Les Aviateurs est la nouvelle adresse où le Chef Chevrier donne rendez-vous à ses clients. Idéalement situé sur la Rue du Rhône, l’établissement attire les genevois par son concept si particulier. Les Aviateurs, c’est plus un bar tea-room qu’un restaurant et il porte bien son nom. Il plonge les clients dans l’élégance du monde de l’aviation pendant qu’ils savourent leurs plats. Un cadre chic et atypique Le bar Les Aviateurs a vu le jour en 2017 sous l’initiative de IWC, une manufacture horlogère Suisse. En voulant offrir une carte plus élaborée pour répondre à la demande de sa clientèle, IWC fait appel au chef Philippe Chevrier. Plus tard, il y voit l’opportunité de créer un nouveau type d'établissement : un bar tea-room où les clients peuvent venir à tout moment. Néanmoins, l'adresse reste fidèle à son nom. Le chef Chevrier décide de conserver le design intérieur du bar. Le décor quant à lui met en avant des carlingues d’avion, des cadrans de montre, des photos d’aviateurs qui nous ramènent dans les années 30 et 40. Le bar attire les clients par un style élégant de Gentlemen club. Les clients y sont invités à se détendre sur des fauteuils en cuir, autour d’une table haute. Sous la responsabilité d’Elodie Décure, une directrice proche de sa clientèle, les Aviateurs accueille les habitués et les nouveaux clients dans une ambiance chaleureuse et accueillante. A la carte du bar tea-room Les Aviateurs Les Aviateurs ouvre ses portes aux clients dès le matin jusqu’à l’after-work. Pour commencer la journée, le bar tea-room propose des viennoiseries, des muffins et des salades de fruits frais au petit-déjeuner. Pendant la journée, les clients peuvent choisir entre burgers, tartares, croque-monsieur, tartes salées, quiches et salades. Les Aviateurs possède aussi son plat signature qui met à l’honneur les produits locaux : le Burger Les Aviateurs. Pour le préparer, ils utilisent du pain boulanger local, du steak de bœuf 100% suisse coupé au couteau ainsi que du gruyère suisse. En soirée, on y retrouve planches de charcuterie, pâté en croûte et fromages. A l’heure de l’after-work, le bar offre aussi à ses clients du saumon, des rillettes de crabe et de la volaille. Par ailleurs, Les Aviateurs dispose également d’une jolie carte de pâtisserie, œuvre du pâtissier-chocolatier Laurent Exbrayat, pour l’heure du thé. Etant un tea-room digne de ce nom, l’établissement est un endroit de premier choix pour prendre une tasse de thé ou de café seul ou entre amis à l’heure du goûter. Outre les boissons chaudes, le chef Chevrier a conservé la carte des boissons auquel les premiers clients étaient déjà habitués au moment de reprendre le bar. Pour l’enrichir, il a ajouté une carte de cocktails créatifs destinée à satisfaire la clientèle masculine qui y est nombreuse. Mise à part la particularité de son cadre et de son concept, Les Aviateurs s’adapte aussi aux saisons. Nouvelle saison, nouvelle atmosphère Les Aviateurs dispose d’un atout qui fait de lui un endroit privilégié par les clients tout au long de l’année : sa terrasse estivale. Pour profiter pleinement de l’été et du soleil, les clients peuvent prendre leurs repas, leurs goûters ou leurs tasses de café au milieu des oliviers et d’autres arbres méditerranéens. En hiver, la terrasse couverte est chauffée pour permettre aux clients d’y prendre leur verre de cognac ou de fumer un cigare malgré le froid. Pour toutes ces qualités ajoutées aux talents culinaires du chef, les clients fréquentent Les Aviateurs tout au long de l’année. ...
À quelque mètres du pont Neuf de Montauban, L’Estanquet reçoit ses convives dans un climat simple et convivial. Cet établissement est connu pour son décor assez vintage et sa cuisine bistronomique. Avec des gestes millimétrés, le personnel du restaurant L’Estanquet veille au grain pour l’entière satisfaction des clients. Le travail d’équipe se fait ressentir jusque dans les assiettes. Un décor très recherché On croirait faire un voyage dans le temps ; pourtant, L’Estanquet n’est pas un antiquaire, mais est bel et bien un restaurant. Une ambiance chaleureuse de bistro se dégage de ce décor peu commun. Les meubles trouvent toute leur splendeur dans la diversité et les boites et objets anciens sur les étagères ne font qu’accentuer cette allure de vieux bistro. Sur les murs sont exhibées des publicités d’un autre âge, qui font plonger les clients dans une nostalgie du bon vieux temps. Le maitre des lieux, c’est la grande cheminée qui domine la salle. Celle-ci offre non seulement de la chaleur aux clients, mais également la garantie d’une cuisine de haute qualité qui respecte les produits. Effectivement, la maison y fait griller les pièces de viande pour les imprégner du gout particulier de la cuisson au feu de bois. Un esprit bistro dans les assiettes Le restaurant L’Estanquet propose une cuisine traditionnelle, typiquement française, pimentée par une touche d’originalité. Les ingrédients sont de qualité supérieure, les plus belles pièces sont sélectionnées dès l’achat. Les patrons et son équipe travaillent les produits frais du terroir sur place, chaque jour. En outre, tout est fait maison. Ce qui a valu au chef le titre de « Maitre restaurateur ». La carte du restaurant s’oriente par rapport aux saisons et aux inspirations en cuisine. Les plats qui font la notoriété de L’Estanquet sont nombreux. Quoi de plus simple qu’un os à moelle accompagné de pain grillé ? La maison propose du pied de cochon, de l’andouillette, du ris de veau, du cassoulet et d’autres plats tout aussi représentatifs de la cuisine française les uns que les autres. La gaufre caramel beurre salé servie en dessert est un pur délice, sans parler des profiteroles. Les gourmands et gourmets en redemanderont. Montauban : une ville d’Histoire et de culture Grâce à son histoire, la ville est riche en patrimoine, notamment en matière d’architecture. Elle est appelée « la plus rose des villes roses », car la brique y est omniprésente. L’époque médiévale a laissé quelques héritages, comme le pont Vieux ou l’église Saint-Jacques avec son beau clocher octogonal. Ce patrimoine architectural est aujourd’hui valorisé grâce aux restaurants qui investissent les bâtiments anciens dans les rues de Montauban. Trois musées sont ouverts au public dans la ville : le musée Ingres, installé dans l’ancien hôtel de ville ; le musée d’Histoire naturelle ; et le musée de la Résistance et du Combattant, qui abrite l’histoire du Tarn-et-Garonne pendant la Seconde Guerre mondiale. Et ce n’est pas tout ! Les férus d’activités culturelles seront intéressés par le théâtre Olympe de Gouges, l’école municipale de dessin, où l’on découvre et approfondit le dessin et la peinture, ou encore l’espace Bourdelle sculpture, qui propose des ateliers et des conférences autour de cet art. ...
Une histoire, deux familles L’histoire du domaine Grain d’Orient commence dans les années 1980, quand Jean-Marie Alary a l’idée un peu folle de planter les premières parcelles de chardonnay dans un département plutôt habitué à voir grandir des plants de muscat. Une vingtaine d’années plus tard, c’est une réussite et, au milieu des années 2000, il décide de passer les quelque dix hectares du domaine en agriculture biologique. Les premiers flacons arborant fièrement le logo AB sur fond vert sortent de cave en 2012. C’est deux ans plus tard qu’il décide de se séparer de son vignoble et de le transmettre à Aliette et Patrice Bourg, les actuels propriétaires. Atypicité des cépages et particularités du terroir Quand on visite un domaine viticole dans le Roussillon, on s’attend naturellement à voir mûrir les cépages traditionnels des coteaux de cette région. Les pieds de grenache, de carignan ou encore de macabeu, pour ne citer que les plus célèbres, se partagent les nombreux hectares cultivés qui s’offrent à la vue du marcheur qui emprunte les petites routes et chemins de ce joli coin de France. Contrairement à leurs voisins, Aliette et Patrice ont fait le pari de continuer l’histoire du domaine avec son esprit original. Ils entretiennent toujours avec autant de soin les cépages atypiques et le terroir exceptionnel qui leurs ont été légués. « Notre vignoble jouit de conditions vraiment particulières. On n’est pas du tout sur un climat méditerranéen mais d’avantage sous des influences océaniques. Du coup, on a beaucoup plus de pluviométrie qu’ailleurs dans le département et, en plus, on est en altitude. Ces conditions nous offrent une exception systématique dans nos arômes », nous explique Aliette Bourg, qui s’occupe du travail à la cave sur le domaine. Cet ensemble de facteurs fait que les parcelles du domaine Grain d’Orient sont réputées pour être de petites enclaves de fraîcheur. Ce microclimat convient particulièrement à la vivacité des chardonnays, qui ont rapidement fait la renommée du domaine dans la région, et de rouges comme les cabernets sauvignons, merlots ou autres syrahs dont s’occupent les Bourg. Nectars précieux, le domaine ne sort que 25 à 30 000 bouteilles chaque année, dont la moitié en chardonnay. Les vins très droits du domaine offrent une palette courte d’arômes fruitiers en bouche lors du passage à la dégustation. Il faut compter autours d’une dizaine d’euros pour chaque bouteille, avec une entrée de gamme, très abordable pour un vin bio de cette dimension, à moins de neuf euros. On se laissera surprendre par les chardonnays, particulièrement le « Grain de sel » et ses arrière-notes iodées qui sont accompagnées, au nez, de senteurs de pamplemousse et de citron vert. Il affiche une minéralité surprenante lors d’une dégustation de foie gras. Pour une viande braisée, on se penchera plutôt vers un cabernet sauvignon, Cab-Attitude selon l’appellation maison, plus rond et ample en bouche qu’il n’y paraît. Il faut préciser que les ceps sélectionnés pour cette cuvée ont plus de 25 ans. Balades en calèche et visite d’exploitation. La cave du domaine est ouverte tous les après-midi pour les visites et les dégustations. Depuis peu, on se voit aussi proposer des balades en calèche au milieu des parcelles. Les mardi, mercredi et jeudi, sur réservation, on s’embarque alors dans un voyage d’une heure à travers le vignoble où l’experte se mue en conteuse et nous présente la riche histoire viticole du secteur. On découvre le passé coopératif de la région à travers quelques anecdotes bien senties. Bavarde, Aliette nous raconte avec passion l’histoire de la vigne du pied jusqu’au produit final en bouteille. En cave, quelques découvertes surprennent l’amateur : peu de bois pour vinifier, à part une cuvée de blanc élevé à la façon bourguignonne, mais des amphores en terre. « Je préfère explorer ce médium qui, je trouve, respecte beaucoup plus les arômes. Les cépages ont été choisis car ils étaient très bien adaptés au terroi...
Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures. Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château. ...
Tous deux issus d’une longue lignée de vignerons, ces époux décident, en 1985, de perpétuer l’héritage familial. La marque Fabrice Lecourt est réputée pour les saveurs et les arômes de son champagne fin puisant sa typicité dans le sol argilo-calcaire de la commune de Cormoyeux. Des cuvées traditionnelles au goût authentique « Nos parents et grands-parents travaillaient déjà la vigne », s’exclame Véronique. Afin de mettre ce patrimoine vinicole de six hectares en avant, les Lecourt privilégient un champagne représentant les valeurs familiales que sont l’authenticité et la qualité. Au travers de leur Brut Tradition ou de leurs millésimes, la maison s’attèle à donner le meilleur du terroir en privilégiant les méthodes traditionnelles héritées des aînés à l’instar des vendanges manuelles ou de la vinification en fûts de chêne pour la cuvée Grains d’Arômes notamment. Cette dernière, véritable ambassadrice de la marque, accompagnera avec élégance les apéritifs de par son caractère gras tantôt épicé, tantôt fruité. Les plus audacieux ponctueront leurs plateaux de fruits de mer par un Brut Nature, une cuvée dotée d’arômes délicats, fraîche, mais fougueuse. Une viticulture dans le respect de la terre Dans le but de préserver « la richesse de la terre et [de valoriser] les vignes familiales », la maison Lecourt donne la primauté à la viticulture conduite de façon raisonnée. Les spécificités du terroir sont ainsi préservées dans chaque vigne. Le choix du cépage parcelle par parcelle est déterminant. C'est pourtant le meunier le cépage de prédilection de cette région champenoise. Chaque flûte de champagne Fabrice Lecourt révèle et sublime ainsi les caractéristiques propres de la terre. ...
Dirigée par Julien Berranger, la Brasserie des Alpes propose des plats originaux et gourmands pour tous les budgets. Les fourneaux sont gérés par Naddei Felice, grand maestro de la cuisine italienne, et Marion Pierre, spécialiste des plats français. Cette belle dualité entre ces deux spécialités culinaires est à découvrir absolument. D’un côté la France… La Brasserie des Alpes ouvre ses portes pour ceux qui veulent vivre un voyage culinaire dans un cadre cosy et montagnard. En effet, sa capacité à offrir des plats typiquement italiens et français lui a permis de se bâtir une solide réputation dans la région. La cuisine est orchestrée par deux épicuriens. Le premier est un Français qui aime surprendre ses invités et qui propose des plats concoctés avec les produits du terroir. La cuisine traditionnelle forte en caractère et en gout est élaborée par Marion Pierre avec passion et inventivité. De quoi ravir les papilles des gourmands. Très variée, sa cuisine évoque les saveurs du terroir avec le magret de canard ou les brochettes du boucher. La maison a aussi construit sa réputation sur les grillades faites à base de viande. Il y a également la possibilité de déguster de succulents plats à base de poissons. De l’autre, l’Italie… Le maestro Naddei Felice propose une cuisine toute aussi gourmande insistant sur les ingrédients qui façonnent l’identité de la cuisine italienne. Ses origines mais aussi cette forte envie de défendre la cuisine de son pays se ressentent au travers des plats savoureux qu’il propose. Parmi les spécialités de la maison figurent les pâtes servies dans une meule de parmesan. Ce plat gourmand peut parfois être servi avec de la truffe et du speck, un jambon cru typique d’Italie se caractérisant par sa chair maigre et son arôme légèrement fumet. A ne pas manquer également : les sélections de pizzas préparées dans le plus grand respect de la tradition italienne, ce qui n’empêche pas le chef de sortir parfois des sentiers battus en proposant des pizzas originales comme la Fedora composée de crème de truffes, de roquette et de parmesan. Que ce soit Naddei ou Marion, la particularité des deux chefs réside dans le fait qu’ils accordent beaucoup d’importance à la qualité des produits. Ils collaborent, en effet, avec les producteurs locaux qui leur fournissent les meilleures matières premières. Une pause gourmande dans les Hautes-Alpes Blotti dans les Hautes-Alpes, le restaurant Brasserie des Alpes est l’endroit idéal pour une pause gourmande tout en admirant la vue panoramique. En famille, entre amis ou collègues, il assure un service de qualité et un cadre convivial. En effet, la salle de couleur vive dotée d’un décor très authentique et sobre offre une ambiance chaleureuse. Lorsque le temps n’est pas trop capricieux, la terrasse quant à elle permet d’apprécier l’air montagnard. A découvrir à Chorges Après un moment gourmet passé à la Brasserie des Alpes, il est temps de partir à la découverte de la richesse historique et touristique de Chorges. Ce village construit en fond de vallée possède de nombreux monuments façonnant son identité comme la fameuse église paroissiale Saint-Victor datant du XIIe siècle et aujourd’hui classée monument historique. La commune est également entourée de plusieurs sites naturels et un paysage atypique comme le lac de Serre-Ponçon situé à 7 km et les magnifiques baies Saint-Michel et de Chanteloube avec leurs eaux turquoise propices au nautisme et loisirs en plein air. ...
Dans la famille Cazals depuis quatre générations, le goût du bon champagne se fait ressentir de par la qualité exceptionnelle des cuvées de la marque. Avec des méthodes oscillant harmonieusement entre modernité et artisanat, la maison Cazals est une « maison familiale, très conviviale […] et forte de traditions héritées de père en fille », selon Camille Crochet, Sales Manager Marketing de la marque. Un vignoble riche en histoire C’est Ernest Cazals, alors tonnelier, qui fonde la maison Cazals en 1897 en choisissant un terrain noble et ouvert pour ses premières vignes. Un clos de 3 hectares, acquis par son fils Olivier Cazals dans les années 1930, va par la suite venir s’ajouter au domaine familial, donnant ainsi naissance aux 10 hectares de vignes classées Premier et Grand crus de la maison Cazals. Parmi les cuvées ambassadrices de la marque, appréciez les « grands crus d’exception nés de vignes de plus de cinquante ans », continue Camille. Délectez-vous ainsi de la Chapelle du clos, un 100 % chardonnay léger aux saveurs suaves, ou du millésime Clos Cazals doté d’une large palette de goûts et d’une mosaïque de succulences typées. Une passion et un héritage à préserver La maison Cazals, dans un élan d’engagement envers l’environnement, se trouve dans une phase de transition vers l’agriculture durable, avec la « volonté de certifier le clos Haute Valeur Environnementale (HVE) », reprend Camille. Outre cette promesse noble, la famille tient à préserver un patrimoine unique qui leur a été légué par leurs ascendants. Tout le processus de production, allant des vendanges à la maturation dans les caves voûtées en passant par la vinification en fûts de chêne, se fait ainsi suivant les méthodes artisanales utilisées dès la création de la marque. ...
Que vous soyez en famille, entre amis ou avec des collègues, Loire Vins Aventure vous propose une expérience inoubliable pour une promenade de quelques heures ou une croisière d’une journée. Au programme : découverte des villages riverains le long de la Loire et de leurs héritages architecturaux. Le tout agrémenté par des dégustations de grands vins de Loire à bord d’un bateau de pêche traditionnel. Une balade féerique Loire Vins Aventure a été lancé à l’initiative de Denis Retiveau. À l’âge de 30 ans, ce Turquantois, à la fois vigneron et marinier, est « tombé amoureux » de la Loire, après avoir fait du canoë sur le fleuve en compagnie de quelques amis. « L’expérience m’a tellement plu que j’ai acheté des bateaux pour emmener les amis et la famille. Et c’est là que m’est venue l’idée des balades fluviales avec des dégustations de vins », raconte-t-il. Depuis quelques années, Denis Retiveau embarque les visiteurs pour des excursions uniques à bord de L’Étoile qui rit. C’est sur cette « toue cabanée », une embarcation traditionnelle entièrement construite avec du bois massif, qu’il accompagne ses voyageurs à la rencontre des villages pittoresques. Parmi les destinations : Montsoreau et son château, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, ou encore Candes-Saint-Martin et sa fameuse collégiale datant du Moyen Âge. Selon les envies, la balade peut durer de 2 à 4 heures ou prendre toute une journée avec, en prime, de splendides couchers de soleil sur le fleuve. Au cas où les passagers auraient un petit creux, Denis Retiveau a pensé à tout. « Ils peuvent apporter leur panier de pique-nique, faire des grillades ou un barbecue à bord » explique-t-il. En outre, grâce à un partenariat avec le restaurant Diane de Méridor, les fins gourmets ont largement de quoi satisfaire leur appétit. Au menu, des amuse-bouches et un repas gastronomique peuvent être servis. Côté vins, le maître à bord profite de ce moment de convivialité pour endosser son costume de vigneron, en suggérant à ses hôtes une dégustation des différentes cuvées issues de son domaine. Enfin, pour les amoureux, Loire Vins Aventure leur propose une nuit romantique à bord de L’Étoile qui rit. Le bateau sera amarré sur les bords d’une berge ou d’un îlot et aura une vue splendide sur les villages environnants. Des cuvées exceptionnelles Troisième génération à la tête du domaine des Champs fleuris, Denis Retiveau s’occupe d’un vignoble de 20 ha, dont la moitié se situe à Turquant et l’autre à Montsoreau. L’encépagement se compose de 90 % de cabernet franc et de 10 % de chenin. À partir de ces cépages, le domaine élabore 11 cuvées d’exception, dont 2 blancs, 1 rosé, 5 rouges et 3 crémants. « Je propose aux passagers de déguster entre 6 et 8 de mes cuvées », fait-il savoir. Parmi la sélection, les invités peuvent trouver à la dégustation : la cuvée « Audace », qui se distingue par sa légèreté, sa fraicheur et ses arômes de fruits rouges ; la cuvée « Crémant de Loire », un rosé élaboré à 100 % de cabernet franc et renfermant une très grande richesse aromatique ; ou encore « Les Roches », un vin élevé durant 18 mois en fûts de chêne neuf, idéal pour accompagner un rôti, un gibier ou un fromage. Gage de leur grande qualité, les vins du domaine des Champs fleuris ont été récemment primés lors de grands concours. À l’image de la cuvée « Vieilles Vignes », qui a obtenu la médaille de bronze et la médaille d’argent en 2016 et en 2017 au concours général agricole. La cuvée « Tufolies 2016 » a, quant à elle, décroché le premier prix du « Top 100 des meilleurs rapports qualité-prix » du Guide des vins Bettane + Desseauve 2018. ...
À mi-chemin entre le port de Noirmoutier et la plage du bois de la Chaise, cet Hôtel-Restaurant 3*** blotti dans un magnifique parc paysager arboré de palmiers et d’oliviers, invite à la félicité et au bien-être. Ses deux salles de restaurant ont été décorées avec goût et raffinement : grande baie vitrée, poutres en bois de pins, murs en bois clair, toiles au thème marin. À l’extérieur, une agréable terrasse ombragée disputant la vue sur le château Noirmoutier et les champs de vignes accueille les hôtes. Quelle que soit la saison, ce petit bout de paradis est l’endroit parfait pour partager une table gastronomique en famille, entre amis ou entre collaborateurs. Le concept du restaurant Le gérant propriétaire du lieu, Pierrick Wattecamps, définit si bien le style d’Éric Pichou, son chef de cuisine depuis 25 ans : « C’est une cuisine fine, créative, pleine de subtilité, et avec une pointe gourmande sans pour autant être très riche. »C’est précis et totalement maîtrisé. Noirmoutier-l’Île oblige, le chef s’inspire des parfums de la cuisine méditerranéenne et des couleurs de la cuisine de l’Atlantique dans l’élaboration de ses plats. « La saveur océane est vraiment notre spécialité. On travaille le poisson tout en finesse et on le prépare ensuite avec des produits du terroir procurés dans la région. » Ainsi, le restaurant a imaginé trois menus pour découvrir les incontournables de la maison : Saveurs de printemps, Éveil des sens et Au fil des saisons. Une farandole de saveurs et de textures En entrée, le chef fait plaisir aux épicuriens avec son saumon confit à 53°, fromage blanc au yuzu et gingembre, crème végétale et pickles d’oignons rouges. En guise de plat, le cœur balance entre le dos de lieu jaune rôti en croûte de piquillos, fenouil et safran, jus de crevettes à la verveine et l’entrecôte de cochon ibérique, pommes de terre façon Macaire. Ces assiettes sont accompagnées d’une cassolette de pommes de terre primeur rissolées au beurre salé, une petite merveille qui fait la signature de la maison. Une autre spécialité à ne surtout pas manquer : les intemporelles moules gratinées à la crème d’ail qui déclenche à chaque fois des émotions. D’autres plats plus recherchés et plus audacieux sont également concoctés, à l’instar des langoustines saisies au beurre demi-sel, pulpe de panais, réduction de clémentines, anis et vodka, ou encore le filet de canette laqué au sésame noir, aigre doux à la bière brune, navets confits et betteraves rouges. « Nous travaillons énormément sur les accompagnements, les sauces, les jus, les parfums, qui vont changer au gré des saisons », explique le gérant. Sur une note finale, des petites douceurs maison viennent embellir l’expérience culinaire : demi-sphère noire avec sa compotée de fruits exotiques, nuage de mascarpone et crème glacée au petit-suisse ou fraise Gariguette au naturel, éclat de meringue et thé vert matcha, sorbet fraise et crémeux à la menthe poivrée. Ce sont les créations d’un jeune talent, dont Pierrick Wattecamps est particulièrement fier : « Il est sans doute le meilleur pâtissier que nous avons eu depuis 25 ans. » Expérience à vivre en famille Pour les déjeuners ou événements en famille, la maison a réservé deux menus spéciaux aux jeunes gourmets. Ils peuvent déguster la terrine de foie gras de canard, la poitrine de veau fermier confite, jus parfumé au thym et seront gâtés par le carpaccio d’ananas, sorbet noix de coco. Les plus petits vont apprécier la salade de crudités de saison et l’éventail de charcuterie accompagné de pommes de terre de Noirmoutier. Au dessert, ce sera deux boules de glace au choix ou un yaourt aux fruits de chez Beillevaire. En outre, parents et enfants peuvent prolonger leur expérience dans l’hôtel 3*** et se laisser tenter par les activités offertes sur place : piscine chauffée, salle de jeux, aire de jeu extérieur (tennis de table, badminton, terrain de pé...
Depuis le 10 janvier, Le Repaire de Bacchus a pris ses quartiers sur les toits de Paris, au sein d’un univers dédié au meilleur de la gastronomie et de l’artisanat. Un défi passionnant pour l’enseigne qui intègre là une formidable vitrine internationale sans rien perdre des valeurs qui la caractérisent depuis sa création.Sur 200 mètres carrés, soit un espace quatre fois plus vaste que celui de ses boutiques habituelles, cette 40ème adresse propose la plus alléchante et prolifique route des vins hexagonale qui soit. 1500 références de vins, 350 références de spiritueux et 100 bières exclusivement françaises Dans un décor accueillant, sobre et chic, aux couleurs de l’enseigne, elles y sont savamment mises en scène. Dès l’entrée, un magnifique bar d’époque Napoléon III, ancien bar de l’Académie du Vin fondée par Steven Spurrier et Michel Dovaz, dédié aux champagnes donne le ton. On peut y savourer des références renouvelées régulièrement à partir de 10 € la coupe. Puis l’on parcourt toutes les régions de France : si l’on retrouve des références historiques de l’enseigne, cette nouvelle adresse a aussi adapté son offre à une demande qui ne sera pas celle d’une clientèle de quartier. -Plus de Bordeaux : c’est notamment le cas des grands crus classés, dont les 1er Grands Crus Classés que l’on peut dénicher dans 7/8 millésimes incontournables. -Une superbe sélection de Bourgogne : les climats les plus prestigieux de la côte de Beaune et de la Côte de Nuit ou du Chablisien sont présents à travers des vignerons ou des maisons emblématiques. Les Comtes Lafon, Domaine Leroy, Raveneau, Roumier, Dugat-Py, Dauvissat, Chevalier, la Romanée-Conti font rêver bien sûr, mais l’amoureux de bourgognes trouvera aussi largement son bonheur avec des pépites moins célèbres donc plus accessibles et judicieusement choisies. -Les autres régions telles que la Loire, la Vallée du Rhône, l’Alsace, la Champagne ou la Provence équilibrent leur offre entre quelques références emblématiques, découvertes et vignerons historiques de l’enseigne. Ainsi des cuvées Silex de Dagueneau, Château Rayas et Château Beaucastel dans plusieurs millésimes, la maison Trimbach côtoie une sélection de vins accessibles conçus pour un pur plaisir hédoniste bien dans l’ADN de l’enseigne. -Une gamme de prix très large pour tous les budgets : l’on déniche les bouteilles les plus accessibles à 5 euros et une grande partie de l’offre se situe entre 8 et 20 euros. Même si cette 40ème boutique intègre l’univers du luxe, elle n’en a pas perdu pour autant ce qui constitue l’âme de la chaîne : celui d’un caviste artisanal de rue proche de ses clients. -Une offre en magnum conséquente : chaque région s’assortit en moyenne d’une vingtaine de références proposées en magnum, un format très attractif et prestigieux. Et sans oublier les demi-bouteilles. De la rue des Acacias au Printemps du Goût Le Repaire de Bacchus, c’est 35 ans d’aventure humaine saupoudrée d’un grain de folie. Lorsque Dominique Fenouil créé son premier Repaire de Bacchus, en 1983, c’est un peu grâce à la coupe du monde de football 1982 ! Directeur de la promotion chez Radiola, il imagine de récompenser les meilleurs clients avec des caves à vin et part sillonner le vignoble, une passion chez lui. Budget : l’équivalent de 2 millions d’euros. Il prend goût à cette activité et créé donc l’année suivante une boutique, en réalité, plutôt un club d’amis épicuriens à la recherche de bons vins, pas forcément les moins chers du marché, puis s’installe rue des Acacias, dans le 17ème arrondissement de Paris. Rappelons qu’à cette époque, on prédisait la mort du caviste, laminé par l’émergence de la grande distribution. « Je me disais qu’il y avait un marché pour les amateurs. De fait, ça ne désemplissait pas : notre premier bénéfice, l’équivalent de 80 K€, représentait l’équivalent de 2 Porsche &agra...
Entre une savoureuse cuisine du terroir et ses quelques spécialités montagnardes, L’Auberge de la Montagne promet une belle découverte au cœur d’Arpajon. Ce lieu de lumière au décor élégant baigne par ailleurs dans une ambiance décontractée où le bien-être et la convivialité sont toujours au rendez-vous. Saveurs traditionnelles dans vos assiettes Que ce soit dans une salle chaleureuse, sur une terrasse ombragée l’été ou dans le jardin d’hiver abrité par une verrière, le temps semble être suspendu… Un moment privilégié pour savourer sa salade d’avocat aux gambas grillées et décortiquées, servie avec une émulsion de tomate et un filet d’huile d’olive, ainsi que son délicieux rognon de veau poêlé, dégraissé, saisi et déglacé au cognac, puis mouillé avec un jus de veau et terminé avec une graine de moutarde légèrement crémée. Redécouvrez le goût du « fait maison » avec ses incomparables profiteroles qui soit dit en passant, constituent de véritables délices à tomber par terre ! Dans un décor montagne moderne aux tons gris avec des tables aux couleurs contrastées, des chaises aux couleurs chaudes et aux pieds noirs, L’Auberge de la Montagne constitue une véritable invitation au plaisir et au bien-être. De bons vins pour un repas parfait Le restaurant se démarque aussi par sa très belle carte de vins, qui met toutes les régions à l’honneur, notamment des spécialités de montagne, qui, selon Armand Norbert, chef propriétaire, « fonctionnent très bien » : principalement quelques Bourgueils et Beaujolais ainsi que d'incontournables Bordeaux. D’octobre à mars, tous les vendredis, c’est parti pour des soirées raclette à volonté, et des planchas à volonté tous les vendredis soirs, uniquement d'avril à juillet. La maison accueille tous types d’événements, allant des repas d’anniversaire aux banquets de mariage, en repas assis ou en buffet. ...
Faisant partie des précurseurs du bio, dans lequel elle s’engage dès 1997, cette exploitation familiale implantée au cœur des Corbières travaille les vins nature depuis 2011. Des techniques pointilleuses pour de bons vins naturels Produits avec du raisin, ni plus ni moins, les crus Grand Guilhem expriment la personnalité du carignan, du macabeo, du mourvèdre, de la syrah et du grenache – noir, gris, blanc – dans sa forme la plus pure. La maison élabore 8 cuvées, chacune trempée du caractère singulier de son cépage dominant. Une session de dégustation au domaine rime avec une expérience intense où la monotonie n’a pas sa place. « Chaque cuvée a un mode de vinification différent », souligne Gilles Contrepois, le maître des lieux. Outre la vinification en cuve et en barrique, cet ingénieur reconverti évoque avec une fierté à part ses opus élevés dans d’authentiques jarres occitanes : des crus qui se distinguent par leur rondeur et leur pureté. Oenotourisme au Domaine du Grand Guilhem Le Grand Guilhem propose une expérience oenotouristique complète : dégustation, exploration des vignobles et des caves. Les visiteurs sont accueillis dans 4 chambres d’hôtes aménagées dans une maison de maître de caractère, dotée d’une magnifique vue sur Cascastel. Deux gîtes d’une grande capacité sont mis à disposition des groupes et des familles. Les hébergements du domaine affichent différents labels, témoins de la qualité de l’accueil et de l’expérience de partage que les hôtes ont en réserve. ...
Véritable star à part entière, La Croisette fait la fierté de Cannes. Plus qu’un boulevard, elle reçoit chaque année le célèbre Festival consacré au cinéma et abrite les hôtels et restaurants les plus prisés de toute la Côte d’Azur. Parmi eux se dresse le célèbre hôtel JW Marriott Cannes, situé à deux pas du Palais des Congrès. Connu pour la qualité de ses chambres et ses prestations, l’hôtel s’est aussi bâti une forte notoriété dans le monde culinaire grâce à son restaurant le JW Grill Cannes. Un environnement de rêve Situé en plein cœur de la plus célèbre Croisette au monde, le JW Grill Cannes jouit d’un environnement de rêve. Ainsi, sa terrasse offre une vue imprenable sur la mer Méditerranée et sur l’agitation de la Croisette. L’endroit idéal pour passer un bon moment de détente et de gourmandise dans un cadre frais, moderne et joliment agencé. Mais le spectacle est loin d’être fini ! La salle intérieure promet un tout autre univers. Entre ses meubles luxueux et tendances, ses tables en ébène, ses chandeliers en cristal signés Swarovski, son sol en marbre et ses finitions dorées, elle affiche l’élégance et le raffinement à la française. Dans ce décor feutré et chic, un personnel aussi chaleureux que réactif met tout en œuvre pour que chaque convive se sente à l’aise. « L’authenticité du steak house » A la hauteur de la beauté des lieux, la qualité de la cuisine est aussi au rendez-vous. Optant pour un concept innovant du « steak house », le JW Grill Cannes met à l’honneur une sélection de belles pièces de viande à la cuisson parfaite réalisée sur un grill américain à haute température. Pour le plus grand plaisir des amateurs de viandes d’exception, le restaurant propose le Black Angus signé Creekstone Farms, une viande incontournable des plus grands Steaks House du monde. A la quête du graal et du meilleur steak, la viande est ici reine. L’établissement propose également de déguster le célèbre New York Strip, le Rib eye ou encore le Rib eye Tomahawk. Des viandes persillées, tendres et fondantes en bouche. Tout un programme... Le restaurant invite aussi ses convives à la découverte de la cuisine méditerranéenne. Un terrain sur lequel le chef Sébastien Klinholff exprime sa créativité et son savoir-faire avec des plats aussi savoureux qu’authentiques. En utilisant exclusivement des produits frais et de saison, il revisite les grands classiques et veille à ce que le parfait équilibre des saveurs et des textures soit respecté pour chaque plat. Ainsi, une sensation de plaisir intense envahit les papilles lors de la dégustation de la salade niçoise accompagnée de thon grillé et d’un œuf à la coque molle ou encore du fameux JW Cheese Cake, le dessert phare de l’établissement. Mais qui dit bonne table dit aussi bon vin. Le restaurant propose de très belles bouteilles issues des meilleurs vignobles de France et du monde : Australie, Italie, Nouvelle Zélande... Ainsi, les convives pourront se faire plaisir en trouvant grâce aux conseils du sommelier l’accord parfait entre vin, mets et plats. Un chef expérimenté Si le JW Grill Cannes a su imposer son concept culinaire, c’est surtout grâce à son chef cuisinier : Sébastien Klinholff. Aussi créatif que méticuleux, il repose sa philosophie sur cinq principes. D’abord, il n’utilise que des aliments exclusivement frais, de saisons, simples et équilibrés. Puis, il élabore ses sauces légères à base d’infusions, de bouillons et d’émulsions au lieu d’utiliser du beurre ou de la crème. Pour que les yeux affolent les papilles, il porte aussi une attention toute particulière à la présentation des assiettes et du buffet. Pour le sourcing de ses produits, il met un point d’honneur à travailler en étroite collaboration avec la communauté locale (fermiers, agriculteurs, écoles, médias…). De nature généreuse, il n’hésite pas à partager ses vastes connaissances quand l’occasion le lui permet. ...
Situé à quelques pas du centre historique de Bordeaux, rue Georges Bonnac, l'Hôtel Burdigala illustre le mariage réussi entre tradition et modernité. Dès l’entrée, sa façade en pierres blondes de Frontenac évoque le style architectural bordelais du XVIIIe siècle. Mais, une fois la porte franchie, la demeure séduit par sa décoration moderne, chic et cosy. Elle propose aujourd’hui un hôtel quatre étoiles et un restaurant bistronomique : La Table de Burdigala. Une très bonne table ! Installée sous une agréable verrière, La Table de Burdigala opte pour un décor contemporain et « urban chic », avec son subtil jeu de voilages. À l’image de la bâtisse, le restaurant dégage une ambiance à la fois élégante et détendue. Il plonge ses convives dans un confort unique et un calme feutré, en contraste avec l’agitation urbaine. À la hauteur de la beauté du lieu, la qualité des plats est irréprochable. À base de produits frais issus du terroir, le Chef Denis Lemercier - Maître Restaurateur revisite le répertoire de la gastronomie classique française en y apportant une touche dosée de modernité et d’originalité. Au gré des saisons, la carte et les menus proposent une grande variété de plats, pour satisfaire toutes les envies, même les plus exigeantes. Parmi eux, le gravlax de saumon et raifort, blanc de poireau en viennoise de sésame noir, en entrée ; et le paleron de bœuf du Limousin braisé aux morilles accompagné de pommes fondantes et de rutabaga, en plat principal, sont les plus prisés. ...
L’origine du domaine remonte à 1967 lorsqu’après la cession de l’entreprise familiale Cap Corse Mattei, Pierre Orenga de Gaffory plante les premiers ceps de Niellucciu. En 1974, son fils, Henri Orenga de Gaffory, le rejoint dans l’aventure. Dans une volonté de pérenniser le domaine, ce dernier initie l’achat de nouvelles parcelles et la restructuration du vignoble pour développer un véritable domaine vitiviniculture à part entière. Le domaine est alors rapidement devenu l’une des références de l’aire d’Appellation de Patrimonio, contribuant ainsi à étendre la notoriété d’un site labellisé Grand Site de France en 2016. Des terroirs d’exception Le domaine Orenga de Gaffory s’étend aujourd’hui sur 56 hectares répartis sur cinq sites entre les communes de Patrimonio, Saint-Florent, Poggio d’Oletta, Barbaggio et Oletta. Bénéficiant d’un climat généreux, tempéré et ensoleillé, accompagné de vents marins rafraîchissants et doux, le vignoble produit des vins authentiques aux arômes et la structure complexes. Composés en partie de graves et de schistes, ses sols argilo-calcaires sont propices à la culture des cépages qui font l’originalité de la Corse. Des cépages emblématiques de la Corse Le vignoble est composé des cépages recommandés par l'Appellation Patrimonio : le Niellucciu, le Sciacarellu et le Vermentinu. Il est également constitué de Minustellu et d'Aleatico qui sont des cépages anciens, plantés après dégustation. Le grenache également présent dans la région de Patrimonio est limité à 10%, dans les assemblages. Des cuvées cultes bientôt toutes en bio Pour la famille Orenga de Gaffory, l'élaboration de vins repose essentiellement sur la valorisation d’un magnifique terroir appuyé par le savoir-faire ancestral de ses vignerons et l’utilisation d’outils modernes de vinification. La volonté de préserver ce terroir d'exception s'exprime notamment à travers l'entrée en conversion biologique de la totalité du vignoble en août 2016. Outre un entretien manuel et mécanique des sols, la préservation de l'équilibre biologique et des qualités du terroir sont poursuivis par l'application des grands principes de l'agriculture biologique : le maintien de la biodiversité, le contrôle des insectes et parasites, la fertilisation, le maintien de l'intégrité des sols, par des traitements d'origine minérale essentiellement. Le domaine produit des vins d’exception qui conjuguent grande finesse et arômes complexes. Dans sa collection, vous aurez plaisir à déguster notamment les Cuvées des Gouverneurs qui se déclinent en blanc, rouge et muscat, les Cuvées Felice disponibles en blanc, en rosé et en rouge, le Scala Santa rouge, la gamme de Muscat AOP du Cap , et le Rappo, un vin rouge naturellement doux dont l’élaboration est issue d’une tradition séculaire. ...
L’histoire du Château de Lacarelle commence en 1750, au moment où la famille Lacarelle en fait acquisition lors d’une vente aux enchères à Paris. Depuis, neuf générations de la famille s’y sont succédé. Actuellement, trois générations de la famille, menées par le couple Elisabeth Durieu de Lacarelle et Xavier Marraud des Grottes, s’attellent avec passion à perpétuer cette tradition de produire des vins de garde bio et raffinés. Adoption d’une agriculture durable Le sol du domaine de Lacarelle est pauvre naturellement et aussi peu profond. Il s’est donc avéré nécessaire pour la famille de préserver et protéger ce milieu naturel afin de pérenniser le terroir. Pour ce faire, elle a développé une méthode de culture à la fois durable et raisonnée. Les parcelles du domaine sont issues de la décomposition lente du granit, qui est très sensible à l’érosion. Par conséquent, l’exploitation entame chaque année de lourds investissements pour lutter contre ce phénomène. L’utilisation de produits phytosanitaires est mûrement réfléchie, chaque année, afin de réduire les impacts sur l’environnement. Toujours dans cette démarche, le Château de Lacarelle travaille en étroite collaboration avec l’Agence de l’Eau du Rhône, Méditerranée, Corse et ne rejette dans le milieu naturel que de l’eau à la qualité irréprochable. Dans un futur proche, le domaine envisage de se reconvertir à l’agriculture biologique : « une vingtaine d’hectares sont en bio, et on compte agrandir petit à petit, avec une dizaine d’hectares en biodynamie. A terme, le but est de maintenir toute l’exploitation en bio » souligne Elisabeth Marraud des Grottes, gérante du domaine. Chaque année, deux hectares de vignes sont replantés pour assurer la persistance du potentiel du vignoble dans le temps. Une belle sélection de vins Le Château de Lacarelle exploite en tout 138 hectares de vignes sur des parcelles situées sur les coteaux de Saint-Etienne-des-Oullières, Saint-Etienne-de-la-Varenne et Arbuissonas, dans l'aire d'appellation Beaujolais- Villages. Il s’agit de la plus grande exploitation familiale du Beaujolais. Chaque année, elle produit environ un million de bouteilles destinées principalement à l’export vers la Chine ou les Etats-Unis. Depuis toujours, le domaine se voue à produire des vins jeunes mais de qualité. A l’image de son « Château de Lacarelle Rouge » AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde est issu de Gamay à 100% de 31 ans. Frais, léger et fruité avec des tanins souples, il se déguste avec des charcuteries, des fromages ou du chocolat. La production annuelle de ce précieux nectar est particulièrement importante car elle s’élève à 800 000 bouteilles. Le vin propose aussi un blanc issu à 100% de Chardonnay, le « Château de Lacarelle Blanc » en AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde sec, fruité aux notes de miel, vanille et fleurs accompagne les poissons ou viandes blanches, fromages ou desserts. Le « Rosé de Lacarelle » est composé de 100% de Gamay et élaboré de façon traditionnelle. Il présente une robe saumon clair avec des bulles fines. Ce vin de garde a été récompensé d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard en 2015. Le « Château de Lacarelle Crémant de Bourgogne » est quant à lui est un vin brut sec, à la robe or pâle avec des fines bulles. Il se boit dans l’année avec du foie gras, du caviar et tous les desserts sucrés. Souvent récompensé, il a été couronné d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard 2015. ...
A mi-chemin entre Valence et Montélimar, La Treille Muscate est un charmant restaurant-hôtel trois étoiles au cœur du village de Cliousclat. Elle est implantée dans une magnifique bâtisse de pierre typique de la région, recouverte de vigne vierge, calme et paisible et qui jouit d'une vue imprenable sur les villages haut perchés de la vallée de la Drôme provençale. Une cuisine de saison A la Treille Muscate, les assiettes du chef Eric Richard sont de véritables œuvres d'art, à la fois délicieuses et élégamment présentées. La toque au Gault et Millau, la fourchette et le Bib gourmand au guide Michelin sont la preuve d'une cuisine d’excellence et raffinée. Le restaurant est également référencé dans de nombreux guides tels que le Guide du Routard, les Tables et Auberges de France, le Petit Futé ou encore le Gault et Millau. De même, il est présent dans le mythique guide du voyageur anglais : Alastair Sawday’s. Variant suivant les saisons, la carte propose en entrée un Foie gras de canard mi-cuit au torchon. Dans la gamme des plats de résistance, l’Agneau des comtes de Provence grillé au thym frais satisfera toutes les gourmandises. Pour clore en beauté le repas, rien de tel que les glaces et les sorbets faits maison présents à la carte toute l’année. Côté cave, la carte de la Treille Muscate est particulièrement bien fournie, avec une belle sélection de vins AOC Côtes-du-Rhône proposés par des vignerons locaux. Un endroit de charme Le restaurant la Treille Muscate offre une chaleureuse table dans un environnement calme et reposant propice au repas en famille, entre amis ou en couple. Pour profiter de la belle saison et d'une vue superbe donnant sur le lac, le jardin avec ses 55 couverts et la terrasse de 25 couverts invitent à la détente. Blottis dans ce cadre verdoyant, les convives profitent d’une ambiance conviviale et chaleureuse pour des moments gourmands inoubliables. A l’intérieur, la salle voutée capable d’accueillir 60 couverts, garantit quant à elle une atmosphère plus intimiste. La décoration joue sur les couleurs pour conférer plus de dynamique au restaurant. Les clients s’y sentent comme chez eux grâce à l’ingénieux choix des meubles embellissant les lieux et leur agencement. ...
L’ostréiculture est une des principales activités économiques maritimes de la Bretagne et en particulier dans le golfe du Morbihan. Chaque année, près de 10 000 tonnes d’huitres sortent des bassins des exploitants locaux à destination des tables de France, d’Europe et en bien de pays du monde. Les deux variétés d’huitres, la creuse et la plate, sont exploitées dans la péninsule. Toutefois, les professionnels privilégient surtout l’huitre plate, espèce indigène d’Europe peu charnue et à la saveur douce au goût de noisette. Histoire de l’ostréiculture bretonne À l’époque de l’Empire romain, les huitres armoricaines faisaient déjà partie des mets les plus recherchés. Ces huitres, encore sauvages, étaient destinées aux familles puissantes et riches des grandes villes. Les débuts de l’ostréiculture ne sont pas précis, la première mention remonte au IVe siècle, lorsqu’un poète de l’époque en fait l’éloge dans ses écrits. Au XVIIIe siècle, la ville de Cancale s’est imposée comme étant la capitale de l’huitre française.L’ostréiculture moderne, elle, a débuté sous Napoléon III, avec le naturaliste Victor Coste. Les premières unions locales ne se créèrent que durant l’entre-deux-guerres, idem pour les premiers syndicats. En 1920, une épizootie détruit 90% de la population ostréicole, puis une autre encore dans les années 1970. Une nouvelle variété originaire du Japon a dû être réintroduite dans la baie pour repeupler les parcs de la région.Actuellement, la filière est strictement encadrée par les législations régionales, nationales et européennes,qui garantissent sa pérennité. Les activités d’Istrenn Passion Dans le golfe du Morbihan, à Saint-Philibert, face à la Trinité-sur-Mer, se trouve Istrenn Passion, dirigé par Gildas Mourier. Un des rares à faire partie de ceux qui continuent à perpétuer l’art de l’ostréiculture traditionelle. Ce passionné a repris ce chantier trois ans auparavant et s’en occupe personnellement avec l’aide d’un ouvrier. Sa principale activité est la production d’huitres naturelles, c’est-à-dire issues de reproduction en mer, sur un parc aquatique de 3 hectares. Istrenn Passion vend au détail et sur place ses huitres et autres fruits de la mer comme les coquillages et les crustacés.Restaurateurs locaux et grandes surfaces forment le réseau de clients d’Istrenn Passion.L’entreprise effectue aussi des expéditions dans toute la France et l’Europe. Une petite partie de la production est destinée à l’exportation.Toute l’année, 7 jours sur 7, Istrenn Passion accueille les visiteurs sur le chantier installé au bord de l’eau ; celui-ci offre une vue imprenable face à la Trinité-sur-Mer. Des séances de dégustations d’huitres, de coquillages et de crustacés directement issus de la pêche y sont organisées. Des visites guidées invitant à la découverte du métier de l’ostréiculture au travers d’un parcours ludique et pédagogique sont également proposées. Au cours de cette activité, les visiteurs enrichissent leurs connaissances sur l’histoire de l’huitre, de la naissance à la consommation, ou sur la manière de les ouvrir. Il est par ailleurs possible de recevoir des groupes pour des évènements familiaux ou professionnels. L’exploitation travaille en étroite collaboration avec les organismes locaux tels que les offices de tourisme de Saint-Philibert, de Crach, de Locqmariaquer et de la Trinité-sur-Mer ainsi que le Comité départemental du Morbihan pour développer ses activités touristiques. ...
Bonjour Christopher Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour. 1822 donc il y a 200 ans maintenant, c’est l’année où tout commence. Alors pouvez-vous nous parler de Monsieur Louis Nicolas fondateur de la célèbre enseigne Nicolas. C H | Louis Nicolas fait partie de cette génération des entrepreneurs du XIXe siècle, à l’heure de l’âge d’or de l’économie française. Je rappelle que le XIXe siècle c’est Haussmann, c’est les grands travaux, c’est la révolution industrielle. C’est un véritable génie du commerce, qui va reprendre plein d’idées à droite et à gauche, et qui va ouvrir et développer une chaîne de magasins qui va littéralement exploser à Paris en quelques années. Il va créer la chaîne telle qu’on la connaît aujourd’hui, parce qu’en 200 ans, il y a beaucoup de choses qu’il a institué et qui ont assez peu évolué. Il a surtout institué le fait que l’on puisse acheter une bouteille de vin dans un magasin. Comment ça se consommait le vin à l’époque ? C H | La consommation du vin à l’époque était assez simple. Soit il se consommait à la taverne, soit les gens aisés achetaient des tonneaux, ils les mettaient dans leur cave, ils avaient des carafes et allaient tirer le vin. La pratique industrielle de la bouteille n’était pas là. Louis Nicolas a l’idée de lui-même d’embouteiller, pour faciliter l’accès au vin. C’est ce qui va faire son succès. Offrant ainsi l’opportunité au particulier d’avoir plus facilement accès à ce vin-là, en termes d’achat et en termes de stockage et de consommation. Et comme une idée de génie n’arrive jamais seule, Louis Nicolas a l’idée de lancer la livraison de vin à domicile. C H | Alors grande révolution, on pense toujours que la livraison à domicile c’est Amazone, et bien non, c’est une entreprise française. Le vin est un produit lourd, même mis en bouteille, il le reste. Ils vont donc mettre en place un ensemble de moyens, qui s’adressent principalement à une population aisée, il faut le reconnaître au début. Ce sera des livraisons faites par des porteurs, des cavistes. Et un ensemble de moyens tout au long des siècles va être utilisé. On va avoir le porteur, on va avoir les charrettes à chevaux, et puis par la suite avec la motorisation, vont naitre les triporteurs à moteur, qu’on trouvera dans les années 50/ 60, les camions et tout un ensemble de livraison. Ce qui est toujours le cas au XXIe siècle. Aujourd’hui on a service de livraison de proximité. Si vous demandez à votre caviste de vous livrer il pourra le faire. Et plus les années passent, plus Nicolas se développe. Comment la famille Nicolas a compris qu’il fallait ouvrir autant de magasins dans une seule ville ? C H | Très vite, la famille Nicolas va comprendre l ‘enjeu de la proximité. Au XXIe siècle on parle de proximité, rurale, urbaine, on parle de tout ça. Mais très vite ils vont comprendre que les gens se déplacent assez peu. L’investissement va être fait, à l’époque à Paris, pour mailler le territoire. Avec un modèle économique assez intéressant, puisque les cavistes qui sont logés en général, par couple, au-dessus des caves. Et c’est modèle qui va perdurer pendant des décennies des décennies. On a aujourd’hui encore des cavistes, qui travaillent en couple, et qui résident à proximité ou au dessus de leur cave. Et ça va contribuer, à la fois avec les produits, le maillage, et ce modèle social, à développer l’enseigne et à multiplier les points de ventes dans Paris pour répondre à la demande des clients parisiens. Et l’histoire ne s’arrête pas là, puisqu’en 1895 c’est Etienne Nicolas, fils de Louis Nicolas qui reprend l’affaire familiale. C H | Louis Nicolas génie du commerce, de l’industrialisation etc., Etienne Nicolas, ça va aussi être un génie mais de la publicité. Il a une passion pour les arts, il a une passion pour le vin. Il va chercher à faire connaître cette entreprise et à développer principalement ...
Sur un sol argilo-calcaire, le Château Haut-Barrail produit Merlot et Cabernet Sauvignon sous un climat océanique. Bénéficiant d’un climat privilégié, le Château est souvent épargné par les hivers rudes qui sévissent dans la région. Situé dans la commune de Bégadan, on retrouve l’Atlantique à seulement 20mn du domaine et la ville de Bordeaux à 45mn en voiture. Avec des pieds qui ont une moyenne d’âge de 30 ans, le domaine produit un peu moins d’une dizaine de gammes de vins. Un passé entre céréales et vignes En 1362, sur l’actuelle propriété, se dressait « La Maison de la Bernède ». Une histoire qui remonte ainsi à plus de six siècles et dont ne subsiste aujourd’hui plus qu’un moulin. Au XVIIème siècle, de nouveaux bâtiments sont construits et le logis arbore des éléments architecturaux du XVIIIème siècle avec gravé sur le fronton dans les pierres, deux symboles : « Vigne et Blé ». Témoin alors du passé céréalier du domaine. En 1987, alors qu’ils étaient déjà propriétaires de Vieux Château Landon, la famille Gillet rachète Haut-Barrail. Après la retraite des parents Gillet, le fils Cyril Gillet finira par se séparer de Vieux Château Landon en 2012 en le revendant à un chinois. Ce qui permettra au domaine de Bergadan d’améliorer ses installations. Une vinification aux petits soins Afin de produire l’un des meilleurs vins du Médoc, la vinification sur le domaine est un lent processus auquel une attention toute particulière est portée. Les vendanges ont lieu fin septembre de manière mécanique. Une fois les grappes récoltées, elles sont emmenées vers les cuves de fermentation. Des cuves de vinification en inox qui ont une capacité de 100hl et qui sont thermorégulées via des serpentins qui parcourent les cuves. Durant 15 à 18 jours les cuves sont maintenues à 30 ~32°C pour la fermentation alcoolique. Une fois cette première étape achevée, le vin de presse est récupéré pour être à nouveau fermenté cette fois-ci à 22° pour la fermentation malolactique. Une fois les fermentations terminées, les vins sont vieillis dans des chais de barriques de chêne neuves ou des barriques d’un à deux vins. ...
Lieu idéal pour tenir des rendez-vous d’affaires informels, le restaurant dispose d’un espace design et contemporain au coin de la cheminée numérique. Ses grandes baies vitrées donnent directement sur le patio, ouvert aux beaux jours, lequel offre un espace lumineux où il fait bon se retrouver. Baignant dans un cadre intimiste et chaleureux au décor atypique où le bois est très présent, l’établissement comporte un sous-plafond d’une très belle hauteur, ainsi qu’une magnifique verrière ornée de plantes vertes, dans un mariage réussi de belles matières et d’éléments uniques. Le Cinq Codet est une adresse discrète qui dévoile une cuisine simple et bien travaillée, préparée à base de produits de saison. Dans une belle alliance d’inventivité et de technicité, l’établissement propose une cuisine décontractée, haute en couleur, avec des fleurs et des herbes, ainsi qu’un bel accord de saveurs et de textures gourmandes. Comptant une clientèle mixte d’Anglo-saxons et de Parisiens, l’établissement organise tous les samedis une soirée jazz, un événement déjà bien connu et apprécié des habitués, mais qui ne cesse d’engranger de nombreux adeptes. Un beau mariage de saveurs Les clients ont la liberté de composer eux-mêmes leur menu ou opter pour des plats sur le pouce avec la carte de snacking. Ce qui fait la différence ? La maison travaille le meilleur du produit avec une technique de cuisson qui la distingue de celle des autres établissements ! Turbot, émulsion de coquelicot, fenouil vanille bourbon et Sphère chocolat, sorbet passion safran sont autant de gourmandises à découvrir ou à retrouver au sein du restaurant. ...
Recommandée par l’organisation onusienne FAO (Food and Agriculture Organization), la consommation d’insectes représente l'une des meilleures alternatives alimentaires proposées en vue de basculer vers un mode de consommation responsable et écologique. Nos habitudes alimentaires tendent, en effet, à favoriser le gaspillage et la dégradation de l’environnement, situation à laquelle l’entomophagie apporte une solution durable. Afin d’appuyer ce changement progressif, ïhou s’est lancé dans la production d’insectes à croquer, de quoi ravir les papilles les plus aventureuses. La consommation d’insectes à redécouvrir Si certains se rappellent les fameuses omelettes aux vers à soie de leurs grand-mères, d’autres se souviennent avoir croqué des sauterelles grillées lors de voyages exotiques. La consommation d’insectes n’est ainsi pas une nouveauté, loin de là. En effet, plus de 2 milliards de personnes à travers le monde consomment régulièrement des insectes. La gamme ïhou a été créée en France afin de sortir des clichés sur la consommation d’insectes et de faire redécouvrir ce mode d’alimentation à haute valeur nutritionnelle. En effet, « le grillon, par exemple, présente un taux élevé de protéines (55 %) tout en contenant des vitamines et des minéraux », explique Mme Déborah Findeis Schäfer, à l’initiative de cette marque. Cette dernière de reprendre « notre ambition d’intégrer l’insecte dans l’alimentation répond à la nécessité de trouver une alternative durable à notre alimentation classique ». L’élevage de grillons ïhou dans le nord-est de la France applique d’ailleurs des normes de production strictes, de quoi assurer une alimentation saine et respectueuse de l’environnement, « le rejet de gaz à effet de serre étant extrêmement faible dans l’élevage d’insectes », continue-t-elle. ...
Fille de Pierre et de Germaine Brisson, agriculteurs et éleveurs, Éliane Brisson, avec son mari Joël Lahaye, décident de rejoindre l’exploitation familiale après la naissance de leurs enfants, Laure et Guillaume. De là commence l'aventure pour le Champagne Brisson-Lahaye. La famille a alors l'opportunité de faire l'acquisition de parcelles de vignes AOC Champagne un peu partout dans la Marne et se défait du travail d'agriculture pour se consacrer uniquement au travail de la vigne et à l'élaboration de leur champagne de vigneron. Après avoir fait ses études au lycée viticole de la Champagne, Laure décide de revenir travailler sur l'exploitation familiale. Guillaume, quant à lui, décide d'un autre parcours professionnel. Un vignoble atypique « Nous avons un vignoble atypique, car nous sommes localisés à Tours-sur-Marne mais nous n’avons pas un seul pied de vigne à Tours-sur-Marne ! », précise Laure. « Nous possédons des vignes sur les trois vignobles majeurs de la Marne avec, en plus, l’avantage d’avoir les trois cépages principaux de la Champagne dans leur terroir de prédilection », ajoute-t-elle. Les différentes expositions s’ajoutant aux natures de sols variables confèrent aux cuvées des arômes complexes, avec une richesse variée de saveurs. De plus, la qualité des raisins issus d’une terre majoritairement calcaire, rehaussée par un savoir-faire traditionnel, explique le succès des champagnes du domaine auprès des fins connaisseurs. Tradition et modernité Récoltant-manipulant, le domaine Brisson-Lahaye est parfaitement autonome et s’occupe de toute la chaine de production, à l’exception de la mise en bouteille, qui revient à un prestataire. Il parvient ainsi à fabriquer entre 35 000 et 38 000 bouteilles dans l’année. Pour la confection des champagnes, la maison allie tradition et modernité. Cueillette, vinification, remuages, dégorgements sont élaborés au moyen des savoir-faire traditionnels. Partisan d’une lutte raisonnée, le Domaine limite l’utilisation de pesticides. « Dans le respect de la Nature, on essaie vraiment de limiter ces traitements», confie Laure. En revanche, pour optimiser la qualité du produit fini, les matériels utilisés sont pour la plupart à la pointe de la technologie. Parmi eux, un pressoir pneumatique à cage fermée et à gros drain. « C’est une nouvelle génération de pressoir qui respecte vraiment les raisins. Par ailleurs, il répond aux normes d’hygiène et donne de très bons résultats », souligne notre interlocutrice. Les cuvées Sept Cuvées constituent la gamme Brisson-Lahaye. « Notre gamme de champagnes est assez étendue », déclare Laure Lahaye. La fraternelle, un assemblage des trois cépages Champenois (Pinot Noir, Pinot Meunier et Chardonnay). L'immuable qui est en Premier Cru est issue d'un assemblage de Chardonnay et de Pinot Noir, ce qui lui confère des arômes floraux d'une belle finesse et une belle longueur en bouche. L'arrogante, un rosé qui reste pour le moment un assemblage de vin blanc et de vin rouge AOC Champagne. En effet, le rosé de saignée est en cours d'élaboration. Pour la mise en vente de ce dernier, il faudra cependant être patient et compter au moins deux années avant de le voir apparaître pour la vente. La sentimentale est un champagne Blanc de Blancs issu des meilleurs Chardonnay du Domaine Brisson-Lahaye. Il bénéficie de la fraîcheur et des saveurs atypiques du pur Chardonnay. Il a reçu une médaille d'Or et d'Argent au concours Mondial des Féminalises en 2017 et 2018. La passionnée, Champagne Blanc de Noirs, issu des Pinots noirs et des Meuniers cultivés dans leur secteur de prédilection, exprime des notes de fruits jaunes accentués par son assemblage de vin passé en fût. Il a reçu une médaille d'or et a été élu «Prix Plaisir» en 2016 au Concours Bettane&Desseauve 2016. La distinguée, mariage de Chardonnay et de Pinot Noir, possède une palette aromatique riche ainsi qu'une finesse et une fraîcheur remarquable. Son passage en fût apporte une touche de raffinement et une belle longueur en bouche. Il a reçu une médaille d'or au Concours mondi...
Les spiritueux A Valence, dans un petit entrepôt, nous faisons rapidement faire le tour du propriétaire : des alambics, coeur de la fabrication, des bouteilles en stock, prêtes à être vendues, des fûts dans lesquels vieillissent rhum et whisky. Là sont proposés pas mal de spiritueux : de l’Esprit de bière, de l’Esprit de malts, de la vodka quadruple distillation, du rhum blanc et du rhum humble, du whisky 3 ans d’âge (disponible en 2020), du London Dry gin et un apéritif à la mistelle de malts (du moût de malts), nommé Caryopse. Tout est fameux, vous ne vous tromperez pas ! Et il propose déjà un beau panel d’apéritifs et de digestifs, après seulement un an d’existence, il faut le souligner. La fabrication O’Baptiste utilise deux alambics, un de 50 et un de 300 litres. Pour chaque spiritueux qu’il fabrique, il fait deux passes (comprenez deux distillations). Ainsi, après la première macération, il obtient un brouillis, qui est ensuite re-distillé. A l’issu de cette double distillation, l’alcool titre 70 degrés. L’ajout d’eau permet d’obtenir le titrage souhaité, généralement 40 ou 45 degrés. Ses matières premières sont bio, notamment pour l’Esprit de malt qui provient de la malterie coopérative Malteurs Echos qui se situe à une quarantaine de kilomètres de Valence, en Ardèche. Les matières premières sont locales, en particulier pour l’esprit de bière, fabriqué à partir de bières artisanales locales. La seule matière première ne venant pas du Sud-Est est la mélasse de canne à sucre utilisée pour fabriquer le rhum. Elle vient de loin : d’Asie, de Thaïlande pour être précis (l’Asie est l’autre grand producteur mondial de sucre avec l’Amérique latine), mais cette mélasse est bio. Embrassez des inconnus C’est un concept vraiment déroutant : eau de vie de crachoir. Certains trouvent cela amusant, d’autre répugnant mais tous s’accordent à dire que c’est étonnant. O’Baptiste a été contacté par un festival de vins naturel qui se tenait à Paris, pour fabriquer cette eau de vie, et renouveler l’expérience d’un distillateur australien : Peter Bignell de la distillerie Belgrove, avec qui Baptiste a collaboré pour cet esprit. Il n’a pas réfléchi longtemps avant d’accepter. Ainsi, a-t-il récupérer les cuves contenant les vins dégustés puis recrachés par 1300 Parisiens. Et de là est né l’appellation « Embrassez des inconnus ». La distillation étant un processus de purification… il n’y a aucun risque sanitaire. Vous pouvez donc boire ces résidus de festival, titrant 43 degrés, en digestif. Les bouteilles seront prêtes à être vendues d’ici peu ! Les rhums Les rhums sont fabriqués à partir de mélasse de canne à sucre bio. Là où c’est beau et bon, il n’y a pas de colorant, d’additif, de sucre ou quoique ce soit. On est sur du rhum pur, qui a obtenu sa couleur (pour le rhum humble) au travers de son vieillissement. Le rhum blanc est issu d’une double distillation, puis mis en bouteille immédiatement après. Le rhum humble (ambré) a quant à lui vieilli 3 mois en fût d’acacia. Le fût d’acacia permet d’apporter des notes vanillées et caramélisées, ce qui donne un rhum rond et assez doux. Le rhum blanc est, à l’odeur, vanillé et fruité. L’arôme se révèle également fleuri et vanillé. On retrouve également des notes de fruits exotiques. Il y a également quelque chose de boisé. En clair, ce rhum est très riche en goût et s’apprécie vraiment pur. Le rhum Humble a été primé de bronze au Congrès International du rhum de Madrid en mai 2018. L’Esprit de bière Petite dégustation, on trouve un goût très présent de céréales et un peu de levures, en fin de bouche ressent légèrement du chocolat. Mais on ne retrouve pas le goût de la bière pour autant, ce n’est pas de la bière ne vous attendez pas à boire ça, vous seriez déroutés. Au nez, on perçoit un goût de malt. C’est une eau-de-vie donc c&rsqu...