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Papilles & Mamies : délicieusement authentique

Papilles & Mamies propose une cuisine 100% faite maison, saine et équilibrée, mais surtout savoureuse. Pourquoi ne pas se simplifier le quotidien ? De l’entrée au dessert, partout en France, vous êtes livré chez vous. L’ouverture des commandes est prévue avant l’été, une bonne nouvelle pour les papilles en quête de saveurs !

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Jubiles : l’entreprise qui va vous faire aimer la Kombucha.

Vous avez enfin trouvé une alternative à l’eau et aux sodas : la kombucha.

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Califrais : une solution qui facilite la vie des restaurateurs

Face aux besoins exprimés par de nombreux professionnels de la restauration, Califrais simplifie le processus d’approvisionnement en produits frais et se charge de sourcer, négocier et livrer les meilleurs produits directement en cuisine. Motivée par une démarche écologique, la start-up permet de réduire le nombre d’intermédiaires généralement élevé en se positionnant comme fou...

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Au Bonheur Breton 

La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton.  Crêpes et galettes bretonnes La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée.   Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients.  Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne. Un état d’esprit, une éthique La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients.  Un restaurant ouvert aux artistes Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes.  Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année.   ...

Restaurant Les Merveilles du Maroc : quand les saveurs orientales s’invitent à Paris

En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les  poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila  prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...

Herboristerie Cailleau : des plantes médicinales et aromatiques de haute qualité

Installée dans des bâtiments neufs à la sortie de l’autoroute à Chemillé-en-Anjou dans le département du Maine-et-Loire, l’herboristerie Cailleau bénéficie de 4.500 m² pour recevoir, transformer, conditionner et expédier en respectant les dernières normes de production. Elle regroupe 2 secteurs d’activité : la vente aux détaillants comme les herboristeries, les coiffeurs, les magasins diététiques ou les pharmaciens et la vente aux industriels comme les brasseurs de bières, les industries agroalimentaires et cosmétiques La société ayant reçu son agrément pharmaceutique depuis un an maintenant, elle peut désormais vendre les plantes du domaine pharmacopée aux pharmacies. Aujourd’hui, l’Herboristerie Cailleau emploie 30 salariés à temps plein. Un catalogue de plus de 800 références Son catalogue contient plus de 800 plantes déclinées sous différentes formes : feuilles, fleurs, sommités fleuries, racines, coupées, entières, poudre… L’Herboristerie mise sur l’excellence botanique de ses produits et sur le savoir-faire de ses fournisseurs, pour procurer des plantes de haute qualité à ses clients. Elle en garantit l’identité botanique. Avec son pharmacien, la société analyse et contrôle chaque réception pour garantir in fine la sécurité des consommateurs. Elle se fournit au plus proche, favorisant les circuits courts et les producteurs locaux. Mais certaines plantes ne sont pas cultivées dans la région. Ainsi par exemple la lavande arrive du sud, le génépi des Alpes. D’autres doivent être importées, particulièrement de Pologne, Hongrie, Lituanie, Espagne, Portugal, Maroc, Tunisie ou encore Brésil. Elle s’est également engagée dans une démarche bio pour répondre à une demande de plus en plus importante. Actuellement les plantes bio représentent 25% du catalogue. Les plantes sont préparées sous toute forme (coupée, pulvérisée), transformées (gélule, macérât aqueux, huile essentielle, infusette) et conditionnées (de 250 g à 2,5 T) dans les locaux de la société, suivant les besoins et les demandes des clients. Plus de 2000 clients lui font déjà confiance. La qualité de ses produits est également reconnue à l’étranger puisque l’Herboristerie Cailleau réalise 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Depuis 1 an l’herboristerie a aussi ouvert un site de ventes en ligne dédié aux particuliers, répondant ainsi à l’ensemble des demandes de ses clients. ...

Les 3 Épiciers : ambassadeur du meilleur de la gastronomie française

Les 3 Épiciers entend rendre hommage au savoir-faire des artisans, des producteurs et des fermiers de France. « Nous avons voulu représenter les petits artisans qui viennent des quatre coins de la France afin de les regrouper sous notre marque d’épicerie fine », déclare Jean-Marc Annaloro, l'un des fondateurs de la marque. La boutique « Les 3 Épiciers », sise à Lourmarin, propose donc une large gamme de produits sélectionnés suivant une charte-qualité exigeante élaborée par les fondateurs eux-mêmes. Objectif : proposer des produits authentiques, 100 % français. Allant des spiritueux aux épices, en passant par la confiserie, « ici, tout est exclusivement fait à la main par un producteur français », continue notre interlocuteur. De quoi satisfaire les épicuriens en quête de saveurs authentiques, gourmandes et célébrant toutes les bonnes choses que la gastronomie française a à offrir.      « Retrouver le goût des bons produits » C’est en ces termes que Jean-Marc Annaloro définit la motivation qui l’a poussé, avec ses associés, à créer cette marque placée sous le signe de l’authenticité. Dans cette optique, la charte-qualité très stricte qui guide la sélection repose sur des critères exigeants. « Nous avons nous-mêmes sélectionné le meilleur de chaque produit en allant à la rencontre des artisans, des producteurs et des fermiers dans leur propre domaine. Nous avons alors découvert des histoires, des savoir-faire ainsi que des méthodes de fabrication qui répondent aux exigences de notre charte », reprend notre interlocuteur. En conformité avec cette charte-qualité, les ingrédients sont rigoureusement contrôlés afin de proposer uniquement des mets, des condiments et des spiritueux sains, fidèles à leurs origines.  Dans cette logique, « nous sélectionnons uniquement des produits français de haute qualité, faits à la main et ne contenant ni colorants, ni arômes artificiels, ni conservateurs », rajoute-t-il. C’est ce noble engagement envers la qualité qui fait ainsi la particularité des chocolats, des liqueurs, des épices, des confiseries, des biscuits et des spiritueux commercialisés par l’enseigne « Les 3 Épiciers ».  À chaque produit son histoire Les méthodes de fabrication de certains artisans et producteurs ont été transmises de génération en génération et constituent un patrimoine gastronomique à valoriser. C’est, par exemple, le cas des calissons élaborés par un maître confiseur aixois. Le calisson est fabriqué à partir de fruits confits (citron, melon et orange) et d'amandes. C'est une douceur typique d'Aix-en-Provence. L’épicerie propose, entre autres, du miel de garrigue et du miel de lavande, récoltés et conditionnés à la main dans le village de La Roque-d'Anthéron. Des sirops bio garantis sans arômes artificiels ni colorants avec des recettes originales telles que le sirop méditerranée à base d'anis vert, de menthe poivrée et de verveine, font également partie des produits phares de l’enseigne. Ceux-ci incluent, en outre, une gamme de crèmes de fruits et de liqueurs faites à base de plantes et de fruits directement récoltés et distillés de manière artisanale dans les Alpes du Sud. Dans cette catégorie, la liqueur de thym sauvage de Provence accroche de nombreux adeptes. Découvrez, par ailleurs, une cave composée des meilleurs spiritueux de France. Le blanc du domaine Moreau-Naudet, cuvée Valmur 2014 (appellation chablis grand cru) ainsi que le rosé du Château d'Esclans, cuvée Garrus 2015 (appellation côtes-de-provence), élu meilleur rosé du monde. Whisky breton, caviar, produits truffés et champagne haut de gamme viennent s’ajouter à ce répertoire pointu, 100 % français. ...

L'Allée des Vignes, une voie toute tracée…

Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique,  fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...

Takayanagi : une portion d'Orient à croquer

Situé entre la rue des Minimes et la rue du Docteur-Leroy, ce salon de thé à l’allure épurée et minimaliste est un vrai petit coin de paradis. Suivant le credo de la maison, les deux associés japonais retravaillent à leur manière la pâtisserie et la cuisine japonaise. Une pâtisserie à la sauce nipponne Après plus de 15 ans d’expérience au Japon et 5 ans en France, le chef pâtissier Masatoshi Takayanagi décide de s’associer avec Chisa Ogawa pour ouvrir l’établissement Takayanagi au Mans. Le chef, dit Taka, fait de cet endroit un véritable laboratoire où il concrétise sa créativité fertile. Il s’autorise presque tous les mélanges d’ingrédients possibles, bien sûr en toute connaissance de cause. La légèreté de ses pâtisseries françaises revisitées à la japonaise révèle des saveurs qui sont à la hauteur de l’ambition du chef Taka. Tous les produits du Takayanagi sont créés et faits maison à partir de produits frais. Le chef remplace certains composants des pâtisseries françaises par des ingrédients typiquement japonais, comme le haricot rouge qui est « la base de la pâtisserie traditionnelle japonaise », les agrumes yuzu et sudachi, ou encore les thés matcha et hoji. Le sucre est volontairement modéré pour accentuer le gout des composants. Le meilleur ambassadeur de cette association de saveurs françaises et nipponnes est sans doute le « Paris-Tokyo » : une pâte à choux agrémentée de crème pralinée et de sésame et garnie de pâte de haricots rouges. Les autres gâteaux et tartes n’attendent que d’enchanter vos papilles. La maison vous suggère une formule boisson et gâteau individuel à 6 € à l’heure du thé. Une cuisine japonisante La cuisinière-gérante japonaise Chisa Ogawa s’est installée en France depuis 25 ans. Elle touche un peu à tout et multiplie les rencontres. À la croisée des chemins, elle fait la connaissance d’un grand chef pâtissier du nom de Takayanagi. Cette rencontre particulière a donné naissance au salon de thé sarthois qui propose en même temps boisson, pâtisserie et plat du jour dans un cadre simple, avec une décoration zen. Elle vous y suggère une cuisine familiale japonaise, qu’elle préparait autrefois pour sa famille. L’excellente cuisinière du Takayanagi concocte chaque jour un plat unique avec de bons ingrédients adaptés à la gastronomie nipponne, pour le grand plaisir des gourmets. La présence très remarquée du riz dans les assiettes rappelle cette couleur asiatique. Régalez-vous du sushi revisité : saumon poireau, avocat mayonnaise et poulet concombre sur lit de riz vinaigré. Succombez au plaisir du plateau tendon (beignet de légumes et crevettes sur du riz), accompagné d’un petit bol de soupe miso. Et en dessert, goutez par exemple à la crème de mangue ou au fraisier. Vous pouvez évidemment y ajouter une boisson chaude, froide ou gazeuse selon votre préférence. Un partage de culture   Les néophytes se réjouiront de savoir que les deux artistes de la maison Takayanagi offrent chaque mois différents cours sur les bases simples de la cuisine japonaise. Les séances sont programmées un vendredi soir par mois, de 18 à 20 heures. Les places sont limitées à 7 personnes pour la convivialité. Pour la cuisine, cela va de la cuisson de riz à la japonaise jusqu’aux idées de verrine pour les fêtes de fin d’année, en passant par les différents repas complets japonais. Côté pâtisserie, le chef Taka vous apprend les recettes pour une pâte à choux, une crème pâtissière et une chantilly parfaite.   Les apprentis suivent les enseignements en petit comité dans une ambiance décontractée. Venez avec un tablier pour apprendre les astuces pour bien réussir vos gâteaux à la maison, ou pour donner à vos mets un brin d’exotisme et de fantaisie à la japonaise. Chaque participant emportera son exploit pour le faire gouter à sa famille. Ce cours peut également être offert en cadeau à un proche, en le précisant lors de l’inscription. Il n’...

Le Quincangrogne : une auberge en bord de Marne au glorieux passé

Rachetée en 1964 par le chef étoilé au Guide Michelin Arthur Keller, cette guinguette du bord de Marne au nom très évocateur est aujourd’hui un lieu de charme et d’exception, absolument à découvrir. Baignant dans une atmosphère moderne et épurée avec des tables non nappées en bois massif, l’Hôtel Restaurant Le Quincangrogne, récemment affilié aux Logis de France, offre une agréable vue sur la Marne. Dans un concept particulièrement convivial, sa cuisine ouverte sur une verrière de 4 m de long permet par ailleurs une vue générale sur ce qui se passe derrière les fourneaux, sans parler de son immense plateau de fromages et de son imposante cheminée. À travers une cuisine gastronomique empreinte d’une touche méditerranéenne et de subtilités asiatiques et qui privilégie les produits régionaux, Le Quincangrogne séduit par la diversité de ses plats qui sont, par ailleurs, de véritables découvertes culinaires.  Des plats inventifs Démarrez les hostilités avec sa délicieuse entrée d’escargots de la ferme de Pamfou flambés à l’anis, accompagnés d’une émulsion lactée de noisettes de la Ferme de Férolles (Seine-et-Marne). Continuez avec son cochon de la ferme d’Aubetin, à Dagny (Seine-et-Marne), frotté à la fleur de sel et confit pendant 14 heures, accompagné d’un beurre mousseux demi-sel, avant de terminer avec sa clémentine confite dans son jus, meringuée, accompagnée de son sorbet relevé à la bergamote. Pour accompagner chacun de vos repas, la carte des vins du Quincangrogne est riche en surprises. Elle vous permet un excellent choix parmi de nombreuses références de vins typiquement français, dont les plus appréciés sont le Beaune 1er cru du Domaine Berthelemot ou le Clos des Mouches et le Condrieu de chez Robert Niero. ...

Restaurant Le Relais 50 : une escale chic et gourmande au cœur de Marseille

Jouissant d’un emplacement privilégié donnant sur le Vieux-Port et sur Notre-Dame de la Garde, le restaurant Le Relais 50 est une escale chic et gourmande située au cœur de Marseille. Dans une ambiance et un style des années 50, l’établissement est une invitation permanente à la découverte et le plaisir de revenir est sans cesse renouvelé. La magie des couleurs et des saveurs dans vos assiettes À travers une cuisine gastronomique du monde où l’inspiration créative du chef se démarque comme une signature, le restaurant Le Relais 50 est un haut lieu de gastronomie et de partage qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Par ailleurs, la farandole des menus ne cesse d’entretenir la magie dans un beau mariage de couleurs et de saveurs. À la fois simples et raffinés, les plats préparés apportent du soleil dans vos assiettes, auquel viennent s’ajouter quelques notes d’exotisme et une bonne dose d’authenticité. Une cuisine gastronomique aux saveurs d’ailleurs    Noël Baudrand aujourd’hui aux commandes derrière les fourneaux du restaurant, se plaît à composer de belles assiettes à travers une cuisine gastronomique du monde revisitée. Laissez-vous tenter par son maquereau de méditerranée fait de tartare minute, de coulis de roquette et de glace wasabi, avant d’enchaîner avec son plat signature qui est et restera la poitrine de cochon confite et caramel de tomate au poivre de Sichuan. Comme dessert, terminez avec son duo de banane et d'avocat en tube croustillant de noix de coco, une pure merveille du Japon accompagnée d’un zeste de gingembre… de quoi délecter les palais les plus exigeants. ...

Domaine Arvieux : l’art de signer des vins
de vignerons 

Le Domaine Arvieux est situé à Saint-Victor-la-Coste et élabore des rouges, blancs et rosés sous l’appellation Côtes-du-Rhône. La qualité avant tout Vigneron de longue lignée, Nicolas Arvieux gère d’un bout à l’autre toute la chaine de production. Ici, tout se fait de façon artisanale pour que chaque cuvée créée soit vivante, unique et s’imprègne du caractère de celui qui travaille les vignes et au chai… Le Domaine Arvieux se démarque ainsi par un faible rendement au profit de la qualité. « Mon objectif est de maintenir le rendement à 30 hl par hectare pour plus de complexité », fait valoir Nicolas Arvieux. Les vins rouges ne font pas l'objet d'un filtrage afin de conserver les macromolécules et conserver toute la densité du vin. Les dépôts naturels qui en résultent prouvent que les vins restent vivants et naturels. Le coup de cœur est la cuvée Exception, qui porte bien son nom. « C’est uniquement quand la qualité du millésime est excellent que je réussis à sortir des vins comme cela », conclut le maitre des lieux. ...

François Priet Fromager : vitrine du bon fromage français, et pas seulement...

Fromagers de génération en génération depuis 1947, les Priet portent une attention particulière sur les fromages français dont la qualité et les saveurs ne sont plus à démontrer. Afin de perpétuer l’activité familiale, la boutique François Priet Fromager voit le jour en France en 1952, mais ce n’est qu’à partir de 1989 que Charles Priet, le propriétaire actuel, et son père, décident de l’installer dans un paisible quartier parisien situé dans la rue des Pyrénées. Un mélange atypique de saveurs Prônant la qualité et la diversité de ses produits dans la région parisienne et ses environs, « le fromager François Priet travaille sur une large gamme de fromages, composée d’environ 150 références », révèle Charles Priet. Outre les fromages de chèvre, de brebis et des classiques à pâte cuite ou molle, la vitrine du fromager laisse entrevoir des produits AOP et AOC tels que les vieux et les jeunes comtés. « Certains d’entre eux proviennent de producteurs locaux », précise notre interlocuteur. Au-delà de la frontière de l’Hexagone, la boutique est en étroite collaboration avec des producteurs étrangers tels que l’Irlande, l’Italie, l’Espagne ou l’Angleterre afin de proposer des produits authentiques aux multiples saveurs. Après un tri minutieux, ils sont emballés dans des coffrets joliment décorés pour donner l’eau à la bouche des gourmands, pour ne citer que la sélection des fromages d’alpage constituée de beaufort, gruyère suisse, etc. Des services adaptés à tous les besoins Afin de répondre aux envies de sa clientèle, notamment les habitués du quartier, le fromager François Priet a relancé le système de coffrets plateaux de fromages grâce à un partenariat avec la nouvelle ligne appelée « Les Maisons du Fromage ». « Il s’agit de coffrets composés de dix-sept sélections de plateaux de fromages avec trois, quatre, cinq ou une dizaine de variétés de fromages, dont certains peuvent être accompagnés d’une bouteille de vin », explique le gérant. En parallèle, « un service d’abonnement a été mis en place afin d’offrir régulièrement (hebdomadaire ou mensuel) du fromage aux consommateurs selon les saisons », communique notre interlocuteur. Et de rajouter que « nous apportons un conseil aux clients pour subvenir parfaitement à leurs demandes et à leurs besoins ». ...

Distillerie O’Baptiste : On reconnaît un lion à sa griffe

Les spiritueux A Valence, dans un petit entrepôt, nous faisons rapidement faire le tour du propriétaire : des alambics, coeur de la fabrication, des bouteilles en stock, prêtes à être vendues, des fûts dans lesquels vieillissent rhum et whisky. Là sont proposés pas mal de spiritueux : de l’Esprit de bière, de l’Esprit de malts, de la vodka quadruple distillation, du rhum blanc et du rhum humble, du whisky 3 ans d’âge (disponible en 2020), du London Dry gin et un apéritif à la mistelle de malts (du moût de malts), nommé Caryopse. Tout est fameux, vous ne vous tromperez pas ! Et il propose déjà un beau panel d’apéritifs et de digestifs, après seulement un an d’existence, il faut le souligner. La fabrication O’Baptiste utilise deux alambics, un de 50 et un de 300 litres. Pour chaque spiritueux qu’il fabrique, il fait deux passes (comprenez deux distillations). Ainsi, après la première macération, il obtient un brouillis, qui est ensuite re-distillé. A l’issu de cette double distillation, l’alcool titre 70 degrés. L’ajout d’eau permet d’obtenir le titrage souhaité, généralement 40 ou 45 degrés. Ses matières premières sont bio, notamment pour l’Esprit de malt qui provient de la malterie coopérative Malteurs Echos qui se situe à une quarantaine de kilomètres de Valence, en Ardèche. Les matières premières sont locales, en particulier pour l’esprit de bière, fabriqué à partir de bières artisanales locales. La seule matière première ne venant pas du Sud-Est est la mélasse de canne à sucre utilisée pour fabriquer le rhum. Elle vient de loin : d’Asie, de Thaïlande pour être précis (l’Asie est l’autre grand producteur mondial de sucre avec l’Amérique latine), mais cette mélasse est bio. Embrassez des inconnus C’est un concept vraiment déroutant : eau de vie de crachoir. Certains trouvent cela amusant, d’autre répugnant mais tous s’accordent à dire que c’est étonnant. O’Baptiste a été contacté par un festival de vins naturel qui se tenait à Paris, pour fabriquer cette eau de vie, et renouveler l’expérience d’un distillateur australien : Peter Bignell de la distillerie Belgrove, avec qui Baptiste a collaboré pour cet esprit. Il n’a pas réfléchi longtemps avant d’accepter. Ainsi, a-t-il récupérer les cuves contenant les vins dégustés puis recrachés par 1300 Parisiens. Et de là est né l’appellation « Embrassez des inconnus ». La distillation étant un processus de purification… il n’y a aucun risque sanitaire. Vous pouvez donc boire ces résidus de festival, titrant 43 degrés, en digestif. Les bouteilles seront prêtes à être vendues d’ici peu ! Les rhums Les rhums sont fabriqués à partir de mélasse de canne à sucre bio. Là où c’est beau et bon, il n’y a pas de colorant, d’additif, de sucre ou quoique ce soit. On est sur du rhum pur, qui a obtenu sa couleur (pour le rhum humble) au travers de son vieillissement. Le rhum blanc est issu d’une double distillation, puis mis en bouteille immédiatement après. Le rhum humble (ambré) a quant à lui vieilli 3 mois en fût d’acacia. Le fût d’acacia permet d’apporter des notes vanillées et caramélisées, ce qui donne un rhum rond et assez doux. Le rhum blanc est, à l’odeur, vanillé et fruité. L’arôme se révèle également fleuri et vanillé. On retrouve également des notes de fruits exotiques. Il y a également quelque chose de boisé. En clair, ce rhum est très riche en goût et s’apprécie vraiment pur. Le rhum Humble a été primé de bronze au Congrès International du rhum de Madrid en mai 2018. L’Esprit de bière Petite dégustation, on trouve un goût très présent de céréales et un peu de levures, en fin de bouche ressent légèrement du chocolat. Mais on ne retrouve pas le goût de la bière pour autant, ce n’est pas de la bière ne vous attendez pas à boire ça, vous seriez déroutés. Au nez, on perçoit un goût de malt. C’est une eau-de-vie donc c&rsqu...

Domaine Sergent : des vins conjugués au féminin

Le vin est-il meilleur au féminin ? Pour en savoir plus, il faudrait aller à la rencontre de Brigitte et Corinne Dousseau, quatrième génération de viticulteurs à la tête du Domaine Sergent. Une exploitation qui fait partie de la famille  depuis 1902, acquis par Hubert Dousseau, arrière-grand-père de Corinne et Brigitte. Des vins affichant une excellente qualité tannique Âgés en moyenne de 35 ans, les 19,5 hectares de vignes du Domaine Sergent s’étendent sur un coteau exposé plein sud, entre 100 et 150 mètres d’altitude au pied des Pyrénées. Le terroir bénéficie d'un climat océanique qui rend les hivers froids et les printemps humides et chauds. Les cépages qui s’adaptent à ces conditions sont le Cabernet Franc, le Cabernet Sauvignon, le Merlot, le Petit Manseng, le Gros Manseng et le Tannat. « Ce dernier est un cépage qu’on trouve essentiellement en Uruguay et en Madiran, c’est ce qui fait notre typicité », précise fièrement Corinne Dousseau. « C’est un cépage productif qui a besoin de la main de l’homme. On pratique l’ébourgeonnage au printemps pour limiter la production et en été, l’éclaircissage. On laisse sept ou huit grappes par pied pour ne produire que 50 à 55 litres par hectare », ajoute-t-elle. La vendange est effectuée lorsque le raisin est à maturité maximum, ce qui permet d’avoir une qualité tannique optimale. Les sœurs Dousseau priment l’agriculture raisonnée. Le terroir, le climat, les cépages et le savoir-faire des viticulteurs contribuent à l’élaboration de vins riches, concentrés, avec beaucoup de fraîcheur et de fruits. « On apporte très rarement des engrais. Quand les vignes sont en équilibre, elles se suffisent à elles-mêmes et produisent des raisins de bonne qualité », explique Corinne. Les vignes sont traitées seulement en cas de besoin et en fonction des risques de maladies. Les vins du Domaine Sergent La Cuvée Tradition se compose de 80 % de Tannat, 10 % de Cabernet Franc et 10 % de Cabernet Sauvignon. La cuvaison de ce vin dure trois semaines. Il est élevé en cuve pendant près de 24 mois, dont 14 mois obligatoires. Pour mettre le vin au propre, des soutirages sont effectués régulièrement. Ce vin de Madiran est souple, avec beaucoup de fruits. La Cuvée élevée en futs de chêne : le terroir du Madiran s’exprime par ce vin. Elle est essentiellement élaborée avec du Tannat. Sa cuvaison dure quatre à cinq semaines et la fermentation malolactique se fait en cuve. Comme son nom l’indique, il est élevé en futs de chêne pendant un an. Le vin est ensuite remis en cuve pour six mois pour que le tout s’harmonise. Le Pacherenc du Vic-Bilh-Sec rassemble 50 % de Petit Manseng et 50 % de Gros Manseng. Ces cépages sont récoltés en même temps que les rouges vers la fin septembre – début octobre. La fermentation se fait dans des futs de chêne, avant que le vin soit élevé sur lies en barrique pendant six mois. Le nez frais de ce vin présente des notes d’agrumes : pamplemousse, citron. Cela est suivi en bouche par des arômes de fruits frais tels que la pêche et l’abricot. Les deux cuvées Les Grains d’Elise et Tradition Pacherenc du Vic-Bilh-Doux se distinguent par leurs vendanges tardives. Côté assemblage, la première est composée d’une forte proportion de Petit Manseng avec une touche de Gros Manseng, tandis que la deuxième allie 80 % de Gros Manseng et 20 % de Petit Manseng. Les vins sont élevés pendant huit mois. ...

Domaine les Chagnasses : ambassadeur de l’excellence à la bordelaise

Le cabernet franc et le merlot, de par l’exposition idéale des deux hectares de vignoble, révèlent tous leurs arômes et leur rondeur au travers des cuvées emblématiques du Domaine les Chagnasses. Au milieu des vignes de quarante ans d’âge, les membres de la famille Abecassis, nous entraînent au cœur de ce patrimoine authentique. Le goût de la tradition Après Jean Seynat, qui créait le domaine au début des années 60, Christine et son mari Georges Abecassis reprennent les rênes de l’exploitation en 1992. Ils perpétuent ainsi la tradition du vin bordelais en restant attachés aux valeurs familiales qui ont forgées l’identité de leur maison. Aujourd'hui ce sont leurs enfants qui reprennent l’exploitation.  La quête de la qualité, faisant figure de valeur phare, s’illustre par « une maîtrise parfaite du processus d’élaboration du vin et par un contrôle complet de la chaîne », affirme Christine. L’appellation Lalande-de-Pomerol : une fierté et une réussite Situé au cœur de la région viticole bordelaise, les vignes ont une situation privilégiée au croisement des communes de Néac, Lalande de Pomerol et Pomerol. Le Domaine les Chagnasses conçoit du bon vin rouge à souhait répondant aux critères de l’appellation Lalande-de-Pomerol. Les vins bénéficiant de cette appellation sont, en effet, dotés d’une puissance en bouche et d’un bouquet gourmand en longueur, ce qui est le cas de la Douceur, millésime 2009, un vin du domaine élaboré à 100 % de merlot. Outre ce vin exquis, le Domaine les Chagnassess est fier de ses vieux millésimes riches d’une mosaïque de saveurs et d’un potentiel aromatique affirmé. Toute cette typicité gustative est mise en valeur par « une viticulture raisonnée conduite dans le respect du terroir ». ...

Champagne Sanger : des vins en lien avec le territoire champenois et l’histoire de la marque

L’histoire de la maison Sanger est assez originale pour donner envie de s’y intéresser. Elle est aussi importante pour mieux comprendre les spécificités des différentes cuvées. Champagne Sanger : une histoire très ancrée sur son territoire Dès sa création, l’histoire de la maison Sanger interpelle. En effet, cette dernière est née en 1952 dans une école de viticulture par le fait qu’il était nécessaire de former les jeunes à la champagnisation et à la vinification. Suite à la crise phylloxérique en 1919 qui a détruit le vignoble, l’école de viticulture est née. C’est donc en 1952, que ces 16 exploitants et vignerons issu d’une même école décident de s’unir en créant la maison Sanger sur la base d’une coopérative (appelée Coopérative des anciens de la viticulture) afin de poursuivre ses notions de transmission du savoir-faire champenois. Le fait d’avoir regroupé des outils de production, un savoir-faire ancestral, différents terroirs au sein d’une même structure, a permis de créer une multitude de Champagnes pour mettre en valeur le fabuleux terroir de Champagne. Des Pères Fondateurs à aujourd’hui : une philosophie qui perdure dans le temps La maison Sanger repose sur de véritables notions de partage, de transmission et de savoir-faire. L’objectif étant de concilier au quotidien une tradition ancestrale avec un processus de vinification modernisé. Cela en favorisant une œnologie de bon sens et en laissant le temps au temps. Ce qui signifie, en d’autres termes, que chaque professionnel de la coopérative accorde une grande importance au développement durable et à la préservation du terroir. Un exemple concret : le fait de séparer l’origine des terroirs au sein des 60 cuves autorégulées pour valoriser leurs origines. Mais aussi d’élever les vins sur lies et de ne pas les filtrer. Cela permet d’élaborer différentes cuvées ayant chacune leur propre caractère dont le Blanc de Noir ou le Blanc de Blanc Grand Cru, très appréciées des amateurs de vin effervescents. ...

Lapierre Traiteur : l’art du service

Un savoir-faire et une passion familiale C’est à la fin des années 70 que l’entreprise voit le jour à l’initiative de Clément Lapierre. Fort d’une expérience auprès de chefs de plusieurs restaurants étoilés, il fonde avec son épouse la maison Lapierre Traiteur. Ce n’est alors qu‘une simple maison artisanale, comme on en compte tant dans la région. « On avait de vieux locaux qui ont été agrandis au fil des années. En 2007, avec toute mon équipe, on a déménagé dans nos nouveaux bâtiments dans lesquelles nous avons installé notre laboratoire de cuisine », nous explique au téléphone Fabien Lapierre, fils du fondateur de la maison et actuel dirigeant de l’entreprise. Avant d’exercer ses talents derrière les fourneaux de l’entreprise familiale, le jeune chef est allé se former longtemps au Meurice et au Georges V. Une étape a été franchie dans la vie de l’entreprise en 2007, avec l’acquisition de plus de 1 100 m2 en Plaine-Saint-Denis où il a installé sa batterie de cuisine de dernière génération répondant aux normes sanitaires européennes (CE). C’est de là que partent chaque jour les centaines de macarons et de petits canapés qui ont sublimé plusieurs générations de papilles, forgeant à chaque bouchée un peu plus la réputation de cette maison. Une carte d’exception pour tous les types d’événements Tout commence par un entretien avec le client pour bien cerner ses attentes, pour trouver avec lui l’axe nutritionnel de son repas. Selon les besoins, Lapierre Traiteur va proposer un repas sans sel ou sans gluten, avec ou sans crustacés, toujours en gardant à l’esprit le budget que le client souhaite allouer à cette prestation.« On accompagne entre 10 et 30 événements par jour tout au long de l’année. D’une commande de quatre plateaux-repas à l’organisation d’une réception de 200 personnes avec un cocktail dînatoire, on apporte toujours le même soin dans la finition de nos repas », explique Fabien Lapierre. Tout le monde fait très attention à son budget, particuliers comme professionnels. Pour proposer à tous une offre abordable et de grande qualité, Lapierre Traiteur choisit de ne travailler qu’avec des produits simples, de saison, obtenus auprès d’un réseau fidèle de distributeurs et fabrique 90 % de ses produits distribués. Un service de livraison de plateaux-repas C’est une tendance : les grandes entreprises délaissent de plus la restauration « classique » pour l’organisation de la pause déjeuner de leurs collaborateurs. Trop long, trop fastidieux, pas adapté à un monde qui bouge vite.  Pour ceux qui mangent au bureau lors de réunions d’affaires, Lapierre traiteur propose un service de livraison de plateaux-repas. Pour à peine plus d’une dizaine d’euros, on choisit parmi une gamme de six plateaux-repas qui satisferont tous les goûts. Bio, végétariens, sans gluten ou composés à base de produits de saisons, ils viennent toujours accompagnés d’un fromage et d’un dessert afin de transformer une banale « pause déj. » en un moment sain et convivial. ...

Patrelle : bien plus qu’une marque, une signature

Située sur la côte normande, à faible distance de Deauville, cette société emblématique a gagné ses lettres de noblesse avec un seul et unique produit « le Saveur des Potages », plus connu sous l’appellation « Arôme Patrelle » qu’elle doit à Louis Salve Patrelle, le premier du nom. Il s'agit d'un colorant alimentaire à base de glucose destiné à permettre le fonçage de sauces, marinades, potages, gratins,… Il permet également la couverture des préparations de viandes, comme le jambon, ou de volailles grillées (poulet, escalopes). Enfin, il s'utilise pour colorer les gélatines nécessaires à la préparation des charcuteries ou dans la liaison des sauces. Bref, un incontournable en cuisine. Grâce au Saveur des Potages®, chaque plat livre ses meilleurs atouts. Le succès d’une marque au fil du temps Fort du succès de la marque qui a autant séduit que fidélisé les consommateurs pendant près d’un siècle, Patrelle prend son envol en 1961 avec la partie confiserie et produit ses premiers délices aux saveurs sucrées : la boule coco (une meringue fantaisie enrobée de noix de coco râpée) et le roudoudou (le célèbre coquillage avec une sucette à l’intérieur). L’incroyable odyssée d’un authentique patrimoine familial     Sous la direction de Laurent Patrelle (de la cinquième génération) depuis 1987, la société Patrelle continue à se développer et à innover dans sa palette de goûts et de couleurs avec la création en 1993 des lignes de production des P’tits Top (goûter avec gressins et pâte à tartiner) et des bâtons à congeler, suivie dix ans plus tard par la ligne de production du Trio Top (goûter avec gressins, pâte à tartiner et boisson). En 2001, Patrelle marque sa présence à l’échelle internationale en matière de confiserie, notamment en Europe (Belgique, Allemagne, Portugal, Pologne et Roumanie), mais aussi aux Émirats arabes unis et en Nouvelle-Calédonie, puis récemment en Russie et au Sénégal. L’année 2013 voit, quant à elle, la commercialisation de trois nouveaux arômes Patrelle sur le marché, à savoir les arômes Patrelle balsamique, bœuf et barbecue. En 2016, la gamme snacking sucrée et salée entre, elle aussi, dans la danse avec de nouvelles saveurs telles que le spéculoos, le beurre de cacahuètes, et aussi les sauces ketchup, Barbecue et tex-mex. Et le petit dernier le « P’tite Pomme ». En effet, fort de son expérience dans le snacking pour enfants, la société Patrelle vient de lancer ce nouveau concept : des biscuits Petits-beurre et une spécialité de pomme pour offrir un goûter plus sain et équilibré. Vous pourrez découvrir tous ces produits dans leur magasin d’usine. ...

Au Restaurant de la Rivière : une cuisine traditionnelle pour explorer les saveurs du terroir

Idéalement situé au bord de l’Yonne et niché dans un petit village paisible, l’établissement dégage un charme intemporel. À l’intérieur, le mélange du style champêtre et moderne intrigue, et les tableaux des artistes peintres locaux qui viennent orner le mur blanc captivent toutes les attentions. Dans cet endroit chaleureux, Laure et David accueillent les clients, habitués ou simplement de passage sur l’autoroute, et les invitent à passer un moment convivial autour d’une bonne table.  Privatisable, l’endroit se prête à divers événements familiaux ou non tels baptêmes ou anniversaires avec une capacité d’accueil de cinquante personnes en restauration traditionnelle. En revanche, lors des soirées à thèmes comme la « fête de la musique » ou « Garçon la note », qui est un événement en partenariat avec l’Office du tourisme de l’auxerrois, cette capacité s’étend à une centaine de personnes, étant donné que les festivités ont lieu à l'extérieur. Les spécialités maison  Laure, chef en cuisine, n’y est pas allée par quatre chemins dans la création de sa carte. Celle-ci est succincte mais l’excellence de la cuisine bourguignonne y est bel et bien au rendez-vous. Laure sait initier ses clients à de belles découvertes culinaires en mettant en scène et sans jamais les dénaturer les produits de saison frais, issus des producteurs locaux. « Nous varions régulièrement les assiettes, mais nous restons toujours sur les produits et les recettes du terroir », fait-elle savoir. Notre passionnée appose sa signature dès l’entrée, en proposant les fameux escargots avec une sauce chaource, la salade accompagnée de croustillants de pieds de cochon, ou encore le foie gras maison sur toast. Pour les plats, les clients ont le choix entre un classique à l’instar de l’entrecôte et ses frites maison, ou une suggestion plus originale qui ne déroge pas au style traditionnel de la maison comme l’andouillette façon « grand-mère ». À noter que la carte suggère toujours un plat à base de poisson en sauce selon l’arrivage et un plat de viande rouge. Côté dessert, le vacherin à la framboise est un incontournable. C'est un sorbet framboise accompagné de meringue, chantilly et coulis de fruits rouges, le tout servi dans un bocal. Voilà un dessert qui clôture cette expérience gustative sur une note bien gourmande. Au plus près de la région Locavore dans l’âme, le couple a sélectionné le meilleur des vins bourguignons et icaunais pour  accompagner les plats. Chablis « Vieilles Vignes » et chablis 1er cru « Côte de Léchets », les emblématiques de la région se distinguent parmi la liste. « Nous avons également le bourgogne Irancy du Domaine Cantin», souligne David. Pour les vins blancs locaux, le restaurant travaille avec d'autres domaines tels que Daniel-Etienne Defaix, Race, Giraudon, et Les Coeuriots. En vins rouges, il se fournit auprès des domaines Cantin, Giraudon, Gabrielle et Martin. Concernant les rosés, les fournisseurs attitrés sont les domaines Vignot et Giraudon. Le champagne quant à lui vient du domaine Roland Champion. Aussi, pour s’approvisionner, les fournisseurs locaux sont privilégiés à l’instar de la fabrique d'escargots située à Bassou 89400.  ...

Une cuisine italienne authentique

La nostalgie des repas familiaux en Toscane Il est rare dans Paris de trouver des restaurants italiens privilégiant autant l’authenticité de leur cuisine. Sis dans le XVIe arrondissement, Ancora Tu a su brillamment relever le défi. C’est un vrai bistrot italien comme on en trouve en Italie, où vous êtes accueuillis comme à la maison, proposant de la vraie cuisine italienne, avec les mêmes prix que ceux des restaurants là-bas. Les rigatoni alla Pugliese ( sauce tomate et burrata), les gnocchi aux gorgonzola, la Ribollita, la Tagliata... pleins de bons petits plats que les femmes de Ancora Tu aiment vous mijoter. Un point d’honneur sur le savoir-faire artisanal Ancora Tu est fait maison dans le respect de la tradition avec des ingrédients fournis par des petits producteurs italiens qui travaillent artisanalement. Des pâtes fraîches faites maison avec les farines artisanales bio de Molino Agostino à l'huile d'olive Intini, petit producteur dans les pouilles, le choix des produits chez Ancora Tu est primordial car elles pensent que les plats gagnent en saveur et en authenticité. La carte des vins, quant à elle, est également bien pensée. Des vins de Sicile comme le Nero D'Avola ou encore le Primitivo des Pouilles sont en adéquation parfaite avec les plats servis. ...

Le Clos des Abbesses, un Saint-Emillion authentique

Le Clos des Abbesses : une appellation AOC Saint-Emilion Saint-Emilion est un des vins les plus connus au monde. C’est une Appellation d’Origine Contrôlée qui compte plus de 800 viticulteurs, des terroirs différents et une qualité mondialement reconnue. Les neuf communes de l’appellation Saint-Emilion et Saint-Emilion Grand Cru sont inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999 au titre des « Paysages culturels ». Les vignobles couvrent 5 400 ha, soit 67,5% de la superficie de la commune et produisent environ 275 000 hl de vin par an. Ils bénéficient d’un climat tempéré de type océanique, d’une humidité moyenne de 75 % et d’une pluviométrie moyenne de 800 mm/an. Les propriétés sont en général assez petites, 5 ha en moyenne et gérées plutôt de manière artisanale. Saint-Emillion est la “colline aux mille châteaux” qui produit des vins de qualité assez disparate, du grand cru aux vins de table. Les terroirs sont diversifiés, ce qui fait que chaque propriété a des caractéristiques qui lui sont uniques. Les sols argilo-calcaires donnent des vins bien corsés, puissants, charpentés, colorés, riches en alcool, en tanins et de très longue garde. Le Merlot, le Cabernet franc et le Cabernet Sauvignon sont les trois principaux cépages des vignobles de Saint-Emilion. Le Clos des Abbesses, un vin au fumet fruité « Nous avons un vrai point fort », nous explique Agnès Chariol « nos vins sont authentiques et artisanaux, ils nous ressemblent, il n’y a pas d’artifices, car on laisse avant tout parler la nature. Nous sommes des fervents défenseurs d’une agriculture raisonnée ». Le terroir se situe dans la plaine de Saint-Emillion, il est composé de graves sablonneuses. Le climat y est doux et tempéré. C’est un petit domaine de 5,2 hectares, ce qui permet une agriculture raisonnée, avec une attention toute particulière donnée aux vieux pieds de vigne. En effet, ce sont eux qui produisent le grand cru du domaine. La vinification est traditionnelle et artisanale, elle se fait dans des cuves en ciment.La durée de cuvaison varie selon les années entre 3 et 5 semaines, puis le vin est élevé de longs mois  dans des barriques de chêne français. Bien évidemment, le jus est gouté régulièrement pour connaître le moment précis où on doit le sortir des barriques. Le Merlot constitue 80 % des parcelles plantées du domaine, le Cabernet franc les 20% restants. Le Clos des Abbesses produit deux types de vin : le Clos de Abbesses sous l’appellation Saint-Emilion simple et la Grande Abbesse sous l’appellation Saint-Emilion grand cru. Le Clos des Abbesses a une teinte assez brillante, de couleur rubis. Au nez, il est assez fruité, frais et élégant. En bouche il est délicat, souple et gourmand. C’est un vin à boire rapidement pour qu’il garde tout son gout fruité. Il peut être consommé avec toutes sortes de mets. La Grande Abbesse, un vin complexe et onctueux C’est le grand cru du domaine, vinifié à partir des raisins issus des vieux pieds de vigne. La Grande Abbesse est beaucoup plus complexe que le Clos. A l’œil, il est foncé. Au nez, les notes sont vanillées et il a une bonne longueur en bouche. C’est un vin délicat qui demande à vieillir pour le déguster à sa juste valeur. Il doit être débouché au moins une heure avant de le consommer pour que ses arômes se libèrent. « Pour s’exprimer, il a besoin d’air », nous explique Agnès Chariol. ...

Le restaurant de l’hôtel Belle Vue vous offre une cuisine savoureuse et inventive.

Que vous soyez de passage pour une nuit ou pour un séjour plus long, arrêtez-vous au restaurant de l’hôtel Belle Vue, à Fouesnant. Ouvert tous les jours pour les pensionnaires et du mercredi au dimanche pour les gastronomes de passage, apprêtez-vous à découvrir des plats originaux et délicieux. Le cadre et l’emplacement : une bonne raison de manger au restaurant Belle-Vue Que vous soyez adepte de randonnée ou en visite dans la région, vous tomberez sous le charme du cadre idyllique de ce restaurant. En effet, vous vous trouvez en bord de mer. Ce qui vous permet de profiter d’une magnifique vue panoramique sur la baie de Forêt-Fouesnant. De ce fait, c’est tout l’Océan Atlantique qui s’offre à vous pendant votre déjeuner (accueil de 12 h 30 à 13 h 30) ou diner (accueil de 19 h 30 à 21 h). Idéal pour se mettre en appétit avant de savourer des mets variés et gourmands. À savoir : la salle du restaurant se trouve face à la mer. De plus, il est possible de déjeuner en terrasse (en fonction de la météo et de la période de l’année). Les visiteurs apprécieront la vue imprenable sur la baie de la Forêt-Fouesnant. Que ce soit pour un diner en amoureux, un repas familial ou entre amis ou bien un déjeuner d’affaires, vous apprécierez tout autant le décor chaleureux que le service. Attention toutefois : il vaut mieux réserver pour être sûr d’avoir une table. Les propriétaires préférant accueillir moins de monde afin de prendre le temps de s’occuper de tous leurs clients. C’est grâce à tout cela que le restaurant a obtenu les récompenses 3 cocottes au guide des Logis et 2 fourchettes au guide Michelin.  Restaurant Belle Vue : des produits frais et une carte évolutive Après avoir profité du paysage unique qui s’offre à vous, il ne vous reste qu’à goûter les plats proposés par l’établissement. Attention : explosion de saveurs en perspective ! En effet, le chef étant curieux de nature, il aime tout autant utiliser des produits frais qu’il s’est procurés auprès de producteurs locaux que réaliser des associations originales entre éléments de la région et produits extérieurs. Ainsi, en règle générale, la carte change quatre ou cinq fois durant la saison, en fonction des arrivages. Évidemment, en vous arrêtant dans ce restaurant, vous trouverez du poisson et des fruits de mer (véritable spécialité du coin grâce aux nombreux ports de pêche environnants), mais aussi quelques créations intéressantes qui démontrent l’originalité du chef et son talent. Nous vous conseillons la volaille récupérée chez le volailler local et le fromage breton. Un vrai régal ! Si vous aimez prendre un verre de vin avec votre plat, vous apprécierez la carte étoffée et les bouteilles sélectionnées avec attention auprès de producteurs régionaux. À noter : Anne et Yves Kervénez proposent aussi des repas de famille commandés et vous accueillent pour des anniversaires, des communions ou des mariages. L’occasion de célébrer un heureux événement tout en profitant du bon rapport qualité/prix de ce restaurant.  Yves Kervénez : un chef surprenant et généreux En plus d’être cogérant de l’établissement familial, Yves Kervénez en est aussi le chef. Ainsi, chaque fois que vous vous rendez au restaurant Belle Vue, ce sont ses plats que vous prenez plaisir à déguster. Vous apprécierez tout autant son côté curieux qui se ressent dans sa cuisine que sa façon de travailler les produits frais à sa disposition. Son talent : créer des recettes originales sans dénaturer le produit tout en restant autant attentif à leurs saveurs qu’à leurs présentations. Ce qui démontre chez lui une volonté de bien faire et une grande générosité. Midi et soir, tout au long de l’année, il se démène avec son équipe en cuisine pour satisfaire les envies et les goûts de chaque visiteur. Ce n’est pas pour rien que de nombreux clients fidèles du coin s’y rendent souvent ! Surtout que les maitres des lieux font leur possible pour venir discuter...

Château de Panigon, Château Amour :
les merveilles du Médoc

La fille et le gendre des propriétaires, Corinne Leveilley Dadda et Georges Dadda ont repris en 2006 le domaine familial Château de Panigon. Le couple mise sur la production raisonnée et les techniques modernes pour produire des vins de renom.   Médoc et le Château de Panigon Médoc est situé au Nord-Ouest de Bordeaux, sur la rive gauche de l’Estuaire de la Gironde, le plus large d’Europe. Le terroir argilo-calcaire est recouvert de graves, des cailloux charriés par la Garonne depuis des siècles. Le climat tempéré subit des variations particulières propices au développement des vignes. Ces conditions météorologiques et géographiques conduisent les propriétaires du domaine Château de Panigon à adopter une démarche raisonnée par souci de protéger l’environnement.     Le domaine Château de Panigon est depuis toujours une exploitation familiale. En 2006, Corinne et Georges prennent en main l’avenir du Château. En respectant la tradition Médocaine, les propriétaires utilisent les techniques modernes pour le Château de Panigon et le Château Amour Rouge en AOC Médoc. La propriété de la famille Dadda s’étend sur 90 hectares dont 50 plantés à 45 % de Cabernet Sauvignon, un cépage dominant dans l’AOC Médoc. Ce premier cépage assure la finesse, la complexité et la structure tannin des vins. Le Merlot couvre la moitié de l’exploitation. Frais et rond, il donne le côté fruité. Les 5 % restant sont destinés au Petit-Verdot, un cépage qui apporte une pointe d’acidité. Le désherbage se fait avec des outils mécaniques et chaque parcelle est suivie hebdomadairement par des techniciens de la Chambre d’Agriculture de Gironde pour assurer le développement des plantes.   Vinification Le moût est vinifié par parcelle dans des cuves inox thermorégulées. Des délestages quotidiens aident à extraire délicatement la matière colorante. Le vin est ensuite élevé dans des barriques de chêne qui lui donneront des notes boisées. Ils y logeront pendant une période allant de 12 à 18 mois.    Le palmarès du Château de Panigon A part leurs parutions dans divers guides tels que Hachette, Bettane & Desseauve, Parker, Dussert Gerber et Decanter, les vins du domaine Château de Panigon participent et gagnent plusieurs concours régionaux, nationaux et internationaux. Depuis le millésime 2009, le Château de Panigon, Cru Bourgeois, remporte quatre médailles d’or au Guide Gilbert & Gaillard. Il rafle également deux médailles d’or et une médaille argent au Concours de Bordeaux. Il finit deuxième au WinEvent de Hong Kong en 2011. ...

Domaines Prestige : vitrine du territoire agathois

Les domaines prestiges constituent des vitrines de l’excellence oenotouristique des vignobles entourant le Cap d’Agde. Ils insufflent un nouvel élan à ce territoire qui jusqu’alors n’était considéré que comme une destination balnéaire. Grâce à ce renouveau de la viticulture et à l’exceptionnalité de ses domaines, le Cap d’Agde rayonne désormais pour la qualité de ses produits viticoles. Immersion dans l’histoire et le prestige Les Domaines Prestige ont développé des offres pour une clientèle que l’on ne ciblait pas jusque-là. Leur philosophie : associer leur savoir-faire à l’esprit traditionnel et enchanteur des lieux. Parmi eux : le Prieuré de Saint-Jean de Bébian, domaine créé en 1152 qui porte haut les couleurs des vins languedociens et accueille désormais un chef étoilé : Matthieu de Lauzun. A Vias, le château de Preignes le Vieux, à l’histoire millénaire, appartient à la famille Vic qui le restaure et le met en valeur depuis 1905. La propriété s'organise autour d’une véritable forteresse du XIIIème siècle implantée au cœur de 250 ha de vignes. La Seigneurie de Peyrat, quant à elle, est l’emblème par excellence des prouesses architecturales du XVIIème siècle. A l’intérieur comme à l’extérieur, le domaine se révèle comme l’endroit idéal pour célébrer dignement un grand événement. A Montagnac, le château Saint-Martin de la Garrigue séduit par son parc à la française, sa chapelle du IXèmesiècle et ses chais à barriques exceptionnels.    ...

Pietra : des bières à l’identité corse

Depuis, ils y fabriquent des bières artisanales dans le plus pur respect de la tradition brassicole, en pratiquant une sélection rigoureuse des matières premières. La brasserie Pietra se situe à Furiani, près de Bastia, en Haute-Corse.  Les bières de la brasserie Pietra La bière Pietra, le produit fondateur de la brasserie Pietra, est brassée à partir de malt et de farine de châtaigne corse. Mélangée au malt lors de l’empâtage, la farine de châtaigne est utilisée comme une matière première et non comme un arôme. Cette recette unique au monde confère à la Pietra une saveur tout en contraste. Puissante et délicate, charpentée et moelleuse, la Pietra titre 6 % d’alcool. Elle affiche une belle robe ambrée et une mousse intense à fleur châtaigne. Depuis, sont nées d’autres recettes exclusives : - Pietra Bionda, présentant un parfait équilibre entre malt pâle, farine de châtaigne et houblon aromatique ; - Pietra Rossa, une bière aux fruits rouges présentant des notes de griotte, et une pointe de framboise et de mûre ; - Colomba, une bière blanche à base de malt d’orge et de froment, infusée aux herbes du maquis, avec des notes fraîches d’agrumes et un arôme épicé ; - et, depuis peu, Colomba Rosée, une bière blanche aux arômes naturels d’orange et de framboise, brassée à partir de malt d’orge et de malt de blé, fraîche, légère et fruitée.  Également disponible en saison : la Pietra de Noël. Visite La brasserie se visite tout l’été, du lundi au vendredi. Le reste de l’année, elle est accessible sur rendez-vous. ...

La boutique de Saint-Christol : les vins d'un terroir historique

Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les coteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols, et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A  Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIème siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maître-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international.  Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages.  Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II.  La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes  avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana.  La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et coteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon, au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente  garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les coteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret.  Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache.  A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’appel...