Située au cœur du 15e arrondissement de Paris, cette enseigne aux dehors innovants, en plus d’être populaire, tranquille et un rien bobo, met le quartier en ébullition. À travers une cuisine bistronomique à base de produits frais et de saison, l’établissement propose une carte évolutive intégrant trois entrées, trois plats et trois desserts qui changent tous les mois, avec, à côté, un menu du midi composé de deux entrées, deux plats et deux desserts, qui, chaque semaine, ne sont jamais les mêmes. Misant sur la fraîcheur et la qualité des produits, l’établissement met à l’honneur le « fait maison ». Son menu bistronomique séduit plus qu’il ne surprend avec ses cinq variétés de plats, à savoir un assortiment d’amuse-bouches, une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert. Les ingrédients sont ingénieusement agencés dans les assiettes, dans une intéressante alliance de couleurs et de saveurs. Magret de canard, Saint-Jacques et autres matières premières d’exception sont délicieusement mis en scène. Une ambiance bistronomique La Table des Insolents, c’est un fond de cuisine un peu fusion aux tendances légèrement orientales. Avec un brin d’audace, comme le laisse supposer le nom de l’établissement, les classiques sont ici revisités avec des plats à l’image du restaurant. Dans un décor assez épuré aux tables d’une grande sobriété, l’accent est mis sur la qualité et la simplicité, pour une belle harmonie. ...
Ambiance chaleureuse, recettes authentiques, personnel qualifié, autant d’ingrédients qui caractérisent le restaurant Pisanov. Aux manettes : Vasil Pisanov, un vrai passionné, qui a eu le privilège de travailler auprès de grands chefs étoilés comme Christian Constant, Alain Ducasse, Christophe Moret et Alain Pégouret. Une cuisine fine et authentique Au sein de son restaurant, Vasil Pisanov propose une improbable rencontre entre deux cuisines totalement différentes. La cuisine bulgare caractérisée par sa touche slave et méditerranéenne à la fois s’associe dans des notes très harmonieuses avec la cuisine française. Résultat : des recettes originales et variées qui donnent l’eau à la bouche. « Il y a toujours une touche personnelle dans la création de mes plats », nous confie le chef du restaurant. Les mets sont préparés à partir des produits de saison et frais « acquis auprès des producteurs locaux ». Côté spécialités bulgares, vous vous régalerez avec le kapama, du chou fermenté avec quatre variétés de viande ; ainsi que le mijoté de boeuf au vin rouge, un des dix plats traditionnels de la Bulgarie composés généralement de viande de porc, de volaille, de veau, de lapin et de chou fermenté. Pour des plaisirs gustatifs où les mets et les vins s’accordent dans une douce harmonie, le restaurant propose une sélection de vins français et bulgares comme le Trastena, un vin uniquement composé de framboises 100 % bio ou un vin issu du mélange de framboises et de merlot bulgare fermenté selon la méthode ancienne. Avec sa douceur, sa rondeur et ses saveurs fruitées, il se combine parfaitement avec la viande, le fromage et le foie gras. ...
Si on devait retracer la genèse du Château Léoube, il faudrait remonter jusqu’à la période de la Renaissance. Le lieu serait probablement sorti de terre vers le XIVème siècle. Le halo de mystère entourant ses véritables origines n’a pas empêché le Château Léoube de dignement trouver sa place dans le cercle fermé de la viti-viniculture. En effet, il profite de son positionnement géographique privilégié pour imposer sa signature et asseoir sa réputation. Le domaine se trouve dans le Var, au sein de la commune de Bormes-les-Mimosas, face aux îles de Porquerolles et de Port-Cros. Il est blotti au cœur du Cap Bénat, un site protégé connu notamment pour abriter quelques demeures historiques, dont le Fort de Brégançon qui est le lieu officiel de villégiature du président de la République française. Le Château est l’une des perles de la Provence, une région hautement célèbre pour ses vins rosés. Éblouis par ce cadre et ce terroir, Lord et Lady Bamford décident en 1997 de faire l'acquisition de ce domaine de 560 hectares quelque peu délaissé pour lui redonner toutes ses lettres de noblesse. Place à la culture bio dans un cadre enchanteur L’objectif du couple britannique est de façonner des vins de caractère dévoilant la typicité de leur terroir et de développer la production d’huile d’olive. Pour mener à bien leur projet, il s’entoure d’une équipe de passionnés et du directeur de production, Romain Ott. Cet ingénieur agronome spécialisé en œnologie va veiller au renouveau du Château Léoube en engageant une agriculture biologique sur les 68 hectares de vignes et 23 hectares d’oliveraies. Un ouvrage de longue haleine qui aboutit en 2011 à l’obtention du label Ecocert puis en 2012, du label « Agriculture Biologique ». Les méthodes de culture traditionnelle et naturelle utilisées au domaine permettent au terroir provençal de se révéler dans sa plus belle expression. Cette terre profite d’un climat méditerranéen favorable : des étés tempérés par la brise marine et des hivers doux grâce à un rapprochement avec la Méditerranée. Ici, la diversité des sols (schisteux, argileux et sableux) facilite le développement du grenache, de la syrah, du cinsault, du cabernet sauvignon, du mourvèdre, du merlot ainsi que du cabernet franc. Des raisins qui sont vendangés uniquement à la main pour préserver entre autres la qualité des grains. Une riche gamme de vins La Provence étant la capitale mondiale des vins rosés, c’est tout naturellement que le Château Léoube s’oriente vers la production de ce nectar se déclinant en une variété de cuvées. À ne rater sous aucun prétexte : le Secret de Léoube, un vin de gastronomie complexe et opulent qui sublimera un carpaccio ou un tartare de viande de rouge. Dans la gamme des éditions limitées, la maison propose la cuvée Léoube la Londe qui est un rosé fruité et bio issu des meilleurs jus de 2 parcelles de vieilles vignes de Grenache et Cinsault. Délicat et précis, ce vin s’accorde avec des poissons ou crustacés à chair fine. Plus connu, le Rosé de Léoube est un vin de terroir au style aromatique qui fait honneur à la Provence. Il est apprécié des palais les plus exigeants grâce à sa subtilité et son exotisme. À part les rosés, la maison développe également une sélection de vins rouges agréables et séduisants issus des quatre grands cépages du midi (syrah, cinsault, grenache et mourvèdre) ainsi que de vins blancs frais, structurés et équilibrés. Pause gourmande dans une ambiance chaleureuse Le Château Léoube déploie un cadre digne des plus belles cartes postales. Au nord, les vignes et la garrigue. Au sud, d’autres vignes, une plage préservée, l’oliveraie et la pinède centenaire. Dans ce décor typiquement méditerranéen, un air d’exotisme s’échappe du côté de la plage du Pellegrin. C’est à proximité qu’a été implanté le Café Léoube, prolongement gastronomique du domaine. Ce cocon de charme est une invitation au bien-...
Symboles de plaisir, de rêve et d’art de vivre, les Caves Legrand ont fondé leur réputation sur une sélection rigoureuse, la recherche d’excellence étant le cœur de métier et de l’esprit Legrand. Une cave aux vins identitaires et révélateurs des plus grands terroirs « Des vins pour le plaisir et pour faire plaisir », tel est la quête de l’équipe Legrand à travers le choix proposé. Riche de plus de 3 000 vins et 10 000 références, la cave représente 370 vignerons dont elle se fait l’ambassadrice. Des vins les plus accessibles aux grandes cuvées d’exception, en passant par les champagnes et les spiritueux, la sélection Legrand est le fruit d’un travail intransigeant et d’une constante remise en question. Chaque bouteille est le reflet d’un terroir, d’une histoire et d’un savoir-faire que les cavistes ont à cœur de vous faire partager avec des conseils personnalisés. Les accords mets-vins à l’honneur au Comptoir Placé au cœur de la Vinothèque, le Comptoir de Dégustation est un lieu de découverte et de convivialité autour du vin et de la gastronomie. À tout moment de la journée, il est possible de choisir un vin et de le déguster accompagné de quelques suggestions de produits du terroir. A l’heure du déjeuner, la jeune Chef Lucie Boursier-Mougenot élabore une cuisine moderne et raffinée à partir des produits de l’épicerie fine des Caves Legrand, en provenance directe des producteurs. Renouvelés chaque semaine, les plats sont proposés avec les meilleures suggestions d’accords mets et vins. Déguster, apprendre et rencontrer les vignerons Véritable lieu d’expériences, les Caves Legrand proposent des moments privilégiés avec les vignerons à l’occasion de dîners-dégustations (Les Dégustations du Mardi) dans l’ambiance intimiste et chaleureuse du Salon Lucien Legrand ou lors de concerts chaque dernier jeudi du mois dans la Vinothèque (Les Jeudis de Legrand). Pour s’initier à l’art de la dégustation, l’Ecole du Vin est quant à elle une invitation à plonger dans un univers passionnant et accessible à tous. ...
En Bonne Compagnie est né sous l’impulsion de Craig Charlesworth. Lorsqu’il a acquis l’établissement en 2002, il s’agissait alors d’une maison de village. L’emplacement offre un panorama imprenable sur le canal du Midi. Depuis cet exceptionnel point de vue, dégustez les nombreuses spécialités de la maison qui sont un vrai spectacle pour les pupilles et les papilles. Un cadre idyllique d’hier et d’aujourd’hui Depuis sa rénovation en 2011, ce restaurant vous accueille dans une charmante salle qui arbore une décoration offrant une très belle dualité entre l’ancien et le moderne. Si les pierres apparentes donnent du caractère et créent une ambiance chaleureuse, l’escalier en colimaçon, lui, met en avant l’ambiance cocooning de la salle, un style accentué par la mezzanine courbée. Le rendu visuel est magnifique. Et ce n’est pas tout. L’ancienne cour recouverte avec un toit en vitre ainsi que les terrasses ombragées vous invitent à déguster vos plats tout en profitant de la superbe vue panoramique. Une carte authentique faisant découvrir les recettes françaises et du monde Craig s’attelle derrière les fourneaux pour concocter des recettes traditionnelles françaises, avec une pincée de modernité, et des menus authentiques inspirés des saveurs du monde. Une cuisine créative semi-gastronomique qui en séduit plus d’un, d’autant plus que le Chef ne travaille que les produits locaux. De ce fait, la carte change au gré des saisons pour le plus grand bonheur des gourmets et gourmands. Le soufflé à la banane accompagné de vodka au caramel est la petite star de la maison. Ce dessert – qui mélange légèreté et arômes bien prononcés – fait toujours son petit effet et reste sur la carte en toute saison. Pour faire honneur aux savoureux plats, le Chef suggère une carte de vins riche de quelques références issues du Languedoc-Roussillon. ...
Saint-Graal est une création originale d’Alexis Briol, élu meilleur brasseur de l’année 2012 en Belgique. Elle est brassée par la brasserie Saint Feuillien, une référence et une icône en la matière en Belgique, réputée pour la qualité exceptionnelle de ses produits. Une bière blonde authentique La Saint-Graal est une bière blonde dite de triple fermentation conçue pour la dégustation. Sa robe est blond pâle, légèrement voilée. Ses bulles sont fines et sa mousse à flocons moyens tient bien, tout en offrant une légère texture crémeuse au centre. Au nez, elle propose des arômes donnant sur des fruits exotiques (pamplemousse et agrume) et floraux conférés par le houblon SAAZ. En bouche, elle est ronde, souple et maltée, avec des arômes orientés sur les épices. A la dégustation, elle offre une amertume fine et délicate qui se marie harmonieusement avec son goût très prononcé sur les fruits. Cette sublime complexité lui a valu une médaille de bronze France lors du dernier World Beer Awards. Un packaging pour sortir de l’ordinaire La bière Saint-Graal est conditionnée dans une bouteille classique de 33 centilitres, mais ce qui en fait sa particularité, à part ses saveurs spécifiques bien entendu, est son conditionnement très original. En effet, elle est présentée sous forme de coffret prestige « édition limitée » comprenant quatre bouteilles accompagnées d’un verre en bois du type calice, spécialement conçu pour sa dégustation. Elle est également disponible en cagette de bois composée de huit bouteilles. La bière Saint-Graal est disponible à la vente dans 120 points en France ainsi qu’en ligne sur le site minutevin.fr. ...
Exquise marque de fabrique, la cuisine bistronomique d’exception de ce restaurant est inspirée de l’empreinte créative et passionnée du couple Mengus. La qualité et le goût du vrai, valeurs phares de la maison, sont révélés au fil des plats concoctés par une équipe qualifiée et talentueuse conduite par un chef qui excelle dans son art. Le détour gourmand fleurant bon les traditions revêt alors la forme d’une expérience gustative unique. La vraie cuisine du terroir Cette table proposant « une cuisine créative et gourmande », selon Laure Mengus, se veut être l’ambassadrice des délices alsaciens. Les plats traditionnels simples, mais sublimés par la générosité de Fabien Mengus, sont la signature du terroir. Dans l’élaboration de chaque recette, Laure s’assure que « la saisonnalité des ingrédients est respectée et les produits locaux privilégiés ». Ce vibrant hommage à la richesse de leurs terres se ressent dans chaque bouchée des plats proposés dans des menus révélateurs, à l’instar du menu « Délice du terroir ». L’extase gustative dans un cadre élégant À l’occasion d’une escapade gourmande, les Mengus accueillent leurs hôtes dans « un décor aux couleurs sobres et élégantes à l’ambiance chic et feutrée », selon les propos de Laure. La carte changeante au gré des saisons promet un voyage au cœur de l’art gastronomique savamment raffiné d’une note artisanale. La maison, au travers de cette carte intense, promet des entrées dignes des plus grandes tables étoilées à l’image du foie gras d’oie traditionnel, un délice intemporel. Un plat de filet de sandre croûté au raifort suivi d’une glace rhum raisin et accompagné d’un vin alsacien sera « un clin d’œil au terroir », continue Laure. ...
Implanté sur les coteaux du Monte San Appiano, à 1100 m d’altitude, le domaine jouit d’un terroir favorable qui donne des vins avec de la fraicheur et du fruit. Le vignoble de 28 hectares est planté des cépages typiques corses qui se développent sur des sols d’argiles légères et de schistes. Le savoir-faire d’un propriétaire récoltant En lançant leur exploitation en 2000, Jérôme et Florence ont toujours tenu à travailler la terre selon une démarche éco-responsable. Ils pratiquent notamment l’enherbement et le labourage alterné sur rang pour être sûrs d’obtenir des raisins sains et équilibrés. La vinification quant à elle s’effectue dans le respect du fruit. « Les cuves sont thermorégulées et sous gaz inerte afin de ne pas oxyder les jus », confie Florence. De ces processus naissent des cuvées d’exception comme l’Uva Antica Minustellu (3ème à la dégustation 2019 des vins de Corse d'Andréas Larsson, Meilleur Sommelier du Monde), le Vecchio Collezzione Blanc (Médaille D'or au Japon) ou encore le Vecchio Collezzione rouge (Coup de coeur au guide Hachette). ...
Située sur la côte normande, à faible distance de Deauville, cette société emblématique a gagné ses lettres de noblesse avec un seul et unique produit « le Saveur des Potages », plus connu sous l’appellation « Arôme Patrelle » qu’elle doit à Louis Salve Patrelle, le premier du nom. Il s'agit d'un colorant alimentaire à base de glucose destiné à permettre le fonçage de sauces, marinades, potages, gratins,… Il permet également la couverture des préparations de viandes, comme le jambon, ou de volailles grillées (poulet, escalopes). Enfin, il s'utilise pour colorer les gélatines nécessaires à la préparation des charcuteries ou dans la liaison des sauces. Bref, un incontournable en cuisine. Grâce au Saveur des Potages®, chaque plat livre ses meilleurs atouts. Le succès d’une marque au fil du temps Fort du succès de la marque qui a autant séduit que fidélisé les consommateurs pendant près d’un siècle, Patrelle prend son envol en 1961 avec la partie confiserie et produit ses premiers délices aux saveurs sucrées : la boule coco (une meringue fantaisie enrobée de noix de coco râpée) et le roudoudou (le célèbre coquillage avec une sucette à l’intérieur). L’incroyable odyssée d’un authentique patrimoine familial Sous la direction de Laurent Patrelle (de la cinquième génération) depuis 1987, la société Patrelle continue à se développer et à innover dans sa palette de goûts et de couleurs avec la création en 1993 des lignes de production des P’tits Top (goûter avec gressins et pâte à tartiner) et des bâtons à congeler, suivie dix ans plus tard par la ligne de production du Trio Top (goûter avec gressins, pâte à tartiner et boisson). En 2001, Patrelle marque sa présence à l’échelle internationale en matière de confiserie, notamment en Europe (Belgique, Allemagne, Portugal, Pologne et Roumanie), mais aussi aux Émirats arabes unis et en Nouvelle-Calédonie, puis récemment en Russie et au Sénégal. L’année 2013 voit, quant à elle, la commercialisation de trois nouveaux arômes Patrelle sur le marché, à savoir les arômes Patrelle balsamique, bœuf et barbecue. En 2016, la gamme snacking sucrée et salée entre, elle aussi, dans la danse avec de nouvelles saveurs telles que le spéculoos, le beurre de cacahuètes, et aussi les sauces ketchup, Barbecue et tex-mex. Et le petit dernier le « P’tite Pomme ». En effet, fort de son expérience dans le snacking pour enfants, la société Patrelle vient de lancer ce nouveau concept : des biscuits Petits-beurre et une spécialité de pomme pour offrir un goûter plus sain et équilibré. Vous pourrez découvrir tous ces produits dans leur magasin d’usine. ...
Acquis en 2006 par la famille Barbero, le domaine familial du Clos des Roses est un hommage à la fois à la mère du propriétaire, aux fleurs et à sa production axée sur les rosés. Lors de son acquisition, le domaine viticole a été entièrement réhabilité, de la vigne à la cave. Il possède un vignoble jeune qui a subi un réencépagement réfléchi dans le but de développer une gamme cohérente. Depuis, c'est sa fille, Laurence BARBERO, qui gère et coordonne les différentes animations du domaine, ainsi que l'activité commerciale. Un terroir singulier Bénéficiant de l’influence maritime, le domaine du Clos des Roses est blotti au cœur de la petite niche de l'Estérel, tout à l'Est. Ce terroir est très particulier, car il est l’un des rares en France où des vignobles sont exploités sur des terres d’origine volcanique. Cette particularité propice à la production de vins rosés est à l’origine des notes florales et fruitées singularisant ses cuvées. Sur les 36 hectares de la propriété, le vignoble couvre 10 hectares où sont cultivés 8 cépages différents : syrah, grenache, cinsault, mourvèdre et rolle pour l’appellation Côtes-de-Provence ; merlot, viognier et sauvignon blanc pour la dénomination Vins de Pays. Le traitement des vignes se fait uniquement avec des produits naturels comme le cuivre et le soufre pour lutter contre les maladies. Pour renforcer les défenses naturelles, certains produits comme la silice, la purée d’orties et la prêle sont mis à contribution. La vendange du domaine se fait exclusivement à la main, dans des caissettes de 15 kg, pour s’assurer de la qualité des raisins avant son arrivée à la cave. Côté vinification, le Clos des Roses fait appel au maitre de chai Nathalie Millo pour veiller au bon déroulement des différentes étapes. Le domaine utilise un équipement ultra-moderne tel qu’un fouloir-égrappoir, un échangeur ou un refroidisseur de vendange, un pressoir pneumatique et des cuves en inox mais n'en oublie pas moins les procédés de vinification traditionnels. En effet, « notre signature consiste à associer les méthodes traditionnelles du vigneron avec les nouvelles technologies mises à notre disposition », raconte Chloé Lourme, responsable des visites. Au final, le domaine viticole produit trois couleurs de vins comptant 75 % de rosé, 15 % de blanc et le reste en rouge. Les stars du domaine En contrepartie de son rendement limité oscillant entre 60 et 70 000 bouteilles par an, le Clos des Roses garantit des produits d’excellence sur le plan qualitatif. Trois cuvées exceptionnelles font figure de stars du domaine. La « Dame de Cœur 2015 » AOC Côtes-de-Provence est une cuvée de prestige, charnue, avec des arômes de fruits rouges en bouche, au nez floral, délicat et subtil. Elle se sert idéalement avec des plats frais comme un carpaccio de Saint-Jacques. À réserver pour les occasions spéciales. Le « Clos des Roses Côtes-de-Provence 2015 » AOC Côtes-de-Provence trône au panthéon des meilleures cuvées du domaine. Cette année encore, il a remporté une médaille d’argent lors du Concours général agricole de Paris, après ses médailles de bronze en 2014 et 2015. « Mademoiselle Rose » Vin de Pays des Maures IGP, quant à lui, est composé de cinsault et de mourvèdre à 60/40. Ce rosé plus éphémère, long en bouche, avec des notes fruitées, est idéal pour les apéritifs. ...
S’il fallait remonter aux origines de la famille, cela nous ramènerait jusqu’en 1605, à l’époque d’un certain Jaume Fabre. Tour à tour, ses descendants ont perpétué son œuvre jusqu’à faire briller le patronyme familial dans le paysage viticole languedocien et par-dessus les frontières. L’immense patrimoine est aujourd’hui composé de cinq domaines dont Château Fabre Gasparets de Boutenac, berceau historique de la maison. Aux origines d’un Cru Boutenac Situé dans le Massif du Pinada, le secteur du Boutenac s’inscrit comme l’un des plus beaux terroirs des Corbières. Suite à une politique de hiérarchisation, cette zone géographique a obtenu officiellement l’autorisation d’opérer en tant qu’appellation à part entière. Une victoire pour Louis Fabre et sa sœur Marie qui se sont consacrés pendant plusieurs années aux côtés de nombreux autres vignerons à faire reconnaître le Cru Boutenac. Pour les Fabre, cette terre s’étendant du Massif des Corbières jusqu’au Massif des Pyrénées est digne d’un tableau de maître. Les vignes entourées de pinèdes et de garrigues avec des collines comme toile de fond proposent un paysage envoûtant, à l’image des vins qui y sont produits. De grands vins concentrés, symboles d’excellence Sur ces sols composés de grès de Boutenac et de galets roulés, le carignan est travaillé selon des pratiques culturales qui promeuvent l’équilibre entre les vignes et l’environnement. Transporté par les fameux « wagonnets », il arrive au chai sans éraflure et peut se dévoiler dans sa plus belle expression. Le Château Fabre Gasparets propose deux cuvées : une éponyme et l’autre intitulée La Serre,une cuvée parcellaire limitée à 3000 bouteilles par an. Ambassadeurs du savoir-faire séculaire, ces deux vins sont produits d’une façon relativement spécifique car le carignan qui est à la base un cépage tannique et puissant n’est pas élevé dans des barriques, mais plutôt dans des jarres de 150 litres en argile et en forme d’œuf. Après un assemblage avec la syrah et le mourvèdre et un élevage de 12 à 15 mois, les Crus obtenus s’illustrent pour leur raffinement et la subtilité de leurs arômes. ...
Le Domaine des Maravilhas travaille à la fois les AOP Lirac (un cru des côtes-du-rhône), le Laudun (un côte-du-rhône villages) et le Châteauneuf-du-Pape. Il est planté sur un sol argilo-calcaire en côteaux, avec des galets roulés en surface, qui ont la propriété de restituer aux vignes la chaleur emmagasinée durant la journée. Une viticulture respectueuse de la Nature Avant d’être un mode de culture, la biodynamie est un état d’esprit, une philosophie auxquels Jean-Frédéric Bistagne, vigneron passionné, adhère pleinement. « Depuis toujours, j’ai eu envie de faire une viticulture biodynamique, respectueuse de la terre et de la vigne. Et j’ai eu la chance de reprendre un domaine qui l’était déjà depuis plus de vingt ans », confie-t-il. Ce type de viticulture n’est pas étranger à la vivacité et à la bonne potentialité de garde des vins produits au sein du domaine. En dehors des impératifs des appellations, « nous faisons le choix de minimiser le recours aux intrants et produits de défense pour la vigne et la cave, bien en-deçà des cahiers des charges de l'agriculture biologique », souligne Jean-Frédéric Bistagne. Pour lui, l’équilibre organique des sols et des vignes est primordial. C’est pourquoi les intrants sont bannis au profit des préparations biodynamiques de prêle, d’ortie, de valériane... Il joue sur l’interconnexion entre animaux, terre et plantes, et fait même appel à un troupeau de moutons pour brouter dans ses vignes. « Nous faisons en sorte que la vigne soit la plus équilibrée possible pour que, dans son environnement, elle soit capable de se défendre seule avec le moins d’intrants possible. » Des vins tout en élégance À partir des cépages historiques des côtes-du-rhône (grenache, syrah, mourvèdre, cinsault et bourboulenc, clairette), le Domaine des Maravilhas élabore des vins élégants. Quatre cuvées sont ainsi en AOP Laudun (Maestral blanc et rouge, Bessalena et Le Passage). Grâce aux contraintes de production, d'encépagement et de vinification, ces vins sont d'une qualité constante. Les arômes sont subtils et prononcés, et les tannins plus fins et profonds. Ceux qui cherchent un vin avec un meilleur potentiel de garde sont largement servis. Du côté des Lirac, six cuvées font honneur à l’appellation : La Pierre de Josette, Pradau blanc, rosé et rouge, Antécédence et Canto-Bruno. Mention particulière pour cette dernière qui montre la qualité exceptionnelle du mourvèdre sur ce terroir. Mais si une cuvée mérite tous les éloges, ne serait-ce que pour son côté atypique, c’est certainement l’Espirito en AOP Châteauneuf-du-Pape. En effet, cette appellation habituellement issue d'un assemblage à base de grenache, s’exprime à merveille avec la syrah. La cuvée Alice, une pépite de cinsault en Vin de France, révèle, quant à elle, l’aptitude de ce cépage à produire un vin léger, fruité et gourmand, lorsqu'on ne le fait pas surproduire. ...
À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie. Cuisine savoureuse et respect des produits Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier. Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir. Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression. Yolaine : artiste à multiples facettes À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux. Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats. ...
En plein centre-ville de Chateauneuf-en-Thymerais, se dresse Le Relais d'Aligre, un retaurant qui a su s'affirmer dans cette contrée. Ici le travail d'équipe est la règle d'or. De la fourche à la fourchette, la maison fait découvrir sa passion des bons mets. Service traiteur, menus spécifiques, Eric Canville met les petits plats dans les grands. Ce qui lui a valu d'être valorisé par le Bottin Gourmand et labellisé Maître Restaurateur. Une cuisine valorisant les produits de mer et du terroir A l'intérieur du restaurant tous les sens sont en éveil, une vraie promenade gastronomique. Le Chef cuisine des spécialités faites maison, aux gouts et saveurs authentiques propres à la région. Ayant appris auprès de son père, Éric dès son plus jeune âge fréquente une école de restauration à Mont-Saint-Aignan. A la direction de ce restaurant depuis plus d'une vingtaine d'années, il travaille en étroite collaboration avec son chef cuisinier. Sa passion pour le bon produit le pousse à s'approvisionner auprès des agriculteurs les plus proches, pour allier au mieux produits frais de saison et instinct culinaire. En collaboration avec son équipe, il est toujours à la quête du nouveau et a pour concept de faire évoluer la carte au rythme des saisons. Les spécialistés de la maison sont originales et variées. Comme entrée, le restaurant propose la Tempura de gambas, vinaigrette au fruit de la passion, salade de légumes. Pour élaborer ce délice, le chef commence par préparer la pâte à Tempura qui est un mélange d'eau, de farine et d'oeufs. Il prend soin de nettoyer les gambas, d'enlever les têtes et le boyau noir. Les gambas sont trempées dans la pâte puis mises dans de l'huile chauffée. Le tout est accompagné d'une vinaigrette faite à base de jus de fruit de la passion, d'huile d'olive et de moutarde. Il y associe des légumes émincés et des feuilles de légumes. Ce plat s'impose par sa couleur jaune, sa forte odeur d'épices, et son côté croustillant en bouche. Le restaurant se distingue également par ses plats signatures comme le mijoté de ris de veau aux girolles, crème de porto blanc. Les ris de veau sont couverts avec de l'eau froide puis chauffés à l'eau bouillante. Après les avoir pressés avec du linge propre, le chef les mélange avec des carottes et des oignons, puis y ajoute du beurre fondu à la cocotte. Il y associe les girolles nettoyées et sautées à la poêle, pour finir en versant la crème de porto blanc au-dessus. C'est un mets très raffiné en bouche et d'une couleur rosée à l'oeil. En guise de dessert, embarras du choix entre de multiples variétés à l'instar du Sorbet alcool. Un mélange d'eau et de sucre porté à ébullition et refroidi quelques instants après. Le chef y ajoute ensuite du sirop, du jus de citron et de l'alcool. A vu d'oeil le sorbet a l'air cristallisé, au gout c'est d'un dessert onctueux et alcoolisé. Au Relais d’Aligre, il est question d'une cuisine traditionnelle rehaussée par une touche de modernité. Ici, le chef et son équipe sont en perpétuelle quête d'originalité. La carte des vins Au Relais d'Aligre, du vin rouge, blanc et rosé sont proposés en fonction des gouts et des repas. La carte fait la part belle aux produits viticoles de la région, tels que l'AOC des Coteaux du Giennois. C’est un vin issu des cultures viticoles situées sur les Coteaux de la Loire. Ils sont faits sur la base du cépage Sauvignon pour les blancs, et d'une combinaison de gamay et de pinot noir pour les rouges. Pour un meilleur accord mets et vins, les vignobles de la Vallée du Rhône sont aussi à l'honneur avec des sélections comme le Delas Saint Joseph Hedonisa et le P.Amadieu Châteauneuf du Pape. ...
Antonino D’ALPA n’a pas atterri dans son métier par hasard. Bercé par les effluves montant des fourneaux de la cuisine maternelle, ce petit-fils de restaurateurs intègre l’école hôtelière dès 13 ans. Début d’un parcours atypique, entre apprentissage des nuances du service en salle et appel de la création. Car c’est là que réside le secret de la touche D’ALPA : une inventivité forte assortie d’une recherche permanente de l’exceptionnel. La présence du chef au service, en sus. Début dans les salles Antonino D’ALPA a commencé très tôt une formation hôtelière. Du haut de ses 13 ans, le voilà s’initiant aux arts des services en salle dans une école spécialisée. Très dynamique, le jeune Sicilien aligne en extra les missions estivales jusqu’à l’obtention de son diplôme et son départ pour la capitale française. Il démarre ici dans des petits restaurants avant d’intégrer et de se faire une place au soleil au Plaza Athénée. De demi-chef de rang, il passe et finit maître d’hôtel pour cette prestigieuse adresse de l’avenue Montaigne. Il assure, par la suite, quatre ans durant, la direction d’un restaurant gastronomique italien à Paris avant de s’installer à son compte, fin 2014. L’aventure en solo, Antonino D’ALPA l’imaginait comme un heureux mariage entre ses deux passions. D’un côté, pour le contact et le relationnel, et de l’autre, pour la cuisine. « Le seul secteur qui puisse me faire marier les deux, c’est l’événementiel », dit-il, à ce propos. Le très entreprenant traiteur gastronomique ne se contente donc pas seulement d’organiser des événements d’exception pour son client. Il met un point d’honneur à participer activement au service lors de ses prestations. La touche Antonino D’ALPA Transmettre à Antonino D’ALPA les commandes de son événement, c’est s’assurer d’offrir un coffret de saveurs dont les convives parleront longtemps. Chez les particuliers comme auprès des professionnels, ce traiteur ne fait pas dans la demi-mesure. En petit comité ou pour des convives nombreux, sa démarche inclut toujours une recherche fine et créative, tant dans le choix du lieu, du mobilier et du décor des tables que dans le menu. Les particuliers verront pratiquement leur chez-soi muer en un restaurant chic éphémère, tant les services sont bien pensés. Raffinement et élégance sont au rendez-vous dans les cocktails dînatoires ou déjeunatoires à l’intention des entreprises. Un équilibre parfait entre le visuel et le gustatif, assorti d’une rigueur incomparable dans le choix des produits : c’est sur cette partition que l’équipe réalise sa chorégraphie de l’organisation. Question de saveurs, ce professionnel a un faible pour les sélections nobles qu’il a découvertes sur son parcours. Foie gras et truffes blanches se déploient dans une ambiance délicate, aux côtés de noix de Saint-Jacques et de tagliolinis tandis que l’Amarone coule en toute élégance dans sa robe vermeille. Des animations exceptionnelles Partager sa passion pour le goût fait partie des passe-temps de prédilection de l’équipe D’ALPA. Son show « Pâtes flambées au cognac » s’intègre avantageusement comme une animation pour un événementiel d’entreprise mémorable. Dans une meule de fromage au lait de bufflonne flambée au cognac, le chef verse ses pâtes à la crème infusée à la sauge. À la clé : des saveurs inédites formant un bel équilibre entre fromage et herbe aromatique. ...
Avec une cuisine traditionnelle concoctée essentiellement à partir des produits frais, ce petit restaurant de campagne se plait à chouchouter ses convives en leur proposant le meilleur des saveurs locales. Comme à la maison Simplicité et convivialité : voilà les deux mots qui résument parfaitement l’ambiance qui règne à L’Étoile. Dans ce restaurant familial, tout est fait pour mettre les invités à leur aise. « Chez nous, la bonne humeur et la sympathie sont toujours au rendez-vous. Les gens se sentent comme à la maison », confie Éva Tardy, la cheffe de cuisine. Côté déco, on trouve une grande variété de couleurs. Au bar, la star se nomme Betty Boop. Elle est visible partout, en hommage au grand-père d’Éva, qui était passionné par cette héroïne de dessins animés américains des années 1930. Privatisable, l’établissement dispose de différentes salles adaptées pour les événements privés ou professionnels. Une jolie véranda est prévue pour accueillir tout type de buffets : apéritifs, entrées ou dinatoires. À l’extérieur, les convives profitent d’une belle terrasse ombragée. Juste à côté, ils peuvent s’offrir quelques moments de détente grâce à des jeux de boule mis à leur disposition. Une cuisine simple mais authentique Soucieuse d’offrir une cuisine de qualité, la maison n’utilise que des produits frais, tout en assurant un approvisionnement en circuit court. Ainsi les fromages, viandes, poissons ou encore les vins proviennent directement des producteurs locaux. « Nous avons les mêmes fournisseurs depuis quinze ans », rapporte notre interlocutrice. Quant aux légumes, ceux-ci sont fraichement cueillis dans un potager familial soigneusement entretenu par Maxime, le père de famille. En cuisine, Éva fait parler son expérience et son savoir-faire pour sublimer comme il se doit ces produits d’exception. Parmi les spécialités de la maison, les gâteaux de foie de volaille, le poulet aux morilles, les grenouilles, les bréchets de poulet, les goujonnettes de carpe et les ris de veau enchanteront les papilles les plus délicates. À L’Étoile, on adore faire plaisir aux fins gourmets. Ainsi, les formules à volonté et les menus du jour sont servis toute la semaine, même les dimanches et les jours fériés. « Nous sommes à l’écoute de nos hôtes et nous pouvons changer le menu à leur convenance », nous indique-t-on. Pendant les weekends, Éva invite les convives à partager un moment chaleureux autour d’une délicieuse raclette, avec une variante au bleu de Bresse ou des fromages locaux. Des têtes de veau ou des tapas concoctés à partir des meilleurs produits de la région peuvent être également servis. Une carte au gré des saisons Pour offrir davantage de choix, l’établissement propose quatre menus classiques. Entre le pavé de truite au citron, l’entrecôte poêlée ou le canard au poivre vert, c’est selon les envies de chacun ! À part ses menus, l’établissement présente une carte qui évolue au gré des saisons. En été, les épicuriens pourront déguster différentes salades et autres assortiments de charcuterie. Afin de combler toutes les attentes, le restaurant L’Étoile suggère aussi de succulents plats végétariens, végétaliens ou sans gluten. « Nous nous adaptons aux demandes spécifiques de nos clients », souligne Éva. Côté vins, la maison propose un large choix qui s’accorde merveilleusement bien avec les saveurs de la région. Parmi les références, les côtes-du-rhône, les vins du Bugey, de Mâcon ou de la Loire sont les plus demandés. ...
Tout commence en 1945, année où René Lacave plante ses premières vignes. Par la même occasion, il se spécialise dans le greffage et la multiplication de plants de vigne et devient pépiniériste viticole. Trois générations plus tard, c’est toujours avec la même passion que la famille Lacave travaille ses terres et ses vignes. La gestion du domaine est aujourd’hui confiée à Sonia et à son frère Jérôme. Et leurs parents Francis et Michelle sont là pour apporter leur savoir-faire et leur expérience. Ici, la vigne est une affaire de famille et il n’y a aucune raison que cela change ! Honneur aux cépages locaux Le domaine de Lartigue travaille sur un vignoble d’une superficie de 51 hectares, réparti sur deux sites différents. Une partie profite des coteaux ensoleillés du Bas-Armagnac, reposant sur un sol à dominante boulbène (limon et sable), tandis que l’autre pousse sur des sols argilo-calcaires de l’Armagnac-Ténarèze. « Nous disposons de terroirs qui se prêtent particulièrement bien aux cépages locaux », précise Sonia. En effet, l’encépagement est constitué à 80 % de cépages blancs typiques de la région, tels que le colombard qui procure aux vins des côtes de Gascogne leur côté fruité et aromatique, le baco (cépage hybride unique au monde, né du croisement entre la folle blanche et le noah), l’ugni blanc, le petit manseng, le gros manseng ainsi que le chardonnay, le pinot gris et le sauvignon blanc. Les 20 % restants sont dédiés aux cépages rouges : marselan, merlot, tannat, cabernet-sauvignon et syrah. Du plant de vigne au vin Étant à la fois producteur de plants de vigne et viticulteur-récoltant, le domaine de Lartigue maitrise parfaitement toute la chaine de production. Le travail de la vigne se fait dans le respect des traditions mais aussi de l’environnement. Depuis quelques années, la famille Lacave applique une viticulture raisonnée qui donne naissance à des raisins sains et de qualité, reflétant toute la typicité du terroir. Apport d’engrais organiques, effeuillage, enherbement, techniques de piégeages appuyés par des données météorologiques fiables pour éviter l’usage d’insecticide… Le domaine ne lésine pas sur les moyens afin d’assurer une production qualitative. Certaines parcelles font même l’objet d’une expérimentation pour le moins originale. Afin d’aider les vignes à lutter contre les maladies, on diffuse tout bonnement au niveau de ces parcelles de la musique classique à des horaires bien précis. « Grâce aux effets des vibrations produites par la musique, la vigne développe une résistance face aux maladies comme l’esca qui ravage les vignobles gersois depuis une dizaine d’années », nous révèle-t-on. Côté vinification, la même rigueur et le même souci de la qualité ont poussé le domaine à combiner savoir-faire ancestral et technologie moderne. Avant d’atteindre leur pleine maturité, les baies font systématiquement l’objet d’une analyse gustative poussée. Une fois récoltés, les raisins passent par un schéma classique de vinification : d’abord une macération pelliculaire puis un pressurage pneumatique avant le débourbage, la stabulation à froid (de 10 à 12 jours), la fermentation à basse température afin de préserver la finesse des arômes. Et pour terminer, un élevage sur lies donnant lieu à des vins complexes et bien structurés. Une large gamme de produits Le domaine présente une riche gamme de produits, incluant des vins des côtes de Gascogne, des flocs de Gascogne et des armagnacs qui font la fierté de la maison. Fruités et légers, les vins de Gascogne se déclinent en blanc, rosé et rouge. Moins connu mais tout aussi savoureux, le floc de Gascogne est, quant à lui, élaboré à partir d’un mélange subtil de jus de raisin et d’armagnac. En blanc ou en rosé, celui-ci reste un produit authentique, qui fait l’objet d’une appellation d’origine contrôlée. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et dévoile ses armagnacs, et surtout une collection exceptionnelle de vieux millésimés...
L’histoire du Domaine Levet débute en 1929 avec Christophe Chambeyron. Celui-ci fait l’acquisition de vignes sises sur des côteaux escarpés de la Côte Blonde, difficilement accessibles. Son fils Marius perpétue son œuvre en plantant de nouvelles parcelles. Nicole Levet, fille de Marius Chambeyron et épouse de Bernard Levet héritent du domaine en 1983. Avec eux commence la commercialisation des vins du domaine en appellation Côte-Rôtie. Ils apportent leur pierre à l’édifice familial par le biais de l’acquisition de nouvelles parcelles ainsi que l’aménagement d’un nouveau chai et l’ouverture d’un caveau de dégustation. Actuellement, la relève est d’ores et déjà assurée depuis 2004 en la personne d’Agnès Levet, fille de Bernard et Nicole, qui représente la quatrième génération de cette lignée de vignerons. Un vignoble très ancien Les parcelles de vieilles vignes font la fierté du Domaine Levet et surtout d'Agnès: « ils sont âgés de trente et soixante ans » s’exclame-t-elle. Le vignoble est réparti sur neuf lieux-dits différents dans la commune d’Ampuis : la Côte Blonde, qui est la plus ancienne parcelle datant de 1929, la Côte Brune et ses terrasses, Landonne et son fort dénivelé, Chavaroche, Mollard, Baleyat, Truchet, Fongeant et Leyat. L’encépagement est composé de Syrah, dont une ancienne variété appelée « petite sérine », plus petite en grain et moins productive mais qui à la particularité de s’adapter mieux à ce terroir. Depuis plus de 20 ans, le domaine pratique la sélection massale pour perpétuer son patrimoine viticole. Des vins puissants, particularité des Vignobles Levet En moyenne, le Domaine Levet produit annuellement 12000 bouteilles de vin, déclinées en trois cuvées. La cuvée « Améthyste », assemblage de toutes les vignes du domaine, est un vin harmonieux et équilibré, très aromatique sur des notes d’épices. Son millésime 2012 se caractérise par des notes fumées et minérales avec des tanins souples et élégants. Noté 94/100 par le guide Gilbert et Gaillard, il peut se déguster dès cette année. Tout comme le lieu-dit Landonne d’où il est tiré, la cuvée « Maestria » est une cuvée délicate et élégante, caractérisée par des arômes floraux et des tanins très fins. « La Péroline » est un grand vin de garde, racé et très riche en tanins, avec des notes minérales très marquées. En parfaite adéquation avec l’appellation Côte-Rôtie. « Nous procédons à un élevage de 24 mois en futs de chêne, ce qui donnent des vins puissants, tanniques et de garde, qui se dégustent entre 5 et 10 ans d’âge » explique Agnès Levet. Preuve de la qualité de la production du domaine, ses vins peuvent se retrouver sur quelques tables gastronomiques réputées de toute la France telles que "Chez Yvonne" et « Le Nouveau Cruchon » à Strasbourg, "La Table d'Antoine" à Vichy, « Hôtel de La Corniche » en Corse, « La Zygothèque » à Paris ou encore « Le Café Français » à Lyon. ...
Le restaurant Villa Belle Rive est orchestré de façon magistrale par un jeune maestro, dynamique et passionné. À tout juste 38 ans, Sébastien Thébaud est reconnu pour son savoir-faire et sa passion pour la cuisine. Un chef qui aime surprendre S’initiant très jeune à ce métier, il débute à l’école hôtelière Nicolas-Appert. Une fois le CAP, le BEP et un bac professionnel du lycée hôtelier Valère-Marthe des Sables-d’Olonne en poche, il acquiert des expériences saisonnières dans deux restaurants durant quatre ans. Il continue son aventure et devient commis et maitre cuisinier à Val-d’Isère à 21 ans. Doté d’un esprit de challenge, il ouvre son propre restaurant à l’âge de 24 ans. Dans son établissement L’Escarpolette à Sucé-sur-Erdre, il commence seul en cuisine avant de se constituer une équipe de cinq personnes. Au fil du temps, sa créativité lui a permis de se construire une solide réputation. Les ambitions de ce chef passionné grandissent si bien qu’il décide de s’installer à Sainte-Luce en 2011, en reprenant notamment l’ancien restaurant du chef Delphin, qu’il rebaptise Villa Belle Rive. Sébastien vit sa consécration le jeudi 27 mars 2014. Il reçoit ce jour-là le fameux diplôme de l’innovation en art culinaire délivré par l’institut Édouard-Nignon puis le 6 Novembre 2014 où il gagne le Concours Métro- Gilles Goujon avec son équipe et une Première Toque au Gault et Millau en 2016. Un instant gourmet Villa Belle Rive ouvre ses portes à ceux qui veulent vivre une expérience culinaire mémorable. Avec une vue panoramique sur la Loire, dans un cadre spacieux et lumineux aux couleurs vives à nuance de gris, il offre une cuisine savoureuse, préparée avec soin par ce chef soucieux et attentionné. Celui-ci collabore avec des producteurs de la région qui lui fournissent des produits frais et de qualité. Sébastien a bâti sa renommée sur l’authenticité et l’originalité de sa cuisine. Il sublime les produits du terroir en les rehaussant de diverses sauces tout droit sorties de son imagination. En dégustant l’un des plats phares de la maison, à savoir le sandre au beurre blanc car il tient à respecter les traditions des bords de Loire également, vous aurez amplement un aperçu du talent et de l’inventivité du chef. Son foie gras mi-cuit est également très demandé. Différentes formules proposées aux convives Villa Belle Rive offre tous les jours trois menus gastronomiques et une carte qui sont renouvelés 4 fois par an. Parmi eux figure le menu de midi, le 12 O’clock. Servi spécialement au déjeuner du lundi au vendredi, il offre en plus des suggestions du jour, en entrée de l’avocat en cannelloni farci aux crevettes et effilochées de crabes, le tout agrémenté de sauce cocktail. La pièce du boucher snackée à la plancha est servie en plat principal et agrémentée d’une sauce barbecue ou bien encore un filet de mostelle sur sa bisque de langoustine au curé nantais. Au dessert, le fromage blanc de la Pannetière avec son coulis gourmand et le crumble de P’tit Lu fait bien l’affaire. Les convives peuvent aussi choisir le café gourmand, qui est une déclinaison de gourmandises et son café, ou bien la balade gourmande, composée d’une balade de fromager (trio de fromages sur son lit de verdurette et ses griottines) accompagnée d’un verre de vin ou de porto. ...
Située près des plages de la Côte fleurie, en Pays d’Auge, La Cavellerie est une propriété cidricole de 50 hectares, dont 40 % sont couverts de pommiers de différentes variétés. Son propriétaire Gontran Dondain est également propriétaire du Mas Roc de Bô, en Minervois, et du Château Cabezac. Les pommes du Père Gontran Le domaine de La Cavellerie est constitué d’un verger de 20 hectares sur lequel se développent 26 variétés différentes de pommiers dites de hautes tiges et adaptées à la fabrication de cidre et de calvados. Les pommes livrent des saveurs douces, amères, aigres et douces-amères. Parmi les plus connues et les plus représentatives du Pays d’Auge, il y a la Fréquin Rouge, la Rambault, la Moulin à Vent, la Cimetière de Blangy, la Marie Ménard ou la Douce Coët Ligné. Variant selon les caprices météorologiques, la récolte se fait au plus tôt à la mi-octobre et au plus tard vers fin novembre, avec un tonnage pouvant aller de 80 à 150 tonnes. Ce rendement est doublé lorsque les pommiers de La Cavellerie atteigneront leur pleine maturité d’ici à quelques années. De la pomme au cidre Après leur récolte, les pommes sont d’abord stockées plusieurs jours afin qu’elles puissent développer leur degré en sucre, nécessaire à la bonne teneur en alcool. Elles passent ensuite par la laveuse avant d’être réduites en morceaux par une broyeuse. La répartition des morceaux obtenus sur la machine à presse est la seule étape où le travail manuel est nécessaire. Enveloppée de toiles de jute, cette presse classique garantit la douceur et la constance du jus obtenu sans en altérer la qualité. Finalement, après 3 mois passés dans des cuves de fermentation, le jus de pommes est transformé en cidre. Il faut remarquer qu’à la Cavellerie cette étape de fermentation s’effectue selon les méthodes traditionnelles, avec fermentation et prise de mousse naturelle. Une partie du cidre obtenu est conditionnée et mise en bouteilles sous le doux nom de « Père Gontran Cidre Brut » en appellation AOC Pays d’Auge. Ce cidre possède un caractère fruité et généreux et accompagne à merveille les plats traditionnels comme le lapin au cidre ou le poulet vallée d’Auge. Quant au reste de la production, elle doit encore suivre quelques étapes de transformation avant de devenir un produit plus noble, typique du Pays d’Auge. Du cidre au calvados Le calvados s’obtient après une double distillation du cidre. Mais, avant, le cidre doit encore patienter 6 mois en cuve. Vers le mois de juin ou de juillet survient la première distillation dont est issu un produit dit « petite eau » ou « bouillis », qui deviendra le calvados. Celui-ci est alors élevé en futs de chêne, dans un chai de vieillissement, durant 3 ans au minimum avant d’être mis en bouteille. À 3 ans, un calvados sera dit « fin » ; à 4 ans, « réserve » ; à 5 ans, « vieille réserve » ; à 6 ans, « VSOP » ; et à partir de 7 ans, il est appelé « hors d’âge ». La collection de calvados de La Cavellerie se décline en 8 cuvées en appellation AOC Pays d’Auge, classées selon leur âge, dont les plus fameuses sont le « Père Gontran Fine » de 3 ans, se caractérisant par des arômes de pommes fraiches et de fruits rouges et élaboré avec une seule cuvée. Autre produit incontournable : le « Père Gontran hors d’âge 7 ans », élaboré avec une seule cuvée et livrant un nez vif et puissant aux notes boisées et fruitées. Le « Père Gontran hors d’âge 24 ans », assemblage des millésimes 1989 et 1991 aux notes végétales puis boisées et caramélisées, figure, quant à lui, au panthéon des meilleurs produits du domaine. ...
Le Château Huneau a été repris depuis un an par Mathieu Lecourt. Descendant de viticulteur, il a bénéficié de l’expérience de ses prédécesseurs et continu à développer l’activité. Dans ce domaine, 80% des vendanges sont faites à la machine, et pour d’autres vins, elles sont faites à la main. Les cépages du Château Le château Huneau utilise majoritairement des cépages Merlot, Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc et Malbec. Ces différents cépages sont plantés afin de bénéficier des bienfaits du soleil. Ceci permet de garantir le bon développement du raisin, et l’élaboration d’un vin de qualité. Et donc, la disposition se fait à flanc de coteaux surplombant la vallée de la Garonne. Le terroir ici est de type argilo-calcaire et grave. L’assemblage de Merlot et de Cabernet Sauvignon débouche sur un vin rosé. Le vin blanc est élaboré avec du Sauvignon, tandis que le Sémillon permet d’obtenir un vin blanc moelleux. Les vins de Bordeaux Le château produit 4 variétés de vins de Bordeaux : les vins de Bordeaux rouges, les vins de Bordeaux blanc, les vins de Bordeaux rosés et les Crémants. Parmi les vins de Bordeaux rouges, se distingue le « Bordeaux rouge fut de chêne ». C’est un vin avec une magnifique robe grenat profond. Après agitation, ses nuances épicées, de cannelle et de myrtilles sont mises en exergue. L'attaque en bouche est grasse, ample, avec un fond vanillé accompagné de fruits rouges. Ce vin est indiqué pour les viandes rouges, gibiers, volailles, mais aussi fromages. Egalement parmi les vins, le « Magnum bordeaux rouge ». Celui-ci possède une étincelante robe rubis au nez de prune écrasée, accompagnée de tanin fondu avec des notes de pain d'épices et cerises. Sa structure agréable et harmonieuse confère une bonne longueur en bouche. Il se marie parfaitement aux viandes rouges, blanches, et aux fromages pâte pressée. Pour les vins Bordeaux blancs, le « Bordeaux blanc sec » avec sa fine et délicate robe nuancée de vert. Il dégage une élégante senteur florale aux arômes sauvignonnes et anisés. En bouche, il est tout en rondeur fort de sa note aromatique ajoutée par le zeste de pamplemousse en plus de sa fraîcheur. C’est le vin idéal pour accompagner les plats de crustacés, poissons et salades. Le « Bordeaux blanc moelleux », quant à lui, possède une robe d'un ton jaune brillant de toute beauté. Son nez floral et abricot frais est suivi d’une pointe d'amande. Rond en bouche, il confère un parfait équilibre où les arômes privilégient une saveur prononcée, et une finale allégée et fraîche. Adapté pour les apéritifs, ce vin peut aussi accompagner un bon plat de viande blanche, du foie gras ou encore du roquefort. Au rayon des vins de Bordeaux rosés, voici pour accompagner grillades et salades, le « Bordeaux Rosé ». Avec une teinte groseille significative aux reflets saumonés, il propose une belle complexité aromatique, penchée sur de subtiles émanations de fraises cuites et agrumes. Dans la famille des crémants, le « Crémant de bordeaux brut ». Ce vin possède une robe jaune pâle aux reflets verts. Fine mousse perlée, cordon dense et persistant, il met en avant un nez constitué de notes florales, accompagné de fraîcheur et de minéralité. En bouche, il est ample et équilibrée, vif et en toute finesse. ...
L’Italie, son pays d’origine, ne quitte jamais le chef Paolo Sari, il l’affiche fièrement dans ses recettes. Tous les restaurants du Monte-Carlo Beach sont dirigés par ce passionné. Parmi ceux-ci figurent l’Elsa, le Deck et la Vigie. Un restaurant 100 % bio Elsa est un restaurant gastronomique étoilé dont la réputation n’est plus à faire à Monte-Carlo. Sa toute première étoile est un gage de qualité et de l’engagement qui lui a valu sa distinction de « premier restaurant 100 % bio certifié Ecocert ». Figurant parmi les plus grandes tables de la région, Elsa présente une cuisine contemporaine de haute qualité qui s’inspire de l’histoire culinaire de la Riviera. Les produits bio, majoritairement locaux, sont mis en valeur à chaque saison. Ils sont sélectionnés selon leur qualité, leur origine et les soins que les producteurs leur ont apportés. Elsa propose le Menu du Marché au déjeuner et les Menus Dégustation et Inspiration au dîner. Ce dernier est servi à l’ensemble des convives à la table. Le « Bio Sama » est le plat signature de l’établissement. Cette assiette de légumes et herbes du jardin à l’huile d’olive extra-vierge et sel de Camargue reste présente à la carte toute l’année mais change d’aspect selon la saisonnalité. Les saveurs méditerranéennes se découvrent aussi au travers des pâtes et riz proposés à l’Elsa ainsi que des poissons tels que les rougets rôtis suivant la tradition de la Riviera, accompagnés de purée de févettes et petits légumes du jardin. Les viandes sont également représentées par le cochon de lait, la côte au lard fait maison ou encore le gigot braisé. Les vins que le restaurant Elsa suggère à la carte pour accompagner les repas sont exclusivement bio. Il en est de même pour les fruits, chocolat et café rehaussant les saveurs des desserts. Un repas au bord d’une piscine olympique Avec son esprit brasserie, le Deck se veut être le lieu de rendez-vous de la Principauté de Monaco. L’ambiance est décontractée dans ce restaurant qui longe la légendaire piscine olympique du Monte-Carlo Beach. La cuisine y est également contemporaine et basée sur des produits frais de saison. Les tomates et mozzarella di bufala au basilic de la Riviera et carpaccio de bœuf biologique se placent au-dessus de tous les hors-d’œuvres disponibles dans la carte du Deck. Les spaghettis sont également omniprésents, mais cela n’exclut pas la présence de viandes telles que l’escalope de veau à la milanaise et poissons comme les calamars géants frits sauce tartare. Le Marché des Saveurs, un brunch programmé chaque dimanche, est une occasion de découvrir la cuisine du chef Paolo Sari. Lors de cet évènement, les convives se servent dans plusieurs stands en bois d’inspiration provençale avant de déguster leur plat sur la terrasse. Un dîner méditerranéen Perché sur un promontoire rocheux qui domine la mer le soir, le restaurant la Vigie est un « lieu privilégié ». Les poissons issus de la pêche locale permettent à Paolo Sari de réaliser cette fameuse cuisine axée sur la Méditerranée. Les spécialités qui ornent la carte de la Vigie sont les langoustes et les poissons grillés. Chaque ingrédient rigoureusement sélectionné bénéficie d’une présentation fraîche et appétissante, de quoi combler les épicuriens. Petite nouveauté pour cette année : le Monte-Carlo Beach Club organise une animation de saison intitulée « Beach Parties ». Le temps de deux soirées en juillet et deux en août, les invités en maillot de bain profiteront de la piscine chauffée et du buffet dressé autour. Les animations musicales quant à elles procurent une ambiance festive à l’événement. ...
Existant depuis 1850, le domaine ne commence à vinifier qu’en 1994. En 2010, Philippe Betschart apportera sa touche personnelle, en s’appropriant l’approche biodynamique dans le mode cultural et les techniques de vinification. La personnalité de chaque cuvée est marquée par un élevage qui diffère d'un millésime à l'autre. 2014 signe une démarche innovante puisqu'en décidant d'exclure les apports d'origine animale à la vigne et à l'élaboration du vin, le château débouche sur une certification VEGAN (EVE01), permettant à tout un chacun, dont les végétariens, de goûter à des vins faciles à boire qui ont de la personnalité. Un atout de taille qui lui permet de conquérir des tables prestigieuses aussi bien locales (le Prince Noir à Bordeaux) qu'à l'internationale (au Japon entre autres). Vinification : entre tradition et modernité Le domaine des Graves de Viaud a élu le merlot, le cabernet franc et le cabernet sauvignon comme principaux cépages. Les vignes bénéficient des meilleurs soins conformes aux exigences du label Demeter, dont le cahier des charges impose une vinification sans aucun intrant chimique, excepté le soufre. Les levures indigènes sont donc privilégiées pour les fermentations, tandis que les cuvaisons durent de 25 à 35 jours. « Notre mode de vinification tient à rester le plus naturel possible », souligne Philippe Betschart, propriétaire-gérant du domaine. Ainsi, les Côtes-de-Bourg du Château Les Graves de Viaud arborent finesse et élégance. « Nous produisons des cuvées modernes et classiques de bordeaux, prisées pour leur fraicheur, leur souplesse ainsi que leurs saveurs fruitées », nous indique-t-on. Le fruit avant tout Les vins de la maison sont répartis en deux gammes. D’une part, on trouve la gamme des cabernets où s’inscrivent des cuvées résolument modernes telles que « Les Cadets » et « Terroir ». « Les Cadets » est appréciée pour sa simplicité et ses délicieuses notes florales tandis que « Terroir » est privilégiée pour sa délicatesse et sa complexité issues d’un long élevage en barrique. D’autre part, on distingue la gamme des merlots qui regroupe des cuvées, certes plus classiques, mais absolument exquises. Parmi la liste figure la cuvée « Origine », qui est un assemblage à 90 % de merlot. Connaissant un succès certain à l’export, ce vin est un véritable enchantement pour les papilles. La cuvée « Réserve » fait également partie de la gamme des merlots. Ici, place à une sélection de vieilles vignes de plus de 60 ans qui sont élevées en barriques neuves durant 18 à 24 mois. Le résultat garantit un plaisir optimal à la dégustation ! ...
Champignon Capricieux et ruisseau nonchalant Si l'homme cultive la vigne aux quatre coins du Globe, il est un phénomène unique au Monde qu'il ne peut domestiquer : le développement sur les raisins du champignon Botrytis Cinerea responsable de la Pourriture Noble des vins liquoreux de Sauternes. Pour que ce champignon capricieux se développe harmonieusement sur des raisins mûrs, il lui faut une alternance de matinées automnales humides et d'après-midi ensoleillés. Sans la présence de la première, le champignon ne se déploie pas et il se transforme en vulgaire pourriture grise sans l'assistance du second. A Sauternes, les conditions de développement du Botrytis Cinerea sont assurées par le Ciron, un affluent nonchalant de la Garonne qui enveloppe, à l'approche des vendanges, le vignoble de brumes matinales. Le champignon s'accroit alors et crée de nombreuses microfissures dans la paroi de la baie : cette dernière devient le siège de processus enzymatiques qui vont baisser l'acidité du moût et élaborer des arômes propres à la Pourriture Noble. En fin de matinée le brouillard cède sa place au soleil qui sèche les raisins et interrompt le développement du champignon. Les microfissures laissent s'évaporer l'eau contenue dans le raisin dont le volume diminue et la concentration en sucre et en arômes augmentent naturellement. Le lendemain le soleil succèdera à nouveau aux brumes matinales... La Pourriture Noble au Château Grillon Pour que l'alchimie soit parfaite, il convient non seulement que les raisins soient parfaitement mûrs avant que ne se développe le Botrytis mais aussi que les brouillards matinaux soient le plus intenses possible à l'approche des vendanges. Or, le château Grillon est idéalement situé au faîte du plateau Calcaire de Barsac en son extrémité Nord : cette élévation et la texture du sol assurent un drainage naturel idéal pour la maturation des raisins. De Plus, c'est au Nord du plateau que circule le Ciron, à moins de 200 m des premières parcelles du château. A Grillon, la Pourriture Noble a trouvé sa terre promise ! ...