Aujourd’hui, nombre de consommateurs font attention à ce qu’ils mettent dans leur assiette. La volonté de manger des plats sains et légers, bénéfiques pour la santé, prend le dessus. Implanté à Névez, dans le Finistère, en Bretagne, le restaurant gastronomique Ar Men Du est conscient de cette nouvelle exigence. C’est pourquoi il propose une invitation tout à la fois à la gourmandise et aux menus bio : deux concepts qui se marient à merveille ! Un restaurant étoilé Michelin au cadre idyllique Pierre-Yves Roué, propriétaire des lieux, a su choisir un emplacement au cadre idyllique pour son restaurant. Le sens du service y trouve toute sa signification avec une équipe efficace et à l’écoute pour répondre au plus près aux demandes de la clientèle. Les prestations incluent également un service de petit déjeuner majoritairement fait maison, un luxe que les clients peuvent se permettre sur les lieux ! Dans un décor intimiste à l’ambiance élégante, le restaurant Ar Men Du offre une vue imprenable sur la mer. Au fil de leurs découvertes gastronomiques, les clients n’ont qu’une envie : celle d’y retourner pour retrouver des plaisirs gustatifs oubliés ou découvrir de nouvelles saveurs insoupçonnées, qui font rêver et voyager. L’esprit de famille à l’honneur, dans un tandem gagnant Dans les coulisses de l’Ar Men Du interviennent un talent culinaire : Jean-Marie Le Guen, ancien second de cuisine qui a pris la relève et remplace désormais son père Patrick Le Guen, une figure bien connue du carré des 3 toques Gault & Millau. Bien qu’il ait aujourd’hui laissé sa place à son fils, Patrick reste malgré tout présent en cuisine. Dans un bel esprit de famille, le duo travaille de concert pour proposer une cuisine raffinée, à la cuisson légère, où les légumes faits à la minute trouvent naturellement leur place. Ces ingrédients sont associés à la valeur sûre des produits de terre et de mer bretons, dans un concept résolument bio. Une pause gustative au cœur de la Bretagne Le chef s’est bâti une réputation dans l’art de préparer des plats aux saveurs authentiques et raffinées. Pour une halte gourmande au cœur de la Bretagne, l’Ar Men Du propose une carte riche en produits du terroir, fournis directement par des producteurs locaux. C’est aussi la garantie d’une qualité bio, exigée par le métier. Poitrine de porc aux ormeaux, turbot au jus de viande, tartares de bar de ligne et sashimis bretons font partie des plats signatures qui font la réputation de la maison, sans oublier le subtil ris de veau et le dessert d’agrumes raffiné. Une cave à vins d’exception Pierre-Yves Roué peut s’enorgueillir d’avoir réussi le défi de constituer une cave à vins particulièrement bien fournie, qui n’a rien à envier à celle d’autres établissements. En effet, le restaurant Ar Men Du est aujourd’hui en mesure de proposer une carte de près de 600 références, privilégiant deux régions phares réputées pour leurs vignobles, qui sont notamment les Pays de la Loire et la Bourgogne. La passion du métier aidant, toute l’équipe de l’Ar Men Du se fera un plaisir de servir des vins d’exception, qui accompagneront différents repas de famille ou de fête. ...
Bien que le restaurant ait conservé ses pierres apparentes spécifiques par nostalgie de la Bretagne natale des propriétaires, sa déco a été renouvelée avec gout pour apporter une plus grande modernité et un coup de jeune à l’ensemble. Situé à quelques distances des bords de Loire, à 12 km à l’ouest de Nantes, Le François II reste une belle découverte pour ceux qui ont la chance de s’y rendre. Aidé des « frères du chef », d’authentiques producteurs morbihannais en porc, veau et bœuf en cours de conversion à l'agriculture biologique depuis mai 2016, ce restaurant de proximité n’a de cesse de revisiter les classiques dans un effort constant pour faire apprécier à ses clients, les spécialités du terroir. Depuis 2005, le restaurant est distingué par le guide Michelin, d'un BIB gourmand et depuis octobre 2016, répertorié au sein de l’Association des Restaurants de Qualité sous l’égide du Collège Culinaire de France dans lequel co-participent les Chefs les plus étoilés au monde au guide Michelin dont Joël Robuchon et Alain Ducasse, membres co-présidents des Restaurants de Qualité. Le restaurant est aussi labellisé clé-verte depuis environ 3 ans. Une cuisine authentique Dans une salle aux tons sobres mais combien chaleureux, cette ancienne mercerie digne de la caverne d’Ali Baba fait le bonheur des gourmets et des gourmands avec son authentique cuisine traditionnelle. Le chef étant détenteur du titre de maitre restaurateur, les produits locaux sont principalement à l’honneur avec une qualité et une fraicheur assurées par les artisans et producteurs avec lesquels il collabore étroitement. À travers différentes formules, allez au hasard des découvertes qui s’avèrent également être de belles révélations. Entre la mousse de canard à la mingolette au cylindre de foie gras, les noix de Saint-Jacques poêlées à la vinaigrette de coriandre et xerès ou encore le délice pomme-poire, vous n’aurez que l’embarras du choix. Pour accompagner les plats, le choix de Solenn se porte sur une belle sélection de vins comprenant plusieurs appellations en bio et label Terra Vitis notamment. ...
Blotti au cœur d’un environnant exceptionnel avec le grand bleu en toile de fond, Cap Marquet est un cocktail de charme, de raffinement et d’art de vivre qui offre à ses clients une cuisine de haute tenue, particulièrement savoureuse et créative. Né d’un coup de cœur de Lou et David Altit pour la beauté naturelle des plages de Cap d'Ail et les alentours, le couple, amoureux et complice, décide en 2004 d’investir pour faire de ce lieu un petit paradis turquoise alliant chic, saveurs et détente. Une cuisine extra-fraîche dans le respect des produits, une atmosphère accueillante et chaleureuse, un service soigné, une équipe soudée, l’amour de la vie, des gens et des voyages … sont le socle de la philosophie de l’établissement. L’histoire d’une cuisine inspirée Pour mener à bien leur projet, le couple fait appel au savoir-faire et au talent du chef Jean-Luc Calista. Ce trio d’enfer partagera joie de vivre et amour de la bonne cuisine pour composer ensemble une carte à tomber. Passionné depuis l'enfance par la cuisine que lui faisait sa « mama » italienne, elle-même chef de métier, le chef n'aime rien autant que de cuisiner les produits en en respectant l'essence, en fonction des arrivages du marché (loup de ligne, daurade, turbot sauvage, Saint-Pierre, sole, homard ...). Son goût pour les associations les plus réussies de produits frais comble les gourmets par ses compositions savoureuses, inédites, aux cuissons parfaitement maitrisées. Parmi les plats cultes du CAP MARQUET figurent notamment le risotto Carnaroli aux 5 légumes, le spaghetti aux fruits de mer ou celle aux homards & asperges, la plancha de calamars, le tempura de gambas, les exceptionnelles poêlées de légumes et bien sùr, les très belles pièces de poissons grillés et leurs accompagnements originaux. Les suggestions du chef proposées chaque jour à l’ardoise sont également des grands moments de cuisine. Un cadre magnifique pour un moment de rêve Avec son lit de sable blanc, le restaurant-lounge Cap Marquet dresse ses murs dans un charme envoutant et un décor unique, à deux pas du magnifique sentier des douaniers du front de mer de Cap D’ail. Avec une capacité d’accueil intérieur et extérieur pouvant recevoir jusqu’à 450 personnes, il se déploie sur de beaux espaces dédiés, flexibles et ouverts, permettant d’accueillir tout type d’événements, privés ou professionnels (mariages, tablées familiales, petite virée en groupe d’amis, anniversaires, soirées d’entreprise, dîners d’affaires, expositions culturelles, manifestations sportives). ...
L’on peut faire attention à ce que l’on met dans ses plats, tout en goûtant aux fastes de la cuisine gastronomique. C’est notamment le cas quand on s’invite aux tables du Cheval blanc. Dans son cadre feutré et lumineux de la route de Wissembourg, à Lembach, cette adresse conjugue goût et bien-être autour de produits célébrant le local. Trois partitions pour un concerto de saveurs de saison Les plats que l’on sert aux tables du Cheval blanc célèbrent la tradition, tout en se parant de touches inventives et modernes. Au fil de ses trois menus riches en rebondissements, le chef joue la carte de la fraîcheur au rythme des saisons. Sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs du voisinage, il les intègre dans des recettes que les papilles découvrent comme un parcours d’exploration. Instant savoureux garanti. Ceux qui préfèrent un guidage en douceur ne manqueront pas d’essayer le « Cannelloni de foie gras poêlé », l'un des incontournables de la maison. Truffe fraîche râpée et sauce aux truffes noires enveloppent le plat d’un grand zeste d’élégance. Dans le même menu, inutile de résister au mariage surprise « Fraise/huile d’olive » pour clore en douceur la fin des réjouissances. Pour les plus connaisseurs, le « Homard bleu rôti en deux services » mêle les notes marines à d’étonnantes touches toniques mariant gingembre, curry doux et poire Williams. Instant suprême de dégustation, réservé aux fins gourmets de souche quand se déploie le menu Épicure. Le filet de bœuf prend des tournures opulentes quand il est servi avec un condiment aux framboises et une légère béarnaise. Le « Grand dessert du Cheval blanc » clôturera en douceur et en grande pompe le service. ...
A Moustiers Sainte Marie, le restaurant Le Jadis se présente comme un endroit de repos gustatif idéal après une journée touristique dans le parc naturel régional du Verdon. La maison privilégie les produits français comme la viande de bœuf, mais surtout locaux comme la chèvre bio de Moustiers et son fromage, l’agneau du pays élevé à proximité. Une cuisine traditionnelle Le restaurant Le Jadis propose une cuisine traditionnelle majoritairement fait-maison qui favorise les produits frais du terroir. Le Chef Romain Colin collabore avec les fournisseurs locaux pour s’approvisionner en chèvre bio, en agneau mais également la truffe lorsque c’est la saison. Très important, toutes les viandes sont exclusivement françaises (porc, bœuf, agneau). Tous ces produits régionaux sont préparés dans le respect des recettes traditionnelles. La carte et les menus proposent de succulentes suggestions. La salade du Verdon, un mélange de fromage bio de Moustiers, jambon cru, miel du producteur et des figues est l’une des signatures du restaurant. Les pieds et paquets, une spécialité marseillaise à base de panses et pieds d’agneau sont aussi proposés. Ces abats sont mijotés dans une sauce à la tomate, au vin blanc et aux herbes de Provence. La cuisson de cette recette doit être longue et à feu doux. Difficile de ne pas mentionner la fameuse côte de bœuf qui est la plus représentative de l’excellent rapport qualité-prix prôné par l’établissement. Les convives peuvent avoir 500 g de viande par personne pour 25 euros. Autre plat phare : la soupe au pistou qui est une soupe de Provence très parfumée et très nourrissante à base de basilic. La majorité des ingrédients sont composés de légumes à savoir les pommes de terre, carottes, haricots, haricots verts, courgettes et poireau. De la tomate est ajoutée avant une cuisson d’une heure. Pendant que le plat mijote, le basilic est préparé avec des gousses d’ailles, de l’huile d’olive, du parmesan et des pâtes. Cette soupe est meilleure lorsqu’elle est servie chaude avec du fromage rappé. Comme la maison veut combler tous ses convives, elle offre aussi des plats végétariens et bio comme les raviolis au tofu basilic, les pâtes bolognaises ou encore les gnocchis au broutin (spécialité fromagère bio à la sarriette et herbes de PROVENCE). Il ne faut pas oublier que Le Jadis est aussi une pizzeria. Les pizzas aux proportions généreuses ont une pâte fine et croustillante. Les ingrédients sont très variés, de quoi largement satisfaire toutes les envies. Un cadre authentique Le restaurant-pizzeria Le Jadis propose un cadre provençal, jovial et cosy. Des murs aux tables, en passant par les portes, tout est coloré. Dans la salle, le set de table a été créé par le faïencier Bruno Louis et la fresque murale qui représente le village donne une touche artistique. Au niveau du bar lounge, les vieux murs de pierres apparentes donnent un ton traditionnel quand les meubles apportent de la modernité. Dans ce village où le soleil est au rendez-vous toute l’année, la terrasse du Jadis est l’endroit idéal pour apprécier la tranquillité de cet environnement de charme. Un environnement préservé Les Gorges du Verdon, le plus beau canyon d’Europe, constituent un des plus beaux sites d’escalade de France grâce à ses falaises. Ils font partie des principales attractions touristiques de la Provence. Ce site grandiose appartenant au parc naturel régional du Verdon offre des panoramas immenses. Aux portes du canyon du Verdon, Moustiers Sainte Marie a gardé le charme des authentiques villages provençaux. Il est classé parmi les plus beaux villages de France et bénéficie du label « Villages et cités de caractère » grâce à son patrimoine architectural et paysager exceptionnel. Ce village est reconnu pour la création de faïence et ses décorations uniques, une dizaine d’atelier lui sont encore dédiés aujourd’hui. ...
Adresse incontournable à Paris, le restaurant L’Envue allie merveilleusement mode, bien-être et plaisir gustatif. Ce restaurant de haut de gamme propose une cuisine raffinée, qui fait la part belle aux produits frais et de saison. Un cadre chic À l’intérieur du restaurant, la décoration joue sur des lignes douces et modernes. « L’ancienne propriétaire a donné un style très féminin à l’établissement et nous avons voulu garder cet aspect-là mais en y apportant des éléments plus contemporains », explique Julien Vaissade, le propriétaire. Ici, le mobilier s’habille de couleur pourpre, tout en arborant un subtil motif pied-de-poule, un clin d’œil à peine voilé à la maison Chanel. À travers de nombreux dispositifs, le restaurant tient à cœur de titiller les sens de ses convives. Diffuseurs de parfum, éclairage par fibre optique, ambiances musicales variées, tout est fait pour que les invités passent des instants mémorables et en toute décontraction. Les produits locaux à l’honneur Les locavores sont particulièrement comblés. En effet, L’Envue privilégie la démarche de circuit court et choisit de s’approvisionner le plus possible en produits frais et bio. En ce qui concerne la viande, l’établissement utilise depuis 3 ans une viande issue de sa propre ferme. « Nous avons déposé un label qui s’appelle Excellence Aubrac », souligne le propriétaire. En plus de sa grande qualité gustative, cette viande est aussi enrichie en oméga-3, ces fameux acides gras réputés pour leurs effets bénéfiques sur la santé. Ces produits d’exception sont mis en valeur par le chef Éric Dartigueloube. Cet habitué des restaurants étoilés concocte de succulents plats entièrement faits maison et qui raviront à coup sûr les fins palais. En entrée, les invités ont le choix entre la buratina al pesto et tartare de tomates, des nems de gambas au cumbawa ou encore une assiette de serrano, câpres à queue. L’aventure culinaire continue sur quelques spécialités de la maison, à savoir les viandes et les poissons. Côté viandes, le sauté de bœuf Excellence Aubrac à la provençale est un pur régal. Et que dire alors de la sole « Petit Bateau » accompagnée de sa purée crémeuse, et qui reste un grand classique de l’établissement ? Dans la confidence, le maitre des lieux nous souffle que « c’est l’un des plats préférés des avocats exerçant dans le quartier ». Si L’Envue réussit à drainer les foules, ce n’est pas uniquement pour la qualité de ses produits et de sa cuisine. En quête perpétuelle d’innovation, l’équipe reste à l’affût des dernières tendances culinaires. En ce moment, les poke bowl sont à l’honneur. « Le restaurant en sert les meilleurs de Paris », nous indique Julien. Au saumon mariné, au bœuf tataki ou tout simplement végétariens, ces poke bowl sont à déguster sans modération. Côté vins, la maison travaille directement avec les producteurs locaux qui élaborent des vins biodynamiques ou biologiques. Une carte assez éclectique incluant quatre champagnes et une vingtaine de vins attend les amoureux de nectars des dieux. Des salons privés Le restaurant L’Envue dispose de trois élégants salons spécialement aménagés pour la réception d’évènements privés ou professionnels. À commencer par le salon VIP, qui peut accueillir 10 personnes. Décliné dans un style feutré, il offre un cadre privilégié pour des signatures de contrat, des déjeuners politiques ou en petit comité. Ensuite, le salon bibliothèque, avec sa grande table ovale, peut recevoir jusqu’à 18 personnes. Enfin, le salon des glaces bénéficie d’un espace important pour accueillir entre 17 à 50 personnes. Les salons de L’Envue reçoivent régulièrement du beau monde. « Nous avons une clientèle importante de la haute couture telle que la maison Hermès mais aussi des institutions financières comme Richemont et le milieu politique », précise Juli...
Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle. Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse. Une carte 100 % mexicaine À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains. En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos. En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème. Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros. Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas. En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas. De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens. Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition. Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays. ...
Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...
Ouvert à la fin de l’année 2014, le restaurant bistronomique Eligo, dont le nom signifie en latin « faire un choix », propose une cuisine raffinée, goûteuse et généreuse, se basant exclusivement sur des produits frais et de saison, émanant pour la majorité d’une production locale. Les repas proposés sont aussi alimentés par un réservoir unique de vignobles, d’agriculture, d’élevage, de pêche et de tradition laitière fidèle au bassin lémanique mais aussi aux cultures et aux origines françaises et suisses. Une cuisine raffinée, créative et accessible Les prestigieux et exigeants inspecteurs du guide Michelin ne tarissent pas d’éloges sur la proposition culinaire du restaurant Eligo, la considérant comme « une cuisine d’une grande finesse ». Ces spécialistes reconnus ont constaté « des produits de première qualité et une finesse d’exécution évidente, des saveurs marquées et une constance dans la réalisation des plats ». Par contre, le menu varie chaque jour en fonction des arrivages et la carte prenant l’apparence d’une tablette tactile se renouvelle et dévoile des plats à prix abordables et des découvertes en quatre ou six séquences. La cuisine d’Eligo multiplie les saveurs et innove en mariant les pâtes maison de semoule de blé dur avec des écrevisses lémaniques, un merlan de ligne avec de la bière blonde de Savigny, ou encore un œuf fermier de Bremblens avec du lard du Val d’Aoste et de la truffe noire du Périgord. Un délicieux et authentique voyage gastronomique. La carte du restaurant change au rythme des saisons et des produits qui les accompagnent. Un design épuré et une ambiance chaleureuse et détendue L’ambiance d’Eligo allie l’élégance à la convivialité. Le design léché de l’établissement maintient un aspect urbain et industriel, dans le respect de l’architecture globale, mais également du passé historique du quartier du Rôtillon accueillant le restaurant. En effet, avec son design d’intérieur, Eligo délivre une touche artisanale, rappelant le temps des cordonniers et des tanneurs. L’établissement compte 45 places et une cuisine transparente, afin d’observer le chef mettre la main à la pâte tout en favorisant les échanges. L’ensemble donne un concept «bistronomique» : de la gastronomie dans l’assiette dans une ambiance détendue. Ainsi, l’endroit bénéficie de tout le confort et de l’esthétique nécessaires afin que les clients puissent se sentir comme chez eux. Ajoutons à cela un service soigné et un accueil toujours chaleureux, si l’on en juge d’après les avis recensés chez Trip Advisor et La Fourchette dans lesquels Eligo obtient respectivement les notes de 4,5/5 et 9,3/10. Une autre preuve de son excellence. ...
A quelques minutes de Saint-Tropez, La Réserve Ramatuelle est un des rares Palaces de la Côte d’Azur. Une distinction qui favorise les établissements présentant des caractéristiques exceptionnelles, capables de promouvoir à l’international l’attractivité de la France et l’art de vivre à la française. Un tremplin vers les étoiles Eric Canino, le chef fait ses premières gammes à Manosque en 1987 puis effectue une formation de pâtisserie chocolat avec René Fontaine, Meilleur ouvrier de France Chocolatier à Barcelonnette. Et, c’est aux Roches de Lavandou qu’il débute sa carrière pour devenir au fil du temps le chef des cuisines de Michel Guérard considéré comme l'un des fondateurs de la « nouvelle cuisine ». Le Grand Véfour profite ensuite de son talent avant qu’il ne prenne ses quartiers au Restaurant La Voile en tant que Chef exécutif. S’appuyant sur son riche parcours, Eric compte aussi énormément sur son équipe avec qui il partage toutes ses réussites. Grâce à sa passion, sa ferveur et à sa rigueur, il décroche l’un des titres les plus convoités : l’étoile au Michelin. Des produits frais et locaux Avec des produits bruts issus du terroir provençal, il orchestre des plats d’exception. Il veille à réaliser une cuisine aux couleurs du sud amplifiée par des saveurs inouïes. Inspiré et créatif, il perfectionne ses plats en conciliant gourmandise et simplicité afin de régaler les papilles. Pour ses créations culinaires, ce maestro s’appuie d’une part sur le potager de La Réserve Ramatuelle situé à proximité des cuisines du restaurant. Avec un mode d’exploitation raisonnée, ce potager s’ouvre à une douzaine de variétés de tomates, à plusieurs herbes aromatiques comme l’origan, la marjolaine et la citronnelle de Madagascar. Le chef Canino y cueille également ses légumes tels que les poivrons rouges et les aubergines blanches sans oublier les arbres fruitiers qui en plus d’offrir une décoration verdoyante, apporte finalement tout ce dont le chef a besoin pour sublimer ses plats.Le restaurant travaille aussi avec de petits producteurs locaux œuvrant de Marseille à Nice et rigoureusement sélectionnés pour la qualité de leurs produits. Une cuisine raffinée et savoureuse En avant-goût, les recettes délicates et aromatisées aux senteurs provençales font place au Calamar cuit au parfum de tomate au basilic et la Seiche rôtie et pattes croustillantes accompagnés d’olives Taggiasche.Parmi les plats aux saveurs marines, le Chapon de Méditerranée farci aux épinards et calamar. Ce poisson de roche évoluant dans les eaux profondes est méticuleusement préparé et servi avec du fenouil confit à la passion accompagné de pomme de terre fondante au jus de bouillabaisse. Côté viande, le Veau du pays Basque quasi rôti et en tartare accompagné de girolles marinées abricot rôti et cylindre d’agria au romarin se savoure sans hésitation. En dessert, le Chocolat grand cru du Pérou : « After eight » à la menthe poivrée du jardin joint à un Sorbet Perrier Menthe amuse le palais au grand bonheur des gourmands. Un cadre épuré et naturel Traversé par la lumière naturelle, le restaurant aux immenses baies vitrées habillée d’un blanc immaculé offre une vue imprenable sur la Méditerranée. Les lignes épurées et élégantes insufflent une ambiance douce et chaleureuse où le bien-être, le confort et l’élégance sont de mise. A l’extérieur, sur la terrasse ombragée, les convives apprécient le climat doux azuréen. Doté d’un environnement naturel exceptionnel, le jardin offre un paysage authentique sublimé notamment par les impressionnants oliviers bicentenaires. Les senteurs méridionales renforcent la beauté du cadre avec les myrtes et les romarins parsemant l’ensemble de la propriété. ...
Comment est née l'aventure E. Jamart ? Karine : Dans les années 30, Émilien Jamart, boulanger, a acquis un bâtiment. C’était une ancienne exploitation viticole, qui avait gardé toute sa configuration, notamment son pressoir. De grandes récoltes se sont succédé. Les vignerons du village ne pouvaient plus monnayer les prestations de pressureur. Ils ont laissé le vin à Émilien Jamart, mon arrière-grand-père, qui s’est retrouvé en possession du stock. Nourri de sa passion du vin, transmise par son beau-père, caviste chez Moët & Chandon, il a vinifié, puis est devenu marchand de vin. Au fur et à mesure, il a acquis des vignes. Et il a créé la société en 1936. Comment se déroule la vinification ? Karine : La vinification se fait en cuve béton carrelé. S’ensuit la fermentation alcoolique et malolactique naturelle, sans passage au froid, pour conserver tous les arômes. À la propriété, nous réalisons toutes les étapes, de l’embouteillage à la conservation dans nos caves. Concernant les cuvées, trois gammes sont disponibles. D’abord, les Intemporelles ! Ces assemblages font la signature de la maison. Ils la caractérisent depuis son origine. Ils vieillissent sur lies au minimum deux ans. Ensuite, nous avons une gamme de vins de prestige, appelés les Exceptionnelles, des millésimes qui sont conservés au minimum cinq ans sur lies. Ils ont le temps de développer tous leurs arômes et toute leur complexité. Trois types de vins dans cette gamme : le blanc de blancs, le blanc de noirs, et également une cuvée, qui est notre cuvée premium, appelée la trilogie, avec un assemblage des trois cépages champenois. Des événements prévus pour cette année 2017 ? Karine : Cette année, nous participons à des salons partout en France. Nous organisons aussi au domaine un week-end portes ouvertes, avec une bourse aux capsules. ...
Malgré sa relative petite superficie (8 hectares), le vignoble de ce château est composé de plusieurs terroirs : argilo-limoneux sur sous-sols de graves, graves sur argiles profondes et argilo-calcaires. Olivier Cazenave, à la fois propriétaire et vigneron, met à profit cette différence pour produire une grande variété des vins dont les traits communs sont le croquant et la même aptitude de vieillissement. La passion peut réaliser le rêve Depuis toujours, Olivier Cazenave est un grand passionné de vins et encore plus de la région bordelaise. Il a démarré sa carrière professionnelle en tant que négociant de vins (il l’est toujours), mais son rêve le plus cher était de posséder son propre vignoble et de produire son propre nectar. En 2003, l’occasion se présente à lui avec le Château de Bel qui était alors à céder. Olivier saute le pas et achète le domaine sans aucune hésitation. Cependant être vigneron ne s’improvise pas du jour au lendemain, qui plus est, il fait le choix de tout faire tout seul. Il prend alors des cours du soir, retrousse ses manches et s’attelle à la tâche. Et pour sa première année, son courage et son abnégation ont été récompensés par une météo favorable et une absence de maladie. Depuis, il a traversé des hauts et des bas qui ont forgé son caractère et celui des vins qu’il élabore. « Je fonctionne par passion », assure-t-il. Un vignoble en biodynamie Installé près de Libourne en bordure de la Dordogne sur la rive droite, le vignoble du Château de Bel fait en tout 8 hectares dont 0,7 hectares situé en Pomerol. L’encépagement est composé de Merlot, de Cabernet Franc, de Malbec, de Sauvignon Blanc et de Muscadelle. « J’aime beaucoup le Cabernet Franc et les cépages pas forcément répandus comme la Muscadelle » précise Olivier Cazenave. Depuis cette année, le domaine a œuvré en biodynamie. « Nous travaillons dans le respect des sols et des vignes, en fonction du climat aussi. La biodynamie, c’est une compréhension, un échange entre le vigneron et son terroir » explique-t-il. Des vins de plaisir, toujours gourmands Chaque année, le Château de Bel produit environ quarante-mille bouteilles. Ils sont répartis en onze cuvées différentes avec la particularité d’être des vins gourmands, fruités et ronds. « Je fais des vins plus selon mes gouts personnels que liés au marché » assure Olivier. Le « Château de Bel La Capitane » AOC Bordeaux Supérieur est une des cuvées les plus notoires du domaine. Issue de Merlot à 100%, elle est vinifiée en cuve de bois et élevée dix-huit mois en barriques avant d’être embouteillée. Au nez, elle propose des notes de cassis et framboises ainsi que des arômes de vanille. Son attaque en bouche est souple, ample et friande avec des tanins serrés qui vont s’arrondir en cave. A table, elle est parfaite pour accompagner un canard rôti. Le château dispose également d’une cuvée volontairement atypique de Bordeaux, d’où sa dénomination d’« Echappée Bel ». Le croquant et la rondeur se retrouvent toujours dans ce vin. Toutefois, elle se différencie des autres cuvées par une présence prononcée de tanins. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Pavillon, restaurant méditerranéen Une véritable pause gustative attend les convives au Pavillon du Selman Marrakech. La carte, quant à elle, est résolument méditerranéenne. Elle dévoile des plats frais et goûteux à apprécier en toute décontraction. Spécialités italiennes, espagnoles… Mille saveurs méditerranéennes avec pour toile de fond mère Nature ! Le carpaccio ou la burrata en entrée, la bolognaise à la menthe basilique en plat, et, en dessert, la crème brûlée à la vanille macaron et friandise… Tous les dimanches de la saison, Le Pavillon accueille les convives pour partager son fameux brunch. Au programme : un buffet méditerranéen et marocain sublimé par une présentation des pur-sang arabes et par un groupe de musique live. ...
Opérant dans le domaine du vin depuis plus d’une quinzaine d’années, Christophe Kaczmarek fait ses premières initiations au sein d’un des plus célèbres cavistes parisiens Le Repaire de Bacchus. Il affûte ensuite ses armes en se formant auprès de Jean-Michel Deluc et Paolo Bouca Nova puis intègre des maisons viticoles de grande renommée comme les Domaines Paul Mas ou le Groupe Castel. Fort d’une solide expérience professionnelle, il met à profit ses acquis pour lancer son entreprise en 2015, puis la marque French Beaches en 2020. Une marque française audacieuse et décomplexée French Beaches, c’est une gamme de vins dans l’air du temps produite à partir de l’assemblage de différents jus récoltés auprès de vignerons certifiés en agriculture biologique et biodynamique. La jeune marque française tire aussi profit de la vogue des bières artisanales pour créer ses propres « crus ». La micro-brasserie se trouve en plein Massif central, en Auvergne et tisse des partenariats avec d’autres brasseurs dans la conception de ses produits. « Je travaille avec Romain Paire du Domaine des Pothiers qui est vigneron, brasseur mais aussi éleveur de vaches », raconte Christophe Kaczmarek. Un troisième larron se rejoint au groupe en la personne de Ludovic Chaillit, Brasseur à Saint-Romain-la-Motte. Ensemble, le trio crée la Liberté Unplugged — A.P.A, une nouvelle bière artisanale fraîche et désaltérante. Une A.P.A digne de ce nom Les American Pale Ale (A.P.A) sont des bières fortement houblonnées aux puissants arômes d’agrumes, de fruits exotiques ou floraux. La Liberté Unplugged – A.P.A. se veut légère car elle contient un plus faible taux d’alcool. Facile à boire, elle dévoile une bouche houblonnée, dense et veloutée qui s’achève par de belles notes d’amertume. « Je voulais avoir une bière à l’équilibre gustatif entre l’amertume et la gourmandise », déclare le brasseur. ...
Après avoir investi les halles de Wazemmes, Grégoire et Nicolas proposent en plein cœur de Lille, au 62 rue de Béthune, un second restaurant Street Food autour du canard. Une fois la porte franchie, vous constaterez que restaurant et boutique sont totalement intégrés dans la décoration imaginée par l’agence flamande Créneau International. L’esprit marché y domine avec ce grand comptoir en bois et ces tables mange-debout. De petits coins cosy sont également disponibles pour des pauses repas plus soft. S’approvisionnant dans le Sud-Ouest mais aussi en Alsace et en Loire Atlantique, Canard Street peut proposer tout au long de l’année de la viande fraiche, exclusivement française et de qualité. Une dégustation au restaurant … Chez Canard Street, vous pourrez déguster burger, croustillant, tartare ou magret, savamment assaisonnés pour en révéler toute la saveur. Des plats modernes et délicieux qui sont réalisés sur place, dans la cuisine ouverte, à partir de cuisses confites ou de magret frais. Comme pour la viande, Grégoire et Nicolas ont souhaité choisir des produits de qualité. Ils ont fait appel à des artisans locaux. Ainsi les pains et les pâtisseries sont confectionnées par Patrick Doucet. Quant aux épices, vinaigre et autres condiments, ils sont achetés auprès d’Epicentriques. Tous les plats sont servis avec des wedges, des pommes de terre grillées et sublimées par du thym, du romarin et du gros sel. Ici tout est mis en œuvre pour faire frissonner de plaisir vos pailles ! … ou chez vous grâce à la boutique Dans la boutique, vous pourrez découvrir par exemple gésiers, rillettes de canard, saucisson au magret ou cou farci. Pour les fêtes, vous pourrez également découvrir un foie gras maison. ...
Un vignoble inspiré et des vins enchanteurs Elevés sous l’appellation AOC et certifiés "Agriculture Biologique", les vins du domaine mûrissent dans l’intimité de caves troglodytes, caractéristiques de la région. Avant cette étape, les exploitants cultivent avec soin leurs cépages de Cabernet Franc, de Chardonnay et de Chenin. Travail manuel, traditionnel et technologies s’accordent naturellement sur une terre respectée, du sol aux fruits. Les caves du domaine abritent des cuvées de rouges ronds et affirmés (élevées en AOP Saumur-Puy-Notre-Dame), de blancs fruités et peuvent aussi tirer fierté de leurs "Pétillants naturels", dont les bulles fines se libèrent dans une expansion de fraîcheur et de notes fruitées. Les portes de l’Enchantoir se poussent sur rendez-vous, le temps d'une visite et d'une dégustation savoureuse. ...
Issu d’une grande lignée de meuniers, Xavier Muller a choisi de baser son exploitation dans une ancienne minoterie de Marlenheim, qui est la porte de la route des vins de cette région alsacienne. De deux à vingt-cinq hectares Au départ, la famille Muller intervenait surtout dans la polyculture de céréales et tabac et l’élevage de vaches laitières. La belle histoire dans l’univers du vin n’a commencé qu’en 1960 lorsqu’elle a fait acquisition de ses premières parcelles de vignes qui faisaient en tout 2 hectares. Progressivement, elle s’approprie 3 hectares de vignes situées dans le Grand Cru Steinklotz. Aujourd’hui, le vignoble occupe une surface totale de 25 hectares, répartis sur la colline dominant Marlenheim, du Koenig au Sand. « Cinq membres de la famille s’occupent à temps plein de ce vignoble, ils y travaillent 365 jours par an » explique Xavier Muller. Une riche sélection de vins Selon Xavier, « la production annuelle avoisine les 33 000 bouteilles par an. Elle ne vinifie que huit hectares de son exploitation. Tout le reste part chez d’autres producteurs, d’autres négociants de la région ». Le domaine produit un grand nombre de vins et crémants d’Alsace. Toutefois, le produit qui contribue à son succès et ce, depuis le départ, est le « Crémant Chardonnay », toujours primé lors des différents concours auxquels il a participé. Il s’agit d’un vin issu à 100% de Chardonnay. Le millésime 2011 de cet effervescent à bulles très fines présente une robe jaune pâle, avec un nez très aromatique de fruits secs (noisette et amande), agrumes et pamplemousse. En bouche, il s’ouvre sur des notes de mûre avec une finale assez longue aux arômes de citron vert. Ce vin a gagné une médaille d’or au Concours des effervescents du Monde 2013. « Le Gewürztraminer Grand Cru Steinklotz fait aussi la grande fierté du domaine » affirme le propriétaire. Il s’agit d’un vin issu uniquement de Gewurztraminer. Le millésime 2011 a été élevé sur lies fines six mois avant d’être embouteillé puis bouchonné avec du liège naturel. Sa robe jaune aux reflets dorés propose un nez complexe et explosif, aux notes de rose suivies d’épices. En bouche, le vin présente une grande harmonie et une belle longueur, avec une attaque très souple aux arômes de gingembre confit. Ce vin se déguste de préférence avec une cuisine exotique. ...
Depuis le XIVème siècle, le Château de Tracy compose en harmonie avec son environnement. Cet accord, Juliette d’Assay, aujourd’hui co-propriétaire du domaine viticole du Château, le sublime, portant haut la passion héritée. 36 hectares plantés essentiellement en Sauvignon profitent ainsi de soins authentiques prodigués par une équipe investie, à l’écoute d’une vie organique riche et intense. Rien n’est négligé, ni les petites huîtres fossilisées des parcelles au sol calcaire, ni les silex de celles au sol d’argile. La forêt alentours participe à ce précieux écosystème, comme la hauteur du feuillage des vignes, qu’on laisse ici danser à plus d’1m 40 du sol, les engrais verts qui participent au bien-être du sol ou la plantation en haute densité, à 17 000 pieds ha, permettant aux vignes de mieux côtoyer la roche. Une forme de culture permanente qui rend autonomie à ses terres, résistante, subtile et généreuse dans le temps, en retour. Des vins gastronomiques, délicats et expressifs Au Chai, peu de manipulation et beaucoup de patience, donnent aux vins toute leur maturité et leur finesse. Aucune trace de produit chimique possible. Les quatre cuvées d’Appellation Pouilly-Fumé du Château de Tracy sont certifiés Haute Valeur Environnementale niveau 3 (le maximum). S’en décline un caractère pur et minéral, soyeux et frais en bouche, aux arômes murs, fruités ou salins selon les opus. La production est volontairement limitée. Vendues dans toute l’Europe et à l’international, les cuvées du Château de Tracy se trouvent chez les cavistes, les grands restaurateurs, au domaine ou sur sa boutique en ligne. Un cadeau de la terre et de ses artisans, à savourer, complices et gourmets. ...
S’inscrivant dans l’univers de la restauration française depuis vingt-neuf ans, Le Refuge des Gourmets est situé dans le petit village de Machilly, au pied du massif des Voirons, en campagne, à environ dix kilomètres d’Annemasse. Récemment primé d’une étoile par le Guide Michelin, cet établissement familial cossu collabore avec une équipe professionnelle et talentueuse. Un restaurant tout en convivialité Dans un souci de favoriser les relations humaines et le partage, Florence Chanove et son équipe de salle sont au petit soin pour leurs hôtes. Dans un cadre feutré et élégant, elles les accueillent chaleureusement et les invitent à se délecter d’une cuisine fine et surprenante. Avec ses deux salles séparées, dont l’une peut accueillir jusqu’à 30 personnes, le restaurant convient à toutes sortes d’occasions, du repas familial au déjeuner professionnel, en passant par un simple dîner occasionnel. Ode à la cuisine gastronomique de région Dans les coulisses du restaurant, les chefs Jean-Marie Chanove et son fils Hubert, épaulés par leur brigade, combinent leurs compétences et créativité pour concocter des plats toujours savoureux, gourmands, mais surtout authentiques. La particularité de leur cuisine réside sur « l’utilisation de produits locaux, mais notre restaurant se distingue aussi sur nos cartes qui se renouvellent constamment en fonction des saisons », s’accordent à dire les chefs. Le restaurant travaille principalement avec des fournisseurs locaux : agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et cueilleurs de champignons, de fruits, d’herbes sauvages, fleurs, etc. « À partir des produits régionaux et saisonniers comme la framboise, nous proposons une déclinaison de cuisine gastronomique et traditionnelle, tout en inventivité et mélange des saveurs. », spécifient-ils. Au programme : un menu à la carte et un menu carte blanche appelé « Partition gourmande » qui se décline en sept ou huit partitions. Pour cette saison printanière par exemple, « nous travaillons sur des jeunes herbes mixées avec des infusions hivernales, que ce soit des infusions végétales, de légumes ou de plantes séchées », poursuivent nos interlocuteurs. Au déjeuner, l’omble chevalier est à l’honneur, qui, en cette saison, est un poisson très prisé à la fois par sa délicatesse et la justesse de ses accords. « La garniture, la sauce ou le mode de cuisson de l’omble vont surgir en fonction du temps présent, puisque nous travaillons dans un esprit de spontanéité du moment ». Pour accompagner ses plats, les chefs suggèrent des vins du terroir, notamment ceux de la Haute-Savoie et de la vallée du Rhône, sa région natale. ...
La madeleine est une gourmandise intemporelle. Dans la biscuiterie Jeannette, on révèle son goût raffiné depuis 1850. Dans la banlieue de Caen, elle est produite avec des ingrédients nobles : de beaux produits de la région, le savoir-faire d’un meilleur ouvrier de France, et surtout la détermination et la patience de son repreneur, Georges Viana et de ses équipes. L’excellence au service d’un beau produit. Une madeleine d’exception se confectionne tout d’abord avec de beaux produits : des oeufs de poule élevées en plein air, des farines normandes et du beurre AOP d’Isigny, l’un des deux seuls beurres AOP de France. Mais il faut aussi les idées et la maîtrise des gestes d’un meilleur ouvrier de France et champion du monde des desserts : Philippe Parc. Ce chef reconnu a également développé pour Jeannette la gamme J aux saveurs d’ailleurs. Des madeleines à la rose de Damas au parfum subtil et délicat. Les madeleines « soleil levant » un plaisir équilibré d’agrumes asiatiques et d’autres créations toute en finesse comme les madeleines à la vanille, au chocolat, ou à la noisette. Privilégier la qualité à la quantité : un véritable engagement Quelle que soit la recette, la biscuiterie Jeannette recherche avant tout la qualité. C’est aussi une démarche socio-économique. Pour Georges Viana, le repreneur, c’est un état d’esprit. Produire de beaux produits, est certes un peu plus cher, mais cela permet de créer des emplois en France, et de se faire réellement plaisir quand on les consomme. Et le pari est gagnant : la biscuiterie emploie aujourd’hui 30 salariés dans son usine. Et 40 salariés en situations de handicap en ESAT (établissement et service d’aide par le travail) qui mettent les madeleines dans les packagings. Une biscuiterie artisanale qui a su renaître de ses cendres. Il aura fallu beaucoup de ténacité et d’engagement pour faire revivre la marque Jeannette, la plus vieille biscuiterie de Normandie. Depuis 1850, elles confectionnait des biscuits secs, mais surtout des madeleines qu’elle vendait partout en France. Ses madeleines avaient même remporté la médaille d’argent au concours de Paris en 1900. A la belle époque, des années 70 à 80, la biscuiterie représentait 80% du marché français et avait jusqu’à 400 employés. Mais Jeannette n’a pas vu arriver les grandes surfaces et tous les changements qu’elles apportaient avec elle. La biscuiterie est donc vendue à une entreprise qui reprend la majorité de ses recettes et ne laisse à Caen que la fabrication des madeleines. Mais d’années en années, l’activité décline. Après plusieurs redressements judiciaires successifs, l’entreprise est finalement liquidée définitivement en décembre 2013. En 2014, le matériel est donc mis aux enchères. Mais de nombreux employés vont se battre pour essayer de le récupérer. Ils occupent l’usine et réussissent à empêcher la vente. La bataille aura aussi le mérite d’alerter les médias. C’est de cette façon que Georges Viana entendra parler de la biscuiterie Jeannette et surtout de ses salariés prêts à se battre pour elle. La situation était complexe, puisque juridiquement, l’entreprise n’existait plus. Georges Viana devait donc trouver, dans un premier temps, un moyen de récupérer la marque. Après avoir mis au point un plan d’action, il était temps de le faire financer. Mais les banques de la région ne voulaient plus avoir à faire avec la biscuiterie. Chacune avait eu à faire avec l’un des redressements judiciaires successifs. Le repreneur décide donc de se tourner vers le financement participatif. Aller là où on ne l’attend pas. Quand il contacte la plateforme de financement participatif pour fixer son objectif à 50 000€, ses interlocuteurs sont plutôt sceptiques. A l’époque, personne n’a jamais dépassé une levée de fond de plus de 20 000 euros sur leur site. Mais Georges Viana s’obstine. A raison. Puisqu’il obtiendra finalement plus de 100 000€ grâce à la mobilisation des internautes normands. Le tribunal de commerce lui attribut alors la marque « Biscuiterie Jeannette &raqu...
Pour Frédéric Bourgoin, le temps est venu de dépoussiérer l’image désuète associée au cognac. Un phénomène qui – d’ailleurs - mérite amplement une réflexion. Dans son propre pays natal, ce spiritueux a été relégué au rang de digestif de vieux pépères. Une situation inadmissible pour ce jeune vigneron qui aspire à tellement mieux pour un si beau produit. Histoire de faire bouger les lignes du cognac, il s’est alors imposé une nouvelle vision directrice. L’idée ? « Proposer une approche viti-vinicole naturelle, de la transparence à outrance, et un soupçon d’innovation ». De la vigne au verre À côté des grandes marques de cognac, les faiseurs de petits volumes tentent de se tailler une place au soleil en adoptant une toute approche dans la production de leurs spiritueux. C’est le cas de Bourgoin Cognac. Cette maison implantée sur la commune de Saint-Saturnin, dans le village de Tarsac fait appel à l’expérience familiale, l’amour du terroir et l’innovation pour tirer son épingle du jeu. Constitué en 1930, le domaine a vu succéder quatre générations de vignerons et s'étend aujourd'hui sur les crus premiers bois (hautement revendiqué), petite champagne et fins bois. Frédéric est particulièrement admirateur du terroir des premiers bois. « C’est un minuscule cru oublié de la carte AOC cognac du 1er Mai 1909, doté de sous-sols calcaires du Crétacé (cénomanien moyen) », communique-t-il. Ce fort attachement à la terre s’illustre par des méthodes de fabrication typiques. « Je m’obstine à faire des cognacs « nature » qui expriment au mieux le terroir qui les a vus naître. Donc chez moi pas d’assemblages, pas de filtrations, pas de colorants, et pas de sucres ajoutés ». En clair, le produit et rien d’autre. Pour aller encore plus loin dans sa démarche, le vigneron-terroriste fait aussi tout lui-même, aidé de quelques membres de la famille. De la récolte des raisins, au pressurage, en passant par la distillation jusqu’au vieillissement, le domaine maîtrise l’ensemble de la chaîne de production. Quelques ambassadeurs de la maison L’innovation constitue l’une des marques de fabrique de Bourgoin Cognac. Une philosophie qui se découvre à travers le Micro-barrique 1998. Ce cognac XO est élevé dans des micro-barriques de 10 litres, ce qui lui donne plus de rondeur et de suavité. Ce n’est pas tout. « Ces contenants sont surchauffés à l’intérieur à l’aide de charbon actif qui va capter les éléments trop agressifs du cognac et le rendre plus doux en bouche. C’est ce qu’on appelle la méthode du bousinage crocodile », nous informe notre interlocuteur. L’objectif étant de redonner l’envie à certaines personnes qui boudaient le cognac de se remettre à en déguster. Pari gagné. Les produits Bourgoin Cognac commencent à imposer leur signature auprès du cercle très fermé des jeunes branchés parisiens. « Nous avons pour ambition de plaire notamment aux trentenaires qui ont envie de se différencier de la consommation de leur papa plus axé sur le whisky et qui redécouvrent cet alcool français oublié. Cette jeunesse qui aime déjeuner dans les restaurants gastronomiques, en quête de naturalité, de produits vrais et authentiques, de structures familiales et de produits en direct du producteur. Bref, ceux qui ont en marre d’acheter des marques déconnectées du terrain. » Message clair et limpide Monsieur Bourgoin ! ...
Renouer avec le travail de la vigne L’histoire du domaine remonte au milieu du XVIIe siècle. « Dans le village, il y a toujours eu dans la famille un producteur de vin », explique la jeune chef d’exploitation avant d’ajouter en souriant : « Avant mon arrivée, c’était une transmission classique, de père en fils, mais les choses changent maintenant… » Jusqu’à récemment, la famille Martin, comme beaucoup de producteurs de cette époque, variait son activité agricole en produisant des céréales et en élevant un petit cheptel d’animaux. C’est le père de Cécile Lorentz qui a orienté la maison en la spécialisant dans le vin et dans sa commercialisation. Tombée dedans depuis toute petite, Cécile s’intéresse à la vigne mais aussi à la vinification. Après quelques années d’études dans le domaine de l’œnologie à Beaune, elle reprend le domaine de 10 hectares qui a pour particularité d’avoir toutes ses vignes à moins de 900 mètres de la cuvée. Très attachée à ses racines, elle revendique son appartenance à Wangen, ce vieux village fortifié délicatement posé sur la route des vins d’Alsace, dont le sous-sol marno-calcaire est propice à l’implantation de la vigne. Une petite production pour le plus grand plaisir des connaisseurs Si la production est confidentielle, on ne compte par exemple que 4 000 bouteilles de crémants, elle affiche un profil aromatique étonnant. On compte, par exemple, parmi les longs cols de la maison une cuvée d’exception Riesling 2015 qui est atypique à souhait. « Au moment de la vendange du riesling, on s’est retrouvés avec des raisins très sucrés. L’A.O.C Alsace imposant un riesling en vin sec, on ne peut pas vraiment l’appeler riesling. On a dû trouver une solution. » Dans cette cuvée rare, Cécile Lorentz a réussi à allier le côté mielleux aux notes sucrées et une touche d’agrumes des raisins de cette récolte avec la rigidité sèche caractéristique du cépage. En bouche, il se confond presque avec une vendange tardive, en faisant un vin parfait pour l’apéritif ou au moment du dessert. ...
Chaque chocolat Weiss porte en lui un concentré d’amour, d’innovation et de rigueur qui fait depuis 1882 la référence de la maison. « From bean to bar », de la fève à la tablette, celle-ci imprime à ses produits toute la passion qu’elle nourrit pour son cœur de métier. Dès ses origines, dans la Saint-Étienne de la fin du XIXe siècle et sous l’impulsion d’Eugène Weiss, l’enseigne avait à cœur de développer leurs chocolats avec attention, pour plaire au plus grand nombre. Une approche intégrale du chocolat Lorsque le fondateur éponyme démarre dans la chocolaterie en 1882, sa vision était claire. S’inspirant du parcours de son père dans la viticulture, il ambitionnait de passer maître dans l’art de l’assemblage. Aujourd’hui encore, la maison tire sa fierté de cette particularité. Plutôt que de privilégier une origine dans ses sélections de matières premières, elle cherche sans arrêt des compositions issues de l’assemblage de fèves aux sources variées. Objectif : « obtenir un chocolat avec des goûts qui plaisent au plus grand nombre ». Autre signe distinctif de la maison : sa maîtrise de tous les cycles de production. Weiss est autant chocolatier que torréfacteur de fèves de cacao. L’enseigne a également développé des compétences de confiseur et de pralinier. Ce qui l’autorise, avec ses produits déclinés en gammes riches avec un savoir-faire centenaire, de satisfaire une clientèle faite de particuliers, de professionnels des métiers de bouche et d’entreprises. Le concept de Haut Chocolat® développé par la maison comme son label propre insiste d’ailleurs sur cette notion de chocolat de qualité, mais accessible à tout le monde. L’innovation rigoureuse pour des produits gourmands et sûrs Dépositaire d’un savoir-faire chocolatier perpétué depuis quatre générations, la maison Weiss n’a de cesse d’améliorer la qualité de ses recettes, tout en leur distillant sa fibre novatrice. Les ateliers de fabrication développent des recettes garanties 100 % pur beurre de cacao. Répondant aux critères du 100 % made in France, les produits de la maison sont également vérifiés exempts de traces de gluten. Les matières premières – fèves, épices et fruits – sont rigoureusement sélectionnées dans les meilleurs terroirs. Finalement, les adeptes de la marque accèdent à un choix vaste et raffiné de produits incluant des tablettes et des bonbons de chocolat à composer dans des ballotins ou prêts à offrir. Professionnels et pâtissiers du dimanche disposent d’une sélection dédiée. Les envies quotidiennes de douceurs sont tendrement satisfaites avec les boîtes de gourmandises, faciles à emporter partout. Aucun chocolat Weiss ne ressemblant à un autre, le Napolitain se démarque dans la liste des produits phares de la maison. Sa carte d’identité : naissance en 1926, un carré dont les arômes sont magnifiés par le café avec lequel il signe un heureux mariage. Ce petit péché, emblématique chez les connaisseurs, se décline en noir, blanc et lait. Les tablettes de la marque rivalisent d’originalité de goût, tous les palais s’y retrouveront. Depuis le Lait Manatée qui fond en bouche avec des effluves des Caraïbes à l’incontournable Noir Ibaria avec ses notes d’oranges. Ces recettes sont à découvrir dans les cinq boutiques de l’enseigne, dans les grands magasins, ainsi que sur le site Internet de la marque. ...
L’exploitation est implantée dans le village de Nuits-Saint-Georges et s’étend sur la Côte de Nuits et la Côte de Beaune. Des appellations qui sont connues pour l’élaboration de vins rouges de qualité. Aujourd’hui, l’ensemble du domaine Moillard est conduit en viticulture raisonnée, sous l’œil avisé de Jacques Briday, chef de culture. De la vigne au vin, tout se fait dans le respect de la tradition bourguignonne. Une famille, un domaine La famille Moillard et le vin ne font qu’un. Bien avant la Révolution française, cette famille menait déjà une importante activité viticole à Nuits-Saint-Georges. Mais ce n’est qu’en 1850, sous l’impulsion de Symphorien Moillard, que la maison a connu un réel essor. « Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de Bourgogne, dont les valeurs sont l’authenticité, la qualité, l’héritage, la générosité et le savoir-faire », souligne Cathy Stoffel, cheffe de produit. Un adepte de la viticulture raisonnée Sur ce vignoble d’une dizaine d’hectares planté en pinot noir et en chardonnay, Jacques Briday et son équipe appliquent une viticulture raisonnée, tout en adoptant des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, chaque parcelle est travaillée selon ses propres besoins. Résultat, des raisins de qualité qui atteignent une maturité optimale et qui seront vendangés manuellement. De longues cuvaisons La maison Moillard se démarque par des techniques de vinification qui nécessitent très peu d’intervention humaine. « Une des particularités du domaine réside dans le fait que la réception en vendange et la vinification se font par système de gravité », explique Baptiste Corrot, œnologue au domaine. Pour élaborer ses vins rouges, la maison procède d’abord à un tri rigoureux des baies avant de les acheminer vers les cuves grâce à des petits bacs. Les jus font l’objet d’une macération post-fermentaire durant plusieurs jours. Au niveau des blancs, les raisins sont délicatement pressés puis débourbés. Suivent une fermentation en cuve thermorégulée ou en fût de chêne (selon les appellations) et un bâtonnage régulier en vue d’apporter plus de complexité aromatique. Des cuvées d’exception Le domaine Moillard produit pas moins de 4 appellations, dont Bourgogne Hautes Côtes de Nuits, Côte de Nuits Villages, Savigny-lès-Beaune et Nuits-Saint-Georges Les Argillats. Parmi les nombreuses cuvées de la maison, la cuvée « Nuits-Saint-Georges Les Argillats » est la plus représentative. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits rouges mâtinés d'épices. En bouche, celui-ci se révèle riche, dense, rond et suave, porté par des tanins fins et soyeux. ...