Situé dans l’aire d’appellation de Bordeaux et de Côtes-de-Bordeaux, le Château du Garde est né en 1925 sous l’impulsion d’Antonio Subra. L’agriculteur d’origine espagnole a pratiqué toutes sortes d’activités agraires sur son exploitation avant de se consacrer exclusivement à la vigne. Aujourd’hui, Jean-Benoît Subra a repris les rênes avec pour objectif de produire des crus de haute volée qui rendent hommage à leur appellation. Place à l’agrobiologie Les 35 hectares du Château du Garde bénéficient de toutes les conditions requises pour assurer le développement du merlot, du cabernet franc, du cabernet sauvignon, du sémillon et du sauvignon gris. Les sols argilo-limoneux présentant des traces de graves disposent des substances nutritives essentielles à la création de vins de terroir notamment grâce à un traitement qui se veut plus respectueux de l’environnement. Le Château du Garde certifié Haute Valeur Environnementale 3 a toujours tenu à cultiver ses terres selon une démarche de développement durable. Un grand vin de Bordeaux Proposant une vaste gamme de vins en rouge, en blanc et en clairet (vin rouge clair, historiquement inventé par les anglais), le domaine a sorti en 2015 une nouvelle cuvée qui fait sa fierté. Le « Château Rauzé Lafargue » est un vin solaire en AOP Côtes de Bordeaux, issu d’un assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon. Ce rouge à la robe rubis profonde et veloutée dévoile des arômes frais et fruités. En bouche, il éveille les palais avec sa belle structure et sa sucrosité avec une finale soyeuse et enrobée. ...
Saint-Louis est une Manufacture dans l’air du temps, savant mélange de tradition et d’innovation, qui n’a jamais cessé de puiser son inspiration dans les courants artistiques contemporains pour construire et renouveler son identité. Cette année, Saint-Louis présente la collection de bar et d’accessoires de cocktail Manhattan, ancrée dans l’esprit de la mixologie actuel, à mi-chemin entre inspiration américaine et convivialité à la française. Manhattan est tout d’abord le nom d’un célèbre cocktail issu d’une ville cosmopolite, verticale et vibrante comme le cristal. Y sont apparus les speakeasies, bars clandestins, nés sous la prohibition, de l’envie de continuer à faire la fête. Cette époque a eu une forte influence sur la mixologie. De nos jours, l’art du cocktail est dans l’air du temps, il s’invite chez soi pour créer et composer en toute liberté. C’est la proposition de Saint-Louis avec la collection Manhattan, interprétée par les trois fondateurs de l’Experimental Group, Romée de Goriainoff, Olivier Bon et Pierre-Charles Cros, créateurs de lieux où mixologie rime avec convivialité. Avec pas loin de treize produits, ainsi que deux coffrets, la collection a été pensée pour des usages spécifiques : les essentiels de la mixologie allant de la préparation à la dégustation. Pour amateurs ou experts, chaque pièce a été soufflée bouche et taillée main par des biseaux verticaux et horizontaux, révélant ainsi tout l’éclat du cristal à travers un décor architectural et résolument moderne. Imaginés pour les contenances internationalement standardisées des cocktails, chacun des verres et accessoires de la collection révèle une volonté de repousser les attentes en termes de qualité et de technicité. Le choix des verres n’a donc pas été laissé au hasard et se révèle d’une importance primordiale. D’abord esthétique : un cocktail doit être bu par les yeux en premier et donner envie. Technique ensuite : une dégustation réussie est notamment liée à la forme du verre. Rock et Double Rock pour les alcools « on the rocks », Shot pour les liqueurs, Highball pour les cocktails avec glaçons ou encore Coupe pour une préférence au mélange… Les accessoires comme le jigger, le bitter, les coupelles, prolongent également le plaisir en proposant une mise en scène spécifique qui magnifie les saveurs, tels des exhausteurs de goût. Les coffrets quant à eux ancrent immédiatement l’univers du cocktail au sein des intérieurs. Paré pour réaliser n’importe quel mélange avec le coffret Mixology composé d’un Shaker, d’un jigger en métal argenté et d’une cuillère Puiforcat. Aller encore plus loin avec le coffret Home Speakeasy où le Shaker se pare de cristal flanelle auquel s’ajoute quatre coupes. ...
Au cours de ces dernières années, la Vendée est devenue la nouvelle destination de la gastronomie. Et pour cause, le département abrite les meilleurs restaurants en Pays de la Loire, dont la Table du Boisniard, le restaurant gastronomique du Château du Boisniard. Une référence en Vendée Depuis son ouverture en 2011, la Table de Boisniard est un restaurant gastronomique de référence en Vendée. Titré « Maître Restaurateur » depuis 2012, il est aussi reconnu comme étant une « Valeur sûre » par le Bottin Gourmand. Et à son actif, il dispose de trois fourchettes et un couvert au guide rouge Michelin. Actuellement, l’établissement convoite l’étoile ! Ce qui ne devrait plus tarder, puisque toutes les cartes sont entre ses mains : un endroit unique et idyllique, alliant l’élégance de ses origines du XVe siècle à la modernité de la décoration contemporaine ; un personnel aussi sympathique que réactif, orchestré par Emmanuelle Gautier ; et un moment d’épicurisme assuré par le jeune et talentueux chef, Valentin Morice. De la gastronomie maîtrisée Selon leurs envies, les convives pourront choisir entre le menu Découverte et le menu Dégustation. À 42 euros, le premier propose une entrée, un plat et un dessert. Quant à la dégustation, un même menu est servi à l’ensemble de la table pour 72 euros. Pour les plus pressés, un menu Affaires à 33 euros est disponible le midi du mercredi au vendredi. Par ailleurs, le chef propose aussi une carte qui évolue au gré des saisons et des produits disponibles sur le marché. Il est à noter que tous les plats et menus proposés par l’établissement sont labellisés « fait maison », y compris le pain. Quant à sa carte de vins, elle met à l’honneur ceux des Pays de la Loire, sans négliger les autres régions. ...
Faisant partie des 180 hôtels relais du silence, le Moulin de Valaurie est un havre de paix blotti dans un cadre sain et écologique, au sein du département de la Drôme dans la région Rhône-Alpes. Cet ancien moulin en pierres apparentes se trouve effectivement dans un parc arboré de 4 hectares proposant une véritable immersion au sein d’une nature enchanteresse. Paysage marquant et spacieux Détente, gourmandise, confort : ces trois mots suffisent amplement à décrire le Moulin de Valaurie. Situé à quelques kilomètres de Grignan, à la sortie de Valaurie, l’établissement prône le plaisir des pupilles et celui des papilles. Dès leur arrivée, les convives se laisseront surprendre par l’ambiance provençale qui plane dans cet ancien moulin rénové aux volets bleus/lavande. Dans le restaurant, la salle éclairée par les baies vitrées inspire calme et douceur. Installée confortablement sur leur chaise, les clients prendront plaisir à admirer l’environnement bucolique et enchanteur proposé à l’extérieur. Pour ceux qui aiment plutôt le grand air, la terrasse ombragée sous les platanes offre un espace épuré propice à la dégustation des merveilles du chef. Dans un très grand jardin verdoyant et fleuri, le parfum de lavande procure bien-être et sérénité. Un gage de qualité et de créativité Reconnu pour sa cuisine provençale, le chef Eric Berthillot revisite à la perfection les recettes traditionnelles françaises en privilégiant les produits frais et de saison, qui sont essentiellement issus du terroir. Le potager bio de la propriété s’étendant sur une superficie de 3000m2 lui fournit les légumes et fruits et la totalité des herbes de Provence telles que le thym, le romarin, et la sauge. Les autres produits contribuant à l'élégance de son art culinaire sont soigneusement sélectionnés par le chef auprès des producteurs locaux. Original et créatif, il prépare uniquement des plats gourmands fait-maison. Renouvelée tous les deux mois, la carte du Moulin de mai 2016 est une ode à la gourmandise avec ses innombrables suggestions. En entrée, le Foie gras de Canard de la Vallée de Limagne, cuit en terrine fait voltiger les papilles. Laissez-vous ensuite séduire par les saveurs de l’Epaule d’agneau confite et fondante. Au dessert, l’incontournable Gâteau à l’orange servi avec un sorbet orange sanguine et des tuiles au romarin fait partie des mets phares à ne pas manquer dans le restaurant. A midi, la maison sert une formule spéciale composée d’une entrée élaborée avec les produits du potager, d’un mitonné du jour ou de poisson ou viande du moment et d’un dessert ou de fromage. La formule composée de trois plats est à 29 euros. ...
De nombreuses personnes ont déjà tenté l’expérience de la spiruline en tant que complément alimentaire. Et vous ? Des produits de qualité 100% français Pour les personnes qui ne connaissent pas la spiruline, il faut savoir que c’est une "micro-algue" spiralée de couleur bleu-vert. Intégrée à l’origine dans l’alimentation de nombreuses populations primitives, elle est aujourd’hui appréciée pour ses valeurs nutritionnelles. Elle regorge, en effet, de vitamines, de minéraux et de protéines. Elle est d’ailleurs considérée comme un « super aliment » utilisé pour lutter contre les carences et la malnutrition dans les pays en développement. D’après, l’OMS, c’est même le « meilleur aliment pour l’humanité au 21e siècle ». En France, elle est consommée en tant que complément alimentaire. Ainsi, que vous l’achetiez sous forme de paillettes, concassée, en comprimé, en gélule ou déjà préparée (sous forme de pâte par exemple), elle vous fournit tout ce dont votre corps a besoin. Idéal pour les sportifs qui veulent améliorer autant leur résistance que leur endurance, elle répond aussi aux besoins quotidiens des végétaliens (pour son incroyable apport en protéines et vitamine B12), des femmes enceintes (surtout celles sujettes à des carences en fer et vitamine A) et des séniors (pour une meilleure vitalité et une amélioration des défenses naturelles). Tout le monde peut apprécier à sa juste valeur les bienfaits de la spiruline. Algosud : un producteur français expert Depuis plus de 18 ans, l’entreprise française Algosud propose une offre de qualité pour se démarquer de ses nombreux concurrents. Ayant fait le choix de produire de la spiruline 100% française afin de fournir à ses consommateurs des articles d’excellentes qualités, elle répond parfaitement aux normes en vigueur. C’est ce qui la différencie d’une large majorité d’entreprises du secteur qui ont préféré l’industrialisation et la production à l’étranger. En faisant confiance à Algosud, chaque consommateur trouve ainsi des références de haute qualité, produites sous contrôle d’un laboratoire indépendant. Vous voulez en savoir plus ? L’entreprise partage, en toute transparence, sa charte qualité et ses résultats d’analyse sur son site. ...
À mi-chemin entre le port de Noirmoutier et la plage du bois de la Chaise, cet Hôtel-Restaurant 3*** blotti dans un magnifique parc paysager arboré de palmiers et d’oliviers, invite à la félicité et au bien-être. Ses deux salles de restaurant ont été décorées avec goût et raffinement : grande baie vitrée, poutres en bois de pins, murs en bois clair, toiles au thème marin. À l’extérieur, une agréable terrasse ombragée disputant la vue sur le château Noirmoutier et les champs de vignes accueille les hôtes. Quelle que soit la saison, ce petit bout de paradis est l’endroit parfait pour partager une table gastronomique en famille, entre amis ou entre collaborateurs. Le concept du restaurant Le gérant propriétaire du lieu, Pierrick Wattecamps, définit si bien le style d’Éric Pichou, son chef de cuisine depuis 25 ans : « C’est une cuisine fine, créative, pleine de subtilité, et avec une pointe gourmande sans pour autant être très riche. »C’est précis et totalement maîtrisé. Noirmoutier-l’Île oblige, le chef s’inspire des parfums de la cuisine méditerranéenne et des couleurs de la cuisine de l’Atlantique dans l’élaboration de ses plats. « La saveur océane est vraiment notre spécialité. On travaille le poisson tout en finesse et on le prépare ensuite avec des produits du terroir procurés dans la région. » Ainsi, le restaurant a imaginé trois menus pour découvrir les incontournables de la maison : Saveurs de printemps, Éveil des sens et Au fil des saisons. Une farandole de saveurs et de textures En entrée, le chef fait plaisir aux épicuriens avec son saumon confit à 53°, fromage blanc au yuzu et gingembre, crème végétale et pickles d’oignons rouges. En guise de plat, le cœur balance entre le dos de lieu jaune rôti en croûte de piquillos, fenouil et safran, jus de crevettes à la verveine et l’entrecôte de cochon ibérique, pommes de terre façon Macaire. Ces assiettes sont accompagnées d’une cassolette de pommes de terre primeur rissolées au beurre salé, une petite merveille qui fait la signature de la maison. Une autre spécialité à ne surtout pas manquer : les intemporelles moules gratinées à la crème d’ail qui déclenche à chaque fois des émotions. D’autres plats plus recherchés et plus audacieux sont également concoctés, à l’instar des langoustines saisies au beurre demi-sel, pulpe de panais, réduction de clémentines, anis et vodka, ou encore le filet de canette laqué au sésame noir, aigre doux à la bière brune, navets confits et betteraves rouges. « Nous travaillons énormément sur les accompagnements, les sauces, les jus, les parfums, qui vont changer au gré des saisons », explique le gérant. Sur une note finale, des petites douceurs maison viennent embellir l’expérience culinaire : demi-sphère noire avec sa compotée de fruits exotiques, nuage de mascarpone et crème glacée au petit-suisse ou fraise Gariguette au naturel, éclat de meringue et thé vert matcha, sorbet fraise et crémeux à la menthe poivrée. Ce sont les créations d’un jeune talent, dont Pierrick Wattecamps est particulièrement fier : « Il est sans doute le meilleur pâtissier que nous avons eu depuis 25 ans. » Expérience à vivre en famille Pour les déjeuners ou événements en famille, la maison a réservé deux menus spéciaux aux jeunes gourmets. Ils peuvent déguster la terrine de foie gras de canard, la poitrine de veau fermier confite, jus parfumé au thym et seront gâtés par le carpaccio d’ananas, sorbet noix de coco. Les plus petits vont apprécier la salade de crudités de saison et l’éventail de charcuterie accompagné de pommes de terre de Noirmoutier. Au dessert, ce sera deux boules de glace au choix ou un yaourt aux fruits de chez Beillevaire. En outre, parents et enfants peuvent prolonger leur expérience dans l’hôtel 3*** et se laisser tenter par les activités offertes sur place : piscine chauffée, salle de jeux, aire de jeu extérieur (tennis de table, badminton, terrain de pé...
Depuis 1818, 7 générations de la famille Landat ont façonné cette propriété située non loin de Bergerac entre les bastides d’Eymet et d’Issigeac. 27 hectares de vignoble jouissent de ce terroir argilo-calcaire en AOC Bergerac. Le raisin est vinifié selon des méthodes de travail innovantes, sans dénaturer le patrimoine qu’ils préservent et défendent. Le domaine « Vigneron indépendant » Le vignoble présente un encépagement varié avec une répartition végétale typique de la région de Bergerac. 70 % de la superficie est consacrée aux cépages rouges et 30 % aux cépages blancs. Ils permettent des assemblages équilibrés pour des vins de qualité. Le Domaine du Siorac est « Vigneron indépendant ». Il travaille sa vigne, récolte son raisin, vinifie et élève son vin, met en bouteille sa production à la propriété, commercialise ses produits, accueille, conseille la dégustation et prend plaisir à présenter le fruit de son travail et de sa culture. Le domaine est ouvert tous les jours, sauf le dimanche, les jours fériés et les samedis, de janvier à mars. En période estivale, une visite guidée est proposée tous les mardis et jeudis (visite du vignoble, du chai et dégustation périgourdine). Les autres produits du domaine Depuis le début, la famille Landat est fortement marquée par sa culture natale ; elle a su réhabiliter une tradition culinaire locale : le verjus. Elle récolte des raisins verts en surnombre puis les presse jusquʼà obtenir ce fameux jus de raisin acide et finement parfumé bien connu des grands chefs. Dʼun gout acidulé, il est un excellent exhausteur de saveurs pour les viandes blanches et les poissons. Le Domaine du Siorac a également pensé aux personnes ne buvant pas d’alcool. Du jus de raisin blanc et du jus de raisin rosé pétillant 100 % naturel et « pur fruit » sont proposés. Le premier est 100 % sémillon et le deuxième est composé essentiellement de merlot. Ils ne contiennent aucun sucre ajouté. Les vins Les vins rouges sont issus dʼun assemblage de merlot, de cabernet franc, de cabernet sauvignon et de malbec. Ils sont sur le fruit et permettent d’accompagner charcuterie, grillades ou fromages légers. Le rosé est un mélange équilibré et harmonieux de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon qui s’ouvre sur une bouche perlante, ronde et gourmande. Ce rosé demi-sec est un vin dʼété par excellence et peut être servi de l’apéritif au dessert. Le blanc sec, typé sauvignon, a un nez intense de fruits jaunes frais et une bouche grasse aux arômes dʼagrumes. Il s’accordera parfaitement aux fruits de mer, aux coquillages, aux viandes blanches et aux fromages. Le très polyvalent blanc moelleux est régulièrement sélectionné par le Guide Hachette. Agréable assemblage de sémillon, de sauvignon blanc, de muscadelle et de sauvignon gris, il dévoile son fruité avec une même finesse au nez quʼen bouche. ...
Le vignoble du château, qui fait 25 hectares, est installé sur les anciennes terrasses du Tarn et de la Garonne et s’étend sur trois communes et deux départements. Il produit annuellement 120 000 bouteilles principalement en rouge et réparties en deux gammes bien distinctes. Jules, Julie et Juliette Tels sont les noms des cuvées de la nouvelle gamme de vins proposée par le Château. La cuvée « Jules » est un vin rouge masculin, souple et généreux, qui s’adapte à tous les moments conviviaux, quels qu’ils soient, mais surtout en famille ou entre amis. Ce précieux nectar accompagne à merveille les apéritifs ou encore les grillades d’été au milieu du jardin. Avec sa robe rose pâle, la cuvée « Julie » est un rosé fin et délicat, aux notes d’agrumes prononcées. Après avoir été rafraichie, elle se déguste lors des moments festifs avec des plats comme les sushis, poissons grillés et plus particulièrement des beignets de légumes. La cuvée « Juliette » est la dernière née du Château. C’est un vin blanc de cérémonie, sérieux mais qui peut convenir à toute la famille. Sa bouteille, stylée et moderne, est à l’image de cette cuvée : légère et gourmande, avec un goût de fruit maîtrisé. Gourmandise, légèreté et plaisir immédiat sont au cœur de ces « 3 Jus ». La Négrette, à la base de toutes les cuvées De la vigne au verre, le processus de fabrication du vin relève de tout un art qu’il faut maîtriser à la perfection. Chaque vin, chaque millésime se distingue par son terroir, sa vinification et les différentes méthodes employées par les vignerons. Au Château Clamens, la Négrette est au cœur de ce procédé. Il s’agit d’un cépage millénaire endémique de cette région du Sud-Ouest de la France. Fine et délicate, elle confère aux vins des arômes délicats de fruits rouges et de réglisse. Elle est à la base de toutes les cuvées du domaine, en assemblage avec le Cabernet Sauvignon pour sa noblesse, le Malbec pour sa structure, le Cabernet Franc pour sa fraîcheur et la Syrah pour sa chaleur et sa souplesse. Les différentes combinaisons effectuées par le domaine entre ces raisins lui permet d’obtenir des vins de caractère et faciles à boire. Les cuvées AOC Fronton Les cuvées plus traditionnelles, en appellation Fronton, qui ont fait et font toujours la renommée du Château Clamens sont des rouges issus d’une longue tradition. La cuvée « Caractère » se démarque par ses arômes de violettes, poires et pruneaux, « Héritage » par ses arômes de fruits noirs cuits aux notes boisées et « Prestige » offre des arômes de réglisse et fruits rouges. ...
Une nouvelle aventure au cœur de la Provence verte Avec une branche de sa famille en Bourgogne, Harry avait déjà un pied dans le monde du vin. Il a pourtant fait toute sa carrière dans l’univers de la finance et de la programmation informatique. Tout juste sorti d’une société éditrice de solutions logicielles, qu'il avait créée à destination des traders sur les marchés financiers, il achète un domaine viticole en Provence. « Avant de me jeter corps et âme dans le monde du vin, j’ai travaillé une quinzaine d’années sur les marchés financiers entre Londres, Paris, New York et Bruxelles, puis une quinzaine d'années dans le monde des logiciels. Il y a de nombreux parallèles à faire entre ma première vie et la vigne. Par exemple, même si l'on ne maîtrise pas tous les paramètres, il faut réussir à mettre en place certaines méthodologies pour créer quelque chose qui soit nouveau et, dans le cadre du vin, séduisant pour le consommateur. » Toute sa vie, il a cherché de nouveaux challenges, préférant la complexité à la facilité, explorant au cours de sa carrière des univers qui lui étaient inconnus. « Ce récent bouleversement vient d’une volonté de changer complètement de rythme de vie. Je voulais travailler avec Céline sur un projet concret, très local. » Au lieu de défendre l’économie numérique française, il s’emploie aujourd’hui avec son équipe à protéger le patrimoine agricole et viticole de sa région d’adoption. « On ne touche que très peu nos vins » Situées à flanc de coteau sur un sol principalement argilo-calcaire exposé plein nord, à l’exception de quelques parcelles plus limoneuses en pied de vallée, les vignes du jeune viticulteur jouissent d’une belle exposition au soleil tout en profitant de la fraîcheur du mistral qui balaie cette région du sud de la France. L’ancien propriétaire avait, avant de se séparer de son domaine, replanté l’intégralité des cépages et travaillait depuis ses débuts la terre manuellement. Bien avant la certification Agriculture biologique ( AB ), que le domaine a obtenue en 2014, les syrah, grenache et sauvignon s’épanouissaient déjà sur une terre vierge de tout intrant chimique. La Mongestine travaille aujourd’hui avec une douzaine de cépages, principalement des AOP coteaux-d’aix, plantés à flanc de colline et à l’orée de la forêt qui domine la vallée. Harry a gardé les bonnes méthodes de son prédécesseur et la même équipe pour continuer à s’occuper des vignes. Cette conduite du plant très rigoureuse se note visuellement lors d’une visite du domaine : au lieu de pieds plus sauvages, une caractéristique des plantations biologiques classiques, les trente hectares plantés sur les 120 ha du domaine affichent des rangées bien droites, très alignées. En cave, Harry ne travaille qu’avec des levures indigènes, permettant à chaque cépage d’exprimer librement toute sa palette. Les jus sont très peu sulfités et du coup beaucoup plus ouverts, plus expressifs. Ces conditions donnent des vins aux degrés alcooliques stables, autour de 13°. Grâce à une fermentation poussée, ils gardent une très bonne tension et une jolie structure et, particulièrement sur les rosés, une rondeur presque soyeuse. « On essaie de travailler à la limite de ce que le terroir peut exprimer des cépages et sans prendre trop de risque en termes de transport et conservation. Par exemple, on arrive à avoir sur des rosés, qui font souvent moins variés que des rouges ou des blancs, des vins qui sont justement différents et qui peuvent exprimer pleinement ce terroir provençal. » Une nouvelle cuvée surprenante Le domaine de la Mongestine a récolté en 2017 sa première cuvée IGP coteaux-du-verdon. Vinifié en mono-cépage dans trois couleurs (roussanne, pinot noir, merlot) et destiné à être commercialisé en entrée de gamme, le millésime s’est montré particulièrement expressif et très aromatique, au-délà des espéran...
L’Auberge de Sumène, réputée pour la qualité de ses plats raffinés, se veut être l’ambassadrice du label « fait maison ». Motivé par « l’envie de faire des choses simples avec de bons produits », Basile accueille ses hôtes avec une formule unique, à base d’une entrée copieuse et d’un plat ponctué de fromages et de desserts, promettant des instants gourmands de tous les délices. Une carte (avec entrées, plats, desserts) met quant à elle en scène des produits rigoureusement sélectionnés. L’excellence des produits locaux à l’honneur En constante quête de la qualité, Basile souhaite affirmer l’authenticité de sa cuisine en priorisant « au maximum des produits frais, de saison et locaux voire même biologiques dans la mesure du possible », nous confie-t-il. Les classiques auvergnats, à l’instar de l’aligot ou de la truffade que l’auberge met en avant, en sont ainsi sublimés. Cette cuisine traditionnelle familiale proposée dans la fameuse formule unique de l’auberge, dont le plat est décliné en trois choix le week-end, fait la fierté de cet établissement convivial. Chaque menu est ponctué de fromages du terroir et de délices sucrés, pour ne citer que le Mystère d’Agayrou, un dessert exquis composé d’une meringue avec une boule de glace au choix (à la menthe, nous conseille le chef), accompagnée de liqueur chocolatée et d’un tulle de chocolat. Cet ensemble copieux sera idéalement suivi d’un spiritueux issu de « la cave à vins française composée à 90 % de vins biologiques et de producteurs », relate Basile. ...
Dans ce cadre maritime et enchanteur niçois, le restaurant Indian Lounge a su bâtir sa notoriété grâce à une cuisine simple, qui respecte la tradition. Un restaurant haut en couleur L’établissement reflète à la fois la culture et la tradition indienne. Les couleurs rose, orange, violet et jaune dominent totalement les lieux. Les deux salles spacieuses se parent de meubles qui sont l’œuvre d’un designer connu « Olivier Papa ». Dans le prolongement de ce décor aux accents orientaux, des petits temples sont accrochés au mur avec des divinités hindoues connues comme Buddha et Ganesh qui procurent une ambiance dépaysant et qui bénissent les repas des hôtes. Au plafond des lustres multicolores procurent une touche d’illumination. Le rendu visuel est attrayant tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Sa terrasse accueille une vingtaine de couverts sous des parasols colorés et implantés à proximité d’un cyclo-pousse, le mode de locomotion traditionnel en Inde. Côté carte … Indian Lounge est l’ambassadeur de la saveur traditionnelle indienne. Une cuisine qui rassemble goûts, parfums, odeurs, épices et couleurs. Ces mélanges témoignent du mode de vie et de l’art de vivre oriental. Dans cet établissement, le chef propose de nombreux menus : « zen », « Tandoori », « Goa »… à prix et compositions différents. La maison suggère également une carte aussi gourmande que généreuse. En entrée, les convives seront séduits par le Raïta, une sauce en accompagnement à base de yaourt, de légumes frais et le Crevettes Bagi. En résistance, le Tandoori Chicken qui est composé de deux cuisses de poulet mariné en sauce rôties et accompagné du riz basmati à grain long originaire d'Inde séduit les palais. Pour le dessert, le Kulfi Jaipur, une glace indienne à base de lait de mangue et de safran fait le bonheur des gourmands. …et côté boisson Côtes-du-rhône, Vin du Var, Côtes-de-Provence, Bandol, Bordeaux, Bourgogne… à l’honneur, toutes les régions du pays dans cette carte de vins éclectique. Le chef prend plaisir à conseiller ses convives en fonction de leurs envies mais aussi des meilleurs accords. La cave est également constituée d’une sélection de vins originaires d’Inde, à déguster avec plaisir et volupté. A ne pas rater également : la large sélection de boissons typiques du pays. ...
Les produits de la mer surfent désormais sur la vague de la vente en ligne. C’est du moins le pari qui a conduit Erwan Corre et Pierre-Yves Bizien à créer poissonnerie.com, un site exclusivement dédié à la vente de poissons, coquillages et crustacés en très grand majorité en provenance de Bretagne. En priorisant un approvisionnement en circuit court et un service de livraison en température contrôlée, poissonnerie.com vous permet donc de recevoir dès le lendemain des produits de la mer ultra frais et au meilleur prix, chez vous ou bureau (les emballages sont sans odeurs, ne coulent pas, et peuvent tenir 24h à température ambiante, ce qui vous permet même de les faire livrer sur votre lieu de travail et de les ramener le soir chez vous). Le plus court chemin de la mer à l’assiette « Notre mission est de livrer à domicile les produits de la mer frais, de qualité et à prix compétitif, en seulement 24 h », dixit Pierre-Yves Bizien. Pour ce faire, l’entreprise a noué des contacts directs avec des pêcheurs et des bateaux qui vont se fournir essentiellement au large des côtes bretonnes : plus de 95% des produits sont sourcés dans un rayon de moins de 100 km autour de Plougasnou, où sont préparées les commandes et où se trouvent les plus grands viviers d’Europe, les Viviers de la Méloine, récemment acquis par l’entreprise. Les produits de cette pêche, notamment les homards, les Saint-Jacques ou les huîtres, seront, par la suite, remis en bassin dans le but d’être stockés dans des conditions idéales et purifiés. Sur le site, des explications sur les spécificités et particularités des produits, en termes de saveurs notamment, sont proposées avec, en prime, quelques idées de recettes simples accessibles à tous, pour une dégustation des plus gourmandes. Lorsque le consommateur finalise sa commande en ligne, il peut choisir sa date de livraison. Les équipes de poissonnerie.com prépare les commandes le jour même de l’expédition et les colis sont ensuite acheminés par Chronofresh, un service de Chronopost qui se charge du transport de marchandises en garantissant un parfait respect de la chaîne du froid, avec une température contrôlée qui reste ainsi dans la fourchette des 0 - 4 °C. La commande est ensuite livrée partout en France, avec un service alliant ainsi rapidité et efficacité afin de garder toute la fraîcheur des produits et donc de préserver toute leur qualité. ...
Désireux chacun d’ouvrir leur propre restaurant, Frank et Gary concrétisent leur rêve en lançant le Bistrot Chaud-Vin, un jeu de mot bien trouvé faisant référence à la rue dans laquelle il se trouve. Ici, convivialité rime avec saveurs gourmandes. Une déco qui marie l’esprit bistrot et la modernité Le Bistrot Chaud-Vin se démarque par son identité visuelle. Une parfaite dualité entre traditionnel et modernité s’en dégage. La peinture aux couleurs vives additionnée aux luminaires donne un ton réellement chaleureux à l’établissement. La décoration authentique avec meubles en bois offre à l’ensemble un esprit sobre et chic. Parfait pour un diner en couple, entre amis ou en famille. Le restaurant reflète bien l’idée véhiculée par les deux associés Gary Mesguich et Frank Moser : offrir aux clients un vrai instant gourmand. L’esprit bistrot y est fortement présent. Des vins du terroir ainsi que d’autres régions de France ont été disposés dans des coins clés de la salle. Ils trônent majestueusement aux côtés des cagettes de légumes de saison qui rappellent l’ambiance des cuisines de nos grands-mères. Le tout baigne dans une ambiance calme bercée par une musique de fond. Entre la qualité de service et le décor finement pensé, les convives se sentent d’un coup comme chez eux. Une cuisine riche et généreuse pour faire plaisir aux fins palais Le Bistrot Chaud-Vin propose une cuisine de tradition. Longuement mijotés et concoctés avec soin par le chef, les produits du terroir sont mis à l’honneur dans les divers menus. Pour satisfaire les papilles, le maestro en cuisine travaille avec des produits de bonne qualité et frais provenant directement des producteurs locaux. Doté d’expériences acquises dans l’un des plus connus des établissements niçois, à savoir à la Petite Maison, Gary Mesguich se démarque en proposant des plats généreux, riches en saveur du terroir qu’il concocte avec passion. Écrites à l’ardoise, les suggestions culinaires changent en fonction des saisons. En entrée, vous vous laisserez tenter immédiatement par la salade d’artichauts violets, pan bagnat de tomates. En plat de résistance, rien de tel qu’un magret de canard de la ferme Puntoun aux fruits rouges et beignets de maïs bio. Les plus gourmands ne résisteront pas à l’idée de commander cette imposante côte de bœuf d’Aubrac à partager à deux. Pour finir, l’ile flottante à la lavande séduit les palais avec ses saveurs exotiques. L’établissement propose aussi le « Fumoir du Bistrot Chaud-Vin » avec quelques suggestions à ne pas manquer comme le saumon fumé, gaufrette citronnée et crème fouettée ou le magret fumé servi avec une salade de lentilles blondes Saint-Flour aux fruits et légumes. ...
Actuellement, la maison Boutillez-Guer travaille sur un vignoble s’étendant sur une superficie de 5 ha 25, planté à 80 % de chardonnay, 5% pinot noir et 15% en pinot meunier. Ici, le travail de la vigne se fait avec la même passion qui a animé chaque génération depuis les origines de l’exploitation. Fidèle à son héritage, la maison continue de préserver l’authenticité et la tradition, gages de la qualité de ses champagnes d’exception. Une méthode soucieuse de l’environnement Pour tirer le meilleur de son terroir viticole, la maison mise sur une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum tout impact sur l’environnement. « Nous réduisons l’usage de produits chimiques et nous privilégions des procédés naturels tels que l’enherbement et l'utilisation de phéromones pour réduire l'utilisation d'insecticides », nous explique-t-on. Par ailleurs, le plus gros du travail se fait à la main, que ce soit pour la taille des vignes ou pour la vendange. La vinification, quant à elle, se veut être classique avec un élevage en cuve. Fière de son statut de vigneron indépendant et de récoltant-manipulant, la maison maitrise ainsi parfaitement toute la chaîne de production. Des cuvées « premiers crus » Parmi les spécialités de la maison, 4 cuvées sortent du lot : la cuvée Brut tradition, la cuvée Blanc de Blancs, la cuvée Brut Rosé et la cuvée Millésime 2008. La cuvée Brut Tradition est obtenue à partir de l’assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir, dont 50 % de vin de réserve. Elle s’habille d’une couleur or brillant et renferme des arômes briochés. Idéale pour accompagner les volailles ou pour des saveurs plus subtiles telles que le saumon fumé. Ensuite, la cuvée Blanc de Blancs, élaborée essentiellement avec du chardonnay, dont 30 % de vin de réserve, se distingue par sa légèreté et son arôme fruité qui séduiront les plus fins palais. Ce champagne sublimera des plats comme un feuilleté de langoustines ou un tartare de poisson. Pour enchainer, la cuvée Brut Rosé s’obtient par l’assemblage de 70 % de chardonnay et de 30 % pinot noir, dont 10 % de coteau rouge. En bouche, celle-ci mêle harmonieusement raffinement, rondeur et puissance. Le tout, dominé par des parfums de fruits rouges et une fraicheur agréable. Enfin, le Millésime 2008 est, quant à lui, 100 % chardonnay. Ses arômes briochés et ses notes fruitées font de ce champagne le complice idéal pour les instants raffinés. ...
9 Rue Gachet à Pau, un endroit attire irrémédiablement l’attention. Forcément, avec cette foule qui attend dehors, il est à se demander ce qui se cache derrière cette façade verte sur laquelle est marquée « Les Sardines ». Une poissonnerie ? Certainement pas. Vous connaissez beaucoup de gens qui achètent leur poisson au milieu de la nuit ? En s’approchant un peu, l’écriteau devient plus visible. Cette enseigne n’est autre qu’un bar à vins, bières et alimentation spirituelle. Déjà la notion « d’alimentation spirituelle » intrigue. A vrai dire, Les Sardines ne sont pas qu’un endroit pour boire ou manger. On y va pour chercher cette ambiance fun et branchée qui rend heureux, léger. Une propriétaire pétillante Un bar à vins. C’est tout ce qui manquait dans cette commune tranquille du sud-ouest notamment réputée pour son château et ses 750 hectares d’espaces verts. Autant dire que Lydia Becerra a trouvé le créneau gagnant en y ouvrant le sien. Fait étonnant : rien ne la prédisposait au départ à se lancer dans ce métier. Initialement spécialisée dans le domaine de la compatibilité et de la gestion, elle part plusieurs mois en Amérique Latine. Mais c’est en France qu’elle retrouve ses marques et donne naissance à son premier enfant. Sa passion pour le voyage et les découvertes aura pourtant raison d’elle. Car même si elle se plaît au pays, elle décide quand même de partir pour l’Espagne où elle ouvre son premier restaurant. L’appel de la France n’est pas loin. Sa vie, ses amies, sa famille lui manquent terriblement si bien qu’elle reprend la direction des Pyrénées-Atlantiques. Rapidement, elle repère un endroit sympa bénéficiant d’une bonne localisation qu’elle décorera avec des objets de récup’ glanés ici et là notamment des tables et chaises d’écoliers qui nous replongent en enfance. Il faut dire qu’aux Sardines, il n’y a pas que l’ambiance qui est décalée. Le décor est aussi original avec cet immense bar ou encore ce plafond habillé de planchettes de bois disposées aléatoirement pour attirer l’attention. Sur les murs, des affiches vintage rehaussent le côté rétro-chic des lieux. L’établissement est aussi pourvu d’un deuxième étage privatisable à l’ambiance plus intimiste. Bonne cuisine, bonne ambiance Ouvert du mardi au samedi de 18h à 2h, le bar à vins est devenu le haut lieu des soirées animées du Palais des Pyrénées. Déjà, il doit son succès à sa formule de restauration. La maison propose beaucoup de plats à la plancha comme les couteaux, les sardines, le chorizo, les cœurs de canard, les calamars ou les moules. La carte est également constituée de rillettes de sardines, de croquettes de jambon, de croquettes de cèpes, foie gras mi-cuit maison et autres plats succulents et conviviaux qui sont servis jusque tard dans la nuit. A ne pas manquer : l’incontournable côte de bœuf du pays basque servie avec des pommes de terre et des cèpes, rehaussée de pimientos del padro. La carte des vins est particulièrement variée. Les vins du pays et ceux du monde entier y sont présents : Chianti « When we dance » Bio, Toscana « Alberia » pour les rouges, Gewurztraminer « Wolfberger », Jurançon « Domaine Lasserre » pour les blancs, Côtes de Provence « Les Hauts de Masterel », Roussillon « Miraflor » pour les rosés. Côté boissons exotiques et cocktails, ce ne sont pas les propositions qui manquent : Diplomatico, Don papa, Mojito, Caipirinha, Gin tonic… Il y a de quoi vous faire tourner la tête. ...
Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle. Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse. Une carte 100 % mexicaine À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains. En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos. En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème. Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros. Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas. En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas. De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens. Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition. Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays. ...
Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine. Mariage de régions et de saveurs « Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins. Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012. Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines. Un amour effréné pour la Bourgogne L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. » ...
Un cadre charmant à la touche « Vieux Paris », un grand bar et du mobilier en bois ancien, un peu de jazz en musique de fond : la simplicité y côtoie le raffinement pour cultiver la convivialité et l’ambiance chaleureuse. Le havre idéal pour se détendre après des activités dans le frétillant 18e arrondissement de Paris. La cuisine traditionnelle à l’honneur À L’Anvers du décor, la saisonnalité et la fraicheur des produits utilisés sont des engagements au quotidien. On y propose tous les jours, de 9 h à 23 h, des délices faits maison typiquement français dans une carte riche et diversifiée. Les entrées succulentes comme le carpaccio de saumon frais marin ou les escargots de Bourgogne donnent le ton. Le chef laisse ensuite transparaitre d’autres subtilités à travers le poisson frais du jour ou des viandes tendres et délicieuses, le tout accompagné d’une garniture au choix (riz, frites maison ou haricots verts). Les convives n’ont que l’embarras du choix entre la cuisse de poulet rôti aux herbes, le confit de canard, la souris d’agneau braisée au romarin, la côte de bœuf pour deux, la côte de porc grillée du Pays basque ou encore les sardines grillées au sel de Guérande. Salades et pâtes variées sont aussi au rendez-vous. Mais dans cette adresse hors pair, ne pas gouter aux moules marinières (origine France) est presque un péché. Sous les mains du chef, ce plat n’en reste pas un, il devient un véritable chef-d’œuvre culinaire. Et la magie ne s’achève qu’après avoir apprécié le mi-cuit chocolat crème anglaise, la tarte du jour ou la crème brulée à la vanille. ...
La vallée de la Marne, également connue sous le nom de région du Meunier en raison de la prévalence de sa culture, est aussi réputée pour être l’une des niches des meilleures cuvées de la Champagne. Implanté dans cette région, le Château de Boursault, construit en 1843 par la veuve Clicquot, surplombe et entoure un vignoble de treize hectares où poussent les trois cépages champenois, garants de l’identité des cuvées de ce terroir. Privilégier les méthodes traditionnelles Le Château de Boursault est l’un des rares en Champagne à posséder un clos dans lequel se trouvent les vignes, le pressoir, la cuverie et les caves. « Le champagne y est élaboré suivant un processus artisanal préservé depuis maintenant quatre générations, et ce, afin de produire de la qualité », selon Alexandre Fringhian, héritier de l’exploitation. Ainsi, tout le processus de conception du champagne, allant de la culture des vignes à la fermentation en passant par la vinification, se fait suivant la méthode purement artisanale. Cette quête d’authenticité justifie les nombreuses récompenses que les cuvées Boursault ont reçues, notamment le millésime 2002, une cuvée exquise aux arômes équilibrés, récompensée de la Palme des Vinalies en 2016. Outre cette cuvée très appréciée, la cuvée Prestige élaborée à 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir et dotée d’une finesse et d’une fraîcheur aérienne sans égal, figure également parmi les fleurons de la gamme Château de Boursault. Prioriser la qualité du raisin Certifié Haute Valeur Environnementale (HVE) et Viticulture Durable, Château Boursault se veut être une exploitation traditionnelle et artisanale respectueuse de l’environnement. L’usage de pesticides, d’herbicides et d’autres produits chimiques est ainsi rigoureusement limité, selon Alexandre, pour « le maintien du terroir et du vignoble ». Toujours dans cette optique, le domaine privilégie « les petits rendements en faveur de la qualité du raisin » et en vue toujours de maintenir la qualité optimale des cuvées. ...
Au Château le Tros, la première bouteille fût produite en 1974. Lancé par la première génération des Jabouin, le grand-père fera l’acquisition des premiers 2ha après une carrière dans la mécanique. Il mettra aussi en place les premiers chais et les cuves inox. Véritable histoire familiale, le domaine continue sur cette lancée. Aujourd’hui, le petit-fils, Mathieu a repris les rênes et, en près de 40 ans, le domaine a grandi. Il s’étend désormais sur plus de 60 hectares répartis sur trois communes : Tizac-de-Curton, Génissac, Naujan et Postiac. Situé à 8km de Saint-Émilion au sud de la rivière Dordogne et à 25km à l’Est de Bordeaux. On y produit plus de 250 000 bouteilles chaque année dont une partie est exportée vers des pays d'Europe ou encore la Chine. Les vignobles du Château Le Tros Les vignes des 60 hectares du domaine sont cultivées sur un sol argilo-calcaire et un sous-sol de carrières, spécificité de l’appellation Bordeaux. La région, elle, jouit d’un climat océanique porté par l'Atlantique qui se trouve à proximité. Un avantage pour produire un vin de qualité mais un inconvénient puisqu’il faut parfois subir l’instabilité des saisons due principalement au réchauffement climatique. Soucieux de leur environement, la famille Jabouin a adapté depuis plusieurs années la culture dans le respect de la faune et de la flore. Ce qui leur permet aujourd'hui d'être labelisé Haute Valeur Environementale Niveau 3. On y retrouve les cépages les plus fameux de l’appellation dont notamment, le Sauvignon Blanc, le Sauvignon Gris et le Sémillon. Ces trois cépages occupent 8ha de parcelles sur le domaine. Le reste est composé pour les vins rouges de cépages en Merlot, Cabernet franc et en Cabernet Sauvignon. Les vignes sont vendangées mécaniquement. Exceptions faites de la Cuvée Dernier Carat et le Crémant de Bordeaux qui sont vendangées à la main. Ce dernier répondant aux normes du cahier des charges de l'appelation. Du vin de Bordeaux dans l’air du temps Producteur depuis 1978 avec le premier Château le Tros Rosé, le domaine embouteille aussi des vins rouges fruités et gourmands ainsi que des blancs frais et festifs. Des vins qui se veulent de qualité mais surtout accessibles à toutes les bourses. Parmi les vins qui se démarquent le plus, "Perles Noires" est un vin 100% Merlot issue de parcelles dont les sols sont composés de graves et de galets, un terroir très rare dans la région. A prendre en début ou fin de repas, ce vin présente un violacé profond. La cuvée "Perles Noires" est vinifiée en barriques de chêne français neuves et se boit au bout de 2 à 3 ans. Son niveau de qualité lui permet de tenir une garde de 10 ans minimum. Afin d’en apprécier toutes les subtilités, le vin atteint son apogée au bout de 4 à 5 ans. Quant au rouge "Tradition," véritable vin de qualité à petit budget, il affiche un goût en bouche plus léger . Véritable vin Plaisir, on y retrouve le goût de fruits rouges, la fraîcheur d’un vin issu de jeunes plants. Ce vin "passe-partout" se déguste aussi bien avec de la charcuterie que de la viande blanche. Les vins du domaine disposent d’une excellente réputation. La majorité des ventes se fait ainsi au bouche-à-oreille, la meilleure méthode marketing. La passion du producteur se ressent à travers chaque bouteille mais aussi le professionnalisme. Pour les assemblages, le domaine fait ainsi appel à Denis Galabert, un œnologue reconnu, qui fournit l’encadrement nécessaire pour la vinification et l’élevage. ...
La sobriété et l’élégance définissent instinctivement le cadre avenant et reposant du Bistrot de Fontcaude. Les habitués se retrouvent sur la terrasse pour une atmosphère décontractée à ciel ouvert. Un retour au calme et à l’apaisement est assuré à l’intérieur pour déguster autrement des produits frais du terroir du Languedoc-Roussillon sur des assiettes riches en goûts. Thierry Rousset enrichit ses plats en s’inspirant du patrimoine culinaire régional. La carte se veut fraîche, prônant les produits de saison et mettant en valeur les trésors cachés du terroir. Ses créations évoluent aussi au fil des rencontres et des découvertes qu’il réalise lors de ses voyages à l’étranger. Des plats revisités Au Bistrot de Fontcaude, de curieux gourmets, toujours à l’affût d’originalité, réclament, dès la mise en bouche, des plats revisités par les mains de Thierry Rousset, reconnu pour son don de marier les goûts et les textures. En entrée, rien de tel que l’os à moelle pour se délecter de saveurs authentiques. En plat, les cannellonis aux épinards et ricotta gratinée, noisettes grillées et cèpes sont un nouveau-né de sa carte fraîchement repensée. La présentation met l'accent sur les couleurs. Réservant le meilleur pour la fin, le chef suggère un mirliton aux zestes d’agrumes avec sa fine meringue aux pastilles de Vichy en guise de dessert. Des vins du Pays de l’Hérault Dès les premières bouchées, les plats prennent une autre volupté grâce aux vins de la région servis en accompagnement. C’est l’occasion de déguster des vins du Pays de l’Hérault. En vedette, les vins Pic Saint-Loup et Les terrasses du Larzac, des vins de terroir, produits de différentes associations de cépages languedociens. ...
« Le savoir n’est rien s’il ne se partage pas » La cuisine est souvent une histoire d’émotion et de passion, mais ce sont aussi les gestes techniques et le savoir-faire qui transforment un repas classique en un moment unique de partage. Parmi les valeurs exprimées par Alain Ducasse tout au long de sa carrière, la transmission du savoir-faire culinaire a toujours occupé une place importante. Cette idée particulière du partage a été rendue accessible à tous en mai 2009, quand le célèbre chef étoilé a finalement lancé son projet d’école pour les particuliers. C’est dans un espace contemporain de 500 m2 niché au cœur du prestigieux XVIe arrondissement de Paris que tous les cours sont regroupés pour offrir une expérience unique aux participants. Les cuisines sont spacieuses et aménagées avec les derniers équipements professionnels. Dans un décor réalisé par le designer Pierre-Yves Rochon (à qui l’on doit l’aménagement de célèbres établissements hôteliers à travers le monde, comme les Fours Seasons à New York ou le Ritz-Carlton à Bahreïn), les clients profitent d’un espace chaleureux et agréable où venir apprendre les meilleures techniques culinaires auprès des chefs de l'école. Une équipe de chefs formateurs Il faut saluer ici l’excellent travail effectué par Julian Mercier, chef exécutif de l’école. Il a ramené de ses expériences aux quatre coins du monde, toujours aux commandes des fourneaux les plus réputés, un goût exquis du partage et des rencontres qu’il met maintenant au service des particuliers. Accompagné d’une équipe composée de la fine fleur de la restauration gastronomique, il transmet son savoir et sa passion dans l’art du « geste juste, celui qui fait la différence ». Quand on lui demande quels sont les points forts de l’école, il répond modestement que : « Nous apportons la caution des chefs "Alain Ducasse" et tout leur savoir-faire. Les chefs sont accessibles et s’adaptent à tous les niveaux, débutants ou confirmés. Il est important que chacun puisse trouver son bonheur et les réponses à ses questions en venant ici. » Les cours sont regroupés sous forme de sessions d’une demi-journée au minimum qui permettent d’aborder différents aspects de la cuisine contemporaine. « Cuisine du quotidien », « Cuisine 3 étoiles » ou classes spécialement conçues pour les « Kids », les diverses formations proposées par l’École de Cuisine Alain Ducasse sont autant de portes d’entrée dans l’univers fascinant de la gastronomie. Les cours durent au moins quatre heures afin d’avoir le temps de détailler tous les points importants des recettes, étape par étape. Aussi, pour être certaine de répondre aux attentes particulières de tous les participants, chaque formation ne compte pas plus de dix élèves par session. Il n’est pas rare de croiser quelques jeunes étoiles montantes de la cuisine internationale qui viennent se glisser au programme de l’école. Fumiko Kono ou Beena Paradin, ces chefs invités viennent partager leurs talents et leurs techniques originales pour le plus grand bonheur des participants. Amenant avec eux leurs aspirations aux couleurs subtiles, ils ouvrent lors de ces worshops les horizons culinaires et sensoriels des élèves. En plus de ces initiations à la cuisine, l’École de Cuisine Alain Ducasse propose aux élèves de prendre part à des cours de pâtisserie et de dégustations oenologiques. Vous trouverez différrents thèmes pour appréhender ces deux autres activités qui font partie intégrante de la gastronomie. ...
Aymen Jabrane, Docteur en phytochimie de l’Université de Bourgogne, l’initiateur du projet s’est inspiré des potentiels offerts par les figues de Barbarie, des fruits originaires de la Tunisie et de la Méditerranée. Avec l’aide d’un ami d’enfance et d’un producteur tunisien de Nopal (figue de Barbarie), le fondateur lance sa start-up avec pour objectif de proposer des produits de haute qualité, commercialisables en Europe et USA. Pour cela, il mise sur la valorisation du Nopal dont le haut potentiel nutritionnel est avéré. Le process L’entreprise importe ses fruits issus de l’agriculture biologique depuis la Tunisie pour les transformer ici en France, dans la région bourguignonne, à Dijon. Selon des techniques d’extraction à la pointe de l’innovation, elle extrait la purée des fruits, des principes actifs de toutes les plantes afin de pouvoir profiter de toutes ses vertus. Sur toute la chaîne de production, une démarche tournée vers le développement durable entre la France et la Tunisie est appliquée, surtout du point de vue humain. Le respect, la transparence et l’honnêteté sont autant de valeurs animant la start-up qui veille à ne travailler qu’avec des producteurs locaux triés sur le volet pour la qualité de leur travail. Une gamme de produits et une chaine de valeur maitrisée De ces processus de production stricts naissent deux produits. L’un, alimentaire : le jus de fruits 100 % bio. L’autre, cosmétique : l’huile miraculeuse Bio. Le jus de fruits Nopai est un concentré de bienfaits. En plus d’être rafraîchissant, il développe un goût très exotique et a une texture onctueuse à souhait. Le Nopai est vendu dans les magasins spécialisées en France et à l’étranger. La société propose des développements sur mesure de recettes et des boissons pour des chaines de restaurants, des chaines de magasins BIO et visant le développement des marques blanches pour les GMS à long termes. L’huile extraite en France, quant à elle, possède des propriétés antivieillissement et antirides. Elle élimine les vergetures et assure une régénération de la peau. Avec une odeur discrète et agréable et une texture facilement absorbable par l’épiderme, elle peut être utilisée en parallèle avec un autre produit cosmétique et en combinaison avec les huiles essentielles. ...
Érigé au XIIIe siècle par la famille Gosset, le Château la Chenevière constitue l’un des lieux les plus emblématiques de la Normandie. Consacré auparavant à la culture du chanvre et l’élevage de poulains, il est entièrement restauré en 1988 par Marie-Françoise et Thomas Dicker pour devenir le plus grand restaurant-manoir du Nord-ouest français. Le château associant romantisme, harmonie et élégance abrite un hôtel cinq étoiles de vingt-neuf chambres ainsi qu’un restaurant gastronomique baptisé Le Botaniste. L’endroit rêvé pour découvrir les saveurs de la cuisine normande dans un cadre cosy et spacieux. Le Botaniste : ode à la gastronomie Le Botaniste émoustille les papilles exigeantes grâce à sa cuisine fine et maîtrisée qui se concentre sur des produits fermiers normands. Le chef Didier Robin travaille en étroite collaboration avec les producteurs locaux ainsi qu’avec les jardiniers du château pour s’assurer de la parfaite fraîcheur de ses ingrédients. Grâce à cette rigueur dans la sélection des matières premières, il peut élaborer une carte et trois menus qui chantent le répertoire de la gastronomie française. En entrée, Didier Robin suggère les Noix de Saint-Jacques aux champignons lentins, parfum d’ails des ours, larme de chou kale et graines de lin torréfiées. Ce plat se déguste idéalement avec du vin pouilly-fumé blanc La Doucette. En plat de résistance, les convives peuvent se délecter du Bœuf, cœur de filet aux épices « fruits des bois », carottes de couleur, pulpe de betterave Crapaudine et vinaigre de Banyuls chocolat. Une succulence qui s’apprécie volontiers avec du vin Château Gloria Saint-Julien. Dans le registre des desserts, les saveurs subtiles de La ruche, une gourmandise sous forme de sphère de nougat glacé poire et miel, tuile miel et son chaud de poire aux épices complètent le mélodieux repas. A noter que le miel ayant servi à créer ce dessert est directement issu des ruches élevées par la maison. Entre ces plats emblématiques, le chariot de fromages est à ne rater sous aucun prétexte, car il constitue l’une des signatures de la maison. La sélection a été effectuée auprès de certains fermiers locaux comme Xavier Godmet de La Boîte à Fromage. ...