Le vin est-il meilleur au féminin ? Pour en savoir plus, il faudrait aller à la rencontre de Brigitte et Corinne Dousseau, quatrième génération de viticulteurs à la tête du Domaine Sergent. Une exploitation qui fait partie de la famille depuis 1902, acquis par Hubert Dousseau, arrière-grand-père de Corinne et Brigitte. Des vins affichant une excellente qualité tannique Âgés en moyenne de 35 ans, les 19,5 hectares de vignes du Domaine Sergent s’étendent sur un coteau exposé plein sud, entre 100 et 150 mètres d’altitude au pied des Pyrénées. Le terroir bénéficie d'un climat océanique qui rend les hivers froids et les printemps humides et chauds. Les cépages qui s’adaptent à ces conditions sont le Cabernet Franc, le Cabernet Sauvignon, le Merlot, le Petit Manseng, le Gros Manseng et le Tannat. « Ce dernier est un cépage qu’on trouve essentiellement en Uruguay et en Madiran, c’est ce qui fait notre typicité », précise fièrement Corinne Dousseau. « C’est un cépage productif qui a besoin de la main de l’homme. On pratique l’ébourgeonnage au printemps pour limiter la production et en été, l’éclaircissage. On laisse sept ou huit grappes par pied pour ne produire que 50 à 55 litres par hectare », ajoute-t-elle. La vendange est effectuée lorsque le raisin est à maturité maximum, ce qui permet d’avoir une qualité tannique optimale. Les sœurs Dousseau priment l’agriculture raisonnée. Le terroir, le climat, les cépages et le savoir-faire des viticulteurs contribuent à l’élaboration de vins riches, concentrés, avec beaucoup de fraîcheur et de fruits. « On apporte très rarement des engrais. Quand les vignes sont en équilibre, elles se suffisent à elles-mêmes et produisent des raisins de bonne qualité », explique Corinne. Les vignes sont traitées seulement en cas de besoin et en fonction des risques de maladies. Les vins du Domaine Sergent La Cuvée Tradition se compose de 80 % de Tannat, 10 % de Cabernet Franc et 10 % de Cabernet Sauvignon. La cuvaison de ce vin dure trois semaines. Il est élevé en cuve pendant près de 24 mois, dont 14 mois obligatoires. Pour mettre le vin au propre, des soutirages sont effectués régulièrement. Ce vin de Madiran est souple, avec beaucoup de fruits. La Cuvée élevée en futs de chêne : le terroir du Madiran s’exprime par ce vin. Elle est essentiellement élaborée avec du Tannat. Sa cuvaison dure quatre à cinq semaines et la fermentation malolactique se fait en cuve. Comme son nom l’indique, il est élevé en futs de chêne pendant un an. Le vin est ensuite remis en cuve pour six mois pour que le tout s’harmonise. Le Pacherenc du Vic-Bilh-Sec rassemble 50 % de Petit Manseng et 50 % de Gros Manseng. Ces cépages sont récoltés en même temps que les rouges vers la fin septembre – début octobre. La fermentation se fait dans des futs de chêne, avant que le vin soit élevé sur lies en barrique pendant six mois. Le nez frais de ce vin présente des notes d’agrumes : pamplemousse, citron. Cela est suivi en bouche par des arômes de fruits frais tels que la pêche et l’abricot. Les deux cuvées Les Grains d’Elise et Tradition Pacherenc du Vic-Bilh-Doux se distinguent par leurs vendanges tardives. Côté assemblage, la première est composée d’une forte proportion de Petit Manseng avec une touche de Gros Manseng, tandis que la deuxième allie 80 % de Gros Manseng et 20 % de Petit Manseng. Les vins sont élevés pendant huit mois. ...
L’exploitation est implantée dans le village de Nuits-Saint-Georges et s’étend sur la Côte de Nuits et la Côte de Beaune. Des appellations qui sont connues pour l’élaboration de vins rouges de qualité. Aujourd’hui, l’ensemble du domaine Moillard est conduit en viticulture raisonnée, sous l’œil avisé de Jacques Briday, chef de culture. De la vigne au vin, tout se fait dans le respect de la tradition bourguignonne. Une famille, un domaine La famille Moillard et le vin ne font qu’un. Bien avant la Révolution française, cette famille menait déjà une importante activité viticole à Nuits-Saint-Georges. Mais ce n’est qu’en 1850, sous l’impulsion de Symphorien Moillard, que la maison a connu un réel essor. « Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de Bourgogne, dont les valeurs sont l’authenticité, la qualité, l’héritage, la générosité et le savoir-faire », souligne Cathy Stoffel, cheffe de produit. Un adepte de la viticulture raisonnée Sur ce vignoble d’une dizaine d’hectares planté en pinot noir et en chardonnay, Jacques Briday et son équipe appliquent une viticulture raisonnée, tout en adoptant des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, chaque parcelle est travaillée selon ses propres besoins. Résultat, des raisins de qualité qui atteignent une maturité optimale et qui seront vendangés manuellement. De longues cuvaisons La maison Moillard se démarque par des techniques de vinification qui nécessitent très peu d’intervention humaine. « Une des particularités du domaine réside dans le fait que la réception en vendange et la vinification se font par système de gravité », explique Baptiste Corrot, œnologue au domaine. Pour élaborer ses vins rouges, la maison procède d’abord à un tri rigoureux des baies avant de les acheminer vers les cuves grâce à des petits bacs. Les jus font l’objet d’une macération post-fermentaire durant plusieurs jours. Au niveau des blancs, les raisins sont délicatement pressés puis débourbés. Suivent une fermentation en cuve thermorégulée ou en fût de chêne (selon les appellations) et un bâtonnage régulier en vue d’apporter plus de complexité aromatique. Des cuvées d’exception Le domaine Moillard produit pas moins de 4 appellations, dont Bourgogne Hautes Côtes de Nuits, Côte de Nuits Villages, Savigny-lès-Beaune et Nuits-Saint-Georges Les Argillats. Parmi les nombreuses cuvées de la maison, la cuvée « Nuits-Saint-Georges Les Argillats » est la plus représentative. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits rouges mâtinés d'épices. En bouche, celui-ci se révèle riche, dense, rond et suave, porté par des tanins fins et soyeux. ...
Le Scoop est une adresse bien connue du Touquet, à Le Touquet Paris Plage (62520). Prônant une cuisine bistronomique, cet établissement doit son succès au bouche à oreille et retrouve une seconde jeunesse grâce à une nouvelle gérance arrivée le 29 juin 2017. Virginie Thomas, à la tête du restaurant, s’attache à respecter l’identité d’origine du Scoop que lui connaissent ses habitués, tant au niveau du service que des plats proposés. Une restauration traditionnelle et des spécialités thaïes Si Le Scoop a su acquérir de nombreux adeptes depuis de nombreuses années, c’est en partie pour la qualité de ses plats, préparés à la minute. Un de ses points forts : « Tous les ingrédients sont frais, tout est fait maison des entrées jusqu’aux desserts et les plats sont également à emporter », nous fait savoir la nouvelle propriétaire des lieux. Les tarifs ne sont pas pour autant exorbitants, car les clients apprécient aussi l’excellence du rapport qualité-prix. Le restaurant a surtout construit sa réputation autour d’une cuisine traditionnelle et thaïe. Sur la carte composée essentiellement de plats typiques de bistrot, les tartares de viande et de poisson sont énormément prisés. Si les frites fraîches constituent l'un des points forts du restaurant, le Scoop du Touquet suggère aussi d'autres plats à succès : « L’œuf cocotte aux cèpes et aux truffes ou les gambas croustillantes comme entrées, le tartare de saumon thaï ou le tartare traditionnel comme plats de résistance, le TiramiScoop, la tarte aux pommes ou le coulant caramel au beurre salé comme desserts ». Côté vins, la carte est riche en propositions, à travers de nombreuses références en vins bordelais, de Bourgogne, de la vallée du Rhône, d’Alsace, de Provence, du Sud, ou encore en vins étrangers. « Une adresse où le client est roi » Le Scoop applique à la lettre ce célèbre adage en mettant sur un pied d’égalité la qualité de ses mets et le sens du service. Virginie Thomas souligne ce principe propre à l’établissement depuis ses débuts : « Les gens viennent au Scoop pour la cuisine et l’âme du restaurant. Ils s’y sentent comme chez eux. Nous aimons être proches de nos clients, dont nous connaissons les habitudes, et nous sommes à l’écoute de leurs moindres désirs. » C’est ainsi qu’elle s’attache à faire régulièrement un tour de tables pour être à l’écoute des convives. « C’est important de nouer un contact avec les gens, ils aiment se sentir valorisés, savoir que l’on s’occupe d’eux », précise-t-elle. La satisfaction de la clientèle est donc primordiale pour ce restaurant proposant également une salle pouvant être privatisée pour des repas de groupes, séminaires ou anniversaires etc..., d’une ambiance intimiste à l’étage supérieur. Une nouvelle déco va parfaire le tout et favorisera l’esprit de sérénité et de zénitude souhaité par la maison. ...
1,2 mètre pour 25 kilos à l’âge adulte… mais pouvant dépasser les 500 kg ! Pêché depuis plus de 5 000 ans, le thon rouge est l’un des poissons méditerranéens les plus prisés par les consommateurs. Il est notamment pêché à la ligne selon trois méthodes : la palangre, la canne et la traine. Bien que l’espèce ait été fragilisée dans les années 1990, sa pêche est aujourd’hui fortement encadrée pour garantir une exploitation raisonnée. Concernant le thon rouge, les avis d’experts scientifiques sont redevenus positifs, d’où l’action de la marque « Thon Rouge de ligne », qui souhaite apporter une information transparente sur ses conditions d’exploitation, afin de promouvoir ce produit exceptionnel et de rassurer les consommateurs sur la santé du stock et les pratiques de pêche. Un numéro de suivi sur Internet La marque collective Thon Rouge de ligne est le résultat d’une démarche volontaire de pêcheurs artisans battant pavillon français et pratiquant la petite pêche ou la pêche côtière, qui s’engagent à promouvoir de bonnes pratiques et une approche socialement responsable et biologiquement durable de la pêche au thon rouge. Pour le consommateur, Thon Rouge de ligne est la garantie que le thon rouge a été capturé à la ligne, avec respect et selon des pratiques visant à préserver l’espèce et son écosystème, aujourd’hui et pour l’avenir, ainsi qu’à garantir une qualité irréprochable du produit. « Nous plaçons l’homme au centre des activités maritimes pour consolider l’emploi et le développement économique local », préconise l’association VALPEM (Association pour la valorisation des produits de la pêche en Méditerranée) en charge de cette marque collective. « Avec un engagement sur la qualité, la fraicheur et la traçabilité de chaque poisson : navire, technique, lieu et jour de pêche.» Cette traçabilité complète est parfaitement accessible au consommateur : l’obligation de baguer le thon rouge ‒ sans quoi il ne peut être ni débarqué ni commercialisé ‒ permet d’obtenir un numéro d’identification unique qui figure à l’extérieur de tout emballage contenant du thon. En utilisant ce numéro, chacun peut retrouver les différentes informations concernant son poisson sur le site Internet www.thonrougedeligne.com ...
Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle. Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse. Une carte 100 % mexicaine À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains. En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos. En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème. Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros. Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas. En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas. De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens. Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition. Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays. ...
CAROLEPICELINE a été créée en juillet 2017 sous l’impulsion de Carole Lalay-Martins et de Céline Kissel, deux amies d’enfance tombées amoureuses de Madagascar et de ses richesses naturelles. Aujourd’hui, les deux amies ont à cœur de partager ces trésors naturels, le tout dans une démarche écoresponsable. Respect de l’environnement et de l’humain CAROLEPICELINE, c’est avant tout des épices premium de qualité supérieure, issues d’une agriculture traditionnelle qui respecte l’environnement et en provenance exclusive de l’île de beauté située aux larges de l’océan Indien. « Nos épices sont cultivées sans engrais ni pesticides. Et nous essayons d’accompagner les cultivateurs et les récoltants dans la pérennisation de leurs terres », explique Carole Lalay-Martins, cofondatrice de l’enseigne. Toujours dans cette démarche écoresponsable, l’entreprise fait preuve de rigueur dans le choix de ses fournisseurs et travaille ses packagings afin de limiter ses émissions de CO2. Les produits phares CAROLEPICELINE met à disposition 3 gammes de produits accessibles via sa boutique en ligne : « Épices de Madagascar », « Préparations rhum arrangé » et « Epice ta beauté® ». Parmi les épices proposées, Carole et Céline recommandent tout particulièrement le poivre sauvage voatsiperifery, une épice endémique de l’île à la saveur intense et profonde. Autre produit d’exception : le combava, un petit citron exotique très prisé pour son essence. Ces trésors récoltés dans des régions spécifiques de l’île s’adressent à une cible élargie. « Notre offre se destine au BtoC à travers notre site Internet et la vente de nos produits en boutiques éphémères ou lors d’évènements. Nous avons également une offre dédiée au BtoB par le biais de notre activité Cadeaux d’affaires. Et une autre s’adresse aux professionnels de la restauration avec la vente en vrac », soulignent les co-fondatrices. ...
Le Domaine du Loou renaît de ses cendres en 1956 sous l'impulsion de Dominique Di Placido qui rachète les terres ayant autrefois appartenu à l’Abbaye de Saint-Victor et aux familles de l’évêque de Metz et Alexis. Aujourd'hui, l'exploitation familiale est gérée par les deuxième et troisième générations qui s’efforcent d’élaborer chaque année du vin bio d’excellente qualité. Des conditions idéales Le Domaine du Loou, établi sur le terroir en appellation Coteaux-Varois en Provence, s’étend sur une surface de 60 ha d’un seul tenant. À 300 m d’altitude, avec une exposition sud et sud-est, les vignes profitent d’un ensoleillement optimal et s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire. Elles sont également protégées du vent et des aléas climatiques grâce à la colline d’Agni et le massif de la Loube. Au niveau de l’encépagement, celui-ci se compose principalement de syrah, de cabernet sauvignon et de mourvèdre pour les rouges. Le reste est constitué de rolle et de sémillon pour les blancs et de grenache et cinsault pour les rosés. Respect de l’environnement Depuis 2009, le domaine est certifié Ecocert et privilégie les méthodes de l’agriculture biologique. « Nous sommes fiers de cette démarche Bio qui demande, certes, beaucoup de travail mais qui correspond à notre vision du travail de la vigne », souligne Audrey Dutray, petit-fille et fille des propriétaires. Quand les raisins arrivent à leur pleine maturité, le domaine procède à une vendange nocturne. « Nous vendangeons la nuit en raison de la température qui est encore fraiche. De cette manière, nous évitons la fermentation prématurée des raisins », nous explique-t-on. Côté vinification, le maintien des températures de fermentation ainsi que la réfrigération des macérations des vins blancs et rosés sont assurés par des drapeaux flottants. L’élaboration des vins se réalise dans des cuves en inox et en béton. Les cuvées emblématiques La maison est particulièrement fière de ses deux rosés : « Terres du Loou » et « Rosée de Printemps ». Obtenu à partir de l’assemblage de cinsault, de grenache et de syrah, le premier est un vin très aromatique qui surprend par sa fraicheur intense. « C’est un vin plutôt thiolé qui séduit largement notamment pour l’apéritif », dévoile Audrey. La cuvée « Rosée de Printemps » est, quant à elle, un assemblage de grenache et de syrah. « Le choix du syrah lui procure une note amylique apportant beaucoup de douceur et plus de rondeur. Il s’agit d’un rosé original, gourmand et assez gastronomique. » ...
Recommandée par l’organisation onusienne FAO (Food and Agriculture Organization), la consommation d’insectes représente l'une des meilleures alternatives alimentaires proposées en vue de basculer vers un mode de consommation responsable et écologique. Nos habitudes alimentaires tendent, en effet, à favoriser le gaspillage et la dégradation de l’environnement, situation à laquelle l’entomophagie apporte une solution durable. Afin d’appuyer ce changement progressif, ïhou s’est lancé dans la production d’insectes à croquer, de quoi ravir les papilles les plus aventureuses. La consommation d’insectes à redécouvrir Si certains se rappellent les fameuses omelettes aux vers à soie de leurs grand-mères, d’autres se souviennent avoir croqué des sauterelles grillées lors de voyages exotiques. La consommation d’insectes n’est ainsi pas une nouveauté, loin de là. En effet, plus de 2 milliards de personnes à travers le monde consomment régulièrement des insectes. La gamme ïhou a été créée en France afin de sortir des clichés sur la consommation d’insectes et de faire redécouvrir ce mode d’alimentation à haute valeur nutritionnelle. En effet, « le grillon, par exemple, présente un taux élevé de protéines (55 %) tout en contenant des vitamines et des minéraux », explique Mme Déborah Findeis Schäfer, à l’initiative de cette marque. Cette dernière de reprendre « notre ambition d’intégrer l’insecte dans l’alimentation répond à la nécessité de trouver une alternative durable à notre alimentation classique ». L’élevage de grillons ïhou dans le nord-est de la France applique d’ailleurs des normes de production strictes, de quoi assurer une alimentation saine et respectueuse de l’environnement, « le rejet de gaz à effet de serre étant extrêmement faible dans l’élevage d’insectes », continue-t-elle. ...
Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis plus de 5 générations. En 2017, le domaine de la Vaillère en association avec Sébastien Plagne, un jeune visionnaire passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins plus complexes. Depuis, dans le chai, une petite équipe passionnée s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Carignan, Cabernet, ou encore Chardonnay pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Dans les caves du domaine… Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre également son engagement pour l’environnement. « Depuis le début de l’année, on est en Terra Vitis », précise J.-C. Dumas. L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de s’engager dans le développement durable. Le rouge-merlot Obstiné 2018 et le blanc Chardonnay 2019 sont les premiers symboles de cette démarche. Les procédures de certification bio sont en cours depuis le 1er août. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2018, 2019, un rouge grenache-syrah-carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Gabriel, également médaillé d’or en 2018 et 2019 et Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan qui a fait un bref passage en fût. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région. ...
Depuis 2007, le domaine La Grange est la propriété de Renate et Rolf Freund. Soucieuse de préserver l’environnement, la maison mène sur 65 ha de vignes une conduite raisonnée avec la certification Terra Vitis. Côté vinification, on trouve des équipements de pointe, indispensables pour poursuivre des objectifs qualitatifs. Une nouvelle cave, des cuves en inox et des cuves en béton à revêtement époxy ont ainsi permis des améliorations importantes, notamment sur la gamme classique, dont les cuvées ont été récompensées, entre autres, par le Guide Hachette. Une quête permanente de qualité Des notes épicées issues de la garrigue viennent s’ajouter aux arômes des vins, dues certainement au thym et au romarin entourant le vignoble. En dégustation, les tannins apportent structure et matière pour donner une bouche soyeuse tout en rondeur. ...
À travers l'enseigne A Casetta, la famille Torre et son équipe proposent une cuisine singulière, préparée à base de produits dont une grande partie sont récoltés dans l'exploitation agricole de la famille. Satisfaire ses clients par des produits issus de ses propres terres, telle est l’ambition d’A Casetta depuis maintenant plusieurs décennies. Au fil des années, la terre familiale s’est agrandie et se dote désormais de son propre élevage. Avec l'exploitation agricole, la famille a l'avantage de maîtriser elle-même la transformation des produits de A à Z. Toute la panoplie de mets exquis proposés par A Casetta se découvrent ainsi dans son restaurant et à travers son service traiteur. L’art du fait maison Le fait maison et la fabrication artisanale font la signature de la maison. Les ressources issues des terres agricoles de l’entreprise familiale, tels foie gras, terrine, fromage, confiture, pain artisanal, gâteaux, chocolat, permettent de soigneusement travailler chaque ingrédient de façon à valoriser l’art du fait maison. « Les produits qui ne viennent pas de notre exploitation proviennent des agriculteurs locaux », souligne M. Michael Torre. Une manière de rassurer le consommateur sur l’authenticité et la traçabilité des matières premières. Les plats sont élaborés dans le respect des traditions corses et de la gastronomie française afin que les adeptes de la cuisine traditionnelle et de la cuisine moderne puissent trouver chacun leur bonheur. Et pour sublimer les saveurs, le restaurant propose une belle carte de vins qui fait honneur à la Corse. Bénéficiant d’un climat ensoleillé, les vignobles du pays composés de cépages endémiques offrent des vins de grande qualité. La généreuse cave du restaurant, qui est riche de plus de 150 références entre Corse et Continent a de quoi assurer les meilleurs accords mets-vins. Des prestations traiteur à la hauteur des exigences les plus pointues A Casetta a développé son offre en proposant un service traiteur. Des salles de réception pouvant accueillir jusqu’à 350 personnes sont mises à la disposition des clients. Envie de profiter du beau temps ? Une belle terrasse à l'ambiance intimiste peut aussi accueillir toutes sortes d’événements professionnels ou familiaux. « Elle dispose d’une capacité maximale de 250 personnes » selon les précisions apportées par notre interlocuteur. Lui de continuer « que ce soit pour des buffets, des cocktails dînatoires ou même des formules plus conviviales comme les viandes cuites à la rôtissoire, notre équipe peut également se rendre au lieu choisi par les clients et s’engage à servir des plats exclusivement faits maison. » Assurer la qualité des repas malgré un nombre très important de convives compte parmi les engagements d’A Casetta. Ainsi, la maison peut assurer des prestations regroupant plusieurs centaines de personnes comme des réceptions plus intimes avec seulement quelques invités. Anniversaire, mariage, fiançailles, baptême… les particuliers seront satisfaits de l’accompagnement proposé. Idem pour les professionnels. Les séminaires, lancements de produit et autres soirées d’entreprise seront placés sous le signe de la réussite. Et pour simplifier l’organisation, l’équipe s’occupe de tout pour les prestations hors du restaurant, que ce soit en termes de logistique, de matériels, tentes, tables et couverts, mobiliers, décoration, fleurs, ou d'éclairage… ...
Ancienne propriété d’Olivier de Serres (1539-1619), illustre agronome français connu pour sa contribution au développement des techniques agricoles, ce domaine viticole de 10 ha produit aujourd’hui des vins qui se hissent parmi les références de l’appellation IGP Coteaux-de-l’Ardèche. Des pratiques respectueuses de la Nature Ce vignoble en altitude, conduit en lutte raisonnée et bio-logique, est planté en coteaux sur des sols à dominante argilo-calcaire. L’encépagement se compose de syrah, de grenache et de merlot au niveau des rouges et de viognier pour les blancs. En favorisant la biodiversité, le domaine offre à ses vignes les conditions optimales à leur épanouissement. Résultat, des raisins de qualité qui seront plus tard délicatement vendangés à la main. Des cuvées d’exception Sur les cinq cuvées proposées par le domaine, deux peuvent prétendre au titre de « cuvée ambassadrice » : la cuvée « Olivier des Serres 2017 » et la cuvée « Viognier 2017 ». 100 % merlot, la première présente un nez intense avec des arômes de mûres. En bouche, on trouve une belle palette aromatique et des tanins structurés. La seconde est également un monocépage, un 100 % viognier qui séduit par ses arômes de fruits à chair blanche. En bouche, ce vin dévoile rondeur et complexité. Idéal pour l’apéritif, accompagné de brochettes de poulet mariné ou encore de foie gras. ...
Dans un décor médiéval fait de pierres apparentes et de voûtes, cet établissement de style lounge au cadre raffiné et à la musique d’ambiance ne manque pas de caractère. Prenez le temps de déguster la cuisine raffinée, savoureuse et soignée du chef François Le Touche, où le fait maison est particulièrement à l’honneur. En plus du menu des Lys proposés à chaque repas, incluant 3 plats à 47 € ou 4 plats à 50 €, le restaurant propose également une formule déjeuner à 29 €, du mercredi au samedi, ainsi que différents plats à la carte allant de 16 à 30 €. Son foie gras de canard fait maison, son filet de taureau poêlé et son crumble d’abricot aux coulis de fruits rouges sont d’autant plus renversants qu’incroyablement délicieux. Une sélection de bons vins Pour accompagner chacun de vos repas, Le Caveau des Lys vous propose une carte des vins plutôt éclectique, incluant des bouteilles de 75 cl, des demi-bouteilles ainsi que des vins au verre « ouverts à tous les budgets », comme le précise Marion Orfeuille, coordonnatrice, qui conseille notamment le Saint-Amour, l’Aloxe-Corton, le Nuits-Saint-Georges ou encore le Saint-Émilion. Aimant composer de belles assiettes, le chef met les petits plats dans les grands à travers un mariage réussi de saveurs et de textures pour un résultat à couper le souffle. Très présent également dans son deuxième restaurant au nom évocateur, Le Jardin des Lys, il est animé de la même passion pour offrir le meilleur dans vos assiettes. ...
Tout en restant fidèle à la tradition champenoise, la Maison a su adopter une agriculture respectant l’environnement. Dans ce sens, elle favorise une viticulture raisonnée en réduisant insecticides et herbicides. Le vignoble et le terroir La Maison Le Brun de Neuville possède aujourd’hui 150 hectares de vignes, répartis sur sept villages différents. Sur un terroir crayeux et de forte porosité, le vignoble bénéficie d’une quantité suffisante d’eau et d’énergie solaire. Au niveau des cépages, les viticulteurs utilisent du Pinot Noir, du Meunier et surtout, à 90 %, du Chardonnay. Privilégier ce cépage idéal pour le vieillissement des vins permet à la Maison d’élaborer des champagnes « blanc de blancs », connus pour leur délicatesse, leurs notes florales et d’agrume, et, parfois, minérales. Une riche sélection de cuvées La Maison met à l’honneur le Chardonnay dans sa gamme traditionnelle. Ses cuvées expriment toute la fraîcheur de ce cépage et la minéralité du terroir. La gamme Authentique propose des champagnes qui ont vieilli sous liège pendant cinq ans. Le bouchon de liège « permet une micro-oxygénation des vins et des échanges entre l’extérieur et l’intérieur de la bouteille », explique Justine Boxler. Les champagnes Lady de N. ne sont pas en reste pour ce qui est de l’élégance et de l’originalité. C’est la gamme parfaite pour les tables gastronomes. ...
A proximité du village provençal d’Eygalières et de Saint-Rémy-de-Provence, Le Potager du Mas, restaurant du Domaine de la Rose, est l’adresse « détente » pour passer un week-end dans une demeure de charme et profiter des plaisirs d’une cuisine au plus proche de la nature. Sa propriétaire, Fabienne Huppert et Franck Reveniault responsable du restaurant ont permis à cet établissement, s’étendant sur un domaine de 25 hectares, d’être labélisé « Marque Accueil du Parc », « Table Remarquable » par Châteaux et Hôtels Collection et obtenir 2 fourchettes au prestigieux et très convoité guide Michelin. Mas du Potager : cuisine et vins du terroir Ici, la cuisine est réalisée par le chef Fabien Taguemount. Un jeune chef qui a fait ses classes dans de prestigieux établissements : L’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence, La Table du Château à Rochegude. Au Potager du Mas, il présente une cuisine gastronomique française aux accents de la Provence. Une cuisine simple et de saison privilégiant des produits d’exception cultivés au sein même du Domaine de la Rose mais également en provenance de maraîchers locaux. Ayant la passion du beau produit, Fabien Taguemount propose une carte étoffée composée de plats signature fait maison, savoureux et aux couleurs vives. La reconnaissance des plus grands chefs a révélé son talent et l’originalité majeure de certains de ses plats. C’est le cas de l’aubergine du potager. Une entrée soigneusement élaborée à partir d’une aubergine grillée et confite au four avec des aromates, des herbes de provence, de l’ail et de l’huile d’olive. Le tout cuit lentement au four et sur lequel sont plantés des légumes cuits et crus comme des radis, tomates-cerises et concombres. Un plat accompagné d’une simple vinaigrette balsamique dont l’huile d’olive est produite directement au domaine de la Rose. En bouche, toutes les saveurs de la Provence se révélent avec des sensations étonnantes de croquant et moelleux. Accompagné d’une Cuvée Confidence millésime 2013 du domaine d'Eole, l’Aubergine du potager affirme toute son originalité. Autre plat signature, l’agneau des Alpilles. Plat élaboré à partir d’un carré et d’une souris d’agneau. Ici, le carré d’agneau entier est accommodé d’une fine croûte d’herbe fraîche et de pignons de pin dont la cuisson parfaite laisse à la viande toute la jutosité. A l’oeil, une chair légérement rosée. En bouche, une viande à la texture tendre avec des sensations croustillantes par sa croûte légére et ses pignons dorés. Ce carré est également accompagné d’une souris d’agneau, confite lentement au jus de viande et au vin rouge, ce qui donne à ce plat un caractère doux et caramélisé. Servi avec des aubergines, de fines tranches de lard et un crumble au parmesan et basilic, il révéle toutes les saveurs du terroir provençal. En guise de dessert, le tartare de fraises et framboises élaboré à partir de fruits de saison du domaine. Découpés finement et nappés d’une confiture d’olives noires, le chef arrive à créer un contraste particulier au niveau des couleurs et des sensations étonnantes au niveau du palais. L’ensemble est accompagné d’une crème mousseline à la vanille, d’un sorbet au fromage blanc et d’olives noires réhaussé d’une fine feuille de verveine donnant fraicheur et un goût légérement citroné à la composition. Globalement, l’établissement défend les valeurs du beau produit, du manger frais et de saison. Quant au chef, Fabien, sa philosophie est de sublimer le produit en proposant des textures en bouche contrastées, finement étudiées et une cuisine originale qui met toute la Provence dans notre assiette. Une carte des vins Le Potager du Mas propose une sélection de blancs, de rouges et de rosés, principalement issus du terroir et mettant en avant des productions viticoles et A.O.C de la région. Des cépages du Domaine du Trévallon comme l’Eloi Dürrbach, un rouge millésime de 2010, du Domaine du Vallon des Glaug...
Situé dans la ville médiévale de Mirepoix, à mi-parcours entre Carcassonne et Foix, le restaurant Le Commerce est une vitrine ouverte sur un héritage de plusieurs générations qui est toujours resté dans le giron de la famille Puntis. Jouissant d’un emplacement privilégié au cœur de l’Ariège, l’établissement séduit par son cadre rustique, à l’ambiance campagnarde où les saveurs ariégeoises sont autant de plaisirs à retrouver qu’à découvrir. Une cuisine aux accents de terroir Confortablement installée dans une région riche en histoire dans le Pays cathare, le restaurant Le Commerce propose une cuisine élaborée à partir de produits frais et de région, avec chaque jour un arrivage de poissons frais. Sous l’impulsion du chef André Puntis, qui tient aujourd’hui les rênes de l’établissement, les plats sont concoctés avec passion, dans le respect des traditions, avec des recettes jalousement conservées et transmises de père en fils. À travers une cuisine généreuse qui privilégie les produits du terroir, le restaurant constitue une adresse incontournable où familles et amis aiment se rendre pour partager un bon repas et où il fait bon profiter d’une ambiance conviviale. Un cadre sympathique aux tons chauds Le restaurant Le Commerce est un établissement au charme d’antan qui jouit d’un cadre particulièrement agréable. Les lieux permettent notamment de gouter aux plaisirs de la table à l’ombre d’une magnifique terrasse ombragée où sont servis les repas en période estivale. Sa salle aux tons chauds rassure les plus exigeants et lui confère une ambiance familiale au cadre rustique. Dans ses propos, André Puntis décrit « un établissement d’une capacité d’accueil de 70 couverts en terrasse et une soixantaine en salle avec la possibilité d’abriter à la demande tout type d’événements selon la disponibilité ». Une belle alliance mets-vins Proposant de belles alliances en matière de vins, le restaurant Le Commerce dispose d’une cave à vins particulièrement fournie dans un bon rapport qualité/prix. Parmi les références les plus connues figurant sur la carte, on peut notamment citer les Côtes de Malepère, le Vacqueyras, le Gigondas ou encore la Clape AOC ainsi que « plusieurs produits régionaux » selon les précisions d’André Puntis. Les clients peuvent à la demande, solliciter les suggestions du chef pour connaître les meilleures alliances afin d’accompagner certains plats. À travers ses connaissances et ses expériences, il se fera un plaisir de les conseiller. ...
Cette jeune compagnie se veut être le pionnier de l’authentique en proposant une grande variété de rhums élaborée dans les distilleries parmi les plus prestigieuses. Affectionnés par les consommateurs, les rhums au caractère affirmé de la Compagnie des Indes sont soit le fruit d’assemblages harmonieux entre différentes cuvées de qualité soit de fûts uniques provenant de terroirs de renom tels que la Jamaïque ou la Guyane. Des rhums complexes aux saveurs insoupçonnées « Un rhum au goût de rhum ». Ces propos de Florent Beuchet, gérant et fondateur de cette société, rappellent la noble quête d’honnêteté et d’authenticité dans laquelle il s’est lancé à ses débuts en 2013. C’est en sillonnant les mers, à la manière d’un pirate, qu’il part débusquer sous les tropiques les meilleurs rhums. Sélectionnés par fût, ces derniers sont ensuite assemblés et embouteillés en France ou bien directement embouteillés en France en single cask sans ajout, sans colorant, sans arômes et sans produits chimiques afin de « mettre des vrais rhums représentatifs de leur terroir d’origine en avant », affirme Florent. Riche de son parcours estudiantin en commerce international et de ses expériences dans le domaine des spiritueux, il souhaite partager sa passion en proposant des « rhums authentiques et très aromatiques », continue-t-il. Un plaisir gustatif sans égal En conservant les typicités de chaque terroir, Florent Beuchet mise sur une expérience gustative unique, composée, selon lui, « d’un éventail d’arômes très vaste et distinct selon la distillerie et le pays d’origine ». Les single cask présentés sont ainsi « surprenants », reprend-il. Autre ambassadeur de cette compagnie se trouve le Jamaïca Navy Strength, un rhum puissant, 100% 5 ans d’âge et embouteillé à 57° d’alcool en hommage à l’histoire de la marine britannique. Découvrez, également, le Tricorne, un fort et goûteux rhum blanc issu d’un assemblage unique au monde de rhums provenant des quatre coins du globe. ...
C’est dans un terroir varois naturellement disposé en « amphithéâtre », bénéficiant d’un ensoleillement favorable et bercé par un microclimat frais, que les vignes en parcelles s’étendant sur 27ha de terrain s'enracinent dans un sol tantôt calcaire tantôt fait de pélites rouges ou de tufs. La générosité de cette terre est ici mise à profit dans le cadre d’une viticulture biologique et biodynamique. En découle ainsi des rouges, des rosés et des blancs complexes et équilibrés en AOP Coteaux-varois-en-provence et AOP Côtes-de-provence. La viticulture biodynamique au service d’un noble terroir Au sein de ce haut-lieu de la viticulture varoise, les cépages, allant du Grenache au Cabernet, en passant par la Syrah et le Vermentino, s’épanouissent dans un cadre bucolique, parsemé d’oliviers et abondamment irrigué par des rivières et de majestueuses chutes d’eau. Attachée à cette contrée aussi belle que généreuse, l’équipe de Fontainebleau priorise l’usage de la biodynamie appliquée à la viticulture, une aide naturelle afin de faire exprimer au mieux la nature environnante des cépages de chaque cuvée. Le travail de la vigne s’inscrit ainsi dans le respect de l’environnement en priorisant les lois de la nature ainsi que les procédés de traitement agricoles biologiques. Dans cette optique, le sol est travaillé modérément, les vendanges sont faites manuellement, les préparations biodynamiques forment des associations végétales propices à la fertilité et les engrais chimiques laissent place aux composts. Des tisanes utilisées suivant le calendrier astral viennent s’ajouter à ces méthodes naturelles pour produire des vins biodynamiques d’exception, véritables signatures et expressions du terroir. Des cuvées d’exception à l’image d’un terroir singulier Détentrices du label certifié « Agriculture Biologique », les cuvées du Château Fontainebleau se démarquent par leur large palette de saveurs obtenues de par la grande diversité des sols du domaine. Les cépages puisent ainsi les succulences caractéristiques d’une terre composite conférant complexité et structure au vin. Fidèle aux méthodes de vinification artisanales, le domaine s’affirme dans le monde sélect vitivinicole par une gamme élégante, équilibrée et toute en finesse. Parmi les fleurons de cette gamme figure le Louis Baptiste blanc, un vin raffiné, structuré et à la bouche onctueuse. Le rouge Jean-Max, un vin issu exclusivement de vieilles vignes du domaine, savoureusement expressif, viendra, quant à lui, révéler toute préparation de viande. Appréciez, enfin, un Château Fontainebleau rosé, un goûteux mélange de Grenache, de Cinsault et de Syrah s’accordant parfaitement à la fraîcheur d’une cuisine méditerranéenne ou exotique. Ces vins de caractère travaillés suivant le modèle bordelais et vinifiés en barriques de chêne français rigoureusement élaborées et sélectionnées, font la fierté de leur domaine-mère, un lieu de vie où la nature préservée confère toute sa richesse à chaque cuvée. ...
À nouvelle gérance, nouveau décor ! En reprenant le restaurant il y a 2 ans et de par ses nombreux voyages un peu partout dans le monde, Loïc Ledu a apporté une signature unique. Il propose majoritairement « des menus de France revisités » comme il aime si bien le dire, avec une cuisine gourmande qui lui fait rappeler son enfance, une irrésistible nostalgie qui revient souvent dans ses inspirations. Un globe-trotter passionné Après une vie de globe-trotter (Écosse, Australie, Dubaï, Europe) au cours de laquelle il a toujours nourri sa passion pour le métier, Loïc Ledu a réussi de belles expériences de vie dans la restauration. Pour aller plus loin dans l’aventure, il choisit avec sa femme Céline de poser ses valises en terre française et de s’y installer. Son coup de cœur pour Le 111 a nourri en luide nouvelles inspirations créatives et originales. Un lieu de rencontres à l’ambiance intimiste Le 111 est un établissement qui plaît à la clientèle. Selon Loïc Ledu, c’est un « restaurant très fréquenté par les femmes », qui y trouvent un lieu idéal pour se retrouver. L’endroit offre en effet un décor intimiste aux couleurs à dominance gris et rouge imprégnées d’une ambiance feutrée qui séduit particulièrement les couples et les amoureux. « Le succès du restaurant vient du bouche à oreille », se satisfait le chef. Le 111 a une capacité d’accueil de 30 couverts en terrasse, de 40 couverts en salle et de 18 couverts pour les différents évènements de groupe (anniversaire, évènement familial…). Du fait maison bistronomique Le 111 propose une cuisine au concept bistronomique, c’est-à-dire des « produits simples, cuisinés de façon créative, avec de belles présentations et à prix abordables », fait valoir Loïc Ledu. Il tient notamment à préciser que l’établissement ne fait que du frais : « Tout ce qu’on a à la carte est fait maison, à base de produits bruts sans aucun produit transformé. » C’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de la maison. À travers ses notes sucré-salé, aux couleurs et aux goûts de France, Le 111 porte bien la signature du chef. Pour garantir la fraicheur des produits proposés, le choix des fournisseurs est très strict (meilleure régularité, meilleure viande, meilleurs produits). Le bœuf Wellington, les Noix de Saint-Jacques et beurre de clémentine et les Ravioles de Joue de bœuf restent à ce jour les plats-signatures du restaurant, mais d’autres plats viennent s’y ajouter selon les goûts et préférences des fidèles de l’établissement. « Nous travaillons beaucoup le bœuf », explique Loïc Ledu, et les clients apprécient grandement « tartare et carpaccio », des produits coupés à la minute et au couteau. Le 111 possède également une section grill, qui permet de préparer du steak maison avec des frites coupées à la main. Pour satisfaire encore plus les clients, le restaurant vient de sortir sa nouvelle carte d’été avec des menus adaptés, dont des noix de Saint-Jacques, du suprême de pamplemousse et du tartare de saumon. Cerise sur le gâteau : toutes ces suggestions gourmandes peuvent se déguster depuis la salle du bas, tout en appréciant une vue imprenable sur une grande cave à vin vitrée révélant plus de 130 références. ...
C’est en 1920 que commence l’histoire entre le champagne et la famille Bauchet. Initiée par Juliette Bauchet et son fils Félicien puis transmise de père en fils, la tradition vigneronne épouse aujourd’hui des équipements modernes, dans le respect du développement durable et de la traçabilité. Porté par ces valeurs, le champagne Bauchet associe qualité, régularité, élégance. Aujourd’hui, il acquiert une reconnaissance par-delà les frontières. Un terroir unique Le domaine Bauchet se situe à Bisseuil (Marne), au carrefour de trois grandes régions viticoles. Son vignoble, acquis dans les années 1960, est l’un des plus grands de Champagne. 34 hectares sont répartis sur les terroirs de la côte des Blancs, de la montagne de Reims et de la Côte des Bar, uniquement en cépages nobles, chardonnay et pinot noir, dont un tiers en premier cru. Fort de ces emplacements, le domaine ouvre désormais ses portes aux visites et aux dégustations via des formules séduisantes, à l’image de son effigie : une coupe de champagne au cœur. L'investissement du récoltant-manipulant Les membres de la famille assurent l’autonomie totale du domaine. Bruno et désormais son jeune neveu Robin s'occupent des vignes. Florence tient la direction et gère la commercialisation des 300 000 précieuses bouteilles annuelles. Une distribution qui va en Europe, de l’Angleterre à l’Estonie, et bien au-delà (Canada, États-Unis, Japon). Toutes les étapes de la fabrication ont lieu « à la maison ». Celle-ci est construite sur 250 m de caves creusées à 8 m de profondeur. Les bouteilles y reposent parfois 8 ans pour atteindre leur maturité. Les raisins récoltés sont écrasés là, dans des pressoirs modernes, jusqu’à obtention d’un moût clair et limpide, recueilli ensuite dans les belons, puis débourbé et stocké dans différentes cuves. Seuls les jus nobles rejoignent la composition des champagne Bauchet. L’œnologue du domaine, Bruno Charlemagne, est présent à toutes les étapes et veille aux exigences des styles désirés. Six cuvées, entre assemblages et millésimes Dans la lignée des Champagnes de tradition, la cuvée « Origine » (70 % de pinot noir et 30 % de chardonnay) est un champagne léger, pétillant. La cuvée « Séduction » est fraiche, aérienne, tandis que la cuvée « Signature premier cru » est vineuse, soyeuse en bouche (80 % de chardonnay et 20 % de pinot noir). La cuvée "Mémoire" Millésime premier cru a vieilli 5 ans en cave. Sa texture relève d’un style gastronomique. La cuvée « Saint-Nicaise », premier cru, blanc de blanc millésimé, est constituée à 100 % de chardonnay. Enfin, le succès 2018 est la cuvée « Contraste », un blanc de pinot noir dont la matière exprime un brin de minéralité, pure et harmonieuse en bouche. Cent ans d’expérience ont permis aux champagnes Bauchet d’atteindre une excellence digne d'une région reconnue au patrimoine de l’UNESCO. Leurs cuvées sont régulièrement médaillées d’or ou d’argent. Un succès légitime pour cette famille amoureuse de ses terres, qui conçoit ses vins et le raconte avec le raffinement poétique propre à une grande maison de champagne. ...
Tout a débuté en 1952, lorsque neuf viticulteurs originaires du Pays Basque, s’associent pour créer une coopérative dont le but est de reconstruire un vignoble détruit par le phylloxéra ainsi que par le passage de la Première Guerre mondiale. « Aujourd’hui, la Cave d’Irouleguy, qui compte 42 coopérateurs en AOC Irouléguy, a pour volonté de perpétuer la notoriété de ce bout de terroir du Pays Basque et de mettre en valeur son produit de prédilection qui est le vin », indique Nadine Gaztambide, Directrice de la cave coopérative. AOC Irouléguy : des vins de qualité Territoire de beauté, bordé par la mer, oasis de verdure et couvert par des montagnes et des collines, les Pyrénées-Atlantiques abritent quelques trésors en matière viticole dont l’AOC Irouléguy. Incontournable dans le patrimoine gastronomique du Pays Basque, le vin d’Irouleguy tient la deuxième place après le jambon de Bayonne et le fromage de brebis. Il se distingue par la richesse de son cépage, classé en deux catégories, qui sont : les cépages noirs ; le tannat, le cabernet franc et le cabernet sauvignon et les cépages blancs : le gros manseng, le petit manseng et le courbu. L’appellation regroupe 250 hectares de vignes plantées, dont 60 % du vignoble est représenté par la cave coopérative. Onze domaines indépendants se départagent, quant à eux, les 40 %. « Selon l’INAO (Institut national des appellations d'origine), 1000 hectares de parcelle sont encore disponibles à la plantation, ce qui amène la Coopérative à redoubler d’efforts même s’il n’est pas simple de planter la vigne, puisque la culture s’effectue en terrasse », nous explique notre interlocutrice. Et elle de continuer que « malgré ces difficultés, le nombre de plantations augmente d’environ 10 hectares chaque année. » Par rapport au terroir justement, ce dernier est assez diversifié avec beaucoup de grès rouge et un peu de schiste. L’authenticité d’Irouléguy Afin d’améliorer les techniques viticoles, la cave d’Irouleguy effectue depuis deux ans une étude sur l’impact du climat sur la croissance des plantes en partenariat avec l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’ISVV (Institut des sciences de la vigne et du vin) de Bordeaux pour une durée de trois ans. Pour ce faire, elle s’est dotée de trois stations météo, trente-trois capteurs et trois pluviomètres. Les premiers résultats montrent que l’altitude constituerait le facteur prépondérant formant le terroir, et non uniquement le sol ou le climat. Forte de ses innovations, la cave est aussi très impliquée dans la préservation de l’écosystème. L’agriculture raisonnée constitue un véritable réflexe pour tous les adhérents à la coopérative. Beaucoup s’engagent aussi dans une démarche bio. « Nous avons de nombreux viticulteurs entamant une phase de reconversion. D’ici cinq ans, 50 % de la cave sera en bio », se félicite notre interlocutrice. Un environnement sain et préservé qui permettra aux jeunes générations de travailler dans les meilleures conditions. En parallèle, la cave investit énormément dans des équipements performants pour garantir la parfaite qualité de ses produits : vendanges en cagettes, réception gravitaire des raisins, … Aujourd’hui, plusieurs gammes issues de la coopérative sont à découvrir comme le Lehia, une cuvée Unique en blanc produite en très faible quantité, les cuvées Prestiges (Omenaldi enrouge et Xuri en blanc), les Incontournables (Le Mignaberry en rouge, blanc, rosé et le Kattalingorri, vin bio, en rouge et rosé) et les cuvées Plaisirs (Gorri en rouge et Argi en rosé). Parmi les produits, une attention particulière est portée pour le Mignaberry de la gamme Incontournable, facile à boire, frais et sec pour le blanc 2016, « très charmeur » pour le rosé 2016, qui est d’ailleurs cité au guide Hachette des rosés 2017-2018 et riche et harmonieux pour le rouge. ...
À travers un esprit chalet aux matériaux bruts, où se fondent des bardages en bois de châtaigner, le restaurant se démarque par ses épaisses tables en bois brut, sa cuisine ouverte, qui permet de voir ce qui se passe aux fourneaux, et son esprit comptoir, qui dégage une ambiance conviviale et chaleureuse ; sans parler de la table d'hôtes en bois massif dédiée aux grandes occasions ou aux réceptions privées. La satisfaction vaut franchement le détour. Vous y découvrirez une excellente cuisine à base de produits frais et de saison essentiellement, avec de très belles viandes maturées d’ici et d’ailleurs, dont les goûts authentiques vous feront voyager, des États-Unis à l'Argentine, en passant par la France ou l'Australie. Le nouveau lieu de prédilection des gourmands En collaboration avec notre chef spécialisé dans la viande d’exception, qui maîtrise l’art de tailler les viandes en de très beaux quartiers, le restaurant est en mesure de proposer une carte riche et variée, qui change à chaque saison, et également une carte des vins aux accords qui se marient à merveille avec les viandes, à savoir le Roc d’Anglade du Pays du Gard ou encore les grands Bordeaux. Pour ceux qui ne sont pas friands de viande, l’enseigne a toujours un poisson frais au retour du marché, avec, à côté, la possibilité de manger végétarien si la demande est formulée. Découvrez tous les midis une formule du jour variée entrée-plat, plat-dessert ou entrée-plat-dessert. Laissez-vous tenter par son filet de bœuf normand maturé, concocté par le chef, servi avec des épices diverses, ou par sa côte de bœuf espagnole maturée huit semaines sur l’os, particulièrement fondante et persillée à souhait, pour une aventure gustative hors du commun. Terminez par une touche agréable avec son cheesecake au spéculons fait maison, absolument renversant ! ...
Situé non loin du Monument aux Girondins, et juste à quelques pas de l’intersection de la Rue de Sèze et de l’Allée de Tourny, Le Veneto est l’adresse appropriée pour savourer des spécialités italiennes. Entre maîtrise admirable des cuissons, présentation esthétique des formes et couleurs, mais aussi harmonie parfaite des saveurs, les plats copieux de ce restaurant font profiter à la clientèle de douceurs dont le chef Mouhamadou M’Baye, spécialiste en risotto, détient le secret . Une cuisine typiquement italienne Avec des préparations axées sur la cuisine italienne de Trattoria, la carte propose une grande variété de plats en plus des nombreuses suggestions du chef. Ainsi, elle fait la part belle à des plats signatures très réputés auprès de la clientèle. Des ravissements tels que le burrata, qui est une entrée typiquement italienne et faite à base de mozzarella, tomate et huile d’olive. Un autre plat, le risotto à la milanaise avec des morceaux de cèpes et du safran rehaussés par la force du gorgonzola… un pur délice accompagné par des sauces créées par le chef. Afin de pousser la dégustation à son summum, spaghetti alla chittara avec des gambas, ou encore tartare à l’italienne revisitée et mise à jour, une assiette à l’image du quartier Veneto à Rome. Le restaurant propose également un dessert signature, le tiramisu fait maison, une pâtisserie italienne légère et savoureuse.Un dessert classique à base de café et de chocolat en poudre, très apprécié par les clients. Le Veneto utilise pour sa cuisine des pâtes fraîches livrées par un fournisseur italien, et de la viande charolaise. S’ajoutent ainsi à la carte des spécialités à la truffe telles que l’escalope de noix de veau, composée avec des pâtes fraîches, noix de veau de qualité supérieure et crème de truffes. Tout ceci, sans oublier les incontournables lasagnes et bolognaises faites maison. A la carte des vins, trois types de crus sont disponibles pour marier les plats de la maison. Parmi eux, le plus sollicité, le Nero d’Avola, vin fruité et cépage tout droit venu du Sud de la Sicile. Le directeur des lieux Steve Duvignau, s’appuie sur les principes de cuisine simple, qualitative et abordable pour offrir un rapport qualité-prix convenable. Des prix à hauteur de 16.80 € pour la formule midi comportant une entrée, un plat et un dessert à 24 €. Un bel endroit pour se régaler Avec un cadre sympa et chic, une terrasse animée et une ambiance familiale en intérieur pouvant accueillir jusqu’à 50 convives, Le Veneto est un restaurant chaleureux et convivial. A disposition de la clientèle, un service de qualité de jour comme de nuit. Canapés en cuir, portraits de l’Italie et de New York, douce musique italienne, l’établissement privilégie une ambiance plus ou moins festive. Son décor soigné de type « Little Italy » est à mi-chemin de l’image du quartier New-Yorkais portant le même nom, et celui du quartier bourgeois nommé le « Veneto » à Rome. A l’entrée du restaurant, se dresse une vitrine réfrigérée où sont exposés les produits frais destinés à la cuisine. Ceux-ci peuvent être contemplés en extérieur, comme en intérieur. Le lieu dispose entre autres d’un patio. Cadre adapté pour les sorties en famille, entre amis, ou encore en couple, le restaurant Le Veneto est ouvert du mardi au samedi, en matinée de 10h30 à 15h, et le soir de 19h à minuit. L’établissement n’ouvre pas ses portes le dimanche, et le lundi qu’en soir. ...
Au cœur de la station de ski Serre Chevalier, Le Caribou accueille en hiver comme en été les vacanciers affectionnant les bons petits plats. La maîtresse des lieux, Liane Cunin, et sa petite équipe, composée notamment du chef Louis Blain du Poète, proposent des menus complètement différents selon les saisons. En effet, les repas servis ici sont plutôt montagnards durant la période hivernale, alors qu’ils sont entièrement improvisés lors de l’arrivée des beaux jours. Des saveurs authentiques à découvrir Le « fait maison » occupe une place importante au sein du Caribou. La plupart de ses plats phares sont essentiellement préparés avec grand soin à l’aide d’ingrédients frais et de saison. C’est le cas de son foie gras maison ou de sa truite fumée maison de Châteauroux, qui sont servis en entrée. Les réjouissances continuent avec du gibier, à l’instar du chevreuil aux airelles avec légumes anciens ou du dos de cabillaud aux deux citrons pour les amateurs de poisson. Le repas s’achève sur un entremets au chocolat, une tarte au citron meringuée ou des crèmes brûlées sous toutes leurs formes. Les vins originaires des Hautes-Alpes accompagnent dignement le festin. La trentaine de références parmi les plus sollicitées en rouge et en blanc comprend le Domaine Allemand, par exemple. La clientèle est également très friande des Côtes-de-Provence et des Côtes-du-Rhône. De la convivialité au menu Dans le restaurant Le Caribou, on se délecte de la vue imprenable donnant sur les Hautes-Alpes. La beauté de l’établissement est encore plus saisissante une fois à l’intérieur. Il est en fait implanté dans une ancienne bergerie datée du XVIIe siècle. Il a su garder son charme d’antan grâce à sa pièce voûtée en pierre apparente, qui lui confère une ambiance assez chaleureuse. ...