logo-flash-matin
haecotia-a-touquet
21 personnes aiment
Le Touquet
HAEC OTIA
6,416.01 Km
6,416.01 Km
Demeure d’hôtes : un havre de sérénité pour vos réunions et séminaires
Le scoop
24 personnes aiment
Le Touquet-Paris-Plage
LE SCOOP
6,416.01 Km
6,416.01 Km
Le Scoop : une cuisine bistronomique qui fait toute la différence

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Vignobles de Saint-Tropez : témoin immémorial de l’excellence vinicole

Volupté, extase des sens et subtiles saveurs méditerranéennes se retrouvent dans chaque cuvée du terroir tropézien. Les vignes s’épanouissent sur une terre de gneiss métamorphique bénéficiant d’un ensoleillement idéal, et d’une légère brise marine conférant toute sa typicité au vin. Symbole de l’art de vivre à la tropézienne, cette cave figure parmi les plus grandes références dans le monde vinicole. Un terroir d’expression singulier Ce sont 180 hectares de vignobles perdus entre terre et mer, traités dans le respect de l’environnement, qui produisent un vin caractéristique rendant hommage à une terre bénie. Les particularités géologiques et climatologiques riches de ce terroir favorisent l’obtention de cuvées riches en saveurs, matures et complexes. « Ce vignoble au cœur du village de Saint-Tropez se veut [ainsi] être le fier représentant de l’identité tropézienne », nous confie Alain Guichet, directeur de la cave. Les vignobles de Saint-Tropez se font aujourd’hui les défenseurs zélés de cet héritage vinicole précieux. Chevalier Torpez : une ode au village Parmi les gammes emblématiques de la cave, la gamme provençale Chevalier Torpez fait fière figure d’ambassadrice de l’excellence vinicole tropézienne. Décliné en rosées, en domaines ou en bruts tradition, Chevalier Torpez est « un mélange d’histoire et de traditions », continue notre interlocuteur. En effet, en s’inspirant de l’histoire du chevalier Torpez, régisseur du temps de l’empereur romain Néron et élevé au rang de saint après être mort en martyr au nom de sa foi, l’origine de cette gamme ambassadrice est intimement liée à celle du village. Appréciez ainsi, lors de vos instants gourmands, les cuvées de cette gamme incluant le vin Château la Moutte, « produit dans un domaine ambassadeur de 4 hectares, dont le vignoble en coteaux, établi sur la pointe de Salin, fait face à la mer », reprend Alain.   ...

Découvrir l’habitation du poète Ronsard

« Mignonne, allons voir si la rose, Qui ce matin avoit desclose »… Des générations entières ont appris ce poème de Pierre Ronsard. Écrit en 1545, il évoque que la jeunesse passe comme les fleurs… Mais qui était donc ce « prince des poètes » ? Pour le savoir, direction La Possonnière, à Couture-sur-Loir, village situé à 50 km de Tours, son « Vendômois », souligne Ronsard dans ses poèmes. C’est là que Ronsard est né. C’est même là qu’il a passé une partie de sa jeunesse. Dans le manoir où Pierre Ronsard a grandi, le visiteur pourra s’immerger dans cette demeure familiale, un ancien fief troglodytique dont il subsiste encore les caves et le pigeonnier. La Possonnière s’est construite au rythme de l’ascension sociale de la famille du poète. Alors qu’ils étaient à l’origine gardes forestiers des comtes de Vendôme, le manoir gothique s’érige lorsque les Ronsard trouvent leur place à la cour du roi Louis XII.  Intimité, charme et Histoire Le charme indéniable de la Possonnière émane très certainement des ajouts datant de la Renaissance. Le père de Pierre de Ronsard, Loys, participe aux guerres d’Italie et, comme son roi François Ier, il est conquis par l’art transalpin. Visiter le manoir de La Possonnière, c’est donc un peu entrer dans l’intime de la famille et du poète, à travers ce lieu chargé d’Histoire. Ici, la poésie ronsardienne est vue par le prisme de son rapport au pays vendômois, à commencer par la forêt de Gastines. Si le thème de la nature est indissociable de Pierre Ronsard, on connait un peu moins un autre de ses thèmes de prédilection : le vin. Depuis 2015, le manoir de la Possonnière est labellisé « Vignobles et découvertes », qui témoigne de la qualité de l’accueil touristique autour du vin dans cette vallée viticole du Loir.  Le parc floral du domaine complète agréablement le thème à la belle saison, avec des jardins de création contemporaine où se mêlent rosiers anciens et rosiers modernes ainsi qu’un potager fleuri. « Mignonne, allons voir si la rose… »   ...

Restaurant Logis de la Cadène : l’esprit étoilé de Saint-Emilion

Au cœur de Saint Emilion, place du Marché au Bois, une jolie bâtisse abrite Le Logis de la Cadène. Pour les familles du village et des environs, c’est une véritable institution qui a trouvé un nouveau souffle depuis que Stéphanie de Boüard-Rivoal a décidé d’en faire l’acquisition en 2013 au nom d’Angélus, la propriété familiale qu’elle dirige. Logis de la Cadène : une adresse historique Le choix de ce lieu, fondé en 1848, ne doit rien au hasard. Lorsque Stéphanie de Boüard-Rivoal l’évoque c’est en convoquant ses souvenirs d’enfance. Ici, elle venait en famille déguster la viande cuite aux sarments, dans la plus pure tradition locale. De cette histoire, Le Logis de la Cadène a conservé la convivialité et l’ancrage dans le terroir mais, depuis 2013, l’établissement a aussi considérablement évolué pour devenir une adresse prisée des gourmets et des gourmands, le prolongement idéal d’une visite dans les vignobles voisins. Le Logis de la Cadène a été entièrement rénové pour qu’on s’y sente comme dans une maison de famille. Le décor épuré à l'esprit « rustique-chic », dans les deux salles à manger, le petit salon de lecture et les cinq chambres toutes uniques et très cosy où dominent les matières nobles et brutes, crée une atmosphère à la fois chaleureuse et élégante propice à l’éveil de tous les sens. Une cuisine inventive et raffinée En coulisses, le jeune chef Alexandre Baumard,disciple de Paul Bocuse qui poursuivit ses « classes » auprès d’autres grands noms de la gastronomie tels Christophe Bacquié à l’Hôtel du Castellet (***) ou encore Laurent Saudeau au Manoir de la Boulaie (**), allie une grande maîtrise technique à un style personnel déjà bien affirmé. Son credo : la créativité au service des produits du terroir et de la tradition culinaire française qu’il prend plaisir à revisiter et à réinterpréter, selon les codes actuels mais toujours avec un infini respect pour les fondamentaux. Une approche et un engagement passionné très vite salués par une première étoile au Michelin et une clientèle d’habitués et de voyageurs du monde entier, propulsent ce jeune talent parmi les grands. Récemment, Alexandre Baumard a décidé d’innover en ne proposant plus de carte mais seulement quatre menus. Une manière sans doute de pousser encore plus loin son goût pour la précision et une forme d'ajouter de la simplicité dans la sophistication. Le Menu du Marché, le Menu Découverte de Terroirs et le Menu Inspirations proposent, crescendo, un voyage dans les propositions du Chef et la dégustation de vins issus de la cave du restaurant, riche de plus de mille références. Dans le Menu Signatures, l’un des plats emblématiques de l’Auberge du Pont de Collonges -le célèbre Rouget Barbet en écailles de pommes de terre croustillantes du mentor et maître Paul Bocuse- côtoie deux créations d’Alexandre Baumard : Les truffes « Melanosporum » de Guillaume Ge en risotto lié au parmesan et Le tourteau de nos côtes, en deux services, quinoa à l’huile d’agrumes, légères touches de combawa, sorbet carottes gingembre, caviar d’aquitaine « Perlita » de la Maison l’Esturgeonnière dans un dialogue original où la tradition et la modernité se conjuguent au présent. Avec ce choix de menus, Alexandre Baumard, chef enthousiaste et exigeant, entend partager encore davantage son amour des beaux produits dénichés auprès de producteurs locaux et son plaisir à les travailler en déclinant textures et cuissons. C’est toujours ultra précis, parfaitement maîtrisé et immanquablement délicieux ! La description ne serait pas complète sans évoquer le jeune et talentueux chef-pâtissier Damien Amilien, qui fait fondre de plaisir tous les amateurs de douceurs. Le duo harmonieux que forment les deux jeunes Chefs trouve dans Le Logis de la Cadène l’écrin idéal pour exprimer sa créativité et déployer son talent. Entre ces murs, l&rsquo...

La Navicelle : un domaine viticole hors des sentiers battus

Situé entre plage et montagne, dans un paisible village entre Hyères et Toulon, le vignoble de la Navicelle longe les côtes méditerranéennes et bénéficie de conditions géographiques sans pareil lui permettant de produire d’excellents vins d’Appellation d’origine protégée Côtes-de-Provence. Depuis 2006, le domaine est sous la direction de Jannick Utard, un vigneron d’origine alsacienne aussi passionné que chevronné, dont la principale ambition est de combiner l’agriculture biodynamique à la viticulture traditionnelle. Un terroir aux cépages diversifiés Le domaine de la Navicelle s’étend actuellement sur 21 hectares de vigne, et limite ses rendements. Avec son climat méditerranéen, à la fois clément et tempéré ainsi que son sol composé essentiellement de schiste, il convient parfaitement à la culture de différents cépages. L’encépagement regroupe une dizaine de variétés de raisins, notamment « du blanc (rolle, muscat, clairette, sémillon), du rosé (tibouren, grenache, cinsault) et du rouge (syrah, grenache, cabernet, sauvignon, carignan, mourvèdre) », cite Franck Ruiz, responsable de la commercialisation. Labellisé bio et bientôt en biodynamie... Délicates et plaisantes, les cuvées de la marque sont élaborées avec talent et rigueur, et sont labellisées bio depuis 2014. Mais l’enseigne ne compte pas en rester là puisque « la conversion de l’ensemble de la production à la biodynamie devrait être appliquée l’année prochaine pour obtenir le label Demeter », explique notre interlocuteur. À côté des vins « Esprit » se démarquent les têtes de cuvées « Colle Noire » qui tirent leur nom de la colline éponyme à proximité du vignoble. Se déclinant en rouge et en blanc, elles constituent la signature de la Navicelle et s’invitent sur les grandes tables françaises et bientôt sur celles d'autres pays comme l’Angleterre ou les Etats Unis. Contrairement aux rouges, les blancs bénéficient d’un passage en fûts d’acacia et fûts de chêne pendant huit mois, « ce qui les rend originaux et gourmands », souligne Franck Ruiz. Une escapade entre détente et découverte Outre la vitiviniculture, le domaine de la Navicelle est également un lieu de détente où l’environnement est aussi paisible que dépaysant. À peine cinq minutes de la plage, il propose plusieurs gîtes spacieux et luxueux au décor moderne et provençal avec une vue immédiate sur la mer. En famille ou entre amis, les visiteurs peuvent s’adonner à différentes activités telles que randonnées pédestres, pétanque, tennis, golf, balades sous-marines, piscine ainsi que dégustation et visite du domaine et de la cave entre autres. ...

Le MuPop, un musée intergénérationnel à Montluçon

Véritable ode à la musique populaire, le MuPop nous fait redécouvrir cette musique que l’on écoute tous les jours. Lieu incontournable de l'Allier, le Musée de la musique populaire emporte le visiteur à la découverte de la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Le MuPop : la musique si elle nous était contée ! La cité médiévale de Montluçon accueille l’un des endroits les plus emblématiques de la région de l’Allier. Construit par l’architecte Philippe Tixier en lieu et place des anciens hôtels particuliers Méchain et Charnisay, le Musée de la Musique Populaire ou MuPop plonge le visiteur au cœur de l’univers de la musique. Dans une architecture entre modernité et renaissance, les concepteurs du musée ont voulu croiser les époques. L’hôtel Chamisay a ainsi été restauré dans le respect de son intégrité patrimoniale. Quant à l’hôtel Méchain, victime du temps, a lui pris un tournant plus contemporain. Pour accueillir le visiteur, cela commence avec un parcours musical immersif. Muni d’un casque et d’un capteur, le visiteur conçoit lui-même sa visite en pointant son capteur vers les 150 points d’écoute répartis à travers le musée. 8 heures d’instruments en tout genre qui permettent de redécouvrir la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Baptisé SEM ou système d’écoute mobile individuel, on passe des musiques traditionnelles d’il y a 400 ans à la fanfare, suivi du bal populaire avant de partir à la rencontre de la musique électrique, Elvis, Johnny et jusqu’au Hard-Rock et au Métal. Afin de rendre l’expérience toujours plus enrichissante, le MuPop propose également un parcours instrumental enrichi et un parcours numérique interactif. Dans ce dernier, cinq écrans tactiles invitent le visiteur à tester ses connaissances sur les instruments phares de la musique populaire. De la vielle à nos jours ! Le MuPop, c’est d’abord l’histoire d’un musée vieux de plus de 50 ans. Tout commence en 1959, lorsque le musée de Montluçon dans l’enceinte du château des Ducs de Bourbon, était alors dédié à l’histoire et l’ethnologie locale. Conçu par Jean Favier, le musée conservait en son sein des vielles. Instruments de musique atypique, les vielles étaient selon Jean Favier spécifiques à la région en matière de musique locale. Dans les années qui suivirent, face à une collection de plus en plus croissante le musée de Monluçon devient le Musée des vielles. Dans les années 90, la collection s’étend d’abord aux cornemuses de Jean-Michel Renard, puis viennent les rejoindre en 1997, des guitares électriques de toutes sortes. Au fil des années, d’expositions en expositions, le MuPop devient le véritable porte étendard de la musique populaire. Mais le Mupop, ce ne sont pas que ses instruments. C’est aussi un endroit où l’on peut voir comment à évoluer la musique au fil des années. Des posters, des instruments, des vidéos sont aussi présents dans chaque salle. Des machines électroniques comme le jukebox et le scopitone sont aussi exposées. Symboles de la musique rock, on se laisse emporter dans une autre époque. A la recherche d’un nouveau monde, on y retrouve aussi un local de répétition d’un groupe punk de la région parisienne. A l’intérieur tout y est du synthétiseur en passant par le violon ou encore la batterie. On y retrouve même des mégots de cigarette et des cannettes de bière ! Pourquoi visiter le MuPop Derrière son aspect formel, le MuPop est un véritable lieu d’échange. On y incite les visiteurs à expérimenter, à toucher. On peut tester les instruments de musique comme les guitares avec des amplis. On vit l’exposition. Le musée réserve toujours de nouvelles expositions à découvrir : sur différents thèmes comme les costumes des artistes, leurs albums. Le musée est aussi un lieu d’échange où on peut se faire de nouveaux amis. On peut y rencontrer des amateurs et des passionnés de musique et partager ses expériences. Les amateurs de danse sont aussi les bienve...

Conduire vers l’excellence

Créé en 1910, le Collège Alpin Beau Soleil compte parmi les plus anciens établissements d’enseignement privés de Suisse. Depuis sa création, le collège a été dirigé par trois générations de la famille de Meyer jusqu’en 2010. L’établissement offre une éducation internationale en internat avec une capacité d’accueil de 250 étudiants. Il reçoit des élèves de 11 à 18 ans issus de plus 50 nationalités différentes. La philosophie de la maison est bâtie sur quatre axes essentiels : responsabilité, respect, détermination et ambition. Pour insuffler un nouvel élan à son développement, le collège adhère en 2011 au groupe Nord Anglia Education, une organisation  regroupant 55 écoles de haute qualité à travers le monde. Ce partenariat lui permet de maintenir une atmosphère familiale tout en tirant profit des opportunités uniques qu’apporte un réseau éducatif de portée mondiale. Un collège, deux cursus L’établissement propose deux cursus diffé-rents comprenant le « french curriculum » et l’« international curriculum ». Au sein d’un environne-ment bilingue, la section française accueille les classes de la 3eme à la terminale et prépare les étudiants aux examens officiels tels que le diplôme national du brevet et le baccalauréat français. Afin de garantir la réussite scolaire, chaque élève bénéficie d’un suivi personnalisé dispensé sous forme d’un tutorat. En effet, un tuteur attitré veille à ce que l’étudiant assure un progrès constant. « Avec un ratio de quatre étudiants par enseignant, nous avons les moyens de proposer une éducation adaptée à chaque élève », explique Kevin Foyle, Directeur de l’établissement. Quant à la section internationale, elle inclut les classes qui vont du 6th grade (sixième) au 12th grade (terminale). Issue des meilleurs systèmes d’éducation, cette section prépare notamment les élèves à l'IGCSE (International General Certificate of Secondary Education) et l’IB (International Baccalaureate). À travers ses deux cursus, Beau Soleil peut se vanter d’obtenir chaque année des résultats académiques exceptionnels. À titre d’exemple, pour les résultats au baccalauréat international (2012-2016), le collège affiche 100 % de réussite. Un succès qui n’est pas dû au hasard et s’explique par de nombreux efforts axés à tous les niveaux. Sur le plan pédagogique, l’établissement dispose d’une équipe d’éducateurs passionnés qui concilie parfaitement expériences et approches innovantes. Afin de permettre un soutien personnalisé, l’institution privilégie des classes à effectif réduit. En ce qui concerne la vie en internat, tout est fait pour que les élèves se sentent comme chez eux ! Les « Boarding houses » offrent non seulement un espace propice à l’épanouissement personnel mais donnent aussi lieu à de nouvelles rencontres. Entre les traditionnels barbecues, les après-midi en cuisine ou les activités du week-end, les occasions ne manquent pas de se faire des amis. Des efforts ont été entrepris pour procurer un environnement chaleureux et accueillant. Une expérience unique dans un environnement d’exception Installé à 1 259 mètres d’altitude dans les Préalpes vaudoises, le Collège Alpin Beau Soleil profite d’un emplacement idéal. Le campus a récemment ouvert une extension du campus qui lui ont permis de doubler de volume sans pour autant augmenter l’effectif des élèves. Ces bâtiments intègrent des installations modernes tout en offrant une magnifique vue sur les Alpes suisses. C’est dans ce cadre privilégié que les élèves auront l’occasion de vivre des expériences inoubliables. À commencer par les voyages et découvertes en tout genre. « Chaque année, les élèves doivent faire un voyage, qui peut être culturel, d’étude ou dédié aux...

Le Bouchon Gourmand :
expérience culinaire à Narbonne

Déjà de l’extérieur, Le Bouchon Gourmand attire irrémédiablement l’attention avec sa belle terrasse ombragée par des platanes et son mobilier de couleur ardoise. L’intérieur, parfaitement assorti avec la terrasse, propose une ambiance à la fois claire et sombre due à ses murs en gris parsemés de « touches de rouge partout pour donner une chaleur à l’ensemble », décrit Cédric Dupuis, le maitre des lieux. Le tout est agrémenté par une musique de jazz en sourdine, qui invite au calme et à la volupté. La simplicité du « fait maison » Extrêmement attentif sur le concept du circuit court, Cédric Dupuis dresse la majorité de ses plats à partir de produits issus de la région. Les poissons sont, par exemple, achetés à deux pas du restaurant, aux Halles. Côté qualité et fraicheur, le chef se porte totalement garant de ses produits : « Je préfère payer un peu plus cher pour avoir une qualité meilleure. » Il assure ainsi à ses clients une cuisine absolument faite maison, saine, copieuse et toujours bien présentée. Le Bouchon Gourmand propose au choix une carte et plusieurs formules. Très variée, la carte propose des plats à des prix réellement abordables. Mentions spéciales au double burger aux trois fromages, très prisé des ados, à l’épaule de veau cuisson basse température, à la côte de bœuf de race bovine, aux seiches à la persillade à la plancha, sans oublier le duo tartare de Saint-Jacques : des plats savoureux qui font le bonheur des habitués. Les différentes formules sont, quant à elles, à destination d’un large public. On y trouve la formule végétarienne mais aussi la formule express, le midi, pour les travailleurs un peu pressés qui n’ont pas beaucoup de temps pour manger : sur un même plateau sont rassemblés l’entrée, le plat et le dessert, « afin que les clients ne soient pas tributaires du service ». Une cave à vins à 99 % régionale Pour accompagner ses plats, Le Bouchon Gourmand dispose d’une carte des vins exceptionnelle, composée uniquement de vins issus de châteaux et domaines de la région, du Minervois, de la Clape et des Corbières. « Nous avons la réputation d’avoir une très bonne cave à vins, qui correspond à tous les goûts », se félicite Cédric Dupuis. Toujours disponible, celui-ci ne se lasse jamais pour prêter conseil à ses convives. « En général, c’est moi qui oriente les clients, soit par rapport à ce qu’ils mangent, soit par rapport à leurs goûts personnels », note-t-il. À titre d’exemple, Cédric Dupuis propose son confit de canard avec un 100 % Syrah du Château de Parazza, qu’il décrit comme « un mariage extraordinaire ».  ...

Restaurant Le Jardin Gourmand :
une cuisine de fusion toujours un peu différente chaque fois

Avec une carte qui change tous les trois mois, Le Jardin Gourmand, peut s’enorgueillir de travailler majoritairement des produits locaux, où le surgelé n’a nullement sa place. Soucieux des goûts et préférences de la clientèle, le restaurant propose une carte du jour tous les midis, avec une option de quatre entrées, quatre plats et quatre desserts, ce qui permet de varier les plaisirs des habitués et des clients de passage. Le Jardin Gourmand, c’est aussi un restaurant pour les  végétariens, les végétaliens et les intolérants au gluten, mais aussi un excellent service traiteur. Les suggestions du chef En entrée, une délicieuse salade de langoustines reçues fraîches, qui vont être décortiquées et équeutées avant d’être poêlées aux échalotes, ail et persil, et servies avec un petit mesclun de salade de mâche et un tout petit peu de frisée d’hiver, avec, à côté, un petit jardinet de légumes sur lequel sont piqués des bâtonnets de betterave pour apporter un peu de croquant et de fraîcheur à l’ensemble. Pour continuer, un tajine de souris d’agneau au kaki confit et coriandre avec un couscous de fruits secs. La souris d’agneau est saisie au four à 180 ° pendant une petite demi-heure, avant d’être cuite pendant 1 h 20 à 90 °. Une fois qu’il a récupéré tout le jus de cuisson, le chef élabore la sauce au miel et à la coriandre avec du ras el hanout jaune. Quatre-épices, ras el hanout rouge, miel et coriandre sont rajoutés à la toute dernière minute. Les souris d’agneau vont ensuite servir de base à du couscous légèrement safrané à la brunoise de pruneaux, figues et abricots. Et pour terminer ce voyage de saveurs, une terrine de chocolat, une crème brûlée au carambar, un millefeuille mandarine et spéculos ou encore un clafoutis de mangue au citron vert. ...

Destination Saône & Loire : promouvoir l’attractivité touristique de la Saône-et-Loire

En Saône-et-Loire, environ 3 000 acteurs touristiques incluant sites touristiques, hébergeurs, activités et équipements de loisirs bénéficient d’une promotion touristique relayée grâce aux supports promotionnels de l’agence. Consciente à la fois des richesses du patrimoine naturel et du paysage viticole de la région, cette dernière a décidé de concentrer ses efforts sur le développement de deux filières porteuses que sont l’oenotourisme et le vélotourisme. Un vignoble riche en diversité Le vignoble de Saône-et-Loire est le plus méridional de Bourgogne. Il s’étend sur une large bande de 50 km de longueur et 50 km de largeur. « Nous avons la chance d’être le plus grand vignoble de Bourgogne-Franche-Comté en termes de superficie », précise Arnaud Durix, président de Destination Saône & Loire. Mais le véritable atout de ce territoire réside essentiellement dans sa diversité. En effet, il se compose de 5 vignobles : les Maranges Côte de Beaune (inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2015), le Couchois, la Côte Chalonnaise, le Mâconnais et le Beaujolais. En tout, il abrite une trentaine d’AOC, comptant des appellations prestigieuses comme Maranges, Pouilly-Fuissé, Givry, Moulin-à-Vent et Côtes du Couchois. Côté production, 45 % des vins d’appellation de Bourgogne sont issus de Saône-et-Loire. Des vins de qualité exceptionnelle à l’image des Mâcon blancs et les vins rouges de la Côte Chalonnaise. Dans leur jeunesse, les premiers exhalent des parfums de fleurs du printemps tels que l’aubépine ou l’accacia. En prenant de l’âge, ils dévoilent des arômes de sous-bois, de noisette, de miel et de pain grillé. Quant aux rouges de la Côte Chalonnaise, ceux-ci sont souvent profonds, au fruité croquant, évoluant vers des notes d’épices douces. « La force de nos vins vient de leurs richesses aromatiques », fait valoir Arnaud Durix. Un haut lieu de l’œnotourisme La Saône-et-Loire possède de nombreux atouts en matière d’œnotourisme. La région abrite notamment de sites intéressants tels que le Hameau Dubœuf et le Château de Chamirey, véritables fleurons de l’œnotourisme local. « Ce sont des sites importants en termes de fréquentation touristique », nous indique-t-on. Premier œnoparc de la vigne et du vin créé en Europe, le Hameau Dubœuf, situé à Romanèche-Thorins, propose aux visiteurs un voyage inédit dans l’univers de la vigne et du vin. D’une manière ludique, les secrets des vignobles, leurs origines ainsi que les différentes techniques sont dévoilés au public. Une collection impressionnante d’objets rares, des spectacles d’animation et des attractions insolites (cinéma dynamique, cinéma en 3D…) feront le bonheur des petits et des grands. Quant aux œnophiles, ceux-ci ne rateront sous aucun prétexte les séances de dégustations. Deuxième pépite du département, le Château de Chamirey a la particularité d’offrir des activités variées. Il dispose d’un domaine viticole (visites suivies de dégustations), d’espaces de séminaires pour les entreprises et d’une chambre d’hôtes, le tout en plein cœur de la Côte Chalonnaise. Sans oublier également les balades organisées dans les vignes. Ces deux sites, labellisés Vignobles & Découvertes, permettent d’apprécier les potentialités du département d’un point de vue œnotouristique. Des conditions d’accueil optimales En choisissant la Saône-et-Loire pour destination de voyages, les touristes sont assurés d’être accueillis dans des conditions optimales. Grâce à un important vivier de structures labellisées Vignobles & Découvertes, les visiteurs profitent d’une offre touristique complète qui leur permet de faciliter l’organisation de leur séjour et de les orienter sur des prestations de qualité. « Notre ambition est de valoriser les professionnels labellisés Vignobles & Découvertes par le biais d’actions d’animation et de promotion menées auprès des touristes », souligne Arnaud Dur...

Perigord.com : un portail de référence pour le tourisme en Dordogne-Périgord

Périgord peut être arboré sous quatre angles : par le nord qui emprunte son nom de Périgord Vert aux forêts de chênes et des châtaigniers décorant cette région. Un peu plus à l’ouest, le paysage verdoyant laisse place aux plateaux calcaires et aux architectures anciennes datant de l’époque romane et gothique. Le Périgord Noir, lui, situé dans le Sud-Est, se distingue par ses sites préhistoriques et ses authentiques villages médiévaux. Enfin, Bergerac et ses champs de vignes ont inspiré l’appellation Périgord Pourpre pour un rappel à la richesse du terroir. Une destination à multiples facettes Il faudra longer plus de 500 kilomètres au départ de Paris pour atteindre cette terre mythique qui abrite secrètement une partie de l’histoire de la France. « Connue sous le nom de département de mille et un châteaux, la Dordogne était un emplacement stratégique fervemment disputé par le royaume de France et d’Angleterre lors de la guerre de Cent Ans », nous souffle Stéphane, le responsable de la plate-forme. Ce qui explique la belle collection de châteaux fortifiés, de châteaux Renaissance, de manoirs et de maisons fortes qui s’imposent majestueusement sur les sommets et vallées de cette région. Le château de Biron, classé monument historique ou encore le château médiéval de Castelnaud, le musée de la Guerre au Moyen Âge sont, entre autres, les témoins du passé historique du Périgord. Mais cette destination nous ramène encore plus loin, précisément à 400 000 ans plus tôt à travers ses monuments préhistoriques. La formation géologique de la région justifie la concentration de nombreux vestiges, grottes ornées, peintes ou gravées, gisements et sites troglodytiques, notamment dans la vallée de la Vézère. Parmi eux, le Roque Saint-Christophe, un site qui impressionne par sa représentation authentique d’une habitation troglodytique. Un exemple qui illustre parfaitement la richesse archéologique de la Dordogne, le « berceau de l’humanité ». Périgord est aussi une terre de bien-être où la nature semble trouver un parfait équilibre avec l’homme. Chacun peut savourer un moment de douceur et d’évasion lors d’une petite promenade dans les vallées ou d’un camping au cœur de la forêt. « Nous avons également beaucoup de loisirs autour de la rivière, comme la baignade ou le canoë », souligne notre interlocuteur. En prime, la cuisine du Sud-ouest qui met à l’honneur les produits du terroir (la truffe, le magret et le foie gras, les noix du Périgord, les vins de Bergerac, etc.) va procurer une touche à cette expérience déjà si intense. Un site pour répertorier les incontournables  de la région Perigord.com, le tout premier site portail du tourisme dans la région, s’attribue comme mission de partager et de promouvoir cette destination. En effet, son premier modèle en tant qu’hébergeurs de prestataires de tourisme en Dordogne date de 1998. Aujourd’hui, le site arbore un design sobre et étudié de façon à offrir le plus de contenus possible aux internautes. Ces derniers peuvent parcourir facilement  les rubriques visites, loisirs, hébergements, restaurants, produits locaux et infos pratiques pour personnaliser à souhait leur séjour en Dordogne. Le site mise sur une stratégie de proximité et son éthique d’échange équitable pour se distinguer de ses concurrents. « Nous mettons en relation directe les offres et les demandes, sans frais ni commission, pour que les internautes puissent payer au meilleur tarif et que les prestataires soient rémunérés au juste prix », termine-t-il. ...

Château de Briat : des armagnacs authentiques

Le château de Briat est un ancien relais de chasse du roi Henri IV, construit en 1540. Depuis 1864, il appartient à la famille Pichon Longueville. Transmis par les femmes, c’est aujourd’hui la 5e génération qui exploite le domaine en la personne de Stéphane de Luze. Sur les 50 hectares du domaine, huit sont dédiés à la production d’armagnac. Y sont présents trois types de cépages : le Baco, le Colombard et la Folle-Blanche. Un savoir-faire traditionnel La vinification est réalisée cépage par cépage, dans des cuves en ciment. La présence de champignons sur les barriques participe à l’étape de fermentation. Dès l’année prochaine, des cuves en inox prendront place également dans le chai, pour un meilleur contrôle du degré de fermentation. Après distillation, l’armagnac est mis en barriques, où il va vieillir. Le taux d’alcool va diminuer, tout en libérant les arômes.   Environ 10 500 bouteilles sont produites chaque année. 50 % des ventes sont destinées à l’international (États-Unis, Russie et Chine). Des armagnacs authentiques La Folle-Blanche donne des armagnacs au goût floral, végétal. Avec le Baco, on obtient des armagnacs au goût plus confit, avec des notes de chocolat. Quant au Colombard, il offre des armagnacs plus fruités. Parmi tous les armagnacs élaborés par le château de Briat, vous trouverez des armagnacs millésimés pur cépage âgés de plus de 20 ans, des hors d’âge de plus de 10 ans, et également des XO de 6 ans. Tout comme les small batch de whisky, le château de Briat commercialise un brut de fût, où chaque bouteille est estampillée avec le numéro de barrique, le nombre de bouteilles et la date de mise en bouteille. Son Spiritueux N° 18 Armagnac a reçu la médaille d’or au VIe Concours des meilleurs vins et spiritueux français en Asie en 2016. Visite Vous pouvez visiter le chai du lundi au vendredi. La visite est suivie d’une séance de dégustation. ...

Dans l’intimité de l’impressionnisme au Château d’Auvers-sur-Oise

Le Château d’Auvers remet l’impressionnisme sur un piédestal, mais quel piédestal ! Une scénographie puisant intelligemment dans les ressources de la technologie, une augmentation manifeste de la réalité des œuvres, tout participe à faire de ce nouveau parcours une expérience autrement plus immersive. Plus de sensations, plus d’émotions. Rendez-vous pour une vraie communion avec Cézanne, Pissarro et consorts. Instant d’immersion dans un vrai cadre de recueillement Le Château d’Auvers était un cadre tout indiqué pour abriter une scénographie de la trempe de « Vision impressionniste ». Ayant vu le jour au temps de Marie de Médicis, l’endroit a gardé une forte empreinte de ses inspirations italiennes, même s’il a ultérieurement fait l’objet de remaniements « à la française ». En témoigne le riche contraste, sur un parc de huit hectares, de ses jardins tantôt français, tantôt en terrasses. Inscrit à la liste supplémentaire des monuments historiques depuis 1993, le château n’est pas seulement un patrimoine architectural. Pendant plus de deux décennies, il s’est investi de la mission de transmission de l’héritage artistique impressionniste. Prenant parti des avancées technologiques, le parcours de relais autorise une véritable plongée dans les exemplaires de lithographies et de peintures exposées. L’héritage transmis par le courant aux visions qui lui ont succédé est également mis en exergue dans le choix d’œuvres données à voir. ...

Parc Naturel de Martinique (PNM) : acteur de la préservation et de la valorisation des patrimoines martiniquais

Baignée dans la mer des Caraïbes, la Martinique est un véritable joyau géologique et naturel. Surnommée « l’île aux fleurs », elle dispose d’un patrimoine faunistique et floristique unique au monde. Le premier parc naturel dans une île dotée de climat tropical Le Parc Naturel de Martinique (PNM) permet notamment de découvrir toute l’étendue de la richesse à la fois naturelle et culturelle de l’île. Créé en 1976, le PNM répond à la volonté d’allier développement économique et préservation du patrimoine. Actuellement, le parc s’étend sur environ 63 000 ha et couvre les 2/3 de l’île. Il compte quatre sites et trois réserves naturelles qui abritent une biodiversité remarquable. La découverte commence par le domaine d’Émeraude. Situé dans la commune du Morne-Rouge, ce site d’exception a été conçu par le parc. C’est l’endroit idéal pour observer une nature intacte et encore sauvage. À travers 4 km de sentiers de promenade, les visiteurs évoluent au cœur d’une forêt tropicale abritant plus d’une centaine d’espèces indigènes. Dans ce cadre naturel de rêve, les plus grands tout comme les plus petits ont l’opportunité de vivre une véritable expérience des sens. Un pavillon d’exploration installé à l’intérieur du site permet aux visiteurs d’aller à la rencontre de l’histoire naturelle de la Martinique. L’essentiel du paysage de l’île (la flore, les sols, la mangrove…) y est présenté de manière ludique et pédagogique. À travers un espace interactif, cette présentation s’accompagne de proverbes, de citations et d'autres charmantes poésies régionales. Ensuite, la découverte culturelle peut débuter par le moulin de Val d’Or situé à Sainte-Anne. Construit au XVIIe siècle, il s’agit de l’unique moulin à bête en état de fonctionnement dans toute la Caraïbe. Ce site classé « monument historique » rappelle le passé douloureux du sud de la Martinique à l’époque de l’esclavagisme. Les visiteurs enchaînent leur exploration dans la commune de Trinité avec le château Dubuc (monument historique) qui abrite une ancienne habitation sucrière et caféière du XVIIIe siècle. Depuis 2004, le PNM a pris en main la restauration des ruines et assure aujourd’hui la gestion du site. Un petit musée permet aux visiteurs de se faire une idée sur l’histoire du château et de ses occupants. En se promenant, ils découvrent quelques vestiges tels que les chambres fortes, le four à chaux, les citernes ou encore la case à eau. Enfin, la visite s’achève avec le relais du parc à Saint-Pierre. Ce dernier se définit avant tout comme un espace d’information et de valorisation des patrimoines. Sa boutique met en avant de nombreux produits artisanaux issus des savoir-faire locaux. Des randonnées et des visites commentées de la ville de Saint-Pierre peuvent également être organisées sur place. Des réserves naturelles uniques Le PNM dispose de trois réserves naturelles d’exception. À commencer par la réserve de la Caravelle qui est établie sur la presqu’île de la Caravelle. S’étendant sur une superficie de 388 ha, elle se distingue par la variété de ses paysages et une multitude d’habitats naturels abritant une riche biodiversité. Le patrimoine floristique enregistre plus de 150 espèces végétales typiques des Petites Antilles. Au niveau de la faune, la réserve accueille de nombreux oiseaux dont deux sont endémiques : la gorge blanche (Ramphocinclus brachyurus) et le carouge (Ictérus bonana). L’exploration se poursuit ensuite dans la réserve naturelle des îlets de Saint-Anne située à la pointe sud de l’île. Elle s’étend sur 5,7 ha et se compose de quatre îlets : Hardy, Percé, Burgaux et Poirier. Ces îlets ont la particularité d’accueillir une espèce végétale rare et endémique des Petites Antilles : l’« Euphorbia balbisi ». La réserve comprend aussi une importante zone de reproduction d’oiseaux marins avec cinq...

IMTC : se former à la médecine traditionnelle chinoise

Une médecine multimillénaire Au départ, il y a l’énergie, c’est la base immuable que la médecine chinoise met en relation avec l’univers. Cette énergie reste la même sous toutes ses formes. À partir de là, la médecine chinoise a suggéré son concept qui veut que cette énergie ait deux aspects : le yin et le yang. Dans le schéma humain, le yin est l’aspect lourd et matériel, qui compose le corps. Tout ce qui l‘anime est représenté par le yang. « Les théories de la médecine chinoise sont basées sur ce déséquilibre fondamental entre le yin et le yang dans un corps humain. Le but de sa pratique est de découvrir et de changer ce déséquilibre, en fonction des organes, des entrailles, des tissus corporels et de l’état émotionnel et psychologique des individus », explique Jean Massé, professeur à l’IMTC. Pour soigner les maux, la médecine chinoise utilise des outils thérapeutiques comme l’acupuncture, le tuina (la technique chinoise traditionnelle de massage), l’ostéopathie chinoise et la pharmacopée chinoise. La tradition chinoise a aussi classé cinq éléments (le bois, le feu, l’eau, le métal et la terre) qui regroupent selon cette tradition la plupart des catégories que l’on trouve dans l’univers. Ils sont associés chacun à différentes parties du corps humain. Par exemple, dans la loge du Feu, on mettra le cœur et l’intestin grêle, dans la loge de l’Eau, on trouvera le rein et la vessie. Une des particularités de la médecine traditionnelle chinoise est de mettre en lien tous ces éléments. Ces connaissances millénaires sont utilisées dans l’établissement des diagnostics et ont été enrichies par les grands médecins qui ont jalonné l’histoire de cette pratique. Une formation en cinq ans L’Institut traditionnel de médecine chinoise existe maintenant depuis plus de trente-cinq ans. L’école a démarré dans les années 80, à l’initiative René Vinai, père du directeur actuel de l’établissement, en faisant l'une des premières structures d’enseignement de cette pratique en France. Depuis ses débuts, les élèves de l’école font des voyages pour se confronter à la réalité de la pratique dans les hôpitaux chinois. Cette étroite collaboration a été renforcée en 2016 quand l’école a resigné, après audit de l'établissement et des contenus des cours, des accords de coopération avec l’Université d’enseignement de médecine traditionnelle chinoise de Shanghai, un gage supplémentaire de reconnaissance de la qualité de l’enseignement fourni. Cette formation en cinq ans alterne chaque week-end un enseignement théorique et pratique. Les cours sont dispensés par 25 professeurs qui sont répartis entre les quatre centres que compte l’Institut : Bordeaux, Toulouse, Paris et Avignon où est située la maison mère. Une part importante de l’apprentissage est donnée à la maîtrise des gestes du tuina, ainsi qu’à l’acupuncture. L’autre grand corps de l’enseignement est réservé à l’acquisition de connaissances sur la pharmacopée chinoise et les différentes combinaisons possibles qu’elle propose. Une des grandes richesses dans la médecine chinoise est que ces trois axes sont tous basés sur un même principe de traitement. Après ces cinq années, chaque praticien est invité à choisir plusieurs spécialisations, toujours en lien étroit avec la médecine chinoise. Aujourd’hui, l’IMTC en propose une quinzaine pour parfaire le cursus des élèves. Sur les 500 étudiants répartis sur les cinq ans de formation, près de 60 % des élèves diplômés s’installent à la fin du cursus comme pratiquant indépendant. Le reste, souvent les élèves qui avaient déjà une formation médicale classique en arrivant à l’IMTC, met en valeur l’enseignement en collaboration avec leur propre profession. Nouveau phénomène, quelques étudiants s’inscrivent ...

Depaz, le Rhum Agricole grand cru

Située au pied de la Montagne Pelée et au bord de la baie de Saint Pierre (au Nord-Ouest de l’île), la distillerie DEPAZ fut créée par le premier gouverneur de la Martinique au XVIIème siècle (1638). Depuis 1651, la distillerie DEPAZ produit des rhums agricoles : rhum blanc, rhum doré et des rhums vieux. Entièrement détruite par l’éruption volcanique de 1902, la plantation DEPAZ fut 7 ans après replantée, reconstruite et ranimée par Victor DEPAZ, unique survivant de la catastrophe. Il reconstruit également à l’identique le château de la plantation, édifice qui fût achevé en 1917. UN TERROIR UNIQUE qui permet aux RHUMS DEPAZ de bénéficier de l’AOC MARTINIQUE depuis 1996 Les cannes à sucre qui entrent dans l’élaboration des rhums DEPAZ sont cultivées sur un terroir unique en Martinique : celui de la Montagne Pelée. Elles trouvent là tous les ingrédients d’un climat tropical favorable à leur développement qui, à cet endroit, donne le meilleur de lui-même : La combinaison d’un ensoleillement exceptionnel et d’une pluviométrie abondante liée à l’alchimie météorologique du volcan et au fait qu’il culmine à 1 395 mètres d’altitude ; Un sol jeune, léger et filtrant, qui impose à la canne à sucre un enracinement profond et un métabolisme favorable à l’accumulation de sucre. L’exploitation agricole des rhums DEPAZ produit ainsi les cannes à sucre les plus riches de la Martinique. Grâce à ces atouts, les terres sur lesquelles elles poussent sont classées depuis 1996 dans l’aire de l’Appellation d’Origine Contrôlée Martinique, appellation qui exprime le lien intime entre les éléments naturels, eau, soleil, terre, et le savoir-faire des hommes et des femmes de DEPAZ, perpétué au fil des générations. La Distillerie Depaz Nichée dans un écrin de verdure au pied de la Montagne Pelée, la distillerie DEPAZ est une des plus petites unités de production en Martinique. Comme à ses origines, la distillerie DEPAZ fonctionne encore de nos jours grâce à une ancienne machine à vapeur. Véritable coeur de la distillerie, celle-ci fournit la vapeur nécessaire à l'activation des moulins servant à broyer la canne, ainsi qu'aux colonnes à distiller. Une approche durable Implantée dans un milieu naturel particulièrement riche et sauvage, la distillerie DEPAZ intègre une démarche de développement durable.  Ainsi le domaine agricole privilégie une agriculture raisonnée grâce au recours à des méthodes telles que, le piégeage des insectes, le travail mécanique du sol, et un suivi parcellaire d’une très haute précision. Ceci permet de limiter l’utilisation d’herbicides, de pesticides et d’engrais, et ainsi améliorer le « capital sol » en vue de sa transmission aux générations futures.  Le même état d’esprit prévaut au niveau de la distillerie. Celle-ci est équipée depuis plus de 15 ans d’un méthaniseur pour le traitement de ses effluents. Elle dispose également d’un système sophistiqué de retraitement de ses fumées. Enfin, une attention toute particulière est portée au recyclage et à une utilisation citoyenne des ressources naturelles depuis nos cultures de cannes jusqu’à la conception des emballages de nos rhums. ...

Assur.com : moteur de recherche intelligent pour trouver une solution d’assurance

Julien Favre, porteur du projet, est parti du constat que trouver une formule d’assurance pour sa maison, sa voiture ou son voyage relève d’une démarche complexe et fastidieuse. Il a su exploiter efficacement l’émergence des leviers numériques pour centraliser et trier toutes les solutions d’assurance et les mettre à disposition des internautes. Optimiser  la recherche d’un service d’assurance en la réduisant à quelques clics est ainsi au cœur de l’innovation d’Assur.com. Un concept à dimension technologique  « Notre technologie permet d’accompagner les internautes dans leur recherche d’assurance qui convient le mieux à leurs besoins » introduit Mona Saidi, marketing manager du projet. Cette technologie prend forme via un moteur de recherche interne, une interface intuitive et un système de QCM simple. Derrière, un algorithme performant identifie, sélectionne et centralise toutes les réponses qui correspondent au mot-clé parmi les produits référencés sur la plateforme. Ceux-ci sont regroupés par catégorie : santé, habitation, voyage, véhicule, prévoyance, assurance professionnelle et divers pour les demandes plus spécifiques. Contrairement aux autres portails, Assur.com oriente sa démarche vers une approche centrée client en proposant un service beaucoup plus instantané, simplifié et impartial. En effet, la recherche ne requiert ni remplissage de formulaires ni données personnelles et les résultats affichés redirigent directement vers le site de l’assureur sans qu’il y ait transaction directe sur la plateforme. « Le service est résolument à caractère informatif que commercial, nous ne souhaitons pas influencer la décision d’achat des utilisateurs » précise l’équipe. Améliorer l’expérience client Le site est conçu de façon à donner un confort de navigation optimale : user-friendly, fluide et sans intrusion. Sur ce même principe, les assureurs sont encouragés à proposer un site web attractif et ergonomique qui offre la possibilité d’une souscription online en quelques secondes. Dans son axe de développement, Assur.com cherche à affiner son algorithme, de sorte qu’il devienne une technologie autonome, capable de prendre en charge automatiquement les mises à jour. Pour cela, Julien Favre et son équipe envisagent d’intégrer d’autres framework d’intelligence artificielle comme Scrapping ou Semantic Analysis. En parallèle, ils travaillent également sur de nouveaux partenariats afin de couvrir tous les segments d’assurance sur le marché français. À plus long terme, le projet aspire à percer le marché européen et américain. ...

Le Clos d'Augusta : la charmante maison bordelaise

A deux pas du Centre Mériadeck, une maison au charme indéniable attire et séduit : Le Clos d’Augusta. Installé dans l’ancienne Bûcherie, le restaurant fait la fierté de ses propriétaires Samuel et Cristina Zuccolotto depuis maintenant treize ans. Avec dynamisme et passion, ils se surpassent au quotidien dans le but de satisfaire au mieux les attentes de leurs convives. En cuisine, Samuel enfile sa toque et surprend avec ses plats aussi originaux que savoureux. En salle, Cristina s’occupe de l’accueil et apporte une attention particulière à chaque convive tout au long de leur repas. Un havre de paix en pleine ville Dès l’entrée, la salle dégage une douce chaleur qui confère une ambiance feutrée et cosy. Travaillée et soignée, la décoration allie à la perfection le parfait mariage entre l’ancien et le contemporain. D’un côté, la salle arbore le style colonial et opte pour une couleur beaucoup plus sobre afin de ressortir son côté raffiné. De l’autre, le mélange blanc et vert révèle un brin de dynamisme et apporte de la modernité à l’ensemble. Mais au Clos d’Augusta, rien n’a été fait au hasard. A commencer par cette couleur verte qui a une importance particulière pour Samuel. En effet, elle reflète sa passion pour le golf. Ainsi, la moquette, les poutres apparentes et les vaisselles portent cette teinte vivifiante. D’ailleurs, il confie que le nom du restaurant a été inspiré par Augusta, le célèbre tournoi des maitres dédié aux golfeurs professionnels. Par ailleurs, la disposition des tables vise à apporter plus d’intimité, un critère particulièrement important pour une clientèle exigeante. Pour couronner le tout, les lumières subtilement disposées à travers la salle apportent un coup d’éclat à l’ensemble. Et, à l’extérieur, le jardin du restaurant prépare à une toute autre surprise. Véritable havre de paix, c’est l’endroit parfait pour un diner ou un déjeuner en toute sérénité. L’occasion pour les convives de passer une expérience culinaire inédite tout en admirant la beauté de la nature. Une cuisine créative Mais la surprise ne s’arrête pas à la décoration, elle est aussi et surtout présente dans l’assiette. En effet, les plats surprennent autant par leur présentation que par leur goût. Derrière ce grand art se cache un chef créatif et  méticuleux : le chef Samuel Zuccolotto. Sans chichi, il revisite à la perfection les grands classiques et apporte une touche personnelle qui révèle sa parfaite maitrise des textures et des saveurs. Sans les dénaturer, il transforme les produits soigneusement sélectionnés sur le marché en des vrais chefs-d’œuvre culinaires. Parmi ces spécialités : le ravioli de langoustines, maïs à la vanille et voile de pistache qui révèle toute la fraîcheur des saveurs marines, le succulent dos de lieu jaune de ligne aux coquillages et céleri fondant qui promet une aventure gustative riche en émotions ou encore le dessert tout chocolat à la confiture de mangue qui apporte une sensation de douceur. Il est à noter que pour chaque plat, le chef arbore fièrement le « fait maison » y compris pour le pain. A midi, avec le menu affaire à 25 €, le chef Samuel propose une entrée, un plat de résistance et un dessert. Le soir, les convives peuvent composer eux-mêmes leur menu en optant pour l’Augusta à 47 € ou se laisser surprendre par un menu, choisi pour l’ensemble de la table avec la formule découverte à 67 €. En outre, il propose une carte qui évolue au rythme des saisons et qui se compose de plats particulièrement raffinés. Pour accompagner le repas, Cristina expose la magnifique collection de vins de l’établissement et dévoile ainsi son talent de sommelière pour conseiller les convives dans leur choix. ...

Agde, une histoire de 26 siècles

Idéalement située au bord de la Méditerranée, sur le littoral languedocien, Agde est à la fois le berceau d’une belle station balnéaire et un haut lieu du tourisme historique. En effet, outre ses plages et ses richesses naturelles, la ville est aussi connue pour ses vestiges du passé, héritage de 26 siècles d’histoire. Etant l’une des plus vieilles villes de France, Agde est une destination de premier choix pour les passionnés d’histoire et de culture. Elle est passée par toutes les époques marquantes de l’histoire française et en porte les marques. Une ville empreinte de plusieurs civilisations L’histoire de la ville d’Agde remonte à l’époque grecque, au VIè siècle avant Jésus Christ. Elle était alors un comptoir du commerce avec Marseille et la ville espagnole d’Ampurias. A la fin du IVè siècle, la ville est envahie par les barbares et vit sous l’influence des Wisigoths jusqu’à leur conversion au christianisme environ deux siècles après. Elle devient un territoire du royaume franc au VIIIè siècle. Le siècle suivant, le christianisme reprend des territoires et marque sa présence par la construction de cathédrales, de remparts et de forts. Jusqu’au XXè siècle, Agde connaît également de nombreux conflits politiques et religieux dont la guerre entre la France et l’Aragon, la Guerre de Cent Ans, la Guerre de Religions et la deuxième Guerre Mondiale. Entre occupations, destructions et reconstructions, la ville d’Agde est devenue un monument vivant où les visiteurs découvrent une histoire de plusieurs siècles, des traces d’anciennes civilisations dont témoignent aujourd’hui l’architecture de la ville et ses nombreux sites historiques. Les activités économiques qui ont marqué ces époques restent également gravées à différents endroits de la ville. Après le commerce, les activités maritimes, la construction navale et la viticulture, Agde est désormais devenue une prospère destination touristique. Elle est même la première station touristique d’Europe en termes de nuitées en haute saison. Une histoire à découvrir à travers l’architecture et les monuments Fruit de diverses occupations et d’un mélange de plusieurs cultures, l’architecture de la ville d’Agde raconte à elle seule son histoire tumultueuse. Elle se démarque d’abord par l’aspect de ses monuments et habitations construits avec du basalte, une roche volcanique qui confère à la ville l’appellation La Perle Noire ou la ville aux pierres noires. Agde se trouve en effet au pied du volcan du Mont Saint-Loup. La commune d’Agde accueille aussi de nombreux musées qui racontent les modes de vie d’antan et renferment des vestiges du passé artistique et historique de la région.  La forte présence du christianisme est quant à elle marquée par l’existence de nombreux édifices religieux tels que la cathédrale Saint-Etienne, un édifice roman fortifié qui date du XIIè siècle. Les visiteurs peuvent également découvrir l’histoire de la ville d’Agde au fil de ses ruelles bordées par d’anciennes maisons datant du 15è jusqu’au 18è siècle. Quant à ses activités économiques, la création du Canal du Midi au XVIIe siècle et l’existence de ses nombreux ports peuvent témoigner du développement de ses activités commerciales et maritimes. Parmi les nombreuses attractions historiques de la ville, nous avons sélectionné pour vous quelques sites d’exception à ne pas manquer lors de votre visite dans l’Hérault. Quelques sites historiques de la ville d’Agde Si vous êtes un passionné d’architecture, vous serez enchanté de visiter le Château Laurens dans le parc de Belle Isle. Construit entre 1898 et 1901, il se distingue par son style architectural néo-classique mélangé à de l’art oriental qui le rend unique en son genre. Pour ceux qui s’intéressent davantage à l’histoire, Agde accueille aussi des remparts dont la plupart datent de l’occupation grecque, du Moyen-Âge et du 16è siècle. Pendant votre séjour à Agde, ne manquez pas de visiter la glacière ...

Restaurant Saisons - Institut Paul Bocuse à Ecully : une gastronomie de haute volée

Inspirée par ses deux co-fondateurs visionnaires Paul Bocuse, référence mondiale des arts culinaires et Chef du siècle avec 3 étoiles Michelin depuis plus de 50 ans, et Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor, exemple de réussite managériale et entrepreneuriale - l’Institut bénéficie d’une aura unique de prestige en France et à l’international. Une visite au restaurant Saisons Situé dans le cadre prestigieux du château du Vivier, le restaurant Saisons propose un cadre de charme tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Il est agréable de déjeuner, aux beaux jours, sur la terrasse du château. Cet espace de repas extérieur offre une belle vue sur le parc verdoyant légèrement en vallon. Sous la responsabilité du Chef Davy Tissot - Meilleur Ouvrier de France 2004 - le restaurant Saisons est une histoire de rencontre entre tradition et modernité. Le désir de créer un souvenir, une émotion gustative et visuelle. Une cuisine contemporaine et créative Le Chef Tissot, dans sa quête quotidienne du dépassement, inspire son équipe avec rigueur et exigence, mettant un point d’honneur à proposer une cuisine aux saveurs harmonieuses selon les saisons. Par son expérience, il transmet à cette nouvelle génération ses valeurs de savoir-faire et de perfectionnement du service client afin d’atteindre l’excellence. Donner du plaisir à travers la cuisine et construire l’avenir. Les étudiants cuisinent comme dans une brigade, tels de vrais professionnels. La maison propose trois menus, variant au gré des saisons : le Partage des styles (déjeuner uniquement), la Noblesse du temps et l’Alchimie des sens. Le menu Noblesse du temps, dédié aux amoureux de la cuisine classique, revisite la tradition. L’Alchimie des sens  met en avant une cuisine moderne enrichie d’audace et d’originalité. Testé durant l’été, l’entrée est marquée par un carpaccio de saint-pierre à la crème de langoustine et d’une vinaigrette de grenadille. Ce plat divinement présenté est accompagné d’une fine tuile de pain à l’encre de seiche. La suite enchaine une série de plats, où le sel et le sucre s’accordent avec grâce. Le délice de Saint-Jacques, en l’occurrence, est servi avec du berlingot, de la citronnelle et du topinambour. En pré-dessert, ils osent une version sucrée de la raviole d’agrumes, exquisément baignée dans un bouillon de cannelle. Pour le dessert, place à des notes estivales avec la pêche de vigne agrémentée de feuilles de verveine. Tout au long de ce périple culinaire, le sommelier conseille les invités sur le vin. Il guide leur choix sur le verre approprié à chaque plat. Quelle que soit leur option, ce connaisseur attentif est toujours présent pour leur suggérer le meilleur accord. ...

Grâce au numérique et à la simulation, iLumens révolutionne la formation des professionnels de santé

« Malgré l’excellence reconnue de la formation de nos soignants, de nombreux progrès restent à faire » souligne notre interlocutrice. Effectivement, l’amélioration continue permet à l’établissement de mieux former sur les aspects techniques de certaines professions, mais surtout de perfectionner la collaboration entre les différents métiers afin d'intégrer une vision de formation en équipe pour arriver à un niveau de qualité optimal, et développer les compétences relationnelles dans le cadre de la relation entre soignant et soigné, maillon essentiel de la prise en charge médicale.. Comme dans d’autres activités professionnelles à risques, progresser sur la notion de facteurs humains et d’inter professionnalité par la simulation est un des éléments centraux qui permettra d’améliorer les statistiques actuelles qui montrent que les accidents liés aux soins, dont 80% sont liés à des erreurs dues des facteurs humains, sont responsables de plus de 40 000 décès par an en France. iLumens développe ainsi de nouveaux concepts de formation grâce a une plateforme unique en Europe regroupant de nombreux outils de simulation en santé,  et offre de multiples programmes pour les étudiants et professionnels de santé destinés à améliorer la formation, la qualité et la sécurité des soins. Une expertise reconnue mondialement Rattaché à l’université Sorbonne Paris Cité, iLumens est un département universitaire qui se développe sur trois pôles complémentaires : les universités Paris Descartes, Paris Diderot, et Paris Nord. Co-fondée par les Prs Antoine Tesnière et Alexandre Mignon en 2011, la plateforme est reconnue comme « un pionnier dans la pédagogie innovante en santé ». Près de 8000 étudiants et professionnels sont formés chaque année sur les trois sites, un chiffre en constante augmentation. Au sein d’iLumens, un laboratoire de recherche scientifique autour des innovations dans l’apprentissage a été mis en place, en lien avec le Centre de Recherche Interdisciplinaire, pour réaliser des travaux de recherche sur des thématiques innovantes, comme par exemple les effets de la simulation sur l’apprentissage et sur l’amélioration de certaines pratiques médicales. Par ailleurs, iLumens a développé des activités de prestations connexes de conseils et de services auprès de divers établissements de soins ou industriels. « Aujourd’hui, nous regroupons plus d’une centaine de formateurs-soignants issus de tous les métiers du soin: médecine d’urgence, pneumologie, gynécologie-obstétrique, pédiatrie, anesthésie-réanimation, gastro-entérologie, chirurgie etc. » souligne Cécile Monteil, directrice médicale. Cette réussite s’exporte également à l’international, dans des collaborations avec la Chine, la Tunisie, le Maroc, le Liban, le Qatar et le Sénégal. Des concepts innovants pour faire progresser l’expertise des soignants, sans dangers pour les patients La plate-forme a développé des concepts pédagogiques et des outils d’apprentissage axés sur la simulation en santé et sur l’apprentissage en environnement virtuel. En Santé, la simulation est une étape cruciale qui permet de se familiariser avec une situation particulière en utilisant un mannequin humanoïde, la réalité virtuelle ou un « patient standardisé » (un acteur qui joue le rôle du patient), « dans le but d’observer un comportement et d’améliorer efficacement la prise en charge des patients », continue-t-elle. Les mannequins humanoïdes dits de « haute-fidélité», sont capables de parfaitement reproduire les réactions humaines exprimées tels que parler, saigner, convulser ou présenter des troubles du rythme cardiaque dans divers scénarios pédagogiques préétablis. Ce type de simulation permet un apprentissage et un entraînement des gestes techniques qu’il faut avoir pour arriver à un certain niveau de précision, mais aussi un apprentissage de la gestion de situations complexes au-delà de la technique (leadership, communication inter-professionnelle, ges...

Restaurant L'Estanquet : le témoin de toute une culture

À quelque mètres du pont Neuf de Montauban, L’Estanquet reçoit ses convives dans un climat simple et convivial. Cet établissement est connu pour son décor assez vintage et sa cuisine bistronomique. Avec des gestes millimétrés, le personnel du restaurant L’Estanquet veille au grain pour l’entière satisfaction des clients. Le travail d’équipe se fait ressentir jusque dans les assiettes.        Un décor très recherché On croirait faire un voyage dans le temps ; pourtant, L’Estanquet n’est pas un antiquaire, mais est bel et bien un restaurant. Une ambiance chaleureuse de bistro se dégage de ce décor peu commun. Les meubles trouvent toute leur splendeur dans la diversité et les boites et objets anciens sur les étagères ne font qu’accentuer cette allure de vieux bistro. Sur les murs sont exhibées des publicités d’un autre âge, qui font plonger les clients dans une nostalgie du bon vieux temps. Le maitre des lieux, c’est la grande cheminée qui domine la salle. Celle-ci offre non seulement de la chaleur aux clients, mais également la garantie d’une cuisine de haute qualité qui respecte les produits. Effectivement, la maison y fait griller les pièces de viande pour les imprégner du gout particulier de la cuisson au feu de bois.     Un esprit bistro dans les assiettes Le restaurant L’Estanquet propose une cuisine traditionnelle, typiquement française, pimentée par une touche d’originalité. Les ingrédients sont de qualité supérieure, les plus belles pièces sont sélectionnées dès l’achat. Les patrons et son équipe travaillent les produits frais du terroir sur place, chaque jour. En outre, tout est fait maison. Ce qui a valu au chef le titre de « Maitre restaurateur ». La carte du restaurant s’oriente par rapport aux saisons et aux inspirations en cuisine. Les plats qui font la notoriété de L’Estanquet sont nombreux. Quoi de plus simple qu’un os à moelle accompagné de pain grillé ? La maison propose du pied de cochon, de l’andouillette, du ris de veau, du cassoulet et d’autres plats tout aussi représentatifs de la cuisine française les uns que les autres. La gaufre caramel beurre salé servie en dessert est un pur délice, sans parler des profiteroles. Les gourmands et gourmets en redemanderont. Montauban : une ville d’Histoire et de culture Grâce à son histoire, la ville est riche en patrimoine, notamment en matière d’architecture. Elle est appelée « la plus rose des villes roses », car la brique y est omniprésente. L’époque médiévale a laissé quelques héritages, comme le pont Vieux ou l’église Saint-Jacques avec son beau clocher octogonal. Ce patrimoine architectural est aujourd’hui valorisé grâce aux restaurants qui investissent les bâtiments anciens dans les rues de Montauban. Trois musées sont ouverts au public dans la ville : le musée Ingres, installé dans l’ancien hôtel de ville ; le musée d’Histoire naturelle ; et le musée de la Résistance et du Combattant, qui abrite l’histoire du Tarn-et-Garonne pendant la Seconde Guerre mondiale. Et ce n’est pas tout ! Les férus d’activités culturelles seront intéressés par le théâtre Olympe de Gouges, l’école municipale de dessin, où l’on découvre et approfondit le dessin et la peinture, ou encore l’espace Bourdelle sculpture, qui propose des ateliers et des conférences autour de cet art. ...

Champagne Robert-Allait : des cuvées authentiques de vignerons indépendants

Réparti sur six communes aux alentours du village, le vignoble s’étend sur 13 hectares, exposés uniquement sur les coteaux sud. Bien entendu, les parcelles sont encépagées des trois variétés champenoises : chardonnay, pinot noir et pinot Meunier. La particularité du domaine est qu’il travaille principalement le Meunier, dont le terroir de la vallée de la Marne lui est propice. Un domaine certifié Haute valeur environnementale Respectueux de l’environnement et de la nature, le champagne Robert-Allait mène depuis des années des efforts continus dans le but de préserver son terroir. Un travail de longue haleine qui a été récompensé, puisque le domaine a été certifié « Haute valeur environnementale » de niveau III et « Viticulture durable » depuis 2015. Si ces certifications permettent, dans les faits, de protéger la biodiversité animale et végétale du domaine, cela n’en est pas moins favorable au vigneron. En effet, elles permettent de récolter des raisins sains et, par conséquent, d’en obtenir des jus de qualité contribuant à une vinification optimale. Vignerons indépendants et fiers de l’être Installés en Champagne depuis près de deux siècles, les Robert-Allait sont des vignerons indépendants chevronnés qui font tout de A à Z, de la récolte à la vente. « Les 100 000 bouteilles que nous produisons sont commercialisées en direct par nous-mêmes, par la vente à la cave, la vente à la propriété ou lors des différents salons auxquels nous participons », explique Sylvie Robert, la propriétaire. Parmi les sept cuvées qui font la fierté de l’entreprise, Stéphanie Robert, fille de Sylvie, recommande le Plaisir Nature. Un 100 % Meunier, non dosé, qui révèle particulièrement la fraîcheur et le fruité de ce cépage. La « Cuvée Prestige » est quant à elle la plus incontournable. Issu d’un assemblage judicieux entre les trois cépages, ce champagne élégant, mature et complexe fera le bonheur des connaisseurs par son côté fruité, sa très belle tenue en bouche et sa grande longueur. ...

Salon Pro&Mer 2018 : rendez-vous incontournable des métiers de la mer

Pour rappel, l’édition 2017 s’est déroulée à Brest au Quartz. Avec un bilan plus que positif : 95 entreprises et structures de formation participantes, plus de 1250 offres d’emploi proposées et environ 1700 visiteurs, témoignant de la notoriété grandissante de l’évènement auprès du grand public. Cette année le Salon Pro&Mer prend une nouvelle dimension avec plus de partenaires et d’exposants et un programme attractif. Embarquez-vous ! S’ouvrir et se professionnaliser « Notre vocation est de faire connaitre nos entreprises et faire aimer nos métiers auprès du public » explique Anne-Marie Cuesta, déléguée générale de Bretagne Pôle Naval (BPN) pilote du salon. Bien plus qu’une rencontre entre les offres et les demandes d’emploi, le salon veut surtout promouvoir et dynamiser les métiers de la mer. Seront donc représentés les filières navales, énergies marines renouvelables, marines marchandes, oil and gas, rejointes en 2018 par la filière pêche et le nautisme. L’évènement tourne autour de trois pôles complémentaires : le rayon Industriel-Employeur, l’espace attractivité des métiers, et l’axe formation/organisme. Cette année, le Salon Pro&Mer est co-organisé par BPN avec ses partenaires de toujours à savoir La région Bretagne, La Touline, l’UIMM Bretagne, le GICAN, renforcés par de nouveaux partenaires investis pour lesquels l’emploi est une priorité : l’agglomération de Lorient, la CCI du Morbihan, Naval Group, le Nautisme, Lorient Grand large, la mission locale. « Pour la première fois, PRO&MER est un évènement phare de la semaine de l’emploi maritime en Bretagne et bénéficie ainsi du support majeur de Pôle Emploi Maritime » reprend notre interlocutrice pour souligner la nouvelle dimension de cette 5ème édition. « Un parcours vers l’emploi » Atypique, c’est bien le qualificatif qui distingue PRO&MER, car les visiteurs pourront voyager dans le temps et découvrir l’évolution de la filière « Mer ». PRO&MER, c’est également le futur et les métiers d’avenir à découvrir au moyen des toutes dernières technologies dont la réalité virtuelle augmentée. En outre, deux conférences organisées sous forme d’atelier vont aussi enrichir le programme en plaçant PRO&MER au cœur de l’Europe du Maritime avec la participation du Projet Consortex. Mais avant tout, le Salon Pro&Mer c’est l’accompagnement des personnes à la recherche d’un emploi, d’une formation, ou en reconversion professionnelle vers les métiers de la mer. Une offre unique « tout en 1 », atelier CV avec des responsables RH, des chefs d’entreprises et des formateurs, service de traduction de CV en langue anglaise, conseils d’orientation et job dating sont à disposition de ceux qui souhaitent rejoindre la grande famille de la filière maritime et navale. « Nous souhaitons déployer tous les moyens possibles pour attirer les talents, et ainsi concrétiser le projet professionnel d’hommes et de femmes passionnés pour renforcer nos entreprises »  termine la déléguée générale de BPN. ...

Fox Tripper : « exploiter intelligemment l'IFE »

Bien que plusieurs compagnies aient cherché à approcher Fox Tripper pour les commodités qu'elle propose, cette dernière favorise l'intégration via les providers d'IFE tels Panasonic Avionics, Thales Avionics, Rockwell & Collins... dans l'optique de proposer un produit au point et performant aux compagnies aériennes. De nombreux partenariats seront ainsi confirmés cette année, pour le plus grand bonheur des voyageurs dans le monde. Optimiser l’expérience passager La start-up veut rendre le petit écran derrière le siège passager à bord des avions en un véritable marketplace regroupant des offres promotionnelles, des prestations et activités diverses à réserver, ainsi que des informations intéressantes sur les villes survolées. « On veut montrer une façon plus intelligente d’occuper les heures de vol pendant le voyage », explique le cofondateur Mehdi Mokhtar  pour résumer son concept. Pour ce faire, Fox Tripper a développé un moyen d’exploiter le système de géolocalisation et la connexion wi-fi à bord des avions. Ainsi, le but est de dépasser les limites fonctionnelles de ces interfaces intégrées, « pour rattraper le décalage entre notre usage du smartphone ou tablette avec celui des IFE ». Les films et publicités qui défilent sur ces écrans seront donc remplacés par des contenus plus pertinents et ciblés, permettant au voyageur d’enrichir et d’organiser son séjour depuis son siège. Fox Tripper a sélectionné des prestataires  sérieux et de confiance composés notamment de guides, de diverses activités et excursions, ou encore d’offres de location de voiture ou de service VTC pour satisfaire toutes les demandes.  Par ailleurs, le partenariat signé avec la société Allemande GetYourGuide, un leader mondial qui propose plus de 32 000 activités à travers le monde permet à Fox Tripper d'élargir ses offres. Une solution stratégique « On veut permettre aux compagnies aériennes de moderniser leur système de divertissement, pour être à la hauteur de ce que veulent les clients », continue notre interlocuteur. L’application est donc un véritable outil stratégique pour les compagnies, leur permettant d’améliorer la qualité de service à bord, de repenser l’expérience client tout en rentabilisant leur système IFE. Elle est mise à leur disposition clé en main, sous forme de licence et avec des mises à jour gratuites. Et pour aller encore plus loin, la start-up est en train de développer un module statistique servant à récolter des données et des chiffres sur les préférences des utilisateurs de façon anonyme. Bref, adopter l’application Fox Tripper, c’est savoir se démarquer dans un contexte de concurrence de plus en plus agressive. ...