Au moment d’évoquer La Pergola, on est rapidement tenté de multiplier les superlatifs. Décoration chaleureuse, cuisine savoureuse et généreuse, accueil agréable et service efficace… En réalité, il n’existe pas d’autres moyens de la décrire.
Dès que l’on y met un pied, on ressent rapidement toute la convivialité et l’atmosphère sereine qui garantissent de bons moments. La cuisine gouteuse et gourmande du chef Éric Terret vient encore renforcer le sentiment épicurien qui nous envahit.
Ambiance à l’esprit convivial
La Pergola attire la foule déjà par sa grande terrasse accueillant jusqu’à 150 personnes. Durant l’arrivée des beaux jours, les clients s’y donnent rendez-vous pour prendre le temps de respirer et de profiter du grand air. Le grand tilleul bicentenaire trône majestueusement au sein de cet espace extérieur décoré en toute simplicité, où des tonneaux qui font office de tables procurent une ambiance originale.
L’intérieur est tout aussi accueillant. Rien de superflu, tout est fait pour assurer le confort et le bien-être des clients. On est dans les couleurs rouges, qui donnent beaucoup de dynamique à la salle, avec une prédominance de bois et de briques pour la touche traditionnelle.
Une cuisine copieuse et gouteuse
C’est dans ce cadre chaleureux d’inspiration brasserie que le chef Éric Terret vous invite à découvrir sa cuisine traditionnelle aux couleurs du Sud-Ouest. Parmi les spécialités les plus recherchées figurent les grillades au feu de bois. Avis aux gourmands et aux gourmets : les assiettes sont particulièrement copieuses, de quoi assouvir les plus grandes faims.
Pour un déjeuner à deux, vous vous laisserez tenter par la fameuse côte de bœuf d’environ 1,2 kg. Le restaurant est aussi le seul à proposer dans la région une côte de veau de 500 g par assiette, qui sera servie avec une purée « maison ». Un pur bonheur culinaire. Pour finir en beauté, vous prendrez bien un moelleux au chocolat Valrhona « maison » avec sa boule de glace vanille ou un financier aux agrumes, crème de citron et bâton de meringue.
La carte, quant à elle, est renouvelée deux fois par an et évolue selon la saisonnalité et la disponibilité des produits. Il y a aussi les ardoises, qui sont élaborées en fonction des produits disponibles sur le marché.
Vous l’aurez compris : à La Pergola, la politique culinaire repose sur une constante recherche d’ingrédients de qualité dans une démarche globale pour l’agriculture locale et le développement durable.
Une belle carte des vins
La carte des vins se dote d’une belle composition. Dès la première lecture, l’intitulé « sélection Compagnie des pergos » vous intriguera. On y propose une liste de sélections spéciales, dont la cuvée des Pergos « Marc Penavayre » bio et produite à Fronton. Les vins régionaux sont avantagés, mais vous retrouverez aussi de nombreuses autres références comme les côtes-du-rhône (Parallèle 45, Les Jalets…).
L’équipe vous guide dans le choix des meilleurs accords afin de sublimer ce moment gourmand tarifé à prix doux.
Les menus coutent aux environs de 28 €. Les formules du midi incluant une entrée, un plat et un dessert du jour sont aux alentours de 15 € et celles qui sont constituées d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert sont à 13 €.
...
Le restaurant de l’hôtel quatre étoiles Palladia est installé dans une immense salle en ovale très éclairée et ornementée de baies vitrées, faisant de cet endroit un lieu contemporain et chic. Les couleurs chaudes qui y règnent, avec des teintes or et rouge, ainsi que du noir et du blanc, offrent un rendu visuel invitant à la détente. Ambiance chaleureuse et cosy, grand espace permettant à chaque table de jouir d’une excellente intimité… Tout a été pensé dans les moindres détails pour optimiser le confort des clients. Durant la belle saison, la terrasse couverte entourée de jasmins, de citronniers et d’oliviers invite, quant à elle, à passer de bons moments.
Produits frais, cuisine de qualité
Le restaurant Palladia a l’honneur de vous faire découvrir une cuisine traditionnelle et créative. N’utilisant que les produits de saison et du terroir, le chef garantit fraîcheur et saveur à chacun de ses plats. Les formules varient ainsi au gré des saisons, mais le saumon fumé fait maison reste la plus grande spécialité du restaurant. Ses menus semi-gastronomiques séduisent tous les palais. En entrée, la terrine de saumon aux coquilles de saint-jacques et à la langoustine a du succès. En plat principal, la palette de cochon rôtie et fumée avec l’os, accompagnée d’une polenta au citron et d’un confit d’oignons, en séduit plus d’un. La lotte et sa marinière de coquillages sont aussi très prisées en plat de résistance. Le crémeux des Aztèques en dessert est, quant à lui, un vrai délice recommandé spécialement par la maison. Il s’agit d’un mélange sucré acidulé sensationnel de crème au chocolat et de crème d’avocat citronnée, accompagné d’une flambée à la pina colada. Une chose est sûre, toutes les assiettes sont joliment présentées et divinement savoureuses.
Qui dit bon repas, dit bon vin. Une carte agrémentée de quatre-vingts références de vins et de grands crus d’Occitanie accompagne les menus. Laissez-vous conseiller par les maîtres d’hôtel pour découvrir les accords mets-vins les plus harmonieux.
...
Avec son cadre chaleureux dès la terrasse, son intérieur inspirant le bistro traditionnel et le chic, sa clientèle toujours de bonne humeur de jour comme de nuit, son ambiance regorgeant de vitalité, sans oublier la bonne bouffe bien délicieuse, La Bascule du Chevillard est le pont direct entre festivité et grosses dégustations. En effet, ce troisième établissement familial de l’empire Carmen est le reflet de la qualité, de la diversité et, plus important, du savoir-faire.
La qualité au rendez-vous
Avec de la viande de choix tout droit venue de chez des grands noms comme Sud Viandes Distribution, Maison Garcia et Maison Samaran, des fruits frais de chez Le Jardin du Rempart, des cakes de la boulangerie pâtisserie Serres, du bon café de chez J. Bacquié, sans oublier les savoureux produits de chez Betty Fromager, le restaurant La Bascule du Chevillard n’opte que pour une cuisine de saison et de type terroir.
Ici, la cuisine est significativement axée sur les préparations avec viandes qui ont la manie de toujours mettre l’eau à la bouche. Le restaurant est particulièrement spécialisé dans la présentation et la mise en valeur des plats. Mise en valeur qui suscite vraiment l’envie de se régaler des délices concoctés en cuisine.
Menu diversifié et plats savoureux
Des entrées composées de savoureuses salades et de charcuteries aux desserts penchant entre sucré et salé, tout en passant par des plats de résistance accompagnés de gros morceaux de viande, au restaurant La Bascule du Chevillard, beauté des plats et odeurs de cuisine sont un appel certain à l’appétit.
Le menu des entrées se compose notamment de plats comme les salades de bœuf au gros sel, de maraicher, de chèvre chaud au miel, mais aussi de la salade du Gers.
Une gamme variée de plats de résistance est également à l’honneur avec du poisson et divers types de viandes : bœuf, volaille, veau et cochon. Côté bœuf Simmental sont proposés le pavé de bœuf accompagné de ses sauces, la côte de bœuf à la moelle, le filet de bœuf accompagné de sauce bordelaise, le steak tartare et la pièce de bœuf aux pois. En matière de volailles, le magret de canard à la ficelle et aux pommes forestières ou encore la cuisse de canard confite figurent parmi les favoris. Par ailleurs, le pied de cochon Hic-Hic et le carpaccio de cervelle de veau mariné ne manquent pas d’attirer l’attention.
Tout particulièrement, on note les fameuses frites qui sont vraiment appréciées par l’ensemble de la clientèle de la Bascule du Chevillard.
Enfin, en dessert, rien de mieux que de clore avec un sorbet ou une glace, de la crème caramel, du fromage ou encore un gâteau de riz.
Le restaurant de toutes les situations
Que ce soit pour un rendez-vous entre amis, en famille, entre collègues ou encore en couple, La Bascule du Chevillard demeure le lieu indiqué pour passer un merveilleux moment en bonne compagnie. Le service est de qualité et la pleine satisfaction des clients passe avant tout autre chose.
De plus, les prix sont abordables, avec un menu entrée-plat-dessert à 24 € et le menu de midi entrée-plat ou plat-dessert à seulement 15 €. Concernant les vins, la carte, bien que restreinte, saura toujours réserver de très agréables surprises, grâce aux conseils du sommelier.
Ouvert du lundi au samedi, de 12 h à 14 h, et du mardi au samedi, de 20 h à 23 h, fermé le dimanche et le lundi soir, le restaurant fait vite le plein. Il est dès lors conseillé de réserver, et uniquement par téléphone. La Bascule du Chevillard : la table des amateurs de viandes et de la bonne chair à découvrir, et où l’on y retourne, sans hésiter.
...
Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité.
Cadre sympathie et accueil agréable
Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée.
Excellente adresse, excellent repas
Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert.
En musique
La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme.
...
Que ce soit en salle avec vue sur la cuisine, en terrasse ouverte, ou juste en terrasse couverte comme c’est le cas à Colomiers, BATbAt est d’abord un lieu de découverte de nouvelles saveurs. Son art particulier de cuisson des viandes infusées aux herbes aromatiques ou encore aux racines fraiches font de celles-ci un délice d’exception pour les palais. Au menu, des plats typiques de la cuisine de rue vietnamienne, et d’autres qui sont revisités grâce à la touche occidentale dont seul Olivier Barbot, fondateur de BATbAt, a le secret.
Des plats traditionnels avec la touche BATbat
Bo Bun au saumon ou à la viande de bœuf, pho dont la viande infuse dans le bouillon à la cannelle, au gingembre et à la cardamome noire, rouleaux de printemps à la viande ou au poisson, gâteau vietnamien au manioc, dessert à la banane fraiche… Autant de mets traditionnels mais préparés avec la touche BATbat qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. De quoi satisfaire pleinement les papilles des adeptes de la cuisine d’Asie du Sud-Est.
Chez BATbAt, le plat phare est le bo bun. Il est proposé sous sa forme traditionnelle à base de bœuf ; mais il est également décliné avec du saumon, des crevettes ultra fraiches ou bien encore du porc légèrement épicé, accompagné de vermicelles de riz, d’herbes aromatiques et d’une sauce sans huile.
Bien entendu, le pho, plat national du Vietnam, y est servi. Mélange de nouilles de riz accompagnées de viande de bœuf coupée en fines tranches, façon pastrami, et servies dans un bouillon bien chaud avec diverses herbes aromatiques : les aficionados y reconnaitront son excellence.
Les rouleaux de printemps, autre spécialité typiquement vietnamienne, sont ici étonnamment préparés avec de la salade de papaye verte, garnis de poisson ou de viande, sans oublier les herbes aromatiques. Comme dessert phare, l’on retrouve le fameux che, une composition en couches translucides mêlant tapioca blanc, banane fraiche, crème de coco et cacahuètes pilées.
Ambiance world food
Pour accompagner tous ces plats, BATbat propose des boissons faites maison, à l’instar de la citronnade fraiche, des thés glacés déclinés avec des sirops maison de menthe, de framboise, sans oublier les thés chauds déclinés en différents parfums. La bière vietnamienne, quant à elle, est forcément de la partie : 33’ Export, Saigon, Hanoi et Lao.
Enfin, le maitre des lieux Olivier Barbot a à cœur de présenter une carte des vins, constituée de vins de pays, entre vins rouges et rosés, souvent bio, comme des IGP Côtes-Catalanes, les vins des Vignerons d’Estézargues ou encore ceux du Domaine des Schistes.
Par ailleurs, les restaurants BATbat proposent un service à emporter, une livraison à domicile et un service traiteur.
Plats traditionnels et originaux à la carte ; vins bio, bières importées et thés qui se marient parfaitement ; prix très abordables, avec un ticket moyen de 13€ le midi 21 € pour un repas complet le soir… On l’aura compris, la cuisine de rue du Vietnam est la marque de fabrique de BATbAt, mais pas seulement : la finesse des préparations culinaires et la qualité de l’accueil attirent un nombre grandissant de fidèles de ces trois restaurants, devenus aujourd’hui une référence.
...
Situé à proximité immédiate de l’aéroport de Toulouse et à 15 min du centre-ville, le prestigieux hôtel Radisson Blu de Blagnac est une belle découverte qui permet d’explorer dans les moindres détails le cadre reposant de deux restaurants aux noms évocateurs : La Vie en rose et L’Écrin. Installé notamment dans le jardin particulièrement verdoyant de l’hôtel, dans un cadre composé en grande partie de vignes, le restaurant La Vie en rose s’enveloppe d’un décor feutré à l’ambiance lounge où se marient à merveille l’authenticité des produits chauds du Sud-Ouest et les saveurs d’ailleurs, dans une inspiration originale.
Une cuisine créative et traditionnelle
Le restaurant La Vie en rose se démarque par sa cuisine traditionnelle et originale aux notes rafraîichissantes qui allie à la fois la pertinence d’une touche créative et l’élégance d’une pointe de raffinement. Une belle signature qui confère à l’enseigne un cachet particulier. À travers un voyage culinaire aux couleurs du monde qui invite à la découverte, le talentueux chef Gérald Potron et son équipe sauront ravir les fins palais ainsi que les inconditionnels de la cuisine simple et créative, sans pour autant sacrifier la tradition.
Laissez-vous guider dans cette belle aventure, où le talent et l’imagination font bon ménage, au grand plaisir des habitués et des visiteurs de passage.
Une touche exotique aux saveurs d’Orient
Gérald Potron s’inspire en grande partie de la cuisine japonaise dans la préparation de ses plats, une tendance qu’il a d’ailleurs su merveilleusement partager avec son équipe qui y trouve de belles associations.
L’établissement propose le midi une formule « Vol de jour », bien connue des habitués, composée de 1 entrée + 1 plat ou de 1 plat + 1 dessert, café inclus, à 21 €, si ce n’est l’option entrée + plat + dessert, café inclus, à 27,50 €. Ce menu est parfait pour les déjeuners d’affaires.
En soirée, la carte propose une myriade de suggestions gourmandes. En entrée, les convives se laisseront tenter par un nougat de foie gras, accompagné d’une purée cardinal, tube de peinture à l’orange amère. En plat de résistance, place au filet de daurade royale, servi avec des écailles de courgettes et un risotto au parmesan. En guise de bouquet final, rien de tel qu’un crémeux au citron « Lemon curd » pour flatter les papilles.
Une carte des vins particulièrement fournie
Au grand bonheur des amateurs de bon vin, le restaurant La Vie en rose peut se targuer de posséder une carte de vins éclectique et particulièrement bien fournie. L’enseigne est ainsi en mesure de proposer des vins du monde et de région qui, selon leurs arômes et leur teneur, vont idéalement accompagner les repas. À la demande des clients, certaines marques pourront également être suggérées pour relever la saveur des plats, dans une belle alliance.
Un service d’exception
Disposant d’une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 200 couverts, le restaurant La Vie en rose est un endroit idéal pour abriter les grands évènements et les retrouvailles en famille ou entre amis. On y revient par plaisir et on se laisse toujours surprendre par son cadre accueillant à l’ambiance conviviale et sa cuisine savoureuse et raffinée. L’établissement donne également aux parents la possibilité de commander pour leurs enfants un menu qui leur est adapté.
...
Chaque jour, en salle ou en terrasse, ce repaire d’amateurs de grillades ou de cassoulet célèbre dans la bonne humeur l’art de la bonne bouffe où la viande est consacrée reine. Au Chevillard, que la fête commence ! Au menu de ce bistro, des spécialités issus de nos terroirs composés de beaux produits uniquement. Une cuisine traditionnelle mijotée avec amour, faite de passion et revisitée grâce au savoir-faire du chef Olivier Ribourt. À la direction de ce restaurant, Laurent Perris, digne successeur de son beau-père Tony Carmen, qui perpétue cet héritage unique pour le plus grand bonheur de ses clients et des nostalgiques des Halles d’autrefois.
D’authentiques produits
Bœuf de Simmental, agneau du Lot, viandes de l’Aveyron, canards de la Maison Samaran, charcuteries, saucisses de Toulouse, jambons, boudins, Pata Negra de Bellota Pura de l’artisan-charcutier Garcia, sélection du fromager-affineur de la célèbre Maison Betty à Toulouse. On l’aura compris, Le Chevillard est à la quête de produits d’exception et des meilleures adresses que compte la ville rose. Cet établissement, devenu la cantine de prédilection des Toulousains, propose midi et soir une sélection des meilleurs produits gourmands de nos terroirs. Labellisé « Maitre restaurateur », distinction indépendante et très officielle permettant aux clients de repérer les établissements d’excellence, Le Chevillard rend hommage aux produits nobles, frais et de saison, au manger local privilégiant les circuits courts et surtout à une cuisine du tout fait maison. Une tradition, un esprit, un savoir-faire perpétués maintenant depuis plus de 20 ans par ce restaurant.
La viande à l’honneur
À la lecture de la carte, les spécialités du chef sont nombreuses. En entrées, la salade de pot-au-feu au gros sel, un des plats signatures de la maison, ouvre l’appétit et semble faire l’unanimité ; ou bien encore les filets de rougets frais à l’huile d’olive ou les sardines marinées aux poivrons rouges feront l’affaire. Parmi les suggestions « canailles du Chevillard » : une poêlée de boudin à l’oignon accompagnée de pommes vapeur ; une cassolette d’andouillette à l’ancienne, dont la cuisson colorée et déglacée au vin blanc avec justesse est servie accompagnée d’une sauce moutarde à l’ancienne, le tout légèrement gratiné.
Pour les plats, c’est la viande qui est à l’honneur. La maison Chevillard propose une variété de viandes de qualité gouteuses, persillées, sélectionnées et travaillées avec soin par le chef. Ici, les cuissons sont au charbon de bois. En bouche, la viande au grain fin et à la chair rose offre toute sa jutosité et livre toutes ses saveurs aromatiques. Grillades d’agneau du Lot, pièces de bœuf de Simmental ou de l’Aveyron, abats avec rognons ou pavé de foie de veau au xérès ou au marsala sont proposés pour les amateurs éclairés de bonnes viandes.
À découvrir également, dans la catégorie des « gourmandises du Chevillard » des spécialités incontournables propres à Toulouse comme le cassoulet maison aux manchons de canard ou, pour 2 personnes, la côte de bœuf sauce marchand de vin et sel de Guérande : un classique mais un pur régal.
Côté desserts, il faut absolument compter sur le fromage du jour sélectionné avec soin par le célébre fromager-affineur Betty. Cet établissement travaille depuis des années en étroite collaboration avec le Chevillard. Également, le vacherin fait maison à base de meringue fourrée de glace masqué de crème chantilly accompagné, suivant l’humeur du chef, de fruits confits et d’un coulis de framboise ou de fraise est un choix judicieux pour finir sur une note sucrée.
Outre la carte, l’établissement propose deux formules. Un menu à 24 € avec entrée, plat et dessert ou une formule du midi à 15 € avec un plat et une entrée ou un dessert. Des formules simples, abordables et de qualité, qui font tout le succès de cette brasserie devenue l’adresse incontournable sur Toulouse pour déjeuner ou diner entre amis en toute convivialit&ea...
Le Chai Saint-Sauveur se veut être un grand restaurant néanmoins accessible à tous les budgets. Le Chef Jérôme Verrière revisite les plats traditionnels tels que le ris de veau. « C’est le plat phare du restaurant » déclare Elodie Trassard, la maitresse de maison. Ici, la fraicheur des ingrédients est privilégiée, avec une préférence particulière pour les produits locaux.
Une cuisine française traditionnelle
Plusieurs menus sont proposés le midi, allant d’un simple plat du jour à une Entrecôte et Frites Maison, en passant par les formules incluant entrée, plat et dessert. Le soir, les menus laissent place à la carte. L’Œuf en meurette et ses petits croûtons se fait remarqué parmi les entrées. Du côté des plats, il serait tout à fait normal d’hésiter entre le Risotto poêlé aux gambas accompagné de sauce crustacé et la Souris d’Agneau à la purée au beurre. Et en dessert, les tartes au citron, caramel au beurre salé et tartelette framboise et sa crème légère raviront les gourmets. Tout est fait-maison, sauf la glace qui accompagne le Coulant chocolat au jus passion.
Les vins du Chai
Que serait un Chai sans vins ? Pour accompagner le repas, le Chai Saint-Sauveur suggère des crus issus du Sud-Ouest, Languedoc, Vallée du Rhône, Bordeaux, Pyrénées orientales et Bourgogne. Avec ses 22 références en rouge, 7 en blanc et 3 en rosé, chacun trouvera sa préférence en accord met-vin. La maison organise aussi quelques fois des dégustations de vins en compagnie des producteurs. Et grâce à sa licence de caveau, elle peut vendre les bouteilles à emporter.
Un cadre agréable dans la salle
Les couleurs chaudes comme le rouge et la prédominance du bois donnent à cet endroit une ambiance chaleureuse. Les étiquettes illustrant différents domaines viticoles qui couvrent les murs plongent la salle dans l’univers du vin.
Eclairée par la grande baie vitrée, la salle révèle un esprit bistro-chic avec la présence de tables hautes confortables disposées de manière à offrir des espaces personnels parfaitement raisonnables. Eloignée du comptoir, la partie du restaurant constituée de tables basses quant à elle est propice au calme, idéale donc pour les dîners romantiques en amoureux.
Un espace extérieur à l’ambiance sereine
Installé sur une place aux allures de village, le restaurant le Chai Saint-Sauveur a le privilège de bénéficier d’une terrasse blottie au cœur d’un environnement verdoyant. Ce haut-lieu de rendez-vous des toulousains est équipé de fauteuils, de canapés et de tables basses. Un cadre sympathique parfait pour l’apéro. Le quartier est calme et la circulation est rarement dérangeante.
Privatisable, la véranda peut recevoir en exclusivité jusqu’à 40 personnes assises pour un instant repas, 55 si les convives restent debout. A noter que le restaurant offre aussi des repas de groupe adaptés aux différents budgets. Des tapas se déclinant en de multiples variétés peuvent être concoctés sur demande.
...
Lancé en 1996, le restaurant tenu par Benoît Cantalloube se situe face à la basilique de Saint-Sernin, un des plus beaux monuments de Toulouse.
Le « 7 » : une métamorphose accomplie
Pour apporter un renouveau à l’établissement, Benoît Cantalloube engage Guillaume Momboisse, 26 ans, un ancien apprenti de la maison qui revient après une dizaine d’années. Ce dernier a suivi un riche parcours au restaurant Ô Saveurs, au restaurant Le Chalet de la forêt à Bruxelles mais aussi à Hong Kong au Twenty North. Son défi est de donner un coup de jeune au restaurant. Animé par son enthousiasme et sa créativité, Guillaume Momboisse y propose une cuisine délicate et raffinée.
Gastronomie rafraichie et authentique
Les plats se concoctent avec des ingrédients frais, achetés quotidiennement sur le carré du Marché de la Gare de Toulouse et vendus par les maraichers de la Haute-Garonne. Ses trouvailles du marché lui permettent de réaliser une cuisine respectueuse du terroir, où les produits méditerranéens forment un heureux mariage.
Guillaume Momboisse travaille surtout les viandes de la région comme l’agneau du Quercy, le veau fermier de l’Aveyron ainsi que la sole du bassin d’Arcachon.
Inspiré et créatif dans l’élaboration des plats
Les convives sont invités à choisir entre trois menus : le Lunch, la Découverte et la Dégustation. À souligner : le menu Lunch, à seulement 24 €, est servi exclusivement le midi, avec une entrée, un plat de poisson ou de viande, et un dessert. Il est renouvelé toutes les semaines.
Une carte des vins qui voyage
Les vins de Saint-Chinian, de Gaillac, de Fronton et de Madiran sont à l’honneur. « Effectivement, puisque nous sommes installés à Toulouse, nous avons une très jolie carte de vins de région. Néanmoins, par curiosité et par gout, nous nous échappons un petit peu de notre région », indique Benoît Cantalloube. Le plaisir du chef est de faire découvrir de nouveaux horizons. « J’aime bien chiner les vieux vins. Parfois, on tombe sur de véritables petites perles », confie-t-il. Lors des foires et expositions, le chef et son équipe testent quelques vins du monde, notamment des crus de la Nouvelle-Zélande, d’Uruguay et de Chili, qui s’affichent dans une rubrique spéciale de la carte.
...
Petite commune tranquille de Haute-Garonne située à 10 minutes de Blagnac et à 20 minutes de Toulouse, Mondonville abrite une table gourmande qui fait la part belle aux produits du terroir. Aux Ecuries de la tour, le sud-ouest est à l’honneur à la carte comme dans la cave à vins. Vous y dégusterez des plats traditionnels gascons revisités selon l’imagination et l’inspiration de l’équipe en cuisine placée sous la houlette de Jérôme De Stéfani. Ce chef passionné saura éblouir vos papilles avec des associations de saveurs subtiles qui rappellent des souvenirs d’antan.
Une cuisine goûteuse axée sur le régional
La cuisine régionale des Ecuries de la Tour saura largement satisfaire les fins palais. Aux fourneaux, le chef Jérôme De Stéfani veut retransmettre dans ses créations culinaires, ses valeurs du sud-ouest et ses origines toulousaines. Il propose ainsi des plats gourmands entièrement qui prônent sa créativité. Etant également Maître Restaurant, le chef réalise du fait-maison avec des produits bruts.
Tous les jours, le restaurant propose des formules « Midi » avec en option : un plat du jour unique à 12 euros, une entrée et un plat ou un plat et un dessert à 16 euros et enfin une entrée, un plat et un dessert à 20 euros. Toute la semaine de mardi à dimanche, en journée comme en soirée, la maison propose également deux menus que vous créerez vous-même à partir des suggestions à la carte. Vous avez le choix entre trois ou quatre déclinaisons, c’est selon les envies.
Commencez cette escapade gourmande avec une Terrine de foie gras aux mendiants, puis enchaînez avec une Assiette de pêcheur ou un Filet d’agneau en croûte de moutarde, jus de romarin. Achevez cet agréable moment culinaire avec une note douceur en optant pour un Moelleux chocolat noir, caramel beurre salé, glace spéculos. Vos papilles ne s’en remettront pas.
Vive le terroir
Pour l’acquisition de ses produits, le restaurant s’oriente vers les agriculteurs et éleveurs locaux. Canard, foie-gras, cochon noir du Bigorre… tous les produits du terroir sont rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs de la région.
Le sud-ouest s’invite aussi dans la cave à vins. Côtes de Gascogne, St Sardos, Pacherenc Sec… il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets. Bien sûr, d’autres régions sont représentées, de quoi vous offrir le maximum de choix.
Une belle décoration atypique
Le fameux esprit typiquement toulousain se ressent jusque dans la salle. La bâtisse qui date du XVIIème siècle offre une belle association entre chênes et briques rouges. Il a fallu huit années aux propriétaires avant de venir à bout des travaux et ouvrir enfin l’établissement qui a été inauguré en 2007.
A l’intérieur, chaque détail décoratif compte : du verre soufflé servant d’appliques pour créer l’éclairage, à la balustrade réalisée par les Compagnons du devoir jusqu’à la collection de téléphones datant de 1890 et disposés un peu partout dans la salle.
En quête d’intimité ? Installez-vous dans les petits box dans lesquels se trouvent seulement deux tables pour deux personnes. La grande salle quant à elle procure une ambiance plus conviviale.
...
Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur.
Reflet de la cuisine du sud-ouest
Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux.
Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux.
Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique
Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement). Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans.
En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine.
...
Dans une grande salle lumineuse se dressent des tables soigneusement alignées et habillées de nappes blanches, prêtes à accueillir les assiettes colorées et savoureuses. Dans ce cadre au charme atypique, l’odeur enivrante du fameux cassoulet de Castelnaudary s’échappe de la cuisine. Un avant-goût prometteur dont les convives peuvent se délecter, bien que la maison propose aussi plusieurs plats typiquement toulousains. Les réjouissances peuvent s’achever sur une bonne tasse de café, un autre produit qui fait la réputation de la maison depuis 1984.
Une cuisine originale aux accents du Sud-Ouest
À découvrir en plein centre de Toulouse, au 14 rue Bayard, le restaurant Le Colombier est une excellente adresse pour les adeptes de la cuisine traditionnelle. Au centre des saveurs, des produits du terroir sont mis en avant. Le foie gras, le jambon d’Espagne ou encore le saumon fumé maison rythment les plats. Un bon compromis entre la cuisine locale et des créations personnelles est proposé par les cuisiniers. Cette harmonie peut se retrouver dans la carte. À midi, l’établissement propose un condensé de gourmandises avec une entrée de foie gras, un cassoulet au confit d’oie et la croustade aux pommes en guise de dessert.
Autant d’émotions en bouche pour confirmer la réputation du Colombier. Le restaurant sélectionne également les meilleurs vins de la région, pour une expérience plus jouissive. Il s’approvisionne directement chez les viticulteurs locaux, dans une volonté de privilégier le circuit court. Les vins des terroirs du Sud-Ouest et près du Languedoc Roussillon enrichissent une carte aux nombreuses références.
La passion et la qualité
La maison est également guidée par une passion qui évolue au fur et à mesure du temps. Ses menus sont empreints d’élégance et de technique. Les déclinaisons de plats proposées par le restaurant laissent transparaître un choix très strict pour les bons produits. Le soin est apporté à la présentation de l’assiette, tout comme au mariage des saveurs.
...
Pénétrez dans le cadre accueillant de l’établissement, où différents espaces n’attendent que vous. Au gré des saisons, préférez l’espace élégant et raffiné du restaurant et de son patio, avec ouverture sur le jardin, ou optez pour l’écrin de verdure de la terrasse, où se mêlent les parfums subtils des figuiers, des mandariniers et des fleurs de jasmin. Banquets, séminaires et autres événements festifs y sont également les bienvenus.
Une cuisine sans frontière
À travers une cuisine contemporaine et ouverte au monde, dont le succès n’est plus à démontrer, le restaurant La Grande Ourse n’a rien à envier aux autres enseignes, avec, comme mots d’ordre, le respect de la gastronomie de terroir et la volonté de préserver les valeurs et l’authenticité des goûts ; le tout présenté dans une formule à deux cartes, carte d’hiver et carte d’été.
Découvrez un large choix de produits du terroir mais aussi des spécialités Terre-Mer comme des Ravioles à la truffe Blanche d’Alba, sauce Napolitaine, parmesan 18 mois d’affinage ou des Moules de Bouchot Saint Michel, à la crème ou au piment d’Espelette et gingembre entre autres. Poisson ou Crustacés du jour, selon arrivage, seront également de la partie pour ravir vos papilles, suivi d'un irrésistible fondant au chocolat ou profiteroles faits maison, ou encore le café gourmand appelé « Surprise du chef », qui n'est jamais tout à fait le même à chaque fois.
Le restaurant La Grande Ourse, c’est aussi une très belle carte de vins, qui met à l’honneur non seulement les vins de France, mais aussi des vins d’origine espagnole. Les vins du Domaine Pellehaut Family réserve ou le Domaine de Laffite Teston Ericka Pacherenc Blanc sec du Vic-Bilh sont proposés au choix, au même titre que les vins de la Vallée du Rhône Crozes Hermitage - Paul Jaboulet ou les Bordeaux du Château Picard - Saint Estèphe.
...
Proposant une cuisine typiquement française inspirée des traditions gastronomiques de la région, cet établissement est le rendez-vous incontournable des fins gourmets. Dans une ambiance sympathique rappelant les anciennes auberges à l’accueil chaleureux, le chef et son équipe concoctent les meilleurs plats à base de produits du terroir.
Une table d’exception dans un cadre authentique
Travaillant directement avec les producteurs locaux, la maison Pergola donne la priorité aux produits frais de la région afin d’élaborer des menus aux plats authentiques. Avec une carte riche et alléchante dès le premier abord, cette table se veut être l'un des pionniers de la cuisine de qualité. Le cadre agréable et cosy des deux salles du restaurant, dotées de charmantes cheminées appelant à la convivialité, confère aux lieux une ambiance authentiquement basque. Une décoration simple mais élégante des tables, la qualité des services, et la possibilité de se restaurer sous l’ombre d’une belle terrasse : autant d’attributs qui en font une table d’exception.
« Une cuisine traditionnelle revisitée »
Ces propos de Jean-Marie Mir, gérant de l’établissement, mettent l’accent sur son attachement aux valeurs culinaires artisanales que le restaurant souhaite véhiculer. Parmi les plats signature que les hôtes affectionnent particulièrement se trouve l’opéra au noir de Bigorre et foie gras, ponctué d’un pain perdu, ananas poêlé à la coriandre ; tout cela accompagné d’un vin issu de la cave éclectique du restaurant. Cette cave, composée de grands crus provenant de toute la France, privilégie les vins d’exception, pour ne citer que les Bordeaux.
...
Situé dans la ville médiévale de Mirepoix, à mi-parcours entre Carcassonne et Foix, le restaurant Le Commerce est une vitrine ouverte sur un héritage de plusieurs générations qui est toujours resté dans le giron de la famille Puntis. Jouissant d’un emplacement privilégié au cœur de l’Ariège, l’établissement séduit par son cadre rustique, à l’ambiance campagnarde où les saveurs ariégeoises sont autant de plaisirs à retrouver qu’à découvrir.
Une cuisine aux accents de terroir
Confortablement installée dans une région riche en histoire dans le Pays cathare, le restaurant Le Commerce propose une cuisine élaborée à partir de produits frais et de région, avec chaque jour un arrivage de poissons frais. Sous l’impulsion du chef André Puntis, qui tient aujourd’hui les rênes de l’établissement, les plats sont concoctés avec passion, dans le respect des traditions, avec des recettes jalousement conservées et transmises de père en fils. À travers une cuisine généreuse qui privilégie les produits du terroir, le restaurant constitue une adresse incontournable où familles et amis aiment se rendre pour partager un bon repas et où il fait bon profiter d’une ambiance conviviale.
Un cadre sympathique aux tons chauds
Le restaurant Le Commerce est un établissement au charme d’antan qui jouit d’un cadre particulièrement agréable. Les lieux permettent notamment de gouter aux plaisirs de la table à l’ombre d’une magnifique terrasse ombragée où sont servis les repas en période estivale. Sa salle aux tons chauds rassure les plus exigeants et lui confère une ambiance familiale au cadre rustique. Dans ses propos, André Puntis décrit « un établissement d’une capacité d’accueil de 70 couverts en terrasse et une soixantaine en salle avec la possibilité d’abriter à la demande tout type d’événements selon la disponibilité ».
Une belle alliance mets-vins
Proposant de belles alliances en matière de vins, le restaurant Le Commerce dispose d’une cave à vins particulièrement fournie dans un bon rapport qualité/prix. Parmi les références les plus connues figurant sur la carte, on peut notamment citer les Côtes de Malepère, le Vacqueyras, le Gigondas ou encore la Clape AOC ainsi que « plusieurs produits régionaux » selon les précisions d’André Puntis. Les clients peuvent à la demande, solliciter les suggestions du chef pour connaître les meilleures alliances afin d’accompagner certains plats. À travers ses connaissances et ses expériences, il se fera un plaisir de les conseiller.
...
Situé au centre du Pays de Cocagne, le restaurant Cuq en Terrasses vous propose un séjour gastronomique inédit dans un cadre rustique et chic. Le restaurant vous séduira par sa vue panoramique ainsi que son cadre bucolique. Optant pour le vintage, le décor apporte une touche sensible et esthétique à toute la salle. A l’extérieur, la grande véranda donne sur la plaine du Lauragais.
« Menu unique, endroit unique »
Adeptes du Slow Food, Philippe Gallice et Andonis Vassalos optent pour la formule du menu unique. Chaque soir (sauf le mercredi), ils proposent à leurs convives un menu composé d’amuses bouches, d’une entrée, d’un plat, d’un assortiment de fromages et de dessert. En s’inspirant de ses grands voyages et des plats classiques, le chef Andonis doit se surpasser tous les jours pour trouver le menu parfait. Créatif, il n’hésite pas à explorer les différentes saveurs et textures pour transporter ses convives entre les frontières du goût. Pour le chef, la réussite de ses recettes repose surtout sur la qualité des produits qu’il utilise. Ainsi, il n’use que de produits frais issus de son potager ou du marché local. De même pour les vins que l’établissement collectionne depuis ses dix-sept années d’existence et qui sont exclusivement issus des meilleurs vignobles de la région. Des produits soigneusement sélectionnés donc, pour offrir des plats d’une grande qualité. Autant de rigueur et d’exigence récemment récompensées par Le Guide Michelin qui a attribué à l’établissement le titre de « l’assiette Michelin ».
Outre sa cuisine, le restaurant sort du lot par sa qualité d’accueil. En effet, Philippe se charge lui-même de recevoir ses clients. Il ne se contente pas de présenter le menu mais prend le temps d’expliquer la composition de chaque plat. Il parvient ainsi à transformer cette étape qui parait futile en un vrai moment d’échange. Entre un bon plat et une ambiance conviviale, tout est ici réuni pour que le diner devienne une expérience inoubliable.
Un cadre idyllique en Midi-Pyrénées
Cuq en Terrasses est une ancienne maison de maitre du 18ème siècle entièrement rénovée. Actuellement, elle propose cinq chambres d’hôtes dont le caractère vous charmera. Chaque chambre reflète le souci du détail des propriétaires : décoration raffinée et personnalisée dans le ton de l’établissement, une vue imprenable sur la campagne et un service aux petits soins. Pour ceux qui veulent plus d’intimité et d’autonomie, l’établissement propose deux appartements équipés. Elégants et raffinés, tout est fait pour que ces appartements répondent parfaitement aux attentes des voyageurs les plus exigeants. Et pour les passionnés de la nature, sachez que la demeure possède un magnifique jardin de 12.000m2 qui expose près de 300 espèces de plantes rares et d’arbustes. D’ailleurs, plusieurs fruits n’attendent qu’à être cueillis par les gourmands explorateurs.
Cuq en Terrasses jouit aussi de la richesse et de la grande diversité du patrimoine de la région Midi-Pyrénées. Les voyageurs sont conviés à découvrir les paysages variés de la région qui regorgent de plusieurs trésors naturels et architecturaux avec les nombreux sites préhistoriques ainsi que les joyaux culturels et gastronomiques. Etant placé en plein centre de la région, Cuq en Terrasses donne l’accès à plusieurs sites touristiques dans un rayon de 100km dont le château de Loubens (9km), le château de Magrin (12km), le lac de Saint Ferreol (19km), le parcours de golf de 18 trous FIAC à 22 km, la petite ville artisanale de Durfort à 24km, le cité médiévale de Carcassonne à 63 km pour ne citer que ces exemples.
...
Implanté dans une ferme à Beaumarchés au lieu-dit Barbat, à l’abri des bruits des grandes villes, Le Relais du Bastidou dresse des tables élégantes et conviviales pour tous ceux qui choisissent le calme et la fraicheur. Le couple Thierry met un point d’honneur à choisir les produits bios pour préparer des plats typiques de la région gasconne. Une liste de vins de renom et de qualité incontestable vient parfaire un moment de dégustation agréablement mémorable.
Les spécialités du chef : les produits du terroir et les fruits de mer
Après avoir passé une bonne quinzaine d’années dans une grande entreprise d’agro-alimentaire, René Thierry change complètement d’orientation pour intégrer le monde de l’hôtellerie et de la restauration. Son objectif pour le restaurant, utiliser les produits locaux et il décide de s’approvisionner auprès des meilleurs producteurs du Gers et des plus proches localités de Beaumarchés.
Dans une ambiance authentiquement fermière, le chef fait découvrir les spécialités de l’établissement. Ici, le canard est le roi de la cuisine : foie gras, magret ou manchons sont des plats qui ne manquent pas d’apparaitre dans le menu. Les cuisses de canard confites sont une spécialité recommandée par la maison, spécialement pour ceux qui viendront la découvrir pour la première fois. Mais les fruits de mer y gardent aussi une place d’honneur. La langoustine ou encore les noix de Saint-Jacques y sont cuisinées avec un talent indéniable. Sans oublier les Côtes de porc de Bigorre, sauce aux girolles et la Croustade aux pommes et à l'Armagnac qui sont la signature de l’établissement.
Le Relais du Bastidou se situe dans un cadre paisible et agréable. Rien que le chemin qui y mène fait le bonheur des fanatiques de la nature. Le paradoxe d’un paysage aussi brut et d’une cuisine aussi raffinée devient presque une poésie que chacun découvrira certainement avec émerveillement.
Plats et vins en fusion la synergie parfaite de la bonne cuisine gasconne
La Gascogne est célèbre pour sa bonne cuisine et c’est une réputation que Le Relais du Bastidou tient fermement à protéger. En accompagnement du menu ou des plats proposés à la carte, la liste des vins offre un choix plutôt riche des plus belles références régionales. Parmi les plus choisis, le Saint Mont, Madiran ou encore Pacherenc forme un mariage parfait avec les spécialités du chef. Le secteur viticole fait partie intégrante de la vie du restaurant. René Thierry lui-même pense que le vin n’est pas une simple boisson, c’est un élément indissociable de la table, surtout lorsque l’on s’apprête à déguster des plats préparés avec des ingrédients aussi nobles. Les visiteurs de la maison auront le choix entre plusieurs labels reconnus pour leur ampleur et leur élégance. Une sélection de vins riches en saveur et en authenticité met une touche exceptionnelle à l’ensemble de la table. Le restaurant est labellisé « vignobles et découvertes »
...
Jolie cadre montagnard situé au cœur d’un environnement privilégié, à 1600 mètres d’altitude au milieu du Pic du Midi de Bigorre et celui de Piquette, l’Auberge du Lienz perpétue une cuisine du terroir pyrénéen, une cuisine gouteuse et légère faite au naturel. Tenue par madame Corret depuis 52 ans aujourd’hui, cette auberge s’est vue décerner sous la direction de celle-ci, la médaille de bronze du tourisme en 2015, et le trophée du tourisme de la Caillere de Midi-Pyrénées.
Le voyage dans l’assiette
La tradition ici commence aux fourneaux, avec une cuisine magnifiquement orchestrée par le chef Franck. Il utilise majoritairement des produits provenant d’agriculteurs, d’éleveurs et de producteurs locaux. Ce cordon bleu issu de l’Ecole Hôtelière de Bordeaux et doté d’une expérience culinaire riche de ses voyages, met en avant une cuisine dynamique, légère, et respectueuse du terroir. A cet effet, il utilise pour ses assaisonnements, des herbes et fleurs cueillies au petit matin, pour révéler les senteurs de la nature au travers de jolies dressages en assiettes.
Comme entrée signature, ventrèche de porc noir sur tartine d’oignons de Trébons grillée, légumes d’été fumés. Pour élaborer ce délice, les aubergines, tomates, et poivrons sont fumés, puis composés en une terrine assemblée avec le jus de cuisson du fumé. Cette entrée est servie avec des tranches de pain toastées, sur lesquelles on étale des oignons de Trébons tombés à la graisse de porc. Au-dessus, de la poitrine de porc séchée recouverte de terrine. Le pain utilisé par l’Auberge du Lienz pour ce succulent bonheur au gout frais, est un pain bio à base d’épeautre et fait maison.
Parmi les plats phares de la maison, la garbure complète à la soupe et au jambonneau de porc accompagnée de ses légumes. Plat orchestré avec des jarrets de jambon bouillis dans de l’eau, et où l’on ajoute des oignons, clous de girofle, carottes, pommes de terre, haricots tarbais et choux. L’assaisonnement utilisé pour libérer les senteurs est l’ail écrasé. Les jarrets de jambon sec mis en vedette dans cette préparation vont donner à la garbure son véritable gout traditionnel. Après cuisson, le service se fait dans une soupière contenant le bouillon, les légumes et le jarret de jambon entouré de sa couenne. Ce dernier est moelleux et sa jutosité est libérée dans le bouillon pour le rendre succulent et léger.
Autre plat phare de l’auberge, la truite de Lau Balagnas marinée au poivre Sansho, brunoise fraîcheur. Celui-ci est élaboré de plusieurs manières, mais conventionnellement, le filet de truite est assaisonné avec une marinade de poivre Sancho, du gros sel broyé et un peu de sucre. Par la suite, le filet de truite est découpé en carpaccio, et est étalé dans l’assiette accompagné de radis, concombre, pomme verte et un peu de basilic. Juste à côté sa petite vinaigrette à base de tomates cerises, citron et huile d’olive. Un jurançon sec est bien indiqué pour accompagner la dégustation de ce plat.
Le dessert phare ici est le tartare de myrtilles. C’est une composition faite à base d’une pâte sablée recouverte d’une crème de vanille, et de myrtilles dans une gelée de vanille.
La convivialité et la beauté à l’honneur
À l’Auberge du Lienz, la convivialité est mise en avant grâce à la valorisation du terroir pyrénéen, et à travers des préparations qui varient au fil des saisons. Les clients y viennent et reviennent, compte tenu du service de qualité et de l’accueil chaleureux. Entre belles assiettes et tables bien dressées, le décor de bois, la cheminée de pierre, ou encore le parfum de fleurs en terrasse, le lieu impose son penchant pour la beauté et le naturel. A l’extérieur, les hôtes ont l’immense plaisir de profiter de la vue sur le Pic du Midi de Bigorre, le Pic de la Piquette et ses pistes de ski, et même la forêt d’Ayré. Une expérience culinaire au cœur de la nature en altitude, et très accessible avec un ticket moyen de 30 euros.
...
Abritant conjointement un établissement hôtelier et un restaurant, l’Hôtel de Bastard baigne dans un cadre à l’ambiance agréable et raffinée, conçu pour le confort de ses hôtes et arrangé avec gout, où on se sent comme chez soi. Reprise récemment par le couple Birckel en 2015, la superbe bâtisse laisse opérer la magie d’un lieu chargé d’histoire, situé en surplomb d’une piscine et d’un jardin aux fleurs épanouies et aux feuilles verdoyantes.
Un personnel aux petits soins
Qualité d’accueil et satisfaction clients figurent au premier rang des préoccupations de l’Hôtel de Bastard où un personnel particulièrement attentif s’attelle à répondre au plus près aux besoins des clients. Cet établissement à la fois proche du centre et à l’écart des grands axes est partiellement classé monument historique. Il jouit par ailleurs d’un excellent service et d’un parfait accueil, des qualités très vite remarquées et appréciées non seulement par les clients réguliers mais aussi, par les visiteurs de passage qui sont toujours agréablement surpris aux premiers abords. Grâce à son engagement et à sa disponibilité, mais aussi à son grand sens du service, l’équipe attire d’emblée la confiance et l’établissement, la sympathie. On s’y sent comme dans une grande maison familiale qu’on a toujours du mal à quitter, avec une forte envie d’y retourner dès que l’occasion se présente.
Excellente table aux accents gascons et d’ailleurs
Les connaisseurs vous le diront, l’Hôtel de Bastard est un restaurant à la table réputée qui propose une cuisine gastronomique française aux accents du terroir de la Gascogne et aussi d’ailleurs. À travers des menus créatifs élaborés à partir de produits simples et bien travaillés, Philippe Birckel, propriétaire de l’établissement, reste fidèle aux préceptes de la cuisine faite-maison qui a toujours fait la renommée de l’enseigne, avec un large choix de formules. De bon conseil, le maître des lieux est en mesure de guider les clients dans le choix des plats et des vins, proposés à des prix corrects, dont une belle sélection au verre. Le soufflé de pruneau à l’armagnac reste jusqu’alors un des desserts phares de la maison non sans oublier « une carte qui change jusqu’à 5 fois au gré des saisons » comme le précise Philippe Birckel.
Bon rapport qualité/prix
Constituant une étape obligée en Lomagne et en Toscane française où armagnac, menu pèlerin, confit de foie gras et melon sont de véritables découvertes pour les papilles, l’Hôtel de Bastard est un restaurant très select qui jouit d’une excellente réputation. Le cadre y est fabuleux et le rapport qualité/prix très raisonnable. Les assiettes sont généreuses et surprenantes avec de belles portions, « préparées avec précision selon le gout du client » souligne le propriétaire des lieux. Au fil du temps, l’établissement est devenu une adresse à recommander à tous ceux qui souhaitent passer un moment de pur bonheur dans une des plus belles destinations du Gers. À travers une cuisine agréable et pleine de surprises, le restaurant laisse supposer une grande recherche et un bel esprit créatif.
...
Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux.
Une adresse incontournable du Gers
Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes.
Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte
Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte.
Ambiance « chic », saveurs « choc »
Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir.
...
Située sur les terres gasconnes à Aignan, La ferme aux buffles reflète l’art de vivre typique du Sud-Ouest et séduit par immense parc verdoyant abritant les fameux buffles d’eau également nommés les buffles d’Asie. La propriété possède un restaurant qui propose une expérience gustative aussi insolite qu’inoubliable…
Une viande tendre et mœlleuse…
La viande de buffle est 70 % moins grasse que les autres viandes rouges et contient aussi moins de cholestérol. Riche en protéine et en fer, elle est tendre et offre une nuance de saveurs très intéressante. Grâce à son élevage, le restaurant La ferme aux buffles veut démocratiser la consommation de cette viande d’exception déclinée à toutes les sauces. Assiettes de charcuterie de buffle, hamburger, daube de buffle à la bière du Gers, fromage de bufflonne… la carte propose un panel de plats qui feront le bonheur des épicuriens. Les vins essentiellement locaux, quant à eux, sauront souligner à merveille la subtilité et l’authenticité de cette viande très particulière.
Un établissement familial et chaleureux…
Les repas se dégustent dans une salle associant élégance et coquetterie. Les grandes baies vitrées baignent l’endroit dans une lumière éclatante, et offrent une vue à couper le souffle sur la chaîne des Pyrénées. Après s’être délecté des meilleures spécialités de la maison, rendez-vous dans le parc à buffles pour apprendre à connaître ces bovins à la stature impressionnante. La miniferme offre la possibilité aux enfants d’être à la proximité de la nature et des animaux comme les lapins, les chèvres, les cochons… Toutes ces activités permettront à toute la famille de se ressourcer dans ce cadre idyllique le temps d’une escapade gourmande.
...
À quelque mètres du pont Neuf de Montauban, L’Estanquet reçoit ses convives dans un climat simple et convivial. Cet établissement est connu pour son décor assez vintage et sa cuisine bistronomique. Avec des gestes millimétrés, le personnel du restaurant L’Estanquet veille au grain pour l’entière satisfaction des clients. Le travail d’équipe se fait ressentir jusque dans les assiettes.
Un décor très recherché
On croirait faire un voyage dans le temps ; pourtant, L’Estanquet n’est pas un antiquaire, mais est bel et bien un restaurant. Une ambiance chaleureuse de bistro se dégage de ce décor peu commun. Les meubles trouvent toute leur splendeur dans la diversité et les boites et objets anciens sur les étagères ne font qu’accentuer cette allure de vieux bistro. Sur les murs sont exhibées des publicités d’un autre âge, qui font plonger les clients dans une nostalgie du bon vieux temps.
Le maitre des lieux, c’est la grande cheminée qui domine la salle. Celle-ci offre non seulement de la chaleur aux clients, mais également la garantie d’une cuisine de haute qualité qui respecte les produits. Effectivement, la maison y fait griller les pièces de viande pour les imprégner du gout particulier de la cuisson au feu de bois.
Un esprit bistro dans les assiettes
Le restaurant L’Estanquet propose une cuisine traditionnelle, typiquement française, pimentée par une touche d’originalité. Les ingrédients sont de qualité supérieure, les plus belles pièces sont sélectionnées dès l’achat. Les patrons et son équipe travaillent les produits frais du terroir sur place, chaque jour. En outre, tout est fait maison. Ce qui a valu au chef le titre de « Maitre restaurateur ».
La carte du restaurant s’oriente par rapport aux saisons et aux inspirations en cuisine. Les plats qui font la notoriété de L’Estanquet sont nombreux. Quoi de plus simple qu’un os à moelle accompagné de pain grillé ? La maison propose du pied de cochon, de l’andouillette, du ris de veau, du cassoulet et d’autres plats tout aussi représentatifs de la cuisine française les uns que les autres. La gaufre caramel beurre salé servie en dessert est un pur délice, sans parler des profiteroles. Les gourmands et gourmets en redemanderont.
Montauban : une ville d’Histoire et de culture
Grâce à son histoire, la ville est riche en patrimoine, notamment en matière d’architecture. Elle est appelée « la plus rose des villes roses », car la brique y est omniprésente. L’époque médiévale a laissé quelques héritages, comme le pont Vieux ou l’église Saint-Jacques avec son beau clocher octogonal. Ce patrimoine architectural est aujourd’hui valorisé grâce aux restaurants qui investissent les bâtiments anciens dans les rues de Montauban.
Trois musées sont ouverts au public dans la ville : le musée Ingres, installé dans l’ancien hôtel de ville ; le musée d’Histoire naturelle ; et le musée de la Résistance et du Combattant, qui abrite l’histoire du Tarn-et-Garonne pendant la Seconde Guerre mondiale.
Et ce n’est pas tout ! Les férus d’activités culturelles seront intéressés par le théâtre Olympe de Gouges, l’école municipale de dessin, où l’on découvre et approfondit le dessin et la peinture, ou encore l’espace Bourdelle sculpture, qui propose des ateliers et des conférences autour de cet art.
...
Établissement familial hérité de plusieurs générations successives, La Ferme Basque perpétue sa passion pour la cuisine du terroir depuis près de 2 siècles. Bénéficiant d’un emplacement plus qu’avantageux, ponctué d’une admirable vue panoramique, l’établissement est particulièrement apprécié pour son attachement aux valeurs traditionnelles et aux produits locaux.
Un lieu chargé d’histoire
Implantée dans un paysage à couper le souffle, La Ferme Basque est un bel héritage familial appartenant aux Poulot-Cazajous depuis 1911. Autrefois connu comme étant une halte occasionnelle pour les randonneurs de passage dans la vallée de Cauterets qui investissaient les lieux pour s’offrir un léger casse-croûte et une crêpe, l’établissement est devenu depuis 1928, un lieu de restauration incontournable où on aime délibérément se rendre pour retrouver des saveurs longtemps oubliées. En plus d’un emplacement privilégié, La Ferme Basque conserve à aujourd’hui, l’ultime avantage de constamment réveiller les papilles à travers une cuisine traditionnelle préparée à base de produits frais et bio, dans de belles associations de couleurs et d’authentiques saveurs du terroir. « Se rendre à La Ferme Basque est une belle expérience historique et culinaire qui mérite d’être vécue et où la cuisine vaut réellement le déplacement » raconte Sophie Mazerand, responsable de la partie communication.
Un souffle nouveau
C’est aujourd’hui à Aurélien, le fils de la maison, que revient la charge de diriger l’établissement et qui prend très au sérieux, la responsabilité de préparer des plats mijotés faits maison à la manière des Pyrénées. Depuis, La Ferme Basque bénéficie d’un nouveau souffle où la jeunesse prend son envol sans sacrifier aux traditions familiales. L’idée de proposer aux clients une gamme de salaisons et des produits atypiques des Pyrénées est un engagement sans précédent. D’après les explications de Sophie Mazerand, « tous nos plats sont proposés en conserve du terroir avec la possibilité de reproduire les recettes grâce à des produits achetés en boutique ».
Une cuisine 100% terroir
Fidèle à ses traditions familiales, l’équipe de La Ferme Basque est particulièrement attentive dans la façon de préparer ses plats. Elle prend soin de conserver ce cachet particulier dont elle peut s’enorgueillir en ne proposant aux clients qu’une cuisine 100% artisanale où les produits frais sont à l’honneur. Cette identité confère au lieu, la garantie d’une cuisine authentique et traditionnelle qui rappelle des souvenirs d’enfance et de bonnes recettes de grand-mère. La Ferme Basque s’appuie également sur son site internet pour vendre et faire connaître les produits de la ferme dans de belles associations.
...
C’est dans à Condom, une petite commune située au sud-ouest de la France que Jean-Luc Mazur concrétise un projet de vie : l’ouverture de son restaurant. Dans un cadre pittoresque et authentique, Le Sarment exprime l’amour du chef pour les produits du terroir frais qu’il sublime avec créativité dans les assiettes.
Mot d’ordre : convivialité !
Dès votre arrivée, vous ressentirez cette ambiance très détendue et conviviale qui fait la réputation de l’établissement. La générosité, une qualité attribuée aux propriétaires, transparaît aussi dans les assiettes soigneusement dressées et tellement gourmandes. « Ma cuisine est toujours ouverte, et donc je peux voir les clients pendant que je cuisine », explique Jean-Luc. Un concept qui souligne encore une fois cette convivialité qui est chère à la maison.
« Chez nous, la carte est renouvelée tous les trois mois environ et fait honneur au terroir du Gers », poursuit-il. En collaboration avec les producteurs locaux, le chef propose des plats à base de produits sains et bio. Parmi ceux qu’il recommande fortement figurent les cuisses de grenouille en entrée, suivi d’un duo de rognon et ris de veau, en plat de résistance. Le repas s’achève sur une note plus douce et résolument gourmande avec le coulant au chocolat "fait maison".
...
10/10
27/05/2022 - Publié il y a 1 mois
Un moment des plus agréables! Tt était parfait! La terrasse, le personnel et le repas excellent !!!! On connaissait mais on reviendra avec plaisir