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Papilles & Mamies : délicieusement authentique

Papilles & Mamies propose une cuisine 100% faite maison, saine et équilibrée, mais surtout savoureuse. Pourquoi ne pas se simplifier le quotidien ? De l’entrée au dessert, partout en France, vous êtes livré chez vous. L’ouverture des commandes est prévue avant l’été, une bonne nouvelle pour les papilles en quête de saveurs !

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Jubiles : l’entreprise qui va vous faire aimer la Kombucha.

Vous avez enfin trouvé une alternative à l’eau et aux sodas : la kombucha.

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Califrais : une solution qui facilite la vie des restaurateurs

Face aux besoins exprimés par de nombreux professionnels de la restauration, Califrais simplifie le processus d’approvisionnement en produits frais et se charge de sourcer, négocier et livrer les meilleurs produits directement en cuisine. Motivée par une démarche écologique, la start-up permet de réduire le nombre d’intermédiaires généralement élevé en se positionnant comme fou...

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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Château Cabezac :
vins d’exception mais pas seulement

Lors de son acquisition en 1997, Gontran Dondain, passionné de vin, a imaginé pour ce domaine un projet visionnaire et ambitieux, axé sur l’univers du vin et qui offrirait au terroir du Languedoc la place qui lui revient dans le monde viticole français et mondial. Actuellement, ce projet est d’ores et déjà une réussite. Toutefois, avec sa soif de perfection, Gontran Dondain ne cesse d’apporter des améliorations continuelles au Château Cabezac.   Quatre terroirs gages de vins exceptionnels En plein cœur d’une terre gorgée de soleil, Château Cabezac exploite 40 hectares de vignes se déclinant en quatre terroirs complémentaires. Le mont des Capitelles est caractérisé par un sol pauvre disposé en pente mais profitant d’une bonne alimentation hydrique. Son exposition face à la méditterannée le rend propice au développement des cépages blancs, qui apporte aux vins finesse, arômes et complexité. Les Garrigots sont un terroir alluvionnaire recouvert de galets, très bien drainé, qui convient parfaitement à l’élaboration de vins rouges. Le plateau de Belvèze et son sol composé d’argiles schisteuses et de cailloux métamorphiques en provenance de la Montagne noire permet d’obtenir des vins de garde sublimes. Enfin, situé à 200 m d’altitude, le plateau de Cazelles dispose d’un sol riche en matière organique et recouvert de pierres blanches, qui possède une certaine typicité apportée par ses calcaires de gélifraction.   Viticulture raisonnée en adéquation avec son terroir Afin de pérenniser son terroir et de respecter la nature et les hommes, Château Cabezac a fait le choix murement réfléchi d’appliquer une agriculture raisonnée tout au long de ses procédés d’élaboration du vin. En aval, les rendements sont limités en de çà de la normale, en fonction des parcelles et la vendange s’effectue essentiellement à la main à la maturité optimale des raisins. Une équipe menée par les œnologues Cathie Fournié et Mathieu Dubernet, assistée par l’agronome Jean-Dominique Fourment, supervise rigoureusement la vinification en amont. Celle-ci est pratiquée à la sélection parcellaire et par gravité pour préserver au maximum l’intégrité du fruit au sein de l’ancienne cave du Château, datant de 1900, entièrement restaurée et modernisée.   Des vins dignes de son terroir Gilles Goujon, Guy Savoy et Pierre Gagnaire, Four Seasons et le Park Hyatt, notamment, figurent parmi les cuisiniers et les hôtels prestigieux et étoilés qui ont récompensé le travail d’orfèvre mené au Château Cabezac depuis 19 ans. Parmi toutes les cuvées exceptionnelles mises en avant par ces restaurants, « la Cuvée Les Capitelles » Minervois est incontournable. Médaillée à de multiples reprises et citée par plusieurs guides spécialisés, cette cuvée d’assemblage présente une robe pâle aux reflets argentés. Son nez citronné, aux notes anisées, est suivi d’une belle rondeur et d’une souplesse en bouche marquée par une agréable fraicheur. Il n’en est pas moins du Carinù Minervois Rouge, issu de vieilles vignes de carignan et élevé en fûts de chêne français durant 18 mois. Cette cuvée à la robe rouge grenat livre des arômes de fruits rouges bien mûrs, avec des notes d’olives noires au nez, et une bouche charnue et ample, avec des notes de cerise noire et d’épices.  Dernier et non des moindres : la Grande Cuvée Belvèze Minervois Rouge, qui est issue de macération traditionnelle et a été élevée en fûts de chêne français 18 mois avant d’être mise en bouteilles. D’une grande complexité, ce vin s’ouvre sur des notes de torréfaction minérales, suivi d’une bouche puissante avec une finale long. La grande cuvée Belvèze doit être mise en carafe quelques heures avant de pouvoir dévoiler sa finesse et son élégance. ...

Clos Saint-André : une perle rare et authentique à Pomerol

Le Clos Saint-André est l’une d’entre elles. Depuis 2004, Jean-Claude Desmarty a repris cette micropropriété d’à peine 1 hectare, fondée par son arrière-grand-mère. Il en assure seul l’activité complète, du travail du sol à la commercialisation. Il produit 1 vin par an, en très petite quantité, véritable reflet de sa personnalité, de sa conception du travail de la vigne et du vin. Chaque millésime est différent, mais chacun possède un niveau qualitatif élevé. Un travail de précision, artisanal et réfléchi Les vignes du Clos Saint-André sont vieilles. Elles sont composées de Merlot (70%) et de Cabernet (30%). Jean-Claude Desmarty travaille l’intégralité de ses sols avec un cheval. Il veut favoriser au maximum la qualité de sa terre en développant sa biodiversité et en évitant tout tassement. Il attache beaucoup d’importance à la gestion de la surface foliaire de ses plantes, qu’il modifie en fonction du cycle et des besoins exprimés par la vigne. Il adapte son travail aux conditions météorologiques différentes d’une année sur l’autre, en se posant mille questions sur la manière d’améliorer encore ses interventions. Persuadé qu’il est important d’avoir des vignes vivantes, Il recherche en permanence des équilibres naturels qui vont faire la qualité de ses raisins. Jean-Claude Desmarty vinifie son vin de manière artisanale, avec un degré d’exigence rare concernant la qualité et la précision du travail effectué. Il s’attache à ramasser des raisins bien mûrs, à effectuer un tri extrêmement sélectif, et à travailler ses raisins de manière adaptée pour extraire au mieux les matières contenues dans les baies. Toujours en recherche d’équilibre dans le vin et de contact avec la matière, il privilégie une vinification naturelle, basée sur le brassage des raisins dans ses cuves, sous forme de pigeages, remontages et délestages. Le vin du Clos Saint-André est intégralement élevé en barriques dont les bois à grains fins et serrés sont issus de forêts du centre de la France. Elles sont fabriquées par un seul tonnelier, sélectionné pour sa capacité à proposer des barriques permettant de trouver chaque année le meilleur équilibre possible entre le vin et la barrique. C’est un élément essentiel pour préserver l’authenticité et le caractère fruité du vin. L’élevage dure environ 20 mois. Un vin de plaisir, alliant élégance et générosité Chaque millésime du Clos Saint-André est différent. Néanmoins, le plaisir qu’il procure aux privilégiés qui y ont accès est toujours élevé. S’il fallait décrire les caractéristiques propres au Clos Saint-André, on pourrait évoquer les arômes de fruits, l’élégance, le velouté et la richesse du vin, sa finale longue et gourmande….. Mais peut-être vaudrait-il mieux vous laisser le découvrir !!! ...

L’Archestrate : la simplicité et le goût

Une table délicate au cœur de Saint-Dizier Après avoir fait ses classes auprès de quelques-uns des grands noms de la gastronomie française (notamment François Clerc à la Vieille Fontaine), Didier Muckerhirn s’est lancé dans l’aventure en reprenant en solo un ancien établissement du centre-ville de Saint-Dizier. Mais la passion pour la cuisine lui est venue dès son plus jeune âge ; déjà tout petit, il consacrait une partie de son argent de poche à l’achat de livres de cuisine. « Le besoin d’ouvrir mon propre restaurant est venu en même temps que l’envie de mettre plus de créativité dans mes plats. C’est une petite structure familiale de 25 places assises et je travaille avec ma femme et mon fils », nous explique le chef. Maître restaurateur de France, Didier Muckerhirn essaye au maximum d’avoir des circuits courts et des produits locaux afin de faire profiter ses clients de son savoir-faire et des saveurs d’une région. « Pour nos viandes, on travaille avec un petit producteur de Saint-Dizier, nos cailles grandissent à moins de cinquante kilomètres de nos fourneaux. Comme nos fois gras et nos canards. On essaye de coller au maximum à ces valeurs de proximité. » Une carte qui change tous les mois La proposition de Didier est surprenante : avoir une carte-menu qui affiche 4 entrées, 4 plats et 4 desserts différents, qui changent chaque mois. Même si le restaurateur n’a pas encore trouvé son « plat-signature », les critiques, comme les clients, sont unanimes sur la qualité générale des assiettes qui sortent de cette cuisine. Le cadre est, lui, à l’image de la cuisine. Intimiste, la décoration relève avec goût le charme de la vieille maison. En été, on profite de la terrasse située dans la cour intérieure du bâtiment pour se régaler d’un magret de canard à la mangue accompagné de quelques rigatonis d’épeautre, tout ça devant la grande fresque murale qui habille magnifiquement l’espace. ...

Distillerie O’Baptiste : On reconnaît un lion à sa griffe

Les spiritueux A Valence, dans un petit entrepôt, nous faisons rapidement faire le tour du propriétaire : des alambics, coeur de la fabrication, des bouteilles en stock, prêtes à être vendues, des fûts dans lesquels vieillissent rhum et whisky. Là sont proposés pas mal de spiritueux : de l’Esprit de bière, de l’Esprit de malts, de la vodka quadruple distillation, du rhum blanc et du rhum humble, du whisky 3 ans d’âge (disponible en 2020), du London Dry gin et un apéritif à la mistelle de malts (du moût de malts), nommé Caryopse. Tout est fameux, vous ne vous tromperez pas ! Et il propose déjà un beau panel d’apéritifs et de digestifs, après seulement un an d’existence, il faut le souligner. La fabrication O’Baptiste utilise deux alambics, un de 50 et un de 300 litres. Pour chaque spiritueux qu’il fabrique, il fait deux passes (comprenez deux distillations). Ainsi, après la première macération, il obtient un brouillis, qui est ensuite re-distillé. A l’issu de cette double distillation, l’alcool titre 70 degrés. L’ajout d’eau permet d’obtenir le titrage souhaité, généralement 40 ou 45 degrés. Ses matières premières sont bio, notamment pour l’Esprit de malt qui provient de la malterie coopérative Malteurs Echos qui se situe à une quarantaine de kilomètres de Valence, en Ardèche. Les matières premières sont locales, en particulier pour l’esprit de bière, fabriqué à partir de bières artisanales locales. La seule matière première ne venant pas du Sud-Est est la mélasse de canne à sucre utilisée pour fabriquer le rhum. Elle vient de loin : d’Asie, de Thaïlande pour être précis (l’Asie est l’autre grand producteur mondial de sucre avec l’Amérique latine), mais cette mélasse est bio. Embrassez des inconnus C’est un concept vraiment déroutant : eau de vie de crachoir. Certains trouvent cela amusant, d’autre répugnant mais tous s’accordent à dire que c’est étonnant. O’Baptiste a été contacté par un festival de vins naturel qui se tenait à Paris, pour fabriquer cette eau de vie, et renouveler l’expérience d’un distillateur australien : Peter Bignell de la distillerie Belgrove, avec qui Baptiste a collaboré pour cet esprit. Il n’a pas réfléchi longtemps avant d’accepter. Ainsi, a-t-il récupérer les cuves contenant les vins dégustés puis recrachés par 1300 Parisiens. Et de là est né l’appellation « Embrassez des inconnus ». La distillation étant un processus de purification… il n’y a aucun risque sanitaire. Vous pouvez donc boire ces résidus de festival, titrant 43 degrés, en digestif. Les bouteilles seront prêtes à être vendues d’ici peu ! Les rhums Les rhums sont fabriqués à partir de mélasse de canne à sucre bio. Là où c’est beau et bon, il n’y a pas de colorant, d’additif, de sucre ou quoique ce soit. On est sur du rhum pur, qui a obtenu sa couleur (pour le rhum humble) au travers de son vieillissement. Le rhum blanc est issu d’une double distillation, puis mis en bouteille immédiatement après. Le rhum humble (ambré) a quant à lui vieilli 3 mois en fût d’acacia. Le fût d’acacia permet d’apporter des notes vanillées et caramélisées, ce qui donne un rhum rond et assez doux. Le rhum blanc est, à l’odeur, vanillé et fruité. L’arôme se révèle également fleuri et vanillé. On retrouve également des notes de fruits exotiques. Il y a également quelque chose de boisé. En clair, ce rhum est très riche en goût et s’apprécie vraiment pur. Le rhum Humble a été primé de bronze au Congrès International du rhum de Madrid en mai 2018. L’Esprit de bière Petite dégustation, on trouve un goût très présent de céréales et un peu de levures, en fin de bouche ressent légèrement du chocolat. Mais on ne retrouve pas le goût de la bière pour autant, ce n’est pas de la bière ne vous attendez pas à boire ça, vous seriez déroutés. Au nez, on perçoit un goût de malt. C’est une eau-de-vie donc c&rsqu...

Champagne Didier RAIMOND : les terroirs d’Épernay s’expriment !

L’exploitation est fondée en 1984 par une famille de vignerons passionnée de la Champagne. En 1994, Didier Raimond, viticulteur et oenologue de formation, reprend les rênes et lance sa propre marque en conduisant son vignoble dans le respect de l'environnement. Une démarche engagée bientôt signée par une certification. Un art méticuleux Après les vendanges, les raisins sont directement envoyés au pressoir. Les jus sont décantés puis mis en cuves de fermentation sur lies fines. Afin de révéler au mieux les cépages et mettre l'accent sur la différenciation des terroirs, l'assemblage, qui est la base de tout le savoir-faire de la maison, se prolonge par un vieillissement sur lattes, ajusté selon les cuvées et pouvant durer 3 à 8 ans. Tout ceci dans le but de présenter à la clientèle des vins accomplis. La dernière opération du dégorgement et du dosage va parfaire la présentation en dégustation des champagnes Didier RAIMOND. De plus, certaines cuvées sont élevées partiellemet en fûts de chêne pour leur apporter plus de personnalité. Ainsi naissent des vins exceptionnels comme le Champagne rosé, le Brut Tradition, la Cuvée Sublime ou la Grande Réserve. ...

Le Duc : délices gourmands à Nice

Tout au long de l’année, la Promenade des Anglais attire autant les locaux que les touristes en quête de moment de détente. Réputée pour son fameux Carnaval de Nice, la promenade est aussi connue pour abriter les hôtels à l’architecture Belle Epoque des plus remarquables de la Côte d’Azur. Parmi eux, le Westminster Hotel & Spa. Rénové entre 2015 et 2016, l’hôtel en a profité pour dévoiler son tout nouveau restaurant : Le Duc. L’élégance à la française Tout comme l’hôtel Westminster Hotel & Spa, le Duc séduit autant par son élégance que par son atmosphère apaisante. Jouant sur la tonalité mauve, la décoration est à la fois contemporaine et chaleureuse. Sur les murs, les photographies signées Valéry Trillaud sont parfaitement exposées et mises en scène par un éclairage subtilement nuancé. En un instant, on se croirait presque dans une galerie d’art. Mais le vrai spectacle est celui offert par le chef et son équipe. En effet, le restaurant propose une cuisine ouverte, laissant ainsi aux convives le privilège d’admirer la brigade en action. Et pour couronner le tout, la magnifique terrasse vitrée et surélevée offre une vue imprenable sur la Méditerranée et la baie des Anges. Selon le souhait des clients, la vitre peut être ouverte pour s’imprégner totalement de l’ambiance de la Promenade des Anglais. Une cuisine traditionnelle mais créative Côté cuisine, la qualité des plats est à la hauteur de la beauté des lieux. Raffinés et authentiques, ils sont avant tout savoureux, frais et soigneusement concoctés. Digne fils de la ville de Nice, Le Duc met à l’honneur la cuisine méditerranéenne et traditionnelle à base de légumes, de saveurs et de senteurs provençales. La carte fait ainsi la part belle aux grands classiques niçois subtilement revisités par le chef Dominique Sgro.  Au déjeuner, les convives pourront choisir entre deux formules. La première propose une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 19 €. La seconde offre un menu du jour à 25 € composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert qui changent selon l’ardoise du jour. Pour les deux menus, les amuse-bouches ainsi que le café sont offerts. Au diner, le Menu Niçois met à l’honneur les spécialités niçoises à 37 €. Pour accompagner le repas, l’établissement propose une sélection de vins où le terroir de la région est mis à l’honneur. La carte recèle quelques pépites comme le Bellet Château de Bellet Baron G millésime 2013 ou encore le vin rouge bordelais : l’AOP Saint-Emilion Château Berliquet Grand Cru classé millésime 2010. Le tout, servi par un personnel aussi avenant que motivé. A chaque jour sa spécialité niçoise Par ailleurs, Le Duc sort du lot avec son concept à chaque jour, sa spécialité niçoise. Selon la disponibilité du marché et des produits de saison, le chef met à l’honneur un plat typique de la région. Une occasion pour les convives de découvrir ce patrimoine culinaire niçois qui fascine et enivre en même temps. Le lundi, place au véritable Aïoli « Le Duc ». Le mardi, il travaille le cabillaud tandis qu’il surprend avec le succulent fricassé de lapin, le mercredi. Le jeudi, le délicieux Capon Niçois est servi. Le vendredi, le Rouget Grondin en portefeuille, sauce vierge émoustille les fins palais. Le samedi, une note de douceur apportée par l'Epaule d’Agneau Frottée à L’Ail et aux Herbes, Bayald attend les convives. Et pour achever en beauté la semaine, le chef sublime le Filet de Daurade à la plancha accompagné de conchiglioni farcis.  ...

Grandes Distilleries Peureux :
l’art de l’excellence

Si les Grandes Distilleries Peureux ont acquis une notoriété planétaire, elles la doivent en grande partie aux Griottines. Cette marque, qui porte l’empreinte de Pierre Baud, a fait entrer l’entreprise dans une nouvelle ère. Son fils Bernard Baud, l’actuel PDG, s’inspire des codes de la cosmétique et a ensuite donné une très forte identité à ce produit, en lui offrant un bel écrin rouge. Un acteur majeur dans son domaine Créées en 1864 par Auguste Peureux, les Grandes Distilleries Peureux sont une entreprise familiale implantée à Fougerolles (Bourgogne-Franche-Comté). Dès le début, cette distillerie se démarque par la qualité de ses eaux-de-vie, spiritueux et autres liqueurs. Un siècle et demi plus tard, la maison poursuit sa quête de l’excellence pour s’imposer aujourd’hui comme le leader mondial de la macération de fruits et premier producteur d’eaux-de-vie de fruits au monde. Un produit phare Toujours à l’affût des évolutions et des tendances de consommation, l’entreprise a misé sur un produit unique : la cerise griotte. « Ce produit a fait l’objet de recherches dans les années 1960, puisqu’il a fallu trouver une cerise qui pouvait se maintenir intacte dans l’alcool et qu’on pouvait facilement dénoyauter sans risquer de l’abimer », relate Élodie Naslin, directrice marketing et communication du groupe Peureux. Parce que cette variété de cerises ne pousse qu’en Serbie, l’entreprise y possède ses propres vergers et effectue donc la cueillette sur place. Une fois récoltés, les fruits sont acheminés à Fougerolles. De ces cerises, la maison a créé LE produit emblématique qui a fait sa renommée dans le monde entier, à savoir les Griottines. Ces petites griottes sont macérées dans un sirop léger à la liqueur et au kirsch. Elles sont idéales pour apporter une touche glamour et sublimer toutes les recettes. En effet, avec quelques Griottines, tapas, cocktails et champagne offriront une autre expérience gustative et visuelle. Simples et faciles à cuisiner, les Griottines accompagnent à merveille le fromage, le foie gras et le jambon. Il n’en fallait pas plus pour convaincre des chefs tels que François Lachaux, meilleur ouvrier de France cuisine, ou Jean-Michel Perruchon, meilleur ouvrier de France pâtissier, pour les inclure définitivement dans leurs recettes. Damier Griottines, une recette emblématique Création signée par Sébastien Chevallier, meilleur ouvrier de France boulanger, le Damier Griottines permet d’apprécier toutes les subtilités de ce produit avec, à la clé, du peps, du croquant et du gout ! « Nous ne sommes pas des fabricants de gâteaux. Mais, à travers cette recette, nous souhaitons guider et inspirer les boulangers et les pâtissiers », nous indique-t-on. Véritable tropézienne revisitée à la façon franc-comtoise, cette nouvelle pâtisserie plaira à tous les gourmets cherchant simplicité et saveurs.  ...

Le Grand Hôtel Thalasso & Spa : un vrai coup de cœur pour les fins gourmets et les grands gourmands !

Idéalement situé au centre de la baie de Saint-Jean-de-Luz et faisant face à la mer, cet hôtel cinq étoiles construit en 1909 ouvre de nouveau ses portes le 1er juin 2015, après un an et demi de travaux. Tout est retravaillé de façon à offrir une ambiance chic rehaussée d’un décor aux couleurs chaudes où un air de vacances plane en permanence. Au sein de l’établissement, chaque détail est un plaisir pour tous les sens et invite à la relaxation et à l’évasion, loin du train-train quotidien : les chambres de luxe promettent un séjour romantique à souhait et riche en découvertes, l’espace bien-être est propice à la détente et le restaurant gastronomique donne vue sur la mer. Avec sa cuisine ouverte agrémentée d’une coupole style Art déco, la salle du restaurant étoilé L'Océan plonge dans un décor très contemporain et stylé. Durant la belle saison, rien de tel que de profiter du soleil sur la terrasse tout en jouissant du panorama imprenable donnant sur la baie. Des plats qui éveillent les sens Aux fourneaux : le chef Christophe Grosjean qui propose une cuisine authentique, saine, raffinée, moderne et créative. Au sein du Grand Hôtel Thalasso & Spa, deux restaurants sont proposés. À midi, découvrez les délices du bistrot Badia et, au dîner, succombez à la cuisine gastronomique du restaurant L’Océan. Dans l’un ou dans l’autre, la carte change très régulièrement toute l’année selon la saisonnalité. À découvrir ou à redécouvrir au sein de l’établissement, les quelques plats signatures du chef. En entrée, les huîtres Gillardeau encapsulées dans leur eau promettent une explosion indescriptible de saveurs, tantôt acides, tantôt douces. Son chipiron déstructuré en texture fait également la réputation du chef en guise d’entrée. En plat de résistance, viandes ou poissons, il y en a pour tous les goûts. Dans la gamme des délices sucrés, le second pâtissier Mathieu Bernard fait le bonheur des gourmands en revisitant le meilleur du répertoire des desserts français. Sa sphère ganache chocolat noir, glace à la truffe noire est une véritable apothéose de saveurs nobles et subtiles. Chaque suggestion gourmande sera sublimée par une riche sélection de vins. Le chef sommelier Bérenger Carsana propose une carte composée de grands crus et de vins issus de petits producteurs.   ...

Restaurant Conti : voyage au cœur de l’Italie

La richesse de la gastronomie italienne ne se résume pas qu’aux pizzas et aux spaghettis. Prenez une grande inspiration : le restaurant Conti vous propose une totale immersion dans la cuisine italienne et vous la dévoile dans toute son authenticité. Ensoleillée, généreuse, conviviale, elle a tout pour vous séduire. Halte gourmande dans une ambiance de charme Prônant un décor cosy et chaleureux, le restaurant Conti vous invite à évoluer dans un espace raffiné. Banquettes de velours, grand miroir sculpté, murs tapissés de rouge, détails dorés : le cadre s’inspire des codes du théâtre vénitien. Au milieu de la salle trône des lustres en verre Murano, un pur chef d’œuvre issu de la tradition vénitienne. Avec son cadre spacieux et son climat feutré, le restaurant Conti se veut être un vrai lieu de détente aux salles intimistes. « On peut se parler sans gêner les autres » nous souffle-t-on.   La meilleure de la cuisine italienne Afin de garder toute l’authenticité de ses plats,  ce restaurant s’approvisionne à la source. Les produits à l’instar des fromages par exemple arrivent directement d’Italie. Les autres matières premières quant à elles sont issues des producteurs locaux. Comme les professionnels de la gastronomie aiment à défendre que « c’est le produit qui fait le plat », le restaurant Conti ne déroge pas à cette règle d’or. Un souci et une recherche permanente de la qualité qui se ressentent naturellement dans les assiettes. Une simple bouchée des Langoustines Huile de truffe noire, du Carpaccio de coquilles Saint-Jacques ou du Risotto aux truffes suffit pour vous en rendre compte ! Au Conti, les pâtes sont également à l’honneur ! La maison vous propose des pâtes fraîches, là aussi entièrement faites maison. Pour achever ce périple culinaire, rien de mieux qu’un délicieux Tiramisu fait maison. La carte des vins quant à elle rend un bel hommage à La Botte. Pour accompagner vos plats, quelques perles issues des plus grandes régions viticoles du pays vous attendent. Les vins de la Toscane et de la Sicile sont particulièrement appréciés bien que d’autres références méritent également toutes les attentions. ...

Château Les Chaumes : des vins de Bordeaux authentiques et puissants

Pour trouver le domaine du Château Les Chaumes, il faut se rendre à Fours. En effet, le château est localisé à quelques kilomètres de ce charmant petit village du sud-ouest de la France, au nord de Bordeaux.   Château Les Chaumes : histoire d’un domaine d’exception Comme beaucoup d’autres domaines français, le Château Les Chaumes est une propriété familiale qui se transmet de génération en génération. En effet, achetée en 1965 par Robert Parmentier, ce dernier replanta le vignoble afin de lui redonner ses lettres de noblesse. Puis, il décida de confier les rênes de l’exploitation à son fils Pierre quelques années plus tard. À l’heure actuelle, et depuis 2014, ce sont Anne et Henri, les deux autres enfants de Robert, qui s’occupent du développement de l’exploitation. Pour information, bien que nous ayons peu de données précises sur l’historique du domaine, des livres de compte indiquent que l’on y produisait déjà du vin en 1833. De plus, son architecture ressemblant aux anciennes villas romaines avec bâtiment carré et vignoble en coteau semble indiquer que son histoire est bien plus vieille que l’on ne pense. Vignoble et viticulture du Château Les Chaumes Profitant d’une superficie de 23 hectares, le domaine du Château Les Chaumes propose 3 cépages différents. Le merlot, tout d’abord, qui est le cépage dominant. Puis, le cabernet et le malbec. À noter : Anne Parmentier nous raconte que nous avons affaire à un terroir très typé dû à la présence d’un sous-sol calcaire et argile quasiment pur. Ainsi, bien que la culture s’y fait difficilement, cela permet de produire des vins très concentrés et expressifs. Surtout que l’on pratique, sur le domaine, une viticulture raisonnée et des pratiques culturales respectant l’environnement. D’ailleurs, Anne Parmentier précise qu’elle n’a pas hésité à demander à deux ingénieurs agronomes d’apporter de précieux conseils pour cultiver la vigne tout en entretenant la bonne santé du sol et des fruits. Ainsi, l’usage de produits phytosanitaires est très limité sur le domaine. Ce qui fait le bonheur des amateurs de vins authentiques. Après des vendanges mécaniques, les raisins sont triés et seuls les meilleurs sont conservés. Puis, ils sont placés en cuve pour démarrer le processus de vinification sans manipulation ni filtrage. Ensuite, Anne Parmentier nous indique que le vin poursuit son vieillissement en fûts de chêne pendant 12 ou 20 mois supplémentaires. Les vins du Château Les Chaumes La particularité du domaine : le fait de produire 2 cuvées 100% fût neuf (merlot et malbec) et 2 cuvées 30% fût neuf (merlot et malbec). Parmi les vins à gouter absolument si vous vous intéressez aux créations du domaine, nous vous conseillons le Château Les Chaumes Malbec 2016 (98% malbec et 2% merlot). Les personnes qui l’ont testée apprécient le bel équilibre entre le fruité du vin et l’apport du bois (grâce au vieillissement en fût neuf). Idéal sur un gibier, un civet ou un fromage affiné, vous allez apprécier ses notes épicées et ses arômes de cèdre, violette et réglisse. Aussi puissant qu’élégant, il a d’ailleurs obtenu 1 étoile au Guide Hachette 2020 et 14,5 sur 20 dans le Guide Bettane et Desseauve. N’hésitez pas à consulter leur boutique en ligne pour trouver votre bonheur. Ou à vous rendre directement sur place si vous êtes dans le coin. Pour information, le millésime 2018 qui s’avère déjà être un magnifique millésime, aussi charmant que bien structuré, sera mis en bouteille au printemps. De plus, bien que le millésime 2019 ne sera mis en bouteille qu’en 2024, on sait d’ores et déjà qu’il va donner des vins très ronds et aromatiques. Anne Parmentier nous parle de « vins aimables » pour qualifier ce millésime que nous avons hâte de tester. Oenotourisme au Château Les Chaumes Évidemment, pour faire connaitre ses produits au public, Le Château Les Chaumes n’hésite pas à ouvrir ses portes aux curieux, novices ou spécialistes. D’ailleurs, de nombreuses portes ouvertes sont propos...

La Vieille Forge

Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près.  La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux.  Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine.  À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts.  Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement.  Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...

Auberge des enclos :
une cuisine semi-gastronomique et contemporaine

Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage. N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité. Jeunesse et dynamisme L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride. Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse.  Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent. Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ». Un mix entre tradition et modernité  Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux. Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos. Un environnement riche et préservé L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie. La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune. ...

Vignobles Chatonnet : des vins pour les amateurs de bordeaux harmonieux et précis.

Situé à Néac, à proximité de Bordeaux, le terroir entourant le Château Haut-Chaigneau favorise la création de vins d’exception. Il faut dire que nous nous trouvons à la croisée des grandes appellations Pomerol et Saint-Émilion. Une bonne raison d’en apprendre plus sur les vins du Vignoble Chatonnet. Histoire de la propriété Avant son rachat par la famille Chatonnet en 1967, la propriété du Château Haut-Chaigneau était en ruine. Ainsi, Jeanine et André firent leur possible pour rebâtir ce magnifique domaine de 30 hectares et pour l’améliorer au fil du temps. Aujourd’hui, c’est, Pascal, le fils, qui en est propriétaire. À savoir : la création de bon vin se transmet de génération en génération chez les Chatonnet. Et nous l’observons encore aujourd’hui avec les vins Château La Croix Chaigneu, Château Haut-Chaigneau, La Sergue et l’Archange, plébiscités aussi bien par les œnologues spécialistes que par les amateurs de bordeaux. Réalisés à partir de 3 cépages différents (Merlot noir, Cabernet Franc et Malbec), les vins profitent de la qualité naturelle du terroir de la région superposant des sols sablo-argileux, argilo-sableux et argileux. Souvent primés, nous les retrouvons régulièrement sur les tables des plus grands restaurants. Château La Croix Chaigneau : le vin qui se consomme sans complexe C’est grâce aux jeunes vignes de Merlot et de Cabernet Franc que le Château La Croix Chaigneau a vu le jour. Cet assemblage lui apporte à la fois une grande finesse et une certaine densité. Ainsi, il est parfait avec des grillades simples. Des brochettes, par exemple, iront à merveille avec son côté rafraichissant. À savoir : il est possible de le faire vieillir si vous le souhaitez. Château Haut-Chaigneau : un vin à la fois fin et élégant Idéal avec de la volaille, le Château Haut-Chaigneau est issu d’un assemblage 90% Merlot Noir et 10% Cabernet Franc. Ce qu’on apprécie avec le Haut-Chaigneau, c’est cette capacité à nous proposer des notes très fruitées portées sur les fruits rouges associées à des arômes beaucoup plus boisés. Pouvant être consommé à l’achat, ce vin aux tanins intégrés et à la bouche à la fois élégante et persistante peut aussi être vieilli pendant quelques années supplémentaires pour un résultat encore plus surprenant. La Sergue : une référence à part La Sergue est à la fois puissant et féminin. Pour le créer, les 3 différents cépages de la propriété ont été assemblés ensemble : Merlot Noir (85%), Cabernet Franc (12%) et Malbec (3%). Puis, il a été vieilli pendant 14 mois en barrique neuve. C’est ce travail qui lui donne sa bouche grasse et soyeuse qui lui permet d’accompagner à merveille du veau, de l’agneau voire une petite caille aux cèpes. L’Archange : le 100% Merlot Pour apprécier le côté puissant de l’Archange, issu de son cépage 100% Merlot et du terroir de Saint-Émilion, rien de mieux qu’une bonne côte de bœuf ou une pièce de bœuf au goût relevé. Élevé en barrique neuve, vous découvrez un vin à la fois fruité, dense et rond qu’il est possible de boire tout de suite ou de faire vieillir. ...

Le Prince noir, une cuisine dynamique et inventive par Vivien Durand

Le mercato des grands chefs de la Gironde a accueilli il n’y a pas si longtemps une étoile de la gastronomie française. Vivien Durand, un chef dynamique et passionné se lie d’amour pour ce somptueux domaine, où il décide de s’installer. Au Prince Noir, les nombreux défis qui s’esquissent devant lui ne le font pas trembler. Parmi eux : proposer une cuisine qui fasse honneur à ce lieu chargé d’histoire, classé monument historique depuis 1991. Un château, un homme… L’histoire du Château du Prince Noir est liée à celle d’un homme : Edouard de Woodstock dit « Le Prince Noir », personnage mythique lors de la Guerre de Cent Ans, régnant à la principauté d’Aquitaine. On dit même que les négociations signant la fin de ce conflit opposant la dynastie des Plantagenêts à celle des Valois ce seraient déroulées dans le prestigieux château. Détruit puis reconstruit, celui-ci ne connaîtra décidément pas un destin ordinaire. Depuis, une accalmie s’y est installée, sauf peut-être en cuisine où l’on entend Vivien Durand motivé sa brigade. Ce personnage pyrénéen d’origine a eu la chance d’évoluer au sein de l’écurie Ducasse à Monaco.  Après avoir forgé ses armes auprès du chef Nicolas Masse au Grand Hôtel de Saint-Jean de Luz, il travaille sur un grand projet : l’ouverture de ses restaurants La Taverne Basque et Chez Claire et Vivien à Saint-Jean de Luz. En 2013, sa passion, son expérience et ses sacrifices seront récompensées par la distinction suprême décernée par le Guide Michelin. Son étoile en poche, il veut voguer vers de nouveaux cieux. La quête d’une nouvelle expérience le conduira en Aquitaine, au Château du Prince Noir dont il tiendra les rênes à partir de mars 2014. Une déco alliant tradition et modernité Bruno Grangé-Cossou s’est occupé de la décoration, de l’agencement et de l’identité visuelle du restaurant. On y découvre une belle dualité entre l’ancien et le moderne qui correspond tout à la fait à la personnalité du chef. Lui qui aime proposer une cuisine inventive basée sur du traditionnel. Le détail le plus frappant : cette véranda vitrée qui vous donne l’impression d’être à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. Entièrement métallisée, elle révèle une ambiance contemporaine aux couleurs sobres qui tranche avec le style d’époque de l’aile du château qui lui est attenante. La décoration sort des sentiers battus et dévoile une belle authenticité. Chaque meuble ou objet ornant les lieux est chargé d’histoire, à l’image de ces tasses à thé dépareillées, chinées probablement. Au Prince Noir, on cultive aussi un état d’esprit basé sur la convivialité. L’équipe chaleureuse et accueillante s’occupera de vous, non comme un client mais plutôt comme un convive. ...

Champagne Charles Mignon :
« quand un moment devient une expérience inoubliable »

Inscrit parmi les maisons de champagne françaises, le domaine Charles Mignon doit sa renommée à son dévouement à la qualité. Il n’exploite que les meilleurs cépages de la région, lesquels sont issus de ses propres vignobles dans la vallée de la Marne et de la Côte de Blancs, ou fournis par une cinquantaine de domaines partenaires. Des cuvées au goût du terroir Nées de la haute tradition champenoise, les sept cuvées de la maison Charles Mignon ont été cultivées avec passion, assemblées avec talent et manipulées avec rigueur. Un véritable modèle d’excellence. Le Premium Reserve Brut Premier Cru témoigne parfaitement de l’esprit de la maison. Ici, la puissance du pinot noir côtoie l’élégance du chardonnay pour donner un champagne aristocrate qui s’avère être une parfaite entrée en matière. La minéralité et la pureté sont à l’honneur, faisant le bonheur des amateurs. La cuvée Comte de Marne Brut Grand Cru mettra les épicuriens dans tous leurs états. Elle est faite de 55 % de pinot noir et de 45 % de chardonnay, les meilleurs cépages issus de terroirs classés Grand Cru. Riche et complexe, ce vin aux arômes puissants exprime la générosité de la nature. Cette cuvée trouvera harmonieusement une place à côté des mets raffinés tels que le foie gras poêlé ou les noix de Saint-Jacques. Découvrir le domaine dans la convivialité Le domaine Charles Mignon a également mis en place toute une structure à travers laquelle il invite à découvrir l’univers champenois. Une visite personnalisable est proposée au domaine, au cours de laquelle Manon Mignon, la fille de Bruno Mignon, partage ce fascinant monde avec ses convives. Elle se plaît à expliquer l’élaboration du champagne et à répondre aux éventuelles questions, le tout dans une ambiance familiale et chaleureuse. La famille prône également les mérites de la région à travers une exposition et un film mettant en scène la beauté du paysage, les machines utilisées et la méthode d’élaboration des champagnes. Afin d’octroyer une touche pétillante à la visite et aux moments de découverte, les convives sont invités à déguster les trésors de la maison. ...

Distillerie Leisen : un savoir-faire artisanal transmis de père en fils

Maison familiale depuis la fin du XIXe siècle, cette distillerie artisanale est dirigée par Jean-Marie Leisen, épaulé par sa fille Sarah Leisen, qui se tient prête à reprendre le flambeau. Une recherche de la qualité Afin de proposer une production de qualité, la distillerie met en avant un savoir-faire traditionnel mais surtout l’utilisation des meilleures matières premières. Pour confectionner ses cidres et ses jus de pomme par exemple, elle opte pour des fruits 100 % bio et présentant un niveau optimal de maturité. Côté vieillissement, la maison a recours à des techniques spécifiques. Ainsi, la mirabelle de Lorraine, un de ses produits phares, se conserve une année dans des cuves en inox, puis une autre année dans des barriques en fût placées dans les caves. L’eau-de-vie passera ensuite 5 ans dans des cuves en grès, placées cette fois-ci dans les greniers. En agissant de la sorte, la maison fait profiter son nectar d’une variation de température propice à son vieillissement. ...

Domaine Grand Guilhem : des vins d’émotion élaborés dans le respect
de la Nature et des consommateurs 

Idéalement situé sur le village de Cascastel et de Corbières, au centre du triangle Narbonne-Perpignan-Carcassonne (Hautes Corbières, dans l’Aude), le Domaine Grand Guilhem travaille les AOC Corbières, Rivesaltes et Muscat de Rivesaltes et produit aussi des Vins de France. Les vignobles répartis sur 18 parcelles sont plantés de 8 cépages, dont le macabeo, un cépage blanc d’origine espagnole. Le respect de la Terre au cœur de ses actions Le Domaine Grand Guilhem a commencé sa reconversion en agriculture biologique en 1997. Mais c’est en 2011 qu’il adopte un virage à 360° en fabriquant des vins naturels « faits exclusivement avec des raisins sans ajout de levures, de sulfites ni autres intrants », explique Gilles Contrepois, maitre des lieux. « À l’​époque, ce n’​était pas dans l’​air du temps. Mais je ne me voyais absolument pas mettre des produits chimiques dans la vigne, dans mes vins et pour les consommateurs ». Attestant de son engagement, le Domaine Grand Guilhem est officiellement certifié Ecocert en 2004 et fait partie de l’Association des vins naturels. Aujourd’hui, il fabrique huit gammes de vins incluant les trois couleurs. Une particularité de la maison est la production de vin orange, un vin blanc vinifié comme du vin rouge, avec une structure tanique, beaucoup de caractère et une expression aromatique large et variée. Étant un vin très digeste, il n’a nul besoin de se cantonner à des produits particuliers puisqu’il se marie avec tous les plats. ...

Le restaurant des Fines Roches : la gastronomie provençale dans un cadre de caractère

Authentique château du 19ème surplombant des hectares de champs de vignes, les Fines Roches impressionnent de suite par son caractère. C’est sur cet établissement que Laurent et Martine Zennaro, ancien cadre dirigeant et ancien fonctionnaire, ont jeté leur dévolu pour se lancer dans l’hôtellerie. Une table célébrant les traditions gastronomiques de Provence Au restaurant du Château des Fines Roches, on cuisine local, on savoure provençal. Les ingrédients – rigoureusement sélectionnés par le chef chez des producteurs de proximité – sont travaillés pour réaliser une cuisine du marché à midi et gastronomique au dîner. Cette enseigne, consacrée Maître Restaurateur en 2013, puise son inspiration dans le frais et le local. Le chef décrit, non sans fierté, le savoir-faire respectif des fournisseurs avec qui la maison collabore : boucher qui apporte la viande maturée, fournisseur d’escargots qui les élève en personne, volailler particulier et fromagère MOF. Objectif : apporter au client les saveurs authentiques de plats fleurons comme le « Ris de veau aux cèpes ». En entrée, le vin doux naturel de Rasteau rehausse le caractère inné du foie gras. Le « Parfait chocolat – oranges amères » conclut le défilé de plats en toute finesse. Une carte de vins exceptionnelle Avec une situation privilégiée au cœur du vignoble de Châteauneuf, les Fines Roches déploient naturellement des références en cave d’une richesse exceptionnelle. A côté des appellations Châteauneuf-du-Pape, la carte affiche également quelques Côtes-du-Rhône et Bourgogne. Soit un total de quelque 800 références. ...

Château Croque Michotte : l’excellence d’un Saint-Émilion Grand Cru

Le Château Croque-Michotte est riche d’un passé qui remonte à 1906. À l’époque négociant en vins et en Cognac, Samuel Geoffrion s’intéresse au métier de vigneron. Il est séduit par le terroir de Saint-Émilion et décide de faire acquisition de quelques parcelles. À son décès, sa fille Hélène Geoffrion-Rigal reprend les rênes. Avec ses enfants et petits-enfants, elle crée un Groupement Foncier Agricole (GFA) qui est désormais propriétaire et exploitant. La gérance est assurée par Pierre Carle depuis 1992 qui s’est investi de la mission de sublimer ce terroir selon des pratiques éco-responsables. Par amour de la terre Dès son plus jeune âge, Pierre Carle savait qu’il voulait devenir vigneron. « À quatre ans, en me baladant dans les chais, je me souviens de cette odeur qui restera à jamais gravée dans mes mémoires. De là, j’ai su que je souhaitais travailler dans ce milieu », nous confie-t-il des souvenirs plein la tête. Le destin en a voulu autrement puisqu’il finit par suivre un cursus d’ingéniorat puis en architecture avant d’évoluer dans une entreprise spécialisée dans la pose de matériels de chemins de fer où il restera 14 ans. En dépit de ce changement de vocation, Pierre n’en oublie pas son rêve d’enfance. À la retraite de l’ancien maître de chai du Château Croque-Michotte, il s’engage dans une reconversion pour prendre la direction des cultures des vignes et de la vinification. Il agrandit le vignoble de 13,7 hectares situé à l’ouest de Saint-Émilion et faisant la frontière avec Pomerol. Bénéficiant d’une situation géographique privilégiée, le terroir se trouve à proximité de voisins prestigieux tels que Pétrus, l’Évangile, Gazin, Corbin Michotte, Cheval Blanc ou encore La Dominique. Un cahier des charges en agriculture biologique Le sol composé de graves et de sables sur socle argileux est propice au développement du merlot, du cabernet franc et du cabernet sauvignon. « Depuis plusieurs années, nous avons arraché les parcelles et replanté en cabernet franc pour augmenter la proportion, car ce cépage a plusieurs avantages : il est tardif et moins sensible aux gelées tardives, il est plus tannique ce qui permet d’avoir une bonne matière surtout lors d’élevages avec un gros pourcentage de barriques neuves pour masquer le goût de bois. Ce cépage peut se vendanger plus tard et supporte la surmaturité, ce qui donne plus de souplesse. L’acidité est plus élevée pour que les vins soient moins sensibles à l’oxydation et aux attaques bactériennes. » Le domaine s’évertue également à limiter au maximum les rendements pour permettre aux vignes d’être plus résistantes aux bactéries et pour gagner en concentration dans les vins. Grâce à des méthodes culturales respectueuses de l’environnement, il obtient la certification Ecocert dès 1999. « Soit 14 ans avant tous les crus classés de Bordeaux », fait savoir notre interlocuteur. Un mode de production résolument innovant Depuis qu’il gère le Château Croque-Michotte, Pierre Carle a apporté un vent d’innovation dans les méthodes de production. À l’issue des vendanges manuelles, les grappes sont transportées dans les chais pour être sélectionnées à l’aide d’un procédé ultramoderne par « tri optique ». Les graines vertes et les résidus végétaux sont ciblés par la machine puis refoulés vers l’extérieur. Seules les bonnes graines sont récupérées et véhiculées jusqu’aux cuves. « Notre signature est de produire des vins sans sulfites ajoutés au cours de la vinification et des premiers mois d'élevage. À la place, nous avons recours à des levures concurrentes qui empêchent les bactéries de saccager le mou ». Les vins sont ensuite élevés dans des barriques de chêne français à grain fin en provenance des meilleures forêts. L’élevage s’étend sur une période de douze mois. De ce long processus naît la Cuvée Croqu...

Le Petit Meunier : les tables raffinées du moulin

Le mécanisme du moulin tourne encore, non pas pour moudre le grain mais pour servir de valeur ajoutée au repas des convives dans les salles. L’eau qui actionne la roue vient de la petite rivière du Garon qui longe la terrasse. C’est un aperçu de ce qui attend les gourmets durant une pause gustative au restaurant Le Petit Meunier. Les assiettes et les vins y sont d’une grande variété, alliant tradition et modernité.   Une qualité issue de la tradition Jérôme privilégie une cuisine du marché, donc très variée. Il travaille aussi bien les poissons que les viandes et légumes. Le Petit Meunier se trouve à Messimy, petite commune sise à côté de Thurins connu comme étant la capitale de la Framboise. Ce fruit fait donc partie des produits phares de la maison et reste très apprécié en dessert. Le restaurant Le Petit Meunier est particulièrement exigeant sur la présentation des assiettes, mais surtout sur la qualité et la fraîcheur des produits. Pour s’en procurer, les propriétaires favorisent le circuit court en construisant des relations avec les producteurs locaux. Ils font même partie d’une association de producteurs et de restaurateurs de la région. Le restaurant présente une carte gastronomique qui change tous les six mois, des plats du jour ainsi que différents menus tels que le menu des saveurs, le menu des délices, le menu prestige et le menu enfant. Pour une belle entrée en matière, le Chef suggère des Saint Jacques juste poêlées et croquettes de pied de porc pannées accompagnées d’une crème aux lardons et romarin. C’est une recette qui plait énormément aux gourmands et gourmets car elle incarne un parfait mariage entre terre et mer. En plat principal, il faut choisir entre des assiettes de poissons comme le Pot au feu de Lotte, gambas et légumes oubliés ou les préparations à base de viandes telles que le Cœur de Ris de veau sauté à l’ail, servi avec le jus corsé de veau. En dessert, le sablé spéculoos avec sa mousse mascarpone et ses framboises fraîches est un clin d’œil de Jérôme Gagneux à Thurins. Pour accompagner tout cela, la maison suggère des vins très variés. Parmi la sélection, le Coteaux-du-Lyonnais issu domaine du Clos Saint Marc fait partie des plus prisés.     Un cadre à l’image de la cuisine Comme la cuisine, le cadre allie également l’ancien et le moderne. Dans une salle aux poutres et murs de pierres apparentes, les convives peuvent manger au coin de la cheminée en contemplant le mécanisme du moulin à travers la grande baie vitrée. Les douces vibrations de la roue accompagnent cet instant gourmand. L’ambiance est beaucoup plus moderne mais tout aussi chaleureuse dans l’autre salle. La réception d’évènements Le restaurant Le Petit Meunier est disponible pour différentes réceptions personnalisées, avec buffet ou à la carte. Il accueille les repas d’anniversaire, les réunions de famille ou les fiançailles. D’autres évènements se sont également déroulés au Petit Meunier comme la 30ème Soirée Network du Club Plaisirs Gourmands, des chefs d’entreprises qui veulent développer leur réseau professionnel et leur business à travers la gastronomie. Dernièrement, l’établissement a organisé un « repas dans le noir » un geste de solidarité au profit de l’Ecole des chiens guides d’aveugles à Marcy l’étoile.  ...

Domaine de la Bergerie d’Aquino : l’excellence de la Provence

Pour un domaine viticole, la Bergerie d’Aquino est un nom pour le moins insolite, n’est-ce-pas ? Ce nom tire en fait ses origines d’une légende née dans la région comme quoi le fameux Saint-Thomas d’Aquin aurait fait de cette bergerie à l’époque, une étape régulière durant ses nombreux voyages entre la France et l’Italie. Un terroir qui se prête au bon développement des vignes​ Composé d’un terroir à base d’argile, le vignoble du domaine est, selon les explications d’Eric Bompard, propice à la viticulture : « Nous avons un sol argilo-calcaire très caillouteux qui favorise le drainage ». Les parcelles de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon et Rolle y sont exposées plein sud et bénéficient d’un ensoleillement exceptionnel toute l’année. En 2015, une nouvelle parcelle de Cinsault a été cultivée pour élargir les possibilités d’assemblage, notamment pour le rosé. Les premières vendanges de cette parcelle auront lieu dans deux ans. En matière de viticulture, profiter d’un bon terroir n’est pas suffisant pour avoir des récoltes de qualité. La façon de le cultiver est également une étape primordiale. « Nous n’utilisons aucun pesticide, aucun engrais et évitons de traiter les vignes. En revanche, en cas de maladie prévisible, nous prenons la liberté d’éviter par traitement le risque d’une dégradation de la récolte » note Eric Bompard. Les rendements y sont rigoureusement maîtrisés et donnent une production de l’ordre de trente à trente-cinq hectolitres à l’hectare, garantissant une maturité et une concentration optimale des baies de raisins. Et pour finir, les vendanges se font exclusivement à la main dans des petites caissettes de 35 kilos. Gastronomique ou plaisir immédiat, il y a le choix Lorsqu’il a acquis ce domaine en 2014, Eric Bompard nourrissait fortement l’ambition de produire des vins de qualité. Nouveau venu dans la filière mais non moins passionné, il a fait appel à un œnologue spécialiste de ce terroir pour mener à bien la vinification. Ce dernier jongle entre les techniques modernes de contrôle des températures avec les méthodes traditionnelles de macérations et de fermentations pour élaborer ses vins. Il en résulte deux gammes de vins aussi différentes qu’exceptionnelles que sont les cuvées « Bergerie », vins de gastronomie déclinés en rouge et blanc d’une part et d’autre part la gamme  « Etoiles d’Aquino », « une gamme destinée à une consommation plus immédiate, aux arômes puissants, fruités, qui correspondent au terroir de la Provence » explique Eric. Cette dernière gamme, en appellation protégée Coteaux Varois en Provence est composée de trois vins déclinés sur les trois couleurs. ...

Weiss : la signature gourmande du Haut Chocolat®

Chaque chocolat Weiss porte en lui un concentré d’amour, d’innovation et de rigueur qui fait depuis 1882 la référence de la maison. « From bean to bar », de la fève à la tablette, celle-ci imprime à ses produits toute la passion qu’elle nourrit pour son cœur de métier. Dès ses origines, dans la Saint-Étienne de la fin du XIXe siècle et sous l’impulsion d’Eugène Weiss, l’enseigne avait à cœur de développer leurs chocolats avec attention, pour plaire au plus grand nombre.   Une approche intégrale du chocolat Lorsque le fondateur éponyme démarre dans la chocolaterie en 1882, sa vision était claire. S’inspirant du parcours de son père dans la viticulture, il ambitionnait de passer maître dans l’art de l’assemblage. Aujourd’hui encore, la maison tire sa fierté de cette particularité. Plutôt que de privilégier une origine dans ses sélections de matières premières, elle cherche sans arrêt des compositions issues de l’assemblage de fèves aux sources variées. Objectif : « obtenir un chocolat avec des goûts qui plaisent au plus grand nombre ». Autre signe distinctif de la maison : sa maîtrise de tous les cycles de production. Weiss est autant chocolatier que torréfacteur de fèves de cacao. L’enseigne a également développé des compétences de confiseur et de pralinier. Ce qui l’autorise, avec ses produits déclinés en gammes riches avec un savoir-faire centenaire, de satisfaire une clientèle faite de particuliers, de professionnels des métiers de bouche et d’entreprises. Le concept de Haut Chocolat® développé par la maison comme son label propre insiste d’ailleurs sur cette notion de chocolat de qualité, mais accessible à tout le monde. L’innovation rigoureuse pour des produits gourmands et sûrs Dépositaire d’un savoir-faire chocolatier perpétué depuis quatre générations, la maison Weiss n’a de cesse d’améliorer la qualité de ses recettes, tout en leur distillant sa fibre novatrice. Les ateliers de fabrication développent des recettes garanties 100 % pur beurre de cacao. Répondant aux critères du 100 % made in France, les produits de la maison sont également vérifiés exempts de traces de gluten. Les matières premières – fèves, épices et fruits – sont rigoureusement sélectionnées dans les meilleurs terroirs. Finalement, les adeptes de la marque accèdent à un choix vaste et raffiné de produits incluant des tablettes et des bonbons de chocolat à composer dans des ballotins ou prêts à offrir. Professionnels et pâtissiers du dimanche disposent d’une sélection dédiée. Les envies quotidiennes de douceurs sont tendrement satisfaites avec les boîtes de gourmandises, faciles à emporter partout. Aucun chocolat Weiss ne ressemblant à un autre, le Napolitain se démarque dans la liste des produits phares de la maison. Sa carte d’identité : naissance en 1926, un carré dont les arômes sont magnifiés par le café avec lequel il signe un heureux mariage. Ce petit péché, emblématique chez les connaisseurs, se décline en noir, blanc et lait. Les tablettes de la marque rivalisent d’originalité de goût, tous les palais s’y retrouveront. Depuis le Lait Manatée qui fond en bouche avec des effluves des Caraïbes à l’incontournable Noir Ibaria avec ses notes d’oranges. Ces recettes sont à découvrir dans les cinq boutiques de l’enseigne, dans les grands magasins, ainsi que sur le site Internet de la marque.  ...

La Table de Chapaize :
une cuisine conjuguée au féminin

Dirigé par deux femmes, Sandrine Delannoy et Catherine Lauriot, le restaurant La Table de Chapaize s’est fait connaitre pour sa cuisine moderne et savoureuse. Sandrine, en salle, et Catherine, en cuisine, ont mis en commun leur savoir-faire et leurs compétences dans ce bel établissement situé au pied de l’église romane de Chapaize, un trésor architectural datant de la première moitié du XIe siècle. Un cadre cosy Dirigée autrefois par Gilles Bérard, un chef de renom, La Table de Chapaize a désormais à sa tête Catherine et Sandrine, qui ont inauguré les lieux en juillet 2013. Dès l’acquisition, les nouvelles propriétaires n’ont pas tardé à transformer l’établissement à leur image. La salle est décorée de façon sobre et élégante : la mezzanine offre une ambiance intimiste et discrète, tandis que la grande salle apporte chaleur et convivialité. Ce cadre cosy et confortable est propice à l’accueil de groupes d’amis ou de familles. Le mariage de deux talents Le parcours des deux maitresses des lieux est pour le moins étonnant. Ayant auparavant exercé dans le secteur des industries, Catherine, la chef, a entamé sa reconversion en suivant une formation à l’école hôtelière de Chagny. Elle a poursuivi son apprentissage en se perfectionnant auprès des meilleurs chefs et formateurs. Auparavant ingénieure agronome, Sandrine, son associée, exprime un fort attachement pour les produits du terroir et une passion pour les vins. D’ailleurs, elle n’a pas manqué d’enrichir ses contacts dans ces deux domaines pour élaborer les cartes du restaurant. Ensemble, ces deux passionnées se sont fixé un seul objectif : faire plaisir à leurs convives. Le plaisir des yeux, le bonheur du goût À La Table de Chapaize, les saveurs fraiches sont à l’honneur. La chef aime surprendre en variant sa façon de cuisiner. Les spécialités de la maison sont le sucré-salé et la terrine de foie gras maison mi-cuit, qu’il est d’ailleurs conseillé de commander en avance. Les menus changent tous les mois pour permettre aux convives de découvrir d’autres saveurs. La maison propose une première formule à 27 €, composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert ou de fromage. Un menu à 33 € est également servi. Les suggestions dépendent des produits frais disponibles sur le marché ou fournis par les producteurs locaux. Pour cette formule, les gastronomes seront séduits par les saveurs du foie gras maison et son chutney servi en entrée. En plat principal, le filet de veau accompagné d’un jus aux baies de genièvre et d’une mousseline de céleri comble les fins palais. Enfin, en dessert, le cheese-cake au fromage frais de lys coulis de framboise attise la curiosité. À l’occasion des fêtes, La Table de Chapaize élabore des menus spéciaux : Saint-Valentin, Pâques, Fête des mères... Les grands évènements de l’année sont dignement célébrés par des formules spéciales qui sortent tout droit de l’imagination de la chef. ...

Restaurant Le coup de feu : les saveurs d'une cuisine traditionnelle

Le restaurant Le coup de feu promet une expérience unique en termes de plaisir de la table. Le chef affiche sa volonté de séduire le plus grand nombre en proposant une cuisine traditionnelle teintée d’inventivité. Un cadre cosy pour manger autrement Le restaurant Le coup de feu réserve à ses convives un accueil chaleureux dans un cadre offrant le juste milieu entre une décoration moderne et une salle de style rétro. Poutres apparentes, grande cheminée au milieu de la salle, mobiliers vintage, mais aussi sol carrelé… autant d’éléments évoquant charme et convivialité. Le restaurant propose une cuisine basée sur la gastronomie parisienne. Concoctés exclusivement avec des produits frais, les plats de l’ardoise changent toutes les semaines afin de varier le plaisir des habitués et de faire découvrir de nouvelles saveurs aux nouveaux venus. Certains mets illustrent à merveille le savoir-faire de Sylvain Le Grand, chef et non moins propriétaire du restaurant. Dans le registre des entrées, la poitrine de cochon confite, laquée au miel et servie avec un duo d'artichauts cru et cuit, émoustille les papilles. Le filet de bar est quant à lui très recommandé en guise de plat. Au Coup de feu, cette suggestion est accompagnée de jus aux fruits de la passion. Enfin, pour le dessert, le chef se fera un grand plaisir de servir l’ananas victoria rôti en tranches au sucre muscovado, agrémenté de sorbet au basilic thaï. Une cave à vins complète Pour mieux savourer les mets proposés par le restaurant Le coup de feu, le chef reste disponible pour quelques conseils sur les meilleurs accords de vins et de plats. Dans sa cave marquée par une présence remarquée de vins de Bourgogne, il présente une trentaine de références. Le chef Sylvain sélectionne d’ailleurs les vins en collaboration avec des producteurs régionaux lui permettant de mettre en valeur des produits peu connus mais à découvrir absolument. ...