Une entrée sur l’histoire de la Ville L’établissement intègre un espace patrimonial situé au cœur du bâtiment, face à l’enceinte gallo-romaine. Produit et mise en oeuvre dans le cadre du label Ville d’art et d’histoire, l’espace patrimonial permet de découvrir la construction et l’évolution de la ville depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours. Pensé comme une expérience, cet espace offre différents outils ludiques à expérimenter en famille. Un lieu de médiation de l’art La programmation du Quadrilatère associe une politique d’expositions temporaires, un programme culturel et éducatif à destination d’un large public. Les expositions monographiques ou collectives présentent des oeuvres et recherches artistiques contemporaines et accompagnent l’évolution des pratiques artistiques. Proposée comme des temps de rencontre entre les oeuvres et le public, la programmation culturelle se construit autour de dispositifs de médiation et d’accompagnement à la découverte de l’art contemporain. Une équipe aux petits soins pour le public L’équipe du Quadrilatère utilise son imagination afin de proposer des actions de médiation innovantes. Le but étant de rendre accessible au plus grand nombre la découverte des arts et du patrimoine. Pour cela, les expositions et les médiations favorisent souvent l’expérience, qu’elle soit artistique, scénographique, chorégraphique, ou gustative et toujours conviviale! ...
La cuisine Piment thai 21 concocte un subtil mélange de textures et de goûts, où chaque plat transporte directement en Asie du Sud-Est. Elle privilégie les épices originaires de la Thaïlande comme le galanga, une plante à rhizomes marquée par un goût légèrement piquant, qui remplace souvent le gingembre dans de nombreux plats traditionnels. Cosmopolites, ses créations culinaires distillent un mélange de cultures qui ravit les fins gourmets avides de saveurs exotiques. La carte du restaurant est étoffée de plats faits maison, minutieusement élaborés à partir de produits frais. En entrée, une touche de fraîcheur s’invite dans l’assiette avec la salade de papaye verte aux crevettes. Cette recette traditionnelle allie à merveille le parfum délicat et légèrement musqué de la papaye avec le goût fin et marin de la crevette. En plat de résistance, la larme du tigre au bœuf est un authentique plat thaï, qui fait le bonheur des épicuriens. À base de bœuf mariné puis grillé, ce mets est servi avec une sauce spéciale et parsemée d’herbes fraîches. La découverte culinaire s’achève avec la banane accompagnée de lait de coco, un dessert exotique traditionnellement servi sur les tables asiatiques. Un cadre zen et raffiné Dans un cadre luxueux et très soigné, où le rouge, symbole de vitalité, domine, la décoration intérieure de Piment Thaï amène les convives dans un univers zen et paisible. Avec les statues de bouddha qui ornent les lieux, cet endroit rappelle le charme des palais en Asie. Son mobilier contemporain rouge et noir se marie à merveille avec les fleurs tropicales de la Thaïlande qui décorent la salle, créant ainsi un design épuré. Les couleurs chaudes combinées à la lumière tamisée procurent une ambiance parfaite pour les soirées à deux, avec des amis ou en famille. ...
De la rue, d'immenses baies vitrées qui laissent d'ores et déjà entrevoir l'ambiance lumineuse et conviviale du restaurant. Sur place, vous avez le choix entre vous installer sur l'immense terrasse de 250 m2 ou investir plutôt la salle au volume assez vaste, avec un espace bar en bas, une mezzanine en haut et une cuisine ouverte d'où vous pourrez admirer la dextérité des chefs en cuisine. Le style industriel associant une forte présence d'objets vintage, d'éléments boisés et métalliques donne le ton. Au programme : de la dynamique et un esprit branché. Urban Kitchen joue la carte de la modernité et de l’authenticité. Un trio d'amis veille aux fourneaux Une cantine créative et récréative, un concept dont on n'entend pas souvent parler mais qui a déjà fait son bout de chemin Outre-Atlantique. Un thème qui fait "tilt" chez ce trio d'amis composé de Stéphane Lamani, Jérémy Magnan et Michaël Cohen et qui décide de lancer son propre établissement en s'appuyant sur cette base-là. Résultat : un restaurant accueillant où l'on aime se retrouver. Il n'a pas fallu longtemps à la maison pour se faire connaître. Et pour cause, elle partage une cuisine innovante qui met à l'honneur des produits frais de saison et fait-maison. Parmi les plats signatures figure le fameux filet de bœuf Wellington qui est délicieusement accompagné de foie gras et d'épinards, le tout enveloppé d'une légère pâte feuilletée croustillante qui fond dans la bouche. Une pure merveille culinaire à déguster avec un Minervois Le Prince Arthur 2007, rouge, Château Cabezac. La carte aux accroches intéressantes vous fera voyager entre Londres, Marseille, Japon, New-York ou Rome en fonction des jours. Elle est à l'image de la personnalité de nos trois chefs : généreuse, cosmopolite et inventive. Toutes les saveurs des plats suggérés seront rehaussées par une carte de vins composée des meilleures productions locales. ...
Association créée en 1970, UNA (Union nationale de l’aide, des soins et des services aux domiciles) est le 1er réseau français des services d’aide à domicile. Membre à part entière de ce réseau,aide à domicile UNA du secteur de Tigy met au service de ses quelque 300 usagers une riche expérience de 50 ans en faveur du maintien à domicile. Ses 34 aidants professionnels interviennent dans l’ancien canton de Jargeau dans le Loiret, qui compte 10 communes. Grâce à leurs compétences, cet organisme à but non lucratif est en mesure de proposer un accompagnement de qualité répondant au plus près aux besoins de la personne. Une gamme de services à domicile Les services tarifés à prix réels concernent l‘aide aux gestes essentiels de la vie (repas, toilette, habillage, aide au lever ou au coucher, courses et ménage, mais aussi travaux de jardinage) et toute forme d’accompagnement. Un service de téléassistance est également disponible, afin que les personnes vivant seules puissent obtenir de l’aide rapidement face à une situation d’urgence. ...
Une première pour la Communauté de communes des Olonnes (CCO). De juin 2016 à mars 2017, à Olonne-sur-mer, face à l’esplanade du Vendée Globe, l’exposition « Les aventuriers de l’océan, du Moyen Âge au Vendée Globe » promet de belles découvertes. Selon Cécile Lataste, directrice de l’action culturelle à la Communauté de communes des Olonnes, l’objectif est de « présenter l’ancrage historique des Sables-d’Olonnes et des communes des alentours sur leur identité maritime ». Le Vendée Globe, à l’origine du concept Célèbre course à voile autour du monde sans escale ni assistance, le Vendée Globe contribue à faire connaitre les Sables-d’Olonne. Durant les quatre années qui séparent chaque nouvelle édition, l’esprit de la course doit être préservé. Or, une fois les dernières tentes démontées, l’engouement autour du Vendée Globe se perd. « Entre chaque édition, il n‘existe pas de dynamique de valorisation du patrimoine historique et culturel des Olonnes. Il faut s’approprier cet évènement pour pouvoir rebondir et mettre en lumière ce patrimoine », affirme Cécile Lataste. Pour la CCO et ses partenaires, alimenter l’intérêt suscité par cette course mythique permettra de promouvoir l’énergie entourant le Vendée Globe, tout en développant l’image positive qu’il apporte aux Olonnes et à la Vendée. D’où l’idée de cette exposition. Une exposition bien pensée « Cette exposition a été conçue pour présenter la naissance géographique du port des Sables-d’Olonnes, qui a évolué au cours de l’Histoire, et pour révéler les motivations qui ont conduit les hommes à partir du port des Sables-d’Olonnes et à y revenir », explique Cécile Lataste. Le projet novateur met principalement l’accent sur 5 ilots s’articulant autour de l’espace central, qui sont une invitation à voyager dans le temps et dans l’espace. À l’entrée, direction le premier ilot qui retrace la navigation commerciale au Moyen Âge et à la Renaissance. Les visiteurs y croiseront le routier et pilote maritime Garcie Ferrande, pionnier du routage maritime. Dans le deuxième ilot, le thème de la piraterie est mis en avant : l’occasion de plonger au cœur même de la vie de ces flibustiers, dont François l’Olonnais est le personnage le plus représentatif. Place ensuite à la pêche routière au sein du troisième opus qui « retrace également l’histoire des hommes partis très loin pour pouvoir pêcher et rapporter un poisson spécifique : la morue ». À l’honneur : Collinet l’armateur, marin expérimenté qui explore les bancs de Terre-Neuve dès l’âge de 13 ans. Le quatrième volet, dont la figure représentative est le marin-pêcheur et navigateur Philippe Thesson, raconte l’aventure des marins d’État, embarqués dans les grands voyages. Le cinquième ilot est, quant à lui, dédié aux skippers du Vendée Globe qui n’ont qu’un seul objectif : revoir les Sables-d’Olonne, en vainqueurs de préférence ! Petits et grands, néophytes ou inités, tout le monde pourra vivre cette invitation au voyage. Bonne navigation ! ...
Au château de Clisson : l’art militaire médiéval Forteresse du Moyen Âge, le château de Clisson est situé « sur les marches de la Bretagne » qui constituent « la frontière entre le duché de Bretagne et le royaume de France avant le début du XVIe siècle », évoque Pierre Fardel, directeur adjoint de Grand Patrimoine de Loire-Atlantique et responsable des publics. Grâce à sa position stratégique, cette forteresse permettait de contrôler un territoire complexe à la jonction de la Bretagne, de l’Anjou et du Poitou. La famille Clisson s’y établit dès la seconde moitié du XIe siècle. Le château devient ensuite la résidence du dernier duc de Bretagne, François II, qui renforce son dispositif militaire et lui donne son allure imposante. Le jeune sculpteur François-Frédéric Lemot le transforme en ruine romantique à partir de 1807. Le château de Clisson a conservé de nombreux exemples d’éléments de défense d’un château fort tels que les archères, les canonnières ou les assommoirs. Aux beaux jours, le château de Clisson propose une programmation culturelle riche et gratuite : reconstitutions historiques et spectacles vivants. Ainsi, les 16 et 17 juillet prochains, des troupes de reconstitution historique investiront le site pour faire revivre le quotidien dans un château du XIe siècle. Le château de Clisson est classé monument historique. Il est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10 h 30 à 18 h (de mai à septembre). Droits d’entrée : 3 € (plein tarif) ; 2 € (tarif réduit) ; gratuit pour les moins de 14 ans. À la Garenne Lemot : architecture et création artistique Patrimoine végétal et patrimoine monumental se mêlent dans ce paysage de 13 hectares que constitue le domaine de la Garenne Lemot. Le patrimoine monumental rassemble des fabriques. « Il s’agit de petites constructions qui permettent de décorer le paysage : temples, statues antiques, grotte dédiée à Héloïse et à Abélard, rochers gravés de citations et de poèmes, tombeau… », décrit le directeur adjoint. Une maison de style rustique à l’italienne et une villa néoclassique complètent le tableau. Au début du XIXe siècle, c’est dans l’imaginaire de François-Frédéric Lemot, sculpteur de Napoléon, que nait ce magnifique décor. Inspiré par ses séjours en Italie, l’artiste recompose des motifs proches des paysages qui l’ont tant impressionné. Il introduit notamment le pin parasol dès 1809. Dans ce cadre propice à la rêverie, des spectacles vivants sont organisés tout l'été. Le 31 juillet, un concert flottant, Le Piano du lac, se produira sur la Sèvre. Les musiciens joueront sur l’eau pendant que le public appréciera le spectacle depuis la berge. Et, chaque année, une exposition temporaire ouvre ses portes à la villa Lemot. Pour les spectacles comme pour l'exposition, l'entrée est gratuite. Ce domaine est classé monument historique. Le parc de la Garenne Lemot est en accès libre et gratuit, de 9 h à 20 h (de mai à septembre). Vivez le patrimoine ! ...
Ce qui donne ce goût de craie à l’appellation Saumure-Champigny ? Ce sont ses tuffeaux, des formations géologiques de couleur blanche ou jaunâtre contenant quelques paillettes de mica blanc. Sur cette partie de la vallée de la Loire, se blottit Turquant où caves et grottes sont si nombreuses qu’on y compterait le plus grand nombre en France. C’est aussi ici que depuis trois générations, Denis Retiveau cultive son raisin pour produire six cuvées différentes ainsi que sa passion immodérée pour la navigation. Entre Turquant et Montsoreau, 10 km à l’Est de Saumur sur les bords de la Loire, il possède le domaine des Champs-fleuris. Un terroir viticole qui au milieu d’un climat océanique produit près de 200 000 bouteilles par an. Passionné depuis l’enfance par la viticulture, il reprend le domaine familial en 1995 après un brevet technique agricole en viticulture et œnologie. Des vignes qui s’étalent sur 29 hectares et où le vin rouge a pour spécificité sa densité, son côté charnu et élégant. Des vignes de 40 ans d’âge pour un saumur d’exception Avec 6 cuvées différentes, le domaine des Champs-Fleuris produit différents vins en mélangeant moderne et tradition. Les cépages alternent entre Cabernet franc (96%) et Cabernet-Sauvignon (4%) pour les rouges et on y retrouve les appellations Coteaux de Saumur, Crémant de Loire, Saumur Blanc et Saumur Champigny ainsi que du Saumur Rosé. Les vendanges y sont faites mécaniquement avec le tri embarqué et tapis élévateur dans le respect du raisin. Le vin fraîchement pressé est conservé dans de l’inox régulé et des fûts de chêne. Dans ces fûts, les vins sont conservés au moins un an. Une sensibilité particulière pour ce fruit produit sur des plants dont certains ont plus de 70 ans d’âge. Le terroir lui est certifié haute valeur environnementale. Le vignoble s’applique ainsi à utiliser des traitements conventionnels pour une culture raisonnée. Ainsi en 2021, sur 10 traitements, 8 ont été effectués en « bio ». Les grains profitent ainsi du climat océanique et produisent des vins légers et fruités. On y retrouve aussi des grands vins de garde, quand les raisins sont plus riches en sucre et que la macération est plus longue. ...
Le Centre-Val de Loire, une grande région gastronomique Des pommes aux poires en passant par les cerises, les asperges et la mâche, la région produit de nombreux fruits et légumes primeurs de qualité pour agrémenter les repas. Le Val de Loire se veut aussi être une importante région productrice de fromages, de miel, de safran, de poulet connu sous le nom de géline de Touraine et de poissons tels que le sandre, le brochet, la carpe et la brème. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, des coquilles Saint-Jacques à la nantaise, du bar en croûte de sel, du matelote des tonneliers et de la tarte tatin. On y trouve aussi les crémets d'Angers, qui consistent en une crème fraiche battue avec du fromage et du blanc d’œuf, ainsi que le matelote d'anguille, une étuvée de poisson au vin rouge d'Anjou. Cette région est aussi connue pour son vignoble, qu’on appelle le « vignoble du Val de Loire », qui produit de délicieux vins d’AOC Muscadet et d’AOC Anjou. Il est encépagé, entre autres, de chenin, de cabernet franc, de cabernet sauvignon, de gamay, de sauvignon et de pinot noir. Tradition française et créative L’Arôme se trouve en pleine ville, à proximité de l’église Saint-Julien, dans une zone qui contient de nombreux restaurants. L’intérieur du bâtiment est sobrement décoré de tableaux de bouteilles de vin. Avant la création de L’Arôme, Mickaël Teluk a été sous-chef cuisinier à l'Atelier Étoile de Joël Robuchon et travaillé au Choiseul avant devenir chef cuisinier au Bistrot de la Tranchée à 24 ans. Sûr de ses compétences, il ouvre L’Arôme en 2010 afin de travailler à son compte et pour mieux exprimer ses talents culinaires. Mickaël Teluk propose une cuisine traditionnelle française créative. « En cuisine, le gout est essentiel. Nous souhaitons faire découvrir à nos clients une autre version de la cuisine, celle d’une cuisine traditionnelle française au gout revisité », nous explique-t-il. Une cuisine légère et authentique Le ticket moyen du restaurant est de 15 € le midi et de 30 € le soir. Mickaël Teluk met un accent fort sur la qualité, c’est pourquoi sa carte change au gré des produits de saison et de son inspiration. En guise d’entrées, le chef propose le marbré de cèpes : une terrine accompagnée de pommes de terre, de cèpes et de lardons ; il est servi avec une sauce bordelaise et s’accorde parfaitement avec la Folie du domaine Château Yvonne. Autre découverte : le Cromesquis de chorizo avec tartare de green zebra, préparé à base de chorizo et de lard ; il est accompagné par de la tomate fraiche et de la feta douce ; il s’accorde parfaitement avec des vins d’AOC Anjou comme le Château du Fresne Anjou. Après cette mise en bouche, enchainons avec les plats principaux. Le tronçon de joue de bœuf fondante est un assortiment de joue de bœuf, de choux croquants et de gnocchis. Pour la présentation, la joue de bœuf est placée au milieu d’une assiette plate autour de laquelle sont disposés les gnocchis poêlés. On y ajoute ensuite le jus avec des pétales de tomates séchées. La brandade safranée aux endives rouges braisées et moules marinières est une recette de pommes de terre cuites avec du safran, des endives rouges braisées au vin rouge et des moules marinières réalisées selon la tradition. Elle s’accompagne d’une sauce coraline réalisée à partir de têtes de langoustine. Les saveurs sucrées parachèvent d'assurer la réputation de L’Arôme. La barre chocolatée est un biscuit de pâte sablée à la polenta sur lequel on coule une ganache avec de la framboise fraiche. Le glaçage est ensuite réalisé avec du chocolat. Elle est servie avec un coulis de fruits rouges et un sorbet de framboise. La poire pochée aux épices, ganache au gingembre et crème glacée à la vanille bourbon est un assortiment de poire pochée, d’épices, de gingembre, d’une ganache au chocolat et de crème. ...
Entreprise pâtissière industrielle implantée à Estillac en Lot-et-Garonne, la Ronde des Fraîcheurs a ouvert ses portes en 2001. Ce site, d’une surface de 4 400 m2 et doté de 7 lignes de production et de 9 lignes d’étiquetage, est spécialisé dans la fabrication de pâtisseries fraîches. Afin de répondre à une demande grandissante en pâtisseries industrielles, elle entreprend en 2008, un doublement de sa surface de production. Aujourd’hui, sous l’impulsion de son directeur Pascal Marie, les 79 salariés de la société partagent au quotidien leur passion d’un métier à fort savoir faire dans un fonctionnement basé sur des schémas d’organisation et de management innovants. Une offre étendue particulièrement attractive À travers une joyeuse farandole de sélections gourmandes individuelles, familiales ou festives, la Ronde des Fraîcheurs dispose d’une large gamme de pâtisseries traditionnelles classiques (tartes, éclairs et entremets…) travaillées de façon très spécifique pour répondre à chaque besoin. Grâce à un outil de production d’une grande flexibilité lui permettant d’honorer des commandes 5j/7 et ce, de façon régulière tout au long de l’année, l’entreprise est un fournisseur de pâtisserie de référence sur le marché. Particulièrement active ces dernières années en matière d’innovation, la Ronde des fraîcheurs vous propose aujourd’hui de nouveaux concepts adaptés aux tendances de consommation. La Pati Box ou le concept de l’offre pâtissière revisitée Afin de répondre favorablement au souhait de nombreux consommateurs à disposer d’un plus large choix de pâtisseries en version snacking, la Ronde des Fraîcheurs a développé un concept simple et efficace. En effet, consommer certaines pâtisseries hors assiette est un exercice particulièrement difficile notamment pour les grands classiques comme les millefeuilles, Paris-Brest , merveilleux… La Pati Box est selon David Souplet, responsable Recherche et développement, un concept novateur qui permet de « consommer un millefeuille en costume cravate », sans risquer de se tâcher. Le principe consiste à dissocier les garnitures en coupelle et les pâtes sous forme de bâtonnet permettant de « dipper » avec la plus grande facilité. On retrouve ainsi toutes les qualités gustatives du produit traditionnel mais sans l’inconvénient du manque de praticité ! ...
De multiples services Récemment installée dans le Var, au Pôle d'Excellence Jean-Louis 76 Via Nova à Fréjus, la Maison Bois Littoral et Vallées est une entreprise spécialisée dans la construction, l’extension et la rénovation de maisons à ossature en bois. Elle intervient également dans la pose de charpente et de couverture, réalise des travaux de menuiserie ainsi que différents travaux de rénovation, réalisation de terrasses et de pergolas. Spécialisée dans le secteur de l’immobilier de standing, elle apporte son savoir-faire aussi bien dans la construction de maisons en bois ultracontemporaines que de chalets traditionnels. Un accompagnement personnalisé Particulièrement flexible, l’entreprise a développé de nombreuses formules s’adressant aux particuliers ou professionnels désireux de mener un projet de construction. A travers l’offre nommée « One », Maison Bois Littoral et Vallées s’occupe du chiffrage des lots (bois) du client déjà détenteur d’un permis de construire. Pour ce qui est de l’offre « Partenaire », l’équipe se charge de projets déjà en cours mais qui nécessitent une nouvelle solution. Enfin, à travers la formule « Sérénité », tout le projet est pris en charge de A à Z avec un service personnalisé. Reconnue Garant de l’Environnement, l’entreprise offre une assurance décennale pour ses prestations. ...
On ne présente plus le Festival de quatuors à cordes du Luberon ! Depuis 1976, l’évènement est devenu une institution musicale. Cette année, entre l’abbaye de Silvacane, les weekends, et des églises du Luberon, en semaine, neuf quatuors et quatre solistes se partagent 14 concerts, du 12 au 28 août. Festival de Quatuors à cordes du Luberon : programme et saison musicale Le thème musical retenu cette année explore, pour une partie du programme, le foisonnement artistique de l’Empire austro-hongrois entre 1867 et 1918. L’occasion de réentendre des grands chefs-d’œuvre du répertoire, tout en découvrant des compositeurs moins connus. Au programme également : deux créations mondiales en présence des compositeurs. Un rendez-vous de plus sur les terres provençales à ne pas manquer ! ...
À travers son emplacement et ses installations haut de gamme, PALM HOTEL & SPA offre un lieu de bien-être et de quiétude incomparable. Sa marque de Spa AKÉA transporte les visiteurs hors du temps grâce à ses pratiques millénaires dédiées aux soins du corps et de l’esprit. Des installations de haut standing Oasis de jouvence, AKÉA Spa & Beauty met à la disposition de sa clientèle 435 m2 d’installations, incluant une salle esthétique, un hammam, deux espaces duo pour des massages en couple, quatre salles de massages simples, un bassin d’eau à remous à ciel ouvert, une boutique et un jardin tropical. Les visiteurs sont ainsi assurés de passer des moments exceptionnels où se mêlent détente et plaisir des sens. Une carte des soins complète pour un bien-être total Pour créer un lieu unique, AKÉA Spa & Beauty s’inspire volontiers des influences culturelles asiatiques. Puisant l’essentiel de ses produits parmi les trésors naturels de l’océan Indien, cette marque de spa garantit aux privilégiés des expériences sensorielles intenses. Les senteurs de coco, jasmin, ylang-ylang, vanille, vétiver, etc. exalteront leurs sens. De nombreux soins sont accessibles non seulement pour les résidents, mais également pour les non-résidents de l’hôtel. Pour commencer, focus sur le soin Akéa ! Il s’agit d’un soin relaxant personnalisable qui s’inspire des techniques de modelage d’Asie. Pour réaliser un massage doux tout en profondeur, le client peut choisir l’huile de son choix ou l’huile de massage « secret de spa ». Pour finir la séance en beauté, le visiteur a droit au rituel de la serviette chaude parfumée. Ensuite, l’Aqua Sens, un soin aquatique, permet au corps de s’exprimer librement et de « lâcher prise » au sens littéral du terme. Enfin, AKÉA Spa & Beauty a pensé aux couples en concoctant le soin Rituel des jeunes mariés. Outre un accueil personnalisé, ces derniers bénéficient d’un soin minéral aux pierres semi-précieuses accompagné d’un bain de vapeur parfumé. De plus, ils pourront déguster une coupe de champagne ou un cocktail de fruits frais dans un joli bain de fleurs. ...
Le Clos Saint-André est l’une d’entre elles. Depuis 2004, Jean-Claude Desmarty a repris cette micropropriété d’à peine 1 hectare, fondée par son arrière-grand-mère. Il en assure seul l’activité complète, du travail du sol à la commercialisation. Il produit 1 vin par an, en très petite quantité, véritable reflet de sa personnalité, de sa conception du travail de la vigne et du vin. Chaque millésime est différent, mais chacun possède un niveau qualitatif élevé. Un travail de précision, artisanal et réfléchi Les vignes du Clos Saint-André sont vieilles. Elles sont composées de Merlot (70%) et de Cabernet (30%). Jean-Claude Desmarty travaille l’intégralité de ses sols avec un cheval. Il veut favoriser au maximum la qualité de sa terre en développant sa biodiversité et en évitant tout tassement. Il attache beaucoup d’importance à la gestion de la surface foliaire de ses plantes, qu’il modifie en fonction du cycle et des besoins exprimés par la vigne. Il adapte son travail aux conditions météorologiques différentes d’une année sur l’autre, en se posant mille questions sur la manière d’améliorer encore ses interventions. Persuadé qu’il est important d’avoir des vignes vivantes, Il recherche en permanence des équilibres naturels qui vont faire la qualité de ses raisins. Jean-Claude Desmarty vinifie son vin de manière artisanale, avec un degré d’exigence rare concernant la qualité et la précision du travail effectué. Il s’attache à ramasser des raisins bien mûrs, à effectuer un tri extrêmement sélectif, et à travailler ses raisins de manière adaptée pour extraire au mieux les matières contenues dans les baies. Toujours en recherche d’équilibre dans le vin et de contact avec la matière, il privilégie une vinification naturelle, basée sur le brassage des raisins dans ses cuves, sous forme de pigeages, remontages et délestages. Le vin du Clos Saint-André est intégralement élevé en barriques dont les bois à grains fins et serrés sont issus de forêts du centre de la France. Elles sont fabriquées par un seul tonnelier, sélectionné pour sa capacité à proposer des barriques permettant de trouver chaque année le meilleur équilibre possible entre le vin et la barrique. C’est un élément essentiel pour préserver l’authenticité et le caractère fruité du vin. L’élevage dure environ 20 mois. Un vin de plaisir, alliant élégance et générosité Chaque millésime du Clos Saint-André est différent. Néanmoins, le plaisir qu’il procure aux privilégiés qui y ont accès est toujours élevé. S’il fallait décrire les caractéristiques propres au Clos Saint-André, on pourrait évoquer les arômes de fruits, l’élégance, le velouté et la richesse du vin, sa finale longue et gourmande….. Mais peut-être vaudrait-il mieux vous laisser le découvrir !!! ...
Bruno Hertz reprend l’exploitation de son père en 1979, après obtention de son diplôme national d'œnologie (DNO), en 1976. Il est aujourd’hui propriétaire de plusieurs vignes, dont une située au Rangen-de-Thann, Grand-Cru réputé pour son sol d’origine volcanique. Un pari risqué à l’époque de son achat, puisque cette zone n’était pas très appréciée des travailleurs de la terre. Sa principale vigne, celle de la famille Hertz, s’étend sur six hectares et se trouve dans la commune d’Eguisheim, dont une partie dans le Grand-Cru Pfersigberg. Un vin de terroir Sur les hauteurs des collines d’Alsace, le climat favorable et l’air pur donnent aux vignes une noblesse et des cépages généreux. Grâce à un terroir de qualité, la maison peut produire une vaste sélection de cuvées, dont le Riesling Rangen 2009 cuvée Michaela, qui est un vin de garde (20 ans) blanc puissant en arôme, évoquant les agrumes très mûrs, avec une pointe de fraîcheur au goût. Il s’accorde bien avec les poissons fraîchement pêchés des lacs du terroir alsacien, ou tout simplement accompagné d’une assiette de fromage. Le vigneron Bruno Hertz nous parle également « d’un coup de cœur » pour le Gewurztraminer Sélection de Grains Nobles 2007, issu d’une vendange sur mûrie. Les grains atteints de pourriture noble lui donnent toute sa richesse. Ample et souple en bouche, il révèle un doux parfum de fruit exotique. Un travail où le terroir est priorisé Respectueux et attentif dans la fabrication du vin, Bruno Hertz n’hésite pas à vanter des techniques particulières quant à la production de ce breuvage. Il priorise dans ses champs de vignes l’utilisation de fumier de cheval et s’aide d’un logiciel pour l’optimisation et l’évaluation des risques phytosanitaires. Les récoltes se font manuellement, et sont synonymes de fête chez les Hertz, où vendangeurs et producteurs se réunissent pourles repas et surtout celui de fin de vendanges. Après les vendanges, la garde dans les anciennes caves contribue à donner aux vins toutes leurs qualités organoleptiques. Des saveurs et des arômes qui se dégustent à l’occasion d’une visite au domaine, durant laquelle Bruno Hertz convie les touristes à faire un tour dans les vignobles avec sa 2CV. ...
Verdun, 21 février 1916. Le soleil se lève à peine que l’armée allemande déchaîne des tirs d’obus sur les lignes françaises. Cet assaut marque le début de 300 jours et de 300 nuits de combats terribles, sans discontinuité, qui sera l’affrontement le plus meurtrier de la Grande Guerre. La Bataille de Verdun emporte avec elle pas moins de 300 000 êtres chers. Depuis 1996, l’événement-spectacle Des flammes…à la lumière évoque cet épisode tragique de l’histoire avec émotions intenses, à travers un gigantesque spectacle de son et lumière à 360°. De la guerre… à la paix Ce projet ambitieux et sans pareil en Europe a été relevé haut la main par l’association Connaissance de la Meuse, fondée et présidée par Jean-Luc Demandre, qui n’est autre que le metteur en scène et coscénariste de l’événement. « Notre idée de départ était de rendre hommage à tous les combattants en revivifiant l’histoire dans la mémoire collective », explique-t-il. En recueillant les documents d’archives, les traces écrites, les divers ouvrages et les témoignages des anciens combattants, il décide d’approcher le sujet par un regard croisé à la fois sur les soldats au champ de bataille que sur les civils. D’un côté, le scénario se rapproche de l’expérience pénible que devaient vivre les hommes, les femmes et les familles déchirés par la guerre et obligés d’abandonner leur village dans les larmes. Le spectacle veut s’incruster dans le quotidien de ces gens lambda qui se retrouvent du jour au lendemain au milieu d’une guerre sans merci. Quelques kilomètres plus loin, les soldats des deux camps ennemis s’affrontent sans relâche, se blessent et se redressent, tombent et se relèvent en essayant de survivre dans le froid, dans la nuit, dans la boue, entourés de rats et des poux... Au cœur de ces moments ténébreux, l’histoire met en lumière le récit de deux jeunes soldats français et allemands qui vont croiser le chemin d’un Belge devenu volontaire pour soigner les blessés de guerre. Émotion, sacrifice, amitié, dévouement s’entremêlent dans leur histoire. Vers la fin du spectacle, « à l’évocation de l’armistice, nous avons deux soldats qui se donnent une poignée de main : Verdun est un haut lieu de la souffrance mais aussi un haut lieu de l’espoir. L’espoir que non seulement la paix est possible, mais que les ennemis d’hier peuvent vivre en amitié et en harmonie aujourd’hui », nous souffle Jean-Luc, une pointe d’émotion dans la voix. Un spectacle vivant Cet événement-spectacle de la guerre 14-18 représente la plus grande performance jamais réalisée en France. Il se déroule sur une scène de deux hectares à ciel ouvert avec une tribune de 2 500 places numérotées. Un panorama impressionnant éclairé sous le feu de 1 000 projecteurs et souligné par des jeux de lumière et des effets spéciaux exceptionnels pour une expérience mémorable. « Nous utilisons des techniques du théâtre et du cinéma pour réaliser le spectacle en s’appuyant sur un parc de matériel à la pointe, sans pour autant effacer l’humain qui est au cœur de la performance », souligne notre interlocuteur. Pour l’été 2018, marqué par le centenaire de la Grande Guerre, de nouvelles scènes s’ajouteront à l’événement, notamment la première bataille aérienne de l’histoire, une fête foraine dans une ville d’arrière-front et des confessions poignantes entre l’arrière et le front. En apothéose, des éléments de décor surgissent de part et d’autre au rythme du spectacle, créant ainsi des émotions et des surprises sans fin. Par ailleurs, près de 900 costumes sont confectionnés sur mesure pour les 250 acteurs français qui feront vivre l’histoire. Derrière, le spectacle Des flammes… à la lumière mobilise pas moins de 450 bénévoles passionnés, petits et grands. Ils prennent part à la scénographie, la logistique, les préparatifs tec...
Dans le Lot, plus précisément dans la commune d’Alvignac se trouve un restaurant de charme Chez Ernestine. « Les touristes s’y bousculent pour y découvrir les produits du terroir travaillés suivant des recettes d'antan revisitées par le chef » nous déclare Amandine Calore, maîtresse des lieux. Un chef inspiré… Cet établissement de charme doit sa renommée à son cadre « bistrot chic », mais surtout à sa cuisine traditionnelle teintée de l’inspiration de Joshua Laillier. À 28 ans, le jeune chef tient les rênes de la cuisine avec pour mots d’ordre « faire plaisir tout en se faisant plaisir ». Il fait ses armes au sein du lycée hôtelier de Souillac, avant d’acquérir toutes les bases de la gastronomie et de la brasserie en travaillant dans de nombreux établissements. Cet amoureux des bons produits du terroir se plaît à proposer des assiettes copieuses, des recettes revisitées et un visuel très festif. Ses spécialités ? « La terrine de foie gras maison en entrée, une souris d’agneau confite aux pruneaux et au pain d’épice en plat de résistance, et un tiramisu spéculos banane en dessert ». Un bon vin rouge de Rocamadour relèvera les saveurs de ces plats raffinés. Un cadre style « bistrot chic » Cette cuisine bistronomique est servie dans un cadre original « offrant une belle dualité entre modernité et tradition » selon les explications d'Amandine Calore. Les nappes en vichy, le plafond bas et l’immense bar suggèrent déjà que vous allez passer un bon moment. Les couleurs dans des teintes crème contrastent bien avec la profondeur du bois omniprésent. La devanture, avec ses pierres apparentes, souligne le charme traditionnel des lieux. À l’extérieur, la terrasse ornée de belles plantes et de parasols peut accueillir 50 couverts, et baigne l’atmosphère sous le beau temps du Sud-Ouest. ...
Basé en France, Asian Roads est un réseau d’agences spécialisées dans la conception de circuits sur-mesure en Asie. Découvrez l’Asie autrement Si vous rêvez de visiter l’Asie, mais que vous ne voulez pas d’un voyage tous frais payés qui vous balade d’hôtel en hôtel, le réseau d’agence Asian Roads répond à vos envies. Grâce à l’expertise et les connaissances de dizaines de correspondants français sur place, l’entreprise vous offre toutes les clés pour profiter d’un voyage authentique et enrichissant. Parmi les circuits sur-mesure, privés et individuels, proposés par Asian Roads, il est impossible de passer à côté de la région du Yunnan en Chine. Réputée pour être la plus belle province du pays, vous vous promenez hors des sentiers battus afin d’être en immersion totale au cœur de minorités diverses. L’occasion de découvrir des petits villages typiques et magnifiques (dont le village Tuanshan), les splendides rizières en terrasse du Yuanyang, le site de la forêt de pierre, les terres rouges de Dongchuan ainsi que les Gorges du Saut du Tigre (canyon sur le fleuve Yangzi). Asian Roads : le réseau d’agence de voyages spécialiste des circuits sur mesure en Asie L’histoire d’Asian Roads commence en 2007. Initialement, le réseau est basé en Chine. Puis, au fil du temps, il a commencé à s’étendre sur tous les pays d’Asie. Aujourd’hui, grâce à ses 22 conseillers répartis sur tout le continent asiatique, Asian Roads a permis à plus de 15 000 voyageurs de vivre une expérience mémorable. La raison de ce succès : la connaissance parfaite du terrain et la volonté de proposer des tarifs en direct sans intermédiaire. Ce qui réduit les frais de voyage. De plus, Asian Roads prend le temps d’écouter chaque client afin de mettre en place le circuit adapté. ...
En plus de profiter d’un emplacement privilégié, le Château Lafon a su magnifier un terroir prodigieux pour nous proposer deux vins blancs liquoreux d’exception. Le Château Lafon : une enclave au milieu des vignes du Château d’Yquem Le Château Lafon est une propriété familiale qui a été achetée dans les années 1920 et qui a été, ensuite, transmise de génération en génération. Localisé en plein milieu du Château d’Yquem, dans le Sauternes, le domaine (qui a obtenu la certification HVE) dispose de 12 hectares de vignes 100% Sémillon. Pour en arriver à ce vin blanc liquoreux aux notes de noisette, de miel et d’acacia, chaque cuvée est élevée avec passion et amour du terroir. Ainsi, après une vendange manuelle par tri successif, le vin passera par des cuves en inox et sera finalement vieilli en barriques de chêne pendant 12 mois. Ce qui permet de créer le Château Lafon et le Château Nauton, tous deux multi-récompensés et accompagnant aussi bien un foie gras qu’un dessert chocolaté ou fruité. ...
Du cognac dans toute son authenticité. C’est la promesse faite par la maison Frapin à tous les amateurs de cette prestigieuse eau-de-vie, symbole de l’art de vivre français. Avec son vignoble exceptionnel, la maison Frapin incarne avec passion la grande tradition d’une famille installée en Charente depuis 1270. Le vignoble de plus de 240 hectares situé au cœur de la Grande Champagne, l'appellation la plus prestigieuse du Cognac, jouit d’un terroir unique qui apporte complexité, richesse, élégance et finesse aux cognacs. Des produits dont la régularité et la qualité se maintiennent depuis le XIX siècle… Une belle épopée familiale Difficile de parler de Cognac Frapin sans évoquer son historique familial dont le prélude s’entame au XIIIème siècle, lorsque la famille Frapin s’installe en Charente, à Ségonzac. À l’époque, elle se lance dans les activités de viticulture car le cognac n'existait pas encore. C’est à partir du milieu du XVIIème siècle que la production cognaçaise s’amorce. Pour symboliser la marque, la famille choisit la plume en hommage à François Rabelais, célèbre écrivain humaniste et épicurien, fils d’Antoine Rabelais et d’Anne-Catherine Frapin. D’ailleurs, des cuvées « Rabelais » ont également été produites au domaine pour faire honneur à cet illustre aïeul. L’histoire de Frapin est également liée à un autre grand personnage qui n’est autre que Gustave Eiffel. En 1889, à l’occasion de l’exposition universelle de Paris, Pierre Frapin reçoit une médaille d’or symbolisant la qualité des cognacs Frapin. « Les deux personnages font connaissance durant cet évènement. Trois ans après, en 1892, l’équipe de Gustave Eiffel est venue réaliser la charpente métallique d’un chai que l’on montre lors des circuits de visite », raconte l'équipe de communication. De la vigne au flacon Grâce à sa position géographique privilégiée au cœur de la Grande Champagne considérée comme le Premier Cru de cognac, la maison Frapin parvient à produire des vins sublimés par une intense richesse aromatique. « Des vins qui donnent ensuite naissance à des eaux-de-vie plus fines », tient à préciser Patrice Piveteau, Maitre de chai. Ici, seul le cépage Ugni-blanc est cultivé car il a pour atout d’offrir une certaine acidité et une plus grande régularité. Après les vendanges et la vinification, la magie s’opère lors de la distillation faite de façon artisanale. « Nous distillons tout sur lies car cette technique procure une meilleure richesse aromatique », fait savoir notre interlocuteur. Place maintenant au vieillissement. Toujours dans cette quête d’authenticité, le Maître de Chai mise sur deux styles qui diffèrent selon le type de chai. Patrice Piveteau nous explique. « Nous utilisons des chais humides posés à même le sol sur de la terre battue. L’évaporation modérée procure au cognac plus de rondeur et de souplesse. En parallèle, nous avons également des chais secs placés à l’étage sous les toits. L’évaporation accentuée donne un cognac plus fort et puissant avec plus de finesse. » De ces procédés minutieux et originaux naissent des cognac XO haut de gamme comme le XO VIP et l’EXTRA. Le Château Fontpinot XO Frapin mérite aussi toutes les attentions par son caractère exclusif. « Au niveau de la Grande Champagne, nous sommes la seule maison de cognac à détenir cette appellation Château ». Un savoir-faire à venir découvrir avec le circuit de visite que propose la maison toute l’année sur RDV. ...
Pouvez-vous nous présenter Orphanet dont vous assurez la direction ? Orphanet a été créé en 1997 par l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) et confiée au Dr Ségolène Aymé qui l’a mis en place à l’époque. Il s’agit d’un site qui compile l’ensemble des connaissances actuelles sur les maladies rares ainsi que sur les médicaments orphelins pour les mettre à la disposition des internautes. La base de données Orphanet est largement consultée, aussi bien par les malades que par les professionnels de santé, les étudiants et les chercheurs. Comment expliquez-vous un tel succès ? Avant la création d’Orphanet, on manquait cruellement d’informations sur les maladies rares. Le grand public mais aussi les professionnels ont alors pu accéder à des données d’une grande utilité : inventaires des pathologies rares et des médicaments orphelins, répertoires des associations de patients, des centres experts, des laboratoires médicaux, des professionnels de santé, des recherches en cours… Aujourd’hui, en revanche, l’information est partout. C’est pourquoi, tout en continuant de diffuser de l’information, Orphanet effectue également un tri. Nous vérifions systématiquement chaque information et sélectionnons celles qui sont les plus pertinentes. De cette façon, notre base de données a vocation à être à la fois la plus complète et la plus fiable possible. Selon vous, l’amélioration de la prise en charge des patients atteints de maladies rares passe-telle par l’accès à l’information ? Oui, l’accès à l’information est effectivement capital à la condition toutefois que la source de cette information ait été vérifiée. Mais si la réduction de l’errance diagnostique et l’amélioration de la prise en charge des patients passent en partie par l’information, elles passent également par la formation. Les professionnels de santé devraient développer le réflexe, en cas de doute ou de difficultés à poser un diagnostic, d’envisager une maladie rare et de consulter Orphanet pour y trouver l’information dont ils ont besoin. La « culture du doute » devrait donc être encouragée ? C’est évident. Du fait de leur grande diversité, il est impossible pour un médecin de connaître toutes les maladies rares. Mais comme je le disais, chez les médecins, le recours à Orphanet devrait devenir une sorte de réflexe. De même, des modules consacrés à l’étude des maladies rares gagneraient à être intégrés dans les cursus des professionnels de santé, sous la forme d’une formation continue, par exemple. Orphanet a largement contribué à diffuser de l’information sur les maladies rares. Depuis sa création, en 1997, quels sont les problèmes que ce site a pu rencontrer ? Les progrès récents qui ont été accomplis en termes de génétique ont entraîné une explosion de la littérature scientifique à laquelle nous avons dû nous adapter. De même, nous veillons à réactualiser régulièrement nos répertoires : centres experts, associations, professionnels de santé, laboratoires médicaux proposant des tests génétiques, essais cliniques en cours, etc. Mais cette actualisation reste largement dépendante des professionnels eux-mêmes.L’une des particularités d’Orphanet tient au fait que l’information proposée est la même pour les professionnels et le grand public (seules les voies d’accès sont susceptibles de changer). Ce souci de transparence est-il votre marque de fabrique ? Oui, absolument. Cette transparence, nous y sommes très attachés. Bien sûr, certains textes sont vulgarisés afin d’être plus facilement compréhensibles par le grand public. Mais il s’agit de la même information qui sera partagée par tous. Et rien n’empêche les malades qui sont devenus des experts de leur pathologie de consulter les articles et les recommandations destinés aux professionnels de santé.L’information que vous mettez à la disposition des malades et des professionnels de santé est complétée et actualisée régulièrement. Comment vous y prenez-vous ? Notre base de données s’enrichit constamment. Pour cela, nous avons mis en place une veille de la littérature scientifique. Certains textes ont été rédigés par les équipes d’Orphanet avant d’être relus par des experts de la maladie rare qui y est abordée. D’autres textes sont écrits par des experts puis revus par un comité éditorial avant d’être publiés. Enfin, nos équipes de l’INSERM vérifient et réactualisent en permanence les informations qui nous parviennent des 41 pays dont se compose le consortium d’Orphanet.Orphanet est une référence mondiale. En combien de langues ce site est-il traduit ? Et combien totalisez-vous de connexions mensuelles ? Nous sommes intégralement traduits dans huit langues. D’autres pays traduisent certaines parties du contenu d’Orphanet. Et nous totalisons plus de 50 000 visiteurs uniques par jour depuis 235 pays. ...
De retour d’un tour du monde où ils ont parcouru l’Amérique centrale, l’Amérique du Sud, l’Afrique, le Proche-Orient et l’Asie, Karine et Jeff Marie s’installent dans le Gers, leur département d’origine, pour créer leurs premières conserves en verre. Leur entreprise Le Bonheur est dans le Pot séduit rapidement les magasins bio du Sud-Ouest. En 2002, ils déménagent à Toulouse. Aidés par une petite équipe, ils étoffent leur gamme pour proposer 132 recettes, toujours dans des bocaux en verre. En 2011, ils font construire un nouveau bâtiment à Revel avec une immense cuisine bénéficiant de la lumière du jour. Vingt personnes en interne et vingt personnes en externe accompagnent cette aventure aujourd’hui. Désormais rebaptisée Karine & Jeff, l’entreprise s’est fait un nom à l’international, que ce soit en Suisse, aux Pays-Bas, en Belgique, au Japon, au Qatar ou encore en Amérique du Nord. Karine & Jeff sont lauréats du prix spécial de l’innovation et de l’économie dans le cadre des Septuors 2017. Des ingrédients sains et naturels… Tous les ingrédients composant les recettes de Karine & Jeff sont sélectionnés avec beaucoup de soin. Ils sont tous issus de l’agriculture biologique. Ils proviennent essentiellement de producteurs régionaux, respectant les qualités gustatives et nutritives de leurs produits. Tous les ingrédients provenant d’autres parties du monde, comme les lentilles corail de Turquie, le quinoa de Bolivie ou les épices, sont également choisis pour leur excellence éthique. Située au pied de la montagne noire, l’entreprise peut aussi bénéficier de la pureté de l’eau du parc naturel régional du Haut-Languedoc. Aucun épaississant, aucun arôme artificiel, aucun colorant, ni conservateur, que des produits sains et naturels pour une alimentation équilibrée. …pour des recettes créatives Hormis des soupes, des purées de légumes, des céréales et des légumes au naturel, vous trouverez dans la gamme Karine & Jeff de nombreuses recettes inspirées de leurs voyages. Par exemple vous pourrez vous régaler d’un tajine de lentilles et potimarron, d’une cocotte de tofu à la mangue ou accompagner votre plat d’un ketchup gastronomique. Tous les ans, une dizaine de nouvelles recettes viennent enrichir l’offre. ...
La nouvelle décoration des restaurants Matsuri vous plonge immédiatement dans un cocon zen, une ambiance chaleureuse et conviviale. Confort acoustique et lumière douce sont au rendez-vous grâce aux lattes en chêne disposées avec élégance au mur et au plafond. Tout ceci est le résultat de la nouvelle charte architecturale établie avec les architectes Moreau et Kusunoki, dont bénéficient déjà 5 restaurants (Boétie, Vincennes, Lyon Presqu’ile, Lyon Part Dieu et Bordeaux). A terme, tous les restaurants vont ainsi être rénovés. Le concept du comptoir tournant Assis sur une confortable chaise en bois devant un comptoir tournant, chaque client apprécie les différents plats proposés. Il peut composer facilement son repas suivant ses envies et son appétit, découvrir de nouvelles saveurs, tester de nouvelles spécialités. Quant aux prix, pas de surprise puisqu’ils sont indiqués par le liséré de couleur des assiettes. Ce concept innovant et ludique séduit tout particulièrement les enfants. L’accueil est assuré avec gentillesse, courtoisie et sérieux par des serveurs qui se feront un plaisir de vous accompagner pour une question ou une commande. Une carte variée Une grande diversité de créations originales respectant la tradition culinaire japonaise est proposée sur la carte. Vous pouvez déguster des préparations telles que la soupe miso, des sashimis, des sushis, des makis, des gunkans, des temakis à la feuille de soja ou à la feuille d’algues nori, des californias (makis avec algues nori à l’intérieur) et des desserts. On retrouve des nouvelles créations chaque saison à travers 2 cartes par an, la collection automne/hiver et printemps/été. Le chef Guillaume Libert élabore plusieurs fois par an des éditions éphémères et les nouvelles créations de la carte. Par exemple vous pourrez savourer à la fin de l’année le duo mousse thé vert yuzu ou le duo gelée de thé vert, coco et fruits rouges en édition éphémère. Tous les sushis sont préparés sur place à partir de produits frais, sous les yeux des clients par les sushi man face au comptoir tournant. Pour les boissons, vous pourrez choisir entre vins blancs, vins rouges, bières japonaises ou saké. Des plats à emporter ou livrés Bien que spécialisés dans la restauration rapide, les restaurants Matsuri proposent également des bentos à emporter ou livrés à domicile en plus de son large choix de produits. Vous pouvez donc savourer les mêmes produits chez vous ou au bureau. Ils sont accompagnés d’edamame et de riz nature. ...
À 30 min de Bordeaux, à Cadillac, l’hôtel-restaurant du Château de la Tour est implanté à proximité des villages médiévaux et des châteaux forts. C’est dans ce cadre historique et viticole que le chef Flavien Valère et toute son équipe invitent les amoureux de la cuisine classique française à une pause gourmande. Ils leur réservent un accueil chaleureux et s’impatientent à leur faire découvrir de nouvelles saveurs. Le parcours réussi d’un jeune chef talentueux Après un CAP et un BEP, le jeune chef Flavien Valère a décroché son bac pro cuisine en alternance en 2001. Dès lors, il a enchainé 15 ans de périple dans la cour des plus grands, avant de signer chez les frères Durand en 2012, où il travaille actuellement. Il a commencé sa carrière en 2002 dans le prestigieux hôtel-restaurant**** du Château du Grand Barrail, à Saint-Émilion, puis chez Le Bateau Ivre, à Courchevel, à l’Hostellerie de Plaisance, à Saint-Émilion, au Belvédère de Porto-Vecchio et au Bakéa de Biriatour. Il retourne finalement à Béguey, au restaurant du Château de la Tour.Artiste passionné et créatif, le chef Flavien Valère se fait surtout remarquer par sa cuisine de saison. Grâce à son talent, le restaurant a obtenu deux fourchettes Michelin en moins d’une année. Accueillant, le chef peut même recevoir dans sa cuisine : un privilège que l’équipe de l’émission télévisée « Des racines et des ailes » a immortalisé sous les caméras, lors de son passage dans la région. Le chef collabore également avec d’autres confrères à l’occasion de dîner à quatre mains. Dernièrement, il a mis en commun son savoir-faire avec celui de Vivien Durand, chef étoilé du restaurant Le Prince Noir, à Lormont, pour concrétiser un repas de haute voltige. Une Assiette Michelin aux tarifs modérés Au restaurant du Château de la Tour, les recettes traditionnelles sont sans cesse renouvelées et réinventées. Elles gardent, néanmoins, la saveur authentique d’une cuisine classique et « fait maison ». Le chef sait comment impressionner les palais avec de nouvelles associations de produits, fraichement issus des champs ou des fermes avoisinants. Ses recettes suivent l’air du temps et sont riches en gout, un savoir-faire qui a récemment valu une Assiette Michelin au restaurant.Il est possible de commander à la carte ou d’opter pour un menu. Les épicuriens se feront une joie de déguster le menu Plaisir à 31 €, qui propose en entrée un saumon gravlax, suivi d’un plat de porc en croute de sésame et se termine en beauté par un macaron aux fruits rouges.À 41 €, le menu Tentation commence par un esturgeon fumé, blinis et crème aigrelette suivi d’un filet de bar aux algues wakamé, moules et coques en marinière et qui s’achève avec un succulent vacherin glacé ananas-noix de coco-rhum.Le menu Découverte, quant à lui, invite à une aventure culinaire. Le chef réserve des plats imaginés selon son humeur, toujours dans le cadre du classique. Ici, rien n’est énoncé. Les convives se laisseront surprendre par l’imagination du maestro en cuisine. Un endroit unique et mémorable Le restaurant du Château de la Tour se distingue par ses larges baies vitrées offrant une belle vue sur le Château des Ducs d'Epernon ( monument historique du XVIIème siècle). La pièce, plutôt spacieuse, est dotée d’un charme particulier. L’espace entre le plafond et le sol affiche une belle élégance, digne d’un véritable château. Tout y est royal : l’endroit, la saveur des plats et l’ambiance sympathique encouragent l’appétit. La terrasse, un autre espace supplémentaire où il fait bon manger, offre une vue sur le parc arboré. Dans ce décor bucolique, la beauté des cèdres tricentenaires qui surplombent les jardins est un plaisir pour les yeux. À l’horizon, le charme médiéval des vieux villages et des châteaux forts ouvre sur un autre temps. ...
Les 2 cofondateurs d’Ahooga travaillaient dans la même entreprise bancaire quand à 40 ans ils cherchent à donner plus de sens à leur quotidien. Ils font le constat que les infrastructures routières et de transport ne sont plus adaptées au changement démographique. Convaincus que le tout voiture ne fonctionne plus, ils souhaitent proposer une solution de transport plus efficace et plus heureuse. L’un amoureux de la ville, l’autre cycliste, ils optent rapidement pour le développement d’un vélo dédié aux déplacements urbains, pour une meilleure mobilité. Ainsi est né en 2015 le premier vélo Ahooga, un vélo de qualité, pliable, design, confortable, compact, électrique (ou pas), léger et facile à transporter plié. Grâce à ce concept, ce vélo peut facilement être rangé à l’intérieur de votre maison ou de votre bureau, un atout important pour le protéger des intempéries et limiter les risques de vol. Avec les vélos Ahooga, plus aucune contrainte de déplacement puisqu’il répond aux besoins des cyclistes urbains. Avec le vélo à assistance électrique, vous aurez l’impression que toutes les villes sont plates. Avec l’autonomie de sa batterie, vous pouvez parcourir jusqu’à 75 kilomètres en toute tranquillité. Avec son poids léger (10kg, 13kg avec la batterie et le moteur), sa facilité de pliage et sa taille compacte, il devient vite intermodal pour vous permettre de combiner les transports sans difficultés. Actuellement, 8 modèles sont proposés, pour toute personne mesurant entre 1m60 et 2m. Ces vélos sont disponibles chez 150 revendeurs dans 10 pays européens, dont 60 magasins spécialisés en France. Récompenses Malgré sa courte existence, le vélo Ahooga a déjà été récompensé par deux fois : en 2018 par le German Design Award et récemment par le Red Dot Design Award. ...