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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Champagne Lacuisse : premier cru du terroir de Sermiers

Plus qu’une passion et une tradition, la viticulture est un véritable héritage familial chez les Lacuisse depuis des générations, puisque « notre grand-père, Julien Lacuisse, exploitait déjà des vignes avant les années 60 », souligne Christian Lacuisse, actuel Président de la SAS. L’entreprise familiale commence l’exploitation du champagne à partir de 1966 suite à l’initiative de deux descendants de Julien Lacuisse. « Nos cuvées sont actuellement classées premier cru et sont élaborées selon les normes de la viticulture raisonnée pour limiter les impacts sur l’environnement », poursuit notre interlocuteur. Pour le plaisir des amateurs de grands crus, la maison propose sept variétés de cuvées, à déguster au sein du domaine dans un cadre convivial et chaleureux. Un domaine coopérateur en plein essor Installé dans le village de Sermiers, à quelques minutes de Reims et d’Épernay, le domaine Lacuisse fait partie intégrante du terroir champenois. Il dispose d’un vaste vignoble qui s’étend sur 17 hectares où trois types de cépages sont cultivés, dont 70 % de pinot meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. Le sous-sol de celui-ci, riche en calcaire, est essentiellement composé d’argile, de sables siliceux et de marnes, permettant ainsi aux cépages d’exprimer nettement leurs arômes et saveurs. La maison a une capacité de production annuelle de 150 000 bouteilles, dont 45 000 vendues en étiquette terminée. Pour obtenir ce résultat, le processus de fabrication se déroule en deux temps : le pressurage, la vinification, l'assemblage et la mise en bouteille des cuvées s’effectuent avec des coopérateurs locaux, tandis que les travaux comme le remuage, le dégorgement et l’ajout de la liqueur finale s’effectuent au sein de la propriété, « ce qui fait de nous un domaine coopérateur », explique le propriétaire. Une gamme de cuvées à la hauteur de toutes les attentes Qu’il s’agisse de célébrer un grand événement ou une simple réception, la maison Lacuisse propose sept variétés de cuvées qui ravissent les papilles. Dans la catégorie des entrées de gamme figure la cuvée Tradition qui a obtenu la médaille d'argent au dernier concours International des vins de Lyon, composée de 70 % de pinot meunier, 20 % de pinot noir et 10 % de chardonnay. Intense et aromatique en bouche, elle se déguste à l’apéritif ou en accompagnement de fruits secs exotiques et « représente l’encépagement de notre propriété enregistrant une vente annuelle de 20 000 bouteilles », nous fait savoir Christian. Parmi les cuvées emblématiques du domaine se démarquent la cuvée spéciale, la cuvée millésime, mais surtout « la cuvée du cosson qui a obtenu la médaille d’argent au concours agricole de Paris cette année », précise notre interlocuteur. Cette dernière est obtenue par assemblage de 70 % de chardonnay et 30 % de pinot noir uniquement, contrairement aux cuvées demi-sec (encépagement identique à la cuvée tradition) et grande réserve qui, elle, est constituée de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. ...

Paulaner : des bières dans la tradition munichoise

La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...

­­Les manifestations « Pari Fermier », un pari gagnant pour une agriculture de qualité.

S’alimenter autrement L’ANCF regroupe près de 250 adhérents chaque année, tous paysans producteurs fermiers et qui produisent dans leurs fermes à taille humaine une variété presque infinie de saveurs. De la viande de bison de Matthieu Peron, aux saucissons de canard d’Eric Degert, en passant par le caviar de colza de Marie-Thé Laluque, les moules de Bouzigues de Jean-Christophe Renault ou la spiruline de Dominique Guérin, impossible de ne pas trouver lors de ces salons et marchés Pari Fermier organisés chaque année en région parisienne son choix de produits frais et savoureux. Sur le terrain, une équipe composée de trois personnes, avec, toujours en tête et pour unique objectif : organiser ses événements qui assurent la valorisation d’un monde paysan où les circuits courts et la vente directe sont rois. Et qui de mieux placée qu’une association composée d’agriculteurs pour assurer la promotion de ces manifestations ? Ils savent de quoi ils parlent ! Des savoir-faire inégalables Pour participer à un Pari Fermier, chaque paysan producteur fermier doit, en fonction de son activité et dans la mesure du possible, produire sa matière première, élever ses animaux, transformer ses produits et les proposer en vente directe. Il leur faut donc respecter cette « charte », qui vient garantir une qualité exceptionnelle à tous les produits proposés sur les manifestations. Authenticité, savoir-faire et traçabilité, telles sont les valeurs véhiculées par les agriculteurs de l’association, aux antipodes de la fabrication de masse et de la grande distribution. Ici les hommes et femmes travaillent dans une perspective d’agriculture durable et respectueuse de l’environnement, toujours dans l’amour de leur métier, afin de satisfaire la confiance du consommateur. Les manifestations Pari Fermier : des idées de sorties gourmandes et originales Les Pari fermier attirent toujours davantage grâce à un réseau de confiance profondément ancré dans le terroir français, aussi vaste que diversifié : les 13 régions françaises sont représentées, de la Corse aux DOM-TOM en passant par la Normandie. Chacun de ces évènements est inscrit comme un rendez-vous familial et convivial dans les agendas de ceux qui ont à cœur d’avoir une alimentation riche, saine et harmonieuse. Pour se rapprocher toujours plus du consommateur, de nombreux producteurs proposent sur chaque événement des idées de recettes à déguster, des vins à apprécier et des plats à consommer sur place. Et ils ne manquent pas, quand ils en ont l’occasion, de délivrer de petites interviews authentiques retransmises sur les réseaux sociaux. Venir à Pari Fermier c'est la recette idéale pour découvrir ou redécouvrir en famille les saveurs de nos campagnes françaises et les paysans qui les cultivent. ...

Château Tour Castillon : les Peyruse
laissent leur empreinte
par un savoir-faire bien marqué

Le domaine est actuellement dirigé par la quatrième génération de vignerons chez les Peyruse. Avec Laure, aux commandes de la gestion et de l'oenotourisme, et son frère Sébastien, habile dans la manipulation des raisins, l’entreprise familiale ne peut qu’être honorée. Le terroir Le vignoble s’enracine sur un sol graveleux, dont les particularités se révèlent à travers la qualité des vins de la maison. Riche et drainant, ce terroir de graves se prête parfaitement à la culture des cépages phares du Médoc, qui sont le merlot et le cabernet. La maison travaille également sur d’autres cépages, dont le cabernet franc, le petit verdot et le carménère. « C’est l’assemblage de ces cinq cépages qui donne naissance à nos vins classés crus bourgeois », explique Laure Peyruse, responsable de l’œnotourisme au sein du domaine. En matière de vinification, la maison s’appuie notamment sur un cahier des charges strict et rigoureux, tout en préservant l’empreinte familiale qui a toujours démarqué les cuvées du Château Tour Castillon. Des cuvées nobles L’emblème du domaine est « La Révélation de Castillon », le mariage parfait entre merlot (50 %) et cabernet sauvignon (50 %). « Cette cuvée représente idéalement Médoc et ses terroirs », nous indique-t-on. Elle est issue des meilleures sélections du vignoble du Château Tour Castillon. L’élevage du millésime pendant 2 ans en fût de chêne ne joue qu’en faveur de son élégance et de l’intensité de ses arômes. Les autres cuvées n’ont absolument rien à envier à cette dernière. Les médailles de bronze attribuées récemment aux millésimes « Château Tour Castillon 2017 » et « Château Moulin de Taffard 2017 » au Concours agricole de Paris sont la preuve que chaque élixir a sa spécificité. Par ailleurs, les Peyruse se concentrent actuellement sur une nouvelle expérience : l’immersion de bouteilles de vins rouge dans la baie de Paimpol, en Bretagne. Une dégustation plutôt prometteuse ! ...

Domaine La Chanade : des vins de Gaillac au naturel

Première information à retenir : le vignoble de Gaillac est le deuxième plus vieux vignoble de France. Les Romains ont choisi la région pour sa belle exposition au soleil et sa situation au croisement  des influences méditerranéennes et océaniques, qui confère aux vins une belle concentration aromatique. L’héritage de la passion Lors de son rachat en 1997, le Domaine de la Chanade était tout juste un domaine fermier doté d’un petit caveau. Grâce à la passion de la viticulture qu’il a développée au contact de son grand-père, Christian Hollevoet va monter de toute pièce le domaine, et y mener une restructuration générale, depuis les vignes jusqu’à la cave. A son tour, il a transmis cette passion à son fils Julien qui, d’ores et déjà, commence à prendre les rênes du domaine. « La passion du vin m’a été transmise par mon père. J’ai commencé  très tôt par des tâches au domaine, à apprendre petit à petit le métier, pour le suivre dans sa passion », raconte le viticulteur. Une équipe de choc « Le métier de vigneron est un métier vraiment rude, où il y a beaucoup de travail. Pour exercer cette profession, il faut avoir de la passion, du mordant. C’est aussi un métier très créatif et c’est ce qui m’a plu, il faut vraiment y croire » s’enflamme Julien Hollevoet à l’évocation de son métier. Aujourd’hui, ils sont quatre en tout et pour tout à s’occuper des quarante hectares de vignes du domaine. Damien Miralles, maître de chai, présent au sein de l’équipe depuis 2001, Jean-Luc Treilhes, le responsable de culture, dans le monde du vin depuis près d’une trentaine d’années et bien entendu Christian Hollevoet. Un contrat de confiance Au Domaine de la Chanade, une charte de travail rigoureuse est appliquée afin de produire dans le pur respect de l’homme et la nature : « Nous avons fait le choix de produire un vin naturel, c’est un contrat de confiance avec le client », explique Julien. « Nous travaillons comme les vignerons qui travaillent en agriculture biologique. Nous n’utilisons pas de pesticides et réalisons du travail mécanique. Même s’il faut faire des traitements à base de soufre et de cuivre, des doses très faibles sont utilisées » poursuit-il. Car n’oublions pas que le soufre est à l’origine de maux de tête s’il est dosé en trop grande quantité. Par ailleurs, aucune levure exogène n’est ajoutée pour la fermentation des vins, et spécifiquement pour les rouges, la mise en bouteille se fait sans filtration ni collage. La Griffe by Chanade Produire des vins simples à boire et surtout naturels, tel a toujours été le crédo du Domaine de la Chanade. La gamme de vins proposée par son équipe, dénommée « La Griffe by Chanade », suit bien évidemment cette ligne de conduite. Cette gamme est composée des trois cuvées suivantes : « Domaine de la Chanade » en blanc, blanc doux, rouge et rosé, les « Cuvées Galien » et la « Cuvée Ultime R&L ». Fleuron des vins du domaine, les « Cuvées Galien »  déclinées en rouge et blanc AOC Gaillac, sont des vins élaborés de façon très méticuleuse. Ils sont issus de raisins de grande qualité, vinifiés avec les levures naturelles du fruit et finalement affinés en barriques de chêne français. Annuellement, le domaine produit en tout dans les environs de 120 000 bouteilles majoritairement vouées à l’exportation. Les vins du domaine peuvent notamment se trouver aux Etats-Unis, en Angleterre, en Belgique, en Grèce et même en Chine. ...

Les Vignobles Massarin, un domaine du bordelais

Le Château Ferrasse : une appellation AOC Castillon-Côtes de Bordeaux L’AOC Castillon-Côtes de Bordeaux, c’est environ 250 viticulteurs et 2 300 hectares de vignobles répartis sur 9 communes. Le vignoble est un assemblage de 70 % Merlot, 20 % Cabernet-franc et 10 % Cabernet-Sauvignon qui bénéficie d’un climat tempéré à caractère doux et humide. Les exploitations se trouvent sur des sols sablo-graveleux, sablo-argileux et argilo-calcaires. Les vignerons respectent la nature et préservent la biodiversité. D’ailleurs, le quart d’entre eux a opté pour l’agriculture bio ou biodynamique. Le château Ferrasse, une histoire émouvante Le château Ferrasse est une exploitation familiale qui existe depuis quatre générations. Son histoire commence en 1951 lorsque Emile Massarin, l’arrière-grand-père de Laurent Massarin, l’actuel gérant, achète un vignoble de dix hectares dans la périphérie de Castillon-la-Bataille. En 1957, Séverin Massarin poursuit dans le même élan que son père Emile en achetant dix autres hectares à Saint Genès de Castillon. Son fils Francis prend le relais en 1989, modernise l’exploitation et étend sa superficie 32 hectares. Laurent Massarin gère le domaine depuis 2006. Il est empli de courage, d’abnégation et gagné par le goût du travail bien fait. Titulaire d’un Bac agro-alimentaire, il a aussi fait des études œnologiques en France et à l’étranger. Le Château Ferrasse, un vin authentique Le vignoble est constitué de deux parties distinctes : la première se trouve dans la périphérie de la commune de Castillon-la-Bataille sur des sols bruns argilo-calcaires et sablo-argileux. La seconde se trouve sur du calcaire, dans la banlieue de Saint-Genès-de-Castillon. Le Château Ferrasse est un vignoble encépagé de 80 % de Merlot,  de 10 % de Cabernet  et de 10 % de Cabernet franc Sauvignon. Le technicien viticole Laurent Massarin ne se contente pas seulement de ses connaissances, il se fait aider par une équipe technique. « On respecte au maximum la nature, la Chambre d’Agriculture de la Gironde nous suit, on essaie d’allier la tradition à la modernité », nous explique-t-il.  Le Château Ferrasse Cuvée des Moulins Castillon Côtes de Bordeaux, le Château Ferrasse Castillon Côtes de Bordeaux, la Fleur de Ferrasse Vin de France et le Château Terre Blanche sont les vins du domaine. Château Ferrasse, un vin corsé C’est le produit phare du domaine. Sa macération dure 5 à 6 semaines et son élevage se fait de façon traditionnelle pendant 18 mois dans des cuves inox. Sombre, il charme par sa robe limpide. Au nez, il est complexe avec des notes de fruits rouges. Corsé en bouche, il a aussi une bonne teneur en tanins et une bonne longueur aromatique. On peut le boire jeune, mais il est plus apprécié quand il vieillit. On doit l’ouvrir deux heures avant de le déguster pour qu’il se libère de ses arômes. C’est un vin idéal pour les soirées festives. « On peut le consommer avec des grillades, de la charcuterie et des fromages », nous conseille Laurent Massarin. La Cuvée des Moulins Castillon Côtes de Bordeaux, un vin riche en tanin Son élevage se fait pendant 12 mois en fut de chêne. A l’œil, il a une belle robe brillante et profonde. Au nez, on sent ses notes fruitées, épicées et vanillées. En bouche, il est ample, riche en tanins, bien équilibré et a des notes épicées. Il s’accorde parfaitement avec la charcuterie, toutes les viandes et les fromages. Un domaine ouvert à l’oenotourisme Le vignoble est ouvert aux visites les jeudis, vendredis et samedis. Laurent Massarin guide lui-même les visiteurs, il leur offre une dégustation de ses produits et leur explique tout le travail du vin. Tous les premiers dimanches de juin, M. Massarin organise une journée portes ouvertes durant laquelle il permet aux invités de déguster tous ses vins et de partager un repas. A cet effet, des exposants et artisans viennent pour proposer leurs produits. ...

Musée Despiau-Wlérick : hommage à la sculpture figurative française

L’endroit tire son appellation de la combinaison des patronymes des deux sculpteurs qui ont grandi dans cette ville landaise. Le premier, Charles Despiau. Le second, Robert Wlérick. Labellisé « Musée de France », l’établissement a bien des singularités à partager à ses visiteurs qu’il reçoit tout au long de l’année. Antre de la sculpture figurative française de 1880 à 2000 Sous son appellation actuelle, le musée Despiau-Wlérick a été créé et ouvert au public en 1968. L’endroit qui l’accueille, lui, nourrit une longue tradition muséographique, puisqu’un érudit originaire de Saint -Sever y a installé un établissement de conservation dès 1885. Pierre Eudoxe Dubalen a rassemblé une collection exceptionnelle par son éclectisme, recouvrant des branches variées. Archéologie, histoire naturelle, beaux-arts, tout était représenté avec, notamment, des objets d’art et des peintures. Un véritable « musée encyclopédique du XIXe siècle » pour reprendre les termes de Christophe Richard, conservateur en chef actuel. Plus tard, animée par le besoin de rendre hommage à deux sculpteurs du terroir, la ville de Mont-de-Marsan initie ce qui va devenir le musée Despiau-Wlérick. À l’instar de son pair, Robert Wlérick était une figure importante de la sculpture figurative française de l’entre-deux-guerres. L’on rénove ainsi les deux bâtiments médiévaux du centre de la ville pour accueillir le projet de conservation dédié à ces deux personnages. L'établissement s’est, à présent, constitué comme fer de lance de cette spécialité figurative à l’échelle nationale. Sa collection inclut des milliers de sculptures reproduisant la figure humaine dans les proportions les plus variées. Un lieu de culture fortement dynamique La collection permanente du musée rassemble un ensemble de sculptures figuratives, dont certaines vraiment exceptionnelles. Quelques-unes proviennent, effectivement, de l’Exposition internationale de Paris de 1937 et se distinguent en conséquence par leur taille. Parfois jusqu’à un imposant 4,60 m de haut. Imposante, l’évolution numérique des fonds du musée l’est aussi. « On est passé de quelques pièces, à l’époque du musée Dubalen, en sculpture à plus de 2 400 numéros à l’heure actuelle », évoque avec une fierté non dissimulée le conservateur en chef Christophe Richard. De fait, l’adresse abrite une collection « unique en France dans son domaine ». Au fil de la découverte de ces pièces, le visiteur accède également à une riche programmation d’expositions temporaires. Les monuments aux morts seront prochainement à l’honneur à travers les œuvres du fonds. Les éléments originaux du monument dédié à Charles Despiau feront d’ailleurs partie des pièces mises en exergue à cette occasion. Tout au long de l’année, l'établissement compose de nombreuses animations ciblant divers publics. Les jeunes peuvent bénéficier des visites scolaires organisées et tout le monde peut participer à divers ateliers. Taille de béton microcellulaire ou modelage de terre, les activités promettent des moments de partage à vivre en toute convivialité. En ce sens, le musée constitue un point de départ intéressant à d’autres explorations. Outre le jardin des sculptures, une occasion de découverte hors les murs unique, le donjon Lacataye, constitue un excellent prétexte pour des flâneries à travers remparts, chapelles et maisons romanes. ...

Château Capion : des vins des coteaux du Languedoc

Situé à l’entrée d’Aniane et de Saint-Guilhem-le-Désert, le domaine s’étend sur 47 hectares de terres. Il représente fidèlement le terroir du Languedoc caractérisé par sa complexité particulièrement digne d’intérêt. En plus du goût singulier de ses vins rouges, blancs et rosés, le domaine propose un « parcours pédagogique » dans ce lieu empreint de charme intemporel dédié au calme et à la sérénité.  À terroir d’exception, vin d’exception… Des experts ont pu établir la cartographie du sol du domaine pour que chaque cépage puisse se développer dans les meilleures conditions. Le climat méditerranéen est chaud et humide, ce qui confère une maturité exceptionnelle aux raisins. Le sol majoritairement calcaire et argilo-calcaire offre un goût et une minéralité remarquables. Le but étant de « recaler le vignoble au terroir », comme le décrit Philippe Morel, actuel gérant. Dans une volonté de préserver les particularités de ce sol, un labour traditionnel est effectué sur l'année. De par ses processus minutieux naissent de divins nectars, fidèles à la richesse du terroir. Dans une perpétuelle quête de la perfection, la maison a développé plusieurs collections de vins  afin de satisfaire les œnophiles. Les cuvées sont disponibles au sein du caveau ouvert du lundi au samedi et du lundi au dimanche pour juillet et août. Un œnotourisme princier… Entouré de bois et de collines de garrigues et situé au bord de la rivière de Gassac, le Château Capion bénéficie d’un cadre exceptionnel. Un passage au domaine vous donne l’impression que la nature y a fait son nid. Au cours de votre promenade, laissez-vous subjuguer par la beauté des jardins à la française et à l'anglaise entourant les lieux. Le Château Capion propose également de nombreuses animations culturelles et artistiques. De juillet à août, des expositions d’art contemporain sont organisées. Le domaine accueille également des concerts autour de la musique du monde et la musique folk contemporaine. Cerise sur le gâteau : il prévoit le lancement de sa nouvelle gamme de vins nommée « Les Fantaisies de Capion » dont les visuels et les étiquettes sont l’œuvre d'artistes qui changent chaque année. ...

Restaurant Les Merveilles du Maroc : quand les saveurs orientales s’invitent à Paris

En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les  poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila  prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...

Domaine de la Commanderie : des vins alliant typicité, légèreté et finesse

Actuellement, Etienne Borgnat est la 4èmegénération à produire du vin et suit fièrement les traces de ses aïeux, mais surtout son père Jean-Charles Borgnat qui s’est spécialisé dans la viti-viniculture depuis 1991. Deux vignobles, deux terroirs En cours de reprise, Étienne gère le Domaine de la Commanderie avec ses 8,5 ha de sauvignon en AOC Quincy ainsi que la partie viticole du Domaine Jean-Charles Borgnat et ses 2,4 ha en AOC Reuilly. Ici, à part le sauvignon blanc et le pinot noir, l’encépagement intègre du pinot gris, cépage peu fréquent et davantage référencé dans les régions comme l'Alsace. Celui-ci s’épanouit sur un terroir à dominance argilo-calcaire. Du côté de Quincy, le sauvignon développe toute la finesse de ses arômes sur un sol sableux, limoneux et graveleux. Côté production, Étienne mise sur une mutualisation de compétences et de matériels avec d’autres vignerons afin d’offrir des vins de qualité. ...

Logis L'Oustal del Barry : une cuisine aux saveurs aveyronnaises

« Grands Sites de Midi-Pyrénées », « Pays d’art et d’Histoire », « Plus Beaux Villages de France »... Décidément, Najac rafle toutes les récompenses et on comprend aisément pourquoi. Son paysage authentique et sa nature préservée insufflent un vent de sérénité que l’on ne ressentira nulle part ailleurs. Tendrement blotti dans cet environnement d’exception, le restaurant L’Oustal del Barry accueille les visiteurs amateurs de bonne chère. Au programme : une cuisine personnelle et contemporaine signée Rémy Simon. Un chef amoureux d’un terroir authentique Dès son arrivée en Aveyron, il y a un peu moins de 20 ans, Rémy Simon exprime déjà un amour fort pour les produits régionaux. Le savoir-faire et le métier des producteurs locaux suscitent en lui une véritable passion, si bien que sa cuisine tout en finesse et en élégance met en scène les trésors du terroir. L’objectif est de les travailler simplement, sans jamais les dénaturer pour exhaler les odeurs, les saveurs et les couleurs de chaque produit. Toute cette subtilité transparait au travers du menu mettant en avant certains plats emblématiques, à l’instar de l’Astet Najacois accompagné d’un aligot de fromage de Laguiole. Outre son menu terroir, l’établissement propose une carte gourmande privilégiant les produits de la mer et de la terre et évoluant au fil des saisons. En entrée, vous allez succomber au foie gras de canard mi-cuit servi avec son chutney figues-abricot, son pain d’épices et son sorbet mangue. Place ensuite à des bonbons de langoustine en brick de basilic ou à un pavé de veau servi rosé avec des échalotes compotées au vin rouge. Au dessert, vous prendrez bien évidemment le sublime du Barry et son pailleté de chocolat noir, dont l’intitulé donne déjà un aperçu de ce qui vous attend. Entre élégance et perfection La dégustation de toutes ces succulentes suggestions s’effectue à l’extérieur ou à l’intérieur, selon votre convenance. En salle, les grandes fenêtres permettent de profiter de la magnifique vue qui donne directement sur le château ou sur le potager de l’établissement. L’ambiance y est raffinée : salle lumineuse, profonds fauteuils tapissés, rideaux fleuris, pavage à l’ancienne et cheminée d’époque. Tout est fait pour garantir le confort. Une équipe jeune, dynamique et agréable est aux petits soins de ses clients. Mais si l’idée de pénétrer un autre univers vous intéresse, l’établissement organise de temps à autre des stages de cuisine. Le chef et sa brigade vous initient à l’art de la bonne cuisine dans une ambiance conviviale, où, progressivement, vous découvrirez les rouages de ce métier d’exception. Trésors historiques Aventuriers dans l’âme ? Najac regorge de trésors qui méritent amplement le déplacement. Classée monument historique, la forteresse royale datant du XIIe siècle fait partie des incontournables. En déambulant dans la rue médiévale, vous vous laisserez surprendre par la beauté d’un paysage jonché d’innombrables sites historiques : l’église Saint-Jean-l’Évangéliste, la fontaine des Consuls, la chapelle Saint-Barthélemy aujourd’hui devenue une habitation… ...

Le Domaine Gayrard ou
la renaissance d’une tradition

Le Domaine Gayrard est une propriété de 100 hectares située au cœur du vignoble de Gaillac, sur le plateau Cordais, à Milhavet, dans le Tarn. Depuis 5 siècles, les générations de la même famille se sont succédées. L’arrière-grand-père Maurice a notamment été un des pionniers de la vente en bouteilles de mousseux dans les années 1950. Une tradition interrompue en 1992 avec l’arrachage des vignes du domaine au profit de cultures céréalières. Aujourd’hui, Pierre Fabre et sa compagne Laure Gros ont repris l’activité viticole avec pour objectif premier de porter haut les flambeaux du domaine historique.   La renaissance Pierre Fabre, ingénieur agronome de formation, a mené une carrière d’expert pour des compagnies d’assurance. Le déclic d’une reconversion est venu lors d’un stage pour une formation dans une winery en Californie. Dès lors, il s’oriente dans l’expertise de la vigne, puis, il y a deux ans, se décide finalement à relancer le domaine familial. Avec l’aide précieuse de sa compagne Laure Gros, il replante d’abord 4 hectares de vignes sur le domaine puis acquiert 4 autres hectares de vieilles vignes au cœur du vignoble de Gaillac, à quelques kilomètres de là. A l’horizon 2017, ils envisagent encore de doubler la surface en production. En parallèle, le couple investit dans une nouvelle cave ultramoderne afin de relancer la production. Avec déjà deux vendanges et deux millésimes, la conversion en Agriculture Biologique du domaine vient d’être amorcée. Le domaine étant situé sur une route touristique entre Albi et Cordes-sur-Ciel, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, Pierre Fabre et Laure Gros prévoient également d’y développer l’œnotourisme, en ouvrant notamment la cave au public.   Deux gammes pour cinq cuvées Le domaine Gayrard focalise ses efforts vers la production de vins monocépages. Il produit deux gammes de vins raffinés et conviviaux, répartis en deux rouges, deux blancs et un rosé. La cuvée Tradition composée du « Rouge Syrah » et du « Blanc Sec Loin de l’Œil » s’apprécie pour son élégance et sa finesse. Le « Rouge Braucol » charnu, rustique et coloré, le « Blanc Sec Sauvignon » et le « Rosé Maurice » qui rend hommage à l’arrière-grand-père de Pierre Fabre forment une gamme de vins fruités et gourmands. En 2015, 8 000 bouteilles ont été produites au domaine. À l’horizon 2017, le domaine souhaite atteindre le cap des 20 000 bouteilles. La commercialisation ne fait que commencer, mais déjà le couple Fabre a pour projet de se tourner vers l’exportation à destination des pays germanophones et anglophones. En parallèle, le domaine produit également des truffes sur 2 hectares de parcelles, le péché mignon de Pierre Fabre. Il est d’ailleurs adhérent au syndicat des trufficulteurs du Tarn. L’objectif est de pouvoir associer la dégustation de ses truffes avec celle de ses vins. ...

Gloria Maris : artisan d’excellence de l’aquaculture marine française

Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste,  ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il.   Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en  Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...

Château Le Noble : un engagement fort dans la viticulture biologique et le développement durable

À mi-chemin entre Bordeaux et Saint-Émilion, sur la commune de Saint Germain du Puch, Thomas Bonnefon et Maria Mercedes cultivent leurs 15 hectares de vignes dans le respect de la charte biologique depuis 2013. Aucun produit chimique n’a sa place sur les terres de ce couple de vignerons reconvertis. Depuis 2009, ils redonnent vie à cette propriété historique de l’Entre-Deux-Mers se distinguant par la qualité de leurs vins et un accueil œnotouristique innovant.   Des vins artisanaux à caractère unique Ce terroir argilo calcaire d’exception bénéficie d’un très bon ensoleillement et drainage naturel, le domaine combine des techniques de vinification ancestrales associées aux technologies dernier cri pour élaborer ses cuvées. Le résultat de leur travail rigoureux et passionné sont des vins bio remarqués par les experts nationaux et internationaux.  ...

Alaska Seafood Marketing Institute : le meilleur de l’Alaska dans votre assiette

Redécouvrir le fameux colin d’Alaska Quand on pense au colin d’Alaska, viennent vite à l’esprit les souvenirs de ces petits bâtonnets servis dans toutes les cantines de France, souvent accompagnés de légumes vapeur ou de frites. Panés et ensuite frits, ils ont fait le bonheur et remplissent les ventres de plusieurs générations de têtes blondes. Cette espèce emblématique de la région est pêchée dans les eaux limpides du Pacifique nord, bien au large, loin de toute activité humaine. C’est dans cette vaste étendue d’océan sauvage, l'une des zones les plus propres et les plus préservées du monde, que des hommes et des femmes bravent les éléments afin de remonter dans leurs filets ce poisson noble et délicieux. Fileté et surgelé immédiatement après sa capture, le colin d’Alaska conserve ainsi cette saveur douce si particulière, et surtout ses vitamines et ses minéraux tout au long de son voyage jusqu’à l’assiette du consommateur. On le retrouve alors prêt à l’emploi dans les rayons surgelés de l’hexagone et servi sur les meilleures tables des plus grands restaurants. Accompagné d’une sauce à l’oseille, avec un zeste de citron, en papillote, ou simplement passé quelques minutes au four, il existe une infinité de façons de redécouvrir ce poisson tout en se faisant plaisir. Des pêcheries durables pour garder une nature intacte et sauvage L’engagement de l’Alaska pour une pêche durable est inscrit dans les gènes de cet État du nord des États-Unis depuis des décennies. Ce modèle de gestion des ressources de poissons sauvages est même gravé dans le texte de la Constitution de l’État depuis 1959. La durabilité porte également sur des aspects sociaux et économiques et est citée en exemple partout dans le monde. L’Alaska est ainsi le porte-étendard d’une pêche responsable, soucieuse d’assurer aux générations futures d’importantes réserves de poissons sauvages et de qualité supérieure. Pour y parvenir, les autorités mesurent chaque année les niveaux des stocks des différentes espèces de poissons et fixent des limites de capture qui ne mettent pas en péril ces ressources naturelles. Cette politique assure ainsi la pérennité des stocks au fil des ans et garantit des revenus durables aux communautés locales qui sont souvent engagées dans les activités de pêche depuis plusieurs générations. Une nourriture saine Le programme national nutrition santé, ou PNNS, recommande de manger du poisson au moins deux fois par semaine, en variant les espèces. Mais attention, toutes les espèces de poissons ne se valent pas. Les qualités gustatives et nutritionnelles du produit final vont dépendre, non seulement de l’espèce, mais aussi de l’environnement dans lequel elle évolue. Dans les eaux de l’Alaska, pures et cristallines, les poissons trouvent toutes les conditions pour se développer à un rythme lent, leur permettant de produire des protéines de qualité supérieure et des graisses riches en oméga 3. Manger régulièrement du poisson d’Alaska est l’assurance d’une alimentation riche et saine, respectueuse des Hommes et de l’environnement. ...

La Table du Château de Laléard : charme et caractère

Tel un bijou dans son écrin de verdure, La Table du Château de Laléard est une belle découverte pour qui sait apprécier le caractère particulier des vieilles bâtisses. Représentant une des meilleures tables à des kilomètres à la ronde, le domaine est un véritable lieu d’exception.  Une étendue de tapis vert en pleine campagne, ponctuée de magnifiques espaces arborés, fait le charme de cet établissement où la cuisine familiale est toujours à l’honneur. Privilégiant les produits de saison et de marché, l’enseigne s’attache à collaborer avec les producteurs locaux qui sont ses principaux fournisseurs. Découvrez les talents du chef Thierry Favier à travers une cuisine authentique, concoctée avec passion à partir de produits locaux et de région. Délectez-vous d’escargots, d’huitres et de foie gras pour le plaisir des papilles. Le restaurant ne dispose pas de carte proprement dite pour la simple et bonne raison que tout tourne autour des suggestions du chef Thierry Favier. En fonction des produits qu’il rapporte, un menu à l’ardoise est dressé. Le menu plafond se compose d’une entrée-plat-fromage-dessert avec, notamment, 2 choix de plats et 2 choix de desserts qui varient tous les 3 mois, c’est-à-dire à chaque saison. Des découvertes culinaires à ne pas rater En famille ou en amoureux, ne vous privez pas du plaisir de savourer son duo de foie gras maison au chutney ou encore sa gelée « Pineau des Charentes » suivie de son incontournable moelleux au chocolat de Guarana qui est une véritable découverte en matière de dessert. Une belle gamme de vins accompagne le tout, dont principalement le Baudry Vieilli, un excellent vin de région. Mais cela n’empêche pas qu’on y trouve aussi du cognac ou du Pineau des Charentes par exemple… L’enseigne a bâti sa renommée sur la relation de confiance qu’elle a entretenue avec les petits producteurs qui lui proposent d’excellents vins biodynamiques ou sans soufre également. Soigneusement sélectionnés par Thierry Favier en personne, les vins sont issus de maisons et de producteurs avec qui le château a l’habitude de travailler. ...

Le travail sur l’identité (professionnelle) Ou L’effet chrysalide

Permettez-moi de vous la conter à ma façon et surtout d’un point de vue plus scientifique ! La chenille est née pour manger des feuilles ! C’est son karma ou sa destinée. Pour ce faire, elle a des pattes qui lui permettent de se déplacer sur un périmètre très limité et de grosses mâchoires pour s’adonner à son activité favorite. Elle vit ainsi, sans se poser de questions, parce que c’est le chemin qui a été écrit pour elle. A sa taille adulte ou à maturité, la chenille, arrivée à un point de non-retour, se trouve lancée dans son processus de transformation programmé. Une pointe d’anthropomorphisme nous autorise à proposer une hypothèse selon laquelle, une vie à manger des feuilles sur une zone géographique réduite trouve forcément une limite : l’ennui ! La chenille a cette chance que, dans son ADN, le processus de transformation est déjà inscrit. Il est donc bientôt temps pour elle, de goûter à la liberté, de déployer ses ailes, d’agrandir son périmètre de vie et d’exploration, de butiner les fleurs - plus nobles que les feuilles - et surtout, de se laisser guider par l’Amour… qui la mènera au plaisir et à sa reproduction ! Jusque-là, rien de nouveau dans mon histoire… mais laissez-moi poursuivre… Poussée par son instinct, notre chenille va donc grimper sur une branche et tisser son cocon avec un fil de soie (ou fil de « Soi »). A l’intérieur de ce cocon, elle libèrera une sorte de mucus foncé qui colorera l’enveloppe pour se fondre dans le décor et la rendra presque invisible, « en mode camouflage ». Lors de cette étape, la chenille va s’étirer, au point de faire craquer la peau de son dos pour se débarrasser du « costume » de sa vie précédente. La voici donc, à l’état de chrysalide, à la fois fragilisée par cette mise à nu et protégée par ce « cadre protecteur » épais et discret. La transformation commence donc par une mise à nu et une mise en sécurité. Allons plus loin encore… Le processus va se poursuivre par une « liquéfaction du passé » ! En effet, depuis toujours la chenille porte au fond d’elle-même, dans son ADN, son devenir : ses ailes et sa liberté ! Pourtant, elle a vécu toute une première vie dans un monde contraint et dicté. Elle s’y est nourrie. Et c’est cela qui rend possible sa transformation ; parce que pendant toute cette période de métamorphose, elle vivra grâce à ce qu’elle aura engrangé jusque-là. La métamorphose commence alors réellement et, peu à peu, la Nymphe (ou chrysalide) va voir son corps se désagréger, se transformer en une sorte de « soupe moléculaire de particules élémentaires » et finalement se réduire à l’essence-même de son être. C’est seulement en revenant à son essence, en repartant du plus pur de son être, que cet individu vivant va pouvoir renaître selon ses nouveaux possibles, ses nouvelles perspectives. Et dans un mouvement continu, son corps va se recomposer selon les besoins de ce nouveau destin : un abdomen plus long pour faire place aux organes de reproduction, des antennes qui capterons l’existence de l’Autre papillon réceptif à ses phéromones, des ailes afin de pouvoir se déplacer et parcourir les kilomètres qui le séparent de cet Autre et, enfin, une trompe qui viendra remplacer la mâchoire devenue inutile puisqu’à l’avenir ce sont les fleurs dont le papillon se délectera en les inspirant seulement. Finalement, tout ce parcours aura été impulsé par une promesse de plaisir, de découvertes, de liberté et même, d’ouverture à l’Autre, au désir et à l’Amour ! Tout ce temps de vie – en pause - aura servi à faire émerger le potentiel merveilleux qui se cachait au fond de cet animal contraint. Alors, oui, la chenille passe par un moment de fragilité extrême et de mise à nu, un moment d’arrêt dans un cadre sécurisé, et oui, ce moment lui aura été indispensable pour permettre bien plus que sa renaissance : sa transcendance ! La chenille ne s’est pas seulement transformée. Un papillon est tout sauf une chen...

Domaine Un Coin Sur Terre : la quintessence des vins naturels

Né d’un financement participatif, Un Coin Sur Terre est un domaine où la dimension humaine a toute son importance. Des vins authentiques               Dans ce vignoble labellisé Ecocert, situé dans le Gard, le cépage mourvèdre est roi. Aux vignes comme au chai, aucun produit chimique n’est toléré et la vinification se fait de façon naturelle. Résultat, des vins de qualité, sans sulfites, à l’image de la cuvée « Intuition ». Issue de 80 % de mourvèdre et de 20 % de syrah, celle-ci séduit par sa fraicheur et son côté fruité. ...

Champagne Michel Gonet : pour l’amour d’un grand cru

Une vie sauvée grâce au champagne. C’est l’histoire de Michel Gonet, qui, à cause d’une dysphasie, ne peut rien avaler. Il ingurgite alors quelques gorgées de ce précieux nectar, qui, par miracle, aident à soigner ses troubles. « Le champagne m’a sauvé… », s’exclame-t-il.  De là commence une passion pour ce vin pétillant, qu’il partage avec toute sa lignée. Sophie et ses frères Frédéric et Charles-Henri Gonet forment les dignes héritiers de ce riche patrimoine. Une réflexion permanente sur la qualité Michel Gonet installe des outils de production plus modernes dans son domaine à partir de 1973. Depuis, la maison continue de viser l’excellence en perfectionnant constamment la qualité du travail en cave et dans les vignes. Elle mise sur la diversité de son terroir pour produire des champagnes purs, racés, au caractère unique. Originaire de la côte des Blancs, fief des grands crus, Champagne Michel Gonet a la chance d’être installé sur un terroir plein est, qui procure de la longueur, de la finesse et de l’élégance aux vins. Les vignes situées à Oger, à Mesnil-sur-Oger, à Vindey, à Mongueux et à Fravaux sont composées de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Si, pour la plupart des vignerons, les problèmes climatiques engendrent d’innombrables contraintes, Sophie Gonet reste optimiste : « Avec le phénomène de réchauffement climatique, les raisins atteignent plus facilement la maturité, sans le besoin de rajouter beaucoup de dosages. L’acidité due au manque de maturité est ainsi évitée. Nous obtenons des champagnes plus naturels. » Des champagnes monocépages au caractère affirmé Fleuron de la maison, le Blanc de blancs Grand Cru 2009 reflète parfaitement le terroir, puisqu’il s’agit d’un monocépage de chardonnay. Issu des grands crus de la côte des Blancs, il exprime un caractère racé avec des arômes minéraux et floraux, tout en délicatesse et en élégance. À 100 % de chardonnay également, la cuvée Authentique 2004, provenant de vieilles vignes du Mesnil sur Oger, fait la fierté de la famille Gonet. Distillant de puissants arômes de vanille avec une belle association de fruits exotiques et d’épices, cette cuvée sublime les mets sucrés et salés, et tous les plats exotiques. D’ailleurs, dans une optique d’initier les amateurs à la dégustation de ses divins nectars, la maison organise des repas associant mets et champagnes. Des visites de cave et des initiations à la dégustation sont également proposées tout au long de l’année, sur rendez-vous de préférence. ...

Cap d’Agde Méditerranée : un terroir riche de ses cépages et de ses savoir-faire

Entre Agde et Pézenas, vallées, mer et volcans se partagent la terre sur pratiquement 40 kilomètres, influant directement sur la vie géologique et l'expressivité des vignes. Plus de 90 domaines et caves coopératives unissent les 20 communes de l’agglomération et donnent à explorer un passionnant parcours œnologique, fort de 3 Appellations d’Origines Protégées (AOP) et de 5 Indications Géographiques Protégées (IGP). La nature s’exprime ici pleinement, révélant ses précieux jeux d’arômes. Des vins minéraux du bord de mer aux vins d’arrière-pays plus charpentés : le savoir-faire des domaines s’accorde avec leur environnement, riche de cépages emblématiques. Clairette du Languedoc et autres savoureux cépages à associer aux produits du terroir La clairette du Languedoc est l’une des plus anciennes AOC de France (1948) et poursuit une belle épopée commencée il y a 2000 ans. Son histoire s’est révélée suite à des recherches archéologiques sur des sites gallo-romains. Le piquepoul est le cépage blanc le plus répandu de la destination en terme de superficie cultivée. Traditionnellement utilisé en monocépage, en accord avec les fruits de mer, son emploi a été revisité depuis. Elevage en fût de chêne, effervescence ; assemblage avec des cépages tels que la roussane et le vermentino, les vignerons de cette appellation ne cessent de se réinventer. Entre cépages endémiques et originaux, les Indications Géographiques Protégées (IGP), plus souples que les AOC, dévoilent une véritable palette de Cézanne, tendue vers l’inventivité. Aujourd’hui, les domaines redoublent d’inspiration pour sublimer ces cépages : le gewurztraminer alsacien prolonge sa maturité grâce à l’ensoleillement méditerranéen, le terret blanc originaire du pourtour du bassin de Thau, un tant soit peu oublié, accompagne désormais les huîtres. Parmi les cépages rouges, il faut citer les immanquables : grenache, syrah, mourvèdre, carignan, grands classiques du Languedoc. D’origine espagnole, l’alicante et le tempranillo, sont audacieusement repris par des vignerons, livrant des notes tanniques. Le pinot d’origine bourguignonne et le petit verdot d’origine bordelaise s’inscrivent également dans ces nouveaux rouges légers et subtils. Cette palette d’arômes évoque autant le terroir que l’imagination. Les vignerons et producteurs ont matière à faire plaisir et à rendre à dame nature toute la noblesse de son œuvre. La créativité est ici devenue un art, ce délicat travail du maître de chai, à l’écoute des fruits de ses vignes épanouies, entre garrigue et bord de mer. ...

Champagne Yves Couvreur, un classique incroyable

C’est en 1644 que naît Pierre Couvreur, première génération de la famille Couvreur. Passant certainement sa vie dans les vignes, il transmet rapidement son savoir-faire à sa descendance. Vient alors une passion commune pour le champagne, qui, aujourd’hui, fait partie de l’histoire des grands crus de France. Une génération d’artisans et une affaire de famille C’est dans le village de Rilly-La-Montagne, situé dans la Montagne de Reims, que la Famille Couvreur travaille depuis déjà plusieurs siècles le champagne avec un vignoble 1er cru de 6,5 hectares, répartis dans trois villages, à savoir Rilly-La-Montagne, Montbré et Taissy. La maison Couvreur a cet avantage d’être bénéficiaire de la certification HVE (haute valeur environnementale). Une certification qui vaut tous les honneurs de par le fait que leur terrain agricole, tant dans sa biodiversité que dans son état sanitaire ainsi que sa fertilité, répond aux exigences réglementaires concernant l’environnement. L’exploitation produit annuellement environ 30 000 bouteilles de champagne, très appréciées par les Allemands, selon un membre de la famille. Un champagne généreux et raffiné Une exploitation bien traditionnelle, avec des cépages champenois repartis en pinot noir, chardonnay et pinot meunier. L'un des millésimes de la marque Yves Couvreur est le Prestige brut 2012, fruité et ample, complexe en bouche. Il se démarque par des arômes de feuille de sous-bois et un parfum d’épices. La cuvée la plus emblématique de la gamme Couvreur reste la Sélection, du 100 % chardonnay, équilibré et agréable en bouche pour les amateurs d’apéritif. Un champagne en hommage à un membre de la famille Couvreur, issu des récoltes de 2009 et mis en caves cinq années, est aussi mis en vente depuis 2015. Cette cuvée tradition ayant les trois cépages champenois répond au nom de François Héritage. ...

Château Fontainebleau du Var : terres de vignes préservées et fidèles à leurs terroirs

C’est dans un terroir varois naturellement disposé en « amphithéâtre », bénéficiant d’un ensoleillement favorable et bercé par un microclimat frais, que les vignes en parcelles s’étendant sur 27ha de terrain s'enracinent dans un sol tantôt calcaire tantôt fait de pélites rouges ou de tufs. La générosité de cette terre est ici mise à profit dans le cadre d’une viticulture biologique et biodynamique. En découle ainsi des rouges, des rosés et des blancs complexes et équilibrés en AOP Coteaux-varois-en-provence et AOP Côtes-de-provence. La viticulture biodynamique au service d’un noble terroir Au sein de ce haut-lieu de la viticulture varoise, les cépages, allant du Grenache au Cabernet, en passant par la Syrah et le Vermentino, s’épanouissent dans un cadre bucolique, parsemé d’oliviers et abondamment irrigué par des rivières et de majestueuses chutes d’eau. Attachée à cette contrée aussi belle que généreuse, l’équipe de Fontainebleau priorise l’usage de la biodynamie appliquée à la viticulture, une aide naturelle afin de faire exprimer au mieux la nature environnante des cépages de chaque cuvée. Le travail de la vigne s’inscrit ainsi dans le respect de l’environnement en priorisant les lois de la nature ainsi que les procédés de traitement agricoles biologiques. Dans cette optique, le sol est travaillé modérément, les vendanges sont faites manuellement, les préparations biodynamiques forment des associations végétales propices à la fertilité et les engrais chimiques laissent place aux composts. Des tisanes utilisées suivant le calendrier astral viennent s’ajouter à ces méthodes naturelles pour produire des vins biodynamiques d’exception, véritables signatures et expressions du terroir. Des cuvées d’exception à l’image d’un terroir singulier Détentrices du label certifié « Agriculture Biologique », les cuvées du Château Fontainebleau se démarquent par leur large palette de saveurs obtenues de par la grande diversité des sols du domaine. Les cépages puisent ainsi les succulences caractéristiques d’une terre composite conférant complexité et structure au vin. Fidèle aux méthodes de vinification artisanales, le domaine s’affirme dans le monde sélect vitivinicole par une gamme élégante, équilibrée et toute en finesse. Parmi les fleurons de cette gamme figure le Louis Baptiste blanc, un vin raffiné, structuré et à la bouche onctueuse. Le rouge Jean-Max, un vin issu exclusivement de vieilles vignes du domaine, savoureusement expressif, viendra, quant à lui, révéler toute préparation de viande. Appréciez, enfin, un Château Fontainebleau rosé, un goûteux mélange de Grenache, de Cinsault et de Syrah s’accordant parfaitement à la fraîcheur d’une cuisine méditerranéenne ou exotique. Ces vins de caractère travaillés suivant le modèle bordelais et vinifiés en barriques de chêne français rigoureusement élaborées et sélectionnées, font la fierté de leur domaine-mère, un lieu de vie où la nature préservée confère toute sa richesse à chaque cuvée. ...

Découvrez le car pédagogique, une innovation conçue par Agora Formations

Une quarantaine d’accidents impliquant un transport en commun d’enfants a lieu chaque année en France. Il est donc essentiel d’œuvrer pour une meilleure sécurité de nos chères têtes blondes. Dans cette optique, Emmanuel Klett, consultant en sécurité incendie et fondateur d’Agora Formations, a imaginé un car simulant des situations réelles pour enseigner les meilleurs gestes en cas d’accidents. Le car pédagogique, un véhicule entièrement dédié à la formation Le car pédagogique est principalement destiné aux conducteurs de ce type de véhicule pour leur apprendre les processus d’évacuation, pour acquérir les bons réflexes lorsque le car se retrouve couché sur le côté ou lors de début d’incendie. Cet outil est également très utile pour sensibiliser les usagers scolaires à boucler leur ceinture de sécurité lors de leurs trajets quotidiens et pour leur expliquer la conduite à suivre en cas d’accident. Lors de la sensibilisation, après une discussion et une vidéo, les enfants montent dans le car pour participer à l’exercice d’évacuation lors d’un basculement de car. Quant à la formation des conducteurs, des exercices d’incendie, de secourisme et d’évacuation leur sont proposés. Unique au monde, ce car se déplace dans toute l’Europe et a accueilli 15.000 jeunes en 2017. ...

Yoran embanner, l’éditeur breton engagé

Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran Embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire. Les nations sans État comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans, les Kurdes... En fait, tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. »  Éditions Yoran Embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran Embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français/roumain, français/lituanien, français/basque, français/gaëlique écossais, français/corse, français/kurde : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 22 nouveaux livres. »  L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...