Actuellement, Philippe Bernède dirige cette belle propriété située à Vire-sur-Lot.Outre son statut de viticulteur, Philippe Bernède est également un inventeur émérite qui a créé un pigeur et un tire-bouchon révolutionnaire. Côt et merlot, deux cépages complémentaires Le vignoble du Clos La Coutale, doté de 85 hectares de vignes, est installé dans la vallée du Lot. Il s’étale sur des terrasses alluviales de méandres composées de graves et de silices argilo-calcaire, particulièrement propices à la culture de la vigne. Une petite partie de ce terroir est composée de galets roulés. Exposées au sud-ouest, les vignes sont aussi soumises à un microclimat qui est à l’origine d’une maturité très précoce des raisins du domaine. L’encépagement du vignoble est à 80 % composé de côt (ou malbec), qui est à la base de l’appellation Cahors. Ce cépage à grain rond possède une pellicule épaisse riche en tanin et en matière colorante, qui donnent beaucoup de caractère aux vins du domaine. « Le reste du vignoble est planté en merlot, qui apporte du gras et de la rondeur au vin, et qui affirme son bouquet », explique Philippe Bernède, le propriétaire. Les vignes sont âgées en moyenne de 25 ans et ont été conditionnées pour offrir un rendement moyen de 45 hectolitres par hectare. Tout est question de vinification Au Clos La Coutale, la vinification des vins est menée de manière traditionnelle, avec le savoir-faire hérité des générations antérieures. Tout d’abord, les raisins sont égrappés, puis fermentés à une température de 28 °C suivi d’une cuvaison allant de 15 à 18 jours. Les parcelles sont vinifiées séparément en cuves thermorégulées, avec pigeage régulier pour développer les arômes du vin. Le nectar obtenu est ensuite assemblé puis élevé dans des barriques neuves pour une durée variable selon la cuvée. Le domaine produit ainsi deux cuvées exceptionnelles, récompensées à de multiples reprises. « Le grand-père de mon grand-père a gagné sa première médaille au Concours agricole en 1895 », évoque fièrement Philippe Bernède. Sur les tables de restaurants étoilés Et cette année encore, la cuvée « Clos La Coutale » a gagné une médaille d’or lors du Concours agricole de Paris. Ce vin de garde par excellence figure sur la carte des vins du meilleur sommelier du monde 1989, Serge Dubs. Il est régulièrement cité par des guides spécialisés tels que Gault & Millau, Dussert-Gerbert et le Guide Hachette. Cerise sur le gâteau : il est présent sur les tables de restaurants étoilés, entre autres Le Taillevent, L’Ambroisie de Paris ou encore le Pain Adour et Fantaisie de Grenade-sur-l’Adour. Quant au « Grand Coutale », il s’agit d’une cuvée en série limitée à seulement 3 000 bouteilles. Celle-ci fait l’objet de soins très particuliers depuis la vendange jusqu’à la mise en bouteilles. Symbole du savoir-faire des 6 générations successives du domaine, elle a été à maintes reprises médaillées par de grands jurys professionnels. ...
Fondée juste après la Première Guerre Mondiale, la maison de champagne J.MARGOUILLAT accueille ses clients depuis 4 générations. Son vignoble s’étend sur les coteaux sud d’Epernay (Commune de Chavot) où sont cultivés les fameux cépages champenois que sont le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay. Champagne J. Margouillat : un millésime 2013 qui fait le bonheur des amoureux de vin effervescent C’est à partir de leurs fruits que sont élaborés quatre types de vin effervescents aussi riches qu’équilibrés. L’emblème de la maison est symbolisé par le « Millésime 2013 », une année particulièrement favorable pour réaliser le mariage parfait entre les 3 cépages. La maison a toujours forgé la notoriété de ses produits sur le système du bouche à oreille. Une façon humble et pourtant efficace de promouvoir des cuvées de grande qualité uniquement disponibles « en direct » auprès du producteur. Seules quelques épiceries fines soigneusement sélectionnées disposent de certaines cuvées. La société est actuellement dirigée par François MARGOUILLAT, un passionné qui perpétue soigneusement la tradition familiale. ...
Pierre Bories a toujours été profondément attaché à la région viticole des Corbières. L’aire d’appellation située dans l’Aude et intégrée dans le massif des Corbières qui forme les premiers contreforts des Pyrénées est la plus importante du Languedoc. L’AOC Corbières est la quatrième appellation française et revendique jusqu’à 10 000 ha de vignes, 1300 producteurs, plus d’une vingtaine de caves coopératives sans compter les quelques 200 caves particulières. En 2005, elle a donné naissance à un premier cru l’AOC Corbières-Boutenac proposant des vins issus exclusivement du petit massif de la Pinada. Le Château Ollieux Romanis, point d’ancrage d’un projet de vie Situé sur la Commune de Montséret, sur la route reliant les abbayes de Fontfroide et de la Lagrasse et au cœur du Massif de la Pinada, le Château Ollieux Romanis est riche d’une histoire viticole qui date au XIXème siècle. Il s’est développé sous l’initiative de Jacqueline et François Bories qui passent ensuite le flambeau à leur fils Pierre Bories. Dès son arrivée en 2001, il s'engage dans un long processus afin de convertir les 66 hectares de vignes en Agriculture Biologique et en 2019, il obtient la certification HVE niveau 3. Au-delà d’un cadre d’intervention purement viticole, le domaine s’investit également dans le développement de la biodiversité en intégrant une faune et une flore autochtone et en entamant un élevage de moutons, histoire de renouer aussi avec son passé. Car avant d’être une terre viticole, les Ollieux ont d’abord été connus pour l’élevage de moutons et la culture d’oliviers et de céréales. En 2013, le vigneron fait acquisition de 40 parcelles lovées entre garrigues et collines, le Champ des Murailles. Sur ce vignoble toujours en cru Corbières-Boutenac, les vins révèlent une belle expression de fraîcheur qui atteste de l’épanouissement des vignes choyées par le climat continental et la douceur des terres d’argile et de grès. Sur sa lancée, Pierre Bories fait également acquisition d’un autre vignoble de 5 hectares qu’il nomme sobrement « Domaine Pierre Bories » et qui assure une micro-production de vins purs à la personnalité affirmée. Quand la nature, les échanges et la transmission ne font qu’un Une fois les bases établies, le vigneron et son équipe composée de passionnés tout comme lui s’engagent dans un autre chantier qui consiste à fédérer ses trois domaines en un collectif animé par des valeurs humaines, de partage, de transmission et de savoir-faire séculaire. Artisans Partisans incarne l’amour du terroir et au-delà, prône l’unité entre les artisans soucieux de promouvoir la richesse de leurs terres dans le respect de l’environnement. Le collectif accueille ainsi d’autres vignerons partageant la même vision que Pierre Bories. « J’ai eu la chance de rencontrer beaucoup de vignerons qui m’a permis de créer un relationnel important à travers le monde du vin. On a lancé un petit groupe pour mettre en avant notre travail. », déclare-t-il. Les produits sont présentés sur la boutique en ligne d’Artisans Partisans. Y sont privilégiés les vins nature conçus selon une importante considération écologique et issus principalement du Massif des Pyrénées languedociennes. « J’ai réalisé cette sélection au gré de mes coups de cœur. Je connais certains de ces domaines depuis près de 20 ans. », tient à préciser notre interlocuteur. À découvrir : les cuvées Domaine Pierre Jean Villa, Bertrand-Bergé, Gauby, Laguerre, Mouscaillo, Monsieur S, Maxime Magnon, Ledogar, Terra Remota ou encore Expérience Artisans Partisans. La Touketa, un lieu atypique pour créer du lien Dans une continuité logique de ce travail mené au sein du collectif Artisans Partisans et toujours dans cet esprit d’échange et de partage, le domaine se lance dans l’aventure de La Touketa à partir de 2020. Niché sur la petite colline occitane à 220 mètres d’altitude, ce bar à vins est un lieu de...
Dans un décor entièrement rénové où il fait bon se retrouver, cette charmante bâtisse historique au cadre chaleureux est située au carrefour de la route des grands vins, entre Beaune et Cluny. Avec son jardin, ses grandes salles au plafond à la française et son magnifique caveau, elle représente l’endroit parfait pour accueillir vos différents évènements tant privés que professionnels. Des plats traditionnels avec de bons vins À travers une cuisine du terroir, au gré du marché qui privilégie le cycle court pour la majorité des produits, Les Trois Maures est en mesure de proposer un menu de 2 à 5 services (qui change à 5 reprises dans l'année), allant de18 à 45 €. Ses plats à la portion généreuse et particulièrement savoureux n’attendent plus que vous. Ravissez vos papilles avec sa Fricassée d’escargots sauce Brillat et Morteau, son Tournedos de charolais avec son jus à l’huile de truffe ou sa Poire pochée à la dijonnaise avec sa crème glacée pain d’épices qui sont de véritables délices. Les Trois Maures, c’est aussi une très belle carte des vins issus essentiellement de l’ensemble des régions viticoles françaises, surtout de la Bourgogne, mais aussi avec quelques vins étrangers d’Italie et d’Autriche. Pour accompagner chacun de vos repas, son Sancerre « Côtes des Monts damnés » Domaine Brochard, son Mercurey 1er cru « Clos du roi » Domaine Tupinier-Bautista ou encore son Cornas « Arènes sauvages » Cave de Tain sont d’excellents choix et des références bien connues des habitués de l’établissement. Dans un village à très fort terroir, où la romance est à l’honneur, avec un château du XIe et du XIIIe siècle, et aussi grâce à un bon partenariat avec les propriétaires du château, le restaurant a le privilège d’organiser des évènements dans un cadre d’exception. En effet, « à la demande des clients, nous organisons des diners de dégustation, des dégustations commentées ou à l’aveugle et des animations ludiques autour du vin », fait valoir le gérant Lucien Tolfo. ...
A quelques encablures du Lac Léman et non loin du Palais des Congrès, le restaurant Entre Nous est l’étape gastronomique incontournable à Evian-les-Bains. Dans cet établissement chaleureux, les clients ne manquent pas de témoigner d'une bistronomie originale pour cette belle table qui allie service décomplexé et agréable cuisine.Terroir, élégance et créativité sont trois termes qui décrivent parfaitement le talent de la maison. Une cuisine du terroir Passionnés par l'art culinaire, les Bernis ont développé un lieu de rencontre authentique autour de bons plats. Le restaurant utilise des produits locaux de saison, frais et sains. La cuisine ici valorise le terroir savoyard avec des poissons du lac Léman et les condiments de la Haute-Savoie. De l'entrée au dessert, tout est fait maison. Pour cette adresse qui ne dispose que de 50 couverts, la carte est bien évidemment courte. Un fait apprécié par la clientèle, avec des plats qui changent en fonction des saisons. En guise d’entrée, le restaurant propose de grands classiques à l'instar du tartare de féra. La féra est un poisson très prisé du lac Léman. Après avoir badigeonné d'huile d'olive la chair de la féra découpée en petits dés, il y ajoute de fines herbes, du jus de citron et de la vinaigrette. Une entrée simple et légère, relevée par un parfum d’aneth et de cerfeuil. Comme plat principal, le cœur de rumsteak. Plat traditionnel, il est orchestré à base de fromage d’abondance fondu dans du vin blanc, avec un accompagnement d’un écrasé de pommes de terre et d’herbes. Autre plat signature, la côte de bœuf au four. Pour élaborer ce plat, la viande est grillée de chaque côté dans une poêle, de façon à lui donner une coloration joyeuse à l’œil en plus de son gout de fumé. La côte de bœuf est par la suite enfournée à très haute température, pour être servie accompagnée d’une sauce au foie gras et aux morilles. Le généreux assaisonnement au sel et au poivre rehausse les senteurs épicées de ce plat. En dessert, crème brûlée à base de jaune d'œuf, sucre en poudre, d’une décoction de thé vert et feuilles de menthe fraîche. Le tout est battu au fouet afin d'obtenir un mélange homogène. Une fois la crème blanchâtre refroidie, elle est caramélisée à chaud. Le procédé confère une sensation de fraîcheur aux papilles. En somme, Sophie et Marc cuisinent des plats à la manière « Entre Nous », à travers une cuisine minutieuse qui marie admirablement recettes classiques et originalité. L’harmonie mets-vins La carte des vins est aussi courte que celle des plats, avec quelques bouteilles servies au verre. Celles-ci mettent remarquablement en valeur le terroir savoyard. Sophie Bernis a vite fait de comprendre que l'expression « Le client est roi », signifie non seulement repas succulents, mais aussi accord parfait mets-vins. En accompagnement des magnifiques dressages en assiette de la maison, des vins comme l’AOC Roussette Cru Marestel Tradition du Domaine Barlet. Ce vin blanc à la robe jaune or se marie parfaitement avec le tartare de féra. Il est doté d’un nez fruité exotique, mais aussi d’une bouche riche et moelleuse. Comme accompagnement pour le cœur de rumsteak, l’AOC Mondeuse d’Arbin Graine de Terroir du Domaine Perrier. Un rouge à la robe pourpre intense et équilibrée sur des tanins fruités, poivrés et vanillés. Sa bouche complexe révèle des notes réglisses du court passage en fut de chêne ...
Le restaurant Le coup de feu promet une expérience unique en termes de plaisir de la table. Le chef affiche sa volonté de séduire le plus grand nombre en proposant une cuisine traditionnelle teintée d’inventivité. Un cadre cosy pour manger autrement Le restaurant Le coup de feu réserve à ses convives un accueil chaleureux dans un cadre offrant le juste milieu entre une décoration moderne et une salle de style rétro. Poutres apparentes, grande cheminée au milieu de la salle, mobiliers vintage, mais aussi sol carrelé… autant d’éléments évoquant charme et convivialité. Le restaurant propose une cuisine basée sur la gastronomie parisienne. Concoctés exclusivement avec des produits frais, les plats de l’ardoise changent toutes les semaines afin de varier le plaisir des habitués et de faire découvrir de nouvelles saveurs aux nouveaux venus. Certains mets illustrent à merveille le savoir-faire de Sylvain Le Grand, chef et non moins propriétaire du restaurant. Dans le registre des entrées, la poitrine de cochon confite, laquée au miel et servie avec un duo d'artichauts cru et cuit, émoustille les papilles. Le filet de bar est quant à lui très recommandé en guise de plat. Au Coup de feu, cette suggestion est accompagnée de jus aux fruits de la passion. Enfin, pour le dessert, le chef se fera un grand plaisir de servir l’ananas victoria rôti en tranches au sucre muscovado, agrémenté de sorbet au basilic thaï. Une cave à vins complète Pour mieux savourer les mets proposés par le restaurant Le coup de feu, le chef reste disponible pour quelques conseils sur les meilleurs accords de vins et de plats. Dans sa cave marquée par une présence remarquée de vins de Bourgogne, il présente une trentaine de références. Le chef Sylvain sélectionne d’ailleurs les vins en collaboration avec des producteurs régionaux lui permettant de mettre en valeur des produits peu connus mais à découvrir absolument. ...
Si on devait retracer la genèse du Château Léoube, il faudrait remonter jusqu’à la période de la Renaissance. Le lieu serait probablement sorti de terre vers le XIVème siècle. Le halo de mystère entourant ses véritables origines n’a pas empêché le Château Léoube de dignement trouver sa place dans le cercle fermé de la viti-viniculture. En effet, il profite de son positionnement géographique privilégié pour imposer sa signature et asseoir sa réputation. Le domaine se trouve dans le Var, au sein de la commune de Bormes-les-Mimosas, face aux îles de Porquerolles et de Port-Cros. Il est blotti au cœur du Cap Bénat, un site protégé connu notamment pour abriter quelques demeures historiques, dont le Fort de Brégançon qui est le lieu officiel de villégiature du président de la République française. Le Château est l’une des perles de la Provence, une région hautement célèbre pour ses vins rosés. Éblouis par ce cadre et ce terroir, Lord et Lady Bamford décident en 1997 de faire l'acquisition de ce domaine de 560 hectares quelque peu délaissé pour lui redonner toutes ses lettres de noblesse. Place à la culture bio dans un cadre enchanteur L’objectif du couple britannique est de façonner des vins de caractère dévoilant la typicité de leur terroir et de développer la production d’huile d’olive. Pour mener à bien leur projet, il s’entoure d’une équipe de passionnés et du directeur de production, Romain Ott. Cet ingénieur agronome spécialisé en œnologie va veiller au renouveau du Château Léoube en engageant une agriculture biologique sur les 68 hectares de vignes et 23 hectares d’oliveraies. Un ouvrage de longue haleine qui aboutit en 2011 à l’obtention du label Ecocert puis en 2012, du label « Agriculture Biologique ». Les méthodes de culture traditionnelle et naturelle utilisées au domaine permettent au terroir provençal de se révéler dans sa plus belle expression. Cette terre profite d’un climat méditerranéen favorable : des étés tempérés par la brise marine et des hivers doux grâce à un rapprochement avec la Méditerranée. Ici, la diversité des sols (schisteux, argileux et sableux) facilite le développement du grenache, de la syrah, du cinsault, du cabernet sauvignon, du mourvèdre, du merlot ainsi que du cabernet franc. Des raisins qui sont vendangés uniquement à la main pour préserver entre autres la qualité des grains. Une riche gamme de vins La Provence étant la capitale mondiale des vins rosés, c’est tout naturellement que le Château Léoube s’oriente vers la production de ce nectar se déclinant en une variété de cuvées. À ne rater sous aucun prétexte : le Secret de Léoube, un vin de gastronomie complexe et opulent qui sublimera un carpaccio ou un tartare de viande de rouge. Dans la gamme des éditions limitées, la maison propose la cuvée Léoube la Londe qui est un rosé fruité et bio issu des meilleurs jus de 2 parcelles de vieilles vignes de Grenache et Cinsault. Délicat et précis, ce vin s’accorde avec des poissons ou crustacés à chair fine. Plus connu, le Rosé de Léoube est un vin de terroir au style aromatique qui fait honneur à la Provence. Il est apprécié des palais les plus exigeants grâce à sa subtilité et son exotisme. À part les rosés, la maison développe également une sélection de vins rouges agréables et séduisants issus des quatre grands cépages du midi (syrah, cinsault, grenache et mourvèdre) ainsi que de vins blancs frais, structurés et équilibrés. Pause gourmande dans une ambiance chaleureuse Le Château Léoube déploie un cadre digne des plus belles cartes postales. Au nord, les vignes et la garrigue. Au sud, d’autres vignes, une plage préservée, l’oliveraie et la pinède centenaire. Dans ce décor typiquement méditerranéen, un air d’exotisme s’échappe du côté de la plage du Pellegrin. C’est à proximité qu’a été implanté le Café Léoube, prolongement gastronomique du domaine. Ce cocon de charme est une invitation au bien-...
Riche de paysages aux multiples facettes, le Roussillon vous invite à vous ressourcer en vous délectant de ses produits de terroir et de ses grands vins. Entre terre et mer, le Roussillon bénéficie d’un climat ensoleillé, chaud, propice à la culture de la vigne. C’est un amphithéâtre ouvert sur la Méditerranée à l’est, bordé de trois massifs : les Corbières au nord, les Pyrénées avec le mont Canigou à l’ouest et les Albères au sud. La plaine est drainée par trois fleuves : l’Agly, la Têt et le Tech. La Route des vins du Roussillon Néophyte, connaisseur ou simple curieux, empruntez la route des vins du Roussillon, pratiquez… et devenez des experts ! Partez à la découverte du vignoble e trendez visite aux vignerons où vousdégusterez des vins d’exception. Grenache noir et blanc, carignan, syrah, macabeu... Au total 23 cépages poussent sur des sols variés et entrent dans la composition de 14 AOP et 2 IGP. Il n’y a donc pas un vignoble, mais des vignobles en Roussillon et une gamme riche et diversifiée de vins avec chacun sa spécificité, sa personnalité et sa place dans l’univers de la gastronomie. ...
Petite commune tranquille de l’Aveyron en région Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Onet-le-château abrite une perle de la cuisine bourguignonne. Le restaurant d’Alex et Corinne est décidément réputé pour l’accueil agréable et courtois qu’il réserve à ses convives sans parler de sa cuisine fine et soignée où les produits frais et locaux sont à l’honneur. Etape gourmande en Aveyron Pour y aller, rendez-vous aux portes de Rodez, puis direction le rond-point Saint-Marc, route d’Espalion. A l’accueil, Corinne reçoit avec le sourire, histoire de détendre et mettre à l’aise ses convives. Une fois ceux-ci bien installés, les choses sérieuses commencent. Du mardi midi au vendredi midi, des menus entre 16 et 20 euros sont proposés avec au choix quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. On choisit ses plats à la carte le jeudi et vendredi soir ainsi que le week-end. La carte comprend plusieurs entrées entre 6 à 10 euros, des plats entre 16 à 24 euros et des desserts entre 6 et 7 euros. « Chez nous pas de carte fixe, nous établissons un tableau qui change tous les jours, selon les saisons » raconte Corinne. Le chef prend plaisir à concocter de succulentes spécialités bourguignonnes qui sortent des sentiers battus. Avec sa maîtrise et sa rigueur, il sait satisfaire les palais les plus exigeants. Pour ses réalisations, il mise sur son amour du produit mais aussi sur son expérience. Le couple met désormais à profit leur talent et leur savoir-faire dans leur restaurant Chai Alex and Co. Des plats classiques mais revisités Les suggestions du chef sont aussi attrayantes les unes des autres. Elles sont tirées de recettes traditionnelles mais retravaillées selon son humeur et son inspiration. Parmi les plats signatures figurent les œufs meurettes, des incontournables quand on parle de cuisine bourguignonne. Cette recette à base d’œufs pochés est généralement accompagnée d’une sauce bourguignonne ou d’une sauce meurette faite traditionnellement avec du vin rouge, des oignons, des lardons, et des échalotes. Autre plat phare : le tablier du sapeur, une spécialité lyonnaise à base de bonnet nid d’abeille ou gras-double cuit au bouillon puis plongé dans une marinade à base de vin blanc. La viande est ensuite panée et frite puis servie avec des pommes de terre ou une sauce gribiche, selon les envies. Les succulentes propositions du chef ne s’arrêtent pas là. Ne manquez pas aussi les andouillettes en chemise grillées, couvertes de moutarde à l’ancienne, de jambon de pays et d’une crêpe. Une adresse décidément dédiée aux vins L’établissement fait honneur à l’univers du vin. Les couleurs choisies rappellent celles de ce précieux breuvage avec ses tons roses-mauves. Le parquet au sol donne une note conviviale à la salle ainsi que les larges banquettes qui sont synonymes de confort. En plus de la présence des nombreux luminaires incrustés au plafond, le restaurant est baigné par la lumière grâce aux immenses baies vitrées. La partie carrelée de la salle donnant sur l’espace extérieur offre une jolie vue. Elle est constituée d’une grande table pouvant accueillir 12 personnes. La pièce maîtresse du restaurant est certainement cette cave à vins vitrée trônant majestueusement au coin de la salle, définissant aussi l’expression « chai » en référence au nom de l’établissement. Pour compléter cette ambiance chic et ce décor épuré, une musique jazz en fond sonore. Que demander de plus ? ...
Que ce soit en famille, en amoureux ou entre amis, les occasions ne manquent pas pour partager un bon repas autour d’une excellente table, dont les plats et les services n’ont rien à envier aux autres établissements des alentours. Une cuisine de goût et de créativité La bonne humeur et la convivialité sont constamment au rendez-vous lorsqu’il s’agit de goûter à la cuisine bistronomique et de bon goût du chef, qui vous invite à de belles découvertes. Laissez-vous tenter par sa terrine de jarret de veau au romarin et aux noisettes, une cuisson faite au bouillon et reconstituée en terrine avec un peu de gélatine à laquelle s’ajoutent du romarin, des noisettes, un petit peu d’oignon et de carottes, le tout servi avec une petite vinaigrette. Continuez avec son savoureux rognon de veau, poêlé avec une sauce moutarde (cuisson 30 à 35 minutes) et des échalotes revenues au beurre, puis déglacé au vin blanc et mouillé au fond de veau avec de la moutarde. On crème un petit peu, on passe au chinois, on monte au beurre et on ajoute de la moutarde en grains. Servi avec une fondue de choux et des petits lardons. Terminez sur une note joyeuse par son moelleux au chocolat avec une glace vanille, qui est un savoureux mélange chocolat-farine-œufs, cuit au four avec un cœur légèrement fondant liquide. Pour accompagner chacun de vos repas, le Bistrot du Maquis propose une belle carte de vins issus de la culture raisonnée biodynamique, sélectionnés directement auprès de propriétaires, vignerons et autres représentants, parmi lesquels se distinguent le Marcel Lapierre, la Principauté-d’orange de Paul Daumene ou encore le Bouzeron du Domaine Cruchandeau. ...
A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...
Animé depuis toujours par la passion du vin, Didier Duplouy décide de se reconvertir vigneron à l'âge de 57 ans. Il reprend les vignes du Pallet en fermage le 1er janvier 2014 et créé dans la foulée sa propre entreprise. A son installation, il est aidé par plusieurs amis vignerons retraités qui lui inculquent leur savoir-faire familial. Il commence par construire un bâtiment pour entreposer ses matériels. Cette année, Didier en est à sa troisième récolte. Il se fixe comme objectif de pérenniser son entreprise et de transmettre son concept de domaine breton aux notes d'amour. Un domaine respectueux de l’environnement Le domaine d'Héloïse et Abélard est une petite exploitation viticole de 6,6 hectares. Ses parcelles sont cultivées de Melon de Bourgogne pour le Sèvre-et-Maine et Cabernet Franc pour son rosé, qui donnent en moyenne 220 hectolitres de vins. Dans un souci de considération et de respect pour la nature, Didier Duplouy mène une politique d'agriculture raisonnée. Il envisage même dans les années à venir de se reconvertir à l'agriculture biologique. Un coffret pour deux cuvées Le Domaine d'Héloïse et Abélard produit uniquement deux cuvées. Le " Muscadet Sèvre-et-Maine sur Lie " AOC, est une cuvée premium issue de raisins récoltés à pleine maturité. Elle est élevée 11 mois sur lie avec une vinification maîtrisée de bout en bout avant d'être mise en bouteille. Parée d'une robe jaune dorée, elle possède des notes de fruits compotés et miellés avec une pointe vanillée. Ce vin propose une rondeur et un bel équilibre en bouche avec une finale aux notes anisées. A table, il accompagne les fruits de mer ou les viandes blanches. Le " Rosé Cabernet Franc " IGP Val de Loire est une cuvée à la robe rosée aux reflets tuilés. On distingue au nez des notes poivrées et de petits fruits rouges. Son attaque est souple et harmonieuse sur des notes de cassis et cerise. Elle se déguste avec des crudités, salades composées ainsi que des viandes blanches et rouges. Ces deux vins sont présentés et commercialisés ensemble dans un seul coffret qui véhicule 3 concepts novateurs. Et d'un, il représente le produit breton typique, avec le blason du Pallet sur le devant avec en fond, une croix médiévale composée d’hermines bretonnes. Et de deux, il symbolise l'amour des amants célèbres Héloise et Abélard. Cette histoire est racontée en français et en anglais au dos du coffret. Et pour finir, son design a été pensé pour que le coffret soit idéal à offrir en cadeau. ...
Ayant fait ses débuts en toute confidentialité, la marque initiée par un duo d’enfants terribles de la restauration se fait vite remarquer. Les fondateurs Fabien Gomez et Loïc Cheveu font montre d’un savoir-faire qui convainc les grands comptes. Depuis 2012, ils sont de plus en plus nombreux à associer le nom du traiteur parisien à leurs événements. Privés ou pour le compte d’entreprises, ces rendez-vous bénéficient alors d’un service où compétence et discrétion, attention et qualité se déploient en bonne mesure. Des hommes et des femmes de talent Sens Gourmand est une adresse jeune, mais son ADN est nourri par l’expérience de l’équipe qui la compose. Parlant des talents qui ont vu l’impulsion de son aventure, l’enseigne livre un beau palmarès. Les deux fondateurs affichent chacun un parcours ponctué de contacts remarquables auprès de brillantes références. Loïc Cheveu étoffe ses compétences en service traiteur en évoluant au sein de maison de prestige comme Potel et Chabot, un parcours qui n’étonne que peu chez celui qui a fait ses gammes dans de prestigieuses adresses comme le Grand Vefour et la maison Lenôtre elle-même. Son comparse, Fabien Gomez, principal fondateur, n’a rien à lui envier côté CV. Son chemin l’a mené dans l’intimité de Benoît Guichard et de Joël Robuchon après ses débuts dans un deux-étoiles lyonnais. Le directeur général, Olivier Lepetit, les rejoints en 2010 ; Olivier a lui acquis une solide expérience de l’organisation d’événements chez Potel&Chabot, mais également en Grande-Bretagne où formé par le majordome de la Reine d’Angleterre, il va officier auprès de grandes familles. Le produit au cœur d’une cuisine inventive et locavore Ayant à cœur de développer pour sa clientèle une gastronomie « claire, précise et lisible », Sens Gourmand place le produit au centre de son métier au quotidien. Lorsque le bataillon de la maison se met en œuvre, c’est dans une intention créative empreinte d’audace et d’innovation mais en gardant la maîtrise. L’esbroufe ? Très peu pour cette enseigne qui nourrit pour le produit et la saisonnalité un respect quasi sacré. Ici, l’on vibre entièrement local et l’on évite les tendances éphémères. L’on attend que les vergers français aient livré leurs poires, leurs pommes et leurs fraises pour les intégrer dans des recettes plutôt que de les proposer hors saison, en les faisant venir du bout du monde. Tout cela n’empêche pas ces professionnels d’apporter des réponses sur mesure aux demandes de sa clientèle, aux plus simples comme aux plus originales. Au final, les particuliers et les entreprises accèdent à des gammes de saveurs où la finition visuelle fait également l’objet du plus grand soin. Un service remarquable Fiabilité et constance sont les maîtres mots du service qui accompagne les prestations de Sens Gourmand. Attachant une grande importance à l’écoute du client, l’adresse sait apporter sa dose de créativité sans jamais contraindre son prospect. Au-delà du service repas lui-même, l’enseigne met un point d’honneur à penser rigoureusement chaque détail qui pourrait faire la différence sur chaque événement. Selon les souhaits du donneur d’ordre, les décorations des tables, comme la mise en scène des buffets sont conçues pour un fini plus décalé, épuré ou classique. Quant à la décoration florale, elle est assurée par une jeune et talentueuse décoratrice florale Céline B. Sens Gourmand complète sa gamme de service offert à ses clients d’entreprises par un service de recherche de lieux gracieux et efficace ...
Le nom du restaurant est tiré des jardins qui entourent le fameux palace de Marrakech et qui furent donnés au prince Mamoun par le sultan en cadeau de mariage. La Mamounia a été ouvert en 1996 par les parents des actuels propriétaires. C’est un endroit convivial et branché, qui convient à toutes les situations : diner en amoureux, déjeuner d’affaires ou tout simplement moment de partage entre amis ou en famille. Un décor dépaysant Le restaurant, installé le long des boulevards de Valence, propose un dépaysement total, transportant ses hôtes dans un voyage à destination du Maroc par son décor des mille et une nuits. Son plafond est entièrement fait de marqueterie traditionnelle marocaine (bois sculpté et peint à la main). Tous les éléments du décor sont des authentiques objets provenant du Maroc, depuis le tapis jusqu’au mobilier et aux banquettes, en passant par les assiettes en faïence. Un chef au parcours atypique Samir Ouazzani est à la fois le chef et le propriétaire de l’établissement. Cet homme ne s’était pas du tout destiné au métier de la restauration, ayant fait ses études et travaillé dans le domaine des techniques industrielles. Il n’a commencé à s’intéresser pleinement à cet univers qu’à partir de 2005, lorsqu’il a pris la relève de ses parents. « J’ai appris sur le tas, tout doucement, au contact de ma mère d’abord, puis avec un chef de cuisine qu’on a fait venir exprès du Maroc », raconte-t-il. Il propose une cuisine savoureuse et authentique, avec la noble intention de faire retrouver à ses clients la saveur des plats de son enfance. Un vaste choix de formules gourmandes « Le restaurant propose une cuisine familiale, trait d’union entre la tradition et de la modernité », explique son chef. Les plats sont élaborés à base de produits frais, issus des producteurs locaux. Les plus gourmands se laisseront tenter par le menu dégustation à 24 €, composé d’une entrée, d’un plat (couscous deux viandes au choix ou tajine au choix) et d’un dessert. Sinon, il est toujours possible de commander à la carte. En entrée, la tchackchouka, compotée de tomates oignons poivrons, ou la harira et ses dattes Medjool entrainent dans un délicieux voyage à la découverte des saveurs orientales. En plat de résistance, le choix s’avère cornélien entre le tajine zbib, composé d’émincés d’agneau, d’oignons au miel et de raisins secs, et le couscous royal, accompagné d’un assortiment de poulet fermier, agneau, merguez, brochette, sans oublier les boulettes de viande. Pour la touche sucrée, les papilles se régaleront du suprême d’orange à la rose et cannelle. La qualité et la fraicheur de la cuisine du restaurant lui ont valu une belle réputation à Valence, tant et si bien qu'il ne cesse d’être recommandé par le guide Gault & Millau depuis 1997. ...
Le Domaine des Frontières est situé à Jullié, non loin de Mâcon dans le Rhône, qui est considéré comme l’un des plus anciens villages du Beaujolais tirant son nom de Jules César et ses légions qui s’y établirent autrefois. Il y travaille essentiellement l’AOC Juliénas réputée pour ses vins printaniers aux notes de fruits rouges, de pêche et d’arômes floraux et l’AOC Beaujolais-Villages s’illustrant pour ses crus de caractère, charpentés et colorés exprimant finesse et souplesse. Le gamay dans toute sa splendeur Le lancement du Domaine des Frontières est un véritable projet de vie pour Jérémy Thien qui quitte sa carrière dans l’administration pour se reconvertir en vigneron. Il crée l’exploitation familiale de toute pièce en faisant progressivement acquisition de parcelles aujourd’hui d’une superficie totale de 6 hectares. Son vignoble composé de vieilles vignes de 60 à 80 ans met à l’honneur le gamay, cépage phare du beaujolais. Les raisins expriment leur plus belle intensité sur ce terroir constitué de roches volcaniques anciennes. Tout est fait pour leur épanouissement. « Nous faisons un véritable travail d’artisan avec très peu de mécanisation », confie Jérémy. La certification HVE atteste de ce soin apporté à la vigne qui ne subit aucun traitement chimique agressif. Plusieurs cuvées pour les meilleurs moments de vie Sous le label Juliénas, le Domaine des Frontières propose deux crus atypiques à savoir La Cuvée Classique et la Cuvée Réservée. La Classique se veut solaire avec des arômes de poivre, d’épices, de fruits noirs, de cacao et de cuir noble. Élégante et intense à la fois, elle se sert avec des gibiers à plume, des viandes rouges, du bœuf bourguignon ou du magret de canard. La Cuvée Réservée est produite à partir d’une sélection parcellaire issue du lieu-dit Vayolette qui procure une finesse et une concentration exceptionnelles. Avec un potentiel de garde de 7 à 8 ans, ce 100 % gamay révèle un beau bouquet floral et fruité ainsi qu’une belle longueur en bouche. À accompagner avec des crustacés, du bœuf, de l’agneau ou du gibier. Quant au Beaujolais-Villages Vers le Château, il se veut plus fruité, rond et charmeur. Parfait pour les barbecues estivaux ou en apéritif avec un plateau de fromages et de charcuteries. ...
Une vaste gamme de produits Véritable précurseur, Pascal s’intéresse à l’univers du bio dès 1999 et a voulu apporter le concept à Arpajon en créant un magasin de proximité. Il propose des produits alimentaires en vrac, tels que des fruits et légumes frais provenant des producteurs locaux , des fruits secs, des thés et tisanes bio. Les clients en quête de compléments alimentaires à base de plantes naturelles ou de produits d’hygiène beauté trouveront aussi leur bonheur. Entre les extraits de Fleurs de Bach et les huiles essentielles aux multiples vertus, un vaste choix s’offre à eux. Et comme le propriétaire en connaît un rayon, il se fera un plaisir de guider chaque client. « Ce sont des produits qu’il faut expliquer aux gens et par rapport aux besoins de chaque personne », explique-t-il. D’ailleurs, les clients ne viennent pas uniquement pour dénicher les produits, mais aussi pour profiter des conseils d’un vrai professionnel, soucieux de leur bien-être et attentif à satisfaire leurs désirs. Producteurs bio Le magasin s’approvisionne auprès des producteurs et agriculteurs biologiques opérant aux alentours d’Arpajon. « Nos légumes bio viennent de Fleurs de Cocagne, appartenant à un centre de réinsertion, qui permet aux gens de se réintégrer socialement et en même temps faire de la culture biologique », reprend Pascal. En outre, il travaille également avec le groupement des agriculteurs biologiques de l’Île-de-France pour trouver certains de ses produits alimentaires. Dans une volonté de répondre aux besoins de sa clientèle, Attractive bio peut même commander des produits spécifiques à la demande des clients. En plein centre d’Arpajon, l’épicerie bio de Pascal Gurliat tire son épingle du jeu en offrant un service de proximité à ses clients qui viennent pour se procurer des produits alimentaires et d’autres produits de bien-être. En prime : ils profitent des conseils éclairés d’un passionné et expert dans son domaine. ...
La vigne s’étend sur 33 hectares où s’épanouissent Pinot noir, Chardonnay et Meunier. En sus de cet espace, la maison Cattier acquiert dans les années 50 un clos de 2, 20 hectares, rare dans la région. Une cuvée porte son nom « Clos du Moulin » reflétant toute l’élégance de la parcelle, avec son assemblage de trois précieux millésimes. La cave centenaire est lotie sous la maison familiale, avec une capacité de stockage de 2 millions de bouteilles. Une saga familiale vouée aux vignes Le domaine Cattier, familial et indépendant, est aujourd’hui dirigé par Alexandre Cattier. Le sang des vignes bat le cœur de sa prestigieuse histoire, riche en événements et en émotions. Jean Cattier père, blessé pendant la Grande guerre, revient cultiver ses vignes en 1916 et commercialise ses premières bouteilles de champagne en 1918. C’est dans les années 60, que le domaine développe son activité et champagne Cattier devient un des plus importants récoltants manipulants de la Champagne. Dans les années 70, Jean-Jacques, fils de Jean Cattier fils, prend la relève et développe l’export en Europe et dans le monde, dès les années 80. En 2006, il lance une nouvelle marque « Armand de Brignac » qui sera consacrée « Meilleur champagne du monde » en 2010. Depuis 2011, c’est son fils, Alexandre, qui reprend les rênes du domaine après des études en Australie. Œnologue de métier, porté par son héritage, il oriente le domaine vers la culture raisonnée. Les Champagnes Cattier sont aujourd’hui certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum), et Viticulture durable de Champagne (VdC). L’art de l’assemblage et le respect de la terre se révèlent dans chaque opus du domaine. Des champagnes d’excellence à savourer comme on porte une coupe d’histoire à ses lèvres. ...
Ces hommes de prière, qui vivent dans le silence et la solitude, ont perçu l’impérieuse nécessité de travailler main dans la main avec les vignerons de cet écrin de nature sauvage qui s’étend de la crête orientale du cirque des Dentelles de Montmirail aux contreforts nord-ouest du mont Ventoux. Le vin a toujours été symbole de partage et d’amour. Tout naturellement, les moines se sont sentis liés à leurs voisins vignerons. Cette amitié partagée dans le travail s’est épanouie progressivement jusqu’à donner naissance à de nouvelles cuvées au grand cœur : les vins Caritas. Histoire des abbayes du Barroux En 1970, Dom Gérard Calvet s’installe à Bédoin dans la chapelle de la Madeleine pour vivre la Règle de saint Benoît : « Ora et Labora » (« prière et travail »). Il est rejoint par de nombreux jeunes désirant découvrir la vie monastique. La communauté grandissant, en 1980, la construction d’un monastère de style roman provençal débute au Barroux. Il sera achevé en 1988. Des vignes anciennes et nouvelles s’étalent sur les flancs de la colline silencieuse. En 1986, un groupe de moniales s’installe à proximité, sur une propriété viticole, « La Font de Pertus ». La construction de l’abbaye Notre-Dame-de-l’Annonciation débute alors, tandis que les jeunes sœurs s’engagent à cultiver les vignes. Depuis 1986, les deux communautés (aujourd’hui 57 moines et 30 moniales) s’entraident pour faire prospérer cet héritage spirituel et viticole. Le vignoble des Abbayes Les 9 hectares en terrasses des deux abbayes sont complantés de cépages variés. Pour les rouges et les rosés : grenache noir, syrah, carignan et cinsault. Pour les blancs : roussanne et clairette. Situé entre 350 et 400 mètres d’altitude, le domaine des Abbayes est adossé aux célèbres terroirs de Beaumes-de-Venise et de Gigondas. Ses sols et ses expositions variés permettent l’élaboration de vins complexes où fraîcheur et puissante structure entrent en symphonie. Les vins Caritas À la suite de la rencontre avec Jean-Dominique Artaud, en 2010, moines et moniales adoptent de nouvelles méthodes de culture pour faire progresser la qualité des vins. Avec leurs amis vignerons, ils retrouvent des procédés ancestraux comme la haute densité (7 500 pieds par hectare), ou le palissage haut sur piquets de bois. Le travail effectué à la main – taille, ébourgeonnage, épamprage, écimage, effeuillage et vendanges – ressemble bien à de la haute couture vigneronne. Les moines utilisent des engrais organiques et travaillent les vignes avec des moyens mécaniques. En 2016, les moines commencent un projet commun avec les vignerons Lux Montis. Son nom : CARITAS. Son but : une valorisation plus juste des vins de caractère produits sur ce terroir de montagne classé dans les « vignobles héroïques ». Pour le bien des vignerons courageux du Barroux, de Beaumont-de-Ventoux, de Malaucène et d’Entrechaux regroupés sous la bannière Lux Montis. L’objectif avoué est de permettre à ces montagnards de maintenir leur activité, aujourd’hui et dans les générations à venir. Le territoire tout entier devrait bénéficier de cette belle aventure solidaire. La beauté de ce terroir aux paysages époustouflants et l’équilibre socio-économique de la région sont en jeu : pour ces moines, la vie agricole est l’un des principaux facteurs structurants de cette Provence des papes. Ils veulent donc mettre leur dynamisme à son service. Pour assurer l’excellence recherchée, les nouveaux pieds de vigne sont sélectionnés selon les profils géologiques des terres. La vigne est cultivée avec beaucoup de cœur pour obtenir des raisins généreux. L’élaboration des vins se fait sous la houlette d’un jeune œnologue de talent, Daniel Haïlé, épaulé par Philippe Cambie, œnologue mondialement reconnu qui apporte son génie pour affiner les assemblages et sublimer le travail vigneron. Cette nouvelle aventure a permis de proposer les premières cuvées haut de gamme en ...
C’est dans un cadre contemporain et convivial que La Cafetière Fêlée présente sa carte enrichie d’une grande variété de plats typiques des deux mondes. Des vins venus des quatre coins de la planète, soigneusement sélectionnés pour agrémenter chaque assiette, figurent parmi les suggestions de la maison. Un chef passionné au long parcours Découvrant sa passion pour la cuisine grâce à une mère et une grand-mère toujours aux fourneaux, Julien Fiengo se fait admettre à l’école professionnelle Escoffier à cagnes sur mer en 1998 afin d’en maitriser les subtilités. A l’issu de sa formation, il entame sa carrière aux Héspérides de Lérins à golfe Juan où il débute en tant que commis de cuisine. Il trouve ensuite une place de chef de partie au restaurant Les Pêcheurs à Juan les pins. Puis, l’hôtel Belles Rives à Juan-les-Pins l’engage en tant que chef de partie pour son restaurant La Passagère. Avant de monter sa propre affaire, Julien continue sa carrière professionnelle à titre de chef de cuisine dans le restaurant Le Barbarella à Cannes. Ouvrant les portes de La Cafetière Fêlée en 2008, ce personnage passionné se voit attribuer le titre de Maitre Restaurateur, une plaque dorée qui appuiera la renommée de son établissement sur toute la Côte-d’Azur. Le menu : une harmonie entre tradition et exotisme Afin que ses « plats-fusions » préservent toute leur authenticité, Julien s’approvisionne essentiellement auprès de producteurs locaux. Ce concept de circuit court favorise la sélection de produits exclusivement frais et de saison utilisés pour concevoir une cuisine et des plats de qualité. En entrée, la carte propose le Sashimi de saumon mi-cuit au sel et gingembre/mousse wasabi et caramel de miel-soja. En plat de résistance, on se laisse facilement tenter par le Magret de canard au foie gras et gratiné à la pistache accompagné d’une sauce mangues passion et polenta crémeuse cremeuse à la figue. La maison a aussi bâti sa réputation en se spécialisant dans les wok à la thaï, un plat traditionnel particulièrement apprécié en Thaïlande composé généralement de nouilles de riz sautées au wok, de tofu, d’œufs, de légumes, de graines germées, de crevettes et de sauce au poisson. A la Cafetière fêlée, ce plat emblématique est revisité dans sa composition traditionnelle et servi avec du Magret laqué au miel et moutarde à l'ancienne ou encore des crevettes au lait de coco et Panang. Côté dessert, le Fondant au chocolat noir au cœur coulant de Toblerone se révèle en bouche par ses saveurs d'une finesse et d'une gourmandise sans nom. En parfaite synergie avec les plats, la carte des vins reste éclectique pour correspondre aux goûts de chacun. ...
Tenu et géré par un groupe de producteurs associés, Saveurs De Nos Fermes propose une grande diversité de produits frais provenant directement des exploitations. Un réel bonheur pour les consommateurs à la recherche de produits à la fois sains et de qualité! Les débuts d’une belle aventure Tout a commencé lorsqu’un groupe de producteurs décide de vendre leurs produits autrement que sur les étals du marché local. Très vite, l’idée de créer un magasin en commun a séduit plus d’un. Après trois années de collaboration Saveurs De Nos Fermes ouvre pour la première fois ses portes en 2008. Aujourd’hui, ils ne sont pas moins de 10 producteurs-associés à œuvrer ensemble pour assurer la bonne marche du magasin. Une large gamme de produits variés Pour assurer l’approvisionnement du magasin, les producteurs livrent régulièrement des produits frais issus de leurs exploitations. Miels et confitures, compotes, vins, jus de fruits, charcuteries, viandes, volailles, fruits et légumes, escargots et poissons, produits laitiers… il y en a pour tous les goûts et les budgets ! Et pour offrir plus de choix, Saveurs De Nos Fermes peut compter également sur ses 30 dépôts vendeurs pour étoffer les produits proposés dans le magasin. Parmi tous ces produits, les fromages sont également très appréciés des consommateurs. Qu’il s’agisse de fromages de vache, de chèvre ou de brebis, Saveurs De Nos Fermes bénéficie du savoir-faire incomparable de ses fromagers au nombre de sept dont trois producteurs-associés et le reste opérant en tant que dépôts-vendeurs. Sept producteurs de fromage Le magasin propose à ses clients ce qui se fait de mieux en matière de fromage. Des produits avec une qualité exceptionnelle à l’instar des fromages affinés tels que le PrazVechin, d’excellents fromages blancs en faisselle, des tommettes natures ou au carvi. Ils proviennent d’une exploitation dans le Val d’Arly qui compte un cheptel d’une soixantaine d’animaux. Ces derniers pâturent de l’herbe en extérieur durant la majeure partie de l’année. Ce qui explique en partie la qualité des fromages obtenus. Aux Saveurs De Nos Fermes, les clients ont également l’occasion de déguster des produits rares. En effet grâce au savoir-faire de l’un des producteurs du magasin, les consommateurs ont la chance de trouver du bleu de Termignon au rayon fromagerie. Pour offrir davantage de choix, un autre producteur apporte du beaufort d’Alpage tandis qu’un autre propose d’excellents reblochons et de la raclette. Des tomes des Bauges et des tomes au marc sont aussi disponibles. Par ailleurs, le magasin propose à ses clients de délicieux fromages de chèvres. Ils viennent d’une exploitation située en montagne (à 600 m d’altitude). Là, une cinquantaine de chèvres de race alpine chamoisée profite d’une herbe fraiche et abondante. De leur lait naissent de délicieux fromages blancs, des crottins et briques crémeuses, différentes sortes de tomes, du sérac… Autant de plaisirs gustatifs que les consommateurs peuvent retrouver dans le magasin. Pour finir : le fromage de brebis qui vient d’une exploitation située sur la commune de Chamoux au creux du Val Gelon, à 350m d’altitude. Grâce à un procédé artisanal et un savoir-faire unique, les producteurs y élaborent de très bons fromages. ...
Situé en région Midi-Pyrénées, Martel est une cité médiévale fondée au XIe siècle par les vicomtes de Turenne. Elle est aussi connue sous le nom de « la ville aux 7 tours » car, au XVe siècle, elle abritait pas moins d’une trentaine d’échauguettes, de tourelles et de tours. Un autre attrait de la commune est qu’elle se trouve sur la route de la noix du Périgord. Au XIIIe siècle, la noix était considérére comme un bien aussi précieux que l’or dans la région. Parmi ses dérivés les plus consommés figure l’huile de noix, un produit star à découvrir au sein de l’épicerie fine du Petit Moulin, qui abrite aussi un restaurant et un bar à vins. Un chef passionné par son métier Le Petit Moulin de Martel s’inscrit dans la lignée des restaurants bistronomiques. Il a été créé par Adrien Castagné, qui le dirige. Ce jeune manager, fils et petit-fils d’agriculteur et producteur d’huile de noix et d’agneaux, est diplômé en œnologie à Bordeaux. Il exprime une passion si forte pour l’univers de la cuisine qu’il a décidé de renforcer ses compétences dans ce milieu. Il débute sa carrière en tant que sommelier et barman dans un bar à vins nommé La Parcelle, situé aussi à Bordeaux. Aujourd’hui, grâce à la richesse de ses vies passées et de son expérience, il a ouvert sa propre entreprise dans sa ville natale, au sein de laquelle il est secondé par son amie, Emma Buquet. Celle-ci endosse le rôle de chargée de communication et assure également l’accueil des clients. Un restaurant très particulier Au sein du restaurant, les clients peuvent investir la salle qui se trouve dans le hall, un lieu très cosy et moderne. La pièce révèle un style scandinave, moderne et raffiné. Les meubles en bois sont un signe de douceur et de chaleur. À l’étage, une ancienne chambre à l’esprit vintage a été aménagée. Elle est notamment équipée d’un tourne-disque et de vinyles, qui plongent les convives dans une ambiance musicale. Pour profiter du grand air, la terrasse ombragée et blottie au coin d’une petite rue propose calme et détente. Le bar à vins, quant à lui, invite à passer des instants agréables entre amis ou en famille. C’est le jeune chef lui-même qui vient servir ses convives d’un bon vin en accord avec les mets proposés. À côté de ce bar, l’épicerie fine propose différents types de vins, de produits locaux comme le pâté de foie gras, les rillettes et le confit de canard… L’huile de noix constitue le produit phare de l’établissement. La gastronomie avec des produits du terroir Adrien Castagné propose des plats faits maison, élaborés avec des produits du terroir. Il aime concocter une cuisine traditionnelle revisitée avec gout, en utilisant des ingrédients typiques du Périgord. Les spécialités de la maison sont la raviole de canard et le filet mignon de porc. Côté menu, le chef propose une formule à 26,50 €, composée de deux entrées, de deux plats, de fromage et d’un dessert. Le restaurant dispose d’une carte courte, constituée de cinq entrées, de quatre plats et de quatre desserts au choix. En entrée, les fins gourmets seront séduits par l’assiette de foie gras de Marie-Claude. Le filet mignon de porc en croute de noix fait office de plat de résistance. Et, pour le dessert, la tarte diamant aux agrumes et crème café blanc procure une touche de douceur et de gourmandise. ...
Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...
Situé en bordure de l’autoroute A7, au cœur du vignoble de l’Hermitage, l’ancien Restaurant Umia continue sa belle aventure culinaire sous d’autres couleurs et à travers sa nouvelle appellation Maison Gambert. Repris depuis fin novembre 2015 par Mathieu Chartron, chef passionné et créatif du sud de Lyon et non moins ambassadeur du chef triplement étoilé et grand restaurateur Guy Savoy au Caesars Palace de Las Vegas pendant plus de 7 ans, l’établissement est implanté dans le domaine de Tain l’Hermitage où il jouit d’un cadre magique et d’une excellente réputation. Une cuisine bistronomique Localisée à moins de 3 km de l’entrée de l’autoroute, la Maison Gambert séduit par sa cuisine bistronomique à la table inventive et raffinée où tout est mis en œuvre pour conquérir une large clientèle. Le jeune et talentueux chef Mathieu Chartron et son équipe s’investissent avec passion dans leur métier pour concocter de bons plats simples aux ajustements raffinés, mais aussi des plats gourmands à base de produits frais de qualité préparés avec goût et recherche. Truite marinée à la Chartreuse et betteraves multicolores, poisson du moment, purée de carottes à la citronnelle ou encore panna cotta coco-passion et fruits frais sont autant de raffinements à découvrir et à apprécier dans ce restaurant aux belles assiettes où on se sent particulièrement bien accueilli et où la satisfaction est toujours au rendez-vous. Une carte attrayante et dynamique La Maison Gambert propose une carte attrayante avec une formule entrée-plat-fromage ou dessert et un menu enfant. À travers une cuisine actuelle empreinte d’originalité, elle s’attache la fidélité d’une clientèle régulière et attire la sympathie des clients de passage qui apprécient les plaisirs de la découverte gastronomique dans ses différentes déclinaisons de couleurs et de saveurs. Parmi ses spécialités, la truite marinée à la Chartreuse et la pintade sont des plats particulièrement bien maîtrisés par la maison et qui font sa réputation. D’autres spécialités telles que le tartare de bœuf coupé minute et le cabillaud figurent également aux premières lignes des plats les plus suggérés ou appréciés. Les menus sont renouvelés chaque saison et sont adaptés en fonction des inspirations du Chef. Une équipe de choc Tous les ingrédients sont réunis au sein de la Maison Gambert pour faire de l’établissement, un lieu de rendez-vous et de retrouvailles apprécié des amoureux de la bonne cuisine et où la surprise de nouvelles découvertes culinaires tient les clients en haleine jusqu’à leur prochain passage. Grâce au dévouement d’une équipe compétente qui privilégie l’écoute, le conseil et la qualité de service, l’enseigne peut se targuer d’avoir réussi son pari. Tout cela grâce à la belle association du chef Mathieu Chartron derrière les fourneaux, de José Afonso, maitre d’hôtel, et de Benoît Chartron responsable de salle. ...
Auréolé de nombreuses récompenses, les vins de Château Cadet-Bon font partie de l’appellation Saint-Émilion Grand Cru Classé. Sur ces plantations où la vigne pousse depuis le XIVè siècle, on y retrouve tous les plus grands cépages dont le Merlot et le Cabernet Franc. Le domaine s’étale sur plus de 5ha, où est majoritairement élevé le Merlot (80%), le Cabernet Franc occupant le reste des vignes. Historiquement, les premières traces de vigne sur le domaine remontent à la famille BON. Une famille de notables qui ont fait l’histoire de Saint-Émilion depuis le XIIIè siècle. En 1929, le « Féret » rapportait qu’à l’occasion de l’Exposition Universelle de Paris, les vins de Justin Bon avaient permis aux grands vins de Saint-Emilion d’obtenir une médaille collective. Le domaine fût par la suite racheté en 2001 par Michèle et Guy Richard. Ce couple originaire de Charente Maritime, issu d’une famille de viticulteurs, rénove la propriété et revoit de manière drastique l’exploitation du raisin. Aujourd’hui, il en ressort un vin de qualité où transparaît la passion du couple pour le bon vin. Idéalement situé, le Château Cadet-Bon prend ses 5ha à l’orée du village de Saint-Émilion. Il domine le paysage surplombant à 75m d’altitude sur la butte du Cadet. Avec ses tenants exposés plein sud, les vignes mettent en avant les caractéristiques géologiques de la région avec un sol dominé par le calcaire à Astérie, un type de roche à dominante jaune contenant des fossiles, notamment d'étoile de mer. Moyens et méthodes de production Plaçant le terroir au cœur de la production, le domaine s’attache à soigner sa production de la récolte à la vinification. Durant 5 à 6 jours, les vendanges sont ainsi faites manuellement avec l’aide de vendangeurs temporaires particulièrement bien choyés. Ces vendanges sont effectuées selon la maturité de chaque parcelle et en fonction de la météo. Une fois récoltés, les fruits sont vidés dans des bastes puis acheminés au chai. Le tout en assurant, un minimum de manipulation. Une fois aux chais, la production traverse une série d’éléments de tri pour ne garder que les meilleures grappes. Un système innovant reprend la suite pour l’encuvage. En effet, depuis 2007, le domaine a mis en place un système de transport des raisins par gravité vers les cuves. Ce qui permet de garder le fruit entier et de le vinifier en l’état. Les étapes de vinification sont extrêmement encadrées du protocole d’extraction en passant par les pigeages, une méthode manuelle ancestrale qui permet de libérer arômes et parfums du vin en cours d’élaboration. A l'issue de la vinification, on passe à l'élevage. On retrouve alors toute une palette d’outils qui viennent révéler la fraîcheur recherchée dans les cuvées Saint-Émilion. Une partie de la production est vieillie en barrique mais le domaine utilise également des amphores. Pour ce dernier, c’est 3 à 4% de l’assemblage qui est effectué dans des amphores en terre cuite de 7hl. 14 mois durant, le précieux nectar est élevé sous l’œil attentif des viticulteurs et de leur équipe. Une démarche dans le respect de la nature Dès leur acquisition du domaine, le couple Richard s’attelle tout particulièrement à faire de leurs vignes des vignes qui respectent la nature et l'expression authentique du terroir en AOC Saint-Émilion. Ils mettent ainsi fin à l’utilisation d’herbicide. Afin de lutter contre les effets du froid en hiver, les Richard ont aussi adapté des techniques peu communes. Par exemple, les semis sont protégés par des mélanges de céréales (seigle ou avoine) et de légumineuses comme la vesce auxquels sont ajoutés des crucifères comme la moutarde, le colza ou la Phacélie. Présentant de nombreux avantages, l’application d’une couverture végétale protège les sols de l’érosion ou des battances mais apporte aussi de l’engrais naturel. Depuis 2015, le domaine a fait le choix d’arrêter l’utilisation d’anti-Botrytis. Le botrytis est une pourriture...