Fondée en 1852, la Maison Georges Bruck est une unité de fabrication de foie gras de Strasbourg au sein de laquelle, toutes les opérations sont minutieusement orchestrées. Riche d’un savoir-faire artisanal particulier transmis de père en fils depuis plusieurs générations, elle conserve jalousement son titre de manufacture à caractère artisanal très éloigné du cadre industriel. Pour la petite histoire Rachetée autour de 1870 par l’aïeul de l’actuel président du groupe, la Maison Georges Bruck représente bien plus qu’une simple enseigne. N’ayant jamais quitté le giron familial depuis son acquisition, l’entreprise constitue un riche héritage qui a vu se succéder plusieurs générations à la suite, sans interruption. Aujourd’hui dirigée par Vincent Heusch de la 5e génération, elle continue de produire exclusivement du foie gras strasbourgeois « dans le respect des valeurs familiales, à travers une marque réputée qui a gagné ses lettres de noblesse : le foie gras Bruck », comme l’a si bien souligné l’actuel propriétaire-dirigeant. Le dernier des Mohicans… La Maison Georges Bruck est la dernière et l’unique entreprise familiale de foie gras qui existe encore à Strasbourg et en Alsace. Elle est pour ainsi dire, la seule Maison du genre à avoir su rester indépendante, eu égard à tous les liens financiers agro-alimentaires ou autre groupe financier. En plus d’être la seule rescapée d’une soixantaine de maisons de foie gras ayant existé dans la ville de Strasbourg pendant la période d’entre-deux-guerres, elle est la seule à avoir survécu aux affres de l’occupation allemande et la seule aussi à avoir réussi à mener une activité pérenne depuis sa création à ce jour. La fabrication artisanale à l’honneur L’entreprise s’apparente davantage à une grande cuisine où la majorité des opérations se fait manuellement par des cuisiniers de formation qui ont tous au minimum un CAP de pâtissier. Il faut effectivement savoir qu’à une époque, le foie gras de Strasbourg a été principalement élaboré par des professionnels de produits salés et en croûte, appelés pâtissiers… Fidèle à cette optique, la Maison est très centrée sur son cœur d’activité qui est la transformation du foie gras, et ce, en comparaison avec d’éventuels confrères qui se trouveraient également en Alsace ou dans le Sud-Ouest. Cette spécificité confère à l’enseigne, un savoir-faire manuel particulier allié à la chanson des gestes, à l’image de l’artisan qui maîtrise la surpiqûre dans le travail du cuir. ...
L’histoire du Château Mons Delaunay remonte à loin, pour ainsi dire à l’époque gallo-romaine. Au cours de cette période, le commerce du vin est florissant grâce à la proximité avec l’estuaire de la Gironde qui favorise les échanges. Du XVème au XVIIème siècle, le Château de Mons a été agrandi et embelli et l’ajout d’un chai sur le site viticole a contribué à sa renommée. Tombé en désuétude au XIXème siècle puis renaissant de ses cendres à partir des années 60, il est à nouveau abandonné par ses propriétaires en 2006. Les lieux ne connaîtront décidément pas un destin ordinaire. L’arrivée de Philippe Delaunay à la tête du domaine en 2007 lui a redonné un nouveau souffle. Rebaptisée Château Mons Delaunay pour l’occasion, l’exploitation s’inscrit désormais comme l’une des perles du vignoble bordelais. À terroir exceptionnel, vin exceptionnel Situé à Blaye dans l’axe de la Gironde, le remarquable terroir fait la fierté de Philippe Delaunay. « Nous sommes établis sur des calcosols argilo-limoneux sur plateau calcaire à Astérie. Les vignes s’enracinent sur la roche qui se trouve à un mètre de profondeur. Cette barrière superficielle ne les empêche pas de se développer correctement grâce au sol calcaire qui garde l’eau et s’en sert pour les alimenter », nous fait part le vigneron. Le terroir présente des similitudes avec Fronsac et Saint-Émilion, ce qui explique son caractère exceptionnel. D’ailleurs, les terres de Mons sont considérées comme l’un des meilleurs vignobles de la rive droite. Sur ce terroir d’une belle singularité se développent principalement trois types de cépages à savoir le merlot, le cabernet sauvignon et le malbec. Les vignes établies sur 12 parcelles de 3,5 hectares sont âgées de 20 à 50 ans. Une pratique culturale respectueuse de la terre La maison s’est attribuée comme ligne de conduite de produire des vins naturels, intemporels, d’excellence et de passion. « Notre philosophie est de faire le maximum de travail dans la vigne pour tirer la substantifique moelle du terroir », déclare notre interlocuteur. Tout commence donc au vignoble dont le comportement est suivi avec la plus grande rigueur. Carences, vigueur, stress hydrique… rien n’échappe à Philippe Delaunay et son équipe. L’enherbement naturel ainsi que le travail mécanique des sols renforcent la résistance des vignes. Dans sa démarche, le domaine pratique une "agriculture raisonnée". Le domaine est dans une démarche de conversion bio. Les vendanges quant à elles s’organisent à maturité pour « essayer d’apporter le fruit le plus parfait possible au chai ». Au cours de la vinification, pas de filtration ni de collage et du So2 au strict minimum. Pour ce qui est de l’élevage qui dure entre 24 et 36 mois selon les millésimes, le Mons signe l’excellence de son vin en utilisant des barriques "Blend" de chez Radoux, joyau de la tonnellerie mondiale et d’autres de chez Remond. Des vins de garde et de prestige Le Château Mons Delaunay s’anime de cette volonté de faire découvrir des millésimes anciens et ouverts à un plus large public à travers ses grands vins de Bordeaux. La réserve normalement conservée pour la grande restauration est désormais accessible au plus grand nombre. Les millésimes âgés de plus de dix ans s’intitulent Château Mons Delaunay et Diane de Mons. Vin de « niche » à la fois élégant, pur et naturel, la cuvée Château Mons Delaunay fait le bonheur des connaisseurs en quête de l’introuvable. Ce vin de grande garde peut être conservé pendant encore 15 à 20 ans. La cuvée Diane de Mons est un second vin produit de façon exceptionnelle lorsque le millésime ne permet pas d’intégrer toutes les parcelles dans le Château Mons Delaunay. Exprimant la quintessence de son terroir, Diane de Mons subit le même processus de vinification avec toutefois un élevage plus court. ...
L’exploitation Emilien Fresne s’étend sur 4,6 hectares plantés à 80% en Pinot Meunier, 15% en Pinot noir et à 5% en Chardonnay. Situés principalement sur le commune de Cuisles dans le Parc Naturel de la Montagne de Reims, ces cépages bénéficient d’un climat mi-continental mi-océanique. L’exposition sud-est, les sols en craie et les sous-sols en argile verte confèrent une typicité unique aux raisins. Un champagne respectueux de l’environnement et des traditions Florent Fresne a adopté une viticulture raisonnée avec par exemple l’utilisation d’engrais exclusivement bio. La majorité des soins apportés aux vignes est réalisée à la main, comme la taille et le palissage. En tant que récoltant-manipulant, il réalise toutes les étapes de l’élaboration de ses champagnes sur son exploitation dans la pure tradition champenoise. Il accorde une grande attention à l’étape de pressurage en gardant séparé chaque cépage de chacune des parcelles en vue de l’assemblage. Ainsi il peut créer des champagnes avec de belles complexités aromatiques. Il produit environ 35.000 bouteilles par an qu’il vend principalement à des particuliers en France. Vous pourrez choisir le champagne Grande réserve décliné en brut, demi-sec ou sec, un champagne au reflet du terroir avec des arômes fruités ; le Brut rosé, un champagne à la jolie robe nacrée dévoilant un bouquet original ; le Brut sélection, un champagne élégant aux arômes subtils ; le Brut millésime 2011, une cuvée prestigieuse ; et le Ratafia, cet apéritif traditionnel typique de la Région champenoise. ...
Sur un fond de tonalités végétales, Le Lulli offre une belle luminosité à laquelle vient s’ajouter une grande verrière installée tout au long du restaurant. Transformé en un lieu du chic et du charme avec en plus « un magnifique jardin au jeu de lumières infinies», comme le décrit si bien le chef Jean-Baptiste Orieux, Le Lulli est une véritable œuvre d’art pour qui sait l’apprécier. Constitué à 50 % d’une clientèle d’affaires et à 50 % de « personnes qui recherchent un produit plus élevé qu’un restaurant traditionnel ou qu’une brasserie parisienne », l’établissement est un lieu dédié à la clientèle parisienne, un endroit « où l’on peut passer un bon moment avec un service de qualité 5 étoiles », se félicite-t-on. À 35 ans et après 12 ans d'expérience auprès du chef meilleur ouvrier de France Jean-Yves Leuranguer au Fouquet’s Barriere, Jean Baptiste Orieux a pris la tête des cuisines du grand hôtel du palais royal et de son restaurant le Lulli en juillet 2017. Une cuisine très France avec plusieurs spécialités Le restaurant Le Lulli offre à sa clientèle « une cuisine savoureuse, préparée avec des produits frais », nous précise-t-on, mais également des spécialités variées tout aussi succulentes les unes que les autres, incluant 4 entrées, 6 plats et 6 desserts. Les formules déjeuner incluent deux plats à 29€ ou trois plats à 38€ avec des propositions appétissantes à chaque semaine. Jean-Baptiste Orieux a imaginé une carte au goût du jour, construite autour de produits locaux choisis pour leurs propriétés et leurs qualités, bio ou encore sans gluten. Il offre ainsi une sélection de plats très raffinés, réalisés avec les meilleurs produits de saison. Bar pané au sésame condiment gingembre, ballotine de foie gras de canard mi-cuit et Granny Smith bio, dos de cabillaud avec chou-fleur façon risotto aux algues et craquant de sarrasin, maigre confit avec bonbon de poireaux, hollandaise au Gewurztraminer ... En dessert, on se laisse volontiers tenter par le pavlova framboise et sa meringue délicate ou l’opéra café et chocolat... biscuit croustillant »… Le Lulli, le restaurant du Grand Hôtel du Palais Royal, est RÉCOMPENSÉ POUR LA DEUXIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE EN 2017 PAR LE GUIDE MICHELIN qui lui attribue « L’Assiette MICHELIN ». ...
Adresse incontournable à Paris, le restaurant L’Envue allie merveilleusement mode, bien-être et plaisir gustatif. Ce restaurant de haut de gamme propose une cuisine raffinée, qui fait la part belle aux produits frais et de saison. Un cadre chic À l’intérieur du restaurant, la décoration joue sur des lignes douces et modernes. « L’ancienne propriétaire a donné un style très féminin à l’établissement et nous avons voulu garder cet aspect-là mais en y apportant des éléments plus contemporains », explique Julien Vaissade, le propriétaire. Ici, le mobilier s’habille de couleur pourpre, tout en arborant un subtil motif pied-de-poule, un clin d’œil à peine voilé à la maison Chanel. À travers de nombreux dispositifs, le restaurant tient à cœur de titiller les sens de ses convives. Diffuseurs de parfum, éclairage par fibre optique, ambiances musicales variées, tout est fait pour que les invités passent des instants mémorables et en toute décontraction. Les produits locaux à l’honneur Les locavores sont particulièrement comblés. En effet, L’Envue privilégie la démarche de circuit court et choisit de s’approvisionner le plus possible en produits frais et bio. En ce qui concerne la viande, l’établissement utilise depuis 3 ans une viande issue de sa propre ferme. « Nous avons déposé un label qui s’appelle Excellence Aubrac », souligne le propriétaire. En plus de sa grande qualité gustative, cette viande est aussi enrichie en oméga-3, ces fameux acides gras réputés pour leurs effets bénéfiques sur la santé. Ces produits d’exception sont mis en valeur par le chef Éric Dartigueloube. Cet habitué des restaurants étoilés concocte de succulents plats entièrement faits maison et qui raviront à coup sûr les fins palais. En entrée, les invités ont le choix entre la buratina al pesto et tartare de tomates, des nems de gambas au cumbawa ou encore une assiette de serrano, câpres à queue. L’aventure culinaire continue sur quelques spécialités de la maison, à savoir les viandes et les poissons. Côté viandes, le sauté de bœuf Excellence Aubrac à la provençale est un pur régal. Et que dire alors de la sole « Petit Bateau » accompagnée de sa purée crémeuse, et qui reste un grand classique de l’établissement ? Dans la confidence, le maitre des lieux nous souffle que « c’est l’un des plats préférés des avocats exerçant dans le quartier ». Si L’Envue réussit à drainer les foules, ce n’est pas uniquement pour la qualité de ses produits et de sa cuisine. En quête perpétuelle d’innovation, l’équipe reste à l’affût des dernières tendances culinaires. En ce moment, les poke bowl sont à l’honneur. « Le restaurant en sert les meilleurs de Paris », nous indique Julien. Au saumon mariné, au bœuf tataki ou tout simplement végétariens, ces poke bowl sont à déguster sans modération. Côté vins, la maison travaille directement avec les producteurs locaux qui élaborent des vins biodynamiques ou biologiques. Une carte assez éclectique incluant quatre champagnes et une vingtaine de vins attend les amoureux de nectars des dieux. Des salons privés Le restaurant L’Envue dispose de trois élégants salons spécialement aménagés pour la réception d’évènements privés ou professionnels. À commencer par le salon VIP, qui peut accueillir 10 personnes. Décliné dans un style feutré, il offre un cadre privilégié pour des signatures de contrat, des déjeuners politiques ou en petit comité. Ensuite, le salon bibliothèque, avec sa grande table ovale, peut recevoir jusqu’à 18 personnes. Enfin, le salon des glaces bénéficie d’un espace important pour accueillir entre 17 à 50 personnes. Les salons de L’Envue reçoivent régulièrement du beau monde. « Nous avons une clientèle importante de la haute couture telle que la maison Hermès mais aussi des institutions financières comme Richemont et le milieu politique », précise Juli...
Tout commence en 2015, lorsque la famille Hiaut décide de reprendre une ancienne maison datant de 1869 située à cinq minutes des grottes de Lascaux. Le jeune couple met une année à rénover la bâtisse en apportant un vent de modernité à l’architecture construite en grande partie de pierre ancienne. Aujourd’hui, L’Évidence fait guise de chambres d'hôtes et ferme-auberge. Elle a la chance également d’abriter une ferme et un potager garantissant la fraîcheur des plats proposés dans le restaurant. Un délice en pleine nature Situé en plein milieu des bois, le domaine de la famille Hiaut est déjà très réputé pour sa bonne cuisine et son service, malgré son jeune âge. Le restaurant comprend une terrasse de 30 couverts et une salle intérieure de 30 couverts, où les convives peuvent apprécier dans un calme extraordinaire les plats concoctés avec amour par le chef de famille, Alexandre Hiaut tout juste âgé de 26 ans. Ce dernier qui a penchant pour le foie gras, le travaille en toute simplicité. À vrai dire, Alexandre n'hésitera pas à vous faire partager sa passion . En salle, la maîtresse de maison, Marion Chevallier, vous accueille avec son joli sourire et sa gentillesse. Chaque assiette que le couple suggère dans la carte a son petit secret, mais la signature du restaurant reste la fameuse tourtière de canard (confit de canard émietté, sauce tomate, pâte feuilletée) accompagnée d’une bonne salade. Pour le dessert, les fruits issus de l’exploitation agricole familiale sont servis frais tous les jours. Un des desserts préférés des habitués du restaurant est la Gaufre à l’ancienne, recette qu’Alexandre Hiaut a hérité de son grand-père. Une maison où il fait bon vivre L’Évidence sait ce que les gens veulent, et le partage avec plaisir à travers le savoir-faire familial. Il faut tout de même rappeler que le restaurant n’ouvre que le soir, ce qui n’empêche pas aux amateurs de cuisine de terroir, d’apprécier le charme de la verdure surplombant le domaine. Il est possible d’y passer tout un week-end, quatre chambres y sont disponibles toute l’année, avec l’accès à un spa (ouvert aux non-résidents). Des soirées à thème sont souvent organisées pour marquer les grandes occasions, avec, bien sûr, des plats adaptés à tous les budgets et pour tous les âges. Il est toujours conseillé d’y réserver sa place, même pour un simple dîner. Une chose est sûre, la famille Hiaut aussi jeune soit-elle, sait et saura prendre soin de chaque personne ! ...
Les 21 villages qui composent le pays de Dieulefit-Bourdeaux s’épanouissent dans l’agriculture et l’élevage ainsi que dans la fabrication artisanale. Le fromage le picodon, les plantes aromatiques, les arbres fruitiers, les truffes, les vins, sont un aperçu de la richesse de ses terres, et invitent à l’explorer davantage. Ici, le bien-vivre au sein d’une nature généreuse rime avec plaisir gustatif authentique. Le fromage picodon, un produit emblématique du terroir Le picodon classé AOP est un fromage de chèvre, qui fait l’objet d’un véritable culte en Drôme Provençale. Gâtées par un paysage escarpé et un climat aride bercé sous le ciel de la Méditerranée, les chèvres donnent le meilleur de leur lait afin d’obtenir ce produit au goût corsé et sensiblement piquant. Quant à l’élaboration du picodon, Dieulefit a développé une méthode particulière inspirée par un savoir-faire ancestral qui remonte au XIVe siècle. Le lait de chèvre entier subit deux phases d’affinage prolongé avant de finir en emprésurage, d’une durée qui peut atteindre trois mois selon le goût recherché. Les exploitations caprines localisées à Pracoutel, à Bézaudun-sur-Bîne et à Vesc, produisent également d’autres fromages traditionnels, tels les tommes pressées, les crémeux et les faisselles. En outre, des visites pédagogiques s’articulant autour de l’élevage et de l’agriculture biologique se présentent à ceux qui veulent s’immerger dans ces fermes familiales, dont certaines sont labellisées « Secret de terroir ». Terre de vignoble par excellence Avec la Drôme 1er département bio de France, la Drôme Provençale est aussi le berceau de nombreux domaines viticoles. En 2014, sept prestataires sur le territoire Dieulefit-Bourdeaux ont été labellisés « Vignobles & Découvertes » grâce à la qualité d’accueil dans leur vignoble. La région travaille essentiellement en appellation AOC Grignan-les-Adhémar, obtenue à partir des cépages traditionnels du terroir : syrah, grenache viognier, marsanne et carignan. Déclinées en rouge, blanc et rosé, les cuvées présentent un contraste de personnalité, allant du rouge à fort caractère au blanc léger et fruité. En outre, l’Office du Tourisme de Dieulefit invite à découvrir son patrimoine viticole en proposant des visites guidées des domaines, accompagnées d’une dégustation de vins. Lors de ces séjours œnologiques, on peut ressentir la passion et l’attachement des vignerons à l’environnement, les poussant à évoluer vers une viticulture raisonnée et biologique. Nul besoin aussi d'avoir un odorat bien aiguisé, entrez dans un bistrot discret, approchez-vous d'un étal de la place du marché, vous devinerez le parfum enivrant, subtil et sensuel de la truffe, autre produit phare du pays de Dieulefit-Bourdeaux. ...
Implantée à Sallèles-d’Aude, un village situé au sud de la France, en Occitanie, l’entreprise s’est spécialisée au début dans le conditionnement de vin. Aujourd’hui, elle change de cap en devenant experte dans la négoce de produits finis. Cette activité prospère se base sur un partenariat solide avec les producteurs locaux qui fournissent, entre autres, les ingrédients essentiels pour faire le vin. Il revient aux experts de CVS d’assembler et élever les cuvées pour finalement les commercialiser en produits finis. La qualité à tous les niveaux Les vins de CVS, baptisés sous la marque Princeps, sont élaborés à partir d’ingrédients de qualité achetés auprès de producteurs de la région. À cela s’ajoute un soigneux savoir-faire consistant à assembler et à élever les élixirs. Antoine Depoizier, responsable commercial, nous parle de « techniques d'assemblage sur mesure propres à CVS » qui attribuent un fort caractère aux vins. Les nectars en question représentent notamment les appellations du Languedoc-Roussillon, à savoir l’IGP Oc et l’AOP Corbières. ...
Ce qui donne ce goût de craie à l’appellation Saumure-Champigny ? Ce sont ses tuffeaux, des formations géologiques de couleur blanche ou jaunâtre contenant quelques paillettes de mica blanc. Sur cette partie de la vallée de la Loire, se blottit Turquant où caves et grottes sont si nombreuses qu’on y compterait le plus grand nombre en France. C’est aussi ici que depuis trois générations, Denis Retiveau cultive son raisin pour produire six cuvées différentes ainsi que sa passion immodérée pour la navigation. Entre Turquant et Montsoreau, 10 km à l’Est de Saumur sur les bords de la Loire, il possède le domaine des Champs-fleuris. Un terroir viticole qui au milieu d’un climat océanique produit près de 200 000 bouteilles par an. Passionné depuis l’enfance par la viticulture, il reprend le domaine familial en 1995 après un brevet technique agricole en viticulture et œnologie. Des vignes qui s’étalent sur 29 hectares et où le vin rouge a pour spécificité sa densité, son côté charnu et élégant. Des vignes de 40 ans d’âge pour un saumur d’exception Avec 6 cuvées différentes, le domaine des Champs-Fleuris produit différents vins en mélangeant moderne et tradition. Les cépages alternent entre Cabernet franc (96%) et Cabernet-Sauvignon (4%) pour les rouges et on y retrouve les appellations Coteaux de Saumur, Crémant de Loire, Saumur Blanc et Saumur Champigny ainsi que du Saumur Rosé. Les vendanges y sont faites mécaniquement avec le tri embarqué et tapis élévateur dans le respect du raisin. Le vin fraîchement pressé est conservé dans de l’inox régulé et des fûts de chêne. Dans ces fûts, les vins sont conservés au moins un an. Une sensibilité particulière pour ce fruit produit sur des plants dont certains ont plus de 70 ans d’âge. Le terroir lui est certifié haute valeur environnementale. Le vignoble s’applique ainsi à utiliser des traitements conventionnels pour une culture raisonnée. Ainsi en 2021, sur 10 traitements, 8 ont été effectués en « bio ». Les grains profitent ainsi du climat océanique et produisent des vins légers et fruités. On y retrouve aussi des grands vins de garde, quand les raisins sont plus riches en sucre et que la macération est plus longue. ...
La Franche-Comté est réputée pour sa cuisine traditionnelle et ses produits issus des zones géographiques du Jura occidental, des Vosges du Sud, de la plaine de Saône et de la Bresse. Les fromages, les charcuteries, les morilles, la truite du Jura et les vins sont essentiels dans la cuisine franc-comtoise. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, de la potée comtoise préparée à base de viande de salaison et de croute aux morilles cuisinée avec des morilles et des croutons de pain grillé. On y trouve aussi le vignoble du Jura, avec son célèbre cépage Savagnin. Ce vignoble produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura, des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois et des mousseux d’AOC Crémant du Jura. Un cadre enchanteur Véritable havre de paix, La Mainaz est aménagée avec délicatesse pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’y accéder facilement. Niché au col de la Faucille, l’établissement jouit d’un panorama unique sur la chaîne des Alpes, le Mont-Blanc et le lac Léman. Dotée de 21 chambres et suites confortables dûment décorées, d’un restaurant gastronomique « la Table de la Mainaz », d’un bistrot « le Panorama », d’un bar « le 1720 » et d’une salle de séminaire entièrement équipée, la Mainaz peut répondre à toutes vos attentes. Dans un cadre naturel préservé, la Mainaz est le point de départ idéal pour découvrir cette magnifique région située entre l’Ain, le Jura et la Suisse. Vous découvrirez de magnifiques sentiers de randonnée dans des paysages exceptionnels, ainsi qu’un large éventail d’activités touristiques et sportives, dont le ski nordique et le ski alpin. Ses principaux fournisseurs sont des producteurs locaux, notamment ceux du Genevois et du Jura. La qualité des produits et l’aspect humain sont les véritables critères de sélection. La Mainaz souhaite construire des relations sur le long terme avec ses fournisseurs qu’elle considère comme des collaborateurs allant dans le même sens pour valoriser et promouvoir le Haut-Jura et ses environs. Une cuisine créative et une hospitalité garantie Le personnel est fortement qualifié. Mathieu Sagardoytho, le Chef cuisinier, a été Sous-Chef cuisinier du Bristol avant de passer au poste de Chef à L’Agapée, où il a maintenu l’étoile Michelin. On trouve aussi dans l’établissement diverses compétences dans plusieurs domaines, notamment dans l’international. L’anglais, le mandarin et le japonais sont couramment parlés. À La Mainaz, il importe de mettre en place un environnement propice au travail afin d’élaborer une cuisine créative prônant un équilibre entre tradition et modernité. « Notre but est de faire de ce restaurant une véritable institution locale, tout en restant dans un esprit familial. Le salarié arrive le matin avec le sourire et le client se sent comme chez lui. On veut concilier la tradition locale à la modernité », fait-on valoir. ...
Soucieuse de sa terre et de la qualité de ses vins, la maison Goulin-Roualet s’est engagée sur la voie de la viticulture durable. L’exploitation travaille sur 3,5 ha de vignes, répartis sur 22 parcelles classées premier cru. « Nos parcelles se trouvent dans quatre villages, plantées sur des sols marneux, argileux ou sableux. Cela permet à chaque cépage d’exprimer des arômes différents », précise Marine Goulin, qui a rejoint son père Christophe en 2013 dans la gestion du domaine. Une terre particulièrement choyée Grâce à un sous-sol en majorité calcaire, les vignes profitent d’un drainage naturel, tout en se chargeant d’une belle minéralité. La maison cultive les trois cépages rois de la Champagne (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) afin d’élaborer des cuvées riches en saveur. À la fois complices et complémentaires, père et fille partagent un même engagement au sein de leur domaine : respect de la Nature et des vignes. « Nous n’utilisons plus de désherbants chimiques et nous nous servons de plantes comme l’ortie et la prêle en complément pour nos traitements », nous rapporte-t-on. La viticulture étant une affaire de famille, c’est naturellement que la deuxième fille Caroline, conseillère viticole, aide également sur le terrain. Culture de l’excellence L’exploitation familiale affirme fièrement son statut de récoltant-manipulant. « Nous faisons tout chez nous, depuis les vignes jusqu’à la mise en bouteille », renchérit la maitresse des lieux. Concernant la vinification, la maison revendique l’exclusion de la technique à froid dans ses pratiques, jugée dénaturante pour les vins et empêchant la pleine expression des arômes. Après une quinzaine de jours de fermentation alcoolique, le vin reçoit une fermentation malolactique par co-inoculation. Celle-ci permettant l’obtention d’arômes plus doux et plus mûrs. De ces techniques spécifiques naissent 6 cuvées d’exception : Carte noire, Saint Vincent, Sous-bois, Or, Blanc de noirs et Rosé. La qualité de ces bijoux œnologiques est telle qu’ils ont été récemment primés par le Guide Hachette. Une étoile pour la cuvée Sous-bois (2017), deux étoiles pour la cuvée Blanc de noirs (2017) et une autre pour la cuvée Saint Vincent (2018). Les gammes ambassadrices Fruit d’un savoir-faire unique transmis de génération en génération, la cuvée Or reflète parfaitement l’identité du domaine familial. Il s’agit d’un assemblage des trois cépages composé d’un tiers de chardonnay et de deux tiers de raisin noir (meunier et pinot noir). Équilibrée, elle séduit par sa finesse et son expression fruitée, le tout accompagné de quelques notes vanillées. La cuvée Sous-bois, quant à elle, est obtenue à partir de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. Vinifiée et élevée en fûts de chêne pendant 6 à 7 mois avant d' être mise en bouteille pour une maturation sur lies de quelques années au cellier, elle conjugue harmonieusement élégance et finesse. Ce champagne se distingue par ses arômes équilibrés, légèrement vanillés, avec une note d’amandes grillées torréfiées. ...
Le terroir du Domaine de Cadablès présente un intérêt bien particulier : les vignes sont plantées sur un volcan. « C’est ce qui apporte la minéralité à nos vins, les rendant très digestes et hors du commun », explique Bernard Isarn. Celui-ci n’a pas hésité à en faire l’acquisition en 2004, « avec la noble ambition d’y produire du vin biologique ». Une maison engagée Poursuivant sa démarche agro-environnementale, le Domaine de Cadablès signe son engagement à travers le label AB en cours et ses vins fins biologiques. La cuvée « Terre Promise » est particulièrement à découvrir. ...
Depuis que les deux amis de longue date Florence Domec et Michael Piednoel ont fait du P’tit Vélo le théâtre de leur amitié, la cuisine et l’art y forment une parfaite alliance. Ils ont repris le restaurant en octobre et se sont investis pour faire de leur bistrot « un endroit agréable, idéal pour passer des moments avec ses proches autour d’un verre, sortir en amoureux ou simplement profiter de la bonne cuisine qu’on y propose », dixit Anne Debauve, chargée de communication. Un défi dignement réussi. Un endroit bourré de charme Les convives sont reçus dans un cadre fraichement rénové. Les tables, les chaises et le bar en bois sombre lustré sont une invitation au confort et à la volupté. Aux murs, une fresque colorée conjuguée au petit vélo accroché dans la salle donne une note artistique à l’ensemble de la pièce. Un décor original, fruit de l’inspiration de Florence, de Michael et de leurs amis. Une cuisine française revisitée Côté cuisine, le chef Rachid Ibouh séduit les sens avec une réinvention des plats classiques français. Ici, le pur, le frais et l’authentique qui font toute la beauté de l’art culinaire sont à l’honneur. La terrine du chef, le hareng pommes à l’huile ou encore le foie gras fait maison en entrée concrétisent ce concept. On pourra ensuite gouter à l’un des plats emblématiques de la maison : le foie de veau. Le soir, les convives auront droit au poisson du marché, un pur délice mettant en avant le talent et le savoir-faire du chef. En dessert, les papilles seront éblouies par la crème brulée maison, la mousse chocolat au piment d’espelette ou l’incontournable café gourmand du P’tit Vélo. Une large palette de vins Michael et Florence, passionnés comme ils sont, misent aussi sur les vins pour assurer la perfection de ce périple enchanteur. Les clients du P’tit Vélo ont le privilège de choisir parmi la belle collection de la cave. Des vins de soleil comme le Corbières, le Minervois ou le Rousillon, une palette de Beaujolais et Côtes-du-Rhône mais aussi des vins bio et des références issues de petits producteurs ou de cultures raisonnées. ...
Située avenue Emile Zola dans le 15e arrondissement de Paris, La Mousson propose une cuisine traditionnelle cambodgienne. C’est un carrefour gastronomique entre la cuisine chinoise et la cuisine vietnamienne. Une ambiance exotique La propriétaire de La Mousson, Sarany Ly, est une véritable ambassadrice de la culture khmère. Elle se plait à recevoir ses convives dans une salle joliment décorée, à son image. Une promesse d’un délicieux périple au cœur du Cambodge. Le cadre, les éléments décoratifs ainsi que la musique de fond ont été soigneusement choisis pour vous emmener tout droit vers le fameux site d’Angkor, les monts Cardamome ou au cœur des marchés de Phnom Penh. Évasion culinaire au royaume du Cambodge Au restaurant La Mousson, vous vous laissez charmer par des plats raffinés, riches en saveurs et en senteurs avec une note sucrée-salée. Les épices et herbes aromatiques qui sont à la base de l’art culinaire cambodgien sont à l’honneur : galanga, cannelle, citronnelle, poivre de Kampot, tamarin... Dans cet établissement, les sens sont gatés de l’entrée au dessert. Le Nataing, une entrée composée de porc et de crevettes hachées au riz soufflé ou les bouchées La Mousson, une création du chef, sont idéaux pour donner un avant-gout de ce qui va suivre. L’incontournable Hamok cuit à la vapeur (estouffade de poisson, poulet ou noix de Saint-Jacques au lait de coco), le Prahok Ktih (poisson fermenté, mélangé avec du porc haché, du lait de coco et des épices khmères) ou la fondue cambodgienne, une des spécialités de la maison, sont ensuite chaudement recommandés. Même au dessert, l’exotisme est toujours à son comble. Il n’y a qu’à gouter les douceurs typiques faites maison pour le prouver : le Nôm Popeay (pâte de soja jaune enrobée de farine de riz gluant au coco râpé et sésame). Sinon, ce gâteau de riz gluant enrobé dans une feuille de bananier nommé Nôm Ansom fera valser vos sens. La cave à vins de La Mousson, quant à elle, propose une large palette de vins français : des références qui se marient parfaitement avec l’exotisme des mets cambodgiens. Une alliance qui forme une harmonie de culture peut-être improbable pour certains mais absolument exquise. ...
Tout commence en 1825 lorsque Jean-Louis Prieur, un Champenois d’origine, fonde la maison Ch. & A. Prieur et réalise une activité de négoce. Pendant quelques années, la maison cherche, affine et affirme son style. À la fin du XIXe siècle, elle a la brillante idée de miser sur l’image de l’empereur Napoléon pour promouvoir ses champagnes. Le succès est tel qu’Alfred-Marie, le petit-fils du fondateur, décide de déposer la marque « Napoléon » en 1907. Un siècle plus tard, les champagnes Napoléon continuent encore d’enchanter les palais à travers la magie de leurs bulles légères. Deux cépages à l’honneur Négociant-manipulant, la maison Napoléon se procure ses raisins auprès de familles de vignerons. « Nos raisins proviennent majoritairement de la côte des Blancs et de la montagne de Reims », décrit Julia Prévost, responsable marketing de la marque. Les champagnes Napoléon sont issus d’un assemblage harmonieux de deux cépages que sont le chardonnay et le pinot noir. Côté vinification, la maison opte pour un élevage en cuve inox plutôt qu’en fût de chêne. « La vinification en cuve permet à nos champagnes de conserver une belle minéralité à la dégustation. » Si l’appellation Champagne impose 15 mois minimum pour les cuvées non millésimées, Champagne Napoléon s’impose un minimum de 36 mois pour parfaire le vieillissement de ses vins. « Ce temps de vieillissement peut atteindre jusqu’à 10 ans en cave pour les millésimes », précise notre interlocutrice. Des vins d’un autre temps À travers sa gamme œnothèque, la maison Napoléon propose aux œnophiles une collection unique de vieux millésimes. Il s’agit de champagnes en édition limitée dont la particularité varie d’un millésime à l’autre. « Actuellement, ce sont les millésimes 1992, 1996 et 1998 que nous mettons en vente via notre boutique en ligne », précise Julia Prévost. La maison souhaite ainsi rendre accessibles au public des produits jusque-là considérés comme « élitistes ». Cette gamme a pour objectif de prouver l’impact du dosage sur un champagne et se décline en deux expressions : Œnothèque originelle (dosages d’autrefois) et Œnothèque Dosage récent (dosée en 2018, lancement en novembre 2018) avec nouvel habillage. En parallèle, quatre cuvées sont également proposées : Tradition, Blanc de blancs, Rosé et Millésime 2004. La cuvée Tradition est sans conteste celle qui représente le mieux la maison. Élaboré à partir de 50 % de chardonnay et de 50 % de pinot noir, ce champagne a vieilli en cave près de 4 ans. Il se distingue par un mélange d’arômes de pâtisserie, de fruits exotiques et de fruits jaunes. En bouche, la magie s’opère grâce à l’équilibre parfait entre la fraicheur du chardonnay et la puissance du pinot noir. Cette cuvée est recommandée pour l’apéritif et accompagne idéalement des plats de viandes. ...
Propriété familiale depuis 1906, le Château Croque-Michotte, situé à Saint-Émilion, petit village médiéval du Libournais, s’est transmis de génération en génération. Aujourd’hui, c’est Pierre Carle qui tient les rênes du domaine. Esprit de famille oblige, celui-ci assure la gestion de l’exploitation avec l’aide de sa fille Lucile. Un terroir de qualité Ce vignoble d’environ 13 ha se trouve sur le plateau de Saint-Émilion. Les vignes poussent sur des sols de graves anciennes, qui donnent aux vins finesse et élégance. S’agissant de l’encépagement, on retrouve les cépages typiques de l’appellation, avec 70 % de merlot et 30 % de cabernet franc. Tandis que le premier apporte de la rondeur et de la souplesse aux vins, le second amène structure et capacité de vieillissement. Vingt ans en agriculture bio Conscient de l’importance de préserver à la fois l’environnement et la santé de ses ouvriers agricoles, le domaine est passé en agriculture biologique en 1999 suivant le cahier des charges légal de l'Agriculture biologique. Ici, le gros du travail se fait à la main, tout en privilégiant des méthodes culturales traditionnelles. Un seul mot d’ordre : la qualité ! Pour tirer le meilleur des vendanges et avoir une qualité de tri optimale, la maison se sert d’une machine à tri optique. Côté vinification, celle-ci se fait sans sulfites et les vins sont ensuite vinifiés au minimum 15 mois dans des barriques de chêne français. ...
Symboles de plaisir, de rêve et d’art de vivre, les Caves Legrand ont fondé leur réputation sur une sélection rigoureuse, la recherche d’excellence étant le cœur de métier et de l’esprit Legrand. Une cave aux vins identitaires et révélateurs des plus grands terroirs « Des vins pour le plaisir et pour faire plaisir », tel est la quête de l’équipe Legrand à travers le choix proposé. Riche de plus de 3 000 vins et 10 000 références, la cave représente 370 vignerons dont elle se fait l’ambassadrice. Des vins les plus accessibles aux grandes cuvées d’exception, en passant par les champagnes et les spiritueux, la sélection Legrand est le fruit d’un travail intransigeant et d’une constante remise en question. Chaque bouteille est le reflet d’un terroir, d’une histoire et d’un savoir-faire que les cavistes ont à cœur de vous faire partager avec des conseils personnalisés. Les accords mets-vins à l’honneur au Comptoir Placé au cœur de la Vinothèque, le Comptoir de Dégustation est un lieu de découverte et de convivialité autour du vin et de la gastronomie. À tout moment de la journée, il est possible de choisir un vin et de le déguster accompagné de quelques suggestions de produits du terroir. A l’heure du déjeuner, la jeune Chef Lucie Boursier-Mougenot élabore une cuisine moderne et raffinée à partir des produits de l’épicerie fine des Caves Legrand, en provenance directe des producteurs. Renouvelés chaque semaine, les plats sont proposés avec les meilleures suggestions d’accords mets et vins. Déguster, apprendre et rencontrer les vignerons Véritable lieu d’expériences, les Caves Legrand proposent des moments privilégiés avec les vignerons à l’occasion de dîners-dégustations (Les Dégustations du Mardi) dans l’ambiance intimiste et chaleureuse du Salon Lucien Legrand ou lors de concerts chaque dernier jeudi du mois dans la Vinothèque (Les Jeudis de Legrand). Pour s’initier à l’art de la dégustation, l’Ecole du Vin est quant à elle une invitation à plonger dans un univers passionnant et accessible à tous. ...
Après un parcours estudiantin en marketing, le fondateur de Malindo s’est donné pour objectif de faire découvrir à ses compatriotes le goût du vrai thé. « C’est lors de ces voyages que j’ai pu découvrir les divers arômes et senteurs de ce produit, une découverte que j’ai voulu partager autour de moi », explique-t-il. Il décide alors de monter sa propre entreprise spécialisée dans la vente de thés, de tisanes classiques et de légumes ainsi que de rooibos. Ces produits de qualité sont tous garantis sans OGM ni pesticides, le gage précieux d’une alimentation saine pour les consommateurs. La production du thé, et des autres produits proposés par l’enseigne, répond, en effet, à des normes strictes régies par l’ETP (Ethical Tea Partnership), un organisme à but non lucratif qui s’assure du caractère éthique et durable de l’exploitation d’une plantation. Tour d’horizon donc sur cette marque prônant le partage, le respect de la nature et la qualité. Une large gamme de thés haut de gamme De par sa marque, Driss Boughachiche souhaite vulgariser une culture du thé basée sur l’authenticité. « Je souhaite faire découvrir le thé brut aux Français, un produit jaune, blanc ou noir pouvant être infusé de nombreuses fois, un aspect qui peut attester de sa qualité », reprend-il. Outre le thé vert classique, la plante se décline par ailleurs en plusieurs variétés, pour ne citer que le wulong, le maté, le thé bleu ou le thé blanc. Malindo propose alors la plupart de ces variétés de thé, rares pour certains, dans une gamme riche en arômes et en saveurs, la promesse d’un voyage inédit et gourmand. Cette boisson, consommée dans certains pays d’Asie depuis des siècles, se veut, entre autres, riche d’une multitude de bienfaits, allant de ses vertus antioxydantes à ses apports esthétiques contre le vieillissement de la peau, en passant par ses actions contre les nausées et le stress. De ce fait, bienfaits et plaisirs des sens s’allient en dégustant le majestueux « From China with Love », un savant mélange de thés blancs ponctués de notes florales, ou le fameux « Passoa Colada Bio », un délicieux rooibos à la robe rouge rubis et légèrement fruité, des thés savoureux et fleurant bon leur terroir d’origine. Des tisanes hors du commun… Avec les traditionnelles recettes de tisanes, Malindo s’est également donné pour défi de proposer des tisanes révolutionnaires, à base de légumes. « Le but est tout simplement d’apporter facilement les nutriments présents dans les légumes, et dont le corps a besoin, grâce à une tisane », dixit notre interlocuteur. « Capitaine Carotte », « Fenouil bio » ou même « Tisane pour l’allaitement » sont autant d’infusions bio, aromatisées à la main et aux multiples vertus, à déguster et à partager, en été comme en hiver. Des coffrets « Découverte », à l’instar du pack vegan, sont, par ailleurs, disponibles pour ceux qui hésiteraient face à cette large palette de choix. ...
L'art et la manière Les Maîtres Cuisiniers de France ont à cœur de maintenir, transmettre et développer la tradition de la grande cuisine française en encourageant l’apprentissage et en multipliant ses actions à l’international. L’association valorise la relation entre Chef de cuisine et Directeur aux formations professionnelles et techniques pour amener les apprentis cuisiniers au meilleur de leur savoir-faire. C’est avec passion que l’Association des Maîtres Cuisiniers de France organise le concours du Meilleur Apprenti Cuisinier de France depuis 1956 et s’associe de nouveau avec tous les centres de formation professionnelle et les écoles hôtelière de France pour mettre en lumière la transmission. Les futurs chefs à l'épreuve Cette 64ème édition du Meilleur Apprenti Cuisinier de France, est soutenue et parrainée par Régis Marcon. Cuisinier triplement étoilé du guide Michelin et Maître Cuisinier de France, Chef de l’Année par le Gault et Millau en 2000, élu en 2001 Auvergnat de l’année et Cuisinier de l’année par le magazine « Le Chef », également promu Chevalier de La Légion d’Honneur en 2002. Mais aussi, Président du Comité International d’Organisation et Président du Bocuse d’Or France, coach et jury après avoir été Lauréat du Bocuse d’Or (1995). Les apprentis cuisiniers vont concourir dans les treize régions de France avant d’être sélectionnés pour la Finale Nationale du Meilleur Apprenti Cuisinier de France 2017. Fin septembre débutera la concours avec la finale régionale d’Aquitaine – Limousin – Poitou Charentes, le 26 septembre au CFA de Poitiers puis la finale régionale de Provence – Alpes et Côte d’Azur le 25 octobre à l’Ecole Hôtelière d’Avignon ainsi que celle d’Auvergne Rhône Alpes, le 8 novembre au Lycée Hôtelier de Grenoble, de Centre- Val de Loire à Bourges le 15 novembre, de Bretagne le 17 novembre, d’Île de France qui le 20 novembre à l’INHAC Groupe Ferrandi-Paris, du Nord Pas de Calais le 27 novembre. La date et le lieu de nos quatre autres régions seront communiquées prochainement. À l’issue de ces épreuves, 13 nalistes seront sélectionnés pour la Finale Nationale prévue le 22 janvier 2018 à l’école Ferrandi-Paris. Face à un jury composé de 10 Maîtres Cuisiniers de France connus et reconnus, les candidats seront évalués sur les thèmes suivants à réaliser en 4 heures. Le premier plat : Soufflé d’œuf poché en croustade Le second plat : Quasi de veau poêlé, sauce porto, laitue braisée et pomme fondante Puis le dessert sera une interprétation libre autour de l’ananas et des épices. Les différentes recettes ont été élaborées avec grand soin par les Maîtres Cuisiniers de France et le thème de la finale par Monsieur Régis Marcon, lui-même. ...
Ce restaurant indépendant ouvert 7 jours sur 7 (hors dimanche soir) propose à ses clients une cuisine authentique et simple agrémentée d'incontournables classiques Auvergnat. Dans un cadre convivial à l'esprit bistrot, un accueil chaleureux vous invite à déguster un grand classique de la région qu’est la Truffade Auvergnate. Il s’agit d’un plat typique à base de pomme de terre, assaisonné de poivre et d'ail et de tomme fraîche du cantal servi avec un jambon sec AOC d'Auvergne. Soucieux de la tradition, les 2 compères ont pris soin de vous préparer ce plat « à l’ancienne ». A déguster pour les puristes avec un cotes d'Auvergne rouge ou blanc selon vos envies. Une carte raisonnable mais variée Le Zinc se démarque de la plupart des enseignes par sa cuisine généreuse concoctée à base de produits frais. En effet, l’établissement privilégie les circuits courts et la proximité de ses fournisseurs locaux pour répondre aux exigences de fraicheur et de traçabilité des produits jusque dans l'assiette. En s’approvisionnant auprès de fournisseurs comme "la ferme Auvergnate" ou "lou vidalou" fromager affineur cantalou, la maison s'assure d’avoir les bons produits. En été comme en hiver, le chef vous propose ses incontournables rognons de veau aux morilles et le boudin noir au foie gras poelé du domaine de Limagne. Le Zinc se fait aussi une spécialité dans la viande, en mettant à l'honneur les races à viande locale : Charolaise, Limousine ou Aubrac et ce dès que possible. et que dire du vin ? La carte des vins du Zinc n’a pas à rougir face à celle d’autres établissements spécialisés. De nombreux vignobles exclusivement français y figurent, du sud en remontant par la vallée du Rhône, en s'arretant en Val de Loire et en Bourgogne jusqu'au bordelais pour finir, bien évidemment, sur les vins d'Auvergne à découvrir. Parmi une trentaine de références, le chef laisse le soin à ses clients de faire leurs choix mais ne manque pas une occasion de leur faire profiter de ses expériences si besoin. ...
Inscrit parmi les maisons de champagne françaises, le domaine Charles Mignon doit sa renommée à son dévouement à la qualité. Il n’exploite que les meilleurs cépages de la région, lesquels sont issus de ses propres vignobles dans la vallée de la Marne et de la Côte de Blancs, ou fournis par une cinquantaine de domaines partenaires. Des cuvées au goût du terroir Nées de la haute tradition champenoise, les sept cuvées de la maison Charles Mignon ont été cultivées avec passion, assemblées avec talent et manipulées avec rigueur. Un véritable modèle d’excellence. Le Premium Reserve Brut Premier Cru témoigne parfaitement de l’esprit de la maison. Ici, la puissance du pinot noir côtoie l’élégance du chardonnay pour donner un champagne aristocrate qui s’avère être une parfaite entrée en matière. La minéralité et la pureté sont à l’honneur, faisant le bonheur des amateurs. La cuvée Comte de Marne Brut Grand Cru mettra les épicuriens dans tous leurs états. Elle est faite de 55 % de pinot noir et de 45 % de chardonnay, les meilleurs cépages issus de terroirs classés Grand Cru. Riche et complexe, ce vin aux arômes puissants exprime la générosité de la nature. Cette cuvée trouvera harmonieusement une place à côté des mets raffinés tels que le foie gras poêlé ou les noix de Saint-Jacques. Découvrir le domaine dans la convivialité Le domaine Charles Mignon a également mis en place toute une structure à travers laquelle il invite à découvrir l’univers champenois. Une visite personnalisable est proposée au domaine, au cours de laquelle Manon Mignon, la fille de Bruno Mignon, partage ce fascinant monde avec ses convives. Elle se plaît à expliquer l’élaboration du champagne et à répondre aux éventuelles questions, le tout dans une ambiance familiale et chaleureuse. La famille prône également les mérites de la région à travers une exposition et un film mettant en scène la beauté du paysage, les machines utilisées et la méthode d’élaboration des champagnes. Afin d’octroyer une touche pétillante à la visite et aux moments de découverte, les convives sont invités à déguster les trésors de la maison. ...
L’idée de Petit Déjeuner étoilé apparaît en esquisse dans l’esprit de la fondatrice après une longue collaboration en 2014 avec le chef du plaza athénée. Son créneau était alors les cadeaux sur mesure. En rencontrant l’illustre Christophe Michalak, le concept prend forme. Proposer à la fois le goût exquis d'un chef, associé au chic d'un coffret de luxe, des produits frais et de grande Qualité le tout pour créer un moment conviviale et de bien être au bureau ou à la maison. Un cadeau pour démarrer sa journée... Des formules au choix pour démarrer du bon pied Aujourd’hui, Petit Déjeuner étoilé propose trois formules, une sous coffret individuel de luxe, l'autre en partage sur un plateau et enfin la formule sans packaging avec ou sans abonnement. « La première (formule) que nous avons créée, se présentait et se présente toujours sous forme de coffrets individuels à composer selon ses goûts, avec des pièces signés par nos chefs, dont quatre créations sucrés et une salée », précise le co-fondateur de la marque, Gary. Thé, café et jus d’orange complètent bien sûr ce petit déjeuner que le client va pouvoir composer à sa guise. Ensuite, pour répondre à des besoins de plus en plus spécifiques et variés, l’enseigne a développé une formule à la carte (sans packaging). Ici, les viennoiseries arrivent chez le client sous forme de plateau ou en vrac. Au choix, les créations sucrées – viennoiseries et autres gourmandises – des deux chefs actuels (christophe michalak et Philippe Conticini) qui collaborent avec la marque. Dans cette catégorie, tout est possible. L'on peut choisir entre différents pains – seigle, céréales, de campagne –, du cake ou de la madeleine. Panna cotta, salades de fruits de saison en verrines et fruits frais en damiers figurent également dans la carte qui se veut adaptée aux personnes recherchant des idées de petit déjeuner healthy. Plutôt salé ? Le client peut commencer sa journée avec les sélections de mini-sandwichs. Une partition pour deux chefs Si vous êtes plus nombreux, Petit déjeuner étoilé propose également de se retrouver pour un démarrage en toute convivialité grâce à la formule buffet. Un service proposé sur devis et déployé avec les dispositifs adéquats – argenterie, porcelaines, personnel est mis à votre disposition. Dans tous les cas, les offres de la marque ont été amoureusement concoctées par deux chefs de renom : Christophe Michalak et Philippe Conticini. Le premier signe, par exemple, la « Cassolette de pain perdu revisité ». Une "brioche perdue" que le pâtissier agrémente d’une crème à la vanille Bourbon. La préparation est ensuite caramélisée et grillée. Âme d’enfant retrouvée également avec le « Sablé gianduja noisettes » où le nappage gourmand donne un caractère à part au croustillant d’une pâte sablée parfaite. ...
Situé en Normandie sur la route du cidre, au cœur du pays d’Auge, le domaine familial Pierre Huet se compose de 30 hectares de vergers hautes et basses tiges, sur lesquels on compte plus de 25 variétés de pommes à cidre. Grâce à un terroir naturellement propice à la production de pommes, le domaine Pierre Huet produit et commercialise dans le monde, selon des critères très stricts, quatre des six Appellations d’origine contrôlée (AOC) cidricoles normandes : - Calvados pays d’Auge - Calvados - Pommeau de Normandie - Cidre pays d’Auge Des cidres et des calvados authentiques… Au sein de cette production, la fabrication des cidres et des calvados constitue un savoir-faire inestimable, transmis de génération en génération depuis plus d’un siècle. En conjuguant tradition et innovation, la famille Huet a ainsi pu acquérir une grande notoriété par la commercialisation de son précieux breuvage : le calvados. Elle est passée maître dans l’art des assemblages subtils et délicats. Cette pratique, fruit d’une longue expérience, consiste à assembler des eaux-de-vie de maturité et d’âges différents pour obtenir une qualité constante. …et d’autres produits issus de pommes ou de poires Vous pouvez choisir un poiré demi-sec, un cidre de poires, qui se marie à merveille avec les desserts aux fruits. Pour l’apéritif ou pour accompagner un foie gras, optez pour le pommeau vieilli en fûts de chêne. Le Domaine Pierre Huet propose également de la crème de calvados, de la crème de pomme verte, de la liqueur de poires au calvados, du jus de pommes, ou encore du vinaigre de cidre ou de poiré. Visite du domaine Le domaine Pierre Huet ouvre ses caves à la visite tout au long de l’année. Grâce à votre guide, vous découvrirez l’élaboration du calvados depuis la pomme jusqu’au produit fini. En 2010, un nouvel espace d’accueil comprenant boutique et distillerie a été construit sur le Domaine. Les alambics chauffés aux copeaux de bois y ont une place primordiale, dans une optique de développement durable et d’économie d’énergie. Cet espace a été totalement pensé pour une production plus raisonnée. Une distillerie innovante et unique en Normandie ! Le Domaine vend environ 60 % de sa production en direct à la propriété, 25 % à l’export dans de nombreux pays comme la Belgique, l’Allemagne ou l’Autriche ou encore les États-Unis et le Japon. ...
Inscrite au patrimoine viticole de la région languedocienne, la cave historique d’Agel au sein de laquelle sont faites les vinifications a été reprise en 2011 par Gontran Dondain, grand passionné de vin et du Languedoc. Après de nombreuses rénovations, cette cave, construite en 1936, a repris son activité lors des vendanges 2014 du vignoble Mas Roc de Bô, lui-même acquis en 2003. Un terroir unique Le vignoble de Mas Roc de Bô est un domaine de 35 hectares perché en altitude sur le plateau de Cazelles. Son terroir, aux aspects lunaires, est constitué de calcaire fissuré, entrecoupé de couches d’argile rouge et d’humus, favorable à la régulation hydrique de ses pieds de vigne. Les pierres blanches qui recouvrent le domaine accumulent la chaleur du jour pour la restituer à la vigne la nuit. Le climat méditerranéen sec et le souffle ininterrompu de la tramontane ont pour effet de retarder la maturité des raisins, à l’origine de la puissance aromatique et de la fraicheur des vins. En 2014, une démarche a été menée auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) afin de faire reconnaitre le terroir unique de Cazelles en Cru du Languedoc avec celui de La Livinière. Un terroir pour deux collections Depuis sa reprise, Mas Roc de Bô produit des vins rouges, Blancs et Rosés à partir de 6 cépages, à savoir le carignan, le grenache, la syrah, le mourvèdre, le cabernet sauvignon et le vermentino. Le domaine décline sa production en deux collections issues de la vinification parcellaire : « Pépite » et « Émotions ». Les cuvées de la collection « Pépite » sont en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles sauf la « Pépite Originale », qui est en IGP Côtes du Brian. La collection « Émotions », quant à elle, met en avant des cuvées de caractère. Les vins millésimés en 2014 sont tous en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles. "Précieux" L’âge n’est pas toujours synonyme d’excellence, preuve pour la cuvée de prestige « Vinum Clarum 2015 », le Rosé Précieux de la collection « Pépite », qui nous livre une robe rose pâle, un nez minéral, frais et intense, avec des notes de fraises et de petits fruits rouges. Ce rosé de gastronomie est idéalement servi avec un nid de mesclun aux poivrons marinés, caviar d’aubergines, olives et thym et sa chips de betterave. ...