Installée au cœur de l’appellation « Cognac », la Maison Grosperrin est la dernière maison de cognac située à Saintes, dans le département de la Charente-Maritime. Cette société indépendante ne cesse de parfaire sa prestigieuse collection et se nourrit d’une culture d’excellence et d’authenticité depuis 1992. Respecter un savoir-faire « Nous pratiquons le négoce comme il se pratiquait autrefois au XIXe siècle », nous souffle le propriétaire, Guilhem Grosperrin. Son métier est de rechercher auprès des viticulteurs (mais assez peu, puisque ces derniers à Cognac ne possèdent qu’une très petite partie des stocks de la région) des héritages, des distilleries, ou auprès d’indivisions de propriétaires retraités ou décédés, des cognacs anciens, souvent millésimés, et toujours rares. Ces Cognacs exceptionnels peuvent provenir de distilleries et d’exploitation aujourd’hui disparus. Tous ont leur histoire à raconter, étroitement liée à l’histoire des hommes qui les ont produits et conservés. Ce travail de sélection n’est qu’une partie du métier, puisque c’est dans les chais de la Maison GROSPERRIN que ces eaux-de-vie rares vont poursuivre leur lente maturation pendant 10, 15 ou 20 ans et progressivement révéler leur identité propre et leur caractère unique. C’est cette personnalité affirmée, façonnée par l’histoire de chaque cognac, que la maison s’attache à développer. Pour ce faire, la maison possède un vrai savoir-faire en matière de vieillissement, et préserve aussi ses cognacs des adjuvants tels que sucre, caramel et boisé. Les cognacs de la maison sont commercialisés auprès des meilleurs établissements de France et des importateurs spécialisés dans le haut de gamme à l’étranger. Le cognac, symbole du luxe et incarnant à la perfection l'art de vivre à la française est d'ailleurs dignement mis en lumière par le fameux photographe d'art Stephane Charbeau à travers ses photographies insolites. La Maison GROSPERRIN ouvre ses portes Visiter Grosperrin, c’est plonger dans un monde à part, presque un sanctuaire. « Les découvertes se passent dans une ambiance vraiment intimiste en petit groupe, c’est une immersion dans le monde confidentiel de Cognac. » Guilhem Grosperrin lui-même consacre un temps précieux pour expliquer la philosophie de la maison et faire découvrir la collection. Les visites commentées commencent par les chais historiques récemment rénovés pour comprendre le parcours des cognacs depuis leur arrivée en barriques jusqu’à l’embouteillage. Une dégustation sur fûts et au laboratoire s’enchaîne ensuite. La visite se clôture par un passage en boutique, où les visiteurs peuvent acheter directement les produits de cette collection exclusive. ...
Champagne Lacroix est une exploitation viticole répartie sur un ensemble de terroirs autour de Montigny, formés de parcelles de vignes de 13 hectares. Sur ses coteaux donnant sur la vallée de la Marne, l’Aisne et la vallée de l’Ardre se développent les raisins cultivés dans le respect de la terre. Des champagnes à l’image de la région Vallée de la Marne Au centre des vallées champenoises, le terroir du Champagne Lacroix est propice à la culture du chardonnay, du pinot noir et du pinot meunier. D’où en ressortent des cuvées riches en arômes. Très présent sur le terroir, le pinot meunier domine dans les encépagements. Ce détail distingue les champagnes Lacroix et lui permet de produire des vins monocépages, à l’instar de la cuvée Anthony. Par sa robe aux reflets ambrés, son nez minéral associé à des arômes d’amandes fraîches et une bouche équilibrée, elle saura plaire aux épicuriens. La cuvée Brut Tradition fait office d’ambassadrice du terroir, car elle est constituée des trois cépages : 70 % de pinot Meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. En apéritif, elle sera le compagnon idéal. Autre fer de lance de la marque : la cuvée Grande Réserve, exhalant un nez floral pour un palais généreux et épicé, qui rappelle la pomme et le pain d’épice. Une exploitation viticole exemplaire Anthony Lacroix est très à cheval sur l’entretien de la vigne et l’élaboration du champagne. Respectueux de l’écosystème, il s’attache à faire valoir la viticulture raisonnée qu’il aime faire découvrir aux touristes lors des visites. La balade, durant laquelle une explication détaillée sur la cueillette manuelle, l’élevage et la vinification de raisin est prodiguée, se déroule au cœur du terroir. Une visite qui s’achève dans le bâtiment viticole ouvert en 2010 et accueillant le centre de pressurage moderne, les caves ainsi qu’une nouvelle cuverie. À savoir que la maison innove toujours dans les moyens techniques, afin d’améliorer la qualité de ses cuvées. L’emploi de cuves en inox permet par exemple d’obtenir des champagnes plus expressifs en finesse et en minéralité. ...
La Font des Pères produit des vins AOC Bandol, IGP Mont-Caume et Côtes-de-Provence. Des élixirs qui ont la particularité d’être à la fois fins et complexes, dotés d’une belle ampleur et d’une grande fraicheur. Un terroir unique Dans ce vignoble se trouvant à quelques kilomètres des côtes méditerranéennes, les vignes sont implantées sur une colline taillée en restanque. Jouissant d’une exposition nord, celles-ci s’épanouissent sur un sol caillouteux, tout en bénéficiant de l’influence de la mer. Ici, le mourvèdre, cépage rouge typique des bords de la Méditerranée, règne en maitre absolu. « C’est un cépage qui murit assez tard. En combinant richesse et puissance, il procure au vin un relief aromatique unique », souligne Philipe Chauvin, le propriétaire actuel. Le reste de l’encépagement se compose de grenache, de cinsault, de carignan, de clairette, de bourboulenc, de rolle et d’ugni blanc. L’excellence comme leitmotiv Le domaine privilégie les vendanges manuelles dans la mesure où elles permettent de trier les raisins au niveau de chaque parcelle. « Afin d’assurer une qualité optimale, il nous arrive de vendanger une seconde fois avec quelques jours d’intervalle », nous confie-t-on. Côté vinification, les rouges, issus des plus vieilles vignes du domaine, subissent une longue macération avant d’être élevés 18 mois en foudre, en demi-muid ou en barrique d’au moins deux vins. Au niveau des blancs, ceux-ci font l’objet d’une macération pelliculaire à froid, afin d’extraire le maximum d’arômes. Un élevage sur lies est ensuite réalisé pour apporter davantage de structure et de rondeur. Quant aux rosés, les raisins ayant servi à leur élaboration ont été refroidis dans une chambre froide juste après la récolte. L’objectif de cette opération est de préserver les arômes. Les spécialités de la maison La Font des Pères propose au total 7 cuvées différentes. Parmi ses spécialités, les vins de Bandol font particulièrement la fierté du domaine. De l’aveu même du propriétaire : « Bien qu’il s’agisse d’une petite appellation, sa renommée est incontestable. » Issu de l’assemblage de mourvèdre, de grenache et de cinsault, le rosé La Font des Pères 2017 dévoile des notes de buis, de fleurs, d’agrumes, tout en présentant une jolie trame minérale. Pour le blanc La Font des Pères 2017, celui-ci est obtenu à partir de 55,4 % de clairette, 39 % de bourboulenc et 5,6 % de vermentino. Le nez s’ouvre progressivement, avec finesse, sur une trame florale associée à des notes d’aubépine et de fruits blancs. Enfin, le rouge est issu à 90 % de mourvèdre et à 10 % de grenache. En bouche, ce vin est suave, équilibré, mêlant la fraicheur exprimée par les notes de rose et de mentholé à une finale structurée, avec des tanins enrobés, à la tonalité café, chocolat et pain grillé. ...
L’histoire des Vignoles Galineau & Fils démarre au XIXème siècle. À l’époque, un certain René Galineau s’intéresse aux métiers de vigneron et réussit à transmettre cette passion à ses descendants. En 1968, Michel et Marie Claude prennent la tête du domaine en investissant dans des moyens techniques de production pour élaborer des vins qui subliment leur terroir. Succédant à ses parents, Dominique Galineau représente la nouvelle génération. Il arrive en 2003 et amène avec lui une nouvelle vision de la viticulture qui préconise de meilleures pratiques environnementales. La méthode géophile pour soigner les vignes Les Vignobles Galineau & Fils ont pris leur quartier sur la commune de Pellegrue, à l’extrême est de la Gironde dans l’Entre-Deux-Mers et à quelques encablures de Saint-Émilion. Ils possèdent un domaine de 55 hectares de vignes, dont 54 sont consacrés à la production de vins rouges en AOC Bordeaux Supérieur et l’hectare restant à l’élaboration d’un vin blanc en AOC Entre-Deux-Mers. « Nous avons la chance d’être établis sur un terroir fabuleux qui culmine à 125 mètres d’altitude, soit le point le plus haut de la commune », déclare Isabelle Galineau, épouse de Dominique. Cette situation géographique combinée aux sols argilo-calcaires et argilo-limoneux donnent des crus très atypiques, à la fois gourmands et élégants. Après avoir travaillé ces sols durant de longues années selon les préceptes de la culture raisonnée, le domaine passe à la vitesse supérieure en s’engageant dans une conversion bio. « Nous avons opté pour la méthode géophile qui consiste à installer une flore microbienne dans le sol pour qu’il puisse devenir autonome et générer sa propre défense immunitaire sans intervention humaine. » Ce procédé passe par l’utilisation de plantes, de tisanes de compost, de champignons vivants et de diverses bactéries qui vont aider le sol à se régénérer. « Notre objectif est clairement de retourner à l’existant », fait savoir Isabelle. Des monocépages et des vins d’assemblage à découvrir Comme beaucoup de maisons viticoles bordelaises, les Vignobles Galineau & Fils conçoivent plusieurs monocépages. Parmi les fleurons de la maison figurent la cuvée « Les Perles Noires - Malbec », un 100% malbec. Car le domaine est l’un des rares à Bordeaux à travailler ce cépage oublié. Le vin à la belle robe pourpre révèle des arômes floraux, de cassis et de violette. Il est fruité et dévoile des tanins souples avec une longue finale en bouche. Toujours dans la gamme des monocépages, place à la cuvée « Les Perles Noires – Petit Verdot », un autre cépage peu travaillé dans la région. Ce vin rouge se veut également fruité, confituré et épicé avec beaucoup de volume en bouche et des tanins riches et charnus. Du côté des vins d’assemblage, les cuvées « Bellevue Favereau » et « Bois de Favereau » représentent les fers de la lance du domaine. Ils obtiennent régulièrement des récompenses au Concours Général Agricole, au Concours de Bordeaux, au Challenge International du Vin, etc. Dernier et non des moindres : le blanc issu à 100% du sauvignon blanc. Cette cuvée « Perles Blanches de Galineau » en AOC Entre-Deux-Mers séduit pour ses notes d’agrume et de fruits exotiques. Ce cru accompagne à merveille les viandes blanches, les poissons, les fruits de mer et les fromages. Nos vins et cuvées sont vendus dans le monde entier. ...
Tout l’espace intérieur du Trianon Palace Versailles a été imaginé en 2008 par l’architecte d’intérieur Fiona Thompson. Elle a apporté à ce cadre majestueux un style contemporain élégant et délicatement coloré, pour vous baigner dans une atmosphère immaculée et intime. Côté cuisine, Frédéric Larquemin a rejoint en novembre 2016 le Trianon Palace Versailles, après s’être formé à l’Ecole Ferrandi et avoir travaillé auprès d’Alain Ducasse et de Gordon Ramsay. Le restaurant étoilé au Guide Michelin « Gordon Ramsay au Trianon » Une verrière pour de la lumière naturelle, des nappes blanches, du cuir capitonné, en un mot un lieu confortable et agréable pour se restaurer. Ici, le chef confectionne une cuisine contemporaine inventive, tout en revisitant les grands classiques de la gastronomie française et en s’inspirant de ses expériences internationales. Il aime travailler les produits de saison achetés au marché ou aux producteurs locaux. A la carte, vous pourrez par exemple découvrir le pressé de foie gras et canard fumé, pommes vertes, cresson et gelée au madère ou le turbot de ligne français braisé, radis, câpres, coques et sauce au Champagne. En dessert, vous pourrez vous régaler, entre autres, avec la Pomme rôtie au caramel demi-sel et fruits de la passion, une réinterprétation de la célèbre tarte Tatin imaginée par le Chef Pâtissier Eddie Benghanem. Pour profiter pleinement de ce lieu, pourquoi ne pas réserver la table du chef, un espace pour 6 personnes qui surplombe la cuisine et d’où vous pourrez admirer le travail de toute la brigade. La Véranda by Gordon Ramsay, la brasserie de luxe du Trianon A la Véranda by Gordon Ramsay, le chef propose une cuisine continentale contemporaine tous les jours le midi comme le soir. Vous pouvez aussi profiter de ce lieu pour un petit-déjeuner buffet. Le Bar Galerie Le Bar Galerie est l’endroit idéal pour profiter d’un savoureux tea-time, servi tous les après-midi. Découvrez tous les week-ends le très apprécié chariot de pâtisseries pour accompagner avec délice votre boisson chaude préférée. ...
Cet établissement du centre parisien accueille les noctambules du mercredi au samedi avec une programmation atypique du mercredi au jeudi, le juste milieu entre éclectique et décalée, et une programmation Aux platines, des DJ branchés électro-pop, deep house, et année 80. La passion du métier Notre chef cuisinier a passé quelques années dans les cuisines de la 5ème avenue et du Mini Palais. A tout juste trente ans, notre chef cuisinier est déjà considéré comme un des chefs les plus talentueux de sa génération. Cette reconnaissance trouve sa source dans un parcours alliant une parfaite maîtrise des techniques culinaires les plus pointues et une véritable passion. Exigeant sur le produit, minutieux sur les cuissons, il défend la saveur authentique avant tout. Carte sophistiquée dans un décor très particulier Le restaurant du Chacha mise sur une décoration atypique très favorable à l’appétit et au plaisir de la table. Miroirs dorés et lumières tamisées sont autant d'éléments qui plongent les fins gourmets au beau milieu des années 30, sans oublier le magnifique piano à queue, où pianistes et chanteuses soul/jazz vous accompagneront lors de vos dîners. A la fois sophistiquée et gastronomique, la carte met en avant la cuisine française contemporaine. Durant les beaux jours, le restaurant propose aussi sa terrasse extérieure donnant sur la chambre du commerce et ses jardins. Un lieu de spectacle par excellence Son côté intimiste forme le principal atout du Chacha. Pas d’open space spectaculaire mais plutôt un bel espace avec plein de petits coins et recoins, un critère favorable à de petites envies d’évasion le temps d’une soirée ou toute la nuit. Une décoration au style rétro, de belles pièces chinées aux quatre coins de la France, des oeuvres d’artistes contemporains, des curiosités des salons et des alcôves… les ingrédients sont réunis pour faire perdurer la magie. Notre barman Rigueur, créativité sans limite et gestuelle maîtrisée au millimètre sont sa marque de fabrique. Il y ajoute un don certain pour les belles histoires... C'est un érudit des cocktails qui sait les raconter avec humour et brio. Il connait tout aussi bien l'art de l'écoute... Dites-lui simplement ce que vous aimez... et dégustez ! Avec ou sans alcool, moment très fort garanti....
Quatre Tours est une association de propriétaires composée d’hommes et de femmes réunis par une seule et même passion : celle du vin. Ayant vu le jour en 1924, elle était à l’origine formée de quatre vignerons de Venelles puis s’est agrandie au fil des années. Actuellement, la cave est dirigé par Thierry BLANCHARD Vigneron et président et Christian FAUCHER Directeur. Un vignoble privilégié par la nature Le vignoble des Quatre Tours s’étend sur une aire de culture de 300 hectares. « Il s’agit surtout d’un vignoble de coteaux où les vignes se trouvent en général entre 200 et 400 mètres d’altitude » explique Christian Faucher, directeur général de l’association. Le terroir est assez homogène, composé de marnes argilo-calcaires, sableuses ou recouvertes de cailloutis à certains endroits. Il est soumis à un climat de type continental, avec quelques parcelles qui disposent d’un microclimat qui leur est propre comme celui de Venelles ou Puyricard. Il est partagé entre AOC et Vin de Pays avec un encépagement majoritaire de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon, Cinsault et Rolle. Ici et là, quelques hectares sont plantés de cépages plus atypiques comme le Marsellan, le Caladoc ou le Merlot pour l’appellation IGP. La rigueur, gage de la qualité Depuis toujours, la qualité est au centre des préoccupations de la coopérative Les Quatre Tours. « La qualité du raisin est pour nous un élément primordial, du fait qu’elle influe sur la qualité du vin » selon les précisions de Christian Faucher. Un cahier des charges très exigeant a été imposé aux membres vignerons garantissant une production de qualité. Il concerne entre autres un mode de taille sévère, la pratique de l’enherbement des parcelles et même des vendanges vertes au cas où la nature serait trop généreuse. Une équipe sillonne les vignes en cours d’année pour contrôler le respect de cette charte. Ces dernières années, les conditions climatiques ont conduit les responsables des Quatre Tours à généraliser les vendanges nocturnes sur l’ensemble du domaine dans un souci de préserver la qualité aromatique des raisins. Une référence dans la région Aux Quatre Tours, la vinification est menée sous les ordres de Valentine Vitali, rare femme dans le métier de maître de chai. « C’est une vraie vinificatrice » assure Christian Faucher. Sous sa conduite, la cave perpétue la tradition de produire des vins de qualité qui a fait des Quatre Tours une référence dans la région provençale. Les 1,6 million de bouteilles produites par la coopérative sont déclinées en plusieurs gammes en appellation AOP Coteaux d’Aix-en-Provence et Vins de Pays. La gamme Signature propose des vins élégants et harmonieux, qui expriment les fruits et les parfums de la Provence. Les vins de la gamme Prestige sont issus d’une rigoureuse sélection des meilleurs terroirs. Il s’agit surtout de vins gastronomiques qui s’accompagnent de mets raffinés. Quant à la gamme Classique, elle est composée de vins sympathiques issus de cépages usuels de la Provence à déguster entre amis ou en famille. ...
Ils sont trois associés, Stéphane Vier, Yves Aubry et Timothée Béchonnet, à vivre cette aventure collective lancée en 1976. Une pratique culturale saine Certifié Ecocert, le domaine Le Bouc et la Treille, de 9 ha, est conduit en agriculture biologique. Ici, la majorité du travail se fait manuellement (travaux en vert, vendanges, fauchage,…). Parmi ses particularités, la maison élabore des vins en amphores et en jarres de terre cuite. Autres spécificités : enherbement total des vignes, levain naturel, vendanges manuelles, macération très longue, vinification sans sulfite, vins orange... Les cuvées phares Les cuvées « Hircus » en Chardonnay et en Gamay sont les cuvées les plus représentatives. Vinifiée et élevée en fûts, la première présente des notes beurrées de noisette et de pain grillé. La seconde, après un long élevage en fût, dévoile une bouche gourmande de fruits confits, des tanins présents, soutenus par une finale épicée. ...
A moins d’une heure d’Avignon, l’hôtel Crillon le Brave séduit par son charme délicieusement vintage et la sensation de bien-être qu’il dégage. Il est perché sur le sommet de la colline du village et offre une vue imprenable sur le Mont Ventoux et les dentelles de Montmirail. Labellisé Relais & Château, il arbore fièrement le luxe et le chic d’un endroit remplit d’histoires. Installé dans les anciennes écuries, le restaurant Jérôme Blanchet attire l’intérêt et l’attention. La décoration, signée Penny Lydon de Chalkhouse Design, reflète la parfaite harmonie entre l’ancien et le contemporain. Les pierres voutées sur les murs témoignent de l’authenticité du style provençal du XVIIIè siècle tandis que les somptueux luminaires apportent une touche de modernité. Dans cette ambiance feutrée, la chaleur procurée par l’imposante cheminée ajoute un brin de romantisme à l’ensemble. Une cuisine du terroir… Créatif et dynamique, le chef Jérôme Blanchet surprend les papilles avec sa cuisine raffinée et savoureuse reflétant la richesse du terroir. Ancien sous-chef du Negresco à Nice, c’est à la tête de la brigade des restaurants de l’hôtel Crillon le Brave qu’il exploite depuis 2013 son talent et son savoir-faire. Des atouts qui lui ont valu le titre de Maître Restaurateur de France en 2015 et qui a permis au restaurant d’obtenir sa troisième toque au Guide Gault&Millau, la même année. Depuis sa tendre enfance, le charentais se passionne pour la cuisine du terroir. « Enfant, je concoctais le cochon en terrine, les confitures maison et les légumes du potager avec mes parents » confie-t-il. Aujourd’hui, c’est dans ce même esprit qu’il impose son empreinte culinaire et s’appuie sur un vaste panel d’artisans et de petits producteurs de la région. Une confiance mutuelle s’est installée entre Jérôme et ses partenaires. Chaque jour, ces derniers lui livrent directement les meilleurs produits locaux. Parmi eux, Claudine Vigier de la fromagerie du Comtat pour les fromages ; Pierre et Philippe Silvain de Sylvain Frères pour les nougats ; Le Potager d’Olivier pour les fruits et légumes de saison ; la Boucherie Choc Viande pour le cochon, l’agneau, le bœuf et la charcuterie… Un restaurant à part… Au sein du restaurant qui porte son propre nom, le chef Jérôme Blanchet propose de la haute gastronomie qui revisite à la perfection les grands classiques de la cuisine française en y ajoutant une pointe d’innovation. Avec finesse et authenticité, chaque plat met à l’honneur les produits issus du terroir local. Pour satisfaire toutes les envies, Jérôme propose deux différents menus : le menu de saison et le menu dégustation. Avec le premier, il dévoile sa propre interprétation de chaque saison et propose une entrée, un plat, un fromage et dessert au choix pour 69 €. Avec le second, il invite les convives à se laisser tenter par une expérience culinaire inédite. Pour cette formule à 99 €, le service s’effectue en sept notes. Ce n’est pas tout ! Une carte qui évolue au rythme des saisons et qui met l’accent sur les produits frais du marché est à découvrir. En entrée, le délicieux carpaccio de loup de méditerranée au piment d’Espelette révèle toute la fraîcheur des produits provençaux. Comme plat, le succulent rouget de roche, fenouil et pommes de terre à l’or rouge des trois rivières démontre le parfait équilibre des textures et des saveurs. Et en dessert, le soufflé chaud au limoncello au sorbet verveine apporte une touche de douceur. Pour accompagner toutes ces savoureuses suggestions, le restaurant propose une intéressante carte de vins qui regroupe plus de 600 références dont principalement des vins de la Vallée du Rhône. Le tout, à déguster en salle ou sur la terrasse panoramique du restaurant pour profiter d'un cadre inoubliable, et servi par un personnel aussi sympathique que réactif. ...
Fièrement installée dans les Halles de Versailles, la boucherie traditionnelle Lombert a bâti sa réputation en offrant à sa clientèle les plus beaux morceaux de viande, dont évidemment, le fameux bœuf en Chalosse. Aujourd’hui, de nouveaux challenges s’esquissent pour Joël Lombert avec l’ouverture de sa nouvelle boucherie 100% bio. Un emplacement vacant à côté de la boutique actuelle s’est révélé être le point de départ de ce nouveau projet. Déterminé, l’artisan-boucher s’est engagé dans l’aventure avec le soutien d’UNEBIO grâce à qui il a réussi à trouver des éleveurs répondant à ses cahiers des charges. La conversion en bio Dans le secteur de la boucherie, se reconvertir en bio n’est pas une mince affaire. Il faut respecter à la lettre un cahier de charges pointilleux, à commencer par le choix des éleveurs. Joël Lombert a sélectionné des petits producteurs, qui commercialisent leur viande avec UNEBIO, et qui répondent non seulement à la réglementation imposée, mais surtout à ses besoins et à sa vision « faire du bio, mais du bon bio ». Il désire exclusivement disposer de viandes qui sont légèrement engraissées, bien finies, travaillées à la main avec de belles couleurs et obtenues via une démarche biologique. Les éleveurs qui travaillent pour la boucherie sont majoritairement issus du sud-ouest de la France. Chez eux, les animaux sont élevés dans le respect de leur bien-être, tant au niveau de l’alimentation qu’au niveau du traitement, que ce soit pour le bœuf, l’agneau, le porc ou les volailles. « Les animaux sont nourris uniquement avec une alimentation naturelle et saine, sur des pâturages et avec des fourrages qui sont référencés bio. Ils vivent à l’air libre dans la journée et ne sont pas cloîtrés », explique Joël Lombert. Toutes ces méthodes particulières de l’élevage bio permettent d’avoir des viandes plus colorées et savoureuses. Ce qui justifie le prix appliqué par la boucherie « Chez moi, en termes de tarifs, il faut compter environ 10 % de plus qu’une boucherie traditionnelle normale », reprend Joël Lombert. Ces extras sont consacrés aux petits producteurs français pour gratifier leurs travaux à leur juste valeur. Le Made in France à l’honneur Côté bœuf, la boucherie Lombert propose des viandes nobles, celles de race limousine, la blonde aquitaine ou la parthenaise. Le propriétaire a fait le choix de diversifier aussi bien les producteurs et les viandes racées pour s’assurer d’avoir en permanence des produits variés à présenter aux clients. Pour le veau, il privilégie les viandes un peu plus musclées avec une belle conformation (selon le classement E.U.R.O.P). En agneau, les viandes venant d’Aveyron sont d’un goût authentique, en plus d’être tendres et parfumées. En ce qui concerne les viandes porcines, elles sont assurées par les éleveurs bio membres d’UNEBIO issus du grand-ouest de la France. Enfin, la boucherie Lombert travaille des volailles en tout genre (poulets, dindes, pintades, canettes…) toujours élevées à l’air libre et nourries sans OGM. Étant une boucherie traditionnelle, Joël Lombert travaille lui-même les carcasses, pour ensuite les couper à la main. C’est une étape délicate et importante, sur laquelle dépend la qualité gustative de chaque morceau de viande. ...
Située en plein parc naturel régional du Vercors, la chocolaterie La Frigoulette fabrique des chocolats à partir de beurre de cacao, sans huile de palme, ni gluten, ni graisse animale. Le cacao est un premier grand cru produit de façon équitable sur l’île de São Tomé et Principe. C’est exclusivement l’entreprise Kaoka qui fournit les fèves bios et équitables. La chocolaterie La Frigoulette a été lauréate du concours Artinov de la Chambre des métiers de la Drôme en septembre 2012. À São Tomé et Principe En 2014, Bernard Xueref s’investit encore plus dans la culture des cacaoyers en achetant deux hectares de plantations abandonnés, qu’il souhaite revaloriser en créant des parcelles pilotes expérimentales. L’objectif est d’améliorer les méthodes de culture des agriculteurs en conciliant leur savoir-faire et les compétences des techniciens de la CECAB (Coopérative d’exportation de cacao biologique), et d’augmenter le rendement. À la chocolaterie C’est avec l’aide de Paul Keruel, maître chocolatier, que Bernard Xueref invente de nouvelles recettes. Le principe est simple : chaque création s’élabore à partir d’un mélange de deux goûts. Une large palette d’environ 140 saveurs est ainsi à découvrir. On peut se délecter par exemple de tablettes de chocolat noir au gingembre, de chocolat noir aux citrons confits, de chocolat noir aux noisettes grillées, mais aussi de chocolat à la lavande, de truffes au praliné, de mendiants aux fruits secs ou encore de chocolats aux fruits exotiques, de chocolats à l’eau-de-vie, de chocolats à la Clairette de Die, sans oublier les savoureux Malakoff ou les papillotes. Tous les chocolats sont fabriqués de manière artisanale, et emballés à la main. Vous pouvez les acheter en venant à la boutique de la chocolaterie. Ils sont également distribués dans de nombreux magasins bios. Visiter la chocolaterie Vous pouvez venir visiter la fabrique de chocolats du lundi au samedi, mais également faire une pause gourmande au bar en dégustant une tasse de chocolat chaud ou de café de São Tomé. ...
Dirigée par Julien Berranger, la Brasserie des Alpes propose des plats originaux et gourmands pour tous les budgets. Les fourneaux sont gérés par Naddei Felice, grand maestro de la cuisine italienne, et Marion Pierre, spécialiste des plats français. Cette belle dualité entre ces deux spécialités culinaires est à découvrir absolument. D’un côté la France… La Brasserie des Alpes ouvre ses portes pour ceux qui veulent vivre un voyage culinaire dans un cadre cosy et montagnard. En effet, sa capacité à offrir des plats typiquement italiens et français lui a permis de se bâtir une solide réputation dans la région. La cuisine est orchestrée par deux épicuriens. Le premier est un Français qui aime surprendre ses invités et qui propose des plats concoctés avec les produits du terroir. La cuisine traditionnelle forte en caractère et en gout est élaborée par Marion Pierre avec passion et inventivité. De quoi ravir les papilles des gourmands. Très variée, sa cuisine évoque les saveurs du terroir avec le magret de canard ou les brochettes du boucher. La maison a aussi construit sa réputation sur les grillades faites à base de viande. Il y a également la possibilité de déguster de succulents plats à base de poissons. De l’autre, l’Italie… Le maestro Naddei Felice propose une cuisine toute aussi gourmande insistant sur les ingrédients qui façonnent l’identité de la cuisine italienne. Ses origines mais aussi cette forte envie de défendre la cuisine de son pays se ressentent au travers des plats savoureux qu’il propose. Parmi les spécialités de la maison figurent les pâtes servies dans une meule de parmesan. Ce plat gourmand peut parfois être servi avec de la truffe et du speck, un jambon cru typique d’Italie se caractérisant par sa chair maigre et son arôme légèrement fumet. A ne pas manquer également : les sélections de pizzas préparées dans le plus grand respect de la tradition italienne, ce qui n’empêche pas le chef de sortir parfois des sentiers battus en proposant des pizzas originales comme la Fedora composée de crème de truffes, de roquette et de parmesan. Que ce soit Naddei ou Marion, la particularité des deux chefs réside dans le fait qu’ils accordent beaucoup d’importance à la qualité des produits. Ils collaborent, en effet, avec les producteurs locaux qui leur fournissent les meilleures matières premières. Une pause gourmande dans les Hautes-Alpes Blotti dans les Hautes-Alpes, le restaurant Brasserie des Alpes est l’endroit idéal pour une pause gourmande tout en admirant la vue panoramique. En famille, entre amis ou collègues, il assure un service de qualité et un cadre convivial. En effet, la salle de couleur vive dotée d’un décor très authentique et sobre offre une ambiance chaleureuse. Lorsque le temps n’est pas trop capricieux, la terrasse quant à elle permet d’apprécier l’air montagnard. A découvrir à Chorges Après un moment gourmet passé à la Brasserie des Alpes, il est temps de partir à la découverte de la richesse historique et touristique de Chorges. Ce village construit en fond de vallée possède de nombreux monuments façonnant son identité comme la fameuse église paroissiale Saint-Victor datant du XIIe siècle et aujourd’hui classée monument historique. La commune est également entourée de plusieurs sites naturels et un paysage atypique comme le lac de Serre-Ponçon situé à 7 km et les magnifiques baies Saint-Michel et de Chanteloube avec leurs eaux turquoise propices au nautisme et loisirs en plein air. ...
Tourisme et vins du Val de Loire n’ont jamais fait aussi bon ménage. Comme chaque année, InterLoire déploie le grand jeu pour accueillir tous ses visiteurs. Le vignoble en quelques chiffres Réparti sur 43 000 hectares (de Nantes à Blois) et traversé par une route des vins de 800 km, le vignoble du Val de Loire est réputé pour être le premier vignoble français pour la qualité d'accueil et la 3e région viticole française en volume d’AOC. Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, il ne propose pas moins de 50 appellations et dénominations d’origine ainsi qu’une IGP. Le saviez-vous ? 270 millions de bouteilles de vins du Val de Loire sont vendues chaque année dans le monde (dans plus de 140 pays). Soit 9 bouteilles par seconde. 13 % des oenotouristes français et étrangers ont visité le vignoble du Val de Loire en 2016, apprécié pour la diversité et la qualité de ses vins, son patrimoine historique incomparable et la qualité de l’accueil réservé aux visiteurs. Un vaste réseau de caves touristiques 350 caves touristiques labellisées sont réparties sur 2 régions et 5 départements. En s’appuyant sur une charte qualité stricte, chaque cave déploie son savoir-faire pour permettre à ses visiteurs de profiter d’une expérience unique. Ces critères sont au nombre de 10 : Accessibilité ; Amplitude horaire et respect des horaires d’ouverture ; Informations détaillées sur le domaine ; Lieu d’accueil sécurisé et aménagé ; Dégustations pédagogiques animées par une personne qualifiée ; Application des règles en vigueur sur la consommation d’alcool ; Affichage clair des tarifs ; Mise en avant des services proposés aux visiteurs ; Mise à disposition et conseils sur l’offre touristique locale ; Acceptation des démarches de contrôle et d’évaluation. À noter : au sein de cette offre qualifiée, 80 caves ont obtenu un niveau d’excellence. Mieux découvrir le territoire et le vignoble Pour préparer votre voyage, nous vous conseillons de vous rendre sur le site internet vinsvaldeloire.fr. Vous y trouverez de nombreuses informations (dont une carte interactive) qui vous permettront de préparer votre circuit et vos visites de caves. Que vous cherchiez un vin précis, un domaine particulier ou que vous vouliez associer dégustation et visite de patrimoine (le château de Blois, par exemple), vous trouverez toutes les informations souhaitées sur le site. C’est une première étape indispensable pour tous les voyageurs avertis. Si vous aimez vagabonder en toute liberté, sachez qu’il est aussi possible de trouver directement en office de tourisme (ou sur chaque site) des dépliants avec une carte, qui vous indiquent l’emplacement de toutes les caves touristiques de la région. Ainsi, vous pouvez localiser simplement votre prochaine destination avant de reprendre la route. Pour aider les voyageurs, de nombreux panneaux de signalisation jalonnent le circuit. Ils vous proposent de suivre Les Routes des vins du Val de Loire. Des boucles à la journée ou demi-journée sont mises en place sur la région Pays de la Loire pour découvrir le vignoble et ses paysages ainsi que les caves et les sites de visites. Que vous ayez prévu de parcourir la région en un week-end ou pendant plusieurs jours, vous êtes ainsi assuré de ne manquer aucun point d’intérêt important. Les événements 2018-2019 à ne pas manquer Comme chaque année, la visite du territoire est ponctuée de différents événements qui intéresseront les visiteurs à la recherche de nouvelles expériences. Un grand événement : Vignes Vins Randos en Val de Loire Ainsi, le 1er week-end de septembre, les amateurs de randonnées et de dégustation de vin se retrouvent pour l’aventure Vignes Vins Randos. Que vous soyez seul, entre amis ou en famille, plus de 15 parcours, chacun porté par une AOP, vous sont proposés pour partir à la découverte des vignobles du Val de Loire. Accompagné d’un vigneron passionné, vous profitez d’un parcours ludique qui vous permet d’améliorer vos connaissances sur le vin et le métier de vigneron. De nombreuse...
Dans une ambiance Art nouveau aux couleurs chaudes, aux tables élégamment nappées et aux couverts d’argenterie, ce bistrot chic à la réputation déjà faite propose une cuisine gourmande et raffinée et où l’harmonie entre mets et vins est toujours en parfait accord. Excellente adresse à découvrir dans la capitale parisienne, le Bistro Volnay propose deux formules déjeuner entrée-plat ou plat-dessert à 35 € et un menu entrée-plat-dessert à 40 €. Pour le midi et le soir, l’établissement propose également un menu dégustation ainsi qu’un menu à la carte en soirée, en plus de la dégustation. Une farandole de saveurs gourmandes Démarrez sur une note gourmande avec son Foie gras poché accompagné d’une julienne de céleri et de betteraves à la sauce curry maison. Ne ratez sous aucun prétexte son Ris de veau croustillant polenta et girolles, avec une sauce girolles, câpres et parmesan absolument à tomber par terre. Et terminez ensuite avec son Coulant de chocolat de Samana, avec une glace au café de Komodo et noix de pécan caramélisées et réglisse. « Pour la carte des vins, l’accent est mis sur la Bourgogne, mais nous avons aussi des vins des autres régions et d’Europe », précise Philippe Marques, propriétaire des lieux. Entre grands domaines et petites pépites, l’enseigne dispose d’une carte particulièrement riche de plus de 500 références ; citons, par exemple, le Saint-Véran Bois de fée du domaine Thibert 2013 ou le Fixin 2012 du domaine Pierre Gelin qui sont de véritables découvertes ! ...
Le Château Corbin Michotte et la famille Boidron La famille Boidron vit le vin comme une évidence de génération en génération à partir de 1760. Jean-Noël Boidron (Membre de l’Académie Internationale du Vin et de l’Académie des Vins de France) est un viticulteur chevronné et un œnologue, dégustateur reconnu et propriétaire de plusieurs crus en Libournais. Il élabore ses vins avec rigueur et passion. Il est également un homme très attaché à la terre. Il a acquis le Château Corbin Michotte en 1959. Le château était à l’origine une des parties d’un grand domaine féodal propriété du Prince Noir, Edouard de Woodstock, sous l’occupation anglaise. Remis en état par Jean-Noël Boidron, le domaine est devenu familial où il se fait assister par ses enfants Hubert Boidron (production), Emmanuel Boidron (commerce) et Isabelle Boidron (administratif). Dans les crus produits de la famille Boidron, il y a une philosophie qui exprime, comme dans les arts, un choix esthétique défini par cette devise : « Excellence, Harmonie, Humilité ». Le Château Corbin Michotte Saint-Émilion Grand Cru Classé En 1980, les chais ont été reconstruits pour respecter la qualité des raisins. Les vignes sont plantées sur les sols sablo-limoneux brun-gris reposant sur un sous-sol sablo argileux très ferrugineux avec des graves en surface. Ce sol est l’un des plus riches en oligo-éléments d’où la typicité de ce vin. Prônant un retour aux sources pour un vin de qualité, le vignoble n’a jamais été traité avec de l’herbicide. Toujours dans l’esprit de démarche qualité, le processus est manuel de la vendange à la mise en cuve. La vinification se fait naturellement. La macération est longue, et elle est suivie d’une dégustation quotidienne. L’élevage se fait en fûts neufs et dure de18 à 24 mois. La répartition des cépages se décide chaque année selon la dégustation par les trois œnologues la famille. Conservés en cave, on y assemble que les lots de parfaites qualités atteignant la haute expression recherchée. Au service, le vin fait ressortir une grande profondeur dans sa couleur avec des reflets bleu-violet. Légèrement boisée avec des tannins bien présents, mais d’une grande finesse, en bouche ce n’est que du plaisir. Ce vin est l’illustration même des plus grands crus qui ont fait la renommée de l’appellation Saint-Émilion Grand Cru. ...
Le succès des champagnes Legret est le résultat de l’amour du terroir, du respect envers la faune et la flore, mais aussi des méthodes de travail naturelles offrant aux sols la liberté de s’exprimer avec autant de virtuosité. Des méthodes d'élaboration respectueuses de l'environnement et du consommateur Tout le processus de production du champagne s’effectue le plus naturellement possible, dans le respect de l’environnement et du consommateur. En effet aucun type de pesticides, d’herbicides ou encore d’engrais chimiques n’est utilisé. Et la vinification est réalisée sans intrants d’origine animale ou chimique, comme la levure. Le traitement des sols et de la vigne est effectué par le biais de méthodes biodynamiques, dans le cadre d'une agriculture végétalienne. Cela consiste à ne pas utiliser des produits d’origine animale dont les cornes ou la bouse et à privilégier des traitements végétaux ou minéraux (tisanes et décoctions de plantes, huiles essentielles). Pour le plus grand bien des consommateurs sans brader leur plaisir, les champagnes sont non dosés ou assez faiblement, d’où les cuvées brut nature, brut ou extra brut. La conséquence de ce dosage est la faible présence de sucre dans les bouteilles. 6 cuvées certifiées Vegan: une démarche innovante dans le cadre de l'appellation champagne Depuis le 11 novembre 2016, les 6 cuvées des champagnes Legret sont certifiées Vegan (Qualità Vegeteriana), de la viticulture (agriculture végétalienne) à la mise en bouteille et l’étiquetage. De plus, le domaine Legret n’utilise pas de produit d’origine animale dans la colle des étiquettes ni dans leur encre. Quant à la vinification, les étapes de clarification et de filtration se font avec une plaque filtrante en cellulose. Enfin, pour des raisons d’éthique, il n’y a pas de traction d’outils à la force animale dans les vignes. Des champagnes reconnus pour leur qualité exceptionnelle Vignerons indépendants, les Legret produisent leur champagne de A à Z puisque ce sont leurs vignes, leur pressoir, leurs cuves et leur cave. Ne faisant pas partie d’une coopérative, leur raisin n'est pas pressé par une autre société ou acheté. Ce qui signifie un contrôle complet des méthodes d'élaboration et de la qualité du produit. Les champagnes Legret sont de grande qualité car 4 générations se succèdent afin de prolonger le savoir-faire et la tradition. Perpétuant des méthodes d'élaboration ancestrales, Alain Legret pratique encore le remuage à la main pour certaines cuvées. Mais aussi un vieillissement de 4 ans minimum sur lattes long afin que le vin puisse exprimer toute sa complexité. A ceci s’ajoute la présence d’un personnel hautement qualifié voire couronné puisque Louise, une employée de 19 ans a reçu le sécateur d’or, en cette année 2018. Cette distinction est loin d’être unique puisque les champagnes Legret ont reçu de multiples médailles d’or et d’argent aux Concours des Vignerons Indépendants 2017, Concours International de Lyon 2018, Concours Mondial des Feminalise 2018, Concours des Meilleurs Vins et Spiritueux Français en Asie 2018 et à l'Asia Import News Wine Challenge 2018. Enfin, les champagnes Legret sont recommandés par the Decanter, une référence internationale dans la comparaison des vins. ...
La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...
L’amour du terroir et des valeurs transmises. Le goût des autres, aussi, et celui de l’authenticité. Christine et Hugues de la Guéronnière portent avec passion un héritage familial ancré dans l’histoire depuis 1928. Si le vignoble rencontre ses lettres de noblesses dans les années 50, il n’a pas cessé de les honorer depuis. Terroir et artisans oeuvrent ici conjointement à créer le meilleur. Un terroir et un savoir-faire complices derrière des vins d’exception Les vignes du Château Chatain, d’une moyenne d’âge de 50 ans, content les vallées, la Barbane, les sources d’eau qui les traversent et un sol graveleux -argilo-limoneux, dans lequel elles puisent minéralité et caractère. La hauteur des feuilles, l’ébourgeonnage, le labourage au tracteur : Christine de la Guéronnière perpétue un savoir-faire acquis de son père, Hugues tout en organisant le domaine dans un esprit d’agriculture raisonnée. Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Malbec sont cueillis à maturité par les mains attentives des vendangeurs. Puis vient l’assemblage, ces précieux instants où l’alchimie s’invente, à l’écoute des cépages et de leurs aromes. Les vins sont élevés en fûts de chêne, où ils révèleront leur quintessence au bout de douze mois ou plus. Le domaine utilise même un pressoir hydrolique de 1900, assurant un pressurage lent mais qualitatif. Ici, la productivité n’est pas le maître mot et ne se fait jamais au détriment du « très bon ». Dans leur robe rouge rubis, les vins Lalande de Pomerol du Château Chatain profitent aussi de label européen AOP. Médaillés, salués par les critiques, les opus libèrent leur tanin puissant et subtil. Rondeur et longueur en bouche révèlent une complexité à la profondeur tranquille et veloutée. Le fruit s’exprime dans toute sa primeur. Un domaine dynamique et inspiré La famille de la Guéronnière compte artisans, artistes et voyageurs depuis plusieurs générations : vigneron, ébéniste, pianiste polyglotte. Une ouverture d’esprit qui amène Christine de la Guéronnière à étudier dans le commerce international et à voyager elle-même, avant de rejoindre le domaine pour y semer son énergie solaire. Équipe, amis, famille, voisins prêtent main forte, fédérant une dynamique locale impliquée et unie. Marie de la Guéronnière, la sœur cadette de Christine, a rejoint cette année le vignoble, après une carrière en tant que comédienne, metteuse en scène et Directrice de théâtre en Irlande. Une heureuse présence promettant quelques rendez-vous artistique in situ. La solidarité avec les châteaux voisins est palpable, tout comme la convivialité que le domaine entretient avec les cavistes, les restaurateurs locaux, avec un goût prononcé pour les plus inventifs. Au Château Chatain, on aime le bon vin mais aussi les bonnes idées. Quand oenotourisme rime avec imagination Et côté idées, le Château n’est pas en reste. Des visites œnologiques donnent à découvrir terroir, savoir-faire et histoire. Des jeux d’assemblage permettent aux visiteurs de recevoir quelques secrets de cette « cuisine des dieux ». L’été, on y organise des barbecues champêtres où savourer produits du terroir mais aussi des apéritifs fluviaux à Libourne. Avec d’autres partenaires locaux, le domaine proposent des visites en calèche, en tuk-tuk, en vélo ou en side-car. Des moments joyeux qui pensent à toute la famille, toujours clos par une dégustation savoureuse. Le bonheur s’invente chaque jour au Château Chatain, qui le partage volontiers, de grands vins en bons moments. ...
« On ne vend pas une bouteille, on vend une expérience de dégustation ! » C’est en ces mots que Guillaume CHARNIER met en lumière la particularité de son activité. Avec Alexis Donnio, ils n’ont cessé d’améliorer le catalogue de prestations depuis 2015. Adressant leurs services aux néophytes désireux de devenir connaisseurs, ils proposent des cours de dégustation privés durant lesquels ils partagent leur passion autour de ce breuvage d’exception. Private Whisky Society, c’est aussi une cave en ligne de près de 200 références issues de la France, de l’Ecosse, de l’Inde, de l’Irlande, des Etats-Unis, de la Suède, du Danemark... Les produits sont goutés et sélectionnés personnellement par Alexis et Guillaume qui émettent ensuite une note de dégustation sur leur site pour chaque flacon commercialisé. En outre, les coffrets de dégustation offrant de beaux moments de découvertes seront parfaits pour faire le tour des meilleurs whiskies au monde ou en guise d’idées-cadeaux. Attention, la startup ne dispose pas de boutique physique, visitez le site pour faire vos achats en ligne. ...
Établi sur les vestiges d’une villa gallo-romaine et surplombant les collines éponymes, le Château Viranel doit son identité à son encépagement varié (plus de 14 cépages) et à la diversité de son Terroir. Les sols s’y déclinent en trois types : les galets roulés qui donnent des vins de plaisir et sur le fruit, les terrasses calcaires qui offrent plus de concentration, de finesse et de la complexité aux assemblages puis enfin les crès apportant minéralité et puissance pour des vins riches mais exprimant avec caractère la fraicheur de ce terroir d’altitude. Des vins mono-cépages, au goût unique, propices au plaisir Sur ces terres transmises de génération en génération depuis 1551, le vin est produit selon une démarche raisonnée. « Nous travaillons en circuit fermé en compostant nos propres marcs de raisins pour les réintroduire ensuite dans le sol », expliquent Nicolas et Arnaud Bergasse, propriétaires vignerons. Ce travail d’équilibre permet de rendre à la terre ce qu’elle a donné pour produire les raisins. Le domaine est certifié Haute Valeur Environnementale (HVE) ce qui signifie qu'il oeuvre dans le respect des écosystèmes et de la biodiversité. Le travail de vinification est réalisé dans des cuves semi-enterrées (- 2 mètres). Résultat : des vins harmonieux, fins et expressifs traduisant une belle personnalité. Mention spéciale pour les mono-cépages qui expriment toute la beauté de leur terroir à l’instar de la Cuvée Arômes Sauvages, un 100% Alicante Bouschet produit en IGP Cessenon et la Cuvée Pépite AOP Saint-Chinian, 100% Carignan. ...
Située sur la côte normande, à faible distance de Deauville, cette société emblématique a gagné ses lettres de noblesse avec un seul et unique produit « le Saveur des Potages », plus connu sous l’appellation « Arôme Patrelle » qu’elle doit à Louis Salve Patrelle, le premier du nom. Il s'agit d'un colorant alimentaire à base de glucose destiné à permettre le fonçage de sauces, marinades, potages, gratins,… Il permet également la couverture des préparations de viandes, comme le jambon, ou de volailles grillées (poulet, escalopes). Enfin, il s'utilise pour colorer les gélatines nécessaires à la préparation des charcuteries ou dans la liaison des sauces. Bref, un incontournable en cuisine. Grâce au Saveur des Potages®, chaque plat livre ses meilleurs atouts. Le succès d’une marque au fil du temps Fort du succès de la marque qui a autant séduit que fidélisé les consommateurs pendant près d’un siècle, Patrelle prend son envol en 1961 avec la partie confiserie et produit ses premiers délices aux saveurs sucrées : la boule coco (une meringue fantaisie enrobée de noix de coco râpée) et le roudoudou (le célèbre coquillage avec une sucette à l’intérieur). L’incroyable odyssée d’un authentique patrimoine familial Sous la direction de Laurent Patrelle (de la cinquième génération) depuis 1987, la société Patrelle continue à se développer et à innover dans sa palette de goûts et de couleurs avec la création en 1993 des lignes de production des P’tits Top (goûter avec gressins et pâte à tartiner) et des bâtons à congeler, suivie dix ans plus tard par la ligne de production du Trio Top (goûter avec gressins, pâte à tartiner et boisson). En 2001, Patrelle marque sa présence à l’échelle internationale en matière de confiserie, notamment en Europe (Belgique, Allemagne, Portugal, Pologne et Roumanie), mais aussi aux Émirats arabes unis et en Nouvelle-Calédonie, puis récemment en Russie et au Sénégal. L’année 2013 voit, quant à elle, la commercialisation de trois nouveaux arômes Patrelle sur le marché, à savoir les arômes Patrelle balsamique, bœuf et barbecue. En 2016, la gamme snacking sucrée et salée entre, elle aussi, dans la danse avec de nouvelles saveurs telles que le spéculoos, le beurre de cacahuètes, et aussi les sauces ketchup, Barbecue et tex-mex. Et le petit dernier le « P’tite Pomme ». En effet, fort de son expérience dans le snacking pour enfants, la société Patrelle vient de lancer ce nouveau concept : des biscuits Petits-beurre et une spécialité de pomme pour offrir un goûter plus sain et équilibré. Vous pourrez découvrir tous ces produits dans leur magasin d’usine. ...
Sénégal, Mali, Cameroun, Ghana, ici, on goute à chaque bout d’Afrique. Dans un décor basique, orné de tableaux typiques et de statuettes majestueuses, le restaurant est d’une simplicité chaleureuse. La musique est là pour rappeler l’identité du lieu dans des sons jazz, soul, makossa, mbalax, bikutsi ou des iles. Des soirées à thème invitent régulièrement les convives à la fête et à la danse. Un vrai melting-pot au Délices AFRICA où toutes les communautés aussi bien africaines qu’européennes, passent un moment hors du temps. Il y règne comme maitre-mot : la sympathie et la gourmandise. Inspiration africaine Préparés avec soin par la cheffe cuisinière, Marie Dumas, spécialiste en cuisine africaine, les entrées font sensation auprès de la clientèle friande de découverte. « Mon inspiration vient de toute l’Afrique », sourit-elle. En entrée, les accras de morue, croustillants et moelleux, des tapas typiquement antillais, sont plébiscités. La salade de morue avec ses avocats, ses concombres, ses citrons verts est également très demandée. La salade ghanéenne a aussi ses lettres de noblesse parmi la clientèle avec son goût sucré-salé. Pour cette entrée composée des crevettes, de l’ail, des œufs, de la banane plantain, de la laitue et d’autres crudités sont de mise dans un goût épicé selon les besoins du client. Les épices de poisson parmi lesquelles, les messep (basilic sauvage) et l’odzem (gingembre local) sont importées d’Afrique pour ravir les papilles des curieux et des amateurs de condiments exotiques. Des mises en bouche qui vous mettent en haleine puisque le vrai voyage, ici, c’est dans les plats. Florilège de saveurs Le poulet braisé fait mouche. Il est fermier (produit typiquement français) et préparé lentement au charbon de bois. C’est un incontournable du continent. Le poisson (bar, sole, tilapia) est aussi préparé dans ce savoir-faire. Les accompagnements conseillés par la Cheffe pour ces grillades braisées sont : le bâton de manioc, le chikouang, le riz parfumé et cantonné, la banane plantain et évidemment, les épices sur demande du client, c’est l’évasion faite maison. Direction Cameroun avec son poulet DG, accompagné de ses bananes plantains, de ses oignons fondants en bouche, de ses carottes et d’un coulis de tomates relevé au gingembre. Il est présenté dans l’authentique tradition africaine, où chacun se sert directement dans le plat. Un vrai florilège de saveurs ravira vos sens avec le classique mafé avec sa pâte d’arachide, du tiep bou diemme avec son riz typiquement sénégalais garni aux légumes. Une autre découverte camerounaise est le fameux que dis-je, le fabuleux ndolé avec (ses feuilles qu’on pourrait prendre pour des épinards) avec des cacahuètes vapeurs, bouillies garnies aux crevettes et à la viande fraiche. Pour les desserts, c’est une vraie expérience fruitée qui s’offre à vous avec des fruits exotiques (selon les saisons) tels que la mangue, la papaye, l’ananas, la noix de coco, les glaces ou encore le café gourmand dressés dans un style simple mais très étudié. Boire local Des boissons locales sont également suggérées pour accompagner vos spécialités. Le cocktail planteur typiquement antillais ravira les amateurs de rhum et de boissons sucrées pour un apéritif. La Flag, bière ivoirienne, se marie bien avec la salade ghanéenne ou de morue. Pour le Ndolé, une Castel. Une sélection de vins locaux est proposée pour accompagner les plats. D’humeur festive, le Pti-punch, sucré à souhait avec de la canne, du rhum et du citron ravive le gout sucré des tapas avec fraicheur. Vous y trouverez également des cocktails maisons : le Bissap ou le jus de gingemble au rhum, les tops ou les maltas Guinness. Le Restaurant Délices AFRICA possède également un service traiteur avec les mêmes spécialités pour notamment : les mariages, les anniversaire et d’autres cérémonies comme les séminaires, les repas d’entreprises, les repas syndicaux, etc...
À nouvelle gérance, nouveau décor ! En reprenant le restaurant il y a 2 ans et de par ses nombreux voyages un peu partout dans le monde, Loïc Ledu a apporté une signature unique. Il propose majoritairement « des menus de France revisités » comme il aime si bien le dire, avec une cuisine gourmande qui lui fait rappeler son enfance, une irrésistible nostalgie qui revient souvent dans ses inspirations. Un globe-trotter passionné Après une vie de globe-trotter (Écosse, Australie, Dubaï, Europe) au cours de laquelle il a toujours nourri sa passion pour le métier, Loïc Ledu a réussi de belles expériences de vie dans la restauration. Pour aller plus loin dans l’aventure, il choisit avec sa femme Céline de poser ses valises en terre française et de s’y installer. Son coup de cœur pour Le 111 a nourri en luide nouvelles inspirations créatives et originales. Un lieu de rencontres à l’ambiance intimiste Le 111 est un établissement qui plaît à la clientèle. Selon Loïc Ledu, c’est un « restaurant très fréquenté par les femmes », qui y trouvent un lieu idéal pour se retrouver. L’endroit offre en effet un décor intimiste aux couleurs à dominance gris et rouge imprégnées d’une ambiance feutrée qui séduit particulièrement les couples et les amoureux. « Le succès du restaurant vient du bouche à oreille », se satisfait le chef. Le 111 a une capacité d’accueil de 30 couverts en terrasse, de 40 couverts en salle et de 18 couverts pour les différents évènements de groupe (anniversaire, évènement familial…). Du fait maison bistronomique Le 111 propose une cuisine au concept bistronomique, c’est-à-dire des « produits simples, cuisinés de façon créative, avec de belles présentations et à prix abordables », fait valoir Loïc Ledu. Il tient notamment à préciser que l’établissement ne fait que du frais : « Tout ce qu’on a à la carte est fait maison, à base de produits bruts sans aucun produit transformé. » C’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de la maison. À travers ses notes sucré-salé, aux couleurs et aux goûts de France, Le 111 porte bien la signature du chef. Pour garantir la fraicheur des produits proposés, le choix des fournisseurs est très strict (meilleure régularité, meilleure viande, meilleurs produits). Le bœuf Wellington, les Noix de Saint-Jacques et beurre de clémentine et les Ravioles de Joue de bœuf restent à ce jour les plats-signatures du restaurant, mais d’autres plats viennent s’y ajouter selon les goûts et préférences des fidèles de l’établissement. « Nous travaillons beaucoup le bœuf », explique Loïc Ledu, et les clients apprécient grandement « tartare et carpaccio », des produits coupés à la minute et au couteau. Le 111 possède également une section grill, qui permet de préparer du steak maison avec des frites coupées à la main. Pour satisfaire encore plus les clients, le restaurant vient de sortir sa nouvelle carte d’été avec des menus adaptés, dont des noix de Saint-Jacques, du suprême de pamplemousse et du tartare de saumon. Cerise sur le gâteau : toutes ces suggestions gourmandes peuvent se déguster depuis la salle du bas, tout en appréciant une vue imprenable sur une grande cave à vin vitrée révélant plus de 130 références. ...
Dans un décor lumineux à l’ambiance intimiste et chaleureuse, L’Envergure est très certainement « le restaurant qui possède la plus belle vue de Chamonix », précise Louise Lahiani, la directrice. Il offre surtout une belle découverte culinaire à travers une cuisine préparée selon les inspirations d’un chef créatif. L’Envergure privilégie « les produits de saison 100 % frais, sans aucun produit surgelé », souligne Louise Lahiani. Dans un voyage gustatif aux saveurs inattendues dont il a le secret, le chef aime surprendre avec ses plats mariant saveurs du Sud et produits savoyards. Une cuisine pleine de fraicheur Le restaurant du Best Western Plus Excelsior Chamonix Hôtel & Spa s’adresse à tous ceux qui souhaitent se laisser surprendre par une cuisine généreuse et raffinée. « De belles déclinaisons de couleurs, de formes et de volumes les attendent », nous souffle la directrice. L’établissement travaille dans la mesure du possible avec « des producteurs locaux tout autour de la Haute-Savoie », renchérit-elle. Une assurance pour les clients de gouter à des produits 100 % frais. Une cave à vins aux accents régionaux Le restaurant L’Envergure est particulièrement apprécié pour la diversité de sa carte des vins, qui « va de tarifs accessibles à des vins plus renommés », à travers diverses régions de France. Un soin tout particulier est porté sur le conseil pour offrir aux clients les meilleurs accords mets et vins. Des formules adaptées aux besoins des clients Le restaurant L’Envergure sait également s’adapter aux besoins de ses convives en proposant « une formule midi à 21 € avec entrée/plat ou plat/dessert et, le soir, une formule à 29 € avec la suggestion du jour », explique Louise Lahiani. Il offre également des plats-signatures comme la canette fumée, un plat qui fait la renommée de la maison et qui est réclamé le plus souvent par les habitués. ...