Tel un bijou dans son écrin de verdure, La Table du Château de Laléard est une belle découverte pour qui sait apprécier le caractère particulier des vieilles bâtisses. Représentant une des meilleures tables à des kilomètres à la ronde, le domaine est un véritable lieu d’exception. Une étendue de tapis vert en pleine campagne, ponctuée de magnifiques espaces arborés, fait le charme de cet établissement où la cuisine familiale est toujours à l’honneur. Privilégiant les produits de saison et de marché, l’enseigne s’attache à collaborer avec les producteurs locaux qui sont ses principaux fournisseurs. Découvrez les talents du chef Thierry Favier à travers une cuisine authentique, concoctée avec passion à partir de produits locaux et de région. Délectez-vous d’escargots, d’huitres et de foie gras pour le plaisir des papilles. Le restaurant ne dispose pas de carte proprement dite pour la simple et bonne raison que tout tourne autour des suggestions du chef Thierry Favier. En fonction des produits qu’il rapporte, un menu à l’ardoise est dressé. Le menu plafond se compose d’une entrée-plat-fromage-dessert avec, notamment, 2 choix de plats et 2 choix de desserts qui varient tous les 3 mois, c’est-à-dire à chaque saison. Des découvertes culinaires à ne pas rater En famille ou en amoureux, ne vous privez pas du plaisir de savourer son duo de foie gras maison au chutney ou encore sa gelée « Pineau des Charentes » suivie de son incontournable moelleux au chocolat de Guarana qui est une véritable découverte en matière de dessert. Une belle gamme de vins accompagne le tout, dont principalement le Baudry Vieilli, un excellent vin de région. Mais cela n’empêche pas qu’on y trouve aussi du cognac ou du Pineau des Charentes par exemple… L’enseigne a bâti sa renommée sur la relation de confiance qu’elle a entretenue avec les petits producteurs qui lui proposent d’excellents vins biodynamiques ou sans soufre également. Soigneusement sélectionnés par Thierry Favier en personne, les vins sont issus de maisons et de producteurs avec qui le château a l’habitude de travailler. ...
Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration. Une nouvelle aventure pour la famille Fille L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité. Un grand succès pour une première Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 « On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation. ...
À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie) et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...
Charismatique, le vignoble Schlumberger est aussi étendu qu’inspirant. Une partie des vignes - la totalité courant sur 850 kilomètres - est organisée en terrasses, soutenues elles-mêmes par des murs romains en pierres sur 50 kilomètres. Deux maçons s’attèlent à les ériger et à les préserver, dans le respect des traditions. Une cave centenaire, une récolte manuelle ou encore, deux chevaux de labour, révèlent les valeurs du domaine, portée par la famille Schlumberger depuis sept générations. Fidèles à leur terre, ces vignerons dans l’âme sont aussi 100% récoltants. Tout est fait maison, dans l’amour du vin et de la nature, loin des productions impulsives. 70 hectares sont classés Grands Crus : Kitterlé, Kessler, Saering, Spiegel. Le vignoble peut bien s’enorgueillir. Malgré un rendement assez faible et une production délibérément limitée, le domaine Schlumberger est considéré comme le plus grand producteur de crus d’Alsace. Ses vins sont certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum) et respectent consciencieusement la charte d’une culture raisonnée. Ici, on aime la biodiversité dans son ensemble et au détail, les raisins bien sur, en passant par les fleurs, les insectes etc. Une terre chérie depuis 1810 Thomas et Séverine Schlumberger sont à l’écoute de la nature. Ils ont repris le flambeau dans cet esprit, comme une philosophie intrasèque à leur héritage. La connaissance du terroir, de ses souvenirs à ses respirations, est sublimée dans chaque gamme du vignoble. Elles se racontent aussi, devant un verre de vin à la rondeur délicieuse et au caractère inspiré par les pierres ancestrales alentours. Fort d’une équipe investie, le domaine aspire à l’authenticité et à l’excellence sans compromis. Un bon vin est un plaisir que l’on prend le temps de choisir, dans une cave connaisseuse, un marché convivial, ou qu’on déguste dans un restaurant raffiné. Exportées dans le monde entier, médaillées et classées dans tous les guides, les bouteilles Schlumberger savent se rendre accessibles tout en préservant l’instant unique de leur dégustation. Des vins de collections aux grands crus Les Princes Abbés interpellent par leur nom, invitant à savourer de nouveaux récits. Durant 1000 ans, les abbés entretenaient le terroir de Guebwiller. En leur honneur, cette gamme classique se décline en deux couleurs. Des blancs à la fraîcheur limpide et à la robe citronnée y cotoient des rouge rubis soyeux ou joyeusement printanniers. Les grands crus du vignoble adoptent humeurs salines ou minérales, selon leurs sols d'origine. Ils diffusent leurs arômes, tour à tour moelleux, bucoliques, tendus ou tendres. Les cuvées de collection sont l’expression de grains nobles et de grands crus, qu’il a parfois fallu attendre longtemps, avant de vendanger. Baptisées par les prénoms des membres historiques de la famille Schlumberger, ils sont aussi des vins rares, à l'éclat patient. Le site Internet du domaine est à son image : épuré et généreux à la fois. Véritable poème pour les amateurs de très bons vins, il vous dira aussi comment associer les finesses entre elles. Cette fois, c’est le repas qui accompagnera le vin, pas l’inverse. ...
Lyon est connu pour ses Théâtres et Odéons Antiques et Gallo-Romaine ou ses musées miniatures et cinéma ou Gadagne. Mais à côté de ce décor touristique, le Vieux Lyon cache dans ses petites rues pavées des restaurants qui proposent la découverte de la ville et de la région avec des saveurs insoupçonnées. Parmi eux, La Morille accueille ses convives dans un cadre simple et cosy de la Rue Mourguet. Une adresse surprenante pour les gourmands et gourmets animés par la faim et la curiosité. Une décoration simple et chic La Morille est un restaurant situé entre la cathédrale Saint Jean Baptiste et l’église Saint George, à la sortie de métro du Vieux Lyon. La proximité est privilégiée dans cette petite salle sympathique, sobre et sans prétention. La grande façade entièrement vitrée se présente comme une invitation à table. Depuis la rue, on peut y voir la salle au complet et la cuisine ouverte où le Chef s’active pour émerveiller les papilles. Elle laisse également la lumière du jour illuminée la salle à manger. Les matériaux naturels comme les murs de pierres apparentes donnent toute son authenticité à l’établissement. Il en est de même pour le bois de poutres apparentes du plafond de la mezzanine, celui de l’escalier qui mène vers cette dernière et celui des tables qui sont laissées à découvert. Si l’ambiance est conviviale dans la salle à manger, elle est plutôt intime au niveau de la mezzanine. Une cuisine conviviale et innovante La Morille se veut être un restaurant français classique, mais le Chef Jean Noël Crouzet s’autorise parallèlement des escapades dans des contrées culinaires non explorées comme avec son « Raviole (Maison comme tout ici) aux Escargots et Chanterelles sauce au Vin Jaune». Etant un Chef reconnu de la gastronomie lyonnaise depuis près d’une vingtaine d’années et maintenant reconnu comme Maître Restaurateur, il peut se le permettre. La carte est sélective et varie suivant les produits de saison, c’est le gage d’une cuisine de qualité et intégralement fait-maison. D’ailleurs, le Chef travaille les produits devant les yeux attentifs des convives, une pratique qui donne déjà l’eau à la bouche. Au niveau du service, le responsable reste disponible pour conseiller les clients à propos du menu et de la carte des vins. Et à la fin du repas, le Chef ne rate pas une occasion d’échanger quelques mots avec les convives avec qui il partage même ses recettes. Au niveau des assiettes, on a rarement vu des présentations aussi raffinées. Elles sont dignes des plus grands restaurants gastronomiques. L’assaisonnement et la cuisson ne sont pas en reste. Le menu comporte une douzaine de suggestions dont quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. Dès que la « Crème brûlée de foie gras morilles » est déposée sur la table, on imagine les ingrédients qui fondent sous le palais. Le « Pâté en croute de volaille et légumes du marché » est disposé dans l’assiette de façon à ce que les ingrédients soient équilibrés à chaque bouchée. Il fallait y penser ! Les gourmets ne laisseront pas une miette de la « Royale à l’ail des ours, grenouilles fraiches désossées, morilles et petits légumes », tout simplement savoureuse avec les Morilles qui baignent dans une fondue d’échalotes et les petits légumes croquants. Vient ensuite le plat de « Ris de veau aux Morilles » d’où on peut y reconnaitre la signature de la maison. L’autre option est le « Magret de canard au Chutney de Griottes» qui est tout aussi succulent que les autres recettes. Pour couronner le tout, laisser de côté le régime le temps d’un dessert ne fera de mal à personne. De toute façon, il est difficile de résister au charme du « tout chocolat » ou de la « structure chocolat et glace verveine ». ...
Dans cette charmante auberge au cadre simple et naturel, vous dégusterez le meilleur de ce que l’Ile de beauté à offrir. Entouré d’une brigade diligente et efficace, le patron, vous accueille dans la bonne humeur et vous réserve de belles surprises qui feront valser vos papilles. Un restaurant incontournable à Bonifacio A quelques pas de la mer et face au Bastion de l’Etendard, L’auberge Corse est idéalement installée au cœur de la vieille ville de Bonifacio. Entre les nombreuses découvertes historiques à faire dans les alentours, l’emplacement permet aux touristes de passage de profiter d’un moment de répit et de détente culinaire dans une ambiance bistro-montagnarde. Baignant dans des couleurs chaleureuses et de senteurs boisées, l’enseigne permet à ses clients de profiter d’un cadre rafraichissant, idéal pour déguster les spécialités du pays. La carte révèle des saveurs soigneusement choisies pour permettre de découvrir l’essence de la cuisine traditionnelle corse, ainsi que les spécialités gastronomiques de la ville. Le veau corse, le sanglier, les assortiments de charcuterie et de fromage, les aubergines à la bonifacienne vous feront découvrir les origines méditerranéennes de cette riche tradition culinaire. Une cuisine privilégiant la qualité et les traditions Soucieux de proposer le meilleur de la cuisine du pays, le restaurant privilégie les produits locaux, afin de garantir leur fraîcheur, leur qualité et leur goût si particulier. « Nous travaillons avec des producteurs locaux essentiellement », nous confie le responsable. Cela se reflète également dans la carte de vins de l’enseigne, proposant une quarantaine de références corses comme celui de du Domaine Sant Armettu. De plus, pour garantir la satisfaction de ses clients, ce patron méticuleux n’hésite pas à mettre sa toque de chef cuisinier pour réaliser lui-même des spécialités dont il a le secret. L’adresse est particulièrement idéale pour les gourmands qui veulent déguster le fameux burger corse, fait maison, cela va de si. « Je hache moi-même ma viande pour faire des steaks de 180 g et je fais faire mon pain spécial par mon boulanger ! », souligne le propriétaire. ...
Le Domaine d’Ognoas est une propriété publique gérée par le Département des Landes couvrant près de 650 hectares. Il englobe le vignoble de 50 hectares destiné à la production de son eau-de-vie. Il inclut également plusieurs bâtiments et espaces verts qui font partie intégrante du patrimoine historique de la région landaise, à savoir la Seigneurie d’Ognoas, la Maison Forte de Tampouy, l’alambic bicentenaire, le Moulin de la Gaube et ses métairies, le chai antique et le chai des anges, les champs céréaliers et finalement la forêt de 300 hectares et quelques plans d’eau. « Notre essence-même, la raison de notre existence est d’être un musée vivant, une vitrine du terroir landais et du Bas-Armagnac landais » explique Myriam Biarnes, agent d’accueil relations publiques et promotion commerciale. Une histoire datant du Moyen Âge Depuis ses débuts au XIIe siècle, le Domaine d’Ognoas est passé tour à tour aux mains de seigneurs féodaux, de bourgeois, de l’Eglise puis finalement de l’Etat. Propriété de la famille Bosquet pendant des siècles, il est racheté en 1770 par la famille bourgeoise Lormand. En 1847, le dernier de cette famille, Jacques Taurin, n’ayant pas eu de descendance, lègue le domaine à l’Evêché d’Aire-sur-Adour. La loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat en 1905 transfère ensuite la propriété à l’administration. Actuellement, le domaine est administré par le Conseil départemental des Landes. Des eaux-de-vie prestigieuses Le vignoble du Domaine d’Ognoas se consacre à la production de son eau-de-vie d’Armagnac essentiellement mais propose aussi du floc rouge et blanc. L’eau-de-vie est vinifiée, distillée et élevée en futs de chêne au sein même du domaine. Les boissons alcooliques ainsi obtenues sont ensuite classées selon le temps passé dans les futs : VSOP pour ceux âgés entre 4 et 6 ans, XO Hors d’âge pour les armagnacs millésimés entre 10 et 19 ans et XO Premium pour ceux qui ont plus de 20 ans. Les eaux-de-vies en AOC Armagnac élaborées par le Domaine d’Ognoas sont de véritables références et ont été récompensées à de multiples reprises lors de concours agricoles. « Nos Armagnacs millésimés ont eu trois médailles d’Or au Concours Agricole de Paris 2015 » raconte avec fierté Gérard Guignot, responsable au sein du Département des Landes. Preuve de cette qualité, les millésimes du domaine sont servis auprès de certaines tables étoilées comme « Le Relais de la Poste » dans les Landes, « La Grande Maison » à Bordeaux, ou encore « Le Patio » à Arcachon. Des visites pédagogiques La totalité du Domaine d’Ognoas, depuis la forêt jusqu’à ses bâtiments, est entièrement ouvert au public. « Pour le cas du vignoble plus particulièrement, nous proposons des visites guidées essentiellement, qui concernent la visite de nos chais, avec une approche pédagogique du domaine et de l’AOC Armagnac. Nous y expliquons les méthodes de production et de vieillissement de l’Armagnac. Cette activité est toujours suivie d’une dégustation, le tout gratuitement » spécifie Myriam. En outre, des chemins de randonnée et des voies vertes sillonnent tout le domaine, en passant notamment par les rives du Midou pour les passionnés de nature. Quant aux amateurs de pêche, ils seront entièrement comblés avec les quatre étangs pittoresques du canton de Villeneuve-de-Marsan et celui de la Gaube. ...
Installé sur les contreforts de la montagne noire, le vignoble du domaine Les Maillols profite des largesses du climat méditerranéen, qui, combinées au sol limoneux calcaire, confèrent aux vins leur caractère souple et fruité. Une viticulture plus que raisonnée Sur les 13 ha du domaine Les Maillols, le vignoble est réparti en 10 ha AOP Minervois et le reste en IGP Coteaux-de-Peyriac. Philip Birolleau, propriétaire-gérant et œnologue, y pratique une viticulture raisonnée, s’apparentant plus au biologique selon ses dires. « Nous travaillons les sols et n’utilisons pas d’herbicide. Nous ne réalisons pas plus de 6 traitements annuellement, ce qui est très faible dans le monde viticole. » Des minervois très élaborés En dénomination IGP Coteaux-de-Peyriac, le domaine propose 3 cuvées intitulées « L’Instinct plaisir » en blanc, en rouge et en rosé. Il s'agit d'une gamme monocépage pour exprimer le profil aromatique de chaque cépage du domaine. Faisant la fierté de Philip Birolleau, les cuvées rouges AOP Minervois font l’objet d’une attention particulière de sa part. « La cuvée M et l’Âme des Maillols sont élevées en barriques durant 12 et 18 mois respectivement », nous précise-t-il. ...
Cette propriété existait déjà depuis 1800 mais elle n’a été exploitée par la famille Rosier que depuis 1956 par le biais du grand-père Paul. Après des études d’œnologie à Orange et Belleville-sur-Saône, Bruno Rosier débute au domaine en 1990 auprès de son père. Il commence par planter de nouveaux cépages et introduit du Viognier sur le domaine. A cette époque, la production était encore amenée à la coopérative La Suzienne. Le domaine sous l’ère Bruno Rosier Dès qu’il reprend en main l’exploitation en 2002, Bruno décide de vinifier lui-même sa production. Il travaille ses 30 hectares de vignes et 20 hectares de lavandin en agriculture raisonnée. Cette technique consiste à mettre des rangées de paille de lavandin distillé sous les vignes. Cette seule action permet à la fois d’étouffer les herbes, de lutter contre l’érosion et la sécheresse et de nourrir le sol. Il s’initie aussi à la production de vins blancs, une grande première pour le domaine. Il commence par 55 tonneaux de Bourguignon de 228 litres dans la vieille cave du domaine. Comme le résultat s’est révélé encourageant, il décide de passer à la vitesse supérieure en investissant dans une cave moderne avec des cuves en inox et des 94 futs de chêne européen. Les vins du domaine Comme Bruno Rosier aime à le répéter, il faut du bon raisin pour faire du bon vin. Il s’efforce toujours de travailler des vins ronds et souples en structure. Il propose à la vente du rouge, du blanc et du rosé, et sa touche personnelle consiste à introduire du Viognier, son cépage fétiche, dans toutes ses cuvées. La cuvée « A l’Envol des Hirondelles » est un Vin de Pays de Méditerranée. Issu de coteaux sablo-argileux mêlés d’éboulis calcaires, ce moelleux 100% Viognier présente une robe jaune paille. Son nez est riche avec des notes de fruits mûrs et de fleurs blanches. En bouche, il est gras et doux avec une finale très longue aux arômes de fruits confits et de fruits exotiques. Il se déguste avec des toasts de tapenade, une tarte Tatin, une belle poire au chocolat ou au pain d’épices. La production de cette cuvée est limitée à seulement 3000 bouteilles. Le « Rosé Plaisir » AOC Grignan les Adhémar, est un vin à la robe rose pâle aux reflets orangés. Son nez est très riche, avec des notes de fruits rouges, pêches et agrumes. La bouche propose des touches d’amandes grillées avec des fleurs blanches. Le millésime 2012 a été récompensé d’une étoile au Guide Hachette 2014. Il se caractérise par une belle rondeur et une fraîcheur qui est parfait pour accompagner la cuisine méditerranéenne, salade, grillade et tajines, et la cuisine asiatique très épicée. ...
Faisant partie des rares 17 villages classés Grand Cru, Aÿ est situé au croisement des trois grandes régions champenoises, à savoir la Côte des Blancs, la Vallée de la Marne et la Montagne de Reims. Sur ces coteaux inscrits aujourd’hui au patrimoine mondial de l’Unesco, la maison Gatinois cultive deux cépages, le pinot noir et le chardonnay, qui donnent des vins riches et gourmands, mais qui gardent une part de fraîcheur. Une démarche qualitative : ADN de la maison Gatinois Le domaine Gatinois a été le théâtre de trois siècles d’histoire durant lesquels douze générations de viticulteurs se sont succédé. C’est aujourd’hui au tour de Louis Cheval de perpétuer 300 ans de savoir-faire. Un défi qu’il compte relever avec brio dans une volonté de « conserver un style maison dans la tradition » selon ses propres mots. Ce trentenaire spécialiste en géologie décide d’adopter dans ses vignes, une démarche raisonnée. « Aucun désherbage chimique n’est réalisé. Nous réalisons un travail du sol et un enherbement maîtrisé dans nos parcelles. J’ai une approche durable pour tout ce qui est traitement et apport dans les vignes. Les fertilisations sont réalisées avec des produits labellisés bio. Une étape d’observation est toujours réalisée avant tout traitement ou tous travaux dans les vignes », explique-t-il. Des méthodes extrêmement rigoureuses qui s’appliquent jusque dans la vinification. Les soutirages, par exemple, sont tardifs, pour laisser les vins sur lie et avoir une clarification naturelle. Les vins ne sont également pas brusqués lors de la fermentation. « Nous donnons du temps et de l’attention tout au long de l’année pour l’élevage », précise notre interlocuteur. Un style généreux et unique La démarche durable et responsable à laquelle est fortement rattaché Louis Cheval contribue à la qualité et au caractère affirmé de ses cuvées. Au rang des ambassadrices de la maison figure la cuvée Brut Réserve, à majorité de pinot noir d’Aÿ, qui lui procure son volume, sa structure et toute sa force. Représentatif et respectueux des particularités et de la typicité du terroir d’Aÿ, le brut rosé évoque quant à lui force et élégance. Ce vin d’assemblage élaboré en toute subtilité est un vrai charmeur à table, surtout s’il est accompagné d’un saumon fumé, d'un sashimi de saumon ou avec de desserts d’été, comme une soupe de fruits rouges. ...
Entreprise pâtissière industrielle implantée à Estillac en Lot-et-Garonne, la Ronde des Fraîcheurs a ouvert ses portes en 2001. Ce site, d’une surface de 4 400 m2 et doté de 7 lignes de production et de 9 lignes d’étiquetage, est spécialisé dans la fabrication de pâtisseries fraîches. Afin de répondre à une demande grandissante en pâtisseries industrielles, elle entreprend en 2008, un doublement de sa surface de production. Aujourd’hui, sous l’impulsion de son directeur Pascal Marie, les 79 salariés de la société partagent au quotidien leur passion d’un métier à fort savoir faire dans un fonctionnement basé sur des schémas d’organisation et de management innovants. Une offre étendue particulièrement attractive À travers une joyeuse farandole de sélections gourmandes individuelles, familiales ou festives, la Ronde des Fraîcheurs dispose d’une large gamme de pâtisseries traditionnelles classiques (tartes, éclairs et entremets…) travaillées de façon très spécifique pour répondre à chaque besoin. Grâce à un outil de production d’une grande flexibilité lui permettant d’honorer des commandes 5j/7 et ce, de façon régulière tout au long de l’année, l’entreprise est un fournisseur de pâtisserie de référence sur le marché. Particulièrement active ces dernières années en matière d’innovation, la Ronde des fraîcheurs vous propose aujourd’hui de nouveaux concepts adaptés aux tendances de consommation. La Pati Box ou le concept de l’offre pâtissière revisitée Afin de répondre favorablement au souhait de nombreux consommateurs à disposer d’un plus large choix de pâtisseries en version snacking, la Ronde des Fraîcheurs a développé un concept simple et efficace. En effet, consommer certaines pâtisseries hors assiette est un exercice particulièrement difficile notamment pour les grands classiques comme les millefeuilles, Paris-Brest , merveilleux… La Pati Box est selon David Souplet, responsable Recherche et développement, un concept novateur qui permet de « consommer un millefeuille en costume cravate », sans risquer de se tâcher. Le principe consiste à dissocier les garnitures en coupelle et les pâtes sous forme de bâtonnet permettant de « dipper » avec la plus grande facilité. On retrouve ainsi toutes les qualités gustatives du produit traditionnel mais sans l’inconvénient du manque de praticité ! ...
Situé au sud-est de Saint-Émilion, le Château La Croix du Merle est né de la passion de Marien Negre, un amoureux de ses terres et un vigneron expert qui décide de reprendre les rênes du domaine en 2006. Son objectif est de faire de ce terroir une référence dans la production de vins authentiques. Un domaine prestigieux Le domaine possède un vignoble de 2 hectares, composé de plusieurs petites parcelles. Les vignes ont chacune leurs particularités et bénéficient d’un sol argilo-sableux au pied des coteaux. Ce type de sol est souvent sec, et très drainant, ce qui permet de limiter l’excès d’eau. Le terroir est cultivé en monocépage 100 % merlot. Il s’agit d’un cépage utilisé pour la réalisation d’un vin concentré et fruité (notes de cassis, fruits rouges bien mûrs), dans le but de le rendre plus souple et plus aromatique. Un vignoble récompensé « Le Saint-Émilion Grand Cru 2010 a gagné 2 étoiles au Guide Hachette des vins 2013. Il est issu d’un vignoble de 2 hectares établi sur un sol argilo-sableux qui permet de produire des vins colorés et corsés », explique Marien Negre. La fabrication de cet excellent vin commence avant tout par un tri sélectif et des vendanges manuelles. Après le broyage pour obtenir le moût, les raisins subissent ensuite une vinification en cuve bois tronconique inversée. Enfin, pendant environ 12 mois, ils sont élevés dans des barriques de chêne français neuf. « C’est un vin né d’un seul merlot, il est encore très jeune et a besoin de mûrir trois ou quatre années avant d’être dégusté », conseille Marien. Le Saint-Émilion Grand Cru charme l’œil par une robe d’un rubis brillant à reflet grenat dans sa jeunesse. Le nez est dominé par des notes de petits fruits rouges très concentrés et ce bouquet dégage un délicat arôme de vanille, de figue, de crème de griottes, de pruneau cuit et d’amande grillée. En bouche, la richesse aromatique du bouquet se retrouve au palais, les tanins sont très présents, les saveurs de cerise, de cassis et de sureau envahissent les papilles. Avec sa force et son élégance, ce vin peut être servi avec des viandes rouges ou blanches et légumes (secs, verts ou grillés), du gibier et champignons, des gratins jambon et fromage. ...
Construit en 1879, ce restaurant de charme chargé d’Histoire est un véritable voyage dans le temps. Lieu bien connu et apprécié des Picasso, Apollinaire, Toulouse-Lautrec et autres célèbres personnages comme Van Gogh, Le Bon Bock est une excellente adresse à découvrir. Baignant dans un décor chaleureux et cossu où s’accordent parfaitement mobilier en bois, lumières tamisées, lustres et tableaux anciens, l’établissement a gardé ses décors d’époque, qui lui confèrent un cachet particulier. Estampillé « fait maison », le restaurant propose une excellente cuisine traditionnelle et familiale à base de produits soigneusement choisis chez des fournisseurs privés tant pour la viande que pour les fruits et légumes. Une carte de plats traditionnels En marge du menu du midi entrée-plat-dessert à 19,50 €, ou entrée-plat ou plat-dessert à 15,50 €, et de celui du soir à 25,50 €, l’enseigne propose également un menu spécial pour les groupes, avec à côté des repas à la carte qui rappellent des saveurs d’un temps passé. En entrée, quelques suggestions à retenir : le Foie gras maison, le très populaire Gratiné à l’oignon ou encore le Tartare de saumon. Au registre des plats, laissez-vous tenter par son Entrecôte Salers, son Poulet camembert ou son Parmentier de canard aux deux purées sucrées-salées. Pour terminer, craquez pour sa Brioche rôtie, sa Tarte aux pommes ou pourquoi pas son Parfait à l’absinthe ! Quel que sera votre choix, la satisfaction sera toujours au rendez-vous ! Pour accompagner chacun de vos repas, le restaurant suggère une très belle carte des vins de toutes les régions de France, dont l’Oratoire de Chasse-Spleen, le Vin de Merde du Languedoc, le Blaye Côtes de Bordeaux mais aussi le Crozes-Hermitage qui figurent parmi les références les plus demandées par les clients, sans oublier une dégustation d’absinthes préparées à l’ancienne qui font la particularité de la maison. Une ambiance conviviale pour toutes les occasions Pour un apéro entre amis, un brunch familial ou un diner intimiste avec votre dulcinée, faites une halte gourmande dans ce charmant estaminet de Montmartre, où des animations se font tous les mercredis (avec un pianiste) et tous les dimanches (avec une chanteuse). La salle arrière étant privatisable, ceux qui souhaitent y tenir des évènements privés sont tout à fait les bienvenus ! ...
Installant ses vignes en cave coopérative en 2003, Stéphane GUILLEMIN donne un tournant à son activité viticole à partir de 2007 en créant sa propre exploitation avec l’aide de sa femme Lucie. Il fait acquisition d’un vignoble de 25 hectares répartis sur les communes de Clessé, Viré, Péronne et Verzé. La grande diversité de son terroir lui offre toutes les latitudes pour travailler plusieurs appellations telles que Viré-Clessé, Mâcon-Péronne, Mâcon-Verzé, Mâcon-Villages, Crémant de Bourgogne et Bourgogne rouge. L’appellation Viré-Clessé sous les feux des projecteurs L’AOC Viré-Clessé est reconnue à partir de 1998 et s’étend sur les terroirs de l’AOC Mâcon Villages. Vifs et frais aux arômes de fruits, les vins blancs issus de cette appellation font partie des fleurons produits par le Domaine Guillemin Stéphane et Lucie. Parmi ces pépites figure ainsi la cuvée éponyme, un chardonnay généreux dévoilant de belles notes de fruits mûrs, d’agrumes et de fleurs. En bouche, elle se veut harmonieuse, suave, ronde et minérale sur fond de saveurs épicées et fruitées. Un superbe cru qui donne relief et consistance aux fruits de mer, aux poissons, aux crustacés, au fromage de chèvre ou aux viandes blanches grillées. Une alliance entre tradition et modernité Pour produire ses vins raffinés et expressifs, le domaine a fait le choix d’adopter une viticulture raisonnée. Aujourd’hui certifié Haute Valeur Environnementale (HVE), il signe sa différence en mettant en avant un savoir-faire traditionnel associé à l’utilisation de technique moderne qui réduit au maximum l’usage d’intrants phytosanitaires. ...
Ouverte du 1er avril au premier week-end de novembre, la Maison des Sancerre vous accueille dans une vieille bâtisse du XIVe siècle dans le centre historique de la ville, achetée et rénovée grâce à l’association des vignerons. La Maison des Sancerre propose un voyage ludique et interactif au cœur de l’appellation. Ainsi vous apprendrez tout sur les étapes de production des vins, sur le travail des vignerons dans les vignes comme dans les caves, sur les différents types de terroirs et leur influence sur les arômes des Sancerre. Ici, tout a été conçu pour que petits et grands passent un moment agréable et divertissant, grâce au plan relief animé, au film Aventure 4D, aux vidéos, à la réalité augmentée. Vous pourrez également en profiter pour flâner quelques instants dans le superbe jardin aromatique. A la fin de votre visite, vous pourrez déguster un verre de Sancerre blanc (compris dans la visite) ou choisir une dégustation plus complète (payante) avec 8 vins (4 blancs, 1 rosé et 3 rouges). La Maison des Sancerre propose aussi 2 grandes salles, idéales pour tous vos événements professionnels ou privés. Deux événements au printemps à ne pas manquer Si vous êtes amateur de vins, rendez-vous à la foire aux vins le week-end de la Pentecôte aux Caves de la Mignonne. Vous pourrez rencontrer et échanger avec de nombreux producteurs de l’appellation. Mais aussi déguster le dernier millésime. En l’occurrence, celui de 2018 semble prometteur puisque en raison des conditions météorologiques, les raisins récoltés s’avèrent magnifiques, en blanc comme en rouge. Si vous êtes sportif, participez au Trail de Sancerre le 15 juin 2019. Un véritable voyage au coeur du vignoble. 2500 coureurs et 300 bénévoles s’y engagent chaque année. ...
L’idée de créer un domaine viticole a surgi comme un vent de folie chez les Biancone. En 1983, Monique et Gérard ont décidé d’allier leur passion pour le vin et les vignes, en bâtissant ensemble le prestigieux Château Rasque. Un paradis créé de toutes pièces Le domaine est localisé à Taradeau, un village situé dans le centre du Var. Monique, fille de viticulteurs bordelais, et Gérard, passionné de vin : la vocation de vignerons s’est révélée comme une évidence chez les Biancone. Gérard, notamment, a également su déployer ses talents de maçon pour aménager le domaine à l’image de ses prestigieux ancêtres, les Rasque, une famille de notaires dracénois ayant occupé les lieux au XVIe siècle. Une des plus grandes fiertés de la famille est l’acquisition du Clos Jasmin, une irrésistible propriété de 12 ha, située au pied de la Sainte Victoire, sur laquelle s’enracinent de vieux ceps centenaires produisant exclusivement des rouges. Au fil des 35 ans passés, Monique et Gérard Biancone ont transmis leur passion ainsi que leur savoir-faire à leurs cinq enfants, qui ont tout simplement grandi au rythme de la vigne. À tel point qu’en 2005 leur fille Sophie reprend les rênes de l’entreprise familiale. Avec l’aide de son frère Enzo, « l’enfant des vignes », elle va apporter un vent de modernité qui ne sera que bénéfique dans la promotion de leurs vins en appellation Côtes-de-Provence. Notons qu’en 2003 la famille a également succombé au charme du domaine Hermitage de Saint-Pont, à Figanières, doté d’un vignoble de 31 ha et de 7 ha de bois. Un terroir particulièrement attachant Le vignoble du Château Rasque s’étend sur un sol argilo-calcaire de 30 ha. Perché à 260 m d’altitude, il bénéficie naturellement des conditions adéquates pour mener les vignes à parfaite maturation. D’autant plus que la couverture caillouteuse du sol limite les écarts de température entre le jour et la nuit et donc stabilise la température pour le bien-être des plantes. Le mariage de l’argile au calcaire permet le bon drainage du sol, ce qui prévient le stress hydrique chez les vignes. Ces traits caractéristiques confèrent d’onctueux arômes exotiques aux blancs et aux rosés, et leur tanicité soigneusement équilibrée aux rouges. Dans la liste des cépages travaillés figurent les célèbres variétés comme le rolle, le grenache, le cinsault, la syrah et l’ugni blanc. La vinification se fait de manière traditionnelle dans le but de tirer le meilleur du raisin, tout en le respectant. Il s’agit également de « valoriser l’âme du terroir », une terre pour laquelle la famille Biancone témoigne d’un amour particulier via une agriculture raisonnée. Ainsi, après les vendanges à la main, les raisins sont refroidis dans un échangeur tubulaire avant de passer au pressoir pneumatique. Le moût sera fermenté dans une cuve en inox, équipée d’un groupe de froid permettant de maintenir la température idéale pour la vinification. L’élevage des vins s’effectue dans des foudres de chêne installés à 8 m sous le sol, afin d’obtenir des cuvées authentiques au reflet de leurs racines. L’élégance en bouteille Grâce aux 3 domaines viticoles qui le composent, le Château Rasque peut produire différents types de vins. Réputée pour ses rosés, la maison consacre 50 % de sa production à ces cuvées. Le reste du pourcentage est départagé entre les rouges (30 %) et les blancs (20 %). Toutefois, la cuvée emblématique est la « Pièce noble », un vin rouge intense, dont la particularité se révèle à travers ses arômes de fruits confits légèrement épicés. Sa longueur en bouche et sa finale chocolatée s’avèrent être un réel plaisir pour le palais. Le Château Rasque est également connu pour ses blancs frais et complexes comme le « Blanc de blanc 100 % rolle » ou le « Clos de Madame ». ...
Véritable portail de la gastronomie orientale, Markar invite les plus curieux à un voyage inédit au cœur des saveurs arméniennes, libanaises, turques ou encore grecques. Une épicerie fine orientale Créée en 1990 par Kirkor Markarian, la maison Markar suggère une variété de produits qui réserveront des surprises à tous les palais. Pour un apéritif original, l’épicerie regorge de fruits secs, biscuits salés, mezze et charcuterie. Pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’y goûter, la charcuterie arménienne est absolument à découvrir. Markar invite à déguster ses deux spécialités faites maison. Le Pasterma qui est une viande séchée de bœuf enrobée d’une pâte d’épice, et le Soudjouk, un saucisson de bœuf préparé à partir de viande hachée et de boyau naturel. « Pour la viande, on a un rayon boucherie et on utilise de la charolaise, c’est une des meilleures viandes racées françaises », explique Massis Markarian, le fils de Kirkor, qui co-gère la boutique familiale. En guise d'accompagnement de ce plateau de charcuterie, l’épicerie propose des vins d’Arménie aux qualités surprenantes. A découvrir : des vins rouges médaillés d’argent aux concours Mundus Vini en Allemagne comme le Karas ou le Takar ou encore un vin récompensé de la grande médaille d’or à Bruxelles, le Kataro. En parallèle, Markar dispose également de produits exceptionnels tels que le brandy. En effet, l’épicerie suggère à ses clients les brandys les plus raffinés comme le brandy ARARAT VASPURAKAN (15 ans d’âge) ou le brandy ARARAT NAÏRI (20 ans). « Ils sont quasiment introuvables en France, on est le seul à en avoir », souligne Massis Markarian. Au rayon des condiments, les épices indispensables à la cuisine orientale : cumin, piment, thym... mais aussi des huiles d’olive venant de Grèce sont à ne pas manquer. Côté douceurs, fruits secs, confiseries (loukoums, halva, kourabiedes) et pâtisseries orientales sont aussi disponibles. Markar suggère également des produits traiteur. Tout est fait maison ! Du houmous (à base de purée de pois chiches et tahini) en passant par le tzatziki (mezze grec et turc), le tarama (mezze à base d’œufs de poisson, lait, jus de citron et mie de pain) ou le ktipiti (amuse-bouche à base de feta, yaourt et poivron rouge). Enfin, l'une des spécialités de la maison : les feuilles de vigne farcies au riz, les Dolma. À ne surtout pas rater ! « On a des clients qui viennent de loin spécialement pour ces produits », raconte le gérant. ...
Le restaurant Le coup de feu promet une expérience unique en termes de plaisir de la table. Le chef affiche sa volonté de séduire le plus grand nombre en proposant une cuisine traditionnelle teintée d’inventivité. Un cadre cosy pour manger autrement Le restaurant Le coup de feu réserve à ses convives un accueil chaleureux dans un cadre offrant le juste milieu entre une décoration moderne et une salle de style rétro. Poutres apparentes, grande cheminée au milieu de la salle, mobiliers vintage, mais aussi sol carrelé… autant d’éléments évoquant charme et convivialité. Le restaurant propose une cuisine basée sur la gastronomie parisienne. Concoctés exclusivement avec des produits frais, les plats de l’ardoise changent toutes les semaines afin de varier le plaisir des habitués et de faire découvrir de nouvelles saveurs aux nouveaux venus. Certains mets illustrent à merveille le savoir-faire de Sylvain Le Grand, chef et non moins propriétaire du restaurant. Dans le registre des entrées, la poitrine de cochon confite, laquée au miel et servie avec un duo d'artichauts cru et cuit, émoustille les papilles. Le filet de bar est quant à lui très recommandé en guise de plat. Au Coup de feu, cette suggestion est accompagnée de jus aux fruits de la passion. Enfin, pour le dessert, le chef se fera un grand plaisir de servir l’ananas victoria rôti en tranches au sucre muscovado, agrémenté de sorbet au basilic thaï. Une cave à vins complète Pour mieux savourer les mets proposés par le restaurant Le coup de feu, le chef reste disponible pour quelques conseils sur les meilleurs accords de vins et de plats. Dans sa cave marquée par une présence remarquée de vins de Bourgogne, il présente une trentaine de références. Le chef Sylvain sélectionne d’ailleurs les vins en collaboration avec des producteurs régionaux lui permettant de mettre en valeur des produits peu connus mais à découvrir absolument. ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
La sobriété et l’élégance définissent instinctivement le cadre avenant et reposant du Bistrot de Fontcaude. Les habitués se retrouvent sur la terrasse pour une atmosphère décontractée à ciel ouvert. Un retour au calme et à l’apaisement est assuré à l’intérieur pour déguster autrement des produits frais du terroir du Languedoc-Roussillon sur des assiettes riches en goûts. Thierry Rousset enrichit ses plats en s’inspirant du patrimoine culinaire régional. La carte se veut fraîche, prônant les produits de saison et mettant en valeur les trésors cachés du terroir. Ses créations évoluent aussi au fil des rencontres et des découvertes qu’il réalise lors de ses voyages à l’étranger. Des plats revisités Au Bistrot de Fontcaude, de curieux gourmets, toujours à l’affût d’originalité, réclament, dès la mise en bouche, des plats revisités par les mains de Thierry Rousset, reconnu pour son don de marier les goûts et les textures. En entrée, rien de tel que l’os à moelle pour se délecter de saveurs authentiques. En plat, les cannellonis aux épinards et ricotta gratinée, noisettes grillées et cèpes sont un nouveau-né de sa carte fraîchement repensée. La présentation met l'accent sur les couleurs. Réservant le meilleur pour la fin, le chef suggère un mirliton aux zestes d’agrumes avec sa fine meringue aux pastilles de Vichy en guise de dessert. Des vins du Pays de l’Hérault Dès les premières bouchées, les plats prennent une autre volupté grâce aux vins de la région servis en accompagnement. C’est l’occasion de déguster des vins du Pays de l’Hérault. En vedette, les vins Pic Saint-Loup et Les terrasses du Larzac, des vins de terroir, produits de différentes associations de cépages languedociens. ...
Flash Matin : Bonjour Loïc ! Loïc Manchec : Bonjour. Vous êtes Loïc, l’heureux propriétaire du Mas Costeplane, un domaine viticole à Cannes-et-Clairan, dans le Gard. Vous pratiquez l’agriculture biodynamique. On dit que vous êtes un jeune vigneron, c’est vrai cela ? Loïc Manchec : Je suis un jeune vigneron. Jeune dans l’expérience mais, un peu moins dans l’âge. C’est une reconversion pour moi le métier de vigneron. J’ai repris le domaine Costeplane il y a maintenant 5 ans. C’est un choix qui a été fait, une reconversion. Cela faisait 15 ans que j’avais envie de faire ce métier et à un moment, j’ai fait le saut et je suis venu m’installer dans le Mas Costeplane. Votre domaine a une histoire longue de plus de 600 ans. Pouvez-vous nous en parler ? LM : Comme je vous l’ai dit, j’ai repris le Mas Costeplane il y a 5 ans. Ce sont Monsieur et Madame Coste qui l’ont hérité de leur famille. Le domaine est dans leur famille depuis au moins 1405 -1450, c’était tracé. Après une trentaine d’années d’exploitation du domaine et d’avoir installé la cave particulière, ils souhaitaient prendre leur retraite. On s’est rencontré et on s’est bien entendu. On a passé pas mal de temps ensemble avant que je reprenne leur domaine il y a maintenant 5 ans. L’une des grandes particularités est que le domaine est fait en Bio depuis 1989. C’était vraiment parmi les précurseurs du bio. On est sur un petit plateau au-dessus de Cannes-et-Clairon, un petit village dans le Gard. Il n’y a pas de voisins, on est entouré par la Garrigue, le premier voisin est à 2 km. On n’a pas eu de pesticide depuis 1980, cela fait quasiment 40 ans. On a une biodiversité de terre qui est extraordinaire, mais on y reviendra je pense plus tard. Oui, donc vous disposez d’une terre qui se prête vraiment bien à l’agriculture biodynamique. On se demande d’où vient la biodynamie et ce que c’est exactement ? LM : Le concept est développé par Rudolf Steiner, un philosophe autrichien, au début du XXe siècle. Il a une approche un peu plus ésotérique, en relation avec le cosmos. C’est une relation personnelle après, on applique des principes. Je ne comprends pas forcément tout ce que Rudolf Steiner a pu expliquer, tout ce qu’il a pu décrire. Ce qui est sûr aujourd’hui, c’est qu’on commence à trouver les explications à ce qu’il disait et c’est un petit peu un visionnaire. On va retrouver quelque chose qui peut paraître parfois ésotérique et on en prend ce qu’on veut. Pour moi, c’est une approche très personnelle. La biodynamie est une approche en symbiose avec la nature. Au lieu d’une approche, ou l’on détruit ce qui dérange, ou l’on exploite au maximum et qu’on pilote les processus par l’utilisation d’artifice chimique, nous, notre approche viticole et vinicole en biodynamie est de travailler dans le respect du vivant, dans la confiance qu’on a dans la nature et dans l’accompagnement de la plante. J’ai une formation d’ingénieur à la base, je suis quelqu’un d’extrêmement rationnel et j’ai compris une chose en arrivant à Costeplane. En fait, il est illusoire de penser qu’on peut tout maîtriser. Ma relation va beaucoup se fonder sur une espèce d’intuition. Quand je marche dans mes vignes, si je vous disais que je parle à mes vignes et que je les écoute, cela va vous faire sourire. Pourtant, c’est vraiment quelque chose que je ressens. À partir de là, je vais prendre une décision et non pas forcément sur des informations techniques. Évidemment, je reçois les bulletins de santé des végétaux comme tous vignerons et derrière, cela ne veut pas dire que je vais passer les préparations. Je vais prendre ma décision en fonction de ce que je perçois de la vie, et ce n’est pas quelque chose de rationnel. Je ressens des vibrations en moi qui vont me dire, j’y vais ou je n’y vais pas. Jusqu’à présent cela marche. Le meilleur exemple que je vais prendre c’était en 2019, ma première année, je me lève un matin à 6h du matin pour aller poudrer les vignes, c’est-à-dire passer du soufre pour empêcher l’oïdium de se d&ea...
Bien que le restaurant ait conservé ses pierres apparentes spécifiques par nostalgie de la Bretagne natale des propriétaires, sa déco a été renouvelée avec gout pour apporter une plus grande modernité et un coup de jeune à l’ensemble. Situé à quelques distances des bords de Loire, à 12 km à l’ouest de Nantes, Le François II reste une belle découverte pour ceux qui ont la chance de s’y rendre. Aidé des « frères du chef », d’authentiques producteurs morbihannais en porc, veau et bœuf en cours de conversion à l'agriculture biologique depuis mai 2016, ce restaurant de proximité n’a de cesse de revisiter les classiques dans un effort constant pour faire apprécier à ses clients, les spécialités du terroir. Depuis 2005, le restaurant est distingué par le guide Michelin, d'un BIB gourmand et depuis octobre 2016, répertorié au sein de l’Association des Restaurants de Qualité sous l’égide du Collège Culinaire de France dans lequel co-participent les Chefs les plus étoilés au monde au guide Michelin dont Joël Robuchon et Alain Ducasse, membres co-présidents des Restaurants de Qualité. Le restaurant est aussi labellisé clé-verte depuis environ 3 ans. Une cuisine authentique Dans une salle aux tons sobres mais combien chaleureux, cette ancienne mercerie digne de la caverne d’Ali Baba fait le bonheur des gourmets et des gourmands avec son authentique cuisine traditionnelle. Le chef étant détenteur du titre de maitre restaurateur, les produits locaux sont principalement à l’honneur avec une qualité et une fraicheur assurées par les artisans et producteurs avec lesquels il collabore étroitement. À travers différentes formules, allez au hasard des découvertes qui s’avèrent également être de belles révélations. Entre la mousse de canard à la mingolette au cylindre de foie gras, les noix de Saint-Jacques poêlées à la vinaigrette de coriandre et xerès ou encore le délice pomme-poire, vous n’aurez que l’embarras du choix. Pour accompagner les plats, le choix de Solenn se porte sur une belle sélection de vins comprenant plusieurs appellations en bio et label Terra Vitis notamment. ...
Découvrir des vins, savoir les déguster, pouvoir les acheter facilement sans frais de port : voici les 3 piliers de notre galaxie ouverte à tous les passionnés de vin. L’abonnement vin My VitiBox My VitiBox, spécialiste de la box vin, vous propose de recevoir chaque mois 2 bouteilles sélectionnées par Philippe Defleur, ancien sommelier du Palais de l’Elysée. Un livret vous fera découvrir le monde du vin et comment profiter au mieux de vos vins en optimisant le service et les accords mets et vins. Pour répondre à vos envies ou gâter vos proches avec un cadeau mémorable, vous avez le choix entre 4 formules : Mariage du Palais, Rouge passion, Invitation au voyage ou Pépites du Vignoble. Vous pourrez ainsi découvrir des vins plaisir, des vins découvertes, des vins étrangers ou encore des vins d’auteur. Vous pourrez ensuite racheter vos coups de cœur avec une réduction de 15 % ! A partir de 81 euros pour 3 mois, frais de port compris. Prodégustation : l’œnologie pour tous Depuis 17 ans, Prodégustation, n°1 des cours d’oenologie, vous accueille dans 18 villes de France pour découvrir pendant 2 ou 4 heures autour de 5 à 7 vins l’art de la dégustation. Votre guide dans ce voyage culturel et sensoriel est l’un des 20 formateurs, tous œnologues ou sommeliers de renom et ambassadeurs des grands terroirs de France. Vous aussi, rejoignez les 13 000 élèves formés chaque année par Prodégustation à l’analyse sensorielle, l’histoire viticole, l’art du service ou encore les accords mets et vins et bien plus ! A partir de 59,90 euros. Le Club Français du Vin : le vin simplement Pour profiter des meilleurs vins dans des conditions exceptionnelles, le Club Français du Vin a créé en partenariat avec Prodégustation la Carte Magnum, une offre unique pour l’achat de vins : vos frais de port offerts, des promotions permanentes sur une sélection de vins, des magnums offerts pour vos grosses commandes et bien d’autres avantages. La Carte Magnum est proposée pour 100 euros, valable 2 ans pour profiter de tous ces avantages et accéder à la sélection du premier Club d’amateurs de vins en France fondé en 1973. ...
Construit en 1991 par l’architecte Roberta Valle, l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs offre une table qui ravira les plus fins gourmets dans son restaurant surplombant la Méditerranée. Les plats suggérés par le chef font vivre la beauté de l’île privée de Cavallo. Et surtout permet aux clients de jouir des produits locaux tout en profitant de la vue depuis la terrasse. Sur les bords de la Méditerranée, une table d’exception Niché au cœur de l’archipel de Lavezzi, l’île de Cavallo fait partie de ces endroits exclusifs de la Méditerranée. Rachetée en 1966 par Jean Castel, roi de la nuit parisienne, il transforme la petite île de 120ha en paradis pour Robinson milliardaires. Située dans les bouches de Bonifacio, dans le détroit entre la Corse et la Sardaigne, l’île est accessible uniquement par la mer depuis le port de Piantarella ou via la navette privée. On y trouve le seul hôtel de l’île : l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs et sa fameuse table réputée pour ses plats fusions entre Italie et tradition corse. Le restaurant de l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs s’ouvre sur une terrasse qui offre une vue imprenable sur la mer et sur la côte environnante. Tout dans ce restaurant rappelle le côté exclusif de ce lieu à travers une décoration soignée et élégante. L’extérieur offre une magnifique vue et nous plonge dans une ambiance méditerranéenne. Ici, dominent des parfums uniques : de myrte, de jasmin, de genièvre, de chèvrefeuilles et d’autres espèces du maquis corse qui côtoient les effluves marines. Les plats sont préparés avec des ingrédients frais et locaux, qui s’accordent à merveille avec la cuisine méditerranéenne. La cuisine est majoritairement à base de fruits de mer. Toutefois, on retrouve aussi à la carte des plats de viande. A la carte, les produits de la mer sont frais et il est possible d’assister à leur livraison le jour même depuis les tables du restaurant. Pour apprécier apéritif, le bar de l’hôtel est un incontournable. Cocktails et autres boissons attendent les amateurs sur les bords d’une plage où le soir venu, l’ambiance électrique vient se refléter sur les rochers marins. La musique lounge permet de se détendre après une longue journée ensoleillée à parcourir l’île en vélo ou en voiturette électrique. Seuls véhicules autorisés sur l’île de Cavallo. Une carte aux senteurs marines La carte du restaurant de l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs offre une variété de plats et ravira les palais des gastronomes avertis. Le carpaccio de thon par exemple rappelle que l’on est bien au cœur d’une station balnéaire privilégiée. Découpé en fines tranches et servi avec une osmose de pommes vertes, le mélange en bouche apporte une touche de fraîcheur et de croquant. Autre incontournable, la langouste fraîche fond sous la langue avec une cuisson parfaite. Les légumes croquants, en accompagnement subtil, ajoutent une texture sans pareille pour parfaire une soirée au bord de la mer. Et enfin pour clore ce menu autour des produits de la mer, pourquoi ne pas se laisser tenter par un millefeuille de fraises à la crème pâtissière. Composé d’une pâte légère et croustillante, il vient mettre en valeur la fraise au milieu d’un léger nappage de crème pâtissière. En bouche, les saveurs se mélangent et permettent de savourer au firmament d’une douce soirée les fameux anti-pasta à l’italienne. Fusion entre deux mondes, de l’Italie à la France Dans les eaux bleues de l’archipel de Lavezzi, il était impensable de cuisiner sans mélanger les saveurs. C’est de ce constat simple qu’est né également pour les clients de l’hôtel un Pop-up Beach Restaurant Antica Pesa, une collaboration entre l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs et le restaurant Antica Pesa. Installé à Rome, ce dernier fêtait en 2022 son centenaire. L’alliance des deux enseignes nous emmène à la découverte de la cuisine française et italienne au bord d’une plage préservée. Le Pop-Up Beach Restaurant est ouvert de 9 h 30 à 16 h 30 pendant les basses saiso...