Dans un décor sobre et chaleureux, les lieux accueillent bon nombre d’habitués ainsi qu’une clientèle familiale, qui ont la possibilité de privatiser l'une des salles à partir de dix convives. Le restaurant est en mesure de proposer différents menus et formules, à savoir un menu à 38 euros avec entrée-plat-dessert, un menu du marché (du mardi au vendredi) avec entrée-plat ou plat-dessert à 25 euros d’une part et entrée-plat-dessert à 30 euros d’autre part, sans oublier 2 entrées du marché au choix – 2 desserts du marché au choix – 2 plats du marché au choix. À travers une carte inventive qui met en avant la fraîcheur des produits et l’authenticité des goûts, le jeune chef se plaît à composer de belles assiettes tout en réinventant les classiques. Quelques suggestions qui font plaisir aux gourmets Crème de Saint-Jacques, petits croûtons et ciboulette aiguisent l’appétit et ouvrent le bal de la gourmandise. Les sens en éveil permanent nous font revenir des saveurs longtemps oubliées, avec son jarret de porc au miel d’épices et embeurrée de choux rouges à tomber par terre. Pour le dessert, difficile de résister à son moelleux au chocolat de Tanzanie, caramel d’orange et sorbet verveine, un véritable délice ! Pour accompagner chacun des repas, le restaurant Stéphane Martin dispose d’une belle carte représentative de toutes les régions, avec une centaine de références qui font la part belle aux vins du Bordelais, aux vins de Bourgogne blancs, aux vins de la vallée du Rhône et aussi aux vins de Vendée, sans oublier ceux du Languedoc-Roussillon, de Provence, du Beaujolais… ...
Sur une superficie de 32 hectares, le terroir à exposition sud/sud-est est bercé par un doux microclimat méditerranéen. Il se présente sous une mosaïque de parcelles de vignes, organisée en terrasses, avec un sol à dominance argilo-calcaire. En équilibre avec la nature Les cépages sont repartis suivant les caractéristiques du sol, selon qu’il est plus calcaire ou argileux. Les cépages rouges, qui exigent un sol plus profond, dominent les vignobles à 80 %, à l’instar de la syrah, du mourvèdre, du grenache, de la counoise et du carignan. Les cépages blancs sont composés de rolle, marsanne, roussanne, grenache blanc, et sont cultivés en terroir argilo-calcaire. Le domaine s’épanouit dans l’application de la viticulture biodynamique, et s’est vu attribuer la certification Agriculture biologique (AB) et Demeter depuis 2011. Cette démarche consiste à utiliser notamment des composts de substances végétales ou animales dans le sol pour en extraire les principes actifs. Les vignes sont traitées avec délicatesse et en harmonie avec leur environnement immédiat afin d’obtenir des vins plus sains, expressifs et bien équilibrés. AOC Languedoc Pic-saint-loup Les cinq cuvées du domaine sont élaborées selon un savoir-faire particulier par une équipe passionnée. En blanc, le domaine propose le Château La Roque blanc 2016 AOC Languedoc, élaboré avec 30 % de marsanne, 30 % de rolle et 25 % de grenache blanc. En bouche, elle livre une attaque picotée par les agrumes et les litchis, pour finir sur une note plus pétillante. Un choix idéal pour accompagner poissons et fruits de mer. En rouge, l’on s’intéresse plus particulièrement au produit emblématique de la maison, celui qui représente fidèlement le terroir, il s’agit de La Cupa AOC Pic-saint-loup. Obtenue à partir de l’assemblage de syrah à 65 % et de mourvèdre à 35 %, cette cuvée revêt une robe grenat avec une belle nuance violacée. Vin de garde par nature, au nez, elle dégage une douce senteur de fruits noirs agrémentée par une note de cades et de genévriers. À la dégustation, elle fait une attaque marquée avec une belle complexité aromatique et se termine sur une finale plus onctueuse. Cette cuvée a déjà raflé la médaille d’or au challenge Millésime Bio France en 2012 et a été notée 90/100 par l’illustre critique en œnologie Robert Parker. ...
Créée en 1987, la manufacture Forge de Laguiole résulte d’un projet de passionnés qui a depuis relancé la production de son célèbre couteau, connu et reconnu depuis 1829. Toutes les étapes de fabrication sont à nouveau réalisées sur son lieu d’origine : Laguiole (se prononce « laïole »), village aveyronnais de 1200 habitants. Le design de l’établissement est confié à Philippe Starck qui traduit parfaitement la philosophie de l’entreprise : l’alliance de la création et de la tradition. Une architecture de verre et d’aluminium d’où s’élance une lame de 18 mètres de haut, symbole de l’activité et du dynamisme de l’entreprise. Une production entièrement maitrisée Chaque couteau laguiole demande plusieurs heures, voire plusieurs jours de fabrication. La qualité de sa finition, la résistance de sa lame et de son ressort, l'épaisseur de ses mitres et platines, ainsi que la précision de son ajustage sont les éléments qui contribuent à sa durée de vie. La manufacture intègre toutes ces étapes de fabrication. Elle forge et trempe les lames sur le site de Laguiole. Le dessin de chaque couteau doit respecter le profil général déterminé par les couteliers du XIXème siècle ; la ligne des couteaux de la Forge de Laguiole inspire aujourd’hui de nombreux designers. Plusieurs types d’aciers forgés sont proposés pour satisfaire les amateurs de modèles traditionnels comme ceux de couteaux modernes. L’acier au carbone est le plus ancien. Apprécié des collectionneurs, il possède un fil irréprochable et « vit » en s’usant et changeant de couleur. Le nouvel acier T12 est, pour sa part, inaltérable, il conserve son éclat et son tranchant au fil des ans. Un savoir-faire unique Une centaine de salariés hautement qualifiés opère, chacun selon sa spécialité. C'est un véritable voyage dans le temps que propose Forge de Laguiole, pas de course inutile à la technologie, ni de cadences infernales. Ici, on travaille à l'ancienne, selon des techniques éprouvées. C'est le lieu du toucher, de l'odeur des matières, de l'œil qui guide le travail millimétré des mains, des bruissements des frottes en lin ou du choc des rivets. Fabriquer un couteau pliant ou un couteau de table laguiole comprend de nombreuses étapes essentielles telles que l'estampage, la découpe, l'ébavurage, le blanchissage, le guillochage, le perçage, le façonnage, le détourage, le polissage et le lustrage… Assembler un couteau réclame entre 40 à 180 opérations. Toutes sont réalisées sur place. A commencer par les lames dont les aciers différents sont forgés trempés et finissent par se parer de toutes les variantes du rouge. Ici, on aime à dire que le Laguiole épouse le rouge-cerise, sa robe favorite. Celle-ci suivra ensuite le même circuit, le même rite. Elle croisera dans les couloirs ou dans les bacs les manches sculptés dans d'innombrables matières. Elle sera frappée du précieux logo, elle se dévoilera, sertie du ressort guilloché et la célèbre abeille lui sera apposée... Les mains du coutelier et les matériaux utilisés font de chaque couteau une pièce unique. Qu’il s’agisse de pliants aux manches façonnés en corne, en bois, en aluminium, en os ou en carbone, avec une lame de 7 à 21 cm, un tire-bouchon et un poinçon ou des couteaux de table : Tout se passe à l'œil, au jugé, au ressenti, au touché. Fabriquer un vrai couteau Laguiole est un processus complexe qui témoigne d'un authentique savoir-faire, c’est celui-ci qui fait la renommée de La Forge de Laguiole à travers le monde. ...
La famille DAVID-HEUCQ a choisi les méthodes d’exploitation durables pour ses neuf hectares de vignes, afin de préserver les bijoux rares que sont l’environnement et le généreux terroir. Le mariage entre cet amour du terroir, cette rigueur et le savoir-faire garantit raffinement, saveur et caractère aux champagnes H. DAVID HEUCQ. À chaque moment son champagne Environ 85 000 bouteilles de champagne sont produites au domaine H. DAVID HEUCQ chaque année, pour faire le bonheur des œnophiles. La nature s’exprime à travers la large palette proposée par la maison : Réserve Brut, Extra Brut, Rosé Brut, Brut Chardonnay, Délicate Demi-sec, cuvée millésime 2012, Brut millésime 2011, Brut Étincelle et Brut Étincelle Rosé. Ces références uniques dans leur genre sauront trouver leur place dans tous les événements et pour toutes les circonstances : déjeuner, apéritif, réception, etc. Mais parmi tous ces trésors, l’Extra Brut sort du lot. Cette cuvée est obtenue par l’assemblage de 85 % de pinot meunier, de 5 % de pinot noir et de 10 % de chardonnay, puis conservée pendant trois ans. Cette maturité s’exprime par un nez ouvert. Révélant des notes de fruits à chair jaune et une petite touche de caramel, l’Extra Brut est une véritable merveille gourmande. Les nombreuses récompenses reçues (Decanter, Guide Hachette, Gilbert & Gaillard, Concours Général Agricole, Concours ELLE A TABLE de Paris, Concours International de Lyon...) témoignent largement de ses mérites. À la découverte du champagne Amoureux accomplis de leur vignoble et du champagne, les membres de la famille DAVID-HEUCQ sont enchantés de recevoir clients et touristes dans leur domaine. Un caveau d’accueil y est installé, destiné à accueillir jusqu’à 50 personnes. Les déjeuners dans cet écrin de convivialité permettent de profiter de moments gourmands accompagnés de délicieux champagnes au milieu de la nature. Les convives sont également invités à découvrir la cave, la cuverie et les différentes machines (dégorgement, habillage...) ou à déguster des champagnes durant les visites classiques ou les journées portes ouvertes organisées par la maison. ...
La Table du Sommelier propose une cuisine de qualité, entièrement faite maison, concoctée à base de produits frais et locaux. Comme à la maison Installé dans le Vieux Castres, ce restaurant conjugue parfaitement simplicité et authenticité. À l’intérieur, les convives se laisseront séduire par un style cosy ainsi qu’une atmosphère conviviale qui se dégage naturellement des lieux. « Chez nous, les gens se sentent un peu comme chez eux », explique Philippe Subira, gérant et sommelier de l’établissement. Une cuisine du marché Pour s’assurer de la fraicheur de ses produits, le chef choisit de s’approvisionner localement. « Nous nous procurons les fruits et les légumes directement sur le marché. » Ainsi, la carte change au gré des saisons et le restaurant s’adapte volontiers en fonction des produits du moment. En cuisine, le chef laisse exprimer sa créativité pour signer des plats gourmands sans cesse renouvelés. Pour commencer ce voyage culinaire, le duo de foie gras mi-cuit de Corinne offre une excellente entrée en matière. En plat principal, le tartare de bœuf ou la tête de veau, qui figurent parmi les spécialités de la maison, sont vivement recommandés. En dessert, le fondant au chocolat noir et sa crème glacée restent incontournables. « Nous élaborons ce dessert avec une recette particulière », confie le maitre des lieux. Par ailleurs, l’établissement se démarque par ses « Menus autour des vins ». Composés d’une entrée, d’un plat, d’un fromage et d’un dessert, ces derniers s’accompagnent d’une dégustation de trois vins. C’est l’occasion pour Philippe Subira d’enfiler sa casquette de sommelier et de partager ses connaissances avec les invités tout en leur suggérant le meilleur accord mets-vin. 250 références S’ils le souhaitent, les convives peuvent acheter les vins proposés en dégustation lors du repas. Ce restaurant-caviste propose environ 250 références incluant des crus de toutes gammes et provenant de grandes régions viticoles françaises mais aussi étrangères. Pour aider ses hôtes à faire leur choix, Philippe Subira leur présente sa sélection « coup de cœur ». ...
Qui a dit qu’il fallait absolument posséder des hectares de vignes pour produire les meilleurs vins ? Christophe Kaczmarek prouve que l’expérience et un carnet d’adresses bien étoffé suffisent à l’élaboration de cuvées d’excellence. Car ce négociant tisse d’étroites collaborations avec des producteurs certifiés en agriculture biologique et biodynamique pour concevoir sa gamme pleine d’authenticité et de générosité. Retour sur le parcours de ce personnage au caractère bien trempé et sur sa marque French Beaches, productrice de vins, de bières et de spiritueux. Le Master Blending comme source d’inspiration Christophe Kaczmarek se découvre une passion pour les vins lors de ses études à l’EDC Paris Business School. Intégré à la junior entreprise de son école, il travaille avec ses camarades sur le projet « Compositeur de grands vins » pour le compte du célébrissime Bernard Magret. Une fois son cursus achevé, il décide de se plonger dans les méandres de l’univers vinicole en démarrant comme vacataire chez le caviste parisien Le Repaire de Bacchus. De fil en aiguille, il consolide son background en se formant auprès des plus éminents sommeliers tels que Paolo Bouca Nova ou Jean-Michel Deluc. « A partir de 2011, j’ai intégré le domaine Paul Màs et ensuite, j’ai travaillé au sein du groupe Castel », raconte-t-il pour témoigner de son riche parcours. Le déclic survient en 2015. Christophe quitte son poste chez Castel et se lance dans l’aventure de l’entrepreneuriat. « J’ai deux structures dont l’une se nomme Coq au vin et l’autre French Beaches. Avec Coq au vin, j’opère comme agent à l’export pour une douzaine de vignerons et quant à French Beaches, j’y produis mes propres cuvées ». Il puise son inspiration dans le procédé de Master Blending utilisé dans la conception de whiskies. « Le Blended whisky est le résultat d’un mélange de différents whiskies d’âges et d’origines différentes. […] La technique a été créée au Japon et elle est relativement récente puisqu’elle date d’à peine 10 ans », fait savoir notre interlocuteur. Pour élaborer ses vins, cet artisan procède alors à des assemblages de différentes parcelles choisies auprès de ses partenaires vignerons. À la manière d’un parfumeur, il goûte de nombreuses cuves et décident de celles qui peuvent s’associer en se concentrant sur les qualités organoleptiques de chaque jus. Des cuvées festives et généreuses pour le plaisir de tous En quête de repères inédits, contemporains, élégants et identifiables, les consommateurs sont très à cheval sur le packaging des produits. Conscient de ce phénomène, French Beaches choisit par exemple des bouteilles Paris pour mettre en valeur ses cuvées. « Le vin est un produit noble, j’ai voulu lui donner un bel écrin », explique Christophe. Et comme cet artisan ne fait rien dans le conformisme, même ses étiquettes sont conçues de façon sur mesure par des artistes. « Au détour d’une librairie, je suis tombé sur un roman graphique d’Anne-Margot Ramstein qui m’a interpellé. Nous avons conclu une collaboration et elle réalise certaines de nos étiquettes ». Pour partager son goût pour l’audace et le beau, French Beaches dispose de huit cuvées déclinées en deux gammes : « Classique » et « Équinoxe ». Le Vin de pays « Zesty White » s’inscrit comme l’un des fleurons de la maison. Il est produit avec l’aide des Vignerons Catalans installés dans le Roussillon, riche d’une mosaïque de terroirs exceptionnels. Élaboré avec 80 % de sauvignon blanc et 20 % de grenache blanc, Zesty White est un vin gourmand et rayonnant dont les arômes nous plongent dans une salade d’agrumes frais. Ses notes croquantes, fraîches et minérales jouent sur un bel équilibre pour émoustiller les palais. La gamme Classique se compose d’une autre pépite à découvrir abs...
Une petite soif ? Laissez-vous surprendre par le goût inimitable des jus de fruits Elite naturel ! Parfaits pour toute la famille, ils sont à consommer sans modération. Un partenariat « juteux » Active depuis 1975, Elite naturel est une entreprise familiale de boissons implantée en Turquie. À partir de 2003, elle s’est lancée dans le bio et s’illustre rapidement dans le domaine. Devenue leader des jus de fruits bio, la société a acquis depuis une renommée mondiale. Une notoriété qu’elle a su développer en partenariat avec la société Colibri. Cette dernière étant l’importateur distributeur de la marque Elite naturel. Colibri dispose d’un vaste réseau de clients auprès desquels il peut promouvoir non seulement sa propre marque mais également les marques Elite naturel. « Colibri travaille avec 90 % des magasins bio de France, y compris des épiceries fines, des pharmacies et quelques restaurants », souligne Béatrice Claman, la responsable commerciale. Des produits toujours plus innovants Constamment à la recherche de nouveaux goûts à proposer aux consommateurs, Elite naturel ne cesse d’innover ses produits. Aujourd’hui, l’entreprise peut se vanter de disposer d’une riche gamme de jus bio aux saveurs surprenantes : cerise, pastèque, abricot, mulberry, myrtille, melon… autant de délices pour les papilles ! Béatrice Claman explique fièrement : « On arrive à proposer des jus extraordinaires qui n’existent pas en France. » Mais le produit « star » de l’entreprise reste sans conteste le jus de grenade bio. Une nouvelle variété a justement été lancée sous le nom de grenade « Pink ». Sa douceur et sa couleur rose naturelle offrent un réel plaisir pour les sens. D’un point de vue purement gustatif, les consommateurs apprécieront du 100 % pur jus, sans ajout de sucre ni d’eau. En outre, c’est « le seul jus de grenade équitable au monde », rajoute Béatrice Claman. Ce qui en fait un produit vraiment exceptionnel. ...
À Marne-la-Vallée, au cœur du mythique hôtel Vienna House Magic Circus, une table proposant des spécialités gastronomiques françaises, mais aussi européennes, s’érige pour le plaisir des épicuriens. L’hôtel appartenant à un grand groupe hôtelier autrichien se veut être l’ambassadeur de l’art culinaire de l’Hexagone et celui des terres du vieux continent, allant des plats typiques aux vins régionaux. Bar et terrasse, sous un soleil généreux, sont également mis à disposition des hôtes afin d’égayer encore plus leur pause gourmande. Mettant en avant les produits locaux et de saison, la cuisine est ici teintée de saveurs locales mariées à un subtil goût d’ailleurs… Des délices du palais à la simplicité retrouvée… Même si les spécialités européennes font partie du menu, les plats typiques de la France et de la région hôte sont mis en avant afin de révéler le meilleur de cette gastronomie unique au monde. Le temps d’un petit déjeuner ou d’un dîner, laissez ainsi vos papilles frétiller avec les saveurs régionales proposées sous forme de buffet ou servies à table. Avec un menu adulte riche en découvertes et un menu enfant appelant au régal, chaque instant passé dans ce restaurant sera la promesse d’un voyage culinaire au pays du bon et du beau. Un vin français régional ou autrichien viendra y clore un déjeuner copieux placé sous le signe de la simplicité élégante et délicieuse. La salle de ce restaurant peut, entre autres, accueillir au total 450 personnes, de quoi favoriser les rencontres et la convivialité. Les friands de repas en plein air et en communion avec la nature pourront, par ailleurs, profiter d’un déjeuner à l’ombre d’une terrasse à l’exposition idéale. Cette magnifique terrasse de quelque 80 places est, de plus, dotée d’une vue imprenable sur un lac et sur les magnifiques jardins à la française qui entourent l’établissement dans son ensemble. Pour les amateurs de cocktails, d’apéritifs ou de moments de détente intimistes, le bar des artistes les accueille dans une ambiance raffinée, toujours à l’image des lieux. Avec une carte des vins riche et éclectique, ce bar est une invitation à la détente et aux plaisirs gourmands. …au cœur d’un havre de paix Le restaurant L’Étoile est lové au cœur d’un établissement hôtelier de près de 396 chambres et suites, perdu dans un écrin de verdure spécialement imaginé pour s’intégrer dans le paysage campagnard. Ce paysage authentique et pittoresque vient ajouter la touche de sérénité attendue d’une bâtisse dont certains traits rappellent, non seulement la magie du cirque, mais aussi l’âme et le charme intemporels des vieux manoirs français. Non loin du restaurant, vous pourrez vous adonner à la visite de nombreux monuments emblématiques tout en découvrant le patrimoine inégalé d’une région qui a tout à offrir. Avec les parcs de Disneyland® Paris situés à proximité immédiate de l’établissement, des cités médiévales, la Vallée Village et plusieurs châteaux d’époque, allant de Versailles à Fontainebleau, viendront s’ajouter à votre escapade gourmande. À pieds, en voiture ou en VTT, imprégnez-vous ainsi de la beauté du fameux vignoble champenois, du caractère singulier et enchanteur des paysages environnants et goûtez aux plaisirs du vin au sein des nombreuses caves champenoises ou chez les vignerons qui croiseront votre route. Un programme d’exception aux découvertes chargées d’émotions, d’histoires et de passions… ...
Caroline Barroux | Alors, j’ai repris l’exploitation familière en 2004, le château Barrabaque, qui est une propriété de 10hectares en appellation Fronsac-Canon-Fronsac. Et l’histoire de ce domaine commence en 1936 avec monsieur Achille Noël qui cultivait une vigne exclusivement rouge. Comment votre domaine a évolué et quel type d’agriculture vous y pratiquez maintenant ? C B | Alors, c’est une propriété qui appartenait à mon grand-père et ma mère a pris le relais jusqu’en 2004. C’est une exploitation avec principalement des rouges puisque l’appellation Fronsac-Canon-Fronsac ce sont des rouges, et dans les années 2000, j’ai diversifié en faisant du blanc et du rosé. Alors, on est en agriculture raisonnée maintenant depuis plus de 25 ans puisque c’est une démarche que ma mère avait démarrée fin des années 80, qui, ces dernières années ont permis de tenir la certification HVE Haute Valeur environnementale, mais cette certification n’a fait que mettre un mot, j’allais dire sur les pratiques éco responsables que l’on a depuis maintenant plus 25 ans. Une agriculture raisonnée depuis très longtemps pour plusieurs types de cépages, un sauvignon et un sémillon blancs, un rouge merleau, cabernet franc, cabernet sauvignon et petite particularité pour le domaine Barrabaque du Malbec, alors comment est-ce qu’on assemble tout ça chez vous ? C B | Alors, les vins de Barrabaque sont tous des vins d’assemblage, le prestige en est majoritairement merlot du cabernet franc et du malbec. Le château Barrabaque tradition, ce sont les trois cépages, j’allais dire majoritaire de notre appellation, merlot cabernet franc et cabernet sauvignon et puis ensuite la cuvée divins 50% malbec et 50% merlot. Les blancs c’est 2/3 sauvignon et 1/3 sémillon. Alors la particularité du caprice de Caroline c’est qu’il est vinifié en barrique, ça donne un vin un peu atypique dans la mesure où il y a à la fois beaucoup de fruits de fraîcheurs, et quand même une complexité qui est amenée par l’élevage en barrique. Et quant aux rosés, c’est un rosé de saignée, la méthode traditionnelle de production de rosé à Bordeaux et qui est un assemblage 50% merlot 50% cabernet. Et avec tous ces assemblages, nous obtenons vos sept vins, vous nous en parlez ? C B | Alors, nous avons d’abord le rosé qui s’appelle le rosé de Barrabaque, en blanc nous faisons deux blancs différents, le caprice de Caroline qui est vinifié en barrique et le gourmandise certaines années et en particulier les années où nous avons des jeunes vignes parce qu’une jeune vigne ne pourra pas faire l’objet du caprice de Caroline. Et ensuite sur les rouges, nous avons quatre rouges principaux la cuvée Hugo qui est, j’allais dire notre entrée de gamme sans vieillissement en barrique, ensuite nous avons le château Barrabaque tradition, le château Barrabaque prestige et pour finir, une cuvée atypique qui s’appelle le Barrabaque Divin. Et pour parler un peu de votre grand-père grâce à qui tout ça a débuté, qu’est-ce qu’il disait sur les millésimes ? C B | Mon grand-père dirait qu’on reconnaît les bons vignerons, les petits millésimes parce qu’un bon vigneron va faire un bon tous les ans. Les millésimes exceptionnels, on en a forcément, c’est 2015 ça va être 2016, ça va être 2018, 2019, mais des millésimes plus difficiles comme 2014, 2012, et bien quand on fait un grand vin, j’allais dire qu’on peut reconnaître si on a un bon vigneron en face de nous. Une parole sage de votre grand-père. Alors, si moi cet été, pour encore mieux apprécier mes vacances je veux venir visiter votre domaine, comment ça se passe ? C B | Alors nous, on peut s’adapter à toutes les possibilités, j’allais dire qu’on est une des rares propriétés ouvertes au public sept jours sur sept parce que nous habitons sur place. Pour les gens qui ne connaissent pas, on peut faire la visite des cuviers, des chais à barrique et terminer par une dégustation, bon les clients qui connaissent finalement ils viennent déguster les nouveautés et ensuite, on propose également des ateliers de dégustations depuis un an maintenant Et je suis sûre que de déguster vos v...
Le domaine possède 400 ans d’histoire au coeur de la Provence. En 1594, le roi Henri IV ordonne au Duc de Sully de planter les 15 majestueux platanes qui ombragent, encore de nos jours, le parc de la propriété. C’est en 1932 qu’Henri et Charlotte Fabre se prennent de passion pour le Château de l’Aumérade. Ils restructurent la propriété et obtiennent en 1955 le titre de Cru Classé. Henri Fabre développe une activité prospère qui lui permet de devenir l’un des premiers embouteilleurs de la région et l'un des fondateurs des côtes de Provence. Ils créent l’événement en 1956, avec le lancement de la célèbre « Marie-Christine », cuvée ambassadrice de charme des vins de l’Aumérade dans le monde. A partir de 1932, chaque génération de la famille Fabre a su transmettre sa passion de la vigne et son savoir-faire au service de l’excellence. Si la famille produit les 3 couleurs, la production de rosé représente plus de 90%. Les vins issus des cépages typiques de la Provence, (le grenache, cinsault, carignan, syrah et rolle pour le blanc) expriment avec élégance le caractère unique de ce terroir d’exception. La cuvée Marie-Christine Rosé mérite un intérêt particulier puisqu’elle est la cuvée emblématique de la propriété. Très aromatique, elle développe en bouche une intensité minérale ponctuée par des notes de fruits mûrs à chair blanche : une gourmandise ! Ce très beau rosé provençal vous est proposé dans un élégant flacon, imaginé par Charlotte Fabre, l’épouse du fondateur. Pour les blancs, c’est la cuvée Sully Blanc de Blancs qui retiendra notre attention. Ce vin est un grand blanc de Provence, élégant et complexe. Le Rolle, d’une grande qualité gustative s’exprime ici sur des arômes d’agrumes et de poire, traduisant une belle finesse de corps avec une remarquable persistance en bouche. Les rouges quant à eux, sont souples et fruités jeunes, ils évoluent en barriques sur des notes complexes épicées et vanillées développant de l’ampleur et de la puissance à travers des tanins soyeux et élégants. ...
Situé au sud-est de Saint-Émilion, le Château La Croix du Merle est né de la passion de Marien Negre, un amoureux de ses terres et un vigneron expert qui décide de reprendre les rênes du domaine en 2006. Son objectif est de faire de ce terroir une référence dans la production de vins authentiques. Un domaine prestigieux Le domaine possède un vignoble de 2 hectares, composé de plusieurs petites parcelles. Les vignes ont chacune leurs particularités et bénéficient d’un sol argilo-sableux au pied des coteaux. Ce type de sol est souvent sec, et très drainant, ce qui permet de limiter l’excès d’eau. Le terroir est cultivé en monocépage 100 % merlot. Il s’agit d’un cépage utilisé pour la réalisation d’un vin concentré et fruité (notes de cassis, fruits rouges bien mûrs), dans le but de le rendre plus souple et plus aromatique. Un vignoble récompensé « Le Saint-Émilion Grand Cru 2010 a gagné 2 étoiles au Guide Hachette des vins 2013. Il est issu d’un vignoble de 2 hectares établi sur un sol argilo-sableux qui permet de produire des vins colorés et corsés », explique Marien Negre. La fabrication de cet excellent vin commence avant tout par un tri sélectif et des vendanges manuelles. Après le broyage pour obtenir le moût, les raisins subissent ensuite une vinification en cuve bois tronconique inversée. Enfin, pendant environ 12 mois, ils sont élevés dans des barriques de chêne français neuf. « C’est un vin né d’un seul merlot, il est encore très jeune et a besoin de mûrir trois ou quatre années avant d’être dégusté », conseille Marien. Le Saint-Émilion Grand Cru charme l’œil par une robe d’un rubis brillant à reflet grenat dans sa jeunesse. Le nez est dominé par des notes de petits fruits rouges très concentrés et ce bouquet dégage un délicat arôme de vanille, de figue, de crème de griottes, de pruneau cuit et d’amande grillée. En bouche, la richesse aromatique du bouquet se retrouve au palais, les tanins sont très présents, les saveurs de cerise, de cassis et de sureau envahissent les papilles. Avec sa force et son élégance, ce vin peut être servi avec des viandes rouges ou blanches et légumes (secs, verts ou grillés), du gibier et champignons, des gratins jambon et fromage. ...
La madeleine est une gourmandise intemporelle. Dans la biscuiterie Jeannette, on révèle son goût raffiné depuis 1850. Dans la banlieue de Caen, elle est produite avec des ingrédients nobles : de beaux produits de la région, le savoir-faire d’un meilleur ouvrier de France, et surtout la détermination et la patience de son repreneur, Georges Viana et de ses équipes. L’excellence au service d’un beau produit. Une madeleine d’exception se confectionne tout d’abord avec de beaux produits : des oeufs de poule élevées en plein air, des farines normandes et du beurre AOP d’Isigny, l’un des deux seuls beurres AOP de France. Mais il faut aussi les idées et la maîtrise des gestes d’un meilleur ouvrier de France et champion du monde des desserts : Philippe Parc. Ce chef reconnu a également développé pour Jeannette la gamme J aux saveurs d’ailleurs. Des madeleines à la rose de Damas au parfum subtil et délicat. Les madeleines « soleil levant » un plaisir équilibré d’agrumes asiatiques et d’autres créations toute en finesse comme les madeleines à la vanille, au chocolat, ou à la noisette. Privilégier la qualité à la quantité : un véritable engagement Quelle que soit la recette, la biscuiterie Jeannette recherche avant tout la qualité. C’est aussi une démarche socio-économique. Pour Georges Viana, le repreneur, c’est un état d’esprit. Produire de beaux produits, est certes un peu plus cher, mais cela permet de créer des emplois en France, et de se faire réellement plaisir quand on les consomme. Et le pari est gagnant : la biscuiterie emploie aujourd’hui 30 salariés dans son usine. Et 40 salariés en situations de handicap en ESAT (établissement et service d’aide par le travail) qui mettent les madeleines dans les packagings. Une biscuiterie artisanale qui a su renaître de ses cendres. Il aura fallu beaucoup de ténacité et d’engagement pour faire revivre la marque Jeannette, la plus vieille biscuiterie de Normandie. Depuis 1850, elles confectionnait des biscuits secs, mais surtout des madeleines qu’elle vendait partout en France. Ses madeleines avaient même remporté la médaille d’argent au concours de Paris en 1900. A la belle époque, des années 70 à 80, la biscuiterie représentait 80% du marché français et avait jusqu’à 400 employés. Mais Jeannette n’a pas vu arriver les grandes surfaces et tous les changements qu’elles apportaient avec elle. La biscuiterie est donc vendue à une entreprise qui reprend la majorité de ses recettes et ne laisse à Caen que la fabrication des madeleines. Mais d’années en années, l’activité décline. Après plusieurs redressements judiciaires successifs, l’entreprise est finalement liquidée définitivement en décembre 2013. En 2014, le matériel est donc mis aux enchères. Mais de nombreux employés vont se battre pour essayer de le récupérer. Ils occupent l’usine et réussissent à empêcher la vente. La bataille aura aussi le mérite d’alerter les médias. C’est de cette façon que Georges Viana entendra parler de la biscuiterie Jeannette et surtout de ses salariés prêts à se battre pour elle. La situation était complexe, puisque juridiquement, l’entreprise n’existait plus. Georges Viana devait donc trouver, dans un premier temps, un moyen de récupérer la marque. Après avoir mis au point un plan d’action, il était temps de le faire financer. Mais les banques de la région ne voulaient plus avoir à faire avec la biscuiterie. Chacune avait eu à faire avec l’un des redressements judiciaires successifs. Le repreneur décide donc de se tourner vers le financement participatif. Aller là où on ne l’attend pas. Quand il contacte la plateforme de financement participatif pour fixer son objectif à 50 000€, ses interlocuteurs sont plutôt sceptiques. A l’époque, personne n’a jamais dépassé une levée de fond de plus de 20 000 euros sur leur site. Mais Georges Viana s’obstine. A raison. Puisqu’il obtiendra finalement plus de 100 000€ grâce à la mobilisation des internautes normands. Le tribunal de commerce lui attribut alors la marque « Biscuiterie Jeannette &raqu...
L’histoire des Vignoles Galineau & Fils démarre au XIXème siècle. À l’époque, un certain René Galineau s’intéresse aux métiers de vigneron et réussit à transmettre cette passion à ses descendants. En 1968, Michel et Marie Claude prennent la tête du domaine en investissant dans des moyens techniques de production pour élaborer des vins qui subliment leur terroir. Succédant à ses parents, Dominique Galineau représente la nouvelle génération. Il arrive en 2003 et amène avec lui une nouvelle vision de la viticulture qui préconise de meilleures pratiques environnementales. La méthode géophile pour soigner les vignes Les Vignobles Galineau & Fils ont pris leur quartier sur la commune de Pellegrue, à l’extrême est de la Gironde dans l’Entre-Deux-Mers et à quelques encablures de Saint-Émilion. Ils possèdent un domaine de 55 hectares de vignes, dont 54 sont consacrés à la production de vins rouges en AOC Bordeaux Supérieur et l’hectare restant à l’élaboration d’un vin blanc en AOC Entre-Deux-Mers. « Nous avons la chance d’être établis sur un terroir fabuleux qui culmine à 125 mètres d’altitude, soit le point le plus haut de la commune », déclare Isabelle Galineau, épouse de Dominique. Cette situation géographique combinée aux sols argilo-calcaires et argilo-limoneux donnent des crus très atypiques, à la fois gourmands et élégants. Après avoir travaillé ces sols durant de longues années selon les préceptes de la culture raisonnée, le domaine passe à la vitesse supérieure en s’engageant dans une conversion bio. « Nous avons opté pour la méthode géophile qui consiste à installer une flore microbienne dans le sol pour qu’il puisse devenir autonome et générer sa propre défense immunitaire sans intervention humaine. » Ce procédé passe par l’utilisation de plantes, de tisanes de compost, de champignons vivants et de diverses bactéries qui vont aider le sol à se régénérer. « Notre objectif est clairement de retourner à l’existant », fait savoir Isabelle. Des monocépages et des vins d’assemblage à découvrir Comme beaucoup de maisons viticoles bordelaises, les Vignobles Galineau & Fils conçoivent plusieurs monocépages. Parmi les fleurons de la maison figurent la cuvée « Les Perles Noires - Malbec », un 100% malbec. Car le domaine est l’un des rares à Bordeaux à travailler ce cépage oublié. Le vin à la belle robe pourpre révèle des arômes floraux, de cassis et de violette. Il est fruité et dévoile des tanins souples avec une longue finale en bouche. Toujours dans la gamme des monocépages, place à la cuvée « Les Perles Noires – Petit Verdot », un autre cépage peu travaillé dans la région. Ce vin rouge se veut également fruité, confituré et épicé avec beaucoup de volume en bouche et des tanins riches et charnus. Du côté des vins d’assemblage, les cuvées « Bellevue Favereau » et « Bois de Favereau » représentent les fers de la lance du domaine. Ils obtiennent régulièrement des récompenses au Concours Général Agricole, au Concours de Bordeaux, au Challenge International du Vin, etc. Dernier et non des moindres : le blanc issu à 100% du sauvignon blanc. Cette cuvée « Perles Blanches de Galineau » en AOC Entre-Deux-Mers séduit pour ses notes d’agrume et de fruits exotiques. Ce cru accompagne à merveille les viandes blanches, les poissons, les fruits de mer et les fromages. Nos vins et cuvées sont vendus dans le monde entier. ...
Des Côtes d’exception Dans tous les grands vignobles français les vins de côtes ont une place à part : qu’elles soient de Beaune, de Provence ou du Rhône les côtes ont très tôt été colonisées par des viticulteurs produisant des vins de qualité supérieure à ceux de plaine. Ce n’est d’ailleurs pas surprenant si la première AOC vinicole au monde est née sur des coteaux. La vigne y jouit d’un drainage naturel et d’une exposition au soleil favorables à la production de vins concentrés, tanniques colorés et aromatiques. Balayés par les vents, l’air y est plus sain et nécessite moins l’intervention de l’homme. Chez nous, les côtes sont doublement consacrées : elles ont le caractère de ces vins d’élévation et l’élégance noble de leur tradition bordelaise. Un vignoble idéalement situé Situées sur le plateau calcaire de Saint-Emilion, les Côtes de Bordeaux bénéficient de la douce proximité de la Dordogne et ses vins furent décrit par les plus grands auteurs, d’Ausone à Emile Peynaud, comme des terres productrices des meilleurs vins. Le Château Rocher Bellevue produit des vins de côtes racés, puissants et élégants. Les vignes s'étendent sur une superficie de 24 hectares divisée sur deux communes : celle de Saint Magne de Castillon avec des sols argilo-calcaires et celle de Saint Genès de Castillon avec des sols argilo-limoneux. Ces deux terroirs très différents produisent des vins avec un caractère unique : les vignes des coteaux donnent des vins puissants et structurés, celles en pied de côtes des vins frais, souples et aromatiques. Soucieux de l’impact de son activité sur son environnement, le domaine est aujourd’hui engagé dans une démarche environnementale à travers un mode de production raisonné et la mise en place de la certification ISO 14001. ...
À mi-chemin entre Bordeaux et Saint-Émilion, sur la commune de Saint Germain du Puch, Thomas Bonnefon et Maria Mercedes cultivent leurs 15 hectares de vignes dans le respect de la charte biologique depuis 2013. Aucun produit chimique n’a sa place sur les terres de ce couple de vignerons reconvertis. Depuis 2009, ils redonnent vie à cette propriété historique de l’Entre-Deux-Mers se distinguant par la qualité de leurs vins et un accueil œnotouristique innovant. Des vins artisanaux à caractère unique Ce terroir argilo calcaire d’exception bénéficie d’un très bon ensoleillement et drainage naturel, le domaine combine des techniques de vinification ancestrales associées aux technologies dernier cri pour élaborer ses cuvées. Le résultat de leur travail rigoureux et passionné sont des vins bio remarqués par les experts nationaux et internationaux. ...
Fondée en 1932, cette entreprise familiale est aujourd’hui menée d’une main de maître par les frères Fabrice et Florent. S’ils ont hérité du savoir-faire et de la rigueur de leurs ancêtres pour mener à bien leur métier, ils le réalisent de plus avec une passion qui fait leur réussite. Un vignoble idéalement placé D’une surface totale de 15,8 hectares, le vignoble de la maison Autréau-Lasnot est réparti sur neuf communes aux alentours du village de Venteuil. Installé à flanc de coteaux avec un sol majoritairement argilocalcaire, celui-ci est idéalement exposé sud, garant d’une maturité exceptionnelle des raisins. Les trois cépages champenois y sont cultivés, mais, de par son apport en fruité et en rondeur, le pinot meunier est plus que favorisé, avec une part de 65 % du vignoble total. Rigoureusement entretenu, le vignoble tend plutôt vers la qualité que vers la productivité. Des vignerons indépendants et récoltants-manipulants Vignerons indépendants, c'est-à-dire que leurs cuvées sont uniquement issues de leur propre vignoble, les frères Florent et Fabrice sont également récoltants-manipulants, car ils maîtrisent toutes les étapes de la fabrication de leur champagne. Les cuvées y sont élaborées dans le plus pur respect de la tradition, selon les anciennes méthodes. Chaque année, 100 000 bouteilles sont commercialisées, réparties en neuf cuvées toutes aussi exceptionnelles les unes que les autres. Parmi ces neuf cuvées, celle qui reflète le plus le terroir et la personnalité de la maison Autréau Lasnot est le Blanc de Noirs « Bleue Nature » (La Minérale). Issu à 90 % de meunier et à 10 % de pinot noir, ce champagne sans dosage allie fraîcheur et rondeur. Idéal pour un apéritif entre amis. ...
À la découverte des grands classiques La cuisine thaïe est l’une des plus réputées en Asie, ses saveurs sont uniques et la variété de ses ingrédients infinie. Curry, citronnelle, menthe, coriandre, basilic, piment figurent parmi les incontournables des plats les plus emblématiques que l’on retrouve à la carte du Baan Boran – Laab neua, Tom Yam Khun, Pad Thaï, Som Tam, Ped tod rad bamboo sauce, Khaow niaow, (le fameux «Tigre qui pleure »). En version plus ou moins épicée selon les goûts des clients, accompagnés de riz parfumé ou de légumes sautés au wok. Chacun de ces plats préparé à la minute témoigne de la richesse de la gastronomie thaïlandaise et de sa très grande légèreté. Plats allégés et fruits colorés Pour satisfaire l’ensemble de ses clients, le Baan Boran réserve une partie de sa carte à des spécialités allégées et végétariennes à base de légumes et de tofu. Une gastronomie light qui s’accommode bien de riz et de salades, mais aussi de fruits exotiques dont la Thaïlande est l’un des premiers producteurs et consommateurs en Asie du Sud-Est. Des fruits dont certains entrent dans la composition de cocktails avec ou sans alcool que propose le Baan Boran, tandis que la carte des vins réserve de belles surprises aux amateurs de vins du Monde. ...
Appartenant à la famille De Balincourt depuis près de 300 ans, le Domaine de la Garenne s’étend aujourd’hui sur une superficie de 27 ha hectares dont 22 en AOC. En 1961, le comte Jean de Balincourt reprend l’exploitation pour y produire les meilleurs vins de la vallée de Saint-Come. Aujourd’hui, sa fille, Béatrix en assure la direction avec grand succès. Une exploitation familiale Le Domaine de la Garenne se situe dans la Commune de Cadière d’Azur. Ses terres baignent dans un climat méditerranéen, caractérisé par la douceur de ses hivers et de l’intense chaleur de sa saison estivale. La rareté des précipitations qui viennent perturber le climat de la région a une forte influence sur la qualité de l’agriculture du domaine et en l’occurrence du vin qu’il produit. Parallèlement, la texture argilo-calcaire du sol favorise la culture du cépage mourvèdre qui constitue une très grande partie du vignoble des Balincourt. Le Domaine de la Garenne a toujours été une exploitation familiale. Environ 85 % des terres sont consacrées à la viticulture de l’AOC Bandol. L’ensemble de la culture produit 70 % de vin rosé et 30 % de vin rouge. Le domaine a connu d’autres activités avant de devenir un vignoble de renommée. En effet, avant que le comte Jean de Balincourt ne prenne possession des terres en 1965 pour y pratiquer la viticulture, les terres étaient l’un des meilleurs terrains de chasse aux lapins de Garenne. Une fois reconverti à sa nouvelle vocation, le domaine abandonne certaines de ses politiques notamment celles orientées sur le marché du négoce. L’exploitation a pris une toute autre tournure lorsque Béatrix reprend les rennes en 2002. Elle met en pratique ses expériences dans le commerce en entreprise et opte pour un nouveau type de marché notamment plus axé sur l’exportation. Le Bandol rosé Cuvée M 2015 : le flambeau du Domaine de la Garenne Couronné par une médaille d’or lors du Concours Agricole de Paris en 2015, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 fait la fierté de Béatrix de Balincourt. Il se compose de 65 % de mourvèdre, de 25 % de cinsault et de 10 % de grenache pour une teneur en alcool de 13.5°. Sa couleur claire et son nez très fuité font la particularité de ce vin. Apprécié pour sa longueur en bouche, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 accuse une essence d’agrume de pamplemousse agréablement douce. La vendange manuelle est privilégiée afin de préserver la qualité des cépages. Les cultures sont alors égrappées et foulées sans avoir recours à aucun outil mécanique. Les cépages subissent un pressurage direct pour être ensuite fermentés à une température régulée entre 16 – 18 °C. Afin d’en apprécier le goût de façon optimale, il est conseillé de déguster le Bandol Rosé Cuvée M avec une grillade de poisson ou une assiette de poisson en sauce, de la bouillabaisse ou de la bourride, mais il est également excellent en apéritif. ...
Le restaurant Victor Hugo propose quotidiennement à sa clientèle des plats nobles et généreux qui honorent la cuisine française traditionnelle. Concoctés par le talentueux chef Damien Delgado à partir de produits frais de saison, présentés ensuite avec une touche contemporaine, ces plats ont fait de la maison un authentique écrin de la gastronomie française. Une cuisine savoureuse à l’honneur En entrée, la variation autour du thon fait la singularité du restaurant. « Il s’agit de travailler le thon de trois manières différentes », décrit Damien Delgado. En mi-cuit avec une vinaigrette de mangue épicée, en nem ou bien mariné dans le miel et la sauce soja, le thon sera dans tous les cas un vrai délice. En guise de plat de résistance, rien de tel que la noix de Saint-Jacques accompagnée d’une purée de panais et de salsifis avec une noisette poivre et sel. En dessert, l’habituel citron déstructuré prend, dans ce lieu d’exception, une toute autre saveur. La base de la pâte est broyée puis présentée dans le fond d’une verrine. Une crème au citron traditionnelle l’accompagne et est enrichie d’une meringue suisse, « petit clin d’œil à la marque Mövenpick », spécifie le chef. Le dynamisme d’une table gourmande La carte est, quant à elle, très évolutive. Elle est renouvelée deux fois dans l’année afin de saluer la saisonnalité des produits. Et toujours dans cette volonté de satisfaire la clientèle, des plats allégés sont proposés toute l’année sur un menu « Go Healthy ». Celui-ci est « une initiative du siège Mövenpick et tourne autour de la diététique et de la santé », explique Damien Delgado. La cave à vins de la maison est pareillement des plus éclectiques, comprenant une large palette de vins du monde et des vins français. Le Mâcon Blanc en est exemplairement l’un des plus appréciés par les convives. Pour couronner le tout, le 58 Bar & Lounge a coutume d’organiser une multitude d’autres activités, telles « Le rendez-vous du mercredi », les soirées afterwork tous les soirs de la semaine, les happy hours et l’animation live music un mercredi sur deux, où l’ambiance et les racines latines du chef sont mises à l’honneur (Bossa nova, tango Argentin, musique Cubaine et Flamenco). ...
Verzenay, avec ses 1 000 habitants, se trouve dans la Grande montagne de Reims. Réputé pour ses vignes qui dominent les terres à perte de vue, le village compte environ 410 hectares de vignobles pour une surface totale de 1 062 hectares. Son encépagement comprend 86 % de pinot noir, 14 % de chardonnay et 0.6 % de meunier, avec une classification 100 % Grand cru. Son climat fait une de ses particularités, puisqu’il jouit d’un climat dit « océanique dégradé ». Son terroir quant à lui repose sur un sol argilo-calcaire et de la coccolite (craie). C’est sur cette terre bénie par la nature que la famille Vignon produit ses champagnes dans le respect des traditions. Grâce à un savoir-faire ancestral et une grande passion pour le champagne de terroir, la maison Vignon fait partie des plus respectées dans sa région. Ses cinq hectares de vignes permettent la production de 15 000 à 18 000 bouteilles, dont 30 % est vouée à l’exportation (Allemagne, Japon, Angleterre, Italie, Costa Rica, Espagne, Belgique). Sur ce terroir, Stéphane Vignon prône « le respect au maximum de la nature ». Animé par l’amour de la terre et dans un souci de préserver l’environnement, le vigneron y pratique une viticulture raisonnée, d'ailleurs, le vignoble est en conversion pour obtenir l'HVE (Haute Valeur Environnementale). Des champagnes élaborés avec passion et amour La maison Vignon fait partie des producteurs à user de la technique de vinification parcellaire, dont 65% est travaillée en fûts issus de chênes des forêts de Verzenay. L’élevage en fûts se fait dans un nouveau cellier inauguré en 2006. Les vins quant à eux vieillissent dans une cave voûtée du 19e siècle. Un autre aspect important, les cuvées sont non filtrées, non collées, sur lies, dosées en extra-brut et la chaptalisation n'est pas recherchée. Des champagnes riches en goût et en saveur prennent ainsi vie au sein du domaine, à l’exemple du Vignon les Marquises Rosé (2012) élaboré à partir d'une seule vigne de 1965 et avec lequel la maison a gagné le Concours des Jeunes Talents du Champagne. Laissez-vous également charmer par la cuvée Vignon la Réserve des Marquises (2013), issue de sélection parcellaire de vieilles vignes de plus de 40 ans des terroirs Grand Cru de Verzy et Verzenay. ...
Le Domaine Monastrel travaille sur un vignoble qui s’étend sur environ 8 ha. Bénéficiant d’un bel ensoleillement dans la partie orientale de l’AOC Minervois, celui-ci repose sur un terroir présentant un sol argilo-calcaire à forte capacité drainante. L’encépagement est composé majoritairement de mourvèdre, qui semble trouver ici les conditions climatiques propices à son épanouissement. Le vignoble est également composé de syrah, de grenache et de cinsault, utilisés pour l’élaboration des vins rouges et rosés, mais aussi de la roussanne et du vermentino pour les vins blancs. Une viticulture raisonnée Soucieuse de préserver l’environnement, la maison mise sur des pratiques culturales qui respectent les vignes et la Nature. « Pour l’essentiel de mes traitements, j’utilise des produits agréés bio », indique Vincent Énaud, le propriétaire des lieux. Celui-ci fait partie de ces vignerons qui appliquent rigoureusement des mesures prophylactiques pour éviter tout traitement excessif aux vignes. Afin d’assurer la qualité, les rendements sont limités en moyenne à 35 hl/ha. Ici, les vendanges sont encore effectuées à l’ancienne. Ainsi, cette cueillette manuelle permet déjà de réaliser un tri sélectif au niveau des grappes. Une fois triés, les raisins sont égrappés avant de passer en cuve pour la macération. Côté vinification, la maison privilégie la méthode traditionnelle. « Je vinifie par cépage et en fonction des cuvées, la macération peut durer de 5 à 20 jours », précise Vincent Énaud. Le meilleur du Minervois En tout, le domaine élabore 8 cuvées qui reflètent parfaitement la typicité du terroir du Minervois. « Ce sont des vins généreux, soutenus et qui ont beaucoup de couleurs. Leurs tanins sont à la fois souples et fins », explique notre interlocuteur. Parmi les spécialités de la maison, 3 cuvées sortent du lot : la cuvée « Bizan », la cuvée « Bélibaste » et la cuvée de haut de gamme « Victor ». « Bizan » est un vin méditerranéen obtenu à partir de 35 % de mourvèdre, 25 % de grenache, 25 % de syrah et 15 % de carignan. Cette cuvée se démarque par ses arômes de fruits rouges mûrs et de garrigues. Elle dévoile une étonnante fraicheur en bouche ainsi que des notes d’épices et d’aromatiques. Un vin auréolé de deux étoiles au Guide Hachette des vins 2018. La cuvée « Bélibaste » est le fruit de l’assemblage de 80 % de carignan, 15 % de syrah et 5 % de mourvèdre. Le nez est fruité et développe des arômes de fruits noirs et d’épices. Idéal pour accompagner charcuteries, viandes blanches grillées ou poissons fumés. Enfin, la cuvée « Victor », un assemblage de 55 % de mourvèdre, 30 % de syrah et 15 % de grenache, séduit par ses arômes intenses de fruits rouges ainsi que ses tanins suaves et boisé fondu. ...
Associés depuis 5 ans, les deux hommes à la tête du Domaine des Joséphins travaillent sans relâche, pour faire changer le visage du beaujolais aux yeux des amateurs de vins. C’est un vin qui se veut désormais dédié aux grandes dégustations. Il peut aussi être conservé plus longtemps et se bonifier avec le temps. Le domaine propose 12 cuvées avec des gammes différentes. L’évolution du Domaine Défenseur de la viticulture beaujolaise, Gérard Presle s'est occupé seul de ses 21 hectares de vignes avant son association avec Jean-François Pluvinage. Une rencontre qui permet aux deux hommes de travailler sur la phase d'élevage du vin. Un choix peu courant en Beaujolais, qui consiste à travailler le vin en cuve sur lies ou en barriques de 6 mois jusqu'à 2 ans et demi. Une étape minutieuse qui permet au domaine de produire des vins d'exception, reconnus et au potentiel de garde allant jusqu'à plus de 10 ans. La culture des raisins, sur un sol argilo-calcaire en pierres dorées, et sous un climat continental où règne une influence méditerranéenne comme dans ce domaine, est un gage de la qualité des vins. La carte des vins des Joséphins Des vins aussi riches que variés, c’est ce que propose le domaine à travers deux grandes familles: les vins Convivialité et les vins Contemplation. Parmi les vins Convivialité, voici « La belle Joséphine ». C’est un vin rosé et effervescent. Il est fermenté à moitié, et son côté gazeux vient du fait que la fermentation n’est pas achevée. Pour les repas au bord de la piscine ou encore en famille, ce vin pétillant est tout approprié. C’est un vin frais, légèrement sucré en bouche et d’une fine bulle. Un autre vin, composé avec un cépage originaire de suisse et acclimaté au terroir, il s’agit de la « Tête Noire 2014 ». C'est un vin aux accents du sud, corsé, fruité et épicé, il se marie bien avec la cuisine provençale. Le seul vin en assemblage que propose le domaine est le « Coteaux Bourguignons 2012 ». C’est un assemblage de pinot noir, de gamay et une touche de Chardonnay. Il accompagnera volontiers les plats de volaille aux champignons. Le cœur de millésime du domaine est un « Beaujolais rouge AOC 2014» élevé en cuve entre 6 et 9 mois selon les années. Ce classique qui compte parmi les têtes de cuvées peut être gardé 5 à 6 ans. Ce vin a remporté de nombreuses citations: 15/20 dans le Revue des Vins de France et 1 étoile au guide Hachette 2017. C’est le vin du beaujolais le plus simple avec sa robe grenade, son arôme fraise-cassis et une jolie longueur en bouche démarrant sur un soupçon de fraicheur apporté par la minéralité. Au rayon des vins Contemplation, le « Gaamez 2012 Beaujolais des Pierres Dorées ». L’élevage de ce vin dure plus longtemps. 24 mois en fut, 6 mois en bouteille couchée en cave pour bien se reposer avant étiquetage et mise en circulation. Seule la cuvée 2012 est commercialisée actuellement, celle de 2013 est encore en phase repos en cave. C'est un vin rouge aux arômes de fruits rouges cuits, et accompagné d’une douce acidité en bouche libérant un peu de fraîcheur. Il se déguste avec des plats mijotés comme le bœuf bourguignon, et va se garder entre 10 et 12 ans. En accompagnement de plats à base de truffes, le « Viognier des Joséphins ». C’est un vin qui a son berceau à Condrieu. Sa fermentation se fait directement en fut, et il en résulte un arôme pêche-abricot tout en finesse. ...
Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage. N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité. Jeunesse et dynamisme L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride. Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse. Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent. Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ». Un mix entre tradition et modernité Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux. Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos. Un environnement riche et préservé L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie. La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune. ...
Situés sur la commune de Néac, à 6 km de Saint-Émilion, les Vignobles Chatonnet font honneur aux appellations Lalande de Pomerol, Saint-Émilion et Montagne Saint-Émilion en produisant des vins régulièrement médaillés qui font l’unanimité auprès des meilleurs critiques internationaux. Chaque année, Pascal Chatonnet et son équipe s’évertuent à élaborer des cuvées qui glorifient leur terroir. 2020 n’a pas fait exception à la règle. Millésime 2020, « L’Impressionnant » À côté des problèmes dus à la pandémie qui ont compliqué les travaux dans la vigne, le millésime 2020 a été marqué par un printemps climatiquement difficile puis un été très atypique qui a commencé par une sécheresse exceptionnelle heureusement contrôlée par les pluies ayant ralentit la fin de la véraison. À l’arrivée, les vins obtenus révèlent un profil surprenant, très équilibré, élégant, à la fois opulent, souple et frais. Impressionnant ! Des cuvées harmonieuses et expressives Symbole du savoir-faire de la famille Chatonnet, la cuvée Château Haut-Chaigneau 2020 allie une incroyable fraîcheur, une harmonie exceptionnelle et une belle accessibilité. De son côté, la cuvée La Croix Chaigneau 2020 s’illustre pour son caractère voluptueux et équilibré. Le cru La Sergue 2020 qui est né d’une association des trois terroirs La Pignière, La Margaux et Haut-Chaigneau à Lalande de Pomerol tire profit du Merlot, du Cabernet Franc et du Malbec pour se dévoiler dans sa plus belle expression. Quant au cru de l’Archange, il est à l’image de toute la puissance et la pureté du Merlot. ...