Leur bière se distingue par sa fabrication et dans le choix des matières premières. La fermentation se fait entre trois et sept jours, puis repose pour trois de plus, pour enfin couler directement de la cuve au verre. Chaque établissement possède 10 à 20 cuves pour fabriquer sa bière et écoule entre 800 et 2 000 hectolitres/jour de bière. Trois catégories sont notamment proposées : les traditionnelles (blanche, blonde, ambrée, brune) ; la cuvée du Brasseur (ou la bière du mois). Une cuisine savoureuse 3 Brasseurs c’est aussi un restaurant à l’ambiance conviviale et chaleureuse. C'est l’adresse parfaite des épicuriens. La carte réserve une palette de gourmandises, de l’apéritif, aux desserts en passant bien sûr par les salades et les plats. Sans oublier les incontournables 3 Brasseurs : Les carbonnades Flamandes, le pot’jevleesh, le Welsh, les flammekueches et la choucroute. Pour les plus courageux (et surtout les plus gourmands), l’assiette gourmande ou le ribs de porc (environ 500 g) proposés chaque jour. Les 3 Brasseurs mettent ainsi à l'honneur une cuisine traditionnelle et franche à travers des suggestions aussi gourmandes que savoureuses. ...
Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans. L’arriere Grand pere de Xavier Loriot, un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis de fille en fils . Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, c’est Charlène Loriot qui est à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5 ha de vignes. Première Femme de la maison a travailler le vin, et qui est toujours sous l’œil vigilant de son père Xavier, afin de préserver ce précieux héritage. L’objectif actuel est de préserver l’aspect environnemental et d'orienter ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient son père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Meunier, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Meunier Rosé, Fragment de Noirs, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Meunier illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir. Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et 0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...
Entreprise pâtissière industrielle implantée à Estillac en Lot-et-Garonne, la Ronde des Fraîcheurs a ouvert ses portes en 2001. Ce site, d’une surface de 4 400 m2 et doté de 7 lignes de production et de 9 lignes d’étiquetage, est spécialisé dans la fabrication de pâtisseries fraîches. Afin de répondre à une demande grandissante en pâtisseries industrielles, elle entreprend en 2008, un doublement de sa surface de production. Aujourd’hui, sous l’impulsion de son directeur Pascal Marie, les 79 salariés de la société partagent au quotidien leur passion d’un métier à fort savoir faire dans un fonctionnement basé sur des schémas d’organisation et de management innovants. Une offre étendue particulièrement attractive À travers une joyeuse farandole de sélections gourmandes individuelles, familiales ou festives, la Ronde des Fraîcheurs dispose d’une large gamme de pâtisseries traditionnelles classiques (tartes, éclairs et entremets…) travaillées de façon très spécifique pour répondre à chaque besoin. Grâce à un outil de production d’une grande flexibilité lui permettant d’honorer des commandes 5j/7 et ce, de façon régulière tout au long de l’année, l’entreprise est un fournisseur de pâtisserie de référence sur le marché. Particulièrement active ces dernières années en matière d’innovation, la Ronde des fraîcheurs vous propose aujourd’hui de nouveaux concepts adaptés aux tendances de consommation. La Pati Box ou le concept de l’offre pâtissière revisitée Afin de répondre favorablement au souhait de nombreux consommateurs à disposer d’un plus large choix de pâtisseries en version snacking, la Ronde des Fraîcheurs a développé un concept simple et efficace. En effet, consommer certaines pâtisseries hors assiette est un exercice particulièrement difficile notamment pour les grands classiques comme les millefeuilles, Paris-Brest , merveilleux… La Pati Box est selon David Souplet, responsable Recherche et développement, un concept novateur qui permet de « consommer un millefeuille en costume cravate », sans risquer de se tâcher. Le principe consiste à dissocier les garnitures en coupelle et les pâtes sous forme de bâtonnet permettant de « dipper » avec la plus grande facilité. On retrouve ainsi toutes les qualités gustatives du produit traditionnel mais sans l’inconvénient du manque de praticité ! ...
Fondé avec le concept de réception clé en main dans les années 80, Grand Chemin monte au créneau, en 2005, en mettant en avant son expertise de traiteur. Un service irréprochable et empreint de créativité assuré par une équipe en perpétuelle recherche d’excellence constitue le cachet de l'enseigne. ADN de la marque : une créativité sans limites en un temps record Tout le monde peut être traiteur mais seul Grand Chemin Traiteur sait assaisonner son art d’autant de créativité. Le savoir-faire et l’imagination foisonnante du chef, ancien de Peninsula, imprègnent naturellement son équipe. Un pool de passionnés attachés, sans relâche, à une seule ambition : trouver des concepts de plus en plus innovants, tant dans la scénarisation que dans la combinaison des saveurs. Flower Power, vitaminée, Candy Bar, lumineuse ou écolo, toutes les thématiques qui inspirent le client sont déclinées avec brio par José Morgado et sa suite. Le tout, avec une réactivité imparable. Les demandes de devis tardives, comme à 72 heures de l’événement, peuvent être prises en charge avec, à la sortie, la même authenticité et qualité du rendu. Pour porter cette créativité qui fait la signature de la maison, celle-ci s’est carrément dotée d’un comité Création & Innovation. Une enseigne durable à vocation organique Le développement durable constitue une valeur à laquelle Grand Chemin Traiteur adhère de façon active. Cette conviction commence dans la préférence accordée aux producteurs locaux, du Vexin en l’occurrence, dans la sélection des ingrédients, tous garantis sans OGM. Pour ceux qui ne sont pas disponibles via le canal interne, en tout cas. Il faut savoir, en effet, que la maison exploite 500 ha de terres agricoles qui leur fournissent l’essentiel des besoins en céréales, légumes et fruits. Ayant à cœur d’être un véritable « traiteur organique », l’enseigne entretient également une serre aromatique. ...
Si vous passez par le 7e arrondissement de Paris, cette adresse est une halte obligatoire. Avec sa petite terrasse extérieure, le restaurant T’U offre une vue sur le Grand Palais de l’autre côté de la Seine. Idéal pour savourer la salade King Crab, spécialité de la maison, ou siroter tranquillement un royal thaï tea avec des amis. À l’intérieur, on baigne dans un décor luxueux signé Pierre-Yves Rochon. Les lumières tamisées mettent joliment en valeur les matières nobles, conférant au lieu un cachet intimiste et sophistiqué. Des produits de premier choix et du fait-maison Le chef Khoï Vu propose une gastronomie d’inspiration franco-thaïlandaise. Il concocte une cuisine authentique, entièrement faite maison, élaborée avec les produits du marché et qui varie selon les saisons. Ici, le bonheur a un nom : brochettes de poulet sauce satay, tataki de thon « Albacore », tigre qui pleure ou cabillaud au galanga et feuille de lime. Et la carte n’a pas fini de surprendre. L’on cite les incontournables dimsum, raviolis et nems maison. Mais aussi le wok de bœuf au basilic ou encore le poulet fermier au curry vert, bambou et basilic thaï pour une explosion de saveurs en bouche. Sans oublier les douceurs sucrées comme la crème glacée au gingembre confit ou la tarte fine aux figues rôties. La consommation de thé étant un art de vivre en Thailande, le restaurant emmène également à la découverte des thés du pays. Thé bleu turquoise aux arômes floraux de lys et d’orchidée, thé vert de Chine aux fleurs de jasmin ou thé noir Yunnan impérial sont proposés par la maison. Une nouvelle carte À chaque saison, la carte se renouvelle. En guise d’entrée, les clients choisiront entre la soupe de crevettes à la citronnelle, un assortiment de dim sum et de raviolis (6 pièces) et un tartare de saumon aux herbes thaï. Côté plats, le chef invite à déguster les fameux calamars sautés, le Phad Thai Gai et le Black Cod accompagné de sa salade de wakamé. Si le choix est encore difficile, pourquoi ne pas se laisser séduire par une assiette dégustation à 26 € ? Bon à savoir : le chef choisit uniquement des viandes d’origine française ou issue de l’Union européenne, et des poissons sauvages ou labellisés « AB ». Pour finir en apothéose, les mini-nems de choco ou les glaces aux fruits de saison feront leur petit effet chez les gourmets. ...
Le restaurant S’Zwilling Stuebel, établi depuis 1998 dans la rue Kuhn, dans le quartier de la Gare, à Strasbourg, est tenu par Joan et Maxime Bitzner. Un couple complice et polyglotte, qui se fait un plaisir à recevoir les convives venus de la région mais aussi de lointaines contrées. Ici, esprit de partage et valeurs culinaires traditionnelles sont à l’honneur. Le riche parcours du chef S’inspirant de ses voyages en Asie, notamment la Chine qu’il affectionne particulièrement, puisque son épouse en est originaire, Maxime Bitzner invite à la découverte d’une cuisine française revisitée qui se réserve quelques petites touches exotiques. C’est avec fierté qu’il nous confie : « Ma cuisine est influencée par les endroits que j’ai parcourus. » Il aime ainsi explorer les saveurs et les produits exotiques pour perfectionner ses créations culinaires. Sortant de l’école hôtelière de Strasbourg, ce chef passionné a effectué sa formation dans le Gers et a acquis ses premières expériences dans le Var, à Bordeaux, à Nancy et dans le nord de la France. Après avoir exercé un temps au Château de Pourtalès, il décide de poser ses valises à Strasbourg pour y ouvrir son propre restaurant. Fort de ses nombreuses années d’expérience, il propose une cuisine française, s’ouvrant au monde et préparée avec des produits frais. « Mon objectif est de ne jamais dénaturer le produit, de lui laisser sa plus belle expression », raconte-t-il. Une cuisine aux mille et une saveurs Pour les travailleurs pressés du midi, S’Zwilling Stuebel propose une formule à 10 € composée d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Pour ceux qui souhaitent déguster les spécialités régionales, un menu à 26 € met à l’honneur les saveurs du terroir. Pour le printemps, la maison réserve à ses convives une carte gourmande et savoureuse. En entrée, la déclinaison de pommes de terre à l’huile de noisette égaye déjà les papilles des plus gourmands. Le repas se poursuit avec une gibelotte de lotte rôtie au basilic accompagnée de petits légumes. Au dessert : rien de tel qu’une mousse au chocolat et coulis de fruits rouges ou un tiramisu à l’italienne maison pour apporter de la douceur à ce repas mélodieux. Côté vins, la carte privilégie les grands millésimes d’Alsace comme le riesling grand cru et du pinot gris. Et pour accompagner les gibiers agrémentés de sauces légèrement corsées, rien de tel que les côtes-du-rhône et les bordeaux, qui prennent une place importante dans la gamme des vins. ...
Le Chai Saint-Sauveur se veut être un grand restaurant néanmoins accessible à tous les budgets. Le Chef Jérôme Verrière revisite les plats traditionnels tels que le ris de veau. « C’est le plat phare du restaurant » déclare Elodie Trassard, la maitresse de maison. Ici, la fraicheur des ingrédients est privilégiée, avec une préférence particulière pour les produits locaux. Une cuisine française traditionnelle Plusieurs menus sont proposés le midi, allant d’un simple plat du jour à une Entrecôte et Frites Maison, en passant par les formules incluant entrée, plat et dessert. Le soir, les menus laissent place à la carte. L’Œuf en meurette et ses petits croûtons se fait remarqué parmi les entrées. Du côté des plats, il serait tout à fait normal d’hésiter entre le Risotto poêlé aux gambas accompagné de sauce crustacé et la Souris d’Agneau à la purée au beurre. Et en dessert, les tartes au citron, caramel au beurre salé et tartelette framboise et sa crème légère raviront les gourmets. Tout est fait-maison, sauf la glace qui accompagne le Coulant chocolat au jus passion. Les vins du Chai Que serait un Chai sans vins ? Pour accompagner le repas, le Chai Saint-Sauveur suggère des crus issus du Sud-Ouest, Languedoc, Vallée du Rhône, Bordeaux, Pyrénées orientales et Bourgogne. Avec ses 22 références en rouge, 7 en blanc et 3 en rosé, chacun trouvera sa préférence en accord met-vin. La maison organise aussi quelques fois des dégustations de vins en compagnie des producteurs. Et grâce à sa licence de caveau, elle peut vendre les bouteilles à emporter. Un cadre agréable dans la salle Les couleurs chaudes comme le rouge et la prédominance du bois donnent à cet endroit une ambiance chaleureuse. Les étiquettes illustrant différents domaines viticoles qui couvrent les murs plongent la salle dans l’univers du vin. Eclairée par la grande baie vitrée, la salle révèle un esprit bistro-chic avec la présence de tables hautes confortables disposées de manière à offrir des espaces personnels parfaitement raisonnables. Eloignée du comptoir, la partie du restaurant constituée de tables basses quant à elle est propice au calme, idéale donc pour les dîners romantiques en amoureux. Un espace extérieur à l’ambiance sereine Installé sur une place aux allures de village, le restaurant le Chai Saint-Sauveur a le privilège de bénéficier d’une terrasse blottie au cœur d’un environnement verdoyant. Ce haut-lieu de rendez-vous des toulousains est équipé de fauteuils, de canapés et de tables basses. Un cadre sympathique parfait pour l’apéro. Le quartier est calme et la circulation est rarement dérangeante. Privatisable, la véranda peut recevoir en exclusivité jusqu’à 40 personnes assises pour un instant repas, 55 si les convives restent debout. A noter que le restaurant offre aussi des repas de groupe adaptés aux différents budgets. Des tapas se déclinant en de multiples variétés peuvent être concoctés sur demande. ...
C’est en février 2014 que Soufiane Rachouque, le gérant, ouvre l’Atlantique. Il y propose une cuisine bistronomique dans un cadre aux allures de bateau qui invite à une croisière, à la découverte des saveurs du monde. Les grands esprits se rencontrent Soufiane effectue ses études en hôtellerie à Lausanne. Il fait ses premières armes à l’Hôtel InterContinental à Genève pour ensuite devenir maître d’hôtel pendant trois ans pour le compte d’une grande famille. Après avoir notamment exercé durant 4 ans au Sofitel puis à l’issue d’un long séjour à Londres, il a l’idée de lancer son propre restaurant. Dans cette optique, il revient sur la presqu’ile et tombe sur ce charmant restaurant qu’il s’empressa d’acquérir. Il vivra cette aventure aux côtés de Nicolas Schmitz, un chef passionné et dynamique à qui Soufiane attribuera toute sa confiance. L’impressionnant parcours de ce jeune chef parle de lui-même. Alain Ducasse, Michel Guérard, Antoine Westermann… Nicolas a travaillé au côté des plus grands noms de la gastronomie française. Son expérience se reflète au travers de sa cuisine à la fois gourmande, savoureuse et maîtrisée. Une cuisine du terroir Le chef n’utilise que des produits locaux fournis par les petits producteurs de la région et des environs. Tout est frais et fait-maison, une exigence que Nicolas met un point d’honneur à mettre en avant. Puisque le restaurant est spécialisé dans la préparation de poissons et de fruits de mer, il s’approvisionne auprès des pêcheurs du coin qui apportent quotidiennement leurs trouvailles. Pour l’acquisition des fruits et légumes, le chef travaille en étroite collaboration avec une maraîchère qui veille à sélectionner ses meilleurs produits. Sinon, il se rend sur les marchés du Port-Haliguen, de Saint-Pierre-Quiberon et de Quiberon en compagnie de son second. Le fromage et les viandes issus de la région de Bretagne illustrent leur attachement au terroir. Une carte à multi-facettes A la carte, le tartare de saumon en mille-feuille d’ananas relevé au gingembre et citron vert, le tout assaisonné d’une vinaigrette mangue et passion, est un délice pour les papilles. En plat de résistance, le pavé de cabillaud en croûte d’herbes, tombée de chou vert et jambon Serrano fait partie des quatre suggestions disponibles. Pour clore le repas, la crème brulée à la vanille Bourbon apporte une note de douceur et de gourmandise. Dans la gamme des menus à ne pas rater figure la formule « Libre ». Elle est créée selon l’humeur et l’inspiration du chef qui invite les convives à vivre un instant culinaire des plus délectables. Servi à l’ensemble de la table, ce menu surprise laisse transparaître tout le talent et la créativité de Nicolas. Côté vin, la cave est constituée essentiellement de vins blancs notamment de Loire, parfaits pour accompagner les fruits de mer. Parmi les suggestions de la maison figure notamment le Mersault AOC Bourgogne 2013 du domaine des Champs-Lins. Dans la gamme des vins rouges, le Château La Nerthe du domaine Châteauneuf-du-Pape de la Vallée du Rhône-Sud fait voltiger les papilles. Cadre chic et chaleureux Dès l’entrée, la terrasse en teck offrant une vue sur le vieux port de Haliguen attire toutes les attentions. Durant l’arrivée des beaux jours, elle promet des moments de convivialité pour un apéro entre amis ou un dîner romantique en amoureux. L’intérieur de la salle affiche une décoration marine avec une prédominance de couleurs gaies et sophistiquées, le tout baignant dans une belle luminosité grâce à la présence de la grande baie vitrée. Le soir, les pianistes dans l'âme sont conviés à prendre place au piano pour partager leur talent avec l'ensemble de la salle. ...
C’est dans le sud de la Bourgogne dans la campagne brionnaise que Marie-Christine et Philippe reçoivent leurs convives. Le couple a installé son restaurant dans une dépendance d’un ancien château. Il y instaure un décor authentique fait de pierres et de poutres apparentes, de vieilles tomettes et d’une grande cheminée. Ce cadre de charme plonge les clients dans une ambiance de type taverne où chaleur et convivialité sont au rendez-vous. Et pour ceux qui veulent rester pour la nuit, la ferme-auberge possède également quatre chambres d’hôtes, classées 3 épis Gîtes de France. Côté cuisine Le concept de la maison est simple : servir des plats composés de produits issus de sa propre exploitation ou des exploitations voisines. « Nous proposons une cuisine à base de produits locaux : les végétaux de notre jardin, les viandes de notre élevage familial, et d’autres produits du terroir », précise la cheffe Marie-Christine Paperin. À table, elle tient à conserver le « Menu Campagnard », le menu historique, en le revisitant un peu. « C’était le premier menu servi à l’époque où mon beau-père préparait toutes les charcuteries, ma belle-mère faisait les fromages blancs », nous raconte-t-elle, un brin nostalgique. Aujourd’hui, ce menu est composé d'une assiette de charcuterie faites maison ( terrine, jambon cru, pâté...) à l’entrée, accompagnée d’une galette de pommes de terre et d’une salade, de fromage blanc à la crème et d'un dessert. Pour les clients qui restent séjourner, la cheffe recommande la formule « Menu du jour » pour découvrir des plats variés et goûter aux belles viandes charollaises que son époux élève avec passion. Pour les sorties dominicales en famille, rien de tel que le « Menu du dimanche », où l’on sert en plat principal de la viande de bœuf grillée accompagnée d’une salade et de légumes de saison. La carte des vins « On a plutôt une carte locale, sur le même registre que les menus », explique la cheffe. La maison sélectionne les producteurs de la région qui fournissent des vins vraiment à son goût. Bourgogne, beaujolais et vins brionnais enrichissent la carte pour des accords mets et vins réussis. ...
La transmission du savoir-faire de père en fils a contribué à maintenir la qualité des vins de la Grand’Vigne et de construire sa notoriété. Cette exploitation se transmet donc depuis quatre générations et la cinquième est bientôt prête à prendre le relais. Deux terroirs aux caractéristiques différentes s’expriment à travers la Grand Vigne Cuvée Traditionnelle, Les Fournerys et Florian. Appellation Coteaux-Varois-en-Provence : les caractéristiques d’un terroir d’exception Le domaine de la Grand’Vigne est perché à 240 mètres d’altitude, à côté de l’ancienne voie romaine « Via Aurélia ». Il bénéficie d’un climat méditerranéen froid et rigoureux en hiver, chaud et sec en été. Les courants marins sont stoppés par les nombreuses collines. Situé essentiellement près des sites d’extraction de bauxite, le terroir de la Grand’Vigne est fait d’argile rouge de bas de pente. La profondeur du sol permet d’amoindrir l’effet de la sécheresse estivale. Entre garrigues, pinèdes et genêts, le terroir des Fournerys possède des sols caillouteux qui garantissent la typicité des vins. La Grand’Vigne : vinification et savoir-faire Les procédés des paysans des bastides provençales dans les travaux de la vigne, les vendanges et la vinification connaissent un tournant en 1948 avec l’adhésion à la coopérative des Cordeliers. Ce n’est qu’une cinquantaine d’années plus tard que la production et la vinification s’effectuent à nouveau à la propriété. Depuis, la tradition et le savoir-faire œnologique des viticulteurs du Var leur permettent de viser l’excellence, un objectif qui se concrétise par les médailles et récompenses de guides et concours. La vinification suit différentes démarches pour les vins blancs, rouges et rosés. Celle du blanc commence par la macération préfermentaire à froid en milieu inerte, une technique qui consiste à retarder le départ de la fermentation. Elle permet d’extraire en douceur les arômes, tanins, pigments et donne au vin un côté fruité intense. L’étape suivante est le débourbage statique ou la séparation des bourbes et du mout. Le liquide passe maintenant dans des cuves thermorégulées entre 16 et 18 °C pour la fermentation. Le vin est élevé sans être séparé de ses lies pour augmenter ses arômes et sa rondeur. Le procédé finit par un collage doux avant la mise en bouteille. L’assemblage et la mise en bouteille sont précoces pour le blanc et le rosé. La méthode pour le rouge se distingue par une sélection des parcelles, puis l’éraflage en totalité. Il y a également le remontage et délestage régulier, suivi d’une cuvaison de 12 à 15 jours en maitrisant la température entre 24 et 26 degrés. Selon le millésime, une macération post-fermentaire peut être effectuée avant l’élevage en barrique partiel. ...
C’est à Champillon, un village de la vallée de la Marne, que la famille Méa vit de sa passion pour la vigne et le vin. Sur son vignoble riche de nombreux hectares et implanté dans les terroirs les plus notoires de la région champenoise, elle travaille ces cépages dans le respect de l’écosystème et de l’environnement. La production reste confidentielle. La maison préfère se concentrer sur la qualité selon une démarche orientée sur l’excellence. Pour sa marque, Alexandre Méa, dirigeant de Champagne Carbon, a voulu associer le passé et le présent, la technologie et la perfection, en proposant un emballage exceptionnel pour son nectar. Un packaging à forte identité « Il a fallu près de quatre ans de recherche et développement pour pouvoir sortir la bouteille », révèle le fondateur. Et quelle bouteille ! Celle-ci casse les règles en se recouvrant entièrement d’une fine couche de carbone. En plus de protéger le vin et de l’aider à mieux vieillir tout en le respectant, cet habillage procure une différence énergétique au nectar qui a la chance d’être issu des meilleurs terroirs champenois. Pari gagné en tout cas pour le vigneron et son équipe. Le flacon recouvert de matière carbonique symbolise un univers technique marqué par la performance et la puissance. Il n’a donc pas fallu longtemps à Champagne Carbon pour se faire remarquer dans des secteurs prestigieux où ce matériau est privilégié à l’instar du sport automobile. Depuis 2017, la maison est en effet partenaire de la Formule 1. En 2019, elle devient champagne officiel de la maison Bugatti. Bien que le succès ait été fulgurant, la maison continue de miser sur une approche « modeste » dans son travail, mettant en valeur la tradition champenoise et le savoir-faire familial. Des cuvées qui marquent tous les esprits Alexandre Méa précise que « chaque bouteille est réalisée et habillée à la main. À la suite de la vinification, la production nécessite une dizaine d’étapes différentes. Un délai d’une semaine au moins est nécessaire pour produire une bouteille. » De ce procédé long et complexe naissent plusieurs cuvées millésimées. Parmi les incontournables de la maison, le Champagne Carbon Brut, composé de 50 % de chardonnay, de 25 % de pinot noir et de 25 % de meunier. Lumineuse dans sa belle robe or, la cuvée exprime des notes salines au nez. En bouche, place à des saveurs gourmandes et délicates, associant beurre caramélisé salé, arachide, boisé fin et viennoiserie. ...
Un lien bimillénaire unit les vignerons à ce terroir. Volcanique, maritime, champêtre, la vie géologique confère forces et vulnérabilités à des vins emblématiques, fruits d’une sincère communion entre femmes, hommes et nature. Avec des savoir-faire affinés au fil du temps, la priorité aujourd’hui est, pour de nombreux domaines, la préservation de l’environnement. Des vins de convictions aux arômes du terroir Il y a trente ans, le Château de Montpezat et le Domaine du Petit Roubié furent parmi les premiers à produire des vins biologiques, c’est-à-dire sans aucun traitement chimique, avec des rendements maîtrisés du vignoble, un respect des cycles de la nature. Aujourd’hui, chacun cultive son histoire, ses traditions, ses sols et ses initiatives. Pour exemple, dans les domaines Le temps fait tout et La Garance, des chevaux labourent le sol, nourris au foins cultivés sur place. Pour la seule commune de Montagnac, les Domaines Paul Mas, le Domaine de Campaucels et le Domaine de la Conseillère, font appel à des bergers locaux et proposent leurs vignes comme terrain de pâturage, un bon moyen écologique d’entretenir les terres. Les caves coopératives comme celles de l’Ormarine et les Caves Molière jouent également le jeu en proposant des vins en agriculture biologique. D’autres choisissent de produire des vins natures, sans sulfites, exigeant un savoir-faire précis et beaucoup de patience comme les Domaines Fontedicto et Stella Nova. Les domaines La Croix Gratiot ou la Font des Ormes ont choisi la culture biodynamique pour préserver et encourager l’écosystème. Les énergies, les cycles terrestres et lunaires, les matières végétales, animales ou minérales utilisées sont ici considérées comme intrinsèquement liées. Démarrer ces méthodes demande par ailleurs un investissement humain et financier conséquent pour les domaines et certains hésitent encore à se lancer dans l’aventure. Leur nombre augmente pourtant et témoigne d’une dynamique locale pleinement engagée pour son avenir. A découvrir le temps d’un parcours œnologique ludique et réjouissant. ...
Situé à quelques pas de la rive gauche du Rhône et du quartier de la Guillotière, La Cocagne est un restaurant qui cultive le « bien manger », tout en invitant ses convives à la détente. Ce bel écrin, détenant un « certificat d’excellence TripAdvisor », est le lieu d’une cuisine riche des voyages culinaires entrepris par les deux propriétaires à travers le monde. Une cuisine qui offre un rapport qualité-prix exceptionnel, en plus du service professionnel. Tradition culinaire française à la sauce méditerranéenne et lyonnaise Les délices du restaurant sont tirés des classiques de la cuisine française, ainsi que des inspirations méditerranéenne et lyonnaise. Ici, les produits sont frais, la cuisine faite maison, le terroir de Lyon mis en valeur dans des préparations se rapprochant des saveurs d’ailleurs. Aux fourneaux, les recettes sont fabuleusement élaborées par Sandrine Bernard. Celle-ci a déjà eu à faire ses preuves dans des restaurants tels que la « Meditrina » et « Un Moment à Part », toujours à Lyon. La carte change environ tous les trois mois, mais quelques plats et desserts reviennent de temps en temps. Des desserts du soir, comme le pain perdu au caramel au beurre salé, qui est un peu comme une signature de la maison et très apprécié par la clientèle. En guise de plat, tartare du chef et ses frites maison, assaisonné d’épices chinoises du Sichuan dont a le secret Sandrine. Par ailleurs de nouvelles recettes sont souvent testées pour le plus grand plaisir gustatif des hôtes. C’est le cas du vitello tonnato et ses frites de polenta. Une savoureuse recette italienne de tranches de veau cuites au lait, et nappées d’une sauce au thon et aux anchois. Egalement à la carte, des salades à l’instar du céviche de cabillaud, qui est une recette péruvienne élaborée à partir d’une petite marinade d’oignons assaisonnée avec du piment et du jus de citron. Le mélange va saisir les filets de cabillaud qui vont ensuite être débités, pour intégrer la marinade en accompagnement de coriandre fraîche. La cuisine du restaurant propose un ticket moyen aux alentours de 18 euros. Sylvain Armand de son côté, propose de très belles bouteilles se mariant à la perfection avec la cuisine de Sandrine Bernard. Celles-ci sont servies en verre ou à la bouteille. En accompagnement du vitello tonnato, un Gamay coteaux du Lyonnais vinifié à Taluyer en agriculture cloisonnée. C’est un vin rouge peu gras sur la longueur et conseillé pour ne pas écraser la saveur du vitello tonnato qui est un plat servi frais. Le tartare du chef et ses frites maison étant plus fort, il peut être accompagné avec un AOC Vacqueyras du Domaine Colline St Jean coûtant 29 euros. Celui-ci est suffisamment soutenu pour tenir les épices de la maison. Esprit bistrot et ambiance cosy sans chichi Cadre chaleureux au sein d’une rue paisible avec vue directe sur Fourvière et sur l’Hôtel-Dieu de Lyon, le restaurant La Cocagne accueille dans une ambiance à la bonne franquette. L’établissement affiche un décor boisé au minimalisme épuré très convivial, façon bistrot lofté. En terrasse, bon air et vue imprenable permettent de savourer chaque bouchée. La conception et le dressage des tables sont très particuliers, de même que le traitement acoustique qui fait des vagues sur du panneau de chêne. L’espace quant à lui est aéré et bien éclairé. En soirée, la lumière tamisée offre aux couples un moment privilégié dans le petit étage aménagé à l’intérieur. C’est aussi une adresse privilégiée pour les sorties en famille et entre amis. ...
Chez les Leconte, la passion pour la viticulture débute en 1870, à l’époque d’Onésime Leconte, qui fait l'acquisition de ses premières parcelles. Depuis, la tradition se transmet de génération en génération, jusqu’à Xavier Leconte. Nourri de sa passion, et des ambitions plein la tête, il mise tout sur la qualité et la typicité de son terroir pour obtenir des vins expressifs. Aujourd’hui, son fils Alexis veut maintenir les valeurs de la maison dans la fabrication des champagnes en ayant recours à une démarche qualitative initiée par ses ancêtres, et qui continue à porter ses fruits. Des techniques d’antan Amoureux de ses terres, Xavier Leconte a voulu partager cette passion avec ses enfants. C’est certainement pour cette raison qu’il a décidé de baptiser deux de ses cuvées L’intuition d’Alexis et le Charme d’Anaïs, pour leur faire honneur. Alexis, en tout cas, entrevoit déjà, dès son jeune âge, sa carrière de vigneron. Et c’est avec un grand plaisir qu’il reprend les rênes de l’exploitation en 2003. Comme le faisaient ses ancêtres avant lui, il soigne son vignoble et ses vins, selon les cycles lunaires. Particulièrement à l’écoute de la nature, il mise ainsi sur ce qu’elle a à offrir de meilleur, pour garantir la qualité de ses vins ; tout cela sans jamais déroger au style de la maison. Des terroirs d’exception, pour des vins expressifs Le vignoble, réparti sur 40 parcelles et établi à Troissy, Dormans, Mareuil-le-port, Vandières et Aÿ, est traité selon une démarche raisonnée, dans le respect de l’environnement et de la biodiversité. Après la récolte, les trois cépages, à savoir le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier, sont à 25 % vinifiés fûts, et le reste en cuves inox thermorégulées, preuve que, malgré un fort attachement aux gestes ancestraux, Alexis mise également sur l’innovation pour rester dans l’air du temps. Cette heureuse alliance entre tradition et modernité se découvre au sein la cuvée l’Héritage de Xavier de 70 % de pinot noir et de 30 % de pinot meunier. Appelée aussi Cuvée Prestige, elle se révèle ample et complexe. De quoi faire le bonheur des épicuriens. ...
Une richesse rare « Notre vignoble est composé de 84 parcelles réparties sur 7 villages dont 3 classés en premier cru, chance unique qui nous permet tel le peintre avec sa palette d'assembler nos cuvées », explique Thierry Forest. Et lui d'ajouter « Soucieuse de la santé de son terroir, notre famille dépose chaque année de la paille de blé dans ses parcelles. Cette pratique atypique permet de développer l'activité microbienne, les micro-organismes et autres lombrics.» Effectivement, quand la terre est épanouie, elle ne peut que révéler le meilleur d'elle-même et offrir des raisins sains! Vigneron indépendant, le domaine Forest-Marié élabore ses champagnes de A à Z, et ce exclusivement à partir des jus de premières presses. « Afin que chacun de nos vins puisse s'exprimer librement, nous disposons d'un éventail de cuves thermo régulées, foudres et tonneaux pour optimiser la régularité de nos assemblages », souligne notre interlocuteur. Chez le domaine Forest-Marié, les bouteilles vieillissent sur lie dans des caves durant plus de trois années pour le BSA et près de dix ans pour les millésimes. À la découverte des cuvées de la maison La collection de la maison se décline en deux gammes : les classiques et les mono-cépages. Le Brut Tradition, parmi les classiques, est un assemblage des trois cépages champenois. Un intemporel qui se déguste au moment de l’apéritif. Mention particulière également au Millésime 2006, une édition spéciale au nombre de 3 800 bouteilles issues intégralement des vieilles vignes de chardonnay et de pinot noir. Une belle rencontre entre cinq parcelles différentes qui dévoilent une palette aromatique complexe et délicatement fruitée. Dans la gamme des mono-cépages, le domaine propose sa création Rosé de Saignée Premier Cru, élaborée à partir du pinot noir minutieusement sélectionné de la parcelle des Chaillots plantée en 1930. Intense et charpenté, ce champagne captive par son arôme aux notes de fruits rouges avec un accent floral qui suggère une bouche ample et soyeuse. L’Absolu Blanc de Blancs, lui, est symbole d’élégance et de pureté, pas uniquement pour le caractère du cépage chardonnay mais également grâce à sa vinification uniquement en foudres. Belle attaque en bouche, vivace, agréable, souple et qui se termine délicatement sur des notes de fruits à chair blanche. ...
Établie sur la prestigieuse côte des Blancs, la maison Le Brun Servenay exploite actuellement un vignoble d’environ 7 ha, réparti sur trois villages classés grand cru. L’encépagement se compose à 80 % de chardonnay tandis que le reste du vignoble est planté en pinot noir et en pinot meunier. Des vignes centenaires La maison a été fondée en 1965 à la suite de l’union de deux familles de viticulteurs. Cinq générations plus tard, c’est au tour de Gauthier Le Brun de diriger l’exploitation familiale. Ici, les vignes, dont certaines sont centenaires, bénéficient d’un sol argilo-calcaire. « La spécificité de notre terroir donne une belle minéralité et une belle finesse au chardonnay », explique le propriétaire. Récoltant-manipulant, la maison privilégie une viticulture raisonnée qui respecte à la fois la terre et les vignes. Le travail de palissage soigné permet d'éviter l'apparition de maladies réduisant l'usage des produits phytopharmaceutiques au strict minimum. Depuis 2004, la maison procède à l’enherbement de son vignoble afin d'assurer la stabilité du sol combiné au travail à la charrue sous les rangs. La même attention est portée sur le soin des vignes. « La taille de notre exploitation nous permet de porter une attention toute particulière à chacune de nos parcelles », nous indique-t-on. Côté vinification, la maison allie volontiers tradition et équipements modernes. Ainsi, tandis que l'entreposage des bouteilles s'effectuent encore à la main selon le savoir faire traditionnel champenois depuis des générations, les vins clairs sont quant à eux vinifiés dans des cuves en inox thérmorégulées afin de s'assurer le blocage des fermentations malo-lactiques. « Cette méthode nécessite un plus long vieillissement mais cela permet à nos vins de garder toute leur fraicheur à la dégustation », fait savoir Gauthier Le Brun. Résultat, pour les cuvées de la gamme courante, le vin vieillit entre 3 et 12 ans dans des caves de craie. En revanche, pour les plus Grands Millésimes, il faut compter plus de 25 ans. Des cuvées de grande qualité La maison Le Brun Servenay propose dans sa gamme 7 cuvées : Mélodie en C., Odalie, Juste Rosé, XB 2.5 blanc de blancs et XB 3.2 Rosé ultime, Exhilarante 2008 et Chardonnay 2006. Ils commercialisent également de vieux millésimes de 1988 à 2002 disponibles sur commande avec un délai d'attente de 6 semaines correspondant au temps nécessaire au remuage et au dégorgement. ...
Depuis son ouverture en 2012, le restaurant étoilé Mia joue la carte de l’originalité et de la modernité. Situé au rez-de-chaussée du célèbre bâtiment RBC Design Center, il est en parfaite harmonie avec le dynamisme de la ville de Montpellier. La terrasse qui est située aux abords directs du parc Marianne est sublimée par le miroir d’eau coulant à ses pieds. A l’intérieur, la décoration contemporaine signée Sophie Petit suscite l’admiration. Le gris affirme le côté élégant et raffiné des lieux tandis que la couleur jaune apporte une touche de gaieté. Pour couronner le tout, l’éclat des luminaires subtilement installées au-dessus de chaque table contribue à rehausser l’élégance de l’art de la table dressé au millimètre près. Des cartes d’instinct et d’instant Adresse incontournable des fins gourmets montpelliérains, le restaurant Mia propose une cuisine créative qui s’ouvre au monde, sans pour autant négliger les traditions culinaires méditerranéennes. Ainsi, avec ses plats aussi succulents qu’authentiques, le chef Pascal Sanchez transporte ses convives dans un voyage culinaire exceptionnel où la simplicité de la cuisine classique se marie magnifiquement à une touche de modernité. Il surprend avec les accords parfaitement maitrisés de saveurs notamment l’alliance terre-mer. D’ailleurs, au-delà d’être un chef émérite, Pascal est avant tout un artisan du goût. Au gré de sa créativité, il transforme et façonne les produits sans pour autant les dénaturer. En effet, il veille à ce que ces derniers soient mis en avant pour chaque plat. Et des produits de bonne qualité, ce n’est pas ce qui manque à Montpellier qui dispose d’une localisation avantageuse entre mer, plaines et montagnes. A l’heure du déjeuner quand le temps manque, le chef prépare un menu spécial. En entrée, il propose un velouté d’épinard et jambon blanc, pizzetta et cuisse de lapin confits. En plat : une cocotte de céréales, du saumon écossais label rouge et un veau de lait. En dessert : une sélection de fromages, une tarte café et whisky et une religieuse aux fleurs. Le soir, place au raffinement. Pascal Sanchez sort le grand jeu avec en entrée une langoustine au sésame, des Huitres reine Julienne avec du caviar Sturia et du foie gras d’oie. Comme plat : une cocotte de cabillaud de ligne aux moules d’Espagne, du filet de cannette au sang et un carré de cerf de Nouvelle-Zélande. Et en guise de bouquet final : une sélection de fromages, clémentine de pays, fraicheur d’agrumes et baba au rhum. Ce repas ne serait pas mélodieux sans un vin adapté pour l’accompagner. Une occasion pour les convives de découvrir la grande sélection du MIA et surtout de déguster les meilleurs vins de la région qui occupent près de 60 à 70% de la cave (soit 160 références). Pour les plus indécis, un sommelier prodiguera les meilleurs conseils dans cette quête des accords harmonieux. Le Mia a son étoile Ses 20 ans d’expériences dans le monde culinaire ont permis au chef Pascal Sanchez de se construire une solide réputation dans le milieu. C’est dans ce restaurant portant le nom de sa fille Mia qu’il décide de révéler son art. Un an à peine après son ouverture (en 2012), la maison obtient son Bib Gourmand Michelin, puis une étoile au Michelin en 2015 et renouvelée en 2016. Dans sa cuisine taillée sur mesure, le chef aime affirmer sa propre signature culinaire. Il reste fidèle à ses valeurs et cherche avant tout à proposer « une cuisine gourmande, soyeuse et goûteuse qui parle immédiatement au cœur ». ...
La brasserie Les Éclusiers se situe à Henridorff, entre Sarrebourg et Saverne, proche du camping du plan incliné d’Arzviller. Les clients sont reçus dans un cadre authentique : une grande salle au style contemporain agrémenté par une décoration épurée, une terrasse bien spacieuse avec vue panoramique sur le paysage. Le Chef Nicolas Kohler et son équipe promettent un moment agréable dans une ambiance décontractée que ce soit en salle ou à l’extérieur. Un endroit théâtre de sorties entre amis, rendez-vous en tête à tête ou même repas en famille. Une cuisine du terroir La carte ainsi que les menus du jour mettent en valeur une cuisine du terroir. « La carte est renouvelée trois fois par an au gré des produits de saison », nous explique le propriétaire Frédéric Beno, cuisinier de métier. En entrée, l’on redécouvre la terrine campagnarde maison ou le carpaccio de bœuf façon Fritz, des classiques mais un régal garanti à chaque dégustation ! En résistance, les clients peuvent opter pour des plats à base de poissons frais, telle la truite aux amandes de vivier, pêchée à la minute. Pour les amateurs de viandes, la carte propose un savoureux faux-filet de viande charolaise ou encore de l’entrecôte Angus bien tendre. Un plus non négligeable : « La cave à maturation pour les viandes », révèle le chef. Au passage, difficile de résister au cordon-bleu de veau avec sa crème faite maison. Pour terminer, la bûchette exotiko aux fruits et autres créations sucrées de la maison signées par le pâtissier Cédric Jacob achèvent en beauté le périple culinaire. Les menus suggérés sont inspirés par les produits frais du marché et se déclinent en quatre, dont un menu enfant. Les plats typiques de la région sont au rendez-vous : quiche lorraine, joue de bœuf à la bière, rognon de veau flambé à la crème, Kougelhopf et baba au rhum. Avec le menu Découverte, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule entrée, plat et dessert. Pour un accord mets et vin réussi, la brasserie Les Éclusiers sélectionne une vingtaine de références en vins français. L’on cite notamment les vins alsaciens, des côtes-du-rhône ou des bordeaux. Au plus près des producteurs locaux Labélisée « maître restaurateur », la brasserie Les Éclusiers s’engage dans une démarche locale et s’approvisionne en produits frais directement auprès des producteurs de la région. La maison travaille avec la pâtisserie Reutenauer et la boulangerie tabac-presse Rein Chistian pour garnir son café gourmand. En outre, la pisciculture Messang située à Abreschviller assure la livraison en produits marins. Côté boisson, la maison possède sur place une branche dédiée à la fabrication de bières artisanales. « Nous élaborons trois types de bières à la pression : blonde, blanche et ambrée », reprend Frédéric Beno en présentant fièrement ces produits que les clients sirotent avec grand plaisir. ...
Une viticulture aux conditions propices Etendu sur quelques 70 hectares de terre, le vignoble du Château Vaudois repose sur des coteaux de gneiss-schisteux. Le sol propice d’une grande qualité bénéficie du fort ensoleillement typique du climat méditerranéen qui règne sur la Côte d’Azur. Outre le souffle du mistral, le vent de l’Est balaie les terrains pour les préserver des maladies courantes des vignes. Le choix des cépages a donc été fait en fonction de tous ces paramètres pour offrir d’exceptionnels vins de Provence. L’exploitation cultive du Grenache, du Syrah, du Cinsault, du Tibouren, du Rolle, du Mourvedre ainsi que du Merlot et du Viognier, pour réaliser à ce jour 60.000 bouteilles par an et à partir de 2021, 120'000 bouteilles par an. Après une récolte exclusivement manuelle, les raisins sont recueillis dans de petites cassettes pour être conservés dans une chambre froide à une température de 6 à 7°C pendant 24 heures. Ils seront ensuite soigneusement éraflés afin d’éviter au vin d’avoir un arrière-gout herbacé. A l’issu de cette étape, les fruits subiront un traitement spécifique selon la cuvée pour laquelle ils seront destinés. Des vins de caractère Sous l’AOP Côte de Provence, le Château Vaudois Rosé 2015 est un vin limpide à la robe saumon clair. Ce précieux nectar se compose de 40 % de Grenache, 30 % de Cinsault, 20 % de Mourvèdre et 10 % de Tibouren. Il a un nez complexe et intense qui fait ressentir la fraicheur et la minéralité des fruits rouges dont il est composé. Une rondeur en bouche se ressent après la première dégustation. La finale quant à elle est persistante. Le Vaudois Rosé est un excellent apéritif et peut être servi en entrée avec de la charcuterie ou sur un poisson grillé. Sous IGP des Maures, la Cuvée Christelle Vaudois Prestige Blanc 2013 laisse transparaitre une robe brillante. Un mélange floral, de fruitsà noyau, une note briochée et vanillée donne au Vaudois Prestige une intensité et une complexité étonnante au nez. En bouche, la proportion bien étudiée des cépages fait ressentir la fusion bien équilibrée de l’alcool avec l’acide. Ce qui laisse échapper une attaque franche et veloutée. Son mode de fabrication est spécifique. Après éraflage, les cépages subissent un pressurage direct par pressoir pneumatique à cage fermée. Fermenté et élevé sur lies avec batonnage en barrique pendant huit mois, les fruits donnent naissance à ce vin jaune intense avec des reflets dorés. La cuvée Jonathan Vaudois Prestige Rouge 2013 dispose d’une robe profonde, intense sur des nuances pourpres. Un nez complexe et intense, avec une belle harmonie entre les notes de fruits noirs compotés, les épices et le boisé. En bouche, une attaque franche, un bon équilibre entre gras et acidité.Les tanins sont présents mais pas agressifs et déjà bien fondus : les caractéristiques d’un vrai vinde garde. Beaucoup de matière et de complexité dans les arômes. ...
Installant ses vignes en cave coopérative en 2003, Stéphane GUILLEMIN donne un tournant à son activité viticole à partir de 2007 en créant sa propre exploitation avec l’aide de sa femme Lucie. Il fait acquisition d’un vignoble de 25 hectares répartis sur les communes de Clessé, Viré, Péronne et Verzé. La grande diversité de son terroir lui offre toutes les latitudes pour travailler plusieurs appellations telles que Viré-Clessé, Mâcon-Péronne, Mâcon-Verzé, Mâcon-Villages, Crémant de Bourgogne et Bourgogne rouge. L’appellation Viré-Clessé sous les feux des projecteurs L’AOC Viré-Clessé est reconnue à partir de 1998 et s’étend sur les terroirs de l’AOC Mâcon Villages. Vifs et frais aux arômes de fruits, les vins blancs issus de cette appellation font partie des fleurons produits par le Domaine Guillemin Stéphane et Lucie. Parmi ces pépites figure ainsi la cuvée éponyme, un chardonnay généreux dévoilant de belles notes de fruits mûrs, d’agrumes et de fleurs. En bouche, elle se veut harmonieuse, suave, ronde et minérale sur fond de saveurs épicées et fruitées. Un superbe cru qui donne relief et consistance aux fruits de mer, aux poissons, aux crustacés, au fromage de chèvre ou aux viandes blanches grillées. Une alliance entre tradition et modernité Pour produire ses vins raffinés et expressifs, le domaine a fait le choix d’adopter une viticulture raisonnée. Aujourd’hui certifié Haute Valeur Environnementale (HVE), il signe sa différence en mettant en avant un savoir-faire traditionnel associé à l’utilisation de technique moderne qui réduit au maximum l’usage d’intrants phytosanitaires. ...
Depuis plus d’un siècle, la famille Fagot élabore des champagnes d’une qualité rare qui font honneur à la réputation de cette boisson pétillante de saveurs. Réparti en deux terroirs – celui de la Rilly-la-Montagne et d’Hermonville –, le domaine de Michel Fagot profite des conditions exceptionnelles offertes par ses terres pour la production de ses vins de gourmandise dans le respect des plus pures traditions champenoises et des exigences de développement durable. Un vignoble classé premier cru Installé au cœur de la grande montagne de Reims, le vignoble de Michel Fagot occupe une superficie de plus de 15 hectares propices à la production de pinots noirs et de meuniers d’une grande finesse mais aussi d’excellents chardonnays. Grand passionné, Olivier Fagot, le premier responsable de la marque, se fait toujours un plaisir d’expliquer aux visiteurs comment « les vignes vont puiser leurs nutriments dans la terre » pour donner aux terroirs, donc aux champagnes, leurs « signatures olfactives typiques ». Une démarche qualité À partir de cépages à parts quasiment égales de chardonnay, de pinot noir et de meunier, la maison Michel Fagot produit des cuvées de premier choix dont le Blanc de Blancs Premier Cru, le Brut Rosé Premier Cru, le Millésime 2004 Premier Cru et surtout « Le Clos de Marzilly » qui est en quelque sorte l’ambassadrice de la marque. Afin d’atteindre un plus haut degré de perfection, celle-ci intègre dans ses outils de production aussi bien des cuves modernes que des pressoirs traditionnels tout comme des fûts tronconiques permettant d’ « adoucir un petit peu les vins » et de « rééquilibrer aussi l’acidité » selon les termes d’Olivier Fagot. Un partage de plaisirs Au détour d’un voyage en Champagne, le domaine se prête parfaitement à des visites empreintes de culture et de gourmandise pour le plus grand plaisir des œnologues en herbe. Ici, l’on peut s’initier aux techniques d’élaboration de champagnes, déguster les meilleurs crus de la marque et explorer ses différentes installations. Des moments de partage et de convivialité à la découverte d’un authentique propriétaire récoltant qui « défend un terroir, un savoir-faire », comme le souligne notre interlocuteur. ...
A tout le reste maudit, à la vigne ce terroir ravit D’origine médiévale, le Château La Salagre a hérité son nom d’une histoire tumultueuse entre un suzerain et son vassal. Selon la légende, du temps des guerres anglaises, le seigneur de Montcuq fut trahi par un de ses vassaux. En représailles et sous ordres du souverain, les terres de ce dernier furent recouvertes de sel et son manoir rasé. Si le nom de la Salagre (du latin saltunager) est resté, le sel a disparu, peut-être dans le ruisseau la Salègre qui traverse le domaine. Aujourd’hui, cette histoire des plus anecdotiques est le symbole de la force de ce terroir. La disparition du sel sur ces terres a permis l’expression des cépages merlots, cabernet-sauvignon, sauvignon et sémillon et la complexité des assemblages qu’ils composent. Conversion bio réussie dès 1999 Si la Salagre fut l’un des précurseurs de la viticulture bio à Bergerac, ce fut surtout le premier des châteaux de Bordeaux Vineam à se lancer dans l’aventure. Avec pas moins de 20 médailles récoltées en 16 ans, cette conversion sera une telle réussite, qu’elle mènera naturellement à celle des châteaux Bourdicotte et Grand-Ferrand en 2010 et Moulin à Vent, Grillon et Rocher Bellevue en 2015. Donnant naissance à l’un des producteurs bio incontournables de notre région. Une équipe enracinée depuis un quart de siècle Eric et Philippe chaperonnent la Salagre depuis plus d’un quart de siècle : ils ont été témoins des grandes gelées de 1991 et de 2013 et de la conversion des châteaux en bio. S’ils reconnaissent que le monde viticole a beaucoup évolué autour d’eux en 26 ans, Eric et Philippe en sont conscients, la qualité des vins qu’ils produisent, elle, demeure. ...
Véritable patrimoine gastronomique français, le fromage traverse les siècles et se redécouvre ici au travers d’une large gamme de produits affinés de manière artisanale. C’est en 1871 que l’épopée familiale commence pour se perpétuer jusqu’à aujourd’hui grâce à un attachement à des valeurs telles que l’authenticité, la rigueur et l’excellence. Pionnier de l’affinage effectué dans le respect de la tradition, avec un brin de modernité, la Maison Losfeld se veut être la fière ambassadrice de la richesse gourmande de sa région. Une identité séculaire… Nous sommes au XIXe siècle. « Alors ouvrier, César Losfeld décide de se reconvertir, sous les conseils bienveillants de sa femme, Sophie-Adélaïde, dans le commerce de fromage. En vendant leurs produits en faisant du porte à porte auprès de la bourgeoisie d’antan, César Losfeld se découvre une passion qui va grandir au fur et à mesure à l’image de son petit commerce. Ainsi naquit la maison César Losfeld », nous raconte Monsieur Losfeld, quatrième génération de cette famille animée par le désir de partager les bonnes choses. Avec le temps, les fromages, en pâte dure ou en pâte pressée, seront affinés par la petite entreprise qui, pour répondre à l’essor du marché, décide d’acquérir de nouvelles caves plus spacieuses et dotées de la température idéale pour un affinage réussi. Ces nouvelles caves seront situées dans une ancienne usine textile sise à Roubaix dans laquelle l’affinage continue de se faire jusqu’à aujourd’hui. Ce patrimoine très bien conservé s’est doté d’un équipement moderne afin de faciliter l’acheminement du fromage, son affinage, son entreposage et sa distribution tant auprès des particuliers qu’auprès des crémiers. Afin de garantir, par ailleurs, la qualité et l’origine des précieuses meules, l’entreprise a pris, à partir des années 90, une nouvelle orientation marquée par un partenariat avec les fromagers et les fermiers locaux. De plus, l’affinage des fromages se fait sur des planches en bois de sapin avec un retournement et un brossage manuel qui favorisent le goût corsé et typé de chaque fromage, succulence rehaussée par une maturation longue de deux à vingt-quatre mois. Ces soins artisanaux et ces origines à la traçabilité fiable font ainsi l’identité et la renommée de la Maison Losfeld dont la réputation dépasse désormais les frontières françaises grâce à l’exportation de ses produits vers l’extérieur, notamment vers les États-Unis et le Japon. L’affinage… Ce savoir-faire, permettant aux cirons et aux acariens de grignoter la croûte du fromage et de faire ressortir l’humidité de chaque meule, est transmis de génération en génération et fait la fierté de la famille Losfeld, qui s’est donnée pour mission de valoriser les fromages locaux et régionaux. « Fondées sur l’affinage et la sélection du fromage, allant du négoce à l’achat, les activités de l’entreprise sont désormais axées sur l’affinage de pâte pressée à l’instar de la mimolette, produit phare de la maison, ou du pavé du Nord, un fromage en forme de pavé et doté d’une pâte pressée, spécialité créée il y a de cela vingt-cinq ans », reprend notre interlocuteur. Affinant également des fromages à pâte orangée tels que le géant des Flandres ou le gouda, Losfeld propose tout un éventail de produits inclus dans la gamme La Reine du Nord. ...
Définir le Clos Caché comme un simple restaurant serait inapproprié. On n’y va pas uniquement pour se restaurer mais aussi pour profiter d’un moment de bien-être et de détente, le tout dans la plus grande intimité. Des célébrités en apprécient la discrétion. L’établissement sis dans le petit village d’Escamps dans le Lot se veut être une adresse élégante et traditionnelle où l’on cultive la convivialité. L’accueil ultra-personnalisé dès la réservation par téléphone dénote déjà du service qui vous attend ! Prêt ? C’est parti… Un havre privilégié à l’ambiance intimiste et raffiné A 20 km au Sud Est de Cahors, discrètement niché sur le causse de Lalbenque, haut lieu de la truffe tuber melanosporum, l’ancienne fermette s’est transformée en une table gourmande et raffinée. Dès l’arrivée sur place, Denis, le maître des lieux, vous accueille. Ici, vous ne serez pas traité comme un client mais bel et bien comme un convive. Votre hôte vous fera visiter la propriété, histoire de vous imprégner des lieux. L’espace paysager agrémenté des arbres typiques du Quercy ne laisse pas de marbre. L’étendue d’eau quant à elle vient sublimer ce décor bucolique et dépaysant. Selon les saisons, vous avez le choix entre vous délasser sur la terrasse ombragée afin de continuer à profiter de cet environnement verdoyant ou vous installer dans la salle, décorée avec beaucoup de goût. Car outre ses talents en cuisine, Mireille est aussi une ancienne architecte d’intérieur qui a su mettre en valeur avec subtilité, l’élégance et la rusticité des lieux. Tout est fait pour assurer confort dans une atmosphère sereine. Une cuisine généreuse et personnelle Au Clos Caché, les clients sont autant choyés à l’accueil que dans l’assiette. Mireille propose une cuisine traditionnelle alliant plaisir, équilibre et gourmandise. Elle puise son inspiration sur la mixité de ses vies passées ailleurs avec les richesses offertes par les terroirs. Autant que possible, elle s’approvisionne auprès des producteurs locaux afin de garantir fraîcheur et qualité. Ici, pas de carte. On sert un menu par jour, concocté selon l’humeur et l’inspiration de la chef. Attention, l’établissement ne reçoit que sur réservation. Dès cette prise de contact, vos hôtes vous mettent au parfum quant aux plats qui seront proposés. Au menu ce jour-là, nous avions dégusté un foie gras croustillant sur une crème de févettes en entrée, un filet de lotte rôtie nappée d’une émulsion aux olives noire en plat principal et un délicieux soufflé au citron vert répandu dans une crêpe en guise de bouquet final. Une belle expérience pour nos papilles. Pour les amateurs de truffe, la maison concocte des formules spéciales. Durant la saison, des repas autour de cet exceptionnel produit sont élaborés. Côté prix, cette expérience hors de toute réalité est tarifée au prix le plus juste. Il faudra compter entre 57 et 65 euros pour un repas incluant le menu, les boissons et le plateau de fromage. Pour les menus spéciaux « truffes », les tarifs oscillent entre 75 et 80 euros hors boisson. ...