caviar de colza de Marie-Thé Laluque, les moules de Bouzigues de Jean-Christophe Renault ou la spiruline de Dominique Guérin, impossible de ne pas trouver lors de ces salons et marchés Pari Fermier organisés chaque année en région parisienne son choix de produits frais et savoureux. Sur le terrain, une équipe composée de trois personnes, avec, toujours en tête et pour unique objectif : organiser ses événements qui assurent la valorisation d’un monde paysan où les circuits courts et la vente directe sont rois. Et qui de mieux placée qu’une association composée d’agriculteurs pour assurer la promotion de ces manifestations ? Ils savent de quoi ils parlent ! Des savoir-faire inégalables Pour participer à un Pari Fermier, chaque paysan producteur fermier doit, en fonction de son activité et dans la mesure du possible, produire sa matière première, élever ses animaux, transformer ses produits et les proposer en vente directe. Il leur faut donc respecter cette « charte », qui vient garantir une qualité exceptionnelle à tous les produits proposés sur les manifestations. Authenticité, savoir-faire et traçabilité, telles sont les valeurs véhiculées par les agriculteurs de l’association, aux antipodes de la fabrication de masse et de la grande distribution. Ici les hommes et femmes travaillent dans une perspective d’agriculture durable et respectueuse de l’environnement, toujours dans l’amour de leur métier, afin de satisfaire la confiance du consommateur. Les manifestations Pari Fermier : des idées de sorties gourmandes et originales Les Pari fermier attirent toujours davantage grâce à un réseau de confiance profondément ancré dans le terroir français, aussi vaste que diversifié : les 13 régions françaises sont représentées, de la Corse aux DOM-TOM en passant par la Normandie. Chacun de ces évènements est inscrit comme un rendez-vous familial et convivial dans les agendas de ceux qui ont à cœur d’avoir une alimentation riche, saine et harmonieuse. Pour se rapprocher toujours plus du consommateur, de nombreux producteurs proposent sur chaque événement des idées de recettes à déguster, des vins à apprécier et des plats à consommer sur place. Et ils ne manquent pas, quand ils en ont l’occasion, de délivrer de petites interviews authentiques retransmises sur les réseaux sociaux. Venir à Pari Fermier c'est la recette idéale pour découvrir ou redécouvrir en famille les saveurs de nos campagnes françaises et les paysans qui les cultivent. ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
Le Rendez-Vous Saint-Germain entraîne depuis 2012 les gourmands et les gourmets dans un périple culinaire à la découverte de la cuisine de brasserie et de la bistronomie. Situé à quelques mètres seulement de Saint-Michel, l’établissement propose dès 7 h 30 une formule petit-déjeuner. Ici, liberté et détente accompagnent chaque assiette préparée avec amour et passion de la cuisine française. Un délice en plein Paris Paris, berceau mondial de la haute gastronomie. Mais que dire de sa cuisine typique de bistrot et de brasserie, qui occupe une grande place dans son patrimoine culturel ? Des plats généreusement concoctés pour le plaisir des papilles qui ne demandent qu’à livrer leurs secrets. Le Rendez-Vous Saint-Germain est l’endroit idéal pour déguster ce style de cuisine conviviale et généreuse. Y manger sainement, seul ou en groupe, ou tout simplement y boire un verre, il n’y a rien de mieux. Le chef revisite des recettes traditionnelles du bon terroir, tout en mettant en valeur ses propres créations. Un plus incontournable : tout est frais et tout est fait maison même le chocolat chaud et l'infusion. Une carte riche et équilibrée Difficile de ne pas succomber à la tentation, en voyant ces grandes bâtisses anciennes qui entourent le Rendez-Vous Saint-Germain. Sa terrasse offre une vue imprenable sur le Musée de Cluny, qui, en période d’été, redonne de la magie aux assiettes, à l’exemple de la Salade Auvergnate (jambon de pays, pommes de terre sautées, Cantal, œuf dur) ou encore de la Tarte à l'orange meringuée. Côté plats, les coups de cœur vont au velouté de fèves au lard croustillant, à l'Aïoli et ses légumes fondants ou encore au confit de canard et ses pommes de terre persillées, le tout accompagné d’un vin de propriété soigneusement sélectionné. En dessert, la maison suggère l’incontournable fondant au chocolat ou leur délicieuse crème brûlée. Différentes suggestions sont proposées chaque jour à l'ardoise ainsi qu'une formule à 15,90 euros. Le week-end, un brunch à 20 euros est servi sur réservation. ...
Élégant, prestigieux, somptueux… On serait vite tenté d’enchaîner les superlatifs pour décrire l’hôtel Westminster et ses deux restaurants ainsi que son bar, à savoir le Céladon, le Petit Céladon et le Duke’s Bar. En vérité, cet établissement est le meilleur endroit pour vivre une expérience gastronomique inoubliable. Le Céladon, un restaurant étoilé Le Céladon accueille ses convives dans un cadre unique bénéficiant d’un décor typiquement bourgeois. Ce restaurant étoilé au Michelin d’une capacité de 28 couverts promet ainsi une ambiance conviviale et raffinée. Le chef Christophe et sa brigade proposent un large choix de formules à l'instar du Menu express concocté en seulement trois quarts d’heure pour les plus pressés à midi. À noter que le Céladon change son menu très gastronomique toutes les semaines de façon à varier le plaisir des habitués. Le Petit Céladon, le relais week-end Durant le week-end, le Céladon ferme ses portes pour laisser place au Petit Céladon. Les convives sont bercés par une ambiance et un service nettement plus décontracté, sans se défaire du contexte d’un restaurant étoilé. La métamorphose concerne également la carte et l’art de la table. Cerise sur le gâteau : la légèreté est au rendez-vous en ce qui concerne les tarifs. Pour autant, les gourmets ont toujours droit à un menu-carte raffiné proposant une sélection minutieuse de produits frais et de qualité, qui est une ligne de conduite au Céladon. Le Duke’s Bar, le garant d'instants magiques Le Duke’s Bar mise quant à lui sur cette ambiance atypique des clubs anglais pour séduire, puis fidéliser les convives. Dans ce cocon feutré, rien de tel pour se retrouver entre amis et s’accorder des instants de pure détente. Les grands guides sont particulièrement conquis par ce lieu, qu’ils ont intégré dans le cercle très fermé des plus éminents bars de la capitale française. Au programme : snacking, apéritifs et spiritueux très appréciés de la clientèle. Ce coin bistronomique parisien est surtout reconnu pour son fameux club sandwich, mais aussi pour son cocktail de crevettes roses ou pour son inimitable burger de Kobe. ...
Adresse incontournable à Paris, le restaurant L’Envue allie merveilleusement mode, bien-être et plaisir gustatif. Ce restaurant de haut de gamme propose une cuisine raffinée, qui fait la part belle aux produits frais et de saison. Un cadre chic À l’intérieur du restaurant, la décoration joue sur des lignes douces et modernes. « L’ancienne propriétaire a donné un style très féminin à l’établissement et nous avons voulu garder cet aspect-là mais en y apportant des éléments plus contemporains », explique Julien Vaissade, le propriétaire. Ici, le mobilier s’habille de couleur pourpre, tout en arborant un subtil motif pied-de-poule, un clin d’œil à peine voilé à la maison Chanel. À travers de nombreux dispositifs, le restaurant tient à cœur de titiller les sens de ses convives. Diffuseurs de parfum, éclairage par fibre optique, ambiances musicales variées, tout est fait pour que les invités passent des instants mémorables et en toute décontraction. Les produits locaux à l’honneur Les locavores sont particulièrement comblés. En effet, L’Envue privilégie la démarche de circuit court et choisit de s’approvisionner le plus possible en produits frais et bio. En ce qui concerne la viande, l’établissement utilise depuis 3 ans une viande issue de sa propre ferme. « Nous avons déposé un label qui s’appelle Excellence Aubrac », souligne le propriétaire. En plus de sa grande qualité gustative, cette viande est aussi enrichie en oméga-3, ces fameux acides gras réputés pour leurs effets bénéfiques sur la santé. Ces produits d’exception sont mis en valeur par le chef Éric Dartigueloube. Cet habitué des restaurants étoilés concocte de succulents plats entièrement faits maison et qui raviront à coup sûr les fins palais. En entrée, les invités ont le choix entre la buratina al pesto et tartare de tomates, des nems de gambas au cumbawa ou encore une assiette de serrano, câpres à queue. L’aventure culinaire continue sur quelques spécialités de la maison, à savoir les viandes et les poissons. Côté viandes, le sauté de bœuf Excellence Aubrac à la provençale est un pur régal. Et que dire alors de la sole « Petit Bateau » accompagnée de sa purée crémeuse, et qui reste un grand classique de l’établissement ? Dans la confidence, le maitre des lieux nous souffle que « c’est l’un des plats préférés des avocats exerçant dans le quartier ». Si L’Envue réussit à drainer les foules, ce n’est pas uniquement pour la qualité de ses produits et de sa cuisine. En quête perpétuelle d’innovation, l’équipe reste à l’affût des dernières tendances culinaires. En ce moment, les poke bowl sont à l’honneur. « Le restaurant en sert les meilleurs de Paris », nous indique Julien. Au saumon mariné, au bœuf tataki ou tout simplement végétariens, ces poke bowl sont à déguster sans modération. Côté vins, la maison travaille directement avec les producteurs locaux qui élaborent des vins biodynamiques ou biologiques. Une carte assez éclectique incluant quatre champagnes et une vingtaine de vins attend les amoureux de nectars des dieux. Des salons privés Le restaurant L’Envue dispose de trois élégants salons spécialement aménagés pour la réception d’évènements privés ou professionnels. À commencer par le salon VIP, qui peut accueillir 10 personnes. Décliné dans un style feutré, il offre un cadre privilégié pour des signatures de contrat, des déjeuners politiques ou en petit comité. Ensuite, le salon bibliothèque, avec sa grande table ovale, peut recevoir jusqu’à 18 personnes. Enfin, le salon des glaces bénéficie d’un espace important pour accueillir entre 17 à 50 personnes. Les salons de L’Envue reçoivent régulièrement du beau monde. « Nous avons une clientèle importante de la haute couture telle que la maison Hermès mais aussi des institutions financières comme Richemont et le milieu politique », précise Juli...
Après plusieurs expériences réussies dans la restauration notamment dans de nombreux restaurants indiens, Julia et Sanjeev Kumar ont choisi de s’installer à Vannes. Ce sympathique couple de restaurateurs accueille ses convives du mardi au dimanche soir, dans son nouveau restaurant indien Les Saveurs de l’Inde, situé rue Thiers. L’établissement séduit par l’authenticité des goûts et les senteurs de ses plats, en plus d’offrir un cadre chaleureux et une fourchette de prix plus que raisonnable avec « un ticket moyen abordable de 16 à 20 € par personne », nous souffle-t-on. Familles, couples et groupes d’amis aiment s’y retrouver pour partager un repas en toute convivialité. Une authentique cuisine indienne Aux Saveurs de l’Inde, « c’est surtout les plats du Nord et la cuisine traditionnelle indienne avec des plats végétariens et d’autres avec de la viande », décrit Julia Kumar. Pour conserver la nature des aliments et en relever le goût, les produits et épices utilisés en cuisine (riz basmati, principales épices…) sont pour la plupart « directement importés de l’Inde », tient-elle à préciser, avec toutefois quelques infimes produits du marché, mais toujours préparés selon les principes de la tradition indienne. Les plats de viande sont majoritairement composés de poulet et d’agneau, mais on y sert aussi des fruits de mer. Avec ses 7 plats végétariens et ses formules pour végétaliens, Les Saveurs de l’Inde accordent toutefois une attention particulière à tous ceux qui ne sont pas friands de viande. Une carte des desserts variée La carte des desserts du restaurant est aussi riche que rafraichissante, avec un large choix de mangomastani, de coupes maharani à la mangue fraiche (la spécialité de la maison), de glaces maison aux pistaches (kulfi) et de gajarhalua (gâteau de carotte au cœur d’amande)… Un vrai délice pour les palais. Le restaurant propose également une longue liste de délicieuses boissons atypiques de l’Inde pour accompagner idéalement les repas, allant d’une ribambelle de thés variés aux liqueurs de mangue, en passant par des bières et vins d’origine indienne, particulièrement appréciés des clients. L’art de la culture indienne en tableaux Le restaurant Les Saveurs de l’Inde aime aussi faire découvrir à ses clients et visiteurs de passage la beauté de la culture indienne et ses particularités. Pendant deux mois ont été exposés des tableaux de peinture inspirés de la culture indienne (mandalas) et autres œuvres photographiques de la talentueuse Yona Colette Pruvot, une artiste locale et professionnelle de la danse traditionnelle indienne. Un évènement qui a particulièrement marqué les esprits par son originalité et son authenticité. ...
Propriété vitivinicole depuis 1935, le Château du Cléray s’est transmis de génération en génération dans la famille Sauvion. Avec ses vieilles caves voutées, celui-ci compte parmi les plus anciennes propriétés du Pays Nantais. Aujourd’hui, c’est au tour de Pierre-Jean Sauvion, 4e génération, de s’atteler à la tâche et de façonner les vins de la maison. Honneur au muscadet Depuis sa création, le domaine a mis tout en œuvre pour donner au cépage Melon de Bourgogne ses lettres de noblesse. « C’est tout simplement l’un des plus grands cépages blancs au monde et il pousse uniquement dans notre région », explique Pierre-Jean Sauvion, œnologue et directeur technique. Ceci expliquant cela, le Melon de Bourgogne occupe aujourd’hui les deux tiers de l’encépagement de ce vignoble de 100 ha. Le reste se compose de chardonnay, de sauvignon et de folle-blanche (le cépage du gros plant). Les vignes du domaine sont plantées sur un sol silico-argileux, traversé par une veine de schiste qui apporte aux vins une complexité aromatique avec une belle minéralité accompagnée d’une touche saline. « De cette typicité naissent des vins avec une expression plus tardive. » Respect de la vigne et de la Nature Le domaine adopte des pratiques culturales qui respectent la Nature et s'est donc tout naturellement engagé dans une certification HVE (Haute Valeur Environnementale.) « Mon outil de travail, c’est la vigne. Donc je fais tout pour la préserver afin de la léguer un jour aux générations futures », plaide notre interlocuteur. Cependant, pour Pierre-Jean Sauvion, la démarche importe peu, qu’elle soit biologique, raisonnée ou organique. Pour lui, l’objectif reste le même : faire en sorte d’obtenir une qualité optimale. Et cette recherche de la qualité commence dans les vignes. « Nous sommes à l’écoute de la Nature. Et en fonction de cela, nous faisons ce qui est le mieux pour nos vignes. » Côté vinification, le domaine suit un schéma classique. Cependant, toutes les opérations sont effectuées sous gaz inerte pour éviter l’oxydation. Des façonneurs de plaisir Apporter du plaisir et le partager aux autres. C’est en quelque sorte la philosophie qui a animé la famille Sauvion depuis maintenant 4 générations. Ainsi, elle se définit volontiers comme « des façonneurs de plaisir », qui, chaque année, se plait à présenter de nouvelles saveurs aux œnophiles. Parmi les références de la maison, la gamme haute culture mérite une attention particulière. Issues des meilleurs terroirs et des vieilles vignes de la propriété, ces cuvées représentent le summum du savoir-faire du Château du Cléray. À commencer par le « Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2017 Château de Cléray » ! Un 100 % muscadet qui exhale des arômes de citron, de tilleul, de menthe et de pomme verte. En bouche, on retrouve une grande fraîcheur et une belle finesse. Ce vin accompagnera parfaitement un plateau de fruits de mer ou une mousseline de Saint-Jacques. ...
Pour trouver le Château Deffends, il faut se rendre à Carnoules. Une ville célèbre autrefois pour ses trains et une des garnisons des troupes de Napoléon. Idéalement située entre les aéroports de Nice et Marseille, ainsi que l’aéroport de Toulon-Hyères à 30 minutes du Château, offrant ainsi la possibilité de réunir plus facilement famille et amis du monde entier en deux clics. RECEVOIR AU DEFFENDS Une allée d’olivier à couper le souffle. Une bastide provençale qui se dresse face à l’horizon. Un calme et une authenticité omniprésente au milieu de 30 hectares de vignes dans l’appellation Côtes de Provence. Bercé par le bruit des cigales, remontez l’allée des oliviers. Préparez-vous à être éblouis par un cadre somptueux chargé d’histoire... UNE RECEPTION PLACÉE SOUS LES MEILLEURS AUSPICES Destiné à un événement imaginé en plein air, au coeur d’un site ancestral, l’esplanade de 500 m2 entourée de platanes plus que centenaires sait rendre heureux. Sous la fraîcheur de leurs frondaisons, un parquet invite tout le monde à danser jusqu’au bout de la nuit, la tête dans les étoiles. De verdoyants jardins savent accueillir les convives pour un début de soirée tout en douceur tout en profitant de ce moment pour découvrir les fontaines du domaine ainsi que son parc bordant les champs de vignes. Pour faire la fête en intérieur, un Barnum de 225 m2 fait appui à l’esplanade. Sous ce chapiteau, au plafond, les lustres illuminent le plancher de bois. Tout le mobilier (tables rondes ou rectangulaires et chaises) ainsi qu’un espace traiteur de 25m2 sont inclus dans l’intention de permettre une organisation facilitée. Au Château Deffends tous les évènements sont possibles ! Célébrer un anniversaire ? Envie d’organiser une cérémonie laïque ? Sous la protection des grands chênes et bordée par les vignes, un espace dédié saura se rendre magique pour un engagement si important. D’autres espaces sont à découvrir comme l’espace Garden Party pour célébrer un anniversaire ou simplement réunir son équipe de travail. DEPUIS QUAND... En 2012, un orage de grêle frappe le Château Deffends... 50% de la récolte sera détruite. Suite à ce coup du sort, un vieux projet sagement rangé dans un tiroir hante toujours Xavier Vergès, propriétaire du domaine depuis 1998 : pourquoi ne pas diversifier l’activité avec la création d’un espace dédié aux évènements ? Ainsi, depuis 2016, le Château Deffends est ouvert aux évènements tant professionnels que familiaux. Privatiser une partie du Château et y organiser son évènement est donc possible. Alors une visite s’impose ! Ce lieu d’exception qui fait le bonheur des amoureux de cet univers « Bohême d’autrefois » où se mêle un certain chic délicat à l’esprit champêtre de la Provence. DORMIR AU CHATEAU Le domaine a une capacité d’accueil de 39 couchages répartis dans 5 maisons. Les logements se composent de maisons à partager en famille ou, pour plus d’intimité, de suites dans la Bastide avec vue imprenable sur les terres du vignoble. Pour les amoureux de la nature, un cabanon en pierres, entièrement aménagé saura vous dépayser. LES VINS DU CHÂTEAU Ils sont produits, élevés et assemblés par Monsieur Xavier Vergès. Le millésime de l’année est proposé en dégustation lors de la visite, ou offert dans les trois couleurs pour une dégustation en famille ou entre amis avant l’événement. Château Deffends édite pour tous ses clients une carte privilège qui vous offre une remise de 10% sur toutes les gammes de ses vins une année durant. Évidemment, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et il est à consommer avec modération ! CHOISIR LA SÉRÉNITÉ L’équipe du Château propose un accompagnement pour l’organisation de votre journée. Que ce soit pour la préparation, l’organisation d’une cérémonie laïque, l’installation de la décoration, jusqu’au choix des prestataires, ils sont à votre écoute. Cré...
Le fromage de chèvre Charolais a déjà un long passé puisqu’il est produit depuis le XVIe siècle comme l’attestent certains écrits. À cette époque, il était fabriqué par une population d’ouvriers agricoles et il prenait une large place dans l’alimentation des paysans. Après avoir bénéficié de l’appellation d’origine contrôlée, en 2010, il a obtenu le label AOP depuis 2014. Aujourd’hui, avec toujours le même savoir-faire, les producteurs doivent suivre à la lettre un cahier des charges précis et exigeant. Les règles mises en place sont respectueuses de l’animal et de l’environnement. Les chèvres doivent soit pâturer, soit fourrager au vert au minimum 160 jours. L’alimentation peut être complétée par du foin ou des céréales, produits sur place. Sont interdits tous les produits OGM, tout ensilage et tout fourrage fermenté. Les caractéristiques Le fromage de chèvre AOP Charolais est confectionné à partir de lait cru frais, sur la base d’un caillé de type lactique. Il est moulé à la louche dans un moule cylindrique puis égoutté. Légèrement salé, il est démoulé puis posé sur des grilles. Il est ensuite retourné manuellement deux fois par jour. Son délai minimal d’affinage doit être de seize jours. Il se couvre progressivement de penicillium. C’est cette couverture bleutée qui caractérise, entre autres, le fromage Charolais. Il se présente comme un cylindre d’une hauteur de 7,5 cm. Il pèse entre 250 et 320 grammes. Il faut environ 2 litres de lait pour fabriquer un seul fromage. Le fromage de chèvre Charolais a un goût doux et subtil avec des notes végétales (noix, noisettes ou herbes coupées). Il est souvent consommé frais et moelleux mais il peut être conservé jusqu’à six mois pour offrir une texture plus sèche et un goût plus affirmé. Il peut également être utilisé dans de nombreuses recettes de cuisine. Il est très apprécié aux quatre coins de l’Hexagone, mais sa notoriété a depuis longtemps dépassé les frontières puisqu’il s’exporte jusqu’au Canada ou au Japon. ...
Situé sur la rive gauche de la sortie du port, Le J offre une formule qui fait mouche. Soleil, plage, terrasse avec vue sur la mer et cuisine où se rencontrent les saveurs méditerranéennes et asiatiques, tout y est. S’ajoute à cela, l’accueil professionnel et convivial du personnel. C’est d’ailleurs ce qu’affirme la devise de la maison : « peu importe la météo, nous vous accueillerons toujours avec le sourire ». Une cuisine du marché Selon les envies de chacun, Le J reste ouvert pour le petit déjeuner, le repas du midi, le goûter, l’apéro et le dîner. Le raffinement de la présentation des assiettes ne passe pas inaperçu aux tables du restaurant. Le goût est également présent grâce à une cuisson et un assaisonnement sans reproche. Tout est préparé avec des produits frais car la cuisine se base sur les trouvailles au marché. Outre les poissons et viandes, la maison suggère des coquillages. Ces derniers se partagent l’affiche avec les tapas. Les huîtres de Bouzigues et les crevettes sont alors suivies par l’assiette de foie gras ou de pata Negra, la salade de poulpes et les planches de tapas. A la carte du restaurant, ce ne sont pas les spécialités maison qui manquent. La Salade du J qui est une composition de salade, crudités, oignon rouge, jambon cru, camembert rôti et frites maison est un régal. Le Foie gras mi-cuit maison au poivre fumé n’est pas en reste, ses saveurs se révèlent encore plus avec un verre de Banyuls Blanc suggéré par l’établissement. Parmi les assiettes de poissons, le Filet de loup Thaï accompagné de riz crémeux et de légumes croquants affiche une note asiatique, signature du jeune Chef Maecor Jouga. Du côté des viandes, rien de tel qu’un Tartare de bœuf Charolais façon Le J. Et pour le bouquet final, la crème brûlée traditionnelle maison est tout aussi délicieuse. La carte des vins En accord avec les mets, plusieurs appellations issues de différents domaines sont proposées à la carte des vins. Le Sud est toutefois privilégié avec le Château Creyssels Picpoul de Languedoc parmi les blancs, le Sable de Camargue du domaine Petit Chaumont Gris de Gris parmi les rosés et le Mas Laval les pampres d’Hérault parmi les rouges. Ceux qui ont une petite soif auront la possibilité de commander des demi-bouteilles, une bonne alternative au vin au verre. Une ambiance bord de mer Carnon est à environ 10 à 15 minutes de Montpellier. Ses plages de sable fin s’étendent sur 7 km depuis le port jusqu’à la Grande-Motte. Le petit parking qui longe le canal à droite de la plage facilite l’accès au restaurant Le J. Ce dernier bénéficie d’une plage qui n’a pas été envahie par les parasols. Sa terrasse offre donc une vue directe sur le grand bleu. C’est indéniablement ce qui fait de celle-ci la pièce maîtresse de l’établissement. Pour accéder à la salle du restaurant, il faut passer par un petit chemin en bois au milieu du sable. A l’accueil, le bateau sur lequel sont étalés des fruits de mer donne le ton. On reste dans l’esprit bord de mer et les décorations murales et l’omniprésence de bois flotté le confirme. Les lumières tamisées dégagent une ambiance chaleureuse et intimiste, surtout au niveau des canapés où l’on peut s’asseoir pour prendre un apéritif. ...
Champignon Capricieux et ruisseau nonchalant Si l'homme cultive la vigne aux quatre coins du Globe, il est un phénomène unique au Monde qu'il ne peut domestiquer : le développement sur les raisins du champignon Botrytis Cinerea responsable de la Pourriture Noble des vins liquoreux de Sauternes. Pour que ce champignon capricieux se développe harmonieusement sur des raisins mûrs, il lui faut une alternance de matinées automnales humides et d'après-midi ensoleillés. Sans la présence de la première, le champignon ne se déploie pas et il se transforme en vulgaire pourriture grise sans l'assistance du second. A Sauternes, les conditions de développement du Botrytis Cinerea sont assurées par le Ciron, un affluent nonchalant de la Garonne qui enveloppe, à l'approche des vendanges, le vignoble de brumes matinales. Le champignon s'accroit alors et crée de nombreuses microfissures dans la paroi de la baie : cette dernière devient le siège de processus enzymatiques qui vont baisser l'acidité du moût et élaborer des arômes propres à la Pourriture Noble. En fin de matinée le brouillard cède sa place au soleil qui sèche les raisins et interrompt le développement du champignon. Les microfissures laissent s'évaporer l'eau contenue dans le raisin dont le volume diminue et la concentration en sucre et en arômes augmentent naturellement. Le lendemain le soleil succèdera à nouveau aux brumes matinales... La Pourriture Noble au Château Grillon Pour que l'alchimie soit parfaite, il convient non seulement que les raisins soient parfaitement mûrs avant que ne se développe le Botrytis mais aussi que les brouillards matinaux soient le plus intenses possible à l'approche des vendanges. Or, le château Grillon est idéalement situé au faîte du plateau Calcaire de Barsac en son extrémité Nord : cette élévation et la texture du sol assurent un drainage naturel idéal pour la maturation des raisins. De Plus, c'est au Nord du plateau que circule le Ciron, à moins de 200 m des premières parcelles du château. A Grillon, la Pourriture Noble a trouvé sa terre promise ! ...
Dans un cadre sobre, enchanteur et élégant, Emmanuel Hernandez, chef et propriétaire du Musigny, propose des plats concoctés dans le respect de la tradition et des valeurs culinaires typiques de la région. Les saveurs typées et harmonieuses des mets et l’ambiance chaleureuse qui règne au sein même du restaurant sont la promesse d’un voyage gustatif au cœur de la gastronomie française. Le classique mêlé à la modernité Selon Emmanuel, c’est la cuisine « traditionnelle gastronomique française aux accents méditerranéens », proposée à la table du Musigny, qui fait toute sa singularité. La décoration avant-gardiste, à laquelle s’ajoute de la bonne cuisine à base de produits locaux, reste l’une des particularités de cette table étoilée dans le Guide Michelin. Avec une carte évolutive suivant les saisons, le Musigny chante le répertoire de la cuisine gastronomique avec élégance, tradition et modernité. Une carte riche en goûts Avec plusieurs menus proposés, dont un menu "affaire", un menu "dégustation" ou le menu "les écoliers", le restaurant le Musigny se démarque par la variété des saveurs proposées à table. Le homard bleu rôti au beurre d’agrumes, précédé d’une assiette autour de la Lucullus en guise d’entrée, figure parmi les plats phares de la carte de l’établissement. Cette dernière sera accompagnée d’une carte à vins éclectique et riche. En effet, la cave représentant tous les terroirs de la France est composée de 250 références. ...
Caché au centre de l’île Saint-Honorat, le vignoble de 8,5 hectares a été façonné par la vie monastique et communautaire des moines vignerons depuis plus de 600 ans. Situé sur la Côte d’Azur, doté d’un climat ensoleillé et d’un sol riche en matière organique et végétale, ce terroir est reconnu par la singularité de ses produits. Un vignoble chargé d’histoire Saint Honorat est arrivé sur l’ile entre 405 et 410 avec des compagnons de route. En ces temps les moines étaient ermites. Ces lieux de vie et d’ermitage ont donné les sept chapelles que vous pouvez trouver tout autour de l’ile. Il y a dix siècles, sous l’influence de Cluny, les frères décidèrent de vivre suivant la doctrine bénédictine « ora et labora ». Ce qui signifie fonder son existence sur la prière et le travail. Ainsi, pour vivre, ces moines élaboraient des vins et des liqueurs. L’ile de Saint-Honorat a commencé la fabrication de vins dès le Moyen Âge. Toutefois, ces derniers étaient destinés à l’eucharistie et à la préparation des messes. A la fois travail et tradition, la production de vins occupe une place importante dans cet archipel. Une tradition reprise et retravaillée par les vingt moines de nationalités différentes dirigés par le père abbé Vladimir. La communauté a décidé de relancer de façon professionnelle le vignoble à partir des années 1990. Le but étant de subvenir aux besoins de la communauté mais surtout pour témoigner de leur vie et travail. Une agriculture raisonnable à usage de technique manuelle Dans le souci de garantir l’équilibre et la préservation de l’environnement, les moines de l’ile Saint-Honorat ont opté pour une agriculture raisonnable. A cet effet, les engrais chimiques, les pesticides et les herbicides sont bannis de leur sol. Et pour maintenir ce terroir composé d’argile et de calcaire, très sablonneux, riche en matière organique et végétale, ils ont recours à des engins mécaniques. Toutefois, toutes les autres étapes de la production du vin se font de façon manuelle. De nombreux palmarès Le savoir-faire, l’attention ainsi que le travail acharné des moines ont fini par payer. En effet, les vins produits par l’Abbaye Notre-Dame-de-Lérins ont été récompensés de la médaille d’or lors du Concours mondial des Syrah en 2007. Gardant leur prestige en tant que vins d’excellence, certaines cuvées de l’abbaye sont classées parmi les meilleures de France. Une distinction qui leur a valu une reconnaissance internationale. A titre illustratif, deux des cuvées, à savoir le Saint-Césaire et le Saint-Salonius, ont été servies aux 26 plus grands chefs d’Etats lors du G20 de 2010. Les techniques de vendange Comme les travaux d’ébourgeonnage, la vendange se fait de manière manuelle. Ainsi, les moines pratiquent la technique de vendange verte. Cette méthode consiste à éliminer les grappes surnuméraires avant la véraison. Les rendements quant à eux sont limités à 40 hectolitres/hectare. Les cépages sont le Chardonnay, la Clairette et le Viognier pour les vins blancs et la Syrah, le Mourvèdre et le Pinot noir pour les rouges. ...
Le palmarès de la Cave des Vignerons de Pierrevert montre que leur union porte ses fruits. En 2016, elle est représentée sur tous les marchés du podium au Concours Général Agricole de Paris. En tout, elle a remporté cinq médailles dont deux médailles d’or pour l’AOP Pierrevert rosé 2015 et IGP bio rosé 2015, une médaille d’argent et deux bronzes. Au Concours des vins IGP de France VINALIES, trois médailles d’argent lui ont été décernées. Une Coopérative Ceci est l’histoire d’une centaine de viticulteurs qui décident de s’allier pour mieux produire et mieux vendre leurs vins. La coopérative « c'est d'abord un projet d'hommes et de femmes s'inscrivant dans une volonté commune de performance » selon Corinne Campana, responsable commercial. Auguste Bastide fonde en 1925 la Coopérative Vinicole Agricole des Coteaux de Pierrevert. C’est la seule coopérative vinicole des Alpes-de-Haute-Provence connue à ce jour, après la fusion avec les Coopératives de Villeneuve et de Quinson en 1992 et avec la Coopérative de Manosque en 1998. L’objectif du projet est de « proposer une large gamme de produits, adaptée au marché et capable d'évoluer rapidement en fonction de la demande des consommateurs » raconte Corinne. La structure composée de cent vingt viticulteurs produit donc des vins rouges, rosés et blancs en AOP Pierrevert, IGP des Alpes-de-Haute-Provence, IGP cépages Cabernet Sauvignon et Merlot et enfin Vin de France « rosé fruité ». Petra Viridis La Cave de la coopérative des vignerons de Pierrevert a atteint ses 90 ans en mars dernier, elle a beaucoup évolué depuis sa création. Le savoir-faire traditionnel des viticulteurs côtoie aujourd’hui les matériels modernes qui interviennent dans le processus de transformation du vin comme les pressoirs pneumatiques, cuves inox réfrigérées et groupe de froid. Cela permet à la Petra Viridis de produire « des vins qui portent la signature du terroir » Le Terroir Le terroir recouvre une surface de 400 hectares qui concerne une dizaine de communes autour de Pierrevert, sur les contreforts de la vallée de la Durance et sur le site de Quinson. La qualité du sol, le climat et surtout le travail des vignerons dévoilent à travers leurs vins les particularités de ce terroir. Les cépages prédominants sont le Grenache noir et la Syrah. Le reste inclut le Merlot, Cabernet Sauvignon, Muscat de Hambourg, Muscat petits grains, Vermentino et Grenache blanc. ...
Le domaine Les Clos des Suds a fait le choix de travailler certains vieux cépages qui font l’identité du Minervois mais qui ne sont pas toujours reconnus par les décrets des syndicats d’appellation. Conséquence : certaines cuvées sont proposées hors AOC. Cette particularité n’est en rien un handicap. « Avec les cépages classiques, les vins ont tendance à se ressembler et vont vers un même standard. Personnellement, j’aime les cépages qui jouent la carte identitaire », déclare Pierre. Des cuvées uniques À base de terret gris (cépage de raisins gris), la cuvée Note Bleue appartient à cette catégorie de vins hors AOC qui font la fierté du vigneron. Ce blanc très atypique à la fois aérien, discret et élégant affiche un faible degré alcoolique, « ce qui est très demandé aujourd’hui » précise Pierre. Du côté des rouges, 3 cuvées Bagatelle, Nocturne et Cœur de Pierre, chacune singulière, sont complémentaires, « car c'est de nos différences que nous avons à échanger », argumente le vigneron Pierre Aliste pour prôner la belle typicité de ses précieux nectars. A déguster au domaine sur rendez-vous. ...
A 50 km de Bordeaux, ville inscrite au patrimoine mondiale de l’UNESCO, l’entreprise vous propose un lieu convivial pour se détendre en bord du bassin pour une dégustation d’huîtres et des explications sur la culture de l’huître et du patrimoine maritime. Premier centre naisseur européen d’huîtres naturels Faisant partie du patrimoine du Bassin d’Arcachon, les huîtres sont mises à l’honneur au Vivier du Jacquet. L’entreprise propose différentes activités et la découverte de ce produit qui fait la réputation de la région depuis plusieurs siècles. Les visiteurs peuvent déguster des huîtres fraichement sorties d’excellentes qualités et découvrir le métier d’ostréiculteur. Ce paysan de la mer vous propose la visite de la ferme ostréicole, les sorties en chaland pour la découverte des parcs à huîtres et l’île aux oiseaux. Le bistrot vous propose de vous régaler avec ses huîtres et fruits de mer accompagnés de pâté et d’un vin blanc Château Lauduc ou de la Maison MARLERE. Tout cela dans une ambiance conviviale et familiale. « Quand les clients me posent des questions (il m’arrive de m’asseoir avec eux et de continuer la discussion) » nous confie Christian. Pour les fins gourmets de passage, cet épicurien prodigue ses précieux conseils concernant les bonnes recettes et la manière de déguster les huîtres. Les plus curieux peuvent également en savoir plus sur les techniques d’élevage de ces joyaux du bassin. Ces explications se font le mardi et le jeudi de Pâques à septembre sur réservation. « Je leur raconte un petit peu l'histoire du patrimoine maritime du Bassin d’Arcachon, et en second lieu, je leur explique la culture de l'huître : du naissain naturel jusqu'à son arrivée dans l'assiette sur un cycle de 3 ans et demi ! » Christian se fait un réel plaisir à partager les secrets de son métier. Sur le bassin d’Arcachon, au cap Ferret, Christian, ce paysan de la mer travaille ses huîtres avec la bioénergie Les huîtres servies au Vivier du Jacquet bistrot à huîtres sont au minimum âgées de 3 ans. Pour accompagner ces huîtres, Christian vous propose des vins blancs Côtes de Gascogne de la maison Marlere, vignoble Laffont et Château Lauduc. Néanmoins, ce sont les huîtres qui sont bel et bien les stars de ce lieu d’exception. En effet, cette ferme ostréicole travaille ses produits avec attention et applique la bioénergie pour la finition. Le résultat de la bioénergie ce sont des huîtres douces et rondes qui restent en bouche comme un grand cru. Dégustez des huîtres de qualité quand et où vous voulez ! Le Vivier du Jacquet accueille aussi bien les simples touristes que les groupes. Idéales pour les réunions de famille et pour diverses manifestations dans le cadre de la législation en vigueur. Les visites hebdomadaires se terminent toujours par une dégustation d’huîtres, vin blanc et il y a également une initiation à l’écaillage. Ces huîtres sont proposées à la vente directe sur place ou à emporter. Le Vivier du Jacquet bistrot à huîtres est également présent sur différents marchés. « Je commercialise mes produits sur la Côte Basque à Hendaye, au marché d'Anglet, marché des Quais des Chartrons de Bordeaux le dimanche matin, et le marché du Bouscat ». Les foires agricoles, les foires à thème et les salons gastronomiques font aussi partie des activités de cette entreprise. « J'expédie également les huîtres partout en France de septembre à mai. » précise-t-il. Il suffit de passer votre commande via le site internet de l’établissement ou par mail. Ces huîtres sont vendues à la douzaine, disponibles en différentes tailles selon les goûts et dont la livraison se fera dans un délai de 24 à 36 heures sur toutes les régions de France. ...
Installé sur les contreforts de la montagne noire, le vignoble du domaine Les Maillols profite des largesses du climat méditerranéen, qui, combinées au sol limoneux calcaire, confèrent aux vins leur caractère souple et fruité. Une viticulture plus que raisonnée Sur les 13 ha du domaine Les Maillols, le vignoble est réparti en 10 ha AOP Minervois et le reste en IGP Coteaux-de-Peyriac. Philip Birolleau, propriétaire-gérant et œnologue, y pratique une viticulture raisonnée, s’apparentant plus au biologique selon ses dires. « Nous travaillons les sols et n’utilisons pas d’herbicide. Nous ne réalisons pas plus de 6 traitements annuellement, ce qui est très faible dans le monde viticole. » Des minervois très élaborés En dénomination IGP Coteaux-de-Peyriac, le domaine propose 3 cuvées intitulées « L’Instinct plaisir » en blanc, en rouge et en rosé. Il s'agit d'une gamme monocépage pour exprimer le profil aromatique de chaque cépage du domaine. Faisant la fierté de Philip Birolleau, les cuvées rouges AOP Minervois font l’objet d’une attention particulière de sa part. « La cuvée M et l’Âme des Maillols sont élevées en barriques durant 12 et 18 mois respectivement », nous précise-t-il. ...
Inscrit parmi les maisons de champagne françaises, le domaine Charles Mignon doit sa renommée à son dévouement à la qualité. Il n’exploite que les meilleurs cépages de la région, lesquels sont issus de ses propres vignobles dans la vallée de la Marne et de la Côte de Blancs, ou fournis par une cinquantaine de domaines partenaires. Des cuvées au goût du terroir Nées de la haute tradition champenoise, les sept cuvées de la maison Charles Mignon ont été cultivées avec passion, assemblées avec talent et manipulées avec rigueur. Un véritable modèle d’excellence. Le Premium Reserve Brut Premier Cru témoigne parfaitement de l’esprit de la maison. Ici, la puissance du pinot noir côtoie l’élégance du chardonnay pour donner un champagne aristocrate qui s’avère être une parfaite entrée en matière. La minéralité et la pureté sont à l’honneur, faisant le bonheur des amateurs. La cuvée Comte de Marne Brut Grand Cru mettra les épicuriens dans tous leurs états. Elle est faite de 55 % de pinot noir et de 45 % de chardonnay, les meilleurs cépages issus de terroirs classés Grand Cru. Riche et complexe, ce vin aux arômes puissants exprime la générosité de la nature. Cette cuvée trouvera harmonieusement une place à côté des mets raffinés tels que le foie gras poêlé ou les noix de Saint-Jacques. Découvrir le domaine dans la convivialité Le domaine Charles Mignon a également mis en place toute une structure à travers laquelle il invite à découvrir l’univers champenois. Une visite personnalisable est proposée au domaine, au cours de laquelle Manon Mignon, la fille de Bruno Mignon, partage ce fascinant monde avec ses convives. Elle se plaît à expliquer l’élaboration du champagne et à répondre aux éventuelles questions, le tout dans une ambiance familiale et chaleureuse. La famille prône également les mérites de la région à travers une exposition et un film mettant en scène la beauté du paysage, les machines utilisées et la méthode d’élaboration des champagnes. Afin d’octroyer une touche pétillante à la visite et aux moments de découverte, les convives sont invités à déguster les trésors de la maison. ...
Ancien expatrié spécialisé dans l’export, Fabien Bonabaud s’engage dans une reconversion professionnelle à partir de 2017 en rachetant le Château Gauthier. Ce changement de carrière a finalement été tout naturel pour ce néo-vigneron qui a grandi dans une famille amatrice de vins. « J’ai monté ce projet avec mon père, mais il est malheureusement décédé. Poursuivre ce rêve familial est une manière de lui rendre hommage », explique-t-il. Au cœur d’un domaine vallonné, les vignes s’épanouissent dans un environnement naturel et préservé entre forêts, ruisseaux et paturages pour les chevaux. Sur ce terroir à dominante de sables et de petites graves, le merlot, le cabernet sauvignon ainsi que le cabernet franc se révèlent dans leur plus belle expression. Le vigneron envisage également de replanter certains cépages rares bordelais à l’instar du malbec, du carmenere et du petit verdot, qui sont très présents au Chili et qui font écho à sa jeunesse passée dans le pays. Des vins fruités, aromatiques et accessibles À travers son projet, Fabien Bonabaud a tenu à adopter une démarche éco-responsable en bannissant les fongicides, pesticides et autres herbicides et en réduisant l’impact environnemental dans toute sa chaîne de valeur de la vigne au verre. Certifié HVE 3 en 2019, le domaine s’engage dans une conversion bio en 2021. Cette démarche écologiquement durable aboutit à des vins réputés pour leur élégance et leur buvabilité en appellation Blaye-côtes-de-bordeaux. Le Château Gauthier est l’une des fiertés de la maison. La cuvée historique issue d’un minutieux assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon s’illustre pour son caractère très aromatique, ses saveurs de petits fruits noirs et ses tanins présents, mais fondus. À déguster idéalement avec des plats en sauce, des pâtes, de la viande blanche, du pavé de thon ou du risotto. La cuvée Nézereau se veut quant à elle plus fraîche et expressive. Ample et fruité en bouche, ce vin rehausse à merveille les saveurs des viandes rôties, braisées ou barbecues, les poissons gras ainsi que les plats végétariens. ...
C’est en février 2014 que Soufiane Rachouque, le gérant, ouvre l’Atlantique. Il y propose une cuisine bistronomique dans un cadre aux allures de bateau qui invite à une croisière, à la découverte des saveurs du monde. Les grands esprits se rencontrent Soufiane effectue ses études en hôtellerie à Lausanne. Il fait ses premières armes à l’Hôtel InterContinental à Genève pour ensuite devenir maître d’hôtel pendant trois ans pour le compte d’une grande famille. Après avoir notamment exercé durant 4 ans au Sofitel puis à l’issue d’un long séjour à Londres, il a l’idée de lancer son propre restaurant. Dans cette optique, il revient sur la presqu’ile et tombe sur ce charmant restaurant qu’il s’empressa d’acquérir. Il vivra cette aventure aux côtés de Nicolas Schmitz, un chef passionné et dynamique à qui Soufiane attribuera toute sa confiance. L’impressionnant parcours de ce jeune chef parle de lui-même. Alain Ducasse, Michel Guérard, Antoine Westermann… Nicolas a travaillé au côté des plus grands noms de la gastronomie française. Son expérience se reflète au travers de sa cuisine à la fois gourmande, savoureuse et maîtrisée. Une cuisine du terroir Le chef n’utilise que des produits locaux fournis par les petits producteurs de la région et des environs. Tout est frais et fait-maison, une exigence que Nicolas met un point d’honneur à mettre en avant. Puisque le restaurant est spécialisé dans la préparation de poissons et de fruits de mer, il s’approvisionne auprès des pêcheurs du coin qui apportent quotidiennement leurs trouvailles. Pour l’acquisition des fruits et légumes, le chef travaille en étroite collaboration avec une maraîchère qui veille à sélectionner ses meilleurs produits. Sinon, il se rend sur les marchés du Port-Haliguen, de Saint-Pierre-Quiberon et de Quiberon en compagnie de son second. Le fromage et les viandes issus de la région de Bretagne illustrent leur attachement au terroir. Une carte à multi-facettes A la carte, le tartare de saumon en mille-feuille d’ananas relevé au gingembre et citron vert, le tout assaisonné d’une vinaigrette mangue et passion, est un délice pour les papilles. En plat de résistance, le pavé de cabillaud en croûte d’herbes, tombée de chou vert et jambon Serrano fait partie des quatre suggestions disponibles. Pour clore le repas, la crème brulée à la vanille Bourbon apporte une note de douceur et de gourmandise. Dans la gamme des menus à ne pas rater figure la formule « Libre ». Elle est créée selon l’humeur et l’inspiration du chef qui invite les convives à vivre un instant culinaire des plus délectables. Servi à l’ensemble de la table, ce menu surprise laisse transparaître tout le talent et la créativité de Nicolas. Côté vin, la cave est constituée essentiellement de vins blancs notamment de Loire, parfaits pour accompagner les fruits de mer. Parmi les suggestions de la maison figure notamment le Mersault AOC Bourgogne 2013 du domaine des Champs-Lins. Dans la gamme des vins rouges, le Château La Nerthe du domaine Châteauneuf-du-Pape de la Vallée du Rhône-Sud fait voltiger les papilles. Cadre chic et chaleureux Dès l’entrée, la terrasse en teck offrant une vue sur le vieux port de Haliguen attire toutes les attentions. Durant l’arrivée des beaux jours, elle promet des moments de convivialité pour un apéro entre amis ou un dîner romantique en amoureux. L’intérieur de la salle affiche une décoration marine avec une prédominance de couleurs gaies et sophistiquées, le tout baignant dans une belle luminosité grâce à la présence de la grande baie vitrée. Le soir, les pianistes dans l'âme sont conviés à prendre place au piano pour partager leur talent avec l'ensemble de la salle. ...
Voilà 3 générations que cette exploitation familiale confectionne des vins de caractère empreints d’authenticité. 3 cépages, 3 couleurs Dans ce vignoble, les 3 cépages traditionnels (auxerrois, gamay, pinot noir) sont plantés sur un terrain propice à leur épanouissement. Ainsi, les vignes puisent leurs nutriments dans un sol issu d’argiles oxfordiennes avec un mélange d’alluvions anciens et d’éboulis calcaires. Le domaine produit bel et bien du blanc et des rouges, mais il est particulièrement fier de ses vins gris-de-toul. Une spécialité emblématique Avec le gris-de-toul, spécialité emblématique de l’appellation, la maison en a fait sa cuvée phare. Issu de l’assemblage de gamay et de pinot noir, ce vin se démarque par sa rondeur, sa palette aromatique et une souplesse en bouche qui lui confère un caractère unique. ...
Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle. Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse. Une carte 100 % mexicaine À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains. En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos. En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème. Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros. Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas. En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas. De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens. Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition. Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays. ...
Depuis le XIVème siècle, le Château de Tracy compose en harmonie avec son environnement. Cet accord, Juliette d’Assay, aujourd’hui co-propriétaire du domaine viticole du Château, le sublime, portant haut la passion héritée. 36 hectares plantés essentiellement en Sauvignon profitent ainsi de soins authentiques prodigués par une équipe investie, à l’écoute d’une vie organique riche et intense. Rien n’est négligé, ni les petites huîtres fossilisées des parcelles au sol calcaire, ni les silex de celles au sol d’argile. La forêt alentours participe à ce précieux écosystème, comme la hauteur du feuillage des vignes, qu’on laisse ici danser à plus d’1m 40 du sol, les engrais verts qui participent au bien-être du sol ou la plantation en haute densité, à 17 000 pieds ha, permettant aux vignes de mieux côtoyer la roche. Une forme de culture permanente qui rend autonomie à ses terres, résistante, subtile et généreuse dans le temps, en retour. Des vins gastronomiques, délicats et expressifs Au Chai, peu de manipulation et beaucoup de patience, donnent aux vins toute leur maturité et leur finesse. Aucune trace de produit chimique possible. Les quatre cuvées d’Appellation Pouilly-Fumé du Château de Tracy sont certifiés Haute Valeur Environnementale niveau 3 (le maximum). S’en décline un caractère pur et minéral, soyeux et frais en bouche, aux arômes murs, fruités ou salins selon les opus. La production est volontairement limitée. Vendues dans toute l’Europe et à l’international, les cuvées du Château de Tracy se trouvent chez les cavistes, les grands restaurateurs, au domaine ou sur sa boutique en ligne. Un cadeau de la terre et de ses artisans, à savourer, complices et gourmets. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...