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Papilles & Mamies : délicieusement authentique

Papilles & Mamies propose une cuisine 100% faite maison, saine et équilibrée, mais surtout savoureuse. Pourquoi ne pas se simplifier le quotidien ? De l’entrée au dessert, partout en France, vous êtes livré chez vous. L’ouverture des commandes est prévue avant l’été, une bonne nouvelle pour les papilles en quête de saveurs !

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Jubiles : l’entreprise qui va vous faire aimer la Kombucha.

Vous avez enfin trouvé une alternative à l’eau et aux sodas : la kombucha.

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Califrais : une solution qui facilite la vie des restaurateurs

Face aux besoins exprimés par de nombreux professionnels de la restauration, Califrais simplifie le processus d’approvisionnement en produits frais et se charge de sourcer, négocier et livrer les meilleurs produits directement en cuisine. Motivée par une démarche écologique, la start-up permet de réduire le nombre d’intermédiaires généralement élevé en se positionnant comme fou...

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Le Coude à Coude : le plaisir d'une table conviviale

Parfaitement installé au bout du Sillon, la plus grande plage de sable de Saint-Malo, Le Coude à Coude est une invitation au voyage et au plaisir de la cuisine bistronomique. Dans ce petit établissement contemporain créé en 2009, l’accueil chaleureux de Karine Cordeau accompagné de musique discrète et des plats cuisinés divinement par le restaurateur, ne laissent pas indifférents les visiteurs de passage en Bretagne. L’atout majeur du restaurant, « c’est sa petite taille, sa cuisine ouverte ainsi que les jolis produits issus du terroir breton », souligne le propriétaire et chef Nicolas Bourdon. Une cuisine instinctive et traditionnelle Outre les crêpes, la cuisine bretonne cache plusieurs autres particularités et spécialités. Au Coude à Coude, le chef privilégie les produits du terroir, les fruits de mer, et plus particulièrement les poissons. Ces derniers sont sublimés par un accompagnement singulier (fenouil confit, émulsion de moules au curry) et une cuisson soignée. Pas uniquement ibère, ni seulement bretonne mais parfois un peu des deux, le style culinaire du restaurant mélange les produits frais locaux pour en faire une cuisine inventive à part entière à travers laquelle « les plats sont ancrés dans la tradition et la cuisine de grand-mère », explique notre interlocuteur. Une carte inventive et authentique Le Coude à Coude se distingue aussi par la créativité de son chef qui innove en permanence dans ses préparations. Sa « cuisine du marché » où tout est réalisé devant les convives flatte les palais les plus exigeants. Composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, la formule du jour servie chaque midi est renouvelée régulièrement pour justement garantir cette notion de « fraîcheur et de qualité »... Le soir, les convives pourront choisir les plats sur l'ardoise de produits frais. Quant aux amateurs de bons vins, plus de 150 références sont mises à leur disposition pour leur plus grand plaisir. La carte est constituée par Nicolas, aidé de ses deux conseillers Christophe Péroux et Thierry Duchêne. La sélection créée notamment avec la collaboration de la Cave de l'abbaye St Jean vous fait voyager dans les plus beaux vignobles de France.  ...

Champagne Pierre Moncuit : l’excellence du Champagne, sublimé au féminin

Le domaine du Champagne Pierre Moncuit sublime sa terre depuis plus d’un siècle. Ses vignes courent sur 20 hectares, dont 15 en grand cru, où des pieds de Chardonnay d’une moyenne d’âge de 50 ans, s’épanouissent et s’expriment sous le regard bienveillant de leurs propriétaires. Vigneronnes de mère en fille Nicole Moncuit, fille de Pierre Moncuit, reprend le domaine dans les années 80 en tant que vinificatrice. Avec son frère, Yves, pour la partie commercialisation, elle dessine dès lors la renommée du domaine et de ses cuvées, devenues incontournables pour les amateurs de Champagne. Cet amour de la terre et du métier, elle le communique à sa fille, Valérie, aujourd’hui à la tête du vignoble. Toutes deux travaillent à la production, complices et habitée par les mêmes valeurs. Ici, la viticulture est certifiée Haute Valeur Environnementale. Le sol est chéri et confie toute son élégance aux champagnes du domaine. La production ne se fait jamais au détriment du temps ou de la nature. La sagesse et la précision révèlent des cuvées aux fruits sublimés, aux aromes complexes et à la longueur en bouche admirable. Si Valérie Charpentier parle avec ferveur des différentes cuvées, elle cite avec une tendresse toute particulière la cuvée du nom de sa maman, Nicole Moncuit. Réalisée à partir des plus vieux pieds du vignoble (90 ans d’âge), elle en révèle tout le caractère et la sagesse. Il n’y a plus qu’à sortir les coupes pour savourer la perfection d’un champagne délicat, aux bulles joyeuses et raffinées. ...

Le restaurant gastronomique du Château de Courban : une maison qui réchauffe le cœur et régale les papilles

Pierre Vandendriessche, décorateur originaire de Lille, a acheté au départ, Le Château de Courban, uniquement pour en faire une maison de famille. Le destin veut, cependant, que cette demeure solitaire devienne une infrastructure hôtelière. Elle commence à héberger des chasseurs venus de loin et évolue au fil du temps. Le château dispose aujourd’hui de vingt-quatre chambres et suites de charme, d’un pigeonnier amménagé sur deux étages, d'un Spa Nuxe, sauna, hammam, jacuzi, hydroget, salle de soin individuelle et salle de soin en duo, de jardins en cascade, d'une piscine à double débordement et d'un restaurant Gastronomique. Du haut de ses quatre étoiles, le château de Courban reste fidèle à son esprit de maison de famille. La maison crée ainsi un lien unique avec ses hôtes à travers l’ambiance conviviale qui y règne, les soins  NUXE et surtout la cuisine inventive du jeune chef étoilé TAKASHI KINOSHITA. Cap sur cet endroit enchanté qui fait partie de la collection Les Collectionneurs (le nouveau Château Hôtel Collection groupe Alain Ducasse). Un restaurant gastronomique  Hébergée dans dépendance aménagée comme une orangerie, le restaurant invite les visiteurs à une parenthèse gourmande. Ce restaurant gastronomique s'est vu récompensé à plusieurs reprises pour la qualité de sa cuisine. Il a à son actif une étoile au Guide Michelin, deux toques et Jeune Chef Espoir au Gault et Millau, Grande Table 2017 par la région Bourgogne Franche Comté, en plus d'être élu Grande Table par le groupe Alain Ducasse. Les grandes baies vitrées laissent la lumière naturelle inonder toute la salle, et permettent également aux visiteurs de visualiser le décor extérieur. Une grande terrasse en bois, s'ouvre sur un jardin en cascade verdoyant. De plain-pied avec le gazon, elle offre un espace terrasse accessible à tous en saison. Ceux qui aiment manger ou se détendre en plein air peuvent en bénéficier, surtout lors des journées ensoleillées. La nuit tombée, le site rayonne d'une beauté féérique. Des lustres et lampadaires illuminent l’intérieur, tandis que le jardin dévoile sa splendeur sous l’éclairage extérieur. Ce cadre au jeu de miroir, d’une capacité de plus de 100 couverts, est parfaitement privatisable. Il peut accueillir des réceptions, des mariages, des réunions de familles, des séminaires ou des banquets, à condition d'être reservé bien à l’avance... Un enchantement de saveurs Avec le chef Takashi Kinoshita aux fourneaux, les hôtes peuvent compter sur une gastronomie hexagonale agrémentée de zeste nippon. La maison propose trois menus où les produits du terroir et du potager sont privilégiés : le « Découverte », le « Saveurs » ou le « Dégustations » en sept escales. Ce dernier varie selon la saison et l’humeur du chef, mais réserve toujours d’agréables surprises. Comme mise en bouche, il met en avant les plats phares de la maison, et toujours du potager comme les asperges sauvages chatillonnaises, le Veau de l'Aubes ou encore les champignons et truffes de Bourgogne. Les convives auront certainement un coup de cœur pour le bœuf charolais, un nom iconique de la tradition bourguignonne. Au Chateau de Courban, il est préparé à la japonaise et maturé pendant quinze jours. La viande devient ainsi tendre et juteuse. Elle est accompagnée à l'occasion d'une sauce de sésame noire et de vin rouge.  La chef pâtissière Sea Hasegawa sert ensuite une collection de desserts aux saveurs légères, peu sucrée qui fait la touche japonnaise. Près de 300 références de vins Jean-Noël Rahmani, le sommelier, conseille les convives avec une harmonie de vins et spiritueux. Pour accompagner viandes, poissons, crustacés, fromages et desserts, il propose une variété de Bourgogne Blanc, de Bourgogne rouge et bien évidemment de champagnes du vignoble voisin. Egalement à l'honneur, des Crus de la France entière et même de l'Oregon... Le choix est large, vu que la cave dispose de plusieurs centaines de références mettant les vignes de la région à l'honneur. ...

Restaurant Le Moulin de Châlons : une table d’exception entre mer et campagne

C’est dans un cadre idyllique empreint d’histoire que Le Moulin de Châlons reçoit ses hôtes de marque. Grâce à la beauté des lieux et le raffinement des plats servis, chaque invité se sent naturellement privilégié ! Un décor romanesque Non loin de l’établissement, quelques beaux sites attirent le regard. L’église Sainte-Radegonde est un monument incontournable qui mérite un petit détour. On peut y admirer d’imposantes fortifications datant du Moyen Âge et une nef qui a été raccourcie au XVe siècle. Les voussures du portail sont ornées d’anges et autres motifs. Si l’envie leur prend, les visiteurs peuvent continuer leur exploration dans les environs pour découvrir les irrésistibles cabanes de la Tremblade. Aux alentours de la région, quelques châteaux sont à visiter absolument ! Parmi eux, le château de Beaulon et le château de la Roche-Courbon connus non seulement pour leurs valeurs historiques mais aussi pour leur grande richesse viticole. Au milieu de tous ces beaux monuments, Le Moulin de Châlons ne manque pas d’attraits. L’hôtel ayant été jadis un ancien moulin à marée arbore fièrement une décoration contemporaine et raffinée aujourd’hui. Se voulant être un lieu de détente d’exception, il met en scène de belles chambres aux teintes chaleureuses et à la décoration personnalisée. En tout, l’enseigne compte dix chambres (toutes équipées) revêtant un cachet particulier grâce à l’ambiance romantique qui y règne. Idem du côté restaurant. Pierres apparentes, lumières tamisées, ici, tous les ingrédients sont réunis pour permettre aux invités de plonger dans une atmosphère presque envoûtante. Les convives se prêtent au jeu en toute décontraction à travers une ambiance à la fois chic et chaleureuse. Par beau temps, une terrasse extérieure avec vue sur la rivière est la promesse de moments d’exception. Une cuisine à la hauteur des lieux Derrière les fourneaux, le chef Maxime Yoncourt  livre une partition de haute volée ! Au gré des saisons, ce dernier concocte une cuisine gastronomique mêlant élégance et finesse, le tout rehaussé d’une petite touche d’inventivité. Le foie gras mi-cuit ou la gelée pineau des Charentes constituent de parfaites entrées en matière. En plat principal, les fins gourmets ne seront point déçus en choisissant un succulent filet de dorade. Pour parachever cette expérience culinaire unique, le parfait glacé au cognac est le dessert le plus indiqué. Comme le client est roi, il arrive que le chef s’adapte à des demandes spécifiques. Ce dernier peut être amené, par exemple, à préparer un plat 100 % végétal. Pas de quoi le faire paniquer ! Là encore, Maxime surpasse les attentes de ses convives. Résultat, des plats méticuleusement travaillés et raffinés pour le grand bonheur des végétariens ! Quant aux vins, la table du Moulin de Châlons dispose d’une très belle carte ! De nombreuses références qui mettent en avant toute la richesse des régions viticoles françaises. À travers sa cave éclectique, ce restaurant laisse volontiers à ses convives le champ libre pour choisir à leur guise. Mais bien sûr, l’équipe reste disponible pour les aiguiller vers les meilleurs accords.   ...

Restaurant Jérôme Blanchet : le terroir à l'honneur

A moins d’une heure d’Avignon, l’hôtel Crillon le Brave séduit par son charme délicieusement vintage et la sensation de bien-être qu’il dégage. Il est perché sur le sommet de la colline du village et offre une vue imprenable sur le Mont Ventoux et les dentelles de Montmirail. Labellisé Relais & Château, il arbore fièrement le luxe et le chic d’un endroit remplit d’histoires. Installé dans les anciennes écuries, le restaurant Jérôme Blanchet attire l’intérêt et l’attention. La décoration, signée Penny Lydon de Chalkhouse Design, reflète la parfaite harmonie entre l’ancien et le contemporain. Les pierres voutées sur les murs témoignent de l’authenticité du style provençal du XVIIIè siècle tandis que les somptueux luminaires apportent une touche de modernité. Dans cette ambiance feutrée, la chaleur procurée par l’imposante cheminée ajoute un brin de romantisme à l’ensemble. Une cuisine du terroir… Créatif et dynamique, le chef Jérôme Blanchet surprend les papilles avec sa cuisine raffinée et savoureuse reflétant la richesse du terroir. Ancien sous-chef du Negresco à Nice, c’est à la tête de la brigade des restaurants de l’hôtel Crillon le Brave qu’il exploite depuis 2013 son talent et son savoir-faire. Des atouts qui lui ont valu le titre de Maître Restaurateur de France en 2015 et qui a permis au restaurant d’obtenir sa troisième toque au Guide Gault&Millau, la même année. Depuis sa tendre enfance, le charentais se passionne pour la cuisine du terroir. « Enfant, je concoctais le cochon en terrine, les confitures maison et les légumes du potager avec mes parents » confie-t-il. Aujourd’hui, c’est dans ce même esprit qu’il impose son empreinte culinaire et s’appuie sur un vaste panel d’artisans et de petits producteurs de la région. Une confiance mutuelle s’est installée entre Jérôme et ses partenaires. Chaque jour, ces derniers lui livrent directement les meilleurs produits locaux. Parmi eux, Claudine Vigier de la fromagerie du Comtat pour les fromages ; Pierre et Philippe Silvain de Sylvain Frères pour les nougats ; Le Potager d’Olivier pour les fruits et légumes de saison ; la Boucherie Choc Viande pour le cochon, l’agneau, le bœuf et la charcuterie… Un restaurant à part… Au sein du restaurant qui porte son propre nom, le chef Jérôme Blanchet propose de la haute gastronomie qui revisite à la perfection les grands classiques de la cuisine française en y ajoutant une pointe d’innovation. Avec finesse et authenticité, chaque plat met à l’honneur les produits issus du terroir local. Pour satisfaire toutes les envies, Jérôme propose deux différents menus : le menu de saison et le menu dégustation. Avec le premier, il dévoile sa propre interprétation de chaque saison et propose une entrée, un plat, un fromage et dessert au choix pour 69 €. Avec le second, il invite les convives à se laisser tenter par une expérience culinaire inédite. Pour cette formule à 99 €, le service s’effectue en sept notes. Ce n’est pas tout ! Une carte qui évolue au rythme des saisons et qui met l’accent sur les produits frais du marché est à découvrir. En entrée, le délicieux carpaccio de loup de méditerranée au piment d’Espelette révèle toute la fraîcheur des produits provençaux. Comme plat, le succulent rouget de roche, fenouil et pommes de terre à l’or rouge des trois rivières démontre le parfait équilibre des textures et des saveurs. Et en dessert, le soufflé chaud au limoncello au sorbet verveine apporte une touche de douceur. Pour accompagner toutes ces savoureuses suggestions, le restaurant propose une intéressante carte de vins qui regroupe plus de 600 références dont principalement des vins de la Vallée du Rhône. Le tout, à déguster en salle ou sur la terrasse panoramique du restaurant pour profiter d'un cadre inoubliable, et servi par un personnel aussi sympathique que réactif. ...

Punch Mabi : une soif d’exotisme, un souvenir original de la Guadeloupe

Partir en voyage et s’offrir des présents en guise de souvenir, ce sont les idées qui ont animé Marianne Billy, ainsi que Lory et Ludmilla, ses deux filles, en créant le punch Mabi en 2004. Mélanges de rhum traditionnel et de fruits tropicaux à la préparation exclusive, Mabi a permis de faire asseoir une idée ingénieuse : mettre en avant les richesses du terroir guadeloupéen. Des fruits antillais pour envoûter les sens Mabi laisse découvrir un caractère bien imprimé, un rhum guadeloupéen élaboré avec des matières premières rares issues des paysages antillais. « Ce qui fait l’originalité de nos produits, c’est que nous travaillons avec des fruits du pays », évoque Marianne Billy en parlant de ces fruits oubliés séduisant par leurs goûts sauvages et originaux. Les noms de maracuja, de pomme cajou, de mombin, de prune café, de carambole, de pomme surette appellent à l’évasion, le temps d’une dégustation ou d’un apéritif. Déroutantes et enivrantes, les liqueurs décuplent le plaisir avec des sensations douces ou fortes, grâce aux nectars de mangue, d’abricot, de goyave, de coco ou de piquant de gingembre. Punch Mabi : l’excellence jusqu’au bout Captivants dès les premiers regards, les flacons des punchs Mabi se parent d’un design raffiné, laissant transparaître les couleurs chaudes des fruits exotiques, et donnant ainsi un avant-goût de ces breuvages exquis. Un challenge qui répond au désir de respect de l’environnement. « Nous faisons un produit qui reste écologique ; nous n’utilisons que des produits naturels, du papier, du carton… Il n’y a aucun additif dans ces produits-là », rappelle Marianne Billy. La forme et le fond semblent ainsi se rejoindre, pour offrir des liqueurs de première qualité, primées au concours général agricole de Paris par une médaille d’or et d’argent en 2015, et par une médaille d’argent en 2016. ...

Coutellerie Iforge : l’héritage vivant du couteau Laguiole

Le couteau Laguiole n’est pas un simple objet utilitaire. Il est l’incarnation d’un art de vivre mêlant raffinement, authenticité et exigence. C’est un compagnon du quotidien qui se glisse dans une poche, se pose sur une table de fête, se transmet comme un bijou. Chez Iforge, cette philosophie transparaît dans chaque détail. Chaque couteau est conçu comme une pièce unique, façonnée à la main, dans un atelier où le geste de l’artisan est au cœur du processus. Ici, on choisit l’excellence, une part d’histoire, un fragment de patrimoine, un objet vivant façonné avec passion par des artisans. En somme, un symbole de l’élégance, d’un esprit à la française. Iforge, une tradition séculaire, un enracinement profond Cette coutellerie française trouve deux de ses piliers les plus solides à Thiers, dans le Puy-de-Dôme, et à Laguiole, en Aveyron. Elle s’inscrit au croisement de ces deux terres légendaires qui ont façonné l’Histoire de la coutellerie française. Thiers, capitale de la coutellerie, façonne des lames depuis le XVe siècle. Dès le XVIIe siècle, ses couteaux franchissaient les frontières, jusqu’au Moyen-Orient, portés par une réputation de robustesse et de finesse. Au milieu du XIXe siècle, près de 25 000 ouvriers y œuvraient à la production coutelière. Aujourd’hui encore, ce savoir-faire se perpétue. Mais Thiers ne règne pas seule. À Laguiole, petit village de l’Aubrac, le célèbre couteau voit le jour au XIXe siècle. Sa silhouette emblématique, son élégance discrète, son manche galbé, sont devenus des icônes du savoir-vivre français. Là aussi, le travail artisanal se transmet de génération en génération. Aujourd’hui, Iforge se nourrit de ce double héritage et de cette passion du couteau d’exception. Iforge ou l’art du couteau personnalisable Chez Iforge, chaque couteau est bien plus qu’un simple outil. C’est une œuvre d’art personnalisée. Cette maison propose à ses clients de concevoir un couteau sur mesure, adapté à leurs envies, à leur usage, ou à un moment particulier de leur vie. Le manche peut être façonné dans des matériaux aussi variés qu’élégants de bois nobles aux matières rares, en passant par des éléments uniques comme du fossile de mammouth, de la turquoise, du coquillage, ou même des matériaux encore plus précieux suivant la demande. La lame, elle aussi, se décline au gré des préférences : de l’acier au carbone traditionnel à l’extraordinaire acier de damas, connu pour ses motifs ondulés et sa résistance légendaire. À cela s’ajoute la possibilité de graver le ressort, situé sur le dos du couteau, avec des initiales, une date, un symbole ou un message. Et que dire de la mouche, ce petit ornement au sommet du ressort, habituellement en forme d’abeille ? Chez Iforge, elle devient un terrain d’expression artistique. L’atelier d’Art n’hésite pas à en détourner la forme pour répondre à une demande particulière. Ainsi, un modèle pour les pèlerins de Compostelle remplace la mouche traditionnelle par une coquille Saint-Jacques, clin d’œil au chemin mythique. Chaque couteau devient ainsi un objet singulier, porteur de sens, parfois même de mémoire. Cadeau, transmission, outil de tous les jours ou pièce de collection : tout semble possible pour cet atelier. Pour plus de renseignements sur le couteau personnalisable suivez ce lien.  Un atelier vivant : entre réparation et perfection Fidèle à sa vocation artisanale, Iforge ne se limite pas à la création. L’atelier propose également des services de réparation et d’affûtage, prolongeant ainsi la vie des couteaux abîmés ou émoussés. Un Laguiole, comme tout bel objet, mérite un entretien à la hauteur de sa qualité. Que ce soit pour redonner du tranchant à une lame fatiguée, réparer un mécanisme ou remplacer un manche usé, Iforge s’engage à faire revivre les couteaux confiés par ses clients. Ce service est aussi une manière de respecter une certaine écologie de l’objet ou ici la règle e...

Le Bistrot des Sarments : une cuisine locale à La Turballe

La Turballe est située sur le littoral de la Loire-Atlantique, sur la presqu’ile guérandaise. Avant de devenir un port connu de l’ouest de la France, elle était d’abord un modeste hameau. Grâce à l’essor des conserveries de pêche, la commune s’est bâti une solide réputation dans le paysage aquacole. En outre, elle est reconnue pour ses nombreuses plages (Pen Bron, la Grande Falaise, la Croix de l’Anse et la plage des Bretons) et ses sites et monuments touristiques (église Sainte-Anne, église de Trescalan, château de Lauvergnac, moulin de Kerbroué…). Ce cadre balnéaire et historique a tellement séduit Sophie et Fabien qu’ils ont décidé de racheter un restaurant existant depuis 27 ans qu’ils ont rebaptisé Le Bistrot des Sarments, où une cuisine simple, un peu canaille, fait le bonheur des fins gourmets.   Une excellente adresse Les propriétaires travaillent avec le chef Éric Gouyette depuis qu’ils se sont approprié les lieux. Ce chef passionné, adepte de cuisine traditionnelle, a suivi une formation classique en restauration. Il a gagné 15 ans d’expérience, en travaillant dans de nombreux établissements prestigieux comme à l’Hôtel Barrière Le Royal La Baule ou à l’Auberge du Calvaire, à Pontchateau. Aujourd’hui, à la tête des fourneaux du Bistrot des Sarments, il propose une cuisine d’inspiration qui fait la part belle au terroir. Le restaurant est implanté dans un bâtiment traditionnel en pierre sis en bord de mer. Il dispose d’une véranda aux baies vitrées ainsi que d’une terrasse extérieure offrant une vue imprenable sur le grand bleu. À l’intérieur, la salle est marquée par une prépondérance de rouge, une tonalité qui dégage à la fois dynamisme et glamour. La cheminée, les grandes banquettes très confortables et le grand bar en bois confèrent à la salle tout son charme.   Le plaisir au déjeuner Le Bistrot des Sarments propose une cuisine traditionnelle valorisant les produits locaux. Les spécialités de la maison sont les grillades à la cheminée : vous aurez le choix entre un bœuf grillé ou un porc grillé accompagné de pomme de terre en robe des champs de type Samba au petit gout de noisette, que la seule touche de beurre demi-sel viendra aiguiser, ou encore un homard « bleu » breton grillé, à déguster sans chichis. Le fait maison est aussi à l’honneur. Les charcuteries, les poissons fumés salés, les foies gras : tout est préparé sur place. Côté menus, la maison sert une formule composée de deux plats à 15,90 € ainsi qu’une deuxième formule cette fois-ci composée de trois plats à 19,90€. Mais ce n’est pas tout. Désireux de satisfaire toutes les envies gourmandes, le bistrot propose un menu plus copieux de quatre plats avec une entrée, un plat, un fromage, un dessert à choisir dans la proposition de six entrées, six plats et tous les desserts. Quant à la carte, elle est saisonnière. Les fins gastronomes seront séduits par les spécialités de la maison, à l’instar de l’œuf cocotte façon Dédé servi en entrée. En plat de résistance, les papilles se délectent de la choucroute de la mer au beurre blanc maison, constituée notamment de Saint-Jacques, de filet de bar, de poisson du marché et de saumon. Pour finir, une note de douceur avec la tarte tatin tiède maison. ...

Domaine des Maravilhas : des vins qui invitent au voyage

Pour découvrir le travail du domaine des Maravilhas, nous vous donnons rendez-vous à Saint-Laurent des Arbres, au carrefour des appellations Châteauneuf-du-Pape, Lirac et Laudun. Un jeune domaine adepte d’agriculture biodynamique Pour revenir aux origines du domaine des Maravilhas, il faut remonter à 1967. Déjà, à cette époque, le vigneron travaillait les vignes en prenant soin des sols et de l’équilibre géologique et organique. Certifié en agriculture biologique depuis 1992 et biodynamique depuis 2004, il sera repris en 2014 par Jean-Frédéric et Morgane Bistagne, les actuels propriétaires du domaine. Ces derniers continuent le travail déjà engagé en biodynamie et viticulture durable. Membres de Biodyvin, ils font leur possible pour préserver au maximum ce fantastique terroir tout en le développant de façon durable. Cela passe par un véritable respect des sols et des vignes qui n’ont pas connu de produits chimiques de synthèse depuis plus de 50 ans. Sans oublier un procédé de vinification réfléchi pour mettre en valeur autant l’authenticité que la singularité du terroir. À ce titre, les vins sont élevés dans des cuves béton qui font partie intégrante du bâtiment. Seules quelques cuvées sont élevées en barrique grand format pour les arrondir un peu. C’est ce travail qui permet de créer des vins appréciés pour leur finesse et leur fraicheur, agréables à boire en toutes circonstances. ...

Corail de Bonifacio : une gourmandise savoureusement terroir

En entendant le nom, l’on peut être sujet à quelques confusions. Partons du bon pied et disons tout de suite qu’ici, nous choisissons la voie de la saveur. Car c’est bien de cette signature sucrée du Rocca Serra dont il est question. Préparé amoureusement dans l’intimité du 17, quai Comparetti, le Corail de Bonifacio est confectionné exclusivement à partir d’ingrédients locaux. Une douceur positivement du terroir Une fabrication artisanale à partir d’ingrédients de sélection faisant honneur au savoir-faire des producteurs locaux. C’est dans cette particularité que le Corail de Bonifacio tire tout son cachet. Pour ceux qui n’en ont jamais goûté, il s’agit d’une sorte de palet à base d’amandes. Le confiseur s’en approvisionne auprès d’un producteur de San Giuliano. Pour donner du punch à ce péché mignon, un mélange de miel de châtaigneraie et d’agrumes confits. Le miel est préparé à 100 % à Bonifacio même tandis que les citrons et les oranges achetés sur le marché local sont confits par la maison elle-même. Quelques touches d’épices et de noisette parachèvent la recette de ce concentré de plaisir qui fond en bouche. Les uns le préfèrent tel quel pour saisir la volupté de ses arômes, mais le Corail est également parfait à l’heure du digestif. Il se marie bien avec une liqueur de châtaigne ou de myrte. Chauffé très rapidement au micro-ondes, il raflera bien des suffrages avec juste du thé ou un petit café. ...

Les Nouveaux Robinson : un engagement au quotidien

Lorsqu’ils ouvrent leur premier magasin à Montreuil-sous-Bois, Les Nouveaux Robinson sont les pionniers dans la distribution de produits bio. Ils s’installent ensuite à Neuilly et Boulogne. Aujourd’hui ils comptent 20 magasins sur toute l’Île-de-France. Leurs produits Tous les produits vendus dans les magasins Les Nouveaux Robinson sont des produits biologiques de qualité. Ils privilégient notamment des labels tels que Nature & Progrès, Demeter et Bio Cohérence qui développent des cahiers des charges plus exigeants que la certification européenne. L’approvisionnement se fait en priorité auprès de petits producteurs locaux avec lesquels ils nouent des partenariats. Pour limiter les déchets, beaucoup de produits sont vendus en vrac et donc au poids : riz, pâtes, fruits secs, diverses céréales et graines, gâteaux secs … Leurs engagements Les Nouveaux Robinson ont fait le choix, entre autres, de garantir une rémunération juste des producteurs, ainsi qu’une redistribution des richesses vers leurs salariés et sociétaires. Ils s’engagent également au niveau écologique en alimentant l’ensemble de leurs magasins en électricité verte grâce à Enercoop. Ils développent aussi une politique de recyclage et de lutte contre le gaspillage alimentaire. Ils ont ainsi mis en place, en partenariat avec l’association Cap ou Pas Cap, un garde-manger et frigo solidaire devant leur magasin installé au 212 avenue de Daumesnil (Paris 12ème). Chacun peut venir y déposer et/ou prendre librement et sans obligation de réciprocité, des denrées alimentaires. Ainsi, il tend à sensibiliser les habitants à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à favoriser le lien social et la solidarité locale. Quant au magasin d’Ivry, il donne chaque jour ses invendus à Emmaüs pour leur distribution alimentaire. L’enseigne donne également ses invendus à des associations d’étudiants qui œuvrent en faveur de l’environnement. Les Alchimistes récupèrent quant à eux les invendus du magasin de Saint-Michel pour en faire du compost local et urbain. Depuis sa création, la coopérative soutient aussi annuellement des associations à vocation écologique et sociale, comme Emmaüs, Les Amis de la Terre, Demeter, Bio Cohérence, Terre de liens, Association Coup de Main, ou encore Nature et Progrès. Les Nouveaux Robinson ont également reçu l’agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale », renouvelé en 2014 pour 5 ans. Cet agrément délivré par la DIRECCTE atteste d’un engagement en faveur de l’équité avec une échelle des salaires réduite et une finalité de service à la collectivité ou aux membres plutôt qu’une finalité du profit. Le Panier Robinson Les Nouveaux Robinson s’engagent aussi pour permettre au plus grand nombre d’accéder à des produits biologiques. C’est pourquoi ils ont mis en place la sélection Panier Robinson composée d’une centaine de produits de consommation courante sur lesquels ils réduisent leurs marges. Depuis janvier 2018, ils ont fait le choix d’y intégrer également deux fruits et légumes de saison et d’origine française. Tous ces produits sont facilement identifiables dans les rayonnages grâce aux étiquettes spécifiques "Panier Robinson". ...

Les Sources d’Agapé : un vent de renouveau souffle dans le Beaujolais

Du haut de ses 29 ans, Arthur Lotrous possède déjà un solide background dans le milieu de la viticulture. Après un BTS viticulture-œnologie au lycée de Davaye, il acquiert sa première expérience professionnelle au Château Bouscaut à Pessac-Léognan dans le Bordeaux puis au Domaine de la Pierre des Dames à Prissé. « J’ai voulu découvrir de nouveaux horizons et notamment voir ce qui se faisait dans la biodynamie, ce qui m’a amené à travailler au Domaine La Soufrandière/Bret Brothers à Vinzelles », raconte-t-il. Lorsqu’il apprend qu’une exploitation située à Saint-Amour Bellevue dans le Beaujolais était à reprendre, il saute sur l’opportunité en novembre 2018… Passionnément vin Le nom qu’il donne à son nouveau domaine viticole témoigne du profond attachement qu’il voue aux vignes et au vin. « Les sources » désignent la Rue des Sources sur laquelle se trouve le siège de l’entreprise tandis que « Agapé » est un mot grec qui signifie « amour inconditionnel ». Le respect qu’il manifeste à l’égard de ce métier et de la terre s’exprime à travers le choix d’une agriculture biologique sur l’ensemble de son vignoble composé de 6 hectares d’un seul tenant qui surplombe l’appellation Saint-Amour, sur les pentes du Mont-Besset.   Le gamay dans toute sa splendeur Sur les sols de grès et d’argile qui se caractérisent par leur bonne rétention d’eau se développent des vignes plantées en gamay et âgées de 60 ans en moyenne. Le jeune vigneron a décidé de travailler son vignoble en « gobelet », une ancienne méthode qui date de l’époque romaine et qui s’applique sur des vignes non palissées. Ce procédé implique des travaux souvent complexes qui exigent de tout faire à la main. De cette démarche particulièrement méticuleuse naissent des cuvées pleines de promesses telles que Mont-Besset, un 100 % gamay aux arômes de fruits rouges et juteux qui révèlent des saveurs de cerise et de douces notes de sous-bois. ...

BATbAt : à la rencontre de la cuisine de rue du Vietnam

Que ce soit en salle avec vue sur la cuisine, en terrasse ouverte, ou juste en terrasse couverte comme c’est le cas à Colomiers, BATbAt est d’abord un lieu de découverte de nouvelles saveurs. Son art particulier de cuisson des viandes infusées aux herbes aromatiques ou encore aux racines fraiches font de celles-ci un délice d’exception pour les palais. Au menu, des plats typiques de la cuisine de rue vietnamienne, et d’autres qui sont revisités grâce à la touche occidentale dont seul Olivier Barbot, fondateur de BATbAt, a le secret. Des plats traditionnels avec la touche BATbat Bo Bun au saumon ou à la viande de bœuf, pho dont la viande infuse dans le bouillon à la cannelle, au gingembre et à la cardamome noire, rouleaux de printemps à la viande ou au poisson, gâteau vietnamien au manioc, dessert à la banane fraiche… Autant de mets traditionnels mais préparés avec la touche BATbat qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. De quoi satisfaire pleinement les papilles des adeptes de la cuisine d’Asie du Sud-Est. Chez BATbAt, le plat phare est le bo bun. Il est proposé sous sa forme traditionnelle à base de bœuf ; mais il est également décliné avec du saumon, des crevettes ultra fraiches ou bien encore du porc légèrement épicé, accompagné de vermicelles de riz, d’herbes aromatiques et d’une sauce sans huile. Bien entendu, le pho, plat national du Vietnam, y est servi. Mélange de nouilles de riz accompagnées de viande de bœuf coupée en fines tranches, façon pastrami, et servies dans un bouillon bien chaud avec diverses herbes aromatiques : les aficionados y reconnaitront son excellence. Les rouleaux de printemps, autre spécialité typiquement vietnamienne, sont ici étonnamment préparés avec de la salade de papaye verte, garnis de poisson ou de viande, sans oublier les herbes aromatiques. Comme dessert phare, l’on retrouve le fameux che, une composition en couches translucides mêlant tapioca blanc, banane fraiche, crème de coco et cacahuètes pilées. Ambiance world food Pour accompagner tous ces plats, BATbat propose des boissons faites maison, à l’instar de la citronnade fraiche, des thés glacés déclinés avec des sirops maison de menthe, de framboise, sans oublier les thés chauds déclinés en différents parfums. La bière vietnamienne, quant à elle, est forcément de la partie : 33’ Export, Saigon, Hanoi et Lao. Enfin, le maitre des lieux Olivier Barbot a à cœur de présenter une carte des vins, constituée de vins de pays, entre vins rouges et rosés, souvent bio, comme des IGP Côtes-Catalanes, les vins des Vignerons d’Estézargues ou encore ceux du Domaine des Schistes. Par ailleurs, les restaurants BATbat proposent un service à emporter, une livraison à domicile et un service traiteur. Plats traditionnels et originaux à la carte ; vins bio, bières importées et thés qui se marient parfaitement ; prix très abordables, avec un ticket moyen de 13€ le midi 21 €  pour un repas complet le soir… On l’aura compris, la cuisine de rue du Vietnam est la marque de fabrique de BATbAt, mais pas seulement : la finesse des préparations culinaires et la qualité de l’accueil attirent un nombre grandissant de fidèles de ces trois restaurants, devenus aujourd’hui une référence. ...

Restaurant La Casserole : une belle alliance du beau et du savoureux

Après une rénovation salutaire, le restaurant La Casserole s’est taillé une place en or dans le cœur des gourmets d’Alsace. En parfait maitre d’hôtel, Cédric Kuster est aux petits soins avec ses convives pendant que Jean Roc, son chef, officie aux fourneaux. L’authentique qui ravit les yeux À La Casserole, le ton beige se marie harmonieusement avec les articles décoratifs qui ornent l’endroit pour former un écrin authentique, raffiné, contemporain et lumineux. Sublimée par des objets uniques signés par de talentueux artistes, la salle du restaurant est une véritable œuvre d’art à elle toute seule. Les murs sont estampillés par des créations de la Londonienne Helen Amy Murray. On aperçoit aussi de beaux services en cristal Baccarat, de l’argenterie Saint Louis, des tissus de la manufacture italienne Rubelli… Bref, un décor de haute voltige qui forme une heureuse harmonie avec une cuisine aussi raffinée que savoureuse.    Une cuisine classique empreinte d’inspiration À vrai dire, Cédric Kuster ne se contente pas de recevoir dans un lieu à couper le souffle. De succulents mets qui en disent long sur les talents du chef Jean Roc sont également au rendez-vous dans son restaurant (avec le service qui va avec, bien sûr !). « On essaie de former une belle unité entre la cuisine que l’on propose et le décor », raconte Cédric. Les ingrédients, rythmés par les saisons et fournis en majeure partie par les producteurs locaux, sont retravaillés et combinés afin d’en faire des plats classiques teintés d’originalité. Plusieurs formules sont donc proposées : menus Déjeuner, Découverte, Bruits de casserole et Saveurs iodées (un menu qui prône uniquement les produits de la mer). En entrée, savourez le foie gras de canard de la ferme Schmidt avec son confit de chou rouge, panais mariné aux noisettes. Ensuite, le homard décliné en deux services témoigne de toute l’inventivité du chef. Le homard sera préparé de deux manières bien distinctes et servi en deux temps. Le croustillant au chocolat de Madagascar accompagné d’une glace au sésame noir garantira une fin gourmande à ce repas. Une cave à vins riche et variée En matière de vins, La Casserole dispose d’une carte digne des plus grands restaurants. Riche de 1 200 références, sa cave saura garantir un bel accord mets et vins. Grandes appellations et producteurs issus de toutes les régions de France sont à l’honneur : le Muscat Les 3 Demoiselles de Mélanie Pfister représente l’Alsace, le Chassagne-Montrachet « Grandes Ruchottes » de Bernard Moreau transporte en Bourgogne, les Châteaux L’Angelus 1983 pour la région bordelaise… ...

Château de Tracy :
du sauvignon de gastronomie

Le Château de Tracy n’a jamais quitté le giron familial depuis le XIVe siècle. Aujourd’hui, c’est à Juliette d’Assay qu’incombe la tâche de le gérer et de perpétuer un savoir-faire qui s’est forgé au cours de six siècles de tradition viticole. Un vignoble ancestral Au coeur du vignoble Pouilly-Fumé, Château de Tracy s’étend sur une superficie de 36 ha, planté exclusivement en sauvignon. Le domaine a la particularité de disposer d’un vignoble historique, dont certaines parcelles sont plantées en vigne depuis le XIVe siècle. En effet, bien conservé dans les archives du château, un manuscrit de 1396 fait état de l’acquisition des vignes sur le lieu-dit « champ de Cris ». Chose étonnante, des sauvignons y sont encore plantés de nos jours. La maison offre ainsi aux amoureux de vins le privilège de déguster des vins blancs issus de ces cépages historiques. « Avec nos vieilles variétés génétiques de sauvignon, quelque part déguster un Tracy équivaut à déguster aussi l’Histoire ! », fait valoir Juliette d'Assay, la vigneronne. Sur les terroirs de Tracy, les sauvignons s’épanouissent sur des sols différents. Autour du château, ils bénéficient plutôt d’un sol à dominante d'argile à silex apportant aux vins minéralité, finesse et une grande aptitude au vieillissement. Sur les plateaux, les vignes reposent essentiellement sur un sol calcaire kimméridgien, qui va apporter à la fois structure, profondeur, finesse et le côté fruité aux vins blancs. Une agriculture permanente Depuis plusieurs années, le domaine a mis en place des pratiques culturales fondées sur la compréhension des lois naturelles du sol. Une agriculture « permanente », qui a notamment pour objectif de favoriser une parfaite synergie entre le sol, les vignes et le biotope environnant. « Nous n’utilisons presque plus de produits phytosanitaires de synthèse.​ Nous n'y avons recours que pour des cas vraiment extrêmes.  », nous indique-t-on. Des analyses sont effectuées par un laboratoire indépendant afin d'authentifier cette démarche.  Résultat, le Château de Tracy peut se targuer de produire des vins exempts de tout résidu de pesticides. Au Château de Tracy, le gros du travail se concentre sur les vignes pour aboutir à des vendanges manuelles. Afin d'acquérir un niveau de maturité bien précis, certaines parcelles font l’objet de plusieurs passages. « Nous sommes prêts à vendanger jusqu'à 5 fois les mêmes parcelles », explique madame d'Assay. Ces opérations vont permettre au domaine de limiter les interventions durant la fermentation pour que celle-ci se fasse de manière la plus naturelle possible. En cave, il est surtout question de laisser les choses aller d’elles-mêmes, quitte à prendre des risques. Ici, on laisse donc vinifier les jus en l’état et, pour éviter de trop marquer le vin, la maison choisit des élevages en cuves inox au lieu de barriques en bois. « Nous mettons tout en oeuvre pour être le plus possible fidèles au millésime. »  Des cuvées pleines d’authenticité La maison propose 4 cuvées différentes, reflétant idéalement la typicité des terroirs de Tracy : la cuvée « Mademoiselle de T » qui est actuellement épuisée mais dont l'arrivée du prochain millésime est pour février 2019, « Château de Tracy », « Haute Densité » et  « 101 Rangs ». La cuvée « Château de Tracy » est de loin celle qui représente le mieux le domaine. Il s’agit d’un millésime d’une rare complexité aromatique à l’identité affirmée. Obtenu exclusivement à partir de sauvignon blanc, ce vin présente un nez très intense avec des premières notes fraiches de fleurs de sureau, de poivre vert et de citronnelle. À l’ouverture, des notes plus fruitées se dévoilent associées à des arômes de fruits exotiques tels que le fruit de la passion et la mangue fraiche. Des notes florales et salin...

Château Tour Castillon

Le Château Tour Castillon ouvre les portes de son domaine à tous les amateurs de vins du Médoc. L’occasion de découvrir les créations uniques et originales de cette famille de vignerons depuis plusieurs générations. Château Tour Castillon : le domaine L’histoire du vignoble Peyruse remonte à 1914. À cette date, Théobal Peyruse acheta la propriété de Castillon, située à 60 km au nord de Bordeaux. Classée en appellation Médoc, la vigne s’étend sur 40 hectares. Puis, dans les années 90, ce fut au tour de Pierre Peyruse de prendre les rênes de la propriété avant de les laisser à ses enfants, Sébastien et Laure, en 2019. Ces derniers représentent la quatrième génération en charge du domaine et de l’élaboration du vin. Aujourd’hui, le vignoble est réputé pour ses cuvées nobles, issues de l’assemblage de 5 cépages : merlot, cabernet sauvignon, cabernet franc, petit verdot et carménère. Régulièrement récompensées, les créations de la propriété profitent d’un élevage en fût de chêne pendant 2 ans. Ce qui leur permet de révéler une grande élégance ainsi qu’une grande intensité aromatique. L’oenotourisme au château Tour Castillon Pour apprendre à découvrir les vins du vignoble Peyruse, plusieurs événements sont organisés tout au long de l’année. Ainsi, il est possible de visiter le domaine et de déguster les vins du vignoble du lundi au vendredi. Si vous passez dans le coin, sachez que la visite est gratuite. À savoir : il n’y a qu’en juillet/août qu’elle est sans rendez-vous. Le reste de l’année, il est préférable d’annoncer sa venue.   En complément, vous pouvez aussi réserver une balade commentée qui est un moment privilégié pour en apprendre plus sur le vignoble tout en profitant de paysages d’exceptionnels. Cette promenade qui peut se faire en famille débute directement dans la vigne et se termine dans les chais. Commentée par un membre de la famille Peyruse, c’est l’occasion unique de parfaire votre connaissance des vins de la région et de la viticulture en général. Il ne faut pas oublier non plus l’apéro estuaire qui vous invite à déguster du bon vin et apprécier une bonne planche de charcuterie dans une montgolfière ou sur un carrelet de pêche tous les mardis et vendredis de juillet et août. Finalement, si vous aimez la musique, vous devez noter dans vos agendas les dates des différentes soirées Music and Wine qui se déroulent au bord de l’Estuaire tout au long du mois d’août. Un groupe différent se produit sur scène à chaque fois. De quoi ravir les épicuriens à la recherche d’expériences de dégustation uniques mêlant musique, tapas et vins du Médoc. ...

Sables et Reflets : l’art de la table dans sa splendeur

À arborer chez soi, dans un lieu de réception ou dans une soirée d’entreprise, la décoration de table est l’ambassadrice d’un style et d’une identité. Depuis 2002, Sables et Reflets a créé tout un univers fait de verres lustrés, élégants, épurés, contemporains ou encore colorés, adaptés au goût de tous. Des modèles variés, uniques, et personnalisables à souhait. Une entreprise à dimension humaine Elle se situe dans le sud de la France, et a bâti sa réputation sur la conception et la création sur verre soufflé et le travail de la pâte à verre. « Cette technique, de moins en moins appliquée, nous permet de réaliser plus de possibilités quant à la couleur, le relief, le polissage ou le motif sur les verres ou les vases », nous dévoile le gérant. Et même si les produits, notamment les vases,  sont travaillés avec ce même savoir-faire artisanal, ils présentent chacun différentes caractéristiques et deviennent des pièces uniques. Les verres traditionnels, comme les verres à champagne et les carafes à whisky, quant à eux, sont façonnés à la main dans l’atelier de fabrication. Être une entreprise familiale permet à Sables et Reflets de se rapprocher un peu plus des clients pour mieux cerner leurs exigences : « Notre plus grande force est la qualité de notre service client », renchérit notre interlocuteur. D’ailleurs, pour réaliser les commandes spécifiques des clients, la société combine son savoir-faire avec ceux des artisans spécialistes pour parfaire chaque commande au détail près. Autant de particularités qui lui ont permis de développer un portefeuille de clients composé de café/hôtels/restaurants, mais aussi d’entreprises et de particuliers. Une sélection de produits Modèles classiques ou contemporains, pour une utilisation quotidienne ou pour les grandes occasions, à s’offrir ou en cadeau, la gamme très complète laisse défiler une centaine de produits. On distingue les verres pour servir du champagne, vin ou whisky, de formes et tailles différentes, qui sont commercialisés par lot de six pièces. Et l’enseigne vient de lancer une nouvelle série de verres à pied qui revêtent plusieurs coloris, et sont parfaits pour une dégustation de vins à l’aveugle, tout en apportant une touche plus punchy à la décoration. Pour des idées de cadeaux originaux, Sables et Reflets propose la carafe à whisky/vin Toupie, un produit fait main d’une capacité de 750 ml, ou encore le lot de quatre verres à mojito barman professionnels 32 cl. À préciser que les clients peuvent apposer leur logo, leur couleur ou leur slogan pour personnaliser les produits. ...

Clos des Serènes : la simplicité et la passion

Attiré depuis toujours par le monde viticole, Julien Daumas, réalise en 2014 son rêve d'élaborer son propre vin. Il fait l’acquisition de 2,7 hectares à Saint-Laurent-des-Arbres et crée son domaine qu'il baptisera le Clos des Serènes. Respect du sol et des vignes Ce vignoble d’un seul tenant, composé de vieilles vignes, présente un encépagement formé par les cépages grenache, cinsault, carignan et mourvèdre. Ces derniers sont plantés sur un terroir sablonneux qui apporte aux vins finesse et élégance. Pour travailler la vigne, Julien Daumas fait tout simplement appel à son bon sens paysan. Ici, aucun produit de synthèse n’est toléré et la vie du sol est respectée au maximum. Côté vinification, le domaine opte pour des vendanges manuelles et les raisins font l’objet d’un tri rigoureux. Après vinification en cuves thermorégulées, une partie des vins est élevée en barrique. Le domaine donne du temps au vin pour qu’il se clarifie et ne réalise aucune filtration. Un vin de partage Privilégiant la qualité à la quantité, le Clos des Serènes produit un vin rouge (en AOC Lirac) qui reflète toute la typicité du terroir. La cuvée éponyme allie donc délicatesse et longueur en bouche, dans un assemblage grenache (50 %), mourvèdre (10 %), carignan (20 %) et cinsault (20 %). Idéal pour accompagner des plats de viandes. ...

Château de Trémouriès :
qualité et originalité des vins avant tout

Le Château de Trémouriès tire son nom de l'élevage des vers à soie pratiqué dans le passé, car les vers à soie se nourrissaient des feuilles de mûrier d'ou le nom château des trois mûriers ou Castéu di Trémouriès en Provençal. Un site d’exception chargé d’histoire Situé à l'entrée du village de Cogolin, le Château de Trémouriès datant de l'époque médiévale, détruit et reconstruit plusieurs fois, au cours des siècles est un des plus ancien château du village, ayant appartenu entres autres à l'Ordre du Temple. Un emblème Templier représentant une croix a d'ailleurs été retrouvé par les actuels propriétaires et figure désormais, tel un logo, sur les étiquettes de bouteilles et autres supports publicitaires du domaine. Actuellement les bâtiments se composent d'une magnanerie du XVII éme siècle et d'un château construit en 1836 dans le style d'une bastide provençale. Un vignoble spécifique Avec ses six hectares tout en coteaux, le vignoble du château  dispose d’un terroir assez spécifique : « sur cette terre un petit peu aride, nous cultivons principalement cinq cépages » explique le responsable. Cette spécificité vient du fait que les cinq cépages (Cinsault, Mourvèdre, Syrah, Grenache et Rolle) disposent chacun de leurs parcelles avec une exposition, une pente et une terre qui leur sont propres. A titre d’exemple, les clos de vieux grenaches et de syrah, pourtant installés côte à côte, se distinguent par la présence abondante de mica dans le premier et son quasi-absence dans le second. En outre, les vignes du château sont soumises à un microclimat distinct des terroirs avoisinants. La pluie et la grêle sont ainsi plus rares qu’à Grimaud pourtant installé à seulement cinq kilomètres, et par rapport à la Môle située à deux kilomètres à l’ouest, la température est en moyenne plus élevée. Le Château met à profit les spécificités de ce terroir pour produire des vins différents en comparaison à ceux de ses voisins. Par souci de raffinement et d’esthétique, mais aussi pour la prévention des maladies, s'inspirant en cela de la tradition des anciens, des rosiers rouges et blancs ont été plantés en alternance entre les rangées de vignes. Des cuvées basées sur la qualité et l’originalité Le catalogue de vins du Château Trémouriès est composé de trois cuvées déclinées sur les trois couleurs et élaborées selon deux principes simples : « nous faisons des produits qui sortent de l’ordinaire, basés sur la qualité et l’originalité » selon les précisions du responsable. D’une complexité rare pour son terroir, la Cuvée des Templiers Rouge AOP Côtes de Provence est un vin issu d’un long vieillissement en futs de chêne qui lui confère une singulière élégance. Particularité qui lui a valu une médaille au Salon Agricole de Paris pour son millésime 2013. D’ores et déjà, les amateurs de bons vins trépignent d’impatience en vue des millésimes 2014 et 2015, qui sont en train d’être affinés en cave.  Fer de lance de la Provence au sein du milieu viticole français, le vin rosé figure également dans la palette des vins du Château Trémouriès. « Notre production s’articule principalement autour du rosé » explique le responsable de la cave, le rosé Château de Trémouriès AOP Côtes de Provence. Issu d’une vinification des plus attentives, celui-ci apporte de la fraicheur aux mets qu’il accompagne. Tout récemment, le domaine a élargi son catalogue avec une nouvelle cuvée de blanc, très appréciée des connaisseurs.  ...

Champagne Launois : témoin vivant du savoir-faire champenois

Nous sommes à Mesnil-sur-Oger dans la région de la côte des Blancs qui emprunte son nom au chardonnay, le cépage de prédilection des plus nobles champagnes. Le domaine exploite un vignoble d’une vingtaine d’hectares, classé intégralement en chardonnays grands crus et un autre vignoble situé à Sézanne dédié au cépage pinot noir. Ces terroirs installés sur un sous-sol à la fois crayeux et rocheux confèrent aux vignes les meilleures qualités aromatiques : finesse, fraîcheur et minéralité. Une maison fondée sur une philosophie Être récoltant-manipulant est un travail d’artisan où l’on ressent chaque jour le lien vivant entre la terre et les cuvées. Cette intimité a fait naître un engagement envers l’environnement à travers la démarche de viticulture raisonnée. « Nous prenons soin de l’environnement et faisons en sorte de la préserver au maximum », explique avec conviction Bernard Launois. Le travail du sol privilégie les actions de prévention afin de limiter au maximum l’intervention des produits phytosanitaires. De son côté, les vignes vendangées exigent une technique de vinification très pointilleuse. « 80% de la thermorégulation se fait dans des cuves en inox avec un fractionnement du pressage pour extraire les meilleurs jus de raisin.» L’élevage se poursuit dans des fûts de chêne jusqu’à obtenir un équilibre, et une plénitude parfaite. De grands champagnes et plus encore Au cœur du petit village Villers-aux-Bois, le domaine Champagne Launois nous emmène dans un autre univers inspiré du XVIe siècle. Au milieu d’un magnifique parc paysager trône majestueusement un château renaissance « Le Clos des Cépages » entouré d’arbres séculaires. Sous les yeux éblouis, cette belle demeure invite aussi à une découverte gustative des plus envoûtantes. « Nous y proposons une table gastronomique toute l’année où l’on élabore un menu spécial pour honorer les champagnes de la maison », raconte notre interlocuteur. Pendant les journées vendanges organisées le premier week-end du septembre, les hôtes peuvent poursuivre l’aventure dans les vignes en participant à la cueillette des raisins à la main, sous le signe d’un moment détente et de convivialité. En outre, le musée des artisans et des artistes du champagne est également ouvert aux visiteurs. L’on y retrace le métier passionnant des vignerons champenois et l’on y découvre une collection d’outils insolites utilisés dans le travail de la vigne : pompes, boucheuses, machine traditionnelle, pressoirs, pulvérisateurs, etc. ...

François Lurton, viticulteur passionné

Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches et Domaine Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches » constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. Depuis bientôt trois décennies, François Lurton parcourt la France du nord au sud pour sélectionner les raisins de sa fameuse cuvée « Les Fumées Blanches ». Si les raisins vinifiés et assemblés pour Les Fumées Blanches sont récoltés dans différentes régions françaises, il en est une qui reste majoritaire et particulièrement chère à François : le Gers. C’est donc sur une terre argileuse plantée sur une roche mère calcaire, en plein pays  gascon, que François Lurton va implanter son domaine; le Domaine Les Fumées Blanches. Plus précisément au cœur de la Ténarèze, terre de contraste qui relie l’Armagnac Noir Atlantique à l’Armagnac Blanc méditerranéen. La volonté de François au sein du domaine n’est plus tant d’exprimer toute la complexité du sauvignon blanc mais plutôt à présent, son incroyable délicatesse et sa capacité à exprimer son terroir. Le Domaine Les Fumées Blanches est devenu le fruit de près de trente années d’expériences et d’innovations autour de la culture et d...

Château Les Graves de Viaud :
des vins innovants et faciles à boire

Existant depuis 1850, le domaine ne commence à vinifier qu’en 1994. En 2010, Philippe Betschart apportera sa touche personnelle, en s’appropriant l’approche biodynamique dans le mode cultural et les techniques de vinification. La personnalité de chaque cuvée est marquée par un élevage qui diffère d'un millésime à l'autre. 2014 signe une démarche innovante puisqu'en décidant d'exclure les apports d'origine animale à la vigne et à l'élaboration du vin, le château débouche sur une certification VEGAN (EVE01), permettant à tout un chacun, dont les végétariens, de goûter à des vins faciles à boire qui ont de la personnalité. Un atout de taille qui lui permet de conquérir des tables prestigieuses aussi bien locales (le Prince Noir à Bordeaux) qu'à l'internationale (au Japon entre autres). Vinification : entre tradition et modernité Le domaine des Graves de Viaud a élu le merlot, le cabernet franc et le cabernet sauvignon comme principaux cépages. Les vignes bénéficient des meilleurs soins conformes aux exigences du label Demeter, dont le cahier des charges impose une vinification sans aucun intrant chimique, excepté le soufre. Les levures indigènes sont donc privilégiées pour les fermentations, tandis que les cuvaisons durent de 25 à 35 jours. « Notre mode de vinification tient à rester le plus naturel possible », souligne Philippe Betschart, propriétaire-gérant du domaine. Ainsi, les Côtes-de-Bourg du Château Les Graves de Viaud arborent finesse et élégance. « Nous produisons des cuvées modernes et classiques de bordeaux, prisées pour leur fraicheur, leur souplesse ainsi que leurs saveurs fruitées », nous indique-t-on. Le fruit avant tout Les vins de la maison sont répartis en deux gammes. D’une part, on trouve la gamme des cabernets où s’inscrivent des cuvées résolument modernes telles que « Les Cadets » et « Terroir ». « Les Cadets » est appréciée pour sa simplicité et ses délicieuses notes florales tandis que « Terroir » est privilégiée pour sa délicatesse et sa complexité issues d’un long élevage en barrique. D’autre part, on distingue la gamme des merlots qui regroupe des cuvées, certes plus classiques, mais absolument exquises. Parmi la liste figure la cuvée « Origine », qui est un assemblage à 90 % de merlot. Connaissant un succès certain à l’export, ce vin est un véritable enchantement pour les papilles. La cuvée « Réserve » fait également partie de la gamme des merlots. Ici, place à une sélection de vieilles vignes de plus de 60 ans qui sont élevées en barriques neuves durant 18 à 24 mois. Le résultat garantit un plaisir optimal à la dégustation ! ...

Château Moncets et Chambrun : une équipe jeune adepte de modernité

Acheté en 2012 par le propriétaire actuel, le Château Moncets a profité d’une transformation radicale. En 2015, sera intégré à l’exploitation le Château Chambrun et son vignoble. Des vins de Bordeaux bio respectant le terroir Divisé en parcelles, le domaine qui se trouve à la croisée des appellations de Pomerol et St Emilion est travaillé pour mettre l’accent sur les caractéristiques naturelles du terroir.   Enherbement choisi, travaux en verts maitrisés et vendanges manuelles sur mesure contribuent à la qualité du vin. Ensuite, les jus sont vinifiés dans un chai gravitationnel et parcellaire thermo-régulé. Pour les parcelles les plus qualitatives, une vinification intégrale en barrique (fût de chêne français) sera réalisée afin d’extraire tout le potentiel du millésime. Cela permet de créer des vins, tels que le savoureux Château Moncets, qui seront ensuite vendus via le caveau de dégustation ou la boutique en ligne. ...

Restaurant Les Rives de la Courtille :
cuisine française au bord de la Seine 

Sur l’île des Impressionnistes, dans la jolie ville de Chatou, non loin de Paris, se trouve un coin de paradis idéal pour une escapade gourmande : le restaurant Les Rives de la Courtille. Au cœur d’un lieu historique Chatou est la ville où les grandes figures de l’impressionnisme comme Monet, Renoir, Pissaro ou Sisley ont puisé leur inspiration. C’est dans la ville que sont nés plusieurs de leurs éminents chefs-d’œuvre comme le Déjeuner des canotiers, de Renoir. En regardant le magnifique paysage, la nature verdoyante et la Seine qui coule tranquillement, on comprend d’où leur vint ce souffle créateur.  Tendrement blotti dans ce cadre idyllique avec les murmures de la Seine en fond sonore, le restaurant Les Rives de la Courtille jouit d’une quiétude apaisante. C’est l’endroit parfait pour retrouver détente et sérénité après une balade sur l’un des circuits impressionnistes ou après la visite de musées. La cuisine aussi vaut le détour ! Aux fourneaux, le talentueux chef du restaurant des Rives de la Courtille s’affaire pour être à la hauteur de ce panorama de rêve. Il se déplace au moins une fois par semaine pour dénicher ses ingrédients au marché international de Rungis. Une promesse de fraicheur  et de qualité sur une carte qui change quatre fois par an pour toujours proposer des produits de saison. En hiver, laissez-vous tenter par les coquilles Saint-Jacques snackées sur un lit de fondue de poireaux ou par les ris de veau poêlés servis avec une sauce au vin de Madère et une duxelle de champignons. Sur la terrasse cet été, l’espadon grillé à l’huile d’olive et basilic vous fera voyager vers le sud. Et vous reviendrez en automne pour les champignons poêlés et oeuf poché, entrée signature de la maison. Les épicuriens ne résisteront pas à la sublime cote de boeuf grillée à la plancha accompagnée de sa fameuse sauce au poivre et de son gratin dauphinois. Les amateurs de poisson ont quant à eux élu l’assiette tout saumon comme plat favori. Vous l’aurez compris. Aux Rives de la Courtille, vous valsez entre des mets classiques mais aussi des plats plus légers aux saveurs plus modernes. L’éclectisme de la cave à vins des Rives de la Courtille assure un bel accord mets-vins. Petits producteurs comme grandes appellations y sont à l’honneur. Et cerise sur le gâteau, l’établissement propose des vins au verre. Des références comme le Petit Chablis AOC de chez Michel Laroche ou le Menetou-Salon rouge AOC le Grand Cerf ont exemplairement gagné le cœur des convives. ...