Situé à 1,5 kilomètre d’un tronçon de la Loire classé « Patrimoine Mondial de l’Unesco », et à quelques minutes seulement du centre-ville d’Angers, le restaurant Les Bateliers est un établissement proposant une cuisine traditionnelle revisitée. Cuisine orchestrée par le chef Dominique Lepage, également un des deux propriétaires des lieux avec Didier Salmon. Ceux-ci tiennent le restaurant depuis 11 ans, et bénéficient d’une situation idéale entre vignobles et lieux touristiques. Cuisine du terroir, cuisine régionale L’établissement met tout d’abord en avant une cuisine traditionnelle basée sur les produits de saison. Et donc, la carte change chaque mois, et le produit le plus en vue est toujours mis en valeur dans les plats. Plus récemment, était à l’honneur un produit phare, l’asperge. La carte valorise la fraîcheur des produits des pays de la Loire. Aux fourneaux, Dominique et son équipe élaborent de jolis dressages en assiette, et des plats toujours variés. Celui-ci a été chef de partie dans de belles tables parisiennes, puis second de cuisine à l’Auberge d’Eventard, qui est l’un des plus grands restaurants gastronomiques de la région de la Loire. Par la suite, il s’est associé avec Didier Salmon pour créer le restaurant Les Bateliers. A la carte, des entrées signatures à l’instar du foie gras poêlé au citron confit, coppa grillée et pommes de terre nouvelles au lard. Autre entrée, le trio de tomates grappe pelées à vif et sa farce fine à la chair de tourteau et mesclun, coulis de tomates mentholé à l’huile d’Argan. Comme plat principal, pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, et en dessert, mille-feuille craquant sauce framboise ou glace au lait d’amande. C’est une cuisine généreuse et pleine de saveurs à laquelle toute l’équipe en cuisine participe, pour mettre au rang de vedette les produits de la région, mais aussi le terroir du Pays de la Loire. Une carte des vins raffinée Le restaurant propose une carte des vins étoffée, raffinée, et conférant des accords mets-vins des plus subtils. L’établissement étant tout d’abord situé sur la route des vignobles et au cœur de celui d’Angevin, il met en avant de belles bouteilles de propriétés de la région, se mariant admirablement aux plats orchestrés en cuisine. Pour les entrées à base de poissons, elles sont servies avec un Coteaux-de-l’Aubance. C’est un vin à la robe intense jaune or et reflets verts, dénotant des senteurs florales de fruits à chair blanches, dissimulant un équilibre par sa richesse gourmande et sa fraîcheur prononcée en bouche. Egalement indiqué pour les foies gras poêlés ou en terrine, la cuisine exotique et les charcuteries fines, cet AOC de la région de la Loire est une bouteille au mono-cépage Chenin. Le Saumur-Champigny est, lui, bien indiqué pour les entrées. Ce vin à la robe rouge grenat et lumineuse, dégage des senteurs épicées de fruits rouges et fleurs. Riche et corpulent sur la longueur en bouche, il finit avec un équilibre et une douce fraîcheur embaumant le palais. En accompagnement de la pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, un Château de Principe, qui permet de souligner la tendance gibier de la viande domestique. Le dessert mille-feuille craquant, sauce framboise, peut être servi avec tout vin effervescent à bulle de la Loire. Idéalement, un Saumur, vin rouge à la robe lumineuse couleur rouge rubis, doté d’un nez fin et léger accompagné de fruits, violettes et iris. Souple en bouche et parfois dense, ce vin est composé des cépages Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, et Pineau d’Aunis. ...
Véritable star à part entière, La Croisette fait la fierté de Cannes. Plus qu’un boulevard, elle reçoit chaque année le célèbre Festival consacré au cinéma et abrite les hôtels et restaurants les plus prisés de toute la Côte d’Azur. Parmi eux se dresse le célèbre hôtel JW Marriott Cannes, situé à deux pas du Palais des Congrès. Connu pour la qualité de ses chambres et ses prestations, l’hôtel s’est aussi bâti une forte notoriété dans le monde culinaire grâce à son restaurant le JW Grill Cannes. Un environnement de rêve Situé en plein cœur de la plus célèbre Croisette au monde, le JW Grill Cannes jouit d’un environnement de rêve. Ainsi, sa terrasse offre une vue imprenable sur la mer Méditerranée et sur l’agitation de la Croisette. L’endroit idéal pour passer un bon moment de détente et de gourmandise dans un cadre frais, moderne et joliment agencé. Mais le spectacle est loin d’être fini ! La salle intérieure promet un tout autre univers. Entre ses meubles luxueux et tendances, ses tables en ébène, ses chandeliers en cristal signés Swarovski, son sol en marbre et ses finitions dorées, elle affiche l’élégance et le raffinement à la française. Dans ce décor feutré et chic, un personnel aussi chaleureux que réactif met tout en œuvre pour que chaque convive se sente à l’aise. « L’authenticité du steak house » A la hauteur de la beauté des lieux, la qualité de la cuisine est aussi au rendez-vous. Optant pour un concept innovant du « steak house », le JW Grill Cannes met à l’honneur une sélection de belles pièces de viande à la cuisson parfaite réalisée sur un grill américain à haute température. Pour le plus grand plaisir des amateurs de viandes d’exception, le restaurant propose le Black Angus signé Creekstone Farms, une viande incontournable des plus grands Steaks House du monde. A la quête du graal et du meilleur steak, la viande est ici reine. L’établissement propose également de déguster le célèbre New York Strip, le Rib eye ou encore le Rib eye Tomahawk. Des viandes persillées, tendres et fondantes en bouche. Tout un programme... Le restaurant invite aussi ses convives à la découverte de la cuisine méditerranéenne. Un terrain sur lequel le chef Sébastien Klinholff exprime sa créativité et son savoir-faire avec des plats aussi savoureux qu’authentiques. En utilisant exclusivement des produits frais et de saison, il revisite les grands classiques et veille à ce que le parfait équilibre des saveurs et des textures soit respecté pour chaque plat. Ainsi, une sensation de plaisir intense envahit les papilles lors de la dégustation de la salade niçoise accompagnée de thon grillé et d’un œuf à la coque molle ou encore du fameux JW Cheese Cake, le dessert phare de l’établissement. Mais qui dit bonne table dit aussi bon vin. Le restaurant propose de très belles bouteilles issues des meilleurs vignobles de France et du monde : Australie, Italie, Nouvelle Zélande... Ainsi, les convives pourront se faire plaisir en trouvant grâce aux conseils du sommelier l’accord parfait entre vin, mets et plats. Un chef expérimenté Si le JW Grill Cannes a su imposer son concept culinaire, c’est surtout grâce à son chef cuisinier : Sébastien Klinholff. Aussi créatif que méticuleux, il repose sa philosophie sur cinq principes. D’abord, il n’utilise que des aliments exclusivement frais, de saisons, simples et équilibrés. Puis, il élabore ses sauces légères à base d’infusions, de bouillons et d’émulsions au lieu d’utiliser du beurre ou de la crème. Pour que les yeux affolent les papilles, il porte aussi une attention toute particulière à la présentation des assiettes et du buffet. Pour le sourcing de ses produits, il met un point d’honneur à travailler en étroite collaboration avec la communauté locale (fermiers, agriculteurs, écoles, médias…). De nature généreuse, il n’hésite pas à partager ses vastes connaissances quand l’occasion le lui permet. ...
Les parents de Françoise, Paul et Marie-Élisabeth Joyet ont fait l’acquisition du Domaine des Girasols en 1974. Aujourd’hui, les deuxième et troisième génération entrent en scène pour veiller à la bonne marche de l’entreprise familiale. « De bon terroir, bon vin » S’étendant sur une superficie de 15 ha, le vignoble du Domaine des Girasols s’enracine sur un sol argileux riche en calcaire. La combinaison de ces deux matières est un véritable atout pour optimiser la qualité des vignes cultivées en côteaux. « L’argile maintient l’humidité dans le sol. C’est ce qui permet aux cépages, notamment les grenaches, de puiser dans le sol l’humidité nécessaire pour leur maturité », éclaire Françoise Larum, la gérante du domaine. Présente en grande quantité, cette matière permet de cultiver divers cépages de qualité. « Nous avons de très bons vins grâce au terroir que l’on a », clame fièrement la vigneronne. Une terre que la famille souhaite préserver en envisageant une conversion vers l’agriculture bio. Des cuvées hautes en saveur Le vignoble présente toute une variété de cépages. Les principaux cépages sont le grenache, la syrah et le mourvèdre. La maison vinifie précieusement ces raisins afin de produire des cuvées finement épicées et aromatiques. « Quand les vignes deviennent vieilles, elles nous donnent forcément le meilleur », déclare Françoise Larum. Les autres cépages comme le carignan et le cinsault entrent en plus petite quantité dans certaines cuvées. Le rosé, en AOC Côtes-du-Rhône Villages est la cuvée phare de la maison, élaboré à partir de grenache et cinsault, selon une vinification traditionnelle par saignée et pressurage. La maison propose également des vins doux naturels, vinifiés selon les méthodes traditionnelles. ...
C’est tout naturellement à Lyon, la ville gastronomique par excellence, que ce concours est organisé annuellement. « Situé au cœur de plusieurs régions viticoles, Lyon devient ainsi le cœur d’un événement fédérant tous les producteurs de vins et de spiritueux, étrangers ou français », nous explique Victor Gomez, directeur de l’entreprise organisatrice du concours, Armonia. Découvertes gourmandes et voyage gustatif sont donc au rendez-vous à l’occasion de cet événement célébrant la richesse et la diversité du vin, de la bière et des spiritueux des quatre coins du monde. « Placer la ville de Lyon au cœur du vin » C’est avec ses propos que Victor Gomez justifie la création de ce concours étant cette année à sa huitième édition. La réputation de cette célèbre compétition internationale est le fruit d’une riche collaboration avec des partenaires de renom à l’instar de Vitisphere, de Global Wine and Spirits, de l’Association des Sommeliers lyonnais, des Toques blanches lyonnaises et de la prestigieuse École du vin. Ce dernier, partenaire exclusif de l’édition 2017, apporte ainsi toute son expertise au service des dégustations, des conférences-débats et de la sélection des vins médaillés. Ces partenaires qualitatifs viennent ainsi forger la notoriété de ce « concours très engagé dans la gastronomie », selon les explications de Victor. En effet, cet événement se veut être l’ambassadeur d’une ville où le goût et les sens sont au cœur de la dynamique urbaine. Les membres du jury, qui, à l’issu des dégustations, récompensent les meilleurs des spiritueux, de la bière et du vin, sont composés de professionnels du vin (sommeliers, œnologues...), de chefs, d’acheteurs, et d’amateurs expérimentés. Élire le meilleur vin du monde « Le Concours international de Lyon est un des rares concours en France acceptant les vins internationaux », rappelle Victor, assurant que tous les vins du monde y sont représentés. La qualité reste toutefois le maître-mot de la sélection de ce concours qui, cette année, a été présidé par Gaëtan Bouvier, Meilleur sommelier de France. En effet, après la réception, chaque produit subit un contrôle rigoureux ponctué de vérifications documentaires poussées et parfois de tests en laboratoires avant de pouvoir intégrer les tables de dégustation. Exclusivement dédié au vin depuis ses débuts, cet événement intègre, en 2015, la bière et une multitude de spiritueux dans la compétition. À l’occasion de la huitième édition du 25 mars 2017, les bières auront été jugées dans 54 catégories différentes, et les spiritueux dans plus de 65 familles incluant les vodkas, les rhums, les liqueurs et bien d’autres encore. Plus de 800 dégustateurs, composés de professionnels et d’amateurs éclairés du monde entier ont ainsi goûté à près de 6 300 vins, spiritueux et bières afin d’élire les fleurons de chaque catégorie, récompensés ultérieurement d’une médaille. Les producteurs et les consommateurs trouveront ainsi une valeur sûre dans le caractère riche et éclectique de ce concours à l’issu duquel, « un jury cette fois-ci composé des meilleurs ouvriers de France, des meilleurs sommeliers de France et autres iront redéguster les meilleurs vins de la compétition pour désigner le meilleur vin du monde », conclut Victor. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Selman et le concept de La Table d’Antoine Chic et cosy, sobre et majestueux, le restaurant Le Selman est ouvert sur l’extérieur et ravit les amoureux de la nature verdoyante et des grands espaces. C’est un lieu intemporel, une invitation au voyage des sens. Le chef Antoine Perray et son concept La Table d’Antoine ont posé leur quartier au restaurant Le Selman, dans le cadre d’une résidence gastronomique. La carte est renouvelée chaque saison. En entrée, daurade royale en ceviche, condiment au citron beldi. En plats : volaille fermière au vin jaune, morilles, châtaignes, ou quasi de veau de lait, mole poblano… En dessert : soufflé cacao grand cru 80 % « cœur de Guanaja ». Concernant le cadre, il est des plus intimistes, idéal pour partager un agréable moment de détente. La fabuleuse escapade dans ce lieu près des montagnes de l’Atlas promet une paisible découverte entre amis, en couple ou en famille. Rien de mieux pour échanger, partager et se ressourcer là où la nature a son mot à dire. Les convives sont invités à profiter de ce cadre idyllique d’exception. ...
Le Roi de la garbure, c’est ainsi que le propriétaire du Café des sports est surnommé. Et pour cause, c’est autour de cette soupe traditionnelle béarnaise que s’est construit la notoriété de Gaby Regagnon et de son restaurant. Dans cet univers culinaire en évolution permanente, le Chef préfère se construire une identité « en béton » autour de recettes simples mais de qualité, et cela marche. Qualité et simplicité de la cuisine Dès 6h du matin, Gaby Regagnon s’active derrière les fourneaux pour préparer sa garbure. Cette soupe de légumes traditionnelle au jambon de Bayonne mijote toute la matinée. Elle est proposée tous les jours et garde toujours le même succès. Cela démontre que ce qui est important dans la cuisine : c’est la passion du métier, l’amour des produits et le temps donné par le Chef pour la satisfaction de ses clients. Comme le roi de la garbure le dit : « ce n’est ni l’eau, ni le sel qui fait la qualité de la garbure. C’est l’os de jambon, le temps de cuisson et la quantité préparée ». La cuisine du Café des Sports prime surtout les produits de Béarn et de Chalosse. A la liste des recettes phares du Café des sports, Gaby en a ajouté trois. La Tête de veau sauce gribiche est régulièrement servie le premier vendredi du mois, la Morue persillade le deuxième, la Poule au pot la troisième et le Cassoulet le quatrième. Outre ses plats de renom, le Chef suggère à la carte du Jambon de Bayonne, des Tournedos aux cèpes ou noix de Saint-Jacques sans oublier le magret et le foie gras. De la salade landaise, de l’omelette aux cèpes et des frites maison y figurent également. Et le Chef met toujours en avant la région avec le gâteau basque maison à la crème ou à la confiture de cerise. Les Pyrénées-Atlantiques, lieu de gastronomie et de tourisme Le Café des sports siège sur la place de la république, l’ancienne place du marché aux bestiaux d’Arzacq-Arraziguet. Cette commune est située dans le département des Pyrénées-Atlantiques qui s’avère être un terroir aux richesses intarissables. Beaucoup de monuments historiques et de lieux touristiques y sont liés à la gastronomie. Cela va des châteaux de domaines viticoles aux Musées, en passant par les marchés, les cafés et restaurants qui sont des témoins vivants de la tradition gastronomique gasconne. Avec les recettes du Chef Gaby, notamment la garbure, le Café des sports est devenu à lui tout seul le symbole de toute une culture. Le Café des sports est situé non loin du Musée du jambon de Bayonne à Arzacq, un espace culturel et éducatif dédié entièrement au jambon de Bayonne, à l’histoire du cochon et de sa consommation. Une boutique est également ouverte pour trouver tous les produits du Sud-Ouest comme les paniers garnis, les coffrets gastronomiques, les plats cuisinés et évidemment le fameux jambon de Bayonne. Une visite du Moulin de Garos est aussi possible après une pause gustative chez Gaby. Celui-ci se trouve à environ 5 km du restaurant, en bordure du Luy de France. C’est l’eau de ce dernier qui fait tourner les roues du moulin lors de la mouture. Ce moulin est fortement lié au Château de Cabidos, un domaine viticole de 9 hectares. Le Sauvignon, le Chardonnay ou encore le Syrah sont les fruits de cette exploitation. Ce château est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. ...
Situé au cœur de la Provence verte, le Château la Curnière est une propriété provençale digne de ce nom, qui couvre en tout 121 hectares du village de Tavernes. Ame du domaine, le château proprement dit est un grand bâtiment qui a su traverser les époques et les générations de propriétaires sans perdre de son faste. Autour de lui se trouve son vignoble et sa petite oliveraie. Le reste du domaine est constitué d’un parc et d’un immense jardin à la française, avec ses allées et ses massifs de buis, une chapelle consacrée datant du XVe siècle ainsi qu’une cave et un caveau dédiés à la fabrication des vins. Une situation géographique privilégiée Le vignoble du domaine accapare 17 hectares sur les 121. « Nous avons le domaine le plus haut dans l’appellation Coteaux Varois en Provence » explique Tomasz Pawlak, responsable du vignoble. « Nous sommes installés dans une cuvette, ce qui nous met à l’abri des grandes intempéries, en l’occurrence le gel et la grêle » poursuit-il. Sans compter que sa situation en coteaux et son type de sol drainant lui offrent une irrigation idéale des vignes tout au long de l’année. Des procédés garants de la qualité Depuis les vignes jusqu’à la mise en bouteille, le Château la Curnière s’est imposé une méthode de travail garantissant la qualité de ses produits. Dans les champs, le domaine a fait le choix d’une agriculture raisonnée, sans aucune utilisation d’intrants chimiques. Au chai et à la cave, la vinification est menée selon les techniques traditionnelles. « Nous procédons à des analyses de nos vins qui montrent 0% de pesticides, comme quoi nos vins sont bons pour la santé, mais à boire avec modération bien entendu » explique Tomasz sur le ton de la plaisanterie. Quatre cuvées plusieurs fois récompensées Chaque année, le Château la Curnière produit dans les 450 hectolitres de vins qui se répartissent en quatre cuvées : « Château La Curnière » AOC Coteaux Varois de Provence en rouge, blanc et rosé ; « Château La Curnière Les 3 Croix » AOC Coteaux Varois de Provence ; « Domaine La Curnière Chardonnay » IGP Var-Coteaux du Verdon et « Château La Curnière Cuvée V » IGP Var-Coteaux du Verdon en rouge, blanc et rosé. Parmi tous les millésimes, le « Château La Curnière Rouge 2010 » mérite particulièrement d’être mis en avant, notamment en raison de ses multiples récompenses : une étoile au Guide Hachette 2012, trois étoiles au Guide des vins de Provence 2013 et une médaille d’or au Concours Interrégional des Vins de Brignoles 2001. Pour autant, les autres cuvées n’ont rien à lui envier, la majorité ayant également raflé des médailles lors des concours auxquels ils ont participé et font l’objet de citations régulières au sein des guides spécialisés. Un domaine ouvert aux amateurs de vins et de verdure Toute l’année, le Château la Curnière est ouvert à la visite sur rendez-vous, du mardi au samedi. Cette activité inclut un tour du domaine, la découverte des cuves des templiers, une balade dans le jardin et le parc ainsi que la découverte de la chapelle. Elle se termine autour de verres de vins et d’huile d’olive élaborés par le domaine. « Ponctuellement, nous organisons également des pique-niques chez le vigneron, avec des châteaux gonflables, des animaux de la ferme, des tirs à l’arc » conclut Tomasz Pawlak. ...
Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun. Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon. Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise… Manger sainement à la japonaise Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis. En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement. Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix. ...
À l’image du cadre dans lequel le Fairmont Royal Palm Marrakech évolue, la cuisine s’annonce sous différentes couleurs : traditionnelle marocaine, naturelle, moderne, à la croisée du style oriental et occidental… En découvrant les différentes tables de l'hôtel, les hôtes se lancent dans un véritable tour du monde culinaire. Juillet 2018 – Fairmont Royal Palm Marrakech accueille son nouveau Chef Exécutif, Serge Jost. Après trente années passées au sein de maisons toutes aussi prestigieuses les unes que les autres : le restaurant gastronomique Petrus à l'hôtel The Island Shangri-La à Hong Kong et les restaurants du Westin Mont-Royal à Montréal en autres, Serge rejoint en 1998 pour la première fois un hôtel Fairmont, l’iconique Reine Elizabeth à Montréal. Après huit belles années, il décide de poursuivre son engagement pour la marque et prend en 2006, les commandes des cuisines du Fairmont Château Montebello. Le style de Serge Jost intègre une riche palette d’expériences culinaires internationales, mêlant les traditions gastronomiques européennes à celles du terroir local, y ajoutant une influence asiatique et une présentation toute contemporaine. Sa cuisine célèbre la richesse des produits régionaux : « Je crois en une cuisine simple et diététique, présentée de manière sobre et élégante, qui permette aux arômes naturels, aux couleurs et aux textures de chacune se révéler par elle-même tout en se complimentant mutuellement. » L’Olivier, une cuisine méditerranéenne raffinée Quand le soleil marocain se dresse dans toute sa splendeur, l’heure est à la fraîcheur à l’Olivier où la cuisine adopte une allure légère mais surtout savoureuse. Tout en appréciant la vue sur la piscine de 2000 m² de l’hôtel, les hôtes dégustent avec délice « le pavé de saumon aux épices d’ici cuit au four tandoori » ou le très sollicité « carpaccio de saumon relevé par une marinade au goût acidulé et au doux parfum de vanille », servi avec des légumes croquants. Pour la fin du repas, « l’île flottante caramélisée aux amandes torréfiées » connaît toujours un fervent succès. Le Caravane pour un voyage culinaire Le Caravane accueille les adeptes du goût exquis pour un moment intime à savourer à deux ou à plusieurs. Une grande salle conviviale, des tables d’hôte, des salons privatifs ou la Table du Capitaine, il appartient à chacun de choisir l’espace où il appréciera l’attrait gourmand de la rôtisserie et des plats raffinés proposés à la carte. Mais, le Caravane, c’est surtout un restaurant offrant une riche cave à vins qui regroupe les meilleures bouteilles du monde pour accompagner avec harmonie les plats de viande, d’agneau, de foie gras et de poisson. Al Aïn, la cuisine marocaine Des zelliges un peu partout, du mobilier typiquement marocain, Al Aïn invite à une escapade culinaire dans le royaume des mille et une nuits. Les épices et les condiments du Maroc viennent relever les préparations traditionnelles, à l’instar du couscous, de la soupe Harrira Fassia et du Tride de volaille aux lentilles. La couleur locale, une cuisine authentique, une ambiance à la marocaine, le dépaysement est garanti ! Le Sabra, élégant et décontracté Après la découverte du Country Club et de son parcours de golf impressionnant, Le Sabra appelle les visiteurs à se délecter du cadre somptueux du Fairmont Marrakech sous la lumière du jour, à l’ombre des oliviers centenaires. Dans une ambiance décontractée, le restaurant du Country Club propose des préparations simples composées de produits de saison. Le « Burger House » figure parmi les incontournables, au même titre que « la salade gourmande et son œuf mollet » et le « Fish and chips, sauce tartare ». Pour se désaltérer Plongé dans une ambiance vintage, le Bar, avec sa musique jazzy et sa signature très british, s’ouvre aux amateurs de cigares, de cocktails et de sushis dans un cadre élégant....
Le Château Croque-Michotte est riche d’un passé qui remonte à 1906. À l’époque négociant en vins et en Cognac, Samuel Geoffrion s’intéresse au métier de vigneron. Il est séduit par le terroir de Saint-Émilion et décide de faire acquisition de quelques parcelles. À son décès, sa fille Hélène Geoffrion-Rigal reprend les rênes. Avec ses enfants et petits-enfants, elle crée un Groupement Foncier Agricole (GFA) qui est désormais propriétaire et exploitant. La gérance est assurée par Pierre Carle depuis 1992 qui s’est investi de la mission de sublimer ce terroir selon des pratiques éco-responsables. Par amour de la terre Dès son plus jeune âge, Pierre Carle savait qu’il voulait devenir vigneron. « À quatre ans, en me baladant dans les chais, je me souviens de cette odeur qui restera à jamais gravée dans mes mémoires. De là, j’ai su que je souhaitais travailler dans ce milieu », nous confie-t-il des souvenirs plein la tête. Le destin en a voulu autrement puisqu’il finit par suivre un cursus d’ingéniorat puis en architecture avant d’évoluer dans une entreprise spécialisée dans la pose de matériels de chemins de fer où il restera 14 ans. En dépit de ce changement de vocation, Pierre n’en oublie pas son rêve d’enfance. À la retraite de l’ancien maître de chai du Château Croque-Michotte, il s’engage dans une reconversion pour prendre la direction des cultures des vignes et de la vinification. Il agrandit le vignoble de 13,7 hectares situé à l’ouest de Saint-Émilion et faisant la frontière avec Pomerol. Bénéficiant d’une situation géographique privilégiée, le terroir se trouve à proximité de voisins prestigieux tels que Pétrus, l’Évangile, Gazin, Corbin Michotte, Cheval Blanc ou encore La Dominique. Un cahier des charges en agriculture biologique Le sol composé de graves et de sables sur socle argileux est propice au développement du merlot, du cabernet franc et du cabernet sauvignon. « Depuis plusieurs années, nous avons arraché les parcelles et replanté en cabernet franc pour augmenter la proportion, car ce cépage a plusieurs avantages : il est tardif et moins sensible aux gelées tardives, il est plus tannique ce qui permet d’avoir une bonne matière surtout lors d’élevages avec un gros pourcentage de barriques neuves pour masquer le goût de bois. Ce cépage peut se vendanger plus tard et supporte la surmaturité, ce qui donne plus de souplesse. L’acidité est plus élevée pour que les vins soient moins sensibles à l’oxydation et aux attaques bactériennes. » Le domaine s’évertue également à limiter au maximum les rendements pour permettre aux vignes d’être plus résistantes aux bactéries et pour gagner en concentration dans les vins. Grâce à des méthodes culturales respectueuses de l’environnement, il obtient la certification Ecocert dès 1999. « Soit 14 ans avant tous les crus classés de Bordeaux », fait savoir notre interlocuteur. Un mode de production résolument innovant Depuis qu’il gère le Château Croque-Michotte, Pierre Carle a apporté un vent d’innovation dans les méthodes de production. À l’issue des vendanges manuelles, les grappes sont transportées dans les chais pour être sélectionnées à l’aide d’un procédé ultramoderne par « tri optique ». Les graines vertes et les résidus végétaux sont ciblés par la machine puis refoulés vers l’extérieur. Seules les bonnes graines sont récupérées et véhiculées jusqu’aux cuves. « Notre signature est de produire des vins sans sulfites ajoutés au cours de la vinification et des premiers mois d'élevage. À la place, nous avons recours à des levures concurrentes qui empêchent les bactéries de saccager le mou ». Les vins sont ensuite élevés dans des barriques de chêne français à grain fin en provenance des meilleures forêts. L’élevage s’étend sur une période de douze mois. De ce long processus naît la Cuvée Croqu...
Flash Matin : Bonjour Loïc ! Loïc Manchec : Bonjour. Vous êtes Loïc, l’heureux propriétaire du Mas Costeplane, un domaine viticole à Cannes-et-Clairan, dans le Gard. Vous pratiquez l’agriculture biodynamique. On dit que vous êtes un jeune vigneron, c’est vrai cela ? Loïc Manchec : Je suis un jeune vigneron. Jeune dans l’expérience mais, un peu moins dans l’âge. C’est une reconversion pour moi le métier de vigneron. J’ai repris le domaine Costeplane il y a maintenant 5 ans. C’est un choix qui a été fait, une reconversion. Cela faisait 15 ans que j’avais envie de faire ce métier et à un moment, j’ai fait le saut et je suis venu m’installer dans le Mas Costeplane. Votre domaine a une histoire longue de plus de 600 ans. Pouvez-vous nous en parler ? LM : Comme je vous l’ai dit, j’ai repris le Mas Costeplane il y a 5 ans. Ce sont Monsieur et Madame Coste qui l’ont hérité de leur famille. Le domaine est dans leur famille depuis au moins 1405 -1450, c’était tracé. Après une trentaine d’années d’exploitation du domaine et d’avoir installé la cave particulière, ils souhaitaient prendre leur retraite. On s’est rencontré et on s’est bien entendu. On a passé pas mal de temps ensemble avant que je reprenne leur domaine il y a maintenant 5 ans. L’une des grandes particularités est que le domaine est fait en Bio depuis 1989. C’était vraiment parmi les précurseurs du bio. On est sur un petit plateau au-dessus de Cannes-et-Clairon, un petit village dans le Gard. Il n’y a pas de voisins, on est entouré par la Garrigue, le premier voisin est à 2 km. On n’a pas eu de pesticide depuis 1980, cela fait quasiment 40 ans. On a une biodiversité de terre qui est extraordinaire, mais on y reviendra je pense plus tard. Oui, donc vous disposez d’une terre qui se prête vraiment bien à l’agriculture biodynamique. On se demande d’où vient la biodynamie et ce que c’est exactement ? LM : Le concept est développé par Rudolf Steiner, un philosophe autrichien, au début du XXe siècle. Il a une approche un peu plus ésotérique, en relation avec le cosmos. C’est une relation personnelle après, on applique des principes. Je ne comprends pas forcément tout ce que Rudolf Steiner a pu expliquer, tout ce qu’il a pu décrire. Ce qui est sûr aujourd’hui, c’est qu’on commence à trouver les explications à ce qu’il disait et c’est un petit peu un visionnaire. On va retrouver quelque chose qui peut paraître parfois ésotérique et on en prend ce qu’on veut. Pour moi, c’est une approche très personnelle. La biodynamie est une approche en symbiose avec la nature. Au lieu d’une approche, ou l’on détruit ce qui dérange, ou l’on exploite au maximum et qu’on pilote les processus par l’utilisation d’artifice chimique, nous, notre approche viticole et vinicole en biodynamie est de travailler dans le respect du vivant, dans la confiance qu’on a dans la nature et dans l’accompagnement de la plante. J’ai une formation d’ingénieur à la base, je suis quelqu’un d’extrêmement rationnel et j’ai compris une chose en arrivant à Costeplane. En fait, il est illusoire de penser qu’on peut tout maîtriser. Ma relation va beaucoup se fonder sur une espèce d’intuition. Quand je marche dans mes vignes, si je vous disais que je parle à mes vignes et que je les écoute, cela va vous faire sourire. Pourtant, c’est vraiment quelque chose que je ressens. À partir de là, je vais prendre une décision et non pas forcément sur des informations techniques. Évidemment, je reçois les bulletins de santé des végétaux comme tous vignerons et derrière, cela ne veut pas dire que je vais passer les préparations. Je vais prendre ma décision en fonction de ce que je perçois de la vie, et ce n’est pas quelque chose de rationnel. Je ressens des vibrations en moi qui vont me dire, j’y vais ou je n’y vais pas. Jusqu’à présent cela marche. Le meilleur exemple que je vais prendre c’était en 2019, ma première année, je me lève un matin à 6h du matin pour aller poudrer les vignes, c’est-à-dire passer du soufre pour empêcher l’oïdium de se d&ea...
Les spiritueux gastronomiques n’ont plus de secret pour la maison Jean Boyer. Depuis une vingtaine d’années, l’entreprise est devenue le partenaire privilégié des cavistes et des restaurateurs en quête de produits « premium » et exclusifs. « Nous ne commercialisons qu’à destination des professionnels sur le territoire français, mais aussi un peu à l’export notamment vers le Japon et l’Australie », fait savoir le propriétaire, Dominique Ribéreau-Gayon. Au total, 150 000 bouteilles sont produites annuellement, toutes gammes confondues. Un mode de travail fidèle à la tradition Société à taille humaine située dans les Landes à Saint-Geours-de-Maremne, Jean Boyer s’attache à préserver un savoir-faire artisanal et traditionnel dans l’univers de la production de spiritueux. Parmi ses produits de prédilection, s’inscrit le pastis, ou les pastis puisqu’il y a une dizaine de recettes différentes. Le pastis « est totalement élaboré sur place à partir de plantes que nous faisons macérer pour en tirer le meilleur des arômes », explique le propriétaire. Les assemblages sont ensuite réalisés sur place. Enfin, les pastis restent plusieurs mois en cuve pour permettre une décantation naturelle, « une filtration retiendrait tous les arômes » s’exclame Dominique Ribéreau-Gayon. Mais le produit phare de la maison reste le whisky. A l’origine, le Scotch puisque Jean Boyer avait d’étroites relations avec certaines distilleries écossaises. Ils pouvaient ainsi accéder aux meilleures sélections de fûts. La société est alors devenue un véritable embouteilleur indépendant de whisky qui choisit ses fûts et les embouteille individuellement. Ainsi chaque fût ne produira que 500 bouteilles environ qui sont uniques et rares. Le rhum, second produit moteur de Jean Boyer, provient de différentes régions de productions. Les fûts sont acheminés dans les Landes sur le site de l’entreprise afin d’y être préparés et conditionnés. Un concept assez novateur « Notre maison se distingue par sa forte réputation auprès des cavistes », déclare Dominique Ribéreau-Gayon. Et pour cause, l’entreprise a développé un concept qui plaît énormément chez les professionnels : le puits Jean Boyer. L’idée est de permettre au consommateur de venir remplir sa bouteille chez le caviste, directement au puits. « Nous fournissons à nos clients tous les éléments nécessaires pour respecter la réglementation. Ils n’ont pas à se préoccuper des aspects administratifs. Ce concept, que nous sommes les seuls à proposer, est totalement dans l’air du temps et connaît un franc succès », se félicite le propriétaire. ...
À travers des recettes qui lui sont propres, élaborées à partir des produits de sa manufacture, la marque aix&terra fait une entrée très remarquée dans l’univers culinaire artisanal avec tout ce qui constitue sa différence et son originalité. Les origines de la marque Articulée autour du meilleur savoir-faire provençal et du plaisir d’inventer d’authentiques recettes, aix&terra a vu son identité sublimée pour devenir en seulement cinq ans, une marque à part entière. N’étant alors en 2010 qu’une échoppe rachetée avec son enseigne par le couple Marina et Richard Alibert, dans l’idée, selon ce dernier, « de lui insuffler une nouvelle dynamique », la petite boutique a été transformée du jour au lendemain en un atelier exclusif de fabrication de recettes pour développer la marque aix&terra dans le concept original d’une authentique cuisine artisanale de Provence. Une manufacture bien structurée La création des premières recettes aix&terra a débuté dans cette manufacture de fortune avec des crèmes gourmandes ou encore du caviar d’aubergine à la truffe noire pour progressivement atterrir jusque dans les grands magasins comme les Galeries Lafayette, les épiceries fines, chez les cavistes et autres enseignes d’hôtels-restaurants haut de gamme. Ce succès a conduit les propriétaires à construire une nouvelle manufacture sur la Nationale 7, dans laquelle ils continuent « à poursuivre leur aventure de fabricant-artisan dans la Drôme provençale », comme l’a si bien souligné Richard Alibert. Cette nouvelle structure est installée dans une bâtisse de 800 m2 où l’Atelier, l’Épicerie et La Table forment trois espaces indépendants. La Table-Épicerie aix&terra Chaleureux et convivial, La Table-Épicerie aix&terra est un espace de restauration prolongé d’une partie épicerie, où est proposée une cuisine inventive, préparée selon les recettes créées à partir des produits de la manufacture. À travers une carte gourmande aux couleurs chaudes qui met majoritairement l’accent sur des inspirations créatives provençales exclusives, La Table aix&terra séduit les visiteurs avec ses crostinis de caviar d’aubergine à la truffe noire, ses toasts aux petites salades, son carpaccio de bœuf à l’huile d’olive et à la truffe noire ou encore ses tartelettes à la crème de citron qui sont des produits vedettes de la maison. Dans la partie épicerie, les clients ont également la possibilité d’acheter les produits aix&terra et repartir avec des fiches-recettes qu’ils pourront reproduire une fois à la maison. ...
Le Domaine du Moulin de Lachaud se trouve dans un cadre champêtre à Sainte-Fortunade dans le département de la Corrèze. Bruno et Armelle seront heureux de vous y accueillir en toute saison pour un séjour au calme ou pour déguster une cuisine gastronomique inspirée du terroir. Le domaine est aussi un lieu idéal pour des repas de famille, des anniversaires ou des mariages. L’hébergement : une large palette d’espaces dédiés Au Domaine du Moulin de Lachaud, vous pourrez résider dans l’une des 3 chambres d’hôtes ou dans le studio, tous prévus pour recevoir 2 personnes. Si vous recherchez plus d’originalité, vous pourrez choisir la hutte gauloise pour 4 personnes ou encore l’ancien moulin rénové qui peut accueillir jusqu’à 10 personnes. Si vous préférez le camping, une plateforme surplombant l’étang est réservée aux camping-cars. Eau et électricité sont ainsi à disposition. Le restaurant : une cuisine gastronomique inventive La salle du restaurant vous accueille dans un espace coloré et moderne. L’été, vous pourrez aussi profiter de la terrasse de 100 m² avec une superbe vue sur l’étang. Le chef vous régalera avec sa cuisine gastronomique inventive et raffinée. Tous les plats sont concoctés à partir de produits frais et de saison. En entrée, le magret fourré au foie gras ou le duo de foie gras mi-cuit aux fruits secs et écorces d’orange confites sont des spécialités maison très appréciées. En plat, le grenadin de veau aux girolles fera succomber vos papilles. Mais les pâtisseries sont également à l’honneur avec le pudding à l’ananas, une recette familiale très légère sans lactose ni gluten, ou la tarte Mojito à base de jus de citron jaune et vert, de menthe et de rhum. Ici tout est fait maison, même le pain bio est préparé sur place, comme par exemple celui au petit épeautre. Des concerts et des soirées à thème y sont organisés tout au long de l’été. L’étang : pour tous les amateurs de pêche L’étang situé sur le domaine s’étend sur 2,5 hectares et est alimenté par des sources naturelles. Ce site classé en titre vous dispense de la carte de la Fédération Nationale de la pêche. Vous pourrez y pêcher carpe, truite ou black-bass toute l’année sur réservation auprès du restaurant. Si vous aimez pratiquer la pêche à la mouche, rendez-vous d’octobre à février. ...
Inscrite au patrimoine viticole de la région languedocienne, la cave historique d’Agel au sein de laquelle sont faites les vinifications a été reprise en 2011 par Gontran Dondain, grand passionné de vin et du Languedoc. Après de nombreuses rénovations, cette cave, construite en 1936, a repris son activité lors des vendanges 2014 du vignoble Mas Roc de Bô, lui-même acquis en 2003. Un terroir unique Le vignoble de Mas Roc de Bô est un domaine de 35 hectares perché en altitude sur le plateau de Cazelles. Son terroir, aux aspects lunaires, est constitué de calcaire fissuré, entrecoupé de couches d’argile rouge et d’humus, favorable à la régulation hydrique de ses pieds de vigne. Les pierres blanches qui recouvrent le domaine accumulent la chaleur du jour pour la restituer à la vigne la nuit. Le climat méditerranéen sec et le souffle ininterrompu de la tramontane ont pour effet de retarder la maturité des raisins, à l’origine de la puissance aromatique et de la fraicheur des vins. En 2014, une démarche a été menée auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) afin de faire reconnaitre le terroir unique de Cazelles en Cru du Languedoc avec celui de La Livinière. Un terroir pour deux collections Depuis sa reprise, Mas Roc de Bô produit des vins rouges, Blancs et Rosés à partir de 6 cépages, à savoir le carignan, le grenache, la syrah, le mourvèdre, le cabernet sauvignon et le vermentino. Le domaine décline sa production en deux collections issues de la vinification parcellaire : « Pépite » et « Émotions ». Les cuvées de la collection « Pépite » sont en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles sauf la « Pépite Originale », qui est en IGP Côtes du Brian. La collection « Émotions », quant à elle, met en avant des cuvées de caractère. Les vins millésimés en 2014 sont tous en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles. "Précieux" L’âge n’est pas toujours synonyme d’excellence, preuve pour la cuvée de prestige « Vinum Clarum 2015 », le Rosé Précieux de la collection « Pépite », qui nous livre une robe rose pâle, un nez minéral, frais et intense, avec des notes de fraises et de petits fruits rouges. Ce rosé de gastronomie est idéalement servi avec un nid de mesclun aux poivrons marinés, caviar d’aubergines, olives et thym et sa chips de betterave. ...
Le domaine Terre de Mistral déploie une vue admirable sur le mont Aurélien et la montagne Sainte-Victoire. Son paysage de campagne, ses 55 hectares de vignes, son moulin à huile et sa cuisine bistronomique procurent un ressourcement inégalé. Les visites du lieu sont aussi ponctuées par des découvertes originales, des animations et des évènements culturels autour du vin qui vont ravir les épicuriens. Vins et huiles aux parfums de la Provence Conduit en lutte raisonnée, le vignoble du domaine Terre de Mistral accueille les cépages traditionnels de la Provence (grenache, syrah, rolle, cinsault et carignan) qui servent à l’élaboration des vins en AOP Côtes de Provence et AOP Côtes de Provence Sainte-Victoire. « En outre, le vignoble porte aussi d’autres variétés de cépages comme le muscat ou encore le sangiovese, que nous réservons exclusivement pour notre gamme IGP », fait savoir Laura Martin, responsable de communication du domaine. Rosé fruité à l’image de la cuvée Rosalie Collection, vin blanc plein d’élégance ou vin rouge charpenté de caractère... : la palette aromatique du terroir n’en finit pas de surprendre. Ce terroir offre également la meilleure sélection d’oliviers que le domaine transforme en une gamme d’huiles d’olives vierges obtenues par première pression à froid. « Labellisée AOP Aix-en-Provence bio, notre huile Jeanne reflète fidèlement les typicités du terroir grâce à son arôme herbacé, relevé par une note piquante en fond de gorge », poursuit Laura Martin. L’huile Jeanne est à déguster sur une salade de saison pour un plaisir gustatif absolu. Une halte gourmande bistronomique Le voyage se poursuit dans le restaurant bistronomique du domaine Terre de Mistral. La chef a choisi de mettre la cuisine provençale à l’honneur. Cabillaud confit à l’huile d’olive Jeanne, ou encore ballotine de cochon du domaine en feuilles de brick, velours de pois chiches de Bras, carottes rôties au cumin, accompagnée de sa sauce de soja... « En tant que ferme-auberge, nous privilégions d’abord les produits de notre propre exploitation. Ce qui ne nous empêche pas pour autant de travailler avec les producteurs locaux », précise la chef. Les épicuriens se délectent du jeu des saveurs, des textures et des couleurs qui habillent les plats, défiant presque les assiettes dignes des établissements étoilés. « En fait, notre restaurant se veut bistronomique, car l’ambiance y est plus décontractée et plus sympathique. » En guise d’apothéose, une belle carte des vins invite à goûter les créations de la maison. Œnotourisme et évènements culturels Ceux qui veulent prolonger l’expérience peuvent s’offrir une visite découverte du domaine, en parcourant les caves à vin, le moulin à huile et la salle de dégustation. Ici, les visiteurs vont s’initier à la dégustation des huiles et des vins de la maison, toujours placée sous le signe de la convivialité. En outre, les esprits curieux apprécieront les balades dans les vignes, déclinées en parcours nature et en parcours audioguidés, pour en connaitre davantage sur le domaine et ses alentours. Des activités ludiques, telles qu’un atelier de création de cuvées et le casino des vins, font également partie du programme. Une vraie réussite pour une journée de détente en groupe, entre amis ou en famille. « Par ailleurs, le domaine organise beaucoup d’évènements culturels autour du vin, dans le but de démocratiser la passion de la vigne », souligne l’équipe. Parmi eux, le sentier Art et Vin, balade d'un kilomètre où les oeuvres d'art côtoient la nature environnante (vignes, potager...). Ou encore le festival Vinômusic, au mois de juillet, qui réunit les mélomanes autour d’une soirée musicale en plein air, au cœur même du domaine Terre de Mistral. ...
Le château de Briat est un ancien relais de chasse du roi Henri IV, construit en 1540. Depuis 1864, il appartient à la famille Pichon Longueville. Transmis par les femmes, c’est aujourd’hui la 5e génération qui exploite le domaine en la personne de Stéphane de Luze. Sur les 50 hectares du domaine, huit sont dédiés à la production d’armagnac. Y sont présents trois types de cépages : le Baco, le Colombard et la Folle-Blanche. Un savoir-faire traditionnel La vinification est réalisée cépage par cépage, dans des cuves en ciment. La présence de champignons sur les barriques participe à l’étape de fermentation. Dès l’année prochaine, des cuves en inox prendront place également dans le chai, pour un meilleur contrôle du degré de fermentation. Après distillation, l’armagnac est mis en barriques, où il va vieillir. Le taux d’alcool va diminuer, tout en libérant les arômes. Environ 10 500 bouteilles sont produites chaque année. 50 % des ventes sont destinées à l’international (États-Unis, Russie et Chine). Des armagnacs authentiques La Folle-Blanche donne des armagnacs au goût floral, végétal. Avec le Baco, on obtient des armagnacs au goût plus confit, avec des notes de chocolat. Quant au Colombard, il offre des armagnacs plus fruités. Parmi tous les armagnacs élaborés par le château de Briat, vous trouverez des armagnacs millésimés pur cépage âgés de plus de 20 ans, des hors d’âge de plus de 10 ans, et également des XO de 6 ans. Tout comme les small batch de whisky, le château de Briat commercialise un brut de fût, où chaque bouteille est estampillée avec le numéro de barrique, le nombre de bouteilles et la date de mise en bouteille. Son Spiritueux N° 18 Armagnac a reçu la médaille d’or au VIe Concours des meilleurs vins et spiritueux français en Asie en 2016. Visite Vous pouvez visiter le chai du lundi au vendredi. La visite est suivie d’une séance de dégustation. ...
Innovation gourmande, 100% bio et vegan La germination inspire au premier plan l’élan de Rachel et Jean-Luc lors de la création de GAIA en 1992. GAIA élabore alors une gamme de pains très originaux à cette époque, car aucun ingrédient du pain classique ne les compose : ni farine, ni levure, ni sel, ni sucres, mais uniquement du blé, du seigle ou de l’épeautre germé ! Moelleux et doux à souhait, agrémenté d’oléagineux ou de fruits secs, vous pouvez le trouver en 5 variétés de 500 g, 3 variétés en 250 g et 2 variétés en 2x100 g. La même famille se décline en une gamme de galettes aux fruits secs -se situant entre pain et gâteau- et se poursuit avec ses variantes salées : les galettes « repas » à base de lentilles, de pois chiches ou de haricots germés. La gamme des galettes est idéale au petit déjeuner, au goûter, aux repas, lors de randonnées ou lors d’activités sportives. Le plaisir sans gluten Avec les galettes et les macarons à base de sarrasin germé (en sucré et en salé), les pains d’épices, la pâtisserie au tofu et 100% végétale : « Tof’délice » disponible en 5 saveurs, les brownies aux noisettes et les gâteaux au gingembre, GAIA vous offre un plaisir sans contraintes. La gamme sans cuisson, également sans gluten Impulsée par les bienfaits de l’alimentation vivante, GAIA concocte des produits élaborés pour vous faciliter la vie en accompagnant vos plats CRUsinés. Le partage Depuis 2005, GAIA s’est engagée dans une démarche solidaire et équitable avec l’ONG l’Orange Bleue Afrique et des organisations paysannes du Burkina Faso. Le but principal est de promouvoir le fonio, cette céréale ancestrale sans gluten et aux protéines complètes, afin d’améliorer les conditions de vie des familles des petits producteurs. Avec le fonio demi-complet, vous pouvez confectionner des gratins, des purées et des desserts. Le fonio complet, cuit à l’eau en 8 minutes, se prête entre autres à préparer un couscous ou un taboulé. Quant à la farine de fonio, elle est parfaite pour élaborer de délicieux gâteaux. ...
La marque Batisse Lancelot a été lancée dans les années 1970 au temps des parents de Guillaume Batisse, première génération de la famille à travailler les vignes et à élaborer du champagne. Les cuvées phares En quatre générations, la maison a su se démarquer à travers des cuvées comme « Prestige » et « Brut Rosé ». Tandis que l’une révèle l’équilibre parfait entre chardonnay et pinot noir, l’autre séduira les papilles avec ses arômes intensément fruités. ...
Fabien Castaing représente la 5e génération à être aux commandes du domaine familial. Reconnu pour son savoir-faire et sa capacité à réaliser de très grands vins, il a créé en 2010 sa propre maison de négoce aux accents du Sud-Ouest. Il met à profit ses 20 ans d’expérience et le savoir-faire hérité d’une longue lignée de vignerons à travers une gamme de vins beaucoup plus large. Aujourd’hui ils distribuent les vins du Domaine de Moulin-Pouzy, propriété historique de la famille Castaing depuis plus de 120 ans et du Château Les Mailleries. Le vignoble planté entre 110 et 130 m d’altitude sur un sol argilo-calcaire s’étend aujourd’hui sur 65 ha. Les vignes sont en AOC Bergerac, AOC Côtes de Bergerac, AOC Monbazillac et IGP Périgord. Elles jouissent du microclimat propre aux collines et plateaux dominant Bergerac : une pluviométrie très basse et une belle exposition au soleil. Créer des vins pour tous les goûts et pour chaque instant Attaché à son histoire et à sa terre, Fabien Castaing a orienté la production de ses vins en adoptant une démarche respectueuse de l’environnement. Le Domaine Moulin-Pouzy est certifié Haute Valeur Environnementale tandis que le Château Les Mailleries qu’il a repris en 2016 est en Agriculture Biologique. Créer des vins pour tous les goûts et pour chaque instant, c’est l’ambition de ce vigneron qui a créé de nombreuses cuvées. Épaulée par une équipe dynamique et un œnologue conseil indépendant (Œnoteam-Julien BELLE) dans la sélection des meilleurs crus et des assemblages, la maison utilise des techniques innovantes comme les cuves ovoïdes, la vinification sans souffre afin d’obtenir des vins plus ronds, plus fruités, tout en travaillant sur la minéralité et l’identité du terroir. « En plus de nos vins de Bergerac, nous produisons des Côtes-de-Gascogne et des Cahors sous nos propres marques ainsi que de la bière artisanale 100% bio», fait valoir le vigneron. Une maison de négoce tournée vers l'avenir Pour assurer la distribution des vins qu’il produit, Fabien Castaing crée la maison de négoce Vignobles Fabien Castaing. « Quand j’ai repris le domaine familial en 2000, j’ai orienté la distribution de mes vins en bouteille afin de faire des ventes en direct », explique le vigneron. Fort de ce succès, il intègre peu à peu de nouvelles appellations dans son catalogue. « Nous avons une parfaite connaissance de notre région et nous mettons à profit ce savoir-faire vigneron pour créer de nouveaux vins », ajoute-t-il. Pour le moment, la distribution des Vignobles Fabien Castaing est très axée sur la vente aux professionnels. Mais une belle surprise attend la clientèle : à partir de 2019, la maison « va entrer aussi sur le réseau traditionnel », confie notre interlocuteur. En attendant, les consommateurs peuvent trouver ses produits en grande distribution, dans les salons professionnels comme Millésime Bio ou ProWein, à Düsseldorf, et, bien sûr, chez les cavistes et les restaurants partenaires. ...
Reliant Dijon à Santenay, la route des grands crus de Bourgogne a été créée en 1937 par le conseil général de la Côte-d’Or. Traversant une mer de vignes qui forme un paysage atypique façonné par la nature et perfectionné par la main de l’homme, il s’agit là de la première route à avoir associé le développement du tourisme à la commercialisation des vins de Bourgogne. Ce concept visionnaire, auquel elle doit son incomparable succès, lui a ainsi permis d’acquérir une notoriété bien au-delà des limites de l’Hexagone. La route des grands crus de Bourgogne, comme si on y était… Sur un parcours de 60 kilomètres qui permet la traversée de 37 villages aux appellations légendaires ainsi que les villes de Dijon et de Beaune, particulièrement réputées pour leurs richesses patrimoniales, la route des grands crus est un itinéraire merveilleux au cœur du vignoble de la Bourgogne où sont répertoriés des centaines de climats aux noms intrigants pour ne citer que Le clos des ducs, Les amoureuses, La ruchotte, Creux de Tillet, Les pas de chat ou encore Climat du val… Loin de la signification originelle du terme « climat », il fait ici référence à une traduction typiquement bourguignonne du mot « terroir ». Ce qui confère à l’ensemble un caractère spécifique qui fait toute la différence. Partiellement aménagée en chemins pour les randonneurs et en véloroute pour les cyclistes, la route est une pure invitation à la découverte. Les paysages typiques, l’histoire du vignoble de Bourgogne et ses « climats » lui valent d’être, depuis l’été 2015, inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. La Route des grands crus de Bourgogne : la vidéo 14 mai 1937 – 14 mai 2017 : 80 ans de succès Première route viticole touristique de France, la Route des Grands Crus de Bourgogne fête aujourd’hui ses 80 ans d’existence ! Une célébration marquée notamment par l’exposition photographique Nature humaine du réalisateur Cédric Klapisch, qui a tourné son dernier film sur la route des grands crus, accueillie au cœur du Château du Clos de Vougeot du 14 mai au 14 juillet. L’occasion de découvrir la magnifique architecture style cistercien et Renaissance du berceau du vignoble bourguignon. A travers la découverte de ce site emblématique des climats du vignoble de bourgogne, c’est avant tout l’entrée dans le monde de la viticulture de terroir, inventée en bourgogne, que l’on comprend et que l’on ressent. Berceau de nombreuses inspirations cinématographiques Faisant désormais partie des sites de prédilection des réalisateurs, les villes et villages situés sur la Route des grands crus de Bourgogne ont toujours inspiré de nombreux films pour ne citer que les grands succès d’antan que furent La Grande Vadrouille, avec Bourvil et Louis de Funès, Les Amants, avec Jeanne Moreau, Le Repos du guerrier, avec Brigitte Bardot et Michel Serrault, sans oublier L’Étudiante de Claude Pinoteau tourné à Dijon avec Sophie Marceau et Vincent Lindon ou encore le fameux Cyrano de Bergerac avec Gérard Depardieu. Claude Lelouch a récemment choisi Beaune pour le tournage de son film intitulé Chacun sa vie dont la sortie en salles a eu lieu en mars. Quant à Cédric Klapisch, il a choisi le cœur du vignoble pour tourner son nouvel opus Ce qui nous lie, dont la sortie est programmée le 14 juin, et qui relate l’histoire d’une lignée de frères et de sœurs qui reprend l’exploitation familiale en Bourgogne. ...
Dans un cadre chic et cosy, le restaurant Le George est une invitation à savourer des plats à base de produits frais dans une ambiance prônant la convivialité. L’établissement redéfinit le concept de steak house en diversifiant ses plats. Un steak house en mode extensible Le restaurant Le George s’inscrit dans un style cosy, notamment à la suite d’une rénovation intégrale suivant un concept « urban design ». Le cadre se décrit comme une combinaison parfaite de chaleur et de modernité, garant d’une ambiance conviviale et intimiste. Si Le George se revendique comme étant un steak house de la première heure, il n’entend pas tourner le dos à une clientèle aspirant à d’autres mets. Ainsi, le restaurant propose des menus très variés, allant des plats de poisson jusqu’aux assiettes végétariennes, en passant par des plats sans gluten. Il puise notamment ses forces dans la qualité, en misant exclusivement sur les produits frais. La notion de « circuit court » constitue d’ailleurs l’un des leitmotive de l’établissement. Sa renommée s’est bâtie, entre autres, sur ce que Nathalie Amasse, directrice commerciale de l’établissement, qualifie de « belle sélection de viande » d’origine 100 % française (faux-filet, rumsteck, filet de bœuf, côte de bœuf avec os, tartare de bœuf...) accompagnée de la sauce secrète du Chef qui ravit les papilles des plus exigeants. En outre, le burger du George est aussi très apprécié de la clientèle, notamment depuis qu’il a été proposé en deux morceaux pour simplifier la dégustation. Un point de rendez-vous Le George est régulièrement le théâtre d’événements particuliers avec ou sans rapport direct avec le monde culinaire. Ainsi,mis à part les cours de cocktails récemment organisés, il est de coutume pour le restaurant de mettre en place des soirées musicales, durant lesquelles les convives peuvent se retrouver entre amis ou en famille. ...
Maison familiale depuis la fin du XIXe siècle, cette distillerie artisanale est dirigée par Jean-Marie Leisen, épaulé par sa fille Sarah Leisen, qui se tient prête à reprendre le flambeau. Une recherche de la qualité Afin de proposer une production de qualité, la distillerie met en avant un savoir-faire traditionnel mais surtout l’utilisation des meilleures matières premières. Pour confectionner ses cidres et ses jus de pomme par exemple, elle opte pour des fruits 100 % bio et présentant un niveau optimal de maturité. Côté vieillissement, la maison a recours à des techniques spécifiques. Ainsi, la mirabelle de Lorraine, un de ses produits phares, se conserve une année dans des cuves en inox, puis une autre année dans des barriques en fût placées dans les caves. L’eau-de-vie passera ensuite 5 ans dans des cuves en grès, placées cette fois-ci dans les greniers. En agissant de la sorte, la maison fait profiter son nectar d’une variation de température propice à son vieillissement. ...
Véritables hommages aux traditions ancestrales françaises, la Capricieuse et la Philosophe sont le reflet d’une histoire, d’une passion et d’un dévouement à la perfection. Cette gamme de spiritueux de haute qualité qui se veut être l’ambassadrice de l’excellence à la française surprendra les papilles des plus exigeants. La Philosophe : une vodka à contre-courant Élégante et gourmande, la Philosophe fait fière figure de référence dans le domaine des vodkas françaises issues d'une conception typiquement artisanale. La dilution très lente, l’absence de sucre ajouté et un vieillissement optimal confèrent à cet élixir, travaillé à base de blé et fait à la main, une maturité digne des plus grands spiritueux de France. C’est d’ailleurs « pour rendre une image plus noble à la vodka que la Philosophe, [distillée à Cognac], s’éloigne de la tradition russe pour se rapprocher des eaux-de-vie à la française », nous confie Alexandre. Avec le blé pour la terre, l’alambic pour le feu, l’évaporation pour l’air et la source charentaise de distillation pour l’eau, la Philosophe nous rappelle l’étude quantique, une doctrine philosophique fondée sur ces quatre éléments qui contribuent à en faire une vodka d’exception. Équilibrée, ponctuée de notes tantôt suaves tantôt épicées et dotée d’une légère touche d’agrume, cette vodka est la promesse d’un voyage gustatif au cœur de la perfection. La Capricieuse : le terroir berrichon à l’honneur Afin de rendre hommage à sa province, le Berry, Alexandre - et son associé Nicolas - décident d'innover par la création d’une crème alcoolisée à base de lait de chèvre : la Capricieuse. S’inspirant du meilleur de son terroir, produit en partenariat avec des producteurs locaux et chéris des Berrichons, ce nectar, véritable fierté régionale, mérite amplement sa place dans le monde de la quintessence du spiritueux à la française. « Cette liqueur fidèle à la région s'apprécie pour sa touche lactée et gourmande et est idéale en digestif [ou en apéritif]» » précise Alexandre. Un Baileys Berrichon, décliné sous plusieurs versions dont les plantes, le miel ou la châtaigne. ...