Sous l’impulsion de son directeur général Joël Julien, élu meilleur manager de l’année en Languedoc Roussillon, la cave est actuellement une référence mondiale en vins de Beauvignac, avec près de 20 millions d'euros de chiffre d’affaires annuel. Des appellations de renom Sur les 1800 hectares de vignoble, 450 sont classés en AOP Picpoul de Pinet. « Il s’agit de l’appellation emblématique de la coopération, celle qui a permis d’acquérir une notoriété reconnue dans le monde », explique Joyce Arends, responsable caveaux et marketing. Ces vins, élevés sur des terres en arc de cercle ensoleillées et argilocalcaires nommées Costières, s’apprécient pour leur fraîcheur, leur vivacité et leurs arômes fruités de pamplemousse et de citron vert. Outre cette fameuse appellation, le vignoble en compte d’autres tout aussi prestigieuses, comme l’AOP Languedoc, l’IGP Pays d’Oc ou encore l’IGP Côtes de Thau. Parmi la large palette de grands vins blancs, rouges et rosés que propose la coopérative, on retrouve la cuvée exceptionnelle Chardonnay Beauvignac ou encore l’incontournable cuvée Prestige Cabernet Sauvignon, les deux médaillées d’Or lors du concours général agricole de Paris 2016. Avec sa robe jaune pâle aux reflets vifs, la cuvée Beauvignac AOP Picpoul de Pinet (médaille d’argent) offre un équilibre harmonieux entre fruité et vivacité et se déguste avec les huîtres de Bouzigues. De nombreuses animations œnotouristiques Au sein de la cave, une initiation à la dégustation sous la houlette d’un sommelier est proposée afin de découvrir les saveurs et arômes subtils des vins de Beauvignac. Les visiteurs peuvent également partir à la découverte du savoir-faire Beauvignac à travers des visites complètes allant de la vinification jusqu’à la mise en bouteille finale. Des escapades gourmandes en catamaran ou bien encore des balades sur le terroir avec en prime une initiation aux plantes aromatiques dirigée par l’herboriste Corinne Fabre complètent l’apprentissage sur l’univers des vins et affinent les connaissances sur la biodiversité. ...
Fièrement installée dans les Halles de Versailles, la boucherie traditionnelle Lombert a bâti sa réputation en offrant à sa clientèle les plus beaux morceaux de viande, dont évidemment, le fameux bœuf en Chalosse. Aujourd’hui, de nouveaux challenges s’esquissent pour Joël Lombert avec l’ouverture de sa nouvelle boucherie 100% bio. Un emplacement vacant à côté de la boutique actuelle s’est révélé être le point de départ de ce nouveau projet. Déterminé, l’artisan-boucher s’est engagé dans l’aventure avec le soutien d’UNEBIO grâce à qui il a réussi à trouver des éleveurs répondant à ses cahiers des charges. La conversion en bio Dans le secteur de la boucherie, se reconvertir en bio n’est pas une mince affaire. Il faut respecter à la lettre un cahier de charges pointilleux, à commencer par le choix des éleveurs. Joël Lombert a sélectionné des petits producteurs, qui commercialisent leur viande avec UNEBIO, et qui répondent non seulement à la réglementation imposée, mais surtout à ses besoins et à sa vision « faire du bio, mais du bon bio ». Il désire exclusivement disposer de viandes qui sont légèrement engraissées, bien finies, travaillées à la main avec de belles couleurs et obtenues via une démarche biologique. Les éleveurs qui travaillent pour la boucherie sont majoritairement issus du sud-ouest de la France. Chez eux, les animaux sont élevés dans le respect de leur bien-être, tant au niveau de l’alimentation qu’au niveau du traitement, que ce soit pour le bœuf, l’agneau, le porc ou les volailles. « Les animaux sont nourris uniquement avec une alimentation naturelle et saine, sur des pâturages et avec des fourrages qui sont référencés bio. Ils vivent à l’air libre dans la journée et ne sont pas cloîtrés », explique Joël Lombert. Toutes ces méthodes particulières de l’élevage bio permettent d’avoir des viandes plus colorées et savoureuses. Ce qui justifie le prix appliqué par la boucherie « Chez moi, en termes de tarifs, il faut compter environ 10 % de plus qu’une boucherie traditionnelle normale », reprend Joël Lombert. Ces extras sont consacrés aux petits producteurs français pour gratifier leurs travaux à leur juste valeur. Le Made in France à l’honneur Côté bœuf, la boucherie Lombert propose des viandes nobles, celles de race limousine, la blonde aquitaine ou la parthenaise. Le propriétaire a fait le choix de diversifier aussi bien les producteurs et les viandes racées pour s’assurer d’avoir en permanence des produits variés à présenter aux clients. Pour le veau, il privilégie les viandes un peu plus musclées avec une belle conformation (selon le classement E.U.R.O.P). En agneau, les viandes venant d’Aveyron sont d’un goût authentique, en plus d’être tendres et parfumées. En ce qui concerne les viandes porcines, elles sont assurées par les éleveurs bio membres d’UNEBIO issus du grand-ouest de la France. Enfin, la boucherie Lombert travaille des volailles en tout genre (poulets, dindes, pintades, canettes…) toujours élevées à l’air libre et nourries sans OGM. Étant une boucherie traditionnelle, Joël Lombert travaille lui-même les carcasses, pour ensuite les couper à la main. C’est une étape délicate et importante, sur laquelle dépend la qualité gustative de chaque morceau de viande. ...
Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...
Située à Charly-sur-Marne, cette exploitation familiale travaille ses 8 hectares en viticulture durable. Soucieuse de la protection de l’environnement, elle a proscrit les herbicides depuis 20 ans et privilégie les méthodes alternatives. Des cuvées récompensées Le savoir-faire de cette famille de récoltants-manipulants est mis en avant dans l’élaboration de leurs cuvées qui leur vaut chaque année des récompenses à différents concours comme le Tradition Brut, qui a obtenu la médaille d’or aux vignerons indépendants en 2017 et dernièrement une médaille d’argent pour la cuvée Magic Vintage 2009 pour ses notes gourmandes toute en finesse. ...
La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...
Premier viticulteur de la famille, Henry de Batz, à la tête du Château de Salles, porte fièrement son titre de vigneron indépendant. Le terroir rêvé Le domaine est implanté sur des terres de coteaux de type argilo-calcaire. Bénéficiant d’une exposition sud-ouest, le terroir se prête idéalement à la viticulture. Cela donne naissance à des vins de grande finesse comme la prestigieuse Cuvée d’Artagnan. ...
La madeleine est une gourmandise intemporelle. Dans la biscuiterie Jeannette, on révèle son goût raffiné depuis 1850. Dans la banlieue de Caen, elle est produite avec des ingrédients nobles : de beaux produits de la région, le savoir-faire d’un meilleur ouvrier de France, et surtout la détermination et la patience de son repreneur, Georges Viana et de ses équipes. L’excellence au service d’un beau produit. Une madeleine d’exception se confectionne tout d’abord avec de beaux produits : des oeufs de poule élevées en plein air, des farines normandes et du beurre AOP d’Isigny, l’un des deux seuls beurres AOP de France. Mais il faut aussi les idées et la maîtrise des gestes d’un meilleur ouvrier de France et champion du monde des desserts : Philippe Parc. Ce chef reconnu a également développé pour Jeannette la gamme J aux saveurs d’ailleurs. Des madeleines à la rose de Damas au parfum subtil et délicat. Les madeleines « soleil levant » un plaisir équilibré d’agrumes asiatiques et d’autres créations toute en finesse comme les madeleines à la vanille, au chocolat, ou à la noisette. Privilégier la qualité à la quantité : un véritable engagement Quelle que soit la recette, la biscuiterie Jeannette recherche avant tout la qualité. C’est aussi une démarche socio-économique. Pour Georges Viana, le repreneur, c’est un état d’esprit. Produire de beaux produits, est certes un peu plus cher, mais cela permet de créer des emplois en France, et de se faire réellement plaisir quand on les consomme. Et le pari est gagnant : la biscuiterie emploie aujourd’hui 30 salariés dans son usine. Et 40 salariés en situations de handicap en ESAT (établissement et service d’aide par le travail) qui mettent les madeleines dans les packagings. Une biscuiterie artisanale qui a su renaître de ses cendres. Il aura fallu beaucoup de ténacité et d’engagement pour faire revivre la marque Jeannette, la plus vieille biscuiterie de Normandie. Depuis 1850, elles confectionnait des biscuits secs, mais surtout des madeleines qu’elle vendait partout en France. Ses madeleines avaient même remporté la médaille d’argent au concours de Paris en 1900. A la belle époque, des années 70 à 80, la biscuiterie représentait 80% du marché français et avait jusqu’à 400 employés. Mais Jeannette n’a pas vu arriver les grandes surfaces et tous les changements qu’elles apportaient avec elle. La biscuiterie est donc vendue à une entreprise qui reprend la majorité de ses recettes et ne laisse à Caen que la fabrication des madeleines. Mais d’années en années, l’activité décline. Après plusieurs redressements judiciaires successifs, l’entreprise est finalement liquidée définitivement en décembre 2013. En 2014, le matériel est donc mis aux enchères. Mais de nombreux employés vont se battre pour essayer de le récupérer. Ils occupent l’usine et réussissent à empêcher la vente. La bataille aura aussi le mérite d’alerter les médias. C’est de cette façon que Georges Viana entendra parler de la biscuiterie Jeannette et surtout de ses salariés prêts à se battre pour elle. La situation était complexe, puisque juridiquement, l’entreprise n’existait plus. Georges Viana devait donc trouver, dans un premier temps, un moyen de récupérer la marque. Après avoir mis au point un plan d’action, il était temps de le faire financer. Mais les banques de la région ne voulaient plus avoir à faire avec la biscuiterie. Chacune avait eu à faire avec l’un des redressements judiciaires successifs. Le repreneur décide donc de se tourner vers le financement participatif. Aller là où on ne l’attend pas. Quand il contacte la plateforme de financement participatif pour fixer son objectif à 50 000€, ses interlocuteurs sont plutôt sceptiques. A l’époque, personne n’a jamais dépassé une levée de fond de plus de 20 000 euros sur leur site. Mais Georges Viana s’obstine. A raison. Puisqu’il obtiendra finalement plus de 100 000€ grâce à la mobilisation des internautes normands. Le tribunal de commerce lui attribut alors la marque « Biscuiterie Jeannette &raqu...
A Etables-sur-Mer, une cité balnéaire des Côtes d’Armor, se trouve le restaurant Via Costa. On quitte la Bretagne pour un dépaysement total : décor exotique, ambiance d’ailleurs, mer turquoise, sable fin. L’endroit semble sorti tout droit d’une carte postale d’une plage de Bali. A l’entrée, se dresse un imposant portique orné de motifs végétaux indiens. A l’intérieur, murs en bois exotiques, paillotes, palmiers, bouddhas en pierre et transats plantent le décor : le visiteur semble pénétrer dans un de ces lieux surprenants perdus au bout du monde. Idéal pour un après-midi de détente. Le visiteur prolonge volontiers son escale au Via Costa pour le restant de la soirée. Cocktails et farniente L’après-midi est encore chaud. Il est temps de s’attabler à la terrasse du Via Costa. La carte propose des idées originales autour du cocktail. Le barman vous sert un de ces breuvages traditionnels aux vacances ensoleillées : Mojito, Cosmopolitan, Margarita. Pour des sensations plus intenses, il confectionne pour vous une des spécialités de la maison : un Daïquiri frais et acidulé, ou un Pina Colada, une mixture glacée à base de coco et ananas. Il existe également des versions sans alcool : milkshake à la vanille ou au chocolat. Les hôtes expérimentent un moment totalement zen : siroter un cocktail glacé devant une mer d’azur, avec en arrière-fond, des sons de musiques du monde. Excursion gourmande Côté assiette, le chef emmène les hôtes explorer le continent asiatique. Les ingrédients sont locaux : poisson frais breton. Les mets du terroir côtoient les plats des îles. Au départ, au choix : une cuisine tout en fraîcheur comme le tartare de Saint-Jacques de la baie et saumon fumé, ou bien des plats exotiques : accras de morue et salade de poulet Tandoori. Le voyage des papilles se poursuit avec de nouvelles surprises. La spécialité du chef ici, c’est le carpaccio. Les lamelles de bœuf marinées sont préparées et arrangées à toutes les sauces. Chaque plat est une invitation à découvrir le mariage de nouvelles saveurs. Le convive découvre des inspirations méditerranéennes : le carpaccio aux copeaux de chèvre, noix et tomates confites, ou bien le carpaccio à la mozarella di buffala et pignons de pins. Et d’autres inspirations inattendues : le carpaccio façon thaï, aux oignons rouges, pousses de soja fraîches, sésame, gingembre et coriandre. Côté lagon, les amateurs des fruits de mer retrouvent des produits frais et des saveurs totalement exotiques : wok de gambas marinées au gingembre et à la coriandre ou dos de cabillaud rôti au crumble de chorizo. Le dépaysement est assuré côté sable. Les spécialités culinaires du chef sont innovantes : tajine berbère d’agneau aux abricots et poulet Massalé à la réunionnaise. Pour le dessert, le chef suggère de gouter à des horizons lointains : traverser l’Atlantique et dévorer un véritable cheesecake new-yorkais, ou bien s’arrêter au milieu de la mer et tenter une exotic island, une ile flottante à la noix de coco et aux zestes de citron vert. Ceux qui préfèrent les charmes du pays, savoureront la douceur d’une tarte fine aux pommes, et son coulis de caramel au beurre salé. Ambiance caliente ! Pas question de rentrer chez soi pour le moment. L’équipe du Via Costa propose aux convives un large éventail d'activités, histoire de s’attarder après le repas. Des événements sont régulièrement organisés pour animer la soirée. Les convives peuvent s’initier à de nouveaux pas de danse, zumba et salsa, à l’ombre d’une paillote. A la nuit tombante, les visiteurs se laissent entraîner au rythme de la musique. DJ et groupes animent la soirée dans un climat décontracté. La programmation musicale est variée et répond à tous les goûts : jazz, reggae, musique du monde, etc. Tout le monde doit s’amuser ! Le Via Costa organise à la demande des séminaires et réceptions pour les groupes pour un minimum de 20 personnes. Les menus, à partir de 35€, permettent de se régaler dans un environnement atypique. A l’ord...
L’Espagne détient le titre de troisième producteur de vins au monde, juste après l’Italie et la France. Soleil Rouge, à l’aube de ses vingt ans d’existence, continue de représenter fièrement la richesse viticole de ce pays, auprès des œnophiles et autres amateurs de vins. Comme un air d’Espagne À la manière d’une bodega, ce bar à vin, situé sur le boulevard Helvetique 32, propose un large choix éclectique de vins d’Espagne à déguster sur place ou à emporter. « L’idée est que les gens puissent venir boire un verre, découvrir les vins et éventuellement repartir avec une bouteille », explique Christian Gillieron, l’associé-gérant de l’établissement. Le répertoire compte environ 400 vins différents, dont du rouge, du blanc, du rosé, du mousseux, du cava, joliment rangés dans des caves. Allant des vins à partager autour d’un dîner aux cuvées haut de gamme pour des occasions exceptionnelles, la maison peut satisfaire toute demande, et ce, à un prix qui reste raisonnable. Mais les clients viennent aussi pour passer un afterwork ou une soirée entre amis autour des traditionnelles tapas maison que l’établissement propose comme accompagnement à la dégustation des vins. Ajouté à tout ceci la bonne vibration des musiques espagnoles lors d’un flamenco live ou des soirées DJ Tapas &Dance, chaque rendez-vous devient une fiesta au Soleil Rouge. Des cuvées pour tous les goûts Pour Christian Gillieron, le choix de célébrer la diversité des vins espagnols est venu tout naturellement. « J’ai passé toute mon enfance en vacances en Espagne, c’est un pays que j’affectionne particulièrement : la langue, le peuple, et surtout les vins », renchérit-il. Bercés sous un climat méditerranéen avec une influence océanique, les terroirs espagnols présentent des caractéristiques propres au pays, tout comme les vins qui expriment plus de concentration, de la finesse, et un arôme agréablement fruité. Quant à la sélection des vins, « le point de repère numéro un est la qualité, on veut avoir des vins qui ont du caractère, qui procurent de l’émotion », souligne notre interlocuteur. Ainsi, Soleil Rouge ne travaille pas forcément avec de grands exploitants, mais surtout avec des artisans viticulteurs qui s’engagent dans une démarche naturelle et biodynamique. Afin de promouvoir ces petits producteurs, l’établissement organise chaque mois une soirée dégustation, en offrant un prix préférentiel aux clients qui sont venus. En outre, il est aussi possible de commander tous les produits via le magasin de vente en ligne, et de se faire livrer à domicile. ...
Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient. La poudre de baobab : un pré-biotique naturel Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. » Le baobab : une filière équitable Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle. ...
Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine. Mariage de régions et de saveurs « Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins. Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012. Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines. Un amour effréné pour la Bourgogne L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. » ...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...
Art Mas, c’est le vignoble familial de Xavier Combe. Véritable hymne à la biodiversité, les thyms, les romarins, les sauges, les oliviers et autres senteurs colorent le paysage et le parfument d’une fragrance inoubliable. Le viticulteur cultive 11 hectares de vieilles vignes à l’encépagement noble, localisées dans l’aire d’appellation Côtes-du-Rhône Villages Visan. Sur ce sol argilo-calcaire, les vins, produits biologiquement, s’épanouissent sous le soleil méditerranéen, ce qui donne des breuvages fruités, équilibrés, concentrés, expressifs et d’une étonnante richesse aromatique. « Nous nous distinguons par de très faibles rendements », confie Xavier Combe. « Seulement 25 hl/hectare en moyenne, ce qui permet la parfaite expression d’un terroir unique, souvent qualifié comme l’un des plus beaux de Visan. » Domaine viticole Art Mas : un terroir d'exception.... Exclusivement récolté à la main, le raisin ne subit aucun traitement par des intrants chimiques. La phytothérapie est adaptée à la vigne en utilisant des principes actifs naturels afin de renforcer la plante. « Nous exécutons des pratiques traditionnelles et des méthodes ancestrales ». Ce respect de la tradition n’empêche pas la modernité et l’originalité. Les étiquettes de la gamme ont été redessinées par le vigneron en 2016. De quoi se faire et faire plaisir. D’ailleurs, de nombreuses tables étoilées dans toute la France le savent bien : elles ont du vin du Vignoble Art Mas à leur carte. ...
Même si nous la dégustons tout au long de l’année, l’huître de Bretagne a sa propre Histoire avec des caractéristiques bien particulières parfois méconnues mais aux multiples bienfaits et facettes qu’il est bon de connaître. Cette « Star » des gastronomes possède en sa coquille de multiples atouts dont Cancale, en Côte d'Émeraude, Capitale de l’Huître en France depuis François 1er, et inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco grâce à son savoir-faire en matière d’ostréiculture. Huître de Bretagne, une Histoire au fil des siècles L'histoire des huîtres en Bretagne-Nord remonte à la nuit des temps. De la Préhistoire à l’Antiquité, on la retrouve dès le VIe siècle dans les fastueux banquets de l’Empire romain, où l'huître plate de Bretagne avait déjà conquis une place de choix dans les menus. Importées par Rome depuis les côtes bretonnes lors des invasions en Gaule, ces délices marins ont traversé les âges. Un parcours parfois tumultueux, qui au fil des siècles, s’est toujours invitée à la table des plus fins gastronomes. Même si leur présence s'est estompée au cours du Moyen Âge, on la retrouve sous le règne de Louis XIV où l'huître retrouve ses lettres de noblesse, au point que le monarque en faisait sa pitance matinale. Au XVIe siècle, François Ier lui-même, épris de gastronomie, ne tarissait pas d'éloges sur l'huître de Cancale, contribuant à rehausser son statut. Le port et les côtes bretonnes deviennent alors le cœur battant de cette industrie florissante. Des étendues d'élevage s'étendent des baies de Saint-Malo et de Saint-Brieuc jusqu'aux côtes du Trégor et à la rade de Brest. Cependant, la frénésie d'exploitation au XVIIIe siècle engendre une surexploitation des ressources, menaçant la pérennité des bancs d'huîtres plates. Un édit royal intervient alors, interdisant la pêche du 1er avril au 31 octobre pour permettre la régénération de ces précieuses populations marines. Alors que les premiers conchyliculteurs utilisaient des coquilles d'huîtres disposées le long du rivage pour favoriser le développement des larves, c’est grâce à Victor Coste, médecin naturaliste au service de Napoléon III et de Ferdinand de Bon, commissaire de la Marine, que les prémices de l’ostréiculture moderne ont vu le jour au milieu du XIXe siècle. Leur méthode révolutionnaire, axée sur la restauration des bancs d'huîtres plates décimés par une surpêche, introduisit l'utilisation de collecteurs dédiés à la récupération des larves, instaurant ainsi un contrôle plus efficace du cycle de croissance et de récolte. De nos jours, les techniques d'élevage évoluent, accompagnées par le perfectionnement des outils d'exploitation et par une volonté permanente des jardiniers de la mer à s’assurer du respect des écosystèmes marins et de l’environnement (voir vidéo ci-dessus). Ce développement marque une nouvelle ère pour l'huître de Bretagne-Nord, assurant sa préservation et son rayonnement pour le plus grand plaisir des gastronomes. Huître de Bretagne, un merroir d'exception Les huîtres en Bretagne révèlent une diversité captivante en douze crus distincts, s'étendant de la majestueuse baie du Mont-Saint-Michel avec Cancale à la rade de Brest en passant par Paimpol, Tréguier, Arguenon, Fresnaye, Morlaix-Penzé, rade de Brest, les Abers, , offrent un éventail exceptionnel de terroirs propices à l'élevage de ces délices maritimes. Tel un vignoble ou en l'assemblage d'un vin avec ses multiples cépages, chaque cru d'huîtres, reflet fidèle de son terroir, dévoile des caractéristiques singulières, offrant ainsi une palette de saveurs uniques aux fins gastronomes. Ainsi, les ostréiculteurs, ces jardiniers de la mer, maîtrisent l'art minutieux de l'élevage des huîtres en Bretagne. Leur métier exige une expertise rigoureuse, de la pose des collecteurs pour capturer les larves jusqu'au délicat processus de demi-&ea...
Dès 1929, Emile Refouvelet développe un apéritif à base de racines de gentiane, à Riom-es-Montagnes au cœur du Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. Dès 1930, il est commercialisé sous le nom d'Auvergne Gentiane. C’est en 1962 que naît officiellement la marque Avèze. Un processus d’élaboration authentique ... Les racines de gentiane sont récoltées entre fin mai et mi-octobre, entre 900 et 1700 mètres d’altitude. Elles sont triées puis lavées à la main. Elles sont ensuite disposées de façon inclinée pour un égouttage optimal. Après avoir été découpées en cossettes, elles subissent une macération dans de l'alcool pendant au moins neuf mois. Enfin, viennent les étapes de la filtration et l'embouteillage. Avèze est le seul apéritif auvergnat à être certifié « produit du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne », véritable gage de qualité et d’authenticité. … pour des apéritifs au goût unique La gamme Avèze se décline en 3 variétés : 15%, 16% et 18% vol., se différenciant notamment par une note de gentiane plus ou moins intense. Toutes présentent une robe jaune d’or éclatant. Au nez, l’Avèze 15% vol. est fraîche et fruitée, en bouche sa légèreté et sa douceur contenue mettent en valeur l'amertume traditionnelle de la gentiane. Avec ses notes fruitées, l’Avèze 16% vol. a une attaque ronde et moelleuse, avec une amertume qui apparaît franchement à l'évolution et persiste en finale. Quant à l’Avèze 18% vol., elle se remarque par ses notes de gentiane plus prononcées. L'apéritif Avèze s'apprécie pur avec des glaçons, ou avec de l’eau gazeuse, du tonic ou encore du jus de fruits. Essayez par exemple l’Avèze Cassis : 5 cl d’Avèze, 2 cl de crème de cassis et des glaçons. En savoir plus à l’Espace Avèze Pour tout connaître sur l’histoire et l'élaboration des apéritifs Avèze, rendez-vous à l’Espace Avèze toute l’année sur réservation. Cet espace gratuit présente les 500 espèces de gentiane et l’histoire du volcan cantalien. Une dégustation gratuite d’Avèze est proposée aux visiteurs majeurs. ...
Pour un domaine viticole, la Bergerie d’Aquino est un nom pour le moins insolite, n’est-ce-pas ? Ce nom tire en fait ses origines d’une légende née dans la région comme quoi le fameux Saint-Thomas d’Aquin aurait fait de cette bergerie à l’époque, une étape régulière durant ses nombreux voyages entre la France et l’Italie. Un terroir qui se prête au bon développement des vignes Composé d’un terroir à base d’argile, le vignoble du domaine est, selon les explications d’Eric Bompard, propice à la viticulture : « Nous avons un sol argilo-calcaire très caillouteux qui favorise le drainage ». Les parcelles de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon et Rolle y sont exposées plein sud et bénéficient d’un ensoleillement exceptionnel toute l’année. En 2015, une nouvelle parcelle de Cinsault a été cultivée pour élargir les possibilités d’assemblage, notamment pour le rosé. Les premières vendanges de cette parcelle auront lieu dans deux ans. En matière de viticulture, profiter d’un bon terroir n’est pas suffisant pour avoir des récoltes de qualité. La façon de le cultiver est également une étape primordiale. « Nous n’utilisons aucun pesticide, aucun engrais et évitons de traiter les vignes. En revanche, en cas de maladie prévisible, nous prenons la liberté d’éviter par traitement le risque d’une dégradation de la récolte » note Eric Bompard. Les rendements y sont rigoureusement maîtrisés et donnent une production de l’ordre de trente à trente-cinq hectolitres à l’hectare, garantissant une maturité et une concentration optimale des baies de raisins. Et pour finir, les vendanges se font exclusivement à la main dans des petites caissettes de 35 kilos. Gastronomique ou plaisir immédiat, il y a le choix Lorsqu’il a acquis ce domaine en 2014, Eric Bompard nourrissait fortement l’ambition de produire des vins de qualité. Nouveau venu dans la filière mais non moins passionné, il a fait appel à un œnologue spécialiste de ce terroir pour mener à bien la vinification. Ce dernier jongle entre les techniques modernes de contrôle des températures avec les méthodes traditionnelles de macérations et de fermentations pour élaborer ses vins. Il en résulte deux gammes de vins aussi différentes qu’exceptionnelles que sont les cuvées « Bergerie », vins de gastronomie déclinés en rouge et blanc d’une part et d’autre part la gamme « Etoiles d’Aquino », « une gamme destinée à une consommation plus immédiate, aux arômes puissants, fruités, qui correspondent au terroir de la Provence » explique Eric. Cette dernière gamme, en appellation protégée Coteaux Varois en Provence est composée de trois vins déclinés sur les trois couleurs. ...
Ouverte toute l’année, la Brasserie du Port est située aux portes de Metz et de Nancy. L’établissement offre un cadre agréable et reposant sur le lac de Madine en Meuse, auquel vient s’ajouter une ambiance authentique et conviviale. Des plats artisanaux faits maison La Brasserie du Port est un établissement sympathique particulièrement attaché à la cuisine du terroir. Foie gras maison, terrine maison et salades à foison sont à l’honneur au sein de cet établissement de la Meuse au cadre convivial, qui, tout au long de l’année, met les petits plats dans les grands pour satisfaire la clientèle. L’enseigne n’écarte pas pour autant de ses suggestions culinaires les grands classiques tels que les poissons, viandes, tartare, volaille, qui sont proposés à la carte avec une formule du jour qui varie selon les saisons et un menu au choix composé par le client lui-même. Un cadre convivial La Brasserie du Port baigne dans une ambiance agréable, où familles et amis aiment se retrouver autour d’une table à la cuisine gourmande avec des mets principalement faits maison. C’est un vaste espace organisé autour d’une immense salle au décor contemporain, équipée de mobilier récent. La maison offre une vue magnifique sur le port et le lac en lui-même, le tout dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...
Le Domaine du Somail se trouve à l’est du Minervois, à proximité de Narbonne. Une cité qui a une belle histoire à raconter car elle était la première agglomération romaine au-delà des Alpes en Gaule. À l’époque, Narbonne était déjà une région viticole. « Dans le vignoble et aux alentours, des vestiges de villas romaines ont été retrouvés et il semble que la culture de la vigne était présente depuis 2000 ans », racontent avec passion Julie et François Fabre qui possèdent le domaine. Ce duo d'artisans-vignerons sait qu’il profite d’un terroir très privilégié qui, en plus de recéler un riche passé, offre toutes les conditions nécessaires pour concevoir des vins d’excellence en AOC Minervois. La terre de prédilection du mourvèdre Le vignoble du Minervois est l’un des plus vastes du Languedoc Roussillon. Il produit majoritairement des vins rouges qui se veulent à la fois tendres et veloutés, aux arômes de fruits mûrs et de tanins soyeux. Le mourvèdre est le cépage phare de l’appellation et plaît pour la richesse de ses arômes et sa structure tannique de haute qualité. Au Domaine du Somail, il s’exprime dans toute sa splendeur au même titre que les neuf autres cépages composant le vignoble. Établies sur 16 hectares, les vignes s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire au sein d’un climat aux influences méditerranéennes. « Notre situation géographique nous permet d’avoir des vins en rondeur, ni trop puissants ni trop épicés, mais agréablement équilibrés », nous fait part Julie. Cette qualité ne résulte pas du hasard. Bien au contraire, la finesse, l’élégance et l’authenticité des cuvées sont obtenues grâce à un travail de très longue haleine respectant les préceptes de l’agriculture biologique et biodynamique. Des pratiques agricoles salutaires pour l’homme et l’environnement Sur les 20 hectares composant le domaine, 4 sont consacrés à la biodiversité. « Comme nous sommes en biodynamie, nous avons voulu avoir de la nature sauvage autour de nos vignes. Nos pourtours ont été aménagés pour créer une symbiose entre nos parcelles de vignes et l’extérieur. » Le travail des parcelles s’effectue de façon individualisée en priorisant les pratiques manuelles de la taille à la vendange. « Notre but est d’utiliser l’intelligence de la nature et de la reproduire dans nos cultures », fait savoir notre interlocuteur. Au-delà de la viticulture, cet état d’esprit qui se veut vertueux pour l’homme et l’environnement se reflète également dans les méthodes de vinification. Les vins sont sans sulfite et ne subissent aucun ajout tandis que les décantations sont naturelles. Des cuvées enchanteresses qui fleurent bon leur terroir L’assemblage des vins est aussi atypique car au Domaine du Somail, chaque cuvée révèle un cépage dominant. La cuvée « Vin de Plume » par exemple est composée à 80 % de mourvèdre et 20 % de syrah. Issue d’une culture biodynamique et d’une vinification classique en cuves en ciment brut, elle est gorgée de fruits, d’épices et de notes de garrigue et possède une capacité de garde de 5 à 10 ans. Preuve de sa qualité, ce cru a bénéficié de plusieurs distinctions : 90/100 par Robert Parker, 17/20 par Terre des vins 2020, 91 points par Wine Spectator 2020 sans compter la citation dans la Revue des vins de France 2020. La cuvée « François » va davantage exprimer toute la beauté de la syrah associée au carignan et au mourvèdre. C’est un vin fruité, intense, persistant avec une belle rondeur. « C’est une de nos plus belles réussites car il a une excellente tenue et pourtant il est dépourvu de sulfite », déclare celui qui a emprunté son nom à ce précieux nectar. Avec la cuvée « L’Authentique », le mourvèdre prime à nouveau et se combine tout en délicatesse avec la syrah. À la fois complexe et élég...
Depuis 1870, la même passion pour le goût du vrai anime cette enseigne jalouse des traditions. Implantée dans le même village du Pilat, en Rhône-Alpes, elle a construit sa renommée autour de la fabrication de saucissons secs. Le secret de sa longévité ? La fidélité à une recette authentique, rendue par une qualité contrôlée du porc, mais surtout un affinage à l’air pur du terroir. Un savoir-faire traditionnel optimisé par des outils modernes Maison Duculty, la marque des Salaisons du Mont Pilat, appartient à la famille éponyme depuis cinq générations. Cette entreprise de taille humaine composée d'une quinzaine d'employés est un vivier de talents qui ont su se transmettre le savoir-faire inauguré par leurs aïeux en respectant l’essence des traditions, tout en intégrant les normes modernes. L’affinage des produits est maintenu à l’ancienne, s’opérant dans des séchoirs sur des barres en bois. Résultat : l’inégalable goût des saucissons de la marque, provenant de la fleur naturelle qui se dépose sur le boyau. L’air naturel et l’ensoleillement du site où cet art se perpétue participent à affirmer cette saveur dans des produits également reconnaissables à un contour tirant sur le verdâtre. Outre les six saucissons secs qui signent le label, la marque est désormais associée à des gammes de pièces de porc séchées, de saucisses et de jésus, entre autres. Des références accessibles dans les rayons du magasin physique, des deux boutiques en ligne portant les couleurs de la maison ainsi qu'auprès de son réseau de revendeurs professionnels des métiers de bouche (cavistes, épiceries fines, bars à vins, restaurants, etc.). ...
Flash Matin : Bonjour Loïc ! Loïc Manchec : Bonjour. Vous êtes Loïc, l’heureux propriétaire du Mas Costeplane, un domaine viticole à Cannes-et-Clairan, dans le Gard. Vous pratiquez l’agriculture biodynamique. On dit que vous êtes un jeune vigneron, c’est vrai cela ? Loïc Manchec : Je suis un jeune vigneron. Jeune dans l’expérience mais, un peu moins dans l’âge. C’est une reconversion pour moi le métier de vigneron. J’ai repris le domaine Costeplane il y a maintenant 5 ans. C’est un choix qui a été fait, une reconversion. Cela faisait 15 ans que j’avais envie de faire ce métier et à un moment, j’ai fait le saut et je suis venu m’installer dans le Mas Costeplane. Votre domaine a une histoire longue de plus de 600 ans. Pouvez-vous nous en parler ? LM : Comme je vous l’ai dit, j’ai repris le Mas Costeplane il y a 5 ans. Ce sont Monsieur et Madame Coste qui l’ont hérité de leur famille. Le domaine est dans leur famille depuis au moins 1405 -1450, c’était tracé. Après une trentaine d’années d’exploitation du domaine et d’avoir installé la cave particulière, ils souhaitaient prendre leur retraite. On s’est rencontré et on s’est bien entendu. On a passé pas mal de temps ensemble avant que je reprenne leur domaine il y a maintenant 5 ans. L’une des grandes particularités est que le domaine est fait en Bio depuis 1989. C’était vraiment parmi les précurseurs du bio. On est sur un petit plateau au-dessus de Cannes-et-Clairon, un petit village dans le Gard. Il n’y a pas de voisins, on est entouré par la Garrigue, le premier voisin est à 2 km. On n’a pas eu de pesticide depuis 1980, cela fait quasiment 40 ans. On a une biodiversité de terre qui est extraordinaire, mais on y reviendra je pense plus tard. Oui, donc vous disposez d’une terre qui se prête vraiment bien à l’agriculture biodynamique. On se demande d’où vient la biodynamie et ce que c’est exactement ? LM : Le concept est développé par Rudolf Steiner, un philosophe autrichien, au début du XXe siècle. Il a une approche un peu plus ésotérique, en relation avec le cosmos. C’est une relation personnelle après, on applique des principes. Je ne comprends pas forcément tout ce que Rudolf Steiner a pu expliquer, tout ce qu’il a pu décrire. Ce qui est sûr aujourd’hui, c’est qu’on commence à trouver les explications à ce qu’il disait et c’est un petit peu un visionnaire. On va retrouver quelque chose qui peut paraître parfois ésotérique et on en prend ce qu’on veut. Pour moi, c’est une approche très personnelle. La biodynamie est une approche en symbiose avec la nature. Au lieu d’une approche, ou l’on détruit ce qui dérange, ou l’on exploite au maximum et qu’on pilote les processus par l’utilisation d’artifice chimique, nous, notre approche viticole et vinicole en biodynamie est de travailler dans le respect du vivant, dans la confiance qu’on a dans la nature et dans l’accompagnement de la plante. J’ai une formation d’ingénieur à la base, je suis quelqu’un d’extrêmement rationnel et j’ai compris une chose en arrivant à Costeplane. En fait, il est illusoire de penser qu’on peut tout maîtriser. Ma relation va beaucoup se fonder sur une espèce d’intuition. Quand je marche dans mes vignes, si je vous disais que je parle à mes vignes et que je les écoute, cela va vous faire sourire. Pourtant, c’est vraiment quelque chose que je ressens. À partir de là, je vais prendre une décision et non pas forcément sur des informations techniques. Évidemment, je reçois les bulletins de santé des végétaux comme tous vignerons et derrière, cela ne veut pas dire que je vais passer les préparations. Je vais prendre ma décision en fonction de ce que je perçois de la vie, et ce n’est pas quelque chose de rationnel. Je ressens des vibrations en moi qui vont me dire, j’y vais ou je n’y vais pas. Jusqu’à présent cela marche. Le meilleur exemple que je vais prendre c’était en 2019, ma première année, je me lève un matin à 6h du matin pour aller poudrer les vignes, c’est-à-dire passer du soufre pour empêcher l’oïdium de se d&ea...
S’il fallait remonter aux origines de la famille, cela nous ramènerait jusqu’en 1605, à l’époque d’un certain Jaume Fabre. Tour à tour, ses descendants ont perpétué son œuvre jusqu’à faire briller le patronyme familial dans le paysage viticole languedocien et par-dessus les frontières. L’immense patrimoine est aujourd’hui composé de cinq domaines dont Château Fabre Gasparets de Boutenac, berceau historique de la maison. Aux origines d’un Cru Boutenac Situé dans le Massif du Pinada, le secteur du Boutenac s’inscrit comme l’un des plus beaux terroirs des Corbières. Suite à une politique de hiérarchisation, cette zone géographique a obtenu officiellement l’autorisation d’opérer en tant qu’appellation à part entière. Une victoire pour Louis Fabre et sa sœur Marie qui se sont consacrés pendant plusieurs années aux côtés de nombreux autres vignerons à faire reconnaître le Cru Boutenac. Pour les Fabre, cette terre s’étendant du Massif des Corbières jusqu’au Massif des Pyrénées est digne d’un tableau de maître. Les vignes entourées de pinèdes et de garrigues avec des collines comme toile de fond proposent un paysage envoûtant, à l’image des vins qui y sont produits. De grands vins concentrés, symboles d’excellence Sur ces sols composés de grès de Boutenac et de galets roulés, le carignan est travaillé selon des pratiques culturales qui promeuvent l’équilibre entre les vignes et l’environnement. Transporté par les fameux « wagonnets », il arrive au chai sans éraflure et peut se dévoiler dans sa plus belle expression. Le Château Fabre Gasparets propose deux cuvées : une éponyme et l’autre intitulée La Serre,une cuvée parcellaire limitée à 3000 bouteilles par an. Ambassadeurs du savoir-faire séculaire, ces deux vins sont produits d’une façon relativement spécifique car le carignan qui est à la base un cépage tannique et puissant n’est pas élevé dans des barriques, mais plutôt dans des jarres de 150 litres en argile et en forme d’œuf. Après un assemblage avec la syrah et le mourvèdre et un élevage de 12 à 15 mois, les Crus obtenus s’illustrent pour leur raffinement et la subtilité de leurs arômes. ...
La Martinique, une terre de Rhum et de saveurs L’histoire de l’île est intimement liée à celle de la boisson alcoolisée, dont la marque de rhums Clément est depuis plus d’un siècle un des principaux ambassadeurs de prestige. Contrairement aux rhums industriels, qui sont produits à partir de résidus de l’industrie sucrière, les rhums agricoles Cléments sont eux issus d’un processus de fermentation et de distillation de pur jus de cannes. L’attention particulière apportée à ces processus lents et méticuleux donnent à tous les produits de la gamme un galbe en bouche très particulier. On retrouve dans chaque gorgée le profil sec et parfumé des cannes qui entourent le Domaine. Se suivent ensuite les bouquets fleuris de fruits tropicaux grillés ainsi que cette saveur épicée caractéristique du terroir. Cette magie se découvre particulièrement dans les produits comme le Single Cask, un rhum non filtré vieilli 8 ans, qui, avec une attaque franche et complexe au palais s’ouvre sur des arômes boisés de fruits secs et d’amandes. Plus classique mais incontournable dans tous les bars du monde, le Rhum Blanc Agricole Clément est le compagnon indispensable dans la création du célèbre Ti-Punch et de nombreux autres cocktails. Ses puissants arômes, aux notes fraîches et florales, lui ont permis de décrocher la médaille d’or au concours général agricole du Salon de l’agriculture en 2009. Quand on cherche un rhum plus rond, allongé, on se retrouve rapidement à regarder du côté du Clément Vieux Agricole. Bénéficiant du climat exempt de période froide de la Martinique, il est le résultat d’un vieillissement de seulement 3 ans dans deux types de fûts différents qui lui permettent d’hériter des tanins des bois lui offrant cette couleur ambrée naturelle. Perpétuer la tradition avec modernité Depuis ses débuts comme une aventure familiale jusqu’à l’entreprise qui est aujourd’hui présente dans plus de 60 pays différents, l’innovation a toujours été un marqueur important des rhums Clément. La marque historique de la Martinique se renouvelle en proposant une gamme de produits plus larges et aux charmes nouveaux. En plus des rhums souvent primés lors des concours internationaux les plus importants, des liqueurs traditionnelles particulièrement appréciées pendant les fêtes de fin d’année viennent rejoindre une palette de saveurs déjà large. Comme la déjà fameuse liqueur d’orange Créole Schrubb, médaille d’Or du Salon de l’agriculture, qui figure en bonne place dans de nombreux cocktails sur les cartes des bars les plus courus de la planète. Ajoutez à quelques centilitres de liqueur un peu de rhum, arrosez de jus de citron frais et vous retrouverez avec un « Clément Side Car », un des mélanges les plus demandé actuellement. ...
À travers une cuisine à base de produits frais à l’ardoise et les remarquables talents du chef Sonia Martinez, l’Athanor est un lieu de restauration qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Dans une belle découverte tournant autour d’une démarche de circuit court, les plats faits maison et de marché sont mis en avant et constituent les particularités de la maison. L’Athanor offre un cadre convivial à l’ambiance cosy qui est une véritable invitation aux plaisirs gustatifs. Une cuisine simple et gourmande aux saveurs de la Méditerranée À travers des plats traditionnels simples à base de produits du terroir et aux notes fraîches, Sonia Martinez se démarque par sa cuisine gourmande à l’authentique saveur de la Méditerranée, une cuisine chaleureuse aux couleurs de soleil qui fait le bonheur de tous ceux qui ont eu le privilège d’y goûter. Dynamique et talentueuse, Sonia Martinez use de petites touches personnelles dont elle seule a le secret, pour émerveiller nos papilles. La carte qu’elle partage avec un plaisir chaque fois renouvelé, privilégie aussi bien le poisson que la viande. Saint-Jacques poêlées au Cognac, filet de merlu, gigot d’agneau et andouillette grillée prennent une saveur particulière dans sa cuisine, sans parler de sa tartiflette et de son pot-au-feu, qui sont également de belles découvertes préparées avec le cœur. Un restaurant à l’ambiance familiale et au cadre entièrement revisité Pour la petite anecdote, l’Athanor est baptisé du nom du célèbre four bien connu des alchimistes ayant pour vocation de transformer le plomb en or. L’établissement rappelle notamment le décor feutré d’une maison familiale avec du mobilier en bois et des murs aux coloris jaune tendre. Dans une ambiance chaleureuse et bien affirmée au fort sens esthétique, le restaurant propose des plats au dressage raffiné et aux belles présentations, inscrits à la bonne franquette sur un grand tableau. Des produits faits maison Passée maître dans l’art de travailler la majorité des produits, Sonia Martinez accorde une attention particulière dans le choix de ses producteurs et fournisseurs locaux. « Certains sont des connaissances de longue date et d’autres, repérés sur le marché, mais je n’exclus pas le fait de travailler également des produits issus de l’extérieur selon le cas » explique-t-elle. À partir de produits coup de cœur et de saison, elle compose une cuisine faite maison à base d’ingrédients résolument frais. Une carte réduite avec des plats-signatures ou en suggestion L’Athanor est un restaurant qui se démarque par une carte particulièrement réduite sans menus fixes où « chacun prend ce qui l’envie » nous souffle la chef. L’établissement fait également partie des rares restaurants sans formules qui acceptent le fait que le client ne commande qu’une entrée ou qu’un dessert. Même si l’établissement n’a pas de carte fixe, certains plats reviennent assez souvent de par leur succès auprès des clients, notamment le foie gras au torchon maison qui en aucun cas ne peut être rayé de son tableau, ni d’ailleurs le pistou de saison ou encore la marinière de coquillages. ...
Île privée s’étalant sur 120 ha, Cavallo fait partie de ces endroits privilégiés mais surtout préservés de la côte Corse. Son histoire mais aussi sa situation au cœur d’une réserve protégée en font l’endroit idéal pour se ressourcer. Mais Cavallo, c’est bien plus que cela... Une salle de conférence moderne et polyvalente Depuis le débarcadère de Pianterella, l’île de Cavallo se trouve à 2km de la côte Corse. Bercée par les eaux cristallines de la Méditerranée, siutée entre le détroit séparant la Corse et la Sardaigne, l’île constitue le point le plus méridional de la France Métropolitaine. Unique hôtel de l’île, l’Hôtel & Spa des Pêcheurs est un lieu de choix pour les événements d’entreprise en Corse. Idéalement situé, il offre le temps d’une escapade un cadre idyllique pour des réunions d’affaires et professionnelles. L’hôtel dispose ainsi d’une salle de conférence moderne et polyvalente qui peut accueillir jusqu’à 80 personnes et est équipée d’un système de sonorisation et de microphones pour les orateurs. Des équipements audiovisuels de pointe, tels que des écrans de projection, des projecteurs et des systèmes de présentation sans fil, permettent aux participants de profiter d’une expérience immersive et interactive. Moderne et spacieusement agencée, cette salle dispose aussi de toutes les connectiques nécessaires pour assurer le bon déroulement des réunions. Pour les déjeuners, les pauses et les dîners, le restaurant de l’hôtel saura ravir les convives. Une table renommée, où se côtoient cuisine italienne et française. Mer oblige, les produits locaux ont la part belle. Pour des réunions plus personnalisées de moins de 20 personnes, pourquoi ne pas privatiser le bar de l’hôtel. Un décor de rêve pour travailler L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est bien plus qu'un simple lieu d'hébergement. Il se distingue par sa personnalité charmante et sophistiquée, offrant 50 chambres et suites conçues avec goût. Chacune de ces oasis spacieuses est dotée d'un balcon ou d'une terrasse privée offrant une vue imprenable sur les eaux scintillantes de la mer. Afin d’accompagner la planification de vos évènements professionnels, l’hôtel met à disposition son équipe de planification. De véritables experts qui s'efforcent de faire de chaque séjour un succès en aidant les entreprises à concevoir et à exécuter un emploi du temps parfaitement orchestré. De la coordination des services de transport aux réservations de dernière minute, en passant par l’organisation des journées, rien n'est laissé au hasard. L'équipe se consacre à chaque détail pour garantir que les participants vivent une expérience inoubliable. Pour renforcer la cohésion et l'esprit d'équipe des entreprises et des groupes, l'hôtel propose une multitude d'activités de team building stimulantes. Au choix, les sorties en mer sont une expérience incontournable pour ceux qui souhaitent découvrir la beauté enchanteresse de la mer Méditerranée. ...