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Champagne et œnotourisme : nos meilleures adresses

Gastronomie
Champagne
Champagne Chapuy : l’élégance et la finesse d’un Grand Cru d’Oger 100 % chardonnay

Dans une volonté de célébrer la richesse et l’authenticité de son terroir, Champagne Chapuy lance sa nouvelle cuvée intitulée « Unique » qui incarne la vision novatrice de la maison dans la production de champagnes de gastronomie à noble vocation de se rendre complices des plus beaux moments de vie.

Gastronomie
Champagne
Champagne Cattier : quand l’histoire révèle l’excellence

En Champagne, au cœur de la montagne de Reims, la famille Cattier veille sur ses terres depuis 13 générations. Une histoire de passion, de créativité et d’exigence transmise de père en fils, accordant aux Champagnes Cattier leurs lettres de noblesse.

Gastronomie
Champagne
Champagne Pierre Moncuit : l’excellence du Champagne, sublimé au féminin

A le Mesnil sur Oger, au cœur de la Côte des Blancs, le Champagne Pierre Moncuit porte l’histoire de son terroir. Depuis 4 générations, ce petit domaine familial, uniquement planté en Chardonnay, allie passion, patience et savoir-faire.

Gastronomie
Champagne
Champagne Gremillet : une invitation au voyage au cœur de la Côte des Bar.

Champagne GREMILLET : une maison familiale et contemporaine devenue incontournable

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Gastronomie
Champagne
La Maison Maurice Vesselle : la finesse des champagnes de vignerons

A Bouzy, au pied de la Côte des Noirs, le champagne célèbre un terroir classé Grand Cru. Le domaine Maurice Vesselle y inscrit son nom et son histoire depuis 4 générations, dans le respect des traditions et de l’environnement.

Top 50 des meilleures maisons de Champagne et des visites viticoles...

Champagne chapuy
51 personnes aiment
Oger
Champagne Chapuy
Champagne Chapuy : l’élégance et la finesse d’un Grand Cru d’Oger 100 % chardonnay
Champagne cattier
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Chigny Les Roses
Champagne Cattier
Champagne Cattier : quand l’histoire révèle l’excellence
Champagne pierre moncuit
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LE MESNIL-SUR-OGER
Champagne Pierre Moncuit
Champagne Pierre Moncuit : l’excellence du Champagne, sublimé au féminin
Champagne gremillet
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Balnot-sur-Laignes
Champagne Gremillet
Champagne Gremillet : une invitation au voyage au cœur de la Côte des Bar.
vignes-exposees-plein-sud-de-maison-maurice-vesselle
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Bouzy
Champagne Maurice Vesselle
La Maison Maurice Vesselle : la finesse des champagnes de vignerons
Champagne michel gonet
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Avize
Champagne Michel Gonet
Champagne Michel Gonet : une famille viticole qui défend avec conviction l’oenotourisme
Champagne jean-jacques pessenet
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Reuil
Champagne Jean-Jacques Pessenet
Champagne Jean-Jacques Pessenet : une production raisonnée pour des cuvées d’exception
craie-caracteristique-du-sol-crayeux-d-avize-mineralite
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Avize
Coopérative des Anciens de la Viticulture
Champagne Sanger : des vins en lien avec le territoire champenois et l’histoire de la marque
Château barrabaque
74 personnes aiment
FRONSAC
Château Barrabaque
Château Barrabaque : une petite propriété familiale unique en son genre
jean-guy
94 personnes aiment
Avize
Champagne Varnier-Fanniere
Champagne Varnier-Fannière : artisans vignerons depuis 1860.
Champagne henri goutorbe
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AY
Champagne Henri Goutorbe
Maison de Champagne Henri Goutorbe : de pépiniériste à créateur de grands vins de Champagne. 
Champagne pol couronne
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Reims
Champagne Pol Couronne
Champagne Pol Couronne : une des 6 plus grandes maisons de champagne de Reims
entree-du-champagne-baron-fuente-a-charly-sur-marne
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Charly-sur-Marne
Champagne Baron-Fuenté
Champagne Baron-Fuenté : une Maison familiale respectant le terroir de la Vallée de la Marne
Champagne carbon
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Reims
Champagne Carbon
Champagne Carbon : dress code sur le thème du luxe et du prestige
Troyes la champagne
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Troyes
Troyes La Champagne
Troyes La Champagne,
Un territoire aux mille couleurs
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Épernay
Champagne Gosset
Champagne Gosset : 435 ans d’Histoire
sous le signe de l’excellence
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Mareuil-sur-Ay
Champagne Guy Charbaut
Champagne Guy Charbaut : un savoir-faire qui ne laisse aucune chance aux artifices
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Épernay
Champagne J. Margouillat
Champagne J. Margouillat : 100 ans
de savoir-faire
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Villers-Marmery
Champagne Boutillez-vignon
Champagne G. Boutillez-Vignon : un savoir-faire exceptionnel au cœur de Villers-Marmery
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Meurville
Champagne Yoan Tapprest
Champagne Yoan Tapprest :
entre passion et tradition
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Riceys
Champagne Batisse Lancelot
Champagne Batisse Lancelot : la tradition avant tout
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Le Breuil
Champagne Sendron Destouches
Champagne Sendron Destouches : un travail respectueux de la vigne
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Grauves
Champagne Mathieu-Princet
Champagne Mathieu-Princet : des cuvées élaborées dans le pur respect de la tradition champenoise
Champagne moyat-jaury guilbaud
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Polisot
Champagne Moyat-Jaury Guilbaud
Champagne Moyat-Jaury Guilbaud : des champagnes mêlant charpente et finesse

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Château Viranel : le meilleur de l’appellation Saint-Chinian

Établi sur les vestiges d’une villa gallo-romaine et surplombant les collines éponymes, le Château Viranel doit son identité à son encépagement varié (plus de 14 cépages) et à la diversité de son Terroir. Les sols s’y déclinent en trois types : les galets roulés qui donnent des vins de plaisir et sur le fruit, les terrasses calcaires qui offrent plus de concentration, de finesse et de la complexité aux assemblages puis enfin les crès apportant minéralité et puissance pour des vins riches mais exprimant avec caractère la fraicheur de ce terroir d’altitude. Des vins mono-cépages, au goût unique, propices au plaisir Sur ces terres transmises de génération en génération depuis 1551, le vin est produit selon une démarche raisonnée. « Nous travaillons en circuit fermé en compostant nos propres marcs de raisins pour les réintroduire ensuite dans le sol », expliquent Nicolas et Arnaud Bergasse, propriétaires vignerons. Ce travail d’équilibre permet de rendre à la terre ce qu’elle a donné pour produire les raisins. Le domaine est certifié Haute Valeur Environnementale (HVE) ce qui signifie qu'il oeuvre dans le respect des écosystèmes et de la biodiversité. Le travail de vinification est réalisé dans des cuves semi-enterrées (- 2 mètres). Résultat : des vins harmonieux, fins et expressifs traduisant une belle personnalité. Mention spéciale pour les mono-cépages qui expriment toute la beauté de leur terroir à l’instar de la Cuvée Arômes Sauvages, un 100% Alicante Bouschet produit en IGP Cessenon et la Cuvée Pépite AOP Saint-Chinian, 100% Carignan. ...

Restaurant Le Palais de Port-Marly :
une table gourmande aux spécialités indochinoises

À travers une histoire de famille plutôt réussie qui a commencé en 1987, le restaurant connait à ce jour 30 ans de succès bien mérité. Succédant à ses parents, initiateurs de l’aventure, Valérie assure, depuis maintenant un an, la gérance de l’établissement, guidée par la même passion du métier et son expérience professionnelle Shanghaïenne. Le Palais de Port-Marly a l’énorme avantage de proposer en un seul lieu un bouquet de saveurs gourmandes inspirées de trois pays que sont la Thaïlande, le Vietnam et la Chine. Disposant d’un menu à 26 € pour le midi et le soir, avec entrée-plat-dessert, l’enseigne dispose également d’une formule à 16,50 € « pour les gens plutôt pressés » et qui peut être servie en une demi-heure, incluant 1 entrée et 1 plat. Une cuisine pleine d’exotisme En entrée, il vous est conseillé les nems faits maison, « que nos clients apprécient énormément », selon Valérie, mais aussi les raviolis vietnamiens et les rouleaux de printemps au bœuf, servis tièdes, que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Dans le registre des plats, optez pour le bœuf sauté Mongoli qui n’est autre que du bœuf émincé mariné dans du soja et sauté avec des grains de poivre et des petits oignons sur plaque chauffante, « ce qui permet aux clients de choisir la cuisson de la viande ». Comme c’est rarement le cas dans la restauration asiatique, l’établissement est en mesure de proposer « de la viande bleue, à point ou saignante ». Les crevettes à la sauce piquante sont également à découvrir. Crevettes sauvages préalablement décortiquées, sautées avec des petits oignons, une sauce piquante parfumée légèrement aigre douce. Cette sauce se marie aussi très bien avec du cabillaud ou des Saint-Jacques. Parfait pour les amateurs de fruits de mer. Sans oublier le saumon au jus de coco pour un plat très en sauce au très joli rendu, accompagné de riz gluant ou de riz nature.  Le  Palais de Port-Marly pratique principalement la cuisine au wok, « pour une cuisson rapide et où la matière première ne perd pas de son goût ni de sa texture ». Cette technique contribue aussi de réduire l’utilisation de matière grasse. Toutefois, ce qui fait la particularité de la cuisine asiatique, ce sont les épices dont les préférées de la maison sont l’épice de saté à base de cacahuètes, de piment, d’ail et d’herbes concassés, qui permet d'obtenir une sauce accompagnant délicieusement le bœuf et les crustacés, et également le basilic avec son croquant en bouche, le curry et aussi la citronnelle. ...

Un restaurant bistronomique à l'ambiance cosy

Installé au portes du Forez, à Saint-Cyprien, le restaurant Autour du tilleul est un établissement à l’ambiance cosy, où l’on propose une cuisine moderne et créative, préparée à base de produits bruts sur commande. Le fait maison à l’honneur Bien connu des habitués constitués majoritairement d’une clientèle d’affaires, l’établissement reçoit également des familles et des amis, surtout en weekend. Privilégiant le concept du circuit court Werner Coetzee, chef et propriétaire des lieux, ne cuisine que du frais et achète ses produits localement à la source. Il faut dire que le restaurant est très strict sur la qualité de ses matières premières, donnant aux clients le privilège de goûter à une cuisine préparée entièrement à la main : « Que du frais, tout est fait maison », assure Juliane Méric, son épouse.    Sens du détail et de la présentation Werner Coetzee se plait à préparer des assiettes aux belles présentations, où chacune est décorée à la manière d’un tableau auquel se mêle une savante association de couleurs et de saveurs intégrant des plantes aromatiques, des légumes, des herbes et des fleurs de bourrache. L’établissement Autour du tilleul est particulièrement connu pour ses plats signatures qui mettent en avant le carpaccio de bœuf charolais en rosaces avec une salsa verde. Pour accompagner ce plat, Juliane Méric propose un vin de Nouvelle-Zélande : « le Marlboro, un sauvignon blanc extrêmement parfumé, qui se marie à la perfection avec la plupart des entrées », explique-t-elle. La viande charolaise est également une spécialité de la maison et s’accompagne idéalement de « vins qui ont du gout » comme le Saint-Joseph ou encore le Côtes-du-Rhône. La ballotine de lote farcie à la mousse de gambas aux asperges et petit pois, servie avec un consommé safrané présenté en bol ainsi que le barreau d’agneau grillé avec des ris d’agneau et des petits pois à la menthe ont aussi du succès auprès des fins palais. Selon Juliane, « le vin qui se marie le plus à la lote serait le Chablis ou le Chardonnay alors que, pour l’agneau, ce serait plutôt le Saint-Nicolas de Bourgogne ». Dans la liste des desserts, les brownies à la Guinness, une spécialité irlandaise revisitée à la manière du chef, accompagné d’une boule de sorbet de glace artisanale fait toujours l’unanimité, sans parler de l’incontournable crème brulée à la lavande servie avec un petit biscuit maison, et aussi la meringue à la crème glacée accompagnée d’un peu de crème anglaise, de salade de fruit et de caramel en dentelle, décrite par Juliane Méric comme « une ile flottante qui ne flotte pas ». Une déco épurée Juliane Méric décrit Autour du tilleul comme étant un « restaurant au décor assez épuré » avec des fonds naturels où peinture couleur de dune et terracotta font bon ménage. Elle évoque notamment trois belles peintures qui illuminent de manière significative le restaurant, illustrées par « un triptyque géologique » et qui fait référence aux montagnes de l’Afrique du Sud, aux sommets des Alpes et à la Chaussée des géants en Irlande. Autour du tilleul baigne dans un décor convivial où l’on se sent décidément comme chez soi.   ...

Auberge des Bouviers : une cuisine traditionnelle de haute volée

Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la  présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...

Bistrot Dumas : une cuisine bistronomique comme on l’aime !

Ce restaurant, repris en 2016 par Mouss Bouazza et son épouse Muriel, n’est plus à présenter. En effet, Le Bistrot Dumas a depuis longtemps conquis le cœur des Genevois à travers ses plats savoureux, qui font la part belle aux produits frais et de saison. Un décor, une ambiance Dès leur entrée dans la salle, les convives sont d’emblée séduits par un décor authentique, décliné dans un style Art nouveau. À table, une douce lumière tamisée diffusée par de jolis vitraux qui ornent le plafond les invite à la détente et à la bonne humeur. « Chez nous, l’ambiance est toujours conviviale, chaleureuse », aime à préciser Mouss Bouazza, le propriétaire-gérant de l’établissement.  De nouvelles saveurs tous les mois Au Bistrot Dumas, les plats se suivent mais ne se ressemblent pas. C’est au gré des saisons que le chef concocte ses délicieuses recettes. « Notre carte change tous les mois et nous avons toujours des nouveautés à proposer », nous indique-t-il.  Mais s’il y a bien un plat qui reste et qui fait toujours l’unanimité auprès des convives, c’est bel et bien l’entrecôte beurre Dumas. « C’est la spécialité de la maison, c’est un peu comme une entrecôte café de Paris revisitée et que nous servons avec des frites allumettes. » À part cela, les fins gourmets peuvent déguster en ce moment du foie gras de canard accompagné de marmelade pommes et fruits secs. En plat de résistance, le chef recommande la sole entière des côtes bretonnes cuite sur arêtes ou le filet d’agneau en croûte avec champignons. En dessert, petits et grands se laisseront tenter par une tartelette myrtilles, crème fouettée, crumble, croustillant vanille ou bien un flan caramel, orange sanguine, safran, croquant aux agrumes. Côté vins, les amoureux de grands crus seront gâtés, puisque ce restaurant dispose d’une carte éclectique incluant pas moins de 300 références. Des vins genevois, bien sûr, mais également de grands classiques français, à l’image des vins de Bordeaux ou des vins de Bourgogne. ...

Restaurant C’ du Jardin à Paris et Dijon : tous les produits proviennent de Bio c’ Bon

À travers ses nouveaux plats concoctés tous les jours, C’du Jardin a de quoi surprendre ses invités tout en leur faisant vivre une expérience culinaire unique. Un concept original Restaurant de l’enseigne Bio c’ Bon, C’ du Jardin ouvre pour la première fois ses portes, en 2016, dans la ville de Boulogne. Est-il nécessaire de souligner que Bio c’ Bon est une enseigne qui ambitionne de rendre le bio accessible à tous ? Pour ce faire, elle dispose de nombreux magasins en France mais aussi à l’étranger. D’ailleurs, tous les produits utilisés par le restaurant C’ du Jardin viennent de Bio c’ Bon. « Le restaurant est communicant avec le magasin », explique un responsable. À l’intérieur, les convives peuvent, selon leurs envies, s’installer au coin bistrot ou au bar à sandwich et salade.    Un cadre des plus attrayants Le restaurant C’du Jardin accueille ses invités dans un décor convivial. Ici, le style est plutôt contemporain et empreint d’une touche d’originalité avec de nombreux bocaux et bouteilles en verre suspendus qui font office de luminaires. Un mélange de sobriété et d’élégance transparaît dans les lieux. Les mobiliers comme les chaises et tables épousent des contours arrondis. Le bois et le verre s’alternent et se marient harmonieusement pour créer une ambiance particulière. Un restaurant pas comme les autres Chez C’ du Jardin, les invités ne se contentent pas d’attendre tranquillement d’être servis. Ces derniers sont les artisans de leur « Bionheur » ! Le bar à salade se prête au jeu en permettant aux convives de composer leur salade parmi plus de 40 ingrédients bio. Ils peuvent également préparer eux-mêmes des sandwichs sur mesure. Ils choisissent le pain, la charcuterie et le fromage à la coupe. Pour accompagner idéalement leurs salades et leurs sandwichs, il est conseillé de prendre une soupe bio du jour et des smoothies. À consommer sur place ou à emporter, c’est selon la préférence de chacun ! Côté bistrot, tout est fait pour que les convives se sentent comme chez eux. Les entrées et les desserts circulent sur un tourniquet afin de faciliter les choix. Passer au C’ du Jardin, c’est retrouver le plaisir de déguster des plats qui changent tous les jours ! Même si des plats tels que des burgers végétariens ou des plats au saumon ou au poulet reviennent quotidiennement au menu. Pour ceux qui sont sujets à des intolérances ou ceux qui ont adopté une alimentation spécifique, pas de panique ! C du Jardin a pensé à tout et propose des alternatives véganes et sans gluten. Les produits utilisés sont de qualité, provenant essentiellement de l’agriculture biologique. Ils sont cultivés ou fabriqués selon des principes respectueux de l’homme et de l’environnement. Depuis peu, avec C’ du Jardin Boulogne, il est aussi possible de passer une commande en ligne. Au cas où le consommateur n’aurait pas le temps de passer la récupérer sur place, le restaurant assure la livraison. De plus, sur le site de Bio c’ Bon, les plus curieux peuvent retrouver des conseils ainsi que de délicieuses recettes pour se familiariser avec les produits bio. ...

La gastronomie française dans le respect des traditions

Le Pont de l’Ouysse est un héritage familial qui se distingue par une cuisine jalousement conservée dans la tradition et perpétrée de génération en génération. La passion du métier aidant, accentuée par le désir d’aller plus loin dans les études hôtelières, Stéphane et Mathieu, issus de la 5è génération, ont aujourd’hui repris les rênes de ce bel héritage gastronomique familial pour continuer l’aventure. Une cuisine gastronomique de région est privilégiée à laquelle vient s’ajouter des plats d’ailleurs revisités. Une invitation aux plaisirs gustatifs et au dépaysement Dans un style « campagne chic » à l’ambiance cosy, le restaurant Le Pont de l’Ouysse est une  irrésistible invitation à la découverte et aux plaisirs gustatifs. Il offre un cadre aux notes nostalgiques où se marie merveilleusement une profusion de couleurs et de senteurs. Le restaurant est particulièrement pensé pour offrir au lieu, une pointe de romantisme très recherché, tout en laissant opérer la magie. Les clients aiment parcourir ses berges aménagées en jardins et en promenades, afin de gouter avec sérénité, au calme et au dépaysement, dans un décor idéalement fleuri… Un véritable plaisir pour les yeux et pour les sens ! « Nous pouvons y accueillir 60 personnes en salle et 70 personnes en terrasse » précise Mathieu Chambon, maître d’hôtel. Une cuisine locale Le restaurant privilégie les circuits courts en travaillant avec des producteurs locaux. « Nous mettons en valeur les produits régionaux (melon, truffe, agneau, pigeon, fraise, asperge, noix, fromage, foie gras, safran etc…) et nous constituons la carte en fonction des produits de saison » tient à préciser Stéphane Chambon, Chef étoilé. La maison s’attelle également à la préparation de différents plats créatifs et authentiques à partir d’un bouquet de fruits de mer tels que Saint-Jacques ou homard, ceci pour répondre aux besoins de certains clients. Les plats-signatures à l’honneur avec des menus et formules à la carte Parmi les plats-signatures figurent notamment le pied de porc truffé, la crème de pommes de terre, le foie gras Bonne Maman, les queues de langoustines rôties ou encore la pomme de terre à la truffe. Afin de satisfaire toutes les gourmandises, la maison a développé plusieurs formules dont le Menu Belcastel à 92 euros, le Menu des moulins à 60 euros et le Menu du Vieux Pont à 40 euros (servi uniquement le midi excepté le dimanche et les jours fériés). Sur la carte des vins, « nous privilégions plutôt le vin régional (vignobles de Cahors et Bergerac), mais nous proposons également des vins provenant de toutes régions de France » spécifie Mathieu. ...

François Priet Fromager : vitrine du bon fromage français, et pas seulement...

Fromagers de génération en génération depuis 1947, les Priet portent une attention particulière sur les fromages français dont la qualité et les saveurs ne sont plus à démontrer. Afin de perpétuer l’activité familiale, la boutique François Priet Fromager voit le jour en France en 1952, mais ce n’est qu’à partir de 1989 que Charles Priet, le propriétaire actuel, et son père, décident de l’installer dans un paisible quartier parisien situé dans la rue des Pyrénées. Un mélange atypique de saveurs Prônant la qualité et la diversité de ses produits dans la région parisienne et ses environs, « le fromager François Priet travaille sur une large gamme de fromages, composée d’environ 150 références », révèle Charles Priet. Outre les fromages de chèvre, de brebis et des classiques à pâte cuite ou molle, la vitrine du fromager laisse entrevoir des produits AOP et AOC tels que les vieux et les jeunes comtés. « Certains d’entre eux proviennent de producteurs locaux », précise notre interlocuteur. Au-delà de la frontière de l’Hexagone, la boutique est en étroite collaboration avec des producteurs étrangers tels que l’Irlande, l’Italie, l’Espagne ou l’Angleterre afin de proposer des produits authentiques aux multiples saveurs. Après un tri minutieux, ils sont emballés dans des coffrets joliment décorés pour donner l’eau à la bouche des gourmands, pour ne citer que la sélection des fromages d’alpage constituée de beaufort, gruyère suisse, etc. Des services adaptés à tous les besoins Afin de répondre aux envies de sa clientèle, notamment les habitués du quartier, le fromager François Priet a relancé le système de coffrets plateaux de fromages grâce à un partenariat avec la nouvelle ligne appelée « Les Maisons du Fromage ». « Il s’agit de coffrets composés de dix-sept sélections de plateaux de fromages avec trois, quatre, cinq ou une dizaine de variétés de fromages, dont certains peuvent être accompagnés d’une bouteille de vin », explique le gérant. En parallèle, « un service d’abonnement a été mis en place afin d’offrir régulièrement (hebdomadaire ou mensuel) du fromage aux consommateurs selon les saisons », communique notre interlocuteur. Et de rajouter que « nous apportons un conseil aux clients pour subvenir parfaitement à leurs demandes et à leurs besoins ». ...

Bistrot de Marius : une escale marine en plein cœur de Paris

L’annexe façon « Bistrot de poissons » de Marius et Janette propose une cuisine savoureuse et authentique avec des produits frais à volonté. Larguez les amarres ! Un relooking très réussi Le petit Marius a récemment fait peau neuve à travers un décor sobre et élégant signé Pierre-Yves-Rochon. Dans une atmosphère décontractée, les convives n’auront aucun mal à garder le pied marin même si la mer ne semble jamais bien loin. En effet, quelques éléments de décor placés ici et là résonnent comme un écho à l’appel de l’océan. Difficile dans ce cas d’y résister ! Les esprits s’évadent et bientôt la curiosité vient naturellement titiller l’appétit. Une belle carte autour de la mer En fonction des arrivages et de la saison, le chef Khoï Vu se plaît à concocter un menu très varié. Pour commencer,  la salade de poulpe aux herbes fraîches, les petites fritures d’encornets ou les petits nems de langoustines sont un pur régal ! Ensuite pour aborder le vif du sujet, les invités ont droit à un menu « retour de pêche » préparé avec des produits frais qui viennent directement de la mer. Parmi les spécialités de la maison, les gourmets peuvent notamment déguster la solette de l’île de Ré au beurre demi-sel, les Saint-Jacques en coquille cuites au naturel ou encore l’incontournable aïoli de cabillaud. Son secret ? Un poisson légèrement mis en salaison, très moelleux et servi avec une belle couleur nacrée. Côté dessert, les convives se laisseront volontiers tenter par un crumble du Bistrot, une crème brûlée à la vanille ou pourquoi pas un riz au lait « comme autrefois » pour les plus nostalgiques. ...

Quand la vitiviniculture croise
les objectifs du développement durable

En 1953, alors que l’appellation Buzet n’existe pas encore, un groupe de viticulteurs s’allie pour former la coopérative Les Vignerons de Buzet. La coopérative Les Vignerons de Buzet représente aujourd’hui 95% de l’appellation Buzet. Elle s’engage à vinifier et commercialiser des vins issus de pratiques responsables et durables. Une démarche responsable et durable à tous les niveaux « Nous sommes une coopérative fortement engagée sur le thème du développement et de la transition agroécologique », introduit Mariane Riboulet, responsable de la communication chez Les Vignerons de Buzet. Depuis 12 ans maintenant, cette philosophie est appliquée de la vigne à la bouteille. A cet effet, les vignes sont conduites en agriculture raisonnée et certains traitements chimiques sont supprimés. Ce qui signifie : zéro engrais chimiques, zéro désherbants chimiques résiduaires, zéro produits CMR (cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques). Et comme la coopérative veille méticuleusement à la préservation de l’écosystème, les insecticides nocifs pour les abeilles, dont les néonicotinoïdes, sont également bannis du cahier des charges. Par ailleurs, la question de l’économie d’énergie est réellement prise au sérieux. Les Vignerons de Buzet misent notamment sur les couverts végétaux afin de mieux gérer la ressource en eau dans les vignes. Toutes ces initiatives sont volontaires et vont au-delà de l’aspect environnemental. « Ces démarches écoresponsables ne se limitent pas au niveau du traitement des vignes », ajoute Mariane Riboulet. « Nous nous employons à ce que tout le processus d’élaboration du vin soit conforme à notre vision. C’est pourquoi nous travaillons aussi à l’écoconception de nos bouteilles, cartons, coffrets, etc…». Des vins pour tous « Baron d’Ardeuil » est un vin représentatif de la coopérative. « C’est la cuvée historique de la maison », nous confie notre interlocutrice. Le Baron d’Ardeuil se décline en rouge et en blanc. Baron d’Ardeuil rouge est issu de terroir de graves et d’argilocalcaires où les cépages Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon s’enracinent harmonieusement. Baron d’Ardeuil rouge est un vin plutôt puissant, boisé sans excès. De son côté, la cuvée Petit Baron se révèle être une porte d’entrée dans l’univers des vins de Buzet. Lancée en mars 2019, sur les trois couleurs (rouge, rosé et blanc), la gamme Petit Baron est née d’une volonté de donner une place à la chouette Chevêche d’Athéna, espèce protégée qui accompagne les viticulteurs des Vignerons de Buzet depuis longtemps car elle a été réintroduite dans le vignoble. Guidés par la chouette, Les Vignerons de Buzet reversent 1% des bénéfices générés par les ventes de cette cuvée en soutien à des initiatives environnementales, via l'organisme "1% for the Planet". La coopérative a également développé des vins sans sulfites ajoutés. Cette fois-ci, on dit non au soufre ajouté, additif qui a désormais rejoint le rang des allergènes. Parmi les ambassadrices de cette gamme de vins figure la cuvée "Sans", qui se décline en vin sans sulfites ajoutés rouge, rosé et blanc. Dans l’atelier du vigneron Les Vignerons de Buzet proposent une visite guidée dans le vignoble. L’animation est assurée par un viticulteur et un apiculteur qui se feront un plaisir d’exposer le cœur de métier de la coopérative. « Ces experts expliqueront respectivement toutes nos pratiques culturales liées à la transition agro-écologique. Les visiteurs découvriront, par exemple, comment sont préservés les insectes pollinisateurs, notamment les abeilles », éclaire Mariane Riboulet. Notons que la coopérative est engagée dans le label Bee Friendly qui promeut fervemment la protection des abeilles. Cette balade pédestre s’achève par une séance de dégustation où les visiteurs peuvent apprécier les vins et les produits du terroir en toute convi...

Maison Gambert :
une cuisine inventive au cœur du vignoble de l'Hermitage

Situé en bordure de l’autoroute A7, au cœur du vignoble de l’Hermitage, l’ancien Restaurant Umia continue sa belle aventure culinaire sous d’autres couleurs et à travers sa nouvelle appellation Maison Gambert. Repris depuis fin novembre 2015 par Mathieu Chartron, chef passionné et créatif du sud de Lyon et non moins ambassadeur du chef triplement étoilé et grand restaurateur Guy Savoy au Caesars Palace de Las Vegas pendant plus de 7 ans, l’établissement est implanté dans le domaine de Tain l’Hermitage où il jouit d’un cadre magique et d’une excellente réputation.  Une cuisine bistronomique Localisée à moins de 3 km de l’entrée de l’autoroute, la Maison Gambert séduit par sa cuisine  bistronomique à la table inventive et raffinée où tout est mis en œuvre pour conquérir une large clientèle. Le jeune et talentueux chef Mathieu Chartron et son équipe s’investissent avec passion dans leur métier pour concocter de bons plats simples aux ajustements raffinés, mais aussi des plats gourmands à base de produits frais de qualité préparés avec goût et recherche. Truite marinée à la Chartreuse et betteraves multicolores, poisson du moment, purée de carottes à la citronnelle ou encore panna cotta coco-passion et fruits frais sont autant de raffinements à découvrir et à apprécier dans ce restaurant aux belles assiettes où on se sent particulièrement bien accueilli et où la satisfaction est toujours au rendez-vous. Une carte attrayante et dynamique   La Maison Gambert propose une carte attrayante avec une formule entrée-plat-fromage ou dessert et un menu enfant. À travers une cuisine actuelle empreinte d’originalité, elle s’attache la fidélité d’une clientèle régulière et attire la sympathie des clients de passage qui apprécient les plaisirs de la découverte gastronomique dans ses différentes déclinaisons de couleurs et de saveurs. Parmi ses spécialités, la truite marinée à la Chartreuse et la pintade sont des plats particulièrement bien maîtrisés par la maison et qui font sa réputation. D’autres spécialités telles que le tartare de bœuf coupé minute et le cabillaud figurent également aux premières lignes des plats les plus suggérés ou appréciés. Les menus sont renouvelés chaque saison et sont adaptés en fonction des inspirations du Chef.  Une équipe de choc Tous les ingrédients sont réunis au sein de la Maison Gambert pour faire de l’établissement, un lieu de rendez-vous et de retrouvailles apprécié des amoureux de la bonne cuisine et où la surprise de nouvelles découvertes culinaires tient les clients en haleine jusqu’à leur prochain passage. Grâce au dévouement d’une équipe compétente qui privilégie l’écoute, le conseil et la qualité de service, l’enseigne peut se targuer d’avoir réussi son pari. Tout cela grâce à la belle association du chef Mathieu Chartron derrière les fourneaux, de José Afonso, maitre d’hôtel, et de Benoît Chartron responsable de salle. ...

Maison Sassy :
des cidres du terroir « so sassy » !

La marque Sassy est lancée en 2014 sous l’impulsion de deux amis d’enfance Pierre-Emmanuel RACINE-JOURDREN et Xavier D’AUDIFFRET-PASQUIER, originaires de Normandie et vouant une grande passion pour le cidre. Au cours de leurs études à l’étranger, ils constatent un engouement autour des « ciders ». Cependant, ces boissons à base de concentrés de jus de pomme sont loin des standards qualitatifs auxquels nos deux amis sont habitués. Ils décident alors de proposer un produit « made in France » à la fois moderne et haut de gamme. Des créations tendances Visant une qualité optimale, les créations Sassy sont sans ajouts et non concentrées. Du 100 % pur fruit, élaboré en partenariat avec un maitre de chai. Pour être dans l’air du temps, le design a été soigneusement travaillé et les créations mises en valeur dans des bouteilles de verre blanc de 75 et de 33 cl. Mais c’est véritablement sur la qualité que tout se joue. Pour preuve, les créations Sassy sont associées à des grands noms de la gastronomie et de la mixologie comme Alain Ducasse (éminent chef étoilé) ou Julien Escot (champion du monde de cocktail). Du brut au plus fruité, en passant par des arômes acidulés, les 5 produits de la maison se prêtent idéalement aux jeux des associations. ...

Emile et Zim : pour une dégustation de vins à l'aveugle

Depuis février 2017, une nouvelle box est disponible pour tous les amateurs de vins. « Emile et Zim » a conçu pour tous les amateurs de vins un concept original et breveté : une box mensuelle contenant 2 bouteilles de vins masquées pour une dégustation à l’aveugle sans préjugé. L’inscription se fait par internet sur le site Emile-et-Zim. Ce nouveau concept permet de déguster chaque mois un vin rouge et un vin blanc produits dans les nombreux terroirs français. Les vins sont soigneusement sélectionnés pour faire découvrir et mettre à l’honneur les vins de petits producteurs qui travaillent en accord avec la nature. Recevez chez vous tous les mois 2 bouteilles de vins Pour recevoir chez vous chaque mois votre box « Emile et Zim », il suffit de vous inscrire sur le site Internet et de choisir votre abonnement : soit le Coffret Emile, à 19.90 euros par mois pour un engagement sur 12 mois, soit le Coffret Zim à 39,90 euros par mois pour la même durée d’engagement.  Mais il existe aussi depuis peu une formule SANS ENGAGEMENT qui vous permet d’essayer ce jeu à moindre frais ! C’est aussi une bonne idée de cadeau ! Vous pouvez également choisir d’offrir cette box à un de vos proches. Dans ce cas, vous pourrez dédicacer votre cadeau : 1 tiers des nouveaux abonnés l’ont reçu en cadeau ! Le premier mois d’abonnement, vous recevrez un plateau de jeu avec 4 pions en forme de bouteille. Chaque mois, vous est livré un coffret avec une bouteille de vin blanc et une bouteille de vin rouge ainsi que 2 enveloppes. Chaque bouteille est masquée par une chaussette noire, sa capsule a été coupée et elle est couplée avec une enveloppe à l’intérieur de laquelle se trouvent toutes les caractéristiques du vin (région, cépage, producteur, domaine, accord mets / vin, prix). De plus, l’ordre de dégustation des vins vous est indiqué ainsi que la température à laquelle il doit être consommé. Tout est mis en œuvre pour que votre dégustation se passe dans les meilleures conditions possibles. Un concept LUDIQUE avant tout A vous de déguster chacun des vins reçus. Suite à cette dégustation à l’aveugle, chaque participant doit deviner quel en est cépage et de quelle région provient le vin. Le plateau de jeu sert à enregistrer les paris et à mémoriser les points marqués. Une fois que toutes les mises sont effectuées, vous pouvez ouvrir l’enveloppe correspondante pour y trouver toutes les informations nécessaires. Chaque box Emile et Zim vous permet donc de découvrir de nouveaux vins, de renforcer votre culture œnologique, d’exercer votre nez et vos papilles, de vous faire voyager dans l’Hexagone et surtout de passer un moment convivial et ludique avec vos proches. Les abonnés ont ensuite la possibilité de racheter les mêmes vins à un tarif préférentiel pendant un mois dans la boutique partenaire : Vinsolite.fr (www.vinsolite.fr) qui propose l’ensemble des vins au même tarif que ceux proposé par les vignerons dans leur caveau. ...

Champagne Alain Mercier et Fils : un clin d’œil aux meilleurs cépages de la vallée de la Marne

Un bon champagne délivre de bons arômes grâce à la composition du sol et à l’inclinaison des coteaux dans un terroir. Déclinés en sept cuvées allant des mono-cépages à l'assemblage en passant par des non-dosés, millésimés, vieillis en fût ou rosés d'assemblage, les champagnes d'Alain Mercier et Fils bénéficient d’une préparation magistrale depuis la culture du raisin. Pour Romain Mercier qui a repris les rênes du domaine depuis le départ en retraite de son père, la nature joue beaucoup sur les notes attendues en dégustation. Il mise tout sur son terroir établi sur les coteaux de Passy sur Marne. Grâce à une belle exposition plein Sud, les cuvées affirment des caractères uniques que les fins connaisseurs ne peuvent qu’apprécier. L’excellence de la cuvée : des cépages soigneusement cultivés et apprivoisés Les cépages ont été plantés pour être adaptés aux strates des sols à dominance sablonneuse en bas de coteau, argilo-calcaire à dominance calcaire en milieu de coteau et argilo-calcaire à dominance argileuse en haut de coteau. Sur ses neuf hectares de vigne, les cépages, dont le chardonnay, le pinot meunier et le pinot noir retrouvent ainsi naturellement leur place. Selon le type de sol donc, le goût des raisins variera. Des cuves distinctives pour la fermentation et la conservation La mise en cuve est ingénieusement pensée. Les Mercier ont eu l’idée de mélanger les procédés de fermentation traditionnelle avec leurs techniques personnelles. D’ailleurs, les cuves en acier émaillé datant de Lucien, père d'Alain et grand père de Romain sont privilégiées pour retrouver une certaine micro-oxydation du vin durant sa fermentation. Depuis l’introduction des cuves en inox dans la viticulture, les champagnes se conservent mieux et bénéficient d’une bonne condition pour gagner en maturité. La « Cuvée Lucien », en hommage au grand-père de Romain et à son savoir-faire, est l’une des plus précieuses gardées soigneusement en fût de chêne. La tendance est également à l’œnotourisme chez Romain Mercier. Sur rendez-vous, le vignoble est ouvert au public, et l’exploitation dévoile les lieux d’élaboration des cuvées, depuis le pressoir jusqu’au chantier de dégorgement. ...

Restaurant Les Santons : hommage à la gastronomie méditerranéenne

Aujourd’hui, le restaurant Les Santons est devenu une affaire familiale, depuis que Stéphanie Girard a décidé de rejoindre son père Claude Girard juste après ses études. C’est en 2001 qu’elle prend officiellement les rênes de l’établissement aux côtés de son mari Julien Allegre, qui est également chef en cuisine et détenteur du titre Maître cuisinier de France. Cinquante ans d’histoire et de goût La culture et la tradition culinaire méditerranéennes sont restées intactes dans la famille Girard depuis déjà cinquante ans. L’établissement faisant partie des meilleures tables de France, se démarque pour son charme, mais surtout pour sa carte bien complète. Maison provençale au cadre classique ancien, avec une terrasse qui offre une vue sur le golfe de Saint-Tropez, le restaurant Les Santons est l’adresse qu’il faut absolument connaître pour savourer le goût d’une authentique cuisine provençale à la touche moderne. Des grands classiques du Sud Le restaurant Les Santons puise dans la richesse des produits du terroir pour mettre en scène une belle carte rythmée par la saisonnalité. Le menu parfait y commence par une tarte fine de saint-jacques au caviar Baeri, suivi d’un ris de veau rôti au petit croûton. Un repas qui s’achève par un classique : le baba au rhum à la crème chantilly vanillée. Comme le spécifie si bien Stéphanie Girard, « nos suggestions de plats changent le plus régulièrement possible en fonction des arrivages du marché et de la saison ». Comprenez donc que vous ne trouverez pas tout le temps les mêmes plats à la carte. Et c’est tout ce qui fait la différence ! Côté vins, le restaurant flatte les palais exigeants en proposant ses trouvailles issues de petits producteurs, mais aussi de quelques grandes maisons. À l’honneur, les côtes-de-provence qui « marchent le plus et qui s’ajustent bien aux tonalités provençales de notre cuisine », signale Stéphanie.   ...

Château du Garde : une étoile du Bordelais

Situé dans l’aire d’appellation de Bordeaux et de Côtes-de-Bordeaux, le Château du Garde est né en 1925 sous l’impulsion d’Antonio Subra. L’agriculteur d’origine espagnole a pratiqué toutes sortes d’activités agraires sur son exploitation avant de se consacrer exclusivement à la vigne. Aujourd’hui, Jean-Benoît Subra a repris les rênes avec pour objectif de produire des crus de haute volée qui rendent hommage à leur appellation. Place à l’agrobiologie Les 35 hectares du Château du Garde bénéficient de toutes les conditions requises pour assurer le développement du merlot, du cabernet franc, du cabernet sauvignon, du sémillon et du sauvignon gris. Les sols argilo-limoneux présentant des traces de graves disposent des substances nutritives essentielles à la création de vins de terroir notamment grâce à un traitement qui se veut plus respectueux de l’environnement. Le Château du Garde certifié Haute Valeur Environnementale 3 a toujours tenu à cultiver ses terres selon une démarche de développement durable. Un grand vin de Bordeaux Proposant une vaste gamme de vins en rouge, en blanc et en clairet (vin rouge clair, historiquement inventé par les anglais), le domaine a sorti en 2015 une nouvelle cuvée qui fait sa fierté. Le « Château Rauzé Lafargue » est un vin solaire en AOP Côtes de Bordeaux, issu d’un assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon. Ce rouge à la robe rubis profonde et veloutée dévoile des arômes frais et fruités. En bouche, il éveille les palais avec sa belle structure et sa sucrosité avec une finale soyeuse et enrobée. ...

Château La Dauphine et Château de Versailles : des liens forts depuis plusieurs siècles

L’histoire du lien qui unit le Château La Dauphine et le Château de Versailles remonte au 17e siècle. En 1634, le Cardinal de Richelieu fait l’acquisition du duché de Fronsac. Puis, en 1750, la Dauphine de France (épouse du fils héritier de Louis XV) lui donne son titre de noblesse suite à son séjour à la propriété. Depuis cette époque, ces deux châteaux possèdent un lien très fort. Un vin complexe apprécié pour ses « vertus thérapeutiques » Depuis le 17e siècle, le Château de La Dauphine est l’une des boissons les plus appréciées des convives du Château de Versailles. À noter : certains courriers de l’époque évoquent même le fait que ce vin pourrait calmer les maux d’estomac. Pour obtenir ce nectar savoureux, le domaine revendique une véritable philosophie environnementale et s’emploie à moderniser sans cesse son processus de vinification. Preuve en est avec sa conversion à l’Agriculture biologique découlant sur l’obtention de la certification AB en 2015 et des labels HVE 3 et SME en 2018. ...

Cueillette Urbaine: Des potagers productifs et écologiques en pleine ville

La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...

Abbaye Notre-Dame-de-Lérins : de la fraternité nait un vin unique

Caché au centre de l’île Saint-Honorat, le vignoble de 8,5 hectares a été façonné par la vie monastique et communautaire des moines vignerons depuis plus de 600 ans. Situé sur la Côte d’Azur, doté d’un climat ensoleillé et d’un sol riche en matière organique et végétale, ce terroir est reconnu par la singularité de ses produits. Un vignoble chargé d’histoire Saint Honorat est arrivé sur l’ile entre 405 et 410 avec des compagnons de route. En ces temps les moines étaient ermites. Ces lieux de vie et d’ermitage ont donné les sept chapelles que vous pouvez trouver tout autour de l’ile. Il y a dix siècles, sous l’influence de Cluny, les frères décidèrent de vivre suivant la doctrine bénédictine « ora  et labora ». Ce qui signifie fonder son existence sur la prière et le travail.  Ainsi, pour vivre, ces moines élaboraient des vins et des liqueurs.  L’ile de Saint-Honorat a commencé la fabrication de vins dès le Moyen Âge. Toutefois, ces derniers étaient destinés à l’eucharistie et à la préparation des messes. A la fois travail et tradition, la production de vins occupe une place importante dans cet archipel.   Une tradition reprise et retravaillée par les vingt moines de nationalités différentes dirigés par le père abbé Vladimir. La communauté a décidé de relancer de façon professionnelle  le vignoble à partir des années 1990. Le but étant de subvenir aux besoins de la communauté mais surtout pour témoigner de leur vie et travail. Une agriculture raisonnable à usage de technique manuelle Dans le souci de garantir l’équilibre et la préservation de l’environnement, les moines de l’ile Saint-Honorat ont opté pour une agriculture raisonnable. A cet effet, les engrais chimiques, les pesticides et les herbicides sont bannis de leur sol.  Et pour maintenir ce terroir composé d’argile et de calcaire, très sablonneux, riche en matière organique et végétale, ils ont recours à des engins mécaniques. Toutefois, toutes les autres étapes de la production du vin se font de façon manuelle. De nombreux palmarès Le savoir-faire, l’attention ainsi que le travail acharné des moines ont fini par payer. En effet, les vins produits par l’Abbaye Notre-Dame-de-Lérins ont été récompensés de la médaille d’or lors du Concours mondial des Syrah en 2007. Gardant leur prestige en tant que vins d’excellence, certaines cuvées de l’abbaye sont classées parmi les meilleures de France. Une distinction qui leur a valu une reconnaissance internationale.  A titre illustratif, deux des cuvées, à savoir le Saint-Césaire et le Saint-Salonius, ont été servies aux 26 plus grands chefs d’Etats lors du G20 de 2010.  Les techniques de vendange Comme les travaux d’ébourgeonnage, la vendange se fait de manière manuelle. Ainsi, les moines pratiquent la technique de vendange verte. Cette méthode consiste à éliminer les grappes surnuméraires avant la véraison. Les rendements quant à eux sont limités à 40 hectolitres/hectare. Les cépages sont le Chardonnay, la Clairette et  le Viognier pour les vins blancs et la Syrah, le Mourvèdre et le Pinot noir pour les rouges. ...

Les Haras :
La Brasserie des temps modernes de Strasbourg

Installée dans les anciens Haras nationaux, datant de l'époque de Louis XV, La Brasserie Les Haras fait actuellement la fierté de tout Strasbourg. Ouverte depuis 2013, elle s’est construite une réputation qui n'est plus à faire que ce soit au niveau national qu’international. En effet, l'établissement a remporté en 2014 le prix du meilleur design de restaurant au monde. En 2015, il a été sacré "meilleure brasserie" par le célèbre critique gastronomique Gilles Pudlowski dans son Pudlo Alsace 2015. Et au début de cette année 2016, la qualité de sa cuisine a valu une assiette auprès du Guide Michelin. A la tête de ce succès, le chef à trois étoiles Marc Haeberlin supervise une équipe gagnante composée du brillant Maxime Muller comme directeur d'exploitation, le surprenant chef François Baur en cuisine appuyé par la créative Tinh Tran, la maestro de la pâtisserie et enfin, Guillaume Zehnacker, le magicien des cocktails.   Un endroit qui éblouit les yeux... Une fois la porte franchie, un univers qui fascine et qui enivre en même temps se dessine. Dans ce décor rustico-chic signé Patrick Jouin et Sanjit Manku de l'agence Jouin Manku, un luxe inspiré par la sobriété du monde équestre est mis en avant. Dès l'entrée, la convivialité et le partage sont à l'honneur. Au milieu de la salle, un bar sympathique et un espace Lounge avec fauteuils en cuir et quelques tables pour servir les apéritifs ont été installés. Au fond, une cuisine circulaire ouverte offre un spectacle des plus réjouissants. Mais, l'élément le plus impressionnant dans ce décor est l'imposant escalier circulaire qui se dresse au milieu de la salle, à quelques pas du bar. Véritable pièce maitresse de l'établissement, il semble être suspendu dans les airs ou en apesanteur. En empruntant ce fleuron architectural, on accède à l'arène du service au premier étage. Tout comme le rez-de-chaussée, la décoration démontre le parfait mariage du traditionnel et de la modernité. L'ambiance est toujours aussi chaleureuse et la lumière tamisée apporte une petite touche de douceur à l'ensemble. Sur les deux niveaux, La Brasserie peut accueillir jusqu'à 150 personnes dont 20 places dans la salle privée Yourte. Et durant l'été, la terrasse propose 110 couverts dans la paisible cour intérieure de ce monument classé historique depuis 1992.   Une cuisine qui ravit les papilles... Tout cet esthétisme se découvre également au travers des plats. A la tête de la brigade, le chef François Baur veille à ce que chaque met soit digne de la beauté des lieux. Doté de ses plusieurs années d’expériences auprès de grands établissements gastronomiques, il a su affiner son empreinte culinaire. Aujourd’hui, c’est auprès de La Brasserie Les Haras qu’il exploite son talent en proposant des plats savoureux et originaux. Fidèle à « l’esprit brasserie », il reprend les grands classiques de la cuisine française tout comme les spécialités alsaciennes en y apportant une petite touche de modernité. Etant un aventurier, il n’hésite pas à s’inspirer de la cuisine du monde pour proposer des plats aussi créatifs que savoureux. A la carte, les convives découvrent le nouveau goût du foie gras de canard Haeberlin au chutney mangue aigre-doux avec une brioche tiède en entrée, du fameux burger d’agneau épicé aux épices d’orient ou du tronçon de lotte cuit dans un beurre blanc au rhum et quinoa à la pomme de granny smith, pour ceux qui préfèrent les poissons, en plat de résistance et le succulent tiramisu pomme vanille en dessert. Le midi, les convives pourront opter pour le menu du jour allant de 31 € à 36 €. Pour accompagner dignement les plats, la carte de vins recèle quelques pépites. Signée Serge Dubs, le célèbre sommelier, elle présente environ 120 références. Le tout servi par un personnel chaleureux et sympathique sous la supervision de Philippe Schmermesser.    ...

Château Tour des Termes :
une histoire, un savoir-faire

Vigneronne depuis 1678, la famille Anney s’est éprise d’une grande passion pour la vigne et le vin. C’est à Saint-Corbian, au cœur de l’appellation Saint-Estèphe, que ces œnophiles ont décidé de bâtir leur entreprise. Pierre Anney sera l’instigateur de cette grande aventure. Ayant succombé au charme de la vieille Tour des Termes, ce dernier acquiert la propriété en 1939, et en a fait un haut lieu de savoir-faire en matière de vins. « Aujourd’hui, nos cuvées se dévoilent parmi les meilleures références en Cru Bourgeois et reçoivent très souvent de bonnes notes ainsi que des commentaires élogieux de la presse », témoigne Aurélie Anney, celle qui reprendra bientôt les rênes du domaine familial. Des pratiques responsables et durables Le vignoble du Château Tour des Termes s’étend sur un sol argilo-calcaire et de graves. Merlot, cabernets et petit verdot dominent élégamment cette surface qui est désormais certifiée Terra Vitis. Dès lors, ni herbicides ni pesticides ne sont tolérés dans les pratiques culturales afin de préserver soigneusement l’environnement, la santé du personnel et du consommateur. En matière de vinification, la maison tient à affirmer son savoir-faire à travers deux techniques différentes. Après les vendanges manuelles, merlots et petits verdots rejoignent directement des barriques de 225 litres pour subir une vinification intégrale. Les autres récoltes sont dédiées à une vinification parcellaire qui sera réalisée dans des cuves inox thermorégulées compartimentées. Au bout de trois ou quatre semaines, les cuvées sont prêtes à franchir l’étape suivante qui est l’élevage en fûts de chêne. Des vins à forte identité  Aurélie Anney nous explique que la cuvée ambassadrice de la maison pour découvrir un vin de l’appellation dans toute sa splendeur n’est autre que « Château Tour des Termes ». Un rouge aussi puissant que raffiné. Cette cuvée est notamment caractérisée par ses notes fruitées qui font de sa dégustation un réel moment de plaisir. « Ce vin est plus charmeur à la dégustation du fait de notre majorité en merlot, ce qui n'est pas commun sur l'appellation Saint-Estèphe où on trouve habituellement des vins racés et taniques en majorité carbernet sauvignon », spécifie notre interlocutrice.  Notons que la maison produit annuellement près de 100 000 bouteilles de Château Tour des Termes, dont 40 % se vendent à l’export et 60% en France uniquement sur le circuit traditionnel (CHR, caviste, restaurant). ...

Millymenthe : une adresse tendance pour (re)découvrir les mille bienfaits des plantes

Menthe poivrée, bergamote, violette, les rayons de la boutique que Mauricette Clech a fait tourner pendant plus de 60 ans n’ont pas fini de dévoiler les secrets bienfaisants de ces plantes. Et de tant d’autres que le numéro 35 de la place du Marché déploie sous diverses déclinaisons dans son intrigant « tisane & tea bar ». Quid d’une nouvelle tendance pour tirer des plantes leurs vertus millénaires. Une enseigne modernisée, un mode de consommation remastérisé Entre les plantes et Millymenthe, l’histoire était partie pour durer. Ouverte en 1934 et tenue par le dernier herboriste de France, l’adresse a traversé les décennies sans cesser, un seul jour, de vanter leurs bienfaits. Victoria Renaud-Foughali nous raconte avec enthousiasme l'historique des lieux : « C'est en novembre 2010 que Mauricette Clech, icône de notre herboristerie pendant 63 ans, cède sa place à ma famille. Pendant cinq ans, ma tante Sabine Foughali, diplômée d'un DU en phytothérapie et passionnée par les plantes médicinales, tiendra la boutique avant de m'en laisser les rênes début 2016. C'est elle qui m'a transmis ce savoir ancestral autour des plantes et de leurs bienfaits, ayant elle-même reçu de nombreux secrets botaniques de la part de notre prédécesseur. C'est un héritage immense qui perdure de famille en famille sur plusieurs générations et qui fait la renommée de l'herboristerie Millymenthe depuis tant d'années. » Reliftée par la nouvelle propriétaire, l'adresse est désormais connue de ses adeptes pour son bar à tisane et bar à thé. Un concept bonus pour goûter, façon XXIe siècle, à toutes les vertus de ces boissons. Les spécialités aromatiques sous forme de sirops, de préparations à infuser et de bonbons qui ont fait la renommée de la maison sont toujours commercialisées. Avec en tête d’affiche, l’illustre menthe poivrée – « la plus médicinale des menthes », selon la dirigeante – et ses déclinaisons. Huiles essentielles, gélules et autres préparations phytothérapiques enrichissent les offres auxquelles les habitués et les néophytes accèdent en poussant la porte de cet antre du « bien-être, des plantes et du naturel ».  ...

Mon grain de Sel : toute la saveur d’une cuisine à l’ancienne

S’attabler à l’auberge Mon Grain de Sel, c’est la promesse de goûter à une cuisine concoctée exclusivement à partir des produits frais du terroir. Ici, toute la fraîcheur de la campagne se ressent jusque dans les assiettes. Des plats faits maison À travers sa cuisine bio, le chef Joëlle Casties prépare chaque plat avec toujours autant d’amour et de générosité. Travaillant ses gammes uniquement à partir de produits frais issus de l’agriculture biologique, elle éveille tous les sens par une cuisine traditionnelle typique des belles campagnes françaises. Dans cette maison familiale, les convives découvrent toutes les subtilités du fait maison. La tarte au fromage de chèvre et de brebis ou le flan de légumes en entrée présentés avec leur couronne de crudités offrent déjà une perspective de choix pour la suite. Ainsi, en plat de résistance, les invités ne pourront qu’apprécier la noix de joue de porc ou de bœuf en sauce médiévale. Une sauce spéciale faite à base de miel, un peu de vin rouge et des herbes aromatiques telles que le thym, le romarin et la lavande. Pour le dessert, le chef vous laisse volontiers l’embarras du choix. Entre la mousse au chocolat, les crèmes catalanes brûlées ou les flancs aux œufs, les fins gourmets vont à coup sûr hésiter ! Quant aux vins, les crus locaux suffisent amplement au bonheur des convives. Le fitou et les cépages des Côtes-du-Roussillon sont une priorité. À déguster avec modération. Ici, pas de bordeaux ou de beaujolais, le chef s’approvisionne auprès des coopératives locales et mise sur le goût prononcé des vins locaux. ...

Restaurant Ze Bistro : ode aux saveurs du Sud

Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro. Manger simple mais bien… Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons. Le vin, une passion Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux. ...