Située entre la vallée de l’Ardre et la vallée de la Marne, plus précisément à Courville, l’exploitation de 9,6 hectares de la famille Bennezon au fil des années a acquis une notoriété auprès des connaisseurs. Blanc de noirs, Blanc de blancs, Brut rosé, Brut tradition, Grande réserve : une grande variété de cuvées issues d’assemblages minutieusement pensés, attend d’être découverte. Une riche histoire La passion et le savoir-faire familial se transmettent depuis plusieurs générations au sein de la famille Bennezon. Dans le respect de la tradition champenoise, elle propose des cuvées d’une grande finesse qui deviennent des compagnons incontournables de tous les plus grands moments de vie. Le vignoble est implanté sur la terre de prédilection du meunier avec ses sols calcaires propices au bon développement de ce cépage, bien qu’il soit aussi planté de chardonnay et de pinot noir. Un terroir riche d’une histoire particulière « puisqu’à Courville, les coteaux étaient exploités par d’anciens moines puis abandonnés après la Révolution », raconte Vincent Bennezon, actuel propriétaire. « Les vignes ont ensuite été replantées dans les années 60 », poursuit-il. Les cuvées emblématiques Propriétaire-récoltant, le vigneron vinifie ses champagnes dans une cave coopérative. Parmi les cuvées ambassadrices de la maison, il cite le Blanc de noirs « qui a la particularité de vieillir dans des fûts d’acacia et est issu d’une sélection de petits grains de pinot noir », précise notre interlocuteur. L’une des autres cuvées qui fait la fierté de la maison est représentée par la Grande réserve qui est obtenue grâce à un assemblage de pinot noir et chardonnay à 50/50. Ce champagne passé en fût de chêne révèle de jolies notes d’arômes boisés et torréfiés. Dernier et non des moindres : le Brut tradition « fait partie de mes coups de cœur », confie le vigneron. « Ce champagne est vif, bien équilibré, offre un excellent rapport sucre sur acide et une belle longueur en bouche. » ...
Dans la famille Cazals depuis quatre générations, le goût du bon champagne se fait ressentir de par la qualité exceptionnelle des cuvées de la marque. Avec des méthodes oscillant harmonieusement entre modernité et artisanat, la maison Cazals est une « maison familiale, très conviviale […] et forte de traditions héritées de père en fille », selon Camille Crochet, Sales Manager Marketing de la marque. Un vignoble riche en histoire C’est Ernest Cazals, alors tonnelier, qui fonde la maison Cazals en 1897 en choisissant un terrain noble et ouvert pour ses premières vignes. Un clos de 3 hectares, acquis par son fils Olivier Cazals dans les années 1930, va par la suite venir s’ajouter au domaine familial, donnant ainsi naissance aux 10 hectares de vignes classées Premier et Grand crus de la maison Cazals. Parmi les cuvées ambassadrices de la marque, appréciez les « grands crus d’exception nés de vignes de plus de cinquante ans », continue Camille. Délectez-vous ainsi de la Chapelle du clos, un 100 % chardonnay léger aux saveurs suaves, ou du millésime Clos Cazals doté d’une large palette de goûts et d’une mosaïque de succulences typées. Une passion et un héritage à préserver La maison Cazals, dans un élan d’engagement envers l’environnement, se trouve dans une phase de transition vers l’agriculture durable, avec la « volonté de certifier le clos Haute Valeur Environnementale (HVE) », reprend Camille. Outre cette promesse noble, la famille tient à préserver un patrimoine unique qui leur a été légué par leurs ascendants. Tout le processus de production, allant des vendanges à la maturation dans les caves voûtées en passant par la vinification en fûts de chêne, se fait ainsi suivant les méthodes artisanales utilisées dès la création de la marque. ...
latabledeseleveurs.fr est le résultat d’un partenariat entre deux entrepreneurs ayant su combiner leur savoir-faire dans leurs domaines respectifs. En 2016, Thierry Potier, expert en e-commerce, est initié par Manuel Pringault, à la tête du traiteur Teba spécialisé en viande de boucherie dans la Manche, pour créer ensemble une boucherie en ligne privilégiant le circuit court en Normandie. Travaillant uniquement avec des éleveurs du coin, latabledeseleveurs.fr concentre toute leur activité dans le département de l’Orne. En plus de mieux valoriser le travail des éleveurs locaux qui n’ont plus à passer par divers intermédiaires pour vendre leurs produits, latabledeseleveurs.fr fait le bonheur des locavores en quête de viandes de qualité dans leurs assiettes. La saveur d’une viande de qualité Les viandes en provenance des éleveurs partenaires de latabledeseleveurs.fr sont découpées et préparées. Ne s’intéressant uniquement qu’à l’élevage traditionnel, l’enseigne garantit une viande savoureuse à ses clients. Les bovins, par exemple, sont élevés au pâturage, se nourrissent d’herbe en été et de fourrage en hiver. Pour la viande de porc, l’élevage sur litière végétale est privilégié, soit sur des copeaux de bois, soit sur de la paille. Le soin apporté aux animaux ainsi que leur alimentation est donc le gage d’une viande plus nutritive et riche en goût. Et bien que vendus directement aux consommateurs, les produits frais que l’on trouve chez latabledeseleveurs.fr ne sont pas plus chers que dans la filière traditionnelle. Une livraison express inégalée Selon Thierry Potier, « on peut difficilement faire mieux dans la logistique de la viande en termes de service de livraison ». Sur des produits rapidement périssables comme la viande de boucherie, la logistique est savamment organisée. Grâce à la livraison spécialisée Chronofresh dédiée aux produits frais, l’enseigne assure une expédition dans un délai de deux jours. Et cela s’effectue dans le total respect de la chaîne du froid, car les colis sont acheminés par transport frigorifié. Pour faire profiter de ses bons produits non seulement aux Normands mais aussi aux amateurs des produits frais de la Normandie aux quatre coins de la France, l’enseigne propose une livraison dans tout le pays dans les mêmes délais. ...
À travers ses spiritueux issus d’un autre temps et un mode d’élaboration traditionnel qui a traversé les âges, Distillerie La Favorite séduit non seulement les visiteurs par ses rhums exceptionnels mais aussi par son côté pittoresque. Il était une fois une distillerie Fondée en 1842, Distillerie La Favorite s’érige comme une véritable institution en Martinique. Elle fait l’objet d’un rachat en 1905 par la famille Dormoy. Cette dernière installe alors à l’époque une machine à vapeur, qui, d’ailleurs, est encore fonctionnelle de nos jours. Depuis, la distillerie a connu trois générations de Dormoy. Sous l’impulsion d’André Dormoy, elle obtient le fameux label rouge en 1973. Pour l’AOC, il a fallu attendre 22 ans pour obtenir gain de cause auprès de l’organisme responsable. Mais le jeu en valait la chandelle ! Un savoir-faire immuable Cette entreprise à taille humaine qui emploie treize personnes à l'année (et plus de 30 en période de production) assure une production authentique et artisanale depuis plus de 100 ans. Distillerie la Favorite dispose d’une plantation de canne à sucre s’étendant sur 62 hectares. Tout est fait sur place ! De la coupe (qui s’effectue encore à la main) en passant par l’extraction, la fermentation jusqu’à la mise en bouteille. Cela démontre une maîtrise totale de toute la chaîne de production. Incomparable dans toute l’île, Distillerie la Favorite est la dernière du genre à utiliser des éléments de broyage actionnés uniquement par la machine à vapeur. Une machine d’origine datant de 1906 et fabriquée par Henri MARRIOL. La distillation proprement dite se fait grâce à des colonnes créoles en cuivre, et ce, dans le respect de la tradition. En ce qui concerne l’énergie, la distillerie est autonome et fonctionne en circuit fermé. En effet, les fibres de cannes restantes après extraction servent par la suite de combustibles pour alimenter les fours. Distillerie La Favorite intègre donc non seulement une dimension patrimoniale mais aussi écologique. La production en chiffres En moyenne, l’entreprise produit chaque année à peu près 500 000 litres de rhum, soit à peine 3% des volumes produits en Martinique. Mais la production reste tributaire du climat. Elle peut tout aussi bien connaître une hausse ou enregistrer une baisse selon le cas. Ainsi, 75 % de la production est réservée au marché local. Le reste (25 %) est destiné à l’exportation dont le tiers (1/3) dédié à la métropole. Les 2/3 arrivent sur le marché européen (Allemagne, Belgique, Espagne, Andorre, Italie) et nord-américain (les États-Unis). Des rhums de qualité supérieure Respectant un cahier des charges très strict, Distillerie la Favorite est à même de garantir la qualité à tous les consommateurs. La maison propose une gamme étoffée de rhums vieux et hors d'âge et des rhums blancs très parfumés, fruités aux arômes prononcés de canne fraîche, le tout dans le respect d'un équilibre entre tradition et innovation avec des embouteillages nouveaux, suivant les nouvelles tendances de consommation. ...
L’histoire commence en 1927, lorsque le domaine de Boursault, ancienne propriété de Madame Veuve Cliquot, est repris par un aïeul de Charlotte Le Gallais, en la personne d’Hachod Fringhian. Ce bel endroit, situé à quelques kilomètres d’Épernay, révèle un excellent potentiel dans l’élaboration des Champagnes. Ses pierres calcaires aux propriétés filtrantes associées à la fraîcheur de l’argile contribuent à l’équilibre du terroir, nécessaire dans la fabrication de vins fins et élégants. Des caractéristiques qu’Hervé Le Gallais et sa fille Charlotte entendent préserver, mais aussi partager. Entre qualité et respect de l’environnement S’étendant sur quatre hectares, le vignoble est planté de 45 % de Pinot Meunier, 45 % de Pinot Noir et 10 % de Chardonnay. Le domaine Le Gallais est l’un des rares en Champagne à posséder un clos. « Il n’en existe qu’une vingtaine sur les 320 villages d’appellation », précise Marine Zabarino, Wine Tourism Manager. Cette particularité permet d’être au plus près des installations et facilite tout le processus. « Être installé dans un clos nous assure une grande fraîcheur de nos raisins au moment du pressurage. Les vendanges en Champagne se font obligatoirement à la main, et ici le vignoble est suivi à la parcelle afin de mieux gérer la maturité des raisins. » Entretenir la qualité de ce terroir constitue la ligne de conduite de la maison Le Gallais, d’où l’adoption d’un mode de culture raisonnée avec une demande de certification courant 2018 en label HVE (Haute Valeur Environnementale). Depuis 1991, les insecticides ont été bannis du vignoble, et la biodiversité est très présente au sein de ce clos arboré et fleuri. Les sols sont qu’en à eux travaillés mécaniquement, sans aucune utilisation d’herbicides. Une cuvée, une histoire… Le domaine produit cinq cuvées qui ont leur propre identité, « long vieillement et très peu de dosage en sucre ». Le Rosé des Poètes, qui est un rosé de saignée brut, fait la fierté de l’entreprise. Cette technique de production de rosé en Champagne est de plus en plus rare. La couleur naturelle s’obtient par macération des raisins noirs dans le jus. Composé de Pinot Noir et de Pinot Meunier, ce vin révèle une robe intense avec des reflets ambrés, et un nez fruité et profond. Du côté des millésimes, si la législation en Champagne impose trois années de repos minimum en cave, la maison Le Gallais n’offre que des millésimes ayant reposé neuf à dix années. Cette technique laisse le temps aux vins d’évoluer profondément. Selon Marine Zabarino, « cet élevage est certes long, mais il apporte un grand développement des arômes pour des vins à la fois complexes, structurés et raffinés. Patience et passion sont les maîtres-mots de la maison. » ...
Situés au cœur de Paris, à deux pas de la Comédie-Française, du Louvre, des jardins du Palais-Royal et des Tuileries, les restaurants Vin & Marée Saint-Honoré et Saint-Lazare vous accueillent pour un déjeuner ou un dîner après un spectacle à l’Opéra. Les restaurants ouvrent leurs portes tous les jours dès 11 h 30. Il est possible de venir s’y restaurer jusqu’à 00 h 30. Une cuisine raffinée Les restaurants Vin & Marée sont des restaurants gastronomiques spécialisés en fruits de mer et poissons nobles. Vous pourrez y déguster une grande variété de poissons : sole, turbot, homard bleu, saint-pierre, bar ou daurade royale, tous accompagnés d’une authentique purée de rattes à l’huile d’olive. Mais les amateurs de viande ne sont pas oubliés. Ils pourront par exemple savourer un succulent carré d’agneau parfumé au thym. Les plus gourmands ne manqueront pas l’incontournable baba au rhum en dessert. Ces belles adresses sont reconnues par la fraîcheur de leurs produits et la générosité de leurs plats. Des restaurants et des chefs qui vous assurent une table appétissante dans un décor raffiné sans être pour autant guindé. Une belle palette de vins Pour accompagner votre repas, dégustez des champagnes Grands crus, blancs de Blancs millésimés et des vins de Loire, Bourgogne, Grands bordeaux. Vous pourrez également vous laisser surprendre par les suggestions. ...
Établi sur un promontoire rocheux, le Château Pierrail a été construit au XVIIe siècle sur les ruines d’un château du Moyen-âge. Propriété de la famille Demonchaux depuis 1970, c’est un vaste domaine comprenant parc paysager, verger et un jardin classé « Jardin Remarquable ». Un terroir d'exception pour des vins uniques Les vignes du Château Pierrail (90 ha) sont situées sur les meilleurs coteaux argilo-calcaires, exposés au Sud-Est pour un bon ensoleillement. Les vins se déclinent en Rouge et Blanc, AOC Bordeaux et Bordeaux Supérieur, régulièrement médaillés. Pour certains, la vinification est suivie d’un élevage soigné en barriques de chêne français. Le Château Pierrail 2016, par exemple, assemblage Merlot et Cabernet Sauvignon, a été élevé 12 mois en barriques pour donner un vin au nez de fruits mûrs, aux tanins soyeux et bien fondus, équilibré et long en bouche. Coup de Coeur Guide Hachette et avec de nombreuses médailles. Particulièrement respectueux de l’environnement, les Demonchaux (Jacques, Alice, Aurélien) et leur équipe travaillent en agriculture raisonnée et ont obtenu la certification HVE3 (Haute Valeur Environnementale). ...
Située au cœur du 15e arrondissement de Paris, cette enseigne aux dehors innovants, en plus d’être populaire, tranquille et un rien bobo, met le quartier en ébullition. À travers une cuisine bistronomique à base de produits frais et de saison, l’établissement propose une carte évolutive intégrant trois entrées, trois plats et trois desserts qui changent tous les mois, avec, à côté, un menu du midi composé de deux entrées, deux plats et deux desserts, qui, chaque semaine, ne sont jamais les mêmes. Misant sur la fraîcheur et la qualité des produits, l’établissement met à l’honneur le « fait maison ». Son menu bistronomique séduit plus qu’il ne surprend avec ses cinq variétés de plats, à savoir un assortiment d’amuse-bouches, une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert. Les ingrédients sont ingénieusement agencés dans les assiettes, dans une intéressante alliance de couleurs et de saveurs. Magret de canard, Saint-Jacques et autres matières premières d’exception sont délicieusement mis en scène. Une ambiance bistronomique La Table des Insolents, c’est un fond de cuisine un peu fusion aux tendances légèrement orientales. Avec un brin d’audace, comme le laisse supposer le nom de l’établissement, les classiques sont ici revisités avec des plats à l’image du restaurant. Dans un décor assez épuré aux tables d’une grande sobriété, l’accent est mis sur la qualité et la simplicité, pour une belle harmonie. ...
C’est dans un nouveau décor sobre, mais chaleureux que s’inscrit la nouvelle destinée de l’hôtel-restaurant. Derrière la façade de pierres apparentes ancestrales émerge un intérieur cosy et contemporain. Entièrement rénovés, les lieux révèlent une décoration épurée et un brin vintage, teintée d’une inspiration italienne. Cet ancien refuge pour cavaliers et conducteurs d’attelage est maintenant un endroit incontournable pour une pause gourmande dans une atmosphère détendue. Bienvenue dans la Maison Zugno ! La cuisine de terroir avant tout La cuisine bistronomique du nouveau restaurant s’avère être un régal pour les yeux et les papilles. Une particularité qui a permis à la maison d’être classée parmi les meilleurs restaurants de sa région par certains guides comme Tripadvisor. Le chef Emmanuel Bouclans travaille uniquement des produits de saison et des produits frais 100% français dont certains sont récoltés directement chez les agriculteurs locaux. Grâce à son savoir-faire, il choisit avec minutie les ingrédients qui composeront ses prochaines créations culinaires et qui seront destinés à ravir les palais de ses convives. Les saveurs subtiles et maîtrisées émanant de chaque assiette sont sa seule priorité « bien qu’il porte aussi une attention accrue à la présentation à la fois soignée et très moderne », nous fait savoir Nicolas Zugno, propriétaire des lieux. Un mariage réussi des mets et des vins Au gré des saisons et suivant l’instinct créatif du chef, la carte est renouvelée tous les mois. Cependant, il existe quelques incontournables dont le plat signature est une poitrine de cochon laquée aux épices douces accompagnée d'un écrasé de pommes de terre maison et ses petits légumes. Quant aux desserts ceux-ci seront mis en valeur grâce au nouveau pâtisser de la Maison Zugno, Quentin Defert. En résumé, « La cuisson bien exécutée, autant que l’équilibre parfait des ingrédients, constituent nos signatures », déclare Nicolas. Côté vin, une liste éclectique qui vous fait balader dans les plus grandes régions viticoles du pays. Parmi les références qui fonctionnent le mieux figurent les vins de la Maison Bouchard ou ceux du Domaine Chapoutier. ...
Le restaurant le Vieux Logis est un patrimoine familial de 120 ans, hérité depuis 4 générations. Situé à deux pas de la Suisse et des monts de Chablais, l’établissement est réputé pour son excellente cuisine où les produits du terroir sont privilégiés en fonction des saisons. Restaurant aux accents savoyards Implanté dans le quartier historique d’Yvoire en Haute-Savoie, le Vieux Logis fait partie des adresses à recommander à tous ceux qui sont en quête de ressourcement et d’authenticité dans le pays du lac Léman. À travers une architecture médiévale au confort contemporain qui laisse présumer un riche héritage historique, l’établissement dégage à la fois chaleur, calme et volupté. Le cadre intimiste de son petit café favorise les rencontres mais aussi la pure réflexion. Sa terrasse ombragée entourée de vieux murs confère au lieu un charme aux accents savoyards qui fait toute son originalité. L’accueil sympathique et attentionné du personnel conforte les clients dans leur sentiment de bien-être et de satisfaction. On s’y sent particulièrement bien accueilli avec la forte envie d’y revenir. Cuisine de tradition française Ancré dans le centre du village médiéval, le Vieux Logis est un restaurant de charme à l’excellente table qui met en avant la cuisine française traditionnelle et ce, dans un bon rapport qualité/prix. Mis à l’honneur, le féra (poisson du lac Léman) fait partie des plus grandes spécialités de la maison à l’instar des perches meunières qui demeurent presque toujours un des plats les plus recherchés en fonction des saisons et ce ne sont pas les clients de passage qui diront le contraire ! Fraîchement cueillies du lac Léman et délicatement accompagnées de vins locaux comme le Crépy, le Marin ou le Marignan, les perches font partie des plats-phares de l’enseigne qu’on n’oublie jamais de réclamer ou de recommander. Trou normand et mignardises, mais aussi foie gras maison, huitres et autres Saint-Jacques constituent, quant à eux, de véritables merveilles pour le palais. Service professionnel à l’accueil parfait Faisant partie de la lignée Jacquier-Durand de la 4ème génération, le couple Paul et Nicole Jacquier-Durand a tout naturellement hérité de la direction du Vieux Logis. Tenté à l’origine d’embrasser d’autres filières, le chef et non moins propriétaire Paul Jacquier-Durand a cédé à la passion du métier, qu’il partage par ailleurs avec sa femme Nicole, pour reprendre les rênes du restaurant en lui apportant un nouveau souffle. Soutenus par une équipe professionnelle au service attentionné, ils mettent les petits plats dans les grands pour séduire la clientèle et ravir les papilles si bien que l’établissement fait aujourd’hui partie des adresses incontournables absolument à recommander en termes de restauration. Un cadre agréable à l’ambiance médiévale Le restaurant le Vieux Logis a le double avantage de disposer de deux salles de restauration : « une petite salle à manger pouvant accueillir 35 couverts et une salle dédiée aux banquets et aux mariages d’environ 180 couverts » ajoute Paul Jacquier. Jouissant d’une ambiance médiévale au confort contemporain, l’établissement séduit par cette dualité qui lui est propre et qui lui confère un caractère particulier. ...
C’est en 1644 que naît Pierre Couvreur, première génération de la famille Couvreur. Passant certainement sa vie dans les vignes, il transmet rapidement son savoir-faire à sa descendance. Vient alors une passion commune pour le champagne, qui, aujourd’hui, fait partie de l’histoire des grands crus de France. Une génération d’artisans et une affaire de famille C’est dans le village de Rilly-La-Montagne, situé dans la Montagne de Reims, que la Famille Couvreur travaille depuis déjà plusieurs siècles le champagne avec un vignoble 1er cru de 6,5 hectares, répartis dans trois villages, à savoir Rilly-La-Montagne, Montbré et Taissy. La maison Couvreur a cet avantage d’être bénéficiaire de la certification HVE (haute valeur environnementale). Une certification qui vaut tous les honneurs de par le fait que leur terrain agricole, tant dans sa biodiversité que dans son état sanitaire ainsi que sa fertilité, répond aux exigences réglementaires concernant l’environnement. L’exploitation produit annuellement environ 30 000 bouteilles de champagne, très appréciées par les Allemands, selon un membre de la famille. Un champagne généreux et raffiné Une exploitation bien traditionnelle, avec des cépages champenois repartis en pinot noir, chardonnay et pinot meunier. L'un des millésimes de la marque Yves Couvreur est le Prestige brut 2012, fruité et ample, complexe en bouche. Il se démarque par des arômes de feuille de sous-bois et un parfum d’épices. La cuvée la plus emblématique de la gamme Couvreur reste la Sélection, du 100 % chardonnay, équilibré et agréable en bouche pour les amateurs d’apéritif. Un champagne en hommage à un membre de la famille Couvreur, issu des récoltes de 2009 et mis en caves cinq années, est aussi mis en vente depuis 2015. Cette cuvée tradition ayant les trois cépages champenois répond au nom de François Héritage. ...
Ouverte du 1er avril au premier week-end de novembre, la Maison des Sancerre vous accueille dans une vieille bâtisse du XIVe siècle dans le centre historique de la ville, achetée et rénovée grâce à l’association des vignerons. La Maison des Sancerre propose un voyage ludique et interactif au cœur de l’appellation. Ainsi vous apprendrez tout sur les étapes de production des vins, sur le travail des vignerons dans les vignes comme dans les caves, sur les différents types de terroirs et leur influence sur les arômes des Sancerre. Ici, tout a été conçu pour que petits et grands passent un moment agréable et divertissant, grâce au plan relief animé, au film Aventure 4D, aux vidéos, à la réalité augmentée. Vous pourrez également en profiter pour flâner quelques instants dans le superbe jardin aromatique. A la fin de votre visite, vous pourrez déguster un verre de Sancerre blanc (compris dans la visite) ou choisir une dégustation plus complète (payante) avec 8 vins (4 blancs, 1 rosé et 3 rouges). La Maison des Sancerre propose aussi 2 grandes salles, idéales pour tous vos événements professionnels ou privés. Deux événements au printemps à ne pas manquer Si vous êtes amateur de vins, rendez-vous à la foire aux vins le week-end de la Pentecôte aux Caves de la Mignonne. Vous pourrez rencontrer et échanger avec de nombreux producteurs de l’appellation. Mais aussi déguster le dernier millésime. En l’occurrence, celui de 2018 semble prometteur puisque en raison des conditions météorologiques, les raisins récoltés s’avèrent magnifiques, en blanc comme en rouge. Si vous êtes sportif, participez au Trail de Sancerre le 15 juin 2019. Un véritable voyage au coeur du vignoble. 2500 coureurs et 300 bénévoles s’y engagent chaque année. ...
À L’Horloge gourmande, les convives sont accueillis dans un cadre sobre et un esprit de maison bourgeoise. Rien de trop guindé : ici, on privilégie la simplicité avec une décoration qui tranche, entre l’ancien et le moderne. Dès l’entrée, l’immense horloge ornant le mur du fond attire forcément l’attention. Dans la salle règne une ambiance intimiste, qui invite au calme et à la détente. Objets et accessoires de décoration exposés en vitrine, intimement liés à la vie et au parcours des propriétaires, contribuent au charme des lieux. Durant l’arrivée des beaux jours, la terrasse verdoyante fait le bonheur des amoureux du grand air. Cette véranda, donnant sur l’arrière de l’établissement et annexée à la salle principale, et peut être privatisée pour les groupes à l’occasion de communions, d’anniversaires, de baptêmes ou encore de repas de famille. Le brillant parcours d’un chef passionné Le chef Olivier Roch s’intéresse très tôt à l’univers de la cuisine. Il fait ses débuts au sein du lycée hôtelier François Rabelais de Dardilly. Son BEP en poche, il suit une formation en pâtisserie, ce qui lui permettra d’intégrer une compagnie de croisières en Floride en tant que pâtissier. Il continue son parcours en exerçant notamment auprès du chef étoilé Philippe Gauvreau. C’est auprès de ce dernier qu’Olivier Roch a appris à œuvrer avec une haute technicité pour offrir des plats dignes de véritables chefs-d’œuvre artistiques. Une cuisine qui parle aux fins palais L’Horloge gourmande est spécialisée dans la cuisine de bistrot, privilégiant l’usage de produits nobles comme en gastronomie mais traités de manière plus simple. À midi, la maison propose une formule « Déjeuner » constituée de deux ou trois plats réalisés avec des produits du marché et quotidiennement mis à jour. Le chef Olivier Roch met aussi à disposition des fins gourmets deux types de menus : le menu « Horloge », à 32 €, et le menu « Tassilunois », à 45 €. En soirée, le choix se fait à la carte. Celle-ci change à chaque saison ; il existe néanmoins certains « best-sellers » qui apparaissent de manière récurrente comme le foie gras poêlé, l’onglet de bœuf black angus, le cabillaud… De vrais délices pour les papilles. Toutes ces suggestions sont élaborées avec des produits frais, rigoureusement sélectionnés. Les fonds, les jus, les fumets… tout est fait sur place. Côté vins, le chef fait appel aux services de Philippe Gerin, caviste à Condrieu. La sélection s’effectue en fonction de la carte du restaurant. En tout, une quinzaine de références mettent à l’honneur toutes les régions, dont celle de la vallée du Rhône. ...
Le Groupe Bolloré a fait l’acquisition récemment du Domaine de la Croix et de la Bastide Blanche, en 2001. Le groupe effectue d’énormes réhabilitations telles que le renouvellement de 80 % des vignes et investit dans les nouvelles technologies pour optimiser la cave et hisser la qualité des cuvées. D’excellents vins produits au Domaine de La Croix ont depuis fait voltiger les palais des fins connaisseurs à savoir La Croix Cru Classé Cuvée « Organdi », La Croix Cru Classé Cuvée « Eloge », La Croix Cru Classé Cuvée « Irrésistible » et Bastide Blanche Cuvée « TWOB ». Les portes du Domaine de La Croix restent ouvertes pour les visites, dégustation de vins ou réceptions. Le Domaine de La Croix Le vignoble de 100 hectares est classé comme le plus vaste des Crus Classés se situant en aval du village de la Croix Valmer, dans la Presqu’île de Saint-Tropez. Les cépages se développent sur un terroir unique bénéficiant notamment de belles influences maritimes. Un sol pauvre et schisteux accueille alors le Grenache et le Cinsault. La Syrah et le Cabernet se plaisent sur les terres argileuses et les Rolle, Mourvèdre et Tibouren se réservent le terroir sablonneux du bord de mer. Le domaine porte également une attention toute particulière au respect de l’environnement, d’autant plus qu’il bénéficie de ce cadre paradisiaque. L’eau est donc recyclée et la production des vins en AOC Côtes-de-Provence suit une démarche raisonnée. La Bastide Blanche Cet autre vignoble du Groupe Bolloré s’étend sur 15 hectares, en bordure du littoral. Si l’environnement est magnifique au Domaine de La Croix, ici, il l’est encore plus. Nichés entre le Cap Taillat et le Cap Lardier, les vignes côtoient une plage naturelle et des eaux turquoises. La préservation de cet environnement de rêve passe aussi par l’application d’une agriculture raisonnée. Un Rosé digne de l’appellation Côtes de Provence Sa douceur telle une caresse et ses saveurs de fruits font de la Croix Cru Classé Cuvée « Organdi » Rosé 2015 un vin haute couture. Transparente, cette Cuvée s’habille d’une robe rose pâle poudrée avec en nez, des notes florales de Violette et Rose. L’équilibre est gardé grâce à un arôme fruité de litchi et d’agrumes. L’expression aromatique complexe et sucrée s’accorde à une bouche ample et voluptueuse où la Violette est de nouveau ressentie et accompagnée d’arômes frais de mangue. Une texture minérale dense persistante donne une longue finale. Quelques mois de plus dans son flacon classique aux parures d’argent ne fera que du bien à ce Rosé gastronomique. Les garanties de la qualité Le Domaine de La Croix est classé cru exceptionnel des Côtes de Provence depuis 1955. De ce fait, il a une réputation à entretenir et à développer. Les récompenses du travail qu’a fourni l’équipe du domaine ont été mémorables lors du millésime 2013. L’année suivante a donc été une année de consécration pour les Rosés. La Cuvée Organdi Rosé a été décorée d’une médaille d’or au Concours des Vins de Provence 2014 et d’un argent au Concours général Agricole de Paris. Chacune des Cuvées Eloge Rosé du Domaine de la Croix et TWOB Rosé de la Bastide Blanche ont aussi remporté une médaille d’or au Concours Général Agricole de Paris 2014. Parmi les rouges, la Bastide Blanche Cuvée TWOB du millésime 2012 a reçu cette distinction. ...
Le fondateur de cette start-up sait bien ce que c’est que de se retrouver le soir à manger toujours la même chose. Il y a cinq ans, Olivier Tangopoulos a décidé de lancer Foodette en s’inspirant de son expérience personnelle. Avec son équipe, Olivier crée un concept innovant de panier-recettes afin d’aider les gens à retrouver de l’enthousiasme le soir pour bien manger à la maison. Mieux manger tous les jours En sortant du travail, à l’heure du dîner, durant le week-end, la question de ce que l’on va manger se pose. Souvent par manque de temps ou d’inspiration, trouver une idée de recette qui plaise à tout le foyer, avec des bons ingrédients, de qualité, non traités et dont on connaît la provenance relève d’un vrai défi. La solution : faire appel à Foodette ! Chaque semaine, la start-up livre un panier incluant trois, quatre, ou cinq recettes de saison au choix. Ce panier comprend tous les ingrédients en juste quantité, avec la fiche recette détaillée pour réaliser facilement chacune des recettes. Les meilleurs produits. Afin de proposer ce qu’il y a de meilleur à ses Foodetteurs, Foodette privilégie différentes démarches. D’abord en optant pour le circuit court, Foodette s’assure un approvisionnement en légumes bio et auprès des producteurs locaux de la région Île-de-France. Dès que possible, Foodette choisit également des produits bio pour les fruits, les légumineuses, les céréales ou les agrumes. Les viandes sont, quant à elles, toutes françaises et labellisées et viennent en direct des producteurs. Côté préparation, pas de panique ! Chaque recette est facile à réaliser, aucun ustensile spécifique, aucune technique particulière n’est requis. Pour éviter le gaspillage, les ingrédients sont pré-dosés en juste quantité pour deux ou quatre personnes. Il ne reste plus qu’à suivre la fiche recette et en moins de trente minutes, vous obtenez un plat sain, équilibré et riche en saveurs. Au-delà même du goût, le concept de Foodette permet des découvertes gourmandes. Les plus curieux seront satisfaits grâce aux recettes qui changent et sont renouvelées sans cesse en fonction des saisons comme le poisson blanc à la gremolata et riz au citron, le bouillon de volaille fermière ou encore le gratin de ravioles du Dauphiné. ...
Il est rare de pouvoir manger allemand en plein cœur de Paris. Logé dans une boutique de la rue Richelieu si ce n’est dans l’enceinte même du Goethe-Institut, le centre culturel allemand situé avenue d’Iéna, Le Stube dispose ainsi de deux emplacements pour mieux servir sa clientèle. Un restaurant moderne à l’ambiance décontractée Le Stuberue de Richelieu baigne dans une ambiance décontractée et chaleureuse. Il se décline dans des tonalités rouges et grises autour d’une cuisine ouverte et d’une vitrine de présentation et de vente à emporter qui confèrent à l’ensemble un décor au cachet particulier. Fréquenté par des clients de tous âges et de toutes catégories, Le Stube est particulièrement apprécié pour son côté dynamique et sympathique. Proche de nombreux théâtres, c’est le lieu idéal pour un repas avant spectacle. Des spécialités revisitées par Gerhard Weber Fondé à l’origine autour du concept du snacking, Le Stube a très vite élargi ses activités à la restauration et à la pâtisserie. Il propose ainsi divers plats typiques d’Allemagne ou inspirés d’Europe Centrale ainsi que de nombreuses pâtisseries et gourmandises concoctées par Gerhard Weber, le maitre des lieux. Strudels salés ou sucrés, Currywurst, Choucroute, Koulibiac de saumon, Wienerschnitzel, Gâteau au fromage blanc, Forêt-Noire font partie des nombreuses spécialités. La diversité des mets proposés et le service continu sur place ou à emporter permet de découvrir toutes ses spécialités à toute heure de la journée pour un déjeuner, un gouter, une petite faim, un afterwork ou un diner. Tout est fait maison, à l’exception des charcuteries. Le tout est accompagné d’un assortiment de bières, de limonades biologiques et de sodas de très bonne qualité et typiques de la ville de Hambourg. ...
L’exploitation familiale Th. Petit a été reprise en 1995 par Bénédicte Bérard-Meuret. Aujourd’hui, elle et son époux travaillent ensemble sur un vignoble qui s’étend sur une superficie d’environ 6 ha. L’encépagement s’y compose majoritairement de pinot noir et de chardonnay. « Notre terroir jouit d’un très bon ensoleillement et il est très favorable à l’expression du pinot noir », souligne la gérante. Un processus maitrisé Depuis sa création, la maison Th. Petit a toujours cherché à privilégier une méthode culturale qui respecte l’environnement. Actuellement, elle s’est engagée sur une viticulture raisonnée, impliquant une utilisation très limitée de produits phytosanitaires. Concernant la vinification, le pressurage est confié à la coopérative vinicole du village. Les précieux jus rejoignent ensuite les cuves de l’Union Champagne à Avize. Il s’agit d’une structure qui regroupe plusieurs coopératives champenoises et dont le savoir-faire est reconnu par les plus grands experts en vin. « L’élaboration, quant à elle, est assurée par un œnologue », nous confie-t-on. Des cuvées prestigieuses Afin de satisfaire une large diversité de consommateurs, la maison propose une gamme complète de champagnes : Blanc de blancs, Brut, Brut rosé, Demi-Sec, Millésimé 2012 et Prestige Millésime 2006. La cuvée Brut et la cuvée Prestige Millésimé 2006 peuvent toutes les deux prétendre au titre de « cuvée emblématique » de la maison Th. Petit. La première est obtenue à partir de 75 % de pinot noir et de 25 % de chardonnay. Ce champagne de cœur revêt une teinte or brillant et séduit par ses arômes de fruits rouges et de pêche. Une cuvée de qualité exceptionnelle récompensée par 3 étoiles au Guide Hachette. Le Millésime 2006, quant à lui, s’obtient par l’assemblage de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. C’est un champagne racé, puissant et qui saura accompagner parfaitement tous les moments d’exception. ...
De petites tables en bois et un grand comptoir sont à votre disposition à l’intérieur tout au long de l’année. L’été, vous pouvez profiter des tables en terrasse dans une voie piétonne. Une ambiance sobre pour un pur moment de convivialité, c'est l'accueil que vous réserve La Réserve des initiés. Formé au Dôme, le chef Sébastien Martiny propose une cuisine contemporaine confectionnée avec des produits ultrafrais et de qualité. Tout est fait maison, même les cocktails et les desserts. Une cuisine inventive Consultez l’ardoise pour faire votre choix. Préférez-vous seulement deux plats (entrée et plat, ou plat et dessert) ou un repas plus complet avec une entrée, un plat et un dessert ? Les plats changent tous les jours mais, en entrée, vous avez en général le choix entre un tartare de viande ou de poisson, une soupe et des crudités. En plat, vous serez enchanté par le très apprécié risotto aux Saint-Jacques. En dessert, savourez l’incontournable et délicieuse mousse au chocolat. Le soir, choisissez de petites ou de grandes assiettes à partager. Des compositions faites maison avec des produits de saison, une cuisine inventive. Des associations très réussies comme les cuisses de grenouille et la mousseline de céleri ou encore la salade de quinoa, crabe, grenade et granny smith, parfumée à la coriandre. Sans oublier les incontournables planches de charcuterie ou de fromages. À accompagner d’un bon verre de vin ou d’un cocktail maison comme le succulent Green Belet : du gin, du sirop de sureau et de l’eau de concombre. Les dimanches et lundis soir, des menus « Spécial cocotte » comme en préparaient nos grands-mères viennent compléter l’offre. Le dimanche, place aux brunchs. Bien copieux pour satisfaire tous les appétits. Du pain, des confitures, une boisson chaude, un jus de fruits frais, un plat et un assortiment de desserts. De quoi se régaler en famille ou entre amis. ...
Issus d’une lignée de viticulteurs à l’origine de la coopérative du village, Jacques Copin et son épouse ont privilégié ce métier d’héritage dans ce cadre convivial à Verneuil depuis 1963. Une histoire et une aventure fascinantes au coeur de la vallée de la Marne, où la famille Copin s’est autorisée son indépendance et un travail approfondi, perpétué aujourd’hui par Bruno et sa femme Marielle, ainsi que par leurs enfants, qui prendront bientôt la relève. Actuellement en période de croissance, le domaine vend jusqu’à 77 000 bouteilles par an, commercialisées à 70 % en France, dont 80 % à des particuliers, le reste est exporté dans le monde entier. Pointilleux à la racine Sur un terroir de plus de dix hectares, uniquement sur le terroir de la Vallée de la Marne, profitant d’un sol argilo-calcaire et exposé plein sud, la récolte, qui est de 70 % de pinot meunier, n’a jamais été entre d'aussi bonnes mains. La maison a la particularité d’être très active dans la viticulture durable, pour laquelle Bruno s’autorise des approches personnalisées a chaque parcelle, à mi-chemin entre démarche biologique et démarche conventionnelle. Il effectue notamment un travail mécanique du sol, pratique l’enherbement naturel et opte pour un arrêt des émissions d’herbicides à hauteur de 100% d’ici 2 ans. Ces techniques raisonnées adoptées depuis plusieurs années sont menées afin de garantir une biodiversité et de réduire au maximum l’impact de l’homme sur son écosystème. Peu de Vignerons ont cette réflexion globale. Une belle gamme de champagnes La maison Copin privilégie des gestes ancestraux (vinification en fûts de chêne) qui sont combinés à des approches bien plus innovantes (usage de cuverie inox thermorégulée, microvinification…). De là naissent des champagnes au caractère unique. Parmi les fleurons de la gamme s’inscrit la Cuvée Tradition, à l’image du principal cépage cultivé par le domaine, à savoir le Meunier. Ce champagne évoque la fraîcheur et la subtilité, et donne sur des arômes de fruits d’été. Cette cuvée est récompensée par de nombreux prix : Guide Hachette, Concours Général Agricole, Gault et Millau, Revue du Vin de France, Wine Spectator, Decanter… La cuvée Millésime 2007 mérite également une mention spéciale. Ce Champagne rendant hommage à une année en particulier durant laquelle la nature a exprimé le meilleur d’ellemême fait la fierté des amateurs de champagne par sa complexité aromatique. Enfin, une toute nouvelle cuvée Polyphénols 2006 est présentée au public en ce début d’année. Elle est annoncée par Bruno Copin comme « la plus complexe jamais élaborée par la maison ». À découvrir. ...
Propriété de Francis Burn, le Clos Saint-Imer fait partie intégrante du Domaine Ernest Burn, qui lui-même est inclus au sein du village de Gueberschwihr. Terre de prédilection pour les sept cépages nobles alsaciens, ce village est reconnu depuis plusieurs siècles pour l’excellence de ses vins. Ernest Burn, précurseur du domaine Terroir de premier choix pour les grands vins avec son sol calcaire et sa forte pente, les villageois de Gueberschwihr commencèrent à défricher la colline à partir du VIIe siècle, sous l’impulsion de son protecteur Saint-Imer. Toutefois, suite à la Révolution qui morcela ces terres, au phylloxera qui décima les plantations et aux difficultés d’exploitation, la viticulture fut abandonnée sur cette colline à la fin du XIXe siècle. Ernest Burn, issu d’une très longue lignée de vignerons et conscient de l’énorme potentiel de ce terroir, s’attela à partir de 1934 à le faire renaître de ses cendres. Il releva les murs de pierres, rouvrit les chemins et replanta les parcelles qu’il acquit au fur et à mesure. Son nom est resté attaché au domaine qu’il a transmis à ses enfants. Son fils Francis continue son œuvre et exploite avec passion ce vignoble tant réputé. Le Clos Saint-Imer Juché à 330 mètres d’altitude au nord du village de Gueberschwihr, le Clos Saint-Imer occupe cinq hectares d’un seul tenant au lieu-dit Grand Cru Goldert. Son terroir calcaire est propice aux cépages nobles alsaciens, en particulier le Gewurztraminer et le Muscat d’Alsace. Cette particularité lui a d’ailleurs valu le surnom d’ « aristocrate du vignoble alsacien ». Imposé par la forte déclivité du terrain (jusqu’à 60% de pente en certains endroits) mais aussi dans un souci de préservation de la nature, les vignes y sont travaillées à la manière traditionnelle. « Nous travaillons surtout à l’ancienne, tout est manuel. » explique Francis Burn. Et lui de poursuivre : « depuis toujours, les insecticides sont bannis de ce clos afin de respecter un type d’agriculture raisonnée, voire au-delà. Des vins riches et fruités Avec ses dix hectares en tout, dont cinq pour le Clos Saint-Imer, le Domaine Ernest Burn produit annuellement quarante-mille bouteilles, déclinées en une quinzaine de vins différents. « Nous ne commercialisons que des vins mûrs, qui ont entre trois et quatre ans, élevés trois ans minimum avant d’être mis en bouteille. Nos vins sont très riches, fruités…» précise Francis. Le « Clos Saint-Imer - Muscat Vendanges Tardives » 2007, AOC Alsace Grand Cru Goldert illustre la richesse des vins issus de ce clos. Composé de Muscat à 100% récolté en surmaturité, il présente une robe jaune doré, aux reflets cuivrés. Son nez ouvert et complexe, offre un mélange d’arômes de rose, d’abricot, de miel et d’épices. Equilibré et structuré, cette cuvée est à réserver pour les occasions particulières, et s’accompagne d’un roquefort ou d’une mousse au chocolat. A l’instar du Muscat, le « Clos Saint-Imer - Gewurztraminer Vendanges Tardives » 2011 AOC Grand Cru Goldert est également un grand vin de garde qui peut se bonifier jusqu’à quinze ans en cave. La finesse de sa sucrosité permet à ce vin moelleux des accords gourmands. Présenté en coffret de bois, il s’offre en cadeau aux amateurs de grands vins. ...
Situé à la sortie du village de Cournou, le domaine est perché sur les plateaux du Quercy qui dominent la vallée de Saint-Vincent-Rive-d’Olt. La propriété compte actuellement 27 hectares de vignes régies par deux principes simples : « l’ordre et l’art ». La légende de Lou Prince Le nom du Domaine du Prince est tiré d’une histoire, légende ou réalité, de l’un des ancêtres de la famille Jouves. Celui-ci aurait livré son vin à un grand monarque, le roi de France ou peut être le Tsar de Russie, et à son retour, il fut surnommé Lou Prince par les villageois de Cournou. En revanche, l’installation de cette famille dans ce domaine depuis trois siècles relève de faits historiques avérés. Il s’est transmis de génération en génération jusqu’aux frères Didier et Bruno Jouves, qui le gèrent depuis 1995 avec réussite. « La rigueur et la rationalité de Didier dans la conduite des vignes complète harmonieusement la poésie et l’art de Bruno dans la vinification » explique Hélène Jouves, épouse de Didier. A l’intersection de trois influences Dans les vignes, Didier met à profit la situation propice du vignoble pour obtenir des vendanges affinées en maturité. En effet, le Domaine du Prince est sous une influence climatique propice pour ses vignes, situées à égale distance de la Méditerranée, de l’Atlantique et des Pyrénées. Il profite ainsi d’une arrière-saison ensoleillée évitant l’humidité de l’Atlantique et les précipitations méditerranéennes d’automne. En plus, ce climat permet aux vignes d’être moins sujettes aux maladies, autorisant la réduction des traitements de façon consécutive. Son terroir, plus ou moins riche en argile selon les parcelles, facilite l’obtention de cuvées différentes selon leur teneur argileuse. Côté cépage, le domaine possède trois variétés. « Nous avons le Malbec, le Merlot et le Tannât, mais toutes les cuvées que nous produisons sont issues exclusivement du Malbec, qui est le cépage principal du vin de Cahors » précise Hélène. Vinification traditionnelle Après triage mécanique et manuel, les raisins sont ensuite confiés à Bruno qui peut procéder à la vinification. Relevant de tout un art, cette étape cruciale est menée de manière rigoureuse suivant la méthode traditionnelle adoptée au domaine depuis trois siècles. Une macération longue de quatre semaines pour extraire les tannins, suivie d’une fermentation en cuve ou barriques, puis d’un élevage en futs de chêne et finalement une mise en bouteilles au moment idéal après des dégustations approfondies. Le recueil des vins Le Domaine du Prince propose deux types de vins. « Nous produisons environ 100 000 bouteilles que nous commercialisons nous-mêmes ainsi que 150 à 200 hectolitres dédiés au négoce » spécifie Hélène Jouves. Les vins en bouteilles sont déclinés en cinq cuvées en appellation Cahors contrôlée, à savoir la cuvée « Lou Prince », « Rossignol », « L’Envol » « Le Chêne du Prince » et « La Rosée du Prince ». ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
Le Domaine d’Ognoas est une propriété publique gérée par le Département des Landes couvrant près de 650 hectares. Il englobe le vignoble de 50 hectares destiné à la production de son eau-de-vie. Il inclut également plusieurs bâtiments et espaces verts qui font partie intégrante du patrimoine historique de la région landaise, à savoir la Seigneurie d’Ognoas, la Maison Forte de Tampouy, l’alambic bicentenaire, le Moulin de la Gaube et ses métairies, le chai antique et le chai des anges, les champs céréaliers et finalement la forêt de 300 hectares et quelques plans d’eau. « Notre essence-même, la raison de notre existence est d’être un musée vivant, une vitrine du terroir landais et du Bas-Armagnac landais » explique Myriam Biarnes, agent d’accueil relations publiques et promotion commerciale. Une histoire datant du Moyen Âge Depuis ses débuts au XIIe siècle, le Domaine d’Ognoas est passé tour à tour aux mains de seigneurs féodaux, de bourgeois, de l’Eglise puis finalement de l’Etat. Propriété de la famille Bosquet pendant des siècles, il est racheté en 1770 par la famille bourgeoise Lormand. En 1847, le dernier de cette famille, Jacques Taurin, n’ayant pas eu de descendance, lègue le domaine à l’Evêché d’Aire-sur-Adour. La loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat en 1905 transfère ensuite la propriété à l’administration. Actuellement, le domaine est administré par le Conseil départemental des Landes. Des eaux-de-vie prestigieuses Le vignoble du Domaine d’Ognoas se consacre à la production de son eau-de-vie d’Armagnac essentiellement mais propose aussi du floc rouge et blanc. L’eau-de-vie est vinifiée, distillée et élevée en futs de chêne au sein même du domaine. Les boissons alcooliques ainsi obtenues sont ensuite classées selon le temps passé dans les futs : VSOP pour ceux âgés entre 4 et 6 ans, XO Hors d’âge pour les armagnacs millésimés entre 10 et 19 ans et XO Premium pour ceux qui ont plus de 20 ans. Les eaux-de-vies en AOC Armagnac élaborées par le Domaine d’Ognoas sont de véritables références et ont été récompensées à de multiples reprises lors de concours agricoles. « Nos Armagnacs millésimés ont eu trois médailles d’Or au Concours Agricole de Paris 2015 » raconte avec fierté Gérard Guignot, responsable au sein du Département des Landes. Preuve de cette qualité, les millésimes du domaine sont servis auprès de certaines tables étoilées comme « Le Relais de la Poste » dans les Landes, « La Grande Maison » à Bordeaux, ou encore « Le Patio » à Arcachon. Des visites pédagogiques La totalité du Domaine d’Ognoas, depuis la forêt jusqu’à ses bâtiments, est entièrement ouvert au public. « Pour le cas du vignoble plus particulièrement, nous proposons des visites guidées essentiellement, qui concernent la visite de nos chais, avec une approche pédagogique du domaine et de l’AOC Armagnac. Nous y expliquons les méthodes de production et de vieillissement de l’Armagnac. Cette activité est toujours suivie d’une dégustation, le tout gratuitement » spécifie Myriam. En outre, des chemins de randonnée et des voies vertes sillonnent tout le domaine, en passant notamment par les rives du Midou pour les passionnés de nature. Quant aux amateurs de pêche, ils seront entièrement comblés avec les quatre étangs pittoresques du canton de Villeneuve-de-Marsan et celui de la Gaube. ...
L’histoire de la maison C. Garnotel commence en 1899, quand Louis Adam a décidé d’exploiter le vignoble qu’il a hérité de son père. La passion de la vigne s’est transmise de père en fils et aujourd’hui c’est Christophe Garnotel, de la troisième génération, qui continue à préserver la notoriété de cette maison familiale. Tel un artisan, il façonne chaque cuvée en respectant fidèlement la tradition du métier et un savoir-faire ancestral. Un dévouement qui a valu à la propriété une réputation enviable, dépassant les frontières. Là où tout commence Avoir un vignoble en premier cru installé sur Rilly La Montagne est un symbole : celui de l’excellence. Car pour élaborer des champagnes d’exception, il faut un terroir d’exception. « Nous exploitons actuellement un vignoble d’une dizaine d’hectares, intégralement en premier cru, dont la moitié est dédiée au pinot meunier. » Le reste du vignoble est en chardonnay et en pinot noir. À Rilly La Montagne, le sous-sol a la spécificité d’être crayeux qui confère aux vignes une qualité rarement inégalée. Combiné à un ensoleillement équilibré, ce terroir permet aux raisins de développer pleinement leur typicité naturelle jusqu’à maturation optimale. Toutes les conditions sont réunies pour obtenir des cuvées plus saines et plus expressives, à l’image des caractéristiques du terroir. « En blanc, on va avoir des champagnes légers avec des fines bulles et des champagnes avec une puissance aromatique pour tout ce qui est assemblage », souligne Christophe Garnotel. En harmonie avec l’environnement Pour conserver la richesse de son terroir, la maison Champagne C. Garnotel évolue dans le sens de la viticulture raisonnée. La démarche mise sur la prévention afin de réduire l’utilisation des produits phytosanitaires sur les vignes. Ici, le désherbage se fait mécaniquement et le traitement insecticide repose sur la méthode biotechnique de la confusion sexuelle. De la même manière, les actions de protection contre les maladies de la vigne sont renforcées avant même que celles-ci aient le temps de se développer. Christophe Garnotel soutient que « c’est un engagement qui demande un contrôle journalier de l’état des vignes pour apporter les soins adaptés au bon moment ». Une fois les récoltes vendangées manuellement, elles passeront par la vinification traditionnelle champenoise. Les cuvées de la maison Fruit d’une succession complexe de savoir-faire et d’assemblage, le Brut Grande Réserve incarne l’identité de la maison. Ce brut sans année est élaboré avec 40 % de pinot meunier, 30 % de pinot noir et 30 % de chardonnay. Sa belle robe dorée témoigne de son élégance. Son nez agréablement fruité suggère une bouche ample et une fraîcheur intense. En bouche, il est souple, gourmand, généreux et d’une rondeur tentatrice. Idéal pour accompagner les apéritifs et amuse-bouche. La note de 85/100 attribuée par le guide des vins Gilbert et Gaillard signe sa grandeur. « Il s’agit là de notre cuvée de référence, celle qui donne le ton sur notre maison de champagne. » Au même titre que cette cuvée emblématique, la cuvée Louis Adam en monocépage chardonnay premier cru se distingue par la symbiose parfaite de sa palette aromatique. Élaboré en hommage au fondateur de la maison, ce champagne est le lien vivant entre l’histoire de la propriété et les vignes. Son arôme de fruits à chair blanche est agrémenté d’une délicate note briochée. À la fois moelleuse et légère, la texture de ce champagne dévoile une fraîcheur finement parfumée. Il est coté à 89/100 par le guide Gilbert et Gaillard. Le Brut Blanc de Blancs est aussi sur du 100 % chardonnay. D’une robe jaune clair, il est apprécié pour sa bouche complexe, qui joue sur des notes tantôt crémeuses tantôt opulentes. Elle s’achève sur une belle vivacité et sur une finale subtilement saline. Le Brut Esprit Rosé est élaboré essentiellement en ...