Petite commune tranquille de l’Aveyron en région Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Onet-le-château abrite une perle de la cuisine bourguignonne. Le restaurant d’Alex et Corinne est décidément réputé pour l’accueil agréable et courtois qu’il réserve à ses convives sans parler de sa cuisine fine et soignée où les produits frais et locaux sont à l’honneur. Etape gourmande en Aveyron Pour y aller, rendez-vous aux portes de Rodez, puis direction le rond-point Saint-Marc, route d’Espalion. A l’accueil, Corinne reçoit avec le sourire, histoire de détendre et mettre à l’aise ses convives. Une fois ceux-ci bien installés, les choses sérieuses commencent. Du mardi midi au vendredi midi, des menus entre 16 et 20 euros sont proposés avec au choix quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. On choisit ses plats à la carte le jeudi et vendredi soir ainsi que le week-end. La carte comprend plusieurs entrées entre 6 à 10 euros, des plats entre 16 à 24 euros et des desserts entre 6 et 7 euros. « Chez nous pas de carte fixe, nous établissons un tableau qui change tous les jours, selon les saisons » raconte Corinne. Le chef prend plaisir à concocter de succulentes spécialités bourguignonnes qui sortent des sentiers battus. Avec sa maîtrise et sa rigueur, il sait satisfaire les palais les plus exigeants. Pour ses réalisations, il mise sur son amour du produit mais aussi sur son expérience. Le couple met désormais à profit leur talent et leur savoir-faire dans leur restaurant Chai Alex and Co. Des plats classiques mais revisités Les suggestions du chef sont aussi attrayantes les unes des autres. Elles sont tirées de recettes traditionnelles mais retravaillées selon son humeur et son inspiration. Parmi les plats signatures figurent les œufs meurettes, des incontournables quand on parle de cuisine bourguignonne. Cette recette à base d’œufs pochés est généralement accompagnée d’une sauce bourguignonne ou d’une sauce meurette faite traditionnellement avec du vin rouge, des oignons, des lardons, et des échalotes. Autre plat phare : le tablier du sapeur, une spécialité lyonnaise à base de bonnet nid d’abeille ou gras-double cuit au bouillon puis plongé dans une marinade à base de vin blanc. La viande est ensuite panée et frite puis servie avec des pommes de terre ou une sauce gribiche, selon les envies. Les succulentes propositions du chef ne s’arrêtent pas là. Ne manquez pas aussi les andouillettes en chemise grillées, couvertes de moutarde à l’ancienne, de jambon de pays et d’une crêpe. Une adresse décidément dédiée aux vins L’établissement fait honneur à l’univers du vin. Les couleurs choisies rappellent celles de ce précieux breuvage avec ses tons roses-mauves. Le parquet au sol donne une note conviviale à la salle ainsi que les larges banquettes qui sont synonymes de confort. En plus de la présence des nombreux luminaires incrustés au plafond, le restaurant est baigné par la lumière grâce aux immenses baies vitrées. La partie carrelée de la salle donnant sur l’espace extérieur offre une jolie vue. Elle est constituée d’une grande table pouvant accueillir 12 personnes. La pièce maîtresse du restaurant est certainement cette cave à vins vitrée trônant majestueusement au coin de la salle, définissant aussi l’expression « chai » en référence au nom de l’établissement. Pour compléter cette ambiance chic et ce décor épuré, une musique jazz en fond sonore. Que demander de plus ? ...
A l’extérieur du village de Saint Paul de Fenouillet, à 37 km de Perpignan, se dresse le château de Peyralade, demeure du XVIIIème siècle où Véronique et Xavier Maury reçoivent leur clientèle en table et en chambre d’hôtes. Situé à 45 minutes de la mer et à une heure de la montagne, ce site est dédié à la culture œnologique et gastronomique. Géographiquement, le château de Preyralade s’inscrit pleinement dans le territoire viticole du Roussillon et de sa production où vins rouges et blancs secs disputent désormais la vedette aux célèbres et ancestraux Vins Doux Naturels (VDN) de Maury, Rivesaltes et Banyuls. Mais sa situation également proche de celle du vignoble de Limoux lui permet de bénéficier des célèbres Crémant et Blanquette, effervescents éponymes. L’occasion en un périmètre restreint, de présenter tous les types de vins au cours de ses ateliers oenologiques. Des ateliers œnologiques complets et variés Au château de Peyralade, Xavier & Véronique animent tout au long de l’année un large choix d’ateliers éclectiques (12 au total) qui traitent des vins classiques et spéciaux, de façons ludique et interactive. L’occasion de raconter l’histoire de cette boisson depuis les origines de l’humanité et son lien aux Hommes et aux civilisations, tout en dévoilant son usage médical, social, sacramentel et économique. Dans un autre atelier, sera contée l’histoire des VDN et de leur inventeur Arnaud de Villeneuve, emblématique personnage médiéval des XIII° & XIV° siècles célèbre théologien catalan et médecin du roi Jacques Ier d’Aragon. Xavier dévoilera l’approche sensorielle et les outils du goût, en révélant notamment à chacun ses propres niveaux de perception des quatre saveurs fondamentales et démystifiera le langage des professionnels du vin. Chacun aura également l’occasion de mieux connaître les deux seuls crûs du Roussillon, les AOP Maury et Banyuls, d’apprendre à cerner les contours de leurs terroirs, en piéger les senteurs et en découvrir les saveurs d’exception. Au château de Peyralade, Xavier invitera chacun à confronter les deux AOP Maury et Rivesaltes, ou à découvrir chacune d'entre elles grâce à deux leviers : le premier, intitulé "Verticale" comparera un seul et même vin mais issu de plusieurs millésimes, le second, dénommé "Variation" présentera les interprétations d'un seul et même millésime de plusieurs producteurs. Enfin, les Rancios sont également explorés. Ces vins spéciaux résultent d’un élevage oxydatif long et puissant. Leur mystère sera éclairci à la lumière de plusieurs vins remarquables secs et doux. Un hébergement cosy pour une restauration fine et délicieuse Le château de Peyralade dispose de 2 chambres doubles et d’une suite pour un couple et deux enfants (ou 4 personnes), toutes avec salle d'eau privative et non-fumeur. D.O 620 est la dernière chambre aménagée. Malgré sa grande taille (24 m²), elle est la plus modeste. Ses teintes murales bleues lui confèrent un esprit très cosy et sa salle d’eau au coté rétro offre tout le confort nécessaire pour un séjour de tout repos. La suite Flavène, aux teintes très nature, se compose d’une chambre principale claire pour les parents, et d'une seconde pour 2 enfants (ou 2 adultes) à l'esprit très "cabane". La Anthocyane allie, quant à elle, l’ancienneté de la demeure à la modernité des équipements, en témoigne la présence de meubles d’antan associés à une décoration et des matériaux contemporains. L’anthocyane est la substance naturelle du raisin qui teinte les vins rouges Fort logiquement, cette couleur donne le ton de cette chambre. Le petit-déjeuner est continental et toujours inclus dans le prix de l’hébergement (Breakfast possible avec supplément et réservation la veille). De plus, Véronique et Xavier convient chaque soir leurs clients à partager la table d’hôtes autour d’un apéritif traditionnel suivi d’un repas complet En termes de r...
Au Château le Tros, la première bouteille fût produite en 1974. Lancé par la première génération des Jabouin, le grand-père fera l’acquisition des premiers 2ha après une carrière dans la mécanique. Il mettra aussi en place les premiers chais et les cuves inox. Véritable histoire familiale, le domaine continue sur cette lancée. Aujourd’hui, le petit-fils, Mathieu a repris les rênes et, en près de 40 ans, le domaine a grandi. Il s’étend désormais sur plus de 60 hectares répartis sur trois communes : Tizac-de-Curton, Génissac, Naujan et Postiac. Situé à 8km de Saint-Émilion au sud de la rivière Dordogne et à 25km à l’Est de Bordeaux. On y produit plus de 250 000 bouteilles chaque année dont une partie est exportée vers des pays d'Europe ou encore la Chine. Les vignobles du Château Le Tros Les vignes des 60 hectares du domaine sont cultivées sur un sol argilo-calcaire et un sous-sol de carrières, spécificité de l’appellation Bordeaux. La région, elle, jouit d’un climat océanique porté par l'Atlantique qui se trouve à proximité. Un avantage pour produire un vin de qualité mais un inconvénient puisqu’il faut parfois subir l’instabilité des saisons due principalement au réchauffement climatique. Soucieux de leur environement, la famille Jabouin a adapté depuis plusieurs années la culture dans le respect de la faune et de la flore. Ce qui leur permet aujourd'hui d'être labelisé Haute Valeur Environementale Niveau 3. On y retrouve les cépages les plus fameux de l’appellation dont notamment, le Sauvignon Blanc, le Sauvignon Gris et le Sémillon. Ces trois cépages occupent 8ha de parcelles sur le domaine. Le reste est composé pour les vins rouges de cépages en Merlot, Cabernet franc et en Cabernet Sauvignon. Les vignes sont vendangées mécaniquement. Exceptions faites de la Cuvée Dernier Carat et le Crémant de Bordeaux qui sont vendangées à la main. Ce dernier répondant aux normes du cahier des charges de l'appelation. Du vin de Bordeaux dans l’air du temps Producteur depuis 1978 avec le premier Château le Tros Rosé, le domaine embouteille aussi des vins rouges fruités et gourmands ainsi que des blancs frais et festifs. Des vins qui se veulent de qualité mais surtout accessibles à toutes les bourses. Parmi les vins qui se démarquent le plus, "Perles Noires" est un vin 100% Merlot issue de parcelles dont les sols sont composés de graves et de galets, un terroir très rare dans la région. A prendre en début ou fin de repas, ce vin présente un violacé profond. La cuvée "Perles Noires" est vinifiée en barriques de chêne français neuves et se boit au bout de 2 à 3 ans. Son niveau de qualité lui permet de tenir une garde de 10 ans minimum. Afin d’en apprécier toutes les subtilités, le vin atteint son apogée au bout de 4 à 5 ans. Quant au rouge "Tradition," véritable vin de qualité à petit budget, il affiche un goût en bouche plus léger . Véritable vin Plaisir, on y retrouve le goût de fruits rouges, la fraîcheur d’un vin issu de jeunes plants. Ce vin "passe-partout" se déguste aussi bien avec de la charcuterie que de la viande blanche. Les vins du domaine disposent d’une excellente réputation. La majorité des ventes se fait ainsi au bouche-à-oreille, la meilleure méthode marketing. La passion du producteur se ressent à travers chaque bouteille mais aussi le professionnalisme. Pour les assemblages, le domaine fait ainsi appel à Denis Galabert, un œnologue reconnu, qui fournit l’encadrement nécessaire pour la vinification et l’élevage. ...
Du cognac dans toute son authenticité. C’est la promesse faite par la maison Frapin à tous les amateurs de cette prestigieuse eau-de-vie, symbole de l’art de vivre français. Avec son vignoble exceptionnel, la maison Frapin incarne avec passion la grande tradition d’une famille installée en Charente depuis 1270. Le vignoble de plus de 240 hectares situé au cœur de la Grande Champagne, l'appellation la plus prestigieuse du Cognac, jouit d’un terroir unique qui apporte complexité, richesse, élégance et finesse aux cognacs. Des produits dont la régularité et la qualité se maintiennent depuis le XIX siècle… Une belle épopée familiale Difficile de parler de Cognac Frapin sans évoquer son historique familial dont le prélude s’entame au XIIIème siècle, lorsque la famille Frapin s’installe en Charente, à Ségonzac. À l’époque, elle se lance dans les activités de viticulture car le cognac n'existait pas encore. C’est à partir du milieu du XVIIème siècle que la production cognaçaise s’amorce. Pour symboliser la marque, la famille choisit la plume en hommage à François Rabelais, célèbre écrivain humaniste et épicurien, fils d’Antoine Rabelais et d’Anne-Catherine Frapin. D’ailleurs, des cuvées « Rabelais » ont également été produites au domaine pour faire honneur à cet illustre aïeul. L’histoire de Frapin est également liée à un autre grand personnage qui n’est autre que Gustave Eiffel. En 1889, à l’occasion de l’exposition universelle de Paris, Pierre Frapin reçoit une médaille d’or symbolisant la qualité des cognacs Frapin. « Les deux personnages font connaissance durant cet évènement. Trois ans après, en 1892, l’équipe de Gustave Eiffel est venue réaliser la charpente métallique d’un chai que l’on montre lors des circuits de visite », raconte l'équipe de communication. De la vigne au flacon Grâce à sa position géographique privilégiée au cœur de la Grande Champagne considérée comme le Premier Cru de cognac, la maison Frapin parvient à produire des vins sublimés par une intense richesse aromatique. « Des vins qui donnent ensuite naissance à des eaux-de-vie plus fines », tient à préciser Patrice Piveteau, Maitre de chai. Ici, seul le cépage Ugni-blanc est cultivé car il a pour atout d’offrir une certaine acidité et une plus grande régularité. Après les vendanges et la vinification, la magie s’opère lors de la distillation faite de façon artisanale. « Nous distillons tout sur lies car cette technique procure une meilleure richesse aromatique », fait savoir notre interlocuteur. Place maintenant au vieillissement. Toujours dans cette quête d’authenticité, le Maître de Chai mise sur deux styles qui diffèrent selon le type de chai. Patrice Piveteau nous explique. « Nous utilisons des chais humides posés à même le sol sur de la terre battue. L’évaporation modérée procure au cognac plus de rondeur et de souplesse. En parallèle, nous avons également des chais secs placés à l’étage sous les toits. L’évaporation accentuée donne un cognac plus fort et puissant avec plus de finesse. » De ces procédés minutieux et originaux naissent des cognac XO haut de gamme comme le XO VIP et l’EXTRA. Le Château Fontpinot XO Frapin mérite aussi toutes les attentions par son caractère exclusif. « Au niveau de la Grande Champagne, nous sommes la seule maison de cognac à détenir cette appellation Château ». Un savoir-faire à venir découvrir avec le circuit de visite que propose la maison toute l’année sur RDV. ...
En 2002, Mathieu et Gwenaëlle de Wulf rachète le domaine de Jas D’Esclans. L’ancienne ingénieure chimiste et le mari agriculteur décident de vivre de leur passion pour le vin et s’offrent l’un des vignobles les plus fameux de la région. Le Jas d’Esclans fait en effet partie des rares crus classés de Provence. Une classification obtenue en 1955, grâce à la qualité des sols, aux équipements et aux techniques de vinification. Outre cela, le vin produit sur place est également certifié « Bio » depuis 1990 par Nature et progrès et depuis 1992 par Ecocert. Une suite somme toute logique puisque depuis trois générations, les vignes sont élevées sans désherbants, ni insecticide, ni produits chimiques de synthèse. Sur place, ce sont 60 hectares de vigne dont dispose le domaine et 55 qui sont en production tous les ans. On y retrouve les cépages si chers à l’appellation grenache, mourvèdre, syrah, cinsault, et tibouren (le cépage local), pour les rosés et les rouges ; ugni blanc, clairette et rolle pour les blancs. Des vins à taille humaine Avec une production de 400 000 bouteilles par an, le domaine de Jas D’Esclans est avant tout un vignoble à taille humaine. Sept personnes y travaillent à l’année pour une production majoritairement destinée au marché local. Située sur les bords de l’Endre, le sol y est composé d’argiles rouges, de grès et de schistes de la période permienne issu de l’Esterel et des Maures. Alimenté par un climat marin, la mer se trouve à seulement 12km à vol d’oiseau. L’ensemble est protégé du Mistral par les collines environnantes. Les vignes sont travaillées à l’ancienne à travers des techniques qui respectent la nature et la biodiversité. Les techniques de culture consistent entre autres à chausser et déchausser régulièrement les sols pour permettre l’oxygénation de sols. En moyenne, les labours se font 10 fois par an permettant ainsi aux sols de favoriser la vie microbienne et l’enracinement profond des vignes. Outre des méthodes vertueuses d’élevage de la vigne, la vinification se fait également de manière naturelle notamment avec une cave entièrement construite en mode écoconstruction. Un éco-dôme qui vient perpétuer une tradition désormais familiale qui produit des vins de grande qualité. ...
Situé à Saint-Sauveur, une commune limitrophe de Pauillac, le Château Hourtin-Ducasse possède 25 hectares de vignes où sont présents 4 cépages : cabernet-sauvignon, cabernet franc, merlot et petit verdot. Une démarche résolument écologique Pour cultiver leurs vignes, Michel Marengo et son épouse privilégient depuis plus de 15 ans des méthodes respectueuses de l’environnement, en s’inspirant de l’agriculture biologique et de la biodynamie. Ils excluent d’utiliser du cuivre dans le traitement des sols ainsi que tout produit de synthèse. Ils se sont tournés vers l’utilisation d’huiles essentielles pour traiter les vignes, principalement celles d’auge, ortie, lavande, agrumes ou algue. Mais leur engagement écologique va plus loin puisqu’ils produisent de l’électricité via des panneaux photovoltaïques et qu’ils mettent à disposition deux bornes pour le rechargement des voitures électriques. De plus, ils accueillent sur leur domaine chauve-souris et mésanges bleues dans des maisonnettes. Ces 2 espèces se gavent d’insectes et de parasites et participent au « nettoyage » de leurs vignes. Leurs vins Le Château Hourtin-Ducasse ne produit qu’une cuvée de vin rouge chaque année pour ne conserver que le meilleur du millésime. Pour être sûrs de proposer le meilleur vin, accompagnés par un œnologue et par le responsable du chai, ils dégustent à l’aveugle plusieurs lots pour ne retenir que le meilleur assemblage, le plus représentatif de leur terroir et du millésime. Le vin est alors élevé dans des barriques en chêne afin de mettre le fruit en valeur et d’obtenir équilibre, finesse et élégance. Chaque année, le millésime raconte une histoire différente. Par exemple le millésime 2015 révélera un nez jeune, fermé, de fruits noirs compotés, légèrement mentholé. A la différence du millésime 2017 qui, lui, aura un nez fruité, charnu, soyeux, tendre, gourmand, typé cabernet-sauvignon avec une finale métallique typée. Le Château Hourtin-Ducasse produit également un excellent vin rosé. Travaillé comme un Côtes-de-Provence, il est le résultat d’un parfait équilibre entre cabernet franc et cabernet-sauvignon. L’objectif est de proposer un vin d’une agréable fraîcheur, pour partager des moments de plaisir. Toutes leurs étiquettes portent les principales informations également en braille. Ainsi la marque, l’appellation et le millésime sont lisibles par tous. Visite du Château Toue l’année, vous pouvez participer à des visites-dégustations du domaine. Après la présentation de la culture des vignes et une visite des chais, vous dégusterez plusieurs millésimes pour vous permettre de déceler les différentes expressions révélées par la magie de ce terroir. Autour d'une assiette de produits locaux (saucisson, fromage, cannelé, ...), vous serez peut-être séduits par la rondeur du 2007, la fraîcheur du 2008 ou la longueur du 2010, la minéralité du 2011, le fruit du 2013 ou la richesse du 2014. Pour la visite dite « Apéro », vous goûterez 3 millésimes. Pour celle « de 7 à 17 », vous survolerez 10 années de Château Hourtin-Ducasse, du 2007 au 2017, avec 4 millésimes dont le vin en primeur prélevé en barriques. Si vous choisissez « l’Ampélo », vous aurez l’occasion de découvrir en plus un échantillon du jus de chaque cépage utilisé, accompagné de sa baie. ...
2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...
Rendez-vous à Colmar, dans le charmant bar à vins La Vecchia Dogana, pour déguster les fameux nectars italiens autour d’une belle planchette de charcuterie. L’entreprise propose également la livraison et la création de cartes de vins pour des restaurants italiens. Mais sa plus grande fierté reste sa plateforme de vente en ligne qui regroupe aujourd’hui près de 300 références de vins et boissons italiennes (https://www.enoteca-divino.fr/). Un site où chacun trouve son plaisir Enoteca Divino collabore non seulement avec les grandes marques mais aussi avec des producteurs locaux. De cette manière, la boutique en ligne s’assure de répondre à tous les goûts et à tous les budgets. Les produits en question sont personnellement sélectionnés par Gianfranco Scalzitti, aujourd’hui à la tête de l’entreprise. « Je tiens à me déplacer pour rencontrer personnellement les producteurs et goûter leurs produits », confie-t-il. Pour les consommateurs, l’avantage de passer par ce service en ligne est qu’il optimise l’expérience d’achat. Enoteca Divino propose aux consommateurs d’acheter des produits frais, soigneusement conservés en cave jusqu’à expédition. Ainsi, les vins sont épargnés de tout risque d’altération dû à la lumière ou à l’écart de température. ...
L’Espagne détient le titre de troisième producteur de vins au monde, juste après l’Italie et la France. Soleil Rouge, à l’aube de ses vingt ans d’existence, continue de représenter fièrement la richesse viticole de ce pays, auprès des œnophiles et autres amateurs de vins. Comme un air d’Espagne À la manière d’une bodega, ce bar à vin, situé sur le boulevard Helvetique 32, propose un large choix éclectique de vins d’Espagne à déguster sur place ou à emporter. « L’idée est que les gens puissent venir boire un verre, découvrir les vins et éventuellement repartir avec une bouteille », explique Christian Gillieron, l’associé-gérant de l’établissement. Le répertoire compte environ 400 vins différents, dont du rouge, du blanc, du rosé, du mousseux, du cava, joliment rangés dans des caves. Allant des vins à partager autour d’un dîner aux cuvées haut de gamme pour des occasions exceptionnelles, la maison peut satisfaire toute demande, et ce, à un prix qui reste raisonnable. Mais les clients viennent aussi pour passer un afterwork ou une soirée entre amis autour des traditionnelles tapas maison que l’établissement propose comme accompagnement à la dégustation des vins. Ajouté à tout ceci la bonne vibration des musiques espagnoles lors d’un flamenco live ou des soirées DJ Tapas &Dance, chaque rendez-vous devient une fiesta au Soleil Rouge. Des cuvées pour tous les goûts Pour Christian Gillieron, le choix de célébrer la diversité des vins espagnols est venu tout naturellement. « J’ai passé toute mon enfance en vacances en Espagne, c’est un pays que j’affectionne particulièrement : la langue, le peuple, et surtout les vins », renchérit-il. Bercés sous un climat méditerranéen avec une influence océanique, les terroirs espagnols présentent des caractéristiques propres au pays, tout comme les vins qui expriment plus de concentration, de la finesse, et un arôme agréablement fruité. Quant à la sélection des vins, « le point de repère numéro un est la qualité, on veut avoir des vins qui ont du caractère, qui procurent de l’émotion », souligne notre interlocuteur. Ainsi, Soleil Rouge ne travaille pas forcément avec de grands exploitants, mais surtout avec des artisans viticulteurs qui s’engagent dans une démarche naturelle et biodynamique. Afin de promouvoir ces petits producteurs, l’établissement organise chaque mois une soirée dégustation, en offrant un prix préférentiel aux clients qui sont venus. En outre, il est aussi possible de commander tous les produits via le magasin de vente en ligne, et de se faire livrer à domicile. ...
À l’image du cadre dans lequel le Fairmont Royal Palm Marrakech évolue, la cuisine s’annonce sous différentes couleurs : traditionnelle marocaine, naturelle, moderne, à la croisée du style oriental et occidental… En découvrant les différentes tables de l'hôtel, les hôtes se lancent dans un véritable tour du monde culinaire. Juillet 2018 – Fairmont Royal Palm Marrakech accueille son nouveau Chef Exécutif, Serge Jost. Après trente années passées au sein de maisons toutes aussi prestigieuses les unes que les autres : le restaurant gastronomique Petrus à l'hôtel The Island Shangri-La à Hong Kong et les restaurants du Westin Mont-Royal à Montréal en autres, Serge rejoint en 1998 pour la première fois un hôtel Fairmont, l’iconique Reine Elizabeth à Montréal. Après huit belles années, il décide de poursuivre son engagement pour la marque et prend en 2006, les commandes des cuisines du Fairmont Château Montebello. Le style de Serge Jost intègre une riche palette d’expériences culinaires internationales, mêlant les traditions gastronomiques européennes à celles du terroir local, y ajoutant une influence asiatique et une présentation toute contemporaine. Sa cuisine célèbre la richesse des produits régionaux : « Je crois en une cuisine simple et diététique, présentée de manière sobre et élégante, qui permette aux arômes naturels, aux couleurs et aux textures de chacune se révéler par elle-même tout en se complimentant mutuellement. » L’Olivier, une cuisine méditerranéenne raffinée Quand le soleil marocain se dresse dans toute sa splendeur, l’heure est à la fraîcheur à l’Olivier où la cuisine adopte une allure légère mais surtout savoureuse. Tout en appréciant la vue sur la piscine de 2000 m² de l’hôtel, les hôtes dégustent avec délice « le pavé de saumon aux épices d’ici cuit au four tandoori » ou le très sollicité « carpaccio de saumon relevé par une marinade au goût acidulé et au doux parfum de vanille », servi avec des légumes croquants. Pour la fin du repas, « l’île flottante caramélisée aux amandes torréfiées » connaît toujours un fervent succès. Le Caravane pour un voyage culinaire Le Caravane accueille les adeptes du goût exquis pour un moment intime à savourer à deux ou à plusieurs. Une grande salle conviviale, des tables d’hôte, des salons privatifs ou la Table du Capitaine, il appartient à chacun de choisir l’espace où il appréciera l’attrait gourmand de la rôtisserie et des plats raffinés proposés à la carte. Mais, le Caravane, c’est surtout un restaurant offrant une riche cave à vins qui regroupe les meilleures bouteilles du monde pour accompagner avec harmonie les plats de viande, d’agneau, de foie gras et de poisson. Al Aïn, la cuisine marocaine Des zelliges un peu partout, du mobilier typiquement marocain, Al Aïn invite à une escapade culinaire dans le royaume des mille et une nuits. Les épices et les condiments du Maroc viennent relever les préparations traditionnelles, à l’instar du couscous, de la soupe Harrira Fassia et du Tride de volaille aux lentilles. La couleur locale, une cuisine authentique, une ambiance à la marocaine, le dépaysement est garanti ! Le Sabra, élégant et décontracté Après la découverte du Country Club et de son parcours de golf impressionnant, Le Sabra appelle les visiteurs à se délecter du cadre somptueux du Fairmont Marrakech sous la lumière du jour, à l’ombre des oliviers centenaires. Dans une ambiance décontractée, le restaurant du Country Club propose des préparations simples composées de produits de saison. Le « Burger House » figure parmi les incontournables, au même titre que « la salade gourmande et son œuf mollet » et le « Fish and chips, sauce tartare ». Pour se désaltérer Plongé dans une ambiance vintage, le Bar, avec sa musique jazzy et sa signature très british, s’ouvre aux amateurs de cigares, de cocktails et de sushis dans un cadre élégant....
Tous les chocolats de la Maison Dalloyau sont fabriqués à partir de Criollo, de Forastero ou de Trinitario. Ces grands crus sont finement sélectionnés et importés du Venezuela, de l’Équateur, de Madagascar ou encore de la Côte d’Ivoire. Du sur-mesure Pour l’Opéra et tous les enrobages noirs de ses bonbons de chocolat, Dalloyau utilise une couverture sur mesure, créée en exclusivité pour la Maison : le TANNEA® 72. Réalisé à partir de cacao à 72 % et de beurre de cacao à 42 % pure origine Madagascar, ce chocolat développe des notes fraiches et fruitées. Ses arômes, marqués d’agrumes, sont présents dès l’attaque en bouche avec une mise en avant de saveurs citronnées. Le savoir-faire des maitres chocolatiers Ganaches de pure origine et matières premières d’exception choisies pour leurs saveurs naturelles et intenses : les bonbons de chocolat Dalloyau sont réalisés par les maitres chocolatiers selon des techniques artisanales et des gestes précis. Gianduja, Praliné craquant, Rocher lait praliné, Irrésistible caramel lait, Infiniment lacté, Carré d’épices, Lait de vanille, Cœur de fruits, Pralinas, Rocher noir praliné, Irrésistible caramel noir, Infiniment chocolaté, Intense 80 %, Fleur de jasmin, Mogador, Lady Grey… Rien que leurs noms mettent l’eau à la bouche ! Plaisir au quotidien et grandes occasions La Maison Dalloyau propose des écrins carrés avec des assortiments de 25 à 144 bonbons en chocolat à offrir ou à s’offrir. Les tablettes au chocolat au lait ou au chocolat noir préparées à partir de chocolat pure origine Madagascar, agrémentées de noisettes entières, d’amandes entières, de fruits secs, d’oranges confites, de cacahuètes salées ou de céréales croustillantes, sont parfaites pour se faire plaisir au quotidien. Les bouchées triples (Rocher noir, Rocher lait, Infiniment noir ou Infiniment lait) font chavirer les plus gourmands. Quant aux truffes, elles sont exceptionnellement fondantes en bouche. Pour les grandes occasions, la Dentelle de chocolat est mise à l’honneur. Chaque pièce, réalisée avec du chocolat noir 100 % pure origine Madagascar (boite, œuf de Pâques, bûche), est unique. Des pâtisseries intensément cacaotées Côté pâtisseries, l’indétrônable Opéra, créé en 1955 par Cyriaque Gavillon, contribue à la réputation de la Maison. Sa ganache au chocolat mariée à une crème au café, posée sur un biscuit Joconde, continue à séduire de nombreux palais. L’amusant Échiquier émoustille les papilles des gourmands avec ses 3 chocolats. Quant à la Religieuse de rêve®, élaborée dans un moule unique qui a nécessité de la part des chefs 9 mois de recherche, elle ravit 6 à 8 convives avec sa crème légère et fondante, intensément cacaotée. Une production artisanale Tous les produits sont fabriqués de façon artisanale dans l’unité de production située en région parisienne. Ils sont exclusivement vendus dans les 39 boutiques de la marque (11 en France, 21 au Japon, 3 à Dubaï, 2 en Azerbaïdjan, 2 à Hong Kong) et sur Internet. En 2016, le Guide des croqueurs de chocolat a décerné pour la deuxième année consécutive la distinction de « Tablette d’or » à la Maison Dalloyau. ...
À Saint-Ciers-sur-Gironde, dans le département de la Gironde, près du port des Callonges se trouve un petit endroit calme et paisible propice à la dégustation de la bonne cuisine et d'une carte de cocktails élaborée par notre chef barman. Un cadre hors du temps La bâtisse en bois et les poutres apparentes renforcent vraiment l’idée de cabane. La salle lumineuse et épurée offre une vue imprenable sur l’estuaire. Cette guinguette du bout du monde est une cabane ostréicole aménagée offrant une invitation à une escapade romantique et conviviale. « C’est un endroit familial où on dîne au calme », nous confie l'équipe composée de Hugues, Cédric, Dorothée et Vincent. Sans plus attendre, venez prendre un apéritif au coucher du soleil, bercé par un rythme jazzy et ponctué par les clapotis de l’eau… un moment de détente inoubliable. Une cuisine au gré des marées… « Ici, on sert une cuisine bistronomique, simple et délicieuse, où des produits du terroir sont mis en valeur » nous disent-ils. L’estuaire de la Gironde est le plus grand d’Europe et regorge d’une grande variété de poissons migrateurs, au goût authentique et estival. Au restaurant, vous pourrez déguster notamment le bar, le carrelet ou plie, la crevette grise, la sole ou encore le mulet. La carte est alimentée par les produits frais du jour. Parmi les spécialités du chef, figure la salade césar en entrée, suivie du filet de poisson du jour et des œufs au lait en guise de dessert. Un bordeaux blanc « Prestige » du Domaine Cassard accompagnera à merveille ce repas aussi délicieux que copieux. ...
Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel. Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...
Dans un environnement fascinant, le Restaurant Hôtel Gavrinis se présente comme un lieu de repos incontournable où l’on peut se ressourcer tout en dégustant les succulents plats concoctés par Christopher Le Coq en collaboration avec le maître des lieux Serge Lignières. Un esprit maison de famille Après sa reprise par Serge et Quyen Lignières en 2004, le Gavrinis affiche un décor allégé. Il se trouve au cœur d’un environnement calme et harmonieux qui vous invite à la détente après une partie de golf dans un des 4 parcours à proximité ou des activités nautiques. Le cadre cosy et raffiné ne fera qu’accentuer le charme de sa cuisine gastronomique. Le décor intérieur de la maison s’inspire de l’environnement du golfe du Morbihan. La grande salle à manger baigne dans la lumière grâce à une ouverture sur la terrasse. La décoration reste dans un style naturel et épuré qui rappelle l’atmosphère bord de mer : galets, corde, raphia… Décidément, un air de vacances plane dans ce joli établissement. Une gastronomie audacieuse Issu de la gastronomie de luxe, Serge Lignières apporte innovation et raffinement à la cuisine traditionnelle bretonne. En cuisine Christopher Le Coq et son équipe misent davantage sur les poissons et fruits de mer. Pour l’étonnement et le plaisir de vos papilles, des saveurs exotiques et mélanges audacieux sont associées pour relever l’authenticité des saveurs locales. Le Chef adapte ses plats aux saisons, les poissons et crustacés sont choisis en fonction de la pêche et la majorité des légumes sont cultivés biologiquement sur Baden. Les saisons, les inspirations et les rencontres orientent l’évolution de la carte du restaurant Gavrinis. La cuisine est « fait-maison », même le pain. Vos papilles se délecteront des plats proposés dans les menus « saison de la truffe », « inspiration terroir », ou encore « esprit d’équipe ». La « Noix de coquille saint jacques tièdes farcie de truffes noir mélanosporum Salade maraichère et heliantis à l’huile de truffe », ou le « FOIE GRAS DE CANARD en terrine fait maison, servi avec un chutney du moment » raviront les gourmets. Ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance de douceur et de bien-être. En travaillant avec des viticulteurs indépendants et majoritairement bios, la maison offre une sélection de vins de qualité qui s’accordent harmonieusement aux mets. Petit bonus : il vous convie également à choisir un thé issu de la gamme subtile de la Maison des Trois Thés, « le plus grand cave à thés au monde », créé par le maitre Tseng dans le respect ancestrale de la tradition chinoise. Un service attentif et rigoureux En quête permanente de satisfaction pour lui et pour ses convives, Serge Lignières s’est fixé des objectifs de qualité et de rigueur. Cette exigence l’a poussé à confier les fourneaux à Christopher Le Coq pour garantir, finesse, saveurs et régularité des mets servis. Le Chef aime particulièrement approcher ses clients en toute discrétion et convivialité pour leur faire part de sa passion des associations mets et vins étonnantes où le thé peut y trouver sa place très élégamment. Cette rigueur de service est étalée à l’ensemble de l’établissement. Ayant une forte expérience en tant que gouvernante générale auprès de nombreux hôtels de luxe à Paris, la maîtresse des lieux Quyen Lignières utilise aujourd’hui ses compétences pour rendre le Gavrinis accueillant, chaleureux et convivial. Elle s’occupe personnellement de l’accueil et de la gestion de l’hôtel. ...
Fromage au lait de vache entier, à la forme unique et au goût authentique, fabriqué dans le respect de traditions ancestrales, le Langres doit sa renaissance dans les années 1950 à quelques fromagers passionnés. Ses origines Connu depuis le XVIIIe siècle, le Langres est évoqué pour la première fois par le prieur des dominicains de Langres. Un siècle plus tard, un livre dédié à la production fromagère le compare au Maroilles et au Livarot. Alors qu'à l’origine il est fabriqué essentiellement pour une consommation familiale et locale, la production de Langres s'élève à près de 1 000 tonnes à la fin du XIXe siècle. Les fromages sont alors expédiés vers Paris, vers l'est de la France, et parfois même vers la Suisse. Cette période florissante voit le développement du Langres jusqu'au début du XXe siècle, avant qu'il ne tombe dans l'oubli et manque de disparaître dans les années 1950. Parce qu'il est un savoir-faire préservé, le Langres a obtenu en 1991 sa reconnaissance en appellation d’origine contrôlée (AOC), puis en 2012, celle d'appellation d’origine protégée (AOP) grâce à la mise en place d'un cahier des charges strict. Un bon fromage artisanal La fabrication du Langres n'a que peu évolué au fil du temps. La première étape de la fabrication est l'emprésurage au cours duquel le lait est mis à cailler. Lorsque le caillé est suffisamment ferme, il est tranché avant d'être mis dans des moules où il s'égouttera pendant environ 24 heures. Démoulés, les fromages sont salés à sec et séchés sur grille. Lors de l'affinage, ils sont frottés avec une solution additionnée ou non de rocou. La fontaine du Langres, cette petite cuvette à son sommet, est sa caractéristique essentielle. Elle est obtenue naturellement, car le fromage n'est jamais retourné au cours des différentes étapes de sa fabrication, mais toujours posé du même côté. Traditionnellement, certains Langres sont affinés au marc de Bourgogne ou de Champagne, versé dans la fontaine. Comment déguster le fromage de Langres ? L'AOP Langres est un fromage à la pâte fine et fondante et à l'odeur de crème. Sa saveur, d'abord fruitée et lactique (goût de yaourt, de crème), devient plus typée avec l'affinage du fromage, mais toujours sans outrance. S'il est avant tout un fromage de plateau, traditionnellement servi en fin de repas, le Langres révèle également toutes ses saveurs en cuisine : chausson de volaille au Langres, profiteroles au Langres, croustillant de Langres… Son association avec un vin de cépage chardonnay est idéale. ...
Avec ses magnifiques poutres bicentenaires, sa salle de 180 m2, ses tables grandement espacées et ses 12 m sous plafond, cette magnifique grange au nom évocateur séduit par sa cheminée centrale. Telle une capsule dans le temps, elle abrite par ailleurs un petit coin de paradis d’une autre époque, tant au niveau du luxe que celui du décor. Dans une ambiance chaleureuse et romantique où le temps date d’une autre époque, La Grange aux dîmes propose une cuisine moderne au gout du jour, tout le temps revisitée… Une cuisine gastronomique plus que traditionnelle, où de petites notes exotiques s’ajoutent au terroir français. Souhaitant être le plus proche possible des producteurs, l’enseigne aime travailler frais et acheter local, en sélectionnant des matières premières de qualité, tout en essayant vraiment de chercher le côté original des produits. Un menu unique, clin d’œil aux produits locaux Découvrez son menu à 38 € du midi et du soir, composé de 2 entrées, 2 plats et 2 desserts au choix. À goûter absolument, ses Coquilles Saint-Jacques au panais et jus de barbe poêlées juste comme il faut pour en faire ressortir le gout, son délicieux Filet de Bavière au caviar de courgettes et aux pommes fondantes, préparé avec de la viande de Bavière maturée pendant plusieurs semaines, son Croquant de noisettes à la mousse de châtaignes et petites meringuettes ou son dessert tout chocolat aux kumquats confits. Une mention particulière également pour la cuisson toujours parfaite et à la nacre du chef pour le Thon saisi et sa variété de choux, une de ses plus belles signatures. Pour accompagner chacun de vos repas, La Grange aux dîmes dispose d’une très belle carte des vins, qui met en avant tant les grandes appellations que les petits propriétaires. Des grands bordeaux aux champagnes, une riche sélection vous attend. Le Domaine Reignard, le Pouilly Fumé La Doucette ou encore la Maison Joseph Drouhin sont quelques références phares proposées par le restaurant. ...
Cette bière était brassée au sein même de l’abbaye de Tongerlo, il y a déjà 110 ans. Hélas, la première guerre mondiale mit un terme abrupt à cette tradition, puisque l’occupant allemand réquisitionna les cuves pour en utiliser le cuivre. Après de nombreuses pérégrinations avec leur bière, les moines Prémontrés de l’abbaye trouvèrent enfin la quiétude auprès de la brasserie Haacht, en 1990. En échange de la licence accordée, la brasserie apporte son soutien à une communauté monastique des plus dynamiques de Belgique. Brasserie Tongerlo : tradition ancestrale pour une bière blonde aux aspects cuivrés et aux arômes de miel... Le choix des moines s’est porté sur une brasserie à caractère familial, qui attache une grande importance à la qualité et à l’authenticité. Cette attitude se laisse découvrir à chaque dégustation de la bière Tongerlo. Fidèle à leur devise présente sur les portes de l’abbaye du 14e siècle, « Festina Lente » (« se dépêcher lentement » en latin), les moines préconisent que cette bière brassée avec savoir se déguste avec sagesse. Bière blonde aux teintes cuivrées de fermentation haute, la Tongerlo se distingue par son délicat arôme de miel et sa douceur en fin de bouche. Elle est tout en rondeur. À noter également que, courant 2017, la bière présentera une nouvelle identité visuelle plus moderne déclinée sous trois formats : pack de 6 x 25 cl, boîte de 50 cl et bouteille de 75 cl. Aujourd’hui, l’abbaye se visite et vaut le détour. ...
Dirigé par la famille Petit, cet établissement entièrement rénové en 2012, axe sa cuisine sur son savoir-faire et sa passion pour le produit donnant naissance à un bistrot grill spécialisé dans les viandes et poissons grillés. Longé par la Mourachonne, petite rivière affluent de la Siagne ayant donné son nom au restaurant, il offre une atmosphère chaleureuse et exotique. Un restaurant riche en histoire Niché au cœur de Pégomas, ce restaurant fût jadis la boulangerie du village. Sa localisation centrale sur la place du Logis a toujours fait de cet emplacement un lieu de passage pour rallier le littoral. Au fil du temps, cette bâtisse faite de pierres de taille entièrement rénové à inspirer la famille Petit pour y créer ce lieu de ralliement dédiés aux passionnés de viandes et de produits du terroir. Dans cet endroit élégant et chaleureux où règne une ambiance authentique, les valeurs culinaires artisanales et l’esprit convivial de partage sont à l’honneur. La décoration et les matériaux choisis offrent un savant mélange entre chic et modernité. La salle principale baigne dans une luminosité grâce à une véranda entourée de baies vitrées donnant directement sur le jardin exotique en bambou. Le Grill M, c’est ainsi un cadre raffiné dans une atmosphère conviviale et familiale, à travers une équipe avenante vous faisant découvrir avec enthousiasme leur vision de la gastronomie. Rencontre avec les chefs Le restaurant vibre autour des deux maestros en cuisine. D’un côté, Lionel Loterie qui assure la direction de la cuisine et partage son amour pour la gastronomie française. D’origine parisienne et fort de ses nombreuses années d’expérience dans la capitale puis à l'embouchure marseillaise, ce chef propose des suggestions où souci du détail s’allie à l’art de la présentation des assiettes. Sa signature se reconnaît à travers la cuisson des poissons travaillés avec soin et au juste dosage des épices du monde qu’il peut associer à ses compositions. Il s’est également bâti une solide réputation dans l’univers de la pâtisserie. Quant à Michel Pietrus, il est l’autre atout du Grill M. Ce chef cuisinier, originaire des Antilles offre une cuisine riche et généreuse aux saveurs provençales, pleines de soleil. Il propose un incroyable voyage culinaire issu de son pays natal et de son expertise où viandes, marinades, et saveurs exotiques font partie de ses spécialités et de son identité. Une cuisine spécifique Le Grill de la Mourachonne doit sa notoriété à son bistrot grill qui met à l’honneur les viandes et les poissons grillés. Pour ce faire, les chefs travaillent en étroite collaboration avec les éleveurs, producteurs locaux et régionaux. Soucieux d’offrir des produits de qualité et dignes de ce nom, l’établissement s’approvisionne par exemple chez des éleveurs bien connus comme l'éleveur boucher Polmard ou encore le château Pesquié pour ses accords mets-vins. Une rigueur qui se reflète au travers de la carte et des suggestions quotidiennes recherchées et créatives. Pour réaliser cette cuisine faite maison, l’établissement s’attache à la recherche des beaux produits issus du terroir. Avec les producteurs locaux, il cultive des valeurs qu’ils défendent en commun : manger frais au fil des saisons avec une traçabilité optimale. ...
« Devenir acteur de notre alimentation », c’est en ces mots que Patrick Elziere explique les motivations qui l’ont poussé avec son associé Philippe Boissel à lancer la marque Monsieur Appert. Le concept : proposer des conserves préparées à base de produits du terroir. « Nous avons décidé de remettre au goût du jour les conserves qui n’ont pas toujours eu bonne presse pour en faire de très beaux produits. », fait savoir notre interlocuteur. La spécialité de la maison consiste à proposer surtout des fruits et légumes « pas toujours bien valorisés dans le commerce surtout sur le marché des conserves. » Ces matières premières sont sélectionnées selon la saisonnalité et, comme le bon vin, deviennent des millésimes. Un travail de haut niveau Les produits de la Maison Appert se distinguent pour leur qualité où le terroir est mis en avant à sa juste valeur. Récolté dans les meilleures conditions et de façon naturelle, chaque fruit et légume, issu de l'agriculture biologique et raisonnée, est travaillé artisanalement. « La priorité de la Maison Appert est de préserver au maximum l’écosystème afin de rendre à la nature ce qu’elle a donné », précise Patrick Elziere. L’étape la plus importante, qui est la transformation des aliments, est faite par une équipe de chefs créatifs, avant la mise en bocal. De la fraîcheur gourmande Utilisant des produits nobles et typiques, Monsieur Appert désire avant tout réinventer, et transcender les Légumes et les Fruits se déclinant en plusieurs gammes : tartinades, pickles, chutneys, aides culinaire, fruits au sirop, accompagnement (ratatouille, purée de butternut par exemple). Parmi ses produits phares figure la compotée d’oignons rosée de Roscoff, fait avec 92 % d’oignons de Roscoff (AOP), de l’ail rosé de Bretagne, de la graisse de canard, du sel, du thym, du laurier et de l'arôme naturel de fumée. S’ajoute à cela le citron de Menton confit dans son huile (artisanalement), qui accompagne bien les salades aux fruits de mer ou un bar au four. Un des produits les plus prisés par la clientèle est l’écrasée de pomme de terre, l'andouille de Guémené au beurre, qui rappelle la bonne cuisine bretonne. Pour des moments sympas et intimes, en tartine ou en apéritif toutes les recettes de la gamme Monsieur Appert ont été étudiées afin que chaque produit puisse s’adapter selon les besoins et les envies de chacun. Un concept plutôt classique et accessible à tous qui permet de goûter à la haute gastronomie chez soi avec des produits 100 % sains, nature et délicieux. À rappeler que les produits Appert sont testés avant d’être mis à la vente et que la conservation se fait naturellement sans sans additifs, adjuvants ni colorants. Une charte qualitative précise est respectée, s’appuyant sur un réseau de producteurs locaux issus d'une agriculture de qualité dans un rayon de 250 km autour du lieu de transformation. ...
Dans un décor lumineux à l’ambiance intimiste et chaleureuse, L’Envergure est très certainement « le restaurant qui possède la plus belle vue de Chamonix », précise Louise Lahiani, la directrice. Il offre surtout une belle découverte culinaire à travers une cuisine préparée selon les inspirations d’un chef créatif. L’Envergure privilégie « les produits de saison 100 % frais, sans aucun produit surgelé », souligne Louise Lahiani. Dans un voyage gustatif aux saveurs inattendues dont il a le secret, le chef aime surprendre avec ses plats mariant saveurs du Sud et produits savoyards. Une cuisine pleine de fraicheur Le restaurant du Best Western Plus Excelsior Chamonix Hôtel & Spa s’adresse à tous ceux qui souhaitent se laisser surprendre par une cuisine généreuse et raffinée. « De belles déclinaisons de couleurs, de formes et de volumes les attendent », nous souffle la directrice. L’établissement travaille dans la mesure du possible avec « des producteurs locaux tout autour de la Haute-Savoie », renchérit-elle. Une assurance pour les clients de gouter à des produits 100 % frais. Une cave à vins aux accents régionaux Le restaurant L’Envergure est particulièrement apprécié pour la diversité de sa carte des vins, qui « va de tarifs accessibles à des vins plus renommés », à travers diverses régions de France. Un soin tout particulier est porté sur le conseil pour offrir aux clients les meilleurs accords mets et vins. Des formules adaptées aux besoins des clients Le restaurant L’Envergure sait également s’adapter aux besoins de ses convives en proposant « une formule midi à 21 € avec entrée/plat ou plat/dessert et, le soir, une formule à 29 € avec la suggestion du jour », explique Louise Lahiani. Il offre également des plats-signatures comme la canette fumée, un plat qui fait la renommée de la maison et qui est réclamé le plus souvent par les habitués. ...
Nous sommes en 1967 lorsque des viticulteurs, animés par une passion commune pour le vin, décident de fonder une cave en hommage à leurs terres. Véritable ambassadrice d’un patrimoine commun, cette cave se trouve être le point d’orgue de l’excellence de la culture vitivinicole du Haut-Languedoc. La noble quête de la qualité Ce sont près de 80 viticulteurs qui s’attellent à offrir le meilleur de leurs vignes plantées en coteaux au travers des cuvées emblématiques. Leurs parcelles ont été sélectionnées en se basant sur leur qualité, leurs points communs, ainsi que la maturité de leurs raisins. « Cette sélection parcellaire, effectuée avant les vendanges manuelles, permet d’identifier le potentiel de chacune de ces parcelles », nous explique Alain Rogier, Directeur Général de la cave. Les cépages, pour ne citer que la syrah, le mourvèdre ou encore le grenache noir, bénéficient également d’un traitement phytosanitaire respectueux de l’environnement et préservant le goût de chaque grappe. Chaque cuvée devient ainsi un fidèle représentant de ce terroir bénéficiant de trois appellations : l’appellation Languedoc, l’appellation Saint-Chinian et l’appellation communale Saint-Chinian-Roquebrun. Cette dernière, octroyée en 2004, fait la fierté de ces artisans de la terre et la particularité des cuvées de la cave de Roquebrun. Dans cette unité vinicole, « le processus de transformation du raisin au vin se fait [d’ailleurs] sous l’égide d’un œnologue qui n’est autre que le Directeur de la Cave », précise notre interlocuteur. À ce gage de qualité s’ajoute le fait que cette cave « est bâtie sur le modèle des caves du Beaujolais par l’existence d’un plateau de macération carbonique », continue-t-il. Les vins de la cave bénéficient ainsi d’une typicité basée sur une aromatisation naturelle poussée. Égayez ainsi vos instants gourmands de ces vins aromatiques à souhait, à l’instar de la Grange des Combes, un 50 % syrah raffiné et doté d’un bouquet élégant, ou d’une Roches Noires, un 60 % syrah au nez accompli et à la bouche exquise. ...
Né d’un financement participatif, Un Coin Sur Terre est un domaine où la dimension humaine a toute son importance. Des vins authentiques Dans ce vignoble labellisé Ecocert, situé dans le Gard, le cépage mourvèdre est roi. Aux vignes comme au chai, aucun produit chimique n’est toléré et la vinification se fait de façon naturelle. Résultat, des vins de qualité, sans sulfites, à l’image de la cuvée « Intuition ». Issue de 80 % de mourvèdre et de 20 % de syrah, celle-ci séduit par sa fraicheur et son côté fruité. ...
Chaque jour, en salle ou en terrasse, ce repaire d’amateurs de grillades ou de cassoulet célèbre dans la bonne humeur l’art de la bonne bouffe où la viande est consacrée reine. Au Chevillard, que la fête commence ! Au menu de ce bistro, des spécialités issus de nos terroirs composés de beaux produits uniquement. Une cuisine traditionnelle mijotée avec amour, faite de passion et revisitée grâce au savoir-faire du chef Olivier Ribourt. À la direction de ce restaurant, Laurent Perris, digne successeur de son beau-père Tony Carmen, qui perpétue cet héritage unique pour le plus grand bonheur de ses clients et des nostalgiques des Halles d’autrefois. D’authentiques produits Bœuf de Simmental, agneau du Lot, viandes de l’Aveyron, canards de la Maison Samaran, charcuteries, saucisses de Toulouse, jambons, boudins, Pata Negra de Bellota Pura de l’artisan-charcutier Garcia, sélection du fromager-affineur de la célèbre Maison Betty à Toulouse. On l’aura compris, Le Chevillard est à la quête de produits d’exception et des meilleures adresses que compte la ville rose. Cet établissement, devenu la cantine de prédilection des Toulousains, propose midi et soir une sélection des meilleurs produits gourmands de nos terroirs. Labellisé « Maitre restaurateur », distinction indépendante et très officielle permettant aux clients de repérer les établissements d’excellence, Le Chevillard rend hommage aux produits nobles, frais et de saison, au manger local privilégiant les circuits courts et surtout à une cuisine du tout fait maison. Une tradition, un esprit, un savoir-faire perpétués maintenant depuis plus de 20 ans par ce restaurant. La viande à l’honneur À la lecture de la carte, les spécialités du chef sont nombreuses. En entrées, la salade de pot-au-feu au gros sel, un des plats signatures de la maison, ouvre l’appétit et semble faire l’unanimité ; ou bien encore les filets de rougets frais à l’huile d’olive ou les sardines marinées aux poivrons rouges feront l’affaire. Parmi les suggestions « canailles du Chevillard » : une poêlée de boudin à l’oignon accompagnée de pommes vapeur ; une cassolette d’andouillette à l’ancienne, dont la cuisson colorée et déglacée au vin blanc avec justesse est servie accompagnée d’une sauce moutarde à l’ancienne, le tout légèrement gratiné. Pour les plats, c’est la viande qui est à l’honneur. La maison Chevillard propose une variété de viandes de qualité gouteuses, persillées, sélectionnées et travaillées avec soin par le chef. Ici, les cuissons sont au charbon de bois. En bouche, la viande au grain fin et à la chair rose offre toute sa jutosité et livre toutes ses saveurs aromatiques. Grillades d’agneau du Lot, pièces de bœuf de Simmental ou de l’Aveyron, abats avec rognons ou pavé de foie de veau au xérès ou au marsala sont proposés pour les amateurs éclairés de bonnes viandes. À découvrir également, dans la catégorie des « gourmandises du Chevillard » des spécialités incontournables propres à Toulouse comme le cassoulet maison aux manchons de canard ou, pour 2 personnes, la côte de bœuf sauce marchand de vin et sel de Guérande : un classique mais un pur régal. Côté desserts, il faut absolument compter sur le fromage du jour sélectionné avec soin par le célébre fromager-affineur Betty. Cet établissement travaille depuis des années en étroite collaboration avec le Chevillard. Également, le vacherin fait maison à base de meringue fourrée de glace masqué de crème chantilly accompagné, suivant l’humeur du chef, de fruits confits et d’un coulis de framboise ou de fraise est un choix judicieux pour finir sur une note sucrée. Outre la carte, l’établissement propose deux formules. Un menu à 24 € avec entrée, plat et dessert ou une formule du midi à 15 € avec un plat et une entrée ou un dessert. Des formules simples, abordables et de qualité, qui font tout le succès de cette brasserie devenue l’adresse incontournable sur Toulouse pour déjeuner ou diner entre amis en toute convivialit&ea...
La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...