Gourmands et gourmets se plairont à côtoyer la table d’Abdel Barakat, chef en cuisine au sein du Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné. Ce locavore aime concocter des plats simples et savoureux qui transportent les convives dans un univers où se mêlent saveurs traditionnelles et exotiques. Les ravioles : un plat emblématique Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, un nom qui n’a pas été choisi au hasard. Bien au contraire, il a été mûrement réfléchi pour correspondre parfaitement à l’esprit de la maison.Celle-ci se veut aujourd’hui être l’une des ambassadrices des ravioles artisanales, une spécialité romanaise et qui sont directement commandées auprès de Chez Hostache, à Montlaur-en-Diois ou bien au Grand Goulet, à La Chapelle-en-Vercors. Le chef Abdel Barakat aime travailler de mille et une façons ce produit romanais. Il est intéressant de savoir qu’à la base, celui-ci est constitué d’une pâte de farine de blé tendre, d’œuf et d’eau qui est garnie d’emmental ou de comté, de persil sauté au beurre. Mais au Bistroquet de l'hôtel du Dauphiné, vous ne le trouverez jamais préparé de la même manière. Laissez-vous séduire par les saveurs originales des ravioles à la crème de citron et ciboulette, des ravioles aux morilles, des ravioles au gingembre ou encore des ravioles en crumble de noix qui sont de nouvelles recettes développées par le chef. Un amour fort pour le terroir Bien entendu, la carte du restaurant ne se contente pas de proposer cet unique plat. Vos papilles seront forcément comblées par les nombreuses suggestions gourmandes élaborées avec passion et créativité par Abdel. Pour finir, place à des desserts plus classiques fait maison comme la tarte aux noix et caramel ou le vacherin. Vous l’aurez compris. Au Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, la cuisine du terroir est à l’honneur. « J'essaie de mélanger un petit peu ma passion avec la cuisine méditerranéenne et traditionnelle » raconte le chef Barakat. Toujours dans le respect du produit, ses propositions culinaires mettent en avant sa créativité. Pour travailler, il puise dans la richesse du terroir et aime tout ce qui est « bio ». Véritable adepte du circuit court, il a tissé des relations privilégiées avec plusieurs producteurs locaux œuvrant aux alentours. Un restaurant chaleureux Le Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné est installé dans une bâtisse datant du XVIIIe siècle située en bord de route,dans le centre du village, à l’angle de la rue principale de Chatillon-en-Diois. Le propriétaire décide d’apporter un peu de fraîcheur et d’innovation dans l’établissement le transformant ainsi en un lieu cosy et chaleureux. Vous pouvez vous installer à l’intérieur pour profiter de plus d’intimité ou investir les deux terrasses lorsque le temps le permet avec en toile de fond, la superbe falaise du Vercors. Tout est fait pour que vous vous sentiez à l’aise. A l’accueil et au service, une équipe avenante et chaleureuse est à votre entière disposition et fait de votre passage un pur moment de plaisir. ...
Le Domaine des Frontières est situé à Jullié, non loin de Mâcon dans le Rhône, qui est considéré comme l’un des plus anciens villages du Beaujolais tirant son nom de Jules César et ses légions qui s’y établirent autrefois. Il y travaille essentiellement l’AOC Juliénas réputée pour ses vins printaniers aux notes de fruits rouges, de pêche et d’arômes floraux et l’AOC Beaujolais-Villages s’illustrant pour ses crus de caractère, charpentés et colorés exprimant finesse et souplesse. Le gamay dans toute sa splendeur Le lancement du Domaine des Frontières est un véritable projet de vie pour Jérémy Thien qui quitte sa carrière dans l’administration pour se reconvertir en vigneron. Il crée l’exploitation familiale de toute pièce en faisant progressivement acquisition de parcelles aujourd’hui d’une superficie totale de 6 hectares. Son vignoble composé de vieilles vignes de 60 à 80 ans met à l’honneur le gamay, cépage phare du beaujolais. Les raisins expriment leur plus belle intensité sur ce terroir constitué de roches volcaniques anciennes. Tout est fait pour leur épanouissement. « Nous faisons un véritable travail d’artisan avec très peu de mécanisation », confie Jérémy. La certification HVE atteste de ce soin apporté à la vigne qui ne subit aucun traitement chimique agressif. Plusieurs cuvées pour les meilleurs moments de vie Sous le label Juliénas, le Domaine des Frontières propose deux crus atypiques à savoir La Cuvée Classique et la Cuvée Réservée. La Classique se veut solaire avec des arômes de poivre, d’épices, de fruits noirs, de cacao et de cuir noble. Élégante et intense à la fois, elle se sert avec des gibiers à plume, des viandes rouges, du bœuf bourguignon ou du magret de canard. La Cuvée Réservée est produite à partir d’une sélection parcellaire issue du lieu-dit Vayolette qui procure une finesse et une concentration exceptionnelles. Avec un potentiel de garde de 7 à 8 ans, ce 100 % gamay révèle un beau bouquet floral et fruité ainsi qu’une belle longueur en bouche. À accompagner avec des crustacés, du bœuf, de l’agneau ou du gibier. Quant au Beaujolais-Villages Vers le Château, il se veut plus fruité, rond et charmeur. Parfait pour les barbecues estivaux ou en apéritif avec un plateau de fromages et de charcuteries. ...
Au cours de ces dernières années, la Vendée est devenue la nouvelle destination de la gastronomie. Et pour cause, le département abrite les meilleurs restaurants en Pays de la Loire, dont la Table du Boisniard, le restaurant gastronomique du Château du Boisniard. Une référence en Vendée Depuis son ouverture en 2011, la Table de Boisniard est un restaurant gastronomique de référence en Vendée. Titré « Maître Restaurateur » depuis 2012, il est aussi reconnu comme étant une « Valeur sûre » par le Bottin Gourmand. Et à son actif, il dispose de trois fourchettes et un couvert au guide rouge Michelin. Actuellement, l’établissement convoite l’étoile ! Ce qui ne devrait plus tarder, puisque toutes les cartes sont entre ses mains : un endroit unique et idyllique, alliant l’élégance de ses origines du XVe siècle à la modernité de la décoration contemporaine ; un personnel aussi sympathique que réactif, orchestré par Emmanuelle Gautier ; et un moment d’épicurisme assuré par le jeune et talentueux chef, Valentin Morice. De la gastronomie maîtrisée Selon leurs envies, les convives pourront choisir entre le menu Découverte et le menu Dégustation. À 42 euros, le premier propose une entrée, un plat et un dessert. Quant à la dégustation, un même menu est servi à l’ensemble de la table pour 72 euros. Pour les plus pressés, un menu Affaires à 33 euros est disponible le midi du mercredi au vendredi. Par ailleurs, le chef propose aussi une carte qui évolue au gré des saisons et des produits disponibles sur le marché. Il est à noter que tous les plats et menus proposés par l’établissement sont labellisés « fait maison », y compris le pain. Quant à sa carte de vins, elle met à l’honneur ceux des Pays de la Loire, sans négliger les autres régions. ...
Revendiquant exclusivement une cuisine fraiche et de saison, L’Amboise est une adresse lyonnaise qui fait le bonheur des locaux et des touristes de passage. La maison mise sur une décoration simple et épurée, relevée d’une petite touche industrielle, qui garantira le bien-être et le confort de chaque convive. Le grand bar métallique installé près de l’escalier attire l’attention. Au tableau le midi, à la carte le soir L’Amboise restaurant propose une cuisine française, fondée sur de bons produits frais et de saison. Ces derniers peuvent être issus du label rouge, origine France, mais également du marché et des structures qui mettent en lien les producteurs avec les restaurateurs. Néanmoins, la majorité provient de la région. Le chef apporte sa touche personnelle pour se distinguer et surprendre les gourmets. Le midi, pour répondre aux besoins des clients pressés, L’Amboise suggère une cuisine rapide, préparée bien entendu avec des produits frais et de saison. Le tableau affiche trois entrées, à l’exemple des salades Océane et César ou le velouté de légumes anciens. En plats, les convives ont le choix entre trois propositions, dont la brandade de poisson, le dos de lieu jaune au citron confit et l’omelette aux herbes. En dehors du plat du jour, les plats qui figurent au tableau peuvent y rester jusqu’à une semaine, selon la disponibilité des produits. La pause gourmet est plus calme le soir. Les convives prennent plus leur temps pour apprécier les suggestions à la carte qui changent tous les deux mois. Nombre d’entre eux viennent avant l’ouverture ou à la sortie du théâtre des Célestins qui se trouve à proximité. L’Amboise propose des terrines maison, des petits légumes au bouillon thaï ou du gravlax de saumon en entrée. La suite peut s’orienter vers des noix de Saint-Jacques avec sauce au chorizo ou un secreto de porc ibérique façon saltimbocca. Il faudra quand même laisser de la place pour les desserts : mousse au chocolat à la fève tonka, blanc-manger coco et passion ou tarte au pamplemousse et mousse à la vanille bourbon de Madagascar. Pour accompagner le repas, la maison privilégie les vins de la région. Si le choix du vin lui revenait, elle sélectionnerait la Grande Gallée rosé de Régis des Côtes, un vigneron situé dans le village de Millery. Celui-ci est très apprécié par la clientèle de L’Amboise. La Grande Gallée existe aussi en blanc. Les salles du restaurant L’Amboise restaurant peut recevoir jusqu’à 40 personnes, dont 22 à l’étage et 18 au rez-de-chaussée. Les deux salles sont privatisables pour les repas de groupe. Le rapprochement des tables rend l’ambiance chaleureuse. La belle hauteur sous plafond et les matériaux bruts comme le bois ou l’acier donnent au restaurant une allure chaleureuse et authentique. ...
Le Château La Roberterie se situe à Juillac, en Gironde. Le vignoble, magnifiquement exposé au soleil, est certifié « Agriculture biologique » depuis 2012. Sur ses 10,74 ha s’enracinent harmonieusement les cépages traditionnels, à l’instar du sauvignon blanc, du merlot, du cabernet et du malbec. Immersion dans le chai de vinification Les Zimmer ont mis en place un chai ultramoderne, où sont regroupés différents équipements de pointe (cuves tronconiques inversées, thermorégulation, générateur d’azote, micro-oxygénation…). Ainsi, la vinification devient un art à part entière. Et pour préserver au mieux la santé du consommateur, elle utilise un minimum d’intrants, toujours biologiques. On obtient ainsi des vins de grande qualité, aussi sains que savoureux. C’est ce que démontrent le « Selectus 2015 », à travers ses notes de fruits frais relevées de vanille, ou encore la cuvée « Classicus », qui est un vin rouge purement exquis. ...
Dans un cadre verdoyant au milieu des vergers de Nouvoitou, le Manoir du petit corcé met à disposition cinq salles privatisables pour les repas de groupes, mariages, anniversaires, baptêmes ou pour différentes réceptions professionnelles. Un cadre d’exception, une cuisine créative et raffinée, un service dévoué, tous les ingrédients sont là pour faire de ces évènements des moments uniques. Le plus beau jour de votre vie Pourquoi se contenter d’un bon mariage lorsqu’on peut exiger l’excellence ? Le Manoir du petit Corcé organise une cérémonie à la hauteur de vos rêves dans ce cadre aux allures d’Éden. La formule clé en main offre un libre choix sur toutes les prestations: l’aménagement et la décoration de la salle, la logistique, le menu et le buffet ou encore l’animation. Toute l’équipe s’active pour accompagner les tourtereaux depuis les préparations jusqu’au grand jour, et même après. Le Chef concocte pour les nouveaux mariés une Porchetta à leur retour de mariage, c’est un cochon entier désossé cuit au four à pain. En parlant de cuisine, le menu mariage est élaboré annuellement. Le Chef Nicolas Gicquel et son équipe proposent des plats traditionnels teintés d’une touche de modernité. Les amoureux auront l’embarras du choix entre le « Foie gras mi-cuit, gelée de rhubarbe & pain d’épices maison accompagné de sa verrine mousse de foie gras et tartare de pommes granny Smith », le « Tartare de Saint Jacques, daurade et mangues basilic » et six autres entrées. Pour les plats, le choix s’effectue entre le « Magret de canard, sauce au poivre Gratin de pommes de terre-patates douces et mélimélo de légumes » et cinq autres suggestions. Pour couronner le tout, le « Fraisier à la pistache et éclats de framboises », le « Cheese cake au citron & son coulis de fruits rouges » ou la Charlotte aux trois chocolats » sauront émerveiller les papilles. Des assiettes de fromages comme le « Munster pané, chapelure de noisettes & cumin » et la « Mousse de fromage frais, sablé parmesan & compotée de figues ou coings » sont également disponibles, sans oublier les vins d’accompagnement. Entre professionnels, on se comprend Conscient des enjeux des réunions et réceptions professionnelles, le personnel de l’établissement se dévoue corps et âme à la réussite des évènements d’entreprise. Les cinq salles indépendantes peuvent accueillir des séminaires et conférences, des repas d’entreprises ou des showrooms. L’endroit est privilégié par sa position un peu isolée dans les vergers qui favorise la tranquillité. Rien de tel pour rapprocher les collaborateurs. Le Manoir du petit Corcé travaille en réseau avec des prestataires pour fournir une prestation complète aux entreprises. La maison présente trois formules de séminaires qui incluent la location de la salle, une petite bouteille d’eau pour chaque participant, un petit déjeuner et un déjeuner. Un écran et un paper board sont mis à la disposition des entreprises dans chaque salle. En cas de besoin, il est également possible d’obtenir un vidéoprojecteur, une table de mixage et des enceintes. Dans la formule « carte blanche du chef », les participants doivent choisir entre viande et poisson puis le Chef s’occupe du reste. Pour la « formule n°1 », plusieurs propositions au choix sont offertes. Enfin, le Cocktail du Manoir complète la « formule n°2 ». Un cadre irréprochable L’environnement extérieur du Manoir du petit Corcé est régulièrement entretenu par un paysagiste pour que les invités soient accueillis dans les meilleures conditions possibles, à n’importe quel moment. Pour une cérémonie féerique, différentes salles de réception sont disponibles avec des espaces privés adaptés. Le décor est moderne mais reste assez neutre pour donner plus de possibilités aux mariés sur la décoration qu’ils veulent. La salle Armorique peut accueillir jusqu’à 250 personnes, elle s’accompagne ...
Ce sont Jean-Paul et Nancy Bignon, les heureux propriétaires du Château Talbot, grand cru classé Saint-Julien dans le Médoc, qui ont découvert ce trésor niché au cœur de la petite commune de Correns (Var). Il a fallu quinze années de travaux de restructuration pour hisser à l’international le domaine Saint Andrieu au rang des meilleurs ambassadeurs de l’appellation côtes-de-provence et de coteaux-varois-en-provence. Immersion dans cet univers exceptionnel. Une démarche respectueuse de l’environnement « Le domaine Saint Andrieu est immense. Nous sommes sur 650 hectares de terrain, isolés au milieu d’une Nature immaculée, entourés de collines, de champs d’oliviers et de quelques vieilles fermes », décrit Jean-Pierre Marty, directeur général du Château Talbot. Le vignoble fait 29 hectares, où sont plantés grenache, syrah, cinsault, mourvèdre et rolle pour faire honneur à la région. Il est morcelé en plusieurs parcelles. Une partie située au nord-ouest accueille l’aire d’appellation coteaux-varois sur un terroir agréablement exposé au mistral. Une seconde partie est consacrée à l’appellation AOC côtes-de-provence, essentiellement en sol argilo-calcaire favorable au drainage naturel. « En haut plateau, nous pouvons avoir jusqu’à 400 m d’altitude. La rencontre du climat méditerranéen avec la douceur continentale procure une belle fraicheur aux vignes. » Labellisé HVE (haute valeur environnementale), le domaine Saint Andrieu s’est engagé dans une démarche respectueuse de l’environnement en conduisant l’ensemble de son vignoble en lutte raisonnée. Cette philosophie s’applique essentiellement dans le travail du sol qui se fait mécaniquement mais également dans le traitement des vignes, bénéficiant d’un soin ciblé, grappe par grappe. « Quand vous êtes à Saint Andrieu, c’est la Nature qui s’impose à vous et pas autrement », déclare avec conviction Jean-Pierre Marty. Les cuvées de la maison Provence oblige, le rosé domine près de 85 % de la production annuelle de la maison. Celle-ci gravite autour de 150 000 bouteilles. La gamme se décline en 6 cuvées, 3 couleurs en AOC côtes-de-provence et 3 couleurs en AOC coteaux-varois-en-provence, avec une cuvée confidentielle baptisée Lily Rose. Le Domaine Saint Andrieu Rosé 2017, en appellation côtes-de-provence, se distingue par son assemblage issu des plus belles récoltes de grenache (44 %), cinsault (38 %) et syrah (18 %). Un nez exquis aux notes de fruits exotiques accompagne une bouche ronde et voluptueuse, agrémentée par une pointe d’agrumes. Sa belle vivacité se termine sur une finale élégante. Il se déguste idéalement avec la cuisine du terroir, en accompagnement avec des petits farcis de Provence ou des Saint-Jacques grillées à la provençale. Toujours en rosé, la maison fait découvrir sa cuvée ambassadrice signée Cuvée confidentielle Lily Rose AOC côtes-de-provence. Celle-ci est confectionnée essentiellement à partir de mourvèdre et de rolle, vendangés en septembre 2005. « Cette cuvée est réservée aux restaurants gastronomiques et aux cavistes qui cherchent du rosé de haut de gamme », nous souffle-t-on. D’une grande pureté, Lily Rose est un vin riche, tendu avec une belle minéralité et une agréable longueur en bouche. Une collection rare et limitée à 1 800 bouteilles. En raison de leur singularité, les vins du domaine Saint Andrieu sont très prisés par les restaurants gastronomiques ou étoilés. La Potinière du Palais, à Cannes, L’Hôtel Cheval Blanc, à Courchevel, ou encore le Bacon, à Antibes, ont ainsi choisi d'inclure les cuvées du domaine Saint Andrieu dans leurs caves à vins. ...
À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil. Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant. Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible). Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie… La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges. Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...
Au ReminiSens, on ne réserve pas pour manger. On bloque un créneau pour se laisser emporter dans une gamme d’expériences culinaires et culturelles, empreintes de magie, de voyage dans le temps. L’esprit de la maison réside justement en cela. Le temps d’une soirée, remonter aux fastueuses époques où Versailles était ville royale. Se divertir comme on l’eût fait alors, se délectant des saveurs fines d’antan, se laissant bercer par l’heureux babillage des « nobles » acteurs recréant les intrigues et anecdotes d’époque. Une capsule « hors du temps » pour une soirée d’exception Tenant boutique rue Baillet Reviron, au numéro 20, ReminiSens peut vite devenir un incontournable pour les férus de programmes exceptionnels. Dans une ambiance baroque, reconstituant l’esprit des appartements privés du temps des rois de France, l’on pénètre dans une capsule – hors du temps – où les yeux reçoivent les premières décharges. Caroline Masselin, conceptrice et source de cette inspiration inattendue, n’a rien laissé au hasard. Rideaux, lustres, appliques murales, chandeliers, tout est là pour recréer une atmosphère qui donne envie de s’abandonner, faisant fi des contraintes du moment. Les costumes d’apparat du personnel – également d’époque – ajoutent la touche finale pour vraiment propulser le visiteur dans le Versailles d’alors. Ces courtisans-acteurs divertiront la galerie, tout au long du dîner, par des saynètes reprenant des détails croquants de la vie à la cour. D’avance, l’on trépigne de curiosité alors que les papilles n’ont encore aucune idée des plaisirs auxquels le chef de la maison va les initier. Honneur au bien manger de l’époque Les tables de ReminiSens rendent un hommage vibrant à la gastronomie du temps où le Roi Soleil et Louis XV régentaient la France. Les menus, concoctés avec de sérieuses références historiques, célèbrent le potager, la chasse et la pêche. Il faut se laisser guider par la fibre de la Chef Marie Bin pour initier ses papilles aux mystères des gibiers comme l’on peut en avoir goûté à l’époque. Le potager se fait mine de saveurs royales quand elle propose la « Découverte de M. Parmentier ». L’on redécouvre les notes perdues de légumes comme le topinambour. L’on garde longtemps en bouche les délicats effluves de sa « Truite au champagne ». ...
Entre Agde et Pézenas, vallées, mer et volcans se partagent la terre sur pratiquement 40 kilomètres, influant directement sur la vie géologique et l'expressivité des vignes. Plus de 90 domaines et caves coopératives unissent les 20 communes de l’agglomération et donnent à explorer un passionnant parcours œnologique, fort de 3 Appellations d’Origines Protégées (AOP) et de 5 Indications Géographiques Protégées (IGP). La nature s’exprime ici pleinement, révélant ses précieux jeux d’arômes. Des vins minéraux du bord de mer aux vins d’arrière-pays plus charpentés : le savoir-faire des domaines s’accorde avec leur environnement, riche de cépages emblématiques. Clairette du Languedoc et autres savoureux cépages à associer aux produits du terroir La clairette du Languedoc est l’une des plus anciennes AOC de France (1948) et poursuit une belle épopée commencée il y a 2000 ans. Son histoire s’est révélée suite à des recherches archéologiques sur des sites gallo-romains. Le piquepoul est le cépage blanc le plus répandu de la destination en terme de superficie cultivée. Traditionnellement utilisé en monocépage, en accord avec les fruits de mer, son emploi a été revisité depuis. Elevage en fût de chêne, effervescence ; assemblage avec des cépages tels que la roussane et le vermentino, les vignerons de cette appellation ne cessent de se réinventer. Entre cépages endémiques et originaux, les Indications Géographiques Protégées (IGP), plus souples que les AOC, dévoilent une véritable palette de Cézanne, tendue vers l’inventivité. Aujourd’hui, les domaines redoublent d’inspiration pour sublimer ces cépages : le gewurztraminer alsacien prolonge sa maturité grâce à l’ensoleillement méditerranéen, le terret blanc originaire du pourtour du bassin de Thau, un tant soit peu oublié, accompagne désormais les huîtres. Parmi les cépages rouges, il faut citer les immanquables : grenache, syrah, mourvèdre, carignan, grands classiques du Languedoc. D’origine espagnole, l’alicante et le tempranillo, sont audacieusement repris par des vignerons, livrant des notes tanniques. Le pinot d’origine bourguignonne et le petit verdot d’origine bordelaise s’inscrivent également dans ces nouveaux rouges légers et subtils. Cette palette d’arômes évoque autant le terroir que l’imagination. Les vignerons et producteurs ont matière à faire plaisir et à rendre à dame nature toute la noblesse de son œuvre. La créativité est ici devenue un art, ce délicat travail du maître de chai, à l’écoute des fruits de ses vignes épanouies, entre garrigue et bord de mer. ...
Installée dans des bâtiments neufs à la sortie de l’autoroute à Chemillé-en-Anjou dans le département du Maine-et-Loire, l’herboristerie Cailleau bénéficie de 4.500 m² pour recevoir, transformer, conditionner et expédier en respectant les dernières normes de production. Elle regroupe 2 secteurs d’activité : la vente aux détaillants comme les herboristeries, les coiffeurs, les magasins diététiques ou les pharmaciens et la vente aux industriels comme les brasseurs de bières, les industries agroalimentaires et cosmétiques La société ayant reçu son agrément pharmaceutique depuis un an maintenant, elle peut désormais vendre les plantes du domaine pharmacopée aux pharmacies. Aujourd’hui, l’Herboristerie Cailleau emploie 30 salariés à temps plein. Un catalogue de plus de 800 références Son catalogue contient plus de 800 plantes déclinées sous différentes formes : feuilles, fleurs, sommités fleuries, racines, coupées, entières, poudre… L’Herboristerie mise sur l’excellence botanique de ses produits et sur le savoir-faire de ses fournisseurs, pour procurer des plantes de haute qualité à ses clients. Elle en garantit l’identité botanique. Avec son pharmacien, la société analyse et contrôle chaque réception pour garantir in fine la sécurité des consommateurs. Elle se fournit au plus proche, favorisant les circuits courts et les producteurs locaux. Mais certaines plantes ne sont pas cultivées dans la région. Ainsi par exemple la lavande arrive du sud, le génépi des Alpes. D’autres doivent être importées, particulièrement de Pologne, Hongrie, Lituanie, Espagne, Portugal, Maroc, Tunisie ou encore Brésil. Elle s’est également engagée dans une démarche bio pour répondre à une demande de plus en plus importante. Actuellement les plantes bio représentent 25% du catalogue. Les plantes sont préparées sous toute forme (coupée, pulvérisée), transformées (gélule, macérât aqueux, huile essentielle, infusette) et conditionnées (de 250 g à 2,5 T) dans les locaux de la société, suivant les besoins et les demandes des clients. Plus de 2000 clients lui font déjà confiance. La qualité de ses produits est également reconnue à l’étranger puisque l’Herboristerie Cailleau réalise 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Depuis 1 an l’herboristerie a aussi ouvert un site de ventes en ligne dédié aux particuliers, répondant ainsi à l’ensemble des demandes de ses clients. ...
La passion du métier et l’amour de la vigne sont au cœur de l’ADN de la maison Breton et fils. Depuis près de 70 ans, ce vigneron indépendant et récoltant-manipulant puise dans les techniques traditionnelles héritées de ses aïeuls pour élaborer des champagnes au caractère affirmé. Des cuvées reflétant le raffinement à la française qui savent séduire les palais les plus exigeants. La diversité avant tout Implanté dans deux départements, sur les coteaux du Sézannais, en plein cœur de la côte des Blancs, Champagne Breton Fils mise sur la diversité de son terroir pour élaborer des champagnes qui réunissent tous les désirs gustatifs. Son vignoble de 16 hectares est réparti sur 11 communes, avec une présence sur les premiers crus et les grands crus. Cette implantation sur de nombreux villages et coteaux s’inscrit dans la stratégie qualitative prônée par la maison. Questionné sur ce point, l’actuel propriétaire, Reynald Breton, explique que « la démarche permet d’avoir un juste équilibre sur des sols argileux, des sols calcaires et des sols argilocalcaires rendant propice la culture du pinot noir, du chardonnay et du pinot Meunier. » Les vignes particulièrement chouchoutées donnent des champagnes inimitables construits sur l’élégance, la générosité et la minéralité. Les efforts sont menés dans l’objectif d’avoir des crus de qualité, sans pour autant faire l’impasse sur le respect de la terre et la préservation du patrimoine. « Nous adoptons la viticulture raisonnée depuis plus de dix ans, et nous avons entamé le processus pour détenir le label "haute valeur environnementale" », confie le vigneron. La responsabilité écologique n’est pas prise à la légère, pour que les vins livrent naturellement toutes les caractéristiques du terroir. Des cuvées pour toutes les envies Animée par l’amour du champagne, le respect des hommes et celui des valeurs ancestrales, la maison Breton Fils s’est engagée à élaborer des cuvées au plus proche des attentes des consommateurs. Les collections « Les classiques », « Les Cuvées spéciales » ou « Les Cuvées Grande Cave » s’adressent notamment aux clients locaux. Parmi les perles de la gamme « Les classiques », s’inscrit le Brut Tradition, composé à parts égales des trois cépages champenois. Ce champagne à la robe jaune légèrement pâle, aux notes florales en nez, avec une bouche structurée et élancée, sera le compagnon idéal d’un dessert gourmand comme une tarte aux poires amandines, un opéra ou une charlotte au chocolat. Les adeptes de vins monocépages seront charmés par le caractère gourmand et complexe du Blanc de blancs Brut à 100 % de chardonnay. Ses notes pâtissières et sa douceur florale le rendent parfait pour accompagner un feuilleté de ris de veau, des huîtres ou un crémeux de homard. Afin de satisfaire sa clientèle à l’international, l’entreprise a aussi créé des marques pour différents marchés. La cuvée BRUUT, par exemple, est proposée exclusivement aux Pays-Bas. Idem pour la marque de luxe De Roval, qui est présente davantage à l’export. « Nous voulons partager notre passion et notre savoir-faire, et faire rayonner l’art de vivre à la française partout dans le monde. Nous sommes présents sur tous les continents », déclare Reynald Breton. ...
Situé en bordure de l’autoroute A7, au cœur du vignoble de l’Hermitage, l’ancien Restaurant Umia continue sa belle aventure culinaire sous d’autres couleurs et à travers sa nouvelle appellation Maison Gambert. Repris depuis fin novembre 2015 par Mathieu Chartron, chef passionné et créatif du sud de Lyon et non moins ambassadeur du chef triplement étoilé et grand restaurateur Guy Savoy au Caesars Palace de Las Vegas pendant plus de 7 ans, l’établissement est implanté dans le domaine de Tain l’Hermitage où il jouit d’un cadre magique et d’une excellente réputation. Une cuisine bistronomique Localisée à moins de 3 km de l’entrée de l’autoroute, la Maison Gambert séduit par sa cuisine bistronomique à la table inventive et raffinée où tout est mis en œuvre pour conquérir une large clientèle. Le jeune et talentueux chef Mathieu Chartron et son équipe s’investissent avec passion dans leur métier pour concocter de bons plats simples aux ajustements raffinés, mais aussi des plats gourmands à base de produits frais de qualité préparés avec goût et recherche. Truite marinée à la Chartreuse et betteraves multicolores, poisson du moment, purée de carottes à la citronnelle ou encore panna cotta coco-passion et fruits frais sont autant de raffinements à découvrir et à apprécier dans ce restaurant aux belles assiettes où on se sent particulièrement bien accueilli et où la satisfaction est toujours au rendez-vous. Une carte attrayante et dynamique La Maison Gambert propose une carte attrayante avec une formule entrée-plat-fromage ou dessert et un menu enfant. À travers une cuisine actuelle empreinte d’originalité, elle s’attache la fidélité d’une clientèle régulière et attire la sympathie des clients de passage qui apprécient les plaisirs de la découverte gastronomique dans ses différentes déclinaisons de couleurs et de saveurs. Parmi ses spécialités, la truite marinée à la Chartreuse et la pintade sont des plats particulièrement bien maîtrisés par la maison et qui font sa réputation. D’autres spécialités telles que le tartare de bœuf coupé minute et le cabillaud figurent également aux premières lignes des plats les plus suggérés ou appréciés. Les menus sont renouvelés chaque saison et sont adaptés en fonction des inspirations du Chef. Une équipe de choc Tous les ingrédients sont réunis au sein de la Maison Gambert pour faire de l’établissement, un lieu de rendez-vous et de retrouvailles apprécié des amoureux de la bonne cuisine et où la surprise de nouvelles découvertes culinaires tient les clients en haleine jusqu’à leur prochain passage. Grâce au dévouement d’une équipe compétente qui privilégie l’écoute, le conseil et la qualité de service, l’enseigne peut se targuer d’avoir réussi son pari. Tout cela grâce à la belle association du chef Mathieu Chartron derrière les fourneaux, de José Afonso, maitre d’hôtel, et de Benoît Chartron responsable de salle. ...
Situé dans le Golfe de Saint-Tropez, le Domaine La Tourraque arpente la colline jusqu’à la Méditerranée. La viticulture est une affaire de famille chez les Brun-Craveris. La répartition des tâches pour la bonne marche du domaine se fait donc en ce sens : l’oncle s’occupe des vignes, le père et le frère sont affectés à la vinification, la mère assure l’administration et Sébastien Craveris prend en main le côté commercial et le tourisme. Ce dernier affirme que le site protégé des Trois Caps, au-dessus duquel ils se trouvent, « sera bientôt intégré au Parc national de Port-Cros ». En accord avec ce contexte, le domaine se convertit au bio en 2013. Le domaine Au domaine La Tourraque, la famille Brun-Craveris s’occupe de 30 ha de vignes. Les qualités argilo-siclicieuse du terroir et ainsi que la fraicheur du climat, emmenée par les vents de la Méditerranée, protègent la qualité des raisins. Les cépages Grenache, Cinsault et Tibouren sont utilisés pour le Rosé qui occupe 70% de la production. Pour le Rouge, la famille utilise le Grenache, la Syrah et le Mourvèdre et pour le Blanc, ce sont le Rolle, l’Ugni-blanc et le sémillon. Ce qui donne 3 cuvées principales : Joseph brun, Classic et Harmonie. Les 2 hectares restants sont dédiés aux oliviers, puisque le domaine produit aussi de l’huile d’olive. La vinification La collaboration familiale constitue un atout pour les Brun-Craveris. Tout en respectant les traditions et en maîtrisant les caractéristiques de leur terroir, ils utilisent des techniques modernes de vinification. (…) Le moût est fermenté avec des levures indigènes, puis est vinifié dans des cuves en inox thermorégulées avant la mise en bouteilles. Toutefois, le domaine utilise quelques barriques de chêne pour l’élevage. Seules 10% d’entre elles sont renouvelées chaque année pour préserver le côté fruité du vin. L’agriculture biologique Situé sur le Site Classé des Trois Caps qui est un espace protégé, La Tourraque se devait bien de s’accommoder à cet environnement naturel. Ainsi, le domaine a passé trois longues années de conversion avant de voir le label « AB » apposé sur les bouteilles du millésime 2013. Depuis, le rendement a diminué jusqu’à près de 50% au profit d’une meilleure qualité. L’agriculture biologique préserve la diversité. Tous les types de vins de toutes les textures peuvent en être issus. Ces produits sont d’une qualité qui rafle les récompenses des concours régionaux, nationaux, internationaux et mondiaux. Enfin, les vins bio révèlent une authenticité particulière. Le meilleur Sommelier au monde en 1989, Serge Dubs, le résume assez bien en disant que « le bio permet au terroir de s’exprimer pleinement ». ...
Traditions, succulences et plaisirs du palais trouvent ici leur quintessence dans un cadre sobre et élégant. Cette table, fièrement dressée dans un havre de paix propice à la détente, est la promesse d’un voyage gourmand conjuguant découvertes culinaires, extase gustative et excellence gastronomique. L’art culinaire dans toute sa splendeur Les délicieuses assiettes concoctées avec passion et minutie s’apprécient soit dans une salle fastueuse et savamment illuminée, soit à l’ombre d’une terrasse face à la mer. Sublimant les produits du terroir, mettant les producteurs locaux en avant et révélant l’art méditerranéen de la table, chaque plat est un hommage à la région. Cette cuisine traditionnelle se revisite ici de façon plus moderne en ponctuant certains plats d’accents asiatiques et de saveurs d’ailleurs. Une langoustine royale, suivie de rougets cuits sur la peau, fera le bonheur des amoureux du goût authentique. Pour les accompagner dignement un excellent vin, le Clos Saint Vincent, un vin haut de gamme de l’appellation Bellet issu de la cave à vins de la salle de restaurant présentée dans une armoire murale. A cette décoration épurée, s’ajoute la touche artistique de l’art de la table illustrée par des assiettes de présentation signées ÉrickIfergan. Véritable ode à la perfection, ce restaurant accueille ses convives dans le charme intemporel de Cannes. ...
Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...
Parti d’une lutte raisonnée, puis biologique et mettant en place maintenant les préceptes de la biodynamie, le Château de Chaintres s’attache à vinifier le plus naturellement possible dans le respect de la tradition : il produit des appellations Saumur Champigny, Saumur Rosé, Saumur Blanc et Crémant de Loire, certifiés bio par Ecocert France depuis les millésimes 2013. Une particularité du domaine est sa diversité de terroirs dont le tuffeau, la roche calcaire dominante de la région, qui fournit aux vignes un drainage naturel et contrôlé. Les cépages nobles de la région, et les seuls utilisés à Chaintres, sont le cabernet franc et le chenin. Une qualité reconnue à sa juste valeur Par son savoir-faire unique, le domaine élabore des vins de terroir élégants, amples et généreux pour accompagner les viandes rouges et les poissons charnus. Une qualité reconnue à sa juste valeur à travers des récompenses prestigieuses au fil des années. Les plus récentes, deux médailles au concours « Decanter 2018 », argent pour le Saumur Champigny Les Sables 2017 et Or pour le Saumur Champigny Vieilles Vignes 2017, qui est élevé au minimum 10 mois sur lies fines avant la mise en bouteille. ...
Le mécanisme du moulin tourne encore, non pas pour moudre le grain mais pour servir de valeur ajoutée au repas des convives dans les salles. L’eau qui actionne la roue vient de la petite rivière du Garon qui longe la terrasse. C’est un aperçu de ce qui attend les gourmets durant une pause gustative au restaurant Le Petit Meunier. Les assiettes et les vins y sont d’une grande variété, alliant tradition et modernité. Une qualité issue de la tradition Jérôme privilégie une cuisine du marché, donc très variée. Il travaille aussi bien les poissons que les viandes et légumes. Le Petit Meunier se trouve à Messimy, petite commune sise à côté de Thurins connu comme étant la capitale de la Framboise. Ce fruit fait donc partie des produits phares de la maison et reste très apprécié en dessert. Le restaurant Le Petit Meunier est particulièrement exigeant sur la présentation des assiettes, mais surtout sur la qualité et la fraîcheur des produits. Pour s’en procurer, les propriétaires favorisent le circuit court en construisant des relations avec les producteurs locaux. Ils font même partie d’une association de producteurs et de restaurateurs de la région. Le restaurant présente une carte gastronomique qui change tous les six mois, des plats du jour ainsi que différents menus tels que le menu des saveurs, le menu des délices, le menu prestige et le menu enfant. Pour une belle entrée en matière, le Chef suggère des Saint Jacques juste poêlées et croquettes de pied de porc pannées accompagnées d’une crème aux lardons et romarin. C’est une recette qui plait énormément aux gourmands et gourmets car elle incarne un parfait mariage entre terre et mer. En plat principal, il faut choisir entre des assiettes de poissons comme le Pot au feu de Lotte, gambas et légumes oubliés ou les préparations à base de viandes telles que le Cœur de Ris de veau sauté à l’ail, servi avec le jus corsé de veau. En dessert, le sablé spéculoos avec sa mousse mascarpone et ses framboises fraîches est un clin d’œil de Jérôme Gagneux à Thurins. Pour accompagner tout cela, la maison suggère des vins très variés. Parmi la sélection, le Coteaux-du-Lyonnais issu domaine du Clos Saint Marc fait partie des plus prisés. Un cadre à l’image de la cuisine Comme la cuisine, le cadre allie également l’ancien et le moderne. Dans une salle aux poutres et murs de pierres apparentes, les convives peuvent manger au coin de la cheminée en contemplant le mécanisme du moulin à travers la grande baie vitrée. Les douces vibrations de la roue accompagnent cet instant gourmand. L’ambiance est beaucoup plus moderne mais tout aussi chaleureuse dans l’autre salle. La réception d’évènements Le restaurant Le Petit Meunier est disponible pour différentes réceptions personnalisées, avec buffet ou à la carte. Il accueille les repas d’anniversaire, les réunions de famille ou les fiançailles. D’autres évènements se sont également déroulés au Petit Meunier comme la 30ème Soirée Network du Club Plaisirs Gourmands, des chefs d’entreprises qui veulent développer leur réseau professionnel et leur business à travers la gastronomie. Dernièrement, l’établissement a organisé un « repas dans le noir » un geste de solidarité au profit de l’Ecole des chiens guides d’aveugles à Marcy l’étoile. ...
Avec ses magnifiques poutres bicentenaires, sa salle de 180 m2, ses tables grandement espacées et ses 12 m sous plafond, cette magnifique grange au nom évocateur séduit par sa cheminée centrale. Telle une capsule dans le temps, elle abrite par ailleurs un petit coin de paradis d’une autre époque, tant au niveau du luxe que celui du décor. Dans une ambiance chaleureuse et romantique où le temps date d’une autre époque, La Grange aux dîmes propose une cuisine moderne au gout du jour, tout le temps revisitée… Une cuisine gastronomique plus que traditionnelle, où de petites notes exotiques s’ajoutent au terroir français. Souhaitant être le plus proche possible des producteurs, l’enseigne aime travailler frais et acheter local, en sélectionnant des matières premières de qualité, tout en essayant vraiment de chercher le côté original des produits. Un menu unique, clin d’œil aux produits locaux Découvrez son menu à 38 € du midi et du soir, composé de 2 entrées, 2 plats et 2 desserts au choix. À goûter absolument, ses Coquilles Saint-Jacques au panais et jus de barbe poêlées juste comme il faut pour en faire ressortir le gout, son délicieux Filet de Bavière au caviar de courgettes et aux pommes fondantes, préparé avec de la viande de Bavière maturée pendant plusieurs semaines, son Croquant de noisettes à la mousse de châtaignes et petites meringuettes ou son dessert tout chocolat aux kumquats confits. Une mention particulière également pour la cuisson toujours parfaite et à la nacre du chef pour le Thon saisi et sa variété de choux, une de ses plus belles signatures. Pour accompagner chacun de vos repas, La Grange aux dîmes dispose d’une très belle carte des vins, qui met en avant tant les grandes appellations que les petits propriétaires. Des grands bordeaux aux champagnes, une riche sélection vous attend. Le Domaine Reignard, le Pouilly Fumé La Doucette ou encore la Maison Joseph Drouhin sont quelques références phares proposées par le restaurant. ...
Féru de travail et minutieux dans la conservation du savoir-faire ancestral, Bernard Boutinet reste toutefois un homme sympathique, généreux et surtout courageux. Et pourtant, il intervient dans une activité difficile qu’est la production de cognac. «C’est un produit très sensible aux crises économiques qui touchent les pays du monde », nous confie-t-il. Pour pallier ce phénomène, il a heureusement un secret : « rendre un travail bien fait et laisser faire le temps ». Une rigoureuse fabrication La maison Boutinet ne cesse de répondre aux besoins des amateurs de cognacs en leur proposant des eaux-de-vie d’exception élaborées dans des conditions les plus naturelles et traditionnelles possibles. Pour elle, le secret de fabrication réside dans la récolte des fruits, la fabrication du vin, le passage de l’alambic et enfin le vieillissement dans des barriques de chênes qui peut aller jusqu’à vingt-cinq ans. Toutes les étapes sont respectées, donnant finalement une eau-de-vie noble et riche en bouche. La partie du travail la plus dure commence dans le vignoble de 27 hectares doté d’un sol argileux et sableux sur lequel est cultivé le cépage «ugni blanc ». Après distillation, l’eau-de-vie fruitée et dotée d’un caractère floral typique des Fins bois est vieillie en fûts de chêne en toute intimité pour arborer ses belles tonalités ambrées. Dans ce processus d’élaboration très strict, Bernard Boutinet confie que « la qualité du cognac dépend principalement de son assemblage, mais aussi de la qualité du vin. » En expert, il nous explique que «l’acidité du vin est un facteur favorable pour le Cognac». Les produits ambassadeurs Parmi les produits phares de la maison figure le Cognac&Cigars. Médaillé d’or en 2016 et 2017 à Moscou, il s’agit d’un assemblage de deux très vieux cognacs. Les autres incontournables selon le maître des lieux restent le VSOP, le Napoléon et le XO. Des produits délicats et d’une rare complexité qui se découvrent à l’occasion de visites et de séances de dégustations au domaine. En complément du Cognac, les visiteurs peuvent visiter la Galerie de peintures de Marie Claire PAJEILE, artiste qui expose dans plusieurs pays du monde. Afin de prolonger l’expérience dans l’univers du cognac, les convives peuvent réserver une chambre au Logis de l’Astrée à Saint Bris des Bois (17 ), une maison d’hôte appartenant à la fille de Bernard, Sophie Boutinet-Mangeard, qui produit également son propre vin. Ce Logis vient de Paul Boutinet, grand père de Bernard, alors que son domicile actuel était l’héritage de Céleste Vincent, sa grand-mère. ...
Entre deux visites d’endroits historiques et de monuments bordelais, tels que la Halle des chartrons qui domine la place du marché, l’église Saint-Louis des Chartrons, la place des Quinconces, le muséum d’Histoire naturelle à côté du jardin public et le musée d’Art contemporain de Bordeaux, optez pour une pause déjeuner au restaurant Chez Dupont. Cadre, cuisine, service : tout est fait pour vous satisfaire. Un accueil à bras ouverts Chez Dupont existe depuis 1988, c’est une institution et une valeur sûres du quartier des Chartrons. Habituée à la gestion de ce restaurant qui ne désemplit pas, la petite équipe de Chez Dupont reste aux petits soins avec les clients. La gentillesse de l’accueil et l’efficacité du service marqueront les mémoires. Les personnes qui aiment les rencontres seront à l’aise dans cette bonne ambiance familiale. Tout cela se passe dans un cadre à l’allure de vieux bistro. Il serait dommage de ne pas parler de cette terrasse chauffée qui peut accueillir jusqu’à 40 convives et, pour votre plus grand soulagement, la circulation se fait rare dans le quartier. Cerise sur le gâteau : pour 10 à 12 personnes, vous pouvez aussi profiter de l'intimité d'une belle salle à manger avec fauteuils club et cheminée. Nouvellle salle et chambres d’hôtes Chez Dupont a ouvert une nouvelle salle il n’y a pas si longtemps, celle-ci se trouve juste en face. L’atmosphère chaleureuse et conviviale de l’établissement principal se fait également ressentir dans ce bistro. Les murs de pierres nues rendent authentique ce lieu qui offre plus d’intimité pour les repas de réunions professionnelles ou les évènements familiaux. Le bistro peut accueillir jusqu’à 25 personnes assises, 30 pour un apéritif dinatoire. Vous devez prolonger votre passage à Bordeaux de quelques jours ? Chez Dupont s’est doté depuis trois ans de 5 chambres d’hôtes et d’un appartement, où volupté et raffinement sont au rendez-vous. Installées dans un immeuble du XVIIIe siècle, les chambres rénovées n’ont pas perdu leur charme d’antan, tout en garantissant le confort moderne. Une cuisine bistronomique La cuisine de Chez Dupont se distingue par son authenticité, sa stabilité et sa fraicheur. Six cuisiniers professionnels, incluant le chef Christophe Caris et une pâtissière à temps plein, s’activent tous les jours pour du « fait maison », à la plus grande satisfaction de vos papilles. C’est la riche expérience de cette équipe qui garantit la régularité de la qualité des plats proposés par la maison. Situé entre gastronomie et brasserie, le restaurant mise sur l’exception du produit frais et de saison rigoureusement choisi chez des fournisseurs passionnés par leur métier. Prise d’assaut à l’heure du déjeuner, la maison suggère un menu composé de trois entrées, trois plats et trois desserts, qui changent tous les jours selon les trouvailles du marché. À la carte, laissez-vous tenter par le carpaccio de Saint-Jacques et chair de tourteau à la coriandre. En plat de résistance, l’épaule d’agneau de lait des Pyrénées cuite à basse température fera voltiger vos papilles. Plutôt poisson ? Dans ce cas, dégustez la belle sole de la criée de Royan pour un pur moment de bonheur. En bouquet final, le baba au rhum Havana Club vous convaincra. ...
Tel un bijou dans son écrin de verdure, La Table du Château de Laléard est une belle découverte pour qui sait apprécier le caractère particulier des vieilles bâtisses. Représentant une des meilleures tables à des kilomètres à la ronde, le domaine est un véritable lieu d’exception. Une étendue de tapis vert en pleine campagne, ponctuée de magnifiques espaces arborés, fait le charme de cet établissement où la cuisine familiale est toujours à l’honneur. Privilégiant les produits de saison et de marché, l’enseigne s’attache à collaborer avec les producteurs locaux qui sont ses principaux fournisseurs. Découvrez les talents du chef Thierry Favier à travers une cuisine authentique, concoctée avec passion à partir de produits locaux et de région. Délectez-vous d’escargots, d’huitres et de foie gras pour le plaisir des papilles. Le restaurant ne dispose pas de carte proprement dite pour la simple et bonne raison que tout tourne autour des suggestions du chef Thierry Favier. En fonction des produits qu’il rapporte, un menu à l’ardoise est dressé. Le menu plafond se compose d’une entrée-plat-fromage-dessert avec, notamment, 2 choix de plats et 2 choix de desserts qui varient tous les 3 mois, c’est-à-dire à chaque saison. Des découvertes culinaires à ne pas rater En famille ou en amoureux, ne vous privez pas du plaisir de savourer son duo de foie gras maison au chutney ou encore sa gelée « Pineau des Charentes » suivie de son incontournable moelleux au chocolat de Guarana qui est une véritable découverte en matière de dessert. Une belle gamme de vins accompagne le tout, dont principalement le Baudry Vieilli, un excellent vin de région. Mais cela n’empêche pas qu’on y trouve aussi du cognac ou du Pineau des Charentes par exemple… L’enseigne a bâti sa renommée sur la relation de confiance qu’elle a entretenue avec les petits producteurs qui lui proposent d’excellents vins biodynamiques ou sans soufre également. Soigneusement sélectionnés par Thierry Favier en personne, les vins sont issus de maisons et de producteurs avec qui le château a l’habitude de travailler. ...
Lieu idéal pour tenir des rendez-vous d’affaires informels, le restaurant dispose d’un espace design et contemporain au coin de la cheminée numérique. Ses grandes baies vitrées donnent directement sur le patio, ouvert aux beaux jours, lequel offre un espace lumineux où il fait bon se retrouver. Baignant dans un cadre intimiste et chaleureux au décor atypique où le bois est très présent, l’établissement comporte un sous-plafond d’une très belle hauteur, ainsi qu’une magnifique verrière ornée de plantes vertes, dans un mariage réussi de belles matières et d’éléments uniques. Le Cinq Codet est une adresse discrète qui dévoile une cuisine simple et bien travaillée, préparée à base de produits de saison. Dans une belle alliance d’inventivité et de technicité, l’établissement propose une cuisine décontractée, haute en couleur, avec des fleurs et des herbes, ainsi qu’un bel accord de saveurs et de textures gourmandes. Comptant une clientèle mixte d’Anglo-saxons et de Parisiens, l’établissement organise tous les samedis une soirée jazz, un événement déjà bien connu et apprécié des habitués, mais qui ne cesse d’engranger de nombreux adeptes. Un beau mariage de saveurs Les clients ont la liberté de composer eux-mêmes leur menu ou opter pour des plats sur le pouce avec la carte de snacking. Ce qui fait la différence ? La maison travaille le meilleur du produit avec une technique de cuisson qui la distingue de celle des autres établissements ! Turbot, émulsion de coquelicot, fenouil vanille bourbon et Sphère chocolat, sorbet passion safran sont autant de gourmandises à découvrir ou à retrouver au sein du restaurant. ...
Au centre d’un village pittoresque du département de l’Ardèche, entourée de vignobles et de champs de lavandes, juste à 15 km de la grotte du Pont d’Arc, s’impose modestement une auberge qui force naturellement à la halte : l’Auberge La Farigoule. Toutefois, les réservations sont de rigueur, et Brigitte Dumarché, maitresse des lieux, s’attèle à offrir un accueil des plus chaleureux aux touristes de passage et aux habitués de la maison. Cette auberge composée de trois chambres, d’un restaurant et d’une boutique de produits régionaux est labellisée à la fois « Qualité tourisme » et « Bistrot de pays ». Une auberge recommandée par les guides Murs en pierres apparentes, buffet digne de la campagne, vaisselle ancienne, cheminée où crépite le feu en période d’hiver : un décor comme on en retrouve dans les romans de Marcel Pagnol. Pendant l’été, les hôtes de Brigitte profitent pleinement de la terrasse et, bien avant même de commander, ils ont d’ores et déjà la possibilité de savourer une vue ensoleillée sur les étendues vertes et violettes des vignobles et des champs de lavandes qui,tous deux, alternent jusqu’à l’horizon. Recommandée par les guides régionaux tels que Le Guide vert Michelin ou encore Le Petit Futé, l’Auberge La Farigoule offre un cadre convivial et même familial aux visiteurs souhaitant séjourner en Ardèche et profiter de la région. Elle met ainsi à la disposition de sa clientèle3 chambres attrayantes et reflétant parfaitement l’esprit de la Farigoule. En clair, un total dépaysement qu’affichent les décors des chambres, qui ont chacune un accès indépendant à une salle d’eau avec douche, wc et lavabo, en plus de la terrasse qu’elles partagent. Lorsque les hôtes finissent par quitter leurs chambres en début de matinée, c’est direction le restaurant de l’auberge ! Une cuisine typiquement ardéchoise Aux fourneaux, Brigitte Dumarché, cuisinière en chef, mène la cadence en proposant des plats faits maison qui racontent les histoires d’Ardèche et parlent des Ardéchois. En effet, la cuisine traditionnelle ardéchoise ici est à l’honneur avec des plats authentiques. Des plats comme le broufado, qui est une recette provençale au goût remis à jour et un met propre aux mariniers du Rhône ; des recettes originales, mixant truffes, cèpes et châtaignes comme le cuissot de cochon aux cèpes fait maison, le bœuf aux cèpes et ses brisures de châtaignes, le gratin vivarois, fourré aux cèpes ; chacun de ces plat pouvant être accompagné d’un vin rosé des côtes du Rhône et d’un fondant aux châtaignes en dessert. Des recettes que la maitresse des lieux a héritées de sa famille, couplées à d’autres recettes de livres anciens. Recettes qu’elle partage avec ses hôtes depuis 18 ans tant elle est passionnée par la cuisine de l’Ardèche, une cuisine aux saveurs locales qu’elle considère comme le moyen le plus efficace pour valoriser, faire découvrir et faire apprécier sa région. Les gourmets viennent et reviennent nombreux déguster les saveurs du terroir qui sont parfois inédites, et provenant toujours à 95 % de produits locaux. Brigitte Dumarché valorise ainsi les produits du terroir à travers les plats proposés à la carte, mais aussi à travers les produits régionaux disponibles dans sa boutique. Des produits de diverses saveurs que les touristes rapportent en souvenir, tels que la crème de châtaignes, la terrine de porc, les marrons grillées ou encore la confiture de châtaignes. Brigitte Dumarché, à travers l’Auberge La Farigoule, se donne à cœur joie pour promouvoir les saveurs du terroir de son Ardèche tant aimée. Et elle conclut tout naturellement : « Je suis un produit du terroir, moi aussi ! » ...