En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...
Le Domaine de Calet a élu domicile sur une terre bénéficiant d’un microclimat et de conditions géologiques favorables. L’endroit sis à 85 m au-dessus de l’eau et offrant une vue panoramique se conjugue idéalement avec la viniculture. Cette situation géographique exceptionnelle fait des cuvées en AOC Costières-de-Nîmes des vins naturellement bons. La terre des galets roulés Les sols du domaine prennent racine sur un vaste tapis de galets roulés. Ces petites pierres arrondies ont la faculté de capter les rayons du soleil de manière à chauffer convenablement le sol et la vigne. Elles permettent également de conserver la température idéale pour une parfaite maturation des raisins. « Je ne vends pas du vin, je vends une manière de vivre » Yvon Gentes a une vision bien particulière. Désireux de partager ses idéologies, il nous confie : « Pour moi, ce qui est important, c’est que le vin soit bien équilibré, mais surtout qu’il soit naturel. » En effet, notre vigneron s’est lancé dans l’aventure écoresponsable. De la plantation à la mise en bouteille, il veille à ce que ses cuvées subissent le moins de procédé chimique possible. De ce concept est né « Éternité », qui est la cuvée phare de la maison. Et pour mieux commercialiser ses vins bio, le viticulteur se charge lui-même de la vente des nectars. « Je suis convaincu qu’il faut que le vigneron parle de ses produits », affirme-t-il avec détermination. Tout ce travail rigoureux lui a permis de rafler beaucoup de récompenses dans les concours nationaux et internationaux, notamment à Singapour. ...
Intégrant une équipe pluridisciplinaire, le centre s’illustre tout particulièrement par sa volonté de recourir à de multiples innovations pour assurer une prise en charge optimale à ses patients. Quelques mots sur le CHB Paul Brousse Le centre Hépato-Biliaire Paul Brousse a été inauguré en mars 1993. Il est axé sur le traitement des maladies du foie, des voies biliaires, et du pancréas. Le centre figure parmi l’un des tout premiers dans le traitement médico-chirurgical des tumeurs du foie et c’est le premier centre de greffe du foie au plan national. Outre les aspects chirurgicaux, il intègre tous les aspects multidisciplinaires de la prise en charge. Cette dernière est organisée de sorte qu’ « au lieu que ce soit le malade qui se déplace vers les différents services, ce sont les spécialistes qui sont autour de lui pour lui apporter les meilleures solutions en termes de diagnostic et de traitement », souligne le Pr René Adam, chef de département du Centre Hépato-Biliaire. Les atouts de la pluridisciplinarité L’un des points forts du CHB réside dans sa capacité à fédérer des compétences éprouvées issues de disciplines diverses. En effet, il peut compter sur une équipe multidisciplinaire réunissant des hépatologues, des chirurgiens, des anesthésistes, des oncologues, des radiologues, et des réanimateurs. Une synergie et une complémentarité qui offrent de nombreux avantages notamment dans le diagnostic rapide des tumeurs du foie. « Pour un patient arrivant dès le matin, tous les moyens sont mis en œuvre pour obtenir le diagnostic dans les 24 à 48 heures. Pour cela tous les spécialistes travaillent en concertation pour aller le plus vite possible », poursuit notre interlocuteur. En outre, une unité de recherche labellisée par l’INSERM qui réunit des cliniciens et des chercheurs est intégrée dans le bâtiment. Une institution ouverte à l’innovation Qu’elle soit chirurgicale, hépatologique ou au niveau de la recherche, l’innovation est au cœur de toutes les activités du centre. Ce dernier dispose d’outils et de matériels à la pointe de la technologie médicale pour le diagnostic et le traitement des maladies virales, des cirrhoses et des tumeurs du foie des voies biliaires et du pancréas. Le CHB développe tout particulièrement la chirurgie mini-invasive du foie et du pancréas. Aujourd’hui plus de 30% des tumeurs du foie sont opérées avec ces méthodes qui permettent de réduire la taille des incisions et les douleurs postopératoires. Conjointement à un programme de réhabilitation améliorée après chirurgie, les durées d’hospitalisation sont écourtées. En ligne avec ces objectifs, les outils connectés sont mis au service de la domomédecine et une étude pilote va bientôt permettre aux patients opérés au CHB de bénéficier d’une technologie qui assurera une surveillance à distance après leur sortie de l’hôpital. « Grâce à ces outils connectés, on pourra recevoir automatiquement des informations sur le rythme activité-repos d’un patient, s’il est couché, s’il est debout, sur l’évolution de sa température cutanée, de son poids et grâce à un questionnaire télétransmis, sur la façon dont il se remet de son intervention, le tout, sans qu’il soit nécessaire de le garder hospitalisé », poursuit notre interlocuteur. De leur côté, l’équipe médicale sera en mesure d’accéder à ces informations via un serveur et pourra contacter le patient en cas de perturbations importantes des paramètres surveillés. Le centre s’est doté récemment de machines de perfusion du foie qui offrent la possibilité de recréer les conditions physiologiques de perfusion des organes. « On peut mettre un foie et le perfuser ex vivo, ce qui permet de vérifier sa fonctionnalité, de tester si la greffe va marcher mais cela ouvre aussi la porte à des modifications que l’on pourrait effectuer sur des foies considérés comme trop risqués pour être transplantés d’em...
Eh non, l’Amazonie n’est pas réservée uniquement aux aventuriers ! Et c’est également loin d’être un endroit hostile que beaucoup de gens imaginent. Qu’il s’agisse d’une balade en forêt, d’une promenade en pirogue ou encore d’une pêche aux piranhas, Heliconia fait parler son expertise et son professionnalisme pour offrir des séjours agréables adaptés à toute la famille. L’Amazonie, une destination nature avant tout D’après le WWF, l’Amazonie abrite entre 50 et 75 % de la biodiversité mondiale. Destination nature par excellence, celle-ci est dotée d’une faune et d’une flore exceptionnelle. À ce jour, près de 80 000 espèces de plantes y sont répertoriées. Au niveau de sa faune, de nombreuses espèces d’animaux sauvages peuplent encore de nos jours les forêts tropicales amazoniennes. « C’est une destination articulées autour de deux éléments importants que sont le fleuve et la forêt », souligne Rémy Harbonnier, cofondateur. Des séjours sur mesure Avec plus de 20 ans d’expérience dans l’organisation de séjours sur mesure, Heliconia est à même de s’adapter aux besoins des voyageurs. Ces derniers sont en quelque sorte les principaux artisans de leur propre voyage. Durée du séjour, activités, type d’hébergements…C’est selon les envies du voyageur. « Les possibilités sont presque infinies, nous pouvons modifier, rajouter ou enlever certaines choses », nous indique-t-on. Une croisière inoubliable Offre phare de l’agence, une croisière sur le fleuve Rio Negro permet une immersion totale au cœur de l’Amazonie. À bord d’un bateau privatisé, les croisiéristes partent explorer la forêt et ses richesses cachées. Pendant toute la traversée, les voyageurs ont à leur disposition une équipe totalement aux petits soins dans le but de rendre leur séjour le plus agréable possible. Côté distractions, la croisière est ponctuée par des activités diverses, comprenant, par exemple, une baignade en compagnie des dauphins roses, une randonnée en forêt, une visite d’une communauté indienne ou encore l’observation des caïmans à la nuit tombée. ...
C’est après la découverte, en 1971, de l’Homme de Tautavel, un homo erectus ayant vécu il y a 450 000 ans, que l’idée de création d’un centre culturel et de recherche sur la préhistoire est née. Le Centre européen de recherches préhistoriques de Tautavel, inauguré en 1992, rassemble aujourd’hui en un seul lieu une réserve archéologique, un centre de recherche et un musée. Connu pour ses animations et son programme culturel qui rythme l’année, le musée propose à ses visiteurs un véritable voyage en famille dans le passé. Le Musée de Préhistoire de Tautavel Les collections archéologiques du musée de Tautavel, parmi les plus riches au monde et les plus anciennes de France (580 000 ans), sont exposées sur plus de 1 500 m² de galeries, suivant une présentation thématique : les animaux, les climats correspondant à chaque période, les outils utilisés par les hommes, les restes humains et les métiers de la préhistoire. Un espace dédié aux expositions temporaires est inclus dans le parcours de visite et propose toute l’année un programme varié sur la préhistoire, les sciences et l’archéologie. Le musée propose des visites en plusieurs langues (anglais, espagnol, allemand, catalan et néerlandais) et en braille, afin de permettre à un maximum de personnes de s’approprier la vie de nos lointains ancêtres. Des reconstitutions grandeur nature et des projections sont également utilisées pour rendre l’expérience plus réaliste. De plus, un nouveau projet est en gestation. « En 2019, le musée de Tautavel va être entièrement remis au goût du jour. Tout en restant une référence scientifique, il va être doté d’équipements muséographiques modernes pour amplifier l’expérience de visite des futurs visiteurs », nous confie David Angelats, chargé de communication. Le musée des premiers habitants de l’Europe Ouvert en 2000 au Palais des congrès et de la préhistoire de Tautavel, cet établissement annexe, situé à 200 mètres du Musée de Préhistoire de Tautavel, entièrement rénové en 2011, se veut être plus moderne et plus ludique, en faisant la part belle aux manipulations interactives. Il est consacré à la partie la plus ancienne de la préhistoire en Europe et replace le site de Tautavel dans la chronologie des sites anciens européens. Les deux musées font l’objet d’un même billet d’entrée. ...
Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...
Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures. Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château. ...
Lancée en 2015, l’application mobile a pour vocation de mettre en relation les établissements de santé et leurs patients de façon permanente. Dans cette optique, exolis souhaite notamment venir en aide aux personnes atteintes de cancer, prises en charge pour une maladie chronique, ou encore sortant d’une chirurgie ambulatoire. Des patients qui demandent à être de plus en plus acteurs de leur santé. Les bénéfices sont clairs : meilleure assimilation des informations, meilleure réponse aux traitements et donc meilleure qualité des soins. Côté pro Entre les différentes solutions e-santé présentes sur le marché, engage se distingue d’abord par sa philosophie de marque blanche. Ce principe cadre avec la volonté de fournir aux établissements de santé un moyen de conserver un lien ferme avec leurs patients. Ainsi, engage est proposée sous forme d'une application personnalisée qui s’identifiera directement par le nom et le logo de l’établissement. En second lieu figure la flexibilité de la solution. Cela signifie que les établissements de santé peuvent créer eux-mêmes le parcours de soins adapté à chaque cas de pathologie. Notons qu’actuellement exolis travaille avec une trentaine d’établissements de santé en France et à l’étranger, dont neuf centres de lutte contre le cancer dont l’Institut Paoli Calmettes, la Fédération des Hôpitaux Vaudois (Suisse), le CHU de Rennes, l’Hôpital Privé Arnault-Tzanck de Mougins et bien d’autres encore. Côté patient Pour le patient, les avantages d’engage se résument en trois mots : praticité, efficacité et satisfaction. Via l’application mobile, il peut interagir de différentes manières avec son établissement de santé, en recevant ou en envoyant des informations personnalisées relatives à son parcours de soins. De cette manière, il reste à l’affût de l’évolution de son état de santé et devient acteur dans la prise en charge de sa maladie. Par ailleurs, engage s’avère facile à utiliser, grâce à son interface ergonomique et intuitive. Le patient a également la possibilité de se faire assister par un proche ou un soignant libéral, qui manipulera l’application à sa place pour interagir avec son hôpital. De son côté, l’établissement de santé est en mesure de tout gérer via engage : suivis à distance (traitement, constantes…), dossiers médicaux, planning des rendez-vous… ...
Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique, fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...
Le palmarès de la Cave des Vignerons de Pierrevert montre que leur union porte ses fruits. En 2016, elle est représentée sur tous les marchés du podium au Concours Général Agricole de Paris. En tout, elle a remporté cinq médailles dont deux médailles d’or pour l’AOP Pierrevert rosé 2015 et IGP bio rosé 2015, une médaille d’argent et deux bronzes. Au Concours des vins IGP de France VINALIES, trois médailles d’argent lui ont été décernées. Une Coopérative Ceci est l’histoire d’une centaine de viticulteurs qui décident de s’allier pour mieux produire et mieux vendre leurs vins. La coopérative « c'est d'abord un projet d'hommes et de femmes s'inscrivant dans une volonté commune de performance » selon Corinne Campana, responsable commercial. Auguste Bastide fonde en 1925 la Coopérative Vinicole Agricole des Coteaux de Pierrevert. C’est la seule coopérative vinicole des Alpes-de-Haute-Provence connue à ce jour, après la fusion avec les Coopératives de Villeneuve et de Quinson en 1992 et avec la Coopérative de Manosque en 1998. L’objectif du projet est de « proposer une large gamme de produits, adaptée au marché et capable d'évoluer rapidement en fonction de la demande des consommateurs » raconte Corinne. La structure composée de cent vingt viticulteurs produit donc des vins rouges, rosés et blancs en AOP Pierrevert, IGP des Alpes-de-Haute-Provence, IGP cépages Cabernet Sauvignon et Merlot et enfin Vin de France « rosé fruité ». Petra Viridis La Cave de la coopérative des vignerons de Pierrevert a atteint ses 90 ans en mars dernier, elle a beaucoup évolué depuis sa création. Le savoir-faire traditionnel des viticulteurs côtoie aujourd’hui les matériels modernes qui interviennent dans le processus de transformation du vin comme les pressoirs pneumatiques, cuves inox réfrigérées et groupe de froid. Cela permet à la Petra Viridis de produire « des vins qui portent la signature du terroir » Le Terroir Le terroir recouvre une surface de 400 hectares qui concerne une dizaine de communes autour de Pierrevert, sur les contreforts de la vallée de la Durance et sur le site de Quinson. La qualité du sol, le climat et surtout le travail des vignerons dévoilent à travers leurs vins les particularités de ce terroir. Les cépages prédominants sont le Grenache noir et la Syrah. Le reste inclut le Merlot, Cabernet Sauvignon, Muscat de Hambourg, Muscat petits grains, Vermentino et Grenache blanc. ...
Installé en plein centre de Saint-Étienne, non loin de l’intersection de la rue Léon Nautin et celle des Martyrs-de-Vingré, l’Absinthe Café est le lieu d’une cuisine moderne, originale, aux inspirations thaïlandaises et japonaises. Le propriétaire des lieux David Durand, et son associé et chef Thomas Jacoud, ont fait de ce café de quartier piéton, une adresse de dégustation gastronomique attirant du beau monde.Les convives de passage profitent ici de plats revisités aussi succulents les uns que les autres. Des plats originaux et variés Dans cet univers culinaire, les hôtes prennent placent à des tables, n’attendant plus que les douceurs élaborées aux fourneaux par Thomas Jacoud. Ce chef qui est passé par une école hôtelière traditionnelle, des stages dans de belles maisons gastronomiques et restaurants étoilés, orchestre avec soin une cuisine originale qui change au fil des saisons, avec mise en avant des produits du terroir stéphanois. La maison propose à cet effet, des plats signatures tels que la tarte fine de morilles au parmesan et à l’huile de truffes comme entrée, ou encore le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison comme plat principal. Ce dernier est une interprétation du classique bœuf bourguignon. Il est fait à base de bœuf mijoté longtemps à feu doux pour donner une viande compotée à la texture effilochée, tendre et fondante en bouche, accompagnée de lardons et d’oignons. Des bouchées revisitées sous la forme de makis de bœuf bourguignon. Pour la garniture, en guise d’algues qui rappellent l’inspiration du chef pour la cuisine japonaise, des spaghettis de carotte. La composition forme un ensemble original avec au centre du hachis de bœuf accompagné de lardons et d’oignons. Des makis servis avec des pommes dauphines. Parmi les desserts signatures, le « croustillant de marron meringué ». Ce dessert est orchestré à partir d’une pâte à langue de chat très fine dans laquelle on met une mousse de marron. Le biscuit est ensuite roulé dans la meringue italienne, puis dans un craquant au praliné. Les clients apprécient d’autres délices comme « La minute de saumon » qui est un plat du midi reflétant l’identité de l’Absinthe Café. Ce dernier est élaboré avec un saumon levé et finement découpé comme un carpaccio qu’on étale dans une assiette, puis passé au four quelques minutes pour être mi-cuit. Le tout est recouvert d’une sauce beurre d’aromate composée à partir d’échalotes, de citron vert, de sauce soja et beurre noisette. Egalement à la carte, des recettes asiatiques comme le tataki, ou encore le dashi qui est un potage japonais. Une carte des vins raffinée L’absinthe est la boisson phare de cette généreuse adresse aux allures de bar, et à l’ambiance décontractée. Plusieurs variétés de ce spiritueux y sont servies, toujours de manière classique à l’aide de grandes et magnifiques fontaines, dans des verres traditionnels accompagnés d’une cuillère et de sucre. Les convives peuvent ainsi profiter d’une dégustation d’absinthe classique, de grande absinthe, d’absinthe parisienne, fait Suisse, et même à la française pour ceux qui exige la qualité. A cet effet, nous avons des noms tels que la Fée XS Suisse, l’Absinthe Pernod, et la Fée Parisienne. Egalement des vins rouges à la carte avec l’AOC Gigondas Saint-Joseph, qui se marie bien avec le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison. L’élaboration de celui-ci passe par un encépagement au Syrah, roussanne ou marsanne. Équilibré et élégant, c’est un vin fin à la robe pourpre soutenue, dégageant des senteurs de cassis et framboise évoluant vers une note de réglisse et de cuir. ...
Faire connaitre l’histoire particulière de la diaspora arménienne. Telle était la vocation première du Centre du patrimoine arménien (CPA). Mais au lieu de privilégier une approche communautaire, le centre a tout de suite misé sur l’ouverture. « Nous essayons toujours d’établir un lien entre l’histoire arménienne et les problématiques actuelles », souligne Chrystele Roveda, Responsable du service des Publics et de la communication du CPA. Créé en 2005 sous l’impulsion de la ville de Valence, Le Cpa est aujourd’hui géré par Valence Romans Agglo. « La présence d’une communauté assez importante de personnes d’origine arménienne sur le territoire est l’une des raisons qui a impulsé la création de ce centre », explique Chrystele Roveda pour revenir sur les origines du lieu. Après deux ans de travaux, cet équipement culturel majeur de Valence Romans Agglo a rouvert ses portes au public le 15 septembre 2018. L’occasion de découvrir ses infrastructures mais également les innovations apportées, sans oublier les nouvelles activités construites autour d’une programmation qui se veut ambitieuse. Avec pour leitmotiv d’être un lieu citoyen ouvert sur le XXIe siècle. Le Cpa fait peau neuve À la suite d’importants travaux, la surface dont dispose le centre est passée de 450 m2 à 1 100 m2. De nouveaux espaces ont ainsi été créés afin d’apporter une atmosphère plus conviviale à ce lieu de mémoire. Désormais, le public va bénéficier d’un nouvel espace d’accueil qui s’ouvre sur un patio, d’un auditorium d’une capacité de 100 personnes, d’une belle terrasse pouvant recevoir une centaine de personnes pour différents évènements et d’une salle pédagogique. Quant à l’espace consacré à l’exposition permanente, celle-ci a fait l’objet d’une rénovation. « Nous avons actualisé les contenus et enrichi le parcours de dispositifs multimédias innovants », rapporte notre interlocutrice. De nouvelles offres à destination des familles et du jeune public Concernant la programmation, Le Cpa s’attache à mettre en place une offre culturelle adaptée et accessible à tous. « Jusqu’à présent, nous avions organisé beaucoup d’animations pour le public scolaire. Actuellement, nous sommes en train de déployer de nouvelles offres à destination des familles et du jeune public », spécifie Chrystele Roveda. Des ateliers ludiques, des animations ou encore des visites guidées interactives sont proposés en ce sens. Et grâce au label Ethnopôle « Migrations, Frontières, Mémoires » obtenu en 2018, le centre sera en mesure, dans les années à venir, de développer des projets plus ambitieux portant sur la problématique des migrations. ...
Le Château du Clos Lucé se divise en trois parties bien distinctes. Le manoir avec sa façade en briques roses et ses pierres blanches, demeure mise à disposition par François Ier pour Léonard de Vinci, le parc Leonardo da Vinci avec ses maquettes grandeur nature des œuvres et inventions du génie et le Jardin de Léonard reproduit selon les croquis de botanique, fruit de l’imagination de cet homme d’esprit universel. 1516-1519, 2016-2019… Les années 2016 à 2019 sont à marquer d’une pierre blanche pour le Château du Clos Lucé car elles correspondent au 500e anniversaire de l’arrivée de Léonard de Vinci à Amboise où il vécut de son arrivée en 1516, jusqu’à sa mort en 1519. A cette occasion, le château du Clos Lucé rend hommage à l’histoire française des œuvres et travaux réalisés par ce grand homme ainsi qu’à ses idées et ses valeurs humanistes. En 2016, en première mondiale, les ateliers vivants du grand maître sont restitués et « achèvent la campagne de restauration qui dure depuis près de 60 ans » comme l’explique Irina Metzl, du service communication. Pendant l’été, les Nocturnes du Clos Lucé sont une occasion d’appréhender l’art sous diverses formes et de faire revivre l’esprit de la fête de Léonard de Vinci. Le château accueille aussi chaque année le Festival Européen de Musique Renaissance. Sur trois jours, le public a le plaisir de découvrir une facette méconnue du génie toscan ses talents de musiciens. La 11e édition en 2016 offre une programmation d’œuvres et créations inédites de Doulce Mémoire, de l’ensemble Vedado & la mezzo-soprano Latana Phoung et du Quatuor Van Kuijk. Du Clos Lucé au Louvre, les trois chefs-d’œuvre de Léonard de Vinci Cette exposition temporaire met en lumière l’histoire française des trois chefs-d’œuvre dont Léonard de Vinci n’a jamais voulu se séparer depuis son départ d’Italie, à savoir La Joconde, La Vierge, l’Enfant Jésus et Sainte-Anne, et le Saint-Jean-Baptiste. Elle se tient du 17 juin au 15 novembre 2016 et a été mise en place grâce au commissariat d’Alessandro Vezzosi du Museo Ideale à Vinci, en Italie, et en partenariat avec le Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France, du Louvre. En 2017, Léonard de Vinci organisateur des fêtes royales Un aspect moins connu de l’artiste aux mille facettes qui se révèle un Maître dans l’art d’organiser pour François 1er – Roi de France – et sa cour des fééries nocturnes, des spectacles qui faisaient appel à son génie créateur pour créer l’illusion, éblouir et donner à rêver. L'objectif était également pour le Roi de montrer sa puissance, de faire rayonner son image au sein des cours d’Europe dont les Ambassadeurs étaient des invités de marque. De la restitution de la Victoire de Marignan à la Fête du Paradis, effets spéciaux et jeux de lumières illustrent tout le génie de Léonard de Vinci inscrit dans son histoire française au Château du Clos Lucé, sa dernière demeure." ...
Les recherches du laboratoire BioCIS de la Faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry, associé au CNRS, s’articulent autour de trois grands thèmes, la chimie des substances naturelles, la pharmacochimie et la méthodologie de synthèse. Dirigées par Bruno Figadère, quatre équipes de haut niveau travaillent dans le domaine de l’innovation thérapeutique et les publications scientifiques (300 sur 5 ans) et collaborations avec d’autres unités de recherche témoignent des résultats obtenus. Le laboratoire rayonne dans le monde entier. De nombreuses collaborations ont aussi été tissées avec le milieu industriel, se traduisant par un co-financement d’une partie des travaux de recherche et le dépôt de brevets (15 sur 5 ans). De nombreux contrats de recherche ont été signés avec des organismes publics et caritatifs (Agence nationale de la recherche, Union européenne, Drug Neglected Disease Initiative…). C’est le champ des thérapeutiques anticancéreuses et neuro-dégénératives qui est concerné, mais aussi celui des maladies tropicales infectieuses et parasitaires comme la leishmaniose, le paludisme et la maladie du sommeil. Un large éventail de métiers La sphère du médicament est vaste. En rejoignant les équipes de recherche de BioCIS, un étudiant en master ou un doctorant trouvera matière à s’orienter vers les métiers du médicament. Et les débouchés existent ! Le monde de la santé est de plus en plus diversifié. De la start-up et la très petite entreprise jusqu’aux grands labos pharmaceutiques, sans oublier les organismes de recherche (CNRS, INSERM) et l’université, l’innovation au niveau des molécules d’intérêt thérapeutique est partout. Chimiste, organicien, analyste, pharmacien responsable dans l’industrie pharmaceutique, dans les services de recherche et développement…,autant de métiers spécialisés appelés à un bel avenir. D’ici à 4 ans, le laboratoire rejoindra le nouveau campus de Paris-Saclay. ...
Quelles sont les actions et missions de la fondation ? L’objectif de la Fondation Terre Solidaire est d’engager, en France et à travers le monde, une transition vers une société qui conçoit le progrès et le développement économique et social d’une façon respectueuse de la nature, des Hommes et des limites de la Terre. Pour cela, la Fondation Terre Solidaire s’est assignée trois missions étroitement imbriquées : — Soutenir des processus de réflexion et des travaux de recherche qui mettent en lumière de nouveaux concepts et modèles de développement. Par exemple, nous soutenons un collectif international de chercheurs et de penseurs regroupant économistes, sociologues et philosophes issus de différents pays. De la confrontation de leur analyse vont découler des solutions qui peuvent être proposées aux acteurs de terrain. — Appuyer des projets d’expérimentation qui mettent en œuvre ces alternatives de façon concrète. Par exemple, nous soutenons un grand programme impliquant 12 organisations locales dans la promotion de l'agroécologie paysanne en Afrique. Ils démontrent que l’agroécologie est un vecteur de transformation écologique, mais aussi sociale de ces territoires ruraux. — Mobiliser celles et ceux qui souhaitent s’engager à nos côtés sur ces enjeux. Pour cela, la fondation a fait le choix, dès sa création, d’abriter des fondations sous son égide. Grâce à l’animation d’une communauté d’engagement, nous mettons en place un espace ouvert qui permet les échanges de bonnes pratiques et d’analyses. Quels sont les principaux axes stratégiques sur lesquels œuvre la fondation ? Notre soutien se déploie autour de quatre axes stratégiques qui guident nos actions. — Le premier axe porte sur la transition vers des systèmes alimentaires durables. L’agroécologie apparaît comme une réponse innovante pour favoriser le passage à une agriculture durable, nourricière et porteuse de sens. La Fondation Terre Solidaire soutient des expérimentations dans des territoires géographiquement et culturellement variés. Ainsi, elle croise ces expériences au regard des caractéristiques de chaque territoire pour en tirer des enseignements en capacité de faire système à plus grande échelle. — Le second axe concerne l’économie et sa ré-articulation avec nos sociétés. La Fondation Terre Solidaire soutient par exemple le Mouvement SOL qui réunit la plupart des monnaies citoyennes, locales et complémentaires comme le Sol Violette à Toulouse ou l’Eusko au Pays basque. L’enjeu est à la fois d’encourager la recherche et le pluralisme en économie, mais aussi de renforcer les liens entre sciences économiques et enjeux de citoyenneté et de démocratie. — Le troisième axe stratégique important sur lequel nous œuvrons concerne le changement de paradigme énergétique. À l’heure de la décarbonisation, repenser la production, la distribution et la consommation d’énergie à l’échelle des territoires est essentiel. Partageant la même vision, Énergie Partagée (structure proche d’ENERCOOP) a pu ainsi bénéficier du soutien de la fondation. — Le quatrième axe s’attelle à l’émergence et à la promotion de ces alternatives pour les rendre accessibles au plus grand nombre. La crise écologique nous oblige aujourd’hui à inventer de nouvelles manières de faire société afin d’engager le changement. C’est ce que fait le programme R-Urban que nous soutenons, qui permet aux habitants de Bagneux ou Gennevilliers de participer à une expérience unique et collaborative autour de gestes éco-citoyens du quotidien. Pouvez-vous nous en dire plus sur ces fondations abritées ? La Fondation Terre Solidaire propose à celles et à ceux qui souhaitent s’engager durablement sur les enjeux de transition écologique, économique et sociale de créer une fondation abritée. C’est un moyen simple et innovant pour donner corps à ses idées et à sa générosité tout en bénéficiant de l’expertise et de l’accompagnement de la Fondation Terre Solidaire....
Réinventer la vente immobilière Liberkeys, une agence immobilière 2.0, est en train de révolutionner la vente de votre appartement ou de votre maison. Pur produit de la « proptech », contraction de « property » et de « technology », cette start-up fondée en juin 2017 utilise, en effet, les nouvelles technologies pour réinventer les services proposés aux propriétaires-vendeurs et aux acheteurs, répondre à leurs attentes et améliorer le processus de la vente immobilière. « Notre priorité » explique Thomas Venturini, l'un des co-fondateurs, « c'est la satisfaction de nos clients. C'est inscrit dans notre ADN ». Pour contenter ses utilisateurs et optimiser leur expérience-client, Liberkeys actionne différents leviers : des services innovants mêlant big data et intelligence artificielle, une totale transparence (une application permet d'être tenu informé, en temps réel, des actions qui sont menées) mais aussi (et surtout !) de substantielles économies à la clé. Jugez plutôt, cette start-up propose aux propriétaires de s'occuper de la vente de leur bien immobilier, depuis l'estimation jusqu'à la signature de l'acte authentique en passant par les visites, en contrepartie d'une commission fixe de 2 990 €, payée au succès et sans engagement. C'est en moyenne cinq fois moins qu'en passant par une agence immobilière traditionnelle. Tout le monde n'est pas capable de pratiquer ces tarifs tout en proposant une expérience client parfaite. Liberkeys l'est. Et cela grâce à la technologie que la start-up a développée en lame de fond. Améliorer l’expérience-client L'idée de créer Liberkeys est née d'un constat : 75 % des propriétaires-vendeurs préférent vendre leur bien en direct afin de réaliser des économies de frais d'agence pour un service souvent décevant. Mais vendre un logement, c'est un vrai métier et ceux qui s'y essayent ont tôt fait de réaliser que c'est à la fois chronophage, complexe et stressant… C'est pourquoi 70% des transactions sont encore gérées par un intermédiaire. Et cela, en dépit du fait que passer par un intermédiaire impacte fortement leur net vendeur. Thomas en a d'ailleurs fait l'expérience. « En janvier 2017, j'ai acheté un appartement dans le cadre d'un investissement locatif. L'expérience a été décevante. D'une part, j'ai trouvé que les méthodes employées par l'agence immobilière que j'avais contactée étaient archaïques… D'autre part, j'aurais aimé plus de transparence. Enfin, une fois le bien trouvé et la transaction conclue, comme beaucoup de personnes, j'ai trouvé que 5 % de commission pour deux visites, cela faisait cher de la visite… » se souvient-il. Combiner les avantages d’une agence immobilière et de la vente en direct, un succès impressionnant ! À mi-chemin entre l'agence immobilière physique traditionnelle et la vente entre particuliers, Liberkeys combine donc les avantages de l'une et de l'autre. En optant pour cette solution, les vendeurs sont ainsi pris en main de bout en bout par un expert local dédié, tout en optimisant leur prix de vente. « Les outils technologiques que nous avons mis en place permettent à nos clients de vendre rapidement et à un prix en cohérence avec le marché immobilier local » indique Thomas. Les dirigeants de Liberkeys maîtrisent parfaitement les nouvelles technologies et savent que les attentes des consommateurs du secteur immobilier ont considérablement évolué. L'application qu'ils ont créée, et notamment les données qu'ils mettent à la disposition de leurs clients, contribuent non seulement à fluidifier mais aussi à simplifier, en l'automatisant, le processus de la vente immobilière. Avec à l'arrivée, un taux de réussite élevé, une marge préservée et des clients satisfaits. Le succès impressionnant rencontré par Liberkeys une fois lancée a fait beaucoup de bruit dans la sphère immobilière. En quelques mois, Liberkeys n’a cessé de surprendre pas sa satisfaction client et sa très forte croissance. Surement l’une ...
La cuisine toscane vous ouvre ses portes grâce au restaurant Il Conventino a Marignolle, au sein de la Villa Tolomei. Un menu en constante évolution Que vous séjourniez à la Villa Tolomei ou non, le restaurant Il Conventino a Marignolle vous accueille tout au long de l’année. Lieu de villégiature des amoureux de la cuisine toscane, il vous offre une carte d’exception et une ambiance unique. Pour ce faire, le chef et son équipe utilisent des produits frais cultivés dans leur domaine privé ou fournis par les producteurs locaux. En effet, il faut savoir que l’hôtel dispose de nombreux oliviers, d’une vigne, d’arbres fruitiers et d’un potager. De ce fait, les olives, les fruits et les légumes sont cueillis sur place. Ils s’en servent d’ailleurs pour fabriquer leur propre huile d’olive ainsi que des vins blancs et rouges (Chianti, Chardonnay et Sangiovese). En salle ou en terrasse, vous profitez d’un service de grande qualité et d’une vue magnifique, avec Florence à l’horizon. Que ce soit pour une occasion spéciale, un déjeuner d’affaires, un diner romantique ou un repas familial : le restaurant accueille les fins gourmets à la recherche de plats typiques et créatifs. Des recettes classiques réinterprétées La raison qui pousse les personnes à réserver une table dans ce restaurant haut de gamme : sa capacité à réinterpréter les plats italiens florentins. C’est une véritable explosion de saveurs en bouche tout autant qu’un voyage en région toscane. Nous vous recommandons tout spécialement le plat signature du Chef. C’est l’exemple typique d’une recette traditionnelle revisitée avec succès en mariant habilement viande toscane traditionnellement fumée, herbes aromatiques et produits du potager. Un véritable chef-d’œuvre culinaire qui éveille tous vos sens. ...
C’est en 1977 que l’aventure viticole de la famille Fayard commence par l’acquisition du domaine par Jean Pierre et Brigitte. La reconnaissance dans le monde du vin arrive dès le début des années 80. Le domaine commence sa conversion au bio en 2003 et obtient la certification « écocert » pour la totalité de ses vins en 2009. Depuis le millésime 2015, l’ensemble de notre production est inscrite à la Vegan society, car l’absence d’intrants d’origine animale convient à la communauté végétalienne et végétarienne. Le vignoble Situé sur le littoral Varois, le domaine du Château Sainte-Marguerite jouit d’un terroir typique de l’appellation Côtes-de-Provence avec un sol argilo-schisteux qui s’étend à l’île de Porquerolles, la ville de La Crau, la ville de Bormes-les-Mimosas et La Londe Les Maures. Les cépages utilisés sur les parcelles sont le Cinsault, la Grenache et la Syrah pour le Rosé. Les deux derniers cépages sont également utilisés pour le Rouge avec le Cabernet-Sauvignon et le Mourvèdre. Pour le blanc, le principal cépage st le rolle. Près de 550 000 flacons sont en moyenne issus de ces vignes dont 65% de Rosé, 20% de Rouge et 15% de Blanc. La désignation géographique complémentaire « Côtes-de-Provence La Londe » a été reconnue depuis 2008. La cave Grâce à la transmission de la passion et des secrets familiaux depuis des générations, la famille Fayard combine connaissance des traditions et techniques modernes. L’attention portée au terroir et à la vigne reste importante toute l’année avec un travail régulier du sol et une adaptation aux facteurs naturels. Le domaine investit donc dans les moyens techniques tels que les machines à vendanger avec tri embarqué et se dote d’une équipe de 40 vendangeurs. Ce sont les garanties d’une vendange à « top maturité ». Le pressurage direct avec le pressoir pneumatique permet d’éviter le déchirement de la peau ou « rebèche ». Les tiges qui tiennent les grappes sont retirées pour ne pas donner un côté herbacé au jus. Le vin rouge et blanc sont élevés en fut entre 12 et 24 mois suivant les besoins. Le Château Sainte-Marguerite est reconnu Cru Classé Côte-de-Provence depuis 1955. La cuvée Symphonie en est le navire amiral. Une symphonie de saveurs qui, en Blanc, s’habille d’une robe limpide et brillante à reflets or. Ce vin possède un nez fin et complexe, des senteurs d’agrumes, vanille et miel avec des notes grillées. Enfin, une bouche aromatique, riche et persistante glisse vers une finale délicatement miellée. Le palmarès Les deux Châteaux de la famille Fayard, Sainte-Marguerite et Saint-Martin, produit des cuvées de qualité. La Symphonie Rouge du Château Sainte-Marguerite a été médaillée d’argent au Concours Général Agricole de Paris. Pour l’Hermitage Saint-Martin, la cuvée Ikon a été récompensée par le Wine enthusiast avec une note de 93/100 pour le Rouge et 90 pour le Blanc et le Rosé. La Grande Cuvée Enzo en Rosé a aussi brillé lors de la foire de Brignoles. Le grand prix d’ensemble nous a aussi été décerné pour avoir été primé sur 5 vins dans les 3 couleurs au Concours des vins de la Méditerranée. Accessibilité La famille Fayard participe fréquemment à différents salons régionaux, nationaux et internationaux tels que la présentation des millésimes des Côtes-de-Provence à Mandelieu, le salon des clubs des professionnels du vin à l’hôtel Negresco de Nice ou encore Vinisud et Vinexpo. Par ailleurs, elle reçoit quotidiennement au domaine pour une dégustation des vins. Vous pourrez également retrouver ses vins chez de nombreux restaurateurs ainsi qu’un réseau de cavistes répartis sur toute la France. A l'international, la marque est présente dans une trentaine de pays dans le monde. ...
La Maison du Douanier a été entièrement rénovée en 2015 et abrite actuellement un restaurant bistronomique et des chambres luxueuses et modernes, dont « Margaux », « Estephe » et « Julien ». Une suite parentale composée de deux chambres dotées chacune d’un lit double bien douillet vient compléter cette offre. Après les promenades et les visites, « les hôtes pourront se détendre tranquillement sur la nouvelle terrasse de la maison qui donne une vue imprenable sur l’estuaire de la Gironde », indique Vincent Moreau. Et de préciser aussi qu’« un grand parc avec des salons aménagés est également mis à disposition des clients pour se reposer, bouquiner, ou tout simplement se délecter d’un vin issu du terroir girondin ». Un voyage enrichissant au cœur de la Gironde Avec ses rives, la Gironde conserve un patrimoine historique et culturel essentiel. Les paysages sont éclectiques et les traditions girondines sont encore très présentes grâce aux différentes activités locales, notamment la pêche. Pour accéder à la Maison du Douanier, les visiteurs peuvent emprunter deux routes : « soit celle des petits ports de la Gironde (anciens ports de pêche et ports ostréicoles), soit celle des grands vins de Bordeaux », communique notre interlocuteur. Outre la visite des vignobles bordelais, la Gironde est « un attrait touristique énorme » proposant une multitude d’activités comme la découverte de l’église Saint-Christoly-Médoc – un édifice de style roman datant du XIIe siècle et qui est classé monument historique depuis 1925 – ou encore le Verrou de l’estuaire du célèbre architecte militaire Vauban, qui est constitué de la citadelle de Blaye, des forts Médoc et Paté. Au menu : une cuisine bistronomique et végétarienne Outre les loisirs culturels et ludiques, les vacances invitent aussi au plaisir culinaire. Dans le restaurant de la Maison du Douanier, Jean-Luc Beaufils, le chef, se concentre sur la cuisine bistronomique qu’il définit comme « la revisite des plats classiques ». De style moderne et raffiné où le bois et les parquets sont mis en avant, la salle peut accueillir jusqu’à 57 couverts, contre 62 à l’extérieur. Le chef propose quatre types de menus, dont le Menu du Douanier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert), le Menu du Contrebandier (amuse-bouche/entrée/plat/dessert) élaboré avec des produits plus nobles encore, le Menu du Chef (amuse-bouche/entrée/poisson/viande/pré-dessert/dessert) et le Menu végétarien. Pour le plaisir des fins gourmets, « nous travaillons uniquement avec des produits du terroir issus de l’agriculture biologique », souligne le responsable des lieux. En mai par exemple, le restaurant propose sa spécialité qui est composée de terrine de saison, chutney d'oignons et cerises griottes en entrée, joue de boeuf confite au thym citron, légumes printaniers acidulés, accompagnée de légumes printaniers acidulés comme plat de résistance ainsi qu’une alliance chocolat et du pralin de biscuit cacao au dessert. Quant au vin, la maison suggère la « Révélation de Castillon 2010 ». Petit scoop : « cette année, nous ouvrirons à proximité un second restaurant le 15 juin, qui s’appellera La Cabane du Douanier », nous souffle-t-on. ...
Né d’un financement participatif, Un Coin Sur Terre est un domaine où la dimension humaine a toute son importance. Des vins authentiques Dans ce vignoble labellisé Ecocert, situé dans le Gard, le cépage mourvèdre est roi. Aux vignes comme au chai, aucun produit chimique n’est toléré et la vinification se fait de façon naturelle. Résultat, des vins de qualité, sans sulfites, à l’image de la cuvée « Intuition ». Issue de 80 % de mourvèdre et de 20 % de syrah, celle-ci séduit par sa fraicheur et son côté fruité. ...
Après avoir fait ses armes chez Alain Ducasse, comme chef du Spoon notamment, avoir voyagé en Australie et à Madère, le chef Rui Martins a pris son envol au Cam40, ce nouveau restaurant ouvert boulevard Arago, dans le 13e arrondissement de Paris, fin mai 2016. Avec son équipe, Rui aime s’appuyer sur sa maitrise technique pour concocter une cuisine contemporaine, inventive et pleine de saveurs. Il porte une grande attention à la perfection des cuissons et à la justesse des assaisonnements. Dans un cadre épuré avec ses azulejos en trompe-l’œil et son mobilier en bois de style scandinave, Le Cam40 vous accueille dans une ambiance zen où l’on se sent comme chez soi. Camille, la serveuse, ou l’un des cuisiniers seront aux petits soins pour vous raconter l’assemblage de vos assiettes. De plus, vous avez toutes les chances de rencontrer le chef en fin de repas pour un échange chaleureux. Un petit nombre de plats au menu, régulièrement renouvelés Vous pouvez choisir dans le menu une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 28 €, une entrée, un plat et un dessert pour 35 €. Avec un supplément modique, vous avez également accès aux suggestions du moment, qui font appel à des produits recherchés comme les cèpes ou les Saint-Jacques. Les 3 entrées, 3 plats et 3 desserts composant le menu sont renouvelés régulièrement pour de nouvelles découvertes. Pour attendre sereinement votre première assiette, un amuse-bouche vous est offert. Puis, en entrée, vous pourrez vous régaler, par exemple, d’un œuf presque parfait. Celui-ci est cuit avec sa coquille à 64 °C en vapeur pendant 48 minutes, pour garder le jaune onctueux en bouche. En ce moment, il est accompagné de millet, légumes d’antan, éclats de marrons et châtaignes. Le compressé de poireaux, copeaux de boutargue et sauce inspirée d’une ravigote est aussi très apprécié. Les poireaux sont cuits à l’anglaise, puis compressés sous vide pour un visuel surprenant. En plat, vous dégusterez notamment un thon mi-cuit sauce saté pêché en Méditerranée, accompagné d’un succulent wok de légumes ou un excellent onglet de bœuf provenant du Coq Saint-Honoré. Toujours servis avec des légumes préparés dans un jus maison à base de bouillon de poule. En dessert, vous vous ferez plaisir avec un cheesecake à l’orange ou une tarte fine aux pommes, sublimée par un caramel au beurre salé chaud et froid. Et une mignardise maison clôturera avec délice votre repas. Dans la carte des vins, composée par Yannick Richard, petits domaines et vins bio sont particulièrement à l’honneur. Tous les mois, deux vins étrangers sont à découvrir, comme le Coppola, un excellent Chardonnay californien. ...
Le Jules-Verne - Tour Eiffel, Le Chiberta, près des Champs-Élysées, l’Hostellerie du Chapeau Rouge, à Dijon, l’Auberge des Templiers,en Sologne : Richard Prouteau a une longue expérience en cuisine. Un savoir-faire acquis depuis 1988 lorsqu’il commença son apprentissage en cuisine. Dès son arrivée en 2010, il dévoile ses talents au restaurant L’Origan, en respectant les fondamentaux de la cuisine française, par le prisme des produits régionaux. La cuisine de ce chef créatif mais précis est reconnue pour sa maîtrise et l’envie de faire plaisir. En témoignent quelques-unes de ses spécialités comme le lièvre à la royale, farci au foie gras et aux truffes. La fourchette des menus se situe entre 29 et 88 €. L’Origan dispose également, bien entendu, d’une carte des vins renfermant des références prestigieuses de toutes les régions, avec une priorité sur les vins de Loire. Cette carte est agencée et alimentée par Benoît Lefort, chef sommelier, qui met en valeur les produits de qualité en travaillant avec des producteurs engagés. Des animations régulières autour du restaurant • Les soirées musicales (une fois par mois) le samedi, de mi-octobre à fin mars. Soirée en trois temps : cocktail servi dans la Rotonde, concert dans le grand salon Régence, dîner au restaurant L’Origan et dans le salon Coty. À partir de 19h30. 40 € (cocktail - concert) - 120 € (cocktail - concert - dîner). Voir calendrier 2016 ci-dessous. • Les cours de cuisine Des initiations culinaires présentées par Richard Prouteau en personne sont dispensées dans la cuisine de la Cité des Parfums et clôturées par un repas. Ces « ateliers gourmands » ont lieu tous les premiers samedis de chaque mois en fonction des grands thèmes gastronomiques mensuels définis sur l’année. De 9 h à 14 h. 75 € par personne, sauf le menu de Noël à 100 €. Le prix comprend : l’initiation culinaire, la dégustation des plats confectionnés et l’accord mets et vins. (Supplément de 25 € sur les ateliers « Noël» et « Foie gras»). Voir calendrier des cours de cuisine 2016 ci-dessous. • Les ateliers œnologiques Le sommelier Benoît Lefort vous transmettra les clés pour choisir votre vin, les gestes pour le déguster et les mots pour en parler. Les cours d’œnologie s’adressent à tous les amateurs de vin : initiation à la dégustation, réussir ses accords mets et vins, exploration de cépages..., et ont lieu un samedi par mois. De 10 h à 12 h. Voir calendrier des ateliers œnologiques 2016 ci-dessous. • Les brunchs Un dimanche par mois, la formule brunch vous ouvre les portes d’un buffet à volonté avec des produits de qualité dans un cadre exceptionnel. De 11h30 à 14 h. 43 € par personne (boissons incluses), - 50% pour les enfants de moins de 12 ans. Voir calendrier des brunchs 2016 ci-dessous. ...
Souplesse et adaptabilité pour maîtres-mots Structure de coaching à taille humaine, le cabinet Entreprises en Mouvement fait de sa petite taille un atout tout en souplesse et en adaptabilité. « L’offre que nous proposons à nos clients est véritablement ‘’sur-mesure’’ » explique Louis-Joseph de la Fouchardière, son fondateur. « Nous sommes, par exemple, capables de nous adapter en mobilisant rapidement des partenaires en nombre suffisant pour répondre efficacement aux attentes du client. Qu’il s’agisse de coaching individuel, de formation ou d’un accompagnement d’une équipe dirigeante dans le cadre d’une transformation d’entreprise. De plus, le fait que l’ensemble des intervenants soient issus du monde de l’entreprise contribue à rassurer nos clients. Ce vécu nous permet d’être en empathie avec les équipes managériales que nous avons à coacher, de leur proposer une large palette de prestations et de partager avec elles notre sens des réalités du monde de l’entreprise ». Faire sauter les verrous Qu’il s’agisse de comités de direction ou d’équipes opérationnelles, les interlocuteurs du cabinet peuvent compter sur son expertise pour les accompagner dans la transformation de leur entreprise, les aider à exploiter tout leur potentiel et repousser leurs limites. « Beaucoup de mes clients ont le sentiment d’avoir atteint un plafond d’efficacité. Et de ne pas pouvoir aller plus haut » explique-t-il. « Mon travail consiste alors à les aider à faire sauter le verrou qui bloque leur progression. Par le biais d’une écoute attentive, je leur permets de développer leur potentiel, de mobiliser leurs ressources et de découvrir - en eux-mêmes - d’autres ressources leur permettant d’apporter des réponses nouvelles à leurs problématiques ». Pour accompagner son client tout en prenant soin de ne pas se substituer à sa démarche, Louis-Joseph de la Fouchardière met en place une véritable « alliance » entre lui et la personne qu’il est chargé de coacher ou le dirigeant de l’équipe de direction dont il assure l'accompagnement. « Cela va bien au-delà de la confiance ou encore du respect mutuel » précise-t-il. « En établissant ce lien de confiance entre lui et moi, fondé sur un partage clair des objectifs du coaching et un échange régulier sur la progression du collectif, je m’assure que mon client s’autonomise et que mon accompagnement sera efficace. Toujours bienveillant mais jamais complaisant, je m’autorise parfois un petit ‘’pas de côté’’. Si la situation l’exige, injecter dans le processus de coaching une dose de confrontation bienveillante permet, en effet, au client de visualiser le blocage. Et, partant, d’apprendre à le dépasser ». Récemment, il a ainsi fait remarquer à un dirigeant qu’il serait heureux de continuer à faire des affaires avec lui mais qu’il préférait ne plus intervenir d’ici trois mois, cela dans le but de déclencher une prise de responsabilité. Au fur et à mesure des séances, le coaché va ainsi non pas vaincre ses peurs et ses appréhensions mais apprendre à composer avec elles, aboutissant ainsi à un mouvement plus robuste. Dans le cas d’un coaching d’équipe dirigeante, le collectif va devenir une ressource plutôt qu'un lieu où s’expriment les chapelles et les enjeux de pouvoir. ...
Fondée il y a 10 ans, la société Ballon Bleu Horizon est composée d’un pilote, Eric Tritz, et de son équipière, Colette. Elle utilise 2 montgolfières : des ballons de 3000 et 3700 m3 pouvant accueillir 4 passagers. La prestation dure une matinée et offre la sensation rare de quitter le plancher des vaches, d’y laisser tous ses tracas quotidiens, de se laisser porter par le vent et d’aller vers l’aventure. De plus, les participants découvrent toutes les coulisses d’un vol en ballon ! Une expérience aérienne unique Adaptation en temps réel, chaque vol est différent et constitue une expérience unique. Un peu d’aventure, puisque le champ d’atterrissage n’est déterminé par le pilote que quelques minutes avant l’atterrissage, variations de la vitesse et de la direction du vent obligent. D’une durée de 12 mois (extensible en fonction des disponibilités des passagers), chez Ballon Bleu Horizon le billet peut être cédé à un tiers. La tenue vestimentaire appropriée pour le vol en montgolfière est celle des activités de pleine nature. Il faut donc être bien chaussé pour éviter toute blessure. Par contre, inutile de s’habiller plus chaudement qu’au sol car la température est agréable dans la nacelle, grâce au bruleur ; de plus les passagers ne sentent pas le vent puisque le ballon se déplace à la même vitesse que l’air environnant. Les personnes sensibles au vertige n’ont rien à craindre. Le ballon n’étant pas relié au sol, cette sensation n’existe pas. A la fin du vol, un diplôme est remis aux heureux participants durant le toast traditionnel puis ils sont reconduits au terrain de décollage en véhicule 4X4. Une sécurité certifiée La sécurité est primordiale autant au sol que durant le vol. Toutes les précautions sont donc mises en œuvre pour assurer le bon déroulement de la prestation. Dans le cadre du Certificat de Transporteur Aérien, les méthodes de travail de Ballon Bleu Horion sont validées et auditées par la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile Sud. Les ballons et le pilote sont également soumis aux normes de sécurité et aux réglementations imposées par la Direction Générale de l’Aviation Civile. ...