Installée dans les anciens Haras nationaux, datant de l'époque de Louis XV, La Brasserie Les Haras fait actuellement la fierté de tout Strasbourg. Ouverte depuis 2013, elle s’est construite une réputation qui n'est plus à faire que ce soit au niveau national qu’international. En effet, l'établissement a remporté en 2014 le prix du meilleur design de restaurant au monde. En 2015, il a été sacré "meilleure brasserie" par le célèbre critique gastronomique Gilles Pudlowski dans son Pudlo Alsace 2015. Et au début de cette année 2016, la qualité de sa cuisine a valu une assiette auprès du Guide Michelin. A la tête de ce succès, le chef à trois étoiles Marc Haeberlin supervise une équipe gagnante composée du brillant Maxime Muller comme directeur d'exploitation, le surprenant chef François Baur en cuisine appuyé par la créative Tinh Tran, la maestro de la pâtisserie et enfin, Guillaume Zehnacker, le magicien des cocktails. Un endroit qui éblouit les yeux... Une fois la porte franchie, un univers qui fascine et qui enivre en même temps se dessine. Dans ce décor rustico-chic signé Patrick Jouin et Sanjit Manku de l'agence Jouin Manku, un luxe inspiré par la sobriété du monde équestre est mis en avant. Dès l'entrée, la convivialité et le partage sont à l'honneur. Au milieu de la salle, un bar sympathique et un espace Lounge avec fauteuils en cuir et quelques tables pour servir les apéritifs ont été installés. Au fond, une cuisine circulaire ouverte offre un spectacle des plus réjouissants. Mais, l'élément le plus impressionnant dans ce décor est l'imposant escalier circulaire qui se dresse au milieu de la salle, à quelques pas du bar. Véritable pièce maitresse de l'établissement, il semble être suspendu dans les airs ou en apesanteur. En empruntant ce fleuron architectural, on accède à l'arène du service au premier étage. Tout comme le rez-de-chaussée, la décoration démontre le parfait mariage du traditionnel et de la modernité. L'ambiance est toujours aussi chaleureuse et la lumière tamisée apporte une petite touche de douceur à l'ensemble. Sur les deux niveaux, La Brasserie peut accueillir jusqu'à 150 personnes dont 20 places dans la salle privée Yourte. Et durant l'été, la terrasse propose 110 couverts dans la paisible cour intérieure de ce monument classé historique depuis 1992. Une cuisine qui ravit les papilles... Tout cet esthétisme se découvre également au travers des plats. A la tête de la brigade, le chef François Baur veille à ce que chaque met soit digne de la beauté des lieux. Doté de ses plusieurs années d’expériences auprès de grands établissements gastronomiques, il a su affiner son empreinte culinaire. Aujourd’hui, c’est auprès de La Brasserie Les Haras qu’il exploite son talent en proposant des plats savoureux et originaux. Fidèle à « l’esprit brasserie », il reprend les grands classiques de la cuisine française tout comme les spécialités alsaciennes en y apportant une petite touche de modernité. Etant un aventurier, il n’hésite pas à s’inspirer de la cuisine du monde pour proposer des plats aussi créatifs que savoureux. A la carte, les convives découvrent le nouveau goût du foie gras de canard Haeberlin au chutney mangue aigre-doux avec une brioche tiède en entrée, du fameux burger d’agneau épicé aux épices d’orient ou du tronçon de lotte cuit dans un beurre blanc au rhum et quinoa à la pomme de granny smith, pour ceux qui préfèrent les poissons, en plat de résistance et le succulent tiramisu pomme vanille en dessert. Le midi, les convives pourront opter pour le menu du jour allant de 31 € à 36 €. Pour accompagner dignement les plats, la carte de vins recèle quelques pépites. Signée Serge Dubs, le célèbre sommelier, elle présente environ 120 références. Le tout servi par un personnel chaleureux et sympathique sous la supervision de Philippe Schmermesser. ...
L’histoire de la Table de Léo est celle d’un coup de cœur. A la recherche d’un établissement typiquement périgourdin à reprendre, Florent Reversat et Servane Daudet sont immédiatement séduits par cette bâtisse en pierre qui a su préserver les marques du temps passé lui conférant tout son charme rustique. Ils la transforment en une adresse cosy et conviviale où la cuisine semi-gastronomique est à l’honneur. Les produits du terroir au menu Une fois que vous aurez mis les pieds à la Table de Léo, vous y retournerez, forcément. Comment résister à un accueil aussi chaleureux, à un service aussi efficace, à une cuisine aussi savoureuse ? Promis ! Ce restaurant périgourdin vous fera passer des moments exceptionnels. En cuisine, Florent s’active déjà pour vous proposer un succulent menu à midi. Ce chef passionné commence sa formation au sein du Lycée Professionnel Jean-Capelle à Naillac pour y passer son BEP et son BACC PRO. Il a ensuite exercé au sein de plusieurs grandes maisons à l’instar de l’établissement étoilé Le Vieux Logis sis au cœur du Périgord Noir. Plus tard, son chemin recroisera celui de Servane qu’il déjà a connu au Lycée Jean-Capelle. Ensemble, ils lancent le projet d’une vie : l’ouverture de leur restaurant qu’ils baptiseront « La Table de Léo » comme leur petit garçon. Coïncidence : la place située en face du restaurant se nomme aussi Léo. Plus aucun doute donc pour le couple. Ils retravaillent entièrement la décoration. Les murs en pierres apparentes ainsi que les meubles en bois brut réveillent le côté traditionnel. Le côté chic est souligné par un art de la table soigné avec des chemins de table blanc en tissu. Telle une véritable galerie d’art, la maison expose gratuitement beaucoup de tableaux réalisés par des peintres de la région. En somme, l’idée est de recréer une ambiance typiquement périgourdine. « Les clients aiment bien ça ! » se réjouit Servane Daudet. Quand le temps est clément, la terrasse ombragée invite à la détente. Elle est située au pied de la célèbre abbaye de Saint-Avit-Sénieur qui se trouve sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. L’édifice religieux datant du XIIème siècle et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO est l’une des attractions phares de la commune. Une délectable cuisine de saison Florent se fait l’ambassadeur d’une cuisine du terroir qu’il personnalise selon ses humeurs et ses envies. Les produits frais sont privilégiés et directement sélectionnés auprès d’éleveurs et de producteurs du coin. Les menus sont élaborés en fonction de la saisonnalité et changent tous les deux mois. Pour combler vos papilles, vous vous laisserez séduire par le menu Plaisir proposé midi et soir pour un prix modique de 32 €. Invitant à un voyage aux quatre coins du globe, le chef vous concocte un Longe de thon fumé cuit minute dans son bouillon de crustacés aux épices thaï. Puis, direction l’Italie avec le dos de cabillaud, risotto crémeux chorizo et encornets. Terminez avec le Finger exotique, sablé coco et sorbet fromage blanc citron qui vous transporte jusque dans les îles. Une jolie carte des vins éclectique avec quelques clins d’œil sur la région est proposée. La maîtresse des lieux vous conseille en fonction de vos envies afin que vous puissiez vous délecter des meilleurs accords. ...
Earl Vignobles Lopez : une AOC Bordeaux Supérieur L’AOC Bordeaux Supérieur s’étend sur 9 000 hectares de vignoble pour une production de 519 000 hectolitres. Elle affiche une vaste diversité de reliefs, d'expositions et de sols à la fois propices à la culture de la vigne blanche et rouge. Les vins sont élaborés à partir des Cabernet-Sauvignon, du Merlot et du Cabernet franc. Le petit Verdot et le Malbec sont des cépages d’appoint. Ici, chaque production a sa particularité puisque les vignerons respectent la nature et préservent la biodiversité. Avec les Vignobles Lopez, une histoire passionnante commence toujours ! Les Vignobles Lopez sont un domaine viticole exploité et mis en valeur depuis plus de 50 ans par la famille Lopez. C’est en 1963 que cette aventure a débuté avec Lopez Camàra Jean et son épouse qui ont été rejoints par leurs fils en 1980. Ils ont ensuite passé le flambeau à leur petite fille Géraldine qui a apporté une touche de fraîcheur et a renouvelé le vignoble. C’est aujourd’hui un beau domaine d’AOC Bordeaux Supérieur. Les vins issus des vignobles Lopez sont un assemblage de Merlot et de Cabernet-Sauvignon et petit Verdot. Les cépages bénéficient d’un climat doux avec des sols sablo-graveleux, sablo-argileux et argilo-calcaires. Grâce à ces conditions favorables, « on travaille le maximum de raisins avec une date de récolte optimale » nous explique Géraldine Lopez. Le château de l’Hermitage, un vin travaillé dans le plus grand respect de l’environnement Selon Géraldine Lopez : « le vin est victime de certaines dérives technico-mercantiles. Les produits chimiques créent des dégâts considérables. Il faut réfléchir à un moment donné pour continuer à vivre en équilibre avec la nature ». C’est donc face à cette situation qu’elle et sa famille ont opté pour une agriculture 100 % bio, une valeur qualitative encore mal comprise par certains vignerons. Elle met un point d’honneur à travailler ses terres dans le plus grand respect de l’environnement. La récolte est vinifiée après égrappage complet et mise en cuve ciment et d’inox. Les vins sont élevés pendant neuf mois minimum avant leur commercialisation. Bien évidemment, le jus est gooté régulièrement pour connaître le moment précis où on doit le sortir des barriques. L’alliance des méthodes traditionnelles et des techniques modernes a notamment permis d’obtenir un succulent millésime certifié « AB » en 2013. Grâce à cette originalité, les Vignobles Lopez ont été médaillés à Paris, Bordeaux et ont reçu des médailles d’or au Concours International Gilbert & Gaillard. Château de l’Hermitage, un véritable délice pour les gourmets La diversité des cépages présents sur le domaine permet des cuvées très personnelles. Les gourmets peuvent déguster du bordeaux rosé, du bordeaux blanc sec ou à l’arôme floral et au gout très aérien. Le Château de l’Hermitage est un vin composé de 50 % de Cabernet et 50 % de Merlot, avec une bonne persistance. Il est élevé pendant 2 ans pour avoir une qualité optimale de dégustation. À l’œil, il a une robe rubis avec une belle limpidité. Il amène la finesse et la sucrosité en bouche. Le Château Lagrugère, deuxième vin de l’exploitation, est issu de vieilles vignes situées sur le haut des coteaux d’Albret, sur des terres argilo-calcaires. C’est un vin aux arômes fruités et agréable en bouche. Il est utilisé pour l’export (Allemagne, Chine, Danemark, Japon, île de la Réunion). « Il est intéressant d’ouvrir les bouteilles une heure avant dégustation pour qu’elles soient plus expressives », précise la gérante du domaine. ...
Le PALM HOTEL & SPA dispose de trois restaurants qui, malgré leurs spécificités, présentent tous le même point commun : la promotion d’une cuisine authentique concoctée essentiellement à partir des produits locaux. Le MAKASSAR, table gastronomique Le restaurant MAKASSAR reçoit ses invités dans un décor empreint d’élégance et de convivialité. En cuisine, le chef Claude Pothin met à l’honneur les produits locaux et encense par l’occasion le terroir réunionnais. D’ailleurs, par souci de qualité, l’établissement respecte la charte « locavore » qui consiste à utiliser des produits récoltés, péchés ou élevés dans un périmètre de 150 km autour de PALM HOTEL & SPA. Papayes de Petite-Île, pigeon des Avirons, foie gras de la Plaine des Palmistes, herbes issus du potager de l’hôtel… en sont quelques exemples qui illustrent parfaitement cette démarche. Combiné au talent et savoir-faire du chef Claude Pothin, tout cela donne lieu à des créations naturelles et subtiles aux saveurs surprenantes. Comme entrée, la maison suggère des « Camarons black tiger & tomate arbuste » s’enchaînant sur une délicieuse « Langouste rouge et sa déclinaison de légumes bio ». Enfin, il convient d’achever la découverte avec une pointe d’exotisme en dégustant un « Tantinet soufflé à l’ananas ». Pour les amateurs de découverte gustative, le chef a pensé à eux en leur réservant un menu « surprise ». Depuis 2009, chaque année (au mois de mars), le lieu est devenu le point de ralliement d’un événement de grande envergure dénommé le MAKASSAR FESTIVAL. L’occasion pour l’établissement d’accueillir de grands noms de la cuisine française et des vignerons provenant de diverses régions viticoles de l’hexagone et d’Afrique du Sud. Dégustation de vins, concours d’œnologie, gastronomie figurent au programme de cet évènement d’exception. En matière de vins, la maison peut se vanter de bénéficier d’une carte à la fois riche et éclectique. Un véritable trésor œnologique où se côtoient quelques 300 références de grands crus et petits producteurs. Le KAH et son concept original Dans un espace de 1200 m2, le KAH Beach & Restaurant associe détente et gourmandise. Cet espace repos faisant face à l’océan propose un hammam, un bain à remous, des transats et des lits à baldaquin. Un restaurant vient compléter ce concept unique de plage suspendue entre ciel et mer. Les pieds dans le sable, les convives peuvent déguster grillades, bagels avec des pains « faits maison », sandwichs et autres salades. Pour de purs moments de gourmandises, glaces, pâtisseries et smoothies les attendent l’après-midi. Le KOKOA, bar lounge Dans un style chic et décontracté, le KOKOA invite ses convives à déguster de délicieux cocktails. Chaque semaine, des animations sont proposées autour de la fabrication de rhum arrangé et des vins d’Afrique du Sud. Tous les dimanches soir, un rendez-vous lounge avec DJ et musique éléctro-jazz est au programme ! En hiver, le KOKOA offre un point d’observation idéal pour apprécier le passage des baleines dans la baie de Grand Anse. ...
C’est sur le terroir de la Côte des Bar que les cuvées Cordeuil puisent leur typicité et leur mosaïque aromatique. Au cœur de la Champagne-Ardenne, dans le département de l’Aube, le vignoble de quatre hectares est ancré sur une terre propice à la viticulture. Salima et Alain y cultivent essentiellement 2/3 de pinot noir et 1/3 de chardonnay selon les principes de la viticulture biologique depuis 2012 et ont reçu la certification en 2015. La marque s’est engagée de façon officielle avec l’organisme ECOCERT afin d’offrir « une visibilité claire et indéniable au consommateur désireux d'un champagne sans intrants chimiques, sans pesticides », fait savoir Salima. Rigoureux dans la viticulture, ce couple de récoltants-manipulants l’est aussi dans la vinification. A la cave, les vins sont vieillis plusieurs années de façon à favoriser la meilleure expression de leur caractère. « Après tout, en Champagne, c’est au vigneron de faire vieillir son vin et non au consommateur » déclare notre interlocutrice. Ainsi, les vins issus de la gamme de 2011 n’ont été mis en vente qu’à partir de 2016. Une gamme qui s’étend d’année en année De ces procédés particulièrement stricts naissent les quatre cuvées de qualité qui ont « de la bouteille (de l’âge) ». Depuis 2014, la maison a produit une cuvée mono parcellaire appelée Les Charmottes, selon une démarche lente et attentive afin d’atteindre singularité et authenticité. Salima nous confie qu’ils sont également en train de travailler un mono parcellaire Blanc de Blancs qui constituera leur sixième cuvée. ...
Installée dans la région depuis près de 400 ans, la famille Maillet a toujours travaillé la terre ou la vigne. Afin de perpétuer la tradition, Pierre Maillet reprend en 2004 le domaine créé par son grand-père, pharmacien à Mâcon il y a une centaine d’années. Une équipe passionnée À l’origine, Pierre Maillet était membre d’une cave coopérative. Mais, en 2014, l’ancien radiologue reconverti en vigneron décide de voler de ses propres ailes et de gagner en indépendance en sortant de cette coopérative. Pour mener à bien son projet, il investit dans des cuves et des matériels de vinification de dernière génération. De là nait le Domaine de la Jobeline. En bon dirigeant, Pierre Maillet s’occupe de la communication et du volet commercial. Caroline Maillet, l’épouse de Pierre, est responsable de l’administration. Le couple est épaulé par Laurent Alexandre, le chef d’exploitation chargé de la culture des vignes, de la vinification et de l’entretien de la cuverie. Grâce à la passion, à la volonté et à un travail acharné, cette équipe a permis au Domaine de la Jobeline de se faire un nom dans le paysage viticole de la région. Une agriculture raisonnée Orientées de l’est au sud, les vignes sont étagées de 300 à 400 m d’altitude. Leur excellente situation géographique leur procure un fort ensoleillement durant la journée, de l’air frais la nuit et une bonne ventilation. Plantées sur diverses parcelles, elles sont âgées de 25 ans en moyenne. Elles sont implantées sur un sol riche à composition argilo-calcaire et sont situées sur des coteaux bien drainés et modérément pentus. Le domaine d’une superficie de 11 hectares, avec une densité de plantation de 8 000 pieds par hectare, produit environ 550 hectolitres par an. La culture est menée de façon raisonnée, avec maitrise des rendements. Cette démarche s’accompagne de l’usage limité des intrants chimiques, de la valorisation des engrais naturels, de l’aération du sol par des labours et du respect des cycles biologiques. Les conditions climatiques favorables, les matériels de dernière génération comme les pompes péristaltiques, le pressoir pneumatique et les cuves thermorégulées en inox ont permis au Domaine de la Jobeline de produire des vins d’excellence. Un important palmarès Grâce aux efforts du trio Pierre-Caroline-Laurent, les vins du domaine ont acquis une belle réputation, s’illustrant au travers des nombreuses récompenses qu’ils ont obtenues. Dernièrement, le Mâcon-Villages 2014 a obtenu une médaille d’or lors du Concours international Gilbert et Gaillard 2016. Avec sa robe or éclatant, ce vin possède un nez équilibré et expressif, avec des notes florales et minérales. En bouche, il est structuré et précis. Parfait pour accompagner les poissons, les volailles ou les fromages de chèvre. Au même concours, le Mâcon Verzé blanc « en Prévisy » 2014 a également remporté une médaille d’or. Il a aussi été récompensé d'une médaille d'argent au Decanter World Wine Awards 2016. Ce vin de garde riche accompagne, quant à lui, les quenelles en sauce, les poissons, les viandes blanches et les fromages de type pâtes persillées ou le comté. ...
Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans. L’arriere Grand pere de Xavier Loriot, un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis de fille en fils . Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, c’est Charlène Loriot qui est à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5 ha de vignes. Première Femme de la maison a travailler le vin, et qui est toujours sous l’œil vigilant de son père Xavier, afin de préserver ce précieux héritage. L’objectif actuel est de préserver l’aspect environnemental et d'orienter ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient son père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Meunier, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Meunier Rosé, Fragment de Noirs, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Meunier illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir. Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et 0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...
Le Château Kirwan, un Margaux authentique et élégant L’AOC Margaux est la seule appellation communale du Haut-Médoc à porter le nom d’un premier grand cru classé et une des plus prestigieuses et des plus vastes appellations du Médoc. Elle s’étend sur 1 400 ha et produit 21 crus classés sur 61 dans tout le Médoc. Le vignoble se trouve au sud du Médoc sur des terroirs sablonneux, graveleux et argileux. C’est un assemblage de 45 % de Cabernet-Sauvignon, 30 % de Merlot, 15 % de Cabernet franc et 10 % de Petit Verdot. Les Margaux se distinguent par leur élégance et leur finesse. En bouche, ils sont harmonieux, amples, soutenus par une fine trame de tanins délicats et savoureux. La finale est toute en harmonie et en élégance. Le Margaux est un vin "féminin", évolue et touche son apogée 15 à 20 ans plus tard selon les millésimes. Le Château Kirwan, une belle aventure Au 18ème siècle, Sir John Collingwood, important négociant britannique installé à Bordeaux pour le commerce avec l’Angleterre règne sur le Domaine de Lasalle. Son gendre Mark Kirwan hérite de ce prestigieux vignoble en l’agrandissant avec une parcelle voisine et en lui donnant son propre nom « Kirwan ». L’authenticité de ses terroirs et la qualité des vins ont permis au château d’être classé 3ème Grand Cru Classé du Médoc en 1855, avant de passer dans les mains de la famille Schyler en 1926. Château Kirwan, un Grand Cru Classé par excellence Il se distingue à l’œil par sa couleur rouge profonde et sa belle robe. Au nez, il est élégant et on sent ses arômes de fruits rouges mûrs. En bouche, il est savoureux, gourmand et a une longueur aromatique. « Il envoute votre palais avec des fruits superbes », nous explique Sophie Thierry. Il s’accorde parfaitement avec les mets à base de viande blanche, les charcuteries et bien d’autres choses. Charmes de Kirwan, un jeune vin plein de charme C’est la deuxième cuvée du château. Ce vin est issu des vignes qui ont moins de 8 ans. Le Millésime 2009 est de couleur rubis foncé. Au nez, il est élégant avec des notes de fruits mûrs et une attaque fraiche. En bouche, il est ample et a une saveur aromatique. La finale est longue et aromatique. ...
Tout a débuté en 1952, lorsque neuf viticulteurs originaires du Pays Basque, s’associent pour créer une coopérative dont le but est de reconstruire un vignoble détruit par le phylloxéra ainsi que par le passage de la Première Guerre mondiale. « Aujourd’hui, la Cave d’Irouleguy, qui compte 42 coopérateurs en AOC Irouléguy, a pour volonté de perpétuer la notoriété de ce bout de terroir du Pays Basque et de mettre en valeur son produit de prédilection qui est le vin », indique Nadine Gaztambide, Directrice de la cave coopérative. AOC Irouléguy : des vins de qualité Territoire de beauté, bordé par la mer, oasis de verdure et couvert par des montagnes et des collines, les Pyrénées-Atlantiques abritent quelques trésors en matière viticole dont l’AOC Irouléguy. Incontournable dans le patrimoine gastronomique du Pays Basque, le vin d’Irouleguy tient la deuxième place après le jambon de Bayonne et le fromage de brebis. Il se distingue par la richesse de son cépage, classé en deux catégories, qui sont : les cépages noirs ; le tannat, le cabernet franc et le cabernet sauvignon et les cépages blancs : le gros manseng, le petit manseng et le courbu. L’appellation regroupe 250 hectares de vignes plantées, dont 60 % du vignoble est représenté par la cave coopérative. Onze domaines indépendants se départagent, quant à eux, les 40 %. « Selon l’INAO (Institut national des appellations d'origine), 1000 hectares de parcelle sont encore disponibles à la plantation, ce qui amène la Coopérative à redoubler d’efforts même s’il n’est pas simple de planter la vigne, puisque la culture s’effectue en terrasse », nous explique notre interlocutrice. Et elle de continuer que « malgré ces difficultés, le nombre de plantations augmente d’environ 10 hectares chaque année. » Par rapport au terroir justement, ce dernier est assez diversifié avec beaucoup de grès rouge et un peu de schiste. L’authenticité d’Irouléguy Afin d’améliorer les techniques viticoles, la cave d’Irouleguy effectue depuis deux ans une étude sur l’impact du climat sur la croissance des plantes en partenariat avec l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’ISVV (Institut des sciences de la vigne et du vin) de Bordeaux pour une durée de trois ans. Pour ce faire, elle s’est dotée de trois stations météo, trente-trois capteurs et trois pluviomètres. Les premiers résultats montrent que l’altitude constituerait le facteur prépondérant formant le terroir, et non uniquement le sol ou le climat. Forte de ses innovations, la cave est aussi très impliquée dans la préservation de l’écosystème. L’agriculture raisonnée constitue un véritable réflexe pour tous les adhérents à la coopérative. Beaucoup s’engagent aussi dans une démarche bio. « Nous avons de nombreux viticulteurs entamant une phase de reconversion. D’ici cinq ans, 50 % de la cave sera en bio », se félicite notre interlocutrice. Un environnement sain et préservé qui permettra aux jeunes générations de travailler dans les meilleures conditions. En parallèle, la cave investit énormément dans des équipements performants pour garantir la parfaite qualité de ses produits : vendanges en cagettes, réception gravitaire des raisins, … Aujourd’hui, plusieurs gammes issues de la coopérative sont à découvrir comme le Lehia, une cuvée Unique en blanc produite en très faible quantité, les cuvées Prestiges (Omenaldi enrouge et Xuri en blanc), les Incontournables (Le Mignaberry en rouge, blanc, rosé et le Kattalingorri, vin bio, en rouge et rosé) et les cuvées Plaisirs (Gorri en rouge et Argi en rosé). Parmi les produits, une attention particulière est portée pour le Mignaberry de la gamme Incontournable, facile à boire, frais et sec pour le blanc 2016, « très charmeur » pour le rosé 2016, qui est d’ailleurs cité au guide Hachette des rosés 2017-2018 et riche et harmonieux pour le rouge. ...
La brasserie La Gaëlle ouvre ses portes aux amateurs de bière le vendredi et le samedi soir. Pour promouvoir ses produits, Christophe Hordé propose de la restauration sur réservation, des soirées ou une visite de la brasserie. Un bar-brasserie La Gaëlle produit des bières 100 % céréales « avec un peu plus de houblon que des bières classiques », précise Christophe. Outre la blonde de base, La Gaëlle sert une blonde dite d’automne pour son côté fruité et sa longueur en bouche qui est plus importante. Il y a ensuite la cuvée Judicaël, la rousse et la bière ambrée, qui a permis à la brasserie de remporter la médaille de bronze au concours régional des bières de Bretagne. Enfin, la maison produit trois brunes : la normale, celle d’été et une plus épicée, qui sort à Noël. La cuvée Judicaël Liée à l’histoire de la commune, la cuvée Judicaël a un franc succès auprès des visiteurs. Historiquement, la bière a toujours été brassée par les moines. C’était le cas au royaume de la Domnenet, l'un des quatre royaumes bretons au 7e siècle. Le prince Judicaël, qui s’était retiré au monastère de Saint-Jean-de-Gaël, après avoir été écarté du trône, y a découvert un breuvage fermenté et il introduit dans cette recette le houblon, plante connue pour ses vertus médicinales. Cette bière révélait un goût fruité, très original à l’époque. Une fois arrivé à la tête du royaume, Judicaël inventa une bière baptisée La cervoise d’or. Cette dernière était servie à chaque événement de sa vie. Judicaël l’aurait également présentée au roi Dagobert, connu pour avoir développé la production de bière en France par l’intermédiaire des abbayes. La brasserie La Gaëlle fidèle à cette tradition a créé une bière blonde, la Judicaël, conçue avec une levure belge trappiste. ...
Après une enfance passée loin de la métropole, plus précisément sur l’île de Madagascar, les frères Pire rejoignent l’Europe pour leurs études. En 1998, Adrien, Guillaume et leurs parents tombent sous le charme de ce vignoble. Mais c’est seulement en 2010 que toute la famille se retrouve à Fosse-Sèche. D’une superficie de 45 hectares d’un seul tenant, le domaine est constitué d’une quinzaine d’hectares de vignes plantées sur un sol jurassique associant silex et oxyde de fer. Dans une volonté de préserver ce terroir et d’offrir des vins les plus naturels possible, la maison pratique l’agriculture biologique depuis 2006 et biodynamique depuis 2012, et bénéficie des certifications Ecocert et Biodyvin. Sur le chemin des grandes cuvées L'une des particularités du Château de Fosse-Sèche se trouve dans sa cave, dans laquelle des cuves ressemblant étrangement à des œufs y sont entreposées. Il s’agit en fait de cuves ovoïdes fabriquées avec du béton d’argile permettant au vin d’exprimer au maximum le terroir et les cépages. De réputation noble, les cépages de la région sont répartis comme suit : 5 hectares de chenin, 9 hectares de cabernet blanc et, enfin, 1 hectare de cabernet sauvignon. Trois types de vins (AOC) - Saumur rouge, Saumur blanc et Saumur Puy-Notre-Dame - y sont produits. Nature et vin, duo mythique C’est grâce au dévouement de passionnés comme les frères Pire que l’âme du terroir de Fosse-Sèche renaît et offre aux vins toute sa splendeur. De leur cave sortent des cuvées produites à partir de vignes vieilles de plus de 60 ans, comme la Réserve du Pigeonnier 2014, un 100 % cabernet franc (rouge), complexe et fin, avec une finale longue et minérale, un vin de garde (20 ans) ; ou l’Arcane, 100 % chenin (blanc), fermenté neuf mois à basse température et élevé en cuve, dont le millésime 2015 est très ciselé. ...
Des 13 000 bouteilles produites annuellement, les sept cuvées de cette exploitation sont des trésors qui ne se retrouvent pas sur le marché traditionnel. Outre les salons et les foires, elles ne sont disponibles qu’en vente directe à la propriété ou en livraison. Une pionnière Christelle Salomon est l'une des rares représentantes de la gent féminine à être à la tête d’une exploitation viticole en région champenoise. Grâce aux trois hectares de vignoble reçus de ses parents, où elle a d’ailleurs fait ses armes, elle a créé sa propre marque en 2004 pour vivre pleinement cette passion héritée d’une longue lignée de viticulteurs. Au four et au moulin, si l’on peut dire, Christelle dirige son affaire depuis le vignoble jusqu’à la commercialisation avec une réussite indiscutable, puisque ses produits sont cités dans plusieurs guides spécialisés et ont été primés lors de grands concours, aussi bien nationaux qu’internationaux. Tradition et modernité Cinquième génération de viticulteurs champenois, Christelle Salomon a comme ligne de conduite d’élaborer ses cuvées dans le plus pur respect de la tradition. Mais comme « il faut savoir vivre avec son temps », souligne-t-elle, elle injecte savamment une touche de modernisme dans ses procédés, notamment lors de la vinification, en utilisant des cuves émaillées et en faisant nouvellement acquisition de deux cuves en inox. De cette alliance de techniques est née « Si J’ose », une cuvée qui porte bien son nom. Car, pour un champagne élaboré dans la vallée de la Marne, il est rare qu’une cuvée le soit à 100 % de chardonnay. Un pari osé, donc, mais qui a été couronné de succès, puisqu'elle a été médaillée d’argent au Concours des vignerons indépendants 2016 et a également obtenu le prix du public lors du Concours des jeunes talents du champagne 2016. ...
Très loin des quartiers touristiques, il faut sortir un peu du centre-ville pour découvrir cet établissement, perdu au milieu des entrepôts de pêcheurs et des ateliers de marée. En 1992, Patrice Baude, lui-même poissonnier depuis près de 40 ans, a repris Le Chatillon, tout en conservant l’histoire et l’esprit de la maison. Un autre univers « En 1950, l’établissement était conçu et réservé aux marins, dockers, mareyeurs ou fileteurs de Boulogne qui travaillaient jour et nuit dans le poisson », nous décrit le propriétaire en parlant des débuts du Chatillon. Depuis, il semble que rien n’a beaucoup changé. Le restaurant continue d’être une adresse incontournable autant pour les professionnels intervenant dans les métiers du poisson que pour les particuliers, à la recherche de délicieux plats à base des produits frais de la mer. L’établissement a aussi préservé son ambiance très dynamique et chaleureuse. De l’extérieur, la façade du restaurant se fond parfaitement dans le paysage et une fois à l’intérieur, l’on se retrouve plongé dans une atmosphère unique, au style marin. Les voiles, le gouvernail, le hublot, et les décorations murales transportent les clients vers une escapade en mer. Du choix et de la fraîcheur Le Chatillon bénéficie d’une clientèle variée composée d’habitués et de simples gourmands de passage. Les clients se laissent séduire par le menu unique à 23 €, qui se compose d’une entrée du jour et d’un plat qui varie selon les produits de la pêche, et enfin d’un dessert fait maison. La carte affiche également un large choix de plats de poissons frais cuisinés sur place. En entrée, les petits maquereaux marinés façon dieppoise, ou encore l’assiette boulonnaise avec son assortiment de saumon fumé, filet de hareng, lisette et maquereaux fumés sont un régal pour les papilles. En plat de résistance, l’aile de raie au beurre roux ou à la crème de Normandie reste un grand classique et connaît un franc succès du restaurant. « On fait notamment huit à neuf plats de poissons tous les jours », continue notre interlocuteur. En outre, les clients peuvent tenter le généreux plateau de fruits de mer, qu’il faut commander 24 heures à l'avance. Côté vins, Le Chatillon en propose quelques-uns venant des petits producteurs. ...
Situé en région Provence, le domaine Les Beates propose un large choix de cuvées pour toutes les envies. Les Beates : un terroir fabuleux qui favorise la création de boissons exceptionnelles Acquis en 2002 par Pierre-François Terrat, le domaine Les Beates a considérablement évolué avec le temps. Profitant d’un terroir fabuleux à flanc de coteau de la Chaine des Côtes, son nouveau propriétaire a, en effet, décidé de travailler à sa manière les 40 hectares de vigne à sa disposition. Tout en poursuivant une viticulture biologique (la conversion bio du domaine a été initiée en 1980), ce vigneron passionné réalise un véritable travail sur le végétal et fait son maximum pour mettre en avant la biodiversité. Ce respect du vivant se poursuit au chai avec le processus de vinification : les fermentations sont réalisées grâce aux levures indigènes et l'usage d'intrants est réduit au minimum. L'objectif est clair : permettre à chacun de profiter d'un vin de qualité pour la bonne occasion et, surtout, le bon plat. ...
Pour cette famille, la viticulture est passée au fil des générations au rang d’art de vivre, de philosophie. Métier constamment en évolution, les Bonnet s’appliquent à concilier modernité et tradition dans l’élaboration de leurs vins. Château de Respide, ancienne demeure de Louis Pascal Le premier bâtiment fut bâti du temps du Roi Soleil, par un de ses lieutenants M. de la Reynie. Ce dernier initia la viticulture au domaine. Le Château de Respide qui subsiste encore jusqu’à aujourd’hui a été édifié au milieu du 19e siècle par Ernest Pascal, préfet de Bordeaux, sur les vestiges de l’ancienne bâtisse. Elle fut le théâtre d’heures interminables de billard entre Louis Pascal et son cousin, le peintre Toulouse Lautrec. « Le château est un des plus vieux châteaux de l’appellation Graves » précise l’actuelle propriétaire, Christine Bonnet. A cette époque, le vignoble était déjà référencé par le guide Feret, véritable institution des vins de Bordeaux. Le château passa ensuite aux mains de la famille Rodies, qui obtint la première médaille d’or du domaine au Concours Agricole de Paris. Pierre Bonnet, père de l’actuel propriétaire se chargea de sa direction à partir de 1952. Sa mort en 1969 entraînera la vente de la propriété qui conservera quand même son vignoble et les bâtiments agricoles. Depuis 1990, Franck Bonnet, petit-fils de Pierre, prend en charge la gérance du domaine qui devient le SCEA Vignobles Pierre Bonnet. Le respect de l’environnement, un engagement de la famille Depuis toujours, le respect et la préservation de l’environnement sont au centre des intérêts de la famille Bonnet. Aussi, le vignoble est mené selon des procédés visant à le pérenniser. Les vignes sont enherbées de manière à éviter l’usage des herbicides et elles sont observées en permanence afin de pouvoir appliquer les traitements adéquats. Depuis 1997, une station d’épuration a été mise en place pour traiter les eaux usées. Près des cours d’eaux, des zones sont maintenues en permanence au repos. Dans un futur proche, le château prévoit d’installer des panneaux solaires sur son domaine. En effet, le domaine bénéficie d’un ensoleillement favorable tout au long de l’année. L’électricité ainsi obtenue permettra de diminuer drastiquement la consommation en énergie du château. Une vinification qui répond aux normes Construit en 1993, la cave du château est dotée de tout le matériel nécessaire permettant une vinification mettant en valeur le terroir et les raisins. Qui plus est, ces nouvelles installations permettent de diminuer énormément la charge de travail du personnel. En effet, « le viticulteur ne travaille jamais seul, on est quand même une équipe entre onze et quinze personnes, composée de permanents et temporaires » explique Madame Bonnet. Pour en revenir à la cave, son cahier des charges rigoureux répond aux normes en vigueur concernant la traçabilité et l’hygiène de la production. Le chai à barriques, rénové de fond en comble en 2000, peut désormais accueillir près de 900 barriques. Il est d’une ventilation thermorégulée qui permet d’avoir une parfaite isolation. Le catalogue des vins Le Château de Respide dispose d’une gamme complète de cinq cuvées déclinées en blancs et rouges qui sont tous en appellation AOC Graves. Le « Château de Respide Graves Blanc » est un vin de restauration qui se consomme jeune. A table, il accompagne avec délice fruits de mers, poissons et salades. Le « Château de Respide Callipyge Graves Blanc » est plus pour les amateurs de Grands Blancs bordelais. C’est un vin qui peut se consommer de suite mais peut patienter cinq ans en cave. Le « Château de Respide Junior Graves Rouge » est destiné aux jeunes, et se consomme lors des pique-niques. Le « Château de Respide Graves Rouge » doit se bonifier un an en cave avant d’être dégusté, et peut même patienter jusqu’à quinze ans. Et enfin le « Château de Respide Callipyge Graves Rouge » est ...
Propriété de Francis Burn, le Clos Saint-Imer fait partie intégrante du Domaine Ernest Burn, qui lui-même est inclus au sein du village de Gueberschwihr. Terre de prédilection pour les sept cépages nobles alsaciens, ce village est reconnu depuis plusieurs siècles pour l’excellence de ses vins. Ernest Burn, précurseur du domaine Terroir de premier choix pour les grands vins avec son sol calcaire et sa forte pente, les villageois de Gueberschwihr commencèrent à défricher la colline à partir du VIIe siècle, sous l’impulsion de son protecteur Saint-Imer. Toutefois, suite à la Révolution qui morcela ces terres, au phylloxera qui décima les plantations et aux difficultés d’exploitation, la viticulture fut abandonnée sur cette colline à la fin du XIXe siècle. Ernest Burn, issu d’une très longue lignée de vignerons et conscient de l’énorme potentiel de ce terroir, s’attela à partir de 1934 à le faire renaître de ses cendres. Il releva les murs de pierres, rouvrit les chemins et replanta les parcelles qu’il acquit au fur et à mesure. Son nom est resté attaché au domaine qu’il a transmis à ses enfants. Son fils Francis continue son œuvre et exploite avec passion ce vignoble tant réputé. Le Clos Saint-Imer Juché à 330 mètres d’altitude au nord du village de Gueberschwihr, le Clos Saint-Imer occupe cinq hectares d’un seul tenant au lieu-dit Grand Cru Goldert. Son terroir calcaire est propice aux cépages nobles alsaciens, en particulier le Gewurztraminer et le Muscat d’Alsace. Cette particularité lui a d’ailleurs valu le surnom d’ « aristocrate du vignoble alsacien ». Imposé par la forte déclivité du terrain (jusqu’à 60% de pente en certains endroits) mais aussi dans un souci de préservation de la nature, les vignes y sont travaillées à la manière traditionnelle. « Nous travaillons surtout à l’ancienne, tout est manuel. » explique Francis Burn. Et lui de poursuivre : « depuis toujours, les insecticides sont bannis de ce clos afin de respecter un type d’agriculture raisonnée, voire au-delà. Des vins riches et fruités Avec ses dix hectares en tout, dont cinq pour le Clos Saint-Imer, le Domaine Ernest Burn produit annuellement quarante-mille bouteilles, déclinées en une quinzaine de vins différents. « Nous ne commercialisons que des vins mûrs, qui ont entre trois et quatre ans, élevés trois ans minimum avant d’être mis en bouteille. Nos vins sont très riches, fruités…» précise Francis. Le « Clos Saint-Imer - Muscat Vendanges Tardives » 2007, AOC Alsace Grand Cru Goldert illustre la richesse des vins issus de ce clos. Composé de Muscat à 100% récolté en surmaturité, il présente une robe jaune doré, aux reflets cuivrés. Son nez ouvert et complexe, offre un mélange d’arômes de rose, d’abricot, de miel et d’épices. Equilibré et structuré, cette cuvée est à réserver pour les occasions particulières, et s’accompagne d’un roquefort ou d’une mousse au chocolat. A l’instar du Muscat, le « Clos Saint-Imer - Gewurztraminer Vendanges Tardives » 2011 AOC Grand Cru Goldert est également un grand vin de garde qui peut se bonifier jusqu’à quinze ans en cave. La finesse de sa sucrosité permet à ce vin moelleux des accords gourmands. Présenté en coffret de bois, il s’offre en cadeau aux amateurs de grands vins. ...
Cette bière était brassée au sein même de l’abbaye de Tongerlo, il y a déjà 110 ans. Hélas, la première guerre mondiale mit un terme abrupt à cette tradition, puisque l’occupant allemand réquisitionna les cuves pour en utiliser le cuivre. Après de nombreuses pérégrinations avec leur bière, les moines Prémontrés de l’abbaye trouvèrent enfin la quiétude auprès de la brasserie Haacht, en 1990. En échange de la licence accordée, la brasserie apporte son soutien à une communauté monastique des plus dynamiques de Belgique. Brasserie Tongerlo : tradition ancestrale pour une bière blonde aux aspects cuivrés et aux arômes de miel... Le choix des moines s’est porté sur une brasserie à caractère familial, qui attache une grande importance à la qualité et à l’authenticité. Cette attitude se laisse découvrir à chaque dégustation de la bière Tongerlo. Fidèle à leur devise présente sur les portes de l’abbaye du 14e siècle, « Festina Lente » (« se dépêcher lentement » en latin), les moines préconisent que cette bière brassée avec savoir se déguste avec sagesse. Bière blonde aux teintes cuivrées de fermentation haute, la Tongerlo se distingue par son délicat arôme de miel et sa douceur en fin de bouche. Elle est tout en rondeur. À noter également que, courant 2017, la bière présentera une nouvelle identité visuelle plus moderne déclinée sous trois formats : pack de 6 x 25 cl, boîte de 50 cl et bouteille de 75 cl. Aujourd’hui, l’abbaye se visite et vaut le détour. ...
Avec un slogan fort de sens - « Tous vos succès méritent un GREMILLET » - en parfait écho avec le parcours de la maison qui s’est rapidement hissée parmi les plus belles de son secteur, l’entreprise, créée par Jean-Michel GREMILLET en 1979 et reprise par ses enfants Anne et Jean-Christophe, offre un regard optimiste sur l’avenir et place la détermination, le dynamisme et le travail au cœur de ses valeurs. Une gamme de champagne mêlant qualité, fraîcheur et élégance La maison produit aujourd’hui 500 000 bouteilles par an. Le fruit d’un savoir-faire et d’une terre précieuse : un domaine vaste de 48 ha, situé au cœur du terroir unique de la Côte des Bar où le pinot noir est roi, et qui abrite depuis 2013 un clos. Ce dernier a enfanté la dernière création de la maison, une cuvée bijou qui porte son nom : le Clos Rocher. ...
Opérant dans le domaine du vin depuis plus d’une quinzaine d’années, Christophe Kaczmarek fait ses premières initiations au sein d’un des plus célèbres cavistes parisiens Le Repaire de Bacchus. Il affûte ensuite ses armes en se formant auprès de Jean-Michel Deluc et Paolo Bouca Nova puis intègre des maisons viticoles de grande renommée comme les Domaines Paul Mas ou le Groupe Castel. Fort d’une solide expérience professionnelle, il met à profit ses acquis pour lancer son entreprise en 2015, puis la marque French Beaches en 2020. Une marque française audacieuse et décomplexée French Beaches, c’est une gamme de vins dans l’air du temps produite à partir de l’assemblage de différents jus récoltés auprès de vignerons certifiés en agriculture biologique et biodynamique. La jeune marque française tire aussi profit de la vogue des bières artisanales pour créer ses propres « crus ». La micro-brasserie se trouve en plein Massif central, en Auvergne et tisse des partenariats avec d’autres brasseurs dans la conception de ses produits. « Je travaille avec Romain Paire du Domaine des Pothiers qui est vigneron, brasseur mais aussi éleveur de vaches », raconte Christophe Kaczmarek. Un troisième larron se rejoint au groupe en la personne de Ludovic Chaillit, Brasseur à Saint-Romain-la-Motte. Ensemble, le trio crée la Liberté Unplugged — A.P.A, une nouvelle bière artisanale fraîche et désaltérante. Une A.P.A digne de ce nom Les American Pale Ale (A.P.A) sont des bières fortement houblonnées aux puissants arômes d’agrumes, de fruits exotiques ou floraux. La Liberté Unplugged – A.P.A. se veut légère car elle contient un plus faible taux d’alcool. Facile à boire, elle dévoile une bouche houblonnée, dense et veloutée qui s’achève par de belles notes d’amertume. « Je voulais avoir une bière à l’équilibre gustatif entre l’amertume et la gourmandise », déclare le brasseur. ...
En 2006, François et Sylvie s'installent à Meursault. Le domaine familial est aujourd’hui géré par cette 5ème génération de vignerons, bientôt rejointe par Antoine la 6ème lignée. Il s’agit d’une entreprise à taille humaine et c’est peu de le dire ! La famille travaille seule et ne compte aucun ouvrier. « Nous faisons tout de A à Z, de la culture de la vigne, à la vinification en passant par la commercialisation », témoigne Sylvie. La simplicité et la convivialité font tout le charme de cet endroit blotti au cœur de la Bourgogne. Des vins à l’ancienne, une signature Comme il est de coutume en Bourgogne, le pinot noir et le chardonnay sont à l’honneur sur les 6,5 hectares du Domaine François et Sylvie Gerbeaut. La région étant connue pour ses lieux-dits très morcelés, l’exploitation dispose de plusieurs parcelles réparties sur les communes de Pommard, Beaune et de Volnay. « Nous travaillons à l’ancienne, en lutte raisonnée en collaboration avec la Chambre de l’agriculture pour être à la pointe de tout ce qui se fait de mieux au niveau des vignes », explique Sylvie Gerbeaut. Dans sa démarche respectueuse de l’environnement, la maison promeut une méthode de culture hors des sentiers battus. Lors des vendanges qui se font manuellement pour toutes les appellations villages, les raisins sont triés directement sur les parcelles pour que les grains qui arrivent dans les cuves soient les plus sains et les plus propres possible. La récolte s’effectue à maturité complète et ainsi, les cépages peuvent exprimer toute la typicité de leur terroir. « Lorsque le raisin est très mûr, nous n’avons pas besoin de chaptaliser ni d’ajouter des levures. Le but est de rester le plus naturel en utilisant ce que la terre peut offrir. » Le domaine aspire clairement à être le représentant de ses terroirs. « Nous ne changeons rien lors de la vinification car nous voulons que nos produits arborent leur identification de départ », insiste la vigneronne. Après un long passage en cuves bétons ou inox durant 20 à 30 jours, les vins passent par un élevage en fûts de chêne pendant 12 mois au minimum avec là encore, quelques particularités. « Nous n’utilisons que 10% de fûts neufs pour que le boisé dans le vin soit fondu et que les arômes fruités et floraux soient davantage mis en avant. » Le meilleur de la Bourgogne Produisant entre 15 000 à 20 000 bouteilles dans l’année, le Domaine François et Sylvie Gerbeaut propose un large éventail de cuvées en appellations Beaune 1er cru, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune, Pommard 1er cru et Volnay. Parmi les différents crus qui retiennent l’attention figurent ceux produits sur les parcelles de Pommard. Le 1er Cru « Les Charmots » 100% pinot noir par exemple plaît pour sa complexité et ses arômes de fruits rouges. Il s’accorde à merveille avec toutes sortes de viandes blanches, viandes rouges, gibiers, fromages ou volailles. Fierté de la maison, le Beaune 1er cru « Le Clos des Mouches » est issu du plus beau clos situé dans l’aire d’appellation. « C’est un vin authentique, puissant et magique qui est une belle représentation de notre travail », avoue notre interlocutrice. Révélant une couleur rubis intense, ce rouge au potentiel de garde est à la fois intense, complexe, il aiguise les palais avec ses arômes de fruits noirs et de fruits rouges. Un nectar subtil à accompagner d’une côte de bœuf, de viandes rouges en sauce ou de fromages affinés. ...
Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures. Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château. ...
Avec ses vieilles pierres et poutres apparentes, le P’tit Cageot est un endroit fort sympathique où l’on vous propose de savourer une cuisine raffinée en toute convivialité. Cadre typiquement vieil Antibois A l’intérieur, l’esprit récup donne le ton à la décoration. Des cageots placés ici et là, des luminaires réalisés avec des bocaux ont fini par donner un charme particulier à l’endroit. Dans une ambiance digne d’une maison de campagne Provençal, la convivialité est ici au rendez-vous. Arnaud et Roxane ont voulu avant tout miser sur un endroit qui leur ressemble. Au quotidien, quiétude et détente font partie de leur leitmotiv. Une cuisine inspirée des saisons Bien installé derrière le fourneau, Arnaud excelle dans l’art de magnifier la simplicité. En cuisine, ça sent la fraicheur du marché. Noblesse oblige, vous ne trouverez pas de produits aussi frais qu’au P’tit cageot. Tout juste auréolé de son titre de Maître-Restaurateur, le chef se doit de respecter un cahier des charges rigoureux incluant une trentaine de critères comme la qualité de service et d’accueil, produits frais et de saison, cuisine faite maison… Pas de quoi inquiéter Arnaud qui se permet même quelques fantaisies. Mis à part la carte qui change deux fois par saison, la maison propose tous les jours un menu surprise (entrée-plat-dessert). Une formule qui a visiblement la côte auprès des invités. A chaque fois, ces derniers restent bluffés par une cuisine aussi originale que savoureuse. ...
Animés par le désir de proposer une viande de premier choix pour satisfaire la demande croissante du marché français en viande ovine, les 1 000 membres de l’association d’éleveurs GIE Ovins du Limousin se sont rassemblés pour défendre un bien commun par une démarche qualité. L’obtention de l’IGP leur a permis d’assurer l’excellence de l’agneau Baronet, déjà très avantagé par le terroir sur lequel il évolue. Sa végétation, ses prairies, ses herbes, son climat, sa pluviométrie, sa géologie et son altitude font effectivement du Limousin un endroit idéal pour élever les moutons. « Il est voué à nourrir les animaux », affirme Didier Briantais, directeur du GIE Ovins du Limousin. Au-delà, les éleveurs doivent respecter les critères du cahier des charges pour fournir une viande conforme : lait maternel pendant au moins 60 jours, traçabilité, alimentation au foin et à l’herbe en période hivernale, avec éventuellement un complément de céréales et de fourrage… Un produit d’exception pour des repas gourmands « Grâce aux propriétés spécifiques du terroir et à la rigueur des méthodes d’élevage employées, les viandes offrent une chair tendre, délicatement parfumée, avec un taux de gras idéal », souligne Didier Briantais. Elles sont aussi facile à cuisiner : des chefs de renom tels qu’Alain Longeval ou Emmanuel Ardillon prônent d’ailleurs la marque en créant des recettes. Un véritable ravissement pour les papilles qu’offrent, par exemple, la « Selle d’agneau du Limousin et pommes dauphine » ou la « Roulade de poitrine d’agneau du Limousin farcie ». ...
Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud. Grands moments de gastronomie Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle. Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement. Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies. ...