Ancienne seigneurie et juridiction, le domaine Jean Aubron L’Audigère est imprégné d’Histoire. Tout commence en 1678 avec la Maison de l’Audigère, un ensemble de bâtis servant notamment de celliers ou encore de pressoirs. Les premiers propriétaires furent les seigneurs des Rames. Puis la famille de Sévigné acquit éphémèrement le domaine, qui passe ensuite aux mains du comte de Montbel. En 1843, la famille Aubron reprend l’exploitation. Depuis, quatre générations se sont succédé et ont réussi, au fil des années, à renforcer la notoriété du domaine dans le paysage viticole de Loire-Atlantique. Terroir et renommée De 48 hectares à ses débuts, en 1843, le domaine s'étend aujourd'hui sur 84 hectares de muscadet. L’exploitation est située sur les meilleures terres de gabbros, dans le pays nantais, en Val de Loire. Influencé par le climat de l’océan Atlantique, cet illustre terroir du muscadet est composé de roches éruptives et métamorphiques caractéristiques du Massif armoricain, recouvert de sable ligérien. Cette typicité est à l’origine de son arôme unique de fleurs blanches, de fruits blancs avec des notes minérales. Vinification du Muscadet Le melon de Bourgogne est un cépage blanc provenant du vignoble de Bourgogne, délaissé dans sa région d’origine et qui s’est imposé principalement en Loire-Atlantique où il couvre actuellement une surface de 8 500 hectares et donne des vins équilibrés, secs, frais et fruités. C’est le cépage unique pour l’appellation d’origine contrôlée Muscadet. Pour obtenir un Muscadet sur lie digne de ce nom, Jean-Pascal Aubron applique une technique traditionnelle extrêmement pointilleuse et rigoureuse. Les vendanges, très précoces, se font autour de mi-septembre. Vient ensuite un pressurage sur pressoirs pneumatiques, afin d’obtenir un moût délicat, suivi d’un débourbage systématique qui élimine les matières grossières, causes d’alourdissement des expressions olfactives. Les vins sont stabilisés par précipitation tartrique par le froid après la fermentation qui se fait à une température comprise entre 18 °C et 20 °C. L’étape finale est celle de la conservation, qui s’effectue soit en cuve souterraine, soit en cuve aérienne en inox. Des vins d’exception Le muscadet est un vin qui se pare d’une robe jaune or, avec des notes de fruits blancs et de fruits secs comme l’amande et la noisette. Il est velouté, suave et complexe en bouche avec des touches briochées du fait de son élevage sur lies. La maison Jean Aubron L’Audigère possède quatre cuvées ambassadrices : le « Grand Fief de l’Audigère », qui s’accorde harmonieusement avec le ravioli de sardines crues crème d’artichaut ; la cuvée « Elégance 2014 », qui est idéale avec une crème de petits pois à la menthe ; la « Haute Expression 2013 », qui est une merveille avec un saumon ; et le « Grand Fief de l’Audigère Vieilles Vignes 2005 », qui rehausse les saveurs d’une dorade snackée ou d’une asperge verte amande et réglisse. ...
À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie. Cuisine savoureuse et respect des produits Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier. Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir. Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression. Yolaine : artiste à multiples facettes À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux. Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats. ...
Fraîcheur et authenticité ne sont pas de vains mots, quand on parle de la cuisine servie à La Cueillette®. Le chef, audacieux et créatif, concocte des menus colorés et goûteux – pour le plaisir – et d’une rare délicatesse, pour la santé. Car bien manger est ici un art cultivé par le maître des lieux, Jean Garnier, médecin et nutritionniste de son état. Un cadre fastueux pour le plaisir des yeux Le château de Cîteaux qui abrite La Cueillette® imprime à cette dernière les fastes de son époque d’origine. Les décors muraux, rehaussés de dorures exceptionnelles, tout comme le grand lustre, ont été reconstitués à l’identique de la salle à manger qui recevait les convives dans le château d’apparat datant de 1860. Chaque dîner dans les murs de ce restaurant de caractère est alors comme une incursion dans une époque, où le raffinement était une vertu essentielle. Dans une ambiance claire, la transparence des couverts dressés semble prédire la légèreté élégante qui enveloppe les plats à venir. Une cuisine simplement créative, pour saisir le meilleur de la nature Les cartes de La Cueillette® sont imaginées par le chef Sébastien Dorier rompu aux arts de la création culinaire sur la base de produits locaux. Le pléthorique n’est pas de mise. On privilégie l’essentiel, le bon goût de chez soi, en sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs aux alentours au rythme des saisons. Les plats seront également créés selon les arrivages du marché. Finalement, les convives se retrouvent avec des plats simples et sains – tel ce filet de volaille fermière de Bourgogne – à apprécier les saveurs authentiques d’antan. Un bon cru sélectionné des domaines alentour finit de célébrer ce que le terroir a de plus vrai. ...
Midi et soir, la Brasserie Flow vous accueille tous les jours pour passer un moment agréable et chaleureux. Une carte de saison Après avoir posé vos valises dans votre chambre d’hôtel, ou même si vous êtes simplement de passage dans le secteur, prenez la direction de la Brasserie Flow. Vous y découvrez une cuisine faite maison et préparée à partir de produits de saison. Une cuisine généreuse, ouverte au Monde et reconnue par le label Maitre Restaurateur, telle est la politique des gérants de l’établissement. Les clients n’en sont que conquis ! À savoir : renouvelé tous les 4 ans, le titre Maitre Restaurateur s’obtient après un audit de contrôle réglementé par l’état. Il certifie que le restaurateur possède une certaine expérience, travaille uniquement à partir de produits bruts et frais tout en garantissant une grande qualité de service. En bref : c’est un gage d’excellence. Un établissement chaleureux Ce qui interpelle quand on se rend pour la première fois dans la Brasserie Flow, c’est sa clientèle d’habitués et le fait que le couple de gérants vient passer du temps avec chaque visiteur. En effet, afin de rendre leurs clients heureux, chaque accueil est personnalisé. Que ce soit pour un brunch, un menu en soirée étape, un moment en tête à tête, un mariage ou un repas professionnel, l’équipe fait son maximum pour que vous soyez des plus comblés. Un salon privatif est aussi à votre disposition pour accueillir vos évènements (soirée d’entreprise, anniversaire, etc.) d’environ 50 personnes. Belle adresse à tester ! ...
L’Italie, son pays d’origine, ne quitte jamais le chef Paolo Sari, il l’affiche fièrement dans ses recettes. Tous les restaurants du Monte-Carlo Beach sont dirigés par ce passionné. Parmi ceux-ci figurent l’Elsa, le Deck et la Vigie. Un restaurant 100 % bio Elsa est un restaurant gastronomique étoilé dont la réputation n’est plus à faire à Monte-Carlo. Sa toute première étoile est un gage de qualité et de l’engagement qui lui a valu sa distinction de « premier restaurant 100 % bio certifié Ecocert ». Figurant parmi les plus grandes tables de la région, Elsa présente une cuisine contemporaine de haute qualité qui s’inspire de l’histoire culinaire de la Riviera. Les produits bio, majoritairement locaux, sont mis en valeur à chaque saison. Ils sont sélectionnés selon leur qualité, leur origine et les soins que les producteurs leur ont apportés. Elsa propose le Menu du Marché au déjeuner et les Menus Dégustation et Inspiration au dîner. Ce dernier est servi à l’ensemble des convives à la table. Le « Bio Sama » est le plat signature de l’établissement. Cette assiette de légumes et herbes du jardin à l’huile d’olive extra-vierge et sel de Camargue reste présente à la carte toute l’année mais change d’aspect selon la saisonnalité. Les saveurs méditerranéennes se découvrent aussi au travers des pâtes et riz proposés à l’Elsa ainsi que des poissons tels que les rougets rôtis suivant la tradition de la Riviera, accompagnés de purée de févettes et petits légumes du jardin. Les viandes sont également représentées par le cochon de lait, la côte au lard fait maison ou encore le gigot braisé. Les vins que le restaurant Elsa suggère à la carte pour accompagner les repas sont exclusivement bio. Il en est de même pour les fruits, chocolat et café rehaussant les saveurs des desserts. Un repas au bord d’une piscine olympique Avec son esprit brasserie, le Deck se veut être le lieu de rendez-vous de la Principauté de Monaco. L’ambiance est décontractée dans ce restaurant qui longe la légendaire piscine olympique du Monte-Carlo Beach. La cuisine y est également contemporaine et basée sur des produits frais de saison. Les tomates et mozzarella di bufala au basilic de la Riviera et carpaccio de bœuf biologique se placent au-dessus de tous les hors-d’œuvres disponibles dans la carte du Deck. Les spaghettis sont également omniprésents, mais cela n’exclut pas la présence de viandes telles que l’escalope de veau à la milanaise et poissons comme les calamars géants frits sauce tartare. Le Marché des Saveurs, un brunch programmé chaque dimanche, est une occasion de découvrir la cuisine du chef Paolo Sari. Lors de cet évènement, les convives se servent dans plusieurs stands en bois d’inspiration provençale avant de déguster leur plat sur la terrasse. Un dîner méditerranéen Perché sur un promontoire rocheux qui domine la mer le soir, le restaurant la Vigie est un « lieu privilégié ». Les poissons issus de la pêche locale permettent à Paolo Sari de réaliser cette fameuse cuisine axée sur la Méditerranée. Les spécialités qui ornent la carte de la Vigie sont les langoustes et les poissons grillés. Chaque ingrédient rigoureusement sélectionné bénéficie d’une présentation fraîche et appétissante, de quoi combler les épicuriens. Petite nouveauté pour cette année : le Monte-Carlo Beach Club organise une animation de saison intitulée « Beach Parties ». Le temps de deux soirées en juillet et deux en août, les invités en maillot de bain profiteront de la piscine chauffée et du buffet dressé autour. Les animations musicales quant à elles procurent une ambiance festive à l’événement. ...
Ici, on entretient un lien filial avec la terre. Maurice Vesselle, fondateur du lieu en 1955, y consacre sa vie, avant de passer le flambeau à Didier et Thierry, ses deux fils. « C’était un personnage, un tempérament », raconte l’un d’eux dans un sourire. Aujourd’hui, les deux frères entretiennent un précieux savoir-faire et travaillent le vignoble comme autrefois. Ils buttent, déchaussent, à l’écoute des humeurs de la vigne. Grâce à ces pratiques, le domaine figure parmi les premiers en France a avoir été certifié Haute Valeur Environnementale. L’élevage, sans fermentation malolactique, leur permet en plus de garder longtemps les bouteilles en cave et de préserver arômes et fraicheur. Cette patience vaut la réputation de Millésimes largement récompensés. Des champagnes de caractère Un sol profitant de calcaire confie aux Champagnes Vesselle des notes légèrement iodées et une noble longueur. Le Pinot noir leur confère rondeur et puissance tandis que le Chardonnay y ajoute sa touche de fraîcheur pétillante. La Maison produit aussi un rare Bouzy rouge Champenois, lui-même issu d’une longue tradition, née bien avant de voir apparaître les premières bulles de Champagne. Au domaine Maurice Vesselle, « c’est le raisin qui fait le vin », résume t-on humblement. A cela, nous ajouterons volontiers: et l’authenticité de leurs vignerons. ...
En 1890, un ancêtre charpentier a construit la grange qui sert aujourd’hui de chai, faisant payer ses services en lopins de terre. Depuis les vignes sont travaillées au fil des saisons dans le respect de la tradition, en culture raisonnée. Domaine de Guillau : une démarche environnementale Jean-Claude Lartigue mène le domaine dans une démarche environnementale afin de préserver les sols et mettre en bouteille la meilleure expression de ce terroir. Par exemple, des fèveroles sont semées entre les rangs de vigne, puis broyées avant maturité et servent ainsi d’engrais vert ; les sols sont travaillés mécaniquement. Les vins sont régulièrement récompensés au Concours Général agricole de Paris comme au Concours des Vins des Coteaux du Quercy (3 médailles d’or cette année), et marqués de 5 coups de Cœur au Guide Hachette des Vins cette dernière décennie. La cuvée Rouge Tradition du Domaine de Guillau Les vins Rouges AOC Coteaux du Quercy sont issus des cépages Cabernet franc, Merlot, Tannat et Cot. Les vendanges de la cuvée Rouge Tradition, à maturité optimale, sont suivies d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en cuve. La cuvée "Plénitude", sélection des parcelles les mieux exposées de Cabernet, Tannat et Merlot, est élevée pendant 12 mois minimum en fût de chêne français de la Tonnelerie Orion. Un rosé d’exception Le Rosé AOC Coteaux du Quercy du Domaine de Guillau est un rosé de "saignée" : les cuves de vendanges fraîches des Cabernet, Merlot, Cot et Gamay sont saignées quelques heures après récolte. Le jus de raisin ainsi retiré est légèrement coloré, la fermentation lente à basse température conserve tous ses arômes et ses qualités. Un blanc en IGP vin duTarn-et-Garonne : le "Prélude" tradition Pour le vin Blanc, les vendanges manuelles des cépages Viognier et Chardonnay permettent de trier et sélectionner les raisins. Ils sont ensuite réfrigérés afin d’être pressés à basse température. Par ce fait, la fermentation débute lentement et le contrôle des températures est parfaitement maîtrisé. Le vin obtenu est alors élevé sur lies pendant 6 mois en cuve pour le "Prélude" tradition et élevé en fût de chêne neuf de la Tonnelerie Orion avec bâtonnage pour une cuvée "Prélude" plus confidentielle. ...
Pour Frédéric Bourgoin, le temps est venu de dépoussiérer l’image désuète associée au cognac. Un phénomène qui – d’ailleurs - mérite amplement une réflexion. Dans son propre pays natal, ce spiritueux a été relégué au rang de digestif de vieux pépères. Une situation inadmissible pour ce jeune vigneron qui aspire à tellement mieux pour un si beau produit. Histoire de faire bouger les lignes du cognac, il s’est alors imposé une nouvelle vision directrice. L’idée ? « Proposer une approche viti-vinicole naturelle, de la transparence à outrance, et un soupçon d’innovation ». De la vigne au verre À côté des grandes marques de cognac, les faiseurs de petits volumes tentent de se tailler une place au soleil en adoptant une toute approche dans la production de leurs spiritueux. C’est le cas de Bourgoin Cognac. Cette maison implantée sur la commune de Saint-Saturnin, dans le village de Tarsac fait appel à l’expérience familiale, l’amour du terroir et l’innovation pour tirer son épingle du jeu. Constitué en 1930, le domaine a vu succéder quatre générations de vignerons et s'étend aujourd'hui sur les crus premiers bois (hautement revendiqué), petite champagne et fins bois. Frédéric est particulièrement admirateur du terroir des premiers bois. « C’est un minuscule cru oublié de la carte AOC cognac du 1er Mai 1909, doté de sous-sols calcaires du Crétacé (cénomanien moyen) », communique-t-il. Ce fort attachement à la terre s’illustre par des méthodes de fabrication typiques. « Je m’obstine à faire des cognacs « nature » qui expriment au mieux le terroir qui les a vus naître. Donc chez moi pas d’assemblages, pas de filtrations, pas de colorants, et pas de sucres ajoutés ». En clair, le produit et rien d’autre. Pour aller encore plus loin dans sa démarche, le vigneron-terroriste fait aussi tout lui-même, aidé de quelques membres de la famille. De la récolte des raisins, au pressurage, en passant par la distillation jusqu’au vieillissement, le domaine maîtrise l’ensemble de la chaîne de production. Quelques ambassadeurs de la maison L’innovation constitue l’une des marques de fabrique de Bourgoin Cognac. Une philosophie qui se découvre à travers le Micro-barrique 1998. Ce cognac XO est élevé dans des micro-barriques de 10 litres, ce qui lui donne plus de rondeur et de suavité. Ce n’est pas tout. « Ces contenants sont surchauffés à l’intérieur à l’aide de charbon actif qui va capter les éléments trop agressifs du cognac et le rendre plus doux en bouche. C’est ce qu’on appelle la méthode du bousinage crocodile », nous informe notre interlocuteur. L’objectif étant de redonner l’envie à certaines personnes qui boudaient le cognac de se remettre à en déguster. Pari gagné. Les produits Bourgoin Cognac commencent à imposer leur signature auprès du cercle très fermé des jeunes branchés parisiens. « Nous avons pour ambition de plaire notamment aux trentenaires qui ont envie de se différencier de la consommation de leur papa plus axé sur le whisky et qui redécouvrent cet alcool français oublié. Cette jeunesse qui aime déjeuner dans les restaurants gastronomiques, en quête de naturalité, de produits vrais et authentiques, de structures familiales et de produits en direct du producteur. Bref, ceux qui ont en marre d’acheter des marques déconnectées du terrain. » Message clair et limpide Monsieur Bourgoin ! ...
Une vaste gamme de produits Véritable précurseur, Pascal s’intéresse à l’univers du bio dès 1999 et a voulu apporter le concept à Arpajon en créant un magasin de proximité. Il propose des produits alimentaires en vrac, tels que des fruits et légumes frais provenant des producteurs locaux , des fruits secs, des thés et tisanes bio. Les clients en quête de compléments alimentaires à base de plantes naturelles ou de produits d’hygiène beauté trouveront aussi leur bonheur. Entre les extraits de Fleurs de Bach et les huiles essentielles aux multiples vertus, un vaste choix s’offre à eux. Et comme le propriétaire en connaît un rayon, il se fera un plaisir de guider chaque client. « Ce sont des produits qu’il faut expliquer aux gens et par rapport aux besoins de chaque personne », explique-t-il. D’ailleurs, les clients ne viennent pas uniquement pour dénicher les produits, mais aussi pour profiter des conseils d’un vrai professionnel, soucieux de leur bien-être et attentif à satisfaire leurs désirs. Producteurs bio Le magasin s’approvisionne auprès des producteurs et agriculteurs biologiques opérant aux alentours d’Arpajon. « Nos légumes bio viennent de Fleurs de Cocagne, appartenant à un centre de réinsertion, qui permet aux gens de se réintégrer socialement et en même temps faire de la culture biologique », reprend Pascal. En outre, il travaille également avec le groupement des agriculteurs biologiques de l’Île-de-France pour trouver certains de ses produits alimentaires. Dans une volonté de répondre aux besoins de sa clientèle, Attractive bio peut même commander des produits spécifiques à la demande des clients. En plein centre d’Arpajon, l’épicerie bio de Pascal Gurliat tire son épingle du jeu en offrant un service de proximité à ses clients qui viennent pour se procurer des produits alimentaires et d’autres produits de bien-être. En prime : ils profitent des conseils éclairés d’un passionné et expert dans son domaine. ...
Le rhum aux arômes riches de son terroir d’origine fait la renommée de la maison Breiz’île qui intègre le monde très sélect du rhum en 2002. L’authenticité et la primauté données à l’art de ce breuvage restent les maîtres-mots de cette marque qui privilégie la tradition antillaise dans la conception des spiritueux exquis de sa gamme. Sélectionner le meilleur du terroir La marque Breiz’île, aux racines ancrées dans les terres antillaises, s’est forgé une réputation grâce à la priorité donnée à la qualité. Avec un éventail de rhums arrangés obtenus en « travaillant les meilleurs fruits disponibles toute l’année », selon les propos d’Alain Jegaden, la maison se veut être l’ambassadrice de l’excellence du rhum. Son rhum agricole typiquement guadeloupéen tire, quant à lui, « le meilleur de la canne à sucre » afin de rendre hommage au terroir mais également « [afin de partager] l’appréciation des bonnes choses », continue Alain. Un rhum vieux vieilli en fût de chêne, élaboré selon la pure tradition antillaise et aromatisé au miel fait, entre autres, la fierté de la maison Breiz’île, à déguster avec modération lors de vos instants gourmands. Outre le rhum, la marque, dans un élan de créativité novateur, se spécialise dans la production d’une « bière gourmande au goût prononcé et aromatisée au rhum », toujours selon Alain. Cet esprit innovateur, mêlé à la préservation de la fabrication artisanale du rhum, contribue à faire toute l’authenticité de la maison. ...
Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près. La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux. Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine. À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts. Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement. Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...
Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...
Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes. À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs. Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur. Une farandole de saveurs Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés. Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment. ...
Le vaste vignoble compte 460 hectares classés en AOP Picpoul de Pinet. Sur un sol argilo calcaire, d’autres cépages tendent leurs arômes fruités : Chardonnay, Sauvignon, Terret, Merlot, Syrah, Grenache, Cinsault, Carignan ou Cabernet. Ici, les vins sont à l’image de leur terroir : ensoleillés, fruités et riches d’une fraîcheur toute minérale. Le dynamisme d’une entreprise passionnée Le vignoble des vins de la Famille de Beauvignac est la maison mère de la coopérative. Cette ancienne terre où vivait la baronnie de l’époque a fusionné dès 2003 avec d’autres caves voisines. Les Costières de Pomerols comptent aujourd’hui 250 vignerons. Ensemble, ils renouvellent l’image des vins de leur terroir, s’équipent et se modernisent, portés par des valeurs communes. L’amour des vignes, l’exigence pour des vins de qualité, le respect de l’environnement. Entouré de paysages bucoliques, voisin d’ostréiculteurs et à proximité de la lagune de Thau, le domaine prête une attention particulière à l’agriculture durable Les Costières de Pomerols comptent 110 médailles en 2019. Ici, la production ne se fait pas au détriment de la qualité. Les vins sont exportés dans 48 pays du monde, portant haut un terroir et ses saveurs méditerranéennes. ...
Un bon champagne délivre de bons arômes grâce à la composition du sol et à l’inclinaison des coteaux dans un terroir. Déclinés en sept cuvées allant des mono-cépages à l'assemblage en passant par des non-dosés, millésimés, vieillis en fût ou rosés d'assemblage, les champagnes d'Alain Mercier et Fils bénéficient d’une préparation magistrale depuis la culture du raisin. Pour Romain Mercier qui a repris les rênes du domaine depuis le départ en retraite de son père, la nature joue beaucoup sur les notes attendues en dégustation. Il mise tout sur son terroir établi sur les coteaux de Passy sur Marne. Grâce à une belle exposition plein Sud, les cuvées affirment des caractères uniques que les fins connaisseurs ne peuvent qu’apprécier. L’excellence de la cuvée : des cépages soigneusement cultivés et apprivoisés Les cépages ont été plantés pour être adaptés aux strates des sols à dominance sablonneuse en bas de coteau, argilo-calcaire à dominance calcaire en milieu de coteau et argilo-calcaire à dominance argileuse en haut de coteau. Sur ses neuf hectares de vigne, les cépages, dont le chardonnay, le pinot meunier et le pinot noir retrouvent ainsi naturellement leur place. Selon le type de sol donc, le goût des raisins variera. Des cuves distinctives pour la fermentation et la conservation La mise en cuve est ingénieusement pensée. Les Mercier ont eu l’idée de mélanger les procédés de fermentation traditionnelle avec leurs techniques personnelles. D’ailleurs, les cuves en acier émaillé datant de Lucien, père d'Alain et grand père de Romain sont privilégiées pour retrouver une certaine micro-oxydation du vin durant sa fermentation. Depuis l’introduction des cuves en inox dans la viticulture, les champagnes se conservent mieux et bénéficient d’une bonne condition pour gagner en maturité. La « Cuvée Lucien », en hommage au grand-père de Romain et à son savoir-faire, est l’une des plus précieuses gardées soigneusement en fût de chêne. La tendance est également à l’œnotourisme chez Romain Mercier. Sur rendez-vous, le vignoble est ouvert au public, et l’exploitation dévoile les lieux d’élaboration des cuvées, depuis le pressoir jusqu’au chantier de dégorgement. ...
Trois monastères subsistent de l’ancienne Abbaye royale de Fontevraud. L’hôtel et le restaurant ont investi l’un d’eux, le Prieuré Saint-Lazare, qui fut successivement une léproserie, un hospice pour religieuses et l’hôpital de la prison. Le restaurant : une explosion de textures et de saveurs Le restaurant a pris plus particulièrement possession du cloitre et de la salle capitulaire. Le chef Thibaut Ruggeri, Bocuse d’or Monde 2013, confectionne une cuisine française raffinée et créative. Il privilégie le terroir et les saisons, en partant de produits locaux majoritairement bio ou cultivés dans le potager du domaine. Vous pouvez choisir entre 3 menus, avec la possibilité de l’accompagner d’un verre de vin en accord avec chaque plat. Vos enfants ne seront pas en reste grâce au menu Robin des bois. Votre repas débutera inexorablement par une soupe, chaude ou froide suivant la saison, principalement à base de végétaux. Elle rend hommage à toutes les religieuses ou tous les prisonniers ayant un jour séjourné à l’Abbaye. Ensuite, vous pourrez vous régaler d’une Révolution du potager, une entrée à base de légumes et de plantes aromatiques. À l’automne, elle se compose, par exemple, de châtaignes, de chou-fleur et de légumes racines du jardin. Découvrez également le très apprécié Champignon de Paris à Fontevraud, un plat qui marie champignons blancs et blonds, crus et cuits, associés à du foie gras, pour une explosion de textures et de saveurs en bouche. En plat, poisson, volaille ou gibier sont régulièrement à l’honneur. En dessert, savourez le surprenant et délicieux Citron jaune-Olives noires, une crème brulée revisitée au gout subtil. La carte des vins privilégie les vins de Loire, de Saint-Nazaire à Sancerre, avec une grande place accordée aux vins d’Anjou et aux vins de Saumur, notamment Les Fines Bulles de Saumur, un crémant exceptionnel. Le restaurant souhaite surprendre les convives par la qualité de ces vins. L’hôtel : un moment inoubliable L’hôtel 4 étoiles met à disposition 54 chambres, dont 6 chambres familiales. Les designers Patrick Jouin et Sanjit Manku ont travaillé sur les matières et les couleurs pour offrir une décoration épurée, dans le respect de ce lieu historique. Tout invite au recueillement pour un moment inoubliable. Les chambres sont toutes du même niveau de confort, bien insonorisées, avec le même mobilier, composé notamment d’une literie spécialement conçue par Biosense en latex, coton et lin bio. Seule leur surface est différente, puisqu’elle s’adapte à la configuration du lieu (de 17 à 24 m²). Deux salons sont accessibles avec bibliothèque et machine à café. Les hôtes pourront déguster leur petit déjeuner dans la salle capitulaire. Ils pourront également s’approprier l’ensemble du domaine pendant leur séjour. Quel ravissement de déambuler la nuit dans les bâtiments, dans les jardins, loin de la foule de la journée ! Une façon de s’imprégner véritablement de l’ambiance sereine et reposante, de l’environnement pour des souvenirs à jamais gravés. Évènementiel à l'Abbaye royale Pensez à l'Abbaye royale de Fontevraud pour organiser vos évènements. La configuration du site permet d’accueillir des réunions de 6 à 2 500 personnes, des séminaires. Les repas peuvent soit être pris au restaurant de l’Abbaye, soit être confectionnés par un traiteur extérieur. Sont également proposées des offres d’activités à réaliser au sein de l’Abbaye. Bien sûr, le lieu peut aussi être loué pour des mariages. ...
Maxime Renault, le fondateur, a commencé son activité en 2013 en voulant apporter un coup de pouce aux activités des artisans. Avec ses associés, Hugo et Mario, il a créé une vitrine numérique pour le compte des boulangeries artisanales de France. Étant conscients que les nouvelles technologies pouvaient constituer un véritable levier en termes de communication, ils ont bondi sur l'occasion pour pouvoir préserver ce savoir-faire unique qui a tant fait la renommée du pays. Si, à l’origine, ils voulaient seulement aider les artisans à faire face à la pression de la concurrence industrielle, c’était sans compter sur le destin qui en a voulu autrement… 2015 marque un tournant décisif dans l’histoire des trois associés. Lors d’une invitation à une soirée, un défi de taille s’esquisse pour Maxime Renault et son équipe. « Nous devions présenter notre site dubonpain.fr en organisant un buffet avec un budget relativement faible. Nous avions donc fait avec les moyens du bord en faisant appel à notre réseau d’artisans boulangers comme partenaires », nous confie Maxime. Cet événement marque le début de la mise en place d’un nouveau concept : proposer un service traiteur innovant et accessible où la passion et l'expertise des artisans seront mises en avant. La démarche de l’entreprise Maîtrisant du bout des doigts les rouages du métier, Monbanquet.fr et ses partenaires agissent comme de véritables logisticiens traiteurs. Toute l’expérience client est optimisée pour pouvoir répondre efficacement à chaque type d’exigence. Des partenariats avec des artisans locaux comme des boulangers pâtissiers, des fromagers charcutiers, des épiceries fines et des restaurateurs ont été établis. Ces artisans sont minutieusement sélectionnés pour leur expertise et leur proximité par rapport au client. Une manière de garantir la fraîcheur des produits. « En fonction du lieu de l’événement, du contexte et du budget du client, nous proposons des menus qui correspondent à ses besoins », fait savoir notre interlocuteur. Après avoir été minutieusement préparés par les partenaires artisans, les produits sont livrés clé en main. Au besoin, des maîtres d’hôtel et des équipes de serveurs se déplacent au moment de l’événement pour réaliser le service. Les particularités de Monbanquet.fr La promotion de l'économie de proximité est une valeur à laquelle Monbanquet.fr adhère activement. Ayant à cœur de fournir une prestation de qualité accessible à tous, la maison élabore des formules démarrant à 3 euros par personne. Les produits sont préparés de façon artisanale pour conserver des saveurs authentiques. Ce qui fait la signature de la maison, c’est cette adaptabilité qui lui permet de répondre à toutes les exigences, allant des réceptions intimes de quelques dizaines de personnes, au grand gala prestigieux de trois mille personnes. D’ailleurs, selon le fondateur de Monbanquet.fr « la capacité de la maison à offrir un service à la hauteur des attentes de chaque client dans le respect de ses contraintes budgétaires est une autre de nos particularités ». Cerise sur le gâteau : plus besoin de devis. Le client a la possibilité d'obtenir un menu qui correspond à son événement entièrement en ligne. ...
Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...
En 2017, Jan et Kim Schürmann reprennent le Château de Gensac, situé à Condom dans le Gers, entre Bordeaux et Toulouse. Le couple suisse s’engage dans une reconversion professionnelle et quitte leur carrière dans l’évènementiel et dans l’agro-alimentaire pour s’épanouir dans leur nouvelle vie de vigneron. Un moyen pour ce duo de choc de se reconnecter avec la nature et de s’adonner à leur passion pour le vin. Un terroir privilégié pour produire un Armagnac d’excellence Édifié au XIIIème siècle, le Château de Gensac a été le théâtre de plusieurs évènements. Camp militaire, orphelinat… il a tenu un grand rôle dans l’histoire gersoise. Aujourd’hui, il constitue la pièce maîtresse d’un immense domaine de 300 hectares dont 20 hectares sont alloués aux vignes destinées à la production de vins et d’Armagnac. Le reste est consacré à la culture de céréales et abrite des forêts, des lacs et des prairies. Un décor de rêve propice à l’épanouissement des chevaux de l’écurie de Gensac. Car le domaine détient également une pension pour chevaux ouverte au public. Cette diversité d’activités a été pour Jan et Kim une façon de prôner la biodiversité sur leurs terres. Le respect de la nature tient une place prépondérante dans la philosophie de la maison notamment dans la culture des vignes qui s’effectue selon une démarche raisonnée. Une reconversion en bio a même débuté depuis 2020. Une approche plus contemporaine de l’Armagnac Produit à partir d’ugni blanc et de colombard, l’Armagnac de Gensac signe sa différence par son caractère marqué et ses parfums exceptionnels. Bien que ce précieux breuvage soit élaboré dans le strict respect des traditions, la maison ne tourne pas le dos aux procédés plus modernes afin d’être au diapason avec les exigences des consommateurs d’aujourd’hui. L’Armagnac de Gensac se veut dans l’air du temps. Un dynamisme qui se reflète dans le choix de l’appellation donnée à chaque produit qui n’arbore plus les dénominations traditionnelles de type VS, VSOP, XO… L’innovation concerne également la manière de consommer l’Armagnac qui se prépare sous forme de cocktails, du moins pour les plus jeunes eaux-de-vie. Associé au ginger beer, à l’Angostura et à quelques zestes de citron, il révèle des notes aromatiques très singulières. ...
Faisant partie des précurseurs du bio, dans lequel elle s’engage dès 1997, cette exploitation familiale implantée au cœur des Corbières travaille les vins nature depuis 2011. Des techniques pointilleuses pour de bons vins naturels Produits avec du raisin, ni plus ni moins, les crus Grand Guilhem expriment la personnalité du carignan, du macabeo, du mourvèdre, de la syrah et du grenache – noir, gris, blanc – dans sa forme la plus pure. La maison élabore 8 cuvées, chacune trempée du caractère singulier de son cépage dominant. Une session de dégustation au domaine rime avec une expérience intense où la monotonie n’a pas sa place. « Chaque cuvée a un mode de vinification différent », souligne Gilles Contrepois, le maître des lieux. Outre la vinification en cuve et en barrique, cet ingénieur reconverti évoque avec une fierté à part ses opus élevés dans d’authentiques jarres occitanes : des crus qui se distinguent par leur rondeur et leur pureté. Oenotourisme au Domaine du Grand Guilhem Le Grand Guilhem propose une expérience oenotouristique complète : dégustation, exploration des vignobles et des caves. Les visiteurs sont accueillis dans 4 chambres d’hôtes aménagées dans une maison de maître de caractère, dotée d’une magnifique vue sur Cascastel. Deux gîtes d’une grande capacité sont mis à disposition des groupes et des familles. Les hébergements du domaine affichent différents labels, témoins de la qualité de l’accueil et de l’expérience de partage que les hôtes ont en réserve. ...
C’est sur un plateau à 1 000 mètres d’altitude, situé dans la commune de Fraïsse-sur-Agout, que la compagnie prévoit de mettre en service une distillerie qui portera le flambeau de la région en 2018. Un assemblage méticuleux En attendant de pouvoir distiller elle-même ses propres whiskies, l’entreprise fait des assemblages. Elle importe d’Écosse différentes qualités de whiskies, auxquelles elle ajoute l’eau d’une source de la montagne noire. Les whiskies sont ensuite affinés dans d’anciens fûts de spiritueux appartenant à un producteur d’Armagnac. « Cela donne aux whiskies un profil aromatique différent, une couleur locale », explique Cédric Leprette, le président. Les whiskies Black Mountain L’entreprise possède une gamme de trois whiskies. Le BM n° 2 premium est assez léger et très parfumé. Tout en gardant les caractéristiques d’un whisky, il est accessible à tout le monde au niveau gustatif. Il a obtenu la médaille d’argent à l’International Spirit Challenge 2014 et à l’International Wine and Spirit Competition 2016. Le BN n° 1 Excellence a une proportion importante de whisky plus âgé, avec une durée d’affinage plus longue. Il est plus complexe et plus riche au niveau aromatique, et est essentiellement conçu pour des amateurs avertis de whisky. Il a été élu meilleur blend whisky européen au World Whisky Awards 2015. Le plus récent est la Notes Fumées, contenant une proportion de whisky tourbé. Il est destiné à une clientèle qui recherche ce profil particulier. « On a voulu avoir une continuité dans le style aromatique des deux premiers whiskies », souligne Cédric Leprette. Ce breuvage est le gagnant de la catégorie Blend pour les whiskies de France au World Whisky Awards en 2017. ...
Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le chef, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens. Avec, à chaque fois, la promesse d’un plaisir renouvelé ! Un cadre élégant Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux repas d’affaires. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une belle terrasse à proximité de la piscine pour plus de tranquillité. Le raffinement dans vos plats Grâce à un partenariat privilégié avec ses fournisseurs locaux, l’établissement s’assure d’offrir à ses clients les meilleurs produits afin de leur concocter des plats incomparables. Au gré des saisons et des saveurs, le chef se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française. En entrée, le duo d’œufs en meurette est juste à tomber. Un vrai régal pour les gourmands de passage. En plat, rien de tel qu’un filet de bœuf charolais avec sauce aux morilles pour s’imprégner des saveurs régionales. Tous les dimanches, ce restaurant a l’habitude de convier les initiés à son traditionnel brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». L’occasion aussi pour l’établissement de faire connaître aux convives le savoir-faire de ses trois pâtissiers d’exception et leur célèbre chariot de desserts. ...
Le Chant des Oliviers accueille ses convives dans un cadre décoré par le fameux Yannick Cinnelli. L’établissement de 52 couverts s’affiche ainsi dans un style baroque contemporain ; une véritable invitation à table. L’ambiance est à son apogée tous les premiers samedis du mois, quand le guitariste Willy éblouit les convives en interprétant le meilleur du répertoire musical français. Le fait maison à l’honneur « Cuisine du sud ou cuisine du soleil », un concept que le maître des lieux, Albert Eddassouki, se plaît à associer à la cuisine concoctée dans son restaurant. Les plats sont élaborés avec des produits frais, fournis et sélectionnés par des personnes de confiance, proches du propriétaire lui-même. « Aucun plat de l’industrie agroalimentaire ne sera servi dans votre assiette. Nous préparons tout nous-mêmes », lit-on sur la carte. Dans la gamme des entrées, notre attention se porte sur la salade de poulpe avec des oignons, un mets préparé avec des olives noires, de la coriandre ou encore des pommes Grammy Smith. Dans le registre des plats, le restaurant a bâti sa notoriété avec la noix de Saint-Jacques à l’orange purée. Un plat agrémenté d'un lot d’ingrédients de choix comme les épinards, les échalotes ou l’orange flambée au Grand Marnier avec de la purée de pommes Vitelotte à l’huile d’olive à la truffe. Pour le dessert, le Tiramisu Rose, une spécialité importée directement de Marrakech qui doit sa saveur aux biscuits de Reims roses, est une vraie invitation à la gourmandise. Une large sélection de vins Vins blancs, vins rosés, vins rouges… le restaurant Le Chant des Oliviers dispose d’un large choix cadrant parfaitement avec les saveurs de la cuisine du soleil. On note surtout certaines références, comme le bordeaux du Château Victoria, ainsi que le Saint-Joseph de la Vallée du Rhône. ...
Depuis 1870, la même passion pour le goût du vrai anime cette enseigne jalouse des traditions. Implantée dans le même village du Pilat, en Rhône-Alpes, elle a construit sa renommée autour de la fabrication de saucissons secs. Le secret de sa longévité ? La fidélité à une recette authentique, rendue par une qualité contrôlée du porc, mais surtout un affinage à l’air pur du terroir. Un savoir-faire traditionnel optimisé par des outils modernes Maison Duculty, la marque des Salaisons du Mont Pilat, appartient à la famille éponyme depuis cinq générations. Cette entreprise de taille humaine composée d'une quinzaine d'employés est un vivier de talents qui ont su se transmettre le savoir-faire inauguré par leurs aïeux en respectant l’essence des traditions, tout en intégrant les normes modernes. L’affinage des produits est maintenu à l’ancienne, s’opérant dans des séchoirs sur des barres en bois. Résultat : l’inégalable goût des saucissons de la marque, provenant de la fleur naturelle qui se dépose sur le boyau. L’air naturel et l’ensoleillement du site où cet art se perpétue participent à affirmer cette saveur dans des produits également reconnaissables à un contour tirant sur le verdâtre. Outre les six saucissons secs qui signent le label, la marque est désormais associée à des gammes de pièces de porc séchées, de saucisses et de jésus, entre autres. Des références accessibles dans les rayons du magasin physique, des deux boutiques en ligne portant les couleurs de la maison ainsi qu'auprès de son réseau de revendeurs professionnels des métiers de bouche (cavistes, épiceries fines, bars à vins, restaurants, etc.). ...