Considérée comme la plus grande église cistercienne d'Europe, cet exceptionnel patrimoine des XIIe et XIIIe siècles, témoigne de la transition entre art roman et art gothique (première utilisation de la voûte d'ogive en Bourgogne). Un prestigieux patrimoine Après la Révolution, seuls l'église et le dortoir des Convers ont été préservés. L'ensemble du domaine, acquis en 1910 par Paul Desjardins -professeur à l'Ecole Normale Supérieure- a accueilli jusqu'en 1939 un grand nombre d'intellectuels internationaux, dans le cadre des "Décades de Pontigny". A découvrir, entre autres témoins de l'innovation cistercienne, le prestigieux vignoble de Chablis, dont la réputation doit beaucoup aux moines et convers de Pontigny. ...
Charles de Gasquet décide de développer le vignoble Mentone à la fin du XIXème siècle. Il agrandit les bâtiments et la cave. Puis, Marie-Pierre Caille, tombe sous le charme de ce Château du Var et en fait acquisition en 2003 avec l’aide de son père. Aujourd’hui, la famille Caille y produit des vins de qualité en suivant une démarche éco-responsable. Elle ouvre également ses portes pour l’oenotourisme. Culture et vinification D’une superficie de 170 hectares dont 32 hectares de vignes, le domaine s’étend à la fois sur les communes de Saint-Antonin-du-Var et d’Entrecasteaux. Château Mentone fait partie des plus anciens vignobles de l’appellation Côtes de Provence et une des trois AOP recensées dans le Var. Sept cépages parmi les onze de l’appellation sont cultivés au domaine : Syrah, Grenache, Carignan, Cinsault, Cabernet Sauvignon, Rolle et Clairette. Ces cépages s’adaptent parfaitement au sol argilo-calcaire, perméable et caillouteux et au climat continental du terroir, favorable à la maturité tardive des raisins. Après plusieurs années de viticulture raisonnée, Marie-Pierre Caille engage le virage biologique en 2008 dans le strict respect du cahier des charges ECOCERT. Cette reconversion trouve sa récompense en 2012 avec l’obtention du label AB pour la viticulture et la vinification. Pour aller toujours plus loin dans ce sens, le domaine opte pour la limitation des intrants chimiques au maximum, l’utilisation des levures indigènes et la réduction de l’utilisation du dioxyde de souffre. Ces techniques ont notamment été utilisées dans l’élaboration de la Cuvée Trilogie. Des efforts qui ont été récompensés par une médaille d’argent au Concours de Lyon pour le Rosé 2015. Les atouts de Château Mentone La maison d’hôtes du Château comporte cinq chambre à la décoration personnalisée et un SPA. L’ancien poulailler s’est métamorphosé en trois petites suites familiales en duplex appelé « Le Sévigné ». Le Lodge n’est pas en reste avec ses trois appartements en duplex, entièrement en bois. L’un des appartements est adapté aux personnes à mobilité réduite. Enfin, une grande maison de vacances a été aménagée dans un ancien moulin à huile. Ce dernier possède six chambres avec salles de bain privatives. Terrasses, tennis, pétanque, piscines et parkings privés complètent l’offre. Le domaine prête sur demande des VTT à ses hôtes. Dans un cadre alliant tradition et modernité au milieu des vignes, une cuisine méditerranéenne est servie à la table de la Ferme-Auberge. Les produits du domaine (oeufs, huile d’olive, fruits et légumes du potager), des producteurs locaux ou des marchés environnants permettent de préparer des mets en harmonie avec les vins bio du Château. Une grande salle de réception permet aussi de recevoir des évènements familiaux et professionnels. Un caveau de vente et de dégustation offre une dégustation individuelle gratuite de l’ensemble des vins du Château Mentone. D’autres produits locaux et souvenirs y sont également en vente. Les gammes de vins La gamme Emotion regroupe des vins qui résultent d’un « travail traditionnel, plus facile à comprendre et à déguster ». Entièrement composé de Rolle, l’Emotion blanc 2015 révèle un nez intense sur des fruits exotiques et une bouche aux notes d’agrumes. Ce qui lui vaut une médaille d’or au Concours Général Agricole de Paris en 2016. Le rosé a quant à lui reçu la médaille d’argent au Concours des Vins de Provence. La gamme Trilogie rassemble un rosé, un blanc et un rouge de terroir. Le Rosé millésime 2015 plus particulièrement a séduit les jurys du Concours de Mâcon qui lui a attribué une médaille d’or. La subtilité et la complexité de ce vin composé de 70 % de grenache, 20 % de cinsault et 10 % de clairette justifient son grand succès. La gamme Cuvée Excellence est un rouge de garde. Celle de 2005 a raflé le Prix de Vinalies 2010 et est élu Coup de cœur du Guide de l’Epicurien la même année. Elle dév...
Créée en 1951 par ses fondateurs M. Lucien Vitteaut et son épouse Maria, née Alberti, la maison Vitteaut-Alberti ne cesse de s’agrandir au fil des années afin de maintenir la qualité et la richesse de ses cuvées. Elle exploite aujourd’hui 23 hectares de vignes réparties sur la côte de Beaune et les hautes-côtes de Beaune ainsi que sur la côte chalonnaise entre les villages de Rully et Mercurey. L’ensemble de ses vignes est cultivé selon le principe d’une lutte raisonnée, dans le plus grand respect du sol et de l’environnement. Par ailleurs, depuis trois générations, le domaine familial travaille le crémant de Bourgogne suivant la méthode traditionnelle, une technique presque similaire à la méthode champenoise sauf que 100 % du cépage utilisé doit provenir du sol bourguignon et que l’élevage se fait sur 12 mois et non sur 15 mois. Crémant de Bourgogne : la combinaison parfaite Chardonnay, pinot noir, aligoté sont les cépages de prédilection de la Maison Vitteaut Alberti. « Ce sont des cépages qui permettent d’obtenir des produits très frais, très subtils en termes d’arômes », souligne Sandie Deboissy, la responsable commerciale et marketing du domaine. Pour élaborer un crémant de Bourgogne, 80 % de chardonnay et 20 % d’aligoté en provenance de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune sont nécessaires. À la clé : un produit frais et raffiné qui séduit de plus en plus de monde. « Aujourd’hui le crémant de Bourgogne connaît une croissance incroyable. Les gens ne le consomment pas uniquement lors d’occasions particulières mais, à tout moment, en apéritif, durant les repas », tient à préciser notre interlocutrice. Sa vinification se fait par « méthode traditionnelle » et c’est tout un art dont la maison Vitteaut-Alberti est fière d’en être la gardienne. Ce savoir-faire particulier lui a permis de rafler des récompenses dans des concours régionaux et nationaux : 1er prix au concours de vin de la côte chalonnaise 2017, coup de cœur Guide Hachette des vins 2014, sélection dans Cuisine et Vins de France Décembre 2013. Un nouveau style, le même esprit Le domaine propose une gamme de produits bien fournie : des crémants, des mousseux et récemment des cuvées spéciales. Parmi ses produits phares figure la cuvée Agnès. Elle a été introduite en 2006 et rend hommage à l’arrivée de la 3e génération, Agnès Vitteaut, qui a repris le domaine. La cuvée est élaborée uniquement à partir de la meilleure sélection de chardonnay de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune. Elle est ensuite élevée jusqu’à 36 mois pour obtenir une complexité aromatique incroyable : côté vineux, une belle longueur en bouche, finesse de bulles. Désireux de parfaire sa collection, et surtout de raconter son histoire, le domaine prévoit de lancer chaque année une marque de cuvée spéciale. Pour cette année, il a concocté la cuvée Dentelle: « Un packaging original, fait main et tout peint sur la bouteille, 100 % chardonnay, cuvée très élégante, beaucoup de finesse, de légèreté, dans laquelle on ne prend que les premiers jus de presse, les plus fins », célèbre Sandie Deboissy. Elle ne sera commercialisée qu’au nombre de 4 200 bouteilles et sera spécialement réservée aux clients restreints du caveau. Car même si la production de la maison Vitteaut-Alberti atteint les 500 000 bouteilles par an, elle est avant tout un domaine familial qui souhaite préserver son intimité avec ses clients. Elle insiste pour offrir un accueil chaleureux et personnalisé à chacun de ses convives. ...
Dans son élégante résidence balnéaire surplombée par le Monte San Petrone, l’hôtel Orizonte propose plusieurs espaces de restauration pour y apprécier une cuisine moderne riche en saveurs locales. De l’entrée au dessert, en passant par la décoration raffinée et chaleureuse de la salle, tout y reflète un traitement minutieux des détails pour sublimer les sens. Un cadre aux multiples atouts Décorée pour prodiguer une ambiance conviviale, la principale salle du restaurant se pare de tons chauds aux notes boisées, soulignée par un parquet de teinte chocolat et égayée par des miroirs anciens. Pour profiter du spectacle balnéaire tout au long des repas, les tables se prolongent directement sur le bleu de la mer et offrent une vue privilégiée sur l’horizon, grâce à de grandes baies vitrées. Sur la Paillotte, idéale pour apprécier les grillades et les pizzas de la maison, la terrasse invite à apprécier les plaisirs gustatifs en plein air, avant de partir en promenade le long de Moriani Plage ou vers la plage de la Prunete. Disposant de 45 chambres, allant de la double ou quintuple, l’hôtel promet également de confortables nuits durant des séjours de randonnées en altitude ou de découverte historique et culinaire dans la Castagnicia, l’arrière-pays du village de Cervione. Une cuisine de qualité, des recettes inspirées Proche du village de Cervione, l’Orizonte propose des plats riches en goûts et en saveurs, grâce à un approvisionnement continu en produits locaux frais. En effet, il profite de liens privilégiés avec les producteurs locaux et se targue même de disposer d’un potager enrichi de multiples herbes aromatiques. Il propose ainsi une carte étoffée alliant modernité et tradition, en misant sur 80 % de produits du terroir pour faire naître de nouvelles saveurs. De même, l’adresse propose la découverte d’une sélection de vins corses, comme ceux du Domaine de la Punta ou du Clos d’Alzeto, spécialement choisis pour leurs qualités organoleptiques et leur histoire. ...
Un cabinet de conseil en technologie à échelle étudiante Les Junior-Entreprises ont le vent en poupe ! Implantées dans des établissements d’enseignement supérieur (écoles de commerce, d’ingénierie, etc.), ces associations permettent aux étudiants qui les rejoignent de mettre leurs connaissances en pratique. « Par le biais de notre Junior-Entreprise, les étudiants de l’Estaca (École Supérieure des Techniques Aéronautiques et de la Construction Automobile) peuvent répondre aux besoins des clients » explique Daniel Braïk, président de la Junior-Entreprise de l’établissement du même nom. « Ils interviennent principalement sur des problématiques d’ingénierie dans les domaines de compétences de l’Estaca que sont l’aéronautique, l’automobile, les transports ferroviaires et l’industrie spatiale. Mais à terme, nous envisageons de diversifier notre offre en proposant de l’information mais aussi du conseil ». Une large palette de clients Parmi les clients auxquels Junior Estaca fournit des solutions aussi novatrices qu’efficaces figurent essentiellement des grands groupes mais aussi des entrepreneurs. « Nous travaillons avec Airbus pour l’aéronautique, avec PSA et Jaguar, notamment, pour l’automobile et avec la SNCF pour tout ce qui touche au ferroviaire » précise Daniel Braïk. « Pour autant, notre clientèle compte de plus en plus de startupers qui souhaitent que nous les aidions à créer puis à développer des projets technologiques ». Si un nombre grandissant de clients font désormais appel aux Junior-Entreprises, en général, et à Junior Estaca, en particulier, c’est parce que ces structures ne manquent pas d’atouts. Faire rimer flexibilité, qualité, créativité et réactivité En choisissant de faire appel à ses services, les clients de Junior Estaca savent qu’ils pourront profiter de nombreux avantages. « Tout d’abord, nous faisons preuve d’une grande souplesse d’organisation » précise Daniel Braïk. « Nous pouvons faire intervenir des équipes d’étudiants sur des domaines variés et pour des durées flexibles. Nos missions durent généralement entre deux et dix mois. De plus, le fait que nous puissions nous appuyer sur le vivier de jeunes talents que forment les étudiants de l’Estaca nous permet de proposer des solutions à la fois innovantes et créatives ». L’aspect financier joue également en faveur de Junior-Estaca. En effet, s’agissant d’une association à but non lucratif, les tarifs pratiqués par les Junior-Entreprises sont généralement intéressants. « Notre statut associatif nous permet d’être économiquement compétitifs » indique Daniel Braïk. « C’est une combinaison de tout ça (créativité, flexibilité, compétitivité) qui fait que nos clients nous choisissent ». Enfin, parce que les Junior-Entreprises sont rigoureusement encadrées - au sein de la Confédération Nationale des Junior-Entreprises, notamment - et régulièrement contrôlées, les entreprises qui font appel à elles ont la garantie de bénéficier de prestations de qualité. La Junior-Entreprise : un système « gagnant-gagnant » S’ils choisissent de faire confiance à Junior Estaca pour les accompagner dans leurs projets, grands groupes, TPE/PME et startupers pourront bénéficier, nous l’avons vu, de tout un arsenal d’avantages comme des solutions innovantes, des tarifs attractifs, une organisation d’une grande souplesse, des prestations de qualité et une réactivité importante. Mais il est intéressant de souligner que les avantages sont également du côté des étudiants eux-mêmes. Car si les Junior-Entreprises sont des associations à but non lucratif, elles sont aussi à vocation pédagogique. En rejoignant Junior Estaca, un étudiant pourra ainsi profiter d’une passerelle vers la vie active. Il mettra en pratique ses connaissances, affinera ses compétences, en développera de nouvelles, valorisera son expérience et prendra contact avec de futurs clients/employeurs potentiels. Pour toutes ces rais...
Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran Embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire. Les nations sans État comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans, les Kurdes... En fait, tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. » Éditions Yoran Embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran Embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français/roumain, français/lituanien, français/basque, français/gaëlique écossais, français/corse, français/kurde : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 22 nouveaux livres. » L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...
L’histoire de la Table de Léo est celle d’un coup de cœur. A la recherche d’un établissement typiquement périgourdin à reprendre, Florent Reversat et Servane Daudet sont immédiatement séduits par cette bâtisse en pierre qui a su préserver les marques du temps passé lui conférant tout son charme rustique. Ils la transforment en une adresse cosy et conviviale où la cuisine semi-gastronomique est à l’honneur. Les produits du terroir au menu Une fois que vous aurez mis les pieds à la Table de Léo, vous y retournerez, forcément. Comment résister à un accueil aussi chaleureux, à un service aussi efficace, à une cuisine aussi savoureuse ? Promis ! Ce restaurant périgourdin vous fera passer des moments exceptionnels. En cuisine, Florent s’active déjà pour vous proposer un succulent menu à midi. Ce chef passionné commence sa formation au sein du Lycée Professionnel Jean-Capelle à Naillac pour y passer son BEP et son BACC PRO. Il a ensuite exercé au sein de plusieurs grandes maisons à l’instar de l’établissement étoilé Le Vieux Logis sis au cœur du Périgord Noir. Plus tard, son chemin recroisera celui de Servane qu’il déjà a connu au Lycée Jean-Capelle. Ensemble, ils lancent le projet d’une vie : l’ouverture de leur restaurant qu’ils baptiseront « La Table de Léo » comme leur petit garçon. Coïncidence : la place située en face du restaurant se nomme aussi Léo. Plus aucun doute donc pour le couple. Ils retravaillent entièrement la décoration. Les murs en pierres apparentes ainsi que les meubles en bois brut réveillent le côté traditionnel. Le côté chic est souligné par un art de la table soigné avec des chemins de table blanc en tissu. Telle une véritable galerie d’art, la maison expose gratuitement beaucoup de tableaux réalisés par des peintres de la région. En somme, l’idée est de recréer une ambiance typiquement périgourdine. « Les clients aiment bien ça ! » se réjouit Servane Daudet. Quand le temps est clément, la terrasse ombragée invite à la détente. Elle est située au pied de la célèbre abbaye de Saint-Avit-Sénieur qui se trouve sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. L’édifice religieux datant du XIIème siècle et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO est l’une des attractions phares de la commune. Une délectable cuisine de saison Florent se fait l’ambassadeur d’une cuisine du terroir qu’il personnalise selon ses humeurs et ses envies. Les produits frais sont privilégiés et directement sélectionnés auprès d’éleveurs et de producteurs du coin. Les menus sont élaborés en fonction de la saisonnalité et changent tous les deux mois. Pour combler vos papilles, vous vous laisserez séduire par le menu Plaisir proposé midi et soir pour un prix modique de 32 €. Invitant à un voyage aux quatre coins du globe, le chef vous concocte un Longe de thon fumé cuit minute dans son bouillon de crustacés aux épices thaï. Puis, direction l’Italie avec le dos de cabillaud, risotto crémeux chorizo et encornets. Terminez avec le Finger exotique, sablé coco et sorbet fromage blanc citron qui vous transporte jusque dans les îles. Une jolie carte des vins éclectique avec quelques clins d’œil sur la région est proposée. La maîtresse des lieux vous conseille en fonction de vos envies afin que vous puissiez vous délecter des meilleurs accords. ...
OPUS MI développe un concept de l’événementiel ayant pour ancrage la culture et le patrimoine. L’approche joue la carte du privilège en alignant les valeurs des entreprises clientes à des actualités culturelles à fort potentiel, ou à des lieux chargés d’histoire. Entre accès privés à des monuments et transformation du QG de la firme en galerie d’art éphémère, l’agence n’est pas à court d’inspirations pour booster l’image interne et le rayonnement ses clients dans le respect de leurs singularités et de leurs valeurs. Des écrins valorisants pour des événements d'exception et attractifs « Votre image d’entreprise est un objet précieux, traitez-la en conséquence. » C’est un peu dans cette perspective qu’OPUS MI met son savoir-faire au service de ses clients. Les prestations de l’agence parisienne repose sur un principe : offrir aux événements de chaque firme des cadres d’exception, à travers des programmes et des mises en scènes authentiques. Frédéric Le Compagnon, le fondateur, parle tout simplement d’ « écrins valorisants » pour évoquer les lieux que son agence ouvre aux événements que pilote celle-ci, afin d’en garantir le rayonnement. Dans la même foulée, l’apport de la maison rend ces programmations plus authentiques, plus à même d’attirer les participants qui sont souvent très sollicités. Les cadres-écrins en question varient, selon le cas, entre des monuments et d’autres lieux patrimoniaux, notamment à Paris, dont OPUS MI organisent l’accès privilégié et la visite exclusive. Exclusive en termes d’horaires : les groupes investissent les lieux en dehors du créneau normal d’ouverture au public. Exclusive en termes de contenu et d’expérience : des accompagnements personnalisés par d'excellents conférenciers qui offrent une expérience VIP aux participants. Des moments de convivialités autour d’une coupe de champagne, d’un petit déjeuner ou d’un cocktail peuvent agrémenter ces instants d’exception. Communiquer intramuros autour de l’art L’événementiel en entreprise constitue un autre créneau où OPUS MI intervient avec une offre des plus singulières. Le temps d’un événement, l’agence transforme les antres de la firme cliente en une galerie d’exposition éphémère. Elle apporte dans les murs de l’entreprise un événement qui fait l’actualité, à travers un choix d’œuvres sélectionnées selon un parcours qui fait du sens par rapport à son axe de communication. Les œuvres photographiques accrochées apportent également un autre cachet à la décoration. De quoi hautement impressionner les partenaires qui viennent visiter. D’autant qu’un conférencier qui a travaillé sur l’exposition peut intervenir dans les locaux du client. En notant que l’élaboration de cette exposition respecte entièrement la communication de l’entreprise: ses valeurs ou les réflexions qu’elle porte voire son cœur de métier. ...
Au cours de ces dernières années, la Vendée est devenue la nouvelle destination de la gastronomie. Et pour cause, le département abrite les meilleurs restaurants en Pays de la Loire, dont la Table du Boisniard, le restaurant gastronomique du Château du Boisniard. Une référence en Vendée Depuis son ouverture en 2011, la Table de Boisniard est un restaurant gastronomique de référence en Vendée. Titré « Maître Restaurateur » depuis 2012, il est aussi reconnu comme étant une « Valeur sûre » par le Bottin Gourmand. Et à son actif, il dispose de trois fourchettes et un couvert au guide rouge Michelin. Actuellement, l’établissement convoite l’étoile ! Ce qui ne devrait plus tarder, puisque toutes les cartes sont entre ses mains : un endroit unique et idyllique, alliant l’élégance de ses origines du XVe siècle à la modernité de la décoration contemporaine ; un personnel aussi sympathique que réactif, orchestré par Emmanuelle Gautier ; et un moment d’épicurisme assuré par le jeune et talentueux chef, Valentin Morice. De la gastronomie maîtrisée Selon leurs envies, les convives pourront choisir entre le menu Découverte et le menu Dégustation. À 42 euros, le premier propose une entrée, un plat et un dessert. Quant à la dégustation, un même menu est servi à l’ensemble de la table pour 72 euros. Pour les plus pressés, un menu Affaires à 33 euros est disponible le midi du mercredi au vendredi. Par ailleurs, le chef propose aussi une carte qui évolue au gré des saisons et des produits disponibles sur le marché. Il est à noter que tous les plats et menus proposés par l’établissement sont labellisés « fait maison », y compris le pain. Quant à sa carte de vins, elle met à l’honneur ceux des Pays de la Loire, sans négliger les autres régions. ...
La transmission du savoir-faire de père en fils a contribué à maintenir la qualité des vins de la Grand’Vigne et de construire sa notoriété. Cette exploitation se transmet donc depuis quatre générations et la cinquième est bientôt prête à prendre le relais. Deux terroirs aux caractéristiques différentes s’expriment à travers la Grand Vigne Cuvée Traditionnelle, Les Fournerys et Florian. Appellation Coteaux-Varois-en-Provence : les caractéristiques d’un terroir d’exception Le domaine de la Grand’Vigne est perché à 240 mètres d’altitude, à côté de l’ancienne voie romaine « Via Aurélia ». Il bénéficie d’un climat méditerranéen froid et rigoureux en hiver, chaud et sec en été. Les courants marins sont stoppés par les nombreuses collines. Situé essentiellement près des sites d’extraction de bauxite, le terroir de la Grand’Vigne est fait d’argile rouge de bas de pente. La profondeur du sol permet d’amoindrir l’effet de la sécheresse estivale. Entre garrigues, pinèdes et genêts, le terroir des Fournerys possède des sols caillouteux qui garantissent la typicité des vins. La Grand’Vigne : vinification et savoir-faire Les procédés des paysans des bastides provençales dans les travaux de la vigne, les vendanges et la vinification connaissent un tournant en 1948 avec l’adhésion à la coopérative des Cordeliers. Ce n’est qu’une cinquantaine d’années plus tard que la production et la vinification s’effectuent à nouveau à la propriété. Depuis, la tradition et le savoir-faire œnologique des viticulteurs du Var leur permettent de viser l’excellence, un objectif qui se concrétise par les médailles et récompenses de guides et concours. La vinification suit différentes démarches pour les vins blancs, rouges et rosés. Celle du blanc commence par la macération préfermentaire à froid en milieu inerte, une technique qui consiste à retarder le départ de la fermentation. Elle permet d’extraire en douceur les arômes, tanins, pigments et donne au vin un côté fruité intense. L’étape suivante est le débourbage statique ou la séparation des bourbes et du mout. Le liquide passe maintenant dans des cuves thermorégulées entre 16 et 18 °C pour la fermentation. Le vin est élevé sans être séparé de ses lies pour augmenter ses arômes et sa rondeur. Le procédé finit par un collage doux avant la mise en bouteille. L’assemblage et la mise en bouteille sont précoces pour le blanc et le rosé. La méthode pour le rouge se distingue par une sélection des parcelles, puis l’éraflage en totalité. Il y a également le remontage et délestage régulier, suivi d’une cuvaison de 12 à 15 jours en maitrisant la température entre 24 et 26 degrés. Selon le millésime, une macération post-fermentaire peut être effectuée avant l’élevage en barrique partiel. ...
Un hôtel aux racines de l’art À deux pas du canal Saint-Martin et à quelques encablures du quartier du Marais, les neuf étages de L’hôtel Renaissance Paris République s’imposent comme une œuvre d’art à part entière, avant même d’en avoir passé les portes. C’est à l’architecte parisien Éric Haour que le groupe Marriott International a confié la réhabilitation des parties extérieures de ce bijou d’architecture contemporain. Tout en conservant les hublots de la façade d’origine, il a abaissé les deux cours intérieures pour restituer l’esprit des passages typiquement parisiens que l’on trouve dans les immeubles bordant le site. Les volumes intérieurs ont, quant à eux, été confiés à Didier Gomez. On le connaissait pour ses réalisations d’intérieurs de grands groupes bancaires ainsi que de plusieurs villas pour particuliers. Signant ici peut-être l’une de ses plus belles réalisations, il a insufflé un petit quelque chose aux 121 chambres de l’hôtel qui les feraient presque ressembler à des ateliers d’artistes avec leurs mobiliers de référence et canapés faits sur mesure. Le restaurant Origin ORIGIN c’est un restaurant urbain qui offre une cuisine brute, d’inspiration parisienne dans une ambiance authentique et décomplexée. Une cuisine impertinente et vibrante tout comme le quartier de la République. Cuisine ouverte, où rien n’est à cacher, ou plutôt tout à montrer. À l’écart de l’effervescence des grands boulevards et du quartier République, s’ouvre une nouvelle table. Décoinçant les codes de l’hôtellerie classique, Origin s’ouvre aux clients comme aux parisiens autour des valeurs terroir. Un retour aux sources et à l’essentiel. Privilégiant les circuits courts comme le rythme des saisons, la cuisine du restaurant Origin sélectionne les meilleurs producteurs de Paris, d’Ile de France. La carte Touchant à l’essentiel, la carte évite la rallonge et se décline en quatre propositions d’entrées et plats prêchant le frais, le sain et la gourmandise. Une cuisine d’instinct revendiquée, juste dans ses assaisonnements et ses cuissons, portant une attention permanente au goût, plats végétariens compris, et s’accordant quelques digressions savoureuses. Sucrée Détournant volontiers les classiques, la carte des desserts s’amuse des associations de textures, aériennes ou croquantes, cultive la légèreté et les différences en proposant régulièrement gâteaux sans gluten et sans lactose. Point de ralliement Le bar Martin du Renaissance Paris République sait changer de peau, café et comptoir le matin, bar à cocktail le soir. Dès 7h, l’offre de petit-déjeuner s’ouvre aux rendez-vous des parisiens. Au menu, l’éclair au café Carron à partager, des tartes aux fruits de saison et les viennoiseries traditionnelles. Préparé par un barista, le café de la Brûlerie Caron sort les grands crus. A la carte des thés, la torréfactrice Anne Caron choisit ses produits avec le même soin que les crus de café en signant des assemblages extraordinaires réunis sous le nom : « Les jardins d’Osmane». AU MARTIN, on y passe quand on veut. En début de soirée, pour découvrir les nombreuses références de gin et la carte des cocktails signature passant du gin concombre à l’intense parfum de safran, aux créations infusées de la maison, et sur demande les classiques du cocktail. La bière se boit ici exclusivement artisanale avec une sélection des meilleures brasseries de Paris et d’Ile-de-France. Le bar Martin propose sa propre bière en partenariat avec La Parisienne. Sur le pouce Pensée pour accompagner les cocktails, la carte de Sharing Food fait dans l’authenticité avec, selon les saisons et les coups de cœur du chef : la planche jambon cru & blanc mignon de porc fumé, saucisson à l’ail ou la cocotte penne tomates & parmesan reggiano AOP ou le tartare de poisson selon marché. Le bar est ouvert du lundi au dimanche de 8h à 1h. ...
L’appellation de Chevaliers d’Argouges a été adoptée en référence aux locataires du château de Gratot. C’est dans cette commune de la Manche que l’enseigne a fait ses premiers pas en 1991. Relogée à Moyon, cette entreprise familiale garde, aujourd’hui encore, le concept d’un chocolat fabriqué par de vrais artisans. Du chocolat essentiellement normand, traditionnellement gourmand De la sélection des matières premières jusqu’aux ballotins et tablettes, les Chevaliers d’Argouges nourrissent une jalousie non dissimulée pour les traditions de leur art. Ici, ganaches et pralinés – toujours fabriqués à la main – continuent d’être couchés sur tables en marbre et découpés à la guitare. Déployant toute l’inventivité de la Normandie, la marque distille des recettes variées s’adressant à toutes les gammes de préférence. Les essences des précieuses fèves de la Guinée, du Venezuela, de l’Équateur et d’ailleurs s’emmêlent gaiement à des notes d’orange, d’amande ou de raisin pour submerger les papilles de notes exquises. Finesse et légèreté sont au rendez-vous dans les illustres tuiles au chocolat. Éclats de caramel, de noisettes hachées-grillées ou d’orange, toutes les fantaisies sont permises avec ces doux péchés parmi les plus appréciés de la maison. Aux grandes occasions, place aux découvertes singulières dont l’enseigne a le secret. À l’instar des ganaches pâtissières mises à l’honneur en 2017. En une seule bouchée, gourmands et gourmets partent pour un voyage combiné entre le fondant des brownies, des tiramisus et des cheese-cakes et l’opulence de la classique ganache. ...
Pour un domaine viticole, la Bergerie d’Aquino est un nom pour le moins insolite, n’est-ce-pas ? Ce nom tire en fait ses origines d’une légende née dans la région comme quoi le fameux Saint-Thomas d’Aquin aurait fait de cette bergerie à l’époque, une étape régulière durant ses nombreux voyages entre la France et l’Italie. Un terroir qui se prête au bon développement des vignes Composé d’un terroir à base d’argile, le vignoble du domaine est, selon les explications d’Eric Bompard, propice à la viticulture : « Nous avons un sol argilo-calcaire très caillouteux qui favorise le drainage ». Les parcelles de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon et Rolle y sont exposées plein sud et bénéficient d’un ensoleillement exceptionnel toute l’année. En 2015, une nouvelle parcelle de Cinsault a été cultivée pour élargir les possibilités d’assemblage, notamment pour le rosé. Les premières vendanges de cette parcelle auront lieu dans deux ans. En matière de viticulture, profiter d’un bon terroir n’est pas suffisant pour avoir des récoltes de qualité. La façon de le cultiver est également une étape primordiale. « Nous n’utilisons aucun pesticide, aucun engrais et évitons de traiter les vignes. En revanche, en cas de maladie prévisible, nous prenons la liberté d’éviter par traitement le risque d’une dégradation de la récolte » note Eric Bompard. Les rendements y sont rigoureusement maîtrisés et donnent une production de l’ordre de trente à trente-cinq hectolitres à l’hectare, garantissant une maturité et une concentration optimale des baies de raisins. Et pour finir, les vendanges se font exclusivement à la main dans des petites caissettes de 35 kilos. Gastronomique ou plaisir immédiat, il y a le choix Lorsqu’il a acquis ce domaine en 2014, Eric Bompard nourrissait fortement l’ambition de produire des vins de qualité. Nouveau venu dans la filière mais non moins passionné, il a fait appel à un œnologue spécialiste de ce terroir pour mener à bien la vinification. Ce dernier jongle entre les techniques modernes de contrôle des températures avec les méthodes traditionnelles de macérations et de fermentations pour élaborer ses vins. Il en résulte deux gammes de vins aussi différentes qu’exceptionnelles que sont les cuvées « Bergerie », vins de gastronomie déclinés en rouge et blanc d’une part et d’autre part la gamme « Etoiles d’Aquino », « une gamme destinée à une consommation plus immédiate, aux arômes puissants, fruités, qui correspondent au terroir de la Provence » explique Eric. Cette dernière gamme, en appellation protégée Coteaux Varois en Provence est composée de trois vins déclinés sur les trois couleurs. ...
Partez à la découverte de la Maison Goutorbe : une entreprise familiale spécialisée en création de champagnes de grande qualité. Passion et savoir-faire : les deux piliers pour créer d’excellents vins Pour revenir aux origines du champagne Henri Goutorbe, il faut revenir au début du 20e siècle. Alors pépiniériste, la famille Goutorbe (par le biais d’Henri et René Goutorbe, père et fils) décide de commercialiser du vin de Champagne. Les enfants de René Goutorbe le rejoignent quelques dizaines plus tard pour agrandir et améliorer l’exploitation avec toujours cette même volonté de créer de grands vins de Champagne. Le travail effectué sur la vigne et le domaine favorise l’obtention des labels Haute Valeur Environnementale (HVE) et Viticulture Durable en Champagne (VDC). ...
Lancé en mars 2015 par Jacques Lavie et Léo Bonnet, diplômés de l’ESCP, BnbLord est un service de conciergerie, exclusivement en ligne, pour les personnes mettant en location leur bien (appartement ou maison). Avec sa cinquantaine de salariés, BnbLord gère actuellement plus de 900 biens dans deux pays (France et Portugal) et 12 villes (Paris, Marseille, Lyon, Strasbourg, Toulouse, Nice, Bordeaux, Biarritz, Montpellier, Lisbonne, Porto et dans les Alpes). Ce qui représente également plus de 3000 réservations gérées mensuellement. Une impeccable gestion locative Faisant partie des pionniers et des leaders en matière de gestion locative, BnbLord est bien plus qu’un simple service de conciergerie. Un véritable intermédiaire entre propriétaires et voyageurs délivrant à ces deux parties une solution « clef en main ». Contre une commission de 20% des loyers, BnbLord s’occupe de tout. De la mise en valeur de l’annonce et son référencement à la qualité de l’accueil, en passant par l’état des lieux et d’autres tâches, BnbLord veille au grain et assure un suivi précis et complet. Un accompagnement gratuit au choix d’investissement d’un bien saisonnier BnbLord intervient également dans le choix de l’investissement d’un bien saisonnier. Et ce, gratuitement. Cet accompagnement porte en particulier sur le choix de l’emplacement de la propriété. Par exemple, BnbLord conseillera fortement à un investisseur une acquisition immobilière près de la gare de Strasbourg, malgré le modeste standing du quartier, car cela attirera des voyageurs. ...
Au Moyen Âge, Pierrefeu-du-Var, situé dans le triangle d’or des vins Côtes-de-Provence, formé de Pierrefeu, de Puget-Ville et de Cuers, était déjà réputé pour la qualité exceptionnelle de ses vins. Un terroir complexe Les 22 hectares de vignes du Clos Real se trouvent sur un terroir schisteux très particulier et varié, constitué notamment de schiste, de quartz, de feldspath, de gneiss et de schiste bleu. Les parcelles du vignoble se trouvent sur des terrasses en altitude particulièrement difficiles à cultiver et dont le sous-sol très pauvre est enclavé dans le maquis. Il faut remarquer que, sur la production totale de vins réalisée dans l’Hexagone, celle du vin de schiste ne représente que 5%. Installées dans la vallée fluviale du Réal Martin, les vignes du domaine sont par ailleurs soumises à un microclimat unique, méditerranéen et à tendance continentale. Concernant les cépages de l’exploitation, ils sont conformes aux exigences de l’appellation Côtes-de-Provence. Grenache noir, syrah, vermentino, cinsault, carignan noir connu pour apprécier les sols schisteux et mourvèdre en petite quantité sont présents sur le domaine. Les cépages de vigne sont en moyenne âgés de 19 ans ; toutefois, certaines parcelles comportent des vieilles vignes âgées de 50 ans, voire de 100 ans pour les raisins blancs. La biodynamie au service de l’agriculture et de la vinification Au Clos Real, la méthode d’agriculture mise en pratique est biodynamique. Dans les faits, cela signifie non seulement que les produits phytosanitaires chimiques sont proscrits, mais aussi que l’usage des produits dits naturels comme le cuivre ou le soufre sont drastiquement limités afin de préserver au maximum l’environnement. Pour lutter contre les attaques de parasites et les maladies, des tisanes et des décoctions de plantes dynamisées avec de l’eau sont utilisées. S’agissant de la vendange et de la vinification, le Clos Real procède à la méthode de sélection microparcellaire : les cépages d’une même parcelle sont vendangés et vinifiés ensemble, contrairement à la méthode classique où seuls les mêmes cépages sont vendangés et vinifiés ensemble. Cette pratique était celle qu’employaient les moines au Moyen Âge, qui avaient compris que cette mixité avait un effet bénéfique sur le goût, la couleur, la saveur et la texture des vins. Du fait de la déclivité importante du terrain, seule la vendange manuelle est possible à pratiquer et elle s’effectue en suivant le calendrier lunaire. Le concept de biodynamie est encore et toujours présent à la cave, où le travail est un compromis entre tradition et modernité. Les vins sont élaborés dans des cuves en inox avec deux méthodes thermiques opposées. Dans la réalisation de la presse, aucune pompe ni pressoir ne sont utilisés, car c’est la gravité qui est mise à contribution avec ces caves disposées sous forme de succession d’étages. Au final, on obtient un vin d’une complexité anodine avec une forte empreinte de son terroir. En raison de tous ces facteurs contraignants (biodynamie, petite surface et structure du sol), la production annuelle du Clos Real est faible, avec moins de 600 hectolitres par an. Toutefois, ce faible rendement permet de favoriser la qualité des vins. ...
Tout l’espace intérieur du Trianon Palace Versailles a été imaginé en 2008 par l’architecte d’intérieur Fiona Thompson. Elle a apporté à ce cadre majestueux un style contemporain élégant et délicatement coloré, pour vous baigner dans une atmosphère immaculée et intime. Côté cuisine, Frédéric Larquemin a rejoint en novembre 2016 le Trianon Palace Versailles, après s’être formé à l’Ecole Ferrandi et avoir travaillé auprès d’Alain Ducasse et de Gordon Ramsay. Le restaurant étoilé au Guide Michelin « Gordon Ramsay au Trianon » Une verrière pour de la lumière naturelle, des nappes blanches, du cuir capitonné, en un mot un lieu confortable et agréable pour se restaurer. Ici, le chef confectionne une cuisine contemporaine inventive, tout en revisitant les grands classiques de la gastronomie française et en s’inspirant de ses expériences internationales. Il aime travailler les produits de saison achetés au marché ou aux producteurs locaux. A la carte, vous pourrez par exemple découvrir le pressé de foie gras et canard fumé, pommes vertes, cresson et gelée au madère ou le turbot de ligne français braisé, radis, câpres, coques et sauce au Champagne. En dessert, vous pourrez vous régaler, entre autres, avec la Pomme rôtie au caramel demi-sel et fruits de la passion, une réinterprétation de la célèbre tarte Tatin imaginée par le Chef Pâtissier Eddie Benghanem. Pour profiter pleinement de ce lieu, pourquoi ne pas réserver la table du chef, un espace pour 6 personnes qui surplombe la cuisine et d’où vous pourrez admirer le travail de toute la brigade. La Véranda by Gordon Ramsay, la brasserie de luxe du Trianon A la Véranda by Gordon Ramsay, le chef propose une cuisine continentale contemporaine tous les jours le midi comme le soir. Vous pouvez aussi profiter de ce lieu pour un petit-déjeuner buffet. Le Bar Galerie Le Bar Galerie est l’endroit idéal pour profiter d’un savoureux tea-time, servi tous les après-midi. Découvrez tous les week-ends le très apprécié chariot de pâtisseries pour accompagner avec délice votre boisson chaude préférée. ...
Le vignoble Saint-Émilion couvre environ 5 400 hectares de terrains et est encépagé de 60 % de merlot, de 30 % de cabernet franc et de 10 % de cabernet sauvignon. Il se trouve sur des terroirs calcaires, argilo-limoneux, sableux et bénéficie d’un climat doux et tempéré. L’AOC Saint-Émilion, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est une subdivision du Libournais. Elle comprend les appellations Saint-Émilion simple et Saint-Émilion Grand Cru, cette dernière regroupe elle-même les grands crus classés A et B, sa plus haute distinction, et les grands crus classés, sa seconde. Le classement Saint-Émilion Grand Cru existe depuis 1955 et se renouvèle tous les 10 ans. Ces vins sont complexes, charpentés avec une bonne longueur aromatique en bouche. Leur production demande une plus grande attention et des conditions plus rigoureuses par rapport aux vins d’AOC Saint-Émilion simple. Le Château La Gaffelière, un vinificateur de vins fins et élégants Ce vignoble est encépagé majoritairement de merlot, à coté duquel on trouve du cabernet franc. Depuis la création du Château La Gaffelière jusqu’à nos jours, la famille Malet Roquefort y accorde une attention particulière. Pour cela, elle y vit afin de contrôler en permanence son système de production. La famille Malet Roquefort, respectueuse de l’environnement, est une fervente défenseuse de l’agriculture raisonnée. Tout le travail de la vigne se fait selon des méthodes traditionnelles, en utilisant des produits bio. « On travaille des parcelles avec un cheval et on exige des produits bio pour le traitement des vignes », explique Françoise Morice, une représentante du Château. Le Château La Gaffelière, un vin fruité avec un boisé harmonieux Le Château La Gaffelière est un premier Grand Cru classé de Saint-Émilion qui a une capacité de garde de plus de 25 ans. Il est connu pour sa longueur en bouche et pour s’accorder parfaitement avec des côtes de bœuf et des mets à base de gibier, de fromage et de viande rouge. Millésime 2009 : à l’œil, il est de couleur violette profonde. Au nez, il est intense et on sent ses arômes fruités. En bouche, il est complexe, rond, suave, avec un boisé harmonieux. Millésime 2010 : il charme à l’œil par sa couleur grenat et au nez par ses expressions de fruits mûrs. En bouche, il est moyennement complexe, sec et très léger, avec une touche boisée. Millésime 2014 : il a une belle robe rouge rubis. Au nez, il est élégant et a des expressions florales et fruitées. En bouche, il est puissant avec une bonne longueur. Clos La Gaffelière, un vin jeune, élégant et soyeux C’est un jeune vin d’appellation Saint-Émilion Grand Cru qui a une capacité de garde de 5 à 7 ans. Il s’associe bien avec une pièce de bœuf et les mets à base de viande rouge et de fromage. ...
Depuis des années, l’agence de voyages Viamonts Trekking fait le bonheur des amoureux de marche. En effet, en plus de proposer de nombreux circuits permettant de découvrir la France sous un nouveau jour, elle offre la possibilité aux voyageurs de partir à la rencontre de nouvelles cultures, sur (presque) tous les continents du globe. Une agence humaine, spécialiste des voyages à pied Située au pied des Pyrénées, Viamonts Trekking s’est construite grâce à la passion d’un homme : Thierry Modolo, le créateur de l’agence. Natifs de la région, lui et son équipe l’ont parcouru en long et en large. Ainsi, cela leur a donné envie de partager ce goût de l’aventure avec tous les amateurs de randonnées, de tous les niveaux. D’ailleurs, ils proposent à leurs clients plusieurs thématiques de voyages, accompagnés par un guide, en famille ou en liberté. Partir à la découverte du désert, vivre un réveillon unique ou gravir une haute montagne : c’est possible grâce à Viamonts Trekking. En s’occupant entièrement de la partie logistique, le tour-opérateur permet au voyageur seul ou accompagné de profiter pleinement de chaque moment. Un grand choix de destinations pour toutes les envies et tous les niveaux Pas besoin de partir à l’autre bout du monde pour trouver des paysages à couper le souffle. En France et en Europe, à toutes périodes de l’année, il est possible de suivre des chemins méconnus pour en apprendre davantage sur notre pays et nos voisins allemands, italiens ou espagnols. Cela étant dit, pour les explorateurs à la recherche de dépaysement, rien de mieux qu’un circuit de randonnées de la Namibie au Zimbabwe, d’un trek entre Vietnam et Laos ou d’un voyage en famille vers les mystérieuses cités d’or du Pérou. L’occasion unique de découvrir les richesses d’un nouveau pays par ses paysages, sa population locale, mais aussi ses us et coutumes. ...
S’il fallait remonter aux origines de la famille, cela nous ramènerait jusqu’en 1605, à l’époque d’un certain Jaume Fabre. Tour à tour, ses descendants ont perpétué son œuvre jusqu’à faire briller le patronyme familial dans le paysage viticole languedocien et par-dessus les frontières. L’immense patrimoine est aujourd’hui composé de cinq domaines dont Château Fabre Gasparets de Boutenac, berceau historique de la maison. Aux origines d’un Cru Boutenac Situé dans le Massif du Pinada, le secteur du Boutenac s’inscrit comme l’un des plus beaux terroirs des Corbières. Suite à une politique de hiérarchisation, cette zone géographique a obtenu officiellement l’autorisation d’opérer en tant qu’appellation à part entière. Une victoire pour Louis Fabre et sa sœur Marie qui se sont consacrés pendant plusieurs années aux côtés de nombreux autres vignerons à faire reconnaître le Cru Boutenac. Pour les Fabre, cette terre s’étendant du Massif des Corbières jusqu’au Massif des Pyrénées est digne d’un tableau de maître. Les vignes entourées de pinèdes et de garrigues avec des collines comme toile de fond proposent un paysage envoûtant, à l’image des vins qui y sont produits. De grands vins concentrés, symboles d’excellence Sur ces sols composés de grès de Boutenac et de galets roulés, le carignan est travaillé selon des pratiques culturales qui promeuvent l’équilibre entre les vignes et l’environnement. Transporté par les fameux « wagonnets », il arrive au chai sans éraflure et peut se dévoiler dans sa plus belle expression. Le Château Fabre Gasparets propose deux cuvées : une éponyme et l’autre intitulée La Serre,une cuvée parcellaire limitée à 3000 bouteilles par an. Ambassadeurs du savoir-faire séculaire, ces deux vins sont produits d’une façon relativement spécifique car le carignan qui est à la base un cépage tannique et puissant n’est pas élevé dans des barriques, mais plutôt dans des jarres de 150 litres en argile et en forme d’œuf. Après un assemblage avec la syrah et le mourvèdre et un élevage de 12 à 15 mois, les Crus obtenus s’illustrent pour leur raffinement et la subtilité de leurs arômes. ...
Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est la transition « enfant-adulte » dans le contexte des maladies rares ? Le terme de transition désigne un processus visant au passage des services de pédiatrie aux services adultes. Dans le cas des maladies rares, les patients sont suivis en pédiatrie depuis leur naissance, voire même avant. Pour la plupart d’entre eux, ce passage sera donc vécu comme une véritable séparation du milieu hospitalier pédiatrique sécurisant. C’est l’une des raisons pour lesquelles la transition est une étape d’une grande importance. Toutefois, il ne s’agit en aucun cas d’effectuer cette transition de manière automatique, une fois la limite d’âge atteinte. Au contraire, le relais de la prise en charge des services pédiatriques vers les services pour adultes doit se faire très progressivement. Il est important que le jeune se sente prêt et qu’il ait acquis la maturité nécessaire. Personnellement, c’est un sujet que j’aborde avec mes jeunes patients vers l’âge de quatorze, quinze ans. Avant, cela leur paraît trop lointain. Le passage des soins pédiatriques vers les soins pour adultes est-il redouté par les patients ? Oui, c’est souvent le cas. Comme je l’évoquais, certains patients vivent ce passage comme une séparation. Pour autant, même s’il s’agit bien d’une séparation, elle ne doit pas être vécue comme une rupture mais au contraire comme une étape d’évolution, de progression du jeune dans sa prise d’autonomie avec sa maladie. Si le jeune patient le souhaite, le contact avec les équipes pédiatriques est maintenu. J’ai des patients de 25 ans passés qui me donnent régulièrement de leurs nouvelles. Il est aussi important de préciser que la décision de quitter les soins pédiatriques pour les soins adultes n’est pas toujours ‘’subie’’ par le jeune. Il arrive, en effet, qu’au moment de la transition, des patients soient demandeurs car ils se sentent prêts à franchir ce cap, et qu’ils ont compris que cela leur serait bénéfique. A nous de juger s’ils ont raison, et le plus souvent, ils ne se trompent pas. En tant que parent, il arrive un moment où l’on sent que nos enfants sont prêts à quitter le nid, à prendre leur autonomie. Parfois même, ils le demandent. Il faut alors accepter cette décision de se séparer, car c’est pour mieux progresser. Dans mon exemple, on voit bien que la séparation est finalement difficile tant du côté des parents que de celui des enfants. Eh bien, dans le cas de la transition « adolescent-adulte », c’est la même chose. La séparation est difficile pour le patient mais elle l’est tout autant pour les soignants qui se sont occupés de lui depuis sa naissance. L’adolescence est une période de transformation (physique, psychique, affective, sexuelle…). En quoi la maladie rare peut-elle compliquer les choses ? Dans le cas d’une maladie chronique comme l’asthme ou le diabète, par exemple, un adolescent peut trouver d’autres personnes qui ont la même pathologie que lui. Bien sûr, cela ne le consolera pas mais il se sentira moins seul et pourra échanger avec ses pairs sur ses difficultés. Dans le cas d’une pathologie rare, même s’il est très entouré, le patient se sent bien souvent isolé. Parfois même rejeté. Et ce sentiment de solitude est souvent renforcé à l’adolescence. En plus des contraintes liées au suivi, au traitement etc… , les maladies rares infligent au jeune une ‘’double peine’’. En effet, à la transformation physique qui s’opère à la puberté viennent parfois se greffer des transformations physiques, voire un handicap, liés à l’évolution de la maladie. C’est difficile à assumer pour un ado… L’adolescence est un âge où l’image de soi revêt une importance disproportionnée. D’ailleurs, les médias véhiculent trop souvent des images stéréotypées du corps. Les patients dont je m’occupe ont des problèmes d’incontinence. Ce n’est pas le genre de choses que l’on confie facilement d’une façon générale, et encore moins à cet âge-là… Leur pathologie les marginalise encore davantage. Certains patients vont parfois jusqu’à se déscolariser pour éviter le regard des autres et les moqueries. Ils ne voient plus les personnes bienveillantes autour d’eux, et s’isolent encore plus.En quoi la phase de transition doit-elle faire l’objet d’un surcroît d’attention de la part des médecins mais aussi de la famille du patient ? Parce que le risque d’une rupture du parcours de soin, avec les conséquences parfois dramatiques que l’on connaît, est bien réel. Le risque que le patient décide d’arrêter de se faire suivre est clairement amplifié à l’adolescence. De plus, c’est le plus souvent à l’adolescence que le patient va réaliser que, finalement, il ne guérira jamais. Jusque-là, je dirais que d’une certaine façon, le doute persistait : peut être n’y aurait-il pas de suite une fois « devenu grand » ? Lui parler de son suivi adulte, lui présenter les équipes qui vont prendre le relais, c’est lui confirmer qu’il y a bien une suite, que la maladie va durer. À vie. La transition n’est qu’un passage, la mal...
Le Château Ferrasse : une appellation AOC Castillon-Côtes de Bordeaux L’AOC Castillon-Côtes de Bordeaux, c’est environ 250 viticulteurs et 2 300 hectares de vignobles répartis sur 9 communes. Le vignoble est un assemblage de 70 % Merlot, 20 % Cabernet-franc et 10 % Cabernet-Sauvignon qui bénéficie d’un climat tempéré à caractère doux et humide. Les exploitations se trouvent sur des sols sablo-graveleux, sablo-argileux et argilo-calcaires. Les vignerons respectent la nature et préservent la biodiversité. D’ailleurs, le quart d’entre eux a opté pour l’agriculture bio ou biodynamique. Le château Ferrasse, une histoire émouvante Le château Ferrasse est une exploitation familiale qui existe depuis quatre générations. Son histoire commence en 1951 lorsque Emile Massarin, l’arrière-grand-père de Laurent Massarin, l’actuel gérant, achète un vignoble de dix hectares dans la périphérie de Castillon-la-Bataille. En 1957, Séverin Massarin poursuit dans le même élan que son père Emile en achetant dix autres hectares à Saint Genès de Castillon. Son fils Francis prend le relais en 1989, modernise l’exploitation et étend sa superficie 32 hectares. Laurent Massarin gère le domaine depuis 2006. Il est empli de courage, d’abnégation et gagné par le goût du travail bien fait. Titulaire d’un Bac agro-alimentaire, il a aussi fait des études œnologiques en France et à l’étranger. Le Château Ferrasse, un vin authentique Le vignoble est constitué de deux parties distinctes : la première se trouve dans la périphérie de la commune de Castillon-la-Bataille sur des sols bruns argilo-calcaires et sablo-argileux. La seconde se trouve sur du calcaire, dans la banlieue de Saint-Genès-de-Castillon. Le Château Ferrasse est un vignoble encépagé de 80 % de Merlot, de 10 % de Cabernet et de 10 % de Cabernet franc Sauvignon. Le technicien viticole Laurent Massarin ne se contente pas seulement de ses connaissances, il se fait aider par une équipe technique. « On respecte au maximum la nature, la Chambre d’Agriculture de la Gironde nous suit, on essaie d’allier la tradition à la modernité », nous explique-t-il. Le Château Ferrasse Cuvée des Moulins Castillon Côtes de Bordeaux, le Château Ferrasse Castillon Côtes de Bordeaux, la Fleur de Ferrasse Vin de France et le Château Terre Blanche sont les vins du domaine. Château Ferrasse, un vin corsé C’est le produit phare du domaine. Sa macération dure 5 à 6 semaines et son élevage se fait de façon traditionnelle pendant 18 mois dans des cuves inox. Sombre, il charme par sa robe limpide. Au nez, il est complexe avec des notes de fruits rouges. Corsé en bouche, il a aussi une bonne teneur en tanins et une bonne longueur aromatique. On peut le boire jeune, mais il est plus apprécié quand il vieillit. On doit l’ouvrir deux heures avant de le déguster pour qu’il se libère de ses arômes. C’est un vin idéal pour les soirées festives. « On peut le consommer avec des grillades, de la charcuterie et des fromages », nous conseille Laurent Massarin. La Cuvée des Moulins Castillon Côtes de Bordeaux, un vin riche en tanin Son élevage se fait pendant 12 mois en fut de chêne. A l’œil, il a une belle robe brillante et profonde. Au nez, on sent ses notes fruitées, épicées et vanillées. En bouche, il est ample, riche en tanins, bien équilibré et a des notes épicées. Il s’accorde parfaitement avec la charcuterie, toutes les viandes et les fromages. Un domaine ouvert à l’oenotourisme Le vignoble est ouvert aux visites les jeudis, vendredis et samedis. Laurent Massarin guide lui-même les visiteurs, il leur offre une dégustation de ses produits et leur explique tout le travail du vin. Tous les premiers dimanches de juin, M. Massarin organise une journée portes ouvertes durant laquelle il permet aux invités de déguster tous ses vins et de partager un repas. A cet effet, des exposants et artisans viennent pour proposer leurs produits. ...
Accessible par le TGV, le Montbardois est une destination idéale pour se ressourcer le temps d’un week-end. Vous pourrez y visiter des sites patrimoniaux exceptionnels mais aussi profiter de son environnement préservé à proximité du Canal de Bourgogne. Montbard et Buffon, l’enfant du pays Montbard est intimement lié à la personnalité de Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon, célèbre naturaliste né dans la ville en 1707. C'est lui qui fait aménager le Parc Buffon sur les vestiges de l'ancien château des ducs de Bourgogne. La promenade dans une succession de jardins en terrasses offre une vue superbe sur la ville. À proximité, le Musée Buffon retrace la vie du scientifique et vous propose un parcours à travers l'histoire des sciences. Édifiée au 18e siècle, la Grande Forge de Buffon se situe à 7 kilomètres de Montbard au bord de l’Armançon. Sur ce magnifique domaine, haut fourneau, ateliers, maisons ouvrières et maison du maître sont à visiter ainsi qu’un jardin potager et une orangerie d’époque. Cet ensemble résume l’histoire de la métallurgie au siècle des Lumières. Rendez-vous à l’Abbaye de Fontenay… et à Moutiers-St-Jean Cette ancienne abbaye cistercienne est parfaitement conservée. Vous pourrez déambuler dans l’église abbatiale, le cloître, le dortoir, la salle capitulaire et admirer l’architecture romane de ce lieu inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Fondée en 1118, elle fête ses 900 ans cette année. Elle est entourée d’un parc de 2 hectares où vous pourrez voir des arbres centenaires. Les jardins de l’abbaye sont d’ailleurs classés « Jardin Remarquable ». Quant à Moutiers-Saint-Jean, dans cette petite commune typique de l’Auxois, située à 15 kilomètres de Montbard, vous pourrez vous promener dans le jardin Coeurderoy, jardin d’inspiration renaissance classé Monument historique. Durant la saison estivale, vous pourrez aussi visiter l'apothicairerie ainsi que l'ancien palais abbatial de l'abbaye royale de Moutiers. Côté nature Le Montbardois est une région propice à la découverte de la nature avec ses nombreux circuits de randonnées, comme le GR213A reliant Fontenay à Vézelay qui sera inauguré en septembre 2018. Vous pourrez également découvrir cet environnement verdoyant avec ses collines boisées, ses vignobles et ses falaises calcaires, en louant un vélo à Montbard, Tonnerre ou Pouilly-en-Auxois et en circulant sur le chemin de halage le long du Canal de Bourgogne. Pour toutes vos sorties à pied ou en vélo, profitez de l’application « Balades en Bourgogne ». Elle vous permettra de suivre facilement un parcours et de vous informer sur le patrimoine rencontré, tout cela sans avoir besoin d’une connexion Internet. Mais vous pourrez aussi vous offrir une balade fluviale avec un bateau sans permis sur ce même canal. À votre rythme, vous naviguerez en admirant au fil de l’eau les beaux paysages et vous pourrez accoster pour visiter les différents sites touristiques. ...
Cancale et la baie du mont Saint-Michel sont un merveilleux décor pour cette crêperie ouverte depuis 2008. À l’intérieur, bois brut, ardoise et granit évoquent bien entendu la Bretagne. La crêperie... Bertrand Larcher, propriétaire du restaurant, propose des galettes créatives de haut de gamme. Les crêpes et les galettes sont confectionnées à partir de farines de sarrasin ou de froment bio moulues à la pierre. Toutes les garnitures sont réalisées avec des produits locaux, sélectionnés avec attention et achetés à de petits producteurs, pour la grande majorité bio. Vous apprécierez particulièrement la pâte fine de la galette ainsi que son croustillant. Et, bien sûr, la garniture copieuse, aux saveurs incroyables. Vous trouverez des crêpes classiques mais aussi des associations plus originales qui raviront votre palais, comme la Cancalaise à base de hareng fumé ou la Charentaise mariant fromage de chèvre et miel. En dessert, vous serez sans doute conquis par la délicieuse crêpe sucrée au beurre yuzu ou par la crêpe avec sa boule de glace au thé vert. La carte est très régulièrement renouvelée, produits de saison obligent. Laissez-vous tentez par un des 60 cidres à la carte. Ou par un Breizh cola ! ... ou la table de Breizh Café Vous pouvez également choisir de vous restaurer à la table de Breizh Café au premier étage de l’établissement. Vous y découvrirez la cuisine du chef Fumio Kudaka, qui cuisinera sous vos yeux. Il marie à merveille produits locaux et inspiration japonaise. Vous pourrez savourer des huitres creuses avec une sauce tartare au yuzukoshõ ou du homard avec un condiment d’algues au kabosukoshõ et accompagné d’une salade de quinoa. Sans oublier les nouilles koba confectionnées avec du sarrasin. Vous pourrez accompagner votre repas d’un authentique saké. Et aussi des chambres. Pour profiter pleinement de la région, n'hésitez pas à réserver une des 5 chambres meublées situées au-dessus des restaurants. Chacune vous offre une vue exceptionnelle sur la baie de Cancale. ...