Acheté en 2012 par le propriétaire actuel, le Château Moncets a profité d’une transformation radicale. En 2015, sera intégré à l’exploitation le Château Chambrun et son vignoble. Des vins de Bordeaux bio respectant le terroir Divisé en parcelles, le domaine qui se trouve à la croisée des appellations de Pomerol et St Emilion est travaillé pour mettre l’accent sur les caractéristiques naturelles du terroir. Enherbement choisi, travaux en verts maitrisés et vendanges manuelles sur mesure contribuent à la qualité du vin. Ensuite, les jus sont vinifiés dans un chai gravitationnel et parcellaire thermo-régulé. Pour les parcelles les plus qualitatives, une vinification intégrale en barrique (fût de chêne français) sera réalisée afin d’extraire tout le potentiel du millésime. Cela permet de créer des vins, tels que le savoureux Château Moncets, qui seront ensuite vendus via le caveau de dégustation ou la boutique en ligne. ...
Sous le charme authentique au décor intimiste et raffiné d’un établissement 5 étoiles, le lieu séduit par son ambiance méditerranéenne, enveloppée d’un léger romantisme. L’établissement saisit l’occasion du printemps pour ouvrir son patio florentin et laisser apparaitre une charmante fontaine surplombée d’une façade en trompe-l’œil, afin de permettre aux clients de vivre une exceptionnelle Dolce Vita. Une cuisine de haute tenue Créatif et talentueux, le chef Ugo Gastaldi se plait à composer de belles assiettes où le meilleur des saveurs italiennes se dévoile au grand plaisir des gourmets et des gourmands. Des atouts incomparables qui lui valent de proposer une carte aux charmes méditerranéens au sein du restaurant l’Assaggio et de faire du Castille une référence parisienne. Découvrez une carte variée qui change au gré des saisons avec un très large choix de vins d’Italie qui permettent de belles associations. ...
La Table de l’Ours, un restaurant gastronomique rendant un bel hommage à la richesse culinaire française. Ici, les produits locaux et régionaux se retrouvent dans une cuisine traditionnelle inventive où chaque plat distille des saveurs uniques. Les assiettes gourmandes, goûteuses et fidèles à leur terre, se dégustent à la lumière d’une cheminée révélant un décor de bois et de pierre, un cadre intimiste, chaleureux et raffiné, propice au régal et à la détente. A ces délices servis dans un havre de paix en haute montagne viennent s’ajouter un accueil et un service professionnels empreints de l’hospitalité et de l’amabilité des grands hôtels. Un haut-lieu de la gastronomie des Alpes Poussé par l’envie d’offrir des plats de qualités, le restaurant gastronomique « La Table de l’Ours » met un accent particulier sur le choix de ses produits tout en essayant de promouvoir les acteurs locaux. Le repas s’anime autour d’une cuisine simple et subtile dans laquelle truffes, poissons, fromages des alpages et autres ingrédients révèlent toutes leurs saveurs. Ces produits du terroir choisis au gré des saisons, sont mis en valeur par une équipe dirigée d’une main de maître par Antoine Gras, afin de vous faire passer un agréable moment autour de tables dédiées au régal, au partage et au plaisir des sens. Théâtre de nombreux évènements L’hôtel organise, par ailleurs, des soirées à thème axées sur la découverte d’un vin ou sur un évènement marquant en particulier, un calendrier évènementiel évoluant au fil des ans à surveiller. Vos dîners en famille, vos escapades gourmandes à deux ou vos soirées entre amis et/ou collègues seront alors empreintes de traditions, d’histoires et de cultures alpines, des instants de bonheur à la convivialité retrouvée. ...
Pour expliquer le succès de l’Ecole, on y retrouve comme principale qualité l’efficacité et la diversité. En effet, le Groupe ESPI propose un cursus riche afin d’élargir le panel de choix des étudiants. Pour cela, elle propose différents bachelors, tous orientés aux métiers de l'immobilier. Une école aux cursus diversifiés • Le Bachelor « Gestionnaire d’Affaires Immobilières » (GESAI), spécialisé dans la transaction et dans la gestion immobilière. Le titre délivré est reconnu par l’Etat, niveau 6. Il permet l’obtention des trois cartes professionnelles. Pour poursuivre le programme en 2ème ou en 3ème année, l’étudiant doit être titulaire d’un Bac+ 1 / 2 validé. • « Management, Administration et Gestion de l’Immobilier » (MAGI) Une fois le parcours GESAI achevé, les Espiens peuvent continuer en entamant ce master. Tout au long du cursus, ils apprendront la gestion juridique, technique et financière des actifs immobiliers. À l’issue de leur Bac+5, ils pourront devenir des Property managers accomplis, des administrateurs de biens ou encore des Responsables d’affaires. • « Manager en Aménagement et Promotion Immobilière » (MAPI) Les cours magistraux se concentrent sur l’aménagement ou la rénovation urbaine et le montage d’opérations. Il s’agit du Master phare du groupe universitaire puisqu’il tient pour objectif de former des futurs cadres dans le marché. Ainsi, le MAPI est fait pour ceux qui souhaitent exercer le métier de prospecteur foncier, directeur de projet ou responsable du développement immobilier. • « Manager en Ingénierie de la Finance Immobilière » (MIFIM) MIFIM résulte du lien naissant indéniable entre les domaines de la finance et de l’immobilier. Au terme de leurs études, les étudiants seront en mesure de maitriser les financements et en analyser les risques. De plus, ils développeront leur savoir-faire concernant l’acquisition et la valorisation des actifs immobiliers. • « Manager en Immobilier Durable et Innovant » (MIDI). Ce Master Professionnel est le dernier en date. Il dispense un enseignement détaillé sur le développement durable, les stratégies et le management. En incluant la Finance verte dans leur cursus, le groupe ESPI inclut une problématique actuelle au cœur même des métiers de l’immobilier. • « Manager en Entreprenariat et Projets Immobiliers » (MEPI) Afin de soutenir les grandes ambitions des apprenants, le MEPI a été mis en place. Le long de leur parcours, ils boosteront leur confiance en soi pour réaliser progressivement leur rêve de piloter une entreprise immobilière. ESPI, un formateur qui s’adresse à tous Le Groupe ESPI se veut accessible et pratique pour tous les amoureux de la sphère immobilière. Ainsi, il offre plusieurs possibilités adaptées à chaque cas. L’enseignement à temps plein est fait pour les étudiants qui veulent uniquement se concentrer sur la face académique de la formation. Il dure 6 mois et est suivi d’une période de stage. En revanche, les cours en alternance soulignent l’importance de l’immersion professionnelle dès la formation. Comme son nom l’indique, ils alternent l’emploi du temps de l’Espien en lui proposant 1 semaine de cours présentiels et 3 en entreprise. La loi française exige une formation de 14 heures tous les 2 ans pour pouvoir mettre à jour sa carte professionnelle. Le Groupe ESPI ouvre ses bras aux dirigeants, managers, agents de maîtrise et assistants qui souhaitent se perfectionner davantage. Entre 2020 et 2021, près de 1200 professionnels ont bénéficié d’une formation en alternance. Des visioconférences et de l’E-learning sont proposés pour compléter les cours présentiels. Un dispositif handicap associé à des formations professionnelles Si les handicaps physiques et mentaux ont longtemps été un frein dans la poursuite des études, ESPI veut mettre fin à cela. Le directeur de l'établissement soutient que les différences ne devraient pas être un obstacle à l'éducation. Le groupe s'engage à apporter sa contribution en offrant des aides administratives et financières aux personnes à mobilit...
Nous sommes en 1967 lorsque des viticulteurs, animés par une passion commune pour le vin, décident de fonder une cave en hommage à leurs terres. Véritable ambassadrice d’un patrimoine commun, cette cave se trouve être le point d’orgue de l’excellence de la culture vitivinicole du Haut-Languedoc. La noble quête de la qualité Ce sont près de 80 viticulteurs qui s’attellent à offrir le meilleur de leurs vignes plantées en coteaux au travers des cuvées emblématiques. Leurs parcelles ont été sélectionnées en se basant sur leur qualité, leurs points communs, ainsi que la maturité de leurs raisins. « Cette sélection parcellaire, effectuée avant les vendanges manuelles, permet d’identifier le potentiel de chacune de ces parcelles », nous explique Alain Rogier, Directeur Général de la cave. Les cépages, pour ne citer que la syrah, le mourvèdre ou encore le grenache noir, bénéficient également d’un traitement phytosanitaire respectueux de l’environnement et préservant le goût de chaque grappe. Chaque cuvée devient ainsi un fidèle représentant de ce terroir bénéficiant de trois appellations : l’appellation Languedoc, l’appellation Saint-Chinian et l’appellation communale Saint-Chinian-Roquebrun. Cette dernière, octroyée en 2004, fait la fierté de ces artisans de la terre et la particularité des cuvées de la cave de Roquebrun. Dans cette unité vinicole, « le processus de transformation du raisin au vin se fait [d’ailleurs] sous l’égide d’un œnologue qui n’est autre que le Directeur de la Cave », précise notre interlocuteur. À ce gage de qualité s’ajoute le fait que cette cave « est bâtie sur le modèle des caves du Beaujolais par l’existence d’un plateau de macération carbonique », continue-t-il. Les vins de la cave bénéficient ainsi d’une typicité basée sur une aromatisation naturelle poussée. Égayez ainsi vos instants gourmands de ces vins aromatiques à souhait, à l’instar de la Grange des Combes, un 50 % syrah raffiné et doté d’un bouquet élégant, ou d’une Roches Noires, un 60 % syrah au nez accompli et à la bouche exquise. ...
Situé au cœur du Beaujolais, ce moulin bicentenaire a repris vie par le plus grand des hasards. Fruit d’un heureux concours de circonstances, qui a pourtant permis le début d’une très belle aventure familiale, il est aujourd’hui à la tête de plusieurs variétés d’huiles qui se valent les unes autant que les autres. Il était une fois une quincaillerie… Loin d’être banale, l’histoire de l’Huilerie Beaujolaise a débuté en 1981, à l’époque où Nedda et Dario Montegottero (les parents de Jean-Marc) ont fait l’acquisition d’une ancienne quincaillerie dont l’arrière-boutique abritait les vestiges d’un moulin à huile datant du XIXe siècle. Se lançant un véritable défi, Jean-Marc a voulu insuffler une seconde jeunesse à cet atelier providentiel qui est resté près de sept ans dans son état originel. De la passion au savoir-faire Afin d’acquérir le savoir-faire indispensable à l’activité, Jean-Marc s’est formé auprès du célèbre huilier Gustave Pascal en Isère pour apprendre toutes les ficelles du métier et s’est animé d’une véritable passion. Il s’est ensuite lancé dans une première activité saisonnière articulée autour du travail à façon en 1982. Il faut dire qu’à cette époque, les habitants du Beaujolais avaient pour habitude de venir apporter les matières premières de leur choix pour ensuite repartir avec de l’huile, sous forme de produit fini. Avec l’aide de son père Dario, mécanicien de métier, la rénovation du matériel et des locaux n’ont jamais été entre d’aussi bonnes mains. En cinq ans, cette activité saisonnière locale a cédé sa place à une activité à plein-temps et a gagné progressivement du terrain à l’échelle internationale. Les best-sellers des huiles vierges Authentique producteur d’huiles vierges, l’Huilerie Beaujolaise propose trois gammes de produits. Dans la catégorie des huiles vierges de fruits secs et graines, l’huile vierge de noisette est une huile très prisée des clients ; dans la catégorie des huiles de macération, l’huile d’olive et de cèpes se distingue particulièrement du lot. Quant à la gamme des vinaigres de fruits, nul ne peut rester indifférent au vinaigre de calamansi. ...
Situé à proximité immédiate de l’aéroport de Toulouse et à 15 min du centre-ville, le prestigieux hôtel Radisson Blu de Blagnac est une belle découverte qui permet d’explorer dans les moindres détails le cadre reposant de deux restaurants aux noms évocateurs : La Vie en rose et L’Écrin. Installé notamment dans le jardin particulièrement verdoyant de l’hôtel, dans un cadre composé en grande partie de vignes, le restaurant La Vie en rose s’enveloppe d’un décor feutré à l’ambiance lounge où se marient à merveille l’authenticité des produits chauds du Sud-Ouest et les saveurs d’ailleurs, dans une inspiration originale. Une cuisine créative et traditionnelle Le restaurant La Vie en rose se démarque par sa cuisine traditionnelle et originale aux notes rafraîichissantes qui allie à la fois la pertinence d’une touche créative et l’élégance d’une pointe de raffinement. Une belle signature qui confère à l’enseigne un cachet particulier. À travers un voyage culinaire aux couleurs du monde qui invite à la découverte, le talentueux chef Gérald Potron et son équipe sauront ravir les fins palais ainsi que les inconditionnels de la cuisine simple et créative, sans pour autant sacrifier la tradition. Laissez-vous guider dans cette belle aventure, où le talent et l’imagination font bon ménage, au grand plaisir des habitués et des visiteurs de passage. Une touche exotique aux saveurs d’Orient Gérald Potron s’inspire en grande partie de la cuisine japonaise dans la préparation de ses plats, une tendance qu’il a d’ailleurs su merveilleusement partager avec son équipe qui y trouve de belles associations. L’établissement propose le midi une formule « Vol de jour », bien connue des habitués, composée de 1 entrée + 1 plat ou de 1 plat + 1 dessert, café inclus, à 21 €, si ce n’est l’option entrée + plat + dessert, café inclus, à 27,50 €. Ce menu est parfait pour les déjeuners d’affaires. En soirée, la carte propose une myriade de suggestions gourmandes. En entrée, les convives se laisseront tenter par un nougat de foie gras, accompagné d’une purée cardinal, tube de peinture à l’orange amère. En plat de résistance, place au filet de daurade royale, servi avec des écailles de courgettes et un risotto au parmesan. En guise de bouquet final, rien de tel qu’un crémeux au citron « Lemon curd » pour flatter les papilles. Une carte des vins particulièrement fournie Au grand bonheur des amateurs de bon vin, le restaurant La Vie en rose peut se targuer de posséder une carte de vins éclectique et particulièrement bien fournie. L’enseigne est ainsi en mesure de proposer des vins du monde et de région qui, selon leurs arômes et leur teneur, vont idéalement accompagner les repas. À la demande des clients, certaines marques pourront également être suggérées pour relever la saveur des plats, dans une belle alliance. Un service d’exception Disposant d’une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 200 couverts, le restaurant La Vie en rose est un endroit idéal pour abriter les grands évènements et les retrouvailles en famille ou entre amis. On y revient par plaisir et on se laisse toujours surprendre par son cadre accueillant à l’ambiance conviviale et sa cuisine savoureuse et raffinée. L’établissement donne également aux parents la possibilité de commander pour leurs enfants un menu qui leur est adapté. ...
Avec un peu plus de 3 millions de Français qui en sont atteints, soit 4,5 % de la population, les maladies rares constituent un enjeu majeur de santé publique. Faisant figure de pionnière dans le domaine, la France est le premier pays européen à avoir déployé un plan national de grande ampleur visant à favoriser l’accès au diagnostic et à améliorer la prise en charge des malades. Et les filières maladies rares sont un rouage essentiel de cette organisation. Assurer l’interface entre les différents acteurs du domaine des maladies rares Créées dans le cadre du second plan national (PNMR 2011-2014), les filière de santé maladies rares s’articulent autour de pathologies présentant des aspects communs (symptômes, prise en charge, etc.). Ces organisations ont pour objectif de coordonner les actions (expertise, recherche, enseignement, formation…) qui sont menées afin d’améliorer la prise en charge des malades. Les filières constituent donc une « interface entre les acteurs du domaine des maladies rares » précise Anne Chevrier, chef de projet maladies rares-Ministère de la Santé. Parce qu’elles « décloisonnent » le système, elles favorisent la communication entre les maillons de la chaîne de soins. En effet, chacune des 23 filières maladies rares regroupe un large panel d’intervenants : centres de référence maladies rares (CRMR), centres de compétences (CCMR), laboratoires de diagnostic, unités de recherche, structures médico-sociales, associations de malades… Chargée de leur animation, la DGOS (Direction Générale de l’Offre de Soins) permet aux filières d’avancer de façon mutualisée sur des problématiques transversales et de communiquer entre elles. « Les filières de santé maladies rares apportent une véritable valeur ajoutée au parcours de soins des malades » remarque Hélène Dollfus, médecin hospitalo-universitaire spécialisée dans la génétique médicale et l’ophtalmologie à Strasbourg. Simplifier la lisibilité de l’organisation La précocité du diagnostic est essentielle. Plus vite une maladie rare sera diagnostiquée, plus vite la prise en charge du patient par un centre de référence/compétences adapté à sa pathologie pourra démarrer et plus grandes seront les chances sinon de guérir la maladie, à tout le moins de ralentir son évolution. Mais parce qu’il subsiste des gènes qui n’ont pas encore été identifiés, diagnostiquer une maladie rare peut se révéler extrêmement difficile. « L’errance diagnostique dure, en moyenne, quatre ans » précise Sophie Bernichtein, chef de projet de la filière Maladies Rares Brain Team. Et parce qu’ils sont peu confrontés à ces pathologies, beaucoup de médecins ne les envisagent pas dans leur diagnostic. « C’est une véritable culture du doute qu’il faut contribuer à développer » indique Sophie Bernichtein. En rendant l’organisation plus lisible et plus accessible, les filières facilitent l’orientation des patients vers les centres adaptés et contribuent à réduire l’errance diagnostique. « Il est essentiel de simplifier l’offre de soins » précise Sophie Bernichtein. Une répartition des rôles clairement définie Les maladies rares se caractérisent par leur faible prévalence (la commission européenne a fixé le seuil à cinq personnes atteintes sur 10 000) mais aussi par leur complexité. En termes de diagnostic comme de prise en charge. Celle-ci « implique des intervenants multiples dont il faut coordonner l’action » précise Sophie Bernichtein. Les réseaux étant pluridisciplinaires, « aux équipes médicales s’ajoutent des psychologues, des assistantes sociales, des kinésithérapeutes, des nutritionnistes, etc. Chaque centre réunit des professionnels dont la spécialité est adaptée aux pathologies traitées » indique Anne Chevrier. Médecins traitants et associations de malades sont également sollicités. Des modèles de simplification, basés sur une répartition claire des mi...
Inscrite au patrimoine viticole de la région languedocienne, la cave historique d’Agel au sein de laquelle sont faites les vinifications a été reprise en 2011 par Gontran Dondain, grand passionné de vin et du Languedoc. Après de nombreuses rénovations, cette cave, construite en 1936, a repris son activité lors des vendanges 2014 du vignoble Mas Roc de Bô, lui-même acquis en 2003. Un terroir unique Le vignoble de Mas Roc de Bô est un domaine de 35 hectares perché en altitude sur le plateau de Cazelles. Son terroir, aux aspects lunaires, est constitué de calcaire fissuré, entrecoupé de couches d’argile rouge et d’humus, favorable à la régulation hydrique de ses pieds de vigne. Les pierres blanches qui recouvrent le domaine accumulent la chaleur du jour pour la restituer à la vigne la nuit. Le climat méditerranéen sec et le souffle ininterrompu de la tramontane ont pour effet de retarder la maturité des raisins, à l’origine de la puissance aromatique et de la fraicheur des vins. En 2014, une démarche a été menée auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) afin de faire reconnaitre le terroir unique de Cazelles en Cru du Languedoc avec celui de La Livinière. Un terroir pour deux collections Depuis sa reprise, Mas Roc de Bô produit des vins rouges, Blancs et Rosés à partir de 6 cépages, à savoir le carignan, le grenache, la syrah, le mourvèdre, le cabernet sauvignon et le vermentino. Le domaine décline sa production en deux collections issues de la vinification parcellaire : « Pépite » et « Émotions ». Les cuvées de la collection « Pépite » sont en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles sauf la « Pépite Originale », qui est en IGP Côtes du Brian. La collection « Émotions », quant à elle, met en avant des cuvées de caractère. Les vins millésimés en 2014 sont tous en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles. "Précieux" L’âge n’est pas toujours synonyme d’excellence, preuve pour la cuvée de prestige « Vinum Clarum 2015 », le Rosé Précieux de la collection « Pépite », qui nous livre une robe rose pâle, un nez minéral, frais et intense, avec des notes de fraises et de petits fruits rouges. Ce rosé de gastronomie est idéalement servi avec un nid de mesclun aux poivrons marinés, caviar d’aubergines, olives et thym et sa chips de betterave. ...
À la suite des différents scandales autour de l’industrie de la viande, les Français sont de plus en plus exigeants quant à la qualité de viande qu’ils consomment. Et cette qualité, ils ont l’assurance de la trouver en quelques clics chez Éric Pineau. Des produits venant directement du producteur Pour pouvoir se procurer des produits d’exception sans passer par des intermédiaires, les consommateurs sont invités à se rendre sur le site et y passer leurs commandes. Les viandes proposées sont issues uniquement de la race charolaise. Elles proviennent de la ferme familiale située dans la commune du Voide (Maine-et-Loire) qui compte un cheptel de 70 bovins. Une fois par mois, la famille Pineau procède à une vente. Afin d’apporter du goût et de la tendreté à la viande, une maturation de 15 à 20 jours est nécessaire. Un artisan boucher s’occupe ensuite de la préparation des colis en fonction des différentes commandes. Une fois les colis préparés, place à la livraison express ! Sur ce point, Antoine Pineau, le fils d’Éric, souligne : « Nous vendons dans toute la France nos colis de viande issue de notre élevage. Ils partent directement de chez l’artisan boucher. » En collaborant avec le service chronofresh, les Pineau s’assurent du strict respect de la chaîne du froid. Des colis personnalisés En fonction de leurs besoins, les consommateurs peuvent se procurer des colis de viande de 5, 10, 15 ou 20 kg. Par ailleurs, ces derniers ont la possibilité de personnaliser leur colis. Ils ont ainsi droit à 50 % (au choix) de viande à cuisson rapide et 50% (au choix) de viande à cuisson longue et/ou de steak haché et/ou de saucisses. « On est les seuls en France à proposer aux clients de personnaliser directement sur le site leurs colis de viande », explique Antoine Pineau. Et au cas où le consommateur manquerait d’idée sur la manière de cuisiner la viande, de nombreuses recettes via le site Internet sont à découvrir. Ces suggestions gourmandes viennent des blogueurs qui travaillent en partenariat avec Éric Pineau. « Les blogueurs reçoivent nos produits, les testent, donnent leur avis et en contrepartie, ils écrivent des recettes », rajoute Antoine Pineau. ...
À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes. Un emplacement privilégié Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie. Une délicieuse cuisine aux accents de Provence Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles. ...
C’est au bord du couloir rhodanien que le Beaujolais accueille les amoureux du bon vin, les férus d’histoire mais également les passionnés de la nature. Arpentez ainsi la fameuse route des vins pour découvrir les 12 appellations d’exception : les dix crus, les Beaujolais Villages et les Beaujolais issus du cépage Gamay, aux saveurs agrémentées de forêts aux cimes tutoyant le ciel, de villages en pierres dorées, de formations géologiques imposantes et inédites, de châteaux révélant tout leur mystère ainsi que de vallées envoûtantes bercées au rythme d’une nature généreuse. La nature dans toute sa splendeur D’est en ouest, du nord au sud, le Beaujolais vous réserve des surprises qui vous rempliront d’amour et d’admiration pour cette terre bénie. Le Sud, avec ses villages sertis de vignes, aux bâtisses faites de pierres dorées, vous offre un spectacle inoubliable illuminé par les rayons révélateurs du soleil. Les terres viticoles aux paysages vallonnés du Nord, riches de panoramas appelant à la détente, seront également l’occasion de s’adonner à la visite des domaines viticoles, aux promenades dans les vignobles, mais aussi à la dégustation des fameux vins du Beaujolais. Rejoignez maintenant l’Ouest boisé de Douglas, les plus hauts pins d’Europe, contrée propice aux balades et aux randonnées avec plusieurs pistes VTT, d’ultra-trail et de chemins de randonnée. Également appelé poumon vert d’Europe, ce Beaujolais vert est la promesse d’un dépaysement en communion avec mère nature. Découvrez, entre autres, sur votre chemin, 146 villages d’exception dont Oingt, classé plus beau village de France, des châteaux de la Renaissance, des églises romanes ainsi que de nombreux musées, à l’instar du musée Paul Dini dédié à l’art de la région Rhône-Alpes. Flânez également dans le centre-ville de Villefranche-sur-Saône, capitale historique du Beaujolais dotée de monuments historiques tels que Notre Dame des Marais, un fleuron du patrimoine beaujolais. ...
A deux pas du Centre Mériadeck, une maison au charme indéniable attire et séduit : Le Clos d’Augusta. Installé dans l’ancienne Bûcherie, le restaurant fait la fierté de ses propriétaires Samuel et Cristina Zuccolotto depuis maintenant treize ans. Avec dynamisme et passion, ils se surpassent au quotidien dans le but de satisfaire au mieux les attentes de leurs convives. En cuisine, Samuel enfile sa toque et surprend avec ses plats aussi originaux que savoureux. En salle, Cristina s’occupe de l’accueil et apporte une attention particulière à chaque convive tout au long de leur repas. Un havre de paix en pleine ville Dès l’entrée, la salle dégage une douce chaleur qui confère une ambiance feutrée et cosy. Travaillée et soignée, la décoration allie à la perfection le parfait mariage entre l’ancien et le contemporain. D’un côté, la salle arbore le style colonial et opte pour une couleur beaucoup plus sobre afin de ressortir son côté raffiné. De l’autre, le mélange blanc et vert révèle un brin de dynamisme et apporte de la modernité à l’ensemble. Mais au Clos d’Augusta, rien n’a été fait au hasard. A commencer par cette couleur verte qui a une importance particulière pour Samuel. En effet, elle reflète sa passion pour le golf. Ainsi, la moquette, les poutres apparentes et les vaisselles portent cette teinte vivifiante. D’ailleurs, il confie que le nom du restaurant a été inspiré par Augusta, le célèbre tournoi des maitres dédié aux golfeurs professionnels. Par ailleurs, la disposition des tables vise à apporter plus d’intimité, un critère particulièrement important pour une clientèle exigeante. Pour couronner le tout, les lumières subtilement disposées à travers la salle apportent un coup d’éclat à l’ensemble. Et, à l’extérieur, le jardin du restaurant prépare à une toute autre surprise. Véritable havre de paix, c’est l’endroit parfait pour un diner ou un déjeuner en toute sérénité. L’occasion pour les convives de passer une expérience culinaire inédite tout en admirant la beauté de la nature. Une cuisine créative Mais la surprise ne s’arrête pas à la décoration, elle est aussi et surtout présente dans l’assiette. En effet, les plats surprennent autant par leur présentation que par leur goût. Derrière ce grand art se cache un chef créatif et méticuleux : le chef Samuel Zuccolotto. Sans chichi, il revisite à la perfection les grands classiques et apporte une touche personnelle qui révèle sa parfaite maitrise des textures et des saveurs. Sans les dénaturer, il transforme les produits soigneusement sélectionnés sur le marché en des vrais chefs-d’œuvre culinaires. Parmi ces spécialités : le ravioli de langoustines, maïs à la vanille et voile de pistache qui révèle toute la fraîcheur des saveurs marines, le succulent dos de lieu jaune de ligne aux coquillages et céleri fondant qui promet une aventure gustative riche en émotions ou encore le dessert tout chocolat à la confiture de mangue qui apporte une sensation de douceur. Il est à noter que pour chaque plat, le chef arbore fièrement le « fait maison » y compris pour le pain. A midi, avec le menu affaire à 25 €, le chef Samuel propose une entrée, un plat de résistance et un dessert. Le soir, les convives peuvent composer eux-mêmes leur menu en optant pour l’Augusta à 47 € ou se laisser surprendre par un menu, choisi pour l’ensemble de la table avec la formule découverte à 67 €. En outre, il propose une carte qui évolue au rythme des saisons et qui se compose de plats particulièrement raffinés. Pour accompagner le repas, Cristina expose la magnifique collection de vins de l’établissement et dévoile ainsi son talent de sommelière pour conseiller les convives dans leur choix. ...
À travers les saveurs d’une cuisine traditionnelle française, préparée à base de produits frais et de saison sélectionnés avec rigueur par le chef, la Brasserie Haussman nous surprend avec d’authentiques recettes à redécouvrir, chaque fois, par un plaisir renouvelé. Un cadre empreint d’élégance À travers une décoration à la fois ancienne et contemporaine inspirée du style Art déco des années 20, cette brasserie chic du quartier de l’Opéra se démarque par son plafond aux vitraux, son sol en parquet, ainsi que ses boiseries d’acajou et ses longues banquettes de velours rouge qui lui confèrent un caractère particulier. Dans une ambiance chaleureuse au service impeccable et soigné, les lieux se prêtent merveilleusement bien aux repas d'affaires ainsi qu'aux retrouvailles en famille, aux rencontres entre amis ou en amoureux. Comme toute adresse qui vaut réellement le détour, la Brasserie Haussmann est tout indiquée pour apprécier de réels moments de détente et de convivialité, où tout le monde trouve son compte, surtout les gourmands et gourmets. Profitez des plats soigneusement préparés et constamment améliorés par le chef, qui, à force de créativité et de savoir-faire, apporte le goût et le raffinement dans vos assiettes. L’enseigne n’a rien à envier à ses pairs, et c’est là toute la différence ! Elle vous accueille dans un cadre typiquement français, où se marient avec harmonie terrasse ouverte sur le boulevard Haussmann et décor atypique illuminé par un dôme en verre. Le raffinement dans les assiettes Grâce à une cuisine ouverte sur la salle, vous ne sentirez pas le temps passer en dégustant les nombreuses suggestions gourmandes du chef : Tagliatelles fraîches aux trois fromages, magret de canard landais et son potimarron rôti accompagné d’oignon confit et duo de raisin, Brochette de Saint-Jacques à la citronnelle, Lotte et son cele’risotto, Crumble de rhubarbe et sa glace au speculoos sont autant de découvertes culinaires à explorer. Chaque met est rehaussé par une belle sélection de vins. La carte fait le tour des plus grandes régions viticoles du pays allant de Bordeaux, à la Bourgogne, en passant par le Beaujolais, la Vallée de la Loire et la Provence. ...
Située au Montat, aux portes de Cahors, Biscuiterie fine de France est une entreprise familiale dotée d’une expertise et d’un savoir-faire artisanal à même de satisfaire tout type de projet et autres demandes spécifiques de ses clients. Pour la petite histoire Rachetée il y a de cela vingt-cinq ans par le couple Jean-Marie et Chantal Robert, la petite biscuiterie qui fabriquait alors des meringues en sachet s’est vite muée en une plus grande structure. Issu du secteur industriel, M. Robert décide d’adresser l’essentiel de la production aux industriels glaciers. Au fur et à mesure du temps et des demandes des clients, un savoir-faire biscuitier s’est développé au sein de l’équipe. En tout, une vingtaine d’employés s’attellent à réaliser des gammes très diversifiées qui touchent aujourd’hui un large panel de clients. Grâce à des outils de production performants alliés à un savoir-faire artisanal, Biscuiterie fine de France répond aux demandes, même les plus exigeantes. Les engagements Désireuse de promouvoir le savoir-faire français, Biscuiterie fine de France s’inscrit dans la démarche Clean Label. Ce qui implique une totale transparence au niveau des produits utilisés. Les ingrédients utilisés ne contiennent ni conservateurs ni exhausteurs de goût. Les colorants et arômes naturels sont davantage privilégiés. Du point de vue écologique, les collaborateurs sont engagés dans une démarche visant à économiser l’eau et l’énergie et à réduire les déchets. Des produits dédiés à tous La vocation première de Biscuiterie fine de France est de proposer des produits innovants aux industriels. Aujourd’hui, son expérience a permis la réalisation de créations de plus en plus abouties. Mis à part les traditionnelles meringues, l’entreprise fournit entre autres différents éclats de biscuits (palets bretons, spéculoos, crumbles, macarons) utilisables dans des préparations pâtissières comme les crèmes glacées ou les coupes de fruits. Pour les particuliers, l’entreprise a lancé récemment une gamme innovante d’aide pour la pâtisserie sous la marque « Biscuiterie fine de France » qui est disponible auprès des GMS. Le consommateur final aura ainsi accès à des produits de qualité qui n’ont rien à envier à la concurrence à l’instar des concassées de spéculoos, des éclats de palets bretons, ou encore un produit très innovant comme la chapelure de pain d’épice. ...
Depuis des années, cet endroit au décor intimiste est devenu le cocon de sérénité des amoureux avides de calme et de tous ceux qui sont en quête d’instants paisibles loin des agitations parisiennes. Des plats classiques à la saveur unique Au restaurant Le Temps au Temps, les plats classiques seront préparés passionnément avec des ingrédients de saison et retouchés avec créativité par Denis Sabarots. Le moment de relâche s’entame dès qu’on franchit les portes à baie vitrée du restaurant. Le long bar et les tables tout en bois satiné imprégneront les convives d’une ambiance calme, intime mais chaleureuse. Bien installé près de la grande horloge noire qui orne subtilement le mur, on pourra commencer à savourer la Tartine de merlan en escabèche en toute tranquillité. « C’est un filet de merlan cuit à la plancha, mis sur un pain de campagne et accompagné d’une garniture constituée de carottes, d’oignons, de vinaigre à l’alcool, de thym et d’huile d’olive », explique le chef. En guise de plat de résistance, le délicieux Cabillaud à la mousseline d'artichaut émoustillera vos papilles. Des morceaux d’artichaut cuits avec de l’eau, un peu de vin blanc, des oignons émincés et de l’ail écrasé puis mixés avec du beurre enrichiront le cabillaud. Un mélange de saveurs et d’arômes à découvrir absolument. Et pour achever ce périple avec douceur, rien de tel que le Sablé au chocolat et à la marmelade d’orange. Dans cette adresse hors pair, on se laisse également tenter par les nombreuses références de vins, qui seront à la hauteur de toutes les espérances pour assurer la touche qui ira parfaitement avec le décor et les mets copieux proposés par la maison. « Le Menetou Salon ou les vins Pierre Richard font partie de ceux qui marchent bien », selon Denis Sabarots....
D’un côté, l’Institut IRPALL. Cette structure fédérative de l’Université de Toulouse 2 Jean Jaurès développe des programmes de recherche pluridisciplinaire de pointe, tout en favorisant le partage culturel pour le plus grand nombre. De l’autre, l’opéra. Une oeuvre d’art total, mêlant musique, paroles, décors et activant voix, corps et jeu de scène. Etudier l’opéra réclame une démarche scientifique pluridisciplinaire, puisque plusieurs champs de spécialités et de compétences sont requis, de la littérature à l’histoire en passant par la mythologie. Il y a 7 ans, le Théâtre du Capitole et l’IRPALL ont signé une convention de partenariat. Associer une institution culturelle lyrique et une structure de recherche, toutes deux de renommée internationale, relevait du défi. Pari réussi : les structures organisent désormais diverses manifestations par an, des journées d’études (15 depuis le début du partenariat), des rencontres avec le public, des ateliers d’écoute, des conférences d’avant-spectacle, etc. Institut IRPALL : étudier l'opéra nécessite une démarche scientifique pluridisciplinaire Cette variété d’activités implique le monde universitaire dans son ensemble. Par exemple, les Journées d’études réunissent des chercheurs français et internationaux, spécialistes de littérature, de musicologie, de langues, d’histoire et d’art. Les rencontres avec le public associent les étudiants en musique, ainsi formés à la prise de parole en public et à la diffusion des savoirs. Animée par Michel Lehmann, directeur de l’IRPALL et spécialisé notamment dans l’opéra du XIXe, et Christine Calvet, secrétaire générale, forte d’une expérience de 20 ans dans le pilotage de la recherche pluridisciplinaire, cette Convention affiche son dynamisme : amateurs, mélomanes, artistes, critiques, étudiants, chercheurs et groupes scolaires fréquentent ces activités qui favorisent les passerelles entre recherche et création artistique, université et cité, quartiers urbains et centre-ville, publics avertis et éloignés. ...
Améliorez votre communication, à partir de ce qui est authentique en vous, en profitant de l’expertise du coach média Eric Messié. Un coaching média individuel ou collectif qui vous aide à changer votre comportement en travaillant vos points forts. Nous vivons dans un monde gouverné par la communication. C’est pour cela que le métier de coach média a de beaux jours devant lui. Durant un parcours de 22 ans dans l’audiovisuel, notamment sur de nombreux films d’entreprise, Eric Messié a contribué à plus de 6000 interviews dans le monde entier, concernant, tant des ouvriers d’usine que des présidents de multinationales. En tant que spécialiste du domaine, il vous propose des accompagnements personnalisés. Parmi eux, le Coaching Média vous aide à surmonter de nombreuses situations de prise de parole où la relation à l’autre est déterminante. Pour ce faire, il propose deux types de séances : coaching média individuel ou coaching collectif (3 personnes maximum). En amont d’une séance, vous pouvez aussi demander le support du GOLDEN (cartographie de vos points cardinaux énergétiques) qui vous aidera à mieux comprendre votre personnalité et la façon dont elle interagit avec les autres. Après un premier échange gratuit, vous profiterez d’entretiens filmés, de bilans et de plans d’actions précis. Au terme d’une ou plusieurs séances de deux heures, vous saurez mieux communiquer en vous appuyant sur vos points forts afin d’impacter efficacement votre interlocuteur ou votre auditoire. Eric Messié : un coach qui vous veut du bien Évidemment, en tant que professionnel du coaching, Eric Messié est apprécié pour son caractère bienveillant, sa capacité à écouter chaque personne qu’il rencontre et son engagement à respecter scrupuleusement le caractère confidentiel de chaque séance. À cela, vous rajoutez une personnalité dont les valeurs sont l’authenticité et le respect de la personne. Formé au métier de coach (reconnu par un titre professionnel de niveau Master I), et membre de la SFCoach, vous pouvez vous confier à lui à son bureau de Paris, ou au Vésinet mais aussi à proximité de votre lieu de travail. ...
Pouvez-vous nous présenter Maladies Rares Infos Services ? Il s’agit d’une association composée d’une équipe de professionnels (médecins, scientifiques) et qui propose une offre globale de services : informer sur les maladies rares, soutenir les patients et leurs familles, les aider à comprendre leur maladie, les orienter dans le parcours de soins mais aussi conseiller les professionnels de la santé et de l’accompagnement social. Des formations « sur-mesure » consacrées aux maladies rares sont d’ailleurs proposées aux professionnels. Nous permettons également à nos usagers d’être accompagnés pour signaler l’effet indésirable d’un médicament. Enfin, nous avons créé, en 2011, l’Observatoire des maladies rares, dont la mission consiste à collecter des données, dont nous manquions jusqu’alors, pour mieux connaître le quotidien des patients et ainsi faire en sorte de l’améliorer. Comment répondez-vous aux questions que l’on vous pose? Par téléphone, mail ou chat. Nous proposons aussi le « réseau social patients maladies rares ». C’est une vraie révolution qui répond à un réel besoin. Sur le Forum Maladies Rares qui regroupe plus de 300 communautés en ligne, les malades mais aussi leurs proches ont la possibilité d’échanger des informations et de partager leurs expériences. Ce réseau social représente aussi une formidable porte d’entrée vers les autres ressources dédiées aux maladies rares. Et chaque année, ce sont quelque 400 000 personnes qui le fréquentent. Sur quoi porte la plupart des questions ? Elles touchent à de nombreuses problématiques. Le plus souvent, les malades et leurs familles veulent comprendre la maladie et ses conséquences. Une autre demande concerne l’orientation des malades. Un patient peut, par exemple, nous solliciter pour être aiguillé vers le centre expert compétent. Beaucoup de questions touchent aussi au lien social. À ce titre, les associations et les communautés en ligne jouent un rôle très important en permettant aux malades de rompre l’isolement. Enfin, nous traitons un grand nombre de demandes qui ont trait à l’accompagnement social des personnes malades et de leurs familles : insertion scolaire, professionnelle, prise en charge, etc. Globalement, nos usagers veulent comprendre, être informés et qu’on les écoute. En quoi l’accès à l’information pose-t-il problème ? En France, on sait produire de l’information de qualité sur les maladies rares. Le problème serait plutôt la communication pour faire en sorte que le plus grand nombre ait accès à l’information disponible et la comprenne. Car c’est là tout le paradoxe : il existe des dispositifs pour prendre en charge les personnes malades, les aider, les accompagner. Pour autant, ces dispositifs sont très peu connus, non seulement des malades eux-mêmes mais aussi des professionnels qui ne sont pas spécialisés. D’où la nécessité de communiquer pour faire savoir qu’il est possible d’obtenir rapidement une information et d’être orienté - vers un centre expert, une association, un acteur de proximité, etc. - en s’adressant à un service de référence tel que Maladies Rares infos Services ou encore Orphanet. En centralisant les informations liées aux maladies rares et en bénéficiant d’une forte visibilité, nous offrons une porte d’entrée unique aux personnes touchées par une maladie rare ainsi qu’aux professionnels avec un objectif : faciliter le parcours de santé et de vie au bénéfice de tous ses acteurs. ...
Volupté, extase des sens et subtiles saveurs méditerranéennes se retrouvent dans chaque cuvée du terroir tropézien. Les vignes s’épanouissent sur une terre de gneiss métamorphique bénéficiant d’un ensoleillement idéal, et d’une légère brise marine conférant toute sa typicité au vin. Symbole de l’art de vivre à la tropézienne, cette cave figure parmi les plus grandes références dans le monde vinicole. Un terroir d’expression singulier Ce sont 180 hectares de vignobles perdus entre terre et mer, traités dans le respect de l’environnement, qui produisent un vin caractéristique rendant hommage à une terre bénie. Les particularités géologiques et climatologiques riches de ce terroir favorisent l’obtention de cuvées riches en saveurs, matures et complexes. « Ce vignoble au cœur du village de Saint-Tropez se veut [ainsi] être le fier représentant de l’identité tropézienne », nous confie Alain Guichet, directeur de la cave. Les vignobles de Saint-Tropez se font aujourd’hui les défenseurs zélés de cet héritage vinicole précieux. Chevalier Torpez : une ode au village Parmi les gammes emblématiques de la cave, la gamme provençale Chevalier Torpez fait fière figure d’ambassadrice de l’excellence vinicole tropézienne. Décliné en rosées, en domaines ou en bruts tradition, Chevalier Torpez est « un mélange d’histoire et de traditions », continue notre interlocuteur. En effet, en s’inspirant de l’histoire du chevalier Torpez, régisseur du temps de l’empereur romain Néron et élevé au rang de saint après être mort en martyr au nom de sa foi, l’origine de cette gamme ambassadrice est intimement liée à celle du village. Appréciez ainsi, lors de vos instants gourmands, les cuvées de cette gamme incluant le vin Château la Moutte, « produit dans un domaine ambassadeur de 4 hectares, dont le vignoble en coteaux, établi sur la pointe de Salin, fait face à la mer », reprend Alain. ...
L’ostéopathie, une pratique reconnue et réglementée L’ostéopathie est une méthode thérapeutique qui permet, grâce à des manipulations et des mobilisations de venir à bout de problèmes « mécaniques » de blocage ou de perte de mobilité (lumbago, torticolis, entorses, etc.). Avec ses mains pour seuls outils, l’ostéopathe ne saurait, par conséquent, se substituer au médecin, ni au kinésithérapeute qui rééduque ses patients. Pour autant, il n’est pas nécessaire d’attendre d’être coincé ni de souffrir le martyr pour consulter un ostéopathe. En effet, l’ostéopathie a aussi un rôle préventif. Une autre particularité de cette méthode thérapeutique tient au fait qu’elle analyse le fonctionnement de l’individus et les interactions mécaniques de son environnement. Le praticien dressera alors un bilan complet afin de déterminer les facteurs de risques à l’origine de la douleur et pourra proposer des conseils personnalisés à son patient. À titre d’exemple, il peut arriver qu’une douleur lombaire soit la conséquence d’une mauvaise posture de travail. Et là où le médecin prescrira généralement des anti-inflammatoires, des analgésiques ou des décontractants, l’ostéopathe, quant à lui, travaillera donc sur les articulations lombaires de son patient pour le soulager mais il proposera également des conseils pour modifier les conditions de travailà l’origine de la douleur. Une approche biomécanique de l’ostéopathie Là où Ostéobio se distingue des autres établissements qui enseignent l’ostéopathie, c’est notamment du fait de la large part qu’elle accorde à la biomécanique dans son enseignement. « La biomécanique » explique Jean-Michel Robert, Responsable de la communication de l’école, « c’est l’étude des forces qui s’appliquent aux articulations et aux viscères. Et c’est précisément l’importance accordée à la biomécanique dans le cadre de la formation qu’elle dispense qui constitue la valeur ajoutée d’Ostéobio ». Créée en 1988, la plus ancienne école d'ostéopathie française en formation initiale a toujours fait de l’efficacité son maître-mot envisage donc l’ostéopathie comme une « application purement clinique et thérapeutique de la biomécanique ». La finalité de l’ostéopathie telle qu’elle est enseignée et pratiquée dans les locaux d’Ostéobio n’est donc pas de combattre le stress des patients mais bien de les soigner en traitant les troubles fonctionnels musculo-squelettiques (80 % des motifs de consultations en ostéopathie) dont la cause mécanique aura été diagnostiquée. « Certaines écoles d’ostéopathie sont davantage orientées vers le bien-être des patients. Leur enseignement diffère de celui d’Ostéobio car il y est question de fluides, d’énergies ou encore de sensations. Axée sur la biomécanique, à la fois pragmatique et scientifique, notre conception de l’ostéopathie, est au contraire tournée vers l’efficacité et le résultat. Chacune des techniques que nous utilisons a fait l’objet, au préalable, d’une validation scientifique. Elles sont donc toutes à l’épreuve de la réalité scientifique. La place prépondérante donnée à la pratique Riche de ses trente années d’expérience, Ostéobio associe systématiquement l’enseignement théorique à une pratique régulière des gestes et des techniques ostéopathiques. Car ce n’est qu’en répétant les mêmes gestes, encore et encore, et en les adaptant à des situations différentes, que les futurs ostéopathes les assimileront parfaitement. C’est la raison pour laquelle la formation proposée par Ostéobio comprend non seulement des bases théoriques solides mais aussi une mise en application systématique et progressive des connaissances. « Notre école combine une formation théorique de haut niveau a...
Au Château la Pierrière, le temps semble s’être figé. La propriété qui date du XIIIème révèle encore quelques vestiges qui témoignent de son riche passé notamment sa cour intérieure, ses tours pentagonales du XVème siècle et ses douves creusées. Située à 45 minutes de Bordeaux et 7 minutes de Saint-Émilion, elle est considérée comme l’une des plus anciennes exploitations du Castillonnais. Un patrimoine reçu en dot par François de Lageard en 1607 lors de ses épousailles avec Marguerite de Puyperron. Depuis, ses descendants ont tour à tour apporté des améliorations sur le domaine afin qu’il marque son empreinte dans le paysage viticole bordelais. Une maison viticole engagée Le Château la Pierrière a la chance d’être installé sur un terroir de grande qualité. Le vignoble constitué de 30 hectares de plateaux calcaires et de 10 hectares de coteaux argilo-calcaires revêt une personnalité sensiblement similaire à celle de Saint-Émilion. Il est principalement encépagé de merlot, de cabernet franc, de malbec ainsi que de sauvignon blanc. Le domaine signe sa différence par la richesse et la beauté de son environnement. « Nous essayons de maintenir de la végétation naturelle et nous avons même un projet de plantation de haies pour renforcer la biodiversité au niveau des parcelles », fait savoir Olivier de Marcillac. Le vigneron est soucieux de l’héritage à laisser aux futures générations c’est pourquoi il a décidé de conduire son vignoble selon des pratiques agro-environnementales ayant abouti à l’obtention du label HVE. « Nous privilégions aussi la taille douce physiologique de la vigne pour garantir de meilleurs raisins et réduire les maladies », déclare-t-il. Des vins sur le fruit et la souplesse Le Château la Pierrière propose six cuvées, dont deux nouveautés à savoir « La Rencontre » sans sulfites ajoutés et « Fidélis ». Parmi les vins qui constituent son catalogue, la cuvée « Fondateur 1607 » retient toute l’attention. Conçue en hommage à François de Lageard, elle est issue d’une sélection parcellaire et se compose de 80 % de merlot et de 20 % de cabernet franc. Ce vin aux arômes fins et intenses avec des saveurs vanillées, réglissées et toastées peut patienter en cave entre 5 à 10 ans. ...
C’est à partir de leurs fruits que sont élaborés quatre types de vin effervescents aussi riches qu’équilibrés. L’emblème de la maison est symbolisé par le «Millésime 2013», une année particulièrement favorable pour réaliser le mariage parfait entre les 3 cépages. La maison a toujours forgé la notoriété de ses produits sur le système du bouche à oreille. Une façon humble et pourtant efficace de promouvoir des cuvées de grande qualité qui ne sont disponibles qu’en « direct » auprès du producteur. Les champagnes J. MARGOUILLAT sont actuellement dirigés par François MARGOUILLAT, un passionné qui perpétue soigneusement la tradition familiale. ...
À La Gazette, les mets se dégustent dans un endroit bourré de charme, délicieusement mis en scène par les architectes Delphine Sauvaget et Pauline d’Hoop de Synghem. Le mobilier de style vintage, le motif à feuilles de bananier de la moquette, la couleur des accessoires et les lumières tamisées ont été choisis avec gout pour baigner les convives dans une ambiance branchée et raffinée, d'inspiration exotique. Des délices au rythme des saisons Une fois que l’on est installé confortablement dans l’un des fauteuils des années 1950 de la maison, les choses sérieuses peuvent commencer. Les saveurs fraiches que proposent les marchés de Paris seront suggérées sur une carte qui change toutes les deux semaines selon les ingrédients existants. En entrée, le Tempura de gambas au sésame a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse auprès des clients de La Gazette. Y gouter est presque impératif dans ce restaurant. Vient ensuite le moment de se régaler avec les fameuses Pâtes langue d’oiseau au jambon truffé. Enfin, le Cheese cake à la mangue et passion ou le Moelleux au chocolat et glace vanille sont là pour achever ce mélodieux repas. «Tout cela à un prix qui montre qu’il ne faut pas forcément se ruiner pour profiter d’une cuisine digne de ce nom dans le 16e arrondissement », se félicite Hugo Hussein Salami, propriétaire et associé. Dénicher le vin qui accompagnera le repas à la perfection ne sera pas une affaire délicate au restaurant La Gazette, étant donné la richesse et l’éclectisme de sa carte des vins. Celle-ci est très « ouverte à plusieurs régions », dixit Hugo Hussein Salami. Une promesse d’aller à la rencontre des meilleurs accords. ...