Pouvez-vous nous présenter l’expérimentation que vous avez menée auprès de 50 familles à l’hôpital Necker ? Si le maillage territorial s’est considérablement amélioré, notamment grâce à la mise en place des centres de référence et des filières de santé, le quotidien des patients atteints de maladies rares est toujours aussi difficile. De l’avis de nombreux malades, c’est même un véritable « parcours du combattant » : familles qui se précarisent, souffrance psychologique, couples qui se séparent, sentiment d’isolement, enfants déscolarisés, etc. Pour agir efficacement, il fallait comprendre. C’est comme cela qu’est née cette expérimentation. Mais si c’est moi qui l’ai coordonnée, trois acteurs majeurs l’ont rendue possible. Il s’agit du Professeur Sarnacki de l’Hôpital Necker-Enfants Malades de l’AP-HP, de la plateforme « maladies rares » de ce même hôpital et de la fondation Groupama pour la santé qui soutient ce projet depuis le début. Dans quel but cette expérimentation a-t-elle été menée ? L’idée, c’était de véritablement d’approcher au plus près les difficultés rencontrées au jour le jour par les familles. D’analyser précisément ce que l’on pourrait appeler ces « accidents de parcours » pouvant survenir lors de l’entrée de l’enfant à l’école ou encore du choix du mode de garde… Car si ces points sont fragiles, ils peuvent rompre, entraînant ainsi une perte de chance pour l’enfant atteint de maladie rare mais aussi des difficultés dans son parcours de vie et celui de sa famille. Identifier ces points de fragilité nous a donc permis d’anticiper les points de rupture et de développer des leviers d’action à destination des familles ainsi que des assistantes sociales. À quelles conclusions êtes-vous arrivée ? Cette expérimentation nous a permis d’identifier plusieurs écueils spécifiques aux maladies rares. L’errance diagnostique, tout d’abord, qui retarde le recours aux dispositifs d’aides. Pendant parfois plus de quatre ans, les parents vont ainsi multiplier les consultations et se concentrer sur l’obtention d’un diagnostic. Et cela au détriment de leur travail, de l’attention portée à leurs autres enfants qui, s’ils ne sont pas malades, sont quelque peu mis de côté et de leur vie de couple. Nous avons pu constater qu’une large majorité des familles que nous avons suivies sont vulnérabilisées, angoissées, épuisées. Lorsqu’elles se présentent pour la première fois au centre de référence, elles ont déjà un lourd passé médical. Et pour cause, ces familles ont bien souvent enchaîné - en vain - les consultations et ont été envoyées de service en service… D’autre part, il est également ressorti de l’expérimentation que 90 % des familles éprouvent des difficultés pour obtenir des aides. D’un point de vie administratif, les maladies rares sont « hors-normes ». En clair, elles ne rentrent dans aucune case… L’expérimentation nous a aussi appris que la lourdeur et la chronicité d’une prise en charge pluridisciplinaire étaient aussi des éléments devant être pris en considération. Enfin, il apparaît que l’éloignement géographique entre le centre de référence et les professionnels à proximité du domicile de l’enfant malade ne facilite pas la fluidité des échanges entre tous ces différents intervenants. Vous évoquez les frères et soeurs qui peuvent parfois avoir le sentiment d’être quelque peu délaissés au profit de l’enfant malade. Bénéficient-ils d’une prise en charge psychologique ? Pas systématiquement. C’est justement l’un des points qu’il conviendrait d’améliorer dans le cadre de l’accompagnement social des familles. Il faut, bien sûr, penser à l’enfant malade mais aussi à ses parents et à la fratrie. L’impact d’une maladie rare peut être économique si l’un des parents cesse de travailler pour s’occuper des soins de l’enfant ou qu’il faut avancer les frais de transport et d’hébergement lorsque l’on accompagne son enfant lors d’une hospitalisation. Mais sur le plan social et familial, le temps consacré aux loisirs et aux sorties diminue également. Qu’on le veuille ou non, c’est l’ensemble de la famille qui vit au rythme des hospitalisations de l’enfant malade. Pour éviter, en quelque sorte les « dommages collatéraux », il peut alors se révéler utile d’orienter non seulement les frères et soeurs mais aussi les parents vers un psychologue ou de faire intervenir des aidants au quotidien. Au-delà de la recherche et de la prise en charge thérapeutique, sur quoi l’accent devrait-il être mis ? Chaque famille devrait pouvoir être accompagnée avec la même qualité de prise en charge. Et cela quelles que soient sa situation et son lieu d’habitation. Je me souviens d’une maman qui m’avait dit que parce que son enfant était atteint d’une maladie rare, elle allait devoir démissionner de son travail pour pouvoir s’en occuper. Elle envisageait donc de déménager dans un logement plus petit mais moins coûteux alors qu’au contraire, l’installation du matériel médical aurait nécessité un logement plus spacieux. Mais ce que cette maman ...
Les touristes d’affaires en déplacement dans la perle d’Aquitaine trouveront en l’Yndō une parenthèse au calme, entre les murs d’un ancien hôtel particulier. A cinq minutes du Triangle d’or, l’adresse entretient ses hôtes dans une ambiance de luxe placée sous le signe de l’intimité. Une adresse confidentielle pour un accueil élitiste L’Yndō Hotel ne compte que 12 chambres et suites. C’est dire quel intérêt l’établissement accorde à l’intimité de ses hôtes. Pensée dans un style cosy contemporain, la décoration imprime au lieu une ambiance très chic et apaisante. Le luxe est palpable entre chaque ligne des meubles, amoureusement choisis par la propriétaire Agnès Guiot de Doignon, avec la complicité de designers pointus. Des matières savamment mélangées entretiennent la chaleur dans les chambres et les pièces à vivre. Le velours enveloppe un mix de bronze et de laiton pour l’élégance. Le côté rassurant du noyer et du chêne huilé finit d’imprimer à chaque pièce une signature particulière, confortable rappel de son chez-soi. Un service dédié et sur mesure pour la clientèle d’affaires Parce que le client de l’Yndō Hotel doit avoir une expérience de séjour exceptionnel, l’équipe de la maison reste à l’écoute des moindres demandes du client. Les touristes d’affaires bénéficient, en particulier, d’une facilitation de la réservation et de surclassement. L’établissement peut mettre au point une formule repas très particulière, dans sa composition, le nombre de convives ou l’heure de service. Les tables des salles à manger servent des plats concoctés selon les envies – même très spéciales – des clients. L’enseigne met, cependant, un point d’honneur à ne recourir qu’à des produits frais, de saison et choisis en local. L’occasion de savourer charcuteries, fromages, huîtres et autres soupes délicates. ...
Fromage au lait de vache entier, à la forme unique et au goût authentique, fabriqué dans le respect de traditions ancestrales, le Langres doit sa renaissance dans les années 1950 à quelques fromagers passionnés. Ses origines Connu depuis le XVIIIe siècle, le Langres est évoqué pour la première fois par le prieur des dominicains de Langres. Un siècle plus tard, un livre dédié à la production fromagère le compare au Maroilles et au Livarot. Alors qu'à l’origine il est fabriqué essentiellement pour une consommation familiale et locale, la production de Langres s'élève à près de 1 000 tonnes à la fin du XIXe siècle. Les fromages sont alors expédiés vers Paris, vers l'est de la France, et parfois même vers la Suisse. Cette période florissante voit le développement du Langres jusqu'au début du XXe siècle, avant qu'il ne tombe dans l'oubli et manque de disparaître dans les années 1950. Parce qu'il est un savoir-faire préservé, le Langres a obtenu en 1991 sa reconnaissance en appellation d’origine contrôlée (AOC), puis en 2012, celle d'appellation d’origine protégée (AOP) grâce à la mise en place d'un cahier des charges strict. Un bon fromage artisanal La fabrication du Langres n'a que peu évolué au fil du temps. La première étape de la fabrication est l'emprésurage au cours duquel le lait est mis à cailler. Lorsque le caillé est suffisamment ferme, il est tranché avant d'être mis dans des moules où il s'égouttera pendant environ 24 heures. Démoulés, les fromages sont salés à sec et séchés sur grille. Lors de l'affinage, ils sont frottés avec une solution additionnée ou non de rocou. La fontaine du Langres, cette petite cuvette à son sommet, est sa caractéristique essentielle. Elle est obtenue naturellement, car le fromage n'est jamais retourné au cours des différentes étapes de sa fabrication, mais toujours posé du même côté. Traditionnellement, certains Langres sont affinés au marc de Bourgogne ou de Champagne, versé dans la fontaine. Comment déguster le fromage de Langres ? L'AOP Langres est un fromage à la pâte fine et fondante et à l'odeur de crème. Sa saveur, d'abord fruitée et lactique (goût de yaourt, de crème), devient plus typée avec l'affinage du fromage, mais toujours sans outrance. S'il est avant tout un fromage de plateau, traditionnellement servi en fin de repas, le Langres révèle également toutes ses saveurs en cuisine : chausson de volaille au Langres, profiteroles au Langres, croustillant de Langres… Son association avec un vin de cépage chardonnay est idéale. ...
Terroir viticole et originalité bordelaise La notion de terroir est au cœur de la tradition viticole. Le terroir est un lieu insolite - son climat, sa pédologie et ses traditions - situé à la croisée de deux chemins longs de plusieurs siècles : celui d’un homme et d’un cépage qui s’y sont rencontrés et qui, depuis, cheminent ensemble. L’originalité des vins de Bordeaux naît du rituel de l’assemblage de ses cépages, chaque année recommencée dans le secret de nos chais. Classicisme Bordelais Au cœur de l’Entre Deux Mers, le château Grand Ferrand est doté d’un terroir de vallons et de terres argileuses. De ces terres que l’on dit tantôt fortes, dures à travailler ou à apprivoiser ; et tantôt amoureuses tant elles se cramponnent et collent aux pieds de qui les foule. C’est pourtant sur ce terroir de caractère que s’épanouissent avec harmonie nos vignes de Cabernet Sauvignon, Merlot, Malbec, Sémillon, Muscadelle et Sauvignon. Qu’elles y sont vendangées, vinifiées et scrupuleusement assemblées en des vins élégants, puissants et racés, héritiers du Classicisme Bordelais. ...
L’exposition idéale des sept hectares de plants de pinot noir et de chardonnay confère aux cuvées de la marque toute leur typicité. Allant de la cuvée Blanc de Noirs, un monocépage pinot noir puissant au goût relevé et fruité, à la cuvée Brut, aux arômes agréables, et élaborée à 60 % de chardonnay et 40 % de pinot noir, le champagne Germar Breton, qui élabore également une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée Rosé, se veut être l’ambassadeur de l’excellence de la côte des Bar. Un terroir d’exception mis à l’honneur Le champagne de la maison Germar Breton puise sa mosaïque d’arômes et de goûts dans le sol riche situé dans quatre communes de Barsuraubois. Les saveurs propres à ce terroir unique sont savamment révélées au travers de cuvées, « privilégiant la richesse des arômes du chardonnay et du pinot noir », affirmentKarine et Laurent Breton, propriétaires de la maison de Champagne Germar Breton depuis 1989. Donnant la priorité au savoir-faire artisanal, cette maison exigeante en matière de qualité mise sur des procédés d’élaboration oscillant entre tradition et modernité. Cet attachement aux valeurs ancestrales confère ainsi aux cuvées Germar Breton toute leur authenticité. Une terre bénie travaillée avec soin Afin de préserver la richesse de cette terre généreuse, Karine et Laurent Breton s’attèlent à travailler les vignes en donnant la primauté aux pratiques durables. Les produits fongicides sont alors utilisés de manière raisonnée et le « traitement ne se fait que quand c’est nécessaire, suivant les besoins et le climat », continuent Karine et Laurent Breton. Cette agriculture raisonnée préserve ainsi « l’héritage précieux que représentent les vignes héritées de nos grands-parents et parents », nous confient-ils. ...
Le Château de Salles est la propriété de la famille De Batz depuis le XVIIIe siècle. L’ancêtre de cette famille gasconne de pure souche est aussi illustre en France que dans le monde entier : Charles de Batz, plus connu sous le nom de d’Artagnan. Lorsqu’il a hérité du domaine en 1989, Henry de Batz a décidé de reprendre totalement les choses en main, après des générations successives de métayer et de fermiers. Au four et au moulin, il s’occupe à la fois de la partie plantation, vinification et commercialisation. Un vignoble idéal « Pour avoir du bon vin, il faut avoir un bon terroir » aime à dire Henry de Batz. Or, celui du Château de Salles est plus que privilégié. Il est composé de cinq hectares de vignes situées en plein cœur de l’appellation Buzet, avec une terre argilo-calcaire, graveleuse et peu profonde. Les vignes sont installées sur des coteaux, propices au développement de la vigne de par sa luminosité et son irrigation. L’encépagement est composé de Merlot, qui confère au vin finesse, souplesse et fruité, de Cabernet Franc qui charpente le vin et lui donne une note animale et de Cabernet Sauvignon, à l’origine d’une note épicée et poivrée. Une agriculture respectueuse de l’environnement Henry de Batz mène au sein de ses terres une politique d’agriculture raisonnée. Il est adhérent à l’organisme Terra Vitis, gage de la bonne marche de cette agriculture. L’épamprage des vignes est effectué manuellement et mécaniquement pour éviter l’utilisation d’herbicides. Des pièges ont été installés dans les vignes afin de comptabiliser les prédateurs et les parasites. Les données recueillies grâce à cette technique permettent ainsi de réduire drastiquement (- 30% en deux ans) l’utilisation des intrants chimiques. Une vinification classique Henry de Batz, vigneron depuis 1989, est un homme qui connait son travail sur le bout des doigts et l’effectue avec une rigueur infaillible. Il s’occupe lui-même de la vinification de sa production depuis 1994. L’intégralité de la vendange est effectuée manuellement. La fermentation des vins se fait dans des cuves en inox. Concernant l’élevage, une partie de la production s’effectue dans des barriques durant 18 mois, notamment celui de la Cuvée d’Artagnan. La maison étant membre des Vignerons Indépendants, l’embouteillement est réalisé au sein même du château. Des vins à la hauteur de ses ancêtres Chaque année, le Château Henry de Batz produit environ 35 000 bouteilles de vins en appellation Buzet AOP. En hommage à son illustre ancêtre, une cuvée intime d’exception a été nommée « Cuvée d’Artagnan ». Elle est issue de vignes de 30 ans d’âge et élevée 18 mois dans des barriques neuves, premier et deuxième vin. Ce vin à la robe rouge profond avec des reflets bruns offre des arômes de fruits mûrs, de café, de chocolat noir et de cachou au nez. En bouche, il est riche et puissant, très soyeux avec beaucoup de matières. Il s’agit d’un excellent vin de garde qui peut se conserver jusqu’à 8 ans. Pour 2016, son millésime 2012 a été récompensé d’une médaille d’or au Concours des Grands Vins Gilbert et Gaillard et d’une médaille d’argent au Concours des Vins des Vignerons Indépendants. Le reste de la production du domaine est décliné sous le nom de « Château de Salles – Buzet ». Son millésime 2010 est un vin à la robe rouge grenat. Au nez, il propose des notes de café, de réglisse, de chocolat noir et de fruits mûrs. Il est très charpenté et riche en bouche avec une très belle longueur, aux arômes de fruits mûrs, vanille, café et chocolat noir. A table, cette cuvée accompagne un jambon de Bayonne, une côtelette d’agneau ou une omelette aux cèpes. Sa grande qualité lui a valu une Médaille d'Or au Concours International des Vins de Lyon en 2014. ...
Entreprise à taille humaine, Les Commis vous réconcilient avec vos fourneaux en vous proposant ses paniers de produits frais prêts à cuisiner. Avec des recettes originales et équilibrées, et surtout simples et rapides à préparer. Vous n’aurez plus d’excuses pour ne plus cuisiner chez vous. Manger des plats faits maison en toute simplicité Lancée en 2012, l’entreprise débute en proposant des repas gastronomiques en kit pour les soirs de fête. Depuis 2016, elle vous permet désormais de faciliter les repas du quotidien. Dans un colis livré partout en France en camion frigorifique, les clients trouveront tous les ingrédients nécessaires pour cuisiner 3 ou 4 plats en moins de 30 minutes ainsi que les fiches recettes. « Nous nous procurons directement à la source des produits d'une qualité exceptionnelle que nos clients auront du mal à trouver ailleurs », indique Cyril Francin, fondateur de la start-up. Un travail qui plaît aux consommateurs exigeants en quête de transparence et d'authenticité. Du frais ! Les recettes, quant à elles, changent toutes les semaines pour éviter la routine et respectent les saisons pour garantir la parfaite fraîcheur des légumes. « Nous proposons des recettes très faciles et très variées, tant dans les ingrédients utilisés que de la façon de les préparer », souligne l'entrepreneur. Elles sont concoctées par le chef Owen Marlaud qui trouve son inspiration dans la tradition gastronomique française, dans ses nombreuses expériences aux quatre coins du monde, mais surtout dans les produits, au fil des saisons. Et semaine après semaine, ceux qui choisissent de recevoir ces paniers sous forme d'abonnement progressent aux fourneaux, pour le plus grand plaisir de leur famille. ...
De plus en plus, les vacanciers abandonnent les plages noires de monde pour se rendre dans des régions de France encore étrangères au tourisme de masse. Que ce soit adagio, pour se ressourcer et randonner, ou allegro, pour relever des défis sportifs, la Haute-Corrèze vous ouvre ses portes. La Haute-Corrèze : terrain de jeu des amoureux de la nature Amateurs de randonnées, amoureux du sentiment d’accord parfait à la marche de la nature, vous allez vous plaire en Haute-Corrèze. Mettez de côté la cacophonie des stations balnéaires, entre plages bondées et boîtes de nuit, et découvrez la symphonie d’une nature préservée qui vous invite à la détente. Si ses nombreux lacs, étangs, tourbières et cours d’eau ont valu à la Haute-Corrèze son surnom de Château d’eau de la France, ce sont ses paysages, d’un lyrisme incroyable, abritant une faune et une flore rares, qui en font une destination unique. Le Plateau de Millevaches est également connu pour son importante population de loutres, dont vous entendrez peut-être les stridulations. Parmi les points de vue à découvrir absolument, il est impossible de passer à côté des gorges de la Haute-Dordogne, classées réserve mondiale de biosphère par l’UNESCO. Vous pourrez même découvrir leur magnificence à bord d’une gabare telle qu’il en existait lorsque l’on descendait ces gorges jusqu’à Bordeaux. Nous vous recommandons aussi les magnifiques orgues naturelles de Bort-les-Orgues, issues des coulées de lave des volcans d’Auvergne, ainsi que leur population de papillons rares et de rapaces rupestres. Explorez, découvrez, vivez, en harmonie avec la nature. À ne pas manquer : la tourbière du Longeyroux et le Mont Bessou, sites remarquables et sauvages. La Haute-Corrèze : paradis des sports et activités de pleine nature Le territoire, grâce à ses contrastes, offre un terrain de jeu remarquable pour tout adepte des sports. Les stations sports nature, qui regroupent de nombreux talents, vous accompagnent dans vos découvertes : tir à l’arc, stand-up paddle, canoë-kayak, course d’orientation, voile, golf, grimpe d’arbre, escalade, parcours dans les arbres…il y en a pour tous les goûts ! Challenges sportifs, défis aventure, improvisez une véritable expérience en Haute-Corrèze ! Couvrant la Haute-Corrèze, le plus grand réseau VTT labellisé FFCT de France, avec ses presque 1200 km de pistes, convient à chaque niveau : sportifs ou en famille, enfourchez votre VTT, prenez votre sac à dos et partez en immersion sur ce vaste territoire ! Emaillé de randonnées pédestres ou équestres, il saura vous satisfaire pleinement dans votre recherche de découvertes et moments forts, en solo ou à plusieurs ! Entre deux balades, profitez des nombreux plans d’eau de la région qui offrent la possibilité de pratiquer de nombreuses activités. Parfait pour vous amuser ou vous détendre sans subir la cohue des plages, d’autant que les plus importants proposent des baignades surveillées. La pêche est aussi à l’honneur : pour perfectionner votre technique ou passer un bon moment, nombreux sont les coins de pêche et les différents parcours, ainsi que de nombreux ateliers de découverte et d’apprentissage. En toutes saisons, la Haute-Corrèze vous ouvre les bras : la station de ski de fond de St-Setiers permet d’explorer la nature autrement, en spatules ou en raquettes… La Haute-Corrèze : un voyage dans le temps et dans les variations culinaires Découvrez aussi, le temps d’un interlude, le patrimoine varié de la région qui retrace son histoire. L’immersion historique débute par le site des Cars, composé d’une villa et d’un ensemble funéraire impressionnant. Puis, direction Ussel pour y contempler la plus grande aigle romaine de France. Au terme de ces premières visites, sautez quelques siècles pour vous retrouver en pleine période médiévale et explorez les 27 églises réparties sur le territoire (dont le superbe prieuré Saint-Angel), les cités médiévales (Meymac, Neuvic et Ussel) et les nombreux moulins, témoins d’une histoire très liée à l’eau. La ligne des barrages qui émaillent la Haute-Dordogne atteste...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches »constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. ...
Au Château la Pierrière, le temps semble s’être figé. La propriété qui date du XIIIème révèle encore quelques vestiges qui témoignent de son riche passé notamment sa cour intérieure, ses tours pentagonales du XVème siècle et ses douves creusées. Située à 45 minutes de Bordeaux et 7 minutes de Saint-Émilion, elle est considérée comme l’une des plus anciennes exploitations du Castillonnais. Un patrimoine reçu en dot par François de Lageard en 1607 lors de ses épousailles avec Marguerite de Puyperron. Depuis, ses descendants ont tour à tour apporté des améliorations sur le domaine afin qu’il marque son empreinte dans le paysage viticole bordelais. Une maison viticole engagée Le Château la Pierrière a la chance d’être installé sur un terroir de grande qualité. Le vignoble constitué de 30 hectares de plateaux calcaires et de 10 hectares de coteaux argilo-calcaires revêt une personnalité sensiblement similaire à celle de Saint-Émilion. Il est principalement encépagé de merlot, de cabernet franc, de malbec ainsi que de sauvignon blanc. Le domaine signe sa différence par la richesse et la beauté de son environnement. « Nous essayons de maintenir de la végétation naturelle et nous avons même un projet de plantation de haies pour renforcer la biodiversité au niveau des parcelles », fait savoir Olivier de Marcillac. Le vigneron est soucieux de l’héritage à laisser aux futures générations c’est pourquoi il a décidé de conduire son vignoble selon des pratiques agro-environnementales ayant abouti à l’obtention du label HVE. « Nous privilégions aussi la taille douce physiologique de la vigne pour garantir de meilleurs raisins et réduire les maladies », déclare-t-il. Des vins sur le fruit et la souplesse Le Château la Pierrière propose six cuvées, dont deux nouveautés à savoir « La Rencontre » sans sulfites ajoutés et « Fidélis ». Parmi les vins qui constituent son catalogue, la cuvée « Fondateur 1607 » retient toute l’attention. Conçue en hommage à François de Lageard, elle est issue d’une sélection parcellaire et se compose de 80 % de merlot et de 20 % de cabernet franc. Ce vin aux arômes fins et intenses avec des saveurs vanillées, réglissées et toastées peut patienter en cave entre 5 à 10 ans. ...
Actrice majeure de l’industrie touristique, cette association promeut les voyages responsables et équitables en accord avec les chartes émises par l’Association pour le Tourisme Equitable et Solidaire (ATES), dont elle est cofondatrice. Tous les voyages organisés par Arvel s’inscrivent dans l’économie locale et sont ainsi empreints d’un grande respect mutuel entre visiteurs et visités. Une dizaine de voyages labélisés Solidaire soutiennent directement des actions inscrites dans une volonté de développement économique durable. La cinquantaine de destinations proposées, allant des pays d’Asie du Sud-Est à ceux d’Afrique, en passant par l’Amérique latine, est alors dévoilée au-delà de leur façade touristique, une promesse d’immersions inédites et de rencontres authentiques. L’authenticité du tourisme solidaire… pour tous Les activités touristiques se doivent d’avoir des retombées sur les populations d’accueil afin d’amorcer le véritable développement économique d’une région ou d’un pays. Convaincu de ce constat, Stéphane Lyonne, responsable d’Arvel, orchestre des projets dont le but est de « donner du sens aux voyages en les mettant au service du développement de l’économie locale ». Loin de la charité spontanée et parfois irréfléchie, les modestes actions menées par l’association, par le biais de ses voyages et en partenariat avec des ONG et des associations locales, reflètent alors une volonté partagée de développement sur le long terme. D’ailleurs, un fonds de solidarité de soutien et de financement des projets locaux a été créé en 2008 par l’association. Chaque voyage répond également à une charte éditée par l’association afin de garantir des séjours respectueux du contexte culturel, social et environnemental des destinations. Ainsi, au-delà des clichés du tourisme classique, le voyageur se retrouve confronté au vrai visage de chaque destination, « ce qui leur permet de prendre conscience de la réalité socioculturelle de la destination et d’avoir ainsi une meilleure compréhension du pays visité », reprend Monsieur Lyonne. Comme le tourisme solidaire long-courrier à un coût, Arvel Voyages propose également aux petits budgets des réductions dans le cadre du tourisme social qui a inspiré sa création il y a de cela quarante ans. C’est cet esprit engagé, généreux et motivé par le partage que l’association souhaite inculquer aux voyageurs à travers une offre touristique humaniste, responsable et durable. Les voyages Arvel ou voyager autrement Les voyages à Madagascar, au Pérou, en Iran, en Inde, au Japon… garantissent une immersion culturelle et humaine mémorable pour chaque voyageur parti avec l’esprit curieux. En effet, lors de ces voyages itinérants, chaque groupe composé d’une dizaine de personnes sera accompagné par un animateur qui se chargera de toute la logistique et de les assister au cours de leur imprégnation dans le quotidien des populations d’accueil. Les cars pour touristes laissent ainsi parfois la place aux moyens de transport locaux, les logements chez l’habitant ou en petites chambres d’hôtes remplacent les grands hôtels sans âme et les circuits classiques revisités sont ponctués de visites d’associations, de moments de partages authentiques ou d’escales culturelles. Tout le voyage est organisé dans la plus grande souplesse, afin de favoriser toutes les possibilités de rencontres le temps d’une fête villageoise ou d’une pause gourmande chez un restaurateur local. Loin des échanges arrangés et artificiels du tourisme de masse, « les voyageurs pourront, d’ailleurs, faire de véritables rencontres et de vrais échanges lors de leur temps libre, l’occasion pour eux de vivre leur propre expérience », continue notre interlocuteur. ...
Pouvez-vous nous parler en deux mots de votre parcours Un parcours en 3 grandes périodes : - Une éducation scientifique qui aboutit à un diplôme d'ingénieur Arts et Métiers en 1981 - Une carrière en entreprise à dominante commerciale chez ABB et IBM pendant 18 ans - Un chemin de développement personnel et d'accompagnement de responsables d'équipe et de dirigeants pendant 16 années Comment définissez-vous le métier de coach ? Quelles sont vos méthodes de travail ? En quoi consiste le travail d'un coach ? Est-ce vraiment un métier ? Un métier se définit à la fois par sa finalité et par les techniques employées. A mon sens, le coaching embarque une trop grande diversité d'objectifs et de techniques pour le rattacher à un métier unique. Le coaching est donc plutôt une posture qui ouvre à de multiples métiers ou que de nombreux métiers peuvent intégrer avec bonheur, comme par exemple le management, le consulting, l'accompagnement individuel, l'animation de séminaires, la formation .... J'oeuvre pour ma part principalement dans l'accompagnement au changement et mes méthodes s'appuient sur quelques grands principes : - Une vision humaniste de la performance professionnelle - Une approche holistique de l'individu et des groupes d'individus - Une approche systémique des situations - L’utilisation de modèles de personnalité permettant de travailler sur la diversité des profils - Un référentiel managérial issu des meilleurs cabinets de formation - Un collectif de coachs complémentaires et talentueux Le coaching consiste essentiellement à provoquer des prises de conscience chez une personne ou un groupe de personnes pour permettre une mobilisation positive vers un objectif préalablement défini. Pour générer ces prises de conscience, le coach va puiser dans une large panoplie d’outils engageant à la fois la pensée, le corps et les émotions.Quelles sont les exigences de la profession ? Tout d'abord le respect d’une charte éthique qui formalise les engagements du coach dans sa pratique, par exemple en termes de confidentialité, de responsabilité et de neutralité. Autre exigence, un devoir de travail sur soi pour le coach qui doit lui permettre d'être au clair sur ses propres blessures et d'éviter toute projection inconsciente sur son client. J'accomplis personnellement un travail psycho-thérapeutique depuis 16 ans basé principalement sur la Gestalt-thérapie de groupe et sur le voice dialog ... c'est un voyage passionnant. Quelle différence faites-vous entre coaching et psychothérapie ? Le coaching et la psychothérapie font appel à des compétences très différentes. Un psychothérapeute va en particulier s'intéresser aux expériences traumatiques d'une personne et l'aider à cicatriser ces blessures pour qu'elles ne soient plus limitantes pour elle. Même si ces 2 postures peuvent utiliser des techniques similaires, la psychothérapie requiert une maîtrise des psychopathologies et des modalités de traitement de celles-ci que ne possède pas un coach. Un coach doit donc s'abstenir impérativement d'aller sur le terrain de la psychothérapie, au risque de provoquer des réactions qu'il ne saura pas gérer. De son côté un psychothérapeute se verra limité dans sa capacité à accompagner une personne sur des situations du présent par manque de technique cette fois pour traiter ces situations. Ces 2 pratiques sont donc très complémentaires et il m'arrive fréquemment de guider mes clients vers un type de psychothérapie correspondant à son besoin.Qu’est-ce que le « life-coaching » et quelle différence y a-t-il avec le coaching professionnel ? De façon très simple, le life-coaching s'intéresse à la vie privée des gens et le coaching professionnel à leur vie professionnelle. La tendance est aujourd'hui à prendre en compte l'ensemble des domaines de vie d'une personne, même si l'objectif du coaching appartient à un domaine particulier, tous les aspects de la vie ayant une influence systémique mutuelleLe métier de Coaching est de plus en plus répandu. Qu’est-ce qui différencie votre approche? Chaque coach se distingue par sa sensibilité et son expérience de vie, c’est la raison pour laquelle le choix d’un coach repose avant tout sur la qualité du lien entre le coach et le coaché. En ce qui me concerne, je peux me différencier par ma capacité à mobiliser une équipe de coachs de talent et complémentaires pour obtenir des résultats dépassant les attentes de mes clients J’associe plusieurs postures : Celle de coach, de conseil, d'animateur et de formateur pour répondre plus largement aux attentes de mes clients et à leurs ambitions. Combiner en particulier le coaching individuel et le coaching d'équipe est très efficace et différenciant. Quelles sont les formations que vous recommanderiez pour devenir coach ? La posture de coach requiert des qualités d'écoute et d'empathie qui ne s'apprennent pas, le coaching est donc destiné à des personnes ayant ses qualités de façon innée. Le plus important pour devenir coach est de mener un véritable travai...
Un cadre charmant à la touche « Vieux Paris », un grand bar et du mobilier en bois ancien, un peu de jazz en musique de fond : la simplicité y côtoie le raffinement pour cultiver la convivialité et l’ambiance chaleureuse. Le havre idéal pour se détendre après des activités dans le frétillant 18e arrondissement de Paris. La cuisine traditionnelle à l’honneur À L’Anvers du décor, la saisonnalité et la fraicheur des produits utilisés sont des engagements au quotidien. On y propose tous les jours, de 9 h à 23 h, des délices faits maison typiquement français dans une carte riche et diversifiée. Les entrées succulentes comme le carpaccio de saumon frais marin ou les escargots de Bourgogne donnent le ton. Le chef laisse ensuite transparaitre d’autres subtilités à travers le poisson frais du jour ou des viandes tendres et délicieuses, le tout accompagné d’une garniture au choix (riz, frites maison ou haricots verts). Les convives n’ont que l’embarras du choix entre la cuisse de poulet rôti aux herbes, le confit de canard, la souris d’agneau braisée au romarin, la côte de bœuf pour deux, la côte de porc grillée du Pays basque ou encore les sardines grillées au sel de Guérande. Salades et pâtes variées sont aussi au rendez-vous. Mais dans cette adresse hors pair, ne pas gouter aux moules marinières (origine France) est presque un péché. Sous les mains du chef, ce plat n’en reste pas un, il devient un véritable chef-d’œuvre culinaire. Et la magie ne s’achève qu’après avoir apprécié le mi-cuit chocolat crème anglaise, la tarte du jour ou la crème brulée à la vanille. ...
Le Château Rollan de By fait partie des vins produits sur Les Domaines Rollan de By. Ce vin remonte à l’origine du domaine puisqu’il sera le premier château dont le propriétaire fera l’acquisition en 1989. S’étalant sur 2 ha, cet écrin viticole grandira très vite à Bégadan, un village du Médoc. Au bout de six ans, l’ancien designer fera l’acquisition du Château Haut Condissas, puis s’enchaînent les autres Tour Seran, La Clare, Greysac et Château de By. Chaque château a sa propre personnalité satisfaisant ainsi le palais de chacun. Un vin au cœur de l’AOC Médoc Le vignoble se compose de Merlot, Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc et Petit Verdot. Avec un engagement fort pour la protection de la nature, le vignoble est conduit dans le respect du terroir. Certifié Haute Valeur Environnementale (HVE3) mais aussi Natura 2000, les pratiques culturales des Domaines permettent à la vigne de pousser dans un environnement naturel, de protéger et de favoriser le développement de la biodiversité qui l’entoure. Des vignes à la mise en bouteille Les raisins principalement vendangés à la main sont ensuite vinifiés de manière parcellaire, visant l’équilibre parfait entre tradition et modernité. Les bouteilles aux allures traditionnelles et rassurantes enferment des vins aux profils attrayants, modernes et accessibles. Avec une large proportion de Merlot, les vins se dégustent aussi bien jeunes sur le fruit et la rondeur qu’après quelques années en cave ou l’élevage en barrique aura opéré toute sa magie. ...
Valérie Forgues, vigneronne passionnée, a acquis ce domaine en 1997. Dans un souci de perfection, elle adhère aux principes de la charte des Vignerons Indépendants : respect du terroir, de la vigne et des traditions. En 2015, elle rejoint le réseau Bienvenue à la ferme de Loir-et-Cher. L’agriculture biologique, une conviction Les 7 cépages traditionnels de la Touraine sont tous présents au vignoble de la Méchinière : sauvignon, chenin, orbois, pineau d’Aunis, gamay, cabernet franc et côt. Certaines de ses parcelles sont composées de vieilles vignes comme ses côts centenaires, cultivés en provignage, et ses chenins et orbois, plantés en pineaux mêlés. Les vins du domaine sont dotés d’une exceptionnelle finesse aromatique, exprimant son terroir silico-argileux. En 2013, Valérie Forgues entame une conversion à l’agriculture biologique « par conviction, car c'est une nécessité pour notre environnement », raconte-t-elle. Avec l’aide précieuse de Didier Barouillet du domaine du Clos Blanche, elle s’applique à réapprendre le savoir-faire d’antan qui se perd. La vigneronne utilise uniquement les produits dits naturels. Le sol est travaillé au labour, en enherbement naturel. Des vins aux reflets de leur paysage Chaque cuvée reflète les caractéristiques du terroir et de son cépage en vins tranquilles et fines bulles. Régulièrement, les vins sont cités dans les guides et revues spécialisées. Valérie Forgues explique que « la meilleure des récompenses, c’est lorsqu’on est appelé par des amateurs de vins ou des organisateurs de salons ». Le Rouge Côt 2012, issu de ses plus vieilles vignes, est un de ses millésimes qui rencontrent le plus de succès. C’est une cuvée élevée 16 mois en cuve, à la robe sombre, aux reflets violines, qui offre des arômes de griottes et de petits fruits noirs au nez. La bouche est ronde et charnue, aux parfums croquants, qui dévoilent une belle finesse et harmonie. Ce vin a été mentionné par le Guide Hachette 2015. Parmi les cuvées phares du domaine figure aussi le Sauvignon 2014, à la robe jaune pâle. Cette cuvée livre au nez des notes fruitées et florales, avec une pointe d’arômes de confiserie. Sa structure agréable offre du volume et de la matière en bouche. Le Rosé Pineau d’Aunis 2014, quant à lui, est un petit bijou atypique devenu rare. Il présente une robe cuivrée œil-de-perdrix, avec une grande typicité aromatique, au nez frais et fruité avec des notes épicées au poivre vert. Sa structure soutenue lui permet d’accompagner les repas d’été et exotiques. Ce vin est présent dans le Guide Dussert-Gerber des vins 2015. ...
Le domaine du Château Grézan crée ses vins à 20 km au nord de Béziers dans la commune de Laurens. Un domaine familial au sein duquel Jean-Louis Pujol arrive en 1988. Aujourd’hui dirigé par son fils Fabien, cinquième génération de vignerons depuis 1877, le vignoble profite d’un climat méditerranéen à tendance montagnarde. Ce climat se distingue par des hivers doux avec peu de gelées ainsi que des étés chauds et secs avec des précipitations rares mais concentrées. Une aubaine pour les AOP élevées sur place dont certaines se situent au-delà de 300m d’altitude. Cette situation géographique leur permet ainsi de profiter de nuits plus fraîches et d’une eau mieux drainée. Un vignoble et une histoire séculaires L’histoire du domaine remonte à plusieurs siècles. Grézan fut d’abord la villa d’un centurion de l’armée de Rome. Au moment des Croisades des XIIe et XIIIe siècles, Grézan devient une Commanderie de l’ordre des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Quelques années après le début de la Révolution française Grézan va brûler presque intégralement. Finalement, le Château commence à prendre sa forme actuelle à partir de 1864 lorsque Gabriel Rozier de Mirepoix, un homme de loi du Narbonnais, reconstruit les bâtiments et y adjoint un rempart dans le style de ceux de Carcassonne. C’est à l’architecte Louis Garros que sera confiée la tâche, il sera conseillé par Eugène Viollet-le-Duc. En 1993, le Château sera inscrit à l’inventaire des monuments historiques français. Aujourd’hui, on y retrouve différents cépages en AOP Faugères comme la Syrah, le Grenache, le Cinsault, le Mourvèdre et le Carignan. Mais aussi des cépages en IGP Pays d’Oc avec le Chardonnay, le Sauvignon blanc, le Viognier, le Merlot, le Vermentino, et le Muscat. Un terroir spécifique La particularité des vins de l’Appellation Faugères est qu’ils sont cultivés sur une formation géologique particulière, le schiste. Ce dernier est issu de la compression des argiles de l’ère primaire. Cette composition géologique rare, seuls 10% du vignoble mondial est ainsi constitué, permet d’y produire des vins élégants, fins et profonds. Le schiste dispose aussi d’une forte capacité de rétention d’eau et de chaleur pour ensuite les restituer la nuit venue. Les baies de raisin peuvent ainsi continuer à mûrir même la nuit tombée. Il y a plus de 3000 ans, la région formait l’estuaire d’un fleuve, ce qui a permis de constituer plusieurs lithochromies, un mélange de plusieurs pierres. Des techniques éprouvées Au Château Grézan, les vignes sont spécifiquement traitées pour s’adapter à la région. L’hiver venu on taille la vigne comme partout ailleurs, pour la contenir tout d’abord mais surtout pour offrir vigueur et dynamisme aux bourgeons à venir. Le chef de culture analyse spécifiquement la richesse des sols pour effectuer cette taille qui vit au rythme des sols. Sur le site, plusieurs types de taille sont appliquées. On retrouve la taille en gobelet, qui est historiquement la plus ancienne, la taille en guyot ainsi que la taille de royat. Le domaine produit des vins majoritairement vendus en France mais qui alimentent aussi des caves de pays comme la Belgique, la Suède, la Suisse ou encore le Japon. Sur le vignoble, ce sont un peu moins de trente salariés qui s’occupent toute l’année des plantations ainsi que des vendanges qui sont à la fois manuelles et mécaniques. ...
Une ville qui change de visage Au cœur de la vieille ville bretonne, utilisant le bâti historique du Couvent des Jacobins dont il emprunte le nom, le nouveau Centre des Congrès de Rennes vient parachever toute une série d’investissements de la ville afin de se placer dans l’élite des destinations d’affaires françaises. Notamment en termes de mobilité, la ville est reliée au réseau de lignes à grande vitesse pour lui permettre d’être connectée, bien entendu à Paris en moins d’une heure trente, mais aussi au reste des grandes métropoles françaises en un très peu de temps. Les déplacements sur rails vont se prolonger au sein de la ville avec la création récente d’une seconde ligne de métro qui fait le lien entre la gare LGV et le Couvent des Jacobins. Signe de l’importance accordé par la ville à la création du Centre des Congrès, les deux lignes métropolitaines de la ville ont été pensées pour se croiser en deux points ; à la gare, et place Sainte-Anne devant le Centre des Congrès. Ces séries d’investissements et bien d’autres, dont la refonte totale récemment de la gare elle-même, concourent au positionnement de la ville et de son rayonnement dans un secteur fortement concurrentiel. Un outil pour demain Plusieurs dimensions façonnent les singularités et les particularités de ce projet. Déjà l’accolement du Centre au Couvent des Jacobins, lieu emblématique de la ville pour la diffusion et le partage des connaissances dès le Moyen Âge, qui crée une légitimité et une filiation entre deux époques distantes. Ensuite la situation même du Centre, au cœur historique de la capitale bretonne, avec toutes les commodités que cela suppose en termes de restaurations, logements, bars et hôtels pour les participants. On est très loin de l’image des autres Centres des Congrès plus classiques, souvent excentrés, obligeant à multiplier les transports afin de s’y rendre ou pour continuer un meeting dans un bon restaurant. Ici, tout est accessible à pied, entre deux rendez-vous, on trouve le temps de profiter de l’ambiance toute particulière de Rennes et de ses quartiers historiques. À cela, il faut ajouter qu' « Étant un Centre des Congrès nouveau, il profite des choix technologiques les plus récents. On garantit à nos clients organisateurs d’événements, et à leurs clients congressistes, une très grande capacité de communication entre les pièces, par exemple la liaison en full duplex entre toutes les salles sans branchement supplémentaire. C’est un centre extrêmement moderne par les technologies qu’il embarque avec lui », explique J.F Kerroc’h, directeur général de Destination Rennes. Un engagement total de tous les acteurs d’un territoire Ce centre n’arrive pas d’un seul coup dans un paysage vierge, mais accompagne une réflexion de tous les acteurs de la chaîne de l’accueil du territoire. « Nous avons constitué un conseil des acteurs du tourisme et des rencontres professionnelles qui assoit ses activités dans l’ambition d’accueil du territoire. De ces réflexions menées collectivement, on a retiré une proposition, pour les organisateurs, composés de 35 engagements. Un de ces engagements est de garantir, jusqu’à trois ans avant la tenue d’un événement, les chambres qui y sont associées. C’est une garantie économique puisque l’on s’engage sur les prix. » Le démarrage de ce Centre des Congrès est un travail collectif de la chaîne tourisme, mais il mobilise aussi des acteurs académiques et économiques, afin de faire réussir le projet et le propulser dans une dimension supérieure. L’enjeu est d’offrir à ces acteurs un outil moderne afin de prendre des initiatives et de porter des candidatures dans leurs réseaux à l’accueil de congrès. « Tout le monde est solidaire de la qualité de la destination. On s’est efforcé de construire des systèmes d’alliances avant même la tenue du premier congrès. C’était une condition préalable », termine J.F Kerroc’h. ...
Depuis plus de vingt ans, La Croisette fait la fierté de La Baule. Située en plein centre-ville, la brasserie accueille ses convives dans un cadre raffiné mais décontracté. Dès l’entrée, la grande terrasse, exposée plein sud, reflète le décor moderne triomphant de l’établissement. A l’intérieur, la salle est sublimée par les couleurs chaudes à l’image du dynamisme de son équipe. Dans un décor inspiré des années 50, les fauteuils et la bibliothèque style marin ont été remplacés par de somptueux meubles et objets de décoration signés Charles Eames, Eero Saarinen et Baccarat. De plus, les murs sont devenus une véritable galerie d’art exposant les œuvres de quelques artistes renommés dont Philippe Pasqua et Gérard Rancinan. Au menu : goût et fraicheur ! Depuis 1995, La Croisette est surtout connue pour ses succulents carpaccios. Au fil des années, Brigitte et Georges Kersulec, les propriétaires, ont su rénover et redynamiser cette spécialité italienne pour en faire leur signature. Aujourd’hui, c’est avec fierté qu’ils proposent dix-sept carpaccios dont les différentes saveurs sauront forcément séduire les gourmands et gourmets. A côté, la créativité culinaire du chef Marc Dufosse ne cesse de s’exprimer. En effet, celui-ci arrive à transporter ses convives dans un voyage infini vers les plus belles destinations du monde. Comme entrée en matière, rendez-vous en Outre-Manche avec son fish and chips sauce tartare puis en Italie à travers les linguines au gorgonzola fondu et jambon de parme ou dans les fast-food américains avec la croisette’s burger au camembert rôti. Bien entendu, il n’en oublie pas moins les grands classiques qu’il revisite à la perfection pour en faire des plats inoubliables. Tout ceci dans le respect des cuissons et utilisant exclusivement des produits locaux. Pour les adeptes des saveurs marines, aucune déception n’est à craindre. La Croisette propose différents types de plats à base de fruits de mer et de poissons (bigorneaux, crevettes, tourteau, langoustine, huîtres, palourdes…) à déguster soit comme entrée, soit comme plat principal ou tout simplement comme apéritif. Soucieux de la qualité de ses plats, la brasserie n’offre que des produits frais, livrés quotidiennement par les pêcheurs locaux. Par ailleurs, vous serez étonnés de la diversité, de la qualité et du prix abordable de la large gamme de vins que propose l’établissement. Un lieu incontournable de La Baule Il est important de souligner qu’autour de l’établissement, la ville brille de mille feux. Etant classée « station de tourisme », elle ne laisse aucune place à l’ennui. Pour les sportifs, la baie offre la possibilité de réaliser plusieurs activités nautiques : catamarans, planches à voile, kayaks et le paddle board. Pour ceux qui cherchent plutôt à se détendre et à profiter du soleil, la plage est à 50 mn de la brasserie. Enfin, pour les shoppers addicts qui veulent rapporter des souvenirs, la station balnéaire regorge de boutiques et d’un marché permanent. ...
Fonctionnant sur le modèle des cabinets de conseil, les Junior-Entreprises permettent aux étudiants de réaliser des prestations rémunérées pour le compte de professionnels. Bien qu’ils soient largement polyvalents et peuvent mener des études transversales, ils n’agissent que dans le secteur d’activité qui leur est propre. Dans l’optique de dépasser cette limite, Physique-Chimie Avenir (PCA) et Dauphine Junior Conseil (DJC) ont décidé de travailler ensemble pour satisfaire le niveau d’exigence fixé par les entreprises. Physique-Chimie Avenir (PCA), une Junior-Entreprise à haute valeur scientifique Fondée en 1978, PCA est la Junior-Entreprise de l’École supérieure de physique et de chimie industrielles (ESPCI) de la ville de Paris. Véritablement portée sur le secteur de la recherche, la structure propose des études couvrant plus d’une trentaine de domaines d’expertise scientifique qui peuvent concerner la physique, la chimie et la biologie. Grâce aux nombreux laboratoires hébergés par l’ESPCI qui opèrent dans des domaines variés ainsi que des équipements technologiques de pointe dont elle dispose, PCA réalise des études de haute qualité scientifique. Cette expertise est aujourd’hui reconnue, puisque la structure fait partie des 30 premières Junior-Entreprises françaises (2013-2017). Dauphine Junior Conseil (DJC), spécialiste en conseil en stratégie, marketing et finance Junior-Entreprise de l’université Paris-Dauphine, DJC a vu le jour en 1983. Leader dans son domaine, cette structure accompagne efficacement les entreprises en réalisant plus d’une trentaine d’études portant sur 6 domaines de compétences : marketing et stratégie, finance et création d’entreprise, systèmes d’information, communication, traduction technique et conseil en RSE. Forte de ses 35 ans d’expérience, DJC a su gagner la confiance de grands groupes mondialement connus dans leur domaine. Par ailleurs, cette Junior-Entreprise s'inscrit aussi dans les 30 meilleures Junior-Entreprises de France. Réunir deux Junior-Entreprises de grande renommée PCA et DJC, deux structures qui excellent chacune dans leur domaine respectif, vont désormais pouvoir travailler ensemble sur des sujets qui peuvent les concerner tous les deux. Cette coopération va permettre aux deux entités de proposer des études plus complètes, couvrant différents aspects aussi bien du point de vue économique qu’en ingénierie. Un projet de création d’une startup constitue l’exemple parfait pour illustrer cette complémentarité. PCA apporte son savoir-faire dans l’exécution du prototypage technologique tandis que DJC se charge de l’aspect économique à travers la réalisation d’un business plan, du positionnement du produit, etc. ...
Les 24 et 25 septembre 2017, le Salon Gourmet Sélection va investir le Pavillon 4 du Parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris. Il devrait accueillir environ 350 exposants présentant leurs dernières créations ou innovations. Même si une grande majorité des exposants sont français, d’autres viennent de Belgique, de Grèce, d’Italie, ou encore du Canada ou de Turquie. Dédié aux professionnels, le Salon a principalement pour but de mettre en relation les producteurs avec les acteurs du commerce de détail, de la distribution, de l’e-commerce, des duty-free ou de la restauration. Une multitude de produits sont mis à l’honneur dans plusieurs catégories : épicerie, vins et spiritueux, boissons non alcoolisées, produits traiteurs, produits de la mer, charcuterie, produits laitiers ou encore coffrets cadeaux et objets de décoration. Plusieurs animations pendant le salon Tout au long du salon, plusieurs animations sont proposées pour faire découvrir de nouveaux produits aux visiteurs. Tout d’abord les Best-of du salon. Cette année, pour élire les 5 produits Best-of parmi les produits proposés par les exposants, le jury se réunira autour de Vincent Ferniot, le célèbre chroniqueur gastronomique. Lors du dernier salon en 2015, le Vinaigre à la pulpe de kalamansi de Libeluile, les pétales de tomates de Marc Peyrey, le Pressé de Caviar à la Bourtague de Kaviari, le Tartare du monde New-Delhi de Christine Le Tennier et le Pop-corn au caramel au beurre salé et au citron de la Maison Gramm’s ont ainsi été récompensés. Ensuite le Gourmet Alliances, une animation qui a pour but de faire découvrir aux visiteurs un accord de 2 produits, en général un mets salé ou sucré accompagné d’une boisson alcoolisée ou non. Ces produits ont été sélectionnés avec soin par des spécialistes. Ces dégustations ont lieu plusieurs fois par jour. Mais aussi l’Allée des Experts, un espace de rendez-vous dédié à répondre aux différentes attentes des visiteurs. Sous forme de speed-dating d’une durée d’une vingtaine de minutes, un expert vient aider les épiciers fins à résoudre leur problématique telle que « comment monter son épicerie fine », « comment étoffer sa gamme d’huile d’olive », comment monter une corbeille de fruits ». ...
En vrai visionnaire, André Deberdt était à l’origine de la création du label Bio équitable et était à la fois un acteur majeur au sein du réseau Biocoop. Il fonde KAOKA en 1993, et choisit de se concentrer sur le cacao et le chocolat afin de maîtriser toute la chaîne de valeur, depuis la plantation jusqu’à la commercialisation des produits finis. Un cacao éthique et de qualité Présente sur quatre filières, à savoir l’Équateur, Sao Tomé, le Pérou et la République Dominicaine, la société entre en relation directe avec les producteurs locaux et s’investit dans une stratégie de codéveloppement concertée pour pérenniser l’activité. L’une des valeurs éthiques véhiculées par KAOKA est le respect des hommes, qui se concrétise par la mise en place d’un cadre de travail optimal ainsi qu’une rémunération juste et honnête. Cet enrichissement mutuel se poursuit notamment dans la mise en place de coopératives regroupant les petits planteurs de cacao, qui bénéficient d'équipements performants utilisés dans les étapes de fermentation et du séchage. Ces investissements garantissent une meilleure qualité des récoltes tout en simplifiant les activités des producteurs. Dans sa vision d’un partenariat à long terme et pour faire face aux menaces de la pénurie de cacao, la société a également développé une technique agronomique basée sur la méthode du greffage comme solution viable pour les deux parties. Au-delà de l'augmentation de la production de cacao pour les producteurs, cette technique permet surtout d'encourager et favoriser la culture des variétés locales de cacao aux arômes originels et exceptionnels. Cette démarche reconnue a valu à KAOKA l'obtention de la certification FFL pour l'ensemble de ses produits, selon le référentiel pointu et exigeant BioPartenaire. Une palette bien gourmande Selon l’origine des fèves, les produits KAOKA révèlent une typologie aromatique bien spécifique et riche en saveurs. La gamme Noir Dégustation qui est l’ambassadrice de la maison se décline en plusieurs tablettes et s’adapte au goût de chacun : allant d’un mélange de saveurs plus délicates jusqu’au noir intense à 90 % pure pâte de cacao. Récemment, la marque a lancé deux nouveaux produits : l'un agrémenté de citron-gingembre et l'autre de noix de coco, pour apporter une note exotique plus soutenue. En outre, la gamme pâtissière (chocolat de couverture, pépites et poudres de cacao) est souvent appréciée par les fabricants chocolatiers et les artisans pâtissiers, de par sa qualité et conformité à leur exigence. ...
Ayant soufflé ses quinze bougies cette année, l’agence Cézame est forte de son expertise dans le domaine du tourisme d’affaires. Allant de la conception à l’organisation intégrale, en passant par les conseils prodigués par une équipe chevronnée, chaque événement se déroule sous le signe de la réussite. Prônant la rigueur, l’efficacité et la qualité des services, cette agence s’est forgée une réputation, qui va aujourd’hui au-delà des mers, grâce, notamment, à un réseau de partenaires internationaux fiables et garants de la réussite de chaque projet. Une offre sur mesure pour votre satisfaction Le sur-mesure, la signature de Cézame. Tel un « pass » pour un univers enchanteur, cet opérateur vous ouvre les portes vers le succès et le développement de vos activités. Pour ceux qui ont fréquemment besoin de se rendre à l’extérieur pour y rencontrer leurs clients ou leurs partenaires, l’agence s’occupe de tout, allant du transport à l’hébergement, en passant par l’accueil. De nombreux autres services relevant de la logistique sont également inclus dans ces prestations rendues possibles grâce à la « présence de correspondants servant de relais partout dans le monde, allant de New York à Strasbourg, en passant par Bangkok », nous explique Matthieu Delavallade, expert en tourisme d’affaires et gérant de l’agence Cézame. Suivant le but de ses voyages, l’agence s’efforce de fournir une offre personnalisée en accord avec les attentes réelles du client. Outre ces déplacements méticuleusement organisés, les entreprises souhaitant organiser des séminaires, des conventions, des lancements de produits ou des congrès trouveront ici un partenaire de confiance. Dans le respect du cahier des charges, les lieux de réception, les activités extraprofessionnelles, l’hébergement ainsi que l’accompagnement technique seront choisis et octroyés dans le but de faire de chaque projet une réussite. Pour les entreprises et les groupes qui souhaiteraient remercier, fédérer ou souder leurs collaborateurs, Cézame offre également ses services en la matière, avec à la clé, des événements sur mesure élaborés de A à Z, qu’importe la destination ou la thématique choisie. « Toujours grâce à nos partenaires et correspondants locaux, nous pouvons émettre des recommandations personnalisées en fonction de ce que le client recherche », continue Matthieu Delavallade. La billetterie d’affaires : l’innovation en marche L’agence Cézame se veut être le précurseur du voyage de demain. Nul besoin de se déplacer pour réserver un billet ici et là, même si les destinations ne sont pas les mêmes. Cette société de services permet à ses clients, « grâce à la centralisation du processus d’achat de billets, d’acheter des billets d’avion ou de train au même endroit avec tout l’après-vente qui va avec », reprend notre interlocuteur. Et ce dernier de poursuivre : « cela est possible grâce à un partenariat fiable avec la SNCF et l’IATA, symbolisé par l’octroi d’agrément provenant des deux parties. Ce processus permet, à qui le voudrait, de choisir parmi toutes les destinations de son choix, allant des classiques aux tendances ». Ce savoir-faire inégalé, basé sur un service orienté vers la satisfaction, fait de cette entreprise le plus beau fleuron de son domaine. ...
Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...
FlashMatin ׀ Bonjour Monique et Christian ! Monique et Christian Peltier ׀ Bonjour ! Tout d’abord, pouvez-vous nous expliquer votre parcours et ce qui vous a poussés à créer votre cabinet ? M P ׀ Pour mon parcours, j’ai fait toute ma carrière dans l’enseignement. D’abord, dans l’enseignement secondaire, ensuite dans l’enseignement universitaire. Après, j’ai été responsable de formation et responsable de l’internationale. Toute ma carrière, l’anglais et les voyages ont été des éléments majeurs. C P ׀ Moi, j’ai eu un parcours un petit peu différent puisque je suis originaire du monde de l’entreprise. J’ai fait toute ma carrière dans une entreprise internationale, avec l’usage de l’anglais au quotidien, pendant pratiquement 35 ans. J’ai maintenant une certaine expertise dans ce qui peut être attendue par les entreprises chez de jeunes candidats. M P ׀ À un moment donné, notre fille a voulu faire ses études en Angleterre. J’ai pensé que c’était très simple puisqu’on parlait anglais, on avait l’habitude et on connaissait le pays. Pourtant, il s’est avéré autrement parce que la candidature à l’université en Grande Bretagne est totalement différente d’une candidature en France. C’est cela qui nous a donné l’idée d’aider les jeunes dans cette même situation. Chez Chrismo, vous êtes certifiés par plusieurs organismes. Cela vous permet de garantir une qualité et une mise à jour perpétuelle de votre accompagnement. Mais en quoi consiste exactement votre accompagnement ? M P ׀ Depuis la rencontre avec le jeune ou l’adolescent qui me dit : « voilà ce que j’aimerais faire », le processus consiste à déterminer quel serait l’établissement, l’université qui lui conviendrait le mieux, et la candidature bien évidemment. En Grande Bretagne, le gros morceau c’est le Personal Statement c’est-à-dire le fait de savoir rédiger une lettre de motivation très documentée, jusqu’ à la candidature elle-même, à l’université ou aux universités. Pour l’accompagnement sur les visas, il s’agit vraiment de donner un guide, mais en aucun cas de le faire car c’est interdit. Pour l’accompagnement sur le logement, on peut dire : « voilà ce que vous avez comme solution ». Jusqu’au bout de vos études, et même pendant l’université ou l’école, on reste en contact avec l’étudiant pour savoir si tout se passe bien et si leur scolarité ou leur année universitaire correspondent à ce qu’ils attendaient. Quelle serait la toute première démarche à effectuer pour un ou une étudiant(e) ? M P ׀ Bien évidemment, nous contacter et nous parler, c’est-à-dire qu’il doit vraiment nous expliquer son but, le pays dans lequel il veut étudier et la matière qu’il veut étudier. C’est souvent la période qui demande le plus de temps, parce qu’on a beaucoup de jeunes qui n’ont pas une idée très précise de ce qu’ils veulent faire. En rencontrant ces jeunes pour la première fois, j’entends très souvent : « Je veux aller à Londres et je veux étudier le business. » Ainsi, il faut écouter et savoir ce qu’ils entendent par business. S’agit-il plus d’un Business Marketing ou d’un Business Management ? Il faut arriver à cerner ce qu’ils ont envie de faire et discuter dès le début sur les conditions de vie, que ce soit en Grande Bretagne ou aux Ėtats-Unis. En effet, il faut savoir le coût financier aux Ėtats-Unis, car quand on dit aux parents que c’est 40 voire 50000$/an ou plus même, cela peut être un frein. Il en est de même pour La Grande Bretagne. Vivre à Londres est nettement plus cher que vivre à Manchester ou Buckingham. Ainsi, il faut prendre tous ces éléments en compte, pour essayer de trouver la ou les université(s) qui correspondront le mieux. C P ׀ C’est là aussi où j’interviens en appuyant sur mon expérience dans la mesure où cela me permet de raconter des métiers, que fait un chargé d’étude marketing, que...