Situé dans la ville médiévale de Mirepoix, à mi-parcours entre Carcassonne et Foix, le restaurant Le Commerce est une vitrine ouverte sur un héritage de plusieurs générations qui est toujours resté dans le giron de la famille Puntis. Jouissant d’un emplacement privilégié au cœur de l’Ariège, l’établissement séduit par son cadre rustique, à l’ambiance campagnarde où les saveurs ariégeoises sont autant de plaisirs à retrouver qu’à découvrir. Une cuisine aux accents de terroir Confortablement installée dans une région riche en histoire dans le Pays cathare, le restaurant Le Commerce propose une cuisine élaborée à partir de produits frais et de région, avec chaque jour un arrivage de poissons frais. Sous l’impulsion du chef André Puntis, qui tient aujourd’hui les rênes de l’établissement, les plats sont concoctés avec passion, dans le respect des traditions, avec des recettes jalousement conservées et transmises de père en fils. À travers une cuisine généreuse qui privilégie les produits du terroir, le restaurant constitue une adresse incontournable où familles et amis aiment se rendre pour partager un bon repas et où il fait bon profiter d’une ambiance conviviale. Un cadre sympathique aux tons chauds Le restaurant Le Commerce est un établissement au charme d’antan qui jouit d’un cadre particulièrement agréable. Les lieux permettent notamment de gouter aux plaisirs de la table à l’ombre d’une magnifique terrasse ombragée où sont servis les repas en période estivale. Sa salle aux tons chauds rassure les plus exigeants et lui confère une ambiance familiale au cadre rustique. Dans ses propos, André Puntis décrit « un établissement d’une capacité d’accueil de 70 couverts en terrasse et une soixantaine en salle avec la possibilité d’abriter à la demande tout type d’événements selon la disponibilité ». Une belle alliance mets-vins Proposant de belles alliances en matière de vins, le restaurant Le Commerce dispose d’une cave à vins particulièrement fournie dans un bon rapport qualité/prix. Parmi les références les plus connues figurant sur la carte, on peut notamment citer les Côtes de Malepère, le Vacqueyras, le Gigondas ou encore la Clape AOC ainsi que « plusieurs produits régionaux » selon les précisions d’André Puntis. Les clients peuvent à la demande, solliciter les suggestions du chef pour connaître les meilleures alliances afin d’accompagner certains plats. À travers ses connaissances et ses expériences, il se fera un plaisir de les conseiller. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
La famille royale danoise est propriétaire du château de Cayx depuis 1974. Son Altesse Royale le Prince Henrik de Danemark, époux de Sa Majesté la Reine, a passé une partie de son enfance dans la région de Cahors, plus précisément à Albas, où son père, le comte André de Monpezat, possédait un domaine viticole : le château Cayrou. Le famille des Monpezat est à l’origine native du Béarn. La reine et le prince ont restauré le château de Cayx, qui fut au XVIIIe siècle la propriété du poète et écrivain Lefranc de Pompignan. Le domaine existait déjà, selon toute probabilité, pendant la guerre de Cent Ans. Les vignes entourent le château comme c’était probablement déjà le cas du temps de Lefranc de Pompignan, dont le domaine produisait des vins envoyés un peu partout en France. Le vignoble du domaine Juché sur un flanc de colline, le château de Cayx domine le hameau éponyme, dans la vallée du Lot. Autour se déploient les terrasses de vignes, plantées à majorité de malbec. Les sols, composés d’éboulis de calcaire du causse et de graves, donnent des vins riches et aptes à la garde. Le domaine produit chaque année dans son chai environ 140 000 bouteilles de vin rouge, blanc et rosé. Des vins puissants, subtils et fruités, élevés, pour les plus élaborés, en futs de chêne pendant de longs mois. Vinification : la passion de la perfection Le château de Cayx s’engage dans une démarche exigeante en vue d’atteindre l’excellence. De la culture des vignes à la vinification, chaque étape du processus reçoit une attention particulière. Les sols sont traités écologiquement et l’enherbement préserve le caractère du terroir. Les vendanges en vert permettent d’atteindre des rendements maitrisés. Après l’élevage en fut, la mise en bouteille se fait au château afin de conserver les subtilités du terroir exprimées par le malbec. Gamme des vins : Cuvée Majesté, Château de Cayx, Marches de Cayx et La Cigaralle Les vins expriment toute la typicité du terroir. Un caractère subtil, que le prince Henrik de Danemark préfère traduire en quatrain : « Cahors de cœur / Des vins seigneurs / Du Lot la fleur / De Cayx l’honneur ». La Cuvée Majesté est une petite cuvée, pas plus de 5 000 bouteilles par an, issue des meilleures parcelles du domaine, avec un rendement de 35 hectolitres par hectare. Le raisin est vendangé, égrainé à la main, puis vieilli en fut de chêne pendant 24 mois. De la « petite dentelle », comme on appelle dans le pays, les vins dont on prend grand soin. La Cuvée Majesté est servie chaque année depuis 2008 à l’anniversaire de la reine de Danemark. La concentration du vin évolue vers la truffe. La Cuvée Majesté accompagne les viandes rouges, le fromage, le magret, et en particulier deux recettes danoises : le porc rôti à la purée de pommes et le gule erter, une variante locale du cassoulet. Fleuron de la propriété, le Château de Cayx porte un rouge à la noblesse et à l’élégance dignes d’une lignée royale. L’élevage en fut jusqu’à 18 mois confirme l’excellente maitrise de l’extraction du vin. D’une robe pourpre, le vin offre des aromes délicats de fruits rouges relevés par le caractère intense et charnu du malbec. En bouche se révèlent des notes épicées fondues dans un tanin soyeux. L’alliance de douceur et d’élégance en fait un des grands vins de Cahors. D’un bon potentiel de garde, le Château de Cayx se sert chambré à 19 °C. À présenter avec un magret de canard aux cerises ou un gigot d’agneau de Quercy. Les Marches de Cayx est vin composé à 90 % de malbec et 10 % de merlot. Les sols argilo-calcaires et une exposition ensoleillée donnent à ce vin un caractère frais et aimable. Sa robe est d’un rouge profond. Au nez s’expriment des aromes soutenus de fruits noirs avec des notes de prune et de m&...
L’histoire du Château Cadet-Bon commence au XIVè siècle, quand Jacques Bon a planté sur le coteau nord de Saint-Emilion la première vigne. Déjà en 1867, le produit du terroir a contribué au succès des grands vins de la région à l’Exposition Universelle de Paris. Après une longue période de rénovation et d’études du terroir, le Château produit depuis quelques années des millésimes de grande qualité. Vingt ans de travaux et de succès Le vignoble du Château Cadet-Bon s’étend sur une surface de 6ha. Avant de devenir l’une des références dans son domaine, le Château a beaucoup investi dans l’optimisation de son terroir. Pendant les 5 premières années, les propriétaires travaillent en collaboration avec des consultants et des spécialistes en œnologie pour les accompagner et pour établir une cartographie. La douceur et le raffinement des vins du Château Cadet-Bon viennent ensuite du traitement de la vigne depuis la plantation jusqu’à la vinification, en passant par les vendanges. En effet, dès l’acquisition de la propriété, Michèle et Guy Richard arrêtent l’utilisation d’herbicides. Afin de préserver la qualité des vignes, ils optent pour une récolte manuelle et créent un système innovant de manière à minimiser les manipulations lors du transport et de l’encuvage des fruits. Le château utilise en outre la méthode du pigeage pour la vinification afin d’extraire délicatement les arômes des raisins. Ce travail soigné du terroir et de la vigne a permis à la marque de produire l’un des meilleurs vins de Saint-Emilion. Château Cadet-Bon – le choix des œnologues et des dégustateurs Dans le but d’avoir une vision générale de son terroir, le Château Cadet-Bon participe régulièrement à différents concours. Il organise aussi des dégustations lui permettant d’avoir les avis de différents œnologues et de créer un meilleur vin à l’avenir. Grâce à cette volonté d’atteindre l’excellence, le Saint-Emilion Grand Cru Classé du Château Cadet-Bon a obtenu des médailles d’Or aux Vinalies Internationales de 2021 et de 2022. Il a également gagné - entre autres récompenses - des médailles d’argent au Decanter Wine Awards 2021 et au concours organisé par Terre des Vins cette année. Outre les médailles, les notes données par les dégustateurs œnologues témoignent aussi de la qualité du vin du château. Chaque année, le Château Cadet-Bon continue de produire un nouveau millésime qui ne manque pas de marquer les connaisseurs. Parmi les meilleurs, celui de 2019 se distingue par ses délicieuses notes de fruits, sa souplesse et sa longueur en bouche. Il se trouve parmi les millésimes les mieux notés primeurs. ...
Réaliser son propre vin, trouver l’équilibre entre les arômes des cépages, décrire les émotions au nez, en bouche : Le Maitre de Chai entretien une relation subtile avec le temps et la nature. Son métier fascine, intrigue ou force l’admiration depuis des siècles. Aujourd’hui, l’occasion est donnée pour vivre en famille ou entre amis cette expérience sensorielle et ludique : celle de la conception d’un vin prestigieux. L’idée naît dans l'esprit inventif de Christine de la Guéronnière. Issue d’une famille de vignerons et d’artistes, cette vinificatrice rejoint le domaine familial en 2015, après avoir excercé dans le commerce international. Inventive, animée par la dimension de partage et la passion d’un métier porté par les siens depuis 1928, elle joint l’art à l’artisanat dans ce jeu audacieux, olfactif et instructif. Créer un grand vin de Bordeaux : mode d’emploi écriVins parle des grands vins libournais. Dans le coffret, se présentent élégamment 3 bouteilles de vin monocépages (Merlot, Cabernet Franc, Cabarnet Sauvignon), 4 pipettes en verres, 4 supports de jeu, des cartes d’aides à la description sensorielle et une carte des règles du jeu. Celui-ci se déroule en trois parties, amenant les participants à reproduire de grands vins avant de concevoir le leur. Cinq AOC Pomerol, puis cinq AOC Saint-Emilion classés Grand Cru livrent ainsi leurs secrets, via une approche empirique. Une fois ces saveurs historiques assemblées, goûtées, notées, les joueurs (jusqu’à 4) s’adonnent aux derniers assemblages, ceux-là même qui définiront leur propre création. L’expérience est complète mais ne s’arrête pas là. Le vin réalisé in fine peut être commandé sur Internet. écrivins vous en proposera une caisse de 6 bouteilles, habillées d’une étiquette à votre nom ou celui de votre choix. Le jeu est également rechargeable sur leur site et chez les cavistes partenaires. Un écrin de bonnes idées au service des vins du terroir S’il s’adresse aux particuliers, écriVins est aussi un support didactique et soutenant, tendu vers les viticulteurs Libournais. Vignobles, caves, bars à vins, peuvent ainsi disposer d’une animation oenologique "clé en main", originale et dynamique. L’art de l’assemblage participe à dorer les notes de noblesse des grands vins de Bordeaux mais reste parfois méconnu à l’international, souvent plus sensible aux monocépages. Eclairer les richesses et la complexité de cette "cuisine des dieux" compte parmi les buts du jeu. Sa créatrice témoigne avec joie des réactions de ses auditeurs venus du monde entier, curieux et ravis de l’expérience. Des coffrets à (s') offrir, sans modération écriVins peut se commander sur le site dédié https://www.ecrivins.fr/. Ce jeu innovant, porté par le goût du vin et des autres, ravira les participants (de 1 à 4 joueurs), de 18 à 99 ans. Le coffret inclut convivialité et bonne humeur, à savourer en famille ou entre amis. A l’approche des fêtes de fin d’année, à l’occasion d’un anniversaire, d’un événement, écriVins est l'occasion de surprendre, de faire plaisir et de savourer, en plus de bons vins, de précieux instants. Les curieux, les œnologues en herbe, les vignobles désirant développer leurs animations oenotouristiques seront servis et quelques vocations, pourquoi pas, pourraient se dessiner. Il n’y a plus qu’à céder à la tentation de ce jeu qui, en plus d’être ludique, signe un joli clin d'oeil aux artisans de la terre. ...
Si les Grandes Distilleries Peureux ont acquis une notoriété planétaire, elles la doivent en grande partie aux Griottines. Cette marque, qui porte l’empreinte de Pierre Baud, a fait entrer l’entreprise dans une nouvelle ère. Son fils Bernard Baud, l’actuel PDG, s’inspire des codes de la cosmétique et a ensuite donné une très forte identité à ce produit, en lui offrant un bel écrin rouge. Un acteur majeur dans son domaine Créées en 1864 par Auguste Peureux, les Grandes Distilleries Peureux sont une entreprise familiale implantée à Fougerolles (Bourgogne-Franche-Comté). Dès le début, cette distillerie se démarque par la qualité de ses eaux-de-vie, spiritueux et autres liqueurs. Un siècle et demi plus tard, la maison poursuit sa quête de l’excellence pour s’imposer aujourd’hui comme le leader mondial de la macération de fruits et premier producteur d’eaux-de-vie de fruits au monde. Un produit phare Toujours à l’affût des évolutions et des tendances de consommation, l’entreprise a misé sur un produit unique : la cerise griotte. « Ce produit a fait l’objet de recherches dans les années 1960, puisqu’il a fallu trouver une cerise qui pouvait se maintenir intacte dans l’alcool et qu’on pouvait facilement dénoyauter sans risquer de l’abimer », relate Élodie Naslin, directrice marketing et communication du groupe Peureux. Parce que cette variété de cerises ne pousse qu’en Serbie, l’entreprise y possède ses propres vergers et effectue donc la cueillette sur place. Une fois récoltés, les fruits sont acheminés à Fougerolles. De ces cerises, la maison a créé LE produit emblématique qui a fait sa renommée dans le monde entier, à savoir les Griottines. Ces petites griottes sont macérées dans un sirop léger à la liqueur et au kirsch. Elles sont idéales pour apporter une touche glamour et sublimer toutes les recettes. En effet, avec quelques Griottines, tapas, cocktails et champagne offriront une autre expérience gustative et visuelle. Simples et faciles à cuisiner, les Griottines accompagnent à merveille le fromage, le foie gras et le jambon. Il n’en fallait pas plus pour convaincre des chefs tels que François Lachaux, meilleur ouvrier de France cuisine, ou Jean-Michel Perruchon, meilleur ouvrier de France pâtissier, pour les inclure définitivement dans leurs recettes. Damier Griottines, une recette emblématique Création signée par Sébastien Chevallier, meilleur ouvrier de France boulanger, le Damier Griottines permet d’apprécier toutes les subtilités de ce produit avec, à la clé, du peps, du croquant et du gout ! « Nous ne sommes pas des fabricants de gâteaux. Mais, à travers cette recette, nous souhaitons guider et inspirer les boulangers et les pâtissiers », nous indique-t-on. Véritable tropézienne revisitée à la façon franc-comtoise, cette nouvelle pâtisserie plaira à tous les gourmets cherchant simplicité et saveurs. ...
Véritable portail de la gastronomie orientale, Markar invite les plus curieux à un voyage inédit au cœur des saveurs arméniennes, libanaises, turques ou encore grecques. Une épicerie fine orientale Créée en 1990 par Kirkor Markarian, la maison Markar suggère une variété de produits qui réserveront des surprises à tous les palais. Pour un apéritif original, l’épicerie regorge de fruits secs, biscuits salés, mezze et charcuterie. Pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’y goûter, la charcuterie arménienne est absolument à découvrir. Markar invite à déguster ses deux spécialités faites maison. Le Pasterma qui est une viande séchée de bœuf enrobée d’une pâte d’épice, et le Soudjouk, un saucisson de bœuf préparé à partir de viande hachée et de boyau naturel. « Pour la viande, on a un rayon boucherie et on utilise de la charolaise, c’est une des meilleures viandes racées françaises », explique Massis Markarian, le fils de Kirkor, qui co-gère la boutique familiale. En guise d'accompagnement de ce plateau de charcuterie, l’épicerie propose des vins d’Arménie aux qualités surprenantes. A découvrir : des vins rouges médaillés d’argent aux concours Mundus Vini en Allemagne comme le Karas ou le Takar ou encore un vin récompensé de la grande médaille d’or à Bruxelles, le Kataro. En parallèle, Markar dispose également de produits exceptionnels tels que le brandy. En effet, l’épicerie suggère à ses clients les brandys les plus raffinés comme le brandy ARARAT VASPURAKAN (15 ans d’âge) ou le brandy ARARAT NAÏRI (20 ans). « Ils sont quasiment introuvables en France, on est le seul à en avoir », souligne Massis Markarian. Au rayon des condiments, les épices indispensables à la cuisine orientale : cumin, piment, thym... mais aussi des huiles d’olive venant de Grèce sont à ne pas manquer. Côté douceurs, fruits secs, confiseries (loukoums, halva, kourabiedes) et pâtisseries orientales sont aussi disponibles. Markar suggère également des produits traiteur. Tout est fait maison ! Du houmous (à base de purée de pois chiches et tahini) en passant par le tzatziki (mezze grec et turc), le tarama (mezze à base d’œufs de poisson, lait, jus de citron et mie de pain) ou le ktipiti (amuse-bouche à base de feta, yaourt et poivron rouge). Enfin, l'une des spécialités de la maison : les feuilles de vigne farcies au riz, les Dolma. À ne surtout pas rater ! « On a des clients qui viennent de loin spécialement pour ces produits », raconte le gérant. ...
Équipé d’un espace intérieur de 1 500 m2 et d’un espace extérieur de même superficie, le Nouveau Chalet du lac est un lieu d’émotion qui permet de recevoir jusqu’à 2 000 personnes en cocktails et 900 couverts en repas assis et doté de trois terrasses, un parking gratuit ainsi qu'un fumoir. Rendez-vous sur la piste après diner Conçu et pensé pour le confort et la convivialité, l’établissement s’assimile à une grande maison d’hôtes de campagne, propice aux invitations festives et gourmandes, où décor rétro et décor contemporain sont en parfait accord. Offrant un mélange minutieux d'Italie et de tradition française, ce lieu emblématique comble les fins palais qui, après un bon dîner, peuvent enchaîner sur une pure soirée dansante sur fond de musique généraliste jusqu'au petit matin. Brunch dominical : un incontournable Le Nouveau Chalet du Lac est une adresse bien connue pour les brunchs dominicaux dans le Bois de Vincennes. Au programme : crêpes, mini-viennoiseries, jus de fruits, fromage blanc, thé, café, chocolat et yaourts. Le buffet est également composé de plusieurs plats salés pour ne citer que les œufs brouillés, antipasti, carpaccio de rosbeef, tartes, saumon froid au thym et citron, charcuterie et fromages. Au dessert, les îles flottantes, gâteaux au chocolat, salades de fruits, verrines de panna cotta ou de tiramisu apportent une touche de douceur. Comme le restaurant ne désemplit jamais, une réservation par téléphone est conseillée. Lieux privatisables à souhait Le Nouveau Chalet du lac est un lieu idéal pour les réceptions en extérieur. Situé en plein cœur du bois de Vincennes et à faible distance du lac, vous avez le choix entre la terrasse Clémentine pour une immersion dans l’écrin de verdure de l’entrée du bois, où parasols et bar de terrasse se prêtent volontiers à un éventuel cocktail privatif ou à un diner d’esprit guinguette, et le terrain attenant au Chalet qui offre un espace totalement modulable. Un moment d’immersion en pleine nature, ouvert sur un espace accueillant d’inventives scénographies en perspective. Figurant parmi les espaces privatisables du Chalet, la véranda d’une capacité d’accueil de 150 personnes en cocktail et de 80 repas assis est idéale pour accueillir une réception conviviale avec vue sur le lac. Faisant office de salle de commission attenante aux deux autres salons, l’espace Véranda s’adapte à la demande à différentes configurations, en journée comme en soirée. ...
La maison Mumm est l’héritage de l’aventure viticole commencée au début du XIXe siècle. C’est sous la présidence de Georges Hermann Mumm que sera créé, en 1876, le champagne Mumm Cordon Rouge, en hommage à la Légion d’honneur. Il est devenu le symbole de la maison. Il est connu dans le monde entier, aux États-Unis, où la maison a été leader jusque dans les années 80, en Australie, en Chine, en Russie ou au Brésil. Depuis la fin du XIXe siècle, le champagne Mumm est devenu le fournisseur de la cour royale d’Angleterre. Aujourd’hui, les vignobles de la maison Mumm s’étendent sur 218 hectares, dont 160 classés en grands crus. Quant au pinot noir, il en occupe 170 hectares. Un savoir-faire associant tradition et innovation Après une cueillette à la main, le raisin est pressuré à proximité, dans les sept centres dédiés, pour garantir l’excellence du vin. Cépage par cépage, le jus de raisin ainsi obtenu est mis dans des cuves en inox pour une première fermentation. La seconde fermentation permettra de réduire l’acidité du vin. Après avoir été clarifiés, les vins sont assemblés par le chef de caves, Didier Mariotti, puis mis en bouteille. Ils vont ensuite commencer une longue période de vieillissement en cave (entre deux ans et demi et sept ans), pour une parfaite maturation. Les flacons les plus précieux sont encore remués à la main. Un savoir-faire conforme à la méthode champenoise. Après ajout d’une liqueur de dosage, les bouteilles sont bouchées définitivement. Elles vont encore reposer entre trois et neuf mois, avant de s’offrir à vos papilles. Découvrir l’univers de la maison Mumm Pour découvrir l’univers du champagne Mumm, plusieurs expériences vous sont proposées. Si vous choisissez l’expérience Mumm Cordon Rouge à 20 €, vous découvrirez tout d’abord les caves voûtées mises en valeur par de subtils jeux de lumière, accompagné d’un guide. Vous serez surpris par ce long couloir appelé « Champs-Élysées ». Vous pourrez contempler les bouteilles qui y sont conservées, mais aussi apprendre les différentes étapes de l’élaboration du champagne. Puis, après avoir fait une halte au musée du champagne Mumm, vous serez invité à déguster deux champagnes de la maison, Mumm Cordon Rouge et Mumm demi-sec. Si vous optez pour l’Expérience en noirs & blancs à 39 €, vous aurez aussi l’occasion de vous plonger dans l’ambiance particulière des caves, suivie d’une dégustation de Mumm Blanc de Blancs, élaboré exclusivement à partir de chardonnay, et de Mumm Blanc de Noirs, un pur pinot noir. Vous pourrez ainsi apprendre à les différencier en les regardant, en les sentant et en les goûtant. Vous préférerez la « Mumm Cocktail Party » à 45 €, une expérience spécifiquement dédiée aux cocktails à base de Mumm Cordon Rouge ? Sous vos yeux, un barman vous concoctera des cocktails où se marient à merveille les arômes du champagne avec ceux de spiritueux, de fruits frais ou d’épices. Une dégustation unique à partager entre amis tous les jeudis soir de 18 h à 20 h. Dans tous les cas, les mineurs doivent obligatoirement être accompagnés, et une boisson sans alcool leur sera servie. ...
Parfaitement installé au bout du Sillon, la plus grande plage de sable de Saint-Malo, Le Coude à Coude est une invitation au voyage et au plaisir de la cuisine bistronomique. Dans ce petit établissement contemporain créé en 2009, l’accueil chaleureux de Karine Cordeau accompagné de musique discrète et des plats cuisinés divinement par le restaurateur, ne laissent pas indifférents les visiteurs de passage en Bretagne. L’atout majeur du restaurant, « c’est sa petite taille, sa cuisine ouverte ainsi que les jolis produits issus du terroir breton », souligne le propriétaire et chef Nicolas Bourdon. Une cuisine instinctive et traditionnelle Outre les crêpes, la cuisine bretonne cache plusieurs autres particularités et spécialités. Au Coude à Coude, le chef privilégie les produits du terroir, les fruits de mer, et plus particulièrement les poissons. Ces derniers sont sublimés par un accompagnement singulier (fenouil confit, émulsion de moules au curry) et une cuisson soignée. Pas uniquement ibère, ni seulement bretonne mais parfois un peu des deux, le style culinaire du restaurant mélange les produits frais locaux pour en faire une cuisine inventive à part entière à travers laquelle « les plats sont ancrés dans la tradition et la cuisine de grand-mère », explique notre interlocuteur. Une carte inventive et authentique Le Coude à Coude se distingue aussi par la créativité de son chef qui innove en permanence dans ses préparations. Sa « cuisine du marché » où tout est réalisé devant les convives flatte les palais les plus exigeants. Composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, la formule du jour servie chaque midi est renouvelée régulièrement pour justement garantir cette notion de « fraîcheur et de qualité »... Le soir, les convives pourront choisir les plats sur l'ardoise de produits frais. Quant aux amateurs de bons vins, plus de 150 références sont mises à leur disposition pour leur plus grand plaisir. La carte est constituée par Nicolas, aidé de ses deux conseillers Christophe Péroux et Thierry Duchêne. La sélection créée notamment avec la collaboration de la Cave de l'abbaye St Jean vous fait voyager dans les plus beaux vignobles de France. ...
Le Château Hourtin-Ducasse tire son nom de ses deux anciens propriétaires, ayant vécu au XVIIIe et au XIXe siècle. Ce domaine situé à Pauillac, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été repris par la famille Marengo en 1976, qui, aujourd’hui, élabore des vins élégants et équilibrés. Le but du domaine : laisser la vigne livrer sa plus belle expression. L’agriculture de conservation Le Château Hourtin-Ducasse s’étend sur 25 hectares, dont 23 hectares de vignes. Une démarche d’agriculture de conservation sert de ligne de conduite dans le travail du vignoble. Cela consiste à préserver la richesse du terroir et sa biodiversité et à garantir ainsi la qualité des vins. L’agriculture de conservation s’inspire des techniques utilisées dans l’agriculture biologique et dans la biodynamie. Le peu d’intervention humaine dans le développement des plantes n’use que d’éléments naturels tels que des huiles essentielles ou une infusion à base de plantes. Les sept enfants de Michel et de Marie-Noël Marengo font incontestablement partie de leurs motivations dans cette conservation de la qualité de leur terre.Les 70 récompenses reçues par le domaine durant les 27 millésimes prouvent que le succès ne dépend pas toujours du suivi des règles. L’essentiel, c’est d’avoir des valeurs. « L’élément qui nous tient à cœur, c’est de faire parler la nature, de chercher le caractère et le talent du millésime. C’est ce qui fait que chaque millésime est unique », explique Marie-Noëlle Marengo. Le domaine a donc une méthode peu ordinaire dans l’assemblage des cépages. Assemblage de cépages à l’aveugle Chez les Marengo, cet assemblage destiné à la construction de chaque millésime se fait à l’aveugle. Il n’y a pas de proportions précises sur les différents cépages, mais il existe une quinzaine d’échantillons grâce auxquels le caractère du vin va être forgé puis valorisé. C’est une manière de laisser la vigne et son fruit s’exprimer et les millésimes de « raconter ce qui s’est réellement passé dans la nature à travers ses forces et ses faiblesses », selon Marie-Noëlle Marengo.Le pourcentage de renouvellement de barrique se fait en fonction de cet assemblage et dépend des attributs du fruit. Les décisions doivent accompagner, voire pousser, ces potentiels. En 2008, par exemple, le fruit a été très expressif et généreux, son encadrement et son accompagnement ont nécessité un renouvellement de 60 % des barriques. En revanche, il n’y a eu que 32 % de barrique en bois neuf en 2011 pour ne pas risquer d’ajouter des arômes qui s’écartent de ceux qui sont naturels au fruit. Ce dernier a été délicat pendant ce millésime. ...
Bien que les premières bouteilles aient été commercialisées en 1976, l’histoire entre les Boutillez et les vignes remonte au XVIe siècle. Aujourd’hui, c’est la deuxième génération qui tient les rênes. Et elle compte bien faire prospérer cette activité avec passion et rigueur. Les terroirs Les principaux cépages qui sont le chardonnay et le pinot noir sont départagés entre deux terroirs. 80 % des vignes sont situées à Villers-Marmery, où l’exposition des sols est idéalement propice au chardonnay. Les pinots noirs sont cultivés sur 1 ha de vignes classées grand cru. S’agissant du mode cultural, le domaine mise sur une viticulture raisonnée. Un travail consciencieux qui sera bientôt certifié HVE (haute valeur environnementale). Les vins Les Boutillez ont opté pour une vinification en cuve avec fermentation malolactique. Pour créer une belle complexité au niveau des arômes, ils misent aussi sur un élevage en fûts de chêne. Par ailleurs, la maison a su développer l’art d’assembler le chardonnay et le pinot noir. C’est de cette manière qu’elle réussit à produire des champagnes exquis et fraichement pétillants, présents sur les meilleures tables. ...
C’est dans la partie occidentale de la montagne de Reims, au cœur du village de Jouy-lès-Reims, que le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier puisent leur structure, leur rondeur et leurs notes suaves. Ce terroir d’exception classé premier cru est l’expression de la mélodieuse symphonie d’arômes et de goûts qui caractérise chacune des cuvées Cossy. Une symbiose intime et sensible avec leurs vignes Les champagnes fruités et gourmands de la maison puisent leur richesse dans un sol poreux et une exposition optimale conférant touche florale et subtilité à chaque cuvée. Cette terre bénie, cette nature généreuse et cet environnement résolument dédié à la vigne sont choyés par des propriétaires écologistes dans l’âme et intimement liés à leur vignoble. « Nous avons revu les pratiques culturales vers une viticulture durable suivant une volonté de produire mieux dans le respect de la nature et des êtres vivants », nous confie Sophie Cossy. Le charme du champagne au féminin Les femmes Cossy, d’une main de maître, s’attèlent à exprimer le meilleur de leur terroir au travers « d’une exploitation tournée vers la féminité et d’un champagne fruité, floral, au caractère printanier et doté d’une rondeur et d’une finesse élégantes », nous raconte notre interlocutrice. Assemblage au gré des émotions, maturation aboutie et vieillissement optimal s’accordent à « l’équilibre traditions-modernité et à la sensibilité tant émotionnelle que technique qui accompagne la conception du vin ». Cette singularité féminine confère ainsi au champagne Cossy tout son charme maintes fois récompensé, à l’instar de la cuvée Origine, équilibrée et somptueuse en bouche, médaillée d’or en 2013 et en 2014 au concours international Gilbert et Gaillard. Des millésimes d’histoire et de secrets, à l’instar de la cuvée Vieilles vignes, médaillée d’or au même concours en 2012, viendront également sublimer vos instants galants de par leurs saveurs fruitées révélées dans des bulles pétillantes de fraîcheur. ...
CHÂTEAU DEFFENDS : SON PROPRIÉTAIRE D’officier parachutiste des Troupes de Marine à vigneron indépendant, le parcours du propriétaire actuel du domaine du Deffends est une histoire passionnante à écouter. Au cours des années 1990, la Famille Vergès s’intéressa à ce château. Renouant avec une tradition viticole familiale en provenance des Pyrénées-Orientales, du plateau du Capcir puis des plaines de la côte Vermeille. Xavier Vergès quitte les formations militaires auxquels il appartient depuis plus d’une quinzaine d’années et se plonge dans la gestion de la belle Dame du Deffends. Le vignoble poli par le Mistral a commencé à prendre quelques rides mais jouit toujours d’une excellente réputation. La mission est simple et ardue à la fois : lui offrir une seconde jeunesse. Pour ce faire, il s’entoure d’une équipe de techniciens passionnés qui se chargent de l’épauler dans la réfection du vignoble, l’élaboration de vins de qualité et la gestion quotidienne du vignoble. Il recrute d’anciens militaires de son entourage qu’il reconvertit au travail de la vigne. La famille Vergès, actuelle propriétaire de ce lieu ancestral, perpétue avec passion les traditions instaurées jadis par ses aïeux. CHÂTEAU DEFFENDS : HISTORIQUE Nous sommes au 16° siècle : le Domaine situé sur la Commune de Carnoules en bordure du massif des Maures est bâti par la congrégation des soeurs Ursulines du Sacré Coeur de Jésus. Celles-ci se consacrent à l’éducation des filles ainsi qu’aux soins des malades et des nécessiteux. La Bastide centrale porte alors le nom de « Fulconier ». Le lieu-dit du « Deffends » composé de terres agricoles riches et fertiles est alors le garde à manger du village de Carnoules. On y trouve principalement la culture de la vigne, des oliviers et des arbres fruitiers. C’est au 19° siècle que l’exploitation agri-viticole sera appelée alors dans sa globalité le domaine du Deffends et sera acquis par le célèbre homme de loi Toulonnais, Noël Blache. Avocat de profession, passionné d’agronomie, il orchestrera la création de caves coopératives dans tout le Var. En 1870, il est élu Maire de la ville de Toulon. La légende dit que Noël Blache, homme politique varois et avocat célèbre du XIXe siècle, passionné d’agronomie avait acquis le Château Deffends pour s’éloigner des bruits du grand port. Il se dit même qu’il avait grand mal à quitter son domaine. CHÂTEAU DEFFENDS : LE TERROIR Au cours des siècles, le Château DEFFENDS sera réputé pour ses vins de grande qualité aussi structurés qu’élégants. Site privilégié bâti sur des terrasses de graves argilocalcaires, le Château domine la plaine des Maures. Orientés vers la mer, les 30 hectares de vignes s’organisent sur une douce inclinaison, caressée paisiblement par un soleil puissant, lui conférant ainsi son caractère immuable. Une légère brise maritime accompagne lentement les raisins vers leur maturation. Ce terroir affirmé, au coeur de l’Appellation Côtes de Provence, offre aux passionnés des vins d’exception. CHÂTEAU DEFFENDS : MÉTHODE DE VINIFICATION Classés en AOC Côtes de Provence et maintes fois récompensés dans les guides et Concours nationaux, les vins du Deffends sauront vous séduire par leurs qualités et leur élégance. Caractérisés par un subtil mélange entre typicité et finesse, ils donnent des millésimes d’excellence. La réfection du Vignoble engagée par Xavier Vergès a vu le renouvellement de 60% du vignoble en dix ans. L’introduction de nouveaux cépages a permis de diversifier la palette des assemblages. Ainsi, nous voyons pousser des Sémillons, des tibourens, du cabernet sauvignon, du vermentino à côté de nos traditionnels grenaches, cinsaults, syrahs et des éternels carignans. La conduite du vignoble en agriculture raisonnée de type « terra vitis » devient vite une évidence. Les rendements sont globalement moyens à faibles suivant l’âge des vignes, permettant un joli travail qualitatif et une belle sélection de j...
C’est dans le 9e arrondissement de Lyon, dans une bâtisse classée aux Monuments historiques français, que nous donnent rendez-vous le chef Jean-Christophe Ansanay-Alex et son équipe. Son auberge à la cuisine savoureuse est reconnue aussi bien dans le pays qu’ailleurs. Un cadre unique L’Île Barbe est un écrin de verdure protégé de la civilisation par la Saône. L’Auberge se présente comme l’endroit idéal pour passer un moment gourmand et paisible hors du temps. Les salles présentent une ambiance feutrée. L’installation d’un mobilier contemporain dans cette bâtisse du 17e siècle révèle un contraste intéressant entre tradition et modernité. C’est également un endroit intimiste, vu le nombre réduit de couverts par espace. Une cuisine gastronomique Avec un chef qui est resté 25 ans derrière ses fourneaux, l’Auberge de L’Île Barbe a encore de beaux jours devant elle. Avec ses mains de maître, Jean-Christophe Ansanay-Alex habille ses assiettes d’une précision chirurgicale. Des plats à la fois sobres et élégants, en complète harmonie avec le lieu. Le chef s’inspire de ses nombreux voyages pour relever sa cuisine gastronomique traditionnelle avec des saveurs originales. Et le résultat est souvent surprenant, notamment le velouté de cèpes comme un cappuccino vapeur de foie gras, l'un des plats signatures de la maison. Le feuille à feuille de Saint-Jacques aux truffes et épinards comme une compression de l’artiste César, au beurre de jus de truffe n’est pas en reste. Et en dessert, la crème glacée à la réglisse est très appréciée. Pour accompagner le repas, la maison propose une carte de vins éclectique, tout en privilégiant la Bourgogne et la Vallée du Rhône. ...
Installée au cœur de l’appellation « Cognac », la Maison Grosperrin est la dernière maison de cognac située à Saintes, dans le département de la Charente-Maritime. Cette société indépendante ne cesse de parfaire sa prestigieuse collection et se nourrit d’une culture d’excellence et d’authenticité depuis 1992. Respecter un savoir-faire « Nous pratiquons le négoce comme il se pratiquait autrefois au XIXe siècle », nous souffle le propriétaire, Guilhem Grosperrin. Son métier est de rechercher auprès des viticulteurs (mais assez peu, puisque ces derniers à Cognac ne possèdent qu’une très petite partie des stocks de la région) des héritages, des distilleries, ou auprès d’indivisions de propriétaires retraités ou décédés, des cognacs anciens, souvent millésimés, et toujours rares. Ces Cognacs exceptionnels peuvent provenir de distilleries et d’exploitation aujourd’hui disparus. Tous ont leur histoire à raconter, étroitement liée à l’histoire des hommes qui les ont produits et conservés. Ce travail de sélection n’est qu’une partie du métier, puisque c’est dans les chais de la Maison GROSPERRIN que ces eaux-de-vie rares vont poursuivre leur lente maturation pendant 10, 15 ou 20 ans et progressivement révéler leur identité propre et leur caractère unique. C’est cette personnalité affirmée, façonnée par l’histoire de chaque cognac, que la maison s’attache à développer. Pour ce faire, la maison possède un vrai savoir-faire en matière de vieillissement, et préserve aussi ses cognacs des adjuvants tels que sucre, caramel et boisé. Les cognacs de la maison sont commercialisés auprès des meilleurs établissements de France et des importateurs spécialisés dans le haut de gamme à l’étranger. Le cognac, symbole du luxe et incarnant à la perfection l'art de vivre à la française est d'ailleurs dignement mis en lumière par le fameux photographe d'art Stephane Charbeau à travers ses photographies insolites. La Maison GROSPERRIN ouvre ses portes Visiter Grosperrin, c’est plonger dans un monde à part, presque un sanctuaire. « Les découvertes se passent dans une ambiance vraiment intimiste en petit groupe, c’est une immersion dans le monde confidentiel de Cognac. » Guilhem Grosperrin lui-même consacre un temps précieux pour expliquer la philosophie de la maison et faire découvrir la collection. Les visites commentées commencent par les chais historiques récemment rénovés pour comprendre le parcours des cognacs depuis leur arrivée en barriques jusqu’à l’embouteillage. Une dégustation sur fûts et au laboratoire s’enchaîne ensuite. La visite se clôture par un passage en boutique, où les visiteurs peuvent acheter directement les produits de cette collection exclusive. ...
Située sur les terres gasconnes à Aignan, La ferme aux buffles reflète l’art de vivre typique du Sud-Ouest et séduit par immense parc verdoyant abritant les fameux buffles d’eau également nommés les buffles d’Asie. La propriété possède un restaurant qui propose une expérience gustative aussi insolite qu’inoubliable… Une viande tendre et mœlleuse… La viande de buffle est 70 % moins grasse que les autres viandes rouges et contient aussi moins de cholestérol. Riche en protéine et en fer, elle est tendre et offre une nuance de saveurs très intéressante. Grâce à son élevage, le restaurant La ferme aux buffles veut démocratiser la consommation de cette viande d’exception déclinée à toutes les sauces. Assiettes de charcuterie de buffle, hamburger, daube de buffle à la bière du Gers, fromage de bufflonne… la carte propose un panel de plats qui feront le bonheur des épicuriens. Les vins essentiellement locaux, quant à eux, sauront souligner à merveille la subtilité et l’authenticité de cette viande très particulière. Un établissement familial et chaleureux… Les repas se dégustent dans une salle associant élégance et coquetterie. Les grandes baies vitrées baignent l’endroit dans une lumière éclatante, et offrent une vue à couper le souffle sur la chaîne des Pyrénées. Après s’être délecté des meilleures spécialités de la maison, rendez-vous dans le parc à buffles pour apprendre à connaître ces bovins à la stature impressionnante. La miniferme offre la possibilité aux enfants d’être à la proximité de la nature et des animaux comme les lapins, les chèvres, les cochons… Toutes ces activités permettront à toute la famille de se ressourcer dans ce cadre idyllique le temps d’une escapade gourmande. ...
Le nom du restaurant est tiré des jardins qui entourent le fameux palace de Marrakech et qui furent donnés au prince Mamoun par le sultan en cadeau de mariage. La Mamounia a été ouvert en 1996 par les parents des actuels propriétaires. C’est un endroit convivial et branché, qui convient à toutes les situations : diner en amoureux, déjeuner d’affaires ou tout simplement moment de partage entre amis ou en famille. Un décor dépaysant Le restaurant, installé le long des boulevards de Valence, propose un dépaysement total, transportant ses hôtes dans un voyage à destination du Maroc par son décor des mille et une nuits. Son plafond est entièrement fait de marqueterie traditionnelle marocaine (bois sculpté et peint à la main). Tous les éléments du décor sont des authentiques objets provenant du Maroc, depuis le tapis jusqu’au mobilier et aux banquettes, en passant par les assiettes en faïence. Un chef au parcours atypique Samir Ouazzani est à la fois le chef et le propriétaire de l’établissement. Cet homme ne s’était pas du tout destiné au métier de la restauration, ayant fait ses études et travaillé dans le domaine des techniques industrielles. Il n’a commencé à s’intéresser pleinement à cet univers qu’à partir de 2005, lorsqu’il a pris la relève de ses parents. « J’ai appris sur le tas, tout doucement, au contact de ma mère d’abord, puis avec un chef de cuisine qu’on a fait venir exprès du Maroc », raconte-t-il. Il propose une cuisine savoureuse et authentique, avec la noble intention de faire retrouver à ses clients la saveur des plats de son enfance. Un vaste choix de formules gourmandes « Le restaurant propose une cuisine familiale, trait d’union entre la tradition et de la modernité », explique son chef. Les plats sont élaborés à base de produits frais, issus des producteurs locaux. Les plus gourmands se laisseront tenter par le menu dégustation à 24 €, composé d’une entrée, d’un plat (couscous deux viandes au choix ou tajine au choix) et d’un dessert. Sinon, il est toujours possible de commander à la carte. En entrée, la tchackchouka, compotée de tomates oignons poivrons, ou la harira et ses dattes Medjool entrainent dans un délicieux voyage à la découverte des saveurs orientales. En plat de résistance, le choix s’avère cornélien entre le tajine zbib, composé d’émincés d’agneau, d’oignons au miel et de raisins secs, et le couscous royal, accompagné d’un assortiment de poulet fermier, agneau, merguez, brochette, sans oublier les boulettes de viande. Pour la touche sucrée, les papilles se régaleront du suprême d’orange à la rose et cannelle. La qualité et la fraicheur de la cuisine du restaurant lui ont valu une belle réputation à Valence, tant et si bien qu'il ne cesse d’être recommandé par le guide Gault & Millau depuis 1997. ...
Ce n’est un secret pour personne : La Grande Épicerie de Paris est un lieu incontournable de la gastronomie. Depuis novembre 2017, l’enseigne historique de la Rive Gauche a traversé la Seine et ouvert un nouveau magasin rue de Passy, dans le 16ème arrondissement. La Grande Épicerie de Paris : lieu de vie et de passion Rive Gauche comme Rive Droite, les rayons de La Grande Epicerie de Paris mettent à l’honneur une vaste sélection de saveurs d’ici et d’ailleurs : épicerie (thé, café, huile, pâtes, confiture etc.), produits frais (fromage, charcuterie, poissonnerie, boucherie etc.), références d’exception (caviar, foie gras ou truffe), cave (vins et spiritueux du monde), sans oublier la pâtisserie, la boulangerie et le traiteur dont les créations sont réalisées chaque jour par une centaine d’artisans passionnés dans les laboratoires, sous le magasin rue de Sèvres. Pour satisfaire tous les gourmets, La Grande Épicerie de Paris accorde une grande importance à la sélection de ses produits. C’est dans ce but qu’une équipe d’experts sillonne la France entière et le Monde à la rencontre des producteurs et artisans proposant les meilleurs produits mais aussi à la découverte d’innovations en tous genres dans le secteur de l’alimentaire : nouvelles textures, nouveaux ingrédients, packagings originaux, catégories de produits redynamisés,… La Grande Épicerie de Paris : une histoire à succès L’histoire de La Grande Épicerie de Paris débute en 1852. C’est à cette date qu’Aristide Boucicaut crée le premier grand magasin au monde : Le Bon Marché, où de nombreuses innovations virent le jour tels que la vente par correspondance, le blanc ou les soldes. Dès 1923, un « comptoir de l’alimentaire » est installé au sein du grand magasin et c’est en 1978 que La Grande Epicerie de Paris telle qu’on la connait aujourd’hui voit le jour. Depuis sa création, elle reste le lieu privilégié des gastronomes parisiens à la recherche de produits et d’expériences d’exception. Après un tour dans les rayons, chacun peut s’arrêter au choix sur l’un des comptoirs de dégustation essaimés dans les magasins (ibérique, thé et café, luxe et truffe entre autres) ou dans les restaurants : La Table de La Grande Epicerie (Rive Gauche) ou Le Rive Droite tenu par la chef Beatriz Gonzalez (rue de Passy). Lieu de découverte mais aussi de vie, La Grande Epicerie de Paris propose à ses clients une foule de services : de l’organisation d’événements, à la confection de corbeilles cadeaux sur mesure en passant par la livraison à domicile, le service voiturier ou la réservation de taxis. La Grande Épicerie de Paris sur le web La Grande Épicerie de Paris, ce ne sont pas seulement deux magasins dédiés à la gastronomie. C’est aussi un site internet complet et pratique qui met à disposition des internautes une vaste sélection de références livrables partout en France et en Europe et une multitude de recettes, tendances, d’informations sur les marques, les artisans et les savoir-faire. Prolongement de l’expérience en magasin, il regorge d’informations pratiques (plan, visite virtuelle, catalogue de produits) et de services complémentaires (demande de devis, privatisation du restaurant La Table…). ...
Atout France se veut l’instigateur d’une amélioration constante des offres faites aux touristes s’intéressant à la destination France. L’œnotourisme, constitué en pôle d’excellence depuis 2015, est l'un de ses terrains d’actions. Cette filière suscitant l’attention de nombreux porteurs de projets, une consolidation de leur aptitude à fournir des prestations de qualité s’imposait comme une évidence. À la demande du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, cinq vidéos MOOC, abordant cette thématique de façon transversale, ont été mises en ligne. Tour d'horizon de ces nouveaux supports d’autoformation. Sensibiliser les acteurs sur la complexité du secteur Atout majeur de l’attractivité touristique en France, l’œnotourisme est une filière complexe s’il en est. C’est pour sensibiliser les acteurs sur cette complexité que les cinq vidéos réalisées par Atout France ont vu le jour. S’adressant aux professionnels – déjà actifs ou en devenir – de l’œnotourisme et de la viticulture, elles visent, par la même occasion, la diffusion de bonnes pratiques. Ce sont ainsi les domaines, hébergeurs, agents réceptifs et tous ceux qui ont un cœur de métier rattaché aux vins de France qui pourront accéder à cette série de formations accessibles gratuitement (liens dans l'encadré). Cinq vidéos pour maîtriser l’essentiel de l’œnotourisme Formatées dans une durée respective de cinq minutes, les cinq vidéos abordent différentes thématiques rattachées à l’œnotourisme de façon synthétique, mais ne sont pas moins consistantes. Pour les réaliser, Atout France s’est attaché les services d’une start-up spécialisée dans la formation en ligne appliquée au tourisme, à savoir Tourism Academy. Concrètement, les vidéos amènent sur des pistes de réflexion variées comme la promotion de ses offres, l’identité des clientèles étrangères, ou encore comment réussir son projet œnotouristique. Le premier volet de la série pose, non sans pertinence, les préalables de la filière pour bien cerner son domaine, c'est-à-dire des contenus ciblant des préoccupations quotidiennes dans le secteur. Ils sont issus d’études que l’organisme instigateur a menées sur l’œnotourisme à l’échelle nationale. Ces thèmes ne limitent d’ailleurs pas leur auditoire aux seuls professionnels de l’œnotourisme. Les institutionnels du tourisme sont également concernés, eu égard à leur mission de conseil auprès des premiers. Martin Lhuillier, responsable du pôle destination vignobles abonde en ce sens : « Nous, ce qu’on attend, c’est qu’elles (les vidéos, NDLR) soient diffusées le plus largement possible au sein de la filière. » Pour ce faire, Atout France mobilise son grand réseau de partenaires composé des interprofessions, des départements, des régions et des vignerons indépendants, entre autres. ...
Depuis 5 générations, le domaine Espérou travaille avec passion son terroir où s’épanouissent des cépages de Carignan, de Syrah ou de Grenache. Cécile Bonnafous est aujourd’hui seule à sa tête, accompagnée par son époux, Eddy Bonnafous, pour la partie commerciale et quelques saisonniers occasionnels. L’attachement au sol familial, aux paysages alentours est à l’origine de cette vocation. Une production responsable pour un fruit sublimé Le vignoble, déjà engagé dans la culture raisonnée, tend aujourd’hui vers le bio. Un travail manuel est préservé, notamment par respect des vieux pieds de Carignan du terroir, âgés de 80 ans pour certains. Ce respect envers la nature, les deux belles cuvées du domaine le rendent bien. Corbière rouge ou Corbière Boutenac, l’un aux notes de fruits murs, l’autre aux notes de fruits cuits, allient finesse, profondeur et fraîcheur. Les précieuses bouteilles sont en vente directe au domaine mais se trouvent aussi dans des restaurants, chez des cavistes de plusieurs régions et dans les commerces de proximité. Savoir-faire, patience et passion figurent parmi les saveurs au rendez-vous. ...
Profondément enracinée dans le vignoble, les origines de la famille Beyer se confondent avec l’histoire de la viticulture alsacienne. Cette mémoire séculaire est le gage de leur savoir-faire. Son histoire est transcrite et relatée dans d’innombrables documents historiques dont le plus ancien date de 1792. Dans cette famille, c’est non plus du sang qui coule dans ses veines, mais du vin. Chaque génération a su, au fil du temps, transmettre la passion pour le vin et garantir la pérennité de l’entreprise. Visant toujours plus haut et plus loin, les descendants de Lucas Beyer ont agrandi progressivement le domaine, en faisant l’acquisition de nouvelles parcelles dans le cœur historique du terroir Grand cru. Un terroir d’exception Le domaine Émile Beyer possède un vignoble de 17 hectares, avec des parcelles réparties autour du village d’Eguisheim. Les vignes bénéficient de conditions météorologiques favorables. Grâce à cette proximité avec le massif des Vosges, qui empêche la formation de nuage venant de l’ouest, le terroir, très calcaire, composé essentiellement de marnes calcaires, de grès et d’argiles, profite d’un microclimat atypique, particulièrement sec et ensoleillé. C’est sur la parcelle Pfersigberg, qui signifie littéralement la « colline des pêchers », qu’est produit le grand cru du même nom, situé à l’ouest du village. La flore spontanée, calciphile et xérophyte, est représentée par l’origan, l’aristoloche ou le géranium sanguin. Cette végétation typique peut être observée également autour des pierriers bordés d’une strate arbustive composée d’érables champêtres, de prunelliers...Ce grand terroir va exprimer toute la pureté du calcaire coquillier en donnant aux raisins une acidité dentelée et une belle structure saline. Avec un sol formé de calcaires conglomératiques du Muschelkalk et du Jurassique interstratifiés de marnes gréseuses, l’endroit est idéal pour le riesling, véritable fer de lance du domaine. La « colline des chênes » est le terroir du Grand Cru Eichberg, situé entre 220 et 340 m d’altitude. Le sol est constitué de marnes de l’Oligocène et d’éboulis gréseux qui sont intégrés dans une matrice limono-argileuse et siliceuse plus profonde. Ces terrains plus frais sont légèrement plus tardifs. Le choix de la qualité Produire moins pour obtenir un raisin parfait, Christian Beyer a choisi l’exigence dans sa gestion du domaine. Les rendements y sont rigoureusement maitrisés avec une viticulture biologique (label Ecocert) et biodynamique et des fermentations sur lies fines de plus de 12 mois. La vendange se fait intégralement à la main, avec un tri très rigoureux. Cette rigueur de travail a porté ses fruits et a permis au domaine de porter haut les couleurs de l’appellation Alsace. Les vins sont régulièrement cités et recommandés par des guides français et internationaux comme dans les revues Les Meilleurs Vins de France ou le Decanter. Romain Iltis, sacré meilleur sommelier de France en 2012, a récemment mis en lumière la cuvée Riesling Grand Cru Eichberg. Depuis juillet 2011, le domaine Émile Beyer poursuit sur cette forte volonté de respecter la terre et le terroir, en commençant une phase de reconversion à l’agriculture bio et en suivant en conséquence un cahier des charges draconien. Il est désormais titulaire du label bio Ecocert. Pour cette année, le domaine compte passer en biodynamie. ...
Sur un sol argilo-calcaire, le Château Haut-Barrail produit Merlot et Cabernet Sauvignon sous un climat océanique. Bénéficiant d’un climat privilégié, le Château est souvent épargné par les hivers rudes qui sévissent dans la région. Situé dans la commune de Bégadan, on retrouve l’Atlantique à seulement 20mn du domaine et la ville de Bordeaux à 45mn en voiture. Avec des pieds qui ont une moyenne d’âge de 30 ans, le domaine produit un peu moins d’une dizaine de gammes de vins. Un passé entre céréales et vignes En 1362, sur l’actuelle propriété, se dressait « La Maison de la Bernède ». Une histoire qui remonte ainsi à plus de six siècles et dont ne subsiste aujourd’hui plus qu’un moulin. Au XVIIème siècle, de nouveaux bâtiments sont construits et le logis arbore des éléments architecturaux du XVIIIème siècle avec gravé sur le fronton dans les pierres, deux symboles : « Vigne et Blé ». Témoin alors du passé céréalier du domaine. En 1987, alors qu’ils étaient déjà propriétaires de Vieux Château Landon, la famille Gillet rachète Haut-Barrail. Après la retraite des parents Gillet, le fils Cyril Gillet finira par se séparer de Vieux Château Landon en 2012 en le revendant à un chinois. Ce qui permettra au domaine de Bergadan d’améliorer ses installations. Une vinification aux petits soins Afin de produire l’un des meilleurs vins du Médoc, la vinification sur le domaine est un lent processus auquel une attention toute particulière est portée. Les vendanges ont lieu fin septembre de manière mécanique. Une fois les grappes récoltées, elles sont emmenées vers les cuves de fermentation. Des cuves de vinification en inox qui ont une capacité de 100hl et qui sont thermorégulées via des serpentins qui parcourent les cuves. Durant 15 à 18 jours les cuves sont maintenues à 30 ~32°C pour la fermentation alcoolique. Une fois cette première étape achevée, le vin de presse est récupéré pour être à nouveau fermenté cette fois-ci à 22° pour la fermentation malolactique. Une fois les fermentations terminées, les vins sont vieillis dans des chais de barriques de chêne neuves ou des barriques d’un à deux vins. ...
Les galettes et les crêpes bretonnes, surtout lorsqu’elles sont authentiques et préparées selon la tradition bretonne. Elles font partie de ces spécialités françaises dont on ne peut se passer ! La crêperie Pen-Ty en fait sa spécialité depuis plus de 40 ans ! Charmante et sympathique, avec juste ce qu’il faut comme espace, cette crêperie est une belle découverte pour ceux qui nous connaissent pas déjà car celle ci fait partie des plus connue à paris . La surprise (agréable bien entendu) est réellement au rendez-vous, et déjà l’envie d’y revenir ne se fait pas attendre ! Dans le respect de la tradition bretonne La Crêperie Pen-Ty est un lieu idéal pour un petit moment à deux ou en famille. Les portions sont généreuses et excellentes avec un bon rapport qualité-prix. Le crêpière s’applique à mettre les petits plats dans les grands afin de vous faire voyager au pays des galettes et des crêpes. Non contente d’être une authentique crêperie avec ces recettes traditionnelles, la crêperie Pen-Ty revisite aussi quelques régions avec des recettes aux différents fromages, au foie gras ou au boudin noir par exemple. Les desserts ne sont pas en reste avec une vingtaine de recettes et la possibilité de créer la sienne. Vous trouverez aussi une belle sélection de cidres, de jus de fruits bio et du vin de Bourgogne, mais pas que ! Découvrez ses boissons locales comme le chouchenn ou le pommeau de Bretagne, dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...