Depuis plus de 50 ans, Plage Royale sait vous faire bénéficier d’un cadre idyllique au bord de la Méditerranée, que ce soit pour vous restaurer ou pour passer un après-midi de détente. Installée le long de la Croisette, elle vous offre plus de 780 m² de sable doré et 150 transats pour profiter du soleil en toute tranquillité, à l’écart de la foule. Mais vous pourrez également séjourner à l’ombre sur la terrasse tout en dégustant un délicieux cocktail maison. Plage Royale a misé sur le blanc pour son mobilier moderne et confortable ainsi que pour sa décoration, afin de mettre en valeur cet environnement unique. Le restaurant Le chef Alexandre Elia aime revisiter les classiques locaux en les habillant des saveurs des différents pays méditerranéens. Tous les plats sont préparés à base de produits frais. La carte change à chaque saison. Cet hiver, vous pourrez ainsi découvrir la succulente terrine de foie gras de canard à la compotée de coings et baies de goji ou le pavé de morue à la Portugaise, cuit au four avec huile d’olive, câpres, tomates séchées, olives et oignon. Vous pourrez également satisfaire vos papilles avec le loup grillé accompagné d’une fricassée de légumes et de pommes vapeur ou la bouillabaisse royale au safran et condiments. Un menu enfant est également proposé pour que toute la famille puisse partager un agréable moment. Vos événements Dans cet espace complètement modulable, vous pourrez organiser événements privés ou professionnels selon vos envies. Toute l’équipe de Plage Royale est à votre écoute pour mettre en place votre projet dans les meilleures confitions. Mariage, anniversaire, cocktail, concert, réunion de travail ou déjeuner d’affaires pourront ainsi bénéficier de la terrasse ou de la plage en accès privatisé. ...
Le vignoble du château, qui fait 25 hectares, est installé sur les anciennes terrasses du Tarn et de la Garonne et s’étend sur trois communes et deux départements. Il produit annuellement 120 000 bouteilles principalement en rouge et réparties en deux gammes bien distinctes. Jules, Julie et Juliette Tels sont les noms des cuvées de la nouvelle gamme de vins proposée par le Château. La cuvée « Jules » est un vin rouge masculin, souple et généreux, qui s’adapte à tous les moments conviviaux, quels qu’ils soient, mais surtout en famille ou entre amis. Ce précieux nectar accompagne à merveille les apéritifs ou encore les grillades d’été au milieu du jardin. Avec sa robe rose pâle, la cuvée « Julie » est un rosé fin et délicat, aux notes d’agrumes prononcées. Après avoir été rafraichie, elle se déguste lors des moments festifs avec des plats comme les sushis, poissons grillés et plus particulièrement des beignets de légumes. La cuvée « Juliette » est la dernière née du Château. C’est un vin blanc de cérémonie, sérieux mais qui peut convenir à toute la famille. Sa bouteille, stylée et moderne, est à l’image de cette cuvée : légère et gourmande, avec un goût de fruit maîtrisé. Gourmandise, légèreté et plaisir immédiat sont au cœur de ces « 3 Jus ». La Négrette, à la base de toutes les cuvées De la vigne au verre, le processus de fabrication du vin relève de tout un art qu’il faut maîtriser à la perfection. Chaque vin, chaque millésime se distingue par son terroir, sa vinification et les différentes méthodes employées par les vignerons. Au Château Clamens, la Négrette est au cœur de ce procédé. Il s’agit d’un cépage millénaire endémique de cette région du Sud-Ouest de la France. Fine et délicate, elle confère aux vins des arômes délicats de fruits rouges et de réglisse. Elle est à la base de toutes les cuvées du domaine, en assemblage avec le Cabernet Sauvignon pour sa noblesse, le Malbec pour sa structure, le Cabernet Franc pour sa fraîcheur et la Syrah pour sa chaleur et sa souplesse. Les différentes combinaisons effectuées par le domaine entre ces raisins lui permet d’obtenir des vins de caractère et faciles à boire. Les cuvées AOC Fronton Les cuvées plus traditionnelles, en appellation Fronton, qui ont fait et font toujours la renommée du Château Clamens sont des rouges issus d’une longue tradition. La cuvée « Caractère » se démarque par ses arômes de violettes, poires et pruneaux, « Héritage » par ses arômes de fruits noirs cuits aux notes boisées et « Prestige » offre des arômes de réglisse et fruits rouges. ...
L’Italie, son pays d’origine, ne quitte jamais le chef Paolo Sari, il l’affiche fièrement dans ses recettes. Tous les restaurants du Monte-Carlo Beach sont dirigés par ce passionné. Parmi ceux-ci figurent l’Elsa, le Deck et la Vigie. Un restaurant 100 % bio Elsa est un restaurant gastronomique étoilé dont la réputation n’est plus à faire à Monte-Carlo. Sa toute première étoile est un gage de qualité et de l’engagement qui lui a valu sa distinction de « premier restaurant 100 % bio certifié Ecocert ». Figurant parmi les plus grandes tables de la région, Elsa présente une cuisine contemporaine de haute qualité qui s’inspire de l’histoire culinaire de la Riviera. Les produits bio, majoritairement locaux, sont mis en valeur à chaque saison. Ils sont sélectionnés selon leur qualité, leur origine et les soins que les producteurs leur ont apportés. Elsa propose le Menu du Marché au déjeuner et les Menus Dégustation et Inspiration au dîner. Ce dernier est servi à l’ensemble des convives à la table. Le « Bio Sama » est le plat signature de l’établissement. Cette assiette de légumes et herbes du jardin à l’huile d’olive extra-vierge et sel de Camargue reste présente à la carte toute l’année mais change d’aspect selon la saisonnalité. Les saveurs méditerranéennes se découvrent aussi au travers des pâtes et riz proposés à l’Elsa ainsi que des poissons tels que les rougets rôtis suivant la tradition de la Riviera, accompagnés de purée de févettes et petits légumes du jardin. Les viandes sont également représentées par le cochon de lait, la côte au lard fait maison ou encore le gigot braisé. Les vins que le restaurant Elsa suggère à la carte pour accompagner les repas sont exclusivement bio. Il en est de même pour les fruits, chocolat et café rehaussant les saveurs des desserts. Un repas au bord d’une piscine olympique Avec son esprit brasserie, le Deck se veut être le lieu de rendez-vous de la Principauté de Monaco. L’ambiance est décontractée dans ce restaurant qui longe la légendaire piscine olympique du Monte-Carlo Beach. La cuisine y est également contemporaine et basée sur des produits frais de saison. Les tomates et mozzarella di bufala au basilic de la Riviera et carpaccio de bœuf biologique se placent au-dessus de tous les hors-d’œuvres disponibles dans la carte du Deck. Les spaghettis sont également omniprésents, mais cela n’exclut pas la présence de viandes telles que l’escalope de veau à la milanaise et poissons comme les calamars géants frits sauce tartare. Le Marché des Saveurs, un brunch programmé chaque dimanche, est une occasion de découvrir la cuisine du chef Paolo Sari. Lors de cet évènement, les convives se servent dans plusieurs stands en bois d’inspiration provençale avant de déguster leur plat sur la terrasse. Un dîner méditerranéen Perché sur un promontoire rocheux qui domine la mer le soir, le restaurant la Vigie est un « lieu privilégié ». Les poissons issus de la pêche locale permettent à Paolo Sari de réaliser cette fameuse cuisine axée sur la Méditerranée. Les spécialités qui ornent la carte de la Vigie sont les langoustes et les poissons grillés. Chaque ingrédient rigoureusement sélectionné bénéficie d’une présentation fraîche et appétissante, de quoi combler les épicuriens. Petite nouveauté pour cette année : le Monte-Carlo Beach Club organise une animation de saison intitulée « Beach Parties ». Le temps de deux soirées en juillet et deux en août, les invités en maillot de bain profiteront de la piscine chauffée et du buffet dressé autour. Les animations musicales quant à elles procurent une ambiance festive à l’événement. ...
Chaque année, l’industrie du vin produit plusieurs millions de bouteilles. Dans ces conditions, il n’est pas toujours facile pour les non-initiés de faire le bon choix. En mettant en valeur des vins primés, Box Office Wines permet au grand public de découvrir et d’apprécier des produits d’exception. A propos de Box Office Wines Box Office Wines est un site-hub indépendant créé à l’initiative de Régine Le Coz, œnologue et fondatrice d’Inter concours du monde (entité qui gère plusieurs concours internationaux dans l’agro-alimentaire) en partenariat avec les étudiants ingénieurs en informatique de Yncréa Méditerranée de l’ISEN de Toulon, sous la houlette de Stéphane Véra, directeur recherche et développement. L’objectif est de mettre en relation producteurs, consommateurs et acheteurs du monde entier à travers une sélection de spiritueux et vins primés lors de concours axés sur des thématiques fortes telles que les femmes, le vin rosé, la gastronomie et le terroir.« Box office Wines propose également la mise en relation de l’information autour de l’oenotourisme, la gastronomie, le packaging, l’art et la culture » explique la fondatrice. Open Tasting Wines & Spirits, un évènement grand public Afin de promouvoir et faire découvrir au grand public ces vins et spiritueux médaillés (Diamant, Or ou Argent), Inter concours du monde lance la troisième édition de l’Open Tasting Wines & Spirits. Un événement dégustation-découverte à destination du grand public. « A cette occasion, nous invitons les gens à venir déguster le palmarès de nos six concours et ensuite si cela les intéresse ils pourront se mettre en relation avec les producteurs concernés via le Box Office Wines » nous indique-t-on. Cet évènement exceptionnel se tiendra le samedi 23 juin 2018 de 10 h à 21 h à Monaco au Méridien Beach Plaza, un établissement de grand standing. Au menu de cette troisième édition figure entre autres la remise du Grand Prix Béatrice Cointreau en présence de Madame Claudine Neisson, lauréate lors du concours international « Femmes et Spiritueux du Monde » ainsi que de Madame Béatrice Cointreau. Les places sont limitées et les inscriptions peuvent se faire en ligne sur le site. ...
Caroline Barroux | Alors, j’ai repris l’exploitation familière en 2004, le château Barrabaque, qui est une propriété de 10hectares en appellation Fronsac-Canon-Fronsac. Et l’histoire de ce domaine commence en 1936 avec monsieur Achille Noël qui cultivait une vigne exclusivement rouge. Comment votre domaine a évolué et quel type d’agriculture vous y pratiquez maintenant ? C B | Alors, c’est une propriété qui appartenait à mon grand-père et ma mère a pris le relais jusqu’en 2004. C’est une exploitation avec principalement des rouges puisque l’appellation Fronsac-Canon-Fronsac ce sont des rouges, et dans les années 2000, j’ai diversifié en faisant du blanc et du rosé. Alors, on est en agriculture raisonnée maintenant depuis plus de 25 ans puisque c’est une démarche que ma mère avait démarrée fin des années 80, qui, ces dernières années ont permis de tenir la certification HVE Haute Valeur environnementale, mais cette certification n’a fait que mettre un mot, j’allais dire sur les pratiques éco responsables que l’on a depuis maintenant plus 25 ans. Une agriculture raisonnée depuis très longtemps pour plusieurs types de cépages, un sauvignon et un sémillon blancs, un rouge merleau, cabernet franc, cabernet sauvignon et petite particularité pour le domaine Barrabaque du Malbec, alors comment est-ce qu’on assemble tout ça chez vous ? C B | Alors, les vins de Barrabaque sont tous des vins d’assemblage, le prestige en est majoritairement merlot du cabernet franc et du malbec. Le château Barrabaque tradition, ce sont les trois cépages, j’allais dire majoritaire de notre appellation, merlot cabernet franc et cabernet sauvignon et puis ensuite la cuvée divins 50% malbec et 50% merlot. Les blancs c’est 2/3 sauvignon et 1/3 sémillon. Alors la particularité du caprice de Caroline c’est qu’il est vinifié en barrique, ça donne un vin un peu atypique dans la mesure où il y a à la fois beaucoup de fruits de fraîcheurs, et quand même une complexité qui est amenée par l’élevage en barrique. Et quant aux rosés, c’est un rosé de saignée, la méthode traditionnelle de production de rosé à Bordeaux et qui est un assemblage 50% merlot 50% cabernet. Et avec tous ces assemblages, nous obtenons vos sept vins, vous nous en parlez ? C B | Alors, nous avons d’abord le rosé qui s’appelle le rosé de Barrabaque, en blanc nous faisons deux blancs différents, le caprice de Caroline qui est vinifié en barrique et le gourmandise certaines années et en particulier les années où nous avons des jeunes vignes parce qu’une jeune vigne ne pourra pas faire l’objet du caprice de Caroline. Et ensuite sur les rouges, nous avons quatre rouges principaux la cuvée Hugo qui est, j’allais dire notre entrée de gamme sans vieillissement en barrique, ensuite nous avons le château Barrabaque tradition, le château Barrabaque prestige et pour finir, une cuvée atypique qui s’appelle le Barrabaque Divin. Et pour parler un peu de votre grand-père grâce à qui tout ça a débuté, qu’est-ce qu’il disait sur les millésimes ? C B | Mon grand-père dirait qu’on reconnaît les bons vignerons, les petits millésimes parce qu’un bon vigneron va faire un bon tous les ans. Les millésimes exceptionnels, on en a forcément, c’est 2015 ça va être 2016, ça va être 2018, 2019, mais des millésimes plus difficiles comme 2014, 2012, et bien quand on fait un grand vin, j’allais dire qu’on peut reconnaître si on a un bon vigneron en face de nous. Une parole sage de votre grand-père. Alors, si moi cet été, pour encore mieux apprécier mes vacances je veux venir visiter votre domaine, comment ça se passe ? C B | Alors nous, on peut s’adapter à toutes les possibilités, j’allais dire qu’on est une des rares propriétés ouvertes au public sept jours sur sept parce que nous habitons sur place. Pour les gens qui ne connaissent pas, on peut faire la visite des cuviers, des chais à barrique et terminer par une dégustation, bon les clients qui connaissent finalement ils viennent déguster les nouveautés et ensuite, on propose également des ateliers de dégustations depuis un an maintenant Et je suis sûre que de déguster vos v...
Le couteau Laguiole n’est pas un simple objet utilitaire. Il est l’incarnation d’un art de vivre mêlant raffinement, authenticité et exigence. C’est un compagnon du quotidien qui se glisse dans une poche, se pose sur une table de fête, se transmet comme un bijou. Chez Iforge, cette philosophie transparaît dans chaque détail. Chaque couteau est conçu comme une pièce unique, façonnée à la main, dans un atelier où le geste de l’artisan est au cœur du processus. Ici, on choisit l’excellence, une part d’histoire, un fragment de patrimoine, un objet vivant façonné avec passion par des artisans. En somme, un symbole de l’élégance, d’un esprit à la française. Iforge, une tradition séculaire, un enracinement profond Cette coutellerie française trouve deux de ses piliers les plus solides à Thiers, dans le Puy-de-Dôme, et à Laguiole, en Aveyron. Elle s’inscrit au croisement de ces deux terres légendaires qui ont façonné l’Histoire de la coutellerie française. Thiers, capitale de la coutellerie, façonne des lames depuis le XVe siècle. Dès le XVIIe siècle, ses couteaux franchissaient les frontières, jusqu’au Moyen-Orient, portés par une réputation de robustesse et de finesse. Au milieu du XIXe siècle, près de 25 000 ouvriers y œuvraient à la production coutelière. Aujourd’hui encore, ce savoir-faire se perpétue. Mais Thiers ne règne pas seule. À Laguiole, petit village de l’Aubrac, le célèbre couteau voit le jour au XIXe siècle. Sa silhouette emblématique, son élégance discrète, son manche galbé, sont devenus des icônes du savoir-vivre français. Là aussi, le travail artisanal se transmet de génération en génération. Aujourd’hui, Iforge se nourrit de ce double héritage et de cette passion du couteau d’exception. Iforge ou l’art du couteau personnalisable Chez Iforge, chaque couteau est bien plus qu’un simple outil. C’est une œuvre d’art personnalisée. Cette maison propose à ses clients de concevoir un couteau sur mesure, adapté à leurs envies, à leur usage, ou à un moment particulier de leur vie. Le manche peut être façonné dans des matériaux aussi variés qu’élégants de bois nobles aux matières rares, en passant par des éléments uniques comme du fossile de mammouth, de la turquoise, du coquillage, ou même des matériaux encore plus précieux suivant la demande. La lame, elle aussi, se décline au gré des préférences : de l’acier au carbone traditionnel à l’extraordinaire acier de damas, connu pour ses motifs ondulés et sa résistance légendaire. À cela s’ajoute la possibilité de graver le ressort, situé sur le dos du couteau, avec des initiales, une date, un symbole ou un message. Et que dire de la mouche, ce petit ornement au sommet du ressort, habituellement en forme d’abeille ? Chez Iforge, elle devient un terrain d’expression artistique. L’atelier d’Art n’hésite pas à en détourner la forme pour répondre à une demande particulière. Ainsi, un modèle pour les pèlerins de Compostelle remplace la mouche traditionnelle par une coquille Saint-Jacques, clin d’œil au chemin mythique. Chaque couteau devient ainsi un objet singulier, porteur de sens, parfois même de mémoire. Cadeau, transmission, outil de tous les jours ou pièce de collection : tout semble possible pour cet atelier. Pour plus de renseignements sur le couteau personnalisable suivez ce lien. Un atelier vivant : entre réparation et perfection Fidèle à sa vocation artisanale, Iforge ne se limite pas à la création. L’atelier propose également des services de réparation et d’affûtage, prolongeant ainsi la vie des couteaux abîmés ou émoussés. Un Laguiole, comme tout bel objet, mérite un entretien à la hauteur de sa qualité. Que ce soit pour redonner du tranchant à une lame fatiguée, réparer un mécanisme ou remplacer un manche usé, Iforge s’engage à faire revivre les couteaux confiés par ses clients. Ce service est aussi une manière de respecter une certaine écologie de l’objet ou ici la règle e...
Tantôt salon tantôt table gastronomique, Les Éditeurs vous emmène dans un voyage gustatif où les saveurs françaises sont savamment mêlées à la cuisine venue d’ailleurs. Assurant un service continu, dans une ambiance décontractée mais chic, cette table urbaine, qui se veut être traditionnelle dans l’âme, saura ravir vos papilles. Une explosion de saveurs C’est dans un cadre unique et exceptionnel que vous êtes accueilli aux Éditeurs. Ballotté entre bonne cuisine, littérature et ambiance cosy, vous y trouverez un véritable cocon gourmand. Régalez-vous en dégustant, bien lové dans des fauteuils et banquettes en cuir rouge, le foie gras de la maison, suivi d’une choucroute de la mer et d’une minute de chocolat noir « Tanzanie » pour clore le tout en beauté. Accompagnez tout cela d’un vin issu de la cave du restaurant, comprenant plus d'une vingtaine de références. A la carte, à travers le menu ou les choix à l'ardoise, faites votre choix parmi les nombreux plats savoureux rappelant toute la richesse de la gastronomie française. La littérature : une passion à partager Le restaurant Les Éditeurs puise ses origines dans la passion pour la littérature, passion partagée avec les hôtes grâce à la bibliothèque bien fournie mise à disposition. Dans un cadre artistique rappelant les anciens cafés littéraires, ce restaurant est un lieu à part où art culinaire et culture littéraire ne font qu’un. Idéal pour un brunch en week-end, un dîner en tête-à-tête ou un rendez-vous d’affaires, cette table élégante fera de vous, le temps d’une escapade culinaire, un critique littéraire et gastronomique hors pair. ...
Aménagé pour votre confort, le restaurant La Fonderie offre un cadre agréable et convivial avec, le soir, le spectacle d’« un très beau coucher de soleil », comme le décrit si bien Laura Lesne, la propriétaire de l’établissement. Le nombre de places dans la salle a été volontairement limité pour mettre l’accent sur un décor aéré où la notion d’espace prend tout son sens. On aime s’y rendre pour un repas intimiste et chaleureux où une cuisine originale et raffinée vous met l’eau à la bouche et vous met de bonne humeur. Une belle mosaïque de saveurs Privilégiant la cuisine faite maison, le restaurant La Fonderie met les petits plats dans les grands pour vous faire découvrir des plats innovants et savoureux préparés à base de produits frais et de saison rigoureusement sélectionnés et issus de producteurs locaux. À travers des formules gourmandes ou un choix à la carte, les entrées, plats et desserts se conjuguent au présent et promettent gourmandise et satisfaction. À ne rater sous aucun prétexte : le fameux menu A Fundaria qui associe les meilleures spécialités corses à savoir le Miagliacci, différentes déclinaisons de charcuteries, le cannelloni au brocciu, fromage et le fiadone. Et grâce à un parfait accord mets/vins qui met à l’honneur des vins corses du Domaine de Coste Caserone dont la plupart sont médaillés, chaque bouchée offre une belle explosion de saveurs en bouche. La bonne cuisine combinée à un accueil chaleureux font de la Fonderie un lieu incontournable des gourmands et de gourmets qui y trouvent leur bonheur et prennent plaisir à recommander le restaurant à leurs amis et à leur entourage. ...
L’exploitation familiale Th. Petit a été reprise en 1995 par Bénédicte Bérard-Meuret. Aujourd’hui, elle et son époux travaillent ensemble sur un vignoble qui s’étend sur une superficie d’environ 6 ha. L’encépagement s’y compose majoritairement de pinot noir et de chardonnay. « Notre terroir jouit d’un très bon ensoleillement et il est très favorable à l’expression du pinot noir », souligne la gérante. Un processus maitrisé Depuis sa création, la maison Th. Petit a toujours cherché à privilégier une méthode culturale qui respecte l’environnement. Actuellement, elle s’est engagée sur une viticulture raisonnée, impliquant une utilisation très limitée de produits phytosanitaires. Concernant la vinification, le pressurage est confié à la coopérative vinicole du village. Les précieux jus rejoignent ensuite les cuves de l’Union Champagne à Avize. Il s’agit d’une structure qui regroupe plusieurs coopératives champenoises et dont le savoir-faire est reconnu par les plus grands experts en vin. « L’élaboration, quant à elle, est assurée par un œnologue », nous confie-t-on. Des cuvées prestigieuses Afin de satisfaire une large diversité de consommateurs, la maison propose une gamme complète de champagnes : Blanc de blancs, Brut, Brut rosé, Demi-Sec, Millésimé 2012 et Prestige Millésime 2006. La cuvée Brut et la cuvée Prestige Millésimé 2006 peuvent toutes les deux prétendre au titre de « cuvée emblématique » de la maison Th. Petit. La première est obtenue à partir de 75 % de pinot noir et de 25 % de chardonnay. Ce champagne de cœur revêt une teinte or brillant et séduit par ses arômes de fruits rouges et de pêche. Une cuvée de qualité exceptionnelle récompensée par 3 étoiles au Guide Hachette. Le Millésime 2006, quant à lui, s’obtient par l’assemblage de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. C’est un champagne racé, puissant et qui saura accompagner parfaitement tous les moments d’exception. ...
L’histoire des champagnes Taittinger commence en 1734 quand Jacques Fourneaux entame son activité de négociant en vins. C’est à cette époque que les vins effervescents commencent à s’imposer. Il travaille alors avec des abbayes bénédictines qui possèdent les plus beaux vignobles champenois. La famille Fourneaux s’associe au début du XIXe siècle avec la famille Forest pour continuer à produire des grands crus millésimés comme le Vin de Sillery ou le Vin de Bouzy. En 1932, suite à la crise de 1929, Pierre Taittinger rachète le château de la Marqueterie. Cette propriété dont les vignobles sont plantés en chardonnay et en pinot noir appartenait à la maison Forest-Fourneaux. Avec l’aide de son beau-frère Paul Evêque, ils créent la marque Taittinger et développent la production de champagne. Sous la présidence de François, le troisième fils de Pierre, la Maison Taittinger installe son siège social sur la butte Saint-Nicaise. Il y est toujours établi aujourd’hui. En 2006, Pierre-Emmanuel Taittinger rachète la maison de champagne éponyme après un court passage dans le giron de Starwood Capital. Ses enfants Clovis, directeur du département export, et Vitalie, directrice artistique, l’accompagnent dans cette entreprise familiale. Aujourd’hui, les vignobles se composent de multiples parcelles réparties sur 288 hectares, avec 37 crus différents et une prédominance du cépage chardonnay. La maison Taittinger emploie 220 personnes et produit six millions de bouteilles par an dont 70 % sont distribuées à travers le monde. Visite des caves Saint-Nicaise : un vrai parcours historique Après la diffusion d’un film vidéo présentant l’histoire de la maison, un guide vous présentera les secrets de la production du champagne. Ce voyage dans le temps vous mènera tour à tour dans les vestiges de l’abbaye Saint-Nicaise datant du XIIIe siècle, puis à dix-huit mètres de profondeur, dans de somptueuses crayères gallo-romaines faisant partie des coteaux, maisons et caves de champagne inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. À l’issue de la visite des caves, vous pourrez admirer la Taittinger Collection. L’ensemble des différentes bouteilles sont décorées par des artistes de renom, tels que Roy Lichtenstein ou Victor Vasarely et plus récemment le photographe brésilien Sebastião Salgado. La dégustation : un instant de plaisir La Maison Taittinger vous offre la possibilité de choisir entre différentes formules de dégustation qui vous permettront de déguster une ou plusieurs cuvées. L’instant Premier : la cuvée Brut Réserve issue d’un assemblage de 40 % de chardonnay, 35 % de pinot noir et de 25 % de pinot meunier, vieilli de trois à quatre ans en cave. Cette formule coûte 19 €. L’instant Dévoilé : vous pourrez goûter en plus du Brut Réserve un autre champagne de la Maison Taittinger. Le Prélude Grands Crus assemblé à partir de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir, une cuvée aux saveurs d’agrumes et de pêche blanche. Le Prestige rosé composé de 30 % de chardonnay et de 15 % de vin rouge tranquille, un champagne plus fruité, vif et gourmand. Ou encore le Brut Millésimé 2012, à l’intensité aromatique étonnante procurée par les vins de première presse de chardonnay et de pinot noir. Cette formule coûte 30 €. L’instant Signé : là, vous aurez l’occasion de découvrir, en plus du Brut Réserve, le fleuron de la maison Taittinger, la cuvée Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Ce Blanc de Blancs issu exclusivement de la prestigieuse côte des Blancs est vieilli dix ans dans les caves de l’Abbaye Saint-Nicaise, le temps nécessaire pour élaborer un champagne exceptionnel à la fois tout en finesse et en maturité. Cette formule coûte 40 €. L’instant Absolu : vous pourrez savourer trois flûtes dont une flûte de Brut réserve, une flûte de Prestige rosé ou Prélude Grands crus ou Brut Millésimé, et une flûte de Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Cette formule coûte 45 €. ...
La famille Chatonnet a toujours été active dans le monde du vin. Dès 1750, celle-ci produisait déjà des vins de grande qualité. En 1967, André et Jeanine Chatonnet, les parents de Pascal, l’actuel gérant, décident de racheter la propriété, le Château Haut-Chaigneau. Durant près de 40 ans, le couple s’attèle à y cultiver les meilleurs cépages tout en s’efforçant de développer le vignoble au fil des années. Aujourd’hui, leur fils Pascal continue fièrement de poursuivre la voie tracée du succès. Celui-ci suit de près les évolutions en matière de vin, sans pour autant renier ce que ses parents ont accompli avant lui. Un singulier terroir Ce vignoble de 30 ha se répartit sur 3 zones différentes. La majorité des vignes est localisée sur Lalande-de-Pomerol ; 1,2 hectare est implanté sur Saint-Émilion et un demi-hectare sur la Montagne-Saint-Émilion. L’encépagement est dominé par le merlot, suivi par le cabernet franc et le malbec, en toute petite quantité. Sur ces terres, les vignes bénéficient d’un terroir particulier avec des sols composés de mélanges d’argiles et de graves. « Cette particularité au niveau de Lalande-de-Pomerol procure aux vins beaucoup de rondeur et un potentiel de garde important », souligne Céline Cassat, responsable commercial. Zéro résidu Respectueux à la fois de l’environnement et des consommateurs, le domaine pratique une agriculture conventionnelle avec une utilisation très limitée des produits chimiques. Par ailleurs, dans le but de proposer des vins exempts de tous résidus de pesticides, Pascal Chatonnet a créé, à travers ses laboratoires, le label « Phytocheck ». « Ce label certifie que les vins ne contiennent aucune trace de pesticide », indique-t-il. Côté vinification, la maison privilégie de longues macérations pouvant s’étaler sur 3 ou 4 semaines en fonction des cépages. Selon les parcelles, une partie du jus est ensuite vinifiée dans des cuves en bois tandis qu’une autre partie poursuit sa vinification dans des cuves en inox. Quotidiennement, un remontage est réalisé en vue d’extraire le maximum de tanins, d’arômes et de couleurs. « Sous la supervision de notre maitre de chai, nous procédons tous les jours à des dégustations tout en surveillant le bon déroulement des fermentations », nous explique-t-on. Des vins régulièrement primés La maison produit en tout 7 cuvées, dont la qualité est toujours reconnue à sa juste valeur. À l’exemple des cuvées « La Sergue » et « Le Château Haut-Chaigneau », les fleurons du domaine. « La Sergue » a reçu, en 2011, une médaille d’or au concours national des vins de Mâcon pour le millésime 2008 et, en 2014, une médaille d’or au concours Aquitaine de Bordeaux pour le millésime 2011. Issu de l’assemblage de 85 % de merlot, 12 % de cabernet franc et 3 % de malbec, ce vin reste LA référence incontournable de l’appellation Lalande-de-Pomerol. S’habillant d’une robe à la couleur dense, cette cuvée présente une bouche grasse et soyeuse par excellence. Quant à la cuvée « Le Château Haut-Chaigneau », les millésimes 2013 et 2016 ont respectivement gagné la médaille d’or au concours mondial de Bruxelles et la médaille d’argent au concours national des vins de Mâcon. Ce vin a fait l’objet d’une vinification particulièrement soignée et d’un élevage en barrique extrêmement précis. Il illustre le savoir-faire unique de la famille Chatonnet dans la production de grands vins. ...
Sensible au « bien manger », à la dégustation de mets élaborés avec des produits frais, de saisons et à un tarif abordable, la destination Baie de Saint‐Brieuc – Paimpol ‐ Les Caps propose un menu qui donne l’eau à la bouche : une riche palette de produits terre/mer, des professionnels engagés dans la qualité, désireux de faire partager leur savoir‐faire, et des événements tout au long de l’année. La destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ Les Caps se situe en Côtes d’Armor dans la cinquième plus grande baie au monde par l’amplitude de ses marées et s’étend de Paimpol à Fréhel. La renommée des chefs, le nombre de restaurants, la qualité des produits gastronomiques locaux et la riche programmation des animations culinaires font de ce territoire une véritable destination gourmande. En Baie de Saint‐Brieuc, les chefs sont inspirés par les senteurs et saveurs des produits locaux. Ils mêlent avec talent les produits de la terre aux produits de la mer dont la fameuse coquille Saint‐Jacques, reine de la baie, pêchée d’octobre à avril, mais aussi d’autres produits d’exception comme le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol ou le fameux «coco de Paimpol» (AOC). La programmation gourmande de la Baie de Saint‐Brieuc donne rendez‐vous aux amateurs de bonne chère. Pour le weekend de la pentecôte, les chefs quittent leur cuisine pour Rock’n Toques durant le festival Art Rock. Tout au long de l’année les occasions ne manquent pas pour découvrir le territoire tout en ravissant les papilles : balades gourmandes, dégustations, ateliers, visites des criées, marchés nocturnes bio, fête de l’huître, fête de la coquille Saint‐Jacques, fête de la Gastronomie... De la crêperie au restaurant étoilé, les escales gourmandes parsèment la Baie de Saint‐Brieuc. Ports, fermes, cidreries, conserveries... Nombreux sont les professionnels qui ouvrent leurs portes au grand public pour partager leur passion. Des produits savoureux de qualité Entre terre et mer, la Baie de Saint‐Brieuc apparaît comme un condensé de Bretagne, par ses paysages, ses traditions, son patrimoine. La Baie de Saint‐Brieuc avec ses panoramas bleus et verts et ses plages escarpées, abrite de nombreux produits de bouche de qualité. Parmi les différents trésors, la coquille Saint‐Jacques est certainement le plus réputé. Plus de 5 700 tonnes de coquilles sont pêchées depuis les ports d’Erquy, Loguivy‐de‐la‐Mer et Saint‐Quay‐Portrieux en Baie de Saint‐Brieuc. La Baie est également un territoire de mytiliculture, d’ostréiculture, de maraîchage, d’élevage de porcs et de poissons. On y déguste le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol, l’huître de Fréhel avec son goût très iodé, les moules, le coco de Paimpol, les algues, les pâtisseries telles que les palets de Fréhel à la nougatine et au chocolat, les crêpes bretonnes... le pommeau du Goëlo, le cidre, le boujaron (eau de vie de cidre) : les breuvages ne manquent pas non plus en Baie de Saint‐Brieuc. Une destination authentique innovante Si la Baie de Saint‐Brieuc est authentique par ses paysages et ses produits, elle est innovante par les hommes qui la font vivre. Dans cet espace où terre et mer ne cessent de se superposer, l’originalité et la créativité des « hommes gourmets » semblent illimitées. Elles sont le fruit d’une émulation partagée, d’une inspiration toujours sollicitée avec des produits locaux de qualité. La destination compte trois chefs étoilés au guide Michelin : Mathieu Aumont (Saint-Brieuc), Jean‐Marie Baudic (Saint‐Brieuc) et Nicolas Adam (Plérin). C’est aussi à Saint‐Brieuc qu’est né le collectif Rock’n Toques. Une brigade de cent cinquante professionnels de la restauration, dont trois chefs étoilés, qui proposent pendant les trois jours du Festival Art Rock, une gastronomie de rue qualitative, à base de produits locaux et de saison. C’est donc dans un esprit convivial, de partage et de fête que la destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ les Caps développe une démarche collective pour permettre, aux prix les plus abordables possibles, de valoriser une alimentation saine, locale...
Associés depuis 5 ans, les deux hommes à la tête du Domaine des Joséphins travaillent sans relâche, pour faire changer le visage du beaujolais aux yeux des amateurs de vins. C’est un vin qui se veut désormais dédié aux grandes dégustations. Il peut aussi être conservé plus longtemps et se bonifier avec le temps. Le domaine propose 12 cuvées avec des gammes différentes. L’évolution du Domaine Défenseur de la viticulture beaujolaise, Gérard Presle s'est occupé seul de ses 21 hectares de vignes avant son association avec Jean-François Pluvinage. Une rencontre qui permet aux deux hommes de travailler sur la phase d'élevage du vin. Un choix peu courant en Beaujolais, qui consiste à travailler le vin en cuve sur lies ou en barriques de 6 mois jusqu'à 2 ans et demi. Une étape minutieuse qui permet au domaine de produire des vins d'exception, reconnus et au potentiel de garde allant jusqu'à plus de 10 ans. La culture des raisins, sur un sol argilo-calcaire en pierres dorées, et sous un climat continental où règne une influence méditerranéenne comme dans ce domaine, est un gage de la qualité des vins. La carte des vins des Joséphins Des vins aussi riches que variés, c’est ce que propose le domaine à travers deux grandes familles: les vins Convivialité et les vins Contemplation. Parmi les vins Convivialité, voici « La belle Joséphine ». C’est un vin rosé et effervescent. Il est fermenté à moitié, et son côté gazeux vient du fait que la fermentation n’est pas achevée. Pour les repas au bord de la piscine ou encore en famille, ce vin pétillant est tout approprié. C’est un vin frais, légèrement sucré en bouche et d’une fine bulle. Un autre vin, composé avec un cépage originaire de suisse et acclimaté au terroir, il s’agit de la « Tête Noire 2014 ». C'est un vin aux accents du sud, corsé, fruité et épicé, il se marie bien avec la cuisine provençale. Le seul vin en assemblage que propose le domaine est le « Coteaux Bourguignons 2012 ». C’est un assemblage de pinot noir, de gamay et une touche de Chardonnay. Il accompagnera volontiers les plats de volaille aux champignons. Le cœur de millésime du domaine est un « Beaujolais rouge AOC 2014» élevé en cuve entre 6 et 9 mois selon les années. Ce classique qui compte parmi les têtes de cuvées peut être gardé 5 à 6 ans. Ce vin a remporté de nombreuses citations: 15/20 dans le Revue des Vins de France et 1 étoile au guide Hachette 2017. C’est le vin du beaujolais le plus simple avec sa robe grenade, son arôme fraise-cassis et une jolie longueur en bouche démarrant sur un soupçon de fraicheur apporté par la minéralité. Au rayon des vins Contemplation, le « Gaamez 2012 Beaujolais des Pierres Dorées ». L’élevage de ce vin dure plus longtemps. 24 mois en fut, 6 mois en bouteille couchée en cave pour bien se reposer avant étiquetage et mise en circulation. Seule la cuvée 2012 est commercialisée actuellement, celle de 2013 est encore en phase repos en cave. C'est un vin rouge aux arômes de fruits rouges cuits, et accompagné d’une douce acidité en bouche libérant un peu de fraîcheur. Il se déguste avec des plats mijotés comme le bœuf bourguignon, et va se garder entre 10 et 12 ans. En accompagnement de plats à base de truffes, le « Viognier des Joséphins ». C’est un vin qui a son berceau à Condrieu. Sa fermentation se fait directement en fut, et il en résulte un arôme pêche-abricot tout en finesse. ...
Repris en 2016, le domaine est exploité par Marc-Olivier Bertrand dont il est copropriétaire avec 150 autres personnes, via un financement participatif réalisé avec l'aide de Terra Hominis. La totalité du vignoble, érigée sur des sols basaltiques, est en appellation Languedoc Pézenas. Des techniques consciencieuses La qualité des vins est garantie par un mode cultural qui favorise la vie des sols et la biodiversité. Ce travail respectueux de la Nature est certifié bio par le label AB (agriculture biologique). ...
Le vaste vignoble compte 460 hectares classés en AOP Picpoul de Pinet. Sur un sol argilo calcaire, d’autres cépages tendent leurs arômes fruités : Chardonnay, Sauvignon, Terret, Merlot, Syrah, Grenache, Cinsault, Carignan ou Cabernet. Ici, les vins sont à l’image de leur terroir : ensoleillés, fruités et riches d’une fraîcheur toute minérale. Le dynamisme d’une entreprise passionnée Le vignoble des vins de la Famille de Beauvignac est la maison mère de la coopérative. Cette ancienne terre où vivait la baronnie de l’époque a fusionné dès 2003 avec d’autres caves voisines. Les Costières de Pomerols comptent aujourd’hui 250 vignerons. Ensemble, ils renouvellent l’image des vins de leur terroir, s’équipent et se modernisent, portés par des valeurs communes. L’amour des vignes, l’exigence pour des vins de qualité, le respect de l’environnement. Entouré de paysages bucoliques, voisin d’ostréiculteurs et à proximité de la lagune de Thau, le domaine prête une attention particulière à l’agriculture durable Les Costières de Pomerols comptent 110 médailles en 2019. Ici, la production ne se fait pas au détriment de la qualité. Les vins sont exportés dans 48 pays du monde, portant haut un terroir et ses saveurs méditerranéennes. ...
L’hôtel Les Barmes de l’Ours est né sous l’initiative de Delphine André. Avocate de formation, elle décide de vivre sa passion pour l’hôtellerie en ouvrant son premier établissement à Val-d’Isère. Pour concrétiser son projet, elle s’entoure d’une équipe de choc, composée notamment du décorateur Michel Force et du tapissier Charles Jouffre. Ensemble, ils réussissent à faire des Barmes de l’Ours une adresse incontournable dans le massif de la Vanoise. Au sein du chalet perché en altitude, une cuisine gourmande et maitrisée, signée Alain Lamaison, est à l’honneur et fera le bonheur des épicuriens. Les coins gourmands des Barmes de l’Ours La Table de l’Ours est un restaurant gastronomique étoilé. Ici, le chef Alain Lamaison réinterprète avec talent et créativité les grands classiques de la cuisine de montagne. Outre les foies gras et les Saint-Jacques, le pigeon Miéral accompagné d’amandine aux graines de lin et petit pois est très apprécié. Il en est de même pour le ris de veau. Les menus « Au fil de la saison » et « Dégustation » invitent à l’exploration d’autres saveurs. La « Rôtisserie » dégage un style qui se rapproche plus de la brasserie. Alain Lamaison y propose une cuisine simple et traditionnelle. Les pièces de bœuf, d’agneau ou de volaille les plus nobles sont dorées dans une imposante rôtissoire devant les convives. En garniture, la maison suggère une purée de pommes de terre aux truffes, des légumes verts ou des pommes allumettes. La formule « Buffet », quant à elle, est un rendez-vous incontournable tous les soirs. Le « Coin Savoyard » met en valeur la tradition culinaire régionale. Il présente des plats aux accents du terroir comme la raclette au lait cru ou au fromage fumé ainsi que la fondue savoyarde des Barmes au xérès. Il partage également les buffets des entrées et des desserts de l’espace « Rôtisserie ». Au Sofa Bar, le chef barman apporte encore plus de valeur à cet endroit grâce à ses cocktails maison avec ou sans alcool. Le plus représentatif de la maison est le Val Fizz, un cocktail au champagne à base de liqueurs régionales comme le génépi. Le barman y ajoute de l’eau-de(vie de poire pour le côté fruité, de la liqueur de sureau pour le côté floral, sans oublier le champagne. Du jus de pomme bio de Savoie adoucit ce mélange. Décorée avec des fruits et une tête de romarin, la boisson sera parfumée par de la chartreuse. Un chalet pas comme les autres Cet hôtel, dont la décoration a été pensée par Michel Force sur les préconisations de la propriétaire des lieux, rappelle les anciennes grandes maisons familiales montagnardes. Dans l’enchantement de ce décor luxueux, l’hôtel signe toute sa différence au travers de cette dualité entre l’ancien et le moderne et ses différentes décorations qui se découvrent au fil des étages. Au premier, place à un style à l’esprit scandinave, marqué, entre autres, par les couleurs tendres et la présence de mobilier gustavien. Au deuxième, une ambiance inspirée des lodges du Grand Nord des Amériques allie noblesse du cuir, douceur du velours et chaleur de la fourrure. Un niveau plus haut : le confort et la rusticité des chalets d’Alpage s’illustrent via l’omniprésence du bois et du mobilier traditionnel. Enfin, pour ceux qui rêvent de sérénité et de design, rendez-vous au quatrième étage avec sa touche contemporaine. ...
Géré par Daniel Bouillard, 4e génération de « bouilleurs de cru », le Domaine du Puits Faucon perpétue un savoir-faire séculaire transmis de père en fils. De la vigne aux vins Vigneron indépendant, Daniel s’attache à mener son vignoble de 37 ha en lutte raisonnée. Enherbement, utilisation limitée de produits de synthèse, couverts végétaux pour limiter l’érosion et capter l’azote… Tout est fait pour assurer une production de qualité. Des produits primés Parmi les spécialités de la maison, le cognac X.O (20 ans d’âge), le vieux pineau (15 ans) et le pineau blanc (6 ans), tous vieillis en fût, sont les plus représentatifs. Gage de leur qualité, ces produits ont décroché respectivement une médaille d’or au Concours général de Paris (2014) et deux médailles de bronze au Concours des saveurs régionales (2015 et 2018). ...
Sur un fond de tonalités végétales, Le Lulli offre une belle luminosité à laquelle vient s’ajouter une grande verrière installée tout au long du restaurant. Transformé en un lieu du chic et du charme avec en plus « un magnifique jardin au jeu de lumières infinies», comme le décrit si bien le chef Jean-Baptiste Orieux, Le Lulli est une véritable œuvre d’art pour qui sait l’apprécier. Constitué à 50 % d’une clientèle d’affaires et à 50 % de « personnes qui recherchent un produit plus élevé qu’un restaurant traditionnel ou qu’une brasserie parisienne », l’établissement est un lieu dédié à la clientèle parisienne, un endroit « où l’on peut passer un bon moment avec un service de qualité 5 étoiles », se félicite-t-on. À 35 ans et après 12 ans d'expérience auprès du chef meilleur ouvrier de France Jean-Yves Leuranguer au Fouquet’s Barriere, Jean Baptiste Orieux a pris la tête des cuisines du grand hôtel du palais royal et de son restaurant le Lulli en juillet 2017. Une cuisine très France avec plusieurs spécialités Le restaurant Le Lulli offre à sa clientèle « une cuisine savoureuse, préparée avec des produits frais », nous précise-t-on, mais également des spécialités variées tout aussi succulentes les unes que les autres, incluant 4 entrées, 6 plats et 6 desserts. Les formules déjeuner incluent deux plats à 29€ ou trois plats à 38€ avec des propositions appétissantes à chaque semaine. Jean-Baptiste Orieux a imaginé une carte au goût du jour, construite autour de produits locaux choisis pour leurs propriétés et leurs qualités, bio ou encore sans gluten. Il offre ainsi une sélection de plats très raffinés, réalisés avec les meilleurs produits de saison. Bar pané au sésame condiment gingembre, ballotine de foie gras de canard mi-cuit et Granny Smith bio, dos de cabillaud avec chou-fleur façon risotto aux algues et craquant de sarrasin, maigre confit avec bonbon de poireaux, hollandaise au Gewurztraminer ... En dessert, on se laisse volontiers tenter par le pavlova framboise et sa meringue délicate ou l’opéra café et chocolat... biscuit croustillant »… Le Lulli, le restaurant du Grand Hôtel du Palais Royal, est RÉCOMPENSÉ POUR LA DEUXIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE EN 2017 PAR LE GUIDE MICHELIN qui lui attribue « L’Assiette MICHELIN ». ...
Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse. Ancien point relais de diligence Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône. Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin… Pour le plaisir des papilles Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …). ...
Leur bière se distingue par sa fabrication et dans le choix des matières premières. La fermentation se fait entre trois et sept jours, puis repose pour trois de plus, pour enfin couler directement de la cuve au verre. Chaque établissement possède 10 à 20 cuves pour fabriquer sa bière et écoule entre 800 et 2 000 hectolitres/jour de bière. Trois catégories sont notamment proposées : les traditionnelles (blanche, blonde, ambrée, brune) ; la cuvée du Brasseur (ou la bière du mois). Une cuisine savoureuse 3 Brasseurs c’est aussi un restaurant à l’ambiance conviviale et chaleureuse. C'est l’adresse parfaite des épicuriens. La carte réserve une palette de gourmandises, de l’apéritif, aux desserts en passant bien sûr par les salades et les plats. Sans oublier les incontournables 3 Brasseurs : Les carbonnades Flamandes, le pot’jevleesh, le Welsh, les flammekueches et la choucroute. Pour les plus courageux (et surtout les plus gourmands), l’assiette gourmande ou le ribs de porc (environ 500 g) proposés chaque jour. Les 3 Brasseurs mettent ainsi à l'honneur une cuisine traditionnelle et franche à travers des suggestions aussi gourmandes que savoureuses. ...
L’Eveil des Sens établi dans un espace cosy, familial et traditionnel vous initie à la tradition culinaire française. La maison révèle un décor sobre et épuré et dispose d’une terrasse ombragée entourée par un environnement verdoyant et spacieux. Un palmarès irrévocable A Trelins, en Loire, l’Eveil des Sens a été, à la base, une auberge communale dont le fonds de commerce a été repris en 1999 par José et Sandrine Afonso. Dans l’optique de disposer d’un endroit à son image, il fait de nombreux réaménagements et créé en 2014, un Hôtel deux étoiles. Vu la rareté du service hôtelier dans les Communes du Forez, cet établissement tombe à pic. Il propose six chambres confortables et accueillantes dont certaines ont été adaptées pour accueillir les personnes à mobilité réduite. De nombreux plats pour mettre l’eau à la bouche Dans le restaurant, les menus sont diversifiés. Laissez-vous tenter par le menu gourmand à 20 euros, le menu gourmet à 22 euros ou le menu gastronome à 27 et 34 euros. Les petits garnements ne sont pas en reste chez l’équipe des Afonso qui leur a élaboré un menu enfant. La carte quant à elle est souvent renouvelée tout en mettant à l’honneur des produits frais et locaux pour une meilleure exploration des saveurs. Le chef concocte une cuisine traditionnelle savoureuse et raffinée. Sa terrine de canard accompagnée d’une confiture d’oignons ou bien son magret de canard sauce aigre douce fait chavirer les papilles. Les grenouilles poêlées ou encore l’assiette du pêcheur préparée selon les arrivages du jour attisent l’appétit. Et en dessert, il propose sa palette de gourmandise. La carte de vin raffinée qui se veut être en impeccable accord avec les mets se décline en plusieurs références : Côtes du Forez, des Côtes du Rhône, des vins de Bourgogne mais aussi des vins de Bordeaux. En salle ou sur la terrasse ombragée, l’Eveil des Sens est prêt à accueillir une cinquantaine de personnes. La salle du restaurant dotée d’un décor sobre, moderne et chic est mise en valeur par les nombreux luminaires muraux et les plafonniers. Ombragée par les grands arbres de la cour, la terrasse est dotée d’une aire de jeu pour enfants, la rendant idéale pour des sorties gourmandes en famille. Les sites qui méritent d’être visités Non loin du restaurant, sur le Bourg du village, l’église Saint Maurice de l’an 1515 trône majestueusement. L’édifice actuel est construit sur un lieu en hauteur par l’architecte Bonnard. Aux environs, la cave des vignerons foréziens doit sa notoriété aux ordres monastiques notamment les prieurés dépendants de Cluny mais aussi aux Comtes du Forez. A découvrir immanquablement si vous êtes de passage dans la région. En quête de sérénité ? Au contrebas du village, la rivière Lignon du Forez confère un paysage agréable et offre un environnement apaisant. Il s’agit du mythique cours d’eau qui se trouve dans le célèbre roman d’Urfé. Autre site à ne pas manquer : le château de Goutelas qui date de 1558 et qui se situe sur les coteaux de Forez. La bâtisse incarne à merveille un style Renaissance. Le plan architectural est en forme H pour marquer l’idéologie humaniste de son propriétaire de l’époque Jean Papon. ...
Actuellement installé à Montreuil, Frédéric Marr et son équipe vont investir de nouveaux locaux en plein centre de Paris, non loin de la rue Montorgueil, dès septembre prochain. Fabrique et boutique y seront installées. La façade vitrée acceptera les regards des passants pour contempler à l’envi le travail des meules en pierre ou celui des chocolatiers. Le plafond sera végétalisé pour rappeler les origines naturelles de tous les produits utilisés. Pour la préparation des chocolats Rrraw, toutes les fèves de cacao proviennent de cacaoyers semi-sauvages de l’Amazonie péruvienne, cultivés à 800 mètres d’altitude. Ce qui fait dire à Frédéric Marr que « le cœur de l’Amazonie va battre au centre de Paris ». Un nouveau process de fabrication La vraie saveur du chocolat, sa délicatesse et ses arômes subtils sont révélés grâce au process de fabrication élaboré par Frédéric Marr : Bean to bar* (*de la fève à la tablette) à cru (sans torréfaction ni cuisson) Les fèves de cacao ne subissent aucune torréfaction ni de conchage. Elles sont fermentées puis sèchent au soleil. Elles sont ensuite broyées finement à la meule de pierre. Tous les autres ingrédients entrant dans la composition des chocolats Rrraw sont végétaux et biologiques. Epices moulues, fruits ou plantes déshydratées, sucre de canne intégral, sucre de fleur de coco, miel ou sirop d’agave, tels sont tous les composants soigneusement sélectionnés pour sublimer les produits Rrraw. Ne contenant aucun produit laitier, ni huile, ni œuf, ni lécithine, ni additif, ni arôme artificiel ni conservateur, les chocolats Rrraw peuvent être savourés par tous les consommateurs soucieux d’une alimentation saine et respectueuse de l’environnement. En effet, tous les produits sont certifiés bio, vegan, sans gluten et solidaire. Des chocolats pour un plaisir quotidien Pour vous faire plaisir au quotidien, vous pouvez choisir une des nombreuses truffes de cacao cru comme les truffes chanvre et cacao ou les truffes miel et pollen, une des tablettes de chocolat cru, nature ou aromatisées, des fèves de cacao cru, et encore du chocolat pâtissier, des pépites de chocolat cru ou poudre de cacao pour préparer de délicieux desserts. Chacun trouvera un chocolat qui lui ressemble, fondant ou croquant, doux ou fruité, brut ou enrobé. Tous feront frémir vos papilles grâce à leur excellence nutritionnelle et gustative. Vous pouvez acheter tous ces produits dans certaines épiceries fines, sur le site Internet et bientôt directement à la boutique sur Paris. ...
Saint-Jeannet a longtemps été connu pour l’agriculture, cette commune a même été surnommée « Saint-Jeannet le Riche ». Un muscat indigène a particulièrement intéressé une clientèle parisienne avant que les vignobles, victimes de la mondialisation, ne rétrécissent. Toutefois, un vigneron résiste grâce à un savoir-faire singulier et une connaissance du terroir. Le vignoble Le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur est perché à 400 m d’altitude, à 6 km de la mer. L’exploitation s’étend sur 4 hectares. Georges Rasse n’est pas près de rompre avec son vignoble datant de l’époque romaine, même si ses confrères ont jeté l’éponge depuis longtemps. Mieux, il garde la technique que son père René lui a transmise dans la stabilisation naturelle du vin au soleil. De nouveaux cépages sont introduits aussi, après quelques expérimentations par rapport à leur résistance au climat et à leur adaptation au sol. Georges Rasse s’engage également à respecter l’environnement, en entamant sa reconversion au bio. En attendant sa labellisation, il continue de satisfaire les palais. Une technique de vinification particulière En Provence, Georges Rasse fait partie des vignerons à être convaincus des bienfaits du soleil sur le vin. Il retravaille donc une technique traditionnelle de Saint-Jeannet pour stabiliser naturellement ses crus et ainsi éviter l’utilisation du sulfite et d’intrant de type collage. Les vins sont logés pendant 3 mois à 2 ans dans des bonbonnes disposées sur la terrasse du caveau. Seules les bonbonnes en verre blanc peuvent être utilisées pour ne pas modifier le vin. Œnotourisme En collaboration avec des tour-operateurs, le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur organise des visites et des dégustations de vins. Une formule « camping à la ferme » propose 25 emplacements de tentes aux pieds des oliviers. La moitié de la production est mise en vente directement sur place. Outre les visites, le vignoble participe chaque mois d’avril à une démarche collective baptisée « La France de ferme en ferme », qui consiste à partager son métier et sa passion. Chaque année, la Fête de la musique est rythmée par un concert. Georges Rasse rencontre également les sommeliers des restaurants clients une fois par an. ...
L’établissement se situe à Paris, au cœur du marais, dans un quartier sympathique. L’intérieur sobre et contemporain reflète l’âme de la maison, et l’ambiance familiale qui y règne apaise les clients. Ici, la cuisine a pour vocation d’offrir un plaisir culinaire exclusif aux épicuriens. D'autant plus que le menu de midi proposé à seulement 22.5€ pour une entrée, un plat et un dessert laisse l'occasion de découvrir au jour le jour des surprises gustatives qui ne laissent pas indifférent. Essayer d’autres combinaisons La cuisine de Julien Agobert ne rentre pas forcément dans une catégorie, et les clients l’apprécient justement pour cela. Un style propre à lui, façonné par une vingtaine d'années d’expériences dans des cuisines de palaces parisiens, de restaurants de prestige, mais aussi des petites structures indépendantes. Une cuisine inventive et multiculturelle qui laisse une empreinte de son aventure culinaire à l’étranger. « Ma cuisine est à la base une cuisine gastronomique, mais finalement il n’y a pas vraiment de règles, je peux ajouter une soupe Thaï à ma carte tout simplement parce que je trouve ça bon », explique-t-il. Et l’inépuisable énergie du chef déborde à chaque assiette : un mariage de saveurs inattendu, un jeu de texture, une palette de couleurs alléchante et un dressage quasi artistique. Les plats à découvrir La formule du soir – entrée, plat, dessert – est proposée à 37,50 €, et le menu dégustation à 55 €, composé de six plats. En guise d’entrée, la carte de cette saison suggère de la terrine maison, pickles, condiments betteraves jaunes, ketchup radis blancs et pommes, pain à l'ail. S’enchaînent ensuite les plats, à l’instar de « chicken crunchy crazy du chef » en deux cuissons, croustillant et confit au citron caramel et gingembre, aubergines grillées, sauce huile de sésame et soupe thaï. Au dessert, les clients ont le choix entre d’un côté, le moelleux au chocolat fumé coulant chocolat banc, sorbet tamarin et poires fermentées, et d’un autre, le globe de meringue garnie d’un crémeux à la rose, litchis, graines de lotus, riz au lait et sorbet au thé matcha. On vous l’a dit, le chef ne connaît pas de limite ! La carte de vins suit le même registre : éclectique et pleine de subtilité. Quelques cuvées d’exception issues du vignoble bourguignon et bordelais constituent la liste. Elle propose également des vins d’Italie, d’Espagne et d’autres pays. « Le monde entier, c’est ma région », confie-t-il. Développer un réseau de collaborateurs Le chef a passé des années à construire une relation privilégiée avec ses fournisseurs locaux et régionaux. Viandes, fruits et légumes, produits fermiers, produits de l’épicerie fine sont issus directement des petits producteurs et exploitations fermières. « Je privilégie le côté familial et humain dans ma relation avec les fournisseurs. » En outre, le chef invite régulièrement d’autres talents dans sa cuisine afin de partager sa passion et affiner sa signature. ...