L’enseigne est située rue du Rhône, dans le food hall du grand magasin Globus à Genève. Elle s’est lancé un défi de taille : donner au fast-food un nouveau visage en proposant de délicieux burgers gastronomiques, à déguster sur place ou à emporter. Créé sous l’impulsion du chef doublement étoilé Philippe Chevrier, le pari est réussi pour ce snack artisanal et gourmet. Chez Denise, la carte fait aussi la part belle à des hot-dogs, des salades et des desserts gourmands, tous disponibles à emporter. Quand le fast-food devient gourmet Au homard, au bœuf suisse des alpages, à l’agneau, au foie gras ou encore végétarien. Toujours des garnitures uniques et créatives pour des petits pains sains mais gourmands. Des produits du terroir sélectionnés avec soin par une équipe conviviale. C’est l’idée que l’on se fait du burger chez Denise, goûteux mais simple et accessible. Dans ce snack haut de gamme, vous pourrez goûter à l’originalité raffinée de la maison comme « le homard du Maine avec sa rémoulade au citron vert nappé d’une mousseline d’avocat ». Le Spice Lamb propose, quant à lui, une recette alléchante à base d’agneau confit aux sept épices dans un pain pita. On compte au total près de sept recettes finement élaborées et chaque mois possède son lot de surprises avec un burger spécial à la carte. Un classique simple et indémodable ? Le Roast Chicken avec son poulet rôti confit, ses chips maison et sa sauce moutarde à l’ancienne. Si l’enseigne jouit d’une belle sélection de viandes, les végétariens n’en sont pas pour autant délaissés avec au menu un burger spécial galette de maïs aux délicieux légumes. Le tout est servi dans de jolis pains buns à l’épeautre, au sésame, à l’encre de seiche ou encore aux graines de courge, réalisés sur mesure par un artisan boulanger de Genève. Philippe Chevrier, chef doublement étoilé, affirme avec simplicité sa passion pour les produits du terroir et sa volonté de proposer un snack de qualité et accessible à tous ceux qui cultivent le « fast good ». Tous à la gastronomie Le lieu, décontracté et familial, invite les gourmands à vivre des instants culinaires conviviaux, cristallisés autour d’une idée essentielle : la sélection de bons produits tels que la célèbre tomme genevoise ou le bœuf suisse auprès des meilleurs producteurs locaux. Et pour rompre définitivement avec les clichés sur le burger, l’enseigne se veut responsable et proche de ses consommateurs comme de ses fournisseurs. Chez Denise, tout est fait « maison ». Même les sauces, comme la fameuse sauce Denise. À l’opposé de la malbouffe, on déguste ici le burger au naturel, c’est-à-dire sans arôme, sans conservateur, avec des produits cent pour cent locaux. Résultat ? Dans les cuisines, le burger subit un lifting complet pour retrouver ses lettres de noblesse. Manger sur le pouce mais gastronomique, c’est aussi une invitation à la convivialité, une valeur chère à Philippe Chevrier. Et pour perpétrer le paradis sensoriel découvert dans la cuisine familiale, le chef a choisi de rendre hommage à sa mère en lui dédiant son restaurant. « Depuis ma tendre enfance, le plaisir de la cuisine, transmis par plusieurs femmes dont ma maman, n’a fait qu’inculquer en moi cette passion et cette force qui m’ont fait grandir tout au long de ma vie », explique-t-il. Ces quelques mots rappellent que l’art culinaire est avant tout un savoir-faire empreint d’histoires qui nous replongent dans les souvenirs d’un repas de famille autant qu’une passion pour l’excellence. Sur place, en plus des produits frais et de la conception de burgers uniques, l’invitation à déguster se fait sans complexes et de manière décontractée. On voit les cuisiniers à l’œuvre dans la cuisine vitrée, en train de s’activer autour du toaster et de la plancha. Côté sucré, on se laisserait volontiers envoûter par le cake aux carottes et au gingembre, le cheese-cake new-yorkais à m...
Art Mas, c’est le vignoble familial de Xavier Combe. Véritable hymne à la biodiversité, les thyms, les romarins, les sauges, les oliviers et autres senteurs colorent le paysage et le parfument d’une fragrance inoubliable. Le viticulteur cultive 11 hectares de vieilles vignes à l’encépagement noble, localisées dans l’aire d’appellation Côtes-du-Rhône Villages Visan. Sur ce sol argilo-calcaire, les vins, produits biologiquement, s’épanouissent sous le soleil méditerranéen, ce qui donne des breuvages fruités, équilibrés, concentrés, expressifs et d’une étonnante richesse aromatique. « Nous nous distinguons par de très faibles rendements », confie Xavier Combe. « Seulement 25 hl/hectare en moyenne, ce qui permet la parfaite expression d’un terroir unique, souvent qualifié comme l’un des plus beaux de Visan. » Domaine viticole Art Mas : un terroir d'exception.... Exclusivement récolté à la main, le raisin ne subit aucun traitement par des intrants chimiques. La phytothérapie est adaptée à la vigne en utilisant des principes actifs naturels afin de renforcer la plante. « Nous exécutons des pratiques traditionnelles et des méthodes ancestrales ». Ce respect de la tradition n’empêche pas la modernité et l’originalité. Les étiquettes de la gamme ont été redessinées par le vigneron en 2016. De quoi se faire et faire plaisir. D’ailleurs, de nombreuses tables étoilées dans toute la France le savent bien : elles ont du vin du Vignoble Art Mas à leur carte. ...
Un mode de production unique Le veau fermier du Limousin élevé sous la mère a la particularité d’être nourri au pis, selon une méthode traditionnelle de production, de la naissance jusqu’à l’âge d’être consommé. L’alimentation de chaque veau est constituée au minimum de 85% de lait maternel. Elle peut être complétée de façon limitée et dans des conditions strictement définies par un aliment d’allaitement reconstitué. L’accès à l’auge lui est interdit. Un savoir-faire authentique La production de la viande de veau fermier exige un certain savoir-faire. Le veau doit suffisamment téter sa mère matin et soir pour obtenir la qualité recherchée. 1500 éleveurs élèvent leurs veaux dans le respect de cette méthode traditionnelle de production, transmise de génération en génération. A l’œil, la viande au grain très fin présente une couleur blanche à rosée avec un gras blanc. Tendre et fondante, elle révèle une chair satinée un peu persillée révélant onctuosité et saveur en bouche. Une reconnaissance par deux signes de qualité Contrôlée de la naissance jusqu’à l’abattage, par un organisme certificateur indépendant, le veau fermier du Limousin porte deux signes de qualité : - le Label Rouge « Veau élevé sous la mère » pour une garantie de qualité gustative supérieure. - l’Indication Géographique Protégée « Veau du Limousin » pour garantir son origine Limousine. ...
Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le chef, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens. Avec, à chaque fois, la promesse d’un plaisir renouvelé ! Un cadre élégant Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux repas d’affaires. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une belle terrasse à proximité de la piscine pour plus de tranquillité. Le raffinement dans vos plats Grâce à un partenariat privilégié avec ses fournisseurs locaux, l’établissement s’assure d’offrir à ses clients les meilleurs produits afin de leur concocter des plats incomparables. Au gré des saisons et des saveurs, le chef se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française. En entrée, le duo d’œufs en meurette est juste à tomber. Un vrai régal pour les gourmands de passage. En plat, rien de tel qu’un filet de bœuf charolais avec sauce aux morilles pour s’imprégner des saveurs régionales. Tous les dimanches, ce restaurant a l’habitude de convier les initiés à son traditionnel brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». L’occasion aussi pour l’établissement de faire connaître aux convives le savoir-faire de ses trois pâtissiers d’exception et leur célèbre chariot de desserts. ...
Spécialiste de bières de garde, la Brasserie Castelain est une entreprise familiale à taille humaine qui a su conserver les nobles valeurs qui ont si bien animé et nourri l’entreprise tout au long de son existence. Située en région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où la culture de la bière est fortement ancrée, la brasserie partage une passionnante histoire d’amour avec une clientèle fidèle et florissante. Des produits au naturel Grâce à un réel savoir-faire, la Brasserie Castelain a su développer plusieurs gammes de bières qui ont bâti sa renommée. C’est une entreprise familiale qui se nourrit de la passion de toute une équipe. Toutes ses bières sont faites avec beaucoup d’amour et dans le strict respect d’une charte qualité « avec le plus de naturalité possible et un mode de fabrication qui va laisser le temps au temps avec une garde longue », nous précise Annick Castelain, l'actuelle dirigeante. Des bières qui s’adaptent aux différents gouts des consommateurs et aussi à différents moments de consommation. Précurseur de la bière bio Trente ans plus tôt, à l’époque où la notion de bio ou de développement durable n’existait pas encore, la Brasserie Castelain a été « la première entreprise à faire de la bière biologique en France ». Le marché a évolué rapidement en recherchant des « produits les plus naturels possibles ». La Jade sans gluten a été créée en 2015, après constatation du nombre croissant des personnes intolérantes ou sensibles au gluten. Au bout de 2 ans d’efforts laborieux autour d’un processus qui a pour principe de n’utiliser que des céréales de ses régions, l’établissement a réussi à trouver un mode de fabrication aboutissant à la fabrication d’« une bière qui ne contient pas de gluten mais ayant un vrai gout de bière ». Et c’est là toute la différence ! Des visites en écomusée La Brasserie Castelain est fortement engagée dans la promotion de la bière, devenue une tendance et un produit de mode. En dépit de cet engouement majeur, le produit suscite encore de nombreuses questions auprès des consommateurs, notamment en ce qui concerne son mode de fabrication ou les ingrédients qui la composent. Toute l’équipe de la brasserie s’attache à apporter les réponses à ces questions, en mettant en place des circuits et des visites en écomusée. Au long du parcours d’exposition, des photos représentent les différentes périodes vécues par l’entreprise ainsi que les personnes qui se sont passionnées pour elle, avec un petit rappel du nombre de brasseries existant à cette époque dans la région. La Brasserie Castelain organise également de petites manifestations de façon à communiquer sur le produit et à partager la culture de la bière, en proposant, par exemple, des dégustations de produits associés. ...
C’est à l’issue de nombreux brassages fructueux, réalisés dans le petit village de Bazincourt-sur-Epte, qu’ils lancent leurs toutes premières recettes. « Nous avons commencé par trois recettes et, [avec le succès de ces dernières], nous avons agrandi notre production », dixit Antoine. Une nouvelle brasserie est alors créée à Gisors, en Haute-Normandie, un lieu entièrement dédié à la production de bières hautes en couleur. En découlent alors deux gammes de produits empreints d’humour et adulés des connaisseurs. La vraie bière de terroir Dans le but de produire une vraie bière de terroir, les deux entrepreneurs ont peaufiné leur savoir-faire et leur maîtrise du processus de brassage en s’inspirant des techniques de fabrication artisanales. Ainsi, la bière produite n’est pas pasteurisée et ne contient ni arômes ni épices. Tout le processus d’élaboration, allant de l’infusion des céréales à la fermentation en fûts et en bouteilles, se fait, par ailleurs, sur place et les matières premières sont collectées dans des coopératives agricoles françaises. « Avec l’orge et le houblon 100 % français, nous avons également notre propre souche de levure que l’on cultive à la brasserie. Cette levure donne le goût caractéristique, qui fait la signature de nos produits. » Des bières légèrement fruitées aux saveurs uniques découlent ainsi de cette passion pour l’authenticité. ...
Au Château la Pierrière, le temps semble s’être figé. La propriété qui date du XIIIème révèle encore quelques vestiges qui témoignent de son riche passé notamment sa cour intérieure, ses tours pentagonales du XVème siècle et ses douves creusées. Située à 45 minutes de Bordeaux et 7 minutes de Saint-Émilion, elle est considérée comme l’une des plus anciennes exploitations du Castillonnais. Un patrimoine reçu en dot par François de Lageard en 1607 lors de ses épousailles avec Marguerite de Puyperron. Depuis, ses descendants ont tour à tour apporté des améliorations sur le domaine afin qu’il marque son empreinte dans le paysage viticole bordelais. Une maison viticole engagée Le Château la Pierrière a la chance d’être installé sur un terroir de grande qualité. Le vignoble constitué de 30 hectares de plateaux calcaires et de 10 hectares de coteaux argilo-calcaires revêt une personnalité sensiblement similaire à celle de Saint-Émilion. Il est principalement encépagé de merlot, de cabernet franc, de malbec ainsi que de sauvignon blanc. Le domaine signe sa différence par la richesse et la beauté de son environnement. « Nous essayons de maintenir de la végétation naturelle et nous avons même un projet de plantation de haies pour renforcer la biodiversité au niveau des parcelles », fait savoir Olivier de Marcillac. Le vigneron est soucieux de l’héritage à laisser aux futures générations c’est pourquoi il a décidé de conduire son vignoble selon des pratiques agro-environnementales ayant abouti à l’obtention du label HVE. « Nous privilégions aussi la taille douce physiologique de la vigne pour garantir de meilleurs raisins et réduire les maladies », déclare-t-il. Des vins sur le fruit et la souplesse Le Château la Pierrière propose six cuvées, dont deux nouveautés à savoir « La Rencontre » sans sulfites ajoutés et « Fidélis ». Parmi les vins qui constituent son catalogue, la cuvée « Fondateur 1607 » retient toute l’attention. Conçue en hommage à François de Lageard, elle est issue d’une sélection parcellaire et se compose de 80 % de merlot et de 20 % de cabernet franc. Ce vin aux arômes fins et intenses avec des saveurs vanillées, réglissées et toastées peut patienter en cave entre 5 à 10 ans. ...
Une race de prestige La Limousine est une race à vocation bouchère originaire de la région du Massif Central, à la robe froment vif. Son excellent rendement en viande et sa facilité d’élevage ont fait d’elle la deuxième race à viande en France avec plus d’un million de têtes pour plus de cinq-mille éleveurs dans tout l’Hexagone. Un mode de production spécifique La production de Bœuf Limousin est encadrée depuis 1988 par un cahier des charges Label Rouge qui garantit de bonnes pratiques d’élevage (élevage au près, densité à l’hectare et en bâtiment limitées, …) mais aussi les bonnes pratiques de transport et d’abattage (conditions de transport maîtrisées, abattage dans le respect des bonnes pratiques et de la règlementation). Avec une alimentation à base d’herbe, (87% au minimum consommée au pré ou en fourrage), complémentée avec des céréales. Une viande haut de gamme et de qualité supérieure La qualité supérieure de la viande est ce qui fait sans le moindre doute sa renommée : « elle a la particularité d’être peu grasse, tendre et savoureuse. Il est possible de tirer parti de tous les morceaux. Toutes les pièces sont utilisées mais les plus fameuses sont certainement l’entrecôte, le faux filet et le rumsteck souligne Jean Marc Escure. Sa qualité est garantie par des tests organoleptiques menés en laboratoire » conclut-il. ...
En véritable écrin de la culture française et bordelaise, la Grande Maison de Bernard Magrez offre un voyage vers un paradis architectural, paysager, œnologique et gustatif typiquement français. Le propriétaire du Château Pape Clément s’est associé avec un chef de renom international, pour faire de l’établissement le haut lieu de la gastronomie française. Côté cave, le propriétaire est un expert en la matière. Plus de 1480 références, dont les 259 Crus Classés Bordelais figurent dans la carte des vins. On y propose également les 4 grands crus classés à Bordeaux appartenant à Bernard Magrez à savoir le Château Pape Clément (Pessac-Léognan), Le Château Fombrauge (Saint-Emilion), Clos Haut Peyraguey (Sauternes) et le Château La Tour Carnet (Médoc). Rare, Bernard Magrez vous invite chaleureusement à visiter ses 4 grands Crus Classés à Bordeaux, et participez gracieusement à ses cours de dégustation. « Mozart » est en cuisine En véritable chef d’orchestre, Joël Robuchon dirige la cuisine du restaurant éponyme avec vivacité et charisme. Rester derrière les fourneaux depuis ses 15 ans l’a propulsé devant de la scène culinaire française et mondiale. L’International Herald Tribune est allé jusqu’à qualifier son restaurant parisien de « Meilleur restaurant du monde » en 1994. Il est aussi auteur d’une quinzaine d’ouvrages qui sont de véritables « bibles » de la gastronomie, sans parler des émissions télévisées qui sont devenues cultes. « Meilleur Ouvrier de France » en 1976, « Chef de l’année » en 1987, « Cuisinier du siècle » en 1990, les éloges n’en finissent pas lorsqu’il s’agit de décrire le parcours du Chef le plus étoilé au monde. Ses étoiles, il les a collectionnées depuis 1984 où il en a obtenu trois en trois années consécutives. Depuis 2013, il en a 27 à son palmarès. Son actuel restaurant qui siège à la Grande Maison de Bernard Magrez a déjà ses 2 étoiles, figure dans le « top 8 des meilleurs restaurants dans le monde en 2015 » par Condé Nast Traveler, le « 1er restaurant d’hôtel de luxe en Europe » par le World luxury hotel awards et un « lieu incontournable parmi 52 destinations dans le monde » par The New-York Times. Cet emblème de la cuisine française de haute voltige conçoit une véritable mise en scène des bons produits dans ses assiettes, les détails sont millimétrés. Un simple moment de repas chez Joël Robuchon se transforme en un grand ballet où se combinent élégance et grâce. Là, nous n’en sommes qu’à la présentation. Avant la dégustation, un moment d’hésitation vous envahit, comment découvrir ces nouvelles saveurs sans gâcher ce chef-d’œuvre décoratif ? Mais une fois lancé, il devient difficile de poser la fourchette. Joël Robuchon travaille en étroite collaboration avec le Chef Tomonori Danzaki pour donner une touche de modernité et d’exotisme à ses créations ou ses interprétations des recettes traditionnelles françaises. Chaque bouchée du « Caviar, en surprise sur araignée de mer et une infusion de corail anisée » déclenche des étincelles qui inondent les convives d’«émotions gustatives ». Une autre proposition intemporelle de la maison, la « Pintade Fermière, et foie gras rôti, pommes de terre confites au jus gras » ne manque pas de surprendre les papilles. Il en est de même pour les autres entrées, plats et desserts qui sont signés par le Chef et sa Chef Pâtissière Satomi Kanai. Les trois salons du Restaurant Joël Robuchon Les salons du restaurant présentent une décoration luxurieuse et raffinée dans un style Napoléon III revisité. Les couleurs rouge et or s’harmonisent parfaitement aux bois sombres des meubles de la Maison Moissonnier. Le soir, la lumière tamisée des lustres Baccarat remplace celle du jour qui entre par les hautes fenêtres. La cristallerie et l’argenterie Chris...
A quelques minutes de Saint-Tropez, La Réserve Ramatuelle est un des rares Palaces de la Côte d’Azur. Une distinction qui favorise les établissements présentant des caractéristiques exceptionnelles, capables de promouvoir à l’international l’attractivité de la France et l’art de vivre à la française. Un tremplin vers les étoiles Eric Canino, le chef fait ses premières gammes à Manosque en 1987 puis effectue une formation de pâtisserie chocolat avec René Fontaine, Meilleur ouvrier de France Chocolatier à Barcelonnette. Et, c’est aux Roches de Lavandou qu’il débute sa carrière pour devenir au fil du temps le chef des cuisines de Michel Guérard considéré comme l'un des fondateurs de la « nouvelle cuisine ». Le Grand Véfour profite ensuite de son talent avant qu’il ne prenne ses quartiers au Restaurant La Voile en tant que Chef exécutif. S’appuyant sur son riche parcours, Eric compte aussi énormément sur son équipe avec qui il partage toutes ses réussites. Grâce à sa passion, sa ferveur et à sa rigueur, il décroche l’un des titres les plus convoités : l’étoile au Michelin. Des produits frais et locaux Avec des produits bruts issus du terroir provençal, il orchestre des plats d’exception. Il veille à réaliser une cuisine aux couleurs du sud amplifiée par des saveurs inouïes. Inspiré et créatif, il perfectionne ses plats en conciliant gourmandise et simplicité afin de régaler les papilles. Pour ses créations culinaires, ce maestro s’appuie d’une part sur le potager de La Réserve Ramatuelle situé à proximité des cuisines du restaurant. Avec un mode d’exploitation raisonnée, ce potager s’ouvre à une douzaine de variétés de tomates, à plusieurs herbes aromatiques comme l’origan, la marjolaine et la citronnelle de Madagascar. Le chef Canino y cueille également ses légumes tels que les poivrons rouges et les aubergines blanches sans oublier les arbres fruitiers qui en plus d’offrir une décoration verdoyante, apporte finalement tout ce dont le chef a besoin pour sublimer ses plats.Le restaurant travaille aussi avec de petits producteurs locaux œuvrant de Marseille à Nice et rigoureusement sélectionnés pour la qualité de leurs produits. Une cuisine raffinée et savoureuse En avant-goût, les recettes délicates et aromatisées aux senteurs provençales font place au Calamar cuit au parfum de tomate au basilic et la Seiche rôtie et pattes croustillantes accompagnés d’olives Taggiasche.Parmi les plats aux saveurs marines, le Chapon de Méditerranée farci aux épinards et calamar. Ce poisson de roche évoluant dans les eaux profondes est méticuleusement préparé et servi avec du fenouil confit à la passion accompagné de pomme de terre fondante au jus de bouillabaisse. Côté viande, le Veau du pays Basque quasi rôti et en tartare accompagné de girolles marinées abricot rôti et cylindre d’agria au romarin se savoure sans hésitation. En dessert, le Chocolat grand cru du Pérou : « After eight » à la menthe poivrée du jardin joint à un Sorbet Perrier Menthe amuse le palais au grand bonheur des gourmands. Un cadre épuré et naturel Traversé par la lumière naturelle, le restaurant aux immenses baies vitrées habillée d’un blanc immaculé offre une vue imprenable sur la Méditerranée. Les lignes épurées et élégantes insufflent une ambiance douce et chaleureuse où le bien-être, le confort et l’élégance sont de mise. A l’extérieur, sur la terrasse ombragée, les convives apprécient le climat doux azuréen. Doté d’un environnement naturel exceptionnel, le jardin offre un paysage authentique sublimé notamment par les impressionnants oliviers bicentenaires. Les senteurs méridionales renforcent la beauté du cadre avec les myrtes et les romarins parsemant l’ensemble de la propriété. ...
Les 5 hectares de vignes (50% Chardonnay, 30% Pinot noir, 20% Pinot Meunier) sont situés sur les coteaux du Sézannais. Une viticulture à Haute Valeur Environnementale En 2000, Marlène Delong reprend la maison de champagne créée par son père en 1966. Pour cette amoureuse de la nature, il est essentiel que ses champagnes lui ressemblent. Elle s’est donc engagée, avec Damien, dans une démarche respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Elle a tout naturellement supprimé des intrants, privilégié les engrais verts, utilisé des levures et bactéries naturelles pour conserver l’identité du terroir dans ses différentes cuvées. ...
Initié à l’époque des arrières grands parents de Marc Dupraz, le domaine applique la méthode de culture dite de « vignes en lyre » sur une partie de son vignoble : « cinq hectares sur dix sont cultivés selon cette méthode. Encore peu utilisée en France, elle est assez répandue en Suisse » explique Marc Dupraz. Son avantage est qu’elle permet d’obtenir des raisins à maturité optimale lors des vendanges quelles que soient les années. Depuis 1998, Marc cultive son domaine en agriculture raisonnée « Nous faisons beaucoup d’efforts et voulons nous tourner vers le biologique, le pas va se faire naturellement. A part un ou deux changements, on ne fera pratiquement rien de plus. C’est pour cela que nous allons commencer la conversion des 2017» précise-t-il. Des cépages typiquement savoyards L’encépagement du vignoble est composé de variétés typiques de la région, dont la Jacquère qui n’existe pratiquement qu’en Savoie. Ce cépage, à la base de l’appellation Vin de Savoie, est à l’origine de la rondeur et le fruité du vin ainsi que sa tendance à une bonne évolution dans le temps. « Il s’agit d’un cépage rustique et assez capricieux, il demande beaucoup de rigueur au travail » précise Marc. Pour ses vins rouges, le domaine utilise uniquement la Mondeuse, un cépage également endémique de la région. Rustique et montagnarde, cette variété n’est autorisée et recommandée en France que dans la région des Vins de Savoie. Proche de la Syrah génétiquement parlant, il rappelle cependant le Pinot en dégustation. Il donne des jus qui vont sur la myrtille et la framboise, et offre une grande capacité de vieillissement aux vins dont il est issu, lorsqu’il est travaillé avec soin. Des vins gastronomiques Les 10 hectares de vignes cultivées par le domaine sont déclinée en quelques cuvées très riches et fruitées. Celles-ci profitent de qualités gustatives exceptionnelles qui en font des vins de gastronomie parfaits et choisis par plusieurs restaurants étoilés de toute la France. Parmi elles figurent « Les Terres Blanches » Vin de Savoie Apremont, qui est un vin d’une complexité rare, avec un côté calcaire très prononcé en bouche qu’il tire de son terroir et une longueur et un gras naturel conféré par la Jacquère. « il est vrai que nos clients sont surpris des qualités de nos Jacquère mais nous sommes confortés dans nos choix stratégiques , les vins à base de ce cépage sont liés à un grand avenir, si le raisin récolté est exceptionnel » acclame Jérémy le fils de Marc nouvellement installés depuis 2011 Seul vin rouge produit par le domaine, « La Mondeuse » est élevé en cuve, qui confèrent au vin des tanins extrêmement présents, et qui se fondent très bien dans le temps. « En dégustation jeune, ce vin est très épicé, avec une teneur en fruit mais avec le temps, entre quatre ou cinq ans minimum, nous arrivons déjà sur un vin complexe avec beaucoup plus de maturité et d’équilibre et qui peut se garder entre dix et douze ans » explique avec passion Marc Dupraz. Barbecue et Vin, ou la façon de déguster les vins autrement Tous les premiers vendredis du mois de cette période estivale (Avril à septembre), le Domaine Dupraz organise un évènement dénommé « Barbecue et Vin ». « Découvrir les vins d’une manière assez différente, autrement qu’avec des fromages et des charcuteries, voilà l’objectif » s’exclame Jérémy Dupraz. Cet évènement permet en effet de découvrir et déguster les vins du domaine autour d’un barbecue au milieu des vignes. Le caveau reste aussi ouvert au grand public toute l’année du jeudi au dimanche ou vous pourrez déguster un casse-croute vigneron avec les produits locaux sélectionnés par la famille. Bien évidemment les vignes peuvent être visitées par les amateurs de vins pendant les beaux jours. ...
L’on peut faire attention à ce que l’on met dans ses plats, tout en goûtant aux fastes de la cuisine gastronomique. C’est notamment le cas quand on s’invite aux tables du Cheval blanc. Dans son cadre feutré et lumineux de la route de Wissembourg, à Lembach, cette adresse conjugue goût et bien-être autour de produits célébrant le local. Trois partitions pour un concerto de saveurs de saison Les plats que l’on sert aux tables du Cheval blanc célèbrent la tradition, tout en se parant de touches inventives et modernes. Au fil de ses trois menus riches en rebondissements, le chef joue la carte de la fraîcheur au rythme des saisons. Sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs du voisinage, il les intègre dans des recettes que les papilles découvrent comme un parcours d’exploration. Instant savoureux garanti. Ceux qui préfèrent un guidage en douceur ne manqueront pas d’essayer le « Cannelloni de foie gras poêlé », l'un des incontournables de la maison. Truffe fraîche râpée et sauce aux truffes noires enveloppent le plat d’un grand zeste d’élégance. Dans le même menu, inutile de résister au mariage surprise « Fraise/huile d’olive » pour clore en douceur la fin des réjouissances. Pour les plus connaisseurs, le « Homard bleu rôti en deux services » mêle les notes marines à d’étonnantes touches toniques mariant gingembre, curry doux et poire Williams. Instant suprême de dégustation, réservé aux fins gourmets de souche quand se déploie le menu Épicure. Le filet de bœuf prend des tournures opulentes quand il est servi avec un condiment aux framboises et une légère béarnaise. Le « Grand dessert du Cheval blanc » clôturera en douceur et en grande pompe le service. ...
Le Château Grand Callamand est, depuis 2004, la propriété de la famille Souzan-Delagrave. Actuellement, l’exploitation est dirigée par Nathalie Souzan. Sous sa supervision, le domaine familial poursuit sa double vocation : la production de vins et les séjours œnotouristiques. Pour ces derniers, il faut dire que le cadre s’y prête à merveille ! Respect de l’environnement Ce vignoble de 22 ha est mené en lutte raisonnée avec un souci permanent pour l’environnement. L’utilisation de produits est donc limitée au strict minimum et la maison se sert exclusivement d’engrais organiques bio. En outre, la vie sauvage est ici préservée grâce à la présence d’une forêt entourant le domaine. Un cadre enchanteur Implanté au cœur du parc national du Luberon, le Château Grand Callamand profite pleinement du calme et de la quiétude de la campagne. Dans ce cadre privilégié, une belle bâtisse du XVIe siècle, construite par François Malherbes, accueille les visiteurs souhaitant séjourner dans le domaine. Des chambres d’hôtes confortables et spacieuses sont mises à leur disposition. Pour ceux qui désirent organiser des évènements privés ou professionnels, différents espaces du domaine sont privatisables. La cuvée phare Tandis que la beauté des lieux laisse rêveur, les vins qui y sont élaborés risquent de réserver quelques surprises. À commencer par la cuvée « Le Vin noir », qui est présentée comme une curiosité à même d’offrir une expérience sensorielle originale. Issue d’une vendange tardive, cette cuvée spéciale 100 % alicante a été élevée 6 ans en barrique de chêne français. Ce vin séduit par ses arômes de griotte, de menthe, de chocolat et d’épices. Il développe un palais ample et structuré, avec de la rondeur et de la sucrosité. Idéal pour accompagner un gibier ou un dessert au chocolat noir. ...
C’est au cœur de la côte des Blancs, à Oger, que la maison Klepka Sausse, du nom des époux Klepka et Sausse, fondateurs de la marque en 1976, produit le meilleur du terroir. Les Grands crus de la marque sont issus d’un vignoble au sous-sol crayeux dédié exclusivement à la culture du Chardonnay. Laurent Klepka, héritier de cette marque prestigieuse, nous emmène dans un voyage au cœur de l’excellence champenoise. La qualité et l’excellence comme maîtres-mots Priorisant la bonne qualité des vignes et du raisin, la maison Klepka Sausse est le pionnier du champagne de haute gastronomie. La marque, maintes fois récompensée, perpétue l’art et la tradition champenoise dans le but de concevoir des cuvées de qualité. En étant « dans la mouvance de la viticulture durable », selon Laurent, elle privilégie la production de cuvées respectueuses de l’environnement, authentiques et exquises de par la conservation des arômes et des saveurs du terroir. À la découverte du métier La famille Klepka accueille ses hôtes dans un cadre enchanteur et authentique appelant au partage et à la découverte de leur riche héritage passionnant. En partenariat avec l’office de tourisme d’Épernay, la maison Klepka Sausse propose des « visites de cave, des visites parcellaires ainsi que des visites du vignoble », selon Laurent. Une immersion dans le métier est également proposée au travers d’activités diverses ayant pour but, toujours selon le vigneron, de faire « glisser les visiteurs dans la peau d’un vigneron champenois ». Les hôtes s’attèleront ainsi au travail viti-vinicole et pourront même parrainer un plant de vigne qu'ils mettront en terre eux-mêmes. À la suite des séances de dégustation, « un diplôme non officiel attestant de leur participation à cette Viti Vini Expérience » leur sera, par la suite, distribué par Laurent lui-même. Un reportage photo fera également partie des cadeaux offerts à l’issue de cette expérience authentique et inoubliable. ...
La transmission du savoir-faire de père en fils a contribué à maintenir la qualité des vins de la Grand’Vigne et de construire sa notoriété. Cette exploitation se transmet donc depuis quatre générations et la cinquième est bientôt prête à prendre le relais. Deux terroirs aux caractéristiques différentes s’expriment à travers la Grand Vigne Cuvée Traditionnelle, Les Fournerys et Florian. Appellation Coteaux-Varois-en-Provence : les caractéristiques d’un terroir d’exception Le domaine de la Grand’Vigne est perché à 240 mètres d’altitude, à côté de l’ancienne voie romaine « Via Aurélia ». Il bénéficie d’un climat méditerranéen froid et rigoureux en hiver, chaud et sec en été. Les courants marins sont stoppés par les nombreuses collines. Situé essentiellement près des sites d’extraction de bauxite, le terroir de la Grand’Vigne est fait d’argile rouge de bas de pente. La profondeur du sol permet d’amoindrir l’effet de la sécheresse estivale. Entre garrigues, pinèdes et genêts, le terroir des Fournerys possède des sols caillouteux qui garantissent la typicité des vins. La Grand’Vigne : vinification et savoir-faire Les procédés des paysans des bastides provençales dans les travaux de la vigne, les vendanges et la vinification connaissent un tournant en 1948 avec l’adhésion à la coopérative des Cordeliers. Ce n’est qu’une cinquantaine d’années plus tard que la production et la vinification s’effectuent à nouveau à la propriété. Depuis, la tradition et le savoir-faire œnologique des viticulteurs du Var leur permettent de viser l’excellence, un objectif qui se concrétise par les médailles et récompenses de guides et concours. La vinification suit différentes démarches pour les vins blancs, rouges et rosés. Celle du blanc commence par la macération préfermentaire à froid en milieu inerte, une technique qui consiste à retarder le départ de la fermentation. Elle permet d’extraire en douceur les arômes, tanins, pigments et donne au vin un côté fruité intense. L’étape suivante est le débourbage statique ou la séparation des bourbes et du mout. Le liquide passe maintenant dans des cuves thermorégulées entre 16 et 18 °C pour la fermentation. Le vin est élevé sans être séparé de ses lies pour augmenter ses arômes et sa rondeur. Le procédé finit par un collage doux avant la mise en bouteille. L’assemblage et la mise en bouteille sont précoces pour le blanc et le rosé. La méthode pour le rouge se distingue par une sélection des parcelles, puis l’éraflage en totalité. Il y a également le remontage et délestage régulier, suivi d’une cuvaison de 12 à 15 jours en maitrisant la température entre 24 et 26 degrés. Selon le millésime, une macération post-fermentaire peut être effectuée avant l’élevage en barrique partiel. ...
Le domaine de la Navicelle s’épanouie en harmonie avec un terroir et un climat exceptionnels. Ses vins, d’Appelation d’origine protégée Côte de Provence, sont les expressions d’un sol de caractère, nourri d’eaux de montagne et de mer. Cette fraîcheur subtilement iodée a inspiré de nouvelles idées à l’équipe récemment renouvelée. Romain Magnanou (directeur), Alice Euvrard (œnologue et directrice commerciale), Louisa Kober (responsable oenotourisme) et Laura Devillers Casel (administratrice) se consacrent à donner vie au domaine, de la viticulture à la mise en bouteille, la commercialisation et la valorisation du lieu. Leurs productions privilégient une envie de vins rosés, de fruits, de légèreté, de blancs maritimes, tout en préservant la conception de vins rouges de caractère. Une culture respectueuse de l’environnement 21 hectares de vignes s’étendent sur un sol d’argile composé de sous-couches de calcaire et de schiste. Cette richesse permet de cultiver différents cépages : Syrah, Grenache, Tibouren, Mourvèdre, Cinsault pour les rosés et rouges, Rolle et Clairette pour les blancs. Les cultures sont protégées de la chaleur et l’irrigation naturelle apporte aux gammes une belle minéralité. Cette viticulture est certifiée "Agriculture biologique" et "Haute valeur environnementale". Les précieuses bouteilles sont vendues dans des caves indépendantes, des restaurants gastronomiques, sur place, en ligne et exportées en Europe, au Japon, aux Etats-Unis, etc Du vignoble au séjour atypique Le domaine possède 7 jolis gîtes spacieux en pleine nature. Les touristes peuvent profiter de randonnées, de farniente sur les plages, de promenades équestres ou en vtt. Ils peuvent aussi visiter le vignoble, commander des petits paniers repas typiques ou choisir de flâner dans la grande piscine du lieu. Entre une production savoureuse et un site vivifiant, le domaine de la Navicelle a bien fait de choisir le nom d’un bateau. Il navigue vers de jolis horizons, à explorer dès que possible. ...
Le domaine du Château Grézan crée ses vins à 20 km au nord de Béziers dans la commune de Laurens. Un domaine familial au sein duquel Jean-Louis Pujol arrive en 1988. Aujourd’hui dirigé par son fils Fabien, cinquième génération de vignerons depuis 1877, le vignoble profite d’un climat méditerranéen à tendance montagnarde. Ce climat se distingue par des hivers doux avec peu de gelées ainsi que des étés chauds et secs avec des précipitations rares mais concentrées. Une aubaine pour les AOP élevées sur place dont certaines se situent au-delà de 300m d’altitude. Cette situation géographique leur permet ainsi de profiter de nuits plus fraîches et d’une eau mieux drainée. Un vignoble et une histoire séculaires L’histoire du domaine remonte à plusieurs siècles. Grézan fut d’abord la villa d’un centurion de l’armée de Rome. Au moment des Croisades des XIIe et XIIIe siècles, Grézan devient une Commanderie de l’ordre des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Quelques années après le début de la Révolution française Grézan va brûler presque intégralement. Finalement, le Château commence à prendre sa forme actuelle à partir de 1864 lorsque Gabriel Rozier de Mirepoix, un homme de loi du Narbonnais, reconstruit les bâtiments et y adjoint un rempart dans le style de ceux de Carcassonne. C’est à l’architecte Louis Garros que sera confiée la tâche, il sera conseillé par Eugène Viollet-le-Duc. En 1993, le Château sera inscrit à l’inventaire des monuments historiques français. Aujourd’hui, on y retrouve différents cépages en AOP Faugères comme la Syrah, le Grenache, le Cinsault, le Mourvèdre et le Carignan. Mais aussi des cépages en IGP Pays d’Oc avec le Chardonnay, le Sauvignon blanc, le Viognier, le Merlot, le Vermentino, et le Muscat. Un terroir spécifique La particularité des vins de l’Appellation Faugères est qu’ils sont cultivés sur une formation géologique particulière, le schiste. Ce dernier est issu de la compression des argiles de l’ère primaire. Cette composition géologique rare, seuls 10% du vignoble mondial est ainsi constitué, permet d’y produire des vins élégants, fins et profonds. Le schiste dispose aussi d’une forte capacité de rétention d’eau et de chaleur pour ensuite les restituer la nuit venue. Les baies de raisin peuvent ainsi continuer à mûrir même la nuit tombée. Il y a plus de 3000 ans, la région formait l’estuaire d’un fleuve, ce qui a permis de constituer plusieurs lithochromies, un mélange de plusieurs pierres. Des techniques éprouvées Au Château Grézan, les vignes sont spécifiquement traitées pour s’adapter à la région. L’hiver venu on taille la vigne comme partout ailleurs, pour la contenir tout d’abord mais surtout pour offrir vigueur et dynamisme aux bourgeons à venir. Le chef de culture analyse spécifiquement la richesse des sols pour effectuer cette taille qui vit au rythme des sols. Sur le site, plusieurs types de taille sont appliquées. On retrouve la taille en gobelet, qui est historiquement la plus ancienne, la taille en guyot ainsi que la taille de royat. Le domaine produit des vins majoritairement vendus en France mais qui alimentent aussi des caves de pays comme la Belgique, la Suède, la Suisse ou encore le Japon. Sur le vignoble, ce sont un peu moins de trente salariés qui s’occupent toute l’année des plantations ainsi que des vendanges qui sont à la fois manuelles et mécaniques. ...
A Blanquefort, à proximité de Bordeaux, aux portes du Médoc sur la Route des vins, l’Hôtel les Criquets *** réserve la meilleure qualité d’acceuil à ses convives au sein de ses chambres hautement confortables ou dans son appart’hôtel le 126. A côté de ses nombreuses activités de détente, l’établissement est connu pour son restaurant qui offre une cuisine aux bons goûts du terroir. Un chef créatif à l’infini Issu de l’école hôtelière de La Rochelle, le chef Jean-Luc Molle a fait ses armes dans un établissement étoilé du Guide Michelin, à La Rochelle. Il a ensuite pris la tête de l’établissement Les Criquets pour pouvoir pleinement s’affirmer. En collaboration étroite avec les producteurs locaux de la région, le chef met en avant une cuisine totalement improvisée où chaque jour est une occasion de mijoter une recette nouvelle et originale. Contrairement à certains restaurants, Jean-Luc Molle n’a pas de plat phare. À partir des différents produits qu’il a sous la main, il concocte ses recettes au gré des saisons, des marchés et de son inspiration du jour. D’ailleurs, le talent et la créativité du chef s’expriment à travers le menu surprise où seuls les ingrédients sont énoncés. Du reste, il faudra faire confiance au maestro en cuisine. Pour ceux qui ne sont pas trop adeptes des surprises, la carte du restaurant met en avant de succulentes suggestions. Le chef exprime une affinité particulière pour les saveurs asiatiques marquées par les goûts iodés, le sucré-salé et l’acidulé. En entrée, le choix s’effectuera entre le tartare de crevettes, la truffe noire de Brie ou le foie gras mi-cuit avec du chutney d’algues wakamé. En plat de résistance, le Filet de Dorade et Coquillages ou l’Aloyau de Veau Fèves et Petits Pois à la Française émoustillent les papilles. En guise de dessert, un Merveilleux Noisette et Praliné à la Passion ou une Sphère Chocolat Blanc Amande Framboises à l’Hibiscus apporteront un peu de fraicheur. Tous ses succulents plats peuvent se déguster dans la salle à l’ambiance cosy et à la décoration fine et élégante ou plutôt sur la terrasse, qui devient l’endroit incontournable avec l’arrivée des beaux-jours. Cet espace extérieur offre une agréable vue sur le parc arboré entourant l’établissement. Un restaurant vert En partenariat avec la chambre de commerce et de l’industrie de la ville de Bordeaux, le restaurant Les Criquets propose chaque dernier mardi du mois un « Menu (Re)Pas pour la planète ». 100% végétarien, celui-ci est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert et est uniquement cuisiné avec des légumes ou des algues. Jamais en manque d’imagination, le restaurant s’est associé avec la start-up Entomo Farm pour proposer une cuisine pour le moins innovante et originale. En effet, Jean-Luc Molle a présenté lors de manifestations, à titre expérimental pour promouvoir la protéine d’insectes, des plats comme des tartines de tapenade avec olives noires et vers de farines concassées, des burgers aux légumes de soleil avec des morceaux de criquets concassés ou encore des mélanges de chocolat blanc et de fourmis. Une cave à vins éclectique Comme tout restaurant de la région bordelaise qui se respecte, le restaurant possède une belle carte des vins. En effet, ses caves sont enrichies de près de 400 références. La majeure partie des crus est bordelaise. Toutefois, la maison a également d’autres références issues de Champagne, de la Loire et d’autres régions viticoles reconnues dans le pays. Et si le choix des accords s’avère délicat, le sommelier reste disponible pour vous conseiller. En outre, des soirées œnologiques sont régulièrement organisées, avec des thèmes précis autour des vins de Bourgogne, étrangers ou plus largement les vins de France. ...
Jolie cadre montagnard situé au cœur d’un environnement privilégié, à 1600 mètres d’altitude au milieu du Pic du Midi de Bigorre et celui de Piquette, l’Auberge du Lienz perpétue une cuisine du terroir pyrénéen, une cuisine gouteuse et légère faite au naturel. Tenue par madame Corret depuis 52 ans aujourd’hui, cette auberge s’est vue décerner sous la direction de celle-ci, la médaille de bronze du tourisme en 2015, et le trophée du tourisme de la Caillere de Midi-Pyrénées. Le voyage dans l’assiette La tradition ici commence aux fourneaux, avec une cuisine magnifiquement orchestrée par le chef Franck. Il utilise majoritairement des produits provenant d’agriculteurs, d’éleveurs et de producteurs locaux. Ce cordon bleu issu de l’Ecole Hôtelière de Bordeaux et doté d’une expérience culinaire riche de ses voyages, met en avant une cuisine dynamique, légère, et respectueuse du terroir. A cet effet, il utilise pour ses assaisonnements, des herbes et fleurs cueillies au petit matin, pour révéler les senteurs de la nature au travers de jolies dressages en assiettes. Comme entrée signature, ventrèche de porc noir sur tartine d’oignons de Trébons grillée, légumes d’été fumés. Pour élaborer ce délice, les aubergines, tomates, et poivrons sont fumés, puis composés en une terrine assemblée avec le jus de cuisson du fumé. Cette entrée est servie avec des tranches de pain toastées, sur lesquelles on étale des oignons de Trébons tombés à la graisse de porc. Au-dessus, de la poitrine de porc séchée recouverte de terrine. Le pain utilisé par l’Auberge du Lienz pour ce succulent bonheur au gout frais, est un pain bio à base d’épeautre et fait maison. Parmi les plats phares de la maison, la garbure complète à la soupe et au jambonneau de porc accompagnée de ses légumes. Plat orchestré avec des jarrets de jambon bouillis dans de l’eau, et où l’on ajoute des oignons, clous de girofle, carottes, pommes de terre, haricots tarbais et choux. L’assaisonnement utilisé pour libérer les senteurs est l’ail écrasé. Les jarrets de jambon sec mis en vedette dans cette préparation vont donner à la garbure son véritable gout traditionnel. Après cuisson, le service se fait dans une soupière contenant le bouillon, les légumes et le jarret de jambon entouré de sa couenne. Ce dernier est moelleux et sa jutosité est libérée dans le bouillon pour le rendre succulent et léger. Autre plat phare de l’auberge, la truite de Lau Balagnas marinée au poivre Sansho, brunoise fraîcheur. Celui-ci est élaboré de plusieurs manières, mais conventionnellement, le filet de truite est assaisonné avec une marinade de poivre Sancho, du gros sel broyé et un peu de sucre. Par la suite, le filet de truite est découpé en carpaccio, et est étalé dans l’assiette accompagné de radis, concombre, pomme verte et un peu de basilic. Juste à côté sa petite vinaigrette à base de tomates cerises, citron et huile d’olive. Un jurançon sec est bien indiqué pour accompagner la dégustation de ce plat. Le dessert phare ici est le tartare de myrtilles. C’est une composition faite à base d’une pâte sablée recouverte d’une crème de vanille, et de myrtilles dans une gelée de vanille. La convivialité et la beauté à l’honneur À l’Auberge du Lienz, la convivialité est mise en avant grâce à la valorisation du terroir pyrénéen, et à travers des préparations qui varient au fil des saisons. Les clients y viennent et reviennent, compte tenu du service de qualité et de l’accueil chaleureux. Entre belles assiettes et tables bien dressées, le décor de bois, la cheminée de pierre, ou encore le parfum de fleurs en terrasse, le lieu impose son penchant pour la beauté et le naturel. A l’extérieur, les hôtes ont l’immense plaisir de profiter de la vue sur le Pic du Midi de Bigorre, le Pic de la Piquette et ses pistes de ski, et même la forêt d’Ayré. Une expérience culinaire au cœur de la nature en altitude, et très accessible avec un ticket moyen de 30 euros. ...
C’est en 1993 que Dan Yang Chen et son époux Shimin Chen lancent leur restaurant le Lys d’Or. Véritable oasis dans le XIIe arrondissement, le restaurant affiche ouvertement une décoration authentique qui s’inspire des demeures bourgeoises chinoises. Jardin intérieur, portique, bambou, fontaines et verdure y forment un cocon parfait pour déguster les spécialités culinaires asiatiques. Une cuisine en l’honneur de l’Empire du Milieu Un cadre authentique se dévoile au Lys d’Or, un lieu de rencontre avec la cuisine classique de l’ancien Empire. Le Gou Feng y est le plus représentatif de l’art culinaire chinois. Commune à toutes les régions, cette populaire marmite du pêcheur se compose de riz parfumé et d’un généreux mélange de coquilles Saint-Jacques, de pinces de crabe, de crevettes, de calamars et de légumes. Le Guo bamian, le Cheng jie si han, le Tou Feng et les nouilles pékinoises illustrent aussi cette richesse gastronomique. L’authenticité culinaire de chaque région est représentée par des plats comme les crevettes et poissons à la sauce Shanghai au gingembre, les brochettes de bœuf pékinoises, le poulet au caramel et sésame de Canton et le filet de bar épicé à la sauce Sichuan. Des créations culinaires originales à la chinoise En entrées ou plats, le Lys d’Or met en avant la créativité de son chef dans le travail du poisson, des fruits de mer, de volailles et de viandes. Les légumes et le tofu sont proposés aux végétariens, qui seront particulièrement aux anges en dégustant l’aubergine en croûte de sésame noir. La sérénité des lieux est idéale pour découvrir la légèreté des incontournables Dim Sum, raviolis et autres bouchées à la vapeur. De nombreuses spécialités de l’établissement sont présentées sur plaque chauffante, comme les succulences de canard à la sauce Sichuan. Ces plats poursuivent leur cuisson parfumée sur la table, délivrant de douces senteurs d’épices et de gingembre. Pour plus de plaisir, la maison propose une sélection de vins, du riesling au saumur-champigny, en passant par le côtes-du-rhône et le bordeaux supérieur. ...
L’aventure de Champagne L’Hoste Père et Fils démarre en 1970, avec Jean et Suzanne L’Hoste, des époux animés par la passion de produire des vins de qualité et de caractère. Dignes héritiers de leurs parents, les frères Pascal et Dominique continuent dans cette lancée, tout en apportant un souffle de modernisme à l’exploitation du domaine. Savoir-faire et valeurs responsables Produire un « authentique » champagne n’est pas donné au premier producteur venu. En effet, plusieurs facteurs entrent en compte pour y arriver, notamment le savoir-faire, le terroir, les cépages ou la méthode d’agriculture. Avec son sol calcaire idéal pour le chardonnay, Bassuet est l'un des atouts majeurs du champagne L’Hoste Père et Fils. Les pieds de vigne, qui ont en majeure partie entre 20 et 40 ans, sont cultivés selon la méthode raisonnée, comme l’explique Dominique L’Hoste : « Nous essayons d’utiliser les produits qui respectent l’environnement, de limiter l’utilisation des herbicides. Tout est mis en œuvre pour améliorer les choses dans le domaine. » Ajoutez à tout ceci le savoir-faire familial et vous obtenez un champagne de producteur, authentique et raffiné. Cinq cuvées du tonnerre Chaque année, L’Hoste Père et Fils produit environ 115 000 bouteilles, réparties en cinq cuvées. Mais celle qui fait particulièrement honneur à la maison est sans nul doute le « Brut Prestige » Blanc de Blancs. Dernièrement récompensée d’une médaille d’or lors du Concours international de Lyon, cette cuvée est également celle qui cartonne le plus auprès des particuliers. Pour autant, le « Brut Tradition », l’« Extra-Brut, Blanc de Blancs », le « Millésimé » ainsi que le « Champagne Rosé » sont aussi imprégnés de cette authenticité chère au domaine. ...
À arborer chez soi, dans un lieu de réception ou dans une soirée d’entreprise, la décoration de table est l’ambassadrice d’un style et d’une identité. Depuis 2002, Sables et Reflets a créé tout un univers fait de verres lustrés, élégants, épurés, contemporains ou encore colorés, adaptés au goût de tous. Des modèles variés, uniques, et personnalisables à souhait. Une entreprise à dimension humaine Elle se situe dans le sud de la France, et a bâti sa réputation sur la conception et la création sur verre soufflé et le travail de la pâte à verre. « Cette technique, de moins en moins appliquée, nous permet de réaliser plus de possibilités quant à la couleur, le relief, le polissage ou le motif sur les verres ou les vases », nous dévoile le gérant. Et même si les produits, notamment les vases, sont travaillés avec ce même savoir-faire artisanal, ils présentent chacun différentes caractéristiques et deviennent des pièces uniques. Les verres traditionnels, comme les verres à champagne et les carafes à whisky, quant à eux, sont façonnés à la main dans l’atelier de fabrication. Être une entreprise familiale permet à Sables et Reflets de se rapprocher un peu plus des clients pour mieux cerner leurs exigences : « Notre plus grande force est la qualité de notre service client », renchérit notre interlocuteur. D’ailleurs, pour réaliser les commandes spécifiques des clients, la société combine son savoir-faire avec ceux des artisans spécialistes pour parfaire chaque commande au détail près. Autant de particularités qui lui ont permis de développer un portefeuille de clients composé de café/hôtels/restaurants, mais aussi d’entreprises et de particuliers. Une sélection de produits Modèles classiques ou contemporains, pour une utilisation quotidienne ou pour les grandes occasions, à s’offrir ou en cadeau, la gamme très complète laisse défiler une centaine de produits. On distingue les verres pour servir du champagne, vin ou whisky, de formes et tailles différentes, qui sont commercialisés par lot de six pièces. Et l’enseigne vient de lancer une nouvelle série de verres à pied qui revêtent plusieurs coloris, et sont parfaits pour une dégustation de vins à l’aveugle, tout en apportant une touche plus punchy à la décoration. Pour des idées de cadeaux originaux, Sables et Reflets propose la carafe à whisky/vin Toupie, un produit fait main d’une capacité de 750 ml, ou encore le lot de quatre verres à mojito barman professionnels 32 cl. À préciser que les clients peuvent apposer leur logo, leur couleur ou leur slogan pour personnaliser les produits. ...
Au cœur de Nantes, un endroit exceptionnel attire la curiosité et l’intérêt : L’Assise. Il s’agit d’un restaurant installé dans les murs de l’ancienne cour d’assises, datant de 1851 et rénovée par l’architecte Jean-Philippe Nuel. Le restaurant joue la carte de l’élégance et de la modernité, tout en gardant son charme originel. Les meubles de couleur rouge et fuchsia apportent une touche de fantaisie, tandis que le jeu de faisceaux colorés projeté sur les murs à la nuit tombée invite à un voyage à la découverte de l’univers du célèbre écrivain nantais Jules Verne. Durant les beaux jours, les terrasses révèlent des couleurs gaies et vibrantes, qui sont en parfaite harmonie avec la salle intérieure. Une cuisine fusion Tout comme l’endroit, la cuisine proposée est d’une élégance rare. Avec subtilité, le chef Frédéric Laval revisite les grands classiques de la gastronomie française, en y apportant une petite touche de modernité. Son but est avant tout de proposer des plats simples mais créatifs, où les produits sont mis en avant. Parmi eux figure le fameux tartare de Saint-Jacques acidulé d’espuma d’huitres ou encore l’émincé de ris de veau aux douceurs d’oignons rouges à l’encre de seiche et vanille. Et pour épater les gourmands curieux, le chef n’hésite pas à s’aventurer sur de nouveaux horizons culinaires. Il propose ainsi des plats venus d’ailleurs, notamment issus de la cuisine asiatique et italienne, retravaillés à la façon Laval. Une occasion pour les convives de déguster le savoureux tataki de bœuf à la sauce teriyaki, accompagné d’une mousseline de pommes de terre au wasabi. Ce plat a été adapté d’une recette japonaise qui, à l’origine, a pour base le thon et l’espadon. Les saveurs de cette suggestion culinaire sont rehaussées par un succulent Médoc Cru Bourgeois, Château Les Ormes Sorbets 2007. D’ailleurs, côté vins, la cave tente de satisfaire toutes les envies grâce à ses nombreuses références. La cuisine est un travail d’équipe Le chef Frédéric Laval ne manque donc pas d’idées pour exprimer et exploiter son amour et sa passion pour la cuisine. Le principal but étant de répondre aux attentes des convives. Et, pour cela, il a toute une équipe derrière lui pour le soutenir et l’aider. Fidèle aux valeurs « Yes I can » du groupe, celle-ci exprime une volonté de tendre vers l’irréprochable et veille à assurer la meilleure qualité de service. La carte, élaborée avec le personnel, reflète d’ailleurs cet esprit d’équipe. En accord avec les produits de saison, elle est régulièrement renouvelée. De même pour les menus qui ont été créés pour s’adapter aux envies et au budget des convives. Ainsi, il y a le menu Pause Déjeuner à 17 €, qui est servi en moins de 30 minutes. En attendant celui-ci, une soupe froide ou chaude est servie en guise d’amuse-bouche pour faire patienter les convives. Pour les tout-petits, le menu enfant est constitué de plats savoureux et équilibrés, adaptés à leurs besoins. Enfin, le menu Nantais à 35 € rend hommage à la ville. Côté desserts, c’est le chef pâtissier Emmanuel Lebreton qui surprend avec des créations simples et savoureuses telles que la tarte crémet nantais au parfum de coing, le sablé breton crémeux au citron et à la bergamote ou encore la religieuse au caramel beurre salé. ...