Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste, ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il. Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...
Les Aviateurs est la nouvelle adresse où le Chef Chevrier donne rendez-vous à ses clients. Idéalement situé sur la Rue du Rhône, l’établissement attire les genevois par son concept si particulier. Les Aviateurs, c’est plus un bar tea-room qu’un restaurant et il porte bien son nom. Il plonge les clients dans l’élégance du monde de l’aviation pendant qu’ils savourent leurs plats. Un cadre chic et atypique Le bar Les Aviateurs a vu le jour en 2017 sous l’initiative de IWC, une manufacture horlogère Suisse. En voulant offrir une carte plus élaborée pour répondre à la demande de sa clientèle, IWC fait appel au chef Philippe Chevrier. Plus tard, il y voit l’opportunité de créer un nouveau type d'établissement : un bar tea-room où les clients peuvent venir à tout moment. Néanmoins, l'adresse reste fidèle à son nom. Le chef Chevrier décide de conserver le design intérieur du bar. Le décor quant à lui met en avant des carlingues d’avion, des cadrans de montre, des photos d’aviateurs qui nous ramènent dans les années 30 et 40. Le bar attire les clients par un style élégant de Gentlemen club. Les clients y sont invités à se détendre sur des fauteuils en cuir, autour d’une table haute. Sous la responsabilité d’Elodie Décure, une directrice proche de sa clientèle, les Aviateurs accueille les habitués et les nouveaux clients dans une ambiance chaleureuse et accueillante. A la carte du bar tea-room Les Aviateurs Les Aviateurs ouvre ses portes aux clients dès le matin jusqu’à l’after-work. Pour commencer la journée, le bar tea-room propose des viennoiseries, des muffins et des salades de fruits frais au petit-déjeuner. Pendant la journée, les clients peuvent choisir entre burgers, tartares, croque-monsieur, tartes salées, quiches et salades. Les Aviateurs possède aussi son plat signature qui met à l’honneur les produits locaux : le Burger Les Aviateurs. Pour le préparer, ils utilisent du pain boulanger local, du steak de bœuf 100% suisse coupé au couteau ainsi que du gruyère suisse. En soirée, on y retrouve planches de charcuterie, pâté en croûte et fromages. A l’heure de l’after-work, le bar offre aussi à ses clients du saumon, des rillettes de crabe et de la volaille. Par ailleurs, Les Aviateurs dispose également d’une jolie carte de pâtisserie, œuvre du pâtissier-chocolatier Laurent Exbrayat, pour l’heure du thé. Etant un tea-room digne de ce nom, l’établissement est un endroit de premier choix pour prendre une tasse de thé ou de café seul ou entre amis à l’heure du goûter. Outre les boissons chaudes, le chef Chevrier a conservé la carte des boissons auquel les premiers clients étaient déjà habitués au moment de reprendre le bar. Pour l’enrichir, il a ajouté une carte de cocktails créatifs destinée à satisfaire la clientèle masculine qui y est nombreuse. Mise à part la particularité de son cadre et de son concept, Les Aviateurs s’adapte aussi aux saisons. Nouvelle saison, nouvelle atmosphère Les Aviateurs dispose d’un atout qui fait de lui un endroit privilégié par les clients tout au long de l’année : sa terrasse estivale. Pour profiter pleinement de l’été et du soleil, les clients peuvent prendre leurs repas, leurs goûters ou leurs tasses de café au milieu des oliviers et d’autres arbres méditerranéens. En hiver, la terrasse couverte est chauffée pour permettre aux clients d’y prendre leur verre de cognac ou de fumer un cigare malgré le froid. Pour toutes ces qualités ajoutées aux talents culinaires du chef, les clients fréquentent Les Aviateurs tout au long de l’année. ...
À l’entrée de l’île de Noirmoutier, juste à côté du pont, La Maison sur l’Eau émerveille par sa simplicité et son élégance. La demeure au charme maritime arbore fièrement son allure au style colonial, mêlé à une certaine touche de modernité. Une promesse de voyage dans le temps, à travers vents et marées, où la détente et le plaisir sont les mots d’ordre ! Un hôtel de charme Créée en 1870, La Maison sur l’Eau est un ancien relais des voyageurs. Rénové et décoré au goût du jour tout en préservant son esprit d’antan, l’établissement est aujourd’hui un hôtel de référence à Noirmoutier, avec ses quatre étoiles bien méritées. En tout, l'hôtel dispose de deux chambres et quatre suites duplex avec vue sur la mer. À l’image de la bâtisse, chaque pièce dégage une ambiance sobre, chic et conviviale. À cela s’ajoute un écrin de verdure avec son jardin exotique, une piscine-solarium, un jacuzzi et divers autres services, dont le bateau de l’hôtel avec ski nautique à la disposition des clients, ainsi qu'un paddle et un canoë-kayak et enfin des massages sur rdv. Un restaurant gastronomique Au milieu de cet endroit féérique, les gourmets ne sont pas en reste ! En effet, La Maison sur l’Eau dispose aussi d’un restaurant gastronomique, dont les 300 m2 de terrasse offrent une vue imprenable sur la baie. Sur réservation, le chef Bruno Raballand y propose une cuisine traditionnelle à base de produits frais et de qualité issus du terroir. Au gré des saisons, la carte suggère des plats variés avec une alliance terre-mer. L’occasion pour les convives de découvrir les spécialités de la région, dont le fameux homard grillé, l’appétissant plateau de fruits de mer ou encore le succulent magret de canard de Soulans sauce miel et le filet de bar rôti sauce beurre nantais. Par ailleurs, la carte de vins recèle quelques pépites du vignoble vendéen, sans oublier les grands classiques. ...
C’est en 2008 que Bernard Boullanger décide de se lancer dans l’aventure de la Guyane épicurienne en ayant « comme objectif de promouvoir le développement de ce pays magnifique et mal connu par la structuration de l’agriculture guyanaise ». Avec sa boutique parisienne, Délices de Guyane devient ainsi l’ambassadeur du pays en proposant des condiments, de la confiture, des sirops, des punchs, du rhum et d’autres délices fidèles à leur terre et élaborés exclusivement avec des produits frais locaux. Un soupçon de Guyane dans chaque bouchée Chaque sirop, punch, gelée ou pâte de piment révèle toutes les saveurs d’un pays riche de ses traditions et de sa fertilité. Issus de l’agriculture guyanaise, ces produits sont fabriqués avec 100 % de fruits frais et naturels, dont « 40 % sont issus de jardins de particuliers », précise Bernard Boullanger. « Entièrement traités à la main, les fruits et les piments sont transformés sur place sans conservateurs, sans gélifiant ni colorants », poursuit-il. Les saveurs naturelles sont conservées tout en garantissant la fabrication artisanale de chaque produit. Découvrez ainsi un large éventail de confitures, de gelées et de sirops à base de fruits tropicaux, une gamme riche de rhums et de punchs ainsi qu’une collection de condiments, oscillant entre piments extra-forts, doux et non piquants. Offrez également des colis gourmands Délices de Guyane en guise de cadeaux pour partager ces saveurs d’exception. ...
Installant ses vignes en cave coopérative en 2003, Stéphane GUILLEMIN donne un tournant à son activité viticole à partir de 2007 en créant sa propre exploitation avec l’aide de sa femme Lucie. Il fait acquisition d’un vignoble de 25 hectares répartis sur les communes de Clessé, Viré, Péronne et Verzé. La grande diversité de son terroir lui offre toutes les latitudes pour travailler plusieurs appellations telles que Viré-Clessé, Mâcon-Péronne, Mâcon-Verzé, Mâcon-Villages, Crémant de Bourgogne et Bourgogne rouge. L’appellation Viré-Clessé sous les feux des projecteurs L’AOC Viré-Clessé est reconnue à partir de 1998 et s’étend sur les terroirs de l’AOC Mâcon Villages. Vifs et frais aux arômes de fruits, les vins blancs issus de cette appellation font partie des fleurons produits par le Domaine Guillemin Stéphane et Lucie. Parmi ces pépites figure ainsi la cuvée éponyme, un chardonnay généreux dévoilant de belles notes de fruits mûrs, d’agrumes et de fleurs. En bouche, elle se veut harmonieuse, suave, ronde et minérale sur fond de saveurs épicées et fruitées. Un superbe cru qui donne relief et consistance aux fruits de mer, aux poissons, aux crustacés, au fromage de chèvre ou aux viandes blanches grillées. Une alliance entre tradition et modernité Pour produire ses vins raffinés et expressifs, le domaine a fait le choix d’adopter une viticulture raisonnée. Aujourd’hui certifié Haute Valeur Environnementale (HVE), il signe sa différence en mettant en avant un savoir-faire traditionnel associé à l’utilisation de technique moderne qui réduit au maximum l’usage d’intrants phytosanitaires. ...
L’interconnexion entre tous les éléments. Voilà ce que Éric Jullion, ce poète passionné de vin et de vie, veut apporter dans nos verres. Une conversion en bio et biodynamie est ainsi en cours pour accroître la biodiversité des sols. Une tournure très prometteuse « Je ne cherche pas vraiment à avoir un rendement. Mais je tiens à faire transparaitre un état d’esprit dans mes cuvées », fait savoir le vigneron. Les premiers vins labellisés bio seront ainsi mis en bouteille en 2021 pour être commercialisés en 2023. ...
Rachetée en 1964 par le chef étoilé au Guide Michelin Arthur Keller, cette guinguette du bord de Marne au nom très évocateur est aujourd’hui un lieu de charme et d’exception, absolument à découvrir. Baignant dans une atmosphère moderne et épurée avec des tables non nappées en bois massif, l’Hôtel Restaurant Le Quincangrogne, récemment affilié aux Logis de France, offre une agréable vue sur la Marne. Dans un concept particulièrement convivial, sa cuisine ouverte sur une verrière de 4 m de long permet par ailleurs une vue générale sur ce qui se passe derrière les fourneaux, sans parler de son immense plateau de fromages et de son imposante cheminée. À travers une cuisine gastronomique empreinte d’une touche méditerranéenne et de subtilités asiatiques et qui privilégie les produits régionaux, Le Quincangrogne séduit par la diversité de ses plats qui sont, par ailleurs, de véritables découvertes culinaires. Des plats inventifs Démarrez les hostilités avec sa délicieuse entrée d’escargots de la ferme de Pamfou flambés à l’anis, accompagnés d’une émulsion lactée de noisettes de la Ferme de Férolles (Seine-et-Marne). Continuez avec son cochon de la ferme d’Aubetin, à Dagny (Seine-et-Marne), frotté à la fleur de sel et confit pendant 14 heures, accompagné d’un beurre mousseux demi-sel, avant de terminer avec sa clémentine confite dans son jus, meringuée, accompagnée de son sorbet relevé à la bergamote. Pour accompagner chacun de vos repas, la carte des vins du Quincangrogne est riche en surprises. Elle vous permet un excellent choix parmi de nombreuses références de vins typiquement français, dont les plus appréciés sont le Beaune 1er cru du Domaine Berthelemot ou le Clos des Mouches et le Condrieu de chez Robert Niero. ...
Malgré sa relative petite superficie (8 hectares), le vignoble de ce château est composé de plusieurs terroirs : argilo-limoneux sur sous-sols de graves, graves sur argiles profondes et argilo-calcaires. Olivier Cazenave, à la fois propriétaire et vigneron, met à profit cette différence pour produire une grande variété des vins dont les traits communs sont le croquant et la même aptitude de vieillissement. La passion peut réaliser le rêve Depuis toujours, Olivier Cazenave est un grand passionné de vins et encore plus de la région bordelaise. Il a démarré sa carrière professionnelle en tant que négociant de vins (il l’est toujours), mais son rêve le plus cher était de posséder son propre vignoble et de produire son propre nectar. En 2003, l’occasion se présente à lui avec le Château de Bel qui était alors à céder. Olivier saute le pas et achète le domaine sans aucune hésitation. Cependant être vigneron ne s’improvise pas du jour au lendemain, qui plus est, il fait le choix de tout faire tout seul. Il prend alors des cours du soir, retrousse ses manches et s’attelle à la tâche. Et pour sa première année, son courage et son abnégation ont été récompensés par une météo favorable et une absence de maladie. Depuis, il a traversé des hauts et des bas qui ont forgé son caractère et celui des vins qu’il élabore. « Je fonctionne par passion », assure-t-il. Un vignoble en biodynamie Installé près de Libourne en bordure de la Dordogne sur la rive droite, le vignoble du Château de Bel fait en tout 8 hectares dont 0,7 hectares situé en Pomerol. L’encépagement est composé de Merlot, de Cabernet Franc, de Malbec, de Sauvignon Blanc et de Muscadelle. « J’aime beaucoup le Cabernet Franc et les cépages pas forcément répandus comme la Muscadelle » précise Olivier Cazenave. Depuis cette année, le domaine a œuvré en biodynamie. « Nous travaillons dans le respect des sols et des vignes, en fonction du climat aussi. La biodynamie, c’est une compréhension, un échange entre le vigneron et son terroir » explique-t-il. Des vins de plaisir, toujours gourmands Chaque année, le Château de Bel produit environ quarante-mille bouteilles. Ils sont répartis en onze cuvées différentes avec la particularité d’être des vins gourmands, fruités et ronds. « Je fais des vins plus selon mes gouts personnels que liés au marché » assure Olivier. Le « Château de Bel La Capitane » AOC Bordeaux Supérieur est une des cuvées les plus notoires du domaine. Issue de Merlot à 100%, elle est vinifiée en cuve de bois et élevée dix-huit mois en barriques avant d’être embouteillée. Au nez, elle propose des notes de cassis et framboises ainsi que des arômes de vanille. Son attaque en bouche est souple, ample et friande avec des tanins serrés qui vont s’arrondir en cave. A table, elle est parfaite pour accompagner un canard rôti. Le château dispose également d’une cuvée volontairement atypique de Bordeaux, d’où sa dénomination d’« Echappée Bel ». Le croquant et la rondeur se retrouvent toujours dans ce vin. Toutefois, elle se différencie des autres cuvées par une présence prononcée de tanins. ...
Propriété de Francis Burn, le Clos Saint-Imer fait partie intégrante du Domaine Ernest Burn, qui lui-même est inclus au sein du village de Gueberschwihr. Terre de prédilection pour les sept cépages nobles alsaciens, ce village est reconnu depuis plusieurs siècles pour l’excellence de ses vins. Ernest Burn, précurseur du domaine Terroir de premier choix pour les grands vins avec son sol calcaire et sa forte pente, les villageois de Gueberschwihr commencèrent à défricher la colline à partir du VIIe siècle, sous l’impulsion de son protecteur Saint-Imer. Toutefois, suite à la Révolution qui morcela ces terres, au phylloxera qui décima les plantations et aux difficultés d’exploitation, la viticulture fut abandonnée sur cette colline à la fin du XIXe siècle. Ernest Burn, issu d’une très longue lignée de vignerons et conscient de l’énorme potentiel de ce terroir, s’attela à partir de 1934 à le faire renaître de ses cendres. Il releva les murs de pierres, rouvrit les chemins et replanta les parcelles qu’il acquit au fur et à mesure. Son nom est resté attaché au domaine qu’il a transmis à ses enfants. Son fils Francis continue son œuvre et exploite avec passion ce vignoble tant réputé. Le Clos Saint-Imer Juché à 330 mètres d’altitude au nord du village de Gueberschwihr, le Clos Saint-Imer occupe cinq hectares d’un seul tenant au lieu-dit Grand Cru Goldert. Son terroir calcaire est propice aux cépages nobles alsaciens, en particulier le Gewurztraminer et le Muscat d’Alsace. Cette particularité lui a d’ailleurs valu le surnom d’ « aristocrate du vignoble alsacien ». Imposé par la forte déclivité du terrain (jusqu’à 60% de pente en certains endroits) mais aussi dans un souci de préservation de la nature, les vignes y sont travaillées à la manière traditionnelle. « Nous travaillons surtout à l’ancienne, tout est manuel. » explique Francis Burn. Et lui de poursuivre : « depuis toujours, les insecticides sont bannis de ce clos afin de respecter un type d’agriculture raisonnée, voire au-delà. Des vins riches et fruités Avec ses dix hectares en tout, dont cinq pour le Clos Saint-Imer, le Domaine Ernest Burn produit annuellement quarante-mille bouteilles, déclinées en une quinzaine de vins différents. « Nous ne commercialisons que des vins mûrs, qui ont entre trois et quatre ans, élevés trois ans minimum avant d’être mis en bouteille. Nos vins sont très riches, fruités…» précise Francis. Le « Clos Saint-Imer - Muscat Vendanges Tardives » 2007, AOC Alsace Grand Cru Goldert illustre la richesse des vins issus de ce clos. Composé de Muscat à 100% récolté en surmaturité, il présente une robe jaune doré, aux reflets cuivrés. Son nez ouvert et complexe, offre un mélange d’arômes de rose, d’abricot, de miel et d’épices. Equilibré et structuré, cette cuvée est à réserver pour les occasions particulières, et s’accompagne d’un roquefort ou d’une mousse au chocolat. A l’instar du Muscat, le « Clos Saint-Imer - Gewurztraminer Vendanges Tardives » 2011 AOC Grand Cru Goldert est également un grand vin de garde qui peut se bonifier jusqu’à quinze ans en cave. La finesse de sa sucrosité permet à ce vin moelleux des accords gourmands. Présenté en coffret de bois, il s’offre en cadeau aux amateurs de grands vins. ...
C’est sur ces terres de craie que s’épanouissent les arômes subtils de raisins blancs mûrissant lentement sous un ensoleillement adapté. Le domaine de 6,4 hectares est établi sur un noble terroir, et les propriétaires aussi sont détenteurs des traditions champenoises. Deux raisons expliquant la qualité des champagnes de la maison. Un travail minutieux, synonyme d’excellence Le travail du terroir se fait dans les règles de l’art au Champagne Moineaux. La cueillette manuelle se fait avec précision, et l’étape de vinification aussi. L’emploi d’outils de pointe, notamment des cuves en inox équipées de thermorégulation, améliorant la qualité du vin. Thibault Soyer, propriétaire du domaine, mise sur la qualité. « Nous ne millésimons nos cuvées qu’en cas d’excellentes années », évoque-t-il. D’ailleurs, ses millésimes sont issus des meilleurs crus. Ces champagnes d’excellence se conservent au moins cinq ans, pour faire éclore tous leurs arômes délicats. Récoltant-manipulant, Thibault Soyer prend également en main le marketing et la commercialisation de ses produits. Il a réussi à percer des marchés à l’étranger, au Danemark, en Suède, en Grande-Bretagne et en Espagne, ce qui fera grimper sa production à près de 50 000 bouteilles par an. Les grands crus, objets de convoitise lors des visites œnotouristiques Les champagnes Moineaux sont classés Blanc de Blancs Grand Cru. Élaborés uniquement avec du chardonnay, ils font l’objet de curiosité lors des visites œnotouristiques, durant lesquelles un parcours guidé, allant du terroir au cellier, est proposé. L’étape de dégustation est incontournable lors de la visite, où les perles rares se dévoilent aux visiteurs de la cave. Parmi elles, la cuvée Brut millésime représente à merveille le terroir. C’est aussi le fer de lance de la maison. La cuvée Prestige est également éloquente. C’est un champagne d’exception issu d’une parcelle vieille de 50 ans. Sa finesse et son élégance provoquent de belles sensations de fraîcheur. ...
Issus d’une lignée de viticulteurs à l’origine de la coopérative du village, Jacques Copin et son épouse ont privilégié ce métier d’héritage dans ce cadre convivial à Verneuil depuis 1963. Une histoire et une aventure fascinantes au coeur de la vallée de la Marne, où la famille Copin s’est autorisée son indépendance et un travail approfondi, perpétué aujourd’hui par Bruno et sa femme Marielle, ainsi que par leurs enfants, qui prendront bientôt la relève. Actuellement en période de croissance, le domaine vend jusqu’à 77 000 bouteilles par an, commercialisées à 70 % en France, dont 80 % à des particuliers, le reste est exporté dans le monde entier. Pointilleux à la racine Sur un terroir de plus de dix hectares, uniquement sur le terroir de la Vallée de la Marne, profitant d’un sol argilo-calcaire et exposé plein sud, la récolte, qui est de 70 % de pinot meunier, n’a jamais été entre d'aussi bonnes mains. La maison a la particularité d’être très active dans la viticulture durable, pour laquelle Bruno s’autorise des approches personnalisées a chaque parcelle, à mi-chemin entre démarche biologique et démarche conventionnelle. Il effectue notamment un travail mécanique du sol, pratique l’enherbement naturel et opte pour un arrêt des émissions d’herbicides à hauteur de 100% d’ici 2 ans. Ces techniques raisonnées adoptées depuis plusieurs années sont menées afin de garantir une biodiversité et de réduire au maximum l’impact de l’homme sur son écosystème. Peu de Vignerons ont cette réflexion globale. Une belle gamme de champagnes La maison Copin privilégie des gestes ancestraux (vinification en fûts de chêne) qui sont combinés à des approches bien plus innovantes (usage de cuverie inox thermorégulée, microvinification…). De là naissent des champagnes au caractère unique. Parmi les fleurons de la gamme s’inscrit la Cuvée Tradition, à l’image du principal cépage cultivé par le domaine, à savoir le Meunier. Ce champagne évoque la fraîcheur et la subtilité, et donne sur des arômes de fruits d’été. Cette cuvée est récompensée par de nombreux prix : Guide Hachette, Concours Général Agricole, Gault et Millau, Revue du Vin de France, Wine Spectator, Decanter… La cuvée Millésime 2007 mérite également une mention spéciale. Ce Champagne rendant hommage à une année en particulier durant laquelle la nature a exprimé le meilleur d’ellemême fait la fierté des amateurs de champagne par sa complexité aromatique. Enfin, une toute nouvelle cuvée Polyphénols 2006 est présentée au public en ce début d’année. Elle est annoncée par Bruno Copin comme « la plus complexe jamais élaborée par la maison ». À découvrir. ...
Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendezvous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize. Le parcours prédestiné d’un passionné Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du SaintValentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grandmère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets. Des plats aux saveurs authentiques de la Provence A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références. Le secret est dans le potager La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...
Dès 1929, Emile Refouvelet développe un apéritif à base de racines de gentiane, à Riom-es-Montagnes au cœur du Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. Dès 1930, il est commercialisé sous le nom d'Auvergne Gentiane. C’est en 1962 que naît officiellement la marque Avèze. Un processus d’élaboration authentique ... Les racines de gentiane sont récoltées entre fin mai et mi-octobre, entre 900 et 1700 mètres d’altitude. Elles sont triées puis lavées à la main. Elles sont ensuite disposées de façon inclinée pour un égouttage optimal. Après avoir été découpées en cossettes, elles subissent une macération dans de l'alcool pendant au moins neuf mois. Enfin, viennent les étapes de la filtration et l'embouteillage. Avèze est le seul apéritif auvergnat à être certifié « produit du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne », véritable gage de qualité et d’authenticité. … pour des apéritifs au goût unique La gamme Avèze se décline en 3 variétés : 15%, 16% et 18% vol., se différenciant notamment par une note de gentiane plus ou moins intense. Toutes présentent une robe jaune d’or éclatant. Au nez, l’Avèze 15% vol. est fraîche et fruitée, en bouche sa légèreté et sa douceur contenue mettent en valeur l'amertume traditionnelle de la gentiane. Avec ses notes fruitées, l’Avèze 16% vol. a une attaque ronde et moelleuse, avec une amertume qui apparaît franchement à l'évolution et persiste en finale. Quant à l’Avèze 18% vol., elle se remarque par ses notes de gentiane plus prononcées. L'apéritif Avèze s'apprécie pur avec des glaçons, ou avec de l’eau gazeuse, du tonic ou encore du jus de fruits. Essayez par exemple l’Avèze Cassis : 5 cl d’Avèze, 2 cl de crème de cassis et des glaçons. En savoir plus à l’Espace Avèze Pour tout connaître sur l’histoire et l'élaboration des apéritifs Avèze, rendez-vous à l’Espace Avèze toute l’année sur réservation. Cet espace gratuit présente les 500 espèces de gentiane et l’histoire du volcan cantalien. Une dégustation gratuite d’Avèze est proposée aux visiteurs majeurs. ...
Nous sommes en 1967 lorsque des viticulteurs, animés par une passion commune pour le vin, décident de fonder une cave en hommage à leurs terres. Véritable ambassadrice d’un patrimoine commun, cette cave se trouve être le point d’orgue de l’excellence de la culture vitivinicole du Haut-Languedoc. La noble quête de la qualité Ce sont près de 80 viticulteurs qui s’attellent à offrir le meilleur de leurs vignes plantées en coteaux au travers des cuvées emblématiques. Leurs parcelles ont été sélectionnées en se basant sur leur qualité, leurs points communs, ainsi que la maturité de leurs raisins. « Cette sélection parcellaire, effectuée avant les vendanges manuelles, permet d’identifier le potentiel de chacune de ces parcelles », nous explique Alain Rogier, Directeur Général de la cave. Les cépages, pour ne citer que la syrah, le mourvèdre ou encore le grenache noir, bénéficient également d’un traitement phytosanitaire respectueux de l’environnement et préservant le goût de chaque grappe. Chaque cuvée devient ainsi un fidèle représentant de ce terroir bénéficiant de trois appellations : l’appellation Languedoc, l’appellation Saint-Chinian et l’appellation communale Saint-Chinian-Roquebrun. Cette dernière, octroyée en 2004, fait la fierté de ces artisans de la terre et la particularité des cuvées de la cave de Roquebrun. Dans cette unité vinicole, « le processus de transformation du raisin au vin se fait [d’ailleurs] sous l’égide d’un œnologue qui n’est autre que le Directeur de la Cave », précise notre interlocuteur. À ce gage de qualité s’ajoute le fait que cette cave « est bâtie sur le modèle des caves du Beaujolais par l’existence d’un plateau de macération carbonique », continue-t-il. Les vins de la cave bénéficient ainsi d’une typicité basée sur une aromatisation naturelle poussée. Égayez ainsi vos instants gourmands de ces vins aromatiques à souhait, à l’instar de la Grange des Combes, un 50 % syrah raffiné et doté d’un bouquet élégant, ou d’une Roches Noires, un 60 % syrah au nez accompli et à la bouche exquise. ...
Ancienne propriété des Ribas, le Domaine Vintur appartient aujourd’hui à Graham Shore, un Britannique aussi passionné par les vins que par la Provence. Depuis 2010, l’œnophile s’est engagé dans une exploitation respectueuse de l’environnement, un travail désormais reconnu et certifié Ecocert. Des élixirs divinement inspirés En hommage à Vintur, le dieu provençal de la lumière et des montagnes, les cuvées phares sont baptisées « Bélénos » (dieu de la lumière) et « Séléné » (déesse de la lune). Ces vins sont issus des meilleures sélections de cépages du domaine et sont vieillis en fûts de chêne pour un gain optimal de saveurs. Les cuvées « Tradition » révèlent tout un savoir-faire à travers leur judicieux équilibre. ...
La Ferme Auberge du Rain des Chênes, c’est la promesse d’un voyage culinaire inédit dans un cadre empreint de fraîcheur. Les spécialités régionales sont au rendez-vous. Une cuisine à la fois simple et authentique, concoctée avec des produits de la ferme, pour un moment de convivialité en famille. La cuisine régionale à l’honneur Le chalet plutôt cosy avec ses rondins offre un cadre chaleureux, idéal pour les repas de famille. La baie vitrée, offrant une vue panoramique, laisse entrer la lumière, baignant l’auberge d’une clarté où il fait bon se retrouver autour de bons petits plats. L’ambiance est à la détente et la convivialité. Gourmande et généreuse, la cuisine de cette ferme auberge fait la part belle aux particularités régionales. Les produits utilisés (fromages, porc, bœuf…) viennent directement de la ferme, à 70 %. En fait de singularité, la ferme a récemment accueilli un troupeau de yaks. Les viandes de cet animal rustique, réputées pour leur qualité exceptionnelle, viendront donc garnir vos plats. Les fins gourmets savoureront les déclinaisons par le chef du sanglier ou du gibier. En plat principal, le cordon-bleu et des variétés de tartes flambées sauront combler les convives recherchant des goûts authentiques. L’on recommande les galettes vosgiennes garnies de viandes hachées, de fromage de montagne et de légumes pour s’imprégner des saveurs locales. Côté vins, les grands crus d’Alsace sont à l’honneur, le pinot noir et le pinot gris recueillant le plus de votes. ...
Situé à Néac, à proximité de Bordeaux, le terroir entourant le Château Haut-Chaigneau favorise la création de vins d’exception. Il faut dire que nous nous trouvons à la croisée des grandes appellations Pomerol et Saint-Émilion. Une bonne raison d’en apprendre plus sur les vins du Vignoble Chatonnet. Histoire de la propriété Avant son rachat par la famille Chatonnet en 1967, la propriété du Château Haut-Chaigneau était en ruine. Ainsi, Jeanine et André firent leur possible pour rebâtir ce magnifique domaine de 30 hectares et pour l’améliorer au fil du temps. Aujourd’hui, c’est, Pascal, le fils, qui en est propriétaire. À savoir : la création de bon vin se transmet de génération en génération chez les Chatonnet. Et nous l’observons encore aujourd’hui avec les vins Château La Croix Chaigneu, Château Haut-Chaigneau, La Sergue et l’Archange, plébiscités aussi bien par les œnologues spécialistes que par les amateurs de bordeaux. Réalisés à partir de 3 cépages différents (Merlot noir, Cabernet Franc et Malbec), les vins profitent de la qualité naturelle du terroir de la région superposant des sols sablo-argileux, argilo-sableux et argileux. Souvent primés, nous les retrouvons régulièrement sur les tables des plus grands restaurants. Château La Croix Chaigneau : le vin qui se consomme sans complexe C’est grâce aux jeunes vignes de Merlot et de Cabernet Franc que le Château La Croix Chaigneau a vu le jour. Cet assemblage lui apporte à la fois une grande finesse et une certaine densité. Ainsi, il est parfait avec des grillades simples. Des brochettes, par exemple, iront à merveille avec son côté rafraichissant. À savoir : il est possible de le faire vieillir si vous le souhaitez. Château Haut-Chaigneau : un vin à la fois fin et élégant Idéal avec de la volaille, le Château Haut-Chaigneau est issu d’un assemblage 90% Merlot Noir et 10% Cabernet Franc. Ce qu’on apprécie avec le Haut-Chaigneau, c’est cette capacité à nous proposer des notes très fruitées portées sur les fruits rouges associées à des arômes beaucoup plus boisés. Pouvant être consommé à l’achat, ce vin aux tanins intégrés et à la bouche à la fois élégante et persistante peut aussi être vieilli pendant quelques années supplémentaires pour un résultat encore plus surprenant. La Sergue : une référence à part La Sergue est à la fois puissant et féminin. Pour le créer, les 3 différents cépages de la propriété ont été assemblés ensemble : Merlot Noir (85%), Cabernet Franc (12%) et Malbec (3%). Puis, il a été vieilli pendant 14 mois en barrique neuve. C’est ce travail qui lui donne sa bouche grasse et soyeuse qui lui permet d’accompagner à merveille du veau, de l’agneau voire une petite caille aux cèpes. L’Archange : le 100% Merlot Pour apprécier le côté puissant de l’Archange, issu de son cépage 100% Merlot et du terroir de Saint-Émilion, rien de mieux qu’une bonne côte de bœuf ou une pièce de bœuf au goût relevé. Élevé en barrique neuve, vous découvrez un vin à la fois fruité, dense et rond qu’il est possible de boire tout de suite ou de faire vieillir. ...
Jolie cadre montagnard situé au cœur d’un environnement privilégié, à 1600 mètres d’altitude au milieu du Pic du Midi de Bigorre et celui de Piquette, l’Auberge du Lienz perpétue une cuisine du terroir pyrénéen, une cuisine gouteuse et légère faite au naturel. Tenue par madame Corret depuis 52 ans aujourd’hui, cette auberge s’est vue décerner sous la direction de celle-ci, la médaille de bronze du tourisme en 2015, et le trophée du tourisme de la Caillere de Midi-Pyrénées. Le voyage dans l’assiette La tradition ici commence aux fourneaux, avec une cuisine magnifiquement orchestrée par le chef Franck. Il utilise majoritairement des produits provenant d’agriculteurs, d’éleveurs et de producteurs locaux. Ce cordon bleu issu de l’Ecole Hôtelière de Bordeaux et doté d’une expérience culinaire riche de ses voyages, met en avant une cuisine dynamique, légère, et respectueuse du terroir. A cet effet, il utilise pour ses assaisonnements, des herbes et fleurs cueillies au petit matin, pour révéler les senteurs de la nature au travers de jolies dressages en assiettes. Comme entrée signature, ventrèche de porc noir sur tartine d’oignons de Trébons grillée, légumes d’été fumés. Pour élaborer ce délice, les aubergines, tomates, et poivrons sont fumés, puis composés en une terrine assemblée avec le jus de cuisson du fumé. Cette entrée est servie avec des tranches de pain toastées, sur lesquelles on étale des oignons de Trébons tombés à la graisse de porc. Au-dessus, de la poitrine de porc séchée recouverte de terrine. Le pain utilisé par l’Auberge du Lienz pour ce succulent bonheur au gout frais, est un pain bio à base d’épeautre et fait maison. Parmi les plats phares de la maison, la garbure complète à la soupe et au jambonneau de porc accompagnée de ses légumes. Plat orchestré avec des jarrets de jambon bouillis dans de l’eau, et où l’on ajoute des oignons, clous de girofle, carottes, pommes de terre, haricots tarbais et choux. L’assaisonnement utilisé pour libérer les senteurs est l’ail écrasé. Les jarrets de jambon sec mis en vedette dans cette préparation vont donner à la garbure son véritable gout traditionnel. Après cuisson, le service se fait dans une soupière contenant le bouillon, les légumes et le jarret de jambon entouré de sa couenne. Ce dernier est moelleux et sa jutosité est libérée dans le bouillon pour le rendre succulent et léger. Autre plat phare de l’auberge, la truite de Lau Balagnas marinée au poivre Sansho, brunoise fraîcheur. Celui-ci est élaboré de plusieurs manières, mais conventionnellement, le filet de truite est assaisonné avec une marinade de poivre Sancho, du gros sel broyé et un peu de sucre. Par la suite, le filet de truite est découpé en carpaccio, et est étalé dans l’assiette accompagné de radis, concombre, pomme verte et un peu de basilic. Juste à côté sa petite vinaigrette à base de tomates cerises, citron et huile d’olive. Un jurançon sec est bien indiqué pour accompagner la dégustation de ce plat. Le dessert phare ici est le tartare de myrtilles. C’est une composition faite à base d’une pâte sablée recouverte d’une crème de vanille, et de myrtilles dans une gelée de vanille. La convivialité et la beauté à l’honneur À l’Auberge du Lienz, la convivialité est mise en avant grâce à la valorisation du terroir pyrénéen, et à travers des préparations qui varient au fil des saisons. Les clients y viennent et reviennent, compte tenu du service de qualité et de l’accueil chaleureux. Entre belles assiettes et tables bien dressées, le décor de bois, la cheminée de pierre, ou encore le parfum de fleurs en terrasse, le lieu impose son penchant pour la beauté et le naturel. A l’extérieur, les hôtes ont l’immense plaisir de profiter de la vue sur le Pic du Midi de Bigorre, le Pic de la Piquette et ses pistes de ski, et même la forêt d’Ayré. Une expérience culinaire au cœur de la nature en altitude, et très accessible avec un ticket moyen de 30 euros. ...
Au restaurant Sens Uniques, les plats classiques ont cédé leur place aux petites portions onctueuses, faites maison... signées Frédérick Lyard. A partir des produits disponibles selon la saison, cet ambassadeur de l’originalité mettra dans vos assiettes des alliances authentiques et des saveurs inédites. Une ambiance au goût de « chez soi » Avec la nouvelle décoration dont la gérante Emma Azoura en est l’artiste, fini l’atmosphère guindée. Le restaurant Sens Uniques baigne désormais dans une ambiance conviviale, cosy et chaleureuse. Le blanc du mur et des chaises et fauteuils dépareillés en bois et kilim se marient parfaitement avec la couleur sombre du bar et des tables. Emma n’a pas fait les choses à moitié pour confectionner, dit-elle, « un cadre plus tendance, plus design, une sorte de cocon où les convives se sentiront comme à la maison ». La lumière, les couleurs, chacun des éléments décoratifs, les détails dans son ensemble ont été minutieusement pensés pour un résultat visuellement plaisant. Un écrin de l’authenticité Au Sens Uniques, des mini-plats aux goûts différents sont préparés dans le respect des produits. « Allier mais pas dénaturer les matières premières » affirme Frédérick Lyard. Et durant la semaine, l’ardoise qui change chaque jour au gré du marché et des inspirations satisfera sans aucun doute toutes les envies. Pour commencer le repas, la maison recommande l’une de ses spécialités : le foie gras mi-cuit à l'armagnac et miel d'acacia, chutney rhubarbe et pommes reinettes infusées à la Corona. Le talent du chef vous sera ensuite confirmé par le délicieux Cabillaud rôti, cresson, noisette et orange. Enfin, passer à côté de la Poire, marron, fève de tonka, un des desserts incontournables, est impensable. En prime, le restaurant et son équipe accueillent également sa clientèle à bras ouverts le dimanche. Un brunch à la carte y sera proposé où il est possible de composer soi-même son menu au rythme de son appétit. Une belle carte de vins Un tel régal ne peut s’accompagner que d’un bon vin ! Et pour cela, la cave du Sens Uniques fera le bonheur de ses convives. Pas moins de 139 références de vins : des grandes appellations mais aussi des « bonnes choses des petits producteurs » selon les termes d’Emma Azoura. « Il y en aura pour tous les goûts et tous les budgets » se félicite-t-elle. ...
Plus que centenaire, le domaine du Revaou a été transmis de père en fils dans la famille Scarone, depuis Joseph Scarone, en 1898, jusqu’à Bernard Scarone, qui a pris la relève en 1994. L’exploitation tire son nom de la rivière qui passe à travers ses terres. Une agriculture biologique Situé entre Hyères et la Londe-des-Maures, le domaine du Revaou, de seulement 30 hectares, est installé sur des terres rouges, riches en bauxite et en fer typiques de la région. À seulement 6 km de la mer, les vignes du domaine du Revaou profitent d’un ensoleillement et d’une chaleur idéale tout au long de l’année. En 1999, dans une volonté de préserver l’environnement et la nature, Bernard Scarone a opté pour l’agriculture biologique. Il applique à la lettre les normes drastiques imposées par cette forme d’agriculture naturelle, saine et sans artifice. L’ensemble de la production est désormais certifié par le label AB Agriculture biologique. Il a signé en 1999 l’Engagement au Respect du mode de production bio avec Qualité France. Dans les vignes, aucun pesticide ni désherbant sont utilisés. La vinification, quant à elle, est effectuée de façon naturelle, sans ajouts d’aucune sorte. Le domaine du Revaou produit des vins sur l’appellation sous-régionale Côtes-de-Provence La Londe sur les trois couleurs. Les cépages grenache, cinsault, syrah, mourvèdre et carignan participent à l’élaboration des vins rouges et rosés ; et l’ugni blanc, le rolle et la clairette à celui des blancs. Depuis un certain temps, une politique de renouvellement de cépages est menée au domaine, où, chaque année, de nouvelles parcelles entrent dans la production de ses millésimes. Des vins d’exception Annuellement, le domaine produit près de 30 000 bouteilles. Trois cuvées exceptionnelles sortent du lot et méritent d’être mises à l’honneur. La « Cuvée Domaine du Revaou Blanc 2012 » se distingue par sa robe verte et argentée, avec des arômes de zeste de citron, de buis, de menthol et de vanille fraiche. Légère en bouche, elle révèle des notes d’agrumes frais et épicées, avec une finale iodée. Ce vin s’accorde harmonieusement avec les poissons de la Méditerranée en grillade et les fromages de chèvre frais. La « Cuvée Domaine du Revaou Rosé 2014 » est appréciée pour sa fraicheur, au nez citronné qui évolue sur des notes de pamplemousse, de rose sèche et de pêche mure qui s’affirment en rétro-olfaction. En bouche, sa maturité s’affiche avec un volume généreux, une finale acidulée et framboisée. Sur la table, cette cuvée peut être servie en apéritif avec des tomates séchées ou du jambon cru et accompagne bien les salades, la soupe au pistou ou la bourride. La plus prestigieuse de toutes les bouteilles est sans nul doute la « Londe Rosé 2015 », avec sa robe pâle aux reflets dorés. En nez, on remarque des arômes fumés qui évoluent en feuillage humide et agrume. En bouche, l’attaque est souple et on distingue des notes acidulées de groseilles, de carambole, de physalis et de pamplemousse rose. En finale, une senteur de zestes d’agrumes s’affirme. Ce magnifique rosé sera servi à 12°C avec des noix de Saint-Jacques et mousse de poivrons rouges, un dos lieu jaune à la plancha et sauce de seiche ou une cassolette de palourdes et de moules avec tombée d’anchois. ...
Au Château le Tros, la première bouteille fût produite en 1974. Lancé par la première génération des Jabouin, le grand-père fera l’acquisition des premiers 2ha après une carrière dans la mécanique. Il mettra aussi en place les premiers chais et les cuves inox. Véritable histoire familiale, le domaine continue sur cette lancée. Aujourd’hui, le petit-fils, Mathieu a repris les rênes et, en près de 40 ans, le domaine a grandi. Il s’étend désormais sur plus de 60 hectares répartis sur trois communes : Tizac-de-Curton, Génissac, Naujan et Postiac. Situé à 8km de Saint-Émilion au sud de la rivière Dordogne et à 25km à l’Est de Bordeaux. On y produit plus de 250 000 bouteilles chaque année dont une partie est exportée vers des pays d'Europe ou encore la Chine. Les vignobles du Château Le Tros Les vignes des 60 hectares du domaine sont cultivées sur un sol argilo-calcaire et un sous-sol de carrières, spécificité de l’appellation Bordeaux. La région, elle, jouit d’un climat océanique porté par l'Atlantique qui se trouve à proximité. Un avantage pour produire un vin de qualité mais un inconvénient puisqu’il faut parfois subir l’instabilité des saisons due principalement au réchauffement climatique. Soucieux de leur environement, la famille Jabouin a adapté depuis plusieurs années la culture dans le respect de la faune et de la flore. Ce qui leur permet aujourd'hui d'être labelisé Haute Valeur Environementale Niveau 3. On y retrouve les cépages les plus fameux de l’appellation dont notamment, le Sauvignon Blanc, le Sauvignon Gris et le Sémillon. Ces trois cépages occupent 8ha de parcelles sur le domaine. Le reste est composé pour les vins rouges de cépages en Merlot, Cabernet franc et en Cabernet Sauvignon. Les vignes sont vendangées mécaniquement. Exceptions faites de la Cuvée Dernier Carat et le Crémant de Bordeaux qui sont vendangées à la main. Ce dernier répondant aux normes du cahier des charges de l'appelation. Du vin de Bordeaux dans l’air du temps Producteur depuis 1978 avec le premier Château le Tros Rosé, le domaine embouteille aussi des vins rouges fruités et gourmands ainsi que des blancs frais et festifs. Des vins qui se veulent de qualité mais surtout accessibles à toutes les bourses. Parmi les vins qui se démarquent le plus, "Perles Noires" est un vin 100% Merlot issue de parcelles dont les sols sont composés de graves et de galets, un terroir très rare dans la région. A prendre en début ou fin de repas, ce vin présente un violacé profond. La cuvée "Perles Noires" est vinifiée en barriques de chêne français neuves et se boit au bout de 2 à 3 ans. Son niveau de qualité lui permet de tenir une garde de 10 ans minimum. Afin d’en apprécier toutes les subtilités, le vin atteint son apogée au bout de 4 à 5 ans. Quant au rouge "Tradition," véritable vin de qualité à petit budget, il affiche un goût en bouche plus léger . Véritable vin Plaisir, on y retrouve le goût de fruits rouges, la fraîcheur d’un vin issu de jeunes plants. Ce vin "passe-partout" se déguste aussi bien avec de la charcuterie que de la viande blanche. Les vins du domaine disposent d’une excellente réputation. La majorité des ventes se fait ainsi au bouche-à-oreille, la meilleure méthode marketing. La passion du producteur se ressent à travers chaque bouteille mais aussi le professionnalisme. Pour les assemblages, le domaine fait ainsi appel à Denis Galabert, un œnologue reconnu, qui fournit l’encadrement nécessaire pour la vinification et l’élevage. ...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
Si l’histoire de la famille Chapuy est déjà intimement liée à celle du village d’Oger depuis des siècles, son histoire avec le champagne ne commence qu’en 1952. À cette époque, Serge Chapuy décide de créer la marque familiale. Arnold Chapuy prend ensuite son relais et, à son tour, lègue le domaine à ses filles, Élodie et Aurore. Un vignoble privilégié Couvrant une superficie totale de 8,5 hectares, le vignoble familial est réparti sur trois crus de la Marne, notamment à Oger, par ailleurs classé Grand Cru de la Champagne, et exclusivement planté en chardonnay sur un sol crayeux. « C’est ce terroir qui donne la finesse et le style de notre champagne, avec des bulles très aériennes et une minéralité très agréable », explique Élodie Chapuy. Côté viticulture, le respect de l’environnement et de la nature est, pour l’exploitation des Chapuy, une ligne de conduite. Insecticides et herbicides sont en conséquence bannis au domaine, et « certaines parcelles sont travaillées au cheval », précise Élodie Chapuy. Cette année marque ainsi pour le domaine une nouvelle étape dans cette démarche environnementale, puisqu’il sera très prochainement certifié de la distinction « haute valeur environnementale de niveau III ». Des champagnes tels qu’on les aime La maison développe trois gammes de champagnes élaborées dans le strict respect de la méthode traditionnelle champenoise. La gamme Tradition révèle un assemblage équilibré et tout en finesse de chardonnay, de pinot noir et de pinot meunier. Les champagnes en monocépage chardonnay, quant à eux, composent la gamme Grand Cru réputée pour son caractère affirmé. Enfin, la gamme Prestige représente fidèlement toute l’élégance du champagne à travers la cuvée Livrée noire. À destination des sommeliers, des cavistes et des CHR, l’exploitation a spécialement conçu la sélection « L’esprit de Chapuy ». Imaginée pour révéler l’excellence du terroir et du champagne champenois, la gamme Grand Cru Blanc de Blancs 100 % chardonnay de la Côte des Blancs se décline en trois cuvées. Si la cuvée Brut chardonnay surprend par sa somptueuse fraîcheur en bouche, la Cuvée Minéral se distingue par son attaque persistante harmonisée par une finale limpide et légère. Le Brut chardonnay Millésimé 2012, qui conjugue maturité et acidité naturelle, s’ajoute également à la sélection. Par ailleurs, la gamme d’assemblage des trois cépages champenois issus du vignoble des Coteaux Sud d’Épernay et du Sézannais propose deux autres cuvées à la personnalité captivante. La cuvée Brut Rosé, pour accompagner les apéritifs et cocktails, flatte les œnophiles par ses saveurs franches, fruitées et légèrement crémeuses. La robe jaune paille de la cuvée Brut Terroir annonce, quant à elle, une attaque vive et délicate en bouche, couplée à un nez capiteux aux notes d’agrumes. ...
Profitant d’une situation très convoitée en plein cœur du centre historique de la Ville des Lumières, le restaurant L’Éclat côtoie la Cathédrale, la colline de Fourvière et les rives de Saône. À l’intérieur, lustre Tom Dixon, tons boisés et formes design sont sublimés par des jeux de matières et des couverts raffinés. Vitrée, la cuisine permet à la clientèle de découvrir les talents du chef Vincent Leleu et de sa brigade. L’éclat de la cuisine à la française C’est à travers des sélections de recettes gastronomiques raffinées que le restaurant L’Éclat évoque toute l’intensité d’une cuisine riche en traditions. Du choix des produits jusqu’à la présentation artistique et moderne de chaque assiette, en passant par la maîtrise des cuissons, l’établissement garantit de vivre d’intenses découvertes gustatives. La carte propose des mets qui allient diversité et authenticité. Foie gras, merlu, rouget, cabillaud, pigeon de Pornic, bœuf et cochon s’agrémentent de champignons, de truffes et de légumes de saison. Chaque recette témoigne d’un savoir-faire respectueux des produits. Ces derniers révèlent de parfaites textures en bouche sublimées par des concentrés de saveurs. Pour l’approvisionnement, la maison collabore avec des fournisseurs triés sur le volet. « Nous avons fait le choix de ne travailler qu’avec des producteurs qualifiés et des produits de saison », nous précise le jeune chef de talent, Vincent Leleu. Celui-ci privilégie aussi bien les producteurs locaux que d’autres professionnels situés dans les autres régions, pour mettre en valeur toutes les particularités et richesses du pays. Dans la cave à vins qui est visible depuis la salle, toutes les régions sont également mises en valeur. La carte propose actuellement près d’une centaine de références, dont des bios, spécialement choisies pour être en harmonie avec les mets proposés. Une touche d’innovation personnelle Permettant de redécouvrir les standards de la cuisine traditionnelle française, le restaurant L’Éclat met en scène tout le savoir-faire de son chef Vincent Leleu. Avec talent et discipline, il élabore chaque recette avec minutie tout en respectant les valeurs d’une gastronomie ancrée dans l’air du temps. C’est à travers quatre choix de menus alliant tradition et innovation qu’il invite à voyager au sein de la culture culinaire française. Dans son ambiance design, chic et contemporaine, le restaurant propose entre autres de profiter d’agréables repas d’affaires. Servi à midi, le menu affaires à 30 € propose carotte, poire et jésus de Morteau en guise d’entrée. En plat de résistance, lieu jaune, petit pois menthe et œuf de caille feront plaisir aux fins palais. Mêlant fraîcheur et douceur, pomme, aneth et citron seront parfaits à titre de dessert. Les trois autres menus proposés respectivement à 45 €, 55 € et 75 € sont servis midi et soir. Ils permettent de goûter à des saveurs inédites, telles que la Royale d’épinards, tuile de pain et noisettes torréfiées, lard Contadino ou le bœuf en gravlax condiment fenouil anis et jus de bœuf corsé, sans oublier le merlu de ligne, terrine de chou vert brûlé jus de citron de Menton. Parmi les signatures du chef, le foie gras tartare de tomates fraises et coriandre, ainsi que le pigeon de Pornic rôti sur coffre fumé au foin et cranberries sont incontournables. L’exquise tarte Tatin circulaire aux pommes avec sa crème glacée à la vanille de Madagascar et aux cacahuètes titille également les papilles à chaque bouchée. Garante de plaisirs culinaires intenses, la succession des saveurs proposées sonne comme une véritable mélodie qui égaye les sens. Il est possible de faire découvrir cette cuisine haute en couleur aux convives de vos événements. « On fait des dîners pour les particuliers chez eux et pour des entreprises, donc des séminaires, des cocktails dînatoires », nous souffle-t-on. ...