Une passion de la vigne transmise de génération en génération L’histoire des champagnes Nominé-Renard remonte à la rencontre entre Germaine Renard et André Nominé. Fils et fille de viticulteurs, ils unissent leurs domaines et fondent en 1960 la maison Nominé-Renard. Ils installent les premiers pressoirs de la maison et lancent dans la foulée la construction de la cave à Villevenard. En 1973, leurs garçons Claude et Laurent rejoignent l’exploitation après des études en œnologie et commencent à façonner le caractère des champagnes Nominé-Renard. Les 21 hectares de l’exploitation, composés à moitié de chardonnay, d’un tiers de pinot meunier et de pinot noir pour le reste, deviennent alors entre les mains du viticulteur une palette infinie de textures et d’arômes. Il y pioche pour conserver la mémoire et développer l’identité des champagnes. Après 35 années de service en cave, il laisse à son plus jeune fils le soin de perpétuer la signature élégante et fraîche de la maison. Un jeune vigneron novateur Simon Nominé a baigné toute sa jeunesse dans l’ambiance particulière de la maison de champagne familiale. C’est tout naturellement qu’il se destine à reprendre le domaine. Pour cela, il aiguise sa connaissance de la viticulture à l’université du vin de Suze-la-Rousse et en sort brillamment diplômé en 2002. Il enchaîne ensuite les expériences professionnelles dans différentes caves de la région afin de parfaire sa formation. Ce n’est que huit années plus tard qu’il revient sur les parcelles qui l’ont vu grandir pour poursuivre la tradition des Nominé-Renard en devenant le chef de cave de la maison. En remettant constamment en question sa pratique viticulturale et tout en gardant à cœur le respect de l’authenticité de la maison, le jeune viticulteur innove en proposant sur certaines cuvées des vinifications en fût ou en s’essayant à de nouvelles techniques, comme récemment avec une cuvée mono-parcellaire qui s’est vue rapidement écoulée auprès des connaisseurs. Il pousse l’exercice jusqu’à planter de nouveaux pieds de vigne, des pinots blancs, pour ajouter une note de fraîcheur fruitée à sa palette. C’est un fait plutôt rare dans la région, car quand on parle de champagne, si l'on pense directement à des assemblages de chardonnay, de pinot noir ou de pinot meunier, l'on oublie souvent que le pinot blanc est l'un des sept cépages inscrits sur la liste des raisins autorisés par le Comité interprofessionnel des vins de Champagne (CIVC). Une initiative à suivre de près donc. Un savoir-faire et une qualité reconnus à l’étranger Ce goût de l’excellence qui se transmet de père en fils et que l’on retrouve dans chaque bouteille de champagne sortant de cette maison séduit une clientèle qui dépasse les frontières de l’hexagone. Sur les 120 000 bouteilles produites chaque année, plus de la moitié de la production de la maison s’envole vers les marchés asiatiques et américains. Le Brut Nominé-Renard, produit phare de la cave, est le parfait exemple de cette réussite à l’étranger. Son assemblage (40 % de chardonnay et une part égale de pinot noir et de pinot meunier) en fait un nectar élégant et fin en bouche, qui accompagne parfaitement un morceau de foie gras ou une tranche de saumon fumé. Le Club Trésors de Champagne Dès sa création dans les années 70, Claude Nominé a rejoint le Club Trésors qui comprend aujourd’hui 27 membres représentant tous les terroirs de Champagne et ayant en commun une approche très qualitative de la viticulture. Tous les ans, chacun est libre de proposer une cuvée dite « Spécial Club ». Quand l’année est particulièrement bonne qualitativement parlant, une cuvée millésimée est éditée en très petit nombre. Ces cuvées exceptionnelles, très rares (5 000 bouteilles ou bien moins), restent cinq ans en cave avant d’être proposées à un public de connaisseurs. Elles servent d’ambassadrices auprès d’un public toujours plus large et assurent à la maison de champagne No...
Le Goeland Beach est idéalement implanté sur la plage de la Tonnara (qui signifie thon), en Corse du Sud où la mer, la montagne et une végétation luxuriante règnent en maîtres. Cet établissement a été construit dans les années 70, période durant laquelle la pêche au thon fait rage sur cette plage, entraînant ainsi les pêcheurs à y construire leurs cabanes. José Perez, chef de cuisine et propriétaire des lieux depuis 2007, transforme l’établissement et ouvre Goeland Beach. Le pari est osé, puisque le restaurant est situé dans ce surprenant endroit entouré de la réserve naturelle des Bouches de Bonifacio, loin de tout. Il met alors au point des stratégies efficaces. Il fait venir l’artiste guitariste Neville Lyon pour bercer la clientèle dans une ambiance jazzy et bossa-nova durant les repas du midi et du soir ; des groupes animent les lieux chaque lundi ; le mercredi, c’est soirée à thème avec un DJ qualifié. Un environnement paradisiaque Le restaurant se situe entre plage et port avec pour toile de fond, le ballet des bateaux venant s’amarrer à quai. José Perez souligne d’ailleurs que « l’établissement est entouré de mer à 80 %, ce qui confère une ambiance décontractée à l’endroit, même si le service reste très sérieux », sans oublier que l’extérieur est agrémenté d’une plage privée. Activités aquatiques, randonnées, balades en mer… Nombreuses sont les activités auxquelles vous pouvez vous adonner. Le soir venu, admirez le coucher du soleil tout en savourant votre dîner sur la terrasse du restaurant, un moment féerique à ne pas rater, surtout pour les couples en quête de romantisme et de tranquillité. Une carte surprenante José Perez se poste derrière les fourneaux pour concocter des plats issus de la cuisine du monde et d’une cuisine traditionnelle soignée. Il n’utilise que des produits locaux et des produits issus de la pêche locale, si bien que « la moitié de la carte affiche des plats à base de poissons, le homard et la langouste, entre autres, ne sont pas en reste non plus », nous indique-t-on. L’entrée la plus prisée est le duo de carpaccio et le tartare de poisson à la mangue, un mélange sucré-salé qui en séduit plus d’un. L’assiette signature du Goeland Beach, qui est un panaché de poissons grillés, fait rage avec ses saveurs et ses senteurs qui éveillent tous les sens. La crème brûlée est très appréciée en dessert. Pour relever les plats, des vins de toute la France, dont les fameux vins de Corse, sont à la carte. ...
Le Scoop est une adresse bien connue du Touquet, à Le Touquet Paris Plage (62520). Prônant une cuisine bistronomique, cet établissement doit son succès au bouche à oreille et retrouve une seconde jeunesse grâce à une nouvelle gérance arrivée le 29 juin 2017. Virginie Thomas, à la tête du restaurant, s’attache à respecter l’identité d’origine du Scoop que lui connaissent ses habitués, tant au niveau du service que des plats proposés. Une restauration traditionnelle et des spécialités thaïes Si Le Scoop a su acquérir de nombreux adeptes depuis de nombreuses années, c’est en partie pour la qualité de ses plats, préparés à la minute. Un de ses points forts : « Tous les ingrédients sont frais, tout est fait maison des entrées jusqu’aux desserts et les plats sont également à emporter », nous fait savoir la nouvelle propriétaire des lieux. Les tarifs ne sont pas pour autant exorbitants, car les clients apprécient aussi l’excellence du rapport qualité-prix. Le restaurant a surtout construit sa réputation autour d’une cuisine traditionnelle et thaïe. Sur la carte composée essentiellement de plats typiques de bistrot, les tartares de viande et de poisson sont énormément prisés. Si les frites fraîches constituent l'un des points forts du restaurant, le Scoop du Touquet suggère aussi d'autres plats à succès : « L’œuf cocotte aux cèpes et aux truffes ou les gambas croustillantes comme entrées, le tartare de saumon thaï ou le tartare traditionnel comme plats de résistance, le TiramiScoop, la tarte aux pommes ou le coulant caramel au beurre salé comme desserts ». Côté vins, la carte est riche en propositions, à travers de nombreuses références en vins bordelais, de Bourgogne, de la vallée du Rhône, d’Alsace, de Provence, du Sud, ou encore en vins étrangers. « Une adresse où le client est roi » Le Scoop applique à la lettre ce célèbre adage en mettant sur un pied d’égalité la qualité de ses mets et le sens du service. Virginie Thomas souligne ce principe propre à l’établissement depuis ses débuts : « Les gens viennent au Scoop pour la cuisine et l’âme du restaurant. Ils s’y sentent comme chez eux. Nous aimons être proches de nos clients, dont nous connaissons les habitudes, et nous sommes à l’écoute de leurs moindres désirs. » C’est ainsi qu’elle s’attache à faire régulièrement un tour de tables pour être à l’écoute des convives. « C’est important de nouer un contact avec les gens, ils aiment se sentir valorisés, savoir que l’on s’occupe d’eux », précise-t-elle. La satisfaction de la clientèle est donc primordiale pour ce restaurant proposant également une salle pouvant être privatisée pour des repas de groupes, séminaires ou anniversaires etc..., d’une ambiance intimiste à l’étage supérieur. Une nouvelle déco va parfaire le tout et favorisera l’esprit de sérénité et de zénitude souhaité par la maison. ...
Dans le cadre élégant et design d’un hôtel 4 étoiles éponyme, le restaurant Lumen met dans ses plats un mélange de saveurs italiennes et japonaises qui plait aux foodies avides d’une cuisine aussi délicate que gourmande. Une belle localisation Sur une charmante petite place, entre la rue des Pyramides et l’église Saint-Roch, cette adresse parisienne a de quoi satisfaire les épicuriens. Ici, plaisir des pupilles avant celui des papilles. Les convives sont invités à s’installer dans la salle habillée d’immenses baies vitrées qui donnent directement sur cette jolie rue à l’abri du brouhaha de la capitale. Dans ce petit coin de dolce vita, « plusieurs formules modulables et variées qui s’adaptent aux goûts et aux préférences de la clientèle sont proposées », déclare Steven Bernot, Directeur du restaurant. Ode à la gourmandise Comme le restaurant Lumen travaille beaucoup les produits de saison, cette tendance laisse deviner de nombreuses variations dans les plats. Toutefois, quelques incontournables méritent d’être cités tels que son délicieux Carpaccio de poisson dressé à la japonaise, présenté avec des condiments japonais, ses étonnantes Linguine aux crabes et cèpes subtilement accompagnées de confiture de citron ou son incontournable Tiramisu au thé vert matcha qui reste le dessert favori de nombreux clients. Un poisson de ligne et une viande soigneusement choisie qui varient selon les arrivages du marché sont également toujours proposés à la carte. Une adresse prometteuse, déjà devenue culte chez les habitués. ...
Lui, ancien gérant de nombreux établissements bordelais. Elle, ex-spécialiste dans les métiers de la communication. Ensemble, ce couple dynamique décide de concrétiser un vieux rêve : ouvrir un restaurant à leur image, à savoir élégant et convivial. En salle comme en cuisine, la modernité côtoie ici le traditionnel. Le tout ponctué par une ambiance jazzy pour accompagner les repas d’une mélancolie enivrante. Ambiance de charme Plaisir des yeux avant celui des papilles. C’est dans cet esprit que Chezmémé.com accueille ses convives. Dès l’entrée, ces derniers se laisseront séduire par l’ambiance conviviale qui règne dans cet établissement bordelais. La décoration inspirée de la tendance industrielle propose un mix entre le bois, l’acier et la pierre bordelaise. La salle a été parsemée ici et là de plusieurs bouteilles de vins disposées sur des caves à vin et des caisses en bois, qui rappellent le côté bistrot des lieux. Les suspentes anciennes et contemporaines ingénieusement agencées contribuent quant à elles à renforcer l’atmosphère cosy. Des classiques revisités à la perfection Avant tout, la qualité et la fraîcheur des produits sont les maitres-mots dans ce restaurant. En s’appuyant sur ses longues années d’expérience dans la restauration, Michaël reste très exigeant sur la sélection des ingrédients utilisés pour chacun des plats. C’est pourquoi il choisit avec son chef Clément Champ de s’approvisionner auprès des meilleurs producteurs locaux. Volailles, viandes, poissons, fruits et légumes, les ingrédients sont issus du circuit court. La carte de Chezmémé.com propose une grande variété de plats traditionnels modernisés, afin de proposer une cuisine à la fois savoureuse et généreuse. En entrée, une Tomate mozzarella « pas comme ailleurs » ou un Camembert d’Isigny rôti au miel et au thym agrémenté de sa tranche de lard fera une ouverture idéale pour débuter la dégustation. En plat de résistance, le choix s’annonce cornélien entre le Ris d’agneau braisé au jus de veau maison et petits légumes de printemps pour le côté terrestre ou le Poisson tout juste débarqué de la criée… Et pour clore en beauté cette pause gustative, un Éclair crème Chiboust et caramel nougatine ou une Tarte aux deux citrons et ses meringuettes rappelle les saveurs des plats de grand-maman. Une belle carte des vins À consommer au verre ou à la bouteille, Chezmémé.com sélectionne les meilleurs crus des vignobles bordelais, mais pas seulement. Du blanc au rouge, en passant par le rosé et le champagne, la carte s’annonce haute en couleur. Les vins rouges tels que le bordeaux Dourthe N°1, le Saint-Émilion Grand Cru Grand Barrail-Lamarzelle 2009 de la maison Dourthe, ou encore le Côte-Rotie Domaine des Pierelles 2012 de la maison Paul Jaboulet Aîné accompagnent merveilleusement l’Onglet de bœuf sauce maître de chai, gratin de pommes de terre façon basque. Un verre de rosé Rimauresq Cru Classé 2014 ou un Domaine de Chablis 2014 de la maison William Fèvre ira très bien avec la Salade César (cœur de romaine, poulet mariné cuit à basse température, anchois frais, parmesan, œuf dur, lard, croûtons et la fameuse sauce César). ...
Au cours de ces dernières années, la Vendée est devenue la nouvelle destination de la gastronomie. Et pour cause, le département abrite les meilleurs restaurants en Pays de la Loire, dont la Table du Boisniard, le restaurant gastronomique du Château du Boisniard. Une référence en Vendée Depuis son ouverture en 2011, la Table de Boisniard est un restaurant gastronomique de référence en Vendée. Titré « Maître Restaurateur » depuis 2012, il est aussi reconnu comme étant une « Valeur sûre » par le Bottin Gourmand. Et à son actif, il dispose de trois fourchettes et un couvert au guide rouge Michelin. Actuellement, l’établissement convoite l’étoile ! Ce qui ne devrait plus tarder, puisque toutes les cartes sont entre ses mains : un endroit unique et idyllique, alliant l’élégance de ses origines du XVe siècle à la modernité de la décoration contemporaine ; un personnel aussi sympathique que réactif, orchestré par Emmanuelle Gautier ; et un moment d’épicurisme assuré par le jeune et talentueux chef, Valentin Morice. De la gastronomie maîtrisée Selon leurs envies, les convives pourront choisir entre le menu Découverte et le menu Dégustation. À 42 euros, le premier propose une entrée, un plat et un dessert. Quant à la dégustation, un même menu est servi à l’ensemble de la table pour 72 euros. Pour les plus pressés, un menu Affaires à 33 euros est disponible le midi du mercredi au vendredi. Par ailleurs, le chef propose aussi une carte qui évolue au gré des saisons et des produits disponibles sur le marché. Il est à noter que tous les plats et menus proposés par l’établissement sont labellisés « fait maison », y compris le pain. Quant à sa carte de vins, elle met à l’honneur ceux des Pays de la Loire, sans négliger les autres régions. ...
Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement). Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...
Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Un détail qui caractérise les champagnes de Villepin, comme l’explique Bruno de Villepin : « Ces terres dites fortes, lourdes, sont à l’origine de la forte personnalité de nos cuvées ». Pour conserver cette particularité, l’exploitation effectue un gros travail dans le domaine de la viticulture, afin d’obtenir une qualité constante de ses raisins, gage de la qualité de ses vins. Une lutte raisonnée est notamment appliquée au sein des vignes, dans une volonté de préserver les belles spécificités de ce terroir champenois. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...
Lancé en avril 2011, le site Tasse et Assiette offre un large choix de vaisselles en porcelaine pour vos repas quotidiens ou entre amis : style classique, moderne ou rétro ; assiettes rondes, carrées ou ondulées ; motifs graphiques ou floraux. Ainsi vous pourrez choisir le modèle qui vous plait parmi la soixantaine proposée et composer votre service de vaisselle comme bon vous semble puisque Tasse et Assiette vend à l’unité. Vous aurez tout loisir ensuite de le compléter ou de le réassortir. Sur le site Tasse et Assiette, vous êtes sûrs de trouver toutes les pièces dont vous avez besoin. De plus, vous pourrez les acquérir au rythme qui vous convient. Par exemple d’abord les assiettes, puis les plats et saladiers, ensuite un beurrier ou des mugs, … Ce site est également idéal pour les cadeaux de mariage, puisque si vous ne pouvez acheter un service dans son intégralité, les mariés pourront facilement le compléter avec les pièces qu’ils désirent. Conçue et fabriquée en Pologne, cette vaisselle en porcelaine bénéficie d’un savoir-faire ancestral dans le respect des traditions. Dorota Bonnet, la créatrice du site, aime d’ailleurs préciser qu’ « elle a choisi les meilleurs fournisseurs polonais ». La majorité de la vaisselle proposée est adaptée aux micro-ondes et au lave-vaisselle, pour une utilisation au quotidien. Un site au service de ses clients Dorota Bonnet souhaite offrir le meilleur service à ses clients. C’est pourquoi vous trouverez de la porcelaine de très bonne qualité, à des prix réellement compétitifs. Suite à votre commande, vous recevrez votre colis dans les 5 jours ouvrés suivant. Pour une plus grande souplesse, vous pourrez choisir d’être livré à domicile ou en point relais. Vous ne connaissez pas encore ce site. Reportez-vous aux avis vérifiés pour observer que les clients sont satisfaits. ...
Sur ce vignoble de trois hectares, les vignes sises sur la commune de Meursault sont historiquement les plus anciennes. Vers les années 80, la famille décide d’agrandir le domaine et fait acquisition des parcelles à Pommard et Volnay. Aujourd’hui, l’exploitation produit des cuvées sous 7 appellations avec majoritairement des blancs. Engager vers des techniques de viticulture durable Au domaine du Cerberon, un mode de viticulture soucieux de l’écosystème est privilégié. L’usage de produits phytosanitaires est très rare. Priorité également aux vendanges manuelles. « Les vendanges mécaniques triturent les raisins et ne respectent pas la grappe qui doit arriver entière », justifie Marc Eicholz, gérant. De ces techniques rigoureuses naissent des vins d’exception comme le Blanc Meursault Premier Cru Les Cras ou le Rouge Volnay Premier Cru Clos des Chênes qui ont notamment évolué dans des caves datant du XIIIème siècle. ...
Passionné par sa région et animé d’une vision avant-gardiste dans l’élaboration de ses champagnes, Pierre Laurent se veut « créateur de bien-être » en proposant des cuvées les plus naturelles possible, manifestant les typicités du terroir, le tout selon une démarche écoresponsable. Tradition, plaisir et partage sont autant de valeurs héritées de père en fils, qu’il ambitionne de véhiculer. Au plus proche de la nature L’histoire de la maison de champagne Pierre Laurent existe depuis 5 générations et la création de la marque fut en 2010. Issu d’une lignée de viticulteurs, Pierre Laurent veut perpétuer la tradition familiale et implante ses vignes sur les coteaux de la vallée de la Marne, plus précisément au sein des terroirs de Saulchery, Charly-sur-Marne, Azy-sur-Marne, Crouttes-sur-Marne et Domptin. Le vignoble, d’une superficie totale de 4,5 hectares, est planté des trois cépages champenois dans le respect des gestes ancestraux. Le domaine est effectivement l’un des rares à encore travailler la terre par le cheval. En effet, le tassement du sol provoqué par le passage des tracteurs entraîne un phénomène d’imperméabilité et empêche le développement correct des insectes et micro-organismes. Avec ce procédé traditionnel, le sol est mieux alimenté en eau et en minéraux, gage de la bonne santé des vignes. Dans une volonté de préserver ce précieux héritage qu’est le terroir de la vallée de la Marne, Pierre Laurent a aussi opté pour une viticulture raisonnée, avec pour ambition de décrocher les certifications Haute valeur environnementale et Viticulture durable. « C’est un travail qui requiert des connaissances, de la patience et du temps, mais les résultats en valent la peine », déclare-t-il. Cette forte implication et cet attachement à des notions comme la qualité et le bien-être ont été couronnés de succès, puisque les champagnes de la maison sont aujourd’hui disponibles dans l’un des endroits les plus prestigieux du pays : le château de Versailles. Les royales cuvées investissent Versailles Pour clôturer en beauté la découverte de la résidence des rois de France réputée pour sa perfection et son glamour, une halte dans la boutique de souvenirs est de rigueur. Quelques flacons signés Pierre Laurent trônent fièrement sur les rayonnages. Les deux cuvées, Louis XIV et Marie-Antoinette, ont brillamment su trouver leur place dans ces lieux mythiques. La cuvée masculine Louis XIV se démarque déjà de par son packaging d’un bleu doux. Constitué de 40 % de chardonnay, 40 % de pinot noir et 20 % de pinot Meunier, ce champagne plaît pour ses bulles fines et son nez puissant et fruité, complété par une bouche arrondie et douce. Il s’apprécie en apéritif ou servi avec des plats légers, comme un rouget à l’oignon rouge et à la menthe. La cuvée Marie-Antoinette, quant à elle, sera plus à l’image de la femme. Elle arbore des tons glamours par ses tonalités rose pâle. « Durant mon voyage au Japon en février 2015, j’ai découvert qu’ils étaient passionnés du sakura, le cerisier. J’ai donc choisi sa couleur rose pour cette cuvée, afin de plaire un peu plus aux Asiatiques », confie le vigneron. Ce champagne, fait à 50 % de pinot Meunier, 30 % de pinot noir et 20 % de chardonnay, a bénéficié d’un vieillissement de quatre années en cave. Il ouvre sur des arômes de figues et de dattes, suivis de notes florales et minérales qui en font un bel allié sur des desserts gourmands comme les crèmes vanillées caramélisées ou les pralines. ...
Après plus de 60 ans d’existence, la coopérative de La Cave d’Irouleguy rassemble désormais 39 adhérents en AOC et 16 salariés permanents qui gèrent de la vinification à la commercialisation du vin. L’appellation est contrôlée et les vins Irouléguy sont reconnus AOC depuis 1970. Pour l’histoire, la première trace de vigne dans ces montagnes remonte au Moyen-âge. Irouléguy est un petit village basque situé dans le département des Pyrénées-Atlantiques. Riche de son identité, cette coopérative a à cœur de transmettre au plus grand nombre son savoir-faire et sa culture basque. C’est dans cette volonté que l’ensemble de leurs cuvées portent un nom basque. Irouleguy est un vignoble de montagne et c’est sa particularité. Ce sont des vignes en terrasses qui se situent entre 200 et 400 mètres d’altitude. Dans les montagnes, le vent du Sud appelé Haize Hegoa, caractéristique unique de ce terroir, contribue très favorablement à la maturité optimale des raisins. Concernant son fonctionnement, une éthique de qualité et de solidarité animent les vignerons et les collaborateurs. En effet, la coopérative fonctionne en démocratie participative basée sur un système de commissions. Coopérateurs et salariés échangent et débattent au sein de commissions sur les différents aspects de la Cave. Les vignerons fournissent à la coopérative leurs raisins pour que cette dernière le vinifie et le commercialise. Cet esprit coopératif est une des particularités qui fait la fierté des vignerons de La Cave d’Irouleguy. Des valeurs qui ont fait ses preuves et ont garanti le succès attribué à cette cave. Au cœur des vendanges d’un vignoble atypique La période de vendanges débute généralement entre fin septembre et début octobre en fonction des années et durent environ un mois. Dû à la typicité du vignoble, l'ensemble des vendanges ne peut être fait qu'à la main. C’est aujourd’hui une caractéristique charte de l’appellation. L’engagement des viticulteurs est incarné au quotidien à travers le suivi d'un cahier des charges plus restrictif que celui de l’appellation, notamment en termes de rendement. Quelques jours avant le début de la récolte, les adhérents dégustent des échantillons de baies de raisins, parcelle par parcelle. Ils jugent ainsi de la qualité de chacune et déterminent quels raisins seront destinés à quelles cuvées. Avec une multitude de petites parcelles, c’est un véritable engagement en faveur de la qualité. Durant les vendanges, toute une équipe vient en soutien dans les vignes et au chai tout au long de la vinification. Vient ensuite l’élevage, réalisé en barriques pour une partie des vins rouges et blancs et en cuves inox pour le reste des vins. Au niveau de l’élevage des vins, deux personnes sont dédiées à l’année à ce travail. En ce qui concerne l’assemblage, on retrouve trois cépages rouges : Tannat, Cabernet franc et Cabernet Sauvignon. Les vins rouges à base de Tannat, ont une belle structure tannique équilibrée avec des notes de fruits rouges. Les vins blancs sont à base de : Gros manseng, Petit manseng et Petit courbu. Ils sont dotés d’une fraicheur aromatique caractéristique. Soucieux du respect de leur terroir, nombre de vignerons se sont engagés dans l’Agriculture Biologique. Aujourd’hui 50 hectares de vignes sont déjà en Agriculture Biologique et quelques dizaines de plus sont en cours de certification. Les produits phares de la Cave d’Irouleguy Parmi les 13 vins de la gamme, Xuri qui signifie « blanc » en français, est à découvrir. Ce vin blanc est issu des meilleurs raisins récoltés chaque année. Elevée sur lies, cette cuvée possède une belle complexité avec une attaque ample et grasse. Ses notes de fruits exotiques équilibrées avec l’acidité et la puissance aromatique en font un véritable vin de gastronomie. Produit emblématique de la Cave, Mignaberry rouge est une des plus anciennes cuvées qui représente parfaitement le style de l’appellation. C’est un vin bien structuré, qui présente en bouche des tannins so...
Producteur laitier depuis 1988, Pascal reprend en 2003 la fromagerie de Nérondes afin de perpétuer un héritage gourmand faisant la renommée de la région du Cher. Cette dernière est, en effet, réputée pour la production du grand cru des fromages, le Crottin de Chavignol. « De nombreux critères exigeants, allant de la race des chèvres à leur alimentation, en passant par le processus d’élaboration, sont rigoureusement contrôlés afin de préserver la typicité de ce fromage d’exception », explique-t-il. Grâce à un savoir-faire et une structure d’élevage répondant à ce cahier des charges strict, la Fromagerie de Milly a obtenu cet AOP et produit aujourd’hui, avec le crottin, une large variété de fromages fermiers. Un savoir-faire au service de l’excellence Désireux de produire des mets de qualité pour sa clientèle exigeante, Pascal s’attèle à préserver un savoir-faire unique basé sur la production complète de tous ses fromages dans son exploitation. « 75 ha de terres sont ici cultivées pour l’alimentation de 200 chèvres laitières, [appartenant à la race alpine], rajoute notre interlocuteur. Nourries exclusivement avec des céréales et du fourrage provenant de ces terres, les chèvres produisent alors un lait de qualité propice à l’obtention de plusieurs variétés de fromages haut de gamme. La fabrication de ces dernières est entièrement assurée par la fromagerie qui, de l’emprésurage à l’affinage, garantit des étapes de production réalisées suivant une démarche éthique, dans le respect des traditions. Ainsi, outre le Crottin de Chavignol, appréciez lors de vos instants gourmands le Nérondais, un gros fromage de chèvre moulé à la louche, ou le Mini feuilletés, à déguster à l’apéritif. ...
La Table de l’Ours, un restaurant gastronomique rendant un bel hommage à la richesse culinaire française. Ici, les produits locaux et régionaux se retrouvent dans une cuisine traditionnelle inventive où chaque plat distille des saveurs uniques. Les assiettes gourmandes, goûteuses et fidèles à leur terre, se dégustent à la lumière d’une cheminée révélant un décor de bois et de pierre, un cadre intimiste, chaleureux et raffiné, propice au régal et à la détente. A ces délices servis dans un havre de paix en haute montagne viennent s’ajouter un accueil et un service professionnels empreints de l’hospitalité et de l’amabilité des grands hôtels. Un haut-lieu de la gastronomie des Alpes Poussé par l’envie d’offrir des plats de qualités, le restaurant gastronomique « La Table de l’Ours » met un accent particulier sur le choix de ses produits tout en essayant de promouvoir les acteurs locaux. Le repas s’anime autour d’une cuisine simple et subtile dans laquelle truffes, poissons, fromages des alpages et autres ingrédients révèlent toutes leurs saveurs. Ces produits du terroir choisis au gré des saisons, sont mis en valeur par une équipe dirigée d’une main de maître par Antoine Gras, afin de vous faire passer un agréable moment autour de tables dédiées au régal, au partage et au plaisir des sens. Théâtre de nombreux évènements L’hôtel organise, par ailleurs, des soirées à thème axées sur la découverte d’un vin ou sur un évènement marquant en particulier, un calendrier évènementiel évoluant au fil des ans à surveiller. Vos dîners en famille, vos escapades gourmandes à deux ou vos soirées entre amis et/ou collègues seront alors empreintes de traditions, d’histoires et de cultures alpines, des instants de bonheur à la convivialité retrouvée. ...
Le domaine Charles Gouthière et Fils possède un vignoble d’exception installé sur la côte des Bar, dans l’Aube, et réparti sur six communes. « Nous avons un sol argilo-calcaire et pierreux, qui nous permet d’obtenir des vins agréablement fruités », explique Fredy Gouthière, gérant du domaine. Ce vignoble accueille les trois cépages traditionnels champenois, en honorant particulièrement le pinot noir, le cépage de prédilection utilisé dans la confection du champagne emblématique Brut Grande Réserve. Forte d’une expérience qui s’est transmise depuis des générations, la maison maitrise l’art de la vinification traditionnelle champenoise dans l’élaboration de sa gamme. Celle-ci gravite autour de 40 000 bouteilles chaque année. Démarche biodynamique En s’engageant dans une démarche de viticulture durable, la maison concrétise ainsi sa sensibilité écologique et sa volonté de protéger l’environnement. Cette initiative exige d’être constamment à l’écoute des vignes dans le but de raisonner l’utilisation des produits phytosanitaires. Et le domaine va encore plus loin : « Une de nos parcelles situées à Chêneau est travaillée selon une démarche biodynamique. Elle procure des cuvées saines, expressives et d’une grande fraicheur. » La cuvée D’antan, un assemblage surprenant des trois cépages, reflète toute l’authenticité de cette parcelle. ...
L’hôtel Les Barmes de l’Ours est né sous l’initiative de Delphine André. Avocate de formation, elle décide de vivre sa passion pour l’hôtellerie en ouvrant son premier établissement à Val-d’Isère. Pour concrétiser son projet, elle s’entoure d’une équipe de choc, composée notamment du décorateur Michel Force et du tapissier Charles Jouffre. Ensemble, ils réussissent à faire des Barmes de l’Ours une adresse incontournable dans le massif de la Vanoise. Au sein du chalet perché en altitude, une cuisine gourmande et maitrisée, signée Alain Lamaison, est à l’honneur et fera le bonheur des épicuriens. Les coins gourmands des Barmes de l’Ours La Table de l’Ours est un restaurant gastronomique étoilé. Ici, le chef Alain Lamaison réinterprète avec talent et créativité les grands classiques de la cuisine de montagne. Outre les foies gras et les Saint-Jacques, le pigeon Miéral accompagné d’amandine aux graines de lin et petit pois est très apprécié. Il en est de même pour le ris de veau. Les menus « Au fil de la saison » et « Dégustation » invitent à l’exploration d’autres saveurs. La « Rôtisserie » dégage un style qui se rapproche plus de la brasserie. Alain Lamaison y propose une cuisine simple et traditionnelle. Les pièces de bœuf, d’agneau ou de volaille les plus nobles sont dorées dans une imposante rôtissoire devant les convives. En garniture, la maison suggère une purée de pommes de terre aux truffes, des légumes verts ou des pommes allumettes. La formule « Buffet », quant à elle, est un rendez-vous incontournable tous les soirs. Le « Coin Savoyard » met en valeur la tradition culinaire régionale. Il présente des plats aux accents du terroir comme la raclette au lait cru ou au fromage fumé ainsi que la fondue savoyarde des Barmes au xérès. Il partage également les buffets des entrées et des desserts de l’espace « Rôtisserie ». Au Sofa Bar, le chef barman apporte encore plus de valeur à cet endroit grâce à ses cocktails maison avec ou sans alcool. Le plus représentatif de la maison est le Val Fizz, un cocktail au champagne à base de liqueurs régionales comme le génépi. Le barman y ajoute de l’eau-de(vie de poire pour le côté fruité, de la liqueur de sureau pour le côté floral, sans oublier le champagne. Du jus de pomme bio de Savoie adoucit ce mélange. Décorée avec des fruits et une tête de romarin, la boisson sera parfumée par de la chartreuse. Un chalet pas comme les autres Cet hôtel, dont la décoration a été pensée par Michel Force sur les préconisations de la propriétaire des lieux, rappelle les anciennes grandes maisons familiales montagnardes. Dans l’enchantement de ce décor luxueux, l’hôtel signe toute sa différence au travers de cette dualité entre l’ancien et le moderne et ses différentes décorations qui se découvrent au fil des étages. Au premier, place à un style à l’esprit scandinave, marqué, entre autres, par les couleurs tendres et la présence de mobilier gustavien. Au deuxième, une ambiance inspirée des lodges du Grand Nord des Amériques allie noblesse du cuir, douceur du velours et chaleur de la fourrure. Un niveau plus haut : le confort et la rusticité des chalets d’Alpage s’illustrent via l’omniprésence du bois et du mobilier traditionnel. Enfin, pour ceux qui rêvent de sérénité et de design, rendez-vous au quatrième étage avec sa touche contemporaine. ...
Implantée à Sallèles-d’Aude, un village situé au sud de la France, en Occitanie, l’entreprise s’est spécialisée au début dans le conditionnement de vin. Aujourd’hui, elle change de cap en devenant experte dans la négoce de produits finis. Cette activité prospère se base sur un partenariat solide avec les producteurs locaux qui fournissent, entre autres, les ingrédients essentiels pour faire le vin. Il revient aux experts de CVS d’assembler et élever les cuvées pour finalement les commercialiser en produits finis. La qualité à tous les niveaux Les vins de CVS, baptisés sous la marque Princeps, sont élaborés à partir d’ingrédients de qualité achetés auprès de producteurs de la région. À cela s’ajoute un soigneux savoir-faire consistant à assembler et à élever les élixirs. Antoine Depoizier, responsable commercial, nous parle de « techniques d'assemblage sur mesure propres à CVS » qui attribuent un fort caractère aux vins. Les nectars en question représentent notamment les appellations du Languedoc-Roussillon, à savoir l’IGP Oc et l’AOP Corbières. ...
Ces hommes de prière, qui vivent dans le silence et la solitude, ont perçu l’impérieuse nécessité de travailler main dans la main avec les vignerons de cet écrin de nature sauvage qui s’étend de la crête orientale du cirque des Dentelles de Montmirail aux contreforts nord-ouest du mont Ventoux. Le vin a toujours été symbole de partage et d’amour. Tout naturellement, les moines se sont sentis liés à leurs voisins vignerons. Cette amitié partagée dans le travail s’est épanouie progressivement jusqu’à donner naissance à de nouvelles cuvées au grand cœur : les vins Caritas. Histoire des abbayes du Barroux En 1970, Dom Gérard Calvet s’installe à Bédoin dans la chapelle de la Madeleine pour vivre la Règle de saint Benoît : « Ora et Labora » (« prière et travail »). Il est rejoint par de nombreux jeunes désirant découvrir la vie monastique. La communauté grandissant, en 1980, la construction d’un monastère de style roman provençal débute au Barroux. Il sera achevé en 1988. Des vignes anciennes et nouvelles s’étalent sur les flancs de la colline silencieuse. En 1986, un groupe de moniales s’installe à proximité, sur une propriété viticole, « La Font de Pertus ». La construction de l’abbaye Notre-Dame-de-l’Annonciation débute alors, tandis que les jeunes sœurs s’engagent à cultiver les vignes. Depuis 1986, les deux communautés (aujourd’hui 57 moines et 30 moniales) s’entraident pour faire prospérer cet héritage spirituel et viticole. Le vignoble des Abbayes Les 9 hectares en terrasses des deux abbayes sont complantés de cépages variés. Pour les rouges et les rosés : grenache noir, syrah, carignan et cinsault. Pour les blancs : roussanne et clairette. Situé entre 350 et 400 mètres d’altitude, le domaine des Abbayes est adossé aux célèbres terroirs de Beaumes-de-Venise et de Gigondas. Ses sols et ses expositions variés permettent l’élaboration de vins complexes où fraîcheur et puissante structure entrent en symphonie. Les vins Caritas À la suite de la rencontre avec Jean-Dominique Artaud, en 2010, moines et moniales adoptent de nouvelles méthodes de culture pour faire progresser la qualité des vins. Avec leurs amis vignerons, ils retrouvent des procédés ancestraux comme la haute densité (7 500 pieds par hectare), ou le palissage haut sur piquets de bois. Le travail effectué à la main – taille, ébourgeonnage, épamprage, écimage, effeuillage et vendanges – ressemble bien à de la haute couture vigneronne. Les moines utilisent des engrais organiques et travaillent les vignes avec des moyens mécaniques. En 2016, les moines commencent un projet commun avec les vignerons Lux Montis. Son nom : CARITAS. Son but : une valorisation plus juste des vins de caractère produits sur ce terroir de montagne classé dans les « vignobles héroïques ». Pour le bien des vignerons courageux du Barroux, de Beaumont-de-Ventoux, de Malaucène et d’Entrechaux regroupés sous la bannière Lux Montis. L’objectif avoué est de permettre à ces montagnards de maintenir leur activité, aujourd’hui et dans les générations à venir. Le territoire tout entier devrait bénéficier de cette belle aventure solidaire. La beauté de ce terroir aux paysages époustouflants et l’équilibre socio-économique de la région sont en jeu : pour ces moines, la vie agricole est l’un des principaux facteurs structurants de cette Provence des papes. Ils veulent donc mettre leur dynamisme à son service. Pour assurer l’excellence recherchée, les nouveaux pieds de vigne sont sélectionnés selon les profils géologiques des terres. La vigne est cultivée avec beaucoup de cœur pour obtenir des raisins généreux. L’élaboration des vins se fait sous la houlette d’un jeune œnologue de talent, Daniel Haïlé, épaulé par Philippe Cambie, œnologue mondialement reconnu qui apporte son génie pour affiner les assemblages et sublimer le travail vigneron. Cette nouvelle aventure a permis de proposer les premières cuvées haut de gamme en ...
Novembre 1989. Une annonce publiée dans l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur fut le déclencheur d’un nouveau projet de vie, un challenge que Pierre Carle et son épouse, Éléna, réussirent avec brio. Petit, Pierre Carle passait ses vacances chez ses arrières-grands-parents et sa grand'mère, des passionnés de la vigne et anciens négociants en Cognac et vins, qui habitaient Saint-Emilion. Bercé par ce souvenir d’enfance, il a continué à nourrir le rêve de devenir vigneron. Après avoir fait des brillantes études pour faire carrière dans l’industrie ferroviaire, il s’installe avec sa femme et ses enfants dans le XVIIe arrondissement. Mais son rêve de gamin continue de titiller son esprit. « Je me suis dit que si l'on n’essaye pas alors on risque de le regretter toute notre vie », se remémore Pierre Carle. Après un an et demi de recherche, il tombe littéralement sous le charme de cette propriété du Périgord. Un domaine de 34 hectares, un château typique du XVIIe siècle, un sol peu fertile et très minéral rivalisant avec celui de Saint-Émilion, autant d’atouts qui font mouche auprès du couple. Le vignoble S’étendant sur vingt hectares, le vignoble est établi sur des coteaux argilo-calcaires et jouit d’un climat océanique tempéré. « Du point de vue de la configuration, notre terroir est semblable à celui de Saint-Émilion », décrit Pierre Carle. Le domaine travaille en appellations Bergerac rouge, rosé et blanc sec, Côtes-de-Bergerac blanc moelleux et Saussignac blanc liquoreux. Les vins sont obtenus à partir des cépages phares de Bordeaux : le merlot, le cabernet sauvignon et le cabernet franc pour le rouge, en blanc : le sémillon, la muscadelle et le sauvignon. Les vins bergerac rouges affichent des petits rendements et sont conçus à partir de raisins vendangés plus ou moins tardivement selon les cépages. Par la suite, ils sont élevés pendant au moins vingt mois, le temps de bien affiner la structure des vins. Les vins en appellation Bergerac sec subissent un long élevage sur lies, de douze à trente mois afin de dévoiler parfaitement toute la complexité et l’intensité de leurs arômes. Enfin, le Saussignac est un vin liquoreux, plus sucré, de longue garde qui développe un arôme très riche. Son élaboration est définie par l’un des plus rigoureux décrets d’AOC en France et exige du jus de raisin très concentré et l'absence de toute méthode artificielle d'enrichissement. Une agriculture biologique Le vignoble du château Chabrier a été certifié bio en 1999 bien que Pierre Carle, en tant que précurseur, ait pratiqué l’agriculture bio bien avant. Au départ, le domaine a évolué dans le sens d’une viticulture raisonnée : n’intervenir dans le traitement des vignes uniquement lorsque cela est indispensable. Cependant, cette pratique connaît ses limites et expose les employés à certains risques d’allergies et d’intolérances. Le propriétaire a donc décidé d’arrêter définitivement les produits issus de la chimie de synthèse, néfastes autant pour l’environnement que pour l’homme. « Le meilleur des insecticides reste les insectivores, ça marche tout seul et c’est gratuit… C’est comme ça que faisaient ma grand'mère et mon arrière-grand-père à l’époque », reprend Pierre Carle avec grande conviction. Il préfère laisser l’équilibre naturel de l’écosystème faire son travail dans les vignes. Les produits de traitement de sol et de la vigne autorisés sont ceux d’origine minérale et végétale uniquement. D’ailleurs, le propriétaire rappelle que les meilleurs millésimes du siècle dernier, en 28, 47, 49 ou 55 sont tous issus d’une agriculture biologique. Avec cette démarche axée sur la préservation du sol et de l’environnement, le domaine se contente fièrement de ses rendements « plus faibles qu’ils ne le devraient » pour réaliser des vins de haute qualité. Les cuvées emblématiques Le Gros-Caillou, appellation...
Les 5 hectares de vignes (50% Chardonnay, 30% Pinot noir, 20% Pinot Meunier) sont situés sur les coteaux du Sézannais. Une viticulture à Haute Valeur Environnementale En 2000, Marlène Delong reprend la maison de champagne créée par son père en 1966. Pour cette amoureuse de la nature, il est essentiel que ses champagnes lui ressemblent. Elle s’est donc engagée, avec Damien, dans une démarche respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Elle a tout naturellement supprimé des intrants, privilégié les engrais verts, utilisé des levures et bactéries naturelles pour conserver l’identité du terroir dans ses différentes cuvées. ...
Niché au cœur de la Baie de Cannes, le restaurant L’Oasis scintille de 2 étoiles au firmament du Guide Michelin depuis 1992, année où le Chef Stéphane Raimbault tire l’ancienne maison de Louis Outhier d’un sommeil de trois ans. Institution azuréenne, elle est connue pour son patio signature. A l’ombre de platanes centenaires, les tables se faufilent dans une végétation luxuriante, prêtes à recevoir une cuisine vraie, à la croisée de l’Orient et de l’Occident. En effet, le Chef a passé 9 années au Japon. C’est ainsi que Le Pays du Soleil Levant trouve place à la carte, aux côtés de spécialités issues de la grande tradition culinaire française et de mets qui rendent hommage au terroir, à notre belle Méditerranée. Cuisine fusion ? Loin d’être l’effet de quelque mode, elle est simplement le reflet du parcours de Stéphane Raimbault qui, porté par les saveurs asiatiques de son passé, ancre sa cuisine ici, sur une Côte d’Azur devenue terre d’adoption. Une aventure gastronomique Parce qu’il est attaché à ce pays, le Chef a récemment scellé une alliance avec un voisin prestigieux, le Domaine de Barbossi : un golf, un domaine viticole, une production d’huile d’olive et de miel, une maison de chasse… autant d’atouts pour vivre en synergie une véritable aventure gastronomique ! Outre ces diverses activités, dont le restaurant étoilé est la clé de voûte, il y a aussi la prestation hôtelière. A quelques pas de là, toujours à La Napoule, se tient une belle demeure provençale aux ocres jaunes et orangés, L’Ermitage du Riou, où Stéphane Raimbault vous ouvre les portes de son bistrot. Plats canailles, joyeux et authentiques se pressent dans la chaleureuse salle à manger ou sur la terrasse en bord de rivière, vue golf et mer. Le bistrot bénéficie d’une forte connotation sommelière, encouragée par le Chef Sommelier du restaurant étoilé et M.O.F. 2015, Pascal Paulze. ...
La célébration des 2 600 ans de Marseille aura été pour lui une très belle occasion de faire la promotion de cette marque de chocolat d’exception qui bouscule tous les codes en se payant le culot de porter avec audace un symbole de reconnaissance universel : le rameau d’olivier. Francesco Martorana associe l’Espérantine de Marseille au singulier concept de « gourmandise raisonnée », un petit laisser-aller gourmand qui ne peut que faire du bien. Loin de la qualification classique de « péché mignon », qui laisse supposer que manger du chocolat est culpabilisant, surtout pour les femmes, l’Espérantine de Marseille est intimement liée au bon usage de la gourmandise, c’est-à-dire, un juste équilibre entre les textures et les saveurs, avec l’envie de partager. Des ingrédients de première qualité pour une gamme de chocolats de haut vol Grâce à une sélection des meilleurs cacaos grands crus issus des maisons comme Valrhona, qui dégagent des effluves gourmands mêlés à d’authentiques saveurs, d’incroyables assemblages se découvrent et se dévoilent pour faire grandir naturellement le plaisir d’en consommer. À partir de ces nobles matières premières, L’Espérantine de Marseille produit deux gammes de chocolat : Les Espérantines et Pulsion cacao. La première est issue du très fameux et exclusif chocolat à l’huile d’olive de Francesco Martorana. Les Espérantines se sont imposées avec brio dans le cercle très restreint des chocolats de prestige et ont obtenu le prix de Cordon Bleu de la meilleure Confiserie à Paris. Une distinction bien méritée au vu de l’implication dans la recherche et la créativité de son créateur, Francesco Martorana. La seconde a été regroupée sous la bannière Pulsion Cacao, une sélection de produits de première qualité qui nous apprend à apprécier le chocolat autrement. Bien plus qu’un simple réflexe gourmand, la pulsion n’obéit à aucune règle. Avec ses différentes variétés de chocolats, Francesco Martorana a su faire naître ces pulsions dans le bon sens, des pulsions d’autant plus légitimées par d’incroyables productions « fait maison », qui, en plus de titiller les papilles, nourrissent la créativité. À travers une incroyable palette d’ingrédients, où se retrouvent des fruits secs grillés caramélisés, des chocolats noir, lait ou blanc pur beurre de cacao, ce sont des saveurs précises et tranchées qui vous poussent à retrouver le vrai goût des traditions chocolatières. Les spécificités d’un chocolat artisanal Subtil mélange de chocolat et d’huile d’olive, l’Espérantine de Marseille est un emblème de libération pour les férus de chocolat, qui peuvent décomplexer leur envie de gourmandise. Avec le rameau d’olivier, qui apporte une dimension symbolique à la marque, l’Espérantine de Marseille est un chocolat exclusif de fabrication 100 % artisanale. Un réel savoir-faire et un méticuleux travail d’assemblage et de choix contribuent d’ailleurs à son succès, ponctué par le rameau d’olivier, un symbole qui rassure et qui démontre une autre façon d’être gourmand. ...
Ce lieu mythique érigé en 1889 comme hôtel particulier a été pendant longtemps le refuge attitré de plusieurs visiteurs prestigieux pour ne citer que Boris Pastoukhoff, Robert Capa, Clark Gable ou encore Grace Kelly. Un personnage en particulier a façonné l’histoire de cet établissement prestigieux. Marlene Dietrich, éprise pour l’hôtel parisien, s’y est installée trois ans à partir de 1937. Elle y reçoit régulièrement un ami, Monsieur. Grand voyageur, Monsieur parcourt la France à la découverte des terroirs et des campagnes. Chaque mois, quand il revient à Paris, il s’empresse de lui partager ses trouvailles sur les vins, les beaux produits, les paysages… Une cuisine traditionnelle et authentique En hommage à cette belle part d’histoire qui fait le charme et le mystère de l’hôtel Lancaster, son restaurant a été rebaptisé Monsieur. Les travaux ont été entièrement repensés en 2013. Le cadre est en symbiose avec le nouveau concept mis en place depuis l'été 2017 : celui de proposer une cuisine de tradition empreinte d’authenticité. Les meubles, les éléments de décoration, les couleurs taupe, or et sable… tout est fait pour plonger les convives dans une atmosphère familiale et chaleureuse sublimée par l’élégance et le classicisme épuré qui font l’identité de l’hôtel. Dans ce cadre renversant, la clientèle est invitée à découvrir chaque mois une nouvelle région. Ce concept permet d’aller à la rencontre des spécialités culinaires qui font toute la richesse du pays. Aux manettes de ce nouveau projet : le chef Sébastien GIROUD. De septembre à octobre, il met à l’honneur la région Occitanie. En novembre, rendez-vous en Bourgogne pour une halte dans le Beaujolais, le Jura ou encore la Franche-Comté. En décembre, les spécialités du Grand-est et de la Champagne sont délicieusement mises en scène par le chef… Une valse de saveurs éveillant tous les sens sera ainsi proposée tout au long de l’année pour inviter les fins gourmets à aller de surprises en surprises. Tour de France à la cave Ici, les assiettes sont le fruit de l’union d’un talent inimitable, d’un attachement aux traditions culinaires et de l’amour des beaux produits issus de nos terroirs. Outre les menus, Monsieur Restaurant met aussi chaque mois une région à l’honneur dans la sélection de vins proposée aux convives. La cave à vins de plus de 600 références se prête ainsi au jeu du voyage en valorisant un vin régional ainsi qu’une maison de Champagne. A l’image d’un homme passionné par la cuisine française visitant chaque contrée pour y découvrir des produits d’exception, les convives feront des découvertes inédites à l’occasion de ces instants terroirs. Afin de les entraîner dans cette aventure typiquement française et résolument gourmande, le restaurant propose, entre autres, plusieurs rendez-vous hebdomadaires, à l’instar d’une dégustation d’un vin de région, d’une soirée jazz ou d’un atelier cocktail ludique et propice au partage. ...
La renommée viticole du Vivarais remonte au XVIe siècle, lorsqu’Olivier de Serres loue les mérites de ses crus. Cette qualité, qui deviendra le maître-mot des vignerons de cette terre, sera rehaussée par un travail de rénovation marqué par l’introduction de cépages nobles produisant des cuvées gourmandes et rocailleuses. Un engagement envers l’excellence qui sera récompensé en 1999 lorsque les Côtes-du-Vivarais obtiennent l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC), gage de l’authenticité des vins produits sur ces terres généreuses. Terre de vie, terre de vins… L’appellation Côtes-du-Vivarais est nourrie par un vignoble s’étendant sur 14 communes de part et d’autre des gorges de l’Ardèche. Ici les vignes côtoient chênes verts et oliviers en puisant tous les arômes et les saveurs typiques d’un terroir rustique. Les cuvées d’exception qui en découlent se caractérisent ainsi par leur fraîcheur, leur minéralité et leur robustesse. Côté gardois, vous pourrez visitez Aiguèze, classé parmi les plus beaux villages de France, et sa falaise abrupte sur la rivière Ardèche. De l’autre côté du pont, Saint Martin d’Ardèche est le pont d’arrivée des canoës achevant la descente des impressionnantes gorges. ...