Fondée en 1932, cette entreprise familiale est aujourd’hui menée d’une main de maître par les frères Fabrice et Florent. S’ils ont hérité du savoir-faire et de la rigueur de leurs ancêtres pour mener à bien leur métier, ils le réalisent de plus avec une passion qui fait leur réussite. Un vignoble idéalement placé D’une surface totale de 15,8 hectares, le vignoble de la maison Autréau-Lasnot est réparti sur neuf communes aux alentours du village de Venteuil. Installé à flanc de coteaux avec un sol majoritairement argilocalcaire, celui-ci est idéalement exposé sud, garant d’une maturité exceptionnelle des raisins. Les trois cépages champenois y sont cultivés, mais, de par son apport en fruité et en rondeur, le pinot meunier est plus que favorisé, avec une part de 65 % du vignoble total. Rigoureusement entretenu, le vignoble tend plutôt vers la qualité que vers la productivité. Des vignerons indépendants et récoltants-manipulants Vignerons indépendants, c'est-à-dire que leurs cuvées sont uniquement issues de leur propre vignoble, les frères Florent et Fabrice sont également récoltants-manipulants, car ils maîtrisent toutes les étapes de la fabrication de leur champagne. Les cuvées y sont élaborées dans le plus pur respect de la tradition, selon les anciennes méthodes. Chaque année, 100 000 bouteilles sont commercialisées, réparties en neuf cuvées toutes aussi exceptionnelles les unes que les autres. Parmi ces neuf cuvées, celle qui reflète le plus le terroir et la personnalité de la maison Autréau Lasnot est le Blanc de Noirs « Bleue Nature » (La Minérale). Issu à 90 % de meunier et à 10 % de pinot noir, ce champagne sans dosage allie fraîcheur et rondeur. Idéal pour un apéritif entre amis. ...
Une vie sauvée grâce au champagne. C’est l’histoire de Michel Gonet, qui, à cause d’une dysphasie, ne peut rien avaler. Il ingurgite alors quelques gorgées de ce précieux nectar, qui, par miracle, aident à soigner ses troubles. « Le champagne m’a sauvé… », s’exclame-t-il. De là commence une passion pour ce vin pétillant, qu’il partage avec toute sa lignée. Sophie et ses frères Frédéric et Charles-Henri Gonet forment les dignes héritiers de ce riche patrimoine. Une réflexion permanente sur la qualité Michel Gonet installe des outils de production plus modernes dans son domaine à partir de 1973. Depuis, la maison continue de viser l’excellence en perfectionnant constamment la qualité du travail en cave et dans les vignes. Elle mise sur la diversité de son terroir pour produire des champagnes purs, racés, au caractère unique. Originaire de la côte des Blancs, fief des grands crus, Champagne Michel Gonet a la chance d’être installé sur un terroir plein est, qui procure de la longueur, de la finesse et de l’élégance aux vins. Les vignes situées à Oger, à Mesnil-sur-Oger, à Vindey, à Mongueux et à Fravaux sont composées de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Si, pour la plupart des vignerons, les problèmes climatiques engendrent d’innombrables contraintes, Sophie Gonet reste optimiste : « Avec le phénomène de réchauffement climatique, les raisins atteignent plus facilement la maturité, sans le besoin de rajouter beaucoup de dosages. L’acidité due au manque de maturité est ainsi évitée. Nous obtenons des champagnes plus naturels. » Des champagnes monocépages au caractère affirmé Fleuron de la maison, le Blanc de blancs Grand Cru 2009 reflète parfaitement le terroir, puisqu’il s’agit d’un monocépage de chardonnay. Issu des grands crus de la côte des Blancs, il exprime un caractère racé avec des arômes minéraux et floraux, tout en délicatesse et en élégance. À 100 % de chardonnay également, la cuvée Authentique 2004, provenant de vieilles vignes du Mesnil sur Oger, fait la fierté de la famille Gonet. Distillant de puissants arômes de vanille avec une belle association de fruits exotiques et d’épices, cette cuvée sublime les mets sucrés et salés, et tous les plats exotiques. D’ailleurs, dans une optique d’initier les amateurs à la dégustation de ses divins nectars, la maison organise des repas associant mets et champagnes. Des visites de cave et des initiations à la dégustation sont également proposées tout au long de l’année, sur rendez-vous de préférence. ...
Le Domaine du Moulin de Lachaud se trouve dans un cadre champêtre à Sainte-Fortunade dans le département de la Corrèze. Bruno et Armelle seront heureux de vous y accueillir en toute saison pour un séjour au calme ou pour déguster une cuisine gastronomique inspirée du terroir. Le domaine est aussi un lieu idéal pour des repas de famille, des anniversaires ou des mariages. L’hébergement : une large palette d’espaces dédiés Au Domaine du Moulin de Lachaud, vous pourrez résider dans l’une des 3 chambres d’hôtes ou dans le studio, tous prévus pour recevoir 2 personnes. Si vous recherchez plus d’originalité, vous pourrez choisir la hutte gauloise pour 4 personnes ou encore l’ancien moulin rénové qui peut accueillir jusqu’à 10 personnes. Si vous préférez le camping, une plateforme surplombant l’étang est réservée aux camping-cars. Eau et électricité sont ainsi à disposition. Le restaurant : une cuisine gastronomique inventive La salle du restaurant vous accueille dans un espace coloré et moderne. L’été, vous pourrez aussi profiter de la terrasse de 100 m² avec une superbe vue sur l’étang. Le chef vous régalera avec sa cuisine gastronomique inventive et raffinée. Tous les plats sont concoctés à partir de produits frais et de saison. En entrée, le magret fourré au foie gras ou le duo de foie gras mi-cuit aux fruits secs et écorces d’orange confites sont des spécialités maison très appréciées. En plat, le grenadin de veau aux girolles fera succomber vos papilles. Mais les pâtisseries sont également à l’honneur avec le pudding à l’ananas, une recette familiale très légère sans lactose ni gluten, ou la tarte Mojito à base de jus de citron jaune et vert, de menthe et de rhum. Ici tout est fait maison, même le pain bio est préparé sur place, comme par exemple celui au petit épeautre. Des concerts et des soirées à thème y sont organisés tout au long de l’été. L’étang : pour tous les amateurs de pêche L’étang situé sur le domaine s’étend sur 2,5 hectares et est alimenté par des sources naturelles. Ce site classé en titre vous dispense de la carte de la Fédération Nationale de la pêche. Vous pourrez y pêcher carpe, truite ou black-bass toute l’année sur réservation auprès du restaurant. Si vous aimez pratiquer la pêche à la mouche, rendez-vous d’octobre à février. ...
L’histoire des champagnes Taittinger commence en 1734 quand Jacques Fourneaux entame son activité de négociant en vins. C’est à cette époque que les vins effervescents commencent à s’imposer. Il travaille alors avec des abbayes bénédictines qui possèdent les plus beaux vignobles champenois. La famille Fourneaux s’associe au début du XIXe siècle avec la famille Forest pour continuer à produire des grands crus millésimés comme le Vin de Sillery ou le Vin de Bouzy. En 1932, suite à la crise de 1929, Pierre Taittinger rachète le château de la Marqueterie. Cette propriété dont les vignobles sont plantés en chardonnay et en pinot noir appartenait à la maison Forest-Fourneaux. Avec l’aide de son beau-frère Paul Evêque, ils créent la marque Taittinger et développent la production de champagne. Sous la présidence de François, le troisième fils de Pierre, la Maison Taittinger installe son siège social sur la butte Saint-Nicaise. Il y est toujours établi aujourd’hui. En 2006, Pierre-Emmanuel Taittinger rachète la maison de champagne éponyme après un court passage dans le giron de Starwood Capital. Ses enfants Clovis, directeur du département export, et Vitalie, directrice artistique, l’accompagnent dans cette entreprise familiale. Aujourd’hui, les vignobles se composent de multiples parcelles réparties sur 288 hectares, avec 37 crus différents et une prédominance du cépage chardonnay. La maison Taittinger emploie 220 personnes et produit six millions de bouteilles par an dont 70 % sont distribuées à travers le monde. Visite des caves Saint-Nicaise : un vrai parcours historique Après la diffusion d’un film vidéo présentant l’histoire de la maison, un guide vous présentera les secrets de la production du champagne. Ce voyage dans le temps vous mènera tour à tour dans les vestiges de l’abbaye Saint-Nicaise datant du XIIIe siècle, puis à dix-huit mètres de profondeur, dans de somptueuses crayères gallo-romaines faisant partie des coteaux, maisons et caves de champagne inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. À l’issue de la visite des caves, vous pourrez admirer la Taittinger Collection. L’ensemble des différentes bouteilles sont décorées par des artistes de renom, tels que Roy Lichtenstein ou Victor Vasarely et plus récemment le photographe brésilien Sebastião Salgado. La dégustation : un instant de plaisir La Maison Taittinger vous offre la possibilité de choisir entre différentes formules de dégustation qui vous permettront de déguster une ou plusieurs cuvées. L’instant Premier : la cuvée Brut Réserve issue d’un assemblage de 40 % de chardonnay, 35 % de pinot noir et de 25 % de pinot meunier, vieilli de trois à quatre ans en cave. Cette formule coûte 19 €. L’instant Dévoilé : vous pourrez goûter en plus du Brut Réserve un autre champagne de la Maison Taittinger. Le Prélude Grands Crus assemblé à partir de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir, une cuvée aux saveurs d’agrumes et de pêche blanche. Le Prestige rosé composé de 30 % de chardonnay et de 15 % de vin rouge tranquille, un champagne plus fruité, vif et gourmand. Ou encore le Brut Millésimé 2012, à l’intensité aromatique étonnante procurée par les vins de première presse de chardonnay et de pinot noir. Cette formule coûte 30 €. L’instant Signé : là, vous aurez l’occasion de découvrir, en plus du Brut Réserve, le fleuron de la maison Taittinger, la cuvée Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Ce Blanc de Blancs issu exclusivement de la prestigieuse côte des Blancs est vieilli dix ans dans les caves de l’Abbaye Saint-Nicaise, le temps nécessaire pour élaborer un champagne exceptionnel à la fois tout en finesse et en maturité. Cette formule coûte 40 €. L’instant Absolu : vous pourrez savourer trois flûtes dont une flûte de Brut réserve, une flûte de Prestige rosé ou Prélude Grands crus ou Brut Millésimé, et une flûte de Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Cette formule coûte 45 €. ...
Guillaume et Corinne vous accueillent dans un restaurant à l’ambiance chaleureuse et réconfortante. Telle une extension de la maison, Chez Nous² marque le début d’une aventure entre deux passionnés de cuisine que tout semblait diviser… Lui, passionné des Alpes et de tartiflette, et elle, une amoureuse des grandes terres du Montana et de cuisine méditerranéenne, avec toutefois une passion commune : le plaisir de recevoir de la clientèle au même titre que les amis et cuisiner pour eux. Un restaurant pour toutes les envies L’établissement baigne dans une ambiance qui s’adapte aux différents moments de la journée. Dans un rythme plutôt dynamique le midi, il reçoit une vague de clientèle qui arrive en même temps et qui repart également au même moment mais aussi une clientèle qui n’est pas forcément de bureau et qui prend un peu plus son temps pour déjeuner. Le soir, le restaurant propose des Popotes Dînatoires, où, sur un fond de mur coloré, les convives pourront prendre tranquillement un verre tout en partageant des plats conviviaux ou des assiettes-planches très gourmandes. Chez Nous2, « c’est surtout de la cuisine 100% fait maison même la pâte des tartes et les pâtes fraîches » déclare Corinne, propriétaire des lieux. Le midi, laissez-vous tenter par sa blanquette de veau faite dans les règles de l’art. Au registre des desserts, craquez pour son ile flottante farcie de fruits rouges et accompagnée de pain perdu comme à la maison. Le soir, découvrez notamment le velouté de Marennes, un velouté d’huitres très doux, qui est une belle découverte culinaire très appréciée des clients. Vous l’aurez compris, dans cet établissement, vous n’aurez droit qu’à des produits frais cuisinés sur place avec passion par le chef. Et comme garantie, attendez-vous à trouver de nouvelles cartes chaque semaine. Pour le weekend, notamment le samedi, Chez Nous2 propose un menu semi-gastronomique avec 3 entrées, 3 plats et 3 desserts au choix, une manière de faire découvrir à la clientèle une autre facette de sa cuisine. Le dimanche se veut plus convivial avec la formule du brunch à la française : un moment de plaisir à partager en famille avec son buffet de hors-d’œuvres à volonté (12 variétés disponibles), suivi de 2 plats chauds, dont 1 plat cocotte avec une brouillade d’œuf, sans oublier le buffet de desserts. Une carte des vins éclectique La carte des vins s’accorde avec la carte du déjeuner ou du soir et change une fois par mois. Tous les vins du restaurant sont proposés au verre de 12 et 16 cl mais aussi à la bouteille avec quelques très bons crus pour avoir de jolies gammes. Parmi les vins qui marchent le mieux figurent le Chorey-lès-Beaune (Bourgogne) et le Pouilly-Fumé (Loire), un vin blanc très fruité. ...
Le mot fourme vient du latin et signifie « mettre en forme le cailler ». En français moderne, ce mot signifie « fromage ». De là, est apparue la combinaison des mots « fourme d’Ambert », qui signifie « fromage d’Ambert en Auvergne ». Une histoire raconte qu’à l’époque napoléonienne, des écrits de dragon autrichien témoignent de l’achat du fromage à Ambert. Une denrée ensuite jetée dans la rivière parce qu’elle était moisie. Mode de fabrication Fromage à pâte persillée, la fourme d’Ambert se caractérise par sa forme verticale, ronde et haute. Elle est produite principalement en Auvergne, sur la montagne du Puy-de-Dôme (600-1 600 mètres d’altitude), dans 5 cantons du Cantal, mais également dans 8 communes de la Loire. La fabrication de la fourme d’Ambert se fait manuellement et naturellement, respectant ainsi les techniques ancestrales de fabrication et les valeurs même de son terroir d’origine. Le lait de vache est alors mélangé avec un champignon appelé le Penicillium Roqueforti, afin d’obtenir le persillage. Vient ensuite l’étape du caillage puis, le travail en cuve (découpage et brassage). La mise en moule se fait à l’aide d’un tapis afin de préserver les grains coiffés, pour aller directement à l’égouttage, où les fromages sont retournés durant 24-48 heures. Une des étapes les plus importantes est le salage qui se fait manuellement au sel sec, puis le piquage, qui consiste à créer des trous à l’aide de grandes aiguilles, pour permettre le développement du bleu. Pour finir : le passage dans les caves d’affinage, où la fourme d’Ambert repose durant vingt-huit jours. Un goût unique aux mille recettes De ce fromage bénéficiant de l’Appellation d’origine contrôlée (AOP) depuis 1972 naissent des milliers de recettes créées par des professionnels de la gastronomie, mais également par des amateurs de la cuisine. Facile d’utilisation, il rayonne aux quatre coins de la planète par son goût de champignon et sous-bois, à la nuance fruitée. En arôme, il dégage une odeur de cave. La fourme d’Ambert s’accorde avec tous types d’aliments, chauds, froids, ou sucrés, salés et même avec des boissons, comme le mélange du cappuccino de betterave et de la fourme d’Ambert. Elle sublime ainsi toutes les créations culinaires : tartelette de fourme d’Ambert aux brocolis et caramel de pommes, magret de canard, rillettes aux noix et à la fourme d’Ambert, crème brûlée à la fourme d’Ambert. ...
Disponibles en grandes surfaces et dans les supermarchés – « là où les gens ont l’habitude de faire leurs courses », les Cafés Missègue revendiquent un caractère très particulier. Ils sont torréfiés dans une entreprise familiale au cœur du Périgord. À la clé, une extraction traditionnelle et lente des arômes qui permet de les sublimer et de conserver toute leur subtilité. Une multitude de variétés pures Chacun son café. Brésil, Costa Rica, Mexique, les Cafés Missègue travaillent une quinzaine d’origines différentes. Chaque variété fait l’objet d’une attention particulière lors de la torréfaction, histoire de conserver sa personnalité et ses spécificités gustatives. « Même quand on fait des mélanges, des assemblages de cafés, on le fait toujours après torréfaction », rassure Patrick Andreu. Si l’enseigne propose ses produits moulus et en grains, notre interlocuteur évoque d’ailleurs une préférence des consommateurs pour les derniers. Une tendance qui s’est installée avec l’évolution du marché des machines à café en grains. Différents conditionnements allant de 250 g à 5 kg sont disponibles via le site de la marque qui entretient une affinité particulière avec l’arabica. La clientèle s’est particulièrement attachée aux mélanges concoctés par la maison. Dans la gamme bio, la « Sélection du torréfacteur » rafle de nombreux suffrages. Il s’agit d’un assemblage de trio de cafés, tous bio, où l’équilibre est établi entre le fleuri de l’un, le corps de l’autre et la douceur d’un troisième. Au rayon des cafés plus conventionnels, ce sont les Premium qui enregistrent le plus de préférence, avec les cafés spécialement conçus pour les machines à grains. ...
Le vaste vignoble compte 460 hectares classés en AOP Picpoul de Pinet. Sur un sol argilo calcaire, d’autres cépages tendent leurs arômes fruités : Chardonnay, Sauvignon, Terret, Merlot, Syrah, Grenache, Cinsault, Carignan ou Cabernet. Ici, les vins sont à l’image de leur terroir : ensoleillés, fruités et riches d’une fraîcheur toute minérale. Le dynamisme d’une entreprise passionnée Le vignoble des vins de la Famille de Beauvignac est la maison mère de la coopérative. Cette ancienne terre où vivait la baronnie de l’époque a fusionné dès 2003 avec d’autres caves voisines. Les Costières de Pomerols comptent aujourd’hui 250 vignerons. Ensemble, ils renouvellent l’image des vins de leur terroir, s’équipent et se modernisent, portés par des valeurs communes. L’amour des vignes, l’exigence pour des vins de qualité, le respect de l’environnement. Entouré de paysages bucoliques, voisin d’ostréiculteurs et à proximité de la lagune de Thau, le domaine prête une attention particulière à l’agriculture durable Les Costières de Pomerols comptent 110 médailles en 2019. Ici, la production ne se fait pas au détriment de la qualité. Les vins sont exportés dans 48 pays du monde, portant haut un terroir et ses saveurs méditerranéennes. ...
Depuis 40 ans, L’Etale a réussi le pari de surprendre à chaque fois ses convives en proposant une cuisine traditionnelle alliant à merveille fraîcheur, goût et générosité. L'institution de Morzine L’Etale est un établissement familial qui s’est transmis d’une génération à l’autre. En 1977, les grands-parents avaient commencé par un restaurant et, aujourd’hui, c’est Vincent Baud, le petit-fils qui tient les rênes. Le restaurant n’a pas subi beaucoup de changements mais les gens l’apprécient justement pour cela. Ce côté authentique que les propriétaires ont su fièrement préserver. L’Etale c’est l’endroit où aiment se retrouver les morzinois, tout comme les vacanciers ou les saisonniers. Certains sont même devenus de grands habitués, voire des amis de la famille. Un client nous souligne que « L’Etale, c’est un endroit chaleureux et très animé ». Pour ceux qui viennent en groupe, pas de panique ! A L’Etale, il y a de la place pour tous : la plage horaire étendue et le service continu permettant de manger à toute heure dans la rue la plus animée de Morzine. Une vraie brasserie de montagne Malgré un débit très important, l’Etale met un point d’honneur sur la qualité des produits. La cuisine épluche, émulsionne, taille les légumes, poche, déglace, blanchit, poêle, goûte, dresse. Ils se plaisent à dire « A L’Etale on cuisine ! ». D’ailleurs, le fait maison est le maître mot, même pour les pâtisseries. Avec ce restaurant éclectique, vous pouvez y aller pour un repas sur le pouce le midi comme pour un festin tard le soir. Et bien évidemment, tous les budgets et les palais s’y retrouvent. C’est également démontré par la carte de vin éclectique de l’enseigne. Par ailleurs, L’Etale n’oublie pas les végétariens ni les intolérances au gluten. Ici, vous avez la possibilité de déguster une fondue ou pizza sans gluten, ce qui en ravira plus d’un. Les grands classiques français comme la soupe à l’oignon ou encore les escargots de Bourgogne sont bien évidemment sur la carte. Les viandes sont de qualité et d’une traçabilité irréprochable. Ce sont des viandes provenant des races Montbéliarde, Charolaise, Limousine ou comme la Black Angus d’Argentine et qui ont reçu le label Grass-fed, prouvant que les bovins ont été nourri exclusivement d’herbes. Les spécialités de fromages et de viandes sont également à la carte et proposées à volonté comme la potence qui est un produit phare de la maison, de la viande de bœuf flambée au whisky, le tout exécuté sous les yeux conquis des invités. Un voyage gustatif s’offre à vous grâce à des plats venus des quatre coins du monde que ce soit du Japon, d’Inde ou encore du Cambodge, et ceci au gré des envies et des inspirations du chef. En toute fin de soirée, le restaurant change souvent de visage, il devient alors très festif et régulièrement tout le monde finit par danser autour du bar. Le chef barman, est quant à lui un personnage charismatique, expert autant en mixologie qu’en chauffeur de salle. Vous l’aurez compris, l’Etale est l’endroit à ne pas louper sur Morzine. Ses maîtres mots sont Rapidité, Qualité, Authenticité et Convivialité. ...
En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...
Créée en 2001 à l’initiative des parents et des enfants Geoffrey et Renaud, l’entreprise Péhu Guiardel & Fils exploite un vignoble dans l’Aube et dans La Marne. Vignerons indépendants dotés d’un grand savoir-faire séculaire, les Péhu travaillent les trois cépages régionaux, faisant de leurs champagnes des produits à savourer avec délectation et en toute occasion. Pour les visiteurs de passage dans la côte des Bar, le domaine propose une salle de dégustation dans un cadre chaleureux et convivial. Un champagne, trois villages Chez les Péhu, le champagne est à la fois une passion et un héritage transmis depuis cinq générations. « Anciens habitants de Verzenay et Rilly-la-Montagne, mes parents disposaient à l’époque d’un vignoble dans la Montagne de Reims où nous cultivons encore quelques parcelles. Vers les années 70, ils sont venus s’installer dans l’Aube pour investir dans Les Riceys », relate Geoffrey Péhu, l’actuel dirigeant du domaine. L’entreprise familiale exploite actuellement un domaine de cinq hectares où le pinot noir accapare environ 75 % de la surface cultivée. Le reste est consacré au meunier et au chardonnay pour l’élaboration des champagnes d’assemblage. Chaque année, la maison enregistre une production moyenne de 10 000 bouteilles destinées à la consommation locale et/ou étrangère. Quatre cuvées bien contrôlées Soigneusement manipulés dans les règles de l’art, les quatre principaux champagnes de la marque respectent une chaîne de fabrication stricte depuis la vendange au pressurage, en passant par l’assemblage jusqu’à la mise en bouteille. « Toutes les interventions sont rigoureusement notées sur un cahier des charges pour répondre aux exigences de la certification HACCP », atteste notre interlocuteur. Composé de 80 % de pinot noir et de 20 % de chardonnay, les champagnes bruts et demi secs de Péhu Guiardel & Fils conjuguent rondeur, caractère et élégance. On les apprécie volontiers à l’apéritif ou aux desserts. Quant au rosé, il est constitué de vin brut et de 15 à 16 % de vin rouge. Après vieillissement, on obtient un champagne plein de fraîcheur à la mousse légère et subtile renfermant des arômes fruités. Le blanc de blancs, lui, est fabriqué uniquement avec du chardonnay des Riceys et se reconnaît par sa grande fraîcheur. Côté Verzenay, l’incomparable cuvée Émotion s’invite à toutes les tables pour faire le bonheur des connaisseurs grâce à son caractère fruité et sa complexité. ...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante. Une gamme éclectique de cuvées S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise. Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison. Une expérience inédite au cœur de la Champagne Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé. Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est. ...
Destination idéale pour tutoyer les cimes entre France et Italie, Saint-Véran attire autant l’hiver que l’été. Réputé pour sa beauté et ses 2.040 mètres d’altitude, le village abrite l’hôtel l’Alta Peyra à l’architecture remarquable alliant luxe et authenticité. Tout y est pour passer un moment d’évasion exceptionnel: des chambres chaleureuses, un paysage de rêve, un personnel attentif sans oublier la touche gastronomique proposée par le jeune chef Alexandre Lechêne, issu de l’école Ducasse, et développant sa première grande table avec le Roc Alto. L’élégance à l’honneur Le Roc Alto est situé au dernier étage d'un des chalets qui composent l’Alta Peyra. Tout comme l’hôtel, il allie parfaitement l’élégance à la sobriété. Dès la porte franchie, l’atmosphère sereine et intime de la salle se ressent. La décoration combine des matériaux nobles et naturels qui s’intègrent parfaitement à l’esprit du village de Saint-Véran. Ainsi, le mobilier contemporain de Ligne Roset contraste à la perfection avec le parquet de vieux bois qui couvre le sol. Dans cette ambiance feutrée, l’ancienne cheminée dénichée auprès de l’antiquaire Zunino apporte un brin de romantisme à l’ensemble. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre. Il propose grâce à sa cuisine ouverte aux yeux des convives, un spectacle inédit où le chef et sa brigade en sont les talentueux artistes. Pour couronner le tout, le Roc Alto jouit d’une vue imprenable sur les sommets alpins du Queyras. Une escalade du plaisir gourmand Tout comme le lieu, l’authenticité de la cuisine proposée allie les plus grandes exigences. Des grands classiques méditerranéens en passant par les incontournables spécialités italiennes, le restaurant met à l’honneur la beauté et le goût des produits du terroir. La carte et les menus évoluent au rythme des saisons et des produits du marché. La carte propose trois entrées, quatre plats (poisson ou viande) et trois desserts au choix. Quant aux menus, les convives auront droit à un voyage culinaire décliné en trois étapes pour 58 €, ils se laisseront surprendre par la cuisine du marché et l’inspiration du chef avec le menu « Grands espaces ». Pour 78€, le menu « Les Contrepentes de l’Estoilies » reprend, quant-à-lui, les plats phares de la carte. En entrée, le choix s’annonce cornélien entre le fameux Petit épeautre de Lazer, le caviar des céréales typique de la Haute-Provence ou une nouvelle version du risotto accompagné d’asperges vertes de Roques-Hautes et de son jus. En plats, deux options se présentent : côté viande, la savoureuse côte de cochon des Hautes-Alpes accompagnée de radicchio et oignons rouges braisés au vinaigre balsamique démontre l’alliance maitrisée des saveurs et des textures. Côté poisson, le saumon de Fontaine du Rabious ravira par son goût délicieux, relevé par la sauce d’oignon Topea qui l’accompagne. En dessert, le citron en sucre soufflé accompagné d’agrumes épate les papilles par sa douceur et sa simplicité. Un chef passionné et passionnant Derrière ces œuvres culinaires aux accents méditerranéens se cache un chef aussi créatif que talentueux : Alexandre Lechêne. Après un parcours brillant dans les établissements d’Alain Ducasse, « Le Louis XV » et « La Trattoria » à Monaco, « Aux Lyonnais » à Paris, Alexandre décide de se poser à l’Alta Peyra où il met en exergue son savoir-faire et à sa créativité depuis 2012. Petit à petit, il affine son empreinte culinaire en sélectionnant rigoureusement les meilleurs produits proposés, d’artisans et de petits producteurs de la région, créant ainsi une cuisine sublimée par le travail des herbes de montagnes. Une confiance mutuelle s’est ainsi installée entre Alexandre et ses partenaires sans qui, rien ne serait possible. ...
Lille est une ville chaleureuse et accueillante, et les nombreuses richesses qui l’entourent lui confèrent tout son charme. Outre les innombrables parcs naturels (Jardin Vauban, Parc Matisse, Jardin écologique du Vieux-Lille, Jardin des plantes) , elle est entourée de nombreuses cités voisines sises près de la frontière franco-belge qui valent le détour. C’est dans ce versant nord de la ville que s’est implanté le restaurant A Taaable, un établissement qui surprend les gourmands par sa cuisine d’une rare convivialité. Un restaurateur autodidacte et passionné Ouvert depuis 2011, le restaurant A Taaable est dirigé par François Caudrelier. « J’avais envie d’ouvrir un vrai restaurant, un endroit où l’on fait vraiment de la cuisine et où on a le temps de s’occuper de chacun de ses invités. Un lieu pour partager la passion de la cuisine française avec des produits livrés chaque jour pour garantir la saveur et la qualité des plats concoctés », explique-t-il. Ce grand passionné travaille avec trois cuisiniers expérimentés et passionnés par leur métier. Quant aux ingrédients qu’il utilise, il choisit principalement les produits du terroir. « Je m’associe avec des fournisseurs qui répondent expressément à mes exigences, annonce le Lillois. Rendez-vous A Taaable dans une ambiance décontractée Le restaurant est décoré de manière simple, soignée et classique, tel un compromis entreune auberge et un estaminet. Ici, il suffit de regarder les ardoises accrochées au mur pour découvrir les suggestions du jour.«On ne fait pas de bonne cuisine sans amour des gens »,écrit le maitre des lieux sur ses ardoises géantes. Chaque soir, une ambiance feutrée se révèle. L’endroit se prête à tous les rendez-vous et à la découverte des saveurs de la région. La terrasse, installée sur l’incontournable rue de Gand, permet aux hôtes de profiter d’un agréable moment gustatif en famille ou entre amis.« Ce cadre, à la fois sobre et moderne, est limité à 34 couverts », fait savoir François Caudrelier. « C’est pour avoir la possibilité de s’occuper de chaque client, de leur faire plaisir, de répondre à leurs besoins mais surtout pour qu’ils reviennent avec le sourire ! » Du fait maison, pour une cuisine gourmande et généreuse Le restaurant propose une cuisine traditionnelle qui suit la saisonnalité. Parmi les spécialités de la maison figurent les pieds de cochon et la queue de bœuf en andouillette. Autre incontournable : le welsh de pirate, qui est un plat gallois, à base de cheddar fondu et servi sur une tranche de pain grillé. Ce plat proposé par A Taaable est considéré comme l’un des meilleurs welshs du Nord-Pas-De-Calais. Outre la carte, l’établissement propose un menu du midi, du lundi au samedi. Cette formule intitulée « Chic et pas cher » présente au choix deux entrées, deux plats et deux desserts. Pour un plat avec une entrée ou un dessert, le prix est de 14,50 € ; la formule complète est de 17 €. Quant à la Formule régionale,à 27 €, le choix est entre trois entrées, quatre plats et quatre desserts. ...
Aménagé avec goût jusque dans ses moindres détails, avec des dehors aux tons chauds rouge et chocolat, le restaurant séduit par ses jolies tables bien dressées et joliment nappées, et ses serviettes en tissu qui font la particularité de l’établissement. Ses murs en pierre parsemés de toiles et ses poutres apparentes confèrent d’autant plus au lieu une ambiance chaleureuse et rassurante, dans une parfaite harmonie. Articulée autour d’une carte comportant différents menus et formules, le restaurant laisse au client le libre choix d’une formule entrée-dessert à 18 euros, plat-dessert à 17 euros ou encore entrée-plat-dessert à 22,80 euros, sans parler du menu du chef affichant une fourchette entre 35 à 45 euros. Une cuisine de soleil À travers une cuisine traditionnelle évolutive et ensoleillée, axée à 90 % sur le poisson, Le P’tit Noirmout fait également la part belle aux légumes et aux fruits de saison, rigoureusement sélectionnés. Loin des sempiternels plateaux de riz, pâtes et frites, sa carte bouscule tous les codes dans une belle expression de fraîcheur et un bon rapport qualité/prix. Trilogie de palourdes rôties aux trois beurres sur pain à la pomme de terre maison, lotte meunière avocat, pamplemousse et fenouil, ou encore brioche vendéenne façon pain perdu caramel beurre salé sont autant de délices à savourer, et pas que pour le plaisir des papilles ! Le restaurant Le P’tit Noirmout dispose également d’une belle carte de vins exclusivement français, qui totalise près d’une cinquantaine de références incluant, entre autres, le Reuilly et le Saint-Chinian. Il compte par ailleurs bon nombre d’habitués, si ce n’est des familles et beaucoup d’amoureux. ...
Replongez au cœur de la période médiévale le temps d’une immersion ludique et conviviale au sein du château de Couches. Bâtie au XIIe siècle à la demande du duc de Chalon, cette forteresse a connu de nombreuses transformations architecturales entamées au XVe siècle sous l’impulsion de Claude de Montagu (1405-1471), chevalier de la Toison d’or et chambellan des deux derniers ducs de Bourgogne, donnant lieu à un magnifique musée à ciel ouvert constitué de bâtisses médiévales et historiques. À l’occasion d’escapades gourmandes, de séjours en terres viticoles ou d’événements d’entreprise, ce château se veut être un domaine d’accueil d’exception empli d’authenticité et bercé par la douce mélodie du vignoble de renom l’entourant. Un riche patrimoine à découvrir Ce château de charme, véritable témoin de l’ère médiévale, recèle une multitude de trésors architecturaux rigoureusement préservés. Ainsi, chaque visite est ici synonyme de voyage dans le temps ponctué de pauses gourmandes et festives. Allant du manoir gothique à la chapelle collégiale du XVe siècle, en passant par la tour de justice et sa collection d’armes ou la tour maîtresse du XIIe siècle, donjon d’antan, laissez-vous envoûter par le charme d’édifices séculaires ayant gardé toutes leurs singularités. Vestige de la lignée ducale bourgogne, ce joyau de l’architecture médiévale est également un ambassadeur de l’activité viticole de la région. Entre dégustations de vins, visites assurées par un guide vêtu des plus beaux habits du Moyen Âge ou festivals, chaque événement est placé sous le signe de l’identité gourmande de cette contrée aux mille facettes. Une ode à la richesse vitivinicole de la Bourgogne Outre les visites personnalisées organisées dans le but de découvrir le patrimoine archéologique et architectural du château des Couches, ce domaine est également le théâtre d’activités œnotouristiques uniques dédiées à la découverte de sa richesse viticole du terroir couchois. Appréciez ainsi la générosité de cette terre au sein du caveau de dégustation, aménagé pour permettre à chaque hôte de goûter en douceur des cuvées issues de cépages nobles tels que le chardonnay et le pinot noir. Les vins issus de la Côte du Couchois, une jeune appellation, invitent, par ailleurs, à la découverte du terroir de par la dégustation de quatre vins du domaine. Des cours d’œnologie sont, entre autres, prodigués au sein du château afin de faire connaître aux visiteurs les étapes de la dégustation et de la vinification, le vocabulaire œnologique, cinq vins typiques de la Bourgogne ainsi que les meilleurs accords mets-vins. Adonnez-vous également aux randonnées numériques « Par monts et par vins », et partez à la chasse aux mots-codes disséminés sur le vignoble, des codes qui feront office de pass pour accéder à une vidéo expliquant les richesses de ces terres de vignes. Une fois au château, vous bénéficierez d’une dégustation œnologique commentée et de réductions sur l’achat des vins du château, grâce aux codes que vous aurez collectés. Une activité ludique, conviviale et immersive à découvrir absolument. ...
Entreprise à taille humaine, Les Commis vous réconcilient avec vos fourneaux en vous proposant ses paniers de produits frais prêts à cuisiner. Avec des recettes originales et équilibrées, et surtout simples et rapides à préparer. Vous n’aurez plus d’excuses pour ne plus cuisiner chez vous. Manger des plats faits maison en toute simplicité Lancée en 2012, l’entreprise débute en proposant des repas gastronomiques en kit pour les soirs de fête. Depuis 2016, elle vous permet désormais de faciliter les repas du quotidien. Dans un colis livré partout en France en camion frigorifique, les clients trouveront tous les ingrédients nécessaires pour cuisiner 3 ou 4 plats en moins de 30 minutes ainsi que les fiches recettes. « Nous nous procurons directement à la source des produits d'une qualité exceptionnelle que nos clients auront du mal à trouver ailleurs », indique Cyril Francin, fondateur de la start-up. Un travail qui plaît aux consommateurs exigeants en quête de transparence et d'authenticité. Du frais ! Les recettes, quant à elles, changent toutes les semaines pour éviter la routine et respectent les saisons pour garantir la parfaite fraîcheur des légumes. « Nous proposons des recettes très faciles et très variées, tant dans les ingrédients utilisés que de la façon de les préparer », souligne l'entrepreneur. Elles sont concoctées par le chef Owen Marlaud qui trouve son inspiration dans la tradition gastronomique française, dans ses nombreuses expériences aux quatre coins du monde, mais surtout dans les produits, au fil des saisons. Et semaine après semaine, ceux qui choisissent de recevoir ces paniers sous forme d'abonnement progressent aux fourneaux, pour le plus grand plaisir de leur famille. ...
Les spiritueux A Valence, dans un petit entrepôt, nous faisons rapidement faire le tour du propriétaire : des alambics, coeur de la fabrication, des bouteilles en stock, prêtes à être vendues, des fûts dans lesquels vieillissent rhum et whisky. Là sont proposés pas mal de spiritueux : de l’Esprit de bière, de l’Esprit de malts, de la vodka quadruple distillation, du rhum blanc et du rhum humble, du whisky 3 ans d’âge (disponible en 2020), du London Dry gin et un apéritif à la mistelle de malts (du moût de malts), nommé Caryopse. Tout est fameux, vous ne vous tromperez pas ! Et il propose déjà un beau panel d’apéritifs et de digestifs, après seulement un an d’existence, il faut le souligner. La fabrication O’Baptiste utilise deux alambics, un de 50 et un de 300 litres. Pour chaque spiritueux qu’il fabrique, il fait deux passes (comprenez deux distillations). Ainsi, après la première macération, il obtient un brouillis, qui est ensuite re-distillé. A l’issu de cette double distillation, l’alcool titre 70 degrés. L’ajout d’eau permet d’obtenir le titrage souhaité, généralement 40 ou 45 degrés. Ses matières premières sont bio, notamment pour l’Esprit de malt qui provient de la malterie coopérative Malteurs Echos qui se situe à une quarantaine de kilomètres de Valence, en Ardèche. Les matières premières sont locales, en particulier pour l’esprit de bière, fabriqué à partir de bières artisanales locales. La seule matière première ne venant pas du Sud-Est est la mélasse de canne à sucre utilisée pour fabriquer le rhum. Elle vient de loin : d’Asie, de Thaïlande pour être précis (l’Asie est l’autre grand producteur mondial de sucre avec l’Amérique latine), mais cette mélasse est bio. Embrassez des inconnus C’est un concept vraiment déroutant : eau de vie de crachoir. Certains trouvent cela amusant, d’autre répugnant mais tous s’accordent à dire que c’est étonnant. O’Baptiste a été contacté par un festival de vins naturel qui se tenait à Paris, pour fabriquer cette eau de vie, et renouveler l’expérience d’un distillateur australien : Peter Bignell de la distillerie Belgrove, avec qui Baptiste a collaboré pour cet esprit. Il n’a pas réfléchi longtemps avant d’accepter. Ainsi, a-t-il récupérer les cuves contenant les vins dégustés puis recrachés par 1300 Parisiens. Et de là est né l’appellation « Embrassez des inconnus ». La distillation étant un processus de purification… il n’y a aucun risque sanitaire. Vous pouvez donc boire ces résidus de festival, titrant 43 degrés, en digestif. Les bouteilles seront prêtes à être vendues d’ici peu ! Les rhums Les rhums sont fabriqués à partir de mélasse de canne à sucre bio. Là où c’est beau et bon, il n’y a pas de colorant, d’additif, de sucre ou quoique ce soit. On est sur du rhum pur, qui a obtenu sa couleur (pour le rhum humble) au travers de son vieillissement. Le rhum blanc est issu d’une double distillation, puis mis en bouteille immédiatement après. Le rhum humble (ambré) a quant à lui vieilli 3 mois en fût d’acacia. Le fût d’acacia permet d’apporter des notes vanillées et caramélisées, ce qui donne un rhum rond et assez doux. Le rhum blanc est, à l’odeur, vanillé et fruité. L’arôme se révèle également fleuri et vanillé. On retrouve également des notes de fruits exotiques. Il y a également quelque chose de boisé. En clair, ce rhum est très riche en goût et s’apprécie vraiment pur. Le rhum Humble a été primé de bronze au Congrès International du rhum de Madrid en mai 2018. L’Esprit de bière Petite dégustation, on trouve un goût très présent de céréales et un peu de levures, en fin de bouche ressent légèrement du chocolat. Mais on ne retrouve pas le goût de la bière pour autant, ce n’est pas de la bière ne vous attendez pas à boire ça, vous seriez déroutés. Au nez, on perçoit un goût de malt. C’est une eau-de-vie donc c&rsqu...
La maison Yveline Prat a été fondée en 1975 par Alain et Yveline Prat. Établie dans les coteaux du Sézannais à la limite de la côte des blancs, elle dispose d’un vignoble qui s’étend sur une superficie totale de 13 ha. La maison travaille actuellement sur trois grands terroirs situés respectivement sur la côte des Bars, la côte du Sézannais et dans la vallée de la Marne. Une méthode bien particulière Dans son ensemble, le vignoble comprend trois principaux cépages adaptés à chaque terroir : le chardonnay, le pinot meunier et le pinot noir. En ce qui concerne le type de viticulture, la maison adopte une démarche raisonnée avec un soin tout particulier apporté au travail du sol. « Nous limitons au maximum les intrants et l’usage de phytosanitaire », explique Alexandre Prat, le fils du fondateur. Récoltant-manipulant, la maison Yveline Prat possède ses propres vignes et vinifie elle-même ses raisins. Pour cela, elle utilise une méthode de vinification traditionnelle. « Nous travaillons avec des pressoir à membrane, ce qui permet d’avoir un jus de meilleure qualité. » Deux gammes et une multitude de saveurs Les spécialités de la maison se déclinent en deux gammes : la gamme tradition et la gamme exclusive. Chacune développe un assemblage de cépages issus de différents terroirs de champagne. C’est en quelque sorte « la marque de fabrique » d’Yveline Prat. Parmi la sélection, quatre cuvées viennent représenter la maison : brut tradition, fût de chêne, rosé et millésime. D’abord,le brut tradition est sans conteste la cuvée la plus représentative. Élaborée avec 35 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 35 % de pinot meunier, elle revêt une robe aux reflets or très clair. L’attaque en bouche est très fraîche et la douceur se révèle par une sensation de fruits mûrs et juteux. Cette cuvée est à déguster au moment de l’apéritif et au dessert, notamment sur un gâteau sablé ou une tarte aux abricots. Ensuite, médaillé au concours général agricole 2018, le fût de chêne est un champagne de caractère. Vieilli plus de six mois en fût de chêne, il est très apprécié pour ses subtils arômes boisés, idéal pour accompagner une belle viande en sauce. Le rosé, quant à lui, enveloppe subtilement un arôme de fruits rouges frais, de fruits confits, le tout associé avec quelques notes épicées. À déguster autour d’un repas exotique ! Enfin, le millésime se compose de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. Un champagne avec de délicieuses notes de fruits d'été. En bouche, il propose un très bel équilibre sucre/acidité. ...
Située entre la vallée de l’Ardre et la vallée de la Marne, plus précisément à Courville, l’exploitation de 9,6 hectares de la famille Bennezon au fil des années a acquis une notoriété auprès des connaisseurs. Blanc de noirs, Blanc de blancs, Brut rosé, Brut tradition, Grande réserve : une grande variété de cuvées issues d’assemblages minutieusement pensés, attend d’être découverte. Une riche histoire La passion et le savoir-faire familial se transmettent depuis plusieurs générations au sein de la famille Bennezon. Dans le respect de la tradition champenoise, elle propose des cuvées d’une grande finesse qui deviennent des compagnons incontournables de tous les plus grands moments de vie. Le vignoble est implanté sur la terre de prédilection du meunier avec ses sols calcaires propices au bon développement de ce cépage, bien qu’il soit aussi planté de chardonnay et de pinot noir. Un terroir riche d’une histoire particulière « puisqu’à Courville, les coteaux étaient exploités par d’anciens moines puis abandonnés après la Révolution », raconte Vincent Bennezon, actuel propriétaire. « Les vignes ont ensuite été replantées dans les années 60 », poursuit-il. Les cuvées emblématiques Propriétaire-récoltant, le vigneron vinifie ses champagnes dans une cave coopérative. Parmi les cuvées ambassadrices de la maison, il cite le Blanc de noirs « qui a la particularité de vieillir dans des fûts d’acacia et est issu d’une sélection de petits grains de pinot noir », précise notre interlocuteur. L’une des autres cuvées qui fait la fierté de la maison est représentée par la Grande réserve qui est obtenue grâce à un assemblage de pinot noir et chardonnay à 50/50. Ce champagne passé en fût de chêne révèle de jolies notes d’arômes boisés et torréfiés. Dernier et non des moindres : le Brut tradition « fait partie de mes coups de cœur », confie le vigneron. « Ce champagne est vif, bien équilibré, offre un excellent rapport sucre sur acide et une belle longueur en bouche. » ...
Entre Villefranche-sur-Saône et Mâcon, à 40 km au nord de Lyon, dans la commune d’Odenas, le Château de La Chaize se dresse majestueusement sur les flancs des monts du Beaujolais. A part le fait qu’il soit devenu le plus grand producteur en appellation Brouilly, ce domaine fait partie intégrante du patrimoine historique de la région. Un château chargé d’histoire La longue histoire du Château de La Chaize débute en 1670, lorsque François de La Chaize d’Aix s’approprie la terre de La Douze à Odenas. La construction du château commence en 1674 selon les plans établis par de grands architectes de l’époque, à savoir Jules-Hardouin Mansart et Thomas Blanchet. En 1735, par le biais du mariage de Françoise de La Chaize d’Aix et d’Antoine Marquis de Montaigu, le domaine alors passe entre les mains de la famille Montaigu. En 1967, la Marquise de Roussy de Sales hérite du domaine. « Ma mère a fait énormément de travaux de restauration et de restructuration, notamment en passant de l’agriculture traditionnelle à l’agriculture raisonnée » confie Caroline de Roussy de Sales. Ces efforts ont été récompensés. L’ensemble du château, du cuvage et des jardins a effectivement été inscrit au titre des Monuments Historiques en 1972. La notoriété de cette propriété est telle qu’en 1996 la marquise a reçu Bernadette Chirac et Hillary Clinton dans le cadre d’un sommet du G7. Un vignoble d’exception Le domaine de 99 hectares profite d’excellentes conditions favorisant le développement optimal des vignes. Le sol, assez homogène et composé de sable granitique ocre spécifique à l’appellation Brouilly, favorise un drainage naturel des eaux de pluie. De plus, l’exposition à mi-pente des vignes par sa situation au sein d’un cirque naturel permet une maturité optimale des raisins. L’encépagement est intégralement composé de Gamay noir à jus blanc. La moitié du vignoble est formée de vieilles vignes de 40 ans et plus avec des parcelles qui sont même âgées de 80 ans. Un mode d’agriculture respectueux de l’environnement Depuis des générations, la famille Roussy de Sales exploite ce domaine en association avec sept familles de métayers. Depuis que Caroline de Roussy de Sales tient les rênes, de nouveaux changements ont été apportés au sein du vignoble, notamment concernant les méthodes d’agriculture. « Nous avons transformé beaucoup de choses au niveau des traitements. Il y a dix ans, nous avons entammé une nouvelle forme de plantation moins dense avec de l’enherbement et des palissages qui permettent de structurer les vignes pour faciliter le passage des tracteurs. En 2008, le domaine a reçu le certificat Bureau Veritas pour l’agriculture raisonnée », confie-t-elle. Terre du Brouilly Depuis le XVIIe siècle, le Château de La Chaize a pour vocation de produire des Brouilly qui ont toujours été mondialement reconnus. Son catalogue de vins est composé de quatre cuvées, toutes issues d’assemblage. Le « Château de La Chaize Brouilly » est la cuvée ambassadrice du domaine. Il s’agit d’un vin de garde expressif et puissant. La « Cuvée Vieilles Vignes » est, comme son nom l’indique, issue des parcelles de vieilles vignes du domaine. C’est un vin gastronomique élevé dans d’authentiques pièces bourguignonnes. La « Réserve de la Marquise », est une cuvée d’exception destinée à la garde. Elle est issue d’une macération longue et est élevée 12 mois en futs de chêne français neufs. Quant au « Rosé du Château de La Chaize », nouvel arrivant au catalogue depuis 2008, il exprime l’élégance et le côté fruité du Gamay. ...
S’inspirant de leurs origines et de leur amour inconditionnel pour la gastronomie italienne, Eric et Raffi lancent leur concept avec la promesse de vous faire découvrir une cuisine ensoleillée et des pizzas à la coupe comme jamais vous n’en goûterez ailleurs à Paris. Amour pour la tradition artisanale, sélection de produits d.o.p. et un service de qualité, voici le secret! Véritable œuvre d’art Pour réussir à exprimer pleinement son talent, tout artisan qui se respecte se doit d’avoir les meilleures matières premières entre ses mains. Chez Acquerello, les farines blanches et intégrales servant à la préparation de la pâte sont sélectionnées avec le plus grand soin. Elles sortent directement du moulin d’un producteur italien. Tous les autres produits sont choisis pour leur qualité exceptionnelle allant de la mozzarella au lait de bufflonne au parmigiano (parmesan) reggiano en passant par la gorgonzola et la scamorza fumée, la pancetta (lard) italienne et la crème de truffe. Pour mettre en scène ces ingrédients, Eric se tient prêt devant son pétrin et son four (italien lui aussi) conçu spécialement pour la pizza à la coupe romaine. Ce passionné use de son savoir-faire et de ses talents de boulanger (talents appris à l’Ecole Grégoire Ferrandi et dans les meilleures boulangeries et pizzerias parisiennes)pour vous concocter une grande diversité de pizzas. Tartufo, Pancetta, Pesto : des noms évocateurs appelant à la gourmandise se découvrent dans la carte riche d’une vingtaine de variétés de pizzas (voir le menu sur le site www.pizzacquerello.fr) mais Eric est prêt à satisfaire les demandes les plus variées qui n’apparaissent pas sur la carte (chaque client à ses exigences!). Un service traiteur hors pair ! Acquerello accompagne également les particuliers ou les entreprises dans l’organisation de leurs évènements (anniversaire, réception, cocktail, buffet..). L’établissement bénéficie d’un matériel dernier cri lui permettant de rester opérationnel en toute circonstance. « Nous pouvons offrir nos services de traiteur même pour des événements dans des lieux qui sont dépourvus de cuisine et de frigo » nous souffle Raffi, la propriétaire. Acquerello s’adapte aux besoins de sa clientèle au niveau des menus proposés. Cette personnalisation de son offre est une garantie de satisfaire même les plus exigeants. Parmi les plats les plus demandés figurent les lasagnes (rouges et aux légumes), les focaccia, le petits pains tomates confites et mozzarella et bien sûr, les incontournables pizzas à la coupe. Quant aux boissons, «l’Italie s’invite aussi à table» déclare notre interlocutrice. L’occasion d’apprécier la richesse aromatique des vins du pays minutieusement sélectionnés, des boissons italiens (limonata siciliana, sodas San Pellegrino et bières italiennes). Mais Acquerello n’oublie pas le Services, avec la qualité: hygiène garantie (aller visiter leur laboratoire), ponctualité dans la livraison, possibilité de demander le service d’installation, fourniture du matériel pour buffets, personnel pour que les invités de votre événement soient servis comme il se doit en plateaux et boissons. ...
Situé sur la route des stations de skis des Pyrénées, au croisement des départements de l’Aude, de l’Ariège et des Pyrénées Orientales, le Rucher de l’Ours s’est implanté dans un environnement idéal pour les abeilles. Ainsi, ses 300 ruches peuvent être déposées au rythme des saisons et des floraisons près du littoral méditerranéen, dans les garrigues ou plus haut dans les montagnes. Tous les miels sont ensuite récoltés dans le plus pur respect de la tradition apicole. Une grande diversité de miels Les 5000 clients réguliers savourent toujours avec autant de plaisir les miels produits par le Rucher de l’Ours. Outre les classiques miels d’acacia, de sapin ou de châtaignier, vous pourrez découvrir par exemple le miel de rhododendron, un miel clair légèrement parfumé, le miel de bruyère blanche au gout typique de caramel, le miel de lavande stoechas aux arômes puissants, ou encore le miel de garrigue-thym, un miel toutes fleurs à dominante de thym. Mais aussi des miels produits en plus petite quantité : le miel d’arbousier et le miel de sarrasin. En tout, le rucher de l’Ours propose 22 sortes de miels différents. Les autres produits de la ruche Bien d’autres produits de la ruche sont disponibles au Rucher de l’Ours, comme le pollen de fleurs, la gelée royale ou encore le propolis. Ainsi que des produits transformés tels l’hydromel un apéritif vieilli en fut de chêne, des bonbons, des savons, du nougat et 8 sortes de pains d’épices. Visite et vente Vous pouvez visiter la miellerie tout au long de l’année. Vous y découvrirez leurs différents produits. Mais vous pouvez également les commander via leur site Internet. Votre commande sera traitée avec beaucoup de soin et vous sera envoyée très rapidement. Voua avez également une chance de les rencontrer sur les marchés de Noël de la Défense, d’Amiens, de Neuilly, de Perpignan, de Toulouse ou encore de Montpellier. ...
Château Maris a été fondé en 1997. Depuis, la maison a convertie des vignobles qui avaient été cultivés en utilisant des pratiques traditionnelles en vignobles biologiques et biodynamiques. Elle fait honneur au terroir Minervois la Livinière. Des techniques atypiques Pour vinifier, la maison se sert de cuves et d’œufs (cuves ovoïdes) en béton. L’utilisation de ces matériels contribue énormément à la qualité du vin et permet l’élaboration de cuvées d’exception comme « La Touge », un assemblage de syrah, de grenache et de carignan très expressif, avec des notes viandées, fumées, ponctuées d’arômes de fruits noirs. ...