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Demeure d’hôtes : un havre de sérénité pour vos réunions et séminaires
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Le Scoop : une cuisine bistronomique qui fait toute la différence

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Restaurant L'Esprit des Romarins : une escapade gourmande au cœur du Luberon

Lieu propice aux escapades gourmandes, le restaurant dévoile de belles surprises culinaires qui valent réellement le déplacement. Ce restaurant bistronomique à la carte évolutive est une excellente adresse à découvrir et à recommander, avec un clin d’œil particulier pour le côté fraîcheur et la qualité des produits. Son cadre à l’ambiance raffinée, qui enchante les pupilles et les papilles, permet un plaisir toujours renouvelé. Sous une véranda qui présente une incroyable vue panoramique sur le village de Gordes et la vallée, le lieu laisse opérer sa magie. Le chef exécutif Antoine James ajoute sa touche personnelle aux belles compositions dont il est le seul à détenir le secret avec Marc de Passorio, chef étoilé signant la carte pour Alexandre Deshaies. Une signature très appréciée et facilement reconnaissable par les habitués. Avec une carte élaborée en collaboration avec le chef étoilé Marc de Passorio, l’établissement a de quoi satisfaire gourmands et gourmets.   Tatin d’échalote confite au Châteauneuf du Pape, carré de cochon des Pyrénées Label Rouge, chariot de fromages accompagnée de mesclun et d’une confiture maison sont autant de délices à découvrir, sans parler de son chou à la crème mascarpone et noix torréfiées.   Des saveurs de saison Proposée à 25 €, sa formule exclusive du midi comprend une entrée et un plat, ou un plat et un dessert. Pour le midi et le soir, le restaurant propose également un menu au nom évocateur à 32 €, qui change toutes les semaines en fonction des produits disponibles sur le marché, à savoir, le menu Retour du marché. Ayant plus d’un tour dans son sac, L’Esprit des Romarins dispose encore du menu Esprit à 45 €, sans parler de la carte et les suggestions de la semaine. Difficile de résister à son savoureux foie gras, réalisé avec du muscat Beaume de Venise, ou à son carré d’agneau les Comtes de Provence, un agneau 100 % provençal, travaillé au naturel avec tous les condiments et les aromates qu’on peut trouver en Provence. Au dessert, craquez pour son délicieux chocolat Weiss, un très bon chocolat fait comme un After Eight, qui n’est pas sans rappeler les After Eight préparés chaque saison par le chef pâtissier Simon Pacary de Marc de Passorio, mais accommodés à notre façon. ...

Le Vivier du Jacquet : au cœur des plaisirs ostréicoles

A 50 km de Bordeaux, ville inscrite au patrimoine mondiale de l’UNESCO, l’entreprise vous propose un lieu convivial pour se détendre en bord du bassin pour une dégustation d’huîtres et des explications sur la culture de l’huître et du patrimoine maritime. Premier centre naisseur européen d’huîtres naturels Faisant partie du patrimoine du Bassin d’Arcachon, les huîtres sont mises à l’honneur au Vivier du Jacquet. L’entreprise propose différentes activités et la découverte de ce produit qui fait la réputation de la région depuis plusieurs siècles. Les visiteurs peuvent déguster des huîtres fraichement sorties d’excellentes qualités et découvrir le métier d’ostréiculteur. Ce paysan de la mer vous propose la visite de la ferme ostréicole, les sorties en chaland pour la découverte des parcs à huîtres et l’île aux oiseaux. Le bistrot vous propose de vous régaler avec ses huîtres et fruits de mer accompagnés de pâté et d’un vin blanc Château Lauduc ou de la Maison MARLERE. Tout cela dans une ambiance conviviale et familiale.  « Quand les clients me posent des questions (il m’arrive de m’asseoir avec eux et de continuer la discussion) » nous confie Christian. Pour les fins gourmets de passage, cet épicurien prodigue ses précieux conseils concernant les bonnes recettes et la manière de déguster les huîtres. Les plus curieux peuvent également en savoir plus sur les techniques d’élevage de ces joyaux du bassin. Ces explications se font le mardi et le jeudi de Pâques à septembre sur réservation. « Je leur raconte un petit peu l'histoire du patrimoine maritime du Bassin d’Arcachon, et en second lieu, je leur explique la culture de l'huître : du naissain naturel jusqu'à son arrivée dans l'assiette sur un cycle de 3 ans et demi ! » Christian se fait un réel plaisir à partager les secrets de son métier. Sur le bassin d’Arcachon, au cap Ferret, Christian, ce paysan de la mer travaille ses huîtres avec la bioénergie Les huîtres servies au Vivier du Jacquet bistrot à huîtres sont au minimum âgées de 3 ans. Pour accompagner ces huîtres, Christian vous propose des vins blancs Côtes de Gascogne de la maison Marlere, vignoble Laffont et Château Lauduc. Néanmoins, ce sont les huîtres qui sont bel et bien les stars de ce lieu d’exception.  En effet, cette ferme ostréicole travaille ses produits avec attention et applique la bioénergie pour la finition. Le résultat de la bioénergie ce sont des huîtres douces et rondes qui restent en bouche comme un grand cru. Dégustez des huîtres de qualité quand et où vous voulez ! Le Vivier du Jacquet accueille aussi bien les simples touristes que les groupes. Idéales pour les réunions de famille et pour diverses manifestations dans le cadre de la législation en vigueur. Les visites hebdomadaires se terminent toujours par une dégustation d’huîtres, vin blanc et il y a également une initiation à l’écaillage. Ces huîtres sont proposées à la vente directe sur place ou à emporter. Le Vivier du Jacquet bistrot à huîtres est également présent sur différents marchés. « Je commercialise mes produits sur la Côte Basque à Hendaye, au marché d'Anglet, marché des Quais des Chartrons de Bordeaux le dimanche matin, et le  marché du Bouscat ». Les foires agricoles, les foires à thème et les salons gastronomiques font aussi partie des activités de cette entreprise. « J'expédie également les huîtres partout en France de septembre à mai. » précise-t-il. Il suffit de passer votre commande via le site internet de l’établissement ou par mail. Ces huîtres sont vendues à la douzaine, disponibles en différentes tailles selon les goûts et dont la livraison se fera dans un délai de 24 à 36 heures sur toutes les régions de France. ...

Made in France Box : des délices sucrés-salés aux saveurs de la France

À travers des produits de qualité qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs, Made in France Box reflète, dans les moindres détails, toute l’authenticité de la cuisine française. Ce concept innovant a vite fait de faire parler de lui avec, comme principe, de dénicher à la source le meilleur du terroir et le faire découvrir au plus grand nombre. Le meilleur du terroir livré chez vous Présentée dans un package de carton luisant, simple à offrir et peu encombrant, une box contient huit variétés de produits d’une région qui peuvent varier selon la disponibilité. Le pack renferme, notamment, un livret justifiant du choix de la sélection avec une présentation de chaque produit et l’histoire de chaque producteur ainsi que des idées de recettes exclusives. Parmi les box les plus prisées, figurent les box à fort terroir, comme le confit d’oignon rose au miel et chouchen de la box Bretagne ou aussi le caramel de pommes dieppois au beurre salé de Jean-Pierre Roussel, qui est l'un des produits de la box Normandie. Un mois, une région       Made in France Box porte haut le flambeau de la cuisine française et permet de découvrir et de retrouver des saveurs longtemps oubliées qui mettent chaque mois l’accent sur une région différente. Recevoir régulièrement chez soi d’authentiques produits du terroir n’est pas un luxe réservé à une clientèle restreinte. Aujourd’hui, chacun a la possibilité d’accéder au produit à peu près partout dans le monde. Grâce à un simple abonnement sur le site, la France vient à vous le plus simplement du monde, dans votre boîte aux lettres comme une lettre à la poste.  ...

Huilerie Beaujolaise : artisan-moulinier

Situé au cœur du Beaujolais, ce moulin bicentenaire a repris vie par le plus grand des hasards. Fruit d’un heureux concours de circonstances, qui a pourtant permis le début d’une très belle aventure familiale, il est aujourd’hui à la tête de plusieurs variétés d’huiles qui se valent les unes autant que les autres. Il était une fois une quincaillerie… Loin d’être banale, l’histoire de l’Huilerie Beaujolaise a débuté en 1981, à l’époque où Nedda et Dario Montegottero (les parents de Jean-Marc) ont fait l’acquisition d’une ancienne quincaillerie dont l’arrière-boutique abritait les vestiges d’un moulin à huile datant du XIXe siècle. Se lançant un véritable défi, Jean-Marc a voulu insuffler une seconde jeunesse à cet atelier providentiel qui est resté près de sept ans dans son état originel.   De la passion au savoir-faire Afin d’acquérir le savoir-faire indispensable à l’activité, Jean-Marc s’est formé auprès du célèbre huilier Gustave Pascal en Isère pour apprendre toutes les ficelles du métier et s’est animé d’une véritable passion. Il s’est ensuite lancé dans une première activité saisonnière articulée autour du travail à façon en 1982. Il faut dire qu’à cette époque, les habitants du Beaujolais avaient pour habitude de venir apporter les matières premières de leur choix pour ensuite repartir avec de l’huile, sous forme de produit fini. Avec l’aide de son père Dario, mécanicien de métier, la rénovation du matériel et des locaux n’ont jamais été entre d’aussi bonnes mains. En cinq ans, cette activité saisonnière locale a cédé sa place à une activité à plein-temps et a gagné progressivement du terrain à l’échelle internationale. Les best-sellers des huiles vierges Authentique producteur d’huiles vierges, l’Huilerie Beaujolaise propose trois gammes de produits. Dans la catégorie des huiles vierges de fruits secs et graines, l’huile vierge de noisette est une huile très prisée des clients ; dans la catégorie des huiles de macération, l’huile d’olive et de cèpes se distingue particulièrement du lot. Quant à la gamme des vinaigres de fruits, nul ne peut rester indifférent au vinaigre de calamansi. ...

L'Origan, pour le plaisir des papilles

Le Jules-Verne - Tour Eiffel, Le Chiberta, près des Champs-Élysées, l’Hostellerie du Chapeau Rouge, à Dijon, l’Auberge des Templiers,en Sologne : Richard Prouteau a une longue expérience en cuisine. Un savoir-faire acquis depuis 1988 lorsqu’il commença son apprentissage en cuisine. Dès son arrivée en 2010, il dévoile ses talents au restaurant L’Origan, en respectant les fondamentaux de la cuisine française, par le prisme des produits régionaux. La cuisine de ce chef créatif mais précis est reconnue pour sa maîtrise et l’envie de faire plaisir. En témoignent quelques-unes de ses spécialités comme le lièvre à la royale, farci au foie gras et aux truffes. La fourchette des menus se situe entre 29 et 88 €. L’Origan dispose également, bien entendu, d’une carte des vins renfermant des références prestigieuses de toutes les régions, avec une priorité sur les vins de Loire. Cette carte est agencée et alimentée par Benoît Lefort, chef sommelier, qui met en valeur les produits de qualité en travaillant avec des producteurs engagés. Des animations régulières autour du restaurant • Les soirées musicales (une fois par mois) le samedi, de mi-octobre à fin mars. Soirée en trois temps : cocktail servi dans la Rotonde, concert dans le grand salon Régence, dîner au restaurant L’Origan et dans le salon Coty. À partir de 19h30. 40 € (cocktail - concert) - 120 € (cocktail - concert - dîner). Voir calendrier 2016 ci-dessous. • Les cours de cuisine Des initiations culinaires présentées par Richard Prouteau en personne sont dispensées dans la cuisine de la Cité des Parfums et clôturées par un repas. Ces « ateliers gourmands » ont lieu tous les premiers samedis de chaque mois en fonction des grands thèmes gastronomiques mensuels définis sur l’année. De 9 h à 14 h. 75 € par personne, sauf le menu de Noël à 100 €. Le prix comprend : l’initiation culinaire, la dégustation des plats confectionnés et l’accord mets et vins. (Supplément de 25 € sur les ateliers « Noël» et « Foie gras»). Voir calendrier des cours de cuisine 2016 ci-dessous. • Les ateliers œnologiques Le sommelier Benoît Lefort vous transmettra les clés pour choisir votre vin, les gestes pour le déguster et les mots pour en parler. Les cours d’œnologie s’adressent à tous les amateurs de vin : initiation à la dégustation, réussir ses accords mets et vins, exploration de cépages..., et ont lieu un samedi par mois. De 10 h à 12 h. Voir calendrier des ateliers œnologiques 2016 ci-dessous. • Les brunchs Un dimanche par mois, la formule brunch vous ouvre les portes d’un buffet à volonté avec des produits de qualité dans un cadre exceptionnel. De 11h30 à 14 h. 43 € par personne (boissons incluses), - 50% pour les enfants de moins de 12 ans. Voir calendrier des brunchs 2016 ci-dessous. ...

Le Bateau d'Émile, une cuisine simple et originale, à déguster dans une ambiance sympathique

Le trafic de la grande voie navigable a fait la richesse de la petite commune de Serrières. Le port était devenu le repère des mariniers qui s’y arrêtaient fréquemment durant leurs voyages d’exploration fluviaux. Ces mariniers ont laissé dans leur sillage des traces de leur passage, qu’il est aujourd’hui possible de découvrir au sein de l’église Saint-Sornin, abritant le célèbre musée des Mariniers du Rhône. On dit que les lieux sont toujours habités par l’âme de ces vieux loups de mer. Tous les trésors liés à la batellerie du fleuve du Rhône, à l’instar des fameuses croix, y sont précieusement entreposés. Serrières est également jonché de vieux quartiers dans lesquels se trouve un superbe patrimoine bâti. Le soir, au soleil couchant, une balade sur le quai invite à vous délecter de la sérénité des lieux. Après avoir sillonné les rues de la ville, une pause gourmande s’impose. Au 65, quai Jules Roche, Le Bateau d’Émile s’est amarré près du fleuve pour vous faire découvrir son délicieux univers. Un refuge qui plait aux gourmands et aux gourmets Le Bateau d’Émile, ce nom vous est familier et c’est tout à fait normal. Il fait référence à ce vieux film sorti dans les années 1960, dans lequel Lino Ventura incarne Émile, un marin-pêcheur qui hérite d’un gros pactole malgré lui. À ses côtés : Annie Girardot, dans le rôle de Fernande Malanpin. Ce long métrage a inspiré le premier propriétaire des lieux, qui a créé le restaurant en 1988. Vingt-six ans plus tard, Stéphanie et Benoît Durieux reprennent l’établissement au charme certain, localisé sur la N86, en face du Rhône, au pied du chemin qui monte jusqu’aux hauteurs d’Annonay. Ce choix ne s’est pas fait au hasard, puisque c’est ici que notre chef a fait son apprentissage il y a une quinzaine d’années. Afin de faire perdurer ses vieux souvenirs, il choisit de garder l’identité des lieux et le thème du restaurant, mais en y proposant une cuisine d’inspiration. Celle-ci témoigne de sa longue et riche expérience dans le milieu culinaire. Benoît Durieux bénéficie en effet du titre tant convoité de maitre restaurateur. Cela implique de proposer une cuisine faite maison, réalisée à partir de composants bruts et généralement issus des circuits courts. D’ailleurs, le chef exprime une exigence pointue quant à la fraîcheur et à la qualité des produits qu’il trouve auprès de fournisseurs locaux. Cette rigueur lui permet de réaliser des plats délicieux, revisitant la cuisine classique française avec une touche d’originalité et de créativité. Ambiance bistro L’ambiance qui règne à bord du bateau est conviviale et chaleureuse. Vous pouvez vous installer à la terrasse durant les beaux jours. Sise en contrebas de la route, elle est ornée d’une belle verdure offrant un coin ombragé. À l’intérieur, la salle en longueur, avec son grand bar et ses banquettes confortables, dénote un décor bistro.  Le joyeux bateau compte plusieurs abonnés, qui y apprécient l’ambiance décontractée, bien qu’il accueille aussi énormément de touristes de passage. ...

Salons du tourisme : carrefour de rencontre des acteurs du tourisme

Paris, Lyon et Lille auront l’honneur d’accueillir respectivement le Salon mondial du tourisme, Mahana et Tourissima pour l’année 2019. Trois évènements qui permettront aussi bien aux professionnels qu’au public de se mettre au parfum des dernières tendances du tourisme en France et à l’étranger. Le Salon mondial du tourisme, du 14 au 17 mars 2019, à Paris Expo, Porte de Versailles Depuis plusieurs années, le Salon mondial du tourisme s’attache à mettre en évidence les acteurs qui prônent un tourisme raisonné. Cette fois encore, le Salon aura à cœur de présenter les meilleures alternatives permettant de voyager autrement. À cet effet, de nombreux espaces dédiés à l’information sont proposés aux visiteurs : espaces Bonnes Affaires, Conseils pratiques, Tendances et Innovations… Pour l’édition 2019, le Salon va d’ailleurs accueillir deux nouveautés : le « Village Services aux voyageurs » et le « Village Associations et Initiatives ». Regroupant les professionnels spécialisés dans l’accompagnement, l’espace « Village Services aux voyageurs » renseignera les futurs globe-trotters sur les précautions à prendre pour faire face aux imprévus survenant au cours de leur périple. Quant à l’espace « Village Associations et Initiatives », celui-ci réunit différentes associations qui œuvrent pour un tourisme respectueux. Les visiteurs auront ainsi l’occasion de s’informer sur les offres en matière de voyages responsables. L’édition 2019 du Salon mondial du tourisme se démarquera également par un focus consacré aux mythiques routes de la soie. Téléchargez votre e-invitation gratuite (deux personnes) pour le Salon mondial du tourisme ici. Mahana Lyon, du 8 au 10 mars 2019, à la Halle Tony-Garnier À l’occasion de sa 39e édition, le salon Mahana de Lyon accueillera près de 200 professionnels. Pendant 3 jours, outre les destinations incontournables, le public va découvrir de nouvelles destinations telles que l’Allemagne (avec la région de la Forêt noire), Beyrouth ou encore Tanger. Afin d’accompagner les visiteurs dans leurs recherches et de les aider à dénicher de bonnes affaires, le Salon mettra à leur disposition des espaces thématiques et de conseils. Côté nouveautés, l’espace « Village Services aux voyageurs » fournira de précieuses informations, en particulier sur les assurances, les destinations à risques ou encore la protection des voyageurs. En outre, l’évènement présentera de nouvelles offres touristiques. Citons, par exemple, « Le Passage du Nord-Ouest sur les traces de Roald Amundsen » en pôle Croisières ou « Le Maroc impérial en 12 jours », proposé par le voyagiste Thelliers Voyages dans la thématique Itinérance. Téléchargez votre e-invitation gratuite (deux personnes) pour Mahana ici. Tourissima, le Salon du tourisme et des activités nature de Lille, du 25 au 27 janvier 2019, au Grand Palais de Lille Comme à son habitude, le salon Tourissima, qui en sera à sa 31e édition en 2019, place l’humain au cœur des voyages, tout en valorisant un tourisme respectueux de l’environnement. Plus de 200 professionnels vont présenter de nouvelles idées afin d’explorer le monde différemment, selon son rythme et ses envies. Des suggestions d’activités à réaliser en France ou à l’étranger vont aussi aider les visiteurs à mieux organiser leurs prochains séjours Nature. Au niveau des destinations, une large palette de voyages thématiques attend les voyageurs. Hurghada, Bodrum, la Calabre, Pau et les Pyrénées sont d’ores et déjà annoncées comme étant les nouvelles destinations au départ de l’aéroport de Lille. De nouveaux exposants comme Europa-Park ou Gaïa Voyages feront aussi leur entrée. Le public pourra donc prendre connaissance de leurs offres. En plus de l’espace « Village Services aux voyageurs », Tourissima offre un espace « Équipement & Matériel » dédié aux innovations et aux trouvailles pour les activités Nature. Les amateurs de sport en plein air y trouveront des objets et access...

Salons du tourisme : visitez et trouvez le voyage de vos rêves ! 

Que vous soyez à la recherche de la destination de vos rêves, d’idées pour les prochaines vacances en famille ou de voyages thématiques à résonance aventurière, ces quatre salons dédiés aux plaisirs du voyage et du tourisme sauront vous guider et vous conforter dans vos choix. De nombreux acteurs et professionnels du secteur, incluant les agences de voyages, les opérateurs touristiques, les tour-opérateurs et les offices de tourisme, exposeront la richesse et la singularité de leurs régions afin de proposer une offre touristique étendue, diversifiée et correspondant aux attentes de chaque visiteur. Les villes emblématiques que sont Lille, Toulouse, Lyon et Paris ont été choisies de par leur vocation résolument touristique pour héberger ces salons entièrement consacrés à l’art de voyager. Tourissima Lille au Grand Palais : du 26 au 28 janvier 2018 Le Tourissima Lille se tiendra du 26 au 28 janvier 2018 au sein du Grand Palais de Lille. Avec plus de 250 destinations nationales et internationales représentées, les visiteurs choisiront parmi une large palette de voyages thématiques, à l’instar des séjours en thalassothérapie ou axés sur des découvertes naturelles et culturelles. Outre les animations ludiques et les nombreuses découvertes qui ponctueront la visite, des offres promotionnelles, des séjours offerts ou des conseils prodigués par des professionnels du tourisme y seront octroyés.   Mahana Toulouse Parc des expositions Hall 5 : du 9 au 11 février 2018 Le parc des expositions de Toulouse accueillera du 9 au 11 février 2018 le Salon Mahana Toulouse sous un nouveau jour : celui d’un village nature. Avec 220 destinations à l’affiche, dont les toutes nouvelles tendances touristiques, ce salon sera l’occasion de trouver votre prochain lieu de séjour au plus proche de la nature. Des offres de croisières, d’hébergements ou de séjours inédits et placés sous le signe du dépaysement, de la découverte et d’un retour aux sources. Mahana Lyon Halle Tony Garnier : du 2 au 4 mars 2018  Du 2 au 4 mars 2018, c’est à la Halle Tony Garnier que 200 exposants présenteront leur offre touristique avec des bons plans voyage et des séjours linguistiques. En France ou à l’étranger, chaque séjour, classique ou sur mesure, proposé par des experts et des professionnels du tourisme sera empreint de vos passions pour la culture, la plage, le sport ou l’aventure en terre inconnue. Adaptés aux budgets de chacun, les voyages y seront agrémentés d’animations inédites, allant des cours de survie aux démonstrations de tissage, en passant par des dégustations de succulences venues d’ailleurs… Salon Mondial du Tourisme Porte de Versailles : du 15 au 18 mars 2018 C’est à Paris Expo Porte de Versailles que le Salon mondial du tourisme de Paris sera organisé du 15 au 18 mars 2018. Des offres touristiques d’exception y seront à découvrir et élaborées par des acteurs du tourisme engagés et soucieux de faire de chaque voyage une expérience inoubliable et authentique. Entraînés au travers de 500 destinations de prestige, vous donnerez vie à vos envies de voyage et d’évasion tout en profitant, à chaque stand, d’animations uniques appelant à la découverte et consacrées à l’amour du voyage. ...

Dispositif d’amorçage de Provence : soutenir le lancement des start-up technologiques et innovantes

Le DAP a pour rôle d’attirer et d’accélérer la création des jeunes pousses afin de dynamiser l’écosystème du Pays d’Aix. La plate-forme s’intéresse plus particulièrement aux projets technologiques et innovants, et finance la phase d’amorçage liée aux études techniques, études de marché, brevets, finalisation de prototype et présérie. Les porteurs peuvent intégrer une pépinière d’entreprises ou l’un des espaces économiques du territoire, tout en bénéficiant d’un accompagnement professionnalisé. Un prêt d’honneur à taux zéro Le DAP est géré par Pays d’Aix Développement (PAD) et cofinancé par l’État, la métropole Aix-Marseille-Provence-Territoire du Pays d’Aix et quelques entreprises privées. Le dispositif est une solution de financement de la R&D avant la création de l’entreprise. Un dispositif d’autant plus intéressant que ce type de financement constitue l’un des blocages majeurs rencontrés par les entrepreneurs. Le prêt d’honneur est donc proposé à un taux 0 %, remboursable avec différé sur une période de cinq ans à compter du premier exercice positif de l’entreprise ou de ses trois ans d’existence. Afin de bénéficier de ce prêt d’honneur, les candidats porteurs de projets doivent remplir trois critères déterminants. D’abord, ils doivent démontrer le caractère technologique et innovant du projet, en s’appuyant sur la potentialité de croissance et la valeur ajoutée que celui-ci peut apporter sur le long terme à la communauté. Le choix de l’emplacement géographique est également une condition d’éligibilité. La future start-up devra s’installer en Pays d’Aix ou sur le bassin minier de Provence, une fois son activité lancée. Enfin, le prêt d’honneur est octroyé uniquement en amont de la création de l’entreprise, pour répondre au concept de base du dispositif. L’étape de la sélection  Un comité de sélection intervient une fois que tous les critères sont réunis. En plus de Pays d’Aix Développement (PAD), des représentants des banques partenaires, des investisseurs, des incubateurs ainsi que des pôles de compétitivité composent le jury. Ils ont pour rôle notamment de vérifier le respect des conditions d’éligibilité et d’évaluer la faisabilité de chaque projet. Les dossiers retenus passeront par la suite en comité d’engagement, qui va examiner et valider les moyens et les modalités stratégiques du financement accordé. Un autre comité, celui de pilotage, prend le relais et assure le suivi, la cohérence et l’exécution des dispositions prises. Une belle collection de lauréats Le DAP entend par domaine d’innovation tous les champs possibles, que ce soit en électronique, numérique, biotechnologie, aéronautique, santé… Cette grande ouverture a permis au dispositif de lancer des projets tout aussi originaux qu’ambitieux, dont certains ne nous sont pas inconnus. Novadem, par exemple, une entreprise experte dans la robotique aérienne à destination des marchés civils et militaires. Le projet a fait partie des premiers bénéficiaires du prêt d’honneur en 2006, et voit aujourd’hui sa notoriété croître au niveau international. On cite aussi Axyn robotique, spécialisé dans la conception de solutions robotiques au service des personnes handicapées ou en manque d’autonomie. Côté numérique, Editag via sa solution Moontag, a conquis les industriels et les entreprises grâce à un système intégré pour connecter objets et processus. L’innovation médicale n’est pas en reste, comme en témoigne le succès du service CardioNexion conçu par @-Health. Et pour finir, le DAP tient son 100e champion, Adéquabio, qui développe des systèmes biologiques de dépollution, notamment par le traitement des effluents phytosanitaires. ...

Le travail sur l’identité (professionnelle) Ou L’effet chrysalide

Permettez-moi de vous la conter à ma façon et surtout d’un point de vue plus scientifique ! La chenille est née pour manger des feuilles ! C’est son karma ou sa destinée. Pour ce faire, elle a des pattes qui lui permettent de se déplacer sur un périmètre très limité et de grosses mâchoires pour s’adonner à son activité favorite. Elle vit ainsi, sans se poser de questions, parce que c’est le chemin qui a été écrit pour elle. A sa taille adulte ou à maturité, la chenille, arrivée à un point de non-retour, se trouve lancée dans son processus de transformation programmé. Une pointe d’anthropomorphisme nous autorise à proposer une hypothèse selon laquelle, une vie à manger des feuilles sur une zone géographique réduite trouve forcément une limite : l’ennui ! La chenille a cette chance que, dans son ADN, le processus de transformation est déjà inscrit. Il est donc bientôt temps pour elle, de goûter à la liberté, de déployer ses ailes, d’agrandir son périmètre de vie et d’exploration, de butiner les fleurs - plus nobles que les feuilles - et surtout, de se laisser guider par l’Amour… qui la mènera au plaisir et à sa reproduction ! Jusque-là, rien de nouveau dans mon histoire… mais laissez-moi poursuivre… Poussée par son instinct, notre chenille va donc grimper sur une branche et tisser son cocon avec un fil de soie (ou fil de « Soi »). A l’intérieur de ce cocon, elle libèrera une sorte de mucus foncé qui colorera l’enveloppe pour se fondre dans le décor et la rendra presque invisible, « en mode camouflage ». Lors de cette étape, la chenille va s’étirer, au point de faire craquer la peau de son dos pour se débarrasser du « costume » de sa vie précédente. La voici donc, à l’état de chrysalide, à la fois fragilisée par cette mise à nu et protégée par ce « cadre protecteur » épais et discret. La transformation commence donc par une mise à nu et une mise en sécurité. Allons plus loin encore… Le processus va se poursuivre par une « liquéfaction du passé » ! En effet, depuis toujours la chenille porte au fond d’elle-même, dans son ADN, son devenir : ses ailes et sa liberté ! Pourtant, elle a vécu toute une première vie dans un monde contraint et dicté. Elle s’y est nourrie. Et c’est cela qui rend possible sa transformation ; parce que pendant toute cette période de métamorphose, elle vivra grâce à ce qu’elle aura engrangé jusque-là. La métamorphose commence alors réellement et, peu à peu, la Nymphe (ou chrysalide) va voir son corps se désagréger, se transformer en une sorte de « soupe moléculaire de particules élémentaires » et finalement se réduire à l’essence-même de son être. C’est seulement en revenant à son essence, en repartant du plus pur de son être, que cet individu vivant va pouvoir renaître selon ses nouveaux possibles, ses nouvelles perspectives. Et dans un mouvement continu, son corps va se recomposer selon les besoins de ce nouveau destin : un abdomen plus long pour faire place aux organes de reproduction, des antennes qui capterons l’existence de l’Autre papillon réceptif à ses phéromones, des ailes afin de pouvoir se déplacer et parcourir les kilomètres qui le séparent de cet Autre et, enfin, une trompe qui viendra remplacer la mâchoire devenue inutile puisqu’à l’avenir ce sont les fleurs dont le papillon se délectera en les inspirant seulement. Finalement, tout ce parcours aura été impulsé par une promesse de plaisir, de découvertes, de liberté et même, d’ouverture à l’Autre, au désir et à l’Amour ! Tout ce temps de vie – en pause - aura servi à faire émerger le potentiel merveilleux qui se cachait au fond de cet animal contraint. Alors, oui, la chenille passe par un moment de fragilité extrême et de mise à nu, un moment d’arrêt dans un cadre sécurisé, et oui, ce moment lui aura été indispensable pour permettre bien plus que sa renaissance : sa transcendance ! La chenille ne s’est pas seulement transformée. Un papillon est tout sauf une chen...

Villa Arnaga : incursion dans l’intimité de la famille Rostand

Située dans le Pays basque, à 20 km de Biarritz, dans la commune de Cambo-les-Bains, la Villa Arnaga a été imaginée dans les moindres détails par Edmond Rostand lui-même, aidé de l’architecte  Joseph-Albert Tournaire. Construite entre 1903 et 1906, la demeure de style néobasque se découvre d’abord par l’extérieur. Direction l’écrin de verdure d’une quinzaine d’hectares sublimé entre autres par un jardin à la française à la perspective parfaite et un charmant jardin à l’anglaise qui éveille les sens. L’œuvre d’une vie Derrière la façade typique des fermes basques blanche et aux pans de bois rouges, la Villa Arnaga cache un décor de théâtre réparti sur 1000 m2 et 40 pièces. La maison au style très éclectique retrace l’histoire de la famille Rostand à travers une collection d’objets, de mobiliers et d’œuvres d’art. À découvrir : la robe de Roxanne dessinée par Christian Lacroix, le César obtenu par Gérard de Depardieu pour Cyrano de Bergerac, le bureau d’Edmond Rostand… ...

Le Clos Caché :
une parenthèse gourmande et de bien-être

Définir le Clos Caché comme un simple restaurant serait inapproprié. On n’y va pas uniquement pour se restaurer mais aussi pour profiter d’un moment de bien-être et de détente, le tout dans la plus grande intimité. Des célébrités en apprécient la discrétion. L’établissement sis dans le petit village d’Escamps dans le Lot se veut être une adresse élégante et traditionnelle où l’on cultive la convivialité. L’accueil ultra-personnalisé dès la réservation par téléphone dénote déjà du service qui vous attend ! Prêt ? C’est parti… Un havre privilégié à l’ambiance intimiste et raffiné A 20 km au Sud Est de Cahors, discrètement niché sur le causse de Lalbenque, haut lieu de la truffe tuber melanosporum, l’ancienne fermette s’est transformée en une table gourmande et raffinée. Dès l’arrivée sur place, Denis, le maître des lieux, vous accueille. Ici, vous ne serez pas traité comme un client mais bel et bien comme un convive. Votre hôte vous fera visiter la propriété, histoire de vous imprégner des lieux. L’espace paysager agrémenté des arbres typiques du Quercy ne laisse pas de marbre. L’étendue d’eau quant à elle vient sublimer ce décor bucolique et dépaysant. Selon les saisons, vous avez le choix entre vous délasser sur la terrasse ombragée afin de continuer à profiter de cet environnement verdoyant ou vous installer dans la salle, décorée avec beaucoup de goût. Car outre ses talents en cuisine, Mireille est aussi une ancienne architecte d’intérieur qui a su mettre en valeur avec subtilité, l’élégance et la rusticité des lieux. Tout est fait pour assurer confort dans une atmosphère sereine. Une cuisine généreuse et personnelle Au Clos Caché, les clients sont autant choyés à l’accueil que dans l’assiette. Mireille propose une cuisine traditionnelle alliant plaisir, équilibre et gourmandise. Elle puise son inspiration sur la mixité de ses vies passées ailleurs avec les richesses offertes par les terroirs. Autant que possible, elle s’approvisionne auprès des producteurs locaux afin de garantir fraîcheur et qualité. Ici, pas de carte. On sert un menu par jour, concocté selon l’humeur et l’inspiration de la chef. Attention, l’établissement ne reçoit que sur réservation. Dès cette prise de contact, vos hôtes vous mettent au parfum quant aux plats qui seront proposés. Au menu ce jour-là, nous avions dégusté un foie gras croustillant sur une crème de févettes en entrée, un filet de lotte rôtie nappée d’une émulsion aux olives noire en plat principal et un délicieux soufflé au citron vert répandu dans une crêpe en guise de bouquet final. Une belle expérience pour nos papilles. Pour les amateurs de truffe, la maison concocte des formules spéciales. Durant la saison, des repas autour de cet exceptionnel produit sont élaborés. Côté prix, cette expérience hors de toute réalité est tarifée au prix le plus juste. Il faudra compter entre 57 et 65 euros pour un repas incluant le menu, les boissons et le plateau de fromage. Pour les menus spéciaux « truffes », les tarifs oscillent entre 75 et 80 euros hors boisson. ...

Études en médecine, pharmacie, kiné, dentiste,
sage-femme, comment réussir avec le Tutorat Santé de Tours

La première année commune aux études de santé (PACES) est toujours un casse-tête pour les candidats aux métiers de médecin, de pharmacien, de kinésithérapie, d’odontologie et de sage-femme. Les vocations ne manquent pas.  Animé par des étudiants de 2e et de 3e année, le Tutorat Santé de Tours accompagne leurs jeunes collègues dans leur préparation aux épreuves, si sélectives et si déroutantes.  Une équipe de bénévoles dynamiques et disponibles s’est donc réunie et organise « colles », concours et examens blancs corrigés. Des permanences de révisions sont proposées ainsi qu’un suivi via Internet. Plus de trois étudiants sur quatre bénéficient des entraînements du tutorat. Et plus d’un étudiant en 2e année sur deux a réussi son concours grâce à la seule préparation du tutorat. Le programme d’accompagnement est une alternative crédible aux solutions onéreuses. Le coût à l’année est de 50 €. Le dispositif existe depuis plus de 15 ans au sein de la faculté de médecine de Tours. Le Tutorat Santé est dirigé par un bureau de 7 étudiants de 3e année élus par leurs pairs. Le corps pédagogique et universitaire de la faculté apporte son soutien et supervise les épreuves, les QCM et les concours blancs.  Tutorat Santé de Tours : des formations pour réussir dans les domaines de la santé Rançon du succès, le programme est distingué par les associations nationales étudiantes de France et a reçu l’agrément OR. Question de bonnes notes ! ...

La Vague d'Or, escapade bucolique en Méditerranée

Tel un chef d’orchestre, Arnaud Donckele dirige une équipe de choc composée de 21 passionnés tous aussi doués les uns que les autres. Thierry Di Tullio, le directeur du restaurant La Vague d’Or ; il a été récemment élu « Meilleur directeur de salle de l’année 2016 » par le guide Gault & Millau. Avec lui, le chef sommelier Franck Perroud élabore les meilleurs accords pour sublimer les créations culinaires du chef. En cuisine, aux côtés d’Arnaud Donckele, le chef pâtissier Guillaume Godin s’occupe de ravir les palais avec ses desserts gourmands et raffinés.   Arnaud Donckele, artisan du goût Si la cuisine était une musique, alors Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or, serait tout simplement Mozart. Petit-fils d’agriculteurs, ce prodige de la cuisine a fait ses armes auprès des plus grands noms de la cuisine française, comme Michel Guérard, Alain Ducasse et Jean- Louis Nomicos, au Lasserre. En 2005, il décide de voler de ses propres ailes et débarque à La Vague d’Or, où carte blanche lui est donnée au regard de son parcours déjà impressionnant. D’une créativité sans limites et d’une grande rigueur au travail, il met en avant son amour pour la cuisine provençale et méditerranéenne. La consécration est indiscutable et ne tarde pas à venir. En 2013, il est couronné de trois étoiles au Guide Michelin, ce qui fait de lui le plus jeune chef étoilé en France à 35 ans. En 2016, c’est au tour du guide Gault & Millau de lui décerner 5 toques. Cuisinier hors pair, Arnaud Donckele s’essaye aussi à la littérature. À l’instar de son ancien mentor Alain Ducasse, il a édité un Best of (Éd. Alain Ducasse, 2015) de ses 11 meilleures recettes ainsi que l’ouvrage Ma Provence (Flammarion, 2015), dans lequel 60 recettes typiquesde la Provence sont dévoilées.   Une cuisine entre terre et mer À La Vague d’Or, une cuisine gastronomique issue du terroir provençal et méditerranéen est mise en avant. Les produits frais de saison, en provenance des petits producteurs du littoral varois, y sont privilégiés. Arnaud Donckele met à contribution avec raffinement les herbes de Provence pour illuminer ses plats, à l’image de sa « pâte Zitone », délicatement fourrée de truffe noire et de foie gras avec l’artichaut violet en trois textures, rehaussé de basilic. Le chef affectionne particulièrement les alliances, parfois insolites et audacieuses, cuisinées avec subtilité, tel le homard combiné avec la truffe noire de Carpentras. La cuisine de La Vague d’Or, c’est aussi une valse entre terre et mer, à l’exemple du râble de lapin roulé au lard paysan « façon Claudette » et homard bleu. Pour aller à la découverte du pays des délices d’Arnaud Donckele, trois menus sont proposés. En quatre actes, « L’escapade gourmande » retrace l’identité des plats tirés de la bouillabaisse, fondement de la cuisine provençale. « Au fil du temps », décliné en cinq actes, est la composition des plats traditionnels et des plats modernes mise en harmonie. La formule en huit actes de la « Balade épicurienne » propose de faire découvrir la philosophie culinaire de la maison. Quant à la carte de La Vague d’Or, elle est une invitation au voyage entre terre et mer... ou les deux. Ainsi, on se plaira à déguster les « langoustines vivifiées au pamplemousse en deux séquences », suivies d’un « mignon de veau à la mode carqueirannaise », pour terminer en beauté avec le « feuille à feuille aux dix agrumes ». ...

Sport et santé, Hopale a les clés

Ils sont plus de 200 sportifs à franchir chaque année la porte de la Fondation Hopale. Situé à Berck-sur-Mer, sur la Côte d’Opale, le site accueille footballeurs, basketteurs, judokas ou encore coureurs. Toutes disciplines confondues, ils viennent des clubs régionaux mais aussi de la France entière et de l’étranger. Ils sont nombreux à solliciter les médecins et chirurgiens hopaliens, afin de bénéficier d’un plateau de rééducation hautement spécialisé et dédié aux sportifs, le tout face à la mer. Les soins dispensés sont de qualité et l’établissement dispose désormais d’une certaine notoriété. Une prise en charge de A à Z Ligaments croisés, lésions du ménisque, instabilités d’épaules, tendinites, rupture du tendon d’Achille et autres blessures musculaires sont autant de pathologies qui guettent les sportifs. Matthieu Bataille, judoka français, en a fait les frais en 2008. Alors qu’il remporte le bronze un an avant aux championnats du monde, le sportif se blesse au ligament latéral interne. L’opération est inévitable. La rééducation se déroulera dans la station de Berck-sur-Mer, à la Fondation Hopale. « Ma famille vit dans le secteur, ce qui avait initialement motivé ma décision. Je ne l’ai jamais regrettée car j’ai été très bien suivi. Même si les journées étaient chargées entre la kinésithérapie, la préparation physique et la balnéo ! » Ce choix sera payant. Trois ans plus tard, en 2011, Matthieu Bataille remporte l’or mondial par équipe. « Nous sommes l’un des rares établissements où l’on peut tout faire », affirme le Dr Jérémie Caudin, médecin de médecine physique et de réadaptation. « De l’acte chirurgical à la rééducation, en passant par la réathlétisation, tout est sur place. »  En plus de la rééducation, un sportif de haut niveau a besoin de s’entretenir et, à la Fondation Hopale, il peut profiter d’appareils de musculation, de tapis de course, dont un tapis antigravité, d’une balnéothérapie, avec bains froids et chauds, de jacuzzis... Les athlètes sont chouchoutés afin qu’ils retrouvent au plus vite le chemin de la guérison et des compétitions.  « Quatre mois après sa sortie, le sportif est invité à revenir », ajoute le Dr Antoine-Xavier Malliopoulos, chef du département de rééducation orthopédique, traumatologie, rachis, appareillage et rééducation du sportif. « On lui fait alors un test isocinétique, qui permet de connaître la force développée par le patient. Suivant les résultats, un programme de reconditionnement musculaire est possible. Nous utilisons différentes techniques de pointe pour d’autres pathologies, comme les ondes de choc ou l’injection de facteurs plaquettaires pour les problèmes de tendons. » La Fondation possède également un service appareillage qui complète cette chaine de soin et de rééducation. On y fabrique, par exemple, des masques pour que les sportifs puissent recommencer l’entrainement sans crainte, après une fracture faciale, et on y adapte aussi des fauteuils roulants ou des kayaks pour la pratique du handisport. Bientôt un Institut du Sport de référence  C’est l’objectif affiché pour les mois à venir. La Fondation Hopale aimerait tendre vers une structure entièrement consacrée au monde du sport. Jusqu’alors, la prise en charge des sportifs était possible, notamment, grâce à l’association Hopale Sport Santé, créée en 2013. « L’une des missions est de promouvoir la prévention de la blessure », précise le Dr Malliopoulos. « Par exemple, grâce à une évaluation dynamométrique effectuée en début de saison dans différents clubs de la région. Cela permet de mesurer le risque de blessure et de le corriger si besoin. »  Cette prévention sera accentuée et renforcée avec la naissance de ce projet d’Institut du Sport, qui proposera des stages de préparation physique aux sportifs aguerris, valides ...

Château Panigon, Château Amour : le meilleur de l’AOC Médoc

Depuis 2006, ce domaine familial de quatre-vingt-dix hectares dont cinquante plantés est géré par les époux Georges et Corinne Leveilley Dadda dont la passion pour les vignes se reflète à travers la qualité de leurs vins. Un terroir favorable au développement des vignes Si les vins de Bordeaux connaissent un succès si spectaculaire dans le monde entier, c’est avant tout grâce à la combinaison de plusieurs facteurs plus que favorables à la viticulture. Installé à Civrac-en-Médoc, le Château de Panigon est en plein cœur de ce territoire et profite des largesses de Mère Nature pour obtenir des vins de grande qualité. En effet, le terroir argilo-calcaire recouvert de graves et de cailloux charriés par la Garonne est plus que propice au bon développement des vignes. « Le climat tempéré de la région permet aussi d’obtenir une maturité constante des raisins au fil des années et ainsi avoir des vins quasiment immuables en qualité » précise Georges Dadda. L’encépagement est composé de Merlot à 50%, de Cabernet Sauvignon à 45% et le reste en Petit Verdot. L’âge moyen des vignes quant à lui est de vingt-cinq ans. Entre tradition et modernité Toutefois, avoir des conditions aussi favorables soient-elles ne suffit pas pour autant à garantir au final la qualité des vins. Il est également important d’appliquer les bonnes techniques de vinification. Et c’est justement ce que Georges et Corinne s’évertuent à faire depuis qu’ils sont à la tête de l’exploitation. « À ce niveau, nous adoptons des méthodes modernes tout en respectant les traditions médocaines » note Georges. Les traitements sont menés toujours selon l’état sanitaire des parcelles, la fertilisation n’est jamais systématique et le désherbage est mécanique. Toutes les cuvées y sont élevées douze à dix-huit mois en barriques de chêne français avant d’être embouteillées. L’élégance pour le Château Panigon Cette cuvée, issue de l’assemblage des trois cépages du domaine et fermentée en cuves inox thermo-régulées, est produite à cent-soixante-seize-mille bouteilles en moyenne par an. D’une robe rouge grenat, elle marie harmonieusement des arômes de fruits rouges (mûres et cassis) et des fines nuances toastées au nez. En bouche, elle dévoile du gras et des tanins mûrs avec une longue finale donnant sur du fruité. Viandes rouges grillées, carré d’agneau et magret de canard sont les plats parfaits pour dévoiler tout son potentiel. La passion pour le Château Amour Vin d’assemblage entre le Merlot et le Cabernet Sauvignon en parts égales, le Château Amour présente une robe pourpre qui laisse présager de sa qualité. Au nez, il est délicatement parfumé aux olives noires de par la présence du Cabernet Sauvignon. Le vin est doux, aérien et juteux aux notes de pâtisserie en bouche. Cette cuvée s’accorde avec des fromages puissants, une poularde aux cèpes ou un carré d’agneau tout simplement grillé. En moyenne, le domaine en produit dans les cent-quatre-vingt-mille bouteilles par an. ...

SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE DERMATOLOGIE (SFD) : un acteur majeur au cœur de la recherche

Créée le 22 juin 1889, la SFD s’est fixé comme objectif de promouvoir la dermatologie française auprès de la communauté médicale au niveau national mais aussi international. Pour y parvenir, cette société savante s’est investie dans de nombreuses missions qui se rejoignent autour d’une même finalité : assurer une progression constante de la recherche, et ce, dans tous les domaines de la dermatologie. Les principales missions de la SFD   Le soutien et le développement de la recherche, l’amélioration des pratiques professionnelles ainsi que le développement de la formation continue, tels sont les trois grands points autour desquels œuvre la SFD. En parallèle, la SFD appuie la création et la structuration de groupes thématiques qui réunissent des hospitaliers, des chercheurs et des dermatologues. Ces groupes constituent notamment le fer de lance de la SFD en matière de recherche clinique. Une fierté pour la Société. Comme le souligne Pascal Joly,  le Président de l’association : « la dermatologie mondiale nous les envie. »  En effet, ces derniers sont essentiels pour le développement de la recherche en Dermatologie mais aussi et surtout pour leur dynamisme et la multiplicité de leurs actions. La SFD participe également à la formation médicale des dermatologues à travers l’organisation d’un grand congrès annuel appelé « Les Journées dermatologiques de Paris » (JDP). Au programme de ce congrès, figurent des sessions de formation médicale continue, mais aussi des sessions de recherche durant lesquelles des groupes exposent les résultats de leurs travaux. Les JDP connaissent aujourd’hui un succès notable à en juger par la forte affluence des participants. Ainsi toujours selon le Président, « Les JDP accueillent régulièrement plus de 4 500 congressistes dont près de 40 % viennent de l’étranger. » Enfin, en ce qui concerne les financements, il fait savoir que la SFD consacre plus de 60 % de son budget pour financer diverses actions de recherche (projets de recherche, bourses de formation à la recherche…). ...

Les familles qui viennent nous voir sont dans une grande solitude

Pouvez-vous nous présenter Association Microphtalmie France ? Reconnue d’intérêt général et agréée par le Ministère de la Santé, Association Microphtalmie France accompagne les personnes atteintes de microphtalmie, une malformation qui se manifeste par un oeil plus petit que la normale. Et dans son degré le plus sévère, le globe oculaire est absent. On parle alors d’anophtalmie. Ce sont des malformations rares mais très sévères et incurables de l’oeil. Elles touchent environ 1 naissance sur 10 000 dans le cas de la microphtalmie et 1 sur 100 000  pour l’anophtalmie. En dehors des ophtalmologues pédiatriques spécialisés dans les pathologies graves, la plupart des médecins ne connaissent pas cette maladie. Or, faute d’une prise en charge adaptée, une asymétrie de l’oeil risque d’entraîner une asymétrie du visage de l’enfant. Le temps est donc compté. Or les délais pour obtenir un rendez-vous d’ophtalmologie et démarrer une prise en charge adaptée sont longs. Et les spécialistes peu nombreux.  Dans quelles circonstances votre association a-t-elle vu le jour ? Ma fille est atteinte d’anophtalmie. Mais à l’époque, en 2011, c’était le désert. Pas de sites web, pas d’associations, pas de communauté… Alors que l’oeil joue un rôle majeur, aussi bien socialement que dans sa fonction visuelle, mon mari et moi nous heurtions quotidiennement à l’étonnement, voire à l’incompréhension des professionnels de santé. Nous manquions aussi cruellement d’informations sur la façon d’accompagner notre enfant et de lui prodiguer des soins adaptés. Avec d’autres parents que j’avais connus sur un forum de familles, de bébés et de jeunes adultes concernés par la microphtalmie, nous nous sommes alors regroupés. Et puisque rien n’existait, nous avons décidé de créer une structure. Association Microphtalmie France était née. D’un peu plus de 75 familles contactées la première année, nous sommes passés à 500 aujourd’hui.  Quel rôle joue-t-elle ? Association Microphtalmie France accompagne les enfants atteints de microphtalmie ainsi que leurs parents. On constate malheureusement une grande solitude des familles. Chacun « reste dans son coin », ce qui ne fait avancer ni l’état des connaissances ni les bonnes pratiques. Suite au diagnostic de leur enfant, les parents font face à de nombreuses difficultés : que faire ? Qui contacter ?  Quel avenir pour mon enfant ? C’est pourquoi il est essentiel d’accompagner les familles et d’être présents à leurs côtés. Non seulement au moment du diagnostic mais aussi tout au long de la prise en charge de la maladie. Nous les orientons dans le système de santé, nous les conseillons sur la prise en charge, nous leur facilitons certaines démarches administratives, par exemple en les aidant face à d’éventuels refus de prise en charge (soins, frais de transport ou d’hébergement). Les associations sont souvent un intermédiaire indispensable pour alerter sur les éventuelles anomalies que rencontrent les patients et leurs familles. Via les réseaux sociaux et nos espaces de discussion en ligne, nous facilitons également les échanges entre les familles d’enfants atteints de microphtalmie et les aidons ainsi à rompre leur isolement.  Pensez-vous que les maladies rares souffrent d’un défaut de visibilité ? Tout à fait. Une autre des missions de l’association consiste d’ailleurs à tout mettre en oeuvre pour faire connaître la microphtalmie. Il est indispensable de diffuser l’information auprès du grand public et des professionnels mais aussi de partager les retours d’expérience des parents/patients. Dans le cadre de cette démarche informative, nous avons récemment édité le Guide du Petit Oeil. Il s’agit d’un support d’accompagnement qui permet de rassurer les enfants en leur expliquant simplement la malformation dont ils sont atteints et les soins qu’on leur donne. Car même si c’est pour son bien, certains soins impliquent de devoir faire vivre des choses pas évidentes à son enfant… Il est donc essentiel de l’aider à grandir sereinement, à s’épanouir et &agra...

Croque-Michotte Saint-Émilion Grand Cru : assemblage de savoir-faire et d’intemporalité à l’écart des modes fugaces

Situé sur le « plateau » commun de l’ouest de Saint-Emilion et de Pomerol, le Château Croque Michotte dispose de près de 14 hectares de vignes (cépages : merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon) et d’un terroir exceptionnel de sables anciens et de graves sur argiles ferrugineuses. Le programme de replantation en cours tend à augmenter la proportion de cabernet franc, compte-tenu des résultats exceptionnels obtenus ces dernières années avec ce cépage aux tanins serrés et au degré moins élevé, particulièrement bien adapté aux conditions météorologiques du climat aquitain. Château Croque Michotte : historique Samuel Geoffrion acquit le Château Croque Michotte en 1906. Sa fille Hélène, puis Robert Carle menèrent ce vignoble familial, qui est exploité aujourd’hui par Pierre Carle, arrière-petit-fils de Samuel Geoffrion. Lucile Carle, fille de Pierre Carle, complète l’équipe de direction. Les travaux dans les vignes et les chais sont menés par Claudie et Eric, travailleurs expérimentés. Le Château Croque Michotte fut le premier des grands châteaux du bordelais à obtenir la certification d’État Bio, en 1999, avec quatorze ans d’avance sur les suivants. Cette démarche environnementale fut motivée par la lecture des notices des produits phytosanitaires et le souci de la protection des employés agricoles. D’autres mesures environnementales sont prises, telles éclairages à LED dans les chais, véhicule au GPL, traitement des bouchons sans produit chimique, marquage au feu, désinfection des chais sans produits de synthèse ou chlorés, etc. Depuis toujours les vendanges sont manuelles, les raisins, issus de petits rendements pour la mise en valeur du terroir, sont mis en cagettes par les vendangeurs et ne subissent aucune autre manipulation jusqu’au chai. Les grappes sont ensuite éraflées, les raisins sont triées sur une table optique automatique très performante, puis poussés par une pompe péristaltique et enfin foulés juste à l’entrée des cuves. Cette suite d’actions est la plus sûre pour éviter l’oxydation des raisins. Les vinifications sont effectuées sans sulfites, le moût étant protégé par des méthodes microbiologiques. Puis vient l’élevage d’environ quinze mois en barriques de chêne français à grain fin, dont 60 % neuves. Le millésime 2016 a reçu une médaille d’or et le Grand Prix des vins bio au Challenge International du Vin et une médaille d’or au Concours Mondial des vins Féminalise. Vous apprécierez autant sa belle robe rouge rubis que son nez fruité et fumé, complété par des pointes d’épices douces, et son attaque en bouche veloutée et franche accompagnée de tanins savoureux. Sans oublier sa finale longue agrémentée d’arômes de cacao. ...

Jubiles : l’entreprise qui va vous faire aimer la Kombucha.

Moins sucrés qu’un soda et plus savoureux que de l’eau : testez la kombucha 100% naturelle de Jubiles. La Kombucha : la nouvelle boisson tendance Aujourd’hui, quand vous ne voulez pas boire d’alcool, vous avez le choix entre des boissons (trop ?) sucrées ou de l’eau. La kombucha se positionne parfaitement entre ces deux catégories ! Originaire de Chine et consommée là-bas depuis des milliers d’années, vous découvrez une boisson naturelle qui s’obtient à partir de fermentation de thé au moyen de souches de kombucha. Jubiles les aromatise ensuite avec des jus frais réalisés dans son atelier afin de proposer des recettes aussi légères que succulentes. Par exemple : thé noir citron vert menthe, thé vert pomme curcuma et thé vert citron gingembre. Légèrement pétillante et réputée pour fournir de nombreux bienfaits au corps humain (renforcement du système immunitaire, amélioration de la digestion, effet anti-inflammatoire, etc.), elle répond aux besoins et envies de tout le monde. Mais ce n’est pas tout ! Car Jubiles propose aussi des jus de fruits et de légumes bio conservés dans des bouteilles bio dégradables (fabriquées à partir de résidus de canne à sucre). Pour essayer, rendez-vous dans un magasin bio près de chez vous (toutes les adresses sont sur le site) et achetez votre boisson en format snack de 25 cl ou en bouteille de 75 cl. Jubiles : une jeune entreprise éco-responsable La création de Jubiles remonte à 2017. À l’origine du projet, 4 personnes : Alexandre, Claire, Antoine et François. Comment leur est venue l’idée de cette boisson ? Ce sont les problèmes de santé d’Alice, la mère d’Antoine, qui sont à la base de tout. En effet, pour dépasser cette épreuve, celle-ci a modifié ses habitudes alimentaires et s’est mise à consommer quotidiennement des boissons brutes qu’elle réalisait elle-même telle que la Kombucha. Et les résultats furent surprenants. Le quatuor décida donc de passer à l’étape supérieure en proposant cette boisson au grand public tout en sensibilisant à l’impact d’une bonne alimentation sur la santé.    Mais, là où le petit groupe innove, c’est dans leur charte qualité. Proposée en toute transparence sur leur site, on observe que chaque étape de production est pensée pour avoir un impact minimal sur l’environnement. Du procédé de fabrication utilisant des ingrédients biologiques de première qualité à la distribution en voiture électrique : tout est réfléchi en amont pour garantir un processus le plus durable possible. A ce titre, Jubiles met actuellement en place une démarche RSE afin d’obtenir l’agrément Bio ED (Bio entreprise durable) mis en place par le Synabio. Prochaine étape de l’entreprise : multiplier les partenariats et, surtout, approfondir la connaissance et le procédé de la Kombucha en s’impliquant dans un programme de recherche. ...

Paléo Toi-même : intensément gourmands, infiniment bien-être…

Paléo Toi-même propose une solution unique et originale : des en-cas sains, gourmands et nutritifs. Si à l’origine le concept était destiné aux femmes actives, reines du grignotage mais qui tiennent à leur ligne, ces petites gourmandises à forte teneur en nutriments et en bonne graisse conviennent tout aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Un concept novateur Partant du principe que les oléagineux et les fruits séchés recèlent de trésors pour la santé, Pascal Baup, le fondateur de Paléo Toi-même a saisi cette opportunité pour en faire un concept novateur : des en-cas anti-grignotage car selon lui, « s’il faut grignoter en cas de petits creux, autant le faire intelligemment ». C’est ainsi qu’il se lance dans cette aventure, épaulé par Laurence Salomon, chef culinaire et naturopathe de profession qui lui fait part de ses précieux conseils pour assortir les produits de façon à optimiser les apports nutritifs et informer sur leurs vertus à travers des fiches nutritionnelles. Forte de ses 13 ans d’expérience au sein de son restaurant Nature & Saveur à Annecy, elle propose aussi des idées recettes à base de leurs produits. Des produits gourmands et pleins de ressources empreints d’un retour à la vie saine A l’image des snacks, barres de céréales et autres gâteaux préparés, ce ne sont pas les propositions qui manquent sur le marché. Pourtant, c’est Paléo Toi-même qui a pensé à allier gourmandise, santé et bien-être. Avec sa large gamme d'en-cas gastronomiques à base de fruits séchés et d’oléagineux, de chocolat cru, de baies, de muesli… les plaisirs sont variés et tout le monde y trouve facilement son bonheur.  Les produits sont issus de la culture biologique, non transformés, exempts de conservateurs, pesticides, herbicides et autres perturbateurs endocriniens à effets délétères sur la santé. De plus, ils sont vegan et sans lactose avec des valeurs nutritives intenses qui ne sont plus à vanter. Contrairement aux goûters industriels, les offres de Paléo Toi-même sont dépourvues de sucres rapides, facteurs de prise de poids et de maladies. « On a l’offre la plus diversifiée » souligne Pascal Baup. Plus de 100 choix sont proposés. Ils sont disponibles sur la boutique en ligne et sur abonnement avec des box personnalisables au gré de toutes les envies car « les goûts des uns et des autres doivent être pris en compte », se plaît à dire notre interlocuteur. Impossible de les citer tous, mais à titre d’exemples, des produits atypiques comme les figues zagros bio, le Fenelar offrent des expériences gustatives à part. Des fruits séchés bio comme les bananes, litchis, fraises, des baies de goji qualifiées de super-aliment grâce à leur forte teneur en fibre et en nutriments ravissent également les épicuriens. Les Blissballs, fibreux et à effet coupe-faim, composés de canneberges, dattes, amandes crues, noix de cajou crues, raisins sultanine, noix de coco, baies d'acaï  sont très plébiscités. Leurs apports combinés font de ce produit une collation idéale pour les enfants en pleine croissance. Paléo Toi-même propose aussi des coffrets de poche  pratiques et non encombrants. Des petites boites réalisées avec du fer blanc et barquette en APET, des matériaux fiables qui se glissent facilement dans tous les sacs à main et les cartables, pour transporter ces collations d’exception. ...

La Maison des Obsèques : la solution alternative pour vos obsèques

Perdre un proche est une épreuve difficile pour chacun d’entre nous. Il est donc souvent rassurant de préparer ses propres obsèques afin de soulager ses proches émotionnellement et financièrement lors de ce moment particulier de la vie. Fortes de cette réflexion, 3 mutuelles (Harmonie Mutuelle, Mutac et MGEN) se sont associées pour créer leur propre réseau funéraire, la Maison des Obsèques, et pour offrir à chacun un service de proximité, d’humanité, d’accompagnement et de respect. Fondé en 2015, ce 1er réseau fondé par des mutuelles a pour vocation de vous guider en toute transparence et en toute sérénité pour la préparation d’obsèques ou la signature d’un contrat de prévoyance obsèques. Aujourd’hui, 72 agences La Maison des Obsèques et 35 agences partenaires publics vous accueillent sur l’ensemble du territoire mais l’ambition de la Maison des Obsèques est de construire un réseau de 400 agences à l’horizon 2025. Pourquoi choisir la Maison des Obsèques ? Dans les différentes agences de la Maison des Obsèques, vous êtes sûrs de trouver des professionnels de confiance, à votre écoute, vous prodiguant des conseils clairs et une bienveillance sincère. Ici, vous pourrez vous entretenir dans une alcôve conçue comme un doux cocon. Tout le protocole d’accueil est tourné vers les familles pour adoucir au maximum ces instants douloureux. Ces agences se chargeront, entre autres, des démarches administratives, de l’organisation de la cérémonie civile ou religieuse, de la prise en charge du défunt, des faireparts, de la mise à disposition d’un registre de condoléances. Selon vos besoins, elles vous proposeront également une large gamme de services, comme le rapatriement du corps, la prise en charge de nuits d’hôtel, des trajets en taxi, une aide psychologique, une aide post-obsèques pour le dernier vivant (ex : repas à domicile….). Pensez à souscrire un contrat de prévoyance obsèques  Si, comme beaucoup de personnes, vous jugez que l’organisation de funérailles dans l’urgence est inappropriée à ce moment de la vie, vous choisirez sûrement de vous faire accompagner par des professionnels pour préserver vos proches et organiser des obsèques qui vous ressemblent. La meilleure solution est de souscrire un contrat prévoyance obsèques. La Maison des Obsèques vous propose une nouvelle gamme de 5 contrats, 2 contrats prévoyance conçus pour les moins de 70 ans et 3 pour les plus de 70 ans. Ces contrats de prévoyance sont entièrement dédiés au paiement et au choix des prestations obsèques du souscripteur. Ils sont uniquement distribués par les professionnels du funéraire. Ils sont considérés comme des contrats d’assurance-vie et à ce titre sont soumis au même régime fiscal. Avec ce type de contrat, vos proches bénéficieront de l’aide financière pour l’organisation de vos obsèques mais aussi d’un accompagnement professionnel et d’une aide psychologique grâce à l’expression précise de vos dernières volontés. Les contrats prévoyance en capital permettent d’assurer un montant pour financer vos obsèques, voire pour constituer un capital pour vos bénéficiaires. Les contrats prévoyance en prestations permettent de prévoir également le déroulement et l’organisation de vos obsèques comme vous le souhaitez. Ils sont assortis d’un devis détaillé des prestations souhaitées, devis qui devra être suivi à la lettre par votre famille qui n’aura rien à débourser. Par contre, vous pouvez modifier les prestations à tout moment. Avec ce type de contrat, vous pourrez décider à l’avance si vous souhaitez une crémation ou une inhumation, choisir le type de cercueil ou d’urne funéraire, les compositions florales, personnaliser votre cérémonie religieuse ou civile, etc. Pour souscrire un contrat qui vous correspond, un conseiller funéraire de la Maison des Obsèques sera présent pour vous accompagner dans vos choix et vos décisions. Ensuite, il effectuera toutes les démarches pour le compte de vos proches. ...

Flandre : une destination de pointe pour organiser ses congrès

À l’échelle internationale, c’est la Belgique entière qui s’est forgé une image de destination de pointe pour les congrès et les réunions d’affaires. Les infrastructures dont disposent les villes flamandes de Gand, de Bruges et d'Anvers y contribuent largement. Le secteur des professionnels de l’évènementiel en Flandre montre d’ailleurs beaucoup de dynamisme dans la rénovation et la création de nouveaux dispositifs. Un large choix de sites de congrès « Après l’ouverture du tout nouveau centre des congrès d’Anvers, c’est au tour de Bruges de se lancer dans la construction d’infrastructures adaptées à ce marché, tandis que Gand, déjà bien positionnée dans l’accueil de grands évènements internationaux, compte rénover son principal site », déclare Pascale Schuddings, Directrice pour l’Europe Francophone de VISITFLANDERS, l’office de tourisme de Flandre et Bruxelles. Il est vrai que la Flandre détient un palmarès fourni, en matière de lieux d’accueil de congrès et d’événements professionnels. Ils se déclinent dans un large panel de styles pour une adéquation parfaite avec les recherches de la clientèle. Avant-garde ou Art nouveau, contemporain ou médiéval, moderne ou historique, classique ou plus décalé, chaque lieu garantit de répondre à toutes les gammes d’attente. Avec, à chaque fois, la possibilité d’investir un espace à la taille de son événement : plus grand, plus intime ou modulable. Le Flanders Meeting and Convention Center à Anvers Le FMCCA illustre parfaitement la haute technicité des infrastructures que la Flandre peut proposer. Il bénéficie d’une situation privilégiée à quelques minutes du centre-ville, dans une zone de basses émissions, de surcroît. Anvers est elle-même avantageusement desservie par le réseau ferroviaire depuis Cologne, Amsterdam, Londres et Paris. Le centre allie à la perfection technologie et authenticité historique. Les 2 100 m² de l’atrium ouvrent, au rez-de-chaussée, sur une vingtaine de salles de réunion incrustées dans une structure d’une beauté architecturale saisissante. La salle de réunion VIP Bugatti Hall est, ainsi, rehaussée des œuvres du fameux sculpteur éponyme. Les autres niveaux de cet immense complexe comptent bien d’autres espaces – près de 20 000 m² en tout –, certains récemment aménagés selon les exigences les plus pointues de notre époque. Matériaux durables et dispositifs d’efficacité énergétique à la clé. Le tourisme de congrès à l’honneur à Bruges En tant que destination de congrès, Bruges affiche une affinité particulière avec quelques secteurs en croissance. Médecine, culture et tourisme, port et logistique, mécatronique et TIC sont les spécialités prioritairement ciblées par les établissements réceptifs. Le nouveau centre de congrès, dont le démarrage du chantier est prévu en 2018, mobilisera le talent d’architectes de gabarit international. Avec une capacité prévue pour 600 personnes, il abritera 4 500 m² d’espaces d’exposition. En attendant, la ville déploie déjà une large offre de lieux modulables selon les besoins de chaque événement. Avec des références comme le VIVES Campus Brugge ou le Congrescentrum Oud Sint-Jan. Gand et son centre de congrès international Le plus important établissement d’accueil de congrès de Gand profite d’un emplacement unique au sein du parc de la Citadelle. Cet ensemble de 17 000 m² aménagé dans un écrin de verdure peut accueillir jusqu’à 5 000 personnes dans ses 25 salles polyvalentes. Les organisations ayant à cœur de mettre en avant leur engagement pour l’environnement trouveront ici l’endroit idéal pour faire écho à leur conviction. Énergie renouvelable pour l’alimentation des moyens de communication et autres solutions vertes dans l’organisation des événements constituent la signature de l’adresse. ...

Les Roques de Cana :
des vins témoins de 2 000 ans d’Histoire

Depuis des siècles, les terroirs du village des Roques produisent l’un des meilleurs vins rouges du monde : le Cahors. L’Église orthodoxe en a fait un vin de messe ; et les rois d’Europe, leurs vins de table. François Ier (1494-1547) fut, par exemple, un de ses plus grands admirateurs. Eu égard à ce passé glorieux, Martial Guiette a réalisé un fabuleux rêve, en créant, en 2007, le domaine Les Roques de Cana, établi sur le terroir prestigieux du causse de Cahors. Son objectif ? Partager l’amour ainsi que l’émotion à travers des cuvées exceptionnelles et faire en sorte que les générations futures puissent aussi en profiter.  Un cépage légendaire et bénéfique Historiquement, Cahors figure parmi les plus vieux vignobles de France. Il a ainsi été le seul vignoble que l’empereur Probus (IIIe siècle) a autorisé de replanter en Gaulle. Et c’est justement sur les plateaux calcaires du causse de Cahors que les premiers plants de vignes ont été repiqués. C’est également à cet endroit que le domaine Les Roques de Cana a choisi, quelques siècles plus tard, son lieu de prédilection pour élaborer ses prestigieuses cuvées. Exposées plein sud, les vignes y bénéficient d’un sol argilo-calcaire et ferrugineux. « La particularité et la force des terroirs des Roques de Cana reposent sur la présence de fer sur une quantité très équilibrée, ce qui apporte aux vins une grande finesse et ce côté très fruité », explique le propriétaire. Sur ce terrain à la fois très rocailleux et argileux, la vigne souffre juste comme il faut pour donner naissance à des fruits somptueux. Ici, le malbec, cépage emblématique des vins de Cahors, règne en maître absolu. Déjà aux temps de Jésus, il jouissait d’une excellente réputation et pouvait se targuer de produire le meilleur vin. Beaucoup plus tard, c’est au tour du pape Jean XXII, natif de Cahors, de reconnaitre les qualités de ce cépage particulièrement riche en tannins et en pigments. Celui-ci demande alors à ce que des pieds de Malbec soient plantés au château de Fontainebleau. Autre particularité de ce cépage : il renferme de puissants antioxydants qui lui confèrent des vertus bénéfiques sur la santé. Pierre le Grand (1672-1725), un des plus grands tsars de Russie, a été parmi les premiers à en constater les bienfaits. Souffrant régulièrement de maux d’estomac, celui-ci s’aperçoit que son état s’améliore après avoir bu du vin de Cahors. La quête de l’excellence Récoltant-manipulant, le domaine Les Roques de Cana maitrise toute la chaine de production. Il est mené en lutte raisonnée tout en mettant en avant une pratique culturale respectueuse de l’environnement. « Nous limitons au minimum l’utilisation de désherbants et autres produits phytosanitaires. Nous essayons d’optimiser nos techniques culturales pour faire le meilleur vin possible », nous indique-t-on. Par ailleurs, quelques parcelles servent aujourd’hui de terrain d’expérimentation à la culture bio. Mais il faudra attendre 4 ou 5 ans pour savoir si cette méthode est la mieux adaptée et surtout si elle permet de produire des vins d’excellente qualité. Côté vinification, le domaine s’est équipé de matériels de pointe afin de tirer le meilleur parti de son terroir. Table de tri, rampes de robots pigeurs, microbulleurs, cuves ouvertes en inox… Tout est fait pour assurer une production qualitative. Afin de garder intacte toute l’expression aromatique du vin, la maison privilégie un élevage en cuve ciment sur certaines de ses cuvées. Pour le reste, le vieillissement se fait en barriques qui sont renouvelées chaque année. Les spécialités de la maison Les Roques de Cana élabore un vin rouge d’exception décliné en 3 saveurs différentes correspondant aux 3 moments importants de l’Évangile : le vin des Noces, Sanguis Christi et le Graal Sanctus. Chacune de ces cuvées peut prétendre, de manière légitime, le titre de « cuvée emblématique » du domaine. « Toutes nos cuvées représentent tr&...