Nature Gourmande est un restaurant à la table fine, connu pour sa cuisine tendance et gourmande à vocation gastronomique. Ses plats d’obédience française mais aussi ouverte sur le monde sont élaborés à partir de produits frais et de saison, soigneusement sélectionnés par le chef en personne… Des gages de qualité et de fraicheur; tant dis que Gwenaëlle prépare les pâtisseries, Pierre œuvre côté salé... chez Nature Gourmande tout est fait en cuisine hormis les glaces et le pain.
Une cuisine fine et inventive
Collaborant avec des producteurs locaux de la Drôme mais également de France, l’enseigne a bâti sa réputation sur l’excellence des produits et des fournisseurs sélectionnés.
Nature Gourmande fait partie de ces adresses absolument à recommander à celles et à ceux qui souhaitent calmer petites fringales ou faims de loup, c’est selon... Blotti dans un cadre végétal et boisé..., le restaurant surprend par sa « formule menu-carte innovante, composée de 3 entrées, 2 poissons, 2 viandes et 3 desserts, où les clients ont la possibilité d’établir eux-mêmes leur menu », tient à préciser Pierre, chef et propriétaire.
Dynamique et inventif, il propose 3 menus : le menu Découverte à 35 €, avec entrée-plat-dessert, avec un choix de poisson ou de viande ; le menu Gourmet à 44 €, avec entrée, poisson, viande et dessert ; et le menu Dégustation, un ensemble d’entrée, de poisson, de viande, de fromage et de dessert, établi par le chef et qui fait office de dégustation pour la table entière.
Durant la saison hivernale, il est particulièrement réconfortant de savourer le menu « Truffe noire de la Drôme », un menu unique concocté avec le « diamant noir » de l’amuse-bouche jusqu’au dessert.
Comme la carte des menus évolue tous les deux mois, les plats-signatures ne sont pas vraiment mis en exergue. Toutefois, on pourrait citer en automne une entrée à base de champignons en trompe l’œil, qu’on laisse aux clients le soin de découvrir à table, ou le foie gras travaillé de manière originale : Foie gras boule de neige, compotée de mangue au poivre de Sichuan, coco et petit pain mollet.
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Le nom du restaurant est tiré des jardins qui entourent le fameux palace de Marrakech et qui furent donnés au prince Mamoun par le sultan en cadeau de mariage. La Mamounia a été ouvert en 1996 par les parents des actuels propriétaires. C’est un endroit convivial et branché, qui convient à toutes les situations : diner en amoureux, déjeuner d’affaires ou tout simplement moment de partage entre amis ou en famille.
Un décor dépaysant
Le restaurant, installé le long des boulevards de Valence, propose un dépaysement total, transportant ses hôtes dans un voyage à destination du Maroc par son décor des mille et une nuits. Son plafond est entièrement fait de marqueterie traditionnelle marocaine (bois sculpté et peint à la main). Tous les éléments du décor sont des authentiques objets provenant du Maroc, depuis le tapis jusqu’au mobilier et aux banquettes, en passant par les assiettes en faïence.
Un chef au parcours atypique
Samir Ouazzani est à la fois le chef et le propriétaire de l’établissement. Cet homme ne s’était pas du tout destiné au métier de la restauration, ayant fait ses études et travaillé dans le domaine des techniques industrielles. Il n’a commencé à s’intéresser pleinement à cet univers qu’à partir de 2005, lorsqu’il a pris la relève de ses parents. « J’ai appris sur le tas, tout doucement, au contact de ma mère d’abord, puis avec un chef de cuisine qu’on a fait venir exprès du Maroc », raconte-t-il. Il propose une cuisine savoureuse et authentique, avec la noble intention de faire retrouver à ses clients la saveur des plats de son enfance.
Un vaste choix de formules gourmandes
« Le restaurant propose une cuisine familiale, trait d’union entre la tradition et de la modernité », explique son chef. Les plats sont élaborés à base de produits frais, issus des producteurs locaux. Les plus gourmands se laisseront tenter par le menu dégustation à 24 €, composé d’une entrée, d’un plat (couscous deux viandes au choix ou tajine au choix) et d’un dessert.
Sinon, il est toujours possible de commander à la carte. En entrée, la tchackchouka, compotée de tomates oignons poivrons, ou la harira et ses dattes Medjool entrainent dans un délicieux voyage à la découverte des saveurs orientales. En plat de résistance, le choix s’avère cornélien entre le tajine zbib, composé d’émincés d’agneau, d’oignons au miel et de raisins secs, et le couscous royal, accompagné d’un assortiment de poulet fermier, agneau, merguez, brochette, sans oublier les boulettes de viande. Pour la touche sucrée, les papilles se régaleront du suprême d’orange à la rose et cannelle.
La qualité et la fraicheur de la cuisine du restaurant lui ont valu une belle réputation à Valence, tant et si bien qu'il ne cesse d’être recommandé par le guide Gault & Millau depuis 1997.
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Ce sont bien les femmes qui ont apporté sa lettre de noblesse à la gastronomie lyonnaise, même si ce sont majoritairement des hommes qui en portent le flambeau de nos jours. Les Mères lyonnaises, ces cuisinières de grandes familles bourgeoises qui ont décidé d’ouvrir leurs propres établissements ont inspiré Serge Chaussy en ouvrant son restaurant « Chez le Père Chaussy ». Leur cuisine était simple et copieuse, avec des accords judicieux qui sublimaient les produits de haute qualité. Cette simplicité a porté haut la gastronomie lyonnaise, si haut que Rabelais s’en est inspiré pour écrire Gargantua. Aujourd’hui encore, certains gastronomes qualifient Lyon de « capitale de la gastronomie mondiale ». Défendre cette image constitue un défi pour les restaurants de spécialités lyonnaises comme « Chez le Père Chaussy ».
Des spécialités Lyonnaises
A côté des illustres bouchons lyonnais, des restaurants comme celui de Serge Chaussy mettent du leur dans cette promotion de la gastronomie lyonnaise. En tant que carrefour entre plusieurs terroirs, Lyon a été comblé par d’excellents produits tels que le bœuf charolais, le poulet de Bresse ou les fromages d’Auvergne. La gastronomie s’ancre d’autant plus à la tradition grâce à la gourmandise des Lyonnais, ces derniers discutent cuisine avant, durant et après le repas. La cuisine lyonnaise initiée par les Mères lyonnaises porte une attention particulière à la qualité des produits qui deviennent les stars des assiettes. Serge Chaussy peut s’en procurer grâce à une bonne relation avec les producteurs locaux. Les abats comme les tripes, le gras-double, le foie de veau ou encore la langue de bœuf y tiennent une place importante. Dans cet esprit, « Chez le Père Chaussy » présente une cuisine raffinée qui propose des poissons, viandes, foies gras poêlés... Il y associe son savoir-faire qu’il a hérité de son père. A part le service quotidien, la maison fait également des repas de groupes pour les évènements de familles tels que les baptêmes ou mariages.
La carte du restaurant « Chez le Père Chaussy » change tous les six mois. Parmi les plats phares figure le tablier de sapeur qui est à lui tout seul un symbole de la gastronomie lyonnaise.
C'est une recette à base de fraise de bœuf coupée en escalope, panée, grillée accompagnée d'une sauce à base de vin blanc, oignons, moutarde à l'ancienne, crème, sel et poivre. Le Tablier de sapeur est servi toute l’année comme certains plats qui sont énormément demandés à savoir la tête de veau, la langue de bœuf et les grenouilles à la persillade.
A côté, le Chef mise aussi sur des touches personnelles créatives dans la carte des hamburgers, valable tous les jeudis et dimanches soir. Il y propose par exemple « Le Père Chaussy » composé de pain, salade verte et tomates, steak haché, médaillon de bloc de foie gras, légumes cuisinés, sauce au foie gras et frites. Pour digérer tout cela, la carte des vins suggère des crus de Gascogne, des Côtes du Rhône ainsi que ceux des domaines de la région comme la cave de Tain ou cave de Sarras.
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Le trafic de la grande voie navigable a fait la richesse de la petite commune de Serrières. Le port était devenu le repère des mariniers qui s’y arrêtaient fréquemment durant leurs voyages d’exploration fluviaux. Ces mariniers ont laissé dans leur sillage des traces de leur passage, qu’il est aujourd’hui possible de découvrir au sein de l’église Saint-Sornin, abritant le célèbre musée des Mariniers du Rhône. On dit que les lieux sont toujours habités par l’âme de ces vieux loups de mer. Tous les trésors liés à la batellerie du fleuve du Rhône, à l’instar des fameuses croix, y sont précieusement entreposés.
Serrières est également jonché de vieux quartiers dans lesquels se trouve un superbe patrimoine bâti. Le soir, au soleil couchant, une balade sur le quai invite à vous délecter de la sérénité des lieux. Après avoir sillonné les rues de la ville, une pause gourmande s’impose. Au 65, quai Jules Roche, Le Bateau d’Émile s’est amarré près du fleuve pour vous faire découvrir son délicieux univers.
Un refuge qui plait aux gourmands et aux gourmets
Le Bateau d’Émile, ce nom vous est familier et c’est tout à fait normal. Il fait référence à ce vieux film sorti dans les années 1960, dans lequel Lino Ventura incarne Émile, un marin-pêcheur qui hérite d’un gros pactole malgré lui. À ses côtés : Annie Girardot, dans le rôle de Fernande Malanpin. Ce long métrage a inspiré le premier propriétaire des lieux, qui a créé le restaurant en 1988.
Vingt-six ans plus tard, Stéphanie et Benoît Durieux reprennent l’établissement au charme certain, localisé sur la N86, en face du Rhône, au pied du chemin qui monte jusqu’aux hauteurs d’Annonay. Ce choix ne s’est pas fait au hasard, puisque c’est ici que notre chef a fait son apprentissage il y a une quinzaine d’années. Afin de faire perdurer ses vieux souvenirs, il choisit de garder l’identité des lieux et le thème du restaurant, mais en y proposant une cuisine d’inspiration. Celle-ci témoigne de sa longue et riche expérience dans le milieu culinaire.
Benoît Durieux bénéficie en effet du titre tant convoité de maitre restaurateur. Cela implique de proposer une cuisine faite maison, réalisée à partir de composants bruts et généralement issus des circuits courts. D’ailleurs, le chef exprime une exigence pointue quant à la fraîcheur et à la qualité des produits qu’il trouve auprès de fournisseurs locaux. Cette rigueur lui permet de réaliser des plats délicieux, revisitant la cuisine classique française avec une touche d’originalité et de créativité.
Ambiance bistro
L’ambiance qui règne à bord du bateau est conviviale et chaleureuse. Vous pouvez vous installer à la terrasse durant les beaux jours. Sise en contrebas de la route, elle est ornée d’une belle verdure offrant un coin ombragé. À l’intérieur, la salle en longueur, avec son grand bar et ses banquettes confortables, dénote un décor bistro.
Le joyeux bateau compte plusieurs abonnés, qui y apprécient l’ambiance décontractée, bien qu’il accueille aussi énormément de touristes de passage.
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Occupant avantageusement l’espace d’un magnifique parc de 4 ha aux arbres centenaires, le Domaine de la Colombière est un ancien château au décor raffiné, où règne le calme exemplaire de la campagne iséroise. Jouissant d’un cadre champêtre sublimé par une superbe vue sur les montagnes, cet hôtel de caractère représente une halte apaisante qui vaut absolument le détour.
Bâtisse de caractère
Le Domaine de la Colombière est une splendide bâtisse à l’ambiance cosy, nichée dans un écrin de verdure qui séduit dans une irrésistible invitation à la découverte. Situé à deux pas de Vienne, ce château de caractère est agencé avec gout et raffinement avec l’arrivée d’une nouvelle direction et où tous les éléments sont réunis pour rendre votre séjour des plus agréables.
À travers un cadre majestueux et un emplacement privilégié, le domaine s’apparente à un havre de paix authentique, où familles, amis et amoureux aiment s’évader. Un lieu propice au dépaysement et qui vaut réellement le détour ! « On peut diner à l’intérieur en ayant l’impression d’être à l’extérieur », selon les précisions de Catherine Heredia, responsable évènementiel.
Un restaurant de très bonne facture
Blotti dans l’immensité d’un parc spacieux, au cœur d’une structure indépendante du domaine, se dévoile un restaurant de 80 couverts à la table raffinée, ouvert sur une jolie terrasse ensoleillée d’une capacité d’accueil de 40 couverts. On se laisse d’emblée agréablement surprendre par l’accueil chaleureux et le service sympathique du personnel, des qualités de nos jours très recherchées et qui font toujours la différence aux yeux des habitués et des clients de passage.
L’établissement dispose également d’un salon VIP privatisable à la demande, pour accueillir des repas privés de 15 couverts, à l’instar d’autres salons disponibles pour différents événements privés d’entreprise ou familiaux.
Le restaurant est particulièrement apprécié pour l’authenticité de sa cuisine traditionnelle semi-gastronomique, où les produits de saison sont particulièrement privilégiés.
Formule à la carte et menus
Parmi les nombreux plats proposés en cuisine, le magret de canard est très souvent suggéré par le chef ou, mieux, réclamé par les habitués du restaurant : il représente en quelque sorte un de ses plats-signatures. Bien que préparé à la bonne manière traditionnelle française, le magret revêt toujours « une petite touche d’originalité à chaque fois », comme aime le préciser Catherine Heredia, notre interlocutrice.
Le restaurant du Domaine de la Colombière propose « 3 types de menus qui changent une ou deux fois par saison », nous indique-t-on. Le menu Tradition laisse deviner ses ravioles de fromage de chèvre de Moissieu, son suprême de poulet fermier de l’Ain farci ou son filet de féra. Le menu Colombière permet de découvrir sa terrine de foie gras de canard au Beaumes de Venise, sa poêlée de Saint-Jacques aux déclinaisons d’asperges vertes ou encore son filet de turbot à la brandade de moules. Sans oublier le menu Gourmand qui « se décline en plusieurs services ».
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A mi-chemin entre Valence et Montélimar, La Treille Muscate est un charmant restaurant-hôtel trois étoiles au cœur du village de Cliousclat. Elle est implantée dans une magnifique bâtisse de pierre typique de la région, recouverte de vigne vierge, calme et paisible et qui jouit d'une vue imprenable sur les villages haut perchés de la vallée de la Drôme provençale.
Une cuisine de saison
A la Treille Muscate, les assiettes du chef Eric Richard sont de véritables œuvres d'art, à la fois délicieuses et élégamment présentées. La toque au Gault et Millau, la fourchette et le Bib gourmand au guide Michelin sont la preuve d'une cuisine d’excellence et raffinée. Le restaurant est également référencé dans de nombreux guides tels que le Guide du Routard, les Tables et Auberges de France, le Petit Futé ou encore le Gault et Millau. De même, il est présent dans le mythique guide du voyageur anglais : Alastair Sawday’s. Variant suivant les saisons, la carte propose en entrée un Foie gras de canard mi-cuit au torchon. Dans la gamme des plats de résistance, l’Agneau des comtes de Provence grillé au thym frais satisfera toutes les gourmandises. Pour clore en beauté le repas, rien de tel que les glaces et les sorbets faits maison présents à la carte toute l’année. Côté cave, la carte de la Treille Muscate est particulièrement bien fournie, avec une belle sélection de vins AOC Côtes-du-Rhône proposés par des vignerons locaux.
Un endroit de charme
Le restaurant la Treille Muscate offre une chaleureuse table dans un environnement calme et reposant propice au repas en famille, entre amis ou en couple. Pour profiter de la belle saison et d'une vue superbe donnant sur le lac, le jardin avec ses 55 couverts et la terrasse de 25 couverts invitent à la détente. Blottis dans ce cadre verdoyant, les convives profitent d’une ambiance conviviale et chaleureuse pour des moments gourmands inoubliables. A l’intérieur, la salle voutée capable d’accueillir 60 couverts, garantit quant à elle une atmosphère plus intimiste. La décoration joue sur les couleurs pour conférer plus de dynamique au restaurant. Les clients s’y sentent comme chez eux grâce à l’ingénieux choix des meubles embellissant les lieux et leur agencement.
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Sous la direction d’Élisabeth, Émilie et André-Yves Piaguet, le Restaurant Nouvel Hôtel Les Jeunes Chefs se distingue par ses mets originaux et raffinés, à prix raisonnable… Se dressant au cœur d’un village ancien entre Die et Crest, dans la commune de Saillans, Les Jeunes Chefs est l’endroit incontournable pour profiter de la nature et découvrir les paysages et les cultures de la Haute-Provence. Au programme : plaisirs culinaires, hébergements et divertissements.
Des préparations culinaires à la portée de toutes les bourses
En étroite collaboration avec un chef exigeant et une équipe de jeunes cuisiniers qualifiée, le restaurant Les Jeunes Chefs propose une cuisine recherchée à base de produits locaux et frais notamment des herbes de la colline drômoise, des volailles, des poissons et des truites. Entre culture culinaire et restauration-culture, les adeptes de la cuisine bistronomique trouveront leur bonheur, en été comme en hiver. Avec des tarifs entre 14 et 34 €, les amateurs de bonne cuisine pourront se régaler dans un cadre convivial et paisible.
« Chez Les Jeunes Chefs, dites adieu aux plats conventionnels et habituels ! » s’exclame André-Yves Piguet, propriétaire des lieux. Non seulement les menus sont renouvelés chaque semaine, mais le chef s’efforce également de proposer une nouvelle carte tous les mois selon les produits locaux et les saisons. Les menus « Petites Faims », par exemple, sont composés d’une entrée et d’un plat ou un plat suivi d’un dessert. Quant au menu « Mise en appétit », différents plats sont proposés tels que de la truite à l’aneth ou des médaillons de volaille. Pour la « Découverte culinaire », les convives peuvent déguster des mets à base de poissons, de viande ou de volaille. « Il est trés important pour nous de spécifier que nos mets sont positionnés Coeur de Drôme : produits de la vallée et de la colline» déclare notre interlocuteur.
Les amateurs de vins ne sont pas en reste. La carte reste éclectique pour satisfaire toutes les envies, même si elle réserve une place de choix aux Côtes-du-rhône dont une référence très appréciée, « la Clairette de Die, un vin emblématique de la Drôme », selon André-Yves Piguet
Un lieu d’hébergement incontournable
Les Jeunes Chefs, c’est aussi un hôtel proposant des chambres doubles, triples ou familiales, à prix attractif. Il dispose de sept chambres pouvant accueillir jusqu’à quatre à cinq personnes selon la formule choisie.
Soigneusement aménagée avec des décors africains, la salle à manger de l’olivier est conçue pour recevoir jusqu’à vingt-six couverts par service, voire plus si besoin est. La terrasse des Lauriers rouges, quant à elle, offre une vue imprenable sur les paysages environnants.
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Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse.
Ancien point relais de diligence
Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône.
Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin…
Pour le plaisir des papilles
Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …).
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Installé en plein centre de Saint-Étienne, non loin de l’intersection de la rue Léon Nautin et celle des Martyrs-de-Vingré, l’Absinthe Café est le lieu d’une cuisine moderne, originale, aux inspirations thaïlandaises et japonaises. Le propriétaire des lieux David Durand, et son associé et chef Thomas Jacoud, ont fait de ce café de quartier piéton, une adresse de dégustation gastronomique attirant du beau monde.Les convives de passage profitent ici de plats revisités aussi succulents les uns que les autres.
Des plats originaux et variés
Dans cet univers culinaire, les hôtes prennent placent à des tables, n’attendant plus que les douceurs élaborées aux fourneaux par Thomas Jacoud. Ce chef qui est passé par une école hôtelière traditionnelle, des stages dans de belles maisons gastronomiques et restaurants étoilés, orchestre avec soin une cuisine originale qui change au fil des saisons, avec mise en avant des produits du terroir stéphanois.
La maison propose à cet effet, des plats signatures tels que la tarte fine de morilles au parmesan et à l’huile de truffes comme entrée, ou encore le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison comme plat principal. Ce dernier est une interprétation du classique bœuf bourguignon. Il est fait à base de bœuf mijoté longtemps à feu doux pour donner une viande compotée à la texture effilochée, tendre et fondante en bouche, accompagnée de lardons et d’oignons. Des bouchées revisitées sous la forme de makis de bœuf bourguignon. Pour la garniture, en guise d’algues qui rappellent l’inspiration du chef pour la cuisine japonaise, des spaghettis de carotte. La composition forme un ensemble original avec au centre du hachis de bœuf accompagné de lardons et d’oignons. Des makis servis avec des pommes dauphines.
Parmi les desserts signatures, le « croustillant de marron meringué ». Ce dessert est orchestré à partir d’une pâte à langue de chat très fine dans laquelle on met une mousse de marron. Le biscuit est ensuite roulé dans la meringue italienne, puis dans un craquant au praliné.
Les clients apprécient d’autres délices comme « La minute de saumon » qui est un plat du midi reflétant l’identité de l’Absinthe Café. Ce dernier est élaboré avec un saumon levé et finement découpé comme un carpaccio qu’on étale dans une assiette, puis passé au four quelques minutes pour être mi-cuit. Le tout est recouvert d’une sauce beurre d’aromate composée à partir d’échalotes, de citron vert, de sauce soja et beurre noisette.
Egalement à la carte, des recettes asiatiques comme le tataki, ou encore le dashi qui est un potage japonais.
Une carte des vins raffinée
L’absinthe est la boisson phare de cette généreuse adresse aux allures de bar, et à l’ambiance décontractée. Plusieurs variétés de ce spiritueux y sont servies, toujours de manière classique à l’aide de grandes et magnifiques fontaines, dans des verres traditionnels accompagnés d’une cuillère et de sucre. Les convives peuvent ainsi profiter d’une dégustation d’absinthe classique, de grande absinthe, d’absinthe parisienne, fait Suisse, et même à la française pour ceux qui exige la qualité. A cet effet, nous avons des noms tels que la Fée XS Suisse, l’Absinthe Pernod, et la Fée Parisienne.
Egalement des vins rouges à la carte avec l’AOC Gigondas Saint-Joseph, qui se marie bien avec le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison. L’élaboration de celui-ci passe par un encépagement au Syrah, roussanne ou marsanne. Équilibré et élégant, c’est un vin fin à la robe pourpre soutenue, dégageant des senteurs de cassis et framboise évoluant vers une note de réglisse et de cuir.
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Gourmands et gourmets se plairont à côtoyer la table d’Abdel Barakat, chef en cuisine au sein du Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné. Ce locavore aime concocter des plats simples et savoureux qui transportent les convives dans un univers où se mêlent saveurs traditionnelles et exotiques.
Les ravioles : un plat emblématique
Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, un nom qui n’a pas été choisi au hasard. Bien au contraire, il a été mûrement réfléchi pour correspondre parfaitement à l’esprit de la maison.Celle-ci se veut aujourd’hui être l’une des ambassadrices des ravioles artisanales, une spécialité romanaise et qui sont directement commandées auprès de Chez Hostache, à Montlaur-en-Diois ou bien au Grand Goulet, à La Chapelle-en-Vercors.
Le chef Abdel Barakat aime travailler de mille et une façons ce produit romanais. Il est intéressant de savoir qu’à la base, celui-ci est constitué d’une pâte de farine de blé tendre, d’œuf et d’eau qui est garnie d’emmental ou de comté, de persil sauté au beurre. Mais au Bistroquet de l'hôtel du Dauphiné, vous ne le trouverez jamais préparé de la même manière. Laissez-vous séduire par les saveurs originales des ravioles à la crème de citron et ciboulette, des ravioles aux morilles, des ravioles au gingembre ou encore des ravioles en crumble de noix qui sont de nouvelles recettes développées par le chef.
Un amour fort pour le terroir
Bien entendu, la carte du restaurant ne se contente pas de proposer cet unique plat. Vos papilles seront forcément comblées par les nombreuses suggestions gourmandes élaborées avec passion et créativité par Abdel. Pour finir, place à des desserts plus classiques fait maison comme la tarte aux noix et caramel ou le vacherin.
Vous l’aurez compris. Au Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, la cuisine du terroir est à l’honneur. « J'essaie de mélanger un petit peu ma passion avec la cuisine méditerranéenne et traditionnelle » raconte le chef Barakat. Toujours dans le respect du produit, ses propositions culinaires mettent en avant sa créativité. Pour travailler, il puise dans la richesse du terroir et aime tout ce qui est « bio ». Véritable adepte du circuit court, il a tissé des relations privilégiées avec plusieurs producteurs locaux œuvrant aux alentours.
Un restaurant chaleureux
Le Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné est installé dans une bâtisse datant du XVIIIe siècle située en bord de route,dans le centre du village, à l’angle de la rue principale de Chatillon-en-Diois. Le propriétaire décide d’apporter un peu de fraîcheur et d’innovation dans l’établissement le transformant ainsi en un lieu cosy et chaleureux.
Vous pouvez vous installer à l’intérieur pour profiter de plus d’intimité ou investir les deux terrasses lorsque le temps le permet avec en toile de fond, la superbe falaise du Vercors. Tout est fait pour que vous vous sentiez à l’aise. A l’accueil et au service, une équipe avenante et chaleureuse est à votre entière disposition et fait de votre passage un pur moment de plaisir.
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Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque.
Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur.
La gastronomie Poyet
Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche.
Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère.
Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix.
Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues.
Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef.
La carte des vins
La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région.
Le cadre
Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local.
La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour !
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« C’est un peu une cuisine de voyage. » C’est sur cette phrase que la chef du restaurant Zakhang décrit ses créations culinaires. Cet établissement situé sur le quai du bord de la rivière d’Isère doit son nom au terme tibétain za khang, qui signifie « restaurant ». Il faut dire que tout le concept du restaurant s’inspire de ce pays asiatique situé au nord de l’Himalaya.
Étant cosmopolite, le restaurant explore aussi les techniques culinaires issues d’autres contrées pour plonger ses convives dans cet esprit de voyage.
Une cuisine traversant les mers et les océans
Dans l’élaboration de ses plats, la chef s’inspire d’une diversité de produits tels que les condiments japonais, le chutney d’ananas et la sauce Maratika (du nom de la grotte népalaise), une sauce aux épices découvertes lors de ses voyages dans ce pays. « Ma cuisine s’inspire de ce que j’ai pu gouter en Inde, au Népal, en Chine», confie-t-elle. Effectivement, un repas au Zakhang est une invitation à la découverte de nouvelles saveurs exotiques qui ravissent les papilles.
L’établissement propose, le jeudi et le vendredi, une formule midi comprenant une entrée, un plat et un café gourmand à 15 €. Lors de notre passage, nous avons eu plaisir à déguster le panna cotta au maïs et son coulis de poivrons rouges en entrée. Un succulent cabillaud sauce kéfir, curcuma a été servi en plat de résistance.
Outre ses formules du midi, le restaurant propose aussi une carte qui suit la saisonnalité. De l’entrée au dessert, les plats sont agrémentés d’épices exotiques qui subliment les saveurs des produits frais utilisés.
Pour commencer, les fins gastronomes se régaleront d’une soupe sauvage, bruschetta au lard de Colonnata. Ici, les saveurs italiennes sont mises en avant, notamment ce lard, un produit typique de la charcuterie italienne élaboré à Colonnata. En plat, le suprême de pintade sauce au poivre de Tasmanie mise aussi sur ce mix liant tradition et exotisme. Pour finir, le black pearl : chou noir à la crème d’hibiscus, crème glacée au poivre rouge du Sichuan.
Une carte des vins bien élaborée
Zakhang propose une carte des vins assez éclectique. « Au départ, on pensait faire dans un rayon de 300 km de Grenoble en incluant les vins italiens, les vins de Savoie…Mais on a aussi un peu élargi à des vins de Bourgogne, des bordeaux et quelques vins d’Alsace », raconte la chef.
Parmi les vins issus de la vallée du Rhône et du Languedoc-Roussillon figure le Crozes-Hermitage blanc AOP 2014 du domaine du Colombier aux senteurs d’arômes floraux. Et dans la série des vins de Bourgogne, le restaurant suggère du Mâcon-Cruzille « Les Genevrières » AOP 2013 du domaine Guillot-Broux, qui fait la fierté du terroir. À déguster également : l’Alsace blanc Riesling 2013 du domaine Dirler-Cadé et le vin italien Chianti rouge 2013 de Fattoria Montellori.
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Le mécanisme du moulin tourne encore, non pas pour moudre le grain mais pour servir de valeur ajoutée au repas des convives dans les salles. L’eau qui actionne la roue vient de la petite rivière du Garon qui longe la terrasse. C’est un aperçu de ce qui attend les gourmets durant une pause gustative au restaurant Le Petit Meunier. Les assiettes et les vins y sont d’une grande variété, alliant tradition et modernité.
Une qualité issue de la tradition
Jérôme privilégie une cuisine du marché, donc très variée. Il travaille aussi bien les poissons que les viandes et légumes. Le Petit Meunier se trouve à Messimy, petite commune sise à côté de Thurins connu comme étant la capitale de la Framboise. Ce fruit fait donc partie des produits phares de la maison et reste très apprécié en dessert. Le restaurant Le Petit Meunier est particulièrement exigeant sur la présentation des assiettes, mais surtout sur la qualité et la fraîcheur des produits. Pour s’en procurer, les propriétaires favorisent le circuit court en construisant des relations avec les producteurs locaux. Ils font même partie d’une association de producteurs et de restaurateurs de la région. Le restaurant présente une carte gastronomique qui change tous les six mois, des plats du jour ainsi que différents menus tels que le menu des saveurs, le menu des délices, le menu prestige et le menu enfant.
Pour une belle entrée en matière, le Chef suggère des Saint Jacques juste poêlées et croquettes de pied de porc pannées accompagnées d’une crème aux lardons et romarin. C’est une recette qui plait énormément aux gourmands et gourmets car elle incarne un parfait mariage entre terre et mer. En plat principal, il faut choisir entre des assiettes de poissons comme le Pot au feu de Lotte, gambas et légumes oubliés ou les préparations à base de viandes telles que le Cœur de Ris de veau sauté à l’ail, servi avec le jus corsé de veau. En dessert, le sablé spéculoos avec sa mousse mascarpone et ses framboises fraîches est un clin d’œil de Jérôme Gagneux à Thurins. Pour accompagner tout cela, la maison suggère des vins très variés. Parmi la sélection, le Coteaux-du-Lyonnais issu domaine du Clos Saint Marc fait partie des plus prisés.
Un cadre à l’image de la cuisine
Comme la cuisine, le cadre allie également l’ancien et le moderne. Dans une salle aux poutres et murs de pierres apparentes, les convives peuvent manger au coin de la cheminée en contemplant le mécanisme du moulin à travers la grande baie vitrée. Les douces vibrations de la roue accompagnent cet instant gourmand. L’ambiance est beaucoup plus moderne mais tout aussi chaleureuse dans l’autre salle.
La réception d’évènements
Le restaurant Le Petit Meunier est disponible pour différentes réceptions personnalisées, avec buffet ou à la carte. Il accueille les repas d’anniversaire, les réunions de famille ou les fiançailles.
D’autres évènements se sont également déroulés au Petit Meunier comme la 30ème Soirée Network du Club Plaisirs Gourmands, des chefs d’entreprises qui veulent développer leur réseau professionnel et leur business à travers la gastronomie. Dernièrement, l’établissement a organisé un « repas dans le noir » un geste de solidarité au profit de l’Ecole des chiens guides d’aveugles à Marcy l’étoile.
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À travers une cuisine à base de produits frais à l’ardoise et les remarquables talents du chef Sonia Martinez, l’Athanor est un lieu de restauration qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Dans une belle découverte tournant autour d’une démarche de circuit court, les plats faits maison et de marché sont mis en avant et constituent les particularités de la maison. L’Athanor offre un cadre convivial à l’ambiance cosy qui est une véritable invitation aux plaisirs gustatifs.
Une cuisine simple et gourmande aux saveurs de la Méditerranée
À travers des plats traditionnels simples à base de produits du terroir et aux notes fraîches, Sonia Martinez se démarque par sa cuisine gourmande à l’authentique saveur de la Méditerranée, une cuisine chaleureuse aux couleurs de soleil qui fait le bonheur de tous ceux qui ont eu le privilège d’y goûter. Dynamique et talentueuse, Sonia Martinez use de petites touches personnelles dont elle seule a le secret, pour émerveiller nos papilles. La carte qu’elle partage avec un plaisir chaque fois renouvelé, privilégie aussi bien le poisson que la viande. Saint-Jacques poêlées au Cognac, filet de merlu, gigot d’agneau et andouillette grillée prennent une saveur particulière dans sa cuisine, sans parler de sa tartiflette et de son pot-au-feu, qui sont également de belles découvertes préparées avec le cœur.
Un restaurant à l’ambiance familiale et au cadre entièrement revisité
Pour la petite anecdote, l’Athanor est baptisé du nom du célèbre four bien connu des alchimistes ayant pour vocation de transformer le plomb en or. L’établissement rappelle notamment le décor feutré d’une maison familiale avec du mobilier en bois et des murs aux coloris jaune tendre. Dans une ambiance chaleureuse et bien affirmée au fort sens esthétique, le restaurant propose des plats au dressage raffiné et aux belles présentations, inscrits à la bonne franquette sur un grand tableau.
Des produits faits maison
Passée maître dans l’art de travailler la majorité des produits, Sonia Martinez accorde une attention particulière dans le choix de ses producteurs et fournisseurs locaux. « Certains sont des connaissances de longue date et d’autres, repérés sur le marché, mais je n’exclus pas le fait de travailler également des produits issus de l’extérieur selon le cas » explique-t-elle. À partir de produits coup de cœur et de saison, elle compose une cuisine faite maison à base d’ingrédients résolument frais.
Une carte réduite avec des plats-signatures ou en suggestion
L’Athanor est un restaurant qui se démarque par une carte particulièrement réduite sans menus fixes où « chacun prend ce qui l’envie » nous souffle la chef. L’établissement fait également partie des rares restaurants sans formules qui acceptent le fait que le client ne commande qu’une entrée ou qu’un dessert. Même si l’établissement n’a pas de carte fixe, certains plats reviennent assez souvent de par leur succès auprès des clients, notamment le foie gras au torchon maison qui en aucun cas ne peut être rayé de son tableau, ni d’ailleurs le pistou de saison ou encore la marinière de coquillages.
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Installé au portes du Forez, à Saint-Cyprien, le restaurant Autour du tilleul est un établissement à l’ambiance cosy, où l’on propose une cuisine moderne et créative, préparée à base de produits bruts sur commande.
Le fait maison à l’honneur
Bien connu des habitués constitués majoritairement d’une clientèle d’affaires, l’établissement reçoit également des familles et des amis, surtout en weekend. Privilégiant le concept du circuit court Werner Coetzee, chef et propriétaire des lieux, ne cuisine que du frais et achète ses produits localement à la source. Il faut dire que le restaurant est très strict sur la qualité de ses matières premières, donnant aux clients le privilège de goûter à une cuisine préparée entièrement à la main : « Que du frais, tout est fait maison », assure Juliane Méric, son épouse.
Sens du détail et de la présentation
Werner Coetzee se plait à préparer des assiettes aux belles présentations, où chacune est décorée à la manière d’un tableau auquel se mêle une savante association de couleurs et de saveurs intégrant des plantes aromatiques, des légumes, des herbes et des fleurs de bourrache.
L’établissement Autour du tilleul est particulièrement connu pour ses plats signatures qui mettent en avant le carpaccio de bœuf charolais en rosaces avec une salsa verde. Pour accompagner ce plat, Juliane Méric propose un vin de Nouvelle-Zélande : « le Marlboro, un sauvignon blanc extrêmement parfumé, qui se marie à la perfection avec la plupart des entrées », explique-t-elle.
La viande charolaise est également une spécialité de la maison et s’accompagne idéalement de « vins qui ont du gout » comme le Saint-Joseph ou encore le Côtes-du-Rhône. La ballotine de lote farcie à la mousse de gambas aux asperges et petit pois, servie avec un consommé safrané présenté en bol ainsi que le barreau d’agneau grillé avec des ris d’agneau et des petits pois à la menthe ont aussi du succès auprès des fins palais. Selon Juliane, « le vin qui se marie le plus à la lote serait le Chablis ou le Chardonnay alors que, pour l’agneau, ce serait plutôt le Saint-Nicolas de Bourgogne ».
Dans la liste des desserts, les brownies à la Guinness, une spécialité irlandaise revisitée à la manière du chef, accompagné d’une boule de sorbet de glace artisanale fait toujours l’unanimité, sans parler de l’incontournable crème brulée à la lavande servie avec un petit biscuit maison, et aussi la meringue à la crème glacée accompagnée d’un peu de crème anglaise, de salade de fruit et de caramel en dentelle, décrite par Juliane Méric comme « une ile flottante qui ne flotte pas ».
Une déco épurée
Juliane Méric décrit Autour du tilleul comme étant un « restaurant au décor assez épuré » avec des fonds naturels où peinture couleur de dune et terracotta font bon ménage. Elle évoque notamment trois belles peintures qui illuminent de manière significative le restaurant, illustrées par « un triptyque géologique » et qui fait référence aux montagnes de l’Afrique du Sud, aux sommets des Alpes et à la Chaussée des géants en Irlande. Autour du tilleul baigne dans un décor convivial où l’on se sent décidément comme chez soi.
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Faisant partie des 180 hôtels relais du silence, le Moulin de Valaurie est un havre de paix blotti dans un cadre sain et écologique, au sein du département de la Drôme dans la région Rhône-Alpes. Cet ancien moulin en pierres apparentes se trouve effectivement dans un parc arboré de 4 hectares proposant une véritable immersion au sein d’une nature enchanteresse.
Paysage marquant et spacieux
Détente, gourmandise, confort : ces trois mots suffisent amplement à décrire le Moulin de Valaurie. Situé à quelques kilomètres de Grignan, à la sortie de Valaurie, l’établissement prône le plaisir des pupilles et celui des papilles. Dès leur arrivée, les convives se laisseront surprendre par l’ambiance provençale qui plane dans cet ancien moulin rénové aux volets bleus/lavande. Dans le restaurant, la salle éclairée par les baies vitrées inspire calme et douceur. Installée confortablement sur leur chaise, les clients prendront plaisir à admirer l’environnement bucolique et enchanteur proposé à l’extérieur. Pour ceux qui aiment plutôt le grand air, la terrasse ombragée sous les platanes offre un espace épuré propice à la dégustation des merveilles du chef. Dans un très grand jardin verdoyant et fleuri, le parfum de lavande procure bien-être et sérénité.
Un gage de qualité et de créativité
Reconnu pour sa cuisine provençale, le chef Eric Berthillot revisite à la perfection les recettes traditionnelles françaises en privilégiant les produits frais et de saison, qui sont essentiellement issus du terroir. Le potager bio de la propriété s’étendant sur une superficie de 3000m2 lui fournit les légumes et fruits et la totalité des herbes de Provence telles que le thym, le romarin, et la sauge. Les autres produits contribuant à l'élégance de son art culinaire sont soigneusement sélectionnés par le chef auprès des producteurs locaux. Original et créatif, il prépare uniquement des plats gourmands fait-maison. Renouvelée tous les deux mois, la carte du Moulin de mai 2016 est une ode à la gourmandise avec ses innombrables suggestions. En entrée, le Foie gras de Canard de la Vallée de Limagne, cuit en terrine fait voltiger les papilles. Laissez-vous ensuite séduire par les saveurs de l’Epaule d’agneau confite et fondante. Au dessert, l’incontournable Gâteau à l’orange servi avec un sorbet orange sanguine et des tuiles au romarin fait partie des mets phares à ne pas manquer dans le restaurant. A midi, la maison sert une formule spéciale composée d’une entrée élaborée avec les produits du potager, d’un mitonné du jour ou de poisson ou viande du moment et d’un dessert ou de fromage. La formule composée de trois plats est à 29 euros.
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Midi et soir, la Brasserie Flow vous accueille tous les jours pour passer un moment agréable et chaleureux.
Une carte de saison
Après avoir posé vos valises dans votre chambre d’hôtel, ou même si vous êtes simplement de passage dans le secteur, prenez la direction de la Brasserie Flow. Vous y découvrez une cuisine faite maison et préparée à partir de produits de saison. Une cuisine généreuse, ouverte au Monde et reconnue par le label Maitre Restaurateur, telle est la politique des gérants de l’établissement.
Les clients n’en sont que conquis !
À savoir : renouvelé tous les 4 ans, le titre Maitre Restaurateur s’obtient après un audit de contrôle réglementé par l’état. Il certifie que le restaurateur possède une certaine expérience, travaille uniquement à partir de produits bruts et frais tout en garantissant une grande qualité de service.
En bref : c’est un gage d’excellence.
Un établissement chaleureux
Ce qui interpelle quand on se rend pour la première fois dans la Brasserie Flow, c’est sa clientèle d’habitués et le fait que le couple de gérants vient passer du temps avec chaque visiteur. En effet, afin de rendre leurs clients heureux, chaque accueil est personnalisé. Que ce soit pour un brunch, un menu en soirée étape, un moment en tête à tête, un mariage ou un repas professionnel, l’équipe fait son maximum pour que vous soyez des plus comblés.
Un salon privatif est aussi à votre disposition pour accueillir vos évènements (soirée d’entreprise, anniversaire, etc.) d’environ 50 personnes.
Belle adresse à tester !
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Situé à quelques pas de la rive gauche du Rhône et du quartier de la Guillotière, La Cocagne est un restaurant qui cultive le « bien manger », tout en invitant ses convives à la détente. Ce bel écrin, détenant un « certificat d’excellence TripAdvisor », est le lieu d’une cuisine riche des voyages culinaires entrepris par les deux propriétaires à travers le monde. Une cuisine qui offre un rapport qualité-prix exceptionnel, en plus du service professionnel.
Tradition culinaire française à la sauce méditerranéenne et lyonnaise
Les délices du restaurant sont tirés des classiques de la cuisine française, ainsi que des inspirations méditerranéenne et lyonnaise. Ici, les produits sont frais, la cuisine faite maison, le terroir de Lyon mis en valeur dans des préparations se rapprochant des saveurs d’ailleurs. Aux fourneaux, les recettes sont fabuleusement élaborées par Sandrine Bernard. Celle-ci a déjà eu à faire ses preuves dans des restaurants tels que la « Meditrina » et « Un Moment à Part », toujours à Lyon. La carte change environ tous les trois mois, mais quelques plats et desserts reviennent de temps en temps. Des desserts du soir, comme le pain perdu au caramel au beurre salé, qui est un peu comme une signature de la maison et très apprécié par la clientèle. En guise de plat, tartare du chef et ses frites maison, assaisonné d’épices chinoises du Sichuan dont a le secret Sandrine.
Par ailleurs de nouvelles recettes sont souvent testées pour le plus grand plaisir gustatif des hôtes. C’est le cas du vitello tonnato et ses frites de polenta. Une savoureuse recette italienne de tranches de veau cuites au lait, et nappées d’une sauce au thon et aux anchois. Egalement à la carte, des salades à l’instar du céviche de cabillaud, qui est une recette péruvienne élaborée à partir d’une petite marinade d’oignons assaisonnée avec du piment et du jus de citron. Le mélange va saisir les filets de cabillaud qui vont ensuite être débités, pour intégrer la marinade en accompagnement de coriandre fraîche. La cuisine du restaurant propose un ticket moyen aux alentours de 18 euros.
Sylvain Armand de son côté, propose de très belles bouteilles se mariant à la perfection avec la cuisine de Sandrine Bernard. Celles-ci sont servies en verre ou à la bouteille. En accompagnement du vitello tonnato, un Gamay coteaux du Lyonnais vinifié à Taluyer en agriculture cloisonnée. C’est un vin rouge peu gras sur la longueur et conseillé pour ne pas écraser la saveur du vitello tonnato qui est un plat servi frais. Le tartare du chef et ses frites maison étant plus fort, il peut être accompagné avec un AOC Vacqueyras du Domaine Colline St Jean coûtant 29 euros. Celui-ci est suffisamment soutenu pour tenir les épices de la maison.
Esprit bistrot et ambiance cosy sans chichi
Cadre chaleureux au sein d’une rue paisible avec vue directe sur Fourvière et sur l’Hôtel-Dieu de Lyon, le restaurant La Cocagne accueille dans une ambiance à la bonne franquette. L’établissement affiche un décor boisé au minimalisme épuré très convivial, façon bistrot lofté. En terrasse, bon air et vue imprenable permettent de savourer chaque bouchée. La conception et le dressage des tables sont très particuliers, de même que le traitement acoustique qui fait des vagues sur du panneau de chêne. L’espace quant à lui est aéré et bien éclairé. En soirée, la lumière tamisée offre aux couples un moment privilégié dans le petit étage aménagé à l’intérieur. C’est aussi une adresse privilégiée pour les sorties en famille et entre amis.
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Revendiquant exclusivement une cuisine fraiche et de saison, L’Amboise est une adresse lyonnaise qui fait le bonheur des locaux et des touristes de passage. La maison mise sur une décoration simple et épurée, relevée d’une petite touche industrielle, qui garantira le bien-être et le confort de chaque convive. Le grand bar métallique installé près de l’escalier attire l’attention.
Au tableau le midi, à la carte le soir
L’Amboise restaurant propose une cuisine française, fondée sur de bons produits frais et de saison. Ces derniers peuvent être issus du label rouge, origine France, mais également du marché et des structures qui mettent en lien les producteurs avec les restaurateurs. Néanmoins, la majorité provient de la région. Le chef apporte sa touche personnelle pour se distinguer et surprendre les gourmets.
Le midi, pour répondre aux besoins des clients pressés, L’Amboise suggère une cuisine rapide, préparée bien entendu avec des produits frais et de saison. Le tableau affiche trois entrées, à l’exemple des salades Océane et César ou le velouté de légumes anciens. En plats, les convives ont le choix entre trois propositions, dont la brandade de poisson, le dos de lieu jaune au citron confit et l’omelette aux herbes. En dehors du plat du jour, les plats qui figurent au tableau peuvent y rester jusqu’à une semaine, selon la disponibilité des produits.
La pause gourmet est plus calme le soir. Les convives prennent plus leur temps pour apprécier les suggestions à la carte qui changent tous les deux mois. Nombre d’entre eux viennent avant l’ouverture ou à la sortie du théâtre des Célestins qui se trouve à proximité. L’Amboise propose des terrines maison, des petits légumes au bouillon thaï ou du gravlax de saumon en entrée. La suite peut s’orienter vers des noix de Saint-Jacques avec sauce au chorizo ou un secreto de porc ibérique façon saltimbocca. Il faudra quand même laisser de la place pour les desserts : mousse au chocolat à la fève tonka, blanc-manger coco et passion ou tarte au pamplemousse et mousse à la vanille bourbon de Madagascar.
Pour accompagner le repas, la maison privilégie les vins de la région. Si le choix du vin lui revenait, elle sélectionnerait la Grande Gallée rosé de Régis des Côtes, un vigneron situé dans le village de Millery. Celui-ci est très apprécié par la clientèle de L’Amboise. La Grande Gallée existe aussi en blanc.
Les salles du restaurant
L’Amboise restaurant peut recevoir jusqu’à 40 personnes, dont 22 à l’étage et 18 au rez-de-chaussée. Les deux salles sont privatisables pour les repas de groupe. Le rapprochement des tables rend l’ambiance chaleureuse. La belle hauteur sous plafond et les matériaux bruts comme le bois ou l’acier donnent au restaurant une allure chaleureuse et authentique.
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Lyon est connu pour ses Théâtres et Odéons Antiques et Gallo-Romaine ou ses musées miniatures et cinéma ou Gadagne. Mais à côté de ce décor touristique, le Vieux Lyon cache dans ses petites rues pavées des restaurants qui proposent la découverte de la ville et de la région avec des saveurs insoupçonnées. Parmi eux, La Morille accueille ses convives dans un cadre simple et cosy de la Rue Mourguet. Une adresse surprenante pour les gourmands et gourmets animés par la faim et la curiosité.
Une décoration simple et chic
La Morille est un restaurant situé entre la cathédrale Saint Jean Baptiste et l’église Saint George, à la sortie de métro du Vieux Lyon. La proximité est privilégiée dans cette petite salle sympathique, sobre et sans prétention. La grande façade entièrement vitrée se présente comme une invitation à table. Depuis la rue, on peut y voir la salle au complet et la cuisine ouverte où le Chef s’active pour émerveiller les papilles. Elle laisse également la lumière du jour illuminée la salle à manger.
Les matériaux naturels comme les murs de pierres apparentes donnent toute son authenticité à l’établissement. Il en est de même pour le bois de poutres apparentes du plafond de la mezzanine, celui de l’escalier qui mène vers cette dernière et celui des tables qui sont laissées à découvert. Si l’ambiance est conviviale dans la salle à manger, elle est plutôt intime au niveau de la mezzanine.
Une cuisine conviviale et innovante
La Morille se veut être un restaurant français classique, mais le Chef Jean Noël Crouzet s’autorise parallèlement des escapades dans des contrées culinaires non explorées comme avec son « Raviole (Maison comme tout ici) aux Escargots et Chanterelles sauce au Vin Jaune». Etant un Chef reconnu de la gastronomie lyonnaise depuis près d’une vingtaine d’années et maintenant reconnu comme Maître Restaurateur, il peut se le permettre. La carte est sélective et varie suivant les produits de saison, c’est le gage d’une cuisine de qualité et intégralement fait-maison. D’ailleurs, le Chef travaille les produits devant les yeux attentifs des convives, une pratique qui donne déjà l’eau à la bouche. Au niveau du service, le responsable reste disponible pour conseiller les clients à propos du menu et de la carte des vins. Et à la fin du repas, le Chef ne rate pas une occasion d’échanger quelques mots avec les convives avec qui il partage même ses recettes.
Au niveau des assiettes, on a rarement vu des présentations aussi raffinées. Elles sont dignes des plus grands restaurants gastronomiques. L’assaisonnement et la cuisson ne sont pas en reste. Le menu comporte une douzaine de suggestions dont quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. Dès que la « Crème brûlée de foie gras morilles » est déposée sur la table, on imagine les ingrédients qui fondent sous le palais. Le « Pâté en croute de volaille et légumes du marché » est disposé dans l’assiette de façon à ce que les ingrédients soient équilibrés à chaque bouchée. Il fallait y penser ! Les gourmets ne laisseront pas une miette de la « Royale à l’ail des ours, grenouilles fraiches désossées, morilles et petits légumes », tout simplement savoureuse avec les Morilles qui baignent dans une fondue d’échalotes et les petits légumes croquants. Vient ensuite le plat de « Ris de veau aux Morilles » d’où on peut y reconnaitre la signature de la maison. L’autre option est le « Magret de canard au Chutney de Griottes» qui est tout aussi succulent que les autres recettes. Pour couronner le tout, laisser de côté le régime le temps d’un dessert ne fera de mal à personne. De toute façon, il est difficile de résister au charme du « tout chocolat » ou de la « structure chocolat et glace verveine ».
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Sous la houlette d’Éric Violette, qui est à l’accueil, et son chef cuisinier écossais. La cuisine Faite Maison de ce bistrot chic se déguste dans une ambiance conviviale et amicale. La petite anecdote des lieux concerne son nom Aux 24 Colonnes, qui s’inspire de la proximité avec le Palais de Justice du Vieux Lyon.
Une cuisine gourmande dans un cadre authentique
Implanté dans le quartier du Vieux Lyon, classé au patrimoine mondial de l’humanité, Le Bistrot du Palais offre un cadre authentique et original, puisqu’il est installé dans une ancienne écurie de la primatiale Saint-Jean-Baptiste, qui date de 1388. Tous les matériaux du bâtiment sont faits uniquement en matière naturelle, avec du bois ou de la pierre. Rien que son plafond à la française du début du XIXe siècle mérite amplement le détour.
La salle affiche un décor traditionnel et élégant. Les grandes banquettes, les tables et les chaises en bois donnent tout son cachet à cet espace intérieur. Les nombreuses surfaces vitrées donnent l’impression d’agrandir les lieux tout en conférant un air chic et rétro au restaurant.
Les spécialités lyonnaises à l’honneur
Le restaurant prône une cuisine faite maison, élaborée avec des produits frais et de saisons. Toutes les matières premières sont fournies par des professionnels de la région comme la charcuterie Bobosse, la fromagerie de la Mère Richard, le glacier Nardone ou le pain des Jacobins. Elles permettent au chef d’élaborer de nombreux plats gourmands qui ravissent les palais.
Ici, pas de menu. Seule une carte constituée de nombreuses spécialités lyonnaises est proposée. Celle-ci change tous les 3 mois, à chaque changement de saison. Tous les plats, même les spécialités de la région, sont revisités à la façon 24 Colonnes et font la réputation du restaurant.
En entrée, les convives se délecteront d’une gratinée lyonnaise, de l’œuf meurette ou d’une salade lyonnaise à base de 5 variétés de salades, de lardons, de croûtons et d’œuf poché, ou encore du Claqueret.
En plat de résistance, place à l’andouillette « Bobosse » à la Beaujolaise, le blanc de Poulet de Bresse farci au boudin noir et jambon cru, la Quenelle aux queues d’Ecrevisses.
Pour les desserts, la tarte pralinée, le cake à la rhubarbe et aux amandes, le soufflé au chocolat achèvent le repas en beauté.
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La passion des vins a donné naissance au restaurant gastronomique le Burgundy Lounge, un écrin exclusivement consacré aux terroirs de Bourgogne (et à quelques appellations de champagne). Alliant cadre cosy, service dévoué et cuisine gastronomique, il mérite amplement le détour.
Honneur aux vins de Bourgogne
D’un premier coup d’œil, on remarque les quelque 280 bouteilles maintenues en apesanteur, exhibées comme des médailles derrière une grande paroi vitrée. C’est la pièce maitresse de la maison Burgundy Lounge. Les matériaux décoratifs bruts comme le bois rappellent l’univers du vin. On note le style à la française des plafonds avec ses poutres apparentes et les murs aux pierres nues qui rappellent l’univers de la cave.
Cette cave justement, le Burgundy Lounge la promeut avec fierté. Elle est joliment fournie grâce au lien que l’établissement s’est construit avec les domaines qu’il suggère à la carte. Plus de 9 000 bouteilles en 800 références et 80 domaines font la renommée du restaurant. Les flacons proposés sont issus des vignobles du Chablis, de la Côte de Beaune et de la Côte de Nuits (et à quelques appellations de champagne).
La première étape du voyage auquel vous êtes convié est la sélection du vin. Que vous soyez amateur averti ou simplement curieux, les conseils du chef sommelier Jean-Sébastien Jurin et de son équipe vous seront d’une grande utilité dans la découverte des meilleurs accords.
Une harmonie entre mets et vins
Quatre espaces aux ambiances distinctes attendent les convives : autour de la table de dégustation, proche de la cuisine, sur des chauffeuses basses dans la mezzanine, ou dans la bibliothèque face à la cave. La sérénité et l’intimité y règnent, avec une lumière tamisée et une disposition de tables confortables offrant des espaces personnels de taille très raisonnable. Dans l’enchantement de ce décor chaleureux, vous gouterez à une cuisine gastronomique, finement sculptée des mains de maitre. Le chef Axel Ruga détient le titre de maitre restaurateur et promet de satisfaire vos papilles en proposant des plats de haute tenue et pleins de saveurs.
L’évolution de la carte du Burgundy Lounge suit la saisonnalité des produits et les inspirations de son chef. En parlant d’inspiration, on peut dire que ce dernier en a. Sa technicité et sa personnalité héritées d’une famille de trois générations de restaurateurs se lisent dans ses plats. Sa cuisine est entièrement faite maison, en accord harmonieux avec les vins de Bourgogne. Le chef est alors très exigeant sur la qualité des matières premières et il a noué des relations de confiance avec ses fournisseurs pour ne proposer que des produits de grande fraicheur. Du jambon blanc à la truffe aux Saint-Jacques bretonnes snackées, écrasé de pommes de terre au beurre d’algues, œuf de tobico au wasabi : vos papilles se délecteront !
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Profitant d’une situation très convoitée en plein cœur du centre historique de la Ville des Lumières, le restaurant L’Éclat côtoie la Cathédrale, la colline de Fourvière et les rives de Saône. À l’intérieur, lustre Tom Dixon, tons boisés et formes design sont sublimés par des jeux de matières et des couverts raffinés. Vitrée, la cuisine permet à la clientèle de découvrir les talents du chef Vincent Leleu et de sa brigade.
L’éclat de la cuisine à la française
C’est à travers des sélections de recettes gastronomiques raffinées que le restaurant L’Éclat évoque toute l’intensité d’une cuisine riche en traditions. Du choix des produits jusqu’à la présentation artistique et moderne de chaque assiette, en passant par la maîtrise des cuissons, l’établissement garantit de vivre d’intenses découvertes gustatives. La carte propose des mets qui allient diversité et authenticité.
Foie gras, merlu, rouget, cabillaud, pigeon de Pornic, bœuf et cochon s’agrémentent de champignons, de truffes et de légumes de saison. Chaque recette témoigne d’un savoir-faire respectueux des produits. Ces derniers révèlent de parfaites textures en bouche sublimées par des concentrés de saveurs. Pour l’approvisionnement, la maison collabore avec des fournisseurs triés sur le volet. « Nous avons fait le choix de ne travailler qu’avec des producteurs qualifiés et des produits de saison », nous précise le jeune chef de talent, Vincent Leleu.
Celui-ci privilégie aussi bien les producteurs locaux que d’autres professionnels situés dans les autres régions, pour mettre en valeur toutes les particularités et richesses du pays.
Dans la cave à vins qui est visible depuis la salle, toutes les régions sont également mises en valeur. La carte propose actuellement près d’une centaine de références, dont des bios, spécialement choisies pour être en harmonie avec les mets proposés.
Une touche d’innovation personnelle
Permettant de redécouvrir les standards de la cuisine traditionnelle française, le restaurant L’Éclat met en scène tout le savoir-faire de son chef Vincent Leleu. Avec talent et discipline, il élabore chaque recette avec minutie tout en respectant les valeurs d’une gastronomie ancrée dans l’air du temps.
C’est à travers quatre choix de menus alliant tradition et innovation qu’il invite à voyager au sein de la culture culinaire française. Dans son ambiance design, chic et contemporaine, le restaurant propose entre autres de profiter d’agréables repas d’affaires. Servi à midi, le menu affaires à 30 € propose carotte, poire et jésus de Morteau en guise d’entrée. En plat de résistance, lieu jaune, petit pois menthe et œuf de caille feront plaisir aux fins palais. Mêlant fraîcheur et douceur, pomme, aneth et citron seront parfaits à titre de dessert. Les trois autres menus proposés respectivement à 45 €, 55 € et 75 € sont servis midi et soir. Ils permettent de goûter à des saveurs inédites, telles que la Royale d’épinards, tuile de pain et noisettes torréfiées, lard Contadino ou le bœuf en gravlax condiment fenouil anis et jus de bœuf corsé, sans oublier le merlu de ligne, terrine de chou vert brûlé jus de citron de Menton.
Parmi les signatures du chef, le foie gras tartare de tomates fraises et coriandre, ainsi que le pigeon de Pornic rôti sur coffre fumé au foin et cranberries sont incontournables. L’exquise tarte Tatin circulaire aux pommes avec sa crème glacée à la vanille de Madagascar et aux cacahuètes titille également les papilles à chaque bouchée.
Garante de plaisirs culinaires intenses, la succession des saveurs proposées sonne comme une véritable mélodie qui égaye les sens. Il est possible de faire découvrir cette cuisine haute en couleur aux convives de vos événements. « On fait des dîners pour les particuliers chez eux et pour des entreprises, donc des séminaires, des cocktails dînatoires », nous souffle-t-on.
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À L’Horloge gourmande, les convives sont accueillis dans un cadre sobre et un esprit de maison bourgeoise. Rien de trop guindé : ici, on privilégie la simplicité avec une décoration qui tranche, entre l’ancien et le moderne. Dès l’entrée, l’immense horloge ornant le mur du fond attire forcément l’attention. Dans la salle règne une ambiance intimiste, qui invite au calme et à la détente. Objets et accessoires de décoration exposés en vitrine, intimement liés à la vie et au parcours des propriétaires, contribuent au charme des lieux.
Durant l’arrivée des beaux jours, la terrasse verdoyante fait le bonheur des amoureux du grand air. Cette véranda, donnant sur l’arrière de l’établissement et annexée à la salle principale, et peut être privatisée pour les groupes à l’occasion de communions, d’anniversaires, de baptêmes ou encore de repas de famille.
Le brillant parcours d’un chef passionné
Le chef Olivier Roch s’intéresse très tôt à l’univers de la cuisine. Il fait ses débuts au sein du lycée hôtelier François Rabelais de Dardilly. Son BEP en poche, il suit une formation en pâtisserie, ce qui lui permettra d’intégrer une compagnie de croisières en Floride en tant que pâtissier. Il continue son parcours en exerçant notamment auprès du chef étoilé Philippe Gauvreau. C’est auprès de ce dernier qu’Olivier Roch a appris à œuvrer avec une haute technicité pour offrir des plats dignes de véritables chefs-d’œuvre artistiques.
Une cuisine qui parle aux fins palais
L’Horloge gourmande est spécialisée dans la cuisine de bistrot, privilégiant l’usage de produits nobles comme en gastronomie mais traités de manière plus simple.
À midi, la maison propose une formule « Déjeuner » constituée de deux ou trois plats réalisés avec des produits du marché et quotidiennement mis à jour. Le chef Olivier Roch met aussi à disposition des fins gourmets deux types de menus : le menu « Horloge », à 32 €, et le menu « Tassilunois », à 45 €.
En soirée, le choix se fait à la carte. Celle-ci change à chaque saison ; il existe néanmoins certains « best-sellers » qui apparaissent de manière récurrente comme le foie gras poêlé, l’onglet de bœuf black angus, le cabillaud… De vrais délices pour les papilles.
Toutes ces suggestions sont élaborées avec des produits frais, rigoureusement sélectionnés. Les fonds, les jus, les fumets… tout est fait sur place.
Côté vins, le chef fait appel aux services de Philippe Gerin, caviste à Condrieu. La sélection s’effectue en fonction de la carte du restaurant. En tout, une quinzaine de références mettent à l’honneur toutes les régions, dont celle de la vallée du Rhône.
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