L’histoire commence en 1927, lorsque le domaine de Boursault, ancienne propriété de Madame Veuve Cliquot, est repris par un aïeul de Charlotte Le Gallais, en la personne d’Hachod Fringhian. Ce bel endroit, situé à quelques kilomètres d’Épernay, révèle un excellent potentiel dans l’élaboration des Champagnes. Ses pierres calcaires aux propriétés filtrantes associées à la fraîcheur de l’argile contribuent à l’équilibre du terroir, nécessaire dans la fabrication de vins fins et élégants. Des caractéristiques qu’Hervé Le Gallais et sa fille Charlotte entendent préserver, mais aussi partager. Entre qualité et respect de l’environnement S’étendant sur quatre hectares, le vignoble est planté de 45 % de Pinot Meunier, 45 % de Pinot Noir et 10 % de Chardonnay. Le domaine Le Gallais est l’un des rares en Champagne à posséder un clos. « Il n’en existe qu’une vingtaine sur les 320 villages d’appellation », précise Marine Zabarino, Wine Tourism Manager. Cette particularité permet d’être au plus près des installations et facilite tout le processus. « Être installé dans un clos nous assure une grande fraîcheur de nos raisins au moment du pressurage. Les vendanges en Champagne se font obligatoirement à la main, et ici le vignoble est suivi à la parcelle afin de mieux gérer la maturité des raisins. » Entretenir la qualité de ce terroir constitue la ligne de conduite de la maison Le Gallais, d’où l’adoption d’un mode de culture raisonnée avec une demande de certification courant 2018 en label HVE (Haute Valeur Environnementale). Depuis 1991, les insecticides ont été bannis du vignoble, et la biodiversité est très présente au sein de ce clos arboré et fleuri. Les sols sont qu’en à eux travaillés mécaniquement, sans aucune utilisation d’herbicides. Une cuvée, une histoire… Le domaine produit cinq cuvées qui ont leur propre identité, « long vieillement et très peu de dosage en sucre ». Le Rosé des Poètes, qui est un rosé de saignée brut, fait la fierté de l’entreprise. Cette technique de production de rosé en Champagne est de plus en plus rare. La couleur naturelle s’obtient par macération des raisins noirs dans le jus. Composé de Pinot Noir et de Pinot Meunier, ce vin révèle une robe intense avec des reflets ambrés, et un nez fruité et profond. Du côté des millésimes, si la législation en Champagne impose trois années de repos minimum en cave, la maison Le Gallais n’offre que des millésimes ayant reposé neuf à dix années. Cette technique laisse le temps aux vins d’évoluer profondément. Selon Marine Zabarino, « cet élevage est certes long, mais il apporte un grand développement des arômes pour des vins à la fois complexes, structurés et raffinés. Patience et passion sont les maîtres-mots de la maison. » ...
Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient. La poudre de baobab : un pré-biotique naturel Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. » Le baobab : une filière équitable Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle. ...
L’appellation Barsac Sauternes est réputée à l’échelle mondiale et figure parmi les liquoreux de Bordeaux les plus réputés. De cette appellation, le Château Piada œuvre à maintenir cette renommée, en produisant des vins d’envergure qui accompagnent foie gras, poulet rôti, fromages ou desserts sucrés… Château historique, exploitation viticole prestigieuse Le Clos du Roy et Le Hauret du Piada font partie du Château Piada. Célèbre pour ses vins liquoreux, ce site historique figure parmi les plus anciens vignobles de Barsac et Sauternes. Il est même cité dans l’ouvrage Les Hommages d’Aquitaine de 1274. Preuve de ce riche passé, certains de ses murs datent encore de l’époque. Racheté en 1940 par M. Lalande, le grand-père, le Château Piada fut repris par son fils en 1967. Et en 1999, Frédéric reprend la tête de l’exploitation familiale. La maison devient alors EARL Lalande et Fils. Grâce à l’investissement et au travail passionné de Frédéric Lalande, ses vins sont souvent récompensés par des notes et commentaires élogieux de guides et de sommeliers reconnus. En atteste une note de 89/100 attribuée par le fameux dégustateur Andréas Larsson. S’étendant sur une superficie de 8,22 ha, le Château Piada produit majoritairement en AOC Sauternes, mais fait aussi des vins Cérons et Graves. Le vignoble a la chance de bénéficier de dispositions naturelles avantageuses, avec le Ciron à seulement 100 m. La présence de cette rivière favorise en effet le Botrytis cinerea, facteur de la pourriture noble qui agit comme un véritable alchimiste sur les vins. « Il faut savoir que le Sauternes doit essentiellement sa particularité au sémillon botrytisé », déclare Frédéric Lalande en référence au cépage utilisé pour élaborer ce vin. « Ainsi surmûri, c’est le seul cépage au monde qui développe jusqu’à 50 arômes différents », révèle-t-il. Le sol argilo-silico-calcaire se prête favorablement à cette variété de vigne à l’origine des plus grands liquoreux du monde. Le sémillon se complète avec le sauvignon pour l’équilibre et la muscadelle pour la touche sauvage. Un savoir-faire immuable Comme le potentiel du vin relève du travail fait avant même les vendanges, Frédéric Lalande accorde une importance particulière aux soins du vignoble. Conscient de l'impact que peuvent avoir les méthodes chimiques sur la santé et l'environnement, il « ne traite que si c’est vraiment nécessaire », déclare-t-il. L’enherbement naturel permet ainsi à la vigne d’aller chercher plus en profondeur tous les nutriments dont elle a besoin pour donner des raisins sains. Afin de garder l’authenticité des vins Château Piada, Frédéric Lalande pratique la vendange par tri successif. Ensuite, « les vins font l’objet d’une fermentation lente en barrique ou en cuves inox thermorégulées », explique-t-il. Engagé dans une démarche qualité, Le Château Piada mise sur l'excellence plutôt que sur la quantité. La production peut ainsi sensiblement varier de 0 à 13 000 bouteilles dans l’année. « Je suis une des rares propriétés qui n’hésitent pas à sauter l’étape de la mise en bouteille quand je juge la qualité insuffisante », confie notre interlocuteur. Dans ce cas, la vente se fait en vrac au domaine. D’ailleurs, à défaut de vente en ligne, les vins Château Piada partent essentiellement à l’export et sont présents au Danemark, en Italie et aux États-Unis. En dehors de la vente directe, la clientèle avisée en France peut aussi compter sur Frédéric Lalande qui passe par un courtier de vin sis place de Bordeaux. ...
Fondé avec le concept de réception clé en main dans les années 80, Grand Chemin monte au créneau, en 2005, en mettant en avant son expertise de traiteur. Un service irréprochable et empreint de créativité assuré par une équipe en perpétuelle recherche d’excellence constitue le cachet de l'enseigne. ADN de la marque : une créativité sans limites en un temps record Tout le monde peut être traiteur mais seul Grand Chemin Traiteur sait assaisonner son art d’autant de créativité. Le savoir-faire et l’imagination foisonnante du chef, ancien de Peninsula, imprègnent naturellement son équipe. Un pool de passionnés attachés, sans relâche, à une seule ambition : trouver des concepts de plus en plus innovants, tant dans la scénarisation que dans la combinaison des saveurs. Flower Power, vitaminée, Candy Bar, lumineuse ou écolo, toutes les thématiques qui inspirent le client sont déclinées avec brio par José Morgado et sa suite. Le tout, avec une réactivité imparable. Les demandes de devis tardives, comme à 72 heures de l’événement, peuvent être prises en charge avec, à la sortie, la même authenticité et qualité du rendu. Pour porter cette créativité qui fait la signature de la maison, celle-ci s’est carrément dotée d’un comité Création & Innovation. Une enseigne durable à vocation organique Le développement durable constitue une valeur à laquelle Grand Chemin Traiteur adhère de façon active. Cette conviction commence dans la préférence accordée aux producteurs locaux, du Vexin en l’occurrence, dans la sélection des ingrédients, tous garantis sans OGM. Pour ceux qui ne sont pas disponibles via le canal interne, en tout cas. Il faut savoir, en effet, que la maison exploite 500 ha de terres agricoles qui leur fournissent l’essentiel des besoins en céréales, légumes et fruits. Ayant à cœur d’être un véritable « traiteur organique », l’enseigne entretient également une serre aromatique. ...
Le coaching s’adresse à tout le monde Contrairement à une idée répandue selon laquelle il ne concernerait que les personnes ayant un problème à résoudre, le coaching s’adresse à tout le monde. « Si l’on fait appel aux services d’un coach professionnel, cela peut être parce que l’on peine à surmonter une difficulté mais pas seulement. Bon nombre de mes clients sollicitent mon aide parce qu’ils désirent accélérer leur développement, relever un défi, aborder sereinement un changement ou encore déployer tout leur potentiel ». Car le coaching a véritablement vocation à s’adresser à toutes les personnes qui veulent être actrices de leur propre évolution. En effet, qui n’a jamais eu la sensation de perdre le contrôle de ses journées, passées à traiter les urgences au fil de l’eau sans parvenir à prendre le moindre recul ? Qui n’a jamais dû encadrer une équipe sans qu’on lui ait appris comment procéder ? Qui ne s’est jamais senti dépassé lors d’une prise de poste ? Qui n’a jamais douté de sa légitimité professionnelle en endossant de nouvelles responsabilités ? Qui n’est jamais resté dans un poste qui ne faisait plus sens, continuant d’aller au travail avec une boule au ventre, parce qu’il ne parvenait pas à gérer sa peur du changement ? Qui ne céderait pas à la panique, s’il ne dispose, à douze mois de la fin de ses droits au chômage, d’aucune piste professionnelle ? Qui ne s’est jamais laissé submerger par ses émotions ou son stress ? Qui ne s’est jamais posé la question de savoir comment concilier sa vie professionnelle et sa vie personnelle ? Quel étudiant, quelle mère de famille souhaitant retravailler ou encore quel retraité à l’aube du « premier jour de sa nouvelle vie », n’a jamais eu besoin qu’on l’aide à orienter ses choix ? La liste est loin d’être exhaustive… Vous faire coacher vous permettra de développer non seulement vos performances mais aussi votre adaptation sociale et relationnelle ainsi que votre satisfaction. Parce que se faire aider, ce n’est pas faire preuve de faiblesse, bien au contraire. En vous faisant accompagner, vous arriverez mieux - et plus rapidement - à trouver vos propres solutions et à progresser. Identifier nos freins… pour mieux les débloquer ! Qu’il intervienne auprès d’un cadre pour l’aider à mieux performer et à faire évoluer sa pratique professionnelle, d’un particulier désireux de progresser dans son développement personnel ou encore d’un jeune pour l’accompagner dans le choix d’une orientation qui valorisera ses talents, François Baleynaud prend soin « d’identifier les croyances qui empêchent le coaché d’avancer, pour les déstabiliser et leur substituer un moteur de motivation ». Authentique et d’une grande humanité, ce coach utilise ainsi les outils dont sa formation (DESU 2010 « Pratiques du Coaching » Paris 8) et son parcours - tant personnel que professionnel - l’ont dotés pour « déboulonner » ce qui empêche ses clients de trouver les solutions qu’ils recherchent. Mais pas question de leur souffler ces fameuses réponses ! « Un coach n’est pas un consultant » précise François Baleynaud. « Il doit accompagner son client sans se substituer à lui». Plutôt que de lui proposer des réponses « toutes prêtes », un coach compétent (« qui continue de se former et fait l’objet d’une supervision ») fera, au contraire, en sorte que son client trouve lui-même les réponses aux questions qu’il se pose. « Un peu à la manière de Socrate qui répondait aux questions que lui posaient ses élèves par autant de questions afin de les aider à accoucher de leurs propres réponses ». Rien d’étonnant, donc, à ce qu’un « bon coach ne parle que 20 % du temps que dure une séance » précise François Baleynaud. « Parler moins pour écouter plus » comme aurait pu le formuler un ancien Président de la République… « En tant que coach, il est essentiel de parvenir à se départir de cette envie de ‘’faire &ag...
Aller pratiquer une langue dans le pays où elle est parlée est sans conteste le meilleur moyen de l’apprendre. Un voyage linguistique est souvent la promesse d’expériences riches. Mais pour que cette expérience soit réussie, il faut d’abord la rendre possible dans les meilleures conditions. Et c’est souvent un casse-tête. Où partir ? Combien de temps ? Pour apprendre quoi et comment ? Activa Langues s’est donc fait une spécialité d’accompagner les participants de tous âges. Grâce à leurs différents programmes, ils organisent des séjours linguistiques pour aider de jeunes étudiants à découvrir leur vocation, ou permettre à des professionnels d’améliorer leurs compétences linguistiques. Quel que soit le programme, ou le profil du participant, le but est toujours le même. Lui proposer un séjour adapté à ses besoins, ses capacités et ses objectifs pour qu’il ressorte grandi de cette expérience. Orienter pour répondre aux besoins Pour chaque séjour linguistique, il y a au moins un entretien téléphonique avec le participant. Et pour les séjours de longue durée, Activa Langues souhaite les rencontrer lors d’un rendez-vous. Le but n’est évidemment pas de leur faire subir un interrogatoire, mais de bien cerner leurs profils, leurs personnalités et leurs besoins. En fonction de ces réponses, l’organisme va proposer différents programmes. Tous les formats d’apprentissage sont possibles. Il peut s’agir de séjours courts ou de longue durée, de mise à niveau, de cours thématiques, avec conférences, workshop, ou visites d’entreprises. Tout est envisagé au cas par cas. L’apprentissage s’organise en fonction des aptitudes de chacun. Les adultes, par exemple, ont de meilleurs résultats en cours combiné. C’est-à-dire des cours en petits groupes le matin où ils pourront échanger avec les autres participants. Et des cours individuels l’après-midi où ils auront l’occasion de se focaliser sur certaines de leurs problématiques particulières avec un professeur. Côté hébergement, là aussi, c’est en fonction des besoins et des budgets. Plusieurs solutions sont possibles, chez l’habitant, en résidence universitaire, ou en appartement. Et comme Activa Langues sait aussi prendre des chemins de traverse pour s'adapter aux participants, ils offrent aussi la possibilité aux parents de partir en famille. Un bon moyen d’allier vacances avec les enfants et séjour linguistique : l’organisme a aussi des programmes pour les petits. Donner de nouvelles perspectives Les jeunes bacheliers ne savent pas toujours quelle orientation choisir après le lycée. Alors pour leur permettre d’élargir leurs horizons, Activa Langues propose des programmes spécifiques. En fonction de leurs aspirations, l’organisme pourra les accompagner pour leur année de césure. Durant cette période, l’étudiant apprendra, évidemment, une nouvelle langue. Mais il aura surtout la possibilité de tester différentes filières pour trouver celle qui lui plaît le plus. En fonction de sa maturité, l’étudiant sera donc intégré dans un lycée en dernière année où il aura l’occasion de tester et d’approfondir différentes matières. Ou dans un programme « pathway to university ». Dans le second cas, il se familiarisera aussi avec les méthodes de travail en université. Dans l’université des Arts de Bornemouth en Angleterre, par exemple, les jeunes ont l’occasion de découvrir et de tester de nombreuses disciplines. La photographie, l’architecture, le stylisme ou encore l’animation, et la production audiovisuelle. Après avoir touché à tout, les futurs étudiants auront donc de meilleures perspectives sur ce qui leur plaît vraiment et sur les études qu’ils ont envie de poursuivre. Étudier à l’étranger juste après le bac permet aussi d’avoir une année de préparation pour les études universitaires. Quand les jeunes bacheliers arrivent à la fac en France, ils sont souvent perdus : les cours ne sont pas les mêmes, le travail demandé est encore plus exigeant. Bref, tout va beaucoup plus vite. Certains étudiants choisissent...
Cette exploitation est gérée par Frédéric Garanjoud avec Delphine Garanjoud. Ancien antiquaire pour le premier et directrice financière pour la seconde, ils ont la passion commune du vin, et l’envie de changement de vie les ont conduits à reprendre ce domaine en 2002. De 12 hectares à ses débuts, les associés ont fait passer la superficie totale du vignoble à 35 hectares, qui couvrent quasi tous les grands crus de la région savoyarde, plus particulièrement ceux des contreforts des Vosges. Une grande variété de cépages… Éparpillé sur une soixantaine de parcelles en coteaux, le vignoble du domaine G&G Bouvet présente une grande diversité de cépages. En effet, mis à part les cépages traditionnels comme les chardonnay, gamay, cabernet sauvignon ou encore le pinot noir, tous les cépages exclusifs de l’appellation AOC Vins de Savoie y sont présents tels que le jacquère, la mondeuse, l’altesse ou même le persan, un cépage rare à partir duquel le domaine fabrique sa fameuse bouteille d’« Amariva ». Installées sur un terroir plus que propice à la viticulture, composé d’éboulis calcaire, les vignes du domaine sont cultivées selon une politique culturale assez singulière : « Le domaine est en agriculture raisonnée ++ », note Frédéric Garanjoud. Il fait partie du programme « Ecophyto », qui pousse à réduire les doses d’intrants dans les sols et à bannir tous les pesticides. « D’ici à deux à trois ans, nous envisageons une conversion à l’agriculture biologique pour l’ensemble du domaine », poursuit-il. … pour une grande gamme de vins Au-delà d’être un simple gagne-pain et une passion, l’élaboration de grands vins relève du devoir pour les associés, comme l’explique Frédéric : « On croit en notre appellation (AOC Vins de Savoie), on a des sols et des cépages fabuleux, on se doit de faire des grands vins avec notre terroir. » Ainsi, le domaine propose un large éventail de près de 27 vins différents, classés en trois cuvées différentes. Leur présence sur les tables de plus de 800 restaurants gastronomiques en dit long sur leur qualité. Les « Cuvées Tradition » sont des cuvées monocépages, issues de crus situés sur les villages des alentours de Chambéry. Ce sont des cuvées à consommer jeunes, et marquées par leurs parfums de fruit comme le Blanc « Roussette L’Altesse » ou le Rouge « Mondeuse La Persanne ». Les « Cuvées Prestige » proviennent de sélection parcellaire et d’élevage un peu plus long en futs de chêne ou d’acacia. Ces vins profonds expriment parfaitement l’intensité de leur terroir rude et pourtant si généreux. Avec les trois « Grand Savoie », la plupart de ses vins sont nommés de tous les saints : « Sainte Dominique », « Saint Odilon » et « Saint Antoine » en blanc ; « Sainte Barbe » et « Saint Claude » en rouge. Extrait du meilleur des parcelles dont dispose le domaine, les « Cuvées Exceptionnelles » sont des vins de haute voltige, issus pour la plupart de vieilles vignes. À titre d’exemple, le « Chardonnay Cuvée Frédéric Emmanuel » provient de vignes de 60 à 70 ans. Il est élevé sur lies fines, en barriques neuves, sur 20 à 24 mois. Cette cuvée taillée pour la garde est fruitée et légère, donnant sur des notes de miel, de fruits secs et d’agrumes. Elle est parfaite en accompagnement de Saint-Jacques poêlées ou de fromages à pâte croutée. La « Roussette de Savoie Cru Monterminod » est, quant à elle, très équilibrée, donnant sur de doux parfums floraux et citronnés. À table, elle se déguste avec un cantal jeune ou une belle carpe. ...
Un lieu de savoir, de partage et d’innovation pour un séjour de travail au vert Lieu unique en Europe exclusivement dédié aux événements d’entreprise, le site est composé d’un superbe château Rothschild pour la restauration, d’un ensemble contemporain pour les espaces de travail (y compris un auditorium de 450 places) et de 7 villas pour l’hébergement, au cœur d’un magnifique parc boisé de 52 hectares. Situé à Chantilly, à moins d’1/2 h de Paris en train et à proximité de la gare et de l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle, il permet d’offrir à vos participants un cadre ‘au vert’ particulièrement propice à la créativité. Fort d’une expertise de près de 15 ans, doté d’une infrastructure et d’une technologie de pointe, le Campus Les Fontaines est un laboratoire multiculturel d’expérience et d’innovation qui favorise aussi le développement durable. Détenteur de l’Ecolabel Européen depuis 2008, le site est membre de l’IACC (l’association mondiale des Centres de Conférences) dont il a reçu la distinction Green Star – niveau Or début 2017. L’expertise d’un groupe au service de votre entreprise Capgemini est un leader dans le domaine du Conseil et de la technologie. Aussi le Campus est-il doté d’équipements « dernière génération » : wifi Haute Densité, écrans plasmas dont 1/3 tactiles dans les salles de réunions, des surfaces hubs pour collaborer un temps réel avec des équipes non présentes sur le site, et un écran de 21 m de large de des projecteurs HD dans l’auditorium. Le Campus dispose aussi d’un éco-système de partenaires qui peuvent prendre en charge tout ou partie de votre séminaire, que ce soit pour construire et animer les plénières ou les ateliers, pour dynamiser et accroitre l’impact de votre événement, ou pour créer de la cohésion avec des team buildings… ...
Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité. Cadre sympathie et accueil agréable Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée. Excellente adresse, excellent repas Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. En musique La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme. ...
La distillerie a été fondée par Jean-Paul Metté dans les années 60. Autodidacte, il a appris les ficelles du métier au contact de l’un de ses voisins distillateurs. En 1985, il prend sous son aile le jeune Philippe Traber, son filleul, pour le former à son art. En 1997, à la suite d'ennuis de santé, Jean-Paul cède son affaire aux mains désormais expertes de Philippe et de son épouse Nathalie. Actuellement, la relève est assurée par Timothée et Mathieu, respectivement fils et neveu de Philippe. Le choix de la qualité Bien plus qu’une ligne de conduite, la qualité est une devise pour la distillerie Metté. Et c’est pourquoi la maison a toujours voulu préserver sa taille humaine tout en conservant les anciens procédés artisanaux alsaciens. Parmi les 87 types d’eaux-de-vie et 28 sortes de liqueurs fabriquées par la maison, la « Poire Williams » est celle parmi les incontournables. « Dans la bouche, elle est vraiment exceptionnelle. On a l’impression de croquer dans le fruit », s’enflamme Nathalie à son évocation. Toujours à la recherche de nouveaux produits, la distillerie Metté a lancé FASS, une collection de trois eaux-de-vie de caractère, avec des promesses d'expérience en bouche allant de soyeuse à franche. ...
Réunissant quatre centres de recherche parisiens, à savoir l’Institut Curie, l’ESPCI Paris, l’ENS,l’ENSCP, tous membres de PSL, l’Institut Pierre-Gilles de Genne (IPGG) est aujourd’hui le précurseur d’une approche transversale entre les disciplines et les institutions. Cet institut de recherche autour de la microfluidique œuvre pour une révolution académique du domaine de la science et pour l’application de cette discipline dans les secteurs friands d’innovation tels que l’industrie agroalimentaire, l’environnement, la santé, la chimie verte... Une plate-forme technologique propice à l’innovation La microfluidique, définie comme étant l’étude et la manipulation de fluides à des échelles micrométriques, est la discipline phare de l’IPGG. Grâce au programme investissements d'avenir, cet institut s’est doté d’une plate-forme technologique dédiée à la recherche dans le domaine de la microfluidique. Cette plate-forme s’étend sur 550 m2 et se distingue par la mise à disposition d’équipements de pointe aux chercheurs, entreprises et étudiants dédiés à la fabrication, la réalisation et à l’utilisation de dispositifs microfluidiques dans des technologies élastomères et thermoplastiques. Ils ont ainsi accès à du matériel répondant à différents pôles technologiques allant de la salle blanche, l’atelier mécanique, la salle de culture cellulaire en passant par la salle dédiée à la microscopie optique. Cette plate-forme novatrice et très sophistiquée fait la fierté de l’Institut de Pierre-Gilles de Gennes, véritable pionnier de l’innovation dans les domaines micro et nanotechnologiques. Un master visant l’excellence académique et une recherche accrue d’esprits novateurs Dans sa volonté de développer les talents en relation avec la nanotechnologie, l’IPGG priorise la formation dans le domaine de la microfluidique. Le master « Parcours Microfluidique », dédié à la recherche dans cette science nouvelle et prometteuse, se veut être un parcours pluridisciplinaire offrant des débouchés variés aux étudiants. Que ce soit dans le cadre d’un développement industriel ou d’une recherche en biophysique, les étudiants issus de cette formation pourront entamer des recherches doctorales en vue de promouvoir une révolution technologique et transdisciplinaire dans le monde de la science. Les étudiants arrivant au terme d’un parcours en physique fondamentale et appliquée dans les universités partenaires de l’Institut de Pierre-Gilles de Gennes, à savoir l’ESPCI Paris, l’université Paris Diderot 7, PSL, ENS Cachan, l’université Paris Saclay et l’UPMC, pourront envoyer leur candidature pour ce master Recherche axé sur la microfluidique. Outre cette formation, l’IPGG finance également des projets de recherche postdoctorale, notamment ceux proposés par de jeunes esprits novateurs en quête du développement technologique effectif à travers un processus mettant la microfluidique au cœur des activités. Cette approche thématique est le garant de l’innovation et de l’application de la microfluidique dans des domaines de pointe nécessitant l’intervention d’équipes de recherches qualifiées. Priorisant les projets difficiles à financer de par leur complexité, l’IPGG investit dans une valeur sûre en se fixant des défis dignes des plus grands centres de recherche. De nombreuses start-up travaillant dans la microfluidique ont d'ailleurs vu le jour grâce à l'initiative incubatrice mise en oeuvre par l'incubateur PC'Up de l'ESPCI Paris accueilli à l'IPGG, permettant ainsi l'effervescence ô combien nécessaire pour le développement de la science de demain. ...
Auvergne-Rhône-Alpes, une région gastronomique Des beignets de pommes de terre aux filets de perches en passant par la fondue savoyarde et les diots au vin blanc, la cuisine traditionnelle savoyarde est une des spécialités qui fait le charme de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ces plats s’accordent avec des vins locaux comme le Chignin Bergeron, la Mondeuse et le Seyssel. Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel de la région. On y trouve de délicieux plats typiques comme la tartiflette, un gratin de pommes de terre et des crozets, un féculent préparé avec de la farine de sarrasin. Les spécialités régionales sont composées de charcuterie, comme la pormonaise et les attriaux, et de fromages, comme l’abondance, le beaufort, le reblochon et la tomme de Savoie. L'Auvergne-Rhône-Alpes, c’est aussi le vignoble mondialement connu du Beaujolais, qui compte 12 Appellations d’Origine Protégée. Ce sont aussi les trois AOC de la Savoie : le vin de Savoie, la Roussette de Savoie et le Seyssel. L’Auberge d’Ayze, la rencontre des spécialités savoyardes L’Auberge d’Ayze propose des plats savoyards et d’autres mets mis à l'honneur par Jean-Marc Herchelbout, le maître restaurateur qui fait valoir ses quarante années de métier. Sa femme nous conseille de les savourer avec des vins savoyards. Quelques plats La matouille est une des recettes de tommette fondue servie avec de la salade verte et de la charcuterie. Elle peut être accompagnée de vin blanc comme du Chignin Bergeron. Le gratin de filets de perches est idéal pour les clients qui ne veulent pas consommer de viande. C’est une sauce crémée, composée de queues d’écrevisses et de morilles. Il s’accorde parfaitement avec du Chignin Bergeron et du Seyssel ou de l'Ayze tranquille. Des plats principaux « L’andouillette en camisole est un des plats phares de mon mari » insiste Mme Herchelbout. C’est une recette composée d’andouillette tranchée, de beaufort, de paillasson de pommes de terre et servie avec une salade verte. Il est parfait avec une bouteille de Mondeuse. Quatre différentes fondues composent le menu, elles s’accordent toutes avec du vin blanc. La fondue suisse est servie avec de la charcuterie, la fondue aux morilles avec de la salade verte, la fondue à la tomate s’accompagne de pommes de terre et la fondue de l’Anaïs est servie avec de la salade verte. Toutes les fondues sont à l'Ayze pétillant. Le gigotin d’agneau est une cuisson de souris d’agneau servie avec un gratin de crozets. Ce plat est conseillé aux clients qui veulent savourer de la viande. Les points forts de l’Auberge d’Ayze L’accès wifi est gratuit. A l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients et une terrasse ombragée, entourée de fleurs. La salle à manger est magnifiquement décorée de couleur rouge et blanc. L’Auberge d’Ayze, c’est aussi une ambiance de campagne bien contrôlée et conviviale entre les clients et les restaurateurs. « On a pu fidéliser des chefs d’entreprise, des ouvriers, des gens du village et de la région grâce à la qualité de nos produits, de notre amour du travail, de notre sincérité et notre sourire. Les touristes y viennent aussi pour savourer des spécialités culinaires locales. 60 % des repas se font sur réservation » nous explique Mme Herchelbout. ...
Créée en 1986 par Adriana Minchella, l’agence a commencé son activité sur la destination France en se positionnant comme spécialiste des offres « clubs vacances et campings ». Animée par le défi de toujours faire mieux, elle a par la suite étoffé son catalogue en imaginant un assortiment de séjours à la carte, de circuits sur mesure et de croisières de luxe vers les destinations les plus authentiques du monde. Tout cela, selon une qualité de services irréprochable et une éthique professionnelle garante de sécurité et d’efficacité pour les clients. Une panoplie de choix à offrir Ellipse Voyage veut réinventer le plaisir des vacances en famille à travers ses offres « campings » placées sous le signe d’évasion en bord de mer ou de découverte terre et nature, avec tout le confort d’un service hôtelier haut de gamme. Adriana Minchella, la gérante de l’agence, nous en atteste. « Le camping constitue notre cœur de métier, c’est notre signature. » Mobile-homes entièrement équipés ou tentes en toile et bois sont à disposition des clients dans un cadre luxueux et idyllique d’un 3 étoiles à 5 étoiles. Comme l’agence veut être l’ambassadrice de la destination France, elle privilégie d’abord la plus belle sélection de clubs campings en Aquitaine, en Provence-Côtes d’Azur, en Languedoc ou encore dans les Landes, avant de proposer des destinations étrangères comme l’Espagne ou l’Italie, par exemple. Par ailleurs, les férus d’aventure trouveront forcément leur bonheur dans le catalogue de séjours à la carte et les circuits. Au départ de la France pour découvrir la Norvège et ses aurores boréales jusqu’aux terres mythiques et lointaines comme Cuba, le Pérou, l’Inde, les îles des Caraïbes ou la Guadeloupe, chaque périple donne dans l'inédit et le merveilleux pour aller au-delà même des besoins et envies du voyageur. Et Ellipse Voyage ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Elle promet à ses clients une expérience intensément plus exclusive grâce au développement de sa gamme de croisières dont certaines sont organisées en partenariat avec le célèbre croisiériste MSC Croisières. Combiner l’expertise produit à l’expérience client L’esprit Ellipse Voyage ? Ouvrir les horizons d'un vrai séjour sur mesure. « Nous prenons le temps de faire connaissance avec le client avant d’imaginer une formule qui va répondre précisément à ce qu’il souhaite vivre et expérimenter », nous souffle notre interlocutrice. Ainsi, depuis la réservation du vol international jusqu’au choix du chauffeur-guide, chaque moindre détail est pensé de façon à correspondre au plus près des désirs des clients. Grâce à sa relation privilégiée avec ses partenaires à l’instar du Club Med, du Club Lookéa ou de Tui, l’agence prône un excellent rapport qualité-prix sur sa gamme de produits. Adriana Minchella ajoute que « l’agence est suffisamment près de ses clients et près de ses fournisseurs pour pouvoir mettre en interface les deux ». Que ce soit pour un séjour dans une ville atypique, un circuit touristique ou une croisière de luxe, « chaque formule est centrée sur les besoins et les envies des clients, en assurant qu’elle entre dans leur budget », assure-t-elle. En prime, ils bénéficient d’un service d’accompagnement très réactif et personnalisé à chaque étape de l’organisation du voyage. ...
À travers sa première édition «le-Musée-dans-la-rue » organisée en 1988, Mont de Marsan a permis de rendre accessibles au grand public les œuvres du musée Despiau-Wlerick, qui rappelons-le possède la plus grande collection de sculptures figuratives françaises du 20e siècle. Un événement novateur parrainé par le sculpteur César. Exposées sur un parcours piéton, les statues sont sorties de leur cadre habituel. Fort de ce succès, elles sont restées dans l'espace public et l’évènement s’est perpétué tous les 3 ans, d’où la raison d’être de la Triennale de sculptures. Celle-ci, à partir de choix thématiques, favorise le rapprochement et lance des passerelles entre la création contemporaine et les œuvres figuratives du musée montois. Pour la 10e édition de Mont de Marsan Sculptures programmée du 8 octobre au 6 novembre 2016, le thème sera axé autour du visage, de l’émotion et des expressions. Une saison culturelle pluridisciplinaire Dans une volonté marquée de faire connaitre l’art au plus large public possible, la Ville de Mont de Marsan poursuit sa dynamique. Elle réunit désormais en un seul endroit les 3 lieux de diffusion de Spectacles vivants ayant existé à l’époque sur son territoire sous la bannière du Théâtre de Gascogne. L’idée étant de mettre en place une politique culturelle cohérente, de favoriser l’identification par le public et de gagner en visibilité dans le paysage culturel régional. Cette structure a pour mission de programmer des spectacles au sein d’une saison pluridisciplinaire, d’être acteur auprès des créateurs grâce à l’aide à la création et, enfin, d’être un outil de promotion de la culture locale. ...
La Guerre des Gaules marque le début de l’histoire de la cité antique d’Elusa. En 56 av. J.-C., Publius Crassus a été envoyé par Jules César pour conquérir les peuples aquitains, dont les Élusates. Ainsi, vers le début de notre ère, le pouvoir romain et la civilisation romaine se sont imposés progressivement sur le territoire qu’est le Gers actuel. « Au fil des années, cette cité romaine va gagner en puissance, obtenant le statut de colonie romaine, jusqu’à devenir à la fin du IIIe siècle la capitale de la province de Novempopulanie », fait savoir Antoine Brunner, chargé de la communication du site. A la croisée de voies romaines importantes, la cité a une solide organisation municipale. L'agglomération abrite forum, temples, thermes et de nombreuses demeures de notables, les domus. Sur son territoire, prospèrent les villae, grandes exploitations agricoles avec leurs premiers vignobles. Si le déclin de la cité est sensible dès le Ve siècle, elle ne serait abandonnée que vers le VIIIe siècle. Les découvertes réalisées depuis le XVIIIe siècle et les recherches archéologiques plus récentes ont permis de retracer, de recréer et d’imaginer le mode de vie que menaient les aristocrates ayant vécu à Elusa. Une cité à multiples figures Déployée en trois sites archéologiques, ELUSA Capitale Antique, offre une découverte exceptionnelle de ce que devait être le quotidien d’une cité gallo-romaine. La visite commence par le centre d’interprétation d’Elusa, pour s’immerger dans la réalité de la vie urbaine et rurale de l’époque, à travers une scénographie virtuelle, réaliste et interactive. Elle se poursuit ensuite par l’exploration de la Domus de Cieutat. C'était une demeure urbaine, appartenant à une famille aisée comme le laissent supposer sa superficie de 2700 m², l’aménagement d’un espace thermal privé, d’une luxueuse salle de réception et le soin apporté à la décoration des sols et des murs. Établie dans un quartier aristocratique, cette domus a accueilli l’élite locale et a été conçue comme un véritable symbole du pouvoir et de la prospérité de ses propriétaires. La découverte en 1985 d'un trésor romain de 120 kg a mené à la création du Musée archéologique Le Trésor d’Eauze (Musée de France). Aujourd'hui exposé dans la chambre forte d'une ancienne banque, cet ensemble exceptionnel est composé de 28 003 pièces de monnaie d'argent, quelques-unes en or ou en bronze, d'objets précieux, de bijoux en or ornés de perles et de pierres rares. Ce trésor atteste de ce mode de vie luxueux adopté par certains occupants de la cité d’Elusa. En parallèle, les expositions permanentes sur la culture du peuple élusate présentent des collections remontant à la Préhistoire jusqu’aux collections de la période romaine évoquant la vie quotidienne à Elusa. La « nouvelle » villa de Séviac Classée monument historique, la Villa de Séviac constitue le troisième lieu de visite d'Elusa. Il s’agit d’un luxueux palais rural de 6 500 m² qui impressionne par sa configuration autour d'une cour à péristyle typique du IVe siècle, ses vastes thermes privés de 500 m², ses galeries et ses tapis de mosaïques polychromes s’étalant sur 625 m². Dans le cadre de la préservation de ce patrimoine historique exceptionnel, un programme de sauvegarde d’une grande ampleur a été engagé en septembre 2016. Ce programme se concentre sur l’art de la mosaïque antique, par la restauration manuelle, le retour de mosaïques anciennement prélevées et la restitution de la trame des motifs dans les lacunes des mosaïques. « La réalisation d'un projet architectural résolument contemporain, signé João Luís Carrilho da Graça, "Piranesi Prix de Rome" en 2010, a également permis d’offrir une nouvelle couverture quasi intégrale des vestiges de la Villa », explique notre interlocuteur. Enfin, un nouveau cheminement d’interprétation péd...
Créé il y a de cela 1 an, MyVrgo est un guide touristique compatible réalité virtuelle qui fonctionne sur tous les supports que ce soit sur ordinateur, sa tablette ou son smartphone. Si l’utilisateur dispose en plus d’un casque de réalité virtuelle, son expérience n’en serait que plus immersive. L’aventure commence par le choix de la destination. À noter qu’actuellement la majorité des destinations concerne la France. « On travaille à l'enrichissement du site et bientôt d'autres pays viendront s'ajouter à la liste », explique un responsable. Ainsi, trois thématiques sont proposées en première page : Go à la plage, Go à la montagne et Go à la ville. Après avoir fait son choix, l’utilisateur reçoit des propositions de villes et de ses alentours. En fonction de ses envies ( s'amuser, se détendre, découvrir, manger ...), le visiteur s'immerge et planifie ses vacances au plus près de ses attentes. Un moyen rapide et pratique Une fois qu’il a sélectionné une rubrique, l’utilisateur accède en quelques clics à l’établissement dans lequel il souhaite se rendre. Il peut entreprendre une visite virtuelle 360° tout en ayant à sa disposition les informations de localisation et de services de l'établissement et faire une réservation en direct. A noter que le site est gratuit pour les utilisateurs et pour les établissements. ...
C’est au sein de cette cité médiévale et viticole située sur la Route des vins que les Lichtle remontent la généalogie jusqu’en 1650. À Gueberschwihr, leurs descendants possèdent aujourd’hui un vignoble de 5,5 ha établi sur un terroir au climat sec et aux sols marno-calcaires. Sous un micro-climat spécifique, le domaine travaille les sept cépages alsaciens permettant de produire des vins en AOC Alsace, AOC Crémant d'Alsace, AOC Alsace Grand Cru et Vendanges Tardives (sélection de grains nobles). Des vins pas comme les autres Les œnophiles en quête de vins hors des sentiers battus trouveront leur bonheur chez Lichtle Benoît, notamment à travers leurs cuvées telle que L’Inattendu. Avec ses saveurs de fruits jaunes en pâte de fruit et ses arômes de citrons confits, ce vin accompagne à merveille la cuisine asiatique ou les poissons crus. ...
Terroir viticole et originalité bordelaise La notion de terroir est au cœur de la tradition viticole. Le terroir est un lieu insolite - son climat, sa pédologie et ses traditions - situé à la croisée de deux chemins longs de plusieurs siècles : celui d’un homme et d’un cépage qui s’y sont rencontrés et qui, depuis, cheminent ensemble. L’originalité des vins de Bordeaux naît du rituel de l’assemblage de ses cépages, chaque année recommencée dans le secret de nos chais. Classicisme Bordelais Au cœur de l’Entre Deux Mers, le château Grand Ferrand est doté d’un terroir de vallons et de terres argileuses. De ces terres que l’on dit tantôt fortes, dures à travailler ou à apprivoiser ; et tantôt amoureuses tant elles se cramponnent et collent aux pieds de qui les foule. C’est pourtant sur ce terroir de caractère que s’épanouissent avec harmonie nos vignes de Cabernet Sauvignon, Merlot, Malbec, Sémillon, Muscadelle et Sauvignon. Qu’elles y sont vendangées, vinifiées et scrupuleusement assemblées en des vins élégants, puissants et racés, héritiers du Classicisme Bordelais. ...
Tout au long de l’année, la Promenade des Anglais attire autant les locaux que les touristes en quête de moment de détente. Réputée pour son fameux Carnaval de Nice, la promenade est aussi connue pour abriter les hôtels à l’architecture Belle Epoque des plus remarquables de la Côte d’Azur. Parmi eux, le Westminster Hotel & Spa. Rénové entre 2015 et 2016, l’hôtel en a profité pour dévoiler son tout nouveau restaurant : Le Duc. L’élégance à la française Tout comme l’hôtel Westminster Hotel & Spa, le Duc séduit autant par son élégance que par son atmosphère apaisante. Jouant sur la tonalité mauve, la décoration est à la fois contemporaine et chaleureuse. Sur les murs, les photographies signées Valéry Trillaud sont parfaitement exposées et mises en scène par un éclairage subtilement nuancé. En un instant, on se croirait presque dans une galerie d’art. Mais le vrai spectacle est celui offert par le chef et son équipe. En effet, le restaurant propose une cuisine ouverte, laissant ainsi aux convives le privilège d’admirer la brigade en action. Et pour couronner le tout, la magnifique terrasse vitrée et surélevée offre une vue imprenable sur la Méditerranée et la baie des Anges. Selon le souhait des clients, la vitre peut être ouverte pour s’imprégner totalement de l’ambiance de la Promenade des Anglais. Une cuisine traditionnelle mais créative Côté cuisine, la qualité des plats est à la hauteur de la beauté des lieux. Raffinés et authentiques, ils sont avant tout savoureux, frais et soigneusement concoctés. Digne fils de la ville de Nice, Le Duc met à l’honneur la cuisine méditerranéenne et traditionnelle à base de légumes, de saveurs et de senteurs provençales. La carte fait ainsi la part belle aux grands classiques niçois subtilement revisités par le chef Dominique Sgro. Au déjeuner, les convives pourront choisir entre deux formules. La première propose une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 19 €. La seconde offre un menu du jour à 25 € composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert qui changent selon l’ardoise du jour. Pour les deux menus, les amuse-bouches ainsi que le café sont offerts. Au diner, le Menu Niçois met à l’honneur les spécialités niçoises à 37 €. Pour accompagner le repas, l’établissement propose une sélection de vins où le terroir de la région est mis à l’honneur. La carte recèle quelques pépites comme le Bellet Château de Bellet Baron G millésime 2013 ou encore le vin rouge bordelais : l’AOP Saint-Emilion Château Berliquet Grand Cru classé millésime 2010. Le tout, servi par un personnel aussi avenant que motivé. A chaque jour sa spécialité niçoise Par ailleurs, Le Duc sort du lot avec son concept à chaque jour, sa spécialité niçoise. Selon la disponibilité du marché et des produits de saison, le chef met à l’honneur un plat typique de la région. Une occasion pour les convives de découvrir ce patrimoine culinaire niçois qui fascine et enivre en même temps. Le lundi, place au véritable Aïoli « Le Duc ». Le mardi, il travaille le cabillaud tandis qu’il surprend avec le succulent fricassé de lapin, le mercredi. Le jeudi, le délicieux Capon Niçois est servi. Le vendredi, le Rouget Grondin en portefeuille, sauce vierge émoustille les fins palais. Le samedi, une note de douceur apportée par l'Epaule d’Agneau Frottée à L’Ail et aux Herbes, Bayald attend les convives. Et pour achever en beauté la semaine, le chef sublime le Filet de Daurade à la plancha accompagné de conchiglioni farcis. ...
Bien que plusieurs compagnies aient cherché à approcher Fox Tripper pour les commodités qu'elle propose, cette dernière favorise l'intégration via les providers d'IFE tels Panasonic Avionics, Thales Avionics, Rockwell & Collins... dans l'optique de proposer un produit au point et performant aux compagnies aériennes. De nombreux partenariats seront ainsi confirmés cette année, pour le plus grand bonheur des voyageurs dans le monde. Optimiser l’expérience passager La start-up veut rendre le petit écran derrière le siège passager à bord des avions en un véritable marketplace regroupant des offres promotionnelles, des prestations et activités diverses à réserver, ainsi que des informations intéressantes sur les villes survolées. « On veut montrer une façon plus intelligente d’occuper les heures de vol pendant le voyage », explique le cofondateur Mehdi Mokhtar pour résumer son concept. Pour ce faire, Fox Tripper a développé un moyen d’exploiter le système de géolocalisation et la connexion wi-fi à bord des avions. Ainsi, le but est de dépasser les limites fonctionnelles de ces interfaces intégrées, « pour rattraper le décalage entre notre usage du smartphone ou tablette avec celui des IFE ». Les films et publicités qui défilent sur ces écrans seront donc remplacés par des contenus plus pertinents et ciblés, permettant au voyageur d’enrichir et d’organiser son séjour depuis son siège. Fox Tripper a sélectionné des prestataires sérieux et de confiance composés notamment de guides, de diverses activités et excursions, ou encore d’offres de location de voiture ou de service VTC pour satisfaire toutes les demandes. Par ailleurs, le partenariat signé avec la société Allemande GetYourGuide, un leader mondial qui propose plus de 32 000 activités à travers le monde permet à Fox Tripper d'élargir ses offres. Une solution stratégique « On veut permettre aux compagnies aériennes de moderniser leur système de divertissement, pour être à la hauteur de ce que veulent les clients », continue notre interlocuteur. L’application est donc un véritable outil stratégique pour les compagnies, leur permettant d’améliorer la qualité de service à bord, de repenser l’expérience client tout en rentabilisant leur système IFE. Elle est mise à leur disposition clé en main, sous forme de licence et avec des mises à jour gratuites. Et pour aller encore plus loin, la start-up est en train de développer un module statistique servant à récolter des données et des chiffres sur les préférences des utilisateurs de façon anonyme. Bref, adopter l’application Fox Tripper, c’est savoir se démarquer dans un contexte de concurrence de plus en plus agressive. ...
Loin de se cantonner au respect strict et obligatoire des cahiers des charges afférents à l’Agriculture Biologique, Bio Chanvre Félinois va plus loin en pratiquant le « sans labour » et l’éco-pâturage. Dans cette démarche engagée, « nous sommes à la fois producteur et transformateur de chanvre », tient à préciser notre interlocutrice. Se faire une « bio-té » avec des produits 100 % naturels Le choix des matières premières concorde entièrement avec les valeurs défendues par la maison. Par exemple, l’huile de coco et le beurre de karité utilisés dans les cosmétiques proviennent d’associations de femmes en Afrique qui bannissent tout intrant chimique dans leurs cultures. Ainsi, l’entreprise valorise à la fois l’aspect humain et l’aspect environnemental. Par ailleurs, les bienfaits incontestables du chanvre sur la peau sont nombreux. L’huile de chanvre est incluse à hauteur de 30 % dans les produits pour accentuer leurs propriétés hydratantes, antirides, anti-inflammatoires… ...
Le bois à l’honneur Tout comme son slogan « Vivre avec le bois » l’indique, AMC utilise principalement du bois (mélèze, douglas, sapin) pour construire ses maisons bioclimatiques et à basse consommation énergétique. Elle assure ainsi le dynamisme de l’économie de la filière bois dans la région PACA et inscrit ses activités dans le développement durable de la forêt. Outre les constructions neuves, l’entreprise intervient aussi dans la rénovation, la réhabilitation ou la restauration des bâtiments anciens. Une entreprise grandissante et de plus en plus autonome Gérée par Franck FAURE-BRAC, l’AMC ne cesse de s’agrandir depuis qu’elle a vu le jour en 1989. Elle compte aujourd’hui 40 salariés dont 2 personnes au bureau d'études, 3 conducteurs de travaux et 3 personnes dans l'administration. L’AMC a également accumulé, au fil des ans, une large clientèle composée de particuliers, de professionnels, de collectivités publiques et privées. Elle couvre actuellement près de 6 départements : les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Var et même l’Isère. Vos projets de A à Z Référence dans son domaine d’activités, AMC prend en charge toutes les étapes de la réalisation des bâtiments. Elle dispose, en effet, d’une « Speed Cut » pour découper le bois avec une précision au 5/10e de millimètre. L’entreprise n’a donc pas besoin de faire de la sous-traitance pour effectuer la découpe ou l'usinage des éléments en bois sur-mesure. Du coup, les clients s’adressent à un seul interlocuteur, ce qui leur permet de gagner du temps tout en faisant des économies. ...
EcoTree est né de deux constats, déclare Pierre-François Dumont Saint Priest, cofondateur de la startup : « D’un côté, la forêt française souffre d’un véritable manque de gestion et de renouvellement de ses peuplements. La forêt privée française représente plus de 12 millions d’hectares détenus par 3,5 millions de propriétaires. Ces propriétaires sont particulièrement attachés à leurs forêts mais trop peu ont les connaissances et/ou les moyens financiers pour bien la gérer et lui permettre de délivrer toute sa valeur écologique et économique. De l’autre, de plus en plus d’entreprises et particuliers, conscients de la nécessité d’agir pour la planète, sont prêts à s’engager dans des politiques environnementales, pourvus qu’elles ne pèsent pas trop sur un portefeuille souvent déjà bien sollicité ». Créer un patrimoine vert via EcoTree Le concept d’EcoTree repose sur une innovation juridique : dissocier la propriété du sol de la propriété des arbres, considérés comme « bien meuble par anticipation ». Le principe est simple : EcoTree reprend des terrains en friche ou des peuplements sans valeur d’avenir, mis à disposition par des propriétaires forestiers. Particuliers et entreprises peuvent alors, par l’intermédiaire d’EcoTree, devenir propriétaires d’arbres et financer ainsi le boisement ou la reprise en gestion de massifs forestiers. « Les entreprises ou les particuliers deviennent propriétaires d’arbres à hauteur de leurs moyens et de leurs ambitions. L’équipe d’EcoTree et son réseau de professionnels se chargeront de gérer et valoriser durablement le patrimoine forestier commun », nous indique-t-on. En grandissant, les arbres prennent de la valeur et séquestrent du carbone. Une fois qu’ils sont arrivés à maturité, les investisseurs bénéficient des revenus de la récolte du bois. Ce double bénéfice écologique et financier porte ses fruits dès aujourd’hui et se transmet aux générations futures. EcoTree conjugue gestion forestière durable et préservation de la biodiversité. Préférence est donnée à la gestion des massifs en futaie irrégulière, c’est-à-dire qui comprend des arbres de différents âges et grandeurs. « Ce mode de gestion promeut non seulement la biodiversité puisqu’il évite les coupes rases, mais favorise également la régénération naturelle», souligne notre interlocuteur. L’exclusion des produits phytosanitaires fait aussi partie de ce plan durable de gestion forestière. Ce sont toutes ces actions qui permettent la bonne croissance des arbres et qui garantissent à terme la bonne rentabilité des investissements. Un investissement aux retombées multiples EcoTree répond à trois critères fondamentaux du développement durable concernant les aspects environnementaux, économiques et sociaux. Sur le plan environnemental, un investissement chez EcoTree équivaut à un véritable engagement écoresponsable. En effet, devenir propriétaire d’arbre permet de contribuer à la baisse d’émission de CO2 dans notre atmosphère. « Nous avons choisi EcoTree pour compenser les émissions carbones liées à nos activités ! Cela était une évidence pour nous d’aller plus loin dans notre démarche en faveur de l’environnement », précise Alice Maréchal de chez Lemon Tri, une des entreprises partenaires d’EcoTree. En termes économiques, la startup mise sur un patrimoine vert qui se valorisera dans le temps. « Chaque année, l’arbre gagne 2 à 4 % de sa valeur. Qui plus est, aucune imposition ne s’applique sur la plus-value au moment de la coupe des arbres », affirme Pierre-François Dumont Saint Priest. En ce qui concerne son engagement social, EcoTree veut être réel soutien aux entreprises françaises. Plus particulièrement pour les acteurs locaux avec qui elle collabore étroitement afin de favoriser la bonne gestion des forêts. On peut citer, par exemple, un partenariat dévelo...
La nouvelle grande région Bourgogne Franche-Comté est riche en produis de qualité qui « loin de s’opposer, se complètent à merveille » explique Hélène Viennet, chargée de communication du Comité de Promotion des Produits Régionaux. La région s’étoffe de quelques 200 produits sous signe officiel de la qualité et de l’origine (AOP, AOC, IGP, IG, Label Rouge). Région Bourgogne Franche-Comté : l’expérience culinaire, de la gastronomie et des bons produits du terroir... Au rang des incontournables : le beau plateau de fromage composé d’une soixantaine de variétés dont 13 AOP, 3 IGP et 2 en attente d’appellation. Si la Bourgogne est surtout connue pour ses fromages à pâte molle au lait de vache comme le Soumaintrain (mais aussi des fromages au lait de chèvre comme le mâconnais ou le charolais), la Franche-Comté a plutôt bâti sa réputation autour des fromages à pâte pressée (Comté, Morbier...). « Cet exemple permet d’aller à l’encontre de certaines idées-reçues comme quoi il existe un antagonisme entre les produits issus de la Bourgogne et de la Franche-comté. Au contraire, ces derniers sont totalement complémentaires ». Un mariage de multiples saveurs qui fait le bonheur de chefs de renom ainsi que des amoureux de grands vins car n’oublions pas que la région enregistre 105 AOC, soit 30% des AOC retrouvées dans le pays. ...