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Le Scoop : une cuisine bistronomique qui fait toute la différence

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Améliorez l’expérience d’achat de vos clients avec Happywait

Depuis sa création, en 2015, la solution Happywait est de plus en plus utilisée par les promoteurs. Quelques mots sur la solution Happywait Lorsqu’un acquéreur est sur le point d’acheter un logement neuf, il sait qu’il doit attendre un certain temps avant de voir son projet se concrétiser. Parfois, le rêve peut virer au cauchemar en engendrant diverses complications. Souvent par manque de communication entre le promoteur en charge du projet et l’acheteur. C’est en partant de ce constat qu’Happywait a été créée. L’objectif est simple : faciliter la relation entre acheteur et promoteur par le biais d’une plateforme internet aux couleurs de l’entreprise qui simplifie la suivie du projet, au fur et à mesure de son avancement. Du côté du promoteur, il est possible de communiquer à ses clients tous les éléments techniques et administratifs en toute simplicité. Ainsi, il devient très facile d’accompagner chaque acheteur en les informant régulièrement et en leur fournissant des photos de l’avancée du chantier. L’acquéreur, quant à lui, peut poser toutes les questions souhaitées au promoteur à tout moment. À savoir : si nécessaire, les professionnels d’Happywait sont capables d’accompagner les équipes commerciales et de proposer une prestation de Community Management sur l’espace client (renseignement de celui-ci, mise en ligne de photos récentes, etc.). Happywait : de sa création à aujourd’hui L’idée d’Happywait vient de Julien Mouazan. Cet expert du web a commencé à réfléchir à ce projet en 2012, en achetant un appartement neuf sur plan. Il s’est retrouvé face à certaines problématiques et a décidé de créer une solution capable d’y répondre. Après avoir présenté le prototype à un ami promoteur, il se lance dans la conception. Aujourd’hui, l’équipe est composée de 4 personnes et évolue de jour en jour pour rester réactive face aux attentes de leurs clients, de leurs métiers et des problématiques qui y sont liées. Ainsi, de nombreux modules sont en cours de développement afin d’aider les équipes opérationnelles de la quarantaine de promoteurs qui leur font confiance à gagner du temps. ...

Château Virant : la quête de la différence

Lançon de Provence, la commune où s'étend le vignoble et l'oliveraie, située à quelques kilomètres de Salon-de-Provence et d'Aix en Provence. Cette exploitation, devenue l'un des porte-étendards du vin et de l'huile d'olive provençale, doit sa réussite à un travail de longue haleine et un savoir-faire qui se transmet de père en fils. La famille Cheylan a fait de la qualité, la différence et l'innovation, sa devise. Ce qui lui a valu des récompenses. Elle est primée au salon de l'Agriculture depuis 1996 pour son huile d'olive qui est la plus médaillée de France, et s'est distinguée par un prix d'excellence au concours français des œnologues pour ses vins. Une vinification associant modernité et tradition Robert et Noëlle Cheylan sont devenus propriétaires du Château Virant en 1974. Dès lors, ils ont entrepris une profonde remise en état des bâtiments et du vignoble, dans une optique d’amélioration qualitative du vin. La démarche pour obtenir ce précieux sésame est la lutte raisonnée, elle empêche l'utilisation maximale des produits chimiques. Ici, le processus de vinification allie à souhait modernité et tradition. La récolte des fruits bien que mécanisée se fait aussi à la main. Une fois les récoltes effectuées, elles sont acheminées en cave pour un pressurage direct en vue de l'obtention des vins blancs et rosés. Par contre les rouges ont besoin d'une période de cuvaison, qui est l'élément déclencheur de leur fermentation. Le jus obtenu après pressurage est retravaillé dans une cuve en inox ou en barriques de chêne pour être mieux élevé. Le domaine fait la différence prioritairement avec 12 types de vin et produit principalement du rosé. Le cœur de gamme est la cuvée Château Virant, à l'exemple du blanc qui est issu de l'assemblage des cépages nobles , à savoir le Chardonnay, le Sauvignon blanc et l’Ugni blanc. A l’œil ce vin est d'une robe claire et d'une minéralité particulière due à une touche d'agrumes et de fruits blancs. Le rosé de la même cuvée est essentiellement composé de Grenache et de Cabernet Sauvignon. D'un visuel clair, en bouche il est assez vif, équilibré et ponctué par des notes de fruits rouges. Ce vin est vivement conseillé pour des repas méditerranéens et des apéritifs. D'autres cuvées traduisent mieux l'identité du terroir et les vertus du climat de la région, en l'occurrence le rosé de la Cuvée Tradition. Plus haut de gamme, il est soutenu et à forte dominante de fruits rouges tels que les framboises et les cerises. Il s'accorde parfaitement avec des poissons grillés ou marinés. Des particularités qui pèsent leur poids Le vignoble et l'oliveraie  sont implantés sur une zone géographique microclimatique aride et sèche où les surfaces des feuilles sont en permanence soumises à une forte canicule, aidant à l'épanouissement des cultures. Le terroir est bercé par un vent sec et froid, le Mistral, favorable à un bon état sanitaire des fruits. Le climat méditerranéen qui couvre la zone s'harmonise parfaitement avec la faible pluviométrie obligeant ainsi à des vendanges précoces, dès la première quinzaine du mois d'aout. Château Virant est aussi un domaine à explorer de fond en comble pour mieux connaître la culture de la vigne et de l’olive. Les tenanciers promeuvent l'oenotourisme à travers des visites guidées en groupe ou individuelles , l'organisation de réceptions, séminaires et réunions au sein même du domaine, mais aussi des instants ludiques à l’instar de l’invitation de  "Mado la Niçoise" dans le courant de l'été. ...

26 ans d’expertise dans la location de voiliers et catamarans pour croisières

L’origine d’Océans Évasion remonte à 1992, quand Antoine GUYOMAR et son père ont créé la société SPI Location à Lorient, spécialisée dans la location de voiliers habitables en Bretagne Sud. Leader sur le marché français, la société a multiplié son réseau d’armateurs en même temps que les destinations proposées avant de devenir Océans Évasion, en 2006. Aujourd’hui, elle enregistre environ 1 000 réservations par an et accompagne plus de 6 000 personnes dans leur aventure en mer vers les plus belles zones de navigation aux quatre coins du monde. Un savoir-faire axé sur la qualité En tant qu’agence de conseils en location de bateaux, Océans Évasion s’est entouré de conseillers spécialistes pour organiser les croisières de ses clients. « Nous sommes une agence intermédiaire qui se situe entre nos clients et notre réseau de loueurs répartis partout dans le monde », explique le cofondateur et gérant Antoine GUYOMAR. Contrairement aux portails web qui proposent le même service, l’équipe sélectionne en amont une flotte de 5 500 voiliers monocoques et de catamarans à proposer aux clients. Ces bateaux, essentiellement construits par des chantiers navals français, sont triés sur le volet selon certains critères établis en avance tels la qualité de l’accueil, la maintenance, l’équipement des voiliers et même la solidité financière des armateurs. « Notre mission est d’offrir l’excellence à nos clients et de garantir leur satisfaction », reprend-il. Chose faite, car le taux de satisfaction des clients est maintenu à 94 %. Océans Évasion déploie son expertise sur plus de 75 destinations, depuis la Croatie jusqu’aux destinations lointaines comme la Polynésie française et la Thaïlande. La Méditerranée entretient toujours sa magie et reste un choix par excellence en période estivale. Grèce, Croatie, Sardaigne, Corse, Baléares, Turquie sont les plus prisées et se prêtent parfaitement à une croisière en bateau privatisé. En outre, d’autres destinations plus exotiques, à l’instar des îles Seychelles, les Caraïbes et les îles Grenadines commencent aussi à séduire. À la demande, des programmes de navigation vers les îles Britanniques, la Norvège ou les Açores sont également envisageables. Une approche humaine au cœur des prestations En attribuant un spécialiste pour chaque destination, l’agence veut s’assurer que les exigences des navigateurs soient respectées aux détails près. Si certains sont plutôt autonomes et choisissent de mener eux-mêmes leurs itinéraires, d’autres demandent à être accompagnés par un skipper et éventuellement d’un équipage complet pendant le voyage. « Notre service peut s’étendre jusqu’à une prestation hôtelière à bord selon les demandes des clients. »Depuis la réservation jusqu’à l’embarquement, les plaisanciers peuvent s’adresser directement à l’interlocuteur chargé de leur projet pour toutes les questions d’organisation. Par ailleurs, ces conseillers sont aussi joignables à toute heure grâce à un dispositif multicanal de service client disponible 7j/7. ...

Château de Ségriès : vins, terroirs
et traditions

Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...

Château Brillette, un domaine qui traverse l’histoire au cœur de l’appellation Moulis en Médoc

L’histoire du domaine remonte aux XVIème siècle. Il fut d’abord la propriété de la famille du Comte du Périer de Larsan qui y a véritablement forgé l’histoire du domaine. Puis a ensuite été la propriété de la famille de Montesquiou / David-Weill.  La famille FLAGEUL rachète finalement la propriété en 1975 et l’agrandit en même temps. Quasiment historique dans la région, dès 1874, le Guide Féret sur Bordeaux et ses vins consacre déjà le vignoble comme l’un des meilleurs de l’appellation. Les vins du Château Brillette sont reconnus pour leur goût authentique, un mariage de fruits et d’épices. Avec un sol constitué d’un tiers d’argile, de galets et de graviers, le vignoble s’étend en partie sur des parcelles de « graves », spécificités géologiques de la région. En ce qui concerne les cépages, ils sont composés à 60% de Cabernet Sauvignon et le reste de Merlot et de Petit Verdot. Le vignoble n’utilise ni engrais chimique ni insecticides. La pratique de la culture y est raisonnée et manuelle. Le domaine garde un savoir-faire traditionnel héritage de son histoire glorieuse. C’est grâce à cette manière de travailler que depuis 2018, le château a acquis la plus haute labellisation en la matière puisqu’il est certifié HVE-3 (Haute Valeur Environnementale). L’utilisation de produits testés sur les animaux ou qui mettent les animaux en danger y est ainsi proscrite et une partie de la production est même certifiée végan. La vigne fonctionne dans un écosystème privilégié. Avec un climat bordelais océanique porté par l’Atlantique, les raisins obtiennent une belle maturité. L’élevage et les vendanges Les vendanges se font pendant trois semaines, précisément entre le 25 Septembre et le 15 Octobre de l’année. La vinification est toujours traditionnelle, et le vin est très peu travaillé pour lui donner un goût intense naturellement. Ce vin de terroir a une typicité qui se retrouve dans le même type de vin même s’ils changent de directeur ou de Maître de chais. Sur le domaine, ce sont 15 personnes qui travaillent en permanence et pendant les vendanges, cela peut aller jusqu’à 60 personnes. En ce qui concerne l’élevage, qui se fait en général sur une période de 12 mois, l’équipe fait la récolte, vinifie et procède à la macération post fermentaire. Pendant 10 jours, le vin est extrait, on sépare le marc du jus et tous les vins partent en barrique. Pour ne pas avoir un goût boisé dans le vin, les barriques sont peu chauffées. Le Maître de chais collabore étroitement avec l’œnologue reconnu Eric Boissenot dans l’assemblage de certaines cuvées. Des vins d’exception au cœur de l’appellation Parmi les vins produits sur le domaine qui se démarquent particulièrement, on retrouve la bouteille « Haut Brillette ». Un vin à base dominante de merlot assorti à du Cabernet Sauvignon et de Petit Verdot selon les années. C’est un vin frais et très fruité en bouche. Il est issu principalement de jeunes vignes et met en avant le terroir constitué de graves de Günz et d’argile. Autre vin à découvrir également, le Château Brillette qui jouit d’une palette typée de fruits noirs, d’épices et d’un boisé subtil. Composé de trois cépages, du  Cabernet Sauvignon, du Merlot et selon les saisons du Petit Verdot, c’est un vin de couleur noire car les couleurs restent assez longtemps. Au niveau du nez, on ressent une note de fruit, avec un goût particulier mentholé et d’eucalyptus. A la dégustation, il accompagne les viandes, la charcuterie, le fromage ou encore les plats thaïlandais épicés. Les vins du Château Brillette se dégustent au bout de 5 ans et possèdent une bonne garde de 15 à 20 ans. On peut les retrouver sur de grandes tables comme Chez René, Fontaine de Mars, Chez André rue Marbeuf, Stella ou Sebillon. Ils sont aussi présents chez de grands cavistes reconnus comme La Vignery. Le domaine produit plus de 160.000 bouteilles par an principalement destinées au marché local mais aussi exportées vers la Martinique, la Guadeloupe...

Champagne Baron Albert : la finesse et l’équilibre d’un excellent cru

Située à environ 80 km de Paris, au milieu d’un vaste vignoble à perte de vue, la Maison Baron Albert continue de pérenniser un savoir-faire acquis depuis 1947. Elle exploite actuellement un terroir de 55 hectares, reparti sur sept villages autour de la Vallée de la Marne. Deux labels amplement mérités Le vignoble est composé des trois principaux cépages champenois : le pinot meunier, le chardonnay ainsi que le pinot noir. La Maison utilise plusieurs types de viticulture, selon le cépage travaillé, le soin apporté au sol et le type de champagne recherché. En adoptant progressivement des procédés mécaniques dans le traitement de son vignoble,  les sœurs Baron ne se contentent pas de pratiquer une viticulture raisonnée mais aspirent à surpasser le concept. Certifiée Viticulture Durable en Champagne et Haute Valeur Environnementale, en 2016, la Maison Baron Albert témoigne d’un grand attachement à la préservation de la biodiversité. « On fait vraiment très attention à l’environnement, au sol, aux Hommes et au site, tout est scrupuleusement contrôlé quand il s’agit du traitement de nos vignes », explique avec fierté Claire Baron, petite-fille du fondateur de la Maison. L’art du champagne Les deux types de gamme élaborés par les Champagnes Baron Albert reflètent fidèlement le terroir et l’esprit des trois sœurs : les Ambassadrices, composées de quatre cuvées classiques, et les Coquettes, celles qui sont vinifiées différemment. Deux cuvées se distinguent du lot grâce à leur personnalité captivante et raffinée. D’abord, L’Universelle, élaborée avec 70 % de pinot meunier, le cépage phare de la Maison, et 30 % de chardonnay. Bien frais et fruité, cette Cuvée représente toute l’élégance du champagne. Elle se déguste idéalement à l’apéritif, avec des fruits de mer ou des sushis. La Symbolique de son côté, la dernière création, est composée exclusivement de pinot meunier. « Brut nature, c’est vraiment toute la pureté du pinot meunier qui est mise en lumière, c’est notre produit haut de gamme », décrit Claire Baron. Travaillée comme le faisait notre grand-père et dans les règles de l’art, cette cuvée est une édition exclusive et numérotée. ...

Domaine du Siorac : « un savoir-faire, un terroir… »

Depuis 1818, 7 générations de la famille Landat ont façonné cette propriété située non loin de Bergerac entre les bastides d’Eymet et d’Issigeac. 27 hectares de vignoble jouissent de ce terroir argilo-calcaire en AOC Bergerac. Le raisin est vinifié selon des méthodes de travail innovantes, sans dénaturer le patrimoine qu’ils préservent et défendent.   Le domaine « Vigneron indépendant » Le vignoble présente un encépagement varié avec une répartition végétale typique de la région de Bergerac. 70 % de la superficie est consacrée aux cépages rouges et 30 % aux cépages blancs. Ils permettent des assemblages équilibrés pour des vins de qualité. Le Domaine du Siorac est « Vigneron indépendant ». Il travaille sa vigne, récolte son raisin, vinifie et élève son vin, met en bouteille sa production à la propriété, commercialise ses produits, accueille, conseille la dégustation et prend plaisir à présenter le fruit de son travail et de sa culture. Le domaine est ouvert tous les jours, sauf le dimanche, les jours fériés et les samedis, de janvier à mars. En période estivale, une visite guidée est proposée tous les mardis et jeudis (visite du vignoble, du chai et dégustation périgourdine).   Les autres produits du domaine Depuis le début, la famille Landat est fortement marquée par sa culture natale ; elle a su réhabiliter une tradition culinaire locale : le verjus. Elle récolte des raisins verts en surnombre puis les presse jusquʼà obtenir ce fameux jus de raisin acide et finement parfumé bien connu des grands chefs. Dʼun gout acidulé, il est un excellent exhausteur de saveurs pour les viandes blanches et les poissons. Le Domaine du Siorac a également pensé aux personnes ne buvant pas d’alcool. Du jus de raisin blanc et du jus de raisin rosé pétillant 100 % naturel et « pur fruit » sont proposés. Le premier est 100 % sémillon et le deuxième est composé essentiellement de merlot. Ils ne contiennent aucun sucre ajouté.   Les vins Les vins rouges sont issus dʼun assemblage de merlot, de cabernet franc, de cabernet sauvignon et de malbec. Ils sont sur le fruit et permettent d’accompagner charcuterie, grillades ou fromages légers. Le rosé est un mélange équilibré et harmonieux de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon qui s’ouvre sur une bouche perlante, ronde et gourmande. Ce rosé demi-sec est un vin dʼété par excellence et peut être servi de l’apéritif au dessert. Le blanc sec, typé sauvignon, a un nez intense de fruits jaunes frais et une bouche grasse aux arômes dʼagrumes. Il s’accordera parfaitement aux fruits de mer, aux coquillages, aux viandes blanches et aux fromages. Le très polyvalent blanc moelleux est régulièrement sélectionné par le Guide Hachette. Agréable assemblage de sémillon, de sauvignon blanc, de muscadelle et de sauvignon gris, il dévoile son fruité avec une même finesse au nez quʼen bouche. ...

GRIMP A L'ARB : un parcours de plaisir et de détente

Le parcours acrobatique est une activité sportive alliant plaisir et découverte. GRIMP A L'ARB, installé dans une zone préservée et calme, invite ses clients à vivre une expérience ludique et attractive à travers cette discipline. Neuf parcours dédiés à tous les niveaux et à tous les âges ( le parc reçoit les tout-petits à partir de 4 ans)  ont été spécialement développés. Des sensations inédites en perspective ! Des formules pour toute la famille Composés de divers obstacles adaptés à leur physique, les  parcours pour enfants intitulés « Petits Écureuils » et « Petits Aventuriers » vont éveiller leur goût pour l’aventure. Ils vont explorer la traversée du serpent, l’échelle de papou, les ponts de druides et passerelles.  Avec la formule « Exploration et Évasion », les parents peuvent partager des moments de joie avec leurs enfants en traversant ensemble le parcours. Pour les adultes, deux options sont offertes : commencer par le circuit « Découverte » et ensuite s’attaquer au circuit « Confirmé ». Échelle, pont de moustique, passerelles, bascules, pont de murmure, et tyrolienne escapade sont à franchir dans le circuit « Découverte », avec un niveau de difficulté accessible aux jeunes ados.  Ils peuvent ensuite continuer avec le circuit « Confirmé » avec des parcours plus en hauteur, et un niveau plus élevé. D’abord  le parcours « Sensation » pour vivre une expérience palpitante sur les passages suspendus et la poutre de l’équilibriste. S’enchaînent ensuite les parcours « Émotion » et « Frisson » qui passent par le mur d’escalade et la grande tyrolienne. La hauteur peut atteindre jusqu’à 18 mètres pour le dernier parcours en boucle « No Limit », qui est composé d’une bonne douzaine d’obstacles. Des défis progressifs à relever, mettant à l'épreuve l’endurance du participant. Sur l’ensemble de ses parcours, le parc met à disposition des équipements de protection individuelle (EPI) ainsi qu'une surveillance au sol afin de garantir la sécurité de tous. Pour la prochaine saison 2018, le parc prévoit de revisiter ses parcours pour offrir encore plus de sensations intenses aux participants. Se divertir ensemble GRIMP A L'ARB peut accueillir tous types de public : familles, groupes scolaires, groupes d’amis, centres de loisirs, particuliers, entreprises et diverses associations.  Le parc est aussi un très bon choix pour marquer un événement familial, tel qu’un anniversaire ou un enterrement de vie de célibataire. Chaque formule est proposée avec un tarif spécial pour les activités collectives. Entre sensation et plaisir, pratiquer des parcours acrobatiques favorise la cohésion de groupe, c’est pourquoi il reste idéal pour les entreprises qui veulent organiser des team building. L’accueil, les horaires, les services, le tarif sont flexibles afin de satisfaire chaque demande des clients. Il est donc vivement conseillé de faire une réservation en avance sur le site ou par téléphone.  ...

Ferme-musée de la Soyotte : art de vivre à la vosgienne

Il était une fois un groupe d’éclaireurs menés par Jean BERNARD ; lassés des feux de camp et autres réjouissances du genre ils décidèrent de se mettre à la danse. Folklorique s’entend, car nous sommes en 1955. La Soyotte venait de naître avec, devant elle, une décennie d’histoire d’amour exclusive avec la danse éponyme. Chansons et musiques traditionnelles ont ensuite enrichi les activités de l’association jusqu’à ce qu’elle acquière, dans les années 70, la ferme vite tournée en musée. Faire revivre la vie des ruraux d’antan La demeure du XVIIIe dont l’association fait l’acquisition en 1976 abrite, aujourd’hui, une collection très enviable. Ayant à cœur de sauvegarder le patrimoine vosgien, en promouvant la recherche et le développement des us et coutumes régionaux, cette adresse intime près de Saint-Dié-des-Vosges étonne par la richesse de son répertoire. Démarrée avec les outils et les instruments utilisés pour les besoins des spectacles du groupe, cette collection compte maintenant presque 9000 objets. Les vieux métiers de la région et l’habitat sont notamment tout particulièrement représentés dans la maison que les membres de l’association loi de 1901 ont pris soin de remettre entièrement en état. « […] en regardant soigneusement comment c’était au départ, […] dans la cuisine, j’ai gratté le revêtement (pour savoir !), Claudine et son mari ont ôté le faux plafond et refait à l’identique», se rappelle Marie-Thérèse Bernard, la présidente. Une (re)mise en scène d’une étonnante précision Aujourd’hui, les visiteurs auront plaisir à découvrir les « petits travaux d’hiver » à travers les collections de matériels entreposés dans l’ancien grenier à foin. Balais, fagots, paniers et sabots ont été replacés comme si leurs usagers n’étaient pas bien loin. La schlitte rappelle combien les fermiers d’antan ont su faire preuve de génie pour déplacer leurs charges d’un endroit à l’autre. Tous les travaux agricoles sont revisités et expliqués à travers la collection d’outillages : charrettes, chariots, brouettes, vans… Les femmes racontent leurs dures conditions d’existence métiers à tisser, carreaux de dentellières et costumes. « Elles travaillaient pour des marchands de Lunéville et Nancy. Tout était commandé en automne, avec des échantillonnages, était fabriqué durant l’hiver et était redonné aux vendeurs réels pour Pâques… » ...

Flandre : une destination de pointe pour organiser ses congrès

À l’échelle internationale, c’est la Belgique entière qui s’est forgé une image de destination de pointe pour les congrès et les réunions d’affaires. Les infrastructures dont disposent les villes flamandes de Gand, de Bruges et d'Anvers y contribuent largement. Le secteur des professionnels de l’évènementiel en Flandre montre d’ailleurs beaucoup de dynamisme dans la rénovation et la création de nouveaux dispositifs. Un large choix de sites de congrès « Après l’ouverture du tout nouveau centre des congrès d’Anvers, c’est au tour de Bruges de se lancer dans la construction d’infrastructures adaptées à ce marché, tandis que Gand, déjà bien positionnée dans l’accueil de grands évènements internationaux, compte rénover son principal site », déclare Pascale Schuddings, Directrice pour l’Europe Francophone de VISITFLANDERS, l’office de tourisme de Flandre et Bruxelles. Il est vrai que la Flandre détient un palmarès fourni, en matière de lieux d’accueil de congrès et d’événements professionnels. Ils se déclinent dans un large panel de styles pour une adéquation parfaite avec les recherches de la clientèle. Avant-garde ou Art nouveau, contemporain ou médiéval, moderne ou historique, classique ou plus décalé, chaque lieu garantit de répondre à toutes les gammes d’attente. Avec, à chaque fois, la possibilité d’investir un espace à la taille de son événement : plus grand, plus intime ou modulable. Le Flanders Meeting and Convention Center à Anvers Le FMCCA illustre parfaitement la haute technicité des infrastructures que la Flandre peut proposer. Il bénéficie d’une situation privilégiée à quelques minutes du centre-ville, dans une zone de basses émissions, de surcroît. Anvers est elle-même avantageusement desservie par le réseau ferroviaire depuis Cologne, Amsterdam, Londres et Paris. Le centre allie à la perfection technologie et authenticité historique. Les 2 100 m² de l’atrium ouvrent, au rez-de-chaussée, sur une vingtaine de salles de réunion incrustées dans une structure d’une beauté architecturale saisissante. La salle de réunion VIP Bugatti Hall est, ainsi, rehaussée des œuvres du fameux sculpteur éponyme. Les autres niveaux de cet immense complexe comptent bien d’autres espaces – près de 20 000 m² en tout –, certains récemment aménagés selon les exigences les plus pointues de notre époque. Matériaux durables et dispositifs d’efficacité énergétique à la clé. Le tourisme de congrès à l’honneur à Bruges En tant que destination de congrès, Bruges affiche une affinité particulière avec quelques secteurs en croissance. Médecine, culture et tourisme, port et logistique, mécatronique et TIC sont les spécialités prioritairement ciblées par les établissements réceptifs. Le nouveau centre de congrès, dont le démarrage du chantier est prévu en 2018, mobilisera le talent d’architectes de gabarit international. Avec une capacité prévue pour 600 personnes, il abritera 4 500 m² d’espaces d’exposition. En attendant, la ville déploie déjà une large offre de lieux modulables selon les besoins de chaque événement. Avec des références comme le VIVES Campus Brugge ou le Congrescentrum Oud Sint-Jan. Gand et son centre de congrès international Le plus important établissement d’accueil de congrès de Gand profite d’un emplacement unique au sein du parc de la Citadelle. Cet ensemble de 17 000 m² aménagé dans un écrin de verdure peut accueillir jusqu’à 5 000 personnes dans ses 25 salles polyvalentes. Les organisations ayant à cœur de mettre en avant leur engagement pour l’environnement trouveront ici l’endroit idéal pour faire écho à leur conviction. Énergie renouvelable pour l’alimentation des moyens de communication et autres solutions vertes dans l’organisation des événements constituent la signature de l’adresse. ...

Centre Hépato-Biliaire de l’hôpital Paul Brousse : au cœur de l’innovation

Intégrant une équipe pluridisciplinaire, le centre s’illustre tout particulièrement par sa volonté de recourir à de multiples innovations pour assurer une prise en charge optimale à ses patients. Quelques mots sur le CHB Paul Brousse     Le centre Hépato-Biliaire Paul Brousse a été inauguré en mars 1993.  Il est axé sur le traitement des maladies du foie, des voies biliaires, et du pancréas. Le centre figure parmi l’un des tout premiers dans le traitement médico-chirurgical des tumeurs du foie et c’est le premier centre de greffe du foie au plan national. Outre les aspects chirurgicaux, il intègre tous les aspects multidisciplinaires de la prise en charge. Cette dernière est organisée de sorte qu’ « au lieu que ce soit le malade qui se déplace vers les différents services, ce sont les spécialistes qui sont autour de lui pour lui apporter les meilleures solutions en termes de diagnostic et de traitement », souligne le Pr René Adam, chef de département du Centre Hépato-Biliaire. Les atouts de la pluridisciplinarité L’un des points forts du CHB réside dans sa capacité à fédérer des compétences éprouvées issues de disciplines diverses. En effet, il peut compter sur une équipe multidisciplinaire réunissant des hépatologues, des chirurgiens, des anesthésistes, des oncologues, des radiologues, et des réanimateurs. Une synergie et une complémentarité qui offrent de nombreux avantages notamment dans le diagnostic rapide des tumeurs du foie. « Pour un patient arrivant dès le matin, tous les moyens sont mis en œuvre pour obtenir le diagnostic dans les 24 à 48 heures. Pour cela tous les spécialistes travaillent en concertation pour aller le plus vite possible »,  poursuit notre interlocuteur. En outre, une unité de recherche labellisée par l’INSERM qui réunit des cliniciens et des chercheurs est intégrée dans le bâtiment. Une institution ouverte à l’innovation Qu’elle soit chirurgicale, hépatologique ou au niveau de la recherche, l’innovation est au cœur de toutes les activités du centre. Ce dernier dispose d’outils et de matériels à la pointe de la technologie médicale pour le diagnostic et le traitement des maladies virales, des cirrhoses et des tumeurs du foie des voies biliaires et du pancréas. Le CHB développe tout particulièrement la chirurgie mini-invasive du foie et du pancréas. Aujourd’hui plus de 30% des tumeurs du foie sont opérées avec ces méthodes qui permettent de réduire la taille des incisions et les douleurs postopératoires. Conjointement à un programme de réhabilitation améliorée après chirurgie, les durées d’hospitalisation sont écourtées. En ligne avec ces objectifs, les outils connectés sont mis au service de la domomédecine et une étude pilote va bientôt permettre aux patients opérés au CHB de bénéficier d’une technologie qui assurera une surveillance à distance après leur sortie de l’hôpital. « Grâce à ces outils connectés, on pourra recevoir automatiquement des informations sur le rythme activité-repos d’un patient, s’il est couché, s’il est debout, sur l’évolution de sa température cutanée, de son poids et grâce à un questionnaire télétransmis, sur la façon dont il se remet de son intervention, le tout, sans qu’il soit nécessaire de le garder hospitalisé  », poursuit notre interlocuteur. De leur côté, l’équipe médicale sera en mesure d’accéder à ces informations via un serveur et pourra contacter le patient en cas de perturbations importantes des paramètres surveillés.  Le centre s’est doté récemment de machines de perfusion du foie qui offrent  la possibilité de recréer les conditions physiologiques de perfusion des organes. « On peut mettre un foie et le perfuser ex vivo, ce qui permet de vérifier sa fonctionnalité, de tester si la greffe va marcher mais cela ouvre aussi la porte à des modifications que l’on pourrait effectuer sur des foies considérés comme trop risqués pour être transplantés d’em...

Grosperrin : des cognacs d’une finesse rare

Installée au cœur de l’appellation « Cognac », la Maison Grosperrin est la dernière maison de cognac située à Saintes, dans le département de la Charente-Maritime. Cette société indépendante ne cesse de parfaire sa prestigieuse collection et se nourrit d’une culture d’excellence et d’authenticité depuis 1992. Respecter un savoir-faire « Nous pratiquons le négoce comme il se pratiquait autrefois au XIXe siècle », nous souffle le propriétaire, Guilhem Grosperrin. Son métier est de rechercher auprès des viticulteurs (mais assez peu, puisque ces derniers à Cognac ne possèdent qu’une très petite partie des stocks de la région) des héritages, des distilleries, ou auprès d’indivisions de propriétaires retraités ou décédés, des cognacs anciens, souvent millésimés, et toujours rares. Ces Cognacs exceptionnels peuvent provenir de distilleries et d’exploitation aujourd’hui disparus. Tous ont leur histoire à raconter, étroitement liée à l’histoire des hommes qui les ont produits et conservés. Ce travail de sélection n’est qu’une partie du métier, puisque c’est dans les chais de la Maison GROSPERRIN que ces eaux-de-vie rares vont poursuivre leur lente maturation pendant 10, 15 ou 20 ans et progressivement révéler leur identité propre et leur caractère unique. C’est cette personnalité affirmée, façonnée par l’histoire de chaque cognac, que la maison s’attache à développer. Pour ce faire, la maison possède un vrai savoir-faire en matière de vieillissement, et préserve aussi ses cognacs des adjuvants tels que sucre, caramel et boisé. Les cognacs de la maison sont commercialisés auprès des meilleurs établissements de France et des importateurs spécialisés dans le haut de gamme à l’étranger. Le cognac, symbole du luxe et incarnant à la perfection l'art de vivre à la française est d'ailleurs dignement mis en lumière par le fameux photographe d'art Stephane Charbeau à travers ses photographies insolites. La Maison GROSPERRIN ouvre ses portes Visiter Grosperrin, c’est plonger dans un monde à part, presque un sanctuaire. « Les découvertes se passent dans une ambiance vraiment intimiste en petit groupe, c’est une immersion dans le monde confidentiel de Cognac. » Guilhem Grosperrin lui-même consacre un temps précieux pour expliquer la philosophie de la maison et faire découvrir la collection. Les visites commentées commencent par les chais historiques récemment rénovés pour comprendre le parcours des cognacs depuis leur arrivée en barriques jusqu’à l’embouteillage. Une dégustation sur fûts et au laboratoire s’enchaîne ensuite. La visite se clôture par un passage en boutique, où les visiteurs peuvent acheter directement les produits de cette collection exclusive. ...

La Source de Peyssou : un chef amoureux et un terroir généreux

Au terroir du vin, de la truffe et du foie gras, la gastronomie fait-maison de Jean-Claude Laurent se déguste au coin du feu ou à la terrasse. Le Chef utilise encore la vieille cuisine ouverte pour préparer ses plats devant les convives. A l’auberge La Source de Peyssou, les produits de Dordogne-Périgord sont à l’honneur. Ainsi, il a vu s’ajouter à son palmarès le titre de Maître Restaurateur avec celui de Maître cuisinier de Belgique et Lauréat « Gourmets des Régions ». Ces distinctions se font bien ressentir dans les assiettes.   Une gastronomie simple et authentique Grand amoureux de la cuisine, Jean-Claude Laurent reste longtemps derrière les fourneaux pour concocter des plats dignes de ses titres, de son établissement, de sa région et surtout de sa clientèle. Il prépare aujourd’hui les ingrédients et les sauces comme dans ses premiers souvenirs de commis de cuisine avec les gestes qui concrétisent la communion du cuisinier et des produits. Tout est alors fait-maison, même les petits pains. Doté d’une riche créativité et d’une expérience considérable, le Chef ne fait jamais la même recette deux fois.  L’auberge de La Source de Peyssou offre différents menus dont le menu Périgourdin, le découvert, le menu week-end et également un menu pour les évènements. Pour les fêtes de Pâques par exemple, le restaurant offre des huîtres Rockefeller en attendant les filets de Sole fourrés d’une mousse de coquilles Saint-Jacques, croutés d’un beurre de fines herbes. Ils sont suivis de l’agneau braisé à la printanière, pommes nouvelles. La maison suggère également un assortiment de fromages, de la salade et du miel de châtaignes du Périgord. Sans oublier un des ingrédients symboliques de Pâques : le chocolat avec « l’œuf farci ».    Le terroir Dordogne-Périgord Dordogne-Périgord est un terroir riche en produits gastronomiques et viticoles. Ici, le respect des produits locaux tels que le foie gras, les truffes, les cèpes ou le cabécou est une tradition. Toutefois, chaque établissement apporte sa touche de créativité à cette cuisine. Dans ce sens, Jean-Claude Laurent combine dans ses préparations des produits régionaux comme le fromage de chèvre Cabécou avec des sirops, épices et agrumes. Grâce à ces mélanges audacieux, les assiettes du Chef ont pris de la couleur et du détail.       Chez les propriétaires de l’auberge de La Source de Peyssou, l’amour du métier se fait remarquer. Jean-Claude et Grete Laurent produisent eux-mêmes les courgettes, les haricots, les aubergines, les petits pois et autres légumes qui accompagneront les viandes et poissons et crustacés. Ils se prêtent aussi à l’élevage de moutons et de poulets. Pour le canard, ils font appel à un fermier du pays. Le maître de la maison prépare lui-même son foie gras. Les évènements et formules L’établissement offre quatre formules pour les séjours à Saint-Avit-Sénieur : la formule week-end « Fines bouches », le week-end « Découverte », la Soirée romantique et le week-end « Bien-être ». Celles-ci incluent les nuitées dans les suites. L’auberge de La Source de Peyssou organise de temps en temps des soirées à thème.  Les propriétaires ont déjà organisé par exemple un festival de homard ou une déclinaison d’asperge. Lors de cette dernière, l’asperge est présente dès la mise en bouche jusqu’au dessert. Le Chef propose alors différentes préparations comme l’asperge confite ou en gâteau.  ...

ES Wine : tourisme œnologique en Occitanie

« La promesse du Sud ». C’est avec ce slogan très ensoleillé que l’agence de voyages ES Wine se lance dans le domaine de la création de voyages à destination du plus grand vignoble du monde. Son concept : tailler des expériences sur mesure pour faire découvrir le Languedoc et ses alentours. Au travers de ses vins, bien entendu, mais aussi de toutes ces facettes qui font de l’Occitanie une mosaïque de sensations. Foison de circuits pour toutes les gammes d’envie Emmanuelle Robert le dit d’emblée : la force de ES Wine, « c’est son expertise sur la région, sa connaissance pointue du milieu de l’hôtellerie, son partenariat avec différents prestataires, les services sur mesure et surtout une expertise sur le vin ». Forte de ces arguments, l’enseigne décline des offres de circuits à la découverte du Languedoc où le vin sert de fil conducteur. Les promesses de découvertes, elles, jouent la carte de l’éclectisme. De la Camargue au bassin du Thau, en passant par le massif des Corbières, l’Occitanie est en effet une terre de contrastes. Pour ne pas passer à côté de l’essentiel et frayer avec les grandes particularités, ES Wine prend donc le parti de combiner les expériences en des formules d’une journée à une semaine de cinq ou sept jours, sur différentes thématiques. Une journée à une semaine pour saisir le meilleur de l'Occitanie La Côte Vermeille, formule d’accès aux singularités roussillonnaises, s’apprécie, par exemple, en un week-end de trois jours. De Collioure à Banyuls, ce sont les vins doux naturels des Pyrénées qui se laissent percer dans leur secret. Les charmes de la montagne succèdent au charme bon enfant des paysages maritimes. Le musée d’Art moderne de Céret constitue l’incursion culturelle de ce parcours. Pour les grands pressés, le pic Saint-Loup constitue un excellent prétexte de balade dont les étapes permettront d’entrer dans l’intimité de trois domaines. Dégustations de vins et déjeuner de plats du terroir au programme pour cette incursion d’une journée. Le culturel est au cœur des parcours des Corbières, des occasions à saisir pour goûter aux meilleurs crus du Languedoc. Du palais des Archevêques à l’abbaye de Fontfroide, de Carcassonne aux châteaux cathares les yeux ne se lassent pas des fastes de ces patrimoines occitans médiévaux. Incursions savoureuses et œnologiques L'Occitanie via ES Wine, c’est également la possibilité de confiner ses activités à d’exceptionnels instants gastronomiques. Les repas œnologiques constituent des occasions de partage autour du vin. Proposé à des groupes restreints, ce parcours sensoriel inclut une pédagogie autour de crus d’un terroir donné, dispensée par un sommelier. L’expérience s’enrichit ensuite d’initiations savoureuses autour de mets de choix, arrosés naturellement du vin qui sied à l’occasion. Cette formule, au même titre que les offres de circuit, est également accessible à titre exclusif aux membres du Wine Club. Ce groupe de partage ouvre la participation aux ateliers de dégustation programmés par la maison, sur différents thèmes. Cette activité interactive peut, de son côté, être privatisée pour une initiation sur mesure. Service d’experts pour satisfaction sur mesure Les circuits de base proposés par ES Wine incluent l’hébergement dans un hôtel cautionné par l’enseigne et son expertise de la destination. Les domaines viticoles et les sites patrimoniaux méritant un détour sont minutieusement sélectionnés pour assurer une expérience inoubliable. Il en va de même des activités supplémentaires, type balade en bateau. Cependant, l’enseigne prend à cœur de tenir compte des souhaits de sa clientèle qui peut naturellement accéder à une programmation déclinée selon ses aspirations personnelles. ...

Domaine de Jas d’Esclans, la viticulture biologique à l’honneur depuis plus de 30 ans

En 2002, Mathieu et Gwenaëlle de Wulf rachète le domaine de Jas D’Esclans. L’ancienne ingénieure chimiste et le mari agriculteur décident de vivre de leur passion pour le vin et s’offrent l’un des vignobles les plus fameux de la région. Le Jas d’Esclans fait en effet partie des rares crus classés de Provence. Une classification obtenue en 1955, grâce à la qualité des sols, aux équipements et aux techniques de vinification. Outre cela, le vin produit sur place est également certifié « Bio » depuis 1990 par Nature et progrès et depuis 1992 par Ecocert. Une suite somme toute logique puisque depuis trois générations, les vignes sont élevées sans désherbants, ni insecticide, ni produits chimiques de synthèse. Sur place, ce sont 60 hectares de vigne dont dispose le domaine et 55 qui sont en production tous les ans. On y retrouve les cépages si chers à l’appellation grenache, mourvèdre, syrah, cinsault, et tibouren (le cépage local), pour les rosés et les rouges ; ugni blanc, clairette et rolle pour les blancs. Des vins à taille humaine Avec une production de 400 000 bouteilles par an, le domaine de Jas D’Esclans est avant tout un vignoble à taille humaine. Sept personnes y travaillent à l’année pour une production majoritairement destinée au marché local. Située sur les bords de l’Endre, le sol y est composé d’argiles rouges, de grès et de schistes de la période permienne issu de l’Esterel et des Maures. Alimenté par un climat marin, la mer se trouve à seulement 12km à vol d’oiseau. L’ensemble est protégé du Mistral par les collines environnantes. Les vignes sont travaillées à l’ancienne à travers des techniques qui respectent la nature et la biodiversité. Les techniques de culture consistent entre autres à chausser et déchausser régulièrement les sols pour permettre l’oxygénation de sols. En moyenne, les labours se font 10 fois par an permettant ainsi aux sols de favoriser la vie microbienne et l’enracinement profond des vignes. Outre des méthodes vertueuses d’élevage de la vigne, la vinification se fait également de manière naturelle notamment avec une cave entièrement construite en mode écoconstruction. Un éco-dôme qui vient perpétuer une tradition désormais familiale qui produit des vins de grande qualité. ...

La Forge de Laguiole :
30 ans au service du couteau bicentenaire

Créée en 1987, la manufacture Forge de Laguiole résulte d’un projet de passionnés qui a depuis relancé la production de son célèbre couteau, connu et reconnu depuis 1829. Toutes les étapes de fabrication sont à nouveau réalisées sur son lieu d’origine : Laguiole (se prononce « laïole »), village aveyronnais de 1200 habitants.  Le design de l’établissement est confié à Philippe Starck qui traduit parfaitement la philosophie de l’entreprise : l’alliance de la création et de la tradition. Une architecture de verre et d’aluminium d’où s’élance une lame de 18 mètres de haut, symbole de l’activité et du dynamisme de l’entreprise. Une production entièrement maitrisée Chaque couteau laguiole demande plusieurs heures, voire plusieurs jours de fabrication. La qualité de sa finition, la résistance de sa lame et de son ressort, l'épaisseur de ses mitres et platines, ainsi que la précision de son ajustage sont les éléments qui contribuent à sa durée de vie.  La manufacture intègre toutes ces étapes de fabrication. Elle forge et trempe les lames sur le site de Laguiole. Le dessin de chaque couteau doit respecter le profil général déterminé par les couteliers du XIXème siècle ; la ligne des couteaux de la Forge de Laguiole inspire aujourd’hui de nombreux designers. Plusieurs types d’aciers forgés sont proposés pour satisfaire les amateurs de modèles traditionnels comme ceux de couteaux modernes. L’acier au carbone est le plus ancien. Apprécié des collectionneurs, il possède un fil irréprochable et « vit » en s’usant et changeant de couleur. Le nouvel acier T12 est, pour sa part, inaltérable, il conserve son éclat et son tranchant au fil des ans. Un savoir-faire unique Une centaine de salariés hautement qualifiés opère, chacun selon sa spécialité. C'est un véritable voyage dans le temps que propose Forge de Laguiole, pas de course inutile à la technologie, ni de cadences infernales. Ici, on travaille à l'ancienne, selon des techniques éprouvées. C'est le lieu du toucher, de l'odeur des matières, de l'œil qui guide le travail millimétré des mains, des bruissements des frottes en lin ou du choc des rivets.  Fabriquer un couteau pliant ou un couteau de table laguiole comprend de nombreuses étapes essentielles telles que l'estampage, la découpe, l'ébavurage, le blanchissage, le guillochage, le perçage, le façonnage, le détourage, le polissage et le lustrage… Assembler un couteau réclame entre 40 à 180 opérations.  Toutes sont réalisées sur place. A commencer par les lames dont les aciers différents sont forgés trempés et finissent par se parer de toutes les variantes du rouge. Ici, on aime à dire que le Laguiole épouse le rouge-cerise, sa robe favorite. Celle-ci suivra ensuite le même circuit, le même rite. Elle croisera dans les couloirs ou dans les bacs les manches sculptés dans d'innombrables matières. Elle sera frappée du précieux logo, elle se dévoilera, sertie du ressort guilloché et la célèbre abeille lui sera apposée...  Les mains du coutelier et les matériaux utilisés font de chaque couteau une pièce unique. Qu’il s’agisse de pliants aux manches façonnés en corne, en bois, en aluminium, en os ou en carbone, avec une lame de 7 à 21 cm, un tire-bouchon et un poinçon ou des couteaux de table : Tout se passe à l'œil, au jugé, au ressenti, au touché. Fabriquer un vrai couteau Laguiole est un processus complexe qui témoigne d'un authentique savoir-faire, c’est celui-ci qui fait la renommée de La Forge de Laguiole à travers le monde.  ...

Altamira Développement : le leadership par l’équilibre

Qu’il s’agisse de dirigeants d’entreprises, managers ou même de particuliers, Altamira Développement propose de développer les aptitudes au leadership à travers une approche inédite et une méthode s’inspirant d’un art martial traditionnel japonais : l’aïkido. Tout est question d’équilibre(s) Chaque individu a la possibilité de développer son leadership. Pour cela, se sentir confiant et bien dans sa peau est primordial. « On est d’autant plus performant quand on est heureux et serein », souligne Éric Hubler, le fondateur. Pour accéder à ce bien-être intérieur, l’individu doit avant tout trouver son équilibre. « L’équilibre s’exprime à travers une façon d’être, d’agir, de communiquer qui fait appel à des ressorts profonds », explique notre interlocuteur. Notion intrinsèquement dynamique, l’équilibre est une balance permanente entre des déséquilibres sans cesse exprimés et rattrapés. En un mot, l’équilibre n’existe que par rapport aux déséquilibres sur lesquels la personne va pouvoir s’appuyer pour progresser à travers l’expérience et développer une certaine forme d’équilibre qui lui est propre. Aïkido Management® : une méthode de formation surprenante et accessible à tous Pour Éric Hubler, le leadership est d’abord « une question d’attitude, de comportement et d’éthique ». Et quel moyen plus adapté que la référence aux arts martiaux, véritables écoles de la vie aux enseignements universels, pour forger un comportement exemplaire. En effet, la pratique des arts martiaux permet de renforcer des aptitudes telles que la maîtrise et le dépassement de soi, la concentration, le respect, l’adaptation permanente au changement… Toutes ces qualités sont essentielles dans la vie quotidienne et doivent s’appliquer également dans le monde de l’entreprise. Dans une session Aïkido Management (qui n’est pas un cours d’aïkido !), la forme accompagne le fond, pas question de rester cloîtré dans un bureau en costume-cravate car tout se déroule sur un tatami. En kimono, les « apprentis » apprennent à se recentrer et à libérer leurs énergies tout en restant acteurs de la formation. À travers l’Aïkido Management, Éric Hubler montre la voie mais il appartient à chacun d’incarner le changement. « Cela suppose un important travail sur soi et plus encore pour le manager du fait de sa mission… c’est une vraie démarche transformationnelle qui s’inscrit dans la durée », rajoute Éric. Les livres et les conférences, une ouverture au grand public Si les offres d’Altamira Développement s’adressent principalement aux entreprises, une ouverture vers le grand public se développe parallèlement par le biais des livres comme « L’Equilibriste » devenu un bestseller international, mais également des conférences. D’une durée d’une heure et demie en moyenne, elles ont pour objectif de réveiller et de révéler le potentiel de chaque individu. « Pendant mes conférences, je fais réfléchir les gens, mais je les fais également bouger, respirer, se tenir différemment car le changement passe aussi par le corps », termine Éric Hubler. ...

Restaurant Rendez-vous Saint-Germain : un passage incontournable pour tous les gourmands

Le Rendez-Vous Saint-Germain entraîne depuis 2012 les gourmands et les gourmets dans un périple culinaire à la découverte de la cuisine de brasserie et de la bistronomie. Situé à quelques mètres seulement de Saint-Michel, l’établissement propose dès 7 h 30 une formule petit-déjeuner. Ici, liberté et détente accompagnent chaque assiette préparée avec amour et passion de la cuisine française. Un délice en plein Paris Paris, berceau mondial de la haute gastronomie. Mais que dire de sa cuisine typique de bistrot et de brasserie, qui occupe une grande place dans son patrimoine culturel ? Des plats généreusement concoctés pour le plaisir des papilles qui ne demandent qu’à livrer leurs secrets. Le Rendez-Vous Saint-Germain est l’endroit idéal pour déguster ce style de cuisine conviviale et généreuse. Y manger sainement, seul ou en groupe, ou tout simplement y boire un verre, il n’y a rien de mieux. Le chef revisite des recettes traditionnelles du bon terroir, tout en mettant en valeur ses propres créations. Un plus incontournable : tout est frais et tout est fait maison même le chocolat chaud et l'infusion. Une carte riche et équilibrée Difficile de ne pas succomber à la tentation, en voyant ces grandes bâtisses anciennes qui entourent le Rendez-Vous Saint-Germain. Sa terrasse offre une vue imprenable sur le Musée de Cluny, qui, en période d’été, redonne de la magie aux assiettes, à l’exemple de la Salade Auvergnate (jambon de pays, pommes de terre sautées, Cantal, œuf dur) ou encore de la Tarte à l'orange meringuée. Côté plats, les coups de cœur vont au velouté de fèves au lard croustillant, à l'Aïoli et ses légumes fondants ou encore au confit de canard et ses pommes de terre persillées, le tout accompagné d’un vin de propriété soigneusement sélectionné. En dessert, la maison suggère l’incontournable fondant au chocolat ou leur délicieuse crème brûlée. Différentes suggestions sont proposées chaque jour à l'ardoise ainsi qu'une formule à 15,90 euros. Le week-end, un brunch à 20 euros est servi sur réservation. ...

Vino Vecchio ou l’art d’être vigneron

A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés  sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...

Abbaye Royale de Fontevraud : visitez ce site grandiose

C’est près de Saumur que Robert d’Arbrissel, un prédicateur itinérant, fonde l’Abbaye Royale de Fontevraud en 1101. Elle est alors constituée de quatre entités.  Le monastère Sainte-Marie est le plus grand. Il est réservé aux femmes de l’aristocratie qui dédient leur vie à la prière et aux travaux de broderie. Le monastère Marie-Madeleine est destiné aux femmes du peuple. Des fouilles archéologiques sont en cours, avant d’éventuels travaux de rénovation. Le prieuré Saint-Jean de l’Habit est réservé aux moines. II est vendu à la suite de la Révolution comme carrière de pierres pour construire des maisons. Aujourd’hui, il n’existe plus. Quant au prieuré Saint-Lazare, il est à l’origine une léproserie, puis un hospice de religieuses, avant d’être l’hôpital de la prison. Aujourd’hui, l’hôtel quatre étoiles ainsi que le restaurant ont pris possession de ce lieu. Un peu d’histoire Robert d’Arbrissel, fils et petit-fils de curés, a une préoccupation forte du devenir de la femme. Il décide de créer une « cité idéale », où chacun a sa place et son rôle ; hommes comme femmes ; aristocrates comme gens du peuple. Pour installer sa communauté, il bénéficie de plusieurs soutiens dans la région. Il décide de donner les pouvoirs de cette abbaye à une femme, une position révolutionnaire au Moyen-Âge. Ainsi, 36 abbesses vont se succéder à sa tête, dont la première est Pétronille de Chemillé. La communauté s’inspire des règles établies par saint Benoît (travail, prières et silence).  Henri Plantagenêt, époux d’Aliénor d’Aquitaine, devenu Henri II d’Angleterre, va donner beaucoup d’argent à Fontevraud pour son développement et son rayonnement. Sa femme décidera de le faire enterrer dans l’église abbatiale. Quelques années après, Richard Cœur de Lion, mortellement blessé dans le Poitou, demandera à sa mère d’être réconcilié avec son père dans la mort en y étant lui aussi enterré. Fontevraud devient ainsi la nécropole d’une dynastie royale britannique. Sous François 1er, ce sont des abbesses de la famille royale de Bourbon qui vont relancer d’énormes travaux de restauration de l’Abbaye à la suite de la Guerre de cent ans. Quant à Marie-Gabrielle de Rochechouart de Mortemart, dite la reine des abbesses, elle fera rénover les jardins et construire une orangerie. Quand la révolution arrive, une partie des religieuses partent. En 1792, les dernières sont chassées. L’Abbaye est abandonnée et entièrement vide. En 1804, Napoléon décide d’en faire une prison, qui voit le jour après dix ans de travaux. Y sont emprisonnés des hommes, des femmes et même des enfants, dès l’âge de huit ans. Elle ferme officiellement en 1963, bien que des prisonniers de droit commun y séjournent jusqu’en 1980 au monastère Marie-Madeleine et participent aux premières restaurations. Un patrimoine à découvrir C’est en 1975 que le site est ouvert aux visites et aux rencontres culturelles. Au cœur de ce domaine de 14 hectares, vous pourrez admirer le patrimoine architectural des différents bâtiments, mais aussi vous recueillir devant les gisants d’Henri II, d’Aliénor d’Aquitaine, de Richard Cœur de Lion et d’Isabelle d’Angoulême, exposés dans l’église.  Vous pourrez déambuler dans les jardins en terrasse, les petits potagers déclinés en thématiques et les grands espaces herbeux, ou encore vous diriger vers l’est et remonter à flanc de colline pour une vue panoramique magnifique sur l’ensemble du domaine. Prévoyez au minimum 2 h 30 pour découvrir les différentes facettes du site. Une vingtaine d’écrans plasma proposent des films d’animation, avec images d’archives et textes synthétiques. Audioguides et visites guidées sont également à votre disposition. Dans la crypte archéologique, un film d'animation explique les origines de Fontevraud et les richesses de cet espace. Une visite ludique pour les enfant...

Le Domaine du Prince : des vins typiques de Cahors

Situé à la sortie du village de Cournou, le domaine est perché sur les plateaux du Quercy qui dominent la vallée de Saint-Vincent-Rive-d’Olt. La propriété compte actuellement 27 hectares de vignes régies par deux principes simples : « l’ordre et l’art ». La légende de Lou Prince Le nom du Domaine du Prince est tiré d’une histoire, légende ou réalité, de l’un des ancêtres de la famille Jouves. Celui-ci aurait livré son vin à un grand monarque, le roi de France ou peut être le Tsar de Russie, et à son retour, il fut surnommé Lou Prince par les villageois de Cournou. En revanche, l’installation de cette famille dans ce domaine depuis trois siècles relève de faits historiques avérés. Il s’est transmis de génération en génération jusqu’aux frères Didier et Bruno Jouves, qui le gèrent depuis 1995 avec réussite. « La rigueur et la rationalité de Didier dans la conduite des vignes complète harmonieusement la poésie et l’art de Bruno dans la vinification » explique Hélène Jouves, épouse de Didier. A l’intersection de trois influences Dans les vignes, Didier met à profit la situation propice du vignoble pour obtenir des vendanges affinées en maturité. En effet, le Domaine du Prince est sous une influence climatique propice pour ses vignes, situées à égale distance de la Méditerranée, de l’Atlantique et des Pyrénées. Il profite ainsi d’une arrière-saison ensoleillée évitant l’humidité de l’Atlantique et les précipitations méditerranéennes d’automne. En plus, ce climat permet aux vignes d’être moins sujettes aux maladies, autorisant la réduction des traitements de façon consécutive. Son terroir, plus ou moins riche en argile selon les parcelles, facilite l’obtention de cuvées différentes selon leur teneur argileuse. Côté cépage, le domaine possède trois variétés. « Nous avons le Malbec, le Merlot et le Tannât, mais toutes les cuvées que nous produisons sont issues exclusivement du Malbec, qui est le cépage principal du vin de Cahors » précise Hélène.  Vinification traditionnelle Après triage mécanique et manuel, les raisins sont ensuite confiés à Bruno qui peut procéder à la vinification. Relevant de tout un art, cette étape cruciale est menée de manière rigoureuse suivant la méthode traditionnelle adoptée au domaine depuis trois siècles. Une macération longue de quatre semaines pour extraire les tannins, suivie d’une fermentation en cuve ou barriques, puis d’un élevage en futs de chêne et finalement une mise en bouteilles au moment idéal après des dégustations approfondies. Le recueil des vins Le Domaine du Prince propose deux types de vins. «  Nous produisons environ 100 000 bouteilles que nous commercialisons nous-mêmes ainsi que 150 à 200 hectolitres dédiés au négoce » spécifie Hélène Jouves. Les vins en bouteilles sont déclinés en cinq cuvées en appellation Cahors contrôlée, à savoir la cuvée « Lou Prince », « Rossignol », « L’Envol » « Le Chêne du Prince » et « La Rosée du Prince ». ...

Le porc du Limousin ou l’authenticité du goût

Un mode de production spécifique  Une viande gouteuse et tendre, voilà ce qui caractérise la viande de porc du Limousin Label Rouge. Les porcs sont nourris de céréales (au minimum 60% de la ration avec au maximum 20% de maïs)jusqu’à un âge minimum de 182 jours (contre 168 jours pour le porc standard) sur un territoire intégrant 3 départements du Limousin et certains cantons limitrophes. Il  doit la qualité de sa viande à cette durée de croissance particulière. Stricte méthode de traçabilité Le porc du Limousin Label Rouge porte dès le sevrage, son numéro d’élevage et sa semaine de naissance. Après l’abattage, chaque pièce est étiquetée d’une vignette de labellisation permettant de distinguer son origine selon les principes de la traçabilité : côtes de porc, épaule, jambon… » relate Jean-Marc ESCURE, directeur de Limousin Promotion. Les caractéristiques d’une viande d’exception D’une belle couleur rose homogène, la viande de porc du Limousin label Rouge présente un gras de bardière blanc et ferme ainsi qu’une viande juteuse, savoureuse et particulièrement tendre. Le Label Rouge est le gage d’une viande au gout authentique et aux saveurs de qualité supérieure. Plus de 30.000 porcs du Limousin sont labellisés et commercialisés dans toute la France chaque année. 190 points de vente incluant grandes surfaces et boucheries artisanales distribuent aujourd’hui du porc du Limousin Label Rouge, une production certifiée et contrôlée « de l’élevage jusqu’à l’abattoir». ...

OR Traiteur : artisan traiteur de tradition

Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...

Le Relais du Bastidou chante le répertoire de la cuisine gasconne

Implanté dans une ferme à Beaumarchés au lieu-dit Barbat, à l’abri des bruits des grandes villes, Le Relais du Bastidou dresse des tables élégantes et conviviales pour tous ceux qui choisissent le calme et la fraicheur. Le couple Thierry met un point d’honneur à choisir les produits bios pour préparer des plats typiques de la région gasconne. Une liste de vins de renom et de qualité incontestable vient parfaire un moment de dégustation agréablement mémorable. Les spécialités du chef : les produits du terroir et les fruits de mer Après avoir passé une bonne quinzaine d’années dans une grande entreprise d’agro-alimentaire, René Thierry change complètement d’orientation pour intégrer le monde de l’hôtellerie et de la restauration. Son objectif pour le restaurant, utiliser les produits locaux et il décide de s’approvisionner auprès des meilleurs producteurs du Gers et des plus proches localités de Beaumarchés. Dans une ambiance authentiquement fermière, le chef fait découvrir les spécialités de l’établissement. Ici, le canard est le roi de la cuisine : foie gras, magret ou manchons sont des plats qui ne manquent pas d’apparaitre dans le menu. Les cuisses de canard confites sont une spécialité recommandée par la maison, spécialement pour ceux qui viendront la découvrir pour la première fois.  Mais les fruits de mer y gardent aussi une place d’honneur. La langoustine ou encore les noix de Saint-Jacques y sont cuisinées avec un talent indéniable. Sans oublier les Côtes de porc de Bigorre, sauce aux girolles et la Croustade aux pommes et à l'Armagnac qui sont la signature de l’établissement. Le Relais du Bastidou se situe dans un cadre paisible et agréable. Rien que le chemin qui y mène fait le bonheur des fanatiques de la nature. Le paradoxe d’un paysage aussi brut et d’une cuisine aussi raffinée devient presque une poésie que chacun découvrira certainement avec émerveillement. Plats et vins en fusion  la synergie parfaite de la bonne cuisine gasconne La Gascogne est célèbre pour sa bonne cuisine et c’est une réputation que Le Relais du Bastidou tient fermement à protéger. En accompagnement du menu ou des plats proposés à la carte, la liste des vins offre un choix plutôt riche des plus belles références régionales. Parmi les plus choisis, le Saint Mont, Madiran ou encore Pacherenc forme un mariage parfait avec les spécialités du chef. Le secteur viticole fait partie intégrante de la vie du restaurant. René Thierry lui-même pense que le vin n’est pas une simple boisson, c’est un élément indissociable de la table, surtout lorsque l’on s’apprête à déguster des plats préparés avec des ingrédients aussi nobles. Les visiteurs de la maison auront le choix entre plusieurs labels reconnus pour leur ampleur et leur élégance. Une sélection de vins riches en saveur et en authenticité met une touche exceptionnelle à l’ensemble de la table. Le restaurant est labellisé « vignobles et découvertes » ...