Situé à 1,5 kilomètre d’un tronçon de la Loire classé « Patrimoine Mondial de l’Unesco », et à quelques minutes seulement du centre-ville d’Angers, le restaurant Les Bateliers est un établissement proposant une cuisine traditionnelle revisitée. Cuisine orchestrée par le chef Dominique Lepage, également un des deux propriétaires des lieux avec Didier Salmon. Ceux-ci tiennent le restaurant depuis 11 ans, et bénéficient d’une situation idéale entre vignobles et lieux touristiques. Cuisine du terroir, cuisine régionale L’établissement met tout d’abord en avant une cuisine traditionnelle basée sur les produits de saison. Et donc, la carte change chaque mois, et le produit le plus en vue est toujours mis en valeur dans les plats. Plus récemment, était à l’honneur un produit phare, l’asperge. La carte valorise la fraîcheur des produits des pays de la Loire. Aux fourneaux, Dominique et son équipe élaborent de jolis dressages en assiette, et des plats toujours variés. Celui-ci a été chef de partie dans de belles tables parisiennes, puis second de cuisine à l’Auberge d’Eventard, qui est l’un des plus grands restaurants gastronomiques de la région de la Loire. Par la suite, il s’est associé avec Didier Salmon pour créer le restaurant Les Bateliers. A la carte, des entrées signatures à l’instar du foie gras poêlé au citron confit, coppa grillée et pommes de terre nouvelles au lard. Autre entrée, le trio de tomates grappe pelées à vif et sa farce fine à la chair de tourteau et mesclun, coulis de tomates mentholé à l’huile d’Argan. Comme plat principal, pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, et en dessert, mille-feuille craquant sauce framboise ou glace au lait d’amande. C’est une cuisine généreuse et pleine de saveurs à laquelle toute l’équipe en cuisine participe, pour mettre au rang de vedette les produits de la région, mais aussi le terroir du Pays de la Loire. Une carte des vins raffinée Le restaurant propose une carte des vins étoffée, raffinée, et conférant des accords mets-vins des plus subtils. L’établissement étant tout d’abord situé sur la route des vignobles et au cœur de celui d’Angevin, il met en avant de belles bouteilles de propriétés de la région, se mariant admirablement aux plats orchestrés en cuisine. Pour les entrées à base de poissons, elles sont servies avec un Coteaux-de-l’Aubance. C’est un vin à la robe intense jaune or et reflets verts, dénotant des senteurs florales de fruits à chair blanches, dissimulant un équilibre par sa richesse gourmande et sa fraîcheur prononcée en bouche. Egalement indiqué pour les foies gras poêlés ou en terrine, la cuisine exotique et les charcuteries fines, cet AOC de la région de la Loire est une bouteille au mono-cépage Chenin. Le Saumur-Champigny est, lui, bien indiqué pour les entrées. Ce vin à la robe rouge grenat et lumineuse, dégage des senteurs épicées de fruits rouges et fleurs. Riche et corpulent sur la longueur en bouche, il finit avec un équilibre et une douce fraîcheur embaumant le palais. En accompagnement de la pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, un Château de Principe, qui permet de souligner la tendance gibier de la viande domestique. Le dessert mille-feuille craquant, sauce framboise, peut être servi avec tout vin effervescent à bulle de la Loire. Idéalement, un Saumur, vin rouge à la robe lumineuse couleur rouge rubis, doté d’un nez fin et léger accompagné de fruits, violettes et iris. Souple en bouche et parfois dense, ce vin est composé des cépages Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, et Pineau d’Aunis. ...
Une maison, mille univers. La Maison d’Alfred est un lieu de vie où se côtoient talent, innovation, co-création et synergie. En plus d’offrir un espace de travail, de séminaire et de coworking, elle permet surtout à ses habitants et à ses clients de découvrir une nouvelle manière de collaborer, de se perfectionner et de faire grandir leur projet. Pour la petite histoire Ne serait-ce que pour sa belle façade, cette bâtisse historique mérite qu’on s’y attarde. Édifiée en 1870 par M.Alfred Motte, la propriété se trouve au pied de la zone de passage du tramway du grand boulevard, un projet fou né sous l’impulsion d’Alfred Mongy dans le but de relier Lille-Roubaix-Tourcoing. Dans une volonté d’insuffler une nouvelle dynamique à cette maison bourgeoise roubaisienne, David Duprez décide de la reprendre et d’en faire un univers dédié à la créativité et au travail collaboratif, et cela « avant même l’apparition du concept du coworking en France » indique-t-il. C’est en 2016 que la propriété est officiellement baptisée « La Maison d’Alfred », faisant sans doute référence à l’ingénieur Arts & Métier, Alfred Mongy. Et l’on ne peut s’empêcher de faire le parallèle entre cet homme et l’identité de la maison. Le lieu revendique le même esprit d’innovation et l’ambition de relier les hommes entre eux. Mieux que ça, la Maison d’Alfred se veut être un lieu bienveillant et ouvert, pour que chacun puisse trouver un espace professionnel qui lui ressemble en se sentant comme à la maison. « Une maison qui a une âme », comme aime à le préciser son fondateur. Les habitants de la Maison d’Alfred À la Maison d’Alfred, les habitants donnent vie aux valeurs d’ouverture et de collaboration qui définissent le concept du lieu. Entreprises, start-up, entrepreneurs, freelancers, designers, bloggers, consultants, développeurs et coworkers nomades forment cette communauté. Certains disposent d’un bureau privé en zone franche pour travailler et d’autres partagent l’open space installé au 3e étage, entièrement dédié au cosy coworking. Rénové dans un décor lifestyle très contemporain, cet espace de 200m² se dote d’une installation moderne (bureaux équipés, accès wifi, cadre confortable, etc.) offrant une atmosphère de travail la plus stimulante possible. « D’ailleurs, j’ai carrément fait enlever les toits pour installer les verrières afin d’avoir les lumières du jour », fait savoir le fondateur. La flexibilité de l’offre constitue un autre atout majeur dont profitent les habitants. Ils ont la possibilité d'adapter leur emploi du temps grâce aux différentes formules proposées : découverte, mixte, nomade ou résident. En outre, la maison a créé le Déj d’Alfred pour dynamiser l’innovation et la collaboration entre habitants. L’objectif ? Faire émerger l’enrichissement mutuel à travers la rencontre des talents, le partage de réussite et la confrontation des idées. Incontournable, ce rendez-vous des plus vibrants est l’occasion idéale de saisir de nouvelles opportunités. En parallèle, plusieurs autres animations et ateliers sont organisés au profit des habitants, toujours dans cette optique d’échange et de collaboration sur fond de convivialité. Parmi eux figurent les Conf' d'Alfred, des réunions de discussion ouvertes à un public extérieur désireux de s'informer et d'échanger sur plusieurs thèmes. Un espace réservé pour les évènements d’entreprise Le temps d’une réunion de travail, d’une session plénière, d’une formation ou d’un séminaire, les entreprises extérieures peuvent également profiter de l’esprit cocooning de la Maison d’Alfred. Imaginées pour accueillir jusqu’à une centaine de collaborateurs, les dix salles mises à disposition des entreprises et grands groupes s’adaptent parfaitement à leurs exigences. « Auchan, Décathlon ou encore Leroy Merlin sont déjà venus découvrir notre concept et sont repartis ave...
Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle. Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse. Une carte 100 % mexicaine À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains. En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos. En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème. Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros. Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas. En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas. De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens. Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition. Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays. ...
À nouvelle gérance, nouveau décor ! En reprenant le restaurant il y a 2 ans et de par ses nombreux voyages un peu partout dans le monde, Loïc Ledu a apporté une signature unique. Il propose majoritairement « des menus de France revisités » comme il aime si bien le dire, avec une cuisine gourmande qui lui fait rappeler son enfance, une irrésistible nostalgie qui revient souvent dans ses inspirations. Un globe-trotter passionné Après une vie de globe-trotter (Écosse, Australie, Dubaï, Europe) au cours de laquelle il a toujours nourri sa passion pour le métier, Loïc Ledu a réussi de belles expériences de vie dans la restauration. Pour aller plus loin dans l’aventure, il choisit avec sa femme Céline de poser ses valises en terre française et de s’y installer. Son coup de cœur pour Le 111 a nourri en luide nouvelles inspirations créatives et originales. Un lieu de rencontres à l’ambiance intimiste Le 111 est un établissement qui plaît à la clientèle. Selon Loïc Ledu, c’est un « restaurant très fréquenté par les femmes », qui y trouvent un lieu idéal pour se retrouver. L’endroit offre en effet un décor intimiste aux couleurs à dominance gris et rouge imprégnées d’une ambiance feutrée qui séduit particulièrement les couples et les amoureux. « Le succès du restaurant vient du bouche à oreille », se satisfait le chef. Le 111 a une capacité d’accueil de 30 couverts en terrasse, de 40 couverts en salle et de 18 couverts pour les différents évènements de groupe (anniversaire, évènement familial…). Du fait maison bistronomique Le 111 propose une cuisine au concept bistronomique, c’est-à-dire des « produits simples, cuisinés de façon créative, avec de belles présentations et à prix abordables », fait valoir Loïc Ledu. Il tient notamment à préciser que l’établissement ne fait que du frais : « Tout ce qu’on a à la carte est fait maison, à base de produits bruts sans aucun produit transformé. » C’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de la maison. À travers ses notes sucré-salé, aux couleurs et aux goûts de France, Le 111 porte bien la signature du chef. Pour garantir la fraicheur des produits proposés, le choix des fournisseurs est très strict (meilleure régularité, meilleure viande, meilleurs produits). Le bœuf Wellington, les Noix de Saint-Jacques et beurre de clémentine et les Ravioles de Joue de bœuf restent à ce jour les plats-signatures du restaurant, mais d’autres plats viennent s’y ajouter selon les goûts et préférences des fidèles de l’établissement. « Nous travaillons beaucoup le bœuf », explique Loïc Ledu, et les clients apprécient grandement « tartare et carpaccio », des produits coupés à la minute et au couteau. Le 111 possède également une section grill, qui permet de préparer du steak maison avec des frites coupées à la main. Pour satisfaire encore plus les clients, le restaurant vient de sortir sa nouvelle carte d’été avec des menus adaptés, dont des noix de Saint-Jacques, du suprême de pamplemousse et du tartare de saumon. Cerise sur le gâteau : toutes ces suggestions gourmandes peuvent se déguster depuis la salle du bas, tout en appréciant une vue imprenable sur une grande cave à vin vitrée révélant plus de 130 références. ...
Basque d’origine, François Iraola fonde la Brasserie Akerbeltz en 1999. En 2012, il agrandit la petite Brasserie Akerbeltz en s’installant dans la zone artisanale Larre Lore d’Ascain, à quelques minutes de Saint-Jean-de-Luz. Tout y est fait sur place : réception des matières premières, brassage, fermentation, mise en bouteilles et en futs, étiquetage, dégustation, vente, expédition. Avec toute son équipe, il y fabrique les bières Akerbeltz , artisanales et naturelles, dans le respect de la tradition. Ici, pas d’OGM, pas d'additif, pas de colorant et pas de conservateur. Des bières basques à découvrir Les bières Akerbeltz sauront ravir celles et ceux qui les dégustent. Leurs saveurs sont authentiques, délicates et subtiles. Repas entre amis, déjeuner sur le pouce, au comptoir, pique-nique ou encore petit moment pour se désaltérer...Il y a une bière Akerbeltz pour chaque moment. La gamme historique La Blonde Horaila est une bière aux céréales avec une pointe d’amertume très discrète. Elle est savoureuse en accompagnement d’huitres, de poulet rôti ou de chèvre doux. La Blanche Xuria est une bière brassée avec des malts d’orge et de froment, très légèrement amérisée et dont l’aromatique a pour origine l’infusion d’un bouquet aromatique végétal dont vous devrez deviner la composition lors de votre venue. Ses arômes de sapin, de levure et de brioche agrémentent à merveille un tartare de langoustines ou un guacamole. Cette bière a reçu la médaille d’or au Concours général agricole 2015. L’Ambrée Gorrasta est une bière aux saveurs grillées multiples, dont des notes de caramel. Elle est délicieuse avec une piperade basque ou un fromage de brebis d’Ossau. La Brune Iluna est une bière aux 6 malts différents avec des arômes qui évoquent le chocolat noir et le café avec une pointe de caramel. Avec de la charcuterie, de la viande grillée, un brillat-savarin, une tarte tropézienne ou un pain perdu à la vanille, elle prend toute sa dimension. Les dernières créations La IEPA (Indar Euskal Pale Ale) est une bière blonde triple, forte et houblonnée, qui laisse apparaitre une amertume résineuse fort agréable. Elle s’accorde particulièrement avec la tortilla, la mouclade basque, la tomme de brebis ou le gâteau basque. La Megabeltz est la cousine triple de la brune Iluna, relativement forte : la technique de brassage très particulière qui caractérise sa fabrication exacerbe ses arômes de chocolat noir et de café avec toujours une pointe de caramel. Elle s’associe parfaitement avec un foie gras ou des huitres. Deux autres bières sont disponibles en saison, à savoir la bière de printemps Udaberri et la bière de Noël Olentzero. D’autres nouveautés sont en cours de conception. Boutique Toutes les bières de la Brasserie Akerbeltz sont en vente sur place à la fabrique. • De février à mars : du mercredi au samedi, de 14h00 à 19h00 • D’avril à juin et de septembre à décembre : du mardi au samedi, de 14h00 à 19h00 • Juillet et août : du lundi au samedi, de 14h00 à 19h00 • Janvier : fermé au public. Bar Une visite s'impose pour découvrir et déguster les bières de la Brasserie Akerbeltz ! La brasserie propose des visites guidées où vous découvrirez la fabrication traditionnelle de la bière étape par étape dans une ambiance chaleureuse et originale suivie d’une dégustation. Horaires d'ouverture • De février à mars : du mercredi au samedi, de 14h00 à 19h00. Bar le vendredi soir jusqu'à 21h00. • D'avril à juin et de septembre à décembre : du mardi au samedi de 14h00 à 19h00. Bar le vendredi soir jusqu'à 21h00. • De juillet et août : du lundi au samedi, de 14h00 à 19h00. Bar jusqu'à 20 h et le vendredi jusqu'à 21 h • Janvier : fermé au public. Visites • Juillet et août : vendredi à 17h00 (sur réservation - nombre de places limité). • Autres dates : minimum 10 personnes (consulter la brasserie). Tarif de la visite : 7 € par personne. Dégustation comprise. ...
Le rhum aux arômes riches de son terroir d’origine fait la renommée de la maison Breiz’île qui intègre le monde très sélect du rhum en 2002. L’authenticité et la primauté données à l’art de ce breuvage restent les maîtres-mots de cette marque qui privilégie la tradition antillaise dans la conception des spiritueux exquis de sa gamme. Sélectionner le meilleur du terroir La marque Breiz’île, aux racines ancrées dans les terres antillaises, s’est forgé une réputation grâce à la priorité donnée à la qualité. Avec un éventail de rhums arrangés obtenus en « travaillant les meilleurs fruits disponibles toute l’année », selon les propos d’Alain Jegaden, la maison se veut être l’ambassadrice de l’excellence du rhum. Son rhum agricole typiquement guadeloupéen tire, quant à lui, « le meilleur de la canne à sucre » afin de rendre hommage au terroir mais également « [afin de partager] l’appréciation des bonnes choses », continue Alain. Un rhum vieux vieilli en fût de chêne, élaboré selon la pure tradition antillaise et aromatisé au miel fait, entre autres, la fierté de la maison Breiz’île, à déguster avec modération lors de vos instants gourmands. Outre le rhum, la marque, dans un élan de créativité novateur, se spécialise dans la production d’une « bière gourmande au goût prononcé et aromatisée au rhum », toujours selon Alain. Cet esprit innovateur, mêlé à la préservation de la fabrication artisanale du rhum, contribue à faire toute l’authenticité de la maison. ...
Les Yvelines, une terre d’opportunités Premier département industriel d’Île-de-France, Les Yvelines entretiennent depuis quelques années une belle dynamique en concentrant plus de 18 % de l’emploi industriel de la région. Il est également le premier département en Recherche et Développement d’Île-de-France. Accusant un PIB /habitant très élevé, les Yvelines comptent parmi les départements les plus prospères à l’échelle nationale. Le département bénéficie en effet de la présence de nombreux acteurs économiques regroupés autour de quatre filières d’excellence : l’industrie automobile et aérospatiale, les éco-industries et la filière TIC. Une ressource humaine jeune et qualifiée Sur le plan démographique, le département compte environ 1,4 million d’habitants avec 28 % de jeunes de moins de 20 ans. Les Yvelines se dotent d’une cinquantaine de centres de formation comprenant un réseau de lycées internationaux, six grandes écoles ainsi que l’université de Versailles-Saint-Quentin. Près de 10 000 actifs évoluant dans les professions intellectuelles supérieures sont recensés sur le territoire. Un endroit où il fait bon vivre La ville de Rambouillet remplit toutes les conditions pour offrir une qualité de vie très appréciable. « Une étude réalisée en juillet 2015 place Rambouillet au 9ème rang des villes où il fait bon vivre en France » souligne M. MEMAIN, vice-président, chargé du Développement économique. Un des critères pris en compte dans ce classement concerne le taux de chômage. Sur ce point, la ville affiche un taux relativement bas oscillant entre 5,4 et 5,7 % en fonction des trimestres. Une performance qui reflète notamment la bonne santé économique de Rambouillet. Un véritable vivier d’entreprises Sur le territoire se trouvent des entreprises appartenant à deux pôles de compétitivité : la Cosmetic Valley (sciences de la beauté et du Bien-Être et Mov’eo (secteur de l’automobile et des transports collectifs). Localement, la filière parfumerie et cosmétique est représentée par des grands noms comme Guerlain et L’Oréal. Il en va de même pour la filière de l’automobile avec Continental ou Veolia, implantées à Rambouillet. Au-delà de ces fleurons, on note aussi la présence de groupes internationaux (Rehau, Shüco) et d’un réseau de PME-PMI dynamiques (SNEF, EBP, Noe, Polysem, A2V, Sentosphère, Rouxel…) Un dynamisme qui se traduit par un chômage peu élevé : avec un taux de 5,7% début 2017, le niveau de chômage dans le bassin d’emploi de Rambouillet est l’un des quatre plus bas en France. « Nous sommes adhérents à MOV’EO et nous avons un projet portant sur un véhicule autonome et qui s’inscrit actuellement dans une démarche d’expérimentation et d’innovation» explique monsieur MEMAIN. Parc d’activité(s) Bel Air – La Forêt : donnez de l’air à votre entreprise ! Établi sur une superficie totale de 63 hectares, le parc d'activités Bel Air-La Forêt est un endroit unique dédié aux entreprises du tertiaire et de la petite industrie. À seulement 35 minutes de Paris et offrant un large choix de transport, le parc profite d’un emplacement stratégique. Au sein de cet environnement qualitatif, les conditions de travail sont optimales. Il faut savoir que 40 % du parc sont réservés aux essences végétales de la région. Au niveau architectural, tout a été conçu afin de préserver un équilibre entre le bâti et l’espace naturel. Séduites par les multiples attraits de Bel Air – La Forêt, des entreprises telles que DBA, A2V, CTA MGA ou encore DUPONT RESTAURATION ont saisi l’opportunité de s’implanter sur la zone. Ces entreprises ont non seulement tiré avantage des prix compétitifs, mais elles ont également bénéficié d’une exonération sur la taxe d’aménagement (part communale). ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
Le restaurant Ker Soazig est né dans une volonté de mettre en avant les produits du terroir breton, de valoriser le circuit court et les produits de saison et, par-dessus tout, de prouver qu’il est tout à fait possible de manger bio sans forcément se ruiner. Particulièrement engagé dans cette démarche, Philippe Le Duff a lancé cette crêperie et ce bistrot breton en hommage à sa grand-mère Soazig Kersauson, dont le souvenir plane dans les moindres recoins de cet établissement au charme simple et naturel. Que du bio, que du frais « De la fourche à la fourchette », une notion qui prend tout son sens dès que l’on se met à décortiquer un peu le mode de fonctionnement du restaurant. Afin de respecter son engagement dans le développement durable et dans une optique de promouvoir une alimentation de qualité, Philippe Le Duff a créé la Ferme des loges (proche de Rennes), au sein de laquelle il cultive son propre blé noir 100 % bio (utilisé pour la fabrication des galettes). ILe blé est ensuite moulu à la meule de pierre, comme autrefois, ce qui préserve toutes ses qualités nutritives et gustatives. Pour le reste, la maison ira les chercher auprès des producteurs locaux. Elle travaille aussi en étroite collaboration avec des fournisseurs bio comme Biocoop. Des recettes d’hier et d’aujourd’hui « 100% bio, Ker Soazig essaie aussi d’être 100 % bon. » La carte a été construite selon des recettes inspirées de Soazig Kersauson, la grand-mère de Philippe. Véritable fermière bretonne, elle a su préserver les secrets de la bonne cuisine d’autrefois, qui contribuent aujourd’hui au succès du restaurant. Vous pourrez ainsi retrouver la fameuse crêpe épaisse, « Fraz Pitilig », un dessert typiquement breton. Des menus pour tous les budgets Premier restaurant certifié 100 % bio en France, Ker Soazig est aussi l’un des rares établissements à proposer des tarifs réellement adaptés à tous les budgets. Ainsi, pour moins de 10 €, il sera possible de déguster un menu composé d’un plat et d’un dessert. Le menu enfant, quant à lui, est tarifé à moins de 8 €. Toutes ces suggestions gourmandes se dégustent dans un décor intemporel à l’image de la Bretagne. Dans ce restaurant atypique, on se promène à la découverte de la maison Soazig à travers la remise, l’espace grenier constitué de mobiliers authentiques chinés dans les brocantes ou encore la salle centrale, dont le style est inspiré de son ancienne salle à manger. ...
Situé dans le quartier du Marais, à Paris, le restaurant L’Alivi nous emmène dans l’atmosphère d’une auberge traditionnelle corse. Ses pierres apparentes, ses poutres, son superbe carrelage de tommettes d’époque ainsi que ses belles bouteilles en font un espace convivial. Il est également doté d’une terrasse très agréable sur une venelle piétonne. Des chants polyphoniques vous accompagnent tout le long de votre repas et participent à cette chaleureuse ambiance. Saveriu Cacciari, le propriétaire du restaurant L’Alivi, et toute son équipe vous accueillent avec plaisir tous les jours, midi et soir. Des plats et des vins 100 % corses Ici, tout est fait maison à partir de produits frais de saison ou typiquement corses, sélectionnés avec soin. Le chef aime façonner des produits bruts pour les mettre en valeur et révéler toute leur saveur. En semaine, la formule déjeuner à 15 € se compose d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Le soir, découvrez les formules 2 ou 3 plats, respectivement à 24 et 30 €. Ou choisissez dans la carte pour vous régaler de spécialités régionales corses. De nouvelles recettes sont mises à la carte régulièrement. Les gros mangeurs pourront savourer une côte fermière de cochon de 500 g, rôtie au four et accompagnée d’une purée maison parfumée à la nepita, une herbe typique du maquis corse dont le gout se rapproche de celui de la marjolaine. Quant aux autres, ils pourront se régaler avec un civet de sanglier ou un filet de loup corse à la plancha. En dessert, il faut absolument (re)découvrir le fiadone du chef et son limoncello, un gâteau traditionnel réalisé à partir de fromage frais de brebis, le brocciu. Bien sûr, vous pourrez également apprécier les charcuteries et les fromages corses. Pour accompagner votre repas, la carte des vins propose une belle sélection. Des vins 100 % corses issus de petits domaines, dont un tiers est en bio. Découvrez également la suggestion du mois : rouge, rosé et blanc. ...
Le PALM HOTEL & SPA dispose de trois restaurants qui, malgré leurs spécificités, présentent tous le même point commun : la promotion d’une cuisine authentique concoctée essentiellement à partir des produits locaux. Le MAKASSAR, table gastronomique Le restaurant MAKASSAR reçoit ses invités dans un décor empreint d’élégance et de convivialité. En cuisine, le chef Claude Pothin met à l’honneur les produits locaux et encense par l’occasion le terroir réunionnais. D’ailleurs, par souci de qualité, l’établissement respecte la charte « locavore » qui consiste à utiliser des produits récoltés, péchés ou élevés dans un périmètre de 150 km autour de PALM HOTEL & SPA. Papayes de Petite-Île, pigeon des Avirons, foie gras de la Plaine des Palmistes, herbes issus du potager de l’hôtel… en sont quelques exemples qui illustrent parfaitement cette démarche. Combiné au talent et savoir-faire du chef Claude Pothin, tout cela donne lieu à des créations naturelles et subtiles aux saveurs surprenantes. Comme entrée, la maison suggère des « Camarons black tiger & tomate arbuste » s’enchaînant sur une délicieuse « Langouste rouge et sa déclinaison de légumes bio ». Enfin, il convient d’achever la découverte avec une pointe d’exotisme en dégustant un « Tantinet soufflé à l’ananas ». Pour les amateurs de découverte gustative, le chef a pensé à eux en leur réservant un menu « surprise ». Depuis 2009, chaque année (au mois de mars), le lieu est devenu le point de ralliement d’un événement de grande envergure dénommé le MAKASSAR FESTIVAL. L’occasion pour l’établissement d’accueillir de grands noms de la cuisine française et des vignerons provenant de diverses régions viticoles de l’hexagone et d’Afrique du Sud. Dégustation de vins, concours d’œnologie, gastronomie figurent au programme de cet évènement d’exception. En matière de vins, la maison peut se vanter de bénéficier d’une carte à la fois riche et éclectique. Un véritable trésor œnologique où se côtoient quelques 300 références de grands crus et petits producteurs. Le KAH et son concept original Dans un espace de 1200 m2, le KAH Beach & Restaurant associe détente et gourmandise. Cet espace repos faisant face à l’océan propose un hammam, un bain à remous, des transats et des lits à baldaquin. Un restaurant vient compléter ce concept unique de plage suspendue entre ciel et mer. Les pieds dans le sable, les convives peuvent déguster grillades, bagels avec des pains « faits maison », sandwichs et autres salades. Pour de purs moments de gourmandises, glaces, pâtisseries et smoothies les attendent l’après-midi. Le KOKOA, bar lounge Dans un style chic et décontracté, le KOKOA invite ses convives à déguster de délicieux cocktails. Chaque semaine, des animations sont proposées autour de la fabrication de rhum arrangé et des vins d’Afrique du Sud. Tous les dimanches soir, un rendez-vous lounge avec DJ et musique éléctro-jazz est au programme ! En hiver, le KOKOA offre un point d’observation idéal pour apprécier le passage des baleines dans la baie de Grand Anse. ...
Dans cet établissement, la gastronomie française est à l’honneur. Benoît Hilaire et sa créativité étonnante vous feront découvrir des plats généreux et raffinés, dotés d’une petite touche personnelle à laquelle il est impossible de résister. Le décor À La Table du Huit, la décoration mise en scène par Maison Margiela inspire tradition et modernité, classicisme et avant-garde. Derrière cette façade haussmannienne créée en 1866 pour la duchesse de Rivoli, princesse d’Essling, se dévoile un univers heureux où luxe et sophistication riment parfaitement avec calme et intimité. Les portes en trompe-l’œil surdimensionnées, ainsi que les murs et le sol en béton ciré, qui tranchent avec le mobilier en lévitation et tout nappé de blanc, sont autant de détails qui rehaussent la beauté des lieux. La féerie continue dehors, dans le jardin, qui se transforme en été en une oasis de verdure et de fraîcheur. Une cuisine française inventive et généreuse Animée par le désir de rester parmi les meilleurs, l’équipe de La Table du Huit orchestre des mets généreux et raffinés suivant les quatre saisons. Présentés sur une carte courte, les plats célèbrent la cuisine française, témoignent des talents du chef Benoît Hilaire et saluent la saisonnalité des produits. Ravioles de gambas, bouillon de crevettes, lentilles du Puy en vinaigrette, croustillants de pied de cochon et terrine de canard, kumquats confits et mâche sont idéaux pour commencer votre escapade. Ensuite, il serait bien dommage de passer à côté des incontournables classiques du Huit, comme le César du Huit aux anchois ou le burger auvergnat au bacon, frites maison. La savoureuse tarte fine aux pommes, vanille de Bourbon, ou le délicieux cheese-cake aux fruits rouges n’attendent qu’à être dévorés en fin de repas. Une carte de vins des plus éclectiques En prime du décor royal et de la carte goûteuse, le sommelier de La Table du Huit a sélectionné les meilleures bouteilles, qui s’accorderont à merveille avec vos mets. Quelques grandes références issues des plus grandes régions sont au rendez-vous (Bordeaux, Loire, Jura, Bourgogne, Rhône…). La sélection de champagnes est aussi riche et variée : Dom Pérignon, Vintage, 2006, Moët & Chandon, Brut Impérial, Krug, Rosé… ...
A Saint-Mars-la-Jaille, le restaurant le Chalet fait le bonheur des locaux et touristes de passage, désireux de découvrir une vraie cuisine du terroir. En salle ou en terrasse, la carte traditionnelle illustre le talent et l’inventité de ce chef passionné et décontracté. Un art maîtrisé à la perfection Jean-Marc, originaire du Sud-Ouest de la France, privilégie une cuisine traditionnelle préparée à base de produits bruts et frais issus du terroir local. Ce qui lui a valu une récompense le 15 Décembre 2015 : celle de Maître Restaurateur. Un label témoignant de la qualité et de la fraîcheur de la cuisine proposée. Ce titre de Maître Restaurateur nécessite entre autres l’adoption du circuit court. C’est pourquoi le chef s’approvisionne auprès des fournisseurs régionaux comme la boucherie La Désirade, le Druide du Boisiller, les producteurs bios du wagon pour ne citer que ces exemples. Effectivement, il concocte une cuisine simple et de qualité qui éveille la sensibilité gustative. Il déclare d’ailleurs «travailler les produits locaux différemment.» En résulte alors des plats gourmands comme ces Ravioles d’escargots de Monsieur Leroy aux pleurotes qui sont à tomber. Une cuisine du sud-ouest La formule du midi invite à prendre un menu express à 11€ ou un menu complet à 13€50, avec une entrée, un plat et un dessert, au choix. A la carte, le Saumon fumé accompagné d’une crème légère et d’un pain grillé avec une salade gourmande « la salade Landaise » qui est composée de gésiers, de magret fumé, de foie gras joints à un croustillant de canard est servi en entrée. En plat de résistance, le Civet de Gambas au chorizo comble les gourmands amoureux de bonnes saveurs. Pour finir le repas en beauté : « La Bretonne » une glace à la vanille, double caramel au beurre salé, avec des éclats de crêpes dentelles à la crème fouettée maison. En outre, Jean-Marc travaille énormément le boudin artisanal qu’il a lui-même conçu avec un artisan-boucher-charcutier du coin mais aussi le canard qui est une des spécialités du Sud-Ouest. Quant à la carte de vins, elle est assez éclectique avec une prédominance des vins de Loire et du Sud-Ouest. « L’été, on va privilégier les vins frais (…) Il y a toujours le petit côté découverte», selon le maître des lieux. Les plats de bistrot et service traiteur A la fois restaurant, traiteur et pizzeria, le Chalet satisfait toutes les envies. De nombreuses spécialités incontournables sont à découvrir à la pizzeria : « l’Espelette » préparée à base de fromage, du bœuf épicé, des poivrons, des oignons et des lardons ou encore la pizza « Saint Marsienne » concoctée avec du fromage, du boudin noir artisanal, des oignons et d’une pomme fruit. Pour les événements privés, le service-traiteur se tient prêt à proposer des services personnalisés et peut dresser un devis adapté à tous les budgets. « Nous proposons des plats différents qui nous distinguent des autres traiteurs. Notre clientèle apprécie cette singularité.», confie-t-il. Chaque tapas, tartine, pinchos et autres petits sandwichs espagnols sont réalisés avec des produits de saison. ...
Environ 90% des personnes de plus de 65 ans prennent des médicaments de façon régulière. Le taux d’observance est d’environ 50%. Pour tous ces patients avec 5 médicaments ou plus, Medissimo a créé medipac, son pilulier sécurisé, pour sécuriser la prise des médicaments. Les premiers résultats ont montré que le taux d’observance atteignait 98%, dès le premier mois. Le quotidien d’un patient chronique Jeanne, une personne de 77 ans, en affection longue durée (ALD), prend 6 médicaments par jour sur 4 prises. Sa fille Claire, lui fait ses piluliers en plastique quand elle passe. Mais cette solution est imparfaite et risquée : Chronophage, outre la préparation, il faut aussi assurer le nettoyage quotidien et il n’est pas rare que les médicaments tombent, provoquant ni une bonne hygiène ni le respect du traitement. Elle craint aussi de se tromper en les préparant, ce qui pourrait avoir de graves conséquences pour sa mère. Lorsque sa fille découvre le pilulier medipac, tout change. Elle lui achète chaque trimestre sur internet son set de 12 piluliers pour ses 3 mois de traitement. Au début elle le préparait elle-même, puis elle a décidé de confier cette mission importante à son pharmacien, s’assurant de la bonne préparation des piluliers. Ainsi les médicaments sont bien enfermés dans le pilulier. Grâce à l’application mobile, Claire enregistre l’observance de sa mère quand elle passe. Elle enregistre aussi ses problèmes de tolérance. Et elle peut envoyer le rapport d’observance au pharmacien. Entre deux visites elle s’inquiète moins, elle peut également les espacer. Quant à son pharmacien, il peut suivre l’observance de sa patiente et son médecin peut éventuellement ajuster sa prescription. ...
Construit vers le XIVe siècle sur la commune de Bormes-les-Mimosas, dans le Var, l’imposant Château Léoube a été racheté en 1997 puis complètement restauré par l’industriel anglais Lord Anthony Bamford. Le domaine est situé sur l’un des plus beaux sites protégés d’Europe, au cap Bénat, près de Saint-Tropez, et s’étend sur quatre kilomètres de littoral sauvage. À lui seul, il couvre 560 hectares, dont 68 hectares dédiés à la culture de vignes et 23 hectares à l’olivier. Un domaine viticole exceptionnel Bénéficiant d’une situation géographique exceptionnelle, avec un ensoleillement optimal et une terre ocre-argileuse très généreuse, « le vignoble génère une production annuelle de 450 000 bouteilles de vins blancs, rouges et principalement des rosés, tous certifiés biologiques par le label Ecocert depuis 2011 », rapporte Jean Dubille - Directeur général du Château Léoube. Outre son terroir d'exception, le Château Léoube véhicule des valeurs humaines qui contribuent à son succès. Une équipe de 80 personnes assure le bon fonctionnement des activités de l'exploitation. Parmi elles, figure l’œnologue Romain Ott qui affirme son savoir-faire et sa passion du vin à travers ses cuvées aussi fruitées qu’équilibrées. Des vins rosés dignes des tables gastronomiques Romain Ott et son équipe élaborent une variété des meilleurs crus de Côtes de Provence grâce à un processus de fabrication rigoureux et respectueux de l’environnement. Le Château Léoube se distingue particulièrement par ses vins rosés qui se déclinent sous quatre gammes, à savoir le Rosé de Léoube, le Sparkling de Léoube (rosé pétillant), le Léoube La Londe et le Secret de Léoube, la cuvée emblématique du domaine. Ces deux derniers produits sont des « vins rosés de gastronomie », note Romain Ott. Par ailleurs, même si le vignoble est implanté sur la terre de prédilection de vins rosés qu’est la Provence, il produit merveilleusement des vins rouges structurés et puissants et aussi des vins blancs élégants à déguster avec délectation. Une offre œnotouristique séduisante en bord de mer Le château propose dans sa boutique des dégustations de vins toute l’année et des visites de caves. Cerise sur le gâteau : la plage naturelle du Pellegrin qui se trouve à quelques mètres du domaine est accessible à tous les visiteurs par un parking payant. Là, les parasols du Café de Léoube n’attendent que les vacanciers, avec au menu des produits biologiques locaux, sans oublier les vins de la maison servis sur place. ...
Brasseur d’idées et de bières depuis plus d’un siècle, la Brasserie Duyck se met dans l’air du temps et dévoile ses bières modernes au look branché. Après la Gamme Dégustation lancée en 2017, la Brasserie Duyck innove avec une nouvelle gamme de bières. Avis aux amateurs : la gamme Jenlain de type IPA débarque ! Avec trois saveurs particulières au choix, chacun y trouvera, à coup sûr, son bonheur. Une histoire de famille Tout commence en 1900, l’année où Léon Duyck installe pour la première fois une salle de brassage dans les Flandres, à Zegerscappel. Vingt ans après, Félix Duyck décide de suivre les traces de son père, en installant sa propre ferme-brasserie à Jenlain, un petit village situé à 10 kilomètres au sud-est de Valenciennes. Félix Duyck est à l’origine de la célèbre « bière de garde », qui fera non seulement la notoriété de la maison Duyck mais aussi celle de tout un village. Et c’est également lui qui a eu la brillante idée de conditionner les bières Jenlain dans des bouteilles… peu communes. En 1950, face à la raréfaction des bouteilles disponibles au sortir de la guerre, Félix et son fils Robert trouvent une solution pour le moins originale : vendre leur produit en se servant des bouteilles champenoises. Soixante ans plus tard, la brasserie a gardé ces fameuses bouteilles non sans y avoir apporté quelques touches de modernité. Mais si la maison Duyck a su conserver toute son authenticité, elle la doit en grande partie à son indépendance. Restée aux mains de la même famille, elle est l’une des rares brasseries historiques de la région à avoir su honorer ses valeurs de persévérance et d’indépendance. Jenlain Ambrée, le fer de lance de la maison La première bière de la Brasserie Duyck dénommée « Jenlain Ambrée » a largement contribué à son succès. Véritable signature de la maison, on retrouve dans cette « bière de garde » un style et un savoir-faire unique au monde. Pour confectionner sa bière iconique, la Brasserie Duyck applique la même recette depuis ses débuts. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette bière de fermentation haute, non pasteurisée, possède un gout inimitable. S’habillant d’une robe cuivrée, elle dévoile des arômes de fleurs et de caramel, de fruits cuits et de malt légèrement grillés. Largement reconnue pour la dégustation, la « Jenlain Ambrée » peut être aussi un compagnon idéal en cuisine. Trois nouvelles saveurs En 2014, l’arrivée de Mathieu Duyck, cinquième génération, impulse une nouvelle dynamique et un vent de fraicheur au sein de la brasserie familiale. Sa philosophie ? Faire preuve d’innovation tout en gardant l’esprit et le style propre à la maison. Misant sur le côté design et moderne, Mathieu Duyck dote la marque d’une nouvelle identité visuelle. Résultat, des bouteilles à la forme épurée associées à un packaging tout en sobriété et en élégance. En parallèle, la maison lance une nouvelle gamme de bières de type IPA (type ale, brassé avec du malt pâle), incluant trois recettes originales qui offrent chacune des expériences gustatives différentes. À commencer par la « Summer » ! Celle-ci est élaborée à partir d’un assemblage de houblon « barbe rouge », qui lui apporte des arômes de fruits rouges ainsi que du houblon « centennial » procurant des notes fruitées agrumes. Avec un taux d’alcool de 3,8 %, la « Summer » séduit par sa légèreté, sa douce amertume et son côté fruité. Ce qui en fait une boisson d’été de premier choix. Quant à la « Session », deuxième bière de la gamme, la recette se compose de houblon « Citra » et « Chinook », apportant respectivement des saveurs d’agrumes citronnés intenses et des notes herbacées vertes et boisées. Cette bière blonde présente une am...
La maison a été fondée en 1949 par André Brochot. Actuellement, c’est son fils Francis Brochot qui dirige l’exploitation familiale. Cette maison travaille sur un vignoble d’un hectare établi sur les coteaux sud d’Épernay. Tirant profit de ce prestigieux terroir, chaque cuvée reflète parfaitement le soin particulier apporté aux vignes et à la terre. Un grand respect pour la Nature Une grande cuvée ne s’obtient qu’avec des raisins de qualité. Francis Brochot le sait mieux que quiconque, lui qui, depuis des années, prend soin de son vignoble en privilégiant une agriculture durable et authentique. Animé par un profond respect de la Nature, Francis Brochot travaille la terre « à l’ancienne ». « Mon vignoble n’a cessé d’être labouré, donc sans désherbage chimique, la fertilisation est assurée par des composts certifiés bio », nous explique-t-il. En outre, pour soigner ses vignes, ce vigneron passionné se sert uniquement de pesticides bio. Au moment des vendanges, les raisins sont triés et pressurés au cours de la journée de cueillette. La maison opte pour un pressurage traditionnel vertical. Quant à l’assemblage, il se fait exclusivement à partir des têtes de cuvées de chardonnay ou de pinot noir et meunier. Les cuvées de la maison André Brochot Les champagnes André Brochot se déclinent en trois gammes. La première gamme comprend trois cuvées : « Cuvée », cuvée Sélection et cuvée Millésime. « Pour cette sélection, la vinification a été faite en tête de cuvée pinot meunier », précise le propriétaire. Les cuvées Prestige, Millésime 2005 et Millésime 2010 composent la gamme « Grande Réserve ». Celles-ci sont obtenues à partir de l’assemblage de chardonnay, de pinot noir et de pinot meunier. Enfin, la gamme « Rosé », élaborée exclusivement à partir de pinot meunier, s’exprime en trois saveurs différentes : le brut, le millésime 2007 et le demi-sec. Ayant chacune leur spécificité, les cuvées ont en commun une qualité irréprochable. Ce n’est certainement pas un hasard si la maison André Brochot empile les succès lors de concours prestigieux comme les Féminalise (médaille d’or en 2011, en 2012 et en 2014) ou le concours d’Épernay (médaille d’or en 2011). Preuve que ses produits sortent vraiment de l’ordinaire, la maison a déjà remporté le prix d’excellence au concours général agricole en 2012. Cette distinction récompense la régularité du haut niveau de qualité des champagnes André Brochot. ...
L’UMR 1098 a été créée en 2012 sur les bases de l’unité UMR645. Elle vient d’être reconduite par l’INSERM en Janvier 2017 pour 5 ans. Elle est localisée sur le pôle santé TEMIS des Hauts de Chazal de Besançon, proche du CHRU Jean Minjoz et de l'Institut Régional Fédératif du Cancer de Franche Comté (IRFC). L’unité est dirigée par le professeur Philippe Saas, et les recherches menées s’articulent surtout autour des relations entre le système immunitaire du patient et son greffon lors des transplantations, ou du système immunitaire et sa tumeur au cours de cancers. Des objectifs ambitieux : l’identification de biomarqueurs et de nouveaux traitements, les biothérapies Une des entités pionnières dans le domaine de la recherche translationnelle française, l’UMR 1098, oriente l’ensemble de ses recherches vers deux finalités majeures. En premier plan de ses objectifs, se trouve l’identification des biomarqueurs qui permettent de déterminer les causes d’une pathologie, de comprendre davantage le fonctionnement du système immunitaire dans ce contexte, et d’éclairer ainsi des zones d’ombre. Ces biomarqueurs permettent de distinguer différentes formes d’une même maladie et d’identifier de nouveaux traitements. Les maladies concernées sont la transplantation rénale, la greffe de moelle osseuse, l’autogreffe d’ovaire, des maladies auto-immunes (polyarthrite rhumatoïde, thrombopénies auto-immunes, artérites à cellules géantes,…) et des cancers (du poumon, du colon, les leucémies,…). Ses missions ne se limitent pas aux aspects fondamentaux de la recherche, mais s’élargissent jusqu’à la mise au point des nouvelles thérapies, à savoir le développement de médicaments innovants. Ces médicaments peuvent être basés sur des cellules immunitaires (lymphocyte T) ou d’autres produits du système immunitaire. L’UMR 1098 se trouve donc au cœur de divers défis médicaux majeurs : les réponses immunitaires, les complications liées à la transplantation, l’immunothérapie anticancéreuse, la transfusion sanguine, les biomarqueurs, la physiopathologie des maladies auto-immunes ou la réponse immunitaire antitumorale. Des plates-formes de pointe Afin d’atteindre ses objectifs, l’UMR 1098 a développé une forte collaboration académique et industrielle à l’échelle régionale, nationale et internationale. Elle coopère en effet activement avec des services cliniques des CHRU de Besançon et Dijon, dont le service de transplantation rénale, d'oncologie médicale et le service d’hématologie ainsi qu’avec des laboratoires d’excellence et d’autres entités leaders dans leur domaine, comme le LabEX LipSTIC, le Cancéropôle du Grand Est, l’Institut FEMTO-ST, ou le consortium ECellFrance. Désireuse d’être toujours à la pointe, elle s’est également dotée de différentes de plates-formes technologiques. Sa localisation au sein de l’EFS Bourgogne Franche-Comté lui permet d’avoir accès à des salles blanches abritées par l’EFS suivant les exigences européennes pour la production des médicaments de thérapie innovante (appelé MTI). L’EFS est un établissement pharmaceutique permettant de produire ces médicaments. L’unité dispose aussi d’une plate-forme de Bio-Monitoring pour réaliser des analyses biologiques chez les patients. Cette plateforme est commune avec le Centre d’Investigation Clinique (CIC-1431) du CHRU de Besançon permettant de mener des études cliniques de phase précoce. Une plate-forme d’ingénierie cutanée est dédiée au développement de substituts cutanés. Deux équipes de haut niveau aux compétences complémentaires Les moyens techniques et la promotion de partenariats sont, à l’évidence, essentiels pour les activités de l’UMR 1098. Mais, ce sont ses ressources humaines les véritables leviers de réussite et de concrétisation des projets. L’unité de recherche regroupe effectivement des chercheurs, enseignants chercheurs et cliniciens. Ces derniers permettent de disposer de cohortes de patients, au cœur de ses projets. Quelques 120 scientifiqu...
Bien loin des préjugés, le parcours de Charline Prunier, fondatrice du bureau d’études WENES STAND, est un bel exemple de réussite à la française. En 2007, à seulement 23 ans, elle crée l’agence WENES STAND. Cette toute jeune femme s’engage alors dans une aventure qui n’est pas près de s’arrêter ! Historiquement parisien, le groupe ouvre une seconde agence à Lyon en 2012 sous l’impulsion de sa fondatrice. Puis, pour fêter les dix ans du groupe, une troisième, en 2017 à Nantes. Toujours à l’écoute de ses clients, leurs besoins ont dessiné le groupe Ce désir de placer les besoins de ses clients au centre de la construction du groupe imprègne son évolution. Originellement dédié à la réalisation de stand sur-mesure, c’est le développement de nouveaux besoins client qui a poussé WENES GROUP à créer deux entités : WENES EVENT & WENES AGENCEMENT. Ces deux entités répondent, chacune à leur manière, au développement de l’image d’une marque. WENES AGENCEMENT est dédiée à la réalisation de showroom, bureau, conciergerie ou corner commerciale. WENES EVENT est spécialisée dans la réalisation de structures destinées aux opérations de street-marketing (pop-up store, roadshow ou stand en extérieur). La création de marques dédiées, à contre-pied des conventions du secteur, a fait ses preuves ! En dix ans d’existence, le groupe se place dans le top des agences françaises, avec un chiffre d’affaires de 5.2 millions € en 2017. L’agilité, marque de fabrique de WENES STAND Au fil des ans, le groupe a su s’attacher des marques de renom : • les marques Beko & Grundig dans le secteur de l’électroménager • la marque Giraudi & le label Pays d’Oc en agroalimentaire • les compagnies d’assurances Allianz & Liberty La diversité des secteurs d’activité s’explique par l’agilité dont fait preuve l’équipe. Le soin apporté à la compréhension du secteur d’activité et aux besoins spécifiques d’une marque permet à l’agence d’imaginer des projets innovants, répondant parfaitement aux attentes des exposants. Cette approche sur mesure est la signature du groupe. Ces dernières années, les objectifs ont évolué et les besoins liés aux expositions se sont multipliés. Toujours à l’écoute des exposants, l’agence a créé un nouveau service dédié à toutes les exigences annexes : le service 360°. L’idée ? Offrir un service qui englobe les services satellites propres aux expositions et ainsi libérer l’exposant de toute contrainte. Ce service peut aller de la gestion des invitations salons, à la création d’animations sur stand, ou encore l’organisation de cocktail post-salon. Le savoir-faire des agences s’exporte au-delà des frontières ! Habituée des salons internationaux, l’agence accompagne ses clients dans toute l’Europe. Allemagne, Angleterre, Pays-Bas, les centres d’expositions européens n’ont plus de secret pour elle ! Deux avantages non négligeables pour les exposants français : la facilité de gestion de projet grâce à une proximité géographique et un interlocuteur français. ...
Dès 1929, Emile Refouvelet développe un apéritif à base de racines de gentiane, à Riom-es-Montagnes au cœur du Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. Dès 1930, il est commercialisé sous le nom d'Auvergne Gentiane. C’est en 1962 que naît officiellement la marque Avèze. Un processus d’élaboration authentique ... Les racines de gentiane sont récoltées entre fin mai et mi-octobre, entre 900 et 1700 mètres d’altitude. Elles sont triées puis lavées à la main. Elles sont ensuite disposées de façon inclinée pour un égouttage optimal. Après avoir été découpées en cossettes, elles subissent une macération dans de l'alcool pendant au moins neuf mois. Enfin, viennent les étapes de la filtration et l'embouteillage. Avèze est le seul apéritif auvergnat à être certifié « produit du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne », véritable gage de qualité et d’authenticité. … pour des apéritifs au goût unique La gamme Avèze se décline en 3 variétés : 15%, 16% et 18% vol., se différenciant notamment par une note de gentiane plus ou moins intense. Toutes présentent une robe jaune d’or éclatant. Au nez, l’Avèze 15% vol. est fraîche et fruitée, en bouche sa légèreté et sa douceur contenue mettent en valeur l'amertume traditionnelle de la gentiane. Avec ses notes fruitées, l’Avèze 16% vol. a une attaque ronde et moelleuse, avec une amertume qui apparaît franchement à l'évolution et persiste en finale. Quant à l’Avèze 18% vol., elle se remarque par ses notes de gentiane plus prononcées. L'apéritif Avèze s'apprécie pur avec des glaçons, ou avec de l’eau gazeuse, du tonic ou encore du jus de fruits. Essayez par exemple l’Avèze Cassis : 5 cl d’Avèze, 2 cl de crème de cassis et des glaçons. En savoir plus à l’Espace Avèze Pour tout connaître sur l’histoire et l'élaboration des apéritifs Avèze, rendez-vous à l’Espace Avèze toute l’année sur réservation. Cet espace gratuit présente les 500 espèces de gentiane et l’histoire du volcan cantalien. Une dégustation gratuite d’Avèze est proposée aux visiteurs majeurs. ...
C’est à Marne-la-Vallée, à proximité de Disneyland® Paris, que se dresse cet hôtel inauguré en 2003 et doté de 396 chambres et suites. Perdu dans un écrin de verdure ponctué par un magnifique lac, cet établissement fait partie de la prestigieuse chaîne hôtelière Vienna House qui, depuis 1989, s’atèle à donner le meilleur de chaque pays et de chaque région au service de séjours placés sous le signe de l’inédit. Dans cet esprit, l’hôtel Magic Circus accueille ses hôtes dans le monde féerique du cirque. Couleurs des chambres, motifs et cadres muraux, sculptures ornementales sont autant d’éléments décoratifs rappelant cet univers fait d’enchantement et d’émerveillement. Place à la magie et au charme inégalé du cirque C’est dans un environnement festif, convivial et entièrement non-fumeur que votre famille se retrouvera à l’occasion d’un séjour au sein de cet hôtel unique en son genre. En s’inspirant du monde du cirque, le rouge et l’or restent les couleurs vives prédominantes de chaque recoin du bâtiment, un clin d’œil à ces spectacles drôles et envoûtants qui ont égayé de leur fougue notre quotidien, de précieux souvenirs d’enfance… Déambulez alors dans un espace où tout est fait pour rappeler ce chapiteau enchantereur sous lequel les clowns aux gros nez rouges aimaient nous faire rire à tue-tête, où les ballerines nous éblouissaient de leur beauté, où les magiciens nous emportaient dans leur monde mystérieux, et où les acrobates flirtaient avec le vide pour nous ébahir. Que vous soyez dans votre chambre ou ailleurs dans l’hôtel, imprégnez-vous ainsi des sculptures de chevaux, des images de jongleurs ou du carrousel grandeur-nature et voyez le cirque en entier prendre vie sous vos yeux… Vos enfants pourront d’ailleurs se mettre à rêver dans cette ambiance féerique en profitant d’un coin manèges et de spectacles animés par des clowns et par des acrobates. Une mascotte viendra également animer les petits déjeuners, de quoi donner le sourire à vos bambins qui pourront, par la suite, s’adonner à des activités ludiques teintées d’aventures avec de jolis souvenirs photo et des récompenses à la clé. Pour un séjour propice à la détente Appréciez chaque instant de bonheur passé dans les quelque 396 chambres et suites donnant sur la campagne ou sur le somptueux lac. Ces chambres, entièrement équipées, pourront accueillir toute une famille, grâce aux structures communicantes de certaines, dans un environnement sain, festif, mais aussi élégant. Le restaurant L’Étoile, proposant le meilleur de la gastronomie française, sera propice aux repas familiaux. Les plats généreux et respectant la saisonnalité sont servis sous forme de buffet, de quoi ravir les plus gourmands. Dans le Bar des Artistes, les parents pourront prendre un apéritif et y déguster un vin du terroir ou un cocktail. Par ailleurs, pour les instants-détente, rien de tel que le centre de bien-être avec sa piscine intérieure ou son espace fitness. Découvrez également, à pied ou en VTT, la richesse des environs, notamment celle de la Champagne, des magnifiques villages d’époque, du parc des félins, de la Vallée Village et celle des fameuses et incontournables cités médiévales de la région. ...
Blanc, simple, linéaire, reposant, il est l’endroit idéal pour se poser et réfléchir dans le cadre d’une réunion professionnelle. Entouré de vignes, au calme, il est également le lieu propice au repos du weekend après une semaine de dur labeur. Que l’on décide de profiter de l’agrément de la piscine, de celui du spa ou encore des largesses de Bacchus ou des plaisirs de la table, ce lieu réserve des surprises à chacun. Passez le portail d’entrée et venez découvrir le mariage du confort et des matières contemporaines avec celui de la pierre de taille blanche utilisée pour construire la bâtisse dès le 13°siècle. Passez côté jardin et découvrez la vue magnifique sur la vallée, apercevez au loin la montagne noire et sur la colline en face les tours trapues du Château de Mauriac, demeure des anciens rivaux des seigneurs de Salettes. Laissez-vous bercer par le silence et le chant des oiseaux, laissez-vous baigner par les rayons bienfaisants du soleildu sud-ouest. Des hommes célèbres, d’autres inconnus mais des hommes qui ont fait l’histoire du lieu Depuis le XIIIe siècle, ce Château en a vu des hommes, le Comte de Toulouse, Le Général d’Hautpoul (qui est né dans la tour), Toulouse Lautrec (le lieu a appartenu à sa famille). Au final, Roger Le Net achète la propriété en 1994, avec le château alors en ruines. L’idée folle de la rénovation vient très vite et c’est lui qui fera de ce qui n’était plus qu’un vague témoignage du passé un Hôtel restaurant où il fait bon vivre. Aujourd’hui l’équipe du Château de Salettes vous accueille simplement, et n’a qu’une envie : vous faire plaisir... Quand Bacchus rencontre un disciple d’Auguste Escoffier Le chef propose une cuisine gastronomique, moderne. La carte et les menus suivent le cours des saisons et l’équipe du restaurant cherche toujours quel vin va sublimer le plat, le défi et la recherche de l’accord parfait : « l’équilibre » vin plat (ou accord mets et vins) est proposé pour tous les menus. Découverte des vins du domaine, des vins de Gaillac, de vins de France et même, pour les « aventuriers » J de vins étrangers ! ...
Première appellation du Languedoc et reconnue officiellement comme telle en 1948, l’AOC Fitou s’illustre pour ses grands vins rouges issus majoritairement du carignan, de la syrah, du mourvèdre ou encore du grenache. Son aire géographique s’étend sur le département de l’Aude au sein de plusieurs communes telles que Paziols, Cascastel-des-Corbières, Villeneuve-les-Corbières, Tuchan, Fitou, Caves, Leucate, La Palme ainsi que Treilles. Le vignoble de 2200 hectares produit en moyenne 68 000 hectolitres de vins. Il profite d’une situation particulière : à l’est, l’étang de Leucate, le vent, la sécheresse et les cailloux et à l’ouest, la protection naturelle procurée par le Mont Tauch. Une montagne sise près des Pyrénées-Orientales dont le nom a inspiré celui de l’une des plus grandes coopératives viticoles de la région. De villages en villages, de vignobles en vignobles Idéalement installée au cœur des Pays Cathares, au sein des hautes Corbières sur la commune de Tuchan, la cave coopérative Mont Tauch porte en elle une riche histoire puisqu’elle existe depuis 1913. Elle n’est peut-être pas aussi ancienne que les châteaux cathares qui l’entourent dont le fameux Château d’Aguilar candidat au patrimoine mondial de l’UNESCO, mais sa présence historique atteste de son leadership dans le paysage viticole languedocien. Sa création est née d’une volonté des vignerons indépendants de se regrouper en une communauté à vocation de faire rayonner l’AOC Fitou, l’AOC Corbières, les vins de pays et les vins doux naturels régionaux au-delà des frontières. La cave rassemble aujourd’hui plus de 140 membres et son vignoble compte au total près de 1100 hectares, répartis sur les communes de Tuchan, de Paziols, de Villeneuve-Les-Corbières et Durban-des-Corbières. Chaque village possède un terroir particulier. Si celui de Durban-des-Corbières se veut plus calcaire, les sols de Tuchan sont argilo-calcaires tandis que ceux de Paziols sont majoritairement composés de galets roulés. À Villeneuve-Les-Corbières, les terres sont quant à elles plus schisteuses. Cette grande diversité associée à un climat purement méditerranéen donne naissance à des vins de puissance et de rigueur. Place à une gamme de vins méridionaux Produisant entre 5 à 6 millions de bouteilles chaque année, Mont Tauch possède une gamme de 60 références de vins issus de vignes âgées de 45 ans en moyenne. Certains font la fierté des vignerons à l’instar de la cuvée T de Tauch en AOC Fitou élaborée à base de syrah, de grenache noir et de carignan. Ce rouge présente une robe rubis foncé et révèle un nez à la fois complexe, délicat et fin aux notes de fruits rouges. En bouche, son harmonie et son ampleur veloutée ne manquent pas de séduire. Autre incontournable : la cuvée Hommage produite également sous l’appellation Fitou. Après avoir été élevé en fûts de chêne neufs français entre 9 à 12 mois, il se déguste idéalement avec du gibier, des viandes cuisinées, des fromages de caractère ou de la charcuterie. Avec son nez intense qui évoque les épices et la garrigue et son attaque aromatique qui s’achève sur de la finesse, ce vin de garde sublime un rôti de grives ou un magret de canard Rossini. En AOC Corbières, l’Héritage Hibrini s’inscrit comme une référence de la coopérative. Ce rouge de garde est élaboré à partir de grenache noir, de syrah et de carignan et rehausse à merveille les saveurs d’un tournedos de bœuf au roquefort, d’une souris d’agneau braisée ou d’un gibier en sauce. Dans une volonté d’innover sa gamme et de mieux mettre en valeur son terroir d’exception, la cave coopérative a fait renaître ses vignes centenaires pour concevoir des cuvées vendangées à la main à base de vieux carignan et de grenache noir. Cette initiative a démarré en 2019 et promet des vins de haute volée qui feront le bonheur du public. ...
Une sélection de créateurs Pour explorer les bijoux de ces six créateurs, il faut notamment se laisser tenter par les élégants ballotins ou encore les box gourmandes, tout droit sortis des ateliers de la chocolaterie Puycard. Ce leader incontesté du savoir-faire artisanal suggère d’harmonieuses combinaisons de délices comme de succulentes tablettes faites maison, de gourmandes réglettes de calissons et de délicates barres de nougat dans une même offre à seulement 35,90 euros. Ce maître chocolatier fait, depuis sa création en 1967, le choix audacieux de se passer d’additifs, pour garder intacte la puissance de ses arômes. Avec ses “Cœur de France” et “Cœur de Nantes” , à seulement 21,30 euros, la chocolaterie Philippe Castelane, elle, livre sur chocolaterieonline.com une toute aussi prestigieuse gamme de produits artisanaux. Du haut de ses 25 ans d’expérience, ce maître chocolatier n’hésite pas à innover même lorsqu’il s’agit de proposer des classiques. Des valeurs sûres Chocolaterieonline.com a ainsi choisi de miser sur des valeurs sûres pour convenir au palais les plus exigeants. Les créations de Henri Le Roux avaient donc toute leur place dans ce panel de fines gourmandises. Le maître, qui a mis au point la recette du fameux caramel au beurre salé, vend sur cette plate-forme ses bouchées au praliné craquant et ses coffrets chocolats aux riches saveurs. Ses tablettes chocolat noir Madagascar ou Brésil à 17,60 euros sont un appel au voyage. Tout comme les créations de Sadaharu Aoki. Ce génie japonais qui a su combler les gourmets grâce à un style épuré. Un univers bien particulier, où l’explosion des couleurs se mêle à la diversité des saveurs, dans de surprenants coffrets bonbons maquillage, à 19,80 euros. Ses chocolats taillés avec finesse n’ont pas fini de faire leur effet. Même souci du détail, du côté du leader du praliné belge, Planète Chocolat. Cette enseigne fait dessiner ses petits bijoux par des artistes. Parcourir ses produits est un ravissement pour les yeux et pour les papilles, comme le prouvent ses coffrets chocolats pralinés à 44,90 euros. De véritables idées cadeaux à considérer en période de fête. Tout aussi agréable à regarder et surtout à croquer que les sublimes coffrets chocolat de Pascal le Gac. Ses ganaches et pralinés sont d’une complexité à ravir les passionnés de chocolat. Son coffret amandes enrobées à 28,80 euros promet une belle longueur en bouche et un fondant inégalable. ...