Situé en Lorraine, le restaurant L’Arnsbourg est une invitation au partage, au plaisir et à la joie. Que ce soit pour déguster des plats originaux ou assister à des soirées organisées par des maisons de champagne, L’Arnsbourg est le point de rendez-vous de tous les amateurs de bonne cuisine du Grand-Est. Suggérer une cuisine à la fois savoureuse, raffinée et gourmande, tel est le souhait de Laure et Fabien Mengus, les heureux propriétaires de l’établissement. L’Arnsbourg : un coin repas au cœur de la nature La maison Mengus commence à gagner du terrain dans le monde gastronomique, aussi bien dans l’Hexagone que dans les pays limitrophes. Instauré en plein cœur de la forêt de Baerenthal depuis un an, L’Arnsbourg séduit plus d’un, non seulement par sa situation géographique singulière, mais surtout par la diversité et l’originalité des mets qu’il propose. Bénéficiant déjà d’une étoile, l’établissement est un lieu d’expression puissant et convivial qui reflète l’image de ses propriétaires. Le couple trentenaire a radicalement transformé L’Arnsbourg en un véritable coin luxueux proposant une table gastronomique remarquable. Un jardin spacieux permet d'admirer la nature et le paysage environnant. Le plaisir des épicuriens En étroite collaboration avec les producteurs locaux, Fabien, le chef, travaille avec des produits frais et de saison qui raviront tous les palais, même les plus exigeants. Légumes, poissons, fruits de mer, viande… il y en a pour tous les goûts ! À L’Arnsbourg, trois types de menus sont proposés. À savoir le « Menu Plaisir », servi uniquement au déjeuner, du mercredi au vendredi, le « Menu Partition » entre trois ou cinq plats et le « Menu Intuition » qui est une succession de sept plats. En entrée, la délicieuse langoustine en quatre déclinaisons nous est suggérée. Le Paleron de bœuf black Angus servi sur charbon de bois sera proposé en guise de plat. Le dessert Mangue-Passion, quant à lui, achève en douceur ce périple culinaire. Ces plats à base de produits nobles et dont les accompagnements changent régulièrement sont sublimés par une carte de vins riche de mille références. ...
Maison familiale depuis la fin du XIXe siècle, cette distillerie artisanale est dirigée par Jean-Marie Leisen, épaulé par sa fille Sarah Leisen, qui se tient prête à reprendre le flambeau. Une recherche de la qualité Afin de proposer une production de qualité, la distillerie met en avant un savoir-faire traditionnel mais surtout l’utilisation des meilleures matières premières. Pour confectionner ses cidres et ses jus de pomme par exemple, elle opte pour des fruits 100 % bio et présentant un niveau optimal de maturité. Côté vieillissement, la maison a recours à des techniques spécifiques. Ainsi, la mirabelle de Lorraine, un de ses produits phares, se conserve une année dans des cuves en inox, puis une autre année dans des barriques en fût placées dans les caves. L’eau-de-vie passera ensuite 5 ans dans des cuves en grès, placées cette fois-ci dans les greniers. En agissant de la sorte, la maison fait profiter son nectar d’une variation de température propice à son vieillissement. ...
La Table du Parc, c'est le restaurant de La Demeure du Parc, boutique hôtel de caractère, idéalement situé à une des entrées du magnifique parc du Château de Fontainebleau. City-break idéal le temps d'un week-end pour se ressourcer et retrouver le goût des choses simples et vraies. Une cuisine locavore La Table du Parc est orchestrée par une jeune chef au brillant parcours, Carmen Thelen, 27 ans. A la carte, des plats créatifs, toujours inspirés des grands classiques. Cuisine sincère et percutante où l'on peut se régaler de poissons et viandes cuits à la braise, de sauces maison, élaborées dans le plus strict - et succulent - respect de la tradition, des fromages affinés par la maison Barthélémy-Goursat... Également, une identité locavore, rendant hommage aux artisans et producteurs locaux où la Chef aime à s'approvisionner. Une "Assiette" au Michelin « La Demeure du Parc c'est un peu comme une maison de famille, un lieu élégant, sans être ostentatoire, très chaleureux, où l'on se sent un peu comme chez soi » explique la gérante Nicole Ivassenko. La terrasse du restaurant ouvre sur un vaste jardin planté d'arbres fruitiers, de fleurs et plantes aromatiques où il fait bon, le soir venu, de boire un verre autour du grand brasero. Évasion conviviale et... certifiée gourmande par le guide Michelin. Dans son édition 2017, il vient de décerner une « assiette » à La Table du Parc et deux fourchettes, saluant une « cuisine de qualité, une assiette juste et bien maîtrisée ainsi qu'un bon rapport qualité-prix. » L'hôtel fait aussi son entrée dans le guide, catégorie Boutique-hôtel design très confortable, lumineux, jouant sur les matières nobles. La Demeure du Parc, un lieu addictif. ...
Installé dans une bâtisse d’antan qui a connu ses heures de gloire à Barjac, 7ici est repris en 2013 par un couple belge. 7ici porte bien son nom car « c’est ici qu’on a choisi d’investir et de s’installer, de créer un restaurant comme à la maison », souligne Thierry Lemaire, propriétaire. Un bel esprit de famille entoure à la fois le personnel et la clientèle, avec toujours la présence rassurante des propriétaires : lui, actif devant les fourneaux ; et son épouse, généralement en salle, s’occupant intégralement de toute la production et des desserts qu’elle fabrique artisanalement comme à la maison. Une cuisine de saison, une ambiance conviviale Au cœur d’une vieille pièce voûtée chargée d’Histoire, la salle du restaurant a entièrement été refaite et remise au goût du jour par ce couple passionné de cuisine. 7ici a l’allure d’un restaurant très cosy au cadre révolutionnaire, à découvrir absolument. Son mobilier en cuir noir et ses tables en chêne confèrent au lieu un cachet particulier et une ambiance familiale. Disposant d’un personnel présent à plein temps, l’enseigne est en l’occurrence « un des rares établissements de la région à être ouvert toute l’année », apprend-on. Un paramètre qui fait la force de l’établissement. On y partage de vrais moments de plaisir en famille. 7ici, c’est avant tout de la cuisine fraiche et raffinée, issue de producteurs locaux, avec des produits 100 % français. Du fait de son implantation dans une région où l’on produit énormément de fromage de chèvre, les suggestions sont loin de manquer. L’on nous recommande notamment du pélardon des Cévennes et du fin gras du Mézenc, « une viande de bœuf persillée en appellation d’origine protégée de la race limousine », une exclusivité de la maison d’avril à juin. Beaucoup d’autres spécialités sont à découvrir selon la saisonnalité des produits. Par conséquent, la carte change tous les 15 jours. Le midi, 7ici reçoit plutôt une clientèle d’affaires et propose « une carte réduite avec un lunch en produits frais au tarif de 15 € dans la formule entrée-plat-dessert-café bio ». Le soir vient une autre clientèle qui vient plutôt en famille : les menus sont composés par les clients eux-mêmes à partir de 3 entrées et de 3 plats, avec une carte qui s’adapte au rythme des saisons pour un budget de 32 €. ...
Situé sur les appellations de Fronsac et Canon-Fronsac, le château Barrabaque propose à tous les amateurs de vins, experts comme simples curieux, de grands vins de Bordeaux à dominante merlot. Château Barrabaque : une histoire de famille. Le Château Barrabaque est une propriété qui datent du 18ième siècle. Après être tombé amoureux de la région et de ses vignobles, Achille Noël fait l’acquisition du Château. Nous sommes en 1936 et ce brasseur, mais aussi négociant en vin de la région lilloise, va se lancer dans la production de vins. Lorsqu’Achille prend la retraite, son fils Bernard et sa belle-fille Nicole lui succèdent. Au décès de sa maman en 2004, Caroline Noël-Barroux n’hésite pas à quitter son emploi de maître de chai en grands crus classés pour prendre les rênes de cette propriété exceptionnelle afin d’y élaborer des vins de grandes qualités. En effet, avec en poche un diplôme d’ingénieur en agronomie option viticulture, viniculture et œnologie, elle possède toutes les compétences pour moderniser la propriété. Château Barrabaque : la pratique d’une culture raisonnée écoresponsable. Le Château Barrabaque s’étend sur 10 hectares de vignes. Ce Château profite d’un fabuleux terroir en côteaux exposés plein sud majoritairement argilo-calcaire. Toutes les conditions sont réunies pour élaborer des vins savoureux et originaux. Mais l’élaboration d’un vin commence par le travail de la vigne et Caroline le sait bien. Elle continue ce que ses parents avaient débuté, il y a plus de 20 ans, avec encore plus de rigueur : la pratique d’une agriculture raisonnée et écoresponsable. Elle a ainsi obtenu la certification HVE (Haute Valeur Environnementale) en 2019. À la découverte des cuvées nouvelles et traditionnelles En prenant les rênes de la propriété, Caroline Noël-Barroux a souhaité marier savoir-faire traditionnel et créations plus originales. Actuellement, le Château Barrabaque vous propose 6 vins différents : - Le caprice de Caroline est un vin blanc sec 2/3 Sauvignon Blanc et 1/3 Sémillon. Sa fermentation et son élevage en Barriques donnent naissance à un vin original de grande qualité. Amateurs de vins blancs, n’hésitez pas. Ce vin frais et fruité accompagne parfaitement l’apéritif, le poisson ou les fruits de mer. - Le Barrabaque Rosé est un vin très fruité issu d’un assemblage de 50% Merlots, 50% Cabernets. Nous vous conseillons d’aller déguster cette création originale et surprenante. Très bien pour vos apéritifs, déjeuners et dîners autour d’un barbecue (poissons, viandes rouges ou blanches). Médaillé d’Argent en 2019 au concours des Vignerons Indépendants. - Le Château Barrabaque Tradition appellation Fronsac (70% Merlot, 20% Cabernet Franc et 10% de Cabernet Sauvignon). Elevage en barriques pendant 15 mois. Ce vin fruité et charnu accompagnera aussi bien grillades, daubes, ragouts et gibiers. Médaille d’Or du concours des Vins des Vignerons Indépendants 2012, Guide Hachette, James Sückling. - Château Barrabaque Prestige appellation Canon-Fronsac (80% Merlot, 18 % Cabernet Franc et 2% de Malbec). Elevage en barriques neuves et de 1 vin pendant 18 mois. Ce vin complexe, élégant et charnu accompagnera parfaitement les viandes rouges et gibiers dans leur jeunesse, les viandes blanches après quelques années de vieillissement. Récompensé de multiples fois coups de cœur au Guide Hachette, James Sückling, Yves Beck. - Château Barrabaque Cuvée Hugo appellation Canon-Fronsac (50% Merlot, 20% Cabernet Franc et 10% de Cabernet Sauvignon). Fruité et croquant, il est idéal pour accompagner viandes rouges ou blanches. Récompensé lui aussi par le guide Hachette. - Château Barrabaque Divin appellation Canon-Fronsac (50% Merlot, 50% Malbec). Une création très originale aux notes épicées et fruits noirs. Amateurs de Malbec, n’hésitez pas à venir le découvrir : il accompagnera les gibiers, les desserts chocolatés ou à l’apéritif. Noté par James Sückling ...
Aujourd’hui, modernité oblige le vignoble est certifié Haute valeur environnementale (HVE). Un label plus global de la culture raisonnée selon Fabien puisqu’elle englobe l’ensemble de la pratique vinicole et viticole. A travers cette certification sont mises en place des techniques novatrices ou bien encore diverses techniques de bio-contrôle comme la confusion sexuelle du ver de la grappe ou les écorces d’orange. Le domaine propose également une cuvée bio, depuis 2020. La vinification en amphore Parmi la vingtaine de cuvées produites, l’une se distingue plus particulièrement : le CG dont la première cuvée date de 2020. Déclinée en version blanc et rouge, il s’agit des premiers vins vinifiés en amphore. Un travail de plusieurs années débuté en 2013 avec le Séculaire qui lui est élevé en amphores et qui permet de profiter des capacités naturelles de l’argile dans lequel sont conçues des amphores modernes de 125 à 400 litres. L’argile permet ainsi d’oxygéner le fruit de manière très douce et régulière pendant les fermentations tout en préservant le vin de l’oxydation. Résultat, un vin qui peut se boire jeune, avec une intensité aromatique plus prononcée. Du gin sur le domaine du château Grézan La Famille Cros-Pujol n’est pas seulement vigneronne, elle produit aussi du gin. Une innovation pour le vignoble qui face à la crise du Covid s’est adapté. Fabien Pujol a sorti un vieux projet de ses cartons : celui de produire du gin. Pour cela, un alambic à vapeur et à double paroi est utilisé pour permettre une extraction plus douce et plus homogène, dans le respect du fruit. Composé majoritairement de genièvre, la liqueur est conditionnée en bouteille de 70cl. Avec une teneur en alcool de 42°, on y découvre un arôme méditerranéen entre la garrigue et les agrumes. ...
Aujourd’hui, l’entreprise possède près de 400 références de whiskies. Chaque bouteille a été sélectionnée avec minutie, tant pour son histoire que pour sa qualité. La France étant le premier consommateur de whisky au monde, Prestige Whisky ne peut que bien tomber, au grand bonheur des amateurs. Son objectif : « dépasser les 1 000 références d’ici un an », nous confie Florian Geuns. À la poursuite du vrai whisky C’est à travers ses multiples voyages et sa passion pour le whisky que Florian Geuns a pu concrétiser ce projet. Prestige Whisky réunit toutes les marques, avec, comme particularité, leur rareté ainsi que leur histoire. Allant des single malts, aux bourbons en passant par les blends, de grandes références provenant de pays différents, pour ne citer que L’Écosse, l’Irlande, le Japon, les États-Unis, la Suède ou l’Inde, mais également la Taïwan et la France enrichissent les présentoirs. Une liberté de choisir sans modération Prestige Whisky propose alors des bouteilles haut de gamme à des prix raisonnables dont la plupart ne peuvent se trouver que sur leur site. L’Écosse, principale productrice de whisky y est bien présente avec des cuvées comme le Bowmore 1985, vingt-six ans d’âge, crémeux en bouche qui se distingue aussi pour ses notes d’orange, de fruits rouges et de chocolat. Du côté d’outre-Atlantique, les choix sont multiples avec une mention spéciale pour le bourbon Eagle Rare 10 ans qui invite à une redécouverte d'un whisky de qualité inégalable issu d'un seul fût. Offrant une surprenante douceur en bouche, ce single barrel développe des notes épicées, avec une finale longue s'achevant sur des notes de chênes. La France, quant à elle, est représentée par quatre grands noms dont le Black Mountain, encore toute jeune mais déjà très prisée par les amateurs de whisky pour son caractère assez brut. Selon Florian Geuns, « chaque client pourra se procurer une version 5 cl sur toutes les marques présentes dans le catalogue afin de pouvoir déguster, mais surtout faire le bon choix lors de son achat ». ...
Avec une capacité de production de 45 000 bouteilles par an, la marque mise sur la qualité de ses cuvées afin de séduire les adeptes de vin et autres œnophiles en herbe. Fort d’une tradition familiale et d’un savoir-faire transmis de génération en génération, le champagne Robert-Faivre est une promesse d’authenticité. Au cœur du terroir de Belval Sous Chatillon, David Faivre, petit-fils de Robert Faivre, vous fait partager et écrire l’histoire de la maison familiale. « Notre valeur, c’est l’authenticité » Ces propos de Monsieur Faivre illustrent l’engagement que la maison s’est toujours tenu de respecter. Comme il l’explique, « si auparavant la famille ne s’occupait que des vignes, et que le reste se faisait en coopérative, l’exploitation, allant des vendanges à la vente, en passant par la vinification, se fait désormais au sein même du domaine ». L’authenticité est ainsi mise en avant, afin de retrouver le goût du terroir dans chaque champagne. Parmi ces cuvées qui font la fierté de la maison, le Brut Grande Reserve se démarque par son fruité aromatique, tandis que le Reflet Naturel se distingue par l’alliage raffiné et naturel, entre un éventail d’arômes et une finesse en bouche. D’autres cuvées verront le jour d’ici deux ans, comme une cuvée élevée en fût de chêne ou encore une 100% Meunier Un point d’honneur à l’environnement Si beaucoup de vignerons hésitent à faire le pas vers une agriculture durable, la marque Robert-Faivre s’engage et s’implique dans cette démarche. Conscients du fait que leur activité est tributaire de l’environnement, les héritiers de l’enseigne ont entamé toutes les procédures nécessaires afin de contribuer, eux aussi, à la préservation de ce capital naturel. Grâce à ces efforts dans le but d’implanter les prémices d’une viticulture durable dans la région, la maison a reçu, en 2016, la certification « haute valeur environnementale » (HVE). ...
En vrai visionnaire, André Deberdt était à l’origine de la création du label Bio équitable et était à la fois un acteur majeur au sein du réseau Biocoop. Il fonde KAOKA en 1993, et choisit de se concentrer sur le cacao et le chocolat afin de maîtriser toute la chaîne de valeur, depuis la plantation jusqu’à la commercialisation des produits finis. Un cacao éthique et de qualité Présente sur quatre filières, à savoir l’Équateur, Sao Tomé, le Pérou et la République Dominicaine, la société entre en relation directe avec les producteurs locaux et s’investit dans une stratégie de codéveloppement concertée pour pérenniser l’activité. L’une des valeurs éthiques véhiculées par KAOKA est le respect des hommes, qui se concrétise par la mise en place d’un cadre de travail optimal ainsi qu’une rémunération juste et honnête. Cet enrichissement mutuel se poursuit notamment dans la mise en place de coopératives regroupant les petits planteurs de cacao, qui bénéficient d'équipements performants utilisés dans les étapes de fermentation et du séchage. Ces investissements garantissent une meilleure qualité des récoltes tout en simplifiant les activités des producteurs. Dans sa vision d’un partenariat à long terme et pour faire face aux menaces de la pénurie de cacao, la société a également développé une technique agronomique basée sur la méthode du greffage comme solution viable pour les deux parties. Au-delà de l'augmentation de la production de cacao pour les producteurs, cette technique permet surtout d'encourager et favoriser la culture des variétés locales de cacao aux arômes originels et exceptionnels. Cette démarche reconnue a valu à KAOKA l'obtention de la certification FFL pour l'ensemble de ses produits, selon le référentiel pointu et exigeant BioPartenaire. Une palette bien gourmande Selon l’origine des fèves, les produits KAOKA révèlent une typologie aromatique bien spécifique et riche en saveurs. La gamme Noir Dégustation qui est l’ambassadrice de la maison se décline en plusieurs tablettes et s’adapte au goût de chacun : allant d’un mélange de saveurs plus délicates jusqu’au noir intense à 90 % pure pâte de cacao. Récemment, la marque a lancé deux nouveaux produits : l'un agrémenté de citron-gingembre et l'autre de noix de coco, pour apporter une note exotique plus soutenue. En outre, la gamme pâtissière (chocolat de couverture, pépites et poudres de cacao) est souvent appréciée par les fabricants chocolatiers et les artisans pâtissiers, de par sa qualité et conformité à leur exigence. ...
Dirigée par Julien Berranger, la Brasserie des Alpes propose des plats originaux et gourmands pour tous les budgets. Les fourneaux sont gérés par Naddei Felice, grand maestro de la cuisine italienne, et Marion Pierre, spécialiste des plats français. Cette belle dualité entre ces deux spécialités culinaires est à découvrir absolument. D’un côté la France… La Brasserie des Alpes ouvre ses portes pour ceux qui veulent vivre un voyage culinaire dans un cadre cosy et montagnard. En effet, sa capacité à offrir des plats typiquement italiens et français lui a permis de se bâtir une solide réputation dans la région. La cuisine est orchestrée par deux épicuriens. Le premier est un Français qui aime surprendre ses invités et qui propose des plats concoctés avec les produits du terroir. La cuisine traditionnelle forte en caractère et en gout est élaborée par Marion Pierre avec passion et inventivité. De quoi ravir les papilles des gourmands. Très variée, sa cuisine évoque les saveurs du terroir avec le magret de canard ou les brochettes du boucher. La maison a aussi construit sa réputation sur les grillades faites à base de viande. Il y a également la possibilité de déguster de succulents plats à base de poissons. De l’autre, l’Italie… Le maestro Naddei Felice propose une cuisine toute aussi gourmande insistant sur les ingrédients qui façonnent l’identité de la cuisine italienne. Ses origines mais aussi cette forte envie de défendre la cuisine de son pays se ressentent au travers des plats savoureux qu’il propose. Parmi les spécialités de la maison figurent les pâtes servies dans une meule de parmesan. Ce plat gourmand peut parfois être servi avec de la truffe et du speck, un jambon cru typique d’Italie se caractérisant par sa chair maigre et son arôme légèrement fumet. A ne pas manquer également : les sélections de pizzas préparées dans le plus grand respect de la tradition italienne, ce qui n’empêche pas le chef de sortir parfois des sentiers battus en proposant des pizzas originales comme la Fedora composée de crème de truffes, de roquette et de parmesan. Que ce soit Naddei ou Marion, la particularité des deux chefs réside dans le fait qu’ils accordent beaucoup d’importance à la qualité des produits. Ils collaborent, en effet, avec les producteurs locaux qui leur fournissent les meilleures matières premières. Une pause gourmande dans les Hautes-Alpes Blotti dans les Hautes-Alpes, le restaurant Brasserie des Alpes est l’endroit idéal pour une pause gourmande tout en admirant la vue panoramique. En famille, entre amis ou collègues, il assure un service de qualité et un cadre convivial. En effet, la salle de couleur vive dotée d’un décor très authentique et sobre offre une ambiance chaleureuse. Lorsque le temps n’est pas trop capricieux, la terrasse quant à elle permet d’apprécier l’air montagnard. A découvrir à Chorges Après un moment gourmet passé à la Brasserie des Alpes, il est temps de partir à la découverte de la richesse historique et touristique de Chorges. Ce village construit en fond de vallée possède de nombreux monuments façonnant son identité comme la fameuse église paroissiale Saint-Victor datant du XIIe siècle et aujourd’hui classée monument historique. La commune est également entourée de plusieurs sites naturels et un paysage atypique comme le lac de Serre-Ponçon situé à 7 km et les magnifiques baies Saint-Michel et de Chanteloube avec leurs eaux turquoise propices au nautisme et loisirs en plein air. ...
Acquis en 2006 par la famille Barbero, le domaine familial du Clos des Roses est un hommage à la fois à la mère du propriétaire, aux fleurs et à sa production axée sur les rosés. Lors de son acquisition, le domaine viticole a été entièrement réhabilité, de la vigne à la cave. Il possède un vignoble jeune qui a subi un réencépagement réfléchi dans le but de développer une gamme cohérente. Depuis, c'est sa fille, Laurence BARBERO, qui gère et coordonne les différentes animations du domaine, ainsi que l'activité commerciale. Un terroir singulier Bénéficiant de l’influence maritime, le domaine du Clos des Roses est blotti au cœur de la petite niche de l'Estérel, tout à l'Est. Ce terroir est très particulier, car il est l’un des rares en France où des vignobles sont exploités sur des terres d’origine volcanique. Cette particularité propice à la production de vins rosés est à l’origine des notes florales et fruitées singularisant ses cuvées. Sur les 36 hectares de la propriété, le vignoble couvre 10 hectares où sont cultivés 8 cépages différents : syrah, grenache, cinsault, mourvèdre et rolle pour l’appellation Côtes-de-Provence ; merlot, viognier et sauvignon blanc pour la dénomination Vins de Pays. Le traitement des vignes se fait uniquement avec des produits naturels comme le cuivre et le soufre pour lutter contre les maladies. Pour renforcer les défenses naturelles, certains produits comme la silice, la purée d’orties et la prêle sont mis à contribution. La vendange du domaine se fait exclusivement à la main, dans des caissettes de 15 kg, pour s’assurer de la qualité des raisins avant son arrivée à la cave. Côté vinification, le Clos des Roses fait appel au maitre de chai Nathalie Millo pour veiller au bon déroulement des différentes étapes. Le domaine utilise un équipement ultra-moderne tel qu’un fouloir-égrappoir, un échangeur ou un refroidisseur de vendange, un pressoir pneumatique et des cuves en inox mais n'en oublie pas moins les procédés de vinification traditionnels. En effet, « notre signature consiste à associer les méthodes traditionnelles du vigneron avec les nouvelles technologies mises à notre disposition », raconte Chloé Lourme, responsable des visites. Au final, le domaine viticole produit trois couleurs de vins comptant 75 % de rosé, 15 % de blanc et le reste en rouge. Les stars du domaine En contrepartie de son rendement limité oscillant entre 60 et 70 000 bouteilles par an, le Clos des Roses garantit des produits d’excellence sur le plan qualitatif. Trois cuvées exceptionnelles font figure de stars du domaine. La « Dame de Cœur 2015 » AOC Côtes-de-Provence est une cuvée de prestige, charnue, avec des arômes de fruits rouges en bouche, au nez floral, délicat et subtil. Elle se sert idéalement avec des plats frais comme un carpaccio de Saint-Jacques. À réserver pour les occasions spéciales. Le « Clos des Roses Côtes-de-Provence 2015 » AOC Côtes-de-Provence trône au panthéon des meilleures cuvées du domaine. Cette année encore, il a remporté une médaille d’argent lors du Concours général agricole de Paris, après ses médailles de bronze en 2014 et 2015. « Mademoiselle Rose » Vin de Pays des Maures IGP, quant à lui, est composé de cinsault et de mourvèdre à 60/40. Ce rosé plus éphémère, long en bouche, avec des notes fruitées, est idéal pour les apéritifs. ...
Issue d’une lignée de viticulteurs de père en fils, le Domaine Jaume s’attache à accorder un soin particulier à sa terre et à ses vignes voilà maintenant plus d’un siècle. Animée par la même passion, elle s’efforce aujourd’hui de valoriser la typicité de son terroir dans le respect de l’environnement et de la tradition. Un vignoble, deux terroirs Vinsobres est le premier cru des côtes-du-rhône de la Drôme provençale. C’est là que le Domaine Jaume a choisi de cultiver ses vignes sur une superficie totale de 92 ha. Le vignoble repose sur deux terroirs : le coteau et les collines. Tandis que le premier est constitué d’un sol argilo-calcaire présentant des strates de calcaire assez profondes, le second est plutôt sablonneux avec une présence en quantité égale de limons et d’argiles. Sur ces différents sols poussent une belle palette de cépages composée de grenache, de syrah et de mourvèdre, utilisés pour l’élaboration des vins rouges, ainsi que des roussanne, marsanne, clairette, grenache blanc et viognier pour les vins blancs. Vinéa Natura, la charte écologique propre au Domaine Jaume Soucieuse de préserver l’équilibre naturel du sol, la famille Jaume privilégie depuis 20 ans une viticulture responsable et met en place des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. De génération en génération, le domaine a su préserver et perfectionner une méthode de travail qui lui est propre. Celle-ci est désormais inscrite dans une charte environnementale appelée Vinéa Natura. « À travers notre charte, nous souhaitons montrer aux gens notre façon de travailler et leur expliquer qu’il y a d’autres solutions alternatives qui fonctionnent très bien en dehors du bio », souligne Anthony Jaume, responsable commercial. Labour traditionnel, apport d’engrais organiques, désherbage naturel, enherbement avec des céréales et des légumineuses, confusion sexuelle pour protéger les vignes contre les insectes… Ici, tout est fait pour que la culture soit en harmonie avec la Nature. « Ce qui nous importe le plus, c’est que nos vins soient exempts de tous résidus», rapporte notre interlocuteur. Côté vinification, celle-ci se fait dans le plus pur respect de la tradition. « Nous faisons presque tout à la main », spécifie Anthony Jaume. Ainsi, le pigeage et le remontage sont réalisés manuellement. La maison accorde une importance particulière à la phase d’élevage et procède chaque année à de nombreuses expériences afin de déterminer le contenant le mieux adapté pour ses vins. Des vins exceptionnels Le domaine élabore des cuvées d’exception qui sauront, à coup sûr, ravir le palais des consommateurs, qu’ils soient amateurs ou avertis. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Altitude 420 » est, à juste titre, la plus représentative. Elle est obtenue à partir de l’assemblage de 60 % de grenache et 40 % de syrah. Au nez, ce vin dévoile des notes de fruits rouges et une belle ampleur sur les fruits frais comme la groseille et le cassis. Afin de préserver les arômes et les tanins fondus, cette cuvée a été partiellement élevée en foudre. Au niveau des accords, elle est la complice idéale pour accompagner des viandes rouges grillées. ...
Un cadre charmant à la touche « Vieux Paris », un grand bar et du mobilier en bois ancien, un peu de jazz en musique de fond : la simplicité y côtoie le raffinement pour cultiver la convivialité et l’ambiance chaleureuse. Le havre idéal pour se détendre après des activités dans le frétillant 18e arrondissement de Paris. La cuisine traditionnelle à l’honneur À L’Anvers du décor, la saisonnalité et la fraicheur des produits utilisés sont des engagements au quotidien. On y propose tous les jours, de 9 h à 23 h, des délices faits maison typiquement français dans une carte riche et diversifiée. Les entrées succulentes comme le carpaccio de saumon frais marin ou les escargots de Bourgogne donnent le ton. Le chef laisse ensuite transparaitre d’autres subtilités à travers le poisson frais du jour ou des viandes tendres et délicieuses, le tout accompagné d’une garniture au choix (riz, frites maison ou haricots verts). Les convives n’ont que l’embarras du choix entre la cuisse de poulet rôti aux herbes, le confit de canard, la souris d’agneau braisée au romarin, la côte de bœuf pour deux, la côte de porc grillée du Pays basque ou encore les sardines grillées au sel de Guérande. Salades et pâtes variées sont aussi au rendez-vous. Mais dans cette adresse hors pair, ne pas gouter aux moules marinières (origine France) est presque un péché. Sous les mains du chef, ce plat n’en reste pas un, il devient un véritable chef-d’œuvre culinaire. Et la magie ne s’achève qu’après avoir apprécié le mi-cuit chocolat crème anglaise, la tarte du jour ou la crème brulée à la vanille. ...
Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...
À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil. Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant. Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible). Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie… La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges. Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...
Depuis le 10 janvier, Le Repaire de Bacchus a pris ses quartiers sur les toits de Paris, au sein d’un univers dédié au meilleur de la gastronomie et de l’artisanat. Un défi passionnant pour l’enseigne qui intègre là une formidable vitrine internationale sans rien perdre des valeurs qui la caractérisent depuis sa création.Sur 200 mètres carrés, soit un espace quatre fois plus vaste que celui de ses boutiques habituelles, cette 40ème adresse propose la plus alléchante et prolifique route des vins hexagonale qui soit. 1500 références de vins, 350 références de spiritueux et 100 bières exclusivement françaises Dans un décor accueillant, sobre et chic, aux couleurs de l’enseigne, elles y sont savamment mises en scène. Dès l’entrée, un magnifique bar d’époque Napoléon III, ancien bar de l’Académie du Vin fondée par Steven Spurrier et Michel Dovaz, dédié aux champagnes donne le ton. On peut y savourer des références renouvelées régulièrement à partir de 10 € la coupe. Puis l’on parcourt toutes les régions de France : si l’on retrouve des références historiques de l’enseigne, cette nouvelle adresse a aussi adapté son offre à une demande qui ne sera pas celle d’une clientèle de quartier. -Plus de Bordeaux : c’est notamment le cas des grands crus classés, dont les 1er Grands Crus Classés que l’on peut dénicher dans 7/8 millésimes incontournables. -Une superbe sélection de Bourgogne : les climats les plus prestigieux de la côte de Beaune et de la Côte de Nuit ou du Chablisien sont présents à travers des vignerons ou des maisons emblématiques. Les Comtes Lafon, Domaine Leroy, Raveneau, Roumier, Dugat-Py, Dauvissat, Chevalier, la Romanée-Conti font rêver bien sûr, mais l’amoureux de bourgognes trouvera aussi largement son bonheur avec des pépites moins célèbres donc plus accessibles et judicieusement choisies. -Les autres régions telles que la Loire, la Vallée du Rhône, l’Alsace, la Champagne ou la Provence équilibrent leur offre entre quelques références emblématiques, découvertes et vignerons historiques de l’enseigne. Ainsi des cuvées Silex de Dagueneau, Château Rayas et Château Beaucastel dans plusieurs millésimes, la maison Trimbach côtoie une sélection de vins accessibles conçus pour un pur plaisir hédoniste bien dans l’ADN de l’enseigne. -Une gamme de prix très large pour tous les budgets : l’on déniche les bouteilles les plus accessibles à 5 euros et une grande partie de l’offre se situe entre 8 et 20 euros. Même si cette 40ème boutique intègre l’univers du luxe, elle n’en a pas perdu pour autant ce qui constitue l’âme de la chaîne : celui d’un caviste artisanal de rue proche de ses clients. -Une offre en magnum conséquente : chaque région s’assortit en moyenne d’une vingtaine de références proposées en magnum, un format très attractif et prestigieux. Et sans oublier les demi-bouteilles. De la rue des Acacias au Printemps du Goût Le Repaire de Bacchus, c’est 35 ans d’aventure humaine saupoudrée d’un grain de folie. Lorsque Dominique Fenouil créé son premier Repaire de Bacchus, en 1983, c’est un peu grâce à la coupe du monde de football 1982 ! Directeur de la promotion chez Radiola, il imagine de récompenser les meilleurs clients avec des caves à vin et part sillonner le vignoble, une passion chez lui. Budget : l’équivalent de 2 millions d’euros. Il prend goût à cette activité et créé donc l’année suivante une boutique, en réalité, plutôt un club d’amis épicuriens à la recherche de bons vins, pas forcément les moins chers du marché, puis s’installe rue des Acacias, dans le 17ème arrondissement de Paris. Rappelons qu’à cette époque, on prédisait la mort du caviste, laminé par l’émergence de la grande distribution. « Je me disais qu’il y avait un marché pour les amateurs. De fait, ça ne désemplissait pas : notre premier bénéfice, l’équivalent de 80 K€, représentait l’équivalent de 2 Porsche &agra...
Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures. Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château. ...
Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes. À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs. Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur. Une farandole de saveurs Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés. Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment. ...
Au cœur de Saint Emilion, place du Marché au Bois, une jolie bâtisse abrite Le Logis de la Cadène. Pour les familles du village et des environs, c’est une véritable institution qui a trouvé un nouveau souffle depuis que Stéphanie de Boüard-Rivoal a décidé d’en faire l’acquisition en 2013 au nom d’Angélus, la propriété familiale qu’elle dirige. Logis de la Cadène : une adresse historique Le choix de ce lieu, fondé en 1848, ne doit rien au hasard. Lorsque Stéphanie de Boüard-Rivoal l’évoque c’est en convoquant ses souvenirs d’enfance. Ici, elle venait en famille déguster la viande cuite aux sarments, dans la plus pure tradition locale. De cette histoire, Le Logis de la Cadène a conservé la convivialité et l’ancrage dans le terroir mais, depuis 2013, l’établissement a aussi considérablement évolué pour devenir une adresse prisée des gourmets et des gourmands, le prolongement idéal d’une visite dans les vignobles voisins. Le Logis de la Cadène a été entièrement rénové pour qu’on s’y sente comme dans une maison de famille. Le décor épuré à l'esprit « rustique-chic », dans les deux salles à manger, le petit salon de lecture et les cinq chambres toutes uniques et très cosy où dominent les matières nobles et brutes, crée une atmosphère à la fois chaleureuse et élégante propice à l’éveil de tous les sens. Une cuisine inventive et raffinée En coulisses, le jeune chef Alexandre Baumard,disciple de Paul Bocuse qui poursuivit ses « classes » auprès d’autres grands noms de la gastronomie tels Christophe Bacquié à l’Hôtel du Castellet (***) ou encore Laurent Saudeau au Manoir de la Boulaie (**), allie une grande maîtrise technique à un style personnel déjà bien affirmé. Son credo : la créativité au service des produits du terroir et de la tradition culinaire française qu’il prend plaisir à revisiter et à réinterpréter, selon les codes actuels mais toujours avec un infini respect pour les fondamentaux. Une approche et un engagement passionné très vite salués par une première étoile au Michelin et une clientèle d’habitués et de voyageurs du monde entier, propulsent ce jeune talent parmi les grands. Récemment, Alexandre Baumard a décidé d’innover en ne proposant plus de carte mais seulement quatre menus. Une manière sans doute de pousser encore plus loin son goût pour la précision et une forme d'ajouter de la simplicité dans la sophistication. Le Menu du Marché, le Menu Découverte de Terroirs et le Menu Inspirations proposent, crescendo, un voyage dans les propositions du Chef et la dégustation de vins issus de la cave du restaurant, riche de plus de mille références. Dans le Menu Signatures, l’un des plats emblématiques de l’Auberge du Pont de Collonges -le célèbre Rouget Barbet en écailles de pommes de terre croustillantes du mentor et maître Paul Bocuse- côtoie deux créations d’Alexandre Baumard : Les truffes « Melanosporum » de Guillaume Ge en risotto lié au parmesan et Le tourteau de nos côtes, en deux services, quinoa à l’huile d’agrumes, légères touches de combawa, sorbet carottes gingembre, caviar d’aquitaine « Perlita » de la Maison l’Esturgeonnière dans un dialogue original où la tradition et la modernité se conjuguent au présent. Avec ce choix de menus, Alexandre Baumard, chef enthousiaste et exigeant, entend partager encore davantage son amour des beaux produits dénichés auprès de producteurs locaux et son plaisir à les travailler en déclinant textures et cuissons. C’est toujours ultra précis, parfaitement maîtrisé et immanquablement délicieux ! La description ne serait pas complète sans évoquer le jeune et talentueux chef-pâtissier Damien Amilien, qui fait fondre de plaisir tous les amateurs de douceurs. Le duo harmonieux que forment les deux jeunes Chefs trouve dans Le Logis de la Cadène l’écrin idéal pour exprimer sa créativité et déployer son talent. Entre ces murs, l&rsquo...
Dans le domaine de l’ostréiculture, la côte bretonne a toujours été associée à une production de qualité. Déjà à l’époque de l’Empire romain, les huîtres d’Armorique jouissaient d’une excellente réputation et étaient très prisées de la noblesse romaine. Aujourd’hui, la renommée des huîtres de la baie de Quiberon et de l’huître de Cancale n’a pas pris une seule ride et dépasse largement les frontières de l’Hexagone. Les huîtres bretonnes Qu’elles soient plates ou creuses, les huîtres de Bretagne ont une saveur incomparable. Cela s’explique notamment par une forte teneur en iode ainsi qu’à un équilibre parfait entre le sucré et le salé. Il faut dire que, dans la région, les huîtres bénéficient de conditions d’élevage optimales. Un environnement sauvage et préservé allié à un savoir-faire presque « ancestral » des ostréiculteurs de la région fait des huîtres bretonnes les meilleures au monde. Bien que l’on se dirige actuellement vers une tendance à la modernisation de la filière, certains ostréiculteurs restent farouchement attachés à des valeurs plus traditionnelles. C’est le cas de Jean-Noël et Tifenn YVON. Les établissements Yvon, des huîtres naturelles de qualité Installée à Listrec depuis les années 50, l’entreprise a été reprise par l’actuel producteur en 1989. De père en fils, la famille a su faire perdurer sa passion pour les huîtres tout en maintenant un degré de qualité élevé. En vue de garantir cette qualité sur le long terme, l’entreprise a adhéré au réseau Cohérence et se plie rigoureusement à un cahier des charges très strict. Privilégiant une exploitation rationnelle, elle adopte une démarche reposant totalement sur le respect du cycle naturel de l’huître. Les huîtres poussent en mer sur 14 ha du domaine public maritime avec une partie en élevage au sol et l'autre dans des poches (8 000 environ). Une exploitation à petite échelle si l’on se réfère à la structure de production autorisée. Ce respect du produit et de l’environnement s’inscrit parfaitement dans le cadre du mouvement Slow Food auquel adhère l’entreprise. Elle est devenue d’ailleurs sentinelle Slow Food depuis 2009. Créé en 1986 par l’Italien Carlo Petrini, ce mouvement se veut garant du bien manger avec une nourriture de qualité en opposition au concept de fast-food. ...
Au cœur de Nantes, un endroit exceptionnel attire la curiosité et l’intérêt : L’Assise. Il s’agit d’un restaurant installé dans les murs de l’ancienne cour d’assises, datant de 1851 et rénovée par l’architecte Jean-Philippe Nuel. Le restaurant joue la carte de l’élégance et de la modernité, tout en gardant son charme originel. Les meubles de couleur rouge et fuchsia apportent une touche de fantaisie, tandis que le jeu de faisceaux colorés projeté sur les murs à la nuit tombée invite à un voyage à la découverte de l’univers du célèbre écrivain nantais Jules Verne. Durant les beaux jours, les terrasses révèlent des couleurs gaies et vibrantes, qui sont en parfaite harmonie avec la salle intérieure. Une cuisine fusion Tout comme l’endroit, la cuisine proposée est d’une élégance rare. Avec subtilité, le chef Frédéric Laval revisite les grands classiques de la gastronomie française, en y apportant une petite touche de modernité. Son but est avant tout de proposer des plats simples mais créatifs, où les produits sont mis en avant. Parmi eux figure le fameux tartare de Saint-Jacques acidulé d’espuma d’huitres ou encore l’émincé de ris de veau aux douceurs d’oignons rouges à l’encre de seiche et vanille. Et pour épater les gourmands curieux, le chef n’hésite pas à s’aventurer sur de nouveaux horizons culinaires. Il propose ainsi des plats venus d’ailleurs, notamment issus de la cuisine asiatique et italienne, retravaillés à la façon Laval. Une occasion pour les convives de déguster le savoureux tataki de bœuf à la sauce teriyaki, accompagné d’une mousseline de pommes de terre au wasabi. Ce plat a été adapté d’une recette japonaise qui, à l’origine, a pour base le thon et l’espadon. Les saveurs de cette suggestion culinaire sont rehaussées par un succulent Médoc Cru Bourgeois, Château Les Ormes Sorbets 2007. D’ailleurs, côté vins, la cave tente de satisfaire toutes les envies grâce à ses nombreuses références. La cuisine est un travail d’équipe Le chef Frédéric Laval ne manque donc pas d’idées pour exprimer et exploiter son amour et sa passion pour la cuisine. Le principal but étant de répondre aux attentes des convives. Et, pour cela, il a toute une équipe derrière lui pour le soutenir et l’aider. Fidèle aux valeurs « Yes I can » du groupe, celle-ci exprime une volonté de tendre vers l’irréprochable et veille à assurer la meilleure qualité de service. La carte, élaborée avec le personnel, reflète d’ailleurs cet esprit d’équipe. En accord avec les produits de saison, elle est régulièrement renouvelée. De même pour les menus qui ont été créés pour s’adapter aux envies et au budget des convives. Ainsi, il y a le menu Pause Déjeuner à 17 €, qui est servi en moins de 30 minutes. En attendant celui-ci, une soupe froide ou chaude est servie en guise d’amuse-bouche pour faire patienter les convives. Pour les tout-petits, le menu enfant est constitué de plats savoureux et équilibrés, adaptés à leurs besoins. Enfin, le menu Nantais à 35 € rend hommage à la ville. Côté desserts, c’est le chef pâtissier Emmanuel Lebreton qui surprend avec des créations simples et savoureuses telles que la tarte crémet nantais au parfum de coing, le sablé breton crémeux au citron et à la bergamote ou encore la religieuse au caramel beurre salé. ...
Bienvenue dans un univers magique ! Un majestueux palais fleurant bon la cuisine d’exception. Là où l’art, dans toute sa splendeur, règne en maître, les chefs-d’œuvre architecturaux contrastant élégamment avec une décoration contemporaine aiguisent l’appétit des hôtes friands de délices. Exaltation des sens et succulences raffinées viennent embellir ce lieu dédié à la perfection. Une cuisine expressive et prestigieuse Un déjeuner ou un plat à la carte, la cuisine délectable du Pré Catelan Lenôtre s’apprécie sans modération. Ici, la haute gastronomie se conjugue avec des produits maniés avec délicatesse et savamment révélés par une équipe passionnée et maîtrisant l’art de l’effluve culinaire. Allant du ris de veau, au goût flatteur, à la langoustine, audacieuse et succulente, chaque plat est une invitation à l’extase gustative. L’essence des assiettes revêt la forme d’une mosaïque de saveurs excitant les papilles. Idéalement accompagné d’un spiritueux d’une prestigieuse cave à vins et à champagnes aux mille références, chaque menu s’en trouve sublimé. Christelle Brua, pâtissière de renom et ambassadrice de l’excellence gastronomique au féminin, vient magnifier les assiettes de délices sucrés élaborés avec créativité et raffinement, à l’image d’un paris-brest onctueusement préparé pour illustrer l’élégance. Cette table prestigieuse, fière de sa réputation forgée sur plus d’un siècle au service de l’excellence, est l’expression même de la quintessence gastronomique. ...
Les origines de la distillerie Massenez remontent à 1870. À cette époque, Jean-Baptiste Massenez assure la profession de bouilleur de cru. Bien décidé à suivre les traces de son père, son fils Eugène Massenez deviendra plus tard un Maitre distillateur réputé. En 1913, celui-ci marque l’histoire de l’entreprise en distillant pour la première fois de la framboise sauvage. Une présence à l’international En 1950, Gabriel Massenez, 3e génération, sera celui qui va propulser la maison Massenez sur le marché mondial. Faisant preuve d’audace, il mise sur l’export et réussit à conquérir le marché américain, suisse, allemand et autrichien. Dans la foulée, Gabriel Massenez réalise un coup de maitre, en allant s’imposer en Asie (Hong Kong, Singapour, Tokyo, Tahiti), où la framboise était jusque-là méconnue. Mieux, il a réussi à faire de la distillerie, une marque incontournable dans la haute gastronomie. « Grâce à la framboise, Gaby Massenez a su s’imposer sur les plus belles tables étoilées aussi bien en France qu’à l’étranger et a notamment côtoyé les plus grands chefs comme Paul Bocuse, Pierre Troisgros ou Roger Vergé », souligne Élodie Naslin, directrice marketing et communication du groupe Peureux. Aujourd’hui, Manou Massenez, fille de Gabriel Massenez, poursuit le travail à l’export, en assurant la présence de la marque dans plus de 110 pays. Les nouveautés Rachetée en 2011 par les Grandes Distilleries Peureux, la maison Massenez continue d’innover sur le segment du luxe. « Massenez dispose d’une identité très forte. La marque est reconnue dans le monde pour la qualité et la finesse de ses produits de haut de gamme », indique notre interlocutrice. Misant sur la nouveauté, la maison vient récemment de lancer « Golden Eight ». À travers ce nouveau produit, la distillerie revisite un de ses grands classiques : la liqueur de Poire Williams. Cette dernière, dont la recette a été revue, se dote désormais d’une bouteille très design avec un flacon épousant la forme d’une poire. Golden Eight se compose d’un assemblage d’eaux-de-vie de poires Williams de plus de 8 ans d’âge, complété par une note de vanille et de caramel. Cette liqueur gourmande à la remarquable fraicheur représente la quintessence des savoir-faire de la distillerie Massenez. « En 3 ans, Golden Eight est devenu le best-seller de la maison. Il est distribué sur les vols d’Air France et dans d’autres compagnies aériennes ». Un concept très féminin Consciente de l’engouement de la nouvelle génération pour les cocktails, la maison a également créé tout un concept de cocktails autour de Miss Massenez. Il s’agit d’une nouvelle égérie intemporelle qui s’est inspirée de l’identité très féminine de la distillerie. « Miss Massenez nous a permis de confectionner de nombreux cocktails à base d’eaux-de-vie de fruits, de crème et de liqueur de fruits », explique Élodie Naslin. Empreinte d’élégance et de raffinement, Miss Massenez se décline en plusieurs saveurs. Parmi la gamme de produits figurent les concentrés de cocktails tels que la pina colada ou le mojito. ...
Actuellement, la maison Martial-Couvreur travaille sur un vignoble de 7 ha. Grâce à la richesse et à la variété géologique du terroir, le vignoble se compose de trois cépages dont 15 % chardonnay, 40 % meunier et 45 % pinot noir. C’est donc tout naturellement que les cuvées élaborées par la maison s’enrichissent des arômes issus de ces cépages. Un savoir-faire reconnu Pour pouvoir offrir des champagnes de qualité dignes des plus grands événements, la maison Martial-Couvreur mise sur une élaboration traditionnelle. L’exploitation privilégie une viticulture raisonnée avec un profond respect pour la terre. En ce qui concerne la vinification, celle-ci est confiée aux soins de l’Union des producteurs des grands terroirs de la Champagne. Une coopérative agricole dont le professionnalisme est reconnu et salué par les plus grands œnologues. « Cela fait partie de notre particularité, puisque nous faisons partie d’une coopérative, nos bouteilles ne renferment pas uniquement notre terroir mais un assemblage de terroirs différents », nous indique-t-on. Les cuvées phares de la maison Depuis quelques années, la marque Martial-Couvreur s’est spécialisée autour de la thématique du mariage. « C’est venu très naturellement avec le caractère de ma mère, elle a une véritable empathie pour les gens », confie Aymeric Couvreur. Les futurs mariés pourront donc faire leur choix parmi une palette déclinée en six nuances. À commencer par « La Ravissante ». Mêlant finesse, puissance et rondeur, cette cuvée est élaborée à partir de 40-45 % de chardonnay et 55-60 % de pinot noir. « La Palpitante » s’habille d’une robe or pâle avec des reflets verts et présente une belle longueur en bouche. Celle-ci s’obtient à partir d’un assemblage de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot. « L’Innocente », quant à elle, fait à 100 % de chardonnay. Une cuvée Blanc de Blancs dotée d’une grande finesse très appréciée par la gent féminine. « La Sémillante » adopte une teinte rose saumoné et se distingue avant tout par son caractère festif et fruité. Pour continuer, « La Charmante » est obtenue à partir d’un assemblage de 60-65 % de chardonnay et de 35-40 % de pinot noir. Cette cuvée de prestige est vieillie quatre ans en cave pour développer tous les arômes et acquérir une rondeur très particulière. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et présente « La Galante », un millésimé 2008 en hommage à Christian Couvreur. Il s’agit d’un vin d’exception qui réunit à la fois souplesse, élégance et onctuosité. Dix années de vieillissement en cave auront été nécessaires pour proposer un savant mariage de puissance aromatique et de fraîcheur. ...