La maison Yveline Prat a été fondée en 1975 par Alain et Yveline Prat. Établie dans les coteaux du Sézannais à la limite de la côte des blancs, elle dispose d’un vignoble qui s’étend sur une superficie totale de 13 ha. La maison travaille actuellement sur trois grands terroirs situés respectivement sur la côte des Bars, la côte du Sézannais et dans la vallée de la Marne. Une méthode bien particulière Dans son ensemble, le vignoble comprend trois principaux cépages adaptés à chaque terroir : le chardonnay, le pinot meunier et le pinot noir. En ce qui concerne le type de viticulture, la maison adopte une démarche raisonnée avec un soin tout particulier apporté au travail du sol. « Nous limitons au maximum les intrants et l’usage de phytosanitaire », explique Alexandre Prat, le fils du fondateur. Récoltant-manipulant, la maison Yveline Prat possède ses propres vignes et vinifie elle-même ses raisins. Pour cela, elle utilise une méthode de vinification traditionnelle. « Nous travaillons avec des pressoir à membrane, ce qui permet d’avoir un jus de meilleure qualité. » Deux gammes et une multitude de saveurs Les spécialités de la maison se déclinent en deux gammes : la gamme tradition et la gamme exclusive. Chacune développe un assemblage de cépages issus de différents terroirs de champagne. C’est en quelque sorte « la marque de fabrique » d’Yveline Prat. Parmi la sélection, quatre cuvées viennent représenter la maison : brut tradition, fût de chêne, rosé et millésime. D’abord,le brut tradition est sans conteste la cuvée la plus représentative. Élaborée avec 35 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 35 % de pinot meunier, elle revêt une robe aux reflets or très clair. L’attaque en bouche est très fraîche et la douceur se révèle par une sensation de fruits mûrs et juteux. Cette cuvée est à déguster au moment de l’apéritif et au dessert, notamment sur un gâteau sablé ou une tarte aux abricots. Ensuite, médaillé au concours général agricole 2018, le fût de chêne est un champagne de caractère. Vieilli plus de six mois en fût de chêne, il est très apprécié pour ses subtils arômes boisés, idéal pour accompagner une belle viande en sauce. Le rosé, quant à lui, enveloppe subtilement un arôme de fruits rouges frais, de fruits confits, le tout associé avec quelques notes épicées. À déguster autour d’un repas exotique ! Enfin, le millésime se compose de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. Un champagne avec de délicieuses notes de fruits d'été. En bouche, il propose un très bel équilibre sucre/acidité. ...
À travers ses nouveaux plats concoctés tous les jours, C’du Jardin a de quoi surprendre ses invités tout en leur faisant vivre une expérience culinaire unique. Un concept original Restaurant de l’enseigne Bio c’ Bon, C’ du Jardin ouvre pour la première fois ses portes, en 2016, dans la ville de Boulogne. Est-il nécessaire de souligner que Bio c’ Bon est une enseigne qui ambitionne de rendre le bio accessible à tous ? Pour ce faire, elle dispose de nombreux magasins en France mais aussi à l’étranger. D’ailleurs, tous les produits utilisés par le restaurant C’ du Jardin viennent de Bio c’ Bon. « Le restaurant est communicant avec le magasin », explique un responsable. À l’intérieur, les convives peuvent, selon leurs envies, s’installer au coin bistrot ou au bar à sandwich et salade. Un cadre des plus attrayants Le restaurant C’du Jardin accueille ses invités dans un décor convivial. Ici, le style est plutôt contemporain et empreint d’une touche d’originalité avec de nombreux bocaux et bouteilles en verre suspendus qui font office de luminaires. Un mélange de sobriété et d’élégance transparaît dans les lieux. Les mobiliers comme les chaises et tables épousent des contours arrondis. Le bois et le verre s’alternent et se marient harmonieusement pour créer une ambiance particulière. Un restaurant pas comme les autres Chez C’ du Jardin, les invités ne se contentent pas d’attendre tranquillement d’être servis. Ces derniers sont les artisans de leur « Bionheur » ! Le bar à salade se prête au jeu en permettant aux convives de composer leur salade parmi plus de 40 ingrédients bio. Ils peuvent également préparer eux-mêmes des sandwichs sur mesure. Ils choisissent le pain, la charcuterie et le fromage à la coupe. Pour accompagner idéalement leurs salades et leurs sandwichs, il est conseillé de prendre une soupe bio du jour et des smoothies. À consommer sur place ou à emporter, c’est selon la préférence de chacun ! Côté bistrot, tout est fait pour que les convives se sentent comme chez eux. Les entrées et les desserts circulent sur un tourniquet afin de faciliter les choix. Passer au C’ du Jardin, c’est retrouver le plaisir de déguster des plats qui changent tous les jours ! Même si des plats tels que des burgers végétariens ou des plats au saumon ou au poulet reviennent quotidiennement au menu. Pour ceux qui sont sujets à des intolérances ou ceux qui ont adopté une alimentation spécifique, pas de panique ! C du Jardin a pensé à tout et propose des alternatives véganes et sans gluten. Les produits utilisés sont de qualité, provenant essentiellement de l’agriculture biologique. Ils sont cultivés ou fabriqués selon des principes respectueux de l’homme et de l’environnement. Depuis peu, avec C’ du Jardin Boulogne, il est aussi possible de passer une commande en ligne. Au cas où le consommateur n’aurait pas le temps de passer la récupérer sur place, le restaurant assure la livraison. De plus, sur le site de Bio c’ Bon, les plus curieux peuvent retrouver des conseils ainsi que de délicieuses recettes pour se familiariser avec les produits bio. ...
L’établissement propose un cadre rustique montagnard garantissant un accueil chaleureux et convivial. Trois salles aux décors de charme invitent à découvrir la gastronomie et les produits du terroir qui font la réputation de la Haute-Savoie. Sur une grande terrasse, l’on savoure les trésors culinaires proposés chez Mamie Lise en se laissant bercer par le lac d’Annecy qui mêle sa fraîcheur à celle des montagnes. Une cuisine traditionnelle aux couleurs de la région Aux portes de la Vieille Ville d’Annecy, le restaurant Chez Mamie Lise dévoile la riche tradition culinaire de la Haute-Savoie. Sa cuisine rend hommage à la générosité du terroir à travers une sélection soignée de charcuteries, de poissons et de viandes. Les spécialités fromagères sont notamment à l’honneur : reblochon, manigodine, beaufort, morbier et chèvre. Des entrées jusqu’aux desserts, la conception des plats proposés traduit une réelle passion pour la cuisine. « Je suis quelqu’un de très passionné, la cuisine c'est toute ma vie ! », déclame le chef du restaurant. Des spécialités et des saveurs à la savoyarde L’établissement a, entre autres, bâti sa réputation grâce à ses fondues, raclettes et autres tartiflettes. La fondue savoyarde aux trois fromages, la Manigodine cuite et fumée au bois de hêtre ainsi que l’Ercheu de jambon de montagne illustrent parfaitement la cuisine de chez Mamie Lise. Les poissons du lac d’Annecy sont également bien représentés avec, entre autres, les goujonnettes de féra en croûte de manigodine et le rôti de lotte au jambon de montagne. Par ailleurs, l’entrecôte Simentahl, le magret de canard mulard et le carré d’agneau sont à ne pas rater. ...
Avec des menus changeant en fonction des produits du marché, Le Bistr’Eau Ryon propose des assiettes où les saveurs terre et mer se rencontrent. Dans un cadre bistronomique, le restaurant accueille ses clients pour leur servir les spécialités du chef qui varient selon les saisons. Une expérience affirmée dans le milieu Ayant à son compte 35 bonnes années d’expériences dans le domaine de la restauration, Alain Ryon puise son inspiration dans toute cette passion effrénée pour la cuisine. Originaire de la commune de Bressan, le chef est tombé très jeune dans la marmite. Déjà, enfant, il adorait passer du temps dans la cuisine familiale. Faisant ses débuts aux côtés du grand maitre Georges Blanc dès l’âge de 14 ans, Alain poursuit son chemin sur la Côte d’Azur avec Pierre Gleize et Roger Vergé pour s’initier à la cuisine provençale dont il tombera rapidement amoureux. Le chef cumule les expériences dans le feu de la passion et des découvertes. Ses efforts seront récompensés car il sera nommé plus jeune étoilé de France. Aujourd’hui, au sein du Bistr’Eau Ryon, il propose des plats raffinés et authentiques, reflétant ses origines et témoignant de la richesse de son parcours professionnel. Des saveurs marines s’alliant au goût des produits du terroir, soigneusement préparés et mijotés avec une véritable passion, voilà ce qui attend ceux qui viendront s’aventurer dans ce restaurant sis en lisière du beau sable blanc de la plage Saint Clair. Une carte terre mer Alain Ryon tombe littéralement amoureux de la fraicheur des produits qu’il trouve sur le marché. C’est la raison pour laquelle sa carte ne présente qu’une liste de plats assez restreinte. En effet, le chef préfère proposer le menu en fonction de ses trouvailles, pour ensuite inscrire les plats sur une petite ardoise. Quoi qu’il en soit, les suggestions du restaurant changent toutes les semaines. Comme proposition en entrée, le choix vacille entre un Tian de crabe et homard au guacamole de fèves, un Compressé de légumes au foie gras et un Tartare de thon et st-jacques. En plat de résistance, place aux poissons avec le Saint-Pierre portion rôti au fenouil sauvage & beurre blanc, le Risotto aux gambas sauvages ou le Dos de cabillaud sauvage cuit à la peau & rougail de tomates aux agrumes. Durant les mois de juillet et août, le Homard bleu sauvage entier aux tagliatelles & truffes de la Saint Jean fera voltiger les papilles des gourmets. Le restaurant n’oublie pas les amateurs de viandes et concocte un succulent Magret de canard rôti jus de miel et citrons ou encore une entrecôte race « Angus » poêlée et jus court. La carte se termine par un large choix de dessert exquis avec quelques classiques comme le fondant au chocolat ou la tarte au citron caramélisé. Le tout s’arrose d’une bonne bouteille de vin local, fourni par les petits producteurs de la région. ...
Le Clos du Marbrier s’étend sur une superficie de 5,5 ha. Il est implanté sur le site de l’ancien atelier du marbrier, lequel est devenu actuellement le chai de vinification, où s’élaborent les vins AOC Minervois de la maison. Un terroir aux mille facettes Le vignoble est réparti entre différents types de terroirs. Les principaux composants des sols sont le grès, le calcaire et les schistes. Grâce à cette variété, Irène Prioton se fait le plaisir de cultiver plusieurs cépages, dont certains sont rares et anciens comme l’aramon, un cépage du Languedoc presque oublié. Dans une volonté de préserver la biodiversité de sa terre, elle mène une viticulture biologique. Un effort indispensable si l'on veut laisser s'exprimer le terroir à travers des vins fins et authentiques. Avoir un bon tour de main, le secret du bon vin Notre vigneronne a une façon bien particulière de travailler ses crus. « Je fais beaucoup de choses à la main. » C’est ainsi qu’elle explique son idée de décliner ses cuvées sur le thème de la « main ». Parmi les plus connues figure la cuvée « À Pleine Main », qui trouve son originalité dans la générosité de ses arômes. D’autres cuvées comme la « Haute Main » sont reconnues pour leur complexité et ont même été dignement récompensées dans les concours. ...
Quand on apprécie les vins de la région bordelaise, il y a certains grands noms immanquables tels que les appellations Listrac et Moulis. Que vous soyez déjà amateur de ces types de vin ou que vous souhaitiez les découvrir, nous vous conseillons de visiter le domaine Les Vignobles Jander, première propriété certifiée en agriculture biologique sur ces deux appellations. Histoire du domaine Bien que l’on ait peu de données sur la véritable origine du domaine, les premières traces semblent indiquer la date de 1775. À cette époque, une carte de « Guienne » le mentionne et évoque le château de Semeillan. Puis, le domaine n’a cessé de changer de propriétaires, siècle après siècle. Parmi ceux-ci, il est difficile d’oublier la Vicomtesse du Pavillon. En effet, en tant que propriétaire du château de Semeillan avant 1925, celle qui fut la descendante de la famille du Cheyron du Pavillon est citée dans de nombreux textes. En 1925, le château et le domaine sont vendus à la famille Hostein qui partagea la propriété en trois (une part pour chacune des trois filles de la famille). C’est à cette date et grâce à l’union de Mademoiselle Hostein et M. Mazeau, créateur de l’appellation Listrac, que sera créé le château Semeillan-Mazeau. Faisons un bond dans le temps et intéressons-nous précisément à 1998. C’est, en effet, l’année où M. Jander et sa femme décident d’acheter, tout d’abord, le château au Crédit Lyonnais qui en avait fait l’acquisition au préalable. Puis, parce que le château et le vignoble avaient été revendus précédemment par les descendants Hostein, ils s’intéressèrent aussi aux vignes. Les propriétaires décident alors de restaurer le château construit en 1810 et la propriété viticole avec toujours cette volonté de marier modernité et charme d’antan. Un domaine qui se concentre sur l’agriculture biologique Il est intéressant de noter que le domaine Les Vignobles Jander a toujours souhaité rester fidèle aux us et coutumes de la vinification. L’objectif du vigneron : proposer de délicieuses boissons tout en respectant le raisin. Ainsi, depuis 2012, le domaine est devenu beaucoup plus strict au niveau du traitement des vignes afin de respecter le cahier des charges définissant l’agriculture biologique. D’ailleurs, Maxime Julliot, le directeur du domaine, nous explique avec fierté que, depuis 2015, le domaine Les Vignobles Jander est la première propriété à être certifiée en agriculture biologique sur les appellations Listrac-Médoc et Moulis. En visitant les vignes, on peut d’ailleurs se rendre compte que le chai du domaine est un savant mélange de matériel moderne (les cuves thermorégulées en sont la preuve flagrante) et de méthodes de travail plus traditionnelles. D’ailleurs, on nous explique que l’on attend patiemment pendant plusieurs dizaines de mois que le processus de vinification se fasse. Puis, chaque vin est travaillé et assemblé pendant quelques mois de plus avant d’être mis en bouteille. Cela permet de les stabiliser et de les équilibrer tout en respectant la matière première. C’est ce qui donne ce côté unique aux créations de la propriété. À savoir : l’exploitation de 17 hectares se partage entre cabernet sauvignon et merlot (avec respectivement 47% du premier et 53% du second). De plus, le domaine profite de sols propices à d’excellentes cultures (argilo-graveleux pour le Château Jander et sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau). Des vins sérieux, puissants et élégants Évidemment, pour mieux connaitre les créations de la propriété, il faut les goûter. Dans ce cas, nous vous conseillons de vous rendre sur place si vous êtes de passage dans la région. En plus d’être constamment ouvert au public, de nombreux événements sont proposés. Surtout en été où il est possible de se balader dans le vignoble tout en profitant d’un bon repas. Idéal pour en apprendre plus sur le domaine et sur la façon de travailler le fruit en appréciant à sa juste valeur chaque création unique. Et, pourquoi pas, apprendre à marier vins et...
La maison Mumm est l’héritage de l’aventure viticole commencée au début du XIXe siècle. C’est sous la présidence de Georges Hermann Mumm que sera créé, en 1876, le champagne Mumm Cordon Rouge, en hommage à la Légion d’honneur. Il est devenu le symbole de la maison. Il est connu dans le monde entier, aux États-Unis, où la maison a été leader jusque dans les années 80, en Australie, en Chine, en Russie ou au Brésil. Depuis la fin du XIXe siècle, le champagne Mumm est devenu le fournisseur de la cour royale d’Angleterre. Aujourd’hui, les vignobles de la maison Mumm s’étendent sur 218 hectares, dont 160 classés en grands crus. Quant au pinot noir, il en occupe 170 hectares. Un savoir-faire associant tradition et innovation Après une cueillette à la main, le raisin est pressuré à proximité, dans les sept centres dédiés, pour garantir l’excellence du vin. Cépage par cépage, le jus de raisin ainsi obtenu est mis dans des cuves en inox pour une première fermentation. La seconde fermentation permettra de réduire l’acidité du vin. Après avoir été clarifiés, les vins sont assemblés par le chef de caves, Didier Mariotti, puis mis en bouteille. Ils vont ensuite commencer une longue période de vieillissement en cave (entre deux ans et demi et sept ans), pour une parfaite maturation. Les flacons les plus précieux sont encore remués à la main. Un savoir-faire conforme à la méthode champenoise. Après ajout d’une liqueur de dosage, les bouteilles sont bouchées définitivement. Elles vont encore reposer entre trois et neuf mois, avant de s’offrir à vos papilles. Découvrir l’univers de la maison Mumm Pour découvrir l’univers du champagne Mumm, plusieurs expériences vous sont proposées. Si vous choisissez l’expérience Mumm Cordon Rouge à 20 €, vous découvrirez tout d’abord les caves voûtées mises en valeur par de subtils jeux de lumière, accompagné d’un guide. Vous serez surpris par ce long couloir appelé « Champs-Élysées ». Vous pourrez contempler les bouteilles qui y sont conservées, mais aussi apprendre les différentes étapes de l’élaboration du champagne. Puis, après avoir fait une halte au musée du champagne Mumm, vous serez invité à déguster deux champagnes de la maison, Mumm Cordon Rouge et Mumm demi-sec. Si vous optez pour l’Expérience en noirs & blancs à 39 €, vous aurez aussi l’occasion de vous plonger dans l’ambiance particulière des caves, suivie d’une dégustation de Mumm Blanc de Blancs, élaboré exclusivement à partir de chardonnay, et de Mumm Blanc de Noirs, un pur pinot noir. Vous pourrez ainsi apprendre à les différencier en les regardant, en les sentant et en les goûtant. Vous préférerez la « Mumm Cocktail Party » à 45 €, une expérience spécifiquement dédiée aux cocktails à base de Mumm Cordon Rouge ? Sous vos yeux, un barman vous concoctera des cocktails où se marient à merveille les arômes du champagne avec ceux de spiritueux, de fruits frais ou d’épices. Une dégustation unique à partager entre amis tous les jeudis soir de 18 h à 20 h. Dans tous les cas, les mineurs doivent obligatoirement être accompagnés, et une boisson sans alcool leur sera servie. ...
Après une escapade au musée d’Oléron, à la citadelle du château d’Oléron ou à l’issue d’une séance de char à voile ou de stand-up paddle, une petite pause gourmande s’impose. Pour cela, rien de tel que le restaurant Les Alizés qui salue dans chacun de ses mets la saisonnalité des produits. Et cerise sur le gâteau : le fait maison est y privilégié. Le charme et les saveurs d’Oléron Cette salle à l’ambiance cosy et chaleureuse, « qui fait penser à une cabane », selon Stéphane Auger, chef et propriétaire, mettra en appétit tous les convives. Pour les amoureux du soleil, un patio a été installé à l’extérieur et les accueille durant l’arrivée des beaux jours. Là, sous l’ombre, ils peuvent profiter en même temps des caresses de la lumière, de la brise de l’océan et des saveurs d’Oléron. La maison se spécialise surtout dans la cuisine traditionnelle raffinée. Pour commencer, l’entrée 9 huitres Fines de Claire Marennes Oléron, emblème incontournable de l’ile, mérite d’être dégustée. Stéphane Auger propose ensuite de rendre hommage à la qualité exceptionnelle des produits offerts par les pêcheurs du coin à travers la recette de la Chaudrée du littoral en cocotte. Le Chou Brest-Paris sauce chocolat lait noisette ou encore la Trilogie de sorbet maison seront concoctés pour couronner somptueusement le repas. En prime, 4 menus différents (Marché, Charentais, Plaisir, Enfant) ont été établis afin que la clientèle puisse se laisser tenter par d’autres délices. Côté vins, « le terroir est à l’honneur », s’exclame le chef. À ne pas rater : les vins de pays Ile d’Oléron comme le Cotinard ou Les Perles. Une sélection de vins de Loire, de Bourgogne, de Bordeaux ou de Bergerac enrichit aussi la carte de l’établissement. ...
L’histoire de ce domaine familial démarre en 1936. À l’époque, Achille Noël opérant alors comme négociant en vins à Lille décide de faire acquisition d’une propriété dont les origines remontent au XVIIème siècle. Au fil du temps, le Château Barrabaque passe de génération en génération. Nicole Noël transmet le flambeau à sa fille en 2004. Désormais à la tête de l’exploitation, Caroline Noël-Barroux aspire à perpétuer ce précieux héritage en associant le savoir-faire familial séculaire à des techniques de production plus modernes selon une démarche tenant compte de la protection des écosystèmes. Un terroir exceptionnel, gage de vins fins et fruités Situé sur un terroir de beauté et d’authenticité, à cheval entre l’appellation Fronsac et Canon Fronsac, le Château Barrabaque possède un vignoble de 10 hectares exposé plein sud et majoritairement argilo-calcaire. « Sur ce terroir précoce, nous produisons des vins assez puissants », témoigne Caroline Noël-Barroux. Puissants certes, mais surtout, fruités. Car depuis la création du domaine, la famille a à cœur à produire des cuvées que « l’on a envie de boire et pas seulement de goûter ». D’une rigueur implacable sur la qualité de ses produits, la maison adopte une approche plus respectueuse de l’environnement dans son mode de travail. « Nous avons pris le virage de l’agriculture raisonnée depuis maintenant 30 ans », déclare la vigneronne. L’idée n’est pas d’opter pour une conduite écologique exclusivement sur le vignoble mais dans la filière dans sa globalité. Ainsi, à part la réduction des produits de traitement phytosanitaires, le domaine tient compte par exemple des émissions de gaz carbonique générées par le passage des tracteurs. Ces efforts ont été récompensés en 2019 par l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE). À travers ce concept plus vertueux pour l’écosystème, le merlot, le cabernet franc, le cabernet sauvignon et le malbec peuvent ainsi se révéler dans leur plus belle expression. Une ode aux terres de Fronsac La « cuvée Prestige » et la « cuvée Tradition » s’inscrivent comme les best-sellers de la maison. Élaboré à base de 80% de merlot, 18% de cabernet et 2% de malbec, le rouge Prestige est issu de parcelles situées en haut de coteau ayant l’avantage d’être naturellement concentrées. Ce vin ample et équilibré s’illustre pour sa belle complexité aromatique. Le rouge Tradition est élaboré sur des parcelles sises en bas de côtes. Composé de 70% de merlot, de 20% de cabernet franc et de 10% de cabernet sauvignon, il distille une belle fraîcheur aromatique avec une jolie finesse et une agréable longueur. Inhabituel dans le paysage viticole bordelais, le Château Barrabaque produit du vin blanc appelé « Caprice de Caroline » en l’honneur de la vigneronne qui est à l’initiative de sa création en 2008. Il propose également du vin rosé sobrement intitulé « Barrabaque rosé », conçu à l’origine pour la consommation familiale avant d’être commercialisé à destination du grand public. ...
C’est tout naturellement à Lyon, la ville gastronomique par excellence, que ce concours est organisé annuellement. « Situé au cœur de plusieurs régions viticoles, Lyon devient ainsi le cœur d’un événement fédérant tous les producteurs de vins et de spiritueux, étrangers ou français », nous explique Victor Gomez, directeur de l’entreprise organisatrice du concours, Armonia. Découvertes gourmandes et voyage gustatif sont donc au rendez-vous à l’occasion de cet événement célébrant la richesse et la diversité du vin, de la bière et des spiritueux des quatre coins du monde. « Placer la ville de Lyon au cœur du vin » C’est avec ses propos que Victor Gomez justifie la création de ce concours étant cette année à sa huitième édition. La réputation de cette célèbre compétition internationale est le fruit d’une riche collaboration avec des partenaires de renom à l’instar de Vitisphere, de Global Wine and Spirits, de l’Association des Sommeliers lyonnais, des Toques blanches lyonnaises et de la prestigieuse École du vin. Ce dernier, partenaire exclusif de l’édition 2017, apporte ainsi toute son expertise au service des dégustations, des conférences-débats et de la sélection des vins médaillés. Ces partenaires qualitatifs viennent ainsi forger la notoriété de ce « concours très engagé dans la gastronomie », selon les explications de Victor. En effet, cet événement se veut être l’ambassadeur d’une ville où le goût et les sens sont au cœur de la dynamique urbaine. Les membres du jury, qui, à l’issu des dégustations, récompensent les meilleurs des spiritueux, de la bière et du vin, sont composés de professionnels du vin (sommeliers, œnologues...), de chefs, d’acheteurs, et d’amateurs expérimentés. Élire le meilleur vin du monde « Le Concours international de Lyon est un des rares concours en France acceptant les vins internationaux », rappelle Victor, assurant que tous les vins du monde y sont représentés. La qualité reste toutefois le maître-mot de la sélection de ce concours qui, cette année, a été présidé par Gaëtan Bouvier, Meilleur sommelier de France. En effet, après la réception, chaque produit subit un contrôle rigoureux ponctué de vérifications documentaires poussées et parfois de tests en laboratoires avant de pouvoir intégrer les tables de dégustation. Exclusivement dédié au vin depuis ses débuts, cet événement intègre, en 2015, la bière et une multitude de spiritueux dans la compétition. À l’occasion de la huitième édition du 25 mars 2017, les bières auront été jugées dans 54 catégories différentes, et les spiritueux dans plus de 65 familles incluant les vodkas, les rhums, les liqueurs et bien d’autres encore. Plus de 800 dégustateurs, composés de professionnels et d’amateurs éclairés du monde entier ont ainsi goûté à près de 6 300 vins, spiritueux et bières afin d’élire les fleurons de chaque catégorie, récompensés ultérieurement d’une médaille. Les producteurs et les consommateurs trouveront ainsi une valeur sûre dans le caractère riche et éclectique de ce concours à l’issu duquel, « un jury cette fois-ci composé des meilleurs ouvriers de France, des meilleurs sommeliers de France et autres iront redéguster les meilleurs vins de la compétition pour désigner le meilleur vin du monde », conclut Victor. ...
En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...
C’est sur un plateau à 1 000 mètres d’altitude, situé dans la commune de Fraïsse-sur-Agout, que la compagnie prévoit de mettre en service une distillerie qui portera le flambeau de la région en 2018. Un assemblage méticuleux En attendant de pouvoir distiller elle-même ses propres whiskies, l’entreprise fait des assemblages. Elle importe d’Écosse différentes qualités de whiskies, auxquelles elle ajoute l’eau d’une source de la montagne noire. Les whiskies sont ensuite affinés dans d’anciens fûts de spiritueux appartenant à un producteur d’Armagnac. « Cela donne aux whiskies un profil aromatique différent, une couleur locale », explique Cédric Leprette, le président. Les whiskies Black Mountain L’entreprise possède une gamme de trois whiskies. Le BM n° 2 premium est assez léger et très parfumé. Tout en gardant les caractéristiques d’un whisky, il est accessible à tout le monde au niveau gustatif. Il a obtenu la médaille d’argent à l’International Spirit Challenge 2014 et à l’International Wine and Spirit Competition 2016. Le BN n° 1 Excellence a une proportion importante de whisky plus âgé, avec une durée d’affinage plus longue. Il est plus complexe et plus riche au niveau aromatique, et est essentiellement conçu pour des amateurs avertis de whisky. Il a été élu meilleur blend whisky européen au World Whisky Awards 2015. Le plus récent est la Notes Fumées, contenant une proportion de whisky tourbé. Il est destiné à une clientèle qui recherche ce profil particulier. « On a voulu avoir une continuité dans le style aromatique des deux premiers whiskies », souligne Cédric Leprette. Ce breuvage est le gagnant de la catégorie Blend pour les whiskies de France au World Whisky Awards en 2017. ...
Artisan-vigneron depuis 5 générations, la famille Coulet, à la tête du Domaine de Brunet, continue de produire des vins fins et parfumés, qui sont la pure expression de la garrigue environnante. Un terroir unique Le vignoble, niché à 250 m d’altitude en terroir Terrasses du Larzac, bénéficie d’une importante amplitude thermique qui favorise le développement des arômes. Au milieu de la garrigue, chaque parcelle a sa typicité. Ici, les cépages (syrah, grenache, cinsault, mourvèdre, merlot, cabernet, vermentino, viognier) s’épanouissent en effet sur des terroirs différents. 2 gammes, 12 cuvées Le domaine présente aux œnophiles 2 gammes incluant Mas Brunet (des vins en AOC) et Dolinebrune (des vins en IGP). En tout, la maison propose 12 cuvées, dont la cuvée « Tradition blanc » est sans conteste la plus représentative. Issu de l’assemblage de roussanne, de vermentino et de viognier, ce vin est élevé 8 mois en fût de chêne et fait l’objet de bâtonnage 3 fois par semaine. On obtient ainsi un vin de caractère avec beaucoup de gras et de la rondeur. Médaillée d’or au concours international Gilbert & Gaillard, cette cuvée accompagne idéalement les poissons d’eau douce ou les poulardes. ...
Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...
Situées sur un plateau de garrigues argilo-calcaires dans le Vaucluse, les vignes du domaine de la Brunely plongent leurs racines loin dans la terre pour puiser l’eau. « Cette particularité du sol nous donne des vins qui sont assez puissants et assez riches », souligne Edouard Carichon, responsable commercial et fils de Charles Carichon, propriétaire. Le domaine s’étend sur 80 hectares, dont 35 en appellation Vacqueyras. Concernant les cépages, les plus typiques de la vallée du Rhône sont privilégiés comme le grenache, la syrah, le mourvèdre ou encore le carignan. La vinification, une philosophie « On fait tout nous-mêmes. On s’attache à suivre tous les processus. C’est notre philosophie depuis le début pour offrir le meilleur du terroir et respecter la vigne et son environnement », explique Mr Carichon. Car, à défaut d’adopter une viticulture raisonnée, le domaine de la Brunely applique la méthode dite raisonnable. Pour preuve, il n’utilise aucun désherbant et va jusqu’à embaucher des saisonniers pour piocher les mauvaises herbes dans les cas extrêmes. La vinification, quant à elle, se fait main dans la main avec un œnologue-conseil, selon les techniques traditionnelles : vendange à maturité optimale, utilisation de levure naturelle, etc. Modernité oblige, les vins sont élevés dans des cuves en inox et en béton. Une cuvée, une appellation Le domaine de la Brunely propose une gamme très variée des grands crus de la vallée du Rhône : Vacqueyras, Gigondas, Châteauneuf-du-Pape, Côtes-du-Rhône et Ventoux. Cependant, ici, on ne produit qu’une seule cuvée par appellation. Régulièrement récompensée lors de divers concours, comme le Gigondas « Les Rocassières 2009 » coup de cœur du Guide Hachette 2012, la cuvée Châteauneuf-du-Pape est de celle qui fait la fierté du domaine : « C’est le seul vin qu’on élève en barriques. Il est très structuré, avec des tannins assez fins mais puissants. » ...
Le Château La Roberterie se situe à Juillac, en Gironde. Le vignoble, magnifiquement exposé au soleil, est certifié « Agriculture biologique » depuis 2012. Sur ses 10,74 ha s’enracinent harmonieusement les cépages traditionnels, à l’instar du sauvignon blanc, du merlot, du cabernet et du malbec. Immersion dans le chai de vinification Les Zimmer ont mis en place un chai ultramoderne, où sont regroupés différents équipements de pointe (cuves tronconiques inversées, thermorégulation, générateur d’azote, micro-oxygénation…). Ainsi, la vinification devient un art à part entière. Et pour préserver au mieux la santé du consommateur, elle utilise un minimum d’intrants, toujours biologiques. On obtient ainsi des vins de grande qualité, aussi sains que savoureux. C’est ce que démontrent le « Selectus 2015 », à travers ses notes de fruits frais relevées de vanille, ou encore la cuvée « Classicus », qui est un vin rouge purement exquis. ...
Installée dans la région depuis des siècles, issue d’une lignée de chevaliers, la Maison Ravoire produit et distribue des vins sous les AOP Côtes de Provence et pour la Vallée du Rhône en appellations Côte-Rôtie, Crozes-Hermitage. Saint-Joseph, Châteauneuf-du-Pape, Gigondas, Vacqueyras, Cairanne, Sablet et Côtes du Rhône. Vins Ravoire, un savoire-faire séculaire... Son passé prestigieux, présent depuis 1593, a permis à la famille de produire son vin autour de valeurs fortes comme la passion, l’humain ainsi que le respect de la nature. Ces qualités se démarquant particulièrement à travers des marques phares comme Manon ou Maison Ravoire. Depuis quelques années, la famille s’est également engagée dans une démarche environnementale exigeante. Cette démarche leur a notamment permis d’obtenir un bilan carbone (GES) classé Scope 3. ...
Dans le vignoble de 5,15 hectares réparti sur les communes de Boursault, de Cormoyeux, de Pierry, de Moussy et d’Épernay, la famille Sélèque cultive depuis trois générations les trois cépages champenois aux notes subtiles. S’aidant de la passion et du savoir-faire ancestral, et toujours dans le respect des vignes et du vignoble, la maison élabore des cuvées élégantes, appréciées pour leur finesse. Un procédé de viticulture qui respecte la nature Depuis 2013, la maison Sélèque applique un procédé en accord avec le développement durable. « Nous faisons attention aux produits que nous mettons dans nos vignes, au dosage et à tout le reste », confie Nathalie Sélèque, propriétaire actuelle du vignoble. Respectueuse de l’environnement, elle fait attention à la culture des vignes, mais également à toutes les étapes de transformation. Une belle initiative qui ne laisse pas indifférents les visiteurs, venus nombreux au domaine. D’ailleurs, l’oenotourisme est l’une des activités permettant à Nathalie Sélèque de se rapprocher des amateurs et connaisseurs de vins. « Je suis très ouverte au partage et j’aime l’idée de recevoir des touristes pour leur faire connaître notre terroir », confie-t-elle. Elle a transformé la maison champenoise de sa grand-mère, Françoise Sélèque, en un magnifique gîte, afin de les héberger. La promesse d’une immersion complète dans le monde de la viticulture grâce à des visites et des dégustations dans les caves. ...
La Table du Sommelier propose une cuisine de qualité, entièrement faite maison, concoctée à base de produits frais et locaux. Comme à la maison Installé dans le Vieux Castres, ce restaurant conjugue parfaitement simplicité et authenticité. À l’intérieur, les convives se laisseront séduire par un style cosy ainsi qu’une atmosphère conviviale qui se dégage naturellement des lieux. « Chez nous, les gens se sentent un peu comme chez eux », explique Philippe Subira, gérant et sommelier de l’établissement. Une cuisine du marché Pour s’assurer de la fraicheur de ses produits, le chef choisit de s’approvisionner localement. « Nous nous procurons les fruits et les légumes directement sur le marché. » Ainsi, la carte change au gré des saisons et le restaurant s’adapte volontiers en fonction des produits du moment. En cuisine, le chef laisse exprimer sa créativité pour signer des plats gourmands sans cesse renouvelés. Pour commencer ce voyage culinaire, le duo de foie gras mi-cuit de Corinne offre une excellente entrée en matière. En plat principal, le tartare de bœuf ou la tête de veau, qui figurent parmi les spécialités de la maison, sont vivement recommandés. En dessert, le fondant au chocolat noir et sa crème glacée restent incontournables. « Nous élaborons ce dessert avec une recette particulière », confie le maitre des lieux. Par ailleurs, l’établissement se démarque par ses « Menus autour des vins ». Composés d’une entrée, d’un plat, d’un fromage et d’un dessert, ces derniers s’accompagnent d’une dégustation de trois vins. C’est l’occasion pour Philippe Subira d’enfiler sa casquette de sommelier et de partager ses connaissances avec les invités tout en leur suggérant le meilleur accord mets-vin. 250 références S’ils le souhaitent, les convives peuvent acheter les vins proposés en dégustation lors du repas. Ce restaurant-caviste propose environ 250 références incluant des crus de toutes gammes et provenant de grandes régions viticoles françaises mais aussi étrangères. Pour aider ses hôtes à faire leur choix, Philippe Subira leur présente sa sélection « coup de cœur ». ...
La maison a su faire des produits de producteurs provenant de tout le pays, un gage d’authenticité et de qualité. Chaque produit est révélateur d’un savoir-faire ancestral, d’une passion séculaire, d’une histoire familiale et du désir de partager les bonnes choses. Prodilac, avec près de cinquante ans d’expérience, s’attèle ainsi à offrir le meilleur pour ses clients très attachés aux traditions et au goût artisanal. Ambassadeur du patrimoine gastronomique français Les Producteurs de toute la France, un pays fort de sa réputation gastronomique, révèlent le meilleur de leur terroir afin de concocter des produits d’exception. Ce patrimoine, faisant la fierté de toute une nation, est ainsi préservé par des entreprises qui misent sur les origines authentiques de leurs produits pour mieux les mettre en avant. Au sein de grossistes trouvant leur identité dans cet engagement, à l’instar de Prodilac, les produits avicoles tels que les œufs sont savamment mis en avant et le lait, allant du beurre au fromage en passant par la crème, revêt ici plusieurs formes, en gardant sa nature originelle. Cette enseigne représente ainsi une multitude de marques françaises, italiennes ou espagnoles, de producteurs fermiers et d’artisans passionnés et animés par la quête de l’excellence. L’incitation à la gourmandise se reflète au travers des futurs plats dans lesquels ces produits seront utilisés, Prodilac fournissant des fromagers, des restaurants, des crémiers et d’autres acteurs de la gastronomie à la française. Le fromage : l’expression de la générosité de Dame nature Une large gamme de fromages, en bon ambassadeur de la région, vient s’ajouter aux produits de prédilection proposés par Prodilac. L’objectif de la maison est de « dénicher la perle des fromages qui séduira tous les palais », nous explique Marie-Pier Correia, responsable des ventes externes de l’enseigne. Toutes les régions de France sont ainsi mises à l’honneur grâce à un éventail de fromages typés ayant conservé les saveurs spécifiques de leur terroir, avec ceux à pâtes pressées en guise de spécialité. Allant du généreux et unique fromage à la truffe au crottin de Chavignol, tous les fromages du pays y sont présentés, notamment dans une cave de réserve destinée aux fromages de montagne, pour ne citer que l’emmental ou le comté sans oublier les Beaufort , l’Abondance. Cette cave, dans laquelle des dirigeants français et des délégations importantes se sont délectés de plateaux de fromages exquis, fait d’ailleurs la fierté de Prodilac, étant « l’un des derniers à posséder une cave à meule traditionnelle », confie Marie-Pier. La renommée internationale du fromage français La réputation du fromage français dépasse désormais les frontières. Pour contribuer à cette fierté, Prodilac a entamé une extension à l’internationale par le biais de la marque « Au Fromager de Rungis ». Ce désir de partager à l’export l’excellence du fromage haut de gamme justifie la création de cette marque qui fournit aujourd’hui des Corner, des Epiceries Fines, les établissements hôteliers étoilés et les plus grandes tables du monde entier, allant d’Asie et d’Europe à l’Australie en passant par la perle du Moyen-Orient, Dubaï. En effet, le secret de la réussite de chaque menu réside dans chaque fromage français qui révèle le goût des plats et sublime les recettes à la manière d’un beaujolais, une formule que les chefs de renom des quatre coins du monde ont vraisemblablement comprise. « Après tout, tous les fromages français sont magnifiques », conclut Marie-Pier. ...
À nouvelle gérance, nouveau décor ! En reprenant le restaurant il y a 2 ans et de par ses nombreux voyages un peu partout dans le monde, Loïc Ledu a apporté une signature unique. Il propose majoritairement « des menus de France revisités » comme il aime si bien le dire, avec une cuisine gourmande qui lui fait rappeler son enfance, une irrésistible nostalgie qui revient souvent dans ses inspirations. Un globe-trotter passionné Après une vie de globe-trotter (Écosse, Australie, Dubaï, Europe) au cours de laquelle il a toujours nourri sa passion pour le métier, Loïc Ledu a réussi de belles expériences de vie dans la restauration. Pour aller plus loin dans l’aventure, il choisit avec sa femme Céline de poser ses valises en terre française et de s’y installer. Son coup de cœur pour Le 111 a nourri en luide nouvelles inspirations créatives et originales. Un lieu de rencontres à l’ambiance intimiste Le 111 est un établissement qui plaît à la clientèle. Selon Loïc Ledu, c’est un « restaurant très fréquenté par les femmes », qui y trouvent un lieu idéal pour se retrouver. L’endroit offre en effet un décor intimiste aux couleurs à dominance gris et rouge imprégnées d’une ambiance feutrée qui séduit particulièrement les couples et les amoureux. « Le succès du restaurant vient du bouche à oreille », se satisfait le chef. Le 111 a une capacité d’accueil de 30 couverts en terrasse, de 40 couverts en salle et de 18 couverts pour les différents évènements de groupe (anniversaire, évènement familial…). Du fait maison bistronomique Le 111 propose une cuisine au concept bistronomique, c’est-à-dire des « produits simples, cuisinés de façon créative, avec de belles présentations et à prix abordables », fait valoir Loïc Ledu. Il tient notamment à préciser que l’établissement ne fait que du frais : « Tout ce qu’on a à la carte est fait maison, à base de produits bruts sans aucun produit transformé. » C’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de la maison. À travers ses notes sucré-salé, aux couleurs et aux goûts de France, Le 111 porte bien la signature du chef. Pour garantir la fraicheur des produits proposés, le choix des fournisseurs est très strict (meilleure régularité, meilleure viande, meilleurs produits). Le bœuf Wellington, les Noix de Saint-Jacques et beurre de clémentine et les Ravioles de Joue de bœuf restent à ce jour les plats-signatures du restaurant, mais d’autres plats viennent s’y ajouter selon les goûts et préférences des fidèles de l’établissement. « Nous travaillons beaucoup le bœuf », explique Loïc Ledu, et les clients apprécient grandement « tartare et carpaccio », des produits coupés à la minute et au couteau. Le 111 possède également une section grill, qui permet de préparer du steak maison avec des frites coupées à la main. Pour satisfaire encore plus les clients, le restaurant vient de sortir sa nouvelle carte d’été avec des menus adaptés, dont des noix de Saint-Jacques, du suprême de pamplemousse et du tartare de saumon. Cerise sur le gâteau : toutes ces suggestions gourmandes peuvent se déguster depuis la salle du bas, tout en appréciant une vue imprenable sur une grande cave à vin vitrée révélant plus de 130 références. ...
Créé vers la fin du XIXe siècle, Château Montana a fait l’objet d’une importante restructuration et a été rénové à partir de 1996. Aujourd’hui, la gestion de l’exploitation est assurée par Patrick Saurel. Une diversité de cépages Ce domaine familial travaille sur un vignoble d’une trentaine d’hectares en appellation village. « Nous avons des terroirs exceptionnels qui produisent des vins de qualité », fait savoir Patrick Saurel. Le vignoble repose sur des sols argilo-calcaires, très favorables à la culture de la vigne. Lors de la phase de restructuration, de nouveaux cépages ont été plantés et le domaine peut se targuer de bénéficier d’une belle diversité. Carignan, grenache (noir, blanc et gris), syrah, mourvèdre, merlot, cabernet sauvignon et marselan composent l’encépagement. « Notre objectif est d’apporter de la diversité aromatique dans nos cuvées », nous indique le vigneron. Respect de l’environnement Soucieux de préserver l’environnement, Château Montana est certifié HVE (haute valeur environnementale) de niveau 3. Désherbage mécanique, travail du sol, utilisation de matériels de traitement avec des panneaux récupérateurs sont autant d’efforts fournis afin de limiter le recours aux produits phytosanitaires. Côté vinification, la maison se démarque en faisant le choix de travailler uniquement le grain de raisin. Pour extraire un maximum d’arômes, une macération préfermentaire à froid est réalisée, grâce à des cuves cuve en inox thermorégulées. Les spécialités de la maison Château Montana élabore à la fois des vins doux naturels, des blancs, des rouges, mais aussi des rosés. En tout, le domaine produit 10 élégantes cuvées réparties entre 4 gammes. Parmi elles, deux cuvées se partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : l’Astre Blanc et Silencio. La première a la particularité d’avoir subi une technique de vinification particulière qu’est le batonnage sur lies. « C’est une méthode typiquement bourguignonne, qui donne beaucoup de caractère et de complexité aux blancs », rapporte notre interlocuteur. Issu de vieilles vignes, ce 100 % grenache séduit justement par sa minéralité et sa complexité. Quant à la cuvée Silencio, celle-ci se distingue par ses notes de fruits rouges, de fruits cuits et de nuances vanillées. Elle est idéale pour accompagner viandes rouges, gibiers et fromages. ...
Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage. N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité. Jeunesse et dynamisme L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride. Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse. Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent. Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ». Un mix entre tradition et modernité Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux. Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos. Un environnement riche et préservé L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie. La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune. ...
À travers une histoire de famille plutôt réussie qui a commencé en 1987, le restaurant connait à ce jour 30 ans de succès bien mérité. Succédant à ses parents, initiateurs de l’aventure, Valérie assure, depuis maintenant un an, la gérance de l’établissement, guidée par la même passion du métier et son expérience professionnelle Shanghaïenne. Le Palais de Port-Marly a l’énorme avantage de proposer en un seul lieu un bouquet de saveurs gourmandes inspirées de trois pays que sont la Thaïlande, le Vietnam et la Chine. Disposant d’un menu à 26 € pour le midi et le soir, avec entrée-plat-dessert, l’enseigne dispose également d’une formule à 16,50 € « pour les gens plutôt pressés » et qui peut être servie en une demi-heure, incluant 1 entrée et 1 plat. Une cuisine pleine d’exotisme En entrée, il vous est conseillé les nems faits maison, « que nos clients apprécient énormément », selon Valérie, mais aussi les raviolis vietnamiens et les rouleaux de printemps au bœuf, servis tièdes, que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Dans le registre des plats, optez pour le bœuf sauté Mongoli qui n’est autre que du bœuf émincé mariné dans du soja et sauté avec des grains de poivre et des petits oignons sur plaque chauffante, « ce qui permet aux clients de choisir la cuisson de la viande ». Comme c’est rarement le cas dans la restauration asiatique, l’établissement est en mesure de proposer « de la viande bleue, à point ou saignante ». Les crevettes à la sauce piquante sont également à découvrir. Crevettes sauvages préalablement décortiquées, sautées avec des petits oignons, une sauce piquante parfumée légèrement aigre douce. Cette sauce se marie aussi très bien avec du cabillaud ou des Saint-Jacques. Parfait pour les amateurs de fruits de mer. Sans oublier le saumon au jus de coco pour un plat très en sauce au très joli rendu, accompagné de riz gluant ou de riz nature. Le Palais de Port-Marly pratique principalement la cuisine au wok, « pour une cuisson rapide et où la matière première ne perd pas de son goût ni de sa texture ». Cette technique contribue aussi de réduire l’utilisation de matière grasse. Toutefois, ce qui fait la particularité de la cuisine asiatique, ce sont les épices dont les préférées de la maison sont l’épice de saté à base de cacahuètes, de piment, d’ail et d’herbes concassés, qui permet d'obtenir une sauce accompagnant délicieusement le bœuf et les crustacés, et également le basilic avec son croquant en bouche, le curry et aussi la citronnelle. ...