À Dijon, le restaurant La Closerie propose une cuisine raffinée, toujours concoctée à partir de produits frais et de saison. Du 100 % fait maison qui ravira à coup sûr les fins palais. Deux salles, deux ambiances Le restaurant dispose de deux salles distinctes. Côté jardin, les invités ont droit à un cadre intimiste, qui révèle une atmosphère empreinte de douceur et d’authenticité. Avec ses poutres apparentes datant du XVIIe siècle et ses murs de pierres, le lieu ne manque certes pas d’originalité. Côté cour, l’ambiance est plutôt à la décontraction avec le bar à vins, qui offre un espace lounge propice aux échanges et à la convivialité. De l’authenticité et de la saveur En cuisine, le chef Arnaud Riandet affectionne les produits locaux et s’approvisionne donc en circuit court. « Pour moi, le plus important est de travailler des produits frais et de qualité », nous explique-t-il. Ce dernier concocte chaque jour une cuisine raffinée, qui marie à la perfection tradition et modernité. En entrée, le jambon persillé avec sa crème de moutarde et pesto de cresson fait toujours l’unanimité auprès des convives. En plat, le chef suggère la joue de bœuf confite au vin rouge ou bien la volaille « Gaston-Gérard » façon revisitée et son gratin dauphinois, une pure merveille. Enfin, le vacherin au cassis noir de Bourgogne clôturera en beauté cette découverte culinaire. Pour accompagner idéalement tous ces plats, l’établissement propose pas moins de 250 références de vins. Une carte qui fait honneur à la Bourgogne, puisque 90 % des vins servis sont issus de la région. ...
Le vignoble de 25 ha de La Chapinière est aujourd’hui dirigé par Florence Veilex, une passionnée pour qui le vin est avant tout un produit de partage. Une viticulture durable Près de la moitié du vignoble est planté en sauvignon. Cependant, d’autres petits cépages, dont le cot sélection Garnon (une spécificité du domaine), permettent à Florence d’élaborer des cuvées originales. Sur un sol composé d’argile à silex, toutes ces vignes sont cultivées sous le label Terra Vitis pour une Nature préservée et une viticulture durable. De la vendange à la mise en bouteille, le domaine s’efforce de limiter l’utilisation d’intrants. Résultat : des raisins sains atteignant leur pleine maturité. Les cuvées phares Parmi les spécialités de la maison, trois cuvées sortent du lot. Le sauvignon est un blanc sec qui séduit par sa maturité. Le gamay est un vin léger, fruité et facile à boire. Enfin, le cot Garnon possède une très forte personnalité avec un arôme spécifique. ...
Cette belle propriété de 24 hectares est située entre Valréas et Montbrison-sur-Lez. Elle appartient et est gérée par Patrice Mery, un passionné qui est dans le métier depuis 1976, succédant à son grand-père en 1981. Le Domaine des Treilles appartient à la famille depuis 8 générations c’est-à-dire 1772. En 1994, Patrice décide de s'engager dans la démarche de l'agriculture biologique, et obtient le label 3 ans après. Il plante 1000 pieds d'oliviers en 1999 et se lance dans la fabrication de l'huile d'olive, toujours en agriculture biologique. Aujourd'hui, ce vigneron de 57 ans en est à son 40e millésime de vins. Les avantages de l'agriculture biologique Depuis 1994, le Domaine des Treilles adopte une agriculture biologique avec deux labels. Le premier est celui attribué par l'organisme européen ECOCERT, qui délivre son agréement chaque année. Depuis 2011, le domaine est aussi certifié par le label de " Nature et Progrès ", encore plus sévère dans ses contrôles. " C'est une double garantie pour le consommateur " explique Patrice Mery. Dans les faits, cela implique des procédés de production drastiques à suivre. En premier lieu, tous les produits chimiques quels qu'ils soient et dédiés au traitement des cultures sont strictement interdits. Le sol est travaillé par labours et griffages et les vignes sont traitées avec des produits naturels comme le soufre ou le cuivre à faible dose. Ensuite, le processus de vinification s'effectue sans filtration ni enzymage avec une utilisation en quantité infime de sulfite ( - 25mg/ litre ) pour conserver le gout du terroir dans les cuvées. Une belle sélection de vins « Le Domaine des Treilles produit annuellement dans les 900 hectolitres de vins. Ils sont composés de quatre vins dont un blanc et trois rouges qui sont en appellation d'origine contrôlée Côtes du Rhône et Côtes du Rhône Villages Valréas » raconte Patrice. La " Cuvée de la Pierre Plantée " 2015 sans sulfite est issue d'une parcelle à cheval sur la Drôme et le Vaucluse. Elle est élaborée à partir de Syrah et de Grenache en parts égales. Son terroir argilo-limoneux confère à ce vin un nez très floral, avec des notes de fruits rouges, réglisse, vanille et épices en bouche. L’idéal est de le servir avec une côte de bœuf, un magret de canard ou un chapon farci. Le " Côtes du Rhône Villages Valréas " est un vin de Syrah et Grenache noir. Il se caractérise par des notes de fruits rouges mûrs. Il est épicé et cacaoté en nez, avec une bouche charnue et des tanins puissants. Il se déguste en alliance avec du gibier, de la daube ou des desserts au chocolat. Avant de le savourer, il est conseillé de le carafer pour qu'il libère ses arômes. Une huile d'olive bio « Depuis 1999, le Domaine des Treilles s'est aussi lancé dans la production d'huile d'olive afin de diversifier son activité. Comme pour le vin, cette huile est produite suivant une démarche biologique. » précise le vigneron. Une partie de la production du domaine est élaborée au sein même du domaine avec le moulin itinérant " Le moulin de Marie ". L'autre partie est transformée dans le moulin de Mirabel-les Baronnies. Cette huile très fruitée, lactée et douce propose des arômes délicats de noisette et d'amande. Elle accompagne idéalement les poissons, salades, viandes blanches ou chèvre affiné. ...
Repris en 2009 par Didier Veysset, le restaurant Buldo est un établissement centenaire possédant une terrasse sur l’eau, unique à Lyon. En effet, grâce à son ponton sur pilotis, pouvant accueillir jusqu'à 90 personnes, Buldo permet de se restaurer et de se détendre sur les bords de la Saône. A deux ou en famille, il est possible de passer un moment de tranquillité ou de faire la fête. D’ailleurs, une salle de 20 à 70 personnes au premier étage peut être privatisée à l’occasion d’une communion, d’un baptême ou d’un anniversaire. Une cuisine copieuse et savoureuse Lieu de la convivialité et de la bonne chère, le restaurant Buldo propose une cuisine traditionnelle et familiale, notamment avec les grenouilles, proposées dans le menu à volonté bien connu des habitués. Des surprises culinaires sont à prévoir, grâce au chef et ses plats mitonnés, un délicieux mélange de saveurs inhabituelles, savouré de façon copieuse, dans une ambiance rendu agréable notamment par la qualité et la sympathie du service. Un cadre agréable et instructif Situés dans le 9ème arrondissement, le restaurant Buldo et ses terrasses offrent une vue imprenable sur l'Île Barbe, classée à l'UNESCO, Centre du Patrimoine Mondial. Véritable amateur d'art contemporain, le restaurant Buldo soutient l’œuvre du défunt artiste lyonnais Jean Couty en prenant l'initiative d’offrir la possibilité à sa clientèle d'accéder à son œuvre et de découvrir ou redécouvrir son univers à un prix réduit. Une belle manière de joindre l’esthétisme à la curiosité grâce à un cadre profitant d’un paysage idyllique et de la formidable œuvre d’un artiste lyonnais. ...
Sur Talents culinaires, le catalogue part des petites accessoires comme les emballages ou les dosettes Nespresso aux moules en silicone. La boutique propose aussi une gamme diversifiée de cacao Barry, des ingrédients alimentaires et des livres de cuisine. Les apprentis cordons bleus peuvent ainsi réaliser des formules plus techniques, tout en s’inspirant des recettes d’illustres MOF. Le magasin de stockage est situé à Antony, à l’intersection de trois départements, desservie par des routes importantes qui facilitent la livraison des commandes. Des produits d’origine française et italienne Talents culinaires accompagne les professionnels ou les particuliers dans la réussite de leurs recettes grâce à une panoplie complète d’ustensiles culinaires. Les marques françaises et italiennes y sont privilégiées, garantissant ainsi la qualité et la sécurité d’usage conformément aux normes européennes. La boutique sélectionne ainsi la maison Louis François comme fournisseur exclusif de tous les ingrédients alimentaires. Côté coutellerie, les gammes Lion Sabatier ou Sanelli sont proposées aux meilleurs rapports qualité-prix. Sur tout l’ensemble du site, d’autres fabricants soucieux de la même éthique professionnelle estampillent des milliers de produits. Les gourmets y trouveront également une librairie en ligne, où de célèbres chefs comme Stéphane Glacier, J.-M. Perruchon, Joël Bellouet ou Jean-Yves Guinard dévoilent leurs plus belles recettes. ...
Depuis des années, cet endroit au décor intimiste est devenu le cocon de sérénité des amoureux avides de calme et de tous ceux qui sont en quête d’instants paisibles loin des agitations parisiennes. Des plats classiques à la saveur unique Au restaurant Le Temps au Temps, les plats classiques seront préparés passionnément avec des ingrédients de saison et retouchés avec créativité par Denis Sabarots. Le moment de relâche s’entame dès qu’on franchit les portes à baie vitrée du restaurant. Le long bar et les tables tout en bois satiné imprégneront les convives d’une ambiance calme, intime mais chaleureuse. Bien installé près de la grande horloge noire qui orne subtilement le mur, on pourra commencer à savourer la Tartine de merlan en escabèche en toute tranquillité. « C’est un filet de merlan cuit à la plancha, mis sur un pain de campagne et accompagné d’une garniture constituée de carottes, d’oignons, de vinaigre à l’alcool, de thym et d’huile d’olive », explique le chef. En guise de plat de résistance, le délicieux Cabillaud à la mousseline d'artichaut émoustillera vos papilles. Des morceaux d’artichaut cuits avec de l’eau, un peu de vin blanc, des oignons émincés et de l’ail écrasé puis mixés avec du beurre enrichiront le cabillaud. Un mélange de saveurs et d’arômes à découvrir absolument. Et pour achever ce périple avec douceur, rien de tel que le Sablé au chocolat et à la marmelade d’orange. Dans cette adresse hors pair, on se laisse également tenter par les nombreuses références de vins, qui seront à la hauteur de toutes les espérances pour assurer la touche qui ira parfaitement avec le décor et les mets copieux proposés par la maison. « Le Menetou Salon ou les vins Pierre Richard font partie de ceux qui marchent bien », selon Denis Sabarots....
Le terroir est installé dans la région du champagne Premier Cru, au cœur du village de Villers-Marmery. Cette commune viticole se présente comme une mosaïque de coteaux célébrant une belle diversité de sols, tantôt argilo-calcaires, tantôt crayeux. Le climat océanique et l’exposition solaire gâtent les vignes qui bénéficient d’une maturité parfaite. La maison exploite un vignoble de 6,40 ha qui se compose à 97 % de chardonnay et 3 % de pinot noir, entièrement conduit en lutte raisonnée. La passion de la vigne Bien au-delà d’un cahier de charges à respecter, chaque soin accordé aux vignes relève d’un savoir-faire. De la taille à la vendange, les interventions dans les vignes sont manuelles, et les travaux d’entretien se font mécaniquement. Pour un seul hectare, le couple Marion et Jean-Michel passent plus de 520 heures de travail dans les vignes, témoignant du lien vivant qui existe entre les viticulteurs et les champagnes. Le domaine utilise une technique de vinification particulière incluant le batônnage sur lie de fûts. La méthode consiste à harmoniser la stabilisation naturelle des composants aromatiques, conférant aux jus une bouche intense et une texture onctueuse. « Pendant l’élevage, nous laissons nos vins développer tout seul leur typicité grâce à la fermentation malolactique, qui se déclenche avec les bactéries naturelles du vin », comme l’explique Marion Boutillez. Des cuvées distinguées La gamme, «Tout Chardonnay», se décline des cuvées de blanc de blancs millésimées ou non jusqu'au haut de gamme en fût de chêne : l'Ecrin n°1. Parallèlement nous pouvons y découvrir un rosé d'assemblage. Le Blanc de Blancs Millésime 2005 Premier Cru, en monocépage chardonnay, est la cuvée signature du domaine. Les bulles fines et cristallines embellissent la belle robe dorée. Le nez, agréablement corsé, dégage des arômes de dentelle subtilement relevés par une senteur d’agrumes et de pain de mie. Une attaque bien structurée en bouche, qui se termine sur une finale élégante mêlée à une note minérale. « Ce champagne a beaucoup de fruité, de la rondeur et de la longueur en bouche. » Il est lauréat de la médaille d’argent du concours des Vinalies internationales 2015, au Concours Général Agricole 2015 et également au Concours Mondial de Bruxelles 2016. Le Ratafia, jouissant d’un vieillissement en fût de chêne de plus de dix ans d’âge, est aussi une cuvée exclusive de la maison. La maturité apporte une touche boisée sur une palette aromatique complexe, aux notes de figue et de fruits jaunes à noyau. En bouche, l’attaque est soyeuse avec une finale persistante, finement épicée. Cette cuvée a reçu une médaille d'argent au concours général agricole de Paris en 2015 et 2017. À savoir qu’une partie de ces cuvées est présente dans quelques tables gastronomiques, à l’image du Coq d’Or à Chénérailles, Le Cheval Rouge à Sainte-Menehould, La Terrasse de Duras et A l'Orée du Bois. ...
Un Cru Bourgeois au féminin La mention « Cru Bourgeois » puise son origine au Moyen-âge. A cette époque les bourgeois du « bourg » de Bordeaux acquièrent les meilleures terres de la région qui prennent le nom de « Crus des Bourgeois », puis « Crus Bourgeois ». Ce classement est aujourd’hui le garant d’une aristocratie des terroirs et d’un savoir-faire qualitatif, devenu un symbole de luxe et dont Château Moulin à Vent est un des dignes représentants en AOC Moulis. Unique dans le Médoc, l’équipe dirigeante est 100% féminine : Reine, la Responsable Technique, Florence la Responsable Administrative et Karine notre Œnologue président aux destinées du Château Moulin à Vent avec une attention toute maternelle. Un château au cœur de l’AOC Le Cru Bourgeois Château Moulin à Vent est un digne représentant de son appellation qui tire sa légitimité de la qualité des vins qu’il produit, de son nom qui est à l’origine de celui du village de « Moulis » et de son histoire : le vignoble de notre propriété a plus de deux siècles d'existence, sa chartreuse date du début du XIXème siècle et son chai fut construit en 1873. Notre terroir est un concentré du Médoc viticole : graves garonnaises et graves pyrénéennes reposent sur un substrat argilo-calcaire, favorisant une maturation longue et homogène des Merlots et des Cabernets Francs. Cette disposition favorise l’expression de vins puissants, élégants et racés. ...
Dans cette charmante auberge au cadre simple et naturel, vous dégusterez le meilleur de ce que l’Ile de beauté à offrir. Entouré d’une brigade diligente et efficace, le patron, vous accueille dans la bonne humeur et vous réserve de belles surprises qui feront valser vos papilles. Un restaurant incontournable à Bonifacio A quelques pas de la mer et face au Bastion de l’Etendard, L’auberge Corse est idéalement installée au cœur de la vieille ville de Bonifacio. Entre les nombreuses découvertes historiques à faire dans les alentours, l’emplacement permet aux touristes de passage de profiter d’un moment de répit et de détente culinaire dans une ambiance bistro-montagnarde. Baignant dans des couleurs chaleureuses et de senteurs boisées, l’enseigne permet à ses clients de profiter d’un cadre rafraichissant, idéal pour déguster les spécialités du pays. La carte révèle des saveurs soigneusement choisies pour permettre de découvrir l’essence de la cuisine traditionnelle corse, ainsi que les spécialités gastronomiques de la ville. Le veau corse, le sanglier, les assortiments de charcuterie et de fromage, les aubergines à la bonifacienne vous feront découvrir les origines méditerranéennes de cette riche tradition culinaire. Une cuisine privilégiant la qualité et les traditions Soucieux de proposer le meilleur de la cuisine du pays, le restaurant privilégie les produits locaux, afin de garantir leur fraîcheur, leur qualité et leur goût si particulier. « Nous travaillons avec des producteurs locaux essentiellement », nous confie le responsable. Cela se reflète également dans la carte de vins de l’enseigne, proposant une quarantaine de références corses comme celui de du Domaine Sant Armettu. De plus, pour garantir la satisfaction de ses clients, ce patron méticuleux n’hésite pas à mettre sa toque de chef cuisinier pour réaliser lui-même des spécialités dont il a le secret. L’adresse est particulièrement idéale pour les gourmands qui veulent déguster le fameux burger corse, fait maison, cela va de si. « Je hache moi-même ma viande pour faire des steaks de 180 g et je fais faire mon pain spécial par mon boulanger ! », souligne le propriétaire. ...
C’est souvent en étant privé d’une chose que l’on mesure sa vraie valeur. Le fondateur de la marque et son associé de cousin ont vécu cette expérience en s’éloignant de leur campagne d’origine pour faire leurs études. « C’est vraiment à ce moment-là qu’on a pris conscience de la chance qu’on avait […], de ce savoir-faire, de la gastronomie, de tous ces bons produits au final dont on peut bénéficier en France », nous confie Alexandre Nillès. Les deux comparses mûrissent alors l’idée d’un service faisant le trait d’union entre les producteurs du terroir et le consommateur épris de goûts authentiques. De la ferme à l’assiette Direct, simple, transparent, ce trépied de valeurs définit le concept de l’Assiette d’Arthur et Alex. Démarré avec les réseaux de relations des deux cousins, petits-fils de bouchers-charcutiers-traiteurs, le répertoire des producteurs associés à cette aventure s’est enrichi de fil en aiguille. « […] on a grandi en campagne, on a beaucoup d’amis producteurs, donc on s’est déjà inspiré de ce que l’on connaissait. » Cette connaissance profonde de leurs partenaires a ensuite aidé le duo d’entrepreneurs à définir les critères de sélection des nouveaux fournisseurs. Ceux-ci sont fédérés autour des mêmes valeurs de savoir-faire et de qualité pour proposer ensuite des produits 100 % français, parfaitement traçables. Ils assurent eux-mêmes la livraison de ces produits chez le client qui bénéficie, toute l’année, d’une fraîcheur garantie sur leur commande. L’interface de l’enseigne se veut ainsi être le plus court chemin pour convier à sa table le meilleur des terroirs français. Du chapon en direct de la plaine de Bresse, du champignon du Périgord ou des terrines de la Bourgogne du Sud, le client peut sélectionner précisément ce qu’il souhaite faire venir et de quelle région. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...
Installé sur la commune de Quarante adossée au Saint-Chinianais, le Domaine Pech-Ménel n’a pas pu rêver mieux comme situation géographique. Il est établi sur une éminence qui lui permet de dominer toute la plaine languedocienne et accessible depuis un chemin sinueux qui arpente le long du coteau. Au sommet, le paysage est à couper le souffle et donne une vue panoramique à 360 ° sur la ville de Narbonne et la Clape au Sud ainsi que le Piémont, le Canigou, le Caroux, le volcan d’Agde et même la chaîne des Pyrénées. « Par sa position dominante, le site a toujours été habité et cela, depuis l’Antiquité. D’ailleurs, nos terres regorgent de nombreux vestiges gallo-romains comme une villa romaine ou un dolmens», raconte Elisabeth Poux, totalement fière d’avoir pu hériter d’un site aussi exceptionnel par son père Fernand Poux. Aujourd’hui, elle gère le domaine aux côtés de sa sœur Marie-Françoise avec passion, implication et rigueur. Du côté sud de l’appellation Le terroir de Saint-Chinian est constitué de deux zones distinctes : au nord les schistes et au sud les calcaires. Le Domaine Pech-Ménel se trouve dans la partie méridionale de l’appellation constituée d’argilo-calcaires et de grès. La présence de cailloux massifs permet aux vignes de s’enraciner profondément sous la terre pour rechercher l’humidité. Le vignoble est composé de syrah, de grenache, de mourvèdre et de cinsaut en rouge et de roussanne, de viognier, de grenache blanc et de rolle en blanc, soit tous les cépages les plus typiques du Languedoc et même quelques espèces autochtones oubliées comme l’aramon ou le terret. Sur les 55 hectares composant la totalité de l’exploitation, seuls 25 hectares sont dédiés à la culture des raisins. Le reste sert de terre d’expression à la garrigue riche d’une végétation languedocienne : genêt, thym, lavande, ciste, arbousier, chênes kermès, pins, églantiers… Animées par l’envie de préserver cette extraordinaire biodiversité, Elisabeth et Marie-Françoise ont décidé d’adopter une agriculture biologique. « Depuis toujours, nous avons cultivé le vignoble dans le respect de l’environnement, du terroir et de la faune et de la flore, ce qui a plus ou moins facilité notre passage en bio », se félicite notre interlocutrice. Deux gammes de vins pour le plaisir des œnophiles Pour le bonheur de tous les amoureux de vins, le Domaine Pech-Ménel classe ses crus en deux catégories : la gamme Plaisir et la gamme Passion. La gamme Plaisir se compose de vins jeunes, sympas, gourmands et faciles à boire représentés par les cuvées « Villa Pech Ménel » et « No Name » en Saint-Chinian. « Villa Pech-Ménel » a fait notamment l’objet d’une citation de Terre de Vins, une étoile au Guide Hachette 2021 . « Il faut lui laisser le temps, il a beaucoup à dire », a déclaré une dégustatrice. La gamme propose également la cuvée « Blanc Poudré » en IGP OC car le domaine possède une parcelle de 3 hectares au bord du Canal de Midi où il travaille cette appellation. La gamme Passion rassemble les vins de garde avec du caractère. Parmi les dignes représentants de cette sélection figurent « Blanc de Pech Ménel », « Château Vallouvières-Pech Ménel » et « Château Pech-Ménel ». Grâce aux nombreux millésimes qui existent depuis 1999, les œnophiles peuvent s’offrir un voyage dans le temps à travers une dégustation « Verticale ». Un lauréat du concours de vins de Saint-Chinian Depuis 2011, le Syndicat de l’AOP Saint-Chinian organise un concours dénommé « Les Virtuoses de Saint-Chinian ». Une occasion pour la centaine de domaines de l’appellation de présenter leurs cuvées. Les caractéristiques de chaque parcelle, les techniques culturales, les conditions de vinification et d’élevage ne sont que quelques exemples des quarante critères imposés par le cahier des charges et destin&eac...
Le Chai Saint-Sauveur se veut être un grand restaurant néanmoins accessible à tous les budgets. Le Chef Jérôme Verrière revisite les plats traditionnels tels que le ris de veau. « C’est le plat phare du restaurant » déclare Elodie Trassard, la maitresse de maison. Ici, la fraicheur des ingrédients est privilégiée, avec une préférence particulière pour les produits locaux. Une cuisine française traditionnelle Plusieurs menus sont proposés le midi, allant d’un simple plat du jour à une Entrecôte et Frites Maison, en passant par les formules incluant entrée, plat et dessert. Le soir, les menus laissent place à la carte. L’Œuf en meurette et ses petits croûtons se fait remarqué parmi les entrées. Du côté des plats, il serait tout à fait normal d’hésiter entre le Risotto poêlé aux gambas accompagné de sauce crustacé et la Souris d’Agneau à la purée au beurre. Et en dessert, les tartes au citron, caramel au beurre salé et tartelette framboise et sa crème légère raviront les gourmets. Tout est fait-maison, sauf la glace qui accompagne le Coulant chocolat au jus passion. Les vins du Chai Que serait un Chai sans vins ? Pour accompagner le repas, le Chai Saint-Sauveur suggère des crus issus du Sud-Ouest, Languedoc, Vallée du Rhône, Bordeaux, Pyrénées orientales et Bourgogne. Avec ses 22 références en rouge, 7 en blanc et 3 en rosé, chacun trouvera sa préférence en accord met-vin. La maison organise aussi quelques fois des dégustations de vins en compagnie des producteurs. Et grâce à sa licence de caveau, elle peut vendre les bouteilles à emporter. Un cadre agréable dans la salle Les couleurs chaudes comme le rouge et la prédominance du bois donnent à cet endroit une ambiance chaleureuse. Les étiquettes illustrant différents domaines viticoles qui couvrent les murs plongent la salle dans l’univers du vin. Eclairée par la grande baie vitrée, la salle révèle un esprit bistro-chic avec la présence de tables hautes confortables disposées de manière à offrir des espaces personnels parfaitement raisonnables. Eloignée du comptoir, la partie du restaurant constituée de tables basses quant à elle est propice au calme, idéale donc pour les dîners romantiques en amoureux. Un espace extérieur à l’ambiance sereine Installé sur une place aux allures de village, le restaurant le Chai Saint-Sauveur a le privilège de bénéficier d’une terrasse blottie au cœur d’un environnement verdoyant. Ce haut-lieu de rendez-vous des toulousains est équipé de fauteuils, de canapés et de tables basses. Un cadre sympathique parfait pour l’apéro. Le quartier est calme et la circulation est rarement dérangeante. Privatisable, la véranda peut recevoir en exclusivité jusqu’à 40 personnes assises pour un instant repas, 55 si les convives restent debout. A noter que le restaurant offre aussi des repas de groupe adaptés aux différents budgets. Des tapas se déclinant en de multiples variétés peuvent être concoctés sur demande. ...
Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la preservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est le principal centre d’activité de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour son centre de soin thermal. Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la decoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte , de jasmin , de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies. French touch et classe italienne au menu Attention les papilles ! Le restaurant de l’Hôtel, si romantique par son cadre, donne rendez-vous à un instant culinaire prêt à être gravé dans les mémoires. De mains de maître, le chef réussit merveilleusement le pari d’ une cuisine où la rigueur et la technicité des savoir-faire français s’associent à la nature d’une gastronomie italienne, plus simpliste dans son exécution, mais mettant davantage en avant la pureté du produit. La carte est variée et adaptée à garantir le respect et la fraicheur dus à la qualité des matières premières utilisées. Ici, le garde manger est bien évidemment frais et de saison, poissons et crustacés issus de la pêche locale ; les fournisseurs du continent (agriculteurs, éleveurs, fromagers, vignerons…) ont été sélectionnés parce qu’ils sont les dignes représentant de leur metier et qu’ils proposent l’excellence dans leur domaine. Les plats et les mets s’enchainent avec légèreté. Un dressage minutieux permet d’associer plaisirs olfactifs et visuels. En entrée, on retrouve crèmes, tartes et feuilletages élaborés, des tartares et poélées de poissons et de crustacés. Les Pasta sont exécutés dans le respect total de la gastronomie italienne, toujours inventive, harmonie subtile de formes et de sauces. L’assaisonnement et la cuisson des viandes et poissons sont parfaitement maîtrisés et souvent associés à des parfums de truffe ou d’épices du maquis. Les desserts ne dénotent en rien avec le reste et achève le repas par un florilège de douceurs sucrées. À 15 minutes seulement en bateau du port de Piantarella, situé sur la commune de Bonifacio, voici un adresse incontournable pour le fin gourmet… ...
Ancienne seigneurie et juridiction, le domaine Jean Aubron L’Audigère est imprégné d’Histoire. Tout commence en 1678 avec la Maison de l’Audigère, un ensemble de bâtis servant notamment de celliers ou encore de pressoirs. Les premiers propriétaires furent les seigneurs des Rames. Puis la famille de Sévigné acquit éphémèrement le domaine, qui passe ensuite aux mains du comte de Montbel. En 1843, la famille Aubron reprend l’exploitation. Depuis, quatre générations se sont succédé et ont réussi, au fil des années, à renforcer la notoriété du domaine dans le paysage viticole de Loire-Atlantique. Terroir et renommée De 48 hectares à ses débuts, en 1843, le domaine s'étend aujourd'hui sur 84 hectares de muscadet. L’exploitation est située sur les meilleures terres de gabbros, dans le pays nantais, en Val de Loire. Influencé par le climat de l’océan Atlantique, cet illustre terroir du muscadet est composé de roches éruptives et métamorphiques caractéristiques du Massif armoricain, recouvert de sable ligérien. Cette typicité est à l’origine de son arôme unique de fleurs blanches, de fruits blancs avec des notes minérales. Vinification du Muscadet Le melon de Bourgogne est un cépage blanc provenant du vignoble de Bourgogne, délaissé dans sa région d’origine et qui s’est imposé principalement en Loire-Atlantique où il couvre actuellement une surface de 8 500 hectares et donne des vins équilibrés, secs, frais et fruités. C’est le cépage unique pour l’appellation d’origine contrôlée Muscadet. Pour obtenir un Muscadet sur lie digne de ce nom, Jean-Pascal Aubron applique une technique traditionnelle extrêmement pointilleuse et rigoureuse. Les vendanges, très précoces, se font autour de mi-septembre. Vient ensuite un pressurage sur pressoirs pneumatiques, afin d’obtenir un moût délicat, suivi d’un débourbage systématique qui élimine les matières grossières, causes d’alourdissement des expressions olfactives. Les vins sont stabilisés par précipitation tartrique par le froid après la fermentation qui se fait à une température comprise entre 18 °C et 20 °C. L’étape finale est celle de la conservation, qui s’effectue soit en cuve souterraine, soit en cuve aérienne en inox. Des vins d’exception Le muscadet est un vin qui se pare d’une robe jaune or, avec des notes de fruits blancs et de fruits secs comme l’amande et la noisette. Il est velouté, suave et complexe en bouche avec des touches briochées du fait de son élevage sur lies. La maison Jean Aubron L’Audigère possède quatre cuvées ambassadrices : le « Grand Fief de l’Audigère », qui s’accorde harmonieusement avec le ravioli de sardines crues crème d’artichaut ; la cuvée « Elégance 2014 », qui est idéale avec une crème de petits pois à la menthe ; la « Haute Expression 2013 », qui est une merveille avec un saumon ; et le « Grand Fief de l’Audigère Vieilles Vignes 2005 », qui rehausse les saveurs d’une dorade snackée ou d’une asperge verte amande et réglisse. ...
Implanté sur les coteaux du Monte San Appiano, à 1100 m d’altitude, le domaine jouit d’un terroir favorable qui donne des vins avec de la fraicheur et du fruit. Le vignoble de 28 hectares est planté des cépages typiques corses qui se développent sur des sols d’argiles légères et de schistes. Le savoir-faire d’un propriétaire récoltant En lançant leur exploitation en 2000, Jérôme et Florence ont toujours tenu à travailler la terre selon une démarche éco-responsable. Ils pratiquent notamment l’enherbement et le labourage alterné sur rang pour être sûrs d’obtenir des raisins sains et équilibrés. La vinification quant à elle s’effectue dans le respect du fruit. « Les cuves sont thermorégulées et sous gaz inerte afin de ne pas oxyder les jus », confie Florence. De ces processus naissent des cuvées d’exception comme l’Uva Antica Minustellu (3ème à la dégustation 2019 des vins de Corse d'Andréas Larsson, Meilleur Sommelier du Monde), le Vecchio Collezzione Blanc (Médaille D'or au Japon) ou encore le Vecchio Collezzione rouge (Coup de coeur au guide Hachette). ...
A quelques minutes de Saint-Tropez, La Réserve Ramatuelle est un des rares Palaces de la Côte d’Azur. Une distinction qui favorise les établissements présentant des caractéristiques exceptionnelles, capables de promouvoir à l’international l’attractivité de la France et l’art de vivre à la française. Un tremplin vers les étoiles Eric Canino, le chef fait ses premières gammes à Manosque en 1987 puis effectue une formation de pâtisserie chocolat avec René Fontaine, Meilleur ouvrier de France Chocolatier à Barcelonnette. Et, c’est aux Roches de Lavandou qu’il débute sa carrière pour devenir au fil du temps le chef des cuisines de Michel Guérard considéré comme l'un des fondateurs de la « nouvelle cuisine ». Le Grand Véfour profite ensuite de son talent avant qu’il ne prenne ses quartiers au Restaurant La Voile en tant que Chef exécutif. S’appuyant sur son riche parcours, Eric compte aussi énormément sur son équipe avec qui il partage toutes ses réussites. Grâce à sa passion, sa ferveur et à sa rigueur, il décroche l’un des titres les plus convoités : l’étoile au Michelin. Des produits frais et locaux Avec des produits bruts issus du terroir provençal, il orchestre des plats d’exception. Il veille à réaliser une cuisine aux couleurs du sud amplifiée par des saveurs inouïes. Inspiré et créatif, il perfectionne ses plats en conciliant gourmandise et simplicité afin de régaler les papilles. Pour ses créations culinaires, ce maestro s’appuie d’une part sur le potager de La Réserve Ramatuelle situé à proximité des cuisines du restaurant. Avec un mode d’exploitation raisonnée, ce potager s’ouvre à une douzaine de variétés de tomates, à plusieurs herbes aromatiques comme l’origan, la marjolaine et la citronnelle de Madagascar. Le chef Canino y cueille également ses légumes tels que les poivrons rouges et les aubergines blanches sans oublier les arbres fruitiers qui en plus d’offrir une décoration verdoyante, apporte finalement tout ce dont le chef a besoin pour sublimer ses plats.Le restaurant travaille aussi avec de petits producteurs locaux œuvrant de Marseille à Nice et rigoureusement sélectionnés pour la qualité de leurs produits. Une cuisine raffinée et savoureuse En avant-goût, les recettes délicates et aromatisées aux senteurs provençales font place au Calamar cuit au parfum de tomate au basilic et la Seiche rôtie et pattes croustillantes accompagnés d’olives Taggiasche.Parmi les plats aux saveurs marines, le Chapon de Méditerranée farci aux épinards et calamar. Ce poisson de roche évoluant dans les eaux profondes est méticuleusement préparé et servi avec du fenouil confit à la passion accompagné de pomme de terre fondante au jus de bouillabaisse. Côté viande, le Veau du pays Basque quasi rôti et en tartare accompagné de girolles marinées abricot rôti et cylindre d’agria au romarin se savoure sans hésitation. En dessert, le Chocolat grand cru du Pérou : « After eight » à la menthe poivrée du jardin joint à un Sorbet Perrier Menthe amuse le palais au grand bonheur des gourmands. Un cadre épuré et naturel Traversé par la lumière naturelle, le restaurant aux immenses baies vitrées habillée d’un blanc immaculé offre une vue imprenable sur la Méditerranée. Les lignes épurées et élégantes insufflent une ambiance douce et chaleureuse où le bien-être, le confort et l’élégance sont de mise. A l’extérieur, sur la terrasse ombragée, les convives apprécient le climat doux azuréen. Doté d’un environnement naturel exceptionnel, le jardin offre un paysage authentique sublimé notamment par les impressionnants oliviers bicentenaires. Les senteurs méridionales renforcent la beauté du cadre avec les myrtes et les romarins parsemant l’ensemble de la propriété. ...
Ici, on entretient un lien filial avec la terre. Maurice Vesselle, fondateur du lieu en 1955, y consacre sa vie, avant de passer le flambeau à Didier et Thierry, ses deux fils. « C’était un personnage, un tempérament », raconte l’un d’eux dans un sourire. Aujourd’hui, les deux frères entretiennent un précieux savoir-faire et travaillent le vignoble comme autrefois. Ils buttent, déchaussent, à l’écoute des humeurs de la vigne. Grâce à ces pratiques, le domaine figure parmi les premiers en France a avoir été certifié Haute Valeur Environnementale. L’élevage, sans fermentation malolactique, leur permet en plus de garder longtemps les bouteilles en cave et de préserver arômes et fraicheur. Cette patience vaut la réputation de Millésimes largement récompensés. Des champagnes de caractère Un sol profitant de calcaire confie aux Champagnes Vesselle des notes légèrement iodées et une noble longueur. Le Pinot noir leur confère rondeur et puissance tandis que le Chardonnay y ajoute sa touche de fraîcheur pétillante. La Maison produit aussi un rare Bouzy rouge Champenois, lui-même issu d’une longue tradition, née bien avant de voir apparaître les premières bulles de Champagne. Au domaine Maurice Vesselle, « c’est le raisin qui fait le vin », résume t-on humblement. A cela, nous ajouterons volontiers: et l’authenticité de leurs vignerons. ...
C’est dans un cadre idyllique empreint d’histoire que Le Moulin de Châlons reçoit ses hôtes de marque. Grâce à la beauté des lieux et le raffinement des plats servis, chaque invité se sent naturellement privilégié ! Un décor romanesque Non loin de l’établissement, quelques beaux sites attirent le regard. L’église Sainte-Radegonde est un monument incontournable qui mérite un petit détour. On peut y admirer d’imposantes fortifications datant du Moyen Âge et une nef qui a été raccourcie au XVe siècle. Les voussures du portail sont ornées d’anges et autres motifs. Si l’envie leur prend, les visiteurs peuvent continuer leur exploration dans les environs pour découvrir les irrésistibles cabanes de la Tremblade. Aux alentours de la région, quelques châteaux sont à visiter absolument ! Parmi eux, le château de Beaulon et le château de la Roche-Courbon connus non seulement pour leurs valeurs historiques mais aussi pour leur grande richesse viticole. Au milieu de tous ces beaux monuments, Le Moulin de Châlons ne manque pas d’attraits. L’hôtel ayant été jadis un ancien moulin à marée arbore fièrement une décoration contemporaine et raffinée aujourd’hui. Se voulant être un lieu de détente d’exception, il met en scène de belles chambres aux teintes chaleureuses et à la décoration personnalisée. En tout, l’enseigne compte dix chambres (toutes équipées) revêtant un cachet particulier grâce à l’ambiance romantique qui y règne. Idem du côté restaurant. Pierres apparentes, lumières tamisées, ici, tous les ingrédients sont réunis pour permettre aux invités de plonger dans une atmosphère presque envoûtante. Les convives se prêtent au jeu en toute décontraction à travers une ambiance à la fois chic et chaleureuse. Par beau temps, une terrasse extérieure avec vue sur la rivière est la promesse de moments d’exception. Une cuisine à la hauteur des lieux Derrière les fourneaux, le chef Maxime Yoncourt livre une partition de haute volée ! Au gré des saisons, ce dernier concocte une cuisine gastronomique mêlant élégance et finesse, le tout rehaussé d’une petite touche d’inventivité. Le foie gras mi-cuit ou la gelée pineau des Charentes constituent de parfaites entrées en matière. En plat principal, les fins gourmets ne seront point déçus en choisissant un succulent filet de dorade. Pour parachever cette expérience culinaire unique, le parfait glacé au cognac est le dessert le plus indiqué. Comme le client est roi, il arrive que le chef s’adapte à des demandes spécifiques. Ce dernier peut être amené, par exemple, à préparer un plat 100 % végétal. Pas de quoi le faire paniquer ! Là encore, Maxime surpasse les attentes de ses convives. Résultat, des plats méticuleusement travaillés et raffinés pour le grand bonheur des végétariens ! Quant aux vins, la table du Moulin de Châlons dispose d’une très belle carte ! De nombreuses références qui mettent en avant toute la richesse des régions viticoles françaises. À travers sa cave éclectique, ce restaurant laisse volontiers à ses convives le champ libre pour choisir à leur guise. Mais bien sûr, l’équipe reste disponible pour les aiguiller vers les meilleurs accords. ...
Le Domaine des Frontières est situé à Jullié, non loin de Mâcon dans le Rhône, qui est considéré comme l’un des plus anciens villages du Beaujolais tirant son nom de Jules César et ses légions qui s’y établirent autrefois. Il y travaille essentiellement l’AOC Juliénas réputée pour ses vins printaniers aux notes de fruits rouges, de pêche et d’arômes floraux et l’AOC Beaujolais-Villages s’illustrant pour ses crus de caractère, charpentés et colorés exprimant finesse et souplesse. Le gamay dans toute sa splendeur Le lancement du Domaine des Frontières est un véritable projet de vie pour Jérémy Thien qui quitte sa carrière dans l’administration pour se reconvertir en vigneron. Il crée l’exploitation familiale de toute pièce en faisant progressivement acquisition de parcelles aujourd’hui d’une superficie totale de 6 hectares. Son vignoble composé de vieilles vignes de 60 à 80 ans met à l’honneur le gamay, cépage phare du beaujolais. Les raisins expriment leur plus belle intensité sur ce terroir constitué de roches volcaniques anciennes. Tout est fait pour leur épanouissement. « Nous faisons un véritable travail d’artisan avec très peu de mécanisation », confie Jérémy. La certification HVE atteste de ce soin apporté à la vigne qui ne subit aucun traitement chimique agressif. Plusieurs cuvées pour les meilleurs moments de vie Sous le label Juliénas, le Domaine des Frontières propose deux crus atypiques à savoir La Cuvée Classique et la Cuvée Réservée. La Classique se veut solaire avec des arômes de poivre, d’épices, de fruits noirs, de cacao et de cuir noble. Élégante et intense à la fois, elle se sert avec des gibiers à plume, des viandes rouges, du bœuf bourguignon ou du magret de canard. La Cuvée Réservée est produite à partir d’une sélection parcellaire issue du lieu-dit Vayolette qui procure une finesse et une concentration exceptionnelles. Avec un potentiel de garde de 7 à 8 ans, ce 100 % gamay révèle un beau bouquet floral et fruité ainsi qu’une belle longueur en bouche. À accompagner avec des crustacés, du bœuf, de l’agneau ou du gibier. Quant au Beaujolais-Villages Vers le Château, il se veut plus fruité, rond et charmeur. Parfait pour les barbecues estivaux ou en apéritif avec un plateau de fromages et de charcuteries. ...
Après avoir fait ses armes chez Alain Ducasse, comme chef du Spoon notamment, avoir voyagé en Australie et à Madère, le chef Rui Martins a pris son envol au Cam40, ce nouveau restaurant ouvert boulevard Arago, dans le 13e arrondissement de Paris, fin mai 2016. Avec son équipe, Rui aime s’appuyer sur sa maitrise technique pour concocter une cuisine contemporaine, inventive et pleine de saveurs. Il porte une grande attention à la perfection des cuissons et à la justesse des assaisonnements. Dans un cadre épuré avec ses azulejos en trompe-l’œil et son mobilier en bois de style scandinave, Le Cam40 vous accueille dans une ambiance zen où l’on se sent comme chez soi. Camille, la serveuse, ou l’un des cuisiniers seront aux petits soins pour vous raconter l’assemblage de vos assiettes. De plus, vous avez toutes les chances de rencontrer le chef en fin de repas pour un échange chaleureux. Un petit nombre de plats au menu, régulièrement renouvelés Vous pouvez choisir dans le menu une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 28 €, une entrée, un plat et un dessert pour 35 €. Avec un supplément modique, vous avez également accès aux suggestions du moment, qui font appel à des produits recherchés comme les cèpes ou les Saint-Jacques. Les 3 entrées, 3 plats et 3 desserts composant le menu sont renouvelés régulièrement pour de nouvelles découvertes. Pour attendre sereinement votre première assiette, un amuse-bouche vous est offert. Puis, en entrée, vous pourrez vous régaler, par exemple, d’un œuf presque parfait. Celui-ci est cuit avec sa coquille à 64 °C en vapeur pendant 48 minutes, pour garder le jaune onctueux en bouche. En ce moment, il est accompagné de millet, légumes d’antan, éclats de marrons et châtaignes. Le compressé de poireaux, copeaux de boutargue et sauce inspirée d’une ravigote est aussi très apprécié. Les poireaux sont cuits à l’anglaise, puis compressés sous vide pour un visuel surprenant. En plat, vous dégusterez notamment un thon mi-cuit sauce saté pêché en Méditerranée, accompagné d’un succulent wok de légumes ou un excellent onglet de bœuf provenant du Coq Saint-Honoré. Toujours servis avec des légumes préparés dans un jus maison à base de bouillon de poule. En dessert, vous vous ferez plaisir avec un cheesecake à l’orange ou une tarte fine aux pommes, sublimée par un caramel au beurre salé chaud et froid. Et une mignardise maison clôturera avec délice votre repas. Dans la carte des vins, composée par Yannick Richard, petits domaines et vins bio sont particulièrement à l’honneur. Tous les mois, deux vins étrangers sont à découvrir, comme le Coppola, un excellent Chardonnay californien. ...
À travers un cadre intimiste aux couleurs chaudes qui caractérisent si bien le Sud, l’enseigne est une très belle découverte à retenir au cœur de Paris. Situé dans le 18e arrondissement, juste au pied de la Butte Montmartre, cet authentique restaurant italien mérite qu’on s’y arrête. Dans un décor où se marient si bien la brocante, le cinéma et la musique, le savoir-faire italien transparait aussi bien dans le service que dans les plats. Il est vrai qu’au Bugigattolo, tout le monde met la main à la pâte ! C’est d’ailleurs dans ce bel esprit de famille que la Nonna, Patricia et les enfants Jean et Enzo souvent présents dans la salle ont habitué le restaurant afin d’y maintenir l’ambiance bon enfant, au grand plaisir des clients ! Vive la dolce vita Comptant déjà de nombreux habitués, ce petit coin sympathique est une excellente adresse où il fait bon s’attarder pour prendre un verre et calmer les petites et grandes faims. Laissez-vous embarquer par sa cuisine traditionnelle aux légères touches de malice, qui met à l’honneur des plats de terroir revisités, avec toujours une pointe de surprise, là où on s’y attend le moins et cela au premier coup de fourchette ! Ses pâtes fraiches et sèches constituent un vrai délice pour les papilles avec, bien sûr, ce fameux croquant « al dente » spécifique aux vraies pâtes italiennes… Les savoureuses pizzas accompagnées d’une petite sauce relevée préparée à la minute ou les délicieux raviolis dont seul le chef a le secret sont aussi à ne pas rater. Il Bugigattolo, c’est surtout une cuisine à base de produits frais, où les plats sont préparés sur place et mitonnés juste comme il faut. Pour offrir le meilleur dans vos assiettes, le restaurant privilégie la cuisine de marché, gage de fraicheur et de qualité. Chaque plat est empreint d’une touche personnelle qui le caractérise et c’est ce qui fait toute la différence ! ...
L'origine du Champagne Moyat-Jaury Guilbaud remonte à 3 générations de vignerons. Le domaine situé à Polisot, dans la Côte des Bar tient son nom de Monsieur Jaury, grand-oncle de l’actuel propriétaire Claudie Moyat-Jaury qui y a planté les premières vignes. Etonnamment, ces vieilles vignes existent toujours et continuent de produire des champagnes des plus surprenants. Du champagne pour tous les instants Ce domaine élabore 5 champagnes qui séduisent par leur raffinement, perceptible dès la présentation de la bouteille. Tradition Brut, Tradition Demi-Sec, Chardonnay Brut, Extra Brut et Rosé Brut de saignée, ont été « travaillés de façon à exprimer le meilleur de chaque cépage et de chaque parcelle », insiste Laurent Guilbaud. Des récompenses viennent ainsi saluer cette qualité à l’instar d’une médaille d’or pour l’Extra Brut lors des Féminalises 2017 ainsi que pour Tradition Brut, au Concours International de Lyon. Des éloges bien mérités qui signent une démarche de viticulture durable « que nous considérons comme un enjeu déterminant pour l’avenir », souligne-t-il. ...
La sobriété et l’élégance définissent instinctivement le cadre avenant et reposant du Bistrot de Fontcaude. Les habitués se retrouvent sur la terrasse pour une atmosphère décontractée à ciel ouvert. Un retour au calme et à l’apaisement est assuré à l’intérieur pour déguster autrement des produits frais du terroir du Languedoc-Roussillon sur des assiettes riches en goûts. Thierry Rousset enrichit ses plats en s’inspirant du patrimoine culinaire régional. La carte se veut fraîche, prônant les produits de saison et mettant en valeur les trésors cachés du terroir. Ses créations évoluent aussi au fil des rencontres et des découvertes qu’il réalise lors de ses voyages à l’étranger. Des plats revisités Au Bistrot de Fontcaude, de curieux gourmets, toujours à l’affût d’originalité, réclament, dès la mise en bouche, des plats revisités par les mains de Thierry Rousset, reconnu pour son don de marier les goûts et les textures. En entrée, rien de tel que l’os à moelle pour se délecter de saveurs authentiques. En plat, les cannellonis aux épinards et ricotta gratinée, noisettes grillées et cèpes sont un nouveau-né de sa carte fraîchement repensée. La présentation met l'accent sur les couleurs. Réservant le meilleur pour la fin, le chef suggère un mirliton aux zestes d’agrumes avec sa fine meringue aux pastilles de Vichy en guise de dessert. Des vins du Pays de l’Hérault Dès les premières bouchées, les plats prennent une autre volupté grâce aux vins de la région servis en accompagnement. C’est l’occasion de déguster des vins du Pays de l’Hérault. En vedette, les vins Pic Saint-Loup et Les terrasses du Larzac, des vins de terroir, produits de différentes associations de cépages languedociens. ...