Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement). Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...
Situé au sud-est de Saint-Émilion, le Château La Croix du Merle est né de la passion de Marien Negre, un amoureux de ses terres et un vigneron expert qui décide de reprendre les rênes du domaine en 2006. Son objectif est de faire de ce terroir une référence dans la production de vins authentiques. Un domaine prestigieux Le domaine possède un vignoble de 2 hectares, composé de plusieurs petites parcelles. Les vignes ont chacune leurs particularités et bénéficient d’un sol argilo-sableux au pied des coteaux. Ce type de sol est souvent sec, et très drainant, ce qui permet de limiter l’excès d’eau. Le terroir est cultivé en monocépage 100 % merlot. Il s’agit d’un cépage utilisé pour la réalisation d’un vin concentré et fruité (notes de cassis, fruits rouges bien mûrs), dans le but de le rendre plus souple et plus aromatique. Un vignoble récompensé « Le Saint-Émilion Grand Cru 2010 a gagné 2 étoiles au Guide Hachette des vins 2013. Il est issu d’un vignoble de 2 hectares établi sur un sol argilo-sableux qui permet de produire des vins colorés et corsés », explique Marien Negre. La fabrication de cet excellent vin commence avant tout par un tri sélectif et des vendanges manuelles. Après le broyage pour obtenir le moût, les raisins subissent ensuite une vinification en cuve bois tronconique inversée. Enfin, pendant environ 12 mois, ils sont élevés dans des barriques de chêne français neuf. « C’est un vin né d’un seul merlot, il est encore très jeune et a besoin de mûrir trois ou quatre années avant d’être dégusté », conseille Marien. Le Saint-Émilion Grand Cru charme l’œil par une robe d’un rubis brillant à reflet grenat dans sa jeunesse. Le nez est dominé par des notes de petits fruits rouges très concentrés et ce bouquet dégage un délicat arôme de vanille, de figue, de crème de griottes, de pruneau cuit et d’amande grillée. En bouche, la richesse aromatique du bouquet se retrouve au palais, les tanins sont très présents, les saveurs de cerise, de cassis et de sureau envahissent les papilles. Avec sa force et son élégance, ce vin peut être servi avec des viandes rouges ou blanches et légumes (secs, verts ou grillés), du gibier et champignons, des gratins jambon et fromage. ...
Frais Émincés, c’est avant tout une entreprise à taille humaine, employant une quarantaine d’employés. « Chez nous, la valeur familiale est très ancrée dans notre culture du travail », renchérit Marc Pajotin, le directeur de l’enseigne. Cette dimension humaine pousse l’entreprise à privilégier une démarche locavore, non seulement pour honorer les produits de la région Loire-Atlantique mais surtout pour avoir la garantie d’obtenir des produits frais à tout moment. Du producteur à notre assiette La fraîcheur et la qualité constituent l’ADN de Frais Émincés. L’entreprise s’approvisionne directement et quotidiennement auprès des maraîchers régionaux travaillant en agriculture raisonnée. « On vérifie à la réception la bonne qualité des fruits et légumes, car on a des critères exigeants sur le choix de matières premières », explique notre interlocuteur. Les produits sont alors épluchés, débactérisés et lavés avant d’être découpés sous plusieurs formes : en rondelle, en émincé, en julienne, en cube, en lanière… À partir de là, des procédés variés permettent alors de réaliser différents types de produits, soit par simple mélange pour les apéritifs et snacking, soit par une technologie à haute pression afin de conserver plus longtemps la fraîcheur, soit par des méthodes de découpe particulières pour répondre aux demandes spécifiques des clients de la restauration. Les produits sont alors prêts à être conditionnés et sont envoyés à la livraison. Et toutes ces étapes sont réalisées en un temps record, pour relever le défi de « livrer dans la journée toute commande reçue le matin et ainsi ne pas altérer la fraîcheur ». Une gamme de fruits et légumes prête à l’emploi et prête à la consommation « À la base, notre idée était de fournir des produits super frais prêts à l’emploi aux restaurateurs pour leur faire gagner du temps », reprend Marc Pajotin pour expliquer le concept. En effet, les légumes et fruits découpés présentent un double avantage pour les restaurateurs, aussi bien sur la rapidité de la préparation que sur la qualité de la présentation des plats, pour être à la hauteur des exigences de leurs clients. Toujours avec cette même expertise, Frais Émincés a décidé d’adapter ses offres à une demande plus large et pour un usage quotidien, en essayant de varier les recettes et le mode de cuisson. En 2005, donc, elle a lancé le plateau apéro qui se compose de bâtonnets de carottes, de céleris et de courgettes accompagnés d’une petite sauce pour manger sainement tout au long de la journée. De savoureux shakers de fruits ont été également introduits quelques années plus tard au sein des rayons frais des fruits et légumes en Grande Distribution. C'est la société Frais Emincés qui récemment a lancé les spaghettis de légumes ou une nouvelle gamme de fraîche découpe bio que l'on retrouve dans les rayons frais des Fruits et Légumes en Grande Distribution. « Il est important pour nous de proposer un large choix de produits de qualité et surtout des produits qui ont du goût », termine-t-il. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le restaurant marocain de prestige, Assyl Le restaurant Assyl paraît tiré des Mille et une Merveilles du Royaume du Maroc. Il a remporté en 2016 le prix du meilleur restaurant de luxe au Maroc (Luxury Restaurant Of Morocco), délivré par Luxury Lifestyle Awards 2016. Dans un décor de charme, le menu est exceptionnellement gourmand et met à l’honneur toute la richesse de la cuisine marocaine. Le chef Bahija sublime les saveurs en y apportant sa touche créative personnelle. Les produits frais et les textures se mixent avec délicatesse et subtilité pour ravir les papilles des convives. Assortiment de salades marocaines façon Dada, tagine de lotte à l’Argan, ou la spécialité Selman Tride au poulet fermier, safran de Talouine lentilles et fèves, et autres spécialités marocaines s’invitent à cette table qui vaut le détour ! Une cuisine marocaine résolument authentique… Le dîner est animé par un duo live andalou et un spectacle de danse orientale. ...
Renouer avec le travail de la vigne L’histoire du domaine remonte au milieu du XVIIe siècle. « Dans le village, il y a toujours eu dans la famille un producteur de vin », explique la jeune chef d’exploitation avant d’ajouter en souriant : « Avant mon arrivée, c’était une transmission classique, de père en fils, mais les choses changent maintenant… » Jusqu’à récemment, la famille Martin, comme beaucoup de producteurs de cette époque, variait son activité agricole en produisant des céréales et en élevant un petit cheptel d’animaux. C’est le père de Cécile Lorentz qui a orienté la maison en la spécialisant dans le vin et dans sa commercialisation. Tombée dedans depuis toute petite, Cécile s’intéresse à la vigne mais aussi à la vinification. Après quelques années d’études dans le domaine de l’œnologie à Beaune, elle reprend le domaine de 10 hectares qui a pour particularité d’avoir toutes ses vignes à moins de 900 mètres de la cuvée. Très attachée à ses racines, elle revendique son appartenance à Wangen, ce vieux village fortifié délicatement posé sur la route des vins d’Alsace, dont le sous-sol marno-calcaire est propice à l’implantation de la vigne. Une petite production pour le plus grand plaisir des connaisseurs Si la production est confidentielle, on ne compte par exemple que 4 000 bouteilles de crémants, elle affiche un profil aromatique étonnant. On compte, par exemple, parmi les longs cols de la maison une cuvée d’exception Riesling 2015 qui est atypique à souhait. « Au moment de la vendange du riesling, on s’est retrouvés avec des raisins très sucrés. L’A.O.C Alsace imposant un riesling en vin sec, on ne peut pas vraiment l’appeler riesling. On a dû trouver une solution. » Dans cette cuvée rare, Cécile Lorentz a réussi à allier le côté mielleux aux notes sucrées et une touche d’agrumes des raisins de cette récolte avec la rigidité sèche caractéristique du cépage. En bouche, il se confond presque avec une vendange tardive, en faisant un vin parfait pour l’apéritif ou au moment du dessert. ...
L’annexe façon « Bistrot de poissons » de Marius et Janette propose une cuisine savoureuse et authentique avec des produits frais à volonté. Larguez les amarres ! Un relooking très réussi Le petit Marius a récemment fait peau neuve à travers un décor sobre et élégant signé Pierre-Yves-Rochon. Dans une atmosphère décontractée, les convives n’auront aucun mal à garder le pied marin même si la mer ne semble jamais bien loin. En effet, quelques éléments de décor placés ici et là résonnent comme un écho à l’appel de l’océan. Difficile dans ce cas d’y résister ! Les esprits s’évadent et bientôt la curiosité vient naturellement titiller l’appétit. Une belle carte autour de la mer En fonction des arrivages et de la saison, le chef Khoï Vu se plaît à concocter un menu très varié. Pour commencer, la salade de poulpe aux herbes fraîches, les petites fritures d’encornets ou les petits nems de langoustines sont un pur régal ! Ensuite pour aborder le vif du sujet, les invités ont droit à un menu « retour de pêche » préparé avec des produits frais qui viennent directement de la mer. Parmi les spécialités de la maison, les gourmets peuvent notamment déguster la solette de l’île de Ré au beurre demi-sel, les Saint-Jacques en coquille cuites au naturel ou encore l’incontournable aïoli de cabillaud. Son secret ? Un poisson légèrement mis en salaison, très moelleux et servi avec une belle couleur nacrée. Côté dessert, les convives se laisseront volontiers tenter par un crumble du Bistrot, une crème brûlée à la vanille ou pourquoi pas un riz au lait « comme autrefois » pour les plus nostalgiques. ...
Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...
« Le savoir n’est rien s’il ne se partage pas » La cuisine est souvent une histoire d’émotion et de passion, mais ce sont aussi les gestes techniques et le savoir-faire qui transforment un repas classique en un moment unique de partage. Parmi les valeurs exprimées par Alain Ducasse tout au long de sa carrière, la transmission du savoir-faire culinaire a toujours occupé une place importante. Cette idée particulière du partage a été rendue accessible à tous en mai 2009, quand le célèbre chef étoilé a finalement lancé son projet d’école pour les particuliers. C’est dans un espace contemporain de 500 m2 niché au cœur du prestigieux XVIe arrondissement de Paris que tous les cours sont regroupés pour offrir une expérience unique aux participants. Les cuisines sont spacieuses et aménagées avec les derniers équipements professionnels. Dans un décor réalisé par le designer Pierre-Yves Rochon (à qui l’on doit l’aménagement de célèbres établissements hôteliers à travers le monde, comme les Fours Seasons à New York ou le Ritz-Carlton à Bahreïn), les clients profitent d’un espace chaleureux et agréable où venir apprendre les meilleures techniques culinaires auprès des chefs de l'école. Une équipe de chefs formateurs Il faut saluer ici l’excellent travail effectué par Julian Mercier, chef exécutif de l’école. Il a ramené de ses expériences aux quatre coins du monde, toujours aux commandes des fourneaux les plus réputés, un goût exquis du partage et des rencontres qu’il met maintenant au service des particuliers. Accompagné d’une équipe composée de la fine fleur de la restauration gastronomique, il transmet son savoir et sa passion dans l’art du « geste juste, celui qui fait la différence ». Quand on lui demande quels sont les points forts de l’école, il répond modestement que : « Nous apportons la caution des chefs "Alain Ducasse" et tout leur savoir-faire. Les chefs sont accessibles et s’adaptent à tous les niveaux, débutants ou confirmés. Il est important que chacun puisse trouver son bonheur et les réponses à ses questions en venant ici. » Les cours sont regroupés sous forme de sessions d’une demi-journée au minimum qui permettent d’aborder différents aspects de la cuisine contemporaine. « Cuisine du quotidien », « Cuisine 3 étoiles » ou classes spécialement conçues pour les « Kids », les diverses formations proposées par l’École de Cuisine Alain Ducasse sont autant de portes d’entrée dans l’univers fascinant de la gastronomie. Les cours durent au moins quatre heures afin d’avoir le temps de détailler tous les points importants des recettes, étape par étape. Aussi, pour être certaine de répondre aux attentes particulières de tous les participants, chaque formation ne compte pas plus de dix élèves par session. Il n’est pas rare de croiser quelques jeunes étoiles montantes de la cuisine internationale qui viennent se glisser au programme de l’école. Fumiko Kono ou Beena Paradin, ces chefs invités viennent partager leurs talents et leurs techniques originales pour le plus grand bonheur des participants. Amenant avec eux leurs aspirations aux couleurs subtiles, ils ouvrent lors de ces worshops les horizons culinaires et sensoriels des élèves. En plus de ces initiations à la cuisine, l’École de Cuisine Alain Ducasse propose aux élèves de prendre part à des cours de pâtisserie et de dégustations oenologiques. Vous trouverez différrents thèmes pour appréhender ces deux autres activités qui font partie intégrante de la gastronomie. ...
Après des expériences en Nouvelle-Zélande, en Thaïlande et en France, Julien Larcher et Charles Domet, deux amis formés à l’École hôtelière, ont repris Simone, Le Resto en mai 2016. Quant au chef Diego Alary, ancien élève de l’École Ferrandi, il a fait ses premières armes aux côtés de Guy Savoy, tout comme son commis. Aujourd’hui, dans sa cuisine ouverte, il décline une cuisine bistronomique inventive, pleine de saveurs, à partir de produits frais et de légumes de saison. Un espace de convivialité La salle peut accueillir 26 couverts. L’été, il est possible de se restaurer en terrasse, à l’ombre des marronniers du boulevard Arago. Julien Larcher et Charles Domet accueillent leurs clients avec chaleur et restent à leur écoute tout au long de leur repas. Quelques plats phares La carte change tous les jours, selon le marché. Citons quelques plats phares. En entrée, vous pourrez déguster l’œuf parfait, un œuf cuit à basse température (63 °C) pendant 1 heure, accompagné d’une purée de céleri-rave ou d’une polenta au parmesan. En plat, vous serez certainement séduit par la tendreté et le gout subtil de la picanha, une aiguillette de rumsteack de bœuf français snackée à la plancha et découpée à la brésilienne. Vous pourrez aussi savourer les ravioles farcies au veau ou encore le pigeon des Pyrénées en chausson. En dessert, vous serez conquis par la ganache chocolat parfumée au yuzu ou à l’anis étoilé, sublimée par une espuma d’orange ou d’amande. Ou bien encore par les perles du Japon cuites dans un lait de coco et vanille, servies avec un coulis de fruits rouges. Un large choix de vins La majorité des vins proposés provient de petits vignerons travaillant en bio ou en biodynamie. La carte est complétée par quelques vins nature ou traditionnels. Les vins du Languedoc-Roussillon et les côtes-du-rhône forment le noyau dur de la carte. Celle-ci joue aussi avec les saisons, en proposant, l’hiver, des vins plus gras comme des vins de Savoie, du Jura, des bordeaux ou des cahors, des vins plus frais et plus vifs l'été. Sont également présents cidres, calvados et même 3 références de bières artisanales de Gisors. Simone La Cave Les clients peuvent retrouver tous ces vins chez Simone, La Cave, située dans une rue perpendiculaire et accessible depuis la salle. Dans ce lieu vous pourrez également déguster des planches de charcuterie, de fromages ou des huitres, toujours accompagnés de bons verres de vin. ...
La production a fait son nid dans le charmant village d’Aӱ, qui est installé au pied des coteaux des vins de Champagne. Les champagnes Gosset, aujourd’hui plébiscités par les plus grandes tables, sont un symbole d’un art de vivre mêlant délicatement passion et savoir-faire. Des vins au cœur de l’Histoire Jean Gosset (1484-1556), « Seigneur d’Aӱ et de Mareuil », est l’instigateur de toute cette aventure. Il transmet à sa descendance la passion pour le vin qui, au fil des générations, devient une véritable identité familiale. En 1584, Pierre Gosset, petit-fils de Jean, décide de fonder sa propre entreprise de négoce, axée principalement sur la commercialisation de vins rouges. Cette initiative permet à la famille d’entrer dans la corporation des marchands de vin. Trois siècles plus tard, l’entreprise familiale se transforme en une société anonyme dénommée « Champagne Gosset », un projet concrétisé par André Gosset en 1952. À son décès, son épouse Susanne le succède à la présidence. Elle apporte une touche personnelle à la production, en présentant son champagne rosé arborant un style glamour et féminin. Claude Gosset est celui qui contribuera à faire entrer les champagnes Gosset dans l’ère de la modernité et de la qualité à partir de 1970. En 1993, les Gosset confient les clés de la maison au groupe Renaud Cointreau. Conscients de la valeur de l’identité familiale, les nouveaux propriétaires décident de conserver le style Gosset, tout en apportant un brin d’innovation. Quand savoir-faire rime avec passion En 2009, les Cointreau déménagent la production à Épernay, dans un chai grandiose et up-to-date. Le nouveau domaine se dote de bâtiments du XIXe siècle qui renferment 1,7 km de caves pouvant accueillir 2,5 millions de bouteilles. Ce fut un véritable plaisir pour Jean-Pierre Mareigner de mettre ses talents de chef de cave au service d’une maison aussi prestigieuse. Pendant 33 ans, ce virtuose des vins se révèle comme le garant de l’excellence des cuvées, en misant sur un style de fermentation « sans malo ». Jean-Pierre Mareigner a énormément contribué à la notoriété de la maison Gosset, dont le savoir-faire a été labellisé « Entreprise du patrimoine vivant » (EPV) en 2013. Aujourd’hui, Odilon de Varine reprend les rênes en cave avec autant de dextérité que son prédécesseur. La Présidence de la Maison GOSSET est assurée depuis 2007 par Jean-Pierre Cointreau. ...
Au Château la Pierrière, le temps semble s’être figé. La propriété qui date du XIIIème révèle encore quelques vestiges qui témoignent de son riche passé notamment sa cour intérieure, ses tours pentagonales du XVème siècle et ses douves creusées. Située à 45 minutes de Bordeaux et 7 minutes de Saint-Émilion, elle est considérée comme l’une des plus anciennes exploitations du Castillonnais. Un patrimoine reçu en dot par François de Lageard en 1607 lors de ses épousailles avec Marguerite de Puyperron. Depuis, ses descendants ont tour à tour apporté des améliorations sur le domaine afin qu’il marque son empreinte dans le paysage viticole bordelais. Une maison viticole engagée Le Château la Pierrière a la chance d’être installé sur un terroir de grande qualité. Le vignoble constitué de 30 hectares de plateaux calcaires et de 10 hectares de coteaux argilo-calcaires revêt une personnalité sensiblement similaire à celle de Saint-Émilion. Il est principalement encépagé de merlot, de cabernet franc, de malbec ainsi que de sauvignon blanc. Le domaine signe sa différence par la richesse et la beauté de son environnement. « Nous essayons de maintenir de la végétation naturelle et nous avons même un projet de plantation de haies pour renforcer la biodiversité au niveau des parcelles », fait savoir Olivier de Marcillac. Le vigneron est soucieux de l’héritage à laisser aux futures générations c’est pourquoi il a décidé de conduire son vignoble selon des pratiques agro-environnementales ayant abouti à l’obtention du label HVE. « Nous privilégions aussi la taille douce physiologique de la vigne pour garantir de meilleurs raisins et réduire les maladies », déclare-t-il. Des vins sur le fruit et la souplesse Le Château la Pierrière propose six cuvées, dont deux nouveautés à savoir « La Rencontre » sans sulfites ajoutés et « Fidélis ». Parmi les vins qui constituent son catalogue, la cuvée « Fondateur 1607 » retient toute l’attention. Conçue en hommage à François de Lageard, elle est issue d’une sélection parcellaire et se compose de 80 % de merlot et de 20 % de cabernet franc. Ce vin aux arômes fins et intenses avec des saveurs vanillées, réglissées et toastées peut patienter en cave entre 5 à 10 ans. ...
Rutabago vous réconcilie avec les fourneaux en vous facilitant totalement la vie. Le concept : passez commande sur le site Internet de vos paniers prêts-à-cuisiner et ils vous seront livrés chaque semaine afin que vous puissiez mitonner de bons petits plats. En plus d’être pratique, Rutabago est une invitation à manger équilibré et surtout bio. Que demander de plus ? Paniers prêts-à-cuisiner : des produits sélectionnés avec soin Votre rythme de vie, aussi effréné qu’il est, ne sera plus une excuse pour éviter de cuisiner chez vous grâce à Rutabago. Avec ses recettes classiques ou végétariennes, la marque vous propose ses paniers prêts-à-cuisiner bio dans lesquels tout est inclus : viandes, poissons, légumes et fruits frais jusqu’aux épices et herbes aromatiques. Les producteurs fournissant les ingrédients sont triés sur le volet afin de garantir qualité et fraîcheur. « La traçabilité est importante pour nous et sera gage de fiabilité pour nos clients », fait savoir Pierre Pointard, cofondateur de la start-up. Outre les ingrédients, le panier contient un livret de dégustation qui comprend les fiches de recettes et retrace la provenance de chaque produit. Les recettes ! Parlons-en justement. Se prêtant à une véritable aventure gastronomique, elles ont été concoctées par des chefs, puis validées par une diététicienne. La cuisine française et la cuisine du monde sont également à l'honneur. Les suggestions changent chaque semaine et vous êtes ainsi certains de ne pas toujours manger la même chose. Côté timing, pas de panique, puisque la moitié des recettes ont été formulées pour que vous ne passiez pas un long moment en cuisine. « Une moyenne de vingt minutes, préparation et cuisson incluses », nous indique-t-on. Et dans l'optique de ne livrer qu'en juste quantité, les ingrédients sont pré-dosés et conditionnés de façon optimale. Il est en effet très important de spécifier que selon l'ADEME, chaque français gaspille en moyenne 20 kg de nourriture chaque année. « Consommer les paniers-recettes Rutabago permet de diviser ce taux par deux » explique Mathieu, cofondateur et responsable de la logistique. ...
André dit « Dédé » et Michèle vous accueillent dans un cadre resté « rustique » avec poutres, pierres apparentes et objets anciens. Une fois à l’intérieur, vous aurez le choix entre le café où se rencontrent les habitués, la petite salle où sont proposées les fondues (fromage, aux bolets, bourguignonne) et le cadre chaleureux de la salle de restaurant proprement dite. Ici, l’ambiance se veut décontractée et chaleureuse. Des plats gourmands pour tous les goûts Dédé fait le bonheur des amateurs d’une cuisine « à l’ancienne », gouteuse et … copieuse. Vous apprécierez les saveurs des plats mijotés par « le roi de la cuisine canaille » comme se plaît à le mentionner M. Alain Giroud, critique gastronomique de La Tribune de Genève, dans son article du 21 avril 2017. La fraîcheur des ingrédients est garantie par une carte qui varie en fonction des saisons. Par exemple, en automne, la carte de chasse propose la selle de chevreuil avec sa sauce Grand Veneur, le filet de lièvre ou l’entrecôte de cerf avec sauce poivrade, le civet de chevreuil « façon grand-mère », le tout accompagné des garnitures de chasse et des spaetzlis maison. Les incontournables de la maison, qui ont fait la réputation de Dédé aux Pâquis où il a œuvré pendant plus de 20 ans, se dégustent tout au long de l’année. Parmi ses plats phares, on retrouve les œufs en meurette, les pieds de cochons désossés, les « énormes » cordons bleus, les joues de bœuf confites, les cuisses de grenouilles, les filets de perches, ... Ne vous en faites pas, l’été, la carte se fait plus légère avec , entre autre, des tagliatas de bœuf, des sashimis de thon, des tartares de bœuf, … A l’apéritif, pourquoi ne pas partager une planchette de Malakoff (petites boules chaudes à base de fromage), un pot de rillettes d’oie ou une assiette valaisanne ? Puis, craquez pour la terrine maison, le foie gras et son chutney de mangue, les salades diverses, … En plat, la joue de bœuf ou le coq au vin sont servis en cassoton, l’entrecôte du Val d’Herens (Valais) ou le pavé de bœuf vous sont proposés avec une sauce maison ou une sauce au poivre ou encore la sauce aux morilles, le tout avec légumes, gratin dauphinois ou frites maison. La cuisine se veut gourmande et les plats variés et généreux combleront toute la famille puisque les enfants ne sont pas oubliés : nuggets de poulet ou filets de perches avec frites maison et … ketchup ! Les desserts sont également faits « maison » et le choix peut rapidement devenir cornélien entre le fondant au chocolat, le millefeuille aux fruits rouges, les meringues à la crème de Gruyère, … Des plats du jour à Frs. 19.- vous sont proposés, à midi, du mercredi au vendredi, avec une petite entrée ou un dessert. Enfin, Dédé travaille beaucoup avec les suggestions du moment en fonction de ses achats et des désirs de ses clients ; il peut donc vous proposer de la choucroute, des tripes, de la fricassée genevoise, … à vous de lui faire part de vos envies. Côté vins, ici, à la campagne, la maison et les clients privilégient les vins locaux mais la carte présente également une sélection de vins vaudois, valaisans et français. ...
Le Domaine de Calet a élu domicile sur une terre bénéficiant d’un microclimat et de conditions géologiques favorables. L’endroit sis à 85 m au-dessus de l’eau et offrant une vue panoramique se conjugue idéalement avec la viniculture. Cette situation géographique exceptionnelle fait des cuvées en AOC Costières-de-Nîmes des vins naturellement bons. La terre des galets roulés Les sols du domaine prennent racine sur un vaste tapis de galets roulés. Ces petites pierres arrondies ont la faculté de capter les rayons du soleil de manière à chauffer convenablement le sol et la vigne. Elles permettent également de conserver la température idéale pour une parfaite maturation des raisins. « Je ne vends pas du vin, je vends une manière de vivre » Yvon Gentes a une vision bien particulière. Désireux de partager ses idéologies, il nous confie : « Pour moi, ce qui est important, c’est que le vin soit bien équilibré, mais surtout qu’il soit naturel. » En effet, notre vigneron s’est lancé dans l’aventure écoresponsable. De la plantation à la mise en bouteille, il veille à ce que ses cuvées subissent le moins de procédé chimique possible. De ce concept est né « Éternité », qui est la cuvée phare de la maison. Et pour mieux commercialiser ses vins bio, le viticulteur se charge lui-même de la vente des nectars. « Je suis convaincu qu’il faut que le vigneron parle de ses produits », affirme-t-il avec détermination. Tout ce travail rigoureux lui a permis de rafler beaucoup de récompenses dans les concours nationaux et internationaux, notamment à Singapour. ...
La brasserie Les Éclusiers se situe à Henridorff, entre Sarrebourg et Saverne, proche du camping du plan incliné d’Arzviller. Les clients sont reçus dans un cadre authentique : une grande salle au style contemporain agrémenté par une décoration épurée, une terrasse bien spacieuse avec vue panoramique sur le paysage. Le Chef Nicolas Kohler et son équipe promettent un moment agréable dans une ambiance décontractée que ce soit en salle ou à l’extérieur. Un endroit théâtre de sorties entre amis, rendez-vous en tête à tête ou même repas en famille. Une cuisine du terroir La carte ainsi que les menus du jour mettent en valeur une cuisine du terroir. « La carte est renouvelée trois fois par an au gré des produits de saison », nous explique le propriétaire Frédéric Beno, cuisinier de métier. En entrée, l’on redécouvre la terrine campagnarde maison ou le carpaccio de bœuf façon Fritz, des classiques mais un régal garanti à chaque dégustation ! En résistance, les clients peuvent opter pour des plats à base de poissons frais, telle la truite aux amandes de vivier, pêchée à la minute. Pour les amateurs de viandes, la carte propose un savoureux faux-filet de viande charolaise ou encore de l’entrecôte Angus bien tendre. Un plus non négligeable : « La cave à maturation pour les viandes », révèle le chef. Au passage, difficile de résister au cordon-bleu de veau avec sa crème faite maison. Pour terminer, la bûchette exotiko aux fruits et autres créations sucrées de la maison signées par le pâtissier Cédric Jacob achèvent en beauté le périple culinaire. Les menus suggérés sont inspirés par les produits frais du marché et se déclinent en quatre, dont un menu enfant. Les plats typiques de la région sont au rendez-vous : quiche lorraine, joue de bœuf à la bière, rognon de veau flambé à la crème, Kougelhopf et baba au rhum. Avec le menu Découverte, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule entrée, plat et dessert. Pour un accord mets et vin réussi, la brasserie Les Éclusiers sélectionne une vingtaine de références en vins français. L’on cite notamment les vins alsaciens, des côtes-du-rhône ou des bordeaux. Au plus près des producteurs locaux Labélisée « maître restaurateur », la brasserie Les Éclusiers s’engage dans une démarche locale et s’approvisionne en produits frais directement auprès des producteurs de la région. La maison travaille avec la pâtisserie Reutenauer et la boulangerie tabac-presse Rein Chistian pour garnir son café gourmand. En outre, la pisciculture Messang située à Abreschviller assure la livraison en produits marins. Côté boisson, la maison possède sur place une branche dédiée à la fabrication de bières artisanales. « Nous élaborons trois types de bières à la pression : blonde, blanche et ambrée », reprend Frédéric Beno en présentant fièrement ces produits que les clients sirotent avec grand plaisir. ...
Avec une cuisine traditionnelle concoctée essentiellement à partir des produits frais, ce petit restaurant de campagne se plait à chouchouter ses convives en leur proposant le meilleur des saveurs locales. Comme à la maison Simplicité et convivialité : voilà les deux mots qui résument parfaitement l’ambiance qui règne à L’Étoile. Dans ce restaurant familial, tout est fait pour mettre les invités à leur aise. « Chez nous, la bonne humeur et la sympathie sont toujours au rendez-vous. Les gens se sentent comme à la maison », confie Éva Tardy, la cheffe de cuisine. Côté déco, on trouve une grande variété de couleurs. Au bar, la star se nomme Betty Boop. Elle est visible partout, en hommage au grand-père d’Éva, qui était passionné par cette héroïne de dessins animés américains des années 1930. Privatisable, l’établissement dispose de différentes salles adaptées pour les événements privés ou professionnels. Une jolie véranda est prévue pour accueillir tout type de buffets : apéritifs, entrées ou dinatoires. À l’extérieur, les convives profitent d’une belle terrasse ombragée. Juste à côté, ils peuvent s’offrir quelques moments de détente grâce à des jeux de boule mis à leur disposition. Une cuisine simple mais authentique Soucieuse d’offrir une cuisine de qualité, la maison n’utilise que des produits frais, tout en assurant un approvisionnement en circuit court. Ainsi les fromages, viandes, poissons ou encore les vins proviennent directement des producteurs locaux. « Nous avons les mêmes fournisseurs depuis quinze ans », rapporte notre interlocutrice. Quant aux légumes, ceux-ci sont fraichement cueillis dans un potager familial soigneusement entretenu par Maxime, le père de famille. En cuisine, Éva fait parler son expérience et son savoir-faire pour sublimer comme il se doit ces produits d’exception. Parmi les spécialités de la maison, les gâteaux de foie de volaille, le poulet aux morilles, les grenouilles, les bréchets de poulet, les goujonnettes de carpe et les ris de veau enchanteront les papilles les plus délicates. À L’Étoile, on adore faire plaisir aux fins gourmets. Ainsi, les formules à volonté et les menus du jour sont servis toute la semaine, même les dimanches et les jours fériés. « Nous sommes à l’écoute de nos hôtes et nous pouvons changer le menu à leur convenance », nous indique-t-on. Pendant les weekends, Éva invite les convives à partager un moment chaleureux autour d’une délicieuse raclette, avec une variante au bleu de Bresse ou des fromages locaux. Des têtes de veau ou des tapas concoctés à partir des meilleurs produits de la région peuvent être également servis. Une carte au gré des saisons Pour offrir davantage de choix, l’établissement propose quatre menus classiques. Entre le pavé de truite au citron, l’entrecôte poêlée ou le canard au poivre vert, c’est selon les envies de chacun ! À part ses menus, l’établissement présente une carte qui évolue au gré des saisons. En été, les épicuriens pourront déguster différentes salades et autres assortiments de charcuterie. Afin de combler toutes les attentes, le restaurant L’Étoile suggère aussi de succulents plats végétariens, végétaliens ou sans gluten. « Nous nous adaptons aux demandes spécifiques de nos clients », souligne Éva. Côté vins, la maison propose un large choix qui s’accorde merveilleusement bien avec les saveurs de la région. Parmi les références, les côtes-du-rhône, les vins du Bugey, de Mâcon ou de la Loire sont les plus demandés. ...
Voilà 3 générations que cette exploitation familiale confectionne des vins de caractère empreints d’authenticité. 3 cépages, 3 couleurs Dans ce vignoble, les 3 cépages traditionnels (auxerrois, gamay, pinot noir) sont plantés sur un terrain propice à leur épanouissement. Ainsi, les vignes puisent leurs nutriments dans un sol issu d’argiles oxfordiennes avec un mélange d’alluvions anciens et d’éboulis calcaires. Le domaine produit bel et bien du blanc et des rouges, mais il est particulièrement fier de ses vins gris-de-toul. Une spécialité emblématique Avec le gris-de-toul, spécialité emblématique de l’appellation, la maison en a fait sa cuvée phare. Issu de l’assemblage de gamay et de pinot noir, ce vin se démarque par sa rondeur, sa palette aromatique et une souplesse en bouche qui lui confère un caractère unique. ...
Voilà maintenant vingt ans qu’Alain Milliat partage sa passion pour les bonnes choses avec les amoureux du bon goût. En apéritif, en Brunch ou en Tea-time, la collection reste incontournable, de par les textures uniques et les saveurs authentiques. Proposant trente-six parfums différents, cette palette unique de parfums séduit et fascine par sa puissance et sa fraicheur aromatique. « À chaque produit son fruit frais » Ici, les produits n’ont, en effet, pas de saveurs uniformes et sont différents selon la saisonnalité. Les années et les aléas climatiques façonneront ainsi leur goût et leur texture. « Nous allons chercher une origine, une variété, un niveau de maturité très particulier », fait savoir le fondateur. Provenant de Sicile, du Pérou ou de la Drôme, les fruits gardent ainsi toutes leurs caractéristiques. Une véritable mosaïque de saveurs à découvrir. Le fruit dans toute sa splendeur « Notre cœur de métier est d’identifier un fruit par ses particularités, sa texture, sa couleur et ses arômes, et de retranscrire toutes ces singularités dans un jus de fruits », continue-t-il. Le nectar d’abricot présente, par exemple, une texture onctueuse, un orangé lumineux, une belle attaque en bouche et un équilibre sucre acide pour révéler les arômes si particuliers de cette variété Bergeron. Laissez-vous surprendre par la fraicheur et le zesté de la Mandarine Ciaculli, récoltée près de Palerme. Appréciez également la subtilité et l’élégance d’un jus de Raisin Sauvignon récolté en vendange précoce. La collection Alain Milliat est présente sur les belles tables, dans les hôtels de luxe et en boutique spécialisée. ...
Lieu idéal pour tenir des rendez-vous d’affaires informels, le restaurant dispose d’un espace design et contemporain au coin de la cheminée numérique. Ses grandes baies vitrées donnent directement sur le patio, ouvert aux beaux jours, lequel offre un espace lumineux où il fait bon se retrouver. Baignant dans un cadre intimiste et chaleureux au décor atypique où le bois est très présent, l’établissement comporte un sous-plafond d’une très belle hauteur, ainsi qu’une magnifique verrière ornée de plantes vertes, dans un mariage réussi de belles matières et d’éléments uniques. Le Cinq Codet est une adresse discrète qui dévoile une cuisine simple et bien travaillée, préparée à base de produits de saison. Dans une belle alliance d’inventivité et de technicité, l’établissement propose une cuisine décontractée, haute en couleur, avec des fleurs et des herbes, ainsi qu’un bel accord de saveurs et de textures gourmandes. Comptant une clientèle mixte d’Anglo-saxons et de Parisiens, l’établissement organise tous les samedis une soirée jazz, un événement déjà bien connu et apprécié des habitués, mais qui ne cesse d’engranger de nombreux adeptes. Un beau mariage de saveurs Les clients ont la liberté de composer eux-mêmes leur menu ou opter pour des plats sur le pouce avec la carte de snacking. Ce qui fait la différence ? La maison travaille le meilleur du produit avec une technique de cuisson qui la distingue de celle des autres établissements ! Turbot, émulsion de coquelicot, fenouil vanille bourbon et Sphère chocolat, sorbet passion safran sont autant de gourmandises à découvrir ou à retrouver au sein du restaurant. ...
Atout France se veut l’instigateur d’une amélioration constante des offres faites aux touristes s’intéressant à la destination France. L’œnotourisme, constitué en pôle d’excellence depuis 2015, est l'un de ses terrains d’actions. Cette filière suscitant l’attention de nombreux porteurs de projets, une consolidation de leur aptitude à fournir des prestations de qualité s’imposait comme une évidence. À la demande du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, cinq vidéos MOOC, abordant cette thématique de façon transversale, ont été mises en ligne. Tour d'horizon de ces nouveaux supports d’autoformation. Sensibiliser les acteurs sur la complexité du secteur Atout majeur de l’attractivité touristique en France, l’œnotourisme est une filière complexe s’il en est. C’est pour sensibiliser les acteurs sur cette complexité que les cinq vidéos réalisées par Atout France ont vu le jour. S’adressant aux professionnels – déjà actifs ou en devenir – de l’œnotourisme et de la viticulture, elles visent, par la même occasion, la diffusion de bonnes pratiques. Ce sont ainsi les domaines, hébergeurs, agents réceptifs et tous ceux qui ont un cœur de métier rattaché aux vins de France qui pourront accéder à cette série de formations accessibles gratuitement (liens dans l'encadré). Cinq vidéos pour maîtriser l’essentiel de l’œnotourisme Formatées dans une durée respective de cinq minutes, les cinq vidéos abordent différentes thématiques rattachées à l’œnotourisme de façon synthétique, mais ne sont pas moins consistantes. Pour les réaliser, Atout France s’est attaché les services d’une start-up spécialisée dans la formation en ligne appliquée au tourisme, à savoir Tourism Academy. Concrètement, les vidéos amènent sur des pistes de réflexion variées comme la promotion de ses offres, l’identité des clientèles étrangères, ou encore comment réussir son projet œnotouristique. Le premier volet de la série pose, non sans pertinence, les préalables de la filière pour bien cerner son domaine, c'est-à-dire des contenus ciblant des préoccupations quotidiennes dans le secteur. Ils sont issus d’études que l’organisme instigateur a menées sur l’œnotourisme à l’échelle nationale. Ces thèmes ne limitent d’ailleurs pas leur auditoire aux seuls professionnels de l’œnotourisme. Les institutionnels du tourisme sont également concernés, eu égard à leur mission de conseil auprès des premiers. Martin Lhuillier, responsable du pôle destination vignobles abonde en ce sens : « Nous, ce qu’on attend, c’est qu’elles (les vidéos, NDLR) soient diffusées le plus largement possible au sein de la filière. » Pour ce faire, Atout France mobilise son grand réseau de partenaires composé des interprofessions, des départements, des régions et des vignerons indépendants, entre autres. ...
Le vignoble du château, qui fait 25 hectares, est installé sur les anciennes terrasses du Tarn et de la Garonne et s’étend sur trois communes et deux départements. Il produit annuellement 120 000 bouteilles principalement en rouge et réparties en deux gammes bien distinctes. Jules, Julie et Juliette Tels sont les noms des cuvées de la nouvelle gamme de vins proposée par le Château. La cuvée « Jules » est un vin rouge masculin, souple et généreux, qui s’adapte à tous les moments conviviaux, quels qu’ils soient, mais surtout en famille ou entre amis. Ce précieux nectar accompagne à merveille les apéritifs ou encore les grillades d’été au milieu du jardin. Avec sa robe rose pâle, la cuvée « Julie » est un rosé fin et délicat, aux notes d’agrumes prononcées. Après avoir été rafraichie, elle se déguste lors des moments festifs avec des plats comme les sushis, poissons grillés et plus particulièrement des beignets de légumes. La cuvée « Juliette » est la dernière née du Château. C’est un vin blanc de cérémonie, sérieux mais qui peut convenir à toute la famille. Sa bouteille, stylée et moderne, est à l’image de cette cuvée : légère et gourmande, avec un goût de fruit maîtrisé. Gourmandise, légèreté et plaisir immédiat sont au cœur de ces « 3 Jus ». La Négrette, à la base de toutes les cuvées De la vigne au verre, le processus de fabrication du vin relève de tout un art qu’il faut maîtriser à la perfection. Chaque vin, chaque millésime se distingue par son terroir, sa vinification et les différentes méthodes employées par les vignerons. Au Château Clamens, la Négrette est au cœur de ce procédé. Il s’agit d’un cépage millénaire endémique de cette région du Sud-Ouest de la France. Fine et délicate, elle confère aux vins des arômes délicats de fruits rouges et de réglisse. Elle est à la base de toutes les cuvées du domaine, en assemblage avec le Cabernet Sauvignon pour sa noblesse, le Malbec pour sa structure, le Cabernet Franc pour sa fraîcheur et la Syrah pour sa chaleur et sa souplesse. Les différentes combinaisons effectuées par le domaine entre ces raisins lui permet d’obtenir des vins de caractère et faciles à boire. Les cuvées AOC Fronton Les cuvées plus traditionnelles, en appellation Fronton, qui ont fait et font toujours la renommée du Château Clamens sont des rouges issus d’une longue tradition. La cuvée « Caractère » se démarque par ses arômes de violettes, poires et pruneaux, « Héritage » par ses arômes de fruits noirs cuits aux notes boisées et « Prestige » offre des arômes de réglisse et fruits rouges. ...
Après avoir fait ses armes chez Alain Ducasse, comme chef du Spoon notamment, avoir voyagé en Australie et à Madère, le chef Rui Martins a pris son envol au Cam40, ce nouveau restaurant ouvert boulevard Arago, dans le 13e arrondissement de Paris, fin mai 2016. Avec son équipe, Rui aime s’appuyer sur sa maitrise technique pour concocter une cuisine contemporaine, inventive et pleine de saveurs. Il porte une grande attention à la perfection des cuissons et à la justesse des assaisonnements. Dans un cadre épuré avec ses azulejos en trompe-l’œil et son mobilier en bois de style scandinave, Le Cam40 vous accueille dans une ambiance zen où l’on se sent comme chez soi. Camille, la serveuse, ou l’un des cuisiniers seront aux petits soins pour vous raconter l’assemblage de vos assiettes. De plus, vous avez toutes les chances de rencontrer le chef en fin de repas pour un échange chaleureux. Un petit nombre de plats au menu, régulièrement renouvelés Vous pouvez choisir dans le menu une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 28 €, une entrée, un plat et un dessert pour 35 €. Avec un supplément modique, vous avez également accès aux suggestions du moment, qui font appel à des produits recherchés comme les cèpes ou les Saint-Jacques. Les 3 entrées, 3 plats et 3 desserts composant le menu sont renouvelés régulièrement pour de nouvelles découvertes. Pour attendre sereinement votre première assiette, un amuse-bouche vous est offert. Puis, en entrée, vous pourrez vous régaler, par exemple, d’un œuf presque parfait. Celui-ci est cuit avec sa coquille à 64 °C en vapeur pendant 48 minutes, pour garder le jaune onctueux en bouche. En ce moment, il est accompagné de millet, légumes d’antan, éclats de marrons et châtaignes. Le compressé de poireaux, copeaux de boutargue et sauce inspirée d’une ravigote est aussi très apprécié. Les poireaux sont cuits à l’anglaise, puis compressés sous vide pour un visuel surprenant. En plat, vous dégusterez notamment un thon mi-cuit sauce saté pêché en Méditerranée, accompagné d’un succulent wok de légumes ou un excellent onglet de bœuf provenant du Coq Saint-Honoré. Toujours servis avec des légumes préparés dans un jus maison à base de bouillon de poule. En dessert, vous vous ferez plaisir avec un cheesecake à l’orange ou une tarte fine aux pommes, sublimée par un caramel au beurre salé chaud et froid. Et une mignardise maison clôturera avec délice votre repas. Dans la carte des vins, composée par Yannick Richard, petits domaines et vins bio sont particulièrement à l’honneur. Tous les mois, deux vins étrangers sont à découvrir, comme le Coppola, un excellent Chardonnay californien. ...
Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste, ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il. Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...
La marque a monté tout un univers créatif pour donner vie à l’intérieur de notre maison et pour égayer notre table. Entourée de très talentueux designers nationaux et internationaux, elle veut hisser le savoir-faire français dans l’art et la décoration. Un savoir-faire savamment exprimé avec créativité dans le travail des matières, des lignes, des courbes et des textures. Le style contemporain revisité Sibo Homeconcept est créateur de nouvelles tendances en articles de verrerie, de vaisselle, de mobilier, de la décoration et divers accessoires qui se regroupent en différentes collections. À mi-chemin entre le style contemporain et un design industriel, chaque collection se compose de pièces uniques dont la plupart sont façonnées à la main. Méticuleusement conçus par des designers, les articles de la marque s’affichent dans les plus grands hôtels et restaurants du monde. Et peu importe le goût de chacun, le concept novateur et simpliste des produits de Sibo Homeconcept séduit aussi bien les particuliers que les restaurateurs et les chefs étoilés. Le choix d’une palette de couleurs neutres pour accompagner les courbes épurées suggère un esprit minimaliste. Et cette esthétique sobre et chic renforce encore plus la fonctionnalité primaire des objets, et n’encombre en rien leur utilisation. La gamme de collection vaisselle Chaque collection vaisselle est fabriquée à partir de matières composites : bois, verre, métal, verre soufflé, grès, porcelaine fine, etc. Et elles sont élaborées de façon à préserver ce côté naturel, qui devient l’âme de la collection. OSLO est une collection qui fait honneur aux matières organiques, plus spécifiquement le grès. Les articles revêtent un design moderne, aux courbes fines et légères. Une finition à la main affine les textures et crée une nuance d’effet mat et brillant. Les couleurs restent dans les tons naturels et sobres, pour souligner l’authenticité de la matière utilisée. NORI : collection marquée par ses formes arrondies et imparfaites. Le design apporte une touche de modernité au charme intemporel des vaisselles rustiques. Le mélange de grès et des émaux réactifs soumis à la chaleur explique la nuance de couleur vert amande, très caractéristique à chaque article. Une sélection conçue pour la maison et pour une utilisation quotidienne. URBAN, quant à elle, est composée exclusivement de flûtes à champagne, de verres à vin et de gobelets. Grâce à leur transparence, ils sont discrets mais ne passeront pas inaperçus et se fondent parfaitement dans la décoration de table. Au style contemporain très affirmé, ces articles sont créés par des artisans verriers en soufflé bouche. Chaque type de produits est commercialisé en lot de six pièces. ...