La tradition a été bousculée ! La vitiviniculture n’est plus un travail exclusivement masculin. Cette activité peut aussi refléter une élégance féminine et c’est ce que les vigneronnes du territoire Capagathois tiennent à démontrer. Désormais, ce renouveau s’affiche comme l’une des plus grandes fiertés de ces vignobles ancestraux, chatoyants et variés, qui sont devenus de fervents promoteurs des vins de femmes. Dans l’atelier des vigneronnes Les femmes aiment le vin, mais elles aiment aussi faire du vin, et elles le font bien ! Elles répondent parfaitement aux nouvelles demandes qui s’articulent autour de la recherche du goût et du plaisir. Cette nouvelle perspective est issue d’une volonté profonde de respecter la nature et donne naissance à des vins plus légers, plus fruités et moins tanniques. Chez Sabine de Virieu (propriétaire du Domaine de la Conseillère, à Montagnac), la culture du vin, c’est aussi la culture de l’accueil des visiteurs et la transmission de la pédagogie du vin. La production en IGP lui permet une grande créativité, elle souhaite faire découvrir la large palette aromatique entre des merlots et de la syrah pour éveiller les sens, et la conscience du bon vin respectueux de la terre et de la nature. Au Domaine de Daurion, à Caux, Isabelle Cordoba-Collet s’appuie sur un savoir-faire traditionnel pour produire des vins exprimant le terroir volcanique typique de l’appellation Pézenas. Isabelle travaille en finesse et élégance, notamment ses blancs, sur des vignes en conversion pour un plus grand respect et une protection de ses terres. Bien d’autres domaines et produits sont encore à découvrir : la Chartreuse de Mougères et Gersende de Saint-Exupéry, Simone et Virginie Gaujal à Pinet, Sophie Palatsi au domaine de la Clapière à Montagnac… et bien d’autres. On peut dire que les femmes insufflent un avenir prometteur au paysage et aux productions viticoles du Languedoc. ...
Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel. Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...
La Maison du Douanier a été entièrement rénovée en 2015 et abrite actuellement un restaurant bistronomique et des chambres luxueuses et modernes, dont « Margaux », « Estephe » et « Julien ». Une suite parentale composée de deux chambres dotées chacune d’un lit double bien douillet vient compléter cette offre. Après les promenades et les visites, « les hôtes pourront se détendre tranquillement sur la nouvelle terrasse de la maison qui donne une vue imprenable sur l’estuaire de la Gironde », indique Vincent Moreau. Et de préciser aussi qu’« un grand parc avec des salons aménagés est également mis à disposition des clients pour se reposer, bouquiner, ou tout simplement se délecter d’un vin issu du terroir girondin ». Un voyage enrichissant au cœur de la Gironde Avec ses rives, la Gironde conserve un patrimoine historique et culturel essentiel. Les paysages sont éclectiques et les traditions girondines sont encore très présentes grâce aux différentes activités locales, notamment la pêche. Pour accéder à la Maison du Douanier, les visiteurs peuvent emprunter deux routes : « soit celle des petits ports de la Gironde (anciens ports de pêche et ports ostréicoles), soit celle des grands vins de Bordeaux », communique notre interlocuteur. Outre la visite des vignobles bordelais, la Gironde est « un attrait touristique énorme » proposant une multitude d’activités comme la découverte de l’église Saint-Christoly-Médoc – un édifice de style roman datant du XIIe siècle et qui est classé monument historique depuis 1925 – ou encore le Verrou de l’estuaire du célèbre architecte militaire Vauban, qui est constitué de la citadelle de Blaye, des forts Médoc et Paté. Au menu : une cuisine bistronomique et végétarienne Outre les loisirs culturels et ludiques, les vacances invitent aussi au plaisir culinaire. Dans le restaurant de la Maison du Douanier, Jean-Luc Beaufils, le chef, se concentre sur la cuisine bistronomique qu’il définit comme « la revisite des plats classiques ». De style moderne et raffiné où le bois et les parquets sont mis en avant, la salle peut accueillir jusqu’à 57 couverts, contre 62 à l’extérieur. Le chef propose quatre types de menus, dont le Menu du Douanier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert), le Menu du Contrebandier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert) élaboré avec des produits plus nobles encore, le Menu du Chef (amuse-bouche/entrée/poisson/viande/pré-dessert/dessert) et le Menu végétarien. Pour le plaisir des fins gourmets, « nous travaillons uniquement avec des produits du terroir issus de l’agriculture biologique », souligne le responsable des lieux. En mai par exemple, le restaurant propose sa spécialité qui est composée de terrine de saison, chutney d'oignons et cerises griottes en entrée, joue de boeuf confite au thym citron, légumes printaniers acidulés, accompagnée de légumes printaniers acidulés comme plat de résistance ainsi qu’une alliance chocolat et du pralin de biscuit cacao au dessert. Quant au vin, la maison suggère la « Révélation de Castillon 2010 ». Petit scoop : « cette année, nous ouvrirons à proximité un second restaurant le 15 juin, qui s’appellera La Cabane du Douanier », nous souffle-t-on. ...
À travers les saveurs de la cuisine traditionnelle bretonne, concoctée à base de produits frais, ce restaurant vous promet d’authentiques recettes toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Une cuisine 100 % bretonne Derrière les fourneaux, Emmanuel LAURAND, source d’inspiration pour toutes les recettes, prend plaisir à sélectionner soigneusement des produits frais venant des petits artisans bretons. Pour préparer les crêpes et autres galettes, cet établissement n’hésite pas à se procurer de la farine bio fabriquée à l’ancienne dans un petit moulin du Morbihan. Résultat, les saveurs et la qualité sont bel et bien présentes dans chaque plat. À midi, le menu Maïwen à 9,90 € fait des ravages et se compose d'une galette avec trois ingrédients au choix et d'une crêpe au dessert. Parmi les spécialités de la maison, laissez-vous tenter par une galette Tréhorenteuc, à base de crottin de chèvre, de miel, de paprika, de salade de mâche et de pignons. Une glace au chèvre préparée par un artisan glacier achève la composition de ce subtil mélange chaud-froid. Les amateurs de cuisine de brasserie avec des plats du terroir essaieront le magret de canard au caramel salé, une formule qui fait mouche. Côté crêpe, ce ne sont pas les parfums qui manquent. Caramel salé nature, caramel de chocolat, caramel de whisky breton, tout est fait pour subjuguer le palais. Les cidres Ambassade de Bretagne Cidre doux, jus de pomme, confiture de lait, ce restaurant propose également la découverte exclusive de gourmandises concoctées par des artisans bretons. Dégustez un large choix de 18 cidres issus des départements bretons pour une escapade authentique en terre bretonne. À l’instar de la cuvée blanche du Manoir de Kinkiz fabriquée à partir d’une pomme spéciale à la fois acidulée et fruitée. Un breuvage au goût très particulier, fort agréable en bouche. ...
Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...
Tous les propriétaires qui s'y sont succédés, ont forgé au fil du temps, la philosophie de la propriété, et contribué à lui offrir cette reconnaissance internationale tant méritée. S'appuyer sur un savoir-faire traditionnel ne l'a nullement empêché de se doter de toutes les techniques et innovations modernes pour élaborer des vins conviviaux ou plus raffinés. Un travail parcellaire Soucieux de préserver l’environnement, le Domaine de la Baume privilégie des pratiques respectueuses à la fois de la vigne et de la terre. Toujours en quête de qualité, il applique son savoir-faire au niveau de chaque parcelle. Il n’est donc pas étonnant de voir des parcelles taillées différemment. Arrivés à maturité, les raisins sont récoltés durant la nuit. « Les vendanges de nuit préservent la fraicheur et les arômes », nous indique-t-on. Afin de préserver la typicité de chaque cépage, chacune des parcelles est récoltée et vinifiée séparément. Cette pratique vise à permettre aux cépages d'exprimer leur pleine expression. À ce sujet, le Domaine de la Baume se démarque par des techniques modernes de vinification que sont la stabulation à froid (pour les vins blancs et rosés) et la macération préfermentaire à froid (pour les rouges). « Nous mettons au service de chacune de nos parcelles notre savoir-faire et notre plus grande attention afin d’exprimer le meilleur de leur potentiel », souligne l'oenologue du domaine, Jonathan Sanchez. Un domaine qui joue la carte de la diversité Travaillant sur l’IGP Pays d’Oc, le domaine élabore des vins plaisir pour tous les jours mais surtout pour des occasions spéciales. Arrivés à maturité, les raisins sont récoltés durant la nuit. En tout, la propriété propose 12 vins répartis sur 3 gammes différentes : Les blancs : - le Sauvignon blanc Les Mariés - le Chardonnay Les vignes de Madame - le Viognier Élisabeth Le rosé : - le Pinot noir rosé Les Vignes d'Héloïse Les rouges : - le Cabernet Sauvignon Les Thermes - le Syrah La Jeunesse - le Merlot Le Grand Chataignier - le Petit Verdot Saint Geniès L'Elite d'or : - l'Elite d'or Cabernet Sauvignon (rouge) - l'Elite d'or Chardonnay (blanc) La cuvée Terres - la cuvée Terres Syrah (rouge) - la cuvée Terres Viognier (blanc) « L'Elite d'Or, une cuvée plus premium élevée en fûts de chêne et Terres de la Baume disponibles en blanc et rouge, font particulièrement la fierté du domaine », déclare Cathy Stoffel, cheffe de produit. « Les cuvées Terres de la Baume sont d'ailleurs issues des meilleures parcelles de Viognier et Syrah de la propriété », précise notre interlocutrice. Vins d’exception, les cuvées Terres, élaborées exclusivement de Viognier pour le vin blanc et de Syrah pour le rouge, illustrent en effet tout le potentiel qualitatif du Languedoc-Roussillon. Produits en très petite quantité, ces vins ont fait l’objet d’un élevage de 12 mois en barriques de chêne français. Ils séduisent ainsi par leur complexité aromatique incomparable, associée à un fort potentiel de garde. Pour preuve de leur qualité, ces cuvées ont remporté la médaille d’or du concours des Grands Vins du Languedoc 2017 (pour la cuvée Viognier millésime 2016) et la médaille d’argent au concours Syrah du monde 2018 (pour la Syrah millésime 2017). Pour reprendre le Responsable du Domaine, Monsieur Frédéric Glangetas, : « En alliant la tradition et la modernité, Domaine de la Baume mise sur ses origines internationales et la diversité des terroirs du Languedoc pour transmettre le meilleur de l'esprit du Sud de la France. » ...
C’est en 1968 qu’un groupe de fromagers, ainsi que le conseiller général du canton, décide de créer le Syndicat de défense du fromage de Chaource afin que ce fromage soit reconnu en tant qu’Appellation d’origine contrôlée (AOC), label qu’ils obtiennent le 9 août 1970. Didier Lincet se trouve actuellement à la tête de ce syndicat qui continue de promouvoir le Chaource, mais également son terroir. Une fabrication artisanale L’obtention d’un fromage nécessite beaucoup de patience, mais également beaucoup de travail. Chaque étape de fabrication diffère selon les types de fromage, et selon les régions. Pour ce qui est du Chaource, tout commence par la collecte de lait dans les élevages, s’ensuit le stockage du lait en fromagerie. Puis, vient la maturation, l’ajout du ferment lactique et la coagulation, qui peut durer au minimum douze heures. C’est à l’issue de ces étapes que l’obtention d’un lait caillé solide permet de passer au moulage (manuellement ou mécaniquement), pour être démoulé après quarante-huit heures, salé, ensuite mis à ressuyer en hâloir durant vingt-quatre heures minimum, pour refroidir et perdre leur humidité . La dernière étape dans la fabrication est l’affinage, en cave, durant au minimum quatorze jours. La production annuelle avoisine, quant à elle, les 2 450 tonnes, dont 10 % partent à l’exportation vers l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les États-Unis et le Japon. Le goût du vrai Ce fromage, à pâte molle et à croûte fleurie, est fabriqué au lait de vache entier sans ajout de matière grasse. En bouche, il est légèrement acidulé et salé à la saveur douce. Son arôme rappelle celui de la crème, mais aussi du champignon frais et de la noisette. Très apprécié des restaurateurs, le Chaource inspire les créations culinaires. De nombreuses recettes existent pour mieux sublimer les saveurs, toute en délicatesse, du fromage comme la glace au Chaource, le gaspacho de courgettes au Chaource, ou la terrine de légumes au Chaource. À l’heure de l’apéritif, il se déguste volontiers accompagné d’un champagne brut ou rosé, ou d'un porto. ...
Nous sommes en 1967 lorsque des viticulteurs, animés par une passion commune pour le vin, décident de fonder une cave en hommage à leurs terres. Véritable ambassadrice d’un patrimoine commun, cette cave se trouve être le point d’orgue de l’excellence de la culture vitivinicole du Haut-Languedoc. La noble quête de la qualité Ce sont près de 80 viticulteurs qui s’attellent à offrir le meilleur de leurs vignes plantées en coteaux au travers des cuvées emblématiques. Leurs parcelles ont été sélectionnées en se basant sur leur qualité, leurs points communs, ainsi que la maturité de leurs raisins. « Cette sélection parcellaire, effectuée avant les vendanges manuelles, permet d’identifier le potentiel de chacune de ces parcelles », nous explique Alain Rogier, Directeur Général de la cave. Les cépages, pour ne citer que la syrah, le mourvèdre ou encore le grenache noir, bénéficient également d’un traitement phytosanitaire respectueux de l’environnement et préservant le goût de chaque grappe. Chaque cuvée devient ainsi un fidèle représentant de ce terroir bénéficiant de trois appellations : l’appellation Languedoc, l’appellation Saint-Chinian et l’appellation communale Saint-Chinian-Roquebrun. Cette dernière, octroyée en 2004, fait la fierté de ces artisans de la terre et la particularité des cuvées de la cave de Roquebrun. Dans cette unité vinicole, « le processus de transformation du raisin au vin se fait [d’ailleurs] sous l’égide d’un œnologue qui n’est autre que le Directeur de la Cave », précise notre interlocuteur. À ce gage de qualité s’ajoute le fait que cette cave « est bâtie sur le modèle des caves du Beaujolais par l’existence d’un plateau de macération carbonique », continue-t-il. Les vins de la cave bénéficient ainsi d’une typicité basée sur une aromatisation naturelle poussée. Égayez ainsi vos instants gourmands de ces vins aromatiques à souhait, à l’instar de la Grange des Combes, un 50 % syrah raffiné et doté d’un bouquet élégant, ou d’une Roches Noires, un 60 % syrah au nez accompli et à la bouche exquise. ...
Situé dans la ville d’Huningue, le restaurant Le Vauban est un lieu privilégié qui gagnerait à être connu. Se trouvant à 150 m de la passerelle piétonne des trois pays menant vers l’Allemagne et à 2 km à peine de la Suisse, ce petit coin de paradis bien connu de l’Alsace est loin d’avoir livré tous ses secrets, vous laissant ainsi la surprise de la découverte. Un lieu chargé d’histoire Édifiée à l’époque des fortifications de Vauban, la bâtisse qui abrite le restaurant est vieille de plus de trois cents ans. Depuis plus d’un siècle, l’établissement a baigné dans l’hôtellerie-restauration à travers différents décors en passant du stade d’hôtel à celui de restaurant et de bar avant de se transformer en cette charmante « brasserie sans prétention » décrite par l’actuelle propriétaire, Isabelle Godhbane, qui d’ailleurs, tient à garder ce côté familial. C’est un lieu chargé d’histoire qui a su garder un côté rustique et moderne à la fois. Le plaisir et la satisfaction s’y conjuguent au présent. La surprise de la découverte aidant, le lieu attire de nombreux visiteurs qui n’ont qu’une hâte : celle d’y retourner ! Une cuisine entre tradition et modernité La cuisine du restaurant se veut traditionnelle avec toutefois une légère pointe de modernité dont seul le Chef connaît le secret. Travaillés avec le maximum de produits frais, les plats sont goûteux et particulièrement généreux. Ce qui donne, selon Isabelle Godhbane, le sentiment d’être «|comme à la maison mais avec le petit plus qui va donner envie de sortir ». Alliant cuisine du terroir et cuisine plus moderne, l’établissement reste cependant dans le registre du traditionnel français et fait de ses spécialités alsaciennes ses meilleurs plats d’hiver. Les tartes flambées restent ses produits phares dont la plus appréciée est la forestière gratinée à laquelle viennent s’ajouter ses tartes flambées végétariennes qui font un vrai tabac. Travaillant sur les groupes et les réservations, l’établissement a depuis longtemps supprimé les menus de son ardoise. Les choix se font uniquement sur la carte avec aussi des plats sur commande, le tout à juste prix et à la portée de toutes les bourses. Le vin d’Alsace à l’honneur La carte des vins de l’établissement est riche de près de 25 références avec une forte proportion de vins alsaciens. Situé au cœur des trois frontières, à 200 m de la frontière allemande et à 350 m de celle de la Suisse, le carrefour international de Bâle astreint le restaurant à aligner le plus grand nombre de vins alsaciens reconnus d’ailleurs pour leur finesse et leur élégance, et ce, pour tous les cépages. En dépit de cette préférence, il convient de noter que l’ensemble des vins du restaurant reste bien français avec tous les trois mois des vins différents. Tous les vins sont par ailleurs proposés aussi bien au verre qu’en pichet, en quart et en demi. Parmi les best-sellers figure le puissant et très aromatique gewurztraminer, une très belle référence alsacienne. Le petit plus qui fait la différence Pour remercier ses clients de leur fidélité, le restaurant Le Vauban a une façon bien particulière de le montrer. Loin de l’idée de se faire juste de la publicité, il tient particulièrement à cœur d’organiser des petits concerts réguliers, notamment en été, pour apporter un plus à la clientèle. C’est aussi pour la maison, une manière de leur dire « merci d’être là toute l’année ». On y retourne pour le plaisir et aussi pour la qualité de la cuisine et du service. Et c’est ce qui fait toute la différence ! ...
C’est au cœur du parc naturel régional de Millevaches, dans le Limousin, que Françoise et Jules Lahaye invitent les amoureux de la nature et les fins gourmets à déguster leurs savoureuses spécialités. Des produits nobles comme la viande bovine de race limousine, une cuisine raffinée sublimée par les meilleurs vins et des services dignes des meilleures tables étoilées… Tout un programme ! Un maître restaurateur rend hommage à la viande Privilégiant saveurs, traditions et savoir-faire, la cuisine du Ranch des Lacs propose le meilleur des produits locaux, parmi lesquels figurent la viande bovine de race limousine et des autres produits comme le Belou agneau du pays de Vassivière et le canard / foie gras de la ferme de Beauregard. Le maître restaurateur Jules Lahaye sélectionne uniquement des produits issus de vaches nées, élevées, engraissées et abattues dans le Limousin. L’établissement sert uniquement de la viande ayant bénéficié d’une longue maturation de plus de neuf semaines. Un produit qui surprend par sa texture moelleuse et son succulent goût de noisette. Les entrecôtes, côtes et autres carrés de bœuf préparés par le boucher Hugues Burgalières libèrent ainsi un concentré unique de saveurs. Autre produit phare de la maison : le bœuf de Coutancie, un produit unique en provenance de Dordogne. Nourri aux céréales, fini et massé deux fois par jour durant 20 minutes, ce dernier est reconnu pour être l’équivalent du fameux bœuf de Kobé d’origine nippone. Cette viande d’exception est à la fois tendre et savoureuse. Spécialités de la maison Sur la carte défilent des recettes plus succulentes les unes que les autres, dont la spécialité de la maison : la fondue pelaude, une fondue de viande bovine de race limousine (cela va de soi) accompagnée de différentes sauces, crudités et de gratin de pommes de terre. Le porc cul-noir du Limousin et le caviar de Neuvic sont également aux premières loges pour le plus grand plaisir des gourmands et fins gourmets. Chaque plat est accompagné de petits légumes privilégiés pour leur qualité et sélectionnés chez des producteurs locaux. Une cave aux trésors Pour parfaire les plaisirs gastronomiques de sa clientèle, la maison abrite une cave où plus de 800 vins sont référencés. Et depuis 2009, le tarif caviste a été adopté permettant aux épicuriens de profiter de dégustations moins chères. Les vins à déguster sur place ou à emporter font balader dans les plus grandes régions viticoles du pays mais aussi d’Italie, du Portugal et même du Chili. ...
La Bourgogne-Franche-Comté, une région de bonne cuisine La Bourgogne-Franche-Comté produit des escargots, le bœuf charolais et le poulet de Bresse qui servent à la préparation de plats délicieux comme le filet de bœuf charolais aux champignons et le poulet de Bresse à la crème aux truffes. Le comté, fromage produit en Franche-Comté, est un des plus utilisés dans la cuisine française. La région se veut être une des régions françaises les plus connues en matière de bonne cuisine. Les spécialités régionales sont, entre autres, le bœuf bourguignon et le coq au vin. Elle est aussi connue pour son vignoble qui compte plus de 80 AOC de Bourgogne et celui du Jura qui produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura ainsi que des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois. Le Rabutin, de père en fils Le Rabutin est un restaurant pizzeria traiteur ouvert en 2000 par M. Funès. Armé d’une quarantaine d’années d’expérience culinaire, il y travaille depuis 2002 avec son fils Mickael. Le restaurant charme par sa proximité avec le château de Bussy-Rabutin et le Muséoparc d’Alésia, dans la ville d’Alise-Sainte-Reine. À l’extérieur de l’établissement, on trouve une terrasse fleurie et ombragée. L’intérieur est magnifiquement décoré selon le gout du propriétaire. En effet Mickael Funès est passionné de Harley Davidson. « À partir du moment où le client entre dans le restaurant, il entre chez moi. Je l’ai décoré sur un thème un peu rétro, un peu Harley », nous explique-t-il. Le restaurant compte aussi un bar et dipose d’une salle des fêtes à proximité, qui accueille des concerts sur invitation et bien d’autres évènements. Une cuisine familiale et traditionnelle bourguignonne Le Rabutin propose des pizzas à l’andouillette et à l’époisses avec des huiles d’olive méticuleusement sélectionnées et des farines importées d’Italie. Mais le restaurant fait de la cuisine traditionnelle bourguignonne son véritable point d’honneur. Mickael Funès utilise 98 % de produits frais comme le bœuf charolais de Bourgogne, le poulet de Bresse, les betteraves, les concombres, les tomates, les œufs. Il s’assure bien évidemment que ce sont des produits locaux de qualité. « Nous proposons des assiettes très généreuses avec des produits de qualité. Nous servons du label Charolais de Bourgogne », souligne-t-il. Il travaille aussi avec des producteurs locaux bien connus comme Ma très bonne glace. Le Rabutin, c’est aussi un service traiteur avec des buffets campagnards, dont des plateaux de charcuterie issues du Jura, du Doubs et du Morvan. Pour l’entrée, le choix est vaste. Les œufs cocotte à la dijonnaise sont une cuisson d’œufs frais dans une petite cocotte, dans un four à pizza à très haute température. En fin de cuisson, on y rajoute une petite sauce crème à la moutarde à l’ancienne. Il sont servis avec des mouillettes et s’accordent parfaitement avec du vin blanc. La terrine de campagne maison est une terrine de campagne traditionnelle faite à base de gorge de porc et de foies de volaille. Cette entrée est dressée avec une tranche de terrine, un petit bouquet de salade verte à l’huile d’olive bio et au vinaigre balsamique, ainsi que des framboises. Elle s’accorde parfaitement avec le Boisset Bourgogne. Pour le plat principal, la tête de veau traditionnelle est cuisinée avec du veau Charolais de Bourgogne et servie chaude avec sa sauce Gribiche et des pommes vapeur. Les œufs en meurette sont des œufs pochés dans du vin rouge, égouttés, servis sur un crouton de pain aillé et nappés d’une sauce au vin rouge. Ils sont parfaits avec des vins d’appellation Maranges comme les Clos Roussots. La mousse au chocolat, la crème caramel, la crème brulée au grand marnier, la tarte aux fruits de saison et la crème de cassis de Dijon sont les principaux desserts du Rabutin. ...
Issue d’une lignée de viticulteurs de père en fils, le Domaine Jaume s’attache à accorder un soin particulier à sa terre et à ses vignes voilà maintenant plus d’un siècle. Animée par la même passion, elle s’efforce aujourd’hui de valoriser la typicité de son terroir dans le respect de l’environnement et de la tradition. Un vignoble, deux terroirs Vinsobres est le premier cru des côtes-du-rhône de la Drôme provençale. C’est là que le Domaine Jaume a choisi de cultiver ses vignes sur une superficie totale de 92 ha. Le vignoble repose sur deux terroirs : le coteau et les collines. Tandis que le premier est constitué d’un sol argilo-calcaire présentant des strates de calcaire assez profondes, le second est plutôt sablonneux avec une présence en quantité égale de limons et d’argiles. Sur ces différents sols poussent une belle palette de cépages composée de grenache, de syrah et de mourvèdre, utilisés pour l’élaboration des vins rouges, ainsi que des roussanne, marsanne, clairette, grenache blanc et viognier pour les vins blancs. Vinéa Natura, la charte écologique propre au Domaine Jaume Soucieuse de préserver l’équilibre naturel du sol, la famille Jaume privilégie depuis 20 ans une viticulture responsable et met en place des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. De génération en génération, le domaine a su préserver et perfectionner une méthode de travail qui lui est propre. Celle-ci est désormais inscrite dans une charte environnementale appelée Vinéa Natura. « À travers notre charte, nous souhaitons montrer aux gens notre façon de travailler et leur expliquer qu’il y a d’autres solutions alternatives qui fonctionnent très bien en dehors du bio », souligne Anthony Jaume, responsable commercial. Labour traditionnel, apport d’engrais organiques, désherbage naturel, enherbement avec des céréales et des légumineuses, confusion sexuelle pour protéger les vignes contre les insectes… Ici, tout est fait pour que la culture soit en harmonie avec la Nature. « Ce qui nous importe le plus, c’est que nos vins soient exempts de tous résidus», rapporte notre interlocuteur. Côté vinification, celle-ci se fait dans le plus pur respect de la tradition. « Nous faisons presque tout à la main », spécifie Anthony Jaume. Ainsi, le pigeage et le remontage sont réalisés manuellement. La maison accorde une importance particulière à la phase d’élevage et procède chaque année à de nombreuses expériences afin de déterminer le contenant le mieux adapté pour ses vins. Des vins exceptionnels Le domaine élabore des cuvées d’exception qui sauront, à coup sûr, ravir le palais des consommateurs, qu’ils soient amateurs ou avertis. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Altitude 420 » est, à juste titre, la plus représentative. Elle est obtenue à partir de l’assemblage de 60 % de grenache et 40 % de syrah. Au nez, ce vin dévoile des notes de fruits rouges et une belle ampleur sur les fruits frais comme la groseille et le cassis. Afin de préserver les arômes et les tanins fondus, cette cuvée a été partiellement élevée en foudre. Au niveau des accords, elle est la complice idéale pour accompagner des viandes rouges grillées. ...
Investis maitres restaurateurs après seulement un mois et demi d’exercice, c’est une belle récompense que le tandem Flavien Carucci et Mathieu Limon a réussi à décrocher. Un titre qui propulse le duo dans le top des plus jeunes maitres restaurateurs de France. Une belle mise en scène de produits frais Au choix, 6 entrées, 6 plats et 6 desserts… Ajouté à un réel savoir-faire, sous des airs de recettes de grands-pères revisitées, la Terrine de pigeon 72 h de préparation, les Noix de coquilles Saint-Jacques fumées au foin et le Tellement Bon Flavien sont autant de délices à découvrir absolument. « Dans une démarche de circuit court privilégiant les produits locaux et français, nous travaillons avec un producteur qui va directement chercher les produits à moins de 50 km de Paris », indique le co-propriétaire Mathieu Limon. Afin de dénicher les meilleurs accords et de se rapprocher au plus près des goûts de sa clientèle, la cave des Papounets se dote d’un agencement particulier qui fait la différence : une cave composée uniquement d’étiquettes françaises, de propriétaires et récoltants, lesquelles sont rangées par gamme de prix… Une disposition qui va faciliter le choix des clients, d’autant que la cave est apparente avec ses 400 références, soit 2 400 bouteilles de vins. Fait surprenant et original à la fois, la carte des vins, même en étant toujours disponible, n’est pas présentée aux clients puisque le conseil s'effectue « directement par une série de questions en rapport avec la personnalité de chacun ». ...
Découvrir des vins, savoir les déguster, pouvoir les acheter facilement sans frais de port : voici les 3 piliers de notre galaxie ouverte à tous les passionnés de vin. L’abonnement vin My VitiBox My VitiBox, spécialiste de la box vin, vous propose de recevoir chaque mois 2 bouteilles sélectionnées par Philippe Defleur, ancien sommelier du Palais de l’Elysée. Un livret vous fera découvrir le monde du vin et comment profiter au mieux de vos vins en optimisant le service et les accords mets et vins. Pour répondre à vos envies ou gâter vos proches avec un cadeau mémorable, vous avez le choix entre 4 formules : Mariage du Palais, Rouge passion, Invitation au voyage ou Pépites du Vignoble. Vous pourrez ainsi découvrir des vins plaisir, des vins découvertes, des vins étrangers ou encore des vins d’auteur. Vous pourrez ensuite racheter vos coups de cœur avec une réduction de 15 % ! A partir de 81 euros pour 3 mois, frais de port compris. Prodégustation : l’œnologie pour tous Depuis 17 ans, Prodégustation, n°1 des cours d’oenologie, vous accueille dans 18 villes de France pour découvrir pendant 2 ou 4 heures autour de 5 à 7 vins l’art de la dégustation. Votre guide dans ce voyage culturel et sensoriel est l’un des 20 formateurs, tous œnologues ou sommeliers de renom et ambassadeurs des grands terroirs de France. Vous aussi, rejoignez les 13 000 élèves formés chaque année par Prodégustation à l’analyse sensorielle, l’histoire viticole, l’art du service ou encore les accords mets et vins et bien plus ! A partir de 59,90 euros. Le Club Français du Vin : le vin simplement Pour profiter des meilleurs vins dans des conditions exceptionnelles, le Club Français du Vin a créé en partenariat avec Prodégustation la Carte Magnum, une offre unique pour l’achat de vins : vos frais de port offerts, des promotions permanentes sur une sélection de vins, des magnums offerts pour vos grosses commandes et bien d’autres avantages. La Carte Magnum est proposée pour 100 euros, valable 2 ans pour profiter de tous ces avantages et accéder à la sélection du premier Club d’amateurs de vins en France fondé en 1973. ...
Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité. Cadre sympathie et accueil agréable Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée. Excellente adresse, excellent repas Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. En musique La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme. ...
Dans le Lot, plus précisément dans la commune d’Alvignac se trouve un restaurant de charme Chez Ernestine. « Les touristes s’y bousculent pour y découvrir les produits du terroir travaillés suivant des recettes d'antan revisitées par le chef » nous déclare Amandine Calore, maîtresse des lieux. Un chef inspiré… Cet établissement de charme doit sa renommée à son cadre « bistrot chic », mais surtout à sa cuisine traditionnelle teintée de l’inspiration de Joshua Laillier. À 28 ans, le jeune chef tient les rênes de la cuisine avec pour mots d’ordre « faire plaisir tout en se faisant plaisir ». Il fait ses armes au sein du lycée hôtelier de Souillac, avant d’acquérir toutes les bases de la gastronomie et de la brasserie en travaillant dans de nombreux établissements. Cet amoureux des bons produits du terroir se plaît à proposer des assiettes copieuses, des recettes revisitées et un visuel très festif. Ses spécialités ? « La terrine de foie gras maison en entrée, une souris d’agneau confite aux pruneaux et au pain d’épice en plat de résistance, et un tiramisu spéculos banane en dessert ». Un bon vin rouge de Rocamadour relèvera les saveurs de ces plats raffinés. Un cadre style « bistrot chic » Cette cuisine bistronomique est servie dans un cadre original « offrant une belle dualité entre modernité et tradition » selon les explications d'Amandine Calore. Les nappes en vichy, le plafond bas et l’immense bar suggèrent déjà que vous allez passer un bon moment. Les couleurs dans des teintes crème contrastent bien avec la profondeur du bois omniprésent. La devanture, avec ses pierres apparentes, souligne le charme traditionnel des lieux. À l’extérieur, la terrasse ornée de belles plantes et de parasols peut accueillir 50 couverts, et baigne l’atmosphère sous le beau temps du Sud-Ouest. ...
Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...
Installé sur une immense terrasse de plain-pied de 2 500 m2, le Restaurant Les Ombres est une table prestigieuse à l’ambiance intimiste qui sait apporter de l’originalité à la gastronomie. Alain Ducasse a déclaré : « Aux Ombres, j’ai voulu réaliser la synthèse de ce que je suis aujourd’hui. Riche d’un parcours culinaire au cours duquel j’ai célébré la Méditerranée, ciselé la cuisine française contemporaine et créé la Naturalité, j’ai eu envie de rassembler ces trois courants majeurs en un restaurant qui condense mon ADN originel. » LA MÉDITERRANÉE « En tant que cuisinier, c’est sur la Riviera que je suis né », aime à dire Alain Ducasse. Le chef découvre ce terroir à 20 ans et se passionne depuis pour ses produits généreux. Les saveurs de la Méditerranée sont inscrites à jamais dans le cœur d’Alain Ducasse et dans son répertoire culinaire. LA MODERNITÉ Nourrir un client urbain, curieux et informé, dans un lieu d’exception : telle est la vocation d’Alain Ducasse pour Les Ombres. En constante évolution, délibérément contemporaine et parisienne, la cuisine répond ici avec brio aux exigences des convives avertis. LA NATURALITÉ Céréales, légumes, poissons issus de la pêche durable : tels sont les piliers de cette philosophie culinaire, inventée par Alain Ducasse avec Romain Meder dès 2014. « La Naturalité est une telle évidence qu’elle ruisselle sur tous mes restaurants. Aujourd’hui, notre responsabilité est de proposer une cuisine bonne à penser avant d’être bonne à manger. » Ce sont ces trois lignes maîtresses que l’on retrouve dans les menus proposés par les Chefs Rui Martins ( chef exécutif des Ombres et du Café Jacques) et Alexandre Sampere, qui fut le sous-chef de Romain Meder au restaurant Alain Ducasse au Plaza Athénée. Un « enfant » de la Naturalité, avec tout ce que cela comporte d’audace et de maîtrise des nouvelles techniques : extraction, déshydratation, fermentation... Ce jeune chef est aussi un saucier hors pair, passionné par les jus et les condiments. Autant de qualités qui le désignent, aux yeux d’Alain Ducasse, comme le nouvel homme des Ombres. ...
Cette petite boutique située dans le quartier Saint-Pierre est une halte obligatoire pour les riverains et les touristes de passage à Bordeaux. La fromagerie Deruelle est un antre de la gourmandise et des bons produits fermiers. Toutes les régions de la France y sont dignement représentées, mais Élodie DERUELLE a un coup de cœur pour les produits locaux, qu’elle fait découvrir passionnément à ses clients. De délicieux fromages et produits de terroir Sous la lumière tamisée, les fromages disposés dans les vitrines offrent une jolie palette de couleurs qui va de nuances grisâtres à dorées, jusqu’à un ton légèrement bleuté. Plus de 150 variétés de fromages y sont proposées. « Je m’investis plus dans les produits locaux pour mettre en avant notre savoir-faire et privilégier le circuit court », explique la gérante. Qu’elle soit à base de lait de vache, de chèvre ou de brebis, la gamme de fromages suggère des saveurs inattendues, à la fois affinées, aromatiques et typées. L’AOP saint-nectaire, le mont-d’or, le cabécou, le saint-félicien de chez Cellérier, le pouligny-saint-pierre ou encore le rocamadour figurent parmi la sélection. En outre, le rayon frais expose un vaste choix de yaourt, de crème fraîche, de beurre cru en motte du Pays Basque et d'œufs de la ferme. Quelques spécialités lyonnaises de chez Bobosse sont également à découvrir, telles que la cervelle de canut, les jambons ibériques, le pâté en croûte, les quenelles et un assortiment de saucisson. Pour sublimer le tout, un autre rayon propose du miel, de l’huile, des confitures, des vins ainsi que divers produits faits maison (cheese-cake façon Deruelle, tartiflettes, tiramisus, etc.). Un lieu de bonheur pour les gourmets ! « Du côté des producteurs » Pour Élodie DERUELLE, sa fromagerie est avant tout un lien entre les producteurs et les clients. « J’ai fait des études agricoles, j’ai eu ma première expérience dans les fermes à l’âge 14 ans, je suis naturellement du côté des producteurs, surtout des petits producteurs. » Cette sensibilité se traduit par une volonté de travailler étroitement avec eux à travers des visites régulières des fermes. À préciser que certaines exploitations en collaboration avec la fromagerie se sont reconverties vers la biodynamie. Une telle démarche ne peut que garantir des produits d’excellente qualité et une relation de confiance mutuelle. Déterminée jusqu’au bout, la gérante s’est également mobilisée pour soutenir « les producteurs engagés ». « Je travaille par exemple avec une jeune agricultrice qui s’appelle Jessika, elle a pour ambition de sauver la ferme de ses parents, et nous l’aidons à concrétiser son projet d’acquisition d’un troupeau de 25 Jersiaises. » ...
Le Château de Salles est la propriété de la famille De Batz depuis le XVIIIe siècle. L’ancêtre de cette famille gasconne de pure souche est aussi illustre en France que dans le monde entier : Charles de Batz, plus connu sous le nom de d’Artagnan. Lorsqu’il a hérité du domaine en 1989, Henry de Batz a décidé de reprendre totalement les choses en main, après des générations successives de métayer et de fermiers. Au four et au moulin, il s’occupe à la fois de la partie plantation, vinification et commercialisation. Un vignoble idéal « Pour avoir du bon vin, il faut avoir un bon terroir » aime à dire Henry de Batz. Or, celui du Château de Salles est plus que privilégié. Il est composé de cinq hectares de vignes situées en plein cœur de l’appellation Buzet, avec une terre argilo-calcaire, graveleuse et peu profonde. Les vignes sont installées sur des coteaux, propices au développement de la vigne de par sa luminosité et son irrigation. L’encépagement est composé de Merlot, qui confère au vin finesse, souplesse et fruité, de Cabernet Franc qui charpente le vin et lui donne une note animale et de Cabernet Sauvignon, à l’origine d’une note épicée et poivrée. Une agriculture respectueuse de l’environnement Henry de Batz mène au sein de ses terres une politique d’agriculture raisonnée. Il est adhérent à l’organisme Terra Vitis, gage de la bonne marche de cette agriculture. L’épamprage des vignes est effectué manuellement et mécaniquement pour éviter l’utilisation d’herbicides. Des pièges ont été installés dans les vignes afin de comptabiliser les prédateurs et les parasites. Les données recueillies grâce à cette technique permettent ainsi de réduire drastiquement (- 30% en deux ans) l’utilisation des intrants chimiques. Une vinification classique Henry de Batz, vigneron depuis 1989, est un homme qui connait son travail sur le bout des doigts et l’effectue avec une rigueur infaillible. Il s’occupe lui-même de la vinification de sa production depuis 1994. L’intégralité de la vendange est effectuée manuellement. La fermentation des vins se fait dans des cuves en inox. Concernant l’élevage, une partie de la production s’effectue dans des barriques durant 18 mois, notamment celui de la Cuvée d’Artagnan. La maison étant membre des Vignerons Indépendants, l’embouteillement est réalisé au sein même du château. Des vins à la hauteur de ses ancêtres Chaque année, le Château Henry de Batz produit environ 35 000 bouteilles de vins en appellation Buzet AOP. En hommage à son illustre ancêtre, une cuvée intime d’exception a été nommée « Cuvée d’Artagnan ». Elle est issue de vignes de 30 ans d’âge et élevée 18 mois dans des barriques neuves, premier et deuxième vin. Ce vin à la robe rouge profond avec des reflets bruns offre des arômes de fruits mûrs, de café, de chocolat noir et de cachou au nez. En bouche, il est riche et puissant, très soyeux avec beaucoup de matières. Il s’agit d’un excellent vin de garde qui peut se conserver jusqu’à 8 ans. Pour 2016, son millésime 2012 a été récompensé d’une médaille d’or au Concours des Grands Vins Gilbert et Gaillard et d’une médaille d’argent au Concours des Vins des Vignerons Indépendants. Le reste de la production du domaine est décliné sous le nom de « Château de Salles – Buzet ». Son millésime 2010 est un vin à la robe rouge grenat. Au nez, il propose des notes de café, de réglisse, de chocolat noir et de fruits mûrs. Il est très charpenté et riche en bouche avec une très belle longueur, aux arômes de fruits mûrs, vanille, café et chocolat noir. A table, cette cuvée accompagne un jambon de Bayonne, une côtelette d’agneau ou une omelette aux cèpes. Sa grande qualité lui a valu une Médaille d'Or au Concours International des Vins de Lyon en 2014. ...
À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie. Cuisine savoureuse et respect des produits Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier. Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir. Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression. Yolaine : artiste à multiples facettes À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux. Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats. ...
À travers une farandole de plats variés allant des galettes bretonnes à une belle sélection de salades composées, en passant par les savoureuses viandes grillées, l’enseigne est une invitation permanente à la gourmandise. Dans un espace aussi bien lumineux que chaleureux, les lieux se prêtent merveilleusement bien aux repas en famille, entre amis ou en amoureux, avec, en plus, un service sympathique et un accueil chaleureux. Profitez des beaux jours à l’ombre de sa terrasse, à déguster tout un assortiment de bonnes choses, avec, toujours, la surprise de l’assiette, grâce à une cuisine de marché bien orchestrée où la qualité des produits revêt toute son importance. Plusieurs choix de plats Le restaurant Crêperie Satory propose le midi une formule à 12 €, composée d’un plat et d’un dessert. Prenez vos aises en commençant par sa salade niçoise à base de tomates, emmental, œufs et jambon - de quoi ouvrir l’appétit -, et enchaînez avec une entrecôte grillée ou poêlée, avant de terminer par une crêpe caramel au beurre salé. À travers une carte de vins représentative de toutes les régions, allant de la Loire jusqu’au sud de la France, le restaurant est en mesure de proposer un large choix de références, dont une trentaine en vins rouges, une quinzaine en blanc et cinq références en rosé, parmi lesquelles figurent le Crozes-hermitage et le Cahors. La Crêperie Satory, c’est surtout une cuisine au service maîtrisé et à la présentation soignée, qui fait plaisir aux gourmands et gourmets. ...
Plus qu’une tradition familiale, le champagne est pour la famille Millet une passion qu’ils aiment partager. Leurs quatre hectares de vignoble classés 1er Cru, héritage d’une lignée de vignerons, s’étendent sur un terroir au sol calcaire du crétacé . Le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay y règnent en maitre et y puisent dans ce sol riche en minéraux, en oligo- éléments ou sels minéraux leurs caractéristiques aromatiques qui donnent au Champagne Gabriel Boutet ses saveurs déclinées en différentes cuvées qui vous seront présentées sur le domaine. Une marque fidèle aux traditions Gabriel Boutet, c’est une maison traditionnelle qui a su s’adapter aux pratiques culturales de de la viticulture raisonnée depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui c’est vers la viticulture durable que Luc Millet le petit fils de Gabriel Boutet s’oriente. Quant aux méthodes de pressurage et de vinification c’est grâce à la modernisation et la collectivisation des outils que les vins sont travaillés sans additifs de produits animaux qui permettent au champagne d’être consiéré comme végan. C’est cette importance conférée aux valeurs ancestrales du métier de vigneron, conjugué à la modernité des outils utilisés qui est la garantie de la qualité des assemblages appréciés pour la subtilité des différentes cuvées de leur champagne. Accompagnez vos desserts aux fruits acidulés d’une flûte de la cuvée Miss Pat*, un Blanc de Blancs au goût miéllé et suave qui exalte des saveurs d'agrumes et de fruits exotiques. Pour vos mets raffinés, optez pour la cuvée Gold Spirit of Sélection qui est la cuvée « la plus représentative du terroir », selon Patricia Millet. Cet assemblage harmonieux d’environ 75 % de pinot noir confère au champagne sa puissance arômatique alors que les 25 % de chardonnay apportent la fraicheur et la légèreté. La convivialité d’abord En matière d’œnotourisme, la maison Gabriel Boutet se démarque en proposant, au-delà des clichés liés au champagne, des sorties alliant ambiance festive et découverte. L’œil du naturaliste, de l’entomologiste et du botaniste vous fera découvrir que depuis que la Champagne est passée à la culture raisonnée on trouve 35 fois plus de papillons et 15 fois plus de coccinelles sans parler des syrphes, des téléphores. Durant une promenade on pourra dénicher en observant attentivement avec une loupe l’acarien rouge, la larve de cochenille, la cicadelle, le gibouri, la tenthrède… Vous découvrirez comment combattre par la confusion sexuelle les prédateurs, comment les coccinelles à 2 points ou six points, grosses consommatrices de pucerons, les lézards, salamandres tachetées, les grenouilles rousses et crapauds aident le vigneron à lutter contre les maladies. D’autres animations sont prévues en étroite collaboration avec L’IMPERIALE de Marie-Antoinette. La maison conduit ses invités au cœur des villages et des vignes de la champagne historique. Cette prestation unique est organisée à bord d’un bus aménagé spécialement à cet effet avec, au menu, une balade au cœur des vignes et une vue imprenable sur la vallée de la Marne. Au programme : dégustation de trois cuvées Gabriel Boutet et du Ratafia de Champagne, arrêts dans des vignobles et découverte de la région sur la plate-forme panoramique du bus. Des promenades en bateau à aube CROISI CHAMPAGNE, avec repas et animation musicale, et des balades en TUK- TUK CHAMPENOIS sont également proposées à Cumières Hautvillers et Avenue de Champagne à Epernay. Fière de son appartenance à cette terre bénie, la famille Millet vous accueille chaleureusement au milieu de leur domaine centenaire. ...
Passionné très tôt par les vins, Marc Hennequière crée son vignoble à l’âge de 16 ans, en 1980. Vers les années 2000, lorsque sa femme s’installe sur le domaine, ils s’initient ensemble à la champagnisation. Le couple s’acquitte de toutes les tâches, avec l’aide d’un salarié à temps partiel et d’employés saisonniers lors des périodes de palissage et de vendange. Cette petite équipe soudée s’attelle à produire un champagne à l’esprit unique, qui reflète le terroir. Les secrets d’une viticulture durable en Champagne Le vignoble implanté sur la Côte des Bar s’étend sur une superficie de 3,5 hectares. Les cépages (principalement le pinot noir, le meunier et le chardonnay) sont cultivés sur un sol argilo-calcaire, « excellent pour élaborer le champagne », confie Marie-Nelly Hennequière. Le couple possède également quelques parcelles de terrain exposées plein sud, « ce qui permet d’avoir une bonne maturité des raisins ». Divers procédés sont mis en œuvre pour entretenir le sol et les vignes, comme l’usage de charrues, la faible application de produits phytosanitaires et la non-utilisation de désherbants. En effet, les méthodes durables ont spécialement été choisies et adoptées pour « laisser le sol respirer un peu », selon les précisions de la viticultrice. De la vigne au vin La maison Marc Hennequière joue la carte de l’originalité dans la production de ses champagnes en ayant recours à certaines techniques innovantes. « Dernièrement, nous avons décidé de changer un peu notre façon de produire, en lançant la cuvée Prémices qui subit un passage de 6 mois en fûts de chêne. Habituellement, nous ne travaillons qu’avec des cuves en inox », révèle notre interlocutrice. Parmi les 8 cuvées produites aujourd’hui, la cuvée Réserve Marie-Nelly endosse le rôle d’ambassadrice de la maison. « C’est un champagne qui nous définit. » Élaborée à partir de 25 % de chardonnay et le reste en pinot noir et meunier, la cuvée Réserve Marie-Nelly développe un nez complexe et expressif, avec une belle attaque en bouche. Idéale pour déguster une andouillette de Troyes ou une volaille rôtie. ...