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Champagne et œnotourisme : nos meilleures adresses

Gastronomie
Champagne
Champagne Chapuy : l’élégance et la finesse d’un Grand Cru d’Oger 100 % chardonnay

Dans une volonté de célébrer la richesse et l’authenticité de son terroir, Champagne Chapuy lance sa nouvelle cuvée intitulée « Unique » qui incarne la vision novatrice de la maison dans la production de champagnes de gastronomie à noble vocation de se rendre complices des plus beaux moments de vie.

Gastronomie
Champagne
Champagne Cattier : quand l’histoire révèle l’excellence

En Champagne, au cœur de la montagne de Reims, la famille Cattier veille sur ses terres depuis 13 générations. Une histoire de passion, de créativité et d’exigence transmise de père en fils, accordant aux Champagnes Cattier leurs lettres de noblesse.

Gastronomie
Champagne
Champagne Pierre Moncuit : l’excellence du Champagne, sublimé au féminin

A le Mesnil sur Oger, au cœur de la Côte des Blancs, le Champagne Pierre Moncuit porte l’histoire de son terroir. Depuis 4 générations, ce petit domaine familial, uniquement planté en Chardonnay, allie passion, patience et savoir-faire.

Gastronomie
Champagne
Champagne Gremillet : une invitation au voyage au cœur de la Côte des Bar.

Champagne GREMILLET : une maison familiale et contemporaine devenue incontournable

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Gastronomie
Champagne
La Maison Maurice Vesselle : la finesse des champagnes de vignerons

A Bouzy, au pied de la Côte des Noirs, le champagne célèbre un terroir classé Grand Cru. Le domaine Maurice Vesselle y inscrit son nom et son histoire depuis 4 générations, dans le respect des traditions et de l’environnement.

Top 50 des meilleures maisons de Champagne et des visites viticoles...

Champagne chapuy
51 personnes aiment
Oger
Champagne Chapuy
Champagne Chapuy : l’élégance et la finesse d’un Grand Cru d’Oger 100 % chardonnay
Champagne cattier
88 personnes aiment
Chigny Les Roses
Champagne Cattier
Champagne Cattier : quand l’histoire révèle l’excellence
Champagne pierre moncuit
80 personnes aiment
LE MESNIL-SUR-OGER
Champagne Pierre Moncuit
Champagne Pierre Moncuit : l’excellence du Champagne, sublimé au féminin
Champagne gremillet
76 personnes aiment
Balnot-sur-Laignes
Champagne Gremillet
Champagne Gremillet : une invitation au voyage au cœur de la Côte des Bar.
vignes-exposees-plein-sud-de-maison-maurice-vesselle
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Bouzy
Champagne Maurice Vesselle
La Maison Maurice Vesselle : la finesse des champagnes de vignerons
Champagne michel gonet
19 personnes aiment
Avize
Champagne Michel Gonet
Champagne Michel Gonet : une famille viticole qui défend avec conviction l’oenotourisme
Champagne jean-jacques pessenet
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Reuil
Champagne Jean-Jacques Pessenet
Champagne Jean-Jacques Pessenet : une production raisonnée pour des cuvées d’exception
craie-caracteristique-du-sol-crayeux-d-avize-mineralite
60 personnes aiment
Avize
Coopérative des Anciens de la Viticulture
Champagne Sanger : des vins en lien avec le territoire champenois et l’histoire de la marque
Château barrabaque
74 personnes aiment
FRONSAC
Château Barrabaque
Château Barrabaque : une petite propriété familiale unique en son genre
jean-guy
94 personnes aiment
Avize
Champagne Varnier-Fanniere
Champagne Varnier-Fannière : artisans vignerons depuis 1860.
Champagne henri goutorbe
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AY
Champagne Henri Goutorbe
Maison de Champagne Henri Goutorbe : de pépiniériste à créateur de grands vins de Champagne. 
Champagne pol couronne
65 personnes aiment
Reims
Champagne Pol Couronne
Champagne Pol Couronne : une des 6 plus grandes maisons de champagne de Reims
entree-du-champagne-baron-fuente-a-charly-sur-marne
87 personnes aiment
Charly-sur-Marne
Champagne Baron-Fuenté
Champagne Baron-Fuenté : une Maison familiale respectant le terroir de la Vallée de la Marne
Champagne carbon
118 personnes aiment
Reims
Champagne Carbon
Champagne Carbon : dress code sur le thème du luxe et du prestige
Troyes la champagne
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Troyes
Troyes La Champagne
Troyes La Champagne,
Un territoire aux mille couleurs
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27 personnes aiment
Épernay
Champagne Gosset
Champagne Gosset : 435 ans d’Histoire
sous le signe de l’excellence
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Mareuil-sur-Ay
Champagne Guy Charbaut
Champagne Guy Charbaut : un savoir-faire qui ne laisse aucune chance aux artifices
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Épernay
Champagne J. Margouillat
Champagne J. Margouillat : 100 ans
de savoir-faire
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Villers-Marmery
Champagne Boutillez-vignon
Champagne G. Boutillez-Vignon : un savoir-faire exceptionnel au cœur de Villers-Marmery
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Meurville
Champagne Yoan Tapprest
Champagne Yoan Tapprest :
entre passion et tradition
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Riceys
Champagne Batisse Lancelot
Champagne Batisse Lancelot : la tradition avant tout
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Le Breuil
Champagne Sendron Destouches
Champagne Sendron Destouches : un travail respectueux de la vigne
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Grauves
Champagne Mathieu-Princet
Champagne Mathieu-Princet : des cuvées élaborées dans le pur respect de la tradition champenoise
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Polisot
Champagne Moyat-Jaury Guilbaud
Champagne Moyat-Jaury Guilbaud : des champagnes mêlant charpente et finesse

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Le Patio, Rive gauche : l’adresse mythique de Genève qui revisite le bœuf et le homard

Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel.  Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...

Restaurant T’U : se laisser surprendre par les saveurs thaï à travers une carte évolutive

Si vous passez par le 7e arrondissement de Paris, cette adresse est une halte obligatoire. Avec sa petite terrasse extérieure, le restaurant T’U offre une vue sur le Grand Palais de l’autre côté de la Seine. Idéal pour savourer la salade King Crab, spécialité de la maison, ou siroter tranquillement un royal thaï tea avec des amis. À l’intérieur, on baigne dans un décor luxueux signé Pierre-Yves Rochon. Les lumières tamisées mettent joliment en valeur les matières nobles, conférant au lieu un cachet intimiste et sophistiqué. Des produits de premier choix et du fait-maison Le chef Khoï Vu propose une gastronomie d’inspiration franco-thaïlandaise. Il concocte une cuisine authentique, entièrement faite maison, élaborée avec les produits du marché et qui varie selon les saisons. Ici, le bonheur a un nom : brochettes de poulet sauce satay, tataki de thon « Albacore », tigre qui pleure ou cabillaud au galanga et feuille de lime. Et la carte n’a pas fini de surprendre. L’on cite les incontournables dimsum, raviolis et nems maison. Mais aussi le wok de bœuf au basilic ou encore le poulet fermier au curry vert, bambou et basilic thaï pour une explosion de saveurs en bouche. Sans oublier les douceurs sucrées comme la crème glacée au gingembre confit ou la tarte fine aux figues rôties. La consommation de thé étant un art de vivre en Thailande, le restaurant emmène également à la découverte des thés du pays. Thé bleu turquoise aux arômes floraux de lys et d’orchidée, thé vert de Chine aux fleurs de jasmin ou thé noir Yunnan impérial sont proposés par la maison. Une nouvelle carte À chaque saison, la carte se renouvelle. En guise d’entrée, les clients choisiront entre la soupe de crevettes à la citronnelle, un assortiment de dim sum et de raviolis (6 pièces) et un tartare de saumon aux herbes thaï. Côté plats, le chef invite à déguster les fameux calamars sautés, le Phad Thai Gai et le Black Cod accompagné de sa salade de wakamé. Si le choix est encore difficile, pourquoi ne pas se laisser séduire par une assiette dégustation à 26 € ? Bon à savoir : le chef choisit uniquement des viandes d’origine française ou issue de l’Union européenne, et des poissons sauvages ou labellisés « AB ». Pour finir en apothéose, les mini-nems de choco ou les glaces aux fruits de saison feront leur petit effet chez les gourmets.   ...

Audemus Spirits : l’orfèvre des spiritueux

Vouant depuis longtemps une passion pour les spiritueux, Miko Abouaf décide de quitter le monde de la finance et débarque à Cognac (Charente) en 2011. Il commence à distiller pour de grandes maisons au sein d’une importante distillerie. Puis, dans une volonté de proposer quelque chose de différent, l’idée lui est venue de lancer ses propres créations. En 2013, il crée alors Audemus Spirits. Un an plus tard, il rencontre son ami et associé Ian Spink. C’est le début d’une collaboration fructueuse qui va plus tard donner naissance à des produits uniques au style inimitable. Entre parfumerie et distillerie Audemus Spirits se spécialise dans l’élaboration de gins, de spiritueux, de liqueurs et autres apéritifs. Loin d’être une distillerie comme les autres, la maison revendique des méthodes de fabrication qui lui sont propres. « Pour produire nos alcools, mon travail se place à l’intersection de la distillation et de la parfumerie », fait savoir Miko Abouaf. En effet, tel un chimiste évoluant dans son laboratoire, ce dernier utilise des alambics en verre afin de fabriquer ses précieux nectars. Sans pourtant vouloir tourner le dos aux méthodes de distillation traditionnelle, Miko Abouaf se plait à expérimenter tout en usant de techniques pour le moins originales. À titre d’exemple, pour fabriquer un des produits ambassadeurs de la maison, le « Pink Pepper Gin », il fait macérer et distille séparément les neufs plantes qui entrent dans la composition de ce gin d’exception. Ces différentes distillations font ensuite l’objet d’un assemblage. Résultat : les arômes gardent à la fois toute leur richesse et toute leur intensité au cours de la dégustation. « S’il était question d’un gin classique, les ingrédients auraient tout simplement été mis dans un alambic puis distillés ensemble », indique Miko Abouaf. En matière de distillation justement, Audemus Spirits se démarque de ses concurrents par le procédé de distillation dite « sous vide ». Une technique qui permet de réduire considérablement la température d’ébullition de l’alcool et limite ainsi le risque de dégradation occasionnée par un chauffage trop important.    Des matières premières de qualité Tout le monde sait que les meilleurs vins ne s’obtiennent qu’avec des vignes de qualité. C’est tout aussi valable dans l’univers des spiritueux lorsqu’on évoque les ingrédients nécessaires à leur fabrication. « Nous essayons le plus possible de nous fournir près de la source dans le but d’avoir les meilleurs produits », explique Miko Abouaf. Ainsi, la maison s’approvisionne en miel auprès d’un agriculteur situé non loin de la distillerie. « Pour le gin, nous sommes en train de mettre en place une collaboration avec des planteurs de vanille de São Tomé. » Des créations uniques en leur genre À travers ses créations originales, Audemus Spirits  promet une expérience différente aux amateurs de spiritueux. Le « Pink Pepper Gin », un gin incomparable en termes de saveurs, fait la fierté de la maison. Pas moins de neuf éléments aromatiques (dont trois sont tenus secrets) composent ce breuvage exceptionnel : fèves tonka, vanille, miel, baies de genévrier, baies roses et cardamome. Au nez, on retrouve l’intensité du genièvre, de la cardamome et la fraicheur du poivre. Ces trois arômes reviennent en bouche pour laisser ensuite place à la douceur des notes vanillées, tonka et miel mille fleurs. « C’est un des rares gins qui se déguste sec, sans besoin de le mélanger avec d’autres boissons. » Autre merveille à découvrir : l’« Umami », un étonnant spiritueux à base de câpres. Ce nectar présente un nez légèrement salin, délicat et élégant, associé à des notes fraiches citronnées. La bouche est suave et savoureuse avec de superbes arômes de câpre suivie des notes très subtiles de garrigue. Enfin, une finale précise et longue révèle toute la qualité des distillations. Toujours dans l’originalit&e...

L’Orchidée : les bonnes saveurs asiatiques en Lausanne

Situé rue de l’Ale, un lieu foisonnant de commerces et de restaurants dans le centre-ville de Lausanne, en Suisse, le restaurant L’Orchidée est une adresse incontournable pour les amateurs de cuisine asiatique depuis son ouverture en 1999. Entre une flânerie au cœur de la Cité, où règne la majestueuse cathédrale de Lausanne, et une balade aux Escaliers du marché, l'un des endroits mythiques de la ville suisse, faire une pause gourmande au sein de cet établissement de type brasserie n’est pas de refus. Fondues et spécialités vietnamiennes au menu Si le restaurant de Bao Dang est populaire pour ses soupes vietnamiennes, ses autres spécialités asiatiques comme le canard laqué, la fondue chinoise ou encore les salades de vermicelle sont aussi énormément prisées par ses convives. Sa fondue thaïe à volonté, le fondateur de L’Orchidée nous la décrit comme étant « un bouillon Tom Yam, qui est un bouillon à base à citronnelle, avec des herbes aromatiques, des racines de galanga et un peu de basilic, et que l’on sert avec des vermicelles et des viandes ». Riz, charbonnade, potages, nouilles, raviolis, salades, spécialités au poulet, au porc, aux crevettes, au bœuf, au canard et au poisson font également partie de la carte. Les plats proposés dans la sélection « Délices du Mékong », de leur côté, font voyager les sens avec leurs saveurs du Vietnam. Chez L’Orchidée, on n’oublie pas non plus les tofus et les plats à base de légumes qui font le bonheur des papilles végétariennes. Une ambiance tout simplement « sympa » Selon le propriétaire, ce qui séduit à L’Orchidée, « c’est son atmosphère chaleureuse qui réveille l’appétit, son cadre sympa, accueillant, mais aussi évidemment la bonne cuisine », avant de préciser que son restaurant, qui comprend également une terrasse, s’inscrit globalement « dans un style sobre, avec des boiseries comme éléments de décor ». Le cadre convient autant pour un déjeuner entre collègues, un dîner en amoureux, ou un repas entre amis. La clientèle du restaurant est toute aussi éclectique et se compose autant de jeunes adultes que de seniors. Une équipe de passionnés Aux fourneaux, cinq cuisiniers s’attellent à préparer les plats traditionnels du Vietnam. Le chef, lui, est au service de l’établissement depuis une dizaine d’années. Pour ceux qui souhaitent mieux savourer leurs repas accompagnés de bons crus, la carte des vins privilégie les vins locaux avec une prédilection pour les cépages classiques comme le pinot noir et le merlot. On y trouve essentiellement des marques bordelaises, vaudoises et suisses. ...

Le château de Peyralade, un exceptionnel séjour œnologique et gastronomique

A l’extérieur du village de Saint Paul de Fenouillet, à 37 km de Perpignan, se dresse le château de Peyralade, demeure du XVIIIème siècle où Véronique et Xavier Maury reçoivent leur clientèle en table et en chambre d’hôtes. Situé à 45 minutes de la mer et à une heure de la montagne, ce site est dédié à la culture œnologique et gastronomique. Géographiquement, le château de Preyralade s’inscrit pleinement dans le territoire viticole du Roussillon et de sa production où vins rouges et blancs secs disputent désormais la vedette aux célèbres et ancestraux Vins Doux Naturels (VDN) de Maury, Rivesaltes et Banyuls. Mais sa situation également proche de celle du vignoble de Limoux lui permet de bénéficier des célèbres Crémant et Blanquette, effervescents éponymes. L’occasion en un périmètre restreint, de présenter tous les types de vins au cours de ses ateliers oenologiques. Des ateliers œnologiques complets et variés Au château de Peyralade, Xavier & Véronique animent tout au long de l’année un large choix d’ateliers éclectiques (12 au total) qui traitent des vins classiques et spéciaux, de façons ludique et interactive. L’occasion de raconter l’histoire de cette boisson depuis les origines de l’humanité et son lien aux Hommes et aux civilisations, tout en dévoilant son usage médical, social, sacramentel et économique. Dans un autre atelier, sera contée l’histoire des VDN et de leur inventeur Arnaud de Villeneuve, emblématique personnage médiéval des XIII° & XIV° siècles célèbre théologien catalan et médecin du roi Jacques Ier d’Aragon. Xavier dévoilera l’approche sensorielle et les outils du goût, en révélant notamment à chacun ses propres niveaux de perception des quatre saveurs fondamentales et démystifiera le langage des professionnels du vin. Chacun aura également l’occasion de mieux connaître les deux seuls crûs du Roussillon, les AOP Maury et Banyuls, d’apprendre à cerner les contours de leurs terroirs, en piéger les senteurs et en découvrir les saveurs d’exception. Au château de Peyralade, Xavier invitera chacun à confronter les deux AOP Maury et Rivesaltes, ou à découvrir chacune d'entre elles grâce à deux leviers : le premier, intitulé "Verticale" comparera un seul et même vin mais issu de plusieurs millésimes, le second, dénommé "Variation" présentera les interprétations d'un seul et même millésime de plusieurs producteurs. Enfin, les Rancios sont également explorés. Ces vins spéciaux résultent d’un élevage oxydatif long et puissant. Leur mystère sera éclairci à la lumière de plusieurs vins remarquables secs et doux. Un hébergement cosy pour une restauration fine et délicieuse Le château de Peyralade dispose de 2 chambres doubles et d’une suite pour un couple et deux enfants (ou 4 personnes), toutes avec salle d'eau privative et non-fumeur. D.O 620 est la dernière chambre aménagée. Malgré sa grande taille (24 m²), elle est la plus modeste. Ses teintes murales bleues lui confèrent un esprit très cosy et sa salle d’eau au coté rétro offre tout le confort nécessaire pour un séjour de tout repos. La suite Flavène, aux teintes très nature, se compose d’une chambre principale claire pour les parents, et d'une seconde pour 2 enfants (ou 2 adultes) à l'esprit très "cabane". La Anthocyane allie, quant à elle, l’ancienneté de la demeure à la modernité des équipements, en témoigne la  présence de meubles d’antan associés à une décoration et des matériaux contemporains. L’anthocyane est la substance naturelle du raisin qui teinte les vins rouges Fort logiquement, cette couleur donne le ton de cette chambre. Le petit-déjeuner est continental et toujours inclus dans le prix de l’hébergement (Breakfast possible avec supplément et réservation la veille). De plus, Véronique et Xavier convient chaque soir leurs clients à partager la table d’hôtes autour d’un apéritif traditionnel suivi d’un repas complet En termes de r...

O de Mer :
une cuisine qui met l'O à la bouche

Situé non loin de la magnifique église d’Ars-en-Ré, le restaurant O de Mer offre une cuisine gourmande et raffinée, qui fait plaisir aux fins palais. Faire plaisir, justement, est l’une des valeurs qui animent cet établissement, au sein duquel vous vous sentirez comme à la maison. Un maitre restaurateur aux fourneaux Ayant débuté sa carrière en Europe dans le domaine de la restauration, Thierry Hainaut a forgé son expérience, longue de 25 ans, en Australie. Poussés par leur volonté et leur passion, Thierry et sa femme ont trouvé un coin de paradis à Ars où ils ont décidé de poser définitivement leurs valises. « Il y a 7 ans, nous avons rouvert ce petit restaurant avec Corinne pour retravailler à deux les produits qui nous font plaisir. Mais aussi pour retrouver la compagnie de nos clients, qui sont d’ailleurs devenus des amis très proches », explique Thierry Hainaut. Depuis 2014, le chef a été gratifié du titre de « maitre restaurateur », un statut délivré par l’État pour les restaurants traditionnels français. Ce label engage les restaurateurs à propose runiquement des plats faits maison, notamment avec des produits bruts et frais issus du circuit court.En 2016, Thierry Hainaut devient membre fondateur du Collège Culinaire de France, ce qui a permis à son bistrot de figurer parmi les « Tables gourmandes Poitou-Charentes ». Un cadre intimiste et agréable Le restaurant O de Mer est doté d’une belle salle, où le plancher en bois ancien confère tout son charme au lieu et les tables, couvertes de nappes blanches et entourées de chaises en cuir, renforcent l’aspect élégant du restaurant. Durant la période hivernale, un petit coin feu apporte chaleur et réconfort, tandis que, en été, la terrasse offre une vue imprenable sur le clocher d’Ars. Implanté dans la rue piétonne, ce restaurant intime de 22 couverts est idéal pour les rendez-vous romantiques. Une adresse gourmande au pied du célèbre clocher d’Ars-en-Ré Le chef élabore avec soin et créativité une cuisine gastronomique revisitée selon ses humeurs et la saisonnalité. Sa spécialité est la truffe fraiche. D’ailleurs, la maison a développé une carte, où les mets peuvent être accompagnés de truffe fraiche râpée selon les choix et les envies. En entrée, les convives se laisseront séduire par les saveurs du foie gras des Landes mi-cuit aux algues de Roscoff, salade de mer en tartare et brioche moelleuse. En plat de résistance, ils se laisseront tenter par la bouillabaisse de bar, Saint-Jacques et homard façon « Ô de mer », parfums d’orange et anisette, pommes grenailles et mousseline de rouille. Au dessert, les gourmands seront satisfaits par un petit bonbon chaud de chabichou du Poitou, cœur de miel et truffe, sirop pom’poires. Quant au menu, la maison propose en entrée une Ile flottante au délicat parfum de Tuber Albidum sur un velouté de cèpes de Dordogne. Vient ensuite, en plat de résistance, le bœuf Wagyu australien confit 8 heures et pâtes fraiches réduction de vieux pomerol aux perles du Japon et truffe. Le mélodieux repas s’achève avec le minestrone glacé de fruits de saison d’ici et d’ailleurs, glace à la truffe. ...

Le Refuge des Gourmets : un haut lieu gastronomique de la Haute-Savoie

S’inscrivant dans l’univers de la restauration française depuis vingt-neuf ans, Le Refuge des Gourmets est situé dans le petit village de Machilly, au pied du massif des Voirons, en campagne, à environ dix kilomètres d’Annemasse. Récemment primé d’une étoile par le Guide Michelin, cet établissement familial cossu collabore avec une équipe professionnelle et talentueuse. Un restaurant tout en convivialité Dans un souci de favoriser les relations humaines et le partage, Florence Chanove et son équipe de salle sont au petit soin pour leurs hôtes. Dans un cadre feutré et élégant, elles les accueillent chaleureusement et les invitent à se délecter d’une cuisine fine et surprenante. Avec ses deux salles séparées, dont l’une peut accueillir jusqu’à 30 personnes, le restaurant convient à toutes sortes d’occasions, du repas familial au déjeuner professionnel, en passant par un simple dîner occasionnel.  Ode à la cuisine gastronomique de région Dans les coulisses du restaurant, les chefs Jean-Marie Chanove et son fils Hubert, épaulés par leur brigade, combinent leurs compétences et créativité pour concocter des plats toujours savoureux, gourmands, mais surtout authentiques. La particularité de leur cuisine réside sur « l’utilisation de produits locaux, mais notre restaurant se distingue aussi sur nos cartes qui se renouvellent constamment en fonction des saisons », s’accordent à dire les chefs. Le restaurant travaille principalement avec des fournisseurs locaux : agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et cueilleurs de champignons, de fruits, d’herbes sauvages, fleurs, etc. « À partir des produits régionaux et saisonniers comme la framboise, nous proposons une déclinaison de cuisine gastronomique et traditionnelle, tout en inventivité et mélange des saveurs. », spécifient-ils. Au programme : un menu à la carte et un menu carte blanche appelé « Partition gourmande »  qui se décline en sept ou huit partitions. Pour cette saison printanière par exemple, « nous travaillons sur des jeunes herbes mixées avec des infusions hivernales, que ce soit des infusions végétales, de légumes ou de plantes séchées », poursuivent nos interlocuteurs. Au déjeuner, l’omble chevalier est à l’honneur, qui, en cette saison, est un poisson très prisé à la fois par sa délicatesse et la justesse de ses accords. « La garniture, la sauce ou le mode de cuisson de l’omble vont surgir en fonction du temps présent, puisque nous travaillons dans un esprit de spontanéité du moment ». Pour accompagner ses plats, les chefs suggèrent des vins du terroir, notamment ceux de la Haute-Savoie et de la vallée du Rhône, sa région natale. ...

AIX Rosé : une belle expression de la Provence

Créé en 1880 et dédié à la production de truffes, le domaine de la Grande Séouve où est situé la Maison Saint Aix a été reconverti en vignoble dans les années 1900. Aujourd’hui, il est la propriété d’Eric Kurver, viticulteur d’origine hollandaise qui s’est installé dans la commune de Jouques avec sa famille dans les années 2000. Le must de l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence Niché près de la commune de Jouques, au nord d’Aix-en-Provence, le domaine repose sur un terroir de caractère. La Provence est réputée pour son originalité bien présente. Essentiellement argilo-calcaire, « la terre force les pieds de vignes à puiser l’eau profondément, ce qui confère tout son caractère à la cuvée », explique Eric Kurver. Le domaine exposé plein sud culmine à une altitude de 400 mètres au gré d’un courant d’air chaud et sec idéal pour les cépages comme le grenache, le syrah et le cinsault. Vignoble en agriculture biologique, le domaine de la Grande Séouve s’oriente vers une culture en harmonie parfaite avec l’environnement. Ses vignes vieilles de quarante à cinquante ans procurent une maturité exceptionnelle aux raisins. Un vin d’exception… Avec sa fraîcheur et son fruité, AIX Rosé s’impose comme une référence auprès des œnophiles avertis. Le « Great Rosé @ Great Places​ » trouve sa place dans toutes les caves des plus grands établissements parisiens, aixois et lyonnais, et s’exporte dans une trentaine de pays dont les États-Unis, l’Angleterre et la Suisse. La distribution est « très sélective pour préserver cette authenticité qui nous est chère », souligne Eric Kurver. La robe rose saumon hypnotique d’AIX Rosé révèle la qualité et la fraîcheur des meilleurs rosés de Provence. Sa générosité, sa structure ainsi que sa longueur en bouche font d’AIX  le rosé idéal à partager entre amis tout au long de la journée. ...

Restaurant La Table des Insolents : une cuisine authentique, comme à la maison

Située au cœur du 15e arrondissement de Paris, cette enseigne aux dehors innovants, en plus d’être populaire, tranquille et un rien bobo, met le quartier en ébullition. À travers une cuisine bistronomique à base de produits frais et de saison, l’établissement propose une carte évolutive intégrant trois entrées, trois plats et trois desserts qui changent tous les mois, avec, à côté, un menu du midi composé de deux entrées, deux plats et deux desserts, qui, chaque semaine, ne sont jamais les mêmes.   Misant sur la fraîcheur et la qualité des produits, l’établissement met à l’honneur le « fait maison ». Son menu bistronomique séduit plus qu’il ne surprend avec ses cinq variétés de plats, à savoir un assortiment d’amuse-bouches, une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert. Les ingrédients sont ingénieusement agencés dans les assiettes, dans une intéressante alliance de couleurs et de saveurs. Magret de canard, Saint-Jacques et autres matières premières d’exception sont délicieusement mis en scène. Une ambiance bistronomique La Table des Insolents, c’est un fond de cuisine un peu fusion aux tendances légèrement orientales. Avec un brin d’audace, comme le laisse supposer le nom de l’établissement, les classiques sont ici revisités avec des plats à l’image du restaurant. Dans un décor assez épuré aux tables d’une grande sobriété, l’accent est mis sur la qualité et la simplicité, pour une belle harmonie. ...

Domaine du Mont Verrier :
des vins de haute couture

Propriété de la famille Aubry, le Domaine du Mont Verrier a été légué en 1892 aux Hospices de Villefranche. Jusqu’en 1990, il a ainsi servi de lieu de villégiature aux sœurs hospitalières de la congrégation Sainte-Marthe de Beaune. Menacé de démantèlement, le domaine a été racheté en 2007 par Gérard Legrand, passionné de vin et d’Histoire. Celui-ci réalise de gros travaux de rénovation permettant l'ouverture en 2009 d’une maison d’hôtes. Pendant 10 ans, Gérard Legrand s’est également attelé à restructurer et à diversifier le vignoble. Un travail de longue haleine qui porte aujourd’hui ses fruits. Un conservatoire expérimental à ciel ouvert Le terroir du lieu-dit de Mont-Verrier possède une étonnante singularité. « Nous disposons d’un terroir qui a la particularité de changer en l’espace de quelques mètres, ce qui nous permet d’avoir une belle diversité de cépages », souligne Céline Charrier, responsable promotion et export. Ici, on passe aisément d’un sol argilo-calcaire à des sols de roches volcaniques et granitiques. C’est pour mettre en lumière cette diversité que Gérard Legrand a eu l’idée de planter en collaboration avec la SICAREX Beaujolais et le Conservatoire du Vignoble Charentais une importante collection ampélographique. Présentant plus de 200 cépages différents, il s’agit tout simplement de l’une des plus grandes collections ampélographiques privées de France : « C’est en quelque sorte un conservatoire expérimental à ciel ouvert pour voir comment ces différents cépages s’adaptent à ce terroir extrêmement diversifié ». De vieilles vignes Après restructuration, le vignoble s’étend aujourd’hui sur 40 hectares. Sur l’ensemble de l’exploitation, Gérard Legrand a pris soin de garder 50 % de vieilles vignes. L’encépagement se compose à majorité de gamay, cépage roi du Beaujolais. « Nous avons de très vieux gamay plantés sur une parcelle centenaire », confie Céline Charrier. Le chardonnay, dont certains pieds datent de 1950, et le pinot noir viennent compléter l’encépagement. La biodiversité à l’honneur Avec le label HVE en ligne de mire (au printemps 2019), le domaine a depuis longtemps concentré ses efforts sur la préservation et la valorisation de la biodiversité. Ainsi, un verger comptant plus de 60 variétés d’arbres fruitiers (pommiers, pruniers, pêchers...), un potager ainsi qu’un jardin de plantes vivaces côtoient harmonieusement les vignes. En outre, le vignoble est mené intégralement en culture raisonnée sous l’œil avisé de Jean Louchet, chef de culture. « Il a l’expérience et la connaissance des pratiques en matière de lutte raisonnée en même temps que la maitrise des amendements naturels », rapporte notre interlocutrice. Sous l’impulsion de ce chef, une attention particulière est portée au niveau de l’enherbement. « Au printemps, les interrangs se remplissent de fleurs, qui seront ensuite fauchées et qui, par décomposition, donneront un engrais naturel. » En cas de besoin, le domaine réalise également son propre engrais organique préparé à base de fumure. Pour illustrer cet intérêt, le Domaine lance en 2019 (millésime 2018) sa première cuvée sans sulfites en Beaujolais Pierres Dorées vinifié selon la pure tradition beaujolaise, avec une macération semi-carbonique à partir des seules levures indigènes présentes sur la pruine des baies et surtout sans sulfites ajoutés. La qualité avant tout Toujours soucieux d’offrir le meilleur aux œnophiles, le Domaine du Mont Verrier ne néglige aucun détail dans le processus d’élaboration de ses vins. Et cela commence d’abord par la maitrise des rendements afin de préserver la complexité et la concentration des raisins; « Nous pratiquons l’ébourgeonnement. Par conséquent, nous gardons uniquement les rameaux qui vont apporter les meilleurs fruits avec tous les arômes et la sucrosité nécessaire &ra...

un authentique restaurant indien venu d'ailleurs

Après plusieurs expériences réussies dans la restauration notamment dans de nombreux restaurants indiens, Julia et Sanjeev Kumar ont choisi de s’installer à Vannes. Ce sympathique couple de restaurateurs accueille ses convives du mardi au dimanche soir, dans son nouveau restaurant indien Les Saveurs de l’Inde, situé rue Thiers. L’établissement séduit par l’authenticité des goûts et les senteurs de ses plats, en plus d’offrir un cadre chaleureux et une fourchette de prix plus que raisonnable avec « un ticket moyen abordable de 16 à 20 € par personne », nous souffle-t-on. Familles, couples et groupes d’amis aiment s’y retrouver pour partager un repas en toute convivialité.   Une authentique cuisine indienne Aux Saveurs de l’Inde, « c’est surtout les plats du Nord et la cuisine traditionnelle indienne avec des plats végétariens et d’autres avec de la viande », décrit Julia Kumar. Pour conserver la nature des aliments et en relever le goût, les produits et épices utilisés en cuisine (riz basmati, principales épices…) sont pour la plupart « directement importés de l’Inde », tient-elle à préciser, avec toutefois quelques infimes produits du marché, mais toujours préparés selon les principes de la tradition indienne. Les plats de viande sont majoritairement composés de poulet et d’agneau, mais on y sert aussi des fruits de mer. Avec ses 7 plats végétariens et ses formules pour végétaliens, Les Saveurs de l’Inde accordent toutefois une attention particulière à tous ceux qui ne sont pas friands de viande.   Une carte des desserts variée La carte des desserts du restaurant est aussi riche que rafraichissante, avec un large choix de mangomastani, de coupes maharani à la mangue fraiche (la spécialité de la maison), de glaces maison aux pistaches (kulfi) et de gajarhalua (gâteau de carotte au cœur d’amande)… Un vrai délice pour les palais. Le restaurant propose également une longue liste de délicieuses boissons atypiques de l’Inde pour accompagner idéalement les repas, allant d’une ribambelle de thés variés aux liqueurs de mangue, en passant par des bières et vins d’origine indienne, particulièrement appréciés des clients.   L’art de la culture indienne en tableaux Le restaurant Les Saveurs de l’Inde aime aussi faire découvrir à ses clients et visiteurs de passage la beauté de la culture indienne et ses particularités. Pendant deux mois ont été exposés des tableaux de peinture inspirés de la culture indienne (mandalas) et autres œuvres photographiques de la talentueuse Yona Colette Pruvot, une artiste locale et professionnelle de la danse traditionnelle indienne. Un évènement qui a particulièrement marqué les esprits par son originalité et son authenticité. ...

ESV : l’École Supérieure du Vin forme tous les passionnés du secteur

Néophytes, étudiants, salariés en reconversion et professionnels souhaitant monter en compétence se tournent vers l’École Supérieur du Vin pour devenir des experts dans le monde du vin. Une école ayant adopté un modèle économique collaboratif Fondée en 2015, l’École Supérieure du Vin est devenue en quelques années un passage incontournable pour de nombreux professionnels du secteur. Située au cœur de l’Occitanie, les étudiants qui y font leurs classes apprécient la possibilité d’en apprendre plus sur ce monde si riche et passionnant. Pour ce faire, cette école atypique est adepte de l’économie collaborative. En effet, en complément des salles fixes à la disposition des enseignants et apprenants, de nombreux cours sont réalisés en plein cœur des domaines de la région. Grâce au soutien de professionnels du monde viticole (sommeliers, œnologues, vignerons, cavistes, viticulteurs et spécialistes de l’œnotourisme), les étudiants peuvent ainsi appréhender les différentes facettes, de la fabrication à la commercialisation du vin. Cet apprentissage innovant favorise le partage, l’entraide et le collaboratif qui sont des valeurs chères à ce jeune établissement. Tout cela en restant au plus près de la réalité du marché. Un peu de théorie et beaucoup de pratique : la recette du succès de l’ESV. L’objectif de cet organisme de formation : former les futurs professionnels du secteur tout en valorisant le territoire et les vins d’Occitanie. Des formations répondant aux attentes de tous les étudiants Cette école inhabituelle accueille quatre grands types d’apprenants : - Le néophyte qui souhaite une formation complète afin de se spécialiser dans le domaine du vin ; - Le restaurateur qui veut se former aux accords mets et vins ; - Le propriétaire exploitant voulant obtenir les clés pour améliorer l’attractivité de son domaine ; - Le caviste qui souhaite monter en compétence. Ainsi, depuis sa création, elle a mis en place un large choix de formations, courtes ou longues, afin de répondre aux attentes de tous ces profils hétéroclites. Parmi les offres disponibles, le diplôme Bachelor Commercialisation Internationale des Vins spécialité œnotourisme est l’une des formations des plus appréciées. Ouverte aux étudiants de BTS et DUT, aux demandeurs d’emploi et aux salariés souhaitant utiliser leur CIF, elle propose 570 heures de cours dispensées sur 3 jours par semaine. À la fin de l’année (sous condition de réussir l’examen final), l’étudiant aura les clés pour devenir commercial, responsable export, communication ou encore chef de rayon, ou acheteur spécialisé en vin. Autre programme de formation plébiscité par les professionnels : le Master Level Sud de France. L’objectif est clair : pouvoir former des experts en vins du Languedoc-Roussillon. Au terme des 14 heures de formation, l’élève aura la capacité de maitriser la grande diversité des vins de la région. À savoir : chaque formation demande aux apprenants de travailler sur des cas concrets, avec le soutien et la participation de professionnels partenaires. Des projets impliquant les apprenants Ce qui plait aussi aux étudiants, c’est la possibilité de prendre part à différents événements au cours de leur formation. Ainsi, les étudiants de la promotion 2016-2017 ont pu créer une cuvée et ont réalisé un calendrier des dieux et déesses de la vigne. Les promos suivantes prennent le relais, et relance des cuvées et de nouvelles éditions. Le premier projet fut, pour eux, l’occasion de mettre en pratique leurs connaissances. En utilisant une « vigne-école », ils furent capables de vinifier avec des méthodes artisanales et en Agriculture biologique. Cette cuvée a été baptisée Escola (embouteillée en 2017). La promo suivante a créé la cuvée Octopus et s’est chargée de tout commercialiser elle-même. Un grand succès puisque les ventes ont été soldées avant même la finalisation de la mise en bouteille. Le second, quant à lui, fut une bonne manière de valoriser le d&ea...

Domaine de Coyeux : des vins au sommet

Les premières vignes du Domaine de Coyeux ont été plantées dans les années 1950. En 2013, Hugues de Feraudy, séduit par la beauté et la potentialité des lieux, décide de faire l’acquisition de l’exploitation. Cet industriel à la retraite est épaulé dans ses tâches par son frère Jean. Actuellement, la maison travaille sur un vignoble s’étendant en totalité sur 112 ha d’un seul tenant, chose assez rare dans le domaine viticole. Un terroir très particulier Nichées à 300m d’altitude, les vignes profitent des échanges d’air et des écarts de températures qui sont propices à leur santé. « Après les pluies, le mistral contribue à assécher les vignes empêchant de cette manière le développement de maladies », explique Nathalie Fuselier, la responsable œnotourisme. Ici, les cépages muscat petits grains, grenache, syrah et mourvèdre s’épanouissent sur des sols de type Trias. Ce dernier a la particularité de retenir l’eau durant les périodes de pluie pour la restituer ensuite aux vignes lors des grandes chaleurs. En outre, les terres du Trias procurent les minéraux indispensables au développement aromatique des raisins. « Cette typicité apporte à nos vins une fraicheur aromatique incomparable », nous indique-t-on. Respect de la Nature Afin de maintenir le vignoble en parfaite santé, l’exploitation privilégie des méthodes culturales respectueuses de l’environnement. Ainsi, la viticulture y est menée en lutte raisonnée, avec une utilisation minimale de produits de synthèse. À cela s’ajoutent un enherbement naturel et des soins particuliers apportés au niveau du sol. « Nous avons recours à des amendements organiques, afin de favoriser  la vie microbienne et d’​avoir à cet effet des sols sains et vivants », rapporte notre interlocutrice. Dans ses efforts pour préserver la Nature, le domaine envisage pour les années à venir de s’engager sur la voie de l’agriculture biologique. La qualité comme seul mot d’ordre Comme tout le monde le sait, un bon vin se fait à la vigne ! Le Domaine de Coyeux chouchoute donc particulièrement ses vignes à tous les stades de leur développement. Dans le but de mieux maitriser le rendement, la maison pratique l’ébourgeonnage. Grâce à cette technique, le nombre  de grappes par souche   est volontairement réduit,  de façon à concentrer plus encore  les  sucres et arômes contenus dans les baies. Au printemps, le domaine procède également à l’épamprage. Une opération visant à aérer les souches et à favoriser la maturation des branches fruitières porteuses de raisin. Dans les semaines qui précèdent les vendanges, chaque parcelle fait l’objet d’un suivi rigoureux en vue d’une sélection parcellaire. Les vendanges ne commencent finalement que lorsque les raisins atteignent leur maturité optimale. « Nous réalisons des vendanges manuelles et nous sélectionnons les meilleures grappes », souligne la responsable. Pour éviter tout écrasement des baies, celles-ci sont placées dans des petites caisses qui seront ensuite vidées une à une. Les grappes passent ensuite sur deux tables de tri successives pour ne conserver que les meilleures. Une vinification maitrisée de bout en bout En matière de vinification, le Domaine de Coyeux dispose d’équipements et de matériels de pointe lui permettant de réaliser des techniques spécifiques. En effet, grâce à ses cuves en acier inoxydable thermorégulées, la maison opère une macération pré fermentaire à froid, qui lui permet d’extraire le maximum d’arômes. Tout au long de la fermentation, les jus sont soumis à un suivi quotidien assuré conjointement par le maitre de chais, et l’œnologue du domaine. « L’objectif est d’évaluer l’évolution du vin et son degré d’aboutissement », nous confie-t-on. Pendant la fermentation, la maison veille à ce que les  mouts  ne puissent pas entrer en contact avec l’oxygène. En agissant ainsi, elle limite consid&eacut...

Domaine de la Garenne : un domaine aux raisins d’or

Appartenant à la famille De Balincourt depuis près de 300 ans, le Domaine de la Garenne  s’étend aujourd’hui sur une superficie de 27 ha hectares dont 22 en AOC. En 1961, le comte Jean de Balincourt reprend l’exploitation pour y  produire les meilleurs vins de la vallée de Saint-Come. Aujourd’hui, sa fille, Béatrix en assure la direction avec grand succès.      Une exploitation familiale Le Domaine de la Garenne se situe dans la Commune de Cadière d’Azur. Ses terres baignent dans un climat méditerranéen, caractérisé par la douceur de ses hivers et de l’intense chaleur de sa saison estivale. La rareté des précipitations qui viennent perturber le climat de la région a une forte influence sur la qualité de l’agriculture du domaine et en l’occurrence du vin qu’il produit. Parallèlement, la texture argilo-calcaire du sol favorise la culture du cépage mourvèdre qui constitue une très grande partie du vignoble des Balincourt. Le Domaine de la Garenne a toujours été une exploitation familiale. Environ 85 %  des terres sont consacrées à la viticulture de l’AOC Bandol. L’ensemble de la culture produit 70 % de vin rosé et 30 % de vin rouge.  Le domaine a connu d’autres activités avant de devenir un vignoble de renommée. En effet, avant que le comte Jean de Balincourt ne prenne possession des terres en 1965 pour y pratiquer la viticulture, les terres étaient l’un des meilleurs terrains de chasse aux lapins de Garenne. Une fois reconverti à sa nouvelle vocation, le domaine abandonne certaines de ses politiques notamment celles orientées sur le marché du négoce. L’exploitation a pris une toute autre tournure lorsque Béatrix reprend les rennes en 2002. Elle met en pratique ses expériences dans le commerce en entreprise et opte pour un nouveau type de marché notamment plus axé sur l’exportation.     Le Bandol rosé Cuvée M 2015 : le flambeau du Domaine de la Garenne Couronné par une médaille d’or lors du Concours Agricole de Paris en 2015, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 fait la fierté de Béatrix de  Balincourt. Il se compose de 65 % de mourvèdre, de 25 % de cinsault et de 10 % de grenache pour une teneur en alcool de 13.5°. Sa couleur claire et son nez très fuité font la particularité de ce vin.  Apprécié pour sa longueur en bouche, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 accuse une essence  d’agrume de pamplemousse agréablement douce. La vendange manuelle est privilégiée afin de préserver la qualité des cépages. Les cultures sont alors égrappées et foulées sans avoir recours à aucun outil mécanique. Les cépages subissent un pressurage direct pour être ensuite fermentés à une température régulée entre 16 – 18 °C. Afin d’en apprécier le goût de façon optimale, il est conseillé de déguster le Bandol Rosé Cuvée M avec une grillade de poisson ou une assiette de poisson en sauce, de la bouillabaisse ou de la bourride, mais il est également excellent en apéritif. ...

Taï Shõgun, l'art culinaire japonais à Nantes

Le Taï Shõgun est le tout premier restaurant japonais à avoir ouvert ses portes à Nantes et sur l’ile éponyme. L’établissement à l’architecture contemporaine et au cadre moderne propose deux espaces bien distincts, disposant chacun de son ambiance propre : le kaiten et le teppanyaki. Il bénéficie d’une vue imprenable sur la Loire. Ses cuisiniers sont des chefs japonais qui respectent les valeurs et les principes fondamentaux de la gastronomie japonaise. Tous les plats, qu’ils soient cuits ou crus, sont élaborés uniquement à partir de produits frais et de saison, garants du gout et de la saveur si chers à cette cuisine. Le kaiten ou sushi bar Le concept du « kaiten » est simple et innovant : les convives se servent selon leurs envies. Il s’apparente à un bar sur lequel défilent les assiettes proposées sur la carte. Les plats sont élaborés par les maitres sushis qui officient derrière le comptoir, directement sous le regard des clients. Véritables artistes culinaires, les cuisiniers du Taï Shõgun réalisent des plats travaillés avec minutie, qui affichent un véritable raffinement tant au niveau du gout que sur le plan visuel. Tous les classiques de la cuisine japonaise sont inscrits à la carte : sushis saumon, makis thon, California, calamars sauce yakumi, tempura de crevettes et autres brochettes de poulet, saumon ou canard. Au kaiten, les assiettes affichent une couleur spécifique qui informe le client sur le prix du plat. Ainsi, les convives peuvent savourer tranquillement tout en contrôlant leur ardoise. Le teppanyaki, trait d’union entre cuisine et spectacle La cuisine du « teppanyaki » est une représentation culinaire, presque un show. Les convives, disposés côte à côte autour de l’« hibachi » (un immense grill), assistent directement à la préparation des plats par le chef Hinotsume. Ce dernier ponctue toujours son travail par de petites animations et anecdotes gourmandes. Mis à part son aspect spectaculaire, cette méthode de cuisson présente également des avantages gustatifs. Tout d’abord, les aliments conservent intégralement leurs saveurs naturelles. Sans compter qu’elle préserve les vitamines et les sels minéraux contenus dans les ingrédients. Un vrai repas traditionnel japonais est composé de plusieurs plats. Il débute souvent par le « Ome Rice », déclinaison originale de l’omelette, avec du riz sauté et du ketchup. Il est suivi par l’incontournable « bœuf de Kobé », à la viande hyper tendre lézardée de gras, qui lui confère un gout exceptionnel. Suivent ensuite les mille et une variétés de riz gluant, de soupes miso et de consommés de poissons. La touche finale offre une note plus occidentale, avec les babas au rhum ou les panacottas de fruits rouges. Le tout est accompagné de saké et de tranches de gingembre à prendre entre chaque plat pour se nettoyer le palais. Privatiser le Taï Shõgun Le Taï Shõgun est privatisable, que ce soit pour un évènement professionnel ou familial. Il dispose d’une capacité d’accueil de 150 personnes debout pour des cocktails apéritifs ou dinatoires. La salle du teppanyaki est également privatisable et reçoit des repas d’affaires ou toutes sortes d’évènements jusqu’à 14 personnes. Le restaurant propose évidemment les spécialités japonaises mais peut réaliser des cocktails traditionnels français ou même une cuisine fusion. ...

Les Costières de Pomerols : La famille des vins de Beauvignac

Sous l’impulsion de son directeur général Joël Julien, élu meilleur manager de l’année en Languedoc Roussillon, la cave est actuellement une référence mondiale en vins de Beauvignac, avec près de 20 millions d'euros de chiffre d’affaires annuel. Des appellations de renom Sur les 1800 hectares de vignoble, 450 sont classés en AOP Picpoul de Pinet. «  Il s’agit de l’appellation emblématique de la coopération, celle qui a permis d’acquérir une notoriété reconnue dans le monde », explique Joyce Arends, responsable caveaux et marketing. Ces vins, élevés sur des terres en arc de cercle ensoleillées et argilocalcaires nommées Costières, s’apprécient pour leur fraîcheur, leur vivacité et leurs arômes fruités de pamplemousse et de citron vert. Outre cette fameuse appellation, le vignoble en compte d’autres tout aussi prestigieuses, comme l’AOP Languedoc, l’IGP Pays d’Oc ou encore l’IGP Côtes de Thau. Parmi la large palette de grands vins blancs, rouges et rosés que propose la coopérative, on retrouve la cuvée exceptionnelle Chardonnay Beauvignac ou encore l’incontournable cuvée Prestige Cabernet Sauvignon, les deux médaillées d’Or lors du concours général agricole de Paris 2016. Avec sa robe jaune pâle aux reflets vifs, la cuvée Beauvignac AOP Picpoul de Pinet (médaille d’argent) offre un équilibre harmonieux entre fruité et vivacité et se déguste avec les huîtres de Bouzigues. De nombreuses animations œnotouristiques Au sein de la cave, une initiation à la dégustation sous la houlette d’un sommelier est proposée afin de découvrir les saveurs et arômes subtils des vins de Beauvignac. Les visiteurs peuvent également partir à la découverte du savoir-faire Beauvignac à travers des visites complètes allant de la vinification jusqu’à la mise en bouteille finale. Des escapades gourmandes en catamaran ou bien encore des balades sur le terroir avec en prime une initiation aux plantes aromatiques dirigée par l’herboriste Corinne Fabre complètent l’apprentissage sur l’univers des vins et affinent les connaissances sur la biodiversité. ...

Un Team Building « Cuisine » à Paris

La gastronomie, de la cuisine à l’œnologie en passant par la pâtisserie, cet ambassadeur de l’art de vivre, se découvre chez le Foodist au gré de cours prodigués par une équipe de professionnels alliant savoir-faire et savoir-être.  Tous les jours, sommeliers, chefs et pâtissiers partagent leur passion avec les visiteurs de passage à Paris, en anglais.  Mais ils partagent cette passion également avec les entreprises dont les membres sont conviés dans cette enseigne à l’occasion de team-building culinaires à Paris. La gastronomie, parfaite pour fédérer les équipes Une cuisine est un lieu parfait pour fédérer une équipe et créer de bons souvenirs : derrière un objectif commun, l’équipe collabore pour préparer un repas entre la pression de délivrer un résultat le meilleur possible, et bien sûr ceci implique la nécessaire collaboration entre les participants  Un vrai projet !  Mais après l’effort viendra peut-être un autre réconfort, et pourquoi pas pour ce faire, une animation œnologique ?  Cette animation, conduite par un sommelier œnologue sera l’occasion de découvrir les histoires cachées derrière chaque bouteille, d’aller à la rencontre du vigneron et de son vignoble au travers de ses cuvées, et de réussir les accords mets et vins. Ici, surprise et convivialité caractérisent chaque instant… Enfin, vous trouverez également des cours de pâtisserie sauront souder vos équipes autour de délices sucrés élaborés ensemble. Autant de formules pour remercier, fédérer ou féliciter vos collaborateurs de la manière la plus gourmande possible. Une animation œnologique unique pendant votre repas Jugez plutôt : après votre atelier cuisine, il sera temps de passer à table.  C’est alors que le sommelier-œnologue vous accueillera avec un verre apéritif et vous initiera à la dégustation à l'aveugle avec quatre sens : la vue, l’odorat, le palais, et même le toucher!  Non seulement c’est bluffant, mais en plus, ceci est fait avec de l'humour.  Le Sommelier vous présentera ensuite un vins différent pour chaque plat , chaque vin étant choisi pour le meilleur accord.  Sur chaque vin, il partage des histoires très mémorables – que vous serez probablement ravi de partager avec vos amis après cette initiation.  Et il partage également sans retenue ses vrais trucs de professionnel pour reconnaitre l'origine d'un vin français sans l'étiquette.  C’est surprenant, et une belle addition à votre team-building culinaires à Paris.  Et puis vous jouerez à des jeux type quizz gastronomique et jeu des arômes, pour stimuler cerveau droit et cerveau gauche.  Tout cela se termine dans la bonne humeur avec une belle surprise et du Champagne, bien sûr. Un cadre chaleureux et tout en finesse L’écrin dans lequel Le Foodist partage sa passion pour la gastronomie est décoré avec simplicité et finesse.  On s’y sent tout de suite bien, un peu comme à la maison.  Car même si la cuisine y est une cuisine professionnelle tout est fait pour s’y sentir à l’aise.  C’est dans ce cadre que le Foodist souhaite faire découvrir et partager cet art gastronomique au travers de programmes fondés sur la surprise, l’humour et la participation. Cours de pâtisserie, de cuisine ou animations œnologiques sont ici la promesse d’instants conviviaux, de moments uniques à savourer autour d’une ou deux larges tables composées des réalisations de chaque participant.  Votre expérience unique de team-building culinaires à Paris dans ce cadre très particulier, sera une belle empreinte à laisser dans les annales culinaires. ...

Joseph Cartron
Une référence made in Bourgogne !

Origine - Qualité – AOC -  maîtres mots chez Cartron Judith Cartron, première femme à piloter l’entreprise a succédé à son père Xavieren 2011. Fière de ses racines, elle aime à rappeler l’héritage de la Bourgogne au travers du savoir-faire ancestral familial. Croquer dans le fruit est la promesse de la Maison.Aussi, pour y parvenir, le liquoriste sélectionne les meilleures variétés, assurance de puissance aromatique et d’excellence. Chaque fruit est alors récolté à pleine maturité, cassis Noir de Bourgogne, framboises Lloyd Georges, pêches de vigne, poires williams, abricots des Monts du Lyonnais, melon, mirabelles de Lorraine…, des fruits charnus et juteux.Cette exigence,Cartron l’applique à toute sa matière première, le gage d’un produit haut en goût qui réveille nos papilles. Parmi les incontournables de sa gamme de liqueurs et eaux-de-vie de fruits,  citonsla Crème de Cassis de Bourgogne Double Crème Joseph Cartron, fleuron de la maison dont sa grande puissance aromatique sculpturale nappe verre et palais. En 2015 elle a reçu comme sa Crème de Cassis de Bourgogne 15° l’appellation indication géographique Cassis de Bourgogne véritable gage de qualité pour les amateurs de crèmes de cassis haut de gamme.  Cette IG souligne l’excellence et la territorialité du produit dont la recette est gardée secrète de père en fille. Mais il y a aussi le Marc et la Fine de Bourgogne et leurs AOC…. un héritage qui se partage avec plaisir. Secrets de fabrication et trésor de goût Cartron un savoir-faire ancestral qui innove On connait Cartron par ses classiques, sa double crème de cassis, ses crèmes de fruits, ses eaux-de-vie de poire william, de vieille prune, son marc et sa fine de bourgogne et ses liqueurs de fruits bien ancrés sur notre territoire. Le distillateur aime aussi à se distinguer par son originalité. Il innove au travers de recettes uniques apportant un petit plus qu’il aime vous laisser découvrir. Ses dernières créations, ses liqueurs de thé rooibos, vert, fumé, sa crème de mirabelle, sa liqueur de sureau et la dernière-née, la liqueur de violette sont les muses des barmen.« Le consommateur comme les barmen aiment les nouveautés. L’innovation est primordiale, elle fait partie de notre ADN, de la marque Cartron qui aime surprendre et se positionne en véritable architecte du goût. » souligne Judith Cartron pour qui créativité est avant tout aussi synonyme de goût. ...

Champagne Boutillez Marchand : exprimer la complexité et la richesse du chardonnay

Le terroir est installé dans la région du champagne Premier Cru, au cœur du village de Villers-Marmery. Cette commune viticole se présente comme une mosaïque de coteaux célébrant une belle diversité de sols, tantôt argilo-calcaires, tantôt crayeux. Le climat océanique et l’exposition solaire gâtent les vignes qui bénéficient d’une maturité parfaite. La maison exploite un vignoble de 6,40 ha qui se compose à 97 % de chardonnay et 3 % de pinot noir, entièrement conduit en lutte raisonnée. La passion de la vigne Bien au-delà d’un cahier de charges à respecter, chaque soin accordé aux vignes relève d’un savoir-faire. De la taille à la vendange, les interventions dans les vignes sont manuelles, et les travaux d’entretien se font mécaniquement. Pour un seul hectare, le couple Marion et Jean-Michel passent plus de 520 heures de travail dans les vignes, témoignant du lien vivant qui existe entre les viticulteurs et les champagnes. Le domaine utilise une technique de vinification particulière incluant le batônnage sur lie de fûts. La méthode consiste à harmoniser la stabilisation naturelle des composants aromatiques, conférant aux jus une bouche intense et une texture onctueuse. « Pendant l’élevage, nous laissons nos vins développer tout seul leur typicité grâce à la fermentation malolactique, qui se déclenche avec les bactéries naturelles du vin », comme l’explique Marion Boutillez. Des cuvées distinguées La gamme, «Tout Chardonnay», se décline des cuvées de blanc de blancs millésimées ou non jusqu'au haut de gamme en fût de chêne : l'Ecrin n°1. Parallèlement nous pouvons y découvrir un rosé d'assemblage. Le Blanc de Blancs Millésime 2005 Premier Cru, en monocépage chardonnay, est la cuvée signature du domaine. Les bulles fines et cristallines embellissent la belle robe dorée. Le nez, agréablement corsé, dégage des arômes de dentelle subtilement relevés par une senteur d’agrumes et de pain de mie. Une attaque bien structurée en bouche, qui se termine sur une finale élégante mêlée à une note minérale. « Ce champagne a beaucoup de fruité, de la rondeur et de la longueur en bouche. » Il est lauréat de la médaille d’argent du concours des Vinalies internationales 2015, au Concours Général Agricole 2015 et également au Concours Mondial de Bruxelles 2016. Le Ratafia, jouissant d’un vieillissement en fût de chêne de plus de dix ans d’âge, est aussi une cuvée exclusive de la maison. La maturité apporte une touche boisée sur une palette aromatique complexe, aux notes de figue et de fruits jaunes à noyau. En bouche, l’attaque est soyeuse avec une finale persistante, finement épicée. Cette cuvée a reçu une médaille d'argent au concours général agricole de Paris en 2015 et 2017. À savoir qu’une partie de ces cuvées est présente dans quelques tables gastronomiques, à l’image du Coq d’Or à Chénérailles, Le Cheval Rouge à Sainte-Menehould, La Terrasse de Duras et A l'Orée du Bois. ...

Château Le Tros : l'excellence du vin en AOC Bordeaux

Au Château le Tros, la première bouteille fût produite en 1974. Lancé par la première génération des Jabouin, le grand-père fera l’acquisition des premiers 2ha après une carrière dans la mécanique. Il mettra aussi en place les premiers chais et les cuves inox. Véritable histoire familiale, le domaine continue sur cette lancée. Aujourd’hui, le petit-fils, Mathieu a repris les rênes et, en près de 40 ans, le domaine a grandi. Il s’étend désormais sur plus de 60 hectares répartis sur trois communes : Tizac-de-Curton, Génissac, Naujan et Postiac. Situé à 8km de Saint-Émilion au sud de la rivière Dordogne et à 25km à l’Est de Bordeaux. On y produit plus de 250 000 bouteilles chaque année dont une partie est exportée vers des pays d'Europe ou encore la Chine. Les vignobles du Château Le Tros Les vignes des 60 hectares du domaine sont cultivées sur un sol argilo-calcaire et un sous-sol de carrières, spécificité de l’appellation Bordeaux. La région, elle, jouit d’un climat océanique porté par l'Atlantique qui se trouve à proximité. Un avantage pour produire un vin de qualité mais un inconvénient puisqu’il faut parfois subir l’instabilité des saisons due principalement au réchauffement climatique. Soucieux de leur environement, la famille Jabouin a adapté depuis plusieurs années la culture dans le respect de la faune et de la flore. Ce qui leur permet aujourd'hui d'être labelisé Haute Valeur Environementale Niveau 3. On y retrouve les cépages les plus fameux de l’appellation dont notamment, le Sauvignon Blanc, le Sauvignon Gris et le Sémillon. Ces trois cépages occupent 8ha de parcelles sur le domaine. Le reste est composé  pour les vins rouges de cépages en Merlot, Cabernet franc et en Cabernet Sauvignon. Les vignes sont vendangées mécaniquement. Exceptions faites de la Cuvée Dernier Carat et le Crémant de Bordeaux qui sont vendangées à la main. Ce dernier répondant aux normes du cahier des charges de l'appelation. Du vin de Bordeaux dans l’air du temps Producteur depuis 1978 avec le premier Château le Tros Rosé, le domaine embouteille aussi des vins rouges fruités et gourmands ainsi que des blancs frais et festifs. Des vins qui se veulent de qualité mais surtout accessibles à toutes les bourses. Parmi les vins qui se démarquent le plus, "Perles Noires" est un vin 100% Merlot issue de parcelles dont les sols sont composés de graves et de galets, un terroir très rare dans la région. A prendre en début ou fin de repas, ce vin présente un violacé profond. La cuvée "Perles Noires" est vinifiée en barriques de chêne français neuves et se boit au bout de 2 à 3 ans. Son niveau de qualité lui permet de tenir une garde de 10 ans minimum. Afin d’en apprécier toutes les subtilités, le vin atteint son apogée au bout de 4 à 5 ans. Quant au rouge "Tradition," véritable vin de qualité à petit budget, il affiche un goût en bouche plus léger . Véritable vin Plaisir, on y retrouve le goût de fruits rouges, la fraîcheur d’un vin issu de jeunes plants. Ce vin "passe-partout" se déguste aussi bien avec de la charcuterie que de la viande blanche. Les vins du domaine disposent d’une excellente réputation. La majorité des ventes se fait ainsi au bouche-à-oreille, la meilleure méthode marketing. La passion du producteur se ressent à travers chaque bouteille mais aussi le professionnalisme. Pour les assemblages, le domaine fait ainsi appel à Denis Galabert, un œnologue reconnu, qui fournit l’encadrement nécessaire pour la vinification et l’élevage. ...

Domaine Schlumberger : l’Alsace au bord des lèvres

Charismatique, le vignoble Schlumberger est aussi étendu qu’inspirant. Une partie des vignes - la totalité courant sur 850 kilomètres - est organisée en terrasses, soutenues elles-mêmes par des murs romains en pierres sur 50 kilomètres. Deux maçons s’attèlent à les ériger et à les préserver, dans le respect des traditions. Une cave centenaire, une récolte manuelle ou encore, deux chevaux de labour, révèlent les valeurs du domaine, portée par la famille Schlumberger depuis sept générations. Fidèles à leur terre, ces vignerons dans l’âme sont aussi 100% récoltants. Tout est fait maison, dans l’amour du vin et de la nature, loin des productions impulsives. 70 hectares sont classés Grands Crus : Kitterlé, Kessler, Saering, Spiegel. Le vignoble peut bien s’enorgueillir. Malgré un rendement assez faible et une production délibérément limitée, le domaine Schlumberger est considéré comme le plus grand producteur de crus d’Alsace. Ses vins sont certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum) et respectent consciencieusement la charte d’une culture raisonnée. Ici, on aime la biodiversité dans son ensemble et au détail, les raisins bien sur, en passant par les fleurs, les insectes etc. Une terre chérie depuis 1810 Thomas et Séverine Schlumberger sont à l’écoute de la nature. Ils ont repris le flambeau dans cet esprit, comme une philosophie intrasèque à leur héritage.  La connaissance du terroir, de ses souvenirs à ses respirations, est sublimée dans chaque gamme du vignoble. Elles se racontent aussi, devant un verre de vin à la rondeur délicieuse et au caractère inspiré par les pierres ancestrales alentours. Fort d’une équipe investie, le domaine aspire à l’authenticité et à l’excellence sans compromis. Un bon vin est un plaisir que l’on prend le temps de choisir, dans une cave connaisseuse, un marché convivial, ou qu’on déguste dans un restaurant raffiné. Exportées dans le monde entier, médaillées et classées dans tous les guides, les bouteilles Schlumberger savent se rendre accessibles tout en préservant l’instant unique de leur dégustation. Des vins de collections aux grands crus Les Princes Abbés interpellent par leur nom, invitant à savourer de nouveaux récits. Durant 1000 ans, les abbés entretenaient le terroir de Guebwiller. En leur honneur, cette gamme classique se décline en deux couleurs. Des blancs à la fraîcheur limpide et à la robe citronnée y cotoient des rouge rubis soyeux ou joyeusement printanniers.  Les grands crus du vignoble adoptent humeurs salines ou minérales, selon leurs sols d'origine. Ils diffusent leurs arômes, tour à tour moelleux, bucoliques, tendus ou tendres.  Les cuvées de collection sont l’expression de grains nobles et de grands crus, qu’il a parfois fallu attendre longtemps, avant de vendanger. Baptisées par les prénoms des membres historiques de la famille Schlumberger, ils sont aussi des vins rares, à l'éclat patient. Le site Internet du domaine est à son image : épuré et généreux à la fois. Véritable poème pour les amateurs de très bons vins, il vous dira aussi comment associer les finesses entre elles. Cette fois, c’est le repas qui accompagnera le vin, pas l’inverse.  ...

Champagne Dérouillat : variété et originalité

Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...

Champagne Forest-Marié :
à l’écoute de la nature dans la fabrication de champagne

Si l’exploitation a toujours été transmise de génération en génération, la marque Forest-Marié résume quant à elle l’union de deux familles et surtout de deux terroirs : celui de Thierry à Trigny situé dans le Massif Saint-Thierry et celui de son épouse Gracianne, à Ecueil classé Premier Cru et implanté sur la Montagne de Reims. Des viticulteurs attentionnés Thierry et son fils Louis présent sur l’exploitation depuis 2013 ne comptent plus le temps qu’ils passent dans les rangs de vignes. Des soins et une attention qui constituent un gage de la qualité et de la finesse des raisins produits. Les deux hommes ont pour mission d’observer la nature, de surveiller l’éclosion des premiers bourgeons sur les sarments, ou encore de comparer le comportement des vignes à celui des années précédentes. « Très attentifs à la qualité de la terre, nous y mettons de la paille pour retenir l’eau et épargner le sol de l’érosion. Elle permet aussi d’avoir un humus naturel et favoriser le développement des micro-organismes qui rendront le sol bien vivant », explique Gracianne. « Vigneron Indépendant, nous faisons tout nous-mêmes de la vigne au travail du vin. Nous avons notre pressoir et notre cuverie. » Tout ce travail basé sur le savoir-faire transmis entre les générations garantit le caractère affirmé des cuvées. Les cuvées emblématiques de la maison Dans la gamme des champagnes classiques, le Brut Tradition est le plus représentatif. Il est né d’un assemblage sophistiqué des trois cépages et de terroirs. Ce champagne jaune pâle aux reflets ambrés révèle finesse et complexité au nez, avant de dévoiler des arômes de pêche et de poire en bouche. Parmi les monocépages figure le Saint-Crespin. Issu des coteaux Premier Cru, il est composé à 100% de pinot noir, vinifié en foudre et vieilli cinq ans. Il propose une rondeur gourmande le rendant idéal pour accompagner divers mets.   ...

Château Mignan : un fleuron des vins du Languedoc

Aménagée à cheval sur le Minervois et La Livinière, l’exploitation est dans la famille Mignard depuis les années 50. Le petit-fils Christian a repris une partie des parcelles en 2002, pour en faire un domaine répondant à la vision inspirée par l’un de ses mentors à l’école de viticulture : petit, autonome et prônant la qualité, celle du terroir en particulier. Minervois La Livinière, les singularités d’un terroir Tombé petit dans les traditions viticoles et ayant eu à cœur de parfaire ses connaissances via un parcours Viticulture –Œnologie, Christian Mignard gère son domaine de 22 hectares avec une remarquable précision. Il sait parfaitement tirer profit des variations pluviométriques et thermiques dont jouissent ses vignes, perchées entre 130 et 200 m sur les flancs de Siran. Ses cépages poussant sur des sols argilo-calcaires font, depuis 2012, l’objet d’un entretien respectant les exigences de l’agriculture biologique. Le vigneron distille des opus sur les créneaux AOC Minervois et Cru La Livinière et ce, à travers des processus de vinification bio. Les vins du Château Mignan : bio et attachés au terroir   Dans le chai du Château Mignan, la sélection des cépages et la composition des gammes de vin constituent des affaires très sérieuses. «  […] un blanc d’appellation est toujours constitué de trois à quatre cépages de blanc, si on veut faire quelque chose de bien, de bon, de régulier », précise d’emblée Christian Mignard. Le Minervois blanc produit sur son domaine est un mariage d’équilibre entre Marsanne, Roussane, Vermentino et Grenache blanc. La gamme inclut, de temps en temps du rosé, ainsi que la cuvée tradition Pech Quisou rouge à coté de laquelle on retrouve la cuvée Aurus, une édition de haut de gamme. En Cru La Livinière, L’Œil du Temps se révèle comme une interprétation unique de son terroir. Le mariage de Syrah et de Grenache s’entoure d’exceptionnels arômes de fruits rouges, de réglisse et d’aubépine. Cette grande cuvée persiste longuement en bouche avec son corps structuré fait de souplesse et de raffinement. Château Mignan, des vins à la carte de restaurants étoilés Michelin A Narbonne, le restaurant de Lionel Giraud, La Table de la Maison Saint-Crescent (2 étoiles Michelin) affiche fidèlement les crus de la Maison Mignard à sa carte des vins. Le Château Mignan fait également l’objet de sélections rigoureuses du Meilleur jeune sommelier de France, Albert Malongo. Ultime reconnaissance, à Fontjoncouse, à la table du 3 étoilés Michelin de Gilles Goujon, L'Auberge du Vieux Puits où l'on retrouve l'Oeil du Temps. Bref, des vins fortement appréciés dans les meilleurs restaurants de l'hexagone mais également en Suisse, Allemagne, Belgique, Chine, Japon, Thaïlande, Russie, Qatar et bientôt chez vous en commandant cette fois-ci sans intermédiare et en direct à la Propriété de Christian Mignard. ...