Cette propriété existait déjà depuis 1800 mais elle n’a été exploitée par la famille Rosier que depuis 1956 par le biais du grand-père Paul. Après des études d’œnologie à Orange et Belleville-sur-Saône, Bruno Rosier débute au domaine en 1990 auprès de son père. Il commence par planter de nouveaux cépages et introduit du Viognier sur le domaine. A cette époque, la production était encore amenée à la coopérative La Suzienne. Le domaine sous l’ère Bruno Rosier Dès qu’il reprend en main l’exploitation en 2002, Bruno décide de vinifier lui-même sa production. Il travaille ses 30 hectares de vignes et 20 hectares de lavandin en agriculture raisonnée. Cette technique consiste à mettre des rangées de paille de lavandin distillé sous les vignes. Cette seule action permet à la fois d’étouffer les herbes, de lutter contre l’érosion et la sécheresse et de nourrir le sol. Il s’initie aussi à la production de vins blancs, une grande première pour le domaine. Il commence par 55 tonneaux de Bourguignon de 228 litres dans la vieille cave du domaine. Comme le résultat s’est révélé encourageant, il décide de passer à la vitesse supérieure en investissant dans une cave moderne avec des cuves en inox et des 94 futs de chêne européen. Les vins du domaine Comme Bruno Rosier aime à le répéter, il faut du bon raisin pour faire du bon vin. Il s’efforce toujours de travailler des vins ronds et souples en structure. Il propose à la vente du rouge, du blanc et du rosé, et sa touche personnelle consiste à introduire du Viognier, son cépage fétiche, dans toutes ses cuvées. La cuvée « A l’Envol des Hirondelles » est un Vin de Pays de Méditerranée. Issu de coteaux sablo-argileux mêlés d’éboulis calcaires, ce moelleux 100% Viognier présente une robe jaune paille. Son nez est riche avec des notes de fruits mûrs et de fleurs blanches. En bouche, il est gras et doux avec une finale très longue aux arômes de fruits confits et de fruits exotiques. Il se déguste avec des toasts de tapenade, une tarte Tatin, une belle poire au chocolat ou au pain d’épices. La production de cette cuvée est limitée à seulement 3000 bouteilles. Le « Rosé Plaisir » AOC Grignan les Adhémar, est un vin à la robe rose pâle aux reflets orangés. Son nez est très riche, avec des notes de fruits rouges, pêches et agrumes. La bouche propose des touches d’amandes grillées avec des fleurs blanches. Le millésime 2012 a été récompensé d’une étoile au Guide Hachette 2014. Il se caractérise par une belle rondeur et une fraîcheur qui est parfait pour accompagner la cuisine méditerranéenne, salade, grillade et tajines, et la cuisine asiatique très épicée. ...
Situé sur le « plateau » commun de l’ouest de Saint-Emilion et de Pomerol, le Château Croque Michotte dispose de près de 14 hectares de vignes (cépages : merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon) et d’un terroir exceptionnel de sables anciens et de graves sur argiles ferrugineuses. Le programme de replantation en cours tend à augmenter la proportion de cabernet franc, compte-tenu des résultats exceptionnels obtenus ces dernières années avec ce cépage aux tanins serrés et au degré moins élevé, particulièrement bien adapté aux conditions météorologiques du climat aquitain. Château Croque Michotte : historique Samuel Geoffrion acquit le Château Croque Michotte en 1906. Sa fille Hélène, puis Robert Carle menèrent ce vignoble familial, qui est exploité aujourd’hui par Pierre Carle, arrière-petit-fils de Samuel Geoffrion. Lucile Carle, fille de Pierre Carle, complète l’équipe de direction. Les travaux dans les vignes et les chais sont menés par Claudie et Eric, travailleurs expérimentés. Le Château Croque Michotte fut le premier des grands châteaux du bordelais à obtenir la certification d’État Bio, en 1999, avec quatorze ans d’avance sur les suivants. Cette démarche environnementale fut motivée par la lecture des notices des produits phytosanitaires et le souci de la protection des employés agricoles. D’autres mesures environnementales sont prises, telles éclairages à LED dans les chais, véhicule au GPL, traitement des bouchons sans produit chimique, marquage au feu, désinfection des chais sans produits de synthèse ou chlorés, etc. Depuis toujours les vendanges sont manuelles, les raisins, issus de petits rendements pour la mise en valeur du terroir, sont mis en cagettes par les vendangeurs et ne subissent aucune autre manipulation jusqu’au chai. Les grappes sont ensuite éraflées, les raisins sont triées sur une table optique automatique très performante, puis poussés par une pompe péristaltique et enfin foulés juste à l’entrée des cuves. Cette suite d’actions est la plus sûre pour éviter l’oxydation des raisins. Les vinifications sont effectuées sans sulfites, le moût étant protégé par des méthodes microbiologiques. Puis vient l’élevage d’environ quinze mois en barriques de chêne français à grain fin, dont 60 % neuves. Le millésime 2016 a reçu une médaille d’or et le Grand Prix des vins bio au Challenge International du Vin et une médaille d’or au Concours Mondial des vins Féminalise. Vous apprécierez autant sa belle robe rouge rubis que son nez fruité et fumé, complété par des pointes d’épices douces, et son attaque en bouche veloutée et franche accompagnée de tanins savoureux. Sans oublier sa finale longue agrémentée d’arômes de cacao. ...
Pour le couple Doris et Renaud Gruyer, être fromager est avant tout un art. Un art qui exige savoir-faire, talent et passion. Ils se sont lancés dans l’aventure de la ferme de Gennetay, il y a sept ans de cela en reprenant une fromagerie existante depuis treize ans, avec l’ambition d’honorer une riche tradition fromagère du terroir angevin. Aujourd’hui, cette petite entreprise familiale développe une identité porteuse de valeur et d’engagement. Protéger une méthode artisanale Depuis sa création, la ferme de Gennetay fabrique une gamme de fromages frais élaborés exclusivement avec du lait de vache cru soigneusement sélectionné. Plus tard, elle s’est tournée vers des produits plus traditionnels tels que les fromages affinés pour faire un clin d’œil à la typicité du terroir. Le fournisseur exclusif de la fromagerie, le GAEC écoferme du Gennetay, n’est autre que sa ferme voisine implantée sur le même site. Une proximité qui garantit une meilleure traçabilité et un meilleur contrôle sur la qualité des matières premières. « Notre lait est issu d’une ferme qui applique l’agriculture raisonnée et évolue dans une démarche de conservation de sol, qui consiste notamment à éliminer le labour de la terre et à minimiser le traitement phytosanitaire », explique-t-il. Dans cette continuité, il décide aussi de cultiver lui-même ses levains et d’opter pour un emprésurage naturel afin de conserver la palette aromatique de chaque produit. Les étapes qui s’enchaînent par la suite sont toutes réalisées à la main, respectant la méthode de fabrication d’antan : le moulage, l’étalage, l’aromatisation séchage, le retournement et le conditionnement. « Si nous avons choisi de tout faire à la main, c’est uniquement pour obtenir le meilleur produit fromager qui soit, en apportant tout le soin du travail fait main. Ce n’est pas pour folklore », nous confie Renaud Gruyer. La promesse d’une belle expérience gustative Les tomes « La Grise d’Anjou » déclinées en quatre produits, figurent parmi la grande spécialité de la ferme de Gennetay. Ce fromage à la texture à la fois fondante et moelleuse sera déposé sur des planches d'épicéa et placé pour l'affinage en troglodyte, pendant une durée comprise entre quatre et six semaines. « La phase d’affinage lui confère sa particularité, car les troglodytes nous permettent d’obtenir un équilibre parfait et constant entre la température et l’hygrométrie. » A noter que toutes les tomes sont fabriquées en chaudron cuivre. La gamme s’étoffe par une sélection de délicieux fromages frais de fabrication artisanale : fromage sans sel, nature ou agrémenté d’ail et fines herbes, oignon, échalote et ciboulette, aux trois poivres, cendré, et fromage pempa (poivron, échalote, graine de moutarde, poivre et ail). Une mention spéciale pour Le Crêmet d’Anjou, la star du concours international des fromages et produits laitiers 2013. Petite douceur authentiquement angevine, ce dessert est fabriqué à base de crème, de blanc d'oeuf et de sucre. Mais la Ferme fabrique aussi Le Crêmet d'Angers, qui lui, est à base de fromage blanc, crème, blanc d'oeuf et sucre. D’autres créations maison sont également à découvrir, à l’instar des bûches, pâtes à tartiner, fromages blancs et faisselles. Possibilité d’achat direct à la fromagerie et livraison dans le département du Maine-et-Loire et à 100 km autour de la fromagerie ( Maine et Loire, Indre et Loire et Sarthe) et par prestataire en dehors de ces départements. ...
La place d’Armes entend sonner un chant de renouveau. Le Coq de la Place est aujourd’hui géré par un couple jeune et dynamique qui entend faire de cet endroit, un haut lieu de la cuisine bistronomique à Rodez. Benjamin et son équipe veulent y partager une ambiance conviviale et simple. Un brillant parcours pour ce chef passionné Le parcours de ce jeune chef est des plus remarquables. Né en 1985 à Albi, il intègre en 2000 le Lycée Hôtelier de Toulouse où il a obtenu trois ans plus tard son bac techno. En 2004, il décide de passer son bac pro tout en travaillant au sein du prestigieux Hôtel du Palais Imperial à Biarritz. Ensuite, avec sa compagne Célia, ils prennent la direction de Paris à l’Auberge de la Brie. S’en suit un parcours à l’international à Saint Barthélemy, aux Etats-Unis, à Singapour, à Kuala Lumpur et en Nouvelle-Zélande. Puis se présente l'opportunité de poser leurs valises à Rodez et d'intégrer cet établissement au pied de la cathédrale de Rodez. Leur ambition : mettre en avant le patrimoine culinaire français grâce à l’utilisation de produits 100% frais et 100% terroir. Des amoureux du terroir Le cachet de l’établissement est justement cette cuisine de marché. Le chef et sa brigade n’hésitent pas à se rendre directement auprès des producteurs locaux pour s’approvisionner. « On est un peu des extrémistes de la cuisine. On travaille en très grande proximité avec les agriculteurs et éleveurs locaux » raconte-t-il. Dans la région, il existe un dicton qui dit que "nos aliments sont nés, élevés, abattus, travaillés et digérés en Aveyron". C’est clair comme de l’eau de roche. Que du local donc pour ce restaurant bistronomique qui ne propose que des bonnes choses: charcutaille, tapas régionales, risottos, œufs meurettes… Côté vins, la maison veut prouver qu’il est tout à fait possible de se faire plaisir avec d’excellents vins sans forcément malmener son portefeuille. Jurançon, Gaillac, Marcillac… et bien d’autres sont à l’honneur. Une cuisine actuelle et de partage Chaque jour, le menu est affiché à l’ardoise. Parmi les plats qui attisent la gourmandise figure le fameux jambon coquillette. Du jambon du pays bien entendu accompagné de coquillettes disposées dans une meule de fromage puis agrémentées de crème, le tout servi devant les yeux ébahis des convives qui ont hâte d’entamer leur première bouchée. Autre best-seller : le cochon capelin à quatre « pâtes ». Comme son nom l’indique, la viande est servie avec quatre types de pâtes. Un plat qui fait décidément saliver. Pour le dessert, les douces saveurs du crémeux chocolat façon liégeois sont à découvrir immanquablement. ...
L’exploitation est implantée dans le village de Nuits-Saint-Georges et s’étend sur la Côte de Nuits et la Côte de Beaune. Des appellations qui sont connues pour l’élaboration de vins rouges de qualité. Aujourd’hui, l’ensemble du domaine Moillard est conduit en viticulture raisonnée, sous l’œil avisé de Jacques Briday, chef de culture. De la vigne au vin, tout se fait dans le respect de la tradition bourguignonne. Une famille, un domaine La famille Moillard et le vin ne font qu’un. Bien avant la Révolution française, cette famille menait déjà une importante activité viticole à Nuits-Saint-Georges. Mais ce n’est qu’en 1850, sous l’impulsion de Symphorien Moillard, que la maison a connu un réel essor. « Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de Bourgogne, dont les valeurs sont l’authenticité, la qualité, l’héritage, la générosité et le savoir-faire », souligne Cathy Stoffel, cheffe de produit. Un adepte de la viticulture raisonnée Sur ce vignoble d’une dizaine d’hectares planté en pinot noir et en chardonnay, Jacques Briday et son équipe appliquent une viticulture raisonnée, tout en adoptant des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, chaque parcelle est travaillée selon ses propres besoins. Résultat, des raisins de qualité qui atteignent une maturité optimale et qui seront vendangés manuellement. De longues cuvaisons La maison Moillard se démarque par des techniques de vinification qui nécessitent très peu d’intervention humaine. « Une des particularités du domaine réside dans le fait que la réception en vendange et la vinification se font par système de gravité », explique Baptiste Corrot, œnologue au domaine. Pour élaborer ses vins rouges, la maison procède d’abord à un tri rigoureux des baies avant de les acheminer vers les cuves grâce à des petits bacs. Les jus font l’objet d’une macération post-fermentaire durant plusieurs jours. Au niveau des blancs, les raisins sont délicatement pressés puis débourbés. Suivent une fermentation en cuve thermorégulée ou en fût de chêne (selon les appellations) et un bâtonnage régulier en vue d’apporter plus de complexité aromatique. Des cuvées d’exception Le domaine Moillard produit pas moins de 4 appellations, dont Bourgogne Hautes Côtes de Nuits, Côte de Nuits Villages, Savigny-lès-Beaune et Nuits-Saint-Georges Les Argillats. Parmi les nombreuses cuvées de la maison, la cuvée « Nuits-Saint-Georges Les Argillats » est la plus représentative. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits rouges mâtinés d'épices. En bouche, celui-ci se révèle riche, dense, rond et suave, porté par des tanins fins et soyeux. ...
Idéalement situé à cinq minutes à pied de la plage et de la Promenade des Anglais, le Windsor constitue un véritable havre de paix où opère en permanence une belle magie. Le restaurant a tout pour plaire et offre un cadre atypique, marqué par une étrange volière logée dans le creux d’un vieil arbre et par un jardin tropical hors du commun qui abrite un caoutchoutier de taille impressionnante, entouré de troènes, de néfliers, de palmiers et de bambous géants. Profitez des beaux jours à l’ombre de son caoutchoutier géant qui abrite quelques tables installées en terrasse, ou, pendant l’hiver, du décor intimiste à l’ambiance chaleureuse de son Wi Lounge, près de la cheminée. À travers une savoureuse cuisine locale aux touches provençales, le Windsor met ainsi en valeur des produits aux cuissons maîtrisées et à la présentation soignée. Une belle cascade de saveurs Riche du titre de maître restaurateur, le Windsor s’adresse également à une clientèle végétarienne qui apprécie d’autant plus les légumes bios. Grâce aux liens de partenariat qu’il entretient avec ses fournisseurs, l’établissement se fait un point d’honneur à fournir des produits de qualité. Dans un voyage culinaire plein de surprises, découvrez sans tarder sa salade d’artichauts frais marinés, son millefeuille de saumon fumé aux tuiles de parmesan ou ses petits farçis à la niçoise. Enchaînez avec un aïoli aux petits légumes, ou un magret de canard au miel et à l'orange, ou encore un gigot d’agneau rôti au miel et au thym, pour terminer avec son fameux "tiramisu revisité au spéculos" la spécialité du chef, non sans oublier ses entremets rafraîchissants aux glaces et sorbets bio. Une riche carte de vins vous attend au sein du restaurant, avec une belle représentation des vins de la région tels que les Côtes de Provence, comme le Château La Coste ou le Pink Floyd du Domaine de Miraval. ...
Marché couvert, véritable symbole dans la ville de Marquette-lez-Lille, les Partisans du Goût a pensé un concept nouveau de produits frais pour mieux satisfaire la demande des consommateurs. L’enseigne laisse découvrir une série de comptoirs tenus par des professionnels des métiers de bouche, qui proposent des produits de saison et du terroir tout en prodiguant des conseils de conservation ou de préparation culinaire. Les Partisans du Goût, c’est aussi le lieu de rendez-vous de tous ceux qui sont à la recherche de la qualité, de l’originalité et de l’authenticité. Ici, les commerçants collaborent directement avec les petits fournisseurs locaux en vue d’un engagement à long terme, afin de pérenniser les gammes de produits. Des produits frais aux plats cuisinés À la boucherie-charcuterie, les viandes, uniquement françaises, sont belles et joliment présentées. Parmi les variétés au choix, le porc Ch’ti, l’agneau du Quercy et le veau de France, le bœuf rouge des prés et Blanc-Bleu, mais aussi des races exceptionnelles comme la limousine, la salers ou l’Angus de France. Les préparations bouchères sont faites dans les règles de l’art : pâtés, saucisses, rôtis, farcis, brochettes, carpaccio et hamburgers sont réalisés sur place. La poissonnerie accorde la priorité aux arrivages de la Côte d’Opale et reste fidèle à la tradition française de pêche. Dans ce comptoir, le saumon fumé, les crustacés et les huitres partagent le banc avec de beaux poissons frais filetés sous vos yeux. L’œil est attiré par un vivier rempli de tourteaux et de homards, qui peuvent être cuits à la minute. Le traiteur de la mer met en valeur une gamme de produits réalisés sur place. Comme plats signatures : blanquette de lotte, filet de sandre, tartares, risottos de saumon ou encore soupe à base de poissons frais réalisée chaque jour. Le maraicher propose toute une gamme de fruits et de légumes sélectionnés sur le marché national de Lomme, via de petits producteurs mais également chez des fournisseurs locaux. Dans l’atelier fraicheur sont transformés fruits et légumes en jus aux différents parfums, desserts gourmands, légumes vapeur, confitures, compotes, plateaux apéritifs, sans oublier une trentaine de soupes… toujours élaborés sur place à base de produits frais. Le crémier-fromager-charcutier n’est pas en reste, avec une des plus belles offres de la région comptant près de 300 à 400 variétés de France et d’Europe, des prestations maison comme les plateaux affinés et une gamme qui fait la part belle aux saisons. Les charcuteries viennent essentiellement d’Espagne, de Corse, d’Italie et bien évidemment de différentes régions françaises. La boulangerie réalise chaque jour du pain frais, élaboré avec des farines françaises, mais aussi des tartes, des brioches, et des fougasses. Elle ouvre un espace snacking pour le midi. Pour le service traiteur, une équipe de professionnels propose des prestations de qualité et sur mesure, le tout encadré par un vrai chef qui, chaque jour, avec sa brigade, travaille de nouvelles recettes en fonction des saisons. Gratin dauphinois, blanquette de dinde, poulet à la bière, welsh, jardinière de légumes, tartes et pizzas font partie de l’offre faite maison repensée chaque saison. Cave à vins et épicerie Les Partisans du Goût ne saurait oublier les accords mets-vins. La cave à vins, forte de 150 à 180 références, offre une gamme variée de vins d’origine française et étrangère, entièrement dédiée aux plats traiteurs. La cave se compose de vins de restaurant, de petits vignerons, de vins médaillés et de vins d’exception pour les grandes occasions. En bonne place : des whiskys japonais, à l’instar du Nikka, et un corner réservé aux spiritueux français comme la vodka Lactalium ou le whisky Lascaux. Quant à l’épicerie riche de 3 000 références, elle fait la part belle aux produits locaux, à tous les besoins du quotidien, de l’entrée au dessert, mais aussi aux produits d’exception comme les épices de Madagascar, le chocolat normand Cluizel et les pâtes Fabre. Concept r&ea...
Un vignoble inspiré et des vins enchanteurs Elevés sous l’appellation AOC et certifiés "Agriculture Biologique", les vins du domaine mûrissent dans l’intimité de caves troglodytes, caractéristiques de la région. Avant cette étape, les exploitants cultivent avec soin leurs cépages de Cabernet Franc, de Chardonnay et de Chenin. Travail manuel, traditionnel et technologies s’accordent naturellement sur une terre respectée, du sol aux fruits. Les caves du domaine abritent des cuvées de rouges ronds et affirmés (élevées en AOP Saumur-Puy-Notre-Dame), de blancs fruités et peuvent aussi tirer fierté de leurs "Pétillants naturels", dont les bulles fines se libèrent dans une expansion de fraîcheur et de notes fruitées. Les portes de l’Enchantoir se poussent sur rendez-vous, le temps d'une visite et d'une dégustation savoureuse. ...
Le vin est-il meilleur au féminin ? Pour en savoir plus, il faudrait aller à la rencontre de Brigitte et Corinne Dousseau, quatrième génération de viticulteurs à la tête du Domaine Sergent. Une exploitation qui fait partie de la famille depuis 1902, acquis par Hubert Dousseau, arrière-grand-père de Corinne et Brigitte. Des vins affichant une excellente qualité tannique Âgés en moyenne de 35 ans, les 19,5 hectares de vignes du Domaine Sergent s’étendent sur un coteau exposé plein sud, entre 100 et 150 mètres d’altitude au pied des Pyrénées. Le terroir bénéficie d'un climat océanique qui rend les hivers froids et les printemps humides et chauds. Les cépages qui s’adaptent à ces conditions sont le Cabernet Franc, le Cabernet Sauvignon, le Merlot, le Petit Manseng, le Gros Manseng et le Tannat. « Ce dernier est un cépage qu’on trouve essentiellement en Uruguay et en Madiran, c’est ce qui fait notre typicité », précise fièrement Corinne Dousseau. « C’est un cépage productif qui a besoin de la main de l’homme. On pratique l’ébourgeonnage au printemps pour limiter la production et en été, l’éclaircissage. On laisse sept ou huit grappes par pied pour ne produire que 50 à 55 litres par hectare », ajoute-t-elle. La vendange est effectuée lorsque le raisin est à maturité maximum, ce qui permet d’avoir une qualité tannique optimale. Les sœurs Dousseau priment l’agriculture raisonnée. Le terroir, le climat, les cépages et le savoir-faire des viticulteurs contribuent à l’élaboration de vins riches, concentrés, avec beaucoup de fraîcheur et de fruits. « On apporte très rarement des engrais. Quand les vignes sont en équilibre, elles se suffisent à elles-mêmes et produisent des raisins de bonne qualité », explique Corinne. Les vignes sont traitées seulement en cas de besoin et en fonction des risques de maladies. Les vins du Domaine Sergent La Cuvée Tradition se compose de 80 % de Tannat, 10 % de Cabernet Franc et 10 % de Cabernet Sauvignon. La cuvaison de ce vin dure trois semaines. Il est élevé en cuve pendant près de 24 mois, dont 14 mois obligatoires. Pour mettre le vin au propre, des soutirages sont effectués régulièrement. Ce vin de Madiran est souple, avec beaucoup de fruits. La Cuvée élevée en futs de chêne : le terroir du Madiran s’exprime par ce vin. Elle est essentiellement élaborée avec du Tannat. Sa cuvaison dure quatre à cinq semaines et la fermentation malolactique se fait en cuve. Comme son nom l’indique, il est élevé en futs de chêne pendant un an. Le vin est ensuite remis en cuve pour six mois pour que le tout s’harmonise. Le Pacherenc du Vic-Bilh-Sec rassemble 50 % de Petit Manseng et 50 % de Gros Manseng. Ces cépages sont récoltés en même temps que les rouges vers la fin septembre – début octobre. La fermentation se fait dans des futs de chêne, avant que le vin soit élevé sur lies en barrique pendant six mois. Le nez frais de ce vin présente des notes d’agrumes : pamplemousse, citron. Cela est suivi en bouche par des arômes de fruits frais tels que la pêche et l’abricot. Les deux cuvées Les Grains d’Elise et Tradition Pacherenc du Vic-Bilh-Doux se distinguent par leurs vendanges tardives. Côté assemblage, la première est composée d’une forte proportion de Petit Manseng avec une touche de Gros Manseng, tandis que la deuxième allie 80 % de Gros Manseng et 20 % de Petit Manseng. Les vins sont élevés pendant huit mois. ...
A quelques minutes de Saint-Tropez, La Réserve Ramatuelle est un des rares Palaces de la Côte d’Azur. Une distinction qui favorise les établissements présentant des caractéristiques exceptionnelles, capables de promouvoir à l’international l’attractivité de la France et l’art de vivre à la française. Un tremplin vers les étoiles Eric Canino, le chef fait ses premières gammes à Manosque en 1987 puis effectue une formation de pâtisserie chocolat avec René Fontaine, Meilleur ouvrier de France Chocolatier à Barcelonnette. Et, c’est aux Roches de Lavandou qu’il débute sa carrière pour devenir au fil du temps le chef des cuisines de Michel Guérard considéré comme l'un des fondateurs de la « nouvelle cuisine ». Le Grand Véfour profite ensuite de son talent avant qu’il ne prenne ses quartiers au Restaurant La Voile en tant que Chef exécutif. S’appuyant sur son riche parcours, Eric compte aussi énormément sur son équipe avec qui il partage toutes ses réussites. Grâce à sa passion, sa ferveur et à sa rigueur, il décroche l’un des titres les plus convoités : l’étoile au Michelin. Des produits frais et locaux Avec des produits bruts issus du terroir provençal, il orchestre des plats d’exception. Il veille à réaliser une cuisine aux couleurs du sud amplifiée par des saveurs inouïes. Inspiré et créatif, il perfectionne ses plats en conciliant gourmandise et simplicité afin de régaler les papilles. Pour ses créations culinaires, ce maestro s’appuie d’une part sur le potager de La Réserve Ramatuelle situé à proximité des cuisines du restaurant. Avec un mode d’exploitation raisonnée, ce potager s’ouvre à une douzaine de variétés de tomates, à plusieurs herbes aromatiques comme l’origan, la marjolaine et la citronnelle de Madagascar. Le chef Canino y cueille également ses légumes tels que les poivrons rouges et les aubergines blanches sans oublier les arbres fruitiers qui en plus d’offrir une décoration verdoyante, apporte finalement tout ce dont le chef a besoin pour sublimer ses plats.Le restaurant travaille aussi avec de petits producteurs locaux œuvrant de Marseille à Nice et rigoureusement sélectionnés pour la qualité de leurs produits. Une cuisine raffinée et savoureuse En avant-goût, les recettes délicates et aromatisées aux senteurs provençales font place au Calamar cuit au parfum de tomate au basilic et la Seiche rôtie et pattes croustillantes accompagnés d’olives Taggiasche.Parmi les plats aux saveurs marines, le Chapon de Méditerranée farci aux épinards et calamar. Ce poisson de roche évoluant dans les eaux profondes est méticuleusement préparé et servi avec du fenouil confit à la passion accompagné de pomme de terre fondante au jus de bouillabaisse. Côté viande, le Veau du pays Basque quasi rôti et en tartare accompagné de girolles marinées abricot rôti et cylindre d’agria au romarin se savoure sans hésitation. En dessert, le Chocolat grand cru du Pérou : « After eight » à la menthe poivrée du jardin joint à un Sorbet Perrier Menthe amuse le palais au grand bonheur des gourmands. Un cadre épuré et naturel Traversé par la lumière naturelle, le restaurant aux immenses baies vitrées habillée d’un blanc immaculé offre une vue imprenable sur la Méditerranée. Les lignes épurées et élégantes insufflent une ambiance douce et chaleureuse où le bien-être, le confort et l’élégance sont de mise. A l’extérieur, sur la terrasse ombragée, les convives apprécient le climat doux azuréen. Doté d’un environnement naturel exceptionnel, le jardin offre un paysage authentique sublimé notamment par les impressionnants oliviers bicentenaires. Les senteurs méridionales renforcent la beauté du cadre avec les myrtes et les romarins parsemant l’ensemble de la propriété. ...
Avec sa silhouette élégante et raffinée, le Sicambre a fière allure. Ancien navire Turque, il a été rénové dans les moindres détails pour répondre aux satisfactions des clients les plus exigeants de la compagnie Bordeaux River Cruise. Stationné le long du ponton d’honneur, entre le Miroir d’Eau et le pont de Pierre, il arbore les couleurs rouge et noir, reflétant le parfait mariage entre la simplicité et l’authenticité. Sur le pont-terrasse, les transats rappellent l’exotisme des îles et promettent des moments de détente dans un cadre d’exception. Mais le Sicambre n’a pas fini d’éblouir… A l’intérieur, la décoration épurée du restaurant témoigne toujours de ce luxe discret : des banquettes bien espacées, un mobilier modulable et un mélange réussi de couleurs. Une cuisine millésimée A bord, la cuisine est embarquée afin que tout soit préparé sur place. Le chef puise son inspiration selon la saison, les trouvailles du marché et les producteurs locaux avec lesquelles il entretient une relation privilégiée notamment en raisonnant l’utilisation des emballages plastiques. Créatif, il met en avant le produit avec simplicité mais n’hésite pas à bousculer la tradition en revisitant les recettes les plus classiques pour leur donner une note originale. Deux types de menus sont proposés par le bateau-restaurant. D’une part, le menu Estuaire est composé d’un verre d’accueil, d’une entrée unique, d’un plat du jour (poisson ou viande) et d’un dessert unique. Leur composition change au rythme de saisons. A titre d’exemple, petit aperçu des mets proposés l’hiver dernier : en entrée, une Tourte aux champignons du moment et au foie gras qui émoustille les palais. En plat principal, un choix entre un Filet mignon de porc aux noisettes, accompagné d'une purée de potiron et de sa poêlée de champignons et un Pavé d'esturgeon, purée de pomme de terre & poireaux confits, accompagné de sa sauce au vin rouge, est proposé. En dessert, une pavlova avec sa base meringuée finalise ce mélodieux repas. D’autre part, il y a le menu Garonne constitué d’un verre d’accueil, d’une entrée unique de saison, d’un plat du jour au choix du chef et d’un dessert unique. Parmi les mets goûteux déjà suggérés par le restaurant figurent le Camembert rôti, carpaccio de canard à l’orange, gratton bordelais à la ciboulette fraîche en entrée, le Suprême de canette et sa sauce aux fruits rouges, accompagné de ses pommes de terre grenaille en plat de résistance et un fondant au chocolat en guise de bouquet final. Enfin, lors d’une réception privée, le bateau-restaurant Sicambre joue la carte de la « cuisine du bout des doigts ». Ce concept transporte les convives dans une véritable dégustation continue, non seulement avec le goût, l’odorat et la vue, mais aussi et surtout avec le toucher. Pas d’assiettes individuelles ni de couverts, les plats sont directement servis sur les tables où pics en bois et serviettes remplacent les fourchettes. La carte offre une large variété de produits régionaux dits « du terroir ». A la découverte des trésors de l’Estuaire Certaines croisières vous emmènent également vers les îles de l’Estuaire et notamment au refuge de Patiras. Lieu d’escale privilégié, l’île offre un paysage riche en diversité qui mérite le détour. Sur place, une équipe de Bordeaux River Cruise réserve aux convives un accueil chaleureux et amical. Et pour les plus motivés, l’équipe propose une visite guidée du phare de Patiras. Les gourmands ne sont pas en reste : le Refuge de Patiras situé au pied du phare historique de l’île élabore une cuisine savoureuse. Tout comme au sein du bateau-restaurant Sicambre, il privilégie le « finger food » concrétisé avec des produits frais issus de la région : poissons de l’Estuaire, crevettes blanches, artichauts de Macau… Le poisson est apporté par les pêcheurs de l’estuaire et cuisiné directement. ...
La Martinique, une terre de Rhum et de saveurs L’histoire de l’île est intimement liée à celle de la boisson alcoolisée, dont la marque de rhums Clément est depuis plus d’un siècle un des principaux ambassadeurs de prestige. Contrairement aux rhums industriels, qui sont produits à partir de résidus de l’industrie sucrière, les rhums agricoles Cléments sont eux issus d’un processus de fermentation et de distillation de pur jus de cannes. L’attention particulière apportée à ces processus lents et méticuleux donnent à tous les produits de la gamme un galbe en bouche très particulier. On retrouve dans chaque gorgée le profil sec et parfumé des cannes qui entourent le Domaine. Se suivent ensuite les bouquets fleuris de fruits tropicaux grillés ainsi que cette saveur épicée caractéristique du terroir. Cette magie se découvre particulièrement dans les produits comme le Single Cask, un rhum non filtré vieilli 8 ans, qui, avec une attaque franche et complexe au palais s’ouvre sur des arômes boisés de fruits secs et d’amandes. Plus classique mais incontournable dans tous les bars du monde, le Rhum Blanc Agricole Clément est le compagnon indispensable dans la création du célèbre Ti-Punch et de nombreux autres cocktails. Ses puissants arômes, aux notes fraîches et florales, lui ont permis de décrocher la médaille d’or au concours général agricole du Salon de l’agriculture en 2009. Quand on cherche un rhum plus rond, allongé, on se retrouve rapidement à regarder du côté du Clément Vieux Agricole. Bénéficiant du climat exempt de période froide de la Martinique, il est le résultat d’un vieillissement de seulement 3 ans dans deux types de fûts différents qui lui permettent d’hériter des tanins des bois lui offrant cette couleur ambrée naturelle. Perpétuer la tradition avec modernité Depuis ses débuts comme une aventure familiale jusqu’à l’entreprise qui est aujourd’hui présente dans plus de 60 pays différents, l’innovation a toujours été un marqueur important des rhums Clément. La marque historique de la Martinique se renouvelle en proposant une gamme de produits plus larges et aux charmes nouveaux. En plus des rhums souvent primés lors des concours internationaux les plus importants, des liqueurs traditionnelles particulièrement appréciées pendant les fêtes de fin d’année viennent rejoindre une palette de saveurs déjà large. Comme la déjà fameuse liqueur d’orange Créole Schrubb, médaille d’Or du Salon de l’agriculture, qui figure en bonne place dans de nombreux cocktails sur les cartes des bars les plus courus de la planète. Ajoutez à quelques centilitres de liqueur un peu de rhum, arrosez de jus de citron frais et vous retrouverez avec un « Clément Side Car », un des mélanges les plus demandé actuellement. ...
Le restaurant S’Zwilling Stuebel, établi depuis 1998 dans la rue Kuhn, dans le quartier de la Gare, à Strasbourg, est tenu par Joan et Maxime Bitzner. Un couple complice et polyglotte, qui se fait un plaisir à recevoir les convives venus de la région mais aussi de lointaines contrées. Ici, esprit de partage et valeurs culinaires traditionnelles sont à l’honneur. Le riche parcours du chef S’inspirant de ses voyages en Asie, notamment la Chine qu’il affectionne particulièrement, puisque son épouse en est originaire, Maxime Bitzner invite à la découverte d’une cuisine française revisitée qui se réserve quelques petites touches exotiques. C’est avec fierté qu’il nous confie : « Ma cuisine est influencée par les endroits que j’ai parcourus. » Il aime ainsi explorer les saveurs et les produits exotiques pour perfectionner ses créations culinaires. Sortant de l’école hôtelière de Strasbourg, ce chef passionné a effectué sa formation dans le Gers et a acquis ses premières expériences dans le Var, à Bordeaux, à Nancy et dans le nord de la France. Après avoir exercé un temps au Château de Pourtalès, il décide de poser ses valises à Strasbourg pour y ouvrir son propre restaurant. Fort de ses nombreuses années d’expérience, il propose une cuisine française, s’ouvrant au monde et préparée avec des produits frais. « Mon objectif est de ne jamais dénaturer le produit, de lui laisser sa plus belle expression », raconte-t-il. Une cuisine aux mille et une saveurs Pour les travailleurs pressés du midi, S’Zwilling Stuebel propose une formule à 10 € composée d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Pour ceux qui souhaitent déguster les spécialités régionales, un menu à 26 € met à l’honneur les saveurs du terroir. Pour le printemps, la maison réserve à ses convives une carte gourmande et savoureuse. En entrée, la déclinaison de pommes de terre à l’huile de noisette égaye déjà les papilles des plus gourmands. Le repas se poursuit avec une gibelotte de lotte rôtie au basilic accompagnée de petits légumes. Au dessert : rien de tel qu’une mousse au chocolat et coulis de fruits rouges ou un tiramisu à l’italienne maison pour apporter de la douceur à ce repas mélodieux. Côté vins, la carte privilégie les grands millésimes d’Alsace comme le riesling grand cru et du pinot gris. Et pour accompagner les gibiers agrémentés de sauces légèrement corsées, rien de tel que les côtes-du-rhône et les bordeaux, qui prennent une place importante dans la gamme des vins. ...
Depuis 1818, 7 générations de la famille Landat ont façonné cette propriété située non loin de Bergerac entre les bastides d’Eymet et d’Issigeac. 27 hectares de vignoble jouissent de ce terroir argilo-calcaire en AOC Bergerac. Le raisin est vinifié selon des méthodes de travail innovantes, sans dénaturer le patrimoine qu’ils préservent et défendent. Le domaine « Vigneron indépendant » Le vignoble présente un encépagement varié avec une répartition végétale typique de la région de Bergerac. 70 % de la superficie est consacrée aux cépages rouges et 30 % aux cépages blancs. Ils permettent des assemblages équilibrés pour des vins de qualité. Le Domaine du Siorac est « Vigneron indépendant ». Il travaille sa vigne, récolte son raisin, vinifie et élève son vin, met en bouteille sa production à la propriété, commercialise ses produits, accueille, conseille la dégustation et prend plaisir à présenter le fruit de son travail et de sa culture. Le domaine est ouvert tous les jours, sauf le dimanche, les jours fériés et les samedis, de janvier à mars. En période estivale, une visite guidée est proposée tous les mardis et jeudis (visite du vignoble, du chai et dégustation périgourdine). Les autres produits du domaine Depuis le début, la famille Landat est fortement marquée par sa culture natale ; elle a su réhabiliter une tradition culinaire locale : le verjus. Elle récolte des raisins verts en surnombre puis les presse jusquʼà obtenir ce fameux jus de raisin acide et finement parfumé bien connu des grands chefs. Dʼun gout acidulé, il est un excellent exhausteur de saveurs pour les viandes blanches et les poissons. Le Domaine du Siorac a également pensé aux personnes ne buvant pas d’alcool. Du jus de raisin blanc et du jus de raisin rosé pétillant 100 % naturel et « pur fruit » sont proposés. Le premier est 100 % sémillon et le deuxième est composé essentiellement de merlot. Ils ne contiennent aucun sucre ajouté. Les vins Les vins rouges sont issus dʼun assemblage de merlot, de cabernet franc, de cabernet sauvignon et de malbec. Ils sont sur le fruit et permettent d’accompagner charcuterie, grillades ou fromages légers. Le rosé est un mélange équilibré et harmonieux de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon qui s’ouvre sur une bouche perlante, ronde et gourmande. Ce rosé demi-sec est un vin dʼété par excellence et peut être servi de l’apéritif au dessert. Le blanc sec, typé sauvignon, a un nez intense de fruits jaunes frais et une bouche grasse aux arômes dʼagrumes. Il s’accordera parfaitement aux fruits de mer, aux coquillages, aux viandes blanches et aux fromages. Le très polyvalent blanc moelleux est régulièrement sélectionné par le Guide Hachette. Agréable assemblage de sémillon, de sauvignon blanc, de muscadelle et de sauvignon gris, il dévoile son fruité avec une même finesse au nez quʼen bouche. ...
Construit en 1879, ce restaurant de charme chargé d’Histoire est un véritable voyage dans le temps. Lieu bien connu et apprécié des Picasso, Apollinaire, Toulouse-Lautrec et autres célèbres personnages comme Van Gogh, Le Bon Bock est une excellente adresse à découvrir. Baignant dans un décor chaleureux et cossu où s’accordent parfaitement mobilier en bois, lumières tamisées, lustres et tableaux anciens, l’établissement a gardé ses décors d’époque, qui lui confèrent un cachet particulier. Estampillé « fait maison », le restaurant propose une excellente cuisine traditionnelle et familiale à base de produits soigneusement choisis chez des fournisseurs privés tant pour la viande que pour les fruits et légumes. Une carte de plats traditionnels En marge du menu du midi entrée-plat-dessert à 19,50 €, ou entrée-plat ou plat-dessert à 15,50 €, et de celui du soir à 25,50 €, l’enseigne propose également un menu spécial pour les groupes, avec à côté des repas à la carte qui rappellent des saveurs d’un temps passé. En entrée, quelques suggestions à retenir : le Foie gras maison, le très populaire Gratiné à l’oignon ou encore le Tartare de saumon. Au registre des plats, laissez-vous tenter par son Entrecôte Salers, son Poulet camembert ou son Parmentier de canard aux deux purées sucrées-salées. Pour terminer, craquez pour sa Brioche rôtie, sa Tarte aux pommes ou pourquoi pas son Parfait à l’absinthe ! Quel que sera votre choix, la satisfaction sera toujours au rendez-vous ! Pour accompagner chacun de vos repas, le restaurant suggère une très belle carte des vins de toutes les régions de France, dont l’Oratoire de Chasse-Spleen, le Vin de Merde du Languedoc, le Blaye Côtes de Bordeaux mais aussi le Crozes-Hermitage qui figurent parmi les références les plus demandées par les clients, sans oublier une dégustation d’absinthes préparées à l’ancienne qui font la particularité de la maison. Une ambiance conviviale pour toutes les occasions Pour un apéro entre amis, un brunch familial ou un diner intimiste avec votre dulcinée, faites une halte gourmande dans ce charmant estaminet de Montmartre, où des animations se font tous les mercredis (avec un pianiste) et tous les dimanches (avec une chanteuse). La salle arrière étant privatisable, ceux qui souhaitent y tenir des évènements privés sont tout à fait les bienvenus ! ...
Pour Tine et Marc Verstraete, la reprise du Château Castigno marque un tournant dans leur vie. En faire un havre de paix où se cultivent le plaisir de vivre heureux et l’amour des grands vins, tel est leur objectif. Le domaine viticole Le destin a voulu que les voyages de Tine et de Marc Verstraete à travers le monde les conduisent vers un endroit atypique du sud de la France. Un lieu exprimant l’histoire d’un terroir et du temps passé. Tombés sous le charme du domaine Château Castigno, ils décident d’y construire un lieu de détente, de quiétude et de découverte ainsi qu’un vignoble cultivé dans le respect de la tradition. Sur ces terres qui ont connu l’époque cathare et les chevaliers de l’Ordre de Malte se développe aujourd’hui une sélection de vins produits à partir de syrah, de carignan, de grenache, de roussanne, de cinsault, de mourvèdre et de merlot. Parmi ceux qui font la fierté de la maison figure l’AOC Saint-Chinian Rouge Secret des Dieux. Ce vin de soleil accompagne merveilleusement bien des viandes grillées, des plats en sauce, du gibier ou des plats exotiques. L’offre hôtelière Le village Castigno cultive l’art de l’accueil et de la convivialité. Il s’est doté d’une offre d’hébergement classée 5 étoiles et éclatée en de nombreuses villas privatives. Installée dans un ancien logement de vignerons, la Maison d’amis garantit un hébergement atypique au milieu des vignes. Elle est composée de 9 chambres luxueuses possédant leur salle de bain privée et peut être louée entièrement ou par chambre. Cet hôtel « hybride » est équipé d’une piscine chauffée privative, d’une grande terrasse et de jardins. A découvrir également : les anciennes écuries transformées en deux suites contemporaines et confortables. N’ayant rien laissé au hasard, le village Castigno propose de nombreuses activités pour un séjour oenotouristique inoubliable : randonnées pédestres, initiation à l’œnologie, dégustation de vins, balade en scooter à travers des labyrinthes de vignes… Il a également créé un centre de bien-être utilisant des cosmétiques élaborés dans des laboratoires sur mesure à partir de l’huile de pépin de raisin dont les fabuleuses propriétés font l’unanimité. Un village gastronomique Le village Castigno séduit les fins palais à travers son restaurant gastronomique La Table où les convives savourent une cuisine généreuse et conviviale. La grande nouveauté : l’établissement accueille deux nouveaux chefs Ruben De Maesschalck et son frère Pieter. Les plats à base de produits frais et de saison laissent transparaître les origines flamandes de ces deux maestros des fourneaux. Ils se dégustent dans la salle dont la décoration s’inspire indubitablement de l’univers des vins, marquée par une prépondérance de couleur mauve. A l’extérieur, la terrasse s’ouvre sur un cadre bucolique appelant au romantisme. Les jardins procurent un coin paisible, propice à la sérénité. Au contact des beaux paysages de l’appellation Saint-Chinian, les amoureux de la nature et des vignes se laisseront séduire par la cuisine nomade du Château Castigno. Au programme : des mets savoureux à déguster dans un cadre champêtre. A noter que l’équipe de la Nomad Kitchen propose aussi des cours de cuisine durant lesquels seront développées des recettes du bout du monde. Le vin étant au cœur même de la vie du Château Castigno, les propriétaires ont aussi décidé d’ouvrir un bar à vins sobrement baptisé « La Petite Table », d’où il est possible de découvrir un large choix de tapas à la lumière du soleil couchant. A ne pas rater : les vins du domaine qui rehaussent les saveurs du Midi. Pour finir, rendez-vous dans le restaurant Thaï au sein duquel les convives dégustent une cuisine du marché élaborée à base de produits locaux mais en version thaï. ...
Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...
Fondée en 1852, la Maison Georges Bruck est une unité de fabrication de foie gras de Strasbourg au sein de laquelle, toutes les opérations sont minutieusement orchestrées. Riche d’un savoir-faire artisanal particulier transmis de père en fils depuis plusieurs générations, elle conserve jalousement son titre de manufacture à caractère artisanal très éloigné du cadre industriel. Pour la petite histoire Rachetée autour de 1870 par l’aïeul de l’actuel président du groupe, la Maison Georges Bruck représente bien plus qu’une simple enseigne. N’ayant jamais quitté le giron familial depuis son acquisition, l’entreprise constitue un riche héritage qui a vu se succéder plusieurs générations à la suite, sans interruption. Aujourd’hui dirigée par Vincent Heusch de la 5e génération, elle continue de produire exclusivement du foie gras strasbourgeois « dans le respect des valeurs familiales, à travers une marque réputée qui a gagné ses lettres de noblesse : le foie gras Bruck », comme l’a si bien souligné l’actuel propriétaire-dirigeant. Le dernier des Mohicans… La Maison Georges Bruck est la dernière et l’unique entreprise familiale de foie gras qui existe encore à Strasbourg et en Alsace. Elle est pour ainsi dire, la seule Maison du genre à avoir su rester indépendante, eu égard à tous les liens financiers agro-alimentaires ou autre groupe financier. En plus d’être la seule rescapée d’une soixantaine de maisons de foie gras ayant existé dans la ville de Strasbourg pendant la période d’entre-deux-guerres, elle est la seule à avoir survécu aux affres de l’occupation allemande et la seule aussi à avoir réussi à mener une activité pérenne depuis sa création à ce jour. La fabrication artisanale à l’honneur L’entreprise s’apparente davantage à une grande cuisine où la majorité des opérations se fait manuellement par des cuisiniers de formation qui ont tous au minimum un CAP de pâtissier. Il faut effectivement savoir qu’à une époque, le foie gras de Strasbourg a été principalement élaboré par des professionnels de produits salés et en croûte, appelés pâtissiers… Fidèle à cette optique, la Maison est très centrée sur son cœur d’activité qui est la transformation du foie gras, et ce, en comparaison avec d’éventuels confrères qui se trouveraient également en Alsace ou dans le Sud-Ouest. Cette spécificité confère à l’enseigne, un savoir-faire manuel particulier allié à la chanson des gestes, à l’image de l’artisan qui maîtrise la surpiqûre dans le travail du cuir. ...
Situé en région Provence, le domaine Les Beates propose un large choix de cuvées pour toutes les envies. Les Beates : un terroir fabuleux qui favorise la création de boissons exceptionnelles Acquis en 2002 par Pierre-François Terrat, le domaine Les Beates a considérablement évolué avec le temps. Profitant d’un terroir fabuleux à flanc de coteau de la Chaine des Côtes, son nouveau propriétaire a, en effet, décidé de travailler à sa manière les 40 hectares de vigne à sa disposition. Tout en poursuivant une viticulture biologique (la conversion bio du domaine a été initiée en 1980), ce vigneron passionné réalise un véritable travail sur le végétal et fait son maximum pour mettre en avant la biodiversité. Ce respect du vivant se poursuit au chai avec le processus de vinification : les fermentations sont réalisées grâce aux levures indigènes et l'usage d'intrants est réduit au minimum. L'objectif est clair : permettre à chacun de profiter d'un vin de qualité pour la bonne occasion et, surtout, le bon plat. ...
Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...
L’idée de Petit Déjeuner étoilé apparaît en esquisse dans l’esprit de la fondatrice après une longue collaboration en 2014 avec le chef du plaza athénée. Son créneau était alors les cadeaux sur mesure. En rencontrant l’illustre Christophe Michalak, le concept prend forme. Proposer à la fois le goût exquis d'un chef, associé au chic d'un coffret de luxe, des produits frais et de grande Qualité le tout pour créer un moment conviviale et de bien être au bureau ou à la maison. Un cadeau pour démarrer sa journée... Des formules au choix pour démarrer du bon pied Aujourd’hui, Petit Déjeuner étoilé propose trois formules, une sous coffret individuel de luxe, l'autre en partage sur un plateau et enfin la formule sans packaging avec ou sans abonnement. « La première (formule) que nous avons créée, se présentait et se présente toujours sous forme de coffrets individuels à composer selon ses goûts, avec des pièces signés par nos chefs, dont quatre créations sucrés et une salée », précise le co-fondateur de la marque, Gary. Thé, café et jus d’orange complètent bien sûr ce petit déjeuner que le client va pouvoir composer à sa guise. Ensuite, pour répondre à des besoins de plus en plus spécifiques et variés, l’enseigne a développé une formule à la carte (sans packaging). Ici, les viennoiseries arrivent chez le client sous forme de plateau ou en vrac. Au choix, les créations sucrées – viennoiseries et autres gourmandises – des deux chefs actuels (christophe michalak et Philippe Conticini) qui collaborent avec la marque. Dans cette catégorie, tout est possible. L'on peut choisir entre différents pains – seigle, céréales, de campagne –, du cake ou de la madeleine. Panna cotta, salades de fruits de saison en verrines et fruits frais en damiers figurent également dans la carte qui se veut adaptée aux personnes recherchant des idées de petit déjeuner healthy. Plutôt salé ? Le client peut commencer sa journée avec les sélections de mini-sandwichs. Une partition pour deux chefs Si vous êtes plus nombreux, Petit déjeuner étoilé propose également de se retrouver pour un démarrage en toute convivialité grâce à la formule buffet. Un service proposé sur devis et déployé avec les dispositifs adéquats – argenterie, porcelaines, personnel est mis à votre disposition. Dans tous les cas, les offres de la marque ont été amoureusement concoctées par deux chefs de renom : Christophe Michalak et Philippe Conticini. Le premier signe, par exemple, la « Cassolette de pain perdu revisité ». Une "brioche perdue" que le pâtissier agrémente d’une crème à la vanille Bourbon. La préparation est ensuite caramélisée et grillée. Âme d’enfant retrouvée également avec le « Sablé gianduja noisettes » où le nappage gourmand donne un caractère à part au croustillant d’une pâte sablée parfaite. ...
Située à environ 80 km de Paris, au milieu d’un vaste vignoble à perte de vue, la Maison Baron Albert continue de pérenniser un savoir-faire acquis depuis 1947. Elle exploite actuellement un terroir de 55 hectares, reparti sur sept villages autour de la Vallée de la Marne. Deux labels amplement mérités Le vignoble est composé des trois principaux cépages champenois : le pinot meunier, le chardonnay ainsi que le pinot noir. La Maison utilise plusieurs types de viticulture, selon le cépage travaillé, le soin apporté au sol et le type de champagne recherché. En adoptant progressivement des procédés mécaniques dans le traitement de son vignoble, les sœurs Baron ne se contentent pas de pratiquer une viticulture raisonnée mais aspirent à surpasser le concept. Certifiée Viticulture Durable en Champagne et Haute Valeur Environnementale, en 2016, la Maison Baron Albert témoigne d’un grand attachement à la préservation de la biodiversité. « On fait vraiment très attention à l’environnement, au sol, aux Hommes et au site, tout est scrupuleusement contrôlé quand il s’agit du traitement de nos vignes », explique avec fierté Claire Baron, petite-fille du fondateur de la Maison. L’art du champagne Les deux types de gamme élaborés par les Champagnes Baron Albert reflètent fidèlement le terroir et l’esprit des trois sœurs : les Ambassadrices, composées de quatre cuvées classiques, et les Coquettes, celles qui sont vinifiées différemment. Deux cuvées se distinguent du lot grâce à leur personnalité captivante et raffinée. D’abord, L’Universelle, élaborée avec 70 % de pinot meunier, le cépage phare de la Maison, et 30 % de chardonnay. Bien frais et fruité, cette Cuvée représente toute l’élégance du champagne. Elle se déguste idéalement à l’apéritif, avec des fruits de mer ou des sushis. La Symbolique de son côté, la dernière création, est composée exclusivement de pinot meunier. « Brut nature, c’est vraiment toute la pureté du pinot meunier qui est mise en lumière, c’est notre produit haut de gamme », décrit Claire Baron. Travaillée comme le faisait notre grand-père et dans les règles de l’art, cette cuvée est une édition exclusive et numérotée. ...
Vignerons depuis 1847, le travail de la vigne est un savoir qui se transmet depuis 5 générations. C’est en 1912 que le Grand-Père MICHEL décide de gérer la production de ses propres bouteilles jusqu’à la commercialisation. Aujourd’hui « Vigneron Indépendant », cette reconnaissance est gage d’authenticité, de qualité et de traçabilité de tout le travail. Le domaine viticole s’étend sur 12 hectares et ses cuvées sont distribuées dans le monde entier. Fidèle à ses valeurs, la Maison se démarque par la vinification douce et précise de ses vins à la « méthode champenoise » et par une culture biologique de ses vignes. Une aventure, assemblage de curiosité et de passion Situé dans les Coteaux Sud d’Epernay réparti sur 7 communes, le vignoble est planté en Pinot Meunier, Chardonnay et Pinot Noir. Ses différents terroirs révèlent des cuvées bien distinctes et riches d’une diversité de saveurs singulières : Brut Réserve, Blanc de Chardonnay et Millésimes de la Maison. Un 100% Pinot Meunier (Blanc de Noirs) figure parmi les cuvées ambassadrices de la marque depuis plus d’un siècle. Toutes ces cuvées millésimées ou mono-cépages Champagne Jean MICHEL, dont certaines vinifiées en fûts de chêne champenois, sont caractérisées par une explosion de fraîcheur et par une palette aromatique sans limite. Remettre la nature au centre de la viticulture Outre le fait que les cuvées soient vinifiées traditionnellement dans des caves datant du XVIIIe siècle, le Champagne Jean MICHEL se caractérise également par son engagement envers la nature. Certifié Haute Valeur Environnementale (HVE) depuis 2013, et aujourd’hui en conversion biologique, le Champagne Jean MICHEL met au coeur de son processus de production le respect de la biodiversité en contribuant à la préservation de la beauté des paysages viticoles. Dans un respect total de ses vins, de ses vignobles et du consommateur, la Maison révèle dans ses Champagnes les subtilités propres du terroir. ...
Une table délicate au cœur de Saint-Dizier Après avoir fait ses classes auprès de quelques-uns des grands noms de la gastronomie française (notamment François Clerc à la Vieille Fontaine), Didier Muckerhirn s’est lancé dans l’aventure en reprenant en solo un ancien établissement du centre-ville de Saint-Dizier. Mais la passion pour la cuisine lui est venue dès son plus jeune âge ; déjà tout petit, il consacrait une partie de son argent de poche à l’achat de livres de cuisine. « Le besoin d’ouvrir mon propre restaurant est venu en même temps que l’envie de mettre plus de créativité dans mes plats. C’est une petite structure familiale de 25 places assises et je travaille avec ma femme et mon fils », nous explique le chef. Maître restaurateur de France, Didier Muckerhirn essaye au maximum d’avoir des circuits courts et des produits locaux afin de faire profiter ses clients de son savoir-faire et des saveurs d’une région. « Pour nos viandes, on travaille avec un petit producteur de Saint-Dizier, nos cailles grandissent à moins de cinquante kilomètres de nos fourneaux. Comme nos fois gras et nos canards. On essaye de coller au maximum à ces valeurs de proximité. » Une carte qui change tous les mois La proposition de Didier est surprenante : avoir une carte-menu qui affiche 4 entrées, 4 plats et 4 desserts différents, qui changent chaque mois. Même si le restaurateur n’a pas encore trouvé son « plat-signature », les critiques, comme les clients, sont unanimes sur la qualité générale des assiettes qui sortent de cette cuisine. Le cadre est, lui, à l’image de la cuisine. Intimiste, la décoration relève avec goût le charme de la vieille maison. En été, on profite de la terrasse située dans la cour intérieure du bâtiment pour se régaler d’un magret de canard à la mangue accompagné de quelques rigatonis d’épeautre, tout ça devant la grande fresque murale qui habille magnifiquement l’espace. ...