Grâce à son expertise, MonsieurGourmand.com est en mesure d’intervenir sur des événements synchrones ou asynchrones (sur des tournées) tout en proposant le même niveau de prestation partout en France. Les débuts de MonsieurGourmand.com Le concept est venu d’un projet de fin d’études en école de commerce réalisé par Nathan Hallouin en 2013. La thématique abordée s’articulait alors autour de la livraison de produits traiteur partout en France. Très vite, Nathan est parvenu à dénicher un partenaire dans la distribution de ces produits. Cette première collaboration lui a permis, au début, de s’adresser à différents types de marchés, comme les particuliers, mais aussi les associations, qui préféraient commander des repas de groupe. 2015 marque un tournant dans la vie de l’entreprise. Nathan reçoit une demande particulière de la part d’un client professionnel qui sollicite une livraison asynchrone dans 55 villes de France. Initialement dédié aux particuliers, MonsieurGourmand.com va se tourner uniquement vers les grands comptes, qui se trouvent confrontés à des problématiques traiteur, celles-ci pouvant être multisites ou itinérantes. Le fonctionnement de l’entreprise Agissant comme un véritable logisticien traiteur, MonsieurGourmand.com sélectionne des fournisseurs auprès desquels il va s’approvisionner en produits prêts à l’emploi. C’est sur la base de ces produits que l’entreprise élabore des offres sur mesure en fonction des commandes et des besoins spécifiques de ses clients. « Si vous êtes une enseigne de cosmétique et que vous faites le lancement d’un nouveau parfum, nous pouvons réaliser une prestation traiteur qui va rappeler ce parfum », nous fait savoir Nathan Hallouin, le fondateur. Côté livraison, MonsieurGourmand.com a recours aux services de Chronopost Food, pour une livraison express partout en France en température contrôlée. Cela vaut tant pour les grandes villes que pour les communes les moins connues. Des prestations et des offres uniques Quel que soit le type d’événement organisé par un client professionnel (vente privée, lancement d’un nouveau produit, soirée VIP…), MonsieurGourmand.com est capable de livrer sur plusieurs sites et en même temps. Concernant les événements asynchrones (tournée ou roadshow dans l’Hexagone), l’entreprise peut accompagner le client en assurant un service traiteur itinérant selon les dates et les arrêts prévus. Sur ce point, Sothys, Kinedo, Cache Cache ou encore Vinci figurent entre autres parmi les clients prestigieux qui ont fait confiance à MonsieurGourmand.com pour leur gestion traiteur. Pour ce qui est du produit, MonsieurGourmand.com s’engage à sélectionner ce qu’il y a de meilleur dans le but de satisfaire les besoins de ses clients. Les offres de l’entreprise comprennent un petit-déjeuner établi autour d’une sélection de mignardises (madeleines, muffins, cakes…), des brochettes de fruits de saison et des laitages gourmands. Pour les cocktails, MonsieurGourmand.com suggère des canapés classiques et originaux. En ce qui concerne le buffet, charcuterie, mini casse-croûte, salades, fromages et desserts constituent la base des plateaux servis. Enfin, côté boisson, les clients auront l’embarras du choix, entre les champagnes, vins et jus de fruits, mais également des breuvages plus spécifiques (jus de légumes, aloé véra, smoothies...). Vous ne trouvez pas votre bonheur dans les prestations proposées ? Le métier de MonsieurGourmand.com consiste à vous dénicher les meilleurs produits selon vos besoins, alors parlez leur de votre projet ! ...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...
Nous sommes en 1982. Issu de la lignée des premiers vignerons de la famille Rollin, attachés à leur terre et produisant du vin pour les plus grandes maisons de champagne, Monsieur Rollin décide de créer sa propre marque en produisant des cuvées typiques du terroir au sol argilo-calcaire de la vallée de la Sarce. Sa fille, Sandrine Braux et son mari Eric Braux, ont repris le flambeau en 2010, et perpétuent cet héritage en mêlant tradition et modernité. Des cuvées purement traditionnelles D’emblée, nous nous retrouvons dans un vignoble de six hectares sur lequel sont cultivés les deux principaux cépages champenois, avec la prédominance du pinot noir. Une fois les vendanges manuelles effectuées, ces cépages subissent une transformation suivant un procédé de vinification artisanale. La maison tient à préserver les traditions, tout en accélérant le processus de modernisation. S’ensuit alors la production de 8 cuvées différentes de qualité aux goûts relevés rappelant la diversité des saveurs du terroir champenois. Du champagne de qualité en préservant l’environnement Parmi les cuvées d’exception de la gamme Rollin, la cuvée Grande Réserve sort du lot. Il s’agit d’un champagne élégant et mature à souhait, ponctué de notes trés fruitées. Pour un apéritif, optez pour l’Or Noir, un 100 % pinot noir équilibré et doté d’une finesse aromatique sans égal. Ce champagne de qualité est élaboré suivant des procédés respectueux de l’environnement, ce qui a valu à la maison Rollin l’octroi du label national de viticulture durable « Terra Vitis » en 2012. ...
Ce bar-restaurant est un lieu d’exception qui met particulièrement à l’honneur la Bellerose, une bière fabriquée par la Brasserie des Sources. Mais un large éventail de bières est à découvrir : des bières à la pression, des bières artisanales (craft beers) sans cesse renouvelées, à la pression, en bouteille ou même en édition limitée. Elles vous feront incontestablement voyager puisqu’elles sont produites dans le monde entier (Etats-Unis, Ecosse, Pays-Bas, Autriche, Japon, …). Vous n’avez pas fini de vous rendre au Bellerose si vous voulez explorer l’ensemble de la palette de bières que l’établissement propose.Côté restauration, le Bellerose s’est spécialisé dans la confection de burgers gourmets originaux à partir de produits frais de qualité. Tous les burgers sont préparés spécialement pour vous, à la minute, avec une parfaite cuisson de la viande.En cuisine, une équipe de 4 cuisiniers unis par leur goût pour la Street Food offrent un univers culinaire assez varié. Ils travaillent leurs burgers au gré de leurs envies pour proposer de nouvelles recettes qui s’ajoutent à ceux de la carte permanente.En consultant celle-ci, vous aurez peut-être envie de vous régaler d’un burger Little Italia avec pain ciabatta, cheddar, steak, speck, oignons frits, salade roquette et tomates confites, agrémenté d’une sauce moutarde. Le "Oh my goat" avec steak, chèvre, miel, oignons frits, bacon, salade et tomate, est aussi très apprécié.Si vous êtes végétarien, pas de souci, venez savourer le Veggie avec son bun boulanger, steak de mozzarella panée, tomate fraiche, roquette, tomates confites, sublimé par une sauce basilic.Ici tout est prévu pour les gros mangeurs puisque vous pouvez demander un burger avec un, deux ou trois steaks. Et les indécis choisiront plutôt le duo de mini-burgers.Toutes les assiettes sont préparées avec soin, toujours servies avec des frites et de la salade. Les desserts sont également faits maison, vous pourrez par exemple vous régaler avec un cheesecake.Pour le midi, vous pouvez déguster le burger du jour accompagné d’une bière Bellerose pour seulement 12 euros.Si vous venez entre amis, partagez quelques mix tapas (Guacamole, onion rings, beignets de calamar et chicken wings ) sans oublier de commander votre bière préférée.Sa salle tout en longueur est partagée entre bar et restaurant. La décoration privilégie une ambiance industrielle et vintage avec des tables en bois noir et des tabourets. De la bonne musique en fond sonore, une lumière tamisée, un accueil sympathique et chaleureux, des bières de qualité, des burgers gourmands, tous les ingrédients sont réunis pour passer un moment convivial....
Le restaurant de l’hôtel quatre étoiles Palladia est installé dans une immense salle en ovale très éclairée et ornementée de baies vitrées, faisant de cet endroit un lieu contemporain et chic. Les couleurs chaudes qui y règnent, avec des teintes or et rouge, ainsi que du noir et du blanc, offrent un rendu visuel invitant à la détente. Ambiance chaleureuse et cosy, grand espace permettant à chaque table de jouir d’une excellente intimité… Tout a été pensé dans les moindres détails pour optimiser le confort des clients. Durant la belle saison, la terrasse couverte entourée de jasmins, de citronniers et d’oliviers invite, quant à elle, à passer de bons moments. Produits frais, cuisine de qualité Le restaurant Palladia a l’honneur de vous faire découvrir une cuisine traditionnelle et créative. N’utilisant que les produits de saison et du terroir, le chef garantit fraîcheur et saveur à chacun de ses plats. Les formules varient ainsi au gré des saisons, mais le saumon fumé fait maison reste la plus grande spécialité du restaurant. Ses menus semi-gastronomiques séduisent tous les palais. En entrée, la terrine de saumon aux coquilles de saint-jacques et à la langoustine a du succès. En plat principal, la palette de cochon rôtie et fumée avec l’os, accompagnée d’une polenta au citron et d’un confit d’oignons, en séduit plus d’un. La lotte et sa marinière de coquillages sont aussi très prisées en plat de résistance. Le crémeux des Aztèques en dessert est, quant à lui, un vrai délice recommandé spécialement par la maison. Il s’agit d’un mélange sucré acidulé sensationnel de crème au chocolat et de crème d’avocat citronnée, accompagné d’une flambée à la pina colada. Une chose est sûre, toutes les assiettes sont joliment présentées et divinement savoureuses. Qui dit bon repas, dit bon vin. Une carte agrémentée de quatre-vingts références de vins et de grands crus d’Occitanie accompagne les menus. Laissez-vous conseiller par les maîtres d’hôtel pour découvrir les accords mets-vins les plus harmonieux. ...
Bonjour Monsieur Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour On connaît tous très bien le caviste Nicolas. Mais peut-être un peu moins Craft Beers et compagnie. Qu’est-ce que c’est exactement ? C H | Alors Craft Beers et Compagnie, j’insiste sur le « Compagnie », parce que le « et Compagnie » a un rôle important, est l’enseigne spécialisée dans les bières artisanales et dans la bière en règle générale, de Nicolas. Au-delà de ça, il y a un « et Compagnie », puisqu’effectivement ce n’est pas que la bière artisanale. Derrière cette enseigne on a souhaité aussi y mettre tous les produits Craft, (Craft étant la traduction anglaise d’artisanal), des petites séries, mais aussi les champagnes et les spiritueux qui sont produits en petite quantité. Cette idée, elle est née au début avec la volonté de véritablement faire découvrir la bière au travers d’un concept store complet entièrement intégré et original. Les magasins Craft Beers ce sont des magasins qui font près de 400 m². Dans ces espaces, on va y retrouver trois grandes zones : une zone de vente, une zone de dégustation, c’est-à-dire que vous pouvez acheter un produit et le déguster sur place, et enfin un atelier de brassage pour vous permettre entre amis, entre collègues ou autre, de créer votre propre bière et de la laisser vieillir quelques temps chez Nicolas. Puis au bout d’une quinzaine de jours, venir la récupérer et la consommer. Alors comment ça se déroule un atelier brassage ? C H | En fait vous réservez, parce qu’il nous faut la disponibilité. Ça se pratique par deux et il faut compter à peu près 3 heures en moyenne. Un parce qu’on vous explique un petit peu les tenants les aboutissants, puis on se cale sur la recette que vous voulez faire, et à partir de là, une fois que cette recette est imaginée d’un commun accord, on va passer à l’acte de brassage à proprement parlé. Une fois que c’est fait, que le produit est fini et conçu, il sera mis dans deux fûts de cinq litres chacun, ce qui permettra aux deux personnes qui font cet atelier de brassage de repartir chacun avec le sien. Ils seront mis dans une cave à bières et vous pourrez revenir aisément dans 15 jours récupérer vos deux fûts de bière pour pouvoir les consommer. Monsieur Hermelin, pour les brasseurs qui souhaiteraient mettre leur bière en vente dans vos magasins, quelles sont vos critères de sélection ? C H | Petit un, elles doivent être Craft, hors circuit industriel, faite par des brasseurs qui font des tailles peu importantes. Et on a privilégié le local. Pour nous, derrière Craft Beers, l’enjeu c’était le local. Si je suis en Bretagne, j’ai un magasin Craft en Bretagne, je vais y trouver des produits locaux. À Clermont-Ferrand je trouverai des produits auvergnats et dans le Nord, j’y trouverai majoritairement des produits du Nord. Et j’imagine que, comme chez Nicolas, vos vendeurs sont extrêmement bien formés pour conseiller au mieux votre clientèle. C H | La bière c’est extrêmement créatif, y’a beaucoup de choses, y a une palette de goûts colossale. Ça ne se résume pas à des bordeaux ou a des bourgognes. Il y a une profusion de goût, d’assemblages etc. Donc là il y a besoin d’un accompagnement, il y a besoin d’un conseil, et puis qu’on travaille véritablement sur le goût. Qu’on ait une blanche, qu’on ait une blonde, qu’on ait une ambrée ou une brune, on peut avoir des variétés de goût et de fermentations radicalement différentes. Et puis il y a aussi toutes ces bières un peu spéciales, qui sont des aromatisées qui se développent énormément, surtout en été, où là aussi il y’a des assemblages. Donc ça, c’est important parce qu’on peut décevoir rapidement un client. Et puis après sur les accords mets et vins, on parle des accords mets et vins, mais aussi des accords mets et bières. Et de plus en plus nos cavistes sont formés pour vous conseiller et pour vous permettre d’avoir une alternative avec un met et son accord vin...
Le Château de Tracy n’a jamais quitté le giron familial depuis le XIVe siècle. Aujourd’hui, c’est à Juliette d’Assay qu’incombe la tâche de le gérer et de perpétuer un savoir-faire qui s’est forgé au cours de six siècles de tradition viticole. Un vignoble ancestral Au coeur du vignoble Pouilly-Fumé, Château de Tracy s’étend sur une superficie de 36 ha, planté exclusivement en sauvignon. Le domaine a la particularité de disposer d’un vignoble historique, dont certaines parcelles sont plantées en vigne depuis le XIVe siècle. En effet, bien conservé dans les archives du château, un manuscrit de 1396 fait état de l’acquisition des vignes sur le lieu-dit « champ de Cris ». Chose étonnante, des sauvignons y sont encore plantés de nos jours. La maison offre ainsi aux amoureux de vins le privilège de déguster des vins blancs issus de ces cépages historiques. « Avec nos vieilles variétés génétiques de sauvignon, quelque part déguster un Tracy équivaut à déguster aussi l’Histoire ! », fait valoir Juliette d'Assay, la vigneronne. Sur les terroirs de Tracy, les sauvignons s’épanouissent sur des sols différents. Autour du château, ils bénéficient plutôt d’un sol à dominante d'argile à silex apportant aux vins minéralité, finesse et une grande aptitude au vieillissement. Sur les plateaux, les vignes reposent essentiellement sur un sol calcaire kimméridgien, qui va apporter à la fois structure, profondeur, finesse et le côté fruité aux vins blancs. Une agriculture permanente Depuis plusieurs années, le domaine a mis en place des pratiques culturales fondées sur la compréhension des lois naturelles du sol. Une agriculture « permanente », qui a notamment pour objectif de favoriser une parfaite synergie entre le sol, les vignes et le biotope environnant. « Nous n’utilisons presque plus de produits phytosanitaires de synthèse. Nous n'y avons recours que pour des cas vraiment extrêmes. », nous indique-t-on. Des analyses sont effectuées par un laboratoire indépendant afin d'authentifier cette démarche. Résultat, le Château de Tracy peut se targuer de produire des vins exempts de tout résidu de pesticides. Au Château de Tracy, le gros du travail se concentre sur les vignes pour aboutir à des vendanges manuelles. Afin d'acquérir un niveau de maturité bien précis, certaines parcelles font l’objet de plusieurs passages. « Nous sommes prêts à vendanger jusqu'à 5 fois les mêmes parcelles », explique madame d'Assay. Ces opérations vont permettre au domaine de limiter les interventions durant la fermentation pour que celle-ci se fasse de manière la plus naturelle possible. En cave, il est surtout question de laisser les choses aller d’elles-mêmes, quitte à prendre des risques. Ici, on laisse donc vinifier les jus en l’état et, pour éviter de trop marquer le vin, la maison choisit des élevages en cuves inox au lieu de barriques en bois. « Nous mettons tout en oeuvre pour être le plus possible fidèles au millésime. » Des cuvées pleines d’authenticité La maison propose 4 cuvées différentes, reflétant idéalement la typicité des terroirs de Tracy : la cuvée « Mademoiselle de T » qui est actuellement épuisée mais dont l'arrivée du prochain millésime est pour février 2019, « Château de Tracy », « Haute Densité » et « 101 Rangs ». La cuvée « Château de Tracy » est de loin celle qui représente le mieux le domaine. Il s’agit d’un millésime d’une rare complexité aromatique à l’identité affirmée. Obtenu exclusivement à partir de sauvignon blanc, ce vin présente un nez très intense avec des premières notes fraiches de fleurs de sureau, de poivre vert et de citronnelle. À l’ouverture, des notes plus fruitées se dévoilent associées à des arômes de fruits exotiques tels que le fruit de la passion et la mangue fraiche. Des notes florales et salin...
En partie retiré du monde, Le Pré de La Cure est un lieu d’exception au cadre raffiné qui n’a rien à envier à ses pairs. Jouissant du paysage enchanteur des abords du lac Léman, l’établissement invite à la rêverie éveillée dans laquelle on souhaiterait longtemps demeurer… Une invitation gourmande où tout n’est que douceur, bien-être et plaisir avec en prime, vue sur le lac et les remparts. Un restaurant à la cuisine traditionnelle Dans une atmosphère chaleureuse et agréable où il fait toujours bon se retrouver, le restaurant propose de savantes associations de textures et de saveurs soigneusement élaborées par le talentueux chef, Olivier Magnin. Fidèle aux principes de la maison, il compose de belles assiettes avec toujours le respect de la tradition pour créer une cuisine où le fait maison reste à l’honneur. L’établissement propose « une carte qui change 3 fois par saison », annonce Amélie Magnin, propriétaire. Une belle découverte que son lièvre à la royale, « préparé de façon traditionnelle », apprend-on, un plat à partager en famille, entre amis ou en amoureux… juste pour le plaisir des papilles. Découvrez tout autant son soufflé au Grand Marnier, qui reste le « must » des desserts. Un décor d’exception Salle spacieuse et élégante, tables raffinées et dressées avec gout, superbe vue sur le lac Léman… Le Pré de la Cure est un véritable petit bijou niché dans un des plus beaux villages de France. Admirable de beauté, il vous fait profiter d’un cadre contemporain et pourtant digne d’un conte de fées… mais pas seulement ! Situé en face des remparts de la cité médiévale, l’établissement possède également 25 chambres avec toutes les commodités nécessaires pour garantir un séjour agréable. Il est doté d’une piscine couverte chauffée, d'un sauna, d'un hammam et d'un jacuzzi. Le Pré de la Cure est l'un des rares établissements à posséder une telle infrastructure dans les alentours. Dans un rêve éveillé, imprégnerez-vous alors des lieux où tout n’est que beauté, douceur et bien-être, avec un plaisir toujours renouvelé. ...
Nous sommes à Mesnil-sur-Oger dans la région de la côte des Blancs qui emprunte son nom au chardonnay, le cépage de prédilection des plus nobles champagnes. Le domaine exploite un vignoble d’une vingtaine d’hectares, classé intégralement en chardonnays grands crus et un autre vignoble situé à Sézanne dédié au cépage pinot noir. Ces terroirs installés sur un sous-sol à la fois crayeux et rocheux confèrent aux vignes les meilleures qualités aromatiques : finesse, fraîcheur et minéralité. Une maison fondée sur une philosophie Être récoltant-manipulant est un travail d’artisan où l’on ressent chaque jour le lien vivant entre la terre et les cuvées. Cette intimité a fait naître un engagement envers l’environnement à travers la démarche de viticulture raisonnée. « Nous prenons soin de l’environnement et faisons en sorte de la préserver au maximum », explique avec conviction Bernard Launois. Le travail du sol privilégie les actions de prévention afin de limiter au maximum l’intervention des produits phytosanitaires. De son côté, les vignes vendangées exigent une technique de vinification très pointilleuse. « 80% de la thermorégulation se fait dans des cuves en inox avec un fractionnement du pressage pour extraire les meilleurs jus de raisin.» L’élevage se poursuit dans des fûts de chêne jusqu’à obtenir un équilibre, et une plénitude parfaite. De grands champagnes et plus encore Au cœur du petit village Villers-aux-Bois, le domaine Champagne Launois nous emmène dans un autre univers inspiré du XVIe siècle. Au milieu d’un magnifique parc paysager trône majestueusement un château renaissance « Le Clos des Cépages » entouré d’arbres séculaires. Sous les yeux éblouis, cette belle demeure invite aussi à une découverte gustative des plus envoûtantes. « Nous y proposons une table gastronomique toute l’année où l’on élabore un menu spécial pour honorer les champagnes de la maison », raconte notre interlocuteur. Pendant les journées vendanges organisées le premier week-end du septembre, les hôtes peuvent poursuivre l’aventure dans les vignes en participant à la cueillette des raisins à la main, sous le signe d’un moment détente et de convivialité. En outre, le musée des artisans et des artistes du champagne est également ouvert aux visiteurs. L’on y retrace le métier passionnant des vignerons champenois et l’on y découvre une collection d’outils insolites utilisés dans le travail de la vigne : pompes, boucheuses, machine traditionnelle, pressoirs, pulvérisateurs, etc. ...
Transmis de génération en génération depuis la fin du XIXe siècle, le savoir-faire familial et l’amour du champagne perdurent encore aujourd’hui avec Maelle & Jean-Christophe Delavenne, représentant la 4e génération de ces Récoltants-Manipulants. Les 10 hectares de vignes sont plantés en Pinot noir et Chardonnay sur les communes de Bouzy, Ambonnay et Cramant, pour une production d’environ 70.000 bouteilles par an. Une démarche respectueuse de l’environnement Jean-Christophe Delavenne pratique une agriculture raisonnée depuis de nombreuses années, sans aucune utilisation d’herbicide. Il s’inscrit dans un processus de culture durable, respectueuse de l’environnement et garantissant une biodiversité maximale. La majorité des travaux que nécessite la vigne, comme la taille ou le palissage, est réalisée manuellement, le sol est travaillé au moyen d’une charrue hydraulique. Leurs Champagnes et Bouzy rouge Tous les raisins sont récoltés uniquement sur la soixantaine de parcelles du vignoble. Ils sont ensuite pressurés sur place, cépage par cépage. Puis les jus sont mis en cuves. Aucune fermentation malolactique n’est effectuée afin de conserver la fraicheur des fruits et offrir une longueur en bouche plus intense. A cela s’ajoute une vinification naturelle longue puisque le tirage n’a lieu qu’au mois de juillet. Ainsi naissent les Champagnes Grand Cru Delavenne, que ce soit le Millésimé 2012, la Cuvée Réserve, La Cuvée Rosée, la Cuvée Blanc de Blancs ou la Cuvée Tradition, tous vieillissent pendant 3 ans minimum dans des caves creusées dans la craie. En hommage à leur première fille, ils ont récemment créé « Amour de Louise », une cuvée prestige mariant 70 % de Chardonnay et 30% de 8 Millésimes (2004-2011) et produite à 3048 bouteilles. Les Delavenne produisent également un Bouzy rouge, un vin non pétillant spécifique de cette région champenoise. Sur des notes de cerises griottes, c’est un vin léger qui s’apprécie légèrement frais. Quelques adresses pour déguster Hormis lors de votre visite dans la nouvelle salle de dégustation du domaine, vous pourrez gouter aux champagnes Delavenne dans différents restaurants étoilés comme Le Grand Cerf (Villers-Allerand), et même désormais au restaurant Kokkeriet à Copenhague. ...
Passionné très tôt par les vins, Marc Hennequière crée son vignoble à l’âge de 16 ans, en 1980. Vers les années 2000, lorsque sa femme s’installe sur le domaine, ils s’initient ensemble à la champagnisation. Le couple s’acquitte de toutes les tâches, avec l’aide d’un salarié à temps partiel et d’employés saisonniers lors des périodes de palissage et de vendange. Cette petite équipe soudée s’attelle à produire un champagne à l’esprit unique, qui reflète le terroir. Les secrets d’une viticulture durable en Champagne Le vignoble implanté sur la Côte des Bar s’étend sur une superficie de 3,5 hectares. Les cépages (principalement le pinot noir, le meunier et le chardonnay) sont cultivés sur un sol argilo-calcaire, « excellent pour élaborer le champagne », confie Marie-Nelly Hennequière. Le couple possède également quelques parcelles de terrain exposées plein sud, « ce qui permet d’avoir une bonne maturité des raisins ». Divers procédés sont mis en œuvre pour entretenir le sol et les vignes, comme l’usage de charrues, la faible application de produits phytosanitaires et la non-utilisation de désherbants. En effet, les méthodes durables ont spécialement été choisies et adoptées pour « laisser le sol respirer un peu », selon les précisions de la viticultrice. De la vigne au vin La maison Marc Hennequière joue la carte de l’originalité dans la production de ses champagnes en ayant recours à certaines techniques innovantes. « Dernièrement, nous avons décidé de changer un peu notre façon de produire, en lançant la cuvée Prémices qui subit un passage de 6 mois en fûts de chêne. Habituellement, nous ne travaillons qu’avec des cuves en inox », révèle notre interlocutrice. Parmi les 8 cuvées produites aujourd’hui, la cuvée Réserve Marie-Nelly endosse le rôle d’ambassadrice de la maison. « C’est un champagne qui nous définit. » Élaborée à partir de 25 % de chardonnay et le reste en pinot noir et meunier, la cuvée Réserve Marie-Nelly développe un nez complexe et expressif, avec une belle attaque en bouche. Idéale pour déguster une andouillette de Troyes ou une volaille rôtie. ...
Chaque chocolat Weiss porte en lui un concentré d’amour, d’innovation et de rigueur qui fait depuis 1882 la référence de la maison. « From bean to bar », de la fève à la tablette, celle-ci imprime à ses produits toute la passion qu’elle nourrit pour son cœur de métier. Dès ses origines, dans la Saint-Étienne de la fin du XIXe siècle et sous l’impulsion d’Eugène Weiss, l’enseigne avait à cœur de développer leurs chocolats avec attention, pour plaire au plus grand nombre. Une approche intégrale du chocolat Lorsque le fondateur éponyme démarre dans la chocolaterie en 1882, sa vision était claire. S’inspirant du parcours de son père dans la viticulture, il ambitionnait de passer maître dans l’art de l’assemblage. Aujourd’hui encore, la maison tire sa fierté de cette particularité. Plutôt que de privilégier une origine dans ses sélections de matières premières, elle cherche sans arrêt des compositions issues de l’assemblage de fèves aux sources variées. Objectif : « obtenir un chocolat avec des goûts qui plaisent au plus grand nombre ». Autre signe distinctif de la maison : sa maîtrise de tous les cycles de production. Weiss est autant chocolatier que torréfacteur de fèves de cacao. L’enseigne a également développé des compétences de confiseur et de pralinier. Ce qui l’autorise, avec ses produits déclinés en gammes riches avec un savoir-faire centenaire, de satisfaire une clientèle faite de particuliers, de professionnels des métiers de bouche et d’entreprises. Le concept de Haut Chocolat® développé par la maison comme son label propre insiste d’ailleurs sur cette notion de chocolat de qualité, mais accessible à tout le monde. L’innovation rigoureuse pour des produits gourmands et sûrs Dépositaire d’un savoir-faire chocolatier perpétué depuis quatre générations, la maison Weiss n’a de cesse d’améliorer la qualité de ses recettes, tout en leur distillant sa fibre novatrice. Les ateliers de fabrication développent des recettes garanties 100 % pur beurre de cacao. Répondant aux critères du 100 % made in France, les produits de la maison sont également vérifiés exempts de traces de gluten. Les matières premières – fèves, épices et fruits – sont rigoureusement sélectionnées dans les meilleurs terroirs. Finalement, les adeptes de la marque accèdent à un choix vaste et raffiné de produits incluant des tablettes et des bonbons de chocolat à composer dans des ballotins ou prêts à offrir. Professionnels et pâtissiers du dimanche disposent d’une sélection dédiée. Les envies quotidiennes de douceurs sont tendrement satisfaites avec les boîtes de gourmandises, faciles à emporter partout. Aucun chocolat Weiss ne ressemblant à un autre, le Napolitain se démarque dans la liste des produits phares de la maison. Sa carte d’identité : naissance en 1926, un carré dont les arômes sont magnifiés par le café avec lequel il signe un heureux mariage. Ce petit péché, emblématique chez les connaisseurs, se décline en noir, blanc et lait. Les tablettes de la marque rivalisent d’originalité de goût, tous les palais s’y retrouveront. Depuis le Lait Manatée qui fond en bouche avec des effluves des Caraïbes à l’incontournable Noir Ibaria avec ses notes d’oranges. Ces recettes sont à découvrir dans les cinq boutiques de l’enseigne, dans les grands magasins, ainsi que sur le site Internet de la marque. ...
Située à Saint-Amand-les-Eaux, la Brasserie des Sources a mis en place plusieurs nouvelles recettes, utilisant notamment la refermentation en bouteilles ou le houblonnage à cru. La Brasserie des Sources est la brasserie française la plus titrée à l’international. En 2016 ses brasseurs ont d’ailleurs été élus « Brasseurs de l’année » au niveau européen.L'un de ses produits vedettes est la Bellerose, une bière blonde issue d’un cocktail unique de trois houblons avec des arômes fins de litchis et d’agrumes. Dégustez-la avec une viande blanche, des noix de Saint-Jacques ou un poissons blanc. C’est la première bière française élue « Meilleure bière du monde » en 2011 à Londres. Si vous préférez une bière ambrée, optez pour la Vieux-Lille, et découvrez ses parfums d’épices et ses notes de vanille.D’autres bières sont également à découvrir, comme l’Estaminet, une bière blonde brassée avec des baies de genévrier et refermentée en bouteille. Sa mousse épaisse et onctueuse est très agréable en bouche. Une bière fruitée avec une subtile amertume. Ou l’Abbatiale triple fermentation, une bière brassée avec des baies de genévriers, qui révèle des arômes maltés et des notes d’agrumes.Quant à la Cellar Series 1, cette bière brune d’inspiration belge maturée durant 18 mois, elle dégage des arômes de figues et de prunes, et révèle en bouche des nuances chocolatées et torréfiées. Lui a succédé une version encore plus affinée : la Cellar Series 1.2....
Avec son cadre chaleureux dès la terrasse, son intérieur inspirant le bistro traditionnel et le chic, sa clientèle toujours de bonne humeur de jour comme de nuit, son ambiance regorgeant de vitalité, sans oublier la bonne bouffe bien délicieuse, La Bascule du Chevillard est le pont direct entre festivité et grosses dégustations. En effet, ce troisième établissement familial de l’empire Carmen est le reflet de la qualité, de la diversité et, plus important, du savoir-faire. La qualité au rendez-vous Avec de la viande de choix tout droit venue de chez des grands noms comme Sud Viandes Distribution, Maison Garcia et Maison Samaran, des fruits frais de chez Le Jardin du Rempart, des cakes de la boulangerie pâtisserie Serres, du bon café de chez J. Bacquié, sans oublier les savoureux produits de chez Betty Fromager, le restaurant La Bascule du Chevillard n’opte que pour une cuisine de saison et de type terroir. Ici, la cuisine est significativement axée sur les préparations avec viandes qui ont la manie de toujours mettre l’eau à la bouche. Le restaurant est particulièrement spécialisé dans la présentation et la mise en valeur des plats. Mise en valeur qui suscite vraiment l’envie de se régaler des délices concoctés en cuisine. Menu diversifié et plats savoureux Des entrées composées de savoureuses salades et de charcuteries aux desserts penchant entre sucré et salé, tout en passant par des plats de résistance accompagnés de gros morceaux de viande, au restaurant La Bascule du Chevillard, beauté des plats et odeurs de cuisine sont un appel certain à l’appétit. Le menu des entrées se compose notamment de plats comme les salades de bœuf au gros sel, de maraicher, de chèvre chaud au miel, mais aussi de la salade du Gers. Une gamme variée de plats de résistance est également à l’honneur avec du poisson et divers types de viandes : bœuf, volaille, veau et cochon. Côté bœuf Simmental sont proposés le pavé de bœuf accompagné de ses sauces, la côte de bœuf à la moelle, le filet de bœuf accompagné de sauce bordelaise, le steak tartare et la pièce de bœuf aux pois. En matière de volailles, le magret de canard à la ficelle et aux pommes forestières ou encore la cuisse de canard confite figurent parmi les favoris. Par ailleurs, le pied de cochon Hic-Hic et le carpaccio de cervelle de veau mariné ne manquent pas d’attirer l’attention. Tout particulièrement, on note les fameuses frites qui sont vraiment appréciées par l’ensemble de la clientèle de la Bascule du Chevillard. Enfin, en dessert, rien de mieux que de clore avec un sorbet ou une glace, de la crème caramel, du fromage ou encore un gâteau de riz. Le restaurant de toutes les situations Que ce soit pour un rendez-vous entre amis, en famille, entre collègues ou encore en couple, La Bascule du Chevillard demeure le lieu indiqué pour passer un merveilleux moment en bonne compagnie. Le service est de qualité et la pleine satisfaction des clients passe avant tout autre chose. De plus, les prix sont abordables, avec un menu entrée-plat-dessert à 24 € et le menu de midi entrée-plat ou plat-dessert à seulement 15 €. Concernant les vins, la carte, bien que restreinte, saura toujours réserver de très agréables surprises, grâce aux conseils du sommelier. Ouvert du lundi au samedi, de 12 h à 14 h, et du mardi au samedi, de 20 h à 23 h, fermé le dimanche et le lundi soir, le restaurant fait vite le plein. Il est dès lors conseillé de réserver, et uniquement par téléphone. La Bascule du Chevillard : la table des amateurs de viandes et de la bonne chair à découvrir, et où l’on y retourne, sans hésiter. ...
Lancé en 1996, le restaurant tenu par Benoît Cantalloube se situe face à la basilique de Saint-Sernin, un des plus beaux monuments de Toulouse. Le « 7 » : une métamorphose accomplie Pour apporter un renouveau à l’établissement, Benoît Cantalloube engage Guillaume Momboisse, 26 ans, un ancien apprenti de la maison qui revient après une dizaine d’années. Ce dernier a suivi un riche parcours au restaurant Ô Saveurs, au restaurant Le Chalet de la forêt à Bruxelles mais aussi à Hong Kong au Twenty North. Son défi est de donner un coup de jeune au restaurant. Animé par son enthousiasme et sa créativité, Guillaume Momboisse y propose une cuisine délicate et raffinée. Gastronomie rafraichie et authentique Les plats se concoctent avec des ingrédients frais, achetés quotidiennement sur le carré du Marché de la Gare de Toulouse et vendus par les maraichers de la Haute-Garonne. Ses trouvailles du marché lui permettent de réaliser une cuisine respectueuse du terroir, où les produits méditerranéens forment un heureux mariage. Guillaume Momboisse travaille surtout les viandes de la région comme l’agneau du Quercy, le veau fermier de l’Aveyron ainsi que la sole du bassin d’Arcachon. Inspiré et créatif dans l’élaboration des plats Les convives sont invités à choisir entre trois menus : le Lunch, la Découverte et la Dégustation. À souligner : le menu Lunch, à seulement 24 €, est servi exclusivement le midi, avec une entrée, un plat de poisson ou de viande, et un dessert. Il est renouvelé toutes les semaines. Une carte des vins qui voyage Les vins de Saint-Chinian, de Gaillac, de Fronton et de Madiran sont à l’honneur. « Effectivement, puisque nous sommes installés à Toulouse, nous avons une très jolie carte de vins de région. Néanmoins, par curiosité et par gout, nous nous échappons un petit peu de notre région », indique Benoît Cantalloube. Le plaisir du chef est de faire découvrir de nouveaux horizons. « J’aime bien chiner les vieux vins. Parfois, on tombe sur de véritables petites perles », confie-t-il. Lors des foires et expositions, le chef et son équipe testent quelques vins du monde, notamment des crus de la Nouvelle-Zélande, d’Uruguay et de Chili, qui s’affichent dans une rubrique spéciale de la carte. ...
Le Château Pigoudet se trouve à la limite septentrionale de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence. Le terroir de Provence est connu pour la diversité de ses sols qui donnent une grande variété de saveurs aux vins, celui du Domaine Pigoudet est argilo-calcaire. Grâce au terroir, au climat et au savoir-faire de l’équipe, les vins du Château Pigoudet sont connus dans le monde entier. En France, en Europe et dans le monde, le Domaine Château Pigoudet travaille avec des grossistes pour les professionnels et des cavistes pour les particuliers. Le Domaine C’est en 1992 que l’entrepreneur Bernard Schmidt et sa femme Elke acquièrent le Château Pigoudet, une bastide située à l’extrême Nord-Est de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence. Château Pigoudet servait autrefois de résidence d’été à l’archevêché d’Aix-en-Provence. La superficie de la propriété est aujourd’hui évaluée à 110 hectares dont 40 plantés de vignes. Son sol argilo-calcaire accueille plusieurs cépages : Grenache, Cabernet, Syrah, Cinsault pour les vins rouge et rosé et Sauvignon blanc, Ugni blanc, Grenache blanc et Rolle pour les blancs. Le vignoble offre différentes gammes : Pigoudet Première, Château Pigoudet Classic, Château Pigoudet La Chapelle, Château Pigoudet Insolite! et Le Grand Pigoudet. Chaque vin a une typicité particulière et révèle le meilleur de ce terroir en présentant des vins puissants, frais et aromatiques. Une équipe passionnée Elke Schmidt y perpétue le rêve de son défunt mari avec sa fille Sabine Rabe et son beau-fils Hans-Ulrich Rabe. L’équipe qui les soutient dans cette aventure est composée de Daniel Laugier, un Chef de culture qui travaille pour le domaine depuis 29 ans. Il est aidé par son fils Benoît dans la culture du vignoble. Ivan Khougazian, Œnologue-Maitre de Chais, conduit les recherches d’arômes et qualités gustatives en visant l’excellence. L’export et la recherche de nouveaux marchés sont assurés par Sabrine Rabe grâce à ses compétences linguistiques et sa capacité relationnelle. Marcel Fritsch se charge de la France et de la Belgique. Enfin, l’administration du Domaine est l’affaire de Laurence Kazazian, elle organise, gère et crée l’osmose du Domaine. ...
Bonne humeur et convivialité sont passées pour un credo à La Fabrique, une table alsacienne menée de main de maître par Xavier Jarry. Au nord de Strasbourg, cette adresse tire son inspiration des bons produits de la terre. Résultat : des plats savoureux rendant hommage à une cuisine moderne. Intimiste et sobre – comme à la maison –, le cadre invite à une expérience gastronomique authentique autour d’une carte qui dit oui au respect des saisons. Un cadre épuré pour une ambiance chaleureuse Donner au client l’impression de s’attabler chez des amis. C’est dans cette vision conviviale et généreuse que la décoration de la salle a été pensée. Les lignes épurées du mobilier en bois, comme les plantes suspendues dans des pots transparents ou croissant dans des terrariums, ainsi que le parquet vieilli impriment un côté rassurant, familial à l’endroit. À la terrasse, les palissades ponctuées de haies végétales donnent l’impression qu’on s’installe dans le jardinet derrière sa propre maison. Le ton est donné : ici, l’on voyage au cœur des saveurs en toute décontraction. La grande clarté qui baigne la salle est à l’image de l’expérience lumineuse de partage à laquelle la maison initie ses habitués. Inventivité, modernité, générosité Le terroir alsacien est à l’honneur dans le choix des produits que La Fabrique décline pour créer une cuisine aux notes modernes. L’on devine la succession des saisons à celle des couleurs qui se retrouvent dans les assiettes, dont le chef travaille amoureusement le visuel. Le menu Carte blanche permet de découvrir légumes, poissons, viandes et fruits, selon les envies du moment. Le chef recommande le « Maquereau, fenouil, aneth » où les saveurs pénétrantes des deux herbes se complètent pour magnifier les notes iodées du poisson. Le « Jaune d’œuf coulant, anguille fumée, lard de Colonnata, crepons et gingembre » ouvre les papilles à une expérience gustative à part où les sensations s’entremêlent. La fraîcheur acidulée de la racine rend bien les effluves boucanés du poisson alors que fond en bouche l’opulent velouté du lard et de l’œuf. La maison revisite la Tarte au citron meringuée pour en faire son dessert phare. Que l’on ne s’attende surtout pas à la classique pâte garnie de ses douceurs, même la présentation quitte les sentiers battus. L’assiette en met plein les yeux avec cette sorte de mini-pièce montée alternant des choux bruns et jaunes. Autrement, le poivre de Timut et le guanaja trempent les Belle Hélène d’une tout autre personnalité. Une carte fidèle aux racines L’adresse est implantée dans une localité discrète qui tire une grande fierté de la renommée de ses brasseries. L’Alsace viticole trouve, elle aussi, sa place d’honneur dans la carte des vins qu’elle propose pour arroser sa cuisine généreuse. Les petits vignerons, à l’instar du domaine des Pothiers dans la vallée de la Loire, trouvent ici un champ d’expression de leur savoir-faire. La rondeur et l’ampleur en bouche du Clos du Puy 2014 en font un exemple de référence qui recueille les suffrages. ...
Situé à la pointe du Cap Ferrat, entre Nice et Monaco, le restaurant le Cap étoilé au Guide Michelin attise la gourmandise des locaux ou touristes de passage à Saint-Jean Cap-Ferrat. Installé au rez-de-chaussée du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat, A Four Seasons Hotel, il séduit par sa décoration à la fois chic et épurée. Dès l’entrée, la salle dégage une ambiance chaleureuse et conviviale. L’authenticité dans toute sa splendeur se dévoile avec la magnifique fresque réalisée par l’artiste Michèle Letang en hommage aux œuvres de Jean Cocteau, un client fidèle du Grand Hôtel. Pour couronner le tout, l’éclat des lumières apporte une certaine douceur à l’ensemble. Durant les beaux jours, la terrasse surprend par sa vue imprenable sur le grand bleu et sur les ravissants jardins de l’établissement. Cet espace extérieur à l’ombre des pins centenaires accueille jusqu’à une quarantaine de personnes. Des chefs hors-pairs Depuis 2007, la notoriété de ce restaurant n’a pas cessé de croître. Pour cause, un chef créatif et méticuleux se trouve à la tête de la brigade : Didier Aniès. Doté de plusieurs années d’expériences auprès de très grands noms de la gastronomie française, il a réussi à imposer son nom et son empreinte dans le monde culinaire. Ainsi, il a remporté le titre du meilleur ouvrier de France en 2000. Entouré d’une équipe compétente et gagnante composée des meilleurs artisans cuisiniers, il est épaulé par le chef pâtissier de renommée qui vient ajouter son nom aux multiples talents que compte déjà le restaurant. En effet, Gaëtan Fiard qui a été sacré champion du monde des Arts Sucrés 2014 promet de faire voltiger les papilles avec des saveurs douces et recherchées. Une cuisine inventive Tout comme la décoration, la cuisine joue sur le ton du raffinement et de l’authenticité. Créative sans être exagérément complexe, elle met l’accent sur les produits d’exception qui ont été minutieusement sélectionnés auprès des marchés locaux. Outre le menu, le restaurant propose une carte riche en saveurs et en idées. Parmi les plats phares : Les Langoustines à peine Pochées à la Pomme Verte surprend par l’insolite mariage entre le Céleri Blanc Parfumé au Citron Vert et les Perles de Hareng fumé. De son côté, le savoureux Turbot Cuit à basse température, Salicorne accompagné de Girolles, Pois Chiches au Persil plat, et d'une réduction d’Agrumes au Poivre de Timut relève d’un grand art maitrisé mais discret. Côté viande, le Carré d’Agneau « Allaiton de l’Aveyron » au Romarin du Jardin, Gnocchi à la Betterave et Ricotta Safranée, Petits Pois satisfait toutes les gourmandises. Le repas s’achève sur une note rafraîchissante avec le Citron de Menton à l’Huile d’Olive. Pour accompagner le diner, une carte de vins expose la grande collection de l’établissement. Pas moins de 600 références y sont présentes dont principalement les bouteilles du Château d’Yquem (depuis 1854) et celles du Château Lafite Rothschild. Par ailleurs, les amateurs de vins pourront découvrir les plus grands crus du restaurant, jalousement exposés dans l'écrin du « Salon des collections ». ...
Véritable portail de la gastronomie orientale, Markar invite les plus curieux à un voyage inédit au cœur des saveurs arméniennes, libanaises, turques ou encore grecques. Une épicerie fine orientale Créée en 1990 par Kirkor Markarian, la maison Markar suggère une variété de produits qui réserveront des surprises à tous les palais. Pour un apéritif original, l’épicerie regorge de fruits secs, biscuits salés, mezze et charcuterie. Pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’y goûter, la charcuterie arménienne est absolument à découvrir. Markar invite à déguster ses deux spécialités faites maison. Le Pasterma qui est une viande séchée de bœuf enrobée d’une pâte d’épice, et le Soudjouk, un saucisson de bœuf préparé à partir de viande hachée et de boyau naturel. « Pour la viande, on a un rayon boucherie et on utilise de la charolaise, c’est une des meilleures viandes racées françaises », explique Massis Markarian, le fils de Kirkor, qui co-gère la boutique familiale. En guise d'accompagnement de ce plateau de charcuterie, l’épicerie propose des vins d’Arménie aux qualités surprenantes. A découvrir : des vins rouges médaillés d’argent aux concours Mundus Vini en Allemagne comme le Karas ou le Takar ou encore un vin récompensé de la grande médaille d’or à Bruxelles, le Kataro. En parallèle, Markar dispose également de produits exceptionnels tels que le brandy. En effet, l’épicerie suggère à ses clients les brandys les plus raffinés comme le brandy ARARAT VASPURAKAN (15 ans d’âge) ou le brandy ARARAT NAÏRI (20 ans). « Ils sont quasiment introuvables en France, on est le seul à en avoir », souligne Massis Markarian. Au rayon des condiments, les épices indispensables à la cuisine orientale : cumin, piment, thym... mais aussi des huiles d’olive venant de Grèce sont à ne pas manquer. Côté douceurs, fruits secs, confiseries (loukoums, halva, kourabiedes) et pâtisseries orientales sont aussi disponibles. Markar suggère également des produits traiteur. Tout est fait maison ! Du houmous (à base de purée de pois chiches et tahini) en passant par le tzatziki (mezze grec et turc), le tarama (mezze à base d’œufs de poisson, lait, jus de citron et mie de pain) ou le ktipiti (amuse-bouche à base de feta, yaourt et poivron rouge). Enfin, l'une des spécialités de la maison : les feuilles de vigne farcies au riz, les Dolma. À ne surtout pas rater ! « On a des clients qui viennent de loin spécialement pour ces produits », raconte le gérant. ...
Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...
Après Monjul, Julien Agobert renouvelle l’expérience au Jackpot. Cette fois-ci, il mise sur un autre concept : un bar-restaurant au style familial et spontané. Une cuisine savoureuse et saisonnière, une atmosphère décontractée rythmée par de la bonne musique font de cette adresse la nouvelle coqueluche du quartier. Des saveurs et des textures Nul besoin de réserver, les clients peuvent venir à toute heure de la journée. « Je veux faire dans la simplicité et faire en sorte que mes clients passent un bon moment dans mon bar », explique Julien Agobert. Et faire dans la simplicité signifie pour lui faire de la bonne cuisine, « la vraie ». Les plats sont travaillés avec beaucoup de recherche, de justesse et une pincée d’audace. Tout est à la carte, et les clients peuvent créer leur propre formule à leur guise. En assiettes salées, le chef propose des betteraves aux topinambours rôties, panna cotta au thym et crumble de parmesan, ou encore du magret de canard au piment d’Espelette, champignons et pommes grenailles. Des apéros façon tapas et des planches de charcuterie/fromage sont également à déguster au Jackpot. Enfin, la carte suggère une belle liste de douceurs comme de la tarte Tatin et chantilly, du tapioca au lait de coco et ananas, ou encore un brownie aux noix, mousse crème anglaise, crumble cacao et agrumes. Petit bonus, ceux qui observent un régime vegan ou végétarien seront gâtés par le chef qui affectionne particulièrement les recettes healthy et bien gourmandes. Il n’y a pas à dire. Décidément, Julien Agobert n’a qu’une seule obsession : faire plaisir à tout le monde par sa cuisine. Bar à cocktails Pour aller au bout de son concept, et donner de la dynamique à l’ambiance, le Jackpot se pare d’un espace bar à cocktails et bar à bières. « Thibaut, notre barman, a plein d’idées et d’imagination et il fait des créations très innovantes », vante notre chef. D’ailleurs, l’établissement prévoit de proposer des accords plat/cocktail, « un peu dans le même esprit que dans l’univers du vin ». Côté bières, le chef privilégie les bières artisanales, « celles qui ont un goût légèrement amer mais très agréable en bouche », comme il les aime. En outre, les clients peuvent aussi opter pour les vins sélectionnés par la maison et servis au verre. ...
Nous sommes en 1967 lorsque des viticulteurs, animés par une passion commune pour le vin, décident de fonder une cave en hommage à leurs terres. Véritable ambassadrice d’un patrimoine commun, cette cave se trouve être le point d’orgue de l’excellence de la culture vitivinicole du Haut-Languedoc. La noble quête de la qualité Ce sont près de 80 viticulteurs qui s’attellent à offrir le meilleur de leurs vignes plantées en coteaux au travers des cuvées emblématiques. Leurs parcelles ont été sélectionnées en se basant sur leur qualité, leurs points communs, ainsi que la maturité de leurs raisins. « Cette sélection parcellaire, effectuée avant les vendanges manuelles, permet d’identifier le potentiel de chacune de ces parcelles », nous explique Alain Rogier, Directeur Général de la cave. Les cépages, pour ne citer que la syrah, le mourvèdre ou encore le grenache noir, bénéficient également d’un traitement phytosanitaire respectueux de l’environnement et préservant le goût de chaque grappe. Chaque cuvée devient ainsi un fidèle représentant de ce terroir bénéficiant de trois appellations : l’appellation Languedoc, l’appellation Saint-Chinian et l’appellation communale Saint-Chinian-Roquebrun. Cette dernière, octroyée en 2004, fait la fierté de ces artisans de la terre et la particularité des cuvées de la cave de Roquebrun. Dans cette unité vinicole, « le processus de transformation du raisin au vin se fait [d’ailleurs] sous l’égide d’un œnologue qui n’est autre que le Directeur de la Cave », précise notre interlocuteur. À ce gage de qualité s’ajoute le fait que cette cave « est bâtie sur le modèle des caves du Beaujolais par l’existence d’un plateau de macération carbonique », continue-t-il. Les vins de la cave bénéficient ainsi d’une typicité basée sur une aromatisation naturelle poussée. Égayez ainsi vos instants gourmands de ces vins aromatiques à souhait, à l’instar de la Grange des Combes, un 50 % syrah raffiné et doté d’un bouquet élégant, ou d’une Roches Noires, un 60 % syrah au nez accompli et à la bouche exquise. ...
Situé à quelques pas de la rive gauche du Rhône et du quartier de la Guillotière, La Cocagne est un restaurant qui cultive le « bien manger », tout en invitant ses convives à la détente. Ce bel écrin, détenant un « certificat d’excellence TripAdvisor », est le lieu d’une cuisine riche des voyages culinaires entrepris par les deux propriétaires à travers le monde. Une cuisine qui offre un rapport qualité-prix exceptionnel, en plus du service professionnel. Tradition culinaire française à la sauce méditerranéenne et lyonnaise Les délices du restaurant sont tirés des classiques de la cuisine française, ainsi que des inspirations méditerranéenne et lyonnaise. Ici, les produits sont frais, la cuisine faite maison, le terroir de Lyon mis en valeur dans des préparations se rapprochant des saveurs d’ailleurs. Aux fourneaux, les recettes sont fabuleusement élaborées par Sandrine Bernard. Celle-ci a déjà eu à faire ses preuves dans des restaurants tels que la « Meditrina » et « Un Moment à Part », toujours à Lyon. La carte change environ tous les trois mois, mais quelques plats et desserts reviennent de temps en temps. Des desserts du soir, comme le pain perdu au caramel au beurre salé, qui est un peu comme une signature de la maison et très apprécié par la clientèle. En guise de plat, tartare du chef et ses frites maison, assaisonné d’épices chinoises du Sichuan dont a le secret Sandrine. Par ailleurs de nouvelles recettes sont souvent testées pour le plus grand plaisir gustatif des hôtes. C’est le cas du vitello tonnato et ses frites de polenta. Une savoureuse recette italienne de tranches de veau cuites au lait, et nappées d’une sauce au thon et aux anchois. Egalement à la carte, des salades à l’instar du céviche de cabillaud, qui est une recette péruvienne élaborée à partir d’une petite marinade d’oignons assaisonnée avec du piment et du jus de citron. Le mélange va saisir les filets de cabillaud qui vont ensuite être débités, pour intégrer la marinade en accompagnement de coriandre fraîche. La cuisine du restaurant propose un ticket moyen aux alentours de 18 euros. Sylvain Armand de son côté, propose de très belles bouteilles se mariant à la perfection avec la cuisine de Sandrine Bernard. Celles-ci sont servies en verre ou à la bouteille. En accompagnement du vitello tonnato, un Gamay coteaux du Lyonnais vinifié à Taluyer en agriculture cloisonnée. C’est un vin rouge peu gras sur la longueur et conseillé pour ne pas écraser la saveur du vitello tonnato qui est un plat servi frais. Le tartare du chef et ses frites maison étant plus fort, il peut être accompagné avec un AOC Vacqueyras du Domaine Colline St Jean coûtant 29 euros. Celui-ci est suffisamment soutenu pour tenir les épices de la maison. Esprit bistrot et ambiance cosy sans chichi Cadre chaleureux au sein d’une rue paisible avec vue directe sur Fourvière et sur l’Hôtel-Dieu de Lyon, le restaurant La Cocagne accueille dans une ambiance à la bonne franquette. L’établissement affiche un décor boisé au minimalisme épuré très convivial, façon bistrot lofté. En terrasse, bon air et vue imprenable permettent de savourer chaque bouchée. La conception et le dressage des tables sont très particuliers, de même que le traitement acoustique qui fait des vagues sur du panneau de chêne. L’espace quant à lui est aéré et bien éclairé. En soirée, la lumière tamisée offre aux couples un moment privilégié dans le petit étage aménagé à l’intérieur. C’est aussi une adresse privilégiée pour les sorties en famille et entre amis. ...
Situé à quelques enjambées de la maison de la Radio, le restaurant Chaumette continue d’honorer l’art culinaire traditionnel français. Une valeur qui a fait de la maison un endroit unique en son genre. Un vestige du siècle dernier Caché derrière une authentique façade en bois se trouve le restaurant Chaumette. À l’intérieur règne une ambiance rétro, bon enfant et chaleureuse. Le décor, propre aux bistrots des années 1930, réveille un sentiment de nostalgie et de bien-être : boiseries, petites tables serrées. Ici sont suspendues des photos anciennes. Et là trônent des cadres dédicacés, où l’on peut lire des lignes élogieuses à faire pâlir d’envie n’importe quel restaurateur. La preuve que Chaumette a été l’endroit coup de cœur de plusieurs personnalités comme Édith Piaf, Arletty, Jacques Brel ou Joséphine Baker. Un haut lieu de la cuisine traditionnelle française Vincent Spirito et son équipe conservent le concept qui a su séduire les convives du restaurant Chaumette durant presque huit décennies : une cuisine traditionnelle française et faite maison, des ingrédients frais et de qualité issus en majeure partie de filières françaises. Savourez en entrée une terrine de foie gras de canard, confiture d'oignons ou du vol-au-vent d'escargots crème de champignons. En plat, passer à côté du pot-au-feu, l’emblème incontournable du restaurant depuis sa création, serait bien dommage. Mais cela n’empêche pas de se laisser éblouir par d’autres spécialités : noix de ris de veau, blanquette de veau, rognon de veau à la moutarde de Meaux, civet de sanglier, pigeon rôti découpé sur toast à la farce d'abats… Et au dessert aussi, quelques classiques sont au rendez-vous : millefeuille à la vanille bourbon, soufflé au chocolat... Côté cave, Chaumette privilégie les vignerons indépendants et ceux qui ont une démarche globale de respect de l’environnement et des méthodes de production. Les vins bio voire nature sont mis à l'honneur sur l'ensemble des vignobles mais particulièrement en Languedoc, Loire, Rhône... ...