Située près des plages de la Côte fleurie, en Pays d’Auge, La Cavellerie est une propriété cidricole de 50 hectares, dont 40 % sont couverts de pommiers de différentes variétés. Son propriétaire Gontran Dondain est également propriétaire du Mas Roc de Bô, en Minervois, et du Château Cabezac. Les pommes du Père Gontran Le domaine de La Cavellerie est constitué d’un verger de 20 hectares sur lequel se développent 26 variétés différentes de pommiers dites de hautes tiges et adaptées à la fabrication de cidre et de calvados. Les pommes livrent des saveurs douces, amères, aigres et douces-amères. Parmi les plus connues et les plus représentatives du Pays d’Auge, il y a la Fréquin Rouge, la Rambault, la Moulin à Vent, la Cimetière de Blangy, la Marie Ménard ou la Douce Coët Ligné. Variant selon les caprices météorologiques, la récolte se fait au plus tôt à la mi-octobre et au plus tard vers fin novembre, avec un tonnage pouvant aller de 80 à 150 tonnes. Ce rendement est doublé lorsque les pommiers de La Cavellerie atteigneront leur pleine maturité d’ici à quelques années. De la pomme au cidre Après leur récolte, les pommes sont d’abord stockées plusieurs jours afin qu’elles puissent développer leur degré en sucre, nécessaire à la bonne teneur en alcool. Elles passent ensuite par la laveuse avant d’être réduites en morceaux par une broyeuse. La répartition des morceaux obtenus sur la machine à presse est la seule étape où le travail manuel est nécessaire. Enveloppée de toiles de jute, cette presse classique garantit la douceur et la constance du jus obtenu sans en altérer la qualité. Finalement, après 3 mois passés dans des cuves de fermentation, le jus de pommes est transformé en cidre. Il faut remarquer qu’à la Cavellerie cette étape de fermentation s’effectue selon les méthodes traditionnelles, avec fermentation et prise de mousse naturelle. Une partie du cidre obtenu est conditionnée et mise en bouteilles sous le doux nom de « Père Gontran Cidre Brut » en appellation AOC Pays d’Auge. Ce cidre possède un caractère fruité et généreux et accompagne à merveille les plats traditionnels comme le lapin au cidre ou le poulet vallée d’Auge. Quant au reste de la production, elle doit encore suivre quelques étapes de transformation avant de devenir un produit plus noble, typique du Pays d’Auge. Du cidre au calvados Le calvados s’obtient après une double distillation du cidre. Mais, avant, le cidre doit encore patienter 6 mois en cuve. Vers le mois de juin ou de juillet survient la première distillation dont est issu un produit dit « petite eau » ou « bouillis », qui deviendra le calvados. Celui-ci est alors élevé en futs de chêne, dans un chai de vieillissement, durant 3 ans au minimum avant d’être mis en bouteille. À 3 ans, un calvados sera dit « fin » ; à 4 ans, « réserve » ; à 5 ans, « vieille réserve » ; à 6 ans, « VSOP » ; et à partir de 7 ans, il est appelé « hors d’âge ». La collection de calvados de La Cavellerie se décline en 8 cuvées en appellation AOC Pays d’Auge, classées selon leur âge, dont les plus fameuses sont le « Père Gontran Fine » de 3 ans, se caractérisant par des arômes de pommes fraiches et de fruits rouges et élaboré avec une seule cuvée. Autre produit incontournable : le « Père Gontran hors d’âge 7 ans », élaboré avec une seule cuvée et livrant un nez vif et puissant aux notes boisées et fruitées. Le « Père Gontran hors d’âge 24 ans », assemblage des millésimes 1989 et 1991 aux notes végétales puis boisées et caramélisées, figure, quant à lui, au panthéon des meilleurs produits du domaine. ...
À travers des recettes qui lui sont propres, élaborées à partir des produits de sa manufacture, la marque aix&terra fait une entrée très remarquée dans l’univers culinaire artisanal avec tout ce qui constitue sa différence et son originalité. Les origines de la marque Articulée autour du meilleur savoir-faire provençal et du plaisir d’inventer d’authentiques recettes, aix&terra a vu son identité sublimée pour devenir en seulement cinq ans, une marque à part entière. N’étant alors en 2010 qu’une échoppe rachetée avec son enseigne par le couple Marina et Richard Alibert, dans l’idée, selon ce dernier, « de lui insuffler une nouvelle dynamique », la petite boutique a été transformée du jour au lendemain en un atelier exclusif de fabrication de recettes pour développer la marque aix&terra dans le concept original d’une authentique cuisine artisanale de Provence. Une manufacture bien structurée La création des premières recettes aix&terra a débuté dans cette manufacture de fortune avec des crèmes gourmandes ou encore du caviar d’aubergine à la truffe noire pour progressivement atterrir jusque dans les grands magasins comme les Galeries Lafayette, les épiceries fines, chez les cavistes et autres enseignes d’hôtels-restaurants haut de gamme. Ce succès a conduit les propriétaires à construire une nouvelle manufacture sur la Nationale 7, dans laquelle ils continuent « à poursuivre leur aventure de fabricant-artisan dans la Drôme provençale », comme l’a si bien souligné Richard Alibert. Cette nouvelle structure est installée dans une bâtisse de 800 m2 où l’Atelier, l’Épicerie et La Table forment trois espaces indépendants. La Table-Épicerie aix&terra Chaleureux et convivial, La Table-Épicerie aix&terra est un espace de restauration prolongé d’une partie épicerie, où est proposée une cuisine inventive, préparée selon les recettes créées à partir des produits de la manufacture. À travers une carte gourmande aux couleurs chaudes qui met majoritairement l’accent sur des inspirations créatives provençales exclusives, La Table aix&terra séduit les visiteurs avec ses crostinis de caviar d’aubergine à la truffe noire, ses toasts aux petites salades, son carpaccio de bœuf à l’huile d’olive et à la truffe noire ou encore ses tartelettes à la crème de citron qui sont des produits vedettes de la maison. Dans la partie épicerie, les clients ont également la possibilité d’acheter les produits aix&terra et repartir avec des fiches-recettes qu’ils pourront reproduire une fois à la maison. ...
La tradition a été bousculée ! La vitiviniculture n’est plus un travail exclusivement masculin. Cette activité peut aussi refléter une élégance féminine et c’est ce que les vigneronnes du territoire Capagathois tiennent à démontrer. Désormais, ce renouveau s’affiche comme l’une des plus grandes fiertés de ces vignobles ancestraux, chatoyants et variés, qui sont devenus de fervents promoteurs des vins de femmes. Dans l’atelier des vigneronnes Les femmes aiment le vin, mais elles aiment aussi faire du vin, et elles le font bien ! Elles répondent parfaitement aux nouvelles demandes qui s’articulent autour de la recherche du goût et du plaisir. Cette nouvelle perspective est issue d’une volonté profonde de respecter la nature et donne naissance à des vins plus légers, plus fruités et moins tanniques. Chez Sabine de Virieu (propriétaire du Domaine de la Conseillère, à Montagnac), la culture du vin, c’est aussi la culture de l’accueil des visiteurs et la transmission de la pédagogie du vin. La production en IGP lui permet une grande créativité, elle souhaite faire découvrir la large palette aromatique entre des merlots et de la syrah pour éveiller les sens, et la conscience du bon vin respectueux de la terre et de la nature. Au Domaine de Daurion, à Caux, Isabelle Cordoba-Collet s’appuie sur un savoir-faire traditionnel pour produire des vins exprimant le terroir volcanique typique de l’appellation Pézenas. Isabelle travaille en finesse et élégance, notamment ses blancs, sur des vignes en conversion pour un plus grand respect et une protection de ses terres. Bien d’autres domaines et produits sont encore à découvrir : la Chartreuse de Mougères et Gersende de Saint-Exupéry, Simone et Virginie Gaujal à Pinet, Sophie Palatsi au domaine de la Clapière à Montagnac… et bien d’autres. On peut dire que les femmes insufflent un avenir prometteur au paysage et aux productions viticoles du Languedoc. ...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
Du bœuf de Kobe, à l’agneau d’Irlande en passant par le porc Genevois, le chef suisse doublement étoilé au Domaine de Châteauvieux Philippe Chevrier attise les braises dans son steak house à l’américaine. Cet authentique grill à l’américaine situé en plein cœur de Genève, sur la célèbre rue du Rhône est un repère idéal pour les fins gourmets. Célébrée dans un décor époustouflant, la viande est au centre des saveurs gastronomiques. Un peu de New York à Genève Pour Philippe Chevrier, cuisinier genevois doublement étoilé, c’est un vieux rêve qui s’est réalisé, avec l’ouverture de ce grill en fin 2015, à Genève. Le chef multi-restaurateur qui a bâti sa réputation au domaine mythique de Châteauvieux a toujours été fasciné par New-York. Preuve en est, il s’y rend régulièrement depuis 1984 pour participer au marathon. Plus qu’une inspiration, il a ramené du pays de l’oncle Sam de nouvelles façons de savourer la cuisine. Sur deux immenses étages boisés au chic incontestable tout de briques et de poutres, de matières brutes et de gros volumes, le décor de Chez Philippe semble tout droit sorti des quartiers de Brooklyn. Très fréquenté, l’établissement propose un dyptique au charme certain. Au rez-de-chaussée, le bar, lounge et décontracté propose à la carte burger, salades et viandes. Idéal pour un verre entre amis ou un repas sur le pouce. Le petit plus pour un moment after work : un pianiste qui accompagne les moments culinaires dans une ambiance conviviale. La brasserie est ouverte 7 jours sur 7 et prend les dernières commandes à 23h. A l’étage, c’est la partie grill-restaurant qui se dévoile. Plus intimiste, cultivant l’élégance et le raffinement cosy. Un immense loft au plafond haut et au décor vitré accueille le visiteur. Dans une ambiance tamisée et un design épuré, les chefs de Chez Philippe mettent sur le feu une gastronomie tendre et juteuse. Le succès du restaurant repose en effet sur la grande variété de viandes proposées sur le grill. A la carte, vous trouverez une vingtaine de pièces de viandes cuisinées et réputées pour leurs qualités gustatives. On y trouve, entre autres, de l’agneau d’Irlande, du porc Suisse, du boeuf d’Australie et du bœuf de Kobe (japonais). De quoi satisfaire toutes les envies des gourmets. Des tranches de rêve dans l’assiette Comme toujours dans les établissements signés Philippe Chevrier, les produits locaux restent à l’honneur avec des viandes suisses d’exception. Gourmandes, les recettes que l’on retrouve aux tables sont toutes réalisées avec maîtrise et savoir-faire sur le grill. Les plus belles races de bœuf, maturées sur l'os pendant 3 à 5 semaines sont travaillées par les chefs sur la base d’une cuisson au bois de hêtre dont les vertus sont reconnues pour une cuisine plus saine et diététique mais protéinée. Chez Philippe, la viande est aussi sélectionnée sur des marchés d’excellence incontournable, nous dit-on. En témoigne une collaboration fidèle depuis l’ouverture de l’établissement avec la grande boucherie du Molard, une institution Genevoise incontournable depuis 1921. Un boucher est d’ailleurs présent le midi pour découper la viande sous l’œil des clients dans les règles de l’art. Loin de se confiner à l’art terrien, la cuisine prend aussi le grand large. Homards, crevettes, noix de Saint Jacques snackées et autre mets de la mer connaissent également l’épreuve du feu avant de rejoindre le bois somptueux des tables et du bar. Le restaurant propose également un joli banc d’huitres d’Oleron. Du côté des desserts, les clins d’œil à New York se multiplient avec l’Empire State Building, ce gros gâteau meringué, servi aux fruits exotiques l’été et aux fruits rouges l’hiver. Le Genève-New-York est aussi à la carte, une sorte Paris Brest revisité et rebaptisé, véritable gourmandise agrémentée de chocolat et de café. ...
Installée dans des bâtiments neufs à la sortie de l’autoroute à Chemillé-en-Anjou dans le département du Maine-et-Loire, l’herboristerie Cailleau bénéficie de 4.500 m² pour recevoir, transformer, conditionner et expédier en respectant les dernières normes de production. Elle regroupe 2 secteurs d’activité : la vente aux détaillants comme les herboristeries, les coiffeurs, les magasins diététiques ou les pharmaciens et la vente aux industriels comme les brasseurs de bières, les industries agroalimentaires et cosmétiques La société ayant reçu son agrément pharmaceutique depuis un an maintenant, elle peut désormais vendre les plantes du domaine pharmacopée aux pharmacies. Aujourd’hui, l’Herboristerie Cailleau emploie 30 salariés à temps plein. Un catalogue de plus de 800 références Son catalogue contient plus de 800 plantes déclinées sous différentes formes : feuilles, fleurs, sommités fleuries, racines, coupées, entières, poudre… L’Herboristerie mise sur l’excellence botanique de ses produits et sur le savoir-faire de ses fournisseurs, pour procurer des plantes de haute qualité à ses clients. Elle en garantit l’identité botanique. Avec son pharmacien, la société analyse et contrôle chaque réception pour garantir in fine la sécurité des consommateurs. Elle se fournit au plus proche, favorisant les circuits courts et les producteurs locaux. Mais certaines plantes ne sont pas cultivées dans la région. Ainsi par exemple la lavande arrive du sud, le génépi des Alpes. D’autres doivent être importées, particulièrement de Pologne, Hongrie, Lituanie, Espagne, Portugal, Maroc, Tunisie ou encore Brésil. Elle s’est également engagée dans une démarche bio pour répondre à une demande de plus en plus importante. Actuellement les plantes bio représentent 25% du catalogue. Les plantes sont préparées sous toute forme (coupée, pulvérisée), transformées (gélule, macérât aqueux, huile essentielle, infusette) et conditionnées (de 250 g à 2,5 T) dans les locaux de la société, suivant les besoins et les demandes des clients. Plus de 2000 clients lui font déjà confiance. La qualité de ses produits est également reconnue à l’étranger puisque l’Herboristerie Cailleau réalise 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Depuis 1 an l’herboristerie a aussi ouvert un site de ventes en ligne dédié aux particuliers, répondant ainsi à l’ensemble des demandes de ses clients. ...
La maison Mira, c’est d’abord et avant tout une brasserie aux savoir-faire et au style bien affirmés. Mais c’est aussi un pub atypique, où la musique et l’art ont toute leur place. Mira, un concept à deux têtes Mira est la concrétisation d’un projet partagé par deux passionnés de houblon : Jacques Bellec et Aurélien Rey. En 2015, les deux associés ont eu le déclic au cours d’une visite effectuée dans une brasserie implantée au Canada. Un an plus tard, la première bière Mira voit le jour : la Mira Blonde n° 1 « floquée » d’une chimère, un animal fabuleux à deux têtes ! C’est le début d’une belle épopée, qui verra la création successive de nouvelles gammes de bières authentiques. Des produits diversifiés La Brasserie Mira confectionne ses produits de A à Z. En tout, la maison propose deux gammes de bières « Mira » et « BM », une gamme « Soda » et des spiritueux. Mais la brasserie n’a nullement l’intention d’en rester là. « Nous lancerons très bientôt une bière bio et sans gluten », annonce Lucile Crestey, chargée de marketing et communication. S’agissant de la production des bières justement, la maison se démarque par l’utilisation d’une eau de source presque « mira-culeuse » ! « La bière est composée de 82 % d’eau et celle que nous utilisons est très spéciale », nous confie-t-on. En effet, c’est à 300 m de profondeur, directement sous la brasserie, que la maison puise une eau de source de 22 500 ans d’une qualité exceptionnelle. Parfaitement minéralisée, cette eau d’une grande pureté a traversé pas moins de 67 couches. Avec cet ingrédient rarissime, la maison produit des bières au goût inimitable. À l’exemple de la Mira Blonde, mélange subtil de malt d’orge et de houblon, qui séduit par ses accents floraux et son arôme incomparable. Et que dire de la Mira Ambrée et de son surprenant gout caramélisé ? « Nous proposons aussi des bières en édition spéciale comme l’édition Noël », rapporte notre interlocutrice. La gamme « Soda », quant à elle, se compose de 3 boissons gazeuses : la limo, le cola et le tonic. 100 % rafraichissantes, celles-ci révèlent de subtils arômes, qui seront un pur délice pour toutes les papilles. Concernant les spiritueux, la maison présente un « London Gin » de haut de gamme, élaboré à partir d’alcool de blé et d’une macération botanique. Ce gin est le complice idéal du « Mira Tonic » avec lequel il peut exprimer toutes ses caractéristiques. Ensemble, ils forment un cocktail réussi, qui plaira aussi bien aux amateurs qu’aux passionnés. Si ces boissons offrent des expériences différentes en termes de saveurs, elles partagent toutes le même secret : une eau pure, exempte de pesticides, de chlore et de nitrates. Un pub atypique Accolé à la brasserie, le pub Mira est l’endroit indiqué pour faire plus ample connaissance avec les spécialités de la maison, grâce à une carte d’alcools et d’apéritifs bien fournie. Par ailleurs, les gourmets de passage ont l’occasion de déguster des plats savoureux, cuisinés exclusivement avec des produits frais. Le soir, tapas en tout genre et pièces du boucher sont à l’honneur. Côté animations, l’établissement organise un concert par jour. « Nous avons de nombreux évènements liés à la musique et nous accueillons des artistes qui viennent se produire tout au long de l’année », nous dévoile Lucile Crestey. Chaque mois, le pub Mira soutient les nouveaux talents locaux, en leur donnant l’opportunité de se produire devant un public. S’ils le souhaitent, ces artistes en herbe peuvent se perfectionner auprès d’une école de musique sous la supervision de professeurs expérimentés. Véritable lieu de culture et de partage, l’établissement accueille également de nombreuses manifestations artistiques (street art, expositions&...
Faisant partie des 180 hôtels relais du silence, le Moulin de Valaurie est un havre de paix blotti dans un cadre sain et écologique, au sein du département de la Drôme dans la région Rhône-Alpes. Cet ancien moulin en pierres apparentes se trouve effectivement dans un parc arboré de 4 hectares proposant une véritable immersion au sein d’une nature enchanteresse. Paysage marquant et spacieux Détente, gourmandise, confort : ces trois mots suffisent amplement à décrire le Moulin de Valaurie. Situé à quelques kilomètres de Grignan, à la sortie de Valaurie, l’établissement prône le plaisir des pupilles et celui des papilles. Dès leur arrivée, les convives se laisseront surprendre par l’ambiance provençale qui plane dans cet ancien moulin rénové aux volets bleus/lavande. Dans le restaurant, la salle éclairée par les baies vitrées inspire calme et douceur. Installée confortablement sur leur chaise, les clients prendront plaisir à admirer l’environnement bucolique et enchanteur proposé à l’extérieur. Pour ceux qui aiment plutôt le grand air, la terrasse ombragée sous les platanes offre un espace épuré propice à la dégustation des merveilles du chef. Dans un très grand jardin verdoyant et fleuri, le parfum de lavande procure bien-être et sérénité. Un gage de qualité et de créativité Reconnu pour sa cuisine provençale, le chef Eric Berthillot revisite à la perfection les recettes traditionnelles françaises en privilégiant les produits frais et de saison, qui sont essentiellement issus du terroir. Le potager bio de la propriété s’étendant sur une superficie de 3000m2 lui fournit les légumes et fruits et la totalité des herbes de Provence telles que le thym, le romarin, et la sauge. Les autres produits contribuant à l'élégance de son art culinaire sont soigneusement sélectionnés par le chef auprès des producteurs locaux. Original et créatif, il prépare uniquement des plats gourmands fait-maison. Renouvelée tous les deux mois, la carte du Moulin de mai 2016 est une ode à la gourmandise avec ses innombrables suggestions. En entrée, le Foie gras de Canard de la Vallée de Limagne, cuit en terrine fait voltiger les papilles. Laissez-vous ensuite séduire par les saveurs de l’Epaule d’agneau confite et fondante. Au dessert, l’incontournable Gâteau à l’orange servi avec un sorbet orange sanguine et des tuiles au romarin fait partie des mets phares à ne pas manquer dans le restaurant. A midi, la maison sert une formule spéciale composée d’une entrée élaborée avec les produits du potager, d’un mitonné du jour ou de poisson ou viande du moment et d’un dessert ou de fromage. La formule composée de trois plats est à 29 euros. ...
C’est à Paimpol, au cœur de la Bretagne, que cette conserverie élabore des recettes succulentes tartinables destinées à sublimer les apéritifs. À déguster entre amis, en famille ou entre collègues, « ces tartines artisanales à vocation gastronomique apportent un vrai plaisir en bouche », nous explique Yann Trébaol, propriétaire de la conserverie. S’exportant, entre autres, à l’international, la Paimpolaise s’affiche aujourd’hui parmi les meilleurs de son domaine avec des nouveautés tous les ans et, en prime, des coffrets cadeaux disponibles tout au long de l’année. Des tartines ambassadrices du terroir Perdue entre terre et mer, la Bretagne reste une région riche de ses traditions, de son histoire et de sa gastronomie. La Paimpolaise Conserverie tient ainsi à révéler ce que cette région a de meilleur à offrir grâce à un éventail de produits artisanaux, allant des tartinables aux soupes, en passant par les tapas disponibles en plusieurs formats. « Élaborées de A à Z dans nos ateliers, les tartinables sont faites à base de poissons, de coquillages et de crustacés, afin d’animer les apéros », reprend le gérant. Fumés ou cuits, assaisonnés ou nature, ces fruits de mer, allant des moules au thon, sont savamment mariés à des produits de la terre tels que le gingembre, le citron, le champignon ou la coriandre. Ces mariages ingénieux, fidèles à l’identité tantôt marine tantôt terrestre de la Bretagne, révèlent toute la fraîcheur et la subtilité des produits de la mer ainsi que la douceur des herbes et des condiments. Agrémentez ainsi vos instants gourmands de tartines de rigadell et aile de raie à la coriandre. Accompagnés de vins, ces toasts allient harmonieusement fraîcheur marine et saveurs propres au terroir. « Les tartinables de haute qualité que nous produisons valorisent la Bretagne et rehaussent l’économie de toute la région », continue notre interlocuteur en précisant le fait que toute la chaîne de production est approvisionnée de produits locaux. Découvertes culinaires inédites, extase gustative et plaisirs du palais se retrouvent ainsi dans chaque bouchée des tartinables de cette conserverie dont la réputation est acquise au-delà des mers. Tapas et soupes : autant de recettes artisanales à découvrir Mis à part les tartinables, la conserverie de Paimpol mise également sur des produits emblématiques tels que les tapas ou les soupes. Les tapas apéritives, déclinées en plusieurs recettes s’adaptant à tous les goûts, s’apprécient autour d’un verre à l’occasion de vos instants conviviaux appelant à la gourmandise. Faisant le bonheur des gastronomes, des amateurs de bonne cuisine et des amoureux des délices de la mer, chaque portion de tapas, notamment celle en format 100 g, révélera ce côté « ensoleillé » et quelque peu fougueux de la Bretagne. Pour ce qui est des soupes, ces dernières sont concoctées de manière artisanale, toujours fidèles à l’identité authentique de la gamme de produits de la Paimpolaise Conserverie. Allant des traditions typiquement bretonnes, à l’instar de la fameuse soupe de poisson, aux innovations gastronomiques, pour ne citer que les veloutés de coquillages et les soupes sont ici l’affaire gourmande de tous ceux qui aiment allier goût du vrai et innovation culinaire. ...
Sous le charme authentique au décor intimiste et raffiné d’un établissement 5 étoiles, le lieu séduit par son ambiance méditerranéenne, enveloppée d’un léger romantisme. L’établissement saisit l’occasion du printemps pour ouvrir son patio florentin et laisser apparaitre une charmante fontaine surplombée d’une façade en trompe-l’œil, afin de permettre aux clients de vivre une exceptionnelle Dolce Vita. Une cuisine de haute tenue Créatif et talentueux, le chef Ugo Gastaldi se plait à composer de belles assiettes où le meilleur des saveurs italiennes se dévoile au grand plaisir des gourmets et des gourmands. Des atouts incomparables qui lui valent de proposer une carte aux charmes méditerranéens au sein du restaurant l’Assaggio et de faire du Castille une référence parisienne. Découvrez une carte variée qui change au gré des saisons avec un très large choix de vins d’Italie qui permettent de belles associations. ...
Spécialiste de bières de garde, la Brasserie Castelain est une entreprise familiale à taille humaine qui a su conserver les nobles valeurs qui ont si bien animé et nourri l’entreprise tout au long de son existence. Située en région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où la culture de la bière est fortement ancrée, la brasserie partage une passionnante histoire d’amour avec une clientèle fidèle et florissante. Des produits au naturel Grâce à un réel savoir-faire, la Brasserie Castelain a su développer plusieurs gammes de bières qui ont bâti sa renommée. C’est une entreprise familiale qui se nourrit de la passion de toute une équipe. Toutes ses bières sont faites avec beaucoup d’amour et dans le strict respect d’une charte qualité « avec le plus de naturalité possible et un mode de fabrication qui va laisser le temps au temps avec une garde longue », nous précise Annick Castelain, l'actuelle dirigeante. Des bières qui s’adaptent aux différents gouts des consommateurs et aussi à différents moments de consommation. Précurseur de la bière bio Trente ans plus tôt, à l’époque où la notion de bio ou de développement durable n’existait pas encore, la Brasserie Castelain a été « la première entreprise à faire de la bière biologique en France ». Le marché a évolué rapidement en recherchant des « produits les plus naturels possibles ». La Jade sans gluten a été créée en 2015, après constatation du nombre croissant des personnes intolérantes ou sensibles au gluten. Au bout de 2 ans d’efforts laborieux autour d’un processus qui a pour principe de n’utiliser que des céréales de ses régions, l’établissement a réussi à trouver un mode de fabrication aboutissant à la fabrication d’« une bière qui ne contient pas de gluten mais ayant un vrai gout de bière ». Et c’est là toute la différence ! Des visites en écomusée La Brasserie Castelain est fortement engagée dans la promotion de la bière, devenue une tendance et un produit de mode. En dépit de cet engouement majeur, le produit suscite encore de nombreuses questions auprès des consommateurs, notamment en ce qui concerne son mode de fabrication ou les ingrédients qui la composent. Toute l’équipe de la brasserie s’attache à apporter les réponses à ces questions, en mettant en place des circuits et des visites en écomusée. Au long du parcours d’exposition, des photos représentent les différentes périodes vécues par l’entreprise ainsi que les personnes qui se sont passionnées pour elle, avec un petit rappel du nombre de brasseries existant à cette époque dans la région. La Brasserie Castelain organise également de petites manifestations de façon à communiquer sur le produit et à partager la culture de la bière, en proposant, par exemple, des dégustations de produits associés. ...
Située avenue Emile Zola dans le 15e arrondissement de Paris, La Mousson propose une cuisine traditionnelle cambodgienne. C’est un carrefour gastronomique entre la cuisine chinoise et la cuisine vietnamienne. Une ambiance exotique La propriétaire de La Mousson, Sarany Ly, est une véritable ambassadrice de la culture khmère. Elle se plait à recevoir ses convives dans une salle joliment décorée, à son image. Une promesse d’un délicieux périple au cœur du Cambodge. Le cadre, les éléments décoratifs ainsi que la musique de fond ont été soigneusement choisis pour vous emmener tout droit vers le fameux site d’Angkor, les monts Cardamome ou au cœur des marchés de Phnom Penh. Évasion culinaire au royaume du Cambodge Au restaurant La Mousson, vous vous laissez charmer par des plats raffinés, riches en saveurs et en senteurs avec une note sucrée-salée. Les épices et herbes aromatiques qui sont à la base de l’art culinaire cambodgien sont à l’honneur : galanga, cannelle, citronnelle, poivre de Kampot, tamarin... Dans cet établissement, les sens sont gatés de l’entrée au dessert. Le Nataing, une entrée composée de porc et de crevettes hachées au riz soufflé ou les bouchées La Mousson, une création du chef, sont idéaux pour donner un avant-gout de ce qui va suivre. L’incontournable Hamok cuit à la vapeur (estouffade de poisson, poulet ou noix de Saint-Jacques au lait de coco), le Prahok Ktih (poisson fermenté, mélangé avec du porc haché, du lait de coco et des épices khmères) ou la fondue cambodgienne, une des spécialités de la maison, sont ensuite chaudement recommandés. Même au dessert, l’exotisme est toujours à son comble. Il n’y a qu’à gouter les douceurs typiques faites maison pour le prouver : le Nôm Popeay (pâte de soja jaune enrobée de farine de riz gluant au coco râpé et sésame). Sinon, ce gâteau de riz gluant enrobé dans une feuille de bananier nommé Nôm Ansom fera valser vos sens. La cave à vins de La Mousson, quant à elle, propose une large palette de vins français : des références qui se marient parfaitement avec l’exotisme des mets cambodgiens. Une alliance qui forme une harmonie de culture peut-être improbable pour certains mais absolument exquise. ...
Celà fait 26 ans maintenant que Nathalie et Richard Roulot, viticulteurs passionnés, ont pris la relève de l'exploitation familiale. Ils dirigent ce domaine exceptionnel blotti au sein de la vallée de la Marne, plus précisément à Festigny, selon un savoir-faire hérité de leurs aïeuls. Leur terroir a la particularité de présenter des coteaux très variés permettant l’obtention de vins équilibrés, ayant atteint pleinement leur maturité. Bien qu’on y trouve surtout le pinot meunier, la maison cultive aussi du chardonay et du pinot noir sur ces huit hectares, afin de parfaire ses assemblages. Des valeurs écoresponsables Toute l’année, le couple Roulot ainsi que ses salariés s’occupent de la production, jusqu’à la commercialisation des 30 000 bouteilles vendues annuellement. Attentionnée et soucieuse de la qualité du travail, la maison applique des règles très strictes, qui commencent dès la vigne. « Nous avons opté pour une culture de bon sens depuis 20 ans » confirme Nathalie Roulot, « nous utilisons le moins possible de traitements phytosanitaires, qu'on sait particulièrement nuisibles au développement de la biodiversité ». Les vignes sont travaillées manuellement toute l’année. Ces précautions garantissent des raisins sains et nobles et, ainsi, des champagnes de grande qualité. Les raisins produits sur le domaine passent ensuite dans le pressoir et la cuverie installés dans le domaine.« Car il est important pour nous de spécifier que nous faisons tout nous-mêmes en tant que récoltant manipulant » déclare Nathalie. Perfectionnistes dans le vieillissement des vins La cuvée Tradition, qui est connue comme étant l’ambassadrice de la maison, est constituée de 95 % de pinot meunier, complétée par le pinot noir. Elle charme les palais des œnophiles par son fruité et sa rondeur. Autre cuvée incontournable : les Millésimes, qui portent la signature de la rareté et du prestige. Chez la famille Roulot-Fournier, les cuvées vieillissent le plus longuement possible. « Celles en vente actuellement ont cinq années de vieillissement en bouteilles dans nos caves. Nous tenons à commercialiser nos champagnes à maturité », précise Nathalie Roulot. Cette mesure est « gage de qualité et du bon développement des arômes ». ...
Petite commune tranquille de Haute-Garonne située à 10 minutes de Blagnac et à 20 minutes de Toulouse, Mondonville abrite une table gourmande qui fait la part belle aux produits du terroir. Aux Ecuries de la tour, le sud-ouest est à l’honneur à la carte comme dans la cave à vins. Vous y dégusterez des plats traditionnels gascons revisités selon l’imagination et l’inspiration de l’équipe en cuisine placée sous la houlette de Jérôme De Stéfani. Ce chef passionné saura éblouir vos papilles avec des associations de saveurs subtiles qui rappellent des souvenirs d’antan. Une cuisine goûteuse axée sur le régional La cuisine régionale des Ecuries de la Tour saura largement satisfaire les fins palais. Aux fourneaux, le chef Jérôme De Stéfani veut retransmettre dans ses créations culinaires, ses valeurs du sud-ouest et ses origines toulousaines. Il propose ainsi des plats gourmands entièrement qui prônent sa créativité. Etant également Maître Restaurant, le chef réalise du fait-maison avec des produits bruts. Tous les jours, le restaurant propose des formules « Midi » avec en option : un plat du jour unique à 12 euros, une entrée et un plat ou un plat et un dessert à 16 euros et enfin une entrée, un plat et un dessert à 20 euros. Toute la semaine de mardi à dimanche, en journée comme en soirée, la maison propose également deux menus que vous créerez vous-même à partir des suggestions à la carte. Vous avez le choix entre trois ou quatre déclinaisons, c’est selon les envies. Commencez cette escapade gourmande avec une Terrine de foie gras aux mendiants, puis enchaînez avec une Assiette de pêcheur ou un Filet d’agneau en croûte de moutarde, jus de romarin. Achevez cet agréable moment culinaire avec une note douceur en optant pour un Moelleux chocolat noir, caramel beurre salé, glace spéculos. Vos papilles ne s’en remettront pas. Vive le terroir Pour l’acquisition de ses produits, le restaurant s’oriente vers les agriculteurs et éleveurs locaux. Canard, foie-gras, cochon noir du Bigorre… tous les produits du terroir sont rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs de la région. Le sud-ouest s’invite aussi dans la cave à vins. Côtes de Gascogne, St Sardos, Pacherenc Sec… il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets. Bien sûr, d’autres régions sont représentées, de quoi vous offrir le maximum de choix. Une belle décoration atypique Le fameux esprit typiquement toulousain se ressent jusque dans la salle. La bâtisse qui date du XVIIème siècle offre une belle association entre chênes et briques rouges. Il a fallu huit années aux propriétaires avant de venir à bout des travaux et ouvrir enfin l’établissement qui a été inauguré en 2007. A l’intérieur, chaque détail décoratif compte : du verre soufflé servant d’appliques pour créer l’éclairage, à la balustrade réalisée par les Compagnons du devoir jusqu’à la collection de téléphones datant de 1890 et disposés un peu partout dans la salle. En quête d’intimité ? Installez-vous dans les petits box dans lesquels se trouvent seulement deux tables pour deux personnes. La grande salle quant à elle procure une ambiance plus conviviale. ...
Voilà 3 générations que cette exploitation familiale confectionne des vins de caractère empreints d’authenticité. 3 cépages, 3 couleurs Dans ce vignoble, les 3 cépages traditionnels (auxerrois, gamay, pinot noir) sont plantés sur un terrain propice à leur épanouissement. Ainsi, les vignes puisent leurs nutriments dans un sol issu d’argiles oxfordiennes avec un mélange d’alluvions anciens et d’éboulis calcaires. Le domaine produit bel et bien du blanc et des rouges, mais il est particulièrement fier de ses vins gris-de-toul. Une spécialité emblématique Avec le gris-de-toul, spécialité emblématique de l’appellation, la maison en a fait sa cuvée phare. Issu de l’assemblage de gamay et de pinot noir, ce vin se démarque par sa rondeur, sa palette aromatique et une souplesse en bouche qui lui confère un caractère unique. ...
Le Château de Tracy est un vignoble dont des traces écrites notent leur existence dès 1396. C’est dire la réputation et la qualité des sols, du climat particulier et des raisins que l’on peut y trouver. Un sauvignon dont les vignobles sont situés au cœur d’un domaine historique qui appartient depuis la fin du XIXème siècle à la même lignée familiale les d'Assay. Les cuvées du domaine se déclinent en version prestige avec le Château de Tracy, le Haute Densité et la Cuvée des 101 rangs mais aussi le Mademoiselle TT. Véritable trésor de la région, leur prix reste pourtant accessible avec des bouteilles comme celles de la cuvée de Château de Tracy 2020 à seulement 24€. Le domaine fait également partie de l’AOC du Pouilly-fumé. Une AOC qui regroupe plus d’une quarantaine de vignobles dont les cépages profitent d’un sol majoritairement composé de silex et de calcaire. C’est d’ailleurs cette particularité géographique qui recouvre les fruits arrivés à maturité d’une légère pruine grise donnant l’illusion d’un voile de fumée caractéristique de la fameuse appellation Pouilly-fumé. Une certification BIO en cours Attaché à la qualité de son vin, le Château de Tracy s’est engagé depuis deux ans déjà dans une démarche de certification BIO. Menée avec l’organisme indépendant ECOCERT, le vignoble est ainsi l’un des premiers à intégrer la démarche. Il s’engage ainsi à mettre en avant le terroir à travers une volonté de sauvegarder l’identité du sol et ainsi de ne pas dénaturer la nature. Une vision partagée depuis le début des années 50 puisque le domaine a toujours évité l’utilisation d’insecticides et de désherbants chimiques pour produire son vin. Cette conversion reste un enjeu de taille pour le domaine qui cultive ses vignobles depuis plus de six siècles. Un défi aussi, puisqu’il s’agit de transformer durablement les 33ha de vignobles installés sur les coteaux dominant la Loire, la butte de Tracy et jusqu’au plateau de Pouilly-sur-Loire. Notons qu’en 2014, le domaine avait déjà reçu le niveau 3 de la certification Haute Valeur Environnementale pour ses méthodes de cultures vertueuses. Des techniques et méthodes éprouvées Le Château de Tracy possède des particularités bien uniques. Un sol qui jouit d’une qualité exceptionnelle avec une partie du terroir formé de marnes kimmeridgiennes des Champs de Cris. Il s’agit de petits cailloux blancs spécifiques à l’endroit qui apportent sa minéralité au vin. De plus, près du tiers du vignoble est composé de silex. L’ensemble de ces formations géologiques permet de produire des cuvées reconnues des amateurs de vin blanc et de cette appellation. Adossés à ce sol si particulier, les modes de cultures sont tout aussi innovants. Le vignoble a ainsi mis en place des préparations biodynamiques notamment en prévision de l’automne 2021. Des techniques qui se traduisent notamment par l’utilisation de pulvérisation à base de minéraux. Entre autres, la préparation 501 ou silice de corne. Une méthode naturelle qui consiste à placer du cristal de roche dans une corne de vache en l’enterrant durant l’été pour favoriser pendant l'automne l’assimilation de la lumière et compenser ainsi certains déficits. Parmi les techniques présentes également, la sélection massale fait partie des spécificités du domaine. Utilisée au détriment de la sélection clonale, il s’agit pour le viticulteur de remplacer les pieds morts par des greffons prélevés en sarment sur leurs plus beaux pieds de vigne. Ce qui permet ainsi de maintenir une plus grande diversité génétique et finalement multiplier le potentiel aromatique des fruits avec des pieds différents. Et enfin, la densité de plantation sur le domaine reste unique avec certaines parcelles où l’on retrouve près de 17 000 pieds/ha. Soit quasiment trois fois plus que la densité des plantations bordelaises. 2021, une année complexe pour le Château de Tracy De mémoire de viticulteur, l’année en cours ne fut pas ...
Fondée par Roger RAVOIRE en 1987, la maison familiale Ravoire et Fils n’a eu de cesse de se développer. Aujourd’hui, elle est présente sur deux vignobles français phares et emploie une quarantaine de salariés. Un rayonnement en France et à l’international Ravoire et Fils ne profite pas seulement de deux sites d’exception (Châteauneuf-du-Pape et Salon-de-Provence). L’entreprise a, en effet, basé ses valeurs sur l’humain et sur une modernisation continuelle de ses outils. Cette dynamique lui permet ainsi de créer des produits aux personnalités propres présents en France et dans le monde. ...
La Turballe est située sur le littoral de la Loire-Atlantique, sur la presqu’ile guérandaise. Avant de devenir un port connu de l’ouest de la France, elle était d’abord un modeste hameau. Grâce à l’essor des conserveries de pêche, la commune s’est bâti une solide réputation dans le paysage aquacole. En outre, elle est reconnue pour ses nombreuses plages (Pen Bron, la Grande Falaise, la Croix de l’Anse et la plage des Bretons) et ses sites et monuments touristiques (église Sainte-Anne, église de Trescalan, château de Lauvergnac, moulin de Kerbroué…). Ce cadre balnéaire et historique a tellement séduit Sophie et Fabien qu’ils ont décidé de racheter un restaurant existant depuis 27 ans qu’ils ont rebaptisé Le Bistrot des Sarments, où une cuisine simple, un peu canaille, fait le bonheur des fins gourmets. Une excellente adresse Les propriétaires travaillent avec le chef Éric Gouyette depuis qu’ils se sont approprié les lieux. Ce chef passionné, adepte de cuisine traditionnelle, a suivi une formation classique en restauration. Il a gagné 15 ans d’expérience, en travaillant dans de nombreux établissements prestigieux comme à l’Hôtel Barrière Le Royal La Baule ou à l’Auberge du Calvaire, à Pontchateau. Aujourd’hui, à la tête des fourneaux du Bistrot des Sarments, il propose une cuisine d’inspiration qui fait la part belle au terroir. Le restaurant est implanté dans un bâtiment traditionnel en pierre sis en bord de mer. Il dispose d’une véranda aux baies vitrées ainsi que d’une terrasse extérieure offrant une vue imprenable sur le grand bleu. À l’intérieur, la salle est marquée par une prépondérance de rouge, une tonalité qui dégage à la fois dynamisme et glamour. La cheminée, les grandes banquettes très confortables et le grand bar en bois confèrent à la salle tout son charme. Le plaisir au déjeuner Le Bistrot des Sarments propose une cuisine traditionnelle valorisant les produits locaux. Les spécialités de la maison sont les grillades à la cheminée : vous aurez le choix entre un bœuf grillé ou un porc grillé accompagné de pomme de terre en robe des champs de type Samba au petit gout de noisette, que la seule touche de beurre demi-sel viendra aiguiser, ou encore un homard « bleu » breton grillé, à déguster sans chichis. Le fait maison est aussi à l’honneur. Les charcuteries, les poissons fumés salés, les foies gras : tout est préparé sur place. Côté menus, la maison sert une formule composée de deux plats à 15,90 € ainsi qu’une deuxième formule cette fois-ci composée de trois plats à 19,90€. Mais ce n’est pas tout. Désireux de satisfaire toutes les envies gourmandes, le bistrot propose un menu plus copieux de quatre plats avec une entrée, un plat, un fromage, un dessert à choisir dans la proposition de six entrées, six plats et tous les desserts. Quant à la carte, elle est saisonnière. Les fins gastronomes seront séduits par les spécialités de la maison, à l’instar de l’œuf cocotte façon Dédé servi en entrée. En plat de résistance, les papilles se délectent de la choucroute de la mer au beurre blanc maison, constituée notamment de Saint-Jacques, de filet de bar, de poisson du marché et de saumon. Pour finir, une note de douceur avec la tarte tatin tiède maison. ...
Si on devait retracer la genèse du Château Léoube, il faudrait remonter jusqu’à la période de la Renaissance. Le lieu serait probablement sorti de terre vers le XIVème siècle. Le halo de mystère entourant ses véritables origines n’a pas empêché le Château Léoube de dignement trouver sa place dans le cercle fermé de la viti-viniculture. En effet, il profite de son positionnement géographique privilégié pour imposer sa signature et asseoir sa réputation. Le domaine se trouve dans le Var, au sein de la commune de Bormes-les-Mimosas, face aux îles de Porquerolles et de Port-Cros. Il est blotti au cœur du Cap Bénat, un site protégé connu notamment pour abriter quelques demeures historiques, dont le Fort de Brégançon qui est le lieu officiel de villégiature du président de la République française. Le Château est l’une des perles de la Provence, une région hautement célèbre pour ses vins rosés. Éblouis par ce cadre et ce terroir, Lord et Lady Bamford décident en 1997 de faire l'acquisition de ce domaine de 560 hectares quelque peu délaissé pour lui redonner toutes ses lettres de noblesse. Place à la culture bio dans un cadre enchanteur L’objectif du couple britannique est de façonner des vins de caractère dévoilant la typicité de leur terroir et de développer la production d’huile d’olive. Pour mener à bien leur projet, il s’entoure d’une équipe de passionnés et du directeur de production, Romain Ott. Cet ingénieur agronome spécialisé en œnologie va veiller au renouveau du Château Léoube en engageant une agriculture biologique sur les 68 hectares de vignes et 23 hectares d’oliveraies. Un ouvrage de longue haleine qui aboutit en 2011 à l’obtention du label Ecocert puis en 2012, du label « Agriculture Biologique ». Les méthodes de culture traditionnelle et naturelle utilisées au domaine permettent au terroir provençal de se révéler dans sa plus belle expression. Cette terre profite d’un climat méditerranéen favorable : des étés tempérés par la brise marine et des hivers doux grâce à un rapprochement avec la Méditerranée. Ici, la diversité des sols (schisteux, argileux et sableux) facilite le développement du grenache, de la syrah, du cinsault, du cabernet sauvignon, du mourvèdre, du merlot ainsi que du cabernet franc. Des raisins qui sont vendangés uniquement à la main pour préserver entre autres la qualité des grains. Une riche gamme de vins La Provence étant la capitale mondiale des vins rosés, c’est tout naturellement que le Château Léoube s’oriente vers la production de ce nectar se déclinant en une variété de cuvées. À ne rater sous aucun prétexte : le Secret de Léoube, un vin de gastronomie complexe et opulent qui sublimera un carpaccio ou un tartare de viande de rouge. Dans la gamme des éditions limitées, la maison propose la cuvée Léoube la Londe qui est un rosé fruité et bio issu des meilleurs jus de 2 parcelles de vieilles vignes de Grenache et Cinsault. Délicat et précis, ce vin s’accorde avec des poissons ou crustacés à chair fine. Plus connu, le Rosé de Léoube est un vin de terroir au style aromatique qui fait honneur à la Provence. Il est apprécié des palais les plus exigeants grâce à sa subtilité et son exotisme. À part les rosés, la maison développe également une sélection de vins rouges agréables et séduisants issus des quatre grands cépages du midi (syrah, cinsault, grenache et mourvèdre) ainsi que de vins blancs frais, structurés et équilibrés. Pause gourmande dans une ambiance chaleureuse Le Château Léoube déploie un cadre digne des plus belles cartes postales. Au nord, les vignes et la garrigue. Au sud, d’autres vignes, une plage préservée, l’oliveraie et la pinède centenaire. Dans ce décor typiquement méditerranéen, un air d’exotisme s’échappe du côté de la plage du Pellegrin. C’est à proximité qu’a été implanté le Café Léoube, prolongement gastronomique du domaine. Ce cocon de charme est une invitation au bien-...
Se procurer des vins anciens ou des vins de grands producteurs, en tant que consommateur lambda, tient du défi. Donner accès au plus grand nombre à cette catégorie de « vins vendus sous allocation » figure dans les priorités de Vintage & Cie. Tenant boutique au 199, rue du Faubourg-Saint-Honoré, l’enseigne se targue d’être le stock le plus important de vins anciens d’accès grand public à Paris. Une adresse pour se procurer un cru, naturellement, mais aussi rejoindre un cercle de connaisseurs pour une expérience profonde de ce centre d’intérêt. Une aventure de passion et de raison C’est d’abord son émotion lors d'une dégustation de grands crus qui amène Louis Duquesne à imaginer le concept de son affaire. Le constat que l’achat de certains vins est l’apanage d’une clientèle privilégiée – en l’occurrence celle qui a une relation préalable avec un domaine donné – combiné à une demande croissante pour une offre limitée finit de le décider à le concrétiser. Il installe donc, fin 2014, un QG, rue du Faubourg-Saint-Honoré, et ouvre le stock qu’il a personnellement constitué. Dans cette collection, des vins difficiles à trouver soit parce qu’ils sont issus de petites productions, soit parce qu’ils sont signés de grands noms ou frappés de millésimes anciens. « En chiffre approximatif, on a à peu près 1000 références », nous confie cet entrepreneur averti, tout en soulignant que son dépôt est assurément « le stock de vins anciens le plus important [ouvert au public] à Paris ». Le répertoire pourrait paraître discret mais c’est par choix qu’il s’en tient à ce plafond, l’important étant, pour lui, d’être sélectif plutôt qu’exhaustif. Triés sur le volet Un œnologue dédié travaille pour le compte de l’enseigne, sa mission étant notamment de baliser le processus de sélection des crus intégrés dans le stock. Différentes régions sont représentées dans les références mises en vente : Bourgogne, Bordeaux, Rhône et Loire. La maison procède par progression à la couverture des vignobles des différents terroirs caractérisés par leur « diversité exceptionnelle ». Dans cette gamme large, l’enseigne met un point d’honneur à choisir ce qui se fait de mieux dans le vin en France, tout en intégrant des variétés pour que les plus petites, comme les plus grosses bourses y accèdent. Les crus du domaine Rayas, du châteauneuf, sont particulièrement recommandés par le propriétaire qui leur trouve une belle unicité malgré une production issue de différentes parcelles. Autrement, la maison possède par exemple les très rares Jaboulet Hermitage, La Chapelle 1961 et Château Margaux 1900. Moments de partage autour des vins rares Pour prolonger l’expérience de ces vins rares, le sous-sol de la boutique parisienne abrite un salon et un bar où les habitués peuvent se retrouver. « L’idée est de reproduire l’ambiance d’un salon à la maison et de pouvoir échanger avec nos œnologues ou de faire des dégustations », précise le patron de la maison. Des clients privés ou des entreprises peuvent bénéficier de ces sessions, rigoureusement planifiées en amont en tenant compte du budget de chacun. « Notre vision est que le vin peut être un produit de luxe et d’exception qui crée une expérience gustative absolument unique. […] Notre ambition, c’est qu’il n’y ait pas de spéculations sur le vin, c’est de mettre en relation le producteur avec le buveur, avec le minimum d’intermédiaires, dans la plus grande convivialité possible », réitère Louis Duquesne. Les thèmes et l’approche d’accompagnement varient, par ailleurs, selon que les demandeurs soient plus calés ou plus néophytes en la matière. Sur une base plus régulière, les dégustations du jeudi soir en libre accès rassemblent les amateurs autour d’une bouteille donnée ou d'un vigneron désirant communiquer autour de l’un de ses crus....
Marché couvert, véritable symbole dans la ville de Marquette-lez-Lille, les Partisans du Goût a pensé un concept nouveau de produits frais pour mieux satisfaire la demande des consommateurs. L’enseigne laisse découvrir une série de comptoirs tenus par des professionnels des métiers de bouche, qui proposent des produits de saison et du terroir tout en prodiguant des conseils de conservation ou de préparation culinaire. Les Partisans du Goût, c’est aussi le lieu de rendez-vous de tous ceux qui sont à la recherche de la qualité, de l’originalité et de l’authenticité. Ici, les commerçants collaborent directement avec les petits fournisseurs locaux en vue d’un engagement à long terme, afin de pérenniser les gammes de produits. Des produits frais aux plats cuisinés À la boucherie-charcuterie, les viandes, uniquement françaises, sont belles et joliment présentées. Parmi les variétés au choix, le porc Ch’ti, l’agneau du Quercy et le veau de France, le bœuf rouge des prés et Blanc-Bleu, mais aussi des races exceptionnelles comme la limousine, la salers ou l’Angus de France. Les préparations bouchères sont faites dans les règles de l’art : pâtés, saucisses, rôtis, farcis, brochettes, carpaccio et hamburgers sont réalisés sur place. La poissonnerie accorde la priorité aux arrivages de la Côte d’Opale et reste fidèle à la tradition française de pêche. Dans ce comptoir, le saumon fumé, les crustacés et les huitres partagent le banc avec de beaux poissons frais filetés sous vos yeux. L’œil est attiré par un vivier rempli de tourteaux et de homards, qui peuvent être cuits à la minute. Le traiteur de la mer met en valeur une gamme de produits réalisés sur place. Comme plats signatures : blanquette de lotte, filet de sandre, tartares, risottos de saumon ou encore soupe à base de poissons frais réalisée chaque jour. Le maraicher propose toute une gamme de fruits et de légumes sélectionnés sur le marché national de Lomme, via de petits producteurs mais également chez des fournisseurs locaux. Dans l’atelier fraicheur sont transformés fruits et légumes en jus aux différents parfums, desserts gourmands, légumes vapeur, confitures, compotes, plateaux apéritifs, sans oublier une trentaine de soupes… toujours élaborés sur place à base de produits frais. Le crémier-fromager-charcutier n’est pas en reste, avec une des plus belles offres de la région comptant près de 300 à 400 variétés de France et d’Europe, des prestations maison comme les plateaux affinés et une gamme qui fait la part belle aux saisons. Les charcuteries viennent essentiellement d’Espagne, de Corse, d’Italie et bien évidemment de différentes régions françaises. La boulangerie réalise chaque jour du pain frais, élaboré avec des farines françaises, mais aussi des tartes, des brioches, et des fougasses. Elle ouvre un espace snacking pour le midi. Pour le service traiteur, une équipe de professionnels propose des prestations de qualité et sur mesure, le tout encadré par un vrai chef qui, chaque jour, avec sa brigade, travaille de nouvelles recettes en fonction des saisons. Gratin dauphinois, blanquette de dinde, poulet à la bière, welsh, jardinière de légumes, tartes et pizzas font partie de l’offre faite maison repensée chaque saison. Cave à vins et épicerie Les Partisans du Goût ne saurait oublier les accords mets-vins. La cave à vins, forte de 150 à 180 références, offre une gamme variée de vins d’origine française et étrangère, entièrement dédiée aux plats traiteurs. La cave se compose de vins de restaurant, de petits vignerons, de vins médaillés et de vins d’exception pour les grandes occasions. En bonne place : des whiskys japonais, à l’instar du Nikka, et un corner réservé aux spiritueux français comme la vodka Lactalium ou le whisky Lascaux. Quant à l’épicerie riche de 3 000 références, elle fait la part belle aux produits locaux, à tous les besoins du quotidien, de l’entrée au dessert, mais aussi aux produits d’exception comme les épices de Madagascar, le chocolat normand Cluizel et les pâtes Fabre. Concept r&ea...
Si vous passez par le 7e arrondissement de Paris, cette adresse est une halte obligatoire. Avec sa petite terrasse extérieure, le restaurant T’U offre une vue sur le Grand Palais de l’autre côté de la Seine. Idéal pour savourer la salade King Crab, spécialité de la maison, ou siroter tranquillement un royal thaï tea avec des amis. À l’intérieur, on baigne dans un décor luxueux signé Pierre-Yves Rochon. Les lumières tamisées mettent joliment en valeur les matières nobles, conférant au lieu un cachet intimiste et sophistiqué. Des produits de premier choix et du fait-maison Le chef Khoï Vu propose une gastronomie d’inspiration franco-thaïlandaise. Il concocte une cuisine authentique, entièrement faite maison, élaborée avec les produits du marché et qui varie selon les saisons. Ici, le bonheur a un nom : brochettes de poulet sauce satay, tataki de thon « Albacore », tigre qui pleure ou cabillaud au galanga et feuille de lime. Et la carte n’a pas fini de surprendre. L’on cite les incontournables dimsum, raviolis et nems maison. Mais aussi le wok de bœuf au basilic ou encore le poulet fermier au curry vert, bambou et basilic thaï pour une explosion de saveurs en bouche. Sans oublier les douceurs sucrées comme la crème glacée au gingembre confit ou la tarte fine aux figues rôties. La consommation de thé étant un art de vivre en Thailande, le restaurant emmène également à la découverte des thés du pays. Thé bleu turquoise aux arômes floraux de lys et d’orchidée, thé vert de Chine aux fleurs de jasmin ou thé noir Yunnan impérial sont proposés par la maison. Une nouvelle carte À chaque saison, la carte se renouvelle. En guise d’entrée, les clients choisiront entre la soupe de crevettes à la citronnelle, un assortiment de dim sum et de raviolis (6 pièces) et un tartare de saumon aux herbes thaï. Côté plats, le chef invite à déguster les fameux calamars sautés, le Phad Thai Gai et le Black Cod accompagné de sa salade de wakamé. Si le choix est encore difficile, pourquoi ne pas se laisser séduire par une assiette dégustation à 26 € ? Bon à savoir : le chef choisit uniquement des viandes d’origine française ou issue de l’Union européenne, et des poissons sauvages ou labellisés « AB ». Pour finir en apothéose, les mini-nems de choco ou les glaces aux fruits de saison feront leur petit effet chez les gourmets. ...
Acquis en 2006 par la famille Barbero, le domaine familial du Clos des Roses est un hommage à la fois à la mère du propriétaire, aux fleurs et à sa production axée sur les rosés. Lors de son acquisition, le domaine viticole a été entièrement réhabilité, de la vigne à la cave. Il possède un vignoble jeune qui a subi un réencépagement réfléchi dans le but de développer une gamme cohérente. Depuis, c'est sa fille, Laurence BARBERO, qui gère et coordonne les différentes animations du domaine, ainsi que l'activité commerciale. Un terroir singulier Bénéficiant de l’influence maritime, le domaine du Clos des Roses est blotti au cœur de la petite niche de l'Estérel, tout à l'Est. Ce terroir est très particulier, car il est l’un des rares en France où des vignobles sont exploités sur des terres d’origine volcanique. Cette particularité propice à la production de vins rosés est à l’origine des notes florales et fruitées singularisant ses cuvées. Sur les 36 hectares de la propriété, le vignoble couvre 10 hectares où sont cultivés 8 cépages différents : syrah, grenache, cinsault, mourvèdre et rolle pour l’appellation Côtes-de-Provence ; merlot, viognier et sauvignon blanc pour la dénomination Vins de Pays. Le traitement des vignes se fait uniquement avec des produits naturels comme le cuivre et le soufre pour lutter contre les maladies. Pour renforcer les défenses naturelles, certains produits comme la silice, la purée d’orties et la prêle sont mis à contribution. La vendange du domaine se fait exclusivement à la main, dans des caissettes de 15 kg, pour s’assurer de la qualité des raisins avant son arrivée à la cave. Côté vinification, le Clos des Roses fait appel au maitre de chai Nathalie Millo pour veiller au bon déroulement des différentes étapes. Le domaine utilise un équipement ultra-moderne tel qu’un fouloir-égrappoir, un échangeur ou un refroidisseur de vendange, un pressoir pneumatique et des cuves en inox mais n'en oublie pas moins les procédés de vinification traditionnels. En effet, « notre signature consiste à associer les méthodes traditionnelles du vigneron avec les nouvelles technologies mises à notre disposition », raconte Chloé Lourme, responsable des visites. Au final, le domaine viticole produit trois couleurs de vins comptant 75 % de rosé, 15 % de blanc et le reste en rouge. Les stars du domaine En contrepartie de son rendement limité oscillant entre 60 et 70 000 bouteilles par an, le Clos des Roses garantit des produits d’excellence sur le plan qualitatif. Trois cuvées exceptionnelles font figure de stars du domaine. La « Dame de Cœur 2015 » AOC Côtes-de-Provence est une cuvée de prestige, charnue, avec des arômes de fruits rouges en bouche, au nez floral, délicat et subtil. Elle se sert idéalement avec des plats frais comme un carpaccio de Saint-Jacques. À réserver pour les occasions spéciales. Le « Clos des Roses Côtes-de-Provence 2015 » AOC Côtes-de-Provence trône au panthéon des meilleures cuvées du domaine. Cette année encore, il a remporté une médaille d’argent lors du Concours général agricole de Paris, après ses médailles de bronze en 2014 et 2015. « Mademoiselle Rose » Vin de Pays des Maures IGP, quant à lui, est composé de cinsault et de mourvèdre à 60/40. Ce rosé plus éphémère, long en bouche, avec des notes fruitées, est idéal pour les apéritifs. ...
L’histoire des champagnes Météyer commence en 1860, année durant laquelle Pierre Clément hérite des vignes de son beau-père. Le domaine passe de père en fils. Depuis 1989, c’est la cinquième génération, en la personne de Franck Météyer, qui s’occupe de l’exploitation avec son épouse, Anna. Vigneron indépendant, Franck prend soin de ses vignes en utilisant des méthodes de travail respectueuses de l’environnement et de la tradition champenoise. Plusieurs champagnes récompensés Parmi les champagnes proposés : La Carte Argent est un assemblage de Pinot Noir, Pinot Meunier et Chardonnay, offrant une robe dorée aux reflets argent, avec des bulles fines et persistantes. Ce Champagne, médaillé au prestigieux concours international Decanter en 2016, fut à plusieurs reprises sélectionné au Guide Hachette des Vins (2016 inclus). La Cuvée Marine, rareté présentée dans une bouteille bleue au look moderne et élégant, est composée de 50 % de Chardonnay, de 25 % de Pinot Noir et de 25 % de Pinot Meunier. En bouche, elle se démarque par une belle minéralité. Cette Cuvée, sélectionnée plusieurs fois au Guide Hachette des Vins et finaliste au Jeunes Talents du Champagne, fut médaillée au Challenge International du vin en 2016. L'Exclusif, l'un des trois monocépages de la gamme Météyer, est un champagne gastronomique. Ses dix ans de maturité lui confèrent des arômes puissants, tout en longueur et sans amertume. Cette cuvée zéro dosage atteint son apogée lorsqu'elle est carafée. Champagne plébiscité par “Le Monde”, sélectionné au Guide Hachette 2015 et médaillé Decanter 2016! Art et champagne Marquez un arrêt Champagne en visitant la cave de l’exploitation, où sont conservées de précieuses bouteilles. Poursuivez votre visite au musée de la vigne et du vin, pour découvrir, à travers d'anciens outils, l'histoire de la Champagne et du champagne. Parmi les curiosités : une machine à démasquer, un bossin, une guérite à dégorgement, une boucheuse à maillet du XIXe siècle ou un calice du XVIIIe siècle... Mais aussi d’anciens flacons et des costumes d’époque. Une salle de dégustation sublime et insolite vous révélera les trésors de la famille Météyer, et mettra en scène des expositions temporaires d'artistes du monde entier. ...