L’année 2016 a été marquée par un rebranding du site à la suite de l’introduction de nouvelles catégories d’établissements. Si au départ, l’on y recensait que des hôtels avec vue panoramique, aujourd’hui Millevista regroupe aussi des restaurants et des villas qui s’inscrivent dans le même concept. Il existe maintenant plus de 600 adresses inscrites sur le site et réparties dans 18 pays essentiellement en Europe (France, Italie, Espagne, etc.), mais aussi dans des destinations de rêve comme la Polynésie française ou les îles Maldives. Mille et une vues à offrir « On a tous ce réflexe-là une fois que l’on arrive dans un établissement : vouloir admirer la vue, car rien que la vue est déjà une évasion, et ça fait toujours rêver. » Chacun de nous peut confirmer ces propos de Caroline Magliano, la chargée de communication de l’enseigne. Et peu importe le panorama recherché : mer, montagne, nature, ville et monument ou lac et cours d’eau, Millevista peut procurer ce plaisir. Les établissements sont ainsi regroupés par lieu géographique, par catégorie, et bien évidemment par le type de vue qu’ils ont à offrir. Grâce à son moteur de recherche interne, le site gagne en efficacité et en rapidité pour trouver des correspondances aux demandes spécifiques des clients. Chaque résultat affiché est accompagné d’une fiche de présentation rédigée spécialement par l’équipe elle-même, en plus de visuels ultra-soignés pour mettre en avant le cadre idyllique. « Sur cette fiche, nous ajoutons les activités possibles à faire, des petits conseils pour les clients et d’autres informations utiles sur l’établissement », explique-t-elle pour ainsi souligner la présentation de qualité et sur mesure réalisée pour chaque hôtel, restaurant et villa. La sélection des établissements Si « avoir une belle vue » est le critère principal pour sélectionner les établissements, ce n’est pas pour autant le seul. En effet, Millevista veut garantir tout d’abord des prestations de qualité à ses clients et passe au crible les avis des internautes avant d’intégrer un établissement dans son répertoire. Un détail important : le site ne présente pas que des hôtels de luxe ou des restaurants gastronomiques. « Nous avons aussi des hôtels de charme de 2 étoiles, car ils peuvent proposer un service de qualité tout en offrant cette sensation d’évasion recherchée par nos clients », termine notre interlocutrice. Les professionnels souhaitant rejoindre le site peuvent choisir librement entre deux modèles d’abonnement : soit un abonnement annuel avec un coût fixe, soit un abonnement à la commission. ...
L’exploitation familiale Th. Petit a été reprise en 1995 par Bénédicte Bérard-Meuret. Aujourd’hui, elle et son époux travaillent ensemble sur un vignoble qui s’étend sur une superficie d’environ 6 ha. L’encépagement s’y compose majoritairement de pinot noir et de chardonnay. « Notre terroir jouit d’un très bon ensoleillement et il est très favorable à l’expression du pinot noir », souligne la gérante. Un processus maitrisé Depuis sa création, la maison Th. Petit a toujours cherché à privilégier une méthode culturale qui respecte l’environnement. Actuellement, elle s’est engagée sur une viticulture raisonnée, impliquant une utilisation très limitée de produits phytosanitaires. Concernant la vinification, le pressurage est confié à la coopérative vinicole du village. Les précieux jus rejoignent ensuite les cuves de l’Union Champagne à Avize. Il s’agit d’une structure qui regroupe plusieurs coopératives champenoises et dont le savoir-faire est reconnu par les plus grands experts en vin. « L’élaboration, quant à elle, est assurée par un œnologue », nous confie-t-on. Des cuvées prestigieuses Afin de satisfaire une large diversité de consommateurs, la maison propose une gamme complète de champagnes : Blanc de blancs, Brut, Brut rosé, Demi-Sec, Millésimé 2012 et Prestige Millésime 2006. La cuvée Brut et la cuvée Prestige Millésimé 2006 peuvent toutes les deux prétendre au titre de « cuvée emblématique » de la maison Th. Petit. La première est obtenue à partir de 75 % de pinot noir et de 25 % de chardonnay. Ce champagne de cœur revêt une teinte or brillant et séduit par ses arômes de fruits rouges et de pêche. Une cuvée de qualité exceptionnelle récompensée par 3 étoiles au Guide Hachette. Le Millésime 2006, quant à lui, s’obtient par l’assemblage de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. C’est un champagne racé, puissant et qui saura accompagner parfaitement tous les moments d’exception. ...
Société Coopérative et Participative (SCOP), l’Atelier du Bouilleur, situé à une vingtaine de kilomètres de Béziers, est le fruit d’une coopération entre distillateurs et vignerons. « L’entreprise se compose de 6 membres : distillateurs et distillatrices, prestataires de service pour des vignerons mais également des entrepreneurs qui veulent créer leur marque d'eau-de-vie sans être du milieu du vin ou des spiritueux », fait savoir Jennifer Frair, distillatrice, consultante en management des organisations et « disciple » de Matthieu Frécon et Martial Berthaud. Le retour à la source Produit emblématique de l’Atelier du Bouilleur, la Fine Faugères, créée par Noël Salles, est une eau-de-vie de vin vieillie IGP Faugères dont l’histoire remonte au XIXe siècle. En 1985, la distillation de la fine s’est arrêtée. En 2000, le distillateur Matthieu Frécon reprend sa production afin de lui rendre ses lettres de noblesse. En France, l’Atelier du Bouilleur figure parmi l’une des rares distilleries qui disposent encore des alambics à repasse originaux, notamment de type charentais. « Notre plus ancien alambic date de 1927 », signale notre interlocutrice, et de continuer que « contrairement aux producteurs industriels, nous proposons une petite production 100 % artisanale et naturelle (certifiée bio) afin de poursuivre notre démarche du retour aux traditions, du bien manger et du bien boire ». À la découverte du métier de distillateur Profitant d’une situation géographique exceptionnelle au milieu de vignerons dotés d’un savoir-faire ancestral, l’Atelier du Bouilleur distille du vin, des marcs et autres eaux-de-vie. Au sein de cette distillerie coopérative, « notre activité se divise en deux, dont la distillation à façon pour d’autres marques, et celle de nos propres produits ». Outre la distillation de vins de Faugères issus des cépages de la région (syrah, grenache, cinsault, carignan, mourvèdre), l’atelier propose des stages d'un weekend assurés par Matthieu Frécon. Le samedi, les participants suivent une formation en distillation d'alcool de bouche. Le dimanche quant à lui est dédié à la distillation alchimique (huiles essentielles, spagyrie, alcoolatures). La Fine Faugères : le succès de l’Atelier du Bouilleur La distillerie élabore une large gamme de produits parmi lesquels figure la Fine Faugères. Réputée comme étant la « troisième eau-de-vie de France », celle-ci est fabriquée suivant un cahier des charges précis. Vieillie en fût de chêne pendant au moins cinq ans, la Fine promet des notes fruitées et salines avec une belle douceur en bouche lors d’un dessert par exemple. La distillerie produit aussi des gins fabriqués à partir de baies de genévrier fraîches, sans sulfite et 100 % bio, ainsi que l'inédite Eau-de-vie de Verveine (une verveine sans sucre). Au-delà de ces classiques, l’Atelier du Bouilleur propose des séries limitées à l’instar de la vodka aromatisée à la lavande baptisée Lavodka, le vin distillé aromatisé à la flouve qui porte le nom de Flouvovin, ou encore le Printemps à base d'aspérule odorante fraîchement cueillie dans la région. « Le but de notre gamme série limitée est de montrer notre savoir-faire et le potentiel d'un vrai distillateur tel qu'on le connaissait avant, c'est-à-dire le bouilleur ambulant » rapporte Jennifer Frair. ...
Première appellation du Languedoc et reconnue officiellement comme telle en 1948, l’AOC Fitou s’illustre pour ses grands vins rouges issus majoritairement du carignan, de la syrah, du mourvèdre ou encore du grenache. Son aire géographique s’étend sur le département de l’Aude au sein de plusieurs communes telles que Paziols, Cascastel-des-Corbières, Villeneuve-les-Corbières, Tuchan, Fitou, Caves, Leucate, La Palme ainsi que Treilles. Le vignoble de 2200 hectares produit en moyenne 68 000 hectolitres de vins. Il profite d’une situation particulière : à l’est, l’étang de Leucate, le vent, la sécheresse et les cailloux et à l’ouest, la protection naturelle procurée par le Mont Tauch. Une montagne sise près des Pyrénées-Orientales dont le nom a inspiré celui de l’une des plus grandes coopératives viticoles de la région. De villages en villages, de vignobles en vignobles Idéalement installée au cœur des Pays Cathares, au sein des hautes Corbières sur la commune de Tuchan, la cave coopérative Mont Tauch porte en elle une riche histoire puisqu’elle existe depuis 1913. Elle n’est peut-être pas aussi ancienne que les châteaux cathares qui l’entourent dont le fameux Château d’Aguilar candidat au patrimoine mondial de l’UNESCO, mais sa présence historique atteste de son leadership dans le paysage viticole languedocien. Sa création est née d’une volonté des vignerons indépendants de se regrouper en une communauté à vocation de faire rayonner l’AOC Fitou, l’AOC Corbières, les vins de pays et les vins doux naturels régionaux au-delà des frontières. La cave rassemble aujourd’hui plus de 140 membres et son vignoble compte au total près de 1100 hectares, répartis sur les communes de Tuchan, de Paziols, de Villeneuve-Les-Corbières et Durban-des-Corbières. Chaque village possède un terroir particulier. Si celui de Durban-des-Corbières se veut plus calcaire, les sols de Tuchan sont argilo-calcaires tandis que ceux de Paziols sont majoritairement composés de galets roulés. À Villeneuve-Les-Corbières, les terres sont quant à elles plus schisteuses. Cette grande diversité associée à un climat purement méditerranéen donne naissance à des vins de puissance et de rigueur. Place à une gamme de vins méridionaux Produisant entre 5 à 6 millions de bouteilles chaque année, Mont Tauch possède une gamme de 60 références de vins issus de vignes âgées de 45 ans en moyenne. Certains font la fierté des vignerons à l’instar de la cuvée T de Tauch en AOC Fitou élaborée à base de syrah, de grenache noir et de carignan. Ce rouge présente une robe rubis foncé et révèle un nez à la fois complexe, délicat et fin aux notes de fruits rouges. En bouche, son harmonie et son ampleur veloutée ne manquent pas de séduire. Autre incontournable : la cuvée Hommage produite également sous l’appellation Fitou. Après avoir été élevé en fûts de chêne neufs français entre 9 à 12 mois, il se déguste idéalement avec du gibier, des viandes cuisinées, des fromages de caractère ou de la charcuterie. Avec son nez intense qui évoque les épices et la garrigue et son attaque aromatique qui s’achève sur de la finesse, ce vin de garde sublime un rôti de grives ou un magret de canard Rossini. En AOC Corbières, l’Héritage Hibrini s’inscrit comme une référence de la coopérative. Ce rouge de garde est élaboré à partir de grenache noir, de syrah et de carignan et rehausse à merveille les saveurs d’un tournedos de bœuf au roquefort, d’une souris d’agneau braisée ou d’un gibier en sauce. Dans une volonté d’innover sa gamme et de mieux mettre en valeur son terroir d’exception, la cave coopérative a fait renaître ses vignes centenaires pour concevoir des cuvées vendangées à la main à base de vieux carignan et de grenache noir. Cette initiative a démarré en 2019 et promet des vins de haute volée qui feront le bonheur du public. ...
À Moustiers-Sainte-Marie, dans le Parc naturel régional du Verdon, on aime la terre. Ce joli village provençal, bâti au Ve siècle, profite de paysages bucoliques où l’eau s’allie à la pierre, entre aqueduc, remparts et fontaine. Fort de ses traditions et de son environnement, le village est devenu la capitale de la faïence. Une histoire tendue vers l’avenir et un site exceptionnel sont à y découvrir. Du Moyen Âge à aujourd’hui Abondant de bois et d’argile, la terre de Moustiers-Sainte-Marie est celle des potiers. Au XVIIe siècle, le célèbre artiste Pierre Clérissy, enfant du village, oriente son travail vers la faïence. Il transmet son méticuleux savoir-faire à sa descendance. Dans les cours d’Europe, les faïences de Moustiers acquièrent une grande notoriété. Douze fabriques font alors vivre le village et témoignent de son activité principale. En émail blanc à ses débuts, la faïence va peu à peu prendre des couleurs et s’orner de fresques somptueuses, de scènes mythologiques et de fleurs. Au XVIIIe siècle, elle est mise à mal par la guerre et la concurrence industrielle. Le dernier atelier de Moustiers ferme ses portes en 1874. Il faut attendre 50 ans et l’intérêt de Marcel Provence, ethnologue, écrivain et historien, pour relancer l’activité faïencière. Ce dernier crée le musée de la Faïence en 1928. Des ateliers s’installent à nouveau dans ses alentours. Aujourd’hui, onze d’entre eux sont en activité, dont sept forment l’Union des faïenciers de Moustiers-Sainte-Marie. Un musée plein d’Histoire Le Musée de la faïence donne à admirer des œuvres anciennes datant du XVIIe ou du XVIIIe siècle mais aussi des œuvres plus contemporaines. On peut y admirer le travail des maître-faïenciers qui ont fait l’histoire du village tels que Clérissy, Olérys et Ferrat. Toutes les étapes de fabrication sont expliquées via des panneaux et des projections. Le public découvre l’évolution des objets à travers les modes et les techniques utilisées. Le musée dispose d’une grande pièce bleue dans laquelle les badauds peuvent s’émerveiller devant des créations issues des illustres entreprises de Moustiers. Un lustre de 1900 trône au milieu du plafond, réfléchissant la lumière via un délicat verre de Murano serti de paillettes d’or pur. Un art vivant En sillonnant le village, le public peut pousser librement la porte des ateliers nichés dans les ruelles. Onze exercent aujourd’hui leurs activités, fabriquent et vendent leurs créations. Les maître-faïenciers prennent plaisir à expliquer leur art et invitent à assister aux étapes de décoration. L’environnement et le dynamisme de la ville ont de quoi séduire les touristes et les locaux. Son activité artisanale permet d’y vivre pleinement une véritable escale culturelle. Un moment hors du temps, à savourer en famille tout au long de l’année. ...
Depuis maintenant sept ans, cette agence implantée à Cannes allie créativité, originalité, savoir faire et sélectionne des prestations d’exception afin de concevoir des événements dignes des nuits de l’Orient. Séminaires, Incentives, inaugurations, congrès ou évènements privés, confier ses projets événementiels à LaurenceBEvents, c’est la promesse d’instants mémorables célébrés dans le cadre glamour de la Croisette ou conçu dans un cadre plus « corporate ». Exportant ses services à l’international, cette ambassadrice de la perfection manie savamment l’art d’organiser, de réunir et de célébrer. Des événements adaptés à vos besoins « En réceptif sur la Côte d’Azur, mais aussi en France et en Europe, notre agence est spécialisée dans la conception et l’organisation d’événements professionnels ou privés « sur mesure » fait savoir Laurence Billet, directrice de l’agence LaurenceBEvents. Ayant organisé des séminaires pour des groupes de renom et accompagné des manifestations sportives réputées, à l’instar du Jumping de Valence, l’agence apporte une réponse « sur mesure » tout en proposant des prestations novatrices qui donnent du sens à vos projets ! Les animations ou les prestations artistiques sont sélectionnées en fonction de la thématique de l’événement, de la soirée et retrouvent ici une seconde jeunesse. Innover est le véritable maître-mot de chaque événement créé par LaurenceBEvents. L’agence, forte de ses années d’expérience et de son réseau qualitatif de partenaires, propose d’ailleurs « un large éventail ré-actualisé de prestataires », selon sa directrice. Elle peut vous conseiller pour vos « prestations partielles », recherche de lieux, traiteurs, animations ou mieux, concevoir vos événements de A à Z, hébergement, diner de Gala, Team-Building, scénographie, animations, décoration, et ce, pour des groupes pouvant atteindre 500 personnes ». Agence créatrice d’émotions… personnalisées Promouvoir, remercier, fédérer ou tout simplement réunir… À chaque objectif, son événement ! L’agence allie créativité, innovation, expertise pour proposer des évènements en lien avec votre identité. Ainsi, l’art d’émouvoir se reflète dans le choix des lieux, des activités et des prestations en général. Quelque soit le format, la destination, le savoir-faire de l’agence s’illustre au travers des évènements, séminaires annuels, Incentives ou congrès. Tout est orchestré et mis en œuvre pour valoriser votre communication et répondre à vos exigences les plus complexes. Les valeurs comme la réactivité, l’exigence, l’éthique, fidélisent ceux qui ont confié leurs événements à l’agence. L’équipe qualifiée et chevronnée s’attèle à donner le meilleur pour répondre à vos attentes et même au-delà. L’émotion, la joie, l’étonnement sont plus que jamais au rendez-vous aux travers de découvertes mémorables, d’étonnantes activités de cohésion d’équipe et d’instants magiques. Des séminaires réellement sur mesure Parmi les spécialités de cette agence événementielle se trouve la conception de séminaires d'entreprises. Sa signature, l’écoute et l’attention portée à chaque participant et à chaque détail, en font une pionnière de l’organisation de séminaires et de congrès personnalisés, le tout conjugué à l’excellence. Le choix du lieu, du thème, du fond et de la forme, sont réinventés. « Pour nous, la réussite ne doit rien au hasard » assure notre interlocutrice. Ce goût du bon, du bien et du beau représente ainsi un véritable gage d’authe...
L’idée de créer un domaine viticole a surgi comme un vent de folie chez les Biancone. En 1983, Monique et Gérard ont décidé d’allier leur passion pour le vin et les vignes, en bâtissant ensemble le prestigieux Château Rasque. Un paradis créé de toutes pièces Le domaine est localisé à Taradeau, un village situé dans le centre du Var. Monique, fille de viticulteurs bordelais, et Gérard, passionné de vin : la vocation de vignerons s’est révélée comme une évidence chez les Biancone. Gérard, notamment, a également su déployer ses talents de maçon pour aménager le domaine à l’image de ses prestigieux ancêtres, les Rasque, une famille de notaires dracénois ayant occupé les lieux au XVIe siècle. Une des plus grandes fiertés de la famille est l’acquisition du Clos Jasmin, une irrésistible propriété de 12 ha, située au pied de la Sainte Victoire, sur laquelle s’enracinent de vieux ceps centenaires produisant exclusivement des rouges. Au fil des 35 ans passés, Monique et Gérard Biancone ont transmis leur passion ainsi que leur savoir-faire à leurs cinq enfants, qui ont tout simplement grandi au rythme de la vigne. À tel point qu’en 2005 leur fille Sophie reprend les rênes de l’entreprise familiale. Avec l’aide de son frère Enzo, « l’enfant des vignes », elle va apporter un vent de modernité qui ne sera que bénéfique dans la promotion de leurs vins en appellation Côtes-de-Provence. Notons qu’en 2003 la famille a également succombé au charme du domaine Hermitage de Saint-Pont, à Figanières, doté d’un vignoble de 31 ha et de 7 ha de bois. Un terroir particulièrement attachant Le vignoble du Château Rasque s’étend sur un sol argilo-calcaire de 30 ha. Perché à 260 m d’altitude, il bénéficie naturellement des conditions adéquates pour mener les vignes à parfaite maturation. D’autant plus que la couverture caillouteuse du sol limite les écarts de température entre le jour et la nuit et donc stabilise la température pour le bien-être des plantes. Le mariage de l’argile au calcaire permet le bon drainage du sol, ce qui prévient le stress hydrique chez les vignes. Ces traits caractéristiques confèrent d’onctueux arômes exotiques aux blancs et aux rosés, et leur tanicité soigneusement équilibrée aux rouges. Dans la liste des cépages travaillés figurent les célèbres variétés comme le rolle, le grenache, le cinsault, la syrah et l’ugni blanc. La vinification se fait de manière traditionnelle dans le but de tirer le meilleur du raisin, tout en le respectant. Il s’agit également de « valoriser l’âme du terroir », une terre pour laquelle la famille Biancone témoigne d’un amour particulier via une agriculture raisonnée. Ainsi, après les vendanges à la main, les raisins sont refroidis dans un échangeur tubulaire avant de passer au pressoir pneumatique. Le moût sera fermenté dans une cuve en inox, équipée d’un groupe de froid permettant de maintenir la température idéale pour la vinification. L’élevage des vins s’effectue dans des foudres de chêne installés à 8 m sous le sol, afin d’obtenir des cuvées authentiques au reflet de leurs racines. L’élégance en bouteille Grâce aux 3 domaines viticoles qui le composent, le Château Rasque peut produire différents types de vins. Réputée pour ses rosés, la maison consacre 50 % de sa production à ces cuvées. Le reste du pourcentage est départagé entre les rouges (30 %) et les blancs (20 %). Toutefois, la cuvée emblématique est la « Pièce noble », un vin rouge intense, dont la particularité se révèle à travers ses arômes de fruits confits légèrement épicés. Sa longueur en bouche et sa finale chocolatée s’avèrent être un réel plaisir pour le palais. Le Château Rasque est également connu pour ses blancs frais et complexes comme le « Blanc de blanc 100 % rolle » ou le « Clos de Madame ». ...
Situé non loin de la magnifique église d’Ars-en-Ré, le restaurant O de Mer offre une cuisine gourmande et raffinée, qui fait plaisir aux fins palais. Faire plaisir, justement, est l’une des valeurs qui animent cet établissement, au sein duquel vous vous sentirez comme à la maison. Un maitre restaurateur aux fourneaux Ayant débuté sa carrière en Europe dans le domaine de la restauration, Thierry Hainaut a forgé son expérience, longue de 25 ans, en Australie. Poussés par leur volonté et leur passion, Thierry et sa femme ont trouvé un coin de paradis à Ars où ils ont décidé de poser définitivement leurs valises. « Il y a 7 ans, nous avons rouvert ce petit restaurant avec Corinne pour retravailler à deux les produits qui nous font plaisir. Mais aussi pour retrouver la compagnie de nos clients, qui sont d’ailleurs devenus des amis très proches », explique Thierry Hainaut. Depuis 2014, le chef a été gratifié du titre de « maitre restaurateur », un statut délivré par l’État pour les restaurants traditionnels français. Ce label engage les restaurateurs à propose runiquement des plats faits maison, notamment avec des produits bruts et frais issus du circuit court.En 2016, Thierry Hainaut devient membre fondateur du Collège Culinaire de France, ce qui a permis à son bistrot de figurer parmi les « Tables gourmandes Poitou-Charentes ». Un cadre intimiste et agréable Le restaurant O de Mer est doté d’une belle salle, où le plancher en bois ancien confère tout son charme au lieu et les tables, couvertes de nappes blanches et entourées de chaises en cuir, renforcent l’aspect élégant du restaurant. Durant la période hivernale, un petit coin feu apporte chaleur et réconfort, tandis que, en été, la terrasse offre une vue imprenable sur le clocher d’Ars. Implanté dans la rue piétonne, ce restaurant intime de 22 couverts est idéal pour les rendez-vous romantiques. Une adresse gourmande au pied du célèbre clocher d’Ars-en-Ré Le chef élabore avec soin et créativité une cuisine gastronomique revisitée selon ses humeurs et la saisonnalité. Sa spécialité est la truffe fraiche. D’ailleurs, la maison a développé une carte, où les mets peuvent être accompagnés de truffe fraiche râpée selon les choix et les envies. En entrée, les convives se laisseront séduire par les saveurs du foie gras des Landes mi-cuit aux algues de Roscoff, salade de mer en tartare et brioche moelleuse. En plat de résistance, ils se laisseront tenter par la bouillabaisse de bar, Saint-Jacques et homard façon « Ô de mer », parfums d’orange et anisette, pommes grenailles et mousseline de rouille. Au dessert, les gourmands seront satisfaits par un petit bonbon chaud de chabichou du Poitou, cœur de miel et truffe, sirop pom’poires. Quant au menu, la maison propose en entrée une Ile flottante au délicat parfum de Tuber Albidum sur un velouté de cèpes de Dordogne. Vient ensuite, en plat de résistance, le bœuf Wagyu australien confit 8 heures et pâtes fraiches réduction de vieux pomerol aux perles du Japon et truffe. Le mélodieux repas s’achève avec le minestrone glacé de fruits de saison d’ici et d’ailleurs, glace à la truffe. ...
Réputée pour ses vignes et son histoire, la famille Boulachin Chaput perpétue depuis plusieurs générations cette tradition dans la fabrication du champagne. Étendues sur huit hectares et reposant sur un terroir argilo-calcaire, les vignes ont cet avantage d’être exposées sous un soleil naturel, offrant ainsi aux baies une belle maturité et une qualité exceptionnelle. Une culture de grande valeur La maison Boulachin Chaput obtient en 1924 sa première médaille d’or grâce à Paul Boulachin pour sa cuvée Carte blanche brut réserve. Une tradition champenoise que la descendance veut à tout prix préserver en travaillant pour cela dans le respect des gestes ancestraux. Sur les terres de la Côte des Bars, les cépages sont représentés en majeure partie de pinot noir (60 %), mais aussi de pinot meunier (10 %) et de chardonnay (30 %). La famille pratique depuis près de dix ans la viticulture durable sur l'exploitation, et lutte en faveur de la conservation de l’écosystème et le développement du terroir certifié par le Label Terra Vitis. Une ode à la nature « Prendre le temps et laisser s’exprimer la nature au maximum », tel est le leitmotiv des Boulachin, qui propose par exemple son Brut nature sans dosage à déguster dans toute sa pureté et son authenticité ou la Carte noire, un mélange de pinot noir et de chardonnay, qui est assez mûre et vineuse. La Dame noire, fait avec 100 % de pinot noir, millésimée 2006, 2009, 2012 et qui tient son nom d’une parcelle de la vigne de Dame noire, fait partie des autres cuvées phares. Marc Veyrat, célèbre chef cuisinier français, est un grand amateur de ces nectars produits par la maison Boulachin Chaput. Plusieurs projets sont en cours entre la marque et le grand chef rentrant dans le cadre de la promotion des produits du terroir. La tradition d’abord Le succès des champagnes Boulachin Chaput repose sur leur mode de fabrication réalisé dans le respect des traditions, notamment par rapport au vieillissement qui peut aller jusqu’à cinq ans. La fermentation s’effectue dans une cave réchauffée naturellement, pour l’obtention d’un vin de caractère, plus fin et plus complexe. La mise en bouteilles est réalisée courant mai et juin, période où la température est idéale pour le repos des vins. ...
Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle. Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine. Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée. Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie. Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence. Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages. Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins. Un virtuose de romantisme culinaire Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin. Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne. Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales. L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine. ...
L’entreprise FEREI France est le distributeur exclusif de la marque FEREI en France métropolitaine et DOM/TOM. Elle a bâti sa notoriété autour de la qualité supérieure des modèles qu’elle propose, en développant en parallèle un portefeuille de clientèle sportive. Usage pour sport nocturne, activités et loisirs outdoor, trek, raid, vélo, running, trail ou plongée sous-marine, chacun trouvera certainement un produit adapté à ses besoins et respectant son budget. Une gamme de produits performants La gamme d’éclairage FEREI se distingue par sa robustesse, son autonomie et sa facilité d’utilisation. Les lampes frontales sont les produits phares de la marque, qui se déclinent en modèles plus légers et d’autres plus professionnels. Dotées des dernières technologies LED, ces lampes produisent entre 220 à 1 800 lumens, et jusqu’à 50 h d’autonomie, selon le mode de réglage. Parmi la sélection, la série lampe frontale FEREI HL20 est spécialement adaptée pour le running, grâce à sa masse légère de 150 grammes et son bandeau positionnable. En pleine puissance, c’est-à-dire à 600 lumens, elle offre 4 h d’autonomie et même beaucoup plus longtemps, pouvant atteindre les 20 h, en mode éco. On s’intéresse aussi aux éclairages vélos, dont le phare BL800C à double optique LED XP-G. Avec sa portée jusqu’à 280 mètres et son faisceau de 680 lumens, ce produit accompagne aussi bien les sorties cyclo-randonnées que le trajet vélo en ville et vélotaf. En outre, des lampes torches à LED, des lampes de plongée et divers accessoires portatifs sont également commercialisés par l’entreprise. Une gamme de choix pour chaque activité FEREI France s’adresse particulièrement à trois cibles : d’abord aux professionnels dans le bâtiment, le transport, la gendarmerie, la sécurité, l’intervention, etc., mais aussi aux clubs, collectivités et associations sportives, et enfin au grand public. En tant que spécialiste dans l’équipement en éclairage sportif, l’entreprise propose des produits exclusifs à prix concurrentiel, pour répondre aux besoins précis des sportifs de haut niveau et des ententes sportives. Par ailleurs, les clients peuvent se rendre directement dans les magasins spécialisés et multisports, et chez les revendeurs indépendants en France, Belgique, Luxembourg et Suisse, pour découvrir la gamme conçue pour un usage quotidien. Il est également possible de commander en ligne via le site officiel de FEREI France et d’autres sites spécialisés, à savoir I RUN. ...
La vigne s’étend sur 33 hectares où s’épanouissent Pinot noir, Chardonnay et Meunier. En sus de cet espace, la maison Cattier acquiert dans les années 50 un clos de 2, 20 hectares, rare dans la région. Une cuvée porte son nom « Clos du Moulin » reflétant toute l’élégance de la parcelle, avec son assemblage de trois précieux millésimes. La cave centenaire est lotie sous la maison familiale, avec une capacité de stockage de 2 millions de bouteilles. Une saga familiale vouée aux vignes Le domaine Cattier, familial et indépendant, est aujourd’hui dirigé par Alexandre Cattier. Le sang des vignes bat le cœur de sa prestigieuse histoire, riche en événements et en émotions. Jean Cattier père, blessé pendant la Grande guerre, revient cultiver ses vignes en 1916 et commercialise ses premières bouteilles de champagne en 1918. C’est dans les années 60, que le domaine développe son activité et champagne Cattier devient un des plus importants récoltants manipulants de la Champagne. Dans les années 70, Jean-Jacques, fils de Jean Cattier fils, prend la relève et développe l’export en Europe et dans le monde, dès les années 80. En 2006, il lance une nouvelle marque « Armand de Brignac » qui sera consacrée « Meilleur champagne du monde » en 2010. Depuis 2011, c’est son fils, Alexandre, qui reprend les rênes du domaine après des études en Australie. Œnologue de métier, porté par son héritage, il oriente le domaine vers la culture raisonnée. Les Champagnes Cattier sont aujourd’hui certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum), et Viticulture durable de Champagne (VdC). L’art de l’assemblage et le respect de la terre se révèlent dans chaque opus du domaine. Des champagnes d’excellence à savourer comme on porte une coupe d’histoire à ses lèvres. ...
Le Centre de Procréation Médicalement Assistée PMAtlantique est l’un des établissements français les plus importants. Plus d’un millier de ponctions sont pratiquées chaque année. Le volume n’empêche pas la proximité et la personnalisation. Un centre où l’on peut être suivi de A à Z Chaque patient est suivi tout le long de son parcours par un seul et même clinicien. Dès que le besoin s’en fait sentir, celui-ci est disponible pour répondre aux questions ou faire la synthèse sur le plan médical. Autre particularité, l’ensemble des étapes nécessaires à cette prise en charge peut être réalisé sur place : consultations en gynécologie, échographies, dosages hormonaux, inséminations intra-utérines, transferts embryonnaires, le parcours complet est possible jusqu’à la grossesse et l’accouchement si la patiente le souhaite. « On peut vraiment aller de A jusqu’à Z », confirment les gynécologues-obstétriciens. Un centre certifié Dans un domaine médical où l’exigence des patients est encore plus forte, c’est un gage de sérieux et de qualité. Le centre PMAtlantique s’est engagé dans une démarche qualité, validée par une certification ISO 9001 en 2011 pour l’ensemble de ses activités cliniques et biologiques. « Les 3 axes de notre politique qualité sont la satisfaction des patients, d’une part, l’amélioration des résultats et l’harmonisation des pratiques, d’autre part, ainsi que la formation et le développement continu des compétences », fait-on valoir. Le centre est régulièrement audité chaque année, tandis qu'un grand oral doit être repassé tous les 3 ans pour renouveler la certification ISO 9001 (il a été renouvelé en 2014) Un centre humain En 3 décennies d’existence, le Centre PMAtlantique a fait évoluer ses pratiques. Depuis 3 ans, l’un des axes de travail mis en place concerne l’accompagnement des patients. Cela démarre dès l’accueil où une coordinatrice leur est dédiée. Elle est susceptible de répondre à toutes les questions suscitées par ce parcours de procréation médicalement assistée. « C’est un domaine dans lequel il y a beaucoup d’anxiété, de demandes. C’est à nous de nous adapter pour y répondre au mieux », est-il souligné. Pour le confort des patients, le centre a également développé des groupes de parole et des réunions publiques. Animés par des psychologues, ces groupes de parole permettent aux couples d’échanger sur leurs difficultés. Des consultations individuelles sont également possibles. « Nous savons également que les patients se tournent vers des thérapeutiques complémentaires, comme l'acupuncture et la sophrologie, l'ostéopathie », ajoute l’équipe médicale. « Nous avons ainsi identifié un réseau de professionnels de qualité, qui connaissent les problèmes d’infertilité. Et nous communiquons leurs coordonnées aux patients si ces derniers les désirent. » De plus, ces même professionnels participent à une journée annuelle organisé par le centre, pour exposer aux couples « l’intérêt mais aussi les limites de leur pratique dans le domaine de la fertilité ». Un centre qui a des résultats Le Centre PMAtlantique réalise un peu plus d’un millier de ponctions par an. En 2014, sur 1 130 ponctions, 1,5 embryon était transféré en moyenne pour un taux de grossesse de 36,3 %, le taux de grossesse gémellaire étant de 8,9 %. Cette année-là, 368 enfants sont nés. Sur les 10 dernières années, plus de 2 500 bébés ont vu le jour, à la suite de l’intervention de l’équipe du Centre PMAtlantique. ...
Depuis trois générations, la famille Montloin-Rocchietta a patiemment bâti deux havres de paix, dans un environnement unique et préservé. À l’origine, en 1949, on trouvait le Château de Valmer. Au cœur d’un vignoble entre terre et mer, cette demeure bourgeoise s’est peu à peu transformée en pension de famille, puis en hôtel. Aujourd’hui classé 5 étoiles, le Château de Valmer attire une clientèle aisée et discrète. À deux pas de là, au bout d’une majestueuse allée de palmiers, la Pinède Plage se construit peu à peu... Au début, ce n’était que deux simples bungalows de plage qui, au fil du temps, sont devenus, eux aussi, un hôtel 4 étoiles. Le raffinement de la Provence Ainsi, aujourd’hui, le Château de Valmer propose 41 chambres dans une situation unique au cœur d’une nature généreuse. Ici, tout évoque le raffinement de la Provence. Les chambres sont agrémentées de meubles authentiques, avec tout le confort d’un hôtel de luxe moderne. La Pinède Plage, située en bord de mer et face aux iles d’Or, dispose de 32 chambres fraîchement rénovées, confortables, à l’esprit méditerranéen et ouvertes sur la mer. Ses hôtes ont un accès immédiat à la plage privée de sable et à la piscine extérieure, au court de tennis… Des équipements dont peuvent bien sûr profiter les résidents du Château de Valmer. Farniente et gourmandise Chacun des établissements est une invitation au farniente… et à la gourmandise, avec deux restaurants. Ouverte de mai à octobre, La Palmeraie, sous la direction de son chef Jimmy Coutel, vient de recevoir une récompense très convoitée du Gault & Millau : le titre de grand de demain, avec une note de 15/20 et trois toques pour la qualité de la cuisine, inscrite dans la tradition méditerranéenne et provençale. Le service s’effectue dans le jardin andalou ou sur la terrasse ouverte sur le parc. Côté Pinède, le restaurant donne sur la plage, face aux iles d’Or. Le chef, Vincent Colbeau-Justin, y travaille des poissons et des produits frais locaux pour les repas, tandis que, l’après-midi, chacun peut y trouver des snacks, les pieds dans l’eau. Les deux restaurants privilégient les produits du terroir et bio, notamment ceux qui sont cultivés dans le potager bio du domaine ainsi que le vin rosé bio du Château de Valmer. Pas de doute, luxe et élégance, mais aussi authenticité caractérisent bien le Château de Valmer et la Pinède Plage ! ...
L’établissement se situe à Paris, au cœur du marais, dans un quartier sympathique. L’intérieur sobre et contemporain reflète l’âme de la maison, et l’ambiance familiale qui y règne apaise les clients. Ici, la cuisine a pour vocation d’offrir un plaisir culinaire exclusif aux épicuriens. D'autant plus que le menu de midi proposé à seulement 22.5€ pour une entrée, un plat et un dessert laisse l'occasion de découvrir au jour le jour des surprises gustatives qui ne laissent pas indifférent. Essayer d’autres combinaisons La cuisine de Julien Agobert ne rentre pas forcément dans une catégorie, et les clients l’apprécient justement pour cela. Un style propre à lui, façonné par une vingtaine d'années d’expériences dans des cuisines de palaces parisiens, de restaurants de prestige, mais aussi des petites structures indépendantes. Une cuisine inventive et multiculturelle qui laisse une empreinte de son aventure culinaire à l’étranger. « Ma cuisine est à la base une cuisine gastronomique, mais finalement il n’y a pas vraiment de règles, je peux ajouter une soupe Thaï à ma carte tout simplement parce que je trouve ça bon », explique-t-il. Et l’inépuisable énergie du chef déborde à chaque assiette : un mariage de saveurs inattendu, un jeu de texture, une palette de couleurs alléchante et un dressage quasi artistique. Les plats à découvrir La formule du soir – entrée, plat, dessert – est proposée à 37,50 €, et le menu dégustation à 55 €, composé de six plats. En guise d’entrée, la carte de cette saison suggère de la terrine maison, pickles, condiments betteraves jaunes, ketchup radis blancs et pommes, pain à l'ail. S’enchaînent ensuite les plats, à l’instar de « chicken crunchy crazy du chef » en deux cuissons, croustillant et confit au citron caramel et gingembre, aubergines grillées, sauce huile de sésame et soupe thaï. Au dessert, les clients ont le choix entre d’un côté, le moelleux au chocolat fumé coulant chocolat banc, sorbet tamarin et poires fermentées, et d’un autre, le globe de meringue garnie d’un crémeux à la rose, litchis, graines de lotus, riz au lait et sorbet au thé matcha. On vous l’a dit, le chef ne connaît pas de limite ! La carte de vins suit le même registre : éclectique et pleine de subtilité. Quelques cuvées d’exception issues du vignoble bourguignon et bordelais constituent la liste. Elle propose également des vins d’Italie, d’Espagne et d’autres pays. « Le monde entier, c’est ma région », confie-t-il. Développer un réseau de collaborateurs Le chef a passé des années à construire une relation privilégiée avec ses fournisseurs locaux et régionaux. Viandes, fruits et légumes, produits fermiers, produits de l’épicerie fine sont issus directement des petits producteurs et exploitations fermières. « Je privilégie le côté familial et humain dans ma relation avec les fournisseurs. » En outre, le chef invite régulièrement d’autres talents dans sa cuisine afin de partager sa passion et affiner sa signature. ...
Transmis de génération en génération depuis la fin du XIXe siècle, le savoir-faire familial et l’amour du champagne perdurent encore aujourd’hui avec Maelle & Jean-Christophe Delavenne, représentant la 4e génération de ces Récoltants-Manipulants. Les 10 hectares de vignes sont plantés en Pinot noir et Chardonnay sur les communes de Bouzy, Ambonnay et Cramant, pour une production d’environ 70.000 bouteilles par an. Une démarche respectueuse de l’environnement Jean-Christophe Delavenne pratique une agriculture raisonnée depuis de nombreuses années, sans aucune utilisation d’herbicide. Il s’inscrit dans un processus de culture durable, respectueuse de l’environnement et garantissant une biodiversité maximale. La majorité des travaux que nécessite la vigne, comme la taille ou le palissage, est réalisée manuellement, le sol est travaillé au moyen d’une charrue hydraulique. Leurs Champagnes et Bouzy rouge Tous les raisins sont récoltés uniquement sur la soixantaine de parcelles du vignoble. Ils sont ensuite pressurés sur place, cépage par cépage. Puis les jus sont mis en cuves. Aucune fermentation malolactique n’est effectuée afin de conserver la fraicheur des fruits et offrir une longueur en bouche plus intense. A cela s’ajoute une vinification naturelle longue puisque le tirage n’a lieu qu’au mois de juillet. Ainsi naissent les Champagnes Grand Cru Delavenne, que ce soit le Millésimé 2012, la Cuvée Réserve, La Cuvée Rosée, la Cuvée Blanc de Blancs ou la Cuvée Tradition, tous vieillissent pendant 3 ans minimum dans des caves creusées dans la craie. En hommage à leur première fille, ils ont récemment créé « Amour de Louise », une cuvée prestige mariant 70 % de Chardonnay et 30% de 8 Millésimes (2004-2011) et produite à 3048 bouteilles. Les Delavenne produisent également un Bouzy rouge, un vin non pétillant spécifique de cette région champenoise. Sur des notes de cerises griottes, c’est un vin léger qui s’apprécie légèrement frais. Quelques adresses pour déguster Hormis lors de votre visite dans la nouvelle salle de dégustation du domaine, vous pourrez gouter aux champagnes Delavenne dans différents restaurants étoilés comme Le Grand Cerf (Villers-Allerand), et même désormais au restaurant Kokkeriet à Copenhague. ...
L’histoire de Coding Days a commencé lorsque Alexandre Zana, un étudiant en école de commerce, a décidé un jour d’apprendre à coder. En effet, il avait beaucoup de mal à formuler ses besoins et à communiquer avec des développeurs, l’obligeant à mettre en place lui-même ses projets. C’est à travers cette expérience qu’il se passionne pour la programmation et qu'il apprend le code informatique de façon autodidacte. La suite ? Il souhaite aller plus loin et décide de se rendre chez Makers Academy, à Londres, pour une formation intensive au code pendant 12 semaines, avant de revenir en France et fonder la start-up, début 2017. Cette expérience chez Makers Academy était l’une des plus belles de sa vie, après Coding Days ;-). Faire ses premiers pas dans le code « Notre philosophie n’est pas de former des développeurs ou experts en code, mais de former des compreneurs, des gens qui sont capables d’assimiler le code et ses enjeux », explique, explique Émilie Rehmann, responsable marketing. En d’autres termes, le concept vise à démocratiser le développement web et à le rendre ainsi accessible au plus grand nombre. La start-up cible un public débutant très large : chef de projet marketing en entreprise, entrepreneurs et intrapreneurs qui veulent booster leurs business, simple étudiant à la recherche d’une compétence supplémentaire, ou designer qui souhaite créer son propre site internet. Coding Days forme notamment celles et ceux qui exercent des professions libérales et qui ont un réel besoin relatif à leur site internet, mais qui n’ont pas les compétences techniques appropriées. L’objectif ? Parler le langage web pour mieux comprendre l’univers de la programmation. « Armés d’un bagage technique, ils seront capables de trouver les bons mots pour mieux s’exprimer et faire évoluer leur projet personnel. » À l’issue de la formation, les apprenants peuvent déchiffrer les jargons utilisés dans ce domaine (client, serveur, hébergement, langage, notions HTML5 et CSS3, frameworks, bibliothèques, Front-End et Back-End, etc.) et repartent même avec leur propre site web à l’issue de la formation d’une semaine. Les formateurs de Coding Days interviennent également dans des écoles de commerce telles que l'EM Normandie, l’ISCOM, l’ESD ou encore Audencia Nantes. Ils forment aussi des étudiants d'écoles de communication, de journalisme et de design qui s’intéressent de plus en plus au monde digital et aux nouvelles technologies. Déjà établie à Paris et donnant également des cours à Londres, la startup poursuit sa conquête de l’Europe et donnera prochainement des formations à Madrid. Une pédagogie active En se lançant dans cette aventure, les fondateurs de Coding Days et l’équipe pédagogique ont développé une pédagogie innovante inspirée des méthodes Montessori, de la pédagogie inversée ou encore de l’intelligence collective qui requiert beaucoup de pratique. « Notre propre méthodologie est ce qui nous permet justement de nous adresser à des personnes vraiment novices dans la programmation web.» Il poursuit en insistant sur l’importance de la pédagogie au sein des formations de Coding Days : « Ce n’est pas la même chose d’apprendre à coder et d’apprendre à comprendre le code. La pédagogie n’a rien à voir. » déclare Alexandre Zana. En parallèle, l’équipe collabore avec une vingtaine de mentors (développeurs full-stack, CEO, growth hackers, data scientists, experts en cyber-sécurité, etc.) qui sont des experts, passionnés par la pédagogie issus des start-up françaises ou des groupes internationaux. Un mentor est dédié à chaque groupe de cinq personnes (1 pour 3 durant la semaine pour créer son site) et aura comme mission de cadrer l’échange et de favoriser l’interaction pendant les séances de challenge. De leur côté, les participants, autrement appelés les « Explorers » travaillent chacun sur leur site internet personnel à partir de la plate-forme E-learning conçue par Coding Days pour booster l’imagination tout en stimulant l’apprentissage. Plutô...
Se révélant comme des voies royales pour pénétrer dans des régions dépourvues d’infrastructures, les fleuves inspirent depuis ses origines l’esprit de Fleuves du Monde. Les territoires qu’ils parcourent, souvent oubliés par les acteurs touristiques, sont de véritables concentrés d’humanité où alternent témoignages de civilisations et paysages millénaires. Qu’il n’y ait ni routes, ni structures touristiques sur les berges des régions traversées par ses bateaux devient une force pourles équipages de Fleuves du Monde. Bénéficiant d’un hébergement et de services de qualités naviguant au fil de l’eau, multipliant les escales tout en laissant le moins de traces possibles, ses voyageurs disposent d’un formidable moyen d’exploration etd’échanges. Expériences inédites Car les voyages de Fleuves du Monde ne se limitent pas au simple plaisir de se retrouver à bord d’une chaleureuse embarcation, ils s’intéressent avant tout à ce qui se trouve sur les rives : le quotidien des populations rencontrés, qu’elles soient rurales ou citadines, le patrimoine naturel, historique ou architectural, sans oublier la faune et la flore environnante. C’est cet esprit responsable et d’ouverture que Fleuves du Monde aime à faire partager. ...
C’est dans ce contexte, que les équipes de recherche de l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM) tentent aujourd’hui d’identifier les causes de 13 maladies rares afin d’accélérer la pose d’un diagnostic et de proposer des traitements adaptés en particulier par thérapie génique. Dans plus de la moitié des cas les maladies rares se développent dès l’enfance, mais d’autres se développent plus tardivement chez l’adulte, elles sont souvent dites « orphelines » car il n’existe à ce jour aucun traitement pour un grand nombre d’entre elles. Elles représentent un enjeu majeur de santé publique car les 7 000 maladies rares identifiées aujourd’hui atteignent plus de 3 millions de personnes soit 4,5% de la population française. Ces pathologies se caractérisent par une grande variété de signes cliniques qui varient non seulement d’une maladie à l’autre mais également d’un patient à un autre atteint de la même maladie. Cette variabilité rend compliqué le diagnostic qui intervient en moyenne 5 ans après le début des symptômes dans 25% des cas, en particulier pour les pathologies non héréditaires, soit 20% d’entre elles. « Mieux connaitre l’origine causale des maladies pour vite et mieux diagnostiquer » A l’ICM 12 équipes de recherche s’attachent à découvrir les causes de 13 de ces pathologies, d’identifier des biomarqueurs d’aide au diagnostic et de développer des traitements. L’identification de gènes, la mise en évidence de réseaux de neurones spécifiques, les études d’imagerie cérébrale, la mise en évidence de marqueurs précoce de la pathologie, sont autant de résultats prometteurs pour le développement de thérapies. Des pistes thérapeutiques issues de ces recherches sont d’ores et déjà à l’étude, comme la stimulation cérébrale profonde dans le syndrome de Gilles de la Tourette, ou la thérapie génique pour la maladie de Huntington. Une nouvelle équipe de recherche, dirigée par Nathalie CARTIER, qui a récemment rejoint l’ICM proposera un essai thérapeutique de phase I/II pour la maladie de Huntingtonen 2020. Ce groupe développe des outils permettant l’entrée de molécules thérapeutiques dans le cerveau (vecteurs administrables par voie veineuse, optogénétique, utilisation de cellules résidentes du cerveau comme vecteur thérapeutique). ...
Avec un savoir-faire incomparable, la coopérative laitière des Alpes du Sud propose des produits qui font ressortir le vrai goût du lait. Un lait à la fois naturel et authentique. Grâce à la qualité de ses produits, la coopérative laitière des Alpes du Sud offre une occasion de redécouvrir le plaisir de consommer cette boisson. À l’instar du lait frais entier pasteurisé qui se distingue par ses douces saveurs. Des produits uniques de par leurs goûts En matière de fromage blanc qui est l'un des produits phares de la coopérative qui en écoule 200 tonnes chaque année, deux choix s’offrent aux plus gourmands : battu et non battu. Sa texture légère et onctueuse en fait un dessert de premier choix. La crème fleurette avec ses 35 % de matières grasses est une crème fraîche liquide, idéale pour la chantilly ou les sauces. Ensuite, replongez en enfance grâce à la faisselle, élaborée à partir du bon lait des Hautes-Alpes. Enfin, pour les amateurs de lait demi-écrémé, la coopérative suggère le lait UHT demi-écrémé pour son goût unique. ...
En vrai visionnaire, André Deberdt était à l’origine de la création du label Bio équitable et était à la fois un acteur majeur au sein du réseau Biocoop. Il fonde KAOKA en 1993, et choisit de se concentrer sur le cacao et le chocolat afin de maîtriser toute la chaîne de valeur, depuis la plantation jusqu’à la commercialisation des produits finis. Un cacao éthique et de qualité Présente sur quatre filières, à savoir l’Équateur, Sao Tomé, le Pérou et la République Dominicaine, la société entre en relation directe avec les producteurs locaux et s’investit dans une stratégie de codéveloppement concertée pour pérenniser l’activité. L’une des valeurs éthiques véhiculées par KAOKA est le respect des hommes, qui se concrétise par la mise en place d’un cadre de travail optimal ainsi qu’une rémunération juste et honnête. Cet enrichissement mutuel se poursuit notamment dans la mise en place de coopératives regroupant les petits planteurs de cacao, qui bénéficient d'équipements performants utilisés dans les étapes de fermentation et du séchage. Ces investissements garantissent une meilleure qualité des récoltes tout en simplifiant les activités des producteurs. Dans sa vision d’un partenariat à long terme et pour faire face aux menaces de la pénurie de cacao, la société a également développé une technique agronomique basée sur la méthode du greffage comme solution viable pour les deux parties. Au-delà de l'augmentation de la production de cacao pour les producteurs, cette technique permet surtout d'encourager et favoriser la culture des variétés locales de cacao aux arômes originels et exceptionnels. Cette démarche reconnue a valu à KAOKA l'obtention de la certification FFL pour l'ensemble de ses produits, selon le référentiel pointu et exigeant BioPartenaire. Une palette bien gourmande Selon l’origine des fèves, les produits KAOKA révèlent une typologie aromatique bien spécifique et riche en saveurs. La gamme Noir Dégustation qui est l’ambassadrice de la maison se décline en plusieurs tablettes et s’adapte au goût de chacun : allant d’un mélange de saveurs plus délicates jusqu’au noir intense à 90 % pure pâte de cacao. Récemment, la marque a lancé deux nouveaux produits : l'un agrémenté de citron-gingembre et l'autre de noix de coco, pour apporter une note exotique plus soutenue. En outre, la gamme pâtissière (chocolat de couverture, pépites et poudres de cacao) est souvent appréciée par les fabricants chocolatiers et les artisans pâtissiers, de par sa qualité et conformité à leur exigence. ...
Les futurs éducateurs, un précieux vivier d’avenir Les formations (BAFA, BAFD) que dispense l’Afocal visent à développer non seulement les compétences techniques des futurs éducateurs mais aussi leurs valeurs humaines. « Dans un monde où tout le monde aspire à devenir “quelqu’un”, à l’Afocal, nous mettons tout en œuvre pour qu’au sortir de sa formation, un stagiaire soit devenu une “personne” », précise Marc Guidoni, secrétaire général de l’Afocal-IDF. Car indépendamment du bagage technique que procure un diplôme comme le BAFA, ce sont aussi des valeurs (respect, solidarité, acceptation des différences, relation à l’autre…) qui sont transmises lors des sessions de l’Afocal. Et pour cause, dans le cadre de leur activité future d’encadrement, il est essentiel que directeurs et animateurs allient la connaissance (le « savoir » acquis par l’apprentissage), la pratique (le « savoir-faire » issu de l’expérience) et enfin, l’attitude (le « savoir-vivre » qui est la somme des qualités personnelles et comportementales) dans le contexte éducatif mais aussi au-dehors. « Le BAFA fait grandir. Quand nos stagiaires entament la formation, ce sont encore presque des enfants. Et quand ils repartent, ce sont presque des adultes, prêts à passer le relais aux enfants qu’à leur tour, ils auront à encadrer. » Le BAFA, un diplôme à haute valeur ajoutée Bienveillante tout en étant exigeante, la pédagogie déployée par l’Afocal est en prise directe avec son époque. « Pas question d’essayer d’imposer à nos stagiaires un modèle qui serait dépassé. Au contraire, nous mettons un point d’honneur à ce que nos formations soient adaptées au contexte actuel », insiste Marc Guidoni. La pédagogie de l’Afocal a pour autre spécificité de s’articuler autour d’un véritable « contrat de confiance » passé avec le stagiaire. « En contrepartie de l’implication du jeune et de son engagement, l’Afocal, de son côté, s’engage à l’aider à mener à bien son projet… et à décrocher son diplôme ! » Car, pour paraphraser Michel Berger, le BAFA n’est peut-être qu’un détail pour vous, mais pour celui qui l’obtient, ça veut dire beaucoup ! Force est même de constater que le BAFA est loin de n’avoir de valeur qu’aux yeux de celui qui réussit cet examen. En effet, c’est un véritable sésame pour la vie active. Et de nombreux employeurs potentiels y attachent une grande importance dans un CV. Parce qu’il témoigne de la capacité de celui ou celle qui en est titulaire d’agir en équipe de manière à la fois responsable, citoyenne et pédagogique, le BAFA constitue indéniablement un atout précieux dont il serait dommage de se priver… ...
Prodiguant à la base une formation certifiante, avec la possibilité de poursuivre un cursus de spécialisation, cet établissement de sophrologie thérapeutique et psychothérapeutique se veut être une référence en la matière. Cette science, s’occupant de la recherche sur la conscience humaine, a pour principal objectif d’harmoniser les différents niveaux de notre être, à savoir le mental, l’énergétique, l’émotionnel et le physique. Utilisée dans le monde médical, social et même sportif, elle tend à apporter une aide précieuse dans le développement personnel, le changement de vie (maternité, monde du travail, sport de haut niveau, etc.), la lutte contre le stress, et même le cancer. Grâce à ces champs d’intervention élargis, la sophrologie s’avère être la solution pour quiconque souhaiterait mieux se connaître tout en acquérant des techniques de relaxation dédiées au bien-être. La formation continue au service du bien-être Ouverte à toute personne dotée d’une volonté de faire et d’agir, la formation de base en sophrologie dispensée par cette école alsacienne est entamée sur 340 h, réparties au total sur une période de 24 mois. Les cours théoriques sont prodigués lors de séminaires dédiés à dix personnes au maximum. Ces personnes, dites stagiaires, bénéficieront d’une formation complète, basée entre autres sur une dynamique de groupe, qui leur permettra, à la fin de leurs études, d’exercer efficacement dans plusieurs domaines, à l’instar du bien-être, du suivi psychologique, du développement personnel, de l’accompagnement social des plus démunis ou dans le monde pédagogique. « Les personnes ayant acquis les bases nécessaires de cette science pourront, par la suite, entamer un cursus thérapeutique », nous explique Jean-François Fortuna, directeur de l’école. « Ce cursus évolutif complet ne peut néanmoins pas avoir l’effet escompté si l’étudiant lui-même ne pratique pas les méthodes enseignées », continue-t-il. En effet, afin de faire profiter des bienfaits de la sophrologie à autrui, le stagiaire se doit d’abord d’avoir compris le fonctionnement et l’efficacité des méthodes pratiquées dans cette science. Il doit entamer lui-même des séances de sophrologie composées d’exercices de relaxation et d’orientation cognitive de la conscience. L’harmonie intérieure qui en découlera sera le point de départ pour la réussite professionnelle de ces sophrologues en devenir. Une science aux champs d’application multiples Dans le domaine thérapeutique, les sophrologues se chargent d’accompagner psychologiquement des malades atteints de pathologies diverses, mais surtout de cancer. Cette médecine d’accompagnement sera ainsi le garant d’une guérison psychologique pour ces patients. Appliquée dans le sport de haut niveau, la sophrologie est connue pour ses bienfaits sur la concentration et la détermination, deux aspects indissociables de ce domaine. Dans le monde du travail, elle permet, par ailleurs, de gérer le stress, de canaliser son énergie et de découvrir d’autres capacités cognitives, auparavant méconnues, grâce notamment au développement personnel. Enfin, dans la vie de tous les jours, elle peut nous être utile pour faire face aux grands changements dans notre vie, tels que la transition études-travail ou femme-mère. « Les autres possibles utilisations de cette science seront découvertes au fil des recherches entamées au sein de notre établissement », reprend notre interlocuteur. ...
Situé dans l’appellation « Bas-Armagnac », ce domaine est la plus anciennepropriété familiale produisant cette noble eau-de-vie. Il traverse les siècles depuis 1711 sans jamais prendre une ride, et cela, grâce à la passion et au travail acharné d’hommes et de femmes. Gilles de Boisséson, 11ème génération, est particulièrement fier de son terroir qu’il qualifie « d’exceptionnel ». Au sein du domaine s’étendant sur 400 ha d’un seul tenant, les vignes (surface de 24 hectares) et un parc verdoyant agrémenté de chênes se côtoient en harmonie. Une production atypique Sur ces terres, le baco, la folle blanche et le colombard se révèlent dans leur plus belle expression. Les eaux-de-vie obtenues à partir de ces cépages et des seuls vins du domaine, sont très fines, peu agressives, longues en bouche et très parfumées. Vieillies uniquement en fûts de chêne de 400 litres, elles sont absolument pures et ne font l’objet d’aucune manipulation ni adjonction de produits extérieurs (colorants, sucres etc.). « Nous avons la particularitéd’adopter une politique de vendange, de vinification, de distillation, et de vieillissement par cépage. De quoi nous assurer une très bonne connaissance de l’évolution du cépage sur 20, 30 ans… », révèle notre interlocuteur. Une dégustation du « 12 ans d’âge » ou du « 1999 » est une opportunité de s’offrir ce voyage dans le temps. ...