L’Italie, son pays d’origine, ne quitte jamais le chef Paolo Sari, il l’affiche fièrement dans ses recettes. Tous les restaurants du Monte-Carlo Beach sont dirigés par ce passionné. Parmi ceux-ci figurent l’Elsa, le Deck et la Vigie. Un restaurant 100 % bio Elsa est un restaurant gastronomique étoilé dont la réputation n’est plus à faire à Monte-Carlo. Sa toute première étoile est un gage de qualité et de l’engagement qui lui a valu sa distinction de « premier restaurant 100 % bio certifié Ecocert ». Figurant parmi les plus grandes tables de la région, Elsa présente une cuisine contemporaine de haute qualité qui s’inspire de l’histoire culinaire de la Riviera. Les produits bio, majoritairement locaux, sont mis en valeur à chaque saison. Ils sont sélectionnés selon leur qualité, leur origine et les soins que les producteurs leur ont apportés. Elsa propose le Menu du Marché au déjeuner et les Menus Dégustation et Inspiration au dîner. Ce dernier est servi à l’ensemble des convives à la table. Le « Bio Sama » est le plat signature de l’établissement. Cette assiette de légumes et herbes du jardin à l’huile d’olive extra-vierge et sel de Camargue reste présente à la carte toute l’année mais change d’aspect selon la saisonnalité. Les saveurs méditerranéennes se découvrent aussi au travers des pâtes et riz proposés à l’Elsa ainsi que des poissons tels que les rougets rôtis suivant la tradition de la Riviera, accompagnés de purée de févettes et petits légumes du jardin. Les viandes sont également représentées par le cochon de lait, la côte au lard fait maison ou encore le gigot braisé. Les vins que le restaurant Elsa suggère à la carte pour accompagner les repas sont exclusivement bio. Il en est de même pour les fruits, chocolat et café rehaussant les saveurs des desserts. Un repas au bord d’une piscine olympique Avec son esprit brasserie, le Deck se veut être le lieu de rendez-vous de la Principauté de Monaco. L’ambiance est décontractée dans ce restaurant qui longe la légendaire piscine olympique du Monte-Carlo Beach. La cuisine y est également contemporaine et basée sur des produits frais de saison. Les tomates et mozzarella di bufala au basilic de la Riviera et carpaccio de bœuf biologique se placent au-dessus de tous les hors-d’œuvres disponibles dans la carte du Deck. Les spaghettis sont également omniprésents, mais cela n’exclut pas la présence de viandes telles que l’escalope de veau à la milanaise et poissons comme les calamars géants frits sauce tartare. Le Marché des Saveurs, un brunch programmé chaque dimanche, est une occasion de découvrir la cuisine du chef Paolo Sari. Lors de cet évènement, les convives se servent dans plusieurs stands en bois d’inspiration provençale avant de déguster leur plat sur la terrasse. Un dîner méditerranéen Perché sur un promontoire rocheux qui domine la mer le soir, le restaurant la Vigie est un « lieu privilégié ». Les poissons issus de la pêche locale permettent à Paolo Sari de réaliser cette fameuse cuisine axée sur la Méditerranée. Les spécialités qui ornent la carte de la Vigie sont les langoustes et les poissons grillés. Chaque ingrédient rigoureusement sélectionné bénéficie d’une présentation fraîche et appétissante, de quoi combler les épicuriens. Petite nouveauté pour cette année : le Monte-Carlo Beach Club organise une animation de saison intitulée « Beach Parties ». Le temps de deux soirées en juillet et deux en août, les invités en maillot de bain profiteront de la piscine chauffée et du buffet dressé autour. Les animations musicales quant à elles procurent une ambiance festive à l’événement. ...
Associés depuis 5 ans, les deux hommes à la tête du Domaine des Joséphins travaillent sans relâche, pour faire changer le visage du beaujolais aux yeux des amateurs de vins. C’est un vin qui se veut désormais dédié aux grandes dégustations. Il peut aussi être conservé plus longtemps et se bonifier avec le temps. Le domaine propose 12 cuvées avec des gammes différentes. L’évolution du Domaine Défenseur de la viticulture beaujolaise, Gérard Presle s'est occupé seul de ses 21 hectares de vignes avant son association avec Jean-François Pluvinage. Une rencontre qui permet aux deux hommes de travailler sur la phase d'élevage du vin. Un choix peu courant en Beaujolais, qui consiste à travailler le vin en cuve sur lies ou en barriques de 6 mois jusqu'à 2 ans et demi. Une étape minutieuse qui permet au domaine de produire des vins d'exception, reconnus et au potentiel de garde allant jusqu'à plus de 10 ans. La culture des raisins, sur un sol argilo-calcaire en pierres dorées, et sous un climat continental où règne une influence méditerranéenne comme dans ce domaine, est un gage de la qualité des vins. La carte des vins des Joséphins Des vins aussi riches que variés, c’est ce que propose le domaine à travers deux grandes familles: les vins Convivialité et les vins Contemplation. Parmi les vins Convivialité, voici « La belle Joséphine ». C’est un vin rosé et effervescent. Il est fermenté à moitié, et son côté gazeux vient du fait que la fermentation n’est pas achevée. Pour les repas au bord de la piscine ou encore en famille, ce vin pétillant est tout approprié. C’est un vin frais, légèrement sucré en bouche et d’une fine bulle. Un autre vin, composé avec un cépage originaire de suisse et acclimaté au terroir, il s’agit de la « Tête Noire 2014 ». C'est un vin aux accents du sud, corsé, fruité et épicé, il se marie bien avec la cuisine provençale. Le seul vin en assemblage que propose le domaine est le « Coteaux Bourguignons 2012 ». C’est un assemblage de pinot noir, de gamay et une touche de Chardonnay. Il accompagnera volontiers les plats de volaille aux champignons. Le cœur de millésime du domaine est un « Beaujolais rouge AOC 2014» élevé en cuve entre 6 et 9 mois selon les années. Ce classique qui compte parmi les têtes de cuvées peut être gardé 5 à 6 ans. Ce vin a remporté de nombreuses citations: 15/20 dans le Revue des Vins de France et 1 étoile au guide Hachette 2017. C’est le vin du beaujolais le plus simple avec sa robe grenade, son arôme fraise-cassis et une jolie longueur en bouche démarrant sur un soupçon de fraicheur apporté par la minéralité. Au rayon des vins Contemplation, le « Gaamez 2012 Beaujolais des Pierres Dorées ». L’élevage de ce vin dure plus longtemps. 24 mois en fut, 6 mois en bouteille couchée en cave pour bien se reposer avant étiquetage et mise en circulation. Seule la cuvée 2012 est commercialisée actuellement, celle de 2013 est encore en phase repos en cave. C'est un vin rouge aux arômes de fruits rouges cuits, et accompagné d’une douce acidité en bouche libérant un peu de fraîcheur. Il se déguste avec des plats mijotés comme le bœuf bourguignon, et va se garder entre 10 et 12 ans. En accompagnement de plats à base de truffes, le « Viognier des Joséphins ». C’est un vin qui a son berceau à Condrieu. Sa fermentation se fait directement en fut, et il en résulte un arôme pêche-abricot tout en finesse. ...
latabledeseleveurs.fr est le résultat d’un partenariat entre deux entrepreneurs ayant su combiner leur savoir-faire dans leurs domaines respectifs. En 2016, Thierry Potier, expert en e-commerce, est initié par Manuel Pringault, à la tête du traiteur Teba spécialisé en viande de boucherie dans la Manche, pour créer ensemble une boucherie en ligne privilégiant le circuit court en Normandie. Travaillant uniquement avec des éleveurs du coin, latabledeseleveurs.fr concentre toute leur activité dans le département de l’Orne. En plus de mieux valoriser le travail des éleveurs locaux qui n’ont plus à passer par divers intermédiaires pour vendre leurs produits, latabledeseleveurs.fr fait le bonheur des locavores en quête de viandes de qualité dans leurs assiettes. La saveur d’une viande de qualité Les viandes en provenance des éleveurs partenaires de latabledeseleveurs.fr sont découpées et préparées. Ne s’intéressant uniquement qu’à l’élevage traditionnel, l’enseigne garantit une viande savoureuse à ses clients. Les bovins, par exemple, sont élevés au pâturage, se nourrissent d’herbe en été et de fourrage en hiver. Pour la viande de porc, l’élevage sur litière végétale est privilégié, soit sur des copeaux de bois, soit sur de la paille. Le soin apporté aux animaux ainsi que leur alimentation est donc le gage d’une viande plus nutritive et riche en goût. Et bien que vendus directement aux consommateurs, les produits frais que l’on trouve chez latabledeseleveurs.fr ne sont pas plus chers que dans la filière traditionnelle. Une livraison express inégalée Selon Thierry Potier, « on peut difficilement faire mieux dans la logistique de la viande en termes de service de livraison ». Sur des produits rapidement périssables comme la viande de boucherie, la logistique est savamment organisée. Grâce à la livraison spécialisée Chronofresh dédiée aux produits frais, l’enseigne assure une expédition dans un délai de deux jours. Et cela s’effectue dans le total respect de la chaîne du froid, car les colis sont acheminés par transport frigorifié. Pour faire profiter de ses bons produits non seulement aux Normands mais aussi aux amateurs des produits frais de la Normandie aux quatre coins de la France, l’enseigne propose une livraison dans tout le pays dans les mêmes délais. ...
Aménagée à cheval sur le Minervois et La Livinière, l’exploitation est dans la famille Mignard depuis les années 50. Le petit-fils Christian a repris une partie des parcelles en 2002, pour en faire un domaine répondant à la vision inspirée par l’un de ses mentors à l’école de viticulture : petit, autonome et prônant la qualité, celle du terroir en particulier. Minervois La Livinière, les singularités d’un terroir Tombé petit dans les traditions viticoles et ayant eu à cœur de parfaire ses connaissances via un parcours Viticulture –Œnologie, Christian Mignard gère son domaine de 22 hectares avec une remarquable précision. Il sait parfaitement tirer profit des variations pluviométriques et thermiques dont jouissent ses vignes, perchées entre 130 et 200 m sur les flancs de Siran. Ses cépages poussant sur des sols argilo-calcaires font, depuis 2012, l’objet d’un entretien respectant les exigences de l’agriculture biologique. Le vigneron distille des opus sur les créneaux AOC Minervois et Cru La Livinière et ce, à travers des processus de vinification bio. Les vins du Château Mignan : bio et attachés au terroir Dans le chai du Château Mignan, la sélection des cépages et la composition des gammes de vin constituent des affaires très sérieuses. « […] un blanc d’appellation est toujours constitué de trois à quatre cépages de blanc, si on veut faire quelque chose de bien, de bon, de régulier », précise d’emblée Christian Mignard. Le Minervois blanc produit sur son domaine est un mariage d’équilibre entre Marsanne, Roussane, Vermentino et Grenache blanc. La gamme inclut, de temps en temps du rosé, ainsi que la cuvée tradition Pech Quisou rouge à coté de laquelle on retrouve la cuvée Aurus, une édition de haut de gamme. En Cru La Livinière, L’Œil du Temps se révèle comme une interprétation unique de son terroir. Le mariage de Syrah et de Grenache s’entoure d’exceptionnels arômes de fruits rouges, de réglisse et d’aubépine. Cette grande cuvée persiste longuement en bouche avec son corps structuré fait de souplesse et de raffinement. Château Mignan, des vins à la carte de restaurants étoilés Michelin A Narbonne, le restaurant de Lionel Giraud, La Table de la Maison Saint-Crescent (2 étoiles Michelin) affiche fidèlement les crus de la Maison Mignard à sa carte des vins. Le Château Mignan fait également l’objet de sélections rigoureuses du Meilleur jeune sommelier de France, Albert Malongo. Ultime reconnaissance, à Fontjoncouse, à la table du 3 étoilés Michelin de Gilles Goujon, L'Auberge du Vieux Puits où l'on retrouve l'Oeil du Temps. Bref, des vins fortement appréciés dans les meilleurs restaurants de l'hexagone mais également en Suisse, Allemagne, Belgique, Chine, Japon, Thaïlande, Russie, Qatar et bientôt chez vous en commandant cette fois-ci sans intermédiare et en direct à la Propriété de Christian Mignard. ...
Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro. Manger simple mais bien… Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons. Le vin, une passion Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux. ...
Le champagne est symbole de célébration, de bonheur et de la douceur de vivre à la française. Conserver l’authenticité de cette cuvée mythique relève d’un art, que le Champagne Loriot Xavier maitrise avec grande précision comme l’exige son statut de vigneron indépendant. Mieux, la maison sait réinviter en permanence sa belle collection pour être créatrice d’émotion et d’émerveillement. Conseil de dégustation L’élégance envoûtante du champagne 100S Sans Sulfites Ajoutés Extra Brut s’accorde harmonieusement avec les mets à base de poisson, de coquillages et de crustacés. Élaborée à partir d’un assemblage de chardonnay et de pinot noir, cette création atteint une symbiose parfaite entre caractère et finesse. Une attaque ronde et soyeuse succède au nez intense sur des notes de fruits blancs et de fruits secs. La fraicheur, la tension et la pureté en bouche signent la grandeur de ce champagne aux bulles vives cristallines. « Il représente vraiment l’aboutissement de notre volonté de travailler en harmonie avec l’environnement », nous confie Charlène Loriot, de la 5e génération, aujourd’hui à la tête de l’entreprise. Pour accompagner les recettes de volaille et de viande blanche, le choix s’oriente plus vers le champagne Hynoptic Brut, Brennus d’or à la Foire de Sens 2018. Cette cuvée est le fruit d’un assemblage de chardonnay, de pinot meunier et de pinot noir issus des meilleurs coteaux de la vallée de la Marne, conduits en lutte raisonnée. L’étape de la fermentation malolactique lui confère un nez subtilement grillé, tantôt mentholé, tantôt minéral, qui transite vers un arôme boisé exhalant des notes végétales. La plus sincère expression du terroir, Hypnotic Brut incarne à merveille le style de la maison : fin, intense et aérien. À déguster sur du canard à l’orange ou encore du jambon de parme et confiture de griottes. Le Fragment de Noirs du champagne Loriot Xavier s’invite au plat principal, en accompagnement de mets à base de viande rouge (petit gibier à plumes et ses cerises compotées, mignon de veau truffé cuit à la ficelle, etc.) ou de la cuisine thaïlandaise. Il est issu de la meilleure sélection de cépages noirs, dont 65 % de pinot meunier et 35 % de pinot noir. Sa robe dorée scintillante suggère un nez de fruits jaunes à pleine maturité, enveloppant un arôme de pain d’épices et de cacao. Cette belle nervosité se poursuit en bouche par une attaque souple et franche. S’enchaîne un tourbillon de palette aromatique agréablement fruitée, qui se termine en élégance sur une note de fruits secs. Au dessert, douceurs sucrées aux fruits rouges ou fromage, le domaine propose sa création Collision Meunier Rosé, en monocépage pinot meunier. Gâtés par une exposition plein sud sur un terroir crayeux, les cépages donnent cette cuvée tannique à la personnalité corsée, qui ne trahit pas à son style contemporain. Sa robe rouge saumonée surprend par la pétillance de ses bulles fines. Le nez est marqué par des arômes de violettes relevées délicatement par une note iodée. La bouche, elle, est plus tourbée, évoluant vers une douceur finement fruitée. Des cuvées uniques Au mois de septembre 2018, la maison Loriot Xavier lance son dernier-né, conçu en 100 % pinot noir. « Ce champagne sera issu exclusivement des vieilles vignes de mon arrière-grand-père », nous souffle notre interlocutrice. Une série intime au nombre très limité de 3 000 bouteilles. Pour compléter la gamme, le Blanc des Blancs Insaisissable Brut en monocépage chardonnay est également à (re)découvrir. D’une grande richesse aromatique, ce champagne enivre les palais avec subtilité et fraicheur. La bouche exprime les typicités du terroir et rappelle la parfaite maturité du cépage. À servir idéalement en apéritif ou en dégustant des beignets de légumes, des fruits de mer, des langoustines ou du filet mignon. Ce champagne est salué par les meilleurs guides de vins : Dussert Gerber 2012 (4 étoiles), Gilbert et Gaillard 2012 (...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante. Une gamme éclectique de cuvées S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise. Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison. Une expérience inédite au cœur de la Champagne Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé. Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est. ...
Menthe poivrée, bergamote, violette, les rayons de la boutique que Mauricette Clech a fait tourner pendant plus de 60 ans n’ont pas fini de dévoiler les secrets bienfaisants de ces plantes. Et de tant d’autres que le numéro 35 de la place du Marché déploie sous diverses déclinaisons dans son intrigant « tisane & tea bar ». Quid d’une nouvelle tendance pour tirer des plantes leurs vertus millénaires. Une enseigne modernisée, un mode de consommation remastérisé Entre les plantes et Millymenthe, l’histoire était partie pour durer. Ouverte en 1934 et tenue par le dernier herboriste de France, l’adresse a traversé les décennies sans cesser, un seul jour, de vanter leurs bienfaits. Victoria Renaud-Foughali nous raconte avec enthousiasme l'historique des lieux : « C'est en novembre 2010 que Mauricette Clech, icône de notre herboristerie pendant 63 ans, cède sa place à ma famille. Pendant cinq ans, ma tante Sabine Foughali, diplômée d'un DU en phytothérapie et passionnée par les plantes médicinales, tiendra la boutique avant de m'en laisser les rênes début 2016. C'est elle qui m'a transmis ce savoir ancestral autour des plantes et de leurs bienfaits, ayant elle-même reçu de nombreux secrets botaniques de la part de notre prédécesseur. C'est un héritage immense qui perdure de famille en famille sur plusieurs générations et qui fait la renommée de l'herboristerie Millymenthe depuis tant d'années. » Reliftée par la nouvelle propriétaire, l'adresse est désormais connue de ses adeptes pour son bar à tisane et bar à thé. Un concept bonus pour goûter, façon XXIe siècle, à toutes les vertus de ces boissons. Les spécialités aromatiques sous forme de sirops, de préparations à infuser et de bonbons qui ont fait la renommée de la maison sont toujours commercialisées. Avec en tête d’affiche, l’illustre menthe poivrée – « la plus médicinale des menthes », selon la dirigeante – et ses déclinaisons. Huiles essentielles, gélules et autres préparations phytothérapiques enrichissent les offres auxquelles les habitués et les néophytes accèdent en poussant la porte de cet antre du « bien-être, des plantes et du naturel ». ...
À travers les saveurs d’une cuisine traditionnelle française, préparée à base de produits frais et de saison sélectionnés avec rigueur par le chef, la Brasserie Haussman nous surprend avec d’authentiques recettes à redécouvrir, chaque fois, par un plaisir renouvelé. Un cadre empreint d’élégance À travers une décoration à la fois ancienne et contemporaine inspirée du style Art déco des années 20, cette brasserie chic du quartier de l’Opéra se démarque par son plafond aux vitraux, son sol en parquet, ainsi que ses boiseries d’acajou et ses longues banquettes de velours rouge qui lui confèrent un caractère particulier. Dans une ambiance chaleureuse au service impeccable et soigné, les lieux se prêtent merveilleusement bien aux repas d'affaires ainsi qu'aux retrouvailles en famille, aux rencontres entre amis ou en amoureux. Comme toute adresse qui vaut réellement le détour, la Brasserie Haussmann est tout indiquée pour apprécier de réels moments de détente et de convivialité, où tout le monde trouve son compte, surtout les gourmands et gourmets. Profitez des plats soigneusement préparés et constamment améliorés par le chef, qui, à force de créativité et de savoir-faire, apporte le goût et le raffinement dans vos assiettes. L’enseigne n’a rien à envier à ses pairs, et c’est là toute la différence ! Elle vous accueille dans un cadre typiquement français, où se marient avec harmonie terrasse ouverte sur le boulevard Haussmann et décor atypique illuminé par un dôme en verre. Le raffinement dans les assiettes Grâce à une cuisine ouverte sur la salle, vous ne sentirez pas le temps passer en dégustant les nombreuses suggestions gourmandes du chef : Tagliatelles fraîches aux trois fromages, magret de canard landais et son potimarron rôti accompagné d’oignon confit et duo de raisin, Brochette de Saint-Jacques à la citronnelle, Lotte et son cele’risotto, Crumble de rhubarbe et sa glace au speculoos sont autant de découvertes culinaires à explorer. Chaque met est rehaussé par une belle sélection de vins. La carte fait le tour des plus grandes régions viticoles du pays allant de Bordeaux, à la Bourgogne, en passant par le Beaujolais, la Vallée de la Loire et la Provence. ...
Tout en restant fidèle à la tradition champenoise, la Maison a su adopter une agriculture respectant l’environnement. Dans ce sens, elle favorise une viticulture raisonnée en réduisant insecticides et herbicides. Le vignoble et le terroir La Maison Le Brun de Neuville possède aujourd’hui 150 hectares de vignes, répartis sur sept villages différents. Sur un terroir crayeux et de forte porosité, le vignoble bénéficie d’une quantité suffisante d’eau et d’énergie solaire. Au niveau des cépages, les viticulteurs utilisent du Pinot Noir, du Meunier et surtout, à 90 %, du Chardonnay. Privilégier ce cépage idéal pour le vieillissement des vins permet à la Maison d’élaborer des champagnes « blanc de blancs », connus pour leur délicatesse, leurs notes florales et d’agrume, et, parfois, minérales. Une riche sélection de cuvées La Maison met à l’honneur le Chardonnay dans sa gamme traditionnelle. Ses cuvées expriment toute la fraîcheur de ce cépage et la minéralité du terroir. La gamme Authentique propose des champagnes qui ont vieilli sous liège pendant cinq ans. Le bouchon de liège « permet une micro-oxygénation des vins et des échanges entre l’extérieur et l’intérieur de la bouteille », explique Justine Boxler. Les champagnes Lady de N. ne sont pas en reste pour ce qui est de l’élégance et de l’originalité. C’est la gamme parfaite pour les tables gastronomes. ...
Cette belle propriété de 24 hectares est située entre Valréas et Montbrison-sur-Lez. Elle appartient et est gérée par Patrice Mery, un passionné qui est dans le métier depuis 1976, succédant à son grand-père en 1981. Le Domaine des Treilles appartient à la famille depuis 8 générations c’est-à-dire 1772. En 1994, Patrice décide de s'engager dans la démarche de l'agriculture biologique, et obtient le label 3 ans après. Il plante 1000 pieds d'oliviers en 1999 et se lance dans la fabrication de l'huile d'olive, toujours en agriculture biologique. Aujourd'hui, ce vigneron de 57 ans en est à son 40e millésime de vins. Les avantages de l'agriculture biologique Depuis 1994, le Domaine des Treilles adopte une agriculture biologique avec deux labels. Le premier est celui attribué par l'organisme européen ECOCERT, qui délivre son agréement chaque année. Depuis 2011, le domaine est aussi certifié par le label de " Nature et Progrès ", encore plus sévère dans ses contrôles. " C'est une double garantie pour le consommateur " explique Patrice Mery. Dans les faits, cela implique des procédés de production drastiques à suivre. En premier lieu, tous les produits chimiques quels qu'ils soient et dédiés au traitement des cultures sont strictement interdits. Le sol est travaillé par labours et griffages et les vignes sont traitées avec des produits naturels comme le soufre ou le cuivre à faible dose. Ensuite, le processus de vinification s'effectue sans filtration ni enzymage avec une utilisation en quantité infime de sulfite ( - 25mg/ litre ) pour conserver le gout du terroir dans les cuvées. Une belle sélection de vins « Le Domaine des Treilles produit annuellement dans les 900 hectolitres de vins. Ils sont composés de quatre vins dont un blanc et trois rouges qui sont en appellation d'origine contrôlée Côtes du Rhône et Côtes du Rhône Villages Valréas » raconte Patrice. La " Cuvée de la Pierre Plantée " 2015 sans sulfite est issue d'une parcelle à cheval sur la Drôme et le Vaucluse. Elle est élaborée à partir de Syrah et de Grenache en parts égales. Son terroir argilo-limoneux confère à ce vin un nez très floral, avec des notes de fruits rouges, réglisse, vanille et épices en bouche. L’idéal est de le servir avec une côte de bœuf, un magret de canard ou un chapon farci. Le " Côtes du Rhône Villages Valréas " est un vin de Syrah et Grenache noir. Il se caractérise par des notes de fruits rouges mûrs. Il est épicé et cacaoté en nez, avec une bouche charnue et des tanins puissants. Il se déguste en alliance avec du gibier, de la daube ou des desserts au chocolat. Avant de le savourer, il est conseillé de le carafer pour qu'il libère ses arômes. Une huile d'olive bio « Depuis 1999, le Domaine des Treilles s'est aussi lancé dans la production d'huile d'olive afin de diversifier son activité. Comme pour le vin, cette huile est produite suivant une démarche biologique. » précise le vigneron. Une partie de la production du domaine est élaborée au sein même du domaine avec le moulin itinérant " Le moulin de Marie ". L'autre partie est transformée dans le moulin de Mirabel-les Baronnies. Cette huile très fruitée, lactée et douce propose des arômes délicats de noisette et d'amande. Elle accompagne idéalement les poissons, salades, viandes blanches ou chèvre affiné. ...
En 1953, alors que l’appellation Buzet n’existe pas encore, un groupe de viticulteurs s’allie pour former la coopérative Les Vignerons de Buzet. La coopérative Les Vignerons de Buzet représente aujourd’hui 95% de l’appellation Buzet. Elle s’engage à vinifier et commercialiser des vins issus de pratiques responsables et durables. Une démarche responsable et durable à tous les niveaux « Nous sommes une coopérative fortement engagée sur le thème du développement et de la transition agroécologique », introduit Mariane Riboulet, responsable de la communication chez Les Vignerons de Buzet. Depuis 12 ans maintenant, cette philosophie est appliquée de la vigne à la bouteille. A cet effet, les vignes sont conduites en agriculture raisonnée et certains traitements chimiques sont supprimés. Ce qui signifie : zéro engrais chimiques, zéro désherbants chimiques résiduaires, zéro produits CMR (cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques). Et comme la coopérative veille méticuleusement à la préservation de l’écosystème, les insecticides nocifs pour les abeilles, dont les néonicotinoïdes, sont également bannis du cahier des charges. Par ailleurs, la question de l’économie d’énergie est réellement prise au sérieux. Les Vignerons de Buzet misent notamment sur les couverts végétaux afin de mieux gérer la ressource en eau dans les vignes. Toutes ces initiatives sont volontaires et vont au-delà de l’aspect environnemental. « Ces démarches écoresponsables ne se limitent pas au niveau du traitement des vignes », ajoute Mariane Riboulet. « Nous nous employons à ce que tout le processus d’élaboration du vin soit conforme à notre vision. C’est pourquoi nous travaillons aussi à l’écoconception de nos bouteilles, cartons, coffrets, etc…». Des vins pour tous « Baron d’Ardeuil » est un vin représentatif de la coopérative. « C’est la cuvée historique de la maison », nous confie notre interlocutrice. Le Baron d’Ardeuil se décline en rouge et en blanc. Baron d’Ardeuil rouge est issu de terroir de graves et d’argilocalcaires où les cépages Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon s’enracinent harmonieusement. Baron d’Ardeuil rouge est un vin plutôt puissant, boisé sans excès. De son côté, la cuvée Petit Baron se révèle être une porte d’entrée dans l’univers des vins de Buzet. Lancée en mars 2019, sur les trois couleurs (rouge, rosé et blanc), la gamme Petit Baron est née d’une volonté de donner une place à la chouette Chevêche d’Athéna, espèce protégée qui accompagne les viticulteurs des Vignerons de Buzet depuis longtemps car elle a été réintroduite dans le vignoble. Guidés par la chouette, Les Vignerons de Buzet reversent 1% des bénéfices générés par les ventes de cette cuvée en soutien à des initiatives environnementales, via l'organisme "1% for the Planet". La coopérative a également développé des vins sans sulfites ajoutés. Cette fois-ci, on dit non au soufre ajouté, additif qui a désormais rejoint le rang des allergènes. Parmi les ambassadrices de cette gamme de vins figure la cuvée "Sans", qui se décline en vin sans sulfites ajoutés rouge, rosé et blanc. Dans l’atelier du vigneron Les Vignerons de Buzet proposent une visite guidée dans le vignoble. L’animation est assurée par un viticulteur et un apiculteur qui se feront un plaisir d’exposer le cœur de métier de la coopérative. « Ces experts expliqueront respectivement toutes nos pratiques culturales liées à la transition agro-écologique. Les visiteurs découvriront, par exemple, comment sont préservés les insectes pollinisateurs, notamment les abeilles », éclaire Mariane Riboulet. Notons que la coopérative est engagée dans le label Bee Friendly qui promeut fervemment la protection des abeilles. Cette balade pédestre s’achève par une séance de dégustation où les visiteurs peuvent apprécier les vins et les produits du terroir en toute convi...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
Le restaurant Aria Nova sort des sentiers battus, entre autres grâce à son chef cuisinier qui fait preuve d’une grande créativité, tout en respectant les recettes méditerranéennes traditionnelles. Outre les assiettes joliment présentées et bien garnies, le cadre et l’environnement ne sont pas pour déplaire non plus, d’autant plus que l’établissement est sis au centre de la vieille ville. Une décoration hors du commun Ce restaurant se démarque de bien des manières, et cela se voit dès le premier coup d’œil. Outre sa terrasse découvrable qui permet de dîner le soir à ciel ouvert, une armure médiévale trône fièrement, juste à côté de l’entrée, tout près de laquelle se trouve un tableau affichant le menu. Juste derrière, un fût en guise de table, entouré de chaises de bar. Vous êtes d’ores et déjà mis dans l’ambiance, avant même d’avoir mis les pieds dans la salle. L’ambiance authentique de cette dernière est rehaussée par un parquet en bois et des murs en pierres blanches bonifaciennes, tandis que des tableaux bien colorés arborant différents couchers de soleil et inspirant des moments d’évasion sont accrochés aux murs. Une cuisine authentique Si le décor original est un plaisir pour les yeux, les assiettes en séduisent aussi plus d’un. Le Chef Ayrton Toffart, un amoureux des bons produits et un ancien de chez Georges Blanc à Vonnas, vous fera (re)découvrir les saveurs méditerranéennes – avec un mélange d’Italie et de Corse – d’une tout autre façon avec ses plats revisités. Il mise uniquement sur les produits de qualité optimale : il va jusqu’à cueillir lui-même les plantes aromatiques, ne travaille que des légumes bio et n’utilise que des produits locaux. D'autre part, tout ce qui sort de sa cuisine est fait maison ! En entrée, le Chef suggère le carpaccio de loup avec du citron vert, fin et savoureux à la fois. En guise de plat, choisissez entre le côté terre et le côté mer : ravioli maison aux langoustines et crémeux à la vanille Bourbon ou côte de veau bio. Pour finir, rien ne vaut la douceur et la finesse du tiramisu à la châtaigne. Bien sûr, la carte change au fil des saisons. Accompagnez votre menu de vins locaux de haute qualité dont ceux issus du Clos Paoli. ...
Sous la houlette d’Éric Violette, qui est à l’accueil, et son chef cuisinier écossais. La cuisine Faite Maison de ce bistrot chic se déguste dans une ambiance conviviale et amicale. La petite anecdote des lieux concerne son nom Aux 24 Colonnes, qui s’inspire de la proximité avec le Palais de Justice du Vieux Lyon. Une cuisine gourmande dans un cadre authentique Implanté dans le quartier du Vieux Lyon, classé au patrimoine mondial de l’humanité, Le Bistrot du Palais offre un cadre authentique et original, puisqu’il est installé dans une ancienne écurie de la primatiale Saint-Jean-Baptiste, qui date de 1388. Tous les matériaux du bâtiment sont faits uniquement en matière naturelle, avec du bois ou de la pierre. Rien que son plafond à la française du début du XIXe siècle mérite amplement le détour. La salle affiche un décor traditionnel et élégant. Les grandes banquettes, les tables et les chaises en bois donnent tout son cachet à cet espace intérieur. Les nombreuses surfaces vitrées donnent l’impression d’agrandir les lieux tout en conférant un air chic et rétro au restaurant. Les spécialités lyonnaises à l’honneur Le restaurant prône une cuisine faite maison, élaborée avec des produits frais et de saisons. Toutes les matières premières sont fournies par des professionnels de la région comme la charcuterie Bobosse, la fromagerie de la Mère Richard, le glacier Nardone ou le pain des Jacobins. Elles permettent au chef d’élaborer de nombreux plats gourmands qui ravissent les palais. Ici, pas de menu. Seule une carte constituée de nombreuses spécialités lyonnaises est proposée. Celle-ci change tous les 3 mois, à chaque changement de saison. Tous les plats, même les spécialités de la région, sont revisités à la façon 24 Colonnes et font la réputation du restaurant. En entrée, les convives se délecteront d’une gratinée lyonnaise, de l’œuf meurette ou d’une salade lyonnaise à base de 5 variétés de salades, de lardons, de croûtons et d’œuf poché, ou encore du Claqueret. En plat de résistance, place à l’andouillette « Bobosse » à la Beaujolaise, le blanc de Poulet de Bresse farci au boudin noir et jambon cru, la Quenelle aux queues d’Ecrevisses. Pour les desserts, la tarte pralinée, le cake à la rhubarbe et aux amandes, le soufflé au chocolat achèvent le repas en beauté. ...
Entre les Brocard et les vins se cachent une véritable histoire d’amour. La grande aventure familiale a commencé en 1973, lorsque Jean-Marc Brocard rencontre son épouse, descendante d’une lignée séculaire de vignerons de Saint-Bris-le-Vineux qui partage avec lui une passion effrénée pour le vin. Le destin de Jean-Marc change radicalement lorsqu’il se rapproche de Louis Petit, un grand virtuose des vins qui l’initie dans l’art de manipuler la vigne comme il se doit, avec patience et respect. Ainsi motivé, Jean-Marc Brocard devient viticulteur et installe son domaine au cœur du vignoble, à Préhy (Yonne). Son fils Julien, ayant grandi au rythme de la vigne, se laisse séduire par le métier de vigneron à partir de 1995. Ce dernier étant passionné par la biodynamie, il décide d’insuffler un nouvel élan à la production en misant sur un mode cultural qui respecte la Nature. Le terroir de prédilection du chardonnay La maison Brocard a choisi de travailler en monocépage. L’heureux élu est le chardonnay, une variété tout à fait caractéristique de l’appellation Chablis. Aujourd’hui, ce cépage règne en maitre absolu sur 200 ha de sol argilo-calcaire. À noter que le chablis est un vignoble de bassin sédimentaire, c’est-à-dire une terre riche en matières et dont le sous-sol est constitué du fameux kimméridgien. Cet étage géologique datant du Jurassique supérieur est notamment composé de couches de marnes et de calcaires qui forgent tout le caractère des vins chablisiens. Ainsi, le chablis fait partie des rares vignobles d’appellation à pouvoir vanter expressément son identité géologique. Et pour les Brocard, se trouver sur un tel terroir ne peut être qu’une fierté. Qui dit « terroir exceptionnel » dit « traitement exceptionnel ». Julien Brocard insiste sur la contribution de l’agriculture biologique et de la biodynamie dans la qualité de ses vins : « Ces méthodes culturales nous conduisent à pratiquer une vinification naturelle. Ainsi, nous n’utilisons que des levures indigènes et laissons place à une fermentation spontanée pour obtenir des vins d’une harmonie optimale. » Les ambassadeurs de la maison Précision, force et fraicheur… Ces trois mots résument le style de production de la maison. Soit, tout ce que représente la cuvée « Sainte Claire ». Au-delà de ses arômes et de ses notes fraiches, caractéristiques du terroir, ce vin raconte une histoire. Son nom rend hommage à l’église voisine du domaine, autour de laquelle se sont enracinées les premières vignes de Jean-Marc Brocard. La cuvée « Montée de Tonnerre » quant à elle, est un emblème par excellence de l’AOC Chablis. « C’est un Premier Cru qui nous tient particulièrement à cœur et qui, d’autant plus, est très apprécié des amateurs de chablis », déclare fièrement notre interlocuteur. Idéal pour une longue garde, le vin en question séduit par ses arômes d’agrumes légèrement épicés et ses délicieuses notes toastées. Enfin, il est impératif de faire mention de « La Boissonneuse », le premier chablis conduit en biodynamie. Cette cuvée symbolise 20 ans de travaux acharnés dans le respect de l’environnement. « Des pratiques culturales entièrement saines qui vont vitaliser la terre et la vigne, afin de donner naissance à un vin naturellement exquis. » Découvrir le domaine Le cadre a tout pour plaire : un domaine, des vignes et une église du XVe siècle qui offre un beau panorama sur l’ensemble du vignoble chablisien. Quand des visiteurs viennent au domaine, les Brocard et leur équipe professionnelle se font un plaisir de les accueillir le temps d’une halte œnotouristique. Au programme : tour du vignoble à pied ou en gyropode, dégustation et déjeuner au domaine… Les œnophiles peuvent également acquérir quelques produits dans les boutiques de vente. Par ailleurs, une salle de réception est mise à disposition des clients désireux de fêter une occasion spéciale dans l’ambiance chablisienne. Les prof...
Si le domaine des Champs Fleuris est surtout connu pour son vin appellation Saumur-Champigny, il ne l’est pas moins pour ses excursions découvertes. Deuxième passion du propriétaire des lieux, Denis Retiveau nous emmène à la découverte de la Loire dans des toues cabanées. Ces embarcations d’abord destinées à la pêche au saumon au filet-barrage ont été revisitées pour entraîner le visiteur vers une rêverie calme et reposante. Depuis 6 ans, il navigue ainsi sur la Loire et possède aujourd’hui trois bateaux. Un de 12m, un de 14m et un de 18m. Une petite flottille entièrement réaménagée pour transporter une douzaine de passagers et deux membres d’équipage. Disponible uniquement à la réservation, ces petites balades d’une à trois heures se font au rythme de l’eau pour partir à la découverte de la région. Des embarcations et une histoire Ses trois bateaux, Denis les a acquis au fil des années. On retrouve d’abord l’Etoile qui Rit en hommage à Saint-Exupéry et inspiré de sa belle-mère. Il y aussi Topette un lundi racheté à un grand industriel et Rebelle, un bateau d’occasion de 5 ans racheté à un retraité. Comme le raconte Denis, « les bateaux n’ont pas été rebaptisés, cela pourrait porter malheur dit-on ». C’est ainsi que l’on part à la découverte de la région vers Saint-Germain-sur-Vienne pour visiter le village et le château de Montsoreau. Le château qui a servi de décor à la série TV La Dame de Montsoreau dans les années 80. Ou encore vers la Collégiale de Candes-Saint-Martin et ses châteaux. Et pour l’histoire, à la mort de l’évêque local, on aurait volé son corps. En plein mois de novembre, les arbres et arbustes se seraient alors mis à fleurir et c’est ainsi que l’endroit fut baptisé l’Eté de Saint-Martin. Et des anecdotes comme celles-là, le maître des lieux en a encore plein en réserve. En fonction de la durée de l’excursion, on peut remonter la Vienne et même jusqu’à Chouzé-sur-Loire ou Chinon. Pour ces dernières, il faudra compter jusqu’à 3h de navigation. Outre les excursions sur la Loire, il est également possible de passer la nuit à quai sur ces toue cabanées qui ont été spécialement aménagées pour. ...
La région des Pierres Dorées, surnommée « la petite Toscane beaujolaise » doit son nom à cette quarantaine de villages remarquables construits avec les pierres calcaires locales d’une couleur ocre jaune. Ce territoire, labellisé depuis 2010 Vignobles et Découvertes, compte aujourd’hui plus de 80 partenaires (vignerons, hébergeurs, restaurateurs, prestataires de loisirs et structures patrimoniales) qui forment ainsi un réseau solide d’échange et de promotion autour de cette destination, animé par les Offices de tourisme Beaujolais Pierres Dorées et Villefranche Beaujolais Saône. Grâce à ce label, le client peut bénéficier d’une offre de produits multiples et complémentaires (hébergement, restauration, visite de cave et dégustation, site culturel, événement...) avec des prestations de qualité. Le Fascinant Week-end Vignobles et Découvertes Depuis 4 ans, le territoire labellisé organise le Fascinant Week-End Vignobles & Découvertes. Que vous soyez sportifs, gastronomes, mélomanes ou amateurs d’expériences nouvelles, profitez le temps d’un week-end, fin octobre, de l’univers passionnant du vignoble, en trouvant une activité qui correspond à vos envies. A cette occasion, vous pourrez participer à des visites commentées, des ateliers découvertes, assister à des concerts aux répertoires éclectiques, découvrir des expositions ou vous adonner à des activités sportives et insolites… Vous êtes libres de choisir votre animation, partager vos émotions et explorer les produits de ce terroir. Lors de vos différentes activités, les paysages exceptionnels du Beaujolais sauront se dévoiler à vous. Sélection Pierres Dorées Mais la région des Pierres Dorées est aussi une région vinicole produisant des vins de qualité, avec les trois couleurs représentées : rouge, blanc et rosé. Des viticulteurs passionnés travaillent tout au long de l’année pour créer des vins subtils et étonnants, des vins gourmands et généreux, et pourtant méconnus. Pour faire découvrir la richesse et la typicité de ce territoire, l’Office de tourisme organise depuis 20 ans une sélection de vins. Les meilleurs vins et millésimes du Beaujolais des Pierres Dorées y sont récompensés. Cette sélection est également mise en avant lors de soirées événementielles. Lors de votre passage, vous pourrez la découvrir dans un guide pratique. Ainsi l’Office de tourisme s’engage également depuis une dizaine d’années pour la reconnaissance de l’appellation AOC « Pierres Dorées », en étroite collaboration avec l’Organisme de Défense et de Gestion de l’appellation Beaujolais-Beaujolais Villages depuis peu. ...
Réaliser son propre vin, trouver l’équilibre entre les arômes des cépages, décrire les émotions au nez, en bouche : Le Maitre de Chai entretien une relation subtile avec le temps et la nature. Son métier fascine, intrigue ou force l’admiration depuis des siècles. Aujourd’hui, l’occasion est donnée pour vivre en famille ou entre amis cette expérience sensorielle et ludique : celle de la conception d’un vin prestigieux. L’idée naît dans l'esprit inventif de Christine de la Guéronnière. Issue d’une famille de vignerons et d’artistes, cette vinificatrice rejoint le domaine familial en 2015, après avoir excercé dans le commerce international. Inventive, animée par la dimension de partage et la passion d’un métier porté par les siens depuis 1928, elle joint l’art à l’artisanat dans ce jeu audacieux, olfactif et instructif. Créer un grand vin de Bordeaux : mode d’emploi écriVins parle des grands vins libournais. Dans le coffret, se présentent élégamment 3 bouteilles de vin monocépages (Merlot, Cabernet Franc, Cabarnet Sauvignon), 4 pipettes en verres, 4 supports de jeu, des cartes d’aides à la description sensorielle et une carte des règles du jeu. Celui-ci se déroule en trois parties, amenant les participants à reproduire de grands vins avant de concevoir le leur. Cinq AOC Pomerol, puis cinq AOC Saint-Emilion classés Grand Cru livrent ainsi leurs secrets, via une approche empirique. Une fois ces saveurs historiques assemblées, goûtées, notées, les joueurs (jusqu’à 4) s’adonnent aux derniers assemblages, ceux-là même qui définiront leur propre création. L’expérience est complète mais ne s’arrête pas là. Le vin réalisé in fine peut être commandé sur Internet. écrivins vous en proposera une caisse de 6 bouteilles, habillées d’une étiquette à votre nom ou celui de votre choix. Le jeu est également rechargeable sur leur site et chez les cavistes partenaires. Un écrin de bonnes idées au service des vins du terroir S’il s’adresse aux particuliers, écriVins est aussi un support didactique et soutenant, tendu vers les viticulteurs Libournais. Vignobles, caves, bars à vins, peuvent ainsi disposer d’une animation oenologique "clé en main", originale et dynamique. L’art de l’assemblage participe à dorer les notes de noblesse des grands vins de Bordeaux mais reste parfois méconnu à l’international, souvent plus sensible aux monocépages. Eclairer les richesses et la complexité de cette "cuisine des dieux" compte parmi les buts du jeu. Sa créatrice témoigne avec joie des réactions de ses auditeurs venus du monde entier, curieux et ravis de l’expérience. Des coffrets à (s') offrir, sans modération écriVins peut se commander sur le site dédié https://www.ecrivins.fr/. Ce jeu innovant, porté par le goût du vin et des autres, ravira les participants (de 1 à 4 joueurs), de 18 à 99 ans. Le coffret inclut convivialité et bonne humeur, à savourer en famille ou entre amis. A l’approche des fêtes de fin d’année, à l’occasion d’un anniversaire, d’un événement, écriVins est l'occasion de surprendre, de faire plaisir et de savourer, en plus de bons vins, de précieux instants. Les curieux, les œnologues en herbe, les vignobles désirant développer leurs animations oenotouristiques seront servis et quelques vocations, pourquoi pas, pourraient se dessiner. Il n’y a plus qu’à céder à la tentation de ce jeu qui, en plus d’être ludique, signe un joli clin d'oeil aux artisans de la terre. ...
Dans un style bistrot à l’esprit atelier, où la cuisine ouverte permet à toute la salle de voir le chef travailler derrière une verrière, L’Atelier Ramey fait sensation auprès des foodies parisiens en quête d’une nouvelle cantine. Le décor industriel enrichi d’objets chinés pour la plupart transporte dans un joli voyage bistrotier, où une vraie aventure culinaire vous attend. Ce petit repaire de gastronomes propose, le soir, un menu dégustation complet soupe-entrée-plat-dessert au choix à 34 €, une formule midi entrée-plat ou plat-dessert à 21 € et un menu à la carte. Sa Terrine de boudin noir poêlé céleri remoulade au raifort, sa Joue de bœuf braisée mousseline de topinambour et son Filet de bar rôti à l’olive risotto d’agrumes constituent de véritables délices pour les papilles, sans parler de son fameux Baba au rhum ananas raisins confits et son savoureux Riz au lait caramel au beurre salé tuiles dentelles à l’orange. Une riche carte de vins L’Atelier Ramey travaille directement avec le vigneron qu’il connait personnellement. Ayant l’énorme avantage de posséder un bar à vins, le restaurant se repose sur l’expérience de son sommelier Cyril Laroche pour la sélection rigoureuse de tous les vins de la maison, dont les petites pépites du Sud-Ouest et de la vallée du Rhône et de la Loire, avec une large gamme de vins nature. Pour « les petites bulles de la maison », comme les appelle si bien le propriétaire Dani Maïni, l’enseigne a choisi de travailler avec le Domaine de la Taille au Loup Montlouis-sur-Loire Triple Zéro du vigneron Jacky Blot. Pour les vins du Sud-Ouest, le choix de l’établissement s’est porté sur le Domaine d’Elian Da Ros. ...
Sous le ciel ensoleillé de Trélou-sur-Marne, sur la rive droite de la Marne, entre Épernay et Château-Thierry, la maison Couvent Fils prend soin de ses trois hectares de vignes avec la plus grande rigueur. De ce terroir situé dans la vallée de la Marne se développent les trois cépages champenois, dont le pinot Meunier en sera le roi (70 %). Les vignes sont cultivées de façon raisonnée dans une optique de préserver le patrimoine, héritage des générations futures. Des bulles pétillantes Médaillée d'argent lors du Concours Général Agricole auquel la marque participe pour la première fois, la cuvée Empreinte est l’ambassadrice de la maison Couvent Fils. Elle est issue de l’association de trois cépages champenois et a bénéficié d'un vieillissement de 24 à 36 mois dans les caves. Pour satisfaire les amoureux de la gastronomie fine, la maison propose le Plaisir secret. Cette cuvée est élaborée à partir d’un millésimé sélectionné en fonction de sa finesse. Au moment du dégorgement, un dosage en demi-sec est réalisé. À consommer en apéritif, elle révèle aussi toutes les saveurs d’un foie gras et constitue l’allié incontournable des douceurs chocolatées. À la découverte d’un savoir-faire La maison Couvent Fils invite les touristes à découvrir le champagne à la source. Un parcours durant lequel la visite des caves ou du pressoir est organisée. Après cette balade pédagogique, les vignerons proposent une dégustation à leurs convives. L’occasion d’apprécier les cuvées fabriquées dans le respect des techniques traditionnelles. L’immersion totale au cœur de l’univers champenois s’effectue quant à elle grâce à un séjour complet au sein d’un gîte pour six personnes labellisé Gîte de France (trois épis). ...
Au Château la Pierrière, le temps semble s’être figé. La propriété qui date du XIIIème révèle encore quelques vestiges qui témoignent de son riche passé notamment sa cour intérieure, ses tours pentagonales du XVème siècle et ses douves creusées. Située à 45 minutes de Bordeaux et 7 minutes de Saint-Émilion, elle est considérée comme l’une des plus anciennes exploitations du Castillonnais. Un patrimoine reçu en dot par François de Lageard en 1607 lors de ses épousailles avec Marguerite de Puyperron. Depuis, ses descendants ont tour à tour apporté des améliorations sur le domaine afin qu’il marque son empreinte dans le paysage viticole bordelais. Une maison viticole engagée Le Château la Pierrière a la chance d’être installé sur un terroir de grande qualité. Le vignoble constitué de 30 hectares de plateaux calcaires et de 10 hectares de coteaux argilo-calcaires revêt une personnalité sensiblement similaire à celle de Saint-Émilion. Il est principalement encépagé de merlot, de cabernet franc, de malbec ainsi que de sauvignon blanc. Le domaine signe sa différence par la richesse et la beauté de son environnement. « Nous essayons de maintenir de la végétation naturelle et nous avons même un projet de plantation de haies pour renforcer la biodiversité au niveau des parcelles », fait savoir Olivier de Marcillac. Le vigneron est soucieux de l’héritage à laisser aux futures générations c’est pourquoi il a décidé de conduire son vignoble selon des pratiques agro-environnementales ayant abouti à l’obtention du label HVE. « Nous privilégions aussi la taille douce physiologique de la vigne pour garantir de meilleurs raisins et réduire les maladies », déclare-t-il. Des vins sur le fruit et la souplesse Le Château la Pierrière propose six cuvées, dont deux nouveautés à savoir « La Rencontre » sans sulfites ajoutés et « Fidélis ». Parmi les vins qui constituent son catalogue, la cuvée « Fondateur 1607 » retient toute l’attention. Conçue en hommage à François de Lageard, elle est issue d’une sélection parcellaire et se compose de 80 % de merlot et de 20 % de cabernet franc. Ce vin aux arômes fins et intenses avec des saveurs vanillées, réglissées et toastées peut patienter en cave entre 5 à 10 ans. ...
De Nice à Marseille, en passant par Perpignan, les oliveraies françaises du Midi, destinées à la production d’huiles recouvrent un petit terroir de 13 départements sur l’arc méditerranéen. Cette limitation territoriale est toutefois compensée par la riche variété d’espèces qui y croissent. On en dénombre plus d’une centaine. Un petit terroir riche en contrastes Les oliviers français, et partant les huiles que l’on en extrait, ont du caractère. Et pour cause ! Les régions de production abritent une centaine de variétés endémiques à l’Hexagone. La tanche, la grossane, la picholine, la salonenque, pour n’en citer que quelques-unes. Certaines de ces variétés ne se rencontrent même qu’à l’échelle de quelques communes. Autre trait distinctif du terroir français, l’importante « sentimentalité autour de l’olivier » pour reprendre les propos d’Alexandra Paris. Les oliviers sont entretenus par des agriculteurs mais aussi par des « oléiculteurs familiaux » dont certains cultivent jusqu’à 300 pieds, juste par passion. La non-homogénéité des bassins oléicoles rajoute aux contrastes qui font les traits du terroir national. Les huit appellations d’origine figurant au répertoire français illustrent cette diversité. Celle-ci se retrouve tant dans les variétés plantées que dans les pratiques de culture. Et c’est dans cette diversité que l’huile d’olive française puise sa fierté. Entre les huiles variétales et les AOP, les spécificités aromatiques des huiles du terroir font l’objet d’une attention soutenue. Mission que s’attachent notamment à faire découvrir aux gourmands comme aux curieux des organismes comme l’Afidol, l’association des professionnels de l’olive en France. Petite échelle de production, grande typicité aromatique La France se distingue par sa production confidentielle qui est annuellement d'environ 5 000 tonnes d’huile d’olive. La consommation à l’échelle nationale avoisine pourtant les 105 000 tonnes. Cette rareté à la source n’altère pas moins la qualité du bien. Loin de là : les variétés concourent à créer une multitude d’arômes et de goûts, caractéristiques protégées par des appellations d’origine, pour certaines huiles. L’huile d’olive de Nice, par exemple, se distingue par ses notes marquées d’amande. Ou encore celle de la Vallée des Baux-de-Provence où dominent l'artichaut et les notes poivrées... Pour s’y retrouver dans cette large typicité aromatique, les professionnels classent les huiles d’olive françaises en trois familles de goût (subtil, intense, à l'ancienne). Dans chacune d’elles, les déclinaisons sont encore multiples dans les odeurs évoquées comme dans le comportement en bouche du produit. Chacune de ces huiles ayant une affinité particulière avec un plat donné, qu’il soit chaud ou froid, le répertoire de produits laisse finalement place à une immensité de possibles. Pour en savoir plus : huiles-et-olives.fr. ...
La Table de Marçay propose des mets gastronomiques dans un décor boisé. Les tables sont méticuleusement dressées dans une salle aux tons orangés, ornée de tableaux contemporains. Illuminée par les rayons du soleil grâce à ses larges fenêtres, la pièce offre une ambiance plus cosy et intimiste en soirée, grâce à une lumière tamisée. Cerise sur le gâteau : la convivialité se ressent dans l’accueil comme étant un parfait mariage avec le décor. Un chef amoureux des produits du terroir Avant de poser ses valises à La Table de Marçay, le chef Cédric Delay a connu un long et riche parcours. Il commence à travailler très tôt car, dès l’âge de 19 ans, il intégre les services du comte et de la comtesse de Vogüé. Entre janvier 2000 et février 2001, il exerce en tant que commis de cuisine au sein de deux restaurants à Colmar et à Joigny. Il a ensuite été demi-chef de partie à l’hôtel-restaurant étoilé Plaisance, à Saint-Émilion, où il est resté 2 ans. Responsable de cuisine puis chef de partie entre 2003 et 2006, il choisit d’être second à La Table des capucins pendant 4 ans avant d’être promu au poste de chef au sein du Belvédère de l’Oustal. Depuis 2012, il met à profit toute cette longue expérience au sein de La Table de Marçay. Cédric Delay choisit ses matières premières chez des fournisseurs répondant à deux critères stricts, à savoir le sérieux de la production et la qualité constante des denrées livrées. La présence des potagers composés d’une grande variété de légumes, de fruits, d’herbes aromatiques et même de truffières lui permet également de remplir la liste des ingrédients nécessaires pour réaliser ses créations culinaires. « Toute cette fraicheur se ressent dans les plats qu’il concocte avec soin et technicité », explique Stéphanie Mollard, la directrice de l’hôtel. À ne pas manquer : l’escalope de foie gras poêlée, chutney de fraise et rhubarbe au poivre de séchuan, qui fait partie de ses spécialités. Un vaste choix de formules gourmandes « La bonne cuisine est la base du bonheur. » Cette citation d’Auguste Escoffier reflète les valeurs de la maison. « Ici, on cuisine pour le plaisir des clients », réplique Stéphanie Mollard. Dans cette perpétuelle quête de la qualité et de la satisfaction de la clientèle, 5 types de menus répondant à toutes les envies ont été élaborés. Le restaurant gastronomique propose les menus « Au fil du temps » (48 € ou 64 €) et « La Table de Marçay » (69 € ou 85 €), composés d’un amuse-bouche, d’une entrée, d’un plat de viande et/ou d’un plat de poisson, d’un pré-dessert et d’un dessert. Le chariot de fromages, compris dans le menu « La Table de Marçay », propose plus d'une vingtaine de fromages d'exception, représentatifs de notre beau terroir français… Les plus aventuriers, quant à eux, se laisseront tenter par le menu « Les pieds sous la table », constitué de 6 plats en petites portions sélectionnés par le chef dans la carte. À midi, on vous proposera de découvrir la « Carte terrasse », où vous trouverez une sélection de plats plus simples pour un déjeuner léger sous les tilleuls : fraicheur et saveurs garanties. ...