Située au Montat, aux portes de Cahors, Biscuiterie fine de France est une entreprise familiale dotée d’une expertise et d’un savoir-faire artisanal à même de satisfaire tout type de projet et autres demandes spécifiques de ses clients. Pour la petite histoire Rachetée il y a de cela vingt-cinq ans par le couple Jean-Marie et Chantal Robert, la petite biscuiterie qui fabriquait alors des meringues en sachet s’est vite muée en une plus grande structure. Issu du secteur industriel, M. Robert décide d’adresser l’essentiel de la production aux industriels glaciers. Au fur et à mesure du temps et des demandes des clients, un savoir-faire biscuitier s’est développé au sein de l’équipe. En tout, une vingtaine d’employés s’attellent à réaliser des gammes très diversifiées qui touchent aujourd’hui un large panel de clients. Grâce à des outils de production performants alliés à un savoir-faire artisanal, Biscuiterie fine de France répond aux demandes, même les plus exigeantes. Les engagements Désireuse de promouvoir le savoir-faire français, Biscuiterie fine de France s’inscrit dans la démarche Clean Label. Ce qui implique une totale transparence au niveau des produits utilisés. Les ingrédients utilisés ne contiennent ni conservateurs ni exhausteurs de goût. Les colorants et arômes naturels sont davantage privilégiés. Du point de vue écologique, les collaborateurs sont engagés dans une démarche visant à économiser l’eau et l’énergie et à réduire les déchets. Des produits dédiés à tous La vocation première de Biscuiterie fine de France est de proposer des produits innovants aux industriels. Aujourd’hui, son expérience a permis la réalisation de créations de plus en plus abouties. Mis à part les traditionnelles meringues, l’entreprise fournit entre autres différents éclats de biscuits (palets bretons, spéculoos, crumbles, macarons) utilisables dans des préparations pâtissières comme les crèmes glacées ou les coupes de fruits. Pour les particuliers, l’entreprise a lancé récemment une gamme innovante d’aide pour la pâtisserie sous la marque « Biscuiterie fine de France » qui est disponible auprès des GMS. Le consommateur final aura ainsi accès à des produits de qualité qui n’ont rien à envier à la concurrence à l’instar des concassées de spéculoos, des éclats de palets bretons, ou encore un produit très innovant comme la chapelure de pain d’épice. ...
Depuis plus d’un siècle, la famille Fagot élabore des champagnes d’une qualité rare qui font honneur à la réputation de cette boisson pétillante de saveurs. Réparti en deux terroirs – celui de la Rilly-la-Montagne et d’Hermonville –, le domaine de Michel Fagot profite des conditions exceptionnelles offertes par ses terres pour la production de ses vins de gourmandise dans le respect des plus pures traditions champenoises et des exigences de développement durable. Un vignoble classé premier cru Installé au cœur de la grande montagne de Reims, le vignoble de Michel Fagot occupe une superficie de plus de 15 hectares propices à la production de pinots noirs et de meuniers d’une grande finesse mais aussi d’excellents chardonnays. Grand passionné, Olivier Fagot, le premier responsable de la marque, se fait toujours un plaisir d’expliquer aux visiteurs comment « les vignes vont puiser leurs nutriments dans la terre » pour donner aux terroirs, donc aux champagnes, leurs « signatures olfactives typiques ». Une démarche qualité À partir de cépages à parts quasiment égales de chardonnay, de pinot noir et de meunier, la maison Michel Fagot produit des cuvées de premier choix dont le Blanc de Blancs Premier Cru, le Brut Rosé Premier Cru, le Millésime 2004 Premier Cru et surtout « Le Clos de Marzilly » qui est en quelque sorte l’ambassadrice de la marque. Afin d’atteindre un plus haut degré de perfection, celle-ci intègre dans ses outils de production aussi bien des cuves modernes que des pressoirs traditionnels tout comme des fûts tronconiques permettant d’ « adoucir un petit peu les vins » et de « rééquilibrer aussi l’acidité » selon les termes d’Olivier Fagot. Un partage de plaisirs Au détour d’un voyage en Champagne, le domaine se prête parfaitement à des visites empreintes de culture et de gourmandise pour le plus grand plaisir des œnologues en herbe. Ici, l’on peut s’initier aux techniques d’élaboration de champagnes, déguster les meilleurs crus de la marque et explorer ses différentes installations. Des moments de partage et de convivialité à la découverte d’un authentique propriétaire récoltant qui « défend un terroir, un savoir-faire », comme le souligne notre interlocuteur. ...
Repris en 2016, le domaine est exploité par Marc-Olivier Bertrand dont il est copropriétaire avec 150 autres personnes, via un financement participatif réalisé avec l'aide de Terra Hominis. La totalité du vignoble, érigée sur des sols basaltiques, est en appellation Languedoc Pézenas. Des techniques consciencieuses La qualité des vins est garantie par un mode cultural qui favorise la vie des sols et la biodiversité. Ce travail respectueux de la Nature est certifié bio par le label AB (agriculture biologique). ...
Société Coopérative et Participative (SCOP), l’Atelier du Bouilleur, situé à une vingtaine de kilomètres de Béziers, est le fruit d’une coopération entre distillateurs et vignerons. « L’entreprise se compose de 6 membres : distillateurs et distillatrices, prestataires de service pour des vignerons mais également des entrepreneurs qui veulent créer leur marque d'eau-de-vie sans être du milieu du vin ou des spiritueux », fait savoir Jennifer Frair, distillatrice, consultante en management des organisations et « disciple » de Matthieu Frécon et Martial Berthaud. Le retour à la source Produit emblématique de l’Atelier du Bouilleur, la Fine Faugères, créée par Noël Salles, est une eau-de-vie de vin vieillie IGP Faugères dont l’histoire remonte au XIXe siècle. En 1985, la distillation de la fine s’est arrêtée. En 2000, le distillateur Matthieu Frécon reprend sa production afin de lui rendre ses lettres de noblesse. En France, l’Atelier du Bouilleur figure parmi l’une des rares distilleries qui disposent encore des alambics à repasse originaux, notamment de type charentais. « Notre plus ancien alambic date de 1927 », signale notre interlocutrice, et de continuer que « contrairement aux producteurs industriels, nous proposons une petite production 100 % artisanale et naturelle (certifiée bio) afin de poursuivre notre démarche du retour aux traditions, du bien manger et du bien boire ». À la découverte du métier de distillateur Profitant d’une situation géographique exceptionnelle au milieu de vignerons dotés d’un savoir-faire ancestral, l’Atelier du Bouilleur distille du vin, des marcs et autres eaux-de-vie. Au sein de cette distillerie coopérative, « notre activité se divise en deux, dont la distillation à façon pour d’autres marques, et celle de nos propres produits ». Outre la distillation de vins de Faugères issus des cépages de la région (syrah, grenache, cinsault, carignan, mourvèdre), l’atelier propose des stages d'un weekend assurés par Matthieu Frécon. Le samedi, les participants suivent une formation en distillation d'alcool de bouche. Le dimanche quant à lui est dédié à la distillation alchimique (huiles essentielles, spagyrie, alcoolatures). La Fine Faugères : le succès de l’Atelier du Bouilleur La distillerie élabore une large gamme de produits parmi lesquels figure la Fine Faugères. Réputée comme étant la « troisième eau-de-vie de France », celle-ci est fabriquée suivant un cahier des charges précis. Vieillie en fût de chêne pendant au moins cinq ans, la Fine promet des notes fruitées et salines avec une belle douceur en bouche lors d’un dessert par exemple. La distillerie produit aussi des gins fabriqués à partir de baies de genévrier fraîches, sans sulfite et 100 % bio, ainsi que l'inédite Eau-de-vie de Verveine (une verveine sans sucre). Au-delà de ces classiques, l’Atelier du Bouilleur propose des séries limitées à l’instar de la vodka aromatisée à la lavande baptisée Lavodka, le vin distillé aromatisé à la flouve qui porte le nom de Flouvovin, ou encore le Printemps à base d'aspérule odorante fraîchement cueillie dans la région. « Le but de notre gamme série limitée est de montrer notre savoir-faire et le potentiel d'un vrai distillateur tel qu'on le connaissait avant, c'est-à-dire le bouilleur ambulant » rapporte Jennifer Frair. ...
L’appellation Seyssel est reconnue pour sa méthode traditionnelle, une démarche ancestrale qui permet à un vin de devenir effervescent. Seyssel est également un petit village de vignes, de vignobles et de vins vieux, dont les origines remontent à 2 000 ans. C'est au Ier siècle que les premiers écrits mentionnent la vigne dans la région, avec Pline l’Ancien, un philosophe romain qui vantait déjà les vins de Seyssel. Jouissant d’un climat particulièrement favorable, de mollasses sableuses et d'une bonne exposition au soleil, les vins de Seyssel se distinguent par la finesse des bulles et leur authenticité. Royal Seyssel, un vin, une histoire Dans une bouteille Seyssel, il y a du bon vin, mais il y a aussi quelque chose du passé qui dort là, c’est ce que nous raconte Gérard Lambert : « C’était un vin bu par les rois et reines qui venaient dans la cité voisine d’Aix-les-Bains. Il a été consommé par la reine Victoria et par d’illustres personnalités européennes. Il a été baptisé Royal Seyssel, en leur hommage, en 1901. » Au début, le Royal était effervescent, mais il s’est développé en vin tranquille, appelé le « Seyssel tranquille » issu du cépage Altesse. Ce vin a connu une grande période de gloire mais a vite décliné lorsqu’il fut racheté par un grand groupe. « Il y a eu une dégringolade au niveau des ventes et le site de production a dû fermer en 2007. Cette fermeture a mis en péril tout le vignoble. Tous les vignerons qui apportaient les vendanges ont aujourd’hui les larmes aux yeux », déplore Gérard Lambert. Le Royal, fleuron de l’appellation Seyssel Touché par la disparition de ce patrimoine, le couple Lambert décide de sauver une partie de leur héritage. Mal compris par son entourage, il s’engage dans ce projet fou pour « sauver l’appellation, le tissu viticole et tous les vignerons encore présents ». Il décide d’aller bien plus loin que ses confrères pour lesquels la méthode champenoise consiste pour la plupart du temps à 9-12 mois de vieillissement pour fabriquer les bulles, avant de tourner les bouteilles dans les caves à vin ou à champagne. Selon lui, pour obtenir un bon vin, il faut bien plus. Et de préciser : « Il y a beaucoup de mauvais champagnes, parce qu’ils ne les laissent vieillir qu’un an, alors que les bonnes maisons patientent 2 ou 3 ans avant de tourner les bouteilles. » Ce projet et cette vision lui donnent raison aujourd’hui. Un nectar de haute qualité sur le devant de la scène « Malheureusement, aujourd’hui, ce qu’on trouve dans les bouteilles est très souvent ACIDE, avec de grosses bulles et un dosage trop important.» En revanche, Gérard Lambert ne fait que du millésimé, c’est-à-dire qu’il ne mélange pas plusieurs années. Il laisse en moyenne vieillir ses bouteilles 4 à 6 ans, parfois même 10 ans. Cette méthode crée une qualité largement supérieure à la moyenne, avec une bulle très fine et un nectar pur. Grâce à cette ingéniosité, le Royal de Seyssel est revenu sur le devant de la scène et a été classé pour la deuxième année consécutive parmi les meilleurs effervescents au monde. Les cépages principaux sont la Molette et l’Altesse, qui donnent des vins blancs aux arômes fruités. La Cave Lambert est un petit domaine de 4 ha avec plusieurs cuvées, spécialisé dans l’élaboration de vins de Seyssel en méthode traditionnelle, mais qui offre également une large gamme de vins de Seyssel et de Savoie. À l’œil, le vin Royal Seyssel a une robe jaune avec des bulles très fines. Au nez, il est assez fruité et, en bouche, il est agréable et léger. Il est idéal à l’apéritif avec des canapés salés, des crustacés, des homards ou des langoustines. Une véritable merveille pour les papilles. ...
Tout commence en 2015, lorsque la famille Hiaut décide de reprendre une ancienne maison datant de 1869 située à cinq minutes des grottes de Lascaux. Le jeune couple met une année à rénover la bâtisse en apportant un vent de modernité à l’architecture construite en grande partie de pierre ancienne. Aujourd’hui, L’Évidence fait guise de chambres d'hôtes et ferme-auberge. Elle a la chance également d’abriter une ferme et un potager garantissant la fraîcheur des plats proposés dans le restaurant. Un délice en pleine nature Situé en plein milieu des bois, le domaine de la famille Hiaut est déjà très réputé pour sa bonne cuisine et son service, malgré son jeune âge. Le restaurant comprend une terrasse de 30 couverts et une salle intérieure de 30 couverts, où les convives peuvent apprécier dans un calme extraordinaire les plats concoctés avec amour par le chef de famille, Alexandre Hiaut tout juste âgé de 26 ans. Ce dernier qui a penchant pour le foie gras, le travaille en toute simplicité. À vrai dire, Alexandre n'hésitera pas à vous faire partager sa passion . En salle, la maîtresse de maison, Marion Chevallier, vous accueille avec son joli sourire et sa gentillesse. Chaque assiette que le couple suggère dans la carte a son petit secret, mais la signature du restaurant reste la fameuse tourtière de canard (confit de canard émietté, sauce tomate, pâte feuilletée) accompagnée d’une bonne salade. Pour le dessert, les fruits issus de l’exploitation agricole familiale sont servis frais tous les jours. Un des desserts préférés des habitués du restaurant est la Gaufre à l’ancienne, recette qu’Alexandre Hiaut a hérité de son grand-père. Une maison où il fait bon vivre L’Évidence sait ce que les gens veulent, et le partage avec plaisir à travers le savoir-faire familial. Il faut tout de même rappeler que le restaurant n’ouvre que le soir, ce qui n’empêche pas aux amateurs de cuisine de terroir, d’apprécier le charme de la verdure surplombant le domaine. Il est possible d’y passer tout un week-end, quatre chambres y sont disponibles toute l’année, avec l’accès à un spa (ouvert aux non-résidents). Des soirées à thème sont souvent organisées pour marquer les grandes occasions, avec, bien sûr, des plats adaptés à tous les budgets et pour tous les âges. Il est toujours conseillé d’y réserver sa place, même pour un simple dîner. Une chose est sûre, la famille Hiaut aussi jeune soit-elle, sait et saura prendre soin de chaque personne ! ...
La ferme est nichée dans un paysage de prairie naturelle, mais se distingue grâce à ses imposants bâtiments en pierre qui abritent la grange et l’étable réaménagée. La salle de traite ainsi que la fromagerie se dotent d’une installation et d’un équipement plus moderne, pour répondre aux exigences du cahier des charges adapté à la production et la transformation laitières. S’engager pour la qualité Idéalement situé à 900 mètres d’altitude, la Ferme la Grange de la Haute Vallée peut se permettre de gâter son cheptel de 40 vaches laitières. « En été, elles jouissent librement de l’herbe fraîche et du pâturage à fertilisation naturelle, et en hiver, elles bénéficient d’une alimentation à base de foin », explique Alain André, le gérant. Ce troupeau de race montbéliarde a été soigneusement sélectionné pour satisfaire les impératifs de qualité et les besoins économiques de l’exploitation. En moyenne, le cheptel bovin parvient à produire 260 000 litres de lait chaque année, dont 90 % sont destinées à la transformation. Afin d’offrir sa typicité propre à chaque fromage, une technologie spéciale ainsi qu'une méthode de fabrication spécifique doivent être observées de façon stricte. Ainsi, les paramètres de fabrication, incluant décaillage et durée d'affinage varient d'un fromage à l'autre. Par ailleurs, le lait cru étant indispensable pour conférer leur onctuosité aux fromages, les normes sanitaires liées à l'hygiène alimentaire et à la conservation sont rigoureusement respectées et contrôlées tout au long du processus. Une gamme de produits gourmands La Ferme la Grange de la Haute Vallée propose des fromages AOP, deux types de fromages fermiers, et du yaourt nature au lait entier. On cite le fromage AOP Salers : « Un fromage saisonnier qui se fabrique uniquement sur la période de pâturage, du mois d’avril jusqu’au mois de novembre, le lait est réceptionné directement dans une cuve en bois de chataignier qu'on appelle la gerle, obligatoire pour la fabrication du fromage Salers », fait savoir notre interlocuteur. À base de lait cru, ce fromage pressé a un goût corsé et volcanique, à l’image du terroir. L’AOP cantal de son côté se distingue par ses saveurs plus lactiques, qui se bonifient avec une légère note fruitée au fil du temps. Ce fromage se décline en cantal vieux, cantal entre-deux et cantal jeune, qui ont raflé de nombreuses fois la médaille d’or et la médaille d’argent au concours général agricole de Paris depuis l’année 2011. « On essaye de maîtriser la qualité des produits et de la maintenir », souligne le gérant. En outre, le fromage AOP bleu d'Auvergne a une texture à la fois fondante et corpulente, révélant le goût d’un fromage d’antan. Enfin, deux fromages fermiers viennent s’ajouter à l’assortiment, dont le saint-timothée, type tome de montagne et le Pignou, un petit bleu plus typé. ...
Ce sont bien les femmes qui ont apporté sa lettre de noblesse à la gastronomie lyonnaise, même si ce sont majoritairement des hommes qui en portent le flambeau de nos jours. Les Mères lyonnaises, ces cuisinières de grandes familles bourgeoises qui ont décidé d’ouvrir leurs propres établissements ont inspiré Serge Chaussy en ouvrant son restaurant « Chez le Père Chaussy ». Leur cuisine était simple et copieuse, avec des accords judicieux qui sublimaient les produits de haute qualité. Cette simplicité a porté haut la gastronomie lyonnaise, si haut que Rabelais s’en est inspiré pour écrire Gargantua. Aujourd’hui encore, certains gastronomes qualifient Lyon de « capitale de la gastronomie mondiale ». Défendre cette image constitue un défi pour les restaurants de spécialités lyonnaises comme « Chez le Père Chaussy ». Des spécialités Lyonnaises A côté des illustres bouchons lyonnais, des restaurants comme celui de Serge Chaussy mettent du leur dans cette promotion de la gastronomie lyonnaise. En tant que carrefour entre plusieurs terroirs, Lyon a été comblé par d’excellents produits tels que le bœuf charolais, le poulet de Bresse ou les fromages d’Auvergne. La gastronomie s’ancre d’autant plus à la tradition grâce à la gourmandise des Lyonnais, ces derniers discutent cuisine avant, durant et après le repas. La cuisine lyonnaise initiée par les Mères lyonnaises porte une attention particulière à la qualité des produits qui deviennent les stars des assiettes. Serge Chaussy peut s’en procurer grâce à une bonne relation avec les producteurs locaux. Les abats comme les tripes, le gras-double, le foie de veau ou encore la langue de bœuf y tiennent une place importante. Dans cet esprit, « Chez le Père Chaussy » présente une cuisine raffinée qui propose des poissons, viandes, foies gras poêlés... Il y associe son savoir-faire qu’il a hérité de son père. A part le service quotidien, la maison fait également des repas de groupes pour les évènements de familles tels que les baptêmes ou mariages. La carte du restaurant « Chez le Père Chaussy » change tous les six mois. Parmi les plats phares figure le tablier de sapeur qui est à lui tout seul un symbole de la gastronomie lyonnaise. C'est une recette à base de fraise de bœuf coupée en escalope, panée, grillée accompagnée d'une sauce à base de vin blanc, oignons, moutarde à l'ancienne, crème, sel et poivre. Le Tablier de sapeur est servi toute l’année comme certains plats qui sont énormément demandés à savoir la tête de veau, la langue de bœuf et les grenouilles à la persillade. A côté, le Chef mise aussi sur des touches personnelles créatives dans la carte des hamburgers, valable tous les jeudis et dimanches soir. Il y propose par exemple « Le Père Chaussy » composé de pain, salade verte et tomates, steak haché, médaillon de bloc de foie gras, légumes cuisinés, sauce au foie gras et frites. Pour digérer tout cela, la carte des vins suggère des crus de Gascogne, des Côtes du Rhône ainsi que ceux des domaines de la région comme la cave de Tain ou cave de Sarras. ...
La société familiale compte à la fois un domaine viticole et une activité de négoce consistant à collaborer avec d’autres viticulteurs pour élargir sa liste d’appellations. Cuvée du Menhir : l’emblème de la maison Ce vin en appellation Bourgogne-Hautes-Côtes-de-Beaune se démarque par sa robe rouge élégamment foncée. Issu d’un élevage en fût en forme d’amphore, il laisse une belle longueur en bouche. ...
À travers un esprit chalet aux matériaux bruts, où se fondent des bardages en bois de châtaigner, le restaurant se démarque par ses épaisses tables en bois brut, sa cuisine ouverte, qui permet de voir ce qui se passe aux fourneaux, et son esprit comptoir, qui dégage une ambiance conviviale et chaleureuse ; sans parler de la table d'hôtes en bois massif dédiée aux grandes occasions ou aux réceptions privées. La satisfaction vaut franchement le détour. Vous y découvrirez une excellente cuisine à base de produits frais et de saison essentiellement, avec de très belles viandes maturées d’ici et d’ailleurs, dont les goûts authentiques vous feront voyager, des États-Unis à l'Argentine, en passant par la France ou l'Australie. Le nouveau lieu de prédilection des gourmands En collaboration avec notre chef spécialisé dans la viande d’exception, qui maîtrise l’art de tailler les viandes en de très beaux quartiers, le restaurant est en mesure de proposer une carte riche et variée, qui change à chaque saison, et également une carte des vins aux accords qui se marient à merveille avec les viandes, à savoir le Roc d’Anglade du Pays du Gard ou encore les grands Bordeaux. Pour ceux qui ne sont pas friands de viande, l’enseigne a toujours un poisson frais au retour du marché, avec, à côté, la possibilité de manger végétarien si la demande est formulée. Découvrez tous les midis une formule du jour variée entrée-plat, plat-dessert ou entrée-plat-dessert. Laissez-vous tenter par son filet de bœuf normand maturé, concocté par le chef, servi avec des épices diverses, ou par sa côte de bœuf espagnole maturée huit semaines sur l’os, particulièrement fondante et persillée à souhait, pour une aventure gustative hors du commun. Terminez par une touche agréable avec son cheesecake au spéculons fait maison, absolument renversant ! ...
De petites tables en bois et un grand comptoir sont à votre disposition à l’intérieur tout au long de l’année. L’été, vous pouvez profiter des tables en terrasse dans une voie piétonne. Une ambiance sobre pour un pur moment de convivialité, c'est l'accueil que vous réserve La Réserve des initiés. Formé au Dôme, le chef Sébastien Martiny propose une cuisine contemporaine confectionnée avec des produits ultrafrais et de qualité. Tout est fait maison, même les cocktails et les desserts. Une cuisine inventive Consultez l’ardoise pour faire votre choix. Préférez-vous seulement deux plats (entrée et plat, ou plat et dessert) ou un repas plus complet avec une entrée, un plat et un dessert ? Les plats changent tous les jours mais, en entrée, vous avez en général le choix entre un tartare de viande ou de poisson, une soupe et des crudités. En plat, vous serez enchanté par le très apprécié risotto aux Saint-Jacques. En dessert, savourez l’incontournable et délicieuse mousse au chocolat. Le soir, choisissez de petites ou de grandes assiettes à partager. Des compositions faites maison avec des produits de saison, une cuisine inventive. Des associations très réussies comme les cuisses de grenouille et la mousseline de céleri ou encore la salade de quinoa, crabe, grenade et granny smith, parfumée à la coriandre. Sans oublier les incontournables planches de charcuterie ou de fromages. À accompagner d’un bon verre de vin ou d’un cocktail maison comme le succulent Green Belet : du gin, du sirop de sureau et de l’eau de concombre. Les dimanches et lundis soir, des menus « Spécial cocotte » comme en préparaient nos grands-mères viennent compléter l’offre. Le dimanche, place aux brunchs. Bien copieux pour satisfaire tous les appétits. Du pain, des confitures, une boisson chaude, un jus de fruits frais, un plat et un assortiment de desserts. De quoi se régaler en famille ou entre amis. ...
Pour découvrir le travail du domaine des Maravilhas, nous vous donnons rendez-vous à Saint-Laurent des Arbres, au carrefour des appellations Châteauneuf-du-Pape, Lirac et Laudun. Un jeune domaine adepte d’agriculture biodynamique Pour revenir aux origines du domaine des Maravilhas, il faut remonter à 1967. Déjà, à cette époque, le vigneron travaillait les vignes en prenant soin des sols et de l’équilibre géologique et organique. Certifié en agriculture biologique depuis 1992 et biodynamique depuis 2004, il sera repris en 2014 par Jean-Frédéric et Morgane Bistagne, les actuels propriétaires du domaine. Ces derniers continuent le travail déjà engagé en biodynamie et viticulture durable. Membres de Biodyvin, ils font leur possible pour préserver au maximum ce fantastique terroir tout en le développant de façon durable. Cela passe par un véritable respect des sols et des vignes qui n’ont pas connu de produits chimiques de synthèse depuis plus de 50 ans. Sans oublier un procédé de vinification réfléchi pour mettre en valeur autant l’authenticité que la singularité du terroir. À ce titre, les vins sont élevés dans des cuves béton qui font partie intégrante du bâtiment. Seules quelques cuvées sont élevées en barrique grand format pour les arrondir un peu. C’est ce travail qui permet de créer des vins appréciés pour leur finesse et leur fraicheur, agréables à boire en toutes circonstances. ...
Avec un savoir-faire incomparable, la coopérative laitière des Alpes du Sud propose des produits qui font ressortir le vrai goût du lait. Un lait à la fois naturel et authentique. Grâce à la qualité de ses produits, la coopérative laitière des Alpes du Sud offre une occasion de redécouvrir le plaisir de consommer cette boisson. À l’instar du lait frais entier pasteurisé qui se distingue par ses douces saveurs. Des produits uniques de par leurs goûts En matière de fromage blanc qui est l'un des produits phares de la coopérative qui en écoule 200 tonnes chaque année, deux choix s’offrent aux plus gourmands : battu et non battu. Sa texture légère et onctueuse en fait un dessert de premier choix. La crème fleurette avec ses 35 % de matières grasses est une crème fraîche liquide, idéale pour la chantilly ou les sauces. Ensuite, replongez en enfance grâce à la faisselle, élaborée à partir du bon lait des Hautes-Alpes. Enfin, pour les amateurs de lait demi-écrémé, la coopérative suggère le lait UHT demi-écrémé pour son goût unique. ...
L'art et la manière Les Maîtres Cuisiniers de France ont à cœur de maintenir, transmettre et développer la tradition de la grande cuisine française en encourageant l’apprentissage et en multipliant ses actions à l’international. L’association valorise la relation entre Chef de cuisine et Directeur aux formations professionnelles et techniques pour amener les apprentis cuisiniers au meilleur de leur savoir-faire. C’est avec passion que l’Association des Maîtres Cuisiniers de France organise le concours du Meilleur Apprenti Cuisinier de France depuis 1956 et s’associe de nouveau avec tous les centres de formation professionnelle et les écoles hôtelière de France pour mettre en lumière la transmission. Les futurs chefs à l'épreuve Cette 64ème édition du Meilleur Apprenti Cuisinier de France, est soutenue et parrainée par Régis Marcon. Cuisinier triplement étoilé du guide Michelin et Maître Cuisinier de France, Chef de l’Année par le Gault et Millau en 2000, élu en 2001 Auvergnat de l’année et Cuisinier de l’année par le magazine « Le Chef », également promu Chevalier de La Légion d’Honneur en 2002. Mais aussi, Président du Comité International d’Organisation et Président du Bocuse d’Or France, coach et jury après avoir été Lauréat du Bocuse d’Or (1995). Les apprentis cuisiniers vont concourir dans les treize régions de France avant d’être sélectionnés pour la Finale Nationale du Meilleur Apprenti Cuisinier de France 2017. Fin septembre débutera la concours avec la finale régionale d’Aquitaine – Limousin – Poitou Charentes, le 26 septembre au CFA de Poitiers puis la finale régionale de Provence – Alpes et Côte d’Azur le 25 octobre à l’Ecole Hôtelière d’Avignon ainsi que celle d’Auvergne Rhône Alpes, le 8 novembre au Lycée Hôtelier de Grenoble, de Centre- Val de Loire à Bourges le 15 novembre, de Bretagne le 17 novembre, d’Île de France qui le 20 novembre à l’INHAC Groupe Ferrandi-Paris, du Nord Pas de Calais le 27 novembre. La date et le lieu de nos quatre autres régions seront communiquées prochainement. À l’issue de ces épreuves, 13 nalistes seront sélectionnés pour la Finale Nationale prévue le 22 janvier 2018 à l’école Ferrandi-Paris. Face à un jury composé de 10 Maîtres Cuisiniers de France connus et reconnus, les candidats seront évalués sur les thèmes suivants à réaliser en 4 heures. Le premier plat : Soufflé d’œuf poché en croustade Le second plat : Quasi de veau poêlé, sauce porto, laitue braisée et pomme fondante Puis le dessert sera une interprétation libre autour de l’ananas et des épices. Les différentes recettes ont été élaborées avec grand soin par les Maîtres Cuisiniers de France et le thème de la finale par Monsieur Régis Marcon, lui-même. ...
Propriété familiale depuis 1906, le Château Croque-Michotte, situé à Saint-Émilion, petit village médiéval du Libournais, s’est transmis de génération en génération. Aujourd’hui, c’est Pierre Carle qui tient les rênes du domaine. Esprit de famille oblige, celui-ci assure la gestion de l’exploitation avec l’aide de sa fille Lucile. Un terroir de qualité Ce vignoble d’environ 13 ha se trouve sur le plateau de Saint-Émilion. Les vignes poussent sur des sols de graves anciennes, qui donnent aux vins finesse et élégance. S’agissant de l’encépagement, on retrouve les cépages typiques de l’appellation, avec 70 % de merlot et 30 % de cabernet franc. Tandis que le premier apporte de la rondeur et de la souplesse aux vins, le second amène structure et capacité de vieillissement. Vingt ans en agriculture bio Conscient de l’importance de préserver à la fois l’environnement et la santé de ses ouvriers agricoles, le domaine est passé en agriculture biologique en 1999 suivant le cahier des charges légal de l'Agriculture biologique. Ici, le gros du travail se fait à la main, tout en privilégiant des méthodes culturales traditionnelles. Un seul mot d’ordre : la qualité ! Pour tirer le meilleur des vendanges et avoir une qualité de tri optimale, la maison se sert d’une machine à tri optique. Côté vinification, celle-ci se fait sans sulfites et les vins sont ensuite vinifiés au minimum 15 mois dans des barriques de chêne français. ...
Avec ses 11 ha, ce terroir du Vaucluse situé entre Vacqueyras et Gigondas fait des envieux. Et pour cause, les ingrédients d’une vendange de qualité sont réunis grâce à son ensoleillement exceptionnel couplé au mistral. Soucieux de faire perdurer les saveurs du terroir à travers le respect du sol et des vignes, le Domaine des Espiers est en viticulture biologique depuis 1999. « Nous avons été avant-gardistes dans notre style de vinification », explique Philippe Cartoux, propriétaire du domaine. Des techniques innovantes entrainant une belle reconnaissance Dans sa quête de la qualité, il a développé un système de thermorégulation pour ses cuves, étant électrotechnicien de formation. « Je réchauffe le jus pour relancer le début de fermentation ainsi que pour la rallonger, de sorte qu’elle soit plus complète. Cette technique, en plus de donner des vins souples, permet de mieux fixer les couleurs », ajoute-t-il. Sur les appellations Gigondas, Sablet et Côtes-du-Rhône, le domaine produit des cuvées qui ont su conquérir des tables étoilées. Parmi les privilégiés : le Restaurant Pierre Gagnaire, Le Grand Restaurant, de Jean-François Piège ou Le Jules Verne. Faisant l’objet de commentaires élogieux et bien mérités lors des dégustations, la réputation des vins du Domaine des Espiers n’est plus à faire. ...
L’idée de départ était d’améliorer les troupeaux français en les croisant avec des têtes issues du cheptel anglais. Le système d’exploitation appliqué en Anjou, à cette époque, a favorisé le succès de l’expérience. Aujourd’hui, ce croisement de taureaux Durham à la Mancelle génère des viandes de haute qualité bouchère, réclamées par les connaisseurs. La plus anglaise des races françaises Reconnaissable à son allure longiligne, son fort gabarit et la pie rouge foncé de sa robe, la Rouge des prés était d’abord baptisée de la désignation Maine-Anjou. Elle portera ce nom jusqu’en 2004. « Longtemps, cette race qui est née au XIXe siècle a été exploitée de façon mixte, avec une production laitière relativement importante », précise M. Albéric VALAIS, le DG du Domaine rouge des prés. Aujourd’hui, elle s’aligne exclusivement dans les troupeaux allaitants, étant plus volontiers recherchée pour les riches caractères gustatifs de ses viandes. Un savoir-faire pointu pour l’élevage Question de terroir, les Pays de la Loire sont demeurés le site d’élevage de prédilection de cette race. C’est en tout cas la zone de couverture de l’appellation d’origine protégée. Ensuite, quelques troupeaux sont retrouvés au nord des Deux-Sèvres et en bordure de l’Ille-et-Vilaine. Des contextes particuliers définissent naturellement cette répartition des zones d’élevage. La race s’adapte à des facteurs pédoclimatiques doux. « Cette douceur angevine, elle cadence un petit peu notre année. C’est-à-dire que l'on a la chance chez nous d’avoir un printemps plus précoce. Ça permet de sortir les animaux à l’herbe très tôt. Au mois de mars, une bonne partie des troupeaux sont déjà arrivés en pâture », se réjouit Albéric Valais. Dans ces conditions, les bêtes jouissent alors d’une période d’alimentation à l’herbe très faste. Celle-ci se poursuit jusqu’en juin, voire au-delà. La douceur de l’automne permet de rattraper la « disette estivale » et de reprendre de l’état en perspective de l’hiver. Cette spécificité climatique offre aux éleveurs la possibilité de valoriser leurs prairies de façon optimale, alternant le recours aux prairies de fond de vallée ou de bord de ruisseau à l’exploitation des prairies sèches, à bon escient. La viande d’appellation Maine-Anjou Attribuée en 2004, l’AOC Maine-Anjou marque la consécration de la viande issue des Rouges des prés. Celle-ci se reconnaît d’emblée par sa couleur rouge intense, se distinguant tout de suite lorsque confrontée à des morceaux coupés dans d’autres races. Côté goût, ce sont les notes persillées du gras qui signent son originalité. La jutosité et la saveur de la chair sont typiques et très recherchées par les gourmets. Les néophytes en la matière peuvent toujours essayer la technique de la « mastication prolongée ». Loin du rendu granuleux qui se produit avec d’autres viandes, celle-ci a « une attaque en bouche onctueuse qui va rester même si vous mâchez longtemps ». Principalement découpés dans les quartiers arrière, les morceaux se déclinent en bourguignon, côtes, faux-filets, entrecôtes et rosbifs. D’excellentes pièces destinées au pot-au-feu ou aux recettes de fondues sont également proposées. Pour en arriver à ces produits de qualité éminemment courus, il a fallu respecter un cahier des charges rigoureux. L’homogénéisation des systèmes de production – « une vache et sa suite pour 1 hectare d’herbe » – et les conditions de finition des animaux sont parmi les priorités des éleveurs de cette appellation. Pour les dernières, le mot d’ordre est « matières premières mélangées et non OGM ». ...
Depuis plus de vingt ans, La Croisette fait la fierté de La Baule. Située en plein centre-ville, la brasserie accueille ses convives dans un cadre raffiné mais décontracté. Dès l’entrée, la grande terrasse, exposée plein sud, reflète le décor moderne triomphant de l’établissement. A l’intérieur, la salle est sublimée par les couleurs chaudes à l’image du dynamisme de son équipe. Dans un décor inspiré des années 50, les fauteuils et la bibliothèque style marin ont été remplacés par de somptueux meubles et objets de décoration signés Charles Eames, Eero Saarinen et Baccarat. De plus, les murs sont devenus une véritable galerie d’art exposant les œuvres de quelques artistes renommés dont Philippe Pasqua et Gérard Rancinan. Au menu : goût et fraicheur ! Depuis 1995, La Croisette est surtout connue pour ses succulents carpaccios. Au fil des années, Brigitte et Georges Kersulec, les propriétaires, ont su rénover et redynamiser cette spécialité italienne pour en faire leur signature. Aujourd’hui, c’est avec fierté qu’ils proposent dix-sept carpaccios dont les différentes saveurs sauront forcément séduire les gourmands et gourmets. A côté, la créativité culinaire du chef Marc Dufosse ne cesse de s’exprimer. En effet, celui-ci arrive à transporter ses convives dans un voyage infini vers les plus belles destinations du monde. Comme entrée en matière, rendez-vous en Outre-Manche avec son fish and chips sauce tartare puis en Italie à travers les linguines au gorgonzola fondu et jambon de parme ou dans les fast-food américains avec la croisette’s burger au camembert rôti. Bien entendu, il n’en oublie pas moins les grands classiques qu’il revisite à la perfection pour en faire des plats inoubliables. Tout ceci dans le respect des cuissons et utilisant exclusivement des produits locaux. Pour les adeptes des saveurs marines, aucune déception n’est à craindre. La Croisette propose différents types de plats à base de fruits de mer et de poissons (bigorneaux, crevettes, tourteau, langoustine, huîtres, palourdes…) à déguster soit comme entrée, soit comme plat principal ou tout simplement comme apéritif. Soucieux de la qualité de ses plats, la brasserie n’offre que des produits frais, livrés quotidiennement par les pêcheurs locaux. Par ailleurs, vous serez étonnés de la diversité, de la qualité et du prix abordable de la large gamme de vins que propose l’établissement. Un lieu incontournable de La Baule Il est important de souligner qu’autour de l’établissement, la ville brille de mille feux. Etant classée « station de tourisme », elle ne laisse aucune place à l’ennui. Pour les sportifs, la baie offre la possibilité de réaliser plusieurs activités nautiques : catamarans, planches à voile, kayaks et le paddle board. Pour ceux qui cherchent plutôt à se détendre et à profiter du soleil, la plage est à 50 mn de la brasserie. Enfin, pour les shoppers addicts qui veulent rapporter des souvenirs, la station balnéaire regorge de boutiques et d’un marché permanent. ...
Une table délicate au cœur de Saint-Dizier Après avoir fait ses classes auprès de quelques-uns des grands noms de la gastronomie française (notamment François Clerc à la Vieille Fontaine), Didier Muckerhirn s’est lancé dans l’aventure en reprenant en solo un ancien établissement du centre-ville de Saint-Dizier. Mais la passion pour la cuisine lui est venue dès son plus jeune âge ; déjà tout petit, il consacrait une partie de son argent de poche à l’achat de livres de cuisine. « Le besoin d’ouvrir mon propre restaurant est venu en même temps que l’envie de mettre plus de créativité dans mes plats. C’est une petite structure familiale de 25 places assises et je travaille avec ma femme et mon fils », nous explique le chef. Maître restaurateur de France, Didier Muckerhirn essaye au maximum d’avoir des circuits courts et des produits locaux afin de faire profiter ses clients de son savoir-faire et des saveurs d’une région. « Pour nos viandes, on travaille avec un petit producteur de Saint-Dizier, nos cailles grandissent à moins de cinquante kilomètres de nos fourneaux. Comme nos fois gras et nos canards. On essaye de coller au maximum à ces valeurs de proximité. » Une carte qui change tous les mois La proposition de Didier est surprenante : avoir une carte-menu qui affiche 4 entrées, 4 plats et 4 desserts différents, qui changent chaque mois. Même si le restaurateur n’a pas encore trouvé son « plat-signature », les critiques, comme les clients, sont unanimes sur la qualité générale des assiettes qui sortent de cette cuisine. Le cadre est, lui, à l’image de la cuisine. Intimiste, la décoration relève avec goût le charme de la vieille maison. En été, on profite de la terrasse située dans la cour intérieure du bâtiment pour se régaler d’un magret de canard à la mangue accompagné de quelques rigatonis d’épeautre, tout ça devant la grande fresque murale qui habille magnifiquement l’espace. ...
Construit en 1991 par l’architecte Roberta Valle, l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs offre une table qui ravira les plus fins gourmets dans son restaurant surplombant la Méditerranée. Les plats suggérés par le chef font vivre la beauté de l’île privée de Cavallo. Et surtout permet aux clients de jouir des produits locaux tout en profitant de la vue depuis la terrasse. Sur les bords de la Méditerranée, une table d’exception Niché au cœur de l’archipel de Lavezzi, l’île de Cavallo fait partie de ces endroits exclusifs de la Méditerranée. Rachetée en 1966 par Jean Castel, roi de la nuit parisienne, il transforme la petite île de 120ha en paradis pour Robinson milliardaires. Située dans les bouches de Bonifacio, dans le détroit entre la Corse et la Sardaigne, l’île est accessible uniquement par la mer depuis le port de Piantarella ou via la navette privée. On y trouve le seul hôtel de l’île : l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs et sa fameuse table réputée pour ses plats fusions entre Italie et tradition corse. Le restaurant de l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs s’ouvre sur une terrasse qui offre une vue imprenable sur la mer et sur la côte environnante. Tout dans ce restaurant rappelle le côté exclusif de ce lieu à travers une décoration soignée et élégante. L’extérieur offre une magnifique vue et nous plonge dans une ambiance méditerranéenne. Ici, dominent des parfums uniques : de myrte, de jasmin, de genièvre, de chèvrefeuilles et d’autres espèces du maquis corse qui côtoient les effluves marines. Les plats sont préparés avec des ingrédients frais et locaux, qui s’accordent à merveille avec la cuisine méditerranéenne. La cuisine est majoritairement à base de fruits de mer. Toutefois, on retrouve aussi à la carte des plats de viande. A la carte, les produits de la mer sont frais et il est possible d’assister à leur livraison le jour même depuis les tables du restaurant. Pour apprécier apéritif, le bar de l’hôtel est un incontournable. Cocktails et autres boissons attendent les amateurs sur les bords d’une plage où le soir venu, l’ambiance électrique vient se refléter sur les rochers marins. La musique lounge permet de se détendre après une longue journée ensoleillée à parcourir l’île en vélo ou en voiturette électrique. Seuls véhicules autorisés sur l’île de Cavallo. Une carte aux senteurs marines La carte du restaurant de l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs offre une variété de plats et ravira les palais des gastronomes avertis. Le carpaccio de thon par exemple rappelle que l’on est bien au cœur d’une station balnéaire privilégiée. Découpé en fines tranches et servi avec une osmose de pommes vertes, le mélange en bouche apporte une touche de fraîcheur et de croquant. Autre incontournable, la langouste fraîche fond sous la langue avec une cuisson parfaite. Les légumes croquants, en accompagnement subtil, ajoutent une texture sans pareille pour parfaire une soirée au bord de la mer. Et enfin pour clore ce menu autour des produits de la mer, pourquoi ne pas se laisser tenter par un millefeuille de fraises à la crème pâtissière. Composé d’une pâte légère et croustillante, il vient mettre en valeur la fraise au milieu d’un léger nappage de crème pâtissière. En bouche, les saveurs se mélangent et permettent de savourer au firmament d’une douce soirée les fameux anti-pasta à l’italienne. Fusion entre deux mondes, de l’Italie à la France Dans les eaux bleues de l’archipel de Lavezzi, il était impensable de cuisiner sans mélanger les saveurs. C’est de ce constat simple qu’est né également pour les clients de l’hôtel un Pop-up Beach Restaurant Antica Pesa, une collaboration entre l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs et le restaurant Antica Pesa. Installé à Rome, ce dernier fêtait en 2022 son centenaire. L’alliance des deux enseignes nous emmène à la découverte de la cuisine française et italienne au bord d’une plage préservée. Le Pop-Up Beach Restaurant est ouvert de 9 h 30 à 16 h 30 pendant les basses saiso...
Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Un détail qui caractérise les champagnes de Villepin, comme l’explique Bruno de Villepin : « Ces terres dites fortes, lourdes, sont à l’origine de la forte personnalité de nos cuvées ». Pour conserver cette particularité, l’exploitation effectue un gros travail dans le domaine de la viticulture, afin d’obtenir une qualité constante de ses raisins, gage de la qualité de ses vins. Une lutte raisonnée est notamment appliquée au sein des vignes, dans une volonté de préserver les belles spécificités de ce terroir champenois. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...
Il est rare de pouvoir manger allemand en plein cœur de Paris. Logé dans une boutique de la rue Richelieu si ce n’est dans l’enceinte même du Goethe-Institut, le centre culturel allemand situé avenue d’Iéna, Le Stube dispose ainsi de deux emplacements pour mieux servir sa clientèle. Un restaurant moderne à l’ambiance décontractée Le Stuberue de Richelieu baigne dans une ambiance décontractée et chaleureuse. Il se décline dans des tonalités rouges et grises autour d’une cuisine ouverte et d’une vitrine de présentation et de vente à emporter qui confèrent à l’ensemble un décor au cachet particulier. Fréquenté par des clients de tous âges et de toutes catégories, Le Stube est particulièrement apprécié pour son côté dynamique et sympathique. Proche de nombreux théâtres, c’est le lieu idéal pour un repas avant spectacle. Des spécialités revisitées par Gerhard Weber Fondé à l’origine autour du concept du snacking, Le Stube a très vite élargi ses activités à la restauration et à la pâtisserie. Il propose ainsi divers plats typiques d’Allemagne ou inspirés d’Europe Centrale ainsi que de nombreuses pâtisseries et gourmandises concoctées par Gerhard Weber, le maitre des lieux. Strudels salés ou sucrés, Currywurst, Choucroute, Koulibiac de saumon, Wienerschnitzel, Gâteau au fromage blanc, Forêt-Noire font partie des nombreuses spécialités. La diversité des mets proposés et le service continu sur place ou à emporter permet de découvrir toutes ses spécialités à toute heure de la journée pour un déjeuner, un gouter, une petite faim, un afterwork ou un diner. Tout est fait maison, à l’exception des charcuteries. Le tout est accompagné d’un assortiment de bières, de limonades biologiques et de sodas de très bonne qualité et typiques de la ville de Hambourg. ...
En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...
Le domaine du Champagne Pierre Moncuit sublime sa terre depuis plus d’un siècle. Ses vignes courent sur 20 hectares, dont 15 en grand cru, où des pieds de Chardonnay d’une moyenne d’âge de 50 ans, s’épanouissent et s’expriment sous le regard bienveillant de leurs propriétaires. Vigneronnes de mère en fille Nicole Moncuit, fille de Pierre Moncuit, reprend le domaine dans les années 80 en tant que vinificatrice. Avec son frère, Yves, pour la partie commercialisation, elle dessine dès lors la renommée du domaine et de ses cuvées, devenues incontournables pour les amateurs de Champagne. Cet amour de la terre et du métier, elle le communique à sa fille, Valérie, aujourd’hui à la tête du vignoble. Toutes deux travaillent à la production, complices et habitée par les mêmes valeurs. Ici, la viticulture est certifiée Haute Valeur Environnementale. Le sol est chéri et confie toute son élégance aux champagnes du domaine. La production ne se fait jamais au détriment du temps ou de la nature. La sagesse et la précision révèlent des cuvées aux fruits sublimés, aux aromes complexes et à la longueur en bouche admirable. Si Valérie Charpentier parle avec ferveur des différentes cuvées, elle cite avec une tendresse toute particulière la cuvée du nom de sa maman, Nicole Moncuit. Réalisée à partir des plus vieux pieds du vignoble (90 ans d’âge), elle en révèle tout le caractère et la sagesse. Il n’y a plus qu’à sortir les coupes pour savourer la perfection d’un champagne délicat, aux bulles joyeuses et raffinées. ...