Au pied des contreforts du Larzac, sur le terroir de Montpeyroux, la famille Commeyras cultive la vigne depuis 6 générations. Histoire et création du domaine L’histoire du domaine remonte à 1850 avec Pierre Commeyras et son fils, Anténor, tous deux viticulteurs à Montpeyroux. Au retour de la guerre, Auguste, le fils d’Anténor a vécu la même passion. Ses enfants André, Aimé, Auguste ont suivi. Tout en poursuivant l’exploitation familiale, André et Aimé, présidents successifs de la cave coopérative de Montpeyroux, ont initié les VDQS (Vin Délimité de Qualité Supérieure) et AOC. En 1987, à l’issue d’une longue étude sur la qualité organoleptique des vins de Montpeyroux, le Domaine l’Aiguelière a été créé par les familles Teissedre et Commeyras. Nos Terroirs Les vignes épousent les nombreux terroirs qualitatifs de Montpeyroux et des communes voisines afin de favoriser une production équilibrée. Sur les terres protégées par les vents frais et sains du Larzac, le travail est depuis toujours traditionnel avec le minimum d’intrants. De plus, une conversion bio a été opérée en 2018. Les rendements sont volontairement faibles : 22 vignes sur 19 hectares ne produisent que 60 000 bouteilles/an au sein de 53 cuves inox de 3000 hl dans un chai climatisé. À noter : la gamme complète des 7 cuvées des 3 appellations (AOP Montpeyroux, AOP Terrasses du Larzac et IGP Saint-Guilhem-le-Désert) est régulièrement récompensée depuis plus de 30 ans : CGA, Decanter, Hachette, Robert Parker Wine Advocate, RVF…. Découvrez la Côte Rousse 2018 en AOP Montpeyroux Vin rouge réalisé à partir de Syrah et Grenache, si vous aimez les vins puissants et complexes avec une grande longueur et un bon équilibre des tanins, nous vous conseillons de tester la Côte Rousse 2017 ou 2018. Idéal avec du gibier à plumes, de la viande rouge, de la viande en sauce ou du chocolat noir, elle va s’épanouir pendant 10 à 15 ans au moins en restant jeune et attrayante. ...
Bordeaux s’inscrit comme l’une des principales voies du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Le Château au Grand Paris faisait partie des relais accueillant autrefois les pèlerins. Édifié au XVIIème siècle, il était géré par des moines qui y cultivaient un petit vignoble. L’ancien bâtiment garde encore les traces de ce riche passé à travers la présence de quelques éléments décoratifs et architecturaux. « La maison est constituée de grandes ouvertures et d’un très haut plafond. Sur la cheminée, la fameuse coquille Saint-Jacques est encore visible », nous confie Isabelle Castenet, aujourd’hui à la tête du domaine avec son frère Christophe Langel. Un mode de production traditionnelle Le domaine Château au Grand Paris est situé à une cinquantaine de kilomètres à l’est-sud-est de Bordeaux. Il est établi sur un terroir relativement abrupt composé de coteaux avec des sols argilo-calcaires ainsi que des terres plus limoneuses à certains endroits qui jouent sur la diversification de la production. « Sur la même exploitation, nous avons plusieurs variétés de raisins qui nous permettent d’avoir des vins plus complexes », plaide notre interlocutrice. Bordeaux étant une région d’assemblage par excellence, la maison fait honneur à la tradition en réalisant également plusieurs associations. « Nos assemblages s’effectuent selon la typicité de chaque cuve et sont souvent différents pour que nous puissions toujours avoir un même produit au fil des années ». Un vin blanc aromatique et fruité pour des instants de gourmandise En travaillant de nombreuses appellations telles que l’AOC Bordeaux, l’AOC Bordeaux Supérieur et l’AOC Entre-deux-mers, le Château au Grand Paris parvient à proposer une riche gamme de cuvées aromatiques et fruitées. Et bien que le vignoble bordelais soit réputé pour ses illustres vins rouges, la maison désormais certifiée HVE a bâti sa notoriété sur son vin blanc à l’instar de la cuvée Entre-Deux-Mers. Ce vin blanc sec composé de sauvignon, de muscadelle et de sémillon plaît pour ses arômes de fleurs blanches et ses saveurs fruitées sur fond de notes de pêche et de pamplemousse. A vocation apéritive, il accompagne à merveille les fruits de mer, les coquillages, les poissons, les huîtres et les crustacés. Preuve de son excellence : ce produit est régulièrement primé par de grands guides tels que Gilbert & Gaillard. ...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches »constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. ...
Le domaine du Château Grézan crée ses vins à 20 km au nord de Béziers dans la commune de Laurens. Un domaine familial au sein duquel Jean-Louis Pujol arrive en 1988. Aujourd’hui dirigé par son fils Fabien, cinquième génération de vignerons depuis 1877, le vignoble profite d’un climat méditerranéen à tendance montagnarde. Ce climat se distingue par des hivers doux avec peu de gelées ainsi que des étés chauds et secs avec des précipitations rares mais concentrées. Une aubaine pour les AOP élevées sur place dont certaines se situent au-delà de 300m d’altitude. Cette situation géographique leur permet ainsi de profiter de nuits plus fraîches et d’une eau mieux drainée. Un vignoble et une histoire séculaires L’histoire du domaine remonte à plusieurs siècles. Grézan fut d’abord la villa d’un centurion de l’armée de Rome. Au moment des Croisades des XIIe et XIIIe siècles, Grézan devient une Commanderie de l’ordre des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Quelques années après le début de la Révolution française Grézan va brûler presque intégralement. Finalement, le Château commence à prendre sa forme actuelle à partir de 1864 lorsque Gabriel Rozier de Mirepoix, un homme de loi du Narbonnais, reconstruit les bâtiments et y adjoint un rempart dans le style de ceux de Carcassonne. C’est à l’architecte Louis Garros que sera confiée la tâche, il sera conseillé par Eugène Viollet-le-Duc. En 1993, le Château sera inscrit à l’inventaire des monuments historiques français. Aujourd’hui, on y retrouve différents cépages en AOP Faugères comme la Syrah, le Grenache, le Cinsault, le Mourvèdre et le Carignan. Mais aussi des cépages en IGP Pays d’Oc avec le Chardonnay, le Sauvignon blanc, le Viognier, le Merlot, le Vermentino, et le Muscat. Un terroir spécifique La particularité des vins de l’Appellation Faugères est qu’ils sont cultivés sur une formation géologique particulière, le schiste. Ce dernier est issu de la compression des argiles de l’ère primaire. Cette composition géologique rare, seuls 10% du vignoble mondial est ainsi constitué, permet d’y produire des vins élégants, fins et profonds. Le schiste dispose aussi d’une forte capacité de rétention d’eau et de chaleur pour ensuite les restituer la nuit venue. Les baies de raisin peuvent ainsi continuer à mûrir même la nuit tombée. Il y a plus de 3000 ans, la région formait l’estuaire d’un fleuve, ce qui a permis de constituer plusieurs lithochromies, un mélange de plusieurs pierres. Des techniques éprouvées Au Château Grézan, les vignes sont spécifiquement traitées pour s’adapter à la région. L’hiver venu on taille la vigne comme partout ailleurs, pour la contenir tout d’abord mais surtout pour offrir vigueur et dynamisme aux bourgeons à venir. Le chef de culture analyse spécifiquement la richesse des sols pour effectuer cette taille qui vit au rythme des sols. Sur le site, plusieurs types de taille sont appliquées. On retrouve la taille en gobelet, qui est historiquement la plus ancienne, la taille en guyot ainsi que la taille de royat. Le domaine produit des vins majoritairement vendus en France mais qui alimentent aussi des caves de pays comme la Belgique, la Suède, la Suisse ou encore le Japon. Sur le vignoble, ce sont un peu moins de trente salariés qui s’occupent toute l’année des plantations ainsi que des vendanges qui sont à la fois manuelles et mécaniques. ...
La Font des Pères produit des vins AOC Bandol, IGP Mont-Caume et Côtes-de-Provence. Des élixirs qui ont la particularité d’être à la fois fins et complexes, dotés d’une belle ampleur et d’une grande fraicheur. Un terroir unique Dans ce vignoble se trouvant à quelques kilomètres des côtes méditerranéennes, les vignes sont implantées sur une colline taillée en restanque. Jouissant d’une exposition nord, celles-ci s’épanouissent sur un sol caillouteux, tout en bénéficiant de l’influence de la mer. Ici, le mourvèdre, cépage rouge typique des bords de la Méditerranée, règne en maitre absolu. « C’est un cépage qui murit assez tard. En combinant richesse et puissance, il procure au vin un relief aromatique unique », souligne Philipe Chauvin, le propriétaire actuel. Le reste de l’encépagement se compose de grenache, de cinsault, de carignan, de clairette, de bourboulenc, de rolle et d’ugni blanc. L’excellence comme leitmotiv Le domaine privilégie les vendanges manuelles dans la mesure où elles permettent de trier les raisins au niveau de chaque parcelle. « Afin d’assurer une qualité optimale, il nous arrive de vendanger une seconde fois avec quelques jours d’intervalle », nous confie-t-on. Côté vinification, les rouges, issus des plus vieilles vignes du domaine, subissent une longue macération avant d’être élevés 18 mois en foudre, en demi-muid ou en barrique d’au moins deux vins. Au niveau des blancs, ceux-ci font l’objet d’une macération pelliculaire à froid, afin d’extraire le maximum d’arômes. Un élevage sur lies est ensuite réalisé pour apporter davantage de structure et de rondeur. Quant aux rosés, les raisins ayant servi à leur élaboration ont été refroidis dans une chambre froide juste après la récolte. L’objectif de cette opération est de préserver les arômes. Les spécialités de la maison La Font des Pères propose au total 7 cuvées différentes. Parmi ses spécialités, les vins de Bandol font particulièrement la fierté du domaine. De l’aveu même du propriétaire : « Bien qu’il s’agisse d’une petite appellation, sa renommée est incontestable. » Issu de l’assemblage de mourvèdre, de grenache et de cinsault, le rosé La Font des Pères 2017 dévoile des notes de buis, de fleurs, d’agrumes, tout en présentant une jolie trame minérale. Pour le blanc La Font des Pères 2017, celui-ci est obtenu à partir de 55,4 % de clairette, 39 % de bourboulenc et 5,6 % de vermentino. Le nez s’ouvre progressivement, avec finesse, sur une trame florale associée à des notes d’aubépine et de fruits blancs. Enfin, le rouge est issu à 90 % de mourvèdre et à 10 % de grenache. En bouche, ce vin est suave, équilibré, mêlant la fraicheur exprimée par les notes de rose et de mentholé à une finale structurée, avec des tanins enrobés, à la tonalité café, chocolat et pain grillé. ...
Située sur le quai de la Marine, le lieu fleure bon les vacances. Face au Deauville Yacht Club, une ambiance bistrot-chic règne au Comptoir et la Table où les tables en bois rustiques rappellent les brasseries parisiennes confortables et sans chichis. La décoration donne le ton de la mer. Nappes blanches et banquettes confortables, cette ambiance classique rappelle le charme de la station balnéaire normande très prisée des Parisiens. Décoré par Beineiche, ce repère culinaire du Calvados est minimaliste avec beaucoup d’espace. Fidèle au style des vieux restaurants deauvillais des années 50, le clinquant n’est pas de rigueur. Seule exigence : des produits frais et de qualité pour une clientèle avertie. Nuances de truffes De véritables produits frais, tout droit débarqués des ports de pêches font la réputation de ce haut établissement du « 21e arrondissement de Paris ». A l’honneur bien sûr, la truffe, véritable crédo culinaire du Comptoir. En entrée, elle ouvre le bal avec son fameux œuf poché à la truffe, préparé simplement mais authentiquement pour sublimer ses arômes délicats. Avec sa crème de truffes et ses quelques croutons, les papilles sont enchantées par ce gout puissant et atypique si prisé des fins gourmets. Son odeur, envoutante, donne du cachet à l’assiette, et évoque la terre, l’humidité et les effluves forestières. Pour ne pas dénaturer ce gout rare, le dressage est simple et élégant. Ici, le champignon unique est frais en toute saison. En hiver, c’est celle du Périgord qui trône dans l’assiette . En été, c’est celle d’Italie qui vient accompagner les plats signatures de ce restaurant prisé pour ses interprétations de la truffe. En entrée, le carpaccio de Saint-Jacques étonne avec ses fines lamelles et son rapé de truffes. Le gout subtil de noisette et la chair très fine de ce fruit de mer en font un mets estival de choix. Le calamar en poêlée et caramélisé est très prisé par les habitués du lieu. Ce fruit de mer est également dressé sans chichis, avec une salade toute simple pour apprécier le gout tendre et sucré de cette recette fraiche et marine. Le homard se veut frais dans ce restaurant, accompagné d’une poêlée de légumes du marché croquants et d’herbes. En plat principal, on se délecte d’une sole rôtie accompagnée de linguines à la truffe. Ce champignon gastronomique sublime un risotto chaud et onctueux accompagné de son rapé. Le Comptoir et la Table varie aussi les accompagnements du diamant noir avec des produits de la mer cuisinés avec la même philosophie : sobriété et gout. En poissons, le choix est là. Turbot, cabillaud, sole, Saint-Pierre et bar viennent enchanter les assiettes des amateurs des produits de la mer frais et de qualité. Vins aux arômes délicats Avec une carte de vins variée et prestigieuse, plusieurs crus accompagneront vos plats avec leurs arômes délicats. Pour le carpaccio de Saint-Jacques, un Meursault. Un Sancerre blanc viendra libérer les arômes des poissons frais du menu avec ses effluves d’agrumes et de fleurs. La côte de veau aux girolles sera sublimée avec un Pauillac rouge et sa complexité intense idéale pour une viande rouge. Ceux qui veulent couronner leur repas avec un instant de douceur gourmande, c’est une carte de desserts classiques qu’on découvre dans cet établissement. Tarte aux pommes, tulipe de fruits frais, crêpe suzette ou encore crème brûlée à la vanille paracheveront votre repas avec sobriété et délice. ...
Sur un terroir d’exception, la maison Lequart a su mettre en valeur cette terre pour y élaborer des cuvées élégantes et toutes en finesse. Le Meunier étant ici en majorité, vous pourrez notamment y découvrir des cuvées mono-cépages pur Meunier qui ne sont à manquer sous aucun prétexte. Terre de prédilection du Meunier S’étendant sur une superficie de 10 hectares, le vignoble familial profite d’une belle exposition. "Les sols de nature argilo-calcaire apportent générosité et gourmandise à nos cuvées" confie Laurent Lequart, artisan-vigneron. 80 % de la surface est plantée en Meunier, cépage emblématique de la vallée de la Marne. Le Chardonnay et le Pinot Noir viennent compléter la trilogie. Par conviction, le vignoble est travaillé en viticulture raisonnée et évoluera prochainement avec une certification HVE Haute Valeur Environnementale. La récolte vendangée manuellement est apportée à l'union des producteurs de Passy-Grigny afin d’y être vinifiée et mise en bouteille. Le tirage et le veillissement sont personnels ce qui permet de préserver l'identité propre à chaque vigneron au sein de cette union. Des cuvées pour tous les goûts Chaque année, 63 000 bouteilles sont écoulées, essentiellement sur le marché Français bien que l'entreprise vienne de s'ouvrir aux marchés internationaux notamment sur l'Italie, les Etats Unis ou encore le Canada. Trois collections contenant chacune un Champagne 100 % Meunier font la renommée de la maison. Dans la collection Découverte, la cuvée de Réserve sera à l’honneur. Facile à déguster et très fruitée, elle accompagne à merveille des huîtres fines de claire, du saumon mariné ou encore des crevettes marinées au pamplemousse rose. La collection Gourmande dévoile la cuvée Parfait de Meunier Brut, composée exclusivement de Meunier issu de vieilles vignes de plus de 45 ans à l’origine d’une grande complexité aromatique. Dernière et non des moindres, la cuvée Prestige Pur Meunier Extra Brut de la collection Exception By LL, qui est à la fois puissante, élégante, charnue et charpentée. Ce vin est vinifié en fûts de chêne et repose six mois avant d'être vieilli pendant 72 mois soit six ans en cave. ...
Château Nestuby, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre. Celle d’une famille, la famille Roubaud, avec une terre unique baignée de soleil et irriguée par les eaux de la source qui lui donnent son nom. La légende veut en effet que le Roi-Soleil, Louis XIV, empruntant la route de Notre-Dame-de-Grâces lors d’un pèlerinage avec sa mère en 1660, se soit abreuvé aux eaux de cette source, devenant ainsi « l’eau du Roi »… C’est cette magie de l’eau qui confère aux vins de Nestuby une typicité et un goût inimitable. Le Vignoble Le vignoble de Château Nestuby s’inscrit dans le patrimoine historique et culturel riche du village de Cotignac. Ce dernier est en effet connu pour être le seul lieu au monde à avoir été le théâtre de l’apparition de deux grandes figures de la chrétienté : la Vierge Marie et Saint-Joseph, qui aurait demandé à un jeune berger assoiffé de déplacer une pierre pour faire jaillir de terre une source bienfaitrice. A l’instar de cette histoire, le Château Nestuby possède un sol pauvre et bien drainé composé d’argile et de calcaire, qui convient parfaitement à la culture de la vigne et permet d’en extraire le meilleur. Les vins qui en résultent allient complexité, rondeur et surtout authenticité. L’encépagement du domaine se compose d’une dizaine de cépages différents à savoir trois cépages blancs (Rolle, Sémillon et Ugni Blanc) et sept cépages rouges (Syrah, Grenache, Mourvèdre, Cabernet Sauvignon, Carignan, Merlot et Cinsault). Dans un écrin de nature préservée, les équipes partagent une seule et même philosophie : laisser la nature faire son œuvre. La conviction profonde est que la qualité finale des vins repose sur le soin apporté en amont à la culture des vignes (taille, labours et pâturage, palissage, vendanges en vert…), dans le respect des préceptes d’une agriculture raisonnée. Le Chai Un travail minutieux, de précision, qui se poursuit en cave. Aux cuveries historiques en béton sont venues d’ajouter, de manière plus récente, de nouvelles installations de pointe : cuves inox thermo régulées, pressoirs pneumatiques… dans une démarche permanente de recherche de la qualité. Le Partage : une valeur fondatrice Depuis bientôt 25 ans, Nathalie Roubaud met à profit ses qualités naturelles pour organiser l’accueil du public : aménagement d’une partie de la bastide familiale, dégustations des cuvées du domaine autour d’une belle assiette vigneronne…Dans un esprit jamais démenti de convivialité et d’authenticité, cinq chambres d’hôtes –portant le nom des différents cépages cultivés sur le domaine-, accueillent les visiteurs pour une plongée dans l’art-de-vivre méditerranéen. Mobilier chiné, tissus provençaux, épure des matériaux bruts s’accordant à la perfection avec des tonalités pastels, autant de détails qui distillent un charme discret et sans ostentation, invitant à la relaxation et au lâcher-prise. Un jacuzzi privatif, un sauna, et une piscine extérieure construite dans un ancien bassin sont également à la disposition des hôtes, de même que des activités imaginées sur mesure afin de faire de chaque séjour une expérience… INOUBLIABLE ! ...
Lille est une ville chaleureuse et accueillante, et les nombreuses richesses qui l’entourent lui confèrent tout son charme. Outre les innombrables parcs naturels (Jardin Vauban, Parc Matisse, Jardin écologique du Vieux-Lille, Jardin des plantes) , elle est entourée de nombreuses cités voisines sises près de la frontière franco-belge qui valent le détour. C’est dans ce versant nord de la ville que s’est implanté le restaurant A Taaable, un établissement qui surprend les gourmands par sa cuisine d’une rare convivialité. Un restaurateur autodidacte et passionné Ouvert depuis 2011, le restaurant A Taaable est dirigé par François Caudrelier. « J’avais envie d’ouvrir un vrai restaurant, un endroit où l’on fait vraiment de la cuisine et où on a le temps de s’occuper de chacun de ses invités. Un lieu pour partager la passion de la cuisine française avec des produits livrés chaque jour pour garantir la saveur et la qualité des plats concoctés », explique-t-il. Ce grand passionné travaille avec trois cuisiniers expérimentés et passionnés par leur métier. Quant aux ingrédients qu’il utilise, il choisit principalement les produits du terroir. « Je m’associe avec des fournisseurs qui répondent expressément à mes exigences, annonce le Lillois. Rendez-vous A Taaable dans une ambiance décontractée Le restaurant est décoré de manière simple, soignée et classique, tel un compromis entreune auberge et un estaminet. Ici, il suffit de regarder les ardoises accrochées au mur pour découvrir les suggestions du jour.«On ne fait pas de bonne cuisine sans amour des gens »,écrit le maitre des lieux sur ses ardoises géantes. Chaque soir, une ambiance feutrée se révèle. L’endroit se prête à tous les rendez-vous et à la découverte des saveurs de la région. La terrasse, installée sur l’incontournable rue de Gand, permet aux hôtes de profiter d’un agréable moment gustatif en famille ou entre amis.« Ce cadre, à la fois sobre et moderne, est limité à 34 couverts », fait savoir François Caudrelier. « C’est pour avoir la possibilité de s’occuper de chaque client, de leur faire plaisir, de répondre à leurs besoins mais surtout pour qu’ils reviennent avec le sourire ! » Du fait maison, pour une cuisine gourmande et généreuse Le restaurant propose une cuisine traditionnelle qui suit la saisonnalité. Parmi les spécialités de la maison figurent les pieds de cochon et la queue de bœuf en andouillette. Autre incontournable : le welsh de pirate, qui est un plat gallois, à base de cheddar fondu et servi sur une tranche de pain grillé. Ce plat proposé par A Taaable est considéré comme l’un des meilleurs welshs du Nord-Pas-De-Calais. Outre la carte, l’établissement propose un menu du midi, du lundi au samedi. Cette formule intitulée « Chic et pas cher » présente au choix deux entrées, deux plats et deux desserts. Pour un plat avec une entrée ou un dessert, le prix est de 14,50 € ; la formule complète est de 17 €. Quant à la Formule régionale,à 27 €, le choix est entre trois entrées, quatre plats et quatre desserts. ...
Animés par le désir de proposer une viande de premier choix pour satisfaire la demande croissante du marché français en viande ovine, les 1 000 membres de l’association d’éleveurs GIE Ovins du Limousin se sont rassemblés pour défendre un bien commun par une démarche qualité. L’obtention de l’IGP leur a permis d’assurer l’excellence de l’agneau Baronet, déjà très avantagé par le terroir sur lequel il évolue. Sa végétation, ses prairies, ses herbes, son climat, sa pluviométrie, sa géologie et son altitude font effectivement du Limousin un endroit idéal pour élever les moutons. « Il est voué à nourrir les animaux », affirme Didier Briantais, directeur du GIE Ovins du Limousin. Au-delà, les éleveurs doivent respecter les critères du cahier des charges pour fournir une viande conforme : lait maternel pendant au moins 60 jours, traçabilité, alimentation au foin et à l’herbe en période hivernale, avec éventuellement un complément de céréales et de fourrage… Un produit d’exception pour des repas gourmands « Grâce aux propriétés spécifiques du terroir et à la rigueur des méthodes d’élevage employées, les viandes offrent une chair tendre, délicatement parfumée, avec un taux de gras idéal », souligne Didier Briantais. Elles sont aussi facile à cuisiner : des chefs de renom tels qu’Alain Longeval ou Emmanuel Ardillon prônent d’ailleurs la marque en créant des recettes. Un véritable ravissement pour les papilles qu’offrent, par exemple, la « Selle d’agneau du Limousin et pommes dauphine » ou la « Roulade de poitrine d’agneau du Limousin farcie ». ...
De la rue, d'immenses baies vitrées qui laissent d'ores et déjà entrevoir l'ambiance lumineuse et conviviale du restaurant. Sur place, vous avez le choix entre vous installer sur l'immense terrasse de 250 m2 ou investir plutôt la salle au volume assez vaste, avec un espace bar en bas, une mezzanine en haut et une cuisine ouverte d'où vous pourrez admirer la dextérité des chefs en cuisine. Le style industriel associant une forte présence d'objets vintage, d'éléments boisés et métalliques donne le ton. Au programme : de la dynamique et un esprit branché. Urban Kitchen joue la carte de la modernité et de l’authenticité. Un trio d'amis veille aux fourneaux Une cantine créative et récréative, un concept dont on n'entend pas souvent parler mais qui a déjà fait son bout de chemin Outre-Atlantique. Un thème qui fait "tilt" chez ce trio d'amis composé de Stéphane Lamani, Jérémy Magnan et Michaël Cohen et qui décide de lancer son propre établissement en s'appuyant sur cette base-là. Résultat : un restaurant accueillant où l'on aime se retrouver. Il n'a pas fallu longtemps à la maison pour se faire connaître. Et pour cause, elle partage une cuisine innovante qui met à l'honneur des produits frais de saison et fait-maison. Parmi les plats signatures figure le fameux filet de bœuf Wellington qui est délicieusement accompagné de foie gras et d'épinards, le tout enveloppé d'une légère pâte feuilletée croustillante qui fond dans la bouche. Une pure merveille culinaire à déguster avec un Minervois Le Prince Arthur 2007, rouge, Château Cabezac. La carte aux accroches intéressantes vous fera voyager entre Londres, Marseille, Japon, New-York ou Rome en fonction des jours. Elle est à l'image de la personnalité de nos trois chefs : généreuse, cosmopolite et inventive. Toutes les saveurs des plats suggérés seront rehaussées par une carte de vins composée des meilleures productions locales. ...
Passer le cap du rêve à la réalité, c’est avec ambition, courage, travail que ce citadin parisien, passionné de longue date par le monde viticole a créé en 2018, un nouveau vin de Faugeres , le domaine de Monthélys . Un pari un peu fou qui aujourd'hui connaît ses premiers succès. Néo-vigneron, Henri Monteux, ancien imprimeur de métier, était à la recherche d’un grand terroir dans son département de cœur, l’Hérault ; il est tombé très vite amoureux des paysages du Piémont des Cévennes, à Faugères. Un terroir à prédominance de schiste Situé au cœur du village médiéval de Cabrerolles, dans le Parc naturel du Haut-Languedoc, perché à 300 mètres d’altitude, le domaine de Monthélys s’étend sur cinq hectares. Sur ce terroir spécifique, au croisement de la nature et de la montagne, le domaine bénéficie de tous les bienfaits du climat méditerranéen et de l’éclat du schiste présent dans le sol qui apporte son caractère et sa note de fraicheur aux vignes. C’est d’ailleurs cette typicité géologique singulière du schiste, signature du terroir de l’Appellation d’Origine Protégée Faugères, qui fait l’authenticité des crus du domaine de Monthélys…. une singularité des nuances de schiste, reflétée sur les étiquettes de ses crus, promettant déjà une dégustation ensoleillée, fruitée et empreinte d’émotions, pour accompagner les plats à une tablée ou tout simplement autour d’un apéritif. Des cuvées d’inspiration Les vins phares du domaine de Monthélys reflètent l’esprit du domaine et l’identité de ce terroir empreint d’histoire. Pour les Rouges, les cépages sont le grenache, la syrah, le mourvèdre, et le carignan. Les vins y sont solaires, gourmands et croquants comme la cuvée « Gris de schiste », couleur rubis, à dominante de grenache. Les crus arborent également des notes d’élégance comme « Bleus de schiste « (syrah récoltée en pleine maturité, mourvèdre et grenache) ou encore « Ors de schiste « puissant et complexe. Le Blanc est un assemblage de grenache blanc et de marsanne, aux arômes floraux, de poire, de pêche. Une certaine rondeur s’exprime en bouche, s’épanouissant par une belle persistance. Le Rosé, aux jolies notes d’agrumes et de groseille vient compléter la gamme. Une conversion en bio Engagé, prônant l’esprit de l’authenticité, respectueux du terroir et de l’environnement, le fondateur du domaine de Monthélys n’utilise ni herbicides, ni pesticides sur ses terres. Les vendanges se font à la main à juste maturité dans des cagettes traditionnelles. Il préfère d’ailleurs des élevages plus discrets en cuve que ceux en barriques. Dans cet esprit de conservation et de préservation de l’environnement, le domaine en est à sa troisième année de conversion en agriculture bio. La vendange 2021 de son vin Faugeres sera certifiée 100% Bio. ...
Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...
Sous une valse de notes créatives et gastronomiques, le restaurant Le Lumière jouit d’un cadre romantique et hautement contemporain mettant à l’honneur le top des produits dans un décor d’une surprenante modernité. D’emblée, l’établissement accroche les regards avec sa superbe verrière ouverte sur la cour grandement ensoleillée de l’Hôtel Scribe qui, en soirée, baigne dans une belle lumière colorée. L’intérieur révèle un style inspiré des appartements haussmanniens avec de belles boiseries aux murs, des canapés de velours rouge et des images noir et blanc des premiers films des frères Lumière. Une cuisine dans l’air du temps La formule « Lumière du Jour » met en avant un menu déjeuner à 45 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, suivis d’un café. Faites vos choix entre une Terrine de canard à la chartreuse, Espuma de navet boule d’or, châtaignes grillées et compotée de figues ou une entrée du jour selon les produits du marché. Allez plus loin dans la découverte avec du Dos de cabillaud cuit sur la peau, daïkon au raifort, betterave laquée, riz d’Akita et jus de coriandre ou le plat du jour selon les produits du marché. Terminez ensuite sur la note joyeuse du dessert à la parisienne à choisir sur le chariot du Chef Pâtissier. 110 références de vins Le Lumière est également gratifié d’une carte de vins de collection comme le Coteaux du Layon du Domaine Cousin Leduc 1961. Les convives se laisseront guider par les suggestions du Chef Sébastien Crison garantissant les meilleurs accords. Parmi les évènements récurrents du restaurant, on pourra noter les Sofitel Wine Days, qui ont lieu de fin septembre à fin octobre, et qui célèbrent le vin et l’art de vivre à la française… Des occasions de découvertes et d’échanges enrichissants autour des vins de nos régions. ...
Exquise marque de fabrique, la cuisine bistronomique d’exception de ce restaurant est inspirée de l’empreinte créative et passionnée du couple Mengus. La qualité et le goût du vrai, valeurs phares de la maison, sont révélés au fil des plats concoctés par une équipe qualifiée et talentueuse conduite par un chef qui excelle dans son art. Le détour gourmand fleurant bon les traditions revêt alors la forme d’une expérience gustative unique. La vraie cuisine du terroir Cette table proposant « une cuisine créative et gourmande », selon Laure Mengus, se veut être l’ambassadrice des délices alsaciens. Les plats traditionnels simples, mais sublimés par la générosité de Fabien Mengus, sont la signature du terroir. Dans l’élaboration de chaque recette, Laure s’assure que « la saisonnalité des ingrédients est respectée et les produits locaux privilégiés ». Ce vibrant hommage à la richesse de leurs terres se ressent dans chaque bouchée des plats proposés dans des menus révélateurs, à l’instar du menu « Délice du terroir ». L’extase gustative dans un cadre élégant À l’occasion d’une escapade gourmande, les Mengus accueillent leurs hôtes dans « un décor aux couleurs sobres et élégantes à l’ambiance chic et feutrée », selon les propos de Laure. La carte changeante au gré des saisons promet un voyage au cœur de l’art gastronomique savamment raffiné d’une note artisanale. La maison, au travers de cette carte intense, promet des entrées dignes des plus grandes tables étoilées à l’image du foie gras d’oie traditionnel, un délice intemporel. Un plat de filet de sandre croûté au raifort suivi d’une glace rhum raisin et accompagné d’un vin alsacien sera « un clin d’œil au terroir », continue Laure. ...
La Maison du Douanier a été entièrement rénovée en 2015 et abrite actuellement un restaurant bistronomique et des chambres luxueuses et modernes, dont « Margaux », « Estephe » et « Julien ». Une suite parentale composée de deux chambres dotées chacune d’un lit double bien douillet vient compléter cette offre. Après les promenades et les visites, « les hôtes pourront se détendre tranquillement sur la nouvelle terrasse de la maison qui donne une vue imprenable sur l’estuaire de la Gironde », indique Vincent Moreau. Et de préciser aussi qu’« un grand parc avec des salons aménagés est également mis à disposition des clients pour se reposer, bouquiner, ou tout simplement se délecter d’un vin issu du terroir girondin ». Un voyage enrichissant au cœur de la Gironde Avec ses rives, la Gironde conserve un patrimoine historique et culturel essentiel. Les paysages sont éclectiques et les traditions girondines sont encore très présentes grâce aux différentes activités locales, notamment la pêche. Pour accéder à la Maison du Douanier, les visiteurs peuvent emprunter deux routes : « soit celle des petits ports de la Gironde (anciens ports de pêche et ports ostréicoles), soit celle des grands vins de Bordeaux », communique notre interlocuteur. Outre la visite des vignobles bordelais, la Gironde est « un attrait touristique énorme » proposant une multitude d’activités comme la découverte de l’église Saint-Christoly-Médoc – un édifice de style roman datant du XIIe siècle et qui est classé monument historique depuis 1925 – ou encore le Verrou de l’estuaire du célèbre architecte militaire Vauban, qui est constitué de la citadelle de Blaye, des forts Médoc et Paté. Au menu : une cuisine bistronomique et végétarienne Outre les loisirs culturels et ludiques, les vacances invitent aussi au plaisir culinaire. Dans le restaurant de la Maison du Douanier, Jean-Luc Beaufils, le chef, se concentre sur la cuisine bistronomique qu’il définit comme « la revisite des plats classiques ». De style moderne et raffiné où le bois et les parquets sont mis en avant, la salle peut accueillir jusqu’à 57 couverts, contre 62 à l’extérieur. Le chef propose quatre types de menus, dont le Menu du Douanier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert), le Menu du Contrebandier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert) élaboré avec des produits plus nobles encore, le Menu du Chef (amuse-bouche/entrée/poisson/viande/pré-dessert/dessert) et le Menu végétarien. Pour le plaisir des fins gourmets, « nous travaillons uniquement avec des produits du terroir issus de l’agriculture biologique », souligne le responsable des lieux. En mai par exemple, le restaurant propose sa spécialité qui est composée de terrine de saison, chutney d'oignons et cerises griottes en entrée, joue de boeuf confite au thym citron, légumes printaniers acidulés, accompagnée de légumes printaniers acidulés comme plat de résistance ainsi qu’une alliance chocolat et du pralin de biscuit cacao au dessert. Quant au vin, la maison suggère la « Révélation de Castillon 2010 ». Petit scoop : « cette année, nous ouvrirons à proximité un second restaurant le 15 juin, qui s’appellera La Cabane du Douanier », nous souffle-t-on. ...
L’Espagne détient le titre de troisième producteur de vins au monde, juste après l’Italie et la France. Soleil Rouge, à l’aube de ses vingt ans d’existence, continue de représenter fièrement la richesse viticole de ce pays, auprès des œnophiles et autres amateurs de vins. Comme un air d’Espagne À la manière d’une bodega, ce bar à vin, situé sur le boulevard Helvetique 32, propose un large choix éclectique de vins d’Espagne à déguster sur place ou à emporter. « L’idée est que les gens puissent venir boire un verre, découvrir les vins et éventuellement repartir avec une bouteille », explique Christian Gillieron, l’associé-gérant de l’établissement. Le répertoire compte environ 400 vins différents, dont du rouge, du blanc, du rosé, du mousseux, du cava, joliment rangés dans des caves. Allant des vins à partager autour d’un dîner aux cuvées haut de gamme pour des occasions exceptionnelles, la maison peut satisfaire toute demande, et ce, à un prix qui reste raisonnable. Mais les clients viennent aussi pour passer un afterwork ou une soirée entre amis autour des traditionnelles tapas maison que l’établissement propose comme accompagnement à la dégustation des vins. Ajouté à tout ceci la bonne vibration des musiques espagnoles lors d’un flamenco live ou des soirées DJ Tapas &Dance, chaque rendez-vous devient une fiesta au Soleil Rouge. Des cuvées pour tous les goûts Pour Christian Gillieron, le choix de célébrer la diversité des vins espagnols est venu tout naturellement. « J’ai passé toute mon enfance en vacances en Espagne, c’est un pays que j’affectionne particulièrement : la langue, le peuple, et surtout les vins », renchérit-il. Bercés sous un climat méditerranéen avec une influence océanique, les terroirs espagnols présentent des caractéristiques propres au pays, tout comme les vins qui expriment plus de concentration, de la finesse, et un arôme agréablement fruité. Quant à la sélection des vins, « le point de repère numéro un est la qualité, on veut avoir des vins qui ont du caractère, qui procurent de l’émotion », souligne notre interlocuteur. Ainsi, Soleil Rouge ne travaille pas forcément avec de grands exploitants, mais surtout avec des artisans viticulteurs qui s’engagent dans une démarche naturelle et biodynamique. Afin de promouvoir ces petits producteurs, l’établissement organise chaque mois une soirée dégustation, en offrant un prix préférentiel aux clients qui sont venus. En outre, il est aussi possible de commander tous les produits via le magasin de vente en ligne, et de se faire livrer à domicile. ...
Riches et complexes, les vins du Château Clarettes portent de nombreux atouts grâce aux nombreuses variétés dites nobles de cépages se développant sur le domaine, à savoir pour les vins AOP Mourvèdre, Cinsault, Syrah et Rolle – Chardonnay, Merlot et Sauvignon Blanc pour les vins de Cépage. Un assemblage spécifique de ces derniers contribue à la qualité des produits du domaine. Le respect du terroir, gage de l’authenticité des produits Etalées sur quelques treize hectares à l’entrée du village des Arcs-sur-Argens, les parcelles de vignes du Château Clarettes bénéficient d’une exposition bien particulière. Elles sont situées en plateaux, coteaux et plaines réunies en un seul domaine. Alliée au sol argilo-calcaire très caillouteux, cette singularité confère aux vins du domaine une richesse aromatique hors du commun. Pour le Château Clarettes, préserver l’authenticité de ses vins est un enjeu fondamental. Dans les faits, cela passe par le respect total du terroir et de l’environnement, qui ne peut s’obtenir que grâce à une méthode de culture ultra-raisonnée. Ainsi, le domaine travaille son sol uniquement de manière mécanique, par l’usage de griffes et d’interceps. De plus, les traitements ne sont appliqués que si et seulement si cela s’avère nécessaire. Des moutons passent en sortie d’hiver pour nettoyer les parcelles et apporter un amendement organique naturel. Finalement, les vendanges se font toujours entre 4 et 8 heures du matin, afin de préserver les mouts de l’oxydation et de conserver le potentiel aromatique de la récolte. Nouveau bâtiment, nouveaux défis En 2016, le Château Clarettes s’est installé dans un bâtiment, dont les travaux ont été menés par le cabinet F&V Architectes, cette construction allie esthétique, technicité et praticité, il rassemble en un seul lieu, le chai, la cave, le caveau de vente, les bureaux. Non moins esthétique par ses façades en bois et pierre, cette nouvelle construction a été conçue dans la but de rationaliser la consommation d’énergie. Une belle découverte : le magasin offre une vue imprenable sur l’ensemble du vignoble. Des vins très aromatiques Toujours authentiques, les soixante-mille cols produits annuellement par le château se démarquent de l’AOP Côtes de Provence par leur puissance aromatique. Et plus particulièrement la Grande Cuvée Rosée avec ses arômes de fraises et fraises des bois très prononcées conférés par le Mourvèdre dont elle est majoritairement composée. Ce vin à la robe rose pâle propose une finale très longue en bouche. Le Château Clarettes Grande Cuvée Rouge offre, quant à lui, une grande complexité aromatique donnant sur des notes de réglisse, café torréfié suivies de fruits rouges (cassis et mûres) au nez. En bouche, son attaque fine et épicée offre des arômes de chocolat et de pain grillé. Le millésime 2013 de cette belle cuvée a été primé d’une médaille d’Or au Concours Général Agricole de Paris 2015. ...
Située sur l’avenue Carnot, L’empreinte By Yannick Lecoq se veut simple mais raffiné. Le restaurant propose trois espaces aussi attirants et surprenants les uns des autres. Le premier propose un cadre contemporain avec une cuisine ouverte qui offre un spectacle inédit d’où il est possible d’observer le chef et son équipe. Ici, le partage et la convivialité sont les maitres mots. Dans le deuxième espace, l’ambiance est beaucoup plus intimiste. L’alliance du beige et du noir reflète le côté sobre et élégant du lieu tandis que la baie vitrée illuminant la salle procure une touche de douceur à l’ensemble. Et, durant les beaux jours, la grande terrasse permet de savourer à l’ombre du figuier, les délicieuses créations culinaires du chef. « Empreinte culinaire » Doté de vingt ans d’expérience, le chef Yannick Lecoq a réussi à affiner son « Empreinte culinaire ». Aujourd’hui, c’est au sein de son propre restaurant L’empreinte by Yannick Lecoq qu’il exprime et partage son talent. Fidèle aux valeurs de l’établissement, Yannick propose une cuisine raffinée à base de produits frais et de saison. Inspirés de ses voyages et de ses envies, ses plats sont aussi savoureux que créatifs. Chaque bouchée promet un voyage culinaire transcendant. Le souci du détail est mis en avant : un parfait équilibre au niveau des assaisonnements, un respect au millimètre près de la cuisson et un accord subtil des saveurs. Par ailleurs, le chef apporte une attention particulière aux produits. Dès leur sélection, il se montre extrêmement exigeant pour assurer la qualité et la fraicheur de ses plats et s’approvisionne autant que possible sur le marché local. Lors de la préparation, il veille à ce que les produits ne soient pas dénaturalisés. En outre, le chef apporte aussi un intérêt particulier aux vins. Etant un grand passionné, il veille à assurer les meilleurs accords. L’occasion pour les convives de découvrir la collection du restaurant comprenant 150 références environ. « Une cuisine qui s’adapte » Au menu, quatre formules différentes allant de 17 à 52 euros sont présentées. Pour chacune d’entre elles, les convives ont droit à une entrée, un plat et un dessert. A partir de 40 euros, un plateau de fromages de la Maison Mons vient s’ajouter à la liste. Pour les gourmands aventuriers, la formule à 52 euros leur est spécialement dédiée. Celle-ci est constituée de plats surprenants et authentiques comme le fameux Opéra de foie gras « pomme, pain d’épices et fruits de la passion », l’un des plats signatures du chef. A la carte, les convives choisissent entre : trois entrées, trois plats et trois desserts. C’est l’occasion idéale de déguster la fraicheur des entrées comme le tartare de saumon au citron et à la ciboulette ou encore les asperges blanches de Provence à la vinaigrette et au fruit de la passion, accompagnées d’un œuf poché. Le mélodieux repas s’enchaînerait ensuite sur un magret de canard au vinaigre balsamique ou une délicieuse souris d’agneau braisée au jus de cuisson à la tomate. Et pour finir, une note de douceur avec la salade d’orange à la vanille de Tahiti ou la crème marquise au chocolat et framboise. ...
Gourmands et gourmets se plairont à côtoyer la table d’Abdel Barakat, chef en cuisine au sein du Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné. Ce locavore aime concocter des plats simples et savoureux qui transportent les convives dans un univers où se mêlent saveurs traditionnelles et exotiques. Les ravioles : un plat emblématique Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, un nom qui n’a pas été choisi au hasard. Bien au contraire, il a été mûrement réfléchi pour correspondre parfaitement à l’esprit de la maison.Celle-ci se veut aujourd’hui être l’une des ambassadrices des ravioles artisanales, une spécialité romanaise et qui sont directement commandées auprès de Chez Hostache, à Montlaur-en-Diois ou bien au Grand Goulet, à La Chapelle-en-Vercors. Le chef Abdel Barakat aime travailler de mille et une façons ce produit romanais. Il est intéressant de savoir qu’à la base, celui-ci est constitué d’une pâte de farine de blé tendre, d’œuf et d’eau qui est garnie d’emmental ou de comté, de persil sauté au beurre. Mais au Bistroquet de l'hôtel du Dauphiné, vous ne le trouverez jamais préparé de la même manière. Laissez-vous séduire par les saveurs originales des ravioles à la crème de citron et ciboulette, des ravioles aux morilles, des ravioles au gingembre ou encore des ravioles en crumble de noix qui sont de nouvelles recettes développées par le chef. Un amour fort pour le terroir Bien entendu, la carte du restaurant ne se contente pas de proposer cet unique plat. Vos papilles seront forcément comblées par les nombreuses suggestions gourmandes élaborées avec passion et créativité par Abdel. Pour finir, place à des desserts plus classiques fait maison comme la tarte aux noix et caramel ou le vacherin. Vous l’aurez compris. Au Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, la cuisine du terroir est à l’honneur. « J'essaie de mélanger un petit peu ma passion avec la cuisine méditerranéenne et traditionnelle » raconte le chef Barakat. Toujours dans le respect du produit, ses propositions culinaires mettent en avant sa créativité. Pour travailler, il puise dans la richesse du terroir et aime tout ce qui est « bio ». Véritable adepte du circuit court, il a tissé des relations privilégiées avec plusieurs producteurs locaux œuvrant aux alentours. Un restaurant chaleureux Le Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné est installé dans une bâtisse datant du XVIIIe siècle située en bord de route,dans le centre du village, à l’angle de la rue principale de Chatillon-en-Diois. Le propriétaire décide d’apporter un peu de fraîcheur et d’innovation dans l’établissement le transformant ainsi en un lieu cosy et chaleureux. Vous pouvez vous installer à l’intérieur pour profiter de plus d’intimité ou investir les deux terrasses lorsque le temps le permet avec en toile de fond, la superbe falaise du Vercors. Tout est fait pour que vous vous sentiez à l’aise. A l’accueil et au service, une équipe avenante et chaleureuse est à votre entière disposition et fait de votre passage un pur moment de plaisir. ...
Cet établissement du centre parisien accueille les noctambules du mercredi au samedi avec une programmation atypique du mercredi au jeudi, le juste milieu entre éclectique et décalée, et une programmation Aux platines, des DJ branchés électro-pop, deep house, et année 80. La passion du métier Notre chef cuisinier a passé quelques années dans les cuisines de la 5ème avenue et du Mini Palais. A tout juste trente ans, notre chef cuisinier est déjà considéré comme un des chefs les plus talentueux de sa génération. Cette reconnaissance trouve sa source dans un parcours alliant une parfaite maîtrise des techniques culinaires les plus pointues et une véritable passion. Exigeant sur le produit, minutieux sur les cuissons, il défend la saveur authentique avant tout. Carte sophistiquée dans un décor très particulier Le restaurant du Chacha mise sur une décoration atypique très favorable à l’appétit et au plaisir de la table. Miroirs dorés et lumières tamisées sont autant d'éléments qui plongent les fins gourmets au beau milieu des années 30, sans oublier le magnifique piano à queue, où pianistes et chanteuses soul/jazz vous accompagneront lors de vos dîners. A la fois sophistiquée et gastronomique, la carte met en avant la cuisine française contemporaine. Durant les beaux jours, le restaurant propose aussi sa terrasse extérieure donnant sur la chambre du commerce et ses jardins. Un lieu de spectacle par excellence Son côté intimiste forme le principal atout du Chacha. Pas d’open space spectaculaire mais plutôt un bel espace avec plein de petits coins et recoins, un critère favorable à de petites envies d’évasion le temps d’une soirée ou toute la nuit. Une décoration au style rétro, de belles pièces chinées aux quatre coins de la France, des oeuvres d’artistes contemporains, des curiosités des salons et des alcôves… les ingrédients sont réunis pour faire perdurer la magie. Notre barman Rigueur, créativité sans limite et gestuelle maîtrisée au millimètre sont sa marque de fabrique. Il y ajoute un don certain pour les belles histoires... C'est un érudit des cocktails qui sait les raconter avec humour et brio. Il connait tout aussi bien l'art de l'écoute... Dites-lui simplement ce que vous aimez... et dégustez ! Avec ou sans alcool, moment très fort garanti....
La Coutellerie Artisanale Les Frères Teymen est située en plein cœur du bassin thiernois, à la Monnerie-Le Montel dans le département Puy de Dôme. Depuis 1982, 3 maitres couteliers, s’inscrivent dans la lignée des forgerons d’antan avec une volonté de perpétuer la tradition de 6 siècles de Coutellerie dont Thiers est la capitale, un secret de fabrication originaire d’Orient. Les Frères Teymen ont forgé un savoir-faire et une créativité uniques le long de la rivière de la Durolle en confectionnant les couteaux tels que le Laguiole, le Thiers et d’autres prototypes… Et aiguisé leurs compétences à l’instar de Navarro grand maître coutelier, référence et reconnu meilleur ouvrier de France. Les frères Teymen font preuve d’innovation en modernisant les formes et design de leurs couteaux. Fidèles à leurs origines En 1996, a lieu la naissance de la Coutellerie artisanale des Frères Teymen, fortement attachés aux lieux où les âmes des grands couteliers règnent depuis le Moyen âge. Les Frères Teymen créent leur propre atelier de fabrication au coeur d’un patrimoine culturel et d’une tradition ancestrale reconnus à travers le monde dont Thiers est la capitale. Bénéficiant d’un savoir-faire de 40 ans, l’atelier conçoit tous ses couteaux de manière artisanale. En véritables passionnés, les frères Teymen façonnent la matière selon leur imagination débordante. La collection Teymen En 2009, est lancé le Monnerie, un couteau avec design unique et moderne. Présenté à Coutellia, ce premier modèle connait un franc succès. En 2011, les frères Teymen intègrent la Confrérie leur permettant de produire le Thiers représentatif de la Capitale et de décliner différents modèles basés sur ce dernier: Le Thiers Cadran et Le Thiers par Teymen. En 2015, le Fuji est conçu et fabriqué, la toute dernière création inspirée d’une identité japonaise, le nom de ce couteau fait référence au volcan japonais qui est jumelé avec le volcan Puy de Dôme. Prochainement… Au printemps, la boutique en ligne sera revisitée et réinvestie présentant une meilleure configuration et accessibilité pour les passionnés. Cet été, les visiteurs pourront se plonger dans l’univers artisanal des 3 maîtres couteliers dans un nouvel atelier de 400 m². Cet espace accueillera une nouvelle boutique, des visites organisées d’ateliers, un espace ludique où le client pourra assembler les couteaux de la collection Teymen. Dans les 2 prochaines années, l’ouverture de boutiques Teymen est prévue sur le territoire français pour une meilleure proximité avec les collectionneurs. Oser créer, façonner, redonner vie à la coutellerie rustique. Les Teymen travaillent depuis 3 ans sur un couteau innovant qui sortira courant 2018... ...
Si la maison est tendrement blottie dans ce beau paysage enchanteur, ses 8 ha de vignes, eux, sont réparties sur 3 zones différentes de l’AOC Champagne dans la Marne : le massif de Saint Thierry, la vallée de la Marne et la montagne de Reims. Des champagnes au goût unique et complexe « On essaie de faire des choses à part, des champagnes à notre image avec une certaine touche d’originalité » affirme Christiane Boulard. Environ 70 000 bouteilles sont produites annuellement par la maison et sont classées en 6 cuvées : la Tradition, la Carte Noire, la cuvée Vieilles Vignes, la Grande Réserve, le Brut Rosé et la cuvée Mélanie. Chacun de ces bijoux est destiné à satisfaire les envies de ceux en quête d’authenticité et saura imprégner à votre évènement ces mille et une émotions dont seul un élégant champagne détient le secret. C’est la cuvée Mélanie, un hommage à l’arrière grand-mère du propriétaire, qui exprime pleinement le style de la maison : élégance, authenticité et complexité aromatique. Elle contient 100% de chardonnay issu des vieilles vignes de Cormicy. Bénéficiant d’une vinification en tonneau et de 5 longues années de vieillissement en cave, elle s’épanouit dans sa maturité et dévoile un arôme miellé, confit et exotique. Découvrir le domaine dans la convivialité Les portes du domaine Boulard Bauquaire sont ouvertes toute l’année aux clients et touristes. Les propriétaires de cet écrin mettent un point d’honneur à expliquer eux-mêmes les processus de l’élaboration des champagnes, à présenter le système de pressurage à l’ancienne dont ils font encore usage, à accompagner les invités durant les visites des caves. Et cerise sur le gâteau, vous aurez le temps de poser vos questions ! ...
Le restaurant Victor Hugo propose quotidiennement à sa clientèle des plats nobles et généreux qui honorent la cuisine française traditionnelle. Concoctés par le talentueux chef Damien Delgado à partir de produits frais de saison, présentés ensuite avec une touche contemporaine, ces plats ont fait de la maison un authentique écrin de la gastronomie française. Une cuisine savoureuse à l’honneur En entrée, la variation autour du thon fait la singularité du restaurant. « Il s’agit de travailler le thon de trois manières différentes », décrit Damien Delgado. En mi-cuit avec une vinaigrette de mangue épicée, en nem ou bien mariné dans le miel et la sauce soja, le thon sera dans tous les cas un vrai délice. En guise de plat de résistance, rien de tel que la noix de Saint-Jacques accompagnée d’une purée de panais et de salsifis avec une noisette poivre et sel. En dessert, l’habituel citron déstructuré prend, dans ce lieu d’exception, une toute autre saveur. La base de la pâte est broyée puis présentée dans le fond d’une verrine. Une crème au citron traditionnelle l’accompagne et est enrichie d’une meringue suisse, « petit clin d’œil à la marque Mövenpick », spécifie le chef. Le dynamisme d’une table gourmande La carte est, quant à elle, très évolutive. Elle est renouvelée deux fois dans l’année afin de saluer la saisonnalité des produits. Et toujours dans cette volonté de satisfaire la clientèle, des plats allégés sont proposés toute l’année sur un menu « Go Healthy ». Celui-ci est « une initiative du siège Mövenpick et tourne autour de la diététique et de la santé », explique Damien Delgado. La cave à vins de la maison est pareillement des plus éclectiques, comprenant une large palette de vins du monde et des vins français. Le Mâcon Blanc en est exemplairement l’un des plus appréciés par les convives. Pour couronner le tout, le 58 Bar & Lounge a coutume d’organiser une multitude d’autres activités, telles « Le rendez-vous du mercredi », les soirées afterwork tous les soirs de la semaine, les happy hours et l’animation live music un mercredi sur deux, où l’ambiance et les racines latines du chef sont mises à l’honneur (Bossa nova, tango Argentin, musique Cubaine et Flamenco). ...