L’amour du terroir et des valeurs transmises. Le goût des autres, aussi, et celui de l’authenticité. Christine et Hugues de la Guéronnière portent avec passion un héritage familial ancré dans l’histoire depuis 1928. Si le vignoble rencontre ses lettres de noblesses dans les années 50, il n’a pas cessé de les honorer depuis. Terroir et artisans oeuvrent ici conjointement à créer le meilleur. Un terroir et un savoir-faire complices derrière des vins d’exception Les vignes du Château Chatain, d’une moyenne d’âge de 50 ans, content les vallées, la Barbane, les sources d’eau qui les traversent et un sol graveleux -argilo-limoneux, dans lequel elles puisent minéralité et caractère. La hauteur des feuilles, l’ébourgeonnage, le labourage au tracteur : Christine de la Guéronnière perpétue un savoir-faire acquis de son père, Hugues tout en organisant le domaine dans un esprit d’agriculture raisonnée. Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Malbec sont cueillis à maturité par les mains attentives des vendangeurs. Puis vient l’assemblage, ces précieux instants où l’alchimie s’invente, à l’écoute des cépages et de leurs aromes. Les vins sont élevés en fûts de chêne, où ils révèleront leur quintessence au bout de douze mois ou plus. Le domaine utilise même un pressoir hydrolique de 1900, assurant un pressurage lent mais qualitatif. Ici, la productivité n’est pas le maître mot et ne se fait jamais au détriment du « très bon ». Dans leur robe rouge rubis, les vins Lalande de Pomerol du Château Chatain profitent aussi de label européen AOP. Médaillés, salués par les critiques, les opus libèrent leur tanin puissant et subtil. Rondeur et longueur en bouche révèlent une complexité à la profondeur tranquille et veloutée. Le fruit s’exprime dans toute sa primeur. Un domaine dynamique et inspiré La famille de la Guéronnière compte artisans, artistes et voyageurs depuis plusieurs générations : vigneron, ébéniste, pianiste polyglotte. Une ouverture d’esprit qui amène Christine de la Guéronnière à étudier dans le commerce international et à voyager elle-même, avant de rejoindre le domaine pour y semer son énergie solaire. Équipe, amis, famille, voisins prêtent main forte, fédérant une dynamique locale impliquée et unie. Marie de la Guéronnière, la sœur cadette de Christine, a rejoint cette année le vignoble, après une carrière en tant que comédienne, metteuse en scène et Directrice de théâtre en Irlande. Une heureuse présence promettant quelques rendez-vous artistique in situ. La solidarité avec les châteaux voisins est palpable, tout comme la convivialité que le domaine entretient avec les cavistes, les restaurateurs locaux, avec un goût prononcé pour les plus inventifs. Au Château Chatain, on aime le bon vin mais aussi les bonnes idées. Quand oenotourisme rime avec imagination Et côté idées, le Château n’est pas en reste. Des visites œnologiques donnent à découvrir terroir, savoir-faire et histoire. Des jeux d’assemblage permettent aux visiteurs de recevoir quelques secrets de cette « cuisine des dieux ». L’été, on y organise des barbecues champêtres où savourer produits du terroir mais aussi des apéritifs fluviaux à Libourne. Avec d’autres partenaires locaux, le domaine proposent des visites en calèche, en tuk-tuk, en vélo ou en side-car. Des moments joyeux qui pensent à toute la famille, toujours clos par une dégustation savoureuse. Le bonheur s’invente chaque jour au Château Chatain, qui le partage volontiers, de grands vins en bons moments. ...
S’inspirant de leurs origines et de leur amour inconditionnel pour la gastronomie italienne, Eric et Raffi lancent leur concept avec la promesse de vous faire découvrir une cuisine ensoleillée et des pizzas à la coupe comme jamais vous n’en goûterez ailleurs à Paris. Amour pour la tradition artisanale, sélection de produits d.o.p. et un service de qualité, voici le secret! Véritable œuvre d’art Pour réussir à exprimer pleinement son talent, tout artisan qui se respecte se doit d’avoir les meilleures matières premières entre ses mains. Chez Acquerello, les farines blanches et intégrales servant à la préparation de la pâte sont sélectionnées avec le plus grand soin. Elles sortent directement du moulin d’un producteur italien. Tous les autres produits sont choisis pour leur qualité exceptionnelle allant de la mozzarella au lait de bufflonne au parmigiano (parmesan) reggiano en passant par la gorgonzola et la scamorza fumée, la pancetta (lard) italienne et la crème de truffe. Pour mettre en scène ces ingrédients, Eric se tient prêt devant son pétrin et son four (italien lui aussi) conçu spécialement pour la pizza à la coupe romaine. Ce passionné use de son savoir-faire et de ses talents de boulanger (talents appris à l’Ecole Grégoire Ferrandi et dans les meilleures boulangeries et pizzerias parisiennes)pour vous concocter une grande diversité de pizzas. Tartufo, Pancetta, Pesto : des noms évocateurs appelant à la gourmandise se découvrent dans la carte riche d’une vingtaine de variétés de pizzas (voir le menu sur le site www.pizzacquerello.fr) mais Eric est prêt à satisfaire les demandes les plus variées qui n’apparaissent pas sur la carte (chaque client à ses exigences!). Un service traiteur hors pair ! Acquerello accompagne également les particuliers ou les entreprises dans l’organisation de leurs évènements (anniversaire, réception, cocktail, buffet..). L’établissement bénéficie d’un matériel dernier cri lui permettant de rester opérationnel en toute circonstance. « Nous pouvons offrir nos services de traiteur même pour des événements dans des lieux qui sont dépourvus de cuisine et de frigo » nous souffle Raffi, la propriétaire. Acquerello s’adapte aux besoins de sa clientèle au niveau des menus proposés. Cette personnalisation de son offre est une garantie de satisfaire même les plus exigeants. Parmi les plats les plus demandés figurent les lasagnes (rouges et aux légumes), les focaccia, le petits pains tomates confites et mozzarella et bien sûr, les incontournables pizzas à la coupe. Quant aux boissons, «l’Italie s’invite aussi à table» déclare notre interlocutrice. L’occasion d’apprécier la richesse aromatique des vins du pays minutieusement sélectionnés, des boissons italiens (limonata siciliana, sodas San Pellegrino et bières italiennes). Mais Acquerello n’oublie pas le Services, avec la qualité: hygiène garantie (aller visiter leur laboratoire), ponctualité dans la livraison, possibilité de demander le service d’installation, fourniture du matériel pour buffets, personnel pour que les invités de votre événement soient servis comme il se doit en plateaux et boissons. ...
Installant ses vignes en cave coopérative en 2003, Stéphane GUILLEMIN donne un tournant à son activité viticole à partir de 2007 en créant sa propre exploitation avec l’aide de sa femme Lucie. Il fait acquisition d’un vignoble de 25 hectares répartis sur les communes de Clessé, Viré, Péronne et Verzé. La grande diversité de son terroir lui offre toutes les latitudes pour travailler plusieurs appellations telles que Viré-Clessé, Mâcon-Péronne, Mâcon-Verzé, Mâcon-Villages, Crémant de Bourgogne et Bourgogne rouge. L’appellation Viré-Clessé sous les feux des projecteurs L’AOC Viré-Clessé est reconnue à partir de 1998 et s’étend sur les terroirs de l’AOC Mâcon Villages. Vifs et frais aux arômes de fruits, les vins blancs issus de cette appellation font partie des fleurons produits par le Domaine Guillemin Stéphane et Lucie. Parmi ces pépites figure ainsi la cuvée éponyme, un chardonnay généreux dévoilant de belles notes de fruits mûrs, d’agrumes et de fleurs. En bouche, elle se veut harmonieuse, suave, ronde et minérale sur fond de saveurs épicées et fruitées. Un superbe cru qui donne relief et consistance aux fruits de mer, aux poissons, aux crustacés, au fromage de chèvre ou aux viandes blanches grillées. Une alliance entre tradition et modernité Pour produire ses vins raffinés et expressifs, le domaine a fait le choix d’adopter une viticulture raisonnée. Aujourd’hui certifié Haute Valeur Environnementale (HVE), il signe sa différence en mettant en avant un savoir-faire traditionnel associé à l’utilisation de technique moderne qui réduit au maximum l’usage d’intrants phytosanitaires. ...
Les origines du château remontent au XVe siècle, plus précisément en 1419. En ce temps-là, le baron de Trubessé, Arnauton Guilhem du Vignau, découvre pour la première fois Cabidos et tombe sous le charme de ce lieu féérique. Il décide de s’établir sur ces terres et transforme une demeure modeste en château digne de son rang. Très vite, les premières vignes sont plantées et vont donner naissance à un vin blanc de qualité. Au cours de nombreux siècles, les générations qui se sont succédé tenteront de préserver cette tradition viticole. Aujourd’hui, le château et ses vignes font le bonheur de la famille Alday, qui s’est rendue propriétaire des lieux en 2015. Sous l’impulsion de Robert Alday, le domaine Château de Cabidos a acquis assez rapidement une belle réputation, grâce à la qualité et à la finesse de ses vins. Il est vrai que, pour magnifier ses nectars, le maitre des lieux a su s’entourer de spécialistes reconnus dans l’univers du vin comme Jean-Claude Berrouet (éminent œnologue) et Jean Brana (un pilier fort de l’AOC Irouléguy). Un terroir propice au petit manseng Le domaine travaille actuellement sur un vignoble de 9 ha, situé entre le vignoble de Jurançon et le vignoble de Madiran. Là, les vignes sont plantées sur des coteaux bénéficiant d’une exposition sud-est. Elles s’épanouissent sur un terroir argilo-calcaire caillouteux et profitent à cet effet d’un excellent drainage naturel. « Cela permet d’avoir une densité de plantation élevée qui dépasse 5 000 pieds de vigne à l’hectare », souligne Pilla Laborde, directeur administratif et financier du Groupe Alday, détaché au suivi de l’exploitation du Domaine de Cabidos. L’encépagement du domaine Château de Cabidos est composé à 77 % de petit manseng. Il s’agit d’un cépage autochtone des Pyrénées qui se distingue par une forte concentration en sucre ainsi que par une capacité à développer des arômes subtils de fruits confits. « C’est le cépage emblématique de notre vignoble. S’il est généralement utilisé en assemblage et pour faire des vins blancs doux, nous l’utilisons pour élaborer des vins blancs monocépages, y compris des blancs secs 100% petit manseng qui sont très appréciés», nous indique-t-on. Le reste de l’encépagement est complété par du chardonnay, du sauvignon et de la syrah. Cette dernière a été récemment introduite dans le vignoble afin de permettre l’élaboration de vin rouge. En route vers le bio La maison opte pour une culture raisonnée et rejette tout apport d’engrais. En outre, l’utilisation de produits chimiques reste limitée. Mais le domaine souhaite aller encore plus loin et a décidé d’entamer sa reconversion vers la viticulture biologique dès 2019. « Une phase de conversion d’un vignoble dure au minimum 3 ans, ce qui veut dire que nos cuvées 2022 seront entièrement biologiques », précise notre interlocuteur. Il est clair que cette reconversion sonne comme une évidence au vu des techniques culturales qui se pratiquent ici de génération en génération. En effet, dans ce vignoble, le gros du travail se fait encore manuellement. À commencer par l’effeuillage ! Une étape cruciale qui vise deux objectifs : diminuer la possibilité de pourriture et permettre aux grappes de bénéficier d’un maximum d’ensoleillement, essentiel pour assurer une bonne maturation. Ensuite, au domaine Château de Cabidos, on continue fièrement de pratiquer les vendanges à l’ancienne. Celles-ci se font en plusieurs étapes. La première vendange, qui a lieu la dernière semaine de septembre, porte sur le chardonnay, le sauvignon et la syrah. La deuxième étape concerne les vendanges tardives du petit manseng, qui se déroulent vers fin octobre-début novembre. S’enchainent ensuite une succession de vendanges tardives portant sur les jeunes et les vieilles vignes. Bref, toutes les opérations ne prennent fin que début décembre. Côté vinification, le domaine s’est doté d’un chai climatisé ainsi que des ...
Le restaurant Villa Belle Rive est orchestré de façon magistrale par un jeune maestro, dynamique et passionné. À tout juste 38 ans, Sébastien Thébaud est reconnu pour son savoir-faire et sa passion pour la cuisine. Un chef qui aime surprendre S’initiant très jeune à ce métier, il débute à l’école hôtelière Nicolas-Appert. Une fois le CAP, le BEP et un bac professionnel du lycée hôtelier Valère-Marthe des Sables-d’Olonne en poche, il acquiert des expériences saisonnières dans deux restaurants durant quatre ans. Il continue son aventure et devient commis et maitre cuisinier à Val-d’Isère à 21 ans. Doté d’un esprit de challenge, il ouvre son propre restaurant à l’âge de 24 ans. Dans son établissement L’Escarpolette à Sucé-sur-Erdre, il commence seul en cuisine avant de se constituer une équipe de cinq personnes. Au fil du temps, sa créativité lui a permis de se construire une solide réputation. Les ambitions de ce chef passionné grandissent si bien qu’il décide de s’installer à Sainte-Luce en 2011, en reprenant notamment l’ancien restaurant du chef Delphin, qu’il rebaptise Villa Belle Rive. Sébastien vit sa consécration le jeudi 27 mars 2014. Il reçoit ce jour-là le fameux diplôme de l’innovation en art culinaire délivré par l’institut Édouard-Nignon puis le 6 Novembre 2014 où il gagne le Concours Métro- Gilles Goujon avec son équipe et une Première Toque au Gault et Millau en 2016. Un instant gourmet Villa Belle Rive ouvre ses portes à ceux qui veulent vivre une expérience culinaire mémorable. Avec une vue panoramique sur la Loire, dans un cadre spacieux et lumineux aux couleurs vives à nuance de gris, il offre une cuisine savoureuse, préparée avec soin par ce chef soucieux et attentionné. Celui-ci collabore avec des producteurs de la région qui lui fournissent des produits frais et de qualité. Sébastien a bâti sa renommée sur l’authenticité et l’originalité de sa cuisine. Il sublime les produits du terroir en les rehaussant de diverses sauces tout droit sorties de son imagination. En dégustant l’un des plats phares de la maison, à savoir le sandre au beurre blanc car il tient à respecter les traditions des bords de Loire également, vous aurez amplement un aperçu du talent et de l’inventivité du chef. Son foie gras mi-cuit est également très demandé. Différentes formules proposées aux convives Villa Belle Rive offre tous les jours trois menus gastronomiques et une carte qui sont renouvelés 4 fois par an. Parmi eux figure le menu de midi, le 12 O’clock. Servi spécialement au déjeuner du lundi au vendredi, il offre en plus des suggestions du jour, en entrée de l’avocat en cannelloni farci aux crevettes et effilochées de crabes, le tout agrémenté de sauce cocktail. La pièce du boucher snackée à la plancha est servie en plat principal et agrémentée d’une sauce barbecue ou bien encore un filet de mostelle sur sa bisque de langoustine au curé nantais. Au dessert, le fromage blanc de la Pannetière avec son coulis gourmand et le crumble de P’tit Lu fait bien l’affaire. Les convives peuvent aussi choisir le café gourmand, qui est une déclinaison de gourmandises et son café, ou bien la balade gourmande, composée d’une balade de fromager (trio de fromages sur son lit de verdurette et ses griottines) accompagnée d’un verre de vin ou de porto. ...
En vrai visionnaire, André Deberdt était à l’origine de la création du label Bio équitable et était à la fois un acteur majeur au sein du réseau Biocoop. Il fonde KAOKA en 1993, et choisit de se concentrer sur le cacao et le chocolat afin de maîtriser toute la chaîne de valeur, depuis la plantation jusqu’à la commercialisation des produits finis. Un cacao éthique et de qualité Présente sur quatre filières, à savoir l’Équateur, Sao Tomé, le Pérou et la République Dominicaine, la société entre en relation directe avec les producteurs locaux et s’investit dans une stratégie de codéveloppement concertée pour pérenniser l’activité. L’une des valeurs éthiques véhiculées par KAOKA est le respect des hommes, qui se concrétise par la mise en place d’un cadre de travail optimal ainsi qu’une rémunération juste et honnête. Cet enrichissement mutuel se poursuit notamment dans la mise en place de coopératives regroupant les petits planteurs de cacao, qui bénéficient d'équipements performants utilisés dans les étapes de fermentation et du séchage. Ces investissements garantissent une meilleure qualité des récoltes tout en simplifiant les activités des producteurs. Dans sa vision d’un partenariat à long terme et pour faire face aux menaces de la pénurie de cacao, la société a également développé une technique agronomique basée sur la méthode du greffage comme solution viable pour les deux parties. Au-delà de l'augmentation de la production de cacao pour les producteurs, cette technique permet surtout d'encourager et favoriser la culture des variétés locales de cacao aux arômes originels et exceptionnels. Cette démarche reconnue a valu à KAOKA l'obtention de la certification FFL pour l'ensemble de ses produits, selon le référentiel pointu et exigeant BioPartenaire. Une palette bien gourmande Selon l’origine des fèves, les produits KAOKA révèlent une typologie aromatique bien spécifique et riche en saveurs. La gamme Noir Dégustation qui est l’ambassadrice de la maison se décline en plusieurs tablettes et s’adapte au goût de chacun : allant d’un mélange de saveurs plus délicates jusqu’au noir intense à 90 % pure pâte de cacao. Récemment, la marque a lancé deux nouveaux produits : l'un agrémenté de citron-gingembre et l'autre de noix de coco, pour apporter une note exotique plus soutenue. En outre, la gamme pâtissière (chocolat de couverture, pépites et poudres de cacao) est souvent appréciée par les fabricants chocolatiers et les artisans pâtissiers, de par sa qualité et conformité à leur exigence. ...
Mélange subtil entre les saveurs de l’Asie et de l’Europe, ce restaurant vous propose une rencontre inédite née de la fusion volontariste entre cuisine française et Asiatique. Un jardin Zen aux couleurs de l’Asie Décorée aux façons de l’Asie, la terrasse extérieure est à elle seule une invitation à la détente. Les convives glissent naturellement dans une ambiance zen où le stress n’a pas son mot à dire. Ici, entre deux parties de pétanque, de ping-pong ou de badminton, les invités s’accordent une pause digestive à l’ombre des platanes. A l’intérieur, on découvre un cadre plutôt simple mais convivial où le mobilier ainsi que les éléments de décors arborent fièrement une couleur vert-Jade. Clin d’œil à peine voilé pour la Chine dont sont originaires les propriétaires. Cuisine française avec une touche asiatique Derrière les fourneaux, le chef Konno Naoki distille un mélange de culture et de saveurs exotiques au gré des commandes. En entrée, le carpaccio de Saumons noirs vinaigrette wasabi fait mouche à tous les coups ! En plat principal, entre poissons ou viandes, le plus difficile est de choisir. Pour faire honneur aux origines du chef, pourquoi ne pas se laisser tenter par les fameuses gambas flambées au saké avec riz rouge pilaf ? Un pur délice ! Pour achever comme il se doit ce périple culinaire, rien de tel que le cheesecake saveur yuzu au azuki (haricot rouge japonais). Pour les habitués, le restaurant propose un rendez-vous dominical autour d’une formule brunch. L’occasion est idéale pour savourer de délicieux raviolis japonais aux poulets et légumes grillés ou encore un DimSum à la vapeur (porc et crevette). Côté boisson, l’endroit est connu pour ses nombreuses bières du monde. ...
« En lisant les cartes de différents restaurants, je remarquais qu’il y avait beaucoup de vins chiliens, et pas forcément de vins d’Argentine. Or, moi qui suis originaire de ce pays et, de plus, fille de vignerons, je connaissais très bien la qualité des vins argentins ! », révèle Else Decker. La fondatrice d’Elsoli devient ainsi l’ambassadrice des vins de son pays, en créant sa propre société d’importation en 2005. Depuis, elle prend véritablement plaisir à dénicher les perles rares d’Argentine. Et elle les propose avec fierté sur le marché français, en collaborant avec différents distributeurs. De savoureux vins de terroir Selon Else Decker, le secret des bons vins argentins, c’est leur terroir. « Déjà, le vignoble bénéficie de 300 à 320 jours de soleil par an. Cela favorise la maturation des raisins. Grâce au bel écart de température qu’offre le climat, la vigne va s’enrichir en soleil pendant la journée, tandis que, la nuit, elle bénéficie de la fraicheur apportée par le vent. » Par ailleurs, les terroirs d’Argentine sont riches et variés, grâce aux différents éléments qui les composent : calcaire, argile, matières minérales... En outre, ils sont « très sains », puisque les viticulteurs privilégient des pratiques culturales nécessitant très peu de produits chimiques. En plus de révéler les particularités de leur terroir, les vins argentins symbolisent la passion et l’honnêteté du vigneron dans son travail. Des vignerons passionnés Else Decker travaille actuellement avec cinq vignerons qu’elle connait « personnellement », tient-elle à souligner. En quête de tradition et d’authenticité, elle a d’abord été séduite par les vins de la famille Roca, de Mendoza. « Quand j’ai fait déguster les vins à quelques bons restaurants et sommeliers reconnus en France, ils ont tous aimé ! À partir de là, j’ai fait venir ma première commande qui s’est vendue très rapidement. » L’aventure a continué avec Domingo Molina, dont le vignoble est situé entre 1 600 et 2 300 m d’altitude dans la vallée de Cafayate, à Salta . Cette maison a convaincu Else Decker par sa façon de vinifier le Torrontés, un cépage caractéristique de l’Argentine. Vient ensuite La Bodega del Fin del Mundo, un domaine basé à l’extrême sud de Patagonie. Ici, place à des vins de haute qualité qui arborent parfaitement les particularités du terroir « du bout du monde ». Une autre maison qu’Elsoli représente est celle des Bianchi, une famille de vignerons italiens qui se sont installés en Argentine en 1887. Leur savoir-faire est soigneusement préservé à travers leurs vins, synonymes de passion et de tradition séculaire. Enfin, la maison uruguayenne Bracco Bosca, qui doit notamment son succès à la cuvée « Ombù », un nom tiré de celui d’un arbre typique d’Uruguay. En choisissant ce domaine, Else Decker veut dépasser les frontières de son pays d’origine. « Aujourd’hui, on me demande de rapporter d’autres vins, pas seulement d’Argentine. À croire que je deviens un peu l’ambassadrice d’Amérique latine ! », conclut-elle, enthousiaste. ...
L'Acula Marina est implanté à l’est de la ville de l’Île-Rousse, en Balagne, sur la plage de Caruchettu. Entouré de mer et de sable blanc, cet endroit offre un cadre paradisiaque, avec en prime une vue sur le Cap Corse et la Cité Paoline. Comme l’évoque Julien Dary, le gérant actuel des lieux, « c’est un petit restaurant de plage un peu retiré du centre-ville », que les clients apprécient pour son calme sans pareil et son merveilleux paysage. Un environnement idyllique Ce restaurant propose à sa clientèle de savourer les plats tout en profitant de la vue et en écoutant le doux bruit de la mer depuis la terrasse ombragée. Mieux encore, par beau temps, appréciez des moments magiques sur les transats et leurs parasols installés sur la plage aménagée de l’établissement. Quoi de mieux que d’admirer un coucher de soleil laissant place au clair de lune, au bord de la mer, avec des assiettes gourmandes et en bonne compagnie. Il est également possible de prendre place à l’intérieur pour jouir d’une ambiance cosy. Étant à l’écart des promeneurs, L'Acula Marina permet une petite évasion le temps d’un déjeuner ou d’un dîner. L’accueil chaleureux en séduit plus d’un, avec un personnel souriant, attentionné et très à l’écoute. À noter que l’espace est privatisable pour des repas d’affaires ou d’autres événements pas comme les autres. Les saveurs méditerranéennes La cuisine semi-gastronomique met à l’honneur les spécialités méditerranéennes. Julien Dary souligne que « tout est fait maison, avec des produits frais ; le chef concocte beaucoup de plats à base de poissons, surtout le loup de mer ». La carte est bien riche. Le tartare de saumon d’Écosse « label rouge » rehaussé avec une mousseline d’avocats au mascarpone et au wasabi léger, ainsi qu’une émulsion de betterave au citron vert, est l’une des entrées les plus appréciées. Le plat principal recommandé, quant à lui, est le Filet de « St Pierre » cuit à l’unilatéral, beurre d’herbe croustillant au zeste d’agrumes, pleurotes juste saisies, jus de viande corsé, risotto crémeux au parmesan. Pour finir, rien de tel que la glace artisanale corse. Ces assiettes, hautes en couleurs et riches en saveurs, peuvent être accompagnées d’une bouteille de vin corse. ...
Existant depuis 1850, le domaine ne commence à vinifier qu’en 1994. En 2010, Philippe Betschart apportera sa touche personnelle, en s’appropriant l’approche biodynamique dans le mode cultural et les techniques de vinification. La personnalité de chaque cuvée est marquée par un élevage qui diffère d'un millésime à l'autre. 2014 signe une démarche innovante puisqu'en décidant d'exclure les apports d'origine animale à la vigne et à l'élaboration du vin, le château débouche sur une certification VEGAN (EVE01), permettant à tout un chacun, dont les végétariens, de goûter à des vins faciles à boire qui ont de la personnalité. Un atout de taille qui lui permet de conquérir des tables prestigieuses aussi bien locales (le Prince Noir à Bordeaux) qu'à l'internationale (au Japon entre autres). Vinification : entre tradition et modernité Le domaine des Graves de Viaud a élu le merlot, le cabernet franc et le cabernet sauvignon comme principaux cépages. Les vignes bénéficient des meilleurs soins conformes aux exigences du label Demeter, dont le cahier des charges impose une vinification sans aucun intrant chimique, excepté le soufre. Les levures indigènes sont donc privilégiées pour les fermentations, tandis que les cuvaisons durent de 25 à 35 jours. « Notre mode de vinification tient à rester le plus naturel possible », souligne Philippe Betschart, propriétaire-gérant du domaine. Ainsi, les Côtes-de-Bourg du Château Les Graves de Viaud arborent finesse et élégance. « Nous produisons des cuvées modernes et classiques de bordeaux, prisées pour leur fraicheur, leur souplesse ainsi que leurs saveurs fruitées », nous indique-t-on. Le fruit avant tout Les vins de la maison sont répartis en deux gammes. D’une part, on trouve la gamme des cabernets où s’inscrivent des cuvées résolument modernes telles que « Les Cadets » et « Terroir ». « Les Cadets » est appréciée pour sa simplicité et ses délicieuses notes florales tandis que « Terroir » est privilégiée pour sa délicatesse et sa complexité issues d’un long élevage en barrique. D’autre part, on distingue la gamme des merlots qui regroupe des cuvées, certes plus classiques, mais absolument exquises. Parmi la liste figure la cuvée « Origine », qui est un assemblage à 90 % de merlot. Connaissant un succès certain à l’export, ce vin est un véritable enchantement pour les papilles. La cuvée « Réserve » fait également partie de la gamme des merlots. Ici, place à une sélection de vieilles vignes de plus de 60 ans qui sont élevées en barriques neuves durant 18 à 24 mois. Le résultat garantit un plaisir optimal à la dégustation ! ...
Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique, fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...
Réparti sur six communes aux alentours du village, le vignoble s’étend sur 13 hectares, exposés uniquement sur les coteaux sud. Bien entendu, les parcelles sont encépagées des trois variétés champenoises : chardonnay, pinot noir et pinot Meunier. La particularité du domaine est qu’il travaille principalement le Meunier, dont le terroir de la vallée de la Marne lui est propice. Un domaine certifié Haute valeur environnementale Respectueux de l’environnement et de la nature, le champagne Robert-Allait mène depuis des années des efforts continus dans le but de préserver son terroir. Un travail de longue haleine qui a été récompensé, puisque le domaine a été certifié « Haute valeur environnementale » de niveau III et « Viticulture durable » depuis 2015. Si ces certifications permettent, dans les faits, de protéger la biodiversité animale et végétale du domaine, cela n’en est pas moins favorable au vigneron. En effet, elles permettent de récolter des raisins sains et, par conséquent, d’en obtenir des jus de qualité contribuant à une vinification optimale. Vignerons indépendants et fiers de l’être Installés en Champagne depuis près de deux siècles, les Robert-Allait sont des vignerons indépendants chevronnés qui font tout de A à Z, de la récolte à la vente. « Les 100 000 bouteilles que nous produisons sont commercialisées en direct par nous-mêmes, par la vente à la cave, la vente à la propriété ou lors des différents salons auxquels nous participons », explique Sylvie Robert, la propriétaire. Parmi les sept cuvées qui font la fierté de l’entreprise, Stéphanie Robert, fille de Sylvie, recommande le Plaisir Nature. Un 100 % Meunier, non dosé, qui révèle particulièrement la fraîcheur et le fruité de ce cépage. La « Cuvée Prestige » est quant à elle la plus incontournable. Issu d’un assemblage judicieux entre les trois cépages, ce champagne élégant, mature et complexe fera le bonheur des connaisseurs par son côté fruité, sa très belle tenue en bouche et sa grande longueur. ...
Ce n’est un secret pour personne : La Grande Épicerie de Paris est un lieu incontournable de la gastronomie. Depuis novembre 2017, l’enseigne historique de la Rive Gauche a traversé la Seine et ouvert un nouveau magasin rue de Passy, dans le 16ème arrondissement. La Grande Épicerie de Paris : lieu de vie et de passion Rive Gauche comme Rive Droite, les rayons de La Grande Epicerie de Paris mettent à l’honneur une vaste sélection de saveurs d’ici et d’ailleurs : épicerie (thé, café, huile, pâtes, confiture etc.), produits frais (fromage, charcuterie, poissonnerie, boucherie etc.), références d’exception (caviar, foie gras ou truffe), cave (vins et spiritueux du monde), sans oublier la pâtisserie, la boulangerie et le traiteur dont les créations sont réalisées chaque jour par une centaine d’artisans passionnés dans les laboratoires, sous le magasin rue de Sèvres. Pour satisfaire tous les gourmets, La Grande Épicerie de Paris accorde une grande importance à la sélection de ses produits. C’est dans ce but qu’une équipe d’experts sillonne la France entière et le Monde à la rencontre des producteurs et artisans proposant les meilleurs produits mais aussi à la découverte d’innovations en tous genres dans le secteur de l’alimentaire : nouvelles textures, nouveaux ingrédients, packagings originaux, catégories de produits redynamisés,… La Grande Épicerie de Paris : une histoire à succès L’histoire de La Grande Épicerie de Paris débute en 1852. C’est à cette date qu’Aristide Boucicaut crée le premier grand magasin au monde : Le Bon Marché, où de nombreuses innovations virent le jour tels que la vente par correspondance, le blanc ou les soldes. Dès 1923, un « comptoir de l’alimentaire » est installé au sein du grand magasin et c’est en 1978 que La Grande Epicerie de Paris telle qu’on la connait aujourd’hui voit le jour. Depuis sa création, elle reste le lieu privilégié des gastronomes parisiens à la recherche de produits et d’expériences d’exception. Après un tour dans les rayons, chacun peut s’arrêter au choix sur l’un des comptoirs de dégustation essaimés dans les magasins (ibérique, thé et café, luxe et truffe entre autres) ou dans les restaurants : La Table de La Grande Epicerie (Rive Gauche) ou Le Rive Droite tenu par la chef Beatriz Gonzalez (rue de Passy). Lieu de découverte mais aussi de vie, La Grande Epicerie de Paris propose à ses clients une foule de services : de l’organisation d’événements, à la confection de corbeilles cadeaux sur mesure en passant par la livraison à domicile, le service voiturier ou la réservation de taxis. La Grande Épicerie de Paris sur le web La Grande Épicerie de Paris, ce ne sont pas seulement deux magasins dédiés à la gastronomie. C’est aussi un site internet complet et pratique qui met à disposition des internautes une vaste sélection de références livrables partout en France et en Europe et une multitude de recettes, tendances, d’informations sur les marques, les artisans et les savoir-faire. Prolongement de l’expérience en magasin, il regorge d’informations pratiques (plan, visite virtuelle, catalogue de produits) et de services complémentaires (demande de devis, privatisation du restaurant La Table…). ...
L’histoire du domaine remonte aux XVIème siècle. Il fut d’abord la propriété de la famille du Comte du Périer de Larsan qui y a véritablement forgé l’histoire du domaine. Puis a ensuite été la propriété de la famille de Montesquiou / David-Weill. La famille FLAGEUL rachète finalement la propriété en 1975 et l’agrandit en même temps. Quasiment historique dans la région, dès 1874, le Guide Féret sur Bordeaux et ses vins consacre déjà le vignoble comme l’un des meilleurs de l’appellation. Les vins du Château Brillette sont reconnus pour leur goût authentique, un mariage de fruits et d’épices. Avec un sol constitué d’un tiers d’argile, de galets et de graviers, le vignoble s’étend en partie sur des parcelles de « graves », spécificités géologiques de la région. En ce qui concerne les cépages, ils sont composés à 60% de Cabernet Sauvignon et le reste de Merlot et de Petit Verdot. Le vignoble n’utilise ni engrais chimique ni insecticides. La pratique de la culture y est raisonnée et manuelle. Le domaine garde un savoir-faire traditionnel héritage de son histoire glorieuse. C’est grâce à cette manière de travailler que depuis 2018, le château a acquis la plus haute labellisation en la matière puisqu’il est certifié HVE-3 (Haute Valeur Environnementale). L’utilisation de produits testés sur les animaux ou qui mettent les animaux en danger y est ainsi proscrite et une partie de la production est même certifiée végan. La vigne fonctionne dans un écosystème privilégié. Avec un climat bordelais océanique porté par l’Atlantique, les raisins obtiennent une belle maturité. L’élevage et les vendanges Les vendanges se font pendant trois semaines, précisément entre le 25 Septembre et le 15 Octobre de l’année. La vinification est toujours traditionnelle, et le vin est très peu travaillé pour lui donner un goût intense naturellement. Ce vin de terroir a une typicité qui se retrouve dans le même type de vin même s’ils changent de directeur ou de Maître de chais. Sur le domaine, ce sont 15 personnes qui travaillent en permanence et pendant les vendanges, cela peut aller jusqu’à 60 personnes. En ce qui concerne l’élevage, qui se fait en général sur une période de 12 mois, l’équipe fait la récolte, vinifie et procède à la macération post fermentaire. Pendant 10 jours, le vin est extrait, on sépare le marc du jus et tous les vins partent en barrique. Pour ne pas avoir un goût boisé dans le vin, les barriques sont peu chauffées. Le Maître de chais collabore étroitement avec l’œnologue reconnu Eric Boissenot dans l’assemblage de certaines cuvées. Des vins d’exception au cœur de l’appellation Parmi les vins produits sur le domaine qui se démarquent particulièrement, on retrouve la bouteille « Haut Brillette ». Un vin à base dominante de merlot assorti à du Cabernet Sauvignon et de Petit Verdot selon les années. C’est un vin frais et très fruité en bouche. Il est issu principalement de jeunes vignes et met en avant le terroir constitué de graves de Günz et d’argile. Autre vin à découvrir également, le Château Brillette qui jouit d’une palette typée de fruits noirs, d’épices et d’un boisé subtil. Composé de trois cépages, du Cabernet Sauvignon, du Merlot et selon les saisons du Petit Verdot, c’est un vin de couleur noire car les couleurs restent assez longtemps. Au niveau du nez, on ressent une note de fruit, avec un goût particulier mentholé et d’eucalyptus. A la dégustation, il accompagne les viandes, la charcuterie, le fromage ou encore les plats thaïlandais épicés. Les vins du Château Brillette se dégustent au bout de 5 ans et possèdent une bonne garde de 15 à 20 ans. On peut les retrouver sur de grandes tables comme Chez René, Fontaine de Mars, Chez André rue Marbeuf, Stella ou Sebillon. Ils sont aussi présents chez de grands cavistes reconnus comme La Vignery. Le domaine produit plus de 160.000 bouteilles par an principalement destinées au marché local mais aussi exportées vers la Martinique, la Guadeloupe...
Charles de Gasquet décide de développer le vignoble Mentone à la fin du XIXème siècle. Il agrandit les bâtiments et la cave. Puis, Marie-Pierre Caille, tombe sous le charme de ce Château du Var et en fait acquisition en 2003 avec l’aide de son père. Aujourd’hui, la famille Caille y produit des vins de qualité en suivant une démarche éco-responsable. Elle ouvre également ses portes pour l’oenotourisme. Culture et vinification D’une superficie de 170 hectares dont 32 hectares de vignes, le domaine s’étend à la fois sur les communes de Saint-Antonin-du-Var et d’Entrecasteaux. Château Mentone fait partie des plus anciens vignobles de l’appellation Côtes de Provence et une des trois AOP recensées dans le Var. Sept cépages parmi les onze de l’appellation sont cultivés au domaine : Syrah, Grenache, Carignan, Cinsault, Cabernet Sauvignon, Rolle et Clairette. Ces cépages s’adaptent parfaitement au sol argilo-calcaire, perméable et caillouteux et au climat continental du terroir, favorable à la maturité tardive des raisins. Après plusieurs années de viticulture raisonnée, Marie-Pierre Caille engage le virage biologique en 2008 dans le strict respect du cahier des charges ECOCERT. Cette reconversion trouve sa récompense en 2012 avec l’obtention du label AB pour la viticulture et la vinification. Pour aller toujours plus loin dans ce sens, le domaine opte pour la limitation des intrants chimiques au maximum, l’utilisation des levures indigènes et la réduction de l’utilisation du dioxyde de souffre. Ces techniques ont notamment été utilisées dans l’élaboration de la Cuvée Trilogie. Des efforts qui ont été récompensés par une médaille d’argent au Concours de Lyon pour le Rosé 2015. Les atouts de Château Mentone La maison d’hôtes du Château comporte cinq chambre à la décoration personnalisée et un SPA. L’ancien poulailler s’est métamorphosé en trois petites suites familiales en duplex appelé « Le Sévigné ». Le Lodge n’est pas en reste avec ses trois appartements en duplex, entièrement en bois. L’un des appartements est adapté aux personnes à mobilité réduite. Enfin, une grande maison de vacances a été aménagée dans un ancien moulin à huile. Ce dernier possède six chambres avec salles de bain privatives. Terrasses, tennis, pétanque, piscines et parkings privés complètent l’offre. Le domaine prête sur demande des VTT à ses hôtes. Dans un cadre alliant tradition et modernité au milieu des vignes, une cuisine méditerranéenne est servie à la table de la Ferme-Auberge. Les produits du domaine (oeufs, huile d’olive, fruits et légumes du potager), des producteurs locaux ou des marchés environnants permettent de préparer des mets en harmonie avec les vins bio du Château. Une grande salle de réception permet aussi de recevoir des évènements familiaux et professionnels. Un caveau de vente et de dégustation offre une dégustation individuelle gratuite de l’ensemble des vins du Château Mentone. D’autres produits locaux et souvenirs y sont également en vente. Les gammes de vins La gamme Emotion regroupe des vins qui résultent d’un « travail traditionnel, plus facile à comprendre et à déguster ». Entièrement composé de Rolle, l’Emotion blanc 2015 révèle un nez intense sur des fruits exotiques et une bouche aux notes d’agrumes. Ce qui lui vaut une médaille d’or au Concours Général Agricole de Paris en 2016. Le rosé a quant à lui reçu la médaille d’argent au Concours des Vins de Provence. La gamme Trilogie rassemble un rosé, un blanc et un rouge de terroir. Le Rosé millésime 2015 plus particulièrement a séduit les jurys du Concours de Mâcon qui lui a attribué une médaille d’or. La subtilité et la complexité de ce vin composé de 70 % de grenache, 20 % de cinsault et 10 % de clairette justifient son grand succès. La gamme Cuvée Excellence est un rouge de garde. Celle de 2005 a raflé le Prix de Vinalies 2010 et est élu Coup de cœur du Guide de l’Epicurien la même année. Elle dév...
Fondée par Roger RAVOIRE en 1987, la maison familiale Ravoire et Fils n’a eu de cesse de se développer. Aujourd’hui, elle est présente sur deux vignobles français phares et emploie une quarantaine de salariés. Un rayonnement en France et à l’international Ravoire et Fils ne profite pas seulement de deux sites d’exception (Châteauneuf-du-Pape et Salon-de-Provence). L’entreprise a, en effet, basé ses valeurs sur l’humain et sur une modernisation continuelle de ses outils. Cette dynamique lui permet ainsi de créer des produits aux personnalités propres présents en France et dans le monde. ...
A Saint-Mars-la-Jaille, le restaurant le Chalet fait le bonheur des locaux et touristes de passage, désireux de découvrir une vraie cuisine du terroir. En salle ou en terrasse, la carte traditionnelle illustre le talent et l’inventité de ce chef passionné et décontracté. Un art maîtrisé à la perfection Jean-Marc, originaire du Sud-Ouest de la France, privilégie une cuisine traditionnelle préparée à base de produits bruts et frais issus du terroir local. Ce qui lui a valu une récompense le 15 Décembre 2015 : celle de Maître Restaurateur. Un label témoignant de la qualité et de la fraîcheur de la cuisine proposée. Ce titre de Maître Restaurateur nécessite entre autres l’adoption du circuit court. C’est pourquoi le chef s’approvisionne auprès des fournisseurs régionaux comme la boucherie La Désirade, le Druide du Boisiller, les producteurs bios du wagon pour ne citer que ces exemples. Effectivement, il concocte une cuisine simple et de qualité qui éveille la sensibilité gustative. Il déclare d’ailleurs «travailler les produits locaux différemment.» En résulte alors des plats gourmands comme ces Ravioles d’escargots de Monsieur Leroy aux pleurotes qui sont à tomber. Une cuisine du sud-ouest La formule du midi invite à prendre un menu express à 11€ ou un menu complet à 13€50, avec une entrée, un plat et un dessert, au choix. A la carte, le Saumon fumé accompagné d’une crème légère et d’un pain grillé avec une salade gourmande « la salade Landaise » qui est composée de gésiers, de magret fumé, de foie gras joints à un croustillant de canard est servi en entrée. En plat de résistance, le Civet de Gambas au chorizo comble les gourmands amoureux de bonnes saveurs. Pour finir le repas en beauté : « La Bretonne » une glace à la vanille, double caramel au beurre salé, avec des éclats de crêpes dentelles à la crème fouettée maison. En outre, Jean-Marc travaille énormément le boudin artisanal qu’il a lui-même conçu avec un artisan-boucher-charcutier du coin mais aussi le canard qui est une des spécialités du Sud-Ouest. Quant à la carte de vins, elle est assez éclectique avec une prédominance des vins de Loire et du Sud-Ouest. « L’été, on va privilégier les vins frais (…) Il y a toujours le petit côté découverte», selon le maître des lieux. Les plats de bistrot et service traiteur A la fois restaurant, traiteur et pizzeria, le Chalet satisfait toutes les envies. De nombreuses spécialités incontournables sont à découvrir à la pizzeria : « l’Espelette » préparée à base de fromage, du bœuf épicé, des poivrons, des oignons et des lardons ou encore la pizza « Saint Marsienne » concoctée avec du fromage, du boudin noir artisanal, des oignons et d’une pomme fruit. Pour les événements privés, le service-traiteur se tient prêt à proposer des services personnalisés et peut dresser un devis adapté à tous les budgets. « Nous proposons des plats différents qui nous distinguent des autres traiteurs. Notre clientèle apprécie cette singularité.», confie-t-il. Chaque tapas, tartine, pinchos et autres petits sandwichs espagnols sont réalisés avec des produits de saison. ...
Actuellement, la maison Boutillez-Guer travaille sur un vignoble s’étendant sur une superficie de 5 ha 25, planté à 80 % de chardonnay, 5% pinot noir et 15% en pinot meunier. Ici, le travail de la vigne se fait avec la même passion qui a animé chaque génération depuis les origines de l’exploitation. Fidèle à son héritage, la maison continue de préserver l’authenticité et la tradition, gages de la qualité de ses champagnes d’exception. Une méthode soucieuse de l’environnement Pour tirer le meilleur de son terroir viticole, la maison mise sur une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum tout impact sur l’environnement. « Nous réduisons l’usage de produits chimiques et nous privilégions des procédés naturels tels que l’enherbement et l'utilisation de phéromones pour réduire l'utilisation d'insecticides », nous explique-t-on. Par ailleurs, le plus gros du travail se fait à la main, que ce soit pour la taille des vignes ou pour la vendange. La vinification, quant à elle, se veut être classique avec un élevage en cuve. Fière de son statut de vigneron indépendant et de récoltant-manipulant, la maison maitrise ainsi parfaitement toute la chaîne de production. Des cuvées « premiers crus » Parmi les spécialités de la maison, 4 cuvées sortent du lot : la cuvée Brut tradition, la cuvée Blanc de Blancs, la cuvée Brut Rosé et la cuvée Millésime 2008. La cuvée Brut Tradition est obtenue à partir de l’assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir, dont 50 % de vin de réserve. Elle s’habille d’une couleur or brillant et renferme des arômes briochés. Idéale pour accompagner les volailles ou pour des saveurs plus subtiles telles que le saumon fumé. Ensuite, la cuvée Blanc de Blancs, élaborée essentiellement avec du chardonnay, dont 30 % de vin de réserve, se distingue par sa légèreté et son arôme fruité qui séduiront les plus fins palais. Ce champagne sublimera des plats comme un feuilleté de langoustines ou un tartare de poisson. Pour enchainer, la cuvée Brut Rosé s’obtient par l’assemblage de 70 % de chardonnay et de 30 % pinot noir, dont 10 % de coteau rouge. En bouche, celle-ci mêle harmonieusement raffinement, rondeur et puissance. Le tout, dominé par des parfums de fruits rouges et une fraicheur agréable. Enfin, le Millésime 2008 est, quant à lui, 100 % chardonnay. Ses arômes briochés et ses notes fruitées font de ce champagne le complice idéal pour les instants raffinés. ...
La traçabilité et la fraîcheur des produits locaux inspirent à un retour à l’alimentation saine. L’on ne s’étonne que peu du regain d’intérêt du consommateur à acheter local. Et pour cause, ces derniers sont de plus en plus attentifs à ce qu’ils mangent. C’est une aubaine pour la Ferme de Sigy qui se veut être un instigateur de la démarche locavore, au profit de l’économie et de la consommation locale. Si le projet d’Ottman et Omar de se lancer dans la transformation laitière n'a pu se réaliser à la date prévue, c'était sans compter sur leur détermination et leur volonté à défendre les produits du terroir, si chers à leurs yeux. Une transformation laitière à la démarche engagée Après avoir acquis quinze ans d’expérience au sein de l’industrie laitière, c’est en 2013 qu’Ottman et Omar se lancent dans l’aventure en reprenant la fromagerie de Robert Villain pour donner naissance à la Ferme de Sigy. La ferme a progressivement pris son envol pour devenir aujourd’hui une référence dans les produits laitiers. Les particularités qui font le succès de la maison ? Sa spécialisation dans la transformation laitière artisanale, la vente en circuit court et son implantation au cœur même d’une ferme laitière. Attaché à l’idée de rendre le produit local et les produits bio finis plus accessibles, de fournir des produits de proximité à prix raisonnable, le duo gagnant travaille en partenariat avec le groupement des agricultures biologiques d’Île-de-France, et leur enseigne est sociétaire de la coopérative bio de la région. La production est ainsi destinée pour la consommation locale et la maison fournit les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, mais aussi des magasins et supermarchés de la région, qui adhèrent à leur valeur et partagent leur conviction. Par ailleurs, un chalet de vente permet de mettre les produits finis directement à disposition des consommateurs avec ceux d’autres producteurs locaux, à l’instar du miel et d’autres fromages. Pour les deux associés, la croissance spectaculaire que connaît la maison leur offre une opportunité d’étendre leurs activités hors de Sigy. C’est ainsi qu’en 2016, ils se lancent dans la transformation du lait bio par le biais des nouveaux ateliers de transformation laitière biologique à la Bergerie nationale de Rambouillet. En dehors de l’approvisionnement des restaurants franciliens, les yaourts et le fromage blanc bio qui y sont fabriqués sont commercialisés par la SCOP Bio d’Île-de-France. Une large sélection de bons produits laitiers Véritables mordus du lait, ces artisans de talent veulent partager le bon goût des produits laitiers à travers une production diversifiée à l’instar du yaourt aromatisé dont la texture se rapproche de celle du yaourt maison. Rien à voir avec le yaourt industriel. Les parfums se déclinent dans toutes les possibilités à l’aide d’un arôme naturel pour éveiller les sens des fins gourmets. Avis aux amateurs, le yaourt bio La Ferme de Sigy élaboré avec le lait de la ferme de Beaulieau est disponible sur le marché depuis 2014. Les férus de fruits ne manqueront pas d’apprécier le Raïbi ainsi que le yaourt aux fruits conçu avec une base de préparation de fruit comme l’ananas, la myrtille, la cerise, la fraise, ou la vanille pour une touche d’exotisme. Ces produits sont élaborés avec des fruits de Nogent-sur-Seine pour qu’ils conservent toute leur fraîcheur, gage de qualité des produits de l’enseigne. Les crèmes desserts au chocolat, au caramel, ou au café sont des délices qui ravissent les papilles les plus délicates. Le fromage qui représente le patrimoine gastronomique français n’est pas en reste. La maison produit en l’occurrence du fromage blanc de campagne ainsi que du fromage frais et du fromage blanc bio. Le lait étant la base de fabrication de ces produits, la Ferme de Sigy élargit ses offres avec le lait pasteurisé ou fermenté et adapte les conditionnements aux besoins de la restauration. D’ailleurs, c’est une partie du lait issu de la bergerie qui sert à la fabricatio...
Blotti au fond d’un parc arboré de grands arbres atypiques, l’hôtel-restaurant La Palette bénéficie d’une excellente localisation géographique. Il se trouve effectivement à Wettolsheim, la plus grande commune viticole du Haut-Rhin. Dans ce village dynamique entre forêts, champs et prés, l’établissement s’ouvre sur la crête des Vosges marquée par la présence des ruines célèbres dont les Trois Châteaux au sud ou le Hohlandsbourg au nord. Un cadre calme et reposant propice au bien-être et idéal pour faire voyager les sens, à la découverte de créations culinaires inattendues. Cuisine de plaisir Henri Gagneux a grandi au sein d’une famille qui défend l’élevage maison et qui possède une boucherie traditionnelle. Il fait ses armes au sein de l’école hôtelière de Thonon-Les-Bains avant d’intégrer plusieurs grandes maisons notamment à Bonneville (74) au sein du restaurant La Vivandière, à Courchevel (73) Chez Jean-Pierre Jacob, à Joigny (89) Chez Lorain ou encore à Genève au Richemont. Fort de ses dizaines d’années d’expérience, ce Savoyard d’origine a finalement décidé de voler de ses propres ailes en lançant sa propre affaire en 2005. Il reprend l’ancienne Auberge du Père Floranc qu’il renomme La Palette. Ce chef passionné s’y plaît à concocter une cuisine de plaisir et de saison, où l’association des saveurs et des couleurs est insolite et surprend à chaque fois le client. Seuls les produits frais et de saison ont leur place. Dans un dressage parfait, ils sont mis en scène avec technicité et élégance dans les assiettes. Une « palette » de formules gourmandes à déguster dans un cadre élégant En véritable épicurien, le chef veut faire plaisir à toute sa clientèle en proposant plusieurs choix de menus. Les amateurs de surprise seront intéressés par le « Menu insolite ». Aucun plat n’est énoncé. L’idée est de faire confiance au talent et à la créativité du chef. Les végétariens seront comblés par le « Menu végétal » créé avec les fruits et les légumes du moment. Autre formule à ne pas manquer : le « Menu dégustation » composé de plats extraits à la carte et sélectionnés par le chef. D’ailleurs, en entrée, la Tarte fine de rouget aves une salade de fenouil mariné aux herbes est un régal. Elle est suivie de l’Omble Chevalier cuit à la nage, sauce barigoule et artichaut calico. La maison travaille aussi énormément l’entrecôte de bœuf d’origine française qui est servie avec une sélection de légumes du marché et de l’espuma de pomme de terre. L’Exotique qui est un entremet aux fruits exotiques accompagné d’une mousse de coco jivara lacté et d’un sorbet coco est servi en guise de bouquet final. Un établissement animé Dans sa perpétuelle quête de plaisirs, Henri Gagneux n’est jamais à cours d’idée pour satisfaire ses habitués. Il organise régulièrement des évènements en tout genre comme des week-ends dédiés aux fins gastronomes mettant à l’honneur un produit spécifique. Compte-tenu de la situation géographique de l’établissement, en plein cœur des vignes, il lui serait inconcevable de ne pas organiser des soirées œnologiques. La maison propose même des dégustations de vin directement chez les vignerons, un moyen de faire découvrir le fruit du travail des producteurs locaux. ...
Le propriétaire du Monsieur Bouillon, le chef Philippe Chevrier est notamment connu en Suisse pour sa cuisine étoilée au Domaine de Châteauvieux, seul restaurant 2 étoiles Michelin du canton de Genève mais aussi pour l’originalité et la diversité de ses autres établissements . Il possède en effet 6 restaurants qui ont chacun leur particularité. Si le bar tea-room Les Aviateurs intrigue par exemple par son concept et par sa décoration, le restaurant Monsieur Bouillon est le seul à Genève à dresser toute sa carte autour de 2 produits que nous avons l’habitude d’utiliser quotidiennement. L’œuf et le poulet à l’honneur Les deux produits phares du Monsieur Bouillon, ce sont l’œuf et le poulet. La volaille étant l’un des produits favoris du chef Chevrier, il a choisi de travailler avec des éleveurs locaux. Ce choix a aussi été motivé par les nombreuses possibilités offertes par le poulet et l’œuf en cuisine. Accompagné d’un produit de luxe comme la truffe noire, le poulet devient en effet un plat raffiné. Mais il peut aussi être associé à des recettes simples comme les œufs brouillés ou les œufs à la coque. En outre, le restaurant propose aussi au second plan d’autres viandes et du poisson. Au restaurant Monsieur Bouillon, la cuisine change selon la saison pour faire place à des touches méditerranéennes, à quelques plats végétariens et même à des plats exotiques inspirés de la cuisine japonaise comme les brochettes yakitori et les œufs de poisson. La carte du Monsieur Bouillon satisfait ainsi un très large public. Mais la variété des recettes n’est pas le seul atout du restaurant, il plaît aussi aux genevois pour d’autres raisons. Pourquoi Monsieur Bouillon ? Le chef Chevrier a choisi le nom du restaurant en pensant aux bouillons parisiens, ces endroits où les ouvriers pouvaient manger rapidement dans une ambiance très conviviale. En ouvrant le Monsieur Bouillon, il voulait recréer la même atmosphère tout en s’adaptant au marché local de Genève. Pour ce faire, le chef Chevrier a choisi un décor chic et moderne avec l’aide d’un architecte d’intérieur. Dans ce restaurant si particulier, le cadre est élégant et le service rapide. Le restaurant est accessible à tous au niveau des tarifs et la qualité toujours au rendez-vous. Il ne cuisine en effet que des poulets Romands certifiés IP Suisse, élevés en plein air. Les œufs sont également labellisés Genève Terre Avenir. Ils sont produits dans la Ferme de la Pièce à Céligny, dans la campagne de Genève. Et comme le dit le chef Philippe Chevrier, « le chef n’est pas la star, ce sont les produits. » Par ailleurs, le Monsieur Bouillon est aussi connu pour la générosité de sa cuisine, à l’instar des autres restaurants du chef. La cuisine axée autour de ces deux ingrédients est dirigée par le chef Simone de Santis. Un italien qui a été formé par le chef Chevrier lui-même dans ses autres établissements avant de prendre ses fonctions au Monsieur Bouillon. Un espace à privatiser Situé en plein cœur des quartiers des banques, le Monsieur Bouillon accueille en semaine une clientèle business. Le soir, il y règne une ambiance citadine et le week-end, il accueille de nombreuses familles. Outre le restaurant, le Monsieur Bouillon met aussi à la disposition de tous ses clients un espace privatisable à l’étage. Il s’agit d’un lounge qui peut accueillir différentes sortes d’évènements tels les lancements de produits et les cocktails dinatoires. Dans la même ambiance que le restaurant, le lounge est mis en valeur par des tableaux d’artistes, des œuvres d’art et des meubles vintage. ...
Titulaire du label « Vignerons indépendants », la famille Fallet est issue d’une lignée de viticulteurs, qui, depuis 1610, priorise l’authenticité du terroir dans le respect de la pure tradition champenoise. Dans un vignoble s’étendant sur près de 18 hectares de terrain et situé en grande partie à Drachy, un terroir au sol tantôt argileux tantôt calcaire, sont cultivés des cépages champenois garants du caractère typique des cuvées. Un savoir-faire transmis de père en fils La marque Fallet-Dart, c’est avant tout un hommage à la passion vinicole partagée par les descendants de Gaston Fallet et Geneviève Dart, fondateurs de la maison. Selon Paul Fallet, la transmission de « l’exploitation de génération en génération » figure parmi les principales valeurs de la maison. De par ce caractère familial, la convivialité est ainsi au rendez-vous, notamment lors des vendanges faites à la main, comme le veut la tradition. Paul garantit également que la maison Fallet-Dart se veut être un pionnier de la viticulture raisonnée en veillant constamment à trouver « un juste équilibre entre l’agriculture conventionnelle et biologique ». La marque se veut, entre autres, être un gage de qualité en proposant des cuvées de qualité, pour ne citer que le Rosé Brut, le Millésime Brut et les Clos du Mont. Une notoriété au-delà des mers Élaborées suivant des techniques de vinification de pointe permettant la mise en valeur des arômes spécifiques du terroir, les cuvées mondialement connues et élégantes de Fallet-Dart sont médaillées chaque année. Grâce à sa notoriété forgée par ces récompenses, mais aussi par le bouche-à-oreille, la maison exporte aujourd’hui 10 % de sa production annuelle. Idéal pour être dégusté lors des grandes occasions, le champagne de la marque est doté d’une fraîcheur aérienne prodiguant une agréable subtilité en bouche. ...
Maison familiale depuis la fin du XIXe siècle, cette distillerie artisanale est dirigée par Jean-Marie Leisen, épaulé par sa fille Sarah Leisen, qui se tient prête à reprendre le flambeau. Une recherche de la qualité Afin de proposer une production de qualité, la distillerie met en avant un savoir-faire traditionnel mais surtout l’utilisation des meilleures matières premières. Pour confectionner ses cidres et ses jus de pomme par exemple, elle opte pour des fruits 100 % bio et présentant un niveau optimal de maturité. Côté vieillissement, la maison a recours à des techniques spécifiques. Ainsi, la mirabelle de Lorraine, un de ses produits phares, se conserve une année dans des cuves en inox, puis une autre année dans des barriques en fût placées dans les caves. L’eau-de-vie passera ensuite 5 ans dans des cuves en grès, placées cette fois-ci dans les greniers. En agissant de la sorte, la maison fait profiter son nectar d’une variation de température propice à son vieillissement. ...
Opérant dans le domaine du vin depuis plus d’une quinzaine d’années, Christophe Kaczmarek fait ses premières initiations au sein d’un des plus célèbres cavistes parisiens Le Repaire de Bacchus. Il affûte ensuite ses armes en se formant auprès de Jean-Michel Deluc et Paolo Bouca Nova puis intègre des maisons viticoles de grande renommée comme les Domaines Paul Mas ou le Groupe Castel. Fort d’une solide expérience professionnelle, il met à profit ses acquis pour lancer son entreprise en 2015, puis la marque French Beaches en 2020. Une marque française audacieuse et décomplexée French Beaches, c’est une gamme de vins dans l’air du temps produite à partir de l’assemblage de différents jus récoltés auprès de vignerons certifiés en agriculture biologique et biodynamique. La jeune marque française tire aussi profit de la vogue des bières artisanales pour créer ses propres « crus ». La micro-brasserie se trouve en plein Massif central, en Auvergne et tisse des partenariats avec d’autres brasseurs dans la conception de ses produits. « Je travaille avec Romain Paire du Domaine des Pothiers qui est vigneron, brasseur mais aussi éleveur de vaches », raconte Christophe Kaczmarek. Un troisième larron se rejoint au groupe en la personne de Ludovic Chaillit, Brasseur à Saint-Romain-la-Motte. Ensemble, le trio crée la Liberté Unplugged — A.P.A, une nouvelle bière artisanale fraîche et désaltérante. Une A.P.A digne de ce nom Les American Pale Ale (A.P.A) sont des bières fortement houblonnées aux puissants arômes d’agrumes, de fruits exotiques ou floraux. La Liberté Unplugged – A.P.A. se veut légère car elle contient un plus faible taux d’alcool. Facile à boire, elle dévoile une bouche houblonnée, dense et veloutée qui s’achève par de belles notes d’amertume. « Je voulais avoir une bière à l’équilibre gustatif entre l’amertume et la gourmandise », déclare le brasseur. ...