L’enquête nationale menée par le DREES révèle que le taux de croissance du nombre de passages aux urgences en France connaît une augmentation moyenne de 4 % par an. Il a été prouvé qu’un sur cinq de ces passages aurait pu être résolu à l’échelon local par une simple consultation auprès d’un médecin généraliste. Ce constat a conduit le docteur Cyrille Charbonnier, vers une réflexion autour d’une solution permettant de relier les médecins généralistes indépendants et les patients qui expriment des besoins de consultation non programmée. C’est ainsi que le projet Mediveille est né. Un service ciblé et immédiat Incubée par le Busi Incubateur d’Auvergne et Le village by Crédit Agricole et le Bivouac à Clermont Ferrand, la start-up vise déjà le marché national en mobilisant les quelque 60 000 médecins généralistes libéraux en France à rejoindre la plate-forme. « Notre solution permet de désencombrer les urgences hospitalières en redirigeant un flux de patients vers les plages horaires disponibles des médecins généralistes », explique Stéphane Mosnier, responsable commercial et des opérations de la start-up. Disponible en version application sur Smartphone et en version web, cette plate-forme profite des avantages du responsive design pour offrir une navigation simple, ergonomique et fluide qu’importe le terminal utilisé. Pour les patients, il s'agit de consulter le site médiveille sur son téléphone, sa tablette ou son ordinateur et pour le médecin, de télécharger une application mobile. Du côté des utilisateurs, elle fonctionne avec une technologie de géolocalisation qui permet de visualiser sur une carte la liste des médecins disponibles à proximité de l’endroit où se trouve le patient. Et pas seulement les médecins de bureau ou remplaçants indépendants, mais aussi les maisons de garde, les SOS médecins et les services d’urgence, en fonction des besoins de l’utilisateur. « Contrairement aux autres applications, Mediveille ne sert pas à programmer un rendez-vous avec un médecin mais de le déclencher instantanément, au moment où le patient a besoin de ce service. » Ce moment peut se présenter en soirée, le week-end, en vacances ou en déplacement professionnel. À terme, cette solution va contribuer également à lutter contre la désertification médicale et à rétablir l’équilibre des activités médicales sur certains territoires. Un réseau de partenaires Le soutien du ministère des Solidarités et de la Santé atteste de la valeur réelle du projet aussi bien sur la gestion des coûts affectés aux services d’urgence que sur la favorisation de la continuité des soins sur toute la France. Plusieurs conseils de l’Ordre des Médecins sont également fédérés autour de cette plate-forme. En parallèle, la start-up souhaite s’ouvrir à d’autres professionnels de la santé tout en multipliant les collaborations, notamment avec les services SAMU. ...
Une cité tout entière aux couleurs du dieu de la vigne et du vin ? Cela se passe à Toulon. Et cela fait 24 ans que ça dure ! Si, au début des années 1990, les festivités se déroulaient essentiellement dans le centre-ville et sa place d’Armes, désormais la fête des Vins et de la Gastronomie a pris de l’ampleur : « Nous sommes présents dans de nombreux quartiers de la ville », décrit Laurent Jérôme, président de l’association organisatrice et adjoint au maire de Toulon. « Au pont du Las, sur le cours Lafayette, dans le centre-ville, au Mourillon, à Saint-Jean-du-Var, sur la place d’Armes, etc. » Le principe de ces festivités? Célébrer le vin et la gastronomie. Ce sont 150 exposants qui sont invités le temps de la manifestation. On y trouve des vignerons venus de toute la France, et même de plus loin : cette année, on pourra déguster un vin bulgare. Même éclectisme du côté des gourmandises, avec des spécialités locales, provençales mais aussi du Sud-Ouest, de Bretagne ou même de Grèce. Pour déguster le vin, rien de plus facile : il suffit de se munir du verre millésimé vendu pour l’occasion au prix de 5 €. À vous ensuite d’en profiter… avec modération. Un programme d’animations gourmandes Autour du vin et des dégustations, des animations gourmandes sont une nouvelle fois de la partie. Les visiteurs sont invités à se rendre dans la cinquantaine de restaurants participant à la manifestation avec des menus spécialement conçus pour l’occasion. Ils peuvent également embarquer dans le train gourmand. Celui-ci parcourra les marchés provençaux toulonnais, à la recherche de saveurs locales, accompagnées tantôt de vin blanc, de vin rosé ou de vin rouge. Original ! Une visite de la rade, dégustations à l’appui, est aussi au programme, tout comme des ateliers de cuisine. « L’objectif de cette manifestation, qui est la plus importante du département autour du vin et de la gastronomie, c’est vraiment de faire la fête durant trois jours », ajoute Laurent Jérôme. Le programme est, quant à lui, à consommer sans modération : défilé des confréries, fanfare bigophonique, musique déambulatoire, goguette moderne avec les Barbarians, les Carnoulettes (majorettes masculines), les Pulsabatouk, des musiciens percussionnistes, les lanceurs de drapeaux italiens, il va y en avoir pour tous… à tous les coins de rue ! L’ensemble des participants se retrouvera d’ailleurs lors du grand défilé du samedi après-midi, à partir de 14 h 30. Et n’oublions pas la reconstitution d’un atelier où l’on pourra découvrir les étapes et les secrets de fabrication des tonneaux, des démonstrations autour du liège, ou encore des ateliers d’écriture autour du vin. Bref, encore une fois, les fêtes de Bacchus, qui devraient attirer 50 000 personnes en ce mois de mars 2016, s’affirment comme le rendez-vous incontournable autour des vins et de la gastronomie ! ...
La Rotonde propose à ses invités une cuisine traditionnelle à la fois savoureuse et généreuse où les plats sont faits maison. Un cadre somptueux Sans conteste, La Rotonde conjugue aisément raffinement et air du temps. En été, les convives peuvent bénéficier d’un jardin verdoyant à l’ombre de grands parasols en bois. Ils pourront également profiter de la cascade taillée dans une pierre des ardoisières de Morzine avec une vue magnifique sur les montagnes. Pour les soirées plus fraîches, une magnifique terrasse tout en parquet et entièrement vitrée confère un style moderne et contemporain à l’établissement. A l’intérieur, trois salles permettent d’accueillir des groupes. L’ambiance est différente mais c’est tout aussi agréable. Une cuisine traditionnelle et régionale La Rotonde aspire à répondre aux attentes de chacun que ce soit les enfants, adultes en couple, en famille, amis ou collègues. Dans cette perspective, le Chef propose des plats soignés, qui évoluent au fil des saisons, et des envies. Des suggestions qui changent toutes les semaines permettent d’ailleurs à ce dernier d’exprimer toute sa créativité, et aux convives, de découvrir en permanence de nouveaux plats. Vous y retrouverez les spécialités régionales comme la raclette ou la Potence (morceaux de bœuf flambés au whisky) qui sont à la carte toute l’année. Ces dernières sont servies à volonté pour rassasier même les plus gourmands. Durant les beaux jours, garden party et barbecue sont organisés tous les dimanches dans le jardin. Le restaurant proposant également des plats végétariens et sans gluten (également possible pour les pizzas et les fondues), il va sans dire que même les plus difficiles y trouveront leur bonheur. La carte des vins est mise en place par le directeur de la maison, François, sommelier de formation. Une sélection de vins au verre est également proposée toutes les semaines, permettant à tous les palais de trouver l’accord parfait entre le met et le vin tout en étant plus accessible à tous les budgets. Vous pourrez même avoir le plaisir de découvrir des vins « biologiques ». La Rotonde est un endroit cosy, où on aime prendre le temps de partager un plat de la carte soignée, dans un cadre somptueux avec des personnes que l’on apprécie. Le restaurant est ouvert à l’année, ce qui permet aux morzinois et vacanciers d’un week-end de profiter de l’un des seuls restaurants ouverts en ces périodes plus calmes. N’hésitez pas à vous y arrêter, vous ne serez pas déçus. Le restaurant est le fief des morzinois à l’entre-saison et devient alors le cœur du village. ...
Le Château Corbin Michotte et la famille Boidron La famille Boidron vit le vin comme une évidence de génération en génération à partir de 1760. Jean-Noël Boidron (Membre de l’Académie Internationale du Vin et de l’Académie des Vins de France) est un viticulteur chevronné et un œnologue, dégustateur reconnu et propriétaire de plusieurs crus en Libournais. Il élabore ses vins avec rigueur et passion. Il est également un homme très attaché à la terre. Il a acquis le Château Corbin Michotte en 1959. Le château était à l’origine une des parties d’un grand domaine féodal propriété du Prince Noir, Edouard de Woodstock, sous l’occupation anglaise. Remis en état par Jean-Noël Boidron, le domaine est devenu familial où il se fait assister par ses enfants Hubert Boidron (production), Emmanuel Boidron (commerce) et Isabelle Boidron (administratif). Dans les crus produits de la famille Boidron, il y a une philosophie qui exprime, comme dans les arts, un choix esthétique défini par cette devise : « Excellence, Harmonie, Humilité ». Le Château Corbin Michotte Saint-Émilion Grand Cru Classé En 1980, les chais ont été reconstruits pour respecter la qualité des raisins. Les vignes sont plantées sur les sols sablo-limoneux brun-gris reposant sur un sous-sol sablo argileux très ferrugineux avec des graves en surface. Ce sol est l’un des plus riches en oligo-éléments d’où la typicité de ce vin. Prônant un retour aux sources pour un vin de qualité, le vignoble n’a jamais été traité avec de l’herbicide. Toujours dans l’esprit de démarche qualité, le processus est manuel de la vendange à la mise en cuve. La vinification se fait naturellement. La macération est longue, et elle est suivie d’une dégustation quotidienne. L’élevage se fait en fûts neufs et dure de18 à 24 mois. La répartition des cépages se décide chaque année selon la dégustation par les trois œnologues la famille. Conservés en cave, on y assemble que les lots de parfaites qualités atteignant la haute expression recherchée. Au service, le vin fait ressortir une grande profondeur dans sa couleur avec des reflets bleu-violet. Légèrement boisée avec des tannins bien présents, mais d’une grande finesse, en bouche ce n’est que du plaisir. Ce vin est l’illustration même des plus grands crus qui ont fait la renommée de l’appellation Saint-Émilion Grand Cru. ...
Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive. Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution. Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises. Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable. Un partenariat gagnant-gagnant Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire. Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy. La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com ...
Depuis une dizaine d'années, nous voyons arriver une nouvelle forme de tourisme pour les personnes souhaitant vivre des expériences authentiques et responsables. C'est ce que proposent les agences Grandir Aventure et Grandes Latitudes : un tourisme alternatif basé sur l'échange, la réciprocité et le respect. Car voyager intelligemment et de façon consciencieuse, c'est possible ! Grandir Aventure : des voyages pour adolescents et jeunes adultes Savez-vous ce qu’est le tourisme solidaire ? Cette nouvelle façon de voyager est de plus en plus plébiscitée des personnes en quête de sens qui ne se reconnaissent pas ou plus dans le tourisme de masse. Ainsi, plutôt que de partir dans des hôtels de luxe, tous frais payés, ces explorateurs préfèrent rester au plus près de la population locale afin de favoriser la rencontre, l’échange et le partage des cultures. Grandir Aventure fait partie de ces agences qui voient le voyage autrement. Se caractérisant comme solidaire et responsable (et labellisée par l’ATES), elle permet à de jeunes adultes et adolescents de vivre une véritable aventure humaine pendant plusieurs jours. En effet, cette colonie de vacances d’un genre nouveau participe à un projet humanitaire sur place (la construction d’une école à Madagascar, par exemple). L’objectif : s’enrichir personnellement et permettre à cette jeune population de s’ouvrir à la solidarité et la citoyenneté afin de faire naitre des vocations associatives, une fois de retour chez elle. Depuis 2017, cette agence propose aussi un séjour insolite baptisé Aventure en Terre Inconnue. Le principe est simple : un groupe de jeunes aventuriers part vers une destination mystère pendant plusieurs jours avec toujours le même objectif. Celui de participer à un séjour ayant une véritable dimension sociale. Grandes Latitudes : le séjour solidaire à portée de tous Grandir Aventure a également son agence pour voyageurs adultes, Grandes Latitudes, qui propose aussi des circuits thématiques ou des séjours sur-mesure pour les personnes seules, les familles ou les groupes d’amis. Spécialiste de Madagascar (même si de nouvelles destinations ouvriront bientôt), elle vous permet de vivre une expérience humaine incroyable, basée sur la rencontre avec la population locale, l’échange et le partage, tout en respectant l’environnement et la culture du pays. À savoir : au même titre que les séjours pour jeunes Grandir Aventure, 8% du prix du voyage Grandes Latitudes est reversé directement à des ONG ou associations locales (telle que leur association partenaire Grandir Ailleurs) pour aider à mettre en place des projets sociaux et environnementaux. Vous êtes amateur de tourisme solidaire ou vous souhaitez vivre des aventures uniques : demandez un devis dès maintenant. ...
Située sur la commune de Cabrerets dans le Lot, la grotte du Pech Merle a été découverte par trois enfants en 1922. L’abbé Amédée Lemozi, curé préhistorien du village, s’attelle rapidement à l’étude des peintures et gravures. Dès 1926, elle est ouverte au public. En 1952, elle est classée monument historique. La grotte du Pech Merle La grotte du Pech Merle recèle de remarquables œuvres préhistoriques, extrêmement bien conservées, dans un site naturel de toute beauté. Lors de la visite de cette grotte, vous parcourrez à partir d’une entrée artificielle une grande partie de la galerie inférieure. Vous serez alors plongés dans la même atmosphère et la même acoustique que nos ancêtres il y a 30.000 ans, à une température quasi constante de 12°C. Vous serez éblouis par les « Chevaux ponctués », cette magnifique représentation de deux silhouettes de chevaux, peinte il y a 29.000 ans. Mais aussi par la « Frise noire » et les nombreux dessins de bisons et de mammouths. Vous pourrez également observer des mains au pochoir, des empreintes de pas ou encore découvrir des ossements d’ours des cavernes et de hyènes. Au niveau géologique, vous pourrez admirer de belles et grandes salles dans un décor naturel de stalagmites et stalactites ainsi que des disques de calcite ou une toupie, des formations assez rares. Pour la préservation des peintures, le nombre de visiteurs est limité. Il est donc important de réserver ses places avant de se déplacer. Le musée de Préhistoire Le musée Amédée Lemozi est installé sur le site depuis 1981. Ici, vous aurez accès à deux salles d’exposition permanente : une consacrée à l’art pariétal du Quercy, l’autre à la préhistoire dans la région. Vous pourrez également visionner dans la salle de cinéma un film documentaire sur les peintures de la grotte, salle accessible aux personnes à mobilité réduite. ...
Géré par Daniel Bouillard, 4e génération de « bouilleurs de cru », le Domaine du Puits Faucon perpétue un savoir-faire séculaire transmis de père en fils. De la vigne aux vins Vigneron indépendant, Daniel s’attache à mener son vignoble de 37 ha en lutte raisonnée. Enherbement, utilisation limitée de produits de synthèse, couverts végétaux pour limiter l’érosion et capter l’azote… Tout est fait pour assurer une production de qualité. Des produits primés Parmi les spécialités de la maison, le cognac X.O (20 ans d’âge), le vieux pineau (15 ans) et le pineau blanc (6 ans), tous vieillis en fût, sont les plus représentatifs. Gage de leur qualité, ces produits ont décroché respectivement une médaille d’or au Concours général de Paris (2014) et deux médailles de bronze au Concours des saveurs régionales (2015 et 2018). ...
La formation par l'apprentissage constitue une voie d'accès à la qualification encore peu répandue dans le secteur sanitaire. Elle répond pourtant à un problème de précarité grandissante des stagiaires et étudiants, tout en contribuant à la fidélisation du personnel dans les établissements de santé. C'est une voie d'excellence ouverte à toutes et à tous jusqu'à l'âge de 29 ans révolus, sans limite d'âge pour les personnes reconnues travailleurs handicapés. Aide-soignante : rôles et missions L'aide-soignant(e) intervient en milieu hospitalier ou extra-hospitalier, le plus souvent dans une équipe pluri-professionnelle, sous la responsabilité de l'infirmier(ère), en réalisant des soins préventifs, curatifs ou palliatifs. Son rôle s'inscrit dans une approche globale de la personne soignée et prend en compte la dimension relationnelle des soins, qui ont pour objet de promouvoir, protéger, maintenir et restaurer la santé des personnes, dans le respect de leurs droits et de leur dignité. Devenir Aide-soignant(e) par l'apprentissage Pour suivre les études conduisant au diplôme d'État d'aide-soignant (DEAS, niveau V), les candidats doivent être âgés au moins de 17 ans au moment de leur entrée en formation, et réussir des épreuves d'admission écrites (avec possibilité de dispense) et orales. La signature d'un contrat d'apprentissage nécessite d'être recruté par un établissement du secteur sanitaire, au sein duquel s'effectuera la formation pratique. Le CFA SMS accompagne les candidat(e)s à réfléchir sur leur projet professionnel, à prospecter pour trouver un employeur et finaliser un contrat d'apprentissage. La durée de la formation est de 16 mois, partagée entre 595 heures à l'UFA et 1 645 heures sur le lieu d'emploi. ...
Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la preservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est le principal centre d’activité de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour son centre de soin thermal. Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la decoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte , de jasmin , de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies. French touch et classe italienne au menu Attention les papilles ! Le restaurant de l’Hôtel, si romantique par son cadre, donne rendez-vous à un instant culinaire prêt à être gravé dans les mémoires. De mains de maître, le chef réussit merveilleusement le pari d’ une cuisine où la rigueur et la technicité des savoir-faire français s’associent à la nature d’une gastronomie italienne, plus simpliste dans son exécution, mais mettant davantage en avant la pureté du produit. La carte est variée et adaptée à garantir le respect et la fraicheur dus à la qualité des matières premières utilisées. Ici, le garde manger est bien évidemment frais et de saison, poissons et crustacés issus de la pêche locale ; les fournisseurs du continent (agriculteurs, éleveurs, fromagers, vignerons…) ont été sélectionnés parce qu’ils sont les dignes représentant de leur metier et qu’ils proposent l’excellence dans leur domaine. Les plats et les mets s’enchainent avec légèreté. Un dressage minutieux permet d’associer plaisirs olfactifs et visuels. En entrée, on retrouve crèmes, tartes et feuilletages élaborés, des tartares et poélées de poissons et de crustacés. Les Pasta sont exécutés dans le respect total de la gastronomie italienne, toujours inventive, harmonie subtile de formes et de sauces. L’assaisonnement et la cuisson des viandes et poissons sont parfaitement maîtrisés et souvent associés à des parfums de truffe ou d’épices du maquis. Les desserts ne dénotent en rien avec le reste et achève le repas par un florilège de douceurs sucrées. À 15 minutes seulement en bateau du port de Piantarella, situé sur la commune de Bonifacio, voici un adresse incontournable pour le fin gourmet… ...
Linguizzetta a fait son nid en plein cœur de la plaine orientale de Corse. Exposant de charmantes façades de pierre, cet ancien site de la piève de Verde semble être figé dans le temps. Mais sa partie littorale, dotée de magnifiques plages et d’aménagements touristiques, nous ramène prestement dans l’ère contemporaine. Quoi qu’il en soit, le village de Linguizzetta représente tout ce qu’il y a de plus authentique à travers son paysage mêlant harmonieusement Nature et architecture. Des activités riches en découvertes Le site propose tout un éventail d’activités allant du tourisme culturel aux loisirs en plein air. Rendez-vous sur les flancs du mont Sant’Appianu pour commencer l’aventure. Rien de mieux qu’une randonnée Nature pour découvrir les multiples facettes du village. En sillonnant la forêt de chênes ou les pierriers, les aventuriers aboutiront sur un panorama exposant gracieusement la plaine orientale ainsi que différents villages composant la partie sud, à l’instar de Tox, de Tallone ou encore de Zalana. Les vallées de la Bravone et de la Chiosura dissimulent, quant à elles, de précieux patrimoines architecturaux, dont les vestiges des églises antiques de Santa Maria de Bravone. Linguizzetta est également réputé pour ses 12 kilomètres de plage. Les sables fins de Bagheera, de Chiosura, de Tropica ou encore de Riva-Bella font du territoire une station balnéaire par excellence, accessible à tous. À noter : le naturisme est extrêmement en vogue dans la région. Vers un urbanisme écologique Aujourd’hui, la commune de Linguizzetta tend à rendre ses contrées plus attractives que jamais. Le maire de la ville, Séverin Medori, souhaite avant tout promouvoir un développement social et environnemental. Le plan local d’urbanisme (PLU) met en avant des stratégies permettant de concrétiser ce qu’on appelle l’« urbanisme écologique ». Les travaux seront initiés par l’aménagement d’un Pôle Nature, soit un espace vert où jardins et arbustes mellifères en seront les pièces maitresses. Par ailleurs, la commune compte mettre en place un hameau résidentiel de maisons pour les primo-accédants. Cet espace est censé, selon les termes du maire, « relier les hommes », soit promouvoir les rencontres et l’interaction sociale. À travers toutes ces activités, Linguizzetta compte décrocher le label « Habitat et qualité de vie », un certificat qui ferait amplement honneur à la Corse. ...
La richesse de la gastronomie italienne ne se résume pas qu’aux pizzas et aux spaghettis. Prenez une grande inspiration : le restaurant Conti vous propose une totale immersion dans la cuisine italienne et vous la dévoile dans toute son authenticité. Ensoleillée, généreuse, conviviale, elle a tout pour vous séduire. Halte gourmande dans une ambiance de charme Prônant un décor cosy et chaleureux, le restaurant Conti vous invite à évoluer dans un espace raffiné. Banquettes de velours, grand miroir sculpté, murs tapissés de rouge, détails dorés : le cadre s’inspire des codes du théâtre vénitien. Au milieu de la salle trône des lustres en verre Murano, un pur chef d’œuvre issu de la tradition vénitienne. Avec son cadre spacieux et son climat feutré, le restaurant Conti se veut être un vrai lieu de détente aux salles intimistes. « On peut se parler sans gêner les autres » nous souffle-t-on. La meilleure de la cuisine italienne Afin de garder toute l’authenticité de ses plats, ce restaurant s’approvisionne à la source. Les produits à l’instar des fromages par exemple arrivent directement d’Italie. Les autres matières premières quant à elles sont issues des producteurs locaux. Comme les professionnels de la gastronomie aiment à défendre que « c’est le produit qui fait le plat », le restaurant Conti ne déroge pas à cette règle d’or. Un souci et une recherche permanente de la qualité qui se ressentent naturellement dans les assiettes. Une simple bouchée des Langoustines Huile de truffe noire, du Carpaccio de coquilles Saint-Jacques ou du Risotto aux truffes suffit pour vous en rendre compte ! Au Conti, les pâtes sont également à l’honneur ! La maison vous propose des pâtes fraîches, là aussi entièrement faites maison. Pour achever ce périple culinaire, rien de mieux qu’un délicieux Tiramisu fait maison. La carte des vins quant à elle rend un bel hommage à La Botte. Pour accompagner vos plats, quelques perles issues des plus grandes régions viticoles du pays vous attendent. Les vins de la Toscane et de la Sicile sont particulièrement appréciés bien que d’autres références méritent également toutes les attentions. ...
Jean-François Réaud se lance dans l’aventure de la vitiviniculture en 1985. Passionné et déterminé, il agrandit progressivement l’exploitation familiale qui était à la base un vignoble de 7 ha, hérité de son arrière-arrière-grand-père Gabriel Bruneteau. À la fin des années 1990, Jean-François Réaud développe un partenariat avec des domaines voisins, afin de faciliter la commercialisation et la valorisation des vins de la Rive droite. Cette « entraide viticole » se structure et devient Vignobles Gabriel & Co, un collectif qui compte désormais 34 vignerons. Cet effectif représente plus de 1 000 ha de vignes situées majoritairement sur l’appellation Côtes de Bordeaux. Une activité fondée sur trois modèles spécifiques Dans un premier temps, il s’agit de regrouper vignerons récoltants, vignerons indépendants, producteurs et commerçants afin de faciliter la commercialisation des vins. Ce mode de coopération crée également des avantages collectifs fondés sur des échanges de services ou l’acquisition de biens en commun. Le deuxième modèle ayant inspiré Vignobles Gabriel & Co est celui du système des coopératives. Il sert notamment à « défendre les valeurs des vignerons et promouvoir la qualité de leur travail », selon les termes de Jean-François Réaud. Quant au dernier modèle, il s’approprie les principes du négoce. « Vignobles Gabriel & Co a une position de négociant dans la mesure où le collectif achète des vins pour les revendre. C’est une façon de préserver un juste rapport qualité-prix, sachant que, jusqu’alors, à Bordeaux, le prix, qui doit être relié à la qualité du produit, dépendait plutôt du marché, de la spéculation ainsi que de l’offre et de la demande », souligne fermement notre interlocuteur. Une quête d’excellence Le vigneron défend ardemment les principes d’une démarche respectueuse de l’environnement. « J’essaie de convaincre les partenaires d’aller dans ce modèle qui fera la viticulture et les vins de demain. D’ici à quelques années, je souhaite que notre collectif soit à 50 % bio ou HVE, c’est-à-dire produisant et commercialisant des vins qui respectent à la fois l’environnement et la santé du consommateur. » Par ailleurs, le collectif Vignobles Gabriel & Co tient à encourager particulièrement les vignerons ayant tout le potentiel nécessaire à la production de cuvées premium. Cette stratégie a été pensée pour promouvoir l’identité de la structure et donner ainsi aux vins des appellations de la Rive droite le pouvoir de concurrencer équitablement sur le marché. Enfin, le groupement compte faire adhérer tous ses membres à la Charte des vignerons indépendants, de manière à ce que sa notoriété s’étende à plus grande échelle. ...
Des rues pittoresques, des bâtiments médiévaux, mais aussi une salle de théâtre, autant d’atours qui symbolisent aujourd’hui Pézenas. Cette salle de théâtre a été créée au XIXème siècle et a rouvert ses portes en 2012 après plusieurs rénovations. C’est dans cette salle de théâtre que l’académicien Marcel Pagnol avait alors déclaré « Si Jean-Baptiste Poquelin est né à Paris, Molière est né à Pézenas ! ». Aux origines de Molière, le plus grand dramaturge français Grand représentant de la culture française, Molière est connu pour son aisance dans la critique de la société. Né en 1622 à Paris, Jean-Baptiste Poquelin ou Molière est un comédien et un auteur de pièces de théâtre prolifique aussi emblématiques que L’Avare, le Bourgeois Gentilhomme ou encore Les Fourberies de Scapin. N’ayant pas voulu suivre les traces de son père qui était un fortuné tapissier, il a souhaité faire carrière dans le monde du théâtre. Il monte alors sa propre troupe nommée l’Illustre Théâtre. Avec une grande détermination, il fait le tour de la France pendant douze ans avec sa troupe et revient à Paris avec une pièce de théâtre qui a su charmer le roi Louis XIV. A sa mort, le roi lui dédie d’ailleurs la création de la Comédie française qui regroupe les troupes de théâtre de l’époque dont l’Illustre Théâtre. En 1653, Molière fait l’une des plus grandes rencontres de sa vie à Pézenas. C’est en effet dans cette ville qu’il rencontre le Prince de Conti à l’occasion des Etats Généraux du Languedoc. Il y retournera souvent avec sa troupe et ce sera dans cette ville que naîtront ses personnages les plus emblématiques. Molière s’illustrera également par ses diatribes humoristiques sur les conflits de pouvoir. On retiendra ainsi Tartuffe, une pièce révoltante qui révèle les mensonges de certains religieux. Ou encore Le Misanthrope, où Molière se moque des personnes fortunées et de leurs manières. Molière meurt quelques jours après s’être produit sur scène à 51 ans, en interprétant la pièce Le Malade Imaginaire. Pézenas, une ville authentique à découvrir Situé dans le département de l’Hérault, en région Occitanie, Pézénas est une ville dont les origines remontent au VIIè siècle avant notre ère. Située à 20 kilomètres de la mer Méditerranée, elle regorge d’incroyables trésors architecturaux avec plus d’une trentaine d’immeubles inscrits ou classés aux Monuments Historiques. On y retrouve notamment la Chapelle des Pénitents noirs, bâtie à la fin du XVIème siècle. Chapelle qui fut rénovée et transformée en salle de théâtre au XIXème siècle. Ou encore la chapelle du couvent des Ursulines qui contient des mobiliers éminents, ainsi que la collégiale Saint-Jean. Dans cette collégiale, on retrouve ainsi des orgues datant du XVIIème siècle mais aussi de nombreux objets sacrés. Le musée de Vulliod Saint-Germain renferme des souvenirs précieux, dont le fauteuil de Molière. C’est dans ce fauteuil, qui appartenait à son ami le barbier Gély, qu’il cherchait l’inspiration pour les caractères des personnages dans ses comédies. Le musée possède aussi un médaillon décrivant Molière en Saint Jean-Baptiste avec un exemplaire du « Don Juan » à la main. Hormis cela, on y trouve de merveilleuses tapisseries, des œuvres d’art et une collection de faïences. Les différents événements à ne pas rater Aujourd’hui, Molière vit toujours dans le cœur des Piscénois et différents évènements sont créés au nom de cet auteur. La ville de Pézenas organise chaque année en juin un festival nommé Molière, le théâtre dans tous ses éclats. Pour rendre hommage à L’Illustre Théâtre qui s’est produit deva...
Discrètement lovée sur les hauteurs de Biarritz, la demeure blanche aux volets rouge vif donne du pétillant et de la dynamique à ce quartier calme. C’est bel et bien à cet endroit que le couple Rosier exerce sa passion depuis 2008. Elle, meilleure ouvrière de France ; lui, grand chef passionné. Ensemble, ils relèvent avec brio le pari de proposer une cuisine gastronomique qui plaît pour sa constance et sa simplicité. Une cuisine à quatre mains, harmonieuse, où chacun des chefs met en valeur les produits qui lui tiennent à cœur, en veillant à leur laisser leur plus belle expression. Bienvenue au restaurant Les Rosiers. Meilleure ouvrière de France Le choix de ces volets rouges n’est pas le fruit du hasard. Car, après un détour vers la maison familiale de la chef, on sait d’où vient l’idée. En réalité, tout cet amour qu’elle voue pour la cuisine, Andrée Rosier la doit à ses parents, notamment à sa mère qui se plait à travailler les produits du terroir pour concocter des plats typiques du Pays basque. Après avoir effectué une formation hôtelière à Biarritz, en 1994, elle fait ses débuts dans le milieu professionnel à titre de commis au sein de la Villa Eugénie de l’Hôtel du palais de Biarritz. Le destin a voulu qu’elle y rencontre l’homme qui deviendra son époux : Stéphane Rosier. Grâce à son talent, ce grand gaillard à lunettes séduit les plus grandes maisons, dont l’Hôtel du palais où il exerce en tant que 1er sous-chef de cuisine durant 4 ans. Il a également exercé dans le célèbre restaurant 2 étoiles La Chèvre d’or, à Eze. En 2007, c’est la consécration pour Andrée Rosier certes, mais aussi pour son époux qui n’a cessé de l’épauler. Elle est la première femme à obtenir le titre de meilleure ouvrière de France. Ce défi relevé, elle s’en fixe un nouveau : ouvrir son propre établissement. De là est né Les Rosiers. Quand la simplicité s’allie à la perfection Le couple Rosier concocte une cuisine gastronomique concrétisée dans le respect des traditions culinaires régionales et qui fait totalement honneur à sa distinction. Car n’oublions pas que, en 2009, l’établissement a reçu la prestigieuse étoile au Guide Michelin. Chaque matin, Andrée et Stéphane se rendent ensemble au marché pour trouver les produits qu’ils sublimeront le midi. Parmi les plats à ne manquer sous aucun prétexte : ce succulent crabe en fine gelée de crustacées, caramel de fenouil et pomme verte, que l’on sert en entrée. En plat principal : une belle assiette de filets de rougets cuits à l’unilatéral, daube de cochon et châtaigne en crépinette, frites de polenta, sauce vin rouge. En bouquet final : un moelleux au chocolat, glace crémeuse au gingembre, écume de lait à l’huile de cacahuète. Vos palais n’en reviendront pas. Le duo Rosier possède une technique et une maitrise imparables, qui lui permettent de mettre en valeur le produit brut, sans jamais le dénaturer. Toutes ces belles propositions culinaires sont rehaussées par une carte des vins éclectique, suggérée par le maitre d’hôtel, Pierre Ransinangue. ...
Des certifications qui donnent confiance Pierre&Terre est triplement certifiée : NF Habitat, NF Habitat HQE et Pro Permea (pour la perméabilité et l’étanchéité des maisons). « Avec ces triples normes, on se doit de mener des chantiers parfaits », explique Sébastien Dourthe, PDG. « Mes chantiers sont vérifiés et contrôlés aléatoirement. Et, bien sûr, je ne choisis pas où l’organisme passe… » L’un de ces organismes de certification est la CEQUAMI. Pour vérifier le label NF-HQE, il évalue la qualité environnementale de la maison selon trois thématiques : l’économie (limitation des consommation d’électricité et d’eau), la santé (air ambiant, protection contre les champs électromagnétiques, etc.) et le confort (espaces dédiés au tri sélectif, lumière naturelle). Sur les 1 500 constructeurs de maisons individuelles en France, une centaine d'entre eux sont certifiés NF, 70 sont labellisés NF Habitat et seulement une quinzaine cumule les trois certifications. Du sur-mesure pour tous Avec Pierre&Terre, vous avez le choix de ne pas faire comme tout le monde. « Nous nous efforçons de réaliser un projet sur mesure. » Le « constructeur de vos projets » propose cinq familles de modèles (Starter, Caractère, Patrimoine, Autonomie, Expression), qui englobent un grand nombre de possibilités : du plain-pied idéal pour les personnes âgées au premier achat, en passant par la maison à l’architecture cubique ou l’achat patrimoine pour le locatif, tout le monde peut y trouver son compte. Financièrement, toutes les gammes de tarifs sont représentées : « Notre prix moyen est de 150 000 € », constate Sébastien Dourthe, « mais nous avons des maisons qui vont de 100 000 € jusqu’à 300 000 ou 400 000 €, voire plus, selon les clients. » Pierre&Terre se distingue par un esprit de cocréation. La maison est réalisée en lien étroit avec ses futurs habitants. « Nous sommes finalement dans le service, en aidant à trouver le terrain, en suivant la qualité des travaux, etc. » Autre avantage non négligeable : avec Pierre&Terre, vous signez un contrat de construction qui vous protège des variations de prix et des délais non respectés. « Il ne peut pas y avoir de mauvaises surprises. » Une maison connectée d’office Chez Pierre&Terre, votre maison est smart connect ! C’est-à-dire qu’elle est connectée. Exemple : vous êtes au travail, votre livreur vous appelle, vous ouvrez le portail à distance, vous pouvez même contrôler l’angle d’ouverture. Autre cas pratique : votre enfant rentre seul, vous ne voulez pas lui confier les clés, vous pouvez lui ouvrir à distance la porte du garage, qui lui permettra de rentrer dans la maison, rien qu’avec votre smartphone. Avec Pierre&Terre, cette maison connectée l’est d’office, car l’offre de base propose les volets roulants et le garage motorisé. « L’avantage de cette solution est qu’elle est entièrement évolutive. On peut rajouter une machine à laver connectée, un sèche-linge, le portail : tout est prévu pour se simplifier la vie sans devoir tout changer », indique Sébastien Dourthe. ...
Que ce soit en salle avec vue sur la cuisine, en terrasse ouverte, ou juste en terrasse couverte comme c’est le cas à Colomiers, BATbAt est d’abord un lieu de découverte de nouvelles saveurs. Son art particulier de cuisson des viandes infusées aux herbes aromatiques ou encore aux racines fraiches font de celles-ci un délice d’exception pour les palais. Au menu, des plats typiques de la cuisine de rue vietnamienne, et d’autres qui sont revisités grâce à la touche occidentale dont seul Olivier Barbot, fondateur de BATbAt, a le secret. Des plats traditionnels avec la touche BATbat Bo Bun au saumon ou à la viande de bœuf, pho dont la viande infuse dans le bouillon à la cannelle, au gingembre et à la cardamome noire, rouleaux de printemps à la viande ou au poisson, gâteau vietnamien au manioc, dessert à la banane fraiche… Autant de mets traditionnels mais préparés avec la touche BATbat qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. De quoi satisfaire pleinement les papilles des adeptes de la cuisine d’Asie du Sud-Est. Chez BATbAt, le plat phare est le bo bun. Il est proposé sous sa forme traditionnelle à base de bœuf ; mais il est également décliné avec du saumon, des crevettes ultra fraiches ou bien encore du porc légèrement épicé, accompagné de vermicelles de riz, d’herbes aromatiques et d’une sauce sans huile. Bien entendu, le pho, plat national du Vietnam, y est servi. Mélange de nouilles de riz accompagnées de viande de bœuf coupée en fines tranches, façon pastrami, et servies dans un bouillon bien chaud avec diverses herbes aromatiques : les aficionados y reconnaitront son excellence. Les rouleaux de printemps, autre spécialité typiquement vietnamienne, sont ici étonnamment préparés avec de la salade de papaye verte, garnis de poisson ou de viande, sans oublier les herbes aromatiques. Comme dessert phare, l’on retrouve le fameux che, une composition en couches translucides mêlant tapioca blanc, banane fraiche, crème de coco et cacahuètes pilées. Ambiance world food Pour accompagner tous ces plats, BATbat propose des boissons faites maison, à l’instar de la citronnade fraiche, des thés glacés déclinés avec des sirops maison de menthe, de framboise, sans oublier les thés chauds déclinés en différents parfums. La bière vietnamienne, quant à elle, est forcément de la partie : 33’ Export, Saigon, Hanoi et Lao. Enfin, le maitre des lieux Olivier Barbot a à cœur de présenter une carte des vins, constituée de vins de pays, entre vins rouges et rosés, souvent bio, comme des IGP Côtes-Catalanes, les vins des Vignerons d’Estézargues ou encore ceux du Domaine des Schistes. Par ailleurs, les restaurants BATbat proposent un service à emporter, une livraison à domicile et un service traiteur. Plats traditionnels et originaux à la carte ; vins bio, bières importées et thés qui se marient parfaitement ; prix très abordables, avec un ticket moyen de 13€ le midi 21 € pour un repas complet le soir… On l’aura compris, la cuisine de rue du Vietnam est la marque de fabrique de BATbAt, mais pas seulement : la finesse des préparations culinaires et la qualité de l’accueil attirent un nombre grandissant de fidèles de ces trois restaurants, devenus aujourd’hui une référence. ...
Un cadre charmant à la touche « Vieux Paris », un grand bar et du mobilier en bois ancien, un peu de jazz en musique de fond : la simplicité y côtoie le raffinement pour cultiver la convivialité et l’ambiance chaleureuse. Le havre idéal pour se détendre après des activités dans le frétillant 18e arrondissement de Paris. La cuisine traditionnelle à l’honneur À L’Anvers du décor, la saisonnalité et la fraicheur des produits utilisés sont des engagements au quotidien. On y propose tous les jours, de 9 h à 23 h, des délices faits maison typiquement français dans une carte riche et diversifiée. Les entrées succulentes comme le carpaccio de saumon frais marin ou les escargots de Bourgogne donnent le ton. Le chef laisse ensuite transparaitre d’autres subtilités à travers le poisson frais du jour ou des viandes tendres et délicieuses, le tout accompagné d’une garniture au choix (riz, frites maison ou haricots verts). Les convives n’ont que l’embarras du choix entre la cuisse de poulet rôti aux herbes, le confit de canard, la souris d’agneau braisée au romarin, la côte de bœuf pour deux, la côte de porc grillée du Pays basque ou encore les sardines grillées au sel de Guérande. Salades et pâtes variées sont aussi au rendez-vous. Mais dans cette adresse hors pair, ne pas gouter aux moules marinières (origine France) est presque un péché. Sous les mains du chef, ce plat n’en reste pas un, il devient un véritable chef-d’œuvre culinaire. Et la magie ne s’achève qu’après avoir apprécié le mi-cuit chocolat crème anglaise, la tarte du jour ou la crème brulée à la vanille. ...
Lancée en 2015, l’application mobile a pour vocation de mettre en relation les établissements de santé et leurs patients de façon permanente. Dans cette optique, exolis souhaite notamment venir en aide aux personnes atteintes de cancer, prises en charge pour une maladie chronique, ou encore sortant d’une chirurgie ambulatoire. Des patients qui demandent à être de plus en plus acteurs de leur santé. Les bénéfices sont clairs : meilleure assimilation des informations, meilleure réponse aux traitements et donc meilleure qualité des soins. Côté pro Entre les différentes solutions e-santé présentes sur le marché, engage se distingue d’abord par sa philosophie de marque blanche. Ce principe cadre avec la volonté de fournir aux établissements de santé un moyen de conserver un lien ferme avec leurs patients. Ainsi, engage est proposée sous forme d'une application personnalisée qui s’identifiera directement par le nom et le logo de l’établissement. En second lieu figure la flexibilité de la solution. Cela signifie que les établissements de santé peuvent créer eux-mêmes le parcours de soins adapté à chaque cas de pathologie. Notons qu’actuellement exolis travaille avec une trentaine d’établissements de santé en France et à l’étranger, dont neuf centres de lutte contre le cancer dont l’Institut Paoli Calmettes, la Fédération des Hôpitaux Vaudois (Suisse), le CHU de Rennes, l’Hôpital Privé Arnault-Tzanck de Mougins et bien d’autres encore. Côté patient Pour le patient, les avantages d’engage se résument en trois mots : praticité, efficacité et satisfaction. Via l’application mobile, il peut interagir de différentes manières avec son établissement de santé, en recevant ou en envoyant des informations personnalisées relatives à son parcours de soins. De cette manière, il reste à l’affût de l’évolution de son état de santé et devient acteur dans la prise en charge de sa maladie. Par ailleurs, engage s’avère facile à utiliser, grâce à son interface ergonomique et intuitive. Le patient a également la possibilité de se faire assister par un proche ou un soignant libéral, qui manipulera l’application à sa place pour interagir avec son hôpital. De son côté, l’établissement de santé est en mesure de tout gérer via engage : suivis à distance (traitement, constantes…), dossiers médicaux, planning des rendez-vous… ...
Depuis 40 ans, L’Etale a réussi le pari de surprendre à chaque fois ses convives en proposant une cuisine traditionnelle alliant à merveille fraîcheur, goût et générosité. L'institution de Morzine L’Etale est un établissement familial qui s’est transmis d’une génération à l’autre. En 1977, les grands-parents avaient commencé par un restaurant et, aujourd’hui, c’est Vincent Baud, le petit-fils qui tient les rênes. Le restaurant n’a pas subi beaucoup de changements mais les gens l’apprécient justement pour cela. Ce côté authentique que les propriétaires ont su fièrement préserver. L’Etale c’est l’endroit où aiment se retrouver les morzinois, tout comme les vacanciers ou les saisonniers. Certains sont même devenus de grands habitués, voire des amis de la famille. Un client nous souligne que « L’Etale, c’est un endroit chaleureux et très animé ». Pour ceux qui viennent en groupe, pas de panique ! A L’Etale, il y a de la place pour tous : la plage horaire étendue et le service continu permettant de manger à toute heure dans la rue la plus animée de Morzine. Une vraie brasserie de montagne Malgré un débit très important, l’Etale met un point d’honneur sur la qualité des produits. La cuisine épluche, émulsionne, taille les légumes, poche, déglace, blanchit, poêle, goûte, dresse. Ils se plaisent à dire « A L’Etale on cuisine ! ». D’ailleurs, le fait maison est le maître mot, même pour les pâtisseries. Avec ce restaurant éclectique, vous pouvez y aller pour un repas sur le pouce le midi comme pour un festin tard le soir. Et bien évidemment, tous les budgets et les palais s’y retrouvent. C’est également démontré par la carte de vin éclectique de l’enseigne. Par ailleurs, L’Etale n’oublie pas les végétariens ni les intolérances au gluten. Ici, vous avez la possibilité de déguster une fondue ou pizza sans gluten, ce qui en ravira plus d’un. Les grands classiques français comme la soupe à l’oignon ou encore les escargots de Bourgogne sont bien évidemment sur la carte. Les viandes sont de qualité et d’une traçabilité irréprochable. Ce sont des viandes provenant des races Montbéliarde, Charolaise, Limousine ou comme la Black Angus d’Argentine et qui ont reçu le label Grass-fed, prouvant que les bovins ont été nourri exclusivement d’herbes. Les spécialités de fromages et de viandes sont également à la carte et proposées à volonté comme la potence qui est un produit phare de la maison, de la viande de bœuf flambée au whisky, le tout exécuté sous les yeux conquis des invités. Un voyage gustatif s’offre à vous grâce à des plats venus des quatre coins du monde que ce soit du Japon, d’Inde ou encore du Cambodge, et ceci au gré des envies et des inspirations du chef. En toute fin de soirée, le restaurant change souvent de visage, il devient alors très festif et régulièrement tout le monde finit par danser autour du bar. Le chef barman, est quant à lui un personnage charismatique, expert autant en mixologie qu’en chauffeur de salle. Vous l’aurez compris, l’Etale est l’endroit à ne pas louper sur Morzine. Ses maîtres mots sont Rapidité, Qualité, Authenticité et Convivialité. ...
Créée en 1971, l’ECI propose des séjours linguistiques en se spécialisant dans les séjours destinés aux jeunes de 12 et 18 ans. Allant d’Irlande aux États-Unis, en passant par l’Angleterre ou l’Australie, la pratique de la langue étrangère ciblée, notamment l’anglais, est assurée par des programmes en immersion totale dans le cadre d’hébergements en famille ou d’intégrations dans des écoles de langue de renommée internationale. L’immersion linguistique totale Séjours au pair, stages en entreprise à l’étranger ou encore intégration en écoles de langue sont autant de formules de séjours linguistiques et éducatifs proposées par l’ECI. « À l’écoute des parents, dans le but de les conseiller sur le meilleur choix pour leurs enfants, l’association élabore ses formules en assurant aux participants un accompagnement permanent par un professeur ou un membre de l’ECI », explique Valérie Deltour, la directrice de l'association. Parmi la dizaine de formules au choix, l’immersion totale reste néanmoins le fleuron de ces séjours riches en apprentissage et en découverte. En effet, toujours selon la responsable, « cette expérience vécue au sein d’une famille américaine, destinée aux lycéens et étalée sur deux mois, se veut le cœur de métier de l’association », une offre garantissant ainsi un apprentissage rapide et efficace de la langue choisie. À cette formule viennent s’ajouter les séjours linguistiques en Angleterre ou en Irlande. Pour ce qui est de l’Irlande, il s’agira de découvrir la culture du pays tout en bénéficiant d’une « immersion dans un milieu international [multilinguistique et multiculturel], au sein d’établissements spécialisés dans la langue anglaise [accueillant de jeunes élèves venus des quatre coins du monde]», continue-t-elle. La pratique, l’approfondissement et la maîtrise de la langue choisie sont ainsi assurés par ces programmes enrichissants à l’étranger, organisés, pour la plupart, durant la période estivale. De nombreuses autres destinations sont, par ailleurs, proposées par l’association afin de satisfaire toutes les demandes en matière de séjours linguistiques. ...
Un lieu de savoir, de partage et d’innovation pour un séjour de travail au vert Lieu unique en Europe exclusivement dédié aux événements d’entreprise, le site est composé d’un superbe château Rothschild pour la restauration, d’un ensemble contemporain pour les espaces de travail (y compris un auditorium de 450 places) et de 7 villas pour l’hébergement, au cœur d’un magnifique parc boisé de 52 hectares. Situé à Chantilly, à moins d’1/2 h de Paris en train et à proximité de la gare et de l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle, il permet d’offrir à vos participants un cadre ‘au vert’ particulièrement propice à la créativité. Fort d’une expertise de près de 15 ans, doté d’une infrastructure et d’une technologie de pointe, le Campus Les Fontaines est un laboratoire multiculturel d’expérience et d’innovation qui favorise aussi le développement durable. Détenteur de l’Ecolabel Européen depuis 2008, le site est membre de l’IACC (l’association mondiale des Centres de Conférences) dont il a reçu la distinction Green Star – niveau Or début 2017. L’expertise d’un groupe au service de votre entreprise Capgemini est un leader dans le domaine du Conseil et de la technologie. Aussi le Campus est-il doté d’équipements « dernière génération » : wifi Haute Densité, écrans plasmas dont 1/3 tactiles dans les salles de réunions, des surfaces hubs pour collaborer un temps réel avec des équipes non présentes sur le site, et un écran de 21 m de large de des projecteurs HD dans l’auditorium. Le Campus dispose aussi d’un éco-système de partenaires qui peuvent prendre en charge tout ou partie de votre séminaire, que ce soit pour construire et animer les plénières ou les ateliers, pour dynamiser et accroitre l’impact de votre événement, ou pour créer de la cohésion avec des team buildings… ...
C’est sous l’impulsion de l’amiral Castex que nait en 1936 le Collège des hautes études de défense nationale. Celui-ci devient en 1948 l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). En 1979, l’institut est officiellement reconnu en tant qu’établissement public administratif, à dimension interministérielle, qui agit sous la tutelle du Premier ministre. Chaque année, grâce à l’IHEDN, ce sont près de 13 000 personnes, auditeurs ou public de tous horizons qui sont formés ou sensibilisés sur les enjeux de la pensée stratégique de défense. Inculquer l’esprit de défense par des formations L’IHEDN s’engage dans deux principales missions : développer l’esprit de défense et sensibiliser les citoyens aux questions stratégiques internationales. Avec un regard ouvert sur le monde, l’institut élargit ses champs d’intervention sur la défense, l'armement et l'économie de défense et la politique étrangère. « Notre pédagogie inductive s’adapte aux hauts cadres de l’État, aux décideurs du secteur privé, civils et militaires, ainsi qu’aux étudiants et aux professionnels », déclare Linda Thisse, conseillère en communication de l’IHEDN. Concrètement, l’IHEDN accomplit sa vocation via ses nombreux programmes de formation. On y trouve aussi, par exemple, des formations à l’intelligence économique. Tandis que les sessions nationales s’orientent davantage vers les décideurs militaires et les hauts responsables civils, les sessions en région irrigent tout le territoire national. D'autres formations, cycles spécialisées et plus courts, s'adressent essentiellement aux acteurs sociaux, aux professionnels, aux jeunes militaires ou encore aux étudiants. En plus de servir de trait d’union entre le monde civil et le monde militaire, l’IHEDN se consacre au rayonnement de la politique de défense française à l’étranger. Les sessions européennes et internationales se focalisent sur la confrontation d’idées et de visions sur le futur de la politique de défense. Sont particulièrement abordées les problématiques actuelles, telles que la sûreté maritime, la cybersécurité et la citoyenneté ou encore la gestion civilo-militaire des crises extérieures. Chaque année, plus d’une centaine de pays dans le monde viennent participer à ces nombreuses rencontres stratégiques. Vecteur de la pensée stratégique de défense Pour promouvoir les initiatives de recherche sur les questions de défense, de sécurité et de relations internationales, l'IHEDN conduit plusieurs programmes annuels. A commencer par l'aide financière et pédagogique attribuée aux doctorants en sciences humaines et sociales. Dans ce cadre, avec le soutien de la Fondation de France, l'institut appuie aussi les jeunes chercheurs dont les thèses s'intéressent aux questions de défense et de la sécurité nationale. En outre, les meilleurs travaux de recherche sont primés par les prix scientifiques de l'IHEDN. Seul ou en partenariat avec des universités et des établissements supérieurs, l'institut participe également à des études, à des recherches et à des publications collectives traitant des sujets de défense. Parallèlement, dans sa mission de sensibilisation, l'IHEDN organise des évènements publics au cours de l 'année, qui se déclient en conférences, débats stratégiques, colloques et rencontres diverses. Le rendez-vous mensuel « Lundi de l'IHedn » réunit notamment un public de connaisseurs autour des sujets d'actualité sur les questions stratégiques de défense et de politique internationale. Toujours dans cette démarche participative, les « Rencontres IHEDN » donnent la parole aux experts, professionnels, organismes et organisations concernés par les enjeux de la défense et de la sécurité nationale. Enfin, l'IHEDN fédère 43 associations autour de sa mission, où quelques 10 000 adhérents sont mobilisés. « Cette communauté est comme un ambassadeur de l’institut. Elle permet à nos auditeurs de véhiculer et de culti...
Passer le cap du rêve à la réalité, c’est avec ambition, courage, travail que ce citadin parisien, passionné de longue date par le monde viticole a créé en 2018, un nouveau vin de Faugeres , le domaine de Monthélys . Un pari un peu fou qui aujourd'hui connaît ses premiers succès. Néo-vigneron, Henri Monteux, ancien imprimeur de métier, était à la recherche d’un grand terroir dans son département de cœur, l’Hérault ; il est tombé très vite amoureux des paysages du Piémont des Cévennes, à Faugères. Un terroir à prédominance de schiste Situé au cœur du village médiéval de Cabrerolles, dans le Parc naturel du Haut-Languedoc, perché à 300 mètres d’altitude, le domaine de Monthélys s’étend sur cinq hectares. Sur ce terroir spécifique, au croisement de la nature et de la montagne, le domaine bénéficie de tous les bienfaits du climat méditerranéen et de l’éclat du schiste présent dans le sol qui apporte son caractère et sa note de fraicheur aux vignes. C’est d’ailleurs cette typicité géologique singulière du schiste, signature du terroir de l’Appellation d’Origine Protégée Faugères, qui fait l’authenticité des crus du domaine de Monthélys…. une singularité des nuances de schiste, reflétée sur les étiquettes de ses crus, promettant déjà une dégustation ensoleillée, fruitée et empreinte d’émotions, pour accompagner les plats à une tablée ou tout simplement autour d’un apéritif. Des cuvées d’inspiration Les vins phares du domaine de Monthélys reflètent l’esprit du domaine et l’identité de ce terroir empreint d’histoire. Pour les Rouges, les cépages sont le grenache, la syrah, le mourvèdre, et le carignan. Les vins y sont solaires, gourmands et croquants comme la cuvée « Gris de schiste », couleur rubis, à dominante de grenache. Les crus arborent également des notes d’élégance comme « Bleus de schiste « (syrah récoltée en pleine maturité, mourvèdre et grenache) ou encore « Ors de schiste « puissant et complexe. Le Blanc est un assemblage de grenache blanc et de marsanne, aux arômes floraux, de poire, de pêche. Une certaine rondeur s’exprime en bouche, s’épanouissant par une belle persistance. Le Rosé, aux jolies notes d’agrumes et de groseille vient compléter la gamme. Une conversion en bio Engagé, prônant l’esprit de l’authenticité, respectueux du terroir et de l’environnement, le fondateur du domaine de Monthélys n’utilise ni herbicides, ni pesticides sur ses terres. Les vendanges se font à la main à juste maturité dans des cagettes traditionnelles. Il préfère d’ailleurs des élevages plus discrets en cuve que ceux en barriques. Dans cet esprit de conservation et de préservation de l’environnement, le domaine en est à sa troisième année de conversion en agriculture bio. La vendange 2021 de son vin Faugeres sera certifiée 100% Bio. ...