C’est en 1993 que Dan Yang Chen et son époux Shimin Chen lancent leur restaurant le Lys d’Or. Véritable oasis dans le XIIe arrondissement, le restaurant affiche ouvertement une décoration authentique qui s’inspire des demeures bourgeoises chinoises. Jardin intérieur, portique, bambou, fontaines et verdure y forment un cocon parfait pour déguster les spécialités culinaires asiatiques. Une cuisine en l’honneur de l’Empire du Milieu Un cadre authentique se dévoile au Lys d’Or, un lieu de rencontre avec la cuisine classique de l’ancien Empire. Le Gou Feng y est le plus représentatif de l’art culinaire chinois. Commune à toutes les régions, cette populaire marmite du pêcheur se compose de riz parfumé et d’un généreux mélange de coquilles Saint-Jacques, de pinces de crabe, de crevettes, de calamars et de légumes. Le Guo bamian, le Cheng jie si han, le Tou Feng et les nouilles pékinoises illustrent aussi cette richesse gastronomique. L’authenticité culinaire de chaque région est représentée par des plats comme les crevettes et poissons à la sauce Shanghai au gingembre, les brochettes de bœuf pékinoises, le poulet au caramel et sésame de Canton et le filet de bar épicé à la sauce Sichuan. Des créations culinaires originales à la chinoise En entrées ou plats, le Lys d’Or met en avant la créativité de son chef dans le travail du poisson, des fruits de mer, de volailles et de viandes. Les légumes et le tofu sont proposés aux végétariens, qui seront particulièrement aux anges en dégustant l’aubergine en croûte de sésame noir. La sérénité des lieux est idéale pour découvrir la légèreté des incontournables Dim Sum, raviolis et autres bouchées à la vapeur. De nombreuses spécialités de l’établissement sont présentées sur plaque chauffante, comme les succulences de canard à la sauce Sichuan. Ces plats poursuivent leur cuisson parfumée sur la table, délivrant de douces senteurs d’épices et de gingembre. Pour plus de plaisir, la maison propose une sélection de vins, du riesling au saumur-champigny, en passant par le côtes-du-rhône et le bordeaux supérieur. ...
La brasserie Les Éclusiers se situe à Henridorff, entre Sarrebourg et Saverne, proche du camping du plan incliné d’Arzviller. Les clients sont reçus dans un cadre authentique : une grande salle au style contemporain agrémenté par une décoration épurée, une terrasse bien spacieuse avec vue panoramique sur le paysage. Le Chef Nicolas Kohler et son équipe promettent un moment agréable dans une ambiance décontractée que ce soit en salle ou à l’extérieur. Un endroit théâtre de sorties entre amis, rendez-vous en tête à tête ou même repas en famille. Une cuisine du terroir La carte ainsi que les menus du jour mettent en valeur une cuisine du terroir. « La carte est renouvelée trois fois par an au gré des produits de saison », nous explique le propriétaire Frédéric Beno, cuisinier de métier. En entrée, l’on redécouvre la terrine campagnarde maison ou le carpaccio de bœuf façon Fritz, des classiques mais un régal garanti à chaque dégustation ! En résistance, les clients peuvent opter pour des plats à base de poissons frais, telle la truite aux amandes de vivier, pêchée à la minute. Pour les amateurs de viandes, la carte propose un savoureux faux-filet de viande charolaise ou encore de l’entrecôte Angus bien tendre. Un plus non négligeable : « La cave à maturation pour les viandes », révèle le chef. Au passage, difficile de résister au cordon-bleu de veau avec sa crème faite maison. Pour terminer, la bûchette exotiko aux fruits et autres créations sucrées de la maison signées par le pâtissier Cédric Jacob achèvent en beauté le périple culinaire. Les menus suggérés sont inspirés par les produits frais du marché et se déclinent en quatre, dont un menu enfant. Les plats typiques de la région sont au rendez-vous : quiche lorraine, joue de bœuf à la bière, rognon de veau flambé à la crème, Kougelhopf et baba au rhum. Avec le menu Découverte, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule entrée, plat et dessert. Pour un accord mets et vin réussi, la brasserie Les Éclusiers sélectionne une vingtaine de références en vins français. L’on cite notamment les vins alsaciens, des côtes-du-rhône ou des bordeaux. Au plus près des producteurs locaux Labélisée « maître restaurateur », la brasserie Les Éclusiers s’engage dans une démarche locale et s’approvisionne en produits frais directement auprès des producteurs de la région. La maison travaille avec la pâtisserie Reutenauer et la boulangerie tabac-presse Rein Chistian pour garnir son café gourmand. En outre, la pisciculture Messang située à Abreschviller assure la livraison en produits marins. Côté boisson, la maison possède sur place une branche dédiée à la fabrication de bières artisanales. « Nous élaborons trois types de bières à la pression : blonde, blanche et ambrée », reprend Frédéric Beno en présentant fièrement ces produits que les clients sirotent avec grand plaisir. ...
La place d’Armes entend sonner un chant de renouveau. Le Coq de la Place est aujourd’hui géré par un couple jeune et dynamique qui entend faire de cet endroit, un haut lieu de la cuisine bistronomique à Rodez. Benjamin et son équipe veulent y partager une ambiance conviviale et simple. Un brillant parcours pour ce chef passionné Le parcours de ce jeune chef est des plus remarquables. Né en 1985 à Albi, il intègre en 2000 le Lycée Hôtelier de Toulouse où il a obtenu trois ans plus tard son bac techno. En 2004, il décide de passer son bac pro tout en travaillant au sein du prestigieux Hôtel du Palais Imperial à Biarritz. Ensuite, avec sa compagne Célia, ils prennent la direction de Paris à l’Auberge de la Brie. S’en suit un parcours à l’international à Saint Barthélemy, aux Etats-Unis, à Singapour, à Kuala Lumpur et en Nouvelle-Zélande. Puis se présente l'opportunité de poser leurs valises à Rodez et d'intégrer cet établissement au pied de la cathédrale de Rodez. Leur ambition : mettre en avant le patrimoine culinaire français grâce à l’utilisation de produits 100% frais et 100% terroir. Des amoureux du terroir Le cachet de l’établissement est justement cette cuisine de marché. Le chef et sa brigade n’hésitent pas à se rendre directement auprès des producteurs locaux pour s’approvisionner. « On est un peu des extrémistes de la cuisine. On travaille en très grande proximité avec les agriculteurs et éleveurs locaux » raconte-t-il. Dans la région, il existe un dicton qui dit que "nos aliments sont nés, élevés, abattus, travaillés et digérés en Aveyron". C’est clair comme de l’eau de roche. Que du local donc pour ce restaurant bistronomique qui ne propose que des bonnes choses: charcutaille, tapas régionales, risottos, œufs meurettes… Côté vins, la maison veut prouver qu’il est tout à fait possible de se faire plaisir avec d’excellents vins sans forcément malmener son portefeuille. Jurançon, Gaillac, Marcillac… et bien d’autres sont à l’honneur. Une cuisine actuelle et de partage Chaque jour, le menu est affiché à l’ardoise. Parmi les plats qui attisent la gourmandise figure le fameux jambon coquillette. Du jambon du pays bien entendu accompagné de coquillettes disposées dans une meule de fromage puis agrémentées de crème, le tout servi devant les yeux ébahis des convives qui ont hâte d’entamer leur première bouchée. Autre best-seller : le cochon capelin à quatre « pâtes ». Comme son nom l’indique, la viande est servie avec quatre types de pâtes. Un plat qui fait décidément saliver. Pour le dessert, les douces saveurs du crémeux chocolat façon liégeois sont à découvrir immanquablement. ...
Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine. Mariage de régions et de saveurs « Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins. Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012. Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines. Un amour effréné pour la Bourgogne L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. » ...
Volupté, extase des sens et subtiles saveurs méditerranéennes se retrouvent dans chaque cuvée du terroir tropézien. Les vignes s’épanouissent sur une terre de gneiss métamorphique bénéficiant d’un ensoleillement idéal, et d’une légère brise marine conférant toute sa typicité au vin. Symbole de l’art de vivre à la tropézienne, cette cave figure parmi les plus grandes références dans le monde vinicole. Un terroir d’expression singulier Ce sont 180 hectares de vignobles perdus entre terre et mer, traités dans le respect de l’environnement, qui produisent un vin caractéristique rendant hommage à une terre bénie. Les particularités géologiques et climatologiques riches de ce terroir favorisent l’obtention de cuvées riches en saveurs, matures et complexes. « Ce vignoble au cœur du village de Saint-Tropez se veut [ainsi] être le fier représentant de l’identité tropézienne », nous confie Alain Guichet, directeur de la cave. Les vignobles de Saint-Tropez se font aujourd’hui les défenseurs zélés de cet héritage vinicole précieux. Chevalier Torpez : une ode au village Parmi les gammes emblématiques de la cave, la gamme provençale Chevalier Torpez fait fière figure d’ambassadrice de l’excellence vinicole tropézienne. Décliné en rosées, en domaines ou en bruts tradition, Chevalier Torpez est « un mélange d’histoire et de traditions », continue notre interlocuteur. En effet, en s’inspirant de l’histoire du chevalier Torpez, régisseur du temps de l’empereur romain Néron et élevé au rang de saint après être mort en martyr au nom de sa foi, l’origine de cette gamme ambassadrice est intimement liée à celle du village. Appréciez ainsi, lors de vos instants gourmands, les cuvées de cette gamme incluant le vin Château la Moutte, « produit dans un domaine ambassadeur de 4 hectares, dont le vignoble en coteaux, établi sur la pointe de Salin, fait face à la mer », reprend Alain. ...
La jeune Maison Jeeper se veut la marque de champagne qui monte avec une forte identité et un positionnement apte à séduire une clientèle branchée ? Pas si jeune que ça puisque la marque a été lancéeen 1949. Nous l’avons racheté avec mon mari en 2009 et avons décidé très rapidement de lui créer un flacon dédié pour se différencier des autres acteurs champenois. Le temps de fabriquer un moule, de réaliser les tirages et de faire le vieillissement, les premières cuvées de notre gamme premium ne sont sorties que l’année dernière. Nous avons écoulé 170 000 bouteilles avec cette nouvelle gamme de champagne de hautes lignées aux notes élégantes et persistantes dont l’excellent rapport qualité-prix explique sa popularité grandissante. Comment est élaboré le champagne Jeeper ? Il s’agit d’un champagne d’assemblage, une sélection du meilleur de nos approvisionnements. Nous disposons en effet d’un vignoble maison de 35 hectares environ et des contrats d’approvisionnement qui représentent 180 hectares. L’ensemble de ces raisins nous permettent de faire une sélection très rigoureuse pour produire nos quatre cuvées actuellement commercialisées, sachant que deux autres (le Premier Cruet le Grand Cru) patientent encore dans les chais. On parle aussi d’un goût Jeeper, pouvez-vous nous en dire plus ? Notre communication vante en effet ce goût Jeeper qui s’appuie sur le chardonnay vieillit en futs qui apporte finesse et élégance aux champagnes, les conseils de notre œnologue maison depuis toujours et une utilisation très parcimonieuse du soufre. La forme de la bouteille participe également à la qualité de votre champagne ? Tout à fait puisque notre bouteille possède un col peu haut, limitant le volume d’oxygène dans l’espace de tête à environ le tiers d’une bouteille classique. De quoi garder intact toutes les qualités gustatives, d’assemblage et de vinification tout en se démarquant de la bouteille de champagne traditionnelle avec un flacon maison reconnaissable immédiatement. ...
Créée en 2001 à l’initiative des parents et des enfants Geoffrey et Renaud, l’entreprise Péhu Guiardel & Fils exploite un vignoble dans l’Aube et dans La Marne. Vignerons indépendants dotés d’un grand savoir-faire séculaire, les Péhu travaillent les trois cépages régionaux, faisant de leurs champagnes des produits à savourer avec délectation et en toute occasion. Pour les visiteurs de passage dans la côte des Bar, le domaine propose une salle de dégustation dans un cadre chaleureux et convivial. Un champagne, trois villages Chez les Péhu, le champagne est à la fois une passion et un héritage transmis depuis cinq générations. « Anciens habitants de Verzenay et Rilly-la-Montagne, mes parents disposaient à l’époque d’un vignoble dans la Montagne de Reims où nous cultivons encore quelques parcelles. Vers les années 70, ils sont venus s’installer dans l’Aube pour investir dans Les Riceys », relate Geoffrey Péhu, l’actuel dirigeant du domaine. L’entreprise familiale exploite actuellement un domaine de cinq hectares où le pinot noir accapare environ 75 % de la surface cultivée. Le reste est consacré au meunier et au chardonnay pour l’élaboration des champagnes d’assemblage. Chaque année, la maison enregistre une production moyenne de 10 000 bouteilles destinées à la consommation locale et/ou étrangère. Quatre cuvées bien contrôlées Soigneusement manipulés dans les règles de l’art, les quatre principaux champagnes de la marque respectent une chaîne de fabrication stricte depuis la vendange au pressurage, en passant par l’assemblage jusqu’à la mise en bouteille. « Toutes les interventions sont rigoureusement notées sur un cahier des charges pour répondre aux exigences de la certification HACCP », atteste notre interlocuteur. Composé de 80 % de pinot noir et de 20 % de chardonnay, les champagnes bruts et demi secs de Péhu Guiardel & Fils conjuguent rondeur, caractère et élégance. On les apprécie volontiers à l’apéritif ou aux desserts. Quant au rosé, il est constitué de vin brut et de 15 à 16 % de vin rouge. Après vieillissement, on obtient un champagne plein de fraîcheur à la mousse légère et subtile renfermant des arômes fruités. Le blanc de blancs, lui, est fabriqué uniquement avec du chardonnay des Riceys et se reconnaît par sa grande fraîcheur. Côté Verzenay, l’incomparable cuvée Émotion s’invite à toutes les tables pour faire le bonheur des connaisseurs grâce à son caractère fruité et sa complexité. ...
Marie-Line et Michel Roche, les propriétaires commencent à faire des travaux à partir de 1988 pour construire un petit restaurant, puis une partie hôtellerie en 2002. Pour optimiser l’ambiance et le charme du lieu, ils aménagent l’extérieur d’un jardin personnalisé et mettent aussi sur pied une jolie terrasse ombragée. Les clients de l’Auberge y viennent pour « passer un bon moment et se reposer en même temps. », d'après Michel Roche. Aujourd'hui, l'établissement compte 60 places assises, 11 chambres et 4 suites. Une ambiance douce L’Auberge Bienvenue porte bien son nom. Son magnifique jardin fleuri et verdoyant reflète d’ores et déjà son accueil chaleureux. Ses murs extérieurs de couleur naturelle et les auvents roses présagent une ambiance conviviale, où il fait bon vivre. L’intérieur n’en est pas moins coquet et chic. Des belles arcades surplombent la salle, le bois modernisé apporte élégance et raffinement. Les chambres, quant à elles, sont décorées avec goût, bien spacieuses et confortables. Une cuisine originale Au piano : Michel Roche se plaît à revisiter les recettes traditionnelles pour en faire ressortir des plats savoureux. Il ne cuisine que des produits frais, en grande partie issus du terroir. Ses sauces, dont il est le seul à connaître le secret, relèvent le goût de ses assiettes, ce qui lui vaut d’ailleurs d’être primé par plusieurs guides culinaires, tels que Logis, le Guide Michelin, le Bottin Gourmand et le Gault et Millau. Les menus sont tous attirants, l’entrée la plus prisée est la demi-mangue rôtie et son escalope de foie gras poêlée. En résistance, le filet de sandre rôti au four avec sa sauce rehaussée de vin savennières crée une explosion de saveurs qui séduit tous les palais. Pour finir en beauté, le parfait glacé au Cointreau et ses zestes d’orange confits est un incontournable « que l’on a régulièrement à la carte, ce dessert est très sollicité», souligne le maître des lieux. Une carte de vins élaborée au rythme des saisons vient valoriser chaque plat. En été, les vins du Val de Loire sont mis à l’honneur, tandis qu’en hiver, les Bordeaux et Bourgognes prennent le relais. « Il y a de quoi satisfaire les clients, autochtones comme plaisanciers », conclut notre interlocuteur. ...
Fraîcheur et authenticité ne sont pas de vains mots, quand on parle de la cuisine servie à La Cueillette®. Le chef, audacieux et créatif, concocte des menus colorés et goûteux – pour le plaisir – et d’une rare délicatesse, pour la santé. Car bien manger est ici un art cultivé par le maître des lieux, Jean Garnier, médecin et nutritionniste de son état. Un cadre fastueux pour le plaisir des yeux Le château de Cîteaux qui abrite La Cueillette® imprime à cette dernière les fastes de son époque d’origine. Les décors muraux, rehaussés de dorures exceptionnelles, tout comme le grand lustre, ont été reconstitués à l’identique de la salle à manger qui recevait les convives dans le château d’apparat datant de 1860. Chaque dîner dans les murs de ce restaurant de caractère est alors comme une incursion dans une époque, où le raffinement était une vertu essentielle. Dans une ambiance claire, la transparence des couverts dressés semble prédire la légèreté élégante qui enveloppe les plats à venir. Une cuisine simplement créative, pour saisir le meilleur de la nature Les cartes de La Cueillette® sont imaginées par le chef Sébastien Dorier rompu aux arts de la création culinaire sur la base de produits locaux. Le pléthorique n’est pas de mise. On privilégie l’essentiel, le bon goût de chez soi, en sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs aux alentours au rythme des saisons. Les plats seront également créés selon les arrivages du marché. Finalement, les convives se retrouvent avec des plats simples et sains – tel ce filet de volaille fermière de Bourgogne – à apprécier les saveurs authentiques d’antan. Un bon cru sélectionné des domaines alentour finit de célébrer ce que le terroir a de plus vrai. ...
Le mercato des grands chefs de la Gironde a accueilli il n’y a pas si longtemps une étoile de la gastronomie française. Vivien Durand, un chef dynamique et passionné se lie d’amour pour ce somptueux domaine, où il décide de s’installer. Au Prince Noir, les nombreux défis qui s’esquissent devant lui ne le font pas trembler. Parmi eux : proposer une cuisine qui fasse honneur à ce lieu chargé d’histoire, classé monument historique depuis 1991. Un château, un homme… L’histoire du Château du Prince Noir est liée à celle d’un homme : Edouard de Woodstock dit « Le Prince Noir », personnage mythique lors de la Guerre de Cent Ans, régnant à la principauté d’Aquitaine. On dit même que les négociations signant la fin de ce conflit opposant la dynastie des Plantagenêts à celle des Valois ce seraient déroulées dans le prestigieux château. Détruit puis reconstruit, celui-ci ne connaîtra décidément pas un destin ordinaire. Depuis, une accalmie s’y est installée, sauf peut-être en cuisine où l’on entend Vivien Durand motivé sa brigade. Ce personnage pyrénéen d’origine a eu la chance d’évoluer au sein de l’écurie Ducasse à Monaco. Après avoir forgé ses armes auprès du chef Nicolas Masse au Grand Hôtel de Saint-Jean de Luz, il travaille sur un grand projet : l’ouverture de ses restaurants La Taverne Basque et Chez Claire et Vivien à Saint-Jean de Luz. En 2013, sa passion, son expérience et ses sacrifices seront récompensées par la distinction suprême décernée par le Guide Michelin. Son étoile en poche, il veut voguer vers de nouveaux cieux. La quête d’une nouvelle expérience le conduira en Aquitaine, au Château du Prince Noir dont il tiendra les rênes à partir de mars 2014. Une déco alliant tradition et modernité Bruno Grangé-Cossou s’est occupé de la décoration, de l’agencement et de l’identité visuelle du restaurant. On y découvre une belle dualité entre l’ancien et le moderne qui correspond tout à la fait à la personnalité du chef. Lui qui aime proposer une cuisine inventive basée sur du traditionnel. Le détail le plus frappant : cette véranda vitrée qui vous donne l’impression d’être à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. Entièrement métallisée, elle révèle une ambiance contemporaine aux couleurs sobres qui tranche avec le style d’époque de l’aile du château qui lui est attenante. La décoration sort des sentiers battus et dévoile une belle authenticité. Chaque meuble ou objet ornant les lieux est chargé d’histoire, à l’image de ces tasses à thé dépareillées, chinées probablement. Au Prince Noir, on cultive aussi un état d’esprit basé sur la convivialité. L’équipe chaleureuse et accueillante s’occupera de vous, non comme un client mais plutôt comme un convive. ...
Ouverte toute l’année, la Brasserie du Port est située aux portes de Metz et de Nancy. L’établissement offre un cadre agréable et reposant sur le lac de Madine en Meuse, auquel vient s’ajouter une ambiance authentique et conviviale. Des plats artisanaux faits maison La Brasserie du Port est un établissement sympathique particulièrement attaché à la cuisine du terroir. Foie gras maison, terrine maison et salades à foison sont à l’honneur au sein de cet établissement de la Meuse au cadre convivial, qui, tout au long de l’année, met les petits plats dans les grands pour satisfaire la clientèle. L’enseigne n’écarte pas pour autant de ses suggestions culinaires les grands classiques tels que les poissons, viandes, tartare, volaille, qui sont proposés à la carte avec une formule du jour qui varie selon les saisons et un menu au choix composé par le client lui-même. Un cadre convivial La Brasserie du Port baigne dans une ambiance agréable, où familles et amis aiment se retrouver autour d’une table à la cuisine gourmande avec des mets principalement faits maison. C’est un vaste espace organisé autour d’une immense salle au décor contemporain, équipée de mobilier récent. La maison offre une vue magnifique sur le port et le lac en lui-même, le tout dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...
Un cadre charmant à la touche « Vieux Paris », un grand bar et du mobilier en bois ancien, un peu de jazz en musique de fond : la simplicité y côtoie le raffinement pour cultiver la convivialité et l’ambiance chaleureuse. Le havre idéal pour se détendre après des activités dans le frétillant 18e arrondissement de Paris. La cuisine traditionnelle à l’honneur À L’Anvers du décor, la saisonnalité et la fraicheur des produits utilisés sont des engagements au quotidien. On y propose tous les jours, de 9 h à 23 h, des délices faits maison typiquement français dans une carte riche et diversifiée. Les entrées succulentes comme le carpaccio de saumon frais marin ou les escargots de Bourgogne donnent le ton. Le chef laisse ensuite transparaitre d’autres subtilités à travers le poisson frais du jour ou des viandes tendres et délicieuses, le tout accompagné d’une garniture au choix (riz, frites maison ou haricots verts). Les convives n’ont que l’embarras du choix entre la cuisse de poulet rôti aux herbes, le confit de canard, la souris d’agneau braisée au romarin, la côte de bœuf pour deux, la côte de porc grillée du Pays basque ou encore les sardines grillées au sel de Guérande. Salades et pâtes variées sont aussi au rendez-vous. Mais dans cette adresse hors pair, ne pas gouter aux moules marinières (origine France) est presque un péché. Sous les mains du chef, ce plat n’en reste pas un, il devient un véritable chef-d’œuvre culinaire. Et la magie ne s’achève qu’après avoir apprécié le mi-cuit chocolat crème anglaise, la tarte du jour ou la crème brulée à la vanille. ...
Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...
Actuellement, la maison Martial-Couvreur travaille sur un vignoble de 7 ha. Grâce à la richesse et à la variété géologique du terroir, le vignoble se compose de trois cépages dont 15 % chardonnay, 40 % meunier et 45 % pinot noir. C’est donc tout naturellement que les cuvées élaborées par la maison s’enrichissent des arômes issus de ces cépages. Un savoir-faire reconnu Pour pouvoir offrir des champagnes de qualité dignes des plus grands événements, la maison Martial-Couvreur mise sur une élaboration traditionnelle. L’exploitation privilégie une viticulture raisonnée avec un profond respect pour la terre. En ce qui concerne la vinification, celle-ci est confiée aux soins de l’Union des producteurs des grands terroirs de la Champagne. Une coopérative agricole dont le professionnalisme est reconnu et salué par les plus grands œnologues. « Cela fait partie de notre particularité, puisque nous faisons partie d’une coopérative, nos bouteilles ne renferment pas uniquement notre terroir mais un assemblage de terroirs différents », nous indique-t-on. Les cuvées phares de la maison Depuis quelques années, la marque Martial-Couvreur s’est spécialisée autour de la thématique du mariage. « C’est venu très naturellement avec le caractère de ma mère, elle a une véritable empathie pour les gens », confie Aymeric Couvreur. Les futurs mariés pourront donc faire leur choix parmi une palette déclinée en six nuances. À commencer par « La Ravissante ». Mêlant finesse, puissance et rondeur, cette cuvée est élaborée à partir de 40-45 % de chardonnay et 55-60 % de pinot noir. « La Palpitante » s’habille d’une robe or pâle avec des reflets verts et présente une belle longueur en bouche. Celle-ci s’obtient à partir d’un assemblage de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot. « L’Innocente », quant à elle, fait à 100 % de chardonnay. Une cuvée Blanc de Blancs dotée d’une grande finesse très appréciée par la gent féminine. « La Sémillante » adopte une teinte rose saumoné et se distingue avant tout par son caractère festif et fruité. Pour continuer, « La Charmante » est obtenue à partir d’un assemblage de 60-65 % de chardonnay et de 35-40 % de pinot noir. Cette cuvée de prestige est vieillie quatre ans en cave pour développer tous les arômes et acquérir une rondeur très particulière. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et présente « La Galante », un millésimé 2008 en hommage à Christian Couvreur. Il s’agit d’un vin d’exception qui réunit à la fois souplesse, élégance et onctuosité. Dix années de vieillissement en cave auront été nécessaires pour proposer un savant mariage de puissance aromatique et de fraîcheur. ...
Avec des caractéristiques de bière très spécifiques, la Brasserie artisanale du Sud a forgé sa réputation sur un mode de brassage très particulier qui la distingue des autres brasseries. « Nous faisons partie des rares brasseries artisanales à produire des bières de garde en France », affirme Fabienne Delorme, responsable commerciale. Ces bières de garde se distinguent surtout par leur finesse et leur fluidité, avec un processus de fermentation secondaire qui affine les arômes à froid (0 °C) durant 3 ou 4 semaines. Elles sont 100 % naturelles, sans aucun adjuvant, et sont principalement composées des matières premières fondamentales de la bière qui sont l’eau, les céréales, le houblon et les levures. Des bières aux noms évocateurs « C’est à partir des points caractéristiques qui lui sont propres que notre brasseries a développé une gamme de bières classées selon leurs moments de consommation et non selon leurs couleurs comme c’est souvent le cas dans le domaine de la bière », précise Fabienne Delorme. C’est ainsi que sont nées plusieurs familles de boissons aux noms évocateurs. Pour apaiser une grande soif, les bières de désaltération appelées aussi les Mange-Soif, déclinées en blonde et blanche, sont à l’honneur. En soirée ou lors d’un apéritif, les bières de convivialité appelées les Songe-Fête, avec des notes aromatiques marquées, sont idéales. Les bières de dégustation nommées Chante-Saveurs, des brunes, légères, sans sucre ajoutée, aux notes aromatiques de café et de caramel, font le bonheur des épicuriens. L’enseigne brasse également une deuxième bière de dégustation de 7° lancée à l’occasion de son 7e anniversaire, qui est d’inspiration abbaye. ...
La nostalgie des repas familiaux en Toscane Il est rare dans Paris de trouver des restaurants italiens privilégiant autant l’authenticité de leur cuisine. Sis dans le XVIe arrondissement, Ancora Tu a su brillamment relever le défi. C’est un vrai bistrot italien comme on en trouve en Italie, où vous êtes accueuillis comme à la maison, proposant de la vraie cuisine italienne, avec les mêmes prix que ceux des restaurants là-bas. Les rigatoni alla Pugliese ( sauce tomate et burrata), les gnocchi aux gorgonzola, la Ribollita, la Tagliata... pleins de bons petits plats que les femmes de Ancora Tu aiment vous mijoter. Un point d’honneur sur le savoir-faire artisanal Ancora Tu est fait maison dans le respect de la tradition avec des ingrédients fournis par des petits producteurs italiens qui travaillent artisanalement. Des pâtes fraîches faites maison avec les farines artisanales bio de Molino Agostino à l'huile d'olive Intini, petit producteur dans les pouilles, le choix des produits chez Ancora Tu est primordial car elles pensent que les plats gagnent en saveur et en authenticité. La carte des vins, quant à elle, est également bien pensée. Des vins de Sicile comme le Nero D'Avola ou encore le Primitivo des Pouilles sont en adéquation parfaite avec les plats servis. ...
La société familiale compte à la fois un domaine viticole et une activité de négoce consistant à collaborer avec d’autres viticulteurs pour élargir sa liste d’appellations. Cuvée du Menhir : l’emblème de la maison Ce vin en appellation Bourgogne-Hautes-Côtes-de-Beaune se démarque par sa robe rouge élégamment foncée. Issu d’un élevage en fût en forme d’amphore, il laisse une belle longueur en bouche. ...
Situé à 5 km de Chambéry, à Montagnole, le prestigieux Domaine des Saints Pères propose son restaurant fraichement rénové. En optant pour la terrasse, vous bénéficierez d’une vue splendide sur le lac du Bourget ainsi que sur les massifs qui composent la nature savoyarde. Néanmoins, sachez que l’intérieur est un véritable chef-d’œuvre architectural. Toujours dans cet esprit de maison de maitre du XIXe siècle, le décor sobre et raffiné démontre la belle harmonie associant le romantique et le luxe moderne. Mélange entre le rustique et le luxe moderne Primant la convivialité et le partage, le restaurant joue la carte de la cuisine ouverte. Du mardi soir au dimanche midi, le chef et son équipe réalisent avec perfection des associations de saveurs et de textures devant leurs convives. En privilégiant des produits locaux, ils revisitent les classiques de la région pour vous entrainer vers une exaltation gustative. Un joli bar à l’ambiance des années 1930 invite à profiter de la saveur sucrée des cocktails de son barman. Si vous préférez plutôt le vin, sachez que l’établissement possède une cave éclectique composée de quelques appellations allant jusqu’aux meilleurs crus. En outre, il peut accueillir plusieurs événements, dont les mariages, les séminaires professionnels, les réunions familiales… Si besoin, tout le domaine est privatisable. La grande salle, de 360 m2, accueille jusqu’à 300 personnes et la terrasse entre 100 à 150 personnes. Aussi, différentes offres selon vos besoins et votre disponibilité sont élaborées. Enfin, pour rendre la réception inoubliable, une équipe de professionnels sera à votre disposition de la préparation jusqu’à la réalisation de votre projet. « Une adresse pas comme les autres » Le Domaine des Saints Pères est une ancienne maison bourgeoise qui a été transformée par Éric Claret-Tournier en un prestigieux hôtel. Actuellement, l’hôtel propose 14 chambres divisées en 3 catégories : Suite, Supérieure et Prestige. Tout comme le restaurant, le décor de chaque chambre allie parfaitement l’ancien et le contemporain. À l’extérieur, les passionnés de la nature seront particulièrement comblés. D’une part, le domaine leur propose un grand jardin arboré à la française. De l’autre, ils bénéficient de la beauté exceptionnelle de la nature savoyarde : le lac d’Aiguebelette à 10 km, le lac du Bourget, à 15 km (soit environ à 20 min), ainsi que les parcs régionaux de Chartreuse et des Bauges. Par ailleurs, il est à rappeler que Chambéry est considérée comme une ville d’art et d’Histoire depuis 1985. Elle est devenue un endroit incontournable de rendez-vous culturels et dispose de plusieurs monuments et sites emblématiques, dont le château des ducs de Savoie et plusieurs musées… Un lieu incontournable En somme, le Domaine des Saints Pères possède tous les critères nécessaires pour vous faire passer un moment agréable, en amoureux, en famille ou entre amis. Que ce soit dans l’hôtel ou dans le restaurant, l’équipe du domaine a à cœur de satisfaire toutes vos demandes. Découvrez un monde où le luxe devient abordable et où la nature est à portée de main. Mais aussi, et surtout, son restaurant d’exception, qui est aujourd’hui devenu un lieu incontournable sur le bassin chambérien et qui saura vous surprendre. ...
Antonino D’ALPA n’a pas atterri dans son métier par hasard. Bercé par les effluves montant des fourneaux de la cuisine maternelle, ce petit-fils de restaurateurs intègre l’école hôtelière dès 13 ans. Début d’un parcours atypique, entre apprentissage des nuances du service en salle et appel de la création. Car c’est là que réside le secret de la touche D’ALPA : une inventivité forte assortie d’une recherche permanente de l’exceptionnel. La présence du chef au service, en sus. Début dans les salles Antonino D’ALPA a commencé très tôt une formation hôtelière. Du haut de ses 13 ans, le voilà s’initiant aux arts des services en salle dans une école spécialisée. Très dynamique, le jeune Sicilien aligne en extra les missions estivales jusqu’à l’obtention de son diplôme et son départ pour la capitale française. Il démarre ici dans des petits restaurants avant d’intégrer et de se faire une place au soleil au Plaza Athénée. De demi-chef de rang, il passe et finit maître d’hôtel pour cette prestigieuse adresse de l’avenue Montaigne. Il assure, par la suite, quatre ans durant, la direction d’un restaurant gastronomique italien à Paris avant de s’installer à son compte, fin 2014. L’aventure en solo, Antonino D’ALPA l’imaginait comme un heureux mariage entre ses deux passions. D’un côté, pour le contact et le relationnel, et de l’autre, pour la cuisine. « Le seul secteur qui puisse me faire marier les deux, c’est l’événementiel », dit-il, à ce propos. Le très entreprenant traiteur gastronomique ne se contente donc pas seulement d’organiser des événements d’exception pour son client. Il met un point d’honneur à participer activement au service lors de ses prestations. La touche Antonino D’ALPA Transmettre à Antonino D’ALPA les commandes de son événement, c’est s’assurer d’offrir un coffret de saveurs dont les convives parleront longtemps. Chez les particuliers comme auprès des professionnels, ce traiteur ne fait pas dans la demi-mesure. En petit comité ou pour des convives nombreux, sa démarche inclut toujours une recherche fine et créative, tant dans le choix du lieu, du mobilier et du décor des tables que dans le menu. Les particuliers verront pratiquement leur chez-soi muer en un restaurant chic éphémère, tant les services sont bien pensés. Raffinement et élégance sont au rendez-vous dans les cocktails dînatoires ou déjeunatoires à l’intention des entreprises. Un équilibre parfait entre le visuel et le gustatif, assorti d’une rigueur incomparable dans le choix des produits : c’est sur cette partition que l’équipe réalise sa chorégraphie de l’organisation. Question de saveurs, ce professionnel a un faible pour les sélections nobles qu’il a découvertes sur son parcours. Foie gras et truffes blanches se déploient dans une ambiance délicate, aux côtés de noix de Saint-Jacques et de tagliolinis tandis que l’Amarone coule en toute élégance dans sa robe vermeille. Des animations exceptionnelles Partager sa passion pour le goût fait partie des passe-temps de prédilection de l’équipe D’ALPA. Son show « Pâtes flambées au cognac » s’intègre avantageusement comme une animation pour un événementiel d’entreprise mémorable. Dans une meule de fromage au lait de bufflonne flambée au cognac, le chef verse ses pâtes à la crème infusée à la sauge. À la clé : des saveurs inédites formant un bel équilibre entre fromage et herbe aromatique. ...
Une viticulture aux conditions propices Etendu sur quelques 70 hectares de terre, le vignoble du Château Vaudois repose sur des coteaux de gneiss-schisteux. Le sol propice d’une grande qualité bénéficie du fort ensoleillement typique du climat méditerranéen qui règne sur la Côte d’Azur. Outre le souffle du mistral, le vent de l’Est balaie les terrains pour les préserver des maladies courantes des vignes. Le choix des cépages a donc été fait en fonction de tous ces paramètres pour offrir d’exceptionnels vins de Provence. L’exploitation cultive du Grenache, du Syrah, du Cinsault, du Tibouren, du Rolle, du Mourvedre ainsi que du Merlot et du Viognier, pour réaliser à ce jour 60.000 bouteilles par an et à partir de 2021, 120'000 bouteilles par an. Après une récolte exclusivement manuelle, les raisins sont recueillis dans de petites cassettes pour être conservés dans une chambre froide à une température de 6 à 7°C pendant 24 heures. Ils seront ensuite soigneusement éraflés afin d’éviter au vin d’avoir un arrière-gout herbacé. A l’issu de cette étape, les fruits subiront un traitement spécifique selon la cuvée pour laquelle ils seront destinés. Des vins de caractère Sous l’AOP Côte de Provence, le Château Vaudois Rosé 2015 est un vin limpide à la robe saumon clair. Ce précieux nectar se compose de 40 % de Grenache, 30 % de Cinsault, 20 % de Mourvèdre et 10 % de Tibouren. Il a un nez complexe et intense qui fait ressentir la fraicheur et la minéralité des fruits rouges dont il est composé. Une rondeur en bouche se ressent après la première dégustation. La finale quant à elle est persistante. Le Vaudois Rosé est un excellent apéritif et peut être servi en entrée avec de la charcuterie ou sur un poisson grillé. Sous IGP des Maures, la Cuvée Christelle Vaudois Prestige Blanc 2013 laisse transparaitre une robe brillante. Un mélange floral, de fruitsà noyau, une note briochée et vanillée donne au Vaudois Prestige une intensité et une complexité étonnante au nez. En bouche, la proportion bien étudiée des cépages fait ressentir la fusion bien équilibrée de l’alcool avec l’acide. Ce qui laisse échapper une attaque franche et veloutée. Son mode de fabrication est spécifique. Après éraflage, les cépages subissent un pressurage direct par pressoir pneumatique à cage fermée. Fermenté et élevé sur lies avec batonnage en barrique pendant huit mois, les fruits donnent naissance à ce vin jaune intense avec des reflets dorés. La cuvée Jonathan Vaudois Prestige Rouge 2013 dispose d’une robe profonde, intense sur des nuances pourpres. Un nez complexe et intense, avec une belle harmonie entre les notes de fruits noirs compotés, les épices et le boisé. En bouche, une attaque franche, un bon équilibre entre gras et acidité.Les tanins sont présents mais pas agressifs et déjà bien fondus : les caractéristiques d’un vrai vinde garde. Beaucoup de matière et de complexité dans les arômes. ...
Vins de plaisir ! Une large sélection de vins natures et vivants, issue de viticulture biologique et biodynamique. Sans ajout de soufre, ces cuvées n’ont que la prétention d’être le reflet d’un terroir, d’un climat, d’un millésime et surtout le savoir-faire du vigneron se mettant en danger sans l’utilisation de produits chimiques pour devenir véritablement un artisan soucieux de délivrer de véritables « pur jus » sans artifices ni maquillages. Franck le sommelier et Yves le cuisinier partagent des moments conviviaux en dressage quatre mains. La fervente passion de ce duo depuis le premier mai 2017 où ce concept d’amitié est en vigueur, créatif, haut en couleur et aux saveurs surprenantes. Une carte courte bien maîtrisée, quatre entrées, cinq à six plats principaux, et trois à quatre desserts, qui varie selon l’humeur des deux compères, et surtout le réceptif de la clientèle. Elle fait honneur à une cuisine de fusion influencée par des notes terre-mer, asiatique ou méditerranéenne, et revisitée avec ingéniosité avec beaucoup de fantaisies. A bout de soufre remplace le concept « Chat Gourmand » où des Burgers artisanaux de première qualité étaient servis sur ardoise par le même exploitant Yves Jordan. Cette nouvelle enseigne à Plainpalais forme un duo avec Franck Heydens à la rue jean-violette 14 sur une cuisine raffinée et légère, aux saveurs affirmées, et dont le végétal se substitue dignement aux hydrates de carbone. Une ambiance conviviale et décontractée, associée à une très belle sélection de vins naturels sont les ingrédients indispensables pour passer d’agréables moments de partage, sur le thème de la gourmandise et du plaisir. ...
Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le chef, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens. Avec, à chaque fois, la promesse d’un plaisir renouvelé ! Un cadre élégant Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux repas d’affaires. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une belle terrasse à proximité de la piscine pour plus de tranquillité. Le raffinement dans vos plats Grâce à un partenariat privilégié avec ses fournisseurs locaux, l’établissement s’assure d’offrir à ses clients les meilleurs produits afin de leur concocter des plats incomparables. Au gré des saisons et des saveurs, le chef se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française. En entrée, le duo d’œufs en meurette est juste à tomber. Un vrai régal pour les gourmands de passage. En plat, rien de tel qu’un filet de bœuf charolais avec sauce aux morilles pour s’imprégner des saveurs régionales. Tous les dimanches, ce restaurant a l’habitude de convier les initiés à son traditionnel brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». L’occasion aussi pour l’établissement de faire connaître aux convives le savoir-faire de ses trois pâtissiers d’exception et leur célèbre chariot de desserts. ...
Restaurant au décor lumineux, moderne et agréable, Le Fanal est une adresse d’exception située en plein port de Banyuls-sur-Mer. Adresse reprise par Pascal Borell et sa compagne il y a plus de 3 ans. Le couple compose des plats inventifs, colorés et saisonniers, qui mettent en avant la cuisine du terroir catalan. Une cuisine qui leur a valu 1 étoile au célèbre Guide Michelin, et le certificat d’excellence Tripadvisor. Une cuisine coup de cœur Le restaurant Le Fanal tient sa renommée de sa cuisine créative, contemporaine et aux influences méditerranéennes, variant selon les saisons et portée sur la découverte de l’essentiel : « le beau produit ». Aux fourneaux, Pascal élabore des entrées et plats savoureux, tandis que sa compagne orchestre de magnifiques desserts et s’occupe du service en salle. Tous deux ont eu à faire leurs preuves auprès de grands restaurants étoilés tels que L’Arpège d’Alain Passard, à Paris, ou encore La Famille By Bardet de Jean Bardet, à Tours. Ici, la carte change régulièrement, et la cuisine est fonction des produits du jour. Dès l’entrée, le délicieux tartare de poisson issu de la pêche locale est accompagné d’une émulsion à base de lait de coco, de concombre et de jus de citron. C’est un plat préparé à partir de poissons découpés en petits morceaux et mélangés à un assaisonnement d’huile d’olive, de jus de citron, de ciboulette et d’un peu d’huître pour apporter une petite touche iodée. La petite crème émulsionnée est versée au-dessus du tartare pour donner plus de fraicheur au plat, sans oublier le caviar perle noir du Périgord en fin de présentation. Autre entrée signature, le cromesquis d’œuf à la truffe. C’est un beignet cuit à basse température et renfermant un œuf au jaune coulant. Croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, il est servi avec une purée de champignons sur laquelle il est déposé. Les champignons utilisés pour cette préparation sont issus de la cueillette du jour. En guise de plat principal, le merlu de ligne. Ce plat cuit à basse température est un tronçon de merlu posé au centre d’une assiette, avec de la quenelle de risotto de fregola sarde. Au-dessus, une sauce accompagnée de fumé et de gingembre. Les desserts sont également élaborés en fonction des saisons. Des desserts comme la nage de pêche à la verveine, qui est une soupe froide à la pêche accompagnée de sirop à la verveine. Celui-ci est servi sur une coupe transparente légèrement givrée, et dans laquelle sont mis le sirop et la pêche découpée en petites billes. Le dessert est complété avec un sorbet au yuzu, et du romarin. Le restaurant sert également trois sortes de pain fait maison pour chaque service : un pain à l’épeautre bio, un aux céréales et un autre au maïs. Et les jolis dressages sont un appel sûr à l’appétit ! Harmonie entre cuisine et vins Les vins de la cave du restaurant Le Fanal se marient merveilleusement bien avec les plats élaborés en cuisine. À la carte, Signature millésime 2014 du Domaine du Mas Blanc. Ce vin blanc sec du terroir de la Côte Vermeille, constitué de quatre cépages, confère une fraicheur aux fines notes citronnées et iodées. Il est parfait pour accompagner le tartare de poisson. Également le Banyuls blanc, indiqué pour la nage de pêche à la verveine. Ce vin doux et naturel est consommé jeune, il se marie efficacement avec les desserts. Légèrement sucré avec des notes fraiches de fruits blancs et des nuances de poire, ce vin blanc peut être conservé longtemps pour mieux apprécier son côté aromatique. ...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...