Bienvenue dans un univers magique ! Un majestueux palais fleurant bon la cuisine d’exception. Là où l’art, dans toute sa splendeur, règne en maître, les chefs-d’œuvre architecturaux contrastant élégamment avec une décoration contemporaine aiguisent l’appétit des hôtes friands de délices. Exaltation des sens et succulences raffinées viennent embellir ce lieu dédié à la perfection. Une cuisine expressive et prestigieuse Un déjeuner ou un plat à la carte, la cuisine délectable du Pré Catelan Lenôtre s’apprécie sans modération. Ici, la haute gastronomie se conjugue avec des produits maniés avec délicatesse et savamment révélés par une équipe passionnée et maîtrisant l’art de l’effluve culinaire. Allant du ris de veau, au goût flatteur, à la langoustine, audacieuse et succulente, chaque plat est une invitation à l’extase gustative. L’essence des assiettes revêt la forme d’une mosaïque de saveurs excitant les papilles. Idéalement accompagné d’un spiritueux d’une prestigieuse cave à vins et à champagnes aux mille références, chaque menu s’en trouve sublimé. Christelle Brua, pâtissière de renom et ambassadrice de l’excellence gastronomique au féminin, vient magnifier les assiettes de délices sucrés élaborés avec créativité et raffinement, à l’image d’un paris-brest onctueusement préparé pour illustrer l’élégance. Cette table prestigieuse, fière de sa réputation forgée sur plus d’un siècle au service de l’excellence, est l’expression même de la quintessence gastronomique. ...
Les Saveurs de l’Orient excellent dans l’art de vous transporter à l’autre bout du monde, où vos papilles savoureront des plats authentiques et résolument orientaux. L’art de dépayser les convives Les Saveurs de l’Orient vous accueillent dans un décor typiquement oriental, une véritable invitation à voyager au pays des Mille et Une Nuits, le temps d’un repas. Lumière tamisée, mobilier typique et précieux, photos de danseuses orientales… Autant d’éléments qui viennent agrémenter votre voyage, mais aussi pour vous procurer cette sensation de bien-être très propice à l’appétit. Cuisine maison, une véritable touche d’authenticité Aux Saveurs de l’Orient, les spécialités marocaines et libanaises sont concoctées dans l’esprit « cuisine maison ». Couscous, houmous, mezzé, tagine… Choisir entre les plats proposés est de nature à vous confronter à un dilemme permanent. L’assortiment d’entrées chaudes et d’entrées froides sera surtout à même d’éveiller davantage vos papilles, afin de vous permettre de mieux savourer les plats qui accompagnent chaque formule. Parmi celle qu’il ne faut pas rater figure la formule Pyramide, assortie d’un plat composé notamment de kefta riz salade, le garant d’un instant de pur bonheur. Combinant soupe harira, salade composée ou encore des assortiments de bricks, la formule Marrakech s’adresse, quant à elle, aux férus de plats légers plutôt revigorants. Les vins pour mieux savourer vos plats Les Saveurs de l’Orient proposent un large choix de vins en fonction des plats que vous aurez choisis. Vous avez jeté votre dévolu sur le mezzé rania ou le mezzé royal ? Le Kefraya ou le Ksara, deux références libanaises au gout fruité, attiseront votre appétit. Le fameux vin de Bordeaux est aussi au rendez-vous, comme pour vous aider à expérimenter un mix de culture, le temps de ce voyage culinaire. ...
C’est en 1977 que l’aventure viticole de la famille Fayard commence par l’acquisition du domaine par Jean Pierre et Brigitte. La reconnaissance dans le monde du vin arrive dès le début des années 80. Le domaine commence sa conversion au bio en 2003 et obtient la certification « écocert » pour la totalité de ses vins en 2009. Depuis le millésime 2015, l’ensemble de notre production est inscrite à la Vegan society, car l’absence d’intrants d’origine animale convient à la communauté végétalienne et végétarienne. Le vignoble Situé sur le littoral Varois, le domaine du Château Sainte-Marguerite jouit d’un terroir typique de l’appellation Côtes-de-Provence avec un sol argilo-schisteux qui s’étend à l’île de Porquerolles, la ville de La Crau, la ville de Bormes-les-Mimosas et La Londe Les Maures. Les cépages utilisés sur les parcelles sont le Cinsault, la Grenache et la Syrah pour le Rosé. Les deux derniers cépages sont également utilisés pour le Rouge avec le Cabernet-Sauvignon et le Mourvèdre. Pour le blanc, le principal cépage st le rolle. Près de 550 000 flacons sont en moyenne issus de ces vignes dont 65% de Rosé, 20% de Rouge et 15% de Blanc. La désignation géographique complémentaire « Côtes-de-Provence La Londe » a été reconnue depuis 2008. La cave Grâce à la transmission de la passion et des secrets familiaux depuis des générations, la famille Fayard combine connaissance des traditions et techniques modernes. L’attention portée au terroir et à la vigne reste importante toute l’année avec un travail régulier du sol et une adaptation aux facteurs naturels. Le domaine investit donc dans les moyens techniques tels que les machines à vendanger avec tri embarqué et se dote d’une équipe de 40 vendangeurs. Ce sont les garanties d’une vendange à « top maturité ». Le pressurage direct avec le pressoir pneumatique permet d’éviter le déchirement de la peau ou « rebèche ». Les tiges qui tiennent les grappes sont retirées pour ne pas donner un côté herbacé au jus. Le vin rouge et blanc sont élevés en fut entre 12 et 24 mois suivant les besoins. Le Château Sainte-Marguerite est reconnu Cru Classé Côte-de-Provence depuis 1955. La cuvée Symphonie en est le navire amiral. Une symphonie de saveurs qui, en Blanc, s’habille d’une robe limpide et brillante à reflets or. Ce vin possède un nez fin et complexe, des senteurs d’agrumes, vanille et miel avec des notes grillées. Enfin, une bouche aromatique, riche et persistante glisse vers une finale délicatement miellée. Le palmarès Les deux Châteaux de la famille Fayard, Sainte-Marguerite et Saint-Martin, produit des cuvées de qualité. La Symphonie Rouge du Château Sainte-Marguerite a été médaillée d’argent au Concours Général Agricole de Paris. Pour l’Hermitage Saint-Martin, la cuvée Ikon a été récompensée par le Wine enthusiast avec une note de 93/100 pour le Rouge et 90 pour le Blanc et le Rosé. La Grande Cuvée Enzo en Rosé a aussi brillé lors de la foire de Brignoles. Le grand prix d’ensemble nous a aussi été décerné pour avoir été primé sur 5 vins dans les 3 couleurs au Concours des vins de la Méditerranée. Accessibilité La famille Fayard participe fréquemment à différents salons régionaux, nationaux et internationaux tels que la présentation des millésimes des Côtes-de-Provence à Mandelieu, le salon des clubs des professionnels du vin à l’hôtel Negresco de Nice ou encore Vinisud et Vinexpo. Par ailleurs, elle reçoit quotidiennement au domaine pour une dégustation des vins. Vous pourrez également retrouver ses vins chez de nombreux restaurateurs ainsi qu’un réseau de cavistes répartis sur toute la France. A l'international, la marque est présente dans une trentaine de pays dans le monde. ...
L’interconnexion entre tous les éléments. Voilà ce que Éric Jullion, ce poète passionné de vin et de vie, veut apporter dans nos verres. Une conversion en bio et biodynamie est ainsi en cours pour accroître la biodiversité des sols. Une tournure très prometteuse « Je ne cherche pas vraiment à avoir un rendement. Mais je tiens à faire transparaitre un état d’esprit dans mes cuvées », fait savoir le vigneron. Les premiers vins labellisés bio seront ainsi mis en bouteille en 2021 pour être commercialisés en 2023. ...
Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement). Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...
À 30 min de Bordeaux, à Cadillac, l’hôtel-restaurant du Château de la Tour est implanté à proximité des villages médiévaux et des châteaux forts. C’est dans ce cadre historique et viticole que le chef Flavien Valère et toute son équipe invitent les amoureux de la cuisine classique française à une pause gourmande. Ils leur réservent un accueil chaleureux et s’impatientent à leur faire découvrir de nouvelles saveurs. Le parcours réussi d’un jeune chef talentueux Après un CAP et un BEP, le jeune chef Flavien Valère a décroché son bac pro cuisine en alternance en 2001. Dès lors, il a enchainé 15 ans de périple dans la cour des plus grands, avant de signer chez les frères Durand en 2012, où il travaille actuellement. Il a commencé sa carrière en 2002 dans le prestigieux hôtel-restaurant**** du Château du Grand Barrail, à Saint-Émilion, puis chez Le Bateau Ivre, à Courchevel, à l’Hostellerie de Plaisance, à Saint-Émilion, au Belvédère de Porto-Vecchio et au Bakéa de Biriatour. Il retourne finalement à Béguey, au restaurant du Château de la Tour.Artiste passionné et créatif, le chef Flavien Valère se fait surtout remarquer par sa cuisine de saison. Grâce à son talent, le restaurant a obtenu deux fourchettes Michelin en moins d’une année. Accueillant, le chef peut même recevoir dans sa cuisine : un privilège que l’équipe de l’émission télévisée « Des racines et des ailes » a immortalisé sous les caméras, lors de son passage dans la région. Le chef collabore également avec d’autres confrères à l’occasion de dîner à quatre mains. Dernièrement, il a mis en commun son savoir-faire avec celui de Vivien Durand, chef étoilé du restaurant Le Prince Noir, à Lormont, pour concrétiser un repas de haute voltige. Une Assiette Michelin aux tarifs modérés Au restaurant du Château de la Tour, les recettes traditionnelles sont sans cesse renouvelées et réinventées. Elles gardent, néanmoins, la saveur authentique d’une cuisine classique et « fait maison ». Le chef sait comment impressionner les palais avec de nouvelles associations de produits, fraichement issus des champs ou des fermes avoisinants. Ses recettes suivent l’air du temps et sont riches en gout, un savoir-faire qui a récemment valu une Assiette Michelin au restaurant.Il est possible de commander à la carte ou d’opter pour un menu. Les épicuriens se feront une joie de déguster le menu Plaisir à 31 €, qui propose en entrée un saumon gravlax, suivi d’un plat de porc en croute de sésame et se termine en beauté par un macaron aux fruits rouges.À 41 €, le menu Tentation commence par un esturgeon fumé, blinis et crème aigrelette suivi d’un filet de bar aux algues wakamé, moules et coques en marinière et qui s’achève avec un succulent vacherin glacé ananas-noix de coco-rhum.Le menu Découverte, quant à lui, invite à une aventure culinaire. Le chef réserve des plats imaginés selon son humeur, toujours dans le cadre du classique. Ici, rien n’est énoncé. Les convives se laisseront surprendre par l’imagination du maestro en cuisine. Un endroit unique et mémorable Le restaurant du Château de la Tour se distingue par ses larges baies vitrées offrant une belle vue sur le Château des Ducs d'Epernon ( monument historique du XVIIème siècle). La pièce, plutôt spacieuse, est dotée d’un charme particulier. L’espace entre le plafond et le sol affiche une belle élégance, digne d’un véritable château. Tout y est royal : l’endroit, la saveur des plats et l’ambiance sympathique encouragent l’appétit. La terrasse, un autre espace supplémentaire où il fait bon manger, offre une vue sur le parc arboré. Dans ce décor bucolique, la beauté des cèdres tricentenaires qui surplombent les jardins est un plaisir pour les yeux. À l’horizon, le charme médiéval des vieux villages et des châteaux forts ouvre sur un autre temps. ...
La volonté d’honorer une cuisine solennelle et raffinée est au cœur de toutes les prestations de ce traiteur parisien. Livraison des plateaux-repas dignes des plus grands restaurants étoilés ou organisation d’un buffet, cocktail, petit déjeuner ou brunch forment les principales offres destinées aux entreprises et aux particuliers, avides de découvrir les subtilités de la cuisine Grand Siècle. Honneur au Potager du Roi Cuillère d'Argent ne cesse d’innover pour répondre aux exigences de ses clients friands de produits frais, locaux et, surtout, authentiques. Ainsi, dans une volonté de s’inscrire dans une démarche éthique et écoresponsable, l’artisan créateur gastronomique a signé un partenariat avec l'ENSP Potager du Roi. Construit entre 1678 et 1683 par Jean-Baptiste La Quintinie pour le compte de Louis XIV, ce site classé jardin remarquable et monument historique est enrichi d’une grande diversité de fruits et légumes qui subliment les repas concoctés par Cuillère d'Argent. Le service traiteur et le Potager du Roi s’engagent dans une collaboration qui s’efforce à conserver ce site de culture historique. « La Maison mécène le Potager du Roi, accompagne les jardiniers dans l’amélioration du site de culture », explique Gaëlle POGGIALE, présidente de la société. « Deux fois par an, je travaille avec mes chefs artisans et les jardiniers du Potager du Roi sur de nouvelles recettes, toujours basées sur la cuisine Grand Siècle », continue-t-elle. Documentation, recherche historique, briefing sont nécessaires pour finaliser la carte des menus. Un travail de longue haleine que l’équipe réalise néanmoins avec passion. Partager l’art de vivre à la française Cuillère d'Argent a bâti sa réputation autour de ses plateaux-repas élaborés selon un savoir-faire culinaire artisanal. Très appréciés au moment des repas d’affaires, les plateaux-repas Luxe représentent le produit phare de la maison. Plusieurs choix sont proposés par le traiteur parmi lesquels figure le « Romarin du Levant ». Le festin commence par du canard du Sud-Ouest. En plat de résistance, les cuisses de véritable poulet locavore de ferme du Luteau farcies aux champignons feront le bonheur des gourmets. Et pour clôturer le tout, rien de tel qu’une tarte à la chair de poire du Roi-Soleil. Le plateau-repas « Combawa du Potager du Roi », lui, est composé de saumon écossais issu d’une aquaculture responsable, du beurre cru du fromager-crémier Beillevaire, accompagné des végétaux du Potager du Roi. « On a cette volonté de travailler avec des ingrédients vraiment de très belle qualité », explique Gaëlle POGGIALE, en présentant fièrement ses produits. Les plats sont ensuite présentés dans un joli coffret fabriqué à partir d’assiettes en bois clair naturelles et biodégradables et de carton élaboré avec du bois issu d’une démarche responsable de gestion durable de forêt. À l’intérieur, on découvre un set de couverts de style Louis XV avec un verre lustré et élégant, et de la lingette rafraîchissante à la lavande royale. "Nous défendons les valeurs de la fabrication française : le coffret est fabriqué en France, le verre vient du Nord Pas de Calais vient de Cristal d’Arc et les couverts de Normandie" reprend notre interlocutrice. À côté de la préparation et de la livraison des plateaux-repas, Cuillère d'Argent développe aussi une expertise dans l’organisation des réceptions. Des menus pétillants entre tradition et modernité et élaborés toujours selon les préceptes de la cuisine Grand Siècle sont à l’honneur. « Nous privilégions les ingrédients de saison, locaux et aussi de qualité remarquable », ajoute Gaëlle POGGIALE. Petit déjeuner, pause-café, brunch et snack-chic, cocktail déjeunatoire, buffet, repas servis à l’assiette, Cuillère d’Argent témoigne d’une grande polyvalence, au service de particuliers et d'entreprises. ...
Dans l'optique de mettre en valeur un produit en plein essor, qui est le vin conditionné en bag in box, la compétition baptisée Concours International Wine in Box a été lancée en 2015. Car aujourd’hui, les vins sous forme de BIB n’ont rien à envier à ceux en bouteille. « Nous sommes partis du constat que le marché des vins en BIB connaît une forte croissance. Des efforts considérables ont été entrepris par les producteurs de vins et les négociants pour rehausser la qualité des vins conditionnés en BIB entraînant une hausse de la demande sur le marché », nous explique Anne-Marie Estampe, directrice de la société Amelovin. Et d'expliquer que « grâce à ce concours, les consommateurs ont la possibilité de repérer les produits de qualité désormais estampillés de leurs médailles, comme les grands vins. » Un concours d’une envergure internationale En trois ans, CIWIB est devenu une référence. Le nombre d'inscrits ne cesse d’évoluer. Depuis la première édition en 2015, les vins qui sont en lice ont connu une hausse considérable. « En 2015, nous avons eu 250 bags in box avec une augmentation de 20 % en 2016 et en 2017. Cette année, on a eu l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Bulgarie, la Grèce, l’Espagne, la France, le Luxembourg, les États-Unis… C’est vraiment un concours international, donc nous avons davantage de bags in box qui arrivent du monde entier », précise Anne-Marie. En tout, 384 compétiteurs notamment des producteurs, des coopératives, des négociants ou d'autres groupements de producteurs, ont concouru pour cette 3e édition du CIWIB. En France, les produits éligibles à la compétition sont surtout les « vins tranquilles français » ainsi que ceux certifiés selon l’article R.665-24 du code rural. Quant aux crus provenant des autres pays, ils doivent être conformes au code international des pratiques œnologiques de l’Organisation internationale de la vigne et du vin. Une compétition réglementée Au cours du concours, chaque participant doit présenter en tout quatre échantillons de vins dans un contenant Bag In Box de moins de 5 litres. Pour assurer leur confidentialité, les vins sont classés selon les appellations IGP, AOC/AOP, VDL et par catégorie : millésime, cépage, couleur. Ces produits seront évalués par des professionnels du secteur lors d’une dégustation. L’équipe du jury de cinq personnes est constituée par des œnologues, des sommeliers, des cavistes, des restaurateurs... Elle est systématiquement présidée par un œnologue. La dégustation est aussi ouverte aux amateurs. « Nous avons beaucoup de clubs d’œnologie qui rassemblent des passionnés originaires de France ou d’autres pays qui sont capables de déguster un grand nombre de vins en un laps de temps court, ce qui n’est pas donné à tout le monde », fait savoir Anne-Marie Estampe. À noter que l’or représente l’unique titre octroyé lors de ce concours international. Les résultats sont publiés le lendemain de la journée du concours. Les producteurs lauréats, quant à eux, reçoivent leurs diplômes au cours d'une cérémonie officielle de remise des diplômes qui se déroule lors d'un salon viti/vinicole. En 2015, ce fut à Bordeaux lors de VINEXPO, en 2016 ce fut à Bordeaux lors de VINITECH, en 2017 ce sera à Montpellier lors du prochain SITEVI. ...
A l’occasion de la 35ème édition, qui se tiendra en décembre prochain, les organisateurs de cette foire mythique, des bénévoles uniquement, ont souhaité varier les plaisirs et les sensations en alliant détour gourmand, expérience humaine et escapade culturelle. Des animations ludiques, des découvertes inédites et des rencontres inoubliables avec plus de 150 producteurs sont au programme. Véritable ode au savoir-faire local, a Fiera di a Castagna figure fièrement parmi les ambassadeurs de l’authenticité corse, une île riche d’un patrimoine culturel et culinaire exceptionnel et digne d’intérêt. La culture corse au goût de châtaigne C’est durant le premier week-end de décembre que se tient traditionnellement cette foire emblématique, la plus ancienne de l’île, rendant hommage à la châtaigne. En farine, grillée, fraîche ou préparée autrement, la châtaigne se redécouvre à chaque bouchée, se savoure différemment et s’admire au gré de stands disposés sur une surface couverte de 3 000m². Découvrez ainsi les nombreuses particularités gourmandes de ce produit fascinant aux mille déclinaisons. Toutefois, même si l’évènement tourne principalement autour de ce délice faisant la fierté de l’île de beauté, de nombreux aspects de l’agriculture, de la culture et de l’artisanat local sont abordés tout au long des trois jours de foire. De plus, chaque année, des artisans et des producteurs agricoles, venant de différentes régions et territoires, sont invités à la foire afin de faire découvrir et partager leurs savoir-faire. "Cette année, ce sera aux piemontais de Venasca, village jumelé avec Bocognano, de venir présenter leurs produits agro-alimentaires, allant du miel à la pâtisserie, aux côtés de forgerons catalans qui effectueront une démonstration de forge durant la foire", nous explique Denis Moretti, président du Foyer rural de Bocognano "U Castagnu", association membre de la Fédération des Foires rurales, agricoles et artisanales de Corse (FFRAAC) en tant qu’organisatrice de l’évènement. Tout au long du week-end seront proposés aux visiteurs des animations musicales, des visites guidées (moulin, musée …), des dégustations de produits ainsi qu’une initiation à la cuisine corse. Un programme convivial riche en partage et en émotions… Un hommage à la production locale Cette manifestation qui accueille pas moins de 15 000 visiteurs chaque année répond à un cahier des charges très strict. En effet, toujours selon Denis Moretti, "aucun revendeur n’est admis, seuls les producteurs peuvent présenter leurs propres produits, cette foire étant une exposition du savoir-faire local tant sur le plan artisanal qu’agricole". Les bénévoles, chargés de son organisation, tiennent également à mettre les traditions culinaires corses en avant. Le brocciu, le vin et le miel, tous détenteurs d’une AOC, les fromages de chèvre et de brebis fermiers, les huitres du littoral corse et la charcuterie artisanale locale… Autant de produits, présentés par les producteurs eux-mêmes en bons ambassadeurs de la richesse de leur territoire. « Des plats typiques rappelant les saveurs traditionnelles corses seront, entre autres, préparés dans le restaurant de foire », reprend notre interlocuteur. Rendez-vous immanquable des amoureux de l’âme corse et des gourmands, la Fiera di a Castagna est un véritable gage d’authenticité. ...
Tout en restant fidèle à la tradition champenoise, la Maison a su adopter une agriculture respectant l’environnement. Dans ce sens, elle favorise une viticulture raisonnée en réduisant insecticides et herbicides. Le vignoble et le terroir La Maison Le Brun de Neuville possède aujourd’hui 150 hectares de vignes, répartis sur sept villages différents. Sur un terroir crayeux et de forte porosité, le vignoble bénéficie d’une quantité suffisante d’eau et d’énergie solaire. Au niveau des cépages, les viticulteurs utilisent du Pinot Noir, du Meunier et surtout, à 90 %, du Chardonnay. Privilégier ce cépage idéal pour le vieillissement des vins permet à la Maison d’élaborer des champagnes « blanc de blancs », connus pour leur délicatesse, leurs notes florales et d’agrume, et, parfois, minérales. Une riche sélection de cuvées La Maison met à l’honneur le Chardonnay dans sa gamme traditionnelle. Ses cuvées expriment toute la fraîcheur de ce cépage et la minéralité du terroir. La gamme Authentique propose des champagnes qui ont vieilli sous liège pendant cinq ans. Le bouchon de liège « permet une micro-oxygénation des vins et des échanges entre l’extérieur et l’intérieur de la bouteille », explique Justine Boxler. Les champagnes Lady de N. ne sont pas en reste pour ce qui est de l’élégance et de l’originalité. C’est la gamme parfaite pour les tables gastronomes. ...
Vignerons de père en fils depuis le XIXe siècle, les Moutardier ont su faire de leur passion leur métier. Le pinot meunier est le principal cépage poussant sur les 18 hectares de vignoble du domaine, avec un peu de chardonnay et de pinot noir. Porteuse d’authenticité, la maison Jean Moutardier tient à préserver les traditions et la conception artisanale du champagne. Une terre et une tradition respectées Grâce à un labourage respectueux du sol et une absence totale d'insecticides, cela afin de « rendre au sol toute sa vivacité », nous confie Elisabeth Moutardier, les cuvées de la marque révèlent toute la complexité aromatique et la richesse du terroir. Les vins sont vinifiés dans des caves adaptées, héritées des derniers exploitants Moutardier, afin que les « vins puissent évoluer naturellement pour atteindre leur maximum », continue Elisabeth. Le Meunier en guise de cépage ambassadeur Avec 80 % de meunier planté sur la totalité du vignoble, la maison Jean Moutardier est devenu l'ambassadeur de ce cépage emblématique de la région. Les cuvées de la marque ont ainsi la particularité d’être composées en grande partie de meunier. C’est notamment le cas de la cuvée Carte d’Or, un champagne frais et gourmand, à 85 % de meunier et à 15 % de chardonnay, doté d’une palette aromatique suave et idéal pour accompagner un plateau de fruits de mer. Accompagnez, entre autres, vos cocktails ou vos apéritifs du Pure Meunier, un champagne 100 % meunier fruité, riche en arômes et obtenu « sans dosage ni sucre ajouté », toujours selon Elisabeth. ...
Fondé avec le concept de réception clé en main dans les années 80, Grand Chemin monte au créneau, en 2005, en mettant en avant son expertise de traiteur. Un service irréprochable et empreint de créativité assuré par une équipe en perpétuelle recherche d’excellence constitue le cachet de l'enseigne. ADN de la marque : une créativité sans limites en un temps record Tout le monde peut être traiteur mais seul Grand Chemin Traiteur sait assaisonner son art d’autant de créativité. Le savoir-faire et l’imagination foisonnante du chef, ancien de Peninsula, imprègnent naturellement son équipe. Un pool de passionnés attachés, sans relâche, à une seule ambition : trouver des concepts de plus en plus innovants, tant dans la scénarisation que dans la combinaison des saveurs. Flower Power, vitaminée, Candy Bar, lumineuse ou écolo, toutes les thématiques qui inspirent le client sont déclinées avec brio par José Morgado et sa suite. Le tout, avec une réactivité imparable. Les demandes de devis tardives, comme à 72 heures de l’événement, peuvent être prises en charge avec, à la sortie, la même authenticité et qualité du rendu. Pour porter cette créativité qui fait la signature de la maison, celle-ci s’est carrément dotée d’un comité Création & Innovation. Une enseigne durable à vocation organique Le développement durable constitue une valeur à laquelle Grand Chemin Traiteur adhère de façon active. Cette conviction commence dans la préférence accordée aux producteurs locaux, du Vexin en l’occurrence, dans la sélection des ingrédients, tous garantis sans OGM. Pour ceux qui ne sont pas disponibles via le canal interne, en tout cas. Il faut savoir, en effet, que la maison exploite 500 ha de terres agricoles qui leur fournissent l’essentiel des besoins en céréales, légumes et fruits. Ayant à cœur d’être un véritable « traiteur organique », l’enseigne entretient également une serre aromatique. ...
Chef consultant, José Maréchal a misé sur une cuisine inventive mettant en valeur les produits du terroir, les produits de saison et des producteurs locaux, majoritairement bio. Stephan Paroche, ancien propriétaire du restaurant La Magnanerie dans les Alpes-de-Haute-Provence est le nouveau chef. Il a conçu les cartes des trois lieux de restauration. Il aime particulièrement revisiter les classiques. Il apprécie également les alliances terre-mer et la cuisine méridionale. Cicada À Cicada, cartes inventives qui subliment les produits du terroir et valorisent les producteurs locaux. Une cuisine tonique pleine de fraîcheur, tendance bio, saine et équilibrée, qui sait joyeusement surprendre et s’inspire du potager et du jardin des herbes aménagés au cœur des lieux. Gastronomie authentique, chic et glamour, qui allient avec virtuosité les classiques et la modernité. Les suggestions sont sans cesse renouvelées pour créer la surprise. Il suffit de consulter l’ardoise pour connaître les propositions du jour. Les convives sont libres d’imaginer leur menu comme bon leur semble, selon leurs envies et leur faim. Compter 35 € le menu du midi. En soirée, menus à partir de 69 € et découverte du "menu signature" à 119 €. Parmi les plats de saisons à découvrir à Cicada, l’asperge présentée en trois plats pour découvrir de façon différente un produit du terroir. En dessert, l’éclair au yuzu est un incontournable. Dîner en tête à tête, profiter de la terrasse ou s’attabler avec ses amis ou ses proches : tout est possible à Cicada. Le Camion Bleu Sur la Place du village au sein de l’hôtel, tout au long de l’été, les clients peuvent dîner en extérieur pour une soirée décontractée. Le Camion Bleu propose une cuisine simple, pleine de saveurs que vous pourrez facilement partager avec ses petites ou grandes salades, ses viandes grillées ou ses planches de viandes, de fromages ou de légumes pour un apéritif dînatoire. Tout cela en s’enivrant de la scène musicale et de ses concerts de jazz. Compter environ 25 € par personne. Du mardi au samedi de 19 h 30 à 22 h. Ouverture du 1er Juin au 15 Septembre. Les soirées thématiques sont à découvrir sur le site web www.hameaudesbaux.com. ...
C’est à Mareuil-sur-Aÿ, dans la Marne, qu’est implanté le vignoble familial acquis par André Charbaut en 1936. En trois générations, les Charbaut ont perpétué sans relâche leur savoir-faire dans l’art de manipuler les raisins. Là où tout commence Le terroir est caractérisé par un sol de craie. Sur cette terre poussent trois cépages caractéristiques de l’appellation Champagne : le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay. Les vignes bénéficient des meilleurs soins, grâce à un mode cultural qui préserve à la fois l’environnement et la santé. Ce travail est d’ailleurs certifié HVE (haute valeur environnementale) et Viticulture durable en Champagne. En termes de vinification, les raisins sont directement travaillés au pressoir après les vendanges. La première fermentation du moût s’effectue pendant plusieurs semaines. La seconde fermentation, quant à elle, s’opère par l’ajout de ferments ainsi qu’une légère quantité de sucre. « Nos vins sont magnifiés par un dosage adapté », souligne Nathalie Charbaut, actuelle propriétaire des lieux. Les vins Parmi les cuvées phares figure « Blanc de Noirs 2012 », un champagne millésimé 100 % pinot noir. À la dégustation, elle révèle une délicieuse palette d’arômes fruités ainsi qu’une belle longueur en bouche. L’accompagnement parfait pour un menu gourmet. La production de ce nectar est limitée entre 1 500 et 2 200 bouteilles par an. La cuvée « Memory 2005 », quant à elle, dévoile sans équivoque les spécificités du chardonnay. Les cuvées obtenues à la vinification sont vieillies en cave pendant 12 ans, avant de rejoindre les étalages de vente. Ainsi, Memory 2005 se démarque par une attaque franche et linéaire à la dégustation. La délicatesse de ses arômes se marie idéalement avec des plats de fruits de mer ou, éventuellement, du foie gras. ...
Fondé en 2008, Satsuki est une épicerie important 90% de ses produits du Japon, le reste provenant de l’Europe. Exclusivement en ligne à ses débuts, l’enseigne compte depuis 2012, un point de vente physique à Lyon. Une offre complète et diversifiée Satsuki dispose d’une offre comprenant 3000 références, sans oublier les conseils prodigués. On retrouve tous les ingrédients nécessaires à la préparation du sushi, de l’algue au riz, en passant par les graines de sésames, le gingembre et l’huile de soja. Les nouilles et les soupes figurent aussi en bonne place en matière de nourriture proposée. Tout comme les boissons, qu’elles soient alcoolisées ou non : le Ramuné (limonade), le célèbre Saké ou encore du Whisky (le seul parvenant à rivaliser avec le scotch). Outre l’alimentaire, l’épicerie japonaise propose de la vaisselle et des ustensiles, en bois, en céramique ou encore en mélamine. Il y a également un large choix d’encens, des sels de bains, des patches chauffants, des produits de beauté et de bien-être, des poupées Kokeshi, de l’origami, des boites Bento (utilisés pour les repas), des figurines et des livres. Des gammes spécialisées de thé vert biologique Satsuki importe du thé vert biologique du Japon, grâce à deux grandes familles japonaises : les Hayashi et les Morimoto. La famille Hayashi produit du thé, cultivé sans pesticides, à Kirishima dans le sud du Japon depuis 1897. Le temps d’augmenter le nombre d’espèces de théier comme l’Asatsuyu, le Yabukita, le Kanaya Midori et le Zairaishu (tiré de plantes à graines de thé). Dans la ville de Miyazaki, se trouve l’ile de Kyûshû et les jardins de thé vert biologique de la famille Morimoto. Cette dernière cultive sept variétés d’arbustes : le Yabukita, le Kanaya Midori, l’Oku Midori, l’Oku Yutaka, le Minimi Sayaka, le Sakimidori et l'hybride Assamica Benifuki. ...
C’est en 1993 que Dan Yang Chen et son époux Shimin Chen lancent leur restaurant le Lys d’Or. Véritable oasis dans le XIIe arrondissement, le restaurant affiche ouvertement une décoration authentique qui s’inspire des demeures bourgeoises chinoises. Jardin intérieur, portique, bambou, fontaines et verdure y forment un cocon parfait pour déguster les spécialités culinaires asiatiques. Une cuisine en l’honneur de l’Empire du Milieu Un cadre authentique se dévoile au Lys d’Or, un lieu de rencontre avec la cuisine classique de l’ancien Empire. Le Gou Feng y est le plus représentatif de l’art culinaire chinois. Commune à toutes les régions, cette populaire marmite du pêcheur se compose de riz parfumé et d’un généreux mélange de coquilles Saint-Jacques, de pinces de crabe, de crevettes, de calamars et de légumes. Le Guo bamian, le Cheng jie si han, le Tou Feng et les nouilles pékinoises illustrent aussi cette richesse gastronomique. L’authenticité culinaire de chaque région est représentée par des plats comme les crevettes et poissons à la sauce Shanghai au gingembre, les brochettes de bœuf pékinoises, le poulet au caramel et sésame de Canton et le filet de bar épicé à la sauce Sichuan. Des créations culinaires originales à la chinoise En entrées ou plats, le Lys d’Or met en avant la créativité de son chef dans le travail du poisson, des fruits de mer, de volailles et de viandes. Les légumes et le tofu sont proposés aux végétariens, qui seront particulièrement aux anges en dégustant l’aubergine en croûte de sésame noir. La sérénité des lieux est idéale pour découvrir la légèreté des incontournables Dim Sum, raviolis et autres bouchées à la vapeur. De nombreuses spécialités de l’établissement sont présentées sur plaque chauffante, comme les succulences de canard à la sauce Sichuan. Ces plats poursuivent leur cuisson parfumée sur la table, délivrant de douces senteurs d’épices et de gingembre. Pour plus de plaisir, la maison propose une sélection de vins, du riesling au saumur-champigny, en passant par le côtes-du-rhône et le bordeaux supérieur. ...
La ferme est nichée dans un paysage de prairie naturelle, mais se distingue grâce à ses imposants bâtiments en pierre qui abritent la grange et l’étable réaménagée. La salle de traite ainsi que la fromagerie se dotent d’une installation et d’un équipement plus moderne, pour répondre aux exigences du cahier des charges adapté à la production et la transformation laitières. S’engager pour la qualité Idéalement situé à 900 mètres d’altitude, la Ferme la Grange de la Haute Vallée peut se permettre de gâter son cheptel de 40 vaches laitières. « En été, elles jouissent librement de l’herbe fraîche et du pâturage à fertilisation naturelle, et en hiver, elles bénéficient d’une alimentation à base de foin », explique Alain André, le gérant. Ce troupeau de race montbéliarde a été soigneusement sélectionné pour satisfaire les impératifs de qualité et les besoins économiques de l’exploitation. En moyenne, le cheptel bovin parvient à produire 260 000 litres de lait chaque année, dont 90 % sont destinées à la transformation. Afin d’offrir sa typicité propre à chaque fromage, une technologie spéciale ainsi qu'une méthode de fabrication spécifique doivent être observées de façon stricte. Ainsi, les paramètres de fabrication, incluant décaillage et durée d'affinage varient d'un fromage à l'autre. Par ailleurs, le lait cru étant indispensable pour conférer leur onctuosité aux fromages, les normes sanitaires liées à l'hygiène alimentaire et à la conservation sont rigoureusement respectées et contrôlées tout au long du processus. Une gamme de produits gourmands La Ferme la Grange de la Haute Vallée propose des fromages AOP, deux types de fromages fermiers, et du yaourt nature au lait entier. On cite le fromage AOP Salers : « Un fromage saisonnier qui se fabrique uniquement sur la période de pâturage, du mois d’avril jusqu’au mois de novembre, le lait est réceptionné directement dans une cuve en bois de chataignier qu'on appelle la gerle, obligatoire pour la fabrication du fromage Salers », fait savoir notre interlocuteur. À base de lait cru, ce fromage pressé a un goût corsé et volcanique, à l’image du terroir. L’AOP cantal de son côté se distingue par ses saveurs plus lactiques, qui se bonifient avec une légère note fruitée au fil du temps. Ce fromage se décline en cantal vieux, cantal entre-deux et cantal jeune, qui ont raflé de nombreuses fois la médaille d’or et la médaille d’argent au concours général agricole de Paris depuis l’année 2011. « On essaye de maîtriser la qualité des produits et de la maintenir », souligne le gérant. En outre, le fromage AOP bleu d'Auvergne a une texture à la fois fondante et corpulente, révélant le goût d’un fromage d’antan. Enfin, deux fromages fermiers viennent s’ajouter à l’assortiment, dont le saint-timothée, type tome de montagne et le Pignou, un petit bleu plus typé. ...
Le Café de l’Homme a rouvert ses portes en décembre 2015 après cinq ans de travaux. Imaginée par les architectes d’intérieur Gilles & Boissier, la décoration dévoile un style Art déco dans le même esprit que le Palais de Chaillot. Tables en marbre, matières minérales et végétales, tout a été pensé pour vous offrir une ambiance magique. Les six mètres sous-plafond et les jeux de lumière créés par Alain Guilhot donnent une dimension exceptionnelle au lieu. Pour la terrasse de 300 m², avec sa vue exceptionnelle sur le Champ-de-Mars et la tour Eiffel, tables en granit et sièges en rotin ont été privilégiés pour vous faire profiter pleinement de l’espace extérieur et des rayons du soleil. Vous pourrez également découvrir la mezzanine, un espace plus intimiste pour seize personnes. L’offre culinaire Le chef étoilé du 39V, Frédéric Vardon, propose une carte où les produits de saison sont mis à l’honneur. Vous y trouverez des recettes classiques de la cuisine française délicieusement revisitées, mais aussi quelques plats inspirés par les autres continents. La carte est renouvelée au gré des saisons. Elle permet également de découvrir le travail d’artisans en mettant à l’honneur un de leurs plats. Si vous êtes amateur de vins, vous parcourrez avec envie la carte et ses 200 vins et flacons d’exception. Vous pourrez demander conseil à l’équipe en salle pour dénicher la pépite qui accompagnera au mieux votre repas. ...
Le Domaine des Frontières est situé à Jullié, non loin de Mâcon dans le Rhône, qui est considéré comme l’un des plus anciens villages du Beaujolais tirant son nom de Jules César et ses légions qui s’y établirent autrefois. Il y travaille essentiellement l’AOC Juliénas réputée pour ses vins printaniers aux notes de fruits rouges, de pêche et d’arômes floraux et l’AOC Beaujolais-Villages s’illustrant pour ses crus de caractère, charpentés et colorés exprimant finesse et souplesse. Le gamay dans toute sa splendeur Le lancement du Domaine des Frontières est un véritable projet de vie pour Jérémy Thien qui quitte sa carrière dans l’administration pour se reconvertir en vigneron. Il crée l’exploitation familiale de toute pièce en faisant progressivement acquisition de parcelles aujourd’hui d’une superficie totale de 6 hectares. Son vignoble composé de vieilles vignes de 60 à 80 ans met à l’honneur le gamay, cépage phare du beaujolais. Les raisins expriment leur plus belle intensité sur ce terroir constitué de roches volcaniques anciennes. Tout est fait pour leur épanouissement. « Nous faisons un véritable travail d’artisan avec très peu de mécanisation », confie Jérémy. La certification HVE atteste de ce soin apporté à la vigne qui ne subit aucun traitement chimique agressif. Plusieurs cuvées pour les meilleurs moments de vie Sous le label Juliénas, le Domaine des Frontières propose deux crus atypiques à savoir La Cuvée Classique et la Cuvée Réservée. La Classique se veut solaire avec des arômes de poivre, d’épices, de fruits noirs, de cacao et de cuir noble. Élégante et intense à la fois, elle se sert avec des gibiers à plume, des viandes rouges, du bœuf bourguignon ou du magret de canard. La Cuvée Réservée est produite à partir d’une sélection parcellaire issue du lieu-dit Vayolette qui procure une finesse et une concentration exceptionnelles. Avec un potentiel de garde de 7 à 8 ans, ce 100 % gamay révèle un beau bouquet floral et fruité ainsi qu’une belle longueur en bouche. À accompagner avec des crustacés, du bœuf, de l’agneau ou du gibier. Quant au Beaujolais-Villages Vers le Château, il se veut plus fruité, rond et charmeur. Parfait pour les barbecues estivaux ou en apéritif avec un plateau de fromages et de charcuteries. ...
Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis plus de 5 générations. En 2017, le domaine de la Vaillère en association avec Sébastien Plagne, un jeune visionnaire passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins plus complexes. Depuis, dans le chai, une petite équipe passionnée s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Carignan, Cabernet, ou encore Chardonnay pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Dans les caves du domaine… Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre également son engagement pour l’environnement. « Depuis le début de l’année, on est en Terra Vitis », précise J.-C. Dumas. L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de s’engager dans le développement durable. Le rouge-merlot Obstiné 2018 et le blanc Chardonnay 2019 sont les premiers symboles de cette démarche. Les procédures de certification bio sont en cours depuis le 1er août. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2018, 2019, un rouge grenache-syrah-carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Gabriel, également médaillé d’or en 2018 et 2019 et Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan qui a fait un bref passage en fût. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région. ...
Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel. Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...
À travers une tradition culinaire française à légère tendance méditerranéenne s’inscrit une carte diversifiée et soigneusement élaborée, où l’inspiration créative du chef en cuisine nous embarque dans un remarquable voyage plus qu’une expérience culinaire. Honneur aux produits locaux Travaillant au jour le jour et quasi à l’ardoise, le restaurant propose une cuisine de marché où les produits frais et locaux sont toujours à l’honneur. Grâce à une carte réduite de 6 entrées, 6 plats et 6 desserts, qui évolue au fil des jours et en fonction des saisons, l’établissement a l’énorme avantage de satisfaire autant les gourmands que les fins gourmets, dans un plaisir toujours renouvelé. Avec une carte des vins assez éclectique, où beaucoup de vins sont proposés au verre, l’établissement reste pour la plupart du temps sur les petits producteurs avec, de par ses origines, un léger penchant pour les vins du Languedoc, comme le Pic Saint Loup. « Nous travaillons avec des vignerons indépendants pour les vins de Bordeaux et de Bourgogne ; sinon pour tout ce qui est vins du Sud, Côtes-du-rhône, Roussillon et Languedoc, nous avons nos propres contacts », tient à préciser Pierre-Louis Cazes, gérant du restaurant, qui, avec sa femme, Céline Weber, fait tourner le restaurant avec l’appui d’un chef et d’un second. ...
Véritable invitation à la détente et au repos, l’enseigne attire la sympathie par son ambiance intimiste et chaleureuse, que l’on prend plaisir à savourer et qui procure de purs moments de bien-être. La Butte s’inspire de son environnement naturel et renvoie à l’image de la côte et de tout le littoral pour donner un cadre contemporain avec des dominantes de beige et de gris. À travers une cuisine particulièrement lisible et authentique, où les produits du terroir sont essentiellement à l’honneur, on s’y rend pour le plaisir de (re)découvrir ou retrouver des plats aux goûts très francs, avec d’agréables et incroyables explosions en bouche. Un repas savoureux Ne passez pas à côté de son homard poché, poêlé au beurre noisette et cru à cœur, qui garde vraiment sa saveur, servi avec des asperges ou des légumes du moment, ou tout autre accompagnement selon la saison. Poursuivez l’aventure avec son délicieux ormeau poêlé au beurre, accompagné de vermicelles et de jus de volaille sur un lit d’algues rouges (Dulse). Finissez en beauté avec son Mingaux à base de gros lait fermier, une spécialité bretonne qui ne manquera pas de vous plaire. La Table de La Butte, c’est aussi, une très belle carte de vins riche de près de 350 références, avec de très bons Bordeaux et des cuvées exceptionnelles de la maison Trimbach par exemple. Quel que soit le vin choisi, la satisfaction et le plaisir seront toujours au rendez-vous. ...
La maison Fredestel est dans la même famille depuis cinq générations. Depuis 2008, Ghislain et Estelle Olivier ont repris l’exploitation des vignobles, qui s’étendent sur 2,98 hectares et sont répartis sur 28 parcelles. Ils sont plantés principalement de cépages chardonnay mais aussi de pinot noir. Une viticulture durable Vignerons indépendants, Ghislain et Estelle ont choisi de pratiquer une viticulture durable en adoptant des méthodes agricoles raisonnées. Pour ce faire, ils limitent les apports chimiques, réduisent l’usage d’intrants, soignent l’enherbement et travaillent le sol par labourage, obligeant les vignes à aller puiser leurs ressources en profondeur. Cette exploitation familiale est d’ailleurs certifiée haute valeur environnementale. Ainsi, elle peut proposer aux consommateurs des produits de qualité tout en respectant l’environnement. Toutes les étapes de l’élaboration des champagnes sont effectuées au domaine. Les vendanges sont faites à la main avec sélection des raisins. Après pressurage, le jus de raisin ainsi obtenu est vinifié dans des cuves en inox. Le vin va ensuite vieillir en cave avant d’être mis en bouteille. Leur gamme de champagnes La maison Fredestel produit environ 22 000 bouteilles par an. L’exploitation commercialise plusieurs cuvées de champagne. La Perle Blanche se caractérise par sa composition 100 % chardonnay extra-brut sans assemblage, avec une robe dorée, présentant un parfum fruité d'orange, de citron et de kiwi. Il est parfait pour l’apéritif. Le champagne Tradition est issu d’un assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Il est disponible en brut ou en demi-sec. Quant au champagne Les Agapes, avec 50 % de pinot noir, 20 % de chardonnay et 30 % de chardonnay en fût de chêne, il révèle plus particulièrement des notes de fruits à chair, comme la pêche et la poire. Ils produisent également du ratafia, un apéritif à base de vin. Les champagnes Fredestel sont exclusivement en vente à la propriété. Visiter le domaine Vous pouvez visiter le domaine sur rendez-vous tous les jours de la semaine. La visite est suivie d’une séance de dégustation. ...