Déguster une salade à quelques mètres de la mer, les pieds dans le sable, c’est possible, à condition de trouver la bonne adresse. La Plage Les Pieds Nus se situe dans un endroit préservé, au milieu du site protégé de l’Espiguette. Les pieds nus ou chaussés d’espadrilles, les convives profitent de cette ambiance de vacances et d’un délicieux repas dans l’espace restaurant. Le restaurant de la plage et son bar Les convives sont libres de manger ou pas à la Plage Les Pieds Nus, mais pourquoi se priver des saveurs méridionales ingénieusement mises en scène par le Chef Nicolas Ponthier. Le restaurant propose une cuisine de marché, l’ardoise change suivant les produits de saison et les inspirations du Chef. Les recettes sont préparées à base de produits locaux rigoureusement sélectionnés. La maison suggère également des tapas toute la journée. En buvant un cocktail au Bar, on peut grignoter des « Tellines à la crème d’ail noir » ou des « couteaux grillés à la plancha » et autres assortiments de charcuterie. Pour le repas du midi, le restaurant propose un plat du jour à partir de 15 euros. Une fête entre amis Les groupes qui souhaitent passer des moments conviviaux dans cet endroit plein de charme sont les bienvenus. L’établissement propose une formule groupe accessible à partir de 12 personnes. Simples rencontres entre amis, anniversaire, mariage, baptême, séminaire, sortie entre collègues… l’équipe sera aux petits soins. De délicieuses suggestions A la plage ou au restaurant, les convives peuvent déguster une « salade Camarguaise » à base de riz de Camargue, crevettes, poivron, olives vertes, tomates confites, œuf dur et sauce cocktail. Pour ceux qui ont plus d’appétit, l’ardoise suggère quelques entrées dont certaines sont inspirées des saveurs asiatiques comme le « Tataki de saumon sauvage aux agrumes, badiane et wasabi ». Pour les plats, le choix entre une assiette de poisson comme le « Thon rouge de Méditerranée snacké, aux sésames et salade Thaï » ou de viande telle que la « Tartare de taureau coupé au couteau à la Saint-Gilloise, frites maison » fait le bonheur des fins gourmets. La petite touche japonaise s’invite aussi dans les desserts avec le Yuzu qui est mélangé au chocolat noir dans une Ganache crémeuse, une glace au yaourt Bulgare accompagne le tout. Une plage sauvage et des activités de vacances On se croirait dans le désert avec le sable à perte de vue et les dunes, mais la vue de la mer nous ramène vite sur ce bel espace sauvage au bord de la Méditerranée. La densité des baigneurs est ici faible par rapport aux stations balnéaires du Grau du Roi et de Port Camargue. Imaginez un instant de détente sur un transat ou sur un bed installé face à la grande bleue, un verre de jus de fruit à la main et la brise méditerranéenne qui vous caresse le visage. L’équipe de la plage accueille les visiteurs dans un esprit familial et décontracté. Outre la restauration et la location de transat et de bed, l’établissement offre la possibilité de faire diverses activités ludiques et sportives. Le matériel nécessaire à une partie de volleyball ou de football est mis à disposition. Il est aussi possible de se procurer des matériels d’activités nautiques comme le Stand Up Paddle, Pédalo, Kayak de mer, le Flyfish ou encore le Jet ski. Une réservation est vivement conseillée. ...
Le Rhul en est aujourd’hui à sa quatrième génération. À sa tête : Gabrielle Galligani et sa sœur Christine Fabre, petites-filles de monsieur Galligani. Passionnée par la restauration, la famille Galligani a su marquer l’histoire de la cuisine en participant à la création de la charte de la bouillabaisse, cette dernière étant le plat traditionnel marseillais à ne surtout pas manquer ! Un cadre idyllique Hôtel trois étoiles entièrement rénové en 2016, Le Rhul possède des chambres au grand confort dotées de terrasses et de balcons, qui donnent vue sur la mer, où se dévoile toute la beauté du sud de la France. « Un lieu propice pour les amoureux, les familles ou les professionnels en déplacement, en quête d’un havre de paix », déclare Gabrielle Galligani. Le Rhul, c’est ensuite une salle de réception, qui donne vue sur la mer face aux îles du Frioul et qui peut accueillir jusqu’à 30 personnes, avec, bien sûr, un menu personnalisé selon les besoins de chacun. Le Rhul, c’est enfin et surtout, un restaurant de qualité au charme atypique dont l’intérieur « ressemble vaguement aux restaurants présents dans les bateaux de croisière ». Très calme et très soignée, la maison propose un cadre épuré et élégant dans lequel chaque convive pourra apprécier un repas avec, pour toile de fond, ce magnifique panorama. La gastronomie méditerranéenne Fort de sa notoriété, Le Rhul est présent dans le guide Michelin. Et ce n’est pas uniquement grâce à la gentillesse de ses employés « dont certains sont là depuis plus d’une vingtaine d’années », nous souffle-t-on. La maison doit sa réputation à sa cuisine ensoleillée. Une carte complète où la haute gastronomie du Sud se présente sous différents aspects, sans oublier la carte des vins qui, représentant les grandes régions de France, contribue à faire la différence. Le menu parfait commence par une assiette de supions frits à la provençale, avant de continuer sur la fameuse bouillabaisse, spécialité de la maison, et finir par le chariot de pâtisseries maison (baba au rhum, mille-feuille maison, gâteau au chocolat blanc et spéculos…). ...
Tous deux issus d’une longue lignée de vignerons, ces époux décident, en 1985, de perpétuer l’héritage familial. La marque Fabrice Lecourt est réputée pour les saveurs et les arômes de son champagne fin puisant sa typicité dans le sol argilo-calcaire de la commune de Cormoyeux. Des cuvées traditionnelles au goût authentique « Nos parents et grands-parents travaillaient déjà la vigne », s’exclame Véronique. Afin de mettre ce patrimoine vinicole de six hectares en avant, les Lecourt privilégient un champagne représentant les valeurs familiales que sont l’authenticité et la qualité. Au travers de leur Brut Tradition ou de leurs millésimes, la maison s’attèle à donner le meilleur du terroir en privilégiant les méthodes traditionnelles héritées des aînés à l’instar des vendanges manuelles ou de la vinification en fûts de chêne pour la cuvée Grains d’Arômes notamment. Cette dernière, véritable ambassadrice de la marque, accompagnera avec élégance les apéritifs de par son caractère gras tantôt épicé, tantôt fruité. Les plus audacieux ponctueront leurs plateaux de fruits de mer par un Brut Nature, une cuvée dotée d’arômes délicats, fraîche, mais fougueuse. Une viticulture dans le respect de la terre Dans le but de préserver « la richesse de la terre et [de valoriser] les vignes familiales », la maison Lecourt donne la primauté à la viticulture conduite de façon raisonnée. Les spécificités du terroir sont ainsi préservées dans chaque vigne. Le choix du cépage parcelle par parcelle est déterminant. C'est pourtant le meunier le cépage de prédilection de cette région champenoise. Chaque flûte de champagne Fabrice Lecourt révèle et sublime ainsi les caractéristiques propres de la terre. ...
Sébastien Labails | Bonjour, je m’appelle Sébastien Labails, je suis le gérant des vignobles de Maxime. Maxime est le propriétaire de nos trois propriétés en Graves et en Saint-Émilion ; il m'a confié les clés de ses vignobles pour gérer tous les aspects allant de la production à la commercialisation. La Une | Et comme tout vignoble, j'imagine que le vôtre a une jolie histoire à nous raconter ? S L | L'histoire du vignoble commence en 2001 pour Maxime, qui tombe littéralement amoureux du château Tourteau Chollet et de son pin de 250 ans ainsi que du château Grand Lartigue, puisqu'il fait l'acquisition de ces deux châteaux en 2001. Maxime est diplômé en expertise comptable, mais son rêve a toujours été de pouvoir faire du vin. Grâce à son diplôme et ses compétences techniques, il a pu acquérir ces deux châteaux après deux ans de recherches. C’est en 2018 que Maxime Bontoux m’a confié la gérance des deux châteaux pour pouvoir développer les activités à la fois au niveau de la production et de la commercialisation. Et pour pouvoir produire le mieux possible, chez vous, on cultive Bio non ? S L | Nous sommes engagés environnementalement : Terra Vitis depuis 2005, nous avons également été le premier vignoble des Graves, en 2012, à être certifié HVE (Haute Valeur Environnementale) à la suite du Grenelle de l'environnement. Également depuis 2019, nous sommes certifiés BEE FRIENDLY, les amis des abeilles : nous sommes très restrictifs en termes d'utilisation d'insecticides, puisque nous les avons tous bannis. Pour lutter contre les verres de grappes nous utilisons dorénavant la confusion sexuelle. Nous nous sommes également engagés dès 2021 en agriculture biologique. Nous avons donc franchi le pas, ce n'est pas facile puisque nous sommes quand même à Bordeaux qui connaît un climat avec des précipitations importantes. Ce qui est délicat c'est de pouvoir protéger les vignobles en agriculture biologique tout en maintenant une récolte saine et de qualité ainsi qu’avec une quantité satisfaisante. Une reconversion donc sur votre agriculture, mais toujours de grands vins, vous nous les présentez ? S L | Au niveau de la gamme des vins, nous avons construit celle-ci de la même façon à la fois sur Saint-Émilion et dans les Graves puisque nous avons en vin rouge : un rouge uniquement élevé en cuve, puis un rouge 50 % barrique et enfin un rouge 100 % barrique. En plus de cela, nous avons deux blancs : notre grand vin blanc « 1760 », 100 % élevé en barrique et ressemblant à s’y méprendre aux grands crus classés de Pessac Léognan ainsi que notre vin Tourteau Chollet blanc. En plus de cela, pour compléter cette gamme, nous avons un vin sans sulfite ajouté qui s'appelle « C’est pas G… » et dans lequel, nous avons réalisé un assemblage de 25 % de chacun de nos cépages rouge : merlot, cabernet sauvignon, petit verdot et Malbec. Il s’agit de notre porte-étendard pour dénoncer le réchauffement climatique. Alors une chose est sûre, c'est que la qualité de vos vins n'est plus à prouver. Entre autres, vous avez été médaillé d'or à Paris, à Bruxelles, cité maintes et maintes fois au guide Hachette et c'est pour ça que nous pouvons retrouver vos vins à certaines tables de grand restaurant. Quelle porte faut-il que je pousse pour pouvoir à la fois déguster un excellent plat avec un de vos excellents vins ? S L | Nous sommes mis en avant dans certains grands restaurants comme le restaurant « Saison » de l'institut Paul Bocuse à Lyon. Nos vins sont également référencés chez « Fauchon » à Paris avec le « 1760 » en rouge et en blanc qui est largement apprécié par l'ensemble des équipes de l'hôtel « Fauchon ». Et si l'on parlait maintenant un petit peu de millésime, millésime exceptionnel comme sur le Ferrand Lartigue par exemple en 2012, pour les autres vins, vous aurez peut-être un millésime à nous conseiller ? S L | Alors sur le Ferrand Lartigue c'est effectivement le millésime 2012 qui est exceptionnel, ma...
Initié à l’époque des arrières grands parents de Marc Dupraz, le domaine applique la méthode de culture dite de « vignes en lyre » sur une partie de son vignoble : « cinq hectares sur dix sont cultivés selon cette méthode. Encore peu utilisée en France, elle est assez répandue en Suisse » explique Marc Dupraz. Son avantage est qu’elle permet d’obtenir des raisins à maturité optimale lors des vendanges quelles que soient les années. Depuis 1998, Marc cultive son domaine en agriculture raisonnée « Nous faisons beaucoup d’efforts et voulons nous tourner vers le biologique, le pas va se faire naturellement. A part un ou deux changements, on ne fera pratiquement rien de plus. C’est pour cela que nous allons commencer la conversion des 2017» précise-t-il. Des cépages typiquement savoyards L’encépagement du vignoble est composé de variétés typiques de la région, dont la Jacquère qui n’existe pratiquement qu’en Savoie. Ce cépage, à la base de l’appellation Vin de Savoie, est à l’origine de la rondeur et le fruité du vin ainsi que sa tendance à une bonne évolution dans le temps. « Il s’agit d’un cépage rustique et assez capricieux, il demande beaucoup de rigueur au travail » précise Marc. Pour ses vins rouges, le domaine utilise uniquement la Mondeuse, un cépage également endémique de la région. Rustique et montagnarde, cette variété n’est autorisée et recommandée en France que dans la région des Vins de Savoie. Proche de la Syrah génétiquement parlant, il rappelle cependant le Pinot en dégustation. Il donne des jus qui vont sur la myrtille et la framboise, et offre une grande capacité de vieillissement aux vins dont il est issu, lorsqu’il est travaillé avec soin. Des vins gastronomiques Les 10 hectares de vignes cultivées par le domaine sont déclinée en quelques cuvées très riches et fruitées. Celles-ci profitent de qualités gustatives exceptionnelles qui en font des vins de gastronomie parfaits et choisis par plusieurs restaurants étoilés de toute la France. Parmi elles figurent « Les Terres Blanches » Vin de Savoie Apremont, qui est un vin d’une complexité rare, avec un côté calcaire très prononcé en bouche qu’il tire de son terroir et une longueur et un gras naturel conféré par la Jacquère. « il est vrai que nos clients sont surpris des qualités de nos Jacquère mais nous sommes confortés dans nos choix stratégiques , les vins à base de ce cépage sont liés à un grand avenir, si le raisin récolté est exceptionnel » acclame Jérémy le fils de Marc nouvellement installés depuis 2011 Seul vin rouge produit par le domaine, « La Mondeuse » est élevé en cuve, qui confèrent au vin des tanins extrêmement présents, et qui se fondent très bien dans le temps. « En dégustation jeune, ce vin est très épicé, avec une teneur en fruit mais avec le temps, entre quatre ou cinq ans minimum, nous arrivons déjà sur un vin complexe avec beaucoup plus de maturité et d’équilibre et qui peut se garder entre dix et douze ans » explique avec passion Marc Dupraz. Barbecue et Vin, ou la façon de déguster les vins autrement Tous les premiers vendredis du mois de cette période estivale (Avril à septembre), le Domaine Dupraz organise un évènement dénommé « Barbecue et Vin ». « Découvrir les vins d’une manière assez différente, autrement qu’avec des fromages et des charcuteries, voilà l’objectif » s’exclame Jérémy Dupraz. Cet évènement permet en effet de découvrir et déguster les vins du domaine autour d’un barbecue au milieu des vignes. Le caveau reste aussi ouvert au grand public toute l’année du jeudi au dimanche ou vous pourrez déguster un casse-croute vigneron avec les produits locaux sélectionnés par la famille. Bien évidemment les vignes peuvent être visitées par les amateurs de vins pendant les beaux jours. ...
Le vignoble Saint-Émilion couvre environ 5 400 hectares de terrains et est encépagé de 60 % de merlot, de 30 % de cabernet franc et de 10 % de cabernet sauvignon. Il se trouve sur des terroirs calcaires, argilo-limoneux, sableux et bénéficie d’un climat doux et tempéré. L’AOC Saint-Émilion, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est une subdivision du Libournais. Elle comprend les appellations Saint-Émilion simple et Saint-Émilion Grand Cru, cette dernière regroupe elle-même les grands crus classés A et B, sa plus haute distinction, et les grands crus classés, sa seconde. Le classement Saint-Émilion Grand Cru existe depuis 1955 et se renouvèle tous les 10 ans. Ces vins sont complexes, charpentés avec une bonne longueur aromatique en bouche. Leur production demande une plus grande attention et des conditions plus rigoureuses par rapport aux vins d’AOC Saint-Émilion simple. Le Château La Gaffelière, un vinificateur de vins fins et élégants Ce vignoble est encépagé majoritairement de merlot, à coté duquel on trouve du cabernet franc. Depuis la création du Château La Gaffelière jusqu’à nos jours, la famille Malet Roquefort y accorde une attention particulière. Pour cela, elle y vit afin de contrôler en permanence son système de production. La famille Malet Roquefort, respectueuse de l’environnement, est une fervente défenseuse de l’agriculture raisonnée. Tout le travail de la vigne se fait selon des méthodes traditionnelles, en utilisant des produits bio. « On travaille des parcelles avec un cheval et on exige des produits bio pour le traitement des vignes », explique Françoise Morice, une représentante du Château. Le Château La Gaffelière, un vin fruité avec un boisé harmonieux Le Château La Gaffelière est un premier Grand Cru classé de Saint-Émilion qui a une capacité de garde de plus de 25 ans. Il est connu pour sa longueur en bouche et pour s’accorder parfaitement avec des côtes de bœuf et des mets à base de gibier, de fromage et de viande rouge. Millésime 2009 : à l’œil, il est de couleur violette profonde. Au nez, il est intense et on sent ses arômes fruités. En bouche, il est complexe, rond, suave, avec un boisé harmonieux. Millésime 2010 : il charme à l’œil par sa couleur grenat et au nez par ses expressions de fruits mûrs. En bouche, il est moyennement complexe, sec et très léger, avec une touche boisée. Millésime 2014 : il a une belle robe rouge rubis. Au nez, il est élégant et a des expressions florales et fruitées. En bouche, il est puissant avec une bonne longueur. Clos La Gaffelière, un vin jeune, élégant et soyeux C’est un jeune vin d’appellation Saint-Émilion Grand Cru qui a une capacité de garde de 5 à 7 ans. Il s’associe bien avec une pièce de bœuf et les mets à base de viande rouge et de fromage. ...
Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...
C’est sur ces terres de craie que s’épanouissent les arômes subtils de raisins blancs mûrissant lentement sous un ensoleillement adapté. Le domaine de 6,4 hectares est établi sur un noble terroir, et les propriétaires aussi sont détenteurs des traditions champenoises. Deux raisons expliquant la qualité des champagnes de la maison. Un travail minutieux, synonyme d’excellence Le travail du terroir se fait dans les règles de l’art au Champagne Moineaux. La cueillette manuelle se fait avec précision, et l’étape de vinification aussi. L’emploi d’outils de pointe, notamment des cuves en inox équipées de thermorégulation, améliorant la qualité du vin. Thibault Soyer, propriétaire du domaine, mise sur la qualité. « Nous ne millésimons nos cuvées qu’en cas d’excellentes années », évoque-t-il. D’ailleurs, ses millésimes sont issus des meilleurs crus. Ces champagnes d’excellence se conservent au moins cinq ans, pour faire éclore tous leurs arômes délicats. Récoltant-manipulant, Thibault Soyer prend également en main le marketing et la commercialisation de ses produits. Il a réussi à percer des marchés à l’étranger, au Danemark, en Suède, en Grande-Bretagne et en Espagne, ce qui fera grimper sa production à près de 50 000 bouteilles par an. Les grands crus, objets de convoitise lors des visites œnotouristiques Les champagnes Moineaux sont classés Blanc de Blancs Grand Cru. Élaborés uniquement avec du chardonnay, ils font l’objet de curiosité lors des visites œnotouristiques, durant lesquelles un parcours guidé, allant du terroir au cellier, est proposé. L’étape de dégustation est incontournable lors de la visite, où les perles rares se dévoilent aux visiteurs de la cave. Parmi elles, la cuvée Brut millésime représente à merveille le terroir. C’est aussi le fer de lance de la maison. La cuvée Prestige est également éloquente. C’est un champagne d’exception issu d’une parcelle vieille de 50 ans. Sa finesse et son élégance provoquent de belles sensations de fraîcheur. ...
Situé en région Provence, le domaine Les Beates propose un large choix de cuvées pour toutes les envies. Les Beates : un terroir fabuleux qui favorise la création de boissons exceptionnelles Acquis en 2002 par Pierre-François Terrat, le domaine Les Beates a considérablement évolué avec le temps. Profitant d’un terroir fabuleux à flanc de coteau de la Chaine des Côtes, son nouveau propriétaire a, en effet, décidé de travailler à sa manière les 40 hectares de vigne à sa disposition. Tout en poursuivant une viticulture biologique (la conversion bio du domaine a été initiée en 1980), ce vigneron passionné réalise un véritable travail sur le végétal et fait son maximum pour mettre en avant la biodiversité. Ce respect du vivant se poursuit au chai avec le processus de vinification : les fermentations sont réalisées grâce aux levures indigènes et l'usage d'intrants est réduit au minimum. L'objectif est clair : permettre à chacun de profiter d'un vin de qualité pour la bonne occasion et, surtout, le bon plat. ...
Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse. Ancien point relais de diligence Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône. Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin… Pour le plaisir des papilles Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …). ...
L'art et la manière Les Maîtres Cuisiniers de France ont à cœur de maintenir, transmettre et développer la tradition de la grande cuisine française en encourageant l’apprentissage et en multipliant ses actions à l’international. L’association valorise la relation entre Chef de cuisine et Directeur aux formations professionnelles et techniques pour amener les apprentis cuisiniers au meilleur de leur savoir-faire. C’est avec passion que l’Association des Maîtres Cuisiniers de France organise le concours du Meilleur Apprenti Cuisinier de France depuis 1956 et s’associe de nouveau avec tous les centres de formation professionnelle et les écoles hôtelière de France pour mettre en lumière la transmission. Les futurs chefs à l'épreuve Cette 64ème édition du Meilleur Apprenti Cuisinier de France, est soutenue et parrainée par Régis Marcon. Cuisinier triplement étoilé du guide Michelin et Maître Cuisinier de France, Chef de l’Année par le Gault et Millau en 2000, élu en 2001 Auvergnat de l’année et Cuisinier de l’année par le magazine « Le Chef », également promu Chevalier de La Légion d’Honneur en 2002. Mais aussi, Président du Comité International d’Organisation et Président du Bocuse d’Or France, coach et jury après avoir été Lauréat du Bocuse d’Or (1995). Les apprentis cuisiniers vont concourir dans les treize régions de France avant d’être sélectionnés pour la Finale Nationale du Meilleur Apprenti Cuisinier de France 2017. Fin septembre débutera la concours avec la finale régionale d’Aquitaine – Limousin – Poitou Charentes, le 26 septembre au CFA de Poitiers puis la finale régionale de Provence – Alpes et Côte d’Azur le 25 octobre à l’Ecole Hôtelière d’Avignon ainsi que celle d’Auvergne Rhône Alpes, le 8 novembre au Lycée Hôtelier de Grenoble, de Centre- Val de Loire à Bourges le 15 novembre, de Bretagne le 17 novembre, d’Île de France qui le 20 novembre à l’INHAC Groupe Ferrandi-Paris, du Nord Pas de Calais le 27 novembre. La date et le lieu de nos quatre autres régions seront communiquées prochainement. À l’issue de ces épreuves, 13 nalistes seront sélectionnés pour la Finale Nationale prévue le 22 janvier 2018 à l’école Ferrandi-Paris. Face à un jury composé de 10 Maîtres Cuisiniers de France connus et reconnus, les candidats seront évalués sur les thèmes suivants à réaliser en 4 heures. Le premier plat : Soufflé d’œuf poché en croustade Le second plat : Quasi de veau poêlé, sauce porto, laitue braisée et pomme fondante Puis le dessert sera une interprétation libre autour de l’ananas et des épices. Les différentes recettes ont été élaborées avec grand soin par les Maîtres Cuisiniers de France et le thème de la finale par Monsieur Régis Marcon, lui-même. ...
Un bon champagne délivre de bons arômes grâce à la composition du sol et à l’inclinaison des coteaux dans un terroir. Déclinés en sept cuvées allant des mono-cépages à l'assemblage en passant par des non-dosés, millésimés, vieillis en fût ou rosés d'assemblage, les champagnes d'Alain Mercier et Fils bénéficient d’une préparation magistrale depuis la culture du raisin. Pour Romain Mercier qui a repris les rênes du domaine depuis le départ en retraite de son père, la nature joue beaucoup sur les notes attendues en dégustation. Il mise tout sur son terroir établi sur les coteaux de Passy sur Marne. Grâce à une belle exposition plein Sud, les cuvées affirment des caractères uniques que les fins connaisseurs ne peuvent qu’apprécier. L’excellence de la cuvée : des cépages soigneusement cultivés et apprivoisés Les cépages ont été plantés pour être adaptés aux strates des sols à dominance sablonneuse en bas de coteau, argilo-calcaire à dominance calcaire en milieu de coteau et argilo-calcaire à dominance argileuse en haut de coteau. Sur ses neuf hectares de vigne, les cépages, dont le chardonnay, le pinot meunier et le pinot noir retrouvent ainsi naturellement leur place. Selon le type de sol donc, le goût des raisins variera. Des cuves distinctives pour la fermentation et la conservation La mise en cuve est ingénieusement pensée. Les Mercier ont eu l’idée de mélanger les procédés de fermentation traditionnelle avec leurs techniques personnelles. D’ailleurs, les cuves en acier émaillé datant de Lucien, père d'Alain et grand père de Romain sont privilégiées pour retrouver une certaine micro-oxydation du vin durant sa fermentation. Depuis l’introduction des cuves en inox dans la viticulture, les champagnes se conservent mieux et bénéficient d’une bonne condition pour gagner en maturité. La « Cuvée Lucien », en hommage au grand-père de Romain et à son savoir-faire, est l’une des plus précieuses gardées soigneusement en fût de chêne. La tendance est également à l’œnotourisme chez Romain Mercier. Sur rendez-vous, le vignoble est ouvert au public, et l’exploitation dévoile les lieux d’élaboration des cuvées, depuis le pressoir jusqu’au chantier de dégorgement. ...
Après des expériences en Nouvelle-Zélande, en Thaïlande et en France, Julien Larcher et Charles Domet, deux amis formés à l’École hôtelière, ont repris Simone, Le Resto en mai 2016. Quant au chef Diego Alary, ancien élève de l’École Ferrandi, il a fait ses premières armes aux côtés de Guy Savoy, tout comme son commis. Aujourd’hui, dans sa cuisine ouverte, il décline une cuisine bistronomique inventive, pleine de saveurs, à partir de produits frais et de légumes de saison. Un espace de convivialité La salle peut accueillir 26 couverts. L’été, il est possible de se restaurer en terrasse, à l’ombre des marronniers du boulevard Arago. Julien Larcher et Charles Domet accueillent leurs clients avec chaleur et restent à leur écoute tout au long de leur repas. Quelques plats phares La carte change tous les jours, selon le marché. Citons quelques plats phares. En entrée, vous pourrez déguster l’œuf parfait, un œuf cuit à basse température (63 °C) pendant 1 heure, accompagné d’une purée de céleri-rave ou d’une polenta au parmesan. En plat, vous serez certainement séduit par la tendreté et le gout subtil de la picanha, une aiguillette de rumsteack de bœuf français snackée à la plancha et découpée à la brésilienne. Vous pourrez aussi savourer les ravioles farcies au veau ou encore le pigeon des Pyrénées en chausson. En dessert, vous serez conquis par la ganache chocolat parfumée au yuzu ou à l’anis étoilé, sublimée par une espuma d’orange ou d’amande. Ou bien encore par les perles du Japon cuites dans un lait de coco et vanille, servies avec un coulis de fruits rouges. Un large choix de vins La majorité des vins proposés provient de petits vignerons travaillant en bio ou en biodynamie. La carte est complétée par quelques vins nature ou traditionnels. Les vins du Languedoc-Roussillon et les côtes-du-rhône forment le noyau dur de la carte. Celle-ci joue aussi avec les saisons, en proposant, l’hiver, des vins plus gras comme des vins de Savoie, du Jura, des bordeaux ou des cahors, des vins plus frais et plus vifs l'été. Sont également présents cidres, calvados et même 3 références de bières artisanales de Gisors. Simone La Cave Les clients peuvent retrouver tous ces vins chez Simone, La Cave, située dans une rue perpendiculaire et accessible depuis la salle. Dans ce lieu vous pourrez également déguster des planches de charcuterie, de fromages ou des huitres, toujours accompagnés de bons verres de vin. ...
La Dordogne est un département français localisé en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, dans le Sud-Ouest. Il est connu pour son large patrimoine culturel, archéologique et historique. Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel du département. La truffe noire, les pommes de terre, les fraises, les noix et les cèpes du Périgord en sont ses produits phares. Les spécialités culinaires régionales sont composées de délicieux plats comme les confits de volaille, la sauce périgueux et le papitou, un assortiment de foie gras de canard, de chair de porc et de truffes. La Dordogne est aussi réputée pour son vignoble de Bergerac, qui couvre environ 12 000 hectares au sud-ouest du département et produit plus de 13 AOC, dont les plus connus sont le Monbazillac, le Montravel, les côtes de Montravel et le Haut-Montravel. Un bel espace gastronomique Le Relais de l’Ancienne Gare est facilement accessible, même pour les personnes à mobilité réduite. Il est privatisable et accueille les cérémonies festives dans une ambiance conviviale. À l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients, une magnifique terrasse fleurie et ombragée pendant l’été. L’intérieur est décoré d’une superbe collection de locomotives et de fresques sur les trains. Il contient une salle privative avec une véranda destinée aux petits groupes. Hervé Rodot, le chef cuisinier, a beaucoup d’expérience. Cuisinier depuis plus de 40 ans, il a travaillé chez Bernard Loiseau et dans des maisons référencées dans le Guide Michelin. Pour lui, la cuisine n’a plus de secret : « On n’invente rien en cuisine, mais on fait des associations personnelles », nous explique t-il. Les spécialités du restaurant Le chef travaille avec des producteurs de foies gras de Vendée et du Périgord. En hiver, il propose des plats à base de truffes noires. L’assiette de foie gras existe en 3 versions : la terrine de foie gras, le foie gras cru à la fleur de sel et l’escalope de foie gras poêlée aux pommes et jus miellé. Le dressage se fait par petites portions sur une assiette avec une salade en décoration. L’esturgeon Rossini est préparé avec un petit jus brun à la saveur de truffes. L’esturgeon poêlé, l’escalope de foie gras poêlée, la terrine de porcelet aux petits légumes et au foie gras, l’esturgeon au beurre rouge et aux giroles, les cuisses de canard braisées aux pêches et le cannelloni de cabillaud sont d’autres spécialités du restaurant. En entrée, on pourra commencer par le foie gras poêlé aux fruits rouges, qui est un petit jus déglacé avec un vinaigre un peu rouge, du foie gras et des fraises. Au dessert, on choisira, par exemple, un millefeuille de fraise, composé deux feuilles de pâte feuilletée fine et caramélisée avec de la fraise, de la chantilly et du coulis de fruits rouges. Hervé Rodot nous a fait la confidence qu’il envisage de proposer la tarte tatin d’abricot avec une glace d’amande amère ou avec un sorbet d’amande amère. Accords mets et vins Les vins sont choisis selon leurs accords avec les mets. Le foie gras s’accorde parfaitement avec des vins d’appellation Saint-Nicolas-de-Bourgueil comme le Chenin Blanc et l’Eclipse n° 8. Le Château Tour des Gendres Anthologia d’appellation Bergerac peut accompagner la délicieuse terrine de porcelet. Une multiple reconnaissance Le restaurant est ouvert tous les jours de 12 h 15 à 14 h et de 19 h 30 à 21 h, excepté les jeudis et dimanches soir. Membre de l’association des Toques du Périgord et de celle de la Route du foie gras, Le Relais de l’Ancienne Gare a reçu un certificat d’excellence de la part de Tripadvisor en 2014 et bénéficie du label « Tables et auberges de France ». Il a aussi été sélectionné par Le Petit Futé en 2012, 2013, 2014 et par le Guide Michelin en 2015 et 2016. ...
Du haut de ses 29 ans, Arthur Lotrous possède déjà un solide background dans le milieu de la viticulture. Après un BTS viticulture-œnologie au lycée de Davaye, il acquiert sa première expérience professionnelle au Château Bouscaut à Pessac-Léognan dans le Bordeaux puis au Domaine de la Pierre des Dames à Prissé. « J’ai voulu découvrir de nouveaux horizons et notamment voir ce qui se faisait dans la biodynamie, ce qui m’a amené à travailler au Domaine La Soufrandière/Bret Brothers à Vinzelles », raconte-t-il. Lorsqu’il apprend qu’une exploitation située à Saint-Amour Bellevue dans le Beaujolais était à reprendre, il saute sur l’opportunité en novembre 2018… Passionnément vin Le nom qu’il donne à son nouveau domaine viticole témoigne du profond attachement qu’il voue aux vignes et au vin. « Les sources » désignent la Rue des Sources sur laquelle se trouve le siège de l’entreprise tandis que « Agapé » est un mot grec qui signifie « amour inconditionnel ». Le respect qu’il manifeste à l’égard de ce métier et de la terre s’exprime à travers le choix d’une agriculture biologique sur l’ensemble de son vignoble composé de 6 hectares d’un seul tenant qui surplombe l’appellation Saint-Amour, sur les pentes du Mont-Besset. Le gamay dans toute sa splendeur Sur les sols de grès et d’argile qui se caractérisent par leur bonne rétention d’eau se développent des vignes plantées en gamay et âgées de 60 ans en moyenne. Le jeune vigneron a décidé de travailler son vignoble en « gobelet », une ancienne méthode qui date de l’époque romaine et qui s’applique sur des vignes non palissées. Ce procédé implique des travaux souvent complexes qui exigent de tout faire à la main. De cette démarche particulièrement méticuleuse naissent des cuvées pleines de promesses telles que Mont-Besset, un 100 % gamay aux arômes de fruits rouges et juteux qui révèlent des saveurs de cerise et de douces notes de sous-bois. ...
Situé dans le quartier du Marais, à Paris, le restaurant L’Alivi nous emmène dans l’atmosphère d’une auberge traditionnelle corse. Ses pierres apparentes, ses poutres, son superbe carrelage de tommettes d’époque ainsi que ses belles bouteilles en font un espace convivial. Il est également doté d’une terrasse très agréable sur une venelle piétonne. Des chants polyphoniques vous accompagnent tout le long de votre repas et participent à cette chaleureuse ambiance. Saveriu Cacciari, le propriétaire du restaurant L’Alivi, et toute son équipe vous accueillent avec plaisir tous les jours, midi et soir. Des plats et des vins 100 % corses Ici, tout est fait maison à partir de produits frais de saison ou typiquement corses, sélectionnés avec soin. Le chef aime façonner des produits bruts pour les mettre en valeur et révéler toute leur saveur. En semaine, la formule déjeuner à 15 € se compose d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Le soir, découvrez les formules 2 ou 3 plats, respectivement à 24 et 30 €. Ou choisissez dans la carte pour vous régaler de spécialités régionales corses. De nouvelles recettes sont mises à la carte régulièrement. Les gros mangeurs pourront savourer une côte fermière de cochon de 500 g, rôtie au four et accompagnée d’une purée maison parfumée à la nepita, une herbe typique du maquis corse dont le gout se rapproche de celui de la marjolaine. Quant aux autres, ils pourront se régaler avec un civet de sanglier ou un filet de loup corse à la plancha. En dessert, il faut absolument (re)découvrir le fiadone du chef et son limoncello, un gâteau traditionnel réalisé à partir de fromage frais de brebis, le brocciu. Bien sûr, vous pourrez également apprécier les charcuteries et les fromages corses. Pour accompagner votre repas, la carte des vins propose une belle sélection. Des vins 100 % corses issus de petits domaines, dont un tiers est en bio. Découvrez également la suggestion du mois : rouge, rosé et blanc. ...
Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les côteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIe siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maitres-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international. Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages. Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II. La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana. La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et côteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon. Au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les côteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret. Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache. A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’ap...
Installée dans les anciens Haras nationaux, datant de l'époque de Louis XV, La Brasserie Les Haras fait actuellement la fierté de tout Strasbourg. Ouverte depuis 2013, elle s’est construite une réputation qui n'est plus à faire que ce soit au niveau national qu’international. En effet, l'établissement a remporté en 2014 le prix du meilleur design de restaurant au monde. En 2015, il a été sacré "meilleure brasserie" par le célèbre critique gastronomique Gilles Pudlowski dans son Pudlo Alsace 2015. Et au début de cette année 2016, la qualité de sa cuisine a valu une assiette auprès du Guide Michelin. A la tête de ce succès, le chef à trois étoiles Marc Haeberlin supervise une équipe gagnante composée du brillant Maxime Muller comme directeur d'exploitation, le surprenant chef François Baur en cuisine appuyé par la créative Tinh Tran, la maestro de la pâtisserie et enfin, Guillaume Zehnacker, le magicien des cocktails. Un endroit qui éblouit les yeux... Une fois la porte franchie, un univers qui fascine et qui enivre en même temps se dessine. Dans ce décor rustico-chic signé Patrick Jouin et Sanjit Manku de l'agence Jouin Manku, un luxe inspiré par la sobriété du monde équestre est mis en avant. Dès l'entrée, la convivialité et le partage sont à l'honneur. Au milieu de la salle, un bar sympathique et un espace Lounge avec fauteuils en cuir et quelques tables pour servir les apéritifs ont été installés. Au fond, une cuisine circulaire ouverte offre un spectacle des plus réjouissants. Mais, l'élément le plus impressionnant dans ce décor est l'imposant escalier circulaire qui se dresse au milieu de la salle, à quelques pas du bar. Véritable pièce maitresse de l'établissement, il semble être suspendu dans les airs ou en apesanteur. En empruntant ce fleuron architectural, on accède à l'arène du service au premier étage. Tout comme le rez-de-chaussée, la décoration démontre le parfait mariage du traditionnel et de la modernité. L'ambiance est toujours aussi chaleureuse et la lumière tamisée apporte une petite touche de douceur à l'ensemble. Sur les deux niveaux, La Brasserie peut accueillir jusqu'à 150 personnes dont 20 places dans la salle privée Yourte. Et durant l'été, la terrasse propose 110 couverts dans la paisible cour intérieure de ce monument classé historique depuis 1992. Une cuisine qui ravit les papilles... Tout cet esthétisme se découvre également au travers des plats. A la tête de la brigade, le chef François Baur veille à ce que chaque met soit digne de la beauté des lieux. Doté de ses plusieurs années d’expériences auprès de grands établissements gastronomiques, il a su affiner son empreinte culinaire. Aujourd’hui, c’est auprès de La Brasserie Les Haras qu’il exploite son talent en proposant des plats savoureux et originaux. Fidèle à « l’esprit brasserie », il reprend les grands classiques de la cuisine française tout comme les spécialités alsaciennes en y apportant une petite touche de modernité. Etant un aventurier, il n’hésite pas à s’inspirer de la cuisine du monde pour proposer des plats aussi créatifs que savoureux. A la carte, les convives découvrent le nouveau goût du foie gras de canard Haeberlin au chutney mangue aigre-doux avec une brioche tiède en entrée, du fameux burger d’agneau épicé aux épices d’orient ou du tronçon de lotte cuit dans un beurre blanc au rhum et quinoa à la pomme de granny smith, pour ceux qui préfèrent les poissons, en plat de résistance et le succulent tiramisu pomme vanille en dessert. Le midi, les convives pourront opter pour le menu du jour allant de 31 € à 36 €. Pour accompagner dignement les plats, la carte de vins recèle quelques pépites. Signée Serge Dubs, le célèbre sommelier, elle présente environ 120 références. Le tout servi par un personnel chaleureux et sympathique sous la supervision de Philippe Schmermesser. ...
Issue d’une longue lignée de viticulteurs, la famille Bliard exprime, depuis presque un demi-siècle, son attachement au terroir champenois. Pour cela, elle revendique une culture biologique avec un soin tout particulier apporté au travail du sol. Résultat : des cuvées toutes en finesse et en élégance, dont la qualité fait l’unanimité auprès des fins palais. La culture de la qualité Depuis 1970, la maison travaille sur un vignoble de 4 hectares, tout en veillant à préserver la Nature en adoptant les principes de l’agriculture biologique. « Nous n’utilisons jamais de pesticide, ni de désherbant, ni d’autres produits chimiques de synthèse d'ailleurs », nous indique Vincent Bliard, propriétaire des lieux. Le vignoble comprend les trois cépages rois de la Champagne à dominance de pinot meunier. Récoltant-manipulant, la maison gère l’intégralité de la chaine de production et Vincent Bliard a l’œil à tout. « Je veux la meilleure qualité possible, donc je supervise personnellement toutes les opérations », souligne-t-il. Pour les vendanges, les raisins sont récoltés manuellement quand ils atteignent leur maturité optimale. Le circuit de cueillette est choisi en fonction de trois critères : le cépage, l’âge des vignes et l’exposition. Afin de respecter au mieux les caractéristiques du raisin, la vinification s’effectue sans intervention particulière. Comme on dit, les bons vins se bonifient avec le temps ! Cela tombe bien, car les Bliard se plaisent à laisser les choses s’opérer de manière naturelle. « Les vins sont élevés dans des foudres de chêne durant un an. Cela leur laisse le temps de s’élaborer sans que nous ayons à intervenir pour accélérer le processus. » Des cuvées exceptionnelles La maison Vincent Bliard élabore principalement trois cuvées : « les trois cépages », qui se déclinent en trois saveurs (carte noire, prestige, excellence), une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée de rosé. Afin de mieux faire connaissance avec la maison, « la carte noire » est sans conteste la plus indiquée. Il s’agit d’un champagne premier cru obtenu à partir de l’assemblage de 40 % de pinot noir, de 35 % de pinot meunier et de 25 % de chardonay. D’une couleur jaune doré, cette cuvée se distingue par ses arômes de fleurs, d’agrumes et de pâtisserie. Idéale à l’apéritif ou pour accompagner des plats de poisson comme le filet de turbot au beurre blanc. ...
Située près des plages de la Côte fleurie, en Pays d’Auge, La Cavellerie est une propriété cidricole de 50 hectares, dont 40 % sont couverts de pommiers de différentes variétés. Son propriétaire Gontran Dondain est également propriétaire du Mas Roc de Bô, en Minervois, et du Château Cabezac. Les pommes du Père Gontran Le domaine de La Cavellerie est constitué d’un verger de 20 hectares sur lequel se développent 26 variétés différentes de pommiers dites de hautes tiges et adaptées à la fabrication de cidre et de calvados. Les pommes livrent des saveurs douces, amères, aigres et douces-amères. Parmi les plus connues et les plus représentatives du Pays d’Auge, il y a la Fréquin Rouge, la Rambault, la Moulin à Vent, la Cimetière de Blangy, la Marie Ménard ou la Douce Coët Ligné. Variant selon les caprices météorologiques, la récolte se fait au plus tôt à la mi-octobre et au plus tard vers fin novembre, avec un tonnage pouvant aller de 80 à 150 tonnes. Ce rendement est doublé lorsque les pommiers de La Cavellerie atteigneront leur pleine maturité d’ici à quelques années. De la pomme au cidre Après leur récolte, les pommes sont d’abord stockées plusieurs jours afin qu’elles puissent développer leur degré en sucre, nécessaire à la bonne teneur en alcool. Elles passent ensuite par la laveuse avant d’être réduites en morceaux par une broyeuse. La répartition des morceaux obtenus sur la machine à presse est la seule étape où le travail manuel est nécessaire. Enveloppée de toiles de jute, cette presse classique garantit la douceur et la constance du jus obtenu sans en altérer la qualité. Finalement, après 3 mois passés dans des cuves de fermentation, le jus de pommes est transformé en cidre. Il faut remarquer qu’à la Cavellerie cette étape de fermentation s’effectue selon les méthodes traditionnelles, avec fermentation et prise de mousse naturelle. Une partie du cidre obtenu est conditionnée et mise en bouteilles sous le doux nom de « Père Gontran Cidre Brut » en appellation AOC Pays d’Auge. Ce cidre possède un caractère fruité et généreux et accompagne à merveille les plats traditionnels comme le lapin au cidre ou le poulet vallée d’Auge. Quant au reste de la production, elle doit encore suivre quelques étapes de transformation avant de devenir un produit plus noble, typique du Pays d’Auge. Du cidre au calvados Le calvados s’obtient après une double distillation du cidre. Mais, avant, le cidre doit encore patienter 6 mois en cuve. Vers le mois de juin ou de juillet survient la première distillation dont est issu un produit dit « petite eau » ou « bouillis », qui deviendra le calvados. Celui-ci est alors élevé en futs de chêne, dans un chai de vieillissement, durant 3 ans au minimum avant d’être mis en bouteille. À 3 ans, un calvados sera dit « fin » ; à 4 ans, « réserve » ; à 5 ans, « vieille réserve » ; à 6 ans, « VSOP » ; et à partir de 7 ans, il est appelé « hors d’âge ». La collection de calvados de La Cavellerie se décline en 8 cuvées en appellation AOC Pays d’Auge, classées selon leur âge, dont les plus fameuses sont le « Père Gontran Fine » de 3 ans, se caractérisant par des arômes de pommes fraiches et de fruits rouges et élaboré avec une seule cuvée. Autre produit incontournable : le « Père Gontran hors d’âge 7 ans », élaboré avec une seule cuvée et livrant un nez vif et puissant aux notes boisées et fruitées. Le « Père Gontran hors d’âge 24 ans », assemblage des millésimes 1989 et 1991 aux notes végétales puis boisées et caramélisées, figure, quant à lui, au panthéon des meilleurs produits du domaine. ...
Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud. Grands moments de gastronomie Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle. Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement. Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies. ...
Si les Grandes Distilleries Peureux ont acquis une notoriété planétaire, elles la doivent en grande partie aux Griottines. Cette marque, qui porte l’empreinte de Pierre Baud, a fait entrer l’entreprise dans une nouvelle ère. Son fils Bernard Baud, l’actuel PDG, s’inspire des codes de la cosmétique et a ensuite donné une très forte identité à ce produit, en lui offrant un bel écrin rouge. Un acteur majeur dans son domaine Créées en 1864 par Auguste Peureux, les Grandes Distilleries Peureux sont une entreprise familiale implantée à Fougerolles (Bourgogne-Franche-Comté). Dès le début, cette distillerie se démarque par la qualité de ses eaux-de-vie, spiritueux et autres liqueurs. Un siècle et demi plus tard, la maison poursuit sa quête de l’excellence pour s’imposer aujourd’hui comme le leader mondial de la macération de fruits et premier producteur d’eaux-de-vie de fruits au monde. Un produit phare Toujours à l’affût des évolutions et des tendances de consommation, l’entreprise a misé sur un produit unique : la cerise griotte. « Ce produit a fait l’objet de recherches dans les années 1960, puisqu’il a fallu trouver une cerise qui pouvait se maintenir intacte dans l’alcool et qu’on pouvait facilement dénoyauter sans risquer de l’abimer », relate Élodie Naslin, directrice marketing et communication du groupe Peureux. Parce que cette variété de cerises ne pousse qu’en Serbie, l’entreprise y possède ses propres vergers et effectue donc la cueillette sur place. Une fois récoltés, les fruits sont acheminés à Fougerolles. De ces cerises, la maison a créé LE produit emblématique qui a fait sa renommée dans le monde entier, à savoir les Griottines. Ces petites griottes sont macérées dans un sirop léger à la liqueur et au kirsch. Elles sont idéales pour apporter une touche glamour et sublimer toutes les recettes. En effet, avec quelques Griottines, tapas, cocktails et champagne offriront une autre expérience gustative et visuelle. Simples et faciles à cuisiner, les Griottines accompagnent à merveille le fromage, le foie gras et le jambon. Il n’en fallait pas plus pour convaincre des chefs tels que François Lachaux, meilleur ouvrier de France cuisine, ou Jean-Michel Perruchon, meilleur ouvrier de France pâtissier, pour les inclure définitivement dans leurs recettes. Damier Griottines, une recette emblématique Création signée par Sébastien Chevallier, meilleur ouvrier de France boulanger, le Damier Griottines permet d’apprécier toutes les subtilités de ce produit avec, à la clé, du peps, du croquant et du gout ! « Nous ne sommes pas des fabricants de gâteaux. Mais, à travers cette recette, nous souhaitons guider et inspirer les boulangers et les pâtissiers », nous indique-t-on. Véritable tropézienne revisitée à la façon franc-comtoise, cette nouvelle pâtisserie plaira à tous les gourmets cherchant simplicité et saveurs. ...
Michel Monbouché vient d’une lignée de vignerons, et a voulu étendre l’exploitation familiale en rachetant la propriété en 1989. Envoûté par le charme de ce domaine viticole, le couple a progressivement entrepris une restructuration du vignoble de façon à l’adapter aux exigences qualitatives recherchées. Aujourd’hui, le domaine travaille 60 hectares de vignes, soigneusement répartis sur des terroirs à dominance argileuse et argilo-calcaire. Comprendre et aimer le terroir Les vignes du domaine sont situées sur des terroirs très variés et confèrent ainsi une certaine typicité à chaque vin. « Des analyses de sols faites sur l’ensemble du vignoble bergeracois m’ont permis d’adapter les cépages aux différentes types de sols et d’ainsi tirer profit au mieux des caractéristiques de notre terroir », explique Michel Monbouché. Les cépages blancs à l’instar de sauvignon, sémillon, et muscadelle, prédominent le vignoble à 65 %. Les rouges sont issus des cépages merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon. Le Château Ladesvignes applique les méthodes de l’agriculture raisonnée depuis plusieurs années. Certifié QUALENVI en 2011 et Haute Valeur Environnementale en 2013, le domaine mise sur une stratégie axée sur la préservation de l’environnement et la transparence des traitements des vignes. Toujours en quête de l’excellence, cette année le couple s’est engagé dans une démarche de reconversion pour obtenir le label Agriculture Biologique, « afin d’assurer la pérennité du sol et de la biodiversité ». Un engagement pris naturellement par ces amoureux de la terre et des vignes. Des vins haut de gamme Les vins AOC Bergerac se déclinent en blanc sec, en rosé et en rouge. Le côtes-de-bergerac rouge, un vin plus charpenté et de longue garde, ainsi que le côtes-de-bergerac moelleux 2016, un vin doux légèrement sucré, viennent compléter la liste. La cuvée emblématique reste sans conteste, le monbazillac Automne, plusieurs fois cité dans le guide Hachette des vins et récemment récompensée Médaille d’or au Concours général agricole de Paris 2017. «J’élabore ce vin uniquement les années où la nature nous permet d’avoir la pourriture noble bien sûr mais surtout le passerillage sur nos cépages sémillon et muscadelle, telles 2011 ou 2015 », dévoile notre interlocuteur. Il sera ensuite vinifié en barrique de 18 à 24 mois. Ce vin blanc liquoreux revêt une robe jaune or et enveloppe un arôme accentué de fruits confits. À la dégustation, il offre une attaque marquée et tout en finesse, avec une note de fraîcheur sensiblement sucrée. Idéal pour les amateurs de grands liquoreux. ...
Tout commence en 1825 lorsque Jean-Louis Prieur, un Champenois d’origine, fonde la maison Ch. & A. Prieur et réalise une activité de négoce. Pendant quelques années, la maison cherche, affine et affirme son style. À la fin du XIXe siècle, elle a la brillante idée de miser sur l’image de l’empereur Napoléon pour promouvoir ses champagnes. Le succès est tel qu’Alfred-Marie, le petit-fils du fondateur, décide de déposer la marque « Napoléon » en 1907. Un siècle plus tard, les champagnes Napoléon continuent encore d’enchanter les palais à travers la magie de leurs bulles légères. Deux cépages à l’honneur Négociant-manipulant, la maison Napoléon se procure ses raisins auprès de familles de vignerons. « Nos raisins proviennent majoritairement de la côte des Blancs et de la montagne de Reims », décrit Julia Prévost, responsable marketing de la marque. Les champagnes Napoléon sont issus d’un assemblage harmonieux de deux cépages que sont le chardonnay et le pinot noir. Côté vinification, la maison opte pour un élevage en cuve inox plutôt qu’en fût de chêne. « La vinification en cuve permet à nos champagnes de conserver une belle minéralité à la dégustation. » Si l’appellation Champagne impose 15 mois minimum pour les cuvées non millésimées, Champagne Napoléon s’impose un minimum de 36 mois pour parfaire le vieillissement de ses vins. « Ce temps de vieillissement peut atteindre jusqu’à 10 ans en cave pour les millésimes », précise notre interlocutrice. Des vins d’un autre temps À travers sa gamme œnothèque, la maison Napoléon propose aux œnophiles une collection unique de vieux millésimes. Il s’agit de champagnes en édition limitée dont la particularité varie d’un millésime à l’autre. « Actuellement, ce sont les millésimes 1992, 1996 et 1998 que nous mettons en vente via notre boutique en ligne », précise Julia Prévost. La maison souhaite ainsi rendre accessibles au public des produits jusque-là considérés comme « élitistes ». Cette gamme a pour objectif de prouver l’impact du dosage sur un champagne et se décline en deux expressions : Œnothèque originelle (dosages d’autrefois) et Œnothèque Dosage récent (dosée en 2018, lancement en novembre 2018) avec nouvel habillage. En parallèle, quatre cuvées sont également proposées : Tradition, Blanc de blancs, Rosé et Millésime 2004. La cuvée Tradition est sans conteste celle qui représente le mieux la maison. Élaboré à partir de 50 % de chardonnay et de 50 % de pinot noir, ce champagne a vieilli en cave près de 4 ans. Il se distingue par un mélange d’arômes de pâtisserie, de fruits exotiques et de fruits jaunes. En bouche, la magie s’opère grâce à l’équilibre parfait entre la fraicheur du chardonnay et la puissance du pinot noir. Cette cuvée est recommandée pour l’apéritif et accompagne idéalement des plats de viandes. ...