Télécom SudParis propose en effet des formations diplômantes ou certifiantes, des formations en ligne (MOOC) et des formations sur mesure. L’école offre également un service de validation des acquis de l’expérience (VAE). Elle accompagne les créateurs d’entreprise dans le lancement de leur start-up et les entreprises dans la réalisation de leurs projets d’innovation. Comment est née Télécom SudParis ? Fondée en 1979 pour accompagner la montée en compétences des personnels des télécommunications, Télécom Sud Paris fut d’abord connue sous le nom d’Institut National des Télécommunications. Depuis plus de 40 ans, la grande école publique forme des ingénieurs généralistes et spécialisés dans différents domaines : les systèmes d’information, les réseaux, l’électronique, les sciences des données, l’intelligence artificielle, le traitement des images et la cybersécurité. Télécom SudParis fait partie du premier groupe d’écoles d’ingénieurs en France : l’Institut Mines-Télécom. Télécom SudParis est implantée sur deux campus dont le premier se trouve à Évry-Courcouronnes et le second à Palaiseau. Elle est également membre de l’Institut Polytechnique de Paris avec l’ENSTA, l’ENSAE, l’École polytechnique et Télécom Paris. Bien connue pour la qualité de son enseignement, Télécom SudParis ambitionne d’offrir à ses étudiants des formations d’excellence et de mener des recherches de pointe. L’école est ouverte aux étudiants et professionnels de tous horizons. Télécom SudParis favorise aussi le développement personnel de ses étudiants en appuyant les différentes associations et activités menées par les étudiants au sein même du campus. L’école travaille également en partenariat avec de nombreuses industries et entreprises afin de répondre aux nouveaux besoins et de pouvoir ajuster ses cursus de formation en fonction des attentes fixées par un marché du travail toujours en pleine évolution. Pour atteindre ses objectifs, Télécom SudParis propose différentes filières aux étudiants et aux professionnels. Les formations offertes par Télécom SudParis Créée pour permettre aux professionnels de performer face aux défis de la transformation digitale, Télécom SudParis offre divers cursus de formation. · Ingénieur généraliste Via un cursus en 2 cycles, les étudiants deviennent des ingénieurs diplômés immédiatement opérationnels grâce à une pédagogie par projet et par immersion en entreprise. Il est également possible d’obtenir un double-diplôme (ingénieur data-scientist, ingénieur-manager…) grâce aux partenariats de Télécom SudParis avec des écoles prestigieuses comme l’Institut Mines-Télécom Business School, l’ISUP ou encore l’ENSAE Paris. · La formation Ingénieur Réseaux par Apprentissage Télécom SudParis offre la possibilité de suivre un cursus d’ingénieur en alternance : les étudiants passent 3 jours en formation à l’école et 2 jours en entreprise. La formation dure 3 ans et est sanctionnée par le titre d’Ingénieur Diplômé Spécialité Réseaux. Le travail en entreprise est rémunéré et la scolarité gratuite pour l’étudiant. · Les formations Mastère Spécialisé® Il s’agit de formations post-masters conduisant à un diplôme de niveau bac+6 d’expert dans une spécialité du numérique. Elles s’adressent aux professionnels qui souhaitent devenir expert dans un domaine donné et aux étudiants désirant se spécialiser après leur formation d’ingénieur ou de Master. Elles durent 2 ou 3 semestres. Télécom SudParis propose 2 types de Mastère Spécialisé : Le Mastère Spécialisé Réseaux et Services : une formation complète à temps partiel pour maîtriser l’évolution des architectures des réseaux,...
La noblesse d’un lieu Pour faire un produit de qualité incomparable, il faut un lieu magistral. La riche et mouvementée histoire du domaine remonte très loin dans les racines du Moyen Âge et retrace à elle seule un petit pan de l’histoire de la région et de celle du reste de la France. Le bâtiment qui trône fièrement aujourd’hui date de 1772 et est le cinquième château élevé au même endroit. Pensée par Victor Louis, à qui l’on doit entre autres les chefs-d’œuvre architecturaux du Palais-Royal de Paris et du Grand Théâtre de Bordeaux, la bâtisse est un pur joyau du XVIIIe siècle. Ancienne propriété du fameux duc d’Épernon, la maison fut passée au marquis de Montazet pour plus tard être achetée par les Dampierre, actuels propriétaires. De prestigieuses personnalités qui ont marqué leur époque se sont succédé dans les chambres du château au fil des siècles, mais depuis plus de 200 ans, ce sont toujours les mêmes recettes qui, jalousement gardées par la famille Dampierre, servent à confectionner un des cognacs les plus appréciés par les amateurs d’eau-de-vie. Un produit rare et apprécié Dans la propriété, on trouve comme cépages réservés aux cognacs de l’ugni blanc, de la folle-blanche et du colombard, un vieux cépage de la région généreux en fruit. Ils expriment chacun dans leur subtilité le meilleur du terroir calcaire de ce coin de campagne française et de son climat océanique particulier. La plus belle « signature » de la maison, le cognac XO, est la fierté de la famille Dampierre et fait preuve de toute l’attention nécessaire à la création de ce produit d’exception. Les professionnels du secteur ont reconnu en 2015 le savoir-faire du château concentré dans cette eau-de-vie en lui attribuant cinq médailles d’or dans différents concours internationaux dont la très convoitée première place du concours général agricole de Paris. Sa robe est ambrée, soutenue et avance une belle brillance limpide. Au nez, on trouve d’élégantes traces de vanille et de caramel alors qu’au palais c’est une attaque franche et chaleureuse qui nous interpelle avant de laisser place à une bouche tonique. La dégustation du nectar s’accompagne parfaitement avec un tartare de thon ou plus simplement avec une cuillère de caviar. La carafe est elle-même une petite œuvre d’art. Élégante et fine, elle est dans une livrée splendide et ne démérite pas aux côtés de son contenu. Découvrir le berceau d’un savoir-faire Cet endroit subtil et riche d’histoire est ouvert aux visites du public. Le château est un bâtiment classé au patrimoine historique depuis trois cents ans et plusieurs excursions accompagnées permettent de se rendre au plus proche de l’âme du site ; son chai datant du XVIIe siècle et sa cave en pierres taillées si particulière où est encore distillé, dans l’alambic traditionnel, le précieux nectar. Le produit va ensuite délicatement vieillir pendant quinze ou vingt ans dans des fûts de chêne frappés aux armes de la famille avant d’être mis en carafe en éditions très limitées. Les visites, payantes, incluent une balade au cœur des installations viticoles et une dégustation en fin de parcours. ...
C’est au bord du couloir rhodanien que le Beaujolais accueille les amoureux du bon vin, les férus d’histoire mais également les passionnés de la nature. Arpentez ainsi la fameuse route des vins pour découvrir les 12 appellations d’exception : les dix crus, les Beaujolais Villages et les Beaujolais issus du cépage Gamay, aux saveurs agrémentées de forêts aux cimes tutoyant le ciel, de villages en pierres dorées, de formations géologiques imposantes et inédites, de châteaux révélant tout leur mystère ainsi que de vallées envoûtantes bercées au rythme d’une nature généreuse. La nature dans toute sa splendeur D’est en ouest, du nord au sud, le Beaujolais vous réserve des surprises qui vous rempliront d’amour et d’admiration pour cette terre bénie. Le Sud, avec ses villages sertis de vignes, aux bâtisses faites de pierres dorées, vous offre un spectacle inoubliable illuminé par les rayons révélateurs du soleil. Les terres viticoles aux paysages vallonnés du Nord, riches de panoramas appelant à la détente, seront également l’occasion de s’adonner à la visite des domaines viticoles, aux promenades dans les vignobles, mais aussi à la dégustation des fameux vins du Beaujolais. Rejoignez maintenant l’Ouest boisé de Douglas, les plus hauts pins d’Europe, contrée propice aux balades et aux randonnées avec plusieurs pistes VTT, d’ultra-trail et de chemins de randonnée. Également appelé poumon vert d’Europe, ce Beaujolais vert est la promesse d’un dépaysement en communion avec mère nature. Découvrez, entre autres, sur votre chemin, 146 villages d’exception dont Oingt, classé plus beau village de France, des châteaux de la Renaissance, des églises romanes ainsi que de nombreux musées, à l’instar du musée Paul Dini dédié à l’art de la région Rhône-Alpes. Flânez également dans le centre-ville de Villefranche-sur-Saône, capitale historique du Beaujolais dotée de monuments historiques tels que Notre Dame des Marais, un fleuron du patrimoine beaujolais. ...
Sur l’île des Impressionnistes, dans la jolie ville de Chatou, non loin de Paris, se trouve un coin de paradis idéal pour une escapade gourmande : le restaurant Les Rives de la Courtille. Au cœur d’un lieu historique Chatou est la ville où les grandes figures de l’impressionnisme comme Monet, Renoir, Pissaro ou Sisley ont puisé leur inspiration. C’est dans la ville que sont nés plusieurs de leurs éminents chefs-d’œuvre comme le Déjeuner des canotiers, de Renoir. En regardant le magnifique paysage, la nature verdoyante et la Seine qui coule tranquillement, on comprend d’où leur vint ce souffle créateur. Tendrement blotti dans ce cadre idyllique avec les murmures de la Seine en fond sonore, le restaurant Les Rives de la Courtille jouit d’une quiétude apaisante. C’est l’endroit parfait pour retrouver détente et sérénité après une balade sur l’un des circuits impressionnistes ou après la visite de musées. La cuisine aussi vaut le détour ! Aux fourneaux, le talentueux chef du restaurant des Rives de la Courtille s’affaire pour être à la hauteur de ce panorama de rêve. Il se déplace au moins une fois par semaine pour dénicher ses ingrédients au marché international de Rungis. Une promesse de fraicheur et de qualité sur une carte qui change quatre fois par an pour toujours proposer des produits de saison. En hiver, laissez-vous tenter par les coquilles Saint-Jacques snackées sur un lit de fondue de poireaux ou par les ris de veau poêlés servis avec une sauce au vin de Madère et une duxelle de champignons. Sur la terrasse cet été, l’espadon grillé à l’huile d’olive et basilic vous fera voyager vers le sud. Et vous reviendrez en automne pour les champignons poêlés et oeuf poché, entrée signature de la maison. Les épicuriens ne résisteront pas à la sublime cote de boeuf grillée à la plancha accompagnée de sa fameuse sauce au poivre et de son gratin dauphinois. Les amateurs de poisson ont quant à eux élu l’assiette tout saumon comme plat favori. Vous l’aurez compris. Aux Rives de la Courtille, vous valsez entre des mets classiques mais aussi des plats plus légers aux saveurs plus modernes. L’éclectisme de la cave à vins des Rives de la Courtille assure un bel accord mets-vins. Petits producteurs comme grandes appellations y sont à l’honneur. Et cerise sur le gâteau, l’établissement propose des vins au verre. Des références comme le Petit Chablis AOC de chez Michel Laroche ou le Menetou-Salon rouge AOC le Grand Cerf ont exemplairement gagné le cœur des convives. ...
La célébration des 2 600 ans de Marseille aura été pour lui une très belle occasion de faire la promotion de cette marque de chocolat d’exception qui bouscule tous les codes en se payant le culot de porter avec audace un symbole de reconnaissance universel : le rameau d’olivier. Francesco Martorana associe l’Espérantine de Marseille au singulier concept de « gourmandise raisonnée », un petit laisser-aller gourmand qui ne peut que faire du bien. Loin de la qualification classique de « péché mignon », qui laisse supposer que manger du chocolat est culpabilisant, surtout pour les femmes, l’Espérantine de Marseille est intimement liée au bon usage de la gourmandise, c’est-à-dire, un juste équilibre entre les textures et les saveurs, avec l’envie de partager. Des ingrédients de première qualité pour une gamme de chocolats de haut vol Grâce à une sélection des meilleurs cacaos grands crus issus des maisons comme Valrhona, qui dégagent des effluves gourmands mêlés à d’authentiques saveurs, d’incroyables assemblages se découvrent et se dévoilent pour faire grandir naturellement le plaisir d’en consommer. À partir de ces nobles matières premières, L’Espérantine de Marseille produit deux gammes de chocolat : Les Espérantines et Pulsion cacao. La première est issue du très fameux et exclusif chocolat à l’huile d’olive de Francesco Martorana. Les Espérantines se sont imposées avec brio dans le cercle très restreint des chocolats de prestige et ont obtenu le prix de Cordon Bleu de la meilleure Confiserie à Paris. Une distinction bien méritée au vu de l’implication dans la recherche et la créativité de son créateur, Francesco Martorana. La seconde a été regroupée sous la bannière Pulsion Cacao, une sélection de produits de première qualité qui nous apprend à apprécier le chocolat autrement. Bien plus qu’un simple réflexe gourmand, la pulsion n’obéit à aucune règle. Avec ses différentes variétés de chocolats, Francesco Martorana a su faire naître ces pulsions dans le bon sens, des pulsions d’autant plus légitimées par d’incroyables productions « fait maison », qui, en plus de titiller les papilles, nourrissent la créativité. À travers une incroyable palette d’ingrédients, où se retrouvent des fruits secs grillés caramélisés, des chocolats noir, lait ou blanc pur beurre de cacao, ce sont des saveurs précises et tranchées qui vous poussent à retrouver le vrai goût des traditions chocolatières. Les spécificités d’un chocolat artisanal Subtil mélange de chocolat et d’huile d’olive, l’Espérantine de Marseille est un emblème de libération pour les férus de chocolat, qui peuvent décomplexer leur envie de gourmandise. Avec le rameau d’olivier, qui apporte une dimension symbolique à la marque, l’Espérantine de Marseille est un chocolat exclusif de fabrication 100 % artisanale. Un réel savoir-faire et un méticuleux travail d’assemblage et de choix contribuent d’ailleurs à son succès, ponctué par le rameau d’olivier, un symbole qui rassure et qui démontre une autre façon d’être gourmand. ...
Le temps d’un week-end, découvrez en famille ou entre amis la Fête de la Morue à Bègles. Une 23ème édition qui s’annonce sous les meilleurs auspices. Fête de la Morue : historique C’est en 1996 que la 1ere édition de la Fête de la Morue a vu le jour grâce à Noël Mamère. Ce rendez-vous des amateurs de gastronomie a ensuite évolué au fil des années pour devenir un événement festif incontournable de la région Aquitaine. En effet, cette ville qui s’est fait connaitre comme le principal centre morutier de France dès le 19e siècle a voulu créer cet événement afin de permettre aux locaux et aux visiteurs de déguster différentes recettes de morue dans des stands et restaurants béglais. Puis, alors que la fête se développe de plus en plus, année après année (jusqu’à atteindre 60 000 visiteurs dans les années 2000), elle s’est diversifiée en proposant de nombreuses animations ainsi que des spectacles pour les petits et les grands. Ainsi, elle est passée d’un rendez-vous essentiellement gastronomique à une grande fête conviviale associant manifestations culturelles et plaisir de savourer de la bonne morue fraiche. Fête de la Morue : ce que vous y trouvez La Fête de la Morue offre, cette année encore, une programmation riche et variée. Peu importe vos envies, vous trouvez des ateliers, des expositions, des spectacles, des conférences et des concours au sein du Village de la Morue, en plein cœur de Bègles (de la place du 14 juillet au Stade A. Moga). Demandez dès à présent la programmation complète afin d’être sûr de ne rien rater. Sans oublier la volonté de vous permettre de revenir à La Belle Époque le temps de quelques jours. Mettez de côté les smartphones et les vêtements modernes et place aux longues robes et grands chapeaux. Chacun peut ainsi se déguiser et profiter de l’ambiance typique des années 1900 qui règne sur ce festival. Déconnexion garantie ! À noter : depuis sa création, la Fête de la Morue fait le nécessaire pour être une fête responsable. En d’autres termes, cela signifie qu’elle réalise des actions concrètes pour prendre soin de l’environnement. Cela passe par du recyclage, un tri des déchets et un partenariat avec l’association AREMACS afin de mettre en place des solutions éco-responsables tout en sensibilisant le public. De plus, les habitants de Bègles ont joué le jeu en ouvrant leur maison aux artistes. Un geste citoyen et généreux que nous nous devions de relayer. La Fête de la Morue en quelques chiffres Depuis sa création, la Fête de la Morue est devenue de plus en plus populaire, en attirant un public d’habitués auquel s’ajoutent toujours plus de curieux. Ainsi, durant les manifestations précédentes, plus de 60 000 personnes sont venues y déguster de la morue tout en s’émerveillant devant les spectacles proposés. À ce titre, sachez que 250 artistes seront présents. Une vingtaine de restaurateurs Beglais vous ouvrent les portes de leurs établissements et, sur le Village de la Morue, retrouvez les associations Bèglaises (40). Sans oublier que cette Fête est entièrement gratuite. Ce qui vous incite à venir vous rendre compte par vous-même de l’ambiance si particulière de cette manifestation gastronomique et culturelle. ...
Dispositif assez récent dans le monde de l’enseignement en France, la césure commence seulement à attirer les étudiants. Outre le fait d’être nouveau pour la plupart des français, le dispositif se heurte aussi à « une vision linéaire de la scolarité » qui oblige les jeunes à intégrer directement un institut supérieur après le bac, à se concentrer sur l’obtention de leurs diplômes puis à trouver un emploi à l’issue de leurs études. Pourtant, la parenthèse que la césure ouvre dans la vie des étudiants leur apporte de nombreux avantages, des atouts que nous allons développer plus loin après avoir expliqué plus en détail ce qu’est une césure. Qu’est-ce que la césure ? La césure est une mesure qui permet aux étudiants d’interrompre leurs études pendant un semestre ou deux afin d’acquérir de nouvelles compétences ou expériences en complément de leur formation. Pendant cette période, le prétendant à la césure maintient son statut d’étudiant et peut reprendre ses études à la fin de son année. Les principes de la césure sont légalement fixés par décret mais sa mise en œuvre est définie par chaque établissement. Certains sont donc favorables à la césure et d’autres non. Pendant la période de césure, l’étudiant peut opter pour un service civique, faire du bénévolat, travailler, monter un projet en tant qu’étudiant-entrepreneur, participer à des projets de volontariat international, faire un stage, suivre une formation ou encore partir en séjour linguistique à l’étranger. Pour obtenir son année de césure, l’étudiant dépose une demande à son établissement scolaire en précisant l’intérêt de cette période pour la formation qu’il va suivre dans l’établissement à son terme. Selon la filière de l’étudiant, il a donc plusieurs choix pour sa césure. Cependant, une option reste valable quelle que soit la formation initiale de l’étudiant : celle de partir à l’étranger pour un stage ou en séjour linguistique. Pourquoi étudier à l’étranger pendant son année de césure L’objectif de la césure est d’enrichir les connaissances et les compétences de l’étudiant dans un domaine connexe à ses études. Pour ce faire, l’idéal est de sortir de sa zone de confort et de découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures, de nouveaux savoir-faire. Les études à l’étranger répondent parfaitement à ces critères vu qu’ils obligent l’étudiant à s’adapter à un nouvel environnement et à découvrir un nouveau mode de vie. A l’ère de la globalisation, la maîtrise de l’anglais qui reste la première langue internationale devient par ailleurs indispensable dans tous les domaines d’activités. Il est donc tout à fait pertinent de partir en séjour linguistique dans un pays anglophone pour compléter son cursus et pouvoir se préparer à une carrière à l’international. Si, par exemple, un étudiant suit une formation académique en commerce international, une année de césure passée dans une institution ou une entreprise en pays étranger lui permettra d’avoir un bien meilleur point de vue et de nouvelles connaissances pour mieux avancer dans ses études. Sur le plan personnel, étudier à l’étranger forge le caractère des étudiants. Ceux qui l’ont fait affirment que s’éloigner et découvrir un autre monde les a rendus plus autonomes, plus confiants et plus ouverts ; des qualités qui favorisent en tous points leur employabilité ou leur esprit d’entrepreneur. Avoir un diplôme reconnu au niveau international Quel que soit le domaine d’activité ou la filière de l’étudiant, un stage ou une formation à l’étranger a toujours plus de valeur aux yeux des recruteurs et des éventuels partenaires. Néanmoins, pour avoir un diplôme reconnu au niveau international à l’issue des études à l’étra...
Des programmations culturelles autour de ces Maîtres flamands constitueront le clou des visites touristiques en Flandre, sur les trois prochaines années. De Bruxelles à Anvers, en passant par Gand, les villes d’Art redécouvriront le génie des trois grandes figures de la peinture flamande, à travers les années thématiques qui leur seront respectivement consacrées. Au menu, des expériences multisensorielles qui traversent les autres pans de la culture : gastronomie, musique et art de vivre. 2018 : explorer Anvers à travers les yeux de Rubens « Anvers Baroque 2018, Quand Rubens inspire » transportera les touristes au cœur d’expériences de haut vol. Trois jours de danse, de musique, de théâtre et de feux d’artifice inaugureront les réjouissances. L’impressionnant MAS (Museum aan de Stroom), situé dans le quartier en plein renouveau de l’Eilandje, célébrera le baroque au féminin par une rétrospective consacrée aux œuvres de Michaelina Woutiers. Au musée d’Art contemporain, rendez-vous pour un face à face entre le baroque d’hier et d’aujourd’hui. Les peintres du temps de Rubens verront leurs œuvres mises en présence de créations plus contemporaines, signées Ed Kienholz ou Luc Tuymans. Avec les installations sonores ou odorantes prévues pour la scénographie, tous les sens vont vibrer au rythme baroque. Ateliers créatifs, visites guidées par les habitants, inauguration de nouveaux ouvrages de l’espace public étofferont encore cette année de célébration. L’ouverture du centre de découverte Rubens marquera le point d’orgue des festivités. 2019 : Bruegel vous invite à plonger dans son monde Pieter Bruegel l’Ancien est un artiste dont on sait fort peu de choses. Durant l’année qui lui est consacrée, ses œuvres se chargeront de dévoiler sa personnalité. Ses méthodes de travail et l’ensemble de ses tableaux seront exposés au tout nouveau centre d’accueil portant son nom, à Bruxelles. Un rendez-vous convivial est également donné au château de Gasbeek, avec la « Fête des fous ». Les réinterprétations de Bruegel par les artistes du XXesiècle constitueront le clou de l’exposition. Elle sera clôturée par un pot de gueuze artisanale, comme on a pu en goûter du temps du peintre. Dès le printemps, « Bruegel en noir et blanc » lèvera le voile sur les travaux sur papier de l’artiste à la Bibliothèque royale de Belgique. À l’automne, Anvers se joindra également à ces hommages en accueillant au musée Mayer van der Bergh, une exposition retraçant ses dernières années dans la ville. 2020 : une année pour venir adorer l’Agneau mystique à Gand Jan van Eyck sera le centre de toutes les attentions en 2020. Son mythique retable Adoration de l’agneau mystique sera au cœur des festivités prévues en son honneur à Gand. Le très convoité retable en douze panneaux réalisé avec son frère Hubert est en phase de restauration. Une fois cette dernière achevée, cette œuvre époustouflante sera alors replacée dans la cathédrale Saint-Bavon pour laquelle elle était initialement commandée, en 1432. Dès fin 2019, le cloître des Carmes de la ville tiendra une exposition sur une œuvre singulière par bien des aspects. Elle a effectivement suscité de nombreuses passions à travers les six siècles qu’elle a traversé : copie, démontage, menace par le feu, dissimulation, vol ne sont que des exemples des péripéties par lesquelles le polyptyque est passé. « Jan van Eyck et la cour bourguignonne » promet, de son côté, d’être une expérience artistique immersive des plus marquantes. ...
Le Château Pigoudet se trouve à la limite septentrionale de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence. Le terroir de Provence est connu pour la diversité de ses sols qui donnent une grande variété de saveurs aux vins, celui du Domaine Pigoudet est argilo-calcaire. Grâce au terroir, au climat et au savoir-faire de l’équipe, les vins du Château Pigoudet sont connus dans le monde entier. En France, en Europe et dans le monde, le Domaine Château Pigoudet travaille avec des grossistes pour les professionnels et des cavistes pour les particuliers. Le Domaine C’est en 1992 que l’entrepreneur Bernard Schmidt et sa femme Elke acquièrent le Château Pigoudet, une bastide située à l’extrême Nord-Est de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence. Château Pigoudet servait autrefois de résidence d’été à l’archevêché d’Aix-en-Provence. La superficie de la propriété est aujourd’hui évaluée à 110 hectares dont 40 plantés de vignes. Son sol argilo-calcaire accueille plusieurs cépages : Grenache, Cabernet, Syrah, Cinsault pour les vins rouge et rosé et Sauvignon blanc, Ugni blanc, Grenache blanc et Rolle pour les blancs. Le vignoble offre différentes gammes : Pigoudet Première, Château Pigoudet Classic, Château Pigoudet La Chapelle, Château Pigoudet Insolite! et Le Grand Pigoudet. Chaque vin a une typicité particulière et révèle le meilleur de ce terroir en présentant des vins puissants, frais et aromatiques. Une équipe passionnée Elke Schmidt y perpétue le rêve de son défunt mari avec sa fille Sabine Rabe et son beau-fils Hans-Ulrich Rabe. L’équipe qui les soutient dans cette aventure est composée de Daniel Laugier, un Chef de culture qui travaille pour le domaine depuis 29 ans. Il est aidé par son fils Benoît dans la culture du vignoble. Ivan Khougazian, Œnologue-Maitre de Chais, conduit les recherches d’arômes et qualités gustatives en visant l’excellence. L’export et la recherche de nouveaux marchés sont assurés par Sabrine Rabe grâce à ses compétences linguistiques et sa capacité relationnelle. Marcel Fritsch se charge de la France et de la Belgique. Enfin, l’administration du Domaine est l’affaire de Laurence Kazazian, elle organise, gère et crée l’osmose du Domaine. ...
La maison a bâti sa notoriété autour de ses vins en appellation Côtes-du-Rhône Village Sablet. « C’est un terroir de haute expression, pleine de promesses : un sol débouilli, un sous-sol de safre, un climat provençal, des levures autochtones... Et notre caractère pour sublimer le tout ! », fait valoir la propriétaire des lieux, Cheli Alberca. Un écosystème préservé Le domaine du château Cohola vit au rythme de tout un écosystème : vignes, oliviers, chênes truffiers et ruches d’abeilles. Ici, place à la culture biologique et bientôt à la biodynamie. ...
Convaincue que la culture participe à une plus belle compréhension du monde, sa fondatrice d’origine russe, Darya Brient, imagine ce lieu d’amitié entre les peuples comme un facilitateur de dialogue et d’échanges. Elle incite donc les badauds curieux à découvrir des artistes méritant d’être médiatisés en France, provenant généralement de Russie et des pays de l’Est, mais sans s’y limiter, allant ainsi jusqu’au pays occidentaux.. Un autre regard sur les pays de l’Est Souvent considérés comme inaccessibles, les pays de l’Est dévoilent ici quelques visions intimes perçues de l’intérieur. En découvrant les œuvres exposées, le public est invité à partager les regards singuliers et résolument contemporains des artistes sur le monde. Peintres, graphistes, photographes, de notoriété internationale ou promis à elle, accrochent aux murs des univers pleins, solaires ou mélancoliques. Car si l’Ouest se raconte avec des mots, l’Est se confie en images. Un sens profond de la métaphore témoigne d’une intense vie artistique, oscillant entre quotidien et poésie, réalisme et résilience. Des langages sans concession s’inventent, dépassent les murs et les frontières. Des célébrités et des nouveaux talents La programmation de la Galerie de l’Est affectionne les pépites et favorise les artistes contemporains qui ont choisi de vivre de leur passion. Darya Brient parle avec ferveur de ces « fouilleurs d’âmes » en quête perpétuelle de profondeur. Alexei Lantsev,,peintre originaire du sud de la Russie, aux toiles heureuses, traverse avec simplicité les territoires où la vie est reine. Ses empreintes aux couleurs éclatantes précèdent aux aquarelles abstraites et en relief de l’artiste Polina Egorushkina qui dépeignent l’ensemble des entités du paysage. La galeriste expose aussi les photographies mystérieuses du photographe Stephane Spach, qui puise son inspiration dans une nature mélancolique - ainsi que dans l’infiniment subtil, tout comme les sculptures organiques en porcelaine de Daria Surovtseva. Prochainement, ce lieu proposera de découvrir l’univers évaporé, méditatif et puissant d’Evgeniya Buravleva. Exposées dans plusieurs pays du monde, ces célébrités partagent les murs avec de nouvelles figures non moins remarquables. Des diamants bruts dont le talent n’attend que de croiser notre regard. À titre d’exemple, “Fragile” – l’une des dernières expositions de la galerie – présente la photographe polonaise Laura Makabresku, une artiste imprégnée d’une dimension onirique et spirituelle singulière, inspirée par la nature humaines et ses relations. Une adresse précieuse Conçue dans un esprit de partage, la Galerie de l’Est est une adresse précieuse où il fait bon de laisser vagabonder les yeux. Ses portes sont grandes ouvertes aux échanges et à la rencontre. Le public de Compiègne ou d’ailleurs peut y entrer librement, discuter avec la maitresse des lieux et remplir son sac d’émotions tenaces et impalpables. Pour la galeriste, « l’art est un art de vivre ». Et elle le sait : voir et savoir sont deux intentions essentielles pour faire connaissance. Un rendez-vous multiculturel à saisir absolument et à savourer longtemps. ...
Cette école de Management est intégrée, depuis ses débuts, à l’Université de Caen. « Sa vocation est de former des étudiants et des salariés aux métiers de la gestion et du management tout en développant des activités de recherche en lien avec ces domaines d’expertise », nous explique Patrice Georget, Directeur de l’IAE Caen. Avec le développement en 2011 d’une filière complète par e-learning, cette école se veut être un des pionniers de la formation à distance basée sur une pédagogie interactive qui place l’étudiant au centre de son apprentissage. Excellence et innovation se retrouvent ainsi dans une offre de formation en présentiel ou à distance adaptée à chaque apprenant et surfant sur la vague du progrès technologique. Une formation mixte : identité de l’IAE Avec une identité basée sur une expertise académique et une connaissance accrue du domaine du Management, cette école universitaire s’est forgée une solide réputation dans le domaine de la formation avec ses 40 cursus diplômants proposés en formation initiale ou continue, en présentiel ou à distance. La formation initiale, suivie par plus de 1 300 étudiants chaque année, est dédiée aux jeunes désirant faire carrière dans le management, le commerce ou dans d’autres domaines du secteur tertiaire. Sanctionnée par une Licence ou un Master, chaque formation initiale associe maîtrise académique du management et connaissance pratique du milieu professionnel. La formation continue, quant à elle, est « principalement pensée pour les salariés en entreprises désireux d’obtenir une plus forte mobilité professionnelle, tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger, d’avoir une promotion de carrière ou de changer d’orientation professionnelle en reprenant leurs études », poursuit son directeur. Grâce à un large éventail de cursus, l’école propose ainsi des formations continues en management d’entreprises, en finances et en management du social et de la santé. Allant des ressources humaines au management d’établissements de santé en passant par l’ingénierie financière, chaque programme, avec un Master à la clé, est adapté à tous ceux qui souhaitent élargir leur horizon professionnel et saisir de nouvelles opportunités. La gérontologie, les métiers d’agence bancaires, le contrôle de gestion ou le marketing digital, n’auront plus aucun secret pour les apprenants, quelles que soient leurs origines professionnelles. Véritables tremplins, tous les parcours, en formation initiale ou continue, sont conçus et prodigués par des enseignants universitaires, 50 au total, et par près de 350 enseignants issus du monde professionnel « gages de leur qualité et de leur aspect professionnalisant », souligne Patrice Georget. L’innovation toujours au service de la formation Les lettres de recommandation sont aujourd’hui un véritable passeport pour l’emploi. L’IAE Caen l’a bien compris et a ainsi développé un système similaire pouvant être inséré dans son CV : les badges. Ces derniers sont produits en collaboration avec le CEMU (Centre d’enseignement multimédia de l’université de Caen). Leur objectif, toujours selon Patrice Georget, est d’« évaluer le savoir-être de l’étudiant et de révéler qui l’on est et trouver une forme de reconnaissance qui va au-delà du diplôme ». En effet, certains étudiants travaillent de nuit et étudient le jour, dépassent ainsi leurs limites et franchissent des obstacles apparemment infranchissables pour arriver au bout de leurs études. Ces efforts, trop souvent ignorés, sont désormais affichés au grand jour grâce au badge « Battant ». Symbole de persévérance et de détermination, ce badge sera le témoin des difficultés que l’étudiant a su surmonter. À celui qui s’investit dans la représentation de son école à l’occasion, par exemple, de concours d’entreprises, sera décerné le badge « Ambassadeur ». Le badge « Communiquant &raq...
La nouvelle porte d’entrée en matière de tourisme d’affaires à Nancy Dans le cadre du projet d’aménagement « Nancy Grand Cœur », débuté il y a une dizaine d’année sous l’impulsion de la ville et de la métropole, l’ancien Palais des congrès a fait place neuve en septembre 2014 au Centre Prouvé. Depuis son ouverture, il a déjà accueilli plus de quatre cents évènements, dont une grande majorité en lien avec la fillière de la santé, filière d’excellence sur le territoire. Au premier juillet 2017, Grand Nancy Congrès & Evènements évolue et structure son offre pour proposer plus de services en intégrant le bureau des congrès. Cela va permettre de renforcer les liens entres les différents acteurs de la métropole qui ont trait à l’accueil du public. Cette démarche fait de Grand Nancy Congrès & Evènements la porte d’entrée unique pour le tourisme d’affaires sur la métropole nancéenne. Inscrite dans une démarche de développement durable, la société a obtenu la Certification Qualité et développement durable de France Congrès et est bien avancée dans les démarches d’acquisition de la norme ISO 20121. Un cadre idéal au centre ville pour vos rencontres Situé au cœur de la cité nancéenne, précisément à une minute à pied de la gare TGV Nancy-Ville, le Centre Prouvé met à la disposition des organisateurs d’événements et de leurs partenaires tous les attributs et toutes les facilités qu’offre un espace situé en hyper centre-ville pour composer leurs rencontres. Tout le patrimoine historique de la vieille ville, les restaurants et presque 3 000 chambres d’hôtel se trouvent accessibles à moins de dix minutes à pied. Une fois sur place, il n’y a plus besoin de se véhiculer pour découvrir une bonne adresse où prolonger une discussion autour d’un repas ou d’un verre. La place Stanislas, qui contient quelques-uns des bâtiments historiques les plus somptueux de la ville et tous les charmes discrets de la vieille cité étudiante se trouvent à porter de main. Plusieurs grands événements culturels viennent ponctuellement animer un peu plus les artères de la ville et offrent des activités originales auxquelles vous pouvez participer en marge de vos manifestations. Peu d’autres congrès en France peuvent se vanter d’offrir autant de facilités en matière de positionnement géographique. Des équipements complémentaires Équipé d’un hall d’exposition de 3000 m2, modulable en salle de 2400 places, de 2 auditoriums (850 et 300 fauteuils), de 13 salles de réunion pour 1300 personnes dotées de cabines de traduction simultanée, d’un espace réceptif panoramique recevant jusqu’à 1 200 couverts et d’un parking public en sous-sol de 455 places, le Centre Prouvé est le cadre idéal pour l’organisation et l’accueil de tout type de manifestations. Le parc des expositions, équipement qui accueille les trois évènements organisés par Grand Nancy Congrès & Evènements, contribue à animer, à structurer et à soutenir les filières économiques et des entreprises de ce territoire. Ainsi, plus de 50 % des artisans et commerçants exposant lors de la Foire Internationale ou du Salon Habitat Deco et Antiquaires sont issus du Grand Est. Les participants accueillis dans ces nombreux évènements se voient aussi proposer un espace de parking de 1800 places. Pour les soirées de gala, Grand Nancy Congrès & Evènements propose quelques lieux prestigieux tel que les Grands Salons de l’Hôtel de Ville. De quoi transformer un moment magique en une expérience inoubliable. ...
Verdun, 21 février 1916. Le soleil se lève à peine que l’armée allemande déchaîne des tirs d’obus sur les lignes françaises. Cet assaut marque le début de 300 jours et de 300 nuits de combats terribles, sans discontinuité, qui sera l’affrontement le plus meurtrier de la Grande Guerre. La Bataille de Verdun emporte avec elle pas moins de 300 000 êtres chers. Depuis 1996, l’événement-spectacle Des flammes…à la lumière évoque cet épisode tragique de l’histoire avec émotions intenses, à travers un gigantesque spectacle de son et lumière à 360°. De la guerre… à la paix Ce projet ambitieux et sans pareil en Europe a été relevé haut la main par l’association Connaissance de la Meuse, fondée et présidée par Jean-Luc Demandre, qui n’est autre que le metteur en scène et coscénariste de l’événement. « Notre idée de départ était de rendre hommage à tous les combattants en revivifiant l’histoire dans la mémoire collective », explique-t-il. En recueillant les documents d’archives, les traces écrites, les divers ouvrages et les témoignages des anciens combattants, il décide d’approcher le sujet par un regard croisé à la fois sur les soldats au champ de bataille que sur les civils. D’un côté, le scénario se rapproche de l’expérience pénible que devaient vivre les hommes, les femmes et les familles déchirés par la guerre et obligés d’abandonner leur village dans les larmes. Le spectacle veut s’incruster dans le quotidien de ces gens lambda qui se retrouvent du jour au lendemain au milieu d’une guerre sans merci. Quelques kilomètres plus loin, les soldats des deux camps ennemis s’affrontent sans relâche, se blessent et se redressent, tombent et se relèvent en essayant de survivre dans le froid, dans la nuit, dans la boue, entourés de rats et des poux... Au cœur de ces moments ténébreux, l’histoire met en lumière le récit de deux jeunes soldats français et allemands qui vont croiser le chemin d’un Belge devenu volontaire pour soigner les blessés de guerre. Émotion, sacrifice, amitié, dévouement s’entremêlent dans leur histoire. Vers la fin du spectacle, « à l’évocation de l’armistice, nous avons deux soldats qui se donnent une poignée de main : Verdun est un haut lieu de la souffrance mais aussi un haut lieu de l’espoir. L’espoir que non seulement la paix est possible, mais que les ennemis d’hier peuvent vivre en amitié et en harmonie aujourd’hui », nous souffle Jean-Luc, une pointe d’émotion dans la voix. Un spectacle vivant Cet événement-spectacle de la guerre 14-18 représente la plus grande performance jamais réalisée en France. Il se déroule sur une scène de deux hectares à ciel ouvert avec une tribune de 2 500 places numérotées. Un panorama impressionnant éclairé sous le feu de 1 000 projecteurs et souligné par des jeux de lumière et des effets spéciaux exceptionnels pour une expérience mémorable. « Nous utilisons des techniques du théâtre et du cinéma pour réaliser le spectacle en s’appuyant sur un parc de matériel à la pointe, sans pour autant effacer l’humain qui est au cœur de la performance », souligne notre interlocuteur. Pour l’été 2018, marqué par le centenaire de la Grande Guerre, de nouvelles scènes s’ajouteront à l’événement, notamment la première bataille aérienne de l’histoire, une fête foraine dans une ville d’arrière-front et des confessions poignantes entre l’arrière et le front. En apothéose, des éléments de décor surgissent de part et d’autre au rythme du spectacle, créant ainsi des émotions et des surprises sans fin. Par ailleurs, près de 900 costumes sont confectionnés sur mesure pour les 250 acteurs français qui feront vivre l’histoire. Derrière, le spectacle Des flammes… à la lumière mobilise pas moins de 450 bénévoles passionnés, petits et grands. Ils prennent part à la scénographie, la logistique, les préparatifs tec...
Des restaurants italiens ? On en compte pléthore à Paris. Certains se démarquent par les saveurs inattendues de leurs plats et la qualité exceptionnelle de leurs produits. C’est le cas d’Il Fico. Véritable ambassadeur de la cuisine sarde, le restaurant est géré d’une main de maître par Nicola Pisu et un pool de passionnés qui, ensemble, ont largement tenu leur promesse en proposant le meilleur de la cuisine traditionnelle sarde. Immersion Le restaurant se trouve rue Coquillière, l’une des plus anciennes rues du Ier arrondissement. Le bâtiment arbore de grosses pierres de couleur neutre, rappelant le charme d’une trattoria à l’ancienne. La grande baie vitrée, au style très industriel, vient s’ajouter à la façade pour renforcer le cachet du restaurant, laissant entrevoir l’ambiance intimiste et chaleureuse de la salle. Une fois à l’intérieur, toujours dans la continuité de ce charme rustique, quelques cadres ici et là embellissent les murs en pierre et les poutres apparentes. Des meubles modernes aux lignes épurées apportent un côté plus contemporain et rehaussent la décoration de table déjà bien soignée. Un concept innovant Le restaurant s’articule autour de deux concepts : « Un concept gastronomique et à la fois bistro », décrit le chef Nicola Pisu. Lui et son équipe travaillent des plats représentatifs des saveurs de la cuisine sarde à base de poissons et de fruits de mer en provenance des côtes de l’île. « La particularité de la cuisine sarde, c’est qu’il y a beaucoup de poissons, et ils sont cuisinés très frais », continue le chef. Viennent s’ajouter les viandes, champignons, fruits et légumes témoignant la richesse de ses terres. La carte sort de l’ordinaire et propose un panel de suggestions surtout orientées vers les produits marins, comme une salade de poulpe à la méditerranéenne en guise d’entrée, de la linguine aux langoustes et sauce tomate ou encore de l’espadon grillé saisi à l'huile aux herbes et ses légumes. L’on y retrouve aussi des plats typiquement italiens à l’image de l’antipasto, généreusement enrichi de mozzarella et de la charcuterie italienne. Au dessert, la panna cotta à la vanille avec poires caramélisées au romarin est un incontournable. Une carte qui suit la saisonnalité Des ingrédients frais et de saison sont les produits de prédilection de Nicola Pisu, et la carte va dans ce sens. « On a une belle équipe en cuisine, on est plus motivé, on cherche toujours de nouveaux produits et on imprime une carte sur mesure selon le marché », explique notre interlocuteur. Le chef travaille directement avec des producteurs locaux de Sardaigne et s’approvisionne auprès des producteurs français pour acquérir la meilleure matière première. Il s’inspire ensuite des produits sur le marché pour concocter de nouvelles recettes, ou pour revisiter certains plats afin de les adapter à la saison. Côté vins, le restaurant privilégie les vins de Sardaigne, et développe une quarantaine de références, qui évolue régulièrement. En rouge, notre interlocuteur cite le Giba Carignano 2012 en provenance du sud de Sardaigne, et aussi l’Olianas Cannonau 2014, un vin biologique très frais, idéal au moment de l’apéritif. La carte propose aussi du blanc, comme le Giba Vermentino 2014, ainsi qu’une intéressante sélection de vins rosés. ...
Avec une carte qui change tous les trois mois, Le Jardin Gourmand, peut s’enorgueillir de travailler majoritairement des produits locaux, où le surgelé n’a nullement sa place. Soucieux des goûts et préférences de la clientèle, le restaurant propose une carte du jour tous les midis, avec une option de quatre entrées, quatre plats et quatre desserts, ce qui permet de varier les plaisirs des habitués et des clients de passage. Le Jardin Gourmand, c’est aussi un restaurant pour les végétariens, les végétaliens et les intolérants au gluten, mais aussi un excellent service traiteur. Les suggestions du chef En entrée, une délicieuse salade de langoustines reçues fraîches, qui vont être décortiquées et équeutées avant d’être poêlées aux échalotes, ail et persil, et servies avec un petit mesclun de salade de mâche et un tout petit peu de frisée d’hiver, avec, à côté, un petit jardinet de légumes sur lequel sont piqués des bâtonnets de betterave pour apporter un peu de croquant et de fraîcheur à l’ensemble. Pour continuer, un tajine de souris d’agneau au kaki confit et coriandre avec un couscous de fruits secs. La souris d’agneau est saisie au four à 180 ° pendant une petite demi-heure, avant d’être cuite pendant 1 h 20 à 90 °. Une fois qu’il a récupéré tout le jus de cuisson, le chef élabore la sauce au miel et à la coriandre avec du ras el hanout jaune. Quatre-épices, ras el hanout rouge, miel et coriandre sont rajoutés à la toute dernière minute. Les souris d’agneau vont ensuite servir de base à du couscous légèrement safrané à la brunoise de pruneaux, figues et abricots. Et pour terminer ce voyage de saveurs, une terrine de chocolat, une crème brûlée au carambar, un millefeuille mandarine et spéculos ou encore un clafoutis de mangue au citron vert. ...
Comment la musique vient aux instruments1 ? Le concept du musée répond à une double vocation. Le musée s’impose naturellement comme le lieu témoin de la ville, dont l’identité est fortement marquée par la production traditionnelle d’instruments de musique à cordes et la transmission des savoir-faire qui lui est associée. Parallèlement, il donne l’occasion de porter un regard nouveau sur l’ensemble du processus de fabrication de l’instrument de musique pris comme composant de la fabrication de la musique. Les luthiers et les archetiers, les savoir-faire qu’ils transmettent, les instruments qu’ils fabriquent, les musiciens qui les jouent, les compositeurs qui écrivent pour eux, les auditeurs et les critiques qui écoutent et jugent les musiques produites ainsi que les interactions entre ces différents acteurs sont au cœur du projet du musée. Ainsi, le visiteur, en fonction de sa culture, peut se reconnaître dans l’un ou l’autre rôle. Il n’est pas seulement « spectateur » du projet. 1 MABRU Lothaire. Comment la musique vient aux instruments : Ethnographie de l’activité de lutherie à Mirecourt. Sarreguemines – Metz : Editions Pierron, DRAC de Lorraine, 1998, pages 179 -192. ...
Le Domaine Gayrard est une propriété de 100 hectares située au cœur du vignoble de Gaillac, sur le plateau Cordais, à Milhavet, dans le Tarn. Depuis 5 siècles, les générations de la même famille se sont succédées. L’arrière-grand-père Maurice a notamment été un des pionniers de la vente en bouteilles de mousseux dans les années 1950. Une tradition interrompue en 1992 avec l’arrachage des vignes du domaine au profit de cultures céréalières. Aujourd’hui, Pierre Fabre et sa compagne Laure Gros ont repris l’activité viticole avec pour objectif premier de porter haut les flambeaux du domaine historique. La renaissance Pierre Fabre, ingénieur agronome de formation, a mené une carrière d’expert pour des compagnies d’assurance. Le déclic d’une reconversion est venu lors d’un stage pour une formation dans une winery en Californie. Dès lors, il s’oriente dans l’expertise de la vigne, puis, il y a deux ans, se décide finalement à relancer le domaine familial. Avec l’aide précieuse de sa compagne Laure Gros, il replante d’abord 4 hectares de vignes sur le domaine puis acquiert 4 autres hectares de vieilles vignes au cœur du vignoble de Gaillac, à quelques kilomètres de là. A l’horizon 2017, ils envisagent encore de doubler la surface en production. En parallèle, le couple investit dans une nouvelle cave ultramoderne afin de relancer la production. Avec déjà deux vendanges et deux millésimes, la conversion en Agriculture Biologique du domaine vient d’être amorcée. Le domaine étant situé sur une route touristique entre Albi et Cordes-sur-Ciel, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, Pierre Fabre et Laure Gros prévoient également d’y développer l’œnotourisme, en ouvrant notamment la cave au public. Deux gammes pour cinq cuvées Le domaine Gayrard focalise ses efforts vers la production de vins monocépages. Il produit deux gammes de vins raffinés et conviviaux, répartis en deux rouges, deux blancs et un rosé. La cuvée Tradition composée du « Rouge Syrah » et du « Blanc Sec Loin de l’Œil » s’apprécie pour son élégance et sa finesse. Le « Rouge Braucol » charnu, rustique et coloré, le « Blanc Sec Sauvignon » et le « Rosé Maurice » qui rend hommage à l’arrière-grand-père de Pierre Fabre forment une gamme de vins fruités et gourmands. En 2015, 8 000 bouteilles ont été produites au domaine. À l’horizon 2017, le domaine souhaite atteindre le cap des 20 000 bouteilles. La commercialisation ne fait que commencer, mais déjà le couple Fabre a pour projet de se tourner vers l’exportation à destination des pays germanophones et anglophones. En parallèle, le domaine produit également des truffes sur 2 hectares de parcelles, le péché mignon de Pierre Fabre. Il est d’ailleurs adhérent au syndicat des trufficulteurs du Tarn. L’objectif est de pouvoir associer la dégustation de ses truffes avec celle de ses vins. ...
Avec son cadre chaleureux dès la terrasse, son intérieur inspirant le bistro traditionnel et le chic, sa clientèle toujours de bonne humeur de jour comme de nuit, son ambiance regorgeant de vitalité, sans oublier la bonne bouffe bien délicieuse, La Bascule du Chevillard est le pont direct entre festivité et grosses dégustations. En effet, ce troisième établissement familial de l’empire Carmen est le reflet de la qualité, de la diversité et, plus important, du savoir-faire. La qualité au rendez-vous Avec de la viande de choix tout droit venue de chez des grands noms comme Sud Viandes Distribution, Maison Garcia et Maison Samaran, des fruits frais de chez Le Jardin du Rempart, des cakes de la boulangerie pâtisserie Serres, du bon café de chez J. Bacquié, sans oublier les savoureux produits de chez Betty Fromager, le restaurant La Bascule du Chevillard n’opte que pour une cuisine de saison et de type terroir. Ici, la cuisine est significativement axée sur les préparations avec viandes qui ont la manie de toujours mettre l’eau à la bouche. Le restaurant est particulièrement spécialisé dans la présentation et la mise en valeur des plats. Mise en valeur qui suscite vraiment l’envie de se régaler des délices concoctés en cuisine. Menu diversifié et plats savoureux Des entrées composées de savoureuses salades et de charcuteries aux desserts penchant entre sucré et salé, tout en passant par des plats de résistance accompagnés de gros morceaux de viande, au restaurant La Bascule du Chevillard, beauté des plats et odeurs de cuisine sont un appel certain à l’appétit. Le menu des entrées se compose notamment de plats comme les salades de bœuf au gros sel, de maraicher, de chèvre chaud au miel, mais aussi de la salade du Gers. Une gamme variée de plats de résistance est également à l’honneur avec du poisson et divers types de viandes : bœuf, volaille, veau et cochon. Côté bœuf Simmental sont proposés le pavé de bœuf accompagné de ses sauces, la côte de bœuf à la moelle, le filet de bœuf accompagné de sauce bordelaise, le steak tartare et la pièce de bœuf aux pois. En matière de volailles, le magret de canard à la ficelle et aux pommes forestières ou encore la cuisse de canard confite figurent parmi les favoris. Par ailleurs, le pied de cochon Hic-Hic et le carpaccio de cervelle de veau mariné ne manquent pas d’attirer l’attention. Tout particulièrement, on note les fameuses frites qui sont vraiment appréciées par l’ensemble de la clientèle de la Bascule du Chevillard. Enfin, en dessert, rien de mieux que de clore avec un sorbet ou une glace, de la crème caramel, du fromage ou encore un gâteau de riz. Le restaurant de toutes les situations Que ce soit pour un rendez-vous entre amis, en famille, entre collègues ou encore en couple, La Bascule du Chevillard demeure le lieu indiqué pour passer un merveilleux moment en bonne compagnie. Le service est de qualité et la pleine satisfaction des clients passe avant tout autre chose. De plus, les prix sont abordables, avec un menu entrée-plat-dessert à 24 € et le menu de midi entrée-plat ou plat-dessert à seulement 15 €. Concernant les vins, la carte, bien que restreinte, saura toujours réserver de très agréables surprises, grâce aux conseils du sommelier. Ouvert du lundi au samedi, de 12 h à 14 h, et du mardi au samedi, de 20 h à 23 h, fermé le dimanche et le lundi soir, le restaurant fait vite le plein. Il est dès lors conseillé de réserver, et uniquement par téléphone. La Bascule du Chevillard : la table des amateurs de viandes et de la bonne chair à découvrir, et où l’on y retourne, sans hésiter. ...
Créée en 1962 par Serge Copin, l’exploitation familiale est reprise en 1992 par sa fille aînée, Jocelyne, et son époux, Jean-Marc Legouge. De là naît Champagne Legouge-Copin, situé sur les coteaux sud de la vallée de la Marne, à 20 km d’Épernay. Entre tradition et innovation, le domaine prône l’authenticité et la qualité de ses cuvées, qui promettent une expérience gustative hors du commun. Une perle de la vallée de la Marne Créatrice de style et d’émotions, la maison Legouge-Copin sait flatter les papilles des amoureux de champagne. En grands passionnés, Jean-Marc et Jocelyne s’attachent aux valeurs de convivialité, de simplicité et d’authenticité, qui rythment leurs activités, de la vigne aux vins. Le vignoble, situé à Vandières, s’étend sur cinq hectares et comprend les trois cépages champenois, à savoir 75 % de Pinot Meunier, 20 % de Pinot Noir et 5 % de Chardonnay. Dans une volonté de préserver la qualité et la typicité de leur terroir, ainsi que l’environnement et la biodiversité, les propriétaires ont opté pour une viticulture raisonnée. « Nous utilisons le moins possible de désherbants. Nous labourons nos parcelles de vignes et dans les coteaux, nous privilégions l’enherbement », confie Jocelyne. Le Rosé de saignée, un champagne d’exception La maison travaille en collaboration avec un groupement de vignerons pour la vinification et l’élaboration des bouteilles. Les sept cuvées ont été créées avec patience et savoir-faire, pour qu’elles puissent révéler leur propre personnalité et une qualité régulière. Parmi ces bijoux qui font la fierté de l’entreprise s’inscrit le Rosé de saignée Brut. Dans le respect de la tradition ancestrale, les raisins sont macérés dans leur jus durant environ une dizaine d’heures, jusqu’à obtenir une coloration naturelle et libérer une myriade d’arômes riches et puissants. Autre incontournable : le Brut millésime 2011 Inspirations, « un nom pour exprimer la passion qui lie le vigneron et l’amateur, à travers les créations et les sensations ». Ce champagne, synonyme de puissance et de maturité, assure une belle expérience sensorielle. Un 100 % Chardonnay, la cuvée À fleur de Note millésime 2008, quant à elle, est l’un des fleurons de la gamme. Ce champagne alliant délicatesse et musicalité aromatique offre un nez plein et gourmand, une bouche riche et charnue, le tout sublimé par des bulles fines garantes de fraîcheur. ...
Issus d’une lignée de viticulteurs à l’origine de la coopérative du village, Jacques Copin et son épouse ont privilégié ce métier d’héritage dans ce cadre convivial à Verneuil depuis 1963. Une histoire et une aventure fascinantes au coeur de la vallée de la Marne, où la famille Copin s’est autorisée son indépendance et un travail approfondi, perpétué aujourd’hui par Bruno et sa femme Marielle, ainsi que par leurs enfants, qui prendront bientôt la relève. Actuellement en période de croissance, le domaine vend jusqu’à 77 000 bouteilles par an, commercialisées à 70 % en France, dont 80 % à des particuliers, le reste est exporté dans le monde entier. Pointilleux à la racine Sur un terroir de plus de dix hectares, uniquement sur le terroir de la Vallée de la Marne, profitant d’un sol argilo-calcaire et exposé plein sud, la récolte, qui est de 70 % de pinot meunier, n’a jamais été entre d'aussi bonnes mains. La maison a la particularité d’être très active dans la viticulture durable, pour laquelle Bruno s’autorise des approches personnalisées a chaque parcelle, à mi-chemin entre démarche biologique et démarche conventionnelle. Il effectue notamment un travail mécanique du sol, pratique l’enherbement naturel et opte pour un arrêt des émissions d’herbicides à hauteur de 100% d’ici 2 ans. Ces techniques raisonnées adoptées depuis plusieurs années sont menées afin de garantir une biodiversité et de réduire au maximum l’impact de l’homme sur son écosystème. Peu de Vignerons ont cette réflexion globale. Une belle gamme de champagnes La maison Copin privilégie des gestes ancestraux (vinification en fûts de chêne) qui sont combinés à des approches bien plus innovantes (usage de cuverie inox thermorégulée, microvinification…). De là naissent des champagnes au caractère unique. Parmi les fleurons de la gamme s’inscrit la Cuvée Tradition, à l’image du principal cépage cultivé par le domaine, à savoir le Meunier. Ce champagne évoque la fraîcheur et la subtilité, et donne sur des arômes de fruits d’été. Cette cuvée est récompensée par de nombreux prix : Guide Hachette, Concours Général Agricole, Gault et Millau, Revue du Vin de France, Wine Spectator, Decanter… La cuvée Millésime 2007 mérite également une mention spéciale. Ce Champagne rendant hommage à une année en particulier durant laquelle la nature a exprimé le meilleur d’ellemême fait la fierté des amateurs de champagne par sa complexité aromatique. Enfin, une toute nouvelle cuvée Polyphénols 2006 est présentée au public en ce début d’année. Elle est annoncée par Bruno Copin comme « la plus complexe jamais élaborée par la maison ». À découvrir. ...
Des hébergements aménagés pour vous sentir comme chez vous Le village vacances Georges Moustaki *** propose deux formules d'hébergement pour répondre au mieux à vos besoins. La Formule Flexipass comprend 43 chambres rénovées, chacune équipée de sanitaires complets, d'une télévision, d'une bouilloire, d'un sèche-cheveux et d'un distributeur de produits de douche. Un ascenseur est à votre disposition pour un accès facile dans toutes les commodités de cette formule. Si vous préférez l'autonomie de la Formule Location, 24 appartements rénovés sont disponibles, disposant d’une kitchenette entièrement équipée, d’un lave-vaisselle, de sanitaires complets et d’une télévision. Ces options d'hébergement variées conviennent aussi bien aux couples qu'aux familles nombreuses. Un choix de logement varié (chambres et appartements) Le Village vacances Georges Moustaki *** offre également une gamme de chambres et d'appartements pour répondre à vos besoins et préférences : Formule Flexipass : Chambre 1 pers. (10 m2) : 1 lit simple. Chambre 2 pers. (15 m2) : 2 lits juxtaposés. Chambre 2 pers. PMR (20 m2) : 2 lits juxtaposés. Chambre 4 pers. : Chambre avec 2 lits juxtaposés et chambre avec 2 lits superposés. Chambre 5 pers. (32 m2 environ) : Chambre avec 2 lits BZ et chambre avec 3 lits simples. 2 pièces 5 pers. (35 m2) : Séjour avec 2 lits juxtaposables et 1 lit surélevé, chambre avec 2 lits juxtaposés. 2 salles de bains/toilettes. Formule Location : 2 pièces 4 pers. (35 m2) : Séjour avec 2 lits superposés, chambre avec 2 lits jumeaux. 2 pièces 5 pers. (35 m2) : Séjour avec 2 lits juxtaposables et 1 lit surélevé, chambre avec 2 lits juxtaposés. 2 salles de bains/toilettes. 3 pièces 7 pers. (53 m2) : Séjour avec 2 lits simples, chambre mansardée avec 2 lits juxtaposés, chambre avec 2 lits juxtaposés et 1 lit haut. 2 salles de bains/toilettes. Studio 3 pers. (19 m2) : Séjour avec canapé-lit et 1 lit surélevé. 2 pièces 3 pers. PMR (35 m2) : Séjour avec canapé-lit simple, chambre avec 2 lits simples. 2 salles de bains/toilettes adaptées. Terrasse extérieure. PMR signifie que certaines chambres sont adaptées aux personnes à mobilité réduite. Découvrez les saveurs jurassiennes Au village vacances Georges Moustaki *** préparez-vous à déguster les spécialités locales, y compris la célèbre salade du Jura, le suprême de volaille au bleu de Gex, la morbiflette ou la gexiflette, et bien sûr, les fameux fromages du Jura. Les produits locaux sont mis en avant, offrant une expérience culinaire authentique. Les repas sont variés, avec un petit déjeuner sous forme de buffet et des déjeuners et dîners servis en buffets ou à table. Vous pourrez également savourer un plateau de fromages du Jura à chaque dîner, accompagné de vins à discrétion. Pour les excursions de la journée, des paniers-repas sont disponibles, et pour les clients en formule location, il est possible de commander des plats à emporter. Des activités diverses pour des vacances bien remplies Ce village vacances propose une large variété d'activités et d'animations pour rendre votre séjour unique et inoubliable. En journée, des activités telles que l'éveil musculaire, l'aquagym, les balades en raquettes, les pique-niques en pleine nature et la découverte du patrimoine local sont au programme. En soirée, continuez de vous amuser à travers des jeux apéritifs, des soirées dansantes, des karaokés, des grands jeux, ou même des spectacles de cabaret. Des moments festifs, conçus pour plaire aux petits et aux grands. Des espaces de détente et de relaxation Le village vacances Georges Moustaki *** vous propose également des installations de détente pour que vous puissiez profiter pleinement d’un séjour bien mérité. Vous pourrez vous détendre dans la piscine couverte et chauffée. Une salle de fitness, un sauna, ou encore un coin avec cheminée, sont à votre disposition. Il y en a pour tous les goûts ! Un Club Enfant pour satisfaire les petits et les grands Si vous voyagez en famille, les équipes Vacances passion ont tout pr&e...
Dans un décor empreint de modernité et d’originalité, Anova Hôtel & Spa est une invitation permanente à la gourmandise et aux séjours sur mesure. Dominant en été le golf international 18 trous et en hiver les pistes de ski, il conjugue, au présent, la magie des lieux et la combinaison des saveurs. Un trio d’espace dans un cadre d’exception Anova Hôtel & Spa offre un cadre d’exception ouvert sur les Alpes françaises. Mélangeant des éléments de déco rustiques et chics, l’enseigne se trouve à proximité immédiate du golf de Montgenèvre, à une distance de 1,5 km de la frontière italienne. L’établissement réunit en un seul lieu un espace d’hébergement avec des chambres à l’intérieur élégant, qui donnent toutes sur la montagne, un espace bar et restaurant à l’ambiance chaleureuse, ainsi qu’un bassin de détente avec des banquettes de massage, d'un jacuzzi, d'un sauna et d'un hammam. Entre le restaurant et le bar, une salle de jeux est disponible pour faire le bonheur des petits et des grands. Une cuisine du terroir et d’ailleurs À travers une cuisine authentique et originale, où les saveurs du terroir et les parfums d’Italie se marient autant qu’ils se complètent, l’enseigne dispose d’un large choix d’espaces pour les gourmands et les gourmets. Qu’il s’agisse d’une halte rapide ou d’une étape gourmande, tout est possible : siroter un verre, déjeuner en terrasse ou encore dîner au coin de la cheminée. Laissez-vous surprendre par les spécialités du chef, qui à travers une cuisine du terroir et d’ailleurs, fait danser les papilles, même celles des plus exigeants. Des plats-signatures à découvrir et à recommander L’espace restaurant & bar de l’Anova Hôtel & Spa est le lieu idéal pour découvrir dans un plaisir sans cesse renouvelé, les spécialités franco-italiennes du chef, allant de la fondue savoyarde à la tartiflette au reblochon en passant par le risotto végétarien aux légumes de saison et la tarte citron by Anova. En mesure de proposer différents menus incluant des menus enfant, sans gluten, végétalien et végétarien, l’enseigne sait satisfaire tous les palais avec les meilleurs accords mets-vins. ...
Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...