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Vins et œnologie : visites des meilleurs domaines viticoles de France

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Gastronomie
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Quand la bière artisanale s'invite chez Nicolas. Podcast Interview "Craft beers" avec la célèbre enseigne de Cavistes Nicolas

Bonjour à tous, on se retrouve aujourd’hui pour un nouveau podcast « On en parle ». Et nous allons parler, de produits artisanaux vendus chez Craft Beers et Compagnie, une filiale du célèbre caviste Nicolas. Pour nous en parler, Monsieur Christopher Hermelin, responsable marketing et communication chez Nicolas.

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Gastronomie
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Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin

Bonjour et bienvenus à tous sur ce nouveau podcast : « on en parle ». Aujourd’hui nous allons nous intéresser à Nicolas, le fameux caviste français, qui fête en 2022 son bicentenaire. Alors focus sur ce géant du vin, qui a su traverser les siècles avec succès. Et pour nous guider et nous accompagner, Monsieur Christopher Hermelin, responsable marketing et communication chez Ni...

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles

S’étalant sur une surface de 7ha de vignoble et situé dans la zone graveleuse de Saint-Emilion, le Château Corbin Michotte se trouve entre Pomerol et Saint-Emilion, proche de Cheval Blanc et Figeac. Chaque année, on y produit près de 300 hl de vin en moyenne, en Grand Cru Classé.

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Gastronomie
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Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle », le podcast qui parle de vous, de votre métier et bien souvent de votre passion. C’est le cas de madame Caroline Barroux vigneronne dans la région Bordelaise qui gère d’une main de maître son château, son vignoble, sa terre. Alors depuis combien de temps madame Barroux vous avez repris l’exploitation Barrabaque ?

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Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle » le podcast où nous parlons de vous et de votre métier. Alors aujourd'hui, nous allons partir à la rencontre d'un vigneron Sébastien Labails qui nous fera découvrir ses trois domaines dans la magnifique région de Bordeaux. Bonjour, Monsieur Labails, alors dites-nous un peu, qui êtes-vous et que faites-vous là-bas vers Bordeaux ?...

Œnologie, Tourisme : top 50 des meilleures destinations viticoles...

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Nicolas
Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin
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Jean-Noël Boidron
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Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque
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vers une viniculture durable
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Bœuf Limousin : fleuron de l’élevage bovin

Une race de prestige  La Limousine est une race à vocation bouchère originaire de la région du Massif Central, à la robe froment vif. Son excellent rendement en viande et sa facilité d’élevage ont fait d’elle la deuxième race à viande en France avec plus d’un million de têtes pour plus de cinq-mille éleveurs dans tout l’Hexagone. Un mode de production spécifique La production de Bœuf Limousin est encadrée depuis 1988 par un cahier des charges Label Rouge qui garantit de bonnes pratiques d’élevage (élevage au près, densité à l’hectare et en bâtiment limitées, …) mais aussi les bonnes pratiques de transport et d’abattage (conditions de transport maîtrisées, abattage dans le respect des bonnes pratiques et de la règlementation). Avec une alimentation à base d’herbe, (87% au minimum consommée au pré ou en fourrage), complémentée avec des céréales. Une viande haut de gamme et de qualité supérieure La qualité supérieure de la viande est ce qui fait sans le moindre doute sa renommée : « elle a la particularité d’être peu grasse, tendre et savoureuse. Il est possible de tirer parti de tous les morceaux. Toutes les pièces sont utilisées mais les plus fameuses sont certainement l’entrecôte, le faux filet et le rumsteck souligne Jean Marc Escure. Sa qualité est garantie par des tests organoleptiques menés en laboratoire » conclut-il. ...

Crêperie Pen-Ty : le meilleur de la tradition bretonne dans vos assiettes

Les galettes et les crêpes bretonnes, surtout lorsqu’elles sont authentiques et préparées selon la tradition bretonne. Elles font partie de ces spécialités françaises dont on ne peut se passer ! La crêperie Pen-Ty en fait sa spécialité depuis plus de 40 ans !  Charmante et sympathique, avec juste ce qu’il faut comme espace, cette crêperie est une belle découverte pour ceux qui nous connaissent pas déjà car celle ci fait partie des plus connue à paris . La surprise (agréable bien entendu) est réellement au rendez-vous, et déjà l’envie d’y revenir ne se fait pas attendre ! Dans le respect de la tradition bretonne La Crêperie Pen-Ty est un lieu idéal pour un petit moment à deux ou en famille. Les portions sont généreuses et excellentes avec un bon rapport qualité-prix. Le crêpière s’applique à mettre les petits plats dans les grands afin de vous faire voyager au pays des galettes et des crêpes. Non contente d’être une authentique crêperie avec ces recettes traditionnelles, la crêperie Pen-Ty revisite aussi quelques régions avec des recettes aux différents fromages, au foie gras ou au boudin noir par exemple. Les desserts ne sont pas en reste avec une vingtaine de recettes et la possibilité de créer la sienne.  Vous trouverez aussi une belle sélection de cidres, de jus de fruits bio et du vin de Bourgogne, mais pas que ! Découvrez ses boissons locales comme le chouchenn ou le pommeau de Bretagne, dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...

Baie de Saint‐Brieuc Paimpol ‐ Les Caps, la destination gourmande par excellence

Sensible au « bien manger », à la dégustation de mets élaborés avec des produits frais, de saisons et à un tarif abordable, la destination Baie de Saint‐Brieuc – Paimpol ‐ Les Caps propose un menu qui donne l’eau à la bouche : une riche palette de produits terre/mer, des professionnels engagés dans la qualité, désireux de faire partager leur savoir‐faire, et des événements tout au long de l’année.  La destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ Les Caps se situe en Côtes d’Armor dans la cinquième plus grande baie au monde par l’amplitude de ses marées et s’étend de Paimpol à Fréhel. La renommée des chefs, le nombre de restaurants, la qualité des produits gastronomiques locaux et la riche programmation des animations culinaires font de ce territoire une véritable destination gourmande.  En Baie de Saint‐Brieuc, les chefs sont inspirés par les senteurs et saveurs des produits locaux. Ils mêlent avec talent les produits de la terre aux produits de la mer dont la fameuse coquille Saint‐Jacques, reine de la baie, pêchée d’octobre à avril, mais aussi d’autres produits d’exception comme le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol ou le fameux «coco de Paimpol» (AOC).  La programmation gourmande de la Baie de Saint‐Brieuc donne rendez‐vous aux amateurs de bonne chère. Pour le weekend de la pentecôte, les chefs quittent leur cuisine pour Rock’n Toques durant le festival Art Rock. Tout au long de l’année les occasions ne manquent pas pour découvrir le territoire tout en ravissant les papilles : balades gourmandes, dégustations, ateliers, visites des criées, marchés nocturnes bio, fête de l’huître, fête de la coquille Saint‐Jacques, fête de la Gastronomie... De la crêperie au restaurant étoilé, les escales gourmandes parsèment la Baie de Saint‐Brieuc. Ports, fermes, cidreries, conserveries... Nombreux sont les professionnels qui ouvrent leurs portes au grand public pour partager leur passion. Des produits savoureux de qualité Entre terre et mer, la Baie de Saint‐Brieuc apparaît comme un condensé de Bretagne, par ses paysages, ses traditions, son patrimoine. La Baie de Saint‐Brieuc avec ses panoramas bleus et verts et ses plages escarpées, abrite de nombreux produits de bouche de qualité. Parmi les différents trésors, la coquille Saint‐Jacques est certainement le plus réputé. Plus de 5 700 tonnes de coquilles sont pêchées depuis les ports d’Erquy, Loguivy‐de‐la‐Mer et Saint‐Quay‐Portrieux en Baie de Saint‐Brieuc. La Baie est également un territoire de mytiliculture, d’ostréiculture, de maraîchage, d’élevage de porcs et de poissons. On y déguste le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol, l’huître de Fréhel avec son goût très iodé, les moules, le coco de Paimpol, les algues, les pâtisseries telles que les palets de Fréhel à la nougatine et au chocolat, les crêpes bretonnes... le pommeau du Goëlo, le cidre, le boujaron (eau de vie de cidre) : les breuvages ne manquent pas non plus en Baie de Saint‐Brieuc. Une destination authentique innovante Si la Baie de Saint‐Brieuc est authentique par ses paysages et ses produits, elle est innovante par les hommes qui la font vivre. Dans cet espace où terre et mer ne cessent de se superposer, l’originalité et la créativité des « hommes gourmets » semblent illimitées. Elles sont le fruit d’une émulation partagée, d’une inspiration toujours sollicitée avec des produits locaux de qualité. La destination compte trois chefs étoilés au guide Michelin : Mathieu Aumont (Saint-Brieuc), Jean‐Marie Baudic (Saint‐Brieuc) et Nicolas Adam (Plérin). C’est aussi à Saint‐Brieuc qu’est né le collectif Rock’n Toques. Une brigade de cent cinquante professionnels de la restauration, dont trois chefs étoilés, qui proposent pendant les trois jours du Festival Art Rock, une gastronomie de rue qualitative, à base de produits locaux et de saison. C’est donc dans un esprit convivial, de partage et de fête que la destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ les Caps développe une démarche collective pour permettre, aux prix les plus abordables possibles, de valoriser une alimentation saine, locale...

Château de Chantegrive : une subtile interprétation du terroir de Graves

Henri et Françoise Lévêque nourrissaient un rêve en commun : celui de fabriquer des vins qui magnifieraient leur terroir. En 1966, le duo de choc, accessoirement philatéliste, met en marche le projet et décide de revendre une précieuse collection de timbres pour réinvestir les fonds dans l’achat d’une parcelle de deux hectares. Il était loin d’imaginer que cette petite aventure au départ allait donner naissance à l’une des plus importantes maisons viticoles des Graves, aussi membre de l’Union des Grands Crus de Bordeaux. Le Château de Chantegrive désormais établi sur une superficie de 92 hectares met à l’honneur des cuvées authentiques, symboles de gourmandise et de finesse.   Le respect de la terre au centre de toutes les attentions Chantegrive se trouve sur un terroir d’exception constitué majoritairement de Graves, ces fameux galets rougets composés de silex du Périgord ainsi que de quartz, de quartzites, de la Lydienne issue des Pyrénées. Le rôle de ces gros cailloux est d’emmagasiner la chaleur durant la journée pour la restituer la nuit et ainsi tempérer les vignes. Par ailleurs, le vignoble est entouré par la Garonne à l’est qui apporte l’humidité et régule la température et à l’ouest par la forêt des Landes qui modère le climat océanique. Pour mieux sublimer ce terroir, la directrice Marie-Hélène Lévêque s’entoure des meilleurs spécialistes tels qu’Hubert de Boüard, œnologue et propriétaire du Château Angélus à Saint-émilion. Cuvée Caroline, porte-étendard de la maison Bien qu’attaché aux méthodes traditionnelles, Chantegrive n’en reste pas moins ouvert aux procédés modernes. Partant de cette envie d’innovation, le domaine utilise alors des techniques dites « bourguignonnes » pour fabriquer un vin blanc en barriques de chêne. L’initiative aboutit à la création de la Cuvée Caroline, devenue rapidement un best-seller adulé des plus éminents critiques et guides de vins. Composé de 50 % de sémillon, de 45 % de sauvignon blanc et 5 % de sauvignon gris, ce vin blanc frais et raffiné se singularise par sa richesse aromatique sur fond de chèvrefeuille, de pêche blanche et d’acacia. En bouche, il révèle une belle onctuosité et une touche de gourmandise. ...

La Foire de la Châtaigne, un événement gourmand à l’âme corse retrouvée

A l’occasion de la 35ème édition, qui se tiendra en décembre prochain, les organisateurs de cette foire mythique, des bénévoles uniquement, ont souhaité varier les plaisirs et les sensations en alliant détour gourmand, expérience humaine et escapade culturelle. Des animations ludiques, des découvertes inédites et des rencontres inoubliables avec plus de 150 producteurs sont au programme. Véritable ode au savoir-faire local, a Fiera di a Castagna figure fièrement parmi les ambassadeurs de l’authenticité corse, une île riche d’un patrimoine culturel et culinaire exceptionnel et digne d’intérêt. La culture corse au goût de châtaigne C’est durant le premier week-end de décembre que se tient traditionnellement cette foire emblématique, la plus ancienne de l’île, rendant hommage à la châtaigne. En farine, grillée, fraîche ou préparée autrement, la châtaigne se redécouvre à chaque bouchée, se savoure différemment et s’admire au gré de stands disposés sur une surface couverte de 3 000m². Découvrez ainsi les nombreuses particularités gourmandes de ce produit fascinant aux mille déclinaisons. Toutefois, même si l’évènement tourne principalement autour de ce délice faisant la fierté de l’île de beauté, de nombreux aspects de l’agriculture, de la culture et de l’artisanat local sont abordés tout au long des trois jours de foire. De plus, chaque année, des artisans et des producteurs agricoles, venant de différentes régions et territoires, sont invités à la foire afin de faire découvrir et partager leurs savoir-faire. "Cette année, ce sera aux piemontais de Venasca, village jumelé avec Bocognano, de venir présenter leurs produits agro-alimentaires, allant du miel à la pâtisserie, aux côtés de forgerons catalans qui effectueront une démonstration de forge durant la foire", nous explique Denis Moretti, président du Foyer rural de Bocognano "U Castagnu", association membre de la Fédération des Foires rurales, agricoles et artisanales de Corse (FFRAAC) en tant qu’organisatrice de l’évènement. Tout au long du week-end seront proposés aux visiteurs des animations musicales, des visites guidées (moulin, musée …), des dégustations de produits ainsi qu’une initiation à la cuisine corse. Un programme convivial riche en partage et en émotions… Un hommage à la production locale Cette manifestation qui accueille pas moins de 15 000 visiteurs chaque année répond à un cahier des charges très strict. En effet, toujours selon Denis Moretti, "aucun revendeur n’est admis, seuls les producteurs peuvent présenter leurs propres produits, cette foire étant une exposition du savoir-faire local tant sur le plan artisanal qu’agricole". Les bénévoles, chargés de son organisation, tiennent également à mettre les traditions culinaires corses en avant. Le brocciu, le vin et le miel, tous détenteurs d’une AOC, les fromages de chèvre et de brebis fermiers, les huitres du littoral corse et la charcuterie artisanale locale… Autant de produits, présentés par les producteurs eux-mêmes en bons ambassadeurs de la richesse de leur territoire. « Des plats typiques rappelant les saveurs traditionnelles corses seront, entre autres, préparés dans le restaurant de foire », reprend notre interlocuteur. Rendez-vous immanquable des amoureux de l’âme corse et des gourmands, la Fiera di a Castagna est un véritable gage d’authenticité. ...

Restaurant La Cocagne : Cuisine traditionnelle française revisitée

Situé à quelques pas de la rive gauche du Rhône et du quartier de la Guillotière, La Cocagne est un restaurant qui cultive le « bien manger », tout en invitant ses convives à la détente. Ce bel écrin, détenant un « certificat d’excellence TripAdvisor », est le lieu d’une cuisine riche des voyages culinaires entrepris par les deux propriétaires à travers le monde. Une cuisine qui offre un rapport qualité-prix exceptionnel, en plus du service professionnel. Tradition culinaire française à la sauce méditerranéenne et lyonnaise Les délices du restaurant sont tirés des classiques de la cuisine française, ainsi que des inspirations méditerranéenne et lyonnaise. Ici, les produits sont frais, la cuisine faite maison, le terroir de Lyon mis en valeur dans des préparations se rapprochant des saveurs d’ailleurs. Aux fourneaux, les recettes sont fabuleusement élaborées par Sandrine Bernard. Celle-ci a déjà eu à faire ses preuves dans des restaurants tels que la « Meditrina » et « Un Moment à Part », toujours à Lyon. La carte change environ tous les trois mois, mais quelques plats et desserts reviennent de temps en temps. Des desserts du soir, comme le pain perdu au caramel au beurre salé, qui est un peu comme une signature de la maison et très apprécié par la clientèle. En guise de plat, tartare du chef et ses frites maison, assaisonné d’épices chinoises du Sichuan dont a le secret Sandrine. Par ailleurs de nouvelles recettes sont souvent testées pour le plus grand plaisir gustatif des hôtes. C’est le cas du vitello tonnato et ses frites de polenta. Une savoureuse recette italienne de tranches de veau cuites au lait, et nappées d’une sauce au thon et aux anchois. Egalement à la carte, des salades à l’instar du céviche de cabillaud, qui est une recette péruvienne élaborée à partir d’une petite marinade d’oignons assaisonnée avec du piment et du jus de citron. Le mélange va saisir les filets de cabillaud qui vont ensuite être débités, pour intégrer la marinade en accompagnement de coriandre fraîche. La cuisine du restaurant propose un ticket moyen aux alentours de 18 euros. Sylvain Armand de son côté, propose de très belles bouteilles se mariant à la perfection avec la cuisine de Sandrine Bernard. Celles-ci sont servies en verre ou à la bouteille. En accompagnement du vitello tonnato, un Gamay coteaux du Lyonnais vinifié à Taluyer en agriculture cloisonnée. C’est un vin rouge peu gras sur la longueur et conseillé pour ne pas écraser la saveur du vitello tonnato qui est un plat servi frais. Le tartare du chef et ses frites maison étant plus fort, il peut être accompagné avec un AOC Vacqueyras du Domaine Colline St Jean coûtant 29 euros. Celui-ci est suffisamment soutenu pour tenir les épices de la maison. Esprit bistrot et ambiance cosy sans chichi Cadre chaleureux au sein d’une rue paisible avec vue directe sur Fourvière et sur l’Hôtel-Dieu de Lyon, le restaurant La Cocagne accueille dans une ambiance à la bonne franquette. L’établissement affiche un décor boisé au minimalisme épuré très convivial, façon bistrot lofté. En terrasse, bon air et vue imprenable permettent de savourer chaque bouchée. La conception et le dressage des tables sont très particuliers, de même que le traitement acoustique qui fait des vagues sur du panneau de chêne. L’espace quant à lui est aéré et bien éclairé. En soirée, la lumière tamisée offre aux couples un moment privilégié dans le petit étage aménagé à l’intérieur. C’est aussi une adresse privilégiée pour les sorties en famille et entre amis. ...

Du Rhône : maître chocolatier suisse depuis 1875

La maison Du Rhône voit le jour dans la Genève du dernier quart du XIXe siècle et s’y construit rapidement une belle renommée. Déjà, la fine fleur de la société genevoise ne jurait que par les pralinés de l’enseigne. Celle-ci poursuivra une expansion constante pendant les décennies suivantes, jusqu’à conquérir le monde avec ses créations, à la fin des années 60. Qualité, authenticité et innovation constante sont au cœur de la tradition multi-séculaire que défend âprement l’équipe réunie autour de Jean-Pascal Sérignat, le maître chocolatier actuel au sein de la prestigieuse maison. 140 années au cœur du métier La relocalisation de la maison Du Rhône, rue de la Confédération, en 1976, n’était qu’une procédure. Le savoir-faire du maître chocolatier genevois s’est maintenu – traditionnel, artisanal – bien que l’enseigne se tourne résolument vers les nouveaux besoins de son époque. Dans cette démarche, l’authenticité des produits livrés constitue le fil conducteur des choix de l’artisan. Quand certains en sont à rajouter des additifs chimiques pour répondre à des soucis de rendement industriel, Du Rhône s’y refuse. Qualité et fraîcheur obligent, les fèves sont rigoureusement sélectionnées là où l’on trouve les meilleures : Afrique de l’Ouest, Amérique du Sud. Entre ces fèves et les gâteries pour lesquelles la maison est fameuse, des processus sont subtilement exécutés et rigoureusement respectés, année après année. À l’issue de ce ballet immuable des matières et des méthodes, les consommateurs accèdent à des gammes de produits délicats pour lesquels les grands de ce monde ont, un jour, fondu. Le shah d’Iran, les Eisenhower, les Churchill et autres Colette et Grace Kelly étaient parmi les illustres adeptes des douceurs signées Du Rhône.    Une trilogie gourmande à part Il n’y a pas un Du Rhône qui ne saurait séduire les papilles d’un vrai féru de chocolat. Truffes, palets et florentins rivalisent d’arguments pour faire fondre ceux qui tentent – bien inutilement – de résister. Ces derniers rehaussent les saveurs corsées du chocolat par un mariage arrangé avec des oranges confites ou du miel. Les palets distillent des effluves d’ailleurs pour faire voyager du Brésil en Papouasie, en passant par Madagascar. Dans ce doux méli-mélo, trois produits sortent du lot pour leur personnalité exceptionnelle qui a rapporté à l’enseigne de prestigieuses récompenses. La ganache intense du « Coline » a séduit le jury du Salon international des chocolatiers de Genève. Il en va de même des notes de thé de Chine et d’Earl Grey qui relèvent la ganache de l’« Impérial ». Gault&Millau était impressionné par la recette centenaire et secrète du « Mocca glacé ». ...

Partir à la découverte des différents établissements du grand chef étoilé Philippe Chevrier

FlashMatin | Bonjour Marion ! Marion Rouaux | Bonjour ! Vous allez nous aider à mieux connaître Monsieur Philippe Chevrier, grand cuisinier qui exerce son art principalement en Suisse. Il possède six restaurants, dont nous allons parler tout au long de ce podcast. Tout d’abord, évoquons le premier établissement du chef : le domaine de Châteauvieux. M R | Philippe Chevrier a débuté en tant que chef de cuisine. A l’issue de la première année, il a décidé d’acheter le domaine parce qu’il en est tombé amoureux. C’est un bâtiment du XVIIe siècle qui a conservé son cachet, entouré de vignes, avec le Rhône qui coule aux pieds, les montagnes du Salève et du Jura en toile de fond. On ne peut que tomber amoureux de l’endroit. Mais, n’étant pas situé au centre-ville de Genève, Philippe Chevrier s’est dit : « Pour faire venir les gens jusqu’ici, il faut que je fasse une cuisine d’exception. » Une cuisine d’exception, c’est le bon mot je pense car le chef Chevrier obtient sa première étoile au guide Michelin en 1991 au sein du domaine Châteauvieux. On suppose que cela l’a aidé à faire venir la clientèle dans son restaurant. M R | Bien sûr ! À l’époque, les réseaux sociaux n’existaient pas, tout comme les nombreuses références sur Internet. Les clients se fiaient aux guides, notamment Michelin, Gault&Millau, qui est très pertinent en Suisse. À l’époque, c’était l’un des premiers restaurants référencés dans le guide Michelin en Suisse. Cela ne s’est pas arrêté là puisque le chef Chevrier a obtenu depuis une deuxième étoile. Comment se distinguait-il des autres cuisiniers ? M R | Il faut savoir qu’il propose une cuisine assez traditionnelle, mais sa particularité est de sublimer le produit, sans trop le transformer. Sa cuisine est aussi très généreuse. On pouvait retrouver des plats assez régressifs qui font penser à la cuisine de nos grand-mères, notamment des jambonnettes de cuisses de grenouille sautées à l’ail avec une petite purée mousseline de pomme de terre. Des choses assez simples finalement, mais qui rassemblent tout le monde autour des traditions. Encore une fois, il met en avant la qualité du produit. Ce sont toujours des produits d’exception, de premier choix. Souvent, ce n’est pas le chef de cuisine la star, mais vraiment le produit et le goût. Cette philosophie a permis à Chevrier de se développer, jusqu’à posséder désormais six restaurants tous différents et uniques. Il faut préciser qu’il dirige personnellement le domaine de Châteauvieux, mais que les chefs cuisiniers aux commandes des autres établissements sont passés préalablement par ses cuisines. C’est donc une assiette de qualité que vous retrouverez dans n’importe quelle assiette des restaurants Chevrier, et notamment « Chez Philippe », un restaurant qui a sa petite histoire, non ? M R | Monsieur Chevrier est un amoureux de New-York. Il court d’ailleurs le marathon chaque année. Encore aujourd’hui, il s’est dit : « C’est un rêve de créer un jour un établissement avec cet esprit new-yorkais, façon Steak House. » D’ailleurs, c’est ce qu’il a réalisé avec la création de « Chez Philippe ». C’est un Bar-Grill, un établissement à grande envergure, qui accueille environ 500 personnes tous les jours, 7j/7. Dans un style un petit peu similaire c’est-à-dire un peu industriel, mais avec une carte totalement différente, il y a aussi le « Denise’s Art of Burger ». Un restaurant de Burger gastronomique appelé Denise, en hommage à la maman du chef Chevrier. Pouvez-vous nous dire à quoi ressemble un burger gastronomique ? M R | Tout tourne autour du produit. Même sur un burger basique, on va travailler avec un pain d’un boulanger qui a été spécialement conçu pour les Buns, pour nos burgers. On va travailler avec un bœuf 100% suisse, qui est un steak taillé au couteau, et encore une fois sur un fromage de gruyère suisse. Donc, la différence se fait vraiment sur la qualité du produit. Il y a ...

Domaine Saint Thomas :
à la rencontre d'un cru d'exception.

Depuis plus de 25 ans, dans le Roussillon, Laurence Savoldelli et son mari Pierre-Jean ont pris soin de développer l’exploitation familiale. Toujours en quête de nouvelles aventures, le couple décide en 2013 de nouer un partenariat avec deux avocats passionnés du vin qui ont succombé au charme et à la beauté des lieux : Maître Eric Dupont-Moretti et Maître Martins. À travers ce partenariat, les « associés » souhaitent poursuivre un objectif commun : créer de grands vins sur le cru AOC Collioure. Un partenariat réussi Le vignoble du domaine Saint Thomas est implanté sur différents terroirs dont ces terrasses uniques en bord de mer de schistes purs possédant de vieilles vignes de grenache âgées de plus de 70 ans. Ce vignoble d'exception a ainsi convaincu ces ténors du barreau Français et Belge d'investir sur une parcelle de 3ha. Avec l'aide de Laurence et de Pierre-Jean, ces deux avocats produisent maintenant leur propre vin depuis 2014.  Les fruits de la passion Afin de rendre hommage à leur mentor Maitre Furbury, ils ont tout simplement décidé de baptiser leurs cuvées  « Furbury blanc » et « Furbury rouge ». La première est une 100 % grenache gris et séduit par ses arômes d’agrumes et de pêche blanche. En bouche s'expriment toute la fraîcheur de l'air iodé des embruns, la minéralité des terrasses de schistes, avec quelques notes toastées. Les arômes sont complexes et très longs en bouche pour finir sur le souvenir d'une crème glacée savourée en bord de mer. C'est le compagnon idéal d'huitres pochées, de poulet à la langoustine ou d'encornets farcis. Quant à la cuvée « Furbury rouge », elle se distingue par ses arômes de fruits mûrs. La bouche est à la fois charnue, ronde et longue. Le grenache dévoile ici toute sa puissance avec des saveurs de fruits rouges, de réglisse et quelques arômes subtils de caramel et de vanille. Il accompagnera divinement un carré d'agneau au miel et au romarin ou un tajine aux épices orientales mais se déguste aussi seul comme l'on apprécie un vieux whisky. Outre ces deux cuvées, les amateurs de bons vins apprécieront également une gamme moderne de Collioures élaborée par le domaine Saint Thomas : - La cuvée « Collioure blanc », obtenue à partir de 100 % grenache gris est élégante, fraîche et minérale - La cuvée  « Collioure rosé » est un assemblage de grenache noir (50 %), de mourvèdre (40 %) et de syrah (10 %). Il s’agit d’un rosé gastronomique dévoilant des notes de mara des bois. - La cuvée « Collioure rouge », à 60 % de grenache noir, 30 % de mourvèdre et 10 % de syrah, est un vin qui vous surprendra avant tout par sa fraîcheur et sa finesse sur des arômes délicats de petits fruits frais. ...

Coutellerie Iforge : l’héritage vivant du couteau Laguiole

Le couteau Laguiole n’est pas un simple objet utilitaire. Il est l’incarnation d’un art de vivre mêlant raffinement, authenticité et exigence. C’est un compagnon du quotidien qui se glisse dans une poche, se pose sur une table de fête, se transmet comme un bijou. Chez Iforge, cette philosophie transparaît dans chaque détail. Chaque couteau est conçu comme une pièce unique, façonnée à la main, dans un atelier où le geste de l’artisan est au cœur du processus. Ici, on choisit l’excellence, une part d’histoire, un fragment de patrimoine, un objet vivant façonné avec passion par des artisans. En somme, un symbole de l’élégance, d’un esprit à la française. Iforge, une tradition séculaire, un enracinement profond Cette coutellerie française trouve deux de ses piliers les plus solides à Thiers, dans le Puy-de-Dôme, et à Laguiole, en Aveyron. Elle s’inscrit au croisement de ces deux terres légendaires qui ont façonné l’Histoire de la coutellerie française. Thiers, capitale de la coutellerie, façonne des lames depuis le XVe siècle. Dès le XVIIe siècle, ses couteaux franchissaient les frontières, jusqu’au Moyen-Orient, portés par une réputation de robustesse et de finesse. Au milieu du XIXe siècle, près de 25 000 ouvriers y œuvraient à la production coutelière. Aujourd’hui encore, ce savoir-faire se perpétue. Mais Thiers ne règne pas seule. À Laguiole, petit village de l’Aubrac, le célèbre couteau voit le jour au XIXe siècle. Sa silhouette emblématique, son élégance discrète, son manche galbé, sont devenus des icônes du savoir-vivre français. Là aussi, le travail artisanal se transmet de génération en génération. Aujourd’hui, Iforge se nourrit de ce double héritage et de cette passion du couteau d’exception. Iforge ou l’art du couteau personnalisable Chez Iforge, chaque couteau est bien plus qu’un simple outil. C’est une œuvre d’art personnalisée. Cette maison propose à ses clients de concevoir un couteau sur mesure, adapté à leurs envies, à leur usage, ou à un moment particulier de leur vie. Le manche peut être façonné dans des matériaux aussi variés qu’élégants de bois nobles aux matières rares, en passant par des éléments uniques comme du fossile de mammouth, de la turquoise, du coquillage, ou même des matériaux encore plus précieux suivant la demande. La lame, elle aussi, se décline au gré des préférences : de l’acier au carbone traditionnel à l’extraordinaire acier de damas, connu pour ses motifs ondulés et sa résistance légendaire. À cela s’ajoute la possibilité de graver le ressort, situé sur le dos du couteau, avec des initiales, une date, un symbole ou un message. Et que dire de la mouche, ce petit ornement au sommet du ressort, habituellement en forme d’abeille ? Chez Iforge, elle devient un terrain d’expression artistique. L’atelier d’Art n’hésite pas à en détourner la forme pour répondre à une demande particulière. Ainsi, un modèle pour les pèlerins de Compostelle remplace la mouche traditionnelle par une coquille Saint-Jacques, clin d’œil au chemin mythique. Chaque couteau devient ainsi un objet singulier, porteur de sens, parfois même de mémoire. Cadeau, transmission, outil de tous les jours ou pièce de collection : tout semble possible pour cet atelier. Pour plus de renseignements sur le couteau personnalisable suivez ce lien.  Un atelier vivant : entre réparation et perfection Fidèle à sa vocation artisanale, Iforge ne se limite pas à la création. L’atelier propose également des services de réparation et d’affûtage, prolongeant ainsi la vie des couteaux abîmés ou émoussés. Un Laguiole, comme tout bel objet, mérite un entretien à la hauteur de sa qualité. Que ce soit pour redonner du tranchant à une lame fatiguée, réparer un mécanisme ou remplacer un manche usé, Iforge s’engage à faire revivre les couteaux confiés par ses clients. Ce service est aussi une manière de respecter une certaine écologie de l’objet ou ici la règle e...

Le Zinc : une cuisine auvergnate simple mais authentique

Ce restaurant indépendant ouvert 7 jours sur 7 (hors dimanche soir) propose à ses clients une cuisine authentique et simple agrémentée d'incontournables classiques Auvergnat. Dans un cadre convivial à l'esprit bistrot, un accueil chaleureux vous invite à déguster un grand classique de la région qu’est la Truffade Auvergnate. Il s’agit d’un plat typique à base de pomme de terre, assaisonné de poivre et d'ail et de tomme fraîche du cantal servi avec un jambon sec AOC d'Auvergne. Soucieux de la tradition, les 2 compères ont pris soin de vous préparer ce plat « à l’ancienne ». A déguster pour les puristes avec un cotes d'Auvergne rouge ou blanc selon vos envies. Une carte raisonnable mais variée Le Zinc se démarque de la plupart des enseignes par sa cuisine généreuse concoctée à base de produits frais. En effet, l’établissement privilégie les circuits courts et la proximité de ses fournisseurs locaux  pour répondre aux exigences de fraicheur et de traçabilité des produits jusque dans l'assiette. En s’approvisionnant auprès de fournisseurs comme "la ferme Auvergnate" ou "lou vidalou" fromager affineur cantalou, la maison s'assure d’avoir les bons produits. En été comme en hiver, le chef vous propose ses incontournables rognons de veau aux morilles et le boudin noir au foie gras poelé du domaine de Limagne.  Le Zinc se fait aussi une spécialité dans la viande, en mettant à l'honneur les races à viande locale : Charolaise, Limousine ou Aubrac et ce dès que possible.  et que dire du vin ? La carte des vins du Zinc n’a pas à rougir face à celle d’autres établissements spécialisés. De nombreux vignobles exclusivement français y figurent, du sud en remontant par la vallée du Rhône, en s'arretant en Val de Loire et en Bourgogne jusqu'au bordelais pour finir, bien évidemment, sur les vins d'Auvergne à découvrir.   Parmi une trentaine de références, le chef laisse le soin à ses clients de faire leurs choix mais ne manque pas une occasion de leur faire profiter de ses expériences si besoin.  ...

Rendez-vous aux Remparts pour une expérience culinaire mémorable

À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil.   Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant.  Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible).  Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie…  La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges.  Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...

Château Cadet-Bon, Bordeaux : l'excellence des vins en appellation Saint-Émilion...

Auréolé de nombreuses récompenses, les vins de Château Cadet-Bon font partie de l’appellation Saint-Émilion Grand Cru Classé. Sur ces plantations où la vigne pousse depuis le XIVè siècle, on y retrouve tous les plus grands cépages dont le Merlot et le Cabernet Franc. Le domaine s’étale sur plus de 5ha, où est majoritairement élevé le Merlot (80%), le Cabernet Franc occupant le reste des vignes. Historiquement, les premières traces de vigne sur le domaine remontent à la famille BON. Une famille de notables qui ont fait l’histoire de Saint-Émilion depuis le XIIIè siècle. En 1929, le « Féret » rapportait qu’à l’occasion de l’Exposition Universelle de Paris, les vins de Justin Bon avaient permis aux grands vins de Saint-Emilion d’obtenir une médaille collective. Le domaine fût par la suite racheté en 2001 par Michèle et Guy Richard. Ce couple originaire de Charente Maritime, issu d’une famille de viticulteurs, rénove la propriété et revoit de manière drastique l’exploitation du raisin. Aujourd’hui, il en ressort un vin de qualité où transparaît la passion du couple pour le bon vin. Idéalement situé, le Château Cadet-Bon prend ses 5ha à l’orée du village de Saint-Émilion. Il domine le paysage surplombant à 75m d’altitude sur la butte du Cadet. Avec ses tenants exposés plein sud, les vignes mettent en avant les caractéristiques géologiques de la région avec un sol dominé par le calcaire à Astérie, un type de roche à dominante jaune contenant des fossiles, notamment d'étoile de mer. Moyens et méthodes de production Plaçant le terroir au cœur de la production, le domaine s’attache à soigner sa production de la récolte à la vinification. Durant 5 à 6 jours, les vendanges sont ainsi faites manuellement avec l’aide de vendangeurs temporaires particulièrement bien choyés. Ces vendanges sont effectuées selon la maturité de chaque parcelle et en fonction de la météo. Une fois récoltés, les fruits sont vidés dans des bastes puis acheminés au chai. Le tout en assurant, un minimum de manipulation. Une fois aux chais, la production traverse une série d’éléments de tri pour ne garder que les meilleures grappes. Un système innovant reprend la suite pour l’encuvage. En effet, depuis 2007, le domaine a mis en place un système de transport des raisins par gravité vers les cuves. Ce qui permet de garder le fruit entier et de le vinifier en l’état. Les étapes de vinification sont extrêmement encadrées du protocole d’extraction en passant par les pigeages, une méthode manuelle ancestrale qui permet de libérer arômes et parfums du vin en cours d’élaboration. A l'issue de la vinification, on passe à l'élevage. On retrouve alors toute une palette d’outils qui viennent révéler la fraîcheur recherchée dans les cuvées Saint-Émilion. Une partie de la production est vieillie en barrique mais le domaine utilise également des amphores. Pour ce dernier, c’est 3 à 4% de l’assemblage qui est effectué dans des amphores en terre cuite de 7hl. 14 mois durant, le précieux nectar est élevé sous l’œil attentif des viticulteurs et de leur équipe. Une démarche dans le respect de la nature Dès leur acquisition du domaine, le couple Richard s’attelle tout particulièrement à faire de leurs vignes des vignes qui respectent la nature et l'expression authentique du terroir en AOC Saint-Émilion. Ils mettent ainsi fin à l’utilisation d’herbicide. Afin de lutter contre les effets du froid en hiver, les Richard ont aussi adapté des techniques peu communes. Par exemple, les semis sont protégés par des mélanges de céréales (seigle ou avoine) et de légumineuses comme la vesce auxquels sont ajoutés des crucifères comme la moutarde, le colza ou la Phacélie. Présentant de nombreux avantages, l’application d’une couverture végétale protège les sols de l’érosion ou des battances mais apporte aussi de l’engrais naturel. Depuis 2015, le domaine a fait le choix d’arrêter l’utilisation d’anti-Botrytis. Le botrytis est une pourriture...

Champagne Vincent Gobert : entre qualité et originalité

Quatrième génération d’une lignée de viticulteurs, Vincent Gobert allie à merveille savoir-faire, modernité et talent pour faire de son exploitation l'une des plus originales en Champagne. Des cuvées de haute voltige Détenant en tout et pour tout deux hectares de vignes, Vincent Gobert produit annuellement 10 000 bouteilles de ce précieux nectar. La maîtrise du rendement permet au viticulteur de concentrer sa production sur la qualité, dont les soins les plus méticuleux sont apportés depuis le vignoble jusqu’à la mise en bouteille. Il en est ainsi du classique « Brut Tradition », un assemblage des trois cépages champenois, idéal pour les apéritifs, tout comme de la « Cuvée de Réserve », vieillie quatre ans en cave sur lattes, ce qui lui confère son arôme distingué et sa mousse abondante et fine. Cette dernière a d’ailleurs permis au domaine d’être finaliste lors du Concours des jeunes talents de Champagne 2015.  « Fûts n’en Bulles » « Fûts n’en Bulles » est une nouvelle cuvée de la maison Vincent Gobert, qui va sortir courant mai 2017. Outre son nom, ce champagne est original à tout point de vue, comme l’explique Vincent, le propriétaire : « Cette cuvée est particulière, car elle a été élaborée entièrement de façon manuelle, depuis le pressoir jusqu'à l’expédition. » Un champagne des plus naturels possible, avec pour unique ajout du sulfite à très faible dose. Avis aux amateurs ! ...

Maison Sassy :
des cidres du terroir « so sassy » !

La marque Sassy est lancée en 2014 sous l’impulsion de deux amis d’enfance Pierre-Emmanuel RACINE-JOURDREN et Xavier D’AUDIFFRET-PASQUIER, originaires de Normandie et vouant une grande passion pour le cidre. Au cours de leurs études à l’étranger, ils constatent un engouement autour des « ciders ». Cependant, ces boissons à base de concentrés de jus de pomme sont loin des standards qualitatifs auxquels nos deux amis sont habitués. Ils décident alors de proposer un produit « made in France » à la fois moderne et haut de gamme. Des créations tendances Visant une qualité optimale, les créations Sassy sont sans ajouts et non concentrées. Du 100 % pur fruit, élaboré en partenariat avec un maitre de chai. Pour être dans l’air du temps, le design a été soigneusement travaillé et les créations mises en valeur dans des bouteilles de verre blanc de 75 et de 33 cl. Mais c’est véritablement sur la qualité que tout se joue. Pour preuve, les créations Sassy sont associées à des grands noms de la gastronomie et de la mixologie comme Alain Ducasse (éminent chef étoilé) ou Julien Escot (champion du monde de cocktail). Du brut au plus fruité, en passant par des arômes acidulés, les 5 produits de la maison se prêtent idéalement aux jeux des associations. ...

Des bières fraiches et désaltérantes aux accents du Sud

Avec des caractéristiques de bière très spécifiques, la Brasserie artisanale du Sud a forgé sa réputation sur un mode de brassage très particulier qui la distingue des autres brasseries. « Nous faisons partie des rares brasseries artisanales à produire des bières de garde en France », affirme Fabienne Delorme, responsable commerciale. Ces bières de garde se distinguent surtout par leur finesse et leur fluidité, avec un processus de fermentation secondaire qui affine les arômes à froid (0 °C) durant 3 ou 4 semaines.  Elles sont 100 % naturelles, sans aucun adjuvant, et sont principalement composées des matières premières fondamentales de la bière qui sont l’eau, les céréales, le houblon et les levures. Des bières aux noms évocateurs « C’est à partir des points caractéristiques qui lui sont propres que notre brasseries a développé une gamme de bières classées selon leurs moments de consommation et non selon leurs couleurs comme c’est souvent le cas dans le domaine de la bière », précise Fabienne Delorme. C’est ainsi que sont nées plusieurs familles de boissons aux noms évocateurs. Pour apaiser une grande soif, les bières de désaltération appelées aussi les Mange-Soif, déclinées en blonde et blanche, sont à l’honneur. En soirée ou lors d’un apéritif, les bières de convivialité appelées les Songe-Fête, avec des notes aromatiques marquées, sont idéales. Les bières de dégustation nommées Chante-Saveurs, des brunes, légères, sans sucre ajoutée, aux notes aromatiques de café et de caramel, font le bonheur des épicuriens. L’enseigne brasse également une deuxième bière de dégustation de 7° lancée à l’occasion de son 7e anniversaire, qui est d’inspiration abbaye. ...

La Bonne Etape : la cuisine de l'émotion

Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendez­vous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize. Le parcours prédestiné d’un passionné Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du Saint­Valentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grand­mère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets. Des plats aux saveurs authentiques de la Provence A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références. Le secret est dans le potager La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...

Restaurant Conti : voyage au cœur de l’Italie

La richesse de la gastronomie italienne ne se résume pas qu’aux pizzas et aux spaghettis. Prenez une grande inspiration : le restaurant Conti vous propose une totale immersion dans la cuisine italienne et vous la dévoile dans toute son authenticité. Ensoleillée, généreuse, conviviale, elle a tout pour vous séduire. Halte gourmande dans une ambiance de charme Prônant un décor cosy et chaleureux, le restaurant Conti vous invite à évoluer dans un espace raffiné. Banquettes de velours, grand miroir sculpté, murs tapissés de rouge, détails dorés : le cadre s’inspire des codes du théâtre vénitien. Au milieu de la salle trône des lustres en verre Murano, un pur chef d’œuvre issu de la tradition vénitienne. Avec son cadre spacieux et son climat feutré, le restaurant Conti se veut être un vrai lieu de détente aux salles intimistes. « On peut se parler sans gêner les autres » nous souffle-t-on.   La meilleure de la cuisine italienne Afin de garder toute l’authenticité de ses plats,  ce restaurant s’approvisionne à la source. Les produits à l’instar des fromages par exemple arrivent directement d’Italie. Les autres matières premières quant à elles sont issues des producteurs locaux. Comme les professionnels de la gastronomie aiment à défendre que « c’est le produit qui fait le plat », le restaurant Conti ne déroge pas à cette règle d’or. Un souci et une recherche permanente de la qualité qui se ressentent naturellement dans les assiettes. Une simple bouchée des Langoustines Huile de truffe noire, du Carpaccio de coquilles Saint-Jacques ou du Risotto aux truffes suffit pour vous en rendre compte ! Au Conti, les pâtes sont également à l’honneur ! La maison vous propose des pâtes fraîches, là aussi entièrement faites maison. Pour achever ce périple culinaire, rien de mieux qu’un délicieux Tiramisu fait maison. La carte des vins quant à elle rend un bel hommage à La Botte. Pour accompagner vos plats, quelques perles issues des plus grandes régions viticoles du pays vous attendent. Les vins de la Toscane et de la Sicile sont particulièrement appréciés bien que d’autres références méritent également toutes les attentions. ...

Champagne Germar Breton : l’excellence de la côte des Bar

L’exposition idéale des sept hectares de plants de pinot noir et de chardonnay confère aux cuvées de la marque toute leur typicité. Allant de la cuvée Blanc de Noirs, un monocépage pinot noir puissant au goût relevé et fruité, à la cuvée Brut, aux arômes agréables, et élaborée à 60 % de chardonnay et 40 % de pinot noir, le champagne Germar Breton, qui élabore également une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée Rosé, se veut être l’ambassadeur de l’excellence de la côte des Bar. Un terroir d’exception mis à l’honneur Le champagne de la maison Germar Breton puise sa mosaïque d’arômes et de goûts dans le sol riche situé dans quatre communes de Barsuraubois. Les saveurs propres à ce terroir unique sont savamment révélées au travers de cuvées, « privilégiant la richesse des arômes du chardonnay et du pinot noir », affirmentKarine et Laurent Breton, propriétaires de la maison de Champagne Germar Breton depuis 1989. Donnant la priorité au savoir-faire artisanal, cette maison exigeante en matière de qualité mise sur des procédés d’élaboration oscillant entre tradition et modernité. Cet attachement aux valeurs ancestrales confère ainsi aux cuvées Germar Breton toute leur authenticité. Une terre bénie travaillée avec soin Afin de préserver la richesse de cette terre généreuse, Karine et Laurent Breton s’attèlent à travailler les vignes en donnant la primauté aux pratiques durables. Les produits fongicides sont alors utilisés de manière raisonnée et le « traitement ne se fait que quand c’est nécessaire, suivant les besoins et le climat », continuent Karine et Laurent Breton. Cette agriculture raisonnée préserve ainsi « l’héritage précieux que représentent les vignes héritées de nos grands-parents et parents », nous confient-ils. ...

Domaine Trapet-Rochelandet : la nouvelle référence en Bourgogne

La propriété familiale existe depuis 5 générations. En 2015, Laurent reprend les rênes avec l’objectif de « réaliser les plus grands vins possibles », nous confie-t-il. Le vigneron profite de la localisation géographique privilégiée de son terroir pour signer des Grands Crus d’exception issus de l’appellation Gevrey-Chambertin et des cuvées de finesse et d’élégance de l’appellation Bourgogne. Le vignoble se trouve effectivement au cœur des Côtes de Nuits, sur les hauteurs du village de Gevrey-Chambertin et s’étend sur une superficie de 6,5 hectares. Ces hauts-lieux bourguignons sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui constitue une preuve irréfutable de leur richesse et de leur singularité. Un vigneron responsable et passionné Dans son travail, Laurent s’évertue toujours à prendre en considération l’héritage à laisser aux générations futures. C’est pourquoi le domaine opère  dans le strict respect de l’environnement. L’adoption d’une démarche raisonnée dans la gestion des vignes est antérieure à l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale niveau 3 (HVE 3). Depuis toujours, la maison exploite ses terres dans un souci d’instaurer l’harmonie entre l’homme et la nature. Elle a aussi fait le choix d’opter pour des rendements faibles dans une volonté d’obtenir des vins plus concentrés capables d’exprimer la quintessence de leur terroir. Les récoltes s’effectuent à maturité optimale. « Nous attendons notamment que les raisins atteignent un niveau de sucre adapté afin d’arriver à un meilleur équilibre possible », explique le vigneron. Des vins de parfums et de matières À l’issue des vendanges manuelles, le pinot noir, le chardonnay et l’aligoté subissent un processus de vinification en cuve inox d’une durée de 15 jours puis un élevage en fûts de chêne entre 12 et 18 mois en fonction des appellations travaillées. De ces méthodes prônant un savoir-faire séculaire naissent des cuvées authentiques et généreuses qui tiennent toutes leurs promesses. Parmi les best-sellers de la maison figurent les cuvées Les Carougeots et Vieilles Vignes, du 100 % pinot noir qui se veut charmeur et expressif. ...

Woos ou la mousse dans toute son intensité

À l’origine de la première mousse de fruit sans arôme avec zéro pour cent de matière grasse, Woos bouscule tous les codes en créant une émulsion ultralégère au goût fruité particulièrement prononcé, qui se décline en quatre parfums gourmands. À l’origine de la marque Fondée en février 2013 par le tandem Anne-Sophie Marquet et Janagan Suntharalingam, Woos est née d’un simple constat qui a joué le rôle d’un véritable élément déclencheur. Après avoir cherché sans succès des mousses de fruits sans lait ni œufs dans de nombreux commerces, Anne-Sophie, la cofondatrice de la start-up a effectué de nombreux essais en cuisine pour inventer elle-même la texture et le goût de la mousse longtemps recherchés. De fil en aiguille, l’idée de créer une start-up qui va développer une gamme révolutionnaire de mousses juste aux fruits (très distincte de la crème fouettée qu’elle était d’ailleurs loin d’apprécier) lui est venue. Son projet reçoit l’adhésion de Janagan, un ami de SciencesPo qui va l’aider à démarrer cette belle aventure pas comme les autres. Une association de valeurs et de savoir-faire Voulant se démarquer de la chantilly classique, la gamme de mousse Woos intègre une association de valeurs innovantes et particulièrement chères aux deux cofondateurs. Dans leur projet, l’innovation, la santé, le bien-être et la gourmandise jouent leur va-tout pour dévoiler une sélection de quatre mousses. La framboise plaît pour son zeste d'acidité et son parfum boisé. La version citron intense et audacieuse dénote une douce acidité. Aux fruits de la passion, la Woos décoiffe par sa mosaïque d'arômes exotiques. La Woos à la mangue, la dernière-née de la gamme, propose, quant à elle, un goût vrai et équilibré. S'adressant aussi bien aux particuliers qu'aux salons de thé, aux barmen ou aux restaurateurs, les Woos viennent sublimer les petits-déjeuners, le goûter ou le cocktail du soir à déguster en famille ou entre amis. Elles accompagnent à merveille certains desserts cuisinés ou se dégustent avec du fromage blanc. Points de vente Vous pourrez trouver les Woos à la Grande Épicerie de Paris, chez Alice Délice ainsi que dans les meilleures épiceries fines en région et sur l'e-shop de Woos. ...

Plage Royale : un lieu magique sur la Croisette

Depuis plus de 50 ans, Plage Royale sait vous faire bénéficier d’un cadre idyllique au bord de la Méditerranée, que ce soit pour vous restaurer ou pour passer un après-midi de détente. Installée le long de la Croisette, elle vous offre plus de 780 m² de sable doré et 150 transats pour profiter du soleil en toute tranquillité, à l’écart de la foule. Mais vous pourrez également séjourner à l’ombre sur la terrasse tout en dégustant un délicieux cocktail maison. Plage Royale a misé sur le blanc pour son mobilier moderne et confortable ainsi que pour sa décoration, afin de mettre en valeur cet environnement unique. Le restaurant Le chef Alexandre Elia aime revisiter les classiques locaux en les habillant des saveurs des différents pays méditerranéens. Tous les plats sont préparés à base de produits frais. La carte change à chaque saison. Cet hiver, vous pourrez ainsi découvrir la succulente terrine de foie gras de canard à la compotée de coings et baies de goji ou le pavé de morue à la Portugaise, cuit au four avec huile d’olive, câpres, tomates séchées, olives et oignon. Vous pourrez également satisfaire vos papilles avec le loup grillé accompagné d’une fricassée de légumes et de pommes vapeur ou la bouillabaisse royale au safran et condiments. Un menu enfant est également proposé pour que toute la famille puisse partager un agréable moment. Vos événements Dans cet espace complètement modulable, vous pourrez organiser événements privés ou professionnels selon vos envies. Toute l’équipe de Plage Royale est à votre écoute pour mettre en place votre projet dans les meilleures confitions. Mariage, anniversaire, cocktail, concert, réunion de travail ou déjeuner d’affaires pourront ainsi bénéficier de la terrasse ou de la plage en accès privatisé. ...

L'Auberge des roses : une généreuse cuisine traditionnelle

Lieu propice à la détente et à la découverte, L’Auberge des roses ne manque pas de charme avec ses pierres et poutres apparentes, sa cheminée au feu crépitant et sa terrasse ombragée à la vaste pergola, qui n’attend que vous pour les beaux jours. Une salle divisée en 3 niveaux avec une petite estrade en hauteur, appelée « petit salon », et une grande véranda font par ailleurs la particularité de cet établissement de caractère, dont la réputation n’est plus à faire.  À travers une cuisine traditionnelle et gastronomique, composée en grande partie de poissons de la criée de Saint-Jean-de-Luz, le chef et gérant Hervé Barrière régalera vos papilles dans un voyage culinaire authentique et gourmand, où le temps semble s’être arrêté. Le rendez-vous des gourmets L’établissement vous invite à découvrir son appétissante et rafraichissante cuisine avec un menu à 30 € au choix, ainsi qu’une carte avec des suggestions qui changent tous les jours. Difficile de ne pas succomber à son Croustillant de gambas sur coulis de mangue marinés et roulés dans une feuille de brique, sa savoureuse Parillada de poissons, un assortiment de 4 poissons sur un lit de moules, de chipirons et de gambas, sans oublier son Pain perdu brioché pommes caramel au beurre salé qui est un véritable délice ! Pour accompagner chacun de vos repas, la maison dispose d’une très belle carte des vins, représentative de toutes les régions, avec près de 45 références, dont les fief la grange, ainsi que le vin local du Jurançon en sec et en doux. Un très beau bouquet au choix pour un accord parfait met-vin. N’hésitez pas à demander conseil ! ...

La Distillerie des Alpes : saveurs authentiques savoyardes depuis 1883…

« Une expérience aromatique mémorable avec des notes miellées, épicées, douces et boisées », c’est en ces mots que Caroline Borga, chef de produit de la Distillerie des Alpes, décrit la dégustation du Vermouth Routin Original Rouge. Produit emblématique de la distillerie, avec sa recette créée en 1883, ce Vermouth est le fruit d’un habile assemblage entre 24 plantes, fleurs et épices et doit son goût si particulier à un vieillissement en fûts de chêne. Fort d’un grand succès qui lui a valu de nombreuses récompenses depuis le début du 20ème siècle, notamment la médaille d’or lors de l’Exposition universelle de Londres en 1902, le Vermouth se décline également en blanc. « Relancé en 2016, il est également issu d’une ancienne recette retrouvée », nous précise Caroline. Le Vermouth Routin Blanc résulte d’un assemblage entre fleurs, plantes et épices macérées dans du vin 100% français et s’apprécie pour son bouquet raffiné qui se caractérise par des notes aromatiques type thym, vanille ainsi que de légères notes épicées. La gamme comprend également le Vermouth Routin Dry issu de la macération de 17 plantes, fleurs et épices. Moins sucré, il possède des notes fraîches, florales, épicées et légèrement herbacées. Il s’utilise dans les cocktails ou pour déglacer viandes et poissons, en cuisine. D’autres produits originaux des Alpes… Parmi les fleurons de la gamme, le Génépi l’Ancienne s’illustre par son long processus de distillation et de macération offrant une explosion de saveurs en bouche. La recette créée par Philibert Routin en 1893, démontre véritablement un savoir-faire centenaire. Dernier et non des moindres : le Pastis complète cette gamme inspirée des recettes originales des Alpes. Fait à base d’anis, de cannelle et de réglisse, il s’impose comme l’apéritif emblématique des vacances et plaît pour son côté aromatique, ses notes subtiles de génépi et sa touche boisée de vulnéraire. ...