Dans un cadre chic et cosy, le restaurant Le George est une invitation à savourer des plats à base de produits frais dans une ambiance prônant la convivialité. L’établissement redéfinit le concept de steak house en diversifiant ses plats. Un steak house en mode extensible Le restaurant Le George s’inscrit dans un style cosy, notamment à la suite d’une rénovation intégrale suivant un concept « urban design ». Le cadre se décrit comme une combinaison parfaite de chaleur et de modernité, garant d’une ambiance conviviale et intimiste. Si Le George se revendique comme étant un steak house de la première heure, il n’entend pas tourner le dos à une clientèle aspirant à d’autres mets. Ainsi, le restaurant propose des menus très variés, allant des plats de poisson jusqu’aux assiettes végétariennes, en passant par des plats sans gluten. Il puise notamment ses forces dans la qualité, en misant exclusivement sur les produits frais. La notion de « circuit court » constitue d’ailleurs l’un des leitmotive de l’établissement. Sa renommée s’est bâtie, entre autres, sur ce que Nathalie Amasse, directrice commerciale de l’établissement, qualifie de « belle sélection de viande » d’origine 100 % française (faux-filet, rumsteck, filet de bœuf, côte de bœuf avec os, tartare de bœuf...) accompagnée de la sauce secrète du Chef qui ravit les papilles des plus exigeants. En outre, le burger du George est aussi très apprécié de la clientèle, notamment depuis qu’il a été proposé en deux morceaux pour simplifier la dégustation. Un point de rendez-vous Le George est régulièrement le théâtre d’événements particuliers avec ou sans rapport direct avec le monde culinaire. Ainsi,mis à part les cours de cocktails récemment organisés, il est de coutume pour le restaurant de mettre en place des soirées musicales, durant lesquelles les convives peuvent se retrouver entre amis ou en famille. ...
Bien loti sur la rive droite bordelaise, ce restaurant propose une cuisine traditionnelle concoctée à base de produits frais et locaux. Avec ses charpentes en bois, sa grande cheminée et ses immenses fenêtres, l’intérieur se prête à une ambiance chaleureuse où la convivialité s’invite naturellement à table. L’extérieur, quant à lui, est propice à un dépaysement total. En plus du calme combiné au décor traditionnel, « on entend la fontaine quand on mange », souligne Yohann Giacometti, le gérant. Des plats riches en saveur À la fois généreuse et goûteuse, la cuisine du chef fera le bonheur des petits et grands. En entrée, entamez votre aventure culinaire à travers l’Assiette Apéro du chef qui est un assortiment de tapas, à partager (ou pas) ! En plat de résistance, dégustez le tartare de bœuf, l'une des spécialités de la maison, apprécié par les habitués. Pour le dessert, un tiramisu clôturera en beauté votre découverte gastronomique. Côté vin, le sommelier vous sélectionne le meilleur parmi une trentaine de références dont ceux issus du vignoble bordelais pour un accord mets et vins en toute harmonie. Un endroit idéal pour les repas de groupe Dans un cadre au charme intemporel, le restaurant Les Oliviers peut accueillir des séminaires, des réunions d’entreprise, des cocktails dînatoires avec une capacité d’accueil de 50 personnes. Les événements professionnels comme privés seront placés sous le signe du succès. Que ce soit en famille, entre collègues ou amis, le restaurant Les Oliviers est une promesse de moments inoubliables au cœur de Bordeaux. ...
Situé en région Midi-Pyrénées, Martel est une cité médiévale fondée au XIe siècle par les vicomtes de Turenne. Elle est aussi connue sous le nom de « la ville aux 7 tours » car, au XVe siècle, elle abritait pas moins d’une trentaine d’échauguettes, de tourelles et de tours. Un autre attrait de la commune est qu’elle se trouve sur la route de la noix du Périgord. Au XIIIe siècle, la noix était considérére comme un bien aussi précieux que l’or dans la région. Parmi ses dérivés les plus consommés figure l’huile de noix, un produit star à découvrir au sein de l’épicerie fine du Petit Moulin, qui abrite aussi un restaurant et un bar à vins. Un chef passionné par son métier Le Petit Moulin de Martel s’inscrit dans la lignée des restaurants bistronomiques. Il a été créé par Adrien Castagné, qui le dirige. Ce jeune manager, fils et petit-fils d’agriculteur et producteur d’huile de noix et d’agneaux, est diplômé en œnologie à Bordeaux. Il exprime une passion si forte pour l’univers de la cuisine qu’il a décidé de renforcer ses compétences dans ce milieu. Il débute sa carrière en tant que sommelier et barman dans un bar à vins nommé La Parcelle, situé aussi à Bordeaux. Aujourd’hui, grâce à la richesse de ses vies passées et de son expérience, il a ouvert sa propre entreprise dans sa ville natale, au sein de laquelle il est secondé par son amie, Emma Buquet. Celle-ci endosse le rôle de chargée de communication et assure également l’accueil des clients. Un restaurant très particulier Au sein du restaurant, les clients peuvent investir la salle qui se trouve dans le hall, un lieu très cosy et moderne. La pièce révèle un style scandinave, moderne et raffiné. Les meubles en bois sont un signe de douceur et de chaleur. À l’étage, une ancienne chambre à l’esprit vintage a été aménagée. Elle est notamment équipée d’un tourne-disque et de vinyles, qui plongent les convives dans une ambiance musicale. Pour profiter du grand air, la terrasse ombragée et blottie au coin d’une petite rue propose calme et détente. Le bar à vins, quant à lui, invite à passer des instants agréables entre amis ou en famille. C’est le jeune chef lui-même qui vient servir ses convives d’un bon vin en accord avec les mets proposés. À côté de ce bar, l’épicerie fine propose différents types de vins, de produits locaux comme le pâté de foie gras, les rillettes et le confit de canard… L’huile de noix constitue le produit phare de l’établissement. La gastronomie avec des produits du terroir Adrien Castagné propose des plats faits maison, élaborés avec des produits du terroir. Il aime concocter une cuisine traditionnelle revisitée avec gout, en utilisant des ingrédients typiques du Périgord. Les spécialités de la maison sont la raviole de canard et le filet mignon de porc. Côté menu, le chef propose une formule à 26,50 €, composée de deux entrées, de deux plats, de fromage et d’un dessert. Le restaurant dispose d’une carte courte, constituée de cinq entrées, de quatre plats et de quatre desserts au choix. En entrée, les fins gourmets seront séduits par l’assiette de foie gras de Marie-Claude. Le filet mignon de porc en croute de noix fait office de plat de résistance. Et, pour le dessert, la tarte diamant aux agrumes et crème café blanc procure une touche de douceur et de gourmandise. ...
C’est en 1977 que l’aventure viticole de la famille Fayard commence par l’acquisition du domaine par Jean Pierre et Brigitte. La reconnaissance dans le monde du vin arrive dès le début des années 80. Le domaine commence sa conversion au bio en 2003 et obtient la certification « écocert » pour la totalité de ses vins en 2009. Depuis le millésime 2015, l’ensemble de notre production est inscrite à la Vegan society, car l’absence d’intrants d’origine animale convient à la communauté végétalienne et végétarienne. Le vignoble Situé sur le littoral Varois, le domaine du Château Sainte-Marguerite jouit d’un terroir typique de l’appellation Côtes-de-Provence avec un sol argilo-schisteux qui s’étend à l’île de Porquerolles, la ville de La Crau, la ville de Bormes-les-Mimosas et La Londe Les Maures. Les cépages utilisés sur les parcelles sont le Cinsault, la Grenache et la Syrah pour le Rosé. Les deux derniers cépages sont également utilisés pour le Rouge avec le Cabernet-Sauvignon et le Mourvèdre. Pour le blanc, le principal cépage st le rolle. Près de 550 000 flacons sont en moyenne issus de ces vignes dont 65% de Rosé, 20% de Rouge et 15% de Blanc. La désignation géographique complémentaire « Côtes-de-Provence La Londe » a été reconnue depuis 2008. La cave Grâce à la transmission de la passion et des secrets familiaux depuis des générations, la famille Fayard combine connaissance des traditions et techniques modernes. L’attention portée au terroir et à la vigne reste importante toute l’année avec un travail régulier du sol et une adaptation aux facteurs naturels. Le domaine investit donc dans les moyens techniques tels que les machines à vendanger avec tri embarqué et se dote d’une équipe de 40 vendangeurs. Ce sont les garanties d’une vendange à « top maturité ». Le pressurage direct avec le pressoir pneumatique permet d’éviter le déchirement de la peau ou « rebèche ». Les tiges qui tiennent les grappes sont retirées pour ne pas donner un côté herbacé au jus. Le vin rouge et blanc sont élevés en fut entre 12 et 24 mois suivant les besoins. Le Château Sainte-Marguerite est reconnu Cru Classé Côte-de-Provence depuis 1955. La cuvée Symphonie en est le navire amiral. Une symphonie de saveurs qui, en Blanc, s’habille d’une robe limpide et brillante à reflets or. Ce vin possède un nez fin et complexe, des senteurs d’agrumes, vanille et miel avec des notes grillées. Enfin, une bouche aromatique, riche et persistante glisse vers une finale délicatement miellée. Le palmarès Les deux Châteaux de la famille Fayard, Sainte-Marguerite et Saint-Martin, produit des cuvées de qualité. La Symphonie Rouge du Château Sainte-Marguerite a été médaillée d’argent au Concours Général Agricole de Paris. Pour l’Hermitage Saint-Martin, la cuvée Ikon a été récompensée par le Wine enthusiast avec une note de 93/100 pour le Rouge et 90 pour le Blanc et le Rosé. La Grande Cuvée Enzo en Rosé a aussi brillé lors de la foire de Brignoles. Le grand prix d’ensemble nous a aussi été décerné pour avoir été primé sur 5 vins dans les 3 couleurs au Concours des vins de la Méditerranée. Accessibilité La famille Fayard participe fréquemment à différents salons régionaux, nationaux et internationaux tels que la présentation des millésimes des Côtes-de-Provence à Mandelieu, le salon des clubs des professionnels du vin à l’hôtel Negresco de Nice ou encore Vinisud et Vinexpo. Par ailleurs, elle reçoit quotidiennement au domaine pour une dégustation des vins. Vous pourrez également retrouver ses vins chez de nombreux restaurateurs ainsi qu’un réseau de cavistes répartis sur toute la France. A l'international, la marque est présente dans une trentaine de pays dans le monde. ...
Témoin incontestable du succès des plus grands noms de la musique antillaise, le restaurant La Canne à sucre perpétue la tradition familiale tout en mettant à l’honneur la cuisine antillaise. Situé dans le 18e arrondissement de Paris, à proximité de la Butte Montmartre, l’établissement vous invite à savourer de la bonne cuisine authentique et savoureuse des Antilles, dans un cadre tout aussi bien familial que convivial. Poisson rôti au four sauce chien (sauce antillo-guyannaise à base de piments, oignon, ail et plusieurs condiments), Croisière exotique pour deux et Flan coco sont autant de merveilles pour les papilles et, également, de belles découvertes culinaires qui vous feront voyager, accompagnés d’une belle sélection de vins rouges, rosés ou blancs. Laissez-vous agréablement surprendre par le plat le plus internationalement connu des Antilles qui est l’Accra de morue. Si, à l’origine, cette spécialité est uniquement composée de morue, aujourd’hui, elle s’accommode avec des crevettes et mêmes des légumes. Un bon diner dans une ambiance musicale Dans une ambiance particulièrement festive, Eddy La Viny accompagne votre diner en reprenant de grands classiques anglo-saxons ou ceux qui ont fait le succès de son père, Gérard La Viny, Mario Canonge ou Malavoi... tous les vendredis soirs. Vous pouvez même prendre la liberté de privatiser la cave voutée pour vous amuser en famille ou entre amis avec amuses-bouches antillais salés, vasque de planteur, gâteau et disc-jockey à la clé. Comme l’a toujours dit Gérard La Viny, « A kaz à La Canne à Sucre » ou, littéralement, « Vous êtes chez vous à La Canne à sucre ». ...
Situé face au Golfe de Saint-Tropez, à mi-chemin entre Sainte-Maxime et Grimaud, le Restaurant Villa Les Rosiers jouit d’un emplacement privilégié qui fait toute la différence. Animé par « la volonté de bien faire » comme le souligne si bien Marc Rosenbaum, propriétaire, l’ensemble des services de l’établissement s’articule autour d’un seul leitmotiv : la qualité ! Un environnement d’exception A travers une décoration à la hauteur de la vue et un service hors pair, la Villa Les Rosiers s’est toujours démarquée des autres établissements. Fidèle au rendez-vous, la qualité transparait dans les moindres détails avec toujours ce côté intriguant que les visiteurs apprécient dans leur soif de découverte. Aménagé pour votre confort et pour votre bien-être, l’établissement allie charme et plaisir pour vous accueillir et vous faire découvrir tous ses attraits, dont une vue sur mer des plus spectaculaires et une plage à perte de vue autour de la piscine sans parler de sa proximité avec le golf 18 trous de Beauvallon. Une cuisine de qualité gastronomique « fait maison » Ce souci pour la qualité se retrouve partout jusque dans vos assiettes et ce n’est pas le Chef Andrea Schläppi qui vous dira le contraire. Tous les jours, une cuisine de marché aux saveurs provençales et du monde fait le bonheur de nombreux gourmets avec le plaisir du « frais » à la carte. Une « cuisine à la minute et impérativement fait maison » a toujours été le point fort du restaurant. Les habitués aiment en parler autour d’eux surtout que les produits sont de première qualité et 100% français pour ne citer que le Charolais pour la viande de bœuf, le Sisteron pour l’agneau et la qualité Bresse pour la volaille. ...
Installé en plein cœur du centre de la ville d’art et culture, sur la Place des Cardeurs, le restaurant l’Epicurien tranche par la qualité des services et des menus proposés. Une adresse discrète à l’ambiance intimiste qui fait le bonheur des aixois et touristes de passage venus déguster une cuisine bistronomique. Un chef inspiré et créatifPour vivre une expérience culinaire hors des sentiers battus, dans une ambiance conviviale aux couleurs du sud, l’Epicurien ouvre ses portes. Un établissement qui porte bien son nom, dirigé par un chef passionné. Ludovic Aillaud fait ses premières gammes dans le Luberon au sein de l’établissement étoilé d’Edouard Loubet où il se découvre une prédilection pour les herbes, qu’il apprendra à maîtriser à la perfection. En parallèle, il continue ses études dans les métiers de la restauration et de l’hôtellerie. Plus tard, il intègre l’établissement marseillais Le Charles Livon et exerce comme second de Christian Ernst. Avec son expérience et ses talents, il est temps pour le chef de voler de ses propres ailes. En 2010, il investit le Forum des Cardeurs et concrétise un rêve : l’ouverture de son restaurant aux allures de bistrot chic, devenu rapidement l’une des références les plus citées de la ville. L’intérieur propose un cadre agréable et cosy ponctué par une décoration raffinée. Les toiles d’artistes ornant les murs et les tables en bois donnent tout son cachet à la salle. Le personnel est sympathique et Laura Aillaud, la maitresse des lieux, garantit un bon acceuil et service. Elle pourra notamment vous conseiller sur les choix des vins car il faut savoir que l'établissement possède une centaine de références variant régulièrement. Des vins de vignerons oeuvrant dans le respect du terroir et de leur écosystème ont été spécialement sélectionnés. Une cuisine de saisonEcrite à l’ardoise, la carte est évolutive et change toutes les semaines. Elle est élaborée suivant la saisonnalité, la qualité et la fraîcheur des produits mais surtout, en fonction de l’inspiration et de l’humeur du chef. Pour flatter les papilles, il n’hésite pas à plonger dans ses livres de cuisine qui lui soufflent les idées les plus originales. Chaque jour, trois entrées, trois plats et trois desserts sont proposés, de quoi satisfaire toutes les envies.Des plats signatures ? Oui. En été, les aixois investissent la belle terrasse de l’Epicurien qui se prolonge dans la rue pour venir déguster les fameux fleurs de courgette qui font la réputation du chef. Il lui arrive même d’organiser des ateliers où il partage tous les secrets de préparation de cette spécialité provençale. En tempura, vapeurs ou farcies, les fleurs de courgette se déclinent en de multiples saveurs. A ce titre, si vous souhaitez participer aux cours de cuisine du chef, il est temps de d’ores et déjà vous renseigner. Mais vous pourrez aussi faire appel à ses services pour animer vos événements (anniversaire, séminaire d’entreprise, enterrement de vie de jeune fille…) dans le cadre d’ateliers privés. ...
Situé en Normandie sur la route du cidre, au cœur du pays d’Auge, le domaine familial Pierre Huet se compose de 30 hectares de vergers hautes et basses tiges, sur lesquels on compte plus de 25 variétés de pommes à cidre. Grâce à un terroir naturellement propice à la production de pommes, le domaine Pierre Huet produit et commercialise dans le monde, selon des critères très stricts, quatre des six Appellations d’origine contrôlée (AOC) cidricoles normandes : - Calvados pays d’Auge - Calvados - Pommeau de Normandie - Cidre pays d’Auge Des cidres et des calvados authentiques… Au sein de cette production, la fabrication des cidres et des calvados constitue un savoir-faire inestimable, transmis de génération en génération depuis plus d’un siècle. En conjuguant tradition et innovation, la famille Huet a ainsi pu acquérir une grande notoriété par la commercialisation de son précieux breuvage : le calvados. Elle est passée maître dans l’art des assemblages subtils et délicats. Cette pratique, fruit d’une longue expérience, consiste à assembler des eaux-de-vie de maturité et d’âges différents pour obtenir une qualité constante. …et d’autres produits issus de pommes ou de poires Vous pouvez choisir un poiré demi-sec, un cidre de poires, qui se marie à merveille avec les desserts aux fruits. Pour l’apéritif ou pour accompagner un foie gras, optez pour le pommeau vieilli en fûts de chêne. Le Domaine Pierre Huet propose également de la crème de calvados, de la crème de pomme verte, de la liqueur de poires au calvados, du jus de pommes, ou encore du vinaigre de cidre ou de poiré. Visite du domaine Le domaine Pierre Huet ouvre ses caves à la visite tout au long de l’année. Grâce à votre guide, vous découvrirez l’élaboration du calvados depuis la pomme jusqu’au produit fini. En 2010, un nouvel espace d’accueil comprenant boutique et distillerie a été construit sur le Domaine. Les alambics chauffés aux copeaux de bois y ont une place primordiale, dans une optique de développement durable et d’économie d’énergie. Cet espace a été totalement pensé pour une production plus raisonnée. Une distillerie innovante et unique en Normandie ! Le Domaine vend environ 60 % de sa production en direct à la propriété, 25 % à l’export dans de nombreux pays comme la Belgique, l’Allemagne ou l’Autriche ou encore les États-Unis et le Japon. ...
L’aventure de Champagne L’Hoste Père et Fils démarre en 1970, avec Jean et Suzanne L’Hoste, des époux animés par la passion de produire des vins de qualité et de caractère. Dignes héritiers de leurs parents, les frères Pascal et Dominique continuent dans cette lancée, tout en apportant un souffle de modernisme à l’exploitation du domaine. Savoir-faire et valeurs responsables Produire un « authentique » champagne n’est pas donné au premier producteur venu. En effet, plusieurs facteurs entrent en compte pour y arriver, notamment le savoir-faire, le terroir, les cépages ou la méthode d’agriculture. Avec son sol calcaire idéal pour le chardonnay, Bassuet est l'un des atouts majeurs du champagne L’Hoste Père et Fils. Les pieds de vigne, qui ont en majeure partie entre 20 et 40 ans, sont cultivés selon la méthode raisonnée, comme l’explique Dominique L’Hoste : « Nous essayons d’utiliser les produits qui respectent l’environnement, de limiter l’utilisation des herbicides. Tout est mis en œuvre pour améliorer les choses dans le domaine. » Ajoutez à tout ceci le savoir-faire familial et vous obtenez un champagne de producteur, authentique et raffiné. Cinq cuvées du tonnerre Chaque année, L’Hoste Père et Fils produit environ 115 000 bouteilles, réparties en cinq cuvées. Mais celle qui fait particulièrement honneur à la maison est sans nul doute le « Brut Prestige » Blanc de Blancs. Dernièrement récompensée d’une médaille d’or lors du Concours international de Lyon, cette cuvée est également celle qui cartonne le plus auprès des particuliers. Pour autant, le « Brut Tradition », l’« Extra-Brut, Blanc de Blancs », le « Millésimé » ainsi que le « Champagne Rosé » sont aussi imprégnés de cette authenticité chère au domaine. ...
Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le restaurant marocain de prestige, Assyl Le restaurant Assyl paraît tiré des Mille et une Merveilles du Royaume du Maroc. Il a remporté en 2016 le prix du meilleur restaurant de luxe au Maroc (Luxury Restaurant Of Morocco), délivré par Luxury Lifestyle Awards 2016. Dans un décor de charme, le menu est exceptionnellement gourmand et met à l’honneur toute la richesse de la cuisine marocaine. Le chef Bahija sublime les saveurs en y apportant sa touche créative personnelle. Les produits frais et les textures se mixent avec délicatesse et subtilité pour ravir les papilles des convives. Assortiment de salades marocaines façon Dada, tagine de lotte à l’Argan, ou la spécialité Selman Tride au poulet fermier, safran de Talouine lentilles et fèves, et autres spécialités marocaines s’invitent à cette table qui vaut le détour ! Une cuisine marocaine résolument authentique… Le dîner est animé par un duo live andalou et un spectacle de danse orientale. ...
Transmis de génération en génération depuis la fin du XIXe siècle, le savoir-faire familial et l’amour du champagne perdurent encore aujourd’hui avec Maelle & Jean-Christophe Delavenne, représentant la 4e génération de ces Récoltants-Manipulants. Les 10 hectares de vignes sont plantés en Pinot noir et Chardonnay sur les communes de Bouzy, Ambonnay et Cramant, pour une production d’environ 70.000 bouteilles par an. Une démarche respectueuse de l’environnement Jean-Christophe Delavenne pratique une agriculture raisonnée depuis de nombreuses années, sans aucune utilisation d’herbicide. Il s’inscrit dans un processus de culture durable, respectueuse de l’environnement et garantissant une biodiversité maximale. La majorité des travaux que nécessite la vigne, comme la taille ou le palissage, est réalisée manuellement, le sol est travaillé au moyen d’une charrue hydraulique. Leurs Champagnes et Bouzy rouge Tous les raisins sont récoltés uniquement sur la soixantaine de parcelles du vignoble. Ils sont ensuite pressurés sur place, cépage par cépage. Puis les jus sont mis en cuves. Aucune fermentation malolactique n’est effectuée afin de conserver la fraicheur des fruits et offrir une longueur en bouche plus intense. A cela s’ajoute une vinification naturelle longue puisque le tirage n’a lieu qu’au mois de juillet. Ainsi naissent les Champagnes Grand Cru Delavenne, que ce soit le Millésimé 2012, la Cuvée Réserve, La Cuvée Rosée, la Cuvée Blanc de Blancs ou la Cuvée Tradition, tous vieillissent pendant 3 ans minimum dans des caves creusées dans la craie. En hommage à leur première fille, ils ont récemment créé « Amour de Louise », une cuvée prestige mariant 70 % de Chardonnay et 30% de 8 Millésimes (2004-2011) et produite à 3048 bouteilles. Les Delavenne produisent également un Bouzy rouge, un vin non pétillant spécifique de cette région champenoise. Sur des notes de cerises griottes, c’est un vin léger qui s’apprécie légèrement frais. Quelques adresses pour déguster Hormis lors de votre visite dans la nouvelle salle de dégustation du domaine, vous pourrez gouter aux champagnes Delavenne dans différents restaurants étoilés comme Le Grand Cerf (Villers-Allerand), et même désormais au restaurant Kokkeriet à Copenhague. ...
La madeleine est une gourmandise intemporelle. Dans la biscuiterie Jeannette, on révèle son goût raffiné depuis 1850. Dans la banlieue de Caen, elle est produite avec des ingrédients nobles : de beaux produits de la région, le savoir-faire d’un meilleur ouvrier de France, et surtout la détermination et la patience de son repreneur, Georges Viana et de ses équipes. L’excellence au service d’un beau produit. Une madeleine d’exception se confectionne tout d’abord avec de beaux produits : des oeufs de poule élevées en plein air, des farines normandes et du beurre AOP d’Isigny, l’un des deux seuls beurres AOP de France. Mais il faut aussi les idées et la maîtrise des gestes d’un meilleur ouvrier de France et champion du monde des desserts : Philippe Parc. Ce chef reconnu a également développé pour Jeannette la gamme J aux saveurs d’ailleurs. Des madeleines à la rose de Damas au parfum subtil et délicat. Les madeleines « soleil levant » un plaisir équilibré d’agrumes asiatiques et d’autres créations toute en finesse comme les madeleines à la vanille, au chocolat, ou à la noisette. Privilégier la qualité à la quantité : un véritable engagement Quelle que soit la recette, la biscuiterie Jeannette recherche avant tout la qualité. C’est aussi une démarche socio-économique. Pour Georges Viana, le repreneur, c’est un état d’esprit. Produire de beaux produits, est certes un peu plus cher, mais cela permet de créer des emplois en France, et de se faire réellement plaisir quand on les consomme. Et le pari est gagnant : la biscuiterie emploie aujourd’hui 30 salariés dans son usine. Et 40 salariés en situations de handicap en ESAT (établissement et service d’aide par le travail) qui mettent les madeleines dans les packagings. Une biscuiterie artisanale qui a su renaître de ses cendres. Il aura fallu beaucoup de ténacité et d’engagement pour faire revivre la marque Jeannette, la plus vieille biscuiterie de Normandie. Depuis 1850, elles confectionnait des biscuits secs, mais surtout des madeleines qu’elle vendait partout en France. Ses madeleines avaient même remporté la médaille d’argent au concours de Paris en 1900. A la belle époque, des années 70 à 80, la biscuiterie représentait 80% du marché français et avait jusqu’à 400 employés. Mais Jeannette n’a pas vu arriver les grandes surfaces et tous les changements qu’elles apportaient avec elle. La biscuiterie est donc vendue à une entreprise qui reprend la majorité de ses recettes et ne laisse à Caen que la fabrication des madeleines. Mais d’années en années, l’activité décline. Après plusieurs redressements judiciaires successifs, l’entreprise est finalement liquidée définitivement en décembre 2013. En 2014, le matériel est donc mis aux enchères. Mais de nombreux employés vont se battre pour essayer de le récupérer. Ils occupent l’usine et réussissent à empêcher la vente. La bataille aura aussi le mérite d’alerter les médias. C’est de cette façon que Georges Viana entendra parler de la biscuiterie Jeannette et surtout de ses salariés prêts à se battre pour elle. La situation était complexe, puisque juridiquement, l’entreprise n’existait plus. Georges Viana devait donc trouver, dans un premier temps, un moyen de récupérer la marque. Après avoir mis au point un plan d’action, il était temps de le faire financer. Mais les banques de la région ne voulaient plus avoir à faire avec la biscuiterie. Chacune avait eu à faire avec l’un des redressements judiciaires successifs. Le repreneur décide donc de se tourner vers le financement participatif. Aller là où on ne l’attend pas. Quand il contacte la plateforme de financement participatif pour fixer son objectif à 50 000€, ses interlocuteurs sont plutôt sceptiques. A l’époque, personne n’a jamais dépassé une levée de fond de plus de 20 000 euros sur leur site. Mais Georges Viana s’obstine. A raison. Puisqu’il obtiendra finalement plus de 100 000€ grâce à la mobilisation des internautes normands. Le tribunal de commerce lui attribut alors la marque « Biscuiterie Jeannette &raqu...
Initié à l’époque des arrières grands parents de Marc Dupraz, le domaine applique la méthode de culture dite de « vignes en lyre » sur une partie de son vignoble : « cinq hectares sur dix sont cultivés selon cette méthode. Encore peu utilisée en France, elle est assez répandue en Suisse » explique Marc Dupraz. Son avantage est qu’elle permet d’obtenir des raisins à maturité optimale lors des vendanges quelles que soient les années. Depuis 1998, Marc cultive son domaine en agriculture raisonnée « Nous faisons beaucoup d’efforts et voulons nous tourner vers le biologique, le pas va se faire naturellement. A part un ou deux changements, on ne fera pratiquement rien de plus. C’est pour cela que nous allons commencer la conversion des 2017» précise-t-il. Des cépages typiquement savoyards L’encépagement du vignoble est composé de variétés typiques de la région, dont la Jacquère qui n’existe pratiquement qu’en Savoie. Ce cépage, à la base de l’appellation Vin de Savoie, est à l’origine de la rondeur et le fruité du vin ainsi que sa tendance à une bonne évolution dans le temps. « Il s’agit d’un cépage rustique et assez capricieux, il demande beaucoup de rigueur au travail » précise Marc. Pour ses vins rouges, le domaine utilise uniquement la Mondeuse, un cépage également endémique de la région. Rustique et montagnarde, cette variété n’est autorisée et recommandée en France que dans la région des Vins de Savoie. Proche de la Syrah génétiquement parlant, il rappelle cependant le Pinot en dégustation. Il donne des jus qui vont sur la myrtille et la framboise, et offre une grande capacité de vieillissement aux vins dont il est issu, lorsqu’il est travaillé avec soin. Des vins gastronomiques Les 10 hectares de vignes cultivées par le domaine sont déclinée en quelques cuvées très riches et fruitées. Celles-ci profitent de qualités gustatives exceptionnelles qui en font des vins de gastronomie parfaits et choisis par plusieurs restaurants étoilés de toute la France. Parmi elles figurent « Les Terres Blanches » Vin de Savoie Apremont, qui est un vin d’une complexité rare, avec un côté calcaire très prononcé en bouche qu’il tire de son terroir et une longueur et un gras naturel conféré par la Jacquère. « il est vrai que nos clients sont surpris des qualités de nos Jacquère mais nous sommes confortés dans nos choix stratégiques , les vins à base de ce cépage sont liés à un grand avenir, si le raisin récolté est exceptionnel » acclame Jérémy le fils de Marc nouvellement installés depuis 2011 Seul vin rouge produit par le domaine, « La Mondeuse » est élevé en cuve, qui confèrent au vin des tanins extrêmement présents, et qui se fondent très bien dans le temps. « En dégustation jeune, ce vin est très épicé, avec une teneur en fruit mais avec le temps, entre quatre ou cinq ans minimum, nous arrivons déjà sur un vin complexe avec beaucoup plus de maturité et d’équilibre et qui peut se garder entre dix et douze ans » explique avec passion Marc Dupraz. Barbecue et Vin, ou la façon de déguster les vins autrement Tous les premiers vendredis du mois de cette période estivale (Avril à septembre), le Domaine Dupraz organise un évènement dénommé « Barbecue et Vin ». « Découvrir les vins d’une manière assez différente, autrement qu’avec des fromages et des charcuteries, voilà l’objectif » s’exclame Jérémy Dupraz. Cet évènement permet en effet de découvrir et déguster les vins du domaine autour d’un barbecue au milieu des vignes. Le caveau reste aussi ouvert au grand public toute l’année du jeudi au dimanche ou vous pourrez déguster un casse-croute vigneron avec les produits locaux sélectionnés par la famille. Bien évidemment les vignes peuvent être visitées par les amateurs de vins pendant les beaux jours. ...
Ce restaurant de l’Isère promet trois ambiances en une journée. Si le ton est plus festif dans la matinée, le calme est au rendez-vous l’après-midi. Pendant la soirée, l’heure est à la découverte de l’ambiance cosy et familiale qui règne dans le chalet ! L’Altiport, un décor aux multiples facettes Le cadre et la décoration figurent parmi les points forts de ce restaurant de l’Alpe d’Huez. Sur la terrasse offrant une vue imprenable sur les montagnes, des tables et des chaises sont disposées sous l’ombre des parasols blancs qui donnent un charme naturel aux lieux. À l’intérieur, les visiteurs découvrent un décor à la croisée du style traditionnel et moderne où les poutres et le sol en bois contrastent avec les objets décoratifs en inox et les baies vitrées. Avec les bougies et la lumière tamisée, les tables rondes et leurs nappages en lin, la salle prend une allure romantique et chaleureuse en soirée. Une cuisine traditionnelle et semi-gastronomique Véronique Sarret et son époux Philippe Piloz, qui est aussi derrière les fourneaux, décrivent la cuisine de L’Altiport comme une cuisine « simple, saine, mais avec de très bons produits ». En effet, la carte est élaborée en fonction de ce que le chef trouve sur le marché, des produits frais et de saison, et, d’ailleurs, les propriétaires insistent sur le fait que le restaurant propose « une carte très variable et un large éventail de suggestions ». Cette année, L'Altiport lance, en plus du menu enfant, le menu 3V : végétarien, végétalien et vegan. Le restaurant de L'Altiport veut proposer une cuisine où tout le monde se retrouve et déploie une offre culinaire qui saura satisfaire toutes les envies. Par conséquent, leur carte comporte des spécialités de montagne, des assiettes toutes simples comme une soupe à l’oignon ou des pâtes ainsi que des préparations gastronomiques revisitées avec les légumes anciens sublimés. Parmi les incontournables du restaurant, l’os à moelle servi avec des tartines aux morilles connaît toujours un franc succès auprès du public. Mais la maison a surtout forgé sa réputation avec ses plats de poissons frais et goûteux. Dégustés avec une sauce d'accompagnement, leurs saveurs n'en sont que subtilement rehaussées. Pour le dessert, tout est fait maison : allant des différentes déclinaisons de tartes, jusqu'aux gâteaux et les préparations aux fruits. Pour accompagner les plats, le restaurant propose une carte de vins mettant à l’honneur des références mondialement connues mais aussi des vins locaux qui méritent largement d’être proposés aux clients. Outre les bouteilles inscrites dans la carte, la propriétaire propose également en dégustation des bouteilles qu’elle a découvertes auprès des caves locales. ...
La célébration des 2 600 ans de Marseille aura été pour lui une très belle occasion de faire la promotion de cette marque de chocolat d’exception qui bouscule tous les codes en se payant le culot de porter avec audace un symbole de reconnaissance universel : le rameau d’olivier. Francesco Martorana associe l’Espérantine de Marseille au singulier concept de « gourmandise raisonnée », un petit laisser-aller gourmand qui ne peut que faire du bien. Loin de la qualification classique de « péché mignon », qui laisse supposer que manger du chocolat est culpabilisant, surtout pour les femmes, l’Espérantine de Marseille est intimement liée au bon usage de la gourmandise, c’est-à-dire, un juste équilibre entre les textures et les saveurs, avec l’envie de partager. Des ingrédients de première qualité pour une gamme de chocolats de haut vol Grâce à une sélection des meilleurs cacaos grands crus issus des maisons comme Valrhona, qui dégagent des effluves gourmands mêlés à d’authentiques saveurs, d’incroyables assemblages se découvrent et se dévoilent pour faire grandir naturellement le plaisir d’en consommer. À partir de ces nobles matières premières, L’Espérantine de Marseille produit deux gammes de chocolat : Les Espérantines et Pulsion cacao. La première est issue du très fameux et exclusif chocolat à l’huile d’olive de Francesco Martorana. Les Espérantines se sont imposées avec brio dans le cercle très restreint des chocolats de prestige et ont obtenu le prix de Cordon Bleu de la meilleure Confiserie à Paris. Une distinction bien méritée au vu de l’implication dans la recherche et la créativité de son créateur, Francesco Martorana. La seconde a été regroupée sous la bannière Pulsion Cacao, une sélection de produits de première qualité qui nous apprend à apprécier le chocolat autrement. Bien plus qu’un simple réflexe gourmand, la pulsion n’obéit à aucune règle. Avec ses différentes variétés de chocolats, Francesco Martorana a su faire naître ces pulsions dans le bon sens, des pulsions d’autant plus légitimées par d’incroyables productions « fait maison », qui, en plus de titiller les papilles, nourrissent la créativité. À travers une incroyable palette d’ingrédients, où se retrouvent des fruits secs grillés caramélisés, des chocolats noir, lait ou blanc pur beurre de cacao, ce sont des saveurs précises et tranchées qui vous poussent à retrouver le vrai goût des traditions chocolatières. Les spécificités d’un chocolat artisanal Subtil mélange de chocolat et d’huile d’olive, l’Espérantine de Marseille est un emblème de libération pour les férus de chocolat, qui peuvent décomplexer leur envie de gourmandise. Avec le rameau d’olivier, qui apporte une dimension symbolique à la marque, l’Espérantine de Marseille est un chocolat exclusif de fabrication 100 % artisanale. Un réel savoir-faire et un méticuleux travail d’assemblage et de choix contribuent d’ailleurs à son succès, ponctué par le rameau d’olivier, un symbole qui rassure et qui démontre une autre façon d’être gourmand. ...
Animé depuis toujours par la passion du vin, Didier Duplouy décide de se reconvertir vigneron à l'âge de 57 ans. Il reprend les vignes du Pallet en fermage le 1er janvier 2014 et créé dans la foulée sa propre entreprise. A son installation, il est aidé par plusieurs amis vignerons retraités qui lui inculquent leur savoir-faire familial. Il commence par construire un bâtiment pour entreposer ses matériels. Cette année, Didier en est à sa troisième récolte. Il se fixe comme objectif de pérenniser son entreprise et de transmettre son concept de domaine breton aux notes d'amour. Un domaine respectueux de l’environnement Le domaine d'Héloïse et Abélard est une petite exploitation viticole de 6,6 hectares. Ses parcelles sont cultivées de Melon de Bourgogne pour le Sèvre-et-Maine et Cabernet Franc pour son rosé, qui donnent en moyenne 220 hectolitres de vins. Dans un souci de considération et de respect pour la nature, Didier Duplouy mène une politique d'agriculture raisonnée. Il envisage même dans les années à venir de se reconvertir à l'agriculture biologique. Un coffret pour deux cuvées Le Domaine d'Héloïse et Abélard produit uniquement deux cuvées. Le " Muscadet Sèvre-et-Maine sur Lie " AOC, est une cuvée premium issue de raisins récoltés à pleine maturité. Elle est élevée 11 mois sur lie avec une vinification maîtrisée de bout en bout avant d'être mise en bouteille. Parée d'une robe jaune dorée, elle possède des notes de fruits compotés et miellés avec une pointe vanillée. Ce vin propose une rondeur et un bel équilibre en bouche avec une finale aux notes anisées. A table, il accompagne les fruits de mer ou les viandes blanches. Le " Rosé Cabernet Franc " IGP Val de Loire est une cuvée à la robe rosée aux reflets tuilés. On distingue au nez des notes poivrées et de petits fruits rouges. Son attaque est souple et harmonieuse sur des notes de cassis et cerise. Elle se déguste avec des crudités, salades composées ainsi que des viandes blanches et rouges. Ces deux vins sont présentés et commercialisés ensemble dans un seul coffret qui véhicule 3 concepts novateurs. Et d'un, il représente le produit breton typique, avec le blason du Pallet sur le devant avec en fond, une croix médiévale composée d’hermines bretonnes. Et de deux, il symbolise l'amour des amants célèbres Héloise et Abélard. Cette histoire est racontée en français et en anglais au dos du coffret. Et pour finir, son design a été pensé pour que le coffret soit idéal à offrir en cadeau. ...
Plus qu’une passion et une tradition, la viticulture est un véritable héritage familial chez les Lacuisse depuis des générations, puisque « notre grand-père, Julien Lacuisse, exploitait déjà des vignes avant les années 60 », souligne Christian Lacuisse, actuel Président de la SAS. L’entreprise familiale commence l’exploitation du champagne à partir de 1966 suite à l’initiative de deux descendants de Julien Lacuisse. « Nos cuvées sont actuellement classées premier cru et sont élaborées selon les normes de la viticulture raisonnée pour limiter les impacts sur l’environnement », poursuit notre interlocuteur. Pour le plaisir des amateurs de grands crus, la maison propose sept variétés de cuvées, à déguster au sein du domaine dans un cadre convivial et chaleureux. Un domaine coopérateur en plein essor Installé dans le village de Sermiers, à quelques minutes de Reims et d’Épernay, le domaine Lacuisse fait partie intégrante du terroir champenois. Il dispose d’un vaste vignoble qui s’étend sur 17 hectares où trois types de cépages sont cultivés, dont 70 % de pinot meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. Le sous-sol de celui-ci, riche en calcaire, est essentiellement composé d’argile, de sables siliceux et de marnes, permettant ainsi aux cépages d’exprimer nettement leurs arômes et saveurs. La maison a une capacité de production annuelle de 150 000 bouteilles, dont 45 000 vendues en étiquette terminée. Pour obtenir ce résultat, le processus de fabrication se déroule en deux temps : le pressurage, la vinification, l'assemblage et la mise en bouteille des cuvées s’effectuent avec des coopérateurs locaux, tandis que les travaux comme le remuage, le dégorgement et l’ajout de la liqueur finale s’effectuent au sein de la propriété, « ce qui fait de nous un domaine coopérateur », explique le propriétaire. Une gamme de cuvées à la hauteur de toutes les attentes Qu’il s’agisse de célébrer un grand événement ou une simple réception, la maison Lacuisse propose sept variétés de cuvées qui ravissent les papilles. Dans la catégorie des entrées de gamme figure la cuvée Tradition qui a obtenu la médaille d'argent au dernier concours International des vins de Lyon, composée de 70 % de pinot meunier, 20 % de pinot noir et 10 % de chardonnay. Intense et aromatique en bouche, elle se déguste à l’apéritif ou en accompagnement de fruits secs exotiques et « représente l’encépagement de notre propriété enregistrant une vente annuelle de 20 000 bouteilles », nous fait savoir Christian. Parmi les cuvées emblématiques du domaine se démarquent la cuvée spéciale, la cuvée millésime, mais surtout « la cuvée du cosson qui a obtenu la médaille d’argent au concours agricole de Paris cette année », précise notre interlocuteur. Cette dernière est obtenue par assemblage de 70 % de chardonnay et 30 % de pinot noir uniquement, contrairement aux cuvées demi-sec (encépagement identique à la cuvée tradition) et grande réserve qui, elle, est constituée de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. ...
L’établissement se situe à Paris, au cœur du marais, dans un quartier sympathique. L’intérieur sobre et contemporain reflète l’âme de la maison, et l’ambiance familiale qui y règne apaise les clients. Ici, la cuisine a pour vocation d’offrir un plaisir culinaire exclusif aux épicuriens. D'autant plus que le menu de midi proposé à seulement 22.5€ pour une entrée, un plat et un dessert laisse l'occasion de découvrir au jour le jour des surprises gustatives qui ne laissent pas indifférent. Essayer d’autres combinaisons La cuisine de Julien Agobert ne rentre pas forcément dans une catégorie, et les clients l’apprécient justement pour cela. Un style propre à lui, façonné par une vingtaine d'années d’expériences dans des cuisines de palaces parisiens, de restaurants de prestige, mais aussi des petites structures indépendantes. Une cuisine inventive et multiculturelle qui laisse une empreinte de son aventure culinaire à l’étranger. « Ma cuisine est à la base une cuisine gastronomique, mais finalement il n’y a pas vraiment de règles, je peux ajouter une soupe Thaï à ma carte tout simplement parce que je trouve ça bon », explique-t-il. Et l’inépuisable énergie du chef déborde à chaque assiette : un mariage de saveurs inattendu, un jeu de texture, une palette de couleurs alléchante et un dressage quasi artistique. Les plats à découvrir La formule du soir – entrée, plat, dessert – est proposée à 37,50 €, et le menu dégustation à 55 €, composé de six plats. En guise d’entrée, la carte de cette saison suggère de la terrine maison, pickles, condiments betteraves jaunes, ketchup radis blancs et pommes, pain à l'ail. S’enchaînent ensuite les plats, à l’instar de « chicken crunchy crazy du chef » en deux cuissons, croustillant et confit au citron caramel et gingembre, aubergines grillées, sauce huile de sésame et soupe thaï. Au dessert, les clients ont le choix entre d’un côté, le moelleux au chocolat fumé coulant chocolat banc, sorbet tamarin et poires fermentées, et d’un autre, le globe de meringue garnie d’un crémeux à la rose, litchis, graines de lotus, riz au lait et sorbet au thé matcha. On vous l’a dit, le chef ne connaît pas de limite ! La carte de vins suit le même registre : éclectique et pleine de subtilité. Quelques cuvées d’exception issues du vignoble bourguignon et bordelais constituent la liste. Elle propose également des vins d’Italie, d’Espagne et d’autres pays. « Le monde entier, c’est ma région », confie-t-il. Développer un réseau de collaborateurs Le chef a passé des années à construire une relation privilégiée avec ses fournisseurs locaux et régionaux. Viandes, fruits et légumes, produits fermiers, produits de l’épicerie fine sont issus directement des petits producteurs et exploitations fermières. « Je privilégie le côté familial et humain dans ma relation avec les fournisseurs. » En outre, le chef invite régulièrement d’autres talents dans sa cuisine afin de partager sa passion et affiner sa signature. ...
À travers des recettes qui lui sont propres, élaborées à partir des produits de sa manufacture, la marque aix&terra fait une entrée très remarquée dans l’univers culinaire artisanal avec tout ce qui constitue sa différence et son originalité. Les origines de la marque Articulée autour du meilleur savoir-faire provençal et du plaisir d’inventer d’authentiques recettes, aix&terra a vu son identité sublimée pour devenir en seulement cinq ans, une marque à part entière. N’étant alors en 2010 qu’une échoppe rachetée avec son enseigne par le couple Marina et Richard Alibert, dans l’idée, selon ce dernier, « de lui insuffler une nouvelle dynamique », la petite boutique a été transformée du jour au lendemain en un atelier exclusif de fabrication de recettes pour développer la marque aix&terra dans le concept original d’une authentique cuisine artisanale de Provence. Une manufacture bien structurée La création des premières recettes aix&terra a débuté dans cette manufacture de fortune avec des crèmes gourmandes ou encore du caviar d’aubergine à la truffe noire pour progressivement atterrir jusque dans les grands magasins comme les Galeries Lafayette, les épiceries fines, chez les cavistes et autres enseignes d’hôtels-restaurants haut de gamme. Ce succès a conduit les propriétaires à construire une nouvelle manufacture sur la Nationale 7, dans laquelle ils continuent « à poursuivre leur aventure de fabricant-artisan dans la Drôme provençale », comme l’a si bien souligné Richard Alibert. Cette nouvelle structure est installée dans une bâtisse de 800 m2 où l’Atelier, l’Épicerie et La Table forment trois espaces indépendants. La Table-Épicerie aix&terra Chaleureux et convivial, La Table-Épicerie aix&terra est un espace de restauration prolongé d’une partie épicerie, où est proposée une cuisine inventive, préparée selon les recettes créées à partir des produits de la manufacture. À travers une carte gourmande aux couleurs chaudes qui met majoritairement l’accent sur des inspirations créatives provençales exclusives, La Table aix&terra séduit les visiteurs avec ses crostinis de caviar d’aubergine à la truffe noire, ses toasts aux petites salades, son carpaccio de bœuf à l’huile d’olive et à la truffe noire ou encore ses tartelettes à la crème de citron qui sont des produits vedettes de la maison. Dans la partie épicerie, les clients ont également la possibilité d’acheter les produits aix&terra et repartir avec des fiches-recettes qu’ils pourront reproduire une fois à la maison. ...
Installé sur la commune de Quarante adossée au Saint-Chinianais, le Domaine Pech-Ménel n’a pas pu rêver mieux comme situation géographique. Il est établi sur une éminence qui lui permet de dominer toute la plaine languedocienne et accessible depuis un chemin sinueux qui arpente le long du coteau. Au sommet, le paysage est à couper le souffle et donne une vue panoramique à 360 ° sur la ville de Narbonne et la Clape au Sud ainsi que le Piémont, le Canigou, le Caroux, le volcan d’Agde et même la chaîne des Pyrénées. « Par sa position dominante, le site a toujours été habité et cela, depuis l’Antiquité. D’ailleurs, nos terres regorgent de nombreux vestiges gallo-romains comme une villa romaine ou un dolmens», raconte Elisabeth Poux, totalement fière d’avoir pu hériter d’un site aussi exceptionnel par son père Fernand Poux. Aujourd’hui, elle gère le domaine aux côtés de sa sœur Marie-Françoise avec passion, implication et rigueur. Du côté sud de l’appellation Le terroir de Saint-Chinian est constitué de deux zones distinctes : au nord les schistes et au sud les calcaires. Le Domaine Pech-Ménel se trouve dans la partie méridionale de l’appellation constituée d’argilo-calcaires et de grès. La présence de cailloux massifs permet aux vignes de s’enraciner profondément sous la terre pour rechercher l’humidité. Le vignoble est composé de syrah, de grenache, de mourvèdre et de cinsaut en rouge et de roussanne, de viognier, de grenache blanc et de rolle en blanc, soit tous les cépages les plus typiques du Languedoc et même quelques espèces autochtones oubliées comme l’aramon ou le terret. Sur les 55 hectares composant la totalité de l’exploitation, seuls 25 hectares sont dédiés à la culture des raisins. Le reste sert de terre d’expression à la garrigue riche d’une végétation languedocienne : genêt, thym, lavande, ciste, arbousier, chênes kermès, pins, églantiers… Animées par l’envie de préserver cette extraordinaire biodiversité, Elisabeth et Marie-Françoise ont décidé d’adopter une agriculture biologique. « Depuis toujours, nous avons cultivé le vignoble dans le respect de l’environnement, du terroir et de la faune et de la flore, ce qui a plus ou moins facilité notre passage en bio », se félicite notre interlocutrice. Deux gammes de vins pour le plaisir des œnophiles Pour le bonheur de tous les amoureux de vins, le Domaine Pech-Ménel classe ses crus en deux catégories : la gamme Plaisir et la gamme Passion. La gamme Plaisir se compose de vins jeunes, sympas, gourmands et faciles à boire représentés par les cuvées « Villa Pech Ménel » et « No Name » en Saint-Chinian. « Villa Pech-Ménel » a fait notamment l’objet d’une citation de Terre de Vins, une étoile au Guide Hachette 2021 . « Il faut lui laisser le temps, il a beaucoup à dire », a déclaré une dégustatrice. La gamme propose également la cuvée « Blanc Poudré » en IGP OC car le domaine possède une parcelle de 3 hectares au bord du Canal de Midi où il travaille cette appellation. La gamme Passion rassemble les vins de garde avec du caractère. Parmi les dignes représentants de cette sélection figurent « Blanc de Pech Ménel », « Château Vallouvières-Pech Ménel » et « Château Pech-Ménel ». Grâce aux nombreux millésimes qui existent depuis 1999, les œnophiles peuvent s’offrir un voyage dans le temps à travers une dégustation « Verticale ». Un lauréat du concours de vins de Saint-Chinian Depuis 2011, le Syndicat de l’AOP Saint-Chinian organise un concours dénommé « Les Virtuoses de Saint-Chinian ». Une occasion pour la centaine de domaines de l’appellation de présenter leurs cuvées. Les caractéristiques de chaque parcelle, les techniques culturales, les conditions de vinification et d’élevage ne sont que quelques exemples des quarante critères imposés par le cahier des charges et destin&eac...
Entre les Brocard et les vins se cachent une véritable histoire d’amour. La grande aventure familiale a commencé en 1973, lorsque Jean-Marc Brocard rencontre son épouse, descendante d’une lignée séculaire de vignerons de Saint-Bris-le-Vineux qui partage avec lui une passion effrénée pour le vin. Le destin de Jean-Marc change radicalement lorsqu’il se rapproche de Louis Petit, un grand virtuose des vins qui l’initie dans l’art de manipuler la vigne comme il se doit, avec patience et respect. Ainsi motivé, Jean-Marc Brocard devient viticulteur et installe son domaine au cœur du vignoble, à Préhy (Yonne). Son fils Julien, ayant grandi au rythme de la vigne, se laisse séduire par le métier de vigneron à partir de 1995. Ce dernier étant passionné par la biodynamie, il décide d’insuffler un nouvel élan à la production en misant sur un mode cultural qui respecte la Nature. Le terroir de prédilection du chardonnay La maison Brocard a choisi de travailler en monocépage. L’heureux élu est le chardonnay, une variété tout à fait caractéristique de l’appellation Chablis. Aujourd’hui, ce cépage règne en maitre absolu sur 200 ha de sol argilo-calcaire. À noter que le chablis est un vignoble de bassin sédimentaire, c’est-à-dire une terre riche en matières et dont le sous-sol est constitué du fameux kimméridgien. Cet étage géologique datant du Jurassique supérieur est notamment composé de couches de marnes et de calcaires qui forgent tout le caractère des vins chablisiens. Ainsi, le chablis fait partie des rares vignobles d’appellation à pouvoir vanter expressément son identité géologique. Et pour les Brocard, se trouver sur un tel terroir ne peut être qu’une fierté. Qui dit « terroir exceptionnel » dit « traitement exceptionnel ». Julien Brocard insiste sur la contribution de l’agriculture biologique et de la biodynamie dans la qualité de ses vins : « Ces méthodes culturales nous conduisent à pratiquer une vinification naturelle. Ainsi, nous n’utilisons que des levures indigènes et laissons place à une fermentation spontanée pour obtenir des vins d’une harmonie optimale. » Les ambassadeurs de la maison Précision, force et fraicheur… Ces trois mots résument le style de production de la maison. Soit, tout ce que représente la cuvée « Sainte Claire ». Au-delà de ses arômes et de ses notes fraiches, caractéristiques du terroir, ce vin raconte une histoire. Son nom rend hommage à l’église voisine du domaine, autour de laquelle se sont enracinées les premières vignes de Jean-Marc Brocard. La cuvée « Montée de Tonnerre » quant à elle, est un emblème par excellence de l’AOC Chablis. « C’est un Premier Cru qui nous tient particulièrement à cœur et qui, d’autant plus, est très apprécié des amateurs de chablis », déclare fièrement notre interlocuteur. Idéal pour une longue garde, le vin en question séduit par ses arômes d’agrumes légèrement épicés et ses délicieuses notes toastées. Enfin, il est impératif de faire mention de « La Boissonneuse », le premier chablis conduit en biodynamie. Cette cuvée symbolise 20 ans de travaux acharnés dans le respect de l’environnement. « Des pratiques culturales entièrement saines qui vont vitaliser la terre et la vigne, afin de donner naissance à un vin naturellement exquis. » Découvrir le domaine Le cadre a tout pour plaire : un domaine, des vignes et une église du XVe siècle qui offre un beau panorama sur l’ensemble du vignoble chablisien. Quand des visiteurs viennent au domaine, les Brocard et leur équipe professionnelle se font un plaisir de les accueillir le temps d’une halte œnotouristique. Au programme : tour du vignoble à pied ou en gyropode, dégustation et déjeuner au domaine… Les œnophiles peuvent également acquérir quelques produits dans les boutiques de vente. Par ailleurs, une salle de réception est mise à disposition des clients désireux de fêter une occasion spéciale dans l’ambiance chablisienne. Les prof...
« On ne vend pas une bouteille, on vend une expérience de dégustation ! » C’est en ces mots que Guillaume CHARNIER met en lumière la particularité de son activité. Avec Alexis Donnio, ils n’ont cessé d’améliorer le catalogue de prestations depuis 2015. Adressant leurs services aux néophytes désireux de devenir connaisseurs, ils proposent des cours de dégustation privés durant lesquels ils partagent leur passion autour de ce breuvage d’exception. Private Whisky Society, c’est aussi une cave en ligne de près de 200 références issues de la France, de l’Ecosse, de l’Inde, de l’Irlande, des Etats-Unis, de la Suède, du Danemark... Les produits sont goutés et sélectionnés personnellement par Alexis et Guillaume qui émettent ensuite une note de dégustation sur leur site pour chaque flacon commercialisé. En outre, les coffrets de dégustation offrant de beaux moments de découvertes seront parfaits pour faire le tour des meilleurs whiskies au monde ou en guise d’idées-cadeaux. Attention, la startup ne dispose pas de boutique physique, visitez le site pour faire vos achats en ligne. ...
Dans un cadre verdoyant au milieu des vergers de Nouvoitou, le Manoir du petit corcé met à disposition cinq salles privatisables pour les repas de groupes, mariages, anniversaires, baptêmes ou pour différentes réceptions professionnelles. Un cadre d’exception, une cuisine créative et raffinée, un service dévoué, tous les ingrédients sont là pour faire de ces évènements des moments uniques. Le plus beau jour de votre vie Pourquoi se contenter d’un bon mariage lorsqu’on peut exiger l’excellence ? Le Manoir du petit Corcé organise une cérémonie à la hauteur de vos rêves dans ce cadre aux allures d’Éden. La formule clé en main offre un libre choix sur toutes les prestations: l’aménagement et la décoration de la salle, la logistique, le menu et le buffet ou encore l’animation. Toute l’équipe s’active pour accompagner les tourtereaux depuis les préparations jusqu’au grand jour, et même après. Le Chef concocte pour les nouveaux mariés une Porchetta à leur retour de mariage, c’est un cochon entier désossé cuit au four à pain. En parlant de cuisine, le menu mariage est élaboré annuellement. Le Chef Nicolas Gicquel et son équipe proposent des plats traditionnels teintés d’une touche de modernité. Les amoureux auront l’embarras du choix entre le « Foie gras mi-cuit, gelée de rhubarbe & pain d’épices maison accompagné de sa verrine mousse de foie gras et tartare de pommes granny Smith », le « Tartare de Saint Jacques, daurade et mangues basilic » et six autres entrées. Pour les plats, le choix s’effectue entre le « Magret de canard, sauce au poivre Gratin de pommes de terre-patates douces et mélimélo de légumes » et cinq autres suggestions. Pour couronner le tout, le « Fraisier à la pistache et éclats de framboises », le « Cheese cake au citron & son coulis de fruits rouges » ou la Charlotte aux trois chocolats » sauront émerveiller les papilles. Des assiettes de fromages comme le « Munster pané, chapelure de noisettes & cumin » et la « Mousse de fromage frais, sablé parmesan & compotée de figues ou coings » sont également disponibles, sans oublier les vins d’accompagnement. Entre professionnels, on se comprend Conscient des enjeux des réunions et réceptions professionnelles, le personnel de l’établissement se dévoue corps et âme à la réussite des évènements d’entreprise. Les cinq salles indépendantes peuvent accueillir des séminaires et conférences, des repas d’entreprises ou des showrooms. L’endroit est privilégié par sa position un peu isolée dans les vergers qui favorise la tranquillité. Rien de tel pour rapprocher les collaborateurs. Le Manoir du petit Corcé travaille en réseau avec des prestataires pour fournir une prestation complète aux entreprises. La maison présente trois formules de séminaires qui incluent la location de la salle, une petite bouteille d’eau pour chaque participant, un petit déjeuner et un déjeuner. Un écran et un paper board sont mis à la disposition des entreprises dans chaque salle. En cas de besoin, il est également possible d’obtenir un vidéoprojecteur, une table de mixage et des enceintes. Dans la formule « carte blanche du chef », les participants doivent choisir entre viande et poisson puis le Chef s’occupe du reste. Pour la « formule n°1 », plusieurs propositions au choix sont offertes. Enfin, le Cocktail du Manoir complète la « formule n°2 ». Un cadre irréprochable L’environnement extérieur du Manoir du petit Corcé est régulièrement entretenu par un paysagiste pour que les invités soient accueillis dans les meilleures conditions possibles, à n’importe quel moment. Pour une cérémonie féerique, différentes salles de réception sont disponibles avec des espaces privés adaptés. Le décor est moderne mais reste assez neutre pour donner plus de possibilités aux mariés sur la décoration qu’ils veulent. La salle Armorique peut accueillir jusqu’à 250 personnes, elle s’accompagne ...