Pour cette famille, la viticulture est passée au fil des générations au rang d’art de vivre, de philosophie. Métier constamment en évolution, les Bonnet s’appliquent à concilier modernité et tradition dans l’élaboration de leurs vins. Château de Respide, ancienne demeure de Louis Pascal Le premier bâtiment fut bâti du temps du Roi Soleil, par un de ses lieutenants M. de la Reynie. Ce dernier initia la viticulture au domaine. Le Château de Respide qui subsiste encore jusqu’à aujourd’hui a été édifié au milieu du 19e siècle par Ernest Pascal, préfet de Bordeaux, sur les vestiges de l’ancienne bâtisse. Elle fut le théâtre d’heures interminables de billard entre Louis Pascal et son cousin, le peintre Toulouse Lautrec. « Le château est un des plus vieux châteaux de l’appellation Graves » précise l’actuelle propriétaire, Christine Bonnet. A cette époque, le vignoble était déjà référencé par le guide Feret, véritable institution des vins de Bordeaux. Le château passa ensuite aux mains de la famille Rodies, qui obtint la première médaille d’or du domaine au Concours Agricole de Paris. Pierre Bonnet, père de l’actuel propriétaire se chargea de sa direction à partir de 1952. Sa mort en 1969 entraînera la vente de la propriété qui conservera quand même son vignoble et les bâtiments agricoles. Depuis 1990, Franck Bonnet, petit-fils de Pierre, prend en charge la gérance du domaine qui devient le SCEA Vignobles Pierre Bonnet. Le respect de l’environnement, un engagement de la famille Depuis toujours, le respect et la préservation de l’environnement sont au centre des intérêts de la famille Bonnet. Aussi, le vignoble est mené selon des procédés visant à le pérenniser. Les vignes sont enherbées de manière à éviter l’usage des herbicides et elles sont observées en permanence afin de pouvoir appliquer les traitements adéquats. Depuis 1997, une station d’épuration a été mise en place pour traiter les eaux usées. Près des cours d’eaux, des zones sont maintenues en permanence au repos. Dans un futur proche, le château prévoit d’installer des panneaux solaires sur son domaine. En effet, le domaine bénéficie d’un ensoleillement favorable tout au long de l’année. L’électricité ainsi obtenue permettra de diminuer drastiquement la consommation en énergie du château. Une vinification qui répond aux normes Construit en 1993, la cave du château est dotée de tout le matériel nécessaire permettant une vinification mettant en valeur le terroir et les raisins. Qui plus est, ces nouvelles installations permettent de diminuer énormément la charge de travail du personnel. En effet, « le viticulteur ne travaille jamais seul, on est quand même une équipe entre onze et quinze personnes, composée de permanents et temporaires » explique Madame Bonnet. Pour en revenir à la cave, son cahier des charges rigoureux répond aux normes en vigueur concernant la traçabilité et l’hygiène de la production. Le chai à barriques, rénové de fond en comble en 2000, peut désormais accueillir près de 900 barriques. Il est d’une ventilation thermorégulée qui permet d’avoir une parfaite isolation. Le catalogue des vins Le Château de Respide dispose d’une gamme complète de cinq cuvées déclinées en blancs et rouges qui sont tous en appellation AOC Graves. Le « Château de Respide Graves Blanc » est un vin de restauration qui se consomme jeune. A table, il accompagne avec délice fruits de mers, poissons et salades. Le « Château de Respide Callipyge Graves Blanc » est plus pour les amateurs de Grands Blancs bordelais. C’est un vin qui peut se consommer de suite mais peut patienter cinq ans en cave. Le « Château de Respide Junior Graves Rouge » est destiné aux jeunes, et se consomme lors des pique-niques. Le « Château de Respide Graves Rouge » doit se bonifier un an en cave avant d’être dégusté, et peut même patienter jusqu’à quinze ans. Et enfin le « Château de Respide Callipyge Graves Rouge » est ...
Ingénieur en génies des procédés, Hervé Grangeon a vécu une longue carrière dans le secteur de l’industrie. Fort de son background professionnel, ce fervent passionné de whisky décide alors de se mettre à son compte et de lancer son entreprise en 2015 après une formation au Centre International des Spiritueux à Segonzac. À la Distillerie Ergaster, il fabrique une sélection de whiskies et de gins, dont l’Herboriste, un nectar aux beaux reflets d’or qui incarne finesse et juste équilibre des arômes. Le gin Herboriste, comme une invitation au voyage 100 % bio, sans ajout de sucre, de colorant ni d'arôme et issu d’un procédé de fabrication artisanale, Herboriste est un dry distilled gin obtenu à partir de baies de genièvre très aromatiques, ramassées manuellement sur les hauts plateaux de Lozère, les Causses. Les baies sont associées à d’autres aromates très puissants tels que le cumin et la coriandre. Un processus de macération à base de citronnelle est ensuite réalisé pour apporter des saveurs inédites qui s’achèvent par un réglissé de gentiane. À l’œil, Herboriste dévoile une belle couleur aux reflets dorés obtenus grâce à cette association avec la citronnelle. Au nez, il se veut intense, expressif avec des arômes de fruits et d’épices. Toute la magie s’opère au moment de la dégustation. La bouche est à la fois suave, généreuse et capiteuse avec une longue persistance et une intensité marquée. À boire seul ou à sublimer en cocktail Herboriste apporte une touche de gourmandise à toutes les tablées. Il accompagne à merveille une cuisine méditerranéenne ou des spécialités orientales comme la Tajine de joue de bœuf aux pruneaux et amandes ou la Tajine d’agneau. Boisson apéritive et festive par excellence, Herboriste se déguste idéalement sous forme de cocktails. Pour préparer un rafraîchissement puissant et volumineux en bouche, rien de tel que de l’associer avec une Ginger beer, quelques zestes de Pomelo et quatre à cinq glaçons. ...
Un engagement de la première heure L’implication des associations de patients dans la lutte contre les maladies rares ne date pas d’hier. Depuis bientôt trente ans, les associations redoublent d’efforts pour faire connaître les maladies rares et améliorer leur prise en charge : parcours de soin, diagnostic, recherche, suivi thérapeutique, insertion socio-professionnelle, soutien psychologique du patient et de son entourage, etc. C’est d’ailleurs sous l’impulsion des associations de patients - et notamment de l’Association Française contre les Myopathies(AFM) - qu’ont été créées des structures telles que Maladies Rares Infos Services (MRIS), l’Alliance Maladies Rares (AMR), Orphanet, le GIS-Institut des maladies rares ou encore la Plateforme Maladies rares qui regroupe géographiquement les principaux acteurs « maladies rares » au plan national : AMR, AFM-Téléthon, Eurordis, Fondation Maladies Rares, MRIS. Une forte implication au sein des filières Parce que leur expertise et leurs connaissance fine des problématiques rencontrées au jour le jour par les malades ainsi que leurs proches en font un allié de premier ordre, les associations de patients ont été invitées à rejoindre les filières de santé maladies rares dès la création de celles-ci, en 2015. Et alors que le troisième Plan National de Maladies rares (PNMR3) sera bientôt publié, l’implication des associations n’a jamais été aussi forte. Au sein des filières correspondant à leurs pathologies, les associations de patients œuvrent pour optimiser le parcours de soin des patients et organiser efficacement sa prise en charge globale. Elles veillent notamment à ce que la coordination multidisciplinaire que nécessitent les maladies rares soit la plus adaptée possible au parcours de vie des patients. Les associations de patients multiplient également les initiatives visant à améliorer la recherche, à réduire l’errance diagnostique et à explorer de nouvelles pistes thérapeutiques. Sans l’appui des financements associatifs, beaucoup de centres de référence maladies rares seraient d’ailleurs dans l’incapacité de développer des projets pourtant cruciaux comme la création de bases de données ou encore la mise en place d’essais cliniques. Enfin, l’action des associations de patients prend également la forme d’un travail de communication destiné à conférer davantage de visibilité aux maladies rares. Les points clés à retenir ▪ Les associations de patients jouent un rôle essentiel dans l’organisation et l’amélioration de la prise en charge des maladies rares. ▪ Elles contribuent à mieux faite connaître les maladies rares, que ce soit auprès du grand public mais aussi des professionnels de santé. ▪ Les associations ont participé à l’organisation des filières de santé maladies rares. ▪ Au sein des filières, les associations peuvent s’appuyer sur leur « expertise-terrain » pour optimiser le parcours de soin (diagnostic, suivi thérapeutique et médico-social, etc.). ▪ Le financement associatif est à l’origine de nombreux projets innovants. ...
Équipé d’un espace intérieur de 1 500 m2 et d’un espace extérieur de même superficie, le Nouveau Chalet du lac est un lieu d’émotion qui permet de recevoir jusqu’à 2 000 personnes en cocktails et 900 couverts en repas assis et doté de trois terrasses, un parking gratuit ainsi qu'un fumoir. Rendez-vous sur la piste après diner Conçu et pensé pour le confort et la convivialité, l’établissement s’assimile à une grande maison d’hôtes de campagne, propice aux invitations festives et gourmandes, où décor rétro et décor contemporain sont en parfait accord. Offrant un mélange minutieux d'Italie et de tradition française, ce lieu emblématique comble les fins palais qui, après un bon dîner, peuvent enchaîner sur une pure soirée dansante sur fond de musique généraliste jusqu'au petit matin. Brunch dominical : un incontournable Le Nouveau Chalet du Lac est une adresse bien connue pour les brunchs dominicaux dans le Bois de Vincennes. Au programme : crêpes, mini-viennoiseries, jus de fruits frais, fromage blanc, thé, café, chocolat et yaourts. Le buffet est également composé de plusieurs plats salés pour ne citer que les œufs brouillés à la truffe, antipasti, fromage, saucisse, thon mariné ou les incontournables burgers. Au dessert, les cheesecakes, gâteaux au chocolat, salades de fruits, verrines de panna cotta ou de tiramisu apportent une touche de douceur. Comme le restaurant ne désemplit jamais, une réservation par téléphone est conseillée. Lieux privatisables à souhait Le Nouveau Chalet du lac est un lieu idéal pour les réceptions en extérieur. Situé en plein cœur du bois de Vincennes et à faible distance du lac, vous avez le choix entre la terrasse Clémentine pour une immersion dans l’écrin de verdure de l’entrée du bois, où parasols et bar de terrasse se prêtent volontiers à un éventuel cocktail privatif ou à un diner d’esprit guinguette, et le terrain attenant au Chalet qui offre un espace totalement modulable. Un moment d’immersion en pleine nature, ouvert sur un espace accueillant d’inventives scénographies en perspective. Figurant parmi les espaces privatisables du Chalet, la véranda d’une capacité d’accueil de 150 personnes en cocktail et de 80 repas assis est idéale pour accueillir une réception conviviale avec vue sur le lac. Faisant office de salle de commission attenante aux deux autres salons, l’espace Véranda s’adapte à la demande à différentes configurations, en journée comme en soirée. ...
Au programme : expositions de photos, d’illustrations et performances artistiques. Festival « Empreintes d’artistes : une édition riche en programmation Parmi les artistes seront présents Corneille (Cobra), avec les Collections du Musée de l’Imprimerie de Nantes, Serg Gicquel, l’éditeur belge Daily Bul, et la photographe Marie-Louise Bréant. L’initiative vient de la maison d’édition Ligne de Légende, spécialisée dans la publication de livres d’art. ...
Un hôtel aux racines de l’art À deux pas du canal Saint-Martin et à quelques encablures du quartier du Marais, les neuf étages de L’hôtel Renaissance Paris République s’imposent comme une œuvre d’art à part entière, avant même d’en avoir passé les portes. C’est à l’architecte parisien Éric Haour que le groupe Marriott International a confié la réhabilitation des parties extérieures de ce bijou d’architecture contemporain. Tout en conservant les hublots de la façade d’origine, il a abaissé les deux cours intérieures pour restituer l’esprit des passages typiquement parisiens que l’on trouve dans les immeubles bordant le site. Les volumes intérieurs ont, quant à eux, été confiés à Didier Gomez. On le connaissait pour ses réalisations d’intérieurs de grands groupes bancaires ainsi que de plusieurs villas pour particuliers. Signant ici peut-être l’une de ses plus belles réalisations, il a insufflé un petit quelque chose aux 121 chambres de l’hôtel qui les feraient presque ressembler à des ateliers d’artistes avec leurs mobiliers de référence et canapés faits sur mesure. Le restaurant Origin ORIGIN c’est un restaurant urbain qui offre une cuisine brute, d’inspiration parisienne dans une ambiance authentique et décomplexée. Une cuisine impertinente et vibrante tout comme le quartier de la République. Cuisine ouverte, où rien n’est à cacher, ou plutôt tout à montrer. À l’écart de l’effervescence des grands boulevards et du quartier République, s’ouvre une nouvelle table. Décoinçant les codes de l’hôtellerie classique, Origin s’ouvre aux clients comme aux parisiens autour des valeurs terroir. Un retour aux sources et à l’essentiel. Privilégiant les circuits courts comme le rythme des saisons, la cuisine du restaurant Origin sélectionne les meilleurs producteurs de Paris, d’Ile de France. La carte Touchant à l’essentiel, la carte évite la rallonge et se décline en quatre propositions d’entrées et plats prêchant le frais, le sain et la gourmandise. Une cuisine d’instinct revendiquée, juste dans ses assaisonnements et ses cuissons, portant une attention permanente au goût, plats végétariens compris, et s’accordant quelques digressions savoureuses. Sucrée Détournant volontiers les classiques, la carte des desserts s’amuse des associations de textures, aériennes ou croquantes, cultive la légèreté et les différences en proposant régulièrement gâteaux sans gluten et sans lactose. Point de ralliement Le bar Martin du Renaissance Paris République sait changer de peau, café et comptoir le matin, bar à cocktail le soir. Dès 7h, l’offre de petit-déjeuner s’ouvre aux rendez-vous des parisiens. Au menu, l’éclair au café Carron à partager, des tartes aux fruits de saison et les viennoiseries traditionnelles. Préparé par un barista, le café de la Brûlerie Caron sort les grands crus. A la carte des thés, la torréfactrice Anne Caron choisit ses produits avec le même soin que les crus de café en signant des assemblages extraordinaires réunis sous le nom : « Les jardins d’Osmane». AU MARTIN, on y passe quand on veut. En début de soirée, pour découvrir les nombreuses références de gin et la carte des cocktails signature passant du gin concombre à l’intense parfum de safran, aux créations infusées de la maison, et sur demande les classiques du cocktail. La bière se boit ici exclusivement artisanale avec une sélection des meilleures brasseries de Paris et d’Ile-de-France. Le bar Martin propose sa propre bière en partenariat avec La Parisienne. Sur le pouce Pensée pour accompagner les cocktails, la carte de Sharing Food fait dans l’authenticité avec, selon les saisons et les coups de cœur du chef : la planche jambon cru & blanc mignon de porc fumé, saucisson à l’ail ou la cocotte penne tomates & parmesan reggiano AOP ou le tartare de poisson selon marché. Le bar est ouvert du lundi au dimanche de 8h à 1h. ...
Ce restaurant au décor chic, épuré et délicatement boisé dégage une ambiance conviviale et chaleureuse qui vous met d’emblée à l’aise, comme à la maison. Ayant gardé précieusement en mémoire les saveurs extrêmes des plats riches et variés préparés jadis par sa maman, le chef Raoul Coly se plaît à refaire le chemin à l’envers pour faire découvrir à son tour la cuisine africaine, et notamment sénégalaise. En composant de belles assiettes inventives aux épices d’ici et d’ailleurs, il nous embarque dans un festival de couleurs et de saveurs, où l’authenticité et le goût sont à l’honneur. À ses côtés, toute une équipe œuvre avec passion pour vous garantir de précieux moments en famille ou entre amis. Comme le dit l’un des proverbes africains préférés du restaurant, « seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin ». Un club d’amateurs de saveurs exotiques Dans un voyage culinaire qui suscite aussi bien l’envie que la curiosité, découvrez une cuisine qui allie fraîcheur et originalité. Sa rafraîchissante salade Diola, avec son aïoli et ses herbes de Casamance, ou son fameux tartare de bar à la mangue et parfumé au cumbawa sont autant de véritables découvertes culinaires insoupçonnées. Poursuivez avec son savoureux thiéboudienne, le plat national du Sénégal, à base de riz cassé au poisson et ses légumes. Terminez sur une note joyeuse avec son surprenant ananas rôti dans son jus… Un beau parcours en perspective ! ...
Le domaine est actuellement dirigé par la quatrième génération de vignerons chez les Peyruse. Avec Laure, aux commandes de la gestion et de l'oenotourisme, et son frère Sébastien, habile dans la manipulation des raisins, l’entreprise familiale ne peut qu’être honorée. Le terroir Le vignoble s’enracine sur un sol graveleux, dont les particularités se révèlent à travers la qualité des vins de la maison. Riche et drainant, ce terroir de graves se prête parfaitement à la culture des cépages phares du Médoc, qui sont le merlot et le cabernet. La maison travaille également sur d’autres cépages, dont le cabernet franc, le petit verdot et le carménère. « C’est l’assemblage de ces cinq cépages qui donne naissance à nos vins classés crus bourgeois », explique Laure Peyruse, responsable de l’œnotourisme au sein du domaine. En matière de vinification, la maison s’appuie notamment sur un cahier des charges strict et rigoureux, tout en préservant l’empreinte familiale qui a toujours démarqué les cuvées du Château Tour Castillon. Des cuvées nobles L’emblème du domaine est « La Révélation de Castillon », le mariage parfait entre merlot (50 %) et cabernet sauvignon (50 %). « Cette cuvée représente idéalement Médoc et ses terroirs », nous indique-t-on. Elle est issue des meilleures sélections du vignoble du Château Tour Castillon. L’élevage du millésime pendant 2 ans en fût de chêne ne joue qu’en faveur de son élégance et de l’intensité de ses arômes. Les autres cuvées n’ont absolument rien à envier à cette dernière. Les médailles de bronze attribuées récemment aux millésimes « Château Tour Castillon 2017 » et « Château Moulin de Taffard 2017 » au Concours agricole de Paris sont la preuve que chaque élixir a sa spécificité. Par ailleurs, les Peyruse se concentrent actuellement sur une nouvelle expérience : l’immersion de bouteilles de vins rouge dans la baie de Paimpol, en Bretagne. Une dégustation plutôt prometteuse ! ...
Une Nature unique au monde, une mosaïque de peuples, des paysages contrastés entre plages, savanes, mangroves et forêts… Madagascar réunit tous les ingrédients recherchés par les voyageurs en quête d’expériences authentiques à vivre. Par sa richesse et sa beauté, l’île-continent a la chance de se classer au meilleur rang des grands guides internationaux (11e place dans le classement 2018 des meilleures destinations au monde par le magazine National Geographic Traveler). Et la destination ambitionne d’améliorer davantage ses performances touristiques en s’appuyant sur l’arrivée de Tsaradia, dont la mission est de développer le réseau aérien domestique et ainsi de contribuer à rompre l’isolement des régions. Décollage de Tsaradia à Madagascar Depuis le 31 Octobre 2017, la compagnie aérienne française Air Austral est devenue officiellement partenaire stratégique d’Air Madagascar. Dans l’optique de redresser la compagnie malgache, Air Austral a construit son business plan autour de trois axes prioritaires, parmi lesquels figurent la consolidation et le développement du marché domestique. Cette étape vient d’être amorcée en juillet 2018 avec le lancement de Tsaradia, filiale à 100% d’Air Madagascar. En signe de ce renouveau, l’entité domestique arbore fièrement une nouvelle identité visuelle traduisant son appartenance à la Grande Ile et inspirée de la terre rouge, du ciel, de la Nature et du soleil. Les dessertes sont assurées par une flotte aérienne composée pour l’instant de 4 ATR 72 (bientôt 5 à compter de début 2019) et de 2 Twin Otter. Le commandement des appareils est pris en charge par 27 pilotes qualifiés fraichement recrutés et renforcés par les pilotes de la maison mère. Outre les facteurs purement humains et techniques, Tsaradia mise sur une stratégie clairement axée sur la satisfaction des clients. « La clientèle a perdu confiance dans les services offerts par Air Madagascar, notamment sur le réseau domestique à cause des nombreuses irrégularités d’exploitation et une prise en charge des passagers pas toujours à la hauteur de leurs attentes », déplore Bodosoa Rakotomena, directrice commerciale de la filiale commerciale. Pour se remettre sur les rails, la compagnie veut dorénavant offrir un service où ponctualité, régularité et respect des clients sont fixés comme ligne de conduite. Assurer toutes les liaisons intérieures à Madagascar « La filiale domestique va opérer sur l’intégralité du réseau intérieur d’Air Madagascar et desservira une dizaine de destinations au départ du Hub d'Antananarivo ainsi que des lignes transversales reliant les villes côtières entre elles », communique notre interlocutrice. Nosy Be, Toamasina (Tamatave), Antsiranana (Diego Suarez), Tolagnaro (Fort Dauphin), Toliara (Tuléar), Sainte-Marie, Maroantsetra, Sambava, Mahajanga (Majunga) et Morondava font partie des destinations qui seront régulièrement desservies. « Tsaradia offre 52 % de fréquences en plus et 82 % de sièges supplémentaires. » Bonne nouvelle donc pour les touristes étrangers et surtout pour la population locale qui constitue « le cœur de cible de la filiale ». Toutes ces démarches vont notamment favoriser le tourisme intérieur, qui avait été freiné par le manque d’infrastructures de transport. C’est sûr : Tsaradia a désormais toutes les cartes en main pour jouer dans la cour des grands. Bon vol ! ...
L’essor de l’intelligence artificielle (IA) L’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans la réalité quotidienne. Face aux enjeux que cela représente au niveau de l’économie et de la société, la France s’est positionnée en leader en lançant un plan de 1,5 milliard d’euros destiné à retenir et attirer les meilleurs chercheurs autour de cette technologie. Les usages potentiels et les domaines d’application de l’intelligence artificielle sont infinis. Les entreprises ont compris qu’elles ont là une opportunité unique de pouvoir mieux répondre aux besoins des consommateurs. C’est pour cela qu’EPTICA a choisi d’investir très tôt dans l’intelligence artificielle. Spécialisé dans les solutions conversationnelles pour l’expérience client digitale, EPTICA a développé « une intelligence artificielle hybride qui mélange le Traitement Automatique du Langage Naturel, le Machine Learning et le Text Analytics », explique Anne-Claire Bellec, directrice marketing et communication. Grâce à son moteur, EPTICA parvient ainsi à automatiser un maximum de conversations via les dispositifs de self-service et de chatbots, permettant aux entreprises de désengorger leur service client. De plus, « sur tous les canaux nécessitant une intervention humaine (réseaux sociaux, email, chat, etc), nos machines automatisent également un maximum de tâches. Elles fournissent des suggestions de réponses automatiques ainsi que les éléments de contexte clients qui aident les agents à se concentrer sur la relation et à personnaliser les conversations », ajoute Anne-Claire Bellec. Mais ce spécialiste de l’IA pour la relation client ne se contente pas d’automatiser les conversations digitales. Le groupe a lancé récemment vecko, une nouvelle solution capable d’analyser en continu les flux de conversations sur l’intégralité des canaux et d’en extraire des informations directement actionnables. vecko ouvre la voie de l’intelligence client. vecko, une solution pour améliorer l’expérience client La simple connaissance client n’est plus suffisante pour développer et pérenniser un business. Or, la plupart des entreprises se contentent de se fier à des enquêtes de satisfaction réalisées la plupart du temps par des instituts de sondage. Le problème est que les résultats obtenus ne donnent qu’une vague idée des causes pouvant être à l’origine des irritants ou des sources de satisfaction des clients. Afin de comprendre véritablement la psychologie et les ressentis des clients, il est nécessaire d’aller au-delà de cette connaissance client. Et pour cela, EPTICA a mis au point une technologie qui extrait en temps réel la valeur des conversations, et met à jour les véritables motifs de satisfaction ou d'insatisfaction. S’appuyant sur l’IA hybride d’EPTICA, vecko analyse toute la “voix du client” permettant de comprendre à la fois le client et son parcours. La solution présente une particularité : sa capacité à analyser finement les conversations avec une granularité qui identifie de manière fiable tous les irritants, tous les motifs d’insatisfaction ainsi que les émotions des clients. Sur ce point, il faut savoir que seuls 10 % des entreprises sont en mesure d’analyser les émotions. vecko est l’unique solution du marché français qui fournit l’ensemble de ces services aux marques. À partir des données obtenues, il génère des tableaux de bord personnalisables par métier. « Notre ambition c’est que tout le monde dans l’entreprise, utilise vecko et que chaque département (marketing, commercial, e-commerce, fidélisation, service clients, etc.) bénéficie à son niveau de l’intelligence client », précise Anne-Claire Bellec. Un plan d’action peut ensuite être mis en place pour actionner des changements sur l’ensemble du parcours client. L’amélioration de l’expérience client constitue un enjeu de taille pour les entreprises dans la mesure où cela impacte directement leurs résultats financiers. En adoptant la solution vecko, les entreprises parviennent rapidement à générer un ROI calculable très simplement. En effet, une expérience positive va inévit...
Équipement de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Doubs, la Maison de l’économie offre 1 400 m2 dédiés aux événements d’entreprises. Des locaux de taille variable (amphithéâtres, salles, bureaux…), des services haut de gamme, un accompagnement personnalisé et la garantie de manifestations réussies sont la signature d’une équipe investie et qualifiée. Pour les entreprises qui souhaiteraient y organiser leurs événements, la Maison de l’économie propose des formules sur mesure où chaque étape du projet est placée sous le signe du professionnalisme. Une offre enrichie en 2016 Congrès, séminaires, formations, lancements de produits, assemblées générales ou encore réunions d’affaires… Tout se fait ici dans un cadre propice au travail et facilement accessible. Outre un parking, la structure dispose en effet de plusieurs espaces qui permettent des prestations à la carte et adaptées au format de chaque projet. Certaines sont internes – la Maison de l’économie propose ainsi l’accès à une cafétéria – pour d’autres, une liste de prestataires externes est disponible : traiteurs, décorateurs, techniciens… « Chacun de nos clients est particulier », souligne Corinne Francart, la responsable de ce service. « Le temps accordé à l’analyse de la demande est fondamental pour proposer le meilleur service possible. C’est à nous de trouver la bonne réponse aux attentes du client et de l’accompagner. Il arrive qu’au cours de nos discussions, il choisisse finalement d’autres prestations que celles qu’il avait imaginées. C’est aussi le côté agréable du travail de pouvoir conseiller le client pour le mieux ». Ainsi, le Grand hall accueille des dîners de gala, La Galerie, des cocktails ou des expositions, et, pour les réunions, les salons Ledoux, Vauban ou Pasteur sont modulables. Depuis un an, la Maison de l’économie a enrichi son offre avec une nouvelle salle des conférences. « Il s’agit d’un espace haut de gamme où l’identité régionale est omniprésente. L’utilisation du bois rappelle la place de la forêt dans notre région et l’architecte local a reproduit sur les côtés de la salle, dans une ligne de ciel, la silhouette des monuments emblématiques de Franche-Comté : la citadelle de Besançon, le château de Montbéliard, la porte Saint-Pierre de Pontarlier, le château de Joux…», ajoute Corinne Francart. « L’ambiance lumineuse a, de plus, été récompensée par un prix national décerné à la CCI du Doubs et à l’entreprise Le Point lumineux, par l’Association française de l’éclairage (AFE) pour la mise en lumière des lieux », reprend-elle. Plus de 300 événements y sont organisés chaque année. ...
Les origines de la distillerie Massenez remontent à 1870. À cette époque, Jean-Baptiste Massenez assure la profession de bouilleur de cru. Bien décidé à suivre les traces de son père, son fils Eugène Massenez deviendra plus tard un Maitre distillateur réputé. En 1913, celui-ci marque l’histoire de l’entreprise en distillant pour la première fois de la framboise sauvage. Une présence à l’international En 1950, Gabriel Massenez, 3e génération, sera celui qui va propulser la maison Massenez sur le marché mondial. Faisant preuve d’audace, il mise sur l’export et réussit à conquérir le marché américain, suisse, allemand et autrichien. Dans la foulée, Gabriel Massenez réalise un coup de maitre, en allant s’imposer en Asie (Hong Kong, Singapour, Tokyo, Tahiti), où la framboise était jusque-là méconnue. Mieux, il a réussi à faire de la distillerie, une marque incontournable dans la haute gastronomie. « Grâce à la framboise, Gaby Massenez a su s’imposer sur les plus belles tables étoilées aussi bien en France qu’à l’étranger et a notamment côtoyé les plus grands chefs comme Paul Bocuse, Pierre Troisgros ou Roger Vergé », souligne Élodie Naslin, directrice marketing et communication du groupe Peureux. Aujourd’hui, Manou Massenez, fille de Gabriel Massenez, poursuit le travail à l’export, en assurant la présence de la marque dans plus de 110 pays. Les nouveautés Rachetée en 2011 par les Grandes Distilleries Peureux, la maison Massenez continue d’innover sur le segment du luxe. « Massenez dispose d’une identité très forte. La marque est reconnue dans le monde pour la qualité et la finesse de ses produits de haut de gamme », indique notre interlocutrice. Misant sur la nouveauté, la maison vient récemment de lancer « Golden Eight ». À travers ce nouveau produit, la distillerie revisite un de ses grands classiques : la liqueur de Poire Williams. Cette dernière, dont la recette a été revue, se dote désormais d’une bouteille très design avec un flacon épousant la forme d’une poire. Golden Eight se compose d’un assemblage d’eaux-de-vie de poires Williams de plus de 8 ans d’âge, complété par une note de vanille et de caramel. Cette liqueur gourmande à la remarquable fraicheur représente la quintessence des savoir-faire de la distillerie Massenez. « En 3 ans, Golden Eight est devenu le best-seller de la maison. Il est distribué sur les vols d’Air France et dans d’autres compagnies aériennes ». Un concept très féminin Consciente de l’engouement de la nouvelle génération pour les cocktails, la maison a également créé tout un concept de cocktails autour de Miss Massenez. Il s’agit d’une nouvelle égérie intemporelle qui s’est inspirée de l’identité très féminine de la distillerie. « Miss Massenez nous a permis de confectionner de nombreux cocktails à base d’eaux-de-vie de fruits, de crème et de liqueur de fruits », explique Élodie Naslin. Empreinte d’élégance et de raffinement, Miss Massenez se décline en plusieurs saveurs. Parmi la gamme de produits figurent les concentrés de cocktails tels que la pina colada ou le mojito. ...
Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste, ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il. Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...
Marcher, courir, pédaler ou répondre correctement à des quiz, tout est bon pour rapporter des points à son équipe ! Grâce à MySquadRunner, les collaborateurs d’une entreprise, qu’ils soient sportifs ou non, vont pouvoir se motiver mutuellement pour tendre vers un objectif commun : placer son équipe en tête du classement à la fin du mois. SquadRunner, la genèse Est-il encore nécessaire de rappeler à quel point le sport est bénéfique pour la santé ? Et pourtant beaucoup de gens font l’impasse sur les activités physiques, faute de temps ou de moyens. Dans la plupart des cas, la cause est plus intrinsèque. « L’absence de motivation est la principale source de blocage », fait savoir Anaïs Baumgarten, directrice marketing de SquadRunner. Afin de répondre à cette problématique, Denis Laboureyras et Brice Chapignac ont décidé de lancer SquadRunner. Une application mobile destinée à motiver le grand public à la course à pied et qui s’appuie sur deux leviers de motivation : l’intérêt pour le jeu et le besoin de se mesurer aux autres. Un concept appliqué aux entreprises Depuis sa création en 2015, SquadRunner a dépassé la barre des 100 000 téléchargements ! Forte de ce succès, l’équipe a ensuite développé « MySquadRunner », une plateforme dédiée exclusivement aux entreprises. « Nous utilisons les mêmes leviers pour motiver les collaborateurs à réaliser une activité physique régulière, l’idée est d’utiliser l’esprit d’équipe et le collaboratif pour lutter contre la sédentarité », explique notre interlocutrice. Unique plateforme à opérer dans ce domaine, MySquadRunner est utilisée aujourd’hui dans 60 pays à travers le monde et compte 58 000 utilisateurs. Le concept est simple : les collaborateurs se répartissent en différents « Squad », dans lequel chacun contribue à faire gagner son équipe en récoltant le maximum de points. Courir, marcher ou faire du vélo, chaque action est récompensée. Seul ou en groupe, les participants peuvent pratiquer à tout moment. « Tout fonctionne autour du collaboratif. Mais cela ne repose pas seulement sur l’activité physique », précise Anaïs Baumgarten. En effet, les personnes en situation de handicap peuvent également participer à travers des outils gamifiés. Des quiz permettent, par exemple, de gagner des points bonus, tandis que des « pouvoirs magiques » offrent la possibilité de booster les actions d’un coéquipier. Des fonctionnalités avancées Outre l’amélioration de la cohésion d’équipe, l’application optimise également la communication interne. Un système de messagerie instantanée permet aux collaborateurs d’échanger entre eux, tout en leur donnant le moyen de créer du lien social. « Les entreprises peuvent utiliser les quiz et le challenge pour diffuser de manière ludique et collaborative des informations de marque employeur », nous indique-t-on. À titre d’exemple, Safran, à la suite de sa fusion avec le groupe Zodiac, s’est servi des leviers de la plateforme pour véhiculer et partager les valeurs du nouveau groupe auprès de ses salariés. ...
Constituée de bénévoles œuvrant pour la promotion du vignoble champenois de la côte des Bar, l’association CAP’C invite le grand public à découvrir le secteur viticole de la vallée de la Sarce dans le cadre de cette nouvelle édition de La route de la champagne en fête. Cinq communes participeront à l’événement à savoir Channes, Bragelogne-Beauvoir, Bagneux-La-Fosse, Avirey-Lingey et Balnot-sur-Laignes. Touristes, amateurs ou professionnels du vin auront ainsi l’occasion de rencontrer les vignerons locaux et déguster leurs cuvées. La vallée de la Sarce : à la découverte d’un nouveau secteur viticole Considéré comme le plus important événement de la côte des Bar et du département de l’Aube, La route du champagne reçoit plus de 30 000 visiteurs chaque année, passionnés et professionnels. Durant ce week-end exceptionnel, de nombreux vignerons ouvriront leurs portes pour permettre aux invités de déguster différentes cuvées, découvrir le métier de vigneron, visiter les caves et en apprendre davantage sur les secrets du Champagne. Les municipalités et les associations locales organiseront aussi différentes animations : soirées dansantes, concerts, formation musicale, exposition d’artisanat local, restauration… Les habitants des différents villages se mobilisent pour décorer les rues. De la jachère fleurie sillonnera le bord de la route de la vallée de la Sarce afin de mettre en valeur ce terroir Champenois classé au patrimoine mondiale de l'UNESCO et de sensibiliser les visiteurs à la préservation de la biodiversité. Chaque visiteur doit par ailleurs, se munir de la flûte-passeport pour accéder au festival. Pour 25€, vous disposerez de la flûte, du porte-flûte, du carnet de dégustation et d'un éthylotest. Les tickets-pass sont déjà en prévente sur le site de CAP'C (Lien). Une journée dédiée aux professionnels Pour promouvoir cet événement, CAP’C prévoit une journée exceptionnelle réservée aux professionnels dans le cadre du Printemps des Champagnes à Reims. Elle se déroulera le 26 avril au Cercle Colbert et accueillera sommelier, cavistes importateurs et journalistes. Au programme : dégustation et présentation des différentes activités viticoles. ...
Si vous vous apprêtez à visiter la Bretagne du Sud, vous ne pouvez passer à côté de l’hôtel Belle Vue (ouvert du 1er mars au 31 octobre). Tenue depuis 3 générations par la même famille, cette maison centenaire (en 2019) sait faire le bonheur des voyageurs fatigués ou des touristes français et étrangers. L’hôtel Belle Vue : un établissement familial et presque centenaire L’histoire de l’hôtel Belle Vue commence en 1919. À cette époque, Mademoiselle Marie-Jeanne Le Meur achète une maison au Cap-Coz afin de la transformer en un espace de détente comprenant une épicerie, une buvette et un restaurant. Puis, avec le temps et quelques agrandissements, l’hôtel était né. Quelques années plus tard, en 1968, elle passe le flambeau à sa nièce, Yvonne Kernévez. Celle-ci réalise de nombreux aménagements afin d’améliorer le confort de cet hôtel de séjour. Finalement, en 1996, ce sont les enfants Kernévez (Anne et Yves) qui en deviennent les cogérants. De nombreux travaux de rénovation sont entrepris dès 2010/2011 afin de moderniser cet établissement. Cela lui permettra de devenir accessible aux personnes handicapées et de passer en catégorie 3 étoiles. L’hôtel Belle Vue : une étape obligatoire pour tous les amoureux de la Bretagne Tous les clients qui s’arrêtent dans cet hôtel sont unanimes : l’accueil y est chaleureux et les chambres agréables. En effet, d’après la cogérante, Anne Kernévez, l’équipe fait très attention à satisfaire les attentes de chaque visiteur qui vient pousser les portes d’entrée de l’établissement. La meilleure récompense pour elle : entendre ses clients dire qu’ils se sentent comme chez eux. D’ailleurs, cet hôtel à taille humaine fait son possible pour fournir des prestations et des services appréciés de tous les types de clientèle (familles, séniors, couples, homme d’affaires, etc.). En plus du parking et du joli jardin, le voyageur qui s’y arrête profite d’une terrasse aménagée avec chaises longues, d’un jacuzzi ainsi que d’un terrain de boule, de badminton et de mölkky. À cela, vous rajoutez une vue imprenable sur une plage de sable fin et l’Océan Atlantique. Ce n’est pas pour rien qu’il est référencé au Guide Michelin. À savoir : en plus de posséder un excellent rapport qualité/prix (d’après de nombreux avis clients), la maison offre l’hébergement pour les moins de 8 ans. Les familles avec jeunes enfants y sont donc bienvenues pour une étape ou un séjour plus long (avec possibilité de profiter du restaurant à la carte ou en forfait séjour). Hôtel Belle Vue : le lieu parfait pour découvrir la beauté de la Bretagne du Sud Localisé à Fouesnant, en plein cœur de la Riviera bretonne, le rayonnement de l’hôtel profite à tous les amoureux de ce petit coin de paradis. En effet, vous vous trouvez à une vingtaine de kilomètres de Quimper et de la ville close de Concarneau (classée au titre des monuments historiques). Vous n’êtes pas loin non plus de Locronan (qui possède les titres de « petite cité de caractère » et de « plus beau village de France »). Le voyageur averti l’aura compris : l’hôtel Belle Vue dispose d’une excellente position centrale pour visiter la Cornouaille de Bretagne. Pêle-mêle, voici quelques lieux à découvrir dans la région : l’impressionnant port La Forêt (port d’attache des navigateurs Jean Le Cam et Michel Desjoyeaux disposant d’un centre d’entrainement réputé), le magnifique port de pêche du Guilvinec (3e port français et 1er port de pêche artisanale), l’emblématique pointe du Raz (30 minutes de voiture environ) ou encore la commune de Pont Aven (appelée « la cité des peintres »). Sans oublier le GR34 qui passe au pied de l’hôtel. Ainsi, les randonneurs épuisés par leur longue journée de marche à pied aiment s’y arrêter pour se détendre (pour une nuit ou plus longtemps). À savoir : l’hôtel propose aussi une billetterie afin de vous...
Issu d’une grande lignée de meuniers, Xavier Muller a choisi de baser son exploitation dans une ancienne minoterie de Marlenheim, qui est la porte de la route des vins de cette région alsacienne. De deux à vingt-cinq hectares Au départ, la famille Muller intervenait surtout dans la polyculture de céréales et tabac et l’élevage de vaches laitières. La belle histoire dans l’univers du vin n’a commencé qu’en 1960 lorsqu’elle a fait acquisition de ses premières parcelles de vignes qui faisaient en tout 2 hectares. Progressivement, elle s’approprie 3 hectares de vignes situées dans le Grand Cru Steinklotz. Aujourd’hui, le vignoble occupe une surface totale de 25 hectares, répartis sur la colline dominant Marlenheim, du Koenig au Sand. « Cinq membres de la famille s’occupent à temps plein de ce vignoble, ils y travaillent 365 jours par an » explique Xavier Muller. Une riche sélection de vins Selon Xavier, « la production annuelle avoisine les 33 000 bouteilles par an. Elle ne vinifie que huit hectares de son exploitation. Tout le reste part chez d’autres producteurs, d’autres négociants de la région ». Le domaine produit un grand nombre de vins et crémants d’Alsace. Toutefois, le produit qui contribue à son succès et ce, depuis le départ, est le « Crémant Chardonnay », toujours primé lors des différents concours auxquels il a participé. Il s’agit d’un vin issu à 100% de Chardonnay. Le millésime 2011 de cet effervescent à bulles très fines présente une robe jaune pâle, avec un nez très aromatique de fruits secs (noisette et amande), agrumes et pamplemousse. En bouche, il s’ouvre sur des notes de mûre avec une finale assez longue aux arômes de citron vert. Ce vin a gagné une médaille d’or au Concours des effervescents du Monde 2013. « Le Gewürztraminer Grand Cru Steinklotz fait aussi la grande fierté du domaine » affirme le propriétaire. Il s’agit d’un vin issu uniquement de Gewurztraminer. Le millésime 2011 a été élevé sur lies fines six mois avant d’être embouteillé puis bouchonné avec du liège naturel. Sa robe jaune aux reflets dorés propose un nez complexe et explosif, aux notes de rose suivies d’épices. En bouche, le vin présente une grande harmonie et une belle longueur, avec une attaque très souple aux arômes de gingembre confit. Ce vin se déguste de préférence avec une cuisine exotique. ...
En octobre 2016, Maitre Christelle Gouirand reprend l’étude de Maitre Holz, étude créée en 1984. En plus d’un apprentissage classique du métier en région parisienne et dans le sud de la France, Maître Gouirand travailla quelques temps pour le monde des enchères à la télévision. Toutes les ventes aux enchères organisées par cette étude ont lieu à l’hôtel des ventes d’Arles, à 5 minutes du centre-ville, et simultanément en live sur internet. Elles sont planifiées un samedi sur deux et sont ouvertes à tout public. Vous pourrez y découvrir et acheter de petits ou de gros trésors, comme par exemple des tableaux, des sculptures, des photographies, des livres, des bijoux dont provençaux, des jouets, des armes, vins, rubans et pièces de costumes d’Arlésiennes, livres, véhicules, matériels,… Maître Christelle Gouirand réalise également des estimations et des expertises, des estimations pour les assurances, des inventaires dans le cadre de successions. Elle est également formée pour authentifier les œuvres d’artistes reconnus. Elle se fait aider d’experts spécialisés pour les objets plus rares. Vous pouvez donc lui confier tout objet ou œuvre d’art dont vous souhaitez connaître la valeur. Pour ce faire, vous pouvez prendre rendez-vous ou lui envoyer un mail auquel seront jointes des photographies. Des pièces exceptionnelles Maitre Christelle Gouirand a eu l’occasion de vendre aux enchères des œuvres d’art d’exception. Citons par exemple « Nature morte à la poêle » un tableau de Bernard Buffet datant de 1949, vendu 13.500 euros en décembre 2017 ou encore un superbe lustre Lalique en cristal dont la valeur a atteint 18.200 euros. ...
Quand Luc Van Honsebrouck a repris la direction de la brasserie Kasteel dans les années 60, il a décidé de ne plus se consacrer uniquement aux pils, mais de produire désormais des bières spéciales. « Mon père était visionnaire », dit Xavier Van Honsebrouck, la septième génération de la brasserie familiale belge. « Dans les années 60, notre brasserie était avant-gardiste, et nous en récoltons encore les fruits aujourd’hui. » Bière spéciale blonde Filou : la dernière création belge de la brasserie Kasteel... Plus de 20 bières spéciales sont produites à la brasserie aujourd’hui. La dernière née est la « Filou », une bière blonde forte titrant à 8,5 %. C’est une bière qui oscille entre une triple et une Strong Golden Ale, brassée avec 100 % de malt de pils et du houblon de type Golding, Saphir et Saaz. « En tant que propriétaire de brasserie familiale, on se doit de créer une nouvelle bière fantastique », dit Xavier. « Je crois que la "Filou" est ma deuxième grande réalisation, après le lancement réussi de la Kasteel Rouge. » Sa recette a nécessité plus de huit mois pour être parfaitement aux goûts de Xavier Van Honsebrouck et du maître brasseur Hans Mehuys. La Filou se boit avec une facilité déconcertante, tout en étant suffisamment complexe pour tomber dans les bonnes grâces des amateurs de bières spéciales. Cette robuste blonde est un cas à part, dont le nom et le style rencontrent les faveurs d’un large public, en Belgique comme à l’étranger. Son nom est un clin d’œil, aussi bien à la bière elle-même qu’à celui qui la déguste. « Pratiquement personne ne peut en rester à un seul verre », affirme le brasseur en riant sous cape. « Mais qui est le plus grand filou dans cette histoire ? », demande Xavier Van Honsebrouck. « Le breuvage qui séduit le buveur, ou le buveur qui ne peut résister à en redemander un deuxième verre ? » Il y a de quoi s’interroger. ...
Dans un cadre sobre, enchanteur et élégant, Emmanuel Hernandez, chef et propriétaire du Musigny, propose des plats concoctés dans le respect de la tradition et des valeurs culinaires typiques de la région. Les saveurs typées et harmonieuses des mets et l’ambiance chaleureuse qui règne au sein même du restaurant sont la promesse d’un voyage gustatif au cœur de la gastronomie française. Le classique mêlé à la modernité Selon Emmanuel, c’est la cuisine « traditionnelle gastronomique française aux accents méditerranéens », proposée à la table du Musigny, qui fait toute sa singularité. La décoration avant-gardiste, à laquelle s’ajoute de la bonne cuisine à base de produits locaux, reste l’une des particularités de cette table étoilée dans le Guide Michelin. Avec une carte évolutive suivant les saisons, le Musigny chante le répertoire de la cuisine gastronomique avec élégance, tradition et modernité. Une carte riche en goûts Avec plusieurs menus proposés, dont un menu "affaire", un menu "dégustation" ou le menu "les écoliers", le restaurant le Musigny se démarque par la variété des saveurs proposées à table. Le homard bleu rôti au beurre d’agrumes, précédé d’une assiette autour de la Lucullus en guise d’entrée, figure parmi les plats phares de la carte de l’établissement. Cette dernière sera accompagnée d’une carte à vins éclectique et riche. En effet, la cave représentant tous les terroirs de la France est composée de 250 références. ...
Dès ses premiers balbutiements, Mauritius Travel avait à cœur d’offrir une approche « différente » de l’Ile Maurice. Mue par une connaissance et un amour partagés pour ses terres, les fondateurs imaginent un concept de voyage dont les férus d’aventure ressortent profondément marqués. Exit les offres formatées pour répondre uniquement à des contraintes marchandes. Place à des formules d’hébergement, de circuits et d’activités qui mettent le voyageur au diapason d’expériences profondes, qui font l’âme de cette destination pleine d’inattendu. Un art du voyage unique pour se sentir comme chez soi Lorsque Pierre Cosentino et Stéphane Letessier évoquent, pour la première fois, l’idée de Mauritius Travel, il y un peu plus d’une décennie, leur vision était claire. Amener les touristes – vacanciers, couples en lune de miel, familles – sur la piste d’une Île Maurice comme peu de personnes l’ont expérimentée. Les offres de départ étaient présentées sous forme de campements ou résidences de bord de plage. Aménagées pour faire sentir le locataire comme chez lui, ces résidences leur donnaient accès à des contacts personnalisés avec la population. Pour le voyagiste, « le luxe n’est pas seulement de séjourner dans un hôtel cinq étoiles […], c’est aussi de vivre des expériences, toucher une culture différente et pouvoir partager le moment. » Pari tenu au quotidien à travers des circuits taillés sur mesure pour laisser des impressions hautes en couleurs. Des circuits à thème hors des sentiers battus L’authenticité et le côté profondément humain des expériences qu’ils occasionnent constituent l’ADN des voyages organisés par Mauritius Travel. Les circuits thématiques se déclinent de façon variée pour répondre à tous les désirs. Les amoureux de greens jubileront, sans doute, à l’idée du circuit de golfs dont l’île est exceptionnellement nantie. Les écologistes convaincus ne mettront pas leurs valeurs entre parenthèses, le temps de leurs vacances. Enfourchant des vélos électriques, ils flâneront sur les routes côtières du Sud, coupant à travers les forêts de cilaos et les champs de cannes à sucre. Moments intimes qui se concluront par un déjeuner chez l’habitant qu’ils auront eux-mêmes aidé à préparer. Ils pourront, par la même occasion, tendre la main à des associations dédiées, une partie du coût de l’excursion leur étant reversée. Quand l'Île Maurice d'hier et d'aujourd'hui se rencontrent Le label se distingue par son expertise des voyages combinés. Ces formules permettent en un seul voyage de cerner les grands fleurons du tourisme indo-océanique. L’un des fondateurs dépeint en des termes quasi-extatiques le genre d’expériences qu’autorise le combiné Île Maurice-Rodrigues. Ce qu’il décrit comme des retrouvailles entre l’Île Maurice d’aujourd’hui et d’il y a 60 ans est effectivement un moment intense de découvertes où les sens ne se lassent pas. Entre la philosophie de vie « à la cool » des habitants, l’exceptionnelle richesse de la biodiversité, le charme discret des établissements d’accueil et la variété des activités, les envies de récidiver ne tardent pas à se présenter. ...
Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les côteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIe siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maitres-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international. Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages. Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II. La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana. La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et côteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon. Au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les côteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret. Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache. A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’ap...
Depuis sept ans, 80 Jours Voyages, qui ne fait pas dans l’ordinaire, s’est lancé comme défi de proposer des voyages inédits au cœur de pays volcaniques, de volcans en éruption ou de sites géologiques originaux appelant à la découverte. Expérimentez toute la puissance de la nature en terres inhospitalières en étant accompagné d’une équipe chevronnée, composée de passionnés ayant à cœur de partager leur amour pour cette planète aux mille facettes. S’adaptant aux besoins et aux envies de chaque voyageur – famille, groupe d’amis ou entreprise –, chaque parcours élaboré par 80 Jours Voyages est la promesse de retrouvailles autour d’aventures authentiques et conviviales. À la rencontre d’une nature fascinante C’est en 2010 que Sylvain Chermette décide de créer 80 Jours Voyages. Spécialisée dans les expéditions en terres volcaniques, cette agence conçoit des séjours personnalisés, individuels ou en groupe afin de partager la passion de son fondateur pour la volcanologie et de prouver que cet univers peut être accessible à tous. « Une éruption volcanique [est] un spectacle inoubliable pas forcément réservé aux scientifiques », confie-t-il. Tombé amoureux des volcans après avoir admiré une éruption, M. Chermette propose une tout autre manière de voyager en emmenant les passionnés de nature au plus près de sites volcaniques situés aux quatre coins du monde. Du Chili à l’Éthiopie, en passant par l’Islande, entre amis, entre collègues ou en famille, chaque expédition à la rencontre de cette facette imprévisible de la nature est encadrée par un spécialiste des volcans et des équipes locales afin d’assurer aux participants une observation grandeur nature, riche en découvertes. Dans cette optique, l’agence est en contact permanent avec des observatoires volcanologiques de chaque destination et octroie le matériel d’observation nécessaire à chaque voyageur afin de garantir la sécurité de ces explorateurs en herbe. Une planète aux mille visages Les explorateurs en devenir pourront, entre autres, choisir parmi deux types de séjours en terres volcaniques : l’expédition classique ou les « éruptions express ». « L’expédition classique, plus centrée sur la géologie et les volcans, consiste à voyager de site en site en étant accompagné par un volcanologue ou un spécialiste assurant le regard scientifique sur chaque observation », reprend notre interlocuteur. Cette approche basique ne manque toutefois pas de piquant. Pour ceux en quête de volcans en pleine activité, l’agence concocte des expéditions pour saisir les émotions d’une éruption sur l’instant. Ces voyages « éruption express » sont organisés lorsqu’une éruption volcanique est en cours ou imminente et que les conditions d’observation sont dûment remplies. « Un groupe est alors constitué pour partir à l’aventure, observer cette éruption en direct et s’approcher au plus près du volcan sans se mettre en danger », continue-t-il. L’expertise de 80 Jours Voyages, jumelée avec celle de son partenaire de longue date Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue de métier, est le gage de la réussite de chacune de ces expéditions placées sous le signe de l’inédit. Outre les séjours en terres volcaniques, vous pourrez également partir à la découverte des différents phénomènes qui font la richesse de notre planète. Allant de l’admiration des aurores boréales en Islande à l’observation d’éclipses solaires, en passant par une expédition en vue d’assister à la formation de lacs de lave aux confins du Nicaragua, ces programmes sur mesure sont élaborés en vue de satisfaire les attentes des aventuriers de tout âge. Les groupes d’explorateurs étant réduits, par principe, le partage d’expérience et la convivialité seront assurément au rendez-vous lors de ces voyages en terres méconnues. ...
Situé à quelques pas de la rive gauche du Rhône et du quartier de la Guillotière, La Cocagne est un restaurant qui cultive le « bien manger », tout en invitant ses convives à la détente. Ce bel écrin, détenant un « certificat d’excellence TripAdvisor », est le lieu d’une cuisine riche des voyages culinaires entrepris par les deux propriétaires à travers le monde. Une cuisine qui offre un rapport qualité-prix exceptionnel, en plus du service professionnel. Tradition culinaire française à la sauce méditerranéenne et lyonnaise Les délices du restaurant sont tirés des classiques de la cuisine française, ainsi que des inspirations méditerranéenne et lyonnaise. Ici, les produits sont frais, la cuisine faite maison, le terroir de Lyon mis en valeur dans des préparations se rapprochant des saveurs d’ailleurs. Aux fourneaux, les recettes sont fabuleusement élaborées par Sandrine Bernard. Celle-ci a déjà eu à faire ses preuves dans des restaurants tels que la « Meditrina » et « Un Moment à Part », toujours à Lyon. La carte change environ tous les trois mois, mais quelques plats et desserts reviennent de temps en temps. Des desserts du soir, comme le pain perdu au caramel au beurre salé, qui est un peu comme une signature de la maison et très apprécié par la clientèle. En guise de plat, tartare du chef et ses frites maison, assaisonné d’épices chinoises du Sichuan dont a le secret Sandrine. Par ailleurs de nouvelles recettes sont souvent testées pour le plus grand plaisir gustatif des hôtes. C’est le cas du vitello tonnato et ses frites de polenta. Une savoureuse recette italienne de tranches de veau cuites au lait, et nappées d’une sauce au thon et aux anchois. Egalement à la carte, des salades à l’instar du céviche de cabillaud, qui est une recette péruvienne élaborée à partir d’une petite marinade d’oignons assaisonnée avec du piment et du jus de citron. Le mélange va saisir les filets de cabillaud qui vont ensuite être débités, pour intégrer la marinade en accompagnement de coriandre fraîche. La cuisine du restaurant propose un ticket moyen aux alentours de 18 euros. Sylvain Armand de son côté, propose de très belles bouteilles se mariant à la perfection avec la cuisine de Sandrine Bernard. Celles-ci sont servies en verre ou à la bouteille. En accompagnement du vitello tonnato, un Gamay coteaux du Lyonnais vinifié à Taluyer en agriculture cloisonnée. C’est un vin rouge peu gras sur la longueur et conseillé pour ne pas écraser la saveur du vitello tonnato qui est un plat servi frais. Le tartare du chef et ses frites maison étant plus fort, il peut être accompagné avec un AOC Vacqueyras du Domaine Colline St Jean coûtant 29 euros. Celui-ci est suffisamment soutenu pour tenir les épices de la maison. Esprit bistrot et ambiance cosy sans chichi Cadre chaleureux au sein d’une rue paisible avec vue directe sur Fourvière et sur l’Hôtel-Dieu de Lyon, le restaurant La Cocagne accueille dans une ambiance à la bonne franquette. L’établissement affiche un décor boisé au minimalisme épuré très convivial, façon bistrot lofté. En terrasse, bon air et vue imprenable permettent de savourer chaque bouchée. La conception et le dressage des tables sont très particuliers, de même que le traitement acoustique qui fait des vagues sur du panneau de chêne. L’espace quant à lui est aéré et bien éclairé. En soirée, la lumière tamisée offre aux couples un moment privilégié dans le petit étage aménagé à l’intérieur. C’est aussi une adresse privilégiée pour les sorties en famille et entre amis. ...