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Champagne et œnotourisme : nos meilleures adresses

Gastronomie
Champagne
Champagne Chapuy : l’élégance et la finesse d’un Grand Cru d’Oger 100 % chardonnay

Dans une volonté de célébrer la richesse et l’authenticité de son terroir, Champagne Chapuy lance sa nouvelle cuvée intitulée « Unique » qui incarne la vision novatrice de la maison dans la production de champagnes de gastronomie à noble vocation de se rendre complices des plus beaux moments de vie.

Gastronomie
Champagne
Champagne Cattier : quand l’histoire révèle l’excellence

En Champagne, au cœur de la montagne de Reims, la famille Cattier veille sur ses terres depuis 13 générations. Une histoire de passion, de créativité et d’exigence transmise de père en fils, accordant aux Champagnes Cattier leurs lettres de noblesse.

Gastronomie
Champagne
Champagne Pierre Moncuit : l’excellence du Champagne, sublimé au féminin

A le Mesnil sur Oger, au cœur de la Côte des Blancs, le Champagne Pierre Moncuit porte l’histoire de son terroir. Depuis 4 générations, ce petit domaine familial, uniquement planté en Chardonnay, allie passion, patience et savoir-faire.

Gastronomie
Champagne
Champagne Gremillet : une invitation au voyage au cœur de la Côte des Bar.

Champagne GREMILLET : une maison familiale et contemporaine devenue incontournable

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Gastronomie
Champagne
La Maison Maurice Vesselle : la finesse des champagnes de vignerons

A Bouzy, au pied de la Côte des Noirs, le champagne célèbre un terroir classé Grand Cru. Le domaine Maurice Vesselle y inscrit son nom et son histoire depuis 4 générations, dans le respect des traditions et de l’environnement.

Top 50 des meilleures maisons de Champagne et des visites viticoles...

Champagne chapuy
51 personnes aiment
Oger
Champagne Chapuy
Champagne Chapuy : l’élégance et la finesse d’un Grand Cru d’Oger 100 % chardonnay
Champagne cattier
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Chigny Les Roses
Champagne Cattier
Champagne Cattier : quand l’histoire révèle l’excellence
Champagne pierre moncuit
80 personnes aiment
LE MESNIL-SUR-OGER
Champagne Pierre Moncuit
Champagne Pierre Moncuit : l’excellence du Champagne, sublimé au féminin
Champagne gremillet
76 personnes aiment
Balnot-sur-Laignes
Champagne Gremillet
Champagne Gremillet : une invitation au voyage au cœur de la Côte des Bar.
vignes-exposees-plein-sud-de-maison-maurice-vesselle
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Bouzy
Champagne Maurice Vesselle
La Maison Maurice Vesselle : la finesse des champagnes de vignerons
Champagne michel gonet
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Avize
Champagne Michel Gonet
Champagne Michel Gonet : une famille viticole qui défend avec conviction l’oenotourisme
Champagne jean-jacques pessenet
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Reuil
Champagne Jean-Jacques Pessenet
Champagne Jean-Jacques Pessenet : une production raisonnée pour des cuvées d’exception
craie-caracteristique-du-sol-crayeux-d-avize-mineralite
60 personnes aiment
Avize
Coopérative des Anciens de la Viticulture
Champagne Sanger : des vins en lien avec le territoire champenois et l’histoire de la marque
Château barrabaque
74 personnes aiment
FRONSAC
Château Barrabaque
Château Barrabaque : une petite propriété familiale unique en son genre
jean-guy
94 personnes aiment
Avize
Champagne Varnier-Fanniere
Champagne Varnier-Fannière : artisans vignerons depuis 1860.
Champagne henri goutorbe
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AY
Champagne Henri Goutorbe
Maison de Champagne Henri Goutorbe : de pépiniériste à créateur de grands vins de Champagne. 
Champagne pol couronne
65 personnes aiment
Reims
Champagne Pol Couronne
Champagne Pol Couronne : une des 6 plus grandes maisons de champagne de Reims
entree-du-champagne-baron-fuente-a-charly-sur-marne
87 personnes aiment
Charly-sur-Marne
Champagne Baron-Fuenté
Champagne Baron-Fuenté : une Maison familiale respectant le terroir de la Vallée de la Marne
Champagne carbon
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Reims
Champagne Carbon
Champagne Carbon : dress code sur le thème du luxe et du prestige
Troyes la champagne
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Troyes
Troyes La Champagne
Troyes La Champagne,
Un territoire aux mille couleurs
brut-grand-rose-une-des-cuvees-phares-de-champagne-gosset
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Épernay
Champagne Gosset
Champagne Gosset : 435 ans d’Histoire
sous le signe de l’excellence
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Mareuil-sur-Ay
Champagne Guy Charbaut
Champagne Guy Charbaut : un savoir-faire qui ne laisse aucune chance aux artifices
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Épernay
Champagne J. Margouillat
Champagne J. Margouillat : 100 ans
de savoir-faire
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Villers-Marmery
Champagne Boutillez-vignon
Champagne G. Boutillez-Vignon : un savoir-faire exceptionnel au cœur de Villers-Marmery
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Meurville
Champagne Yoan Tapprest
Champagne Yoan Tapprest :
entre passion et tradition
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Riceys
Champagne Batisse Lancelot
Champagne Batisse Lancelot : la tradition avant tout
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Le Breuil
Champagne Sendron Destouches
Champagne Sendron Destouches : un travail respectueux de la vigne
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Grauves
Champagne Mathieu-Princet
Champagne Mathieu-Princet : des cuvées élaborées dans le pur respect de la tradition champenoise
Champagne moyat-jaury guilbaud
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Polisot
Champagne Moyat-Jaury Guilbaud
Champagne Moyat-Jaury Guilbaud : des champagnes mêlant charpente et finesse

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Hameau des Baux : deux espaces de restauration pour tous les moments de la journée

Chef consultant, José Maréchal a misé sur une cuisine inventive mettant en valeur les produits du terroir, les produits de saison et des producteurs locaux, majoritairement bio. Stephan Paroche, ancien propriétaire du restaurant La Magnanerie dans les Alpes-de-Haute-Provence est le nouveau chef. Il a conçu les cartes des trois lieux de restauration. Il aime particulièrement revisiter les classiques. Il apprécie également les alliances terre-mer et la cuisine méridionale. Cicada À Cicada, cartes inventives qui subliment les produits du terroir et valorisent les producteurs locaux. Une cuisine tonique pleine de fraîcheur, tendance bio, saine et équilibrée, qui sait joyeusement surprendre et s’inspire du potager et du jardin des herbes aménagés au cœur des lieux. Gastronomie authentique, chic et glamour, qui allient avec virtuosité les classiques et la modernité. Les suggestions sont sans cesse renouvelées pour créer la surprise. Il suffit de consulter l’ardoise pour connaître les propositions du jour. Les convives sont libres d’imaginer leur menu comme bon leur semble, selon leurs envies et leur faim. Compter 35 € le menu du midi. En soirée, menus à partir de 69 € et découverte du "menu signature" à 119 €. Parmi les plats de saisons à découvrir à Cicada, l’asperge présentée en trois plats pour découvrir de façon différente un produit du terroir. En dessert, l’éclair au yuzu est un incontournable. Dîner en tête à tête, profiter de la terrasse ou s’attabler avec ses amis ou ses proches : tout est possible à Cicada. Le Camion Bleu Sur la Place du village au sein de l’hôtel, tout au long de l’été, les clients peuvent dîner en extérieur pour une soirée décontractée. Le Camion Bleu propose une cuisine simple, pleine de saveurs que vous pourrez facilement partager avec ses petites ou grandes salades, ses viandes grillées ou ses planches de viandes, de fromages ou de légumes pour un apéritif dînatoire. Tout cela en s’enivrant de la scène musicale et de ses concerts de jazz. Compter environ 25 € par personne. Du mardi au samedi de 19 h 30 à 22 h. Ouverture du 1er Juin au 15 Septembre. Les soirées thématiques sont à découvrir sur le site web www.hameaudesbaux.com. ...

Vino Vecchio ou l’art d’être vigneron

A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés  sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...

Château du Raux :
le rubis des tables raffinées

L’exploitation viticole du Château du Raux est une propriété de 30 hectares, comprenant une belle maison de XVIIIe siècle et un vignoble groupé autour des bâtiments. Elle est située à proximité de la Gironde, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc, entre Pauillac et Margaux. La maison est réputée pour son Cru Bourgeois, médaillé à plusieurs reprises, issu de ce domaine familial transmis de génération en génération depuis 1879.   Un sol béni de Dionysos Le champ viticole de la maison s’étend sur 20 hectares, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc. Il appartient à Patrick Bernard et à sa famille depuis des générations. Leur vigne, renouvelée au fil des ans, est vieille d’un quart de siècle. À cet âge idéal, les récoltes sont moins abondantes, mais elles donnent des grappes de raisin plus concentrées. Ce sont ces vieilles vignes qui contribuent à produire les meilleurs vins. Bénéficiant d’un sol sablo-graveleux d’excellente qualité et pauvre en minéraux sur un mètre de profondeur, leur terre favorise la lente croissance de la vigne, tandis que le sous-sol en argile assure une alimentation hydrique régulière. Une telle combinaison donne des vins rouges d’exception, aux arômes puissants, à la fois complexes et persistants. Le climat bordelais, en outre, offre les conditions nécessaires pour parfaire cette entreprise familiale : du soleil, un vent d’automne, un hiver sans gelées et un printemps relativement humide. Ce cadeau de la nature, associé à un grand professionnalisme, est garant de la grande qualité de chaque millésime du Château du Raux.   Des millésimes d’exception Le vin du Château du Raux bénéficie du climat chaud de la région, avec une bonne répartition des précipitations et une période sèche propice à la vendange. Le merlot et le cabernet-sauvignon, cépages traditionnels en Haut-Médoc, expliquent la belle couleur intense, la puissance, l’élégance et la souplesse présentes dans tous ses millésimes. Le millésime 2013, en l’occurrence, se démarque par la richesse de ses arômes. Le nez est marqué par des notes épicées de type clou de girofle, des notes boisées, sous forme vanillée. Le soupçon de fruits mûrs et de notes boisées qui attisent la gourmandise est également présent dans le millésime 2012. Son attaque puissante reste, cependant, son atout vu qu’elle promet un grand potentiel de garde. Quant aux papilles adeptes des bouches rondes et souples, le millésime 2011 est un excellent choix. Peu ouvert, à la structure fine, aux tanins souples et aux arômes discrets, ce vin séduit par sa rondeur et sa souplesse. Il figure dans « Bordeaux, le millésime 2011 » de Jacques Dupont (Le Point, mai 2012), qui lui a attribué la note 14. Le même auteur a également donné la même note à son cadet, le millésime 2010, dans « Bordeaux, le millésime 2010 » (Le Point, mai 2011). Le millésime 2010 partage la même bouche tendre et légère que son aîné, mais se distingue par son arôme de cassis. ...

Les Vignobles Jander :
quand faire du vin devient un art

Les Vignobles Jander s’épanouissent sur une exploitation de 17 ha, où le merlot (53 %) et le cabernet sauvignon (47 %) règnent en exclusivité. Le terroir est départagé entre deux types de sols : un terrain sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau et argilo-graveleux pour le Château Jander. Vinifier dans les règles du bio Depuis 2012, la maison conduit son exploitation selon les principes de l’agriculture biologique. Cette méthode assure que les vins gagnent en équilibre et expriment pleinement le terroir. Une réelle fierté, comme l’affirme Maxime Julliot, directeur du domaine : « Depuis 2015, nous sommes la seule propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Moulis et Listrac-Médoc. » Dès lors, le traitement des vignes respecte un cahier des charges bien défini, qui allie judicieusement tradition et modernité. La vinification s’opère dans un chai « très pratique à travailler », selon les termes de notre interlocuteur. L’endroit est en effet équipé de matériels de pointe comme des cuves thermorégulées, donnant la possibilité de diversifier les modes de fermentation, et des cuves extrêmement larges, qui permettent l’extraction des tanins pendant la fermentation. La maison met de côté le foulage pour permettre des vinifications plus respectueuses de la matière première. Par ailleurs, le processus de vinification est réalisé avec patience et délicatesse. À titre illustratif, la période d'élaboration de la cuvée « Sémeillan-Mazeau » s’étend sur presque 30 mois. Dans un premier temps, les récoltes des vendanges parcellaires sont vinifiées et élevées séparément pendant un an. Au bout de cette période, chaque lot de vin est encore retravaillé pendant 12 mois afin de bien accentuer toutes les caractéristiques des raisins (structure, arômes…). Ce temps écoulé, l’équipe du domaine procède enfin à l’assemblage dans les cuves. « La séance d’assemblage n’est pas qu’une somme des caractéristiques. L’objectif est de créer un juste équilibre entre ces différents composants », révèle Maxime Julliot. Et pour un résultat impeccable, six mois de plus sont nécessaires pour stabiliser les vins et les préparer à la mise en bouteille. Un vin pour une appellation À chacune des deux appellations correspond une cuvée qui arbore idéalement tous les traits particuliers de son terroir. « Notre stratégie de produits consiste à rassembler tous les vins d’une appellation dans une bouteille. »  Ainsi, l’appellation Moulis est représentée par la cuvée « Château Jander », qui est un millésime aussi élégant que complexe. « Le Château Jander est fait pour les gens qui aiment les ‘’vins sérieux’’», a voulu préciser avant tout notre interlocuteur. En effet, ce vin fait partie du haut de gamme, à en juger par la qualité de ses cépages issus de vieilles vignes (25 ans en moyenne), élevées sur terroir argilo-graveleux, et la façon dont ceux-là sont travaillés. Ainsi, contrairement au Château Sémeillan-Mazeau, l’assemblage des cuvées s’effectue dès que la vinification est terminée. Au bout de longs mois d’élevage en barrique naît un vin puissant avec des tanins aussi souples qu’élégants. Quant à l’appellation Listrac, elle se révèle à travers les bouteilles de « Château Sémeillan-Mazeau ». Ces cuvées sont caractérisées par leurs notes de fruits rouges et de bois très harmonieuses. Tandis que la fraicheur de leurs arômes crée un véritable moment d’émotion pour les papilles, la souplesse de leurs tanins ne fait qu’accentuer le plaisir à la dégustation. Ainsi, le Château Sémeillan-Mazeau est aussi idéal en apéritif qu’en accompagnement du repas, sans compter qu’il se marie quasi avec tous les types de plats. On distingue parmi les meilleures références de cette cuvée le mill...

Distillerie O’Baptiste : On reconnaît un lion à sa griffe

Les spiritueux A Valence, dans un petit entrepôt, nous faisons rapidement faire le tour du propriétaire : des alambics, coeur de la fabrication, des bouteilles en stock, prêtes à être vendues, des fûts dans lesquels vieillissent rhum et whisky. Là sont proposés pas mal de spiritueux : de l’Esprit de bière, de l’Esprit de malts, de la vodka quadruple distillation, du rhum blanc et du rhum humble, du whisky 3 ans d’âge (disponible en 2020), du London Dry gin et un apéritif à la mistelle de malts (du moût de malts), nommé Caryopse. Tout est fameux, vous ne vous tromperez pas ! Et il propose déjà un beau panel d’apéritifs et de digestifs, après seulement un an d’existence, il faut le souligner. La fabrication O’Baptiste utilise deux alambics, un de 50 et un de 300 litres. Pour chaque spiritueux qu’il fabrique, il fait deux passes (comprenez deux distillations). Ainsi, après la première macération, il obtient un brouillis, qui est ensuite re-distillé. A l’issu de cette double distillation, l’alcool titre 70 degrés. L’ajout d’eau permet d’obtenir le titrage souhaité, généralement 40 ou 45 degrés. Ses matières premières sont bio, notamment pour l’Esprit de malt qui provient de la malterie coopérative Malteurs Echos qui se situe à une quarantaine de kilomètres de Valence, en Ardèche. Les matières premières sont locales, en particulier pour l’esprit de bière, fabriqué à partir de bières artisanales locales. La seule matière première ne venant pas du Sud-Est est la mélasse de canne à sucre utilisée pour fabriquer le rhum. Elle vient de loin : d’Asie, de Thaïlande pour être précis (l’Asie est l’autre grand producteur mondial de sucre avec l’Amérique latine), mais cette mélasse est bio. Embrassez des inconnus C’est un concept vraiment déroutant : eau de vie de crachoir. Certains trouvent cela amusant, d’autre répugnant mais tous s’accordent à dire que c’est étonnant. O’Baptiste a été contacté par un festival de vins naturel qui se tenait à Paris, pour fabriquer cette eau de vie, et renouveler l’expérience d’un distillateur australien : Peter Bignell de la distillerie Belgrove, avec qui Baptiste a collaboré pour cet esprit. Il n’a pas réfléchi longtemps avant d’accepter. Ainsi, a-t-il récupérer les cuves contenant les vins dégustés puis recrachés par 1300 Parisiens. Et de là est né l’appellation « Embrassez des inconnus ». La distillation étant un processus de purification… il n’y a aucun risque sanitaire. Vous pouvez donc boire ces résidus de festival, titrant 43 degrés, en digestif. Les bouteilles seront prêtes à être vendues d’ici peu ! Les rhums Les rhums sont fabriqués à partir de mélasse de canne à sucre bio. Là où c’est beau et bon, il n’y a pas de colorant, d’additif, de sucre ou quoique ce soit. On est sur du rhum pur, qui a obtenu sa couleur (pour le rhum humble) au travers de son vieillissement. Le rhum blanc est issu d’une double distillation, puis mis en bouteille immédiatement après. Le rhum humble (ambré) a quant à lui vieilli 3 mois en fût d’acacia. Le fût d’acacia permet d’apporter des notes vanillées et caramélisées, ce qui donne un rhum rond et assez doux. Le rhum blanc est, à l’odeur, vanillé et fruité. L’arôme se révèle également fleuri et vanillé. On retrouve également des notes de fruits exotiques. Il y a également quelque chose de boisé. En clair, ce rhum est très riche en goût et s’apprécie vraiment pur. Le rhum Humble a été primé de bronze au Congrès International du rhum de Madrid en mai 2018. L’Esprit de bière Petite dégustation, on trouve un goût très présent de céréales et un peu de levures, en fin de bouche ressent légèrement du chocolat. Mais on ne retrouve pas le goût de la bière pour autant, ce n’est pas de la bière ne vous attendez pas à boire ça, vous seriez déroutés. Au nez, on perçoit un goût de malt. C’est une eau-de-vie donc c&rsqu...

Wagy Burgers du Père Claude : cuisine urbaine sur la rive gauche

Ayant littéralement baigné dans la cuisine française depuis sa tendre enfance, le maitre des lieux Ludovic Perraudin y puise toute son inspiration. Cependant, c’est son imagination culinaire surprenante qui fait toute la différence dans chacune de ses créations. Burgermania à Paris C’est dans un cadre entièrement renouvelé que le fils Ludovic opère toute sa magie. Installé derrière son comptoir, ce chef gastronomique élabore des burgers comme vous n’en dégusterez pas ailleurs. Au choix : plus d’une dizaine de variétés. Parmi les burgers qui ont reçu le plein d’éloges de la part des clients figure le Black Spicy, composé de steak de viande bovine française, de pickels, tomate, oignon, cantal AOP, sauce pimentée, tabasco, fleur de sichuan (petit bouton de fleur du sud de la Chine), salade de type iceberg ; le tout enrobé de pain à l’encre de seiche, dont l’apparence noire apporte un contraste au plat. Dans le registre végétarien, le burger Veggie fait le bonheur des foodies avec sa crème truffée, champignons de Paris, tomate, cantal AOP, escorté d’une galette de pommes de terre qui ne cannibalise pas les saveurs des ingrédients mais, bien au contraire, en affirme le gout. Des viandes de qualité Pains issus du boulanger Au Bon Louis, sauce maison, fromage affiné, viandes d’origine française, recettes originales : telles sont les combinaisons gagnantes qui ont fait le succès de Wagy Burgers du Père Claude. La maison va même jusqu’à proposer des steaks de bœuf Wagyu, appréciés pour leur délicatesse, leur texture tendre et persillée. Une cuisson à point est recommandée aux clients afin de savourer au mieux ces viandes d’exception. ...

La tradition et la passion du rhum arrangé martiniquais

Lancés en décembre 2016, à Montlouis-sur-Loire, par David Grougi, Les Potions Créoles sont des punchs au rhum élaborées grâce à de traditionnelles et familiales recettes des Antilles. Produites par la seule main de David Grougi, les 2000 bouteilles annuelles représentent le résultat de la passion et de l’efficacité. Une fabrication entièrement artisanale pour un goût authentique La fabrication des Potions Créoles est 100 % artisanale et manuelle. Elle s’appuie sur la rigoureuse sélection de fruits frais à maturité, garantissant ainsi le meilleur échange aromatique avec le rhum agricole AOC de Martinique. La macération est réalisée, par le biais de bocaux de verre de 5 litres chacun, selon la tradition antillaise. Après le retrait des résidus de fruits, l’ensemble est arrangé d’un sirop de sucre de canne maison et d’épices des Antilles avant d’être manuellement mis en bouteille. L’absence de fruits apparents dans ces Potions Créoles permet au consommateur de ne pas être lésé au niveau de la quantité liquide de la bouteille et lui propose également un goût non altéré. Des potions diversifiées et récompensées Depuis un peu plus d’un an et demi, 5 potions créoles ont été lancées. Avec un succès tant commercial que critique et honorifique. C’est notamment le cas du punch au gingembre et au citron vert qui a remporté la médaille d’or du concours Top Rum 2018. Ce rhum arrangé équilibré possède une belle signature fruitée, titrant à plus de 30 degrés. Le punch coco n’est pas vraiment en reste. Car, fort de sa médaille d’argent obtenue lors du Concours Général Agricole de Paris en 2017, cette boisson, aux saveurs sucrées et à la texture crémeuse, est arrangée par un mélange de sucre de cannes et d’épices et titre à 11 degrés. Médaille de bronze au concours Top Rum 2018, le punch banane flambée, dont la préparation est filtrée à plusieurs reprises, rend une note finale, gourmande, suave et élégante titrant à plus de 29 degrés. Vendu en édition limitée, le punch fraise nécessite l’apport de fraises de Touraine, sélectionnées à maturité et cueillies à la main. Avec sa teinte grenat soutenue, son onctuosité et son fruité délicat cette boisson de l’été titre à 29 degrés. Commercialisé depuis juin dernier, le punch fruits de la passion est une potion élaborée à partir de Maracujas de la Martinique. Avec son goût fruité et acidulé, le Maracuja apporte une fraicheur aromatique surprenante titrant à 34 degrés. A ces 5 Potions Créoles s’ajouteront, tout prochainement, deux autres. Disponibles à partir du mois d’août prochain le punch duo de citrons (jaune et vert) et celui à la cacahuète viendront compléter une gamme déjà diversifiée et combler encore plus nos papilles gustatives. ...

Restaurant Monsieur Bouillon : le poulet, les œufs et toutes leurs déclinaisons

Le propriétaire du Monsieur Bouillon, le chef Philippe Chevrier est notamment connu en Suisse pour sa cuisine étoilée au Domaine de Châteauvieux, seul restaurant 2 étoiles Michelin du canton de Genève mais aussi pour l’originalité et la diversité de ses autres établissements . Il possède en effet 6 restaurants qui ont chacun leur particularité. Si le bar tea-room Les Aviateurs intrigue par exemple par son concept et par sa décoration, le restaurant Monsieur Bouillon est le seul à Genève à dresser toute sa carte autour de 2 produits que nous avons l’habitude d’utiliser quotidiennement. L’œuf et le poulet à l’honneur Les deux produits phares du Monsieur Bouillon, ce sont l’œuf et le poulet. La volaille étant l’un des produits favoris du chef Chevrier, il a choisi de travailler avec des éleveurs locaux. Ce choix a aussi été motivé par les nombreuses possibilités offertes par le poulet et l’œuf en cuisine. Accompagné d’un produit de luxe comme la truffe noire, le poulet devient en effet un plat raffiné. Mais il peut aussi être associé à des recettes simples comme les œufs brouillés ou les œufs à la coque. En outre, le restaurant propose aussi au second plan d’autres viandes et du poisson. Au restaurant Monsieur Bouillon, la cuisine change selon la saison pour faire place à des touches méditerranéennes, à quelques plats végétariens et même à des plats exotiques inspirés de la cuisine japonaise comme les brochettes yakitori et les œufs de poisson. La carte du Monsieur Bouillon satisfait ainsi un très large public. Mais la variété des recettes n’est pas le seul atout du restaurant, il plaît aussi aux genevois pour d’autres raisons. Pourquoi Monsieur Bouillon ? Le chef Chevrier a choisi le nom du restaurant en pensant aux bouillons parisiens, ces endroits où les ouvriers pouvaient manger rapidement dans une ambiance très conviviale. En ouvrant le Monsieur Bouillon, il voulait recréer la même atmosphère tout en s’adaptant au marché local de Genève. Pour ce faire, le chef Chevrier a choisi un décor chic et moderne avec l’aide d’un architecte d’intérieur. Dans ce restaurant si particulier, le cadre est élégant et le service rapide. Le restaurant est accessible à tous au niveau des tarifs et la qualité toujours au rendez-vous. Il ne cuisine en effet que des poulets Romands certifiés IP Suisse, élevés en plein air. Les œufs sont également labellisés Genève Terre Avenir. Ils sont produits dans la Ferme de la Pièce à Céligny, dans la campagne de Genève. Et comme le dit le chef Philippe Chevrier, « le chef n’est pas la star, ce sont les produits. » Par ailleurs, le Monsieur Bouillon est aussi connu pour la générosité de sa cuisine, à l’instar des autres restaurants du chef. La cuisine axée autour de ces deux ingrédients est dirigée par le chef Simone de Santis. Un italien qui a été formé par le chef Chevrier lui-même dans ses autres établissements avant de prendre ses fonctions au Monsieur Bouillon. Un espace à privatiser Situé en plein cœur des quartiers des banques, le Monsieur Bouillon accueille en semaine une clientèle business. Le soir, il y règne une ambiance citadine et le week-end, il accueille de nombreuses familles. Outre le restaurant, le Monsieur Bouillon met aussi à la disposition de tous ses clients un espace privatisable à l’étage. Il s’agit d’un lounge qui peut accueillir différentes sortes d’évènements tels les lancements de produits et les cocktails dinatoires. Dans la même ambiance que le restaurant, le lounge est mis en valeur par des tableaux d’artistes, des œuvres d’art et des meubles vintage. ...

Champagne Cattier : quand l’histoire révèle l’excellence

La vigne s’étend sur 33 hectares où s’épanouissent Pinot noir, Chardonnay et Meunier. En sus de cet espace, la maison Cattier acquiert dans les années 50 un clos de 2, 20 hectares, rare dans la région. Une cuvée porte son nom « Clos du Moulin » reflétant toute l’élégance de la parcelle, avec son assemblage de trois précieux millésimes. La cave centenaire est lotie sous la maison familiale, avec une capacité de stockage de 2 millions de bouteilles. Une saga familiale vouée aux vignes Le domaine Cattier, familial et indépendant, est aujourd’hui dirigé par Alexandre Cattier. Le sang des vignes bat le cœur de sa prestigieuse histoire, riche en événements et en émotions. Jean Cattier père, blessé pendant la Grande guerre, revient cultiver ses vignes en 1916 et commercialise ses premières bouteilles de champagne en 1918. C’est dans les années 60, que le domaine développe son activité et champagne Cattier devient un des plus importants récoltants manipulants de la Champagne. Dans les années 70, Jean-Jacques, fils de Jean Cattier fils,  prend la relève et développe l’export en Europe et dans le monde, dès les années 80. En 2006, il lance une nouvelle marque « Armand de Brignac » qui sera consacrée  « Meilleur champagne du monde »  en 2010. Depuis 2011, c’est son fils, Alexandre, qui reprend les rênes du domaine après des études en Australie. Œnologue de métier, porté par son héritage, il oriente le domaine vers la culture raisonnée. Les Champagnes Cattier sont aujourd’hui certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum), et Viticulture durable de Champagne (VdC). L’art de l’assemblage et le respect de la terre se révèlent dans chaque opus du domaine. Des champagnes d’excellence à savourer comme on porte une coupe d’histoire à ses lèvres. ...

Château Chatain : quand l’art des vignes devient art de vivre

L’amour du terroir et des valeurs transmises. Le goût des autres, aussi, et celui de l’authenticité. Christine et Hugues de la Guéronnière portent avec passion un héritage familial ancré dans l’histoire depuis 1928. Si le vignoble rencontre ses lettres de noblesses dans les années 50, il n’a pas cessé de les honorer depuis. Terroir et artisans oeuvrent ici conjointement à créer le meilleur. Un terroir et un savoir-faire complices derrière des vins d’exception Les vignes du Château Chatain, d’une moyenne d’âge de 50 ans, content les vallées, la Barbane, les sources d’eau qui les traversent et un sol graveleux -argilo-limoneux, dans lequel elles puisent minéralité et caractère. La hauteur des feuilles, l’ébourgeonnage, le labourage au tracteur : Christine de la Guéronnière perpétue un savoir-faire acquis de son père, Hugues tout en organisant le domaine dans un esprit d’agriculture raisonnée. Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Malbec sont cueillis à maturité par les mains attentives des vendangeurs. Puis vient l’assemblage, ces précieux instants où l’alchimie s’invente, à l’écoute des cépages et de leurs aromes. Les vins sont élevés en fûts de chêne, où ils révèleront leur quintessence au bout de douze mois ou plus. Le domaine utilise même un pressoir hydrolique de 1900, assurant un pressurage lent mais qualitatif. Ici, la productivité n’est pas le maître mot et ne se fait jamais au détriment du « très bon ». Dans leur robe rouge rubis, les vins Lalande de Pomerol du Château Chatain profitent aussi de label européen AOP. Médaillés, salués par les critiques, les opus libèrent leur tanin puissant et subtil. Rondeur et longueur en bouche révèlent une complexité à la profondeur tranquille et veloutée. Le fruit s’exprime dans toute sa primeur. Un domaine dynamique et inspiré La famille de la Guéronnière compte artisans, artistes et voyageurs depuis plusieurs générations : vigneron, ébéniste, pianiste polyglotte. Une ouverture d’esprit qui amène Christine de la Guéronnière à étudier dans le commerce international et à voyager elle-même, avant de rejoindre le domaine pour y semer son énergie solaire. Équipe, amis, famille, voisins prêtent main forte, fédérant une dynamique locale impliquée et unie. Marie de la Guéronnière, la sœur cadette de Christine, a rejoint cette année le vignoble, après une carrière en tant que comédienne, metteuse en scène et Directrice de théâtre en Irlande. Une heureuse présence promettant quelques rendez-vous artistique in situ. La solidarité avec les châteaux voisins est palpable, tout comme la convivialité que le domaine entretient avec les cavistes, les restaurateurs locaux, avec un goût prononcé pour les plus inventifs. Au Château Chatain, on aime le bon vin mais aussi les bonnes idées. Quand oenotourisme rime avec imagination Et côté idées, le Château n’est pas en reste. Des visites œnologiques donnent à découvrir terroir, savoir-faire et histoire. Des jeux d’assemblage permettent aux visiteurs de recevoir quelques secrets de cette « cuisine des dieux ». L’été, on y organise des barbecues champêtres où savourer produits du terroir mais aussi des apéritifs fluviaux à Libourne. Avec d’autres partenaires locaux, le domaine proposent des visites en calèche, en tuk-tuk, en vélo ou en side-car. Des moments joyeux qui pensent à toute la famille, toujours clos par une dégustation savoureuse. Le bonheur s’invente chaque jour au Château Chatain, qui le partage volontiers, de grands vins en bons moments. ...

Champagne Cordeuil :
le goût de l’authenticité, l'élégance d'un champagne bio

C’est sur le terroir de la Côte des Bar que les cuvées Cordeuil puisent leur typicité et leur mosaïque aromatique. Au cœur de la Champagne-Ardenne, dans le département de l’Aube, le vignoble de quatre hectares est ancré sur une terre propice à la viticulture. Salima et Alain y cultivent essentiellement 2/3 de pinot noir et 1/3 de chardonnay selon les principes de la viticulture biologique depuis 2012 et ont reçu la certification en 2015. La marque s’est engagée de façon officielle avec l’organisme ECOCERT afin d’offrir « une visibilité claire et indéniable au consommateur désireux d'un champagne sans intrants chimiques, sans pesticides », fait savoir Salima. Rigoureux dans la viticulture, ce couple de récoltants-manipulants l’est aussi dans la vinification. A la cave, les vins sont vieillis plusieurs années de façon à favoriser la meilleure expression de leur caractère. « Après tout, en Champagne, c’est au vigneron de faire vieillir son vin et non au consommateur » déclare notre interlocutrice. Ainsi, les vins issus de la gamme de 2011 n’ont été mis en vente qu’à partir de 2016. Une gamme qui s’étend d’année en année De ces procédés particulièrement stricts naissent les quatre cuvées de qualité qui ont « de la bouteille (de l’âge) ». Depuis 2014, la maison a produit une cuvée mono parcellaire appelée Les Charmottes, selon une démarche lente et attentive afin d’atteindre singularité et authenticité. Salima nous confie qu’ils sont également en train de travailler un mono parcellaire Blanc de Blancs qui constituera leur sixième cuvée. ...

Vins Klipfel : fierté de l’Alsace

Artisan de la terre et amoureux du vin, la famille Klipfel se démarque pour son savoir-faire séculaire. Elle possède en tout quatre terroirs répartis chacun dans différentes communes : le grand cru Kirchberg-de-Barr et le Clos Zisser se trouvant dans la commune du Barr ; le grand cru Wiebelsberg et le grand cru Kastelberg situés dans la commune d’Andlau. Une autre particularité de la Maison est qu’elle fait partie des pionnières dans l’élevage de pinot noir en barriques bourguignonnes, dit « rouge barrique », en 1984. Le meilleur de l’Alsace L’Alsace est incontournable dans l’histoire de la France. Berceau de La Marseillaise, c’est sur cette terre bénie que sont nés les grands noms de la Révolution française tels que Kléber, Kellermann et Dreyfus. Son patrimoine culturel fait d’elle l'une des régions les plus touristiques d’Europe, avec plus de 250 musées à son actif. Ses vignobles s’étendent sur plus de 15 000 hectares et produisent principalement du vin blanc, mais aussi des effervescents, du rouge et du rosé. Tous sont réputés pour leur aromatique puissante et leur équilibre remarquable entre maturité et acidité. Le domaine familial Klipfel contribue à préserver la notoriété des vins alsaciens en optant pour une fabrication traditionnelle dont il est le seul à en avoir le secret. Le produit emblématique de la Maison est le pinot gris grand cru Kirchberg-de-Barr, sélection grains nobles 2007, issu de cépage pinot gris. Ce vin aux arômes fruités est puissant en bouche. Autre incontournable : la cuvée Louis Klipfel-Vieilles vignes 2015, issu de cépage pinot blanc, tendre et léger qui s’accorde bien avec les spécialités alsaciennes ou les fruits de mer. ...

Champagne F. Cossy : l’union scellée entre femme et champagne

C’est dans la partie occidentale de la montagne de Reims, au cœur du village de Jouy-lès-Reims, que le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier puisent leur structure, leur rondeur et leurs notes suaves. Ce terroir d’exception classé premier cru est l’expression de la mélodieuse symphonie d’arômes et de goûts qui caractérise chacune des cuvées Cossy. Une symbiose intime et sensible avec leurs vignes Les champagnes fruités et gourmands de la maison puisent leur richesse dans un sol poreux et une exposition optimale conférant touche florale et subtilité à chaque cuvée. Cette terre bénie, cette nature généreuse et cet environnement résolument dédié à la vigne sont choyés par des propriétaires écologistes dans l’âme et intimement liés à leur vignoble. « Nous avons revu les pratiques culturales vers une viticulture durable suivant une volonté de produire mieux dans le respect de la nature et des êtres vivants », nous confie Sophie Cossy. Le charme du champagne au féminin Les femmes Cossy, d’une main de maître, s’attèlent à exprimer le meilleur de leur terroir au travers « d’une exploitation tournée vers la féminité et d’un champagne fruité, floral, au caractère printanier et doté d’une rondeur et d’une finesse élégantes », nous raconte notre interlocutrice. Assemblage au gré des émotions, maturation aboutie et vieillissement optimal s’accordent à « l’équilibre traditions-modernité et à la sensibilité tant émotionnelle que technique qui accompagne la conception du vin ». Cette singularité féminine confère ainsi au champagne Cossy tout son charme maintes fois récompensé, à l’instar de la cuvée Origine, équilibrée et somptueuse en bouche, médaillée d’or en 2013 et en 2014 au concours international Gilbert et Gaillard. Des millésimes d’histoire et de secrets, à l’instar de la cuvée Vieilles vignes, médaillée d’or au même concours en 2012, viendront également sublimer vos instants galants de par leurs saveurs fruitées révélées dans des bulles pétillantes de fraîcheur. ...

Poudre de baobab Ecoidées : un super-aliment bio issu du commerce équitable

Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient.   La poudre de baobab : un pré-biotique naturel Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. » Le baobab : une filière équitable Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle. ...

L'Épicurien, les petits plaisirs de la vie

Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...

Rendez-vous aux Remparts pour une expérience culinaire mémorable

À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil.   Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant.  Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible).  Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie…  La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges.  Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...

Cave des Vignerons de Pierrevert : l’union fait la force

Le palmarès de la Cave des Vignerons de Pierrevert montre que leur union porte ses fruits. En 2016, elle est représentée sur tous les marchés du podium au Concours Général Agricole de Paris. En tout, elle a remporté cinq médailles dont deux médailles d’or pour l’AOP Pierrevert rosé 2015 et IGP bio rosé 2015, une médaille d’argent et deux bronzes. Au Concours des vins IGP de France VINALIES, trois médailles d’argent lui ont été décernées.   Une Coopérative Ceci est l’histoire d’une centaine de viticulteurs qui décident de s’allier pour mieux produire et mieux vendre leurs vins. La coopérative « c'est d'abord un projet d'hommes et de femmes s'inscrivant dans une volonté commune de performance » selon Corinne Campana, responsable commercial. Auguste Bastide fonde en 1925 la Coopérative Vinicole Agricole des Coteaux de Pierrevert. C’est la seule coopérative vinicole des Alpes-de-Haute-Provence connue à ce jour, après la fusion avec les Coopératives de Villeneuve et de Quinson en 1992 et avec la Coopérative de Manosque en 1998. L’objectif du projet est de « proposer une large gamme de produits, adaptée au marché et capable d'évoluer rapidement en fonction de la demande des consommateurs » raconte Corinne. La structure composée de cent vingt viticulteurs produit donc des vins rouges, rosés et blancs en AOP Pierrevert, IGP des Alpes-de-Haute-Provence, IGP cépages Cabernet Sauvignon et Merlot et enfin Vin de France « rosé fruité ».   Petra Viridis La Cave de la coopérative des vignerons de Pierrevert a atteint ses 90 ans en mars dernier, elle a beaucoup évolué depuis sa création. Le savoir-faire traditionnel des viticulteurs côtoie aujourd’hui les matériels modernes qui interviennent dans le processus de transformation du vin comme les pressoirs pneumatiques, cuves inox réfrigérées et groupe de froid. Cela permet à la Petra Viridis de produire « des vins qui portent la signature du terroir »   Le Terroir Le terroir recouvre une surface de 400 hectares qui concerne une dizaine de communes autour de Pierrevert, sur les contreforts de la vallée de la Durance et sur le site de Quinson. La qualité du sol, le climat et surtout le travail des vignerons dévoilent à travers leurs vins les particularités de ce terroir. Les cépages prédominants sont le Grenache noir et la Syrah. Le reste inclut le Merlot, Cabernet Sauvignon, Muscat de Hambourg, Muscat petits grains, Vermentino et Grenache blanc.    ...

Quand les huîtres de Bretagne s'invitent à notre table...

Même si nous la dégustons tout au long de l’année, l’huître de Bretagne a sa propre Histoire avec des caractéristiques bien particulières parfois méconnues mais aux multiples bienfaits et facettes qu’il est bon de connaître. Cette « Star » des gastronomes possède en sa coquille de multiples atouts dont Cancale, en Côte d'Émeraude, Capitale de l’Huître en France depuis François 1er, et inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco grâce à son savoir-faire en matière d’ostréiculture. Huître de Bretagne, une Histoire au fil des siècles L'histoire des huîtres en Bretagne-Nord remonte à la nuit des temps. De la Préhistoire à l’Antiquité, on la retrouve dès le VIe siècle dans les fastueux banquets de l’Empire romain, où l'huître plate de Bretagne avait déjà conquis une place de choix dans les menus. Importées par Rome depuis les côtes bretonnes lors des invasions en Gaule, ces délices marins ont traversé les âges. Un parcours parfois tumultueux, qui au fil des siècles, s’est toujours invitée à la table des plus fins gastronomes. Même si leur présence s'est estompée au cours du Moyen Âge, on la retrouve sous le règne de Louis XIV où l'huître retrouve ses lettres de noblesse, au point que le monarque en faisait sa pitance matinale. Au XVIe siècle, François Ier lui-même, épris de gastronomie, ne tarissait pas d'éloges sur l'huître de Cancale, contribuant à rehausser son statut. Le port et les côtes bretonnes deviennent alors le cœur battant de cette industrie florissante. Des étendues d'élevage s'étendent des baies de Saint-Malo et de Saint-Brieuc jusqu'aux côtes du Trégor et à la rade de Brest. Cependant, la frénésie d'exploitation au XVIIIe siècle engendre une surexploitation des ressources, menaçant la pérennité des bancs d'huîtres plates. Un édit royal intervient alors, interdisant la pêche du 1er avril au 31 octobre pour permettre la régénération de ces précieuses populations marines. Alors que les premiers conchyliculteurs utilisaient des coquilles d'huîtres disposées le long du rivage pour favoriser le développement des larves, c’est grâce à Victor Coste, médecin naturaliste au service de Napoléon III et de Ferdinand de Bon, commissaire de la Marine, que les prémices de l’ostréiculture moderne ont vu le jour au milieu du XIXe siècle. Leur méthode révolutionnaire, axée sur la restauration des bancs d'huîtres plates décimés par une surpêche, introduisit l'utilisation de collecteurs dédiés à la récupération des larves, instaurant ainsi un contrôle plus efficace du cycle de croissance et de récolte. De nos jours, les techniques d'élevage évoluent, accompagnées par le perfectionnement des outils d'exploitation et par une volonté permanente des jardiniers de la mer à s’assurer du respect des écosystèmes marins et de l’environnement (voir vidéo ci-dessus). Ce développement marque une nouvelle ère pour l'huître de Bretagne-Nord, assurant sa préservation et son rayonnement pour le plus grand plaisir des gastronomes. Huître de Bretagne, un merroir d'exception Les huîtres en Bretagne révèlent une diversité captivante en douze crus distincts, s'étendant de la majestueuse baie du Mont-Saint-Michel avec Cancale à la rade de Brest en passant par Paimpol, Tréguier, Arguenon, Fresnaye, Morlaix-Penzé, rade de Brest, les Abers, , offrent un éventail exceptionnel de terroirs propices à l'élevage de ces délices maritimes. Tel un vignoble ou en l'assemblage d'un vin avec ses multiples cépages, chaque cru d'huîtres, reflet fidèle de son terroir, dévoile des caractéristiques singulières, offrant ainsi une palette de saveurs uniques aux fins gastronomes. Ainsi, les ostréiculteurs, ces jardiniers de la mer, maîtrisent l'art minutieux de l'élevage des huîtres en Bretagne. Leur métier exige une expertise rigoureuse, de la pose des collecteurs pour capturer les larves jusqu'au délicat processus de demi-&ea...

La Bastide des Magnans :
une cuisine aux couleurs de la méditerranée

La bastide en pierre de Christian Bœuf se situe au cœur du village de Vidauban, commune viticole du Var sur les bords de l’Argens dont le fleuve aux eaux miroitantes à la couleur blanche fait référence au précieux métal : l’argent. Depuis que Christian Bœuf a remis sa toque et les fourneaux à son ancien commis Christophe Ciotta, devenu second puis Chef, la cuisine du restaurant a su conserver sa flamme et le culte dédié aux saveurs provençales de la Méditerranée. Ce jeune chef inspiré et passionné a l’exigence des plus grands : celle de satisfaire avant tout la clientèle de la Bastide des Magnans. Une cuisine aux parfums de la Méditerranée Christophe Ciotta, un Chef très inspiré, a redynamisé la cuisine du restaurant de la Bastide des Magnans. Ce maestro se distingue par la justesse de sa cuisson qui exalte les arômes. Ses plats se basent autour des saveurs simples et authentiques du terroir méditerranéen à l’exemple le Saint-Pierre au poivron grillé cuisiné à base d’huile d’olive au basilic. Des recettes classiques telles que le ris de veau ou les Saint-jacques figurent également à la carte. Ici, tous les produits issus de la région sont mis en valeur : huile d’olive, thym, romarin et citron confit accompagnent les assiettes de poissons et de viandes blanches et donnent toute la couleur à cette cuisine provençale. Les propositions de la maison Quatre formules sont suggérées par l’établissement pour découvrir  une cuisine pétillante d’un Chef qui affectionne les beaux produits. Outre la formule du midi, la maison offre un choix entre la carte du restaurant le menu des Magnans, le Menu Terroir et le Menu gourmand à la Truffe. Le menu des Magnans présente une assiette avec sept produits différents qui évolue au fil des semaines et des saisons. Deux plats de viandes et un poisson accompagnés de légumes du moment tels que les fleurs de courgettes s’y ajoutent. La Langoustine est alors accompagnée de mijoté d’asperges. La maison propose aussi des menus à thème qui rythment les saisons. Chaque mois est dédié à un produit en particulier : la truffe par exemple en janvier, la pomme en septembre, le gibier en octobre ou les crustacés en novembre. Une équipe de choc Le personnel du restaurant de La Bastide des Magnans forme une équipe aguerrie. Les 25 années de collaboration entre Christian Bœuf et Christophe Ciotta commencent à La Maison des Vins aux Arcs-sur-Argens. C’est là que Christian a acquis toutes les connaissances qui lui permettent aujourd’hui d’orienter les clients sur les vins. A la carte, les grands crus classiques sont présents toute l’année mais le reste évolue au fil des rencontres.  Plus d’une soixantaine de références est proposée avec une prédominance des domaines varois. ...

La Bocalerie, un restaurant traditionnel par excellence

Si les Pays de la Loire sont considérés comme une des plus grandes régions gastronomiques françaises, c’est grâce à la qualité de ses produits régionaux, dont les plus célèbres sont les champignons de Paris, les pommes de terre nouvelles et la fleur de sel de Noirmoutier. La région Pays de la Loire : cuisine et produits du terroir Des célèbres pains cuits au four de Vendée aux rillauds d'Anjou, en passant par les rillettes de la Sarthe, le petit-beurre de Nantes et la brioche vendéenne, les spécialités culinaires régionales sont nombreuses, diversifiées et répondent aux gouts les plus divers. On y trouve aussi le vignoble du Muscadet, qui couvre une superficie de 13 000 hectares et qui produit plusieurs types de vins, dont le plus connu est un vin blanc sec d'appellation d'origine contrôlée depuis 1937. La région des Pays de la Loire élabore aussi la célèbre liqueur de Cointreau, qui sert à la préparation de cocktails. Elle est produite dans la banlieue d’Angers depuis 1849. La Bocalerie, un promoteur des produits du terroir français Créé en 2010, La Bocalerie est dirigé par Éric Piquet, pâtissier et cuisinier, qui, après avoir exercé ses talents culinaires à Nantes, travaille aujourd’hui dans son restaurant avec 3 personnes qui ont pour défi quotidien de satisfaire les clients. Objectif : allier la restauration traditionnelle aux tendances modernes de consommation. En effet, les Français n’ont plus assez de temps pour cuisiner et optent pour des plats rapides à préparer, déjà prêts ou à emporter. Ainsi, les clients du restaurant peuvent consommer sur place ou emporter les plats dans des bocaux. La Bocalerie à été le premier restaurant à proposer des plats à emporter dans des bocaux. Conscient du lien existant entre la bonne alimentation et le bien-être, Éric Piquet utilise à 99 % les meilleurs produits du terroir. « Nous créons les recettes au gré des saisons. Nous travaillons avec des produits bio comme les carottes, les pommes de terre, les poireaux et bien d’autres légumes. On teste et on goute les produits avant de les utiliser », nous explique-t-il. Le prix moyen d’un repas est de 12 €.  Recettes phares et desserts savoureux En hors-d’œuvre, plusieurs choix possibles de salades avec notamment les betteraves aux échalotes, les carottes râpées au vinaigre de framboise, mais également le fameux tartare de tomates. En plat, la Rougaille saucisse, une des recettes trés appreciées à base de saucisses fumées cuites dans une sauce tomate relevée d'épices et servis avec un riz basmati. Un plat généreux qui ne coute que 6 €. Autre classique de la maison, le bœuf sauté aux poivrons confits, un plat à base de bœuf mijoté longuement et accompagné de pommes de terre au four et de poivrons frais. Le sauté de veau aux légumes provençaux, le poulet rôti façon César et le Coleslaw sont également de délicieuses spécialités du restaurant qui font le bonheur des convives.  Bien sûr, le repas s’accorde parfaitement avec des vins rouges et rosés. Pour terminer sur une note sucrée, la Bocalerie propsose une sélection de desserts avec au programme ; tarte au citron meringuée, mousse au chocolat noir, tarte aux fraises, crème ivoire pistache ou encore le fameux smoothie à base d’ananas frais et de pousses d’épinards. Des desserts savoureux que l’on déguste avec plaisir. ...

Domaine du Stromberg : des vins régulièrement primés

Sur ce vignoble de 9 ha, Jean-Marie Leisen et Thierry Caboz élaborent des vins blancs, rouges et rosés, qui se hissent parmi les références de l’AOC Moselle. Des cépages typiques Parmi la dizaine de références du domaine, deux cuvées sortent du lot : « Les Contemplations » et « Le Chemin de croix ». Des vins issus d’un assemblage d’auxerrois, de pinot gris et de müller-thurgau, les cépages typiques de l’AOC Moselle et qui séduisent par leur rondeur et par leur caractère. ...

L'empreinte by Yannick lecoq

Située sur l’avenue Carnot, L’empreinte By Yannick Lecoq se veut simple mais raffiné. Le restaurant propose trois  espaces aussi attirants et surprenants les uns des autres. Le premier propose un cadre contemporain avec une cuisine ouverte qui offre un spectacle inédit d’où il est possible d’observer le chef et son équipe. Ici, le partage et la convivialité sont les maitres mots. Dans le deuxième espace, l’ambiance est beaucoup plus intimiste. L’alliance du beige et du noir reflète le côté sobre et élégant du lieu tandis que la baie vitrée illuminant la salle procure une touche de douceur à l’ensemble. Et, durant les beaux jours, la grande terrasse permet de savourer à l’ombre du figuier, les délicieuses créations culinaires du chef. « Empreinte culinaire » Doté de vingt ans d’expérience, le chef Yannick Lecoq a réussi à affiner son « Empreinte culinaire ».  Aujourd’hui, c’est au sein de son propre restaurant L’empreinte by Yannick Lecoq qu’il exprime et partage son talent. Fidèle aux valeurs de l’établissement, Yannick propose une cuisine raffinée à base de produits frais et de saison. Inspirés de ses voyages et de ses envies, ses plats sont aussi savoureux que créatifs. Chaque bouchée promet un voyage culinaire transcendant. Le souci du détail est mis en avant : un parfait équilibre au niveau des assaisonnements, un respect au millimètre près de la cuisson et un accord subtil des saveurs. Par ailleurs, le chef apporte une attention particulière aux produits. Dès leur sélection, il se montre extrêmement exigeant pour assurer la qualité et la fraicheur de ses plats et s’approvisionne autant que possible sur le marché local. Lors de la préparation, il veille à ce que les produits ne soient pas dénaturalisés. En outre, le chef apporte aussi un intérêt particulier aux vins. Etant un grand passionné, il veille à assurer les meilleurs accords. L’occasion pour les convives de découvrir la collection du restaurant comprenant 150 références environ. « Une cuisine qui s’adapte » Au menu, quatre formules différentes allant de 17 à 52 euros sont présentées. Pour chacune d’entre elles, les convives ont droit à une entrée, un plat et un dessert. A partir de 40 euros, un plateau de fromages de la Maison Mons vient s’ajouter à la liste. Pour les gourmands aventuriers, la formule à 52 euros leur est spécialement dédiée. Celle-ci est constituée de plats surprenants et authentiques comme le fameux Opéra de foie gras « pomme, pain d’épices et fruits de la passion », l’un des plats signatures du chef. A la carte, les convives choisissent entre : trois entrées, trois plats et trois desserts. C’est l’occasion idéale de déguster la fraicheur des entrées comme le tartare de saumon au citron et à la ciboulette ou encore les asperges blanches de Provence à la vinaigrette et au fruit de la passion, accompagnées d’un œuf poché. Le mélodieux repas s’enchaînerait ensuite sur un magret de canard au vinaigre balsamique ou  une délicieuse souris d’agneau braisée au jus de cuisson à la tomate. Et pour finir, une note de douceur avec la salade d’orange à la vanille de Tahiti ou la crème marquise au chocolat et framboise. ...

Champagne de Villepin : réflexion autour de la qualité et de l’environnement

Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Un détail qui caractérise les champagnes de Villepin, comme l’explique Bruno de Villepin : « Ces terres dites fortes, lourdes, sont à l’origine de la forte personnalité de nos cuvées ». Pour conserver cette particularité, l’exploitation effectue un gros travail dans le domaine de la viticulture, afin d’obtenir une qualité constante de ses raisins, gage de la qualité de ses vins. Une lutte raisonnée est notamment appliquée au sein des vignes, dans une volonté de préserver les belles spécificités de ce terroir champenois. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...

La Maison du Douanier : voyage bistronomique dans la Gironde

La Maison du Douanier a été entièrement rénovée en 2015 et abrite actuellement un restaurant bistronomique et des chambres luxueuses et modernes, dont « Margaux », « Estephe » et « Julien ». Une suite parentale composée de deux chambres dotées chacune d’un lit double bien douillet vient compléter cette offre.  Après les promenades et les visites, « les hôtes pourront se détendre tranquillement sur la nouvelle terrasse de la maison qui donne une vue imprenable sur l’estuaire de la Gironde », indique Vincent Moreau. Et de préciser aussi qu’« un grand parc avec des salons aménagés est également mis à disposition des clients pour se reposer, bouquiner, ou tout simplement se délecter d’un vin issu du terroir girondin ». Un voyage enrichissant au cœur de la Gironde Avec ses rives, la Gironde conserve un patrimoine historique et culturel essentiel. Les paysages sont éclectiques et les traditions girondines sont encore très présentes grâce aux différentes activités locales, notamment la pêche. Pour accéder à la Maison du Douanier, les visiteurs peuvent emprunter deux routes : « soit celle des petits ports de la Gironde (anciens ports de pêche et ports ostréicoles), soit celle des grands vins de Bordeaux », communique notre interlocuteur. Outre la visite des vignobles bordelais, la Gironde est « un attrait touristique énorme » proposant une multitude d’activités comme la découverte de l’église Saint-Christoly-Médoc – un édifice de style roman datant du XIIe siècle et qui est classé monument historique depuis 1925 – ou encore le Verrou de l’estuaire du célèbre architecte militaire Vauban, qui est constitué de la citadelle de Blaye, des forts Médoc et Paté.  Au menu : une cuisine bistronomique et végétarienne Outre les loisirs culturels et ludiques, les vacances invitent aussi au plaisir culinaire. Dans le restaurant de la Maison du Douanier, Jean-Luc Beaufils, le chef, se concentre sur la cuisine bistronomique qu’il définit comme « la revisite des plats classiques ». De style moderne et raffiné où le bois et les parquets sont mis en avant, la salle peut accueillir jusqu’à 57 couverts, contre 62 à l’extérieur. Le chef propose quatre types de menus, dont le Menu du Douanier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert), le Menu du Contrebandier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert) élaboré avec des produits plus nobles encore, le Menu du Chef (amuse-bouche/entrée/poisson/viande/pré-dessert/dessert) et le Menu végétarien. Pour le plaisir des fins gourmets, « nous travaillons uniquement avec des produits du terroir issus de l’agriculture biologique », souligne le responsable des lieux. En mai par exemple, le restaurant propose sa spécialité qui est composée de terrine de saison, chutney d'oignons et cerises griottes en entrée, joue de boeuf confite au thym citron, légumes printaniers acidulés, accompagnée de légumes printaniers acidulés comme plat de résistance ainsi qu’une alliance chocolat et du pralin de biscuit cacao au dessert. Quant au vin, la maison suggère la « Révélation de Castillon 2010 ». Petit scoop : « cette année, nous ouvrirons à proximité un second restaurant le 15 juin, qui s’appellera La Cabane du Douanier », nous souffle-t-on. ...