Plantées en coteaux, les vignes idéalement exposées bénéficient des qualités d’un sol argilo-calcaire conférant puissance et saveurs typées aux cépages. Les méthodes traditionnelles conjuguées à la modernité révèlent l’authenticité du champagne, valeur véhiculée par cette maison solidement ancrée entre l’Aube et la côte des Bar. Une nature généreuse préservée « Mes grands-parents et mon père Pascal étaient déjà sensibles à l’environnement », nous confie Adeline Bonnet, associée exploitante. Elle perpétue ainsi des gestes salvateurs pour la biodiversité de sa région en « excluant totalement l’usage d'insecticides et d’herbicides depuis maintenant vingt ans, en favorisant un enherbement contrôlé et en ayant pour objectif de fertiliser le sol avec des composts afin de réduire au maximum l’empreinte carbone et préserver l’écosystème ». Des cuvées d’exception expressives du terroir Les vendanges manuelles et la vinification traditionnelle sont autant de gages de qualité pour les cuvées Camille Marcel. Parmi les cuvées phares de la maison, appréciez le Brut de Noirs, un 100 % pinot noir vieilli trois ans en cave et représentant fidèlement le terroir de la côte des Bar. Ses notes fruitées avec un peu de structure en font une « cuvée puissante aromatique mais élégante et ronde, à servir en repas ou avec du fromage du terroir », conseille Adeline. Appréciez également en cocktail ou en dessert une cuvée spéciale rendant hommage à une ancienne danseuse, courtisane et non moins espionne, Mata Hari. La touche suave et la volupté de ce champagne vous ramènent alors à l’univers envoûtant de cette femme de légende. ...
Bordeaux s’inscrit comme l’une des principales voies du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Le Château au Grand Paris faisait partie des relais accueillant autrefois les pèlerins. Édifié au XVIIème siècle, il était géré par des moines qui y cultivaient un petit vignoble. L’ancien bâtiment garde encore les traces de ce riche passé à travers la présence de quelques éléments décoratifs et architecturaux. « La maison est constituée de grandes ouvertures et d’un très haut plafond. Sur la cheminée, la fameuse coquille Saint-Jacques est encore visible », nous confie Isabelle Castenet, aujourd’hui à la tête du domaine avec son frère Christophe Langel. Un mode de production traditionnelle Le domaine Château au Grand Paris est situé à une cinquantaine de kilomètres à l’est-sud-est de Bordeaux. Il est établi sur un terroir relativement abrupt composé de coteaux avec des sols argilo-calcaires ainsi que des terres plus limoneuses à certains endroits qui jouent sur la diversification de la production. « Sur la même exploitation, nous avons plusieurs variétés de raisins qui nous permettent d’avoir des vins plus complexes », plaide notre interlocutrice. Bordeaux étant une région d’assemblage par excellence, la maison fait honneur à la tradition en réalisant également plusieurs associations. « Nos assemblages s’effectuent selon la typicité de chaque cuve et sont souvent différents pour que nous puissions toujours avoir un même produit au fil des années ». Un vin blanc aromatique et fruité pour des instants de gourmandise En travaillant de nombreuses appellations telles que l’AOC Bordeaux, l’AOC Bordeaux Supérieur et l’AOC Entre-deux-mers, le Château au Grand Paris parvient à proposer une riche gamme de cuvées aromatiques et fruitées. Et bien que le vignoble bordelais soit réputé pour ses illustres vins rouges, la maison désormais certifiée HVE a bâti sa notoriété sur son vin blanc à l’instar de la cuvée Entre-Deux-Mers. Ce vin blanc sec composé de sauvignon, de muscadelle et de sémillon plaît pour ses arômes de fleurs blanches et ses saveurs fruitées sur fond de notes de pêche et de pamplemousse. A vocation apéritive, il accompagne à merveille les fruits de mer, les coquillages, les poissons, les huîtres et les crustacés. Preuve de son excellence : ce produit est régulièrement primé par de grands guides tels que Gilbert & Gaillard. ...
Avec un slogan fort de sens - « Tous vos succès méritent un GREMILLET » - en parfait écho avec le parcours de la maison qui s’est rapidement hissée parmi les plus belles de son secteur, l’entreprise, créée par Jean-Michel GREMILLET en 1979 et reprise par ses enfants Anne et Jean-Christophe, offre un regard optimiste sur l’avenir et place la détermination, le dynamisme et le travail au cœur de ses valeurs. Une gamme de champagne mêlant qualité, fraîcheur et élégance La maison produit aujourd’hui 500 000 bouteilles par an. Le fruit d’un savoir-faire et d’une terre précieuse : un domaine vaste de 48 ha, situé au cœur du terroir unique de la Côte des Bar où le pinot noir est roi, et qui abrite depuis 2013 un clos. Ce dernier a enfanté la dernière création de la maison, une cuvée bijou qui porte son nom : le Clos Rocher. ...
Définir le Clos Caché comme un simple restaurant serait inapproprié. On n’y va pas uniquement pour se restaurer mais aussi pour profiter d’un moment de bien-être et de détente, le tout dans la plus grande intimité. Des célébrités en apprécient la discrétion. L’établissement sis dans le petit village d’Escamps dans le Lot se veut être une adresse élégante et traditionnelle où l’on cultive la convivialité. L’accueil ultra-personnalisé dès la réservation par téléphone dénote déjà du service qui vous attend ! Prêt ? C’est parti… Un havre privilégié à l’ambiance intimiste et raffiné A 20 km au Sud Est de Cahors, discrètement niché sur le causse de Lalbenque, haut lieu de la truffe tuber melanosporum, l’ancienne fermette s’est transformée en une table gourmande et raffinée. Dès l’arrivée sur place, Denis, le maître des lieux, vous accueille. Ici, vous ne serez pas traité comme un client mais bel et bien comme un convive. Votre hôte vous fera visiter la propriété, histoire de vous imprégner des lieux. L’espace paysager agrémenté des arbres typiques du Quercy ne laisse pas de marbre. L’étendue d’eau quant à elle vient sublimer ce décor bucolique et dépaysant. Selon les saisons, vous avez le choix entre vous délasser sur la terrasse ombragée afin de continuer à profiter de cet environnement verdoyant ou vous installer dans la salle, décorée avec beaucoup de goût. Car outre ses talents en cuisine, Mireille est aussi une ancienne architecte d’intérieur qui a su mettre en valeur avec subtilité, l’élégance et la rusticité des lieux. Tout est fait pour assurer confort dans une atmosphère sereine. Une cuisine généreuse et personnelle Au Clos Caché, les clients sont autant choyés à l’accueil que dans l’assiette. Mireille propose une cuisine traditionnelle alliant plaisir, équilibre et gourmandise. Elle puise son inspiration sur la mixité de ses vies passées ailleurs avec les richesses offertes par les terroirs. Autant que possible, elle s’approvisionne auprès des producteurs locaux afin de garantir fraîcheur et qualité. Ici, pas de carte. On sert un menu par jour, concocté selon l’humeur et l’inspiration de la chef. Attention, l’établissement ne reçoit que sur réservation. Dès cette prise de contact, vos hôtes vous mettent au parfum quant aux plats qui seront proposés. Au menu ce jour-là, nous avions dégusté un foie gras croustillant sur une crème de févettes en entrée, un filet de lotte rôtie nappée d’une émulsion aux olives noire en plat principal et un délicieux soufflé au citron vert répandu dans une crêpe en guise de bouquet final. Une belle expérience pour nos papilles. Pour les amateurs de truffe, la maison concocte des formules spéciales. Durant la saison, des repas autour de cet exceptionnel produit sont élaborés. Côté prix, cette expérience hors de toute réalité est tarifée au prix le plus juste. Il faudra compter entre 57 et 65 euros pour un repas incluant le menu, les boissons et le plateau de fromage. Pour les menus spéciaux « truffes », les tarifs oscillent entre 75 et 80 euros hors boisson. ...
Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque. Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur. La gastronomie Poyet Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche. Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère. Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix. Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues. Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef. La carte des vins La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région. Le cadre Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local. La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour ! ...
Les 5 hectares de vignes (50% Chardonnay, 30% Pinot noir, 20% Pinot Meunier) sont situés sur les coteaux du Sézannais. Une viticulture à Haute Valeur Environnementale En 2000, Marlène Delong reprend la maison de champagne créée par son père en 1966. Pour cette amoureuse de la nature, il est essentiel que ses champagnes lui ressemblent. Elle s’est donc engagée, avec Damien, dans une démarche respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Elle a tout naturellement supprimé des intrants, privilégié les engrais verts, utilisé des levures et bactéries naturelles pour conserver l’identité du terroir dans ses différentes cuvées. ...
Avec son appartenance à l'AOP Languedoc et à l'IGP Cévennes certifiés Demeter et Agriculture Biologique, le vignoble du Mas Costeplane est l'incarnation même de l'excellence viticole en biodynamie. Une viticulture qui est bien plus qu'une simple méthode d'agriculture biologique puisqu’elle vise à travailler en harmonie avec les cycles de la nature, à favoriser la création d'un écosystème afin de régénérer les sols, renforcer la vitalité des vignes pour ne produire que des raisins certes en quantité limitée mais d'une qualité exceptionnelle. En France, moins de 500 domaines viticoles sont sous le label Demeter. Ils appliquent de bonnes pratiques agronomiques qui permettent aux vins d’exprimer pleinement ses qualités et la typicité d’un terroir. Quant au Mas Costeplane, pionnier dans le domaine de la biodynamie, il est à retenir que ses sols n’ont vu aucun pesticide depuis plus de 50 ans. Un gage de qualité qui restitue dans la bouteille tout le reflet du terroir avec pour chaque millésime des raisins sains, récoltés à parfaite maturité tout en évitant intrant ou additif en vinification. Mas Costeplane : terroir d’excellence, respect de la Nature et biodiversité Sur 30 hectares, le mas Costeplane bénéficie d'un terroir d'exception caractérisé par des sols argilo-calcaires entourées de collines où prédominent garrigues, chênes verts, pins, plantes aromatiques et une biodiversité végétale et animale exceptionnelle. Le seul voisin du Mas est la miellerie du Clairan qui se situe à 2 kms environ du domaine. En somme, une véritable terre promise pour ce vigneron car elle lui apporte un terroir équilibré avec des conditions climatiques certes rudes mais idéales pour la culture de la vigne. Le climat avec la proximité de la mer, le soleil méditerranéen souvent torride en été, les vents frais des Cévennes avec une centaine de nuits de gel en hiver confèrent aux raisins et aux cépages cultivés une richesse et une complexité unique. Dans cette perspective, Loïc Manchec en vigneron attentif, véritable gardien de la terre prend en compte l'ensemble de son environnement, des insectes aux oiseaux qui survolent les vignes aux micro-organismes foisonnant dans le sol. Ici, au Mas Costeplane, chaque élément de cet écosystème est considéré comme essentiel pour maintenir l'équilibre et la vitalité de la vigne où 7 cépages sont cultivés afin de donner des vins authentiques au véritable reflet du terroir. Richesse des cépages pour des vins blancs authentiques… Pour les blancs, le Vermentino, le Grenache blanc et le Chardonnay sont à l'honneur. En ce qui concerne le Vermentino, ce cépage nécessite un climat chaud et sa culture ne peut se faire que sur des parcelles bien exposées au soleil. Pioch de l’Oule 2020 en blanc en AOP Languedoc (15 €), vinifié, assemblé avec le Grenache blanc et le vermentino donne un vin blanc aromatique avec au nez des senteurs d’herbes sauvages, de fenouil, de zestes de citron vert, de citronnelle et de fruits à chair blanche. En bouche, il révèle une belle fraîcheur avec une longueur, une ampleur et un léger piquant herbacé. D’une couleur « paille brillante » aux reflets verts, ce vin a reçu la note de 90/100 au Blind Tasted de Andreas Larsson, meilleur sommelier au monde et fervent défenseur de de la dégustation à l’aveugle. Une véritable récompense pour Mas Costeplane puisque le succès est également au rendez-vous avec une production en vin blanc notamment pour la cuvée Vermentino 2022 blanc en IGP Cévennes (7,80 €) en rupture chaque année dès la fin juin. Un vin à la robe d'une pureté cristalline aux reflets verdoyants et au bouquet d’agrumes, de fleurs blanches avec en bouche une rondeur et une finale légèrement saline. En somme, toute l’expression magistrale de ce cépage qu’est le Vermentino que l'on retrouve dans les vins du domaine Costeplane. Pour les amateurs de chardonnay, cépage de raisin blanc originaire de la Bourgogne, on le retrouve également au Mas Costeplane dans une production assez confidentielle limitée à 30 Hl/ha pour ne conserver uniquement que le meilleur. Résultat, u...
Afin de donner un nouvel élan au vignoble, les propriétaires des lieux ont fait appel à Jannick Utard. Issu d’une lignée de vignerons, ce dernier débarque au domaine en 2006. Assez rapidement, il s’attèle à mettre l’exploitation sur la voie de l’excellence à travers l’utilisation de méthodes de culture biologique et biodynamique. Un terroir propice aux grands vins rouges Le vignoble de 20 ha du Domaine de la Navicelle, situé entre mer et montagne, est implanté sur le terroir exceptionnel de la Colle Noire. Les vignes sont en restanque sur des sols d’argile lourde et un sous-sol rocailleux de calcaire, de grès et de schistes. « Cette typicité est très bénéfique pour la vigne puisque, en raison de la très grande capacité de rétention de l’argile, les raisins ne souffrent pas de la chaleur de l’été et atteignent facilement leur maturité optimale », explique Alice Euvrard, directrice commerciale. Une viticulture saine Certifié bio en 2014 et Demeter en 2017, le domaine met en avant des pratiques culturales saines en vue de préserver l’environnement. Ici, l’objectif est d’intensifier au maximum les échanges entre la vigne et le milieu dans lequel elle vit. De cette manière, la plante développe une vitalité et une résistance face aux maladies et autres agressions. « 90 % du vin se fait d’abord à la vigne. Avoir de beaux raisins d’une maturité optimale, c’est vraiment la base de notre travail. » Côté vinification, la maison se distingue par des techniques qui autorisent très peu d’intervention pour conserver un maximum de fruits et de fraicheur. En outre, elle se sert des levures indigènes présentes naturellement à la vigne et au chai. « Nous ne mettons pas de CO2 dans les cuves, ce qui fait que nos vins ne contiennent que très peu de sulfites », souligne Alice Euvrard. Au niveau des blancs, la vinification et l’élevage sur lies fines se font en fûts d’acacia, permettant d’obtenir des notes plus subtiles que ce que l’on obtient avec le chêne. Des vins qui reflètent le terroir Grâce aux différentes particularités du terroir de la Colle Noire, les vins de la maison sont riches, complexes et se dotent d’une belle fraicheur. Remises au goût du jour, les gammes du Domaine de la Navicelle célèbrent aujourd’hui l’esprit méditerranéen avec des étiquettes qui évoquent le monde marin. Parmi les spécialités proposées, « Indigo » représente le cœur de gamme de la maison. Il s’agit de 3 nectars (blanc, rouge, rosé) qui magnifient à la fois cépages et terroir. Le blanc, élaboré à partir de rolle, séduit par ses notes de pamplemousse, de fruits blancs et de fenouil. Le rouge, composé de grenache, de syrah et de mourvèdre, révèle des arômes de fruits noirs comme la cerise, de garrigue et de tabac blond. En bouche, ce vin très frais présente des tanins fins et veloutés. Enfin, le rosé, à base de tibouren, de grenache, de cinsault et de syrah, est un parfait équilibre entre matière et fraicheur. Un vrai rosé de gastronomie qui sublimera des mets exotiques et les poissons de la Méditerranée ...
Maison familiale depuis la fin du XIXe siècle, cette distillerie artisanale est dirigée par Jean-Marie Leisen, épaulé par sa fille Sarah Leisen, qui se tient prête à reprendre le flambeau. Une recherche de la qualité Afin de proposer une production de qualité, la distillerie met en avant un savoir-faire traditionnel mais surtout l’utilisation des meilleures matières premières. Pour confectionner ses cidres et ses jus de pomme par exemple, elle opte pour des fruits 100 % bio et présentant un niveau optimal de maturité. Côté vieillissement, la maison a recours à des techniques spécifiques. Ainsi, la mirabelle de Lorraine, un de ses produits phares, se conserve une année dans des cuves en inox, puis une autre année dans des barriques en fût placées dans les caves. L’eau-de-vie passera ensuite 5 ans dans des cuves en grès, placées cette fois-ci dans les greniers. En agissant de la sorte, la maison fait profiter son nectar d’une variation de température propice à son vieillissement. ...
L’exploitation est implantée dans le village de Nuits-Saint-Georges et s’étend sur la Côte de Nuits et la Côte de Beaune. Des appellations qui sont connues pour l’élaboration de vins rouges de qualité. Aujourd’hui, l’ensemble du domaine Moillard est conduit en viticulture raisonnée, sous l’œil avisé de Jacques Briday, chef de culture. De la vigne au vin, tout se fait dans le respect de la tradition bourguignonne. Une famille, un domaine La famille Moillard et le vin ne font qu’un. Bien avant la Révolution française, cette famille menait déjà une importante activité viticole à Nuits-Saint-Georges. Mais ce n’est qu’en 1850, sous l’impulsion de Symphorien Moillard, que la maison a connu un réel essor. « Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de Bourgogne, dont les valeurs sont l’authenticité, la qualité, l’héritage, la générosité et le savoir-faire », souligne Cathy Stoffel, cheffe de produit. Un adepte de la viticulture raisonnée Sur ce vignoble d’une dizaine d’hectares planté en pinot noir et en chardonnay, Jacques Briday et son équipe appliquent une viticulture raisonnée, tout en adoptant des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, chaque parcelle est travaillée selon ses propres besoins. Résultat, des raisins de qualité qui atteignent une maturité optimale et qui seront vendangés manuellement. De longues cuvaisons La maison Moillard se démarque par des techniques de vinification qui nécessitent très peu d’intervention humaine. « Une des particularités du domaine réside dans le fait que la réception en vendange et la vinification se font par système de gravité », explique Baptiste Corrot, œnologue au domaine. Pour élaborer ses vins rouges, la maison procède d’abord à un tri rigoureux des baies avant de les acheminer vers les cuves grâce à des petits bacs. Les jus font l’objet d’une macération post-fermentaire durant plusieurs jours. Au niveau des blancs, les raisins sont délicatement pressés puis débourbés. Suivent une fermentation en cuve thermorégulée ou en fût de chêne (selon les appellations) et un bâtonnage régulier en vue d’apporter plus de complexité aromatique. Des cuvées d’exception Le domaine Moillard produit pas moins de 4 appellations, dont Bourgogne Hautes Côtes de Nuits, Côte de Nuits Villages, Savigny-lès-Beaune et Nuits-Saint-Georges Les Argillats. Parmi les nombreuses cuvées de la maison, la cuvée « Nuits-Saint-Georges Les Argillats » est la plus représentative. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits rouges mâtinés d'épices. En bouche, celui-ci se révèle riche, dense, rond et suave, porté par des tanins fins et soyeux. ...
FlashMatin | Bonjour Marion ! Marion Rouaux | Bonjour ! Vous allez nous aider à mieux connaître Monsieur Philippe Chevrier, grand cuisinier qui exerce son art principalement en Suisse. Il possède six restaurants, dont nous allons parler tout au long de ce podcast. Tout d’abord, évoquons le premier établissement du chef : le domaine de Châteauvieux. M R | Philippe Chevrier a débuté en tant que chef de cuisine. A l’issue de la première année, il a décidé d’acheter le domaine parce qu’il en est tombé amoureux. C’est un bâtiment du XVIIe siècle qui a conservé son cachet, entouré de vignes, avec le Rhône qui coule aux pieds, les montagnes du Salève et du Jura en toile de fond. On ne peut que tomber amoureux de l’endroit. Mais, n’étant pas situé au centre-ville de Genève, Philippe Chevrier s’est dit : « Pour faire venir les gens jusqu’ici, il faut que je fasse une cuisine d’exception. » Une cuisine d’exception, c’est le bon mot je pense car le chef Chevrier obtient sa première étoile au guide Michelin en 1991 au sein du domaine Châteauvieux. On suppose que cela l’a aidé à faire venir la clientèle dans son restaurant. M R | Bien sûr ! À l’époque, les réseaux sociaux n’existaient pas, tout comme les nombreuses références sur Internet. Les clients se fiaient aux guides, notamment Michelin, Gault&Millau, qui est très pertinent en Suisse. À l’époque, c’était l’un des premiers restaurants référencés dans le guide Michelin en Suisse. Cela ne s’est pas arrêté là puisque le chef Chevrier a obtenu depuis une deuxième étoile. Comment se distinguait-il des autres cuisiniers ? M R | Il faut savoir qu’il propose une cuisine assez traditionnelle, mais sa particularité est de sublimer le produit, sans trop le transformer. Sa cuisine est aussi très généreuse. On pouvait retrouver des plats assez régressifs qui font penser à la cuisine de nos grand-mères, notamment des jambonnettes de cuisses de grenouille sautées à l’ail avec une petite purée mousseline de pomme de terre. Des choses assez simples finalement, mais qui rassemblent tout le monde autour des traditions. Encore une fois, il met en avant la qualité du produit. Ce sont toujours des produits d’exception, de premier choix. Souvent, ce n’est pas le chef de cuisine la star, mais vraiment le produit et le goût. Cette philosophie a permis à Chevrier de se développer, jusqu’à posséder désormais six restaurants tous différents et uniques. Il faut préciser qu’il dirige personnellement le domaine de Châteauvieux, mais que les chefs cuisiniers aux commandes des autres établissements sont passés préalablement par ses cuisines. C’est donc une assiette de qualité que vous retrouverez dans n’importe quelle assiette des restaurants Chevrier, et notamment « Chez Philippe », un restaurant qui a sa petite histoire, non ? M R | Monsieur Chevrier est un amoureux de New-York. Il court d’ailleurs le marathon chaque année. Encore aujourd’hui, il s’est dit : « C’est un rêve de créer un jour un établissement avec cet esprit new-yorkais, façon Steak House. » D’ailleurs, c’est ce qu’il a réalisé avec la création de « Chez Philippe ». C’est un Bar-Grill, un établissement à grande envergure, qui accueille environ 500 personnes tous les jours, 7j/7. Dans un style un petit peu similaire c’est-à-dire un peu industriel, mais avec une carte totalement différente, il y a aussi le « Denise’s Art of Burger ». Un restaurant de Burger gastronomique appelé Denise, en hommage à la maman du chef Chevrier. Pouvez-vous nous dire à quoi ressemble un burger gastronomique ? M R | Tout tourne autour du produit. Même sur un burger basique, on va travailler avec un pain d’un boulanger qui a été spécialement conçu pour les Buns, pour nos burgers. On va travailler avec un bœuf 100% suisse, qui est un steak taillé au couteau, et encore une fois sur un fromage de gruyère suisse. Donc, la différence se fait vraiment sur la qualité du produit. Il y a ...
L’histoire de ce domaine familial démarre en 1936. À l’époque, Achille Noël opérant alors comme négociant en vins à Lille décide de faire acquisition d’une propriété dont les origines remontent au XVIIème siècle. Au fil du temps, le Château Barrabaque passe de génération en génération. Nicole Noël transmet le flambeau à sa fille en 2004. Désormais à la tête de l’exploitation, Caroline Noël-Barroux aspire à perpétuer ce précieux héritage en associant le savoir-faire familial séculaire à des techniques de production plus modernes selon une démarche tenant compte de la protection des écosystèmes. Un terroir exceptionnel, gage de vins fins et fruités Situé sur un terroir de beauté et d’authenticité, à cheval entre l’appellation Fronsac et Canon Fronsac, le Château Barrabaque possède un vignoble de 10 hectares exposé plein sud et majoritairement argilo-calcaire. « Sur ce terroir précoce, nous produisons des vins assez puissants », témoigne Caroline Noël-Barroux. Puissants certes, mais surtout, fruités. Car depuis la création du domaine, la famille a à cœur à produire des cuvées que « l’on a envie de boire et pas seulement de goûter ». D’une rigueur implacable sur la qualité de ses produits, la maison adopte une approche plus respectueuse de l’environnement dans son mode de travail. « Nous avons pris le virage de l’agriculture raisonnée depuis maintenant 30 ans », déclare la vigneronne. L’idée n’est pas d’opter pour une conduite écologique exclusivement sur le vignoble mais dans la filière dans sa globalité. Ainsi, à part la réduction des produits de traitement phytosanitaires, le domaine tient compte par exemple des émissions de gaz carbonique générées par le passage des tracteurs. Ces efforts ont été récompensés en 2019 par l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE). À travers ce concept plus vertueux pour l’écosystème, le merlot, le cabernet franc, le cabernet sauvignon et le malbec peuvent ainsi se révéler dans leur plus belle expression. Une ode aux terres de Fronsac La « cuvée Prestige » et la « cuvée Tradition » s’inscrivent comme les best-sellers de la maison. Élaboré à base de 80% de merlot, 18% de cabernet et 2% de malbec, le rouge Prestige est issu de parcelles situées en haut de coteau ayant l’avantage d’être naturellement concentrées. Ce vin ample et équilibré s’illustre pour sa belle complexité aromatique. Le rouge Tradition est élaboré sur des parcelles sises en bas de côtes. Composé de 70% de merlot, de 20% de cabernet franc et de 10% de cabernet sauvignon, il distille une belle fraîcheur aromatique avec une jolie finesse et une agréable longueur. Inhabituel dans le paysage viticole bordelais, le Château Barrabaque produit du vin blanc appelé « Caprice de Caroline » en l’honneur de la vigneronne qui est à l’initiative de sa création en 2008. Il propose également du vin rosé sobrement intitulé « Barrabaque rosé », conçu à l’origine pour la consommation familiale avant d’être commercialisé à destination du grand public. ...
Doté d'un espace bien être (Piscine, Sauna, Hammam et Fitness ainsi qu'un Spa By Clarins), l’établissement n’est qu’à 35 minutes de Moûtiers en voiture. Cet hôtel « skis aux pieds », à l’atmosphère familiale, ne manque résolument pas de caractère, ponctué par des détails qui accrochent le regard. Perché à 1 700 m d’altitude, le restaurant offre une magnifique vue sur les montagnes des 3 vallées. À travers une cuisine gastronomique servie depuis la terrasse panoramique, l’enseigne est un lieu d’exception où il fait bon se retrouver. Une cuisine raffinée Le midi et le soir, le restaurant de l’hôtel laisse le choix de deux types de cuisines différentes. Si le midi met à l’honneur une ambiance semi-gastronomique, le soir, on est plutôt dans un cadre résolument gastronomique. Travaillant des produits essentiellement sélectionnés auprès de fournisseurs locaux, l’enseigne propose, le midi, un menu tout à la carte avec des plats à partager ainsi qu'une belle sélection d’entrées froides ou chaudes, une carte de poissons, de viandes ou de pâtes, ainsi que des risottos. Foie gras poêlé, pancake nectar de pomme et miel, cochon filet mignon laqué au miel, finger de tartiflette et soufflé Grand marnier, compotée d’agrumes et sorbet forment un beau festival de saveurs et de raffinement. Que ce soit en famille, entre amis ou en amoureux, apéritifs, goûters et plaisirs du farniente sont autant d’occasions de profiter de l’ambiance feutrée du restaurant, de sa grande salle avec cheminée ou de sa terrasse panoramique. Le restaurant Allodis met à votre disposition une riche carte de vins de plusieurs centaines de références, représentatives de toutes les régions. Vous n’aurez que l’embarras du choix, avec toutefois la possibilité de demander conseil au sommelier pour les meilleurs accords mets-vins. De façon tout à fait aléatoire, le son mélodieux d’une musique d’ambiance vous bercera certains soirs, de l’apéritif jusqu’à la fin des repas, en fonction des occasions. ...
Avec sa silhouette élégante et raffinée, le Sicambre a fière allure. Ancien navire Turque, il a été rénové dans les moindres détails pour répondre aux satisfactions des clients les plus exigeants de la compagnie Bordeaux River Cruise. Stationné le long du ponton d’honneur, entre le Miroir d’Eau et le pont de Pierre, il arbore les couleurs rouge et noir, reflétant le parfait mariage entre la simplicité et l’authenticité. Sur le pont-terrasse, les transats rappellent l’exotisme des îles et promettent des moments de détente dans un cadre d’exception. Mais le Sicambre n’a pas fini d’éblouir… A l’intérieur, la décoration épurée du restaurant témoigne toujours de ce luxe discret : des banquettes bien espacées, un mobilier modulable et un mélange réussi de couleurs. Une cuisine millésimée A bord, la cuisine est embarquée afin que tout soit préparé sur place. Le chef puise son inspiration selon la saison, les trouvailles du marché et les producteurs locaux avec lesquelles il entretient une relation privilégiée notamment en raisonnant l’utilisation des emballages plastiques. Créatif, il met en avant le produit avec simplicité mais n’hésite pas à bousculer la tradition en revisitant les recettes les plus classiques pour leur donner une note originale. Deux types de menus sont proposés par le bateau-restaurant. D’une part, le menu Estuaire est composé d’un verre d’accueil, d’une entrée unique, d’un plat du jour (poisson ou viande) et d’un dessert unique. Leur composition change au rythme de saisons. A titre d’exemple, petit aperçu des mets proposés l’hiver dernier : en entrée, une Tourte aux champignons du moment et au foie gras qui émoustille les palais. En plat principal, un choix entre un Filet mignon de porc aux noisettes, accompagné d'une purée de potiron et de sa poêlée de champignons et un Pavé d'esturgeon, purée de pomme de terre & poireaux confits, accompagné de sa sauce au vin rouge, est proposé. En dessert, une pavlova avec sa base meringuée finalise ce mélodieux repas. D’autre part, il y a le menu Garonne constitué d’un verre d’accueil, d’une entrée unique de saison, d’un plat du jour au choix du chef et d’un dessert unique. Parmi les mets goûteux déjà suggérés par le restaurant figurent le Camembert rôti, carpaccio de canard à l’orange, gratton bordelais à la ciboulette fraîche en entrée, le Suprême de canette et sa sauce aux fruits rouges, accompagné de ses pommes de terre grenaille en plat de résistance et un fondant au chocolat en guise de bouquet final. Enfin, lors d’une réception privée, le bateau-restaurant Sicambre joue la carte de la « cuisine du bout des doigts ». Ce concept transporte les convives dans une véritable dégustation continue, non seulement avec le goût, l’odorat et la vue, mais aussi et surtout avec le toucher. Pas d’assiettes individuelles ni de couverts, les plats sont directement servis sur les tables où pics en bois et serviettes remplacent les fourchettes. La carte offre une large variété de produits régionaux dits « du terroir ». A la découverte des trésors de l’Estuaire Certaines croisières vous emmènent également vers les îles de l’Estuaire et notamment au refuge de Patiras. Lieu d’escale privilégié, l’île offre un paysage riche en diversité qui mérite le détour. Sur place, une équipe de Bordeaux River Cruise réserve aux convives un accueil chaleureux et amical. Et pour les plus motivés, l’équipe propose une visite guidée du phare de Patiras. Les gourmands ne sont pas en reste : le Refuge de Patiras situé au pied du phare historique de l’île élabore une cuisine savoureuse. Tout comme au sein du bateau-restaurant Sicambre, il privilégie le « finger food » concrétisé avec des produits frais issus de la région : poissons de l’Estuaire, crevettes blanches, artichauts de Macau… Le poisson est apporté par les pêcheurs de l’estuaire et cuisiné directement. ...
La Maison du Fromage et des Produits locaux a été initiée par la municipalité de Pouligny-Saint-Pierre à laquelle se sont ralliés la Communauté de communes Brenne Val de Creuse et le Parc naturel régional de la Brenne (PNRB). Première étape d’un projet ambitieux, l’enseigne précède la création future d’un espace destiné à la dégustation. Collaborant avec l’office du tourisme qui lui ramène régulièrement des groupes, elle compte parmi sa clientèle des particuliers et des associations notamment. Une vaste sélection de produits « Bien que nous commercialisions 5 autres fromages de la région Centre, le Pouligny-Saint-Pierre reste encore l’un des produits phares que les touristes, gens de passages, associations et particuliers viennent chercher dans notre boutique », raconte Jean-Pierre Darreau, président de l'association. La promotion des fromages fermiers n'est pourtant pas l'unique crédo de la boutique. Elle est une vitrine vivante pour les produits de la laiterie Eurial, mais aussi une belle représentation pour les produits locaux de la région tels que le miel, le jus de pomme, les gâteaux artisanaux, sans oublier les produits transformés de poissons d’eau douce de la société Fish Brenne ainsi que les confitures de la région et les vins de Reuilly. ...
En été, la Brasserie fait profiter ses clients d'une terrasse spacieuse offrant une vue splendide sur le bois de la Cambre et les alentours. Elle propose également une aire de jeux et une patinoire pour le divertissement des enfants. Une gastronomie authentique et savoureuse Il y vous est proposé une cuisine gastronomique et traditionnelle qui s'alterne et donne naissance à des plats succulents et originaux élaborés avec des produits nobles et de saison tels thon rouge, côte à l'os, sole sauvage... Les clients savourent également des plats typiques de la Brasserie dont « Les plats de Granny », des mets à base de viande de boeuf ou de poularde tels que blanquette de veau à l'ancienne, vol au vent de poularde, rognons de veau à la dijonnaise... Le service Tea Room et Petite restauration, quand à eux, invitent à un voyage au pays de la gourmandise. Au programme : chocolat chaud, glaces faites maison, crèpes, gaufres, croque-monsieur, vin chaud en hiver... Avis aux amateurs de vins. Cette brasserie possède aussi une cave à vins français, espagnols, italiens, australiens et des bouteilles qui viennent d'Afrique du Sud. Accueil chaleureux et service de qualité Questionné sur la décoration et l'ambiance de la Brasserie de la Patinoire, Frédéric Eberhart décrit l'intérieur comme « un endroit cosy, calme, posé, décontracté ». Côté service, le gérant des salles affirme : « On est très attentionné, on est très attentif à la demande des clients. » Outre l'écoute et la disponibilité, le personnel de l'établissement fait preuve de réactivité. Récompenses et partenariat La Brasserie de la Patinoire est dans le guide Michelin 2017. Avec son « menu du mois » proposé par le chef, en effet, l'établissement a obtenu un Bib Gourmand au guide Michelin. Le concept est simple : pas besoin de se ruiner pour déguster des mets sains et succulents. La formule gourmande proposée par la Brasserie respecte bel et bien ces critères. Soucieux du confort de la clientèle, cet établissement a encore réalisé un partenariat de type « Pass Confort » avec le Théâtre de Poche. Cela se traduit par le droit à un repas à la Brasserie, trois plats au choix, pour le prix d'une place au théâtre. ...
Chacun a des besoins spécifiques en ce qui concerne le choix de sa cave à vin. Là où de nombreux généralistes se limitent simplement à la proposition de modèles, Ma Cave à Vin va plus loin en faisant profiter gratuitement à tous ses clients des meilleurs conseils de ses experts. À propos de Ma Cave à Vin Ma Cave à Vin est une enseigne spécialisée en cave à vin, cave à cigares, cave à fromage et cave à charcuterie & chocolat. Réunissant une équipe de passionnés et d’experts, la boutique s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels (hôtels, restaurants, grandes enseignes, etc.). « Nous proposons trois grandes lignes de produits incluant des produits standards, modulaires mais aussi du sur-mesure », explique Philipe RODRIGUEZ, le fondateur. L’enseigne se démarque véritablement à travers une expertise éprouvée depuis 14 ans et une activité de conseils permettant à chaque client de trouver LE produit qui correspond à la fois à ses besoins et surtout à son budget. Bien qu’une grande partie des produits soient écoulés sur le marché français, l’enseigne consacre 12 à 15 % à l’export et livre dans plus de 60 pays dans le monde. Des produits de qualité Depuis sa création, Ma Cave à Vin s’efforce de proposer des solutions de conservation qui allient innovation technique et design moderne. Qu’il s’agisse de vin, de fromage, de cigares ou encore de charcuterie, l’objectif pour l’enseigne est de faire en sorte que les consommateurs profitent d’une expérience de dégustation optimale. Et pour y arriver, elle suggère une variété de produits qui garantissent les meilleures conditions possibles de conservation. Pour les épicuriens ou les professionnels qui souhaitent par exemple conserver la qualité et les arômes de leurs fromages, Ma Cave à Vin leur propose sa gamme de vitrines et caves à fromage. Celle-ci se décline en plusieurs modèles selon leur dimension, capacité (de 40 à 180 kg), nombre de température (1 ou 2) et niveau de gamme. Sur ce point, le fondateur tient à nous apporter davantage de précision : « L'un de nos points forts réside dans notre capacité à répondre à toutes les demandes, et ce, grâce à notre large gamme de produits incluant les produits les plus simples jusqu’au très haut de gamme. » Cela dit, l’enseigne est surtout connue pour sa grande expertise en matière de caves à vin. Un choix varié de caves à vin Avec plus de 600 modèles à son actif, Ma Cave à Vin est de loin le leader sur le marché, d’autant plus que les concurrents ne se bousculent pas vraiment sur le secteur. « C’est un marché assez récent, aujourd’hui l’idée de mettre une cave à vin dans un appartement ou dans une cuisine séduit de plus en plus de gens », nous confie notre interlocuteur. Qu’elle soit de vieillissement, de service, encastrable ou polyvalente, la cave à vin permet de préserver idéalement les bouteilles dans les conditions adéquates. Concernant la cave à vin de vieillissement, l’enseigne offre un large choix parmi plus d’une centaine de modèles disponibles. Ces dernières sont conçues pour assurer des conditions de conservation optimales incluant une température stable (10 et 14 °C), une hygrométrie comprise entre 55 et 80 %, une bonne aération ainsi qu’une absence totale de lumière et de vibration. En ce qui concerne les caves à vin de service, elles permettent de stocker les vins à température idéale de dégustation. En fonction de leur besoin, les clients peuvent opter pour des modèles comprenant 1, 2, 3 ou 4 zones de température ou des modèles à multi-température étagés. De leur côté, les caves à vin encastrables sont les plus indiquées pour les petits espaces. En effet, elles ont l’avantage de pouvoir s’incruster sans problème sous un plan de travail, en hauteur dans une colonne ou simplement enchâssées entre deux cloisons. Pour finir, les caves à vin polyvalentes permettent de retrouver les trois fonctionnalités (vieillissement, conservation et préparation pour le service) dans...
Dans le vignoble de 5,15 hectares réparti sur les communes de Boursault, de Cormoyeux, de Pierry, de Moussy et d’Épernay, la famille Sélèque cultive depuis trois générations les trois cépages champenois aux notes subtiles. S’aidant de la passion et du savoir-faire ancestral, et toujours dans le respect des vignes et du vignoble, la maison élabore des cuvées élégantes, appréciées pour leur finesse. Un procédé de viticulture qui respecte la nature Depuis 2013, la maison Sélèque applique un procédé en accord avec le développement durable. « Nous faisons attention aux produits que nous mettons dans nos vignes, au dosage et à tout le reste », confie Nathalie Sélèque, propriétaire actuelle du vignoble. Respectueuse de l’environnement, elle fait attention à la culture des vignes, mais également à toutes les étapes de transformation. Une belle initiative qui ne laisse pas indifférents les visiteurs, venus nombreux au domaine. D’ailleurs, l’oenotourisme est l’une des activités permettant à Nathalie Sélèque de se rapprocher des amateurs et connaisseurs de vins. « Je suis très ouverte au partage et j’aime l’idée de recevoir des touristes pour leur faire connaître notre terroir », confie-t-elle. Elle a transformé la maison champenoise de sa grand-mère, Françoise Sélèque, en un magnifique gîte, afin de les héberger. La promesse d’une immersion complète dans le monde de la viticulture grâce à des visites et des dégustations dans les caves. ...
Avant-gardiste et perfectionniste, Carbon est l'aboutissement de 4 années d'essais et d'expérimentations. Carbon représente l’union parfaite entre la tradition et la modernité Fondée par Alexandre Mea et dirigée par Jean-Baptiste Prevost, la Maison de Champagne Carbon, pionnière, se différencie et incarne une marque de défis. CARBON est l’assemblage audacieux de savoir-faire, un équilibre entre le respect de notre histoire familiale et une ingénierie innovante. ...
Le Château Pigoudet se trouve à la limite septentrionale de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence. Le terroir de Provence est connu pour la diversité de ses sols qui donnent une grande variété de saveurs aux vins, celui du Domaine Pigoudet est argilo-calcaire. Grâce au terroir, au climat et au savoir-faire de l’équipe, les vins du Château Pigoudet sont connus dans le monde entier. En France, en Europe et dans le monde, le Domaine Château Pigoudet travaille avec des grossistes pour les professionnels et des cavistes pour les particuliers. Le Domaine C’est en 1992 que l’entrepreneur Bernard Schmidt et sa femme Elke acquièrent le Château Pigoudet, une bastide située à l’extrême Nord-Est de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence. Château Pigoudet servait autrefois de résidence d’été à l’archevêché d’Aix-en-Provence. La superficie de la propriété est aujourd’hui évaluée à 110 hectares dont 40 plantés de vignes. Son sol argilo-calcaire accueille plusieurs cépages : Grenache, Cabernet, Syrah, Cinsault pour les vins rouge et rosé et Sauvignon blanc, Ugni blanc, Grenache blanc et Rolle pour les blancs. Le vignoble offre différentes gammes : Pigoudet Première, Château Pigoudet Classic, Château Pigoudet La Chapelle, Château Pigoudet Insolite! et Le Grand Pigoudet. Chaque vin a une typicité particulière et révèle le meilleur de ce terroir en présentant des vins puissants, frais et aromatiques. Une équipe passionnée Elke Schmidt y perpétue le rêve de son défunt mari avec sa fille Sabine Rabe et son beau-fils Hans-Ulrich Rabe. L’équipe qui les soutient dans cette aventure est composée de Daniel Laugier, un Chef de culture qui travaille pour le domaine depuis 29 ans. Il est aidé par son fils Benoît dans la culture du vignoble. Ivan Khougazian, Œnologue-Maitre de Chais, conduit les recherches d’arômes et qualités gustatives en visant l’excellence. L’export et la recherche de nouveaux marchés sont assurés par Sabrine Rabe grâce à ses compétences linguistiques et sa capacité relationnelle. Marcel Fritsch se charge de la France et de la Belgique. Enfin, l’administration du Domaine est l’affaire de Laurence Kazazian, elle organise, gère et crée l’osmose du Domaine. ...
Établie sur la prestigieuse côte des Blancs, la maison Le Brun Servenay exploite actuellement un vignoble d’environ 7 ha, réparti sur trois villages classés grand cru. L’encépagement se compose à 80 % de chardonnay tandis que le reste du vignoble est planté en pinot noir et en pinot meunier. Des vignes centenaires La maison a été fondée en 1965 à la suite de l’union de deux familles de viticulteurs. Cinq générations plus tard, c’est au tour de Gauthier Le Brun de diriger l’exploitation familiale. Ici, les vignes, dont certaines sont centenaires, bénéficient d’un sol argilo-calcaire. « La spécificité de notre terroir donne une belle minéralité et une belle finesse au chardonnay », explique le propriétaire. Récoltant-manipulant, la maison privilégie une viticulture raisonnée qui respecte à la fois la terre et les vignes. Le travail de palissage soigné permet d'éviter l'apparition de maladies réduisant l'usage des produits phytopharmaceutiques au strict minimum. Depuis 2004, la maison procède à l’enherbement de son vignoble afin d'assurer la stabilité du sol combiné au travail à la charrue sous les rangs. La même attention est portée sur le soin des vignes. « La taille de notre exploitation nous permet de porter une attention toute particulière à chacune de nos parcelles », nous indique-t-on. Côté vinification, la maison allie volontiers tradition et équipements modernes. Ainsi, tandis que l'entreposage des bouteilles s'effectuent encore à la main selon le savoir faire traditionnel champenois depuis des générations, les vins clairs sont quant à eux vinifiés dans des cuves en inox thérmorégulées afin de s'assurer le blocage des fermentations malo-lactiques. « Cette méthode nécessite un plus long vieillissement mais cela permet à nos vins de garder toute leur fraicheur à la dégustation », fait savoir Gauthier Le Brun. Résultat, pour les cuvées de la gamme courante, le vin vieillit entre 3 et 12 ans dans des caves de craie. En revanche, pour les plus Grands Millésimes, il faut compter plus de 25 ans. Des cuvées de grande qualité La maison Le Brun Servenay propose dans sa gamme 7 cuvées : Mélodie en C., Odalie, Juste Rosé, XB 2.5 blanc de blancs et XB 3.2 Rosé ultime, Exhilarante 2008 et Chardonnay 2006. Ils commercialisent également de vieux millésimes de 1988 à 2002 disponibles sur commande avec un délai d'attente de 6 semaines correspondant au temps nécessaire au remuage et au dégorgement. ...
Depuis, ils y fabriquent des bières artisanales dans le plus pur respect de la tradition brassicole, en pratiquant une sélection rigoureuse des matières premières. La brasserie Pietra se situe à Furiani, près de Bastia, en Haute-Corse. Les bières de la brasserie Pietra La bière Pietra, le produit fondateur de la brasserie Pietra, est brassée à partir de malt et de farine de châtaigne corse. Mélangée au malt lors de l’empâtage, la farine de châtaigne est utilisée comme une matière première et non comme un arôme. Cette recette unique au monde confère à la Pietra une saveur tout en contraste. Puissante et délicate, charpentée et moelleuse, la Pietra titre 6 % d’alcool. Elle affiche une belle robe ambrée et une mousse intense à fleur châtaigne. Depuis, sont nées d’autres recettes exclusives : - Pietra Bionda, présentant un parfait équilibre entre malt pâle, farine de châtaigne et houblon aromatique ; - Pietra Rossa, une bière aux fruits rouges présentant des notes de griotte, et une pointe de framboise et de mûre ; - Colomba, une bière blanche à base de malt d’orge et de froment, infusée aux herbes du maquis, avec des notes fraîches d’agrumes et un arôme épicé ; - et, depuis peu, Colomba Rosée, une bière blanche aux arômes naturels d’orange et de framboise, brassée à partir de malt d’orge et de malt de blé, fraîche, légère et fruitée. Également disponible en saison : la Pietra de Noël. Visite La brasserie se visite tout l’été, du lundi au vendredi. Le reste de l’année, elle est accessible sur rendez-vous. ...
Situé entre la rue des Minimes et la rue du Docteur-Leroy, ce salon de thé à l’allure épurée et minimaliste est un vrai petit coin de paradis. Suivant le credo de la maison, les deux associés japonais retravaillent à leur manière la pâtisserie et la cuisine japonaise. Une pâtisserie à la sauce nipponne Après plus de 15 ans d’expérience au Japon et 5 ans en France, le chef pâtissier Masatoshi Takayanagi décide de s’associer avec Chisa Ogawa pour ouvrir l’établissement Takayanagi au Mans. Le chef, dit Taka, fait de cet endroit un véritable laboratoire où il concrétise sa créativité fertile. Il s’autorise presque tous les mélanges d’ingrédients possibles, bien sûr en toute connaissance de cause. La légèreté de ses pâtisseries françaises revisitées à la japonaise révèle des saveurs qui sont à la hauteur de l’ambition du chef Taka. Tous les produits du Takayanagi sont créés et faits maison à partir de produits frais. Le chef remplace certains composants des pâtisseries françaises par des ingrédients typiquement japonais, comme le haricot rouge qui est « la base de la pâtisserie traditionnelle japonaise », les agrumes yuzu et sudachi, ou encore les thés matcha et hoji. Le sucre est volontairement modéré pour accentuer le gout des composants. Le meilleur ambassadeur de cette association de saveurs françaises et nipponnes est sans doute le « Paris-Tokyo » : une pâte à choux agrémentée de crème pralinée et de sésame et garnie de pâte de haricots rouges. Les autres gâteaux et tartes n’attendent que d’enchanter vos papilles. La maison vous suggère une formule boisson et gâteau individuel à 6 € à l’heure du thé. Une cuisine japonisante La cuisinière-gérante japonaise Chisa Ogawa s’est installée en France depuis 25 ans. Elle touche un peu à tout et multiplie les rencontres. À la croisée des chemins, elle fait la connaissance d’un grand chef pâtissier du nom de Takayanagi. Cette rencontre particulière a donné naissance au salon de thé sarthois qui propose en même temps boisson, pâtisserie et plat du jour dans un cadre simple, avec une décoration zen. Elle vous y suggère une cuisine familiale japonaise, qu’elle préparait autrefois pour sa famille. L’excellente cuisinière du Takayanagi concocte chaque jour un plat unique avec de bons ingrédients adaptés à la gastronomie nipponne, pour le grand plaisir des gourmets. La présence très remarquée du riz dans les assiettes rappelle cette couleur asiatique. Régalez-vous du sushi revisité : saumon poireau, avocat mayonnaise et poulet concombre sur lit de riz vinaigré. Succombez au plaisir du plateau tendon (beignet de légumes et crevettes sur du riz), accompagné d’un petit bol de soupe miso. Et en dessert, goutez par exemple à la crème de mangue ou au fraisier. Vous pouvez évidemment y ajouter une boisson chaude, froide ou gazeuse selon votre préférence. Un partage de culture Les néophytes se réjouiront de savoir que les deux artistes de la maison Takayanagi offrent chaque mois différents cours sur les bases simples de la cuisine japonaise. Les séances sont programmées un vendredi soir par mois, de 18 à 20 heures. Les places sont limitées à 7 personnes pour la convivialité. Pour la cuisine, cela va de la cuisson de riz à la japonaise jusqu’aux idées de verrine pour les fêtes de fin d’année, en passant par les différents repas complets japonais. Côté pâtisserie, le chef Taka vous apprend les recettes pour une pâte à choux, une crème pâtissière et une chantilly parfaite. Les apprentis suivent les enseignements en petit comité dans une ambiance décontractée. Venez avec un tablier pour apprendre les astuces pour bien réussir vos gâteaux à la maison, ou pour donner à vos mets un brin d’exotisme et de fantaisie à la japonaise. Chaque participant emportera son exploit pour le faire gouter à sa famille. Ce cours peut également être offert en cadeau à un proche, en le précisant lors de l’inscription. Il n’...
Le restaurant D’Eux-Mêmes garantit à ses hôtes de jolies découvertes culinaires rouennaises. Inspirée de l’esprit Escoffier, la cuisine respecte le gout authentique des produits frais. David Oper et Amélie Tessier, propriétaires du restaurant et du bistrot gourmand, soutiennent : « La cuisine est instinctive et ludique. Le produit est la star car notre philosophie c’est de dénicher un produit local d’exception ! ». Au restaurant, une carte audacieuse, des produits frais et des prix attractifs séduisent les gourmets. Aux Halles : l’esprit marché Aux Halles, Ici, c’est comme au marché, un même lieu pour savourer plusieurs ambiances : cave à vins, boucherie, terre et mer, et aussi espace boudoir et salon privé. Une salle privative dédiée au rugby reçoit les sportifs pour la troisième mi-temps mais aussi pour les clients d’affaire. Fauteuils en cuirs, tables et sièges colorés, le décor des Halles by D’Eux-Mêmes est une invitation aux moments festifs et conviviaux. Côté cuisine, les mets sont riches de saveurs. Spontanéité et inventivité sont les lignes de conduite du chef. On y goute sa spécialité : le fish and chips. Les merlans en colère, voutés et alignés en cercle, sont panés. Au milieu, se nichent des frites croustillantes. Côté boucherie, les amateurs apprécient les déclinaisons de jambons basques ou normands. Les pièces sont de qualité : iberico ou bodega reserva, avec 24 à 60 mois d’affinage. Une spécificité maison : thon, saumon et canard sont fumés à la sciure de bois à l’intérieur de la cuisine. En bref, aux Halles, c’est ici, que l’on sirote un mojito glacé ou une sangria rosé et que l’on croque de bons tapas, tout en bavardant entre copines. Les amateurs de vins s’accoudent au bar, et dégustent un des crus sélectionnés avec soin. Restaurant D’Eux-Mêmes : jeux de saveurs Au restaurant, fraîcheur et originalité sont maîtres-mots. « On s’inspire des voyages autant au niveau de la décoration comme de l’assiette » sourit David Oper, propriétaire des lieux. Les produits du terroir sont choisis avec soin par le chef. Les fournisseurs sont des producteurs locaux pêcheurs du Havre, éleveurs de Normandie. Les plats d’inspiration normande enchantent les papilles. En entrée, dégustez le foie gras de canard mi-cuit en terrine, assaisonné aux grains de café torréfiés, le chef présente un accord délicat de sucré-salé. Le pressé d’épaules et de pieds de cochons normands est un plat réputé du pays. Ici, le chef l’arrose de vin rouge et le sert à la façon d’une terrine, agrémenté d’une sauce à la moutarde de violette. En plat principal, on choisit la côte de bœuf frottée finement à la fleur de sel avec ses pommes de terres montées au beurre frais. Côté mer, on goûte le pavé de cabillaud snacké au beurre ½ sel, étuvée de poireaux aux coques, émulsion au lard fumé légèrement iodé. Les curieux la saint jacques raidies à la plancha, betterave en déclinaison de textures et de saveurs, quelques gouttes d’hules de noisettes. En dessert, optez pour une des créations originales du chef : parfait glacé à la clémentine, copeaux de chocolat noir, jus de clémentines réduit aux clous de girofles ou bien un biscuit moelleux à l’amande et chocolat blanc, fine compote de pommes à la vanille bourbon et sa glace. Tout chocolat : palet chocolat a l’ariaga noir, crémeux au miel de fleur et cacao, glace chocolat une douceur pleine de sensualité. La carte des vins propose une sélection variée avec quelques crus bourgeois. Amoureux du gout du « vrai », le chef met à l’œuvre dans l’assiette l’esprit D’Eux-Mêmes : des produits frais, une cuisine spontanée pour le plaisir des sens. Le Restaurant D’Eux-Mêmes est continuellement à la recherche d’artistes locaux afin de vous proposer un endroit toujours en mouvements. Le Restaurant propose régulièrement des animations ainsi que ...