Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...
Après avoir investi les halles de Wazemmes, Grégoire et Nicolas proposent en plein cœur de Lille, au 62 rue de Béthune, un second restaurant Street Food autour du canard. Une fois la porte franchie, vous constaterez que restaurant et boutique sont totalement intégrés dans la décoration imaginée par l’agence flamande Créneau International. L’esprit marché y domine avec ce grand comptoir en bois et ces tables mange-debout. De petits coins cosy sont également disponibles pour des pauses repas plus soft. S’approvisionnant dans le Sud-Ouest mais aussi en Alsace et en Loire Atlantique, Canard Street peut proposer tout au long de l’année de la viande fraiche, exclusivement française et de qualité. Une dégustation au restaurant … Chez Canard Street, vous pourrez déguster burger, croustillant, tartare ou magret, savamment assaisonnés pour en révéler toute la saveur. Des plats modernes et délicieux qui sont réalisés sur place, dans la cuisine ouverte, à partir de cuisses confites ou de magret frais. Comme pour la viande, Grégoire et Nicolas ont souhaité choisir des produits de qualité. Ils ont fait appel à des artisans locaux. Ainsi les pains et les pâtisseries sont confectionnées par Patrick Doucet. Quant aux épices, vinaigre et autres condiments, ils sont achetés auprès d’Epicentriques. Tous les plats sont servis avec des wedges, des pommes de terre grillées et sublimées par du thym, du romarin et du gros sel. Ici tout est mis en œuvre pour faire frissonner de plaisir vos pailles ! … ou chez vous grâce à la boutique Dans la boutique, vous pourrez découvrir par exemple gésiers, rillettes de canard, saucisson au magret ou cou farci. Pour les fêtes, vous pourrez également découvrir un foie gras maison. ...
Inspirée par ses deux co-fondateurs visionnaires Paul Bocuse, référence mondiale des arts culinaires et Chef du siècle avec 3 étoiles Michelin depuis plus de 50 ans, et Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor, exemple de réussite managériale et entrepreneuriale - l’Institut bénéficie d’une aura unique de prestige en France et à l’international. Une visite au restaurant Saisons Situé dans le cadre prestigieux du château du Vivier, le restaurant Saisons propose un cadre de charme tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Il est agréable de déjeuner, aux beaux jours, sur la terrasse du château. Cet espace de repas extérieur offre une belle vue sur le parc verdoyant légèrement en vallon. Sous la responsabilité du Chef Davy Tissot - Meilleur Ouvrier de France 2004 - le restaurant Saisons est une histoire de rencontre entre tradition et modernité. Le désir de créer un souvenir, une émotion gustative et visuelle. Une cuisine contemporaine et créative Le Chef Tissot, dans sa quête quotidienne du dépassement, inspire son équipe avec rigueur et exigence, mettant un point d’honneur à proposer une cuisine aux saveurs harmonieuses selon les saisons. Par son expérience, il transmet à cette nouvelle génération ses valeurs de savoir-faire et de perfectionnement du service client afin d’atteindre l’excellence. Donner du plaisir à travers la cuisine et construire l’avenir. Les étudiants cuisinent comme dans une brigade, tels de vrais professionnels. La maison propose trois menus, variant au gré des saisons : le Partage des styles (déjeuner uniquement), la Noblesse du temps et l’Alchimie des sens. Le menu Noblesse du temps, dédié aux amoureux de la cuisine classique, revisite la tradition. L’Alchimie des sens met en avant une cuisine moderne enrichie d’audace et d’originalité. Testé durant l’été, l’entrée est marquée par un carpaccio de saint-pierre à la crème de langoustine et d’une vinaigrette de grenadille. Ce plat divinement présenté est accompagné d’une fine tuile de pain à l’encre de seiche. La suite enchaine une série de plats, où le sel et le sucre s’accordent avec grâce. Le délice de Saint-Jacques, en l’occurrence, est servi avec du berlingot, de la citronnelle et du topinambour. En pré-dessert, ils osent une version sucrée de la raviole d’agrumes, exquisément baignée dans un bouillon de cannelle. Pour le dessert, place à des notes estivales avec la pêche de vigne agrémentée de feuilles de verveine. Tout au long de ce périple culinaire, le sommelier conseille les invités sur le vin. Il guide leur choix sur le verre approprié à chaque plat. Quelle que soit leur option, ce connaisseur attentif est toujours présent pour leur suggérer le meilleur accord. ...
Les galettes et les crêpes bretonnes, surtout lorsqu’elles sont authentiques et préparées selon la tradition bretonne. Elles font partie de ces spécialités françaises dont on ne peut se passer ! La crêperie Pen-Ty en fait sa spécialité depuis plus de 40 ans ! Charmante et sympathique, avec juste ce qu’il faut comme espace, cette crêperie est une belle découverte pour ceux qui nous connaissent pas déjà car celle ci fait partie des plus connue à paris . La surprise (agréable bien entendu) est réellement au rendez-vous, et déjà l’envie d’y revenir ne se fait pas attendre ! Dans le respect de la tradition bretonne La Crêperie Pen-Ty est un lieu idéal pour un petit moment à deux ou en famille. Les portions sont généreuses et excellentes avec un bon rapport qualité-prix. Le crêpière s’applique à mettre les petits plats dans les grands afin de vous faire voyager au pays des galettes et des crêpes. Non contente d’être une authentique crêperie avec ces recettes traditionnelles, la crêperie Pen-Ty revisite aussi quelques régions avec des recettes aux différents fromages, au foie gras ou au boudin noir par exemple. Les desserts ne sont pas en reste avec une vingtaine de recettes et la possibilité de créer la sienne. Vous trouverez aussi une belle sélection de cidres, de jus de fruits bio et du vin de Bourgogne, mais pas que ! Découvrez ses boissons locales comme le chouchenn ou le pommeau de Bretagne, dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...
Flash Matin : Bonjour Loïc ! Loïc Manchec : Bonjour. Vous êtes Loïc, l’heureux propriétaire du Mas Costeplane, un domaine viticole à Cannes-et-Clairan, dans le Gard. Vous pratiquez l’agriculture biodynamique. On dit que vous êtes un jeune vigneron, c’est vrai cela ? Loïc Manchec : Je suis un jeune vigneron. Jeune dans l’expérience mais, un peu moins dans l’âge. C’est une reconversion pour moi le métier de vigneron. J’ai repris le domaine Costeplane il y a maintenant 5 ans. C’est un choix qui a été fait, une reconversion. Cela faisait 15 ans que j’avais envie de faire ce métier et à un moment, j’ai fait le saut et je suis venu m’installer dans le Mas Costeplane. Votre domaine a une histoire longue de plus de 600 ans. Pouvez-vous nous en parler ? LM : Comme je vous l’ai dit, j’ai repris le Mas Costeplane il y a 5 ans. Ce sont Monsieur et Madame Coste qui l’ont hérité de leur famille. Le domaine est dans leur famille depuis au moins 1405 -1450, c’était tracé. Après une trentaine d’années d’exploitation du domaine et d’avoir installé la cave particulière, ils souhaitaient prendre leur retraite. On s’est rencontré et on s’est bien entendu. On a passé pas mal de temps ensemble avant que je reprenne leur domaine il y a maintenant 5 ans. L’une des grandes particularités est que le domaine est fait en Bio depuis 1989. C’était vraiment parmi les précurseurs du bio. On est sur un petit plateau au-dessus de Cannes-et-Clairon, un petit village dans le Gard. Il n’y a pas de voisins, on est entouré par la Garrigue, le premier voisin est à 2 km. On n’a pas eu de pesticide depuis 1980, cela fait quasiment 40 ans. On a une biodiversité de terre qui est extraordinaire, mais on y reviendra je pense plus tard. Oui, donc vous disposez d’une terre qui se prête vraiment bien à l’agriculture biodynamique. On se demande d’où vient la biodynamie et ce que c’est exactement ? LM : Le concept est développé par Rudolf Steiner, un philosophe autrichien, au début du XXe siècle. Il a une approche un peu plus ésotérique, en relation avec le cosmos. C’est une relation personnelle après, on applique des principes. Je ne comprends pas forcément tout ce que Rudolf Steiner a pu expliquer, tout ce qu’il a pu décrire. Ce qui est sûr aujourd’hui, c’est qu’on commence à trouver les explications à ce qu’il disait et c’est un petit peu un visionnaire. On va retrouver quelque chose qui peut paraître parfois ésotérique et on en prend ce qu’on veut. Pour moi, c’est une approche très personnelle. La biodynamie est une approche en symbiose avec la nature. Au lieu d’une approche, ou l’on détruit ce qui dérange, ou l’on exploite au maximum et qu’on pilote les processus par l’utilisation d’artifice chimique, nous, notre approche viticole et vinicole en biodynamie est de travailler dans le respect du vivant, dans la confiance qu’on a dans la nature et dans l’accompagnement de la plante. J’ai une formation d’ingénieur à la base, je suis quelqu’un d’extrêmement rationnel et j’ai compris une chose en arrivant à Costeplane. En fait, il est illusoire de penser qu’on peut tout maîtriser. Ma relation va beaucoup se fonder sur une espèce d’intuition. Quand je marche dans mes vignes, si je vous disais que je parle à mes vignes et que je les écoute, cela va vous faire sourire. Pourtant, c’est vraiment quelque chose que je ressens. À partir de là, je vais prendre une décision et non pas forcément sur des informations techniques. Évidemment, je reçois les bulletins de santé des végétaux comme tous vignerons et derrière, cela ne veut pas dire que je vais passer les préparations. Je vais prendre ma décision en fonction de ce que je perçois de la vie, et ce n’est pas quelque chose de rationnel. Je ressens des vibrations en moi qui vont me dire, j’y vais ou je n’y vais pas. Jusqu’à présent cela marche. Le meilleur exemple que je vais prendre c’était en 2019, ma première année, je me lève un matin à 6h du matin pour aller poudrer les vignes, c’est-à-dire passer du soufre pour empêcher l’oïdium de se d&ea...
Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...
La Martinique, une terre de Rhum et de saveurs L’histoire de l’île est intimement liée à celle de la boisson alcoolisée, dont la marque de rhums Clément est depuis plus d’un siècle un des principaux ambassadeurs de prestige. Contrairement aux rhums industriels, qui sont produits à partir de résidus de l’industrie sucrière, les rhums agricoles Cléments sont eux issus d’un processus de fermentation et de distillation de pur jus de cannes. L’attention particulière apportée à ces processus lents et méticuleux donnent à tous les produits de la gamme un galbe en bouche très particulier. On retrouve dans chaque gorgée le profil sec et parfumé des cannes qui entourent le Domaine. Se suivent ensuite les bouquets fleuris de fruits tropicaux grillés ainsi que cette saveur épicée caractéristique du terroir. Cette magie se découvre particulièrement dans les produits comme le Single Cask, un rhum non filtré vieilli 8 ans, qui, avec une attaque franche et complexe au palais s’ouvre sur des arômes boisés de fruits secs et d’amandes. Plus classique mais incontournable dans tous les bars du monde, le Rhum Blanc Agricole Clément est le compagnon indispensable dans la création du célèbre Ti-Punch et de nombreux autres cocktails. Ses puissants arômes, aux notes fraîches et florales, lui ont permis de décrocher la médaille d’or au concours général agricole du Salon de l’agriculture en 2009. Quand on cherche un rhum plus rond, allongé, on se retrouve rapidement à regarder du côté du Clément Vieux Agricole. Bénéficiant du climat exempt de période froide de la Martinique, il est le résultat d’un vieillissement de seulement 3 ans dans deux types de fûts différents qui lui permettent d’hériter des tanins des bois lui offrant cette couleur ambrée naturelle. Perpétuer la tradition avec modernité Depuis ses débuts comme une aventure familiale jusqu’à l’entreprise qui est aujourd’hui présente dans plus de 60 pays différents, l’innovation a toujours été un marqueur important des rhums Clément. La marque historique de la Martinique se renouvelle en proposant une gamme de produits plus larges et aux charmes nouveaux. En plus des rhums souvent primés lors des concours internationaux les plus importants, des liqueurs traditionnelles particulièrement appréciées pendant les fêtes de fin d’année viennent rejoindre une palette de saveurs déjà large. Comme la déjà fameuse liqueur d’orange Créole Schrubb, médaille d’Or du Salon de l’agriculture, qui figure en bonne place dans de nombreux cocktails sur les cartes des bars les plus courus de la planète. Ajoutez à quelques centilitres de liqueur un peu de rhum, arrosez de jus de citron frais et vous retrouverez avec un « Clément Side Car », un des mélanges les plus demandé actuellement. ...
Voilà 3 générations que cette exploitation familiale confectionne des vins de caractère empreints d’authenticité. 3 cépages, 3 couleurs Dans ce vignoble, les 3 cépages traditionnels (auxerrois, gamay, pinot noir) sont plantés sur un terrain propice à leur épanouissement. Ainsi, les vignes puisent leurs nutriments dans un sol issu d’argiles oxfordiennes avec un mélange d’alluvions anciens et d’éboulis calcaires. Le domaine produit bel et bien du blanc et des rouges, mais il est particulièrement fier de ses vins gris-de-toul. Une spécialité emblématique Avec le gris-de-toul, spécialité emblématique de l’appellation, la maison en a fait sa cuvée phare. Issu de l’assemblage de gamay et de pinot noir, ce vin se démarque par sa rondeur, sa palette aromatique et une souplesse en bouche qui lui confère un caractère unique. ...
Depuis 40 ans, L’Etale a réussi le pari de surprendre à chaque fois ses convives en proposant une cuisine traditionnelle alliant à merveille fraîcheur, goût et générosité. L'institution de Morzine L’Etale est un établissement familial qui s’est transmis d’une génération à l’autre. En 1977, les grands-parents avaient commencé par un restaurant et, aujourd’hui, c’est Vincent Baud, le petit-fils qui tient les rênes. Le restaurant n’a pas subi beaucoup de changements mais les gens l’apprécient justement pour cela. Ce côté authentique que les propriétaires ont su fièrement préserver. L’Etale c’est l’endroit où aiment se retrouver les morzinois, tout comme les vacanciers ou les saisonniers. Certains sont même devenus de grands habitués, voire des amis de la famille. Un client nous souligne que « L’Etale, c’est un endroit chaleureux et très animé ». Pour ceux qui viennent en groupe, pas de panique ! A L’Etale, il y a de la place pour tous : la plage horaire étendue et le service continu permettant de manger à toute heure dans la rue la plus animée de Morzine. Une vraie brasserie de montagne Malgré un débit très important, l’Etale met un point d’honneur sur la qualité des produits. La cuisine épluche, émulsionne, taille les légumes, poche, déglace, blanchit, poêle, goûte, dresse. Ils se plaisent à dire « A L’Etale on cuisine ! ». D’ailleurs, le fait maison est le maître mot, même pour les pâtisseries. Avec ce restaurant éclectique, vous pouvez y aller pour un repas sur le pouce le midi comme pour un festin tard le soir. Et bien évidemment, tous les budgets et les palais s’y retrouvent. C’est également démontré par la carte de vin éclectique de l’enseigne. Par ailleurs, L’Etale n’oublie pas les végétariens ni les intolérances au gluten. Ici, vous avez la possibilité de déguster une fondue ou pizza sans gluten, ce qui en ravira plus d’un. Les grands classiques français comme la soupe à l’oignon ou encore les escargots de Bourgogne sont bien évidemment sur la carte. Les viandes sont de qualité et d’une traçabilité irréprochable. Ce sont des viandes provenant des races Montbéliarde, Charolaise, Limousine ou comme la Black Angus d’Argentine et qui ont reçu le label Grass-fed, prouvant que les bovins ont été nourri exclusivement d’herbes. Les spécialités de fromages et de viandes sont également à la carte et proposées à volonté comme la potence qui est un produit phare de la maison, de la viande de bœuf flambée au whisky, le tout exécuté sous les yeux conquis des invités. Un voyage gustatif s’offre à vous grâce à des plats venus des quatre coins du monde que ce soit du Japon, d’Inde ou encore du Cambodge, et ceci au gré des envies et des inspirations du chef. En toute fin de soirée, le restaurant change souvent de visage, il devient alors très festif et régulièrement tout le monde finit par danser autour du bar. Le chef barman, est quant à lui un personnage charismatique, expert autant en mixologie qu’en chauffeur de salle. Vous l’aurez compris, l’Etale est l’endroit à ne pas louper sur Morzine. Ses maîtres mots sont Rapidité, Qualité, Authenticité et Convivialité. ...
L’Espagne détient le titre de troisième producteur de vins au monde, juste après l’Italie et la France. Soleil Rouge, à l’aube de ses vingt ans d’existence, continue de représenter fièrement la richesse viticole de ce pays, auprès des œnophiles et autres amateurs de vins. Comme un air d’Espagne À la manière d’une bodega, ce bar à vin, situé sur le boulevard Helvetique 32, propose un large choix éclectique de vins d’Espagne à déguster sur place ou à emporter. « L’idée est que les gens puissent venir boire un verre, découvrir les vins et éventuellement repartir avec une bouteille », explique Christian Gillieron, l’associé-gérant de l’établissement. Le répertoire compte environ 400 vins différents, dont du rouge, du blanc, du rosé, du mousseux, du cava, joliment rangés dans des caves. Allant des vins à partager autour d’un dîner aux cuvées haut de gamme pour des occasions exceptionnelles, la maison peut satisfaire toute demande, et ce, à un prix qui reste raisonnable. Mais les clients viennent aussi pour passer un afterwork ou une soirée entre amis autour des traditionnelles tapas maison que l’établissement propose comme accompagnement à la dégustation des vins. Ajouté à tout ceci la bonne vibration des musiques espagnoles lors d’un flamenco live ou des soirées DJ Tapas &Dance, chaque rendez-vous devient une fiesta au Soleil Rouge. Des cuvées pour tous les goûts Pour Christian Gillieron, le choix de célébrer la diversité des vins espagnols est venu tout naturellement. « J’ai passé toute mon enfance en vacances en Espagne, c’est un pays que j’affectionne particulièrement : la langue, le peuple, et surtout les vins », renchérit-il. Bercés sous un climat méditerranéen avec une influence océanique, les terroirs espagnols présentent des caractéristiques propres au pays, tout comme les vins qui expriment plus de concentration, de la finesse, et un arôme agréablement fruité. Quant à la sélection des vins, « le point de repère numéro un est la qualité, on veut avoir des vins qui ont du caractère, qui procurent de l’émotion », souligne notre interlocuteur. Ainsi, Soleil Rouge ne travaille pas forcément avec de grands exploitants, mais surtout avec des artisans viticulteurs qui s’engagent dans une démarche naturelle et biodynamique. Afin de promouvoir ces petits producteurs, l’établissement organise chaque mois une soirée dégustation, en offrant un prix préférentiel aux clients qui sont venus. En outre, il est aussi possible de commander tous les produits via le magasin de vente en ligne, et de se faire livrer à domicile. ...
Forte d’une réputation et d’une notoriété centenaire, la maison JM se démarque par son rhum au goût subtil et riche en saveurs exotiques. Privilégiant les procédés traditionnels en les mêlant aux processus modernes de production, la distillerie JM figure parmi les références dans le domaine privilégié des spiritueux. L’authenticité d’un terroir d’exception en bouteille Le caractère fougueux du rhum JM provient de la nature généreuse, qui lui confère son goût unique et noble. Longée par une rivière, dont l’eau est utilisée durant le processus d’obtention de l’eau-de-vie, la distillerie de Fond-Preville Macouba récolte la canne à sucre poussant sur un terroir au sol volcanique et riche en arômes. Jouissant d’un vieillissement d’exception, les meilleures cuvées JM ont été récompensées à maintes reprises, et également le rhum blanc agricole AOC (appellation d’origine contrôlée), fort de ses fragrances fruitées et de sa touche d’agrumes. Retrouvez aussi le goût typé du terroir grâce aux notes aromatiques, associant cacao, vanille ou café, faisant la particularité de chaque bouteille JM. Une visite enchanteresse dans une distillerie légendaire La distillerie JM vous ouvre ses portes pour vous faire découvrir avec passion le monde gourmand du rhum. Au programme : visite de la distillerie dans son ensemble et immersion totale à travers l’explication de tout le processus de transformation de la canne à sucre en jus de canne. Vous serpenterez au milieu des cuves de fermentation et visiterez, entre autres, un atelier olfactif, unique au monde, propice à la découverte des senteurs et des arômes qui font toute la richesse gustative du rhum JM. Par le biais d’activités simples et ludiques, auxquelles les enfants pourront même participer, vous profiterez d’un moment de partage et de convivialité autour d’une tradition martiniquaise vieille de plusieurs siècles. ...
Chaque jour, en salle ou en terrasse, ce repaire d’amateurs de grillades ou de cassoulet célèbre dans la bonne humeur l’art de la bonne bouffe où la viande est consacrée reine. Au Chevillard, que la fête commence ! Au menu de ce bistro, des spécialités issus de nos terroirs composés de beaux produits uniquement. Une cuisine traditionnelle mijotée avec amour, faite de passion et revisitée grâce au savoir-faire du chef Olivier Ribourt. À la direction de ce restaurant, Laurent Perris, digne successeur de son beau-père Tony Carmen, qui perpétue cet héritage unique pour le plus grand bonheur de ses clients et des nostalgiques des Halles d’autrefois. D’authentiques produits Bœuf de Simmental, agneau du Lot, viandes de l’Aveyron, canards de la Maison Samaran, charcuteries, saucisses de Toulouse, jambons, boudins, Pata Negra de Bellota Pura de l’artisan-charcutier Garcia, sélection du fromager-affineur de la célèbre Maison Betty à Toulouse. On l’aura compris, Le Chevillard est à la quête de produits d’exception et des meilleures adresses que compte la ville rose. Cet établissement, devenu la cantine de prédilection des Toulousains, propose midi et soir une sélection des meilleurs produits gourmands de nos terroirs. Labellisé « Maitre restaurateur », distinction indépendante et très officielle permettant aux clients de repérer les établissements d’excellence, Le Chevillard rend hommage aux produits nobles, frais et de saison, au manger local privilégiant les circuits courts et surtout à une cuisine du tout fait maison. Une tradition, un esprit, un savoir-faire perpétués maintenant depuis plus de 20 ans par ce restaurant. La viande à l’honneur À la lecture de la carte, les spécialités du chef sont nombreuses. En entrées, la salade de pot-au-feu au gros sel, un des plats signatures de la maison, ouvre l’appétit et semble faire l’unanimité ; ou bien encore les filets de rougets frais à l’huile d’olive ou les sardines marinées aux poivrons rouges feront l’affaire. Parmi les suggestions « canailles du Chevillard » : une poêlée de boudin à l’oignon accompagnée de pommes vapeur ; une cassolette d’andouillette à l’ancienne, dont la cuisson colorée et déglacée au vin blanc avec justesse est servie accompagnée d’une sauce moutarde à l’ancienne, le tout légèrement gratiné. Pour les plats, c’est la viande qui est à l’honneur. La maison Chevillard propose une variété de viandes de qualité gouteuses, persillées, sélectionnées et travaillées avec soin par le chef. Ici, les cuissons sont au charbon de bois. En bouche, la viande au grain fin et à la chair rose offre toute sa jutosité et livre toutes ses saveurs aromatiques. Grillades d’agneau du Lot, pièces de bœuf de Simmental ou de l’Aveyron, abats avec rognons ou pavé de foie de veau au xérès ou au marsala sont proposés pour les amateurs éclairés de bonnes viandes. À découvrir également, dans la catégorie des « gourmandises du Chevillard » des spécialités incontournables propres à Toulouse comme le cassoulet maison aux manchons de canard ou, pour 2 personnes, la côte de bœuf sauce marchand de vin et sel de Guérande : un classique mais un pur régal. Côté desserts, il faut absolument compter sur le fromage du jour sélectionné avec soin par le célébre fromager-affineur Betty. Cet établissement travaille depuis des années en étroite collaboration avec le Chevillard. Également, le vacherin fait maison à base de meringue fourrée de glace masqué de crème chantilly accompagné, suivant l’humeur du chef, de fruits confits et d’un coulis de framboise ou de fraise est un choix judicieux pour finir sur une note sucrée. Outre la carte, l’établissement propose deux formules. Un menu à 24 € avec entrée, plat et dessert ou une formule du midi à 15 € avec un plat et une entrée ou un dessert. Des formules simples, abordables et de qualité, qui font tout le succès de cette brasserie devenue l’adresse incontournable sur Toulouse pour déjeuner ou diner entre amis en toute convivialit&ea...
L’histoire du Domaine Levet débute en 1929 avec Christophe Chambeyron. Celui-ci fait l’acquisition de vignes sises sur des côteaux escarpés de la Côte Blonde, difficilement accessibles. Son fils Marius perpétue son œuvre en plantant de nouvelles parcelles. Nicole Levet, fille de Marius Chambeyron et épouse de Bernard Levet héritent du domaine en 1983. Avec eux commence la commercialisation des vins du domaine en appellation Côte-Rôtie. Ils apportent leur pierre à l’édifice familial par le biais de l’acquisition de nouvelles parcelles ainsi que l’aménagement d’un nouveau chai et l’ouverture d’un caveau de dégustation. Actuellement, la relève est d’ores et déjà assurée depuis 2004 en la personne d’Agnès Levet, fille de Bernard et Nicole, qui représente la quatrième génération de cette lignée de vignerons. Un vignoble très ancien Les parcelles de vieilles vignes font la fierté du Domaine Levet et surtout d'Agnès: « ils sont âgés de trente et soixante ans » s’exclame-t-elle. Le vignoble est réparti sur neuf lieux-dits différents dans la commune d’Ampuis : la Côte Blonde, qui est la plus ancienne parcelle datant de 1929, la Côte Brune et ses terrasses, Landonne et son fort dénivelé, Chavaroche, Mollard, Baleyat, Truchet, Fongeant et Leyat. L’encépagement est composé de Syrah, dont une ancienne variété appelée « petite sérine », plus petite en grain et moins productive mais qui à la particularité de s’adapter mieux à ce terroir. Depuis plus de 20 ans, le domaine pratique la sélection massale pour perpétuer son patrimoine viticole. Des vins puissants, particularité des Vignobles Levet En moyenne, le Domaine Levet produit annuellement 12000 bouteilles de vin, déclinées en trois cuvées. La cuvée « Améthyste », assemblage de toutes les vignes du domaine, est un vin harmonieux et équilibré, très aromatique sur des notes d’épices. Son millésime 2012 se caractérise par des notes fumées et minérales avec des tanins souples et élégants. Noté 94/100 par le guide Gilbert et Gaillard, il peut se déguster dès cette année. Tout comme le lieu-dit Landonne d’où il est tiré, la cuvée « Maestria » est une cuvée délicate et élégante, caractérisée par des arômes floraux et des tanins très fins. « La Péroline » est un grand vin de garde, racé et très riche en tanins, avec des notes minérales très marquées. En parfaite adéquation avec l’appellation Côte-Rôtie. « Nous procédons à un élevage de 24 mois en futs de chêne, ce qui donnent des vins puissants, tanniques et de garde, qui se dégustent entre 5 et 10 ans d’âge » explique Agnès Levet. Preuve de la qualité de la production du domaine, ses vins peuvent se retrouver sur quelques tables gastronomiques réputées de toute la France telles que "Chez Yvonne" et « Le Nouveau Cruchon » à Strasbourg, "La Table d'Antoine" à Vichy, « Hôtel de La Corniche » en Corse, « La Zygothèque » à Paris ou encore « Le Café Français » à Lyon. ...
Le restaurant Villa Belle Rive est orchestré de façon magistrale par un jeune maestro, dynamique et passionné. À tout juste 38 ans, Sébastien Thébaud est reconnu pour son savoir-faire et sa passion pour la cuisine. Un chef qui aime surprendre S’initiant très jeune à ce métier, il débute à l’école hôtelière Nicolas-Appert. Une fois le CAP, le BEP et un bac professionnel du lycée hôtelier Valère-Marthe des Sables-d’Olonne en poche, il acquiert des expériences saisonnières dans deux restaurants durant quatre ans. Il continue son aventure et devient commis et maitre cuisinier à Val-d’Isère à 21 ans. Doté d’un esprit de challenge, il ouvre son propre restaurant à l’âge de 24 ans. Dans son établissement L’Escarpolette à Sucé-sur-Erdre, il commence seul en cuisine avant de se constituer une équipe de cinq personnes. Au fil du temps, sa créativité lui a permis de se construire une solide réputation. Les ambitions de ce chef passionné grandissent si bien qu’il décide de s’installer à Sainte-Luce en 2011, en reprenant notamment l’ancien restaurant du chef Delphin, qu’il rebaptise Villa Belle Rive. Sébastien vit sa consécration le jeudi 27 mars 2014. Il reçoit ce jour-là le fameux diplôme de l’innovation en art culinaire délivré par l’institut Édouard-Nignon puis le 6 Novembre 2014 où il gagne le Concours Métro- Gilles Goujon avec son équipe et une Première Toque au Gault et Millau en 2016. Un instant gourmet Villa Belle Rive ouvre ses portes à ceux qui veulent vivre une expérience culinaire mémorable. Avec une vue panoramique sur la Loire, dans un cadre spacieux et lumineux aux couleurs vives à nuance de gris, il offre une cuisine savoureuse, préparée avec soin par ce chef soucieux et attentionné. Celui-ci collabore avec des producteurs de la région qui lui fournissent des produits frais et de qualité. Sébastien a bâti sa renommée sur l’authenticité et l’originalité de sa cuisine. Il sublime les produits du terroir en les rehaussant de diverses sauces tout droit sorties de son imagination. En dégustant l’un des plats phares de la maison, à savoir le sandre au beurre blanc car il tient à respecter les traditions des bords de Loire également, vous aurez amplement un aperçu du talent et de l’inventivité du chef. Son foie gras mi-cuit est également très demandé. Différentes formules proposées aux convives Villa Belle Rive offre tous les jours trois menus gastronomiques et une carte qui sont renouvelés 4 fois par an. Parmi eux figure le menu de midi, le 12 O’clock. Servi spécialement au déjeuner du lundi au vendredi, il offre en plus des suggestions du jour, en entrée de l’avocat en cannelloni farci aux crevettes et effilochées de crabes, le tout agrémenté de sauce cocktail. La pièce du boucher snackée à la plancha est servie en plat principal et agrémentée d’une sauce barbecue ou bien encore un filet de mostelle sur sa bisque de langoustine au curé nantais. Au dessert, le fromage blanc de la Pannetière avec son coulis gourmand et le crumble de P’tit Lu fait bien l’affaire. Les convives peuvent aussi choisir le café gourmand, qui est une déclinaison de gourmandises et son café, ou bien la balade gourmande, composée d’une balade de fromager (trio de fromages sur son lit de verdurette et ses griottines) accompagnée d’un verre de vin ou de porto. ...
La Maison Mathieu-Princet a été créée par Michel Mathieu et son épouse Françoise Princet qui exploitent leur vignoble depuis les années 1960. Aujourd’hui, le couple est épaulé par leurs filles Sylvie et Véronique ainsi que par Patrick Lefebvre, Responsable de l’exploitation. Cette maison travaille sur un vignoble de 9 ha, réparti sur 5 communes de l’appellation Champagne, dont 2 en Premier Cru, à savoir Grauves et Bisseuil. Des cuvées reconnues pour leur qualité Récoltant-manipulant, Vigneron indépendant, la Maison Mathieu-Princet maitrise toute la chaine de production en mettant en avant le savoir-faire artisanal. Chaque étape fait l’objet d’une attention particulière. Les champagnes Mathieu-Princet se démarquent surtout par un long vieillissement sur lies, pouvant aller jusqu’à 5 ans, voire plus, pour les millésimes. À l’image de la cuvée « La Réserve des Alice » (la Grande Réserve Brut), qui a vieillit 5 ans en cave et est considérée comme étant la plus représentative de la maison. Issue d’un assemblage de 70 % chardonnay et 30 % de pinot noir, ce champagne Premier Cru dévoile des odeurs de sous-bois, des arômes de pain grillé, vanille et goût boisé. En bouche, on trouve une belle harmonie entre la finesse du chardonnay et la puissance du pinot noir. Élégance et compléxité caractérisent cette cuvée à déguster à l'apéritif ou au cours d'un repas. Mais une cuvée sort du lot. Outre sa fraîcheur, la délicatesse de ses arômes, le caractère rarisime de sa bouteille sérigraphiée fait de la cuvée Blanc de Chardonnay la cuvée coup de cœur de la maison. ...
Véritable innovation, ce site unique en son genre sur tout le territoire européen a été pensé pour faciliter la créativité de l’offre œnotouristique des domaines viticoles ainsi que le développement de leur offre œnotouristique. Outil de gestion des rendez-vous pour ces vignerons et plate-forme d’élaboration de leurs propres routes des vins pour les amateurs de vin, Wine Tour Booking se veut être le pionnier de la découverte de l’art de vivre à la française à travers le choix de l’expérience unique, dans une région et un domaine de son choix. Un large éventail d’offres œnotouristiques, allant des dégustations aux ateliers de cuisine, en passant par les expositions, est ainsi proposé dans le but de découvrir les 137 vignobles inscrits sur le site, de domaines en châteaux, de Bordeaux en Champagne. Pour créer la « route des vins » qui vous ressemble Ce projet novateur, créé il y a cinq ans par Estelle de Pins, propose à tout visiteur, expert ou professionnel, de choisir lui-même les propriétés qu’il veut visiter ou faire visiter. Sur Wine Tour Booking, ils pourront ainsi « voir exactement l’offre totale de chaque vigneron, voir quand c’est disponible et construire leurs propres circuits en toute autonomie », explique-t-elle. Si des vignerons leur proposent des dégustations ou des visites de domaines classiques, d’autres seront amenés à élaborer des événements ponctuels sur mesure afin de vous faire découvrir leur histoire, leur héritage et leur passion autrement. Expositions, concerts privés ou ateliers dédiés aux accords mets et vins seront ainsi l’occasion de s’imprégner, de manière originale, de cette culture gourmande qu’est l’art du vin. Du Languedoc à Cognac, de vignobles en chais, de caves en châteaux, savourez ainsi les trésors œnologiques de chaque région viticole de votre choix, découvrez les différentes appellations qui font la richesse du vignoble français et appréciez chaque moment privilégié passé avec les artisans à l’origine de ce nectar des dieux. Ces circuits élaborés selon vos envies et vos désirs permettent de passer des moments uniques et mémorables entre amis ou en famille, le temps d’une immersion complète dans ce monde dédié aux plaisirs du vin. Un service de réservation sur mesure pour les amateurs de vin Sur Wine Tour Booking, l’idée est de « construire son circuit à travers l’offre des vignerons français tout en ayant accès à la disponibilité de leurs prestations sur toute l’année, 24 h sur 24 », reprend Mme de Pins. Pour ce faire, les amateurs de vin réservent directement sur l’agenda œnotouristique des vignerons via le site, et ce, gratuitement. « Le vigneron met ainsi en ligne ses plages horaires de rendez-vous restantes : moins de travail pour lui et pour les visiteurs », continue-t-elle. Afin de faciliter les recherches des internautes, les offres ont, par ailleurs, été classées suivant la région viticole choisie, la prestation demandée, la date souhaitée, ou le type de viticulture apprécié. La garantie de réservation et de réponse immédiate reste, entre autres, le point fort de cette plate-forme « chargée d’accompagner les domaines viticoles dans le développement de l’œnotourisme de toute manière que ce soit », tout en donnant aux internautes la possibilité de construire eux-mêmes leurs formules individuelles de découverte œnotouristique. Chaque expérience vitivinicole sera choisie en fonction des douze critères de recherche d’un visiteur, par langue de visite, type de guide, profil de goût, expérience ou prestation : elle sera ainsi unique, authentique et parsemée de rencontres à la convivialité retrouvée. ...
Le chef Grégory Mirer propose au restaurant des Bories & Spa une approche contemporaine de la cuisine, surprenant mélange de parfums et de textures. Un véritable voyage à la recherche de saveurs qui excitent le palais et invitent à de nouvelles découvertes. Ponctués d’herbes aromatiques et de fleurs du jardin, ses plats contribuent au plaisir des yeux, mais aussi des papilles. Ce chef suit une trajectoire méditerranéenne mais ne dédaigne pas des incursions exotiques de cuisine fusion, notamment agrémentées d’algues japonaises, de wakamé, etc. Restaurant Les Bories : cuisine et chef étoilé... Le chef est diplômé de la célèbre École supérieure de cuisine française Ferrandi. Il a commencé sa carrière en tant que commis de cuisine à l’hôtel Meurice, à Paris. Il a travaillé pendant deux ans avec Joël Robuchon au restaurant l’Astor, « 2 étoiles Michelin ». Il a enchaîné avec l'Atelier de Joël Robuchon, avant d'intégrer l'Hôtel Métropole, à Monaco, « 2 étoiles Michelin ». Puis il a officié au restaurant Mirazur, à Menton, « 2 étoiles Michelin », pour le chef argentin Mauro Colagreco, où il s'est perfectionné dans l’utilisation des herbes et des fleurs. Le chef Grégory Mirer a su conserver l’étoile Michelin obtenue par son prédécesseur au Château de Curzay, Relais et Château, avant de se voir confier la direction de la cuisine du restaurant Le Jardin à l’Hôtel de Mougins, l’une des adresses incontournables du village. C'est en 2015 qu'il a rejoint l'Hôtel des Bories & Spa, à Gordes. Les Bories : un restaurant aux saveurs et senteurs de la Provence et du Luberon Le restaurant gastronomique des Bories bénéficie d’un cadre raffiné, d’une très belle terrasse ombragée, ainsi que d’une vue panoramique sur le Luberon. Son domaine de huit hectares d’oliviers, de cyprès, de chênes verts et de lavandes, avec ses jardins aromatiques, offre une cuisine généreuse, ensoleillée et rajeunie, afin de savourer chacun des mets et de passer un agréable moment. L’élégance discrète d’un service attentionné plonge la clientèle dans une ambiance chic décontractée, feutrée et conviviale, donnant la sensation d’un lieu calme et bienfaisant. Le chef a le don de faire danser les herbes et les fleurs dans d’étonnantes assiettes ! ...
Quand Luc Van Honsebrouck a repris la direction de la brasserie Kasteel dans les années 60, il a décidé de ne plus se consacrer uniquement aux pils, mais de produire désormais des bières spéciales. « Mon père était visionnaire », dit Xavier Van Honsebrouck, la septième génération de la brasserie familiale belge. « Dans les années 60, notre brasserie était avant-gardiste, et nous en récoltons encore les fruits aujourd’hui. » Bière spéciale blonde Filou : la dernière création belge de la brasserie Kasteel... Plus de 20 bières spéciales sont produites à la brasserie aujourd’hui. La dernière née est la « Filou », une bière blonde forte titrant à 8,5 %. C’est une bière qui oscille entre une triple et une Strong Golden Ale, brassée avec 100 % de malt de pils et du houblon de type Golding, Saphir et Saaz. « En tant que propriétaire de brasserie familiale, on se doit de créer une nouvelle bière fantastique », dit Xavier. « Je crois que la "Filou" est ma deuxième grande réalisation, après le lancement réussi de la Kasteel Rouge. » Sa recette a nécessité plus de huit mois pour être parfaitement aux goûts de Xavier Van Honsebrouck et du maître brasseur Hans Mehuys. La Filou se boit avec une facilité déconcertante, tout en étant suffisamment complexe pour tomber dans les bonnes grâces des amateurs de bières spéciales. Cette robuste blonde est un cas à part, dont le nom et le style rencontrent les faveurs d’un large public, en Belgique comme à l’étranger. Son nom est un clin d’œil, aussi bien à la bière elle-même qu’à celui qui la déguste. « Pratiquement personne ne peut en rester à un seul verre », affirme le brasseur en riant sous cape. « Mais qui est le plus grand filou dans cette histoire ? », demande Xavier Van Honsebrouck. « Le breuvage qui séduit le buveur, ou le buveur qui ne peut résister à en redemander un deuxième verre ? » Il y a de quoi s’interroger. ...
Aujourd’hui, modernité oblige le vignoble est certifié Haute valeur environnementale (HVE). Un label plus global de la culture raisonnée selon Fabien puisqu’elle englobe l’ensemble de la pratique vinicole et viticole. A travers cette certification sont mises en place des techniques novatrices ou bien encore diverses techniques de bio-contrôle comme la confusion sexuelle du ver de la grappe ou les écorces d’orange. Le domaine propose également une cuvée bio, depuis 2020. La vinification en amphore Parmi la vingtaine de cuvées produites, l’une se distingue plus particulièrement : le CG dont la première cuvée date de 2020. Déclinée en version blanc et rouge, il s’agit des premiers vins vinifiés en amphore. Un travail de plusieurs années débuté en 2013 avec le Séculaire qui lui est élevé en amphores et qui permet de profiter des capacités naturelles de l’argile dans lequel sont conçues des amphores modernes de 125 à 400 litres. L’argile permet ainsi d’oxygéner le fruit de manière très douce et régulière pendant les fermentations tout en préservant le vin de l’oxydation. Résultat, un vin qui peut se boire jeune, avec une intensité aromatique plus prononcée. Du gin sur le domaine du château Grézan La Famille Cros-Pujol n’est pas seulement vigneronne, elle produit aussi du gin. Une innovation pour le vignoble qui face à la crise du Covid s’est adapté. Fabien Pujol a sorti un vieux projet de ses cartons : celui de produire du gin. Pour cela, un alambic à vapeur et à double paroi est utilisé pour permettre une extraction plus douce et plus homogène, dans le respect du fruit. Composé majoritairement de genièvre, la liqueur est conditionnée en bouteille de 70cl. Avec une teneur en alcool de 42°, on y découvre un arôme méditerranéen entre la garrigue et les agrumes. ...
Château Maris a été fondé en 1997. Depuis, la maison a convertie des vignobles qui avaient été cultivés en utilisant des pratiques traditionnelles en vignobles biologiques et biodynamiques. Elle fait honneur au terroir Minervois la Livinière. Des techniques atypiques Pour vinifier, la maison se sert de cuves et d’œufs (cuves ovoïdes) en béton. L’utilisation de ces matériels contribue énormément à la qualité du vin et permet l’élaboration de cuvées d’exception comme « La Touge », un assemblage de syrah, de grenache et de carignan très expressif, avec des notes viandées, fumées, ponctuées d’arômes de fruits noirs. ...
Féru de travail et minutieux dans la conservation du savoir-faire ancestral, Bernard Boutinet reste toutefois un homme sympathique, généreux et surtout courageux. Et pourtant, il intervient dans une activité difficile qu’est la production de cognac. «C’est un produit très sensible aux crises économiques qui touchent les pays du monde », nous confie-t-il. Pour pallier ce phénomène, il a heureusement un secret : « rendre un travail bien fait et laisser faire le temps ». Une rigoureuse fabrication La maison Boutinet ne cesse de répondre aux besoins des amateurs de cognacs en leur proposant des eaux-de-vie d’exception élaborées dans des conditions les plus naturelles et traditionnelles possibles. Pour elle, le secret de fabrication réside dans la récolte des fruits, la fabrication du vin, le passage de l’alambic et enfin le vieillissement dans des barriques de chênes qui peut aller jusqu’à vingt-cinq ans. Toutes les étapes sont respectées, donnant finalement une eau-de-vie noble et riche en bouche. La partie du travail la plus dure commence dans le vignoble de 27 hectares doté d’un sol argileux et sableux sur lequel est cultivé le cépage «ugni blanc ». Après distillation, l’eau-de-vie fruitée et dotée d’un caractère floral typique des Fins bois est vieillie en fûts de chêne en toute intimité pour arborer ses belles tonalités ambrées. Dans ce processus d’élaboration très strict, Bernard Boutinet confie que « la qualité du cognac dépend principalement de son assemblage, mais aussi de la qualité du vin. » En expert, il nous explique que «l’acidité du vin est un facteur favorable pour le Cognac». Les produits ambassadeurs Parmi les produits phares de la maison figure le Cognac&Cigars. Médaillé d’or en 2016 et 2017 à Moscou, il s’agit d’un assemblage de deux très vieux cognacs. Les autres incontournables selon le maître des lieux restent le VSOP, le Napoléon et le XO. Des produits délicats et d’une rare complexité qui se découvrent à l’occasion de visites et de séances de dégustations au domaine. En complément du Cognac, les visiteurs peuvent visiter la Galerie de peintures de Marie Claire PAJEILE, artiste qui expose dans plusieurs pays du monde. Afin de prolonger l’expérience dans l’univers du cognac, les convives peuvent réserver une chambre au Logis de l’Astrée à Saint Bris des Bois (17 ), une maison d’hôte appartenant à la fille de Bernard, Sophie Boutinet-Mangeard, qui produit également son propre vin. Ce Logis vient de Paul Boutinet, grand père de Bernard, alors que son domicile actuel était l’héritage de Céleste Vincent, sa grand-mère. ...
Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste, ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il. Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...
Niché au cœur de ce village fleuri, le restaurant Le Vauban se trouve à 150 mètres des trois frontières suisse-allemande-française et à seulement quelques minutes du parc des Eaux-Vives. Cette impressionnante bâtisse, construite à l’époque des fortifications de Vauban, fait office d’hôtel-restaurant depuis plus d’un siècle. Dès la porte franchie, l’on s’y sent déjà comme à la maison. Sans doute grâce à la décoration à la fois rustique et raffinée, l’ambiance familiale sans chichi et l’accueil chaleureux qu’Isabelle Godhbane réserve à ses clients. « L’amabilité, la gentillesse et vouloir bien faire sont nos maîtres mots », précise-t-elle. Les spécialités de la maison Le Vauban propose une cuisine authentique et généreuse, assumant avec caractère toutes les saveurs de la cuisine traditionnelle française et alsacienne. « Nous travaillons principalement avec une carte de base qui reprend les classiques de la cuisine française sur laquelle on rajoute des plats typiquement alsaciens, surtout en hiver », explique la gérante, Isa pour les habitués. À ses côtés depuis quatre ans, le jeune chef Mickaël Deleau, toujours fidèle à lui-même et à ses plats audacieux et hauts en couleur. De ses mains d’artiste, celui-ci n’hésite pas à jouer sur les textures, les saveurs, les épices et les aromates et à miser toujours sur la saisonnalité et la fraîcheur des produits. Si de nouvelles suggestions sont à découvrir chaque semaine, la carte reste inchangée toute l’année pour « retrouver les incontournables de la maison ». Parmi eux, les fameuses tartes flambées à commander selon le goût de chacun : forestière gratinée, bourguignonne, roquefort, tomate mozzarella, végétarienne, munster, ou encore « La savoyarde ». Sans oublier de mentionner les planchettes (assortiment de fromages, plateau de charcuterie) à déguster en solo ou à partager à l’apéritif. Des recettes de burger tout aussi originales qu’alléchantes sont également à découvrir sur place. Cuisine inspirée et recettes de saison Puisque l’établissement fait la part belle aux ingrédients frais provenant des producteurs de la région, le chef peut se permettre de varier ses propositions au rythme des saisons. « Maintenant que la saison d’été arrive, nous proposons cinq nouvelles salades en guise d’entrée et ça change très régulièrement », renchérit Isabelle. En plat, les gourmets peuvent savourer le steak tartare préparé à la minute et devant les clients, hachée à la commande et accompagnée de sa sauce, le tout servi avec des toast et des frites. Ou encore le fameux cordon-bleu de veau, en pièces XXL de 350 g, avec jardin de légumes et frites maison. Mieux, les créations sucrées du chef en surprennent plus d’un. Le Paris-Brest revisité avec mousse au basilic et crème pâtissière framboise est un grand coup de cœur. « On peut noter aussi la crème brûlée à la rhubarbe et la brioche à la mangue. » Les petits choisiront une coupe de glace artisanale aux parfums exotiques. Quand le soleil est au rendez-vous, on opte pour la belle terrasse à l’extérieur, un lieu de vie agréable pour une parenthèse gourmande entre proches, amis ou collègues. Une excellente carte de vins La carte est éclectique, toutes les régions de la France y sont dignement représentées : des bordeaux, des vins de Bourgogne, des côtes-du-rhône et bien sûr des vins alsaciens. La liste évolue tous les trois mois en gardant toujours quelques références alsaciennes. Une sélection de cuvées du domaine Pierre Adam à Ammerscwihr est particulièrement mise à l’honneur, car elle reflète fidèlement toutes les richesses du terroir. Pour sublimer la dégustation, Isabelle Godhbane a eu « la folle idée » de servir tous les vins de table au verre ou en pichet, de quoi faire plaisir à tous les amateurs de bonne chère. ...
Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...