Lieu propice à la détente et à la découverte, L’Auberge des roses ne manque pas de charme avec ses pierres et poutres apparentes, sa cheminée au feu crépitant et sa terrasse ombragée à la vaste pergola, qui n’attend que vous pour les beaux jours. Une salle divisée en 3 niveaux avec une petite estrade en hauteur, appelée « petit salon », et une grande véranda font par ailleurs la particularité de cet établissement de caractère, dont la réputation n’est plus à faire.
À travers une cuisine traditionnelle et gastronomique, composée en grande partie de poissons de la criée de Saint-Jean-de-Luz, le chef et gérant Hervé Barrière régalera vos papilles dans un voyage culinaire authentique et gourmand, où le temps semble s’être arrêté.
Le rendez-vous des gourmets
L’établissement vous invite à découvrir son appétissante et rafraichissante cuisine avec un menu à 30 € au choix, ainsi qu’une carte avec des suggestions qui changent tous les jours.
Difficile de ne pas succomber à son Croustillant de gambas sur coulis de mangue marinés et roulés dans une feuille de brique, sa savoureuse Parillada de poissons, un assortiment de 4 poissons sur un lit de moules, de chipirons et de gambas, sans oublier son Pain perdu brioché pommes caramel au beurre salé qui est un véritable délice !
Pour accompagner chacun de vos repas, la maison dispose d’une très belle carte des vins, représentative de toutes les régions, avec près de 45 références, dont les fief la grange, ainsi que le vin local du Jurançon en sec et en doux. Un très beau bouquet au choix pour un accord parfait met-vin. N’hésitez pas à demander conseil !
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Le Roi de la garbure, c’est ainsi que le propriétaire du Café des sports est surnommé. Et pour cause, c’est autour de cette soupe traditionnelle béarnaise que s’est construit la notoriété de Gaby Regagnon et de son restaurant. Dans cet univers culinaire en évolution permanente, le Chef préfère se construire une identité « en béton » autour de recettes simples mais de qualité, et cela marche.
Qualité et simplicité de la cuisine
Dès 6h du matin, Gaby Regagnon s’active derrière les fourneaux pour préparer sa garbure. Cette soupe de légumes traditionnelle au jambon de Bayonne mijote toute la matinée. Elle est proposée tous les jours et garde toujours le même succès. Cela démontre que ce qui est important dans la cuisine : c’est la passion du métier, l’amour des produits et le temps donné par le Chef pour la satisfaction de ses clients. Comme le roi de la garbure le dit : « ce n’est ni l’eau, ni le sel qui fait la qualité de la garbure. C’est l’os de jambon, le temps de cuisson et la quantité préparée ». La cuisine du Café des Sports prime surtout les produits de Béarn et de Chalosse.
A la liste des recettes phares du Café des sports, Gaby en a ajouté trois. La Tête de veau sauce gribiche est régulièrement servie le premier vendredi du mois, la Morue persillade le deuxième, la Poule au pot la troisième et le Cassoulet le quatrième. Outre ses plats de renom, le Chef suggère à la carte du Jambon de Bayonne, des Tournedos aux cèpes ou noix de Saint-Jacques sans oublier le magret et le foie gras. De la salade landaise, de l’omelette aux cèpes et des frites maison y figurent également. Et le Chef met toujours en avant la région avec le gâteau basque maison à la crème ou à la confiture de cerise.
Les Pyrénées-Atlantiques, lieu de gastronomie et de tourisme
Le Café des sports siège sur la place de la république, l’ancienne place du marché aux bestiaux d’Arzacq-Arraziguet. Cette commune est située dans le département des Pyrénées-Atlantiques qui s’avère être un terroir aux richesses intarissables. Beaucoup de monuments historiques et de lieux touristiques y sont liés à la gastronomie. Cela va des châteaux de domaines viticoles aux Musées, en passant par les marchés, les cafés et restaurants qui sont des témoins vivants de la tradition gastronomique gasconne. Avec les recettes du Chef Gaby, notamment la garbure, le Café des sports est devenu à lui tout seul le symbole de toute une culture.
Le Café des sports est situé non loin du Musée du jambon de Bayonne à Arzacq, un espace culturel et éducatif dédié entièrement au jambon de Bayonne, à l’histoire du cochon et de sa consommation. Une boutique est également ouverte pour trouver tous les produits du Sud-Ouest comme les paniers garnis, les coffrets gastronomiques, les plats cuisinés et évidemment le fameux jambon de Bayonne. Une visite du Moulin de Garos est aussi possible après une pause gustative chez Gaby. Celui-ci se trouve à environ 5 km du restaurant, en bordure du Luy de France. C’est l’eau de ce dernier qui fait tourner les roues du moulin lors de la mouture. Ce moulin est fortement lié au Château de Cabidos, un domaine viticole de 9 hectares. Le Sauvignon, le Chardonnay ou encore le Syrah sont les fruits de cette exploitation. Ce château est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
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Établissement familial hérité de plusieurs générations successives, La Ferme Basque perpétue sa passion pour la cuisine du terroir depuis près de 2 siècles. Bénéficiant d’un emplacement plus qu’avantageux, ponctué d’une admirable vue panoramique, l’établissement est particulièrement apprécié pour son attachement aux valeurs traditionnelles et aux produits locaux.
Un lieu chargé d’histoire
Implantée dans un paysage à couper le souffle, La Ferme Basque est un bel héritage familial appartenant aux Poulot-Cazajous depuis 1911. Autrefois connu comme étant une halte occasionnelle pour les randonneurs de passage dans la vallée de Cauterets qui investissaient les lieux pour s’offrir un léger casse-croûte et une crêpe, l’établissement est devenu depuis 1928, un lieu de restauration incontournable où on aime délibérément se rendre pour retrouver des saveurs longtemps oubliées. En plus d’un emplacement privilégié, La Ferme Basque conserve à aujourd’hui, l’ultime avantage de constamment réveiller les papilles à travers une cuisine traditionnelle préparée à base de produits frais et bio, dans de belles associations de couleurs et d’authentiques saveurs du terroir. « Se rendre à La Ferme Basque est une belle expérience historique et culinaire qui mérite d’être vécue et où la cuisine vaut réellement le déplacement » raconte Sophie Mazerand, responsable de la partie communication.
Un souffle nouveau
C’est aujourd’hui à Aurélien, le fils de la maison, que revient la charge de diriger l’établissement et qui prend très au sérieux, la responsabilité de préparer des plats mijotés faits maison à la manière des Pyrénées. Depuis, La Ferme Basque bénéficie d’un nouveau souffle où la jeunesse prend son envol sans sacrifier aux traditions familiales. L’idée de proposer aux clients une gamme de salaisons et des produits atypiques des Pyrénées est un engagement sans précédent. D’après les explications de Sophie Mazerand, « tous nos plats sont proposés en conserve du terroir avec la possibilité de reproduire les recettes grâce à des produits achetés en boutique ».
Une cuisine 100% terroir
Fidèle à ses traditions familiales, l’équipe de La Ferme Basque est particulièrement attentive dans la façon de préparer ses plats. Elle prend soin de conserver ce cachet particulier dont elle peut s’enorgueillir en ne proposant aux clients qu’une cuisine 100% artisanale où les produits frais sont à l’honneur. Cette identité confère au lieu, la garantie d’une cuisine authentique et traditionnelle qui rappelle des souvenirs d’enfance et de bonnes recettes de grand-mère. La Ferme Basque s’appuie également sur son site internet pour vendre et faire connaître les produits de la ferme dans de belles associations.
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Implanté dans une ferme à Beaumarchés au lieu-dit Barbat, à l’abri des bruits des grandes villes, Le Relais du Bastidou dresse des tables élégantes et conviviales pour tous ceux qui choisissent le calme et la fraicheur. Le couple Thierry met un point d’honneur à choisir les produits bios pour préparer des plats typiques de la région gasconne. Une liste de vins de renom et de qualité incontestable vient parfaire un moment de dégustation agréablement mémorable.
Les spécialités du chef : les produits du terroir et les fruits de mer
Après avoir passé une bonne quinzaine d’années dans une grande entreprise d’agro-alimentaire, René Thierry change complètement d’orientation pour intégrer le monde de l’hôtellerie et de la restauration. Son objectif pour le restaurant, utiliser les produits locaux et il décide de s’approvisionner auprès des meilleurs producteurs du Gers et des plus proches localités de Beaumarchés.
Dans une ambiance authentiquement fermière, le chef fait découvrir les spécialités de l’établissement. Ici, le canard est le roi de la cuisine : foie gras, magret ou manchons sont des plats qui ne manquent pas d’apparaitre dans le menu. Les cuisses de canard confites sont une spécialité recommandée par la maison, spécialement pour ceux qui viendront la découvrir pour la première fois. Mais les fruits de mer y gardent aussi une place d’honneur. La langoustine ou encore les noix de Saint-Jacques y sont cuisinées avec un talent indéniable. Sans oublier les Côtes de porc de Bigorre, sauce aux girolles et la Croustade aux pommes et à l'Armagnac qui sont la signature de l’établissement.
Le Relais du Bastidou se situe dans un cadre paisible et agréable. Rien que le chemin qui y mène fait le bonheur des fanatiques de la nature. Le paradoxe d’un paysage aussi brut et d’une cuisine aussi raffinée devient presque une poésie que chacun découvrira certainement avec émerveillement.
Plats et vins en fusion la synergie parfaite de la bonne cuisine gasconne
La Gascogne est célèbre pour sa bonne cuisine et c’est une réputation que Le Relais du Bastidou tient fermement à protéger. En accompagnement du menu ou des plats proposés à la carte, la liste des vins offre un choix plutôt riche des plus belles références régionales. Parmi les plus choisis, le Saint Mont, Madiran ou encore Pacherenc forme un mariage parfait avec les spécialités du chef. Le secteur viticole fait partie intégrante de la vie du restaurant. René Thierry lui-même pense que le vin n’est pas une simple boisson, c’est un élément indissociable de la table, surtout lorsque l’on s’apprête à déguster des plats préparés avec des ingrédients aussi nobles. Les visiteurs de la maison auront le choix entre plusieurs labels reconnus pour leur ampleur et leur élégance. Une sélection de vins riches en saveur et en authenticité met une touche exceptionnelle à l’ensemble de la table. Le restaurant est labellisé « vignobles et découvertes »
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Jolie cadre montagnard situé au cœur d’un environnement privilégié, à 1600 mètres d’altitude au milieu du Pic du Midi de Bigorre et celui de Piquette, l’Auberge du Lienz perpétue une cuisine du terroir pyrénéen, une cuisine gouteuse et légère faite au naturel. Tenue par madame Corret depuis 52 ans aujourd’hui, cette auberge s’est vue décerner sous la direction de celle-ci, la médaille de bronze du tourisme en 2015, et le trophée du tourisme de la Caillere de Midi-Pyrénées.
Le voyage dans l’assiette
La tradition ici commence aux fourneaux, avec une cuisine magnifiquement orchestrée par le chef Franck. Il utilise majoritairement des produits provenant d’agriculteurs, d’éleveurs et de producteurs locaux. Ce cordon bleu issu de l’Ecole Hôtelière de Bordeaux et doté d’une expérience culinaire riche de ses voyages, met en avant une cuisine dynamique, légère, et respectueuse du terroir. A cet effet, il utilise pour ses assaisonnements, des herbes et fleurs cueillies au petit matin, pour révéler les senteurs de la nature au travers de jolies dressages en assiettes.
Comme entrée signature, ventrèche de porc noir sur tartine d’oignons de Trébons grillée, légumes d’été fumés. Pour élaborer ce délice, les aubergines, tomates, et poivrons sont fumés, puis composés en une terrine assemblée avec le jus de cuisson du fumé. Cette entrée est servie avec des tranches de pain toastées, sur lesquelles on étale des oignons de Trébons tombés à la graisse de porc. Au-dessus, de la poitrine de porc séchée recouverte de terrine. Le pain utilisé par l’Auberge du Lienz pour ce succulent bonheur au gout frais, est un pain bio à base d’épeautre et fait maison.
Parmi les plats phares de la maison, la garbure complète à la soupe et au jambonneau de porc accompagnée de ses légumes. Plat orchestré avec des jarrets de jambon bouillis dans de l’eau, et où l’on ajoute des oignons, clous de girofle, carottes, pommes de terre, haricots tarbais et choux. L’assaisonnement utilisé pour libérer les senteurs est l’ail écrasé. Les jarrets de jambon sec mis en vedette dans cette préparation vont donner à la garbure son véritable gout traditionnel. Après cuisson, le service se fait dans une soupière contenant le bouillon, les légumes et le jarret de jambon entouré de sa couenne. Ce dernier est moelleux et sa jutosité est libérée dans le bouillon pour le rendre succulent et léger.
Autre plat phare de l’auberge, la truite de Lau Balagnas marinée au poivre Sansho, brunoise fraîcheur. Celui-ci est élaboré de plusieurs manières, mais conventionnellement, le filet de truite est assaisonné avec une marinade de poivre Sancho, du gros sel broyé et un peu de sucre. Par la suite, le filet de truite est découpé en carpaccio, et est étalé dans l’assiette accompagné de radis, concombre, pomme verte et un peu de basilic. Juste à côté sa petite vinaigrette à base de tomates cerises, citron et huile d’olive. Un jurançon sec est bien indiqué pour accompagner la dégustation de ce plat.
Le dessert phare ici est le tartare de myrtilles. C’est une composition faite à base d’une pâte sablée recouverte d’une crème de vanille, et de myrtilles dans une gelée de vanille.
La convivialité et la beauté à l’honneur
À l’Auberge du Lienz, la convivialité est mise en avant grâce à la valorisation du terroir pyrénéen, et à travers des préparations qui varient au fil des saisons. Les clients y viennent et reviennent, compte tenu du service de qualité et de l’accueil chaleureux. Entre belles assiettes et tables bien dressées, le décor de bois, la cheminée de pierre, ou encore le parfum de fleurs en terrasse, le lieu impose son penchant pour la beauté et le naturel. A l’extérieur, les hôtes ont l’immense plaisir de profiter de la vue sur le Pic du Midi de Bigorre, le Pic de la Piquette et ses pistes de ski, et même la forêt d’Ayré. Une expérience culinaire au cœur de la nature en altitude, et très accessible avec un ticket moyen de 30 euros.
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Située sur les terres gasconnes à Aignan, La ferme aux buffles reflète l’art de vivre typique du Sud-Ouest et séduit par immense parc verdoyant abritant les fameux buffles d’eau également nommés les buffles d’Asie. La propriété possède un restaurant qui propose une expérience gustative aussi insolite qu’inoubliable…
Une viande tendre et mœlleuse…
La viande de buffle est 70 % moins grasse que les autres viandes rouges et contient aussi moins de cholestérol. Riche en protéine et en fer, elle est tendre et offre une nuance de saveurs très intéressante. Grâce à son élevage, le restaurant La ferme aux buffles veut démocratiser la consommation de cette viande d’exception déclinée à toutes les sauces. Assiettes de charcuterie de buffle, hamburger, daube de buffle à la bière du Gers, fromage de bufflonne… la carte propose un panel de plats qui feront le bonheur des épicuriens. Les vins essentiellement locaux, quant à eux, sauront souligner à merveille la subtilité et l’authenticité de cette viande très particulière.
Un établissement familial et chaleureux…
Les repas se dégustent dans une salle associant élégance et coquetterie. Les grandes baies vitrées baignent l’endroit dans une lumière éclatante, et offrent une vue à couper le souffle sur la chaîne des Pyrénées. Après s’être délecté des meilleures spécialités de la maison, rendez-vous dans le parc à buffles pour apprendre à connaître ces bovins à la stature impressionnante. La miniferme offre la possibilité aux enfants d’être à la proximité de la nature et des animaux comme les lapins, les chèvres, les cochons… Toutes ces activités permettront à toute la famille de se ressourcer dans ce cadre idyllique le temps d’une escapade gourmande.
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Proposant une cuisine typiquement française inspirée des traditions gastronomiques de la région, cet établissement est le rendez-vous incontournable des fins gourmets. Dans une ambiance sympathique rappelant les anciennes auberges à l’accueil chaleureux, le chef et son équipe concoctent les meilleurs plats à base de produits du terroir.
Une table d’exception dans un cadre authentique
Travaillant directement avec les producteurs locaux, la maison Pergola donne la priorité aux produits frais de la région afin d’élaborer des menus aux plats authentiques. Avec une carte riche et alléchante dès le premier abord, cette table se veut être l'un des pionniers de la cuisine de qualité. Le cadre agréable et cosy des deux salles du restaurant, dotées de charmantes cheminées appelant à la convivialité, confère aux lieux une ambiance authentiquement basque. Une décoration simple mais élégante des tables, la qualité des services, et la possibilité de se restaurer sous l’ombre d’une belle terrasse : autant d’attributs qui en font une table d’exception.
« Une cuisine traditionnelle revisitée »
Ces propos de Jean-Marie Mir, gérant de l’établissement, mettent l’accent sur son attachement aux valeurs culinaires artisanales que le restaurant souhaite véhiculer. Parmi les plats signature que les hôtes affectionnent particulièrement se trouve l’opéra au noir de Bigorre et foie gras, ponctué d’un pain perdu, ananas poêlé à la coriandre ; tout cela accompagné d’un vin issu de la cave éclectique du restaurant. Cette cave, composée de grands crus provenant de toute la France, privilégie les vins d’exception, pour ne citer que les Bordeaux.
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Les mots ne seront jamais suffisants pour décrire toute la splendeur de cet endroit qui, ne serait-ce qu’au regard, vous aide à atteindre le « nirvana ». Imaginez un déjeuner sur une terrasse bordée par une rivière, la valse de ce ruissellement qui vous berce pendant que vous vous régalez de la truite au bleu du vivier.
Une cuisine du terroir
Il est de coutume chez les Arcé que l’homme soit aux fourneaux et la femme à la réception. Pascal et Christine travaillent donc de concert pour faire tourner cet établissement. Installée à la place de l’ancien trinquet, la table du restaurant présente des plats colorés et ce n’est pas qu’une simple façon de parler. Les cuisiniers aiment chouchouter les plats en soignant le visuel.
La cuisine du chef s’inspire des saisons et met en valeur les produits du terroir. Ainsi, il se lie de partenariat avec les habitants de la vallée pour l’acquisition des truites. Lors d’une commande, cette dernière est capturée dans la Nive des Aldudes, devant le regard émerveillé du client. Moins spectaculaire mais aussi succulente, la truite de Banka commandée auprès de la célèbre pisciculture Goicoechea saura enchanter vos papilles. Elle est cuisinée sous plusieurs formes : en carpaccio, en tartare, cuite… Autre spécialité de la maison : « l’Agneau de lait en fricassée, artichauts violets à la barigoule, pomme de terre vitelotte, jus réduit au thym » qui fera le bonheur des gourmands et gourmets. Et en dessert, savourez le « Praliné Bayonne-Baïgorry, choux crème au praliné, glace et tuile aux amandes ». Ce menu est surement celui qui reflète le mieux la cuisine typique du terroir basque.
Une nature paradisiaque qui offre mille et une activités
Qui ne désire pas s’évader du rythme infernal des métropoles, de la pollution urbaine ? Vous avez longtemps cherché un endroit qui soit à la hauteur de vos attentes, celui-ci sort tout droit de vos rêves. Dans un décor de carte postale ou de fond d’écran pour les plus jeunes, la maison Arcé se présente comme un havre de paix. Le dépaysement est assuré, surtout si vous optez pour un séjour.
Ce vaste espace est idéal pour une virée en amoureux, entre amis ou une réunion de famille. Plusieurs activités sont proposées à l’intérieur comme à l’extérieur du domaine Arcé.
En plus de la piscine chauffée et du terrain de pétanque, cet environnement authentique de Saint-Étienne-de-Baïgorry offre différentes possibilités en matière d’activités ludiques et sportives. Le relief est particulièrement propice à la randonnée pédestre ou équestre et Christine Arcé aura le plaisir de vous expliquer les différentes balades pouvant s’enchainer entre le pic du Jara, le mont Hautza, l’Oilarandoy avec la chapelle Notre-Dame, le col d’Ispéguy et autres sites aussi extraordinaires les uns que les autres. Vous découvrirez lors de vos promenades les porcs pies noirs en montagne ou encore les pottoks, petits chevaux sauvages du Pays Basque. Pour les plus courageux, il est tout à fait possible de faire du VTT, de la trottinette tout terrain, du tandem mais également un baptême de parapente au Baïgura, à Hélette.
Vous pouvez également faire une halte à Biarritz ou à Saint-Sébastian pour visiter leurs musées de la Mer. De nombreuses autres activités existent, comme le karting à Briscous, le spectacle de vaches landaises à Saint-Jean-le-Vieux, l’initiation à la pêche à la mouche... Bref, il y en a pour tous les âges et pour tous les gouts. Vous aurez donc une journée bien remplie, voire plus, et gagnerez en sérénité et en bien-être.
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C’est dans à Condom, une petite commune située au sud-ouest de la France que Jean-Luc Mazur concrétise un projet de vie : l’ouverture de son restaurant. Dans un cadre pittoresque et authentique, Le Sarment exprime l’amour du chef pour les produits du terroir frais qu’il sublime avec créativité dans les assiettes.
Mot d’ordre : convivialité !
Dès votre arrivée, vous ressentirez cette ambiance très détendue et conviviale qui fait la réputation de l’établissement. La générosité, une qualité attribuée aux propriétaires, transparaît aussi dans les assiettes soigneusement dressées et tellement gourmandes. « Ma cuisine est toujours ouverte, et donc je peux voir les clients pendant que je cuisine », explique Jean-Luc. Un concept qui souligne encore une fois cette convivialité qui est chère à la maison.
« Chez nous, la carte est renouvelée tous les trois mois environ et fait honneur au terroir du Gers », poursuit-il. En collaboration avec les producteurs locaux, le chef propose des plats à base de produits sains et bio. Parmi ceux qu’il recommande fortement figurent les cuisses de grenouille en entrée, suivi d’un duo de rognon et ris de veau, en plat de résistance. Le repas s’achève sur une note plus douce et résolument gourmande avec le coulant au chocolat "fait maison".
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Discrètement lovée sur les hauteurs de Biarritz, la demeure blanche aux volets rouge vif donne du pétillant et de la dynamique à ce quartier calme. C’est bel et bien à cet endroit que le couple Rosier exerce sa passion depuis 2008. Elle, meilleure ouvrière de France ; lui, grand chef passionné. Ensemble, ils relèvent avec brio le pari de proposer une cuisine gastronomique qui plaît pour sa constance et sa simplicité. Une cuisine à quatre mains, harmonieuse, où chacun des chefs met en valeur les produits qui lui tiennent à cœur, en veillant à leur laisser leur plus belle expression. Bienvenue au restaurant Les Rosiers.
Meilleure ouvrière de France
Le choix de ces volets rouges n’est pas le fruit du hasard. Car, après un détour vers la maison familiale de la chef, on sait d’où vient l’idée. En réalité, tout cet amour qu’elle voue pour la cuisine, Andrée Rosier la doit à ses parents, notamment à sa mère qui se plait à travailler les produits du terroir pour concocter des plats typiques du Pays basque. Après avoir effectué une formation hôtelière à Biarritz, en 1994, elle fait ses débuts dans le milieu professionnel à titre de commis au sein de la Villa Eugénie de l’Hôtel du palais de Biarritz. Le destin a voulu qu’elle y rencontre l’homme qui deviendra son époux : Stéphane Rosier. Grâce à son talent, ce grand gaillard à lunettes séduit les plus grandes maisons, dont l’Hôtel du palais où il exerce en tant que 1er sous-chef de cuisine durant 4 ans. Il a également exercé dans le célèbre restaurant 2 étoiles La Chèvre d’or, à Eze.
En 2007, c’est la consécration pour Andrée Rosier certes, mais aussi pour son époux qui n’a cessé de l’épauler. Elle est la première femme à obtenir le titre de meilleure ouvrière de France. Ce défi relevé, elle s’en fixe un nouveau : ouvrir son propre établissement. De là est né Les Rosiers.
Quand la simplicité s’allie à la perfection
Le couple Rosier concocte une cuisine gastronomique concrétisée dans le respect des traditions culinaires régionales et qui fait totalement honneur à sa distinction. Car n’oublions pas que, en 2009, l’établissement a reçu la prestigieuse étoile au Guide Michelin. Chaque matin, Andrée et Stéphane se rendent ensemble au marché pour trouver les produits qu’ils sublimeront le midi.
Parmi les plats à ne manquer sous aucun prétexte : ce succulent crabe en fine gelée de crustacées, caramel de fenouil et pomme verte, que l’on sert en entrée. En plat principal : une belle assiette de filets de rougets cuits à l’unilatéral, daube de cochon et châtaigne en crépinette, frites de polenta, sauce vin rouge. En bouquet final : un moelleux au chocolat, glace crémeuse au gingembre, écume de lait à l’huile de cacahuète.
Vos palais n’en reviendront pas. Le duo Rosier possède une technique et une maitrise imparables, qui lui permettent de mettre en valeur le produit brut, sans jamais le dénaturer. Toutes ces belles propositions culinaires sont rehaussées par une carte des vins éclectique, suggérée par le maitre d’hôtel, Pierre Ransinangue.
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Au bord du littoral, sur une colline sablonneuse surgit en 1855 un imposant et magnifique palace. Chez le commun des mortels, des fleurs ou autres présents symboliques serviront aux hommes à témoigner de leur amour. Mais quand on se nomme Napoléon III, on a l’exigence du luxe et du somptueux. Très épris, le prince-président ordonna alors la construction de l’opulente Villa Eugénie pour combler les désirs de sa belle. Devenu propriété de l’impératrice Eugénie au décès de son époux en 1873, l’édifice sera ensuite revendu à la Banque de l’Union Parisienne en 1880. Il sera plus tard le rendez-vous de prestige des têtes couronnées du Vieux Continent. Ravagé par un incendie en 1903, il s’est transformé en l’Hôtel du Palais qui abrite désormais l’une des meilleures tables de Biarritz.
Romantisme de la belle époque
Pour y avoir ses entrées, une tenue d’apparat sera de rigueur. Puis direction la grande place de Biarritz, là où trône majestueusement l’Hôtel du Palais. Vous vous laisserez d’emblée conquérir par le luxe et le raffinement des lieux. Les tapisseries, les tentures de soie, les belles dorures, les vertigineuses hauteurs sous plafonds, les tables dressées au millimètre près, les meubles d’époque ou restaurés témoignent de l’élégance exclusive de la Villa Eugénie.
La salle propose des tons chauds mis en valeur par les superbes luminaires. Comme si le temps s’est arrêté, on ressent encore cette ambiance « Second Empire » marquée par l’aristocratie et tout son Gotha.
Les tables ont été ingénieusement installées pour que chaque client puisse profiter de la vue imprenable donnant directement sur l’océan ou sur le célèbre rocher de la Vierge.
Cuisine gastronomique entre élégance et poésie
A la Villa Eugénie, la haute gastronomie est à l’honneur. On y découvre un Jean-Marie Gautier au summum de son art. Ce chef né de parents agriculteurs voue dès son plus jeune âge une passion pour la cuisine. Il passe son CAP à 14 ans puis intègre le Relais de Poitiers à 18 ans comme commis. Chef de partie du Maxim’s à Paris et de l’Auberge des Templiers en Sologne, il intègre plus tard le Domaine des Hauts de Loire où il exerce comme sous-chef. Après avoir passé quelques années aux côtés de Christian Willer, il rejoint l’Hôtel du Palais en 1991. Très rapidement, il recevra le titre tant convoité de Meilleur Ouvrier de France.
Jamais figée, sa cuisine est une ode au raffinement. Ses 25 années d’expériences transparaissent mélodieusement dans l’assiette. Le chef s’inspire de la cuisine française traditionnelle et régionale qui révèle des saveurs pointues avec une touche d’inspiration du reste du monde.
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Le restaurant Bellini invite les épicuriens en herbe à découvrir ou à redécouvrir toutes les subtilités et les saveurs de la cuisine traditionnelle italienne.
Un décor sobre mais authentique
S’inviter au restaurant Bellini est synonyme de voyage pour les sens. Comme préambule à une expérience gustative unique, le décor annonce d’entrée la couleur ! Un cadre cosy, simple et élégant attend les convives. L’ambiance se prête idéalement à un dîner en famille, entre amis ou collègues. Les invités notent une touche d’authenticité qui transparaît à travers ces pierres apparentes. Bien visible, un four à bois s’offre au regard des convives. Bref, tout concourt à donner à ce bel endroit un charme presque inimitable.
Une cuisine savoureuse
Le chef, Rémi Barthe, concocte avec amour et passion une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits frais. Ainsi, viandes, poissons, fruits et légumes proviennent essentiellement des producteurs locaux. Pour les produits secs, cet établissement importe directement d’Italie. Chez Bellini, la carte se garnit, au gré des saisons, des nouvelles trouvailles du chef. Celui-ci suggère à ses invités d’entamer leur escapade gastronomique par un assortiment d’antipasti suivi d’un succulent veau à la milanaise, fettucines au marsala. Et pour achever comme il se doit ce voyage culinaire, rien de tel qu’un tiramisu aux cerises pour donner l’envie aux grands gourmands de réitérer cette agréable expérience. Mais le restaurant Bellini, c’est aussi des pizzas délicatement cuites dans des fours à bois. D’authentiques pizzas italiennes à emporter ou à déguster sur place selon les envies ! Côté vins, entre les rouges et les blancs, les connaisseurs trouveront certainement leur bonheur parmi une trentaine de références.
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Idéalement situé au centre de la baie de Saint-Jean-de-Luz et faisant face à la mer, cet hôtel cinq étoiles construit en 1909 ouvre de nouveau ses portes le 1er juin 2015, après un an et demi de travaux. Tout est retravaillé de façon à offrir une ambiance chic rehaussée d’un décor aux couleurs chaudes où un air de vacances plane en permanence. Au sein de l’établissement, chaque détail est un plaisir pour tous les sens et invite à la relaxation et à l’évasion, loin du train-train quotidien : les chambres de luxe promettent un séjour romantique à souhait et riche en découvertes, l’espace bien-être est propice à la détente et le restaurant gastronomique donne vue sur la mer. Avec sa cuisine ouverte agrémentée d’une coupole style Art déco, la salle du restaurant étoilé L'Océan plonge dans un décor très contemporain et stylé. Durant la belle saison, rien de tel que de profiter du soleil sur la terrasse tout en jouissant du panorama imprenable donnant sur la baie.
Des plats qui éveillent les sens
Aux fourneaux : le chef Christophe Grosjean qui propose une cuisine authentique, saine, raffinée, moderne et créative. Au sein du Grand Hôtel Thalasso & Spa, deux restaurants sont proposés. À midi, découvrez les délices du bistrot Badia et, au dîner, succombez à la cuisine gastronomique du restaurant L’Océan. Dans l’un ou dans l’autre, la carte change très régulièrement toute l’année selon la saisonnalité.
À découvrir ou à redécouvrir au sein de l’établissement, les quelques plats signatures du chef. En entrée, les huîtres Gillardeau encapsulées dans leur eau promettent une explosion indescriptible de saveurs, tantôt acides, tantôt douces. Son chipiron déstructuré en texture fait également la réputation du chef en guise d’entrée. En plat de résistance, viandes ou poissons, il y en a pour tous les goûts.
Dans la gamme des délices sucrés, le second pâtissier Mathieu Bernard fait le bonheur des gourmands en revisitant le meilleur du répertoire des desserts français. Sa sphère ganache chocolat noir, glace à la truffe noire est une véritable apothéose de saveurs nobles et subtiles.
Chaque suggestion gourmande sera sublimée par une riche sélection de vins. Le chef sommelier Bérenger Carsana propose une carte composée de grands crus et de vins issus de petits producteurs.
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Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux.
Une adresse incontournable du Gers
Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes.
Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte
Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte.
Ambiance « chic », saveurs « choc »
Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir.
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Abritant conjointement un établissement hôtelier et un restaurant, l’Hôtel de Bastard baigne dans un cadre à l’ambiance agréable et raffinée, conçu pour le confort de ses hôtes et arrangé avec gout, où on se sent comme chez soi. Reprise récemment par le couple Birckel en 2015, la superbe bâtisse laisse opérer la magie d’un lieu chargé d’histoire, situé en surplomb d’une piscine et d’un jardin aux fleurs épanouies et aux feuilles verdoyantes.
Un personnel aux petits soins
Qualité d’accueil et satisfaction clients figurent au premier rang des préoccupations de l’Hôtel de Bastard où un personnel particulièrement attentif s’attelle à répondre au plus près aux besoins des clients. Cet établissement à la fois proche du centre et à l’écart des grands axes est partiellement classé monument historique. Il jouit par ailleurs d’un excellent service et d’un parfait accueil, des qualités très vite remarquées et appréciées non seulement par les clients réguliers mais aussi, par les visiteurs de passage qui sont toujours agréablement surpris aux premiers abords. Grâce à son engagement et à sa disponibilité, mais aussi à son grand sens du service, l’équipe attire d’emblée la confiance et l’établissement, la sympathie. On s’y sent comme dans une grande maison familiale qu’on a toujours du mal à quitter, avec une forte envie d’y retourner dès que l’occasion se présente.
Excellente table aux accents gascons et d’ailleurs
Les connaisseurs vous le diront, l’Hôtel de Bastard est un restaurant à la table réputée qui propose une cuisine gastronomique française aux accents du terroir de la Gascogne et aussi d’ailleurs. À travers des menus créatifs élaborés à partir de produits simples et bien travaillés, Philippe Birckel, propriétaire de l’établissement, reste fidèle aux préceptes de la cuisine faite-maison qui a toujours fait la renommée de l’enseigne, avec un large choix de formules. De bon conseil, le maître des lieux est en mesure de guider les clients dans le choix des plats et des vins, proposés à des prix corrects, dont une belle sélection au verre. Le soufflé de pruneau à l’armagnac reste jusqu’alors un des desserts phares de la maison non sans oublier « une carte qui change jusqu’à 5 fois au gré des saisons » comme le précise Philippe Birckel.
Bon rapport qualité/prix
Constituant une étape obligée en Lomagne et en Toscane française où armagnac, menu pèlerin, confit de foie gras et melon sont de véritables découvertes pour les papilles, l’Hôtel de Bastard est un restaurant très select qui jouit d’une excellente réputation. Le cadre y est fabuleux et le rapport qualité/prix très raisonnable. Les assiettes sont généreuses et surprenantes avec de belles portions, « préparées avec précision selon le gout du client » souligne le propriétaire des lieux. Au fil du temps, l’établissement est devenu une adresse à recommander à tous ceux qui souhaitent passer un moment de pur bonheur dans une des plus belles destinations du Gers. À travers une cuisine agréable et pleine de surprises, le restaurant laisse supposer une grande recherche et un bel esprit créatif.
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Pénétrez dans le cadre accueillant de l’établissement, où différents espaces n’attendent que vous. Au gré des saisons, préférez l’espace élégant et raffiné du restaurant et de son patio, avec ouverture sur le jardin, ou optez pour l’écrin de verdure de la terrasse, où se mêlent les parfums subtils des figuiers, des mandariniers et des fleurs de jasmin. Banquets, séminaires et autres événements festifs y sont également les bienvenus.
Une cuisine sans frontière
À travers une cuisine contemporaine et ouverte au monde, dont le succès n’est plus à démontrer, le restaurant La Grande Ourse n’a rien à envier aux autres enseignes, avec, comme mots d’ordre, le respect de la gastronomie de terroir et la volonté de préserver les valeurs et l’authenticité des goûts ; le tout présenté dans une formule à deux cartes, carte d’hiver et carte d’été.
Découvrez un large choix de produits du terroir mais aussi des spécialités Terre-Mer comme des Ravioles à la truffe Blanche d’Alba, sauce Napolitaine, parmesan 18 mois d’affinage ou des Moules de Bouchot Saint Michel, à la crème ou au piment d’Espelette et gingembre entre autres. Poisson ou Crustacés du jour, selon arrivage, seront également de la partie pour ravir vos papilles, suivi d'un irrésistible fondant au chocolat ou profiteroles faits maison, ou encore le café gourmand appelé « Surprise du chef », qui n'est jamais tout à fait le même à chaque fois.
Le restaurant La Grande Ourse, c’est aussi une très belle carte de vins, qui met à l’honneur non seulement les vins de France, mais aussi des vins d’origine espagnole. Les vins du Domaine Pellehaut Family réserve ou le Domaine de Laffite Teston Ericka Pacherenc Blanc sec du Vic-Bilh sont proposés au choix, au même titre que les vins de la Vallée du Rhône Crozes Hermitage - Paul Jaboulet ou les Bordeaux du Château Picard - Saint Estèphe.
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Situé en face de la gare de Martres-Tolosane dans la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, l’Hôtel-Restaurant Castet est le lieu de rencontres des becs fins à la recherche de saveurs pseudo-bohèmes. Le restaurant de cet établissement fait partie du réseau international « Slow Food », qui prône l’utilisation de produits sains, de qualité, et bon pour la planète. Labellisé « Qualité Tourisme » par l’Office de Martres-Tolosane, « Qualité Tables et Auberges de France », ainsi que « Bib Gourmand » au guide Michelin, cette adresse fait la fierté des deux propriétaires de marque, Françoise et Gilles Sales. L’établissement est, entre autres, détenteur d’un « Certificat d’Excellence TripAdvisor ».
Une cuisine bio et inventive
Tous les produits utilisés dans cet établissement sont frais et proviennent soit du marché d’à côté, soit de producteurs locaux. Le restaurant propose une cuisine bio tenant les papilles en haleine, cuisine inventive merveilleusement orchestrée par le chef aux fourneaux, Florent Cluzel. Ce dernier qui a fait ses preuves auprès de chefs étoilés tels que Michel Tramat et Gilles Goujon, monte de toute pièce des plats tant appréciés par une clientèle internationale, voire populaire. Les recettes et garnitures changent au fil des semaines, et en fonction des produits sur le marché.
Comme entrées salade aux deux foies gras, foie gras maison, ou encore saumon fumé fait maison. Le chef propose par la suite des suggestions de plats penchés sur le menu « Homard Breton », à l’instar du fameux dos de homard bleu et sa succulente sauce à la truffe d’été, accompagné de petites pommes de terre rôties au beurre de crustacés.
A l’entracte, le Sec dé Prat, un AOC Jurançon issu tout droit du Domaine Guirardel. Ce moelleux très sollicité par les gourmets du restaurant, accuse une absence de sucre qui intensifie la fraîcheur en bouche, enveloppée tout en longueur dans un gras. Les senteurs crémeuses de fruits exotiques, d’ananas, de fruits jaunes et de truffe blanche, enrichissent la palette aromatique de ce vin blanc millésime 2013. Parfait pour accompagner les dégustations de saumon fumé, de foie gras, de truffes et de caviar, il marie admirablement les entrées et plats de la maison en offrant du goulot pour juste 40 euros. En guise de dessert, cerises confites au vin rouge. De fausses cerises en sucre soufflé garnies de sorbet, et accompagnées d’un anneau de biscuit, de quenelles de sorbet, et de queues de cerises séchées, le tout enrobé d’un parfum de tanaisie des jardins. Un véritable régal pour le palais, mais aussi une sortie de dégustation par la grande porte.
Un cadre chic, une ambiance agréable
Cadre post-moderne niché au sein d’un charmant écrin de verdure, l’Hôtel-Restaurant Castet est un lieu au décor épuré, élégant et sobre. L’accueil attentionné au sein de cet établissement abritant une ambiance agréable, est un plaisir que font profiter Françoise et Gilles Sales à leurs hôtes toujours pleins d’enthousiasme. Service de très bon niveau, tables et assiettes magnifiquement dressées, murs intérieurs d’un blanc immaculé, parquet en bois et terrasse ombragée, le charmant restaurant de cet hôtel de huit chambres confortables, invite en toute simplicité à une dégustation dans la détente. L’adresse dispose d’une terrasse aussi joliment aménagée que l’intérieur, et indiquée pour les sorties en famille, en couple, ou encore entre amis.
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À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil.
Une cuisine gourmande
Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant.
Une découverte culinaire pour continuer
Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible).
Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie…
La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges.
Et des douceurs pour terminer
Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire.
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Petite commune tranquille de Haute-Garonne située à 10 minutes de Blagnac et à 20 minutes de Toulouse, Mondonville abrite une table gourmande qui fait la part belle aux produits du terroir. Aux Ecuries de la tour, le sud-ouest est à l’honneur à la carte comme dans la cave à vins. Vous y dégusterez des plats traditionnels gascons revisités selon l’imagination et l’inspiration de l’équipe en cuisine placée sous la houlette de Jérôme De Stéfani. Ce chef passionné saura éblouir vos papilles avec des associations de saveurs subtiles qui rappellent des souvenirs d’antan.
Une cuisine goûteuse axée sur le régional
La cuisine régionale des Ecuries de la Tour saura largement satisfaire les fins palais. Aux fourneaux, le chef Jérôme De Stéfani veut retransmettre dans ses créations culinaires, ses valeurs du sud-ouest et ses origines toulousaines. Il propose ainsi des plats gourmands entièrement qui prônent sa créativité. Etant également Maître Restaurant, le chef réalise du fait-maison avec des produits bruts.
Tous les jours, le restaurant propose des formules « Midi » avec en option : un plat du jour unique à 12 euros, une entrée et un plat ou un plat et un dessert à 16 euros et enfin une entrée, un plat et un dessert à 20 euros. Toute la semaine de mardi à dimanche, en journée comme en soirée, la maison propose également deux menus que vous créerez vous-même à partir des suggestions à la carte. Vous avez le choix entre trois ou quatre déclinaisons, c’est selon les envies.
Commencez cette escapade gourmande avec une Terrine de foie gras aux mendiants, puis enchaînez avec une Assiette de pêcheur ou un Filet d’agneau en croûte de moutarde, jus de romarin. Achevez cet agréable moment culinaire avec une note douceur en optant pour un Moelleux chocolat noir, caramel beurre salé, glace spéculos. Vos papilles ne s’en remettront pas.
Vive le terroir
Pour l’acquisition de ses produits, le restaurant s’oriente vers les agriculteurs et éleveurs locaux. Canard, foie-gras, cochon noir du Bigorre… tous les produits du terroir sont rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs de la région.
Le sud-ouest s’invite aussi dans la cave à vins. Côtes de Gascogne, St Sardos, Pacherenc Sec… il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets. Bien sûr, d’autres régions sont représentées, de quoi vous offrir le maximum de choix.
Une belle décoration atypique
Le fameux esprit typiquement toulousain se ressent jusque dans la salle. La bâtisse qui date du XVIIème siècle offre une belle association entre chênes et briques rouges. Il a fallu huit années aux propriétaires avant de venir à bout des travaux et ouvrir enfin l’établissement qui a été inauguré en 2007.
A l’intérieur, chaque détail décoratif compte : du verre soufflé servant d’appliques pour créer l’éclairage, à la balustrade réalisée par les Compagnons du devoir jusqu’à la collection de téléphones datant de 1890 et disposés un peu partout dans la salle.
En quête d’intimité ? Installez-vous dans les petits box dans lesquels se trouvent seulement deux tables pour deux personnes. La grande salle quant à elle procure une ambiance plus conviviale.
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Au moment d’évoquer La Pergola, on est rapidement tenté de multiplier les superlatifs. Décoration chaleureuse, cuisine savoureuse et généreuse, accueil agréable et service efficace… En réalité, il n’existe pas d’autres moyens de la décrire.
Dès que l’on y met un pied, on ressent rapidement toute la convivialité et l’atmosphère sereine qui garantissent de bons moments. La cuisine gouteuse et gourmande du chef Éric Terret vient encore renforcer le sentiment épicurien qui nous envahit.
Ambiance à l’esprit convivial
La Pergola attire la foule déjà par sa grande terrasse accueillant jusqu’à 150 personnes. Durant l’arrivée des beaux jours, les clients s’y donnent rendez-vous pour prendre le temps de respirer et de profiter du grand air. Le grand tilleul bicentenaire trône majestueusement au sein de cet espace extérieur décoré en toute simplicité, où des tonneaux qui font office de tables procurent une ambiance originale.
L’intérieur est tout aussi accueillant. Rien de superflu, tout est fait pour assurer le confort et le bien-être des clients. On est dans les couleurs rouges, qui donnent beaucoup de dynamique à la salle, avec une prédominance de bois et de briques pour la touche traditionnelle.
Une cuisine copieuse et gouteuse
C’est dans ce cadre chaleureux d’inspiration brasserie que le chef Éric Terret vous invite à découvrir sa cuisine traditionnelle aux couleurs du Sud-Ouest. Parmi les spécialités les plus recherchées figurent les grillades au feu de bois. Avis aux gourmands et aux gourmets : les assiettes sont particulièrement copieuses, de quoi assouvir les plus grandes faims.
Pour un déjeuner à deux, vous vous laisserez tenter par la fameuse côte de bœuf d’environ 1,2 kg. Le restaurant est aussi le seul à proposer dans la région une côte de veau de 500 g par assiette, qui sera servie avec une purée « maison ». Un pur bonheur culinaire. Pour finir en beauté, vous prendrez bien un moelleux au chocolat Valrhona « maison » avec sa boule de glace vanille ou un financier aux agrumes, crème de citron et bâton de meringue.
La carte, quant à elle, est renouvelée deux fois par an et évolue selon la saisonnalité et la disponibilité des produits. Il y a aussi les ardoises, qui sont élaborées en fonction des produits disponibles sur le marché.
Vous l’aurez compris : à La Pergola, la politique culinaire repose sur une constante recherche d’ingrédients de qualité dans une démarche globale pour l’agriculture locale et le développement durable.
Une belle carte des vins
La carte des vins se dote d’une belle composition. Dès la première lecture, l’intitulé « sélection Compagnie des pergos » vous intriguera. On y propose une liste de sélections spéciales, dont la cuvée des Pergos « Marc Penavayre » bio et produite à Fronton. Les vins régionaux sont avantagés, mais vous retrouverez aussi de nombreuses autres références comme les côtes-du-rhône (Parallèle 45, Les Jalets…).
L’équipe vous guide dans le choix des meilleurs accords afin de sublimer ce moment gourmand tarifé à prix doux.
Les menus coutent aux environs de 28 €. Les formules du midi incluant une entrée, un plat et un dessert du jour sont aux alentours de 15 € et celles qui sont constituées d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert sont à 13 €.
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Situé à proximité immédiate de l’aéroport de Toulouse et à 15 min du centre-ville, le prestigieux hôtel Radisson Blu de Blagnac est une belle découverte qui permet d’explorer dans les moindres détails le cadre reposant de deux restaurants aux noms évocateurs : La Vie en rose et L’Écrin. Installé notamment dans le jardin particulièrement verdoyant de l’hôtel, dans un cadre composé en grande partie de vignes, le restaurant La Vie en rose s’enveloppe d’un décor feutré à l’ambiance lounge où se marient à merveille l’authenticité des produits chauds du Sud-Ouest et les saveurs d’ailleurs, dans une inspiration originale.
Une cuisine créative et traditionnelle
Le restaurant La Vie en rose se démarque par sa cuisine traditionnelle et originale aux notes rafraîichissantes qui allie à la fois la pertinence d’une touche créative et l’élégance d’une pointe de raffinement. Une belle signature qui confère à l’enseigne un cachet particulier. À travers un voyage culinaire aux couleurs du monde qui invite à la découverte, le talentueux chef Gérald Potron et son équipe sauront ravir les fins palais ainsi que les inconditionnels de la cuisine simple et créative, sans pour autant sacrifier la tradition.
Laissez-vous guider dans cette belle aventure, où le talent et l’imagination font bon ménage, au grand plaisir des habitués et des visiteurs de passage.
Une touche exotique aux saveurs d’Orient
Gérald Potron s’inspire en grande partie de la cuisine japonaise dans la préparation de ses plats, une tendance qu’il a d’ailleurs su merveilleusement partager avec son équipe qui y trouve de belles associations.
L’établissement propose le midi une formule « Vol de jour », bien connue des habitués, composée de 1 entrée + 1 plat ou de 1 plat + 1 dessert, café inclus, à 21 €, si ce n’est l’option entrée + plat + dessert, café inclus, à 27,50 €. Ce menu est parfait pour les déjeuners d’affaires.
En soirée, la carte propose une myriade de suggestions gourmandes. En entrée, les convives se laisseront tenter par un nougat de foie gras, accompagné d’une purée cardinal, tube de peinture à l’orange amère. En plat de résistance, place au filet de daurade royale, servi avec des écailles de courgettes et un risotto au parmesan. En guise de bouquet final, rien de tel qu’un crémeux au citron « Lemon curd » pour flatter les papilles.
Une carte des vins particulièrement fournie
Au grand bonheur des amateurs de bon vin, le restaurant La Vie en rose peut se targuer de posséder une carte de vins éclectique et particulièrement bien fournie. L’enseigne est ainsi en mesure de proposer des vins du monde et de région qui, selon leurs arômes et leur teneur, vont idéalement accompagner les repas. À la demande des clients, certaines marques pourront également être suggérées pour relever la saveur des plats, dans une belle alliance.
Un service d’exception
Disposant d’une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 200 couverts, le restaurant La Vie en rose est un endroit idéal pour abriter les grands évènements et les retrouvailles en famille ou entre amis. On y revient par plaisir et on se laisse toujours surprendre par son cadre accueillant à l’ambiance conviviale et sa cuisine savoureuse et raffinée. L’établissement donne également aux parents la possibilité de commander pour leurs enfants un menu qui leur est adapté.
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Situé au bord de la plage de Biscarrosse, le restaurant du Grand Hôtel de la Plage accueille les gourmands en quête d’une cuisine savoureuse à déguster dans un cadre idyllique. Située sur la dune, les pieds dans l’eau, la terrasse en pin des Landes offre une vue imprenable sur l’océan Atlantique.
À l’intérieur, une décoration moderne et authentique donne déjà un aperçu de l’allure raffinée de l’endroit. Les couleurs noir et blanc de la salle témoignent de son élégance et de sa simplicité tandis que les chaises en rose poudre apportent une note apaisante. De son côté, le bar en Corian, qui a été moulé sur place, charme par ses courbes arrondies et plans inclinés donnant forme à une cabine de bateau. Pour couronner le tout, l’éclat des lumières qui ont été intelligemment installées à travers la salle sublime l’ensemble.
D’une cuisine de bistrot à une cuisine gastronomique
Lieu emblématique de la ville de Biscarrosse, le restaurant du Grand Hôtel de la plage propose une cuisine bistronomique, qui combine parfaitement la convivialité d’un bistrot à l’aspect gastronomique de plats haute couture. Au menu comme à la carte, un large choix est proposé pour satisfaire les envies de chaque convive, même celle des plus exigeants.
Se trouvant à proximité de la mer, le restaurant invite à vivre une fusion avec la nature marine et propose plusieurs plats à base de fruits de mer et de poissons, comme le navarin de homard et langoustines, le filet de maigre au beurre d’orange, le filet de bar aux poivrons confits ou les Saint-Jacques snackées et la purée d’artichauts aux agrumes. De même pour les huitres, qui proviennent directement du bassin d’Arcachon.
Les amateurs de viandes ne sont pas en reste. Une série de succulentes suggestions les attend : pot-au-feu de canard, escalope de ris de veau façon viennoise, magret à la mangue rôtie, côte de veau bouchère à la crème de morilles.
Aux fourneaux, Lionel Ménard, le chef, est loin d’être à court d’imagination. En s’inspirant de la cuisine de sa grand-mère maternelle, il réalise une cuisine traditionnelle savoureuse et simple, où les produits locaux sont à l’honneur. Néanmoins, il n’hésite pas à explorer les différentes saveurs du monde pour faire découvrir de nouveaux horizons culinaires aux plus aventuriers.
Au gré des saisons, le chef se réinvente et se surpasse pour proposer des plats aussi audacieux qu’authentiques. Pour Lionel Ménard, la qualité est primordiale. Il préfère surtout s’approvisionner auprès des producteurs locaux afin de garantir la fraicheur des produits. En outre, il s’assure que le mariage met et vin soit bien réussi pour chaque plat.
Une occasion pour les convives de découvrir la belle collection de vins, locaux et venus d’ailleurs, du restaurant. Par ailleurs, le bar ouvert convie à la dégustation des cocktails exotiques et originaux (Americano, ti-punch, piña colada…) ou des portagayola, qui sont une boisson issue de la macération de vin rouge, rosé ou blanc, de fruits entiers, d’armagnac et de sucre.
Un endroit historique
Demeure de charme des années 1930, l’hôtel a rouvert ses portes en 2013. Les travaux de rénovation ont apporté une touche de modernisme et d’authenticité à l’établissement sans que celui-ci perde son âme d’antan. En tout, il propose 33 chambres, dont 5 au rez-de-chaussée, 14 au premier étage et 14 au second, réparties en 5 catégories différentes.
Chaque chambre éblouit par sa décoration sobre et chic, gardant le ton « noir et blanc » de l’établissement. De plus, les chambres sont toutes orientées vers l’océan et bénéficient soit d’un balcon, soit d’une terrasse pour que les clients profitent pleinement de ce paysage inédit.
Et pour que la détente atteigne son paroxysme, l’hôtel met à disposition une grande piscine à débordement (durant l’été), un jacuzzi et un sauna.
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Le restaurant de l’hôtel quatre étoiles Palladia est installé dans une immense salle en ovale très éclairée et ornementée de baies vitrées, faisant de cet endroit un lieu contemporain et chic. Les couleurs chaudes qui y règnent, avec des teintes or et rouge, ainsi que du noir et du blanc, offrent un rendu visuel invitant à la détente. Ambiance chaleureuse et cosy, grand espace permettant à chaque table de jouir d’une excellente intimité… Tout a été pensé dans les moindres détails pour optimiser le confort des clients. Durant la belle saison, la terrasse couverte entourée de jasmins, de citronniers et d’oliviers invite, quant à elle, à passer de bons moments.
Produits frais, cuisine de qualité
Le restaurant Palladia a l’honneur de vous faire découvrir une cuisine traditionnelle et créative. N’utilisant que les produits de saison et du terroir, le chef garantit fraîcheur et saveur à chacun de ses plats. Les formules varient ainsi au gré des saisons, mais le saumon fumé fait maison reste la plus grande spécialité du restaurant. Ses menus semi-gastronomiques séduisent tous les palais. En entrée, la terrine de saumon aux coquilles de saint-jacques et à la langoustine a du succès. En plat principal, la palette de cochon rôtie et fumée avec l’os, accompagnée d’une polenta au citron et d’un confit d’oignons, en séduit plus d’un. La lotte et sa marinière de coquillages sont aussi très prisées en plat de résistance. Le crémeux des Aztèques en dessert est, quant à lui, un vrai délice recommandé spécialement par la maison. Il s’agit d’un mélange sucré acidulé sensationnel de crème au chocolat et de crème d’avocat citronnée, accompagné d’une flambée à la pina colada. Une chose est sûre, toutes les assiettes sont joliment présentées et divinement savoureuses.
Qui dit bon repas, dit bon vin. Une carte agrémentée de quatre-vingts références de vins et de grands crus d’Occitanie accompagne les menus. Laissez-vous conseiller par les maîtres d’hôtel pour découvrir les accords mets-vins les plus harmonieux.
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Chaque jour, en salle ou en terrasse, ce repaire d’amateurs de grillades ou de cassoulet célèbre dans la bonne humeur l’art de la bonne bouffe où la viande est consacrée reine. Au Chevillard, que la fête commence ! Au menu de ce bistro, des spécialités issus de nos terroirs composés de beaux produits uniquement. Une cuisine traditionnelle mijotée avec amour, faite de passion et revisitée grâce au savoir-faire du chef Olivier Ribourt. À la direction de ce restaurant, Laurent Perris, digne successeur de son beau-père Tony Carmen, qui perpétue cet héritage unique pour le plus grand bonheur de ses clients et des nostalgiques des Halles d’autrefois.
D’authentiques produits
Bœuf de Simmental, agneau du Lot, viandes de l’Aveyron, canards de la Maison Samaran, charcuteries, saucisses de Toulouse, jambons, boudins, Pata Negra de Bellota Pura de l’artisan-charcutier Garcia, sélection du fromager-affineur de la célèbre Maison Betty à Toulouse. On l’aura compris, Le Chevillard est à la quête de produits d’exception et des meilleures adresses que compte la ville rose. Cet établissement, devenu la cantine de prédilection des Toulousains, propose midi et soir une sélection des meilleurs produits gourmands de nos terroirs. Labellisé « Maitre restaurateur », distinction indépendante et très officielle permettant aux clients de repérer les établissements d’excellence, Le Chevillard rend hommage aux produits nobles, frais et de saison, au manger local privilégiant les circuits courts et surtout à une cuisine du tout fait maison. Une tradition, un esprit, un savoir-faire perpétués maintenant depuis plus de 20 ans par ce restaurant.
La viande à l’honneur
À la lecture de la carte, les spécialités du chef sont nombreuses. En entrées, la salade de pot-au-feu au gros sel, un des plats signatures de la maison, ouvre l’appétit et semble faire l’unanimité ; ou bien encore les filets de rougets frais à l’huile d’olive ou les sardines marinées aux poivrons rouges feront l’affaire. Parmi les suggestions « canailles du Chevillard » : une poêlée de boudin à l’oignon accompagnée de pommes vapeur ; une cassolette d’andouillette à l’ancienne, dont la cuisson colorée et déglacée au vin blanc avec justesse est servie accompagnée d’une sauce moutarde à l’ancienne, le tout légèrement gratiné.
Pour les plats, c’est la viande qui est à l’honneur. La maison Chevillard propose une variété de viandes de qualité gouteuses, persillées, sélectionnées et travaillées avec soin par le chef. Ici, les cuissons sont au charbon de bois. En bouche, la viande au grain fin et à la chair rose offre toute sa jutosité et livre toutes ses saveurs aromatiques. Grillades d’agneau du Lot, pièces de bœuf de Simmental ou de l’Aveyron, abats avec rognons ou pavé de foie de veau au xérès ou au marsala sont proposés pour les amateurs éclairés de bonnes viandes.
À découvrir également, dans la catégorie des « gourmandises du Chevillard » des spécialités incontournables propres à Toulouse comme le cassoulet maison aux manchons de canard ou, pour 2 personnes, la côte de bœuf sauce marchand de vin et sel de Guérande : un classique mais un pur régal.
Côté desserts, il faut absolument compter sur le fromage du jour sélectionné avec soin par le célébre fromager-affineur Betty. Cet établissement travaille depuis des années en étroite collaboration avec le Chevillard. Également, le vacherin fait maison à base de meringue fourrée de glace masqué de crème chantilly accompagné, suivant l’humeur du chef, de fruits confits et d’un coulis de framboise ou de fraise est un choix judicieux pour finir sur une note sucrée.
Outre la carte, l’établissement propose deux formules. Un menu à 24 € avec entrée, plat et dessert ou une formule du midi à 15 € avec un plat et une entrée ou un dessert. Des formules simples, abordables et de qualité, qui font tout le succès de cette brasserie devenue l’adresse incontournable sur Toulouse pour déjeuner ou diner entre amis en toute convivialit&ea...
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08/04/2016 - Publié il y a 6 ans
Ce bar renferme le cadre idéal pour une ambiance festive jusqu’à l’aube. En plus, ils ont un salon privé à l’étage. Super pour une soirée entre amis.