logo-flash-matin

Santé au travail et prévention des risques professionnels en France

remise-du-prix-michel-hery-2019
Sante
Sante-au-travail
Oncogériatrie: des traitements sur mesure pour la santé des personnes âgées

Face aux besoins spécifiques des personnes âgées atteintes de cancer, les gériatres ont été amenés à élargir leur champ d’activités vers un autre domaine : l’oncologie. Ainsi est née l’oncogériatrie, une filière particulière qui fait l’objet de diverses études afin d’améliorer les soins apportés aux patients.

adn
Sante
Sante-au-travail
Quantaform : la thérapie quantique pour restaurer l’état d’équilibre énergétique

La médecine quantique s’appuie sur l’étude des champs énergétiques et des particules subatomiques dans l’organisme pour cibler les causes des problèmes de santé. Reposant sur la même approche holistique et énergétique que les médecines ancestrales telles qu’ayurvédiques et chinoises, cette thérapie a pour objectif d’éveiller le pouvoir d’auto-guérison du corps humain. ...

l-enseignement-est-destine-a-permettre-une-pratique-quotidienne-et-efficace-en-cabinet
Sante
Sante-au-travail
Podcast avec Florent Binon co-directeur de l’école Zhõng Lì, un établissement de formation en médecine chinoise

Salut à tous. On se retrouve aujourd’hui pour un nouveau podcast « On en parle ». On va découvrir ou redécouvrir une science qui existe depuis des millénaires. Pour en parler, je suis avec Florent Binon.

phytoquant-energie-par-plantes
Sante
Sante-au-travail
COVID-19 : renforcer ses défenses immunitaires dans l’entreprise grâce à des compléments alimentaires

Dans ce contexte sanitaire particulier que nous connaissons en ce moment, de plus en plus de personnes s’intéressent aux moyens de prévenir la maladie et de limiter ses conséquences sur la santé. Le marché des compléments alimentaires propose aujourd’hui un compromis intéressant à ceux qui souhaitent renforcer leurs défenses immunitaires grâce à des principes actifs efficaces, ...

Sante
Sante-au-travail
DIAMOND LIGHT : une invention lumineuse pour pacifier le monde

La Terre Diamant n’est pas un objet comme les autres. Fruit d’une technologie minutieuse et éveillée, elle invite, par effet de résonance, à l’harmonie et à la paix intérieure. Cette jolie sphère de cristal est composée de trois couches de gravures en 3 dimensions et d’un socle rotatif lumineux. Elle révèle des fréquences hautement spirituelles, auxquelles elle nous connecte po...

Santé au travail, risque professionnel : les acteurs, les missions...

remise-du-prix-michel-hery-2019
22 personnes aiment
Monaco
PUBLI CRÉATIONS SAM - LENA GROUP
Oncogériatrie: des traitements sur mesure pour la santé des personnes âgées
adn
20 personnes aiment
Biot
Quantaform
Quantaform : la thérapie quantique pour restaurer l’état d’équilibre énergétique
l-enseignement-est-destine-a-permettre-une-pratique-quotidienne-et-efficace-en-cabinet
19 personnes aiment
Aix-en-Provence
École Zhong Lì
Podcast avec Florent Binon co-directeur de l’école Zhõng Lì, un établissement de formation en médecine chinoise
phytoquant-energie-par-plantes
48 personnes aiment
Monaco
Phytoquant
COVID-19 : renforcer ses défenses immunitaires dans l’entreprise grâce à des compléments alimentaires
Diamond light
58 personnes aiment
Réminiac
DIAMOND LIGHT
DIAMOND LIGHT : une invention lumineuse pour pacifier le monde
Phenix care
32 personnes aiment
Charenton-Le-Pont
Phenix Care
Phenix Care : des masques de qualité médicale aux normes CE Type 2 certifiés ISO 9001 & 13485 pour professionnels et particuliers
back-office-sante-vise-a-reduire-absenteisme-au-travail-par-prevention-des-tms
23 personnes aiment
Levallois-Perret
Back Office Santé
Back Office Santé : quand chiropracteurs
et ostéopathes s’associent pour combattre l’absentéisme au travail
Laboratoire imaxio
26 personnes aiment
Lyon
Laboratoire IMAXIO
La « maladie du rat » ou leptospirose : une maladie infectieuse potentiellement grave
Vision ocular implants society (vois)
20 personnes aiment
Nîmes
Vision Ocular Implants Society (VOIS)
RevitalVision : exploiter la plasticité cérébrale pour améliorer la vue,
sans médicament ni chirurgie
wecook-programme-wecook-wecare-est-accessible-partout-et-n-importe-quand-grace-a-notre-application-connectee
20 personnes aiment
Paris
Alantaya
La nutrition vue par WeCook WeCare
Ostéobio : École supérieur d'ostéopathie et de biomécanique
24 personnes aiment
Cachan
Ostéobio : École supérieur d'Ostéopathie et de Biomécanique
Ostéobio, École Supérieure d'Ostéopathie et de Biomécanique : pour une approche fonctionnelle, réaliste et pragmatique de l’ostéopathie
yoga-geneve-des-seances-de-yoga-ligne-adaptees-a-chaque-niveau-de-pratique
19 personnes aiment
г. Москва
Yoga Genève
Yoga Genève : le yoga en ligne
pour rebooster corps et esprit
ergo-motri-sante-a-saint-jean-de-ruelle-xavier-prieur-co-fondateur-du-cabinet-lors-du-concours-talents-bge-innovation
23 personnes aiment
Saint-Jean-de-la-Ruelle
Ergo Motri Santé
Ergo Motri Santé : pluridisciplinarité
et co-construction au cœur
de la démarche ergonomique
centre-hospitalier-de-somain-a-somain-soins-de-premier-recours-batiment-repondant-aux-normes
21 personnes aiment
Somain
Hopital de somain
Centre hospitalier de Somain :
soins et accompagnement de proximité
my-squad-runner-application-dediee-a-performance-collective-par-gaming-running
23 personnes aiment
Paris
SquadRunner
Lutter contre la sédentarité grâce au jeu et à l’esprit d’équipe
Mep
22 personnes aiment
Marseille
MEP
La MEP, le contact privilégié des jeunes à la recherche d’une mutuelle simple et efficace.
3d-side-a-louvain-neuve-belgique-conjuguer-efficacite-et-precision
23 personnes aiment
Louvain-La-Neuve
3D-Side
3D-Side : quand la technologie 3D s’invite au bloc
Aiscreenings
21 personnes aiment
Palaiseau
AISCREENINGS
aiVision, la téléophtalmologie pour mieux dépister les maladies de la vision
vaiomer-a-labege
20 personnes aiment
Labège
Vaiomer
Grâce à son savoir-faire, unique au monde, VAIOMER réalise le diagnostic des infections bactériennes "non-documentées"
Kerat’innov
21 personnes aiment
La Ciotat
Kerat’Innov
Kerat’Innov : le premier fournisseur d’hydrolysats de kératine biodisponible
tivylink-a-paris
19 personnes aiment
Malakoff
E-LIO
La nouvelle Plateforme de Services du grand âge
ecole-du-stress
20 personnes aiment
Boulogne-Billancourt
Ecole du Stress
Un institut reconnu pour son efficacité et ses méthodes utilisées
hubnutrition-3-programmes-pour-etre-forme-et-bien-dans-sa-peau-minceur-detox-et-mangez-mieux
20 personnes aiment
Bezons
HubNutrition
Hubsanté : l’expert en nutrition
Kaqun : boostez votre apport en oxygène

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Les cliniques Ambroise Paré, Pierre Cherest, Hartmann: innovation sur les activités

Le groupe est historiquement centré autour de la prise de la charge des maladies cardiaques ainsi que des traitements du cancer. Il a également développé plusieurs autres pôles d’excellence tels que la dialyse, la neurochirurgie, l’urologie, l’orthopédie, l’ophtalmologie et la procréation médicalement assistée. Le groupe prend en charge 52 000 patients par an, possède environ 400 lits et places et compte plus de 350 médecins. Un redéploiement d’activités Les trois établissements qui viennent d’être certifiés par la Haute Autorité de Santé sans aucune réserve ni recommandation font l’objet d’un projet de redéploiement d’activités autour de deux sites uniques dont le projet de restructuration sortira de terre en 2019. Cette réorganisation d’établissement et de projets médicaux a pour objectif d’accentuer le niveau d’efficience et de qualité de la prise en charge des patients. Un grand établissement cœur-cancer verra donc le jour appuyé par les autres pôles d’excellence du groupe. Un établissement dédié à l’orthopédie du rachis et la traumatologie du sport sera également créé dans le cadre de cette recomposition des organisations. La procréation médicalement assistée restant bien évidemment une priorité par laquelle le groupe met en œuvre jour après jour l’ensemble des ressources et des innovations nécessaires afin de garantir aux patients et aux couples la meilleure des prises en charge et le taux de résultat le plus important. ...

Bio Chanvre Félinois :
le chanvre dans tous ses états

Loin de se cantonner au respect strict et obligatoire des cahiers des charges afférents à l’Agriculture Biologique, Bio Chanvre Félinois va plus loin en pratiquant le « sans labour » et l’éco-pâturage. Dans cette démarche engagée, « nous sommes à la fois producteur et transformateur de chanvre », tient à préciser notre interlocutrice.   Se faire une « bio-té » avec des produits 100 % naturels Le choix des matières premières concorde entièrement avec les valeurs défendues par la maison. Par exemple, l’huile de coco et le beurre de karité utilisés dans les cosmétiques proviennent d’associations de femmes en Afrique qui bannissent tout intrant chimique dans leurs cultures. Ainsi, l’entreprise valorise à la fois l’aspect humain et l’aspect environnemental. Par ailleurs, les bienfaits incontestables du chanvre sur la peau sont nombreux. L’huile de chanvre est incluse à hauteur de 30 % dans les produits pour accentuer leurs propriétés hydratantes, antirides, anti-inflammatoires… ...

Fondation pour la Recherche sur Alzheimer : propulser la recherche sur la maladie d’Alzheimer

Un sondage récent effectué pour Notre Temps, La Croix et La Fondation pour la Recherche sur Alzheimer, met en lumière les craintes des Français autour de cette maladie neuro-dégénérative, encore trop mal connue. Il révèle qu’Alzheimer est la 2e maladie qui fait le plus peur aux Français, juste après le cancer et au même titre que l’AVC. Les deux tiers du panel, surtout les plus jeunes, redoutent d’avoir cette maladie un jour. Et une personne sur deux affirme connaître une personne proche ou un membre de la famille qui en est atteint. Face à ces chiffres inquiétants, aucun traitement efficace n’a été trouvé à ce jour pour guérir la maladie, malgré les nombreux efforts des acteurs qui tentent d’offrir une meilleure qualité de vie aux personnes atteintes. Pendant qu’un malade du cancer sur deux parvient à guérir, la Fondation milite pour rattraper le retard évident des découvertes scientifiques liées à la pathologie. Comprendre la maladie d’Alzheimer Connue comme étant « la maladie de la mémoire », la maladie d’Alzheimer se caractérise par la perte graduelle des fonctions cognitives d’un individu due entre autres à un développement anormal de la protéine bêta-amyloïde dans les neurones du cerveau et une altération des protéines Tau. Ces deux types de lésions cérébrales, plaques amyloïdes et  « dégénérescence neurofibrillaire » entrainent progressivement le dysfonctionnement des synapses puis la mort des neurones. Pour le moment, les traitements préconisés servent à atténuer les symptômes pour essayer de ralentir le déclin qui conduit à une perte d’autonomie. En effet, les recherches menées sur la maladie d’Alzheimer sont « sous-dotées », par rapport aux budgets affectés à d’autres maladies, limitant ainsi les champs d’action des chercheurs. « Les fonds mobilisés pour la recherche sur cette maladie sont insuffisants et reposent beaucoup sur les dons des particuliers » explique Claire Clairefond, responsable marketing et communication de la Fondation pour la Recherche sur Alzheimer. Une lacune que la Fondation souhaite combler pour accélérer les avancées médicales sur la maladie.  La vision et les missions de la Fondation pour la Recherche sur Alzheimer La Fondation pour la Recherche sur Alzheimer a été fondée en 2004 par deux médecins français : le docteur Olivier de Ladoucette et le professeur Bruno Dubois, chercheur de renommée internationale, avec pour principale mission le financement de la recherche sur Alzheimer. Elle concentre ses actions sur 4 axes complémentaires tout en assurant un rôle de vecteur d’informations sur le sujet auprès du grand public. Ainsi, la Fondation soutient le principal pôle d’excellence de la recherche clinique sur la maladie d’Alzheimer en France, qu’est la Pitié-Salpêtrière. Elle finance notamment l’Institut de la Mémoire et de la Maladie d’Alzheimer (IM2A) : un centre expert dédié au diagnostic, aux soins et à la recherche clinique sur les maladies neuro-dégénératives, dirigé par le Pr Bruno Dubois. « Ce centre reçoit environ 5000 consultations mémoires par an, des patients jeunes et moins jeunes, qu’on encourage à participer aux protocoles de recherche clinique ». En outre, la Fondation finance diverses études cliniques en cours visant à mieux comprendre les mécanismes de la maladie d’Alzheimer auprès de différentes populations. Il s’agit notamment de l’étude multicentrique MULTI-MA & COMAJ, réalisée dans plusieurs villes. La sélection des personnes se base sur des critères propres à la maladie et est assurée par un comité scientifique composé de spécialistes. MULTIMA vise à étudier une cohorte de patients âgés pouvant ou non, développer la maladie d’Alzheimer et COMAJ étudie en parallèle les personnes jeunes (<60 ans) atteintes d’une maladie d’Alzheimer précoce. La Fondation a également financé la création d’une banque d’échantillons de tissus biologiques et l’acquisition d’un appareil d’imag...

Podcast interview avec Monsieur Jean-Michel Dubois de l'Association Neurofibromatoses et Recklinghausen

FlashMatin | Bonjour ! Jean-Michel Dubois | Bonjour. Monsieur Dubois, vous êtes président d’une association qui s’occupe de très près de la neurofibromatose. Je vous laisse vous présenter et présenter votre association s’il vous plait. JM D | Jean-Michel Dubois, je suis le président de l’association neurofibromatose recklinghausen depuis 2010. L’association est né en 1986.  Elle a été créée par des parents qui étaient concernés par la neurofibromatose. A l’heure actuelle, il y a à peu près un millier d’adhérents et une cinquantaine d’actifs, tous bénévoles. Et donc Monsieur Dubois pouvez-vous nous expliquer ce qu’est la neurofibromatose ? JM D | On parle des neurofibromatoses, qui sont des maladies génétiques, neurologiques, caractérisées par l’apparition de tumeurs sur les gaines des nerfs, avec une caractéristique commune qui est que c’est assez imprévisible dans les évolutions de ces maladies ; à la fois dans la forme et dans le temps. Donc, on a affaire à trois maladies bien distinctes. La NF1, la  maladie de Von Recklinghausen, qui est elle-même un ensemble de maladies tant il y a une variété dans l’ expression. Un enfant ou en adulte qui a une NF1 ne va pas forcément ressembler à un autre. Ensuite la neurofibromatose 2 qui atteint souvent l’appareil auditif, et enfin la schwannomatose qui s’apparente beaucoup à la neurofibromatose 2, mais qui est différente, et là aussi on est toujours dans le domaine de tumeurs sur les nerfs. Il y a donc plusieurs formes de neurofibromatoses. Mais alors comment se rendre compte que notre enfant ou qu’un adulte est atteint de cette maladie ? JM D | La neurofibromatose 2 et la Schwannomatose apparaissent plus tardivement que la neurofibromatose 1 où l’un des critères principaux diagnostiqués est l’apparition de tâches café-au-lait, qui peuvent aussi être présentes dès la naissance. Au départ c’est assez compliqué, même si pour beaucoup d’enfants, il n’y a pas une manifestation de la maladie qui les handicape. Dans la NF1, il y a aussi une proportion plus grande par rapport à la population générale de difficultés des apprentissages. Il y a des manifestations qui arrivent plus rapidement.  Un gliome des voix optiques, ça apparaît très rapidement chez certains enfants.  On peut avoir une pseudarthrose c’est-à-dire une malformation des os.  Et ça nécessite des greffes osseuses, des hospitalisations, de la rééducation. Un gamin qui subit ça, c’est compliqué. Alors justement, on imagine qu’être porteur d’une maladie rare en France c’est assez compliqué, quel est donc le rôle de votre association ? JM D | D’abord on est à l’écoute. Souvent le cas de figure c’est : « Je rentre de chez le médecin ou de chez le pédiatre, mon enfant a des taches café-au-lait, on me parle de neurofibromatose 1, qu’est-ce que c’est, qu’est-ce que je dois faire ? ». La première chose c’est d’être ouvert et d’être à l’écoute. Ensuite, c’est de les orienter vers des centres, de références s’ils sont en Île-de-France, ou de compétences s’ils sont en région. Notre rôle c’est de les diriger vers des équipes médicales qui connaissent et qui peuvent organiser le suivi médical.  Il faut être vigilant, il faut être attentif, il faut s’informer, c’est le rôle de l’association. On publie une revue pour nos adhérents, sur notre site on met des choses qui ont été vérifiées et pas des… Des informations qui ne seraient pas fondées. Mais vous apportez aussi un soutien financier avec votre association ? JM D | On a déjà apporté 3 millions d’euros pour des équipes de recherche. On est là aussi pour leur apporter un soutien à la fois financier mais aussi un soutien moral, une sorte de caution, parce que c’est important que ces équipes de chercheurs puissent faire état de notre soutien. Ça leur donne une sorte de crédibilité, même si c’est d’abord leurs compétences qui sont importantes. Comme je le dis parfois, il manque peut-être un z&eac...

Connect’age : première solution personnalisée de jeux multisensoriels

Le projet est né sous l’impulsion de Marc-Antoine et de son père Didier Cathelain, directeur depuis 1999 de Forma’Med, un institut de formation spécialisé dans le domaine de la santé au sens large.  Longtemps en contact avec les personnes âgées à travers des formations qu'il a mises en place dans les EHPAD, Didier Cathelain constate un réel intérêt des personnes âgées pour les nouvelles technologies. Bon nombre d'entre elles veulent effectivement apprendre à utiliser les tablettes ou Skype en vue de communiquer avec leurs proches et petits-enfants. Partant de ce constat, Didier prend également conscience de l'importance des jeux de mémoire et de la stimulation cognitive sur les maladies dégénératives. C'est ainsi que Forma’Med intervient régulièrement sur le thème de la maladie d'Alzheimer. Prenant en compte le risque de fracture numérique, Marc-Antoine Cathelain, quant à lui, a eu l’idée de mettre en place des ateliers de découverte des nouvelles technologies destinés aux EHPAD et aux maisons de retraite en 2014. Fort de ce succès, il décide de créer de nouveaux jeux de simulation cognitive et multisensoriels adaptés aux personnes âgées. Un dispositif innovant Connect’age est une plateforme qui intègre différents jeux numériques multisensoriels. Chaque jeu travaille une fonction cognitive spécifique, en sollicitant les sens et plus particulièrement le sens olfactif. « Nous souhaitons vraiment allier l’impact des odeurs avec la simulation cognitive », explique Marc-Antoine Cathelain, le fondateur. Ainsi Connect’age s’est doté d’un diffuseur d’odeur connectée dénommé Athy qui émet une odeur spécifique au cours du jeu. Pour compléter le dispositif, la startup a également développé des manettes conçues spécialement pour les personnes âgées et sont indispensables lors des séances de jeu.  De multiples avantages Pour les seniors, cette solution les aide à maintenir leurs fonctions cognitives à travers la stimulation des sens et leur fait notamment travailler la mémoire. De plus, les jeux proposés ont pour but de limiter les effets du vieillissement grâce à 4 types de défis à relever : physique, olfactif, neuropsychologique et mémoriel. Pour les professionnels de santé, ceux-ci profitent d’un support et d’un outil intelligent pour évaluer et suivre les évolutions de leurs patients. ...

Vous aussi, vous pouvez lutter contre le cancer !

350 000 personnes sont frappées chaque année par le cancer.  Une personne sur deux en guérit, mais ces résultats ne peuvent s’obtenir sans une recherche active. Classement des tumeurs, leur diagnostic, l’études des gènes, l’analyse des souches tumorales, le développement de nouveaux candidats médicaments, l’optimisation des traitements de chimiothérapie, ce sont quelques-unes des missions menées par l’Institut pour la Recherche sur le Cancer de Lille (IRCL).  Depuis 75 ans, elle est la seule Fondation reconnue d’utilité publique au nord de Paris qui regroupe des équipes de recherches pluridisciplinaires fondamentales et appliquées spécialisées en cancérologie.  Située au cœur du Centre Hospitalier Régional et Universitaire, les équipes et plates-formes de cette fondation  sont toutes labellisées et assurent le transfert des résultats de la recherche au lit du malade. Don, assurance-vie, legs et donation pour les particuliers Pour continuer à progresser dans le domaine de la recherche, l’IRCL a besoin de nous tous. Et chacun peut y faire quelque chose. Pour les particuliers, il y a bien sûr la forme la plus classique d’aide via le don (qui entraîne une réduction d’impôt sur le revenu de 66% du montant des sommes versées), mais il existe d’autres possibilités exonérées de droits de mutations ou de succession : les donations (un appartement, des valeurs mobilières, des tableaux, celle-ci s’effectue du vivant du donateur) ; le legs (un acte par lequel le donateur décide de  transmettre à l’association lors de son décès tout ou partie de son patrimoine) ; les contrats d’assurance vie (celui-ci constitue une donation indirecte réalisée par le souscripteur au profit d’un bénéficiaire, personne morale ou physique. Ainsi une association ou fondation reconnue d’utilité publique peut être bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie).   Don ou mécénat pour les entreprises Les entreprises ont aussi un rôle à jouer. Par le don (pour une entreprise, la réduction fiscale s’élève à 60 % des sommes versées dans la limite de  5 °/°° du chiffre d’affaires), mais aussi par le mécénat. « Cela permet au chef d’entreprise de soutenir notre fondation, mais aussi d’afficher son engagement et de le valoriser auprès de son personnel et des clients », résume Maud Collyn d’Hooghe, directrice de l’IRCL. Ce mécénat, qui permet la défiscalisation et bénéficie de contreparties (l’entreprise est par exemple citée sur les supports de communication de l’IRCL), peut se traduire de différentes manières : en nature avec la remise d'un bien immobilisé, de marchandises, de mise à disposition de moyens ou de personnels techniques ; en compétence  avec la mise à disposition de compétences de salariés de l'entreprise sous forme d'accompagnement dans le montage d'un projet ; en projet avec la possibilité de soutenir une équipe en émergence.  ...

Guérir plus et guérir mieux les enfants et adolescents atteints par un cancer.

Le cancer des enfants en quelques mots Causes Quel que soit son âge, un enfant ou un adolescent est susceptible d’être diagnostiqué par un cancer. Aujourd’hui, on estime que 1 enfant sur 440 aura un cancer avant l’âge de ses 15 ans et que 1250 enfants développent cette maladie chaque année en France avant leurs 5 ans. Le cancer correspond à une dégénérescence des cellules. En effet, notre corps est composé de milliards de cellules enfermant, pour chacune d’entre elles, nos gênes. Ces derniers détiennent l’information nécessaire au bon fonctionnement de notre corps ou, dans le cas d’un cancer, une information erronée. Chaque cellule nait, se multiplie et meurt. Lors de la division cellulaire, elle transmet à sa cellule enfant le matériel génétique qu'elle détenait. Parfois, il peut arriver que certaines subissent des mutations et transmettent une information erronée. Celle-ci va soit être détruite par notre corps, soit se multiplier et propager l’anomalie dans notre corps. Les causes réelles du cancer des enfants sont encore très mal connues. En effet, contrairement aux adultes, les enfants sont souvent « vierges » de la consommation de facteurs favorisant le développement de cancer chez l’adulte (alcool, tabac, mauvaise hygiène de vie…). Le rôle des facteurs environnementaux dans la survenue d'un cancer chez l'enfant fait l'objet d'études. Les données actuelles sont encore fragmentaires et leur interprétation est souvent difficile. À ce jour, il n'y a pas de données scientifiques solides et argumentées permettant d'incriminer un ou des facteurs environnementaux dans la survenue d'un cancer chez l'enfant. Des travaux de recherche sont en cours et permettront d'améliorer les connaissances sur le rôle éventuel de ces facteurs environnementaux. Le rôle de facteurs génétiques est, là aussi faible (environ 5 % des cas).  Le point de départ de la prolifération des cellules cancéreuses peut être la moelle osseuse, il s'agit alors d'une leucémie. S’il est dans un organe ou un tissu, on parle alors de tumeur cancéreuse ou de tumeur maligne (ou encore appelée tumeur solide). De nombreux travaux de recherche ont été co-financés par Imagine for Margo et/ou ses partenaires associatifs et sont en cours de réalisation afin de faire progresser la connaissance, la prévention et le développement de traitements adaptés. Traitements En 2023, il y a près de 100 types de cancers différents pour l’enfant, ce qui en fait, pour les industriels, des maladies rares. Chacune de ces formes de cancer pédiatrique requiert un traitement spécifique, ce qui, malheureusement, n’est pas encore possible aujourd’hui pour tous les cancers de l’enfant. Les probabilités de contrôler la maladie ou de la guérir complètement sont différentes pour chaque type de cancer. Les thérapies Afin de prescrire les traitements adaptés à chaque type de cancer, il est nécessaire de rapidement évaluer, avec un professionnel de santé, les possibilités qui s’offrent à lui. Les soins les plus fréquents sont la chimiothérapie, la chirurgie et la radiothérapie. Les possibilités sont diverses et doivent correspondre au type de cancer de votre enfant. Depuis de nombreuses années, Imagine for Margo agit afin que la médecine de précision se développe pour les enfants. Celle-ci permet, grâce à la généralisation des séquençages moléculaires initiés par le programme MAPPYACTS et qui a depuis été repris par l’État dans le cadre du programme France Génomique, de cibler spécifiquement, lorsque cela est possible, les anomalies de la tumeur. L’objectif est de guérir plus et guérir mieux tous les enfants et les adolescents touchés par ce fléau. Patricia Blanc, Présidente fondatrice d’Imagine for Margo : « il faut savoir que pour 20% des enfants diagnostiqués d’un cancer, le seul espoir reste les progrès de la recherche. Il est donc important de mettre la priorité sur les cancers incurables. Toutefois, nous nous mobilisons aussi pour guérir mieux et réduire les séquelles importantes liées aux traitements et à la maladie....

Yoga Festival Paris : un Festival pour se rencontrer

Pas très étonnant qu’en ces temps de montée de la violence et de l’intégrisme le yoga prenne une place de plus en plus prépondérante dans nos sociétés. Cet art qui nous vient de l’Inde a véritablement pris son essor aux USA et en Europe après la seconde guerre mondiale jusqu’à devenir aujourd’hui accessible à tous quelques soient ses capacities physiques et mentales. Ni sport, ni médicament, ni technique de bien-être, ni religion, le yoga a maintes fois montré sa capacité d’adaptation. Le Mahâbhârata le définit comme une technique spirituelle, Krishna parle de renoncement aux fruits de l’action, d’équanimité et d’habileté dans les œuvres (Bhagavad-Gîtâ), et Patanjali a codifié une “voie de réalisation” dont le but serait de “délivrer l’homme de l’ignorance”. Le projet est donc vaste, et l’on comprend que ce moment de l’histoire occidentale en crise, encore troublé par la guerre à ses frontières et déstabilisé par l’individualisme forcené apporté par la marchandisation des rapports, soit en recherche d’un “chemin de sagesse” (Jean Varenne). Un week-end à Paris Véritable “poumon” en plein cœur de Paris, le Yoga Festival accueillera pour sa 4ème édition pendant 4 jours son public nombreux pour un peu plus de paix. Tous les participants auront à cœur de partager « leurs » clés pour vivre mieux. Développer son cerveau par l’entrainement au yoga, c’est développer le sentiment d’être heureux, nous dit le Dr. Lionel Coudron. Les études scientifiques nous en apportent aujourd’hui la preuve : la pratique du yoga ou de la méditation influence la structure du cerveau et augmente l’épaisseur notamment du précunéus, relié aux structures en rapport avec la conscience de ce que nous faisons. Le bonheur, définit comme « la conscience d’être heureux » ? Un Yoga Village Venez déambuler, discuter, écoutez des conférences, pratiquer et découvrir ce que vous cherchez : tapis, coussins, vêtements, accessoires, et aussi professeurs, écoles, stages et formations, voyages, massages, alimentation & cosmétique vegan ou ayurvédique, plus d’une centaine d’exposants représentent l’univers de cet art de vivre. Venez aussi à la rencontre du yoga qui vous convient, méditatif, thérapeutique ou dynamique : plus de 100 cours gratuits de yoga tout niveau accessibles à tous sans inscription, donnés par des grands noms du yoga, une restauration végétarienne et vegan, des ateliers de cuisine, et aussi un espace jeunes yogis en continu. Une tente gonflable (Hotpod) venue de Londres pour expérimenter le yoga dans une atmosphère à 37°C. Un lieu dédié aux blogueuses et à tous ceux qui souhaitent appuyer leur pratique avec des tutoriaux, des vidéos ou formations sur internet. Entrée gratuite avec une invitation à télécharger sur www.yogafestival.fr Notez que l’invitation vous permet également de rentrer sur le Salon Bio VIVEZ NATURE et sur le Village des SENSIbilités Alimentaires, car, nous partageons un même Hall et parce que le Yoga et le bio visent tous deux à l’harmonie entre l’homme et la nature. Méditation & respiration : focus Mircéa Eliade nous le rappelait : le yoga sert à désigner « toute méthode de méditation ». Cette année nous proposons un choix diversifié d’Ateliers ou de Master Class sur ces pratiques. Le prânayama avec Sudhir Tiwari ou Lav Sharma. La méditation avec Patrick Torre, Eric Baret & Marie Claire Reigner (Cashmire), Micheline Flak, Laurence Bibas et Morgane Gottschalk (pleine conscience), Uma Peudennier (Deepak Chopra), Marie Laurence Cattoire (Ecole de Fabrice Midal), Philippe Filliot, Lama Gyourmé (Bouddhiste), Joëlle Maurel. …etc. Prise de conscience progressive et harmonisation de vos facultés à la fois corporelle, émotives, mentales et spirituelles, c’est ce qui vous attend au Yoga Festival. Il suffit pour s’en convaincre de regarder les visages sereins et attentifs des participants aux ateliers et d’entendre leurs témoignages. Programme et invitation sur www.yogafestival.fr ...

Maladies rares, 1 personne sur 2000 atteinte : définition et avancées d’un enjeu de santé publique majeur

Depuis quelques années, que ce soit en Europe ou plus particulièrement en France, de réelles avancées ont été réalisées dans la lutte contre les maladies rares. Elles se traduisent entre autres par une meilleure prise en charge et un accès privilégié à l’information. Qu’est-ce qu’on entend par maladie rare ? Selon les spécialistes, une maladie est qualifiée de « rare » lorsque celle-ci présente une faible prévalence qui est de l’ordre d’une personne sur  2000. Aujourd’hui, le nombre d’individus concernés par ce type de maladies est en constante progression notamment en raison de leur grande variété. La plupart des maladies rares (près de 80%) sont génétiques. Jusqu’ici, les experts de la santé ont réussi à identifier 8000 maladies dont le quart se manifeste au-delà de la quarantaine. Ces maladies impactent directement sur la qualité de vie des personnes affectées puisque dans la moitié des cas, elles occasionnent une perte partielle ou complète de la motricité. On constate également une perte progressive tant au niveau des fonctions sensorielles que cognitives. Par ailleurs, il est important de souligner qu’il n’existe pas de traitement curatif pour la grande majorité des maladies rares. On parlera alors dans ce cas de « maladies orphelines » en faisant référence à ces pathologies qui ne disposent d’aucun traitement.  A titre d’exemples figurent la microcéphalie, la drépanocytose, l'hémophilie, la myasthénie auto-immune, les leucodystrophies ou encore la fibrose pulmonaire idiopathique. Le point sur la situation de la France face aux maladies rares En France, 4,5% de la population sont touchés par des maladies rares. Dans la moitié des cas, ces maladies affectent des enfants âgés de moins de 5 ans et sont à l’origine de 10% de la mortalité infantile (enfant de 1 à 5 ans). Depuis quelques années, de nombreuses actions ont déjà été menées à l’échelle nationale. D’ailleurs, la France est connue au niveau européen pour être le premier à avoir développé et réalisé un plan national. Une action rendue possible grâce à l’impulsion des différents acteurs à savoir les associations et professionnels de la santé appuyés par les pouvoirs publics. En effet, dès 1995, les maladies rares ont commencé à occuper une place importante dans les débats sur la santé publique. La ministre des affaires sociales en exercice à cette époque décide alors de créer la mission des médicaments orphelins. En 2001, les principaux acteurs impliqués se sont réunis autour d’une plateforme dédiée aux maladies rares. Orphanet, Maladies rares infos services, Alliance maladies rares, Eurodis en sont quelques exemples. En 2003, un plan stratégique a été lancé dans le but d’améliorer la prise en charge des patients touchés par ces maladies. Ce plan initié par le ministre de la santé, Jean François Mattei s’inscrit dans le cadre de la loi santé publique 2004-2007. Le PNMR ou Plan National Maladies Rares voit officiellement le jour. ...

Association Française des Sclérosés en Plaques (AFSEP) : au plus près des malades

L’AFSEP est une association qui prend à cœur de rassembler les patients et leurs familles, les informer, les aider et même de les représenter auprès des pouvoirs publics. L’association en quelques lignes Créée il y a de cela plus de 50 ans, l’AFSEP est la plus vieille association de patients en France, toutes pathologies confondues. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 1967. Sa spécificité par rapport à d’autres associations, c’est qu’elle est constituée uniquement de patients. « L’association est pour les patients et elle est faite par les patients » souligne un membre de l’équipe AFSEP. Cette particularité place véritablement l’association au cœur du terrain constituant ainsi un relais privilégié pour tous les acteurs concernés (pouvoirs publics, laboratoires…) dans la lutte contre la sclérose en plaques. Les actions et missions de l’association La sclérose en plaque (SEP) est une maladie neurodégénérative qui touche en majorité des femmes. La moyenne d’âge des personnes atteintes se situe à 40 ans. Incurable, la SEP entraîne des conséquences dévastatrices chez l’individu telles que l’apparition d’une déficience motrice (incapacité à marcher) ou la perte de la mémoire. « Cette maladie est épouvantable, on ne peut plus rien faire après, vous êtes complètement désocialisé » explique un responsable. Face à cette situation, l’une des missions de l’association est d’accompagner les personnes atteintes et leurs proches au quotidien. Afin de les aider dans leur démarche, l’AFSEP propose aux malades un service juridique et un service social. Pour faire en sorte que les patients puissent mieux vivre avec la maladie, l’association travaille également avec des ateliers de groupe de parole ou des ateliers d’équithérapie (soin psychique basé sur la présence d'un cheval comme médiateur thérapeutique). Outre l’accompagnement des malades, l’association s’est aussi engagée sur la sensibilisation et la formation sur la SEP. Cette dernière est assurée par le pôle formation de l’AFSEP et s’adresse aux acteurs intervenants auprès des malades. Enfin, l’association mène des actions concrètes pour soutenir la recherche sur la maladie. Label « Grande cause nationale » 2018 comme objectif ! Face à la forte progression de la sclérose en plaques dans l’hexagone (100 000 malades et 4000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année), l’association s’étonne aujourd’hui de l’absence cruelle de communication sur la SEP. Les responsables soulignent en effet : « puisqu’on n’en parle pas dans le débat public, les gens porteurs de la maladie seront incapables de diagnostiquer le problème ». L’enjeu est de taille et il s’avère vital d’informer et sensibiliser le maximum de personnes afin d’éviter une prise en charge tardive de la maladie. D’autant plus que la SEP est très difficile à diagnostiquer car elle se manifeste à travers une multitude de symptômes. Pour faire entendre sa voix, l’association a adressé une lettre à l’attention du chef du gouvernement dans laquelle elle propose que la SEP fasse l’objet du label « Grande cause nationale » 2018. Ceci dans le but d’attribuer une plus grande visibilité et générer une forte mobilisation. « Avec l’aide du gouvernement, on réduira le temps de diagnostic de la maladie »indique l’équipe avec un brin d’optimisme.  ...

Calmedica, la start-up qui réinvente le parcours de soins

La société a été fondée en 2013 par Corinne Segalen, médecin ayant effectué une brillante carrière dans l’industrie pharmaceutique, et Alexis Hernot, polytechnicien et INSEAD passionné par les nouvelles technologies. Le défi relevé par Calmedica : décharger les unités de chirurgie des étapes de suivi pré et post opératoires pour 90% des patients afin de leur permettre de se focaliser sur le cœur de leur métier, le soin. Pour les fondateurs, la solution proposée par Calmedica accompagne une évolution majeure de la pratique médicale, dans laquelle le parcours de soin est dorénavant centré sur le patient.  La solution proposée : un chatbot fonctionnant par SMS Le système proposé par Calmedica repose sur un principe simple : utiliser le SMS pour converser avec les patients pour un rappel des consignes avant l’opération et un suivi postopératoire. Pour ce faire, le système est doté d’une capacité à traiter le langage naturel et à transformer la conversation en données structurées pouvant être analysées. Ces conversations - échanges de SMS entre le robot et le patient - sont analysées en temps réel afin d’émettre des alertes aux personnels de santé en cas de problème. Aujourd’hui, cette technologie a fait ses preuves auprès de plus de 150 000 patients, dont 90 % ont été gérés sans intervention humaine. Outre le gain de temps pour les équipes médicales, le système s’inscrit dans une véritable démarche qualité : les annulations sont toutes anticipées, les patients arrivent à l’heure et respectent mieux les consignes. Les patients aussi sont enthousiastes ainsi que l’explique Elisabeth opérée en ambulatoire : « je n’ai pas eu d’attente à mon arrivée, mon mari a été informé de mon heure de sortie, et le lendemain j’ai juste eu à répondre que tout allait bien». Au-delà de la chirurgie ambulatoire, Calmedica propose un chatbot à installer sur un site internet. Celui-ci permet aux patients d’obtenir une réponse à leurs questions sans avoir à naviguer dans un contenu parfois indigeste. Le potentiel de la société n’est pas passé inaperçu pour le ministère de la Recherche qui a labellisé la start-up « Jeune entreprise innovante » et pour la Banque publique d’investissements qui l’accompagne dans son programme d’innovation. ...

Chelles Surdité : l’audition au cœur des préoccupations

A une petite vingtaine de minutes du centre de Paris par Eole, le laboratoire Chelles Surdité reçoit sa clientèle toute l’année en continu. Son cœur de service, la correction auditive, bénéficie de l’expertise d’Elisabeth Peltier et Cédric Peltier son fils. Les personnes ayant des problèmes d’acouphènes et d’hyperacousie accèdent ici à une prise en main professionnelle, soutenue par la technique d’appareillage initiée par Elisabeth Peltier. L’audioprothèse pour une correction durable des acouphènes « J’ai créé une technique d’appareillage et je participe et j’initie d’autres audioprothésistes pour travailler sur cette méthode », annonce d’emblée Elisabeth Peltier pour poser le cadre d’activité du laboratoire. La recherche en question cible les acouphènes dont son équipe a fait un vrai cheval de bataille. L’objectif est de supprimer ces troubles de l’audition qui concernent de nombreuses personnes, toutes tranches d’âge confondues. « On réussit, nous avons de très bons résultats reconnus par les patients et leurs médecins. Nous recueillons leurs témoignages », ajoute notre interlocutrice. Au moment du bilan, elle nous précise que les meilleurs résultats sont observés sur les surdités génétiques. En soulignant que ses patients sont suivis par des équipes pluridisciplinaires incluant des médecins spécialistes dont O.R.L., des sophrologues et des spécialistes de la PNL. Les patients ayant des difficultés relevant de l’hyperacousie profitent également de ces services. Le laboratoire délivre, un véritable coaching à l’intention des patients présentant ces symptômes. Cet accompagnement personnalisé constitue un peu la signature des services dispensés par le laboratoire.    Appareillage auditif pour adultes et enfants « La prothèse auditive, c’est le premier traitement pour éviter le déclin cognitif et préserver la mémoire » tient à préciser Elisabeth Peltier pour souligner les enjeux des troubles de l’audition. Quel que soit l’âge du patient, la correction de ces troubles par les appareils est envisagée en prenant en compte deux dimensions essentielles. Il s’agit, d’une part, de mettre à disposition des prothèses en adéquation avec le mode de vie. Les modèles les plus récents intègrent la numérisation pour s’adapter tant au profil auditif du porteur qu’à l’environnement sonore. D’autre part, les correcteurs d’audition doivent se faire le plus discret possible. L’équipe d’audioprothésistes et de techniciens de chez Chelles Surdité collabore activement pour concilier ces paramètres aux préoccupations de chaque client, notamment en matière budgétaire. Ensuite, différentes formes esthétiques sont proposées selon l’expérience de port qui convient au sujet : contour d’oreille RIC, avec écouteur dans le conduit, ou contour d’oreille conventionnel. Diverses configurations d’appareils sur-mesure intra-auriculaires sont également accessibles. Préalablement à l’adoption de l’une ou l’autre solution, les sujets font l’objet d’un test préalable dans les cabines audiométriques dont est équipé le laboratoire.     Focus sur la prévention Dans une perspective de prévention, l’enseigne propose également différentes gammes de protection auditive, sur-mesure ou standards. Embouts moulés waterproof pour les baignades, audioprothèse d’atténuation réglable pour la chasse, anti-bruit pour atténuation linéaire dédiée aux musiciens constituent autant de solutions préventives commercialisées par Chelles Surdité. Cette prévention est réalisée chaque année avec des élèves des écoles, des collèges et des lycées de Chelles. Notamment dans le cadre de la Journée nationale de l’audition. Chaque année, madame Peltier organise avec ses équipes pluridisciplinaires un colloque ouvert au public, animé par des chercheurs et des médecins sur le thème des acouphènes et de l’hyperacousie afin de partager les derni&...

Cisbio crée Ze Lab pour aider les startups

Cisbio est spécialisé dans les technologies, les produits et les services pour le diagnostic in vitro et la recherche dans les sciences du vivant. Elle propose de nombreux dosages pour le diagnostic de cancers, de maladies métaboliques ou auto-immunes. Dans le domaine de la recherche, elle a mis au point une méthode de détection par fluorescence en milieu homogène (HTRF) et a développé une offre d'essais et de services à destination des chercheurs impliqués dans la découverte de nouveaux médicaments. Sur la base de ce savoir-faire et de plus de 200 brevets déposés, Cisbio commercialise aujourd'hui plus de 500 essais et réactifs pour accélérer les projets de recherche de ses clients et partenaires. Un rôle important dans l’économie Cisbio emploie plus de 200 personnes, dont 40 chercheurs ayant une formation scientifique en chimie, en biologie cellulaire et moléculaire ou en biophysique. Basé à Codolet, dans le Gard, Cisbio possède des filiales à Boston, à Shanghai et à Tokyo et dispose d’un réseau de distributeurs qui commercialise ses produits dans le monde entier. Cisbio joue un rôle important dans l’économie de la région Occitanie, en créant de nombreux emplois et en ayant un rôle actif en matière de formation, ainsi qu'au travers de ses partenariats avec les instituts de recherche et les universités de Montpellier et de Marseille. 2016 : création de Ze Lab Dans le courant de l’année 2016, fort de son expérience et de ses compétences aussi bien scientifiques que commerciales, Cisbio a décidé de mettre en œuvre une nouvelle structure, Ze Lab, afin d’aider et d’accompagner des startups à se développer. Pour bénéficier de cet accompagnement, les candidats doivent déjà avoir testé et validé leur concept, établi un business model et être dans une phase de finalisation de recherche, d’industrialisation ou de commercialisation. Ils doivent travailler dans des domaines d’activités bien spécifiques tels que la recherche de thérapeutiques ciblant les maladies infectieuses, le diabète, l’oncologie ou les maladies rares. Cisbio souhaite que les startups rejoignant Ze Lab se concentrent sur leur cœur de métier dans les meilleures conditions possibles. Pour cela, elle va en particulier les accompagner au niveau de l’organisation de la structure, sur la mise en place d’un business plan, sur l’étude de marché ou sur la recherche de fonds. Ainsi, mettre en place une organisation de recherche et développement performante, définir une stratégie claire, développer et commercialiser les produits, structurer les équipes, rechercher et trouver des investisseurs sont au cœur du package proposé par Cisbio. Un écosystème déjà présent et un réseau international Certains critères sont déterminants pour la sélection de ces entreprises émergentes comme la qualité de l’équipe, une offre ayant une valeur ajoutée identifiable et une forte motivation. Quelques startups ont déjà déposé leur dossier pour rejoindre Ze Lab. Ils sont à l’étude auprès du comité de sélection de Cisbio. Les sociétés retenues pourront intégrer pendant 3 mois à 2 ans un espace mis à leur disposition avec bureaux, plateaux techniques et salles de réunion. Elles peuvent ainsi bénéficier de tout l’écosystème déjà présent sur place et, potentiellement, d’un réseau commercial international. ...

UMR 1098 - INSERM/UFC/EFS : des recherches de qualité, des thérapies innovantes

L’UMR 1098 a été créée en 2012 sur les bases de l’unité UMR645. Elle vient d’être reconduite par l’INSERM en Janvier 2017 pour 5 ans. Elle est localisée sur le pôle santé TEMIS des Hauts de Chazal de Besançon, proche du CHRU Jean Minjoz et de l'Institut Régional Fédératif du Cancer de Franche Comté (IRFC). L’unité est dirigée par le professeur Philippe Saas, et les recherches menées s’articulent surtout autour des relations entre le système immunitaire du patient et son greffon lors des transplantations, ou du système immunitaire et sa tumeur au cours de cancers. Des objectifs ambitieux : l’identification de biomarqueurs et de nouveaux traitements, les biothérapies Une des entités pionnières dans le domaine de la recherche translationnelle française, l’UMR 1098, oriente l’ensemble de ses recherches vers deux finalités majeures. En premier plan de ses objectifs, se trouve l’identification des biomarqueurs qui permettent de déterminer les causes d’une pathologie, de comprendre davantage le fonctionnement du système immunitaire dans ce contexte, et d’éclairer ainsi des zones d’ombre. Ces biomarqueurs permettent de distinguer différentes formes d’une même maladie et d’identifier de nouveaux traitements. Les maladies concernées sont la transplantation rénale, la greffe de moelle osseuse, l’autogreffe d’ovaire, des maladies auto-immunes (polyarthrite rhumatoïde, thrombopénies auto-immunes, artérites à cellules géantes,…) et des cancers (du poumon, du colon, les leucémies,…). Ses missions ne se limitent pas aux aspects fondamentaux de la recherche, mais s’élargissent jusqu’à la mise au point des nouvelles thérapies, à savoir le développement de médicaments innovants. Ces médicaments peuvent être basés sur des cellules immunitaires (lymphocyte T) ou d’autres produits du système immunitaire. L’UMR 1098 se trouve donc au cœur de divers défis médicaux majeurs : les réponses immunitaires, les complications liées à la transplantation, l’immunothérapie anticancéreuse, la transfusion sanguine, les biomarqueurs, la physiopathologie des maladies auto-immunes ou la réponse immunitaire antitumorale. Des plates-formes de pointe Afin d’atteindre ses objectifs, l’UMR 1098 a développé une forte collaboration académique et industrielle à l’échelle régionale, nationale et internationale. Elle coopère en effet activement avec des services cliniques des CHRU de Besançon et Dijon, dont le service de transplantation rénale, d'oncologie médicale et le service d’hématologie ainsi qu’avec des laboratoires d’excellence et d’autres entités leaders dans leur domaine, comme le LabEX LipSTIC, le Cancéropôle du Grand Est, l’Institut FEMTO-ST, ou le consortium ECellFrance. Désireuse d’être toujours à la pointe, elle s’est également dotée de différentes de plates-formes technologiques. Sa localisation au sein de l’EFS Bourgogne Franche-Comté lui permet d’avoir accès à des salles blanches abritées par l’EFS suivant les exigences européennes pour la production des médicaments de thérapie innovante (appelé MTI). L’EFS est un établissement pharmaceutique permettant de produire ces médicaments. L’unité dispose aussi d’une plate-forme de Bio-Monitoring pour réaliser des analyses biologiques chez les patients. Cette plateforme est commune avec le Centre d’Investigation Clinique (CIC-1431) du CHRU de Besançon permettant de mener des études cliniques de phase précoce. Une plate-forme d’ingénierie cutanée est dédiée au développement de substituts cutanés. Deux équipes de haut niveau aux compétences complémentaires Les moyens techniques et la promotion de partenariats sont, à l’évidence, essentiels pour les activités de l’UMR 1098. Mais, ce sont ses ressources humaines les véritables leviers de réussite et de concrétisation des projets. L’unité de recherche regroupe effectivement des chercheurs, enseignants chercheurs et cliniciens. Ces derniers permettent de disposer de cohortes de patients, au cœur de ses projets. Quelques 120 scientifiqu...

Résidence Somania : le centre hospitalier
de Somain inaugure un nouvel EHPAD

La Résidence Somania, implantée sur le site du centre hospitalier de Somain, remplit toutes les conditions pour offrir un séjour le plus agréable possible aux personnes âgées en perte d’autonomie : des infrastructures et des prestations de qualité. Une équipe soignante pluridisciplinaire sous la responsabilité du médecin coordonnateur et du cadre de santé dispense les soins et assure l’accompagnement quotidien des résidents. Un environnement sain et confortable Ses espaces extérieurs aménagés suscitent l’éveil des sens des résidents. L’architecture laisse entrer la lumière et favorise l’ouverture sur l’extérieur. La résidence a une capacité d’accueil de 84 lits : • 1 unité pour maladie d’Alzheimer et maladies apparentées (M.A.M.A) de 14 lits, permettant la prise en charge spécifique des résidents atteints de maladie de type Alzheimer ; • 1 unité d’hébergement renforcée (UHR), de 14 lits, permettant la prise en charge spécifique des résidents atteints de maladie de type Alzheimer compliquées de symptômes psycho-comportementaux, altérant la sécurité et la qualité de vie de la personne et des autres résidents ; • 1 unité d’activités et de soins adaptés (P.A.S.A) de 14 places ; • 56 lits permettant l’accueil et la prise en charge de personnes âgées ne présentant pas de troubles du comportement, incompatibles avec la vie en institution ; • 1 accueil de jour de 6 places. D’une superficie d’environ 20 m2, chaque chambre est agencée de manière à ce que la personne âgée se sente comme chez elle. L’établissement propose donc une chambre meublée comprenant un lit médicalisé, un fauteuil, une table adaptable, un placard intégré, un téléviseur, un système d’appels et une salle de bains avec douche. Les résidents sont accompagnés dans les actes de la vie quotidienne et peuvent bénéficier du cadre de vie de la Résidence SOMANIA : salons, salles à manger, salles d’activités L’Unité d’Hébergement Renforcé quant à elle propose une prise en charge à la fois d’hébergement, de soins, d’activités à visées thérapeutiques, de socialisation dans un cadre adapté alliant sécurité, liberté de circulation, confort.… Un large choix d’activités L’animation rend la vie à la résidence plus agréable en proposant des activités. Elle permet de créer, maintenir le lien social et développer la notion de plaisir.  Elle facilite l’intégration des résidents au sein de l’institution, le résident étant au centre de ce projet d’animation pour répondre à ses besoins et le rendre acteur dans les activités. Parmi les activités proposées figurent, par exemple, la gymnastique douce, la musique, les jeux de société, les sorties à l’extérieur de l’établissement, les activités manuelles et autres activités de détente et de relaxation. Étant donné les impacts positifs engendrés par les échanges intergénérationnels sur les seniors, l’établissement invite également des enfants issus d’établissements scolaires pour interagir avec ses résidents. Une prise en charge individualisée Bien avant son admission au sein de l’établissement, le résident soumet un projet personnalisé (PAP) qui doit être validé par l’équipe au sein de l’EHPAD. Ce projet, co-construit entre la personne âgée et l’équipe, intègre les habitudes, les croyances, les gouts, les centres d’intérêt, l’histoire de vie, l’environnement affectif et familial du futur résident. L’objectif étant de pouvoir offrir à ce dernier une prise en charge personnalisée et adaptée. La Résidence Somania est avant tout un lieu de vie. Le rôle particulier de l’animation est, dans le cadre du projet de vie individuel, de mettre en œuvre, développer ou maintenir le projet social des résidents, de favoriser les échanges, de faciliter l’intégration au sein l’institution, de main...

Positive You : un service de psychologie
à distance, gage de bien-être

Faciliter l’accès à la psychologie à un public élargi via des moyens technologiques, telle est la mission que s’est fixée Positive You. Pour y parvenir, la startup offre la possibilité à ses utilisateurs de bénéficier, selon leurs besoins, de l’expertise de vrais spécialistes. Le tout, à distance ! Un partenariat noué autour de valeurs fortes Créé en 2018, Positive You met à disposition des particuliers une plateforme en ligne dédiée à la psychologie à distance. Concrètement, celle-ci met en contact des personnes à la recherche de bien-être et des psychologues spécialisés. Afin d’assurer un service de qualité, Positive You travaille uniquement avec des psychologues partenaires qui sont à la fois certifiés et diplômés. Ces derniers s’engagent à aligner leurs prestations sur un modèle centré sur l’« Etre bien » tout en adhérant à des valeurs clés comme l’innovation, le professionnalisme, l’éthique ou encore la satisfaction client. Tout se fait à distance À travers sa solution, Positive You entend placer l’humain au cœur de son offre. La startup propose à cet effet des thérapies ciblées et adaptées aux besoins de chaque individu. Tout le processus d’accompagnement se fait à distance : soit à travers un système de messagerie, où praticien et utilisateur s’échangent via des écrits électroniques ; soit par le biais d’une visioconférence intégrée, permettant une téléconsultation par écran interposé. Bonus non négligeable : Positive You permet aux utilisateurs de choisir le prix de leur consultation en fonction de leurs ressources. Des offres pour les entreprises La startup offre également des prestations destinées à aider les professionnels à surmonter les différents problèmes rencontrés au niveau de l’entreprise. Elle propose un accompagnement non seulement individuel (salarié ou dirigeant), mais aussi collectif (groupe). Conscient qu’une meilleure ambiance au travail est la clé du succès, Positive You accompagne les salariés dans leur épanouissement aussi bien personnel que professionnel. L’unique moyen d’atteindre cet objectif est de favoriser l’« Etre bien » dans sa globalité, incluant la santé physique et mentale. En outre, les interventions peuvent aussi porter sur des thématiques telles que la médiation professionnelle, les risques psychosociaux, le conseil en management ou en organisation ou encore la cellule de crise. ...

Fondation pour la Recherche sur Alzheimer

Créée sous l’impulsion du Professeur Bruno Dubois (neurologue de renommée internationale) et du Docteur Olivier de Ladoucette (psychiatre et gérontologue), la Fondation Recherche Alzheimer a pour mission de soutenir la recherche sur Alzheimer en donnant aux chercheurs les moyens de vaincre la maladie. La Fondation Recherche Alzheimer : 15 ans de combat contre la maladie Seule fondation reconnue d’utilité publique dédiée de façon exclusive à la recherche clinique sur la maladie d’Alzheimer, la Fondation Recherche Alzheimer a vu le jour en 2004. Depuis des dizaines d’années, elle se bat pour récolter des fonds afin de faire avancer la recherche médicale. Située au cœur du Groupe Hospitalier de la Pitié-Salpetrière à Paris, cette fondation est au plus proche de la recherche clinique. La Fondation finance des projets d’excellence en France, aussi bien au sein du pôle renommé de la Pitié-Salpêtrière que dans d’autres centres réputés. Ces projets sont sélectionnés par un Comité Scientifique Européen exigeant, composé de chercheurs internationalement reconnus. La Fondation soutient également la recherche en Europe grâce aux Grands Prix décernés chaque année aux meilleurs chercheurs européens. La Fondation donne un nouvel élan à la recherche en finançant des projets orientés autour de trois axes stratégiques : - Un diagnostic précoce, grâce à la recherche sur les marqueurs de la maladie, permettant de détecter celle-ci, avant même l’apparition des symptômes. - La prévention de la maladie, - La mise au point de traitements enfin efficaces pour stopper la pathologie à un stade précoce. Afin de répondre aux attentes du public en termes d’information sur la maladie et les avancées de la recherche, la Fondation organise à Paris et en régions les Entretiens Alzheimer, conférences gratuites et ouvertes à tous (sur inscription). Les Entretiens sont aussi l’occasion de renforcer le dialogue entre les chercheurs, les professionnels, les aidants et toutes les personnes engagées dans le combat contre la maladie. Chaque année la Fondation organise un grand Gala annuel avec de nombreux artistes qui se mobilisent pour récolter des fonds et soutenir la recherche. En 2020, le XVème Gala de la Fondation aura lieu le 23 mars à l’Olympia. Pourquoi donner à la Fondation Recherche Alzheimer ? Toute personne qui a dû s’occuper d’un proche atteint de cette maladie neurodégénérative connait l’étendue des dégâts. Il faut savoir qu’en France, cette maladie touche près d’un million de personnes. Cette pathologie impacte non seulement la personne malade mais aussi son entourage. Cela peut être un enfant qui doit aménager son temps de travail pour s’occuper d'un parent ou un conjoint qui doit gérer la longue et lente maladie de l’être aimé(e). C’est pourquoi il est important de redoubler d’efforts et de mobiliser l’ensemble de la société afin d’investir massivement dans la recherche. C’est le sens de la nouvelle campagne de communication de la Fondation Recherche Alzheimer qui a besoin du soutien de tous. Comme les personnalités bénévoles qui ont accepté de s’engager pour soutenir la recherche, rejoignez le combat pour mettre Alzheimer K.O. ...

Naturosophie : pour une approche plus naturelle de la santé

Après des études en biologie et une carrière dans le domaine de la petite enfance, Sophie Lasfargues s’engage dans une reconversion professionnelle. Passionnée par la naturopathie, elle décide de se spécialiser sur le sujet et bénéficie aujourd’hui d’une certification naturopathe. Guérir par la force vitale de l’organisme Par son approche holistique, la naturopathie implique une meilleure connaissance de l’individu dans sa globalité au sein de son environnement pour lui offrir un accompagnement personnalisé. C’est pourquoi les séances de naturopathie avec Sophie Lasfargues démarrent systématiquement par un bilan de santé naturopathique qui prend en compte les antécédents familiaux et personnels de la personne, ses problèmes de santé, son hygiène de vie et surtout ses besoins et objectifs. De là, la praticienne établit un programme articulé autour de trois phases : l’hygiène de vie, l’alimentation et l’usage de techniques naturelles comme la réflexologie plantaire, la phytothérapie ou l’homéopathie. Le but étant d’aider le patient à devenir acteur et responsable de sa santé par le biais de méthodes douces. ...

DRUGCAM® lance le défi. Objectif : zéro erreur médicamenteuse

Réduire à 50 % les préjudices causés par les erreurs médicamenteuses est l’un des défis mondiaux de l’Organisation mondiale de la santé pour ces cinq prochaines années. À l’ère du tout numérique, le processus de préparation médicamenteuse repose encore sur des contrôles visuels, « avec une intervention humaine et possibilité d’erreurs humaines », comme l’a souligné Loïc TAMARELLE, cofondateur et président d’EUREKAM. Plus un préparateur augmente sa productivité en une journée, plus grand est le risque de faille lié à la manipulation de la molécule, du volume ou l’étiquetage du moyen d’administration. Face à ce danger qui s’expose aux patients et au personnel médical, la start-up lance DRUGCAM®pour assister et fiabiliser l’ensemble des étapes de la fabrication anticancéreuse injectable. Système de contrôle pré and post-process Innovation 100 % française, DRUGCAM® exploite une intelligence artificielle et un système d’enregistrement vidéo pour automatiser la préparation de la chimiothérapie injectable. Ce dispositif se dote d’un module de vision/détection s’installant sur l’environnement de production Hotte ou isolateur et d’un logiciel performant avec deux modules informatiques. « C’est une révolution : il va guider et assister le préparateur à chaque étape du protocole, depuis l’insertion de la prescription dans le logiciel, jusqu’à la validation de l’opération. » Concrètement, il va vérifier chaque information qu’il reçoit (la molécule, le dosage, la seringue, le code-barres, le flacon, l’étiquette, etc.) via la reconnaissance vidéo et les comparer au protocole établi pour chaque patient. Avec une précision millimétrée, DRUGCAM® analyse très finement ces données prélevées et alerte le préparateur au moindre écart ou erreur constaté. Mieux encore, le système identifie clairement l’origine et la nature de l’anomalie pour mieux cibler les actions correctives derrière. En même temps, toutes les phases clés de la préparation sont filmées et archivées pour faciliter la coordination entre les intervenants dans la libération de médicaments. Renforcer la sûreté dans l’organisation des soins « Notre technologie brevetée en France, mais aussi à l’international, est déjà opérationnelle dans une vingtaine d’établissements de soins (CH, CHU, cliniques et centre de lutte contre le cancer) en France et le nombre va bientôt augmenter », fait savoir notre interlocuteur. La plus-value apportée par la solution DRUGCAM® satisfait parfaitement le niveau de qualité et de sécurité exigé par le métier. En effet, avoir la certitude que le processus de préparation médicamenteuse a été entièrement contrôlé permet de rassurer les patients. Non seulement les patients, mais également le personnel médical, aussi bien en termes d’éthique (respect des bonnes pratiques) qu’en termes de sûreté (aucun risque chimique de contrôle a posteriori). En outre, le système aide à maintenir une efficacité optimale grâce à la rapidité d’exécution : plus cohérente, plus fluide et plus cadrée. Il garantit également une traçabilité informatisée de toutes les opérations, que l’on peut exploiter à tout moment ou utiliser en guise de preuves médico-légales. Enfin, adopter DRUGCAM® permet d’optimiser la démarche qualité des établissements de soins, tout en maîtrisant les budgets affectés aux dispositifs médicaux. Tout le monde en sort gagnant. Une belle aventure à succès Loïc TAMARELLE s’est associé à Benoît LE FRANC, pharmacien du groupe hospitalier La Rochelle Ré Aunis pour fonder la start-up EUREKAM en 2012. Elle a été propulsée par le Concours national d’aide à la création d’entreprises innovantes, et n’a cessé de collectionner des palmarès depuis, notamment pour son produit DRUGCAM®. L&rs...

Un 3e plan national maladies rares pour améliorer le diagnostic et l’accès aux traitements

Agnès Buzyn, ministre des solidarités et de la santé et Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, ont souhaité donner un souffle nouveau à l’action gouvernementale en lançant officiellement en juillet dernierle 3ème plan national 2018-22 rédigé en concertation avec les principaux professionnels et associations de personnes malades. Avec 750 millions d’euros alloués aux maladies rares dont 20 millions à la recherche,  ce plan interministériel a pour ambition de partager l’innovation et d’apporter un diagnostic et un traitement pour chacun. Les principaux axes Le PNMR3 vise tout d'abord la réduction de l'errance et de l'impasse diagnostiques avec l'objectif de dépister plus précocement les maladies, de débuter les prises en charge au plus tard un an après la 1ère consultation par un spécialiste (au lieu de 5 pour plus d'un quart des personnes) et de faciliter l'accès aux traitements utiles. Le plan prévoit ainsi une prévention élargie en permettant la mise en place de nouveaux dépistages néonataux validés par la Haute Autorité de Santé (HAS) et en priorisant, en lien avec le plan France médecine génomique 2015, l'accès aux plateformes de séquençage à très haut débit pour la réalisation de diagnostics de certitude. Rôle accru des filières de santé Ce nouveau plan réaffirme également le rôle accru des FSMR pour coordonner les actions des multiples acteurs concernés (équipes de soins, médico-sociales et éducatives, de dépistage et de recherche, partenaires associatifs, réseaux européens de référence…), accompagner certaines étapes-clés comme l'annonce du diagnostic, la transition adolescent-adulte, les situations d'urgence et promouvoir la recherche et l'innovation sur les maladies rares. La priorité est donnée aussi au partage des données pour renforcer la recherche et l'émergence et l'accès à l'innovation avec, notamment, la création d'entrepôts de données de qualité, interopérables et réutilisables pour les maladies rares. ...

ma-residence.fr : renforcer les liens sociaux dans la communauté locale

Avec l’arrivée des réseaux sociaux de proximité, on avance à grands pas vers l’idéal de smart city ou de la ville connectée. La révolution s’opère progressivement à l’échelle de notre immeuble ou de notre quartier, en interagissant intelligemment avec nos voisins. La plate-forme ma-residence.fr est le leader français qui a introduit ce concept dès 2007. Et aujourd’hui, elle pousse encore plus loin sa vision, en offrant les moyens de favoriser la cohésion sociale et d’entreprendre des actions solidaires à travers son site web et son application. Remettre l’humain au cœur des interactions L’inscription s’effectue directement et gratuitement sur le site ou en téléchargeant  l’application sur un smartphone. Les utilisateurs sont des habitants, des associations ou des commerçants qui souhaitent partager des informations locales, se rendre service, faire connaissance ou se rencontrer autour de centres d’intérêt communs. Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, ce réseau social permet de faciliter l’entraide entre voisins et les échanges au sein de son immeuble, de son quartier ou de sa ville. Que ce soit pour un coup de main pour du bricolage, du baby-sitting, un emprunt de livre ou de matériel, ou une offre de covoiturage, les membres peuvent librement publier sur le site ou utiliser le service de messagerie privée. Il est aussi possible de proposer des évènements et bons plans dans le quartier, d'échanger autour de centres d’intérêt, d'organiser ou de participer à des actions civiques (nettoyage du parc du quartier, collecte de vêtements ou de nourriture pour les plus démunis, etc…). Par ailleurs, ma-residence.fr propose aussi un écran dynamique, le Hall’Numeric, à installer dans les halls d’immeuble ou les lieux publiques où s’affichent les dernières actualiés locales et échanges dans l’immeuble ou le quartier. Bref, ma-residence.fr doit sa réussite à une collaboration participative de ses utilisateurs pour créer une nouvelle forme de bon voisinage et de vivre-ensemble. Solidar’IT pour soutenir les personnes âgées isolées Ce réseau social de proximité veut inciter les voisins à créer de la solidarité dans leur communauté. Agréée Service numérique et citoyen, elle s’intéresse plus particulièrement aux personnes âgées, et a lancé le projet Solidar’IT avec un pilote, en partenariat avec la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, mis en place dès 2015 dans une dizaine de villes d’Ile-de-France. Grâce à Solidar’IT, le Centre Communal d’Action Sociale d’une ville peut piloter la solidarité sur le territoire en mobilisant des voisins volontaires pour venir en aide à des seniors isolés dans leur quartier ou de leur immeuble et faciliter leur quotidien (changer une ampoule, faire quelques courses, accompagner pour une balade, discuter autour d’un café, etc.). Suite à ce pilote, ce sont près de 15 % des utilisateurs qui se sont montrés intéressés pour venir en aide aux seniors de leur ville qui vivent souvent seuls  et ont besoin de petits coups de main. Grâce à cet outil, ma-residence.fr accompagne pas à pas les collectivités désireuses de répondre aux enjeux d’isolement et de fracture numérique en permettant à chacun d’entre nous de faire preuve de solidarité au quotidien. ...

Institut Docteur Delatte : la seule et unique école de Psycho Bio Acupressure.

L’Institut Docteur Delatte, du nom du docteur Pierre Noël Delatte, l’inventeur de cette technique douce, forme des praticiens compétents et souhaite faire découvrir cette médecine alternative au plus grand nombre. Si vous souhaitez vous former à la méthode du Dr Delatte, cet institut et le seul habilité. La Psycho Bio Acupressure (PBA) en quelques mots La PBA présente plusieurs aspects. En premier lieu, un praticien expert en PBA vient stimuler cinq points d’acupressure en les pressant simultanément. Cela pour agir aussi bien sur le corps que sur le cerveau (puisque chaque point correspond à une zone de l'aire cérébrale). Puis, il se concentre sur les blocages émotionnels par la verbalisation et l’étude spécifique du pouls. Le but étant d’évacuer les émotions afin de gagner en sérénité et se libérer de comportements qui ne sont pas en adéquation avec sa véritable identité. Comme précisé sur le site de l’institut, la PBA est une méthode à la fois rapide, accessible à tous et pratique. Elle peut aussi bien être appliquée sur des bébés que des enfants et des femmes enceintes (en travaillant au niveau du fœtus ainsi que l'a développé Mme Rouzaud). Dans tous les cas, son objectif est d’intervenir directement sur les traumatismes remontant à l’enfance voire à la naissance qui dictent, bien souvent, notre vie d’adulte (exemple : impacts des naissances par césarienne, forceps, déclenchées... mais aussi syndrôme du jumeau perdu, difficulté à perdre du poids etc.) La méthode PBA sert donc à se libérer de toutes ces mémoires émotionnelles qui nous empoisonnent. Toutefois, elle ne peut remplacer un véritable suivi médical. De plus, si vous cherchez un praticien, attention à bien vous référer à l’annuaire officiel présent sur le site. Historique de la technique PBA La méthode Psycho Bio Acupressure a été conçue par le Docteur Delatte qui était un médecin généraliste français spécialisé en acupuncture et médecines tropicales. Créée à Nouméa, il a fallu 20 ans au praticien pour la mettre au point. L’école a été, quant à elle, fondée en 2012 par le Dr et Faïrouz Rouzaud. Et, depuis, Faïrouz Rouzaud et son équipe font leur maximum pour faire reconnaitre cette méthode en France et à l'étranger ; aussi bien dans les milieux médicaux que paramédicaux. A titre de reconnaissance, la méthode est reconnue au Canada par exemple. Ainsi, l’institut attire de plus en plus de praticiens du secteur médical (tels que des sages-femmes, des médecins, des infirmières, des ostéopathes ou bien des kinésithérapeutes) et de personnes souhaitant se reconvertir professionnellement. Comment se déroule la formation ? La formation est divisée en 3 temps.   Le premier est appelé "pre requis". C’est une phase de découverte qui permet d’atteindre le niveau 1, puis le 2 etc... Les apprenants qui veulent poursuivre leur apprentissage devront, ensuite, réaliser plusieurs fois les modules de théorie et pratique afin de se parfaire. La Directrice de l'institut mettant un point d'honneur à former des praticiens dans l'excellence ainsi que le souhaitait le Dr Delatte. À savoir : la formation est pensée pour permettre à chacun d’avancer à son rythme. De plus, il est intéressant de noter que des bilans sous forme d'évaluation viennent ponctuer les différentes étapes importantes du cursus. ...

La nouvelle Plateforme de Services du grand âge

En tant que solution pour bien vieillir à domicile, la solution E-LIO va permettre à un établissement (EHPAD ou Résidence Services Senior) de mieux coordonner les aides humaines et les aides technologiques pour retarder l’entrée du senior dans cet établissement. « La plateforme E-LIO inclut trois fonctions principales : la fonction lien social, la sécurité de la personne chez elle et le lien santé », nous fait savoir Thierry Chevalier, le créateur de cette plateforme intégrée depuis fin 2017 à la société SeniorAdom. Pour fonctionner, cette plateforme fait appel à un support facile à utiliser et accessible aux seniors: « L’écran de TV constitue l’interface la plus pertinente comparée aux PC, tablette ou smartphone », explique notre interlocuteur pour justifier le choix de ce terminal. À l’aide d’une télécommande spécialement conçue, l’utilisateur peut accéder sans peine au bouquet de Services proposé. La fonction lien social Avec la fonction lien social, la personne âgée reste en contact avec sa famille et s'en trouve entourée, rassurée. En effet, ses proches ont, non seulement la possibilité de lui envoyer directement sur l’écran TV un message ou une photo, mais également de lui proposer un échange vidéo. En plus de pouvoir garder le contact, le senior continue à accéder à des informations sur ce qui se passe dans son quartier. « La résidence peut par exemple lui communiquer les activités de son établissement  par le biais de son téléviseur », développe Thierry Chevalier. La fonction sécurité Les personnes âgées sont quotidiennement vulnérables au sein du domicile. Chutes, accidents, oublis divers… le danger peut survenir à n’importe quel moment ! Grâce à E-LIO, il est désormais possible d’assurer un suivi quotidien des seniors. « Nous avons la possibilité d’installer un certain nombre de capteurs chez le bénéficiaire », souligne notre interlocuteur. Au cas où un comportement « anormal » se produit, une alerte est remontée vers un intervenant d’un établissement senior référent, un voisin ou encore la famille. La fonction lien santé À la suite d'une perte de mobilité liée à l’âge, de nombreux seniors se retrouvent dans l’incapacité d’effectuer leurs tâches quotidiennes. Grâce à son application e-Santé, E-LIO permet aussi au senior de prendre lui-même certaines mesures à travers des dispositifs médicaux connectés. Une solution pratique pour un médecin qui ne peut pas se déplacer chez son patient par exemple mais qui peut continuer à recevoir des informations de santé à distance. Avec une webcam E-LIO dédiée, le praticien est aussi en mesure de réaliser une téléconsultation sur l'écran TV. ...

Calimed : vers une gestion optimale des activités médicales

La société Calimed Santé a été créée en 2007 sous l’initiative conjointe de chirurgiens orthopédiques et de docteurs en informatique. Elle a pour objectif d’offrir une solution « Full Web », accessible partout dans le monde, permettant de gérer l’ensemble des activités médicales d’un chirurgien ou d’un médecin spécialiste. La recherche et le développement constituent le cœur de métier de la société. Calimed Santé propose des solutions logicielles innovantes et des services pertinents pour optimiser l’activité du cabinet médical. Des logiciels Novacteurs ! Parmi les nombreuses solutions dédiées aux professionnels de la santé, le logiciel Calimed offre la possibilité de gérer de façon nomade, l’ensemble des activités médicales, de la prise de rendez-vous en ligne (Caliclic) jusqu’à la gestion comptable des actes. Calimed gère les consultations en temps réel (agenda sur mesure et interfaçable, salle d’attente automatisée, messagerie sécurisée de santé…) ainsi que les dossiers patients totalement personnalisables et adaptables à chaque spécialité, chaque cabinet médical. De plus, « il s’agit d’un logiciel intelligent qui permet de faire de la recherche clinique et/ou du suivi clinique, y compris par le patient lui-même grâce à notre nouveau module Follow-up», explique Frédéric SUANT, CEO. Le médecin, la secrétaire ou tout autre utilisateur peuvent se connecter simultanément au logiciel Calimed grâce à un simple login et un mot de passe individualisés, avec des droits spécifiques. «De plus, le logiciel Calimed est interopérable avec les logiciels des cliniques permettant ainsi un parcours patient fluide, automatisé et sécurisé » rajoute le dirigeant. Enfin, la société propose aussi le module Calivit+. Interfacé avec Calimed, ce logiciel de télétransmission offre un gain de temps considérable en facilitant tous les aspects administratifs des consultations. En effet, en seulement deux ou trois clics, cet outil permet la gestion complète des feuilles de soins (FSE). Par ailleurs, Calivit+ permet également de gérer les encours sécu avec rapprochement automatisé (retours Noémie). Des services E-novants Pour les professionnels de Santé qui veulent simplifier la gestion de leur secrétariat au quotidien. — La prise de Rendez-vous médicaux externalisée (télésecrétariat) — Le service de saisie des comptes rendus médicaux (retour intégré dans le dossier patient) — L’envoi de courriers médicaux en ligne Une société proactive qui anticipe l’avenir A l’écoute de ses clients « Novacteurs », Calimed Santé fait évoluer ses logiciels en intégrant continuellement des innovations techniques et de nouvelles fonctionnalités pour répondre à leurs attentes. Résultat, les utilisateurs sont très satisfaits et restent fidèles dans cette relation gagnant-gagnant. Côté nouveauté, Calimed Santé lance EasyConsent, la première solution de consentement numérique pour toutes les interventions chirurgicales. « Le patient pourra mieux comprendre l’intervention chirurgicale grâce à des informations, intégrant des contenus pédagogiques explicatifs et donner son consentement avec une signature numérique sécurisée », précise Frédéric SUANT. Le prochain défi de Calimed Santé est de proposer un nouvel applicatif e-santé, très intuitif, hyper connecté, ergonomique, sécurisé, facile d’utilisation et multilingue; celui-ci permettra aux patients d’être acteurs de leur prise en charge et aux professionnels de santé de gagner en efficience dans leur pratique quotidienne. « Intelligence artificielle, Blockchain … seront au cœur de nos projets », termine t-il. ...