Des sols diversifiés alternant couches marneuses et argilo-calcaires, associés à une belle exposition sud-est ont conduit Martin Klipfel à établir son domaine à Barr, en plein cœur de l’Alsace, dans le Bas-Rhin. Ici, tous les ingrédients sont réunis pour élaborer des crus à la hauteur de toutes les espérances. Une maison chargée d’histoire et de tradition Tout commence en 1824, lorsque Martin Klipfel fait l’acquisition du Clos Zisser, dont il a le monopole. En 1921, grâce à son fils Eugène, le domaine fut un pionnier en matière de Vendanges Tardives et de sélection de Grains Nobles. Louis, le petit-fils, a œuvré pour faire connaitre la Maison à travers le monde et transmettre naturellement sa passion de la vigne à ses enfants. Aujourd’hui, la Maison bénéficie d’une belle notoriété en France et à l’étranger, notamment grâce à la qualité et à l’authenticité de ses vins. Quand Cépages, terroir et savoir-faire s'allient pour permettre au vin une pleine expression de son élégance Présente sur les 3 appellations alsaciennes : Alsace Grand Cru, Vin d’Alsace et Crémant d’Alsace, la Maison Klipfel travaille tous les cépages emblématiques du terroir et a la volonté de toujours innover Une large panoplie de vins, crémants et autres spécialités d'Alsace est ainsi proposée. S'agissant des vins, les oenophiles auront le choix entre les cuvées Louis Klipfel, les cuvées André Lorentz, les Grands Crus d'Alsace, les Hospices de Strasbourg Grands Crus, les Vendanges Tardives ou les Sélections de Grains Nobles, en plus bien sûr des grands crus Kirchberg-de-barr et Kastelberg. Les Crémants se déclinent en Brut, Brut Chardonnay, Noirs Brut et Brut Rosé. La Maison compte parmi ses offres des spécialités d'Alsace, à l'instar du « Nuances de Pinots » ou le Sylvaner Côtes de Barr. Dans cette catégorie, le Sushi K., vin sec d'assemblage, étonne par sa souplesse et son fruité, et se dote d'une belle potentialité de garde. Il accompagne idéalement des plats asiatiques ou de fruits de mer. A découvrir. Et toujours dans l'optique d'élargir ses offres, Maison Klipfel met également à disposition de sa clientèle des liqueurs, des Crèmes et des eaux de vie. Le tout disponible en grands et petits formats. Bref, de quoi satisfaire tous les goûts et toutes les envies ! ...
C’est dans à Condom, une petite commune située au sud-ouest de la France que Jean-Luc Mazur concrétise un projet de vie : l’ouverture de son restaurant. Dans un cadre pittoresque et authentique, Le Sarment exprime l’amour du chef pour les produits du terroir frais qu’il sublime avec créativité dans les assiettes. Mot d’ordre : convivialité ! Dès votre arrivée, vous ressentirez cette ambiance très détendue et conviviale qui fait la réputation de l’établissement. La générosité, une qualité attribuée aux propriétaires, transparaît aussi dans les assiettes soigneusement dressées et tellement gourmandes. « Ma cuisine est toujours ouverte, et donc je peux voir les clients pendant que je cuisine », explique Jean-Luc. Un concept qui souligne encore une fois cette convivialité qui est chère à la maison. « Chez nous, la carte est renouvelée tous les trois mois environ et fait honneur au terroir du Gers », poursuit-il. En collaboration avec les producteurs locaux, le chef propose des plats à base de produits sains et bio. Parmi ceux qu’il recommande fortement figurent les cuisses de grenouille en entrée, suivi d’un duo de rognon et ris de veau, en plat de résistance. Le repas s’achève sur une note plus douce et résolument gourmande avec le coulant au chocolat "fait maison". ...
Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle. Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine. Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée. Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie. Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence. Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages. Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins. Un virtuose de romantisme culinaire Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin. Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne. Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales. L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine. ...
S’inspirant de leurs origines et de leur amour inconditionnel pour la gastronomie italienne, Eric et Raffi lancent leur concept avec la promesse de vous faire découvrir une cuisine ensoleillée et des pizzas à la coupe comme jamais vous n’en goûterez ailleurs à Paris. Amour pour la tradition artisanale, sélection de produits d.o.p. et un service de qualité, voici le secret! Véritable œuvre d’art Pour réussir à exprimer pleinement son talent, tout artisan qui se respecte se doit d’avoir les meilleures matières premières entre ses mains. Chez Acquerello, les farines blanches et intégrales servant à la préparation de la pâte sont sélectionnées avec le plus grand soin. Elles sortent directement du moulin d’un producteur italien. Tous les autres produits sont choisis pour leur qualité exceptionnelle allant de la mozzarella au lait de bufflonne au parmigiano (parmesan) reggiano en passant par la gorgonzola et la scamorza fumée, la pancetta (lard) italienne et la crème de truffe. Pour mettre en scène ces ingrédients, Eric se tient prêt devant son pétrin et son four (italien lui aussi) conçu spécialement pour la pizza à la coupe romaine. Ce passionné use de son savoir-faire et de ses talents de boulanger (talents appris à l’Ecole Grégoire Ferrandi et dans les meilleures boulangeries et pizzerias parisiennes)pour vous concocter une grande diversité de pizzas. Tartufo, Pancetta, Pesto : des noms évocateurs appelant à la gourmandise se découvrent dans la carte riche d’une vingtaine de variétés de pizzas (voir le menu sur le site www.pizzacquerello.fr) mais Eric est prêt à satisfaire les demandes les plus variées qui n’apparaissent pas sur la carte (chaque client à ses exigences!). Un service traiteur hors pair ! Acquerello accompagne également les particuliers ou les entreprises dans l’organisation de leurs évènements (anniversaire, réception, cocktail, buffet..). L’établissement bénéficie d’un matériel dernier cri lui permettant de rester opérationnel en toute circonstance. « Nous pouvons offrir nos services de traiteur même pour des événements dans des lieux qui sont dépourvus de cuisine et de frigo » nous souffle Raffi, la propriétaire. Acquerello s’adapte aux besoins de sa clientèle au niveau des menus proposés. Cette personnalisation de son offre est une garantie de satisfaire même les plus exigeants. Parmi les plats les plus demandés figurent les lasagnes (rouges et aux légumes), les focaccia, le petits pains tomates confites et mozzarella et bien sûr, les incontournables pizzas à la coupe. Quant aux boissons, «l’Italie s’invite aussi à table» déclare notre interlocutrice. L’occasion d’apprécier la richesse aromatique des vins du pays minutieusement sélectionnés, des boissons italiens (limonata siciliana, sodas San Pellegrino et bières italiennes). Mais Acquerello n’oublie pas le Services, avec la qualité: hygiène garantie (aller visiter leur laboratoire), ponctualité dans la livraison, possibilité de demander le service d’installation, fourniture du matériel pour buffets, personnel pour que les invités de votre événement soient servis comme il se doit en plateaux et boissons. ...
Ce domaine appartient à la famille Fabre depuis 1928. C’est un plaisir et un véritable challenge pour elle d’allier sa passion pour le vin avec des méthodes culturales veillant au respect de l’environnement. Un terroir privilégié Le vignoble se situe sur un sol argilo-calcaire recouvert de galets roulés produisant principalement les cépages syrah, grenache, roussanne et chardonnay. Pour préserver la qualité de ses sols, la maison mise sur l’agriculture biologique. « Nous avons officiellement décroché le label bio en 1978, même si nous avons pratiqué ce mode cultural bien avant », spécifie Jean-Baptiste, co-gérant du domaine. Tous les intrants chimiques sont bannis du cahier des charges « Agriculture biologique ». Les vignes du Château des Coccinelles bénéficient du chaleureux climat méditerranéen. « Nos vignes sont parfaitement exposées au soleil, mais notre arme secrète reste le mistral qui nous aide énormément à préserver la qualité des raisins jusqu’aux vendanges. » Vinification, entre tradition et modernité Après les vendanges en vert et les dernières analyses de maturité en laboratoire, c’est la dégustation des baies sur le terrain qui déclenchera les vendanges. Rendez-vous alors dans le chai pour y sublimer la récolte. Grâce aux rendements maitrisés et au savoir-faire de la maître de chai, il y sera produit des vins à la fois complexes, gourmands et élégants. Aujourd’hui comme par le passé, l’entreprise familiale vinifie de façon traditionnelle sans se priver d'outils modernes. Résultat : un enchantement de saveurs qui rend honorablement ses lettres de noblesse à l’appellation Côtes-du-Rhône et Signargues. La maison est particulièrement fière d’une cuvée (sans sulfites ajoutés) baptisée « Elytres », un Côtes du Rhône rouge spécialement élaboré en l’honneur du centenaire du domaine. Cette production tire son succès de ses arômes intensément fruités qui se marient idéalement avec la cuisine méditerranéenne. ...
Avec des caractéristiques de bière très spécifiques, la Brasserie artisanale du Sud a forgé sa réputation sur un mode de brassage très particulier qui la distingue des autres brasseries. « Nous faisons partie des rares brasseries artisanales à produire des bières de garde en France », affirme Fabienne Delorme, responsable commerciale. Ces bières de garde se distinguent surtout par leur finesse et leur fluidité, avec un processus de fermentation secondaire qui affine les arômes à froid (0 °C) durant 3 ou 4 semaines. Elles sont 100 % naturelles, sans aucun adjuvant, et sont principalement composées des matières premières fondamentales de la bière qui sont l’eau, les céréales, le houblon et les levures. Des bières aux noms évocateurs « C’est à partir des points caractéristiques qui lui sont propres que notre brasseries a développé une gamme de bières classées selon leurs moments de consommation et non selon leurs couleurs comme c’est souvent le cas dans le domaine de la bière », précise Fabienne Delorme. C’est ainsi que sont nées plusieurs familles de boissons aux noms évocateurs. Pour apaiser une grande soif, les bières de désaltération appelées aussi les Mange-Soif, déclinées en blonde et blanche, sont à l’honneur. En soirée ou lors d’un apéritif, les bières de convivialité appelées les Songe-Fête, avec des notes aromatiques marquées, sont idéales. Les bières de dégustation nommées Chante-Saveurs, des brunes, légères, sans sucre ajoutée, aux notes aromatiques de café et de caramel, font le bonheur des épicuriens. L’enseigne brasse également une deuxième bière de dégustation de 7° lancée à l’occasion de son 7e anniversaire, qui est d’inspiration abbaye. ...
L’exploitation familiale se trouve à Meurville. Ici, Yoan Tapprest élabore des champagnes de vigneron, connus pour être parmi les plus représentatifs, cisélés et avec un caractère plus ancré. Mené en viticulture raisonnée, le domaine s’inscrit dans une démarche de qualité et de respect de la biodiversité. Des champagnes au style traditionnel Notre vigneron a opté pour la fermentation malolactique. « Cela adoucit les vins, en diminuant l’acidité et en leur conférant des arômes beurrés », affirme-t-il. Après une vinification en cuve, une partie des vins est élevée en fûts durant 12 à 18 mois, selon les caractéristiques des vins pour élaborer les assemblages propres au domaine. ...
La maison Mumm est l’héritage de l’aventure viticole commencée au début du XIXe siècle. C’est sous la présidence de Georges Hermann Mumm que sera créé, en 1876, le champagne Mumm Cordon Rouge, en hommage à la Légion d’honneur. Il est devenu le symbole de la maison. Il est connu dans le monde entier, aux États-Unis, où la maison a été leader jusque dans les années 80, en Australie, en Chine, en Russie ou au Brésil. Depuis la fin du XIXe siècle, le champagne Mumm est devenu le fournisseur de la cour royale d’Angleterre. Aujourd’hui, les vignobles de la maison Mumm s’étendent sur 218 hectares, dont 160 classés en grands crus. Quant au pinot noir, il en occupe 170 hectares. Un savoir-faire associant tradition et innovation Après une cueillette à la main, le raisin est pressuré à proximité, dans les sept centres dédiés, pour garantir l’excellence du vin. Cépage par cépage, le jus de raisin ainsi obtenu est mis dans des cuves en inox pour une première fermentation. La seconde fermentation permettra de réduire l’acidité du vin. Après avoir été clarifiés, les vins sont assemblés par le chef de caves, Didier Mariotti, puis mis en bouteille. Ils vont ensuite commencer une longue période de vieillissement en cave (entre deux ans et demi et sept ans), pour une parfaite maturation. Les flacons les plus précieux sont encore remués à la main. Un savoir-faire conforme à la méthode champenoise. Après ajout d’une liqueur de dosage, les bouteilles sont bouchées définitivement. Elles vont encore reposer entre trois et neuf mois, avant de s’offrir à vos papilles. Découvrir l’univers de la maison Mumm Pour découvrir l’univers du champagne Mumm, plusieurs expériences vous sont proposées. Si vous choisissez l’expérience Mumm Cordon Rouge à 20 €, vous découvrirez tout d’abord les caves voûtées mises en valeur par de subtils jeux de lumière, accompagné d’un guide. Vous serez surpris par ce long couloir appelé « Champs-Élysées ». Vous pourrez contempler les bouteilles qui y sont conservées, mais aussi apprendre les différentes étapes de l’élaboration du champagne. Puis, après avoir fait une halte au musée du champagne Mumm, vous serez invité à déguster deux champagnes de la maison, Mumm Cordon Rouge et Mumm demi-sec. Si vous optez pour l’Expérience en noirs & blancs à 39 €, vous aurez aussi l’occasion de vous plonger dans l’ambiance particulière des caves, suivie d’une dégustation de Mumm Blanc de Blancs, élaboré exclusivement à partir de chardonnay, et de Mumm Blanc de Noirs, un pur pinot noir. Vous pourrez ainsi apprendre à les différencier en les regardant, en les sentant et en les goûtant. Vous préférerez la « Mumm Cocktail Party » à 45 €, une expérience spécifiquement dédiée aux cocktails à base de Mumm Cordon Rouge ? Sous vos yeux, un barman vous concoctera des cocktails où se marient à merveille les arômes du champagne avec ceux de spiritueux, de fruits frais ou d’épices. Une dégustation unique à partager entre amis tous les jeudis soir de 18 h à 20 h. Dans tous les cas, les mineurs doivent obligatoirement être accompagnés, et une boisson sans alcool leur sera servie. ...
Dans un décor inspiré des plus beaux palais marocains, le restaurant baigne dans une ambiance conviviale et envoutante avec, à la clé, un généreux mélange d’épices et de parfums d’Orient. Tout, au Palais Bahia, donne la nette impression d’entrer dans un palais des Mille et Une Nuits, sans parler de la cuisine tout à fait à l’image du Maroc, qui est tout autant gouteuse que copieuse ! Une cuisine authentique Succulents tajines, différents couscous et savoureuses grillades rivalisent de concert pour émerveiller les papilles, dans un bel alliage de raffinement et d’authenticité. Préparée à toutes les sauces, chaque spécialité est une véritable découverte qui se décline en plusieurs variétés. Belle découverte en plein cœur de Nantes, Le Palais Bahia dispose d’un large choix de menus. Le menu Midi Express à 10 € (sauf les weekends et jours fériés) vous donne le choix entre un couscous (poulet, agneau, merguez ou boulettes) et un tajine fassi (poulet citron confit ou agneau haricots verts) suivi d’un thé ou d’un café. Le menu Aladin à 36 € est composé d’un cocktail Aladin, d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal (agneau cuit à l’étouffée ou poulet, pruneaux, dattes et miel) avec un dessert au choix, thé ou café. Le menu Maison à 30 €, quant à lui, est composé d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal, d’un dessert au choix et d'un thé ou d'un café. Un menu Enfant à 8 €, composé d’une couscoussette à la viande et d’une boule de glace, est également proposé par le restaurant, ainsi qu’un menu Étudiant à 16 € comportant un cocktail maison, un couscous à la viande et un thé. ...
Déguster un champagne haut de gamme ou un bordeaux en profitant d’une expérience unique en son genre : telle est la vision oenotouristique de la maison Michel Gonet. Une maison de champagne familiale aimant partager son savoir Créée en 1973, la maison de champagne Michel Gonet n’a, à la base, qu’un seul objectif : celui de concevoir des vins avec une véritable personnalité et respectueux de l’environnement. En s’appuyant sur 5 terroirs (Avize, le Mesnil-sur-Oger, Vindey, Montgueux et Fravaux), le domaine s’agrandit jusqu’à atteindre 38 hectares quelques années plus tard. Puis, c’est au tour des 3 enfants de Michel Gonet (Sophie, Frédéric et Charles-Henri), de reprendre les rênes des propriétés (en Champagne et à Bordeaux) avec toujours cette même vision, chère à la famille Michel Gonet : celle de concevoir des vins haut de gamme et de partager cette véritable passion du terroir. L’oenotourisme : une activité poussée par Sophie Gonet Originaire de la Côte des Blancs, la famille Michel Gonet aime partager autant sa connaissance précise du territoire que de ses produits. D’ailleurs, Sophie Gonet explique qu’elle adore raconter l’histoire passionnante de la Champagne et du champagne à ses invités. Pour ce faire, des chambres d’hôtes ont été ouvertes à Épernay (au sein de la célèbre avenue de Champagne) et dans les environs. À chaque fois, l’objectif est le même : faire vivre un moment unique et convivial à chaque touriste en proposant une approche différente centrée sur le côté culturel. En oenotourisme comme en vin, on remarque chez la famille Michel Gonet une réelle volonté d’associer le chic avec la simplicité et la convivialité. ...
Situé à 1,5 kilomètre d’un tronçon de la Loire classé « Patrimoine Mondial de l’Unesco », et à quelques minutes seulement du centre-ville d’Angers, le restaurant Les Bateliers est un établissement proposant une cuisine traditionnelle revisitée. Cuisine orchestrée par le chef Dominique Lepage, également un des deux propriétaires des lieux avec Didier Salmon. Ceux-ci tiennent le restaurant depuis 11 ans, et bénéficient d’une situation idéale entre vignobles et lieux touristiques. Cuisine du terroir, cuisine régionale L’établissement met tout d’abord en avant une cuisine traditionnelle basée sur les produits de saison. Et donc, la carte change chaque mois, et le produit le plus en vue est toujours mis en valeur dans les plats. Plus récemment, était à l’honneur un produit phare, l’asperge. La carte valorise la fraîcheur des produits des pays de la Loire. Aux fourneaux, Dominique et son équipe élaborent de jolis dressages en assiette, et des plats toujours variés. Celui-ci a été chef de partie dans de belles tables parisiennes, puis second de cuisine à l’Auberge d’Eventard, qui est l’un des plus grands restaurants gastronomiques de la région de la Loire. Par la suite, il s’est associé avec Didier Salmon pour créer le restaurant Les Bateliers. A la carte, des entrées signatures à l’instar du foie gras poêlé au citron confit, coppa grillée et pommes de terre nouvelles au lard. Autre entrée, le trio de tomates grappe pelées à vif et sa farce fine à la chair de tourteau et mesclun, coulis de tomates mentholé à l’huile d’Argan. Comme plat principal, pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, et en dessert, mille-feuille craquant sauce framboise ou glace au lait d’amande. C’est une cuisine généreuse et pleine de saveurs à laquelle toute l’équipe en cuisine participe, pour mettre au rang de vedette les produits de la région, mais aussi le terroir du Pays de la Loire. Une carte des vins raffinée Le restaurant propose une carte des vins étoffée, raffinée, et conférant des accords mets-vins des plus subtils. L’établissement étant tout d’abord situé sur la route des vignobles et au cœur de celui d’Angevin, il met en avant de belles bouteilles de propriétés de la région, se mariant admirablement aux plats orchestrés en cuisine. Pour les entrées à base de poissons, elles sont servies avec un Coteaux-de-l’Aubance. C’est un vin à la robe intense jaune or et reflets verts, dénotant des senteurs florales de fruits à chair blanches, dissimulant un équilibre par sa richesse gourmande et sa fraîcheur prononcée en bouche. Egalement indiqué pour les foies gras poêlés ou en terrine, la cuisine exotique et les charcuteries fines, cet AOC de la région de la Loire est une bouteille au mono-cépage Chenin. Le Saumur-Champigny est, lui, bien indiqué pour les entrées. Ce vin à la robe rouge grenat et lumineuse, dégage des senteurs épicées de fruits rouges et fleurs. Riche et corpulent sur la longueur en bouche, il finit avec un équilibre et une douce fraîcheur embaumant le palais. En accompagnement de la pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, un Château de Principe, qui permet de souligner la tendance gibier de la viande domestique. Le dessert mille-feuille craquant, sauce framboise, peut être servi avec tout vin effervescent à bulle de la Loire. Idéalement, un Saumur, vin rouge à la robe lumineuse couleur rouge rubis, doté d’un nez fin et léger accompagné de fruits, violettes et iris. Souple en bouche et parfois dense, ce vin est composé des cépages Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, et Pineau d’Aunis. ...
Idéalement situé au bord de l’Yonne et niché dans un petit village paisible, l’établissement dégage un charme intemporel. À l’intérieur, le mélange du style champêtre et moderne intrigue, et les tableaux des artistes peintres locaux qui viennent orner le mur blanc captivent toutes les attentions. Dans cet endroit chaleureux, Laure et David accueillent les clients, habitués ou simplement de passage sur l’autoroute, et les invitent à passer un moment convivial autour d’une bonne table. Privatisable, l’endroit se prête à divers événements familiaux ou non tels baptêmes ou anniversaires avec une capacité d’accueil de cinquante personnes en restauration traditionnelle. En revanche, lors des soirées à thèmes comme la « fête de la musique » ou « Garçon la note », qui est un événement en partenariat avec l’Office du tourisme de l’auxerrois, cette capacité s’étend à une centaine de personnes, étant donné que les festivités ont lieu à l'extérieur. Les spécialités maison Laure, chef en cuisine, n’y est pas allée par quatre chemins dans la création de sa carte. Celle-ci est succincte mais l’excellence de la cuisine bourguignonne y est bel et bien au rendez-vous. Laure sait initier ses clients à de belles découvertes culinaires en mettant en scène et sans jamais les dénaturer les produits de saison frais, issus des producteurs locaux. « Nous varions régulièrement les assiettes, mais nous restons toujours sur les produits et les recettes du terroir », fait-elle savoir. Notre passionnée appose sa signature dès l’entrée, en proposant les fameux escargots avec une sauce chaource, la salade accompagnée de croustillants de pieds de cochon, ou encore le foie gras maison sur toast. Pour les plats, les clients ont le choix entre un classique à l’instar de l’entrecôte et ses frites maison, ou une suggestion plus originale qui ne déroge pas au style traditionnel de la maison comme l’andouillette façon « grand-mère ». À noter que la carte suggère toujours un plat à base de poisson en sauce selon l’arrivage et un plat de viande rouge. Côté dessert, le vacherin à la framboise est un incontournable. C'est un sorbet framboise accompagné de meringue, chantilly et coulis de fruits rouges, le tout servi dans un bocal. Voilà un dessert qui clôture cette expérience gustative sur une note bien gourmande. Au plus près de la région Locavore dans l’âme, le couple a sélectionné le meilleur des vins bourguignons et icaunais pour accompagner les plats. Chablis « Vieilles Vignes » et chablis 1er cru « Côte de Léchets », les emblématiques de la région se distinguent parmi la liste. « Nous avons également le bourgogne Irancy du Domaine Cantin», souligne David. Pour les vins blancs locaux, le restaurant travaille avec d'autres domaines tels que Daniel-Etienne Defaix, Race, Giraudon, et Les Coeuriots. En vins rouges, il se fournit auprès des domaines Cantin, Giraudon, Gabrielle et Martin. Concernant les rosés, les fournisseurs attitrés sont les domaines Vignot et Giraudon. Le champagne quant à lui vient du domaine Roland Champion. Aussi, pour s’approvisionner, les fournisseurs locaux sont privilégiés à l’instar de la fabrique d'escargots située à Bassou 89400. ...
Le Château Ferrasse : une appellation AOC Castillon-Côtes de Bordeaux L’AOC Castillon-Côtes de Bordeaux, c’est environ 250 viticulteurs et 2 300 hectares de vignobles répartis sur 9 communes. Le vignoble est un assemblage de 70 % Merlot, 20 % Cabernet-franc et 10 % Cabernet-Sauvignon qui bénéficie d’un climat tempéré à caractère doux et humide. Les exploitations se trouvent sur des sols sablo-graveleux, sablo-argileux et argilo-calcaires. Les vignerons respectent la nature et préservent la biodiversité. D’ailleurs, le quart d’entre eux a opté pour l’agriculture bio ou biodynamique. Le château Ferrasse, une histoire émouvante Le château Ferrasse est une exploitation familiale qui existe depuis quatre générations. Son histoire commence en 1951 lorsque Emile Massarin, l’arrière-grand-père de Laurent Massarin, l’actuel gérant, achète un vignoble de dix hectares dans la périphérie de Castillon-la-Bataille. En 1957, Séverin Massarin poursuit dans le même élan que son père Emile en achetant dix autres hectares à Saint Genès de Castillon. Son fils Francis prend le relais en 1989, modernise l’exploitation et étend sa superficie 32 hectares. Laurent Massarin gère le domaine depuis 2006. Il est empli de courage, d’abnégation et gagné par le goût du travail bien fait. Titulaire d’un Bac agro-alimentaire, il a aussi fait des études œnologiques en France et à l’étranger. Le Château Ferrasse, un vin authentique Le vignoble est constitué de deux parties distinctes : la première se trouve dans la périphérie de la commune de Castillon-la-Bataille sur des sols bruns argilo-calcaires et sablo-argileux. La seconde se trouve sur du calcaire, dans la banlieue de Saint-Genès-de-Castillon. Le Château Ferrasse est un vignoble encépagé de 80 % de Merlot, de 10 % de Cabernet et de 10 % de Cabernet franc Sauvignon. Le technicien viticole Laurent Massarin ne se contente pas seulement de ses connaissances, il se fait aider par une équipe technique. « On respecte au maximum la nature, la Chambre d’Agriculture de la Gironde nous suit, on essaie d’allier la tradition à la modernité », nous explique-t-il. Le Château Ferrasse Cuvée des Moulins Castillon Côtes de Bordeaux, le Château Ferrasse Castillon Côtes de Bordeaux, la Fleur de Ferrasse Vin de France et le Château Terre Blanche sont les vins du domaine. Château Ferrasse, un vin corsé C’est le produit phare du domaine. Sa macération dure 5 à 6 semaines et son élevage se fait de façon traditionnelle pendant 18 mois dans des cuves inox. Sombre, il charme par sa robe limpide. Au nez, il est complexe avec des notes de fruits rouges. Corsé en bouche, il a aussi une bonne teneur en tanins et une bonne longueur aromatique. On peut le boire jeune, mais il est plus apprécié quand il vieillit. On doit l’ouvrir deux heures avant de le déguster pour qu’il se libère de ses arômes. C’est un vin idéal pour les soirées festives. « On peut le consommer avec des grillades, de la charcuterie et des fromages », nous conseille Laurent Massarin. La Cuvée des Moulins Castillon Côtes de Bordeaux, un vin riche en tanin Son élevage se fait pendant 12 mois en fut de chêne. A l’œil, il a une belle robe brillante et profonde. Au nez, on sent ses notes fruitées, épicées et vanillées. En bouche, il est ample, riche en tanins, bien équilibré et a des notes épicées. Il s’accorde parfaitement avec la charcuterie, toutes les viandes et les fromages. Un domaine ouvert à l’oenotourisme Le vignoble est ouvert aux visites les jeudis, vendredis et samedis. Laurent Massarin guide lui-même les visiteurs, il leur offre une dégustation de ses produits et leur explique tout le travail du vin. Tous les premiers dimanches de juin, M. Massarin organise une journée portes ouvertes durant laquelle il permet aux invités de déguster tous ses vins et de partager un repas. A cet effet, des exposants et artisans viennent pour proposer leurs produits. ...
La Bifurcation est un établissement à la table gourmande où on aime partager une cuisine savoureuse et haute en couleur que ce soit en famille, en amoureux ou entre amis. Proposant la fraîcheur de sa terrasse ombragée sous les bambous lorsque la météo le permet, l’établissement fait partie des bonnes adresses à découvrir et à recommander à Bagnolet. Beau mélange de culture Dans une ambiance chaleureuse, sublimée par l’espace avenant d’une salle particulièrement confortable et accueillante, banquettes, tables de bistrot en bois et chaises rétro complètent le décor et n’attendent plus que vous ! Vous embarquant dans un voyage passionnant où tout n’est que plaisir et découverte, le Chef Youssouf Sokhna se plaît à entretenir la magie d’une cuisine semi-gastronomique inventive et généreuse où la rencontre des cultures est une parfaite réussite. Laissez-vous surprendre par d’insolites associations de couleurs et de saveurs où l’authenticité et la créativité sont à l’honneur… des saveurs que vous ne trouverez nulle part ailleurs ! Foie gras poêlé à l’arachide, cabillaud à l’hibiscus, carré d’agneau aux bananes plantain ou île flottante au baobab sont autant de délices à savourer. Réalisé à la minute, chaque plat est un chef-d’œuvre plus qu’une simple découverte, avec ses formes et ses arômes. Le restaurant n’utilise que des produits frais et de saison sélectionnés avec soin et tient à cœur la relation de confiance qu’il entretient durablement avec ses fournisseurs afin d’assurer à la clientèle, une cuisine de qualité, élaborée avec passion. ...
C’est dans un cadre contemporain et convivial que La Cafetière Fêlée présente sa carte enrichie d’une grande variété de plats typiques des deux mondes. Des vins venus des quatre coins de la planète, soigneusement sélectionnés pour agrémenter chaque assiette, figurent parmi les suggestions de la maison. Un chef passionné au long parcours Découvrant sa passion pour la cuisine grâce à une mère et une grand-mère toujours aux fourneaux, Julien Fiengo se fait admettre à l’école professionnelle Escoffier à cagnes sur mer en 1998 afin d’en maitriser les subtilités. A l’issu de sa formation, il entame sa carrière aux Héspérides de Lérins à golfe Juan où il débute en tant que commis de cuisine. Il trouve ensuite une place de chef de partie au restaurant Les Pêcheurs à Juan les pins. Puis, l’hôtel Belles Rives à Juan-les-Pins l’engage en tant que chef de partie pour son restaurant La Passagère. Avant de monter sa propre affaire, Julien continue sa carrière professionnelle à titre de chef de cuisine dans le restaurant Le Barbarella à Cannes. Ouvrant les portes de La Cafetière Fêlée en 2008, ce personnage passionné se voit attribuer le titre de Maitre Restaurateur, une plaque dorée qui appuiera la renommée de son établissement sur toute la Côte-d’Azur. Le menu : une harmonie entre tradition et exotisme Afin que ses « plats-fusions » préservent toute leur authenticité, Julien s’approvisionne essentiellement auprès de producteurs locaux. Ce concept de circuit court favorise la sélection de produits exclusivement frais et de saison utilisés pour concevoir une cuisine et des plats de qualité. En entrée, la carte propose le Sashimi de saumon mi-cuit au sel et gingembre/mousse wasabi et caramel de miel-soja. En plat de résistance, on se laisse facilement tenter par le Magret de canard au foie gras et gratiné à la pistache accompagné d’une sauce mangues passion et polenta crémeuse cremeuse à la figue. La maison a aussi bâti sa réputation en se spécialisant dans les wok à la thaï, un plat traditionnel particulièrement apprécié en Thaïlande composé généralement de nouilles de riz sautées au wok, de tofu, d’œufs, de légumes, de graines germées, de crevettes et de sauce au poisson. A la Cafetière fêlée, ce plat emblématique est revisité dans sa composition traditionnelle et servi avec du Magret laqué au miel et moutarde à l'ancienne ou encore des crevettes au lait de coco et Panang. Côté dessert, le Fondant au chocolat noir au cœur coulant de Toblerone se révèle en bouche par ses saveurs d'une finesse et d'une gourmandise sans nom. En parfaite synergie avec les plats, la carte des vins reste éclectique pour correspondre aux goûts de chacun. ...
Légèrement situé en retrait, l’établissement est implanté à Morzine (Haute-Savoie), entre la mairie et l’église. Baignant dans une atmosphère familiale particulièrement agréable, l’enseigne est une belle adresse gourmande à découvrir et qui réserve son lot de surprises, à commencer par l’ambiance. Lumière tamisée, décor intimiste, ambiance cosy… Les Vents d’Anges affichent un décor hors des sentiers battus, couplé à un service plutôt décontracté. Ici, le temps semble suspendu… On prend le temps de se poser, de s’imprégner du lieu et de savourer la bonne cuisine inventive, inspirée de belles associations. Des plats savoureux À la carte, de nombreuses suggestions gourmandes qui changent au gré des saisons. Parmi les plats phares qui ont séduit la clientèle s’inscrivent le Risotto à la crème de truffe, jambon blanc et pecorino truffé, les Noix de saint Jacques panées aux sarrasin torréfié ,andouille de guémené et émulsion de vert de poireaux ou le Crémeux au chocolat Li Chu et curcuma pour la note de douceur. Les produits classiques et originaux se mêlent et s’entremêlent pour former un bouquet de saveurs et d’arômes pas comme les autres. La carte des vins Aux Vents d'Ange, le tandem Elise-Laurent fonctionne à merveille. Monsieur s'occupe des fourneaux tandis que Madame s'affaire à acceuillir les clients mais pas seulement. Grande spécialiste de vins, Elise Camilleri se confie : « nous avons une belle carte de vins qu'on essaie d'enrichir grâce au travail des petits producteurs ». La particularité du restaurant est qu'il propose un vaste choix de vins au verre, au quart ou au demi-litre, selon les envies des clients. Quelques grandes appelations sont disponibles « complétées avec des petites trouvailles que je sélectionne moi-même" continue-t-elle. ...
C’est à Reims, dans la commune de Verzenay de la région Marne, que se trouve « La Mouzonnerie », une exploitation familiale de trois hectares dédiée à la viticulture. Aux manettes de cette exploitation, Cédric et Frédérique Lahémade forment un maillon solide, assurant toutes les étapes de la production, allant de la vigne à la commercialisation. Épaulée par son mari, Frédérique Lahémade, fille de Jean-Claude Mouzon, puise dans les formules héritées de ses ascendants pour diversifier les cuvées issues des trois cépages réglementaires champenois, à savoir le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay. Une diversification distinctive de ses cuvées Pour Cédric Lahémade, l’important est de retrouver une large palette de goûts dans ses vins. « Mon idée est de faire différents champagnes avec toutes sortes d’assemblages, pour avoir un maximum de palais qui puissent se retrouver dans notre marque », confie-t-il. La maison possède aujourd’hui une gamme qui s’étend sur sept champagnes aux compositions variées. Parmi ses cuvées, « Les Déliés » symbolisent l’esprit de la maison. Une collection de millésimes d’un unique cépage, élevés en fûts de chêne et classés grand cru. Ces bijoux œnologiques ont la particularité d’être non dosés et d’être présentés avec un ficelage à l’ancienne. En 100 % chardonnay ou 100 % pinot noir, ils sont complexes et puissants, et accompagnent tous vos moments de vie. La maison Jean-Claude Mouzon, ouverte à l’œnotourisme À Verzenay, le vignoble Jean-Claude Mouzon attire les regards et appelle à la découverte. Les Lahémade organisent sur place des visites de l’exploitation, avec une explication pédagogique des procédés de fabrication de leur champagne, ainsi que de la politique environnementale appliquée sur le domaine. Ces échanges seront l’occasion d’apprécier le savoir-faire de la maison et de s’imprégner de la passion animant ces viticulteurs. ...
Dans les Vosges, le Haut Jardin accueille ses hôtes dans un cadre intimiste, avec des chalets équipés de spas privés et le service très haut de gamme d’un Logis d’exception. À très courte distance de Gérardmer, l’adresse convie à une expérience singulière de la détente et du bien-être. Son restaurant accueille les gourmets pour leur révéler une gastronomie du terroir déclinée dans la vision combinée de deux générations de chef. Une cuisine inspirée par les pépites des montagnes Des produits sélectionnés dans les fermes du voisinage et le jardin du domaine, assortis des plantes et des fleurs comestibles des montagnes des Vosges. C’est dans ce répertoire rendant hommage au terroir que la cuisine servie à la table du Haut Jardin puise son inspiration. À la tête des fourneaux, deux chefs maîtres restaurateurs (les Masson, père et fils) qui partagent leur passion de la bonne chère en toute convivialité. C’est ainsi qu’en entrée, les bourgeons de sapin des Vosges viennent embaumer la truite crue salée. Le carré d’agneau est également exquis, savoureusement rehaussé par la croûte d’ail des ours qui l’enveloppe. Les inconditionnels de douceur résisteront peu au « Chaud-froid de mirabelles flambé à la mirabelle ». Pour arroser le tout, la carte des vins de la maison déploie quelque 350 références, notamment issues de la Lorraine. En apéritifs, ne pas hésiter à essayer les petits crus vosgiens distillés à partir de plantes comme le pissenlit, le sureau ou la rhubarbe. ...
Le Cerf se plaît à surprendre ses convives à travers une cuisine qui allie parfaitement excellence, innovation et créativité. Un cadre enchanteur Entraînant ses hôtes dans un voyage intemporel, le restaurant du Cerf a choisi comme cadre une charmante bâtisse du Moyen Âge. Ici, les invités dégustent une cuisine d’exception dans une ambiance cosy avec un style soigné et créatif, le tout conservant une certaine sobriété. Bien visibles, des arches et piliers en pierre signent l’originalité et l’authenticité du lieu. Bref, un endroit idéal pour passer un moment agréable en famille, entre amis ou collègues. Une cuisine évolutive toujours au plus proche du produit. En cuisine, le chef Carlo Crisci, doublement étoilé au Michelin, accorde beaucoup d’importance au respect du produit et de ses origines. « L’inspiration vient du produit essentiellement », souligne-t-il au passage. Dans ses créations, le chef s’adapte ainsi en fonction des saisons. Résultat, les convives se retrouvent avec quatre menus au choix : surprises, fixe 4 entrées, prestige et gastro-business. Avec la promesse de pouvoir découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs, les menus surprises connaissent un large succès auprès des habitués. « Nous sommes en constante évolution. Nos clients n’ont ainsi pas l’impression de manger à chaque fois la même chose. Ils viennent justement pour cela, la découverte », explique le chef. Ainsi, le mardi, mercredi et jeudi, Carlo Crisci propose aux plus audacieux le menu surprise 2 entrées, accompagné de ses 5 crus au verre. Pour les moins téméraires, le chef leur suggère d’opter pour le menu prestige en dégustant par exemple une frivolité de turbot à la moelle, beurre fumé et émulsion d’oursins. Et pourquoi pas le menu fixe 4 entrées avec un filet de rouget rôti en écailles de taro matelote aux flaveurs de carvi. ...
Monsieur « Pipo » de son surnom fonde le restaurant « Chez Pipo » réputé pour sa socca en 1923. Dans ce restaurant ce plat a su traverser les époques tout en conservant l’authenticité du produit et du lieu. Dans la vieille rue Bavastro, la recette phare niçoise continue d'émerveiller les locaux ainsi que les touristes qui ne ratent pas l'occasion de faire une halte dans ce restaurant historique lors de leur passage sur la Côte d'Azur. Et oui, la région n'est pas simplement synonyme de plage et bord de mer, elle renferme aussi un patrimoine culinaire riche en saveurs. La socca, une recette traditionnelle niçoise La socca devient une spécialité niçoise dans les années 1900 lorsqu’elle est popularisée par les marchands ambulants qui la préparent sur place à un prix modeste. C'est une galette préparée à base de farine de pois chiche qui provient du moulin d'Annot, d’eau et d’huile d’olive, dorée au four à bois. Bruno Wagner et Yann Sicé, les préparateurs de la socca Chez Pipo, veillent à ce qu'elle soit fine, croustillante à l'extérieur et moelleuse à l'intérieur. Pour la savourer au mieux, elle se saupoudre de poivre. La socca était l'unique produit du restaurant jusqu'en 1990 et continue d'en être le plat principal actuellement. Elle est généralement servie avec une salade de mesclun. Outre ce met mythique, le restaurant propose en entrée des tartinades, mini pan bagnats, ou la fameuse pissaladière (pâte à pain avec oignon caramélisé). Et dans la gamme des desserts maison, la tarte au citron meringuée, le tiramisu ou bien la tourte aux blettes émoustille les papilles. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent en toute convivialité dans un esprit de partage. Côté vins, le restaurant dispose d'une cuvée spéciale de la maison, d'ailleurs étiquetée « Chez Pipo », un Côtes de Provence du domaine Château Rêva décliné sur les trois couleurs. Décor respectueux de l'esprit de la socca Prêt à accueillir une centaine de personnes, le restaurant se décline en deux espaces : une salle intérieure et une terrasse. A l'intérieur, les tables et les tabourets sont en bois. Des photos et images de Nice à la belle époque habillent les murs et replongent les convives dans une autre époque. La cuisine est au cœur du restaurant. Elle est ouverte, avec une verrière qui donne sur la salle. La préparation même de la socca s'exécute dans un four de 300 ans taillé avec des pierres de Biot. Ce n'est autre qu’un des plus vieux fours de la ville créé au moment de la construction de l'immeuble dans lequel se trouve le restaurant. Comme il trône majestueusement au cœur de la salle, le client assiste à toute la préparation jusqu'à la cuisson, un procédé artisanal et ancestral. Et sur la terrasse, les tables en fer jouent sur les teintes grises et s’accompagnent de chaises en bois. Une Vespa avec le logo de Chez Pipo y est visible. Et une combi Volkswagen fait office de terrasse mobile pour le bistrot. Ce cadre atypique au style vintage façonne l’identité des lieux. ...
Redécouvrir le fameux colin d’Alaska Quand on pense au colin d’Alaska, viennent vite à l’esprit les souvenirs de ces petits bâtonnets servis dans toutes les cantines de France, souvent accompagnés de légumes vapeur ou de frites. Panés et ensuite frits, ils ont fait le bonheur et remplissent les ventres de plusieurs générations de têtes blondes. Cette espèce emblématique de la région est pêchée dans les eaux limpides du Pacifique nord, bien au large, loin de toute activité humaine. C’est dans cette vaste étendue d’océan sauvage, l'une des zones les plus propres et les plus préservées du monde, que des hommes et des femmes bravent les éléments afin de remonter dans leurs filets ce poisson noble et délicieux. Fileté et surgelé immédiatement après sa capture, le colin d’Alaska conserve ainsi cette saveur douce si particulière, et surtout ses vitamines et ses minéraux tout au long de son voyage jusqu’à l’assiette du consommateur. On le retrouve alors prêt à l’emploi dans les rayons surgelés de l’hexagone et servi sur les meilleures tables des plus grands restaurants. Accompagné d’une sauce à l’oseille, avec un zeste de citron, en papillote, ou simplement passé quelques minutes au four, il existe une infinité de façons de redécouvrir ce poisson tout en se faisant plaisir. Des pêcheries durables pour garder une nature intacte et sauvage L’engagement de l’Alaska pour une pêche durable est inscrit dans les gènes de cet État du nord des États-Unis depuis des décennies. Ce modèle de gestion des ressources de poissons sauvages est même gravé dans le texte de la Constitution de l’État depuis 1959. La durabilité porte également sur des aspects sociaux et économiques et est citée en exemple partout dans le monde. L’Alaska est ainsi le porte-étendard d’une pêche responsable, soucieuse d’assurer aux générations futures d’importantes réserves de poissons sauvages et de qualité supérieure. Pour y parvenir, les autorités mesurent chaque année les niveaux des stocks des différentes espèces de poissons et fixent des limites de capture qui ne mettent pas en péril ces ressources naturelles. Cette politique assure ainsi la pérennité des stocks au fil des ans et garantit des revenus durables aux communautés locales qui sont souvent engagées dans les activités de pêche depuis plusieurs générations. Une nourriture saine Le programme national nutrition santé, ou PNNS, recommande de manger du poisson au moins deux fois par semaine, en variant les espèces. Mais attention, toutes les espèces de poissons ne se valent pas. Les qualités gustatives et nutritionnelles du produit final vont dépendre, non seulement de l’espèce, mais aussi de l’environnement dans lequel elle évolue. Dans les eaux de l’Alaska, pures et cristallines, les poissons trouvent toutes les conditions pour se développer à un rythme lent, leur permettant de produire des protéines de qualité supérieure et des graisses riches en oméga 3. Manger régulièrement du poisson d’Alaska est l’assurance d’une alimentation riche et saine, respectueuse des Hommes et de l’environnement. ...
À travers des produits de qualité qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs, Made in France Box reflète, dans les moindres détails, toute l’authenticité de la cuisine française. Ce concept innovant a vite fait de faire parler de lui avec, comme principe, de dénicher à la source le meilleur du terroir et le faire découvrir au plus grand nombre. Le meilleur du terroir livré chez vous Présentée dans un package de carton luisant, simple à offrir et peu encombrant, une box contient huit variétés de produits d’une région qui peuvent varier selon la disponibilité. Le pack renferme, notamment, un livret justifiant du choix de la sélection avec une présentation de chaque produit et l’histoire de chaque producteur ainsi que des idées de recettes exclusives. Parmi les box les plus prisées, figurent les box à fort terroir, comme le confit d’oignon rose au miel et chouchen de la box Bretagne ou aussi le caramel de pommes dieppois au beurre salé de Jean-Pierre Roussel, qui est l'un des produits de la box Normandie. Un mois, une région Made in France Box porte haut le flambeau de la cuisine française et permet de découvrir et de retrouver des saveurs longtemps oubliées qui mettent chaque mois l’accent sur une région différente. Recevoir régulièrement chez soi d’authentiques produits du terroir n’est pas un luxe réservé à une clientèle restreinte. Aujourd’hui, chacun a la possibilité d’accéder au produit à peu près partout dans le monde. Grâce à un simple abonnement sur le site, la France vient à vous le plus simplement du monde, dans votre boîte aux lettres comme une lettre à la poste. ...