Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...
Dans un cadre sobre, enchanteur et élégant, Emmanuel Hernandez, chef et propriétaire du Musigny, propose des plats concoctés dans le respect de la tradition et des valeurs culinaires typiques de la région. Les saveurs typées et harmonieuses des mets et l’ambiance chaleureuse qui règne au sein même du restaurant sont la promesse d’un voyage gustatif au cœur de la gastronomie française. Le classique mêlé à la modernité Selon Emmanuel, c’est la cuisine « traditionnelle gastronomique française aux accents méditerranéens », proposée à la table du Musigny, qui fait toute sa singularité. La décoration avant-gardiste, à laquelle s’ajoute de la bonne cuisine à base de produits locaux, reste l’une des particularités de cette table étoilée dans le Guide Michelin. Avec une carte évolutive suivant les saisons, le Musigny chante le répertoire de la cuisine gastronomique avec élégance, tradition et modernité. Une carte riche en goûts Avec plusieurs menus proposés, dont un menu "affaire", un menu "dégustation" ou le menu "les écoliers", le restaurant le Musigny se démarque par la variété des saveurs proposées à table. Le homard bleu rôti au beurre d’agrumes, précédé d’une assiette autour de la Lucullus en guise d’entrée, figure parmi les plats phares de la carte de l’établissement. Cette dernière sera accompagnée d’une carte à vins éclectique et riche. En effet, la cave représentant tous les terroirs de la France est composée de 250 références. ...
A déguster aussi bien sur les tables du restaurant Jules Vernes que ceux de Guy Savoie, les vins du vigneron Laurent Habrard se déclinent sous les appellations Crozes-Hermittage, Hermitage et Saint-Joseph. Cultivé sur des côteaux de granit, de LOESS et d’un peu d’argile, les vignes apportent des fruits qui font la particularité de la production. Pour la petite anecdote, l’une des parcelles du vignoble jouit d’un ascendant bien connu. En effet, la parcelle Hermitage a été achetée au gendre du général de Gaulle, Alain de Boissieu. Ces vignes vendangées à la main sont gérées par Laurent Habrard depuis 1998. Issu d’une famille de viticulteurs, il représente déjà la cinquième génération de la famille à travailler le vin. Ce vin dont certains sont vieillis en fûts quand d’autres sont vieillis dans des cuves de béton et d’inox. Une démarche complète et globale pour l’environnement Depuis 2008, les vins du domaine Laurent Habrard sont labellisés « Bio ». Une démarche soutenue depuis déjà longtemps en faveur de l’environnement associée à des méthodes de production sans sulfites notamment pour les vins rouges. Mais l’engagement du domaine ne s’arrête pas là. Afin d’adopter une démarche plus complète et globale, le domaine s’est associé à l’Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS). A travers cette association, le domaine souhaite tel que l’explique Laurent « remercier la nature de donner des récoltes ». Et cela en faisant un don de 25 000€, récupéré sur l’ensemble des ventes des cuvées de vin rosé de l’année passée. Grâce à différents dons, l’ASPAS achète du foncier pour ensuite le mettre sous cloche et laisser la nature reprendre seule ses droits. Grâce au domaine Laurent Habrard et sa contribution, ce sont 16 ha de réserve de vie sauvage qui vont être établies. ...
Des petits plats français sentant bon le terroir. Une ambiance bistrot insufflée du pur esprit loft. Des recettes magnifiant le frais, relevées de sauces étonnantes. Ces trois ingrédients font le succès du Moustache, le plus new-yorkais des bistrots parisiens, classé dans le top 100 de la capitale. Escapade savoureuse dans une déco surprenante Un jeu de miroirs et de skateboards tapisse le mur de cet espace juste suffisant pour accueillir 45 convives. Dans ce décor pop art, on se retrouve pour des moments intimes autour de petits plats légers et frais mais pleins de surprises. Le secret de la maison : des produits de saison sélectionnés chez les producteurs locaux. Le chef les inscrit dans une partition de saveurs célébrant les fastes de la bistronomie française, dispersant ici et là des notes asiatiques. Viandes marinées et Bo bun titillent alors le palais qui se laisse surprendre, au détour, par une sauce au tamarin, juste à tomber. ...
Atout France se veut l’instigateur d’une amélioration constante des offres faites aux touristes s’intéressant à la destination France. L’œnotourisme, constitué en pôle d’excellence depuis 2015, est l'un de ses terrains d’actions. Cette filière suscitant l’attention de nombreux porteurs de projets, une consolidation de leur aptitude à fournir des prestations de qualité s’imposait comme une évidence. À la demande du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, cinq vidéos MOOC, abordant cette thématique de façon transversale, ont été mises en ligne. Tour d'horizon de ces nouveaux supports d’autoformation. Sensibiliser les acteurs sur la complexité du secteur Atout majeur de l’attractivité touristique en France, l’œnotourisme est une filière complexe s’il en est. C’est pour sensibiliser les acteurs sur cette complexité que les cinq vidéos réalisées par Atout France ont vu le jour. S’adressant aux professionnels – déjà actifs ou en devenir – de l’œnotourisme et de la viticulture, elles visent, par la même occasion, la diffusion de bonnes pratiques. Ce sont ainsi les domaines, hébergeurs, agents réceptifs et tous ceux qui ont un cœur de métier rattaché aux vins de France qui pourront accéder à cette série de formations accessibles gratuitement (liens dans l'encadré). Cinq vidéos pour maîtriser l’essentiel de l’œnotourisme Formatées dans une durée respective de cinq minutes, les cinq vidéos abordent différentes thématiques rattachées à l’œnotourisme de façon synthétique, mais ne sont pas moins consistantes. Pour les réaliser, Atout France s’est attaché les services d’une start-up spécialisée dans la formation en ligne appliquée au tourisme, à savoir Tourism Academy. Concrètement, les vidéos amènent sur des pistes de réflexion variées comme la promotion de ses offres, l’identité des clientèles étrangères, ou encore comment réussir son projet œnotouristique. Le premier volet de la série pose, non sans pertinence, les préalables de la filière pour bien cerner son domaine, c'est-à-dire des contenus ciblant des préoccupations quotidiennes dans le secteur. Ils sont issus d’études que l’organisme instigateur a menées sur l’œnotourisme à l’échelle nationale. Ces thèmes ne limitent d’ailleurs pas leur auditoire aux seuls professionnels de l’œnotourisme. Les institutionnels du tourisme sont également concernés, eu égard à leur mission de conseil auprès des premiers. Martin Lhuillier, responsable du pôle destination vignobles abonde en ce sens : « Nous, ce qu’on attend, c’est qu’elles (les vidéos, NDLR) soient diffusées le plus largement possible au sein de la filière. » Pour ce faire, Atout France mobilise son grand réseau de partenaires composé des interprofessions, des départements, des régions et des vignerons indépendants, entre autres. ...
Cet ancien pavillon de chasse est repris par Félix et Élisabeth Milhard en 1870, qui décident de créer une exploitation viticole sur la propriété et de produire leur propre vin. Après la succession de quatre générations, c’est aujourd’hui Jérémie qui reprend le flambeau. Outre la production de vins, la famille Milhard-Bessard ouvre ses portes pour une visite classique, une visite prestige et une visite atelier. Le domaine bénéficie de nombreux labels qui garantissent la qualité de ses services touristiques. Il est, par exemple, reconnu par le « Best of Wine Tourisme » en 2014. Le domaine La propriété se trouve dans la commune de Petit-Palais-et-Cornemps, à 50 km de Bordeaux et à 12 km du village de Saint-Émilion. Plus précisément, elle est située à la limite de l’appellation Lussac-Saint-Émilion. Les caractéristiques du climat océanique, doux et pluvieux en hiver et frais et humide en été, s’allient avec le sol limoneux-argileux pour un développement optimal des vignes. Les cépages ont en moyenne 45 ans. Ils sont cultivés sur 10 hectares, dont 9 en rouge, composés de 70 % de merlot et 30 % de cabernet franc et 1 en blanc, exclusivement du sémillon. Le respect de l’environnement et des saisons font partie des valeurs de la famille Milhard-Bessard depuis 1870. Les méthodes ancestrales encore utilisées aujourd’hui ne nécessitent aucun produit et désherbant chimique. De simples gestes comme la taille bordelaise avec ébourgeonnage et l’effeuillage manuel à la fin de la floraison et avant les vendanges permettent à la famille Milhard-Bessard de conduire à maturité des raisins naturellement sains Et dans un souci de valoriser l’expression du terroir et de préserver la biodiversité et l’écologie, le Château Vieux Mougnac produit en bio et bénéficie d’une certification Agriculture biologique (AB) depuis 2012. La vinification Les vins sont vinifiés dans des cuves en béton, dont les volumes correspondent aux parcelles. Les températures de fermentation sont contrôlées attentivement lors de l’extraction des arômes et des composants phénoliques naturels. Le pressurage est toujours effectué avec le vieux pressoir hydraulique vertical des années 1940. Les vins vieillissent pendant 2 ans en cuves en béton, sauf les cuvées qui sont élevées 1 an en cuve et ensuite 12 mois en barriques neuves de chêne français. Les vins, quant à eux, sont mis en bouteille au château après clarification et stockés dans leur chai avant d'être commercialisés. ...
L’histoire de la famille Pinard et la viticulture est intimement imbriquée. En effet, la chronique familiale remonte en 1610, lorsque Jacques Pinard s’installe à Sézanne pour s’adonner à cette activité. Depuis, son savoir-faire s’est transmis de génération en génération, jusqu’à Dominique, Brigitte et Olivier Pinard, actuels propriétaires et garants de cet héritage familial. Une viticulture du « bon sens » Pour la maison Pierre Pinard, la qualité d’un vin prend naissance au vignoble. Raison pour laquelle l’exploitation reste particulièrement rigoureuse lors des travaux dans les parcelles, comme l’atteste Brigitte Pinard : « Nous appliquons au domaine une culture dite "de bon sens". Nous travaillons avec la nature et sommes très vigilants ; avec un très gros travail de surveillance sur nos parcelles, ce qui nous permet de traiter uniquement lors des moments critiques. » Ensuite concernant la vinification, la famille applique son savoir-faire transmis depuis des générations pour tirer de sa terre ses neuf cuvées. Des cuvées à l’image du terroir Si toutes les cuvées Pierre Pinard sont imprégnées du terroir sézannais, la plus représentative de celui-ci et de l’exploitation est certainement le « Brut Tradition ». Issue d’un assemblage 70% Pinot Noir et 30 Chardonnay, cette cuvée vieillit en cave trois ans avant d’être mise en bouteille, ce qui lui confère une très belle effervescence et un cordon de mousse persistant, avec une rondeur et une longueur en bouche des plus agréables. ...
La brasserie La Gaëlle ouvre ses portes aux amateurs de bière le vendredi et le samedi soir. Pour promouvoir ses produits, Christophe Hordé propose de la restauration sur réservation, des soirées ou une visite de la brasserie. Un bar-brasserie La Gaëlle produit des bières 100 % céréales « avec un peu plus de houblon que des bières classiques », précise Christophe. Outre la blonde de base, La Gaëlle sert une blonde dite d’automne pour son côté fruité et sa longueur en bouche qui est plus importante. Il y a ensuite la cuvée Judicaël, la rousse et la bière ambrée, qui a permis à la brasserie de remporter la médaille de bronze au concours régional des bières de Bretagne. Enfin, la maison produit trois brunes : la normale, celle d’été et une plus épicée, qui sort à Noël. La cuvée Judicaël Liée à l’histoire de la commune, la cuvée Judicaël a un franc succès auprès des visiteurs. Historiquement, la bière a toujours été brassée par les moines. C’était le cas au royaume de la Domnenet, l'un des quatre royaumes bretons au 7e siècle. Le prince Judicaël, qui s’était retiré au monastère de Saint-Jean-de-Gaël, après avoir été écarté du trône, y a découvert un breuvage fermenté et il introduit dans cette recette le houblon, plante connue pour ses vertus médicinales. Cette bière révélait un goût fruité, très original à l’époque. Une fois arrivé à la tête du royaume, Judicaël inventa une bière baptisée La cervoise d’or. Cette dernière était servie à chaque événement de sa vie. Judicaël l’aurait également présentée au roi Dagobert, connu pour avoir développé la production de bière en France par l’intermédiaire des abbayes. La brasserie La Gaëlle fidèle à cette tradition a créé une bière blonde, la Judicaël, conçue avec une levure belge trappiste. ...
L’hommage au Père Labat, de son vrai nom Jean-Baptiste Labat, est inévitable pour la famille Rameau, par son histoire qui a longtemps habité les Antilles. De son vivant, cet homme d’Église a contribué pleinement au développement de la culture de la canne à sucre, tout en modernisant les techniques de fabrication de l’eau-de-vie. Aujourd’hui encore, cette tradition et ce savoir-faire anciens font de la distillerie Poisson un incontournable du patrimoine historique antillais. Une exploitation digne des grands terroirs Chaque rhum a sa particularité, tant dans sa fabrication que pour son goût. À la distillerie Poisson, les soins apportés à la canne à sucre, matière première utilisée dans la fabrication du rhum, sont très importants. Sur un champ de 150 hectares, chaque plant est coupé à la main. Un travail de longue haleine et rare puisque « nous sommes les seuls à encore user de cette technique dans le monde » déclare avec fierté Jean-Cédric Brot, PDG de l’entreprise. S’en suit la transformation du jus de canne frais, par la fermentation qui va jusqu’à 72 heures. Durant le processus, notre interlocuteur nous fait savoir que « seule la levure boulangère est utilisée pour la fermentation ». Et lui de continuer « nous nous distinguons aussi pour nos colonnes à distiller en cuivre, ancien héritage du Père Labat, qui donnent un arôme puissant et authentique à l’eau-de-vie. » Du rhum authentique La distillerie Poisson fabrique plusieurs variétés de rhums : le rhum blanc agricole, le rhum doré, le rhum ambré, le rhum vieux… Chaque année, 300 000 bouteilles sortent de l’exploitation, dont 80 % sont directement dédiées à l’exportation. L’Europe reste le continent qui apprécie le plus le rhum traditionnel des Antilles, suivi par les Amériques et l’Asie. Pour Jean-Cédric Brot, le coup de cœur reste pour le rhum millésimé Père Labat 1997, « boisé et fruité en arôme et assez complexe en bouche », selon ses termes. Il cite également le rhum blanc 59° Père Labat, grand classique de Marie-Galante, souple et suave en bouche qui est en production limitée. Un dernier né, Le rhum soleil 59° et 55°, unique, légèrement boisé puisque séjourné 6 mois en foudre de chêne avant d’être mouillé puis embouteillé. Il nous informe également « qu’une nouveauté vient récemment de voir le jour : la liqueur Père Labat mint ». Elle est élaborée à partir de rhum agricole et de menthe et se boit très frais ! ...
Ce bistrot à la réputation déjà faite a été repris par des propriétaires bien sympathiques qui maîtrisent du bout des doigts l'art de recevoir. Une cuisine savoureuse réalisée sous la houlette d’un chef aussi créatif que talentueux, Mouss. Mouss et Muriel proposent au Bistrot Dumas une pause gourmande qui mérite le détour, dans une salle privatisable pouvant accueillir jusqu’à 50 personnes. Planté dans un cadre cosy et chaleureux, il séduit les épicuriens par sa cuisine bistronomique. Sa décoration soignée type Art déco s’illustre dans ses superbes vitraux qui ornent les luminaires et le plafond, en illuminant la salle de mille feux. Un festival de couleurs que l’on imagine comme un avant-goût de ce que la maison a à offrir. Ici, le ton est donné avec une salle spacieuse baignant dans une lumière naturelle, propice à des moments agréables à passer en toute décontraction et convivialité entre collègues, amis, ou en famille. Une carte riche au gré des saisons pour une invitation à la découverte À travers des plats succulents que lui connaissent ses habitués, la maison fait entreprendre un joyeux périple culinaire à ses convives. L'enchaînement des saisons se reflète à travers les couleurs ensoleillées des plats dont le visuel est soigneusement travaillé. En entrée, la carte variée et attrayante propose, par exemple, de commencer les réjouissances avec un velouté de courge muscade et butternut ou le saumon mariné houmous de betterave et délice au beurre. Comme plat de résistance, difficile de résister à l’appel du pavé de cerf ou des cuisses de grenouille à la persillade, des plats hors du commun qui constituent les spécialités de la maison. Pour continuer sur cette lancée, les œufs en meurette et la sole petit bateau cuite sur arête sont aussi des incontournables. Et que dire du tartare de bœuf coupé minute au couteau ou de la quenelle de brochet sauce homardine qui comblent les plus fins des gourmets. Les plus aventureux se laisseront tenter par l’os à moelle coupé dans la longueur pour découvrir une saveur qui fond en bouche, et pourquoi pas une salade de chèvre chaud. Le moelleux au chocolat, les meilleures tartes de Genève ou les mignardises faites maison sont d’une finesse incroyable pour finir les festivités sur des notes de douceur. Le plus qui fait le succès de la maison : des plats bien exécutés « concoctés avec des produits issus des agriculteurs locaux », nous confie le chef Mouss. ...
Appartenant à la famille De Balincourt depuis près de 300 ans, le Domaine de la Garenne s’étend aujourd’hui sur une superficie de 27 ha hectares dont 22 en AOC. En 1961, le comte Jean de Balincourt reprend l’exploitation pour y produire les meilleurs vins de la vallée de Saint-Come. Aujourd’hui, sa fille, Béatrix en assure la direction avec grand succès. Une exploitation familiale Le Domaine de la Garenne se situe dans la Commune de Cadière d’Azur. Ses terres baignent dans un climat méditerranéen, caractérisé par la douceur de ses hivers et de l’intense chaleur de sa saison estivale. La rareté des précipitations qui viennent perturber le climat de la région a une forte influence sur la qualité de l’agriculture du domaine et en l’occurrence du vin qu’il produit. Parallèlement, la texture argilo-calcaire du sol favorise la culture du cépage mourvèdre qui constitue une très grande partie du vignoble des Balincourt. Le Domaine de la Garenne a toujours été une exploitation familiale. Environ 85 % des terres sont consacrées à la viticulture de l’AOC Bandol. L’ensemble de la culture produit 70 % de vin rosé et 30 % de vin rouge. Le domaine a connu d’autres activités avant de devenir un vignoble de renommée. En effet, avant que le comte Jean de Balincourt ne prenne possession des terres en 1965 pour y pratiquer la viticulture, les terres étaient l’un des meilleurs terrains de chasse aux lapins de Garenne. Une fois reconverti à sa nouvelle vocation, le domaine abandonne certaines de ses politiques notamment celles orientées sur le marché du négoce. L’exploitation a pris une toute autre tournure lorsque Béatrix reprend les rennes en 2002. Elle met en pratique ses expériences dans le commerce en entreprise et opte pour un nouveau type de marché notamment plus axé sur l’exportation. Le Bandol rosé Cuvée M 2015 : le flambeau du Domaine de la Garenne Couronné par une médaille d’or lors du Concours Agricole de Paris en 2015, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 fait la fierté de Béatrix de Balincourt. Il se compose de 65 % de mourvèdre, de 25 % de cinsault et de 10 % de grenache pour une teneur en alcool de 13.5°. Sa couleur claire et son nez très fuité font la particularité de ce vin. Apprécié pour sa longueur en bouche, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 accuse une essence d’agrume de pamplemousse agréablement douce. La vendange manuelle est privilégiée afin de préserver la qualité des cépages. Les cultures sont alors égrappées et foulées sans avoir recours à aucun outil mécanique. Les cépages subissent un pressurage direct pour être ensuite fermentés à une température régulée entre 16 – 18 °C. Afin d’en apprécier le goût de façon optimale, il est conseillé de déguster le Bandol Rosé Cuvée M avec une grillade de poisson ou une assiette de poisson en sauce, de la bouillabaisse ou de la bourride, mais il est également excellent en apéritif. ...
L’ostréiculture est une des principales activités économiques maritimes de la Bretagne et en particulier dans le golfe du Morbihan. Chaque année, près de 10 000 tonnes d’huitres sortent des bassins des exploitants locaux à destination des tables de France, d’Europe et en bien de pays du monde. Les deux variétés d’huitres, la creuse et la plate, sont exploitées dans la péninsule. Toutefois, les professionnels privilégient surtout l’huitre plate, espèce indigène d’Europe peu charnue et à la saveur douce au goût de noisette. Histoire de l’ostréiculture bretonne À l’époque de l’Empire romain, les huitres armoricaines faisaient déjà partie des mets les plus recherchés. Ces huitres, encore sauvages, étaient destinées aux familles puissantes et riches des grandes villes. Les débuts de l’ostréiculture ne sont pas précis, la première mention remonte au IVe siècle, lorsqu’un poète de l’époque en fait l’éloge dans ses écrits. Au XVIIIe siècle, la ville de Cancale s’est imposée comme étant la capitale de l’huitre française.L’ostréiculture moderne, elle, a débuté sous Napoléon III, avec le naturaliste Victor Coste. Les premières unions locales ne se créèrent que durant l’entre-deux-guerres, idem pour les premiers syndicats. En 1920, une épizootie détruit 90% de la population ostréicole, puis une autre encore dans les années 1970. Une nouvelle variété originaire du Japon a dû être réintroduite dans la baie pour repeupler les parcs de la région.Actuellement, la filière est strictement encadrée par les législations régionales, nationales et européennes,qui garantissent sa pérennité. Les activités d’Istrenn Passion Dans le golfe du Morbihan, à Saint-Philibert, face à la Trinité-sur-Mer, se trouve Istrenn Passion, dirigé par Gildas Mourier. Un des rares à faire partie de ceux qui continuent à perpétuer l’art de l’ostréiculture traditionelle. Ce passionné a repris ce chantier trois ans auparavant et s’en occupe personnellement avec l’aide d’un ouvrier. Sa principale activité est la production d’huitres naturelles, c’est-à-dire issues de reproduction en mer, sur un parc aquatique de 3 hectares. Istrenn Passion vend au détail et sur place ses huitres et autres fruits de la mer comme les coquillages et les crustacés.Restaurateurs locaux et grandes surfaces forment le réseau de clients d’Istrenn Passion.L’entreprise effectue aussi des expéditions dans toute la France et l’Europe. Une petite partie de la production est destinée à l’exportation.Toute l’année, 7 jours sur 7, Istrenn Passion accueille les visiteurs sur le chantier installé au bord de l’eau ; celui-ci offre une vue imprenable face à la Trinité-sur-Mer. Des séances de dégustations d’huitres, de coquillages et de crustacés directement issus de la pêche y sont organisées. Des visites guidées invitant à la découverte du métier de l’ostréiculture au travers d’un parcours ludique et pédagogique sont également proposées. Au cours de cette activité, les visiteurs enrichissent leurs connaissances sur l’histoire de l’huitre, de la naissance à la consommation, ou sur la manière de les ouvrir. Il est par ailleurs possible de recevoir des groupes pour des évènements familiaux ou professionnels. L’exploitation travaille en étroite collaboration avec les organismes locaux tels que les offices de tourisme de Saint-Philibert, de Crach, de Locqmariaquer et de la Trinité-sur-Mer ainsi que le Comité départemental du Morbihan pour développer ses activités touristiques. ...
Installée dans les anciens Haras nationaux, datant de l'époque de Louis XV, La Brasserie Les Haras fait actuellement la fierté de tout Strasbourg. Ouverte depuis 2013, elle s’est construite une réputation qui n'est plus à faire que ce soit au niveau national qu’international. En effet, l'établissement a remporté en 2014 le prix du meilleur design de restaurant au monde. En 2015, il a été sacré "meilleure brasserie" par le célèbre critique gastronomique Gilles Pudlowski dans son Pudlo Alsace 2015. Et au début de cette année 2016, la qualité de sa cuisine a valu une assiette auprès du Guide Michelin. A la tête de ce succès, le chef à trois étoiles Marc Haeberlin supervise une équipe gagnante composée du brillant Maxime Muller comme directeur d'exploitation, le surprenant chef François Baur en cuisine appuyé par la créative Tinh Tran, la maestro de la pâtisserie et enfin, Guillaume Zehnacker, le magicien des cocktails. Un endroit qui éblouit les yeux... Une fois la porte franchie, un univers qui fascine et qui enivre en même temps se dessine. Dans ce décor rustico-chic signé Patrick Jouin et Sanjit Manku de l'agence Jouin Manku, un luxe inspiré par la sobriété du monde équestre est mis en avant. Dès l'entrée, la convivialité et le partage sont à l'honneur. Au milieu de la salle, un bar sympathique et un espace Lounge avec fauteuils en cuir et quelques tables pour servir les apéritifs ont été installés. Au fond, une cuisine circulaire ouverte offre un spectacle des plus réjouissants. Mais, l'élément le plus impressionnant dans ce décor est l'imposant escalier circulaire qui se dresse au milieu de la salle, à quelques pas du bar. Véritable pièce maitresse de l'établissement, il semble être suspendu dans les airs ou en apesanteur. En empruntant ce fleuron architectural, on accède à l'arène du service au premier étage. Tout comme le rez-de-chaussée, la décoration démontre le parfait mariage du traditionnel et de la modernité. L'ambiance est toujours aussi chaleureuse et la lumière tamisée apporte une petite touche de douceur à l'ensemble. Sur les deux niveaux, La Brasserie peut accueillir jusqu'à 150 personnes dont 20 places dans la salle privée Yourte. Et durant l'été, la terrasse propose 110 couverts dans la paisible cour intérieure de ce monument classé historique depuis 1992. Une cuisine qui ravit les papilles... Tout cet esthétisme se découvre également au travers des plats. A la tête de la brigade, le chef François Baur veille à ce que chaque met soit digne de la beauté des lieux. Doté de ses plusieurs années d’expériences auprès de grands établissements gastronomiques, il a su affiner son empreinte culinaire. Aujourd’hui, c’est auprès de La Brasserie Les Haras qu’il exploite son talent en proposant des plats savoureux et originaux. Fidèle à « l’esprit brasserie », il reprend les grands classiques de la cuisine française tout comme les spécialités alsaciennes en y apportant une petite touche de modernité. Etant un aventurier, il n’hésite pas à s’inspirer de la cuisine du monde pour proposer des plats aussi créatifs que savoureux. A la carte, les convives découvrent le nouveau goût du foie gras de canard Haeberlin au chutney mangue aigre-doux avec une brioche tiède en entrée, du fameux burger d’agneau épicé aux épices d’orient ou du tronçon de lotte cuit dans un beurre blanc au rhum et quinoa à la pomme de granny smith, pour ceux qui préfèrent les poissons, en plat de résistance et le succulent tiramisu pomme vanille en dessert. Le midi, les convives pourront opter pour le menu du jour allant de 31 € à 36 €. Pour accompagner dignement les plats, la carte de vins recèle quelques pépites. Signée Serge Dubs, le célèbre sommelier, elle présente environ 120 références. Le tout servi par un personnel chaleureux et sympathique sous la supervision de Philippe Schmermesser. ...
Lançon de Provence, la commune où s'étend le vignoble et l'oliveraie, située à quelques kilomètres de Salon-de-Provence et d'Aix en Provence. Cette exploitation, devenue l'un des porte-étendards du vin et de l'huile d'olive provençale, doit sa réussite à un travail de longue haleine et un savoir-faire qui se transmet de père en fils. La famille Cheylan a fait de la qualité, la différence et l'innovation, sa devise. Ce qui lui a valu des récompenses. Elle est primée au salon de l'Agriculture depuis 1996 pour son huile d'olive qui est la plus médaillée de France, et s'est distinguée par un prix d'excellence au concours français des œnologues pour ses vins. Une vinification associant modernité et tradition Robert et Noëlle Cheylan sont devenus propriétaires du Château Virant en 1974. Dès lors, ils ont entrepris une profonde remise en état des bâtiments et du vignoble, dans une optique d’amélioration qualitative du vin. La démarche pour obtenir ce précieux sésame est la lutte raisonnée, elle empêche l'utilisation maximale des produits chimiques. Ici, le processus de vinification allie à souhait modernité et tradition. La récolte des fruits bien que mécanisée se fait aussi à la main. Une fois les récoltes effectuées, elles sont acheminées en cave pour un pressurage direct en vue de l'obtention des vins blancs et rosés. Par contre les rouges ont besoin d'une période de cuvaison, qui est l'élément déclencheur de leur fermentation. Le jus obtenu après pressurage est retravaillé dans une cuve en inox ou en barriques de chêne pour être mieux élevé. Le domaine fait la différence prioritairement avec 12 types de vin et produit principalement du rosé. Le cœur de gamme est la cuvée Château Virant, à l'exemple du blanc qui est issu de l'assemblage des cépages nobles , à savoir le Chardonnay, le Sauvignon blanc et l’Ugni blanc. A l’œil ce vin est d'une robe claire et d'une minéralité particulière due à une touche d'agrumes et de fruits blancs. Le rosé de la même cuvée est essentiellement composé de Grenache et de Cabernet Sauvignon. D'un visuel clair, en bouche il est assez vif, équilibré et ponctué par des notes de fruits rouges. Ce vin est vivement conseillé pour des repas méditerranéens et des apéritifs. D'autres cuvées traduisent mieux l'identité du terroir et les vertus du climat de la région, en l'occurrence le rosé de la Cuvée Tradition. Plus haut de gamme, il est soutenu et à forte dominante de fruits rouges tels que les framboises et les cerises. Il s'accorde parfaitement avec des poissons grillés ou marinés. Des particularités qui pèsent leur poids Le vignoble et l'oliveraie sont implantés sur une zone géographique microclimatique aride et sèche où les surfaces des feuilles sont en permanence soumises à une forte canicule, aidant à l'épanouissement des cultures. Le terroir est bercé par un vent sec et froid, le Mistral, favorable à un bon état sanitaire des fruits. Le climat méditerranéen qui couvre la zone s'harmonise parfaitement avec la faible pluviométrie obligeant ainsi à des vendanges précoces, dès la première quinzaine du mois d'aout. Château Virant est aussi un domaine à explorer de fond en comble pour mieux connaître la culture de la vigne et de l’olive. Les tenanciers promeuvent l'oenotourisme à travers des visites guidées en groupe ou individuelles , l'organisation de réceptions, séminaires et réunions au sein même du domaine, mais aussi des instants ludiques à l’instar de l’invitation de "Mado la Niçoise" dans le courant de l'été. ...
Fromage au lait de vache entier, à la forme unique et au goût authentique, fabriqué dans le respect de traditions ancestrales, le Langres doit sa renaissance dans les années 1950 à quelques fromagers passionnés. Ses origines Connu depuis le XVIIIe siècle, le Langres est évoqué pour la première fois par le prieur des dominicains de Langres. Un siècle plus tard, un livre dédié à la production fromagère le compare au Maroilles et au Livarot. Alors qu'à l’origine il est fabriqué essentiellement pour une consommation familiale et locale, la production de Langres s'élève à près de 1 000 tonnes à la fin du XIXe siècle. Les fromages sont alors expédiés vers Paris, vers l'est de la France, et parfois même vers la Suisse. Cette période florissante voit le développement du Langres jusqu'au début du XXe siècle, avant qu'il ne tombe dans l'oubli et manque de disparaître dans les années 1950. Parce qu'il est un savoir-faire préservé, le Langres a obtenu en 1991 sa reconnaissance en appellation d’origine contrôlée (AOC), puis en 2012, celle d'appellation d’origine protégée (AOP) grâce à la mise en place d'un cahier des charges strict. Un bon fromage artisanal La fabrication du Langres n'a que peu évolué au fil du temps. La première étape de la fabrication est l'emprésurage au cours duquel le lait est mis à cailler. Lorsque le caillé est suffisamment ferme, il est tranché avant d'être mis dans des moules où il s'égouttera pendant environ 24 heures. Démoulés, les fromages sont salés à sec et séchés sur grille. Lors de l'affinage, ils sont frottés avec une solution additionnée ou non de rocou. La fontaine du Langres, cette petite cuvette à son sommet, est sa caractéristique essentielle. Elle est obtenue naturellement, car le fromage n'est jamais retourné au cours des différentes étapes de sa fabrication, mais toujours posé du même côté. Traditionnellement, certains Langres sont affinés au marc de Bourgogne ou de Champagne, versé dans la fontaine. Comment déguster le fromage de Langres ? L'AOP Langres est un fromage à la pâte fine et fondante et à l'odeur de crème. Sa saveur, d'abord fruitée et lactique (goût de yaourt, de crème), devient plus typée avec l'affinage du fromage, mais toujours sans outrance. S'il est avant tout un fromage de plateau, traditionnellement servi en fin de repas, le Langres révèle également toutes ses saveurs en cuisine : chausson de volaille au Langres, profiteroles au Langres, croustillant de Langres… Son association avec un vin de cépage chardonnay est idéale. ...
La traçabilité et la fraîcheur des produits locaux inspirent à un retour à l’alimentation saine. L’on ne s’étonne que peu du regain d’intérêt du consommateur à acheter local. Et pour cause, ces derniers sont de plus en plus attentifs à ce qu’ils mangent. C’est une aubaine pour la Ferme de Sigy qui se veut être un instigateur de la démarche locavore, au profit de l’économie et de la consommation locale. Si le projet d’Ottman et Omar de se lancer dans la transformation laitière n'a pu se réaliser à la date prévue, c'était sans compter sur leur détermination et leur volonté à défendre les produits du terroir, si chers à leurs yeux. Une transformation laitière à la démarche engagée Après avoir acquis quinze ans d’expérience au sein de l’industrie laitière, c’est en 2013 qu’Ottman et Omar se lancent dans l’aventure en reprenant la fromagerie de Robert Villain pour donner naissance à la Ferme de Sigy. La ferme a progressivement pris son envol pour devenir aujourd’hui une référence dans les produits laitiers. Les particularités qui font le succès de la maison ? Sa spécialisation dans la transformation laitière artisanale, la vente en circuit court et son implantation au cœur même d’une ferme laitière. Attaché à l’idée de rendre le produit local et les produits bio finis plus accessibles, de fournir des produits de proximité à prix raisonnable, le duo gagnant travaille en partenariat avec le groupement des agricultures biologiques d’Île-de-France, et leur enseigne est sociétaire de la coopérative bio de la région. La production est ainsi destinée pour la consommation locale et la maison fournit les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, mais aussi des magasins et supermarchés de la région, qui adhèrent à leur valeur et partagent leur conviction. Par ailleurs, un chalet de vente permet de mettre les produits finis directement à disposition des consommateurs avec ceux d’autres producteurs locaux, à l’instar du miel et d’autres fromages. Pour les deux associés, la croissance spectaculaire que connaît la maison leur offre une opportunité d’étendre leurs activités hors de Sigy. C’est ainsi qu’en 2016, ils se lancent dans la transformation du lait bio par le biais des nouveaux ateliers de transformation laitière biologique à la Bergerie nationale de Rambouillet. En dehors de l’approvisionnement des restaurants franciliens, les yaourts et le fromage blanc bio qui y sont fabriqués sont commercialisés par la SCOP Bio d’Île-de-France. Une large sélection de bons produits laitiers Véritables mordus du lait, ces artisans de talent veulent partager le bon goût des produits laitiers à travers une production diversifiée à l’instar du yaourt aromatisé dont la texture se rapproche de celle du yaourt maison. Rien à voir avec le yaourt industriel. Les parfums se déclinent dans toutes les possibilités à l’aide d’un arôme naturel pour éveiller les sens des fins gourmets. Avis aux amateurs, le yaourt bio La Ferme de Sigy élaboré avec le lait de la ferme de Beaulieau est disponible sur le marché depuis 2014. Les férus de fruits ne manqueront pas d’apprécier le Raïbi ainsi que le yaourt aux fruits conçu avec une base de préparation de fruit comme l’ananas, la myrtille, la cerise, la fraise, ou la vanille pour une touche d’exotisme. Ces produits sont élaborés avec des fruits de Nogent-sur-Seine pour qu’ils conservent toute leur fraîcheur, gage de qualité des produits de l’enseigne. Les crèmes desserts au chocolat, au caramel, ou au café sont des délices qui ravissent les papilles les plus délicates. Le fromage qui représente le patrimoine gastronomique français n’est pas en reste. La maison produit en l’occurrence du fromage blanc de campagne ainsi que du fromage frais et du fromage blanc bio. Le lait étant la base de fabrication de ces produits, la Ferme de Sigy élargit ses offres avec le lait pasteurisé ou fermenté et adapte les conditionnements aux besoins de la restauration. D’ailleurs, c’est une partie du lait issu de la bergerie qui sert à la fabricatio...
Niché au coeur du pays des vignerons, la Table du Donjon vous accueille dans un cadre chaleureux contemporain. Les deux chefs de l'établissement, Jean Marc NABET et Mathieu MOUCHET rivalisent d'ingéniosité pour vous servir des plats d'exception. Du vrai « fait maison » La Table du Donjon, c'est la promesse d'une escapade gastronomique au beau milieu des vignes et du patrimoine architectural unique du village. Appréciez les plats privilégiant les produits locaux sur la terrasse, donnant sur les envoûtants Monts du Beaujolais des Pierres Dorées, ou dans l'une des deux salles joliment décorées, à la présentation soignée. Au menu ou à la carte, goûtez au nombreux délices alliant créativité et saveur du terroir, à l'instar des profiteroles de caille farcie au foie gras de canard fait maison, que vous accompagnerez d'un succulent dessert et d'un Brouilly de la Maison viticole Jérôme Mathon. Apiculteurs, vignerons et maraîchers locaux sont mis à l'honneur dans des plats raffinés représentant les authentiques succulences de la région. De la bonne cuisine au pays du bon vin Faites-vous plaisir à l'occasion d'un détour gourmand à la Table du Donjon. Au menu : délices du palais, convivialité et instants intimes ou en famille. Le restaurant propose notamment un éventail de choix en matière de vins, établis sur deux cartes. Présentant des cuvées issues de tout le pays,l'enseigne priorise, entre autres les vins locaux. Riche et fier de ce patrimoine, l'établissement affiche dans sa cave plus de 360 références. ...
La confiserie Bonbon et Chocolat propose des bonbons, des gommes, des chocolats et des biscuits sur Internet. Fournisseur des grands distributeurs, la boutique en ligne vise également les particuliers en leur offrant des tarifs très concurrentiels. Les bureaux se trouvent à Antony (92), une ville desservie par un dense réseau de transporteurs. Cette situation stratégique optimise la rapidité de livraison dans toute la France, y compris la Métropole. Le numéro 1 de la confiserie en ligne Bonbon et Chocolat répertorie plus de 600 friandises, sélectionnées parmi les meilleurs confiseurs. Les plus grandes marques européennes y sont présentes, comme le leader suisse Ricola, l’allemande Haribo, la franco-belge Lutti, la nationale Malabar Carambar, ou encore l’italienne Ferrero. Comme le dit Anasse Benassi, le site possède surtout « une belle gamme de bonbons un peu différente des autres ». Il en est ainsi des bonbons géants ou encore des friandises rétro des années 80. Les générations X revivent ainsi des souvenirs d’enfance avec les gommes Frizzy Pazy, les colliers Dextrose ainsi que toute une variété de grands classiques. Les adolescents, quant à eux, « s’arrachent la tête » avec les bonbons acidulés Têtes brûlées ou les piquants Carambar Atomic. Outre les sucreries, Bonbon et Chocolat propose aussi des viandes séchées Beef Jerky Jack Link’s. En version originale, poivrée ou pimentée, cette gourmandise salée est idéale pour apaiser les petits creux. ...
Forte d’une expérience de près d’un siècle, l’entreprise Valette se démarque de par ses recettes traditionnelles et toujours de qualité. Le couple Adrien et Louise Valette a travaillé en tandem dès le lancement de la marque pour proposer le meilleur de la haute gastronomie : du foie gras et de la truffe faisant ainsi honneur au terroir du Périgord. Avec un savoir-faire transmis de génération en génération, les recettes originelles sont conservées pour le plus grand bonheur d’une clientèle désormais internationale. Depuis maintenant plus de trente ans, Jacques Valette œuvre dans le respect de cette tradition familiale jalousement préservée. Sans mettre de côté les recettes imaginées de sa grand-mère, il se met au goût du jour et développe les activités de l’entreprise pour répondre aux demandes de plus en plus grandissantes et la propulser au plus haut. Un développement à l’international La Maison Valette connaît une croissance considérable depuis sa création, un succès réaffirmé par Jacques Valette qui vise une renommée internationale, en développant un concept de vente à distance en 1984. Pour se faire connaître et reconnaître, l’entreprise familiale détient plus de quarante boutiques éparpillées dans toute la France et dispose d’un site marchand mis à jour en 2016. Découvrez sur ce site e-commerce toutes les merveilles du Périgord signées Valette qui font saliver gourmands et gourmets. Divers grands restaurants de par le monde servent par ailleurs les produits de la Maison, à l’instar de Westin (Tokyo), Ukai (Japon) et Royal Ascot (Londres). Certains restaurants d’Oslow, dont À l’aise et Brasserie Blanche, se ravitaillent en truffes fraîches auprès de l’entreprise. Une opportunité de faire découvrir les richesses du terroir au-delà des frontières. L’enseigne participe en outre à divers salons gastronomiques en France tels que le Salon international de l’agroalimentaire à Paris et le Concours général agricole de Paris. Depuis 1985, l’entreprise a raflé 58 médailles. Ces récompenses sont notamment dues à la qualité des produits de l’établissement qui jouissent de l’IGP canard à foie gras du Sud-Ouest et de l’IGP canard à foie gras du Sud-Ouest Périgord. L’entreprise Valette est en l’occurrence soumise à des audits annuels, gage d’une qualité optimale des produits. La responsable Marketing et Communication, Charlotte Kothe, souligne d’ailleurs que l’entreprise est « traditionnelle, semi-artisanale, moderne et respecte toutes les normes de qualité et de conservation pour ne proposer que des produits fiables ». Des nombreuses nouveautés Chaque année, la maison sort une dizaine de nouvelles recettes créatives toujours élaborées à partir de produits du terroir. Dans une belle et originale association entre les recettes traditionnelles et les nouvelles tendances culinaires, ces nouveautés sont toujours très bien accueillies. Parmi les recettes les plus appréciées, les Rondos de jambon fourrés au foie gras : une fine tranche de jambon roulée et fourrée au foie gras de canard et parfumée avec une gelée à l’Armagnac. Bien que vieille de quarante ans, cette entrée fine et noble fait toujours rage. Ne dérogeant pas à sa grande réputation, l’enseigne a su remporter le pari de séduire la clientèle avec son cassoulet revisité et agrémenté de morceaux de canard. Rares sont ceux qui arrivent à surprendre agréablement avec de si grands classiques. Magret de canard, confit de canard, magret fourré au foie gras, rillettes de canard… Plus de 300 références à votre portée ! Ces produits peuvent se retrouver dans des coffrets cadeaux disponibles en boutique : des coffrets pour la saison estivale et des coffrets de Noël. La Maison Valette, une grande place en matière d'événements La Maison Valette est aussi appréciée pour ses colis gastronomiques. Elle produit 400 000 colis chaque année et approvisionne mairies, comités d’entreprise et bien d’autres. Ses colis peuvent aussi faire office de cadeaux d’affaires. Les coffrets gastronomiques...
Situé sur la rive gauche de la sortie du port, Le J offre une formule qui fait mouche. Soleil, plage, terrasse avec vue sur la mer et cuisine où se rencontrent les saveurs méditerranéennes et asiatiques, tout y est. S’ajoute à cela, l’accueil professionnel et convivial du personnel. C’est d’ailleurs ce qu’affirme la devise de la maison : « peu importe la météo, nous vous accueillerons toujours avec le sourire ». Une cuisine du marché Selon les envies de chacun, Le J reste ouvert pour le petit déjeuner, le repas du midi, le goûter, l’apéro et le dîner. Le raffinement de la présentation des assiettes ne passe pas inaperçu aux tables du restaurant. Le goût est également présent grâce à une cuisson et un assaisonnement sans reproche. Tout est préparé avec des produits frais car la cuisine se base sur les trouvailles au marché. Outre les poissons et viandes, la maison suggère des coquillages. Ces derniers se partagent l’affiche avec les tapas. Les huîtres de Bouzigues et les crevettes sont alors suivies par l’assiette de foie gras ou de pata Negra, la salade de poulpes et les planches de tapas. A la carte du restaurant, ce ne sont pas les spécialités maison qui manquent. La Salade du J qui est une composition de salade, crudités, oignon rouge, jambon cru, camembert rôti et frites maison est un régal. Le Foie gras mi-cuit maison au poivre fumé n’est pas en reste, ses saveurs se révèlent encore plus avec un verre de Banyuls Blanc suggéré par l’établissement. Parmi les assiettes de poissons, le Filet de loup Thaï accompagné de riz crémeux et de légumes croquants affiche une note asiatique, signature du jeune Chef Maecor Jouga. Du côté des viandes, rien de tel qu’un Tartare de bœuf Charolais façon Le J. Et pour le bouquet final, la crème brûlée traditionnelle maison est tout aussi délicieuse. La carte des vins En accord avec les mets, plusieurs appellations issues de différents domaines sont proposées à la carte des vins. Le Sud est toutefois privilégié avec le Château Creyssels Picpoul de Languedoc parmi les blancs, le Sable de Camargue du domaine Petit Chaumont Gris de Gris parmi les rosés et le Mas Laval les pampres d’Hérault parmi les rouges. Ceux qui ont une petite soif auront la possibilité de commander des demi-bouteilles, une bonne alternative au vin au verre. Une ambiance bord de mer Carnon est à environ 10 à 15 minutes de Montpellier. Ses plages de sable fin s’étendent sur 7 km depuis le port jusqu’à la Grande-Motte. Le petit parking qui longe le canal à droite de la plage facilite l’accès au restaurant Le J. Ce dernier bénéficie d’une plage qui n’a pas été envahie par les parasols. Sa terrasse offre donc une vue directe sur le grand bleu. C’est indéniablement ce qui fait de celle-ci la pièce maîtresse de l’établissement. Pour accéder à la salle du restaurant, il faut passer par un petit chemin en bois au milieu du sable. A l’accueil, le bateau sur lequel sont étalés des fruits de mer donne le ton. On reste dans l’esprit bord de mer et les décorations murales et l’omniprésence de bois flotté le confirme. Les lumières tamisées dégagent une ambiance chaleureuse et intimiste, surtout au niveau des canapés où l’on peut s’asseoir pour prendre un apéritif. ...
Installée dans la Côte des Bar, la partie la plus méridionale de la Champagne, la maison Devaux est tendrement blottie au cœur d’un parc longé par la Seine, dans un manoir du XVIIIe qui est une ode au luxe, au raffinement et à l’authenticité. Cette marque de prestige a été lancée en 1846 par les frères Jules et Auguste Devaux. Elle connaît un destin des plus atypiques puisqu’elle a été dirigée par trois veuves Devaux : Claude-Josephte, Augusta-Maria Herbin et Marguerite Marie-Louise, dont les deux fils en reprennent les rênes en 1985. Deux ans plus tard, l’avenir de la marque est mis entre les mains de Laurent Gillet, Président du Groupe Vinicole Champagne Devaux. Le meilleur de la Côte des Bar Sur les 7 800 hectares de vignoble dont dispose la Côte des Bar, l’exploitation est encépagée en majorité de pinot noir, à l’origine de la structure marquée et des arômes de fruits rouges des vins, avec bien sûr une présence de chardonnay. « La réputation de Devaux s’est construite grâce à l’élaboration de champagnes typiques du terroir, un 100 % pinot noir, Blanc de Noirs. C’est ce que le touriste recherche en premier quand il passe dans le domaine », confie Aurélie Langlait, la responsable du Manoir Champagne Devaux. Des visiteurs du monde entier viennent se délecter des champagnes riches, équilibrés, gourmands et élégants de la maison. Il faut dire que la notoriété de celle-ci a depuis bien longtemps dépassé les frontières de l’Hexagone. Les 700 000 bouteilles produites chaque année sont distribuées dans une trentaine de pays différents. Et les plus grands chefs étoilés sont nombreux à en faire l’éloge, allant de Pierre Gagnaire (Paris VIIIe) à Anne-Sophie Pic (La Dame de Pic, Paris Ier), en passant par Régis & Jacques Marcon (Saint-Bonnet-le-Froid, Haute-Loire). La Collection D, l’expression d’un luxe authentique et contemporain Dans une volonté ferme d’offrir le meilleur de son terroir, le Président du Groupe Vinicole Champagne Devaux et le Chef de Cave, Michel Parisot, entreprennent des sélections parcellaires pointilleuses, travaillées en viticulture durable. « Nous avons mis en place la Démarche Qualité Vignoble, à travers laquelle nos vignerons associés s’engagent à respecter une charte de viticulture exigeante allant au-delà de celle imposée par l’appellation ». Ce processus, qui constitue « une véritable avancée en Champagne », a contribué à la création de la Collection D. Véritable quintessence du savoir-faire de la maison, cette gamme réunit quelques trésors « cinq ans d’âge », qui font valser les sens de tous les œnophiles. Au rang des champagnes qui reflètent l’état d’esprit de la marque s’inscrit la Cuvée D, un champagne brut constitué de pinot noir et de chardonnay, et rassemblant plusieurs millésimes. Ses arômes briochés, de fleur blanche et de vanille le rendent exquis en accompagnement de foie gras, d’un ris de veau à la truffe ou de cuisses de grenouille. ...
Dominique Sendron a repris l’exploitation familiale il y a 22 ans. Elle perpétue le savoir-faire en veillant minutieusement à la manipulation des vignes, de la récolte à la mise en bouteille. Un terroir productif Le terroir est habillé d’un sol argilo-calcaire, où sont cultivés essentiellement du meunier (85 %) et du pinot noir. L’exposition sud favorise la maturation des vignes et procure une intensité aromatique aux champagnes. ...
La volonté d’honorer une cuisine solennelle et raffinée est au cœur de toutes les prestations de ce traiteur parisien. Livraison des plateaux-repas dignes des plus grands restaurants étoilés ou organisation d’un buffet, cocktail, petit déjeuner ou brunch forment les principales offres destinées aux entreprises et aux particuliers, avides de découvrir les subtilités de la cuisine Grand Siècle. Honneur au Potager du Roi Cuillère d'Argent ne cesse d’innover pour répondre aux exigences de ses clients friands de produits frais, locaux et, surtout, authentiques. Ainsi, dans une volonté de s’inscrire dans une démarche éthique et écoresponsable, l’artisan créateur gastronomique a signé un partenariat avec l'ENSP Potager du Roi. Construit entre 1678 et 1683 par Jean-Baptiste La Quintinie pour le compte de Louis XIV, ce site classé jardin remarquable et monument historique est enrichi d’une grande diversité de fruits et légumes qui subliment les repas concoctés par Cuillère d'Argent. Le service traiteur et le Potager du Roi s’engagent dans une collaboration qui s’efforce à conserver ce site de culture historique. « La Maison mécène le Potager du Roi, accompagne les jardiniers dans l’amélioration du site de culture », explique Gaëlle POGGIALE, présidente de la société. « Deux fois par an, je travaille avec mes chefs artisans et les jardiniers du Potager du Roi sur de nouvelles recettes, toujours basées sur la cuisine Grand Siècle », continue-t-elle. Documentation, recherche historique, briefing sont nécessaires pour finaliser la carte des menus. Un travail de longue haleine que l’équipe réalise néanmoins avec passion. Partager l’art de vivre à la française Cuillère d'Argent a bâti sa réputation autour de ses plateaux-repas élaborés selon un savoir-faire culinaire artisanal. Très appréciés au moment des repas d’affaires, les plateaux-repas Luxe représentent le produit phare de la maison. Plusieurs choix sont proposés par le traiteur parmi lesquels figure le « Romarin du Levant ». Le festin commence par du canard du Sud-Ouest. En plat de résistance, les cuisses de véritable poulet locavore de ferme du Luteau farcies aux champignons feront le bonheur des gourmets. Et pour clôturer le tout, rien de tel qu’une tarte à la chair de poire du Roi-Soleil. Le plateau-repas « Combawa du Potager du Roi », lui, est composé de saumon écossais issu d’une aquaculture responsable, du beurre cru du fromager-crémier Beillevaire, accompagné des végétaux du Potager du Roi. « On a cette volonté de travailler avec des ingrédients vraiment de très belle qualité », explique Gaëlle POGGIALE, en présentant fièrement ses produits. Les plats sont ensuite présentés dans un joli coffret fabriqué à partir d’assiettes en bois clair naturelles et biodégradables et de carton élaboré avec du bois issu d’une démarche responsable de gestion durable de forêt. À l’intérieur, on découvre un set de couverts de style Louis XV avec un verre lustré et élégant, et de la lingette rafraîchissante à la lavande royale. "Nous défendons les valeurs de la fabrication française : le coffret est fabriqué en France, le verre vient du Nord Pas de Calais vient de Cristal d’Arc et les couverts de Normandie" reprend notre interlocutrice. À côté de la préparation et de la livraison des plateaux-repas, Cuillère d'Argent développe aussi une expertise dans l’organisation des réceptions. Des menus pétillants entre tradition et modernité et élaborés toujours selon les préceptes de la cuisine Grand Siècle sont à l’honneur. « Nous privilégions les ingrédients de saison, locaux et aussi de qualité remarquable », ajoute Gaëlle POGGIALE. Petit déjeuner, pause-café, brunch et snack-chic, cocktail déjeunatoire, buffet, repas servis à l’assiette, Cuillère d’Argent témoigne d’une grande polyvalence, au service de particuliers et d'entreprises. ...
Situé au virage de la rue Lepic, ce restaurant de style bistrot à l’ambiance plutôt cosy porte bien son nom ! Avec des photos de grandes vedettes américaines des années 60-70 accrochées aux murs, les lieux nous font traverser près de 57 années d’histoire en compagnie de Garbo, Joséphine Baker, Bardot, Gabin et Trent, mais aussi, Fernandel, Ava Gardner, Elvis Presley, sans oublier la soul d’Aretha Franklin. Servies sur des tables aux nappes à carreaux rouges et blancs, des assiettes classiques aux goûts authentiques vous sont présentées, choisies uniquement à partir d’une courte carte, avec un choix d’entrées, de plats et de desserts. Plusieurs choix à la carte Vous pouvez commencer votre expérience culinaire par une salade au Saint-Marcellin enveloppé d’une feuille de brick rôtie, servie sur une salade verte, ou par un escargot au chardonnay accompagné d’une sauce crémée au champignon au vin blanc de chardonnay, ou encore par un os à moelle au gros sel. Un savoureux confit de canard vous fera agréablement transiter vers le registre des plats. Il s’agit d’un mulard cuit à petit feu, à petit bouillon, lequel est servi avec des pommes de terre sautées aux petits légumes du jour. Vous terminerez votre voyage gourmand par une savoureuse crème brûlée, qui, bien que classique, est vraiment d’une authenticité sans pareil. Un excellent choix pour s’offrir le meilleur accord mets/vin vous sera également proposé, notamment avec le Fitou, le meilleur vin du sud de la Loire, qui n’a pas son pareil. Idéalement établi dans la région du cassoulet, le restaurant Au Virage Lepic est une excellente adresse pour trouver une belle sélection vinicole. ...