Après avoir fait ses armes chez Alain Ducasse, comme chef du Spoon notamment, avoir voyagé en Australie et à Madère, le chef Rui Martins a pris son envol au Cam40, ce nouveau restaurant ouvert boulevard Arago, dans le 13e arrondissement de Paris, fin mai 2016. Avec son équipe, Rui aime s’appuyer sur sa maitrise technique pour concocter une cuisine contemporaine, inventive et pleine de saveurs. Il porte une grande attention à la perfection des cuissons et à la justesse des assaisonnements. Dans un cadre épuré avec ses azulejos en trompe-l’œil et son mobilier en bois de style scandinave, Le Cam40 vous accueille dans une ambiance zen où l’on se sent comme chez soi. Camille, la serveuse, ou l’un des cuisiniers seront aux petits soins pour vous raconter l’assemblage de vos assiettes. De plus, vous avez toutes les chances de rencontrer le chef en fin de repas pour un échange chaleureux. Un petit nombre de plats au menu, régulièrement renouvelés Vous pouvez choisir dans le menu une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 28 €, une entrée, un plat et un dessert pour 35 €. Avec un supplément modique, vous avez également accès aux suggestions du moment, qui font appel à des produits recherchés comme les cèpes ou les Saint-Jacques. Les 3 entrées, 3 plats et 3 desserts composant le menu sont renouvelés régulièrement pour de nouvelles découvertes. Pour attendre sereinement votre première assiette, un amuse-bouche vous est offert. Puis, en entrée, vous pourrez vous régaler, par exemple, d’un œuf presque parfait. Celui-ci est cuit avec sa coquille à 64 °C en vapeur pendant 48 minutes, pour garder le jaune onctueux en bouche. En ce moment, il est accompagné de millet, légumes d’antan, éclats de marrons et châtaignes. Le compressé de poireaux, copeaux de boutargue et sauce inspirée d’une ravigote est aussi très apprécié. Les poireaux sont cuits à l’anglaise, puis compressés sous vide pour un visuel surprenant. En plat, vous dégusterez notamment un thon mi-cuit sauce saté pêché en Méditerranée, accompagné d’un succulent wok de légumes ou un excellent onglet de bœuf provenant du Coq Saint-Honoré. Toujours servis avec des légumes préparés dans un jus maison à base de bouillon de poule. En dessert, vous vous ferez plaisir avec un cheesecake à l’orange ou une tarte fine aux pommes, sublimée par un caramel au beurre salé chaud et froid. Et une mignardise maison clôturera avec délice votre repas. Dans la carte des vins, composée par Yannick Richard, petits domaines et vins bio sont particulièrement à l’honneur. Tous les mois, deux vins étrangers sont à découvrir, comme le Coppola, un excellent Chardonnay californien. ...
Situé à proximité immédiate des quais de Saône, le restaurant Histoire sans faim jouit d’une situation géographique privilégiée. Installé sur l’une des plus belles places de Rochetaillée-sur-Saône, il offre un décor empreint d’élégance et de convivialité. Sur le mur extérieur de la maison trône une fresque représentant une voiture d’époque qui, en plus d’attirer l’attention, soulève également de nombreuses questions. Passionné d’automobile, Clément Lattier a voulu, par ce décor symbolique, associer sa passion à celle du fameux pilote lyonnais François Lecot, qui du 22 juillet 1935 au 26 juillet 1936 a parcouru 400 000 km au départ de Rochetaillée à bord d’une traction « 11 AL ». Une cuisine de caractère à travers une carte séduisante Histoire sans faim, c’est aussi une cuisine de caractère qui, en plus de mettre la tradition à l’honneur, affiche ouvertement sa personnalité. À travers une carte de vins séduisante et un menu à la carte particulièrement gourmand, le restaurant met les bouchées doubles pour satisfaire même les plus exigeants. Mettez-vous en appétit avec sa salade de poulpe et de thon frais des Maldives avant de continuer avec son duo de gambas et de rouget à l’huile d’olive et son feuilleté d’épinards au piment oiseau. Finissez sur une note de douceur avec ses fameux melons en smoothie ou encore son mojito spécial à base de vacherin avec une sensation en bouche très agréable. ...
Situé en Lorraine, le restaurant L’Arnsbourg est une invitation au partage, au plaisir et à la joie. Que ce soit pour déguster des plats originaux ou assister à des soirées organisées par des maisons de champagne, L’Arnsbourg est le point de rendez-vous de tous les amateurs de bonne cuisine du Grand-Est. Suggérer une cuisine à la fois savoureuse, raffinée et gourmande, tel est le souhait de Laure et Fabien Mengus, les heureux propriétaires de l’établissement. L’Arnsbourg : un coin repas au cœur de la nature La maison Mengus commence à gagner du terrain dans le monde gastronomique, aussi bien dans l’Hexagone que dans les pays limitrophes. Instauré en plein cœur de la forêt de Baerenthal depuis un an, L’Arnsbourg séduit plus d’un, non seulement par sa situation géographique singulière, mais surtout par la diversité et l’originalité des mets qu’il propose. Bénéficiant déjà d’une étoile, l’établissement est un lieu d’expression puissant et convivial qui reflète l’image de ses propriétaires. Le couple trentenaire a radicalement transformé L’Arnsbourg en un véritable coin luxueux proposant une table gastronomique remarquable. Un jardin spacieux permet d'admirer la nature et le paysage environnant. Le plaisir des épicuriens En étroite collaboration avec les producteurs locaux, Fabien, le chef, travaille avec des produits frais et de saison qui raviront tous les palais, même les plus exigeants. Légumes, poissons, fruits de mer, viande… il y en a pour tous les goûts ! À L’Arnsbourg, trois types de menus sont proposés. À savoir le « Menu Plaisir », servi uniquement au déjeuner, du mercredi au vendredi, le « Menu Partition » entre trois ou cinq plats et le « Menu Intuition » qui est une succession de sept plats. En entrée, la délicieuse langoustine en quatre déclinaisons nous est suggérée. Le Paleron de bœuf black Angus servi sur charbon de bois sera proposé en guise de plat. Le dessert Mangue-Passion, quant à lui, achève en douceur ce périple culinaire. Ces plats à base de produits nobles et dont les accompagnements changent régulièrement sont sublimés par une carte de vins riche de mille références. ...
Sous le ciel ensoleillé de Trélou-sur-Marne, sur la rive droite de la Marne, entre Épernay et Château-Thierry, la maison Couvent Fils prend soin de ses trois hectares de vignes avec la plus grande rigueur. De ce terroir situé dans la vallée de la Marne se développent les trois cépages champenois, dont le pinot Meunier en sera le roi (70 %). Les vignes sont cultivées de façon raisonnée dans une optique de préserver le patrimoine, héritage des générations futures. Des bulles pétillantes Médaillée d'argent lors du Concours Général Agricole auquel la marque participe pour la première fois, la cuvée Empreinte est l’ambassadrice de la maison Couvent Fils. Elle est issue de l’association de trois cépages champenois et a bénéficié d'un vieillissement de 24 à 36 mois dans les caves. Pour satisfaire les amoureux de la gastronomie fine, la maison propose le Plaisir secret. Cette cuvée est élaborée à partir d’un millésimé sélectionné en fonction de sa finesse. Au moment du dégorgement, un dosage en demi-sec est réalisé. À consommer en apéritif, elle révèle aussi toutes les saveurs d’un foie gras et constitue l’allié incontournable des douceurs chocolatées. À la découverte d’un savoir-faire La maison Couvent Fils invite les touristes à découvrir le champagne à la source. Un parcours durant lequel la visite des caves ou du pressoir est organisée. Après cette balade pédagogique, les vignerons proposent une dégustation à leurs convives. L’occasion d’apprécier les cuvées fabriquées dans le respect des techniques traditionnelles. L’immersion totale au cœur de l’univers champenois s’effectue quant à elle grâce à un séjour complet au sein d’un gîte pour six personnes labellisé Gîte de France (trois épis). ...
L’entreprise familiale est implantée à Dorlisheim, dans le Bas-Rhin, sur la route des Vins. Dirigée par Vincent Goesel, elle prône actuellement les valeurs d’une agriculture raisonnée, respectueuse de la Terre et de la biodiversité. Terroir et saveurs, une conjugaison parfaite Le vignoble se dresse sur un sol de type argilo-calcaire, qui, grâce à ses éléments minéraux, donne vie et fraicheur à la vigne. « Nous produisons tous les cépages alsaciens », déclare Vincent Goesel. Parmi les variétés cultivées figurent le sylvaner, le riesling, le gewurztraminer ou encore le pinot noir. « À partir de ces cépages, nous produisons des vins blancs et rouges ainsi que des crémants. » Du vin pour tous les goûts La maison dispose d’une large gamme de vins et de cuvées. Parmi les plus appréciés, Vincent Goesel cite « Ma Petite Folie », un vin fruité et moelleux à base de muscat. Arborant un bel arôme de fruit mûr au nez, il offre une véritable révélation en bouche. « La Cuvée de la mer » figure également dans la liste des produits phares de la maison. « Il s’agit d’un assemblage dédié aux fruits de mer », confie le gérant du domaine. ...
À l’entrée de l’île de Noirmoutier, juste à côté du pont, La Maison sur l’Eau émerveille par sa simplicité et son élégance. La demeure au charme maritime arbore fièrement son allure au style colonial, mêlé à une certaine touche de modernité. Une promesse de voyage dans le temps, à travers vents et marées, où la détente et le plaisir sont les mots d’ordre ! Un hôtel de charme Créée en 1870, La Maison sur l’Eau est un ancien relais des voyageurs. Rénové et décoré au goût du jour tout en préservant son esprit d’antan, l’établissement est aujourd’hui un hôtel de référence à Noirmoutier, avec ses quatre étoiles bien méritées. En tout, l'hôtel dispose de deux chambres et quatre suites duplex avec vue sur la mer. À l’image de la bâtisse, chaque pièce dégage une ambiance sobre, chic et conviviale. À cela s’ajoute un écrin de verdure avec son jardin exotique, une piscine-solarium, un jacuzzi et divers autres services, dont le bateau de l’hôtel avec ski nautique à la disposition des clients, ainsi qu'un paddle et un canoë-kayak et enfin des massages sur rdv. Un restaurant gastronomique Au milieu de cet endroit féérique, les gourmets ne sont pas en reste ! En effet, La Maison sur l’Eau dispose aussi d’un restaurant gastronomique, dont les 300 m2 de terrasse offrent une vue imprenable sur la baie. Sur réservation, le chef Bruno Raballand y propose une cuisine traditionnelle à base de produits frais et de qualité issus du terroir. Au gré des saisons, la carte suggère des plats variés avec une alliance terre-mer. L’occasion pour les convives de découvrir les spécialités de la région, dont le fameux homard grillé, l’appétissant plateau de fruits de mer ou encore le succulent magret de canard de Soulans sauce miel et le filet de bar rôti sauce beurre nantais. Par ailleurs, la carte de vins recèle quelques pépites du vignoble vendéen, sans oublier les grands classiques. ...
Situé à Parigné, entre Rennes et Fougères, le restaurant fait partie intégrante de ce magnifique château datant du XVIème siècle, entièrement rénové alliant modernité et charme historique. L'établissement est un hôtel 4 étoiles de 19 chambres classé « Relais du Silence et Symbole de France ». De nouvelles chambres sont en cours de construction ainsi qu’un spa avec un espace dédié bien-être. La propriété, qui s'étend sur près de 78 hectares, englobe le château, une chapelle, un practice de golf (la construction du parcours de 9 trous débutera en 2017 et par la suite un 18 trous) et un parc avec un étang où chevaux et autres animaux cohabitent paisiblement. A noter que le célèbre Mont Saint-Michel se trouve à 30 minutes de voiture du Château du Bois Guy. Le château à travers l'histoire Le Château de Bois Guy, de style Renaissance, a été édifié au XVème siècle du temps des seigneurs bretons. Parmi ses plus illustres propriétaires figure Aimé Picquet du Bois-Guy, un chef de partisans royalistes du temps de la Révolution, qui a d'ailleurs laissé son nom à la propriété. En 2009, Michael Linhoff et Mathias Haefeli en font l'acquisition. Aujourd’hui, c'est grâce à ces deux hommes passionnés et les travaux de rénovation qu'ils ont menés que le Château est devenu un Domaine résolument chaleureux et élégant. Un domaine magnifique, une cuisine exceptionnelle L’équipe de restauration, sous la houlette de Line Schmidt, attache une importance toute particulière à l’utilisation de produits frais et de saison, issus de producteurs locaux pour servir une cuisine de grande qualité. C’est ainsi que le restaurant a été récompensé en 2015 par l’obtention du label "Restaurant de Qualité" reconnu par le Collège Culinaire de France. L’équipe, toujours en quête de perfection, a également en ligne de mire une étoile au Guide Michelin. La carte et les menus sont régulièrement renouvelés selon les inspirations, sans cesse teintées d’originalité de la chef. Pour se donner une idée de la frugalité des plats, voici quelques suggestions proposées dans le menu à 40 €. En entrée au choix : Velouté de Topinambour à l’huile de Truffe & Coquilles Saint-Jacques ou la Panna Cotta de Légumes de saison & salade avec sauce aux Herbes Sauvages. Pour le plat, choisissez entre le Filet de Saint Pierre, accompagné de petits Navets et mini Poireaux ou Magret de Canard, Pomme Anna & Champignons, servi avec sa Sauce au Vin Rouge. En dessert, rien de tel qu’un Gâteau Mazarin accompagné de Fruits de Saison & de Caramel au Beurre Salé. ...
La renommée viticole du Vivarais remonte au XVIe siècle, lorsqu’Olivier de Serres loue les mérites de ses crus. Cette qualité, qui deviendra le maître-mot des vignerons de cette terre, sera rehaussée par un travail de rénovation marqué par l’introduction de cépages nobles produisant des cuvées gourmandes et rocailleuses. Un engagement envers l’excellence qui sera récompensé en 1999 lorsque les Côtes-du-Vivarais obtiennent l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC), gage de l’authenticité des vins produits sur ces terres généreuses. Terre de vie, terre de vins… L’appellation Côtes-du-Vivarais est nourrie par un vignoble s’étendant sur 14 communes de part et d’autre des gorges de l’Ardèche. Ici les vignes côtoient chênes verts et oliviers en puisant tous les arômes et les saveurs typiques d’un terroir rustique. Les cuvées d’exception qui en découlent se caractérisent ainsi par leur fraîcheur, leur minéralité et leur robustesse. Côté gardois, vous pourrez visitez Aiguèze, classé parmi les plus beaux villages de France, et sa falaise abrupte sur la rivière Ardèche. De l’autre côté du pont, Saint Martin d’Ardèche est le pont d’arrivée des canoës achevant la descente des impressionnantes gorges. ...
Dispersées sur les communes de la Cadière d’Azur, du Castellet et de Saint-Cyr-sur-Mer, les vignes de la maison Castell puisent leur complexité gourmande, leur richesse aromatique et leur équilibre dans un terroir préservé au sol argilo-calcaire. Les cuvées Castell-Reynoard, élégantes et généreuses, sont ainsi les ambassadrices d’un savoir-faire ancestral savamment allié au respect de la terre. Un terroir d’exception respecté Depuis 1892, la famille Castell s’attache à produire du vin de qualité respectueux des traditions et de la nature. Le cinsault, la grenache, la clairette, le mourvèdre ou le carignan sont des cépages qui y sont travaillés avec passion dans le but d’élaborer des cuvées d’exception fidèles à leur terre. Julien Castell tient aujourd’hui à préserver l’âme de cette maison familiale en s’assurant que « l’exploitation s’harmonise avec le développement de l’écosystème à savoir la flore et la faune naturelles », explique-t-il. Travail du sol à cheval, accompagnement du vignoble selon les influences cosmiques et traitement des vignes suivant des pratiques raisonnées et naturelles sont autant de gages d’aboutissement de cette noble quête de la qualité au naturel. D’ailleurs, pour Julien, « il est important de restituer et de respecter la vigne comme un être vivant ». Ce vignoble idéalement exposé et bénéficiant d’une influence marine produit ainsi des cuvées d’exception dans lesquelles le terroir s’exprime naturellement. Parmi les ambassadeurs de cette gamme fleurant bon l’authenticité, appréciez le vin haut de gamme Clos Castell à l’occasion de vos instants raffinés. Doté d’un nez sublime, long en bouche et ponctué d’une riche palette d’arômes relevés et garrigues, ce vin rouge intime de 600 bouteilles, véritable fleuron du terroir, surprendra vos sens. Accompagnez également vos apéritifs d’une Cœur de Vigne, un vin rosé équilibré, ample et doté de légères touches saumonées et fruitées. ...
Opérant dans le domaine du vin depuis plus d’une quinzaine d’années, Christophe Kaczmarek fait ses premières initiations au sein d’un des plus célèbres cavistes parisiens Le Repaire de Bacchus. Il affûte ensuite ses armes en se formant auprès de Jean-Michel Deluc et Paolo Bouca Nova puis intègre des maisons viticoles de grande renommée comme les Domaines Paul Mas ou le Groupe Castel. Fort d’une solide expérience professionnelle, il met à profit ses acquis pour lancer son entreprise en 2015, puis la marque French Beaches en 2020. Une marque française audacieuse et décomplexée French Beaches, c’est une gamme de vins dans l’air du temps produite à partir de l’assemblage de différents jus récoltés auprès de vignerons certifiés en agriculture biologique et biodynamique. La jeune marque française tire aussi profit de la vogue des bières artisanales pour créer ses propres « crus ». La micro-brasserie se trouve en plein Massif central, en Auvergne et tisse des partenariats avec d’autres brasseurs dans la conception de ses produits. « Je travaille avec Romain Paire du Domaine des Pothiers qui est vigneron, brasseur mais aussi éleveur de vaches », raconte Christophe Kaczmarek. Un troisième larron se rejoint au groupe en la personne de Ludovic Chaillit, Brasseur à Saint-Romain-la-Motte. Ensemble, le trio crée la Liberté Unplugged — A.P.A, une nouvelle bière artisanale fraîche et désaltérante. Une A.P.A digne de ce nom Les American Pale Ale (A.P.A) sont des bières fortement houblonnées aux puissants arômes d’agrumes, de fruits exotiques ou floraux. La Liberté Unplugged – A.P.A. se veut légère car elle contient un plus faible taux d’alcool. Facile à boire, elle dévoile une bouche houblonnée, dense et veloutée qui s’achève par de belles notes d’amertume. « Je voulais avoir une bière à l’équilibre gustatif entre l’amertume et la gourmandise », déclare le brasseur. ...
En 1890, un ancêtre charpentier a construit la grange qui sert aujourd’hui de chai, faisant payer ses services en lopins de terre. Depuis les vignes sont travaillées au fil des saisons dans le respect de la tradition, en culture raisonnée. Domaine de Guillau : une démarche environnementale Jean-Claude Lartigue mène le domaine dans une démarche environnementale afin de préserver les sols et mettre en bouteille la meilleure expression de ce terroir. Par exemple, des fèveroles sont semées entre les rangs de vigne, puis broyées avant maturité et servent ainsi d’engrais vert ; les sols sont travaillés mécaniquement. Les vins sont régulièrement récompensés au Concours Général agricole de Paris comme au Concours des Vins des Coteaux du Quercy (3 médailles d’or cette année), et marqués de 5 coups de Cœur au Guide Hachette des Vins cette dernière décennie. La cuvée Rouge Tradition du Domaine de Guillau Les vins Rouges AOC Coteaux du Quercy sont issus des cépages Cabernet franc, Merlot, Tannat et Cot. Les vendanges de la cuvée Rouge Tradition, à maturité optimale, sont suivies d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en cuve. La cuvée "Plénitude", sélection des parcelles les mieux exposées de Cabernet, Tannat et Merlot, est élevée pendant 12 mois minimum en fût de chêne français de la Tonnelerie Orion. Un rosé d’exception Le Rosé AOC Coteaux du Quercy du Domaine de Guillau est un rosé de "saignée" : les cuves de vendanges fraîches des Cabernet, Merlot, Cot et Gamay sont saignées quelques heures après récolte. Le jus de raisin ainsi retiré est légèrement coloré, la fermentation lente à basse température conserve tous ses arômes et ses qualités. Un blanc en IGP vin duTarn-et-Garonne : le "Prélude" tradition Pour le vin Blanc, les vendanges manuelles des cépages Viognier et Chardonnay permettent de trier et sélectionner les raisins. Ils sont ensuite réfrigérés afin d’être pressés à basse température. Par ce fait, la fermentation débute lentement et le contrôle des températures est parfaitement maîtrisé. Le vin obtenu est alors élevé sur lies pendant 6 mois en cuve pour le "Prélude" tradition et élevé en fût de chêne neuf de la Tonnelerie Orion avec bâtonnage pour une cuvée "Prélude" plus confidentielle. ...
Niché au coeur du pays des vignerons, la Table du Donjon vous accueille dans un cadre chaleureux contemporain. Les deux chefs de l'établissement, Jean Marc NABET et Mathieu MOUCHET rivalisent d'ingéniosité pour vous servir des plats d'exception. Du vrai « fait maison » La Table du Donjon, c'est la promesse d'une escapade gastronomique au beau milieu des vignes et du patrimoine architectural unique du village. Appréciez les plats privilégiant les produits locaux sur la terrasse, donnant sur les envoûtants Monts du Beaujolais des Pierres Dorées, ou dans l'une des deux salles joliment décorées, à la présentation soignée. Au menu ou à la carte, goûtez au nombreux délices alliant créativité et saveur du terroir, à l'instar des profiteroles de caille farcie au foie gras de canard fait maison, que vous accompagnerez d'un succulent dessert et d'un Brouilly de la Maison viticole Jérôme Mathon. Apiculteurs, vignerons et maraîchers locaux sont mis à l'honneur dans des plats raffinés représentant les authentiques succulences de la région. De la bonne cuisine au pays du bon vin Faites-vous plaisir à l'occasion d'un détour gourmand à la Table du Donjon. Au menu : délices du palais, convivialité et instants intimes ou en famille. Le restaurant propose notamment un éventail de choix en matière de vins, établis sur deux cartes. Présentant des cuvées issues de tout le pays,l'enseigne priorise, entre autres les vins locaux. Riche et fier de ce patrimoine, l'établissement affiche dans sa cave plus de 360 références. ...
Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans. L’arriere Grand pere de Xavier Loriot, un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis de fille en fils . Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, c’est Charlène Loriot qui est à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5 ha de vignes. Première Femme de la maison a travailler le vin, et qui est toujours sous l’œil vigilant de son père Xavier, afin de préserver ce précieux héritage. L’objectif actuel est de préserver l’aspect environnemental et d'orienter ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient son père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Meunier, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Meunier Rosé, Fragment de Noirs, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Meunier illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir. Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et 0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...
C’est sur le terroir de la Côte des Bar que les cuvées Cordeuil puisent leur typicité et leur mosaïque aromatique. Au cœur de la Champagne-Ardenne, dans le département de l’Aube, le vignoble de quatre hectares est ancré sur une terre propice à la viticulture. Salima et Alain y cultivent essentiellement 2/3 de pinot noir et 1/3 de chardonnay selon les principes de la viticulture biologique depuis 2012 et ont reçu la certification en 2015. La marque s’est engagée de façon officielle avec l’organisme ECOCERT afin d’offrir « une visibilité claire et indéniable au consommateur désireux d'un champagne sans intrants chimiques, sans pesticides », fait savoir Salima. Rigoureux dans la viticulture, ce couple de récoltants-manipulants l’est aussi dans la vinification. A la cave, les vins sont vieillis plusieurs années de façon à favoriser la meilleure expression de leur caractère. « Après tout, en Champagne, c’est au vigneron de faire vieillir son vin et non au consommateur » déclare notre interlocutrice. Ainsi, les vins issus de la gamme de 2011 n’ont été mis en vente qu’à partir de 2016. Une gamme qui s’étend d’année en année De ces procédés particulièrement stricts naissent les quatre cuvées de qualité qui ont « de la bouteille (de l’âge) ». Depuis 2014, la maison a produit une cuvée mono parcellaire appelée Les Charmottes, selon une démarche lente et attentive afin d’atteindre singularité et authenticité. Salima nous confie qu’ils sont également en train de travailler un mono parcellaire Blanc de Blancs qui constituera leur sixième cuvée. ...
AVEKAPETI, c’est la promesse de déguster sur son lieu de travail un bon petit plat fait maison préparé avec amour et générosité par un cordon-bleu du quartier. Un concept simple mais original À l’heure du déjeuner, faute de temps, certains salariés n’ont d’autre choix que d’« avaler » au plus vite sandwichs, hamburgers et autres artifices issus de la restauration rapide. Cela n’est pas sans conséquence sur leur santé. Manger sainement avec le goût et la saveur en prime, c’est ce que leur propose AVEKAPETI. D’un côté, un voisin pétri de talent culinaire et, de l’autre, des salariés affamés qui souhaitent prendre du plaisir à manger comme à la maison. Grâce à son concept, AVEKAPETI réunit tout ce beau monde autour d’une seule et unique cause : l’amour pour la bonne cuisine. Le principe est simple : le gourmet commande en ligne un plat sur lequel il a flashé et choisit l’heure et l’adresse de livraison, ensuite il n’a plus qu’à attendre d’être livré. La livraison est assurée par le chef en personne qui habite dans les environs. Une belle occasion de faire connaissance entre voisins ! AVEKAPETI : des avantages pour tous ! AVEKAPETI donne l’occasion à des particuliers de pouvoir valoriser et exprimer leur talent en cuisine tout en leur permettant d’arrondir leur fin de mois. C’est d’autant plus intéressant pour les parents au foyer, retraités, personnes en recherche d'emploi, en reconversion professionnelle... Pour les entreprises, AVEKAPETI reste la première cantine digitale et collaborative qui peut faire en sorte que leurs salariés puissent profiter au quotidien de succulents repas faits maison à petits prix. Idéal pour des entreprises excentrées qui n'ont pas beaucoup d'offre de restauration autour par exemple. ...
Au pied des contreforts du Larzac, sur le terroir de Montpeyroux, la famille Commeyras cultive la vigne depuis 6 générations. Histoire et création du domaine L’histoire du domaine remonte à 1850 avec Pierre Commeyras et son fils, Anténor, tous deux viticulteurs à Montpeyroux. Au retour de la guerre, Auguste, le fils d’Anténor a vécu la même passion. Ses enfants André, Aimé, Auguste ont suivi. Tout en poursuivant l’exploitation familiale, André et Aimé, présidents successifs de la cave coopérative de Montpeyroux, ont initié les VDQS (Vin Délimité de Qualité Supérieure) et AOC. En 1987, à l’issue d’une longue étude sur la qualité organoleptique des vins de Montpeyroux, le Domaine l’Aiguelière a été créé par les familles Teissedre et Commeyras. Nos Terroirs Les vignes épousent les nombreux terroirs qualitatifs de Montpeyroux et des communes voisines afin de favoriser une production équilibrée. Sur les terres protégées par les vents frais et sains du Larzac, le travail est depuis toujours traditionnel avec le minimum d’intrants. De plus, une conversion bio a été opérée en 2018. Les rendements sont volontairement faibles : 22 vignes sur 19 hectares ne produisent que 60 000 bouteilles/an au sein de 53 cuves inox de 3000 hl dans un chai climatisé. À noter : la gamme complète des 7 cuvées des 3 appellations (AOP Montpeyroux, AOP Terrasses du Larzac et IGP Saint-Guilhem-le-Désert) est régulièrement récompensée depuis plus de 30 ans : CGA, Decanter, Hachette, Robert Parker Wine Advocate, RVF…. Découvrez la Côte Rousse 2018 en AOP Montpeyroux Vin rouge réalisé à partir de Syrah et Grenache, si vous aimez les vins puissants et complexes avec une grande longueur et un bon équilibre des tanins, nous vous conseillons de tester la Côte Rousse 2017 ou 2018. Idéal avec du gibier à plumes, de la viande rouge, de la viande en sauce ou du chocolat noir, elle va s’épanouir pendant 10 à 15 ans au moins en restant jeune et attrayante. ...
La cuisine Piment thai 21 concocte un subtil mélange de textures et de goûts, où chaque plat transporte directement en Asie du Sud-Est. Elle privilégie les épices originaires de la Thaïlande comme le galanga, une plante à rhizomes marquée par un goût légèrement piquant, qui remplace souvent le gingembre dans de nombreux plats traditionnels. Cosmopolites, ses créations culinaires distillent un mélange de cultures qui ravit les fins gourmets avides de saveurs exotiques. La carte du restaurant est étoffée de plats faits maison, minutieusement élaborés à partir de produits frais. En entrée, une touche de fraîcheur s’invite dans l’assiette avec la salade de papaye verte aux crevettes. Cette recette traditionnelle allie à merveille le parfum délicat et légèrement musqué de la papaye avec le goût fin et marin de la crevette. En plat de résistance, la larme du tigre au bœuf est un authentique plat thaï, qui fait le bonheur des épicuriens. À base de bœuf mariné puis grillé, ce mets est servi avec une sauce spéciale et parsemée d’herbes fraîches. La découverte culinaire s’achève avec la banane accompagnée de lait de coco, un dessert exotique traditionnellement servi sur les tables asiatiques. Un cadre zen et raffiné Dans un cadre luxueux et très soigné, où le rouge, symbole de vitalité, domine, la décoration intérieure de Piment Thaï amène les convives dans un univers zen et paisible. Avec les statues de bouddha qui ornent les lieux, cet endroit rappelle le charme des palais en Asie. Son mobilier contemporain rouge et noir se marie à merveille avec les fleurs tropicales de la Thaïlande qui décorent la salle, créant ainsi un design épuré. Les couleurs chaudes combinées à la lumière tamisée procurent une ambiance parfaite pour les soirées à deux, avec des amis ou en famille. ...
Dans un décor inspiré des plus beaux palais marocains, le restaurant baigne dans une ambiance conviviale et envoutante avec, à la clé, un généreux mélange d’épices et de parfums d’Orient. Tout, au Palais Bahia, donne la nette impression d’entrer dans un palais des Mille et Une Nuits, sans parler de la cuisine tout à fait à l’image du Maroc, qui est tout autant gouteuse que copieuse ! Une cuisine authentique Succulents tajines, différents couscous et savoureuses grillades rivalisent de concert pour émerveiller les papilles, dans un bel alliage de raffinement et d’authenticité. Préparée à toutes les sauces, chaque spécialité est une véritable découverte qui se décline en plusieurs variétés. Belle découverte en plein cœur de Nantes, Le Palais Bahia dispose d’un large choix de menus. Le menu Midi Express à 10 € (sauf les weekends et jours fériés) vous donne le choix entre un couscous (poulet, agneau, merguez ou boulettes) et un tajine fassi (poulet citron confit ou agneau haricots verts) suivi d’un thé ou d’un café. Le menu Aladin à 36 € est composé d’un cocktail Aladin, d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal (agneau cuit à l’étouffée ou poulet, pruneaux, dattes et miel) avec un dessert au choix, thé ou café. Le menu Maison à 30 €, quant à lui, est composé d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal, d’un dessert au choix et d'un thé ou d'un café. Un menu Enfant à 8 €, composé d’une couscoussette à la viande et d’une boule de glace, est également proposé par le restaurant, ainsi qu’un menu Étudiant à 16 € comportant un cocktail maison, un couscous à la viande et un thé. ...
Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun. Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon. Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise… Manger sainement à la japonaise Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis. En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement. Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix. ...
L’histoire du Château Cadet-Bon commence au XIVè siècle, quand Jacques Bon a planté sur le coteau nord de Saint-Emilion la première vigne. Déjà en 1867, le produit du terroir a contribué au succès des grands vins de la région à l’Exposition Universelle de Paris. Après une longue période de rénovation et d’études du terroir, le Château produit depuis quelques années des millésimes de grande qualité. Vingt ans de travaux et de succès Le vignoble du Château Cadet-Bon s’étend sur une surface de 6ha. Avant de devenir l’une des références dans son domaine, le Château a beaucoup investi dans l’optimisation de son terroir. Pendant les 5 premières années, les propriétaires travaillent en collaboration avec des consultants et des spécialistes en œnologie pour les accompagner et pour établir une cartographie. La douceur et le raffinement des vins du Château Cadet-Bon viennent ensuite du traitement de la vigne depuis la plantation jusqu’à la vinification, en passant par les vendanges. En effet, dès l’acquisition de la propriété, Michèle et Guy Richard arrêtent l’utilisation d’herbicides. Afin de préserver la qualité des vignes, ils optent pour une récolte manuelle et créent un système innovant de manière à minimiser les manipulations lors du transport et de l’encuvage des fruits. Le château utilise en outre la méthode du pigeage pour la vinification afin d’extraire délicatement les arômes des raisins. Ce travail soigné du terroir et de la vigne a permis à la marque de produire l’un des meilleurs vins de Saint-Emilion. Château Cadet-Bon – le choix des œnologues et des dégustateurs Dans le but d’avoir une vision générale de son terroir, le Château Cadet-Bon participe régulièrement à différents concours. Il organise aussi des dégustations lui permettant d’avoir les avis de différents œnologues et de créer un meilleur vin à l’avenir. Grâce à cette volonté d’atteindre l’excellence, le Saint-Emilion Grand Cru Classé du Château Cadet-Bon a obtenu des médailles d’Or aux Vinalies Internationales de 2021 et de 2022. Il a également gagné - entre autres récompenses - des médailles d’argent au Decanter Wine Awards 2021 et au concours organisé par Terre des Vins cette année. Outre les médailles, les notes données par les dégustateurs œnologues témoignent aussi de la qualité du vin du château. Chaque année, le Château Cadet-Bon continue de produire un nouveau millésime qui ne manque pas de marquer les connaisseurs. Parmi les meilleurs, celui de 2019 se distingue par ses délicieuses notes de fruits, sa souplesse et sa longueur en bouche. Il se trouve parmi les millésimes les mieux notés primeurs. ...
Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Le domaine travaille et préserve ce sol très typé avec le plus grand soin en engageant une démarche innovante, notamment un enherbement complet sur certaines parcelles. Cette méthode est une alternative, plus saine et plus durable, au désherbage chimique. « Cela nous permet d’avoir une très bonne vie microbienne et d’obtenir des vignes particulièrement équilibrées » explique fièrement Bruno de Villepin. Une vertueuse initiative qui a valu au domaine la certification HVE (Haute Valeur Environnementale) et très prochainement le label Viticulture Durable en Champagne. Des gages de qualité qui incarnent la philosophie de la maison. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...
Propriété vitivinicole depuis 1935, le Château du Cléray s’est transmis de génération en génération dans la famille Sauvion. Avec ses vieilles caves voutées, celui-ci compte parmi les plus anciennes propriétés du Pays Nantais. Aujourd’hui, c’est au tour de Pierre-Jean Sauvion, 4e génération, de s’atteler à la tâche et de façonner les vins de la maison. Honneur au muscadet Depuis sa création, le domaine a mis tout en œuvre pour donner au cépage Melon de Bourgogne ses lettres de noblesse. « C’est tout simplement l’un des plus grands cépages blancs au monde et il pousse uniquement dans notre région », explique Pierre-Jean Sauvion, œnologue et directeur technique. Ceci expliquant cela, le Melon de Bourgogne occupe aujourd’hui les deux tiers de l’encépagement de ce vignoble de 100 ha. Le reste se compose de chardonnay, de sauvignon et de folle-blanche (le cépage du gros plant). Les vignes du domaine sont plantées sur un sol silico-argileux, traversé par une veine de schiste qui apporte aux vins une complexité aromatique avec une belle minéralité accompagnée d’une touche saline. « De cette typicité naissent des vins avec une expression plus tardive. » Respect de la vigne et de la Nature Le domaine adopte des pratiques culturales qui respectent la Nature et s'est donc tout naturellement engagé dans une certification HVE (Haute Valeur Environnementale.) « Mon outil de travail, c’est la vigne. Donc je fais tout pour la préserver afin de la léguer un jour aux générations futures », plaide notre interlocuteur. Cependant, pour Pierre-Jean Sauvion, la démarche importe peu, qu’elle soit biologique, raisonnée ou organique. Pour lui, l’objectif reste le même : faire en sorte d’obtenir une qualité optimale. Et cette recherche de la qualité commence dans les vignes. « Nous sommes à l’écoute de la Nature. Et en fonction de cela, nous faisons ce qui est le mieux pour nos vignes. » Côté vinification, le domaine suit un schéma classique. Cependant, toutes les opérations sont effectuées sous gaz inerte pour éviter l’oxydation. Des façonneurs de plaisir Apporter du plaisir et le partager aux autres. C’est en quelque sorte la philosophie qui a animé la famille Sauvion depuis maintenant 4 générations. Ainsi, elle se définit volontiers comme « des façonneurs de plaisir », qui, chaque année, se plait à présenter de nouvelles saveurs aux œnophiles. Parmi les références de la maison, la gamme haute culture mérite une attention particulière. Issues des meilleurs terroirs et des vieilles vignes de la propriété, ces cuvées représentent le summum du savoir-faire du Château du Cléray. À commencer par le « Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2017 Château de Cléray » ! Un 100 % muscadet qui exhale des arômes de citron, de tilleul, de menthe et de pomme verte. En bouche, on retrouve une grande fraîcheur et une belle finesse. Ce vin accompagnera parfaitement un plateau de fruits de mer ou une mousseline de Saint-Jacques. ...
La famille Boinaud est installée au Domaine depuis 1640. Au départ, les Boinaud étaient spécialisés dans le travail du bois, une tradition encore perpétuée dans la fameuse tonnellerie artisanale. La passion pour le cognac s’est développée plus tard, avec l’arrivée de Charles Boinaud, arrière-grand-père des dirigeants actuels, à la tête du domaine. Celui-ci décide d’installer le premier alambic pour distiller les vins produits par la maison. Les générations qui suivent se sont évertuées à préserver soigneusement ce savoir-faire exceptionnel. C’est donc avec cette même ferveur que les deux cousins, Charles et Rémi Boinaud, conduisent aujourd’hui le domaine. Jeunes et visionnaires, ils misent sur le respect de la tradition familiale, tout en se tournant vers l’innovation pour affirmer résolument l’identité de la maison. Immersion dans la plus grande distillerie charentaise De la vigne jusqu’au verre, aucune étape n’échappe aux Boinaud. Les raisins sont récoltés sur les fameux terroirs de la Grande Champagne, qui, à l’heure actuelle, est qualifiée de meilleur cru de l’appellation Cognac. Et avec les 420 ha de vignes, le rendement ne peut être que favorable. Après la vinification, place à la distillation. « Les eaux de vie sont élaborées dans la plus grande distillerie charentaise, désormais équipée de 41 alambics », précise Clara Gilbert, cheffe de projet Hospitalité/Évènementiel. Parmi les meilleures références figure le « Cognac De Luze », symbole par excellence de la Fine Champagne. Le « Cognac J. Dupont » est également une cuvée représentative de la maison. Classé dans la gamme premium, cet « art de la Grande Champagne » est dédié aux plus fins connaisseurs. En s’adonnant à une visite classique, ceux qui viennent au domaine auront le privilège de découvrir les secrets de fabrication de ces quelques élixirs, suivis d’une dégustation. Une aventure gourmande La Maison Boinaud propose également des visites sur mesure. Les visiteurs pourront ainsi définir les activités qu’ils souhaitent inclure ou non au cours de leur visite. L’occasion pour eux de déguster les fameux produits gastronomiques dont les Boinaud sont les seuls à proposer en France, voire au monde. Il s’agit ici des Perles de Cognac, du cognac encapsulé dans une pellicule d'algue naturelle qui sert à parfaire un cocktail ou à accompagner les mets les plus délicats (huitres, foie gras, desserts…). Le Oaker est également un must à déguster. Il s’agit d’un délicieux concentré naturel de bois que les barmans utilisent généralement pour relever leurs cocktails. Le Smoaker, de son côté, a été pensé pour fumer les mets à partir de vieux copeaux de chêne issus d’anciennes barriques de cognac. À noter que la maison Boinaud pratique également l’apiculture. Ainsi, elle produit et commercialise son propre miel. ...
A quelques minutes de Saint-Tropez, La Réserve Ramatuelle est un des rares Palaces de la Côte d’Azur. Une distinction qui favorise les établissements présentant des caractéristiques exceptionnelles, capables de promouvoir à l’international l’attractivité de la France et l’art de vivre à la française. Un tremplin vers les étoiles Eric Canino, le chef fait ses premières gammes à Manosque en 1987 puis effectue une formation de pâtisserie chocolat avec René Fontaine, Meilleur ouvrier de France Chocolatier à Barcelonnette. Et, c’est aux Roches de Lavandou qu’il débute sa carrière pour devenir au fil du temps le chef des cuisines de Michel Guérard considéré comme l'un des fondateurs de la « nouvelle cuisine ». Le Grand Véfour profite ensuite de son talent avant qu’il ne prenne ses quartiers au Restaurant La Voile en tant que Chef exécutif. S’appuyant sur son riche parcours, Eric compte aussi énormément sur son équipe avec qui il partage toutes ses réussites. Grâce à sa passion, sa ferveur et à sa rigueur, il décroche l’un des titres les plus convoités : l’étoile au Michelin. Des produits frais et locaux Avec des produits bruts issus du terroir provençal, il orchestre des plats d’exception. Il veille à réaliser une cuisine aux couleurs du sud amplifiée par des saveurs inouïes. Inspiré et créatif, il perfectionne ses plats en conciliant gourmandise et simplicité afin de régaler les papilles. Pour ses créations culinaires, ce maestro s’appuie d’une part sur le potager de La Réserve Ramatuelle situé à proximité des cuisines du restaurant. Avec un mode d’exploitation raisonnée, ce potager s’ouvre à une douzaine de variétés de tomates, à plusieurs herbes aromatiques comme l’origan, la marjolaine et la citronnelle de Madagascar. Le chef Canino y cueille également ses légumes tels que les poivrons rouges et les aubergines blanches sans oublier les arbres fruitiers qui en plus d’offrir une décoration verdoyante, apporte finalement tout ce dont le chef a besoin pour sublimer ses plats.Le restaurant travaille aussi avec de petits producteurs locaux œuvrant de Marseille à Nice et rigoureusement sélectionnés pour la qualité de leurs produits. Une cuisine raffinée et savoureuse En avant-goût, les recettes délicates et aromatisées aux senteurs provençales font place au Calamar cuit au parfum de tomate au basilic et la Seiche rôtie et pattes croustillantes accompagnés d’olives Taggiasche.Parmi les plats aux saveurs marines, le Chapon de Méditerranée farci aux épinards et calamar. Ce poisson de roche évoluant dans les eaux profondes est méticuleusement préparé et servi avec du fenouil confit à la passion accompagné de pomme de terre fondante au jus de bouillabaisse. Côté viande, le Veau du pays Basque quasi rôti et en tartare accompagné de girolles marinées abricot rôti et cylindre d’agria au romarin se savoure sans hésitation. En dessert, le Chocolat grand cru du Pérou : « After eight » à la menthe poivrée du jardin joint à un Sorbet Perrier Menthe amuse le palais au grand bonheur des gourmands. Un cadre épuré et naturel Traversé par la lumière naturelle, le restaurant aux immenses baies vitrées habillée d’un blanc immaculé offre une vue imprenable sur la Méditerranée. Les lignes épurées et élégantes insufflent une ambiance douce et chaleureuse où le bien-être, le confort et l’élégance sont de mise. A l’extérieur, sur la terrasse ombragée, les convives apprécient le climat doux azuréen. Doté d’un environnement naturel exceptionnel, le jardin offre un paysage authentique sublimé notamment par les impressionnants oliviers bicentenaires. Les senteurs méridionales renforcent la beauté du cadre avec les myrtes et les romarins parsemant l’ensemble de la propriété. ...