Situé en plein cœur de Paris, dans le 20e arrondissement, le restaurant Abyssinia est une invitation à la découverte d’un pays envoûtant qu’est l’Éthiopie. Les gérants, chaleureux et toujours prêts à vous servir, vous invitent à partager des plats exotiques amoureusement mitonnés par Tesfaye Kidane. Pouvant accueillir quarante couverts, la salle est ornée de peintures et de masques africains. Dans des tons de marron et de blanc, elle offre un contraste parfait entre modernité et tradition. Masenqo, krar et kissar (des instruments de musique éthiopiens) peaufinent cette décoration atypique. Voyage hors frontière garanti ! Des plats hautement recommandés… Ici, tout le monde y trouve son compte. Les plats aux noms énigmatiques émerveilleront vos papilles. Les épices, une valeur sûre dans la cuisine éthiopienne, promettent saveur et authenticité. Vous pouvez avoir une confiance aveugle en l’équipe qui vous aiguillera dans vos choix. Parmi les suggestions avancées par la maison, figurent par exemple le samoussa ou l’azifa (purée de pois chiche) en entrée, le Key Wot (ragoût de bœuf) ou le dorowot (poulet mariné) en plat de résistance et le baklava éthiopien (une sorte de mille-feuille trempé dans du miel) en dessert. Veillez à bien vous nettoyer les mains avant, car « ici, on mange avec les doigts », précise Monsieur Kidane, le propriétaire. Le concept est simple et unique : chacun commande son plat puis le tout est rassemblé sur un grand plateau pour cinq personnes dans lequel tout le monde pioche ici et là pour goûter aux plats des autres. Des avis enthousiastes… La maison se préoccupe particulièrement de la satisfaction de ses clients. Ces derniers ressortent de l’établissement avec le sourire aux lèvres et des souvenirs plein la tête. Ceux qui sont déjà venus reviennent avec entrain et conseillent l’enseigne aux amateurs de gastronomie tropicale… « Dans notre restaurant, vous découvrirez un petit bout de l’Éthiopie », déclare notre interlocuteur. ...
Située entre la vallée de l’Ardre et la vallée de la Marne, plus précisément à Courville, l’exploitation de 9,6 hectares de la famille Bennezon au fil des années a acquis une notoriété auprès des connaisseurs. Blanc de noirs, Blanc de blancs, Brut rosé, Brut tradition, Grande réserve : une grande variété de cuvées issues d’assemblages minutieusement pensés, attend d’être découverte. Une riche histoire La passion et le savoir-faire familial se transmettent depuis plusieurs générations au sein de la famille Bennezon. Dans le respect de la tradition champenoise, elle propose des cuvées d’une grande finesse qui deviennent des compagnons incontournables de tous les plus grands moments de vie. Le vignoble est implanté sur la terre de prédilection du meunier avec ses sols calcaires propices au bon développement de ce cépage, bien qu’il soit aussi planté de chardonnay et de pinot noir. Un terroir riche d’une histoire particulière « puisqu’à Courville, les coteaux étaient exploités par d’anciens moines puis abandonnés après la Révolution », raconte Vincent Bennezon, actuel propriétaire. « Les vignes ont ensuite été replantées dans les années 60 », poursuit-il. Les cuvées emblématiques Propriétaire-récoltant, le vigneron vinifie ses champagnes dans une cave coopérative. Parmi les cuvées ambassadrices de la maison, il cite le Blanc de noirs « qui a la particularité de vieillir dans des fûts d’acacia et est issu d’une sélection de petits grains de pinot noir », précise notre interlocuteur. L’une des autres cuvées qui fait la fierté de la maison est représentée par la Grande réserve qui est obtenue grâce à un assemblage de pinot noir et chardonnay à 50/50. Ce champagne passé en fût de chêne révèle de jolies notes d’arômes boisés et torréfiés. Dernier et non des moindres : le Brut tradition « fait partie de mes coups de cœur », confie le vigneron. « Ce champagne est vif, bien équilibré, offre un excellent rapport sucre sur acide et une belle longueur en bouche. » ...
Rendez-vous à Colmar, dans le charmant bar à vins La Vecchia Dogana, pour déguster les fameux nectars italiens autour d’une belle planchette de charcuterie. L’entreprise propose également la livraison et la création de cartes de vins pour des restaurants italiens. Mais sa plus grande fierté reste sa plateforme de vente en ligne qui regroupe aujourd’hui près de 300 références de vins et boissons italiennes (https://www.enoteca-divino.fr/). Un site où chacun trouve son plaisir Enoteca Divino collabore non seulement avec les grandes marques mais aussi avec des producteurs locaux. De cette manière, la boutique en ligne s’assure de répondre à tous les goûts et à tous les budgets. Les produits en question sont personnellement sélectionnés par Gianfranco Scalzitti, aujourd’hui à la tête de l’entreprise. « Je tiens à me déplacer pour rencontrer personnellement les producteurs et goûter leurs produits », confie-t-il. Pour les consommateurs, l’avantage de passer par ce service en ligne est qu’il optimise l’expérience d’achat. Enoteca Divino propose aux consommateurs d’acheter des produits frais, soigneusement conservés en cave jusqu’à expédition. Ainsi, les vins sont épargnés de tout risque d’altération dû à la lumière ou à l’écart de température. ...
Ce jeune exploitant s’est installé depuis 2014 au cœur du massif de St Thierry, pour élaborer des champagnes à partager entre amis. Sur ses 5,5 hectares plantés à 40% de Pinot Meunier, 40% de Pinot noir et 20% de Chardonnay, il bichonne ses vignes dans la plus pure tradition champenoise. Il a adopté une démarche respectueuse de l’environnement : pas d’herbicides ni d’insecticides; mise en place de la technique de confusion sexuelle, un procédé naturel de lutte contre les insectes nuisibles, un procédé doux pour la nature. A Trigny, ses parcelles sont exposées plein sud, avec des terres plutôt fines et légères, ce qui donne un maximum de minéralité aux raisins. Sur ses autres parcelles exposées nord-est, les terres sont plus argileuses pour donner des raisins avec plus de rondeur. Ces différences permettront une belle complexité lors de l’assemblage des champagnes. Une cuvée pour chaque occasion Pour l’apéritif ou avec les poissons, dégustez le champagne Pierre Goulard Brut Sélection, un champagne aux fines bulles, dégageant des arômes de fruits jaunes. En été, pour l’apéritif ou le dessert, optez plutôt pour le champagne Rosé Sélection qui vous séduira par sa fraicheur et ses arômes de fruits rouges bien présents. Si vous recherchez un champagne plus raffiné, offrez-vous le Brut Grande Réserve, un champagne bien structuré aux notes de vanille. Il pourra vous accompagner tout au long d’un repas. Quant au champagne de Marzella, un soin tout particulier lui a été apporté par Pierre Goulard. C’est un champagne plus vineux, travaillé à l‘ancienne et vieilli dans des fûts de chêne de Chablis. Sa fermentation est totalement naturelle. Le résultat est un champagne subtil aux arômes de fruits confits et de moka qui peut être savouré à l’apéritif ou au moment des repas. ...
La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton. Crêpes et galettes bretonnes La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée. Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients. Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne. Un état d’esprit, une éthique La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients. Un restaurant ouvert aux artistes Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes. Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année. ...
Le domaine du Château Grézan crée ses vins à 20 km au nord de Béziers dans la commune de Laurens. Un domaine familial au sein duquel Jean-Louis Pujol arrive en 1988. Aujourd’hui dirigé par son fils Fabien, cinquième génération de vignerons depuis 1877, le vignoble profite d’un climat méditerranéen à tendance montagnarde. Ce climat se distingue par des hivers doux avec peu de gelées ainsi que des étés chauds et secs avec des précipitations rares mais concentrées. Une aubaine pour les AOP élevées sur place dont certaines se situent au-delà de 300m d’altitude. Cette situation géographique leur permet ainsi de profiter de nuits plus fraîches et d’une eau mieux drainée. Un vignoble et une histoire séculaires L’histoire du domaine remonte à plusieurs siècles. Grézan fut d’abord la villa d’un centurion de l’armée de Rome. Au moment des Croisades des XIIe et XIIIe siècles, Grézan devient une Commanderie de l’ordre des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Quelques années après le début de la Révolution française Grézan va brûler presque intégralement. Finalement, le Château commence à prendre sa forme actuelle à partir de 1864 lorsque Gabriel Rozier de Mirepoix, un homme de loi du Narbonnais, reconstruit les bâtiments et y adjoint un rempart dans le style de ceux de Carcassonne. C’est à l’architecte Louis Garros que sera confiée la tâche, il sera conseillé par Eugène Viollet-le-Duc. En 1993, le Château sera inscrit à l’inventaire des monuments historiques français. Aujourd’hui, on y retrouve différents cépages en AOP Faugères comme la Syrah, le Grenache, le Cinsault, le Mourvèdre et le Carignan. Mais aussi des cépages en IGP Pays d’Oc avec le Chardonnay, le Sauvignon blanc, le Viognier, le Merlot, le Vermentino, et le Muscat. Un terroir spécifique La particularité des vins de l’Appellation Faugères est qu’ils sont cultivés sur une formation géologique particulière, le schiste. Ce dernier est issu de la compression des argiles de l’ère primaire. Cette composition géologique rare, seuls 10% du vignoble mondial est ainsi constitué, permet d’y produire des vins élégants, fins et profonds. Le schiste dispose aussi d’une forte capacité de rétention d’eau et de chaleur pour ensuite les restituer la nuit venue. Les baies de raisin peuvent ainsi continuer à mûrir même la nuit tombée. Il y a plus de 3000 ans, la région formait l’estuaire d’un fleuve, ce qui a permis de constituer plusieurs lithochromies, un mélange de plusieurs pierres. Des techniques éprouvées Au Château Grézan, les vignes sont spécifiquement traitées pour s’adapter à la région. L’hiver venu on taille la vigne comme partout ailleurs, pour la contenir tout d’abord mais surtout pour offrir vigueur et dynamisme aux bourgeons à venir. Le chef de culture analyse spécifiquement la richesse des sols pour effectuer cette taille qui vit au rythme des sols. Sur le site, plusieurs types de taille sont appliquées. On retrouve la taille en gobelet, qui est historiquement la plus ancienne, la taille en guyot ainsi que la taille de royat. Le domaine produit des vins majoritairement vendus en France mais qui alimentent aussi des caves de pays comme la Belgique, la Suède, la Suisse ou encore le Japon. Sur le vignoble, ce sont un peu moins de trente salariés qui s’occupent toute l’année des plantations ainsi que des vendanges qui sont à la fois manuelles et mécaniques. ...
Bâti au XIXe siècle, le Château Volterra met aujourd’hui en avant son terroir viticole par des labels incontestablement reconnus du milieu. Ayant pour ambition de réaliser d’excellents crus, le domaine se lance dans une exploitation manuelle et une culture raisonnée, écartant définitivement de ses pratiques l’utilisation des pesticides. Ce qui ne fait qu’accentuer le gout et la valeur du vin qui en résulte… Le vignoble de la Méditerranée Connu autrefois sous le nom de Château Camarat, le Château Volterra est l’héritage d’une histoire d’amour déchu entre un certain aristocrate anglais et sa belle Tropézienne. Racheté en 1926 par l’imprésario parisien Léon Volterra, il sert de lieu de tournage et accueille de nombreuses activités. A la fin des années 80, le Château et son domaine furent laissés à l’abandon jusqu’à son rachat en 1999, où ils retrouvèrent leur prestige grâce à une restauration complète par les nouveaux propriétaires. Replanté avec des cépages locaux, le vignoble reprend vie grâce à la douceur du climat maritime dont le domaine bénéficie. Le vent marin qui souffle sur les feuilles de vignes constitue d’ailleurs un élément fondamental pour la qualité des cépages et donc du vin. Dans cette zone, l’équilibre climatique occasionne une saison tempérée idéale pour la pratique viticole. Le domaine produit 50% de rouge, 25% de rosé et 25% de blanc. Des techniques de pointe pour un vin savoureux Non loin du Château, enfouie entre des murs épais du début du XXe siècle, la cave du Château Volterra renferme de grands crus. Cueillis à la main sous le souffle de la brise nocturne, les fruits font l’objet d’un tri sélectif strict en vue de collecter les meilleurs cépages qui seront destinés à la réalisation d’un vin d’exception, de qualité supérieure. Le choix d’une agriculture raisonnée et sans pesticides favorise la saveur du vin. En outre, la fermentation est obtenue par une parfaite maitrise de la température. Avant la mise en bouteille au Château, le vin est soumis à une analyse rigoureuse en laboratoire qui se trouve sur place. La particularité du rouge est qu’il est mis en bouteille sans filtration, après que les cépages aient été fermentés séparément dans de grandes cuves de bois, puis élevés dans une barrique sur une période de un à deux ans. Cette technique permet au vin d’acquérir plus de tanin et de couleur. Quant aux vins blancs, la vivacité et la fraicheur du Vermentino (cépage blanc italien) sont dues à sa fermentation en cuve inox tandis que le Chardonnay doit sa complexité à la fermentation en barrique et à l’élevage sur lie. ...
Cette petite boutique située dans le quartier Saint-Pierre est une halte obligatoire pour les riverains et les touristes de passage à Bordeaux. La fromagerie Deruelle est un antre de la gourmandise et des bons produits fermiers. Toutes les régions de la France y sont dignement représentées, mais Élodie DERUELLE a un coup de cœur pour les produits locaux, qu’elle fait découvrir passionnément à ses clients. De délicieux fromages et produits de terroir Sous la lumière tamisée, les fromages disposés dans les vitrines offrent une jolie palette de couleurs qui va de nuances grisâtres à dorées, jusqu’à un ton légèrement bleuté. Plus de 150 variétés de fromages y sont proposées. « Je m’investis plus dans les produits locaux pour mettre en avant notre savoir-faire et privilégier le circuit court », explique la gérante. Qu’elle soit à base de lait de vache, de chèvre ou de brebis, la gamme de fromages suggère des saveurs inattendues, à la fois affinées, aromatiques et typées. L’AOP saint-nectaire, le mont-d’or, le cabécou, le saint-félicien de chez Cellérier, le pouligny-saint-pierre ou encore le rocamadour figurent parmi la sélection. En outre, le rayon frais expose un vaste choix de yaourt, de crème fraîche, de beurre cru en motte du Pays Basque et d'œufs de la ferme. Quelques spécialités lyonnaises de chez Bobosse sont également à découvrir, telles que la cervelle de canut, les jambons ibériques, le pâté en croûte, les quenelles et un assortiment de saucisson. Pour sublimer le tout, un autre rayon propose du miel, de l’huile, des confitures, des vins ainsi que divers produits faits maison (cheese-cake façon Deruelle, tartiflettes, tiramisus, etc.). Un lieu de bonheur pour les gourmets ! « Du côté des producteurs » Pour Élodie DERUELLE, sa fromagerie est avant tout un lien entre les producteurs et les clients. « J’ai fait des études agricoles, j’ai eu ma première expérience dans les fermes à l’âge 14 ans, je suis naturellement du côté des producteurs, surtout des petits producteurs. » Cette sensibilité se traduit par une volonté de travailler étroitement avec eux à travers des visites régulières des fermes. À préciser que certaines exploitations en collaboration avec la fromagerie se sont reconverties vers la biodynamie. Une telle démarche ne peut que garantir des produits d’excellente qualité et une relation de confiance mutuelle. Déterminée jusqu’au bout, la gérante s’est également mobilisée pour soutenir « les producteurs engagés ». « Je travaille par exemple avec une jeune agricultrice qui s’appelle Jessika, elle a pour ambition de sauver la ferme de ses parents, et nous l’aidons à concrétiser son projet d’acquisition d’un troupeau de 25 Jersiaises. » ...
À travers ses spiritueux issus d’un autre temps et un mode d’élaboration traditionnel qui a traversé les âges, Distillerie La Favorite séduit non seulement les visiteurs par ses rhums exceptionnels mais aussi par son côté pittoresque. Il était une fois une distillerie Fondée en 1842, Distillerie La Favorite s’érige comme une véritable institution en Martinique. Elle fait l’objet d’un rachat en 1905 par la famille Dormoy. Cette dernière installe alors à l’époque une machine à vapeur, qui, d’ailleurs, est encore fonctionnelle de nos jours. Depuis, la distillerie a connu trois générations de Dormoy. Sous l’impulsion d’André Dormoy, elle obtient le fameux label rouge en 1973. Pour l’AOC, il a fallu attendre 22 ans pour obtenir gain de cause auprès de l’organisme responsable. Mais le jeu en valait la chandelle ! Un savoir-faire immuable Cette entreprise à taille humaine qui emploie treize personnes à l'année (et plus de 30 en période de production) assure une production authentique et artisanale depuis plus de 100 ans. Distillerie la Favorite dispose d’une plantation de canne à sucre s’étendant sur 62 hectares. Tout est fait sur place ! De la coupe (qui s’effectue encore à la main) en passant par l’extraction, la fermentation jusqu’à la mise en bouteille. Cela démontre une maîtrise totale de toute la chaîne de production. Incomparable dans toute l’île, Distillerie la Favorite est la dernière du genre à utiliser des éléments de broyage actionnés uniquement par la machine à vapeur. Une machine d’origine datant de 1906 et fabriquée par Henri MARRIOL. La distillation proprement dite se fait grâce à des colonnes créoles en cuivre, et ce, dans le respect de la tradition. En ce qui concerne l’énergie, la distillerie est autonome et fonctionne en circuit fermé. En effet, les fibres de cannes restantes après extraction servent par la suite de combustibles pour alimenter les fours. Distillerie La Favorite intègre donc non seulement une dimension patrimoniale mais aussi écologique. La production en chiffres En moyenne, l’entreprise produit chaque année à peu près 500 000 litres de rhum, soit à peine 3% des volumes produits en Martinique. Mais la production reste tributaire du climat. Elle peut tout aussi bien connaître une hausse ou enregistrer une baisse selon le cas. Ainsi, 75 % de la production est réservée au marché local. Le reste (25 %) est destiné à l’exportation dont le tiers (1/3) dédié à la métropole. Les 2/3 arrivent sur le marché européen (Allemagne, Belgique, Espagne, Andorre, Italie) et nord-américain (les États-Unis). Des rhums de qualité supérieure Respectant un cahier des charges très strict, Distillerie la Favorite est à même de garantir la qualité à tous les consommateurs. La maison propose une gamme étoffée de rhums vieux et hors d'âge et des rhums blancs très parfumés, fruités aux arômes prononcés de canne fraîche, le tout dans le respect d'un équilibre entre tradition et innovation avec des embouteillages nouveaux, suivant les nouvelles tendances de consommation. ...
Marie-Line et Michel Roche, les propriétaires commencent à faire des travaux à partir de 1988 pour construire un petit restaurant, puis une partie hôtellerie en 2002. Pour optimiser l’ambiance et le charme du lieu, ils aménagent l’extérieur d’un jardin personnalisé et mettent aussi sur pied une jolie terrasse ombragée. Les clients de l’Auberge y viennent pour « passer un bon moment et se reposer en même temps. », d'après Michel Roche. Aujourd'hui, l'établissement compte 60 places assises, 11 chambres et 4 suites. Une ambiance douce L’Auberge Bienvenue porte bien son nom. Son magnifique jardin fleuri et verdoyant reflète d’ores et déjà son accueil chaleureux. Ses murs extérieurs de couleur naturelle et les auvents roses présagent une ambiance conviviale, où il fait bon vivre. L’intérieur n’en est pas moins coquet et chic. Des belles arcades surplombent la salle, le bois modernisé apporte élégance et raffinement. Les chambres, quant à elles, sont décorées avec goût, bien spacieuses et confortables. Une cuisine originale Au piano : Michel Roche se plaît à revisiter les recettes traditionnelles pour en faire ressortir des plats savoureux. Il ne cuisine que des produits frais, en grande partie issus du terroir. Ses sauces, dont il est le seul à connaître le secret, relèvent le goût de ses assiettes, ce qui lui vaut d’ailleurs d’être primé par plusieurs guides culinaires, tels que Logis, le Guide Michelin, le Bottin Gourmand et le Gault et Millau. Les menus sont tous attirants, l’entrée la plus prisée est la demi-mangue rôtie et son escalope de foie gras poêlée. En résistance, le filet de sandre rôti au four avec sa sauce rehaussée de vin savennières crée une explosion de saveurs qui séduit tous les palais. Pour finir en beauté, le parfait glacé au Cointreau et ses zestes d’orange confits est un incontournable « que l’on a régulièrement à la carte, ce dessert est très sollicité», souligne le maître des lieux. Une carte de vins élaborée au rythme des saisons vient valoriser chaque plat. En été, les vins du Val de Loire sont mis à l’honneur, tandis qu’en hiver, les Bordeaux et Bourgognes prennent le relais. « Il y a de quoi satisfaire les clients, autochtones comme plaisanciers », conclut notre interlocuteur. ...
Sur Talents culinaires, le catalogue part des petites accessoires comme les emballages ou les dosettes Nespresso aux moules en silicone. La boutique propose aussi une gamme diversifiée de cacao Barry, des ingrédients alimentaires et des livres de cuisine. Les apprentis cordons bleus peuvent ainsi réaliser des formules plus techniques, tout en s’inspirant des recettes d’illustres MOF. Le magasin de stockage est situé à Antony, à l’intersection de trois départements, desservie par des routes importantes qui facilitent la livraison des commandes. Des produits d’origine française et italienne Talents culinaires accompagne les professionnels ou les particuliers dans la réussite de leurs recettes grâce à une panoplie complète d’ustensiles culinaires. Les marques françaises et italiennes y sont privilégiées, garantissant ainsi la qualité et la sécurité d’usage conformément aux normes européennes. La boutique sélectionne ainsi la maison Louis François comme fournisseur exclusif de tous les ingrédients alimentaires. Côté coutellerie, les gammes Lion Sabatier ou Sanelli sont proposées aux meilleurs rapports qualité-prix. Sur tout l’ensemble du site, d’autres fabricants soucieux de la même éthique professionnelle estampillent des milliers de produits. Les gourmets y trouveront également une librairie en ligne, où de célèbres chefs comme Stéphane Glacier, J.-M. Perruchon, Joël Bellouet ou Jean-Yves Guinard dévoilent leurs plus belles recettes. ...
Animés par le désir de proposer une viande de premier choix pour satisfaire la demande croissante du marché français en viande ovine, les 1 000 membres de l’association d’éleveurs GIE Ovins du Limousin se sont rassemblés pour défendre un bien commun par une démarche qualité. L’obtention de l’IGP leur a permis d’assurer l’excellence de l’agneau Baronet, déjà très avantagé par le terroir sur lequel il évolue. Sa végétation, ses prairies, ses herbes, son climat, sa pluviométrie, sa géologie et son altitude font effectivement du Limousin un endroit idéal pour élever les moutons. « Il est voué à nourrir les animaux », affirme Didier Briantais, directeur du GIE Ovins du Limousin. Au-delà, les éleveurs doivent respecter les critères du cahier des charges pour fournir une viande conforme : lait maternel pendant au moins 60 jours, traçabilité, alimentation au foin et à l’herbe en période hivernale, avec éventuellement un complément de céréales et de fourrage… Un produit d’exception pour des repas gourmands « Grâce aux propriétés spécifiques du terroir et à la rigueur des méthodes d’élevage employées, les viandes offrent une chair tendre, délicatement parfumée, avec un taux de gras idéal », souligne Didier Briantais. Elles sont aussi facile à cuisiner : des chefs de renom tels qu’Alain Longeval ou Emmanuel Ardillon prônent d’ailleurs la marque en créant des recettes. Un véritable ravissement pour les papilles qu’offrent, par exemple, la « Selle d’agneau du Limousin et pommes dauphine » ou la « Roulade de poitrine d’agneau du Limousin farcie ». ...
En été, la Brasserie fait profiter ses clients d'une terrasse spacieuse offrant une vue splendide sur le bois de la Cambre et les alentours. Elle propose également une aire de jeux et une patinoire pour le divertissement des enfants. Une gastronomie authentique et savoureuse Il y vous est proposé une cuisine gastronomique et traditionnelle qui s'alterne et donne naissance à des plats succulents et originaux élaborés avec des produits nobles et de saison tels thon rouge, côte à l'os, sole sauvage... Les clients savourent également des plats typiques de la Brasserie dont « Les plats de Granny », des mets à base de viande de boeuf ou de poularde tels que blanquette de veau à l'ancienne, vol au vent de poularde, rognons de veau à la dijonnaise... Le service Tea Room et Petite restauration, quand à eux, invitent à un voyage au pays de la gourmandise. Au programme : chocolat chaud, glaces faites maison, crèpes, gaufres, croque-monsieur, vin chaud en hiver... Avis aux amateurs de vins. Cette brasserie possède aussi une cave à vins français, espagnols, italiens, australiens et des bouteilles qui viennent d'Afrique du Sud. Accueil chaleureux et service de qualité Questionné sur la décoration et l'ambiance de la Brasserie de la Patinoire, Frédéric Eberhart décrit l'intérieur comme « un endroit cosy, calme, posé, décontracté ». Côté service, le gérant des salles affirme : « On est très attentionné, on est très attentif à la demande des clients. » Outre l'écoute et la disponibilité, le personnel de l'établissement fait preuve de réactivité. Récompenses et partenariat La Brasserie de la Patinoire est dans le guide Michelin 2017. Avec son « menu du mois » proposé par le chef, en effet, l'établissement a obtenu un Bib Gourmand au guide Michelin. Le concept est simple : pas besoin de se ruiner pour déguster des mets sains et succulents. La formule gourmande proposée par la Brasserie respecte bel et bien ces critères. Soucieux du confort de la clientèle, cet établissement a encore réalisé un partenariat de type « Pass Confort » avec le Théâtre de Poche. Cela se traduit par le droit à un repas à la Brasserie, trois plats au choix, pour le prix d'une place au théâtre. ...
Vouant depuis longtemps une passion pour les spiritueux, Miko Abouaf décide de quitter le monde de la finance et débarque à Cognac (Charente) en 2011. Il commence à distiller pour de grandes maisons au sein d’une importante distillerie. Puis, dans une volonté de proposer quelque chose de différent, l’idée lui est venue de lancer ses propres créations. En 2013, il crée alors Audemus Spirits. Un an plus tard, il rencontre son ami et associé Ian Spink. C’est le début d’une collaboration fructueuse qui va plus tard donner naissance à des produits uniques au style inimitable. Entre parfumerie et distillerie Audemus Spirits se spécialise dans l’élaboration de gins, de spiritueux, de liqueurs et autres apéritifs. Loin d’être une distillerie comme les autres, la maison revendique des méthodes de fabrication qui lui sont propres. « Pour produire nos alcools, mon travail se place à l’intersection de la distillation et de la parfumerie », fait savoir Miko Abouaf. En effet, tel un chimiste évoluant dans son laboratoire, ce dernier utilise des alambics en verre afin de fabriquer ses précieux nectars. Sans pourtant vouloir tourner le dos aux méthodes de distillation traditionnelle, Miko Abouaf se plait à expérimenter tout en usant de techniques pour le moins originales. À titre d’exemple, pour fabriquer un des produits ambassadeurs de la maison, le « Pink Pepper Gin », il fait macérer et distille séparément les neufs plantes qui entrent dans la composition de ce gin d’exception. Ces différentes distillations font ensuite l’objet d’un assemblage. Résultat : les arômes gardent à la fois toute leur richesse et toute leur intensité au cours de la dégustation. « S’il était question d’un gin classique, les ingrédients auraient tout simplement été mis dans un alambic puis distillés ensemble », indique Miko Abouaf. En matière de distillation justement, Audemus Spirits se démarque de ses concurrents par le procédé de distillation dite « sous vide ». Une technique qui permet de réduire considérablement la température d’ébullition de l’alcool et limite ainsi le risque de dégradation occasionnée par un chauffage trop important. Des matières premières de qualité Tout le monde sait que les meilleurs vins ne s’obtiennent qu’avec des vignes de qualité. C’est tout aussi valable dans l’univers des spiritueux lorsqu’on évoque les ingrédients nécessaires à leur fabrication. « Nous essayons le plus possible de nous fournir près de la source dans le but d’avoir les meilleurs produits », explique Miko Abouaf. Ainsi, la maison s’approvisionne en miel auprès d’un agriculteur situé non loin de la distillerie. « Pour le gin, nous sommes en train de mettre en place une collaboration avec des planteurs de vanille de São Tomé. » Des créations uniques en leur genre À travers ses créations originales, Audemus Spirits promet une expérience différente aux amateurs de spiritueux. Le « Pink Pepper Gin », un gin incomparable en termes de saveurs, fait la fierté de la maison. Pas moins de neuf éléments aromatiques (dont trois sont tenus secrets) composent ce breuvage exceptionnel : fèves tonka, vanille, miel, baies de genévrier, baies roses et cardamome. Au nez, on retrouve l’intensité du genièvre, de la cardamome et la fraicheur du poivre. Ces trois arômes reviennent en bouche pour laisser ensuite place à la douceur des notes vanillées, tonka et miel mille fleurs. « C’est un des rares gins qui se déguste sec, sans besoin de le mélanger avec d’autres boissons. » Autre merveille à découvrir : l’« Umami », un étonnant spiritueux à base de câpres. Ce nectar présente un nez légèrement salin, délicat et élégant, associé à des notes fraiches citronnées. La bouche est suave et savoureuse avec de superbes arômes de câpre suivie des notes très subtiles de garrigue. Enfin, une finale précise et longue révèle toute la qualité des distillations. Toujours dans l’originalit&e...
Le Domaine Monastrel travaille sur un vignoble qui s’étend sur environ 8 ha. Bénéficiant d’un bel ensoleillement dans la partie orientale de l’AOC Minervois, celui-ci repose sur un terroir présentant un sol argilo-calcaire à forte capacité drainante. L’encépagement est composé majoritairement de mourvèdre, qui semble trouver ici les conditions climatiques propices à son épanouissement. Le vignoble est également composé de syrah, de grenache et de cinsault, utilisés pour l’élaboration des vins rouges et rosés, mais aussi de la roussanne et du vermentino pour les vins blancs. Une viticulture raisonnée Soucieuse de préserver l’environnement, la maison mise sur des pratiques culturales qui respectent les vignes et la Nature. « Pour l’essentiel de mes traitements, j’utilise des produits agréés bio », indique Vincent Énaud, le propriétaire des lieux. Celui-ci fait partie de ces vignerons qui appliquent rigoureusement des mesures prophylactiques pour éviter tout traitement excessif aux vignes. Afin d’assurer la qualité, les rendements sont limités en moyenne à 35 hl/ha. Ici, les vendanges sont encore effectuées à l’ancienne. Ainsi, cette cueillette manuelle permet déjà de réaliser un tri sélectif au niveau des grappes. Une fois triés, les raisins sont égrappés avant de passer en cuve pour la macération. Côté vinification, la maison privilégie la méthode traditionnelle. « Je vinifie par cépage et en fonction des cuvées, la macération peut durer de 5 à 20 jours », précise Vincent Énaud. Le meilleur du Minervois En tout, le domaine élabore 8 cuvées qui reflètent parfaitement la typicité du terroir du Minervois. « Ce sont des vins généreux, soutenus et qui ont beaucoup de couleurs. Leurs tanins sont à la fois souples et fins », explique notre interlocuteur. Parmi les spécialités de la maison, 3 cuvées sortent du lot : la cuvée « Bizan », la cuvée « Bélibaste » et la cuvée de haut de gamme « Victor ». « Bizan » est un vin méditerranéen obtenu à partir de 35 % de mourvèdre, 25 % de grenache, 25 % de syrah et 15 % de carignan. Cette cuvée se démarque par ses arômes de fruits rouges mûrs et de garrigues. Elle dévoile une étonnante fraicheur en bouche ainsi que des notes d’épices et d’aromatiques. Un vin auréolé de deux étoiles au Guide Hachette des vins 2018. La cuvée « Bélibaste » est le fruit de l’assemblage de 80 % de carignan, 15 % de syrah et 5 % de mourvèdre. Le nez est fruité et développe des arômes de fruits noirs et d’épices. Idéal pour accompagner charcuteries, viandes blanches grillées ou poissons fumés. Enfin, la cuvée « Victor », un assemblage de 55 % de mourvèdre, 30 % de syrah et 15 % de grenache, séduit par ses arômes intenses de fruits rouges ainsi que ses tanins suaves et boisé fondu. ...
Avec une carte qui change tous les trois mois, Le Jardin Gourmand, peut s’enorgueillir de travailler majoritairement des produits locaux, où le surgelé n’a nullement sa place. Soucieux des goûts et préférences de la clientèle, le restaurant propose une carte du jour tous les midis, avec une option de quatre entrées, quatre plats et quatre desserts, ce qui permet de varier les plaisirs des habitués et des clients de passage. Le Jardin Gourmand, c’est aussi un restaurant pour les végétariens, les végétaliens et les intolérants au gluten, mais aussi un excellent service traiteur. Les suggestions du chef En entrée, une délicieuse salade de langoustines reçues fraîches, qui vont être décortiquées et équeutées avant d’être poêlées aux échalotes, ail et persil, et servies avec un petit mesclun de salade de mâche et un tout petit peu de frisée d’hiver, avec, à côté, un petit jardinet de légumes sur lequel sont piqués des bâtonnets de betterave pour apporter un peu de croquant et de fraîcheur à l’ensemble. Pour continuer, un tajine de souris d’agneau au kaki confit et coriandre avec un couscous de fruits secs. La souris d’agneau est saisie au four à 180 ° pendant une petite demi-heure, avant d’être cuite pendant 1 h 20 à 90 °. Une fois qu’il a récupéré tout le jus de cuisson, le chef élabore la sauce au miel et à la coriandre avec du ras el hanout jaune. Quatre-épices, ras el hanout rouge, miel et coriandre sont rajoutés à la toute dernière minute. Les souris d’agneau vont ensuite servir de base à du couscous légèrement safrané à la brunoise de pruneaux, figues et abricots. Et pour terminer ce voyage de saveurs, une terrine de chocolat, une crème brûlée au carambar, un millefeuille mandarine et spéculos ou encore un clafoutis de mangue au citron vert. ...
Le Château de Tracy est un vignoble dont des traces écrites notent leur existence dès 1396. C’est dire la réputation et la qualité des sols, du climat particulier et des raisins que l’on peut y trouver. Un sauvignon dont les vignobles sont situés au cœur d’un domaine historique qui appartient depuis la fin du XIXème siècle à la même lignée familiale les d'Assay. Les cuvées du domaine se déclinent en version prestige avec le Château de Tracy, le Haute Densité et la Cuvée des 101 rangs mais aussi le Mademoiselle TT. Véritable trésor de la région, leur prix reste pourtant accessible avec des bouteilles comme celles de la cuvée de Château de Tracy 2020 à seulement 24€. Le domaine fait également partie de l’AOC du Pouilly-fumé. Une AOC qui regroupe plus d’une quarantaine de vignobles dont les cépages profitent d’un sol majoritairement composé de silex et de calcaire. C’est d’ailleurs cette particularité géographique qui recouvre les fruits arrivés à maturité d’une légère pruine grise donnant l’illusion d’un voile de fumée caractéristique de la fameuse appellation Pouilly-fumé. Une certification BIO en cours Attaché à la qualité de son vin, le Château de Tracy s’est engagé depuis deux ans déjà dans une démarche de certification BIO. Menée avec l’organisme indépendant ECOCERT, le vignoble est ainsi l’un des premiers à intégrer la démarche. Il s’engage ainsi à mettre en avant le terroir à travers une volonté de sauvegarder l’identité du sol et ainsi de ne pas dénaturer la nature. Une vision partagée depuis le début des années 50 puisque le domaine a toujours évité l’utilisation d’insecticides et de désherbants chimiques pour produire son vin. Cette conversion reste un enjeu de taille pour le domaine qui cultive ses vignobles depuis plus de six siècles. Un défi aussi, puisqu’il s’agit de transformer durablement les 33ha de vignobles installés sur les coteaux dominant la Loire, la butte de Tracy et jusqu’au plateau de Pouilly-sur-Loire. Notons qu’en 2014, le domaine avait déjà reçu le niveau 3 de la certification Haute Valeur Environnementale pour ses méthodes de cultures vertueuses. Des techniques et méthodes éprouvées Le Château de Tracy possède des particularités bien uniques. Un sol qui jouit d’une qualité exceptionnelle avec une partie du terroir formé de marnes kimmeridgiennes des Champs de Cris. Il s’agit de petits cailloux blancs spécifiques à l’endroit qui apportent sa minéralité au vin. De plus, près du tiers du vignoble est composé de silex. L’ensemble de ces formations géologiques permet de produire des cuvées reconnues des amateurs de vin blanc et de cette appellation. Adossés à ce sol si particulier, les modes de cultures sont tout aussi innovants. Le vignoble a ainsi mis en place des préparations biodynamiques notamment en prévision de l’automne 2021. Des techniques qui se traduisent notamment par l’utilisation de pulvérisation à base de minéraux. Entre autres, la préparation 501 ou silice de corne. Une méthode naturelle qui consiste à placer du cristal de roche dans une corne de vache en l’enterrant durant l’été pour favoriser pendant l'automne l’assimilation de la lumière et compenser ainsi certains déficits. Parmi les techniques présentes également, la sélection massale fait partie des spécificités du domaine. Utilisée au détriment de la sélection clonale, il s’agit pour le viticulteur de remplacer les pieds morts par des greffons prélevés en sarment sur leurs plus beaux pieds de vigne. Ce qui permet ainsi de maintenir une plus grande diversité génétique et finalement multiplier le potentiel aromatique des fruits avec des pieds différents. Et enfin, la densité de plantation sur le domaine reste unique avec certaines parcelles où l’on retrouve près de 17 000 pieds/ha. Soit quasiment trois fois plus que la densité des plantations bordelaises. 2021, une année complexe pour le Château de Tracy De mémoire de viticulteur, l’année en cours ne fut pas ...
L’histoire familiale commence en 1900, à l’époque où Louise Brison continue de travailler ses parcelles, et ce, malgré un contexte défavorable en viticulture. Sa ténacité a permis aux générations futures d’hériter d’un riche patrimoine devenu un emblème de qualité et d’originalité en Champagne. Aujourd’hui, Delphine Brulez succède à son père, Francis, et ambitionne de porter haut les couleurs de ses cuvées millésimées. Sublimer la nature et en faire une alliée Sur le terroir de l’Aube, dans la Côte des Bars, la famille Brulez s’emploie à travailler son vignoble de treize hectares dans le respect le plus strict de la plante et du sol. Le pinot noir, à l’origine de la charpente, de l’équilibre et du corps des vins, y est privilégié, bien que les exploitants aient aussi un faible pour le chardonnay, gage de finesse et de légèreté. Interrogée sur les techniques particulières de viticulture utilisées dans son domaine, Delphine Brulez évoque « une démarche raisonnée qui permet de maintenir et de développer l’activité biologique du sol, et d'assurer la santé et la bonne durée de vie des plants. » La vinification, pour sa part, s’effectue en fûts de chêne avec un élevage minimum de six mois « pour apporter sa complexité et ses bulles fines au champagne, bref, tout son potentiel aromatique », déclare-t-elle. Dans une région comme la Champagne, soumise aux vicissitudes du climat, cet important temps de garde contribue effectivement à la plénitude des qualités organoleptiques des vins. Des champagnes de plaisir pour des occasions rares « C’est avec les années que naissent les légendes. » Une belle entrée en matière qui définit la gamme « Légende » produite par la maison. La vinothèque regroupe tous les millésimes créés depuis la naissance de Louise Brison. Des conditions de garde particulièrement pointues ont été mises en place dans l’optique de laisser aux vins le temps d’évoluer selon leur rythme. La gamme « Les petites sœurs », quant à elle, est disponible en trois qualités différentes, à savoir un blanc de blancs, un assemblage de chardonnay et de pinot noir, et enfin un champagne rosé de macération. « Nous avons cette chance de produire des champagnes de repas qui accompagnent toutes les occasions, ainsi que des champagnes de garde », souligne Delphine. ...
L’on peut faire attention à ce que l’on met dans ses plats, tout en goûtant aux fastes de la cuisine gastronomique. C’est notamment le cas quand on s’invite aux tables du Cheval blanc. Dans son cadre feutré et lumineux de la route de Wissembourg, à Lembach, cette adresse conjugue goût et bien-être autour de produits célébrant le local. Trois partitions pour un concerto de saveurs de saison Les plats que l’on sert aux tables du Cheval blanc célèbrent la tradition, tout en se parant de touches inventives et modernes. Au fil de ses trois menus riches en rebondissements, le chef joue la carte de la fraîcheur au rythme des saisons. Sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs du voisinage, il les intègre dans des recettes que les papilles découvrent comme un parcours d’exploration. Instant savoureux garanti. Ceux qui préfèrent un guidage en douceur ne manqueront pas d’essayer le « Cannelloni de foie gras poêlé », l'un des incontournables de la maison. Truffe fraîche râpée et sauce aux truffes noires enveloppent le plat d’un grand zeste d’élégance. Dans le même menu, inutile de résister au mariage surprise « Fraise/huile d’olive » pour clore en douceur la fin des réjouissances. Pour les plus connaisseurs, le « Homard bleu rôti en deux services » mêle les notes marines à d’étonnantes touches toniques mariant gingembre, curry doux et poire Williams. Instant suprême de dégustation, réservé aux fins gourmets de souche quand se déploie le menu Épicure. Le filet de bœuf prend des tournures opulentes quand il est servi avec un condiment aux framboises et une légère béarnaise. Le « Grand dessert du Cheval blanc » clôturera en douceur et en grande pompe le service. ...
L’appellation de Chevaliers d’Argouges a été adoptée en référence aux locataires du château de Gratot. C’est dans cette commune de la Manche que l’enseigne a fait ses premiers pas en 1991. Relogée à Moyon, cette entreprise familiale garde, aujourd’hui encore, le concept d’un chocolat fabriqué par de vrais artisans. Du chocolat essentiellement normand, traditionnellement gourmand De la sélection des matières premières jusqu’aux ballotins et tablettes, les Chevaliers d’Argouges nourrissent une jalousie non dissimulée pour les traditions de leur art. Ici, ganaches et pralinés – toujours fabriqués à la main – continuent d’être couchés sur tables en marbre et découpés à la guitare. Déployant toute l’inventivité de la Normandie, la marque distille des recettes variées s’adressant à toutes les gammes de préférence. Les essences des précieuses fèves de la Guinée, du Venezuela, de l’Équateur et d’ailleurs s’emmêlent gaiement à des notes d’orange, d’amande ou de raisin pour submerger les papilles de notes exquises. Finesse et légèreté sont au rendez-vous dans les illustres tuiles au chocolat. Éclats de caramel, de noisettes hachées-grillées ou d’orange, toutes les fantaisies sont permises avec ces doux péchés parmi les plus appréciés de la maison. Aux grandes occasions, place aux découvertes singulières dont l’enseigne a le secret. À l’instar des ganaches pâtissières mises à l’honneur en 2017. En une seule bouchée, gourmands et gourmets partent pour un voyage combiné entre le fondant des brownies, des tiramisus et des cheese-cakes et l’opulence de la classique ganache. ...
Tout commence en 1945, année où René Lacave plante ses premières vignes. Par la même occasion, il se spécialise dans le greffage et la multiplication de plants de vigne et devient pépiniériste viticole. Trois générations plus tard, c’est toujours avec la même passion que la famille Lacave travaille ses terres et ses vignes. La gestion du domaine est aujourd’hui confiée à Sonia et à son frère Jérôme. Et leurs parents Francis et Michelle sont là pour apporter leur savoir-faire et leur expérience. Ici, la vigne est une affaire de famille et il n’y a aucune raison que cela change ! Honneur aux cépages locaux Le domaine de Lartigue travaille sur un vignoble d’une superficie de 51 hectares, réparti sur deux sites différents. Une partie profite des coteaux ensoleillés du Bas-Armagnac, reposant sur un sol à dominante boulbène (limon et sable), tandis que l’autre pousse sur des sols argilo-calcaires de l’Armagnac-Ténarèze. « Nous disposons de terroirs qui se prêtent particulièrement bien aux cépages locaux », précise Sonia. En effet, l’encépagement est constitué à 80 % de cépages blancs typiques de la région, tels que le colombard qui procure aux vins des côtes de Gascogne leur côté fruité et aromatique, le baco (cépage hybride unique au monde, né du croisement entre la folle blanche et le noah), l’ugni blanc, le petit manseng, le gros manseng ainsi que le chardonnay, le pinot gris et le sauvignon blanc. Les 20 % restants sont dédiés aux cépages rouges : marselan, merlot, tannat, cabernet-sauvignon et syrah. Du plant de vigne au vin Étant à la fois producteur de plants de vigne et viticulteur-récoltant, le domaine de Lartigue maitrise parfaitement toute la chaine de production. Le travail de la vigne se fait dans le respect des traditions mais aussi de l’environnement. Depuis quelques années, la famille Lacave applique une viticulture raisonnée qui donne naissance à des raisins sains et de qualité, reflétant toute la typicité du terroir. Apport d’engrais organiques, effeuillage, enherbement, techniques de piégeages appuyés par des données météorologiques fiables pour éviter l’usage d’insecticide… Le domaine ne lésine pas sur les moyens afin d’assurer une production qualitative. Certaines parcelles font même l’objet d’une expérimentation pour le moins originale. Afin d’aider les vignes à lutter contre les maladies, on diffuse tout bonnement au niveau de ces parcelles de la musique classique à des horaires bien précis. « Grâce aux effets des vibrations produites par la musique, la vigne développe une résistance face aux maladies comme l’esca qui ravage les vignobles gersois depuis une dizaine d’années », nous révèle-t-on. Côté vinification, la même rigueur et le même souci de la qualité ont poussé le domaine à combiner savoir-faire ancestral et technologie moderne. Avant d’atteindre leur pleine maturité, les baies font systématiquement l’objet d’une analyse gustative poussée. Une fois récoltés, les raisins passent par un schéma classique de vinification : d’abord une macération pelliculaire puis un pressurage pneumatique avant le débourbage, la stabulation à froid (de 10 à 12 jours), la fermentation à basse température afin de préserver la finesse des arômes. Et pour terminer, un élevage sur lies donnant lieu à des vins complexes et bien structurés. Une large gamme de produits Le domaine présente une riche gamme de produits, incluant des vins des côtes de Gascogne, des flocs de Gascogne et des armagnacs qui font la fierté de la maison. Fruités et légers, les vins de Gascogne se déclinent en blanc, rosé et rouge. Moins connu mais tout aussi savoureux, le floc de Gascogne est, quant à lui, élaboré à partir d’un mélange subtil de jus de raisin et d’armagnac. En blanc ou en rosé, celui-ci reste un produit authentique, qui fait l’objet d’une appellation d’origine contrôlée. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et dévoile ses armagnacs, et surtout une collection exceptionnelle de vieux millésimés...
L’huile d’olive vierge extra haut de gamme a maintenant son site de vente sur Internet avec Cave à Huile. Ce site sélectionne avec beaucoup de soins les huiles d’olive vierge extra qu’il vous propose à la vente. D’ailleurs toutes ont déjà été récompensées au niveau international. Elles proviennent principalement de France, d’Italie, d’Espagne, et de Croatie mais aussi de Grèce ou de Tunisie. Toutefois, l’Amérique du Sud n’est pas oubliée avec des huiles d’olive originaires d’Argentine et d’Uruguay. Sur chaque bouteille, vous trouverez inscrits le pays d’origine, le nom et l’adresse du producteur, la contenance ainsi que la date d’utilisation optimum, pour une transparence optimale sur leur origine. Toutes les huiles d’olive sont à conserver dans un endroit frais, à l’abri de la lumière et de la chaleur. Les caractéristiques des huiles d’olive vierge extra Une huile d’olive vierge extra se caractérise par son intensité. Le fruité vert caractérise les huiles issues d’olives récoltées avant leur maturité. Le goût est doux avec des arômes d’artichaut, de banane, de tomate verte ou d’herbe coupée. Il présente une légère amertume. Ces huiles sont riches en polyphénols. Pour le fruité medium, les olives sont récoltées mûres. Leur saveur est plus prononcée, peu amère. Des notes prononcées d’amande, de pomme, ananas, fruit rouge sont souvent présentes. Elles contiennent un maximum de vitamines et d’antioxydants. Quant au fruité noir, il résulte d’olives arrivées à pleine maturité et d’une fermentation contrôlée. Ces huiles d’olive ont une longueur en bouche caractéristique pour délivrer des arômes de confiture, champignon et cacao. Mais le sol et le climat ont également une grande influence sur le goût des huiles d’olive. Les huiles d’olive offrent donc une palette gustative très diversifiée. Il est donc conseillé de choisir son huile d’olive comme vous pourriez choisir un vin. Cave à huile organise sur demande des dégustations pour des groupes. Quelques exemples Variez les saveurs de vos plats en utilisant les différentes huiles d’olives proposées par Cave à Huile. En effet il existe une huile d’olive pour chaque palet et plat. Commençons par un fruité vert léger avec l’huile d’olive Pied d’Eve, une huile d’olive bio produite dans le sud de la France. Certes elle s’offre à vous dans une bouteille en verre opaque mais une fois versée, elle dévoile une robe verte avec des reflets dorés et vous envoûte avec ses saveurs végétales et son bouquet intensément frais. Cette huile d’olive accompagnera à la perfection vos viandes blanches et régalera les papilles simplement en filet sur un fromage de chèvre frais. Si vous aimez les huiles légèrement amères et piquantes, choisissez par exemple la Ol Istria Pendolino, une huile d'olive provenant de la Croatie. Jaune dorée, elle offre des arômes d’artichaut et d’herbes fraîches. Elle exalte particulièrement la venaison. Pour vous évader à l’autre bout de la planète, vous n’avez qu’à goûter la Colinas de Garzon bi-variétale, originaire d’Uruguay, elle vous enchantera par son parfum délicat de pomme verte. Elle saura accompagner à merveille vos plats de poissons et de légumes. ...
Actuellement, la maison Boutillez-Guer travaille sur un vignoble s’étendant sur une superficie de 5 ha 25, planté à 80 % de chardonnay, 5% pinot noir et 15% en pinot meunier. Ici, le travail de la vigne se fait avec la même passion qui a animé chaque génération depuis les origines de l’exploitation. Fidèle à son héritage, la maison continue de préserver l’authenticité et la tradition, gages de la qualité de ses champagnes d’exception. Une méthode soucieuse de l’environnement Pour tirer le meilleur de son terroir viticole, la maison mise sur une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum tout impact sur l’environnement. « Nous réduisons l’usage de produits chimiques et nous privilégions des procédés naturels tels que l’enherbement et l'utilisation de phéromones pour réduire l'utilisation d'insecticides », nous explique-t-on. Par ailleurs, le plus gros du travail se fait à la main, que ce soit pour la taille des vignes ou pour la vendange. La vinification, quant à elle, se veut être classique avec un élevage en cuve. Fière de son statut de vigneron indépendant et de récoltant-manipulant, la maison maitrise ainsi parfaitement toute la chaîne de production. Des cuvées « premiers crus » Parmi les spécialités de la maison, 4 cuvées sortent du lot : la cuvée Brut tradition, la cuvée Blanc de Blancs, la cuvée Brut Rosé et la cuvée Millésime 2008. La cuvée Brut Tradition est obtenue à partir de l’assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir, dont 50 % de vin de réserve. Elle s’habille d’une couleur or brillant et renferme des arômes briochés. Idéale pour accompagner les volailles ou pour des saveurs plus subtiles telles que le saumon fumé. Ensuite, la cuvée Blanc de Blancs, élaborée essentiellement avec du chardonnay, dont 30 % de vin de réserve, se distingue par sa légèreté et son arôme fruité qui séduiront les plus fins palais. Ce champagne sublimera des plats comme un feuilleté de langoustines ou un tartare de poisson. Pour enchainer, la cuvée Brut Rosé s’obtient par l’assemblage de 70 % de chardonnay et de 30 % pinot noir, dont 10 % de coteau rouge. En bouche, celle-ci mêle harmonieusement raffinement, rondeur et puissance. Le tout, dominé par des parfums de fruits rouges et une fraicheur agréable. Enfin, le Millésime 2008 est, quant à lui, 100 % chardonnay. Ses arômes briochés et ses notes fruitées font de ce champagne le complice idéal pour les instants raffinés. ...
Ambiance chaleureuse, recettes authentiques, personnel qualifié, autant d’ingrédients qui caractérisent le restaurant Pisanov. Aux manettes : Vasil Pisanov, un vrai passionné, qui a eu le privilège de travailler auprès de grands chefs étoilés comme Christian Constant, Alain Ducasse, Christophe Moret et Alain Pégouret. Une cuisine fine et authentique Au sein de son restaurant, Vasil Pisanov propose une improbable rencontre entre deux cuisines totalement différentes. La cuisine bulgare caractérisée par sa touche slave et méditerranéenne à la fois s’associe dans des notes très harmonieuses avec la cuisine française. Résultat : des recettes originales et variées qui donnent l’eau à la bouche. « Il y a toujours une touche personnelle dans la création de mes plats », nous confie le chef du restaurant. Les mets sont préparés à partir des produits de saison et frais « acquis auprès des producteurs locaux ». Côté spécialités bulgares, vous vous régalerez avec le kapama, du chou fermenté avec quatre variétés de viande ; ainsi que le mijoté de boeuf au vin rouge, un des dix plats traditionnels de la Bulgarie composés généralement de viande de porc, de volaille, de veau, de lapin et de chou fermenté. Pour des plaisirs gustatifs où les mets et les vins s’accordent dans une douce harmonie, le restaurant propose une sélection de vins français et bulgares comme le Trastena, un vin uniquement composé de framboises 100 % bio ou un vin issu du mélange de framboises et de merlot bulgare fermenté selon la méthode ancienne. Avec sa douceur, sa rondeur et ses saveurs fruitées, il se combine parfaitement avec la viande, le fromage et le foie gras. ...