Earl Vignobles Lopez : une AOC Bordeaux Supérieur L’AOC Bordeaux Supérieur s’étend sur 9 000 hectares de vignoble pour une production de 519 000 hectolitres. Elle affiche une vaste diversité de reliefs, d'expositions et de sols à la fois propices à la culture de la vigne blanche et rouge. Les vins sont élaborés à partir des Cabernet-Sauvignon, du Merlot et du Cabernet franc. Le petit Verdot et le Malbec sont des cépages d’appoint. Ici, chaque production a sa particularité puisque les vignerons respectent la nature et préservent la biodiversité. Avec les Vignobles Lopez, une histoire passionnante commence toujours ! Les Vignobles Lopez sont un domaine viticole exploité et mis en valeur depuis plus de 50 ans par la famille Lopez. C’est en 1963 que cette aventure a débuté avec Lopez Camàra Jean et son épouse qui ont été rejoints par leurs fils en 1980. Ils ont ensuite passé le flambeau à leur petite fille Géraldine qui a apporté une touche de fraîcheur et a renouvelé le vignoble. C’est aujourd’hui un beau domaine d’AOC Bordeaux Supérieur. Les vins issus des vignobles Lopez sont un assemblage de Merlot et de Cabernet-Sauvignon et petit Verdot. Les cépages bénéficient d’un climat doux avec des sols sablo-graveleux, sablo-argileux et argilo-calcaires. Grâce à ces conditions favorables, « on travaille le maximum de raisins avec une date de récolte optimale » nous explique Géraldine Lopez. Le château de l’Hermitage, un vin travaillé dans le plus grand respect de l’environnement Selon Géraldine Lopez : « le vin est victime de certaines dérives technico-mercantiles. Les produits chimiques créent des dégâts considérables. Il faut réfléchir à un moment donné pour continuer à vivre en équilibre avec la nature ». C’est donc face à cette situation qu’elle et sa famille ont opté pour une agriculture 100 % bio, une valeur qualitative encore mal comprise par certains vignerons. Elle met un point d’honneur à travailler ses terres dans le plus grand respect de l’environnement. La récolte est vinifiée après égrappage complet et mise en cuve ciment et d’inox. Les vins sont élevés pendant neuf mois minimum avant leur commercialisation. Bien évidemment, le jus est gooté régulièrement pour connaître le moment précis où on doit le sortir des barriques. L’alliance des méthodes traditionnelles et des techniques modernes a notamment permis d’obtenir un succulent millésime certifié « AB » en 2013. Grâce à cette originalité, les Vignobles Lopez ont été médaillés à Paris, Bordeaux et ont reçu des médailles d’or au Concours International Gilbert & Gaillard. Château de l’Hermitage, un véritable délice pour les gourmets La diversité des cépages présents sur le domaine permet des cuvées très personnelles. Les gourmets peuvent déguster du bordeaux rosé, du bordeaux blanc sec ou à l’arôme floral et au gout très aérien. Le Château de l’Hermitage est un vin composé de 50 % de Cabernet et 50 % de Merlot, avec une bonne persistance. Il est élevé pendant 2 ans pour avoir une qualité optimale de dégustation. À l’œil, il a une robe rubis avec une belle limpidité. Il amène la finesse et la sucrosité en bouche. Le Château Lagrugère, deuxième vin de l’exploitation, est issu de vieilles vignes situées sur le haut des coteaux d’Albret, sur des terres argilo-calcaires. C’est un vin aux arômes fruités et agréable en bouche. Il est utilisé pour l’export (Allemagne, Chine, Danemark, Japon, île de la Réunion). « Il est intéressant d’ouvrir les bouteilles une heure avant dégustation pour qu’elles soient plus expressives », précise la gérante du domaine. ...
La Maison Huguenot-Tassin a été créée en 1984 par Benoît et Marie-Claire Huguenot. Établie sur la commune de Celles-sur-Ource, elle travaille un vignoble d’une superficie totale de six hectares. Avec un sol à dominance argilo-calcaire, son terroir bénéficie d’un climat favorable « rappelant celui de la région champenoise et de la Bourgogne », nous fait savoir Édouard Huguenot le gérant du domaine. S’épanouir dans la viticulture raisonnée Trouver le juste équilibre entre la qualité de ses récoltes et le respect de l’environnement, telle est la devise de la Maison. Au moment du traitement du sol et à chacune des étapes de la production, elle cherche à intégrer au maximum ce concept. Depuis sa création, Huguenot-Tassin tient à perpétuer des méthodes de travail qui prennent en compte les impératifs écologiques. « On raisonne la nutrition de la vigne, on soigne le choix des produits utilisés pour la protection des végétales », explique Édouard Huguenot. Ce concept va encore plus loin car la maison applique la méthode prophylactique dans l’exploitation de ses vignes. Cette approche préventive vise à empêcher les apparitions des bioagresseurs ou à en minimiser l’effet. Et les résultats sont là : « On obtient une meilleure qualité des raisins, avec une belle maturité précoce », reprend Édouard Huguenot. Se soucier de la nature lui permet d’avoir une récolte plus saine pour des vins plus expressifs et équilibrés. Les spécialités de la Maison La cuvée Noire Spéciale, les Fioles, et la cuvée Tradition sont les incontournables de la Maison Huguenot-Tassin. La cuvée Noire Spéciale est composée spécialement des meilleurs pinots noirs. C’est l’excellence en termes de qualité des raisins, de goût et de finesse. Elle est élevée en cave jusqu’à dix ans afin d’obtenir une belle maturité. Les Fioles, en revanche, sont élaborées à partir de chardonnay et de pinot blanc. « L’idée est d’avoir un produit qui photographie l’histoire du terroir sur une année », justifie Édouard Huguenot. Elle se décline en Fioles rosées brut, recommandées pour l’apéritif et au moment de repas. La cuvée Tradition pour sa part se définit comme un champagne de fraîcheur et de gaieté. Le mélange de pinot noir et pinot blanc donne au produit un arôme exaltant et à la fois léger. ...
Installé dans l’un des « plus beaux villages de France », dans le village médiéval fortifié de Montpeyroux, le Bistrot Zen offre un cadre sympathique et convivial en plein cœur de la campagne avec quarante couverts à l’intérieur et quarante à l’extérieur. Racheté en 2014, l’établissement a été entièrement restauré de façon à créer une ambiance originale, moderne et chaleureuse, depuis la salle à manger à la cuisine jusqu’à la cave à vin. « Cette ancienne cave est constituée de petites salles voûtées en pierre avec des recoins partout, des bougies, des petits éclairages…», révèle le chef et propriétaire Cyrille Zen en parlant de cet espace qui fait sa fierté. Une cuisine de bistrot originale et locale Ayant un goût particulier pour les « bons produits », le chef Cyrille Zen se distingue par sa cuisine qui mélange la tradition et la modernité. Ouvert il y a trois ans, le Bistrot Zen a été créé à partir d’un concept original qu’est la cuisine de bistrot. Les plats sont généreux, mais soignés et élaborés avec, essentiellement, des produits de la région. Grâce à une collaboration étroite avec les producteurs locaux, qui se trouvent dans un rayon de trente kilomètres environ, « nous changeons les cartes tous les mois et demi ou tous les deux mois selon les saisons », explique le chef. À côté de son établissement étoilé à Saint-Jean-en-Val, en Auvergne, « ici, nous proposons des plats signatures – ma propre signature culinaire, mais avec des formules plus abordables pour les personnes qui n’ont pas le moyen de venir chez nous en tant qu’étoilé », souligne-t-il. Composées de trois entrées, trois plats et trois desserts, les formules de menu « entrée-plat », « plat-dessert » ou « entrée-plat-dessert » peuvent être accompagnées de fromage en supplément si besoin est. Comme plat emblématique, le chef est reconnu pour ses choux farcis à la joue de bœuf, avec en entrée des asperges, des escargots ou du maquereau mariné façon aigre douce. Au dessert, il suggère du chocolat et de la framboise. Avant de partir, l’établissement propose de déguster des vins de la région culturelle et historique d’Auvergne. Sous la conduite de la femme du chef, Audrey, la cave du Bistrot Zen conserve une panoplie de références de vins de toutes les régions françaises, notamment du Languedoc. Toutefois, « nous privilégions des produits de vignerons locaux à l’instar d’Yvan Bernard, pour faire découvrir des vins qui ne sont pas des produits de négoce », précise le propriétaire. ...
Stéphane de Luze, propriétaire du Château de Briat où il produit ses Armagnacs, porte avec passion l’héritage familial dont il représente la 5ème génération. Sa vocation a recueillir les fruits de la terre, à les transcender pour en obtenir des Armagnacs authentiques, s’accompagne d’une autre volonté : accompagner le précieux élixir dans sa nouvelle et légitime ascension. Loin des grosses productions dont profitent d’autres alcools plus populaires, l’Armagnac préserve sa rareté, enfant prodige de petits producteurs ou du "Craft Spirit" depuis toujours Un véritable savoir-faire derrière des Armagnacs charismatiques Les vignes du domaine Pichon-Longueville s’étendent sur 8 hectares, où s’épanouissent des cépages de Baco, de Colombard ou de Folle Blanche. Ici, la production est délibérément limitée. L’agriculture est raisonnée et conjugue tradition et modernité. Un long travail de distillation, un élevage et un vieillissement en barrique de chêne Gascon dont les Armagnacs retiendront la couleur ambrée et une maturité exceptionnelle, donnent à ces bouteilles leur caractère unique, fin et puissant à la fois. Une eau de vie à savourer lors de précieux instants et dont le domaine vous confie la quintessence et le poème. ...
Lancée en 1981, La Roumanière est un Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) implanté dans le département du Vaucluse. Elle fait partie des établissements fondés par l’Association Vauclusienne d’Entraide aux Personnes Handicapées (www.aveph-asso.com). Un établissement en plein essor Établie sur le village de Robion, une localité située au cœur du verger provençal, La Roumanière se spécialise dès son origine dans la fabrication de confitures, qu’elle complète par celles de biscuits et de miels. Ses activités se sont tournées principalement vers les marchés du domaine de l’agroalimentaire. « On a continué à développer l’activité avec une biscuiterie en 2009 et, depuis 2012, nous avons développé un site de production à Avignon », précise Norbert Guillarme, le directeur de l’établissement. L’enseigne compte actuellement plus de 600 clients actifs. Ces fidèles consommateurs sont composés de maisons d’hôte, de commerces de proximité « et même de compagnies aériennes », nous souffle-t-on. Insertion sociale et professionnelle Fidèle à ses valeurs et à ses engagements, La Roumanière favorise l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. Son personnel est constitué de quatre-vingt-trois personnes « extraordinaires ». « J’ai trente-huit personnes sur le site originel de production situé à Robion, cinq autres personnes assurent la logistique et la préparation des commandes en expédition dans le monde entier, et quarante personnes sur le site de production d’Avignon », précise notre interlocuteur. «Ces personnes bénéficient d’un accompagnement socio-professionnel permanent. » Des produits prestigieux Grâce à leur saveur exquise, les confitures sont des douceurs indétrônables de la gastronomie française. Afin d’être à la hauteur des besoins des consommateurs, La Roumanière propose une quarantaine de variétés de confitures avec des conditionnements variés, allant du pot en verre de 25 g à 1 kg. « Les best-sellers, ce sont les confitures très classiques à base d’abricots, de fraises ou de figues. Nous avons aussi une dizaine de variétés qu’on appelle "la confiture de prestige" », fait savoir Norbert. Catégorisées dans les produits haut de gamme, les confitures de prestige sont confectionnées à partir d’un cocktail de fruits et d’alcool. Conçu à partir d’une recette traditionnelle, le confit de figue au nougat est un autre incontournable qui fait des ravages surtout en période de fin d’année. Ce produit gourmand au goût authentique accompagne parfaitement un plat de foie gras. Attestant de la qualité des produits, ces derniers sont référencés dans les meilleurs guides comme Le Guide du Routard ou Le Petit Futé et cela, depuis plus d'une dizaine d'années. ...
Situé sur les appellations de Fronsac et Canon-Fronsac, le château Barrabaque propose à tous les amateurs de vins, experts comme simples curieux, de grands vins de Bordeaux à dominante merlot. Château Barrabaque : une histoire de famille. Le Château Barrabaque est une propriété qui datent du 18ième siècle. Après être tombé amoureux de la région et de ses vignobles, Achille Noël fait l’acquisition du Château. Nous sommes en 1936 et ce brasseur, mais aussi négociant en vin de la région lilloise, va se lancer dans la production de vins. Lorsqu’Achille prend la retraite, son fils Bernard et sa belle-fille Nicole lui succèdent. Au décès de sa maman en 2004, Caroline Noël-Barroux n’hésite pas à quitter son emploi de maître de chai en grands crus classés pour prendre les rênes de cette propriété exceptionnelle afin d’y élaborer des vins de grandes qualités. En effet, avec en poche un diplôme d’ingénieur en agronomie option viticulture, viniculture et œnologie, elle possède toutes les compétences pour moderniser la propriété. Château Barrabaque : la pratique d’une culture raisonnée écoresponsable. Le Château Barrabaque s’étend sur 10 hectares de vignes. Ce Château profite d’un fabuleux terroir en côteaux exposés plein sud majoritairement argilo-calcaire. Toutes les conditions sont réunies pour élaborer des vins savoureux et originaux. Mais l’élaboration d’un vin commence par le travail de la vigne et Caroline le sait bien. Elle continue ce que ses parents avaient débuté, il y a plus de 20 ans, avec encore plus de rigueur : la pratique d’une agriculture raisonnée et écoresponsable. Elle a ainsi obtenu la certification HVE (Haute Valeur Environnementale) en 2019. À la découverte des cuvées nouvelles et traditionnelles En prenant les rênes de la propriété, Caroline Noël-Barroux a souhaité marier savoir-faire traditionnel et créations plus originales. Actuellement, le Château Barrabaque vous propose 6 vins différents : - Le caprice de Caroline est un vin blanc sec 2/3 Sauvignon Blanc et 1/3 Sémillon. Sa fermentation et son élevage en Barriques donnent naissance à un vin original de grande qualité. Amateurs de vins blancs, n’hésitez pas. Ce vin frais et fruité accompagne parfaitement l’apéritif, le poisson ou les fruits de mer. - Le Barrabaque Rosé est un vin très fruité issu d’un assemblage de 50% Merlots, 50% Cabernets. Nous vous conseillons d’aller déguster cette création originale et surprenante. Très bien pour vos apéritifs, déjeuners et dîners autour d’un barbecue (poissons, viandes rouges ou blanches). Médaillé d’Argent en 2019 au concours des Vignerons Indépendants. - Le Château Barrabaque Tradition appellation Fronsac (70% Merlot, 20% Cabernet Franc et 10% de Cabernet Sauvignon). Elevage en barriques pendant 15 mois. Ce vin fruité et charnu accompagnera aussi bien grillades, daubes, ragouts et gibiers. Médaille d’Or du concours des Vins des Vignerons Indépendants 2012, Guide Hachette, James Sückling. - Château Barrabaque Prestige appellation Canon-Fronsac (80% Merlot, 18 % Cabernet Franc et 2% de Malbec). Elevage en barriques neuves et de 1 vin pendant 18 mois. Ce vin complexe, élégant et charnu accompagnera parfaitement les viandes rouges et gibiers dans leur jeunesse, les viandes blanches après quelques années de vieillissement. Récompensé de multiples fois coups de cœur au Guide Hachette, James Sückling, Yves Beck. - Château Barrabaque Cuvée Hugo appellation Canon-Fronsac (50% Merlot, 20% Cabernet Franc et 10% de Cabernet Sauvignon). Fruité et croquant, il est idéal pour accompagner viandes rouges ou blanches. Récompensé lui aussi par le guide Hachette. - Château Barrabaque Divin appellation Canon-Fronsac (50% Merlot, 50% Malbec). Une création très originale aux notes épicées et fruits noirs. Amateurs de Malbec, n’hésitez pas à venir le découvrir : il accompagnera les gibiers, les desserts chocolatés ou à l’apéritif. Noté par James Sückling ...
Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près. La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux. Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine. À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts. Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement. Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...
De Nice à Marseille, en passant par Perpignan, les oliveraies françaises du Midi, destinées à la production d’huiles recouvrent un petit terroir de 13 départements sur l’arc méditerranéen. Cette limitation territoriale est toutefois compensée par la riche variété d’espèces qui y croissent. On en dénombre plus d’une centaine. Un petit terroir riche en contrastes Les oliviers français, et partant les huiles que l’on en extrait, ont du caractère. Et pour cause ! Les régions de production abritent une centaine de variétés endémiques à l’Hexagone. La tanche, la grossane, la picholine, la salonenque, pour n’en citer que quelques-unes. Certaines de ces variétés ne se rencontrent même qu’à l’échelle de quelques communes. Autre trait distinctif du terroir français, l’importante « sentimentalité autour de l’olivier » pour reprendre les propos d’Alexandra Paris. Les oliviers sont entretenus par des agriculteurs mais aussi par des « oléiculteurs familiaux » dont certains cultivent jusqu’à 300 pieds, juste par passion. La non-homogénéité des bassins oléicoles rajoute aux contrastes qui font les traits du terroir national. Les huit appellations d’origine figurant au répertoire français illustrent cette diversité. Celle-ci se retrouve tant dans les variétés plantées que dans les pratiques de culture. Et c’est dans cette diversité que l’huile d’olive française puise sa fierté. Entre les huiles variétales et les AOP, les spécificités aromatiques des huiles du terroir font l’objet d’une attention soutenue. Mission que s’attachent notamment à faire découvrir aux gourmands comme aux curieux des organismes comme l’Afidol, l’association des professionnels de l’olive en France. Petite échelle de production, grande typicité aromatique La France se distingue par sa production confidentielle qui est annuellement d'environ 5 000 tonnes d’huile d’olive. La consommation à l’échelle nationale avoisine pourtant les 105 000 tonnes. Cette rareté à la source n’altère pas moins la qualité du bien. Loin de là : les variétés concourent à créer une multitude d’arômes et de goûts, caractéristiques protégées par des appellations d’origine, pour certaines huiles. L’huile d’olive de Nice, par exemple, se distingue par ses notes marquées d’amande. Ou encore celle de la Vallée des Baux-de-Provence où dominent l'artichaut et les notes poivrées... Pour s’y retrouver dans cette large typicité aromatique, les professionnels classent les huiles d’olive françaises en trois familles de goût (subtil, intense, à l'ancienne). Dans chacune d’elles, les déclinaisons sont encore multiples dans les odeurs évoquées comme dans le comportement en bouche du produit. Chacune de ces huiles ayant une affinité particulière avec un plat donné, qu’il soit chaud ou froid, le répertoire de produits laisse finalement place à une immensité de possibles. Pour en savoir plus : huiles-et-olives.fr. ...
Le chef Francesco Bertuna rapporte à Paris toutes les bonnes saveurs italiennes pour concocter des plats succulents. Il privilégie la création de recettes originales, revisitées ou classiques, élaborées uniquement avec des produits frais et de saison. Une singularité qui impressionne les convives. « Le restaurant propose 2 ou 3 plats du jour qui changent chaque jour. Les clients ne mangent jamais la même chose », indique le chef. En entrée, la salade de crevettes aux pousses d’épinard s’invite dans l’assiette. Cette suggestion fraiche et raffinée est assaisonnée d’huile d’olive, de vinaigre balsamique, sel et poivre. Une petite sauce à la cannelle légèrement sucrée l’accompagne. En plat de résistance, le choix s’annonce large. Entre le Risotto au champignon shiitaké, courgette et aneth et la Linguine au maquereau, fenouil et raisin sec, anchois, câpres et chapelure toastée, les papilles seront définitivement comblées. « Le tout à déguster avec un bon Renosu Rosso ou un vin de chez Marco Dettori », conseille Francesco Bertuna. Car sa carte de vins fait la part belle aux bouteilles italiennes réputées pour la richesse de leurs arômes et de leurs saveurs. Le voyage culinaire s’achève avec une classique tarte à la ricotta, ce célèbre fromage italien à pâte fraiche qui s’utilise dans des préparations aussi bien sucrées que salées. L’alliée favorite de tous les gourmands. Destination l’Italie À table, une généreuse coupelle d'huile d'olive et des baguettes fraiches accueillent les convives. Dans ce cadre très soigné de l’Olio Pane Vino, la clientèle plonge dans une atmosphère cosy et conviviale. Avec ses murs en pierres apparentes, sa décoration intérieure, où le blanc et la couleur crème dominent, rappelle le charme de l’Italie. Les photos en noir et blanc qui ornent les lieux et le mobilier tout en bois, du parquet au sol, créent un design épuré. La lumière intimiste et les longues tables procurent une ambiance parfaite pour les soirées entre amis ou en famille. Une adresse idéale pour des soirées privatisables ou à thème. ...
Actuellement installé à Montreuil, Frédéric Marr et son équipe vont investir de nouveaux locaux en plein centre de Paris, non loin de la rue Montorgueil, dès septembre prochain. Fabrique et boutique y seront installées. La façade vitrée acceptera les regards des passants pour contempler à l’envi le travail des meules en pierre ou celui des chocolatiers. Le plafond sera végétalisé pour rappeler les origines naturelles de tous les produits utilisés. Pour la préparation des chocolats Rrraw, toutes les fèves de cacao proviennent de cacaoyers semi-sauvages de l’Amazonie péruvienne, cultivés à 800 mètres d’altitude. Ce qui fait dire à Frédéric Marr que « le cœur de l’Amazonie va battre au centre de Paris ». Un nouveau process de fabrication La vraie saveur du chocolat, sa délicatesse et ses arômes subtils sont révélés grâce au process de fabrication élaboré par Frédéric Marr : Bean to bar* (*de la fève à la tablette) à cru (sans torréfaction ni cuisson) Les fèves de cacao ne subissent aucune torréfaction ni de conchage. Elles sont fermentées puis sèchent au soleil. Elles sont ensuite broyées finement à la meule de pierre. Tous les autres ingrédients entrant dans la composition des chocolats Rrraw sont végétaux et biologiques. Epices moulues, fruits ou plantes déshydratées, sucre de canne intégral, sucre de fleur de coco, miel ou sirop d’agave, tels sont tous les composants soigneusement sélectionnés pour sublimer les produits Rrraw. Ne contenant aucun produit laitier, ni huile, ni œuf, ni lécithine, ni additif, ni arôme artificiel ni conservateur, les chocolats Rrraw peuvent être savourés par tous les consommateurs soucieux d’une alimentation saine et respectueuse de l’environnement. En effet, tous les produits sont certifiés bio, vegan, sans gluten et solidaire. Des chocolats pour un plaisir quotidien Pour vous faire plaisir au quotidien, vous pouvez choisir une des nombreuses truffes de cacao cru comme les truffes chanvre et cacao ou les truffes miel et pollen, une des tablettes de chocolat cru, nature ou aromatisées, des fèves de cacao cru, et encore du chocolat pâtissier, des pépites de chocolat cru ou poudre de cacao pour préparer de délicieux desserts. Chacun trouvera un chocolat qui lui ressemble, fondant ou croquant, doux ou fruité, brut ou enrobé. Tous feront frémir vos papilles grâce à leur excellence nutritionnelle et gustative. Vous pouvez acheter tous ces produits dans certaines épiceries fines, sur le site Internet et bientôt directement à la boutique sur Paris. ...
Entre l'Auvergne, la Bourgogne et le Berry, l’Hôtel Le Pont Neuf jouit d’une situation exceptionnelle, étant lui-même situé entre deux circuits automobiles reconnus à l’international qui sont Magny-Cours et Lurcy-Lévis. Au calme, dans un cadre idyllique, l’établissement propose une gastronomie impeccable, des chambres luxueuses et un parc champêtre. D’une salle coquette à une assiette gourmande… Au sein du restaurant, la salle est décorée avec goût et raffinement. L’art de la table est ici un art récurrent et bien maîtrisé. Les tons neutres et le style chic des lieux annoncent déjà le standing de la maison. Un décor moderne avec des touches traditionnelles, des couleurs mauves et orangées, des fenêtres qui baignent la pièce d’une lumière éclatante font d’elle un endroit idéal à la détente et au plaisir. À salle d’exception, assiette d’exception. Les plats sont d’une finesse inouïe. Le visuel épuré incite à la gourmandise. Les suggestions du chef : le foie gras maison en entrée, du charolais au poivre comme plat principal, et enfin de la banane tatin pour le dessert. Un bon vin blanc de caractère de la région saura sublimer et révéler cet accord parfait. D’une assiette gourmande à un hôtel de charme… Après un bon repas dont seule la maison a le secret, vous pouvez prolonger votre séjour dans l’hôtel. Les quarante-cinq chambres feutrées et confortables vous accueillent l’instant d’un moment féerique. Le calme, la quiétude et la sérénité y règnent en maîtres. La piscine, le sauna, le tennis et la salle de remise en forme font de cet endroit une source du bien-être. D’autres activités comme de la randonnée dans la forêt de Tronçais ou encore le rafting sur l’Allier s’ajoutent à la longue liste des services proposés par la maison. ...
Une passion de la vigne transmise de génération en génération L’histoire des champagnes Nominé-Renard remonte à la rencontre entre Germaine Renard et André Nominé. Fils et fille de viticulteurs, ils unissent leurs domaines et fondent en 1960 la maison Nominé-Renard. Ils installent les premiers pressoirs de la maison et lancent dans la foulée la construction de la cave à Villevenard. En 1973, leurs garçons Claude et Laurent rejoignent l’exploitation après des études en œnologie et commencent à façonner le caractère des champagnes Nominé-Renard. Les 21 hectares de l’exploitation, composés à moitié de chardonnay, d’un tiers de pinot meunier et de pinot noir pour le reste, deviennent alors entre les mains du viticulteur une palette infinie de textures et d’arômes. Il y pioche pour conserver la mémoire et développer l’identité des champagnes. Après 35 années de service en cave, il laisse à son plus jeune fils le soin de perpétuer la signature élégante et fraîche de la maison. Un jeune vigneron novateur Simon Nominé a baigné toute sa jeunesse dans l’ambiance particulière de la maison de champagne familiale. C’est tout naturellement qu’il se destine à reprendre le domaine. Pour cela, il aiguise sa connaissance de la viticulture à l’université du vin de Suze-la-Rousse et en sort brillamment diplômé en 2002. Il enchaîne ensuite les expériences professionnelles dans différentes caves de la région afin de parfaire sa formation. Ce n’est que huit années plus tard qu’il revient sur les parcelles qui l’ont vu grandir pour poursuivre la tradition des Nominé-Renard en devenant le chef de cave de la maison. En remettant constamment en question sa pratique viticulturale et tout en gardant à cœur le respect de l’authenticité de la maison, le jeune viticulteur innove en proposant sur certaines cuvées des vinifications en fût ou en s’essayant à de nouvelles techniques, comme récemment avec une cuvée mono-parcellaire qui s’est vue rapidement écoulée auprès des connaisseurs. Il pousse l’exercice jusqu’à planter de nouveaux pieds de vigne, des pinots blancs, pour ajouter une note de fraîcheur fruitée à sa palette. C’est un fait plutôt rare dans la région, car quand on parle de champagne, si l'on pense directement à des assemblages de chardonnay, de pinot noir ou de pinot meunier, l'on oublie souvent que le pinot blanc est l'un des sept cépages inscrits sur la liste des raisins autorisés par le Comité interprofessionnel des vins de Champagne (CIVC). Une initiative à suivre de près donc. Un savoir-faire et une qualité reconnus à l’étranger Ce goût de l’excellence qui se transmet de père en fils et que l’on retrouve dans chaque bouteille de champagne sortant de cette maison séduit une clientèle qui dépasse les frontières de l’hexagone. Sur les 120 000 bouteilles produites chaque année, plus de la moitié de la production de la maison s’envole vers les marchés asiatiques et américains. Le Brut Nominé-Renard, produit phare de la cave, est le parfait exemple de cette réussite à l’étranger. Son assemblage (40 % de chardonnay et une part égale de pinot noir et de pinot meunier) en fait un nectar élégant et fin en bouche, qui accompagne parfaitement un morceau de foie gras ou une tranche de saumon fumé. Le Club Trésors de Champagne Dès sa création dans les années 70, Claude Nominé a rejoint le Club Trésors qui comprend aujourd’hui 27 membres représentant tous les terroirs de Champagne et ayant en commun une approche très qualitative de la viticulture. Tous les ans, chacun est libre de proposer une cuvée dite « Spécial Club ». Quand l’année est particulièrement bonne qualitativement parlant, une cuvée millésimée est éditée en très petit nombre. Ces cuvées exceptionnelles, très rares (5 000 bouteilles ou bien moins), restent cinq ans en cave avant d’être proposées à un public de connaisseurs. Elles servent d’ambassadrices auprès d’un public toujours plus large et assurent à la maison de champagne No...
À arborer chez soi, dans un lieu de réception ou dans une soirée d’entreprise, la décoration de table est l’ambassadrice d’un style et d’une identité. Depuis 2002, Sables et Reflets a créé tout un univers fait de verres lustrés, élégants, épurés, contemporains ou encore colorés, adaptés au goût de tous. Des modèles variés, uniques, et personnalisables à souhait. Une entreprise à dimension humaine Elle se situe dans le sud de la France, et a bâti sa réputation sur la conception et la création sur verre soufflé et le travail de la pâte à verre. « Cette technique, de moins en moins appliquée, nous permet de réaliser plus de possibilités quant à la couleur, le relief, le polissage ou le motif sur les verres ou les vases », nous dévoile le gérant. Et même si les produits, notamment les vases, sont travaillés avec ce même savoir-faire artisanal, ils présentent chacun différentes caractéristiques et deviennent des pièces uniques. Les verres traditionnels, comme les verres à champagne et les carafes à whisky, quant à eux, sont façonnés à la main dans l’atelier de fabrication. Être une entreprise familiale permet à Sables et Reflets de se rapprocher un peu plus des clients pour mieux cerner leurs exigences : « Notre plus grande force est la qualité de notre service client », renchérit notre interlocuteur. D’ailleurs, pour réaliser les commandes spécifiques des clients, la société combine son savoir-faire avec ceux des artisans spécialistes pour parfaire chaque commande au détail près. Autant de particularités qui lui ont permis de développer un portefeuille de clients composé de café/hôtels/restaurants, mais aussi d’entreprises et de particuliers. Une sélection de produits Modèles classiques ou contemporains, pour une utilisation quotidienne ou pour les grandes occasions, à s’offrir ou en cadeau, la gamme très complète laisse défiler une centaine de produits. On distingue les verres pour servir du champagne, vin ou whisky, de formes et tailles différentes, qui sont commercialisés par lot de six pièces. Et l’enseigne vient de lancer une nouvelle série de verres à pied qui revêtent plusieurs coloris, et sont parfaits pour une dégustation de vins à l’aveugle, tout en apportant une touche plus punchy à la décoration. Pour des idées de cadeaux originaux, Sables et Reflets propose la carafe à whisky/vin Toupie, un produit fait main d’une capacité de 750 ml, ou encore le lot de quatre verres à mojito barman professionnels 32 cl. À préciser que les clients peuvent apposer leur logo, leur couleur ou leur slogan pour personnaliser les produits. ...
Le vignoble champenois est implanté sur des coteaux dont la plupart bénéficie d’une exposition idéale sud et sud-est. Le terroir de la Champagne présente un sous-sol à majorité calcaire. Sur ces terres fertiles soumises à un double climat (continental et océanique), trois cépages règnent en maitres : le pinot noir (38 %), le meunier (31 %) et le chardonnay (30 %). Par un jeu subtil d’assemblage, les vignerons champenois élaborent une grande variété de cuvées incluant le champagne millésimé, le blanc de noirs, la cuvée spéciale ou de prestige, le blanc de blancs, le rosé et le brut non millésimé ou brut sans année. Si l’appellation peut se vanter d’une telle variété, c’est surtout grâce à la diversité de ses terroirs. Le vignoble est en effet réparti dans quatre grandes régions, à savoir la montagne de Reims, la vallée de la Marne, la côte des Blancs et la Côte des Bar. La montagne de Reims Ici, il existe trois zones de terroirs. Au nord-ouest de Reims, une partie des vignes bénéficie des sols sableux tandis qu’une autre partie tire profit d’un sol à dominante argilo-calcaire. Au sud-ouest, on trouve un sol sablo-argileux sur lequel s’épanouissent les pinots noirs et les meuniers. Enfin, au sud-est, les vignes poussent sur des sols de craie très caillouteux. La montagne de Reims se distingue par deux types de champagne. Le premier, à dominante de pinot noir, est charpenté avec une minéralité crayeuse qui apporte de l’élégance et une résonance fruitée en fin de bouche. Idéal pour accompagner un jambon cru, un pigeonneau ou une perdrix. Le second, riche en chardonnay, dévoile des arômes d’agrumes, de fruits charnus ou de fleurs blanches. À déguster avec des fromages crémeux, des poissons et autres crustacés. La vallée de la Marne Ensuite, la vallée de la Marne possède des sols argileux, marneux et calcaires. Le cépage meunier, majoritaire dans la région, y trouve toutes les conditions idéales à son épanouissement. De leur côté, pinot noir et chardonnay affectionnent tout particulièrement les sols marneux et calcaires. Reflétant la typicité du terroir, les champagnes de la région dévoilent des odeurs gourmandes de fruits blancs à pépins, de fruits tropicaux et de fruits jaunes. On découvre également quelques notes d’épices douces. Risotto aux crevettes et au curry, salade de bœuf mariné, poulet en ratatouille, fromages à pâte molle, tiramisus aux fruits rouges… Ici, les champagnes peuvent accompagner idéalement toutes sortes de recettes estivales. La côte des Blancs Cette région est incontestablement dédiée au cépage chardonnay, qui occupe 95 % du vignoble. Ce dernier se délecte de nutritions minérales puisées dans les sols crayeux. La côte des Blancs produit un blanc de blancs se démarquant par des arômes d’agrumes, de fruits charnus à pépins associés à des notes de fleurs blanches et d’herbes aromatiques. En prenant de l’âge, ce vin exprime des notes de fruits secs, d’épices, de miel, de pêche tirant vers le curry ou encore de fruits secs grillés. Cette fois encore, de nombreux accords sont permis : volailles en sauce crémée aux champignons, fromages à pâte pressée et cuite, ris de veau, poissons en sauce… La Côte des Bar Le terroir de la Côte des Bar est marqué par une alternance de coteaux, de forêts et de cultures. Les reliefs escarpés dessinés par les rivières et cours d’eau façonnent également le paysage. Comptant 8 000 hectares de vignes, la Côte des Bar accapare un quart des surfaces en Champagne. Elle renferme des sols marneux, calcaires et argileux. Le vignoble de la région est dominé par le pinot noir suivi par le chardonnay et donne des champagnes dotés de finesse et d’une grande élégance. À souligner : sur les 62 communes classées implantées sur ce vignoble, celle des Riceys tire son épingle du jeu en disposant de trois appellations d’origine contrôlée : Champagne, Rosé des Riceys et Coteaux Champenois. ...
Le restaurant affiche un esprit très Art déco : un côté industriel fait de poutrelles brutes compensé par le charme des peintures murales artistiques et le grand luminaire au plafond. À l’entrée se trouve une petite épicerie fine, comme à l’italienne, qui propose des produits de qualité : fromage, charcuterie, terrines maison, pâtes et d’autres ingrédients pour la cuisine. Un bout d’Italie dans les assiettes Simple mais révolutionnaire, le concept s’articule autour de la rencontre entre la cuisine italienne et la haute gastronomie de l’Hexagone et donne naissance à des plats gouteux comme la délicate gelée de langoustines, crevettes en chaud-froid , coquilles saint jacques gnocchi au parfum de truffe, une planche de charcuterie Italienne finement tranchée, antipasti Misto du Caffé. Ou encore des pâtes et du risotto aux couleurs de saison, sans oublier les salades et crustacés. Le ravioli de foie gras confit reste la star du restaurant, accompagné de girolle ou de truffe de Bourgogne, un vrai délice. Au dessert, le répertoire chante les grands classiques italiens à l’instar du mythique Tiramisu ou de la panna cotta chocalat cerises amarena. Dans une volonté d’offrir la meilleure qualité et fraîcheur des produits, la Trattoria évite tout ce qui est hors saison. Le chef Bruno Caironi secondé par David et Benoit nourrit un respect quasi sacré aux produits locaux qu’il sublime sans les dénaturer dans l’assiette. Côté vins, la carte compte quelques références en provenance des vignobles italiens : les vins rouges de Toscane, du Piémont, ou de Lombardie, ainsi que les moelleux de Sicile. Plutôt éclectique, elle suggère également des vins de Bordeaux, du rully de la région de Bourgogne ou encore du saint-joseph, des côtes-du-rhône. La Formule Rapidamente en mode chrono Même avec un rythme de travail effréné et un budget lunch à respecter, les clients du restaurant peuvent manger sain et à leur cadence grâce à cette nouvelle formule sur un plateau servie du mardi au vendredi au déjeuner. Le chef vous propose une carte " rapidamente" composée de 4 entrées, 4 plats à base de pates, de poissons ou de viande et 4 desserts . Il ne reste qu'à cocher votre choix sur le feuillet avec un petit crayon mis à votre disposition avant de vous régaler . Un verre de vin servi à la demande peut être ajouté également à la formule. Apres un temps d'attente de 10 minutes, le plateau arrive soigneusement dressé sur la table ; affichée à partir de 19 euros , cette formule s'adapte aux envies et aux gouts de chacun, et reste ideale pour un déjeuner d'affaires dans le quartier . En mode chrono ou plus détendu , les clients vont pouvoir profiter d'une pause déjeuner bien gourmande. ...
Entre une savoureuse cuisine du terroir et ses quelques spécialités montagnardes, L’Auberge de la Montagne promet une belle découverte au cœur d’Arpajon. Ce lieu de lumière au décor élégant baigne par ailleurs dans une ambiance décontractée où le bien-être et la convivialité sont toujours au rendez-vous. Saveurs traditionnelles dans vos assiettes Que ce soit dans une salle chaleureuse, sur une terrasse ombragée l’été ou dans le jardin d’hiver abrité par une verrière, le temps semble être suspendu… Un moment privilégié pour savourer sa salade d’avocat aux gambas grillées et décortiquées, servie avec une émulsion de tomate et un filet d’huile d’olive, ainsi que son délicieux rognon de veau poêlé, dégraissé, saisi et déglacé au cognac, puis mouillé avec un jus de veau et terminé avec une graine de moutarde légèrement crémée. Redécouvrez le goût du « fait maison » avec ses incomparables profiteroles qui soit dit en passant, constituent de véritables délices à tomber par terre ! Dans un décor montagne moderne aux tons gris avec des tables aux couleurs contrastées, des chaises aux couleurs chaudes et aux pieds noirs, L’Auberge de la Montagne constitue une véritable invitation au plaisir et au bien-être. De bons vins pour un repas parfait Le restaurant se démarque aussi par sa très belle carte de vins, qui met toutes les régions à l’honneur, notamment des spécialités de montagne, qui, selon Armand Norbert, chef propriétaire, « fonctionnent très bien » : principalement quelques Bourgueils et Beaujolais ainsi que d'incontournables Bordeaux. D’octobre à mars, tous les vendredis, c’est parti pour des soirées raclette à volonté, et des planchas à volonté tous les vendredis soirs, uniquement d'avril à juillet. La maison accueille tous types d’événements, allant des repas d’anniversaire aux banquets de mariage, en repas assis ou en buffet. ...
L’univers de la boisson est une affaire de longue date à la Distillerie Janot. Cette expérience a permis à la famille de connaitre toutes les subtilités du secteur et lui a appris à exploiter l’arôme des produits. Racheté en 2007 à la famille Maunier par Serge Girardot, l’établissement fait aujourd’hui raisonner son nom au-delà des frontières hexagonales. Distillerie Janot : le N°1 des fabricants de boissons avec ou sans alcool C’est l'histoire d’une exploitation familiale qui a débuté en 1928. A l’époque, Alfred MAUNIER tenait les rênes de l’entreprise. Sa longue carrière de négociant en vins et spiritueux le pousse plus tard à lancer sa propre affaire en composant sa gamme de produits. De là naît la Distillerie Janot dont le principal objectif sera de transmettre l’intensité et la richesse des arômes issus des boissons créées. En adoptant pour le Pastis une technique de fabrication peu commune, il réussit à offrir une qualité exceptionnelle à son produit phare. Celui-ci macère le plus longtemps possible afin qu’il libère sagement et en douceur ses arômes, sans trop de contraintes. La maison veut perpétuer la tradition et l’esprit de la Distillerie Janot. A l’heure actuelle, elle fait partie des rares fabricants du pays à encore produire du Pastis. Pastis, liqueur et crèmes : des boissons alcoolisées de grande qualité L’arôme dégagé par les boissons de la Distillerie fait la réputation de l’entreprise. Dans la gamme des Pastis, qui est d’ailleurs la fierté de l’établissement, il existe quelques produits phares à commencer par le Pastis Tradition 45°. Assemblage d'armoise, d'épices et de réglisse, il est macéré pour une durée minimum de trois semaines. Autre incontournable : le Pastis Bleu se distingue davantage par sa couleur unique et son goût désaltérant. Adouci en réglisse, il a une bonne longueur en bouche. Quant au Pastis Alfred Maunier d’une teneur en alcool de 45°, ses saveurs en Cardamone et épices contribuent à son succès. Dans la catégorie des boissons sans alcool, la Distillerie Janot doit sa notoriété à la production du fameux sirop Gambetta. Issue de la macération de différents produits (plantes, fruits, écorces d’une cinquantaine de plantes, etc…), cette boisson emblématique qui, à l’origine se dégustait normalement en apéritif, dévoile un goût caramel sucré légèrement acidulé. Aujourd’hui, elle est surtout considérée comme un sirop. Parmi les ambassadrices de cette gamme de boissons d’origine provençale ancienne figurent le Gambetta classique et le Gambetta Bitter. La gamme Bio pour encore plus de saveurs La Distillerie Janot propose depuis sept ans une gamme Bio. Cette catégorie renferme un large choix de bouteilles telles que le Whisky Main Fields Bio 40° 70cl, un produit très recherché grâce à la présence du malt d’orge biologique. Apprécié pour son goût unique relevé par le zeste d’orange, de vanille et de grains torréfiés, il se distingue par son intensité, son parfum et sa complexité. ...
Ouvert par madame Blanc en 1979, le restaurant la Croix d’Ouchy est une adresse incontournable. Grace notamment aux deux chefs, Thierry et Christophe Lacanne, la cuisine de l’établissement est fine et d’inspiration italienne avec des pâtes et des risottos maison. La gastronomie française n’est pas en reste puisque l’on retrouve également au menu des rognons de veau et des filets de rouget. La Croix d’Ouchy attire une clientèle internationale et a une capacité d’environ 75 personnes (35 dans le café et 40 dans la partie restaurant) et peut être réservé pour célébrer des événements privés tout en bénéficiant d'un service irréprochable. En été, lorsque les beaux jours arrivent, les clients peuvent, profiter du calme de la magnifique terrasse disposant de 80 places et étant protégé de la circulation par une épaisse haie, et apprécier la vue d’un marronnier centenaire. L’établissement offre la possibilité de manger aussi bien dans le café que dans le restaurant, et propose toujours deux services, comme le voulait la tradition des restaurants d’autrefois. Des plats faits maison et cuisinés à la minute Tous les plats proposés par le restaurant La croix d’Ouchy sont faits maison et préparés avec soin et à la minute. En particulier les pâtes entièrement confectionnées de manière artisanale. Ce qui est notamment le cas des raviolis, des pappardelles et des spaghettis accompagnés de diverses sauces: basilic, ricotta aux truffes ou citron. Mais aussi des succulents risottos agrémentés de différents parfums afin de satisfaire les palais les plus exigeants. On retrouve aussi, comme spécialités italiennes du jambon de Parme, de la salade de ricotta et du carpaccio. La cuisine hexagonale est également fortement présente sur la carte du restaurant grâce notamment au sublime médaillon de foie gras à l'Armagnac et oignons confits, aux délicieux rognons de veau à la graine de moutarde, au splendide cœur de filet de bœuf en croûte d’épices et au majestueux pavé de bœuf à la crème moutardée ou aux cèpes. Pour accompagner ses mets, La Croix d’Ouchy propose une sélection fine de vins provenant de Suisse, de France ou encore d'Italie. Un accueil chaleureux et un service impeccable dans un cadre idéal La quasi-totalité du personnel du restaurant de la Croix d’Ouchy est présente depuis plus de 30 ans. Ce qui soude les relations entre la direction et le reste des employés. Et engendre une certaine constance dans la qualité du service, accompli jour après jour, absolument réglé comme une horloge. En conséquence également, l’accueil est chaleureux et l’ambiance est familiale. Au niveau du design, si la partie restaurant est simple et élégante, celle du café est bien plus décontractée tout en restant très calme. Ce qui donne, au final, un cadre chic, assez tranquille et plutôt classique mais ne manquant cependant point de caractère. Considéré par beaucoup comme le meilleur restaurant de Lausanne, La croix d’Ouchy demeure une référence culinaire de cette grande ville suisse. D’autant plus que les prix fixés restent très abordables, rendant possible l’opportunité de déguster et de savourer une grande cuisine dans un environnement exceptionnel. ...
Créée en 1974, la coopérative des Vignerons de Tutiac est aujourd’hui le premier producteur de vin d’Appellation d’Origine Contrôlée en France et le leader des Côtes de Bordeaux. « Développer notre expertise à tous les niveaux de la filière, de la vigne au verre, afin de pérenniser nos exploitations est au coeur de nos priorités. Nous mettons tout en oeuvre pour garantir à nos vignerons un avenir durable, en développant une viticulture plus respectueuse de l’environnement et économiquement viable. Notre entreprise est aujourd’hui reconnue comme l’une des plus dynamiques de Bordeaux. » Stéphane Héraud, président des Vignerons de Tutiac. Terroirs Situé en Nord Gironde, le vignoble des Vignerons de Tutiac s’étale sur 4 000 hectares sur les coteaux qui bordent la rive droite de la Dordogne et de l’estuaire de la Gironde. Sa situation en coteau lui permet de bénéficier d’un ensoleillement optimal pour la bonne maturation du raisin. Au fil des générations, Les Vignerons de Tutiac sont devenus de véritables experts de leurs terroirs, qui s’étendent sur les appellations Bordeaux, Blaye Côtes de Bordeaux et Côtes de Bourg. Chaque parcelle de vigne a été étudiée, ce qui permet de travailler chaque cuvée avec une grande précision. Pour les vins rouges, le cépage majoritaire est le merlot, que l’on assemble souvent avec du cabernet sauvignon, du cabernet franc, du malbec et du petit verdot. Les vins en appellation Blaye Côtes de Bordeaux sont souples, élégants et accessibles dès leur jeunesse. Les vins en appellation Côtes de Bourg sont reconnus pour leur caractère épicé en raison d’une plus grande proportion de malbec dans les assemblages. Les vins blancs, à base de sauvignon, sont très aromatiques avec une belle vivacité. Un vignoble expérimental Suite à un appel à projet du ministère de l’Agriculture, Les Vignerons de Tutiac ont planté un vignoble expérimental sur une surface de 1 hectare, afin d’expérimenter diverses méthodes pour développer une viticulture respectueuse de l’environnement et économiquement viable. Ils réalisent actuellement des tests sur les cépages résistants et sur des cépages originaires d’autres régions afin de voir comment ils s’adaptent aux terroirs bordelais. Le vignoble ayant été planté en 2014, les premiers essais de vinification auront lieu aux prochaines vendanges. ...
À ses débuts, le couple Forgeron travaille sur seulement deux hectares de vignes. Actuellement, le vignoble compte 24 hectares cultivés par leurs enfants Pierre et Christophe Forgeron. Méticuleux dans le travail et la conservation des traditions, les frères Forgeron n’ont pour seule ambition que de faire vivre et revivre l’histoire du cognac depuis leur village natal, connu pour être le premier cru du cognac… Un travail où l’art est présent C’est sur un sol de calcaire tendre que reposent les 24 hectares (ugni-blanc, folle blanche) de Michel Forgeron, où l’attention et le soin apportés tout au long de l’année vont conduire, début octobre, à la plus belle récolte possible. Vient ensuite l’étape de la distillation qui se fait au gaz durant les trois mois d’hiver, avec des alambics de type charentais, dont le plus ancien tourne depuis 1965. Le vieillissement, étape la plus importante dans la production de cognac, se fait dans des fûts de chêne, pour donner couleur, parfum et goût à l’eau-de-vie au fil des années. De la distillation à la mise en bouteille, rien n’est laissé au hasard chez la famille Forgeron. Bouteilles ou carafes, à chaque cognac son écrin. Du cognac authentique Le cognac est un produit exigeant se déclinant à l’infini au gré des assemblages concoctés par le « maître de chai ». Parfums, saveurs, persistance ou légèreté, à consommer seul ou en cocktail, les cognacs Forgeron représentent toute la palette des savoir-faire de Grande Champagne : VS, VSOP ou XO, mais également Réserve, Napoléon ou Hors d’âge, ce sont plus de cinquante ans de passions à découvrir et à déguster. Pour cette année 2017, la distillerie propose la Barrique 68, un cognac brut de fût vieillit près de cinquante ans. La Barrique 68 existe seulement en six exemplaires disponibles à la vente jusqu’à la fin de l’année. ...
Le Domaine du Somail se trouve à l’est du Minervois, à proximité de Narbonne. Une cité qui a une belle histoire à raconter car elle était la première agglomération romaine au-delà des Alpes en Gaule. À l’époque, Narbonne était déjà une région viticole. « Dans le vignoble et aux alentours, des vestiges de villas romaines ont été retrouvés et il semble que la culture de la vigne était présente depuis 2000 ans », racontent avec passion Julie et François Fabre qui possèdent le domaine. Ce duo d'artisans-vignerons sait qu’il profite d’un terroir très privilégié qui, en plus de recéler un riche passé, offre toutes les conditions nécessaires pour concevoir des vins d’excellence en AOC Minervois. La terre de prédilection du mourvèdre Le vignoble du Minervois est l’un des plus vastes du Languedoc Roussillon. Il produit majoritairement des vins rouges qui se veulent à la fois tendres et veloutés, aux arômes de fruits mûrs et de tanins soyeux. Le mourvèdre est le cépage phare de l’appellation et plaît pour la richesse de ses arômes et sa structure tannique de haute qualité. Au Domaine du Somail, il s’exprime dans toute sa splendeur au même titre que les neuf autres cépages composant le vignoble. Établies sur 16 hectares, les vignes s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire au sein d’un climat aux influences méditerranéennes. « Notre situation géographique nous permet d’avoir des vins en rondeur, ni trop puissants ni trop épicés, mais agréablement équilibrés », nous fait part Julie. Cette qualité ne résulte pas du hasard. Bien au contraire, la finesse, l’élégance et l’authenticité des cuvées sont obtenues grâce à un travail de très longue haleine respectant les préceptes de l’agriculture biologique et biodynamique. Des pratiques agricoles salutaires pour l’homme et l’environnement Sur les 20 hectares composant le domaine, 4 sont consacrés à la biodiversité. « Comme nous sommes en biodynamie, nous avons voulu avoir de la nature sauvage autour de nos vignes. Nos pourtours ont été aménagés pour créer une symbiose entre nos parcelles de vignes et l’extérieur. » Le travail des parcelles s’effectue de façon individualisée en priorisant les pratiques manuelles de la taille à la vendange. « Notre but est d’utiliser l’intelligence de la nature et de la reproduire dans nos cultures », fait savoir notre interlocuteur. Au-delà de la viticulture, cet état d’esprit qui se veut vertueux pour l’homme et l’environnement se reflète également dans les méthodes de vinification. Les vins sont sans sulfite et ne subissent aucun ajout tandis que les décantations sont naturelles. Des cuvées enchanteresses qui fleurent bon leur terroir L’assemblage des vins est aussi atypique car au Domaine du Somail, chaque cuvée révèle un cépage dominant. La cuvée « Vin de Plume » par exemple est composée à 80 % de mourvèdre et 20 % de syrah. Issue d’une culture biodynamique et d’une vinification classique en cuves en ciment brut, elle est gorgée de fruits, d’épices et de notes de garrigue et possède une capacité de garde de 5 à 10 ans. Preuve de sa qualité, ce cru a bénéficié de plusieurs distinctions : 90/100 par Robert Parker, 17/20 par Terre des vins 2020, 91 points par Wine Spectator 2020 sans compter la citation dans la Revue des vins de France 2020. La cuvée « François » va davantage exprimer toute la beauté de la syrah associée au carignan et au mourvèdre. C’est un vin fruité, intense, persistant avec une belle rondeur. « C’est une de nos plus belles réussites car il a une excellente tenue et pourtant il est dépourvu de sulfite », déclare celui qui a emprunté son nom à ce précieux nectar. Avec la cuvée « L’Authentique », le mourvèdre prime à nouveau et se combine tout en délicatesse avec la syrah. À la fois complexe et élég...
Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Selman et le concept de La Table d’Antoine Chic et cosy, sobre et majestueux, le restaurant Le Selman est ouvert sur l’extérieur et ravit les amoureux de la nature verdoyante et des grands espaces. C’est un lieu intemporel, une invitation au voyage des sens. Le chef Antoine Perray et son concept La Table d’Antoine ont posé leur quartier au restaurant Le Selman, dans le cadre d’une résidence gastronomique. La carte est renouvelée chaque saison. En entrée, daurade royale en ceviche, condiment au citron beldi. En plats : volaille fermière au vin jaune, morilles, châtaignes, ou quasi de veau de lait, mole poblano… En dessert : soufflé cacao grand cru 80 % « cœur de Guanaja ». Concernant le cadre, il est des plus intimistes, idéal pour partager un agréable moment de détente. La fabuleuse escapade dans ce lieu près des montagnes de l’Atlas promet une paisible découverte entre amis, en couple ou en famille. Rien de mieux pour échanger, partager et se ressourcer là où la nature a son mot à dire. Les convives sont invités à profiter de ce cadre idyllique d’exception. ...
Première information à retenir : le vignoble de Gaillac est le deuxième plus vieux vignoble de France. Les Romains ont choisi la région pour sa belle exposition au soleil et sa situation au croisement des influences méditerranéennes et océaniques, qui confère aux vins une belle concentration aromatique. L’héritage de la passion Lors de son rachat en 1997, le Domaine de la Chanade était tout juste un domaine fermier doté d’un petit caveau. Grâce à la passion de la viticulture qu’il a développée au contact de son grand-père, Christian Hollevoet va monter de toute pièce le domaine, et y mener une restructuration générale, depuis les vignes jusqu’à la cave. A son tour, il a transmis cette passion à son fils Julien qui, d’ores et déjà, commence à prendre les rênes du domaine. « La passion du vin m’a été transmise par mon père. J’ai commencé très tôt par des tâches au domaine, à apprendre petit à petit le métier, pour le suivre dans sa passion », raconte le viticulteur. Une équipe de choc « Le métier de vigneron est un métier vraiment rude, où il y a beaucoup de travail. Pour exercer cette profession, il faut avoir de la passion, du mordant. C’est aussi un métier très créatif et c’est ce qui m’a plu, il faut vraiment y croire » s’enflamme Julien Hollevoet à l’évocation de son métier. Aujourd’hui, ils sont quatre en tout et pour tout à s’occuper des quarante hectares de vignes du domaine. Damien Miralles, maître de chai, présent au sein de l’équipe depuis 2001, Jean-Luc Treilhes, le responsable de culture, dans le monde du vin depuis près d’une trentaine d’années et bien entendu Christian Hollevoet. Un contrat de confiance Au Domaine de la Chanade, une charte de travail rigoureuse est appliquée afin de produire dans le pur respect de l’homme et la nature : « Nous avons fait le choix de produire un vin naturel, c’est un contrat de confiance avec le client », explique Julien. « Nous travaillons comme les vignerons qui travaillent en agriculture biologique. Nous n’utilisons pas de pesticides et réalisons du travail mécanique. Même s’il faut faire des traitements à base de soufre et de cuivre, des doses très faibles sont utilisées » poursuit-il. Car n’oublions pas que le soufre est à l’origine de maux de tête s’il est dosé en trop grande quantité. Par ailleurs, aucune levure exogène n’est ajoutée pour la fermentation des vins, et spécifiquement pour les rouges, la mise en bouteille se fait sans filtration ni collage. La Griffe by Chanade Produire des vins simples à boire et surtout naturels, tel a toujours été le crédo du Domaine de la Chanade. La gamme de vins proposée par son équipe, dénommée « La Griffe by Chanade », suit bien évidemment cette ligne de conduite. Cette gamme est composée des trois cuvées suivantes : « Domaine de la Chanade » en blanc, blanc doux, rouge et rosé, les « Cuvées Galien » et la « Cuvée Ultime R&L ». Fleuron des vins du domaine, les « Cuvées Galien » déclinées en rouge et blanc AOC Gaillac, sont des vins élaborés de façon très méticuleuse. Ils sont issus de raisins de grande qualité, vinifiés avec les levures naturelles du fruit et finalement affinés en barriques de chêne français. Annuellement, le domaine produit en tout dans les environs de 120 000 bouteilles majoritairement vouées à l’exportation. Les vins du domaine peuvent notamment se trouver aux Etats-Unis, en Angleterre, en Belgique, en Grèce et même en Chine. ...