Fondée par trois amis en 2014, Califrais s’attaque au challenge complexe de l’approvisionnement des restaurateurs en tout type de produits frais : boucherie, marée, fruits et légumes, crèmerie, épicerie ou encore produits d’entretien. L’idée : simplifier au maximum le processus global d’acquisition des denrées, qui constitue souvent la bête noire du restaurateur, pour lui permettre de se consacrer à son cœur de métier. Les clients partenaires ont alors accès à une interface web où chaque produit disponible est référencé avec un conditionnement, une origine et un prix mis à jour en temps réel. Les prix attractifs sont négociés par une équipe d’acheteurs spécialisée qui tire profit des volumes cumulés des clients Califrais pour obtenir le meilleur des produits frais aux meilleurs prix. La plateforme donne également accès à une large gamme de produits bio, ainsi qu’une gamme de produits issus des circuits courts qui s’étoffe. Un service 360° Une commande passée avant minuit assure au restaurateur une réception de la marchandise désirée le lendemain matin, à l’horaire souhaité et directement en cuisine. Toute la paperasse chronophage - bons de livraison ou factures par exemple - est simplifiée, dématérialisée et accessible instantanément depuis l’interface, avec en prime des outils de visualisation pour aider le Chef à maîtriser ses achats et comprendre ses dépenses, ou encore un accès spécialement conçu pour le comptable du restaurateur qui n’a plus à se soucier de ces aspects administratifs rébarbatifs. Côté service, celui-ci est personnalisé, avec une forte réactivité des commerciaux, spécialistes des produits. Disponibles pour conseiller l’élaboration des cartes, ils mettent en avant les produits de saison, les bons rapports qualité/prix ou encore les promotions du moment. Ces derniers assurent également les dépannages en cas de produits manquants. Ainsi, la start-up se veut novatrice en étant les yeux et les oreilles des Chefs. L’optimisation des approvisionnements Après une commande de produits effectuée en quelques clics, l’ensemble de la logistique est pris en charge par Califrais. Pour y parvenir, une équipe de nuit contrôle et trie la marchandise au sein d’un entrepôt de 250 m² au cœur de Rungis, guidée par un logiciel informatique développé sur mesure en interne. Celui-ci permet de limiter au maximum le risque d’erreur de livraison. Après une vérification rigoureuse de la qualité et du conditionnement des produits, les camions partent alors en direction des restaurants en suivant un itinéraire optimisé. Par ailleurs, la start-up se dote d’un arsenal technologique inédit dans ce secteur d’activité, en utilisant notamment les dernières avancées du Machine Learning pour prédire l’évolution des flux des marchandises à partir de nombreuses sources de données. Un des objectifs est par exemple d’optimiser sa gestion des stocks, ou encore d’assurer à ses clients un service toujours plus personnalisé. Leurs engagements Sensible aux enjeux environnementaux aux actuels, cette jeune équipe adopte une démarche écoresponsable et s’engage à réduire son impact sur l’environnement dans un secteur d’activité particulièrement concerné. Tout d’abord, la mutualisation optimisée des achats engendre une réduction importante du nombre quotidien de livraisons. De plus, la flotte des camions Califrais roulant au gaz naturel et l’ensemble des commerciaux en scooter électrique permet de réduire considérablement les émissions de polluants. Enfin, aucun document n’est imprimé sur papier. Savant mélange entre connaissance experte des produits, logistique et technologie, Califrais a ainsi mis au point un service sur mesure, et le nombre de restaurateurs conquis par ce dernier ne cesse de croître. ...
Situé dans l’aire d’appellation de Bordeaux et de Côtes-de-Bordeaux, le Château du Garde est né en 1925 sous l’impulsion d’Antonio Subra. L’agriculteur d’origine espagnole a pratiqué toutes sortes d’activités agraires sur son exploitation avant de se consacrer exclusivement à la vigne. Aujourd’hui, Jean-Benoît Subra a repris les rênes avec pour objectif de produire des crus de haute volée qui rendent hommage à leur appellation. Place à l’agrobiologie Les 35 hectares du Château du Garde bénéficient de toutes les conditions requises pour assurer le développement du merlot, du cabernet franc, du cabernet sauvignon, du sémillon et du sauvignon gris. Les sols argilo-limoneux présentant des traces de graves disposent des substances nutritives essentielles à la création de vins de terroir notamment grâce à un traitement qui se veut plus respectueux de l’environnement. Le Château du Garde certifié Haute Valeur Environnementale 3 a toujours tenu à cultiver ses terres selon une démarche de développement durable. Un grand vin de Bordeaux Proposant une vaste gamme de vins en rouge, en blanc et en clairet (vin rouge clair, historiquement inventé par les anglais), le domaine a sorti en 2015 une nouvelle cuvée qui fait sa fierté. Le « Château Rauzé Lafargue » est un vin solaire en AOP Côtes de Bordeaux, issu d’un assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon. Ce rouge à la robe rubis profonde et veloutée dévoile des arômes frais et fruités. En bouche, il éveille les palais avec sa belle structure et sa sucrosité avec une finale soyeuse et enrobée. ...
Sébastien Labails | Bonjour, je m’appelle Sébastien Labails, je suis le gérant des vignobles de Maxime. Maxime est le propriétaire de nos trois propriétés en Graves et en Saint-Émilion ; il m'a confié les clés de ses vignobles pour gérer tous les aspects allant de la production à la commercialisation. La Une | Et comme tout vignoble, j'imagine que le vôtre a une jolie histoire à nous raconter ? S L | L'histoire du vignoble commence en 2001 pour Maxime, qui tombe littéralement amoureux du château Tourteau Chollet et de son pin de 250 ans ainsi que du château Grand Lartigue, puisqu'il fait l'acquisition de ces deux châteaux en 2001. Maxime est diplômé en expertise comptable, mais son rêve a toujours été de pouvoir faire du vin. Grâce à son diplôme et ses compétences techniques, il a pu acquérir ces deux châteaux après deux ans de recherches. C’est en 2018 que Maxime Bontoux m’a confié la gérance des deux châteaux pour pouvoir développer les activités à la fois au niveau de la production et de la commercialisation. Et pour pouvoir produire le mieux possible, chez vous, on cultive Bio non ? S L | Nous sommes engagés environnementalement : Terra Vitis depuis 2005, nous avons également été le premier vignoble des Graves, en 2012, à être certifié HVE (Haute Valeur Environnementale) à la suite du Grenelle de l'environnement. Également depuis 2019, nous sommes certifiés BEE FRIENDLY, les amis des abeilles : nous sommes très restrictifs en termes d'utilisation d'insecticides, puisque nous les avons tous bannis. Pour lutter contre les verres de grappes nous utilisons dorénavant la confusion sexuelle. Nous nous sommes également engagés dès 2021 en agriculture biologique. Nous avons donc franchi le pas, ce n'est pas facile puisque nous sommes quand même à Bordeaux qui connaît un climat avec des précipitations importantes. Ce qui est délicat c'est de pouvoir protéger les vignobles en agriculture biologique tout en maintenant une récolte saine et de qualité ainsi qu’avec une quantité satisfaisante. Une reconversion donc sur votre agriculture, mais toujours de grands vins, vous nous les présentez ? S L | Au niveau de la gamme des vins, nous avons construit celle-ci de la même façon à la fois sur Saint-Émilion et dans les Graves puisque nous avons en vin rouge : un rouge uniquement élevé en cuve, puis un rouge 50 % barrique et enfin un rouge 100 % barrique. En plus de cela, nous avons deux blancs : notre grand vin blanc « 1760 », 100 % élevé en barrique et ressemblant à s’y méprendre aux grands crus classés de Pessac Léognan ainsi que notre vin Tourteau Chollet blanc. En plus de cela, pour compléter cette gamme, nous avons un vin sans sulfite ajouté qui s'appelle « C’est pas G… » et dans lequel, nous avons réalisé un assemblage de 25 % de chacun de nos cépages rouge : merlot, cabernet sauvignon, petit verdot et Malbec. Il s’agit de notre porte-étendard pour dénoncer le réchauffement climatique. Alors une chose est sûre, c'est que la qualité de vos vins n'est plus à prouver. Entre autres, vous avez été médaillé d'or à Paris, à Bruxelles, cité maintes et maintes fois au guide Hachette et c'est pour ça que nous pouvons retrouver vos vins à certaines tables de grand restaurant. Quelle porte faut-il que je pousse pour pouvoir à la fois déguster un excellent plat avec un de vos excellents vins ? S L | Nous sommes mis en avant dans certains grands restaurants comme le restaurant « Saison » de l'institut Paul Bocuse à Lyon. Nos vins sont également référencés chez « Fauchon » à Paris avec le « 1760 » en rouge et en blanc qui est largement apprécié par l'ensemble des équipes de l'hôtel « Fauchon ». Et si l'on parlait maintenant un petit peu de millésime, millésime exceptionnel comme sur le Ferrand Lartigue par exemple en 2012, pour les autres vins, vous aurez peut-être un millésime à nous conseiller ? S L | Alors sur le Ferrand Lartigue c'est effectivement le millésime 2012 qui est exceptionnel, ma...
La maison a bâti sa notoriété autour de ses vins en appellation Côtes-du-Rhône Village Sablet. « C’est un terroir de haute expression, pleine de promesses : un sol débouilli, un sous-sol de safre, un climat provençal, des levures autochtones... Et notre caractère pour sublimer le tout ! », fait valoir la propriétaire des lieux, Cheli Alberca. Un écosystème préservé Le domaine du château Cohola vit au rythme de tout un écosystème : vignes, oliviers, chênes truffiers et ruches d’abeilles. Ici, place à la culture biologique et bientôt à la biodynamie. ...
Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Un détail qui caractérise les champagnes de Villepin, comme l’explique Bruno de Villepin : « Ces terres dites fortes, lourdes, sont à l’origine de la forte personnalité de nos cuvées ». Pour conserver cette particularité, l’exploitation effectue un gros travail dans le domaine de la viticulture, afin d’obtenir une qualité constante de ses raisins, gage de la qualité de ses vins. Une lutte raisonnée est notamment appliquée au sein des vignes, dans une volonté de préserver les belles spécificités de ce terroir champenois. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...
Alexandre Chevrollier a créé le réseau Winetailors en 2013. Il met à disposition de ses agents affiliés une formation théorique, un backoffice logistique et commercial, une plateforme d’approvisionnement et un service règlements et recouvrement. Ces agents commerciaux servent d’interlocuteurs entre vignerons et restaurateurs. Winetailors sélectionne principalement les vins auprès de petits producteurs, de jeunes vignerons qui souhaitent développer leur distribution. Ainsi chaque mois, 1 à 4 nouveaux vignerons rejoignent l’offre de Winetailors qui est composée actuellement de 700 références avec 95% de vins français de toutes les régions de l’hexagone et 5% de vins étrangers produits dans 20 pays différents. De plus, Winetailors se charge d’acheter les vins aux vignerons, les stocke dans son entrepôt avant de les commercialiser auprès des restaurateurs, cavistes ou des bars à vins, de préparer les commandes et de les expédier. Aujourd’hui ce sont 25 agents commerciaux, exclusifs ou non exclusifs, qui sillonnent la France pour proposer cette offre unique aux restaurateurs, cavistes ou aux bars à vins. A la fin de l’année 2018, un objectif de 30 nouveaux agents expérimentés, déjà professionnels du vin, devraient renforcer l’équipe commerciale, une équipe parfaitement paritaire entre hommes et femmes. Pour son concept novateur, Winetailors a été récompensé en 2014 par le coup de cœur du trophée Oenovation devant 45 autres entreprises, trophée qui encourage l’innovation des jeunes entrepreneurs dans le secteur vitivinicole, toutes catégories confondues. Les avantages pour les restaurateurs Un applicatif informatique a été spécifiquement développé pour accompagner les agents sur le terrain. En fonction du type de cuisine du restaurant et du ticket moyen des consommateurs, ce logiciel sélectionne une liste des vins les plus adaptés à ces derniers. A partir de cette liste personnalisée et des conseils de l’agent, le restaurateur pourra effectuer un choix plus poussé à partir de la dégustation d’échantillons, puis passer commande auprès de son agent. Il sera livré dans les 72 heures suivantes. Ainsi une seule commande regroupe l’achat de vins à plusieurs vignerons via un seul interlocuteur, avec une facturation et une livraison uniques. Ce dispositif permet aux restaurateurs un maximum de simplicité, moins de contraintes et un gain de temps. En outre, Winetailors s’est investi dans la formation du personnel de salles de restaurant : par exemple comment présenter un vin, comment conseiller un client en fonction de ses goûts et du menu choisi. ...
A l’extérieur du village de Saint Paul de Fenouillet, à 37 km de Perpignan, se dresse le château de Peyralade, demeure du XVIIIème siècle où Véronique et Xavier Maury reçoivent leur clientèle en table et en chambre d’hôtes. Situé à 45 minutes de la mer et à une heure de la montagne, ce site est dédié à la culture œnologique et gastronomique. Géographiquement, le château de Preyralade s’inscrit pleinement dans le territoire viticole du Roussillon et de sa production où vins rouges et blancs secs disputent désormais la vedette aux célèbres et ancestraux Vins Doux Naturels (VDN) de Maury, Rivesaltes et Banyuls. Mais sa situation également proche de celle du vignoble de Limoux lui permet de bénéficier des célèbres Crémant et Blanquette, effervescents éponymes. L’occasion en un périmètre restreint, de présenter tous les types de vins au cours de ses ateliers oenologiques. Des ateliers œnologiques complets et variés Au château de Peyralade, Xavier & Véronique animent tout au long de l’année un large choix d’ateliers éclectiques (12 au total) qui traitent des vins classiques et spéciaux, de façons ludique et interactive. L’occasion de raconter l’histoire de cette boisson depuis les origines de l’humanité et son lien aux Hommes et aux civilisations, tout en dévoilant son usage médical, social, sacramentel et économique. Dans un autre atelier, sera contée l’histoire des VDN et de leur inventeur Arnaud de Villeneuve, emblématique personnage médiéval des XIII° & XIV° siècles célèbre théologien catalan et médecin du roi Jacques Ier d’Aragon. Xavier dévoilera l’approche sensorielle et les outils du goût, en révélant notamment à chacun ses propres niveaux de perception des quatre saveurs fondamentales et démystifiera le langage des professionnels du vin. Chacun aura également l’occasion de mieux connaître les deux seuls crûs du Roussillon, les AOP Maury et Banyuls, d’apprendre à cerner les contours de leurs terroirs, en piéger les senteurs et en découvrir les saveurs d’exception. Au château de Peyralade, Xavier invitera chacun à confronter les deux AOP Maury et Rivesaltes, ou à découvrir chacune d'entre elles grâce à deux leviers : le premier, intitulé "Verticale" comparera un seul et même vin mais issu de plusieurs millésimes, le second, dénommé "Variation" présentera les interprétations d'un seul et même millésime de plusieurs producteurs. Enfin, les Rancios sont également explorés. Ces vins spéciaux résultent d’un élevage oxydatif long et puissant. Leur mystère sera éclairci à la lumière de plusieurs vins remarquables secs et doux. Un hébergement cosy pour une restauration fine et délicieuse Le château de Peyralade dispose de 2 chambres doubles et d’une suite pour un couple et deux enfants (ou 4 personnes), toutes avec salle d'eau privative et non-fumeur. D.O 620 est la dernière chambre aménagée. Malgré sa grande taille (24 m²), elle est la plus modeste. Ses teintes murales bleues lui confèrent un esprit très cosy et sa salle d’eau au coté rétro offre tout le confort nécessaire pour un séjour de tout repos. La suite Flavène, aux teintes très nature, se compose d’une chambre principale claire pour les parents, et d'une seconde pour 2 enfants (ou 2 adultes) à l'esprit très "cabane". La Anthocyane allie, quant à elle, l’ancienneté de la demeure à la modernité des équipements, en témoigne la présence de meubles d’antan associés à une décoration et des matériaux contemporains. L’anthocyane est la substance naturelle du raisin qui teinte les vins rouges Fort logiquement, cette couleur donne le ton de cette chambre. Le petit-déjeuner est continental et toujours inclus dans le prix de l’hébergement (Breakfast possible avec supplément et réservation la veille). De plus, Véronique et Xavier convient chaque soir leurs clients à partager la table d’hôtes autour d’un apéritif traditionnel suivi d’un repas complet En termes de r...
Le vignoble du château, qui fait 25 hectares, est installé sur les anciennes terrasses du Tarn et de la Garonne et s’étend sur trois communes et deux départements. Il produit annuellement 120 000 bouteilles principalement en rouge et réparties en deux gammes bien distinctes. Jules, Julie et Juliette Tels sont les noms des cuvées de la nouvelle gamme de vins proposée par le Château. La cuvée « Jules » est un vin rouge masculin, souple et généreux, qui s’adapte à tous les moments conviviaux, quels qu’ils soient, mais surtout en famille ou entre amis. Ce précieux nectar accompagne à merveille les apéritifs ou encore les grillades d’été au milieu du jardin. Avec sa robe rose pâle, la cuvée « Julie » est un rosé fin et délicat, aux notes d’agrumes prononcées. Après avoir été rafraichie, elle se déguste lors des moments festifs avec des plats comme les sushis, poissons grillés et plus particulièrement des beignets de légumes. La cuvée « Juliette » est la dernière née du Château. C’est un vin blanc de cérémonie, sérieux mais qui peut convenir à toute la famille. Sa bouteille, stylée et moderne, est à l’image de cette cuvée : légère et gourmande, avec un goût de fruit maîtrisé. Gourmandise, légèreté et plaisir immédiat sont au cœur de ces « 3 Jus ». La Négrette, à la base de toutes les cuvées De la vigne au verre, le processus de fabrication du vin relève de tout un art qu’il faut maîtriser à la perfection. Chaque vin, chaque millésime se distingue par son terroir, sa vinification et les différentes méthodes employées par les vignerons. Au Château Clamens, la Négrette est au cœur de ce procédé. Il s’agit d’un cépage millénaire endémique de cette région du Sud-Ouest de la France. Fine et délicate, elle confère aux vins des arômes délicats de fruits rouges et de réglisse. Elle est à la base de toutes les cuvées du domaine, en assemblage avec le Cabernet Sauvignon pour sa noblesse, le Malbec pour sa structure, le Cabernet Franc pour sa fraîcheur et la Syrah pour sa chaleur et sa souplesse. Les différentes combinaisons effectuées par le domaine entre ces raisins lui permet d’obtenir des vins de caractère et faciles à boire. Les cuvées AOC Fronton Les cuvées plus traditionnelles, en appellation Fronton, qui ont fait et font toujours la renommée du Château Clamens sont des rouges issus d’une longue tradition. La cuvée « Caractère » se démarque par ses arômes de violettes, poires et pruneaux, « Héritage » par ses arômes de fruits noirs cuits aux notes boisées et « Prestige » offre des arômes de réglisse et fruits rouges. ...
Le couteau Laguiole n’est pas un simple objet utilitaire. Il est l’incarnation d’un art de vivre mêlant raffinement, authenticité et exigence. C’est un compagnon du quotidien qui se glisse dans une poche, se pose sur une table de fête, se transmet comme un bijou. Chez Iforge, cette philosophie transparaît dans chaque détail. Chaque couteau est conçu comme une pièce unique, façonnée à la main, dans un atelier où le geste de l’artisan est au cœur du processus. Ici, on choisit l’excellence, une part d’histoire, un fragment de patrimoine, un objet vivant façonné avec passion par des artisans. En somme, un symbole de l’élégance, d’un esprit à la française. Iforge, une tradition séculaire, un enracinement profond Cette coutellerie française trouve deux de ses piliers les plus solides à Thiers, dans le Puy-de-Dôme, et à Laguiole, en Aveyron. Elle s’inscrit au croisement de ces deux terres légendaires qui ont façonné l’Histoire de la coutellerie française. Thiers, capitale de la coutellerie, façonne des lames depuis le XVe siècle. Dès le XVIIe siècle, ses couteaux franchissaient les frontières, jusqu’au Moyen-Orient, portés par une réputation de robustesse et de finesse. Au milieu du XIXe siècle, près de 25 000 ouvriers y œuvraient à la production coutelière. Aujourd’hui encore, ce savoir-faire se perpétue. Mais Thiers ne règne pas seule. À Laguiole, petit village de l’Aubrac, le célèbre couteau voit le jour au XIXe siècle. Sa silhouette emblématique, son élégance discrète, son manche galbé, sont devenus des icônes du savoir-vivre français. Là aussi, le travail artisanal se transmet de génération en génération. Aujourd’hui, Iforge se nourrit de ce double héritage et de cette passion du couteau d’exception. Iforge ou l’art du couteau personnalisable Chez Iforge, chaque couteau est bien plus qu’un simple outil. C’est une œuvre d’art personnalisée. Cette maison propose à ses clients de concevoir un couteau sur mesure, adapté à leurs envies, à leur usage, ou à un moment particulier de leur vie. Le manche peut être façonné dans des matériaux aussi variés qu’élégants de bois nobles aux matières rares, en passant par des éléments uniques comme du fossile de mammouth, de la turquoise, du coquillage, ou même des matériaux encore plus précieux suivant la demande. La lame, elle aussi, se décline au gré des préférences : de l’acier au carbone traditionnel à l’extraordinaire acier de damas, connu pour ses motifs ondulés et sa résistance légendaire. À cela s’ajoute la possibilité de graver le ressort, situé sur le dos du couteau, avec des initiales, une date, un symbole ou un message. Et que dire de la mouche, ce petit ornement au sommet du ressort, habituellement en forme d’abeille ? Chez Iforge, elle devient un terrain d’expression artistique. L’atelier d’Art n’hésite pas à en détourner la forme pour répondre à une demande particulière. Ainsi, un modèle pour les pèlerins de Compostelle remplace la mouche traditionnelle par une coquille Saint-Jacques, clin d’œil au chemin mythique. Chaque couteau devient ainsi un objet singulier, porteur de sens, parfois même de mémoire. Cadeau, transmission, outil de tous les jours ou pièce de collection : tout semble possible pour cet atelier. Pour plus de renseignements sur le couteau personnalisable suivez ce lien. Un atelier vivant : entre réparation et perfection Fidèle à sa vocation artisanale, Iforge ne se limite pas à la création. L’atelier propose également des services de réparation et d’affûtage, prolongeant ainsi la vie des couteaux abîmés ou émoussés. Un Laguiole, comme tout bel objet, mérite un entretien à la hauteur de sa qualité. Que ce soit pour redonner du tranchant à une lame fatiguée, réparer un mécanisme ou remplacer un manche usé, Iforge s’engage à faire revivre les couteaux confiés par ses clients. Ce service est aussi une manière de respecter une certaine écologie de l’objet ou ici la règle e...
L’entreprise familiale est implantée à Dorlisheim, dans le Bas-Rhin, sur la route des Vins. Dirigée par Vincent Goesel, elle prône actuellement les valeurs d’une agriculture raisonnée, respectueuse de la Terre et de la biodiversité. Terroir et saveurs, une conjugaison parfaite Le vignoble se dresse sur un sol de type argilo-calcaire, qui, grâce à ses éléments minéraux, donne vie et fraicheur à la vigne. « Nous produisons tous les cépages alsaciens », déclare Vincent Goesel. Parmi les variétés cultivées figurent le sylvaner, le riesling, le gewurztraminer ou encore le pinot noir. « À partir de ces cépages, nous produisons des vins blancs et rouges ainsi que des crémants. » Du vin pour tous les goûts La maison dispose d’une large gamme de vins et de cuvées. Parmi les plus appréciés, Vincent Goesel cite « Ma Petite Folie », un vin fruité et moelleux à base de muscat. Arborant un bel arôme de fruit mûr au nez, il offre une véritable révélation en bouche. « La Cuvée de la mer » figure également dans la liste des produits phares de la maison. « Il s’agit d’un assemblage dédié aux fruits de mer », confie le gérant du domaine. ...
C’est à partir de leurs fruits que sont élaborés quatre types de vin effervescents aussi riches qu’équilibrés. L’emblème de la maison est symbolisé par le «Millésime 2013», une année particulièrement favorable pour réaliser le mariage parfait entre les 3 cépages. La maison a toujours forgé la notoriété de ses produits sur le système du bouche à oreille. Une façon humble et pourtant efficace de promouvoir des cuvées de grande qualité qui ne sont disponibles qu’en « direct » auprès du producteur. Les champagnes J. MARGOUILLAT sont actuellement dirigés par François MARGOUILLAT, un passionné qui perpétue soigneusement la tradition familiale. ...
En 2017, Jan et Kim Schürmann reprennent le Château de Gensac, situé à Condom dans le Gers, entre Bordeaux et Toulouse. Le couple suisse s’engage dans une reconversion professionnelle et quitte leur carrière dans l’évènementiel et dans l’agro-alimentaire pour s’épanouir dans leur nouvelle vie de vigneron. Un moyen pour ce duo de choc de se reconnecter avec la nature et de s’adonner à leur passion pour le vin. Un terroir privilégié pour produire un Armagnac d’excellence Édifié au XIIIème siècle, le Château de Gensac a été le théâtre de plusieurs évènements. Camp militaire, orphelinat… il a tenu un grand rôle dans l’histoire gersoise. Aujourd’hui, il constitue la pièce maîtresse d’un immense domaine de 300 hectares dont 20 hectares sont alloués aux vignes destinées à la production de vins et d’Armagnac. Le reste est consacré à la culture de céréales et abrite des forêts, des lacs et des prairies. Un décor de rêve propice à l’épanouissement des chevaux de l’écurie de Gensac. Car le domaine détient également une pension pour chevaux ouverte au public. Cette diversité d’activités a été pour Jan et Kim une façon de prôner la biodiversité sur leurs terres. Le respect de la nature tient une place prépondérante dans la philosophie de la maison notamment dans la culture des vignes qui s’effectue selon une démarche raisonnée. Une reconversion en bio a même débuté depuis 2020. Une approche plus contemporaine de l’Armagnac Produit à partir d’ugni blanc et de colombard, l’Armagnac de Gensac signe sa différence par son caractère marqué et ses parfums exceptionnels. Bien que ce précieux breuvage soit élaboré dans le strict respect des traditions, la maison ne tourne pas le dos aux procédés plus modernes afin d’être au diapason avec les exigences des consommateurs d’aujourd’hui. L’Armagnac de Gensac se veut dans l’air du temps. Un dynamisme qui se reflète dans le choix de l’appellation donnée à chaque produit qui n’arbore plus les dénominations traditionnelles de type VS, VSOP, XO… L’innovation concerne également la manière de consommer l’Armagnac qui se prépare sous forme de cocktails, du moins pour les plus jeunes eaux-de-vie. Associé au ginger beer, à l’Angostura et à quelques zestes de citron, il révèle des notes aromatiques très singulières. ...
En entendant le nom, l’on peut être sujet à quelques confusions. Partons du bon pied et disons tout de suite qu’ici, nous choisissons la voie de la saveur. Car c’est bien de cette signature sucrée du Rocca Serra dont il est question. Préparé amoureusement dans l’intimité du 17, quai Comparetti, le Corail de Bonifacio est confectionné exclusivement à partir d’ingrédients locaux. Une douceur positivement du terroir Une fabrication artisanale à partir d’ingrédients de sélection faisant honneur au savoir-faire des producteurs locaux. C’est dans cette particularité que le Corail de Bonifacio tire tout son cachet. Pour ceux qui n’en ont jamais goûté, il s’agit d’une sorte de palet à base d’amandes. Le confiseur s’en approvisionne auprès d’un producteur de San Giuliano. Pour donner du punch à ce péché mignon, un mélange de miel de châtaigneraie et d’agrumes confits. Le miel est préparé à 100 % à Bonifacio même tandis que les citrons et les oranges achetés sur le marché local sont confits par la maison elle-même. Quelques touches d’épices et de noisette parachèvent la recette de ce concentré de plaisir qui fond en bouche. Les uns le préfèrent tel quel pour saisir la volupté de ses arômes, mais le Corail est également parfait à l’heure du digestif. Il se marie bien avec une liqueur de châtaigne ou de myrte. Chauffé très rapidement au micro-ondes, il raflera bien des suffrages avec juste du thé ou un petit café. ...
Situé en bordure de l’autoroute A7, au cœur du vignoble de l’Hermitage, l’ancien Restaurant Umia continue sa belle aventure culinaire sous d’autres couleurs et à travers sa nouvelle appellation Maison Gambert. Repris depuis fin novembre 2015 par Mathieu Chartron, chef passionné et créatif du sud de Lyon et non moins ambassadeur du chef triplement étoilé et grand restaurateur Guy Savoy au Caesars Palace de Las Vegas pendant plus de 7 ans, l’établissement est implanté dans le domaine de Tain l’Hermitage où il jouit d’un cadre magique et d’une excellente réputation. Une cuisine bistronomique Localisée à moins de 3 km de l’entrée de l’autoroute, la Maison Gambert séduit par sa cuisine bistronomique à la table inventive et raffinée où tout est mis en œuvre pour conquérir une large clientèle. Le jeune et talentueux chef Mathieu Chartron et son équipe s’investissent avec passion dans leur métier pour concocter de bons plats simples aux ajustements raffinés, mais aussi des plats gourmands à base de produits frais de qualité préparés avec goût et recherche. Truite marinée à la Chartreuse et betteraves multicolores, poisson du moment, purée de carottes à la citronnelle ou encore panna cotta coco-passion et fruits frais sont autant de raffinements à découvrir et à apprécier dans ce restaurant aux belles assiettes où on se sent particulièrement bien accueilli et où la satisfaction est toujours au rendez-vous. Une carte attrayante et dynamique La Maison Gambert propose une carte attrayante avec une formule entrée-plat-fromage ou dessert et un menu enfant. À travers une cuisine actuelle empreinte d’originalité, elle s’attache la fidélité d’une clientèle régulière et attire la sympathie des clients de passage qui apprécient les plaisirs de la découverte gastronomique dans ses différentes déclinaisons de couleurs et de saveurs. Parmi ses spécialités, la truite marinée à la Chartreuse et la pintade sont des plats particulièrement bien maîtrisés par la maison et qui font sa réputation. D’autres spécialités telles que le tartare de bœuf coupé minute et le cabillaud figurent également aux premières lignes des plats les plus suggérés ou appréciés. Les menus sont renouvelés chaque saison et sont adaptés en fonction des inspirations du Chef. Une équipe de choc Tous les ingrédients sont réunis au sein de la Maison Gambert pour faire de l’établissement, un lieu de rendez-vous et de retrouvailles apprécié des amoureux de la bonne cuisine et où la surprise de nouvelles découvertes culinaires tient les clients en haleine jusqu’à leur prochain passage. Grâce au dévouement d’une équipe compétente qui privilégie l’écoute, le conseil et la qualité de service, l’enseigne peut se targuer d’avoir réussi son pari. Tout cela grâce à la belle association du chef Mathieu Chartron derrière les fourneaux, de José Afonso, maitre d’hôtel, et de Benoît Chartron responsable de salle. ...
Tout a débuté en 1952, lorsque neuf viticulteurs originaires du Pays Basque, s’associent pour créer une coopérative dont le but est de reconstruire un vignoble détruit par le phylloxéra ainsi que par le passage de la Première Guerre mondiale. « Aujourd’hui, la Cave d’Irouleguy, qui compte 42 coopérateurs en AOC Irouléguy, a pour volonté de perpétuer la notoriété de ce bout de terroir du Pays Basque et de mettre en valeur son produit de prédilection qui est le vin », indique Nadine Gaztambide, Directrice de la cave coopérative. AOC Irouléguy : des vins de qualité Territoire de beauté, bordé par la mer, oasis de verdure et couvert par des montagnes et des collines, les Pyrénées-Atlantiques abritent quelques trésors en matière viticole dont l’AOC Irouléguy. Incontournable dans le patrimoine gastronomique du Pays Basque, le vin d’Irouleguy tient la deuxième place après le jambon de Bayonne et le fromage de brebis. Il se distingue par la richesse de son cépage, classé en deux catégories, qui sont : les cépages noirs ; le tannat, le cabernet franc et le cabernet sauvignon et les cépages blancs : le gros manseng, le petit manseng et le courbu. L’appellation regroupe 250 hectares de vignes plantées, dont 60 % du vignoble est représenté par la cave coopérative. Onze domaines indépendants se départagent, quant à eux, les 40 %. « Selon l’INAO (Institut national des appellations d'origine), 1000 hectares de parcelle sont encore disponibles à la plantation, ce qui amène la Coopérative à redoubler d’efforts même s’il n’est pas simple de planter la vigne, puisque la culture s’effectue en terrasse », nous explique notre interlocutrice. Et elle de continuer que « malgré ces difficultés, le nombre de plantations augmente d’environ 10 hectares chaque année. » Par rapport au terroir justement, ce dernier est assez diversifié avec beaucoup de grès rouge et un peu de schiste. L’authenticité d’Irouléguy Afin d’améliorer les techniques viticoles, la cave d’Irouleguy effectue depuis deux ans une étude sur l’impact du climat sur la croissance des plantes en partenariat avec l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’ISVV (Institut des sciences de la vigne et du vin) de Bordeaux pour une durée de trois ans. Pour ce faire, elle s’est dotée de trois stations météo, trente-trois capteurs et trois pluviomètres. Les premiers résultats montrent que l’altitude constituerait le facteur prépondérant formant le terroir, et non uniquement le sol ou le climat. Forte de ses innovations, la cave est aussi très impliquée dans la préservation de l’écosystème. L’agriculture raisonnée constitue un véritable réflexe pour tous les adhérents à la coopérative. Beaucoup s’engagent aussi dans une démarche bio. « Nous avons de nombreux viticulteurs entamant une phase de reconversion. D’ici cinq ans, 50 % de la cave sera en bio », se félicite notre interlocutrice. Un environnement sain et préservé qui permettra aux jeunes générations de travailler dans les meilleures conditions. En parallèle, la cave investit énormément dans des équipements performants pour garantir la parfaite qualité de ses produits : vendanges en cagettes, réception gravitaire des raisins, … Aujourd’hui, plusieurs gammes issues de la coopérative sont à découvrir comme le Lehia, une cuvée Unique en blanc produite en très faible quantité, les cuvées Prestiges (Omenaldi enrouge et Xuri en blanc), les Incontournables (Le Mignaberry en rouge, blanc, rosé et le Kattalingorri, vin bio, en rouge et rosé) et les cuvées Plaisirs (Gorri en rouge et Argi en rosé). Parmi les produits, une attention particulière est portée pour le Mignaberry de la gamme Incontournable, facile à boire, frais et sec pour le blanc 2016, « très charmeur » pour le rosé 2016, qui est d’ailleurs cité au guide Hachette des rosés 2017-2018 et riche et harmonieux pour le rouge. ...
Associés depuis 5 ans, les deux hommes à la tête du Domaine des Joséphins travaillent sans relâche, pour faire changer le visage du beaujolais aux yeux des amateurs de vins. C’est un vin qui se veut désormais dédié aux grandes dégustations. Il peut aussi être conservé plus longtemps et se bonifier avec le temps. Le domaine propose 12 cuvées avec des gammes différentes. L’évolution du Domaine Défenseur de la viticulture beaujolaise, Gérard Presle s'est occupé seul de ses 21 hectares de vignes avant son association avec Jean-François Pluvinage. Une rencontre qui permet aux deux hommes de travailler sur la phase d'élevage du vin. Un choix peu courant en Beaujolais, qui consiste à travailler le vin en cuve sur lies ou en barriques de 6 mois jusqu'à 2 ans et demi. Une étape minutieuse qui permet au domaine de produire des vins d'exception, reconnus et au potentiel de garde allant jusqu'à plus de 10 ans. La culture des raisins, sur un sol argilo-calcaire en pierres dorées, et sous un climat continental où règne une influence méditerranéenne comme dans ce domaine, est un gage de la qualité des vins. La carte des vins des Joséphins Des vins aussi riches que variés, c’est ce que propose le domaine à travers deux grandes familles: les vins Convivialité et les vins Contemplation. Parmi les vins Convivialité, voici « La belle Joséphine ». C’est un vin rosé et effervescent. Il est fermenté à moitié, et son côté gazeux vient du fait que la fermentation n’est pas achevée. Pour les repas au bord de la piscine ou encore en famille, ce vin pétillant est tout approprié. C’est un vin frais, légèrement sucré en bouche et d’une fine bulle. Un autre vin, composé avec un cépage originaire de suisse et acclimaté au terroir, il s’agit de la « Tête Noire 2014 ». C'est un vin aux accents du sud, corsé, fruité et épicé, il se marie bien avec la cuisine provençale. Le seul vin en assemblage que propose le domaine est le « Coteaux Bourguignons 2012 ». C’est un assemblage de pinot noir, de gamay et une touche de Chardonnay. Il accompagnera volontiers les plats de volaille aux champignons. Le cœur de millésime du domaine est un « Beaujolais rouge AOC 2014» élevé en cuve entre 6 et 9 mois selon les années. Ce classique qui compte parmi les têtes de cuvées peut être gardé 5 à 6 ans. Ce vin a remporté de nombreuses citations: 15/20 dans le Revue des Vins de France et 1 étoile au guide Hachette 2017. C’est le vin du beaujolais le plus simple avec sa robe grenade, son arôme fraise-cassis et une jolie longueur en bouche démarrant sur un soupçon de fraicheur apporté par la minéralité. Au rayon des vins Contemplation, le « Gaamez 2012 Beaujolais des Pierres Dorées ». L’élevage de ce vin dure plus longtemps. 24 mois en fut, 6 mois en bouteille couchée en cave pour bien se reposer avant étiquetage et mise en circulation. Seule la cuvée 2012 est commercialisée actuellement, celle de 2013 est encore en phase repos en cave. C'est un vin rouge aux arômes de fruits rouges cuits, et accompagné d’une douce acidité en bouche libérant un peu de fraîcheur. Il se déguste avec des plats mijotés comme le bœuf bourguignon, et va se garder entre 10 et 12 ans. En accompagnement de plats à base de truffes, le « Viognier des Joséphins ». C’est un vin qui a son berceau à Condrieu. Sa fermentation se fait directement en fut, et il en résulte un arôme pêche-abricot tout en finesse. ...
Tout l’espace intérieur du Trianon Palace Versailles a été imaginé en 2008 par l’architecte d’intérieur Fiona Thompson. Elle a apporté à ce cadre majestueux un style contemporain élégant et délicatement coloré, pour vous baigner dans une atmosphère immaculée et intime. Côté cuisine, Frédéric Larquemin a rejoint en novembre 2016 le Trianon Palace Versailles, après s’être formé à l’Ecole Ferrandi et avoir travaillé auprès d’Alain Ducasse et de Gordon Ramsay. Le restaurant étoilé au Guide Michelin « Gordon Ramsay au Trianon » Une verrière pour de la lumière naturelle, des nappes blanches, du cuir capitonné, en un mot un lieu confortable et agréable pour se restaurer. Ici, le chef confectionne une cuisine contemporaine inventive, tout en revisitant les grands classiques de la gastronomie française et en s’inspirant de ses expériences internationales. Il aime travailler les produits de saison achetés au marché ou aux producteurs locaux. A la carte, vous pourrez par exemple découvrir le pressé de foie gras et canard fumé, pommes vertes, cresson et gelée au madère ou le turbot de ligne français braisé, radis, câpres, coques et sauce au Champagne. En dessert, vous pourrez vous régaler, entre autres, avec la Pomme rôtie au caramel demi-sel et fruits de la passion, une réinterprétation de la célèbre tarte Tatin imaginée par le Chef Pâtissier Eddie Benghanem. Pour profiter pleinement de ce lieu, pourquoi ne pas réserver la table du chef, un espace pour 6 personnes qui surplombe la cuisine et d’où vous pourrez admirer le travail de toute la brigade. La Véranda by Gordon Ramsay, la brasserie de luxe du Trianon A la Véranda by Gordon Ramsay, le chef propose une cuisine continentale contemporaine tous les jours le midi comme le soir. Vous pouvez aussi profiter de ce lieu pour un petit-déjeuner buffet. Le Bar Galerie Le Bar Galerie est l’endroit idéal pour profiter d’un savoureux tea-time, servi tous les après-midi. Découvrez tous les week-ends le très apprécié chariot de pâtisseries pour accompagner avec délice votre boisson chaude préférée. ...
Située au pied de la Montagne Pelée et au bord de la baie de Saint Pierre (au Nord-Ouest de l’île), la distillerie DEPAZ fut créée par le premier gouverneur de la Martinique au XVIIème siècle (1638). Depuis 1651, la distillerie DEPAZ produit des rhums agricoles : rhum blanc, rhum doré et des rhums vieux. Entièrement détruite par l’éruption volcanique de 1902, la plantation DEPAZ fut 7 ans après replantée, reconstruite et ranimée par Victor DEPAZ, unique survivant de la catastrophe. Il reconstruit également à l’identique le château de la plantation, édifice qui fût achevé en 1917. UN TERROIR UNIQUE qui permet aux RHUMS DEPAZ de bénéficier de l’AOC MARTINIQUE depuis 1996 Les cannes à sucre qui entrent dans l’élaboration des rhums DEPAZ sont cultivées sur un terroir unique en Martinique : celui de la Montagne Pelée. Elles trouvent là tous les ingrédients d’un climat tropical favorable à leur développement qui, à cet endroit, donne le meilleur de lui-même : La combinaison d’un ensoleillement exceptionnel et d’une pluviométrie abondante liée à l’alchimie météorologique du volcan et au fait qu’il culmine à 1 395 mètres d’altitude ; Un sol jeune, léger et filtrant, qui impose à la canne à sucre un enracinement profond et un métabolisme favorable à l’accumulation de sucre. L’exploitation agricole des rhums DEPAZ produit ainsi les cannes à sucre les plus riches de la Martinique. Grâce à ces atouts, les terres sur lesquelles elles poussent sont classées depuis 1996 dans l’aire de l’Appellation d’Origine Contrôlée Martinique, appellation qui exprime le lien intime entre les éléments naturels, eau, soleil, terre, et le savoir-faire des hommes et des femmes de DEPAZ, perpétué au fil des générations. La Distillerie Depaz Nichée dans un écrin de verdure au pied de la Montagne Pelée, la distillerie DEPAZ est une des plus petites unités de production en Martinique. Comme à ses origines, la distillerie DEPAZ fonctionne encore de nos jours grâce à une ancienne machine à vapeur. Véritable coeur de la distillerie, celle-ci fournit la vapeur nécessaire à l'activation des moulins servant à broyer la canne, ainsi qu'aux colonnes à distiller. Une approche durable Implantée dans un milieu naturel particulièrement riche et sauvage, la distillerie DEPAZ intègre une démarche de développement durable. Ainsi le domaine agricole privilégie une agriculture raisonnée grâce au recours à des méthodes telles que, le piégeage des insectes, le travail mécanique du sol, et un suivi parcellaire d’une très haute précision. Ceci permet de limiter l’utilisation d’herbicides, de pesticides et d’engrais, et ainsi améliorer le « capital sol » en vue de sa transmission aux générations futures. Le même état d’esprit prévaut au niveau de la distillerie. Celle-ci est équipée depuis plus de 15 ans d’un méthaniseur pour le traitement de ses effluents. Elle dispose également d’un système sophistiqué de retraitement de ses fumées. Enfin, une attention toute particulière est portée au recyclage et à une utilisation citoyenne des ressources naturelles depuis nos cultures de cannes jusqu’à la conception des emballages de nos rhums. ...
L’appellation Seyssel est reconnue pour sa méthode traditionnelle, une démarche ancestrale qui permet à un vin de devenir effervescent. Seyssel est également un petit village de vignes, de vignobles et de vins vieux, dont les origines remontent à 2 000 ans. C'est au Ier siècle que les premiers écrits mentionnent la vigne dans la région, avec Pline l’Ancien, un philosophe romain qui vantait déjà les vins de Seyssel. Jouissant d’un climat particulièrement favorable, de mollasses sableuses et d'une bonne exposition au soleil, les vins de Seyssel se distinguent par la finesse des bulles et leur authenticité. Royal Seyssel, un vin, une histoire Dans une bouteille Seyssel, il y a du bon vin, mais il y a aussi quelque chose du passé qui dort là, c’est ce que nous raconte Gérard Lambert : « C’était un vin bu par les rois et reines qui venaient dans la cité voisine d’Aix-les-Bains. Il a été consommé par la reine Victoria et par d’illustres personnalités européennes. Il a été baptisé Royal Seyssel, en leur hommage, en 1901. » Au début, le Royal était effervescent, mais il s’est développé en vin tranquille, appelé le « Seyssel tranquille » issu du cépage Altesse. Ce vin a connu une grande période de gloire mais a vite décliné lorsqu’il fut racheté par un grand groupe. « Il y a eu une dégringolade au niveau des ventes et le site de production a dû fermer en 2007. Cette fermeture a mis en péril tout le vignoble. Tous les vignerons qui apportaient les vendanges ont aujourd’hui les larmes aux yeux », déplore Gérard Lambert. Le Royal, fleuron de l’appellation Seyssel Touché par la disparition de ce patrimoine, le couple Lambert décide de sauver une partie de leur héritage. Mal compris par son entourage, il s’engage dans ce projet fou pour « sauver l’appellation, le tissu viticole et tous les vignerons encore présents ». Il décide d’aller bien plus loin que ses confrères pour lesquels la méthode champenoise consiste pour la plupart du temps à 9-12 mois de vieillissement pour fabriquer les bulles, avant de tourner les bouteilles dans les caves à vin ou à champagne. Selon lui, pour obtenir un bon vin, il faut bien plus. Et de préciser : « Il y a beaucoup de mauvais champagnes, parce qu’ils ne les laissent vieillir qu’un an, alors que les bonnes maisons patientent 2 ou 3 ans avant de tourner les bouteilles. » Ce projet et cette vision lui donnent raison aujourd’hui. Un nectar de haute qualité sur le devant de la scène « Malheureusement, aujourd’hui, ce qu’on trouve dans les bouteilles est très souvent ACIDE, avec de grosses bulles et un dosage trop important.» En revanche, Gérard Lambert ne fait que du millésimé, c’est-à-dire qu’il ne mélange pas plusieurs années. Il laisse en moyenne vieillir ses bouteilles 4 à 6 ans, parfois même 10 ans. Cette méthode crée une qualité largement supérieure à la moyenne, avec une bulle très fine et un nectar pur. Grâce à cette ingéniosité, le Royal de Seyssel est revenu sur le devant de la scène et a été classé pour la deuxième année consécutive parmi les meilleurs effervescents au monde. Les cépages principaux sont la Molette et l’Altesse, qui donnent des vins blancs aux arômes fruités. La Cave Lambert est un petit domaine de 4 ha avec plusieurs cuvées, spécialisé dans l’élaboration de vins de Seyssel en méthode traditionnelle, mais qui offre également une large gamme de vins de Seyssel et de Savoie. À l’œil, le vin Royal Seyssel a une robe jaune avec des bulles très fines. Au nez, il est assez fruité et, en bouche, il est agréable et léger. Il est idéal à l’apéritif avec des canapés salés, des crustacés, des homards ou des langoustines. Une véritable merveille pour les papilles. ...
Véritable innovation, ce site unique en son genre sur tout le territoire européen a été pensé pour faciliter la créativité de l’offre œnotouristique des domaines viticoles ainsi que le développement de leur offre œnotouristique. Outil de gestion des rendez-vous pour ces vignerons et plate-forme d’élaboration de leurs propres routes des vins pour les amateurs de vin, Wine Tour Booking se veut être le pionnier de la découverte de l’art de vivre à la française à travers le choix de l’expérience unique, dans une région et un domaine de son choix. Un large éventail d’offres œnotouristiques, allant des dégustations aux ateliers de cuisine, en passant par les expositions, est ainsi proposé dans le but de découvrir les 137 vignobles inscrits sur le site, de domaines en châteaux, de Bordeaux en Champagne. Pour créer la « route des vins » qui vous ressemble Ce projet novateur, créé il y a cinq ans par Estelle de Pins, propose à tout visiteur, expert ou professionnel, de choisir lui-même les propriétés qu’il veut visiter ou faire visiter. Sur Wine Tour Booking, ils pourront ainsi « voir exactement l’offre totale de chaque vigneron, voir quand c’est disponible et construire leurs propres circuits en toute autonomie », explique-t-elle. Si des vignerons leur proposent des dégustations ou des visites de domaines classiques, d’autres seront amenés à élaborer des événements ponctuels sur mesure afin de vous faire découvrir leur histoire, leur héritage et leur passion autrement. Expositions, concerts privés ou ateliers dédiés aux accords mets et vins seront ainsi l’occasion de s’imprégner, de manière originale, de cette culture gourmande qu’est l’art du vin. Du Languedoc à Cognac, de vignobles en chais, de caves en châteaux, savourez ainsi les trésors œnologiques de chaque région viticole de votre choix, découvrez les différentes appellations qui font la richesse du vignoble français et appréciez chaque moment privilégié passé avec les artisans à l’origine de ce nectar des dieux. Ces circuits élaborés selon vos envies et vos désirs permettent de passer des moments uniques et mémorables entre amis ou en famille, le temps d’une immersion complète dans ce monde dédié aux plaisirs du vin. Un service de réservation sur mesure pour les amateurs de vin Sur Wine Tour Booking, l’idée est de « construire son circuit à travers l’offre des vignerons français tout en ayant accès à la disponibilité de leurs prestations sur toute l’année, 24 h sur 24 », reprend Mme de Pins. Pour ce faire, les amateurs de vin réservent directement sur l’agenda œnotouristique des vignerons via le site, et ce, gratuitement. « Le vigneron met ainsi en ligne ses plages horaires de rendez-vous restantes : moins de travail pour lui et pour les visiteurs », continue-t-elle. Afin de faciliter les recherches des internautes, les offres ont, par ailleurs, été classées suivant la région viticole choisie, la prestation demandée, la date souhaitée, ou le type de viticulture apprécié. La garantie de réservation et de réponse immédiate reste, entre autres, le point fort de cette plate-forme « chargée d’accompagner les domaines viticoles dans le développement de l’œnotourisme de toute manière que ce soit », tout en donnant aux internautes la possibilité de construire eux-mêmes leurs formules individuelles de découverte œnotouristique. Chaque expérience vitivinicole sera choisie en fonction des douze critères de recherche d’un visiteur, par langue de visite, type de guide, profil de goût, expérience ou prestation : elle sera ainsi unique, authentique et parsemée de rencontres à la convivialité retrouvée. ...
Perché à 30 m de haut, Vertigo Restaurant/Skybar occupe les plus hauts niveaux du magnifique immeuble Ehundura, situé dans le quartier des Machines de l’ile de Nantes, un endroit assurément branché. Le restaurant offre un cadre moderne et épuré et bénéficie d’une vue imprenable sur la cité des Ducs. Trois niveaux, trois ambiances Pour tutoyer les cimes, rendez-vous au Vertigo, un établissement de caractère qui se décline en trois espaces. Au 6e étage du fameux immeuble, place à l’élégance et à la convivialité. Les convives ont accès à un salon privatif, à une salle de restauration, à un bar et à une cuisine ouverte. Toujours au 6e étage, le restaurant ouvre sa terrasse durant l’été pour servir les déjeuners ou les diners avec une vue surplombant la Loire et le centre historique de Nantes. Un étage plus haut se trouve la principale salle de restauration appelée La Verrière, offrant une vue sur le ciel, qui comporte un jardin extérieur, un salon privé ainsi qu’un bar et un piano. Le Skybar panoramique, au 8e et dernier étage, offre un magnifique panorama sur toute la ville et invite à passer des moments privilégiés entre amis ou entre collègues à déguster les savoureuses tapas accompagnées des cocktails maison. Une cuisine de maitre restaurateur Depuis 2013, Vertigo Restaurant/Skybar bénéficie du label « Maitre restaurateur ». En tant que tel, tous ses plats sont faits maison, élaborés essentiellement à partir de produits bruts et frais (80 % au minimum). Vertigo travaille par ailleurs en étroite collaboration avec les producteurs et les artisans locaux pour son approvisionnement. Il est aussi partenaire et ambassadeur du label « Saveurs DétonNantes », qui met en avant les artisans et les produits de la région nantaise. Changeant au gré des saisons, la cuisine du Vertigo est à la fois raffinée et contemporaine, ouverte aux saveurs du monde. Elle est dirigée en coulisses par Emmanuel Prévot, un chef originaire de Nantes. « Pourtant diplômé en restauration, je me considère plus comme un autodidacte », raconte-t-il. Il a en effet beaucoup appris du métier au contact de grands noms de l’art culinaire tels que Stéphane Gravouille du restaurant Bénureau, Bernard Pelhatre du Café Cult’ ou Thierry Martin du Roman Bleu. Ce personnage ouvert d’esprit et rigoureux affirme un gout du détail très prononcé. Son plat fétiche : la Saint-Jacques gratinée au chorizo, accompagné d’une purée de patates douces rhum-vanille et d’un écumé de roquette et chips de légumes d’antan. Cette suggestion culinaire se déguste de préférence avec un Bourgogne blanc, un Muscadet millésimé ou un Saumur Champigny. ...
Le Café de l’Homme a rouvert ses portes en décembre 2015 après cinq ans de travaux. Imaginée par les architectes d’intérieur Gilles & Boissier, la décoration dévoile un style Art déco dans le même esprit que le Palais de Chaillot. Tables en marbre, matières minérales et végétales, tout a été pensé pour vous offrir une ambiance magique. Les six mètres sous-plafond et les jeux de lumière créés par Alain Guilhot donnent une dimension exceptionnelle au lieu. Pour la terrasse de 300 m², avec sa vue exceptionnelle sur le Champ-de-Mars et la tour Eiffel, tables en granit et sièges en rotin ont été privilégiés pour vous faire profiter pleinement de l’espace extérieur et des rayons du soleil. Vous pourrez également découvrir la mezzanine, un espace plus intimiste pour seize personnes. L’offre culinaire Le chef étoilé du 39V, Frédéric Vardon, propose une carte où les produits de saison sont mis à l’honneur. Vous y trouverez des recettes classiques de la cuisine française délicieusement revisitées, mais aussi quelques plats inspirés par les autres continents. La carte est renouvelée au gré des saisons. Elle permet également de découvrir le travail d’artisans en mettant à l’honneur un de leurs plats. Si vous êtes amateur de vins, vous parcourrez avec envie la carte et ses 200 vins et flacons d’exception. Vous pourrez demander conseil à l’équipe en salle pour dénicher la pépite qui accompagnera au mieux votre repas. ...
Bien que le restaurant ait conservé ses pierres apparentes spécifiques par nostalgie de la Bretagne natale des propriétaires, sa déco a été renouvelée avec gout pour apporter une plus grande modernité et un coup de jeune à l’ensemble. Situé à quelques distances des bords de Loire, à 12 km à l’ouest de Nantes, Le François II reste une belle découverte pour ceux qui ont la chance de s’y rendre. Aidé des « frères du chef », d’authentiques producteurs morbihannais en porc, veau et bœuf en cours de conversion à l'agriculture biologique depuis mai 2016, ce restaurant de proximité n’a de cesse de revisiter les classiques dans un effort constant pour faire apprécier à ses clients, les spécialités du terroir. Depuis 2005, le restaurant est distingué par le guide Michelin, d'un BIB gourmand et depuis octobre 2016, répertorié au sein de l’Association des Restaurants de Qualité sous l’égide du Collège Culinaire de France dans lequel co-participent les Chefs les plus étoilés au monde au guide Michelin dont Joël Robuchon et Alain Ducasse, membres co-présidents des Restaurants de Qualité. Le restaurant est aussi labellisé clé-verte depuis environ 3 ans. Une cuisine authentique Dans une salle aux tons sobres mais combien chaleureux, cette ancienne mercerie digne de la caverne d’Ali Baba fait le bonheur des gourmets et des gourmands avec son authentique cuisine traditionnelle. Le chef étant détenteur du titre de maitre restaurateur, les produits locaux sont principalement à l’honneur avec une qualité et une fraicheur assurées par les artisans et producteurs avec lesquels il collabore étroitement. À travers différentes formules, allez au hasard des découvertes qui s’avèrent également être de belles révélations. Entre la mousse de canard à la mingolette au cylindre de foie gras, les noix de Saint-Jacques poêlées à la vinaigrette de coriandre et xerès ou encore le délice pomme-poire, vous n’aurez que l’embarras du choix. Pour accompagner les plats, le choix de Solenn se porte sur une belle sélection de vins comprenant plusieurs appellations en bio et label Terra Vitis notamment. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le restaurant marocain de prestige, Assyl Le restaurant Assyl paraît tiré des Mille et une Merveilles du Royaume du Maroc. Il a remporté en 2016 le prix du meilleur restaurant de luxe au Maroc (Luxury Restaurant Of Morocco), délivré par Luxury Lifestyle Awards 2016. Dans un décor de charme, le menu est exceptionnellement gourmand et met à l’honneur toute la richesse de la cuisine marocaine. Le chef Bahija sublime les saveurs en y apportant sa touche créative personnelle. Les produits frais et les textures se mixent avec délicatesse et subtilité pour ravir les papilles des convives. Assortiment de salades marocaines façon Dada, tagine de lotte à l’Argan, ou la spécialité Selman Tride au poulet fermier, safran de Talouine lentilles et fèves, et autres spécialités marocaines s’invitent à cette table qui vaut le détour ! Une cuisine marocaine résolument authentique… Le dîner est animé par un duo live andalou et un spectacle de danse orientale. ...