L’histoire commence en 1927, lorsque le domaine de Boursault, ancienne propriété de Madame Veuve Cliquot, est repris par un aïeul de Charlotte Le Gallais, en la personne d’Hachod Fringhian. Ce bel endroit, situé à quelques kilomètres d’Épernay, révèle un excellent potentiel dans l’élaboration des Champagnes. Ses pierres calcaires aux propriétés filtrantes associées à la fraîcheur de l’argile contribuent à l’équilibre du terroir, nécessaire dans la fabrication de vins fins et élégants. Des caractéristiques qu’Hervé Le Gallais et sa fille Charlotte entendent préserver, mais aussi partager. Entre qualité et respect de l’environnement S’étendant sur quatre hectares, le vignoble est planté de 45 % de Pinot Meunier, 45 % de Pinot Noir et 10 % de Chardonnay. Le domaine Le Gallais est l’un des rares en Champagne à posséder un clos. « Il n’en existe qu’une vingtaine sur les 320 villages d’appellation », précise Marine Zabarino, Wine Tourism Manager. Cette particularité permet d’être au plus près des installations et facilite tout le processus. « Être installé dans un clos nous assure une grande fraîcheur de nos raisins au moment du pressurage. Les vendanges en Champagne se font obligatoirement à la main, et ici le vignoble est suivi à la parcelle afin de mieux gérer la maturité des raisins. » Entretenir la qualité de ce terroir constitue la ligne de conduite de la maison Le Gallais, d’où l’adoption d’un mode de culture raisonnée avec une demande de certification courant 2018 en label HVE (Haute Valeur Environnementale). Depuis 1991, les insecticides ont été bannis du vignoble, et la biodiversité est très présente au sein de ce clos arboré et fleuri. Les sols sont qu’en à eux travaillés mécaniquement, sans aucune utilisation d’herbicides. Une cuvée, une histoire… Le domaine produit cinq cuvées qui ont leur propre identité, « long vieillement et très peu de dosage en sucre ». Le Rosé des Poètes, qui est un rosé de saignée brut, fait la fierté de l’entreprise. Cette technique de production de rosé en Champagne est de plus en plus rare. La couleur naturelle s’obtient par macération des raisins noirs dans le jus. Composé de Pinot Noir et de Pinot Meunier, ce vin révèle une robe intense avec des reflets ambrés, et un nez fruité et profond. Du côté des millésimes, si la législation en Champagne impose trois années de repos minimum en cave, la maison Le Gallais n’offre que des millésimes ayant reposé neuf à dix années. Cette technique laisse le temps aux vins d’évoluer profondément. Selon Marine Zabarino, « cet élevage est certes long, mais il apporte un grand développement des arômes pour des vins à la fois complexes, structurés et raffinés. Patience et passion sont les maîtres-mots de la maison. » ...
Château Maris a été fondé en 1997. Depuis, la maison a convertie des vignobles qui avaient été cultivés en utilisant des pratiques traditionnelles en vignobles biologiques et biodynamiques. Elle fait honneur au terroir Minervois la Livinière. Des techniques atypiques Pour vinifier, la maison se sert de cuves et d’œufs (cuves ovoïdes) en béton. L’utilisation de ces matériels contribue énormément à la qualité du vin et permet l’élaboration de cuvées d’exception comme « La Touge », un assemblage de syrah, de grenache et de carignan très expressif, avec des notes viandées, fumées, ponctuées d’arômes de fruits noirs. ...
Pouvez-vous nous présenter la filière AnDDI-Rares en quelques mots ? À l’image des 22 autres filières de santé Maladies rares, AnDDi-Rares a pour mission de travailler sur le diagnostic, la formation, la recherche et la coordination entre les différents acteurs impliqués dans la prise en charge des pathologies rares au sein de la thématique qui est la sienne. La filière AnDDI-Rares est construite autour des anomalies du développement, avec ou sans déficience intellectuelle. Nous sommes sur un champ de pathologies qui est extrêmement large. Au sein de notre filière, nous couvrons environ 3 000 maladies différentes. Cela représente une proportion importante des pathologies rares. On estime que les déficiences intellectuelles touchent peu ou prou 1 % des enfants. Et ce taux monte à 3 % si l’on comptabilise les malformations. Pour toutes ces raisons, AnDDI-Rares est une filière au sein de laquelle interviennent fréquemment les généticiens. En effet, ces derniers sont amenés à examiner bon nombre de demandes d’évaluation diagnostique et de suivi de patients atteints d’une maladie avec anomalie du développement (AD), somatique ou cognitif. Qu’est-ce qu’une « offre diagnostique » au niveau génétique ? Beaucoup de patients nous consultent parce qu’ils n’ont pas de diagnostic. Dans un premier temps, nous allons procéder à une évaluation de façon à déterminer si un diagnostic clinique peut d’ores et déjà être posé. Si c’est le cas, dans un second temps, nous chercherons à confirmer ce diagnostic en procédant à des examens génétiques. Ceux-ci peuvent être courants ou innovants. En effet, un progrès énorme a eu lieu ces dernières années avec l’arrivée du séquençage à haut débit. Mais si un diagnostic clinique n’a pas pu être établi, les examens pangénomiques auxquels nous procéderons nous aideront alors à apporter une réponse aux interrogations du patient et de ses proches. Un examen génétique peut par conséquent venir se superposer à un diagnostic clinique pour le confirmer ou l’infirmer. Mais en cas d’absence de diagnostic, un examen génétique pourra s’y substituer et permettre de débloquer la situation, en quelque sorte. Certaines pathologies sont-elles difficiles à diagnostiquer ? Avant l’apparition du séquençage à haut débit, certaines présentations cliniques ne permettaient pas qu’un diagnostic clinique soit posé… Par exemple, certaines déficiences intellectuelles ne présentant pas de caractéristiques particulières, il était très compliqué de poser un diagnostic. Or, sans diagnostic initial, il n’était pas possible d’obtenir un conseil génétique. Les parents ne pouvaient alors pas savoir si leurs autres enfants - ou d’autres enfants de la famille - pourraient présenter un retard de développement… De plus, l’absence de diagnostic les privait non seulement de la possibilité de connaître l’évolution de la pathologie de leur enfant mais aussi d’une chance qu’on leur propose d’éventuelles pistes thérapeutiques, mêmes si celles-ci sont extrêmement rares dans nos pathologies…En quoi l’accès au séquençage pangénomique a-t-il changé la donne pour les patients atteints de maladies rares ? Auparavant, les examens génétiques étaient très dépendants d’un diagnostic initial. Et dans plus de 50 % des cas, celui-ci manquait… Même s’il était possible d’analyser l’ensemble des chromosomes, seul le séquençage pangénomique permet de scruter tous nos gènes. C’est réellement une très grande avancée. Et une source d’espoir pour les patients.Constate-t-on des disparités face au diagnostic ? Pour le moment, l’offre diagnostique est encore très inégale. En effet, certains laboratoires ne disposent pas d’un accès privilégié à des examens de séquençage à haut débit. Et d’autres laboratoires préféreront, quant à eux, analyser des panels de gènes. C’est-à-dire qu’ils examineront un nombre défini de gènes. Le problème, c’est que même si le nombre de gènes qui auront été étudiés peut se révéler très conséquent - parfois, jusqu’à plusieurs centaines de gènes seront scrutées - l’analyse ne portera que sur ces gènes, sans permettre la réévaluation des données au fur et à mesure des avancées scientifiques. Car il faut bien voir que les laboratoires qui proposent le séquençage pangénomique de nos gènes, c’est-à-dire de la totalité de nos gènes, sont encore rares. Quelles sont les problématiques de dépistage et de tests génétiques auxquelles vous vous heurtez, le plus souvent ? Parce qu’il s’agit d’examens nouveaux, certains laboratoires n’ont pas encore l’habitude de raisonner avec autant de données. Par sa complexité, l’analyse de ces données requiert l’intervention de biologistes, de bio-informaticiens et de généticiens cliniciens. C’est donc une réorganisation des soins qui doit être effectuée. Notamment au niveau de la formation des équipes. Outre les ressources humaines et les compétences qu’il nécessite, il faut également voir que le séquençage à haut débit pangénomique ne fait pas partie des actes innovants hors nomenclature (RIHN) dont le ré...
Situé à la limite de la frontière franco-suisse, la rivière de la Dranse prend sa source sous le col de Bossetant pour ensuite creuser des gorges profondes dans une grande barre calcaire, qui ont jusqu’ici conservé toute leur magie. Classées site naturel en 1929, les Gorges du Pont du Diable engrangent chaque année près de 50 000 personnes. Au fil de vos découvertes, tous vos sens seront notamment en éveil ! Au cours de votre périple, n’oubliez pas de faire une halte dans le fameux village des chèvres, un petit bout de paradis où il est permis d’apprécier l’authenticité des lieux avec de véritables hameaux et d’authentiques chalets en bois. Baptisé « village des chèvres » par sa généreuse population caprine, qui jouit d’une entière liberté tout au long de l’été, Les Lindarets sont un magnifique lieu qui séduit petits et grands. Autre site incontournable de la Vallée d’Aulps : le lac de Montriond, troisième plan d’eau de Haute Savoie. Ce lac unique en son genre, encaissé entre la falaise d’Avoriaz et une grande forêt conifère, est d’un spectacle saisissant. Ce petit coin de paradis fonctionne en été comme un véritable parc attractif où est proposée une très grande diversité d’activités. On peut y pratiquer la baignade, le farniente, la balade à dos de poneys et aussi des circuits en canoë… mais surtout, une halte gourmande en terrasse dans l’un des restaurants situés en bordure du lac. Terminez la découverte de la vallée par un passage au sein de l’Abbaye d’Aulps qui a été classé Monument historique en 1902. C’est un lieu chargé d’histoire au glorieux passé qui a accueilli 700 ans de vie monastique et aussi, un site cistercien de la Haute-Savoie partiellement détruit en 1823. Installé dans la ferme monastique restaurée en 2007, le Domaine de découverte de la Vallée d’Aulps lève un pan de voile sur le quotidien des moines… 700m2 d’exposition, vont vous permettre de tout savoir sur leurs fonctions au sein de la communauté jusqu’aux rapports existant entre l’abbaye d’Aulps et la Savoie, en passant par la surprenante histoire de la destruction de l’abbaye et les mystères qui entourent les plantes médicinales, et ce, de manière tout à fait ludique et à la portée d’un public de tout âge. La Vallée d’Aulps, idéale pour les sensations fortes Tous les éléments sont réunis pour de magnifiques escalades à partir des cinq sites majeures d’escalade de la vallée d’Aulps, situés entre le Biot, Saint-Jean-d’Aulps et la Côte-d’Arbroz. Si les amateurs de sensations fortes se régaleront des dalles et des surplombs des falaises du Foron, de l’Arblay ou du Pas-de-l’Ours, les plus prudents pourront s’élancer sur le secteur de la Touvière ou sur les voies du rocher de la Chaux. Par ailleurs, découvrez deux itinéraires aériens aménagés sur le rocher de la Chaux, chasse-gardée de la via-ferrata, à pratiquer en parfaite autonomie (sous réserve de connaissances suffisantes) ou en mode accompagné. Les experts pourront ainsi satisfaire leur quête de sensations fortes et d’adrénaline sur La voie de l’œil, l’une des via-ferratas les plus engagées de France, pour un itinéraire athlétique soutenu et aérien de plus de 270 mètres de dénivelé positif. La vue de l’impressionnant panorama sur Saint-Jean-d’Aulps, le Roc d’Enfer et le Mont-Blanc constitue le summum de ce parcours classé voie noire (cotations TD+ à ED) après environ 1h30 d’efforts. Pour les moins expérimentés, la voie de la Tête de l’Éléphant, atteint le même pic que celui de l’œil en empruntant un parcours moins difficile mais toujours aux accents aériens dans une inoubliable expérience. La vallée d'Aulps , une montagne pour tous ! La Vallée d’Aulps permet également de naviguer en toute sécurité sur les torrents alpins pour découvrir des paysages d’une beauté sauvage. Les lieux se prêtent d’ailleurs merv...
Dans le vignoble de 5,15 hectares réparti sur les communes de Boursault, de Cormoyeux, de Pierry, de Moussy et d’Épernay, la famille Sélèque cultive depuis trois générations les trois cépages champenois aux notes subtiles. S’aidant de la passion et du savoir-faire ancestral, et toujours dans le respect des vignes et du vignoble, la maison élabore des cuvées élégantes, appréciées pour leur finesse. Un procédé de viticulture qui respecte la nature Depuis 2013, la maison Sélèque applique un procédé en accord avec le développement durable. « Nous faisons attention aux produits que nous mettons dans nos vignes, au dosage et à tout le reste », confie Nathalie Sélèque, propriétaire actuelle du vignoble. Respectueuse de l’environnement, elle fait attention à la culture des vignes, mais également à toutes les étapes de transformation. Une belle initiative qui ne laisse pas indifférents les visiteurs, venus nombreux au domaine. D’ailleurs, l’oenotourisme est l’une des activités permettant à Nathalie Sélèque de se rapprocher des amateurs et connaisseurs de vins. « Je suis très ouverte au partage et j’aime l’idée de recevoir des touristes pour leur faire connaître notre terroir », confie-t-elle. Elle a transformé la maison champenoise de sa grand-mère, Françoise Sélèque, en un magnifique gîte, afin de les héberger. La promesse d’une immersion complète dans le monde de la viticulture grâce à des visites et des dégustations dans les caves. ...
À Dijon, le restaurant La Closerie propose une cuisine raffinée, toujours concoctée à partir de produits frais et de saison. Du 100 % fait maison qui ravira à coup sûr les fins palais. Deux salles, deux ambiances Le restaurant dispose de deux salles distinctes. Côté jardin, les invités ont droit à un cadre intimiste, qui révèle une atmosphère empreinte de douceur et d’authenticité. Avec ses poutres apparentes datant du XVIIe siècle et ses murs de pierres, le lieu ne manque certes pas d’originalité. Côté cour, l’ambiance est plutôt à la décontraction avec le bar à vins, qui offre un espace lounge propice aux échanges et à la convivialité. De l’authenticité et de la saveur En cuisine, le chef Arnaud Riandet affectionne les produits locaux et s’approvisionne donc en circuit court. « Pour moi, le plus important est de travailler des produits frais et de qualité », nous explique-t-il. Ce dernier concocte chaque jour une cuisine raffinée, qui marie à la perfection tradition et modernité. En entrée, le jambon persillé avec sa crème de moutarde et pesto de cresson fait toujours l’unanimité auprès des convives. En plat, le chef suggère la joue de bœuf confite au vin rouge ou bien la volaille « Gaston-Gérard » façon revisitée et son gratin dauphinois, une pure merveille. Enfin, le vacherin au cassis noir de Bourgogne clôturera en beauté cette découverte culinaire. Pour accompagner idéalement tous ces plats, l’établissement propose pas moins de 250 références de vins. Une carte qui fait honneur à la Bourgogne, puisque 90 % des vins servis sont issus de la région. ...
Amarok a été lancée en 2008 par trois amis qui partagent la même passion et l’amour pour la nature. Régis Biron, Bertrand Carrier et Mathieu Kruker sont convaincus qu’il est aujourd’hui vital de sensibiliser le plus grand nombre à la préservation de la planète. Partant de la logique que les personnes ne respectent que ce qu’elles aiment, les trois compères ont créé Amarok pour amener l’individu à s’émerveiller et respecter ainsi la nature. La meilleure manière d’y parvenir est d’offrir à chacun la possibilité de prendre le temps d’explorer, de comprendre et de s’imprégner des richesses de cette nature. Des voyages au cœur de la nature Les voyages proposés par Amarok sont classés en fonction de leurs thématiques. À commencer par les voyages photo qui se déclinent en photographie animalière, ornithologique et naturaliste. « Ces séjours sont encadrés par un photographe professionnel », explique Tiphaine Deschaux, responsable de production. En effet, ces voyages photo vont permettre aux participants de s’initier ou de se perfectionner aux différentes techniques afin d’obtenir les meilleurs clichés possibles. Par ailleurs, afin d’avoir une bonne lecture du terrain, un accompagnateur se charge d’apporter sa connaissance de l’écosystème tout en veillant à ne pas déranger les animaux. « Le respect du milieu fait partie de notre éthique, nous n’irons jamais faire un cliché au détriment des espèces », souligne la responsable. Ensuite, les voyages aventure sont l’occasion de découvrir en « semi-autonomie » des territoires reculés et encore sauvages. Ces circuits bénéficient de l’encadrement de professionnels tels que des guides naturalistes, botanistes ou écologues. Pour ceux qui souhaitent s’initier à la vie sauvage, rien ne vaut l’expérience des séjours immersion et vie sauvage ! Là, les plus curieux apprendront quelques techniques de pleines natures : par exemple, comment allumer un feu, construire un abri, ou encore installer un campement. Les hébergements proposés ici sont typiques mais confortables. En outre, les voyages découverte incluent par exemple des séjours rencontres et savoir-faire où les participants sont inscrits dans une démarche d’écocitoyenneté. « Sur ce type de séjour, ils vont découvrir un territoire et, en même temps, les acteurs locaux qui font vivre ce territoire », précise Tiphaine Deschaux. Avec les séjours plantes sauvages, l’idée est d’apprendre aux aventuriers à reconnaître et à tirer parti des plantes sauvages. Enfin, Amarok c'est aussi des séjours treks et randonnées à pied, en raquette ou en ski au cœur des plus belle zones nordiques en passant par les plus beaux déserts de la planète ! ...
Sous une valse de notes créatives et gastronomiques, le restaurant Le Lumière jouit d’un cadre romantique et hautement contemporain mettant à l’honneur le top des produits dans un décor d’une surprenante modernité. D’emblée, l’établissement accroche les regards avec sa superbe verrière ouverte sur la cour grandement ensoleillée de l’Hôtel Scribe qui, en soirée, baigne dans une belle lumière colorée. L’intérieur révèle un style inspiré des appartements haussmanniens avec de belles boiseries aux murs, des canapés de velours rouge et des images noir et blanc des premiers films des frères Lumière. Une cuisine dans l’air du temps La formule « Lumière du Jour » met en avant un menu déjeuner à 45 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, suivis d’un café. Faites vos choix entre une Terrine de canard à la chartreuse, Espuma de navet boule d’or, châtaignes grillées et compotée de figues ou une entrée du jour selon les produits du marché. Allez plus loin dans la découverte avec du Dos de cabillaud cuit sur la peau, daïkon au raifort, betterave laquée, riz d’Akita et jus de coriandre ou le plat du jour selon les produits du marché. Terminez ensuite sur la note joyeuse du dessert à la parisienne à choisir sur le chariot du Chef Pâtissier. 110 références de vins Le Lumière est également gratifié d’une carte de vins de collection comme le Coteaux du Layon du Domaine Cousin Leduc 1961. Les convives se laisseront guider par les suggestions du Chef Sébastien Crison garantissant les meilleurs accords. Parmi les évènements récurrents du restaurant, on pourra noter les Sofitel Wine Days, qui ont lieu de fin septembre à fin octobre, et qui célèbrent le vin et l’art de vivre à la française… Des occasions de découvertes et d’échanges enrichissants autour des vins de nos régions. ...
Le vignoble de huit hectares idéalement exposé du domaine Coche est le berceau de cuvées authentiques fières d’une grande palette aromatique, d’un éventail de goût et d’un caractère affirmé. Le chardonnay (20 %), le pinot noir (20 %) et le dominant pinot meunier (60 %) s’épanouissent en coteaux plantés dans un sol argilo-calcaire, exprimant ainsi toute la richesse du terroir Chavenay dans la Vallée de la marne, mais aussi du terroir de Bouzy, commune du parc naturel régional de la Montagne de Reims. Cinq générations au service de l’excellence Vignerons dans l’âme, la famille Coche s’attelle, depuis cinq générations, à offrir le meilleur du terroir au travers des cuvées d’exception. La qualité de ces dernières réside dans une élaboration suivant la tradition champenoise, incluant des vendanges traditionnelles, et un savoir faire issue de l'héritage familial. À cela s’ajoute un vieillissement long conférant maturité et subtilité au champagne. Parmi les fleurons de cette gamme, la cuvée Charlotte s’illustre par son nez agréable, sa fine longueur en bouche et ses subtiles notes fruitées qui sublimeront vos instants gourmands et raffinés. Chaque bouteille de cette cuvée est élégamment ornée d’un collier en argent serti d’une perle unique, un bijou authentique idéal à offrir. Ce bijou collerette, une première dans le monde du champagne, fait la fierté de la Maison Coche, véritable joyau champenois. Outre cette cuvée scintillante de beauté, osez accompagner vos apéritifs, du Blanc de blancs (frais, équilibré et ponctué de généreuses notes florales,) vos repas et vos fêtes parmi un choix diversifié qui vous est offert. ...
Dans la famille Cazals depuis quatre générations, le goût du bon champagne se fait ressentir de par la qualité exceptionnelle des cuvées de la marque. Avec des méthodes oscillant harmonieusement entre modernité et artisanat, la maison Cazals est une « maison familiale, très conviviale […] et forte de traditions héritées de père en fille », selon Camille Crochet, Sales Manager Marketing de la marque. Un vignoble riche en histoire C’est Ernest Cazals, alors tonnelier, qui fonde la maison Cazals en 1897 en choisissant un terrain noble et ouvert pour ses premières vignes. Un clos de 3 hectares, acquis par son fils Olivier Cazals dans les années 1930, va par la suite venir s’ajouter au domaine familial, donnant ainsi naissance aux 10 hectares de vignes classées Premier et Grand crus de la maison Cazals. Parmi les cuvées ambassadrices de la marque, appréciez les « grands crus d’exception nés de vignes de plus de cinquante ans », continue Camille. Délectez-vous ainsi de la Chapelle du clos, un 100 % chardonnay léger aux saveurs suaves, ou du millésime Clos Cazals doté d’une large palette de goûts et d’une mosaïque de succulences typées. Une passion et un héritage à préserver La maison Cazals, dans un élan d’engagement envers l’environnement, se trouve dans une phase de transition vers l’agriculture durable, avec la « volonté de certifier le clos Haute Valeur Environnementale (HVE) », reprend Camille. Outre cette promesse noble, la famille tient à préserver un patrimoine unique qui leur a été légué par leurs ascendants. Tout le processus de production, allant des vendanges à la maturation dans les caves voûtées en passant par la vinification en fûts de chêne, se fait ainsi suivant les méthodes artisanales utilisées dès la création de la marque. ...
De la Basse Vallée de l’Hérault à la mer Méditerranée, un chapelet de jeunes volcans plonge le sol dans un songe minéral depuis des siècles. Si les GRECS y plantèrent les premières vignes de France il y a 2600 ans, les quelques domaines profitant désormais de ces terres confirment leurs vertus. Leurs vins invitent à explorer des contrées en dehors des sentiers battus. Un paysage viticole et un savoir-faire uniques en France "La perle noire de la Méditerranée", c’est ainsi que Marco Polo nomma la cité d’Agde, déjà revêtue à l’époque de son architecture en pierres de basalte. La Grande Conque, une plage volcanique, illustre également cette cohabitation profonde avec la nature. Depuis toujours, le Cap d‘Agde et les villes voisines se sont inspirés de leur environnement pour se développer, en accord avec celui-ci. Aujourd’hui, leurs domaines viticoles profitent d’un lien unique en France : entre mer et volcan. Un terroir résultant d’une ultime rencontre, il y a de cela 750 000 ans, entre déferlantes de laves et vagues de la grande bleue. Une rareté reconnue et convoitée, soumettant au palais des goûteurs une explosion de fraîcheur en bouche, en guise de signature. Etendu sur plusieurs kilomètres, ponctué de volcans, de rumeurs maritimes et de sous-sols plus classiques, le terroir de basalte donne une dimension singulière aux différents cépages qui y sont cultivés. Grenache, Syrah, Mourvèdre, Cinsault ou Carignan s’y épanouissent, composant, sous les nez avisés des vignerons locaux, des vins rouges dont l'équilibre vacille entre notes minérales et notes de fruits rouges. Une terre rare et préservée C’est sous l’Appellation d’Origine Protégée Languedoc Pézenas que l’excellence du terroir basaltique se révèle. Seule une dizaine de domaines possède une parcelle du précieux sol et veille, tant à son épanouissement qu’à celui des vins de son cru. Loin du succès grisant rencontré au 19ème siècle, les vignobles contrôlent aujourd’hui leur marque, garants de son authenticité et de son excellence. Le vin, l’architecture et la géologie témoignent de leur connexion évidente et cette harmonie s’explore, de la dégustation d’un verre de vin à la contemplation d’un paysage bucolique. Si l’histoire remonte à loin, elle ne cesse pour autant de s’écrire, l’agriculture biologique en sus parmi les nouvelles pages. ...
Un engagement de la première heure L’implication des associations de patients dans la lutte contre les maladies rares ne date pas d’hier. Depuis bientôt trente ans, les associations redoublent d’efforts pour faire connaître les maladies rares et améliorer leur prise en charge : parcours de soin, diagnostic, recherche, suivi thérapeutique, insertion socio-professionnelle, soutien psychologique du patient et de son entourage, etc. C’est d’ailleurs sous l’impulsion des associations de patients - et notamment de l’Association Française contre les Myopathies(AFM) - qu’ont été créées des structures telles que Maladies Rares Infos Services (MRIS), l’Alliance Maladies Rares (AMR), Orphanet, le GIS-Institut des maladies rares ou encore la Plateforme Maladies rares qui regroupe géographiquement les principaux acteurs « maladies rares » au plan national : AMR, AFM-Téléthon, Eurordis, Fondation Maladies Rares, MRIS. Une forte implication au sein des filières Parce que leur expertise et leurs connaissance fine des problématiques rencontrées au jour le jour par les malades ainsi que leurs proches en font un allié de premier ordre, les associations de patients ont été invitées à rejoindre les filières de santé maladies rares dès la création de celles-ci, en 2015. Et alors que le troisième Plan National de Maladies rares (PNMR3) sera bientôt publié, l’implication des associations n’a jamais été aussi forte. Au sein des filières correspondant à leurs pathologies, les associations de patients œuvrent pour optimiser le parcours de soin des patients et organiser efficacement sa prise en charge globale. Elles veillent notamment à ce que la coordination multidisciplinaire que nécessitent les maladies rares soit la plus adaptée possible au parcours de vie des patients. Les associations de patients multiplient également les initiatives visant à améliorer la recherche, à réduire l’errance diagnostique et à explorer de nouvelles pistes thérapeutiques. Sans l’appui des financements associatifs, beaucoup de centres de référence maladies rares seraient d’ailleurs dans l’incapacité de développer des projets pourtant cruciaux comme la création de bases de données ou encore la mise en place d’essais cliniques. Enfin, l’action des associations de patients prend également la forme d’un travail de communication destiné à conférer davantage de visibilité aux maladies rares. Les points clés à retenir ▪ Les associations de patients jouent un rôle essentiel dans l’organisation et l’amélioration de la prise en charge des maladies rares. ▪ Elles contribuent à mieux faite connaître les maladies rares, que ce soit auprès du grand public mais aussi des professionnels de santé. ▪ Les associations ont participé à l’organisation des filières de santé maladies rares. ▪ Au sein des filières, les associations peuvent s’appuyer sur leur « expertise-terrain » pour optimiser le parcours de soin (diagnostic, suivi thérapeutique et médico-social, etc.). ▪ Le financement associatif est à l’origine de nombreux projets innovants. ...
Soucieux du futur de notre planète, Thomas Demerens et Vincent Boissard fondent, en septembre 2015, AURA (Agriculture Urbaine Responsable pour l’Avenir) dont le métier est d’installer des écosystèmes comestibles au sein des entreprises. Et d’amener la nature, le bien-être ainsi que le lien social dans les lieux de travail. L’aquaponie, une technique bimillénaire, retrouve son aura Pour réussir sa mission, AURA utilise l’aquaponie, une pratique développée par les Aztèques, il y a plus de 2000 ans. Comme son nom l’indique, cette technique allie l’aquaculture (élevage de poissons ou autres organismes aquatiques) et l’hydroponie (culture des plantes par de l'eau enrichie en matières minérales). Dans cet écosystème, les plantes absorbent les nutriments produits par les poissons et purifient l’eau. L’aquaponie présente plusieurs avantages, comme l’explique Thomas Demerens : « On économise beaucoup d’eau (environ 90% par rapport à un mode de culture classique en pleine terre) car elle circule en circuit fermé et est entièrement recyclée. En outre, elle permet la production de poissons comestibles et de végétaux bio durant toute l’année et s’adapte totalement aux limites et aux défauts de l’espace urbain, comme la pollution par exemple. Des produits parfaitement intégrés et un service complet et adapté Aura propose des produits alliant productivité, design et santé du vivant. En effet, ces écosystèmes comestibles prennent la forme de potagers aquatiques d’intérieur. Ils sont autonomes et silencieux. Leur design sobre et élégant leur permet de s’intégrer facilement à l’espace de travail. L’installation est simple, rapide, et entièrement prise en charge par l’équipe d’AURA. Cette dernière passe d’ailleurs deux fois par mois pour s’occuper des plantes et des poissons. Enfin, AURA créée également des temps d’échanges et de sensibilisation auprès des salariés des entreprises, comme la team building, ces ateliers servant à faire découvrir l’aquaponie et apprendre à en faire chez soi. ...
Encourager et porter les candidatures féminines dans le parcours d’ingénieur était et reste un cheval de bataille pour l’EPF. L’ancienne pépinière de femmes ingénieures initiée par Marie-Louise Paris accueille désormais un auditorat mixte. Autre changement marquant pour cette institution forte de quelque 10 000 diplômés, ses pédagogies innovantes qui placent l’individu au cœur de la méthode. Priorité pédagogies A l’aube du 21ème siècle où excellence et parité constituent le cœur des enjeux, l’institution prend le pari de réviser profondément ses manières d’enseigner. Valorisation de la personnalité, modes d’évaluation remis au goût du jour, intégration d’outils et de méthodes plus avancés. L’EPF adapte ses vues aux mutations de notre époque pour former des ingénieurs qui s’adaptent aux exigences du futur. L’arrivée du numérique a impulsé des transformations profondes dans notre société, ces dernières années. Les pratiques d’enseignement ont peu, ou pas, suivi la cadence, faisant l’objet d’un vrai statu quo. « On ne s’est pas suffisamment penché sur la révolution d’Internet qui amène une relation au savoir complètement différente » déplore le directeur d’EPF Montpellier. « L’accès au savoir étant désormais facilité, il faut davantage accompagner les étudiants dans l’appropriation des connaissances et l’articulation de ces connaissances entre elles » préconise-t-il. C’est dans cette optique que l’institution prône désormais les pédagogies dites mixtes, tout en privilégiant un nouveau mode d’évaluation. Tirer parti des plateformes numériques pour concevoir des scénarii d’apprentissage intelligents, afin de tendre vers une plus grande autonomie de l’apprenant. C’est autour de ce concept central que s’articulent les pédagogies mixtes promues à l’EPF. La plateforme pédagogique Moodle est le support numérique de cette approche qui n’exclut pas entièrement les séances en présentiel. Celles-ci sont désormais réservées à des séances de synthèse, et surtout à des accompagnements requis dans des sujets plus élaborés (ou plus complexes), alors même que l’étudiant investit un statut plus actif dans son processus d’apprentissage au travers des classes inversées. L’acquisition de compétences comportementales d’engagement, de prise de risque, d’intégration à une équipe, d’échanges, de communication, en plus des compétences purement techniques, constitue l’avantage de ces innovations chez les ingénieurs sortants de l’EPF. Une formation étoffée, polytechnique et internationale « La volonté de l’école est de prodiguer une formation véritablement polytechnique » souligne Elisabeth Zerahian, Responsable du Département Communication & Marketing à l’EPF. Les 3 premières années de formation structurent ainsi, chez l’étudiant, l’acquisition d’un socle scientifique solide. Les 7 majeures proposées dans la suite du cursus ouvrent la voie à un diplôme d’ingénieur généraliste « polytechnicien, adaptable, polyvalent » et promu à toutes perspectives d’ouvertures selon les opportunités qu’il rencontre sur son parcours professionnel. Le grand atout supplémentaire des formations à l’EPF est justement la place accordée à l’ouverture internationale. Outre l’obligation d’apprendre 2 langues étrangères, les étudiants bénéficient d’opportunités d’échanges à travers un réseau de partenaires riche de 150 universités. Des formations binationales (franco-allemande ou franco-québecoise) ou bi-diplomantes figurent d’ailleurs parmi les options qui s’ouvrent aux Peufien-ne-s en devenir. Les doubles-diplômes se préparent dès la première année avec des institutions allemandes ou québécoises. A partir de la 4ème année, d’autres universités des Etats-Unis, du Mexique ou du Roy...
Installé sur les hauteurs de Chiroubles et dominant la Vallée de la Saône, au cœur des dix crus du Beaujolais, le Château de Javernand a pris ses quartiers dans une belle maison bourgeoise d’inspiration italienne datant de la fin du XVIIIème siècle où il fait bon vivre avec sa grande terrasse ombragée par un noyer centenaire. Blottie dans un environnement naturel et coloré donnant sur la vallée, elle est devenue le berceau de la production de vins d’exception exprimant toute la beauté de leur terroir. Le meilleur du Beaujolais et de la Bourgogne La famille Fourneau se passionne pour les vins depuis maintenant une centaine d’années. Un héritage qu’elle reçoit d’Auguste Faye en 1917. En 2011, la 5ème génération reprend les rênes du domaine. Arthur Fourneau, déjà actif depuis quelques années est rejoint par sa cousine Mathilde Pénicaud et son mari Pierre Prost. Ensemble, le trio donne une nouvelle dynamique au Château de Javernand. Sur les 55 hectares d’un seul tenant, une vingtaine sont dédiés à la vigne. Le reste étant planté d’arbres et constitué de pâturages pour les vaches limousines et charolaises ainsi que les moutons. Le terroir de Javernand se distingue par ses coteaux granitiques et ses sols peu profonds sur « saprolite », du sable découlant du granite rose sur lequel le gamay noir s'exprime parfaitement. Grâce à une altitude entre 400 et 500 mètres, les vins révèlent plus de fraîcheur et d’équilibre. Depuis 2014, Javernand exploite aussi 3 hectares de vignes en Mâconnais composées de chardonnay et de pinot noir donnant des vins à la belle fraîcheur et minéralité. L'ensemble du domaine est en conversion progressive à l'Agriculture Biologique depuis 2018. Travailler dans le respect du sol Pour Javernand, l’objectif est d’aller au-delà du bio : via une démarche agroécologique, il vise un système de production équilibré, à la fois performant et durable, permettant d'améliorer la fertilité et la vie des sols, de renforcer la biodiversité déjà bien présente sur le domaine, mais aussi de mieux stocker/mobiliser l’eau et d'amortir les extrêmes climatiques… L’utilisation des couverts végétaux est une technique plébiscitée au domaine pour son intérêt agronomique. Au cœur de l’agriculture de conservation des sols, cette méthode permet d’enrichir la terre en matière organique, de la protéger contre l’érosion, de fixer et restituer l'eau et les éléments fertilisants aux sols. À Javernand, l’équilibre agroécologique passe aussi par l’agroforesterie. Ces deux dernières années, le domaine a planté plus de 1000 arbres sur ses terres : haies champêtres et arbres au coeur des parcelles (pratique appelée vitiforesterie). « Nous sommes un des domaines pionniers en Beaujolais [...]. Nous travaillons à la mise au point et au développement de ces pratiques au sein d'un collectif de vignerons », déclare Arthur Fourneau. Une sélection de cuvées de haute volée En plus de proposer 4 cuvées de Chiroubles aux profils variés, la maison produit également une grande diversité de vins : Mâcon-Villages et Bourgogne Blanc, Mâcon Pinot Noir, Rose de Gamay et un crémant de Bourgogne. Leur conception se fait de la manière la plus vertueuse possible. « Nous vinifions l'ensemble de nos cuvées avec pas ou très peu d'intrants (levures indigènes, aucun sulfite en vinification) afin d'obtenir des vins procurant un maximum de plaisir », fait savoir Pierre Prost. Parmi ses best-sellers figure la cuvée Chiroubles Les Gatilles à la fois classique, gourmande et élégante qui révèle des notes florales et la fraîcheur des fruits. La Cuvée Vieilles vignes est un vin d’exception d’une capacité de garde de 5 à 7 ans qui exprime une belle concentration de notes de fruits mûrs et de réglisse. Le Château de Javernand possède aussi dans sa gamme la cuvée Chiroubles Climax, un vin riche et complexe élevé en fûts de chêne qui révèle la grandeur de son terroir. Dernier et non des moindres : le Rose de Gamay, un Beaujolais-Village Rosé aux arômes ...
Faciliter l’accès à la psychologie à un public élargi via des moyens technologiques, telle est la mission que s’est fixée Positive You. Pour y parvenir, la startup offre la possibilité à ses utilisateurs de bénéficier, selon leurs besoins, de l’expertise de vrais spécialistes. Le tout, à distance ! Un partenariat noué autour de valeurs fortes Créé en 2018, Positive You met à disposition des particuliers une plateforme en ligne dédiée à la psychologie à distance. Concrètement, celle-ci met en contact des personnes à la recherche de bien-être et des psychologues spécialisés. Afin d’assurer un service de qualité, Positive You travaille uniquement avec des psychologues partenaires qui sont à la fois certifiés et diplômés. Ces derniers s’engagent à aligner leurs prestations sur un modèle centré sur l’« Etre bien » tout en adhérant à des valeurs clés comme l’innovation, le professionnalisme, l’éthique ou encore la satisfaction client. Tout se fait à distance À travers sa solution, Positive You entend placer l’humain au cœur de son offre. La startup propose à cet effet des thérapies ciblées et adaptées aux besoins de chaque individu. Tout le processus d’accompagnement se fait à distance : soit à travers un système de messagerie, où praticien et utilisateur s’échangent via des écrits électroniques ; soit par le biais d’une visioconférence intégrée, permettant une téléconsultation par écran interposé. Bonus non négligeable : Positive You permet aux utilisateurs de choisir le prix de leur consultation en fonction de leurs ressources. Des offres pour les entreprises La startup offre également des prestations destinées à aider les professionnels à surmonter les différents problèmes rencontrés au niveau de l’entreprise. Elle propose un accompagnement non seulement individuel (salarié ou dirigeant), mais aussi collectif (groupe). Conscient qu’une meilleure ambiance au travail est la clé du succès, Positive You accompagne les salariés dans leur épanouissement aussi bien personnel que professionnel. L’unique moyen d’atteindre cet objectif est de favoriser l’« Etre bien » dans sa globalité, incluant la santé physique et mentale. En outre, les interventions peuvent aussi porter sur des thématiques telles que la médiation professionnelle, les risques psychosociaux, le conseil en management ou en organisation ou encore la cellule de crise. ...
Un nouvel espace de coworking à Chalon Le travail de free-lance vient avec son lot d’avantages : indépendance, choix des horaires de travail, gestion de son temps libre, choix de ses partenaires. La liste est sans fin. Mais comme toutes les bonnes choses, il est accompagné de son lot d’inconvénients. Parmi les différentes demandes exprimées par les travailleurs indépendants de Saône-et-Loire, il revenait souvent l‘absence d’un espace de coworking digne de ce nom à Chalon-sur-Saône. C’est chose faite avec l’ouverture récente de Chalon-Coworking, le tout nouvel espace de travail partagé du centre-ville. Les avantages de travailler dans le même espace « Je travaille moi-même comme free-lance depuis 2004 et j’entendais parler des espaces de coworking, particulièrement les Anglo-Saxons, qui se développaient de plus en plus. L’idée d’ouvrir mon propre endroit a germé depuis dans mon esprit, mais ce n’est qu’il y a deux ans que j’ai commencé effectivement les démarches. », explique Pierre Canthelou, fondateur de Chalon-Coworking. Il y a une énorme différence entre les espaces de coworking des grandes villes et ceux des plus petites agglomérations comme Chalon. Les attentes et les besoins, comme le public cible, ne sont pas les mêmes. Mais les avantages quand on sort de chez soi pour travailler dans un espace commun, avec d’autres free-lances, sont partout les mêmes. À Chalon-Coworking, on bénéficie d'un bel open space équipé de la fibre. L’accueil, assuré par Pierre lui-même, est parfait : café, écoute, ambiance de travail studieuse. « Une fois que le coworker passe le pas de la porte, il est généralement surpris par l’espace. C’est vrai que l’on se projette facilement ici. » En plus d’accueillir les travailleurs, le gérant s’occupe de faire la promotion de leurs activités sur son site Internet et sur les réseaux sociaux. Il met en relation les différents utilisateurs de l’espace en plus de les rapprocher d’autres réseaux professionnels de la région. Pierre organise aussi des ateliers orientés vers les professionnels. Tous les mois par exemple, une experte dans les techniques de massage vient soulager les nuques des participants. Mais les ateliers sont variés : informatique, design, développement de logiciels, il y en a pour tous les goûts. Le dernier vendredi du mois, il propose un petit déjeuner où les participants sont invités à discuter entre eux. Encore une manière de faire du réseautage dans une ambiance conviviale. Que l’on cherche un espace où venir travailler une heure, une journée ou même toute l’année, Chalon-Coworking est le nouveau bureau du centre-ville de Chalon-sur-Saône où venir poser son ordinateur. ...
Environ 90% des personnes de plus de 65 ans prennent des médicaments de façon régulière. Le taux d’observance est d’environ 50%. Pour tous ces patients avec 5 médicaments ou plus, Medissimo a créé medipac, son pilulier sécurisé, pour sécuriser la prise des médicaments. Les premiers résultats ont montré que le taux d’observance atteignait 98%, dès le premier mois. Le quotidien d’un patient chronique Jeanne, une personne de 77 ans, en affection longue durée (ALD), prend 6 médicaments par jour sur 4 prises. Sa fille Claire, lui fait ses piluliers en plastique quand elle passe. Mais cette solution est imparfaite et risquée : Chronophage, outre la préparation, il faut aussi assurer le nettoyage quotidien et il n’est pas rare que les médicaments tombent, provoquant ni une bonne hygiène ni le respect du traitement. Elle craint aussi de se tromper en les préparant, ce qui pourrait avoir de graves conséquences pour sa mère. Lorsque sa fille découvre le pilulier medipac, tout change. Elle lui achète chaque trimestre sur internet son set de 12 piluliers pour ses 3 mois de traitement. Au début elle le préparait elle-même, puis elle a décidé de confier cette mission importante à son pharmacien, s’assurant de la bonne préparation des piluliers. Ainsi les médicaments sont bien enfermés dans le pilulier. Grâce à l’application mobile, Claire enregistre l’observance de sa mère quand elle passe. Elle enregistre aussi ses problèmes de tolérance. Et elle peut envoyer le rapport d’observance au pharmacien. Entre deux visites elle s’inquiète moins, elle peut également les espacer. Quant à son pharmacien, il peut suivre l’observance de sa patiente et son médecin peut éventuellement ajuster sa prescription. ...
Situés sur la commune de Néac, à 6 km de Saint-Émilion, les Vignobles Chatonnet font honneur aux appellations Lalande de Pomerol, Saint-Émilion et Montagne Saint-Émilion en produisant des vins régulièrement médaillés qui font l’unanimité auprès des meilleurs critiques internationaux. Chaque année, Pascal Chatonnet et son équipe s’évertuent à élaborer des cuvées qui glorifient leur terroir. 2020 n’a pas fait exception à la règle. Millésime 2020, « L’Impressionnant » À côté des problèmes dus à la pandémie qui ont compliqué les travaux dans la vigne, le millésime 2020 a été marqué par un printemps climatiquement difficile puis un été très atypique qui a commencé par une sécheresse exceptionnelle heureusement contrôlée par les pluies ayant ralentit la fin de la véraison. À l’arrivée, les vins obtenus révèlent un profil surprenant, très équilibré, élégant, à la fois opulent, souple et frais. Impressionnant ! Des cuvées harmonieuses et expressives Symbole du savoir-faire de la famille Chatonnet, la cuvée Château Haut-Chaigneau 2020 allie une incroyable fraîcheur, une harmonie exceptionnelle et une belle accessibilité. De son côté, la cuvée La Croix Chaigneau 2020 s’illustre pour son caractère voluptueux et équilibré. Le cru La Sergue 2020 qui est né d’une association des trois terroirs La Pignière, La Margaux et Haut-Chaigneau à Lalande de Pomerol tire profit du Merlot, du Cabernet Franc et du Malbec pour se dévoiler dans sa plus belle expression. Quant au cru de l’Archange, il est à l’image de toute la puissance et la pureté du Merlot. ...
Dispositif assez récent dans le monde de l’enseignement en France, la césure commence seulement à attirer les étudiants. Outre le fait d’être nouveau pour la plupart des français, le dispositif se heurte aussi à « une vision linéaire de la scolarité » qui oblige les jeunes à intégrer directement un institut supérieur après le bac, à se concentrer sur l’obtention de leurs diplômes puis à trouver un emploi à l’issue de leurs études. Pourtant, la parenthèse que la césure ouvre dans la vie des étudiants leur apporte de nombreux avantages, des atouts que nous allons développer plus loin après avoir expliqué plus en détail ce qu’est une césure. Qu’est-ce que la césure ? La césure est une mesure qui permet aux étudiants d’interrompre leurs études pendant un semestre ou deux afin d’acquérir de nouvelles compétences ou expériences en complément de leur formation. Pendant cette période, le prétendant à la césure maintient son statut d’étudiant et peut reprendre ses études à la fin de son année. Les principes de la césure sont légalement fixés par décret mais sa mise en œuvre est définie par chaque établissement. Certains sont donc favorables à la césure et d’autres non. Pendant la période de césure, l’étudiant peut opter pour un service civique, faire du bénévolat, travailler, monter un projet en tant qu’étudiant-entrepreneur, participer à des projets de volontariat international, faire un stage, suivre une formation ou encore partir en séjour linguistique à l’étranger. Pour obtenir son année de césure, l’étudiant dépose une demande à son établissement scolaire en précisant l’intérêt de cette période pour la formation qu’il va suivre dans l’établissement à son terme. Selon la filière de l’étudiant, il a donc plusieurs choix pour sa césure. Cependant, une option reste valable quelle que soit la formation initiale de l’étudiant : celle de partir à l’étranger pour un stage ou en séjour linguistique. Pourquoi étudier à l’étranger pendant son année de césure L’objectif de la césure est d’enrichir les connaissances et les compétences de l’étudiant dans un domaine connexe à ses études. Pour ce faire, l’idéal est de sortir de sa zone de confort et de découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures, de nouveaux savoir-faire. Les études à l’étranger répondent parfaitement à ces critères vu qu’ils obligent l’étudiant à s’adapter à un nouvel environnement et à découvrir un nouveau mode de vie. A l’ère de la globalisation, la maîtrise de l’anglais qui reste la première langue internationale devient par ailleurs indispensable dans tous les domaines d’activités. Il est donc tout à fait pertinent de partir en séjour linguistique dans un pays anglophone pour compléter son cursus et pouvoir se préparer à une carrière à l’international. Si, par exemple, un étudiant suit une formation académique en commerce international, une année de césure passée dans une institution ou une entreprise en pays étranger lui permettra d’avoir un bien meilleur point de vue et de nouvelles connaissances pour mieux avancer dans ses études. Sur le plan personnel, étudier à l’étranger forge le caractère des étudiants. Ceux qui l’ont fait affirment que s’éloigner et découvrir un autre monde les a rendus plus autonomes, plus confiants et plus ouverts ; des qualités qui favorisent en tous points leur employabilité ou leur esprit d’entrepreneur. Avoir un diplôme reconnu au niveau international Quel que soit le domaine d’activité ou la filière de l’étudiant, un stage ou une formation à l’étranger a toujours plus de valeur aux yeux des recruteurs et des éventuels partenaires. Néanmoins, pour avoir un diplôme reconnu au niveau international à l’issue des études à l’étra...
Pédagogie à la carte Fort de plus de 60 ans d’expérience, Nacel place la pédagogie au cœur de son action. La marque travaille en étroite collaboration avec des enseignants de tous horizons, afin de créer des séjours adaptés aux envies et aux objectifs de chacun. Chaque personne étant unique, l’organisme propose des formules sur-mesure permettant à tous, petits et grands, de trouver le séjour qui lui correspond. Les participants sont ainsi orientés vers les programmes convenant à leur niveau, leur âge, leur destination, leur objectif et la langue avec laquelle ils souhaitent se familiariser. Les immersions permettront des progrès rapides et un apprentissage naturel en partageant le quotidien d’une famille étrangère. Les préparations aux examens conviendront à ceux qui espèrent des séjours riches en contenus pédagogiques. Pour ceux qui veulent joindre l’utile à l’agréable, l'apprentissage se complète par diverses activités ludiques comme le sport, le théâtre ou le cinéma, des activités culturelles et des jeux propres à la culture de chaque pays. En famille ou en résidence, les participants peuvent profiter de séjours tout au long de l’année pour apprendre le monde le temps d’un voyage… Une offre riche et qui répond aux tendances actuelles Grâce à quelques 200 partenariats développés avec des établissements partout dans le monde, Nacel offre plus de 20 pays d’accueil, parmi lesquels la Grande Bretagne, les USA, la Chine, les Emirats Arabes Unis, Chypre, ou encore Malte. L’organisme dispose en outre d’un réseau intégré d’équipes implantées aux Etats-Unis, au Canada ou encore en Australie. Les destinations anglophones étant les plus plébiscitées, Nacel propose comme nouveauté 2018 , une immersion de dix jours à Dublin. Un séjour très intensif, rythmé par des activités et des séquences de discussion en one to one avec des intervenants anglophones. Avec un taux d’encadrement d’un natif pour un participant, l’apprentissage sur-mesure prend tout son sens… Nacel se diversifie en se montrant à l’écoute des tendances actuelles et organise des séjours de plus en plus originaux. Pour tous les férus d’informatique, il existe aujourd’hui des formules permettant un double apprentissage en programmation et en langue. L’organisme propose un séjour inédit anglais et coding à Londres. Durant 2 semaines, les participants jongleront entre cours d’anglais (15h) et cours de codage informatique (45h). Enfin, Dubaï étant devenue une destination phare, Nacel a créé un séjour riche en activités originales au cœur de la ville où tout semble possible. Outre les 30 heures de cours d’anglais en classe internationale, les participants visiteront l’îlot de modernité dans son ensemble… Des séjours de qualité et certifiés Réputé pour la qualité de ses séjours, Nacel fait partie des rares organismes à avoir obtenu la certification NF Service attribuée par Afnor Certification. Son adhésion à l’Unosel renforce sa fiabilité et son sérieux, puisqu’il est rigoureusement tenu de respecter une charte de qualité imposée par cette union professionnelle des organisateurs de séjours linguistiques. Maitrisant toute la chaine de l’organisation du séjour grâce à une implantation dans de nombreux pays, l’entreprise est aussi agréée IATA (Association Internationale du Transport Aérien). Ce partenariat lui permet d’offrir les meilleures conditions de séjour à ses clients en termes de prix, de destination et de prise en charge. Une trentaine de conseillers sont quotidiennement à l’écoute pour leur apporter un support permanent et un suivi personnalisé. Ce sérieux et cette expertise a valu à Nacel un indice de satisfaction de 16.4/20 en 2017. ...
La Guadeloupe ne cesse d’émerveiller. Cette île papillon séduit les amoureux de voyage, d’escapade, de l’océan, de montagne, de la nature sauvage, de la culture et de la cuisine antillaise. Véritable écrin de trésors, la Guadeloupe est une destination idyllique qui se savoure intensément et sans limites pour vivre la magie qu’elle a à offrir. C’est pourquoi Jean Nussbaumer a fondé Le Hamac, une centrale de réservation vouée à la satisfaction et au bien-être des voyageurs, pour leur offrir la meilleure expérience qui soit. Offrir du rêve et de l’évasion Forte de ses longues années d’expérience dans le secteur du tourisme, l’équipe a pu développer une connaissance pointue et une maîtrise parfaite de la destination Guadeloupe. « Nous sommes une petite structure à taille humaine, on connaît très bien nos offres et l'on est en mesure de satisfaire personnellement notre clientèle », soutient le fondateur. Le Hamac est un prestataire de location saisonnière de villas privées et bungalows, mais aussi une centrale de réservation de gîtes, d’appartements et d’hôtels. L’agence met à disposition de sa clientèle, particuliers ou professionnels, plus d’une centaine de propriétés privées, soigneusement choisies pour leur emplacement, leur cadre et leur confort. La Kaz Maracudja*** située à Rifflet – Deshaies et installée à 200 m de la plage de la Perle, figure parmi la sélection. Elle est perchée dans les arbres, blottie au cœur d’un jardin tropical aux parfums exotiques enivrants, et se dote d’une grande piscine, d’un spa, d’une terrasse ouverte sur une grande clairière. Seuls le bruit des vagues et les cris d’oiseaux peuvent rompre le silence qui règne dans ce bout de paradis. Non loin de là, la Villa Mangotine **** et la Villa Ti-Pêcheur ***** offrent une autre expérience unique au sein d’un hébergement de luxe. Les hôtes apprécieront l’exclusivité de la vue sur la mer des Caraïbes et l'île de Montserrat tout en profitant du confort moderne de maisons de standing : cuisine entièrement équipée, chambres climatisées, espace séjour avec salle à manger et bar, wi-fi. Les villas, ouvertes sur l’extérieur, donne un accès direct à la piscine et au transat, pour se prélasser après une longue journée de balade ou d’excursion. Notre interlocuteur fait savoir que « ces propriétés sont dans les plus haut de gamme proposées dans la région ». Les Villas Amazonia et Palmire, outre leur charme et prestations luxueuses, sont idéales pour accueillir les familles plus nombreuses. À préciser que les propriétés s’étendent sur les plus belles plages immaculées de Guadeloupe : Deshaies, Sainte-Rose, Pointe-Noire, Gosier, Sainte-Anne jusqu’à Le Moule. S’entourer des meilleurs collaborateurs Le Hamac étoffe sa gamme de prestations par la location de voitures, en travaillant étroitement avec ses partenaires de choix. Ce sont notamment LASCAR, EUROPCAR et RENT@CAR, qui partagent tous la même volonté d’assurer un service impeccable à la clientèle. « Ils font preuve de sérieux et proposent un accompagnement vraiment personnalisé. Cela apporte une valeur ajoutée à l’ensemble de nos offres. » Les voyageurs seraient plus sereins de savoir que cette centrale de réservation s’associe également avec un partenaire d’assurance APRIL VOYAGES, l’allié des professionnels du tourisme. D’autres prestataires locaux rejoignent aussi la liste, tels Les Balades de Keila, Bleu Blanc Vert, ou encore des partenaires sélectionnés qui offrent des massages bien-être à domicile, tous sont à même d’enrichir encore plus votre séjour. En outre, Le Hamac est actuellement membre à l’Association professionnelle de solidarité du tourisme (APST). ...
À ses débuts, le couple Forgeron travaille sur seulement deux hectares de vignes. Actuellement, le vignoble compte 24 hectares cultivés par leurs enfants Pierre et Christophe Forgeron. Méticuleux dans le travail et la conservation des traditions, les frères Forgeron n’ont pour seule ambition que de faire vivre et revivre l’histoire du cognac depuis leur village natal, connu pour être le premier cru du cognac… Un travail où l’art est présent C’est sur un sol de calcaire tendre que reposent les 24 hectares (ugni-blanc, folle blanche) de Michel Forgeron, où l’attention et le soin apportés tout au long de l’année vont conduire, début octobre, à la plus belle récolte possible. Vient ensuite l’étape de la distillation qui se fait au gaz durant les trois mois d’hiver, avec des alambics de type charentais, dont le plus ancien tourne depuis 1965. Le vieillissement, étape la plus importante dans la production de cognac, se fait dans des fûts de chêne, pour donner couleur, parfum et goût à l’eau-de-vie au fil des années. De la distillation à la mise en bouteille, rien n’est laissé au hasard chez la famille Forgeron. Bouteilles ou carafes, à chaque cognac son écrin. Du cognac authentique Le cognac est un produit exigeant se déclinant à l’infini au gré des assemblages concoctés par le « maître de chai ». Parfums, saveurs, persistance ou légèreté, à consommer seul ou en cocktail, les cognacs Forgeron représentent toute la palette des savoir-faire de Grande Champagne : VS, VSOP ou XO, mais également Réserve, Napoléon ou Hors d’âge, ce sont plus de cinquante ans de passions à découvrir et à déguster. Pour cette année 2017, la distillerie propose la Barrique 68, un cognac brut de fût vieillit près de cinquante ans. La Barrique 68 existe seulement en six exemplaires disponibles à la vente jusqu’à la fin de l’année. ...
Viavino, un lieu de vie où traditions camarguaises, patrimoine séculaire, délices du terroir et paysages atypiques se côtoient en vue de révéler les richesses de la région languedocienne. La création en 2013 de ce pôle œnologique unique, regroupant des espaces extérieurs aménagés ainsi que des bâtiments s’inspirant de l’identité vinicole du territoire, s’inscrit dans une démarche collective et fédératrice entreprise par le maire de Saint-Christol, Jean-Luc Bergeon. En famille, entre amis ou entre collègues, découvrez ensemble un territoire du sud de la France propice à la détente et à l’aventure au travers d’activités ludiques et gourmandes. Viavino : un joyau au cœur des vignobles « Ce projet de territoire, appuyé par la communauté de communes du Pays de Lunel, se veut être la vitrine du patrimoine local à résonance vitivinicole », nous explique Madame Juliet Houdart-Valot, directrice du site. Pilier du développement touristique et économique de ces quinze communes à majorité rurale, le projet s’est largement inspiré d’une région à la nature préservée, perdue entre plaines, mer et vignes. C’est d’ailleurs pour rendre un hommage à cette nature ô combien généreuse que les bâtisses composant le complexe de deux hectares ont été conçues dans le respect de l’environnement. L’architecture de la capitelle, du patio, de la halle camarguaise, du musée dédié au terroir ainsi que du caveau-boutique a ainsi été pensée en vue d’assurer leur parfaite intégration dans le paysage. Matériaux locaux et sains, isolation thermique naturelle sans chauffage ni climatisation, lumière naturelle ou économie d’énergie grâce à l’usage de panneaux photovoltaïques sont autant de dispositifs écologiques pensés par l’architecte Philippe Madec, récompensé à plusieurs reprises pour son engagement en faveur de l’architecture écologique. « Ce site de bois et de pierre, à l’empreinte résolument œnologique, est ainsi complètement écoresponsable avec des petits clins d’œil aux bâtiments agricoles », continue Madame Houdard-Valot. La promesse d’une véritable immersion dans le patrimoine vinicole du Pays de Lunel « Grâce aux bâtiments articulés autour d’une place, le concept est ici de créer un village dans le village », reprend notre interlocutrice. Afin de recréer ainsi cette âme villageoise, chaque détail a été pensé afin de permettre aux visiteurs de déambuler dans un espace ouvert, à l’image d’un village, où tout rappelle les traditions, le vin, la joie de vivre ainsi que l’histoire d’une région révélée artistiquement dans un espace propice à la découverte. La place, surplombée par une sculpture en hommage à un célèbre taureau, accueille également une aire de jeux à l’endroit des enfants avec une arènes de jeux en bois. Les adultes pourront alors s’imprégner de l’histoire vitivinicole millénaire du terroir en visitant le musée dédié, en errant dans le vignoble pédagogique ou en parcourant le somptueux jardin aromatique. De plus, des détours gourmands ponctués de dégustations animées par la sommelière œnologue Marie-Hélène Dal Cin sont organisés dans l’atelier du goût. Passez par la boutique-vin aménagée à la manière d’un caviste pour découvrir un vin ou goûtez aux produits du terroir dans un restaurant fleurant bon la gastronomie locale. Un pass dégustation vous donnera d’ailleurs la possibilité de découvrir trois vins de la région, dont le fameux muscat de Lunel, tout cela dans un espace où l’événementiel trouve aussi sa terre d’expression avec des soirées-concerts en compagnie des vignerons et des spectacles organisés sur un amphithéâtre de verdure. ...