Les galettes et les crêpes bretonnes, surtout lorsqu’elles sont authentiques et préparées selon la tradition bretonne. Elles font partie de ces spécialités françaises dont on ne peut se passer ! La crêperie Pen-Ty en fait sa spécialité depuis plus de 40 ans ! Charmante et sympathique, avec juste ce qu’il faut comme espace, cette crêperie est une belle découverte pour ceux qui nous connaissent pas déjà car celle ci fait partie des plus connue à paris . La surprise (agréable bien entendu) est réellement au rendez-vous, et déjà l’envie d’y revenir ne se fait pas attendre ! Dans le respect de la tradition bretonne La Crêperie Pen-Ty est un lieu idéal pour un petit moment à deux ou en famille. Les portions sont généreuses et excellentes avec un bon rapport qualité-prix. Le crêpière s’applique à mettre les petits plats dans les grands afin de vous faire voyager au pays des galettes et des crêpes. Non contente d’être une authentique crêperie avec ces recettes traditionnelles, la crêperie Pen-Ty revisite aussi quelques régions avec des recettes aux différents fromages, au foie gras ou au boudin noir par exemple. Les desserts ne sont pas en reste avec une vingtaine de recettes et la possibilité de créer la sienne. Vous trouverez aussi une belle sélection de cidres, de jus de fruits bio et du vin de Bourgogne, mais pas que ! Découvrez ses boissons locales comme le chouchenn ou le pommeau de Bretagne, dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...
« Un engagement à tous les niveaux, où chaque action mise bout à bout finit par compter. » Voilà résumé en quelques mots l’état d’esprit qui anime le Château Tourteau Chollet, niché à Arbanats, dans l’appellation de Graves. L’objectif du Château Tourteau Chollet : se développer autour de grands terroirs en continuant à protéger l’environnement En plus du bannissement des désherbants chimiques, les 63 hectares de vignes du domaine profitent de gestes concrets. Nous pouvons citer, entre autres, la plantation d’un verger pour améliorer le bilan carbone, la suppression des fertilisants chimiques, la suppression d’insecticides grâce à des produits de biocontrôles ou encore la confusion sexuelle. Fin 2019, le Château Tourteau Chollet s’est vu attribuer le label Bee Friendly : un label européen qui distingue les exploitations respectueuses des abeilles et des pollinisateurs. ...
À 30 min de Bordeaux, à Cadillac, l’hôtel-restaurant du Château de la Tour est implanté à proximité des villages médiévaux et des châteaux forts. C’est dans ce cadre historique et viticole que le chef Flavien Valère et toute son équipe invitent les amoureux de la cuisine classique française à une pause gourmande. Ils leur réservent un accueil chaleureux et s’impatientent à leur faire découvrir de nouvelles saveurs. Le parcours réussi d’un jeune chef talentueux Après un CAP et un BEP, le jeune chef Flavien Valère a décroché son bac pro cuisine en alternance en 2001. Dès lors, il a enchainé 15 ans de périple dans la cour des plus grands, avant de signer chez les frères Durand en 2012, où il travaille actuellement. Il a commencé sa carrière en 2002 dans le prestigieux hôtel-restaurant**** du Château du Grand Barrail, à Saint-Émilion, puis chez Le Bateau Ivre, à Courchevel, à l’Hostellerie de Plaisance, à Saint-Émilion, au Belvédère de Porto-Vecchio et au Bakéa de Biriatour. Il retourne finalement à Béguey, au restaurant du Château de la Tour.Artiste passionné et créatif, le chef Flavien Valère se fait surtout remarquer par sa cuisine de saison. Grâce à son talent, le restaurant a obtenu deux fourchettes Michelin en moins d’une année. Accueillant, le chef peut même recevoir dans sa cuisine : un privilège que l’équipe de l’émission télévisée « Des racines et des ailes » a immortalisé sous les caméras, lors de son passage dans la région. Le chef collabore également avec d’autres confrères à l’occasion de dîner à quatre mains. Dernièrement, il a mis en commun son savoir-faire avec celui de Vivien Durand, chef étoilé du restaurant Le Prince Noir, à Lormont, pour concrétiser un repas de haute voltige. Une Assiette Michelin aux tarifs modérés Au restaurant du Château de la Tour, les recettes traditionnelles sont sans cesse renouvelées et réinventées. Elles gardent, néanmoins, la saveur authentique d’une cuisine classique et « fait maison ». Le chef sait comment impressionner les palais avec de nouvelles associations de produits, fraichement issus des champs ou des fermes avoisinants. Ses recettes suivent l’air du temps et sont riches en gout, un savoir-faire qui a récemment valu une Assiette Michelin au restaurant.Il est possible de commander à la carte ou d’opter pour un menu. Les épicuriens se feront une joie de déguster le menu Plaisir à 31 €, qui propose en entrée un saumon gravlax, suivi d’un plat de porc en croute de sésame et se termine en beauté par un macaron aux fruits rouges.À 41 €, le menu Tentation commence par un esturgeon fumé, blinis et crème aigrelette suivi d’un filet de bar aux algues wakamé, moules et coques en marinière et qui s’achève avec un succulent vacherin glacé ananas-noix de coco-rhum.Le menu Découverte, quant à lui, invite à une aventure culinaire. Le chef réserve des plats imaginés selon son humeur, toujours dans le cadre du classique. Ici, rien n’est énoncé. Les convives se laisseront surprendre par l’imagination du maestro en cuisine. Un endroit unique et mémorable Le restaurant du Château de la Tour se distingue par ses larges baies vitrées offrant une belle vue sur le Château des Ducs d'Epernon ( monument historique du XVIIème siècle). La pièce, plutôt spacieuse, est dotée d’un charme particulier. L’espace entre le plafond et le sol affiche une belle élégance, digne d’un véritable château. Tout y est royal : l’endroit, la saveur des plats et l’ambiance sympathique encouragent l’appétit. La terrasse, un autre espace supplémentaire où il fait bon manger, offre une vue sur le parc arboré. Dans ce décor bucolique, la beauté des cèdres tricentenaires qui surplombent les jardins est un plaisir pour les yeux. À l’horizon, le charme médiéval des vieux villages et des châteaux forts ouvre sur un autre temps. ...
Profondément enracinée dans le vignoble, les origines de la famille Beyer se confondent avec l’histoire de la viticulture alsacienne. Cette mémoire séculaire est le gage de leur savoir-faire. Son histoire est transcrite et relatée dans d’innombrables documents historiques dont le plus ancien date de 1792. Dans cette famille, c’est non plus du sang qui coule dans ses veines, mais du vin. Chaque génération a su, au fil du temps, transmettre la passion pour le vin et garantir la pérennité de l’entreprise. Visant toujours plus haut et plus loin, les descendants de Lucas Beyer ont agrandi progressivement le domaine, en faisant l’acquisition de nouvelles parcelles dans le cœur historique du terroir Grand cru. Un terroir d’exception Le domaine Émile Beyer possède un vignoble de 17 hectares, avec des parcelles réparties autour du village d’Eguisheim. Les vignes bénéficient de conditions météorologiques favorables. Grâce à cette proximité avec le massif des Vosges, qui empêche la formation de nuage venant de l’ouest, le terroir, très calcaire, composé essentiellement de marnes calcaires, de grès et d’argiles, profite d’un microclimat atypique, particulièrement sec et ensoleillé. C’est sur la parcelle Pfersigberg, qui signifie littéralement la « colline des pêchers », qu’est produit le grand cru du même nom, situé à l’ouest du village. La flore spontanée, calciphile et xérophyte, est représentée par l’origan, l’aristoloche ou le géranium sanguin. Cette végétation typique peut être observée également autour des pierriers bordés d’une strate arbustive composée d’érables champêtres, de prunelliers...Ce grand terroir va exprimer toute la pureté du calcaire coquillier en donnant aux raisins une acidité dentelée et une belle structure saline. Avec un sol formé de calcaires conglomératiques du Muschelkalk et du Jurassique interstratifiés de marnes gréseuses, l’endroit est idéal pour le riesling, véritable fer de lance du domaine. La « colline des chênes » est le terroir du Grand Cru Eichberg, situé entre 220 et 340 m d’altitude. Le sol est constitué de marnes de l’Oligocène et d’éboulis gréseux qui sont intégrés dans une matrice limono-argileuse et siliceuse plus profonde. Ces terrains plus frais sont légèrement plus tardifs. Le choix de la qualité Produire moins pour obtenir un raisin parfait, Christian Beyer a choisi l’exigence dans sa gestion du domaine. Les rendements y sont rigoureusement maitrisés avec une viticulture biologique (label Ecocert) et biodynamique et des fermentations sur lies fines de plus de 12 mois. La vendange se fait intégralement à la main, avec un tri très rigoureux. Cette rigueur de travail a porté ses fruits et a permis au domaine de porter haut les couleurs de l’appellation Alsace. Les vins sont régulièrement cités et recommandés par des guides français et internationaux comme dans les revues Les Meilleurs Vins de France ou le Decanter. Romain Iltis, sacré meilleur sommelier de France en 2012, a récemment mis en lumière la cuvée Riesling Grand Cru Eichberg. Depuis juillet 2011, le domaine Émile Beyer poursuit sur cette forte volonté de respecter la terre et le terroir, en commençant une phase de reconversion à l’agriculture bio et en suivant en conséquence un cahier des charges draconien. Il est désormais titulaire du label bio Ecocert. Pour cette année, le domaine compte passer en biodynamie. ...
Construite à partir des pierres anciennes récupérées du temps où la prison de la Bastille avait été démolie, la bâtisse abritant le restaurant conserve l’authenticité des éléments de l’époque. À cela s'ajoutent les couleurs flamboyantes, les poteries, les tableaux, les luminaires berbères, les poutres apparentes… Une décoration qui mène les invités sans détour vers le Maghreb. Cette alliance d’art, d’histoire et de culture apporte une ambiance chaleureuse et accueillante au restaurant La Ferme Saint-Bernard. Un chef venu d’ailleurs Ayant travaillé dans le domaine de l’administration dans son Algérie natale, l’actuel propriétaire du restaurant La Ferme Saint-Bernard a très vite décidé de changer de cap. Il entreprit quelques voyages avant de s’installer en France il y a maintenant 20 ans. Animé par la passion culinaire et l’amour de sa culture, Hamou Messaoudi a instauré, depuis 2007, dans son restaurant, un concept très précis : « Prôner l’art berbère, faire découvrir les bijoux culturels du Maghreb en s’investissant dans les particularités de sa cuisine. » De l’entrée jusqu’au dessert, les invités rencontreront les saveurs de l’Afrique du Nord ainsi que celles de la Méditerranée. Les délices du Maghreb dans l’assiette La dégustation commence par le felfel, une entrée constituée de piments écrasés avec des tomates, arrosés d’huile d'olive et qui s’accompagne de galettes kabyles. D’autres entrées feront aussi le bonheur de ceux qui savent les apprécier : les différentes variations de bricks (au thon, au fromage ou à l’œuf) ou le chakchouka, une spécialité maghrébine non piquante à base de poivrons, d’oignons, de pommes de terre et qui est escortée d’œufs brouillés. Mention spéciale également pour la fameuse boulette de semoule marinée dans la menthe fraiche et la coriandre, pour les différentes sortes de tajines (boulettes, poulet, agneau, végétarien) ou encore pour les couscous à la vapeur. Outre l’incontournable thé à la menthe qui termine traditionnellement les repas maghrébins, des glaces ou une variété de pâtisseries garnies de miel sont aussi parfaits pour achever ce doux voyage. ...
La famille Lindemans brasse du lambic depuis six générations (1822) à Vlezenbeek, un village au cœur de la vallée de la Senne, à 15 kilomètres de Bruxelles. Vlezenbeek est un hameau qui a l’immense avantage de bénéficier d’une microflore exceptionnelle. L’air y est chargé de centaines de levures sauvages spécifiques, dont les plus connues sont les « Brettanomyces Bruxellensis » et « Brettanomyces Lambicus ». Ces micro-organismes uniques permettent à la brasserie de lambic Lindemans de brasser – en hiver uniquement – une bière selon une méthode exceptionnelle : la fermentation spontanée (appelée également « fermentation sauvage »). Le lambic, déjà brassé au Moyen-Âge, est la plus ancienne bière au monde encore brassée actuellement. C’est également l’une des plus complexes d’un point de vue gustatif. Le lambic sert de base à plusieurs types de bières particulièrement appréciées en France, comme la Gueuze, qui est une bière à la fois douce et sèche, avec un bon équilibre entre goût sucré et acidité, aux notes de champagne et de rhubarbe, ou encore la Kriek, brassée avec 25 % de filtrat de cerises fraîches, qui en fait une bière délicieusement fruitée. La famille Lindemans est toujours restée fidèle à ses processus brassicoles artisanaux. Lindemans est désormais la plus grande brasserie de lambic familiale indépendante. Elle compte à ce jour 39 employés. ...
Les cuvées Claude Thuillier et Filles sont composées des valeurs familiales chères à une maison artisanale héritée de pères en filles. Priorisant les méthodes traditionnelles d’élaboration du champagne utilisées depuis des siècles, cette marque fêtant ses 41 ans cette année élabore ses champagnes avec attention et patience. Au programme : bulles fines, fraîcheurs et arômes ! « Faire dans la continuité des traditions » Ces propos de Claudette Thuillier, l’une des héritières de l’exploitation, rappellent le parcours authentique de cette maison. En véritables amazones du vin, les filles Thuillier se distinguent par leur maîtrise parfaite du processus d’élaboration et par leur attachement au côté artisanal. La famille Thuillier, tout en tenant à moderniser leur exploitation, a choisi de remettre à jour les méthodes de vinification en fûts tout en continuant à utiliser des procédés traditionnels comme le dégorgement à la volée ou encore le remuage en pupitre. Tout cela pour produire des cuvées de qualité à l’instar de la Cuvée Spéciale, un assemblage classique au goût affirmé et englobant toutes les saveurs du terroir. Accessibilité et convivialité sont au rendez-vous En matière d’activités œnotouristiques, le domaine des Thuillier accueille ses hôtes dans un cadre typiquement champenois. Au programme : visite des quelque six hectares de vignoble, dégustations, visite des caves... Claudette, toujours dans un souci d’hospitalité, propose par ailleurs de se loger sur place dans un gîte dans le village, cela afin de vous assurer une immersion totale dans le pays du bon vin. En pleine conversion en vue de l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), la maison Thuillier priorise, entre autres, le respect de la nature, un engagement assurant la vérité du goût de ses cuvées. ...
Plus que centenaire, le domaine du Revaou a été transmis de père en fils dans la famille Scarone, depuis Joseph Scarone, en 1898, jusqu’à Bernard Scarone, qui a pris la relève en 1994. L’exploitation tire son nom de la rivière qui passe à travers ses terres. Une agriculture biologique Situé entre Hyères et la Londe-des-Maures, le domaine du Revaou, de seulement 30 hectares, est installé sur des terres rouges, riches en bauxite et en fer typiques de la région. À seulement 6 km de la mer, les vignes du domaine du Revaou profitent d’un ensoleillement et d’une chaleur idéale tout au long de l’année. En 1999, dans une volonté de préserver l’environnement et la nature, Bernard Scarone a opté pour l’agriculture biologique. Il applique à la lettre les normes drastiques imposées par cette forme d’agriculture naturelle, saine et sans artifice. L’ensemble de la production est désormais certifié par le label AB Agriculture biologique. Il a signé en 1999 l’Engagement au Respect du mode de production bio avec Qualité France. Dans les vignes, aucun pesticide ni désherbant sont utilisés. La vinification, quant à elle, est effectuée de façon naturelle, sans ajouts d’aucune sorte. Le domaine du Revaou produit des vins sur l’appellation sous-régionale Côtes-de-Provence La Londe sur les trois couleurs. Les cépages grenache, cinsault, syrah, mourvèdre et carignan participent à l’élaboration des vins rouges et rosés ; et l’ugni blanc, le rolle et la clairette à celui des blancs. Depuis un certain temps, une politique de renouvellement de cépages est menée au domaine, où, chaque année, de nouvelles parcelles entrent dans la production de ses millésimes. Des vins d’exception Annuellement, le domaine produit près de 30 000 bouteilles. Trois cuvées exceptionnelles sortent du lot et méritent d’être mises à l’honneur. La « Cuvée Domaine du Revaou Blanc 2012 » se distingue par sa robe verte et argentée, avec des arômes de zeste de citron, de buis, de menthol et de vanille fraiche. Légère en bouche, elle révèle des notes d’agrumes frais et épicées, avec une finale iodée. Ce vin s’accorde harmonieusement avec les poissons de la Méditerranée en grillade et les fromages de chèvre frais. La « Cuvée Domaine du Revaou Rosé 2014 » est appréciée pour sa fraicheur, au nez citronné qui évolue sur des notes de pamplemousse, de rose sèche et de pêche mure qui s’affirment en rétro-olfaction. En bouche, sa maturité s’affiche avec un volume généreux, une finale acidulée et framboisée. Sur la table, cette cuvée peut être servie en apéritif avec des tomates séchées ou du jambon cru et accompagne bien les salades, la soupe au pistou ou la bourride. La plus prestigieuse de toutes les bouteilles est sans nul doute la « Londe Rosé 2015 », avec sa robe pâle aux reflets dorés. En nez, on remarque des arômes fumés qui évoluent en feuillage humide et agrume. En bouche, l’attaque est souple et on distingue des notes acidulées de groseilles, de carambole, de physalis et de pamplemousse rose. En finale, une senteur de zestes d’agrumes s’affirme. Ce magnifique rosé sera servi à 12°C avec des noix de Saint-Jacques et mousse de poivrons rouges, un dos lieu jaune à la plancha et sauce de seiche ou une cassolette de palourdes et de moules avec tombée d’anchois. ...
Confortablement installé dans le 11e arrondissement de Paris, l’établissement offre un cadre convivial et chaleureux qui rappelle familièrement une ambiance de maison de campagne. Dans un décor aux meubles patinés, l’établissement nous plonge dans une douce rêverie où se fondent des milliers de saveurs et de senteurs, un parfait équilibre entre cuisine corse et cuisine bretonne avec, notamment, beaucoup de salé et de sucré. Cuisine gourmande, ambiance familiale Repris à un couple de propriétaires corses, le restaurant garde aujourd’hui encore certains produits qui ont, dans le passé, bâti sa renommée, dont, notamment, le fromage corse, la charcuterie corse, auxquels est venue s’ajouter la vente d’eau minérale corse telle que l’Orezza. Chez Mamie Tevennec flotte en permanence cette atmosphère particulière qui nous fait sentir bien et détendu qu’on se croirait presque comme chez mamie, une métaphore qui explique bien son ambiance familiale. Le chef se plait à composer de belles assiettes avec, tous les jours, un menu du jour proposé à la carte et, le weekend, une formule brunch à volonté à 24 € avec sa flopée de viennoiseries, de saumon cru, de tartes, de charcuteries mais aussi des quiches. Les galettes font partie des spécialités emblématiques de l’établissement, notamment la croustillante avec sa crème de citron nappée de crème brulée, sans oublier le caramel au beurre salé. « Nous faisons tout nous-mêmes », nous indique-t-on et « la pâte des crêpes et des galettes est bio, préparée un peu à la provençale et cuisinée sur place ». Pour accompagner les plats, l’établissement propose plusieurs variétés de vins, des cidres bio ainsi que des cidres bretons de toutes sortes qui se déclinent en plusieurs versions : du doux, du brut, au pichet et en bouteille. Parmi ses meilleures références, on peut citer le Juilly d’Ys ou encore le Père Jules qui sont des cidres de très bonne qualité au même titre que le cidre bio rose. ...
Installé dans l’un des « plus beaux villages de France », dans le village médiéval fortifié de Montpeyroux, le Bistrot Zen offre un cadre sympathique et convivial en plein cœur de la campagne avec quarante couverts à l’intérieur et quarante à l’extérieur. Racheté en 2014, l’établissement a été entièrement restauré de façon à créer une ambiance originale, moderne et chaleureuse, depuis la salle à manger à la cuisine jusqu’à la cave à vin. « Cette ancienne cave est constituée de petites salles voûtées en pierre avec des recoins partout, des bougies, des petits éclairages…», révèle le chef et propriétaire Cyrille Zen en parlant de cet espace qui fait sa fierté. Une cuisine de bistrot originale et locale Ayant un goût particulier pour les « bons produits », le chef Cyrille Zen se distingue par sa cuisine qui mélange la tradition et la modernité. Ouvert il y a trois ans, le Bistrot Zen a été créé à partir d’un concept original qu’est la cuisine de bistrot. Les plats sont généreux, mais soignés et élaborés avec, essentiellement, des produits de la région. Grâce à une collaboration étroite avec les producteurs locaux, qui se trouvent dans un rayon de trente kilomètres environ, « nous changeons les cartes tous les mois et demi ou tous les deux mois selon les saisons », explique le chef. À côté de son établissement étoilé à Saint-Jean-en-Val, en Auvergne, « ici, nous proposons des plats signatures – ma propre signature culinaire, mais avec des formules plus abordables pour les personnes qui n’ont pas le moyen de venir chez nous en tant qu’étoilé », souligne-t-il. Composées de trois entrées, trois plats et trois desserts, les formules de menu « entrée-plat », « plat-dessert » ou « entrée-plat-dessert » peuvent être accompagnées de fromage en supplément si besoin est. Comme plat emblématique, le chef est reconnu pour ses choux farcis à la joue de bœuf, avec en entrée des asperges, des escargots ou du maquereau mariné façon aigre douce. Au dessert, il suggère du chocolat et de la framboise. Avant de partir, l’établissement propose de déguster des vins de la région culturelle et historique d’Auvergne. Sous la conduite de la femme du chef, Audrey, la cave du Bistrot Zen conserve une panoplie de références de vins de toutes les régions françaises, notamment du Languedoc. Toutefois, « nous privilégions des produits de vignerons locaux à l’instar d’Yvan Bernard, pour faire découvrir des vins qui ne sont pas des produits de négoce », précise le propriétaire. ...
Charismatique, le vignoble Schlumberger est aussi étendu qu’inspirant. Une partie des vignes - la totalité courant sur 850 kilomètres - est organisée en terrasses, soutenues elles-mêmes par des murs romains en pierres sur 50 kilomètres. Deux maçons s’attèlent à les ériger et à les préserver, dans le respect des traditions. Une cave centenaire, une récolte manuelle ou encore, deux chevaux de labour, révèlent les valeurs du domaine, portée par la famille Schlumberger depuis sept générations. Fidèles à leur terre, ces vignerons dans l’âme sont aussi 100% récoltants. Tout est fait maison, dans l’amour du vin et de la nature, loin des productions impulsives. 70 hectares sont classés Grands Crus : Kitterlé, Kessler, Saering, Spiegel. Le vignoble peut bien s’enorgueillir. Malgré un rendement assez faible et une production délibérément limitée, le domaine Schlumberger est considéré comme le plus grand producteur de crus d’Alsace. Ses vins sont certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum) et respectent consciencieusement la charte d’une culture raisonnée. Ici, on aime la biodiversité dans son ensemble et au détail, les raisins bien sur, en passant par les fleurs, les insectes etc. Une terre chérie depuis 1810 Thomas et Séverine Schlumberger sont à l’écoute de la nature. Ils ont repris le flambeau dans cet esprit, comme une philosophie intrasèque à leur héritage. La connaissance du terroir, de ses souvenirs à ses respirations, est sublimée dans chaque gamme du vignoble. Elles se racontent aussi, devant un verre de vin à la rondeur délicieuse et au caractère inspiré par les pierres ancestrales alentours. Fort d’une équipe investie, le domaine aspire à l’authenticité et à l’excellence sans compromis. Un bon vin est un plaisir que l’on prend le temps de choisir, dans une cave connaisseuse, un marché convivial, ou qu’on déguste dans un restaurant raffiné. Exportées dans le monde entier, médaillées et classées dans tous les guides, les bouteilles Schlumberger savent se rendre accessibles tout en préservant l’instant unique de leur dégustation. Des vins de collections aux grands crus Les Princes Abbés interpellent par leur nom, invitant à savourer de nouveaux récits. Durant 1000 ans, les abbés entretenaient le terroir de Guebwiller. En leur honneur, cette gamme classique se décline en deux couleurs. Des blancs à la fraîcheur limpide et à la robe citronnée y cotoient des rouge rubis soyeux ou joyeusement printanniers. Les grands crus du vignoble adoptent humeurs salines ou minérales, selon leurs sols d'origine. Ils diffusent leurs arômes, tour à tour moelleux, bucoliques, tendus ou tendres. Les cuvées de collection sont l’expression de grains nobles et de grands crus, qu’il a parfois fallu attendre longtemps, avant de vendanger. Baptisées par les prénoms des membres historiques de la famille Schlumberger, ils sont aussi des vins rares, à l'éclat patient. Le site Internet du domaine est à son image : épuré et généreux à la fois. Véritable poème pour les amateurs de très bons vins, il vous dira aussi comment associer les finesses entre elles. Cette fois, c’est le repas qui accompagnera le vin, pas l’inverse. ...
Hinano est la bière polynésienne par nature. La Hinano blonde est de type lager, de fermentation basse et de couleur dorée, tirée à 5 % d’alcool, et à l’amertume prononcée.Elle est fabriquée à Tahiti, dans la vallée de la Punaruu, sur le site de production le plus moderne du Pacifique Sud, ce qui lui permet de garantir une qualité exemplaire.Véritable contributrice au rayonnement de la Polynésie à l’international, la marque Hinano s’exporte depuis 1991 et séduit de nombreux consommateurs partout dans le monde, en France, à Hawaii, en Nouvelle-Calédonie, au Japon ou en Californie… En France, elle est distribuée en plusieurs formats : boîte de 50 cl et bouteille de 33 cl.Que ce soit en sponsorisant l’élection de Miss Tahiti pendant plus de 15 ans ou en parrainant des événements surf jusqu’en 2003, la marque prend part à de nombreuses activités majeures sur son territoire. Avec plus de 40 000 fans sur sa page Facebook, et aidée de son logo de la Vahiné dessiné par Pierre Heyman, la marque attire de nombreux amoureux de la Polynésie à travers le monde depuis 1955, année de sa création.Elle organise aujourd’hui des concerts live avec des musiciens locaux, les « hinano lives », qui connaissent un véritable engouement populaire....
Dominique Sendron a repris l’exploitation familiale il y a 22 ans. Elle perpétue le savoir-faire en veillant minutieusement à la manipulation des vignes, de la récolte à la mise en bouteille. Un terroir productif Le terroir est habillé d’un sol argilo-calcaire, où sont cultivés essentiellement du meunier (85 %) et du pinot noir. L’exposition sud favorise la maturation des vignes et procure une intensité aromatique aux champagnes. ...
À arborer chez soi, dans un lieu de réception ou dans une soirée d’entreprise, la décoration de table est l’ambassadrice d’un style et d’une identité. Depuis 2002, Sables et Reflets a créé tout un univers fait de verres lustrés, élégants, épurés, contemporains ou encore colorés, adaptés au goût de tous. Des modèles variés, uniques, et personnalisables à souhait. Une entreprise à dimension humaine Elle se situe dans le sud de la France, et a bâti sa réputation sur la conception et la création sur verre soufflé et le travail de la pâte à verre. « Cette technique, de moins en moins appliquée, nous permet de réaliser plus de possibilités quant à la couleur, le relief, le polissage ou le motif sur les verres ou les vases », nous dévoile le gérant. Et même si les produits, notamment les vases, sont travaillés avec ce même savoir-faire artisanal, ils présentent chacun différentes caractéristiques et deviennent des pièces uniques. Les verres traditionnels, comme les verres à champagne et les carafes à whisky, quant à eux, sont façonnés à la main dans l’atelier de fabrication. Être une entreprise familiale permet à Sables et Reflets de se rapprocher un peu plus des clients pour mieux cerner leurs exigences : « Notre plus grande force est la qualité de notre service client », renchérit notre interlocuteur. D’ailleurs, pour réaliser les commandes spécifiques des clients, la société combine son savoir-faire avec ceux des artisans spécialistes pour parfaire chaque commande au détail près. Autant de particularités qui lui ont permis de développer un portefeuille de clients composé de café/hôtels/restaurants, mais aussi d’entreprises et de particuliers. Une sélection de produits Modèles classiques ou contemporains, pour une utilisation quotidienne ou pour les grandes occasions, à s’offrir ou en cadeau, la gamme très complète laisse défiler une centaine de produits. On distingue les verres pour servir du champagne, vin ou whisky, de formes et tailles différentes, qui sont commercialisés par lot de six pièces. Et l’enseigne vient de lancer une nouvelle série de verres à pied qui revêtent plusieurs coloris, et sont parfaits pour une dégustation de vins à l’aveugle, tout en apportant une touche plus punchy à la décoration. Pour des idées de cadeaux originaux, Sables et Reflets propose la carafe à whisky/vin Toupie, un produit fait main d’une capacité de 750 ml, ou encore le lot de quatre verres à mojito barman professionnels 32 cl. À préciser que les clients peuvent apposer leur logo, leur couleur ou leur slogan pour personnaliser les produits. ...
Stéphane de Luze, propriétaire du Château de Briat où il produit ses Armagnacs, porte avec passion l’héritage familial dont il représente la 5ème génération. Sa vocation a recueillir les fruits de la terre, à les transcender pour en obtenir des Armagnacs authentiques, s’accompagne d’une autre volonté : accompagner le précieux élixir dans sa nouvelle et légitime ascension. Loin des grosses productions dont profitent d’autres alcools plus populaires, l’Armagnac préserve sa rareté, enfant prodige de petits producteurs ou du "Craft Spirit" depuis toujours Un véritable savoir-faire derrière des Armagnacs charismatiques Les vignes du domaine Pichon-Longueville s’étendent sur 8 hectares, où s’épanouissent des cépages de Baco, de Colombard ou de Folle Blanche. Ici, la production est délibérément limitée. L’agriculture est raisonnée et conjugue tradition et modernité. Un long travail de distillation, un élevage et un vieillissement en barrique de chêne Gascon dont les Armagnacs retiendront la couleur ambrée et une maturité exceptionnelle, donnent à ces bouteilles leur caractère unique, fin et puissant à la fois. Une eau de vie à savourer lors de précieux instants et dont le domaine vous confie la quintessence et le poème. ...
C’est dans le sud de la Bourgogne dans la campagne brionnaise que Marie-Christine et Philippe reçoivent leurs convives. Le couple a installé son restaurant dans une dépendance d’un ancien château. Il y instaure un décor authentique fait de pierres et de poutres apparentes, de vieilles tomettes et d’une grande cheminée. Ce cadre de charme plonge les clients dans une ambiance de type taverne où chaleur et convivialité sont au rendez-vous. Et pour ceux qui veulent rester pour la nuit, la ferme-auberge possède également quatre chambres d’hôtes, classées 3 épis Gîtes de France. Côté cuisine Le concept de la maison est simple : servir des plats composés de produits issus de sa propre exploitation ou des exploitations voisines. « Nous proposons une cuisine à base de produits locaux : les végétaux de notre jardin, les viandes de notre élevage familial, et d’autres produits du terroir », précise la cheffe Marie-Christine Paperin. À table, elle tient à conserver le « Menu Campagnard », le menu historique, en le revisitant un peu. « C’était le premier menu servi à l’époque où mon beau-père préparait toutes les charcuteries, ma belle-mère faisait les fromages blancs », nous raconte-t-elle, un brin nostalgique. Aujourd’hui, ce menu est composé d'une assiette de charcuterie faites maison ( terrine, jambon cru, pâté...) à l’entrée, accompagnée d’une galette de pommes de terre et d’une salade, de fromage blanc à la crème et d'un dessert. Pour les clients qui restent séjourner, la cheffe recommande la formule « Menu du jour » pour découvrir des plats variés et goûter aux belles viandes charollaises que son époux élève avec passion. Pour les sorties dominicales en famille, rien de tel que le « Menu du dimanche », où l’on sert en plat principal de la viande de bœuf grillée accompagnée d’une salade et de légumes de saison. La carte des vins « On a plutôt une carte locale, sur le même registre que les menus », explique la cheffe. La maison sélectionne les producteurs de la région qui fournissent des vins vraiment à son goût. Bourgogne, beaujolais et vins brionnais enrichissent la carte pour des accords mets et vins réussis. ...
La marque Sassy est lancée en 2014 sous l’impulsion de deux amis d’enfance Pierre-Emmanuel RACINE-JOURDREN et Xavier D’AUDIFFRET-PASQUIER, originaires de Normandie et vouant une grande passion pour le cidre. Au cours de leurs études à l’étranger, ils constatent un engouement autour des « ciders ». Cependant, ces boissons à base de concentrés de jus de pomme sont loin des standards qualitatifs auxquels nos deux amis sont habitués. Ils décident alors de proposer un produit « made in France » à la fois moderne et haut de gamme. Des créations tendances Visant une qualité optimale, les créations Sassy sont sans ajouts et non concentrées. Du 100 % pur fruit, élaboré en partenariat avec un maitre de chai. Pour être dans l’air du temps, le design a été soigneusement travaillé et les créations mises en valeur dans des bouteilles de verre blanc de 75 et de 33 cl. Mais c’est véritablement sur la qualité que tout se joue. Pour preuve, les créations Sassy sont associées à des grands noms de la gastronomie et de la mixologie comme Alain Ducasse (éminent chef étoilé) ou Julien Escot (champion du monde de cocktail). Du brut au plus fruité, en passant par des arômes acidulés, les 5 produits de la maison se prêtent idéalement aux jeux des associations. ...
Que ce soit en salle avec vue sur la cuisine, en terrasse ouverte, ou juste en terrasse couverte comme c’est le cas à Colomiers, BATbAt est d’abord un lieu de découverte de nouvelles saveurs. Son art particulier de cuisson des viandes infusées aux herbes aromatiques ou encore aux racines fraiches font de celles-ci un délice d’exception pour les palais. Au menu, des plats typiques de la cuisine de rue vietnamienne, et d’autres qui sont revisités grâce à la touche occidentale dont seul Olivier Barbot, fondateur de BATbAt, a le secret. Des plats traditionnels avec la touche BATbat Bo Bun au saumon ou à la viande de bœuf, pho dont la viande infuse dans le bouillon à la cannelle, au gingembre et à la cardamome noire, rouleaux de printemps à la viande ou au poisson, gâteau vietnamien au manioc, dessert à la banane fraiche… Autant de mets traditionnels mais préparés avec la touche BATbat qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. De quoi satisfaire pleinement les papilles des adeptes de la cuisine d’Asie du Sud-Est. Chez BATbAt, le plat phare est le bo bun. Il est proposé sous sa forme traditionnelle à base de bœuf ; mais il est également décliné avec du saumon, des crevettes ultra fraiches ou bien encore du porc légèrement épicé, accompagné de vermicelles de riz, d’herbes aromatiques et d’une sauce sans huile. Bien entendu, le pho, plat national du Vietnam, y est servi. Mélange de nouilles de riz accompagnées de viande de bœuf coupée en fines tranches, façon pastrami, et servies dans un bouillon bien chaud avec diverses herbes aromatiques : les aficionados y reconnaitront son excellence. Les rouleaux de printemps, autre spécialité typiquement vietnamienne, sont ici étonnamment préparés avec de la salade de papaye verte, garnis de poisson ou de viande, sans oublier les herbes aromatiques. Comme dessert phare, l’on retrouve le fameux che, une composition en couches translucides mêlant tapioca blanc, banane fraiche, crème de coco et cacahuètes pilées. Ambiance world food Pour accompagner tous ces plats, BATbat propose des boissons faites maison, à l’instar de la citronnade fraiche, des thés glacés déclinés avec des sirops maison de menthe, de framboise, sans oublier les thés chauds déclinés en différents parfums. La bière vietnamienne, quant à elle, est forcément de la partie : 33’ Export, Saigon, Hanoi et Lao. Enfin, le maitre des lieux Olivier Barbot a à cœur de présenter une carte des vins, constituée de vins de pays, entre vins rouges et rosés, souvent bio, comme des IGP Côtes-Catalanes, les vins des Vignerons d’Estézargues ou encore ceux du Domaine des Schistes. Par ailleurs, les restaurants BATbat proposent un service à emporter, une livraison à domicile et un service traiteur. Plats traditionnels et originaux à la carte ; vins bio, bières importées et thés qui se marient parfaitement ; prix très abordables, avec un ticket moyen de 13€ le midi 21 € pour un repas complet le soir… On l’aura compris, la cuisine de rue du Vietnam est la marque de fabrique de BATbAt, mais pas seulement : la finesse des préparations culinaires et la qualité de l’accueil attirent un nombre grandissant de fidèles de ces trois restaurants, devenus aujourd’hui une référence. ...
Situé face au Golfe de Saint-Tropez, à mi-chemin entre Sainte-Maxime et Grimaud, le Restaurant Villa Les Rosiers jouit d’un emplacement privilégié qui fait toute la différence. Animé par « la volonté de bien faire » comme le souligne si bien Marc Rosenbaum, propriétaire, l’ensemble des services de l’établissement s’articule autour d’un seul leitmotiv : la qualité ! Un environnement d’exception A travers une décoration à la hauteur de la vue et un service hors pair, la Villa Les Rosiers s’est toujours démarquée des autres établissements. Fidèle au rendez-vous, la qualité transparait dans les moindres détails avec toujours ce côté intriguant que les visiteurs apprécient dans leur soif de découverte. Aménagé pour votre confort et pour votre bien-être, l’établissement allie charme et plaisir pour vous accueillir et vous faire découvrir tous ses attraits, dont une vue sur mer des plus spectaculaires et une plage à perte de vue autour de la piscine sans parler de sa proximité avec le golf 18 trous de Beauvallon. Une cuisine de qualité gastronomique « fait maison » Ce souci pour la qualité se retrouve partout jusque dans vos assiettes et ce n’est pas le Chef Andrea Schläppi qui vous dira le contraire. Tous les jours, une cuisine de marché aux saveurs provençales et du monde fait le bonheur de nombreux gourmets avec le plaisir du « frais » à la carte. Une « cuisine à la minute et impérativement fait maison » a toujours été le point fort du restaurant. Les habitués aiment en parler autour d’eux surtout que les produits sont de première qualité et 100% français pour ne citer que le Charolais pour la viande de bœuf, le Sisteron pour l’agneau et la qualité Bresse pour la volaille. ...
L’exploitation familiale Th. Petit a été reprise en 1995 par Bénédicte Bérard-Meuret. Aujourd’hui, elle et son époux travaillent ensemble sur un vignoble qui s’étend sur une superficie d’environ 6 ha. L’encépagement s’y compose majoritairement de pinot noir et de chardonnay. « Notre terroir jouit d’un très bon ensoleillement et il est très favorable à l’expression du pinot noir », souligne la gérante. Un processus maitrisé Depuis sa création, la maison Th. Petit a toujours cherché à privilégier une méthode culturale qui respecte l’environnement. Actuellement, elle s’est engagée sur une viticulture raisonnée, impliquant une utilisation très limitée de produits phytosanitaires. Concernant la vinification, le pressurage est confié à la coopérative vinicole du village. Les précieux jus rejoignent ensuite les cuves de l’Union Champagne à Avize. Il s’agit d’une structure qui regroupe plusieurs coopératives champenoises et dont le savoir-faire est reconnu par les plus grands experts en vin. « L’élaboration, quant à elle, est assurée par un œnologue », nous confie-t-on. Des cuvées prestigieuses Afin de satisfaire une large diversité de consommateurs, la maison propose une gamme complète de champagnes : Blanc de blancs, Brut, Brut rosé, Demi-Sec, Millésimé 2012 et Prestige Millésime 2006. La cuvée Brut et la cuvée Prestige Millésimé 2006 peuvent toutes les deux prétendre au titre de « cuvée emblématique » de la maison Th. Petit. La première est obtenue à partir de 75 % de pinot noir et de 25 % de chardonnay. Ce champagne de cœur revêt une teinte or brillant et séduit par ses arômes de fruits rouges et de pêche. Une cuvée de qualité exceptionnelle récompensée par 3 étoiles au Guide Hachette. Le Millésime 2006, quant à lui, s’obtient par l’assemblage de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. C’est un champagne racé, puissant et qui saura accompagner parfaitement tous les moments d’exception. ...
Avec ses 11 ha, ce terroir du Vaucluse situé entre Vacqueyras et Gigondas fait des envieux. Et pour cause, les ingrédients d’une vendange de qualité sont réunis grâce à son ensoleillement exceptionnel couplé au mistral. Soucieux de faire perdurer les saveurs du terroir à travers le respect du sol et des vignes, le Domaine des Espiers est en viticulture biologique depuis 1999. « Nous avons été avant-gardistes dans notre style de vinification », explique Philippe Cartoux, propriétaire du domaine. Des techniques innovantes entrainant une belle reconnaissance Dans sa quête de la qualité, il a développé un système de thermorégulation pour ses cuves, étant électrotechnicien de formation. « Je réchauffe le jus pour relancer le début de fermentation ainsi que pour la rallonger, de sorte qu’elle soit plus complète. Cette technique, en plus de donner des vins souples, permet de mieux fixer les couleurs », ajoute-t-il. Sur les appellations Gigondas, Sablet et Côtes-du-Rhône, le domaine produit des cuvées qui ont su conquérir des tables étoilées. Parmi les privilégiés : le Restaurant Pierre Gagnaire, Le Grand Restaurant, de Jean-François Piège ou Le Jules Verne. Faisant l’objet de commentaires élogieux et bien mérités lors des dégustations, la réputation des vins du Domaine des Espiers n’est plus à faire. ...
Idéalement situé au bord de l’Yonne et niché dans un petit village paisible, l’établissement dégage un charme intemporel. À l’intérieur, le mélange du style champêtre et moderne intrigue, et les tableaux des artistes peintres locaux qui viennent orner le mur blanc captivent toutes les attentions. Dans cet endroit chaleureux, Laure et David accueillent les clients, habitués ou simplement de passage sur l’autoroute, et les invitent à passer un moment convivial autour d’une bonne table. Privatisable, l’endroit se prête à divers événements familiaux ou non tels baptêmes ou anniversaires avec une capacité d’accueil de cinquante personnes en restauration traditionnelle. En revanche, lors des soirées à thèmes comme la « fête de la musique » ou « Garçon la note », qui est un événement en partenariat avec l’Office du tourisme de l’auxerrois, cette capacité s’étend à une centaine de personnes, étant donné que les festivités ont lieu à l'extérieur. Les spécialités maison Laure, chef en cuisine, n’y est pas allée par quatre chemins dans la création de sa carte. Celle-ci est succincte mais l’excellence de la cuisine bourguignonne y est bel et bien au rendez-vous. Laure sait initier ses clients à de belles découvertes culinaires en mettant en scène et sans jamais les dénaturer les produits de saison frais, issus des producteurs locaux. « Nous varions régulièrement les assiettes, mais nous restons toujours sur les produits et les recettes du terroir », fait-elle savoir. Notre passionnée appose sa signature dès l’entrée, en proposant les fameux escargots avec une sauce chaource, la salade accompagnée de croustillants de pieds de cochon, ou encore le foie gras maison sur toast. Pour les plats, les clients ont le choix entre un classique à l’instar de l’entrecôte et ses frites maison, ou une suggestion plus originale qui ne déroge pas au style traditionnel de la maison comme l’andouillette façon « grand-mère ». À noter que la carte suggère toujours un plat à base de poisson en sauce selon l’arrivage et un plat de viande rouge. Côté dessert, le vacherin à la framboise est un incontournable. C'est un sorbet framboise accompagné de meringue, chantilly et coulis de fruits rouges, le tout servi dans un bocal. Voilà un dessert qui clôture cette expérience gustative sur une note bien gourmande. Au plus près de la région Locavore dans l’âme, le couple a sélectionné le meilleur des vins bourguignons et icaunais pour accompagner les plats. Chablis « Vieilles Vignes » et chablis 1er cru « Côte de Léchets », les emblématiques de la région se distinguent parmi la liste. « Nous avons également le bourgogne Irancy du Domaine Cantin», souligne David. Pour les vins blancs locaux, le restaurant travaille avec d'autres domaines tels que Daniel-Etienne Defaix, Race, Giraudon, et Les Coeuriots. En vins rouges, il se fournit auprès des domaines Cantin, Giraudon, Gabrielle et Martin. Concernant les rosés, les fournisseurs attitrés sont les domaines Vignot et Giraudon. Le champagne quant à lui vient du domaine Roland Champion. Aussi, pour s’approvisionner, les fournisseurs locaux sont privilégiés à l’instar de la fabrique d'escargots située à Bassou 89400. ...
Petite commune tranquille de Haute-Garonne située à 10 minutes de Blagnac et à 20 minutes de Toulouse, Mondonville abrite une table gourmande qui fait la part belle aux produits du terroir. Aux Ecuries de la tour, le sud-ouest est à l’honneur à la carte comme dans la cave à vins. Vous y dégusterez des plats traditionnels gascons revisités selon l’imagination et l’inspiration de l’équipe en cuisine placée sous la houlette de Jérôme De Stéfani. Ce chef passionné saura éblouir vos papilles avec des associations de saveurs subtiles qui rappellent des souvenirs d’antan. Une cuisine goûteuse axée sur le régional La cuisine régionale des Ecuries de la Tour saura largement satisfaire les fins palais. Aux fourneaux, le chef Jérôme De Stéfani veut retransmettre dans ses créations culinaires, ses valeurs du sud-ouest et ses origines toulousaines. Il propose ainsi des plats gourmands entièrement qui prônent sa créativité. Etant également Maître Restaurant, le chef réalise du fait-maison avec des produits bruts. Tous les jours, le restaurant propose des formules « Midi » avec en option : un plat du jour unique à 12 euros, une entrée et un plat ou un plat et un dessert à 16 euros et enfin une entrée, un plat et un dessert à 20 euros. Toute la semaine de mardi à dimanche, en journée comme en soirée, la maison propose également deux menus que vous créerez vous-même à partir des suggestions à la carte. Vous avez le choix entre trois ou quatre déclinaisons, c’est selon les envies. Commencez cette escapade gourmande avec une Terrine de foie gras aux mendiants, puis enchaînez avec une Assiette de pêcheur ou un Filet d’agneau en croûte de moutarde, jus de romarin. Achevez cet agréable moment culinaire avec une note douceur en optant pour un Moelleux chocolat noir, caramel beurre salé, glace spéculos. Vos papilles ne s’en remettront pas. Vive le terroir Pour l’acquisition de ses produits, le restaurant s’oriente vers les agriculteurs et éleveurs locaux. Canard, foie-gras, cochon noir du Bigorre… tous les produits du terroir sont rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs de la région. Le sud-ouest s’invite aussi dans la cave à vins. Côtes de Gascogne, St Sardos, Pacherenc Sec… il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets. Bien sûr, d’autres régions sont représentées, de quoi vous offrir le maximum de choix. Une belle décoration atypique Le fameux esprit typiquement toulousain se ressent jusque dans la salle. La bâtisse qui date du XVIIème siècle offre une belle association entre chênes et briques rouges. Il a fallu huit années aux propriétaires avant de venir à bout des travaux et ouvrir enfin l’établissement qui a été inauguré en 2007. A l’intérieur, chaque détail décoratif compte : du verre soufflé servant d’appliques pour créer l’éclairage, à la balustrade réalisée par les Compagnons du devoir jusqu’à la collection de téléphones datant de 1890 et disposés un peu partout dans la salle. En quête d’intimité ? Installez-vous dans les petits box dans lesquels se trouvent seulement deux tables pour deux personnes. La grande salle quant à elle procure une ambiance plus conviviale. ...
Installée dans la région depuis des siècles, issue d’une lignée de chevaliers, la Maison Ravoire produit et distribue des vins sous les AOP Côtes de Provence et pour la Vallée du Rhône en appellations Côte-Rôtie, Crozes-Hermitage. Saint-Joseph, Châteauneuf-du-Pape, Gigondas, Vacqueyras, Cairanne, Sablet et Côtes du Rhône. Vins Ravoire, un savoire-faire séculaire... Son passé prestigieux, présent depuis 1593, a permis à la famille de produire son vin autour de valeurs fortes comme la passion, l’humain ainsi que le respect de la nature. Ces qualités se démarquant particulièrement à travers des marques phares comme Manon ou Maison Ravoire. Depuis quelques années, la famille s’est également engagée dans une démarche environnementale exigeante. Cette démarche leur a notamment permis d’obtenir un bilan carbone (GES) classé Scope 3. ...