Avant-gardiste et perfectionniste, Carbon est l'aboutissement de 4 années d'essais et d'expérimentations. Carbon représente l’union parfaite entre la tradition et la modernité Fondée par Alexandre Mea et dirigée par Jean-Baptiste Prevost, la Maison de Champagne Carbon, pionnière, se différencie et incarne une marque de défis. CARBON est l’assemblage audacieux de savoir-faire, un équilibre entre le respect de notre histoire familiale et une ingénierie innovante. ...
Le Château de Tracy est un vignoble dont des traces écrites notent leur existence dès 1396. C’est dire la réputation et la qualité des sols, du climat particulier et des raisins que l’on peut y trouver. Un sauvignon dont les vignobles sont situés au cœur d’un domaine historique qui appartient depuis la fin du XIXème siècle à la même lignée familiale les d'Assay. Les cuvées du domaine se déclinent en version prestige avec le Château de Tracy, le Haute Densité et la Cuvée des 101 rangs mais aussi le Mademoiselle TT. Véritable trésor de la région, leur prix reste pourtant accessible avec des bouteilles comme celles de la cuvée de Château de Tracy 2020 à seulement 24€. Le domaine fait également partie de l’AOC du Pouilly-fumé. Une AOC qui regroupe plus d’une quarantaine de vignobles dont les cépages profitent d’un sol majoritairement composé de silex et de calcaire. C’est d’ailleurs cette particularité géographique qui recouvre les fruits arrivés à maturité d’une légère pruine grise donnant l’illusion d’un voile de fumée caractéristique de la fameuse appellation Pouilly-fumé. Une certification BIO en cours Attaché à la qualité de son vin, le Château de Tracy s’est engagé depuis deux ans déjà dans une démarche de certification BIO. Menée avec l’organisme indépendant ECOCERT, le vignoble est ainsi l’un des premiers à intégrer la démarche. Il s’engage ainsi à mettre en avant le terroir à travers une volonté de sauvegarder l’identité du sol et ainsi de ne pas dénaturer la nature. Une vision partagée depuis le début des années 50 puisque le domaine a toujours évité l’utilisation d’insecticides et de désherbants chimiques pour produire son vin. Cette conversion reste un enjeu de taille pour le domaine qui cultive ses vignobles depuis plus de six siècles. Un défi aussi, puisqu’il s’agit de transformer durablement les 33ha de vignobles installés sur les coteaux dominant la Loire, la butte de Tracy et jusqu’au plateau de Pouilly-sur-Loire. Notons qu’en 2014, le domaine avait déjà reçu le niveau 3 de la certification Haute Valeur Environnementale pour ses méthodes de cultures vertueuses. Des techniques et méthodes éprouvées Le Château de Tracy possède des particularités bien uniques. Un sol qui jouit d’une qualité exceptionnelle avec une partie du terroir formé de marnes kimmeridgiennes des Champs de Cris. Il s’agit de petits cailloux blancs spécifiques à l’endroit qui apportent sa minéralité au vin. De plus, près du tiers du vignoble est composé de silex. L’ensemble de ces formations géologiques permet de produire des cuvées reconnues des amateurs de vin blanc et de cette appellation. Adossés à ce sol si particulier, les modes de cultures sont tout aussi innovants. Le vignoble a ainsi mis en place des préparations biodynamiques notamment en prévision de l’automne 2021. Des techniques qui se traduisent notamment par l’utilisation de pulvérisation à base de minéraux. Entre autres, la préparation 501 ou silice de corne. Une méthode naturelle qui consiste à placer du cristal de roche dans une corne de vache en l’enterrant durant l’été pour favoriser pendant l'automne l’assimilation de la lumière et compenser ainsi certains déficits. Parmi les techniques présentes également, la sélection massale fait partie des spécificités du domaine. Utilisée au détriment de la sélection clonale, il s’agit pour le viticulteur de remplacer les pieds morts par des greffons prélevés en sarment sur leurs plus beaux pieds de vigne. Ce qui permet ainsi de maintenir une plus grande diversité génétique et finalement multiplier le potentiel aromatique des fruits avec des pieds différents. Et enfin, la densité de plantation sur le domaine reste unique avec certaines parcelles où l’on retrouve près de 17 000 pieds/ha. Soit quasiment trois fois plus que la densité des plantations bordelaises. 2021, une année complexe pour le Château de Tracy De mémoire de viticulteur, l’année en cours ne fut pas ...
Bien que les premières bouteilles aient été commercialisées en 1976, l’histoire entre les Boutillez et les vignes remonte au XVIe siècle. Aujourd’hui, c’est la deuxième génération qui tient les rênes. Et elle compte bien faire prospérer cette activité avec passion et rigueur. Les terroirs Les principaux cépages qui sont le chardonnay et le pinot noir sont départagés entre deux terroirs. 80 % des vignes sont situées à Villers-Marmery, où l’exposition des sols est idéalement propice au chardonnay. Les pinots noirs sont cultivés sur 1 ha de vignes classées grand cru. S’agissant du mode cultural, le domaine mise sur une viticulture raisonnée. Un travail consciencieux qui sera bientôt certifié HVE (haute valeur environnementale). Les vins Les Boutillez ont opté pour une vinification en cuve avec fermentation malolactique. Pour créer une belle complexité au niveau des arômes, ils misent aussi sur un élevage en fûts de chêne. Par ailleurs, la maison a su développer l’art d’assembler le chardonnay et le pinot noir. C’est de cette manière qu’elle réussit à produire des champagnes exquis et fraichement pétillants, présents sur les meilleures tables. ...
Dans le domaine agricole de la famille Damoiseau, les visiteurs sont libres de se promener où ils veulent. Une occasion d’être en lien direct avec les salariés. De cette manière, « ils n’ont pas l’impression de faire une visite guidée et qu’on leur cache certaines choses », explique Hervé Damoiseau, dirigeant actuel de l’usine avec son frère Jean-Luc. Le rhum agricole guadeloupéen Le rhum agricole est issu du pur jus de canne à sucre. Il est principalement produit dans les Antilles françaises. La plantation des cannes est faite par bouturage. Après une année de murissement vient la récolte. La coupe se fait sans brûler la canne ; une façon de préserver sa richesse et sa saveur. Une fois coupées, les cannes sont transportées à la distillerie pour être broyées. Cette opération nécessite une imbibition par eau pure et donne naissance au vesou, qui sera la matière première du rhum, et la bagasse, qui servira à alimenter les chaudières utilisées pour le broyage et la distillation. Les rhums agricoles Damoiseau L’élaboration du rhum agricole Damoiseau se fait dans le respect des traditions des Antilles françaises. C’est du pur jus de canne à sucre (vesou) fermenté et distillé, puis stocké à fort degré pendant 2 à 3 mois dans des foudres de bois qui donneront le rhum blanc, ou « Grappe Blanche ». Un brassage et une aération permettent aux composés volatils de s’évaporer durant la période de maturation. Avant la commercialisation, de l’eau y est ajoutée pour faire passer son degré de 85° à 40°, 50° ou 55°. Parmi la gamme de rhums agricoles Damoiseau se trouvent les rhums blancs. Ti-punch et cocktails seront parfumés d’exotisme grâce à leur équilibre et leur finesse. Leur richesse aromatique est marquée par de fines notes sucrées. Il y a ensuite les rhums agricoles vieux Damoiseau, Les rhums Vieux DAMOISEAU sont majoritairement vieillis dans d’anciens fûts de bourbon, utilisés une seule fois en Bourbon (« single use »). Leur capacité est de 180 à 220 litres. Le rhum devient vieux à partir de 3 ans révolus. La gamme Damoiseau comprend des âges allant de 3 à 12 ans, mais aussi des millésimes (1953, 1989, 1991, 1995, 2005, 2008, 2009). Les rhums non millésimés sont tous en single cask, c’est-à-dire, proviennent du même lot sans assemblage. Les rhums millésimés peuvent faire l’objet, selon les millésimes, d’assemblages subtils. C’est de cette façon qu’ils acquièrent leur couleur ambrée. Le tableau est complété par les rhums ambrés. Ils sont issus des meilleures sélections de canne à sucre cultivée en Grande-Terre. Ayant séjourné douze mois en fûts de chêne, ils en ressortent avec une robe jaune paille ainsi qu’une richesse et une souplesse en bouche exceptionnelles. En perpétuelle évolution Ayant vu le jour en 1942, en pleine guerre, la marque Damoiseau connaît des débuts difficiles pour connaitre dans les années 90 un rapide et grand succès. Il domine à plus de 50 % le marché en Guadeloupe. Cela a amené à créer Damoiseau Export, société de distribution. Le rhum agricole Damoiseau se vend donc également en France métropolitaine et dans plus de 40 pays, notamment au Japon et aux USA. Au pays du soleil levant, le Rum Festa permet aux professionnels et particuliers de se rencontrer ; une occasion pour donner plus de visibilité aux rhums des Antilles. Misant sur le haut de gamme, Damoiseau propose aux consommateurs japonais des rhums hors d’âge et millésimés. Le rhum agricole était absent du marché chinois lorsque Damoiseau s’y est aventuré, il a donc fallu séduire en premier les expatriés avec des soirées antillaises. Mais la marque est maintenant référencée dans une centaine d’établissements de l’Empire du Milieu. Pour sa part, la troisième génération de la famille Damoiseau ne cache pas son ambition. En effet, en plus d’avoir modernisé la production et rationalisé le stockage, elle a fait passer le chai de vieillissement de 300 à 3 000 fûts. Mais les d...
Le Domaine des Maravilhas travaille à la fois les AOP Lirac (un cru des côtes-du-rhône), le Laudun (un côte-du-rhône villages) et le Châteauneuf-du-Pape. Il est planté sur un sol argilo-calcaire en côteaux, avec des galets roulés en surface, qui ont la propriété de restituer aux vignes la chaleur emmagasinée durant la journée. Une viticulture respectueuse de la Nature Avant d’être un mode de culture, la biodynamie est un état d’esprit, une philosophie auxquels Jean-Frédéric Bistagne, vigneron passionné, adhère pleinement. « Depuis toujours, j’ai eu envie de faire une viticulture biodynamique, respectueuse de la terre et de la vigne. Et j’ai eu la chance de reprendre un domaine qui l’était déjà depuis plus de vingt ans », confie-t-il. Ce type de viticulture n’est pas étranger à la vivacité et à la bonne potentialité de garde des vins produits au sein du domaine. En dehors des impératifs des appellations, « nous faisons le choix de minimiser le recours aux intrants et produits de défense pour la vigne et la cave, bien en-deçà des cahiers des charges de l'agriculture biologique », souligne Jean-Frédéric Bistagne. Pour lui, l’équilibre organique des sols et des vignes est primordial. C’est pourquoi les intrants sont bannis au profit des préparations biodynamiques de prêle, d’ortie, de valériane... Il joue sur l’interconnexion entre animaux, terre et plantes, et fait même appel à un troupeau de moutons pour brouter dans ses vignes. « Nous faisons en sorte que la vigne soit la plus équilibrée possible pour que, dans son environnement, elle soit capable de se défendre seule avec le moins d’intrants possible. » Des vins tout en élégance À partir des cépages historiques des côtes-du-rhône (grenache, syrah, mourvèdre, cinsault et bourboulenc, clairette), le Domaine des Maravilhas élabore des vins élégants. Quatre cuvées sont ainsi en AOP Laudun (Maestral blanc et rouge, Bessalena et Le Passage). Grâce aux contraintes de production, d'encépagement et de vinification, ces vins sont d'une qualité constante. Les arômes sont subtils et prononcés, et les tannins plus fins et profonds. Ceux qui cherchent un vin avec un meilleur potentiel de garde sont largement servis. Du côté des Lirac, six cuvées font honneur à l’appellation : La Pierre de Josette, Pradau blanc, rosé et rouge, Antécédence et Canto-Bruno. Mention particulière pour cette dernière qui montre la qualité exceptionnelle du mourvèdre sur ce terroir. Mais si une cuvée mérite tous les éloges, ne serait-ce que pour son côté atypique, c’est certainement l’Espirito en AOP Châteauneuf-du-Pape. En effet, cette appellation habituellement issue d'un assemblage à base de grenache, s’exprime à merveille avec la syrah. La cuvée Alice, une pépite de cinsault en Vin de France, révèle, quant à elle, l’aptitude de ce cépage à produire un vin léger, fruité et gourmand, lorsqu'on ne le fait pas surproduire. ...
La marque Batisse Lancelot a été lancée dans les années 1970 au temps des parents de Guillaume Batisse, première génération de la famille à travailler les vignes et à élaborer du champagne. Les cuvées phares En quatre générations, la maison a su se démarquer à travers des cuvées comme « Prestige » et « Brut Rosé ». Tandis que l’une révèle l’équilibre parfait entre chardonnay et pinot noir, l’autre séduira les papilles avec ses arômes intensément fruités. ...
De précieux documents attestent que le Château de Pravins est un domaine viticole dès 1251. Aujourd’hui, c’est Isabelle Brossard qui en assure la gestion, aidée de Vladimir Vallat. Isabelle a repris l’exploitation en 2005 et s’attache, depuis, à mettre en avant une viticulture respectueuse de l’environnement. Un terroir ancestral Ce vignoble de 5 ha d’un seul tenant est implanté sur un terroir ancien présentant des sols argilo-limoneux. Sur ces terres fertiles s’épanouissent de très vieilles vignes de gamay et également de chardonnay. Depuis 2013, le domaine est mené en agriculture biologique. Pour favoriser la biodiversité, les vignes côtoient 4 ha d’arbres champêtres. Désherbage naturel, utilisation d’engrais organiques, travail du sol… font, entre autres, partie des efforts fournis en vue de préserver la Nature. Côté vinification, les interventions sont limitées au minimum. En effet, celles-ci doivent se dérouler de la manière la plus naturelle possible. Des cuvées uniques Grâce à la richesse de son terroir, cet ancien domaine viticole propose des vins à part. En tout, la maison confectionne 3 gammes : La Grande Réserve, L’Argile ardente et Les Moraines. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Les Moraines 2015 » est la plus représentative. Issu de vieilles vignes de gamay, ce vin dévoile un nez sur les petits fruits rouges et noirs bien mûrs. En bouche, on retrouve toute la puissance des arômes. Il accompagnera parfaitement différents plats comme le gibier au gratin de légumes mais aussi, par exemple, le fromage de chèvre. ...
Dispersées sur les communes de la Cadière d’Azur, du Castellet et de Saint-Cyr-sur-Mer, les vignes de la maison Castell puisent leur complexité gourmande, leur richesse aromatique et leur équilibre dans un terroir préservé au sol argilo-calcaire. Les cuvées Castell-Reynoard, élégantes et généreuses, sont ainsi les ambassadrices d’un savoir-faire ancestral savamment allié au respect de la terre. Un terroir d’exception respecté Depuis 1892, la famille Castell s’attache à produire du vin de qualité respectueux des traditions et de la nature. Le cinsault, la grenache, la clairette, le mourvèdre ou le carignan sont des cépages qui y sont travaillés avec passion dans le but d’élaborer des cuvées d’exception fidèles à leur terre. Julien Castell tient aujourd’hui à préserver l’âme de cette maison familiale en s’assurant que « l’exploitation s’harmonise avec le développement de l’écosystème à savoir la flore et la faune naturelles », explique-t-il. Travail du sol à cheval, accompagnement du vignoble selon les influences cosmiques et traitement des vignes suivant des pratiques raisonnées et naturelles sont autant de gages d’aboutissement de cette noble quête de la qualité au naturel. D’ailleurs, pour Julien, « il est important de restituer et de respecter la vigne comme un être vivant ». Ce vignoble idéalement exposé et bénéficiant d’une influence marine produit ainsi des cuvées d’exception dans lesquelles le terroir s’exprime naturellement. Parmi les ambassadeurs de cette gamme fleurant bon l’authenticité, appréciez le vin haut de gamme Clos Castell à l’occasion de vos instants raffinés. Doté d’un nez sublime, long en bouche et ponctué d’une riche palette d’arômes relevés et garrigues, ce vin rouge intime de 600 bouteilles, véritable fleuron du terroir, surprendra vos sens. Accompagnez également vos apéritifs d’une Cœur de Vigne, un vin rosé équilibré, ample et doté de légères touches saumonées et fruitées. ...
Entre Agde et Pézenas, vallées, mer et volcans se partagent la terre sur pratiquement 40 kilomètres, influant directement sur la vie géologique et l'expressivité des vignes. Plus de 90 domaines et caves coopératives unissent les 20 communes de l’agglomération et donnent à explorer un passionnant parcours œnologique, fort de 3 Appellations d’Origines Protégées (AOP) et de 5 Indications Géographiques Protégées (IGP). La nature s’exprime ici pleinement, révélant ses précieux jeux d’arômes. Des vins minéraux du bord de mer aux vins d’arrière-pays plus charpentés : le savoir-faire des domaines s’accorde avec leur environnement, riche de cépages emblématiques. Clairette du Languedoc et autres savoureux cépages à associer aux produits du terroir La clairette du Languedoc est l’une des plus anciennes AOC de France (1948) et poursuit une belle épopée commencée il y a 2000 ans. Son histoire s’est révélée suite à des recherches archéologiques sur des sites gallo-romains. Le piquepoul est le cépage blanc le plus répandu de la destination en terme de superficie cultivée. Traditionnellement utilisé en monocépage, en accord avec les fruits de mer, son emploi a été revisité depuis. Elevage en fût de chêne, effervescence ; assemblage avec des cépages tels que la roussane et le vermentino, les vignerons de cette appellation ne cessent de se réinventer. Entre cépages endémiques et originaux, les Indications Géographiques Protégées (IGP), plus souples que les AOC, dévoilent une véritable palette de Cézanne, tendue vers l’inventivité. Aujourd’hui, les domaines redoublent d’inspiration pour sublimer ces cépages : le gewurztraminer alsacien prolonge sa maturité grâce à l’ensoleillement méditerranéen, le terret blanc originaire du pourtour du bassin de Thau, un tant soit peu oublié, accompagne désormais les huîtres. Parmi les cépages rouges, il faut citer les immanquables : grenache, syrah, mourvèdre, carignan, grands classiques du Languedoc. D’origine espagnole, l’alicante et le tempranillo, sont audacieusement repris par des vignerons, livrant des notes tanniques. Le pinot d’origine bourguignonne et le petit verdot d’origine bordelaise s’inscrivent également dans ces nouveaux rouges légers et subtils. Cette palette d’arômes évoque autant le terroir que l’imagination. Les vignerons et producteurs ont matière à faire plaisir et à rendre à dame nature toute la noblesse de son œuvre. La créativité est ici devenue un art, ce délicat travail du maître de chai, à l’écoute des fruits de ses vignes épanouies, entre garrigue et bord de mer. ...
C’est dans un cadre contemporain et convivial que La Cafetière Fêlée présente sa carte enrichie d’une grande variété de plats typiques des deux mondes. Des vins venus des quatre coins de la planète, soigneusement sélectionnés pour agrémenter chaque assiette, figurent parmi les suggestions de la maison. Un chef passionné au long parcours Découvrant sa passion pour la cuisine grâce à une mère et une grand-mère toujours aux fourneaux, Julien Fiengo se fait admettre à l’école professionnelle Escoffier à cagnes sur mer en 1998 afin d’en maitriser les subtilités. A l’issu de sa formation, il entame sa carrière aux Héspérides de Lérins à golfe Juan où il débute en tant que commis de cuisine. Il trouve ensuite une place de chef de partie au restaurant Les Pêcheurs à Juan les pins. Puis, l’hôtel Belles Rives à Juan-les-Pins l’engage en tant que chef de partie pour son restaurant La Passagère. Avant de monter sa propre affaire, Julien continue sa carrière professionnelle à titre de chef de cuisine dans le restaurant Le Barbarella à Cannes. Ouvrant les portes de La Cafetière Fêlée en 2008, ce personnage passionné se voit attribuer le titre de Maitre Restaurateur, une plaque dorée qui appuiera la renommée de son établissement sur toute la Côte-d’Azur. Le menu : une harmonie entre tradition et exotisme Afin que ses « plats-fusions » préservent toute leur authenticité, Julien s’approvisionne essentiellement auprès de producteurs locaux. Ce concept de circuit court favorise la sélection de produits exclusivement frais et de saison utilisés pour concevoir une cuisine et des plats de qualité. En entrée, la carte propose le Sashimi de saumon mi-cuit au sel et gingembre/mousse wasabi et caramel de miel-soja. En plat de résistance, on se laisse facilement tenter par le Magret de canard au foie gras et gratiné à la pistache accompagné d’une sauce mangues passion et polenta crémeuse cremeuse à la figue. La maison a aussi bâti sa réputation en se spécialisant dans les wok à la thaï, un plat traditionnel particulièrement apprécié en Thaïlande composé généralement de nouilles de riz sautées au wok, de tofu, d’œufs, de légumes, de graines germées, de crevettes et de sauce au poisson. A la Cafetière fêlée, ce plat emblématique est revisité dans sa composition traditionnelle et servi avec du Magret laqué au miel et moutarde à l'ancienne ou encore des crevettes au lait de coco et Panang. Côté dessert, le Fondant au chocolat noir au cœur coulant de Toblerone se révèle en bouche par ses saveurs d'une finesse et d'une gourmandise sans nom. En parfaite synergie avec les plats, la carte des vins reste éclectique pour correspondre aux goûts de chacun. ...
Des restaurants italiens ? On en compte pléthore à Paris. Certains se démarquent par les saveurs inattendues de leurs plats et la qualité exceptionnelle de leurs produits. C’est le cas d’Il Fico. Véritable ambassadeur de la cuisine sarde, le restaurant est géré d’une main de maître par Nicola Pisu et un pool de passionnés qui, ensemble, ont largement tenu leur promesse en proposant le meilleur de la cuisine traditionnelle sarde. Immersion Le restaurant se trouve rue Coquillière, l’une des plus anciennes rues du Ier arrondissement. Le bâtiment arbore de grosses pierres de couleur neutre, rappelant le charme d’une trattoria à l’ancienne. La grande baie vitrée, au style très industriel, vient s’ajouter à la façade pour renforcer le cachet du restaurant, laissant entrevoir l’ambiance intimiste et chaleureuse de la salle. Une fois à l’intérieur, toujours dans la continuité de ce charme rustique, quelques cadres ici et là embellissent les murs en pierre et les poutres apparentes. Des meubles modernes aux lignes épurées apportent un côté plus contemporain et rehaussent la décoration de table déjà bien soignée. Un concept innovant Le restaurant s’articule autour de deux concepts : « Un concept gastronomique et à la fois bistro », décrit le chef Nicola Pisu. Lui et son équipe travaillent des plats représentatifs des saveurs de la cuisine sarde à base de poissons et de fruits de mer en provenance des côtes de l’île. « La particularité de la cuisine sarde, c’est qu’il y a beaucoup de poissons, et ils sont cuisinés très frais », continue le chef. Viennent s’ajouter les viandes, champignons, fruits et légumes témoignant la richesse de ses terres. La carte sort de l’ordinaire et propose un panel de suggestions surtout orientées vers les produits marins, comme une salade de poulpe à la méditerranéenne en guise d’entrée, de la linguine aux langoustes et sauce tomate ou encore de l’espadon grillé saisi à l'huile aux herbes et ses légumes. L’on y retrouve aussi des plats typiquement italiens à l’image de l’antipasto, généreusement enrichi de mozzarella et de la charcuterie italienne. Au dessert, la panna cotta à la vanille avec poires caramélisées au romarin est un incontournable. Une carte qui suit la saisonnalité Des ingrédients frais et de saison sont les produits de prédilection de Nicola Pisu, et la carte va dans ce sens. « On a une belle équipe en cuisine, on est plus motivé, on cherche toujours de nouveaux produits et on imprime une carte sur mesure selon le marché », explique notre interlocuteur. Le chef travaille directement avec des producteurs locaux de Sardaigne et s’approvisionne auprès des producteurs français pour acquérir la meilleure matière première. Il s’inspire ensuite des produits sur le marché pour concocter de nouvelles recettes, ou pour revisiter certains plats afin de les adapter à la saison. Côté vins, le restaurant privilégie les vins de Sardaigne, et développe une quarantaine de références, qui évolue régulièrement. En rouge, notre interlocuteur cite le Giba Carignano 2012 en provenance du sud de Sardaigne, et aussi l’Olianas Cannonau 2014, un vin biologique très frais, idéal au moment de l’apéritif. La carte propose aussi du blanc, comme le Giba Vermentino 2014, ainsi qu’une intéressante sélection de vins rosés. ...
Au cœur de la station de ski Serre Chevalier, Le Caribou accueille en hiver comme en été les vacanciers affectionnant les bons petits plats. La maîtresse des lieux, Liane Cunin, et sa petite équipe, composée notamment du chef Louis Blain du Poète, proposent des menus complètement différents selon les saisons. En effet, les repas servis ici sont plutôt montagnards durant la période hivernale, alors qu’ils sont entièrement improvisés lors de l’arrivée des beaux jours. Des saveurs authentiques à découvrir Le « fait maison » occupe une place importante au sein du Caribou. La plupart de ses plats phares sont essentiellement préparés avec grand soin à l’aide d’ingrédients frais et de saison. C’est le cas de son foie gras maison ou de sa truite fumée maison de Châteauroux, qui sont servis en entrée. Les réjouissances continuent avec du gibier, à l’instar du chevreuil aux airelles avec légumes anciens ou du dos de cabillaud aux deux citrons pour les amateurs de poisson. Le repas s’achève sur un entremets au chocolat, une tarte au citron meringuée ou des crèmes brûlées sous toutes leurs formes. Les vins originaires des Hautes-Alpes accompagnent dignement le festin. La trentaine de références parmi les plus sollicitées en rouge et en blanc comprend le Domaine Allemand, par exemple. La clientèle est également très friande des Côtes-de-Provence et des Côtes-du-Rhône. De la convivialité au menu Dans le restaurant Le Caribou, on se délecte de la vue imprenable donnant sur les Hautes-Alpes. La beauté de l’établissement est encore plus saisissante une fois à l’intérieur. Il est en fait implanté dans une ancienne bergerie datée du XVIIe siècle. Il a su garder son charme d’antan grâce à sa pièce voûtée en pierre apparente, qui lui confère une ambiance assez chaleureuse. ...
Niché sur le village médiéval du Haut-de-Cagnes, sur la Côte d’Azur, le Château Le Cagnard abrite un restaurant d’exception, qui met l’accent sur la cuisine gastronomique et méditerranéenne avec une parfaite maîtrise des produits locaux et de saison, de l’entrée au dessert. Château Le Cagnard : un vestige séculaire exceptionnel Vieille bâtisse datant du XIIIe siècle, le Château Le Cagnard a su conserver son charme médiéval et provençal qui envoûte les passionnés d’art et d’histoire. Sa cheminée voûtée installée dans l’ancienne salle des gardes en témoigne encore. Perché sur les remparts et les collines du légendaire château médiéval Grimaldi, le domaine se trouve en plein cœur d’un véritable site historique et dépaysant qui donne une vue panoramique sur la mer. En 1960, la famille Barel achète la bâtisse pour en faire un hôtel familial depuis plus de cinquante ans. Séduit par la splendeur de l’édifice et son architecture médiévale particulière, la famille suédoise Ivarsson décide de racheter la propriété en 2011. Sans attendre, elle commence à rénover complètement l'hôtel et le restaurant afin de lui apporter un renouveau tout en conservant les pièces historiques. Honneur à la cuisine gastronomique régionale Pouvant accueillir jusqu’à 50 couverts, le restaurant du château est un lieu historique et magique qui met merveilleusement en avant des meubles et des œuvres d’art d’antan, notamment celles d’Émile Wéry dans la salle des gardes. Les 200 fresques toutes peintes à la main, « couvrent le toit amovible de la salle qui s’ouvre sur le ciel d’azur pour procurer une ambiance romantique dans la salle », témoigne Gregory Cousaert, Directeur de l'établissement. À l’extérieur, juchée sur les remparts du village, la terrasse offre une vue imprenable sur la Côte d’Azur avec vingt couverts disponibles. Côté menu, le chef Stéphane Laurin concocte une cuisine divine, raffinée et régionale à base de produits du terroir et de saison dans laquelle on trouve le « menu de saison » avec trois plats et le « menu dégustation » avec quatre plats. Ici, « la carte est en constante évolution et les produits sont issus directement des producteurs locaux et quelques fois bio, pour les œufs par exemple ». Parmi ses spécialités, le chef suggère en entrée, des Crevettes Sauvages, courgette et vinaigrette de fraise, en plat de résistance, un Pigeon à l'ananas, fenouil et ricotta safranée et en dessert, un Soufflé parfum d'orange et son granité yuzu basilic. « On ne peut avoir de culture gastronomique sans vin ». Voilà un dicton de Julia Child qui ne laisse pas indifférent le sommelier du château. Pour accompagner et mettre en avant la cuisine régionale du chef, il propose « des vins locaux niçois ou de Côte de Provence de la plaine du Var, tels que le Clos Saint-joseph, le vin modelé du Domaine de Toasc et les Coteaux du Verdon », nous rapporte le directeur en continuant que « le restaurant dispose aussi de grands crus, de premiers crus et de crus classés de Bourgogne et de Bordeaux » pour le plaisir des amateurs de bons vins. ...
L’univers de la boisson est une affaire de longue date à la Distillerie Janot. Cette expérience a permis à la famille de connaitre toutes les subtilités du secteur et lui a appris à exploiter l’arôme des produits. Racheté en 2007 à la famille Maunier par Serge Girardot, l’établissement fait aujourd’hui raisonner son nom au-delà des frontières hexagonales. Distillerie Janot : le N°1 des fabricants de boissons avec ou sans alcool C’est l'histoire d’une exploitation familiale qui a débuté en 1928. A l’époque, Alfred MAUNIER tenait les rênes de l’entreprise. Sa longue carrière de négociant en vins et spiritueux le pousse plus tard à lancer sa propre affaire en composant sa gamme de produits. De là naît la Distillerie Janot dont le principal objectif sera de transmettre l’intensité et la richesse des arômes issus des boissons créées. En adoptant pour le Pastis une technique de fabrication peu commune, il réussit à offrir une qualité exceptionnelle à son produit phare. Celui-ci macère le plus longtemps possible afin qu’il libère sagement et en douceur ses arômes, sans trop de contraintes. La maison veut perpétuer la tradition et l’esprit de la Distillerie Janot. A l’heure actuelle, elle fait partie des rares fabricants du pays à encore produire du Pastis. Pastis, liqueur et crèmes : des boissons alcoolisées de grande qualité L’arôme dégagé par les boissons de la Distillerie fait la réputation de l’entreprise. Dans la gamme des Pastis, qui est d’ailleurs la fierté de l’établissement, il existe quelques produits phares à commencer par le Pastis Tradition 45°. Assemblage d'armoise, d'épices et de réglisse, il est macéré pour une durée minimum de trois semaines. Autre incontournable : le Pastis Bleu se distingue davantage par sa couleur unique et son goût désaltérant. Adouci en réglisse, il a une bonne longueur en bouche. Quant au Pastis Alfred Maunier d’une teneur en alcool de 45°, ses saveurs en Cardamone et épices contribuent à son succès. Dans la catégorie des boissons sans alcool, la Distillerie Janot doit sa notoriété à la production du fameux sirop Gambetta. Issue de la macération de différents produits (plantes, fruits, écorces d’une cinquantaine de plantes, etc…), cette boisson emblématique qui, à l’origine se dégustait normalement en apéritif, dévoile un goût caramel sucré légèrement acidulé. Aujourd’hui, elle est surtout considérée comme un sirop. Parmi les ambassadrices de cette gamme de boissons d’origine provençale ancienne figurent le Gambetta classique et le Gambetta Bitter. La gamme Bio pour encore plus de saveurs La Distillerie Janot propose depuis sept ans une gamme Bio. Cette catégorie renferme un large choix de bouteilles telles que le Whisky Main Fields Bio 40° 70cl, un produit très recherché grâce à la présence du malt d’orge biologique. Apprécié pour son goût unique relevé par le zeste d’orange, de vanille et de grains torréfiés, il se distingue par son intensité, son parfum et sa complexité. ...
Plus qu’une passion et une tradition, la viticulture est un véritable héritage familial chez les Lacuisse depuis des générations, puisque « notre grand-père, Julien Lacuisse, exploitait déjà des vignes avant les années 60 », souligne Christian Lacuisse, actuel Président de la SAS. L’entreprise familiale commence l’exploitation du champagne à partir de 1966 suite à l’initiative de deux descendants de Julien Lacuisse. « Nos cuvées sont actuellement classées premier cru et sont élaborées selon les normes de la viticulture raisonnée pour limiter les impacts sur l’environnement », poursuit notre interlocuteur. Pour le plaisir des amateurs de grands crus, la maison propose sept variétés de cuvées, à déguster au sein du domaine dans un cadre convivial et chaleureux. Un domaine coopérateur en plein essor Installé dans le village de Sermiers, à quelques minutes de Reims et d’Épernay, le domaine Lacuisse fait partie intégrante du terroir champenois. Il dispose d’un vaste vignoble qui s’étend sur 17 hectares où trois types de cépages sont cultivés, dont 70 % de pinot meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. Le sous-sol de celui-ci, riche en calcaire, est essentiellement composé d’argile, de sables siliceux et de marnes, permettant ainsi aux cépages d’exprimer nettement leurs arômes et saveurs. La maison a une capacité de production annuelle de 150 000 bouteilles, dont 45 000 vendues en étiquette terminée. Pour obtenir ce résultat, le processus de fabrication se déroule en deux temps : le pressurage, la vinification, l'assemblage et la mise en bouteille des cuvées s’effectuent avec des coopérateurs locaux, tandis que les travaux comme le remuage, le dégorgement et l’ajout de la liqueur finale s’effectuent au sein de la propriété, « ce qui fait de nous un domaine coopérateur », explique le propriétaire. Une gamme de cuvées à la hauteur de toutes les attentes Qu’il s’agisse de célébrer un grand événement ou une simple réception, la maison Lacuisse propose sept variétés de cuvées qui ravissent les papilles. Dans la catégorie des entrées de gamme figure la cuvée Tradition qui a obtenu la médaille d'argent au dernier concours International des vins de Lyon, composée de 70 % de pinot meunier, 20 % de pinot noir et 10 % de chardonnay. Intense et aromatique en bouche, elle se déguste à l’apéritif ou en accompagnement de fruits secs exotiques et « représente l’encépagement de notre propriété enregistrant une vente annuelle de 20 000 bouteilles », nous fait savoir Christian. Parmi les cuvées emblématiques du domaine se démarquent la cuvée spéciale, la cuvée millésime, mais surtout « la cuvée du cosson qui a obtenu la médaille d’argent au concours agricole de Paris cette année », précise notre interlocuteur. Cette dernière est obtenue par assemblage de 70 % de chardonnay et 30 % de pinot noir uniquement, contrairement aux cuvées demi-sec (encépagement identique à la cuvée tradition) et grande réserve qui, elle, est constituée de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. ...
« Grands Sites de Midi-Pyrénées », « Pays d’art et d’Histoire », « Plus Beaux Villages de France »... Décidément, Najac rafle toutes les récompenses et on comprend aisément pourquoi. Son paysage authentique et sa nature préservée insufflent un vent de sérénité que l’on ne ressentira nulle part ailleurs. Tendrement blotti dans cet environnement d’exception, le restaurant L’Oustal del Barry accueille les visiteurs amateurs de bonne chère. Au programme : une cuisine personnelle et contemporaine signée Rémy Simon. Un chef amoureux d’un terroir authentique Dès son arrivée en Aveyron, il y a un peu moins de 20 ans, Rémy Simon exprime déjà un amour fort pour les produits régionaux. Le savoir-faire et le métier des producteurs locaux suscitent en lui une véritable passion, si bien que sa cuisine tout en finesse et en élégance met en scène les trésors du terroir. L’objectif est de les travailler simplement, sans jamais les dénaturer pour exhaler les odeurs, les saveurs et les couleurs de chaque produit. Toute cette subtilité transparait au travers du menu mettant en avant certains plats emblématiques, à l’instar de l’Astet Najacois accompagné d’un aligot de fromage de Laguiole. Outre son menu terroir, l’établissement propose une carte gourmande privilégiant les produits de la mer et de la terre et évoluant au fil des saisons. En entrée, vous allez succomber au foie gras de canard mi-cuit servi avec son chutney figues-abricot, son pain d’épices et son sorbet mangue. Place ensuite à des bonbons de langoustine en brick de basilic ou à un pavé de veau servi rosé avec des échalotes compotées au vin rouge. Au dessert, vous prendrez bien évidemment le sublime du Barry et son pailleté de chocolat noir, dont l’intitulé donne déjà un aperçu de ce qui vous attend. Entre élégance et perfection La dégustation de toutes ces succulentes suggestions s’effectue à l’extérieur ou à l’intérieur, selon votre convenance. En salle, les grandes fenêtres permettent de profiter de la magnifique vue qui donne directement sur le château ou sur le potager de l’établissement. L’ambiance y est raffinée : salle lumineuse, profonds fauteuils tapissés, rideaux fleuris, pavage à l’ancienne et cheminée d’époque. Tout est fait pour garantir le confort. Une équipe jeune, dynamique et agréable est aux petits soins de ses clients. Mais si l’idée de pénétrer un autre univers vous intéresse, l’établissement organise de temps à autre des stages de cuisine. Le chef et sa brigade vous initient à l’art de la bonne cuisine dans une ambiance conviviale, où, progressivement, vous découvrirez les rouages de ce métier d’exception. Trésors historiques Aventuriers dans l’âme ? Najac regorge de trésors qui méritent amplement le déplacement. Classée monument historique, la forteresse royale datant du XIIe siècle fait partie des incontournables. En déambulant dans la rue médiévale, vous vous laisserez surprendre par la beauté d’un paysage jonché d’innombrables sites historiques : l’église Saint-Jean-l’Évangéliste, la fontaine des Consuls, la chapelle Saint-Barthélemy aujourd’hui devenue une habitation… ...
Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans. L’arriere Grand pere de Xavier Loriot, un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis de fille en fils . Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, c’est Charlène Loriot qui est à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5 ha de vignes. Première Femme de la maison a travailler le vin, et qui est toujours sous l’œil vigilant de son père Xavier, afin de préserver ce précieux héritage. L’objectif actuel est de préserver l’aspect environnemental et d'orienter ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient son père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Meunier, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Meunier Rosé, Fragment de Noirs, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Meunier illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir. Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et 0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...
Que ce soit en famille, en amoureux ou entre amis, les occasions ne manquent pas pour partager un bon repas autour d’une excellente table, dont les plats et les services n’ont rien à envier aux autres établissements des alentours. Une cuisine de goût et de créativité La bonne humeur et la convivialité sont constamment au rendez-vous lorsqu’il s’agit de goûter à la cuisine bistronomique et de bon goût du chef, qui vous invite à de belles découvertes. Laissez-vous tenter par sa terrine de jarret de veau au romarin et aux noisettes, une cuisson faite au bouillon et reconstituée en terrine avec un peu de gélatine à laquelle s’ajoutent du romarin, des noisettes, un petit peu d’oignon et de carottes, le tout servi avec une petite vinaigrette. Continuez avec son savoureux rognon de veau, poêlé avec une sauce moutarde (cuisson 30 à 35 minutes) et des échalotes revenues au beurre, puis déglacé au vin blanc et mouillé au fond de veau avec de la moutarde. On crème un petit peu, on passe au chinois, on monte au beurre et on ajoute de la moutarde en grains. Servi avec une fondue de choux et des petits lardons. Terminez sur une note joyeuse par son moelleux au chocolat avec une glace vanille, qui est un savoureux mélange chocolat-farine-œufs, cuit au four avec un cœur légèrement fondant liquide. Pour accompagner chacun de vos repas, le Bistrot du Maquis propose une belle carte de vins issus de la culture raisonnée biodynamique, sélectionnés directement auprès de propriétaires, vignerons et autres représentants, parmi lesquels se distinguent le Marcel Lapierre, la Principauté-d’orange de Paul Daumene ou encore le Bouzeron du Domaine Cruchandeau. ...
Pierre Petit et son épouse Béatrice (Pierrot et Béa), ont repris, il y a sept ans, cette bâtisse historique datant de 1650. De l’extérieur, l’on est attiré par le charme à l’ancienne du bâti, fait de pierres. Une fois à l’intérieur, accueilli par le très chaleureux Pierre Petit lui-même, l’on ressent un air de convivialité qui se répand dans toute la maison. Le soir d’hiver, le feu de la grande cheminée vient réchauffer l’ambiance intimiste du lieu. Les propositions de la maison Purement crêperie depuis 1938, Ty Gwechall suggère des crêpes salées et sucrées préparées à la commande, des plus classiques aux plus originales. Sur la carte figurent les traditionnelles crêpes jambon-fromage, crêpes au beurre-sucre, crêpes au chocolat, ou crêpes à la confiture. « Les spécialités de l’établissement sont composées de garnitures plus élaborées », explique Pierre Petit. La crêpe Kastel, par exemple, est à base de pommes de terre, accompagnées de fromage raclette, de lardons, d’une crème et d’une petite salade verte. L’équilibre des saveurs et la justesse des assaisonnements font de cette spécialité un vrai régal pour les clients. Au dessert, le propriétaire recommande la crêpe sucrée avec des pommes caramélisées au beurre salé agrémentée d’une boule de glace à la vanille et de crème chantilly, le tout fait maison. Côté boisson, la maison propose du cidre brut et du cidre fermier pour rehausser les saveurs de ses crêpes. Le cidre brut à la pression est particulièrement sympathique par son côté légèrement fruité. La crêperie possède également sa propre bière maison qui porte le nom de l’établissement, et est fabriquée par Les Fous, microbrasserie située à Carnoët. « Ce produit a déjà remporté la médaille d’argent au concours régional des bières de Bretagne en 2015 », nous souffle notre interlocuteur. Des produits frais et locaux « On est en 100 % local, on ne travaille qu’avec des producteurs locaux, souvent des petits producteurs, pour nous fournir en produits frais », reprend Pierre Petit. Il coopère notamment avec Les 4 Saisons à Huelgoat pour les confitures, la charcuterie d’Arzur d'Ahes primée pour ses saucisses, ou encore Les Saveurs d’HerOuet à Plouhinec pour les légumes. Certains sont bio, d’autres non, mais le propriétaire prend le soin de sélectionner les meilleurs ingrédients pour sa cuisine. ...
Bénéficiant du label Maitre restaurateur, Le Paname fait sensation par son brunch dominical à concept unique. Mais sa bonne cuisine de marché, faite maison, concoctée au quotidien à partir d’ingrédients frais est pareillement un pur bonheur pour les papilles. Plaisir des sens au Paname Dans un cadre calme, Le Paname reste l’endroit idéal des foodies adeptes de cuisine gourmande. La grande terrasse protégée par des parasols beiges et entourée de verdure invite à profiter du soleil durant l’arrivée des beaux jours. Plutôt en quête de tranquillité et d’intimité ? Investissez la salle intérieure offrant une atmosphère chaleureuse dans un décor agréable. Au quotidien, 2 formules déjeuners sont proposées à un prix des plus abordables si vous ne préférez pas piocher d’autres délices dans la carte. Rien de tel que les croustillants de gambas et leur mousse de poivron rouge ou l’une des salades (Paname, Caesar, Norvégienne, Landaise, etc.) pour entamer le repas. Laissez-vous ensuite tenter par un pavé de saumon mi-cuit accompagné d’un risotto crémeux ou par le Paname Burger, plat signature du restaurant. Une salade de fruits frais, une crème brûlée à la vanille ou des crêpes Suzette flambées au Grand Marnier vous attendent en guise de desserts. Côté boissons, Le Paname fait les choses en grand avec une large palette qui comble toutes les envies : vins, champagnes, cocktails, bières, apéritifs, digestifs, smoothies, milkshakes ou jus de fruits. Et cerise sur le gâteau : le happy hours commence dès 17 h, jusqu’au soir à 23 h. ...
Le Chai Saint-Sauveur se veut être un grand restaurant néanmoins accessible à tous les budgets. Le Chef Jérôme Verrière revisite les plats traditionnels tels que le ris de veau. « C’est le plat phare du restaurant » déclare Elodie Trassard, la maitresse de maison. Ici, la fraicheur des ingrédients est privilégiée, avec une préférence particulière pour les produits locaux. Une cuisine française traditionnelle Plusieurs menus sont proposés le midi, allant d’un simple plat du jour à une Entrecôte et Frites Maison, en passant par les formules incluant entrée, plat et dessert. Le soir, les menus laissent place à la carte. L’Œuf en meurette et ses petits croûtons se fait remarqué parmi les entrées. Du côté des plats, il serait tout à fait normal d’hésiter entre le Risotto poêlé aux gambas accompagné de sauce crustacé et la Souris d’Agneau à la purée au beurre. Et en dessert, les tartes au citron, caramel au beurre salé et tartelette framboise et sa crème légère raviront les gourmets. Tout est fait-maison, sauf la glace qui accompagne le Coulant chocolat au jus passion. Les vins du Chai Que serait un Chai sans vins ? Pour accompagner le repas, le Chai Saint-Sauveur suggère des crus issus du Sud-Ouest, Languedoc, Vallée du Rhône, Bordeaux, Pyrénées orientales et Bourgogne. Avec ses 22 références en rouge, 7 en blanc et 3 en rosé, chacun trouvera sa préférence en accord met-vin. La maison organise aussi quelques fois des dégustations de vins en compagnie des producteurs. Et grâce à sa licence de caveau, elle peut vendre les bouteilles à emporter. Un cadre agréable dans la salle Les couleurs chaudes comme le rouge et la prédominance du bois donnent à cet endroit une ambiance chaleureuse. Les étiquettes illustrant différents domaines viticoles qui couvrent les murs plongent la salle dans l’univers du vin. Eclairée par la grande baie vitrée, la salle révèle un esprit bistro-chic avec la présence de tables hautes confortables disposées de manière à offrir des espaces personnels parfaitement raisonnables. Eloignée du comptoir, la partie du restaurant constituée de tables basses quant à elle est propice au calme, idéale donc pour les dîners romantiques en amoureux. Un espace extérieur à l’ambiance sereine Installé sur une place aux allures de village, le restaurant le Chai Saint-Sauveur a le privilège de bénéficier d’une terrasse blottie au cœur d’un environnement verdoyant. Ce haut-lieu de rendez-vous des toulousains est équipé de fauteuils, de canapés et de tables basses. Un cadre sympathique parfait pour l’apéro. Le quartier est calme et la circulation est rarement dérangeante. Privatisable, la véranda peut recevoir en exclusivité jusqu’à 40 personnes assises pour un instant repas, 55 si les convives restent debout. A noter que le restaurant offre aussi des repas de groupe adaptés aux différents budgets. Des tapas se déclinant en de multiples variétés peuvent être concoctés sur demande. ...
Caché au centre de l’île Saint-Honorat, le vignoble de 8,5 hectares a été façonné par la vie monastique et communautaire des moines vignerons depuis plus de 600 ans. Situé sur la Côte d’Azur, doté d’un climat ensoleillé et d’un sol riche en matière organique et végétale, ce terroir est reconnu par la singularité de ses produits. Un vignoble chargé d’histoire Saint Honorat est arrivé sur l’ile entre 405 et 410 avec des compagnons de route. En ces temps les moines étaient ermites. Ces lieux de vie et d’ermitage ont donné les sept chapelles que vous pouvez trouver tout autour de l’ile. Il y a dix siècles, sous l’influence de Cluny, les frères décidèrent de vivre suivant la doctrine bénédictine « ora et labora ». Ce qui signifie fonder son existence sur la prière et le travail. Ainsi, pour vivre, ces moines élaboraient des vins et des liqueurs. L’ile de Saint-Honorat a commencé la fabrication de vins dès le Moyen Âge. Toutefois, ces derniers étaient destinés à l’eucharistie et à la préparation des messes. A la fois travail et tradition, la production de vins occupe une place importante dans cet archipel. Une tradition reprise et retravaillée par les vingt moines de nationalités différentes dirigés par le père abbé Vladimir. La communauté a décidé de relancer de façon professionnelle le vignoble à partir des années 1990. Le but étant de subvenir aux besoins de la communauté mais surtout pour témoigner de leur vie et travail. Une agriculture raisonnable à usage de technique manuelle Dans le souci de garantir l’équilibre et la préservation de l’environnement, les moines de l’ile Saint-Honorat ont opté pour une agriculture raisonnable. A cet effet, les engrais chimiques, les pesticides et les herbicides sont bannis de leur sol. Et pour maintenir ce terroir composé d’argile et de calcaire, très sablonneux, riche en matière organique et végétale, ils ont recours à des engins mécaniques. Toutefois, toutes les autres étapes de la production du vin se font de façon manuelle. De nombreux palmarès Le savoir-faire, l’attention ainsi que le travail acharné des moines ont fini par payer. En effet, les vins produits par l’Abbaye Notre-Dame-de-Lérins ont été récompensés de la médaille d’or lors du Concours mondial des Syrah en 2007. Gardant leur prestige en tant que vins d’excellence, certaines cuvées de l’abbaye sont classées parmi les meilleures de France. Une distinction qui leur a valu une reconnaissance internationale. A titre illustratif, deux des cuvées, à savoir le Saint-Césaire et le Saint-Salonius, ont été servies aux 26 plus grands chefs d’Etats lors du G20 de 2010. Les techniques de vendange Comme les travaux d’ébourgeonnage, la vendange se fait de manière manuelle. Ainsi, les moines pratiquent la technique de vendange verte. Cette méthode consiste à éliminer les grappes surnuméraires avant la véraison. Les rendements quant à eux sont limités à 40 hectolitres/hectare. Les cépages sont le Chardonnay, la Clairette et le Viognier pour les vins blancs et la Syrah, le Mourvèdre et le Pinot noir pour les rouges. ...
Il est rare de pouvoir manger allemand en plein cœur de Paris. Logé dans une boutique de la rue Richelieu si ce n’est dans l’enceinte même du Goethe-Institut, le centre culturel allemand situé avenue d’Iéna, Le Stube dispose ainsi de deux emplacements pour mieux servir sa clientèle. Un restaurant moderne à l’ambiance décontractée Le Stuberue de Richelieu baigne dans une ambiance décontractée et chaleureuse. Il se décline dans des tonalités rouges et grises autour d’une cuisine ouverte et d’une vitrine de présentation et de vente à emporter qui confèrent à l’ensemble un décor au cachet particulier. Fréquenté par des clients de tous âges et de toutes catégories, Le Stube est particulièrement apprécié pour son côté dynamique et sympathique. Proche de nombreux théâtres, c’est le lieu idéal pour un repas avant spectacle. Des spécialités revisitées par Gerhard Weber Fondé à l’origine autour du concept du snacking, Le Stube a très vite élargi ses activités à la restauration et à la pâtisserie. Il propose ainsi divers plats typiques d’Allemagne ou inspirés d’Europe Centrale ainsi que de nombreuses pâtisseries et gourmandises concoctées par Gerhard Weber, le maitre des lieux. Strudels salés ou sucrés, Currywurst, Choucroute, Koulibiac de saumon, Wienerschnitzel, Gâteau au fromage blanc, Forêt-Noire font partie des nombreuses spécialités. La diversité des mets proposés et le service continu sur place ou à emporter permet de découvrir toutes ses spécialités à toute heure de la journée pour un déjeuner, un gouter, une petite faim, un afterwork ou un diner. Tout est fait maison, à l’exception des charcuteries. Le tout est accompagné d’un assortiment de bières, de limonades biologiques et de sodas de très bonne qualité et typiques de la ville de Hambourg. ...
Riche d’une histoire remontant à plus de deux millénaires, le Château Calissanne a su développer des gammes de produits de qualité avec la volonté de respecter autant l’environnement que son terroir. Château Calissanne : histoire et évolution On pourrait indiquer que l’histoire du Château Calissanne remonte à 2001, avec l’achat et la restructuration du domaine par Philippe Kessler. Pourtant, ce ne serait pas rendre hommage à ce territoire vieux de deux millénaires qui était, au temps jadis, la voie principale entre Rome et l’Espagne. Place forte au IVe siècle, c’est aussi à cette époque que les Romains commencèrent à y planter des vignes et des oliviers. Il a fallu, ensuite, attendre le XVIIe siècle pour que le château actuel y soit construit (par M. de Leydet, parlementaire de la Cour d’Aix-en-Provence). Deux siècles plus tard, la propriété sera rachetée par Charles Auguste Verminck. À cette époque, on y cultivait, en plus du raisin et des olives, des cerises, des amandes et des asperges. Mais ces cultures seront peu à peu abandonnées pour se concentrer pleinement sur le vin et l’huile d’olive. Depuis 2001, Philippe Kessler et son épouse Sophie sont les nouveaux propriétaires du domaine de Calissanne. Leur objectif : améliorer la qualité des vins en mettant en valeur le vignoble Château Calissanne (AOP Coteaux d’Aix-de-Provence) et Domaine de la Clef de Saint-Thomas (AOC Châteauneuf-du-Pape). Viticulture et élevage des vins Profitant d’un climat méditerranéen (caractérisé par un air chaud et sec) et d’une douce brise marine, la vigne est inondée de soleil pendant une majeure partie de l’année. Les sols, quant à eux, sont riches et aérés. Ce qui permet d’y cultiver aisément de nombreux cépages : - Syrah, cabernet sauvignon, mourvèdre, grenache, cinsault, rolle, clairette et sémillon au Château Calissanne (divisés en 4 ilots de plusieurs parcelles) ; - Grenache, syrah, mourvèdre, cinsault, clairette, vaccarèse, bourboulenc, roussanne, counoise, muscardin, picpoul, picardan et terret noir à la Clef de St Thomas (3 terroirs divisés en 4 lieux-dits). Sans oublier les olives, le miel, les céréales et, plus étonnant encore, la truffe qui se plait au sein de ce territoire. Le Château Calissanne s’est engagé à pratiquer des méthodes de culture respectant les normes environnementales. Cela lui a permis d’obtenir une certification HVE de niveau 3 pour tous ses produits. Des créations pour toutes les envies Le Château Calissanne produit annuellement environ 50% de rosé, 40% de rouge et 10% de blanc en AOP Coteaux d’Aix-de-Provence. Parmi ceux-ci, on trouve : - Rocher Rouge (96% mourvèdre et 4% syrah) qui est un vin rouge mêlant arôme épicé et notes de framboise ; - Clos Victoire en rouge (60% syrah et 40% cabernet sauvignon), rosé (90% syrah et 10% grenache) et blanc (50% sémillon et 50% rolle) pour accompagner tous vos repas ; - Calisson de Calissanne (50% grenache, 40% cinsault et 10% rolle) qui est un vin rosé aux notes florales et d’agrumes ; - Epidaure (60% syrah et 40% cabernet sauvignon) : un vin rouge boisé, élégant et équilibré ; - Château Calissanne rouge (40% syrah, 40% cabernet sauvignon et 20% grenache), rosé (33% grenache, 33% mourvèdre et 33% syrah) et blanc (60% vermentino et 40% sémillon) qui feront le bonheur des amateurs de vins méditerranéens ; - Les Terres de Provence rouge (40% syrah, 40% grenache et 20% cabernet sauvignon), rosé (25% grenache, 25% cinsault, 25% mourvèdre et 25% syrah) et blanc (20% sémillon, 20% grenache blanc, 20% clairette, 20% vermentino et 20% bourboulenc) ; Le domaine de la Clef de Saint-Thomas propose quant à lui majoritairement du rouge mais aussi du blanc en AOC Châteauneuf-du-Pape : - Clef de Saint Thomas rouge (50% grenache, 30% syrah et 20% mourvèdre) et blanc (50% roussanne, 20% clairette, 20% grenache et 10% bourboulenc) aussi complexe que charmant ; - Pierre Troupel rouge (60% grenache et 40% syrah) et blanc (40% bourboulenc, 30% grenache et 30% clairette) qui est un vin jeune, mais puissant. ...