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Vins et œnologie : visites des meilleurs domaines viticoles de France

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Gastronomie
Bières
Quand la bière artisanale s'invite chez Nicolas. Podcast Interview "Craft beers" avec la célèbre enseigne de Cavistes Nicolas

Bonjour à tous, on se retrouve aujourd’hui pour un nouveau podcast « On en parle ». Et nous allons parler, de produits artisanaux vendus chez Craft Beers et Compagnie, une filiale du célèbre caviste Nicolas. Pour nous en parler, Monsieur Christopher Hermelin, responsable marketing et communication chez Nicolas.

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Gastronomie
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Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin

Bonjour et bienvenus à tous sur ce nouveau podcast : « on en parle ». Aujourd’hui nous allons nous intéresser à Nicolas, le fameux caviste français, qui fête en 2022 son bicentenaire. Alors focus sur ce géant du vin, qui a su traverser les siècles avec succès. Et pour nous guider et nous accompagner, Monsieur Christopher Hermelin, responsable marketing et communication chez Ni...

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles

S’étalant sur une surface de 7ha de vignoble et situé dans la zone graveleuse de Saint-Emilion, le Château Corbin Michotte se trouve entre Pomerol et Saint-Emilion, proche de Cheval Blanc et Figeac. Chaque année, on y produit près de 300 hl de vin en moyenne, en Grand Cru Classé.

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Gastronomie
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Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle », le podcast qui parle de vous, de votre métier et bien souvent de votre passion. C’est le cas de madame Caroline Barroux vigneronne dans la région Bordelaise qui gère d’une main de maître son château, son vignoble, sa terre. Alors depuis combien de temps madame Barroux vous avez repris l’exploitation Barrabaque ?

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Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle » le podcast où nous parlons de vous et de votre métier. Alors aujourd'hui, nous allons partir à la rencontre d'un vigneron Sébastien Labails qui nous fera découvrir ses trois domaines dans la magnifique région de Bordeaux. Bonjour, Monsieur Labails, alors dites-nous un peu, qui êtes-vous et que faites-vous là-bas vers Bordeaux ?...

Œnologie, Tourisme : top 50 des meilleures destinations viticoles...

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Thiais
Nicolas
Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin
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Nicolas
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Jean-Noël Boidron
Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles
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Château Barrabaque
Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque
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Les Vignobles de Maxime
Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime
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vers une viniculture durable
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Château Deffends : ce lieu où tout s’arrête pour que commence votre histoire

Pour trouver le Château Deffends, il faut se rendre à Carnoules. Une ville célèbre autrefois pour ses trains et une des garnisons des troupes de Napoléon. Idéalement située entre les aéroports de Nice et Marseille, ainsi que l’aéroport de Toulon-Hyères à 30 minutes du Château, offrant ainsi la possibilité de réunir plus facilement famille et amis du monde entier en deux clics. RECEVOIR AU DEFFENDS Une allée d’olivier à couper le souffle. Une bastide provençale qui se dresse face à l’horizon. Un calme et une authenticité omniprésente au milieu de 30 hectares de vignes dans l’appellation Côtes de Provence. Bercé par le bruit des cigales, remontez l’allée des oliviers. Préparez-vous à être éblouis par un cadre somptueux chargé d’histoire... UNE RECEPTION PLACÉE SOUS LES MEILLEURS AUSPICES Destiné à un événement imaginé en plein air, au coeur d’un site ancestral, l’esplanade de 500 m2 entourée de platanes plus que centenaires sait rendre heureux. Sous la fraîcheur de leurs frondaisons, un parquet invite tout le monde à danser jusqu’au bout de la nuit, la tête dans les étoiles. De verdoyants jardins savent accueillir les convives pour un début de soirée tout en douceur tout en profitant de ce moment pour découvrir les fontaines du domaine ainsi que son parc bordant les champs de vignes. Pour faire la fête en intérieur, un Barnum de 225 m2 fait appui à l’esplanade. Sous ce chapiteau, au plafond, les lustres illuminent le plancher de bois. Tout le mobilier (tables rondes ou rectangulaires et chaises) ainsi qu’un espace traiteur de 25m2 sont inclus dans l’intention de permettre une organisation facilitée. Au Château Deffends tous les évènements sont possibles ! Célébrer un anniversaire ? Envie d’organiser une cérémonie laïque ? Sous la protection des grands chênes et bordée par les vignes, un espace dédié saura se rendre magique pour un engagement si important. D’autres espaces sont à découvrir comme l’espace Garden Party pour célébrer un anniversaire ou simplement réunir son équipe de travail. DEPUIS QUAND... En 2012, un orage de grêle frappe le Château Deffends... 50% de la récolte sera détruite. Suite à ce coup du sort, un vieux projet sagement rangé dans un tiroir hante toujours Xavier Vergès, propriétaire du domaine depuis 1998 : pourquoi ne pas diversifier l’activité avec la création d’un espace dédié aux évènements ? Ainsi, depuis 2016, le Château Deffends est ouvert aux évènements tant professionnels que familiaux. Privatiser une partie du Château et y organiser son évènement est donc possible. Alors une visite s’impose ! Ce lieu d’exception qui fait le bonheur des amoureux de cet univers « Bohême d’autrefois » où se mêle un certain chic délicat à l’esprit champêtre de la Provence. DORMIR AU CHATEAU Le domaine a une capacité d’accueil de 39 couchages répartis dans 5 maisons. Les logements se composent de maisons à partager en famille ou, pour plus d’intimité, de suites dans la Bastide avec vue imprenable sur les terres du vignoble. Pour les amoureux de la nature, un cabanon en pierres, entièrement aménagé saura vous dépayser. LES VINS DU CHÂTEAU Ils sont produits, élevés et assemblés par Monsieur Xavier Vergès. Le millésime de l’année est proposé en dégustation lors de la visite, ou offert dans les trois couleurs pour une dégustation en famille ou entre amis avant l’événement. Château Deffends édite pour tous ses clients une carte privilège qui vous offre une remise de 10% sur toutes les gammes de ses vins une année durant. Évidemment, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et il est à consommer avec modération ! CHOISIR LA SÉRÉNITÉ L’équipe du Château propose un accompagnement pour l’organisation de votre journée. Que ce soit pour la préparation, l’organisation d’une cérémonie laïque, l’installation de la décoration, jusqu’au choix des prestataires, ils sont à votre écoute. Cré...

Auberge des enclos :
une cuisine semi-gastronomique et contemporaine

Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage. N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité. Jeunesse et dynamisme L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride. Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse.  Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent. Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ». Un mix entre tradition et modernité  Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux. Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos. Un environnement riche et préservé L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie. La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune. ...

L’incontournable rendez-vous des
Confituriades de Beaupuy

S’inscrivant dans une véritable tradition, les Confituriades sont aujourd’hui à leur 9e édition et continuent à alimenter les passions. Dans le cadre d’un concours international qui aura lieu les 19 et 20 août 2017, les Confituriades de Beaupuy auront l’insigne honneur de désigner le champion du monde de la confiture.  Un championnat du monde dédié aux professionnels Le championnat du monde de confiture des Confituriades de Beaupuy met chaque année un fruit à l’honneur. Pour 2017, la cerise est la principale vedette. Sous le haut patronage du ministère de l’Agriculture, l’événement sera marqué par la participation de chefs étoilés, de pâtissiers du territoire et de professionnels de la gastronomie, dans un kaléidoscope de couleurs et de saveurs gourmandes, où les fruits sont cuisinés à toutes les sauces. Un concours amateur aussi En marge du championnat du monde professionnel de confiture, les Confituriades de Beaupuy, c’est aussi, comme c’est le cas chaque année, un concours amateur de confiture et des olympiades de confiture pour enfants. Aucune préinscription n’étant requise, chaque participant a la possibilité de présenter au maximum trois pots de confiture de son choix sur un thème libre. Les inscriptions étant enregistrées sur place par des bénévoles à l’entrée du site, chacun peut venir sur les lieux avec ses propres confitures le jour de l’événement ou, à défaut, les expédier par colis à la mairie de Beaupuy avant la fin de la date limite déclarée. Les résultats du concours font l’objet d’une publication officielle par la mairie de Beaupuy avec les noms des participants ainsi que la note et le classement qu’ils ont obtenus pour chacun de leurs produits. ...

Le Domaine du Prince : des vins typiques de Cahors

Situé à la sortie du village de Cournou, le domaine est perché sur les plateaux du Quercy qui dominent la vallée de Saint-Vincent-Rive-d’Olt. La propriété compte actuellement 27 hectares de vignes régies par deux principes simples : « l’ordre et l’art ». La légende de Lou Prince Le nom du Domaine du Prince est tiré d’une histoire, légende ou réalité, de l’un des ancêtres de la famille Jouves. Celui-ci aurait livré son vin à un grand monarque, le roi de France ou peut être le Tsar de Russie, et à son retour, il fut surnommé Lou Prince par les villageois de Cournou. En revanche, l’installation de cette famille dans ce domaine depuis trois siècles relève de faits historiques avérés. Il s’est transmis de génération en génération jusqu’aux frères Didier et Bruno Jouves, qui le gèrent depuis 1995 avec réussite. « La rigueur et la rationalité de Didier dans la conduite des vignes complète harmonieusement la poésie et l’art de Bruno dans la vinification » explique Hélène Jouves, épouse de Didier. A l’intersection de trois influences Dans les vignes, Didier met à profit la situation propice du vignoble pour obtenir des vendanges affinées en maturité. En effet, le Domaine du Prince est sous une influence climatique propice pour ses vignes, situées à égale distance de la Méditerranée, de l’Atlantique et des Pyrénées. Il profite ainsi d’une arrière-saison ensoleillée évitant l’humidité de l’Atlantique et les précipitations méditerranéennes d’automne. En plus, ce climat permet aux vignes d’être moins sujettes aux maladies, autorisant la réduction des traitements de façon consécutive. Son terroir, plus ou moins riche en argile selon les parcelles, facilite l’obtention de cuvées différentes selon leur teneur argileuse. Côté cépage, le domaine possède trois variétés. « Nous avons le Malbec, le Merlot et le Tannât, mais toutes les cuvées que nous produisons sont issues exclusivement du Malbec, qui est le cépage principal du vin de Cahors » précise Hélène.  Vinification traditionnelle Après triage mécanique et manuel, les raisins sont ensuite confiés à Bruno qui peut procéder à la vinification. Relevant de tout un art, cette étape cruciale est menée de manière rigoureuse suivant la méthode traditionnelle adoptée au domaine depuis trois siècles. Une macération longue de quatre semaines pour extraire les tannins, suivie d’une fermentation en cuve ou barriques, puis d’un élevage en futs de chêne et finalement une mise en bouteilles au moment idéal après des dégustations approfondies. Le recueil des vins Le Domaine du Prince propose deux types de vins. «  Nous produisons environ 100 000 bouteilles que nous commercialisons nous-mêmes ainsi que 150 à 200 hectolitres dédiés au négoce » spécifie Hélène Jouves. Les vins en bouteilles sont déclinés en cinq cuvées en appellation Cahors contrôlée, à savoir la cuvée « Lou Prince », « Rossignol », « L’Envol » « Le Chêne du Prince » et « La Rosée du Prince ». ...

Restaurant Le coup de feu : les saveurs d'une cuisine traditionnelle

Le restaurant Le coup de feu promet une expérience unique en termes de plaisir de la table. Le chef affiche sa volonté de séduire le plus grand nombre en proposant une cuisine traditionnelle teintée d’inventivité. Un cadre cosy pour manger autrement Le restaurant Le coup de feu réserve à ses convives un accueil chaleureux dans un cadre offrant le juste milieu entre une décoration moderne et une salle de style rétro. Poutres apparentes, grande cheminée au milieu de la salle, mobiliers vintage, mais aussi sol carrelé… autant d’éléments évoquant charme et convivialité. Le restaurant propose une cuisine basée sur la gastronomie parisienne. Concoctés exclusivement avec des produits frais, les plats de l’ardoise changent toutes les semaines afin de varier le plaisir des habitués et de faire découvrir de nouvelles saveurs aux nouveaux venus. Certains mets illustrent à merveille le savoir-faire de Sylvain Le Grand, chef et non moins propriétaire du restaurant. Dans le registre des entrées, la poitrine de cochon confite, laquée au miel et servie avec un duo d'artichauts cru et cuit, émoustille les papilles. Le filet de bar est quant à lui très recommandé en guise de plat. Au Coup de feu, cette suggestion est accompagnée de jus aux fruits de la passion. Enfin, pour le dessert, le chef se fera un grand plaisir de servir l’ananas victoria rôti en tranches au sucre muscovado, agrémenté de sorbet au basilic thaï. Une cave à vins complète Pour mieux savourer les mets proposés par le restaurant Le coup de feu, le chef reste disponible pour quelques conseils sur les meilleurs accords de vins et de plats. Dans sa cave marquée par une présence remarquée de vins de Bourgogne, il présente une trentaine de références. Le chef Sylvain sélectionne d’ailleurs les vins en collaboration avec des producteurs régionaux lui permettant de mettre en valeur des produits peu connus mais à découvrir absolument. ...

Restaurant La Piazza : surfez sur la vague franco-italienne !

Paré d’une décoration sobre et chic agrémentée de couleurs chatoyantes qui rappellent les origines italiennes du chef Di Benedetto, l’établissement invite ses convives à passer des moments de détente placés sous le signe de la convivialité et d’un voyage culinaire. Lieu de vie où décontraction et plaisirs gustatifs sont les maîtres mots S’étendant sur une surface de 110 m2 qui peut recevoir 48 personnes à l’intérieur et 12 à la terrasse, sur une petite cour privée classée monument historique, le restaurant La Piazza est avant tout un univers à la croisée de la décontraction et du raffinement. Tableaux, fontaines ou peintures créent une touche pittoresque aux lieux, assortis d’un design épuré apporté par le parquet au sol. Ce cadre accueillant et sympathique est incontestablement propice à une expérience gustative exceptionnelle pour découvrir des plats ensoleillés inspirés de la gastronomie italienne. Un établissement qui ne fait pas les choses à moitié Pour ses spécialités franco-italiennes, la maison n’a pas l’habitude de faire les choses à moitié. Les plats traditionnels comme les tagliatelles, le foie gras maison ou bien l’andouillette gratinée au chaource sont concoctés au gré de la créativité du chef. Les plats phares, véritables clins d'œil à la cuisine italienne, à l’image de l’antipasto à la piazza ou de la scaloppina piazza avec ses pâtes à la tomate napolitaine au basilic, ravissent aussi les papilles des épicuriens. Quant au dessert, le tiramisu maison revisité, il mérite une mention spéciale. Mais ce ne sont que des aperçus des possibilités en termes d’expériences gustatives sur place étant donné que le choix s’annonce très large. À part les menus à la carte, trois formules se présentent aux fins gourmets qui ont succombé à l’appel irrésistible de cette cuisine authentique : le menu midi, le menu complet et celui à 11,90 €.  Le chef, ayant à cœur de partager les saveurs de l’Italie, importe ses produits et n’utilise qu’en partie des ingrédients locaux. En dehors de ses spécialités, l’établissement se prête aussi à une cuisine traditionnelle européenne et méditerranéenne. Côté vin, des bouteilles très représentatives des deux pays à l’instar du bordeaux français, du « Bardolino » italien ainsi que du « Rapitala », un vin rouge sicilien, riche en arômes et en saveurs, séduiront les amateurs. ...

Le Patio, Rive gauche : l’adresse mythique de Genève qui revisite le bœuf et le homard

Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel.  Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...

Restaurant Stéphane Martin : cuisine gastronomique, entre tradition et avant-garde

Dans un décor sobre et chaleureux, les lieux accueillent bon nombre d’habitués ainsi qu’une clientèle familiale, qui ont la possibilité de privatiser l'une des salles à partir de dix convives. Le restaurant est en mesure de proposer différents menus et formules, à savoir un menu à 38 euros avec entrée-plat-dessert, un menu du marché (du mardi au vendredi) avec entrée-plat ou plat-dessert à 25 euros d’une part et entrée-plat-dessert à 30 euros d’autre part, sans oublier 2 entrées du marché au choix – 2 desserts du marché au choix – 2 plats du marché au choix. À travers une carte inventive qui met en avant la fraîcheur des produits et l’authenticité des goûts, le jeune chef se plaît à composer de belles assiettes tout en réinventant les classiques. Quelques suggestions qui font plaisir aux gourmets Crème de Saint-Jacques, petits croûtons et ciboulette aiguisent l’appétit et ouvrent le bal de la gourmandise. Les sens en éveil permanent nous font revenir des saveurs longtemps oubliées, avec son jarret de porc au miel d’épices et embeurrée de choux rouges à tomber par terre. Pour le dessert, difficile de résister à son moelleux au chocolat de Tanzanie, caramel d’orange et sorbet verveine, un véritable délice ! Pour accompagner chacun des repas, le restaurant Stéphane Martin dispose d’une belle carte représentative de toutes les régions, avec une centaine de références qui font la part belle aux vins du Bordelais, aux vins de Bourgogne blancs, aux vins de la vallée du Rhône et aussi aux vins de Vendée, sans oublier ceux du Languedoc-Roussillon, de Provence, du Beaujolais… ...

Champagne Jeeper : La marque tendance et accessible

La jeune Maison Jeeper se veut la marque de champagne qui monte avec une forte identité et un positionnement apte à séduire une clientèle branchée ? Pas si jeune que ça puisque la marque a été lancéeen 1949. Nous l’avons racheté avec mon mari en 2009 et avons décidé très rapidement de lui créer un flacon dédié pour se différencier des autres acteurs champenois. Le temps de fabriquer un moule, de réaliser les tirages et de faire le vieillissement, les premières cuvées de notre gamme premium ne sont sorties que l’année dernière. Nous avons écoulé 170 000 bouteilles avec cette nouvelle gamme de champagne de hautes lignées aux notes élégantes et persistantes dont l’excellent rapport qualité-prix explique sa popularité grandissante. Comment est élaboré le champagne Jeeper ? Il s’agit d’un champagne d’assemblage, une sélection du meilleur de nos approvisionnements. Nous  disposons en effet d’un vignoble maison de 35 hectares environ et des contrats d’approvisionnement qui représentent 180 hectares. L’ensemble de ces raisins nous permettent de faire une sélection très rigoureuse pour produire nos quatre cuvées actuellement commercialisées, sachant que deux autres (le Premier Cruet le Grand Cru) patientent encore dans les chais. On parle aussi d’un goût Jeeper, pouvez-vous nous en dire plus ? Notre communication vante en effet ce goût Jeeper qui s’appuie sur le chardonnay vieillit en futs qui apporte finesse et élégance aux champagnes, les conseils de notre œnologue maison depuis toujours et une utilisation très parcimonieuse du soufre. La forme de la bouteille participe également à la qualité de votre champagne ? Tout à fait puisque notre bouteille possède un col peu haut, limitant le volume d’oxygène dans l’espace de tête à environ le tiers d’une bouteille classique. De quoi garder intact toutes les qualités gustatives, d’assemblage et de vinification tout en se démarquant de la bouteille de champagne traditionnelle avec un flacon maison reconnaissable immédiatement. ...

Podcast avec Loïc Manchec, vigneron au Mas Costeplane en AOP Languedoc

Flash Matin : Bonjour Loïc ! Loïc Manchec : Bonjour. Vous êtes Loïc, l’heureux propriétaire du Mas Costeplane, un domaine viticole à Cannes-et-Clairan, dans le Gard. Vous pratiquez l’agriculture biodynamique. On dit que vous êtes un jeune vigneron, c’est vrai cela ? Loïc Manchec : Je suis un jeune vigneron. Jeune dans l’expérience mais, un peu moins dans l’âge. C’est une reconversion pour moi le métier de vigneron. J’ai repris le domaine Costeplane il y a maintenant 5 ans. C’est un choix qui a été fait, une reconversion. Cela faisait 15 ans que j’avais envie de faire ce métier et à un moment, j’ai fait le saut et je suis venu m’installer dans le Mas Costeplane. Votre domaine a une histoire longue de plus de 600 ans. Pouvez-vous nous en parler ? LM : Comme je vous l’ai dit, j’ai repris le Mas Costeplane il y a 5 ans. Ce sont Monsieur et Madame Coste qui l’ont hérité de leur famille. Le domaine est dans leur famille depuis au moins 1405 -1450, c’était tracé. Après une trentaine d’années d’exploitation du domaine et d’avoir installé la cave particulière, ils souhaitaient prendre leur retraite. On s’est rencontré et on s’est bien entendu. On a passé pas mal de temps ensemble avant que je reprenne leur domaine il y a maintenant 5 ans. L’une des grandes particularités est que le domaine est fait en Bio depuis 1989. C’était vraiment parmi les précurseurs du bio. On est sur un petit plateau au-dessus de Cannes-et-Clairon, un petit village dans le Gard. Il n’y a pas de voisins, on est entouré par la Garrigue, le premier voisin est à 2 km. On n’a pas eu de pesticide depuis 1980, cela fait quasiment 40 ans. On a une biodiversité de terre qui est extraordinaire, mais on y reviendra je pense plus tard. Oui, donc vous disposez d’une terre qui se prête vraiment bien à l’agriculture biodynamique. On se demande d’où vient la biodynamie et ce que c’est exactement ? LM : Le concept est développé par Rudolf Steiner, un philosophe autrichien, au début du XXe siècle. Il a une approche un peu plus ésotérique, en relation avec le cosmos. C’est une relation personnelle après, on applique des principes. Je ne comprends pas forcément tout ce que Rudolf Steiner a pu expliquer, tout ce qu’il a pu décrire. Ce qui est sûr aujourd’hui, c’est qu’on commence à trouver les explications à ce qu’il disait et c’est un petit peu un visionnaire. On va retrouver quelque chose qui peut paraître parfois ésotérique et on en prend ce qu’on veut. Pour moi, c’est une approche très personnelle. La biodynamie est une approche en symbiose avec la nature. Au lieu d’une approche, ou l’on détruit ce qui dérange, ou l’on exploite au maximum et qu’on pilote les processus par l’utilisation d’artifice chimique, nous, notre approche viticole et vinicole en biodynamie est de travailler dans le respect du vivant, dans la confiance qu’on a dans la nature et dans l’accompagnement de la plante. J’ai une formation d’ingénieur à la base, je suis quelqu’un d’extrêmement rationnel et j’ai compris une chose en arrivant à Costeplane. En fait, il est illusoire de penser qu’on peut tout maîtriser. Ma relation va beaucoup se fonder sur une espèce d’intuition. Quand je marche dans mes vignes, si je vous disais que je parle à mes vignes et que je les écoute, cela va vous faire sourire. Pourtant, c’est vraiment quelque chose que je ressens. À partir de là, je vais prendre une décision et non pas forcément sur des informations techniques. Évidemment, je reçois les bulletins de santé des végétaux comme tous vignerons et derrière, cela ne veut pas dire que je vais passer les préparations. Je vais prendre ma décision en fonction de ce que je perçois de la vie, et ce n’est pas quelque chose de rationnel. Je ressens des vibrations en moi qui vont me dire, j’y vais ou je n’y vais pas. Jusqu’à présent cela marche. Le meilleur exemple que je vais prendre c’était en 2019, ma première année, je me lève un matin à 6h du matin pour aller poudrer les vignes, c’est-à-dire passer du soufre pour empêcher l’oïdium de se d&ea...

Fromagerie de Milly : l’authenticité du fromage de chèvre traditionnel

Producteur laitier depuis 1988, Pascal reprend en 2003 la fromagerie de Nérondes afin de perpétuer un héritage gourmand faisant la renommée de la région du Cher. Cette dernière est, en effet, réputée pour la production du grand cru des fromages, le Crottin de Chavignol. « De nombreux critères exigeants, allant de la race des chèvres à leur alimentation, en passant par le processus d’élaboration, sont rigoureusement contrôlés afin de préserver la typicité de ce fromage d’exception », explique-t-il. Grâce à un savoir-faire et une structure d’élevage répondant à ce cahier des charges strict, la Fromagerie de Milly a obtenu cet AOP et produit aujourd’hui, avec le crottin, une large variété de fromages fermiers. Un savoir-faire au service de l’excellence Désireux de produire des mets de qualité pour sa clientèle exigeante, Pascal  s’attèle à préserver un savoir-faire unique basé sur la production complète de tous ses fromages dans son exploitation. « 75 ha de terres sont ici cultivées pour l’alimentation de 200 chèvres laitières, [appartenant à la race alpine], rajoute notre interlocuteur. Nourries exclusivement avec des céréales et du fourrage provenant de ces terres, les chèvres produisent alors un lait de qualité propice à l’obtention de plusieurs variétés de fromages haut de gamme. La fabrication de ces dernières est entièrement assurée par la fromagerie qui, de l’emprésurage à l’affinage, garantit des étapes de production réalisées suivant une démarche éthique, dans le respect des traditions. Ainsi, outre le Crottin de Chavignol, appréciez lors de vos instants gourmands le Nérondais, un gros fromage de chèvre moulé à la louche, ou le Mini feuilletés, à déguster à l’apéritif. ...

Le Domaine des Sables Verts, un terroir d’excellence

Avec leurs 16,5 hectares de terre, Alain et Dominique Duveau produisent pas moins de 20 000 bouteilles chaque année, principalement du Saumur-Champigny, qui représente 90 % de leur exploitation. Un vin que le duc de Berry exploitait jadis au pied du château de Saumur, dans les années 1440. Une tradition toujours respectée Sur les sols du bassin parisien, en Anjou, le Domaine des Sables Verts est reconnu pour son exploitation sur des terres argilocalcaires où le climat et la verdure donnent au vin traditionnel un goût et une noblesse que l’on ne peut trouver ailleurs. Le cabernet franc, le cépage de prédilection de la région, qui se distingue par sa finesse et son léger arôme épicé, est mis en bouteille durant l’hiver. Le Domaine produit également un saumur blanc, à base de chenin, sec et fruité, récolté à la main et élévé en barriques de chêne dans les caves de tuffeau. A partir de ce même cépage et lorsque la météo est favorable, les frères Duveau aiment à élaborer un vin liquoreux en vendanges tardives qu'il appellent "Nectar de Chenin" et qui accompagne généralement le foie gras. À chaque vin son histoire. Celui des frères Duveau prend vie en vieillissant dans les caves, attendant d’être travaillé et dégusté par les amateurs de bon terroir. En tout, cinq vins de différentes appellations sont produits chez eux, dont deux rouge d’excellence, un blanc sec, un blanc liquoreux, ainsi qu’un Crémant rosé en méthode traditionnelle à base de cabernet. Une région où le vin est roi Le Val de Loire possède 70 000 hectares de plantations, avec pas moins de 65 appellations différentes, faisant de cette région l'une des plus grandes exploitations de vins au monde. Avec son paysage et son climat, ou les fleuves et les rivières traversant les châteaux et autres domaines viticoles, le vin a su naturellement s’intégrer dans la culture traditionnelle. Elle est, depuis le 30 novembre 2000, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Respectant toutes les techniques, anciennes comme modernes, dans l’exploitation des vignes, l'Anjou est une contrée où la joie de vivre et le savoir-faire suivent chaque personne dans son quotidien. Pépinières et jardins sans oublier les habitations troglodytiques font d’elle une région d’exception. En hiver, pour ses veillées autour d'un feu de cheminée et de fouées garnies, ou l’été, pour les parties de grillades autour d’une bonne bouteille de blanc frais et sec ou rouge et fruité. Au cours d’un séjour dans la région, un passage au Domaine des Sables Verts est incontournable. Il vous propose chaque année une randonnée autour de l’exploitation, et organise des pique-niques et des visites de caves, tout cela au mois de juin, à l’occasion de « la fleur des vignes ». ...

Auberge des chenets :
une table bourguignonne gourmande et raffinée

Entre Vézelay et Avallon, au bord de la route D606, vous ne risquez pas de la rater. L’Auberge des Chenets se distingue par son cadre accueillant et convivial. La façade en pierre, les volets aux couleurs vives et la petite végétation qui borde la devanture sont les premiers détails qui focalisent l’attention. A l’intérieur, on se laisse charmer par une salle intimiste à la lumière tamisée et à la décoration raffinée. D’entrée de jeu, la belle et grande cheminée confère une ambiance cosy et sereine. Les murs en pierre apparente embellis de tableaux contemporains dénotent d’un joli mix entre tradition et modernité : c’est d’ailleurs dans cet esprit-là que l’Auberge des Chenets a été créée.   Un chef amoureux de son terroir L’histoire du restaurant Auberge des Chenets est celle d’un chef qui se passionne pour la cuisine notamment la pâtisserie dès son plus jeune âge. Après avoir effectué un apprentissage classique, il a la chance de travailler dans des relais et châteaux qui lui ouvrent les portes de plusieurs grandes maisons à l’instar du célèbre La Chèvre d’or à Eze Village. Suite à cette belle et longue expérience, il est temps pour lui de revenir aux sources dans sa région natale. Il décide d’ouvrir alors son propre établissement dans lequel il sert une cuisine raffinée et délicate qui comble les palais exigeants. Un repas à l’Auberge des Chenets, ce sont des étincelles assurées. Le chef imaginatif et curieux partage une cuisine qui tente de préserver l’identité régionale tout en sortant des sentiers battus. Il travaille avec des produits frais qui mettent à l’honneur le terroir. Selon la saison, il sera alors possible de déguster certains produits phares qui font la réputation de la Bourgogne à l’instar des escargots. Au mois d’octobre, un menu spécial « homard » est affiché durant une quinzaine de jours. L’occasion pour les amateurs de ce met d’exception de le découvrir sous toutes les coutures. En hiver, des week-ends dédiés à la truffe sont organisés selon la disponibilité des produits.   Une riche carte de vins La carte de vins est bien fournie, de quoi vous donner l’assurance de bénéficier des meilleurs accords. Etant donné la localisation de l’établissement, celui-ci privilégie les Chablis ou encore les vins de l’Yonne.  Pour 2016, ces derniers sont à l’honneur lors de la fête viticole bourguignonne appelée Saint-Vincent Tournante. Créé au Moyen-Age, l’évènement est célébré durant le dernier week-end de janvier et change tous les ans de village viticole bourguignon. ...

Matsuri : des restaurants japonais au concept innovant en France

La nouvelle décoration des restaurants Matsuri vous plonge immédiatement dans un cocon zen, une ambiance chaleureuse et conviviale. Confort acoustique et lumière douce sont au rendez-vous grâce aux lattes en chêne disposées avec élégance au mur et au plafond. Tout ceci est le résultat de la nouvelle charte architecturale établie avec les architectes Moreau et Kusunoki, dont bénéficient déjà 5 restaurants (Boétie, Vincennes, Lyon Presqu’ile, Lyon Part Dieu et Bordeaux). A terme, tous les restaurants vont ainsi être rénovés. Le concept du comptoir tournant Assis sur une confortable chaise en bois devant un comptoir tournant, chaque client apprécie les différents plats proposés. Il peut composer facilement son repas suivant ses envies et son appétit, découvrir de nouvelles saveurs, tester de nouvelles spécialités. Quant aux prix, pas de surprise puisqu’ils sont indiqués par le liséré de couleur des assiettes. Ce concept innovant et ludique séduit tout particulièrement les enfants. L’accueil est assuré avec gentillesse, courtoisie et sérieux par des serveurs qui se feront un plaisir de vous accompagner pour une question ou une commande. Une carte variée Une grande diversité de créations originales respectant la tradition culinaire japonaise est proposée sur la carte. Vous pouvez déguster des préparations telles que la soupe miso, des sashimis, des sushis, des makis, des gunkans, des temakis à la feuille de soja ou à la feuille d’algues nori, des californias (makis avec algues nori à l’intérieur) et des desserts. On retrouve des nouvelles créations chaque saison à travers 2 cartes par an, la collection automne/hiver et printemps/été. Le chef Guillaume Libert élabore plusieurs fois par an des éditions éphémères et les nouvelles créations de la carte. Par exemple vous pourrez savourer à la fin de l’année le duo mousse thé vert yuzu ou le duo gelée de thé vert, coco et fruits rouges en édition éphémère. Tous les sushis sont préparés sur place à partir de produits frais, sous les yeux des clients par les sushi man face au comptoir tournant. Pour les boissons, vous pourrez choisir entre vins blancs, vins rouges, bières japonaises ou saké. Des plats à emporter ou livrés Bien que spécialisés dans la restauration rapide, les restaurants Matsuri proposent également des bentos à emporter ou livrés à domicile en plus de son large choix de produits. Vous pouvez donc savourer les mêmes produits chez vous ou au bureau. Ils sont accompagnés d’edamame et de riz nature. ...

Le Bistrot du Maquis :
un restaurant sympathique hors des sentiers battus

Que ce soit en famille, en amoureux ou entre amis, les occasions ne manquent pas pour partager un bon repas autour d’une excellente table, dont les plats et les services n’ont rien à envier aux autres établissements des alentours. Une cuisine de goût et de créativité La bonne humeur et la convivialité sont constamment au rendez-vous lorsqu’il s’agit de goûter à la cuisine bistronomique et de bon goût du chef, qui vous invite à de belles découvertes. Laissez-vous tenter par sa terrine de jarret de veau au romarin et aux noisettes, une cuisson faite au bouillon et reconstituée en terrine avec un peu de gélatine à laquelle s’ajoutent du romarin, des noisettes, un petit peu d’oignon et de carottes, le tout servi avec une petite vinaigrette. Continuez avec son savoureux rognon de veau, poêlé avec une sauce moutarde (cuisson 30 à 35 minutes) et des échalotes revenues au beurre, puis déglacé au vin blanc et mouillé au fond de veau avec de la moutarde. On crème un petit peu, on passe au chinois, on monte au beurre et on ajoute de la moutarde en grains. Servi avec une fondue de choux et des petits lardons. Terminez sur une note joyeuse par son moelleux au chocolat avec une glace vanille, qui est un savoureux mélange chocolat-farine-œufs, cuit au four avec un cœur légèrement fondant liquide. Pour accompagner chacun de vos repas, le Bistrot du Maquis propose une belle carte de vins issus de la culture raisonnée biodynamique, sélectionnés directement auprès de propriétaires, vignerons et autres représentants, parmi lesquels se distinguent le Marcel Lapierre, la Principauté-d’orange de Paul Daumene ou encore le Bouzeron du Domaine Cruchandeau.  ...

Café du Soleil : un bistrot à la hauteur de sa réputation

Café du Soleil est un ancien relais de chasse reconverti en auberge, pour devenir aujourd’hui un bistrot sympathique à l’identité bien affirmée. Le décor de la maison qui préserve son air d’antan malgré les rénovations subies raconte 400 ans d’histoire. Ici, les habitués comme les clients de passage se sentent très vite chez eux et se laissent emporter par l’ambiance chaleureuse qui rythme la salle, « comme dans un vrai bistrot », selon Adriano Dupraz, le gérant. Offrir une palette de goûts La carte est variée, alléchante et reprend les grands classiques de la cuisine bistronomique. « Elle change selon la saison : la chasse en automne, des plats plus légers et des salades en été, et des recettes plus consistantes à base de fromage en hiver. »D’ailleurs, la fondue suisse constitue la signature de la maison, un plat qui continue à faire son petit effet à chaque dégustation. Elle est préparée uniquement à base du fromage AOC Gruyère et relevée ensuite par du vin blanc. En guise d’entrée, le chef propose l’intemporelle salade paysanne ou encore la salade de foies de volaille, une assiette qui séduit à tous les coups. Les malakoffs, une spécialité locale, s’imposent également et prennent la forme de savoureuses boules de fromages. En guise de plat, les grillades sont au rendez-vous : steak de bœuf grillé servi avec, au choix, de la sauce au poivre vert ou un beurre maison aux échalotes, accompagné de frites maison et d’une petite salade. En parallèle, le chef suggère un plat du jour selon les produits de saison : de la choucroute maison garnie de charcuteries du pays, ou encore de l’escalope de saumon d’Écosse poêlé sur lit de chou et pommes vapeur. Le périple culinaire s’achève sur une touche de gourmandise. « Les clients ont le choix entre la meringue double crème de Gruyère, un dessert phare en Suisse, le moelleux au chocolat et sa boule vanille, ou l’ananas frais au basilic. » Côté vins, la carte met à l’honneur les vins suisses et les vins locaux. Parmi les références : du chardonnay issu du domaine Centaure Claude Ramu en blanc, de l’AOC Gamaret La Clémence de la Cave de Genève en rouge, du rosé de gamay du domaine Château l’Évêque Mevaux. En outre, la cave a toujours en réserve quelques vins étrangers pour satisfaire une clientèle internationale. ...

À Délices Africa, le temps suspend son vol

Sénégal, Mali, Cameroun, Ghana, ici, on goute à chaque bout d’Afrique.  Dans un décor basique, orné de tableaux typiques et de statuettes majestueuses, le restaurant est d’une simplicité chaleureuse.   La musique est là pour rappeler l’identité du lieu dans des sons jazz, soul, makossa, mbalax, bikutsi ou des iles. Des soirées à thème invitent régulièrement les convives à la fête et à la danse.  Un vrai melting-pot au Délices AFRICA où toutes les communautés aussi bien africaines qu’européennes, passent un moment hors du temps. Il y règne comme maitre-mot : la sympathie et la gourmandise. Inspiration africaine Préparés avec soin par la cheffe cuisinière, Marie Dumas, spécialiste en cuisine africaine, les entrées font sensation auprès de la clientèle friande de découverte. « Mon inspiration vient de toute l’Afrique », sourit-elle.  En entrée, les accras de morue, croustillants et moelleux, des tapas typiquement antillais, sont plébiscités. La salade de morue avec ses avocats, ses concombres, ses citrons verts est également très demandée.  La salade ghanéenne a aussi ses lettres de noblesse parmi la clientèle avec son goût sucré-salé. Pour cette entrée composée des crevettes, de l’ail, des œufs, de la banane plantain, de la laitue et d’autres crudités sont de mise dans un goût épicé selon les besoins du client.  Les épices de poisson parmi lesquelles, les messep (basilic sauvage) et l’odzem (gingembre local) sont importées d’Afrique pour ravir les papilles des curieux et des amateurs de condiments exotiques.  Des mises en bouche qui vous mettent en haleine puisque le vrai voyage, ici, c’est dans les plats. Florilège de saveurs Le poulet braisé fait mouche.  Il est fermier (produit typiquement français) et préparé lentement au charbon de bois. C’est un incontournable du continent.  Le poisson (bar, sole, tilapia) est aussi préparé dans ce savoir-faire.  Les accompagnements conseillés par la Cheffe pour ces grillades braisées sont : le bâton de manioc, le chikouang, le riz parfumé et cantonné, la banane plantain et évidemment, les épices sur demande du client, c’est l’évasion faite maison. Direction Cameroun avec son poulet DG, accompagné de ses bananes plantains, de ses oignons fondants en bouche, de ses carottes et d’un coulis de tomates relevé au gingembre. Il est présenté dans l’authentique tradition africaine, où chacun se sert directement dans le plat. Un vrai florilège de saveurs ravira vos sens avec le classique mafé avec sa pâte d’arachide, du tiep bou diemme avec son riz typiquement sénégalais garni aux légumes. Une autre découverte camerounaise est le fameux que dis-je, le fabuleux ndolé avec (ses feuilles qu’on pourrait prendre pour des épinards) avec des cacahuètes vapeurs, bouillies garnies aux crevettes et à la viande fraiche.  Pour les desserts, c’est une vraie expérience fruitée qui s’offre à vous avec des fruits exotiques (selon les saisons) tels que la mangue, la papaye, l’ananas, la noix de coco, les glaces ou encore le café gourmand dressés dans un style simple mais très étudié. Boire local Des boissons locales sont également suggérées pour accompagner vos spécialités.  Le cocktail planteur typiquement antillais ravira les amateurs de rhum et de boissons sucrées pour un apéritif. La Flag, bière ivoirienne, se marie bien avec la salade ghanéenne ou de morue. Pour le Ndolé, une Castel. Une sélection de vins locaux est proposée pour accompagner les plats.  D’humeur festive, le Pti-punch, sucré à souhait avec de la canne, du rhum et du citron ravive le gout sucré des tapas avec fraicheur. Vous y trouverez également des cocktails maisons : le Bissap ou le jus de gingemble au rhum, les tops ou les maltas Guinness.  Le Restaurant Délices AFRICA possède également un service traiteur avec les mêmes spécialités pour notamment : les mariages, les anniversaire et d’autres cérémonies comme les séminaires, les repas d’entreprises, les repas syndicaux, etc...

Champagne Goulin-Roualet :

champagne de père et filles

Soucieuse de sa terre et de la qualité de ses vins, la maison Goulin-Roualet s’est engagée sur la voie de la viticulture durable. L’exploitation travaille sur 3,5 ha de vignes, répartis sur 22 parcelles classées premier cru. « Nos parcelles se trouvent dans quatre villages, plantées sur des sols marneux, argileux ou sableux. Cela permet à chaque cépage d’exprimer des arômes différents », précise Marine Goulin, qui a rejoint son père Christophe en 2013 dans la gestion du domaine.  Une terre particulièrement choyée Grâce à un sous-sol en majorité calcaire, les vignes profitent d’un drainage naturel, tout en se chargeant d’une belle minéralité. La maison cultive les trois cépages rois de la Champagne (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) afin d’élaborer des cuvées riches en saveur. À la fois complices et complémentaires, père et fille partagent un même engagement au sein de leur domaine : respect de la Nature et des vignes. « Nous n’utilisons plus de désherbants chimiques et nous nous servons de plantes comme l’ortie et la prêle en complément pour nos traitements », nous rapporte-t-on. La viticulture étant une affaire de famille, c’est naturellement que la deuxième fille Caroline, conseillère viticole, aide également sur le terrain. Culture de l’excellence L’exploitation familiale affirme fièrement son statut de récoltant-manipulant. « Nous faisons tout chez nous, depuis les vignes jusqu’à la mise en bouteille », renchérit la maitresse des lieux. Concernant la vinification, la maison revendique l’exclusion de la technique à froid dans ses pratiques, jugée dénaturante pour les vins et empêchant la pleine expression des arômes. Après une quinzaine de jours de fermentation alcoolique, le vin reçoit une fermentation malolactique par co-inoculation. Celle-ci permettant l’obtention d’arômes plus doux et plus mûrs. De ces techniques spécifiques naissent 6 cuvées d’exception : Carte noire, Saint Vincent, Sous-bois, Or, Blanc de noirs et Rosé. La qualité de ces bijoux œnologiques est telle qu’ils ont été récemment primés par le Guide Hachette. Une étoile pour la cuvée Sous-bois (2017), deux étoiles pour la cuvée Blanc de noirs (2017) et une autre pour la cuvée Saint Vincent (2018). Les gammes ambassadrices Fruit d’un savoir-faire unique transmis de génération en génération, la cuvée Or reflète parfaitement l’identité du domaine familial. Il s’agit d’un assemblage des trois cépages composé d’un tiers de chardonnay et de deux tiers de raisin noir (meunier et pinot noir).  Équilibrée, elle séduit par sa finesse et son expression fruitée, le tout accompagné de quelques notes vanillées. La cuvée Sous-bois, quant à elle, est obtenue à partir de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. Vinifiée et élevée en fûts de chêne pendant 6 à 7 mois avant d' être mise en bouteille pour une maturation sur lies de quelques années au cellier, elle conjugue harmonieusement élégance et finesse. Ce champagne se distingue par ses arômes équilibrés, légèrement vanillés, avec une note d’amandes grillées torréfiées. ...

Le Vintage : une adresse réputée à Douai

Le Vintage propose un accueil chaleureux et convivial, à l’image de son équipe aux petits soins. L’ambiance y est sublimée par un décor conjuguant le confort d’un lounge au raffinement du bois et de la pierre. Reflétant un savant équilibre entre touche festive et cadre intimiste, Le Vintage propose également une carte tendance. Au rendez-vous : une cuisine traditionnelle française étoffée par de délicieux snacks, ainsi qu’un bar et une cave à vins de premier choix. Une carte variée et des produits frais pour tous les goûts Au carrefour des traditions et des tendances culinaires, l’établissement se propose de satisfaire les gourmands et les gourmets les plus exigeants. La carte dévoile des spécialités de la gastronomie française, des entrées jusqu’à de délicieux desserts, en passant par des plats savoureux.  La cuisine du Vintage privilégie la diversité et la qualité. « C’est une cuisine faite avec 99% de produits frais ! », nous souffle-t-on. Parmi les plus emblématiques figurent le Foie gras de canard maison entier mi-cuit, la Souris d’agneau rôtie à la fleur de thym ainsi que l’Entrecôte black angus. Un large choix de desserts allant du Brownie maison à la coupe de glace Vintage promet une belle prolongation de ces moments de plaisir culinaire. Une brasserie tendance et sélect Le Vintage propose une carte à vins bien fournie pour satisfaire ses convives. Des sélections éclectiques issues de toutes les régions viticoles du pays permettent d’accompagner délicieusement la cuisine proposée par l’établissement. Pour offrir un maximum de détente, la brasserie propose également une fine sélection de whisky. A cela s’ajoutent de délicieuses recettes de cocktails qui subliment le côté festif des soirées. ...

Champagne Sébastien Daviaux : le meilleur est à venir

Les grands-parents de Sébastien Daviaux habitaient Cramant et Chouilly. Il a donc hérité d’un domaine viticole qui est situé entre ces deux communes. Tout en améliorant l’élaboration des champagnes avec des techniques modernes, il essaie de garder les pratiques traditionnelles qui sont avantageuses. Afin d'en savoir plus, il suffit de prendre un rendez-vous pour une visite du vignoble et de la cave, qui sera clôturée par une dégustation.      Le meilleur de la Côte des Blancs Sébastien Daviaux possède un vignoble de trois hectares situé dans la Côte des Blancs, entre Chouilly et Cramant. Il cultive principalement du chardonnay sur ce sol très crayeux. La maison est actuellement dans une démarche de viticulture durable. Cela implique notamment la mise en place du désherbage mécanique, ainsi que l’utilisation d’engrais biologiques et d’autres produits certifiés.    Trois cuvées initiales                    Fraîchement créée en 2014, la marque Sébastien Daviaux regroupe déjà trois champagnes. Le premier né de la gamme est le brut Blanc de Blancs. Au niveau visuel, il se caractérise par sa robe or avec des reflets verts réservés et par ses bulles raffinées. Au nez, c’est le chardonnay qui émerge avec élégance, dévoilant des senteurs d’agrumes, de pomme, de poire, d’abricot et de raisin. Ce vin révèle aussi une rondeur soyeuse en bouche, avec une finition intense et chaude. À part cette cuvée Blanc de Blancs, qui est l’ambassadrice de la maison, deux autres champagnes, à savoir l’extra-brut et le rosé, sont également proposés. Les trois résultent d’un assemblage de la vendange de 2011 (près de 60 %) avec des vins de réserve, notamment ceux de 2009 et 2010. La fermentation malolactique est faite de manière traditionnelle. Comme le dit Monsieur Daviaux, « les techniques modernes ont amélioré le vin, mais certaines techniques traditionnelles reviennent beaucoup, car cela apporte un certain charme, une typicité ». Ces trois champagnes ne sont que le prélude de nombreux millésimes qui sont stockés dans la cave du domaine. ...

Restaurant Le Vauban : le meilleur de l’Alsace à votre table à Huningue    

Situé dans la ville d’Huningue, le restaurant Le Vauban est un lieu privilégié qui gagnerait à être connu. Se trouvant à 150 m de la passerelle piétonne des trois pays menant vers l’Allemagne et à 2 km à peine de la Suisse, ce petit coin de paradis bien connu de l’Alsace est loin d’avoir livré tous ses secrets, vous laissant ainsi la surprise de la découverte.  Un lieu chargé d’histoire Édifiée à l’époque des fortifications de Vauban, la bâtisse qui abrite le restaurant est vieille de plus de trois cents ans. Depuis plus d’un siècle, l’établissement a baigné dans l’hôtellerie-restauration à travers différents décors en passant du stade d’hôtel à celui de restaurant et de bar avant de se transformer en cette charmante « brasserie sans prétention » décrite par l’actuelle propriétaire, Isabelle Godhbane, qui d’ailleurs, tient à garder ce côté familial. C’est un lieu chargé d’histoire qui a su garder un côté rustique et moderne à la fois. Le plaisir et la satisfaction s’y conjuguent au présent. La surprise de la découverte aidant, le lieu attire de nombreux visiteurs qui n’ont qu’une hâte : celle d’y retourner !      Une cuisine entre tradition et modernité La cuisine du restaurant se veut traditionnelle avec toutefois une légère pointe de modernité dont seul le Chef connaît le secret. Travaillés avec le maximum de produits frais, les plats sont  goûteux et particulièrement généreux. Ce qui donne, selon Isabelle Godhbane, le sentiment d’être  «|comme à la maison mais avec le petit plus qui va donner envie de sortir ». Alliant cuisine du terroir et cuisine plus moderne, l’établissement reste cependant dans le registre du traditionnel français et fait de ses spécialités alsaciennes ses meilleurs plats d’hiver. Les tartes flambées restent ses produits phares dont la plus appréciée est la forestière gratinée à laquelle viennent s’ajouter ses tartes flambées végétariennes qui font un vrai tabac. Travaillant sur les groupes et les réservations, l’établissement a depuis longtemps supprimé les menus de son ardoise. Les choix se font uniquement sur la carte avec aussi des plats sur commande, le tout à juste prix et à la portée de toutes les bourses.      Le vin d’Alsace à l’honneur La carte des vins de l’établissement est riche de près de 25 références avec une forte proportion de vins alsaciens. Situé au cœur des trois frontières, à 200 m de la frontière allemande et à 350 m de celle de la Suisse, le carrefour international de Bâle astreint le restaurant à aligner le plus grand nombre de vins alsaciens reconnus d’ailleurs pour leur finesse et leur élégance, et ce, pour tous les cépages. En dépit de cette préférence, il convient de noter que l’ensemble des vins du restaurant reste bien français avec tous les trois mois des vins différents. Tous les vins sont par ailleurs proposés aussi bien au verre qu’en pichet, en quart et en demi. Parmi les best-sellers figure le puissant et très aromatique gewurztraminer, une très belle référence alsacienne. Le petit plus qui fait la différence Pour remercier ses clients de leur fidélité, le restaurant Le Vauban a une façon bien particulière de le montrer. Loin de l’idée de se faire juste de la publicité, il tient particulièrement à cœur d’organiser  des petits concerts réguliers, notamment en été, pour apporter un plus à la clientèle. C’est aussi pour la maison, une manière de leur dire « merci d’être là toute l’année ». On y retourne pour le plaisir et aussi pour la qualité de la cuisine et du service. Et c’est ce qui fait toute la différence ! ...

Restaurant Villa Marinette :
entre saveurs, inventivité et respect des saisons

C’est à Gazeran, vaste commune rurale des Yvelines, que le couple Sébastien et Myriam Bourgeois a décidé de déposer ses valises il y a une quinzaine d’années. Les tourtereaux tombent sous le charme de la Villa Marinette, cette auberge centenaire qu’ils réaménagent de façon élégante, conviviale et agréable. « Nous voulions à tout prix que nos convives se sentent comme chez eux », confie Myriam Bourgeois. « Nous avons décoré le restaurant comme une vraie maison de famille », poursuit-elle. Derrière la façade renouvelée en 2016 se cache effectivement un lieu cossu, décoré chaudement, à l’image de ces maisons bourgeoises. De beaux produits frais mélodieusement sublimés Sur place, une équipe avenante et chaleureuse est au taquet pour recevoir les convives comme il se doit. Ces derniers « peuvent choisir une première formule à 34 €, qui est servie au déjeuner en semaine, du mercredi au vendredi », explique la propriétaire. Cette formule est constituée d’une entrée, d’un plat, d’un dessert, d’une demi-bouteille d’eau minérale et d’un café. À midi ainsi que le soir, la carte et le menu dégustation en 5 services sont proposés. Dans la liste des plats phares, difficile de ne pas citer le lièvre à la royale, une recette traditionnelle préparée à la mode d’Antonin Carême. Après avoir été désossé, le lièvre est farci de truffe, de foie gras, d’abats ou encore de ris de veau. Cependant, il faudra veiller à choisir les bons jours pour aller déguster ce met raffiné à la Villa Marinette, car il n’est pas systématiquement proposé en suggestion. « La saison de la chasse au lièvre étant limitée, celle-ci a des conséquences sur la disponibilité du produit : nous ne pouvons pas le suggérer tout le temps à la carte », prévient Myriam Bourgeois. Qu’à cela ne tienne, d’autres beaux produits frais sont mélodieusement sublimés par le chef selon la saison. À l'automne, saison du gibier, on pourra, par exemple, déguster les noisettes de chevreuil. Et au printemps, le ris de veau accompagné de morilles fraiches saura nous ravir. Une belle sélection de vins En harmonie avec sa cuisine, l'établissement possède une cave de 200 références. « Pour étoffer notre carte des vins, nous sélectionnons à la fois des grands noms de domaines réputés (Prieur, Tollot-Beaut, Huet, Chapoutier, Jaboulet ) comme des vignerons et vignobles moins connus du grand public (Cherrier, Morey, Boire, Ogier, Otter) mais dont l’amour du métier rend de très bons vins souvent récoltés en biodynamie » nous souffle la propriétaire. La maison se plaît à faire découvrir à ses clients des régions viticoles méconnues françaises ou étrangères. ...

Restaurant Les Ombres : une table raffinée sur les hauteurs de Paris

Installé sur une immense terrasse de plain-pied de 2 500 m2, le Restaurant Les Ombres est une table prestigieuse à l’ambiance intimiste qui sait apporter de l’originalité à la gastronomie.  Alain Ducasse a déclaré :  « Aux Ombres, j’ai voulu réaliser la synthèse de ce que je suis aujourd’hui. Riche d’un parcours culinaire au cours duquel j’ai célébré la Méditerranée, ciselé la cuisine française contemporaine et créé la Naturalité, j’ai eu envie de rassembler ces trois courants majeurs en un restaurant qui condense mon ADN originel. » LA MÉDITERRANÉE  « En tant que cuisinier, c’est sur la Riviera que je suis né », aime à dire Alain Ducasse. Le chef découvre ce terroir à 20 ans et se passionne depuis pour ses produits généreux. Les saveurs de la Méditerranée sont inscrites à jamais dans le cœur d’Alain Ducasse et dans son répertoire culinaire.  LA MODERNITÉ  Nourrir un client urbain, curieux et informé, dans un lieu d’exception : telle est la vocation d’Alain Ducasse pour Les Ombres. En constante évolution, délibérément contemporaine et parisienne, la cuisine répond ici avec brio aux exigences des convives avertis.  LA NATURALITÉ  Céréales, légumes, poissons issus de la pêche durable : tels sont les piliers de cette philosophie culinaire, inventée par Alain Ducasse avec Romain Meder dès 2014. « La Naturalité est une telle évidence qu’elle ruisselle sur tous mes restaurants. Aujourd’hui, notre responsabilité est de proposer une cuisine bonne à penser avant d’être bonne à manger. »  Ce sont ces trois lignes maîtresses que l’on retrouve dans les menus proposés par les Chefs Rui Martins ( chef exécutif des Ombres et du Café Jacques) et Alexandre Sampere, qui fut le sous-chef de Romain Meder au restaurant Alain Ducasse au Plaza Athénée. Un « enfant » de la Naturalité, avec tout ce que cela comporte d’audace et de maîtrise des nouvelles techniques : extraction, déshydratation, fermentation... Ce jeune chef est aussi un saucier hors pair, passionné par les jus et les condiments. Autant de qualités qui le désignent, aux yeux d’Alain Ducasse, comme le nouvel homme des Ombres.  ...

Mon grain de Sel : toute la saveur d’une cuisine à l’ancienne

S’attabler à l’auberge Mon Grain de Sel, c’est la promesse de goûter à une cuisine concoctée exclusivement à partir des produits frais du terroir. Ici, toute la fraîcheur de la campagne se ressent jusque dans les assiettes. Des plats faits maison À travers sa cuisine bio, le chef Joëlle Casties prépare chaque plat avec toujours autant d’amour et de générosité. Travaillant ses gammes uniquement à partir de produits frais issus de l’agriculture biologique, elle éveille tous les sens par une cuisine traditionnelle typique des belles campagnes françaises. Dans cette maison familiale, les convives découvrent toutes les subtilités du fait maison. La tarte au fromage de chèvre et de brebis ou le flan de légumes en entrée présentés avec leur couronne de crudités offrent déjà une perspective de choix pour la suite. Ainsi, en plat de résistance, les invités ne pourront qu’apprécier la noix de joue de porc ou de bœuf en sauce médiévale. Une sauce spéciale faite à base de miel, un peu de vin rouge et des herbes aromatiques telles que le thym, le romarin et la lavande. Pour le dessert, le chef vous laisse volontiers l’embarras du choix. Entre la mousse au chocolat, les crèmes catalanes brûlées ou les flancs aux œufs, les fins gourmets vont à coup sûr hésiter ! Quant aux vins, les crus locaux suffisent amplement au bonheur des convives. Le fitou et les cépages des Côtes-du-Roussillon sont une priorité. À déguster avec modération. Ici, pas de bordeaux ou de beaujolais, le chef s’approvisionne auprès des coopératives locales et mise sur le goût prononcé des vins locaux. ...