Lancé en 1996, le restaurant tenu par Benoît Cantalloube se situe face à la basilique de Saint-Sernin, un des plus beaux monuments de Toulouse. Le « 7 » : une métamorphose accomplie Pour apporter un renouveau à l’établissement, Benoît Cantalloube engage Guillaume Momboisse, 26 ans, un ancien apprenti de la maison qui revient après une dizaine d’années. Ce dernier a suivi un riche parcours au restaurant Ô Saveurs, au restaurant Le Chalet de la forêt à Bruxelles mais aussi à Hong Kong au Twenty North. Son défi est de donner un coup de jeune au restaurant. Animé par son enthousiasme et sa créativité, Guillaume Momboisse y propose une cuisine délicate et raffinée. Gastronomie rafraichie et authentique Les plats se concoctent avec des ingrédients frais, achetés quotidiennement sur le carré du Marché de la Gare de Toulouse et vendus par les maraichers de la Haute-Garonne. Ses trouvailles du marché lui permettent de réaliser une cuisine respectueuse du terroir, où les produits méditerranéens forment un heureux mariage. Guillaume Momboisse travaille surtout les viandes de la région comme l’agneau du Quercy, le veau fermier de l’Aveyron ainsi que la sole du bassin d’Arcachon. Inspiré et créatif dans l’élaboration des plats Les convives sont invités à choisir entre trois menus : le Lunch, la Découverte et la Dégustation. À souligner : le menu Lunch, à seulement 24 €, est servi exclusivement le midi, avec une entrée, un plat de poisson ou de viande, et un dessert. Il est renouvelé toutes les semaines. Une carte des vins qui voyage Les vins de Saint-Chinian, de Gaillac, de Fronton et de Madiran sont à l’honneur. « Effectivement, puisque nous sommes installés à Toulouse, nous avons une très jolie carte de vins de région. Néanmoins, par curiosité et par gout, nous nous échappons un petit peu de notre région », indique Benoît Cantalloube. Le plaisir du chef est de faire découvrir de nouveaux horizons. « J’aime bien chiner les vieux vins. Parfois, on tombe sur de véritables petites perles », confie-t-il. Lors des foires et expositions, le chef et son équipe testent quelques vins du monde, notamment des crus de la Nouvelle-Zélande, d’Uruguay et de Chili, qui s’affichent dans une rubrique spéciale de la carte. ...
« Devenir acteur de notre alimentation », c’est en ces mots que Patrick Elziere explique les motivations qui l’ont poussé avec son associé Philippe Boissel à lancer la marque Monsieur Appert. Le concept : proposer des conserves préparées à base de produits du terroir. « Nous avons décidé de remettre au goût du jour les conserves qui n’ont pas toujours eu bonne presse pour en faire de très beaux produits. », fait savoir notre interlocuteur. La spécialité de la maison consiste à proposer surtout des fruits et légumes « pas toujours bien valorisés dans le commerce surtout sur le marché des conserves. » Ces matières premières sont sélectionnées selon la saisonnalité et, comme le bon vin, deviennent des millésimes. Un travail de haut niveau Les produits de la Maison Appert se distinguent pour leur qualité où le terroir est mis en avant à sa juste valeur. Récolté dans les meilleures conditions et de façon naturelle, chaque fruit et légume, issu de l'agriculture biologique et raisonnée, est travaillé artisanalement. « La priorité de la Maison Appert est de préserver au maximum l’écosystème afin de rendre à la nature ce qu’elle a donné », précise Patrick Elziere. L’étape la plus importante, qui est la transformation des aliments, est faite par une équipe de chefs créatifs, avant la mise en bocal. De la fraîcheur gourmande Utilisant des produits nobles et typiques, Monsieur Appert désire avant tout réinventer, et transcender les Légumes et les Fruits se déclinant en plusieurs gammes : tartinades, pickles, chutneys, aides culinaire, fruits au sirop, accompagnement (ratatouille, purée de butternut par exemple). Parmi ses produits phares figure la compotée d’oignons rosée de Roscoff, fait avec 92 % d’oignons de Roscoff (AOP), de l’ail rosé de Bretagne, de la graisse de canard, du sel, du thym, du laurier et de l'arôme naturel de fumée. S’ajoute à cela le citron de Menton confit dans son huile (artisanalement), qui accompagne bien les salades aux fruits de mer ou un bar au four. Un des produits les plus prisés par la clientèle est l’écrasée de pomme de terre, l'andouille de Guémené au beurre, qui rappelle la bonne cuisine bretonne. Pour des moments sympas et intimes, en tartine ou en apéritif toutes les recettes de la gamme Monsieur Appert ont été étudiées afin que chaque produit puisse s’adapter selon les besoins et les envies de chacun. Un concept plutôt classique et accessible à tous qui permet de goûter à la haute gastronomie chez soi avec des produits 100 % sains, nature et délicieux. À rappeler que les produits Appert sont testés avant d’être mis à la vente et que la conservation se fait naturellement sans sans additifs, adjuvants ni colorants. Une charte qualitative précise est respectée, s’appuyant sur un réseau de producteurs locaux issus d'une agriculture de qualité dans un rayon de 250 km autour du lieu de transformation. ...
Si vous passez par le 7e arrondissement de Paris, cette adresse est une halte obligatoire. Avec sa petite terrasse extérieure, le restaurant T’U offre une vue sur le Grand Palais de l’autre côté de la Seine. Idéal pour savourer la salade King Crab, spécialité de la maison, ou siroter tranquillement un royal thaï tea avec des amis. À l’intérieur, on baigne dans un décor luxueux signé Pierre-Yves Rochon. Les lumières tamisées mettent joliment en valeur les matières nobles, conférant au lieu un cachet intimiste et sophistiqué. Des produits de premier choix et du fait-maison Le chef Khoï Vu propose une gastronomie d’inspiration franco-thaïlandaise. Il concocte une cuisine authentique, entièrement faite maison, élaborée avec les produits du marché et qui varie selon les saisons. Ici, le bonheur a un nom : brochettes de poulet sauce satay, tataki de thon « Albacore », tigre qui pleure ou cabillaud au galanga et feuille de lime. Et la carte n’a pas fini de surprendre. L’on cite les incontournables dimsum, raviolis et nems maison. Mais aussi le wok de bœuf au basilic ou encore le poulet fermier au curry vert, bambou et basilic thaï pour une explosion de saveurs en bouche. Sans oublier les douceurs sucrées comme la crème glacée au gingembre confit ou la tarte fine aux figues rôties. La consommation de thé étant un art de vivre en Thailande, le restaurant emmène également à la découverte des thés du pays. Thé bleu turquoise aux arômes floraux de lys et d’orchidée, thé vert de Chine aux fleurs de jasmin ou thé noir Yunnan impérial sont proposés par la maison. Une nouvelle carte À chaque saison, la carte se renouvelle. En guise d’entrée, les clients choisiront entre la soupe de crevettes à la citronnelle, un assortiment de dim sum et de raviolis (6 pièces) et un tartare de saumon aux herbes thaï. Côté plats, le chef invite à déguster les fameux calamars sautés, le Phad Thai Gai et le Black Cod accompagné de sa salade de wakamé. Si le choix est encore difficile, pourquoi ne pas se laisser séduire par une assiette dégustation à 26 € ? Bon à savoir : le chef choisit uniquement des viandes d’origine française ou issue de l’Union européenne, et des poissons sauvages ou labellisés « AB ». Pour finir en apothéose, les mini-nems de choco ou les glaces aux fruits de saison feront leur petit effet chez les gourmets. ...
Bien plus qu’une simple croisière vers une destination exotique et ensoleillée, le Paul Gauguin vous propose de partir, à la découverte d’un des derniers paradis naturels qu’abrite notre planète, à la rencontre d’un peuple chaleureux et authentique qui a su élever l’accueil au rang d’art. Ces îles mythiques du “bout du monde” qui nous font tant rêver, Tahiti, Moorea, Bora Bora ou encore les Marquises en Polynésie, Rarotonga, Aitutaki aux Iles Cook, Suva aux Fidji, Vava’u aux Tonga... vous éblouiront à jamais par leur exceptionnelle diversité et leur irréelle beauté. L’archipel de la Société, le Mythique Il abrite les Îles du Vent comme Tahiti, Moorea et Tetiaroa et les Îles sous le Vent dont Huahine, Raiatea, Taha’a, Maupiti et Bora Bora… Ces îles aux noms évocateurs de découverte paradisiaque ou de bonheur extatique, vous éblouiront par leurs paysages contrastés, entre montagnes luxuriantes et altières et lagons translucides et préservés. L’archipel des Marquises, le Mystérieux Composées de 6 îles principales et de 6 îlots déserts, les îles Marquises attirent et envoûtent par leur authenticité. Nuku Hiva, Hiva Oa… Berceau de la conquête polynésienne, terres sauvages aux aspects tourmentés, vertigineuses falaises aux prises directes avec l’océan, cet univers inattendu et surprenant ne vous laissera pas indifférent… Paul Gauguin et Jacques Brel s’y sont laissés prendre ! L’archipel des Tuamotu, le Paradis de la plongée Vestiges d’anciens volcans engloutis par le lagon, ces atolls sont si nombreux et certains si petits que l’on a longtemps ignoré leur nombre exact. Rangiroa, Tikehau, Fakarava, Ahe… Anneaux coralliens aujourd’hui au nombre de 76, affleurant une eau turquoise, bandes de terre entre océan et lagon, confettis dispersés sur le Pacifique, ces atolls abritent une des plus riches faunes aquatiques au monde. L’archipel des Gambier, le Méconnu Les eaux relativement fraîches de ces îles du bout du monde favorisent la production de perles de qualité, on y dénombre aujourd’hui 129 fermes perlières rien qu’à Mangareva. C’est grâce à cette activité, renforcée par l’exploitation de la nacre, qu’au cours de ces dernières années, l’archipel a vu sa population croître, mais il reste encore aujourd’hui, essentiellement fréquenté par ses habitants. L’archipel des Australes, le Sauvage Grenier de la Polynésie grâce à leurs terres fertiles et à leurs cultures maraichères qui alimentent le marché de Papeete, Tubuai, Rurutu… ont vu leur environnement et traditions préservés dû à leur relatif éloignement. Rendez-vous annuel des baleines qui viennent y mettre bas de juillet à octobre, ces cinq îles où l’art du tressage atteint le summum de la créativité et de l’esthétisme, s’ouvrent timidement au tourisme. Les itinéraires à fleur de lagon Ici, le sable est blanc et même parfois rose, la mer de tous les bleus, les baies des plus majestueuses, les lagons des plus translucides, les poissons les plus insolents de couleurs…Ici, l’heure est à l’unique, aux émotions réinventées, à ce qui fait du voyage une expérience rare, authentique, essentielle...Des destinations de rêve et des itinéraires originaux de 7 à 17 nuits. ...
Maxime Renault, le fondateur, a commencé son activité en 2013 en voulant apporter un coup de pouce aux activités des artisans. Avec ses associés, Hugo et Mario, il a créé une vitrine numérique pour le compte des boulangeries artisanales de France. Étant conscients que les nouvelles technologies pouvaient constituer un véritable levier en termes de communication, ils ont bondi sur l'occasion pour pouvoir préserver ce savoir-faire unique qui a tant fait la renommée du pays. Si, à l’origine, ils voulaient seulement aider les artisans à faire face à la pression de la concurrence industrielle, c’était sans compter sur le destin qui en a voulu autrement… 2015 marque un tournant décisif dans l’histoire des trois associés. Lors d’une invitation à une soirée, un défi de taille s’esquisse pour Maxime Renault et son équipe. « Nous devions présenter notre site dubonpain.fr en organisant un buffet avec un budget relativement faible. Nous avions donc fait avec les moyens du bord en faisant appel à notre réseau d’artisans boulangers comme partenaires », nous confie Maxime. Cet événement marque le début de la mise en place d’un nouveau concept : proposer un service traiteur innovant et accessible où la passion et l'expertise des artisans seront mises en avant. La démarche de l’entreprise Maîtrisant du bout des doigts les rouages du métier, Monbanquet.fr et ses partenaires agissent comme de véritables logisticiens traiteurs. Toute l’expérience client est optimisée pour pouvoir répondre efficacement à chaque type d’exigence. Des partenariats avec des artisans locaux comme des boulangers pâtissiers, des fromagers charcutiers, des épiceries fines et des restaurateurs ont été établis. Ces artisans sont minutieusement sélectionnés pour leur expertise et leur proximité par rapport au client. Une manière de garantir la fraîcheur des produits. « En fonction du lieu de l’événement, du contexte et du budget du client, nous proposons des menus qui correspondent à ses besoins », fait savoir notre interlocuteur. Après avoir été minutieusement préparés par les partenaires artisans, les produits sont livrés clé en main. Au besoin, des maîtres d’hôtel et des équipes de serveurs se déplacent au moment de l’événement pour réaliser le service. Les particularités de Monbanquet.fr La promotion de l'économie de proximité est une valeur à laquelle Monbanquet.fr adhère activement. Ayant à cœur de fournir une prestation de qualité accessible à tous, la maison élabore des formules démarrant à 3 euros par personne. Les produits sont préparés de façon artisanale pour conserver des saveurs authentiques. Ce qui fait la signature de la maison, c’est cette adaptabilité qui lui permet de répondre à toutes les exigences, allant des réceptions intimes de quelques dizaines de personnes, au grand gala prestigieux de trois mille personnes. D’ailleurs, selon le fondateur de Monbanquet.fr « la capacité de la maison à offrir un service à la hauteur des attentes de chaque client dans le respect de ses contraintes budgétaires est une autre de nos particularités ». Cerise sur le gâteau : plus besoin de devis. Le client a la possibilité d'obtenir un menu qui correspond à son événement entièrement en ligne. ...
La souplesse d’une association combinée à l’efficacité professionnelle En intégrant la Junior-Entreprise Dièse à son cursus, l’ENSIIE permet à ses élèves de réaliser missions, études et autres projets mettant en oeuvre les connaissances qu’ils auront acquises au cours de leur scolarité. « Nos clients nous sollicitent le plus souvent pour du développement web, de la création de logiciels, de la production de supports multimédia ainsi que du conseil informatique et digital. Ces derniers temps, la plupart de nos missions consistent à créer des sites web, notamment des boutiques en ligne ou encore des applications web » explique Noah Delophont, membre du pôle communication de la Junior-Entreprise Dièse. « Notre souplesse d’intervention ainsi que le vivier de talents dans lequel nous pouvons puiser constituent indéniablement deux de nos atouts. Et parce que nous nous adaptons rapidement aux besoins de nos clients, nous sommes capables de leur proposer un accompagnement qui soit véritablement ‘sur-mesure’. C’est pourquoi nous intervenons aussi bien auprès de start-ups que de TPE/PME ou encore de grands groupes comme GRDF. Et le fait que notre génération ait grandi dans un univers digital nous permet de proposer à nos clients des solutions innovantes auxquelles ils n’auraient pas forcément songé ». Si l’on devait décrypter l’ADN de la Junior-Entreprise Dièse, nul doute que l’innovation et l’enthousiasme y figureraient en bonnes places. Une réelle plus-value pédagogique Par le biais des missions qu’ils réalisent auprès de leurs clients, les membres de la Junior-Entreprise Dièse ont non seulement l’opportunité de mettre en pratique ce qu’ils ont appris mais aussi d’acquérir et de développer de nouvelles compétences. Autant de critères que ne manqueront pas de valoriser les recruteurs. « Pour certains élèves, ce sera la première fois qu’ils conduiront une véritable mission de A à Z et devront respecter des délais, tenir un budget, surmonter des contraintes techniques, etc. » précise Noah Delophont. « Mais nous ne sommes pas livrés à nous-même pour autant. Des filets de sécurité sont prévus. En cas de problème, nous pouvons demander conseil à nos professeurs, aux élèves-ingénieurs de dernière année ou encore aux anciens élèves. Parce que nous disposons de tout un réseau sur lequel nous appuyer, en cas de besoin, c’est d’une immersion progressive et en douceur dans le monde du travail dont Dièse nous permet de profiter ». En plus de les auditer annuellement afin de s’assurer qu’elles respectent bien la loi et ne mettent pas en danger le mouvement, la Confédération Nationale Junior-Entreprises (CNJE) propose d’ailleurs régulièrement des formations aux Junior-Entreprises. ...
La distillerie a été fondée par Jean-Paul Metté dans les années 60. Autodidacte, il a appris les ficelles du métier au contact de l’un de ses voisins distillateurs. En 1985, il prend sous son aile le jeune Philippe Traber, son filleul, pour le former à son art. En 1997, à la suite d'ennuis de santé, Jean-Paul cède son affaire aux mains désormais expertes de Philippe et de son épouse Nathalie. Actuellement, la relève est assurée par Timothée et Mathieu, respectivement fils et neveu de Philippe. Le choix de la qualité Bien plus qu’une ligne de conduite, la qualité est une devise pour la distillerie Metté. Et c’est pourquoi la maison a toujours voulu préserver sa taille humaine tout en conservant les anciens procédés artisanaux alsaciens. Parmi les 87 types d’eaux-de-vie et 28 sortes de liqueurs fabriquées par la maison, la « Poire Williams » est celle parmi les incontournables. « Dans la bouche, elle est vraiment exceptionnelle. On a l’impression de croquer dans le fruit », s’enflamme Nathalie à son évocation. Toujours à la recherche de nouveaux produits, la distillerie Metté a lancé FASS, une collection de trois eaux-de-vie de caractère, avec des promesses d'expérience en bouche allant de soyeuse à franche. ...
Situé sur la route du barrage de la Verne, à proximité du Golfe de Saint-Tropez, ce domaine réalise d’excellents vins sur 15 hectares de vignes. Les propriétaires ambitionnent d’augmenter leur exploitation à 25 hectares tout en préservant la qualité de leurs produits. Le vignoble Cultivées sur un sol sablo-limoneux sur le terroir de La Mole, les vignes de la Pertuade bénéficient d’un terroir exceptionnel et d’un microclimat idéal. La vallée bénéficie de grandes amplitudes thermiques entre le jour et la nuit, favorables à l’élaboration de grands vins. La famille Dubois Beuque, passionnée à l’image de Candice celle qui dirige aujourd’hui le domaine, a restructuré le vignoble et construit une cave ultra moderne après son acquisition en 2012 ; 40 % des vignes ont été renouvelées et les cépages diversifiés. Le terroir s’exprime désormais à travers le Grenache, le Cinsault, la Syrah, le Mourvèdre, le Tibouren, l’Ugni Blanc et le Rolle. Les propriétaires adoptent depuis le début l’agriculture raisonnée et n’utilisent que les intrants autorisés en agriculture biologique comme le soufre et le cuivre. Comme l’affirme Candice : « un vigneron qui vend son vin fait attention à ce qu’il met dedans et c’est d’abord dans la vigne que se fait le vin. » Soucieuse de préserver ce terroir d’exception, la famille Dubois Beuque envisage même une reconversion vers l’agriculture biologique. Une cave ultra moderne Si le vignoble exprime le travail des vignerons, la cave est plus axée sur les nouvelles technologies. Elle est équipée de cuves thermo-régulées, d’un réseau chaud/froid et d’un réseau d’eau glycolée permettant de faire chuter la température. Une réception de vendange fonctionnelle permet de manipuler au minimum le raisin que ce soit lors de la collecte ou du tri. Aussi, la vendange est faite la nuit pour maîtriser la température de récolte. Le pressurage sous inertage complet est encore précédé d’un refroidissement de cette vendange. Installé au sous-sol, le chai à barriques profite d’une température naturelle adéquate à l’élevage des vins qui reste constante toute l’année. Oenotourisme Art de vivre et quête de sens : telles sont les valeurs qui animent le Domaine de La Pertuade. Pour partager son amour pour les vins, la famille Dubois Beuque aménage les lieux afin qu’ils soient propices à l’oenotourisme. Un caveau de ventes ouvert sur la cave de vinification et le chai invite les visiteurs à la rencontre du vigneron et à la dégustation Une salle de réception intimiste quant à elle peut recevoir des groupes, particuliers et professionnels pour des séminaires ou petits événements. Les cuvées en AOP Côte de Provence et IGP du Var La première cuvée de la Pertuade est baptisée l’Embrun, en hommage au village de la Mole, considéré comme « une commune entre mer et collines ». Elle fait échos au Golfe de Saint Tropez situé à seulement quelques kilomètres et se veut être la signature du terroir. Le rosé 2014 a été décoré d’une médaille d’argent au Concours des Vignerons indépendants 2015 grâce à son caractère aromatique et très équilibré. Ce nectar précieux est constitué d’ugni blanc et de syrah. La deuxième cuvée haut de gamme s’intitule la Cuvée du Domaine de La Pertuade. En rosé, ce vin gastronomique allie finesse et élégance avec une présence en bouche. Il a une structure assez ronde, ample avec une attaque très légère et une jolie complexité des arômes. La Cuvée du Domaine de La Pertuade Rosé 2014 a remporté une médaille de Bronze au Concours des Vignerons Indépendants 2015, ainsi que le Rouge 2015 au Concours des Vignerons Indépendants 2016. Dernier et non des moindres : la Cuvée Arthus culmine au rang des gammes les plus prestigieuses. Exclusivement disponible en rouge, ce vin est élevé pendant douze mois en barrique. Avec la Cuvée du domaine, ils sont destinés aux restaurants étoilés tels que L...
Bonjour Sophie, pourquoi selon vous de plus en plus de personnes font appel à des coachs professionnels ? Après quelques années dans la vie active, souvent lorsque l’on a entre 35 et 45 ans, on ressent le besoin de faire un bilan de sa vie et notamment de sa vie professionnelle. On compare alors ses aspirations avec la réalité et on peut se rendre compte qu’il y a un décalage entre les deux. A cette étape, que Carl Gustav Jung appelait la « mi vie », beaucoup sont prêts à remettre en question ce qui ne fonctionne pas ou plus. Vous parlez de la tranche d’âge 35-45 ans, pourquoi cette étape est-elle charnière ? Cette tranche d’âge est souvent celle des désillusions et des remises en question. On ouvre les yeux sur la réalité, on se rend compte que le temps passe vite et on se dit que c’est le bon moment pour opérer des changements. C’est aussi l’âge où on commence à avoir davantage confiance en soi et où on sait ce qu’on veut et ce qu’on ne veut pas ou plus. Sur un plan professionnel, à cet âge-là, on travaille généralement depuis 10 à 20 ans déjà. On peut avoir des responsabilités professionnelles importantes parfois lourdes à gérer ou bien à l’inverse, se sentir frustré de ne pas avoir les responsabilités professionnelles que l’on souhaiterait avoir. On peut aussi se rendre compte que la voie dans laquelle on évolue ne correspond plus à nos valeurs ou nos aspirations. Sur un plan personnel, ceux qui ont des enfants peuvent avoir du mal à trouver un équilibre entre travail et vie familiale. Et ceux qui n’en ont pas peuvent se mettre la pression pour en avoir ou bien peuvent être confrontés à la question du renoncement à la parentalité. Il n’est pas rare aussi que les 35-45 ans ne puissent plus s’appuyer comme auparavant sur leurs parents et recherchent le soutien de mentors ou de coachs pour les guider et mettre en adéquation leur « vie » avec leurs « envies ». Que permet l’approche globale ? Les personnes qui viennent nous voir ne savent pas toujours clairement pourquoi elles ressentent le besoin d’évoluer ou pourquoi elles ont un sentiment d’insatisfaction. Elles croient que c’est parce qu’elles n’ont pas assez de résultats professionnels. Ou alors elles pensent que c’est parce que leur domaine d’activité ne leur correspond pas. Mais en général leurs envies de changement sont plus profondes et plus subtiles : - Ce chef d’entreprise pense qu’il manque d’autorité alors qu’en réalité, il a une blessure émotionnelle qui lui fait tout interpréter personnellement et contre lui. Le moindre geste de ses salariés est reçu comme une agression, il se ferme, et le malaise qui en découle altère son autorité. Nous transmettons des techniques pratiques qui l’aident à cicatriser sa blessure et à se relier aux autres avec authenticité, ce qui change radicalement son leadership. - Ce manager pense qu’il n’est pas compétent car il n’est pas reconnu dans son travail. En réalité son entreprise rencontre des difficultés d’ordre financier et son chef n’arrive pas à lui transmettre des feed-back positifs dans ce contexte. Nous lui proposons des exercices et des méthodes qui lui permettent de se détacher du regard de l’autre pour qu’il s’auto-évalue de manière juste. Il apprend la communication non violente qui lui permet de dialoguer avec sa direction, en exprimant sereinement ses besoins et ses attentes. - Ce salarié ressent qu’on l’utilise, qu’on le « surcharge », qu’on ne considère pas ses alertes sur le fait qu’il en fait trop. Alors qu’en réalité c’est lui qui culpabilise de ne pas arriver à faire plus, il ne sait pas dire « non » et le surmenage lui fait petit à petit perdre son tonus physique et son enthousiasme. Nous le mettons en situation pour qu’il gagne en assurance et améliore ses capacités de communication. Ce qui lui permet de redevenir maître de son existence et de ne plus avoir le sentiment de subir. - Cette femme veut créer son entreprise mais n’arrive pas à avancer sur son projet. Il s’avère en fait qu’elle souhaite réaliser son projet parce qu’elle est persuadée qu’elle gagnera plus d’argent. Or, ce n’est pas une motivation suffisamment solide pour pouvoir mener à bien un projet de création d’entreprise. Nous l’aidons à se recentrer sur ses aspirations profondes et à imaginer une carrière en adéquation avec ce qu’elle est vraiment. - Cette employée donne tout, elle est au bord du burn-out, son corps somatise, elle pense devoir changer de travail. Nous l’aidons d’abord à équilibrer sa vie tout en lui apprenant à reconnaître ses limites et à les exprimer. Elle retrouve force, courage et confiance en elle pour transformer son poste actuel. Elle apprend à continuer à se développer en toute autonomie et à trouver ses propres ressources pour ne plus revivre ses erreurs passées. Dans l’approche globale, on éclaire les parts invisibles de l’être humain qui sont en jeu dans la problématique amenée. Par une méthode fine d’évaluation des différents domaines de la vie de la personne, on élabore sur-mesure des exerci...
Aujourd'hui en France, la langue anglaise est enseignée dés le Primaire, Collège, Lycée et Université. Pour cause, elle est considérée comme la langue incontournable de la mondialisation et reste la plus utilisée dans les échanges internationaux. Toutefois, pour connaître toutes les subtilités d’une langue étrangère, un enseignement théorique ne suffit pas. En France, l’apprentissage de l’anglais à l’étranger est désormais encouragé par l’Etat pour les élèves de l’enseignement secondaire mais également par les Parents qui prennent conscience des enjeux de la maîtrise de l'anglais pour leurs enfants. Des changements en faveur de l’apprentissage de l’anglais à l’étranger La nécessité de maitriser l’anglais n’est plus à démontrer. Bien qu’étudié pendant de nombreuses années en collège et lycée, on constate en France que le niveau d'anglais des élèves n’est pas satisfaisant. C'est le constat que démontre le test Ev@lang, un outil 100% en ligne créé par France Éducation international, un organisme certificateur au service de l’évaluation des langues étrangères reconnu pour sa conception et sa diffusion des diplômes du ministère de l’éducation nationale. Pour redresser la barre, le ministre de l’Education Nationale a récemment pris diverses mesures dont la multiplication des voyages linguistiques. Il n’y a effectivement pas de meilleure façon d’apprendre une langue étrangère que l’immersion totale dans le pays où elle est la langue nationale. C’est la raison pour laquelle de nombreux parents cherchent à envoyer leurs enfants à l’étranger pour apprendre. Les étudiants ont le choix entre plusieurs institutions dans des pays anglophones comme le Royaume-Uni, les Etats-Unis, l’Australie et le Canada. Il faut néanmoins savoir que pour préparer la candidature d’un élève et pour organiser son séjour à l’étranger, l’accompagnement d’un professionnel s’avère utile. Parmi les organismes spécialisés dans l’apprentissage de l’anglais à l’étranger, Chrismo Consulting travaille entre autres en partenariat avec des écoles canadiennes dont l’International Language Academy of Canada (ILAC), Oxford International Education Group, Bucksmore afin de permettre aux élèves de perfectionner leur anglais. Le Canada : une belle destination pour les collégiens et les lycéens Le Canada est connu comme étant la terre des opportunités. La qualité de vie et son ouverture à tous les citoyens du monde en font une destination idéale aussi bien pour les étudiants que pour les professionnels. Pour ceux qui désirent suivre une formation universitaire au Canada après les études secondaires, un très bon niveau d’anglais est exigé. Aussi, intégrer cet environnement dès leur jeune âge permet aux élèves de s’habituer à cette exigence. Par ailleurs, les écoles et institutions partenaires de Chrismo offrent aux étudiants un environnement propice à l’apprentissage et à la construction de liens sociaux. Avec Chrismo, les jeunes qui intègrent les écoles de langue peuvent séjourner dans une famille d’accueil ou en résidence, ils choisissent leur rythme de travail, leur spécialité et leurs activités. Le Canada est également une destination de premier choix pour les centres de vacances d’été. Ils accueillent des jeunes dès l’âge de 10 ans. Apprendre l’anglais au Canada permet de se familiariser très tôt avec la culture canadienne, découvrir des grands espaces, pratiquer des sports et rencontrer d’autres jeunes de tous horizons. Comment préparer son séjour linguistique à l’étranger ? Afin de faire le meilleur choix et de profiter au maximum de son séjour linguistique, la meilleure chose à faire est d’approcher un organisme spécialisé comme Chrismo. Professionnelle de l’apprentissage de langues à l’étranger, l’équipe de Chrismo a la connaissance et l’expérience nécessaires pour orienter les élèv...
Issu d’une lignée de vignerons, Christian Belmon décide de perpétuer la tradition familiale en créant un domaine d’exception en 1993 : le Domaine Belmont. Afin de proposer des vins d’excellence, cet architecte de formation sait s’entourer des vrais professionnels pour l’aider à faire les bons choix. La quête de l’excellence Ce vignoble en conversion bio de 6 ha est réparti sur deux parcelles de 3 ha chacune. Tandis que le « Dolmen » reçoit un sol argileux, le « Montaigne » repose plutôt sur du calcaire. Grâce à des analyses du sol menées par Claude et Lydia Bourguignon, spécialistes reconnus, chaque cépage (chardonnay, syrah, cabernet franc) est planté exactement à l’endroit le mieux approprié à son épanouissement. Le vignoble est suivi et accompagné par Stéphane Derenoncourt et Simon Blanchard. Des vins de grande qualité Parmi les spécialités de la maison, deux cuvées sortent du lot : la cuvée « Belmont » et la cuvée grande syrah « S ». La première, issue d’un assemblage de cabernet franc et de syrah, dévoile un nez expressif de cassis, de mûres, de violette, avec des notes animales. Il s’agit d’un vin complexe qui se livrera au fil du temps. La deuxième est une cuvée 100 % syrah avec des raisins provenant des meilleures parcelles du domaine. Ce vin se démarque par ses arômes de fruits avec des notes de réglisse et de violette, qui se mêlent harmonieusement à une fraicheur, une finesse et une précision incomparable. ...
Depuis ses débuts dans l’univers du vin, Jean-Luc Thunevin a souhaité briser les codes du milieu. Le vin Bad Boy en est un exemple concret. Bad Boy : un vin pas comme les autres La première chose qui interpelle quand on observe la bouteille, c’est son étiquette. Cette dernière reprend les codes qui ont fait la réputation de Jean-Luc Thunevin. Le mouton noir, tout d’abord. Mais aussi la notion de « vin de garage » et enfin, le nom. Jean-Luc Thunevin est, en effet, surnommé le Bad Boy de Saint-Émilion. Créé à partir d’un cépage 100% Merlot, ce vin est élevé en barrique neuve pendant 14 mois. D’après les commentaires de son créateur, le vin Bad Boy est très facile à boire et peut facilement être vieilli pendant quelques années supplémentaires. À cela, il faut rajouter le fait qu’il soit proposé à un excellent rapport qualité/prix et que les différents millésimes sont particulièrement bien notés (entre 86 et 90/100 en moyenne selon les millésimes). ...
Situé à quelques enjambées de la maison de la Radio, le restaurant Chaumette continue d’honorer l’art culinaire traditionnel français. Une valeur qui a fait de la maison un endroit unique en son genre. Un vestige du siècle dernier Caché derrière une authentique façade en bois se trouve le restaurant Chaumette. À l’intérieur règne une ambiance rétro, bon enfant et chaleureuse. Le décor, propre aux bistrots des années 1930, réveille un sentiment de nostalgie et de bien-être : boiseries, petites tables serrées. Ici sont suspendues des photos anciennes. Et là trônent des cadres dédicacés, où l’on peut lire des lignes élogieuses à faire pâlir d’envie n’importe quel restaurateur. La preuve que Chaumette a été l’endroit coup de cœur de plusieurs personnalités comme Édith Piaf, Arletty, Jacques Brel ou Joséphine Baker. Un haut lieu de la cuisine traditionnelle française Vincent Spirito et son équipe conservent le concept qui a su séduire les convives du restaurant Chaumette durant presque huit décennies : une cuisine traditionnelle française et faite maison, des ingrédients frais et de qualité issus en majeure partie de filières françaises. Savourez en entrée une terrine de foie gras de canard, confiture d'oignons ou du vol-au-vent d'escargots crème de champignons. En plat, passer à côté du pot-au-feu, l’emblème incontournable du restaurant depuis sa création, serait bien dommage. Mais cela n’empêche pas de se laisser éblouir par d’autres spécialités : noix de ris de veau, blanquette de veau, rognon de veau à la moutarde de Meaux, civet de sanglier, pigeon rôti découpé sur toast à la farce d'abats… Et au dessert aussi, quelques classiques sont au rendez-vous : millefeuille à la vanille bourbon, soufflé au chocolat... Côté cave, Chaumette privilégie les vignerons indépendants et ceux qui ont une démarche globale de respect de l’environnement et des méthodes de production. Les vins bio voire nature sont mis à l'honneur sur l'ensemble des vignobles mais particulièrement en Languedoc, Loire, Rhône... ...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
À travers les saveurs de la cuisine traditionnelle bretonne, concoctée à base de produits frais, ce restaurant vous promet d’authentiques recettes toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Une cuisine 100 % bretonne Derrière les fourneaux, Emmanuel LAURAND, source d’inspiration pour toutes les recettes, prend plaisir à sélectionner soigneusement des produits frais venant des petits artisans bretons. Pour préparer les crêpes et autres galettes, cet établissement n’hésite pas à se procurer de la farine bio fabriquée à l’ancienne dans un petit moulin du Morbihan. Résultat, les saveurs et la qualité sont bel et bien présentes dans chaque plat. À midi, le menu Maïwen à 9,90 € fait des ravages et se compose d'une galette avec trois ingrédients au choix et d'une crêpe au dessert. Parmi les spécialités de la maison, laissez-vous tenter par une galette Tréhorenteuc, à base de crottin de chèvre, de miel, de paprika, de salade de mâche et de pignons. Une glace au chèvre préparée par un artisan glacier achève la composition de ce subtil mélange chaud-froid. Les amateurs de cuisine de brasserie avec des plats du terroir essaieront le magret de canard au caramel salé, une formule qui fait mouche. Côté crêpe, ce ne sont pas les parfums qui manquent. Caramel salé nature, caramel de chocolat, caramel de whisky breton, tout est fait pour subjuguer le palais. Les cidres Ambassade de Bretagne Cidre doux, jus de pomme, confiture de lait, ce restaurant propose également la découverte exclusive de gourmandises concoctées par des artisans bretons. Dégustez un large choix de 18 cidres issus des départements bretons pour une escapade authentique en terre bretonne. À l’instar de la cuvée blanche du Manoir de Kinkiz fabriquée à partir d’une pomme spéciale à la fois acidulée et fruitée. Un breuvage au goût très particulier, fort agréable en bouche. ...
Sur la Côte des Bars, Champagne Jacques Chaput bénéficie d’un terroir exceptionnel établi sur un sol composé de marnes calcaires du kimméridgien, sur lesquels les trois cépages champenois se développent dans d’excellentes conditions sur un vignoble de 13,50 hectares. Grâce à une rigoureuse sélection des raisins et des assemblages issus d’un travail précis, la maison parvient à produire une gamme de champagnes exhalant des arômes typiques qui ravissent les palais les plus exigeants. De la vigne aux vins L’élaboration de champagne est un art qui se transmet de génération en génération au sein de la famille Chaput. Dans les veines de ces vignerons passionnés, ce n’est plus du sang qui coule, mais du vin. Au fil des années, la famille a acquis un savoir-faire traditionnel qui lui permet de produire de grandes cuvées. Ces champagnes associant finesse et élégance ont acquis une réputation qui dépasse les frontières de la France. Sur 100 000 cols produits chaque année, une partie de la production est effectivement exportée vers l’international, notamment aux États-Unis, « qui constituent un nouveau marché », raconte Jacky Chaput, l’héritier de ce riche patrimoine. Cette notoriété, la maison l’a acquise grâce à un travail strict qui débute dans les vignes. « Nous pratiquons une viticulture raisonnée avec une approche la plus naturelle possible. Quoiqu’il en soit, tous les vignerons seront d’ici peu amenés à recourir à des pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la biodiversité », tient-il à préciser. L’authenticité d’un terroir La création de ce domaine familial dans les années 50 par le père de Jacky a été un challenge. « Nous sommes sur un terroir qui n’était pas très connu dans les années 60, 70 ou 80. Cette partie de la Champagne a gagné rapidement ses lettres de noblesse, et dorénavant, de nombreux domaines de la Côte des Bars remportent d’innombrables médailles et récompenses et sont mis à l’honneur », se félicite Jacky. Aujourd’hui, le vigneron tient à offrir le meilleur de cette terre qui se reflète dans ses cuvées. Parmi les plus emblématiques de la maison, il cite la cuvée blanc de noirs, composée à 100 % de pinot noir et qui est le vin qui « a remporté le plus de récompenses ». Le vigneron, pour sa part, est plus attaché à sa Cuvée L’Authentic, « qui fait partie de celles que j’ai créées et lancées lorsque je suis revenu sur le domaine familial », indique-t-il. ...
Le spa des jardins de la Medina été aménagé sur l’une des principales terrasses de l’hôtel et domine le grand jardin luxuriant et sa piscine chauffée en hiver. Il permet aux hôtes de l’hôtel de découvrir ou redécouvrir la tradition ancestrale des soins du corps. Le hammam, élément incontournable de l’art de vivre marocain Invitation à la relaxation, le hammam est un excellent moyen de se détendre, de faire le vide et d'oublier ses soucis. On en ressort avec une véritable sensation de bien-être. Il est impensable de séjourner au Maroc sans expérimenter cette pratique incontournable de l’art de vivre marocain. Ce plus ancien rite de beauté relaxe les muscles, libère les toxines et purifie la peau, surtout lorsqu'il est associé à un gommage au savon noir parfumé à l'eucalyptus. L’art du massage Le massage est l’une des plus anciennes formes de thérapie populaire au monde. Il était pratiqué déjà près de 3000 ans avant J-C. Les médecins de l’antiquité grecque et romaine les utilisaient pour soulager et guérir. Et les orientaux, dont les turcs ont prolongé et adapté ces pratiques à leur propre usage. Les soins délivrés aux Jardins de la Médina sont inspirés des rituels orientaux. Ils s’adaptent à vos envies et/ou besoins du moment : Relaxation, décontraction, tonification. La thérapeute spécialement formée est à votre écoute pour faire de ces soins une parenthèse de bien-être personnalisée. Un barbier authentique et chic Le barbier est installé dans un petit salon authentique et chic. Il œuvre tous les jours sur rendez-vous et propose à sa clientèle masculine différents soins raffinés au choix comme le rasage, les soins de la barbe et du visage et, bien entendu la coupe de cheveux. ...
Une histoire, deux familles L’histoire du domaine Grain d’Orient commence dans les années 1980, quand Jean-Marie Alary a l’idée un peu folle de planter les premières parcelles de chardonnay dans un département plutôt habitué à voir grandir des plants de muscat. Une vingtaine d’années plus tard, c’est une réussite et, au milieu des années 2000, il décide de passer les quelque dix hectares du domaine en agriculture biologique. Les premiers flacons arborant fièrement le logo AB sur fond vert sortent de cave en 2012. C’est deux ans plus tard qu’il décide de se séparer de son vignoble et de le transmettre à Aliette et Patrice Bourg, les actuels propriétaires. Atypicité des cépages et particularités du terroir Quand on visite un domaine viticole dans le Roussillon, on s’attend naturellement à voir mûrir les cépages traditionnels des coteaux de cette région. Les pieds de grenache, de carignan ou encore de macabeu, pour ne citer que les plus célèbres, se partagent les nombreux hectares cultivés qui s’offrent à la vue du marcheur qui emprunte les petites routes et chemins de ce joli coin de France. Contrairement à leurs voisins, Aliette et Patrice ont fait le pari de continuer l’histoire du domaine avec son esprit original. Ils entretiennent toujours avec autant de soin les cépages atypiques et le terroir exceptionnel qui leurs ont été légués. « Notre vignoble jouit de conditions vraiment particulières. On n’est pas du tout sur un climat méditerranéen mais d’avantage sous des influences océaniques. Du coup, on a beaucoup plus de pluviométrie qu’ailleurs dans le département et, en plus, on est en altitude. Ces conditions nous offrent une exception systématique dans nos arômes », nous explique Aliette Bourg, qui s’occupe du travail à la cave sur le domaine. Cet ensemble de facteurs fait que les parcelles du domaine Grain d’Orient sont réputées pour être de petites enclaves de fraîcheur. Ce microclimat convient particulièrement à la vivacité des chardonnays, qui ont rapidement fait la renommée du domaine dans la région, et de rouges comme les cabernets sauvignons, merlots ou autres syrahs dont s’occupent les Bourg. Nectars précieux, le domaine ne sort que 25 à 30 000 bouteilles chaque année, dont la moitié en chardonnay. Les vins très droits du domaine offrent une palette courte d’arômes fruitiers en bouche lors du passage à la dégustation. Il faut compter autours d’une dizaine d’euros pour chaque bouteille, avec une entrée de gamme, très abordable pour un vin bio de cette dimension, à moins de neuf euros. On se laissera surprendre par les chardonnays, particulièrement le « Grain de sel » et ses arrière-notes iodées qui sont accompagnées, au nez, de senteurs de pamplemousse et de citron vert. Il affiche une minéralité surprenante lors d’une dégustation de foie gras. Pour une viande braisée, on se penchera plutôt vers un cabernet sauvignon, Cab-Attitude selon l’appellation maison, plus rond et ample en bouche qu’il n’y paraît. Il faut préciser que les ceps sélectionnés pour cette cuvée ont plus de 25 ans. Balades en calèche et visite d’exploitation. La cave du domaine est ouverte tous les après-midi pour les visites et les dégustations. Depuis peu, on se voit aussi proposer des balades en calèche au milieu des parcelles. Les mardi, mercredi et jeudi, sur réservation, on s’embarque alors dans un voyage d’une heure à travers le vignoble où l’experte se mue en conteuse et nous présente la riche histoire viticole du secteur. On découvre le passé coopératif de la région à travers quelques anecdotes bien senties. Bavarde, Aliette nous raconte avec passion l’histoire de la vigne du pied jusqu’au produit final en bouteille. En cave, quelques découvertes surprennent l’amateur : peu de bois pour vinifier, à part une cuvée de blanc élevé à la façon bourguignonne, mais des amphores en terre. « Je préfère explorer ce médium qui, je trouve, respecte beaucoup plus les arômes. Les cépages ont été choisis car ils étaient très bien adaptés au terroi...
Siégeant à Paris 8, rue des Favorites, la Société Française de Sophrologie est actuellement présidée par Claude Chatillon, elle-même sophrologue. Cette association regroupe les praticiens et les établissements dispensant des formations dans la discipline. La transmission d’un savoir de qualité, acquis par un cheminement d’études rigoureux figure ainsi parmi ses chevaux de bataille. La référence en matière de formation Étant le premier organisme constitué sur le sol français pour diffuser la sophrologie, la S.F.S. s’est logiquement investie dans la mission d’harmoniser et de cautionner les offres de formation. Les personnes souhaitant emprunter cette voie de professionnalisation peuvent ainsi trouver un établissement référencé sur le site de la Société française de sophrologie. De nombreuses écoles membres de la S.F.S forment chaque année des sophrologues, aussi bien en Métropole qu’à Nouméa. Assurer la qualité des contenus Telle qu’elle a été introduite par le professeur Alfonso Caycedo, la sophrologie renvoie à un ensemble de techniques, de concepts et de philosophie dont la mise en œuvre requiert un apprentissage rigoureux. La Société française de sophrologie a toujours accordé une priorité à la qualité du cursus mis à la disposition des personnes qui souhaitent en faire leur spécialité. L’organisme est ainsi l'un des acteurs principaux des états généraux de la formation qui ont permis d’en définir les critères de qualité. Le respect de ces derniers fait partie des engagements pris par les écoles qui sont affiliées à la S.F.S. Entre autres, il s’agit de respecter un volume horaire minimum qui est actuellement de 300 heures. Ce qui correspond à une durée de formation de 2 ans répartis entre « temps de formation, temps de maturation et de réflexion, et temps de pratique », pour reprendre les propos de Mme Chatillon. Par la suite, de multiples voies de spécialisation s’offrent aux sophrologues, au titre de formation spécialisée ou par la formation continue, professionnalisant un peu plus leur pratique. Les congrès professionnels, échanges ou supervisions sont autant d’opportunités qu’ils peuvent saisir, à cet effet. ...
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie chronique qui provoque l’inflammation des articulations à l’origine de gonflements articulaires et de douleurs. Elle est dite « auto-immune » car elle résulte d’un dérèglement du système immunitaire qui se retourne contre les articulations provoquant leur destruction sans prise en charge adaptée. Bien qu’elle puisse se manifester dès l’enfance, à l’adolescence ou chez les sujets âgés, la maladie se déclenche davantage autour de 50 ans et concerne plus souvent les femmes. « Jusqu’ici, un flou entoure les origines précises du déclenchement de la PR », nous explique Sonia Tropé, directrice de l’ANDAR. Toutefois, on sait que le tabac reste le facteur environnemental le plus connu. S’il est associé à un terrain génétique favorable, le risque de déclencher une polyarthrite rhumatoïde devient alors plus élevé. Selon notre interlocutrice, « cette maladie est mal connue du grand public ». L’ANDAR est donc née dans une volonté de mieux sensibiliser autour de la PR, mais pas que… Un accompagnement et une information de qualité dans la gestion de la maladie « Un des principaux objectifs de l’ANDAR est de servir de trait d’union entre patients et professionnels de la santé pour améliorer la relation de soins, contribuer à la mise en place de la décision médicale partagée et favoriser l’implication du patient », fait savoir la directrice. L’association régie par la loi 1901 a été créée sous l’impulsion de personnes atteintes de polyarthrite appuyées par un réseau de professionnels de la santé qui jusqu’à aujourd’hui, continuent de collaborer de manière constructive avec elle. En plus de participer au développement de la recherche en accordant une bourse annuelle financée en partie grâce à la course Polyar’trottons®, elle a pour vocation de mettre à disposition des patients, des proches et des soignants une information validée sur la PR. « Nous veillons systématiquement à ce que l’information fournie soit justifiée par des publications ou des avis d’experts », tient à souligner Sonia Tropé. Une association aux nombreuses actions innovantes Proposer les formations gratuites en ligne fait partie des moyens mis en œuvre par l’ANDAR pour diffuser l’information sur la PR. Ce MOOC (Massive Open Online Course) est accessible à tous y compris ceux qui ne sont pas adhérents de l’association. Il en est de même pour les webconférences qui invitent chaque mois un expert à venir développer un sujet en lien avec la maladie. Ces conférences interactives sont disponibles en live ainsi qu’en replay. Dans ce même élan, l’ANDAR a développé une plateforme d’information autour de la problématique du travail et de la maladie chronique qui s’adresse aux personnes œuvrant dans le secteur privé ou public, sorties du monde du travail ou à la recherche d’un emploi. Pour rester informés sur la polyarthrite rhumatoïde et sur l’ANDAR, inscrivez-vous à la newsletter mensuelle ! http://bit.ly/ANDARNL ...
Quand d’autres méthodes font l’apologie de la restriction pour favoriser la perte de poids, Kitchendiet prend le parti de réinvestir le plaisir dans un repas minceur. Élaborés par un chef étoilé à partir de produits frais, ils préservent la saveur et le croquant de ces derniers grâce à une cuisson sous vide à basse température. Des calories réparties de façon rationnelle et le choix entre des recettes variées renforcent la motivation de maintenir le cap sur son objectif poids. Quand faire un régime devient une partie de plaisir « Renouveler l’offre de repas diététiques en proposant des aliments bien construits, bien cuisinés et qui puissent être livrés de manière souple à domicile. » C’est dans un tel esprit que l’enseigne fondée par Vincent Guillet, en 2009, accompagne au quotidien les personnes désireuses de retrouver la ligne. Au cœur de la démarche, le plaisir reprend ses droits à travers une gamme de repas aux apports caloriques contrôlés sans exagération et déclinée en de bonnes recettes concoctées par un deux-étoiles Michelin. Un programme bien structuré, imaginé avec l’éclairage d’une équipe médicale, garantit l’efficacité de la méthode dans la durée. Une gamme de repas minceur pour une vraie prise en charge pondérale Ce qui est bien avec Kitchendiet, c’est que le programme va bien au-delà de la seule problématique de poids. Les recettes et produits proposés prennent en compte des particularités comme les soucis de cholestérol. En quatre, huit ou douze semaines, chacun avance donc, sans prise de tête, vers l’acquisition de nouvelles habitudes alimentaires en accédant à une sélection large de petits déjeuners, plats frais, pains, desserts et collations. Des produits laitiers et une ligne dédiée détox enrichissent l’offre de la maison. En cours de programme, les consultations personnalisées avec une diététicienne permettent l’ancrage du client dans son projet de perte de poids. ...
Le Domaine du Moulin de Lachaud se trouve dans un cadre champêtre à Sainte-Fortunade dans le département de la Corrèze. Bruno et Armelle seront heureux de vous y accueillir en toute saison pour un séjour au calme ou pour déguster une cuisine gastronomique inspirée du terroir. Le domaine est aussi un lieu idéal pour des repas de famille, des anniversaires ou des mariages. L’hébergement : une large palette d’espaces dédiés Au Domaine du Moulin de Lachaud, vous pourrez résider dans l’une des 3 chambres d’hôtes ou dans le studio, tous prévus pour recevoir 2 personnes. Si vous recherchez plus d’originalité, vous pourrez choisir la hutte gauloise pour 4 personnes ou encore l’ancien moulin rénové qui peut accueillir jusqu’à 10 personnes. Si vous préférez le camping, une plateforme surplombant l’étang est réservée aux camping-cars. Eau et électricité sont ainsi à disposition. Le restaurant : une cuisine gastronomique inventive La salle du restaurant vous accueille dans un espace coloré et moderne. L’été, vous pourrez aussi profiter de la terrasse de 100 m² avec une superbe vue sur l’étang. Le chef vous régalera avec sa cuisine gastronomique inventive et raffinée. Tous les plats sont concoctés à partir de produits frais et de saison. En entrée, le magret fourré au foie gras ou le duo de foie gras mi-cuit aux fruits secs et écorces d’orange confites sont des spécialités maison très appréciées. En plat, le grenadin de veau aux girolles fera succomber vos papilles. Mais les pâtisseries sont également à l’honneur avec le pudding à l’ananas, une recette familiale très légère sans lactose ni gluten, ou la tarte Mojito à base de jus de citron jaune et vert, de menthe et de rhum. Ici tout est fait maison, même le pain bio est préparé sur place, comme par exemple celui au petit épeautre. Des concerts et des soirées à thème y sont organisés tout au long de l’été. L’étang : pour tous les amateurs de pêche L’étang situé sur le domaine s’étend sur 2,5 hectares et est alimenté par des sources naturelles. Ce site classé en titre vous dispense de la carte de la Fédération Nationale de la pêche. Vous pourrez y pêcher carpe, truite ou black-bass toute l’année sur réservation auprès du restaurant. Si vous aimez pratiquer la pêche à la mouche, rendez-vous d’octobre à février. ...
Grâce à son expertise, MonsieurGourmand.com est en mesure d’intervenir sur des événements synchrones ou asynchrones (sur des tournées) tout en proposant le même niveau de prestation partout en France. Les débuts de MonsieurGourmand.com Le concept est venu d’un projet de fin d’études en école de commerce réalisé par Nathan Hallouin en 2013. La thématique abordée s’articulait alors autour de la livraison de produits traiteur partout en France. Très vite, Nathan est parvenu à dénicher un partenaire dans la distribution de ces produits. Cette première collaboration lui a permis, au début, de s’adresser à différents types de marchés, comme les particuliers, mais aussi les associations, qui préféraient commander des repas de groupe. 2015 marque un tournant dans la vie de l’entreprise. Nathan reçoit une demande particulière de la part d’un client professionnel qui sollicite une livraison asynchrone dans 55 villes de France. Initialement dédié aux particuliers, MonsieurGourmand.com va se tourner uniquement vers les grands comptes, qui se trouvent confrontés à des problématiques traiteur, celles-ci pouvant être multisites ou itinérantes. Le fonctionnement de l’entreprise Agissant comme un véritable logisticien traiteur, MonsieurGourmand.com sélectionne des fournisseurs auprès desquels il va s’approvisionner en produits prêts à l’emploi. C’est sur la base de ces produits que l’entreprise élabore des offres sur mesure en fonction des commandes et des besoins spécifiques de ses clients. « Si vous êtes une enseigne de cosmétique et que vous faites le lancement d’un nouveau parfum, nous pouvons réaliser une prestation traiteur qui va rappeler ce parfum », nous fait savoir Nathan Hallouin, le fondateur. Côté livraison, MonsieurGourmand.com a recours aux services de Chronopost Food, pour une livraison express partout en France en température contrôlée. Cela vaut tant pour les grandes villes que pour les communes les moins connues. Des prestations et des offres uniques Quel que soit le type d’événement organisé par un client professionnel (vente privée, lancement d’un nouveau produit, soirée VIP…), MonsieurGourmand.com est capable de livrer sur plusieurs sites et en même temps. Concernant les événements asynchrones (tournée ou roadshow dans l’Hexagone), l’entreprise peut accompagner le client en assurant un service traiteur itinérant selon les dates et les arrêts prévus. Sur ce point, Sothys, Kinedo, Cache Cache ou encore Vinci figurent entre autres parmi les clients prestigieux qui ont fait confiance à MonsieurGourmand.com pour leur gestion traiteur. Pour ce qui est du produit, MonsieurGourmand.com s’engage à sélectionner ce qu’il y a de meilleur dans le but de satisfaire les besoins de ses clients. Les offres de l’entreprise comprennent un petit-déjeuner établi autour d’une sélection de mignardises (madeleines, muffins, cakes…), des brochettes de fruits de saison et des laitages gourmands. Pour les cocktails, MonsieurGourmand.com suggère des canapés classiques et originaux. En ce qui concerne le buffet, charcuterie, mini casse-croûte, salades, fromages et desserts constituent la base des plateaux servis. Enfin, côté boisson, les clients auront l’embarras du choix, entre les champagnes, vins et jus de fruits, mais également des breuvages plus spécifiques (jus de légumes, aloé véra, smoothies...). Vous ne trouvez pas votre bonheur dans les prestations proposées ? Le métier de MonsieurGourmand.com consiste à vous dénicher les meilleurs produits selon vos besoins, alors parlez leur de votre projet ! ...
« Que du frais et des produits de qualité ». Le restaurant Seb’on s’appuie sur ce concept pour séduire sa clientèle. Et ça marche ! « Nos clients viennent pour notre travail artisanal identitaire mettant à l’honneur le fait maison avec tendance gastronomique », raconte Sébastien Héloin, maître des lieux. Ainsi, pour préparer une glace au praliné, il préfère concocter sa propre praline lui-même, en caramélisant et en torréfiant les noisettes. Le plaisir de chaque convive étant la priorité de l’établissement, il s’efforce de changer ses menus toutes les semaines, en fonction des saisons et de la disponibilité des produits. « Néanmoins, grâce à un partenariat avec les fournisseurs de Rungis, il arrive que des changements s’opèrent en cours de semaine », annonce le propriétaire. Les spécialités de la maison Malgré la diversité de sa carte, l’établissement propose toujours son plat-signature depuis son ouverture, le 28 juillet 2014, à savoir le foie gras au vin rouge. Préparé avec des épices de vin chaud, de la cannelle ou des clous de girofle, ce mets est à faire précéder d’une entrée à base de poisson ou de viande. Il est très apprécié des « franchouillards », mais aussi des touristes venus visiter Montmartre, qui l’appellent parfois le « foie gras parisien ». Pour découvrir tout le savoir-faire du chef, les noix de Saint-Jacques snackées agrémentées de risotto noir et de jus de homard sont à déguster absolument. « Ce plat est préparé à base de riz noir riche en céréales, qui, autrefois, en Chine, était réservé à l’empereur », explique-t-il. Dans le registre du dessert, Monsieur Héloin fait preuve d’innovation en concoctant son diplomate au litchi, gâteau servi avec un crémeux de clémentine corse, le même que celui utilisé pour agrémenter les tartes au citron. Au coup de cœur… Pour accompagner les plats proposés par le restaurant Seb’On, le chef aime suggérer quelques accords à sa clientèle. Toutefois, toujours fidèle à son concept de diversification, il lui arrive de présenter d’autres vins choisis « au coup de cœur ». Ainsi, les convives pourront savourer des vins issus de la vallée du Rhône, de la Bourgogne ou des Hautes Côtes de Nuits, et notamment de chez Pierre Naigeon, un jeune passionné qu’il admire particulièrement. ...