Avec une vue imprenable sur le clocher de la cathédrale, Le Petit Jardin est un lieu connu des Montpellierrains. Un peu caché, le restaurant a été entièrement rénové en 2009. Avec une salle à manger lumineuse, de larges baies vitrées, une terrasse spacieuse donnant sur un jardin, l'accueil est chic et souriant. Ode aux terres du Sud Au menu, des plats de saison réinventés par le chef Fabrice Ammar, disciple d’Escoffier, dans un style méditérranéen raffiné. Pour réaliser ses créations, le chef choisit rigoureusement des produits frais aidés de producteurs de proximité. Dans l’assiette, une ode aux terres du Sud composée avec une simplicité saine et élégante. Sardines riviera, tataki de thon, asperges de Maugujo, ces entrées fleurent bon « la mer au milieu des terres ». Le menu est sous le signe du poisson avec le classique sole meunière et son écrasé de pomme de terre à l’huile d'olive. D'autres plats plus recherchés sont au rendez-vous. La lotte au lard paysan et son crémeux de fèves, garnie de ses légumes de printemps et de son émulsion de parmesan et d'anchois. Une association inédite avec un goût fort en bouche. En viandes, le filet de bœuf Rossini légèrement relevé avec sa noix de beurre offre son croquant avec sa garniture aux légumes. Les prix des mets varie de 28 à 71 €. Inédit : le restaurant propose même des plats de saison sans gluten ou végétariens. Pour un instant gourmandise, des desserts phares comme le soufflé Grand Marnier avec son confit d'orange chaud et sa glace au chocolat, la spécialité de la maison, ou encore le parfait croustillant au praliné cloront votre repas avec délice. Une cuisine inspirée des cinq continents Nouvelle ambiance au bistrot. Un lieu cosy avec une décoration typique où s’entremêlent des aquarelles peintes par des artistes de villages de la région et de l’artisanat local. Tables, chaises hautes, buffets debout : ce lieu se prête aux travailleurs pressés. La convivialité en plus, dans le bistrot du Petit Jardin, ce sont petits plats à partager et vins de terroirs locaux. Ici, cuisine méditerranéenne mais surtout cuisine du monde inspirée des cinq continents. Pour l’Asie, cocotte de poulet fermier au tandoori, accompagné de ses citrons confits. Direction l’Europe, en Italie, avec des linguines aux palourdes d’un arôme fondant finement aillé. Vers les Antilles, les incontournables accras de morue légers, moelleux et subtilement relevés au persil se prêtent bien à un apéritif décontracté. Pour un plat typiquement français, la tarte niçoise avec son parmesan et sa basilicade fait figure de met estival, toujours dans la simplicité méditérranéenne. Le Petit Jardin réinvente également la street-food avec le burger de cochon Duroc de Batallé au lard grillé et cheddar et pommes grenailles, un plat gastronomique mais moderne. Le bistrot fait la part belle au jambon, avec le bellotta, issu de la tradition ibérique, prisé pour sa chair persillée et son onctuosité en bouche. Authenticité, tradition et élégance Un assortiment de fromages avec sa confiture accompagnera également avec élégance le Mas Julien, vin réputé du Languedoc, très juteux et frais. Le Banyuls surprend également avec Al Tragou 1988, complexe et persistant, avec un fin rancio. La carte des vins est fournie, avec des étiquettes à dominante locale rigoureusement sélectionnées par le sommelier. Mais les autres terroirs français ne sont pas en reste avec un souci d'authenticité et de tradition. Retour aux basiques mais classiques avec les desserts : île flottante pralinée, fraisier et Paris-Brest... Pour le déjeuner, une formule à 21 € est proposée avec un plat et un café gourmand. Le Petit Bistrot dispose également d’une cave à cigares élégante et discrète. Une ambiance raffinée mais également festive, puisque Le Petit Jardin met à disposition ses lieux pour des diners d’entreprises, des mariages et anniversaires. Caché dans une ruelle près de la cathédrale, le tout dans deux ambiances, deux cuisines, deux inspirations mais dans un même ...
La douceur de vivre n’a pas quitté le sud de Marseille depuis la naissance du restaurant Chez Aldo, sur le port de la Madrague, dans les années 1960. Dans ce cadre avec vue imprenable sur la mer, les poissons et les fruits de mer sont à l’honneur. Les produits frais de la mer arrivent tout droit des pêcheurs du port de la Madrague. Depuis 5 ans, ce sont quatre anciens employés qui se sont associés pour « poursuivre ce que faisait Aldo il y a 50 ans et qui lui a valu sa réputation ». Un restaurant de poissons et de spécialités locales provençales Le restaurant Chez Aldo sert, bien sûr, des recettes classiques comme le filet de bœuf grillé au feu de bois, le magret ou simplement une pizza cuite au feu de bois devant les convives. Toutefois, la maison est spécialisée en poissons et produits de la mer. Ces derniers sont grillés, préparés en tartare, en salade comme le poulpe de roche, en friture comme les seiches, en soupe comme les poissons de roche ou à la plancha tels que le thon mi-cuit au sésame, le merlan ou le rouget. Un restaurant de poissons, qui plus est marseillais, ne le serait pas si la traditionnelle bouillabaisse n’était inscrite à sa carte. Ce plat originaire de la Grèce antique est servi en deux temps : la soupe de poissons, puis une assiette de poissons découpés et accompagnés de pommes de terre. Rascasse, galinette, daurade, vive, merlan, saint-pierre, lotte, grondin et congre peuvent être utilisés par le chef pour cette préparation. La bouillabaisse est un pur régal ; toutefois, il faut la commander la veille. Le grand bleu comme horizon S’agissant de la décoration de la salle, les propriétaires de Chez Aldo ont choisi de miser sur la simplicité pour que les convives se concentrent sur l’essentiel : la mer. Effectivement, certains donneraient cher pour avoir une vue panoramique sur la Méditerranée le temps de déguster un bon plat de poissons ! Une ambiance qui occasionne à la fois plaisir et détente. Pour pimenter ce décor, le restaurant ouvre ses portes à l’art et aux artistes locaux. Les tableaux qui ornent les murs de Chez Aldo sont renouvelés tous les 2 mois. Parmi ceux qui y ont déjà exposé leurs œuvres, il y a le photographe Hugues Charrier, qui raconte à travers ses clichés la vie sur la façade maritime de Marseille. La carte des vins Le restaurant Chez Aldo met en avant les crus de la région. Avec la formule vins du mois, la maison essaie de faire découvrir tous les domaines qui figurent à sa carte. Cette dernière s’est constituée autour des vins de la vallée du Rhône, de la Loire, de Bourgogne, des Bouches-du-Rhône et de ses alentours. Certains vins comme le Côteaux d’Aix du Château Lacoste ou le Bandol du Château du Cagueloup peuvent être vendus en demi-bouteilles. ...
Un peu à l’écart de la Sauvetat-sur-Lède, le restaurant La Pierre Blanche plonge dans une tranquillité totale et baigne dans une nature splendide. La Chef Marie-Laure s’inspire de sa vie passée pour présenter une cuisine méridionale, pendant que son époux assure l’accueil, le service et la sélection des vins. La reine des fourneaux privilégie les produits frais régionaux et fait évoluer la carte au gré des saisons. Une cuisine méridionale Le couple Rossetti possède une expérience considérable dans la restauration. Marie-Laure revendique une cuisine méridionale qu’elle a perfectionnée au fur et à mesure de ses longues expériences à Lyon et en Provence. Elle reste très exigeante sur la qualité et la fraîcheur des produits qu’elle considère comme des bijoux sublimant ses assiettes. En fonction des saisons et de la disponibilité des ingrédients, elle n’hésite pas à apporter des modifications ponctuelles à ses recettes. Ainsi, le filet de lapin sera dorénavant préparé autrement car le foie gras qui servait de farce ne sera plus disponible d’ici peu. Heureusement que Marie-Laure ne manque pas d’imagination. Ces modifications ne concernent pas le Croquant de tête de veau aux trompettes de la mort et graine de moutarde avec échalotes confites. Ce plat signature qui fait partie du Menu Tradition est très demandé toute l’année. En outre, il y a le Menu des Bastides suggérant des plats classiques mais incontournables comme le Poulet fermier farci forestière et légume du moment. Pour finir, le Menu Harmonie des sens mise sur l’aspect gastronomique avec les Noix de Saint-Jacques ou les Joues de lotte au Combava. Toutes ces délicieuses suggestions s’achèvent avec une note de douceur apportée par exemple par le Moelleux au chocolat, cœur coulant aux noisettes. Côté vins, Louis Rossetti est heureux de proposer une sélection de vins issus de Bordeaux, Lot-et-Garonne, Côtes-du-Rhône et un peu de Bourgogne. Une ambiance paisible Situé en pleine campagne, à mi-chemin entre les bastides de Villeneuve-sur-Lot et de Monflanquin, le restaurant La Pierre Blanche reçoit ses convives au milieu d’un environnement verdoyant pour les faire profiter du grand air et des chants d’oiseaux. L’établissement se trouve un peu à l’écart du village de Sauvetat-sur-Lède où l’atmosphère est encore plus calme. La Pierre Blanche est le premier restaurant du village, l’endroit idéal pour faire une escapade gourmande. Le restaurant tient son nom de ses beaux murs de pierres blanches qui se marient bien avec le mobilier dénotant d’une touche contemporaine. Le cadre est simple et raffiné. De petites tables pour deux sont disponibles pour les diners en tête à tête tandis que les grandes tables accueillent les familles ou les groupes. Une grande baie vitrée donne une vue sur le jardin depuis la salle. Lors des beaux jours d’été, la terrasse ombragée est le coin le plus apprécié garantissant une délectable pause gustative. Les voyageurs de passage dans le village peuvent s’installer dans la chambre d’hôtes dotée d’un grand lit et d’une salle de bain spacieuse à l’Italienne. Pas de panique si celle-là est prise, la deuxième chambre de l’établissement est en cours de finition. ...
Lieu idéal pour tenir des rendez-vous d’affaires informels, le restaurant dispose d’un espace design et contemporain au coin de la cheminée numérique. Ses grandes baies vitrées donnent directement sur le patio, ouvert aux beaux jours, lequel offre un espace lumineux où il fait bon se retrouver. Baignant dans un cadre intimiste et chaleureux au décor atypique où le bois est très présent, l’établissement comporte un sous-plafond d’une très belle hauteur, ainsi qu’une magnifique verrière ornée de plantes vertes, dans un mariage réussi de belles matières et d’éléments uniques. Le Cinq Codet est une adresse discrète qui dévoile une cuisine simple et bien travaillée, préparée à base de produits de saison. Dans une belle alliance d’inventivité et de technicité, l’établissement propose une cuisine décontractée, haute en couleur, avec des fleurs et des herbes, ainsi qu’un bel accord de saveurs et de textures gourmandes. Comptant une clientèle mixte d’Anglo-saxons et de Parisiens, l’établissement organise tous les samedis une soirée jazz, un événement déjà bien connu et apprécié des habitués, mais qui ne cesse d’engranger de nombreux adeptes. Un beau mariage de saveurs Les clients ont la liberté de composer eux-mêmes leur menu ou opter pour des plats sur le pouce avec la carte de snacking. Ce qui fait la différence ? La maison travaille le meilleur du produit avec une technique de cuisson qui la distingue de celle des autres établissements ! Turbot, émulsion de coquelicot, fenouil vanille bourbon et Sphère chocolat, sorbet passion safran sont autant de gourmandises à découvrir ou à retrouver au sein du restaurant. ...
Un jardin fleuri et une grande piscine qui ajoute une note de convivialité tout en invitant à la détente. Bienvenue à La Ferme aux vins. Bourguignons ou voyageurs de passage sont accueillis par une équipe dynamique, souriante et chaleureuse, placée sous la houlette de Marie-Pierre Bêche, la directrice des lieux. Quand le temps le permet, les parasols s’ouvrent à l’extérieur pour recevoir les clients avides de soleil et d’air frais. L’intérieur est tout aussi propice à la convivialité. Le décor propose un doux et ingénieux mélange entre confort et modernité. C’est dans cette ambiance de charme qu’évolue le chef Xavier Bitarelle, un spécialiste de la cuisine traditionnelle qui maitrise son art à la perfection. Capital confiance La Coupole à Paris, Dalloyau, l’Hostellerie de Levernois : Xavier Bitarelle fait ses armes dans les établissements les plus prestigieux. Cette longue et riche expérience lui vaut toute la confiance de la famille Jacquier, qui lui confie les rênes du restaurant La Ferme aux vins en 2008. Rappelons que, depuis 4 générations, l’existence du groupe Hôtels Bourgogne Qualité est fondée sur les valeurs portées par la famille Jacquier, profondément attachée à la Bourgogne, et passionnée par les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Aujourd'hui, Hotels Bourgogne Qualité, ce sont 11 hôtels en Bourgogne, de l’économique au 5 étoiles, ainsi que 7 restaurants gourmets et gastronomiques. Xavier Bitarelle, un maestro de la cuisine bourguignonne Prêt à redynamiser La Ferme aux vins, ce chef efficace et fignoleur y sculpte les parfums, les goûts et les harmonies pour au final proposer une cuisine de terroir relevée par une pointe d’innovation. Ainsi, au fil des saisons, les clients sont sûrs de trouver une carte évolutive qui s’approprie les beaux produits qu’offre la Bourgogne. Car le chef reste des plus exigeants quant à la qualité et à la fraicheur de ses ingrédients commandés auprès de fournisseurs locaux. Toute cette rigueur et ce perfectionnisme se découvrent aisément au travers des plats proposés : magret de canard aux baies de cassis, volaille de Bresse à l’époisse... La carte affiche aussi ses spécialités, les fondues bourguignonnes, vigneronnes ou bressanes, pour faire honneur au concept de « cuisine conviviale ». On n’oubliera pas de mentionner les menus, dont celui qui est intitulé « Bourgogne » qui offre de jolis clins d'œil à la région. Sur l’ensemble, le prix moyen par convive de 35 € reste des plus raisonnables. Une belle carte des vins La carte des vins met en scène la Bourgogne. Elle est élaborée sur des coups de cœur et au fil des rencontres et des dégustations faites avec les viticulteurs. Pour que vous soyez au fait des meilleurs accords mets-vins, l'équipe de serveurs vous guide dans votre choix, qui peut vite devenir cornélien compte tenu de la richesse de la cave constituée de plus de 200 références. ...
Implantée dans le Nord Finistère, Biobleud est une entreprise qui existe depuis 25 ans. A l’origine, Michel, à la fois traiteur et restaurateur végétarien, a l’idée de monter une structure 100% bio. À cette époque, le concept était alors plus que novateur. Au fil du temps, l'entreprise a grandi et Michel a fait appel à Vefa et Emmanuelle afin de l’aider à mieux gérer l’entreprise. Aujourd’hui, Biobleud est une structure à taille humaine qui dispose d’une équipe composée d’une quinzaine de salariés. Des produits d'une grande qualité gustative Qu’elles soient feuilletées, sablées, ou brisées ou depuis peu sans gluten, les pâtes Biobleud ont toutes un point commun : leur goût incomparable ! Le secret ? Des matières premières sélectionnées de manière très rigoureuse. En outre, les ingrédients utilisés sont naturels et ne contiennent ni arômes ni conservateurs. Résultat : des produits avec une saveur et une texture uniques. Biobleud réalise en tout six types de pâtes prêtes à dérouler, avec comme nouveauté une gamme sans gluten, et bientôt, une gamme de pâtes à dérouler aux céréales complètes. Elle propose également des plaques de pâtes pâtissières surgelées dédiées à la restauration collective et commerciale. Les pâtes à dérouler Biobleud sont des aides culinaires incontournables et faciles à mettre en œuvre. La pâte à pizza à dérouler en est la parfaite illustration. En effet, il suffit de dérouler, d'ajouter les garnitures et d’enfourner. Il ne reste plus qu’à déguster ! En plus de sa gamme de pâtes à dérouler, Biobleud commercialise une gamme de crêpes et de galettes élaborées par une entreprise partenaire bretonne. Disponibles dans les réseaux de magasins biologiques, les produits Biobleud sont reconnus pour leurs qualités exceptionnelles. Une démarche durable au sens large Depuis sa création en 1991, Biobleud s'est donnée pour mission de se développer de manière durable et de progresser simultanément sur les trois composantes du développement durable : l'économie, le social et l'environnement. D'un côté, l'entreprise, à travers une série de mesures, s'efforce d'être respectueuse de l'environnement. En premier lieu, Biobleud a toujours eu à cœur de transformer exclusivement des produits issus de l'agriculture biologique et elle est engagée auprès d'Ecocert pour la certification de ses produits. En ce qui concerne les emballages, Biobleud utilise par exemple du papier de cuisson kraft naturel biodégradable ayant reçu la certification PEFC. Toute production utilise de l'énergie. L'entreprise a choisi de diminuer son impact environnemental à ce niveau en utilisant une centrale de réfrigération qui utilise comme fluide de refroidissement le CO2, un agent non toxique reconnu pour être l'unique réfrigérant écologique naturel. Un système de récupération de chaleur est couplé à la centrale de réfrigération et permet de chauffer l'eau chaude pour le nettoyage et le chauffage des locaux sociaux. Ensuite, le tri et la valorisation des déchets figurent parmi les mesures écologiques adoptées au sein de la société. L'engagement écologique de Biobleud s'est concrétisé en 2015 par la construction d'un nouveau bâtiment de production plus durable. Par exemple, les murs des locaux sociaux ont été construit avec du bois d'Epicea de Sitka issu de forêts bretonnes gérées durablement en raison de son faible impact carbone. D’un autre côté, chez Biobleud, développement durable rime avec respect de l’humain. C’est la raison pour laquelle l’entreprise s’est efforcée d’apporter à ses salariés les meilleures conditions de travail. Que ce soit par la mise à disposition d’espaces de travail plus ergonomiques, l’octroi d’outils visant à faciliter la manutention, la lumière naturelle en production ou l’amélioration de la qualité de l’air à l’intérieur des locaux, tout est fait pour procurer aux sal...
C’est tout naturellement à Lyon, la ville gastronomique par excellence, que ce concours est organisé annuellement. « Situé au cœur de plusieurs régions viticoles, Lyon devient ainsi le cœur d’un événement fédérant tous les producteurs de vins et de spiritueux, étrangers ou français », nous explique Victor Gomez, directeur de l’entreprise organisatrice du concours, Armonia. Découvertes gourmandes et voyage gustatif sont donc au rendez-vous à l’occasion de cet événement célébrant la richesse et la diversité du vin, de la bière et des spiritueux des quatre coins du monde. « Placer la ville de Lyon au cœur du vin » C’est avec ses propos que Victor Gomez justifie la création de ce concours étant cette année à sa huitième édition. La réputation de cette célèbre compétition internationale est le fruit d’une riche collaboration avec des partenaires de renom à l’instar de Vitisphere, de Global Wine and Spirits, de l’Association des Sommeliers lyonnais, des Toques blanches lyonnaises et de la prestigieuse École du vin. Ce dernier, partenaire exclusif de l’édition 2017, apporte ainsi toute son expertise au service des dégustations, des conférences-débats et de la sélection des vins médaillés. Ces partenaires qualitatifs viennent ainsi forger la notoriété de ce « concours très engagé dans la gastronomie », selon les explications de Victor. En effet, cet événement se veut être l’ambassadeur d’une ville où le goût et les sens sont au cœur de la dynamique urbaine. Les membres du jury, qui, à l’issu des dégustations, récompensent les meilleurs des spiritueux, de la bière et du vin, sont composés de professionnels du vin (sommeliers, œnologues...), de chefs, d’acheteurs, et d’amateurs expérimentés. Élire le meilleur vin du monde « Le Concours international de Lyon est un des rares concours en France acceptant les vins internationaux », rappelle Victor, assurant que tous les vins du monde y sont représentés. La qualité reste toutefois le maître-mot de la sélection de ce concours qui, cette année, a été présidé par Gaëtan Bouvier, Meilleur sommelier de France. En effet, après la réception, chaque produit subit un contrôle rigoureux ponctué de vérifications documentaires poussées et parfois de tests en laboratoires avant de pouvoir intégrer les tables de dégustation. Exclusivement dédié au vin depuis ses débuts, cet événement intègre, en 2015, la bière et une multitude de spiritueux dans la compétition. À l’occasion de la huitième édition du 25 mars 2017, les bières auront été jugées dans 54 catégories différentes, et les spiritueux dans plus de 65 familles incluant les vodkas, les rhums, les liqueurs et bien d’autres encore. Plus de 800 dégustateurs, composés de professionnels et d’amateurs éclairés du monde entier ont ainsi goûté à près de 6 300 vins, spiritueux et bières afin d’élire les fleurons de chaque catégorie, récompensés ultérieurement d’une médaille. Les producteurs et les consommateurs trouveront ainsi une valeur sûre dans le caractère riche et éclectique de ce concours à l’issu duquel, « un jury cette fois-ci composé des meilleurs ouvriers de France, des meilleurs sommeliers de France et autres iront redéguster les meilleurs vins de la compétition pour désigner le meilleur vin du monde », conclut Victor. ...
Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les côteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIe siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maitres-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international. Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages. Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II. La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana. La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et côteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon. Au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les côteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret. Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache. A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’ap...
C’est au bord du couloir rhodanien que le Beaujolais accueille les amoureux du bon vin, les férus d’histoire mais également les passionnés de la nature. Arpentez ainsi la fameuse route des vins pour découvrir les 12 appellations d’exception : les dix crus, les Beaujolais Villages et les Beaujolais issus du cépage Gamay, aux saveurs agrémentées de forêts aux cimes tutoyant le ciel, de villages en pierres dorées, de formations géologiques imposantes et inédites, de châteaux révélant tout leur mystère ainsi que de vallées envoûtantes bercées au rythme d’une nature généreuse. La nature dans toute sa splendeur D’est en ouest, du nord au sud, le Beaujolais vous réserve des surprises qui vous rempliront d’amour et d’admiration pour cette terre bénie. Le Sud, avec ses villages sertis de vignes, aux bâtisses faites de pierres dorées, vous offre un spectacle inoubliable illuminé par les rayons révélateurs du soleil. Les terres viticoles aux paysages vallonnés du Nord, riches de panoramas appelant à la détente, seront également l’occasion de s’adonner à la visite des domaines viticoles, aux promenades dans les vignobles, mais aussi à la dégustation des fameux vins du Beaujolais. Rejoignez maintenant l’Ouest boisé de Douglas, les plus hauts pins d’Europe, contrée propice aux balades et aux randonnées avec plusieurs pistes VTT, d’ultra-trail et de chemins de randonnée. Également appelé poumon vert d’Europe, ce Beaujolais vert est la promesse d’un dépaysement en communion avec mère nature. Découvrez, entre autres, sur votre chemin, 146 villages d’exception dont Oingt, classé plus beau village de France, des châteaux de la Renaissance, des églises romanes ainsi que de nombreux musées, à l’instar du musée Paul Dini dédié à l’art de la région Rhône-Alpes. Flânez également dans le centre-ville de Villefranche-sur-Saône, capitale historique du Beaujolais dotée de monuments historiques tels que Notre Dame des Marais, un fleuron du patrimoine beaujolais. ...
L’amour du terroir et des valeurs transmises. Le goût des autres, aussi, et celui de l’authenticité. Christine et Hugues de la Guéronnière portent avec passion un héritage familial ancré dans l’histoire depuis 1928. Si le vignoble rencontre ses lettres de noblesses dans les années 50, il n’a pas cessé de les honorer depuis. Terroir et artisans oeuvrent ici conjointement à créer le meilleur. Un terroir et un savoir-faire complices derrière des vins d’exception Les vignes du Château Chatain, d’une moyenne d’âge de 50 ans, content les vallées, la Barbane, les sources d’eau qui les traversent et un sol graveleux -argilo-limoneux, dans lequel elles puisent minéralité et caractère. La hauteur des feuilles, l’ébourgeonnage, le labourage au tracteur : Christine de la Guéronnière perpétue un savoir-faire acquis de son père, Hugues tout en organisant le domaine dans un esprit d’agriculture raisonnée. Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Malbec sont cueillis à maturité par les mains attentives des vendangeurs. Puis vient l’assemblage, ces précieux instants où l’alchimie s’invente, à l’écoute des cépages et de leurs aromes. Les vins sont élevés en fûts de chêne, où ils révèleront leur quintessence au bout de douze mois ou plus. Le domaine utilise même un pressoir hydrolique de 1900, assurant un pressurage lent mais qualitatif. Ici, la productivité n’est pas le maître mot et ne se fait jamais au détriment du « très bon ». Dans leur robe rouge rubis, les vins Lalande de Pomerol du Château Chatain profitent aussi de label européen AOP. Médaillés, salués par les critiques, les opus libèrent leur tanin puissant et subtil. Rondeur et longueur en bouche révèlent une complexité à la profondeur tranquille et veloutée. Le fruit s’exprime dans toute sa primeur. Un domaine dynamique et inspiré La famille de la Guéronnière compte artisans, artistes et voyageurs depuis plusieurs générations : vigneron, ébéniste, pianiste polyglotte. Une ouverture d’esprit qui amène Christine de la Guéronnière à étudier dans le commerce international et à voyager elle-même, avant de rejoindre le domaine pour y semer son énergie solaire. Équipe, amis, famille, voisins prêtent main forte, fédérant une dynamique locale impliquée et unie. Marie de la Guéronnière, la sœur cadette de Christine, a rejoint cette année le vignoble, après une carrière en tant que comédienne, metteuse en scène et Directrice de théâtre en Irlande. Une heureuse présence promettant quelques rendez-vous artistique in situ. La solidarité avec les châteaux voisins est palpable, tout comme la convivialité que le domaine entretient avec les cavistes, les restaurateurs locaux, avec un goût prononcé pour les plus inventifs. Au Château Chatain, on aime le bon vin mais aussi les bonnes idées. Quand oenotourisme rime avec imagination Et côté idées, le Château n’est pas en reste. Des visites œnologiques donnent à découvrir terroir, savoir-faire et histoire. Des jeux d’assemblage permettent aux visiteurs de recevoir quelques secrets de cette « cuisine des dieux ». L’été, on y organise des barbecues champêtres où savourer produits du terroir mais aussi des apéritifs fluviaux à Libourne. Avec d’autres partenaires locaux, le domaine proposent des visites en calèche, en tuk-tuk, en vélo ou en side-car. Des moments joyeux qui pensent à toute la famille, toujours clos par une dégustation savoureuse. Le bonheur s’invente chaque jour au Château Chatain, qui le partage volontiers, de grands vins en bons moments. ...
L’histoire de la famille Lacombe a toujours été liée aux vins. Déjà en 1910, les arrière-grands-parents d’Aristide Lacombe, l’actuel gérant, travaillaient la vigne avec passion. Malheureusement, leurs efforts n’ont pas été poursuivis par la génération suivante, qui a choisi d’autres voies laissant ainsi la propriété familiale à l’abandon. Quelques années plus tard, c’est à force de travail et de sueur que les parents d’Aristide Lacombe ont réussi à rebâtir le domaine. Avec l’aide de leur fils, ils réalisent une restructuration et remettent le domaine sur les bons rails. Aujourd’hui, la propriété familiale commence à faire parler d’elle et en bien ! Des cépages propres au terroir La maison travaille sur un vignoble d’environ 30 ha en appellation Gaillac. « Il s’agit d’une AOP (Appelation d'Origine Contrôlée) comprenant une grande variété de cépages autochtones », précise d’emblée Aristide Lacombe. Pour les rouges, on remarque, par exemple, la présence du braucol et du duras tandis que, au niveau des blancs, intervient un cépage encore méconnu du grand public : le loin de l’œil (un cépage blanc de Gaillac). « Celui-ci est planté sur des terroirs en premières côtes », nous indique-t-on. Sur ces terroirs majoritairement argilo-calcaires pousse également le mauzac, cépage typique de la région qui donne, notamment, des vins blancs gras aux multiples arômes et avec un peu d’acidité. Une belle philosophie Léguer une terre saine et fertile aux futures générations : ces quelques mots résument la philosophie du Domaine Grand Chêne. Pour Aristide Lacombe, le fait d’être en bio, en agriculture raisonnée ou en biodynamie ne doit en aucun cas constituer une fin en soi. « Nous sommes inscrits dans une démarche attentive à l’environnement, mais nous avons découvert que le bio n’est pas toujours aussi idéal pour la Nature », dévoile-t-il. En effet, il trouve illogique que des produits utilisés en agriculture conventionnelle soient éligibles en agriculture bio. Bref, quelle que soit la démarche adoptée, chacun doit garder à l’esprit l’héritage qu’il compte laisser à ses enfants. Une machine « écolo » Même si la maison opte pour une vinification traditionnelle, elle compte bien y apporter quelques améliorations grâce, notamment, à ses expériences. Ainsi, depuis quelque temps, le chai s’est doté d’une machine innovante permettant de réaliser une vinification assez particulière. « Nous avons construit et breveté une machine qui nous donne la possibilité de consommer très peu d’énergie pour la vinification. » À l’image des pompes à chaleur, la machine récupère les calories produites par les fermentations alcooliques qui seront ensuite utilisées dans la production d’eau chaude. Deux cuvées incontournables Parmi les 8 cuvées de la maison, la cuvée « Méthode ancestrale Brut » et la cuvée « Réserve Apolline » sont les plus représentatives. Alors que la première permet d’en savoir un peu plus sur l’histoire du domaine, la deuxième marque plutôt une ouverture vers la modernité et l’innovation. La cuvée « Méthode ancestrale Brut » porte bien son nom. « Nous y tenons beaucoup, car c’est un véritable héritage de nos ancêtres et sur lequel nous appliquons une méthode de vinification qui est restée inchangée », rapporte notre interlocuteur. Obtenu exclusivement à partir de mauzac, ce vin effervescent illustre un savoir-faire exceptionnel, transmis de génération en génération. Il séduit par ses notes pomme-poire, très caractéristiques du cépage mauzac. Quant à la cuvée « Réserve Apolline », elle mérite largement le titre de « cuvée ambassadrice ». Entre le rouge et le blanc, le choix est un peu délicat mais c’est finalement le rouge qui l’emporte. Élaboré...
Entre deux visites d’endroits historiques et de monuments bordelais, tels que la Halle des chartrons qui domine la place du marché, l’église Saint-Louis des Chartrons, la place des Quinconces, le muséum d’Histoire naturelle à côté du jardin public et le musée d’Art contemporain de Bordeaux, optez pour une pause déjeuner au restaurant Chez Dupont. Cadre, cuisine, service : tout est fait pour vous satisfaire. Un accueil à bras ouverts Chez Dupont existe depuis 1988, c’est une institution et une valeur sûres du quartier des Chartrons. Habituée à la gestion de ce restaurant qui ne désemplit pas, la petite équipe de Chez Dupont reste aux petits soins avec les clients. La gentillesse de l’accueil et l’efficacité du service marqueront les mémoires. Les personnes qui aiment les rencontres seront à l’aise dans cette bonne ambiance familiale. Tout cela se passe dans un cadre à l’allure de vieux bistro. Il serait dommage de ne pas parler de cette terrasse chauffée qui peut accueillir jusqu’à 40 convives et, pour votre plus grand soulagement, la circulation se fait rare dans le quartier. Cerise sur le gâteau : pour 10 à 12 personnes, vous pouvez aussi profiter de l'intimité d'une belle salle à manger avec fauteuils club et cheminée. Nouvellle salle et chambres d’hôtes Chez Dupont a ouvert une nouvelle salle il n’y a pas si longtemps, celle-ci se trouve juste en face. L’atmosphère chaleureuse et conviviale de l’établissement principal se fait également ressentir dans ce bistro. Les murs de pierres nues rendent authentique ce lieu qui offre plus d’intimité pour les repas de réunions professionnelles ou les évènements familiaux. Le bistro peut accueillir jusqu’à 25 personnes assises, 30 pour un apéritif dinatoire. Vous devez prolonger votre passage à Bordeaux de quelques jours ? Chez Dupont s’est doté depuis trois ans de 5 chambres d’hôtes et d’un appartement, où volupté et raffinement sont au rendez-vous. Installées dans un immeuble du XVIIIe siècle, les chambres rénovées n’ont pas perdu leur charme d’antan, tout en garantissant le confort moderne. Une cuisine bistronomique La cuisine de Chez Dupont se distingue par son authenticité, sa stabilité et sa fraicheur. Six cuisiniers professionnels, incluant le chef Christophe Caris et une pâtissière à temps plein, s’activent tous les jours pour du « fait maison », à la plus grande satisfaction de vos papilles. C’est la riche expérience de cette équipe qui garantit la régularité de la qualité des plats proposés par la maison. Situé entre gastronomie et brasserie, le restaurant mise sur l’exception du produit frais et de saison rigoureusement choisi chez des fournisseurs passionnés par leur métier. Prise d’assaut à l’heure du déjeuner, la maison suggère un menu composé de trois entrées, trois plats et trois desserts, qui changent tous les jours selon les trouvailles du marché. À la carte, laissez-vous tenter par le carpaccio de Saint-Jacques et chair de tourteau à la coriandre. En plat de résistance, l’épaule d’agneau de lait des Pyrénées cuite à basse température fera voltiger vos papilles. Plutôt poisson ? Dans ce cas, dégustez la belle sole de la criée de Royan pour un pur moment de bonheur. En bouquet final, le baba au rhum Havana Club vous convaincra. ...
Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle. Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine. Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée. Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie. Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence. Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages. Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins. Un virtuose de romantisme culinaire Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin. Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne. Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales. L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine. ...
C’est dans un cadre contemporain et convivial que La Cafetière Fêlée présente sa carte enrichie d’une grande variété de plats typiques des deux mondes. Des vins venus des quatre coins de la planète, soigneusement sélectionnés pour agrémenter chaque assiette, figurent parmi les suggestions de la maison. Un chef passionné au long parcours Découvrant sa passion pour la cuisine grâce à une mère et une grand-mère toujours aux fourneaux, Julien Fiengo se fait admettre à l’école professionnelle Escoffier à cagnes sur mer en 1998 afin d’en maitriser les subtilités. A l’issu de sa formation, il entame sa carrière aux Héspérides de Lérins à golfe Juan où il débute en tant que commis de cuisine. Il trouve ensuite une place de chef de partie au restaurant Les Pêcheurs à Juan les pins. Puis, l’hôtel Belles Rives à Juan-les-Pins l’engage en tant que chef de partie pour son restaurant La Passagère. Avant de monter sa propre affaire, Julien continue sa carrière professionnelle à titre de chef de cuisine dans le restaurant Le Barbarella à Cannes. Ouvrant les portes de La Cafetière Fêlée en 2008, ce personnage passionné se voit attribuer le titre de Maitre Restaurateur, une plaque dorée qui appuiera la renommée de son établissement sur toute la Côte-d’Azur. Le menu : une harmonie entre tradition et exotisme Afin que ses « plats-fusions » préservent toute leur authenticité, Julien s’approvisionne essentiellement auprès de producteurs locaux. Ce concept de circuit court favorise la sélection de produits exclusivement frais et de saison utilisés pour concevoir une cuisine et des plats de qualité. En entrée, la carte propose le Sashimi de saumon mi-cuit au sel et gingembre/mousse wasabi et caramel de miel-soja. En plat de résistance, on se laisse facilement tenter par le Magret de canard au foie gras et gratiné à la pistache accompagné d’une sauce mangues passion et polenta crémeuse cremeuse à la figue. La maison a aussi bâti sa réputation en se spécialisant dans les wok à la thaï, un plat traditionnel particulièrement apprécié en Thaïlande composé généralement de nouilles de riz sautées au wok, de tofu, d’œufs, de légumes, de graines germées, de crevettes et de sauce au poisson. A la Cafetière fêlée, ce plat emblématique est revisité dans sa composition traditionnelle et servi avec du Magret laqué au miel et moutarde à l'ancienne ou encore des crevettes au lait de coco et Panang. Côté dessert, le Fondant au chocolat noir au cœur coulant de Toblerone se révèle en bouche par ses saveurs d'une finesse et d'une gourmandise sans nom. En parfaite synergie avec les plats, la carte des vins reste éclectique pour correspondre aux goûts de chacun. ...
Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...
Le vignoble Saint-Émilion couvre environ 5 400 hectares de terrains et est encépagé de 60 % de merlot, de 30 % de cabernet franc et de 10 % de cabernet sauvignon. Il se trouve sur des terroirs calcaires, argilo-limoneux, sableux et bénéficie d’un climat doux et tempéré. L’AOC Saint-Émilion, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est une subdivision du Libournais. Elle comprend les appellations Saint-Émilion simple et Saint-Émilion Grand Cru, cette dernière regroupe elle-même les grands crus classés A et B, sa plus haute distinction, et les grands crus classés, sa seconde. Le classement Saint-Émilion Grand Cru existe depuis 1955 et se renouvèle tous les 10 ans. Ces vins sont complexes, charpentés avec une bonne longueur aromatique en bouche. Leur production demande une plus grande attention et des conditions plus rigoureuses par rapport aux vins d’AOC Saint-Émilion simple. Le Château La Gaffelière, un vinificateur de vins fins et élégants Ce vignoble est encépagé majoritairement de merlot, à coté duquel on trouve du cabernet franc. Depuis la création du Château La Gaffelière jusqu’à nos jours, la famille Malet Roquefort y accorde une attention particulière. Pour cela, elle y vit afin de contrôler en permanence son système de production. La famille Malet Roquefort, respectueuse de l’environnement, est une fervente défenseuse de l’agriculture raisonnée. Tout le travail de la vigne se fait selon des méthodes traditionnelles, en utilisant des produits bio. « On travaille des parcelles avec un cheval et on exige des produits bio pour le traitement des vignes », explique Françoise Morice, une représentante du Château. Le Château La Gaffelière, un vin fruité avec un boisé harmonieux Le Château La Gaffelière est un premier Grand Cru classé de Saint-Émilion qui a une capacité de garde de plus de 25 ans. Il est connu pour sa longueur en bouche et pour s’accorder parfaitement avec des côtes de bœuf et des mets à base de gibier, de fromage et de viande rouge. Millésime 2009 : à l’œil, il est de couleur violette profonde. Au nez, il est intense et on sent ses arômes fruités. En bouche, il est complexe, rond, suave, avec un boisé harmonieux. Millésime 2010 : il charme à l’œil par sa couleur grenat et au nez par ses expressions de fruits mûrs. En bouche, il est moyennement complexe, sec et très léger, avec une touche boisée. Millésime 2014 : il a une belle robe rouge rubis. Au nez, il est élégant et a des expressions florales et fruitées. En bouche, il est puissant avec une bonne longueur. Clos La Gaffelière, un vin jeune, élégant et soyeux C’est un jeune vin d’appellation Saint-Émilion Grand Cru qui a une capacité de garde de 5 à 7 ans. Il s’associe bien avec une pièce de bœuf et les mets à base de viande rouge et de fromage. ...
À La Gazette, les mets se dégustent dans un endroit bourré de charme, délicieusement mis en scène par les architectes Delphine Sauvaget et Pauline d’Hoop de Synghem. Le mobilier de style vintage, le motif à feuilles de bananier de la moquette, la couleur des accessoires et les lumières tamisées ont été choisis avec gout pour baigner les convives dans une ambiance branchée et raffinée, d'inspiration exotique. Des délices au rythme des saisons Une fois que l’on est installé confortablement dans l’un des fauteuils des années 1950 de la maison, les choses sérieuses peuvent commencer. Les saveurs fraiches que proposent les marchés de Paris seront suggérées sur une carte qui change toutes les deux semaines selon les ingrédients existants. En entrée, le Tempura de gambas au sésame a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse auprès des clients de La Gazette. Y gouter est presque impératif dans ce restaurant. Vient ensuite le moment de se régaler avec les fameuses Pâtes langue d’oiseau au jambon truffé. Enfin, le Cheese cake à la mangue et passion ou le Moelleux au chocolat et glace vanille sont là pour achever ce mélodieux repas. «Tout cela à un prix qui montre qu’il ne faut pas forcément se ruiner pour profiter d’une cuisine digne de ce nom dans le 16e arrondissement », se félicite Hugo Hussein Salami, propriétaire et associé. Dénicher le vin qui accompagnera le repas à la perfection ne sera pas une affaire délicate au restaurant La Gazette, étant donné la richesse et l’éclectisme de sa carte des vins. Celle-ci est très « ouverte à plusieurs régions », dixit Hugo Hussein Salami. Une promesse d’aller à la rencontre des meilleurs accords. ...
Les spiritueux gastronomiques n’ont plus de secret pour la maison Jean Boyer. Depuis une vingtaine d’années, l’entreprise est devenue le partenaire privilégié des cavistes et des restaurateurs en quête de produits « premium » et exclusifs. « Nous ne commercialisons qu’à destination des professionnels sur le territoire français, mais aussi un peu à l’export notamment vers le Japon et l’Australie », fait savoir le propriétaire, Dominique Ribéreau-Gayon. Au total, 150 000 bouteilles sont produites annuellement, toutes gammes confondues. Un mode de travail fidèle à la tradition Société à taille humaine située dans les Landes à Saint-Geours-de-Maremne, Jean Boyer s’attache à préserver un savoir-faire artisanal et traditionnel dans l’univers de la production de spiritueux. Parmi ses produits de prédilection, s’inscrit le pastis, ou les pastis puisqu’il y a une dizaine de recettes différentes. Le pastis « est totalement élaboré sur place à partir de plantes que nous faisons macérer pour en tirer le meilleur des arômes », explique le propriétaire. Les assemblages sont ensuite réalisés sur place. Enfin, les pastis restent plusieurs mois en cuve pour permettre une décantation naturelle, « une filtration retiendrait tous les arômes » s’exclame Dominique Ribéreau-Gayon. Mais le produit phare de la maison reste le whisky. A l’origine, le Scotch puisque Jean Boyer avait d’étroites relations avec certaines distilleries écossaises. Ils pouvaient ainsi accéder aux meilleures sélections de fûts. La société est alors devenue un véritable embouteilleur indépendant de whisky qui choisit ses fûts et les embouteille individuellement. Ainsi chaque fût ne produira que 500 bouteilles environ qui sont uniques et rares. Le rhum, second produit moteur de Jean Boyer, provient de différentes régions de productions. Les fûts sont acheminés dans les Landes sur le site de l’entreprise afin d’y être préparés et conditionnés. Un concept assez novateur « Notre maison se distingue par sa forte réputation auprès des cavistes », déclare Dominique Ribéreau-Gayon. Et pour cause, l’entreprise a développé un concept qui plaît énormément chez les professionnels : le puits Jean Boyer. L’idée est de permettre au consommateur de venir remplir sa bouteille chez le caviste, directement au puits. « Nous fournissons à nos clients tous les éléments nécessaires pour respecter la réglementation. Ils n’ont pas à se préoccuper des aspects administratifs. Ce concept, que nous sommes les seuls à proposer, est totalement dans l’air du temps et connaît un franc succès », se félicite le propriétaire. ...
Chaque bouteille de spiritueux produite sur le Domaine Castel-Sablons est un hommage à la qualité du terroir et au cru Fins Bois. C’est sur ce sol emblématique que l’ugni blanc, un cépage tardif, à faible teneur alcoolique, et au taux d’acidité élevé, confère tous ses arômes et ses particularités à l’eau-de-vie obtenue. Distillateurs de finesse : le meilleur du Cognac Afin d’offrir le meilleur du terroir et perpétuer ainsi un héritage riche en saveurs, le domaine Castel-Sablons privilégie l’usage des techniques traditionnelles dans le processus d’élaboration du cognac. L’eau-de-vie obtenue à l’issue de la distillation du vin blanc est, en effet, élaborée dans un alambic traditionnel charentais à repasse et sera ensuite entreposée dans des fûts de chêne. C’est au sein de ces derniers que l’eau-de-vie vieillit pendant deux ans au minimum pour les jeunes cognacs et plus de vingt ans pour le vieux cognac. Parmi les fiers ambassadeurs du domaine, s’inscrit le VS Duc des Sablons, un jeune Cognac aux saveurs délicates et au caractère affirmé, parfait en base de cocktails ou long drinks. Agrémentez également vos instants gourmands d’un vieux cognac XO Hors d’Age Très Rare, un élixir aromatique, fidèle à son terroir et témoin d’un savoir-faire ancestral transmis de génération en génération. Bien ancré en Charente, le domaine de la famille Roux perpétue une recette traditionnelle charentaise : le brûlot charentais. Ce dernier consiste à flamber du café avec du cognac dans de la vaisselle spéciale que le domaine fournit également. La recette a été rebaptisée « La Flamme des Anges » en hommage à la « Part des Anges », le cognac s’évaporant des fûts lors du vieillissement. À l’issue de cette flambée d’un bleu éclatant, ce cognac à 58 ° d’alcool confère tous ses arômes caractéristiques au café, donnant à ce dernier des notes fruitées et vanillées. Il en découle alors une préparation exquise très faiblement alcoolisée idéalement appréciable en fin de repas. Découvrez les secrets de la recette. ...
Depuis plus d’un siècle, la famille Fagot élabore des champagnes d’une qualité rare qui font honneur à la réputation de cette boisson pétillante de saveurs. Réparti en deux terroirs – celui de la Rilly-la-Montagne et d’Hermonville –, le domaine de Michel Fagot profite des conditions exceptionnelles offertes par ses terres pour la production de ses vins de gourmandise dans le respect des plus pures traditions champenoises et des exigences de développement durable. Un vignoble classé premier cru Installé au cœur de la grande montagne de Reims, le vignoble de Michel Fagot occupe une superficie de plus de 15 hectares propices à la production de pinots noirs et de meuniers d’une grande finesse mais aussi d’excellents chardonnays. Grand passionné, Olivier Fagot, le premier responsable de la marque, se fait toujours un plaisir d’expliquer aux visiteurs comment « les vignes vont puiser leurs nutriments dans la terre » pour donner aux terroirs, donc aux champagnes, leurs « signatures olfactives typiques ». Une démarche qualité À partir de cépages à parts quasiment égales de chardonnay, de pinot noir et de meunier, la maison Michel Fagot produit des cuvées de premier choix dont le Blanc de Blancs Premier Cru, le Brut Rosé Premier Cru, le Millésime 2004 Premier Cru et surtout « Le Clos de Marzilly » qui est en quelque sorte l’ambassadrice de la marque. Afin d’atteindre un plus haut degré de perfection, celle-ci intègre dans ses outils de production aussi bien des cuves modernes que des pressoirs traditionnels tout comme des fûts tronconiques permettant d’ « adoucir un petit peu les vins » et de « rééquilibrer aussi l’acidité » selon les termes d’Olivier Fagot. Un partage de plaisirs Au détour d’un voyage en Champagne, le domaine se prête parfaitement à des visites empreintes de culture et de gourmandise pour le plus grand plaisir des œnologues en herbe. Ici, l’on peut s’initier aux techniques d’élaboration de champagnes, déguster les meilleurs crus de la marque et explorer ses différentes installations. Des moments de partage et de convivialité à la découverte d’un authentique propriétaire récoltant qui « défend un terroir, un savoir-faire », comme le souligne notre interlocuteur. ...
Île privée s’étalant sur 120 ha, Cavallo fait partie de ces endroits privilégiés mais surtout préservés de la côte Corse. Son histoire mais aussi sa situation au cœur d’une réserve protégée en font l’endroit idéal pour se ressourcer. Mais Cavallo, c’est bien plus que cela... Une salle de conférence moderne et polyvalente Depuis le débarcadère de Pianterella, l’île de Cavallo se trouve à 2km de la côte Corse. Bercée par les eaux cristallines de la Méditerranée, siutée entre le détroit séparant la Corse et la Sardaigne, l’île constitue le point le plus méridional de la France Métropolitaine. Unique hôtel de l’île, l’Hôtel & Spa des Pêcheurs est un lieu de choix pour les événements d’entreprise en Corse. Idéalement situé, il offre le temps d’une escapade un cadre idyllique pour des réunions d’affaires et professionnelles. L’hôtel dispose ainsi d’une salle de conférence moderne et polyvalente qui peut accueillir jusqu’à 80 personnes et est équipée d’un système de sonorisation et de microphones pour les orateurs. Des équipements audiovisuels de pointe, tels que des écrans de projection, des projecteurs et des systèmes de présentation sans fil, permettent aux participants de profiter d’une expérience immersive et interactive. Moderne et spacieusement agencée, cette salle dispose aussi de toutes les connectiques nécessaires pour assurer le bon déroulement des réunions. Pour les déjeuners, les pauses et les dîners, le restaurant de l’hôtel saura ravir les convives. Une table renommée, où se côtoient cuisine italienne et française. Mer oblige, les produits locaux ont la part belle. Pour des réunions plus personnalisées de moins de 20 personnes, pourquoi ne pas privatiser le bar de l’hôtel. Un décor de rêve pour travailler L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est bien plus qu'un simple lieu d'hébergement. Il se distingue par sa personnalité charmante et sophistiquée, offrant 50 chambres et suites conçues avec goût. Chacune de ces oasis spacieuses est dotée d'un balcon ou d'une terrasse privée offrant une vue imprenable sur les eaux scintillantes de la mer. Afin d’accompagner la planification de vos évènements professionnels, l’hôtel met à disposition son équipe de planification. De véritables experts qui s'efforcent de faire de chaque séjour un succès en aidant les entreprises à concevoir et à exécuter un emploi du temps parfaitement orchestré. De la coordination des services de transport aux réservations de dernière minute, en passant par l’organisation des journées, rien n'est laissé au hasard. L'équipe se consacre à chaque détail pour garantir que les participants vivent une expérience inoubliable. Pour renforcer la cohésion et l'esprit d'équipe des entreprises et des groupes, l'hôtel propose une multitude d'activités de team building stimulantes. Au choix, les sorties en mer sont une expérience incontournable pour ceux qui souhaitent découvrir la beauté enchanteresse de la mer Méditerranée. ...
A Moustiers Sainte Marie, le restaurant Le Jadis se présente comme un endroit de repos gustatif idéal après une journée touristique dans le parc naturel régional du Verdon. La maison privilégie les produits français comme la viande de bœuf, mais surtout locaux comme la chèvre bio de Moustiers et son fromage, l’agneau du pays élevé à proximité. Une cuisine traditionnelle Le restaurant Le Jadis propose une cuisine traditionnelle majoritairement fait-maison qui favorise les produits frais du terroir. Le Chef Romain Colin collabore avec les fournisseurs locaux pour s’approvisionner en chèvre bio, en agneau mais également la truffe lorsque c’est la saison. Très important, toutes les viandes sont exclusivement françaises (porc, bœuf, agneau). Tous ces produits régionaux sont préparés dans le respect des recettes traditionnelles. La carte et les menus proposent de succulentes suggestions. La salade du Verdon, un mélange de fromage bio de Moustiers, jambon cru, miel du producteur et des figues est l’une des signatures du restaurant. Les pieds et paquets, une spécialité marseillaise à base de panses et pieds d’agneau sont aussi proposés. Ces abats sont mijotés dans une sauce à la tomate, au vin blanc et aux herbes de Provence. La cuisson de cette recette doit être longue et à feu doux. Difficile de ne pas mentionner la fameuse côte de bœuf qui est la plus représentative de l’excellent rapport qualité-prix prôné par l’établissement. Les convives peuvent avoir 500 g de viande par personne pour 25 euros. Autre plat phare : la soupe au pistou qui est une soupe de Provence très parfumée et très nourrissante à base de basilic. La majorité des ingrédients sont composés de légumes à savoir les pommes de terre, carottes, haricots, haricots verts, courgettes et poireau. De la tomate est ajoutée avant une cuisson d’une heure. Pendant que le plat mijote, le basilic est préparé avec des gousses d’ailles, de l’huile d’olive, du parmesan et des pâtes. Cette soupe est meilleure lorsqu’elle est servie chaude avec du fromage rappé. Comme la maison veut combler tous ses convives, elle offre aussi des plats végétariens et bio comme les raviolis au tofu basilic, les pâtes bolognaises ou encore les gnocchis au broutin (spécialité fromagère bio à la sarriette et herbes de PROVENCE). Il ne faut pas oublier que Le Jadis est aussi une pizzeria. Les pizzas aux proportions généreuses ont une pâte fine et croustillante. Les ingrédients sont très variés, de quoi largement satisfaire toutes les envies. Un cadre authentique Le restaurant-pizzeria Le Jadis propose un cadre provençal, jovial et cosy. Des murs aux tables, en passant par les portes, tout est coloré. Dans la salle, le set de table a été créé par le faïencier Bruno Louis et la fresque murale qui représente le village donne une touche artistique. Au niveau du bar lounge, les vieux murs de pierres apparentes donnent un ton traditionnel quand les meubles apportent de la modernité. Dans ce village où le soleil est au rendez-vous toute l’année, la terrasse du Jadis est l’endroit idéal pour apprécier la tranquillité de cet environnement de charme. Un environnement préservé Les Gorges du Verdon, le plus beau canyon d’Europe, constituent un des plus beaux sites d’escalade de France grâce à ses falaises. Ils font partie des principales attractions touristiques de la Provence. Ce site grandiose appartenant au parc naturel régional du Verdon offre des panoramas immenses. Aux portes du canyon du Verdon, Moustiers Sainte Marie a gardé le charme des authentiques villages provençaux. Il est classé parmi les plus beaux villages de France et bénéficie du label « Villages et cités de caractère » grâce à son patrimoine architectural et paysager exceptionnel. Ce village est reconnu pour la création de faïence et ses décorations uniques, une dizaine d’atelier lui sont encore dédiés aujourd’hui. ...
Située à Nantes, LA TABLÉE prône une cuisine familiale et conviviale, inspirée par le partage d’un repas comme à la maison. Le restaurant se distingue par ses plats réalisés à partir des conserves de Sardines, Thons et Maquereaux de la Conserverie la belle-iloise. La décoration originale de la salle reflète bien cet esprit : maison de famille, thème marin, murs en pierre, meubles en bois clair, quelques touches de couleur rouge et jaune mélangées au bleu marin, des photos de famille et illustrations rappelant l’histoire de la Conserverie… Bref, un branding vraiment recherché invitant à une nouvelle découverte culinaire. Entre terre et mer En cuisine, le Chef Patrice Christodoulos fait preuve d’une grande créativité et d’ingéniosité pour révéler ce que l’on fait de mieux avec les poissons en conserve. « Ce sont des produits qui sont déjà travaillés, assaisonnés, et notre objectif est de cuisiner différemment pour offrir une cuisine de qualité originale à nos clients », explique-t-il. Avec d’autres ingrédients frais et rigoureusement sélectionnés à sa disposition, il peut laisser libre cours à son imagination pour élaborer des recettes savoureuses, raffinées et hautes en couleur. En plus des produits de la conserverie familiale, la maison travaille également avec des producteurs locaux. Ces derniers assurent l’approvisionnement en fruits et légumes, en viandes ou autres ingrédients. « Les matières premières sont fraîches et cuisinées sur place afin de vraiment sublimer nos plats », continue le Chef. Une carte du midi et une carte du soir Les menus s’adaptent au rythme de la clientèle. Avec la formule BBI à midi par exemple, à emporter ou à consommer sur place, le client va pouvoir choisir son burger maison parmi les cinq spécialités proposées, opter pour une boisson chaude ou froide, avant de terminer avec le dessert du jour. Le soir, des plats plus élaborés sont au rendez-vous à travers le menu Quiberon, avec au choix la terrine de foie gras au thon blanc germon accompagné d’un pain d’épices à l’émietté de Sardine des Bastides ou encore le pavé de thon blanc germon lardé braisé de cinq heures. « On se rapproche vraiment du civet, marinade de vin rouge et plantes aromatiques pour relever le goût !», reprend le Chef en décrivant ce plat. La carte Tapas où se côtoient croquetas de ratatouille au Thon fumé et accras de Maquereaux à la moutarde est disponible tout aussi bien le midi qu’en soirée. Le tartare de bœuf et Sardines à la Luzienne ou encore les Aubergines rôties au Brocciu et Sardines au citron coriandre viennent s’intégrer à la nouvelle carte de LA TABLÉE, pour ravir les gourmets. « Les gens aiment bien faire des découvertes, ils s’intéressent aux nouvelles choses », renchérit notre interlocuteur. Pour accompagner ces plats, le restaurant propose une carte de vins assez riche, où l’on y retrouve des vins de la région et des vins bio, le tout en rouge, en blanc et en rosé. Côtes-du-rhône, Menetou-Salon et Bourgogne pinot noir figurent parmi la sélection de rouges. En blanc, l’on cite les vins en appellation Muscadet-Sèvre-et-Maine et Gaillac. Le rosé AOP Côteaux-d’Aix-en-Provence complète la liste des vins qui marchent le mieux. LA TABLÉE privilège aussi les bières locales, à l’image de la Brigantine, une bière biologique fabriquée à Pornic. ...
À travers une tradition culinaire française à légère tendance méditerranéenne s’inscrit une carte diversifiée et soigneusement élaborée, où l’inspiration créative du chef en cuisine nous embarque dans un remarquable voyage plus qu’une expérience culinaire. Honneur aux produits locaux Travaillant au jour le jour et quasi à l’ardoise, le restaurant propose une cuisine de marché où les produits frais et locaux sont toujours à l’honneur. Grâce à une carte réduite de 6 entrées, 6 plats et 6 desserts, qui évolue au fil des jours et en fonction des saisons, l’établissement a l’énorme avantage de satisfaire autant les gourmands que les fins gourmets, dans un plaisir toujours renouvelé. Avec une carte des vins assez éclectique, où beaucoup de vins sont proposés au verre, l’établissement reste pour la plupart du temps sur les petits producteurs avec, de par ses origines, un léger penchant pour les vins du Languedoc, comme le Pic Saint Loup. « Nous travaillons avec des vignerons indépendants pour les vins de Bordeaux et de Bourgogne ; sinon pour tout ce qui est vins du Sud, Côtes-du-rhône, Roussillon et Languedoc, nous avons nos propres contacts », tient à préciser Pierre-Louis Cazes, gérant du restaurant, qui, avec sa femme, Céline Weber, fait tourner le restaurant avec l’appui d’un chef et d’un second. ...