Désireuse de préserver l´environnement et d´améliorer davantage la qualité des trois cépages cultivés, dont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, la famille Lecomte a adopté la viticulture raisonnée. Et quand un tel terroir d´exception s´allie avec d´aussi rigoureuses méthodes, quand le savoir-faire se conjugue à la passion, les champagnes promettent saveur et raffinement. Les trésors phares de la maison En parfait écrin du champagne, la marque Lecomte Père et Fils produit quelque 70 000 bouteilles, classées en huit cuvées différentes chaque année. Parmi ses bijoux œnologiques se distinguent deux cuvées, devenues emblèmes de la maison, le Darling et le Brut Tradition. Le Darling, lui, se veut surprenant. Élaboré à 100 % avec du pinot Meunier, le Darling est une cuvée très fruitée, qui convient aux palais les plus exigeants. Harmonieux assemblage des trois cépages champenois que sont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, et vieilli pendant trois ans dans les caves, le Brut Tradition est le champagne de tous les instants. Il peut être le roi de l´apéritif, mais il embellit également les repas, et particulièrement les viandes blanches et les poissons. De robe jaune or pâle avec une bouche révélant des arômes de fruits rouges, il accompagnera tout aussi parfaitement les desserts aux fruits rouges. Des instants « pétillants » au cœur des vignes Au sein de son domaine, la famille Lecomte ne se contente pas de produire des champagnes à faire pâlir d´envie les œnophiles. Elle a aussi ouvert les portes au public, offrant ainsi ce passionnant univers à ceux qui souhaitent le découvrir. Le domaine organise plusieurs journées portes ouvertes tout au long de l´année, au cours desquelles les gens peuvent se promener dans les vignes, découvrir l´histoire du village et du domaine, visiter la cave du champagne Lecomte ou même s’initier à la dégustation. Une balade en Cadillac au cœur des vignes et du vignoble y est aussi proposée. C´est la manière idéale d´admirer le paysage, d'apprendre davantage sur le vin et de se détendre, le tout en même temps. ...
Dans les Vosges, le Haut Jardin accueille ses hôtes dans un cadre intimiste, avec des chalets équipés de spas privés et le service très haut de gamme d’un Logis d’exception. À très courte distance de Gérardmer, l’adresse convie à une expérience singulière de la détente et du bien-être. Son restaurant accueille les gourmets pour leur révéler une gastronomie du terroir déclinée dans la vision combinée de deux générations de chef. Une cuisine inspirée par les pépites des montagnes Des produits sélectionnés dans les fermes du voisinage et le jardin du domaine, assortis des plantes et des fleurs comestibles des montagnes des Vosges. C’est dans ce répertoire rendant hommage au terroir que la cuisine servie à la table du Haut Jardin puise son inspiration. À la tête des fourneaux, deux chefs maîtres restaurateurs (les Masson, père et fils) qui partagent leur passion de la bonne chère en toute convivialité. C’est ainsi qu’en entrée, les bourgeons de sapin des Vosges viennent embaumer la truite crue salée. Le carré d’agneau est également exquis, savoureusement rehaussé par la croûte d’ail des ours qui l’enveloppe. Les inconditionnels de douceur résisteront peu au « Chaud-froid de mirabelles flambé à la mirabelle ». Pour arroser le tout, la carte des vins de la maison déploie quelque 350 références, notamment issues de la Lorraine. En apéritifs, ne pas hésiter à essayer les petits crus vosgiens distillés à partir de plantes comme le pissenlit, le sureau ou la rhubarbe. ...
La nostalgie des repas familiaux en Toscane Il est rare dans Paris de trouver des restaurants italiens privilégiant autant l’authenticité de leur cuisine. Sis dans le XVIe arrondissement, Ancora Tu a su brillamment relever le défi. C’est un vrai bistrot italien comme on en trouve en Italie, où vous êtes accueuillis comme à la maison, proposant de la vraie cuisine italienne, avec les mêmes prix que ceux des restaurants là-bas. Les rigatoni alla Pugliese ( sauce tomate et burrata), les gnocchi aux gorgonzola, la Ribollita, la Tagliata... pleins de bons petits plats que les femmes de Ancora Tu aiment vous mijoter. Un point d’honneur sur le savoir-faire artisanal Ancora Tu est fait maison dans le respect de la tradition avec des ingrédients fournis par des petits producteurs italiens qui travaillent artisanalement. Des pâtes fraîches faites maison avec les farines artisanales bio de Molino Agostino à l'huile d'olive Intini, petit producteur dans les pouilles, le choix des produits chez Ancora Tu est primordial car elles pensent que les plats gagnent en saveur et en authenticité. La carte des vins, quant à elle, est également bien pensée. Des vins de Sicile comme le Nero D'Avola ou encore le Primitivo des Pouilles sont en adéquation parfaite avec les plats servis. ...
Replongez au cœur de la période médiévale le temps d’une immersion ludique et conviviale au sein du château de Couches. Bâtie au XIIe siècle à la demande du duc de Chalon, cette forteresse a connu de nombreuses transformations architecturales entamées au XVe siècle sous l’impulsion de Claude de Montagu (1405-1471), chevalier de la Toison d’or et chambellan des deux derniers ducs de Bourgogne, donnant lieu à un magnifique musée à ciel ouvert constitué de bâtisses médiévales et historiques. À l’occasion d’escapades gourmandes, de séjours en terres viticoles ou d’événements d’entreprise, ce château se veut être un domaine d’accueil d’exception empli d’authenticité et bercé par la douce mélodie du vignoble de renom l’entourant. Un riche patrimoine à découvrir Ce château de charme, véritable témoin de l’ère médiévale, recèle une multitude de trésors architecturaux rigoureusement préservés. Ainsi, chaque visite est ici synonyme de voyage dans le temps ponctué de pauses gourmandes et festives. Allant du manoir gothique à la chapelle collégiale du XVe siècle, en passant par la tour de justice et sa collection d’armes ou la tour maîtresse du XIIe siècle, donjon d’antan, laissez-vous envoûter par le charme d’édifices séculaires ayant gardé toutes leurs singularités. Vestige de la lignée ducale bourgogne, ce joyau de l’architecture médiévale est également un ambassadeur de l’activité viticole de la région. Entre dégustations de vins, visites assurées par un guide vêtu des plus beaux habits du Moyen Âge ou festivals, chaque événement est placé sous le signe de l’identité gourmande de cette contrée aux mille facettes. Une ode à la richesse vitivinicole de la Bourgogne Outre les visites personnalisées organisées dans le but de découvrir le patrimoine archéologique et architectural du château des Couches, ce domaine est également le théâtre d’activités œnotouristiques uniques dédiées à la découverte de sa richesse viticole du terroir couchois. Appréciez ainsi la générosité de cette terre au sein du caveau de dégustation, aménagé pour permettre à chaque hôte de goûter en douceur des cuvées issues de cépages nobles tels que le chardonnay et le pinot noir. Les vins issus de la Côte du Couchois, une jeune appellation, invitent, par ailleurs, à la découverte du terroir de par la dégustation de quatre vins du domaine. Des cours d’œnologie sont, entre autres, prodigués au sein du château afin de faire connaître aux visiteurs les étapes de la dégustation et de la vinification, le vocabulaire œnologique, cinq vins typiques de la Bourgogne ainsi que les meilleurs accords mets-vins. Adonnez-vous également aux randonnées numériques « Par monts et par vins », et partez à la chasse aux mots-codes disséminés sur le vignoble, des codes qui feront office de pass pour accéder à une vidéo expliquant les richesses de ces terres de vignes. Une fois au château, vous bénéficierez d’une dégustation œnologique commentée et de réductions sur l’achat des vins du château, grâce aux codes que vous aurez collectés. Une activité ludique, conviviale et immersive à découvrir absolument. ...
La canne à sucre. On peut dire qu’Elie Gomba est tombé dedans dès sa plus tendre enfance. Ce passionné a grandi dans une famille elle-même spécialisée dans la production de canne à sucre. Son grand-père qui possède une importante exploitation familiale aux Antilles lui a transmis cette envie d’anoblir ce précieux produit. C’est avec volonté et détermination qu’il décide alors de créer un concept à vocation de démocratiser le jus de canne à sucre et le faire connaître aux quatre coins du globe. Le concept CannElie offre l’opportunité aux consommateurs de déguster du pur jus de canne fraîchement pressé. Avec l’aide d’un fabricant spécialisé dans la conception d’extracteur de jeu, Elie Gomba créée la première machine homologuée CE qui permet de broyer la canne à sucre surgelée fournie par l’entreprise puis d’obtenir le fameux breuvage. Très simple d’utilisation, elle offre également une importante capacité de production allant jusqu’à 300 verres par jour. Son installation est aisée puisqu’il suffit d’une prise pour la faire fonctionner. Comme la machine est à la fois discrète, compacte et surtout très stylée, elle se fond naturellement dans tous les décors. Les bars, les restaurants, les cafés, les night-clubs, les traiteurs et même les professionnels de l’évènementiel souhaitant proposer un bar à jus de canne pourront facilement l’intégrer dans leur environnement. Au niveau des matières premières utilisées, la sélection se veut très rigoureuse. « Il existe plus de 4000 variétés de cannes à sucre dans le monde et la plupart ne sont pas faites pour être dégustées. Nous choisissons plusieurs variétés avec différents taux de sucre en fonction des besoins de chacun », explique l’entrepreneur. Une panacée aux mille et un bienfaits Encore peu connu en Europe, le jus de canne révèle pourtant une myriade de vertus. Il est très riche en vitamine B1, B5, B3 et en vitamine C et contient de l’oméga 3 ainsi que de l’oméga 6. Ce nectar a entre autres le pouvoir de booster le système immunitaire, d’augmenter la capacité de concentration, d’optimiser la digestion, de renforcer les ongles, de ralentir le vieillissement cutané ou lutter contre la chute de cheveux. Il est même préconisé chez les diabétiques à taux glycémique bas. « Il s’agit d’un sucre naturel qui est facilement assimilé par le corps, c’est pourquoi il peut être consommé par tout le monde, des jeunes au moins jeunes », plaide notre interlocuteur. Les sportifs notamment pourront se fier aux apports énergétiques du jus de canne lors des phases de récupération après l’effort. Le jus de canne pour émoustiller les palais Par ses multiples qualités nutritionnelles et ses saveurs tropicales insoupçonnées, CannElie a déjà réussi à séduire de nombreux hôtels, bars et restaurants en France, en Belgique, au Luxembourg ou encore en Suisse. Seul accompagné de quelques glaçons ou associé avec des jus de fruits exotiques et des alcools, le jus de canne se révèle dans sa plus belle expression et fait le bonheur des mixologistes de tout horizon. CannElie a aussi imaginé d’innombrables recettes de cocktails, de mocktails ou de smoothies qui invitent à découvrir ce breuvage sous un nouveau jour. De la Canarita, au Can’Soft, en passant par le Can’Ginger, le Canamango ou le Canabrico, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. ...
Dans une perpétuelle quête d’excellence, la maison de champagne Gratiot-Delugny a su apporter à ses vins un caractère unique reflétant terroir, gestes ancestraux et authenticité familiale. Depuis 1946, chaque génération a participé à l’évolution des champagnes en misant sur la passion et le savoir-faire traditionnel. Un terroir de caractère D’une superficie totale de 10 hectares, le vignoble est réparti sur trois communes, à savoir Croûttes-sur-Marne, Nanteuil-sur-Marne et Charly-sur-Marne. S’y développent les trois cépages champenois, à savoir le Pinot Meunier, qui est à l’origine de caractéristiques fruitées et aromatiques avec une touche de vinosité ; le Chardonnay, offrant finesse et élégance aux vins ; et enfin le Pinot Noir, source de puissance et garant de vins à la structure solide. Soucieuse de préserver l’environnement et de laisser au terroir la possibilité de s’exprimer pleinement, la famille Gratiot-Delugny opte pour un mode de viticulture raisonnable. Ses terres aux sols argilo-calcaires font l’objet d’une vendange de 90 et 100 jours en septembre, après floraison. Un pressurage traditionnel des raisins est ensuite réalisé au domaine. Des champagnes alliant finesse et générosité La maison a développé six cuvées avec une production de 90 000 à 100 000 bouteilles par an. À découvrir : la cuvée Réserve à 80 % Meunier et 20 % Pinot Noir, le terroir authentique, qui est un champagne long en bouche, parfait pour l'apéritif sur de petites bouchées salées. La cuvée Sélection, issue d’un assemblage de 60 % Chardonnay et 40 % Pinot Noir, est un champagne vif et aux bulles fines, qui se déguste à tous les moments de la journée. La cuvée Millésime sera appréciée lors de vos soirées entre amis et accompagnera parfaitement les petites douceurs sucrées. La cuvée Histoire d'Hommes, quant à elle, est composée de 90 % Chardonnay et 10 % Pinot Noir. Elle est vinifiée en fûts de chêne et dévoile des petites notes briochées qui s'accorderont à merveille avec des mets de caractère, comme des terrines de gibier. ...
Monsieur « Pipo » de son surnom fonde le restaurant « Chez Pipo » réputé pour sa socca en 1923. Dans ce restaurant ce plat a su traverser les époques tout en conservant l’authenticité du produit et du lieu. Dans la vieille rue Bavastro, la recette phare niçoise continue d'émerveiller les locaux ainsi que les touristes qui ne ratent pas l'occasion de faire une halte dans ce restaurant historique lors de leur passage sur la Côte d'Azur. Et oui, la région n'est pas simplement synonyme de plage et bord de mer, elle renferme aussi un patrimoine culinaire riche en saveurs. La socca, une recette traditionnelle niçoise La socca devient une spécialité niçoise dans les années 1900 lorsqu’elle est popularisée par les marchands ambulants qui la préparent sur place à un prix modeste. C'est une galette préparée à base de farine de pois chiche qui provient du moulin d'Annot, d’eau et d’huile d’olive, dorée au four à bois. Bruno Wagner et Yann Sicé, les préparateurs de la socca Chez Pipo, veillent à ce qu'elle soit fine, croustillante à l'extérieur et moelleuse à l'intérieur. Pour la savourer au mieux, elle se saupoudre de poivre. La socca était l'unique produit du restaurant jusqu'en 1990 et continue d'en être le plat principal actuellement. Elle est généralement servie avec une salade de mesclun. Outre ce met mythique, le restaurant propose en entrée des tartinades, mini pan bagnats, ou la fameuse pissaladière (pâte à pain avec oignon caramélisé). Et dans la gamme des desserts maison, la tarte au citron meringuée, le tiramisu ou bien la tourte aux blettes émoustille les papilles. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent en toute convivialité dans un esprit de partage. Côté vins, le restaurant dispose d'une cuvée spéciale de la maison, d'ailleurs étiquetée « Chez Pipo », un Côtes de Provence du domaine Château Rêva décliné sur les trois couleurs. Décor respectueux de l'esprit de la socca Prêt à accueillir une centaine de personnes, le restaurant se décline en deux espaces : une salle intérieure et une terrasse. A l'intérieur, les tables et les tabourets sont en bois. Des photos et images de Nice à la belle époque habillent les murs et replongent les convives dans une autre époque. La cuisine est au cœur du restaurant. Elle est ouverte, avec une verrière qui donne sur la salle. La préparation même de la socca s'exécute dans un four de 300 ans taillé avec des pierres de Biot. Ce n'est autre qu’un des plus vieux fours de la ville créé au moment de la construction de l'immeuble dans lequel se trouve le restaurant. Comme il trône majestueusement au cœur de la salle, le client assiste à toute la préparation jusqu'à la cuisson, un procédé artisanal et ancestral. Et sur la terrasse, les tables en fer jouent sur les teintes grises et s’accompagnent de chaises en bois. Une Vespa avec le logo de Chez Pipo y est visible. Et une combi Volkswagen fait office de terrasse mobile pour le bistrot. Ce cadre atypique au style vintage façonne l’identité des lieux. ...
Domaine du sud-est de la Drôme, le Domaine la Rosière est situé en plein cœur du Parc Naturel Régional des Baronnies Provençales. Dirigé par un homme entreprenant, Valéry Liotaud, le vignoble produit des vins authentiques en IGP Coteaux-des-Baronnies. Soucieux d’assurer la continuité d’une œuvre familiale qui date de plus de quarante ans, le propriétaire a permis à son domaine d’être régulièrement référencé dans de célèbres guides. Notamment Gilbert et Gaillard, le guide du vin en biodynamie de Mme Evelyne Malnic, il est régulièrement mentionné dans le guide Hachette, mais fait aussi partie de Vignobles et Découvertes, label national d’œnotourisme. Au cœur d’une agriculture biodynamique Les 25 hectares de vignes de ce domaine logé à 700 mètres d’altitude, sont travaillés en biodynamie, et assis sur un terroir argilo-calcaire. La particularité de ce dernier, réside dans la présence de roches calcaires éclatées en surface, et d’argile blanche en sous-sol. L’agriculture biodynamique dont fait usage Valéry Liotaud, exclut l'utilisation de tous produits chimiques.De plus, l’utilisation du calendrier astral est mise en avant à chaque étape des cycles de la vigne. D'autre part, la régénaration du terroir est stimulée des pulvévirsations de préparations à base de plantes, de silice et de bouse de vache. Ceci afin de favoriser l'épanouissement des vignes. Cette agriculture qui ne peut être pratiquée sans certification bio, possède les normes les plus restrictives de soufre autorisé dans le vin. Et donc, moitié moins qu’en agriculture biologique, et trois fois moins qu’en agriculture conventionnelle. Grâce à ce type d’agriculture particulier et à une implantation méthodique sur des parcelles sélectionnées, le domaine produit des vins authentiques et sans complexe. Les vins du Domaine la Rosière Le savoir-faire du Domaine la Rosière se décline en blancs, rosé et rouges, parfois renforcé par une sélection des meilleures parcelles et un élevage en barrique. Pour les vins blancs, c’est un assemblage de Chardonnay et de Viognier à part égale. Pour le vin rosé, prédominance de Merlot et Grenache avec un peu de Syrah. Concernant les rouges, le premier est un assemblage des quatre cépages du domaine et donc, Merlot, Grenache, Syrah, et Cabernet Sauvignon. Le deuxième est un assemblage de Merlot, Syrah et Cabernet-Sauvignon, ils sont récoltés sur des côteaux particuliers. Pour le cas particulier du troisième, il s'agit d'un mono-cépage de Syrah, issu de la parcelle du vignoble nommé « La Vertue ». Cette vigne qui a été plantée par les parents de Valéry Liotaud en 1970 pour fêter son année de naissance, constitue une cuvée emblématique du domaine. L'attache sentimentale de cette cuvée, perpétuée comme la mémoire du domaine fondé par les parents, s'exprime par la reprise de l'étiquette historique. Le produit de cette parcelle est le « Syrah La Vertue ». Ce vin à la robe rouge grenat foncé et profond, exprime tout le caractère de la Syrah, par un nez épicé de poivre et de clou de girofle. La bouche charnue et généreuse aux saveurs de vruits rouges confiturés est soutenue par des tanins amples arrondis par l'élevage en barrique. C’est un vin qui se marie bien avec l’agneau des Baronnies et à la charcuterie de caractère. Le Bio’Ronnies rosé, surprend par sa robe très foncée, pareille au rosé d'antan. Il est doté d’un nez épicé et légèrement fruité révélant des notes de grenadine et de safran. En bouche, c’est un mélange fruits-épices tout en équilibre qui s’accorde avec la cuisine exotique et les crustacés. A l’honneur chez les blancs, le Bio’Ronnies blanc, vin frais en bouche et doté d’une minéralité prononcée, il dissimule des notes de pain d'épices et de genêts. Il est un excellent compromis pour les dégustations de poissons et viandes blanches accompagn...
La sobriété et l’élégance définissent instinctivement le cadre avenant et reposant du Bistrot de Fontcaude. Les habitués se retrouvent sur la terrasse pour une atmosphère décontractée à ciel ouvert. Un retour au calme et à l’apaisement est assuré à l’intérieur pour déguster autrement des produits frais du terroir du Languedoc-Roussillon sur des assiettes riches en goûts. Thierry Rousset enrichit ses plats en s’inspirant du patrimoine culinaire régional. La carte se veut fraîche, prônant les produits de saison et mettant en valeur les trésors cachés du terroir. Ses créations évoluent aussi au fil des rencontres et des découvertes qu’il réalise lors de ses voyages à l’étranger. Des plats revisités Au Bistrot de Fontcaude, de curieux gourmets, toujours à l’affût d’originalité, réclament, dès la mise en bouche, des plats revisités par les mains de Thierry Rousset, reconnu pour son don de marier les goûts et les textures. En entrée, rien de tel que l’os à moelle pour se délecter de saveurs authentiques. En plat, les cannellonis aux épinards et ricotta gratinée, noisettes grillées et cèpes sont un nouveau-né de sa carte fraîchement repensée. La présentation met l'accent sur les couleurs. Réservant le meilleur pour la fin, le chef suggère un mirliton aux zestes d’agrumes avec sa fine meringue aux pastilles de Vichy en guise de dessert. Des vins du Pays de l’Hérault Dès les premières bouchées, les plats prennent une autre volupté grâce aux vins de la région servis en accompagnement. C’est l’occasion de déguster des vins du Pays de l’Hérault. En vedette, les vins Pic Saint-Loup et Les terrasses du Larzac, des vins de terroir, produits de différentes associations de cépages languedociens. ...
Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis plus de 5 générations. En 2017, le domaine de la Vaillère en association avec Sébastien Plagne, un jeune visionnaire passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins plus complexes. Depuis, dans le chai, une petite équipe passionnée s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Carignan, Cabernet, ou encore Chardonnay pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Dans les caves du domaine… Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre également son engagement pour l’environnement. « Depuis le début de l’année, on est en Terra Vitis », précise J.-C. Dumas. L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de s’engager dans le développement durable. Le rouge-merlot Obstiné 2018 et le blanc Chardonnay 2019 sont les premiers symboles de cette démarche. Les procédures de certification bio sont en cours depuis le 1er août. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2018, 2019, un rouge grenache-syrah-carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Gabriel, également médaillé d’or en 2018 et 2019 et Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan qui a fait un bref passage en fût. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région. ...
Isolée au beau milieu de la forêt domaniale de Mormal, le plus grand massif forestier du Nord, l’Auberge du Croisil offre une cuisine traditionnelle, avec des spécialités régionales. Dans ce sens, l’établissement met en avant les gibiers dès que la saison le lui permet. Le Croisil détient deux titres prestigieux : Qualité tourisme et Artisan en’or. Ce sont les gages d’un service de qualité en matière d’accueil, de savoir-faire, d’hygiène et de confort, et d’une cuisine fait-maison, avec des produits provenant du Nord-Pas de Calais. Une véritable destination touristique Le temps semble s’être arrêté dans ce petit manoir traditionnel de la forêt de Mormal. On y ressent l’âme d’une auberge d’antan, avec une décoration simple et sans superflu. Le ton naturel du bois prédomine la salle, des chaises au bar et même au niveau des murs. Tout cela fournit chaleur et confort au restaurant. Toutefois, certains seront plus à l’aise sur la terrasse ombragée, si le temps n’est pas trop capricieux. Le plaisir de la pureté de l’air et des chants d’oiseaux leur fera oublier les agitations et chahuts de la ville. Bref, c’est un lieu convivial pour se retrouver en famille et savourer la cuisine régionale. Ce lieu se complète efficacement avec les sites touristiques aux alentours. Le plus près est le parc naturel régional de l’Avesnois avec ses arbres têtards, cours d’eau, ruisseaux, vergers en fleurs et rivières sinueuses. Tout un patrimoine qui lui vaut sa place parmi les 48 parcs naturels régionaux de France. L’ancien Jardin de Roseraie, appelé aujourd’hui Zoo de Maubeuge expose plus d’une cinquantaine d’espèces différentes qui attireront petits et grands. Pour les plus curieux, il existe un site archéologique de 2,5 hectares à Bavay dédié à la découverte de la cité antique de Bagacum. Le village de Maroilles qui fournit le fromage du même nom, fièrement présenté à la carte de l’Auberge du Croisil, est également un site touristique et historique à part entière. Une cuisine traditionnelle régionale L’équipe de l’Auberge du Croisil, dirigée par Edgar et Nathalie, accueille les convives avec une gentillesse caractéristique à la campagne. La carte du restaurant propose un peu de tout, mais elle met en valeur les produits du terroir. Le fromage Maroilles y est le meilleur ambassadeur de l’Avesnois, avec la flamiche au Maroilles et le filet de truite saumonée sauce crème Maroilles en entrée chaude. En outre, les gens y viennent pour le cassoulet ou encore la terrine du chef. La maison est reconnue depuis près d’un an en tant qu’ « Artisan en’or » pour sa cuisine fait maison. C’est également la marque du savoir-faire culinaire dans le Nord-Pas de Calais, la maison étant spécialisée dans les gibiers. Effectivement, du mois d’octobre jusqu’en mars, le Croisil suggère à leur carte des terrines de gibier fait-maison, de la fricassée d’abats de gibier à l’Affligem ou encore un mijoté de biche à la forestière. Des saveurs à remonter avec du vin, issu des 82 références inscrites à la carte. Une salle de réception pour différents évènements La salle de l’Auberge du Croisil est apte à recevoir jusqu’à 80 personnes en formule assise pour divers évènements familiaux, ceux qui veulent un mariage champêtre ne seront pas déçus. Cela n’exclut pas les repas d’entreprises et autres évènements professionnels et privés. La terrasse reste également à disposition selon les besoins. Il est toutefois à noter que ce service est indissociable avec les spécialités régionales en cuisine. Une proposition qui n’est pas du tout déplaisante lorsqu’on voit les 4 choix de menu en semaine et 4 en weekend. ...
Sensible au « bien manger », à la dégustation de mets élaborés avec des produits frais, de saisons et à un tarif abordable, la destination Baie de Saint‐Brieuc – Paimpol ‐ Les Caps propose un menu qui donne l’eau à la bouche : une riche palette de produits terre/mer, des professionnels engagés dans la qualité, désireux de faire partager leur savoir‐faire, et des événements tout au long de l’année. La destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ Les Caps se situe en Côtes d’Armor dans la cinquième plus grande baie au monde par l’amplitude de ses marées et s’étend de Paimpol à Fréhel. La renommée des chefs, le nombre de restaurants, la qualité des produits gastronomiques locaux et la riche programmation des animations culinaires font de ce territoire une véritable destination gourmande. En Baie de Saint‐Brieuc, les chefs sont inspirés par les senteurs et saveurs des produits locaux. Ils mêlent avec talent les produits de la terre aux produits de la mer dont la fameuse coquille Saint‐Jacques, reine de la baie, pêchée d’octobre à avril, mais aussi d’autres produits d’exception comme le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol ou le fameux «coco de Paimpol» (AOC). La programmation gourmande de la Baie de Saint‐Brieuc donne rendez‐vous aux amateurs de bonne chère. Pour le weekend de la pentecôte, les chefs quittent leur cuisine pour Rock’n Toques durant le festival Art Rock. Tout au long de l’année les occasions ne manquent pas pour découvrir le territoire tout en ravissant les papilles : balades gourmandes, dégustations, ateliers, visites des criées, marchés nocturnes bio, fête de l’huître, fête de la coquille Saint‐Jacques, fête de la Gastronomie... De la crêperie au restaurant étoilé, les escales gourmandes parsèment la Baie de Saint‐Brieuc. Ports, fermes, cidreries, conserveries... Nombreux sont les professionnels qui ouvrent leurs portes au grand public pour partager leur passion. Des produits savoureux de qualité Entre terre et mer, la Baie de Saint‐Brieuc apparaît comme un condensé de Bretagne, par ses paysages, ses traditions, son patrimoine. La Baie de Saint‐Brieuc avec ses panoramas bleus et verts et ses plages escarpées, abrite de nombreux produits de bouche de qualité. Parmi les différents trésors, la coquille Saint‐Jacques est certainement le plus réputé. Plus de 5 700 tonnes de coquilles sont pêchées depuis les ports d’Erquy, Loguivy‐de‐la‐Mer et Saint‐Quay‐Portrieux en Baie de Saint‐Brieuc. La Baie est également un territoire de mytiliculture, d’ostréiculture, de maraîchage, d’élevage de porcs et de poissons. On y déguste le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol, l’huître de Fréhel avec son goût très iodé, les moules, le coco de Paimpol, les algues, les pâtisseries telles que les palets de Fréhel à la nougatine et au chocolat, les crêpes bretonnes... le pommeau du Goëlo, le cidre, le boujaron (eau de vie de cidre) : les breuvages ne manquent pas non plus en Baie de Saint‐Brieuc. Une destination authentique innovante Si la Baie de Saint‐Brieuc est authentique par ses paysages et ses produits, elle est innovante par les hommes qui la font vivre. Dans cet espace où terre et mer ne cessent de se superposer, l’originalité et la créativité des « hommes gourmets » semblent illimitées. Elles sont le fruit d’une émulation partagée, d’une inspiration toujours sollicitée avec des produits locaux de qualité. La destination compte trois chefs étoilés au guide Michelin : Mathieu Aumont (Saint-Brieuc), Jean‐Marie Baudic (Saint‐Brieuc) et Nicolas Adam (Plérin). C’est aussi à Saint‐Brieuc qu’est né le collectif Rock’n Toques. Une brigade de cent cinquante professionnels de la restauration, dont trois chefs étoilés, qui proposent pendant les trois jours du Festival Art Rock, une gastronomie de rue qualitative, à base de produits locaux et de saison. C’est donc dans un esprit convivial, de partage et de fête que la destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ les Caps développe une démarche collective pour permettre, aux prix les plus abordables possibles, de valoriser une alimentation saine, locale...
Situé à quelques pas du centre historique de Bordeaux, rue Georges Bonnac, l'Hôtel Burdigala illustre le mariage réussi entre tradition et modernité. Dès l’entrée, sa façade en pierres blondes de Frontenac évoque le style architectural bordelais du XVIIIe siècle. Mais, une fois la porte franchie, la demeure séduit par sa décoration moderne, chic et cosy. Elle propose aujourd’hui un hôtel quatre étoiles et un restaurant bistronomique : La Table de Burdigala. Une très bonne table ! Installée sous une agréable verrière, La Table de Burdigala opte pour un décor contemporain et « urban chic », avec son subtil jeu de voilages. À l’image de la bâtisse, le restaurant dégage une ambiance à la fois élégante et détendue. Il plonge ses convives dans un confort unique et un calme feutré, en contraste avec l’agitation urbaine. À la hauteur de la beauté du lieu, la qualité des plats est irréprochable. À base de produits frais issus du terroir, le Chef Denis Lemercier - Maître Restaurateur revisite le répertoire de la gastronomie classique française en y apportant une touche dosée de modernité et d’originalité. Au gré des saisons, la carte et les menus proposent une grande variété de plats, pour satisfaire toutes les envies, même les plus exigeantes. Parmi eux, le gravlax de saumon et raifort, blanc de poireau en viennoise de sésame noir, en entrée ; et le paleron de bœuf du Limousin braisé aux morilles accompagné de pommes fondantes et de rutabaga, en plat principal, sont les plus prisés. ...
Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle. L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux. Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel. ...
Au centre d’un village pittoresque du département de l’Ardèche, entourée de vignobles et de champs de lavandes, juste à 15 km de la grotte du Pont d’Arc, s’impose modestement une auberge qui force naturellement à la halte : l’Auberge La Farigoule. Toutefois, les réservations sont de rigueur, et Brigitte Dumarché, maitresse des lieux, s’attèle à offrir un accueil des plus chaleureux aux touristes de passage et aux habitués de la maison. Cette auberge composée de trois chambres, d’un restaurant et d’une boutique de produits régionaux est labellisée à la fois « Qualité tourisme » et « Bistrot de pays ». Une auberge recommandée par les guides Murs en pierres apparentes, buffet digne de la campagne, vaisselle ancienne, cheminée où crépite le feu en période d’hiver : un décor comme on en retrouve dans les romans de Marcel Pagnol. Pendant l’été, les hôtes de Brigitte profitent pleinement de la terrasse et, bien avant même de commander, ils ont d’ores et déjà la possibilité de savourer une vue ensoleillée sur les étendues vertes et violettes des vignobles et des champs de lavandes qui,tous deux, alternent jusqu’à l’horizon. Recommandée par les guides régionaux tels que Le Guide vert Michelin ou encore Le Petit Futé, l’Auberge La Farigoule offre un cadre convivial et même familial aux visiteurs souhaitant séjourner en Ardèche et profiter de la région. Elle met ainsi à la disposition de sa clientèle3 chambres attrayantes et reflétant parfaitement l’esprit de la Farigoule. En clair, un total dépaysement qu’affichent les décors des chambres, qui ont chacune un accès indépendant à une salle d’eau avec douche, wc et lavabo, en plus de la terrasse qu’elles partagent. Lorsque les hôtes finissent par quitter leurs chambres en début de matinée, c’est direction le restaurant de l’auberge ! Une cuisine typiquement ardéchoise Aux fourneaux, Brigitte Dumarché, cuisinière en chef, mène la cadence en proposant des plats faits maison qui racontent les histoires d’Ardèche et parlent des Ardéchois. En effet, la cuisine traditionnelle ardéchoise ici est à l’honneur avec des plats authentiques. Des plats comme le broufado, qui est une recette provençale au goût remis à jour et un met propre aux mariniers du Rhône ; des recettes originales, mixant truffes, cèpes et châtaignes comme le cuissot de cochon aux cèpes fait maison, le bœuf aux cèpes et ses brisures de châtaignes, le gratin vivarois, fourré aux cèpes ; chacun de ces plat pouvant être accompagné d’un vin rosé des côtes du Rhône et d’un fondant aux châtaignes en dessert. Des recettes que la maitresse des lieux a héritées de sa famille, couplées à d’autres recettes de livres anciens. Recettes qu’elle partage avec ses hôtes depuis 18 ans tant elle est passionnée par la cuisine de l’Ardèche, une cuisine aux saveurs locales qu’elle considère comme le moyen le plus efficace pour valoriser, faire découvrir et faire apprécier sa région. Les gourmets viennent et reviennent nombreux déguster les saveurs du terroir qui sont parfois inédites, et provenant toujours à 95 % de produits locaux. Brigitte Dumarché valorise ainsi les produits du terroir à travers les plats proposés à la carte, mais aussi à travers les produits régionaux disponibles dans sa boutique. Des produits de diverses saveurs que les touristes rapportent en souvenir, tels que la crème de châtaignes, la terrine de porc, les marrons grillées ou encore la confiture de châtaignes. Brigitte Dumarché, à travers l’Auberge La Farigoule, se donne à cœur joie pour promouvoir les saveurs du terroir de son Ardèche tant aimée. Et elle conclut tout naturellement : « Je suis un produit du terroir, moi aussi ! » ...
À La Gazette, les mets se dégustent dans un endroit bourré de charme, délicieusement mis en scène par les architectes Delphine Sauvaget et Pauline d’Hoop de Synghem. Le mobilier de style vintage, le motif à feuilles de bananier de la moquette, la couleur des accessoires et les lumières tamisées ont été choisis avec gout pour baigner les convives dans une ambiance branchée et raffinée, d'inspiration exotique. Des délices au rythme des saisons Une fois que l’on est installé confortablement dans l’un des fauteuils des années 1950 de la maison, les choses sérieuses peuvent commencer. Les saveurs fraiches que proposent les marchés de Paris seront suggérées sur une carte qui change toutes les deux semaines selon les ingrédients existants. En entrée, le Tempura de gambas au sésame a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse auprès des clients de La Gazette. Y gouter est presque impératif dans ce restaurant. Vient ensuite le moment de se régaler avec les fameuses Pâtes langue d’oiseau au jambon truffé. Enfin, le Cheese cake à la mangue et passion ou le Moelleux au chocolat et glace vanille sont là pour achever ce mélodieux repas. «Tout cela à un prix qui montre qu’il ne faut pas forcément se ruiner pour profiter d’une cuisine digne de ce nom dans le 16e arrondissement », se félicite Hugo Hussein Salami, propriétaire et associé. Dénicher le vin qui accompagnera le repas à la perfection ne sera pas une affaire délicate au restaurant La Gazette, étant donné la richesse et l’éclectisme de sa carte des vins. Celle-ci est très « ouverte à plusieurs régions », dixit Hugo Hussein Salami. Une promesse d’aller à la rencontre des meilleurs accords. ...
Bonjour Christopher Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour. 1822 donc il y a 200 ans maintenant, c’est l’année où tout commence. Alors pouvez-vous nous parler de Monsieur Louis Nicolas fondateur de la célèbre enseigne Nicolas. C H | Louis Nicolas fait partie de cette génération des entrepreneurs du XIXe siècle, à l’heure de l’âge d’or de l’économie française. Je rappelle que le XIXe siècle c’est Haussmann, c’est les grands travaux, c’est la révolution industrielle. C’est un véritable génie du commerce, qui va reprendre plein d’idées à droite et à gauche, et qui va ouvrir et développer une chaîne de magasins qui va littéralement exploser à Paris en quelques années. Il va créer la chaîne telle qu’on la connaît aujourd’hui, parce qu’en 200 ans, il y a beaucoup de choses qu’il a institué et qui ont assez peu évolué. Il a surtout institué le fait que l’on puisse acheter une bouteille de vin dans un magasin. Comment ça se consommait le vin à l’époque ? C H | La consommation du vin à l’époque était assez simple. Soit il se consommait à la taverne, soit les gens aisés achetaient des tonneaux, ils les mettaient dans leur cave, ils avaient des carafes et allaient tirer le vin. La pratique industrielle de la bouteille n’était pas là. Louis Nicolas a l’idée de lui-même d’embouteiller, pour faciliter l’accès au vin. C’est ce qui va faire son succès. Offrant ainsi l’opportunité au particulier d’avoir plus facilement accès à ce vin-là, en termes d’achat et en termes de stockage et de consommation. Et comme une idée de génie n’arrive jamais seule, Louis Nicolas a l’idée de lancer la livraison de vin à domicile. C H | Alors grande révolution, on pense toujours que la livraison à domicile c’est Amazone, et bien non, c’est une entreprise française. Le vin est un produit lourd, même mis en bouteille, il le reste. Ils vont donc mettre en place un ensemble de moyens, qui s’adressent principalement à une population aisée, il faut le reconnaître au début. Ce sera des livraisons faites par des porteurs, des cavistes. Et un ensemble de moyens tout au long des siècles va être utilisé. On va avoir le porteur, on va avoir les charrettes à chevaux, et puis par la suite avec la motorisation, vont naitre les triporteurs à moteur, qu’on trouvera dans les années 50/ 60, les camions et tout un ensemble de livraison. Ce qui est toujours le cas au XXIe siècle. Aujourd’hui on a service de livraison de proximité. Si vous demandez à votre caviste de vous livrer il pourra le faire. Et plus les années passent, plus Nicolas se développe. Comment la famille Nicolas a compris qu’il fallait ouvrir autant de magasins dans une seule ville ? C H | Très vite, la famille Nicolas va comprendre l ‘enjeu de la proximité. Au XXIe siècle on parle de proximité, rurale, urbaine, on parle de tout ça. Mais très vite ils vont comprendre que les gens se déplacent assez peu. L’investissement va être fait, à l’époque à Paris, pour mailler le territoire. Avec un modèle économique assez intéressant, puisque les cavistes qui sont logés en général, par couple, au-dessus des caves. Et c’est modèle qui va perdurer pendant des décennies des décennies. On a aujourd’hui encore des cavistes, qui travaillent en couple, et qui résident à proximité ou au dessus de leur cave. Et ça va contribuer, à la fois avec les produits, le maillage, et ce modèle social, à développer l’enseigne et à multiplier les points de ventes dans Paris pour répondre à la demande des clients parisiens. Et l’histoire ne s’arrête pas là, puisqu’en 1895 c’est Etienne Nicolas, fils de Louis Nicolas qui reprend l’affaire familiale. C H | Louis Nicolas génie du commerce, de l’industrialisation etc., Etienne Nicolas, ça va aussi être un génie mais de la publicité. Il a une passion pour les arts, il a une passion pour le vin. Il va chercher à faire connaître cette entreprise et à développer principalement ...
Ce mas, situé sur la commune de Tulette, est un héritage familial de Corinne Depeyre, venant de son père qui, lui-même, l’a hérité de son père Henri et de son grand-père Clément. Ainsi, après trois générations, Corinne est la première vigneronne de la famille à reprendre le flambeau. Un rôle qu’elle assure et assume pleinement avec passion. L’agriculture biologique, une réelle conviction Au sein du Domaine Corinne Depeyre, l’agriculture biologique est un véritable art de vivre. Pour la viticultrice, il s’agit d’un gage d’avenir. C’est pourquoi elle cultive ses 19 hectares de vignes suivant cette technique respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Les vignes vivent ainsi au rythme des labours, selon les cycles naturels et grâce à des techniques ancestrales destinées à lutter contre les parasites et les maladies. Corinne Depeyre cultive notamment la phacélie au milieu de son vignoble. Il s’agit d’une fleur qui a la propriété de régénérer les sols naturellement. Des rangées de rosiers ont été plantées au pied des vignes. En plus d’offrir un décor visuellement très attrayant, les rosiers préviennent de l’apparition de maladies comme l’oïdium provoqué par un champignon destructeur. Les vins de Corinne Le Domaine Corinne Depeyre commercialise trois gammes de vins bien distinctes. Parmi les plus connues figurent les cuvées Style, se déclinant en rouge, blanc et rosé. Le Style Rouge Côtes-du-Rhône est issu de vignes de 30 ans d’âge établies sur un terroir argilo-calcaire, recouvert de galets roulés. Il est élevé en cuve de béton souterraine. Le vin se pare d’une robe rouge grenat aux reflets pourpres, marqué par un nez intense, floral et fruité, avec des notes d’épices. En bouche, il développe beaucoup de fraicheur et de la souplesse. Le millésime 2015 a été primé d’une médaille d’or lors du Concours des vins d’Orange. Le Style Blanc Côtes-du-Rhône est né d’un assemblage à 50 % de clairette, 25 % de viognier et de 25 % de roussanne. Il est élevé en cuve en inox et fermente en cuve inox thermorégulée. La robe est jaune pâle avec des reflets verts. Il s’agit d’un vin subtil avec un nez aux notes d’abricots et d’agrumes. Il se savoure en apéritif et accompagne un fromage de chèvre ou un poisson en sauce. La cuvée 2015 a été récompensée d’une médaille d’argent lors du Concours des vins d’Orange et de celui de Mâcon cette année. La troisième cuvée est le Côtes-du-Rhône Rosé, un vin aux couleurs provençales, avec un nez d’agrumes et de petits fruits rouges. La gamme intermédiaire est représentée par la cuvée Phacélies AOP Côtes-du-Rhône Rouge. Elle rend hommage aux fleurs présentes sur les parcelles pour attirer les abeilles. Le vin est issu de vieilles vignes de 50 ans. Le millésime 2014 a été primé d’une étoile au Guide Hachette. Le haut de gamme se décline en deux cuvées rouge et blanc Âme du Chêne AOP Côtes-du- Rhône. La propriété possède également une cuvée dénommée Cuvée de l’Amitié, un vin de pays de Méditerranée encore très confidentiel. La vigneronne travaille uniquement avec le circuit traditionnel (cavistes, restaurateurs) pour commercialiser sa production. « Je n’ai pas du tout l’intention de travailler avec la grande distribution », souligne-t-elle. Elle projette néanmoins de s’ouvrir à l’export. ...
Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun. Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon. Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise… Manger sainement à la japonaise Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis. En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement. Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix. ...
En 1992, Corinne Chevrier-Loriaud, 4e génération de vignerons, fait l’acquisition du domaine Château Bel-Air La Royère. Entourée par une équipe à 90 % féminine, celle-ci s’est fixé une mission : redonner au cépage malbec ses lettres de noblesse. Une palette de terroirs En conversion biologique depuis 2016, ce vignoble de 12 ha est réparti sur diverses parcelles avec chacune un terroir spécifique. Ici, les cépages merlot (60 %), malbec (39 %) et cabernet sauvignon (1 %) poussent soit sur des sols sablo-graveleux, soit sur des sols argilo-calcaires. Grâce à cette diversité, le domaine a la possibilité de réaliser d’intéressants mélanges et de produire des vins complètements différents. Des vins devenus une référence La maison produit aujourd’hui 5 vins rouges et 1 vin blanc. Parmi eux, 2 cuvées partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : le « Château Bel-Air La Royère » et « L’Esprit de Bel-Air La Royère ». Élaborée à partir de très vieilles vignes, le « Château Bel-Air La Royère » est un assemblage de merlot (65 %) et de malbec (35 %). Ce vin puissant et structuré a bénéficié de 20 à 22 mois d’élevage en barrique. En bouche, on trouve une explosion de fruits rouges associée à des notes vanillées. Ce vin sublimera des plats de viandes rouges ou du fromage. « L’Esprit de Bel-Air La Royère », quant à lui, est obtenu à partir de merlot (90 %), de malbec (5 %) et de cabernet-sauvignon (5 %). Présentant des tanins souples et soyeux, il séduit également par ses notes de fruits noirs et un boisé élégant. Les vins du domaine Château Bel-Air La Royère sont régulièrement cités par Bettanne & Desseauve, le Guide Hachette ou encore La Revue du vin de France. ...
La maison Du Rhône voit le jour dans la Genève du dernier quart du XIXe siècle et s’y construit rapidement une belle renommée. Déjà, la fine fleur de la société genevoise ne jurait que par les pralinés de l’enseigne. Celle-ci poursuivra une expansion constante pendant les décennies suivantes, jusqu’à conquérir le monde avec ses créations, à la fin des années 60. Qualité, authenticité et innovation constante sont au cœur de la tradition multi-séculaire que défend âprement l’équipe réunie autour de Jean-Pascal Sérignat, le maître chocolatier actuel au sein de la prestigieuse maison. 140 années au cœur du métier La relocalisation de la maison Du Rhône, rue de la Confédération, en 1976, n’était qu’une procédure. Le savoir-faire du maître chocolatier genevois s’est maintenu – traditionnel, artisanal – bien que l’enseigne se tourne résolument vers les nouveaux besoins de son époque. Dans cette démarche, l’authenticité des produits livrés constitue le fil conducteur des choix de l’artisan. Quand certains en sont à rajouter des additifs chimiques pour répondre à des soucis de rendement industriel, Du Rhône s’y refuse. Qualité et fraîcheur obligent, les fèves sont rigoureusement sélectionnées là où l’on trouve les meilleures : Afrique de l’Ouest, Amérique du Sud. Entre ces fèves et les gâteries pour lesquelles la maison est fameuse, des processus sont subtilement exécutés et rigoureusement respectés, année après année. À l’issue de ce ballet immuable des matières et des méthodes, les consommateurs accèdent à des gammes de produits délicats pour lesquels les grands de ce monde ont, un jour, fondu. Le shah d’Iran, les Eisenhower, les Churchill et autres Colette et Grace Kelly étaient parmi les illustres adeptes des douceurs signées Du Rhône. Une trilogie gourmande à part Il n’y a pas un Du Rhône qui ne saurait séduire les papilles d’un vrai féru de chocolat. Truffes, palets et florentins rivalisent d’arguments pour faire fondre ceux qui tentent – bien inutilement – de résister. Ces derniers rehaussent les saveurs corsées du chocolat par un mariage arrangé avec des oranges confites ou du miel. Les palets distillent des effluves d’ailleurs pour faire voyager du Brésil en Papouasie, en passant par Madagascar. Dans ce doux méli-mélo, trois produits sortent du lot pour leur personnalité exceptionnelle qui a rapporté à l’enseigne de prestigieuses récompenses. La ganache intense du « Coline » a séduit le jury du Salon international des chocolatiers de Genève. Il en va de même des notes de thé de Chine et d’Earl Grey qui relèvent la ganache de l’« Impérial ». Gault&Millau était impressionné par la recette centenaire et secrète du « Mocca glacé ». ...
Comme tous les magasins Biocoop, le magasin BIOCOOP SOLFERINO de Lille s’est engagé dans une démarche équitable et responsable. Il adhère totalement aux valeurs mises en place par ce réseau coopératif, comme des produits exclusivement issus de l’agriculture biologique, une rémunération juste des producteurs ou encore une diminution au maximum de l’empreinte carbone en bannissant le transport aérien. De plus, tous les produits sont sélectionnés selon un cahier des charges strict. Des produits bio de qualité … Sur les 170 m² d’espace de vente du magasin BIOCOOP SOLFERINO, vous pourrez faire l’ensemble de vos courses puisque vous y trouverez des fruits et légumes de saison, de l’épicerie salée et sucrée, des surgelés, des boissons y compris des vins, des produits ultra frais, mais aussi des compléments alimentaires, des produits d’entretien, des cosmétiques et des produits bébé, tous 100 % bio. Dans la partie épicerie, 120 références de produits vendus en vrac, avec entre autres céréales, pâtes, légumes et fruits secs, sont à emporter dans des sacs en coton ou des bocaux en verre, réutilisables. Avec ces articles, vous bénéficierez de tarifs compétitifs et vous pourrez tendre vers une consommation alimentaire zéro déchet. Et aussi une offre locale Biocoop privilégie également les produits locaux dès que cela est possible. Ainsi BIOCOOP SOLFERINO vous propose des fruits et des légumes provenant de producteurs locaux et toute l’offre de boucherie/charcuterie, ainsi que les plats traiteur tels que des lasagnes, des tartes et sandwich, sont préparés directement par les équipes Boucherie/charcuterie/traiteur du magasin Saveurs et Saisons à Villeneuve d’Ascq. ...
L’appellation Seyssel est reconnue pour sa méthode traditionnelle, une démarche ancestrale qui permet à un vin de devenir effervescent. Seyssel est également un petit village de vignes, de vignobles et de vins vieux, dont les origines remontent à 2 000 ans. C'est au Ier siècle que les premiers écrits mentionnent la vigne dans la région, avec Pline l’Ancien, un philosophe romain qui vantait déjà les vins de Seyssel. Jouissant d’un climat particulièrement favorable, de mollasses sableuses et d'une bonne exposition au soleil, les vins de Seyssel se distinguent par la finesse des bulles et leur authenticité. Royal Seyssel, un vin, une histoire Dans une bouteille Seyssel, il y a du bon vin, mais il y a aussi quelque chose du passé qui dort là, c’est ce que nous raconte Gérard Lambert : « C’était un vin bu par les rois et reines qui venaient dans la cité voisine d’Aix-les-Bains. Il a été consommé par la reine Victoria et par d’illustres personnalités européennes. Il a été baptisé Royal Seyssel, en leur hommage, en 1901. » Au début, le Royal était effervescent, mais il s’est développé en vin tranquille, appelé le « Seyssel tranquille » issu du cépage Altesse. Ce vin a connu une grande période de gloire mais a vite décliné lorsqu’il fut racheté par un grand groupe. « Il y a eu une dégringolade au niveau des ventes et le site de production a dû fermer en 2007. Cette fermeture a mis en péril tout le vignoble. Tous les vignerons qui apportaient les vendanges ont aujourd’hui les larmes aux yeux », déplore Gérard Lambert. Le Royal, fleuron de l’appellation Seyssel Touché par la disparition de ce patrimoine, le couple Lambert décide de sauver une partie de leur héritage. Mal compris par son entourage, il s’engage dans ce projet fou pour « sauver l’appellation, le tissu viticole et tous les vignerons encore présents ». Il décide d’aller bien plus loin que ses confrères pour lesquels la méthode champenoise consiste pour la plupart du temps à 9-12 mois de vieillissement pour fabriquer les bulles, avant de tourner les bouteilles dans les caves à vin ou à champagne. Selon lui, pour obtenir un bon vin, il faut bien plus. Et de préciser : « Il y a beaucoup de mauvais champagnes, parce qu’ils ne les laissent vieillir qu’un an, alors que les bonnes maisons patientent 2 ou 3 ans avant de tourner les bouteilles. » Ce projet et cette vision lui donnent raison aujourd’hui. Un nectar de haute qualité sur le devant de la scène « Malheureusement, aujourd’hui, ce qu’on trouve dans les bouteilles est très souvent ACIDE, avec de grosses bulles et un dosage trop important.» En revanche, Gérard Lambert ne fait que du millésimé, c’est-à-dire qu’il ne mélange pas plusieurs années. Il laisse en moyenne vieillir ses bouteilles 4 à 6 ans, parfois même 10 ans. Cette méthode crée une qualité largement supérieure à la moyenne, avec une bulle très fine et un nectar pur. Grâce à cette ingéniosité, le Royal de Seyssel est revenu sur le devant de la scène et a été classé pour la deuxième année consécutive parmi les meilleurs effervescents au monde. Les cépages principaux sont la Molette et l’Altesse, qui donnent des vins blancs aux arômes fruités. La Cave Lambert est un petit domaine de 4 ha avec plusieurs cuvées, spécialisé dans l’élaboration de vins de Seyssel en méthode traditionnelle, mais qui offre également une large gamme de vins de Seyssel et de Savoie. À l’œil, le vin Royal Seyssel a une robe jaune avec des bulles très fines. Au nez, il est assez fruité et, en bouche, il est agréable et léger. Il est idéal à l’apéritif avec des canapés salés, des crustacés, des homards ou des langoustines. Une véritable merveille pour les papilles. ...
Au pied des contreforts du Larzac, sur le terroir de Montpeyroux, la famille Commeyras cultive la vigne depuis 6 générations. Histoire et création du domaine L’histoire du domaine remonte à 1850 avec Pierre Commeyras et son fils, Anténor, tous deux viticulteurs à Montpeyroux. Au retour de la guerre, Auguste, le fils d’Anténor a vécu la même passion. Ses enfants André, Aimé, Auguste ont suivi. Tout en poursuivant l’exploitation familiale, André et Aimé, présidents successifs de la cave coopérative de Montpeyroux, ont initié les VDQS (Vin Délimité de Qualité Supérieure) et AOC. En 1987, à l’issue d’une longue étude sur la qualité organoleptique des vins de Montpeyroux, le Domaine l’Aiguelière a été créé par les familles Teissedre et Commeyras. Nos Terroirs Les vignes épousent les nombreux terroirs qualitatifs de Montpeyroux et des communes voisines afin de favoriser une production équilibrée. Sur les terres protégées par les vents frais et sains du Larzac, le travail est depuis toujours traditionnel avec le minimum d’intrants. De plus, une conversion bio a été opérée en 2018. Les rendements sont volontairement faibles : 22 vignes sur 19 hectares ne produisent que 60 000 bouteilles/an au sein de 53 cuves inox de 3000 hl dans un chai climatisé. À noter : la gamme complète des 7 cuvées des 3 appellations (AOP Montpeyroux, AOP Terrasses du Larzac et IGP Saint-Guilhem-le-Désert) est régulièrement récompensée depuis plus de 30 ans : CGA, Decanter, Hachette, Robert Parker Wine Advocate, RVF…. Découvrez la Côte Rousse 2018 en AOP Montpeyroux Vin rouge réalisé à partir de Syrah et Grenache, si vous aimez les vins puissants et complexes avec une grande longueur et un bon équilibre des tanins, nous vous conseillons de tester la Côte Rousse 2017 ou 2018. Idéal avec du gibier à plumes, de la viande rouge, de la viande en sauce ou du chocolat noir, elle va s’épanouir pendant 10 à 15 ans au moins en restant jeune et attrayante. ...