Michel Monbouché vient d’une lignée de vignerons, et a voulu étendre l’exploitation familiale en rachetant la propriété en 1989. Envoûté par le charme de ce domaine viticole, le couple a progressivement entrepris une restructuration du vignoble de façon à l’adapter aux exigences qualitatives recherchées. Aujourd’hui, le domaine travaille 60 hectares de vignes, soigneusement répartis sur des terroirs à dominance argileuse et argilo-calcaire. Comprendre et aimer le terroir Les vignes du domaine sont situées sur des terroirs très variés et confèrent ainsi une certaine typicité à chaque vin. « Des analyses de sols faites sur l’ensemble du vignoble bergeracois m’ont permis d’adapter les cépages aux différentes types de sols et d’ainsi tirer profit au mieux des caractéristiques de notre terroir », explique Michel Monbouché. Les cépages blancs à l’instar de sauvignon, sémillon, et muscadelle, prédominent le vignoble à 65 %. Les rouges sont issus des cépages merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon. Le Château Ladesvignes applique les méthodes de l’agriculture raisonnée depuis plusieurs années. Certifié QUALENVI en 2011 et Haute Valeur Environnementale en 2013, le domaine mise sur une stratégie axée sur la préservation de l’environnement et la transparence des traitements des vignes. Toujours en quête de l’excellence, cette année le couple s’est engagé dans une démarche de reconversion pour obtenir le label Agriculture Biologique, « afin d’assurer la pérennité du sol et de la biodiversité ». Un engagement pris naturellement par ces amoureux de la terre et des vignes. Des vins haut de gamme Les vins AOC Bergerac se déclinent en blanc sec, en rosé et en rouge. Le côtes-de-bergerac rouge, un vin plus charpenté et de longue garde, ainsi que le côtes-de-bergerac moelleux 2016, un vin doux légèrement sucré, viennent compléter la liste. La cuvée emblématique reste sans conteste, le monbazillac Automne, plusieurs fois cité dans le guide Hachette des vins et récemment récompensée Médaille d’or au Concours général agricole de Paris 2017. «J’élabore ce vin uniquement les années où la nature nous permet d’avoir la pourriture noble bien sûr mais surtout le passerillage sur nos cépages sémillon et muscadelle, telles 2011 ou 2015 », dévoile notre interlocuteur. Il sera ensuite vinifié en barrique de 18 à 24 mois. Ce vin blanc liquoreux revêt une robe jaune or et enveloppe un arôme accentué de fruits confits. À la dégustation, il offre une attaque marquée et tout en finesse, avec une note de fraîcheur sensiblement sucrée. Idéal pour les amateurs de grands liquoreux. ...
Le Chant des Oliviers accueille ses convives dans un cadre décoré par le fameux Yannick Cinnelli. L’établissement de 52 couverts s’affiche ainsi dans un style baroque contemporain ; une véritable invitation à table. L’ambiance est à son apogée tous les premiers samedis du mois, quand le guitariste Willy éblouit les convives en interprétant le meilleur du répertoire musical français. Le fait maison à l’honneur « Cuisine du sud ou cuisine du soleil », un concept que le maître des lieux, Albert Eddassouki, se plaît à associer à la cuisine concoctée dans son restaurant. Les plats sont élaborés avec des produits frais, fournis et sélectionnés par des personnes de confiance, proches du propriétaire lui-même. « Aucun plat de l’industrie agroalimentaire ne sera servi dans votre assiette. Nous préparons tout nous-mêmes », lit-on sur la carte. Dans la gamme des entrées, notre attention se porte sur la salade de poulpe avec des oignons, un mets préparé avec des olives noires, de la coriandre ou encore des pommes Grammy Smith. Dans le registre des plats, le restaurant a bâti sa notoriété avec la noix de Saint-Jacques à l’orange purée. Un plat agrémenté d'un lot d’ingrédients de choix comme les épinards, les échalotes ou l’orange flambée au Grand Marnier avec de la purée de pommes Vitelotte à l’huile d’olive à la truffe. Pour le dessert, le Tiramisu Rose, une spécialité importée directement de Marrakech qui doit sa saveur aux biscuits de Reims roses, est une vraie invitation à la gourmandise. Une large sélection de vins Vins blancs, vins rosés, vins rouges… le restaurant Le Chant des Oliviers dispose d’un large choix cadrant parfaitement avec les saveurs de la cuisine du soleil. On note surtout certaines références, comme le bordeaux du Château Victoria, ainsi que le Saint-Joseph de la Vallée du Rhône. ...
Les vins et les produits du terroir en France Le vin fait partie de la culture française. Le pays compte 16 grandes régions vinicoles qui couvrent une superficie totale de plus de 835 000 hectares, des terroirs diversifiés et produit plus de 3400 vins différents avec plus de 1400 dénominations. Villette Œnologie & Gastronomie et les produits du terroir A travers un salon, le club événementiel met en relation des consommateurs potentiels avec des vignerons et des producteurs du terroir comme l’escargot, le miel, le thé et les épices, pour ne citer que ceux-là. Les saveurs proposées sont diverses et variées pour tous les goûts. Les exposants proposent des produits allant du plus salé au plus sucré. On trouve entre autres des produits italiens, corses, des escargots, de la charcuterie, du foie gras, des fromages, du chocolat, des confitures, des gâteaux…. Les prestations du club événementiel Il vend des espaces sous forme de stands aux prestataires (vignerons, agriculteurs et producteurs) qui proposent directement leurs produits aux invités. Comment participer au salon ? Comme l’alcool est interdit aux mineurs, le public ciblé est donc la frange 18 à 99 ans. Le salon ouvre le samedi 5 novembre 2016, de 14h00 à 20h00 et le 6 novembre 2016 de 10h00 à 19h00. L’entrée est gratuite sur invitation que V.O.G. et les prestataires partagent. Dans le cas contraire, elle ne coûte qu’1 €. Pour des mesures d’hygiène, les organisateurs proposent aux visiteurs un verre sérigraphié, au prix de 2 €. Pour sélectionner les exposants, V.O.G cherche à éviter les doublons. Ils sont choisis pour leur dynamisme et pour la qualité de leurs produits. « Nous voulons devenir un salon de référence à l’est de Lyon, nous souhaitons donc passer par la qualité » nous explique le secrétaire. Pour cela, V.O.G. sélectionne des appellations qui permettent que le choix soit exhaustif et fournisse aux visiteurs une vision pertinente du vignoble et des terroirs français. « On évite tout ce qui est revendeur et les produits vendus sur nos stands sont essentiellement artisanaux » selon les mots du coordinateur de l’événement. Les produits exposés sont uniquement des produits maison. Pour permettre aux participants de mieux vendre, VOG ne privilégie pas un exposant plutôt qu’un autre, ni un produit par rapport à un autre, car pour lui ce serait pénaliser les autres. V.O.G, une belle lucarne La manifestation est ouverte à tous les fins gourmets, depuis ceux qui apprécient le foie gras, les escargots et le fromage jusqu’à ceux qui aiment la charcuterie et les douceurs, en passant par les amateurs de vins et autres nectars qui viendront déguster et découvrir le vignoble français. Une ambiance festive et chaleureuse prévaut dans la salle d’exposition, car en novembre, les fêtes de Noel et du nouvel an approchent, c’est alors le moment idéal pour faire son marché. Des chefs d’entreprise profitent de cette opportunité pour acheter des cadeaux pour leurs collaborateurs et clients, des cavistes font le plein de leurs caves, des dames achètent du thé, des épices. Bref, le moment est bien choisi pour se préparer à la fête. Les exposants proposent des dégustations et d’autres animations. Par ailleurs, une tombola est organisée. Elle est caractérisée par des tirages au sort du billet d’entrée toutes les 20 minutes et le gagnant récupère directement son lot sur le salon. Le bar à huitres rencontre tous les ans un vif succès sur les deux jours. ...
Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste, ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il. Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...
L’histoire des champagnes Taittinger commence en 1734 quand Jacques Fourneaux entame son activité de négociant en vins. C’est à cette époque que les vins effervescents commencent à s’imposer. Il travaille alors avec des abbayes bénédictines qui possèdent les plus beaux vignobles champenois. La famille Fourneaux s’associe au début du XIXe siècle avec la famille Forest pour continuer à produire des grands crus millésimés comme le Vin de Sillery ou le Vin de Bouzy. En 1932, suite à la crise de 1929, Pierre Taittinger rachète le château de la Marqueterie. Cette propriété dont les vignobles sont plantés en chardonnay et en pinot noir appartenait à la maison Forest-Fourneaux. Avec l’aide de son beau-frère Paul Evêque, ils créent la marque Taittinger et développent la production de champagne. Sous la présidence de François, le troisième fils de Pierre, la Maison Taittinger installe son siège social sur la butte Saint-Nicaise. Il y est toujours établi aujourd’hui. En 2006, Pierre-Emmanuel Taittinger rachète la maison de champagne éponyme après un court passage dans le giron de Starwood Capital. Ses enfants Clovis, directeur du département export, et Vitalie, directrice artistique, l’accompagnent dans cette entreprise familiale. Aujourd’hui, les vignobles se composent de multiples parcelles réparties sur 288 hectares, avec 37 crus différents et une prédominance du cépage chardonnay. La maison Taittinger emploie 220 personnes et produit six millions de bouteilles par an dont 70 % sont distribuées à travers le monde. Visite des caves Saint-Nicaise : un vrai parcours historique Après la diffusion d’un film vidéo présentant l’histoire de la maison, un guide vous présentera les secrets de la production du champagne. Ce voyage dans le temps vous mènera tour à tour dans les vestiges de l’abbaye Saint-Nicaise datant du XIIIe siècle, puis à dix-huit mètres de profondeur, dans de somptueuses crayères gallo-romaines faisant partie des coteaux, maisons et caves de champagne inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. À l’issue de la visite des caves, vous pourrez admirer la Taittinger Collection. L’ensemble des différentes bouteilles sont décorées par des artistes de renom, tels que Roy Lichtenstein ou Victor Vasarely et plus récemment le photographe brésilien Sebastião Salgado. La dégustation : un instant de plaisir La Maison Taittinger vous offre la possibilité de choisir entre différentes formules de dégustation qui vous permettront de déguster une ou plusieurs cuvées. L’instant Premier : la cuvée Brut Réserve issue d’un assemblage de 40 % de chardonnay, 35 % de pinot noir et de 25 % de pinot meunier, vieilli de trois à quatre ans en cave. Cette formule coûte 19 €. L’instant Dévoilé : vous pourrez goûter en plus du Brut Réserve un autre champagne de la Maison Taittinger. Le Prélude Grands Crus assemblé à partir de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir, une cuvée aux saveurs d’agrumes et de pêche blanche. Le Prestige rosé composé de 30 % de chardonnay et de 15 % de vin rouge tranquille, un champagne plus fruité, vif et gourmand. Ou encore le Brut Millésimé 2012, à l’intensité aromatique étonnante procurée par les vins de première presse de chardonnay et de pinot noir. Cette formule coûte 30 €. L’instant Signé : là, vous aurez l’occasion de découvrir, en plus du Brut Réserve, le fleuron de la maison Taittinger, la cuvée Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Ce Blanc de Blancs issu exclusivement de la prestigieuse côte des Blancs est vieilli dix ans dans les caves de l’Abbaye Saint-Nicaise, le temps nécessaire pour élaborer un champagne exceptionnel à la fois tout en finesse et en maturité. Cette formule coûte 40 €. L’instant Absolu : vous pourrez savourer trois flûtes dont une flûte de Brut réserve, une flûte de Prestige rosé ou Prélude Grands crus ou Brut Millésimé, et une flûte de Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Cette formule coûte 45 €. ...
Dans une grande salle lumineuse se dressent des tables soigneusement alignées et habillées de nappes blanches, prêtes à accueillir les assiettes colorées et savoureuses. Dans ce cadre au charme atypique, l’odeur enivrante du fameux cassoulet de Castelnaudary s’échappe de la cuisine. Un avant-goût prometteur dont les convives peuvent se délecter, bien que la maison propose aussi plusieurs plats typiquement toulousains. Les réjouissances peuvent s’achever sur une bonne tasse de café, un autre produit qui fait la réputation de la maison depuis 1984. Une cuisine originale aux accents du Sud-Ouest À découvrir en plein centre de Toulouse, au 14 rue Bayard, le restaurant Le Colombier est une excellente adresse pour les adeptes de la cuisine traditionnelle. Au centre des saveurs, des produits du terroir sont mis en avant. Le foie gras, le jambon d’Espagne ou encore le saumon fumé maison rythment les plats. Un bon compromis entre la cuisine locale et des créations personnelles est proposé par les cuisiniers. Cette harmonie peut se retrouver dans la carte. À midi, l’établissement propose un condensé de gourmandises avec une entrée de foie gras, un cassoulet au confit d’oie et la croustade aux pommes en guise de dessert. Autant d’émotions en bouche pour confirmer la réputation du Colombier. Le restaurant sélectionne également les meilleurs vins de la région, pour une expérience plus jouissive. Il s’approvisionne directement chez les viticulteurs locaux, dans une volonté de privilégier le circuit court. Les vins des terroirs du Sud-Ouest et près du Languedoc Roussillon enrichissent une carte aux nombreuses références. La passion et la qualité La maison est également guidée par une passion qui évolue au fur et à mesure du temps. Ses menus sont empreints d’élégance et de technique. Les déclinaisons de plats proposées par le restaurant laissent transparaître un choix très strict pour les bons produits. Le soin est apporté à la présentation de l’assiette, tout comme au mariage des saveurs. ...
Véritable patrimoine gastronomique français, le fromage traverse les siècles et se redécouvre ici au travers d’une large gamme de produits affinés de manière artisanale. C’est en 1871 que l’épopée familiale commence pour se perpétuer jusqu’à aujourd’hui grâce à un attachement à des valeurs telles que l’authenticité, la rigueur et l’excellence. Pionnier de l’affinage effectué dans le respect de la tradition, avec un brin de modernité, la Maison Losfeld se veut être la fière ambassadrice de la richesse gourmande de sa région. Une identité séculaire… Nous sommes au XIXe siècle. « Alors ouvrier, César Losfeld décide de se reconvertir, sous les conseils bienveillants de sa femme, Sophie-Adélaïde, dans le commerce de fromage. En vendant leurs produits en faisant du porte à porte auprès de la bourgeoisie d’antan, César Losfeld se découvre une passion qui va grandir au fur et à mesure à l’image de son petit commerce. Ainsi naquit la maison César Losfeld », nous raconte Monsieur Losfeld, quatrième génération de cette famille animée par le désir de partager les bonnes choses. Avec le temps, les fromages, en pâte dure ou en pâte pressée, seront affinés par la petite entreprise qui, pour répondre à l’essor du marché, décide d’acquérir de nouvelles caves plus spacieuses et dotées de la température idéale pour un affinage réussi. Ces nouvelles caves seront situées dans une ancienne usine textile sise à Roubaix dans laquelle l’affinage continue de se faire jusqu’à aujourd’hui. Ce patrimoine très bien conservé s’est doté d’un équipement moderne afin de faciliter l’acheminement du fromage, son affinage, son entreposage et sa distribution tant auprès des particuliers qu’auprès des crémiers. Afin de garantir, par ailleurs, la qualité et l’origine des précieuses meules, l’entreprise a pris, à partir des années 90, une nouvelle orientation marquée par un partenariat avec les fromagers et les fermiers locaux. De plus, l’affinage des fromages se fait sur des planches en bois de sapin avec un retournement et un brossage manuel qui favorisent le goût corsé et typé de chaque fromage, succulence rehaussée par une maturation longue de deux à vingt-quatre mois. Ces soins artisanaux et ces origines à la traçabilité fiable font ainsi l’identité et la renommée de la Maison Losfeld dont la réputation dépasse désormais les frontières françaises grâce à l’exportation de ses produits vers l’extérieur, notamment vers les États-Unis et le Japon. L’affinage… Ce savoir-faire, permettant aux cirons et aux acariens de grignoter la croûte du fromage et de faire ressortir l’humidité de chaque meule, est transmis de génération en génération et fait la fierté de la famille Losfeld, qui s’est donnée pour mission de valoriser les fromages locaux et régionaux. « Fondées sur l’affinage et la sélection du fromage, allant du négoce à l’achat, les activités de l’entreprise sont désormais axées sur l’affinage de pâte pressée à l’instar de la mimolette, produit phare de la maison, ou du pavé du Nord, un fromage en forme de pavé et doté d’une pâte pressée, spécialité créée il y a de cela vingt-cinq ans », reprend notre interlocuteur. Affinant également des fromages à pâte orangée tels que le géant des Flandres ou le gouda, Losfeld propose tout un éventail de produits inclus dans la gamme La Reine du Nord. ...
Situé entre la rue des Minimes et la rue du Docteur-Leroy, ce salon de thé à l’allure épurée et minimaliste est un vrai petit coin de paradis. Suivant le credo de la maison, les deux associés japonais retravaillent à leur manière la pâtisserie et la cuisine japonaise. Une pâtisserie à la sauce nipponne Après plus de 15 ans d’expérience au Japon et 5 ans en France, le chef pâtissier Masatoshi Takayanagi décide de s’associer avec Chisa Ogawa pour ouvrir l’établissement Takayanagi au Mans. Le chef, dit Taka, fait de cet endroit un véritable laboratoire où il concrétise sa créativité fertile. Il s’autorise presque tous les mélanges d’ingrédients possibles, bien sûr en toute connaissance de cause. La légèreté de ses pâtisseries françaises revisitées à la japonaise révèle des saveurs qui sont à la hauteur de l’ambition du chef Taka. Tous les produits du Takayanagi sont créés et faits maison à partir de produits frais. Le chef remplace certains composants des pâtisseries françaises par des ingrédients typiquement japonais, comme le haricot rouge qui est « la base de la pâtisserie traditionnelle japonaise », les agrumes yuzu et sudachi, ou encore les thés matcha et hoji. Le sucre est volontairement modéré pour accentuer le gout des composants. Le meilleur ambassadeur de cette association de saveurs françaises et nipponnes est sans doute le « Paris-Tokyo » : une pâte à choux agrémentée de crème pralinée et de sésame et garnie de pâte de haricots rouges. Les autres gâteaux et tartes n’attendent que d’enchanter vos papilles. La maison vous suggère une formule boisson et gâteau individuel à 6 € à l’heure du thé. Une cuisine japonisante La cuisinière-gérante japonaise Chisa Ogawa s’est installée en France depuis 25 ans. Elle touche un peu à tout et multiplie les rencontres. À la croisée des chemins, elle fait la connaissance d’un grand chef pâtissier du nom de Takayanagi. Cette rencontre particulière a donné naissance au salon de thé sarthois qui propose en même temps boisson, pâtisserie et plat du jour dans un cadre simple, avec une décoration zen. Elle vous y suggère une cuisine familiale japonaise, qu’elle préparait autrefois pour sa famille. L’excellente cuisinière du Takayanagi concocte chaque jour un plat unique avec de bons ingrédients adaptés à la gastronomie nipponne, pour le grand plaisir des gourmets. La présence très remarquée du riz dans les assiettes rappelle cette couleur asiatique. Régalez-vous du sushi revisité : saumon poireau, avocat mayonnaise et poulet concombre sur lit de riz vinaigré. Succombez au plaisir du plateau tendon (beignet de légumes et crevettes sur du riz), accompagné d’un petit bol de soupe miso. Et en dessert, goutez par exemple à la crème de mangue ou au fraisier. Vous pouvez évidemment y ajouter une boisson chaude, froide ou gazeuse selon votre préférence. Un partage de culture Les néophytes se réjouiront de savoir que les deux artistes de la maison Takayanagi offrent chaque mois différents cours sur les bases simples de la cuisine japonaise. Les séances sont programmées un vendredi soir par mois, de 18 à 20 heures. Les places sont limitées à 7 personnes pour la convivialité. Pour la cuisine, cela va de la cuisson de riz à la japonaise jusqu’aux idées de verrine pour les fêtes de fin d’année, en passant par les différents repas complets japonais. Côté pâtisserie, le chef Taka vous apprend les recettes pour une pâte à choux, une crème pâtissière et une chantilly parfaite. Les apprentis suivent les enseignements en petit comité dans une ambiance décontractée. Venez avec un tablier pour apprendre les astuces pour bien réussir vos gâteaux à la maison, ou pour donner à vos mets un brin d’exotisme et de fantaisie à la japonaise. Chaque participant emportera son exploit pour le faire gouter à sa famille. Ce cours peut également être offert en cadeau à un proche, en le précisant lors de l’inscription. Il n’...
Repris en 2009 par Didier Veysset, le restaurant Buldo est un établissement centenaire possédant une terrasse sur l’eau, unique à Lyon. En effet, grâce à son ponton sur pilotis, pouvant accueillir jusqu'à 90 personnes, Buldo permet de se restaurer et de se détendre sur les bords de la Saône. A deux ou en famille, il est possible de passer un moment de tranquillité ou de faire la fête. D’ailleurs, une salle de 20 à 70 personnes au premier étage peut être privatisée à l’occasion d’une communion, d’un baptême ou d’un anniversaire. Une cuisine copieuse et savoureuse Lieu de la convivialité et de la bonne chère, le restaurant Buldo propose une cuisine traditionnelle et familiale, notamment avec les grenouilles, proposées dans le menu à volonté bien connu des habitués. Des surprises culinaires sont à prévoir, grâce au chef et ses plats mitonnés, un délicieux mélange de saveurs inhabituelles, savouré de façon copieuse, dans une ambiance rendu agréable notamment par la qualité et la sympathie du service. Un cadre agréable et instructif Situés dans le 9ème arrondissement, le restaurant Buldo et ses terrasses offrent une vue imprenable sur l'Île Barbe, classée à l'UNESCO, Centre du Patrimoine Mondial. Véritable amateur d'art contemporain, le restaurant Buldo soutient l’œuvre du défunt artiste lyonnais Jean Couty en prenant l'initiative d’offrir la possibilité à sa clientèle d'accéder à son œuvre et de découvrir ou redécouvrir son univers à un prix réduit. Une belle manière de joindre l’esthétisme à la curiosité grâce à un cadre profitant d’un paysage idyllique et de la formidable œuvre d’un artiste lyonnais. ...
Champagne GREMILLET compte parmi les plus belles réussites de son secteur. La maison ne revendique pas une longue histoire (1979) mais au contraire se veut contemporaine et innovante. Elle s’est construite vite et continue avec passion et optimisme son ascension au travers des 500 000 bouteilles annuelles exportées dans le monde. Une viticulture respectueuse de l'environnement et une volonté constante de créer et favoriser la biodiversité. Une terre bénie Le domaine est planté à 85 % en pinot noir, cépage roi de la région et bénéficie d’approvisionnements en chardonnay issu des plus beaux terroirs de Champagne dont Crament en grand cru. Les assemblages qui en découlent donnent naissance à une gamme de 8 champagnes tous empreint de fraîcheur et d’élégance. Des champagnes pétillants pour tous les goûts Anne GREMILLET de la maison éponyme ( qui donne son nom à) fait l'éloge du « Blanc de noirs » de la collection « Les Purs » qui est composé à 100 % de pinot noir. La viticultrice le désigne comme « le fer de lance de la maison » et le plus représentatif du terroir aubois. La fille du fondateur souligne également « la cuvée Évidence » de la collection « Les Uniques ». Depuis quelques semaines, cette cuvée se présente dans un luxueux flacon aux formes arrondies qui exprime la volonté de présenter des produits haut de gamme qui s’inscrivent parmi les plus grandes cuvées de Champagne. Une cuvée composée à 100 % de chardonnay dont un tiers est vinifié en fût de chêne. Un élevage minutieux qui optimise les qualités organoleptiques de ce nectar des dieux dont l'arôme grillé et bien toasté fait le bonheur des œnophiles et gastronomes. Circuit aménagé pour l’œnologie La maison propose un circuit-visite bien pensé pour les amateurs d’œnologie. Tout commence par la visite du Clos Rocher, l’un des rares en Champagne. Il s'agit d'une parcelle de 1,40 hectare plantée de pinot noir et close de murets et grille en fer forgé. La cuvée qui en est issue repose tranquillement en cave et sera commercialisée pour la 1ère fois en 2019. Elle devrait être le fleuron de la maison et en asseoir sa réputation. S'ensuit la visite de l'Arboretum, jardin original où Jean-Michel Gremillet à planté 82 arbres de diverses origines en hommage aux pays qui consomment les champagnes de la maison. Le circuit continue au cellier et permet la découverte au plus près du pressoir, des cuves, des ateliers de dégorgement et du musée de la vigne et du vin. La visite s'achève au showroom avec un splendide panorama sur le vignoble et la dégustation commentée de 3 cuvées maison. « Tous vos succès méritent un Gremillet » Un champagne pour tous ceux qui osent rêver et entreprendre… ...
La brasserie Les Éclusiers se situe à Henridorff, entre Sarrebourg et Saverne, proche du camping du plan incliné d’Arzviller. Les clients sont reçus dans un cadre authentique : une grande salle au style contemporain agrémenté par une décoration épurée, une terrasse bien spacieuse avec vue panoramique sur le paysage. Le Chef Nicolas Kohler et son équipe promettent un moment agréable dans une ambiance décontractée que ce soit en salle ou à l’extérieur. Un endroit théâtre de sorties entre amis, rendez-vous en tête à tête ou même repas en famille. Une cuisine du terroir La carte ainsi que les menus du jour mettent en valeur une cuisine du terroir. « La carte est renouvelée trois fois par an au gré des produits de saison », nous explique le propriétaire Frédéric Beno, cuisinier de métier. En entrée, l’on redécouvre la terrine campagnarde maison ou le carpaccio de bœuf façon Fritz, des classiques mais un régal garanti à chaque dégustation ! En résistance, les clients peuvent opter pour des plats à base de poissons frais, telle la truite aux amandes de vivier, pêchée à la minute. Pour les amateurs de viandes, la carte propose un savoureux faux-filet de viande charolaise ou encore de l’entrecôte Angus bien tendre. Un plus non négligeable : « La cave à maturation pour les viandes », révèle le chef. Au passage, difficile de résister au cordon-bleu de veau avec sa crème faite maison. Pour terminer, la bûchette exotiko aux fruits et autres créations sucrées de la maison signées par le pâtissier Cédric Jacob achèvent en beauté le périple culinaire. Les menus suggérés sont inspirés par les produits frais du marché et se déclinent en quatre, dont un menu enfant. Les plats typiques de la région sont au rendez-vous : quiche lorraine, joue de bœuf à la bière, rognon de veau flambé à la crème, Kougelhopf et baba au rhum. Avec le menu Découverte, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule entrée, plat et dessert. Pour un accord mets et vin réussi, la brasserie Les Éclusiers sélectionne une vingtaine de références en vins français. L’on cite notamment les vins alsaciens, des côtes-du-rhône ou des bordeaux. Au plus près des producteurs locaux Labélisée « maître restaurateur », la brasserie Les Éclusiers s’engage dans une démarche locale et s’approvisionne en produits frais directement auprès des producteurs de la région. La maison travaille avec la pâtisserie Reutenauer et la boulangerie tabac-presse Rein Chistian pour garnir son café gourmand. En outre, la pisciculture Messang située à Abreschviller assure la livraison en produits marins. Côté boisson, la maison possède sur place une branche dédiée à la fabrication de bières artisanales. « Nous élaborons trois types de bières à la pression : blonde, blanche et ambrée », reprend Frédéric Beno en présentant fièrement ces produits que les clients sirotent avec grand plaisir. ...
Situé à 30 min de Bordeaux sur les coteaux surplombant la rive droite de la Garonne, le Château Loupiac-Gaudiet est une propriété viticole exposée plein sud en AOC Loupiac. Entourée de vignes, le château s’étend sur un domaine d’une superficie de 29 hectares, dont 27 en production de vin blanc liquoreux et 2 en bordeaux rouge. Bénéficiant d’un sol argilo-calcaire et d’un climat marqué par des brumes matinales et des après-midis ensoleillés, les conditions météorologiques sont réunies pour favoriser le développement du Botrytis Cinerea. Un champignon qui attaque directement la graine du raisin, fait sortir l’eau à l’extérieur du fruit pour lui donner une richesse en sucre et un aspect « rôti » aux tons violacés virant au marron bleu profond lors des vendanges successives (2 à 4) qui peuvent se dérouler sur une même parcelle. Comme nous l’explique Nicolas Sanfourche : « C’est avec toutes ces conditions que nos vins sont naturellement sucrés. Une fois que l’on a transformé une certaine partie du sucre en alcool, il nous reste du sucre naturel qui permet de faire des vins liquoreux. » Château Loupiac-Gaudiet : des vins en AOC Loupiac L’appellation d’origine contrôlée Loupiac s’étend dans son ensemble sur 350 hectares environ et regroupe une cinquantaine de producteurs. Cette appellation est très appréciée depuis longtemps pour la justesse de son travail et pour ses vins liquoreux. Initialement reconnue par décret du 11 septembre 1936, l’appellation Loupiac porte déjà ses origines au IVe siècle, à l’époque de la Gaule romaine où le poète Ausone aimait chanter les louanges de la vigne et de ce terroir si particulier. Le vignoble est un assemblage de cépages à 90 % de sémillon et 10 % de sauvignon. Le sémillon, cépage roi des vins de Loupiac et du Château Loupiac-Gaudiet, est originaire de la Gironde. Il permet de produire des vins blancs essentiellement liquoreux de très grande qualité et ayant pour principal atout de retransmettre dans le gout de son vin l’expression de sa maturité et son côté très fruité. Le sauvignon, quant à lui, est un cépage blanc qui, en accord avec le cépage frère du sémillon, permet dans l’assemblage des vins de Loupiac d’apporter fraicheur et minéralité avec des arômes de fruits blancs. Une alchimie complexe qui permet de produire des vins de grande qualité, riches naturellement en sucre, dotés d’une structure élégante soutenue par une délicate acidité. « Nos vins se bonifient avec l’âge et correspondent au gout que nous souhaitons y trouver », souligne Nicolas Sanfourche. « De manière générale, un vin liquoreux jeune sera davantage porté sur le fruit, plus vif, plus acidulé, plus nerveux et facile à boire. Un Loupiac d’une dizaine d’années gagne en complexité avec une palette aromatique subtile de fruits confits, d’abricot, d’eucalyptus et des notes d’agrumes. En bouche, une longueur onctueuse, ample, révélant des sucres encore bien présents, avec des sensations étonnantes et, au final, une légère acidité qui apporte un côté minéral et une fraicheur au vin. » Bien qu’ils peuvent se boire jeune, après un vieillissement de 2 ans au minimum, les vins en AOC Loupiac possèdent un bon potentiel de garde. 15 ans et plus pour les grands millésimes. Château Loupiac-Gaudiet 2010 : un millésime de grande qualité Comme ses vieux ainés 1929, 1949, 1959, l’année 2010 est classée parmi les millésimes d’exception à privilégier. La presse spécialisée, dont le célèbre guide des experts du vin Gilbert & Gaillard (2014), a d’ailleurs attribué au Château Loupiac-Gaudiet 2010 une note de 85/100, en le classant comme « un vin de très bon niveau, dont nous avons apprécié la typicité et la personnalité ». Il a été également retenu parmi les 5 liquoreux à découvrir dans la Revue du vin de France de juin 2010 et a reçu deux étoiles au Guide Hachette 20...
En septembre 2014, Charles Danet et Agnès Peyre ont ouvert le restaurant Le Timbre, situé à proximité du Jardin du Luxembourg et du quartier Montparnasse. Ce restaurant porte bien son nom puisqu’il est agréablement étroit, de la taille d’une salle de séjour. Il peut accueillir jusqu’à 22 personnes. Les tables en bois disposées côte à côte en deux rangées renforcent l’ambiance intimiste et conviviale du lieu. Dans la cuisine ouverte sur la salle, seul le chef Charles Danet s’expose aux regards pour concocter votre repas. Après l’Australie et Bruxelles, il met toute son expérience au service d’une cuisine de bistrot personnelle et innovante. Il excelle dans les méthodes de cuisson, notamment la basse température. Pas de carte, des menus fixes L’établissement propose uniquement des menus fixes, renouvelés toutes les 2 semaines. À midi, vous avez le choix entre le menu à 23 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, et le menu à 28 €, incluant une entrée, un plat et un dessert. Le soir, également 2 formules : à 36 € avec une entrée, un plat et un dessert ou à 45 € avec 2 entrées, un plat et un dessert. Les plats phares, le pigeon désossé cuit à basse température et la poitrine de cochon caramélisée au gingembre, sont plébiscités par les clients. Mais vous pourrez peut-être y déguster un filet de merlu de ligne avec une émulsion à l'ail des ours ou un maquereau mariné, huile d'orange et eau de tomate verte. Tous ces plats sont mariés avec subtilité à des légumes de saison. Vous serez également conquis par les desserts comme les figues rôties servies avec une glace Panettone maison ou le crémeux au chocolat NYANGBO 68% et noisettes du Piémont. Notons également les fantastiques truffes noires du pays de Forcalquier en saison. Une carte des vins composée avec passion Agnès Peyre a mis sa touche personnelle pour composer la carte des vins. Elle offre une sélection de domaines qui mettent en avant le travail de vignerons de petites propriétés, travaillant en agriculture biologique, en biodynamie, ainsi que certains vins « nature ». Vous découvrirez, par exemple, La Roche aux moines de Clément Baraut, des blancs du Jura de Jean-François Ganevat, des bourgognes de Sylvain Pataille et Fanny Sabre, des vins du Basque Imanol Garay ou du Languedocien Romain Portier. Chaque jour, des vins au verre sont suggérés : 3 rouges, 3 blancs et 1 rosé. ...
Nous sommes en 1982. Issu de la lignée des premiers vignerons de la famille Rollin, attachés à leur terre et produisant du vin pour les plus grandes maisons de champagne, Monsieur Rollin décide de créer sa propre marque en produisant des cuvées typiques du terroir au sol argilo-calcaire de la vallée de la Sarce. Sa fille, Sandrine Braux et son mari Eric Braux, ont repris le flambeau en 2010, et perpétuent cet héritage en mêlant tradition et modernité. Des cuvées purement traditionnelles D’emblée, nous nous retrouvons dans un vignoble de six hectares sur lequel sont cultivés les deux principaux cépages champenois, avec la prédominance du pinot noir. Une fois les vendanges manuelles effectuées, ces cépages subissent une transformation suivant un procédé de vinification artisanale. La maison tient à préserver les traditions, tout en accélérant le processus de modernisation. S’ensuit alors la production de 8 cuvées différentes de qualité aux goûts relevés rappelant la diversité des saveurs du terroir champenois. Du champagne de qualité en préservant l’environnement Parmi les cuvées d’exception de la gamme Rollin, la cuvée Grande Réserve sort du lot. Il s’agit d’un champagne élégant et mature à souhait, ponctué de notes trés fruitées. Pour un apéritif, optez pour l’Or Noir, un 100 % pinot noir équilibré et doté d’une finesse aromatique sans égal. Ce champagne de qualité est élaboré suivant des procédés respectueux de l’environnement, ce qui a valu à la maison Rollin l’octroi du label national de viticulture durable « Terra Vitis » en 2012. ...
L’hôtel-restaurant Tante Yvonne propose une cuisine du terroir préparée avec soin et qui fait la part belle aux produits locaux. Par ailleurs, pour ceux qui ne sont pas très « viande », du poisson et des crustacés sont également proposés à la carte (bar de ligne, coquilles St Jacques, maquereaux, poissons de roche…) L’endroit est tout indiqué pour ceux qui aiment concilier villégiature de charme et plaisir du terroir. Une institution familiale aux charmes intemporels Depuis 1959, l’établissement a connu trois générations. C’est Yvonne, la grand-mère, qui s’est lancée la première dans l’aventure. Ensuite, ce fut le tour de Michel, le père et aujourd’hui c’est son fils Bernard qui a pris les rênes… et les fourneaux aussi ! En compagnie de Cathy, ce dernier accueille les fins gourmets dans une authentique demeure du XVIIIe siècle. Pour conjuguer le passé au présent, la maison s’est permis quelques petites retouches ici et là. Remise au goût du jour, l’ambiance se décline dans un style « chic & rustique » : sol en parquets, murs aux couleurs pastel pour plus de douceur, luminaires en bois naturel et fauteuils aux tissus chamarrés. Les adeptes du cocooning sont prévenus, il fait bon vivre chez Tante Yvonne. Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, aménagée à l’ombre de grands platanes, une magnifique terrasse spacieuse leur promet quelques moments de pure évasion, hors du temps. Une cuisine du terroir comme on les aime Avec sa table semi-gastronomique, la maison a déjà conquis le cœur des Quincerots. Les épicuriens de passage apprécieront une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits du terroir. Escargots, volailles, grenouilles, poularde… la fraîcheur est au rendez-vous avec des produits dégotés auprès des producteurs locaux. En cuisine, le chef Bernard, toque blanche lyonnaise, s’interdit tout gaspillage, « tout est utilisable », clame-t-il. Parmi ses spécialités, le poulet aux écrevisses, dos de bar de ligne rôti, pâté en croûte de gibier au foie gras ou les grenouilles fraîches en persillades sont les plus appréciés des fins gourmets. Sans oublier des plats typiques comme le filet de bœuf poêlé avec l’os à moelle ou escargots avec des ris de veau, toujours servis avec générosité. Chaque semaine, la maison propose un menu au retour du marché avec une entrée du moment ou des œufs meurette à la bourguignonne, un poisson ou viande du moment et un dessert du moment ou une assiette de fromage. Chez Tante Yvonne, le plus difficile c’est de choisir ! Entre le menu Tante Yvonne, le menu terroir, le menu 3 générations et le menu enfant, chacun y trouve son compte. Côté vins, la maison présente une carte qui fait honneur aux producteurs locaux avec du beaujolais, bourgogne et côtes-du-rhône. Enfin, l’établissement assure également des prestations traiteur. « Nous offrons un service traiteur pour les mariages, anniversaires, soirées privées entre Lyon et Villefranche-sur-Saône et, en général, dans tout le Rhône et les alentours », explique Philippe Ciamous, responsable de la communication. ...
Installé sur les hauteurs de Chiroubles et dominant la Vallée de la Saône, au cœur des dix crus du Beaujolais, le Château de Javernand a pris ses quartiers dans une belle maison bourgeoise d’inspiration italienne datant de la fin du XVIIIème siècle où il fait bon vivre avec sa grande terrasse ombragée par un noyer centenaire. Blottie dans un environnement naturel et coloré donnant sur la vallée, elle est devenue le berceau de la production de vins d’exception exprimant toute la beauté de leur terroir. Le meilleur du Beaujolais et de la Bourgogne La famille Fourneau se passionne pour les vins depuis maintenant une centaine d’années. Un héritage qu’elle reçoit d’Auguste Faye en 1917. En 2011, la 5ème génération reprend les rênes du domaine. Arthur Fourneau, déjà actif depuis quelques années est rejoint par sa cousine Mathilde Pénicaud et son mari Pierre Prost. Ensemble, le trio donne une nouvelle dynamique au Château de Javernand. Sur les 55 hectares d’un seul tenant, une vingtaine sont dédiés à la vigne. Le reste étant planté d’arbres et constitué de pâturages pour les vaches limousines et charolaises ainsi que les moutons. Le terroir de Javernand se distingue par ses coteaux granitiques et ses sols peu profonds sur « saprolite », du sable découlant du granite rose sur lequel le gamay noir s'exprime parfaitement. Grâce à une altitude entre 400 et 500 mètres, les vins révèlent plus de fraîcheur et d’équilibre. Depuis 2014, Javernand exploite aussi 3 hectares de vignes en Mâconnais composées de chardonnay et de pinot noir donnant des vins à la belle fraîcheur et minéralité. L'ensemble du domaine est en conversion progressive à l'Agriculture Biologique depuis 2018. Travailler dans le respect du sol Pour Javernand, l’objectif est d’aller au-delà du bio : via une démarche agroécologique, il vise un système de production équilibré, à la fois performant et durable, permettant d'améliorer la fertilité et la vie des sols, de renforcer la biodiversité déjà bien présente sur le domaine, mais aussi de mieux stocker/mobiliser l’eau et d'amortir les extrêmes climatiques… L’utilisation des couverts végétaux est une technique plébiscitée au domaine pour son intérêt agronomique. Au cœur de l’agriculture de conservation des sols, cette méthode permet d’enrichir la terre en matière organique, de la protéger contre l’érosion, de fixer et restituer l'eau et les éléments fertilisants aux sols. À Javernand, l’équilibre agroécologique passe aussi par l’agroforesterie. Ces deux dernières années, le domaine a planté plus de 1000 arbres sur ses terres : haies champêtres et arbres au coeur des parcelles (pratique appelée vitiforesterie). « Nous sommes un des domaines pionniers en Beaujolais [...]. Nous travaillons à la mise au point et au développement de ces pratiques au sein d'un collectif de vignerons », déclare Arthur Fourneau. Une sélection de cuvées de haute volée En plus de proposer 4 cuvées de Chiroubles aux profils variés, la maison produit également une grande diversité de vins : Mâcon-Villages et Bourgogne Blanc, Mâcon Pinot Noir, Rose de Gamay et un crémant de Bourgogne. Leur conception se fait de la manière la plus vertueuse possible. « Nous vinifions l'ensemble de nos cuvées avec pas ou très peu d'intrants (levures indigènes, aucun sulfite en vinification) afin d'obtenir des vins procurant un maximum de plaisir », fait savoir Pierre Prost. Parmi ses best-sellers figure la cuvée Chiroubles Les Gatilles à la fois classique, gourmande et élégante qui révèle des notes florales et la fraîcheur des fruits. La Cuvée Vieilles vignes est un vin d’exception d’une capacité de garde de 5 à 7 ans qui exprime une belle concentration de notes de fruits mûrs et de réglisse. Le Château de Javernand possède aussi dans sa gamme la cuvée Chiroubles Climax, un vin riche et complexe élevé en fûts de chêne qui révèle la grandeur de son terroir. Dernier et non des moindres : le Rose de Gamay, un Beaujolais-Village Rosé aux arômes ...
L’exploitation viticole du Château du Raux est une propriété de 30 hectares, comprenant une belle maison de XVIIIe siècle et un vignoble groupé autour des bâtiments. Elle est située à proximité de la Gironde, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc, entre Pauillac et Margaux. La maison est réputée pour son Cru Bourgeois, médaillé à plusieurs reprises, issu de ce domaine familial transmis de génération en génération depuis 1879. Un sol béni de Dionysos Le champ viticole de la maison s’étend sur 20 hectares, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc. Il appartient à Patrick Bernard et à sa famille depuis des générations. Leur vigne, renouvelée au fil des ans, est vieille d’un quart de siècle. À cet âge idéal, les récoltes sont moins abondantes, mais elles donnent des grappes de raisin plus concentrées. Ce sont ces vieilles vignes qui contribuent à produire les meilleurs vins. Bénéficiant d’un sol sablo-graveleux d’excellente qualité et pauvre en minéraux sur un mètre de profondeur, leur terre favorise la lente croissance de la vigne, tandis que le sous-sol en argile assure une alimentation hydrique régulière. Une telle combinaison donne des vins rouges d’exception, aux arômes puissants, à la fois complexes et persistants. Le climat bordelais, en outre, offre les conditions nécessaires pour parfaire cette entreprise familiale : du soleil, un vent d’automne, un hiver sans gelées et un printemps relativement humide. Ce cadeau de la nature, associé à un grand professionnalisme, est garant de la grande qualité de chaque millésime du Château du Raux. Des millésimes d’exception Le vin du Château du Raux bénéficie du climat chaud de la région, avec une bonne répartition des précipitations et une période sèche propice à la vendange. Le merlot et le cabernet-sauvignon, cépages traditionnels en Haut-Médoc, expliquent la belle couleur intense, la puissance, l’élégance et la souplesse présentes dans tous ses millésimes. Le millésime 2013, en l’occurrence, se démarque par la richesse de ses arômes. Le nez est marqué par des notes épicées de type clou de girofle, des notes boisées, sous forme vanillée. Le soupçon de fruits mûrs et de notes boisées qui attisent la gourmandise est également présent dans le millésime 2012. Son attaque puissante reste, cependant, son atout vu qu’elle promet un grand potentiel de garde. Quant aux papilles adeptes des bouches rondes et souples, le millésime 2011 est un excellent choix. Peu ouvert, à la structure fine, aux tanins souples et aux arômes discrets, ce vin séduit par sa rondeur et sa souplesse. Il figure dans « Bordeaux, le millésime 2011 » de Jacques Dupont (Le Point, mai 2012), qui lui a attribué la note 14. Le même auteur a également donné la même note à son cadet, le millésime 2010, dans « Bordeaux, le millésime 2010 » (Le Point, mai 2011). Le millésime 2010 partage la même bouche tendre et légère que son aîné, mais se distingue par son arôme de cassis. ...
De petites tables en bois et un grand comptoir sont à votre disposition à l’intérieur tout au long de l’année. L’été, vous pouvez profiter des tables en terrasse dans une voie piétonne. Une ambiance sobre pour un pur moment de convivialité, c'est l'accueil que vous réserve La Réserve des initiés. Formé au Dôme, le chef Sébastien Martiny propose une cuisine contemporaine confectionnée avec des produits ultrafrais et de qualité. Tout est fait maison, même les cocktails et les desserts. Une cuisine inventive Consultez l’ardoise pour faire votre choix. Préférez-vous seulement deux plats (entrée et plat, ou plat et dessert) ou un repas plus complet avec une entrée, un plat et un dessert ? Les plats changent tous les jours mais, en entrée, vous avez en général le choix entre un tartare de viande ou de poisson, une soupe et des crudités. En plat, vous serez enchanté par le très apprécié risotto aux Saint-Jacques. En dessert, savourez l’incontournable et délicieuse mousse au chocolat. Le soir, choisissez de petites ou de grandes assiettes à partager. Des compositions faites maison avec des produits de saison, une cuisine inventive. Des associations très réussies comme les cuisses de grenouille et la mousseline de céleri ou encore la salade de quinoa, crabe, grenade et granny smith, parfumée à la coriandre. Sans oublier les incontournables planches de charcuterie ou de fromages. À accompagner d’un bon verre de vin ou d’un cocktail maison comme le succulent Green Belet : du gin, du sirop de sureau et de l’eau de concombre. Les dimanches et lundis soir, des menus « Spécial cocotte » comme en préparaient nos grands-mères viennent compléter l’offre. Le dimanche, place aux brunchs. Bien copieux pour satisfaire tous les appétits. Du pain, des confitures, une boisson chaude, un jus de fruits frais, un plat et un assortiment de desserts. De quoi se régaler en famille ou entre amis. ...
Depuis, ils y fabriquent des bières artisanales dans le plus pur respect de la tradition brassicole, en pratiquant une sélection rigoureuse des matières premières. La brasserie Pietra se situe à Furiani, près de Bastia, en Haute-Corse. Les bières de la brasserie Pietra La bière Pietra, le produit fondateur de la brasserie Pietra, est brassée à partir de malt et de farine de châtaigne corse. Mélangée au malt lors de l’empâtage, la farine de châtaigne est utilisée comme une matière première et non comme un arôme. Cette recette unique au monde confère à la Pietra une saveur tout en contraste. Puissante et délicate, charpentée et moelleuse, la Pietra titre 6 % d’alcool. Elle affiche une belle robe ambrée et une mousse intense à fleur châtaigne. Depuis, sont nées d’autres recettes exclusives : - Pietra Bionda, présentant un parfait équilibre entre malt pâle, farine de châtaigne et houblon aromatique ; - Pietra Rossa, une bière aux fruits rouges présentant des notes de griotte, et une pointe de framboise et de mûre ; - Colomba, une bière blanche à base de malt d’orge et de froment, infusée aux herbes du maquis, avec des notes fraîches d’agrumes et un arôme épicé ; - et, depuis peu, Colomba Rosée, une bière blanche aux arômes naturels d’orange et de framboise, brassée à partir de malt d’orge et de malt de blé, fraîche, légère et fruitée. Également disponible en saison : la Pietra de Noël. Visite La brasserie se visite tout l’été, du lundi au vendredi. Le reste de l’année, elle est accessible sur rendez-vous. ...
Aménagé pour votre confort, le restaurant La Fonderie offre un cadre agréable et convivial avec, le soir, le spectacle d’« un très beau coucher de soleil », comme le décrit si bien Laura Lesne, la propriétaire de l’établissement. Le nombre de places dans la salle a été volontairement limité pour mettre l’accent sur un décor aéré où la notion d’espace prend tout son sens. On aime s’y rendre pour un repas intimiste et chaleureux où une cuisine originale et raffinée vous met l’eau à la bouche et vous met de bonne humeur. Une belle mosaïque de saveurs Privilégiant la cuisine faite maison, le restaurant La Fonderie met les petits plats dans les grands pour vous faire découvrir des plats innovants et savoureux préparés à base de produits frais et de saison rigoureusement sélectionnés et issus de producteurs locaux. À travers des formules gourmandes ou un choix à la carte, les entrées, plats et desserts se conjuguent au présent et promettent gourmandise et satisfaction. À ne rater sous aucun prétexte : le fameux menu A Fundaria qui associe les meilleures spécialités corses à savoir le Miagliacci, différentes déclinaisons de charcuteries, le cannelloni au brocciu, fromage et le fiadone. Et grâce à un parfait accord mets/vins qui met à l’honneur des vins corses du Domaine de Coste Caserone dont la plupart sont médaillés, chaque bouchée offre une belle explosion de saveurs en bouche. La bonne cuisine combinée à un accueil chaleureux font de la Fonderie un lieu incontournable des gourmands et de gourmets qui y trouvent leur bonheur et prennent plaisir à recommander le restaurant à leurs amis et à leur entourage. ...
Fraîchement convertie à la naturopathie et à la « healthy living » à la suite d'un problème de santé, Mélanie découvre les bienfaits des jus de fruits et légumes. Ex-financière dotée d’un master en marketing, elle décide de transmettre ce nouveau mode d’alimentation au plus grand nombre. Sa mission : faire consommer un maximum de vitamines à un maximum de gens et pour cela : utiliser le plaisir et la praticité. « Des produits qui permettent aux gens de s’alimenter sainement et facilement. » C’est le défi que s’est lancé la fondatrice de PAF en imaginant une gamme de huit jus de fruits et légumes bio pressés à froid. Son secret : des jus aussi sains que savoureux. La clé, selon elle, pour installer et consolider des habitudes alimentaires saines. Une sélection rigoureuse des ingrédients et une technologie pointue pour préserver le meilleur de la nature Chez PAF, rien n’est laissé au hasard ! Chaque bouteille de 250 ml contient environ 500 g « de bons fruits et légumes bio, gorgés de vitamines, qui ont poussé sur du bon sol », et rien d’autre ! La centrifugation et la pasteurisation, qui privent les aliments de leurs vitamines et de leurs nutriments essentiels, sont écartées au profit d’une extraction à froid puis d’une stabilisation à haute pression (presque 6 000 bars). Tandis que l’extraction à froid simultanée de tous les ingrédients assure une alliance parfaite des saveurs, la haute pression permet d’éliminer toutes traces d’agents pathogènes. Le tout sans jamais dépasser les trois degrés. Les jus conservent ainsi toutes leur fraîcheur et leurs vertus pendant trois semaines, et ce, sans aucun ajout (ni sucre ni conservateur). « Chaque étape du processus de fabrication a été pensée pour offrir un produit de très grande qualité », rappelle Mélanie Merenda. Plaisir et bien-être réunis dans une bouteille Formée à la cuisine détox par la star américaine de la cuisine naturelle, Matthew Kenney, Mélanie Merenda fait appel à un chef français pour peaufiner ses recettes. L’objectif : créer un choc dans la bouche du consommateur puis dans son organisme grâce à l’association de vitamines et de nutriments biodisponibles. Résultat : des recettes uniques, synergies de bienfaits et de saveurs qui apportent toutes les vitamines et nutriments dont notre corps a besoin quotidiennement. Tout cela dans un format pratique toujours à portée de main. Une invitation à se faire du bien, tout naturellement et sans prise de tête. Mission accomplie ! ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
Après plusieurs expériences réussies dans la restauration notamment dans de nombreux restaurants indiens, Julia et Sanjeev Kumar ont choisi de s’installer à Vannes. Ce sympathique couple de restaurateurs accueille ses convives du mardi au dimanche soir, dans son nouveau restaurant indien Les Saveurs de l’Inde, situé rue Thiers. L’établissement séduit par l’authenticité des goûts et les senteurs de ses plats, en plus d’offrir un cadre chaleureux et une fourchette de prix plus que raisonnable avec « un ticket moyen abordable de 16 à 20 € par personne », nous souffle-t-on. Familles, couples et groupes d’amis aiment s’y retrouver pour partager un repas en toute convivialité. Une authentique cuisine indienne Aux Saveurs de l’Inde, « c’est surtout les plats du Nord et la cuisine traditionnelle indienne avec des plats végétariens et d’autres avec de la viande », décrit Julia Kumar. Pour conserver la nature des aliments et en relever le goût, les produits et épices utilisés en cuisine (riz basmati, principales épices…) sont pour la plupart « directement importés de l’Inde », tient-elle à préciser, avec toutefois quelques infimes produits du marché, mais toujours préparés selon les principes de la tradition indienne. Les plats de viande sont majoritairement composés de poulet et d’agneau, mais on y sert aussi des fruits de mer. Avec ses 7 plats végétariens et ses formules pour végétaliens, Les Saveurs de l’Inde accordent toutefois une attention particulière à tous ceux qui ne sont pas friands de viande. Une carte des desserts variée La carte des desserts du restaurant est aussi riche que rafraichissante, avec un large choix de mangomastani, de coupes maharani à la mangue fraiche (la spécialité de la maison), de glaces maison aux pistaches (kulfi) et de gajarhalua (gâteau de carotte au cœur d’amande)… Un vrai délice pour les palais. Le restaurant propose également une longue liste de délicieuses boissons atypiques de l’Inde pour accompagner idéalement les repas, allant d’une ribambelle de thés variés aux liqueurs de mangue, en passant par des bières et vins d’origine indienne, particulièrement appréciés des clients. L’art de la culture indienne en tableaux Le restaurant Les Saveurs de l’Inde aime aussi faire découvrir à ses clients et visiteurs de passage la beauté de la culture indienne et ses particularités. Pendant deux mois ont été exposés des tableaux de peinture inspirés de la culture indienne (mandalas) et autres œuvres photographiques de la talentueuse Yona Colette Pruvot, une artiste locale et professionnelle de la danse traditionnelle indienne. Un évènement qui a particulièrement marqué les esprits par son originalité et son authenticité. ...
À Dijon, le restaurant La Closerie propose une cuisine raffinée, toujours concoctée à partir de produits frais et de saison. Du 100 % fait maison qui ravira à coup sûr les fins palais. Deux salles, deux ambiances Le restaurant dispose de deux salles distinctes. Côté jardin, les invités ont droit à un cadre intimiste, qui révèle une atmosphère empreinte de douceur et d’authenticité. Avec ses poutres apparentes datant du XVIIe siècle et ses murs de pierres, le lieu ne manque certes pas d’originalité. Côté cour, l’ambiance est plutôt à la décontraction avec le bar à vins, qui offre un espace lounge propice aux échanges et à la convivialité. De l’authenticité et de la saveur En cuisine, le chef Arnaud Riandet affectionne les produits locaux et s’approvisionne donc en circuit court. « Pour moi, le plus important est de travailler des produits frais et de qualité », nous explique-t-il. Ce dernier concocte chaque jour une cuisine raffinée, qui marie à la perfection tradition et modernité. En entrée, le jambon persillé avec sa crème de moutarde et pesto de cresson fait toujours l’unanimité auprès des convives. En plat, le chef suggère la joue de bœuf confite au vin rouge ou bien la volaille « Gaston-Gérard » façon revisitée et son gratin dauphinois, une pure merveille. Enfin, le vacherin au cassis noir de Bourgogne clôturera en beauté cette découverte culinaire. Pour accompagner idéalement tous ces plats, l’établissement propose pas moins de 250 références de vins. Une carte qui fait honneur à la Bourgogne, puisque 90 % des vins servis sont issus de la région. ...