Le châtaignier est « l’arbre à pains » qui a toujours veillé sur l’homme en lui apportant des fruits abondants et nutritifs, surtout en période de disette. Cet arbre humble et protecteur est cependant délaissé pendant les années 50, au risque de disparaître. Soucieux de sauvegarder leurs châtaigneraies, des agriculteurs revestois ont fondé l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Un pari réussi, puisque le Revest du Bion produit aujourd’hui annuellement 20 tonnes de châtaignes de haute qualité. Ce taux de production est encore modeste par rapport aux autres régions, mais la Haute-Provence peut être fière de la qualité de ses châtaignes. De plus, sa filière castanéicole est, à ce jour, épargnée par le Cynips, une micro-guêpe ravageuse originaire de Chine qui touche aussi l’Europe, y compris la France. Le futur est plutôt prometteur pour le pays de Jean Giono, la région unique où ces fruits d’avenir poussent au milieu des champs de lavande. Réhabiliter la châtaigneraie Depuis les années 50, le châtaignier est délaissé au fur et à mesure que la plaine offre de vastes étendues cultivables pour la lavande et les céréales. Le contexte socio-économique après la Seconde Guerre mondiale accélère, en outre, l’abandon des châtaigneraies françaises. Afin de sauver celle de Revest du Bion, un groupe d’agriculteurs a créé en 1985 une association loi 1901 l’Association pour la Valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Présidée par Eric Quenin, cette entité a pour principal objectif de réhabiliter la châtaigneraie et pérenniser son entretien. Dans sa première démarche de sauvegarde, elle abat 600 arbres forestiers afin de laisser la place à 200 jeunes châtaigniers. Elle vise ensuite à motiver et sensibiliser d’autres castanéiculteurs de toute la Haute-Provence, ciblant en même temps le grand public français comme clientèle potentielle. Un évènement annuel voit alors le jour : la fameuse Fête de la Châtaigne. La fête de la Châtaigne Chaque année, en octobre, la Fête de la Châtaigne est célébrée à Revest du Bion depuis 2000. En 2016 a lieu la 17ème édition. Soutenu par la Mairie, cet évènement festif et culturel est organisé par l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion, avec la collaboration de la Confrérie des amis de la ahâtaigne. Le but est de faire connaître l’existence de la châtaigneraie du plateau d’Albion, surtout celle de Revest sur Bion, au grand public et aux milliers d’amateurs de châtaignes. Plus de 10 000 visiteurs sont ainsi attendus chaque année pour célébrer le gout authentique de ce fruit ainsi que les produits du terroir. Chacun peut ramasser gratuitement les châtaignes dans les vergers, déguster les cornets de châtaignes grillées ou les consommer dans mille-et-une recettes : sous forme de soupe, de velouté, de confiture, de pâtisseries, etc. Le fromage de Banon AOC est inconditionnellement présent au rendez-vous, dans son écrin de feuilles de châtaigniers séchées. Dans cette ambiance festive et de bonne humeur, les gens profitent aussi de la beauté des vergers pour se promener et se détendre. En famille ou entre amis, le circuit pédestre s’avère un agréable moyen de découvrir la châtaigneraie ainsi que les paysages d’automne de la région. ...
L’idée de créer un domaine viticole a surgi comme un vent de folie chez les Biancone. En 1983, Monique et Gérard ont décidé d’allier leur passion pour le vin et les vignes, en bâtissant ensemble le prestigieux Château Rasque. Un paradis créé de toutes pièces Le domaine est localisé à Taradeau, un village situé dans le centre du Var. Monique, fille de viticulteurs bordelais, et Gérard, passionné de vin : la vocation de vignerons s’est révélée comme une évidence chez les Biancone. Gérard, notamment, a également su déployer ses talents de maçon pour aménager le domaine à l’image de ses prestigieux ancêtres, les Rasque, une famille de notaires dracénois ayant occupé les lieux au XVIe siècle. Une des plus grandes fiertés de la famille est l’acquisition du Clos Jasmin, une irrésistible propriété de 12 ha, située au pied de la Sainte Victoire, sur laquelle s’enracinent de vieux ceps centenaires produisant exclusivement des rouges. Au fil des 35 ans passés, Monique et Gérard Biancone ont transmis leur passion ainsi que leur savoir-faire à leurs cinq enfants, qui ont tout simplement grandi au rythme de la vigne. À tel point qu’en 2005 leur fille Sophie reprend les rênes de l’entreprise familiale. Avec l’aide de son frère Enzo, « l’enfant des vignes », elle va apporter un vent de modernité qui ne sera que bénéfique dans la promotion de leurs vins en appellation Côtes-de-Provence. Notons qu’en 2003 la famille a également succombé au charme du domaine Hermitage de Saint-Pont, à Figanières, doté d’un vignoble de 31 ha et de 7 ha de bois. Un terroir particulièrement attachant Le vignoble du Château Rasque s’étend sur un sol argilo-calcaire de 30 ha. Perché à 260 m d’altitude, il bénéficie naturellement des conditions adéquates pour mener les vignes à parfaite maturation. D’autant plus que la couverture caillouteuse du sol limite les écarts de température entre le jour et la nuit et donc stabilise la température pour le bien-être des plantes. Le mariage de l’argile au calcaire permet le bon drainage du sol, ce qui prévient le stress hydrique chez les vignes. Ces traits caractéristiques confèrent d’onctueux arômes exotiques aux blancs et aux rosés, et leur tanicité soigneusement équilibrée aux rouges. Dans la liste des cépages travaillés figurent les célèbres variétés comme le rolle, le grenache, le cinsault, la syrah et l’ugni blanc. La vinification se fait de manière traditionnelle dans le but de tirer le meilleur du raisin, tout en le respectant. Il s’agit également de « valoriser l’âme du terroir », une terre pour laquelle la famille Biancone témoigne d’un amour particulier via une agriculture raisonnée. Ainsi, après les vendanges à la main, les raisins sont refroidis dans un échangeur tubulaire avant de passer au pressoir pneumatique. Le moût sera fermenté dans une cuve en inox, équipée d’un groupe de froid permettant de maintenir la température idéale pour la vinification. L’élevage des vins s’effectue dans des foudres de chêne installés à 8 m sous le sol, afin d’obtenir des cuvées authentiques au reflet de leurs racines. L’élégance en bouteille Grâce aux 3 domaines viticoles qui le composent, le Château Rasque peut produire différents types de vins. Réputée pour ses rosés, la maison consacre 50 % de sa production à ces cuvées. Le reste du pourcentage est départagé entre les rouges (30 %) et les blancs (20 %). Toutefois, la cuvée emblématique est la « Pièce noble », un vin rouge intense, dont la particularité se révèle à travers ses arômes de fruits confits légèrement épicés. Sa longueur en bouche et sa finale chocolatée s’avèrent être un réel plaisir pour le palais. Le Château Rasque est également connu pour ses blancs frais et complexes comme le « Blanc de blanc 100 % rolle » ou le « Clos de Madame ». ...
Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...
Première information à retenir : le vignoble de Gaillac est le deuxième plus vieux vignoble de France. Les Romains ont choisi la région pour sa belle exposition au soleil et sa situation au croisement des influences méditerranéennes et océaniques, qui confère aux vins une belle concentration aromatique. L’héritage de la passion Lors de son rachat en 1997, le Domaine de la Chanade était tout juste un domaine fermier doté d’un petit caveau. Grâce à la passion de la viticulture qu’il a développée au contact de son grand-père, Christian Hollevoet va monter de toute pièce le domaine, et y mener une restructuration générale, depuis les vignes jusqu’à la cave. A son tour, il a transmis cette passion à son fils Julien qui, d’ores et déjà, commence à prendre les rênes du domaine. « La passion du vin m’a été transmise par mon père. J’ai commencé très tôt par des tâches au domaine, à apprendre petit à petit le métier, pour le suivre dans sa passion », raconte le viticulteur. Une équipe de choc « Le métier de vigneron est un métier vraiment rude, où il y a beaucoup de travail. Pour exercer cette profession, il faut avoir de la passion, du mordant. C’est aussi un métier très créatif et c’est ce qui m’a plu, il faut vraiment y croire » s’enflamme Julien Hollevoet à l’évocation de son métier. Aujourd’hui, ils sont quatre en tout et pour tout à s’occuper des quarante hectares de vignes du domaine. Damien Miralles, maître de chai, présent au sein de l’équipe depuis 2001, Jean-Luc Treilhes, le responsable de culture, dans le monde du vin depuis près d’une trentaine d’années et bien entendu Christian Hollevoet. Un contrat de confiance Au Domaine de la Chanade, une charte de travail rigoureuse est appliquée afin de produire dans le pur respect de l’homme et la nature : « Nous avons fait le choix de produire un vin naturel, c’est un contrat de confiance avec le client », explique Julien. « Nous travaillons comme les vignerons qui travaillent en agriculture biologique. Nous n’utilisons pas de pesticides et réalisons du travail mécanique. Même s’il faut faire des traitements à base de soufre et de cuivre, des doses très faibles sont utilisées » poursuit-il. Car n’oublions pas que le soufre est à l’origine de maux de tête s’il est dosé en trop grande quantité. Par ailleurs, aucune levure exogène n’est ajoutée pour la fermentation des vins, et spécifiquement pour les rouges, la mise en bouteille se fait sans filtration ni collage. La Griffe by Chanade Produire des vins simples à boire et surtout naturels, tel a toujours été le crédo du Domaine de la Chanade. La gamme de vins proposée par son équipe, dénommée « La Griffe by Chanade », suit bien évidemment cette ligne de conduite. Cette gamme est composée des trois cuvées suivantes : « Domaine de la Chanade » en blanc, blanc doux, rouge et rosé, les « Cuvées Galien » et la « Cuvée Ultime R&L ». Fleuron des vins du domaine, les « Cuvées Galien » déclinées en rouge et blanc AOC Gaillac, sont des vins élaborés de façon très méticuleuse. Ils sont issus de raisins de grande qualité, vinifiés avec les levures naturelles du fruit et finalement affinés en barriques de chêne français. Annuellement, le domaine produit en tout dans les environs de 120 000 bouteilles majoritairement vouées à l’exportation. Les vins du domaine peuvent notamment se trouver aux Etats-Unis, en Angleterre, en Belgique, en Grèce et même en Chine. ...
Depuis 2006, ce domaine familial de quatre-vingt-dix hectares dont cinquante plantés est géré par les époux Georges et Corinne Leveilley Dadda dont la passion pour les vignes se reflète à travers la qualité de leurs vins. Un terroir favorable au développement des vignes Si les vins de Bordeaux connaissent un succès si spectaculaire dans le monde entier, c’est avant tout grâce à la combinaison de plusieurs facteurs plus que favorables à la viticulture. Installé à Civrac-en-Médoc, le Château de Panigon est en plein cœur de ce territoire et profite des largesses de Mère Nature pour obtenir des vins de grande qualité. En effet, le terroir argilo-calcaire recouvert de graves et de cailloux charriés par la Garonne est plus que propice au bon développement des vignes. « Le climat tempéré de la région permet aussi d’obtenir une maturité constante des raisins au fil des années et ainsi avoir des vins quasiment immuables en qualité » précise Georges Dadda. L’encépagement est composé de Merlot à 50%, de Cabernet Sauvignon à 45% et le reste en Petit Verdot. L’âge moyen des vignes quant à lui est de vingt-cinq ans. Entre tradition et modernité Toutefois, avoir des conditions aussi favorables soient-elles ne suffit pas pour autant à garantir au final la qualité des vins. Il est également important d’appliquer les bonnes techniques de vinification. Et c’est justement ce que Georges et Corinne s’évertuent à faire depuis qu’ils sont à la tête de l’exploitation. « À ce niveau, nous adoptons des méthodes modernes tout en respectant les traditions médocaines » note Georges. Les traitements sont menés toujours selon l’état sanitaire des parcelles, la fertilisation n’est jamais systématique et le désherbage est mécanique. Toutes les cuvées y sont élevées douze à dix-huit mois en barriques de chêne français avant d’être embouteillées. L’élégance pour le Château Panigon Cette cuvée, issue de l’assemblage des trois cépages du domaine et fermentée en cuves inox thermo-régulées, est produite à cent-soixante-seize-mille bouteilles en moyenne par an. D’une robe rouge grenat, elle marie harmonieusement des arômes de fruits rouges (mûres et cassis) et des fines nuances toastées au nez. En bouche, elle dévoile du gras et des tanins mûrs avec une longue finale donnant sur du fruité. Viandes rouges grillées, carré d’agneau et magret de canard sont les plats parfaits pour dévoiler tout son potentiel. La passion pour le Château Amour Vin d’assemblage entre le Merlot et le Cabernet Sauvignon en parts égales, le Château Amour présente une robe pourpre qui laisse présager de sa qualité. Au nez, il est délicatement parfumé aux olives noires de par la présence du Cabernet Sauvignon. Le vin est doux, aérien et juteux aux notes de pâtisserie en bouche. Cette cuvée s’accorde avec des fromages puissants, une poularde aux cèpes ou un carré d’agneau tout simplement grillé. En moyenne, le domaine en produit dans les cent-quatre-vingt-mille bouteilles par an. ...
Riches et complexes, les vins du Château Clarettes portent de nombreux atouts grâce aux nombreuses variétés dites nobles de cépages se développant sur le domaine, à savoir pour les vins AOP Mourvèdre, Cinsault, Syrah et Rolle – Chardonnay, Merlot et Sauvignon Blanc pour les vins de Cépage. Un assemblage spécifique de ces derniers contribue à la qualité des produits du domaine. Le respect du terroir, gage de l’authenticité des produits Etalées sur quelques treize hectares à l’entrée du village des Arcs-sur-Argens, les parcelles de vignes du Château Clarettes bénéficient d’une exposition bien particulière. Elles sont situées en plateaux, coteaux et plaines réunies en un seul domaine. Alliée au sol argilo-calcaire très caillouteux, cette singularité confère aux vins du domaine une richesse aromatique hors du commun. Pour le Château Clarettes, préserver l’authenticité de ses vins est un enjeu fondamental. Dans les faits, cela passe par le respect total du terroir et de l’environnement, qui ne peut s’obtenir que grâce à une méthode de culture ultra-raisonnée. Ainsi, le domaine travaille son sol uniquement de manière mécanique, par l’usage de griffes et d’interceps. De plus, les traitements ne sont appliqués que si et seulement si cela s’avère nécessaire. Des moutons passent en sortie d’hiver pour nettoyer les parcelles et apporter un amendement organique naturel. Finalement, les vendanges se font toujours entre 4 et 8 heures du matin, afin de préserver les mouts de l’oxydation et de conserver le potentiel aromatique de la récolte. Nouveau bâtiment, nouveaux défis En 2016, le Château Clarettes s’est installé dans un bâtiment, dont les travaux ont été menés par le cabinet F&V Architectes, cette construction allie esthétique, technicité et praticité, il rassemble en un seul lieu, le chai, la cave, le caveau de vente, les bureaux. Non moins esthétique par ses façades en bois et pierre, cette nouvelle construction a été conçue dans la but de rationaliser la consommation d’énergie. Une belle découverte : le magasin offre une vue imprenable sur l’ensemble du vignoble. Des vins très aromatiques Toujours authentiques, les soixante-mille cols produits annuellement par le château se démarquent de l’AOP Côtes de Provence par leur puissance aromatique. Et plus particulièrement la Grande Cuvée Rosée avec ses arômes de fraises et fraises des bois très prononcées conférés par le Mourvèdre dont elle est majoritairement composée. Ce vin à la robe rose pâle propose une finale très longue en bouche. Le Château Clarettes Grande Cuvée Rouge offre, quant à lui, une grande complexité aromatique donnant sur des notes de réglisse, café torréfié suivies de fruits rouges (cassis et mûres) au nez. En bouche, son attaque fine et épicée offre des arômes de chocolat et de pain grillé. Le millésime 2013 de cette belle cuvée a été primé d’une médaille d’Or au Concours Général Agricole de Paris 2015. ...
Anthony et Clemence Toullec, Récoltants Manipulants, vous invitent à déguster leur champagne de terroir cousu-main. Reprise des vignes familiales et création de la marque Toullec La Maison Toullec, c’est avant tout une histoire de vignerons qui se transmet de génération en génération. Aujourd’hui en charge d’un domaine de 5 hectares (en cours de certification « Exploitation de Haute Valeur Environnementale ») et cultivant 3 cépages champenois (Pinot Noir, Meunier et Chardonnay), Anthony et Clémence Toullec produisent 7000 bouteilles par an. Leur objectif : proposer un champagne de gastronomie capable de faire ressortir le terroir tout en préservant l’environnement. C’est pour cette raison que le travail est réalisé essentiellement à la main. ...
Un lien bimillénaire unit les vignerons à ce terroir. Volcanique, maritime, champêtre, la vie géologique confère forces et vulnérabilités à des vins emblématiques, fruits d’une sincère communion entre femmes, hommes et nature. Avec des savoir-faire affinés au fil du temps, la priorité aujourd’hui est, pour de nombreux domaines, la préservation de l’environnement. Des vins de convictions aux arômes du terroir Il y a trente ans, le Château de Montpezat et le Domaine du Petit Roubié furent parmi les premiers à produire des vins biologiques, c’est-à-dire sans aucun traitement chimique, avec des rendements maîtrisés du vignoble, un respect des cycles de la nature. Aujourd’hui, chacun cultive son histoire, ses traditions, ses sols et ses initiatives. Pour exemple, dans les domaines Le temps fait tout et La Garance, des chevaux labourent le sol, nourris au foins cultivés sur place. Pour la seule commune de Montagnac, les Domaines Paul Mas, le Domaine de Campaucels et le Domaine de la Conseillère, font appel à des bergers locaux et proposent leurs vignes comme terrain de pâturage, un bon moyen écologique d’entretenir les terres. Les caves coopératives comme celles de l’Ormarine et les Caves Molière jouent également le jeu en proposant des vins en agriculture biologique. D’autres choisissent de produire des vins natures, sans sulfites, exigeant un savoir-faire précis et beaucoup de patience comme les Domaines Fontedicto et Stella Nova. Les domaines La Croix Gratiot ou la Font des Ormes ont choisi la culture biodynamique pour préserver et encourager l’écosystème. Les énergies, les cycles terrestres et lunaires, les matières végétales, animales ou minérales utilisées sont ici considérées comme intrinsèquement liées. Démarrer ces méthodes demande par ailleurs un investissement humain et financier conséquent pour les domaines et certains hésitent encore à se lancer dans l’aventure. Leur nombre augmente pourtant et témoigne d’une dynamique locale pleinement engagée pour son avenir. A découvrir le temps d’un parcours œnologique ludique et réjouissant. ...
C’est sur ces terres de craie que s’épanouissent les arômes subtils de raisins blancs mûrissant lentement sous un ensoleillement adapté. Le domaine de 6,4 hectares est établi sur un noble terroir, et les propriétaires aussi sont détenteurs des traditions champenoises. Deux raisons expliquant la qualité des champagnes de la maison. Un travail minutieux, synonyme d’excellence Le travail du terroir se fait dans les règles de l’art au Champagne Moineaux. La cueillette manuelle se fait avec précision, et l’étape de vinification aussi. L’emploi d’outils de pointe, notamment des cuves en inox équipées de thermorégulation, améliorant la qualité du vin. Thibault Soyer, propriétaire du domaine, mise sur la qualité. « Nous ne millésimons nos cuvées qu’en cas d’excellentes années », évoque-t-il. D’ailleurs, ses millésimes sont issus des meilleurs crus. Ces champagnes d’excellence se conservent au moins cinq ans, pour faire éclore tous leurs arômes délicats. Récoltant-manipulant, Thibault Soyer prend également en main le marketing et la commercialisation de ses produits. Il a réussi à percer des marchés à l’étranger, au Danemark, en Suède, en Grande-Bretagne et en Espagne, ce qui fera grimper sa production à près de 50 000 bouteilles par an. Les grands crus, objets de convoitise lors des visites œnotouristiques Les champagnes Moineaux sont classés Blanc de Blancs Grand Cru. Élaborés uniquement avec du chardonnay, ils font l’objet de curiosité lors des visites œnotouristiques, durant lesquelles un parcours guidé, allant du terroir au cellier, est proposé. L’étape de dégustation est incontournable lors de la visite, où les perles rares se dévoilent aux visiteurs de la cave. Parmi elles, la cuvée Brut millésime représente à merveille le terroir. C’est aussi le fer de lance de la maison. La cuvée Prestige est également éloquente. C’est un champagne d’exception issu d’une parcelle vieille de 50 ans. Sa finesse et son élégance provoquent de belles sensations de fraîcheur. ...
À travers une farandole de plats variés allant des galettes bretonnes à une belle sélection de salades composées, en passant par les savoureuses viandes grillées, l’enseigne est une invitation permanente à la gourmandise. Dans un espace aussi bien lumineux que chaleureux, les lieux se prêtent merveilleusement bien aux repas en famille, entre amis ou en amoureux, avec, en plus, un service sympathique et un accueil chaleureux. Profitez des beaux jours à l’ombre de sa terrasse, à déguster tout un assortiment de bonnes choses, avec, toujours, la surprise de l’assiette, grâce à une cuisine de marché bien orchestrée où la qualité des produits revêt toute son importance. Plusieurs choix de plats Le restaurant Crêperie Satory propose le midi une formule à 12 €, composée d’un plat et d’un dessert. Prenez vos aises en commençant par sa salade niçoise à base de tomates, emmental, œufs et jambon - de quoi ouvrir l’appétit -, et enchaînez avec une entrecôte grillée ou poêlée, avant de terminer par une crêpe caramel au beurre salé. À travers une carte de vins représentative de toutes les régions, allant de la Loire jusqu’au sud de la France, le restaurant est en mesure de proposer un large choix de références, dont une trentaine en vins rouges, une quinzaine en blanc et cinq références en rosé, parmi lesquelles figurent le Crozes-hermitage et le Cahors. La Crêperie Satory, c’est surtout une cuisine au service maîtrisé et à la présentation soignée, qui fait plaisir aux gourmands et gourmets. ...
Maison familiale depuis la fin du XIXe siècle, cette distillerie artisanale est dirigée par Jean-Marie Leisen, épaulé par sa fille Sarah Leisen, qui se tient prête à reprendre le flambeau. Une recherche de la qualité Afin de proposer une production de qualité, la distillerie met en avant un savoir-faire traditionnel mais surtout l’utilisation des meilleures matières premières. Pour confectionner ses cidres et ses jus de pomme par exemple, elle opte pour des fruits 100 % bio et présentant un niveau optimal de maturité. Côté vieillissement, la maison a recours à des techniques spécifiques. Ainsi, la mirabelle de Lorraine, un de ses produits phares, se conserve une année dans des cuves en inox, puis une autre année dans des barriques en fût placées dans les caves. L’eau-de-vie passera ensuite 5 ans dans des cuves en grès, placées cette fois-ci dans les greniers. En agissant de la sorte, la maison fait profiter son nectar d’une variation de température propice à son vieillissement. ...
Propriété vitivinicole depuis 1935, le Château du Cléray s’est transmis de génération en génération dans la famille Sauvion. Avec ses vieilles caves voutées, celui-ci compte parmi les plus anciennes propriétés du Pays Nantais. Aujourd’hui, c’est au tour de Pierre-Jean Sauvion, 4e génération, de s’atteler à la tâche et de façonner les vins de la maison. Honneur au muscadet Depuis sa création, le domaine a mis tout en œuvre pour donner au cépage Melon de Bourgogne ses lettres de noblesse. « C’est tout simplement l’un des plus grands cépages blancs au monde et il pousse uniquement dans notre région », explique Pierre-Jean Sauvion, œnologue et directeur technique. Ceci expliquant cela, le Melon de Bourgogne occupe aujourd’hui les deux tiers de l’encépagement de ce vignoble de 100 ha. Le reste se compose de chardonnay, de sauvignon et de folle-blanche (le cépage du gros plant). Les vignes du domaine sont plantées sur un sol silico-argileux, traversé par une veine de schiste qui apporte aux vins une complexité aromatique avec une belle minéralité accompagnée d’une touche saline. « De cette typicité naissent des vins avec une expression plus tardive. » Respect de la vigne et de la Nature Le domaine adopte des pratiques culturales qui respectent la Nature et s'est donc tout naturellement engagé dans une certification HVE (Haute Valeur Environnementale.) « Mon outil de travail, c’est la vigne. Donc je fais tout pour la préserver afin de la léguer un jour aux générations futures », plaide notre interlocuteur. Cependant, pour Pierre-Jean Sauvion, la démarche importe peu, qu’elle soit biologique, raisonnée ou organique. Pour lui, l’objectif reste le même : faire en sorte d’obtenir une qualité optimale. Et cette recherche de la qualité commence dans les vignes. « Nous sommes à l’écoute de la Nature. Et en fonction de cela, nous faisons ce qui est le mieux pour nos vignes. » Côté vinification, le domaine suit un schéma classique. Cependant, toutes les opérations sont effectuées sous gaz inerte pour éviter l’oxydation. Des façonneurs de plaisir Apporter du plaisir et le partager aux autres. C’est en quelque sorte la philosophie qui a animé la famille Sauvion depuis maintenant 4 générations. Ainsi, elle se définit volontiers comme « des façonneurs de plaisir », qui, chaque année, se plait à présenter de nouvelles saveurs aux œnophiles. Parmi les références de la maison, la gamme haute culture mérite une attention particulière. Issues des meilleurs terroirs et des vieilles vignes de la propriété, ces cuvées représentent le summum du savoir-faire du Château du Cléray. À commencer par le « Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2017 Château de Cléray » ! Un 100 % muscadet qui exhale des arômes de citron, de tilleul, de menthe et de pomme verte. En bouche, on retrouve une grande fraîcheur et une belle finesse. Ce vin accompagnera parfaitement un plateau de fruits de mer ou une mousseline de Saint-Jacques. ...
Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive. Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution. Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises. Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable. Un partenariat gagnant-gagnant Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire. Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy. La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com ...
Depuis, ils y fabriquent des bières artisanales dans le plus pur respect de la tradition brassicole, en pratiquant une sélection rigoureuse des matières premières. La brasserie Pietra se situe à Furiani, près de Bastia, en Haute-Corse. Les bières de la brasserie Pietra La bière Pietra, le produit fondateur de la brasserie Pietra, est brassée à partir de malt et de farine de châtaigne corse. Mélangée au malt lors de l’empâtage, la farine de châtaigne est utilisée comme une matière première et non comme un arôme. Cette recette unique au monde confère à la Pietra une saveur tout en contraste. Puissante et délicate, charpentée et moelleuse, la Pietra titre 6 % d’alcool. Elle affiche une belle robe ambrée et une mousse intense à fleur châtaigne. Depuis, sont nées d’autres recettes exclusives : - Pietra Bionda, présentant un parfait équilibre entre malt pâle, farine de châtaigne et houblon aromatique ; - Pietra Rossa, une bière aux fruits rouges présentant des notes de griotte, et une pointe de framboise et de mûre ; - Colomba, une bière blanche à base de malt d’orge et de froment, infusée aux herbes du maquis, avec des notes fraîches d’agrumes et un arôme épicé ; - et, depuis peu, Colomba Rosée, une bière blanche aux arômes naturels d’orange et de framboise, brassée à partir de malt d’orge et de malt de blé, fraîche, légère et fruitée. Également disponible en saison : la Pietra de Noël. Visite La brasserie se visite tout l’été, du lundi au vendredi. Le reste de l’année, elle est accessible sur rendez-vous. ...
Dans le but de séduire les épicuriens, le restaurant O Bistrot mise sur un cadre contemporain et original, la combinaison parfaite pour générer une ambiance cosy, conviviale et chaleureuse. On lui prête souvent un style néo-pub avec un décor teinté d’un esprit vintage faisant tout son charme. Toute la particularité de l’établissement repose aussi sur la présence de sa terrasse, ce qui est rare dans les environs. Une cuisine française bistronomique O Bistrot a bâti sa notoriété sur sa cuisine française bistronomique à ranger dans les registres « fait maison » et « de saison ». Les produits du terroir sont joliment mis en scène dans les assiettes et mettent en valeur les spécialités régionales. Dans une volonté de satisfaire tous les goûts et toutes les envies, des plats végétariens ou sans gluten sont également servis. Parmi les mets ayant fait la notoriété de l’établissement, figure le foie gras de canard et sa confiture aux mendiants, une entrée conjuguant à la perfection le fondant du foie gras et l’onctuosité de la confiture pour ouvrir l’appétit des fins gourmets. Dans le registre des plats, la belle entrecôte grillée accompagnée d’une sauce béarnaise promet de faire redécouvrir le plaisir de la table. Pour finir en beauté ce mélodieux repas, rien de tel que le riz au lait « Grand-Mère ». Nacré, soyeux, frais… autant de qualificatifs à associer à ce dessert à la fois crémeux et onctueux. Une carte de vins très variée O Bistrot propose une carte de vins se voulant éclectique, tout en privilégiant toutes les sous-régions de France. Ainsi, dans la liste des références qui font le plus d’adeptes s’inscrivent le Chorey-les-Beaunes de Bourgogne, le Haut-Médoc de Bordeaux ou encore Les Creisses de l’Herault, Domaine de Montcalmès Coteaux du Languedoc, La Réserve d’O « Huissez O » Terrases du Larzac, Terrassses d’Elise et autres Condrieu, etc, sans oublier une sélection de vins étrangers. ...
Dès 1929, Emile Refouvelet développe un apéritif à base de racines de gentiane, à Riom-es-Montagnes au cœur du Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. Dès 1930, il est commercialisé sous le nom d'Auvergne Gentiane. C’est en 1962 que naît officiellement la marque Avèze. Un processus d’élaboration authentique ... Les racines de gentiane sont récoltées entre fin mai et mi-octobre, entre 900 et 1700 mètres d’altitude. Elles sont triées puis lavées à la main. Elles sont ensuite disposées de façon inclinée pour un égouttage optimal. Après avoir été découpées en cossettes, elles subissent une macération dans de l'alcool pendant au moins neuf mois. Enfin, viennent les étapes de la filtration et l'embouteillage. Avèze est le seul apéritif auvergnat à être certifié « produit du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne », véritable gage de qualité et d’authenticité. … pour des apéritifs au goût unique La gamme Avèze se décline en 3 variétés : 15%, 16% et 18% vol., se différenciant notamment par une note de gentiane plus ou moins intense. Toutes présentent une robe jaune d’or éclatant. Au nez, l’Avèze 15% vol. est fraîche et fruitée, en bouche sa légèreté et sa douceur contenue mettent en valeur l'amertume traditionnelle de la gentiane. Avec ses notes fruitées, l’Avèze 16% vol. a une attaque ronde et moelleuse, avec une amertume qui apparaît franchement à l'évolution et persiste en finale. Quant à l’Avèze 18% vol., elle se remarque par ses notes de gentiane plus prononcées. L'apéritif Avèze s'apprécie pur avec des glaçons, ou avec de l’eau gazeuse, du tonic ou encore du jus de fruits. Essayez par exemple l’Avèze Cassis : 5 cl d’Avèze, 2 cl de crème de cassis et des glaçons. En savoir plus à l’Espace Avèze Pour tout connaître sur l’histoire et l'élaboration des apéritifs Avèze, rendez-vous à l’Espace Avèze toute l’année sur réservation. Cet espace gratuit présente les 500 espèces de gentiane et l’histoire du volcan cantalien. Une dégustation gratuite d’Avèze est proposée aux visiteurs majeurs. ...
L’idée de départ était d’améliorer les troupeaux français en les croisant avec des têtes issues du cheptel anglais. Le système d’exploitation appliqué en Anjou, à cette époque, a favorisé le succès de l’expérience. Aujourd’hui, ce croisement de taureaux Durham à la Mancelle génère des viandes de haute qualité bouchère, réclamées par les connaisseurs. La plus anglaise des races françaises Reconnaissable à son allure longiligne, son fort gabarit et la pie rouge foncé de sa robe, la Rouge des prés était d’abord baptisée de la désignation Maine-Anjou. Elle portera ce nom jusqu’en 2004. « Longtemps, cette race qui est née au XIXe siècle a été exploitée de façon mixte, avec une production laitière relativement importante », précise M. Albéric VALAIS, le DG du Domaine rouge des prés. Aujourd’hui, elle s’aligne exclusivement dans les troupeaux allaitants, étant plus volontiers recherchée pour les riches caractères gustatifs de ses viandes. Un savoir-faire pointu pour l’élevage Question de terroir, les Pays de la Loire sont demeurés le site d’élevage de prédilection de cette race. C’est en tout cas la zone de couverture de l’appellation d’origine protégée. Ensuite, quelques troupeaux sont retrouvés au nord des Deux-Sèvres et en bordure de l’Ille-et-Vilaine. Des contextes particuliers définissent naturellement cette répartition des zones d’élevage. La race s’adapte à des facteurs pédoclimatiques doux. « Cette douceur angevine, elle cadence un petit peu notre année. C’est-à-dire que l'on a la chance chez nous d’avoir un printemps plus précoce. Ça permet de sortir les animaux à l’herbe très tôt. Au mois de mars, une bonne partie des troupeaux sont déjà arrivés en pâture », se réjouit Albéric Valais. Dans ces conditions, les bêtes jouissent alors d’une période d’alimentation à l’herbe très faste. Celle-ci se poursuit jusqu’en juin, voire au-delà. La douceur de l’automne permet de rattraper la « disette estivale » et de reprendre de l’état en perspective de l’hiver. Cette spécificité climatique offre aux éleveurs la possibilité de valoriser leurs prairies de façon optimale, alternant le recours aux prairies de fond de vallée ou de bord de ruisseau à l’exploitation des prairies sèches, à bon escient. La viande d’appellation Maine-Anjou Attribuée en 2004, l’AOC Maine-Anjou marque la consécration de la viande issue des Rouges des prés. Celle-ci se reconnaît d’emblée par sa couleur rouge intense, se distinguant tout de suite lorsque confrontée à des morceaux coupés dans d’autres races. Côté goût, ce sont les notes persillées du gras qui signent son originalité. La jutosité et la saveur de la chair sont typiques et très recherchées par les gourmets. Les néophytes en la matière peuvent toujours essayer la technique de la « mastication prolongée ». Loin du rendu granuleux qui se produit avec d’autres viandes, celle-ci a « une attaque en bouche onctueuse qui va rester même si vous mâchez longtemps ». Principalement découpés dans les quartiers arrière, les morceaux se déclinent en bourguignon, côtes, faux-filets, entrecôtes et rosbifs. D’excellentes pièces destinées au pot-au-feu ou aux recettes de fondues sont également proposées. Pour en arriver à ces produits de qualité éminemment courus, il a fallu respecter un cahier des charges rigoureux. L’homogénéisation des systèmes de production – « une vache et sa suite pour 1 hectare d’herbe » – et les conditions de finition des animaux sont parmi les priorités des éleveurs de cette appellation. Pour les dernières, le mot d’ordre est « matières premières mélangées et non OGM ». ...
Situé à quelques enjambées de la maison de la Radio, le restaurant Chaumette continue d’honorer l’art culinaire traditionnel français. Une valeur qui a fait de la maison un endroit unique en son genre. Un vestige du siècle dernier Caché derrière une authentique façade en bois se trouve le restaurant Chaumette. À l’intérieur règne une ambiance rétro, bon enfant et chaleureuse. Le décor, propre aux bistrots des années 1930, réveille un sentiment de nostalgie et de bien-être : boiseries, petites tables serrées. Ici sont suspendues des photos anciennes. Et là trônent des cadres dédicacés, où l’on peut lire des lignes élogieuses à faire pâlir d’envie n’importe quel restaurateur. La preuve que Chaumette a été l’endroit coup de cœur de plusieurs personnalités comme Édith Piaf, Arletty, Jacques Brel ou Joséphine Baker. Un haut lieu de la cuisine traditionnelle française Vincent Spirito et son équipe conservent le concept qui a su séduire les convives du restaurant Chaumette durant presque huit décennies : une cuisine traditionnelle française et faite maison, des ingrédients frais et de qualité issus en majeure partie de filières françaises. Savourez en entrée une terrine de foie gras de canard, confiture d'oignons ou du vol-au-vent d'escargots crème de champignons. En plat, passer à côté du pot-au-feu, l’emblème incontournable du restaurant depuis sa création, serait bien dommage. Mais cela n’empêche pas de se laisser éblouir par d’autres spécialités : noix de ris de veau, blanquette de veau, rognon de veau à la moutarde de Meaux, civet de sanglier, pigeon rôti découpé sur toast à la farce d'abats… Et au dessert aussi, quelques classiques sont au rendez-vous : millefeuille à la vanille bourbon, soufflé au chocolat... Côté cave, Chaumette privilégie les vignerons indépendants et ceux qui ont une démarche globale de respect de l’environnement et des méthodes de production. Les vins bio voire nature sont mis à l'honneur sur l'ensemble des vignobles mais particulièrement en Languedoc, Loire, Rhône... ...
Voilà 3 générations que cette exploitation familiale confectionne des vins de caractère empreints d’authenticité. 3 cépages, 3 couleurs Dans ce vignoble, les 3 cépages traditionnels (auxerrois, gamay, pinot noir) sont plantés sur un terrain propice à leur épanouissement. Ainsi, les vignes puisent leurs nutriments dans un sol issu d’argiles oxfordiennes avec un mélange d’alluvions anciens et d’éboulis calcaires. Le domaine produit bel et bien du blanc et des rouges, mais il est particulièrement fier de ses vins gris-de-toul. Une spécialité emblématique Avec le gris-de-toul, spécialité emblématique de l’appellation, la maison en a fait sa cuvée phare. Issu de l’assemblage de gamay et de pinot noir, ce vin se démarque par sa rondeur, sa palette aromatique et une souplesse en bouche qui lui confère un caractère unique. ...
Faisant partie des précurseurs du bio, dans lequel elle s’engage dès 1997, cette exploitation familiale implantée au cœur des Corbières travaille les vins nature depuis 2011. Des techniques pointilleuses pour de bons vins naturels Produits avec du raisin, ni plus ni moins, les crus Grand Guilhem expriment la personnalité du carignan, du macabeo, du mourvèdre, de la syrah et du grenache – noir, gris, blanc – dans sa forme la plus pure. La maison élabore 8 cuvées, chacune trempée du caractère singulier de son cépage dominant. Une session de dégustation au domaine rime avec une expérience intense où la monotonie n’a pas sa place. « Chaque cuvée a un mode de vinification différent », souligne Gilles Contrepois, le maître des lieux. Outre la vinification en cuve et en barrique, cet ingénieur reconverti évoque avec une fierté à part ses opus élevés dans d’authentiques jarres occitanes : des crus qui se distinguent par leur rondeur et leur pureté. Oenotourisme au Domaine du Grand Guilhem Le Grand Guilhem propose une expérience oenotouristique complète : dégustation, exploration des vignobles et des caves. Les visiteurs sont accueillis dans 4 chambres d’hôtes aménagées dans une maison de maître de caractère, dotée d’une magnifique vue sur Cascastel. Deux gîtes d’une grande capacité sont mis à disposition des groupes et des familles. Les hébergements du domaine affichent différents labels, témoins de la qualité de l’accueil et de l’expérience de partage que les hôtes ont en réserve. ...
C’est dans le 9e arrondissement de Lyon, dans une bâtisse classée aux Monuments historiques français, que nous donnent rendez-vous le chef Jean-Christophe Ansanay-Alex et son équipe. Son auberge à la cuisine savoureuse est reconnue aussi bien dans le pays qu’ailleurs. Un cadre unique L’Île Barbe est un écrin de verdure protégé de la civilisation par la Saône. L’Auberge se présente comme l’endroit idéal pour passer un moment gourmand et paisible hors du temps. Les salles présentent une ambiance feutrée. L’installation d’un mobilier contemporain dans cette bâtisse du 17e siècle révèle un contraste intéressant entre tradition et modernité. C’est également un endroit intimiste, vu le nombre réduit de couverts par espace. Une cuisine gastronomique Avec un chef qui est resté 25 ans derrière ses fourneaux, l’Auberge de L’Île Barbe a encore de beaux jours devant elle. Avec ses mains de maître, Jean-Christophe Ansanay-Alex habille ses assiettes d’une précision chirurgicale. Des plats à la fois sobres et élégants, en complète harmonie avec le lieu. Le chef s’inspire de ses nombreux voyages pour relever sa cuisine gastronomique traditionnelle avec des saveurs originales. Et le résultat est souvent surprenant, notamment le velouté de cèpes comme un cappuccino vapeur de foie gras, l'un des plats signatures de la maison. Le feuille à feuille de Saint-Jacques aux truffes et épinards comme une compression de l’artiste César, au beurre de jus de truffe n’est pas en reste. Et en dessert, la crème glacée à la réglisse est très appréciée. Pour accompagner le repas, la maison propose une carte de vins éclectique, tout en privilégiant la Bourgogne et la Vallée du Rhône. ...
L’histoire commence en 1927, lorsque le domaine de Boursault, ancienne propriété de Madame Veuve Cliquot, est repris par un aïeul de Charlotte Le Gallais, en la personne d’Hachod Fringhian. Ce bel endroit, situé à quelques kilomètres d’Épernay, révèle un excellent potentiel dans l’élaboration des Champagnes. Ses pierres calcaires aux propriétés filtrantes associées à la fraîcheur de l’argile contribuent à l’équilibre du terroir, nécessaire dans la fabrication de vins fins et élégants. Des caractéristiques qu’Hervé Le Gallais et sa fille Charlotte entendent préserver, mais aussi partager. Entre qualité et respect de l’environnement S’étendant sur quatre hectares, le vignoble est planté de 45 % de Pinot Meunier, 45 % de Pinot Noir et 10 % de Chardonnay. Le domaine Le Gallais est l’un des rares en Champagne à posséder un clos. « Il n’en existe qu’une vingtaine sur les 320 villages d’appellation », précise Marine Zabarino, Wine Tourism Manager. Cette particularité permet d’être au plus près des installations et facilite tout le processus. « Être installé dans un clos nous assure une grande fraîcheur de nos raisins au moment du pressurage. Les vendanges en Champagne se font obligatoirement à la main, et ici le vignoble est suivi à la parcelle afin de mieux gérer la maturité des raisins. » Entretenir la qualité de ce terroir constitue la ligne de conduite de la maison Le Gallais, d’où l’adoption d’un mode de culture raisonnée avec une demande de certification courant 2018 en label HVE (Haute Valeur Environnementale). Depuis 1991, les insecticides ont été bannis du vignoble, et la biodiversité est très présente au sein de ce clos arboré et fleuri. Les sols sont qu’en à eux travaillés mécaniquement, sans aucune utilisation d’herbicides. Une cuvée, une histoire… Le domaine produit cinq cuvées qui ont leur propre identité, « long vieillement et très peu de dosage en sucre ». Le Rosé des Poètes, qui est un rosé de saignée brut, fait la fierté de l’entreprise. Cette technique de production de rosé en Champagne est de plus en plus rare. La couleur naturelle s’obtient par macération des raisins noirs dans le jus. Composé de Pinot Noir et de Pinot Meunier, ce vin révèle une robe intense avec des reflets ambrés, et un nez fruité et profond. Du côté des millésimes, si la législation en Champagne impose trois années de repos minimum en cave, la maison Le Gallais n’offre que des millésimes ayant reposé neuf à dix années. Cette technique laisse le temps aux vins d’évoluer profondément. Selon Marine Zabarino, « cet élevage est certes long, mais il apporte un grand développement des arômes pour des vins à la fois complexes, structurés et raffinés. Patience et passion sont les maîtres-mots de la maison. » ...
Dans un cadre verdoyant au milieu des vergers de Nouvoitou, le Manoir du petit corcé met à disposition cinq salles privatisables pour les repas de groupes, mariages, anniversaires, baptêmes ou pour différentes réceptions professionnelles. Un cadre d’exception, une cuisine créative et raffinée, un service dévoué, tous les ingrédients sont là pour faire de ces évènements des moments uniques. Le plus beau jour de votre vie Pourquoi se contenter d’un bon mariage lorsqu’on peut exiger l’excellence ? Le Manoir du petit Corcé organise une cérémonie à la hauteur de vos rêves dans ce cadre aux allures d’Éden. La formule clé en main offre un libre choix sur toutes les prestations: l’aménagement et la décoration de la salle, la logistique, le menu et le buffet ou encore l’animation. Toute l’équipe s’active pour accompagner les tourtereaux depuis les préparations jusqu’au grand jour, et même après. Le Chef concocte pour les nouveaux mariés une Porchetta à leur retour de mariage, c’est un cochon entier désossé cuit au four à pain. En parlant de cuisine, le menu mariage est élaboré annuellement. Le Chef Nicolas Gicquel et son équipe proposent des plats traditionnels teintés d’une touche de modernité. Les amoureux auront l’embarras du choix entre le « Foie gras mi-cuit, gelée de rhubarbe & pain d’épices maison accompagné de sa verrine mousse de foie gras et tartare de pommes granny Smith », le « Tartare de Saint Jacques, daurade et mangues basilic » et six autres entrées. Pour les plats, le choix s’effectue entre le « Magret de canard, sauce au poivre Gratin de pommes de terre-patates douces et mélimélo de légumes » et cinq autres suggestions. Pour couronner le tout, le « Fraisier à la pistache et éclats de framboises », le « Cheese cake au citron & son coulis de fruits rouges » ou la Charlotte aux trois chocolats » sauront émerveiller les papilles. Des assiettes de fromages comme le « Munster pané, chapelure de noisettes & cumin » et la « Mousse de fromage frais, sablé parmesan & compotée de figues ou coings » sont également disponibles, sans oublier les vins d’accompagnement. Entre professionnels, on se comprend Conscient des enjeux des réunions et réceptions professionnelles, le personnel de l’établissement se dévoue corps et âme à la réussite des évènements d’entreprise. Les cinq salles indépendantes peuvent accueillir des séminaires et conférences, des repas d’entreprises ou des showrooms. L’endroit est privilégié par sa position un peu isolée dans les vergers qui favorise la tranquillité. Rien de tel pour rapprocher les collaborateurs. Le Manoir du petit Corcé travaille en réseau avec des prestataires pour fournir une prestation complète aux entreprises. La maison présente trois formules de séminaires qui incluent la location de la salle, une petite bouteille d’eau pour chaque participant, un petit déjeuner et un déjeuner. Un écran et un paper board sont mis à la disposition des entreprises dans chaque salle. En cas de besoin, il est également possible d’obtenir un vidéoprojecteur, une table de mixage et des enceintes. Dans la formule « carte blanche du chef », les participants doivent choisir entre viande et poisson puis le Chef s’occupe du reste. Pour la « formule n°1 », plusieurs propositions au choix sont offertes. Enfin, le Cocktail du Manoir complète la « formule n°2 ». Un cadre irréprochable L’environnement extérieur du Manoir du petit Corcé est régulièrement entretenu par un paysagiste pour que les invités soient accueillis dans les meilleures conditions possibles, à n’importe quel moment. Pour une cérémonie féerique, différentes salles de réception sont disponibles avec des espaces privés adaptés. Le décor est moderne mais reste assez neutre pour donner plus de possibilités aux mariés sur la décoration qu’ils veulent. La salle Armorique peut accueillir jusqu’à 250 personnes, elle s’accompagne ...
Forte d’une expérience de près d’un siècle, l’entreprise Valette se démarque de par ses recettes traditionnelles et toujours de qualité. Le couple Adrien et Louise Valette a travaillé en tandem dès le lancement de la marque pour proposer le meilleur de la haute gastronomie : du foie gras et de la truffe faisant ainsi honneur au terroir du Périgord. Avec un savoir-faire transmis de génération en génération, les recettes originelles sont conservées pour le plus grand bonheur d’une clientèle désormais internationale. Depuis maintenant plus de trente ans, Jacques Valette œuvre dans le respect de cette tradition familiale jalousement préservée. Sans mettre de côté les recettes imaginées de sa grand-mère, il se met au goût du jour et développe les activités de l’entreprise pour répondre aux demandes de plus en plus grandissantes et la propulser au plus haut. Un développement à l’international La Maison Valette connaît une croissance considérable depuis sa création, un succès réaffirmé par Jacques Valette qui vise une renommée internationale, en développant un concept de vente à distance en 1984. Pour se faire connaître et reconnaître, l’entreprise familiale détient plus de quarante boutiques éparpillées dans toute la France et dispose d’un site marchand mis à jour en 2016. Découvrez sur ce site e-commerce toutes les merveilles du Périgord signées Valette qui font saliver gourmands et gourmets. Divers grands restaurants de par le monde servent par ailleurs les produits de la Maison, à l’instar de Westin (Tokyo), Ukai (Japon) et Royal Ascot (Londres). Certains restaurants d’Oslow, dont À l’aise et Brasserie Blanche, se ravitaillent en truffes fraîches auprès de l’entreprise. Une opportunité de faire découvrir les richesses du terroir au-delà des frontières. L’enseigne participe en outre à divers salons gastronomiques en France tels que le Salon international de l’agroalimentaire à Paris et le Concours général agricole de Paris. Depuis 1985, l’entreprise a raflé 58 médailles. Ces récompenses sont notamment dues à la qualité des produits de l’établissement qui jouissent de l’IGP canard à foie gras du Sud-Ouest et de l’IGP canard à foie gras du Sud-Ouest Périgord. L’entreprise Valette est en l’occurrence soumise à des audits annuels, gage d’une qualité optimale des produits. La responsable Marketing et Communication, Charlotte Kothe, souligne d’ailleurs que l’entreprise est « traditionnelle, semi-artisanale, moderne et respecte toutes les normes de qualité et de conservation pour ne proposer que des produits fiables ». Des nombreuses nouveautés Chaque année, la maison sort une dizaine de nouvelles recettes créatives toujours élaborées à partir de produits du terroir. Dans une belle et originale association entre les recettes traditionnelles et les nouvelles tendances culinaires, ces nouveautés sont toujours très bien accueillies. Parmi les recettes les plus appréciées, les Rondos de jambon fourrés au foie gras : une fine tranche de jambon roulée et fourrée au foie gras de canard et parfumée avec une gelée à l’Armagnac. Bien que vieille de quarante ans, cette entrée fine et noble fait toujours rage. Ne dérogeant pas à sa grande réputation, l’enseigne a su remporter le pari de séduire la clientèle avec son cassoulet revisité et agrémenté de morceaux de canard. Rares sont ceux qui arrivent à surprendre agréablement avec de si grands classiques. Magret de canard, confit de canard, magret fourré au foie gras, rillettes de canard… Plus de 300 références à votre portée ! Ces produits peuvent se retrouver dans des coffrets cadeaux disponibles en boutique : des coffrets pour la saison estivale et des coffrets de Noël. La Maison Valette, une grande place en matière d'événements La Maison Valette est aussi appréciée pour ses colis gastronomiques. Elle produit 400 000 colis chaque année et approvisionne mairies, comités d’entreprise et bien d’autres. Ses colis peuvent aussi faire office de cadeaux d’affaires. Les coffrets gastronomiques...