Le Domaine des Maravilhas travaille à la fois les AOP Lirac (un cru des côtes-du-rhône), le Laudun (un côte-du-rhône villages) et le Châteauneuf-du-Pape. Il est planté sur un sol argilo-calcaire en côteaux, avec des galets roulés en surface, qui ont la propriété de restituer aux vignes la chaleur emmagasinée durant la journée. Une viticulture respectueuse de la Nature Avant d’être un mode de culture, la biodynamie est un état d’esprit, une philosophie auxquels Jean-Frédéric Bistagne, vigneron passionné, adhère pleinement. « Depuis toujours, j’ai eu envie de faire une viticulture biodynamique, respectueuse de la terre et de la vigne. Et j’ai eu la chance de reprendre un domaine qui l’était déjà depuis plus de vingt ans », confie-t-il. Ce type de viticulture n’est pas étranger à la vivacité et à la bonne potentialité de garde des vins produits au sein du domaine. En dehors des impératifs des appellations, « nous faisons le choix de minimiser le recours aux intrants et produits de défense pour la vigne et la cave, bien en-deçà des cahiers des charges de l'agriculture biologique », souligne Jean-Frédéric Bistagne. Pour lui, l’équilibre organique des sols et des vignes est primordial. C’est pourquoi les intrants sont bannis au profit des préparations biodynamiques de prêle, d’ortie, de valériane... Il joue sur l’interconnexion entre animaux, terre et plantes, et fait même appel à un troupeau de moutons pour brouter dans ses vignes. « Nous faisons en sorte que la vigne soit la plus équilibrée possible pour que, dans son environnement, elle soit capable de se défendre seule avec le moins d’intrants possible. » Des vins tout en élégance À partir des cépages historiques des côtes-du-rhône (grenache, syrah, mourvèdre, cinsault et bourboulenc, clairette), le Domaine des Maravilhas élabore des vins élégants. Quatre cuvées sont ainsi en AOP Laudun (Maestral blanc et rouge, Bessalena et Le Passage). Grâce aux contraintes de production, d'encépagement et de vinification, ces vins sont d'une qualité constante. Les arômes sont subtils et prononcés, et les tannins plus fins et profonds. Ceux qui cherchent un vin avec un meilleur potentiel de garde sont largement servis. Du côté des Lirac, six cuvées font honneur à l’appellation : La Pierre de Josette, Pradau blanc, rosé et rouge, Antécédence et Canto-Bruno. Mention particulière pour cette dernière qui montre la qualité exceptionnelle du mourvèdre sur ce terroir. Mais si une cuvée mérite tous les éloges, ne serait-ce que pour son côté atypique, c’est certainement l’Espirito en AOP Châteauneuf-du-Pape. En effet, cette appellation habituellement issue d'un assemblage à base de grenache, s’exprime à merveille avec la syrah. La cuvée Alice, une pépite de cinsault en Vin de France, révèle, quant à elle, l’aptitude de ce cépage à produire un vin léger, fruité et gourmand, lorsqu'on ne le fait pas surproduire. ...
Réparti sur six communes aux alentours du village, le vignoble s’étend sur 13 hectares, exposés uniquement sur les coteaux sud. Bien entendu, les parcelles sont encépagées des trois variétés champenoises : chardonnay, pinot noir et pinot Meunier. La particularité du domaine est qu’il travaille principalement le Meunier, dont le terroir de la vallée de la Marne lui est propice. Un domaine certifié Haute valeur environnementale Respectueux de l’environnement et de la nature, le champagne Robert-Allait mène depuis des années des efforts continus dans le but de préserver son terroir. Un travail de longue haleine qui a été récompensé, puisque le domaine a été certifié « Haute valeur environnementale » de niveau III et « Viticulture durable » depuis 2015. Si ces certifications permettent, dans les faits, de protéger la biodiversité animale et végétale du domaine, cela n’en est pas moins favorable au vigneron. En effet, elles permettent de récolter des raisins sains et, par conséquent, d’en obtenir des jus de qualité contribuant à une vinification optimale. Vignerons indépendants et fiers de l’être Installés en Champagne depuis près de deux siècles, les Robert-Allait sont des vignerons indépendants chevronnés qui font tout de A à Z, de la récolte à la vente. « Les 100 000 bouteilles que nous produisons sont commercialisées en direct par nous-mêmes, par la vente à la cave, la vente à la propriété ou lors des différents salons auxquels nous participons », explique Sylvie Robert, la propriétaire. Parmi les sept cuvées qui font la fierté de l’entreprise, Stéphanie Robert, fille de Sylvie, recommande le Plaisir Nature. Un 100 % Meunier, non dosé, qui révèle particulièrement la fraîcheur et le fruité de ce cépage. La « Cuvée Prestige » est quant à elle la plus incontournable. Issu d’un assemblage judicieux entre les trois cépages, ce champagne élégant, mature et complexe fera le bonheur des connaisseurs par son côté fruité, sa très belle tenue en bouche et sa grande longueur. ...
Les cuvées Claude Thuillier et Filles sont composées des valeurs familiales chères à une maison artisanale héritée de pères en filles. Priorisant les méthodes traditionnelles d’élaboration du champagne utilisées depuis des siècles, cette marque fêtant ses 41 ans cette année élabore ses champagnes avec attention et patience. Au programme : bulles fines, fraîcheurs et arômes ! « Faire dans la continuité des traditions » Ces propos de Claudette Thuillier, l’une des héritières de l’exploitation, rappellent le parcours authentique de cette maison. En véritables amazones du vin, les filles Thuillier se distinguent par leur maîtrise parfaite du processus d’élaboration et par leur attachement au côté artisanal. La famille Thuillier, tout en tenant à moderniser leur exploitation, a choisi de remettre à jour les méthodes de vinification en fûts tout en continuant à utiliser des procédés traditionnels comme le dégorgement à la volée ou encore le remuage en pupitre. Tout cela pour produire des cuvées de qualité à l’instar de la Cuvée Spéciale, un assemblage classique au goût affirmé et englobant toutes les saveurs du terroir. Accessibilité et convivialité sont au rendez-vous En matière d’activités œnotouristiques, le domaine des Thuillier accueille ses hôtes dans un cadre typiquement champenois. Au programme : visite des quelque six hectares de vignoble, dégustations, visite des caves... Claudette, toujours dans un souci d’hospitalité, propose par ailleurs de se loger sur place dans un gîte dans le village, cela afin de vous assurer une immersion totale dans le pays du bon vin. En pleine conversion en vue de l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), la maison Thuillier priorise, entre autres, le respect de la nature, un engagement assurant la vérité du goût de ses cuvées. ...
Avec des caractéristiques de bière très spécifiques, la Brasserie artisanale du Sud a forgé sa réputation sur un mode de brassage très particulier qui la distingue des autres brasseries. « Nous faisons partie des rares brasseries artisanales à produire des bières de garde en France », affirme Fabienne Delorme, responsable commerciale. Ces bières de garde se distinguent surtout par leur finesse et leur fluidité, avec un processus de fermentation secondaire qui affine les arômes à froid (0 °C) durant 3 ou 4 semaines. Elles sont 100 % naturelles, sans aucun adjuvant, et sont principalement composées des matières premières fondamentales de la bière qui sont l’eau, les céréales, le houblon et les levures. Des bières aux noms évocateurs « C’est à partir des points caractéristiques qui lui sont propres que notre brasseries a développé une gamme de bières classées selon leurs moments de consommation et non selon leurs couleurs comme c’est souvent le cas dans le domaine de la bière », précise Fabienne Delorme. C’est ainsi que sont nées plusieurs familles de boissons aux noms évocateurs. Pour apaiser une grande soif, les bières de désaltération appelées aussi les Mange-Soif, déclinées en blonde et blanche, sont à l’honneur. En soirée ou lors d’un apéritif, les bières de convivialité appelées les Songe-Fête, avec des notes aromatiques marquées, sont idéales. Les bières de dégustation nommées Chante-Saveurs, des brunes, légères, sans sucre ajoutée, aux notes aromatiques de café et de caramel, font le bonheur des épicuriens. L’enseigne brasse également une deuxième bière de dégustation de 7° lancée à l’occasion de son 7e anniversaire, qui est d’inspiration abbaye. ...
Marché couvert, véritable symbole dans la ville de Marquette-lez-Lille, les Partisans du Goût a pensé un concept nouveau de produits frais pour mieux satisfaire la demande des consommateurs. L’enseigne laisse découvrir une série de comptoirs tenus par des professionnels des métiers de bouche, qui proposent des produits de saison et du terroir tout en prodiguant des conseils de conservation ou de préparation culinaire. Les Partisans du Goût, c’est aussi le lieu de rendez-vous de tous ceux qui sont à la recherche de la qualité, de l’originalité et de l’authenticité. Ici, les commerçants collaborent directement avec les petits fournisseurs locaux en vue d’un engagement à long terme, afin de pérenniser les gammes de produits. Des produits frais aux plats cuisinés À la boucherie-charcuterie, les viandes, uniquement françaises, sont belles et joliment présentées. Parmi les variétés au choix, le porc Ch’ti, l’agneau du Quercy et le veau de France, le bœuf rouge des prés et Blanc-Bleu, mais aussi des races exceptionnelles comme la limousine, la salers ou l’Angus de France. Les préparations bouchères sont faites dans les règles de l’art : pâtés, saucisses, rôtis, farcis, brochettes, carpaccio et hamburgers sont réalisés sur place. La poissonnerie accorde la priorité aux arrivages de la Côte d’Opale et reste fidèle à la tradition française de pêche. Dans ce comptoir, le saumon fumé, les crustacés et les huitres partagent le banc avec de beaux poissons frais filetés sous vos yeux. L’œil est attiré par un vivier rempli de tourteaux et de homards, qui peuvent être cuits à la minute. Le traiteur de la mer met en valeur une gamme de produits réalisés sur place. Comme plats signatures : blanquette de lotte, filet de sandre, tartares, risottos de saumon ou encore soupe à base de poissons frais réalisée chaque jour. Le maraicher propose toute une gamme de fruits et de légumes sélectionnés sur le marché national de Lomme, via de petits producteurs mais également chez des fournisseurs locaux. Dans l’atelier fraicheur sont transformés fruits et légumes en jus aux différents parfums, desserts gourmands, légumes vapeur, confitures, compotes, plateaux apéritifs, sans oublier une trentaine de soupes… toujours élaborés sur place à base de produits frais. Le crémier-fromager-charcutier n’est pas en reste, avec une des plus belles offres de la région comptant près de 300 à 400 variétés de France et d’Europe, des prestations maison comme les plateaux affinés et une gamme qui fait la part belle aux saisons. Les charcuteries viennent essentiellement d’Espagne, de Corse, d’Italie et bien évidemment de différentes régions françaises. La boulangerie réalise chaque jour du pain frais, élaboré avec des farines françaises, mais aussi des tartes, des brioches, et des fougasses. Elle ouvre un espace snacking pour le midi. Pour le service traiteur, une équipe de professionnels propose des prestations de qualité et sur mesure, le tout encadré par un vrai chef qui, chaque jour, avec sa brigade, travaille de nouvelles recettes en fonction des saisons. Gratin dauphinois, blanquette de dinde, poulet à la bière, welsh, jardinière de légumes, tartes et pizzas font partie de l’offre faite maison repensée chaque saison. Cave à vins et épicerie Les Partisans du Goût ne saurait oublier les accords mets-vins. La cave à vins, forte de 150 à 180 références, offre une gamme variée de vins d’origine française et étrangère, entièrement dédiée aux plats traiteurs. La cave se compose de vins de restaurant, de petits vignerons, de vins médaillés et de vins d’exception pour les grandes occasions. En bonne place : des whiskys japonais, à l’instar du Nikka, et un corner réservé aux spiritueux français comme la vodka Lactalium ou le whisky Lascaux. Quant à l’épicerie riche de 3 000 références, elle fait la part belle aux produits locaux, à tous les besoins du quotidien, de l’entrée au dessert, mais aussi aux produits d’exception comme les épices de Madagascar, le chocolat normand Cluizel et les pâtes Fabre. Concept r&ea...
Dans le Finistère-Sud, à Sainte-Marine, la villa Tri Men est un véritable havre de paix. En bordure de l’Odet, la demeure de caractère séduit par son élégance et son originalité. À l’extérieur, un impressionnant parc verdoyant s’ouvre au-dessus du port pour accueillir les convives. Dès la porte franchie, une ambiance cosy et chaleureuse se dégage du salon, où une large baie se présente comme un tableau vivant. Maison de famille revisitée, l’établissement propose aujourd’hui un hébergement dans son hôtel quatre étoiles et une pause gourmande dans son restaurant gastronomique, Les trois rochers. Une escapade gustative inédite À l’image du lieu, Les trois rochers incarnent la douceur de vivre en Cornouaille. Le restaurant est d’ailleurs salué par tous les guides et figure parmi les 200 tables recommandées par le Carnet gourmand de Châteaux et Hôtels Collection. Et en janvier 2016, il a été récompensé par une étoile au Guide Michelin pour son rapport qualité/prix. À la tête de ce succès, le chef Frédéric Claquin surfe sur les saveurs des saisons pour proposer une carte courte mais bien maîtrisée. Dans l’assiette, les produits de la mer et du terroir breton se marient à la perfection aux parfums des voyages lointains. L’occasion pour les convives de déguster le nouveau goût des ravioles de langoustines du Guilvinec, les ormeaux poêlés, le Saint-Pierre à la patate douce, sans oublier les poissons… mélangés à des fruits, racines, épices et féculents du monde. Pour les nouveaux venus, le menu Découverte est la meilleure approche pour connaître la cuisine du chef Frédéric. Pour les épicuriens, quoi de mieux que le menu Plaisir ? Et pour les gourmands curieux, le chef leur concocte un succulent menu dégustation. À savourer en salle ou sur la terrasse, qui offre une vue imprenable sur Bénodet. ...
Une vie sauvée grâce au champagne. C’est l’histoire de Michel Gonet, qui, à cause d’une dysphasie, ne peut rien avaler. Il ingurgite alors quelques gorgées de ce précieux nectar, qui, par miracle, aident à soigner ses troubles. « Le champagne m’a sauvé… », s’exclame-t-il. De là commence une passion pour ce vin pétillant, qu’il partage avec toute sa lignée. Sophie et ses frères Frédéric et Charles-Henri Gonet forment les dignes héritiers de ce riche patrimoine. Une réflexion permanente sur la qualité Michel Gonet installe des outils de production plus modernes dans son domaine à partir de 1973. Depuis, la maison continue de viser l’excellence en perfectionnant constamment la qualité du travail en cave et dans les vignes. Elle mise sur la diversité de son terroir pour produire des champagnes purs, racés, au caractère unique. Originaire de la côte des Blancs, fief des grands crus, Champagne Michel Gonet a la chance d’être installé sur un terroir plein est, qui procure de la longueur, de la finesse et de l’élégance aux vins. Les vignes situées à Oger, à Mesnil-sur-Oger, à Vindey, à Mongueux et à Fravaux sont composées de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Si, pour la plupart des vignerons, les problèmes climatiques engendrent d’innombrables contraintes, Sophie Gonet reste optimiste : « Avec le phénomène de réchauffement climatique, les raisins atteignent plus facilement la maturité, sans le besoin de rajouter beaucoup de dosages. L’acidité due au manque de maturité est ainsi évitée. Nous obtenons des champagnes plus naturels. » Des champagnes monocépages au caractère affirmé Fleuron de la maison, le Blanc de blancs Grand Cru 2009 reflète parfaitement le terroir, puisqu’il s’agit d’un monocépage de chardonnay. Issu des grands crus de la côte des Blancs, il exprime un caractère racé avec des arômes minéraux et floraux, tout en délicatesse et en élégance. À 100 % de chardonnay également, la cuvée Authentique 2004, provenant de vieilles vignes du Mesnil sur Oger, fait la fierté de la famille Gonet. Distillant de puissants arômes de vanille avec une belle association de fruits exotiques et d’épices, cette cuvée sublime les mets sucrés et salés, et tous les plats exotiques. D’ailleurs, dans une optique d’initier les amateurs à la dégustation de ses divins nectars, la maison organise des repas associant mets et champagnes. Des visites de cave et des initiations à la dégustation sont également proposées tout au long de l’année, sur rendez-vous de préférence. ...
À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie) et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...
L’appellation de Chevaliers d’Argouges a été adoptée en référence aux locataires du château de Gratot. C’est dans cette commune de la Manche que l’enseigne a fait ses premiers pas en 1991. Relogée à Moyon, cette entreprise familiale garde, aujourd’hui encore, le concept d’un chocolat fabriqué par de vrais artisans. Du chocolat essentiellement normand, traditionnellement gourmand De la sélection des matières premières jusqu’aux ballotins et tablettes, les Chevaliers d’Argouges nourrissent une jalousie non dissimulée pour les traditions de leur art. Ici, ganaches et pralinés – toujours fabriqués à la main – continuent d’être couchés sur tables en marbre et découpés à la guitare. Déployant toute l’inventivité de la Normandie, la marque distille des recettes variées s’adressant à toutes les gammes de préférence. Les essences des précieuses fèves de la Guinée, du Venezuela, de l’Équateur et d’ailleurs s’emmêlent gaiement à des notes d’orange, d’amande ou de raisin pour submerger les papilles de notes exquises. Finesse et légèreté sont au rendez-vous dans les illustres tuiles au chocolat. Éclats de caramel, de noisettes hachées-grillées ou d’orange, toutes les fantaisies sont permises avec ces doux péchés parmi les plus appréciés de la maison. Aux grandes occasions, place aux découvertes singulières dont l’enseigne a le secret. À l’instar des ganaches pâtissières mises à l’honneur en 2017. En une seule bouchée, gourmands et gourmets partent pour un voyage combiné entre le fondant des brownies, des tiramisus et des cheese-cakes et l’opulence de la classique ganache. ...
Situé au cœur de Paris, à deux pas de l’Odéon et du boulevard Saint-Michel, l’établissement tire son nom du veau de lait Ferrandais, une race bovine typique du Puy-de-Dôme qui fait partie du terroir auvergnat. Dans une ambiance du 17e siècle, ce restaurant à la belle devanture propose une cuisine traditionnelle française faite de produits frais, et travaille directement avec éleveurs pour sa viande et des producteurs des fromage et de charcuterie. Renouvelée tous les mois, la carte de l’établissement présente des menus variés tous aussi succulents les uns que les autres. Le menu à 37 € est composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. À travers son menu dégustation à 55 €, bénéficiez d’une variété de six plats composés notamment de deux entrées, un poisson, une viande, un fromage et un dessert. Une cuisine de tradition Démarrez l’aventure culinaire avec son velouté de potiron, châtaignes et lard paysan à tomber par terre, suivi de sa blanquette de veau de la Ferrandaise accompagnée de riz basmati. Terminez ensuite sur une note de douceur avec son délicieux coing en jus aux saveurs d’hiver, accompagné d'une glace à la gentiane et d'un biscuit tendre aux marrons confits. Pour accompagner chacun de vos plats, La Ferrandaise propose une belle carte de vins, représentative de toutes les régions, achetés directement aux vignerons, comme le Pech Abusé de M. Daniel TISSOT du sud-ouest et quelques vins de Côtes d’Auvergne, la Frondeuse, pinot noir, de M. Pierre Goigoux ou les Terrasses en bio , syrah, de M. Yvan Bernard. ...
Fondé en 2008, Satsuki est une épicerie important 90% de ses produits du Japon, le reste provenant de l’Europe. Exclusivement en ligne à ses débuts, l’enseigne compte depuis 2012, un point de vente physique à Lyon. Une offre complète et diversifiée Satsuki dispose d’une offre comprenant 3000 références, sans oublier les conseils prodigués. On retrouve tous les ingrédients nécessaires à la préparation du sushi, de l’algue au riz, en passant par les graines de sésames, le gingembre et l’huile de soja. Les nouilles et les soupes figurent aussi en bonne place en matière de nourriture proposée. Tout comme les boissons, qu’elles soient alcoolisées ou non : le Ramuné (limonade), le célèbre Saké ou encore du Whisky (le seul parvenant à rivaliser avec le scotch). Outre l’alimentaire, l’épicerie japonaise propose de la vaisselle et des ustensiles, en bois, en céramique ou encore en mélamine. Il y a également un large choix d’encens, des sels de bains, des patches chauffants, des produits de beauté et de bien-être, des poupées Kokeshi, de l’origami, des boites Bento (utilisés pour les repas), des figurines et des livres. Des gammes spécialisées de thé vert biologique Satsuki importe du thé vert biologique du Japon, grâce à deux grandes familles japonaises : les Hayashi et les Morimoto. La famille Hayashi produit du thé, cultivé sans pesticides, à Kirishima dans le sud du Japon depuis 1897. Le temps d’augmenter le nombre d’espèces de théier comme l’Asatsuyu, le Yabukita, le Kanaya Midori et le Zairaishu (tiré de plantes à graines de thé). Dans la ville de Miyazaki, se trouve l’ile de Kyûshû et les jardins de thé vert biologique de la famille Morimoto. Cette dernière cultive sept variétés d’arbustes : le Yabukita, le Kanaya Midori, l’Oku Midori, l’Oku Yutaka, le Minimi Sayaka, le Sakimidori et l'hybride Assamica Benifuki. ...
Société Coopérative et Participative (SCOP), l’Atelier du Bouilleur, situé à une vingtaine de kilomètres de Béziers, est le fruit d’une coopération entre distillateurs et vignerons. « L’entreprise se compose de 6 membres : distillateurs et distillatrices, prestataires de service pour des vignerons mais également des entrepreneurs qui veulent créer leur marque d'eau-de-vie sans être du milieu du vin ou des spiritueux », fait savoir Jennifer Frair, distillatrice, consultante en management des organisations et « disciple » de Matthieu Frécon et Martial Berthaud. Le retour à la source Produit emblématique de l’Atelier du Bouilleur, la Fine Faugères, créée par Noël Salles, est une eau-de-vie de vin vieillie IGP Faugères dont l’histoire remonte au XIXe siècle. En 1985, la distillation de la fine s’est arrêtée. En 2000, le distillateur Matthieu Frécon reprend sa production afin de lui rendre ses lettres de noblesse. En France, l’Atelier du Bouilleur figure parmi l’une des rares distilleries qui disposent encore des alambics à repasse originaux, notamment de type charentais. « Notre plus ancien alambic date de 1927 », signale notre interlocutrice, et de continuer que « contrairement aux producteurs industriels, nous proposons une petite production 100 % artisanale et naturelle (certifiée bio) afin de poursuivre notre démarche du retour aux traditions, du bien manger et du bien boire ». À la découverte du métier de distillateur Profitant d’une situation géographique exceptionnelle au milieu de vignerons dotés d’un savoir-faire ancestral, l’Atelier du Bouilleur distille du vin, des marcs et autres eaux-de-vie. Au sein de cette distillerie coopérative, « notre activité se divise en deux, dont la distillation à façon pour d’autres marques, et celle de nos propres produits ». Outre la distillation de vins de Faugères issus des cépages de la région (syrah, grenache, cinsault, carignan, mourvèdre), l’atelier propose des stages d'un weekend assurés par Matthieu Frécon. Le samedi, les participants suivent une formation en distillation d'alcool de bouche. Le dimanche quant à lui est dédié à la distillation alchimique (huiles essentielles, spagyrie, alcoolatures). La Fine Faugères : le succès de l’Atelier du Bouilleur La distillerie élabore une large gamme de produits parmi lesquels figure la Fine Faugères. Réputée comme étant la « troisième eau-de-vie de France », celle-ci est fabriquée suivant un cahier des charges précis. Vieillie en fût de chêne pendant au moins cinq ans, la Fine promet des notes fruitées et salines avec une belle douceur en bouche lors d’un dessert par exemple. La distillerie produit aussi des gins fabriqués à partir de baies de genévrier fraîches, sans sulfite et 100 % bio, ainsi que l'inédite Eau-de-vie de Verveine (une verveine sans sucre). Au-delà de ces classiques, l’Atelier du Bouilleur propose des séries limitées à l’instar de la vodka aromatisée à la lavande baptisée Lavodka, le vin distillé aromatisé à la flouve qui porte le nom de Flouvovin, ou encore le Printemps à base d'aspérule odorante fraîchement cueillie dans la région. « Le but de notre gamme série limitée est de montrer notre savoir-faire et le potentiel d'un vrai distillateur tel qu'on le connaissait avant, c'est-à-dire le bouilleur ambulant » rapporte Jennifer Frair. ...
C’est à Mareuil-sur-Aÿ, dans la Marne, qu’est implanté le vignoble familial acquis par André Charbaut en 1936. En trois générations, les Charbaut ont perpétué sans relâche leur savoir-faire dans l’art de manipuler les raisins. Là où tout commence Le terroir est caractérisé par un sol de craie. Sur cette terre poussent trois cépages caractéristiques de l’appellation Champagne : le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay. Les vignes bénéficient des meilleurs soins, grâce à un mode cultural qui préserve à la fois l’environnement et la santé. Ce travail est d’ailleurs certifié HVE (haute valeur environnementale) et Viticulture durable en Champagne. En termes de vinification, les raisins sont directement travaillés au pressoir après les vendanges. La première fermentation du moût s’effectue pendant plusieurs semaines. La seconde fermentation, quant à elle, s’opère par l’ajout de ferments ainsi qu’une légère quantité de sucre. « Nos vins sont magnifiés par un dosage adapté », souligne Nathalie Charbaut, actuelle propriétaire des lieux. Les vins Parmi les cuvées phares figure « Blanc de Noirs 2012 », un champagne millésimé 100 % pinot noir. À la dégustation, elle révèle une délicieuse palette d’arômes fruités ainsi qu’une belle longueur en bouche. L’accompagnement parfait pour un menu gourmet. La production de ce nectar est limitée entre 1 500 et 2 200 bouteilles par an. La cuvée « Memory 2005 », quant à elle, dévoile sans équivoque les spécificités du chardonnay. Les cuvées obtenues à la vinification sont vieillies en cave pendant 12 ans, avant de rejoindre les étalages de vente. Ainsi, Memory 2005 se démarque par une attaque franche et linéaire à la dégustation. La délicatesse de ses arômes se marie idéalement avec des plats de fruits de mer ou, éventuellement, du foie gras. ...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...
À l’image du cadre dans lequel le Fairmont Royal Palm Marrakech évolue, la cuisine s’annonce sous différentes couleurs : traditionnelle marocaine, naturelle, moderne, à la croisée du style oriental et occidental… En découvrant les différentes tables de l'hôtel, les hôtes se lancent dans un véritable tour du monde culinaire. Juillet 2018 – Fairmont Royal Palm Marrakech accueille son nouveau Chef Exécutif, Serge Jost. Après trente années passées au sein de maisons toutes aussi prestigieuses les unes que les autres : le restaurant gastronomique Petrus à l'hôtel The Island Shangri-La à Hong Kong et les restaurants du Westin Mont-Royal à Montréal en autres, Serge rejoint en 1998 pour la première fois un hôtel Fairmont, l’iconique Reine Elizabeth à Montréal. Après huit belles années, il décide de poursuivre son engagement pour la marque et prend en 2006, les commandes des cuisines du Fairmont Château Montebello. Le style de Serge Jost intègre une riche palette d’expériences culinaires internationales, mêlant les traditions gastronomiques européennes à celles du terroir local, y ajoutant une influence asiatique et une présentation toute contemporaine. Sa cuisine célèbre la richesse des produits régionaux : « Je crois en une cuisine simple et diététique, présentée de manière sobre et élégante, qui permette aux arômes naturels, aux couleurs et aux textures de chacune se révéler par elle-même tout en se complimentant mutuellement. » L’Olivier, une cuisine méditerranéenne raffinée Quand le soleil marocain se dresse dans toute sa splendeur, l’heure est à la fraîcheur à l’Olivier où la cuisine adopte une allure légère mais surtout savoureuse. Tout en appréciant la vue sur la piscine de 2000 m² de l’hôtel, les hôtes dégustent avec délice « le pavé de saumon aux épices d’ici cuit au four tandoori » ou le très sollicité « carpaccio de saumon relevé par une marinade au goût acidulé et au doux parfum de vanille », servi avec des légumes croquants. Pour la fin du repas, « l’île flottante caramélisée aux amandes torréfiées » connaît toujours un fervent succès. Le Caravane pour un voyage culinaire Le Caravane accueille les adeptes du goût exquis pour un moment intime à savourer à deux ou à plusieurs. Une grande salle conviviale, des tables d’hôte, des salons privatifs ou la Table du Capitaine, il appartient à chacun de choisir l’espace où il appréciera l’attrait gourmand de la rôtisserie et des plats raffinés proposés à la carte. Mais, le Caravane, c’est surtout un restaurant offrant une riche cave à vins qui regroupe les meilleures bouteilles du monde pour accompagner avec harmonie les plats de viande, d’agneau, de foie gras et de poisson. Al Aïn, la cuisine marocaine Des zelliges un peu partout, du mobilier typiquement marocain, Al Aïn invite à une escapade culinaire dans le royaume des mille et une nuits. Les épices et les condiments du Maroc viennent relever les préparations traditionnelles, à l’instar du couscous, de la soupe Harrira Fassia et du Tride de volaille aux lentilles. La couleur locale, une cuisine authentique, une ambiance à la marocaine, le dépaysement est garanti ! Le Sabra, élégant et décontracté Après la découverte du Country Club et de son parcours de golf impressionnant, Le Sabra appelle les visiteurs à se délecter du cadre somptueux du Fairmont Marrakech sous la lumière du jour, à l’ombre des oliviers centenaires. Dans une ambiance décontractée, le restaurant du Country Club propose des préparations simples composées de produits de saison. Le « Burger House » figure parmi les incontournables, au même titre que « la salade gourmande et son œuf mollet » et le « Fish and chips, sauce tartare ». Pour se désaltérer Plongé dans une ambiance vintage, le Bar, avec sa musique jazzy et sa signature très british, s’ouvre aux amateurs de cigares, de cocktails et de sushis dans un cadre élégant....
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
L’ADEME estime que la France jette plus de 10 millions de tonnes de déchets alimentaires chaque année. Dans le but de réduire ce chiffre, les initiatives ne manquent pas : sensibilisation intensive, adoption d'une loi obligeant la grande distribution à distribuer les invendus, création de 5000 nouvelles associations, etc... « Dans ce combat, nous avons fait le choix de positionner la lutte contre le gaspillage alimentaire sous l’angle de la valorisation, telle une reconnaissance des engagements des commerçants », fait savoir Franck Nganiet, CEO et cofondateur Care Eat. Il explique comment l’innovation de cette startup va contribuer à la nouvelle ère du zéro déchet et de l’économie solidaire. Un label, un engagement, une reconnaissance « Le label n’est que l’aboutissement des initiatives déjà prises par les commerçants. Nous avons matérialisé dans un cadre méthodologique les leviers d’actions pertinents adaptés à la typologie des commerces de bouche », explique notre interlocuteur. Élaboré avec une centaine de commerces indépendants, ce cahier des charges définit 14 catégories d’évaluation et 112 points de contrôle. L’idée est de proposer aux établissements partenaires les outils leur permettant de s’auto-évaluer, d’exécuter, mais aussi, de mesurer l’impact de leur pratique anti-gaspillage, le tout en temps réel. Le deuxième volet de l’action Care eat consiste à valoriser ces initiatives. « Il s’agit de permettre aux consommateurs d’identifier les commerces engagés dans son territoire », déclare l’équipe Care Eat. Étiquette apposée sur la devanture, espace Web et mobile, référencement dans le premier annuaire des professionnels engagés dans la lutte contre le gaspillage alimentaire ou encore supports de communication font partie des outils à disposition des adhérents. Enfin, la startup offre gratuitement sa plateforme numérique (tableau de bord, fiches d’actions, cadre méthodologique numérisé, etc.) permettant aux commerces de se rapprocher du zéro déchet. Impact économique, environnemental et social Le fait que la solution apporte une rentabilité économique durable peut déjà suffire comme argument. En effet, en agissant sur la chaine production-achat-vente, la gestion des stocks, le recyclage, la démarche qualité et plus encore, l’accompagnement Care Eat propose un modèle d’organisation de pratique éco-responsable sur la question du gaspillage alimentaire. « Au-delà de cette dimension financière, le label garantit l’engagement zéro déchet de nos clients. C’est une visibilité certaine auprès des consommateurs, et surtout des "consom’acteurs" (20% des consommateurs), dans sa zone géographique », souligne Franck Nganiet. Autrement dit, le concept fédère toute une communauté autour des valeurs écoresponsables pour réduire l’empreinte du gaspillage alimentaire en France et, ainsi, dans le monde. Comme axe de développement, Care Eat envisage de lancer bientôt une application mobile qui va permettre la collecte de produits de qualités, à un prix symbolique, aux personnes à revenu modeste. Cette démarche s’inscrit pleinement dans l’engagement social de la startup qui vise à agir au-delà de ses ambitions économiques et environnementaux. Source : https://www.novethic.fr/lexique/detail/consom-action.html ...
Jean-François Réaud se lance dans l’aventure de la vitiviniculture en 1985. Passionné et déterminé, il agrandit progressivement l’exploitation familiale qui était à la base un vignoble de 7 ha, hérité de son arrière-arrière-grand-père Gabriel Bruneteau. À la fin des années 1990, Jean-François Réaud développe un partenariat avec des domaines voisins, afin de faciliter la commercialisation et la valorisation des vins de la Rive droite. Cette « entraide viticole » se structure et devient Vignobles Gabriel & Co, un collectif qui compte désormais 34 vignerons. Cet effectif représente plus de 1 000 ha de vignes situées majoritairement sur l’appellation Côtes de Bordeaux. Une activité fondée sur trois modèles spécifiques Dans un premier temps, il s’agit de regrouper vignerons récoltants, vignerons indépendants, producteurs et commerçants afin de faciliter la commercialisation des vins. Ce mode de coopération crée également des avantages collectifs fondés sur des échanges de services ou l’acquisition de biens en commun. Le deuxième modèle ayant inspiré Vignobles Gabriel & Co est celui du système des coopératives. Il sert notamment à « défendre les valeurs des vignerons et promouvoir la qualité de leur travail », selon les termes de Jean-François Réaud. Quant au dernier modèle, il s’approprie les principes du négoce. « Vignobles Gabriel & Co a une position de négociant dans la mesure où le collectif achète des vins pour les revendre. C’est une façon de préserver un juste rapport qualité-prix, sachant que, jusqu’alors, à Bordeaux, le prix, qui doit être relié à la qualité du produit, dépendait plutôt du marché, de la spéculation ainsi que de l’offre et de la demande », souligne fermement notre interlocuteur. Une quête d’excellence Le vigneron défend ardemment les principes d’une démarche respectueuse de l’environnement. « J’essaie de convaincre les partenaires d’aller dans ce modèle qui fera la viticulture et les vins de demain. D’ici à quelques années, je souhaite que notre collectif soit à 50 % bio ou HVE, c’est-à-dire produisant et commercialisant des vins qui respectent à la fois l’environnement et la santé du consommateur. » Par ailleurs, le collectif Vignobles Gabriel & Co tient à encourager particulièrement les vignerons ayant tout le potentiel nécessaire à la production de cuvées premium. Cette stratégie a été pensée pour promouvoir l’identité de la structure et donner ainsi aux vins des appellations de la Rive droite le pouvoir de concurrencer équitablement sur le marché. Enfin, le groupement compte faire adhérer tous ses membres à la Charte des vignerons indépendants, de manière à ce que sa notoriété s’étende à plus grande échelle. ...
Le restaurant Aria Nova sort des sentiers battus, entre autres grâce à son chef cuisinier qui fait preuve d’une grande créativité, tout en respectant les recettes méditerranéennes traditionnelles. Outre les assiettes joliment présentées et bien garnies, le cadre et l’environnement ne sont pas pour déplaire non plus, d’autant plus que l’établissement est sis au centre de la vieille ville. Une décoration hors du commun Ce restaurant se démarque de bien des manières, et cela se voit dès le premier coup d’œil. Outre sa terrasse découvrable qui permet de dîner le soir à ciel ouvert, une armure médiévale trône fièrement, juste à côté de l’entrée, tout près de laquelle se trouve un tableau affichant le menu. Juste derrière, un fût en guise de table, entouré de chaises de bar. Vous êtes d’ores et déjà mis dans l’ambiance, avant même d’avoir mis les pieds dans la salle. L’ambiance authentique de cette dernière est rehaussée par un parquet en bois et des murs en pierres blanches bonifaciennes, tandis que des tableaux bien colorés arborant différents couchers de soleil et inspirant des moments d’évasion sont accrochés aux murs. Une cuisine authentique Si le décor original est un plaisir pour les yeux, les assiettes en séduisent aussi plus d’un. Le Chef Ayrton Toffart, un amoureux des bons produits et un ancien de chez Georges Blanc à Vonnas, vous fera (re)découvrir les saveurs méditerranéennes – avec un mélange d’Italie et de Corse – d’une tout autre façon avec ses plats revisités. Il mise uniquement sur les produits de qualité optimale : il va jusqu’à cueillir lui-même les plantes aromatiques, ne travaille que des légumes bio et n’utilise que des produits locaux. D'autre part, tout ce qui sort de sa cuisine est fait maison ! En entrée, le Chef suggère le carpaccio de loup avec du citron vert, fin et savoureux à la fois. En guise de plat, choisissez entre le côté terre et le côté mer : ravioli maison aux langoustines et crémeux à la vanille Bourbon ou côte de veau bio. Pour finir, rien ne vaut la douceur et la finesse du tiramisu à la châtaigne. Bien sûr, la carte change au fil des saisons. Accompagnez votre menu de vins locaux de haute qualité dont ceux issus du Clos Paoli. ...
Fille de Pierre et de Germaine Brisson, agriculteurs et éleveurs, Éliane Brisson, avec son mari Joël Lahaye, décident de rejoindre l’exploitation familiale après la naissance de leurs enfants, Laure et Guillaume. De là commence l'aventure pour le Champagne Brisson-Lahaye. La famille a alors l'opportunité de faire l'acquisition de parcelles de vignes AOC Champagne un peu partout dans la Marne et se défait du travail d'agriculture pour se consacrer uniquement au travail de la vigne et à l'élaboration de leur champagne de vigneron. Après avoir fait ses études au lycée viticole de la Champagne, Laure décide de revenir travailler sur l'exploitation familiale. Guillaume, quant à lui, décide d'un autre parcours professionnel. Un vignoble atypique « Nous avons un vignoble atypique, car nous sommes localisés à Tours-sur-Marne mais nous n’avons pas un seul pied de vigne à Tours-sur-Marne ! », précise Laure. « Nous possédons des vignes sur les trois vignobles majeurs de la Marne avec, en plus, l’avantage d’avoir les trois cépages principaux de la Champagne dans leur terroir de prédilection », ajoute-t-elle. Les différentes expositions s’ajoutant aux natures de sols variables confèrent aux cuvées des arômes complexes, avec une richesse variée de saveurs. De plus, la qualité des raisins issus d’une terre majoritairement calcaire, rehaussée par un savoir-faire traditionnel, explique le succès des champagnes du domaine auprès des fins connaisseurs. Tradition et modernité Récoltant-manipulant, le domaine Brisson-Lahaye est parfaitement autonome et s’occupe de toute la chaine de production, à l’exception de la mise en bouteille, qui revient à un prestataire. Il parvient ainsi à fabriquer entre 35 000 et 38 000 bouteilles dans l’année. Pour la confection des champagnes, la maison allie tradition et modernité. Cueillette, vinification, remuages, dégorgements sont élaborés au moyen des savoir-faire traditionnels. Partisan d’une lutte raisonnée, le Domaine limite l’utilisation de pesticides. « Dans le respect de la Nature, on essaie vraiment de limiter ces traitements», confie Laure. En revanche, pour optimiser la qualité du produit fini, les matériels utilisés sont pour la plupart à la pointe de la technologie. Parmi eux, un pressoir pneumatique à cage fermée et à gros drain. « C’est une nouvelle génération de pressoir qui respecte vraiment les raisins. Par ailleurs, il répond aux normes d’hygiène et donne de très bons résultats », souligne notre interlocutrice. Les cuvées Sept Cuvées constituent la gamme Brisson-Lahaye. « Notre gamme de champagnes est assez étendue », déclare Laure Lahaye. La fraternelle, un assemblage des trois cépages Champenois (Pinot Noir, Pinot Meunier et Chardonnay). L'immuable qui est en Premier Cru est issue d'un assemblage de Chardonnay et de Pinot Noir, ce qui lui confère des arômes floraux d'une belle finesse et une belle longueur en bouche. L'arrogante, un rosé qui reste pour le moment un assemblage de vin blanc et de vin rouge AOC Champagne. En effet, le rosé de saignée est en cours d'élaboration. Pour la mise en vente de ce dernier, il faudra cependant être patient et compter au moins deux années avant de le voir apparaître pour la vente. La sentimentale est un champagne Blanc de Blancs issu des meilleurs Chardonnay du Domaine Brisson-Lahaye. Il bénéficie de la fraîcheur et des saveurs atypiques du pur Chardonnay. Il a reçu une médaille d'Or et d'Argent au concours Mondial des Féminalises en 2017 et 2018. La passionnée, Champagne Blanc de Noirs, issu des Pinots noirs et des Meuniers cultivés dans leur secteur de prédilection, exprime des notes de fruits jaunes accentués par son assemblage de vin passé en fût. Il a reçu une médaille d'or et a été élu «Prix Plaisir» en 2016 au Concours Bettane&Desseauve 2016. La distinguée, mariage de Chardonnay et de Pinot Noir, possède une palette aromatique riche ainsi qu'une finesse et une fraîcheur remarquable. Son passage en fût apporte une touche de raffinement et une belle longueur en bouche. Il a reçu une médaille d'or au Concours mondi...
Propriété du roi de France, le domaine de Bastore fut cédé le 3 juillet 1711 à Vincent de La Montaigne, un conseiller au parlement de Bordeaux. C’est de là que vient le nom « Bastor Lamontagne ». Au fil du temps, le château connait plusieurs propriétaires qui ont, chacun à leur manière, façonné son caractère si particulier. C’est en novembre 2018 que le domaine ouvre une nouvelle page de son histoire avec l’arrivée de la famille Helfrich, les nouveaux propriétaires des lieux. Un terroir prédisposé à la viticulture Depuis 2016, la propriété est en entièrement bio. Idéalement situé sur la deuxième terrasse de la Garonne, le vignoble du domaine Château Bastor-Lamontagne repose sur un terroir essentiellement gravelo-sableux avec une matrice argileuse légère et des variantes parcellaires tenant aux différentes proportions de graves. Cette typicité donne lieu à des vins présentant une belle harmonie entre finesse et acidité. Classé Grand Cru, le Château Bastor-Lamontagne est membre de l'Union des Grands Crus. Côté encépagement, celui-ci se compose majoritairement de sémillon (43,5 ha) qui apporte aux vins leur aspect fruité. Ce cépage est complété par le sauvignon blanc (4,3 ha), procurant fraicheur et vivacité, ainsi que par le sauvignon gris, cultivé en petite quantité (1,3 ha). Des vins aux arômes sensuels Au château, tout se fait d’une manière traditionnelle : de la vinification jusqu’à la mise en bouteille, en passant par l’élevage. Résultat : des vins bio dotés d’une grande élégance, à l’image de la cuvée « Château Bastor-Lamontagne » ! Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits exotiques, d’ananas confit, miellé d’acacia. La bouche est ample, soutenue par une fraicheur persistante. Un vin séduisant qui s’apprécie aisément de l’apéritif au dessert ! La cuvée « Les Remparts de Bastor-Lamontagne », quant à elle, est élaborée à partir des vignes les plus jeunes et des premières tries. Ce deuxième vin du château est plus fruité. Ses arômes de fruits associés à sa rondeur et à sa vivacité séduiront plus d’un. Enfin, la cuvée « So Sauternes » est l’illustration parfaite d’une nouvelle façon d’apprécier les vins de Sauternes. En phase avec les goûts actuels, ce vin fringant, à la fois fruité et vivace, est excellent à l’apéritif. ...
Le1047 se distingue pour son cadre tantôt contemporain. Le restaurant, quant à lui, joue plutôt dans un registre assez classique, où la cuisine est excellente, avec en prime, vue sur le port. L’endroit parfait pour se délecter de délices gastronomiques Parmi les quelques adresses présentes sur le Quai de l’estuaire, le 1407 est l’une des plus en vue du moment. C’est dans un cadre plutôt classique, mais moderne, que le restaurant propose à ses convives de goûter à la haute gastronomie charentaise. La carte et le menu s’accordent parfaitement au paysage, faisant de cet endroit un espace de convivialité privilégié. En entrée, un Carpaccio de bar, suivi d’un Maigre de l’estuaire puis qui finit par une Sphère en chocolat. Côté vin, la Charente-Maritime est bien évidemment à l’honneur. La carte se compose de quelques trésors à l’exemple du vin bio de la Maison Arrivé qui connaît un large succès auprès des habitués du 1407. Brasserie Le Bar à Huîtres - Les Voiles Rien de tel que de goûter au plaisir de la mer, sous un ciel bleu et en plein air ! Le 1047 a dédié un espace exclusivement réservé aux amateurs de fruits de mer où les huîtres, coquillages et crustacés arrivent directement de la criée de Royan. Le Bar à Huîtres - Les Voiles propose des plateaux pour deux à quatre personnes ou composés de crevettes, de clams, de tourteaux, d’amandes, d’huîtres et de bulots, de quoi faire tout un festin ! Et pour les plus aventureux, avides de nouvelles expériences, les chambres d’hôtes ne demandent qu’à être découvertes. Révélant tout le charme d’une bâtisse ancienne et possédant un grand parc, ce domaine est l’endroit de rêve pour se détendre en famille, entre amis ou en couple. ...
Les spécialistes de grands vins de Bordeaux connaissent bien les créations du domaine Château de Panigon. En effet, le Château de Panigon, Cru Bourgeois et le Château Amour, Cru Bourgeois ont obtenu de nombreuses récompenses prestigieuses. Au tour de L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC de venir réveiller nos papilles. Un article pour mieux appréhender cette nouvelle référence qui a déjà impressionné de nombreux spécialistes dont le célèbre sommelier Paolo Basso. Château de Panigon : historique du domaine Pour trouver le domaine du Château de Panigon, il faut se rendre à plusieurs dizaines de kilomètres au nord de Bordeaux, vers la commune de Civrac-en-Médoc. Aujourd’hui géré par Corinne Leveilley-Dadda et Georges Dadda (respectivement fille et gendre des anciens propriétaires du domaine), il faut revenir quelques siècles en arrière pour en apprendre plus sur les origines du Château. En effet, bien qu’il soit difficile de dater précisément les origines du domaine, on peut voir apparaitre des mentions de Panigon dans les romans Pantagruel et Gargantua de Rabelais. Puis, quelques siècles plus tard (en 1850) dans le premier guide Cocks, Bordeaux et ses vins. À noter : c’est aussi à cette époque que sont plantés les platanes du château venant protéger de la chaleur le chai à barriques et le cuvier. Encore présents de nos jours, ces arbres centenaires nous proposent, sans aucun doute, une histoire riche, mais, malheureusement, méconnue. Une façon de travailler qui favorise un véritable respect de l’environnement Ce qui caractérise cette exploitation, c’est avant tout son aspect familial. Mais aussi la volonté des propriétaires, depuis 2006, de favoriser des méthodes de travail et une production à la fois moderne et respectant l’environnement. Ainsi, en 2016, le Château de Panigon a reçu le label Haute Valeur Environnementale de niveau 3 (HVE). Gage de la volonté de mettre tout en œuvre pour proposer à leurs clients un vin de grande qualité. Il faut dire que le domaine bénéficie d’un terroir exceptionnel. En effet, en plus de profiter des influences de l’Estuaire de la Gironde et de l’Océan Atlantique, le domaine qui s’étend sur 90 hectares dispose de sols 65% graveleux et 35% argilo-calcaire. Idéal pour un vignoble 50% Merlot, 45% Cabernet-Sauvignon et 5% Petit-Verdot. Ce qui permet de créer des vins à la fois souples et élégants, connus pour leurs tannins soyeux. Il faut aussi savoir que des vendanges vertes sont effectuées et que le vin est ensuite élevé entre 12 et 18 mois en fût afin de développer sa complexité et ses agréables notes fruitées en finale. À ce titre, les deux créations que sont Le Château de Panigon, Cru Bourgeois et Le Château Amour, Cru Bourgeois jusqu’en 2015 ont obtenu plusieurs récompenses : - Médaille d'Or au Women's Wine & Spirits Awards 2018 et au Guide Gilbert&Gaillard 2018 ainsi que Médaille d'argent au Concours de Bordeaux 2016 et au Concours Général Agricole Paris 2016 pour le Château de Panigon ; - Médaille d'or au Guide Gilbert&Gaillard 2018 et au Sakura Japan Women's Wine Award ainsi que Médaille d'Argent au Concours international de Lyon 2018 et au Concours Mundus Vini 2018. Sans oublier une une Médaille d’argent au Concours de Bordeaux 2018 et un Trophée « Coup de Cœur » du Festival des vins de Bordeaux en Chine 2019. L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC en détails Ceci étant dit, ce qui nous intéresse dans cet article est l’arrivée d’un nouveau vin : L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC. Assemblé à partir d’un vignoble 50% Merlot et 50% Cabernet Sauvignon (un cépage typiquement « Médocain ») et produit sur un des meilleurs terroirs de la région constitué de 65 % de graves (dépôt alluvionnaire de la Garonne au quaternaire), il est ensuite élevé 100% en barriques (dont 33% en barriques neuves) pendant 6 mois. Pourquoi ce vin nous intéresse-t-il ? Parce qu’avant tout, d’après Georges Dadda, L’amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC est un vin ...
Située à Nantes, LA TABLÉE prône une cuisine familiale et conviviale, inspirée par le partage d’un repas comme à la maison. Le restaurant se distingue par ses plats réalisés à partir des conserves de Sardines, Thons et Maquereaux de la Conserverie la belle-iloise. La décoration originale de la salle reflète bien cet esprit : maison de famille, thème marin, murs en pierre, meubles en bois clair, quelques touches de couleur rouge et jaune mélangées au bleu marin, des photos de famille et illustrations rappelant l’histoire de la Conserverie… Bref, un branding vraiment recherché invitant à une nouvelle découverte culinaire. Entre terre et mer En cuisine, le Chef Patrice Christodoulos fait preuve d’une grande créativité et d’ingéniosité pour révéler ce que l’on fait de mieux avec les poissons en conserve. « Ce sont des produits qui sont déjà travaillés, assaisonnés, et notre objectif est de cuisiner différemment pour offrir une cuisine de qualité originale à nos clients », explique-t-il. Avec d’autres ingrédients frais et rigoureusement sélectionnés à sa disposition, il peut laisser libre cours à son imagination pour élaborer des recettes savoureuses, raffinées et hautes en couleur. En plus des produits de la conserverie familiale, la maison travaille également avec des producteurs locaux. Ces derniers assurent l’approvisionnement en fruits et légumes, en viandes ou autres ingrédients. « Les matières premières sont fraîches et cuisinées sur place afin de vraiment sublimer nos plats », continue le Chef. Une carte du midi et une carte du soir Les menus s’adaptent au rythme de la clientèle. Avec la formule BBI à midi par exemple, à emporter ou à consommer sur place, le client va pouvoir choisir son burger maison parmi les cinq spécialités proposées, opter pour une boisson chaude ou froide, avant de terminer avec le dessert du jour. Le soir, des plats plus élaborés sont au rendez-vous à travers le menu Quiberon, avec au choix la terrine de foie gras au thon blanc germon accompagné d’un pain d’épices à l’émietté de Sardine des Bastides ou encore le pavé de thon blanc germon lardé braisé de cinq heures. « On se rapproche vraiment du civet, marinade de vin rouge et plantes aromatiques pour relever le goût !», reprend le Chef en décrivant ce plat. La carte Tapas où se côtoient croquetas de ratatouille au Thon fumé et accras de Maquereaux à la moutarde est disponible tout aussi bien le midi qu’en soirée. Le tartare de bœuf et Sardines à la Luzienne ou encore les Aubergines rôties au Brocciu et Sardines au citron coriandre viennent s’intégrer à la nouvelle carte de LA TABLÉE, pour ravir les gourmets. « Les gens aiment bien faire des découvertes, ils s’intéressent aux nouvelles choses », renchérit notre interlocuteur. Pour accompagner ces plats, le restaurant propose une carte de vins assez riche, où l’on y retrouve des vins de la région et des vins bio, le tout en rouge, en blanc et en rosé. Côtes-du-rhône, Menetou-Salon et Bourgogne pinot noir figurent parmi la sélection de rouges. En blanc, l’on cite les vins en appellation Muscadet-Sèvre-et-Maine et Gaillac. Le rosé AOP Côteaux-d’Aix-en-Provence complète la liste des vins qui marchent le mieux. LA TABLÉE privilège aussi les bières locales, à l’image de la Brigantine, une bière biologique fabriquée à Pornic. ...