Situé entre plage et montagne, dans un paisible village entre Hyères et Toulon, le vignoble de la Navicelle longe les côtes méditerranéennes et bénéficie de conditions géographiques sans pareil lui permettant de produire d’excellents vins d’Appellation d’origine protégée Côtes-de-Provence. Depuis 2006, le domaine est sous la direction de Jannick Utard, un vigneron d’origine alsacienne aussi passionné que chevronné, dont la principale ambition est de combiner l’agriculture biodynamique à la viticulture traditionnelle. Un terroir aux cépages diversifiés Le domaine de la Navicelle s’étend actuellement sur 21 hectares de vigne, et limite ses rendements. Avec son climat méditerranéen, à la fois clément et tempéré ainsi que son sol composé essentiellement de schiste, il convient parfaitement à la culture de différents cépages. L’encépagement regroupe une dizaine de variétés de raisins, notamment « du blanc (rolle, muscat, clairette, sémillon), du rosé (tibouren, grenache, cinsault) et du rouge (syrah, grenache, cabernet, sauvignon, carignan, mourvèdre) », cite Franck Ruiz, responsable de la commercialisation. Labellisé bio et bientôt en biodynamie... Délicates et plaisantes, les cuvées de la marque sont élaborées avec talent et rigueur, et sont labellisées bio depuis 2014. Mais l’enseigne ne compte pas en rester là puisque « la conversion de l’ensemble de la production à la biodynamie devrait être appliquée l’année prochaine pour obtenir le label Demeter », explique notre interlocuteur. À côté des vins « Esprit » se démarquent les têtes de cuvées « Colle Noire » qui tirent leur nom de la colline éponyme à proximité du vignoble. Se déclinant en rouge et en blanc, elles constituent la signature de la Navicelle et s’invitent sur les grandes tables françaises et bientôt sur celles d'autres pays comme l’Angleterre ou les Etats Unis. Contrairement aux rouges, les blancs bénéficient d’un passage en fûts d’acacia et fûts de chêne pendant huit mois, « ce qui les rend originaux et gourmands », souligne Franck Ruiz. Une escapade entre détente et découverte Outre la vitiviniculture, le domaine de la Navicelle est également un lieu de détente où l’environnement est aussi paisible que dépaysant. À peine cinq minutes de la plage, il propose plusieurs gîtes spacieux et luxueux au décor moderne et provençal avec une vue immédiate sur la mer. En famille ou entre amis, les visiteurs peuvent s’adonner à différentes activités telles que randonnées pédestres, pétanque, tennis, golf, balades sous-marines, piscine ainsi que dégustation et visite du domaine et de la cave entre autres. ...
Pour l’histoire, Convergence Infirmière est né en 1992, afin de combattre les conventions répressives. Après avoir récemment défendu la généralisation du bilan de soins infirmiers et l’augmentation de 75% des tarifs conventionnels, Convergence Infirmière souhaite également développer de nouveaux rôles susceptibles d’être tenus par les infirmières libérales dans le domaine de la prévention. Ainsi, le syndicat défend ardemment l’idée d’une “Consultation de Prévention Infirmière“, destinée à repérer la fragilité d’un patient. Le but, in fine, étant de repousser sa dépendance ou de détecter les personnes à risque de diabète ou à risque de maladies cardiovasculaires. Convergence Infirmière souhaite également être un acteur majeur dans le suivi des patients chroniques comme pour les malades atteints d’un cancer, afin d’éviter au maximum les hospitalisations. Est-il possible d’optimiser les soins de santé, grâce à un nouveau mode d’organisation ? Convergence Infirmière veut, au travers de nouvelles actions, moderniser l’exercice libéral autour des soins de proximité, en travaillant étroitement avec les autres professionnels de santé, afin d’optimiser la prise en charge d’un maximum de patients à domicile. Pour ce faire, il est indispensable de créer une dynamique d’équipe autour des patients, d’organiser la coordination des différents professionnels, de mettre au point des protocoles pluri-professionnels de soins de premier recours, d’échanger les données de santé, de garantir la continuité et la permanence des soins, de prévenir toutes les complications, de prévoir des réunions de concertation, dans le but d’améliorer le maintien à domicile et la qualité de vie des patients. Pour favoriser les liens entre professionnels, Convergence Infirmière développe une application web nommée ″LEO″ (Lien Échanges Organisation). Elle permettra, à terme, d’enregistrer différentes données de santé, des fiches de coordination, des relevés d’informations, mais également de communiquer par visioconférence ou via un tchat, d’alerter en cas de problème et, bien sûr, de conserver la trace des différents échanges. Ainsi, une équipe-test de soins primaires va voir le jour à Montpellier, regroupant, dans un premier temps, médecins, infirmiers, pharmaciens et kinésithérapeutes. Les ostéopathes, les podologues, les orthophonistes comme les diététiciens auront aussi toute leur place dans ce dispositif. ...
C’est à une heure de la mer Méditerranée que se dresse cette petite ville fière de ses villages et cités fortifiées, héritage d’un passé à forte résonance cathare. Randonnées, visites guidées, circuits sur la célèbre route du cassoulet ou promenades en bateau sur le canal du midi sont autant d’occasions de découvrir la richesse de ce patrimoine atypique. Ce trésor, fierté de tous les habitants, se célèbre à l’occasion de fêtes et d’événements organisés chaque année dans le but de partager, de faire revivre et de faire découvrir les traditions ancestrales qui ont forgé la réputation, relativement gourmande, du Pays cathare. Un riche patrimoine témoin d’un passé glorieux Castelnaudary se situe d’emblée au cœur d’une région marquée par une forte identité cathare. Ce catharisme, se reflétant dans le visage fortifié des cités et des bâtisses emblématiques de la ville, fait l’objet d’une préservation entamée dans le but de garantir l’authenticité d’un paysage haut en couleur, embelli par les champs de tournesol, de blé ou par les vignobles. Sur les traces de cette civilisation, consacrez quelques heures à la visite de l’abbaye de Saint-Papoul, une ancienne cathédrale abritant, dans le réfectoire des moines, les œuvres d’art du maître de Cabestany datant du XIIe siècle. Sillonnez également les ruelles du centre historique de Castelnaudary où se dressent de nombreux monuments, à l’instar de la Halle de Verdun, le musée du Lauragais, la chapelle de Notre-Dame-de-Pitié ainsi que la collégiale Saint-Michel. Découvrez, entre autres, l'activité meunière de la région, son histoire et ses traditions, lors d’une visite du fameux moulin de Cugarel, datant du XVIIe siècle, depuis lequel vous pourrez admirer la plaine céréalière du Lauragais ainsi que la montagne Noire. C’est d’ailleurs depuis cette montagne que coulent les eaux stockées dans le site de Saint-Ferréol et partagées ensuite au niveau du Seuil de Naurouze pour donner naissance au canal du Midi. Point de départ de ce canal séculaire, Castelnaudary a conservé les aspects emblématiques de cet ingénieux système hydraulique, inauguré en 1681, à l’instar des quatre écluses Saint-Roch, du grand bassin et du port doté de hangars de stockage céréalier que vous pourrez admirer lors de balades en bateau. Castelnaudary : capitale mondiale du cassoulet Le cassoulet, une spécialité gastronomique qui caractérise Castelnaudary et qui fait sa réputation internationale. Ce plat emblématique trouve, en effet, ses origines historiques dans ce petit coin du sud-ouest de la France. L’art de vivre y est ainsi tourné autour du cassoulet, ce qui explique la tenue de nombreuses festivités organisées pour le célébrer, pour ne citer que la célèbre fête du cassoulet, un événement résolument familial ponctué d’animations, de visites de villages et de concerts gratuits. À l’image des fameuses routes du vin, cette recette possède également sa propre parcelle de route : la route du cassoulet. S’étendant sur 180 km entre Castelnaudary et Carcassonne, cette dernière regroupe tous les acteurs qui rentrent dans la composition de ce plat exquis et gourmand, allant des cultivateurs de haricots aux éleveurs de canard, en passant par les potiers dont certains font partie intégrante de la tradition du cassoulet, comme la famille Not et ses poteries artisanales classées Patrimoine vivant. Ce parcours, créé en 2007, est, par ailleurs, l’occasion de s’imprégner de la gastronomie locale, lors d’ateliers de cuisine organisés sur réservation par l’office de tourisme, durant lesquels tous les secrets du cassoulet vous seront révélés, ou lors de dégustations de vins audois au cœur des domaines viticoles qui longent cette route agrotouristique. ...
Depuis le XVIe siècle, ce regroupement de professionnels passionnés par le vin, la plus vieille confrérie vinicole de France, s’attelle à valoriser le patrimoine vinicole de la région alsacienne dans son intégralité. L’authenticité trouve ici son essence au travers de manifestations organisées dans un château emblématique, siège de la confrérie et symbole de l’éternelle renommée des vins d’Alsace. Dédiés aux professionnels, mais accessibles au grand public, ces événements, appelés « chapitres », sont un hommage au savoir-faire ancestral et au talent des viticulteurs qui travaillent d’arrache-pied pour mettre le meilleur du terroir en bouteille. Mis à part ces manifestations séculaires, la confrérie Saint-Étienne organise des événements d’entreprise toujours axés sur la richesse vinicole régionale dont elle est la fière ambassadrice. L’excellence au service du vin Depuis des siècles, la confrérie s’est donné pour mission de promouvoir le vin d’Alsace en misant sur leur aspect qualitatif. C’est pourquoi un concours, le Sigille des vins d’Alsace, est organisé deux fois par an au cœur de la région, dans le château de la confrérie de Saint-Étienne. « À l’issue de ce concours très exigeant, les vins dégustés à l’aveugle, répondant aux critères de qualité intrinsèque et de typicité, reçoivent une distinction : le Sigille. Tirant ses origines du latin signifiant "sceau", le Sigille est un gage de qualité et d’authenticité pour les vins qui en sont récompensés », nous explique Éric Fargeas, membre de la confrérie. Une fois l’estampille de cette dernière apposée sur la bouteille, le vin vient figurer dans le palmarès de la confrérie et rejoint une œnothèque riche de plus de 60 000 références. Idéale pour immerger ses collaborateurs ou ses clients dans le monde du vin, cette œnothèque, se trouvant dans une cave aménagée dans le château, figure parmi les vestiges intemporels de l’art du vin alsacien, avec des millésimes datant, pour certains, du milieu du XIXe siècle. Mis à part ce concours, les fameux « chapitres » sont l’occasion de découvrir le riche panel de choix que la région a à offrir en matière de vins. Chaque chapitre est une opportunité de découvrir les traditions vinicoles du terroir, mais également celles de la confrérie de Saint-Étienne. Intronisations, animations vinicoles ou dîners de gala y célèbrent les vins du pays. Pour des événements d’entreprise couronnés de succès C’est dans un château datant du XVIe siècle, haut lieu de la viticulture, que votre événement aura lieu, sous les auspices de l’authenticité et du charme alsacien. Les salles et les aménagements de cette bâtisse rustique pourront accueillir des manifestations d’entreprise de toute taille : boutiques éphémères, incentive, séminaires, minisalons, team-building ou réunions d’affaires. « À la pointe de la technologie, avec des salles équipées de wifi et un parc technique innovant, le château vous ouvre ses portes avec un brin de modernité tout en gardant le cachet d’un bâtiment qui date de 1560 », continue Éric Fargeas. Les ateliers ou séminaires autour du vin qui y seront organisés seront suivis d’activités ludiques, à l’instar de séances de tir à l’arc, de ballon captif et bien d’autres encore. Découvrez également les divers ateliers proposés chaque année par la confrérie, pour ne citer que les ateliers d’initiation au vin, ceux dédiés aux accords mets-vin ou ceux intitulés « vins d’Alsace et saveurs de l’Inde », à découvrir… ...
À travers ses processus productifs calqués sur des écosystèmes naturels, Nutreets est à même de produire non seulement en quantité mais également en qualité. Cela dans le strict respect de l’environnement en évitant les pollutions liées aux intrants d’azote et de nitrates tout en préservant nos ressources qui ne sont pas infinies. Une production riche en qualité et en goût Dans un souci de préservation de l’environnement, Nutreets a développé des techniques de production inspirées de l’aquaponie. Cette dernière est connue comme étant une méthode de production biologique qui exploite la complémentarité entre pisciculture et autres cultures en hydroponie. Le principe est simple : l’eau provenant de l’aquarium est acheminée directement jusqu’au bac de culture. Une fois dans le bac, les plantes la purifient en assimilant les éléments nutritifs essentiels à leur développement. L’eau purifiée retourne à l’aquarium et le cycle peut reprendre, ce qui permet une importante économie d’eau. Jusqu’à maintenant, Nutreets s’est contentée de produire les grands classiques tels que les herbes aromatiques (basilic), les jeunes pousses (épinard, mâche, mizuna, roquette), les salades (batavia, feuille de chêne rouge, feuille de chêne blonde, laitue). En ce qui concerne les fruits, Nutreets produit des fraises, framboises, groseilles, melons. Enfin, des choux et des légumes variés tels que les aubergines ou les courgettes composent l’essentiel de la production. Celle-ci est naturelle et ne nécessite ni engrais ni pesticide. Côté pisciculture, anguille, black-bass, esturgeon, perche et Sendre constituent les principales espèces qui sortent de l’aquarium. Des systèmes de production innovants Que ce soit pour les particuliers ou pour les professionnels, Nutreets propose des systèmes de production qui sont adaptés à leurs activités. À commencer par le NutreetsGreenhouse System qui a été pensé pour les maraîchers en « serre verre ». Ce système est constitué de trois modules de production et permet d’atteindre des performances élevées qui se traduisent par une importante polyculture, une très bonne qualité gustative et nutritive, un rendement optimal et des cycles raccourcis. Les pisciculteurs ne sont pas en reste, effectivement, le NutreetsAquaclean System a été élaboré spécialement à leur égard. Ce système est basé sur un mécanisme de traitement des eaux combiné à des modules de production maraîchère. Le but étant de valoriser les effluents issus de la pisciculture. Résultat : une production totalement soutenable avec 0 % de rejet en azote sur l’activité piscicole, un système productif efficace entièrement écologique et une diversification des revenus. Le NutreetsEcoleaf System, quant à lui, est idéal pour la production de légumes feuilles et de poissons. Le point fort de ce système réside dans son adaptabilité à tout type de lieu. Il permet, entre autres, de réaliser 90 % d’économie en eau, de ne pas recourir aux intrants tout en bénéficiant de rendements très élevés. Enfin, conçu pour les particuliers, le Nutreets Free Garden se compose d’un bassin et d’un potager en réseau fermé. Avec ce système, plus besoin d’arroser, de désherber, d’utiliser des engrais et d’autres pesticides. Il suffit de nourrir les poissons et d'attendre que les fruits et légumes soient arrivés à maturité pour les cueillir. Si tous ces systèmes proposés par Nutreets connaissent aujourd’hui un franc succès, c’est en raison de leurs avantages qui peuvent se résumer en deux grands points, à savoir : d’un côté, la soutenabilité écologique (association favorable de cultures, renouvellement des terres, absence de produit chimique et une économie importante d’eau) et, de l’autre, l’efficacité agronomique (fraîcheur des produits, qualité gustative et nutritive, productivité continue et production locale). ...
Ennui, solitude, anxiété… Voilà le lot quotidien des personnes âgées se sentant en marge de la société lorsqu’elles prennent leur retraite. À l’heure où la notion de « bien vieillir » est au cœur des aspirations, nombre de seniors souhaitent habiter dans un environnement qui favorise d’abord l’interaction sociale. Afin de répondre à ce besoin, Senioriales, filiale du groupe Pierre & Vacances, a lancé ses résidences dédiées aux personnes âgées autonomes et implantées aux quatre coins de la France. Les logements garantissent aux habitants un nouveau style de vie à travers lequel ils peuvent rester actifs et s’épanouir selon leurs convenances. De cette manière, Senioriales assure aux retraités de demain une chance de vieillir dans les meilleures conditions. Une retraite épanouie La vie aux Senioriales s’articule autour de trois critères : confort, sécurité et convivialité. Les logements sont situés en ville afin de faciliter l’accès aux différentes commodités (commerces, transports et services divers). La proximité permet aux seniors d’interagir facilement et librement avec leur entourage. Ergonomiques et confortables, les habitats ont été aménagés de manière à faciliter le quotidien des seniors : douche italienne, absence de marche dans le logement, pièce à vivre agréable, rangements pratiques, des volets roulants électriques… Une équipe se tient à disposition en journée pour gérer la résidence, proposer des services à la carte et des animations quotidiennes. Des packs de prestations sont également proposés et comprennent le ménage, la restauration, la télé-assistance ou encore le kit linge. Par ailleurs, toutes les résidences Senioriales disposent d’un club house ou d’un salon-club, soit un espace dédié où les seniors peuvent se retrouver entre eux et partager un bon moment autour d’une partie de jeu de société, une séance de gymnastique douce, un atelier de cuisine, etc. Toutes ces activités s’intègrent dans une atmosphère chaleureuse bannissant toute sensation d’isolement. Le LAB, un accélérateur d’innovations Le LAB Senioriales est un programme d’innovation s’appuyant sur la collaboration d’experts métier et d’une trentaine de résidents. L’idée est de développer et de tester de nouveaux produits consistant à améliorer davantage les services proposés dans les résidences Senioriales. Il s’agit d’être acteur au sein de la silver économie et d’encourager sérieusement les porteurs de projets à fort potentiel. À travers les projets du LAB, Senioriales compte imposer cette structure comme la référence française du développement d’innovations pour les seniors. On peut citer, parmi les solutions déjà opérationnelles, CityZenMobility, un service de transport dédié à l’accompagnement des seniors dans leurs déplacements quotidiens ou occasionnels. Un autre produit très apprécié est l’application Félicie. Plus qu’un réseau social, ce logiciel facilite grandement la vie des seniors en mettant à leur disposition différents paramètres permettant de mieux organiser leur quotidien : agenda, actualités de la résidence, annonces, services à la carte… ...
Au bord du littoral, sur une colline sablonneuse surgit en 1855 un imposant et magnifique palace. Chez le commun des mortels, des fleurs ou autres présents symboliques serviront aux hommes à témoigner de leur amour. Mais quand on se nomme Napoléon III, on a l’exigence du luxe et du somptueux. Très épris, le prince-président ordonna alors la construction de l’opulente Villa Eugénie pour combler les désirs de sa belle. Devenu propriété de l’impératrice Eugénie au décès de son époux en 1873, l’édifice sera ensuite revendu à la Banque de l’Union Parisienne en 1880. Il sera plus tard le rendez-vous de prestige des têtes couronnées du Vieux Continent. Ravagé par un incendie en 1903, il s’est transformé en l’Hôtel du Palais qui abrite désormais l’une des meilleures tables de Biarritz. Romantisme de la belle époque Pour y avoir ses entrées, une tenue d’apparat sera de rigueur. Puis direction la grande place de Biarritz, là où trône majestueusement l’Hôtel du Palais. Vous vous laisserez d’emblée conquérir par le luxe et le raffinement des lieux. Les tapisseries, les tentures de soie, les belles dorures, les vertigineuses hauteurs sous plafonds, les tables dressées au millimètre près, les meubles d’époque ou restaurés témoignent de l’élégance exclusive de la Villa Eugénie. La salle propose des tons chauds mis en valeur par les superbes luminaires. Comme si le temps s’est arrêté, on ressent encore cette ambiance « Second Empire » marquée par l’aristocratie et tout son Gotha. Les tables ont été ingénieusement installées pour que chaque client puisse profiter de la vue imprenable donnant directement sur l’océan ou sur le célèbre rocher de la Vierge. Cuisine gastronomique entre élégance et poésie A la Villa Eugénie, la haute gastronomie est à l’honneur. On y découvre un Jean-Marie Gautier au summum de son art. Ce chef né de parents agriculteurs voue dès son plus jeune âge une passion pour la cuisine. Il passe son CAP à 14 ans puis intègre le Relais de Poitiers à 18 ans comme commis. Chef de partie du Maxim’s à Paris et de l’Auberge des Templiers en Sologne, il intègre plus tard le Domaine des Hauts de Loire où il exerce comme sous-chef. Après avoir passé quelques années aux côtés de Christian Willer, il rejoint l’Hôtel du Palais en 1991. Très rapidement, il recevra le titre tant convoité de Meilleur Ouvrier de France. Jamais figée, sa cuisine est une ode au raffinement. Ses 25 années d’expériences transparaissent mélodieusement dans l’assiette. Le chef s’inspire de la cuisine française traditionnelle et régionale qui révèle des saveurs pointues avec une touche d’inspiration du reste du monde. ...
Vaxinano entre dans la cour des grands, tout juste dix-huit mois après sa création. Cette start-up biotech tire son expertise des 25 années de travaux de recherche du Pr Didier Betbeder, un spécialiste international en nanomédecine. La jeune pousse apporte son lot d’innovations dans le domaine pharmaceutique et la vaccination, en développant des vaccins sans adjuvant et administrés par voie nasale. Ses solutions contribuent à protéger et améliorer la santé contre les infections d'origine virale, bactérienne et parasitaire. Une technologie innovante et polyvalente Incubée par EuraSanté, Vaxinano est localisée à la faculté de médecine de l’université de Lille, entourée de ses partenaires académiques, tels l’INSERM et le CHRU. Elle développe des vaccins plus stables et surtout plus efficaces que les vaccins injectables, pour immuniser contre les maladies infectieuses. En effet, les nanoparticules, à base d’amidon et de lipides, ont la capacité de mimer les microbes sans en avoir la toxicité. « Elles sont 100 % biocompatibles, sans adjuvant, et sont éliminées par l’organisme 48h après l’administration par un spray nasal », explique le Pr Didier Betbeder, consultant scientifique et cofondateur. La preuve de concept du tout premier vaccin au monde contre la toxoplasmose a été établie en collaboration avec le Pr Isabelle Dimier-Poisson de l’université Rabelais de Tours. « Aucun traitement n’a été encore proposé pour cette infection parasitaire, qui touche un tiers de la population mondiale, et dangereuse pour les femmes enceintes car il existe un risque d'avortement et de contamination du fœtus ». Cette expérimentation a donc permis de révéler tout le potentiel de la technologie nanoparticulaire, après des eessais très fructueux sur des rongeurs et des brebis. En outre, Vaxinano mène également des recherches avec des industries pharmaceutiques, qui confient une partie spécifique de leur R&D entre les mains de ses experts en nanomédecine. Fabrication de nanoparticules « safe-by-design », formulation de médicaments, vaccins ou biomolécules avec composants actifs, optimisation des formulations et des vaccins existants figurent parmi les prestations qu’elle propose. Pour un perfectionnement de l’expertise La conception du modèle économique de Vaxinano suscite l’intérêt de beaucoup d’acteurs dans la biotechnologie et dans l’entrepreneuriat innovant, et ce, pas uniquement en France. Son projet ToxoFree, par exemple, a obtenu le label d’excellence de la Commission européenne dans le cadre du programme Recherche et Innovation H2020. Par ailleurs, « la société a également remporté le prix de la start-up la plus innovante de l’année 2017, décerné par BioFit, parmi les 70 candidatures internationales sélectionnées », renchérit notre interlocuteur. Le comité de sélection était composé de spécialistes multidisciplinaires qui ont évalué la qualité de l’étude du projet, sa valeur ajoutée et son potentiel en médecine. Ces deux récompenses ont permis d’accéder facilement à différentes sources de financement internationales. Et le résultat n’a pas tardé à venir puisque Vaxinano a récemment finalisé une levée de fonds de 1,6 million d'euros, pour le financement de son programme R&D. Vincent Lemonnier, président de Vaxinano, considère que « cette étape passée avec succès démontre la reconnaissance des investisseurs pour la maturité de notre projet et l’expertise de notre équipe ». À ce jour, l’entreprise, appuyée par des majeurs mondiaux dans la filière pharmaceutique, explore la possibilité de fabrication de vaccins pour renforcer le système immunitaire contre la tuberculose, la grippe ou encore Zika. Le programme de R&D a pour perspectives d’effectuer des essais chez l’homme dans les meilleurs délais. Pour plus d’informations : «http://www.vaxinano.com » ...
Déjà de l’extérieur, Le Bouchon Gourmand attire irrémédiablement l’attention avec sa belle terrasse ombragée par des platanes et son mobilier de couleur ardoise. L’intérieur, parfaitement assorti avec la terrasse, propose une ambiance à la fois claire et sombre due à ses murs en gris parsemés de « touches de rouge partout pour donner une chaleur à l’ensemble », décrit Cédric Dupuis, le maitre des lieux. Le tout est agrémenté par une musique de jazz en sourdine, qui invite au calme et à la volupté. La simplicité du « fait maison » Extrêmement attentif sur le concept du circuit court, Cédric Dupuis dresse la majorité de ses plats à partir de produits issus de la région. Les poissons sont, par exemple, achetés à deux pas du restaurant, aux Halles. Côté qualité et fraicheur, le chef se porte totalement garant de ses produits : « Je préfère payer un peu plus cher pour avoir une qualité meilleure. » Il assure ainsi à ses clients une cuisine absolument faite maison, saine, copieuse et toujours bien présentée. Le Bouchon Gourmand propose au choix une carte et plusieurs formules. Très variée, la carte propose des plats à des prix réellement abordables. Mentions spéciales au double burger aux trois fromages, très prisé des ados, à l’épaule de veau cuisson basse température, à la côte de bœuf de race bovine, aux seiches à la persillade à la plancha, sans oublier le duo tartare de Saint-Jacques : des plats savoureux qui font le bonheur des habitués. Les différentes formules sont, quant à elles, à destination d’un large public. On y trouve la formule végétarienne mais aussi la formule express, le midi, pour les travailleurs un peu pressés qui n’ont pas beaucoup de temps pour manger : sur un même plateau sont rassemblés l’entrée, le plat et le dessert, « afin que les clients ne soient pas tributaires du service ». Une cave à vins à 99 % régionale Pour accompagner ses plats, Le Bouchon Gourmand dispose d’une carte des vins exceptionnelle, composée uniquement de vins issus de châteaux et domaines de la région, du Minervois, de la Clape et des Corbières. « Nous avons la réputation d’avoir une très bonne cave à vins, qui correspond à tous les goûts », se félicite Cédric Dupuis. Toujours disponible, celui-ci ne se lasse jamais pour prêter conseil à ses convives. « En général, c’est moi qui oriente les clients, soit par rapport à ce qu’ils mangent, soit par rapport à leurs goûts personnels », note-t-il. À titre d’exemple, Cédric Dupuis propose son confit de canard avec un 100 % Syrah du Château de Parazza, qu’il décrit comme « un mariage extraordinaire ». ...
Pour Catherine Lebouille, une Bretonne dans l’âme, se perdre au Sri Lanka est la plus belle façon de se retrouver soi-même. Elle a quitté la France, s’est installée en Asie en tant que conseillère-voyage, avant de succomber au charme de cette ile de l’océan Indien. Naturellement, elle a voulu vivre de cette passion et la partager aux autres. En 2012, elle crée une agence réceptive francophone à Colombo, qui deviendra l’experte de la destination. Mai Globe Travels, avec à sa tête Catherine Lebouille, est aujourd’hui composée d’une jeune équipe multiculturelle, armée de compétences, d’énergie et de créativité. Entre Nature sauvage et joyaux patrimoniaux « Sri Lanka est une destination qui se visite toute l’année, c’est sûrement l’un de ses plus grands atouts », explique Annick Dreyfus, online marketing manager de Mai Globe Travels. Pour être plus précis, les côtes Sud et Ouest sont privilégiées de décembre à avril pour les séjours balnéaires, tandisque les côtes Nord et Est le sont de mai à novembre. Elle invite à sillonner le Sud pour profiter de superbes plages et de sites de baignades surplombés de montagnes, au grand plaisir des trekkeurs. Au passage, offrez-vous une halte à Haputale ou à Ella, au cœur des plantations de thés et de jardins d’épices. Le périple continue vers le parc national de Yala, deuxième plus grand parc national du pays, qui embarque dans une aventure safari pour s’approcher des éléphants sauvages et des léopards. En poursuivant encore, vous arrivez à Mirissa, là où les voyageurs peuvent aller à la rencontre des dauphins et des baleines. Une fois à Hikkaduwa, une halte s’impose pour s’aventurer au milieu des poissons et des coraux le temps d’une plongée sous-marine, ou tout simplement bronzer au soleil. Mais il est possible aussi d'y pratiquer le surf. À la fin de la journée, rien de mieux qu’une petite promenade à la plage, où vous croisez des pêcheurs traditionnels qui rejoignent leur village. C'est également le moment idéal pour observer les tortues et notamment leur ponte qui, en principe, a lieu durant la nuit. Entre joyaux patrimoniaux, écrin de Nature sauvage et ferveur bouddhique, le circuit Nord a également un goût de paradis. Au départ du centre de l’ile, empruntez le triangle culturel reliant Anuradhapura, Polonnaruwa et Kandy puis traversez la côte nord-ouest en savourant le calme et l’intimité qu’offre son décor de rêve. Les amateurs de sports nautiques, eux, trouveront leur bonheur à Kalpitiya : kite-surf, canoë et planches à voile les attendent. Les adeptes du surf, quand à eux, pourront s'adonner à leur sport favori dans le Sud ou à Arugambay, sur la côte Est, un site mondialement connu. Puis, tout au nord se dessine Jaffna, une ancienne ville royale préservée du tourisme de masse, véritable havre de paix. N’hésitez pas à vous y rendre pour contempler le contraste saisissant entre les vestiges du passé et les temples qui ornent la ville. À voir : le célèbre Nallur Kandaswamy Kovil ainsi que le temple bouddhiste Sri Sangamitta Viharaya. D’innombrables expériences à vivre Pour ne rien rater des incontournables du Sri Lanka, Mai Globe Travels a confectionné des séjours packagés, déclinés sous plusieurs thématiques : culture et traditions, bien-être et découverte spirituelle, Nature et vie sauvage, voyage en famille, sports et aventures ou encore plages et détente. Et l’agence y apporte toujours un brin de fantaisie afin d’intensifier l’expérience. Passer une nuit ou deux chez l'habitant, prendre des cours de cuisine traditionnelle, explorer les musées d’art et d’archéologie ou vibrer au rythme des cérémonies de culte en essayant de se frayer un chemin au milieu des pèlerins... « Nous avons à cœur d’écouter les envies de notre clientèle afin de lui offrir un voyage entièrement sur mesure et exceptionnel », déclare Annick Dreyfus. En quête insatiable d’authenticité, Mai Globe Travels s’engage également dans le tourisme solidaire et responsable. &laq...
Depuis, l’entreprise a fait long chemin et s’est grandement développé. Des séjours linguistiques divers et variés partout dans le monde Fort de 52 ans d’expérience, Education First propose une grande variété de produits : du séjour linguistique chez l’habitant au cursus en école de commerce HULT en passant par l’université. L’organisme propose des séjours linguistiques dans 19 destinations pour l’apprentissage de 9 langues : l’anglais, l’allemand, le français, le chinois, le japonais, l’espagnol, le coréen, l’italien et le néerlandais. Que vous souhaitiez apprendre l’anglais dans les grands espaces froids du Canada ou ayez envie de parfaire votre espagnol sous le soleil du Costa Rica, EF vous accompagne. L’offre des destinations de EF comprend les capitales du monde ainsi que des villes de taille moyenne, pour répondre aux besoins et aux envies de chacun. Séjours au pair en famille d’accueil, cours de langue à l’étranger ou encore colonie de vacances ou formation linguistique pour professionnels, EF propose un séjour linguistique adapté à chaque public. Que vous souhaitiez loger en famille d’accueil ou dans des résidences étudiantes, Education First vous proposera l’hébergement qui vous conviendra le mieux. Pour les publics plus jeunes, les séjours linguistiques EF sont aussi l’occasion de découvrir la culture du pays avec notamment des sorties et des activités sportives. Pour les étudiants ou les professionnels, les cours d’anglais sont plutôt ciblés sur l’apprentissage de l’anglais professionnel par exemple. Un accompagnement efficace pour des séjours linguistiques sur-mesure Que vous soyez un parent à la recherche d’un séjour linguistique pour votre enfant ou votre adolescent, un chef d’entreprise qui cherche à améliorer son anglais ou encore un étudiant qui souhaite faire une gap year pour améliorer son anglais et visiter le monde, Education First confectionnera le séjour linguistique adapté à vos besoins et vos envies. Parce que les objectifs de chacun sont différents, les conseillers expérimentés de EF se tiennent à votre disposition pour vous guider vers le séjour linguistique qui vous permettra de Que vos objectifs portent sur votre expression orale en anglais ou votre grammaire espagnole ou que vous souhaitiez simplement vivre une expérience à l’étranger, EF a à cœur de vous faire vivre à chacun un séjour linguistique réussi et agréable. ...
Un brin nostalgique de son enfance, le propriétaire du restaurant Chez Minnà, Saveriu Cacciari, a voulu recréer une ambiance fidèle à son enfance et à la maison de sa grand-mère corse. Pour l’aménagement intérieur, il a fait appel à Claire Peretti, une décoratrice corse. Des tables de classe, où subsistent des mots écrits par des écoliers, ont été repeintes et patinées. Pour l’éclairage, de simples fils de linge traversant la salle où sont suspendues des ampoules. Mais aussi de petites serviettes de type pique-nique, un tableau noir, des cartes postales de la Corse participent au cadre contemporain, sobre et soigné de ce lieu. Une cuisine 100 % corse En cuisine, tout est fait maison à partir de produits frais de saison. Des classiques de la cuisine familiale corse sont proposés. Avec la formule déjeuner à 15 € (entrée + plat ou plat + dessert) en semaine, vous pourrez voyager au quotidien, en dégustant de savoureuses recettes de la gastronomie familiale corse. Si vous êtes pressé, vous pouvez juste profiter du plat du jour pour la modique somme de 12 €. Tous les soirs de la semaine ainsi que le samedi, parcourez la liste de tous ces mets traditionnels corses inscrits sur l’ardoise, et vous en aurez déjà l’eau à la bouche. En entrée, commencez par des beignets de courgettes, servis avec deux sauces maison. En plat, pourquoi ne pas vous régaler d’un filet mignon de cochon avec une crème de pancetta, accompagné d’une succulente purée à l’huile d’olive. En dessert, vous pourrez (re)découvrir le traditionnel fiadone, un flan corse à base de brocciu, parfumé d’eau-de-vie et de zeste de citron, sublimé par du limoncello. Vous pourrez également vous attabler au long comptoir pour partager des tapas corses (charcuterie, fromages, croquettes de jambon) lors d’une restauration plus rapide. Les vins aussi Tous les vins proposés sont achetés en direct à de petits domaines corses, dont un tiers est produit en bio. Vins rouges, vins blancs et surtout vins rosés accompagnent à merveille tous les plats de ce lieu. Et vous aurez peut-être le plaisir de rencontrer Arnaud Montebourg ou Julie Zenatti lors d’un repas Chez Minnà. ...
Le Clos des Abbesses : une appellation AOC Saint-Emilion Saint-Emilion est un des vins les plus connus au monde. C’est une Appellation d’Origine Contrôlée qui compte plus de 800 viticulteurs, des terroirs différents et une qualité mondialement reconnue. Les neuf communes de l’appellation Saint-Emilion et Saint-Emilion Grand Cru sont inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999 au titre des « Paysages culturels ». Les vignobles couvrent 5 400 ha, soit 67,5% de la superficie de la commune et produisent environ 275 000 hl de vin par an. Ils bénéficient d’un climat tempéré de type océanique, d’une humidité moyenne de 75 % et d’une pluviométrie moyenne de 800 mm/an. Les propriétés sont en général assez petites, 5 ha en moyenne et gérées plutôt de manière artisanale. Saint-Emillion est la “colline aux mille châteaux” qui produit des vins de qualité assez disparate, du grand cru aux vins de table. Les terroirs sont diversifiés, ce qui fait que chaque propriété a des caractéristiques qui lui sont uniques. Les sols argilo-calcaires donnent des vins bien corsés, puissants, charpentés, colorés, riches en alcool, en tanins et de très longue garde. Le Merlot, le Cabernet franc et le Cabernet Sauvignon sont les trois principaux cépages des vignobles de Saint-Emilion. Le Clos des Abbesses, un vin au fumet fruité « Nous avons un vrai point fort », nous explique Agnès Chariol « nos vins sont authentiques et artisanaux, ils nous ressemblent, il n’y a pas d’artifices, car on laisse avant tout parler la nature. Nous sommes des fervents défenseurs d’une agriculture raisonnée ». Le terroir se situe dans la plaine de Saint-Emillion, il est composé de graves sablonneuses. Le climat y est doux et tempéré. C’est un petit domaine de 5,2 hectares, ce qui permet une agriculture raisonnée, avec une attention toute particulière donnée aux vieux pieds de vigne. En effet, ce sont eux qui produisent le grand cru du domaine. La vinification est traditionnelle et artisanale, elle se fait dans des cuves en ciment.La durée de cuvaison varie selon les années entre 3 et 5 semaines, puis le vin est élevé de longs mois dans des barriques de chêne français. Bien évidemment, le jus est gouté régulièrement pour connaître le moment précis où on doit le sortir des barriques. Le Merlot constitue 80 % des parcelles plantées du domaine, le Cabernet franc les 20% restants. Le Clos des Abbesses produit deux types de vin : le Clos de Abbesses sous l’appellation Saint-Emilion simple et la Grande Abbesse sous l’appellation Saint-Emilion grand cru. Le Clos des Abbesses a une teinte assez brillante, de couleur rubis. Au nez, il est assez fruité, frais et élégant. En bouche il est délicat, souple et gourmand. C’est un vin à boire rapidement pour qu’il garde tout son gout fruité. Il peut être consommé avec toutes sortes de mets. La Grande Abbesse, un vin complexe et onctueux C’est le grand cru du domaine, vinifié à partir des raisins issus des vieux pieds de vigne. La Grande Abbesse est beaucoup plus complexe que le Clos. A l’œil, il est foncé. Au nez, les notes sont vanillées et il a une bonne longueur en bouche. C’est un vin délicat qui demande à vieillir pour le déguster à sa juste valeur. Il doit être débouché au moins une heure avant de le consommer pour que ses arômes se libèrent. « Pour s’exprimer, il a besoin d’air », nous explique Agnès Chariol. ...
Le musée des Troupes de montagne a été conçu pour raconter l’histoire hors du commun de ce corps de l’Armée de terre spécialisé dans le combat en montagne. Créé en 1988 dans l’hôtel du gouverneur à Grenoble, il fait partie des 15 musées de l’Armée de terre. Il est déplacé en 2009 dans les fortifications de la Bastille. Surplombant la ville, il est accessible par la route ou par le téléphérique, également appelé bulles. Lors de votre visite, vous pourrez déambuler dans le musée et découvrir toutes une série d’objets en lien avec ces soldats montagnards : uniformes, armes, objets sportifs, matériels de transmission, insignes, ouvrages et iconographie. Grâce à un audio guide multilingue, vous prendrez également connaissance de l’histoire fabuleuse d’hier à aujourd’hui de ce corps d’armée qui a pris part à de nombreuses opérations militaires. Tranchées de la Première Guerre mondiale, contribution à la résistance, participation à la guerre d’Algérie, opérations au Liban et en Afghanistan, autant de scènes représentatives de l’action des Troupes de montagne. Vous repartirez admiratif de l’esprit, de l’engagement et des valeurs exceptionnelles de ce corps d’armée. Ce musée vous accueille toute l’année sauf au mois de janvier. A proximité, un mémorial évoque le souvenir de ces spécialistes montagnards tombés pour la France depuis la création de ces unités. 2018, année anniversaire Le point d’orgue des festivités marquant le 130e anniversaire des Troupes de montagne aura lieu le 15 juin, jour de la Saint Bernard, patron des alpinistes. Tout commencera par une cérémonie militaire avec messe, prise d’armes et repas collectif place de Verdun. Une exposition sur l’Algérie intitulée « Les cimes d’Algérie, les Troupes de montagne 1954-1962 » se déroulera du 15 juin au 16 septembre au musée avec une inauguration sur invitation. En parallèle, le 1er salon des artistes des Troupes de montagne investira les locaux de l’hôtel des Troupes de montagne. Il est ouvert du 16 juin au 23 juin au public sur réservation au 04 38 37 44 06. A la mairie, vous pourrez assister à la conférence d’histoire sur les Troupes de montagne le 16 juin à 18h, ouverte à tous. Ou venir voir l’exposition sur les 130 ans des Troupes de montagne du 14 au 16 juin, une exposition panneaux avec de nombreuses anciennes cartes postales. Les plus sportifs pourront participer au trail de la Saint Bernard, sur un parcours de 20 kilomètres reliant la place de Verdun au parc Paul Mistral en passant par le mont Jalla. Le 17 juin, Journée de solidarité "Rencontre avec les Soldats de montagne", Parc Paul Mistral de 10h à 23 h, qui finira par un concert donné par la fanfare du 27e BCA et par un magnifique feu d’artifice. ...
La complicité de son fondateur avec l’illustre Jean Dubuffet se ressent dans chaque recoin du musée La Fabuloserie. Agnès et Sophie Bourbonnais y perpétuent le concept imaginé par leur père architecte, créateur et collectionneur, dans les années 80. Celui d’un repaire pour des créations et des créateurs dont la singularité n’a d’égale que l’éclectisme. La Fabuloserie : l’histoire d’une passion C’est dans sa propre maison de campagne de Dicy, dans l’Yonne, qu’Alain Bourbonnais écrit les premières lignes des aventures de La Fabuloserie. On est en 1983. Une suite naturelle à l'Atelier Jacob, première galerie d'art-hors-les-normes ouverte à Paris de 1972 et 1982. À l’heure où le brut faisait encore figure de mouton noir dans l’univers ultra-codé de l’art, le père de l’art hors-les-normes voulait donner à celui-ci un espace d’expression qui lui est propre. Amoureusement conçu avec les compétences d’architecte de son instigateur, le musée La Fabuloserie est aujourd’hui un écrin de découvertes où foisonnent des créations hors réseaux d’une étonnante variété. Une collection hors-les-normes d’exception Franchir le seuil de La Fabuloserie n’est pas un acte anodin. Quasi initiatique, cette expérience lève le voile sur des formes et des couleurs qui explosent dans un joyeux et surprenant méli-mélo. Et pour cause, le lieu composé d'une maison-musée et d'un jardin habité expose en permanence une collection démarrée dès 1970 par le fondateur, et enrichie, au fil du temps. En 2017, les créations venant de Pologne rejoignent ainsi le patchwork déjà éclectique de la maison. Les expositions temporaires ponctuant la vie du musée sont autant d’occasions de voyager au centre de l’art en quittant les sentiers battus. ...
La Poudrière sort de terre début 2015, au terme de 2 ans de travaux. Sa cave à manger promet une ambiance conviviale autour de plats à base de produits frais. Sa décoration sobre et dépaysante est une véritable invitation à table. Une cuisine de convivialité La Poudrière mise par-dessus tout sur une bonne sélection de produits pour donner entière satisfaction à ses convives. Entièrement faits maison, les plats sont concoctés avec des ingrédients issus notamment de la pêche et de l’agriculture durable. Pierre Chartron et Fabrice Mury travaillent d’ailleurs en étroite collaboration avec des producteurs locaux avec l’ambition de revoir quotidiennement leurs cartes en fonction des arrivages. Au sein de ce cocon bucolique, la planche charcuterie-fromages composée de speck fumé au foin et de bœuf séché aux épices fait le bonheur des foodies. Sinon, pour se délecter pleinement du savoir-faire de La Poudrière, il suffit de choisir du boudin noir comme entrée, une truite des Pyrénées en guise de plat et un sablé au sarrasin pour le dessert. Pour accompagner les mets, la cave est riche de quelque 500 références de vins bio et nature. Sur ce point, la maison s’appuie sur l’expérience de Fabrice Mury dans le choix des meilleurs accords qui viendront sublimer le repas. Une source de produits frais à venir La Poudrière est en train de mettre en place un potager, sur lequel Fabrice et Pierre aspirent à puiser une grande partie des produits d’approvisionnement de la cuisine, à savoir des légumes, des fruits, des plantes et fleurs aromatiques ainsi que des salades. Le projet est déjà en cours, grâce à une opération de financement participatif menée en juillet 2016. ...
Alta 1874 à Champéry a pour vocation « d'offrir une ambiance décontractée et une cuisine savoureuse » selon les propos des deux associés Jérémie Ollivier et Julien Texier. L'endroit a été rénové de A à Z et se dote d'un magnifique bar en zinc et d'une cave ouverte. Décoré de manière boisée mais contemporaine, Alta 1874 affiche sans équivoque un style authentique. Mais l'établissement réserve encore bien des surprises… Un environnement exceptionnel Champéry a su garder son charme historique par une architecture jalousement préservée. Incarnant la carte postale du village suisse, il se situe dans le plus grand domaine skiable du monde, les Portes du Soleil. Ce domaine comprend douze stations à l'instar d'Avoriaz, Morzine ou Les Gets pour ne citer que ces trois. Cela fait d'elle l'une des plus grandes destinations touristiques en Suisse et dans le monde. Si l'endroit attire surtout les amoureux des massifs montagneux en hiver, il regorge d'autres attraits tels que ses chalets traditionnels ou bien la vue saisissante sur les dents du Midi. La rive suisse du lac Léman est également un lieu touristique par excellence, en hiver comme en été. On y trouve notamment le musée du Léman, célèbre pour son aquarium et le château de Chillon dans le canton de Vaud. Une cuisine avec une farandole de couleurs, d'arômes et de saveurs Dans ce cadre de rêve, Alta 1874 a su imposer sa marque par une cuisine italienne hautement savoureuse. Au menu, des plats qui font la part belle aux produits de saison, une manière de garantir leur fraîcheur et d'apporter une vraie farandole d'arômes, de couleurs et de saveurs. En fait, « une partie des ingrédients est approvisionnée sur place », nous confient nos interlocuteurs. Toutefois, attachée à respecter les recettes vernaculaires transalpines, la maison importe aussi d'autres produits directement de l'Italie. Une carte qui change tous les trois mois, parfois constituée de salade de poulpe aux herbes et agrumes ou de tartare de veau aux saveurs italiennes, vous surprendra bien évidemment tout au long de l'année. Les autres plats phares à ne pas manquer comme le risotto à la truffe noire et les lasagnes bolognaises vous convaincront tout aussi bien. La valeur ajoutée de la maison ? Des plats ensoleillés respectueux des produits bruts qui offrent une meilleure expression dans les assiettes. En outre, un large choix de pizzas est concocté avec du Parmigiano (jambon de Parme) et du Tallegio, ainsi que d'autres ingrédients dont la plupart bénéficient d'une appellation d'origine protégée (AOP). Pour accompagner tout cela, la cave offre une large sélection de vins italiens et suisses. À titre d'exemple, le Barolo, intense, élégant et épicé avec un goût enveloppant, se marie bien avec les viandes rouges, les truffes et les fromages. L'Amarone qui se distingue par son bouquet complexe et offre une souplesse veloutée et des arômes variés. Un sommelier conseille la clientèle pour harmoniser mets et vins et les œnophiles peuvent se servir directement à la cave, qui en passant, recèle de vrais trésors cachés. Des activités qui vous transportent Ceux qui veulent allier pause gourmande et décontraction seront comblés par les animations organisées tous les mois. Au programme : des soirées autour de la dégustation de pizzas comme la « pizza vinyle » qui séduit les audiophiles gourmands par le charme inépuisable des galets noirs. Durant ces soirées, ils se laisseront volontiers transporter par le son et le crépitement des disques. Lors de ces moments de détente, « les gens viennent avec leurs propres vinyles et passent leur soirée à les écouter en famille ou entre amis en dégustant des pizzas à volonté », explique Jérémie Ollivier. ...
En France, 11 millions d’aidants accompagnent au quotidien des personnes en perte d’autonomie. Ainsi investis dans le soutien de leurs proches, les aidants peuvent s'oublier et s'épuisent. Dans ces conditions, une pause s’avère primordiale. La maison de répit « Les Grands Monts » leur offre l’opportunité de se reposer et de se ressourcer au cours d’un séjour pensé spécialement pour eux. Une bouffée d’oxygène Créée en 2014, MBO2 est une association à but non lucratif dont la mission est d’organiser et de gérer la maison de répit « Les Grands Monts ». Il s’agit d’un établissement hôtelier situé à Megève, en Haute-Savoie. Sa particularité ? Offrir du répit pour les proches aidants et les personnes en perte d’autonomie. « Nous proposons une solution de répit pour les aidants, un séjour oxygène pour qu’ils puissent se reposer et prendre du temps pour eux », explique Malourène Cordier, chargée de communication. Considéré comme un enjeu de santé publique, le droit au répit est en effet officiellement reconnu en 2015 par la loi d’adaptation de la société au vieillissement de la population. Profiter des vacances ensemble Les aidants séjournent avec la personne en perte d'autonomie qu'ils accompagnent. Les Grands Monts permet de profiter sereinement de quelques jours de « vacances de ressources. » Cette maison de répit dispense pour cela un confort et des prestations dignes d'un établissement haut de gamme. En tout, une vingtaine de chambres adaptées et de suites spacieuses sont mises à la disposition des vacanciers. L’établissement dispose également d’un restaurant qui sert des plats concoctés exclusivement à partir des produits locaux. « Nous avons un chef qui veille à ce que les saveurs, la présentation et les textures des plats puissent stimuler les sens des convives », nous confie-t-on. Pour éveiller la curiosité, Megève a de quoi assurer un séjour stimulant aux vacanciers. Réputée comme étant l’une des plus importantes stations de ski de France, elle offre de multiples activités : ski de piste, ski de fond, handiski, balade à raquettes ou en chiens de traineau… En été, des randonnées et des promenades autour des lacs de la région peuvent être organisées. Enfin, le charme de Megève se découvre également à travers ses fermes et ses produits d’exception tels que le fromage. Outre ces prestations, l’établissement se démarque par sa capacité à offrir un service d’accompagnement pour les personnes en perte d’autonomie. Ce service appelé « La Belle Vire » est assuré par une équipe spécialisée qui propose de prendre en charge les personnes dépendantes pendant la journée. « L’avantage est de pouvoir venir ensemble et que les aidants puissent se reposer pendant que notre équipe prend le relais », rapporte notre interlocutrice. Les personnes en perte d’autonomie bénéficient ainsi d’un panel d’activités incluant des ateliers de création, des sorties ou encore des exercices physiques comme la gymnastique adaptée. En fin de séjour, un temps d'échange permet à MBO2 de proposer des pistes pour le retour au domicile. Un vrai engagement ! ...
Créée en 2016, la plateforme Formalis est devenue, en quelques années, un site incontournable de formations e-learning. Des formations en ligne pour tous les besoins et toutes les envies Après l'obtiention d'un Master à New York University, Harriet Marin s’installe en France. C’est en suivant de nombreuses formations dans les domaines qui la passionnent que lui est venue l’idée de Formalis. Au début, la plateforme ne proposait que des formations en bien-être. Puis, son champ d’action s’est élargi vers d’autres domaines tels que le web, le coaching ou la déco. L’objectif a cependant toujours été le même : développer des formations accessibles à tous qui permettent d’être autonome dans un monde en pleine mutation. Alternant parties théoriques et pratiques, chaque formation vise l’excellence. C’est d’ailleurs pour cette raison que le taux de satisfaction est de 4,8/5. ...
C’est en remontant à ses origines que Jean-Sébastien Robicquet, fondateur de la maison, découvre l’histoire oubliée de ses ascendants, notamment Jehan Robicquet, artisan passionné, attaché à sa terre d’accueil, à savoir la région charentaise qui lui ouvre ses portes vers la fin du XVe siècle. Pelletiers ou orfèvres, ses ancêtres ont développé le goût pour la perfection jusqu’à s’accorder les faveurs d’une royauté friande de produits d’exception. C’est ainsi en s’inspirant de cette forte identité retrouvée qu’il fonde son entreprise, « une société engagée dans sa ville et dans sa région et dont les racines remontent au temps de François Ier », nous raconte Jean-Sébastien Robicquet, Président-Fondateur. Une épopée moderne peu conventionnelle animée par le respect et une vraie quête de l’excellence. Des spiritueux uniques à l’authenticité retrouvée Œnologue de formation, Jean-Sébastien Robicquet a souhaité créer une gamme de spiritueux premium au goût historique du terroir. C’est alors qu’il décide de fonder une société axée sur cet objectif en proposant des produits singuliers, inspirés de leurs terres et uniquement à base de raisin. En effet, « dans mon optique d’offrir des spiritueux haut de gamme, j’ai souhaité utiliser exclusivement le plus noble de tous les produits, à savoir le raisin » explique Jean-Sébastien Robicquet. Cognac, Gin, Vodka ou liqueurs sont ainsi élaborés à partir de cette matière noble illustrant parfaitement l’art de vivre à la française. Raisins ou fleurs de vignes sont ici travaillés avec soin afin d’obtenir des spiritueux au goût unique, aux saveurs authentiques et figurant parmi les meilleurs de leur catégorie et, ce, à l’échelle mondiale. Les produits ambassadeurs de la maison Parmi les fleurons de la gamme se trouve la vodka Cîroc - réputée pour sa fraîcheur - créée pour et avec Diageo, le leader mondial des spiritueux. Toujours dans cette gamme premium, G’Vine s’illustre élégamment dans le Top 3 mondial des meilleurs gins super-premium. Grâce à un mariage harmonieux entre le raisin et la fleur de vigne, G’Vine innove par sa rondeur exquise et sa fougueuse délicatesse, faisant de ce spiritueux le précurseur prestigieux du gin super-premium. Enfin, parmi les ambassadeurs de la maison, La Quintinye Vermouth Royal est élaborée afin de « rendre hommage au jardinier botaniste de Louis XIV, Jean-Baptiste de la Quintinye, chargé de réaliser le jardin botanique du fastueux Château de Versailles », continue-t-il. C’est dans cet esprit d’agronome que ce vermouth, composé d’infusions de plantes et de Pineau des Charentes, fut récompensé en 2016 par The Ultimate Spirits Challenge de Paul Pacult du prix du meilleur vermouth français du monde. Maison Villevert propose une liqueur, June, élaborée à base de fleurs de vigne. En Juin, lorsque le soleil réchauffe la terre, ces éphémères fleurs sont récoltées à la main dans les vignobles de France, puis distillées pour en extraire leurs arômes exaltants et captivants. La fleur de Merlot apportera des arômes de fraise des bois, celle de Cabernet Sauvignon la framboise, la fraise et la violette et celle du cépage Ugni Blanc, des notes de poire, de fruits exotiques et de fleurs blanches. Maison Villevert propose aussi une Tequilla, Excellia vieillie en fûts ayant contenus du Sauterne Grand Cru ou du Cognac. Enfin, également viticulteur et bouilleur de cru, Maison Villevert propose une collection - La Guilde du Cognac – destinée à (re)découvrir ce produit en dégustant des cognacs de villages et de bouilleurs de cru. La Guilde offre ainsi un véritable voyage olfactif, gustatif et émotionnel, à travers quatre petits trésors jusque-là cachés provenant de quatre crus du terroir du Cognac. ...
C’est durant cet été 2016 que Cristina Derache, une cheffe d’origine roumaine, rachète un restaurant non loin de la mairie de Montreuil. Rebaptisé alors Crion by Cristina, l’établissement a chanté l’hymne du renouveau. Du concept au décor, sa jeune propriétaire en a fait un lieu qui lui ressemble. Crion by Cristina est donc devenu un endroit calme, ponctué de musique, où l’on propose une cuisine fusion généreuse et raffinée. Le témoin d’un mariage heureux entre la sophistication française et le cosmopolitisme roumain. Des mets signés Cristina Derache Cristina Derache est une passionnée qui n’accepte aucun compromis quand il s’agit de la qualité de ses ingrédients. « Que du frais, du fait maison, issus des régions de France en majeure partie et qui suivent obligatoirement le rythme des saisons », affirme-t-elle. Les couleurs de ses œuvres ravissent les pupilles et leur saveur séduit les papilles. Midis et soirs, elle les propose sur une ardoise qui change chaque semaine à des prix des plus corrects. Le velouté de moules fraiches avec une crème de menthe est chaudement recommandé en guise d’entrée. La découverte continue avec la crevette au lait de coco. Soigneusement décortiquées, légèrement sautées puis mélangées avec plusieurs condiments et épices (gingembre, citronnelle, oignon, ail...), mijotées ensuite dans le lait de coco et parsemées de coriandre fraiche pour couronner le tout, les crevettes deviennent un pur bonheur pour les gourmets. Le civet de sanglier, quant à lui, sera sauté au beurre et un peu d’huile d’olive jusqu’à devenir bien doré. Fidèle à son penchant pour les notes épicées et parfumées, notre cheffe y met du thym frais, des feuilles de laurier, des clous de girofle et du vin de qualité avant de laisser le tout mijoter 3 ou 4 heures. Au dessert, on termine avec le classique cheesecake fait maison. Côté vins, Crion by Cristina privilégie les bonnes choses des petits producteurs et particulièrement les vins bio. Le petit Chablis, l’Arsouille du domaine Saint-Vincent sont des références qui commencent à se tailler une place en or dans le cœur de ses convives. ...
Partie intégrante du groupe AlgoSource, la filiale dédiée Technologies défend son savoir-faire sur quatre axes de compétences. Sélection et production, culture, bioraffinage et vente d’équipements de production ne sont qu’un aperçu des volets dans lesquels l’enseigne s’est fait une réputation, à l’échelle mondiale. Face à une concurrence à l’international, surtout de la part des producteurs asiatiques, l’enseigne se veut être le défenseur d’une microalgue made in France, plus coûteuse à produire mais plus compatible aux exigences actuelles des consommateurs. La maîtrise de l’écologie industrielle inhérente à cet objectif est au cœur des gageures quotidiennes du groupe. Faire baisser les coûts par la valorisation des effluents La valorisation d’effluents est l'un des axes de compétence pour lesquels AlgoSource Technologies a développé un savoir-faire. Auprès de partenaires industriels qui ont une masse d’effluents à écouler, l’enseigne vient proposer des solutions vertes pour les traiter. En valorisant les effluents gazeux, notamment le dioxyde de carbone et la chaleur impliqués dans la photosynthèse et donc la croissance des microalgues, et parfois des effluents liquides pouvant contenir des phosphates et nitrates. En intégrant ces effluents dans le cycle de ses activités de production, la société offre ainsi à ses partenaires de rendre leurs activités « moins impactantes sur l’environnement », pour reprendre Jean-Michel Pommet, le Directeur Innovation & Business Développement du Groupe. La démarche permet, en revanche, de réduire les coûts puisque la mise à disposition des composants utiles aux cultures est gratuite. Le projet Cimentalgue est l'une des success stories développées sur la trame d’une telle collaboration. Avec ce genre d’entreprise, AlgoSource s’est déjà fait acclamer pour ses capacités d’innovation dans la réduction de l’impact environnemental de l’industrie locale, en remportant le concours Résolutions de la Région des Pays de la Loire, finançant une action en cours d'écologie industrielle au service du Grand Port Maritime Nantes Saint-Nazaire. La plus grande raffinerie de microalgues en Europe, à l’horizon 2020 Le raffinage des microalgues constitue un autre chantier d’expertise important pour le groupe. Compte tenu de ses acquis en la matière, celui-ci nourrit de grandes ambitions en matière d’expansion. « Pour nous, l’idée c’est, d’ici 2020, d’être l’acteur majeur en Europe avec notamment la construction de la plus grande raffinerie de microalgues », nous annonce M. Pommet. C’est surtout à travers les activités d’Alpha Biotech que le groupe a développé son savoir-faire concernant ce bioraffinage. Celui-ci consiste en l’extraction de molécules spécifiques selon les secteurs d’application visés. Ces derniers recouvrant un pan large allant de la nutraceutique à l’agroalimentaire, en passant par la nourriture animale et la cosmétique. Les résidus de cette première phase d’extraction de la biomasse microalgale sont intégrés dans un autre cycle de valorisation. Chantier sur lequel la compagnie développe des recherches continues avec des laboratoires universitaires. Le programme FP7 BIOFAT constitue un exemple parlant de ces procédés. Celui-ci génère de nombreux co-produits à côté du biofuel extrait en priorité. La responsabilité environnementale comme valeur motrice En parallèle de ses priorités quotidiennes, AlgoSource Technologies intègre comme valeur fondatrice un engagement fort pour le développement durable. Déjà, le groupe inscrit ses démarches dans la mise à disposition de réponses adaptées aux problématiques du futur. S’alignant au recours à des ressources alternatives aux énergies fossiles, l’exploitation de la biomasse microalgale résout effectivement l’une de ces préoccupations majeures. La valorisation des effluents contribue à répondre aux problématiques de l’effet de serre. L’ensemble des efforts portés par l’enseigne en faveur de l’e...
La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...
Du haut de ses 29 ans, Arthur Lotrous possède déjà un solide background dans le milieu de la viticulture. Après un BTS viticulture-œnologie au lycée de Davaye, il acquiert sa première expérience professionnelle au Château Bouscaut à Pessac-Léognan dans le Bordeaux puis au Domaine de la Pierre des Dames à Prissé. « J’ai voulu découvrir de nouveaux horizons et notamment voir ce qui se faisait dans la biodynamie, ce qui m’a amené à travailler au Domaine La Soufrandière/Bret Brothers à Vinzelles », raconte-t-il. Lorsqu’il apprend qu’une exploitation située à Saint-Amour Bellevue dans le Beaujolais était à reprendre, il saute sur l’opportunité en novembre 2018… Passionnément vin Le nom qu’il donne à son nouveau domaine viticole témoigne du profond attachement qu’il voue aux vignes et au vin. « Les sources » désignent la Rue des Sources sur laquelle se trouve le siège de l’entreprise tandis que « Agapé » est un mot grec qui signifie « amour inconditionnel ». Le respect qu’il manifeste à l’égard de ce métier et de la terre s’exprime à travers le choix d’une agriculture biologique sur l’ensemble de son vignoble composé de 6 hectares d’un seul tenant qui surplombe l’appellation Saint-Amour, sur les pentes du Mont-Besset. Le gamay dans toute sa splendeur Sur les sols de grès et d’argile qui se caractérisent par leur bonne rétention d’eau se développent des vignes plantées en gamay et âgées de 60 ans en moyenne. Le jeune vigneron a décidé de travailler son vignoble en « gobelet », une ancienne méthode qui date de l’époque romaine et qui s’applique sur des vignes non palissées. Ce procédé implique des travaux souvent complexes qui exigent de tout faire à la main. De cette démarche particulièrement méticuleuse naissent des cuvées pleines de promesses telles que Mont-Besset, un 100 % gamay aux arômes de fruits rouges et juteux qui révèlent des saveurs de cerise et de douces notes de sous-bois. ...