Avec son cadre chaleureux dès la terrasse, son intérieur inspirant le bistro traditionnel et le chic, sa clientèle toujours de bonne humeur de jour comme de nuit, son ambiance regorgeant de vitalité, sans oublier la bonne bouffe bien délicieuse, La Bascule du Chevillard est le pont direct entre festivité et grosses dégustations. En effet, ce troisième établissement familial de l’empire Carmen est le reflet de la qualité, de la diversité et, plus important, du savoir-faire. La qualité au rendez-vous Avec de la viande de choix tout droit venue de chez des grands noms comme Sud Viandes Distribution, Maison Garcia et Maison Samaran, des fruits frais de chez Le Jardin du Rempart, des cakes de la boulangerie pâtisserie Serres, du bon café de chez J. Bacquié, sans oublier les savoureux produits de chez Betty Fromager, le restaurant La Bascule du Chevillard n’opte que pour une cuisine de saison et de type terroir. Ici, la cuisine est significativement axée sur les préparations avec viandes qui ont la manie de toujours mettre l’eau à la bouche. Le restaurant est particulièrement spécialisé dans la présentation et la mise en valeur des plats. Mise en valeur qui suscite vraiment l’envie de se régaler des délices concoctés en cuisine. Menu diversifié et plats savoureux Des entrées composées de savoureuses salades et de charcuteries aux desserts penchant entre sucré et salé, tout en passant par des plats de résistance accompagnés de gros morceaux de viande, au restaurant La Bascule du Chevillard, beauté des plats et odeurs de cuisine sont un appel certain à l’appétit. Le menu des entrées se compose notamment de plats comme les salades de bœuf au gros sel, de maraicher, de chèvre chaud au miel, mais aussi de la salade du Gers. Une gamme variée de plats de résistance est également à l’honneur avec du poisson et divers types de viandes : bœuf, volaille, veau et cochon. Côté bœuf Simmental sont proposés le pavé de bœuf accompagné de ses sauces, la côte de bœuf à la moelle, le filet de bœuf accompagné de sauce bordelaise, le steak tartare et la pièce de bœuf aux pois. En matière de volailles, le magret de canard à la ficelle et aux pommes forestières ou encore la cuisse de canard confite figurent parmi les favoris. Par ailleurs, le pied de cochon Hic-Hic et le carpaccio de cervelle de veau mariné ne manquent pas d’attirer l’attention. Tout particulièrement, on note les fameuses frites qui sont vraiment appréciées par l’ensemble de la clientèle de la Bascule du Chevillard. Enfin, en dessert, rien de mieux que de clore avec un sorbet ou une glace, de la crème caramel, du fromage ou encore un gâteau de riz. Le restaurant de toutes les situations Que ce soit pour un rendez-vous entre amis, en famille, entre collègues ou encore en couple, La Bascule du Chevillard demeure le lieu indiqué pour passer un merveilleux moment en bonne compagnie. Le service est de qualité et la pleine satisfaction des clients passe avant tout autre chose. De plus, les prix sont abordables, avec un menu entrée-plat-dessert à 24 € et le menu de midi entrée-plat ou plat-dessert à seulement 15 €. Concernant les vins, la carte, bien que restreinte, saura toujours réserver de très agréables surprises, grâce aux conseils du sommelier. Ouvert du lundi au samedi, de 12 h à 14 h, et du mardi au samedi, de 20 h à 23 h, fermé le dimanche et le lundi soir, le restaurant fait vite le plein. Il est dès lors conseillé de réserver, et uniquement par téléphone. La Bascule du Chevillard : la table des amateurs de viandes et de la bonne chair à découvrir, et où l’on y retourne, sans hésiter. ...
C’est en 1968 qu’un groupe de fromagers, ainsi que le conseiller général du canton, décide de créer le Syndicat de défense du fromage de Chaource afin que ce fromage soit reconnu en tant qu’Appellation d’origine contrôlée (AOC), label qu’ils obtiennent le 9 août 1970. Didier Lincet se trouve actuellement à la tête de ce syndicat qui continue de promouvoir le Chaource, mais également son terroir. Une fabrication artisanale L’obtention d’un fromage nécessite beaucoup de patience, mais également beaucoup de travail. Chaque étape de fabrication diffère selon les types de fromage, et selon les régions. Pour ce qui est du Chaource, tout commence par la collecte de lait dans les élevages, s’ensuit le stockage du lait en fromagerie. Puis, vient la maturation, l’ajout du ferment lactique et la coagulation, qui peut durer au minimum douze heures. C’est à l’issue de ces étapes que l’obtention d’un lait caillé solide permet de passer au moulage (manuellement ou mécaniquement), pour être démoulé après quarante-huit heures, salé, ensuite mis à ressuyer en hâloir durant vingt-quatre heures minimum, pour refroidir et perdre leur humidité . La dernière étape dans la fabrication est l’affinage, en cave, durant au minimum quatorze jours. La production annuelle avoisine, quant à elle, les 2 450 tonnes, dont 10 % partent à l’exportation vers l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les États-Unis et le Japon. Le goût du vrai Ce fromage, à pâte molle et à croûte fleurie, est fabriqué au lait de vache entier sans ajout de matière grasse. En bouche, il est légèrement acidulé et salé à la saveur douce. Son arôme rappelle celui de la crème, mais aussi du champignon frais et de la noisette. Très apprécié des restaurateurs, le Chaource inspire les créations culinaires. De nombreuses recettes existent pour mieux sublimer les saveurs, toute en délicatesse, du fromage comme la glace au Chaource, le gaspacho de courgettes au Chaource, ou la terrine de légumes au Chaource. À l’heure de l’apéritif, il se déguste volontiers accompagné d’un champagne brut ou rosé, ou d'un porto. ...
Café Soleil, un lieu où chaque moment est unique La France est bien connue pour ses montagnes, en période d'hiver, la station de Serre-Chevalier vous offre le soleil et un domaine skiable exceptionnel adapté aussi bien aux débutants qu'aux amateurs de sensations fortes. Il n'est pas rare de croiser au Café Soleil des champions, avec un peu de chance vous rencontrerez entre autre Luc Alphand (champion du monde de ski alpin) ou bien Pierre Vaultier (champion olympique de snow board cross), devenus amis de Serge et Laurence. Tradition et originalité : le secret de la réussite du Café Soleil Bien que le restaurant n'ouvre ses portes que 7 mois sur 12, la jeune équipe du Café Soleil se met en 4 pour vous offrir le meilleur des services, en tout liberté chaque client pourra choisir en fonction de son budget et de sa disponibilité : le Restaurant en self service (11h30 – 15h30), le Quick Corner Snack (10 h -16h), Le CARRE service à table (12h-14h30) et pour finir la journée dans une ambiance de fête : HAPPY HOUR (15h30-16H30). Buffets d'entrées et desserts maison,Tartiflette aux champignons des bois, mille feuilles de Bœuf au foie gras, steack haché maison, bol Vietnamien, Tiramisu aux fruits rouges, fondant aux marrons, fameuse mousse au chocolat… autant de propositions qui sont à l'image de ce lieu où se mêlent traditions, et singularités ! ...
Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les côteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIe siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maitres-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international. Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages. Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II. La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana. La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et côteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon. Au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les côteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret. Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache. A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’ap...
L’oenotourisme à la bordelaise, signé Bernard Magrez, se conjugue avec visites, séjours d’exception et haute gastronomie au sein de Châteaux Grands Crus classés ainsi que dans son boutique-hôtel 5*. « Grand propriétaire de domaine viticole, avec 42 vignobles dans le monde, cet amoureux du bon vin est animé par le désir de partager sa passion à travers l’hospitalité, la gastronomie, la culture et le vin », nous confie Cécile DAQUIN, Directrice Générale de La Grande Maison Bernard Magrez et Luxury Wine Experience. Un oenotourisme propice au développement des sens L’expérience oenotouristique se vit au sein des trois châteaux : le Château Pape Clément, le Château Fombrauge et le Château La Tour Carnet. Des séjours, des visites de vignobles et de chais, des dégustations de vins et bien entendu, la découverte de ces châteaux sont au programme. D’emblée, le charme néogothique du Château Pape Clément, Grand Cru Classé de Graves ne laisse personne indifférent. Les plus anciennes vendanges datent ici du XIIIe siècle et les arbres séculaires y trônent fièrement, perdus dans un écrin de verdure. Dans ce joyau de Pessac, hommage au savoir-faire vinicole du pape Clément V, vous serez séduit par l’élégance des chambres et des suites dont les noms rappellent la douce symphonie des 60 ha de vignes murant le château. Toujours dans ce raffinement, le Château Fombrauge, une ancienne chartreuse du XVIIe siècle, perpétue une tradition vinicole authentique vieille de plusieurs siècles. Son vignoble de 60 ha et datant du XVIe siècle, fait fière figure d’ambassadeur de cet héritage. L’histoire, celle d’un des plus Grands Crus de Saint-Emilion, se raconte dans les suites luxueuses nichées dans le charme intemporel de ce château d’exception. Enfin, imprégnez-vous des temps médiévaux figés à jamais au cœur du Château La Tour Carnet, Grand Cru Classé du Haut-Médoc. Deux suites apaisantes, véritables mémoires de l’intime, font l’esprit de cette forteresse médiévale, « une des plus anciennes propriétés du Médoc » selon les dires de notre interlocutrice. Vin, gastronomie et culture A part les visites et dégustations de vins, Bernard Magrez Luxury Wine Expérience organise des ateliers inédits intitulés B-winemaker. « Le vin de Bordeaux est un vin d’assemblage. Luxury Wine Experience propose alors aux invités d’apprendre à créer leur propre vin en faisant eux-mêmes les assemblages de différents cépages en fonction de leurs goûts. Ils créeront, par la suite, leur bouteille, leur étiquette et repartiront avec leur bouteille de vin personnalisée », nous indique Cécile DAQUIN. L’immersion au sein de ce nouvel Art de Vivre véhiculé par Bernard Magrez ne sera pas complète sans un passage dans le boutique-hôtel 5* La Grande Maison de Bernard Magrez située en plein cœur de Bordeaux. Propice à une escapade épicurienne, l’hôtel abrite six luxueuses chambres ainsi qu’un restaurant étoilé dirigé par Pierre Gagnaire. Au sein de celui-ci, une cuisine tendre et sincère fidèle à la richesse du terroir est exécutée par cet éminent chef élu homme de l'année 2016 dans la catégorie gastronomie par le magazine international GQ et élu également meilleur chef étoilé du monde par ses pairs en 2015. Pour l’épauler, il fait appel à son équipier de toujours Jean-Denis Lebras. Chaque repas sera sublimé ici par une carte de vins unique au monde enrichie de 259 références et proposant tous les Grands Crus Classés de Bordeaux et assimilés (Bourgeois et Pomerol). L’expérience peut s’achever au sein de l’Institut Culturel Bernard Magrez situé en face de la Grande Maison de Bernard Magrez. Ayant pour mission de faciliter la création contemporaine à tous, cet espace ouvert en 2011 propose une riche programmation d’expositions d’art contemporain et moderne. Dans une optique d’aider à la production d’œuvres inédites, des artistes en résidence y sont ...
L’histoire de la maison C. Garnotel commence en 1899, quand Louis Adam a décidé d’exploiter le vignoble qu’il a hérité de son père. La passion de la vigne s’est transmise de père en fils et aujourd’hui c’est Christophe Garnotel, de la troisième génération, qui continue à préserver la notoriété de cette maison familiale. Tel un artisan, il façonne chaque cuvée en respectant fidèlement la tradition du métier et un savoir-faire ancestral. Un dévouement qui a valu à la propriété une réputation enviable, dépassant les frontières. Là où tout commence Avoir un vignoble en premier cru installé sur Rilly La Montagne est un symbole : celui de l’excellence. Car pour élaborer des champagnes d’exception, il faut un terroir d’exception. « Nous exploitons actuellement un vignoble d’une dizaine d’hectares, intégralement en premier cru, dont la moitié est dédiée au pinot meunier. » Le reste du vignoble est en chardonnay et en pinot noir. À Rilly La Montagne, le sous-sol a la spécificité d’être crayeux qui confère aux vignes une qualité rarement inégalée. Combiné à un ensoleillement équilibré, ce terroir permet aux raisins de développer pleinement leur typicité naturelle jusqu’à maturation optimale. Toutes les conditions sont réunies pour obtenir des cuvées plus saines et plus expressives, à l’image des caractéristiques du terroir. « En blanc, on va avoir des champagnes légers avec des fines bulles et des champagnes avec une puissance aromatique pour tout ce qui est assemblage », souligne Christophe Garnotel. En harmonie avec l’environnement Pour conserver la richesse de son terroir, la maison Champagne C. Garnotel évolue dans le sens de la viticulture raisonnée. La démarche mise sur la prévention afin de réduire l’utilisation des produits phytosanitaires sur les vignes. Ici, le désherbage se fait mécaniquement et le traitement insecticide repose sur la méthode biotechnique de la confusion sexuelle. De la même manière, les actions de protection contre les maladies de la vigne sont renforcées avant même que celles-ci aient le temps de se développer. Christophe Garnotel soutient que « c’est un engagement qui demande un contrôle journalier de l’état des vignes pour apporter les soins adaptés au bon moment ». Une fois les récoltes vendangées manuellement, elles passeront par la vinification traditionnelle champenoise. Les cuvées de la maison Fruit d’une succession complexe de savoir-faire et d’assemblage, le Brut Grande Réserve incarne l’identité de la maison. Ce brut sans année est élaboré avec 40 % de pinot meunier, 30 % de pinot noir et 30 % de chardonnay. Sa belle robe dorée témoigne de son élégance. Son nez agréablement fruité suggère une bouche ample et une fraîcheur intense. En bouche, il est souple, gourmand, généreux et d’une rondeur tentatrice. Idéal pour accompagner les apéritifs et amuse-bouche. La note de 85/100 attribuée par le guide des vins Gilbert et Gaillard signe sa grandeur. « Il s’agit là de notre cuvée de référence, celle qui donne le ton sur notre maison de champagne. » Au même titre que cette cuvée emblématique, la cuvée Louis Adam en monocépage chardonnay premier cru se distingue par la symbiose parfaite de sa palette aromatique. Élaboré en hommage au fondateur de la maison, ce champagne est le lien vivant entre l’histoire de la propriété et les vignes. Son arôme de fruits à chair blanche est agrémenté d’une délicate note briochée. À la fois moelleuse et légère, la texture de ce champagne dévoile une fraîcheur finement parfumée. Il est coté à 89/100 par le guide Gilbert et Gaillard. Le Brut Blanc de Blancs est aussi sur du 100 % chardonnay. D’une robe jaune clair, il est apprécié pour sa bouche complexe, qui joue sur des notes tantôt crémeuses tantôt opulentes. Elle s’achève sur une belle vivacité et sur une finale subtilement saline. Le Brut Esprit Rosé est élaboré essentiellement en ...
A deux pas du Centre Mériadeck, une maison au charme indéniable attire et séduit : Le Clos d’Augusta. Installé dans l’ancienne Bûcherie, le restaurant fait la fierté de ses propriétaires Samuel et Cristina Zuccolotto depuis maintenant treize ans. Avec dynamisme et passion, ils se surpassent au quotidien dans le but de satisfaire au mieux les attentes de leurs convives. En cuisine, Samuel enfile sa toque et surprend avec ses plats aussi originaux que savoureux. En salle, Cristina s’occupe de l’accueil et apporte une attention particulière à chaque convive tout au long de leur repas. Un havre de paix en pleine ville Dès l’entrée, la salle dégage une douce chaleur qui confère une ambiance feutrée et cosy. Travaillée et soignée, la décoration allie à la perfection le parfait mariage entre l’ancien et le contemporain. D’un côté, la salle arbore le style colonial et opte pour une couleur beaucoup plus sobre afin de ressortir son côté raffiné. De l’autre, le mélange blanc et vert révèle un brin de dynamisme et apporte de la modernité à l’ensemble. Mais au Clos d’Augusta, rien n’a été fait au hasard. A commencer par cette couleur verte qui a une importance particulière pour Samuel. En effet, elle reflète sa passion pour le golf. Ainsi, la moquette, les poutres apparentes et les vaisselles portent cette teinte vivifiante. D’ailleurs, il confie que le nom du restaurant a été inspiré par Augusta, le célèbre tournoi des maitres dédié aux golfeurs professionnels. Par ailleurs, la disposition des tables vise à apporter plus d’intimité, un critère particulièrement important pour une clientèle exigeante. Pour couronner le tout, les lumières subtilement disposées à travers la salle apportent un coup d’éclat à l’ensemble. Et, à l’extérieur, le jardin du restaurant prépare à une toute autre surprise. Véritable havre de paix, c’est l’endroit parfait pour un diner ou un déjeuner en toute sérénité. L’occasion pour les convives de passer une expérience culinaire inédite tout en admirant la beauté de la nature. Une cuisine créative Mais la surprise ne s’arrête pas à la décoration, elle est aussi et surtout présente dans l’assiette. En effet, les plats surprennent autant par leur présentation que par leur goût. Derrière ce grand art se cache un chef créatif et méticuleux : le chef Samuel Zuccolotto. Sans chichi, il revisite à la perfection les grands classiques et apporte une touche personnelle qui révèle sa parfaite maitrise des textures et des saveurs. Sans les dénaturer, il transforme les produits soigneusement sélectionnés sur le marché en des vrais chefs-d’œuvre culinaires. Parmi ces spécialités : le ravioli de langoustines, maïs à la vanille et voile de pistache qui révèle toute la fraîcheur des saveurs marines, le succulent dos de lieu jaune de ligne aux coquillages et céleri fondant qui promet une aventure gustative riche en émotions ou encore le dessert tout chocolat à la confiture de mangue qui apporte une sensation de douceur. Il est à noter que pour chaque plat, le chef arbore fièrement le « fait maison » y compris pour le pain. A midi, avec le menu affaire à 25 €, le chef Samuel propose une entrée, un plat de résistance et un dessert. Le soir, les convives peuvent composer eux-mêmes leur menu en optant pour l’Augusta à 47 € ou se laisser surprendre par un menu, choisi pour l’ensemble de la table avec la formule découverte à 67 €. En outre, il propose une carte qui évolue au rythme des saisons et qui se compose de plats particulièrement raffinés. Pour accompagner le repas, Cristina expose la magnifique collection de vins de l’établissement et dévoile ainsi son talent de sommelière pour conseiller les convives dans leur choix. ...
Un jardin fleuri et une grande piscine qui ajoute une note de convivialité tout en invitant à la détente. Bienvenue à La Ferme aux vins. Bourguignons ou voyageurs de passage sont accueillis par une équipe dynamique, souriante et chaleureuse, placée sous la houlette de Marie-Pierre Bêche, la directrice des lieux. Quand le temps le permet, les parasols s’ouvrent à l’extérieur pour recevoir les clients avides de soleil et d’air frais. L’intérieur est tout aussi propice à la convivialité. Le décor propose un doux et ingénieux mélange entre confort et modernité. C’est dans cette ambiance de charme qu’évolue le chef Xavier Bitarelle, un spécialiste de la cuisine traditionnelle qui maitrise son art à la perfection. Capital confiance La Coupole à Paris, Dalloyau, l’Hostellerie de Levernois : Xavier Bitarelle fait ses armes dans les établissements les plus prestigieux. Cette longue et riche expérience lui vaut toute la confiance de la famille Jacquier, qui lui confie les rênes du restaurant La Ferme aux vins en 2008. Rappelons que, depuis 4 générations, l’existence du groupe Hôtels Bourgogne Qualité est fondée sur les valeurs portées par la famille Jacquier, profondément attachée à la Bourgogne, et passionnée par les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Aujourd'hui, Hotels Bourgogne Qualité, ce sont 11 hôtels en Bourgogne, de l’économique au 5 étoiles, ainsi que 7 restaurants gourmets et gastronomiques. Xavier Bitarelle, un maestro de la cuisine bourguignonne Prêt à redynamiser La Ferme aux vins, ce chef efficace et fignoleur y sculpte les parfums, les goûts et les harmonies pour au final proposer une cuisine de terroir relevée par une pointe d’innovation. Ainsi, au fil des saisons, les clients sont sûrs de trouver une carte évolutive qui s’approprie les beaux produits qu’offre la Bourgogne. Car le chef reste des plus exigeants quant à la qualité et à la fraicheur de ses ingrédients commandés auprès de fournisseurs locaux. Toute cette rigueur et ce perfectionnisme se découvrent aisément au travers des plats proposés : magret de canard aux baies de cassis, volaille de Bresse à l’époisse... La carte affiche aussi ses spécialités, les fondues bourguignonnes, vigneronnes ou bressanes, pour faire honneur au concept de « cuisine conviviale ». On n’oubliera pas de mentionner les menus, dont celui qui est intitulé « Bourgogne » qui offre de jolis clins d'œil à la région. Sur l’ensemble, le prix moyen par convive de 35 € reste des plus raisonnables. Une belle carte des vins La carte des vins met en scène la Bourgogne. Elle est élaborée sur des coups de cœur et au fil des rencontres et des dégustations faites avec les viticulteurs. Pour que vous soyez au fait des meilleurs accords mets-vins, l'équipe de serveurs vous guide dans votre choix, qui peut vite devenir cornélien compte tenu de la richesse de la cave constituée de plus de 200 références. ...
La région des Pierres Dorées, surnommée « la petite Toscane beaujolaise » doit son nom à cette quarantaine de villages remarquables construits avec les pierres calcaires locales d’une couleur ocre jaune. Ce territoire, labellisé depuis 2010 Vignobles et Découvertes, compte aujourd’hui plus de 80 partenaires (vignerons, hébergeurs, restaurateurs, prestataires de loisirs et structures patrimoniales) qui forment ainsi un réseau solide d’échange et de promotion autour de cette destination, animé par les Offices de tourisme Beaujolais Pierres Dorées et Villefranche Beaujolais Saône. Grâce à ce label, le client peut bénéficier d’une offre de produits multiples et complémentaires (hébergement, restauration, visite de cave et dégustation, site culturel, événement...) avec des prestations de qualité. Le Fascinant Week-end Vignobles et Découvertes Depuis 4 ans, le territoire labellisé organise le Fascinant Week-End Vignobles & Découvertes. Que vous soyez sportifs, gastronomes, mélomanes ou amateurs d’expériences nouvelles, profitez le temps d’un week-end, fin octobre, de l’univers passionnant du vignoble, en trouvant une activité qui correspond à vos envies. A cette occasion, vous pourrez participer à des visites commentées, des ateliers découvertes, assister à des concerts aux répertoires éclectiques, découvrir des expositions ou vous adonner à des activités sportives et insolites… Vous êtes libres de choisir votre animation, partager vos émotions et explorer les produits de ce terroir. Lors de vos différentes activités, les paysages exceptionnels du Beaujolais sauront se dévoiler à vous. Sélection Pierres Dorées Mais la région des Pierres Dorées est aussi une région vinicole produisant des vins de qualité, avec les trois couleurs représentées : rouge, blanc et rosé. Des viticulteurs passionnés travaillent tout au long de l’année pour créer des vins subtils et étonnants, des vins gourmands et généreux, et pourtant méconnus. Pour faire découvrir la richesse et la typicité de ce territoire, l’Office de tourisme organise depuis 20 ans une sélection de vins. Les meilleurs vins et millésimes du Beaujolais des Pierres Dorées y sont récompensés. Cette sélection est également mise en avant lors de soirées événementielles. Lors de votre passage, vous pourrez la découvrir dans un guide pratique. Ainsi l’Office de tourisme s’engage également depuis une dizaine d’années pour la reconnaissance de l’appellation AOC « Pierres Dorées », en étroite collaboration avec l’Organisme de Défense et de Gestion de l’appellation Beaujolais-Beaujolais Villages depuis peu. ...
Le vignoble de 115 hectares d’un seul tenant profite d’un sol et d’un climat favorable au développement de la Négrette. Rapporté de Chypre par l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem au XIIème siècle, ce cépage autochtone et règlementé est spécifique à Fronton. Il donne naissance à des vins souples et au remarquable fruités. La Négrette à l’honneur En dégustant un vin à base de la Négrette, vous aurez l’impression de croquer dans le raisin frais. Elle procure une belle et douce fraîcheur au nectar. La Cuvée Rosé 2018 en est la preuve. Réalisé à partir de 85% de ce cépage, le vin dévoile un nez frais et intense et des notes suaves, équilibrées, rondes et vives en bouche, sur fond de fruits rouges. « Le Rosé est une particularité de Fronton. L’appellation produit 40 à 50% de ses vins en rosé. À part la Provence, c’est rare en France», révèle l’équipe du Château Bellevue la Forêt. ...
Les spiritueux gastronomiques n’ont plus de secret pour la maison Jean Boyer. Depuis une vingtaine d’années, l’entreprise est devenue le partenaire privilégié des cavistes et des restaurateurs en quête de produits « premium » et exclusifs. « Nous ne commercialisons qu’à destination des professionnels sur le territoire français, mais aussi un peu à l’export notamment vers le Japon et l’Australie », fait savoir le propriétaire, Dominique Ribéreau-Gayon. Au total, 150 000 bouteilles sont produites annuellement, toutes gammes confondues. Un mode de travail fidèle à la tradition Société à taille humaine située dans les Landes à Saint-Geours-de-Maremne, Jean Boyer s’attache à préserver un savoir-faire artisanal et traditionnel dans l’univers de la production de spiritueux. Parmi ses produits de prédilection, s’inscrit le pastis, ou les pastis puisqu’il y a une dizaine de recettes différentes. Le pastis « est totalement élaboré sur place à partir de plantes que nous faisons macérer pour en tirer le meilleur des arômes », explique le propriétaire. Les assemblages sont ensuite réalisés sur place. Enfin, les pastis restent plusieurs mois en cuve pour permettre une décantation naturelle, « une filtration retiendrait tous les arômes » s’exclame Dominique Ribéreau-Gayon. Mais le produit phare de la maison reste le whisky. A l’origine, le Scotch puisque Jean Boyer avait d’étroites relations avec certaines distilleries écossaises. Ils pouvaient ainsi accéder aux meilleures sélections de fûts. La société est alors devenue un véritable embouteilleur indépendant de whisky qui choisit ses fûts et les embouteille individuellement. Ainsi chaque fût ne produira que 500 bouteilles environ qui sont uniques et rares. Le rhum, second produit moteur de Jean Boyer, provient de différentes régions de productions. Les fûts sont acheminés dans les Landes sur le site de l’entreprise afin d’y être préparés et conditionnés. Un concept assez novateur « Notre maison se distingue par sa forte réputation auprès des cavistes », déclare Dominique Ribéreau-Gayon. Et pour cause, l’entreprise a développé un concept qui plaît énormément chez les professionnels : le puits Jean Boyer. L’idée est de permettre au consommateur de venir remplir sa bouteille chez le caviste, directement au puits. « Nous fournissons à nos clients tous les éléments nécessaires pour respecter la réglementation. Ils n’ont pas à se préoccuper des aspects administratifs. Ce concept, que nous sommes les seuls à proposer, est totalement dans l’air du temps et connaît un franc succès », se félicite le propriétaire. ...
Leur bière se distingue par sa fabrication et dans le choix des matières premières. La fermentation se fait entre trois et sept jours, puis repose pour trois de plus, pour enfin couler directement de la cuve au verre. Chaque établissement possède 10 à 20 cuves pour fabriquer sa bière et écoule entre 800 et 2 000 hectolitres/jour de bière. Trois catégories sont notamment proposées : les traditionnelles (blanche, blonde, ambrée, brune) ; la cuvée du Brasseur (ou la bière du mois). Une cuisine savoureuse 3 Brasseurs c’est aussi un restaurant à l’ambiance conviviale et chaleureuse. C'est l’adresse parfaite des épicuriens. La carte réserve une palette de gourmandises, de l’apéritif, aux desserts en passant bien sûr par les salades et les plats. Sans oublier les incontournables 3 Brasseurs : Les carbonnades Flamandes, le pot’jevleesh, le Welsh, les flammekueches et la choucroute. Pour les plus courageux (et surtout les plus gourmands), l’assiette gourmande ou le ribs de porc (environ 500 g) proposés chaque jour. Les 3 Brasseurs mettent ainsi à l'honneur une cuisine traditionnelle et franche à travers des suggestions aussi gourmandes que savoureuses. ...
De nombreuses personnes ont déjà tenté l’expérience de la spiruline en tant que complément alimentaire. Et vous ? Des produits de qualité 100% français Pour les personnes qui ne connaissent pas la spiruline, il faut savoir que c’est une "micro-algue" spiralée de couleur bleu-vert. Intégrée à l’origine dans l’alimentation de nombreuses populations primitives, elle est aujourd’hui appréciée pour ses valeurs nutritionnelles. Elle regorge, en effet, de vitamines, de minéraux et de protéines. Elle est d’ailleurs considérée comme un « super aliment » utilisé pour lutter contre les carences et la malnutrition dans les pays en développement. D’après, l’OMS, c’est même le « meilleur aliment pour l’humanité au 21e siècle ». En France, elle est consommée en tant que complément alimentaire. Ainsi, que vous l’achetiez sous forme de paillettes, concassée, en comprimé, en gélule ou déjà préparée (sous forme de pâte par exemple), elle vous fournit tout ce dont votre corps a besoin. Idéal pour les sportifs qui veulent améliorer autant leur résistance que leur endurance, elle répond aussi aux besoins quotidiens des végétaliens (pour son incroyable apport en protéines et vitamine B12), des femmes enceintes (surtout celles sujettes à des carences en fer et vitamine A) et des séniors (pour une meilleure vitalité et une amélioration des défenses naturelles). Tout le monde peut apprécier à sa juste valeur les bienfaits de la spiruline. Algosud : un producteur français expert Depuis plus de 18 ans, l’entreprise française Algosud propose une offre de qualité pour se démarquer de ses nombreux concurrents. Ayant fait le choix de produire de la spiruline 100% française afin de fournir à ses consommateurs des articles d’excellentes qualités, elle répond parfaitement aux normes en vigueur. C’est ce qui la différencie d’une large majorité d’entreprises du secteur qui ont préféré l’industrialisation et la production à l’étranger. En faisant confiance à Algosud, chaque consommateur trouve ainsi des références de haute qualité, produites sous contrôle d’un laboratoire indépendant. Vous voulez en savoir plus ? L’entreprise partage, en toute transparence, sa charte qualité et ses résultats d’analyse sur son site. ...
Abritant conjointement un établissement hôtelier et un restaurant, l’Hôtel de Bastard baigne dans un cadre à l’ambiance agréable et raffinée, conçu pour le confort de ses hôtes et arrangé avec gout, où on se sent comme chez soi. Reprise récemment par le couple Birckel en 2015, la superbe bâtisse laisse opérer la magie d’un lieu chargé d’histoire, situé en surplomb d’une piscine et d’un jardin aux fleurs épanouies et aux feuilles verdoyantes. Un personnel aux petits soins Qualité d’accueil et satisfaction clients figurent au premier rang des préoccupations de l’Hôtel de Bastard où un personnel particulièrement attentif s’attelle à répondre au plus près aux besoins des clients. Cet établissement à la fois proche du centre et à l’écart des grands axes est partiellement classé monument historique. Il jouit par ailleurs d’un excellent service et d’un parfait accueil, des qualités très vite remarquées et appréciées non seulement par les clients réguliers mais aussi, par les visiteurs de passage qui sont toujours agréablement surpris aux premiers abords. Grâce à son engagement et à sa disponibilité, mais aussi à son grand sens du service, l’équipe attire d’emblée la confiance et l’établissement, la sympathie. On s’y sent comme dans une grande maison familiale qu’on a toujours du mal à quitter, avec une forte envie d’y retourner dès que l’occasion se présente. Excellente table aux accents gascons et d’ailleurs Les connaisseurs vous le diront, l’Hôtel de Bastard est un restaurant à la table réputée qui propose une cuisine gastronomique française aux accents du terroir de la Gascogne et aussi d’ailleurs. À travers des menus créatifs élaborés à partir de produits simples et bien travaillés, Philippe Birckel, propriétaire de l’établissement, reste fidèle aux préceptes de la cuisine faite-maison qui a toujours fait la renommée de l’enseigne, avec un large choix de formules. De bon conseil, le maître des lieux est en mesure de guider les clients dans le choix des plats et des vins, proposés à des prix corrects, dont une belle sélection au verre. Le soufflé de pruneau à l’armagnac reste jusqu’alors un des desserts phares de la maison non sans oublier « une carte qui change jusqu’à 5 fois au gré des saisons » comme le précise Philippe Birckel. Bon rapport qualité/prix Constituant une étape obligée en Lomagne et en Toscane française où armagnac, menu pèlerin, confit de foie gras et melon sont de véritables découvertes pour les papilles, l’Hôtel de Bastard est un restaurant très select qui jouit d’une excellente réputation. Le cadre y est fabuleux et le rapport qualité/prix très raisonnable. Les assiettes sont généreuses et surprenantes avec de belles portions, « préparées avec précision selon le gout du client » souligne le propriétaire des lieux. Au fil du temps, l’établissement est devenu une adresse à recommander à tous ceux qui souhaitent passer un moment de pur bonheur dans une des plus belles destinations du Gers. À travers une cuisine agréable et pleine de surprises, le restaurant laisse supposer une grande recherche et un bel esprit créatif. ...
La bastide en pierre de Christian Bœuf se situe au cœur du village de Vidauban, commune viticole du Var sur les bords de l’Argens dont le fleuve aux eaux miroitantes à la couleur blanche fait référence au précieux métal : l’argent. Depuis que Christian Bœuf a remis sa toque et les fourneaux à son ancien commis Christophe Ciotta, devenu second puis Chef, la cuisine du restaurant a su conserver sa flamme et le culte dédié aux saveurs provençales de la Méditerranée. Ce jeune chef inspiré et passionné a l’exigence des plus grands : celle de satisfaire avant tout la clientèle de la Bastide des Magnans. Une cuisine aux parfums de la Méditerranée Christophe Ciotta, un Chef très inspiré, a redynamisé la cuisine du restaurant de la Bastide des Magnans. Ce maestro se distingue par la justesse de sa cuisson qui exalte les arômes. Ses plats se basent autour des saveurs simples et authentiques du terroir méditerranéen à l’exemple le Saint-Pierre au poivron grillé cuisiné à base d’huile d’olive au basilic. Des recettes classiques telles que le ris de veau ou les Saint-jacques figurent également à la carte. Ici, tous les produits issus de la région sont mis en valeur : huile d’olive, thym, romarin et citron confit accompagnent les assiettes de poissons et de viandes blanches et donnent toute la couleur à cette cuisine provençale. Les propositions de la maison Quatre formules sont suggérées par l’établissement pour découvrir une cuisine pétillante d’un Chef qui affectionne les beaux produits. Outre la formule du midi, la maison offre un choix entre la carte du restaurant le menu des Magnans, le Menu Terroir et le Menu gourmand à la Truffe. Le menu des Magnans présente une assiette avec sept produits différents qui évolue au fil des semaines et des saisons. Deux plats de viandes et un poisson accompagnés de légumes du moment tels que les fleurs de courgettes s’y ajoutent. La Langoustine est alors accompagnée de mijoté d’asperges. La maison propose aussi des menus à thème qui rythment les saisons. Chaque mois est dédié à un produit en particulier : la truffe par exemple en janvier, la pomme en septembre, le gibier en octobre ou les crustacés en novembre. Une équipe de choc Le personnel du restaurant de La Bastide des Magnans forme une équipe aguerrie. Les 25 années de collaboration entre Christian Bœuf et Christophe Ciotta commencent à La Maison des Vins aux Arcs-sur-Argens. C’est là que Christian a acquis toutes les connaissances qui lui permettent aujourd’hui d’orienter les clients sur les vins. A la carte, les grands crus classiques sont présents toute l’année mais le reste évolue au fil des rencontres. Plus d’une soixantaine de références est proposée avec une prédominance des domaines varois. ...
L’appellation Barsac Sauternes est réputée à l’échelle mondiale et figure parmi les liquoreux de Bordeaux les plus réputés. De cette appellation, le Château Piada œuvre à maintenir cette renommée, en produisant des vins d’envergure qui accompagnent foie gras, poulet rôti, fromages ou desserts sucrés… Château historique, exploitation viticole prestigieuse Le Clos du Roy et Le Hauret du Piada font partie du Château Piada. Célèbre pour ses vins liquoreux, ce site historique figure parmi les plus anciens vignobles de Barsac et Sauternes. Il est même cité dans l’ouvrage Les Hommages d’Aquitaine de 1274. Preuve de ce riche passé, certains de ses murs datent encore de l’époque. Racheté en 1940 par M. Lalande, le grand-père, le Château Piada fut repris par son fils en 1967. Et en 1999, Frédéric reprend la tête de l’exploitation familiale. La maison devient alors EARL Lalande et Fils. Grâce à l’investissement et au travail passionné de Frédéric Lalande, ses vins sont souvent récompensés par des notes et commentaires élogieux de guides et de sommeliers reconnus. En atteste une note de 89/100 attribuée par le fameux dégustateur Andréas Larsson. S’étendant sur une superficie de 8,22 ha, le Château Piada produit majoritairement en AOC Sauternes, mais fait aussi des vins Cérons et Graves. Le vignoble a la chance de bénéficier de dispositions naturelles avantageuses, avec le Ciron à seulement 100 m. La présence de cette rivière favorise en effet le Botrytis cinerea, facteur de la pourriture noble qui agit comme un véritable alchimiste sur les vins. « Il faut savoir que le Sauternes doit essentiellement sa particularité au sémillon botrytisé », déclare Frédéric Lalande en référence au cépage utilisé pour élaborer ce vin. « Ainsi surmûri, c’est le seul cépage au monde qui développe jusqu’à 50 arômes différents », révèle-t-il. Le sol argilo-silico-calcaire se prête favorablement à cette variété de vigne à l’origine des plus grands liquoreux du monde. Le sémillon se complète avec le sauvignon pour l’équilibre et la muscadelle pour la touche sauvage. Un savoir-faire immuable Comme le potentiel du vin relève du travail fait avant même les vendanges, Frédéric Lalande accorde une importance particulière aux soins du vignoble. Conscient de l'impact que peuvent avoir les méthodes chimiques sur la santé et l'environnement, il « ne traite que si c’est vraiment nécessaire », déclare-t-il. L’enherbement naturel permet ainsi à la vigne d’aller chercher plus en profondeur tous les nutriments dont elle a besoin pour donner des raisins sains. Afin de garder l’authenticité des vins Château Piada, Frédéric Lalande pratique la vendange par tri successif. Ensuite, « les vins font l’objet d’une fermentation lente en barrique ou en cuves inox thermorégulées », explique-t-il. Engagé dans une démarche qualité, Le Château Piada mise sur l'excellence plutôt que sur la quantité. La production peut ainsi sensiblement varier de 0 à 13 000 bouteilles dans l’année. « Je suis une des rares propriétés qui n’hésitent pas à sauter l’étape de la mise en bouteille quand je juge la qualité insuffisante », confie notre interlocuteur. Dans ce cas, la vente se fait en vrac au domaine. D’ailleurs, à défaut de vente en ligne, les vins Château Piada partent essentiellement à l’export et sont présents au Danemark, en Italie et aux États-Unis. En dehors de la vente directe, la clientèle avisée en France peut aussi compter sur Frédéric Lalande qui passe par un courtier de vin sis place de Bordeaux. ...
C’est dans un cadre idyllique empreint d’histoire que Le Moulin de Châlons reçoit ses hôtes de marque. Grâce à la beauté des lieux et le raffinement des plats servis, chaque invité se sent naturellement privilégié ! Un décor romanesque Non loin de l’établissement, quelques beaux sites attirent le regard. L’église Sainte-Radegonde est un monument incontournable qui mérite un petit détour. On peut y admirer d’imposantes fortifications datant du Moyen Âge et une nef qui a été raccourcie au XVe siècle. Les voussures du portail sont ornées d’anges et autres motifs. Si l’envie leur prend, les visiteurs peuvent continuer leur exploration dans les environs pour découvrir les irrésistibles cabanes de la Tremblade. Aux alentours de la région, quelques châteaux sont à visiter absolument ! Parmi eux, le château de Beaulon et le château de la Roche-Courbon connus non seulement pour leurs valeurs historiques mais aussi pour leur grande richesse viticole. Au milieu de tous ces beaux monuments, Le Moulin de Châlons ne manque pas d’attraits. L’hôtel ayant été jadis un ancien moulin à marée arbore fièrement une décoration contemporaine et raffinée aujourd’hui. Se voulant être un lieu de détente d’exception, il met en scène de belles chambres aux teintes chaleureuses et à la décoration personnalisée. En tout, l’enseigne compte dix chambres (toutes équipées) revêtant un cachet particulier grâce à l’ambiance romantique qui y règne. Idem du côté restaurant. Pierres apparentes, lumières tamisées, ici, tous les ingrédients sont réunis pour permettre aux invités de plonger dans une atmosphère presque envoûtante. Les convives se prêtent au jeu en toute décontraction à travers une ambiance à la fois chic et chaleureuse. Par beau temps, une terrasse extérieure avec vue sur la rivière est la promesse de moments d’exception. Une cuisine à la hauteur des lieux Derrière les fourneaux, le chef Maxime Yoncourt livre une partition de haute volée ! Au gré des saisons, ce dernier concocte une cuisine gastronomique mêlant élégance et finesse, le tout rehaussé d’une petite touche d’inventivité. Le foie gras mi-cuit ou la gelée pineau des Charentes constituent de parfaites entrées en matière. En plat principal, les fins gourmets ne seront point déçus en choisissant un succulent filet de dorade. Pour parachever cette expérience culinaire unique, le parfait glacé au cognac est le dessert le plus indiqué. Comme le client est roi, il arrive que le chef s’adapte à des demandes spécifiques. Ce dernier peut être amené, par exemple, à préparer un plat 100 % végétal. Pas de quoi le faire paniquer ! Là encore, Maxime surpasse les attentes de ses convives. Résultat, des plats méticuleusement travaillés et raffinés pour le grand bonheur des végétariens ! Quant aux vins, la table du Moulin de Châlons dispose d’une très belle carte ! De nombreuses références qui mettent en avant toute la richesse des régions viticoles françaises. À travers sa cave éclectique, ce restaurant laisse volontiers à ses convives le champ libre pour choisir à leur guise. Mais bien sûr, l’équipe reste disponible pour les aiguiller vers les meilleurs accords. ...
Situé non loin de la magnifique église d’Ars-en-Ré, le restaurant O de Mer offre une cuisine gourmande et raffinée, qui fait plaisir aux fins palais. Faire plaisir, justement, est l’une des valeurs qui animent cet établissement, au sein duquel vous vous sentirez comme à la maison. Un maitre restaurateur aux fourneaux Ayant débuté sa carrière en Europe dans le domaine de la restauration, Thierry Hainaut a forgé son expérience, longue de 25 ans, en Australie. Poussés par leur volonté et leur passion, Thierry et sa femme ont trouvé un coin de paradis à Ars où ils ont décidé de poser définitivement leurs valises. « Il y a 7 ans, nous avons rouvert ce petit restaurant avec Corinne pour retravailler à deux les produits qui nous font plaisir. Mais aussi pour retrouver la compagnie de nos clients, qui sont d’ailleurs devenus des amis très proches », explique Thierry Hainaut. Depuis 2014, le chef a été gratifié du titre de « maitre restaurateur », un statut délivré par l’État pour les restaurants traditionnels français. Ce label engage les restaurateurs à propose runiquement des plats faits maison, notamment avec des produits bruts et frais issus du circuit court.En 2016, Thierry Hainaut devient membre fondateur du Collège Culinaire de France, ce qui a permis à son bistrot de figurer parmi les « Tables gourmandes Poitou-Charentes ». Un cadre intimiste et agréable Le restaurant O de Mer est doté d’une belle salle, où le plancher en bois ancien confère tout son charme au lieu et les tables, couvertes de nappes blanches et entourées de chaises en cuir, renforcent l’aspect élégant du restaurant. Durant la période hivernale, un petit coin feu apporte chaleur et réconfort, tandis que, en été, la terrasse offre une vue imprenable sur le clocher d’Ars. Implanté dans la rue piétonne, ce restaurant intime de 22 couverts est idéal pour les rendez-vous romantiques. Une adresse gourmande au pied du célèbre clocher d’Ars-en-Ré Le chef élabore avec soin et créativité une cuisine gastronomique revisitée selon ses humeurs et la saisonnalité. Sa spécialité est la truffe fraiche. D’ailleurs, la maison a développé une carte, où les mets peuvent être accompagnés de truffe fraiche râpée selon les choix et les envies. En entrée, les convives se laisseront séduire par les saveurs du foie gras des Landes mi-cuit aux algues de Roscoff, salade de mer en tartare et brioche moelleuse. En plat de résistance, ils se laisseront tenter par la bouillabaisse de bar, Saint-Jacques et homard façon « Ô de mer », parfums d’orange et anisette, pommes grenailles et mousseline de rouille. Au dessert, les gourmands seront satisfaits par un petit bonbon chaud de chabichou du Poitou, cœur de miel et truffe, sirop pom’poires. Quant au menu, la maison propose en entrée une Ile flottante au délicat parfum de Tuber Albidum sur un velouté de cèpes de Dordogne. Vient ensuite, en plat de résistance, le bœuf Wagyu australien confit 8 heures et pâtes fraiches réduction de vieux pomerol aux perles du Japon et truffe. Le mélodieux repas s’achève avec le minestrone glacé de fruits de saison d’ici et d’ailleurs, glace à la truffe. ...
Le Château de Tracy n’a jamais quitté le giron familial depuis le XIVe siècle. Aujourd’hui, c’est à Juliette d’Assay qu’incombe la tâche de le gérer et de perpétuer un savoir-faire qui s’est forgé au cours de six siècles de tradition viticole. Un vignoble ancestral Au coeur du vignoble Pouilly-Fumé, Château de Tracy s’étend sur une superficie de 36 ha, planté exclusivement en sauvignon. Le domaine a la particularité de disposer d’un vignoble historique, dont certaines parcelles sont plantées en vigne depuis le XIVe siècle. En effet, bien conservé dans les archives du château, un manuscrit de 1396 fait état de l’acquisition des vignes sur le lieu-dit « champ de Cris ». Chose étonnante, des sauvignons y sont encore plantés de nos jours. La maison offre ainsi aux amoureux de vins le privilège de déguster des vins blancs issus de ces cépages historiques. « Avec nos vieilles variétés génétiques de sauvignon, quelque part déguster un Tracy équivaut à déguster aussi l’Histoire ! », fait valoir Juliette d'Assay, la vigneronne. Sur les terroirs de Tracy, les sauvignons s’épanouissent sur des sols différents. Autour du château, ils bénéficient plutôt d’un sol à dominante d'argile à silex apportant aux vins minéralité, finesse et une grande aptitude au vieillissement. Sur les plateaux, les vignes reposent essentiellement sur un sol calcaire kimméridgien, qui va apporter à la fois structure, profondeur, finesse et le côté fruité aux vins blancs. Une agriculture permanente Depuis plusieurs années, le domaine a mis en place des pratiques culturales fondées sur la compréhension des lois naturelles du sol. Une agriculture « permanente », qui a notamment pour objectif de favoriser une parfaite synergie entre le sol, les vignes et le biotope environnant. « Nous n’utilisons presque plus de produits phytosanitaires de synthèse. Nous n'y avons recours que pour des cas vraiment extrêmes. », nous indique-t-on. Des analyses sont effectuées par un laboratoire indépendant afin d'authentifier cette démarche. Résultat, le Château de Tracy peut se targuer de produire des vins exempts de tout résidu de pesticides. Au Château de Tracy, le gros du travail se concentre sur les vignes pour aboutir à des vendanges manuelles. Afin d'acquérir un niveau de maturité bien précis, certaines parcelles font l’objet de plusieurs passages. « Nous sommes prêts à vendanger jusqu'à 5 fois les mêmes parcelles », explique madame d'Assay. Ces opérations vont permettre au domaine de limiter les interventions durant la fermentation pour que celle-ci se fasse de manière la plus naturelle possible. En cave, il est surtout question de laisser les choses aller d’elles-mêmes, quitte à prendre des risques. Ici, on laisse donc vinifier les jus en l’état et, pour éviter de trop marquer le vin, la maison choisit des élevages en cuves inox au lieu de barriques en bois. « Nous mettons tout en oeuvre pour être le plus possible fidèles au millésime. » Des cuvées pleines d’authenticité La maison propose 4 cuvées différentes, reflétant idéalement la typicité des terroirs de Tracy : la cuvée « Mademoiselle de T » qui est actuellement épuisée mais dont l'arrivée du prochain millésime est pour février 2019, « Château de Tracy », « Haute Densité » et « 101 Rangs ». La cuvée « Château de Tracy » est de loin celle qui représente le mieux le domaine. Il s’agit d’un millésime d’une rare complexité aromatique à l’identité affirmée. Obtenu exclusivement à partir de sauvignon blanc, ce vin présente un nez très intense avec des premières notes fraiches de fleurs de sureau, de poivre vert et de citronnelle. À l’ouverture, des notes plus fruitées se dévoilent associées à des arômes de fruits exotiques tels que le fruit de la passion et la mangue fraiche. Des notes florales et salin...
La renommée viticole du Vivarais remonte au XVIe siècle, lorsqu’Olivier de Serres loue les mérites de ses crus. Cette qualité, qui deviendra le maître-mot des vignerons de cette terre, sera rehaussée par un travail de rénovation marqué par l’introduction de cépages nobles produisant des cuvées gourmandes et rocailleuses. Un engagement envers l’excellence qui sera récompensé en 1999 lorsque les Côtes-du-Vivarais obtiennent l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC), gage de l’authenticité des vins produits sur ces terres généreuses. Terre de vie, terre de vins… L’appellation Côtes-du-Vivarais est nourrie par un vignoble s’étendant sur 14 communes de part et d’autre des gorges de l’Ardèche. Ici les vignes côtoient chênes verts et oliviers en puisant tous les arômes et les saveurs typiques d’un terroir rustique. Les cuvées d’exception qui en découlent se caractérisent ainsi par leur fraîcheur, leur minéralité et leur robustesse. Côté gardois, vous pourrez visitez Aiguèze, classé parmi les plus beaux villages de France, et sa falaise abrupte sur la rivière Ardèche. De l’autre côté du pont, Saint Martin d’Ardèche est le pont d’arrivée des canoës achevant la descente des impressionnantes gorges. ...
La passion du métier et l’amour de la vigne sont au cœur de l’ADN de la maison Breton et fils. Depuis près de 70 ans, ce vigneron indépendant et récoltant-manipulant puise dans les techniques traditionnelles héritées de ses aïeuls pour élaborer des champagnes au caractère affirmé. Des cuvées reflétant le raffinement à la française qui savent séduire les palais les plus exigeants. La diversité avant tout Implanté dans deux départements, sur les coteaux du Sézannais, en plein cœur de la côte des Blancs, Champagne Breton Fils mise sur la diversité de son terroir pour élaborer des champagnes qui réunissent tous les désirs gustatifs. Son vignoble de 16 hectares est réparti sur 11 communes, avec une présence sur les premiers crus et les grands crus. Cette implantation sur de nombreux villages et coteaux s’inscrit dans la stratégie qualitative prônée par la maison. Questionné sur ce point, l’actuel propriétaire, Reynald Breton, explique que « la démarche permet d’avoir un juste équilibre sur des sols argileux, des sols calcaires et des sols argilocalcaires rendant propice la culture du pinot noir, du chardonnay et du pinot Meunier. » Les vignes particulièrement chouchoutées donnent des champagnes inimitables construits sur l’élégance, la générosité et la minéralité. Les efforts sont menés dans l’objectif d’avoir des crus de qualité, sans pour autant faire l’impasse sur le respect de la terre et la préservation du patrimoine. « Nous adoptons la viticulture raisonnée depuis plus de dix ans, et nous avons entamé le processus pour détenir le label "haute valeur environnementale" », confie le vigneron. La responsabilité écologique n’est pas prise à la légère, pour que les vins livrent naturellement toutes les caractéristiques du terroir. Des cuvées pour toutes les envies Animée par l’amour du champagne, le respect des hommes et celui des valeurs ancestrales, la maison Breton Fils s’est engagée à élaborer des cuvées au plus proche des attentes des consommateurs. Les collections « Les classiques », « Les Cuvées spéciales » ou « Les Cuvées Grande Cave » s’adressent notamment aux clients locaux. Parmi les perles de la gamme « Les classiques », s’inscrit le Brut Tradition, composé à parts égales des trois cépages champenois. Ce champagne à la robe jaune légèrement pâle, aux notes florales en nez, avec une bouche structurée et élancée, sera le compagnon idéal d’un dessert gourmand comme une tarte aux poires amandines, un opéra ou une charlotte au chocolat. Les adeptes de vins monocépages seront charmés par le caractère gourmand et complexe du Blanc de blancs Brut à 100 % de chardonnay. Ses notes pâtissières et sa douceur florale le rendent parfait pour accompagner un feuilleté de ris de veau, des huîtres ou un crémeux de homard. Afin de satisfaire sa clientèle à l’international, l’entreprise a aussi créé des marques pour différents marchés. La cuvée BRUUT, par exemple, est proposée exclusivement aux Pays-Bas. Idem pour la marque de luxe De Roval, qui est présente davantage à l’export. « Nous voulons partager notre passion et notre savoir-faire, et faire rayonner l’art de vivre à la française partout dans le monde. Nous sommes présents sur tous les continents », déclare Reynald Breton. ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
Avec une cuisine traditionnelle concoctée essentiellement à partir des produits frais, ce petit restaurant de campagne se plait à chouchouter ses convives en leur proposant le meilleur des saveurs locales. Comme à la maison Simplicité et convivialité : voilà les deux mots qui résument parfaitement l’ambiance qui règne à L’Étoile. Dans ce restaurant familial, tout est fait pour mettre les invités à leur aise. « Chez nous, la bonne humeur et la sympathie sont toujours au rendez-vous. Les gens se sentent comme à la maison », confie Éva Tardy, la cheffe de cuisine. Côté déco, on trouve une grande variété de couleurs. Au bar, la star se nomme Betty Boop. Elle est visible partout, en hommage au grand-père d’Éva, qui était passionné par cette héroïne de dessins animés américains des années 1930. Privatisable, l’établissement dispose de différentes salles adaptées pour les événements privés ou professionnels. Une jolie véranda est prévue pour accueillir tout type de buffets : apéritifs, entrées ou dinatoires. À l’extérieur, les convives profitent d’une belle terrasse ombragée. Juste à côté, ils peuvent s’offrir quelques moments de détente grâce à des jeux de boule mis à leur disposition. Une cuisine simple mais authentique Soucieuse d’offrir une cuisine de qualité, la maison n’utilise que des produits frais, tout en assurant un approvisionnement en circuit court. Ainsi les fromages, viandes, poissons ou encore les vins proviennent directement des producteurs locaux. « Nous avons les mêmes fournisseurs depuis quinze ans », rapporte notre interlocutrice. Quant aux légumes, ceux-ci sont fraichement cueillis dans un potager familial soigneusement entretenu par Maxime, le père de famille. En cuisine, Éva fait parler son expérience et son savoir-faire pour sublimer comme il se doit ces produits d’exception. Parmi les spécialités de la maison, les gâteaux de foie de volaille, le poulet aux morilles, les grenouilles, les bréchets de poulet, les goujonnettes de carpe et les ris de veau enchanteront les papilles les plus délicates. À L’Étoile, on adore faire plaisir aux fins gourmets. Ainsi, les formules à volonté et les menus du jour sont servis toute la semaine, même les dimanches et les jours fériés. « Nous sommes à l’écoute de nos hôtes et nous pouvons changer le menu à leur convenance », nous indique-t-on. Pendant les weekends, Éva invite les convives à partager un moment chaleureux autour d’une délicieuse raclette, avec une variante au bleu de Bresse ou des fromages locaux. Des têtes de veau ou des tapas concoctés à partir des meilleurs produits de la région peuvent être également servis. Une carte au gré des saisons Pour offrir davantage de choix, l’établissement propose quatre menus classiques. Entre le pavé de truite au citron, l’entrecôte poêlée ou le canard au poivre vert, c’est selon les envies de chacun ! À part ses menus, l’établissement présente une carte qui évolue au gré des saisons. En été, les épicuriens pourront déguster différentes salades et autres assortiments de charcuterie. Afin de combler toutes les attentes, le restaurant L’Étoile suggère aussi de succulents plats végétariens, végétaliens ou sans gluten. « Nous nous adaptons aux demandes spécifiques de nos clients », souligne Éva. Côté vins, la maison propose un large choix qui s’accorde merveilleusement bien avec les saveurs de la région. Parmi les références, les côtes-du-rhône, les vins du Bugey, de Mâcon ou de la Loire sont les plus demandés. ...
Tout a débuté en 1952, lorsque neuf viticulteurs originaires du Pays Basque, s’associent pour créer une coopérative dont le but est de reconstruire un vignoble détruit par le phylloxéra ainsi que par le passage de la Première Guerre mondiale. « Aujourd’hui, la Cave d’Irouleguy, qui compte 42 coopérateurs en AOC Irouléguy, a pour volonté de perpétuer la notoriété de ce bout de terroir du Pays Basque et de mettre en valeur son produit de prédilection qui est le vin », indique Nadine Gaztambide, Directrice de la cave coopérative. AOC Irouléguy : des vins de qualité Territoire de beauté, bordé par la mer, oasis de verdure et couvert par des montagnes et des collines, les Pyrénées-Atlantiques abritent quelques trésors en matière viticole dont l’AOC Irouléguy. Incontournable dans le patrimoine gastronomique du Pays Basque, le vin d’Irouleguy tient la deuxième place après le jambon de Bayonne et le fromage de brebis. Il se distingue par la richesse de son cépage, classé en deux catégories, qui sont : les cépages noirs ; le tannat, le cabernet franc et le cabernet sauvignon et les cépages blancs : le gros manseng, le petit manseng et le courbu. L’appellation regroupe 250 hectares de vignes plantées, dont 60 % du vignoble est représenté par la cave coopérative. Onze domaines indépendants se départagent, quant à eux, les 40 %. « Selon l’INAO (Institut national des appellations d'origine), 1000 hectares de parcelle sont encore disponibles à la plantation, ce qui amène la Coopérative à redoubler d’efforts même s’il n’est pas simple de planter la vigne, puisque la culture s’effectue en terrasse », nous explique notre interlocutrice. Et elle de continuer que « malgré ces difficultés, le nombre de plantations augmente d’environ 10 hectares chaque année. » Par rapport au terroir justement, ce dernier est assez diversifié avec beaucoup de grès rouge et un peu de schiste. L’authenticité d’Irouléguy Afin d’améliorer les techniques viticoles, la cave d’Irouleguy effectue depuis deux ans une étude sur l’impact du climat sur la croissance des plantes en partenariat avec l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’ISVV (Institut des sciences de la vigne et du vin) de Bordeaux pour une durée de trois ans. Pour ce faire, elle s’est dotée de trois stations météo, trente-trois capteurs et trois pluviomètres. Les premiers résultats montrent que l’altitude constituerait le facteur prépondérant formant le terroir, et non uniquement le sol ou le climat. Forte de ses innovations, la cave est aussi très impliquée dans la préservation de l’écosystème. L’agriculture raisonnée constitue un véritable réflexe pour tous les adhérents à la coopérative. Beaucoup s’engagent aussi dans une démarche bio. « Nous avons de nombreux viticulteurs entamant une phase de reconversion. D’ici cinq ans, 50 % de la cave sera en bio », se félicite notre interlocutrice. Un environnement sain et préservé qui permettra aux jeunes générations de travailler dans les meilleures conditions. En parallèle, la cave investit énormément dans des équipements performants pour garantir la parfaite qualité de ses produits : vendanges en cagettes, réception gravitaire des raisins, … Aujourd’hui, plusieurs gammes issues de la coopérative sont à découvrir comme le Lehia, une cuvée Unique en blanc produite en très faible quantité, les cuvées Prestiges (Omenaldi enrouge et Xuri en blanc), les Incontournables (Le Mignaberry en rouge, blanc, rosé et le Kattalingorri, vin bio, en rouge et rosé) et les cuvées Plaisirs (Gorri en rouge et Argi en rosé). Parmi les produits, une attention particulière est portée pour le Mignaberry de la gamme Incontournable, facile à boire, frais et sec pour le blanc 2016, « très charmeur » pour le rosé 2016, qui est d’ailleurs cité au guide Hachette des rosés 2017-2018 et riche et harmonieux pour le rouge. ...