Lancé en 2015, par deux associés bénéficiant d’une expérience de plus de 20 ans, Tousmesmeubles.com est un site spécialiste de la vente en ligne de meubles. Un pureplayer donc, puisque son activité est exclusivement sur le web. Grâce à une vingtaine de fournisseurs européens de qualité, Tousmesmeubles.com propose un très large choix de mobilier et de décoration pour chaque pièce de la maison et dans des styles très variés. Un large choix de meubles de tous les styles et pour toutes les bourses Tousmesmeubles.com offre une large gamme de produits équipant le bureau, le salon, la salle à manger, le jardin, la chambre à coucher, la cuisine et la salle de bain. Tous les styles sont représentés, du contemporain au moderne en passant par le classique, l’industriel, ou encore le junior, le scandinave et le bord de mer. Les ambiances campagne et bout du monde sont également présentes dans les choix proposés. Ces derniers restent d’ailleurs en évolution puisque Tousmesmeubles.com est constamment à la recherche de nouveaux produits, tout en mettant un point d’honneur à travailler avec des partenaires de confiance. En outre, pour les personnes exigeantes ou pointilleuses, une option «Meubles sur-mesure» a été mise en place et permet au client de customiser son meuble en choisissant les dimensions et les couleurs. Plus encore, un onglet "Composez vos meubles" figure sur la page d’accueil du site et permet de réaliser son meuble rêvé à l’aide d’une description précise ou même d'une photo. Ainsi, Madame C. a pu personnaliser le bureau ELYSE. Elle avait des contraintes de dimensions et a opté pour un plateau en cuir blanc cassé. Des conditions de vente idéales Grâce à une veille concurrentielle régulière dont le but est de proposer des prix compétitifs tout au long de l'année, Tousmesmeubles.com s’engage à proposer la tarification la plus basse. Quitte à s’aligner sur tout produit similaire vendu dans les mêmes conditions. Au niveau de la livraison, s'effectuant à domicile, Tousmesmeubles.com sélectionne au maximum des transporteurs fiables et soucieux de la satisfaction de la clientèle afin que leur expérience d'achat soit la meilleure possible jusqu'à la réception de la commande. Le Service Clients ultra réactif, situé en région Bordelaise, est composé de spécialistes qui sont en charge d'un Client de A à Z en partenariat avec des fabricants rigoureusement sélectionnés. ...
« e-SIS est un groupement d’intérêt public spécialisé dans la mise en œuvre des systèmes d’information des établissements de santé », introduit Karl VERBECQUE, le directeur marketing d’e-SIS. Cette structure publique de coopération développe une expertise transversale dans l’application des technologies numériques aux pratiques et aux métiers médicaux. Après seize ans d’existence, e-SIS ouvre aujourd’hui un nouveau chapitre grâce à un rapprochement stratégique avec le groupement d’intérêt public SIB. Une gamme de prestations modulaires « Notre champ d’application se déploie sur trois pôles phares : plate-forme de télémédecine multi-spécialités, hébergement de données de santé et des applications médicales et enfin dématérialisation des processus métier. » Ces prestations s’adaptent à tout type d’établissements de santé et e-santé, puis sont réalisées en conformité avec les objectifs stratégiques de chaque structure, tout en tenant compte des contraintes des ressources disponibles. Afin d’offrir une solution sur mesure, e-SIS procède d’abord à une analyse approfondie des besoins, avant la conception et la réalisation du projet, et met à disposition une formation ajustée et un accompagnement personnalisé. Gain de productivité, réduction des coûts liés au fonctionnement, optimisation des processus métier et accompagnement des professionnels de santé sont, entre autres, les promesses d’e-SIS aux groupements hospitaliers de territoire (GHT) et centres médico-sociaux adhérents. Avec les agréments pour l’hébergement de données e-santé à caractère personnel et le tiers-archivage, e-SIS applique sur l’ensemble de ses infrastructures les impératifs de confidentialité et de protection de données voulus par le règlement. SIB et e-SIS : une nouvelle coopération, la même vision En décembre 2017, les GIP SIB et e-SIS ont signé un protocole d’accord de rapprochement afin de combiner leurs compétences, moyens et savoir-faire au profit des établissements de santé membres respectifs. Karl VERBECQUE fait savoir que « ce rapprochement est un choix stratégique dans le sens où nos expertises sont vraiment complémentaires et nous permettent de mieux satisfaire l’ensemble de nos adhérents ». Le SIB, notamment en tant que spécialiste dans l’édition de progiciels santé et décisionnel, va apporter une dimension plus technologique et une valeur ajoutée fonctionnelle complémentaire à l’expertise d’e-SIS dans la conception de solutions numériques adaptées aux enjeux des établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux. Grâce à cette collaboration,et dans le contexte de mise en œuvre des GHT et de l’application prochaine du règlement général européen sur la protection des données (RGPD), les deux GIP ont pour ambition de proposer une gamme plus étendue sur le marché national. «Aujourd’hui, le regroupement avec le SIB nous permet de maîtriser toutes les ressources nécessaires à l’élaboration, au développement et à la mise en œuvre des systèmes d’information de nos clients», termine-t-il. ...
La centrale vacances made in France Depuis presque 40 ans, la structure familiale (représentée par la 3e génération aujourd’hui) propose des séjours de vacances en camping 5 étoiles. Près de 10 000 vacanciers se pressent chaque année pendant la haute saison pour venir profiter de leurs vacances dans l'une des nombreuses destinations que propose la centrale de réservation. En plus du plus grand camping 5 étoiles de France, on trouve dans le portefeuille de vacances clés en main du groupe plusieurs séjours à l’étranger : des collines du centre historique de Lisbonne aux paysages à couper le souffle de la périphérie de Zagreb en passant par la Rambla de Barcelone, ce ne sont pas moins de 180 destinations partout en Europe et pour tous les budgets qui sont disponibles toute l’année dans le catalogue du vacancier. En collaboration avec plus de 50 prestataires d’activités et de loisirs choisis parmi les meilleurs de la région, le groupe RESASOL propose un abondant choix de divertissements à faire lors de vos séjours. Que vous ayez envie de vous évader lors d’un week-end entre amis dans un chalet au pied des pistes ou bien que vous soyez en train d’organiser vos prochaines vacances familiales, il y a forcément une offre pour combler vos envies d’évasion. L’Arena du Vieux Port Cherchant à apporter une valeur ajoutée à son offre d’animation, le groupe RESASOL a inauguré il y a un peu plus d’un an et demi sa salle de spectacles : l’Arena du Vieux Port, située au cœur du Camping Village Resort & Spa Le Vieux Port à Messanges. « Pour assurer un service à la hauteur de nos offres de logements et pour coller aux standings réclamés par nos clients, nous avons décidé de monter la capacité d’accueil de la salle à 2 800 personnes debout. Ce faisant, nous nous sommes dotés de la plus grande salle événementielle du département landais », explique Lucas Lafitte, manager commercial et marketing chez RESASOL. Plusieurs grands noms du stand-up se sont déjà succédé sur les nouvelles planches de cette immense salle. Les performances de Jean-Marie Bigard ou encore celles de Didier Gustin, l’imitateur surnommé « l’homme aux 200 voix », sont venues ravir les spectateurs dans ce nouveau complexe lors de soirées inoubliables. L’Arena s’apprête à nous livrer encore d’autres moments exceptionnels, notamment grâce à la venue de Jeff Panacloc et de sa marionnette au mois de septembre et également lors de soirées thématiques comme Halloween ou le réveillon de la Saint-Sylvestre qui ont rencontré un franc succès l’an passé. Une expérience au service des professionnels Le groupe RESASOL a récemment décidé d’ajouter une troisième corde à son arc de compétences en proposant, en plus de ses prestations d’organisateur de séjours vacances et de loisirs pour les particuliers, une offre de services d’événements clés en main résolument tournée vers les professionnels. « Nous sommes en train de répondre à la demande de team building qui est en train d’exploser du côté des entreprises. Ce service que l’on gérait déjà pour nos particuliers est répercuté aujourd’hui pour la partie professionnelle de notre carnet de contacts. Pour répondre à ces nombreuses demandes, nous avons conçu via l’un de nos établissements une offre de logement sur mesure dans les Landes, le Lodge Loft Suite, un hébergement haut de gamme semblable à une suite hôtelière sous 30 hectares de pinède. » Le concept qui se veut clés en main en fonction des demandes du client propose de s’occuper de l’hébergement donc, mais aussi de la restauration, de l’organisation des activités de team building et des animations en soirée, et même de l’offre de transport grâce au partenariat avec la SNCF qui permet de « bénéficier de tarifs d’agence de voyages pour le déplacement des collaborateurs », précise notre interlocuteur. Tous les espaces de réunion répondent aux derniers standards du secteur en mettant à la disposition des collaborateurs une connexion Internet à très haut débit, des...
Si la scène du 38 RIV permet à de nombreux talents de s’exprimer, le club se veut être avant tout être un tremplin pour la scène locale et donner aux jeunes artistes l’opportunité de dévoiler leur potentiel au grand jour auprès d’un public averti. Avis aux amateurs ! Tout sur le club Le 38 RIV a ouvert la première fois ses portes aux mélomanes en 2008. À l’époque, Vincent Charbonnier, l’actuel gérant, décide de racheter l’établissement après y avoir effectué une visite. Ce passionné de jazz et ancien contrebassiste a ensuite transformé les lieux en club de jazz. « Cela fait dix ans que ça dure, il y a eu quelques rénovations et de légers changements au niveau des événements ainsi que sur certains types de concerts », nous indique Rémi Taranta, chargé de communication et de programmation. C’est au 2e sous-sol, au sein d’une belle cave voûtée du XIIe siècle, que le club donne rendez-vous chaque soir aux artistes et au public. « Dans ce cadre atypique et intimiste, les gens prennent tout de suite la mesure de l’âme musicale qui habite les lieux », assure notre interlocuteur. Le 38 RIV se décline en trois espaces : une salle de spectacle, un bar pour se rafraîchir et un petit salon. Côté déco, l’authenticité des vieilles pierres s’associe parfaitement aux styles modernes des mobiliers contemporains. Pour permettre aux invités de ne rien rater, chaque salle dispose d’un écran assurant une diffusion en live du spectacle. Une programmation éclectique de qualité Chaque semaine du lundi au dimanche, le club devient le lieu de toutes les rencontres musicales. Ici se côtoient des artistes connus tels que le guitariste Frédéric Favarel, le pianiste Daniel Janke, le saxophoniste Godwin Louis ou encore le trompettiste Ashlin Parker, mais aussi des artistes de la scène locale comme Alexis Valet (vibraphone), Pierre Marcus (contrebasse) ou Julien Francomano (batterie). La programmation est certes variée mais elle consacre une part importante au jazz. « Ce sont essentiellement des concerts de jazz swing mais aussi bebop et hardbop pour les puristes de jazz des années 40, 50 et 60 », nous confie Rémi. Le lundi, le mardi, le jeudi et le vendredi en deuxième partie de soirée, place à l’improvisation à travers les Jam Session Jazz (bœufs musicaux) et Jam Session Funk. Les concerts de jazz sont quant à eux programmés pour le mercredi et le vendredi soir. Le samedi, la musique latine est à l’honneur avec des concerts largement dédiés à la musique brésilienne. Mais comme une fois n’est pas coutume, le club reçoit de temps à autre des groupes de jazz cubain, des artistes afro-caribéens ou même argentins. Pour clôturer la soirée, un trio se charge de faire se déhancher les spectateurs au rythme de la bossa nova et de la samba. Le dimanche, c’est au tour de la musique baroque de s’inviter dans la cave voûtée du 38 RIV. Pour aider les amateurs de jazz qui souhaitent améliorer leur pratique, le gérant anime des ateliers tous les lundis et jeudis avant les concerts. D’une durée d’une heure et demie, ces ateliers dénommés « ateliers d’Octave » s’adressent avant tout à des musiciens avertis qui ont déjà une certaine maîtrise du jazz. Pour ceux qui souhaitent organiser des soirées privées ou des événements d’entreprise, le 38 RIV leur propose un cadre de prestige avec un espace de réception de 70 m2. « Nous suggérons un pack incluant du champagne ou du vin mais aussi un trio de jazz pour animer la soirée », souligne le responsable. ...
Une maison, mille univers. La Maison d’Alfred est un lieu de vie où se côtoient talent, innovation, co-création et synergie. En plus d’offrir un espace de travail, de séminaire et de coworking, elle permet surtout à ses habitants et à ses clients de découvrir une nouvelle manière de collaborer, de se perfectionner et de faire grandir leur projet. Pour la petite histoire Ne serait-ce que pour sa belle façade, cette bâtisse historique mérite qu’on s’y attarde. Édifiée en 1870 par M.Alfred Motte, la propriété se trouve au pied de la zone de passage du tramway du grand boulevard, un projet fou né sous l’impulsion d’Alfred Mongy dans le but de relier Lille-Roubaix-Tourcoing. Dans une volonté d’insuffler une nouvelle dynamique à cette maison bourgeoise roubaisienne, David Duprez décide de la reprendre et d’en faire un univers dédié à la créativité et au travail collaboratif, et cela « avant même l’apparition du concept du coworking en France » indique-t-il. C’est en 2016 que la propriété est officiellement baptisée « La Maison d’Alfred », faisant sans doute référence à l’ingénieur Arts & Métier, Alfred Mongy. Et l’on ne peut s’empêcher de faire le parallèle entre cet homme et l’identité de la maison. Le lieu revendique le même esprit d’innovation et l’ambition de relier les hommes entre eux. Mieux que ça, la Maison d’Alfred se veut être un lieu bienveillant et ouvert, pour que chacun puisse trouver un espace professionnel qui lui ressemble en se sentant comme à la maison. « Une maison qui a une âme », comme aime à le préciser son fondateur. Les habitants de la Maison d’Alfred À la Maison d’Alfred, les habitants donnent vie aux valeurs d’ouverture et de collaboration qui définissent le concept du lieu. Entreprises, start-up, entrepreneurs, freelancers, designers, bloggers, consultants, développeurs et coworkers nomades forment cette communauté. Certains disposent d’un bureau privé en zone franche pour travailler et d’autres partagent l’open space installé au 3e étage, entièrement dédié au cosy coworking. Rénové dans un décor lifestyle très contemporain, cet espace de 200m² se dote d’une installation moderne (bureaux équipés, accès wifi, cadre confortable, etc.) offrant une atmosphère de travail la plus stimulante possible. « D’ailleurs, j’ai carrément fait enlever les toits pour installer les verrières afin d’avoir les lumières du jour », fait savoir le fondateur. La flexibilité de l’offre constitue un autre atout majeur dont profitent les habitants. Ils ont la possibilité d'adapter leur emploi du temps grâce aux différentes formules proposées : découverte, mixte, nomade ou résident. En outre, la maison a créé le Déj d’Alfred pour dynamiser l’innovation et la collaboration entre habitants. L’objectif ? Faire émerger l’enrichissement mutuel à travers la rencontre des talents, le partage de réussite et la confrontation des idées. Incontournable, ce rendez-vous des plus vibrants est l’occasion idéale de saisir de nouvelles opportunités. En parallèle, plusieurs autres animations et ateliers sont organisés au profit des habitants, toujours dans cette optique d’échange et de collaboration sur fond de convivialité. Parmi eux figurent les Conf' d'Alfred, des réunions de discussion ouvertes à un public extérieur désireux de s'informer et d'échanger sur plusieurs thèmes. Un espace réservé pour les évènements d’entreprise Le temps d’une réunion de travail, d’une session plénière, d’une formation ou d’un séminaire, les entreprises extérieures peuvent également profiter de l’esprit cocooning de la Maison d’Alfred. Imaginées pour accueillir jusqu’à une centaine de collaborateurs, les dix salles mises à disposition des entreprises et grands groupes s’adaptent parfaitement à leurs exigences. « Auchan, Décathlon ou encore Leroy Merlin sont déjà venus découvrir notre concept et sont repartis ave...
L’hôtel a fait appel à Philippe Starck pour revisiter ses espaces imprégnés de surréalisme, ainsi qu’à Alain Ducasse, dont la cuisine nourrit l’âme des lieux depuis 2013. Restaurant le Meurice – Alain Ducasse : à la découverte de la « cuisine de l’essentiel » Le Restaurant le Meurice Alain Ducasse vous invite à découvrir la « cuisine de l’essentiel », orchestrée avec talent par le chef exécutif Jocelyn Herland. Une cuisine contemporaine, qui reste fidèle à la vérité du produit, et dont l’excellence, l’élégance et l’expérience sont les maîtres mots. Une fois passé la porte du restaurant, vous êtes immédiatement plongé dans un univers inspiré du Salon de la Paix du Château de Versailles. Récemment revisitée par Philippe Starck, la décoration sublime le classicisme des lustres en cristal, des fresques et des miroirs anciens par la modernité des fauteuils Knoll – réédition du célèbre modèle Tulip d’Eero Saarinen – revêtus de cuir blanc, de la sculpture originale en verre de Murano d’Aristide Najean, des chariots de service et des paravents en bronze et inox. Les grandes fenêtres laissent les regards se perdre rue de Rivoli et vers le jardin des Tuileries. Cet hiver, le chef Jocelyn Herland vous propose une superbe Courge butternut, châtaignes et truffes noires, aux couleurs chatoyantes, un Homard breton, salsifis braisés, hibiscus. Vous pourrez succomber à l’un des merveilleux desserts du chef pâtissier Cédric Grolet, comme le Vacherin contemporain aux agrumes, qui a remporté le prix du meilleur dessert aux Lebey de la gastronomie 2016. Le Dalí, la brasserie chic du Meurice Au restaurant Le Dalí, dans un décor chic et décontracté, avec des clins d’œil à l’univers surréaliste de l’illustre peintre, Alain Ducasse et Jocelyn Herland font dialoguer la grande tradition des brasseries parisiennes et les cuisines de la Méditerranée. Un voyage qui débute par la Catalogne, avec des spécialités comme les Patatas bravas ou le Riz nerone, calamar et potiron, et qui se poursuit en Italie avec le Culatello de porc noir de Massimo Spigaroli, tout droit venu d’Émilie-Romagne, ou encore la Caponata de légumes. Les « Intemporels », comme la Sole à la grenobloise, épinards sautés ; la Salade Dalí, composée de cœur d’artichaut, d’œuf de caille et de piquillos ; le burger Pop Art ; ou, pour les déjeuners sur le pouce, le délicieux Club sandwich au homard, ne sont pas oubliés. Le Tea-Time Au Dalí, tous les après-midi, passez à l’heure anglaise autour d’un délicieux Tea-Time composé des traditionnels scones et finger sandwiches, et des pâtisseries signature du talentueux chef Cédric Grolet, comme les incontournables Fruits sculptés ou le Paris-Brest Noisette, surprenant de légèreté, de douceur et d’intensité. Le bar 228 Le chef barman William Oliveri vous attend au 228 pour vous préparer d’excellents cocktails, comme le Bellini. Un lieu de rendez-vous incontournable, cosy et intimiste, dont l’atmosphère évoque celle des clubs anglais. ...
Inscrit parmi les maisons de champagne françaises, le domaine Charles Mignon doit sa renommée à son dévouement à la qualité. Il n’exploite que les meilleurs cépages de la région, lesquels sont issus de ses propres vignobles dans la vallée de la Marne et de la Côte de Blancs, ou fournis par une cinquantaine de domaines partenaires. Des cuvées au goût du terroir Nées de la haute tradition champenoise, les sept cuvées de la maison Charles Mignon ont été cultivées avec passion, assemblées avec talent et manipulées avec rigueur. Un véritable modèle d’excellence. Le Premium Reserve Brut Premier Cru témoigne parfaitement de l’esprit de la maison. Ici, la puissance du pinot noir côtoie l’élégance du chardonnay pour donner un champagne aristocrate qui s’avère être une parfaite entrée en matière. La minéralité et la pureté sont à l’honneur, faisant le bonheur des amateurs. La cuvée Comte de Marne Brut Grand Cru mettra les épicuriens dans tous leurs états. Elle est faite de 55 % de pinot noir et de 45 % de chardonnay, les meilleurs cépages issus de terroirs classés Grand Cru. Riche et complexe, ce vin aux arômes puissants exprime la générosité de la nature. Cette cuvée trouvera harmonieusement une place à côté des mets raffinés tels que le foie gras poêlé ou les noix de Saint-Jacques. Découvrir le domaine dans la convivialité Le domaine Charles Mignon a également mis en place toute une structure à travers laquelle il invite à découvrir l’univers champenois. Une visite personnalisable est proposée au domaine, au cours de laquelle Manon Mignon, la fille de Bruno Mignon, partage ce fascinant monde avec ses convives. Elle se plaît à expliquer l’élaboration du champagne et à répondre aux éventuelles questions, le tout dans une ambiance familiale et chaleureuse. La famille prône également les mérites de la région à travers une exposition et un film mettant en scène la beauté du paysage, les machines utilisées et la méthode d’élaboration des champagnes. Afin d’octroyer une touche pétillante à la visite et aux moments de découverte, les convives sont invités à déguster les trésors de la maison. ...
Identifié par le négociant Edouard Kressmann dès 1871, c’est seulement en 1930 que son fils ainé Alfred acquiert la propriété. Ce dernier décide alors de renommer la propriété afin d’éviter toute confusion avec son illustre homologue du Médoc, le Château-Latour. En 1954, c’est au tour de Jean Kressmann de reprendre le flambeau. Celui-ci agrandit le domaine avec l’acquisition de nouvelles parcelles, qui passe de 15 à 30 hectares. Il fait partie de ces hommes qui ont contribué à la création de l’appellation communale Pessac-Léognan. Actuellement, le domaine est dirigé par Tristan et Loïc Kressmann, fils cadets de Jean. Ils ont poursuivi l’œuvre de leur père avec notamment la rénovation importante des chais intervenue au début des années 90 et l’ajout de parcelles de Sauvignon Blanc à celles du Sémillon pour tirer profit du meilleur de ce terroir de graves. Terroir d’exception en viticulture raisonnée Le vignoble de Château Latour-Martillac est réparti en deux parcelles bien distinctes. Grattecap est une très vieille parcelle de seulement 65 ares qui date de 1884. Située au sud-est du domaine, elle accueille du Sémillon, de la Muscadelle et du Sauvignon Blanc. Le plateau du Martillac, dispose d’un terroir à mosaïque de graves, mélange de quartz, jaspes, lydiennes et silex. Ce genre de sol est parfait pour la culture de la vigne, particulièrement pour le Cabernet Sauvignon et le Petit-Verdot. Plus près de la Garonne, le terroir est constitué de sol argilo-calcaire avec des graves en surface. Les cépages blancs comme le Sauvignon Blanc et le Sémillon s’y plaisent particulièrement. Au Château Latour-Martillac, le respect de l’environnement est une préoccupation majeure. Avec l’aide de Denis Wendling, chef de culture, le domaine a mis en place une viticulture raisonnée. L’utilisation d’intrants chimiques est limitée au profit de la plantation de jachères et de haies qui favorise une faune auxiliaire. Des labours, échardages, effeuillages et vendanges vertes sont menés et prennent le pas sur les herbicides. Les effluents viticoles sont également récupérés et traités grâce une aire de lavage moderne. Une vinification de haute voltige Le Château Latour-Martillac doit sa réputation à ses vins blancs exceptionnels. Afin de perpétuer cette renommée, le domaine a recruté au début des années 1990 l’œnologue Valérie Vialard. Sous l’impulsion de Loïc Kressmann, elle supervise avec une précision chirurgicale toute la vinification. La totalité de la vendange est effectuée manuellement, avec des tris successifs et sélectifs des grappes de raisins. Les vins blancs sont fermentés dans des barriques et élevés sur lies, avec un bâtonnage régulier pour apporter arômes et structures aux vins. La fermentation des vins rouges se fait dans des cuves en inox thermorégulées. Chaque parcelle est vinifiée séparément et l’élevage s’effectue dans des barriques en chêne français durant 16 à 18 mois. Des vins de référence Depuis qu’ils ont pris les rênes de la propriété, Tristan et Loïc Kressmann ont mis en place une belle gamme de vins de Bordeaux, dont le Château Latour-Martillac, Cru Classé de Graves en rouge et en blanc depuis 1953. Au fil des millésimes, les vins du domaine sont devenus des références del’appellation Pessac-Léognan. Lagrave-Martillac est le second vin du Château Latour-Martillac. Il existe depuis 1986 pour le rouge et 1990 pour le blanc, toujours en appellation Pessac-Léognan. Avec l’acquisition du Château Langlet en 1999, les équipes du château ont élargi leur expertise à l’appellation Graves. Le « Château Latour-Martillac » blanc 2013 est issu à 70% de Sauvignon Blanc et 30% de Sémillon. Il a été élevé sur lies durant 15 mois dont 10 en barrique. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits blancs et agrumes. En bouche, son attaque est élégante et équilibrée, avec des notes de pêches blanches. Cette cuvée se révèle être un excellent vin de garde. « Lagrave Martillac » rouge est élabor...
Le Château Croque-Michotte est riche d’un passé qui remonte à 1906. À l’époque négociant en vins et en Cognac, Samuel Geoffrion s’intéresse au métier de vigneron. Il est séduit par le terroir de Saint-Émilion et décide de faire acquisition de quelques parcelles. À son décès, sa fille Hélène Geoffrion-Rigal reprend les rênes. Avec ses enfants et petits-enfants, elle crée un Groupement Foncier Agricole (GFA) qui est désormais propriétaire et exploitant. La gérance est assurée par Pierre Carle depuis 1992 qui s’est investi de la mission de sublimer ce terroir selon des pratiques éco-responsables. Par amour de la terre Dès son plus jeune âge, Pierre Carle savait qu’il voulait devenir vigneron. « À quatre ans, en me baladant dans les chais, je me souviens de cette odeur qui restera à jamais gravée dans mes mémoires. De là, j’ai su que je souhaitais travailler dans ce milieu », nous confie-t-il des souvenirs plein la tête. Le destin en a voulu autrement puisqu’il finit par suivre un cursus d’ingéniorat puis en architecture avant d’évoluer dans une entreprise spécialisée dans la pose de matériels de chemins de fer où il restera 14 ans. En dépit de ce changement de vocation, Pierre n’en oublie pas son rêve d’enfance. À la retraite de l’ancien maître de chai du Château Croque-Michotte, il s’engage dans une reconversion pour prendre la direction des cultures des vignes et de la vinification. Il agrandit le vignoble de 13,7 hectares situé à l’ouest de Saint-Émilion et faisant la frontière avec Pomerol. Bénéficiant d’une situation géographique privilégiée, le terroir se trouve à proximité de voisins prestigieux tels que Pétrus, l’Évangile, Gazin, Corbin Michotte, Cheval Blanc ou encore La Dominique. Un cahier des charges en agriculture biologique Le sol composé de graves et de sables sur socle argileux est propice au développement du merlot, du cabernet franc et du cabernet sauvignon. « Depuis plusieurs années, nous avons arraché les parcelles et replanté en cabernet franc pour augmenter la proportion, car ce cépage a plusieurs avantages : il est tardif et moins sensible aux gelées tardives, il est plus tannique ce qui permet d’avoir une bonne matière surtout lors d’élevages avec un gros pourcentage de barriques neuves pour masquer le goût de bois. Ce cépage peut se vendanger plus tard et supporte la surmaturité, ce qui donne plus de souplesse. L’acidité est plus élevée pour que les vins soient moins sensibles à l’oxydation et aux attaques bactériennes. » Le domaine s’évertue également à limiter au maximum les rendements pour permettre aux vignes d’être plus résistantes aux bactéries et pour gagner en concentration dans les vins. Grâce à des méthodes culturales respectueuses de l’environnement, il obtient la certification Ecocert dès 1999. « Soit 14 ans avant tous les crus classés de Bordeaux », fait savoir notre interlocuteur. Un mode de production résolument innovant Depuis qu’il gère le Château Croque-Michotte, Pierre Carle a apporté un vent d’innovation dans les méthodes de production. À l’issue des vendanges manuelles, les grappes sont transportées dans les chais pour être sélectionnées à l’aide d’un procédé ultramoderne par « tri optique ». Les graines vertes et les résidus végétaux sont ciblés par la machine puis refoulés vers l’extérieur. Seules les bonnes graines sont récupérées et véhiculées jusqu’aux cuves. « Notre signature est de produire des vins sans sulfites ajoutés au cours de la vinification et des premiers mois d'élevage. À la place, nous avons recours à des levures concurrentes qui empêchent les bactéries de saccager le mou ». Les vins sont ensuite élevés dans des barriques de chêne français à grain fin en provenance des meilleures forêts. L’élevage s’étend sur une période de douze mois. De ce long processus naît la Cuvée Croqu...
Selon la légende, au Moyen Âge, un ermite nommé Anatoile aurait trouvé refuge à Salins-les-Bains après un long voyage en Orient. Fatigué et transi de froid, il aurait cherché du réconfort en demandant des braises auprès de la Grande Saline, mais se serait vu refuser l’aide dont il avait tant besoin. C’est alors que les eaux salées, source de richesse et de vie pour la communauté de Salins-les-Bains, se sont mystérieusement taries. Sans cette ressource essentielle, la survie même de la ville et de ses habitants était menacée. Conscients de l'importance vitale de ces eaux salées, les Salinois se sont rassemblés et ont organisé une procession pour apporter les braises désirées et supplier l'ermite de leur venir en aide. Touché par leur détresse, Saint Anatoile aurait exaucé leurs prières, et les eaux salées auraient jailli à nouveau, plus abondantes que jamais. Ce miracle a non seulement sauvé la ville de la ruine, mais a également renforcé la foi et la dévotion envers Saint Anatoile. Elle indique la puissance des chanoines de l'Église de Saint Anatoile de Salins-les-Bains, où sont conservées les reliques de cet ermite écossais fixé à Salins au Ve siècle. Chaque année, des processions religieuses seront organisées en l'honneur de Saint Anatoile, avec les reliques du saint portées solennellement à travers les rues de la ville. Ces célébrations perpétuaient ainsi le souvenir de ce miracle et renforçait le lien spirituel entre la communauté et le saint protecteur de Salins-les-Bains. La tapisserie de Saint Anatoile ou l’Histoire de la Grande Saline et de ses habitants L'histoire de Saint Anatoile et du miracle de l’eau est également immortalisée dans l'art. La tapisserie de Saint Anatoile, précieuse relique de l'histoire des salines de Salins-les-Bains, offre un tableau saisissant de la vie dans la région au début du XVIe siècle. Commandée par les chanoines de la collégiale de Saint Anatoile, cette œuvre exceptionnelle constituait bien plus qu'un simple document historique. Tissée en laine et soie à Bruges entre 1502 et 1506 par Catharina Hasselet, épouse de Jean de Vilde, dit Jean Sauvage, l’ensemble se compose de 14 pièces, dont seules trois subsistent aujourd'hui, conservées et exposées au Louvre. Destinées à décorer le transept et la nef de la collégiale, ces pièces retracent la vie du saint, notamment le miracle de l'eau, où Saint Anatoile aurait ressuscité une source perdue. L'œuvre, de dimensions imposantes (4,24 m de haut sur 3,50 m de large), était initialement installée à Salins jusqu'en 1914. La tapisserie, véritable joyau artistique, dépeint avec minutie et flamboyance le miracle, dans un cadre gothique luxueusement imaginé. On y voit le clergé local en procession, ainsi que des laïcs à la mode de l'époque. Les détails abondent, notamment les deux norias, mécanismes servant à élever les eaux salées de la Grande Saline, entraînées par des chevaux, témoignant de l'attention portée par l'artiste à la représentation réaliste de la production de sel. La scène illustre le prodige de l'eau, comme relate le texte en bas à droite, la perte puis la récupération des sources salées grâce à l'intercession de Saint Anatoile. Un témoignage de la Grande Saline au Moyen Âge En cela, il existe peu de représentations de norias et cette tapisserie nous offre un témoignage important qui vient enrichir notre connaissance du fonctionnement de la saline au Moyen Âge. Un chef-d'œuvre, témoignage d'une représentation médiévale presque dépourvue de perspective centrée, regorge de détails saturant toute la surface. L'artiste a manifesté un soin particulier dans la représentation réaliste des systèmes d'engrenage, des hérissons, des lanternes, ainsi que du système de fixation des tonnelets sur les cordes de filasse de chanvre. Cette œuvre magistrale révèle non seulement l'importance des salines à l'époque, le pouvoir et la richesse de l'Église, mais constitue également un témoignage précieux de l'histoire et d...
Fondé par une lignée d’artisans du cuivre à l’aube du XIXe siècle, l’établissement a été repris par Étienne Dulin en 1985. Il a continué à défendre la réputation de l’Atelier du cuivre, en transmettant un savoir-faire traditionnel basé sur la technique de repoussage et d’emboutissage pour réaliser des œuvres rares et d’une qualité exceptionnelle. C’est donc sans surprise que l’établissement a pu développer un portefeuille de clients prestigieux, composé de restaurants étoilés, d’hôtels de luxe, d’architectes et de designers à l’instar de l’illustre Philippe Starck, ou encore de diverses institutions en France comme à l’étranger. Une fabrication traditionnelle en héritage Spécialiste dans l’art de la dinanderie et du cuivre décoratif, l’Atelier du cuivre conjugue passion et compétence pour réaliser les commandes sur mesure de ses clients. Tout commence par le découpage en disque des planches de cuivre laminées avant de procéder au repoussage au tour manuel. Cette étape consiste à déformer le métal, soit du cuivre soit du laiton, suivant une forme particulière que l’on veut obtenir. Le métal passe ensuite par une cuisson au chalumeau réchauffé à 500 degrés afin de le rendre plus malléable. Le processus s’enchaîne sur l’opération de martelage, une étape délicate qui nécessite une certaine précision pour endurcir le métal. Autrement, « certaines œuvres décoratives ou artistiques sont réalisées entièrement à la main par la technique de la dinanderie », nous fait savoir aussi le propriétaire. Enfin, c’est la partie polissage qui confère aux pièces une finition parfaitement lisse et brillante, avec un sens du détail remarquable. Une gamme de produits premium Allant des ustensiles de cuisine et d’accessoires pour la salle de bains, jusqu’aux créations décoratives et pièces d’ornement, les pièces réalisées sont différentes les unes des autres suivant les exigences des clients. L’Atelier du cuivre se dote d’un show-room pour exposer sa série de produits classiques, comme les casseroles en cuivre, les sauteuses, les poêles, ou les entonnoirs à confiture, que les clients peuvent acheter sur place. En outre, l’établissement a aussi créé l’Atelier des arts culinaires, un atelier-boutique situé sous le viaduc des Arts à Paris, qui s’adresse plutôt aux professionnels de la cuisine ainsi qu’aux écoles de cuisine : « Nous y créons des pièces uniques pour des restaurants, des pâtissiers, des chocolatiers haut de gamme et des grands hôtels parisiens. Ces derniers peuvent y passer des commandes de pièces qui leur font envie », déclare fièrement Étienne Dulin. Avec une réputation qui n’est plus à faire, l’Atelier du cuivre reçoit régulièrement des demandes spéciales des églises, des décorateurs d’intérieur, des résidences privées, des producteurs cinématographiques et même des hôpitaux, que ce soit pour un alambic en cuivre, un seau à champagne, une baignoire, une statue ou des trophées. À préciser que l’établissement réalise environ 30 % de son chiffre d’affaires annuel sur le marché à l’export, aux États-Unis et en Russie. ...
Établie sur la prestigieuse côte des Blancs, la maison Le Brun Servenay exploite actuellement un vignoble d’environ 7 ha, réparti sur trois villages classés grand cru. L’encépagement se compose à 80 % de chardonnay tandis que le reste du vignoble est planté en pinot noir et en pinot meunier. Des vignes centenaires La maison a été fondée en 1965 à la suite de l’union de deux familles de viticulteurs. Cinq générations plus tard, c’est au tour de Gauthier Le Brun de diriger l’exploitation familiale. Ici, les vignes, dont certaines sont centenaires, bénéficient d’un sol argilo-calcaire. « La spécificité de notre terroir donne une belle minéralité et une belle finesse au chardonnay », explique le propriétaire. Récoltant-manipulant, la maison privilégie une viticulture raisonnée qui respecte à la fois la terre et les vignes. Le travail de palissage soigné permet d'éviter l'apparition de maladies réduisant l'usage des produits phytopharmaceutiques au strict minimum. Depuis 2004, la maison procède à l’enherbement de son vignoble afin d'assurer la stabilité du sol combiné au travail à la charrue sous les rangs. La même attention est portée sur le soin des vignes. « La taille de notre exploitation nous permet de porter une attention toute particulière à chacune de nos parcelles », nous indique-t-on. Côté vinification, la maison allie volontiers tradition et équipements modernes. Ainsi, tandis que l'entreposage des bouteilles s'effectuent encore à la main selon le savoir faire traditionnel champenois depuis des générations, les vins clairs sont quant à eux vinifiés dans des cuves en inox thérmorégulées afin de s'assurer le blocage des fermentations malo-lactiques. « Cette méthode nécessite un plus long vieillissement mais cela permet à nos vins de garder toute leur fraicheur à la dégustation », fait savoir Gauthier Le Brun. Résultat, pour les cuvées de la gamme courante, le vin vieillit entre 3 et 12 ans dans des caves de craie. En revanche, pour les plus Grands Millésimes, il faut compter plus de 25 ans. Des cuvées de grande qualité La maison Le Brun Servenay propose dans sa gamme 7 cuvées : Mélodie en C., Odalie, Juste Rosé, XB 2.5 blanc de blancs et XB 3.2 Rosé ultime, Exhilarante 2008 et Chardonnay 2006. Ils commercialisent également de vieux millésimes de 1988 à 2002 disponibles sur commande avec un délai d'attente de 6 semaines correspondant au temps nécessaire au remuage et au dégorgement. ...
Bien que le restaurant ait conservé ses pierres apparentes spécifiques par nostalgie de la Bretagne natale des propriétaires, sa déco a été renouvelée avec gout pour apporter une plus grande modernité et un coup de jeune à l’ensemble. Situé à quelques distances des bords de Loire, à 12 km à l’ouest de Nantes, Le François II reste une belle découverte pour ceux qui ont la chance de s’y rendre. Aidé des « frères du chef », d’authentiques producteurs morbihannais en porc, veau et bœuf en cours de conversion à l'agriculture biologique depuis mai 2016, ce restaurant de proximité n’a de cesse de revisiter les classiques dans un effort constant pour faire apprécier à ses clients, les spécialités du terroir. Depuis 2005, le restaurant est distingué par le guide Michelin, d'un BIB gourmand et depuis octobre 2016, répertorié au sein de l’Association des Restaurants de Qualité sous l’égide du Collège Culinaire de France dans lequel co-participent les Chefs les plus étoilés au monde au guide Michelin dont Joël Robuchon et Alain Ducasse, membres co-présidents des Restaurants de Qualité. Le restaurant est aussi labellisé clé-verte depuis environ 3 ans. Une cuisine authentique Dans une salle aux tons sobres mais combien chaleureux, cette ancienne mercerie digne de la caverne d’Ali Baba fait le bonheur des gourmets et des gourmands avec son authentique cuisine traditionnelle. Le chef étant détenteur du titre de maitre restaurateur, les produits locaux sont principalement à l’honneur avec une qualité et une fraicheur assurées par les artisans et producteurs avec lesquels il collabore étroitement. À travers différentes formules, allez au hasard des découvertes qui s’avèrent également être de belles révélations. Entre la mousse de canard à la mingolette au cylindre de foie gras, les noix de Saint-Jacques poêlées à la vinaigrette de coriandre et xerès ou encore le délice pomme-poire, vous n’aurez que l’embarras du choix. Pour accompagner les plats, le choix de Solenn se porte sur une belle sélection de vins comprenant plusieurs appellations en bio et label Terra Vitis notamment. ...
Le concept Vitaline naît dans l’esprit de deux comparses férus de sport et soucieux de toujours bien s’alimenter. Ces scientifiques tentaient de trouver des alternatives aux offres d’aliments prêts à consommer, présentant toujours ici et là quelques failles pour ces perfectionnistes. Contre la pauvreté en micronutriments de formules pourtant équilibrées en macronutriments, ils mettent sur le marché des repas optimisés nutritionnellement, affichant un sans-faute côté apport. Des repas à boire différents parce qu'optimisés « Vitaline contient beaucoup de produits pointus en ingrédients qui sont totalement absents du reste du secteur […] que nous sommes les seuls en Europe à proposer », se félicite Sébastien Worms, l’un des fondateurs de la marque. Concrètement, la ligne contient entre autre des phytonutriments – notamment phénols et polyphénols – et des probiotiques de qualité, que l’on peut retrouver dans des compléments alimentaires, mais qu’aucun autre acteur des repas à boire ne propose. Question apport protéinique, dans le secteur, on retrouve souvent des quantités élevées de protéines mais de faible qualité. Les formules de la marque intègrent des protéines de sources diversifiées et d'ingrédients entiers. L'aminogramme performant joue un rôle important dans la construction et l'entretien musculaire, ainsi que pour la forme en général. Des repas digestes pour une forme optimale « Quand on veut être en forme, la digestion c’est essentiel », rappelle notre interlocuteur qui pointe ainsi la biodisponibilité optimale et le travail sur la digestion. Cela permet d’éviter notamment les crashs d’énergie et autres inconforts post-repas. Avec un indice de 2211 sur l’échelle ORAC, les repas sont riches en antioxydants, notamment ceux issus des super-aliments comme l’açaï, la spiruline, la chlorella et la maca. Des repas en bouteille rigoureusement conçus et prêts à consommer Les produits sont travaillés pour s'appuyer sur la pointe des connaissances scientifiques en nutrition. Ils sont ensuite préparés avec des ingrédients bio soumis à un sourcing rigoureux. La ligne lancée en 2015 permet aujourd’hui, de jouir des bienfaits de repas complets dans des formats simples, prêts en une minute. Consommer simple et mobiliser sa performance à 100 % est au cœur de l’ambition de Vitaline. Les produits sont vendus uniquement sur le web et l’achat peut se faire par bouteille de 400 kcal (500 ml) ou en sachet de 6 repas de 660 kcal. Pour faire découvrir toutes les versions, Vitaline propose un pack découverte contenant 3 bouteilles de chaque goûts. La qualité de ses produits a amené Vitaline à gagner de nombreux prix et à être suivi par les médias nationaux : JT de 20h de TF1, France Inter, Marianne ... Les spécialistes du secteur aussi ne s'y trompent pas : "On le voit, chaque détail de chaque ingrédient a fait l’objet d’attentions, d’analyses et de choix réfléchis."(Nicolas Robaux, auteur de repasenpoudre.com). En outre, janvier 2018 signe le lancement de la gamme Catalyst, destinée à cibler des besoins spécifiques. Vitaline Ignite, le premier produit de la gamme est conçu pour optimiser votre séance de sport et procurer force, endurance et énergie. Ensuite Vitaline Focus, (favoriser la concentration et répondre au stress intellectuel), Recover (maximiser la récupération post-sport) et Recharge (permettre le repos et la détente) sortiront successivement au cours de 2018. ...
Le Château de Salles est la propriété de la famille De Batz depuis le XVIIIe siècle. L’ancêtre de cette famille gasconne de pure souche est aussi illustre en France que dans le monde entier : Charles de Batz, plus connu sous le nom de d’Artagnan. Lorsqu’il a hérité du domaine en 1989, Henry de Batz a décidé de reprendre totalement les choses en main, après des générations successives de métayer et de fermiers. Au four et au moulin, il s’occupe à la fois de la partie plantation, vinification et commercialisation. Un vignoble idéal « Pour avoir du bon vin, il faut avoir un bon terroir » aime à dire Henry de Batz. Or, celui du Château de Salles est plus que privilégié. Il est composé de cinq hectares de vignes situées en plein cœur de l’appellation Buzet, avec une terre argilo-calcaire, graveleuse et peu profonde. Les vignes sont installées sur des coteaux, propices au développement de la vigne de par sa luminosité et son irrigation. L’encépagement est composé de Merlot, qui confère au vin finesse, souplesse et fruité, de Cabernet Franc qui charpente le vin et lui donne une note animale et de Cabernet Sauvignon, à l’origine d’une note épicée et poivrée. Une agriculture respectueuse de l’environnement Henry de Batz mène au sein de ses terres une politique d’agriculture raisonnée. Il est adhérent à l’organisme Terra Vitis, gage de la bonne marche de cette agriculture. L’épamprage des vignes est effectué manuellement et mécaniquement pour éviter l’utilisation d’herbicides. Des pièges ont été installés dans les vignes afin de comptabiliser les prédateurs et les parasites. Les données recueillies grâce à cette technique permettent ainsi de réduire drastiquement (- 30% en deux ans) l’utilisation des intrants chimiques. Une vinification classique Henry de Batz, vigneron depuis 1989, est un homme qui connait son travail sur le bout des doigts et l’effectue avec une rigueur infaillible. Il s’occupe lui-même de la vinification de sa production depuis 1994. L’intégralité de la vendange est effectuée manuellement. La fermentation des vins se fait dans des cuves en inox. Concernant l’élevage, une partie de la production s’effectue dans des barriques durant 18 mois, notamment celui de la Cuvée d’Artagnan. La maison étant membre des Vignerons Indépendants, l’embouteillement est réalisé au sein même du château. Des vins à la hauteur de ses ancêtres Chaque année, le Château Henry de Batz produit environ 35 000 bouteilles de vins en appellation Buzet AOP. En hommage à son illustre ancêtre, une cuvée intime d’exception a été nommée « Cuvée d’Artagnan ». Elle est issue de vignes de 30 ans d’âge et élevée 18 mois dans des barriques neuves, premier et deuxième vin. Ce vin à la robe rouge profond avec des reflets bruns offre des arômes de fruits mûrs, de café, de chocolat noir et de cachou au nez. En bouche, il est riche et puissant, très soyeux avec beaucoup de matières. Il s’agit d’un excellent vin de garde qui peut se conserver jusqu’à 8 ans. Pour 2016, son millésime 2012 a été récompensé d’une médaille d’or au Concours des Grands Vins Gilbert et Gaillard et d’une médaille d’argent au Concours des Vins des Vignerons Indépendants. Le reste de la production du domaine est décliné sous le nom de « Château de Salles – Buzet ». Son millésime 2010 est un vin à la robe rouge grenat. Au nez, il propose des notes de café, de réglisse, de chocolat noir et de fruits mûrs. Il est très charpenté et riche en bouche avec une très belle longueur, aux arômes de fruits mûrs, vanille, café et chocolat noir. A table, cette cuvée accompagne un jambon de Bayonne, une côtelette d’agneau ou une omelette aux cèpes. Sa grande qualité lui a valu une Médaille d'Or au Concours International des Vins de Lyon en 2014. ...
Propriété familiale depuis 4 générations, le domaine a été repris en 1994 par Pascal Perceval, l’actuel gérant. En perpétuelle quête de l’innovation, il élabore aujourd’hui 47 vins différents, dont son fameux vin des glaces. Un vigneron pas comme les autres Au sein de son domaine de 50 ha, Pascal Perceval fait dans l’exceptionnel. Tout en préservant les vins traditionnels comme la mondeuse, la roussette ou l’apremont, ce vigneron ne donne aucune limite à son imagination. Et il se livre à des expérimentations plutôt réussies. À en juger, par exemple, à son vin de glace, dont le moût a été congelé à 3 613 m d’altitude dans le massif du Mont-Blanc. Une fois dégelé, le précieux nectar devient plus concentré en arômes. La dernière trouvaille de Pascal Perceval est ce qu’il appelle les « vins des profondeurs ». Des vins vieillis une année dans le lac Léman, à 30 m de profondeur. Résultat : après un an de vieillissement, les vins en prennent 4 ! Une accélération naturelle qui donne ensuite des nectars plus gras et plus fruités. ...
En tant que solution pour bien vieillir à domicile, la solution E-LIO va permettre à un établissement (EHPAD ou Résidence Services Senior) de mieux coordonner les aides humaines et les aides technologiques pour retarder l’entrée du senior dans cet établissement. « La plateforme E-LIO inclut trois fonctions principales : la fonction lien social, la sécurité de la personne chez elle et le lien santé », nous fait savoir Thierry Chevalier, le créateur de cette plateforme intégrée depuis fin 2017 à la société SeniorAdom. Pour fonctionner, cette plateforme fait appel à un support facile à utiliser et accessible aux seniors: « L’écran de TV constitue l’interface la plus pertinente comparée aux PC, tablette ou smartphone », explique notre interlocuteur pour justifier le choix de ce terminal. À l’aide d’une télécommande spécialement conçue, l’utilisateur peut accéder sans peine au bouquet de Services proposé. La fonction lien social Avec la fonction lien social, la personne âgée reste en contact avec sa famille et s'en trouve entourée, rassurée. En effet, ses proches ont, non seulement la possibilité de lui envoyer directement sur l’écran TV un message ou une photo, mais également de lui proposer un échange vidéo. En plus de pouvoir garder le contact, le senior continue à accéder à des informations sur ce qui se passe dans son quartier. « La résidence peut par exemple lui communiquer les activités de son établissement par le biais de son téléviseur », développe Thierry Chevalier. La fonction sécurité Les personnes âgées sont quotidiennement vulnérables au sein du domicile. Chutes, accidents, oublis divers… le danger peut survenir à n’importe quel moment ! Grâce à E-LIO, il est désormais possible d’assurer un suivi quotidien des seniors. « Nous avons la possibilité d’installer un certain nombre de capteurs chez le bénéficiaire », souligne notre interlocuteur. Au cas où un comportement « anormal » se produit, une alerte est remontée vers un intervenant d’un établissement senior référent, un voisin ou encore la famille. La fonction lien santé À la suite d'une perte de mobilité liée à l’âge, de nombreux seniors se retrouvent dans l’incapacité d’effectuer leurs tâches quotidiennes. Grâce à son application e-Santé, E-LIO permet aussi au senior de prendre lui-même certaines mesures à travers des dispositifs médicaux connectés. Une solution pratique pour un médecin qui ne peut pas se déplacer chez son patient par exemple mais qui peut continuer à recevoir des informations de santé à distance. Avec une webcam E-LIO dédiée, le praticien est aussi en mesure de réaliser une téléconsultation sur l'écran TV. ...
Des Côtes d’exception Dans tous les grands vignobles français les vins de côtes ont une place à part : qu’elles soient de Beaune, de Provence ou du Rhône les côtes ont très tôt été colonisées par des viticulteurs produisant des vins de qualité supérieure à ceux de plaine. Ce n’est d’ailleurs pas surprenant si la première AOC vinicole au monde est née sur des coteaux. La vigne y jouit d’un drainage naturel et d’une exposition au soleil favorables à la production de vins concentrés, tanniques colorés et aromatiques. Balayés par les vents, l’air y est plus sain et nécessite moins l’intervention de l’homme. Chez nous, les côtes sont doublement consacrées : elles ont le caractère de ces vins d’élévation et l’élégance noble de leur tradition bordelaise. Un vignoble idéalement situé Situées sur le plateau calcaire de Saint-Emilion, les Côtes de Bordeaux bénéficient de la douce proximité de la Dordogne et ses vins furent décrit par les plus grands auteurs, d’Ausone à Emile Peynaud, comme des terres productrices des meilleurs vins. Le Château Rocher Bellevue produit des vins de côtes racés, puissants et élégants. Les vignes s'étendent sur une superficie de 24 hectares divisée sur deux communes : celle de Saint Magne de Castillon avec des sols argilo-calcaires et celle de Saint Genès de Castillon avec des sols argilo-limoneux. Ces deux terroirs très différents produisent des vins avec un caractère unique : les vignes des coteaux donnent des vins puissants et structurés, celles en pied de côtes des vins frais, souples et aromatiques. Soucieux de l’impact de son activité sur son environnement, le domaine est aujourd’hui engagé dans une démarche environnementale à travers un mode de production raisonné et la mise en place de la certification ISO 14001. ...
Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...
Les Subsistances sont installées dans un ancien couvent des sœurs de l’ordre de la visitation. Bâti vers 1640, l’établissement avait été converti par l’armée en un campement militaire au début du XIXe siècle. Le site s’agrandit grâce à la construction d’autres bâtiments autour, jusqu’à ce que la Ville de Lyon devienne l’unique propriétaire du lieu à partir de 1996. Aujourd’hui, cet espace exceptionnel de 22 000 m² entièrement rénové abrite le Laboratoire international de pratique et de création artistique présidé par Nicole Gautier et dirigé par Guy Walter et Cathy Bouvard. L’École Nationale des Beaux-Arts de Lyon s'est également implantée sur les lieux en 2007. Lieu de vie, de travail et de création Le complexe s’articule autour de trois salles de spectacles, une grande verrière, trois espaces de travail, un espace d’exposition et une résidence d’artistes. « Nous avons des espaces de travail et de représentation de tailles extrêmement différentes. Certains font office de studio de répétition et d’autres sont dédiés aux productions de grandes dimensions », détaille Cathy Bouvard, codirectrice des Subsistances. La résidence d’artistes, quant à elle, accueille des jeunes compagnies et des artistes professionnels de l’art vivant (danse, théâtre, nouveau cirque et numérique) issus du répertoire contemporain et dont la sélection est laissée aux soins de la direction artistique. En plus d’offrir un hébergement sur une durée allant de 15 jours à 1 mois, Les Subsistances mettent à disposition des résidents un accompagnement artistique, un espace de travail, une équipe technique ainsi que des moyens de production adaptés. Au-delà, Cathy Bouvard tient à spécifier qu’« ici on leur prodigue du temps et la liberté de grandir, d’évoluer dans leur art et éventuellement d’aboutir dans leur projet artistique ». En collaboration avec d’autres équipes ou devant un auditoire, ces artistes auront plusieurs opportunités de mettre à l’épreuve leur démarche artistique pour les amener vers une autre lecture de l’art. Les temps forts de la saison 2018-2019 Le Festival Best Of est l’un des rendez-vous phares de l’année. Il réunit des performeurs reconnus autour des spectacles de danse, de musique et de création théâtrale. « Ces représentations sont en fait des projets artistiques créés par des artistes adorés et applaudis aux Subsistances, et qui sont aujourd’hui produits sur la scène internationale », précise la directrice. La saison 2018-2019 verra la participation de la chorégraphe Tânia Carvalho, dans The Recoil of Words, de Steven Cohen, qui va présenter son œuvre Put your Heart under your Feet… and Walk/ à Elu, ou encore de David Bobée œuvrant aux côtés de Ronan Chéneau et Béatrice Dalle dans Warm. En janvier 2019, la nouvelle édition du MOI de la danse revient avec une programmation vibrante : spectacles-performances, ateliers pratiques, cours de danse-minute le weekend, bal de clôture et bien d’autres surprises encore. La directrice met surtout l’accent sur le Grand Témoin, « une rencontre-discussion entre un artiste et le public pour créer un moment de partage et d’émotion ». Après Carolyn Carlson en 2017, Christian Rizzo en 2018, c'est Jan Fabre l'invité de cette édition. Le printemps laisse place à de nouvelles expériences à vivre en famille à travers l’évènement Une semaine sur Mars! « Les Subsistances sélectionnent des créations contemporaines les plus atypiques de la maison, préparées et présentées par un collectif d’artistes internationaux. » Au programme : une semaine de spectacles intenses (théâtre, cirque performance en plein air), pratiques artistiques pour enfants et ateliers pour le grand public. Un trait d’union entre les formes artistiques contemporaines et les hommes Les Subsistances sont un laboratoire pour les artistes mais aussi un pôle d’expérimentation pour le public. «&...
Ils sont de plus en plus nombreux à emprunter le fameux pont reliant l’île au continent pour venir implanter leur entreprise et y vivre. Avec plus de 21 800 habitants à l’année (plus de 200 000 en haute saison) et 2 600 entreprises, la deuxième île de France métropolitaine, la plus méridionale de l’arc atlantique, concilie durablement qualité de vie et dynamique économique. C’est le fruit d’une politique conduite de longue date par la Communauté de communes conjuguant actions liées à la préservation de son patrimoine naturel et à l’attractivité économique, avec comme ambition, aujourd’hui, de faire émerger de nouveaux projets liés aux téléactivités et favoriser la création d’entreprises issues de l’économie numérique. Une île où il fait bon vivre et travailler à l’année Une île 100% nature, dont 84% de sa surface est classée, qui décline une large palette de loisirs tournés vers la mer et offre un cadre de vie confortable pour la vie quotidienne des familles. Un territoire tout aussi soucieux de préserver la richesse des savoir-faire et la diversité de son tissu économique, soutenant ses filières phares, à l’instar de son industrie nautique présente depuis plus de 60 ans et aujourd’hui considérée comme l’une des meilleures références françaises voire européennes sur le segment de marché «pêche et croisière 5 à 10 m ». Une île fière de ses activités traditionnelles Ostréiculture, pêche et agriculture portent haut et fort la notoriété des productions de l’île d’Oléron. Marennes-Oléron, 1er bassin ostréicole d’Europe, a obtenu pour ses huîtres une IGP et deux Label Rouge. Le port de La Cotinière se classe au 8e rang des ports de pêche français avec un CA de 26 M€ en 2014. Sans oublier l’agriculture et le groupement de producteurs locaux « Marennes-Oléron Produits Saveurs » qui œuvrent pour la qualité des produits agricoles ou encore, le « Vignoble de l’île d’Oléron » qui a obtenu le label oenotouristique national Vignobles & Découvertes. Une île durable par excellence Dès 2010, la CdC s’est dotée d’un Agenda 21 plaçant, dès lors, l’île comme site pilote en termes de développement durable. Récemment lauréate de l’appel à projets «Territoires à énergie positive pour la croissance verte» du ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Oléron s’impose comme un territoire de l’excellence environnementale doté d’un programme d’actions global : réduction de la consommation d’énergie dans les bâtiments, gestion durable des déchets, développement des énergies renouvelables, préservation de la biodiversité… ...
Les spécialistes de grands vins de Bordeaux connaissent bien les créations du domaine Château de Panigon. En effet, le Château de Panigon, Cru Bourgeois et le Château Amour, Cru Bourgeois ont obtenu de nombreuses récompenses prestigieuses. Au tour de L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC de venir réveiller nos papilles. Un article pour mieux appréhender cette nouvelle référence qui a déjà impressionné de nombreux spécialistes dont le célèbre sommelier Paolo Basso. Château de Panigon : historique du domaine Pour trouver le domaine du Château de Panigon, il faut se rendre à plusieurs dizaines de kilomètres au nord de Bordeaux, vers la commune de Civrac-en-Médoc. Aujourd’hui géré par Corinne Leveilley-Dadda et Georges Dadda (respectivement fille et gendre des anciens propriétaires du domaine), il faut revenir quelques siècles en arrière pour en apprendre plus sur les origines du Château. En effet, bien qu’il soit difficile de dater précisément les origines du domaine, on peut voir apparaitre des mentions de Panigon dans les romans Pantagruel et Gargantua de Rabelais. Puis, quelques siècles plus tard (en 1850) dans le premier guide Cocks, Bordeaux et ses vins. À noter : c’est aussi à cette époque que sont plantés les platanes du château venant protéger de la chaleur le chai à barriques et le cuvier. Encore présents de nos jours, ces arbres centenaires nous proposent, sans aucun doute, une histoire riche, mais, malheureusement, méconnue. Une façon de travailler qui favorise un véritable respect de l’environnement Ce qui caractérise cette exploitation, c’est avant tout son aspect familial. Mais aussi la volonté des propriétaires, depuis 2006, de favoriser des méthodes de travail et une production à la fois moderne et respectant l’environnement. Ainsi, en 2016, le Château de Panigon a reçu le label Haute Valeur Environnementale de niveau 3 (HVE). Gage de la volonté de mettre tout en œuvre pour proposer à leurs clients un vin de grande qualité. Il faut dire que le domaine bénéficie d’un terroir exceptionnel. En effet, en plus de profiter des influences de l’Estuaire de la Gironde et de l’Océan Atlantique, le domaine qui s’étend sur 90 hectares dispose de sols 65% graveleux et 35% argilo-calcaire. Idéal pour un vignoble 50% Merlot, 45% Cabernet-Sauvignon et 5% Petit-Verdot. Ce qui permet de créer des vins à la fois souples et élégants, connus pour leurs tannins soyeux. Il faut aussi savoir que des vendanges vertes sont effectuées et que le vin est ensuite élevé entre 12 et 18 mois en fût afin de développer sa complexité et ses agréables notes fruitées en finale. À ce titre, les deux créations que sont Le Château de Panigon, Cru Bourgeois et Le Château Amour, Cru Bourgeois jusqu’en 2015 ont obtenu plusieurs récompenses : - Médaille d'Or au Women's Wine & Spirits Awards 2018 et au Guide Gilbert&Gaillard 2018 ainsi que Médaille d'argent au Concours de Bordeaux 2016 et au Concours Général Agricole Paris 2016 pour le Château de Panigon ; - Médaille d'or au Guide Gilbert&Gaillard 2018 et au Sakura Japan Women's Wine Award ainsi que Médaille d'Argent au Concours international de Lyon 2018 et au Concours Mundus Vini 2018. Sans oublier une une Médaille d’argent au Concours de Bordeaux 2018 et un Trophée « Coup de Cœur » du Festival des vins de Bordeaux en Chine 2019. L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC en détails Ceci étant dit, ce qui nous intéresse dans cet article est l’arrivée d’un nouveau vin : L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC. Assemblé à partir d’un vignoble 50% Merlot et 50% Cabernet Sauvignon (un cépage typiquement « Médocain ») et produit sur un des meilleurs terroirs de la région constitué de 65 % de graves (dépôt alluvionnaire de la Garonne au quaternaire), il est ensuite élevé 100% en barriques (dont 33% en barriques neuves) pendant 6 mois. Pourquoi ce vin nous intéresse-t-il ? Parce qu’avant tout, d’après Georges Dadda, L’amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC est un vin ...
Avec sa terrasse ombragée idéale pour déjeuner en été, la Farigoule est un petit coin de paradis au cœur de Vence. Dans cette cité au riche patrimoine historique, l’établissement s’impose comme une adresse de choix pour déguster une subtile cuisine provençale et traditionnelle. Georges et Agnès Beeuwsaert font le choix de produits frais et du fait maison pour la préparation des menus saisonniers de leur restaurant. D’ailleurs, en guise de reconnaissance de ce travail acharné et de la priorité donnée à la qualité, le guide Michelin leur a attribué le Bib gourmand depuis 2015. Des menus saisonniers qui font toute la différence Chef autodidacte, Georges crée savamment les mets figurant dans les menus proposés à La Farigoule. Le menu Saison comporte deux entrées, plats et desserts au choix. En guise de plats pour cette formule, la restauratrice suggère vivement les joues de porc au cumin. « C’est délicieux et très fin », réplique-t-elle. Le Grand Menu donne le choix entre trois entrées, plats et desserts encore plus appétissants. Le « Caprice d’Agnès », dessert figurant dans ce menu, est assez particulier, comme l’explique notre interlocutrice : « Mon mari l’a créé pour moi, il s’agit d’un dessert à base de chocolat, sans farine, et qui est un mélange entre la mousse et le soufflé au chocolat. On utilise un cacao à 72 % que l’on met au four. » D’ailleurs, elle ne tarit pas d’éloges sur les douceurs sucrées élaborées par la maison. « Nous sommes très forts sur les desserts », clame-t-elle, avant de citer un autre incontournable : « Le carpaccio d’ananas, qui est de l’ananas coupé très finement que l’on met dans un sirop au rhum vanillé. » Un établissement historique Créée en 1958, La Farigoule est un restaurant vençois typique ayant su garder sa splendeur. Voilà dix ans que le duo de choc a repris l’établissement pour représenter ainsi la troisième génération de propriétaires. Au fil de son long passé, La Farigoule s’est bâti une excellente réputation grâce notamment au bouche-à-oreille, qui est, selon la restauratrice, « la meilleure publicité ». L’âme romantique des lieux a été conservée. Les meubles anciens, héritages de l’ancienne propriétaire Georgette, ont par exemple été restaurés et conservés permettant à l’endroit de respirer le charme et l’authenticité. La déco, quant à elle, a subi un lifting pour être totalement dans l’air du temps. Le patio ombragé aménagé avec 50 couverts constitue la cerise sur le gâteau. Cette « très jolie terrasse, fleurie en été », comme la décrit la propriétaire, se trouve à l’arrière de la salle du restaurant et reste unique en son genre dans le centre-ville de Vence. ...
Le stress est une réponse naturelle de notre cerveau face aux dangers qui nous menacent au quotidien dans notre environnement. En soi, le stress est un élément positif dans le sens où il permet de déclencher la réaction appropriée de notre système nerveux autonome (SNA) et de réagir devant les stimuli externes. Mais très souvent, l’explosion de ces stimuli externes crée un déséquilibre, à cause de la multiplication des stress « répétitifs » qui nous entourent. C’est ce déséquilibre persistant sur le long terme qui conduit vers le stress chronique et des pathologies associées, pouvant affaiblir notre organisme. Codesna en apporte une solution innovante. Un protocole de mesure non invasif La technologie brevetée par Codesna est à double performance : à la fois scientifique et rapide. En effet, l’appareil permet de chiffrer, de façon très précise et réaliste, des marqueurs d’équilibre et risque de stress chronique de la personne à travers une analyse de 2 minutes. « Cette solution rapide et innovante a été permise grâce à de nouveaux modèles mathématiques brevetés d’analyse du Système Nerveux Autonome et de ses branches orthosympathique et parasympathique que nous avons développé », explique Marc Latouche, directeur général de la start-up ».Concrètement, cette méthode non invasive consiste à placer aux poignets le capteur et à suivre un protocole respiratoire de deux minutes. La tablette affiche par la suite quatre marqueurs permettant de visualiser son niveau éventuel de stress prolongé et sa capacité d’adaptation au stress ainsi que des commentaires pour aider l’utilisateur à mieux comprendre son état. « L’innovation de notre produit réside dans la rapidité du test, 2 minutes, la robustesse des résultats et la facilité de lecture » La version PHYSIONER Cette technologie brevetée en France et à l’international a déjà été validée par deux études scientifiques indépendantes dans le milieu hospitalier. La certification CE dispositif médical atteste encore plus de la conformité de l’appareil aux impératifs de sécurité et de sûreté exigés par les directives européennes. Armé de ces arguments, Codesna a conçu PHYSIONER, une version pro à destination des entreprises et des institutions. « Nous avons développé ce produit dans le but d’offrir un système de prévention du risque de stress chronique pour améliorer le bien-être et la performance au travail ». L’accès de Physioner, installé dans l’entreprise, permet au collaborateur de s’auto-évaluer de manière rapide, anonyme et confidentielle. Les marqueurs fournis lui permettent d’objectiver son état, par rapport à une notion de stress qui peut paraitre « complexe ». Cette conscientisation est la clé pour permettre au collaborateur de devenir moteur et acteur de l’amélioration de son bien-être. En outre, différentes solutions peuvent par la suite être proposées pour aider chacun à améliorer son équilibre, par exemple la méditation, le yoga, la réflexologie, la gestion de stress, le sport, un coaching personnalisé, etc. et suivre l’amélioration de ses marqueurs physiologiques dans le temps. ...