Choisir de s’implanter à Rouen, c’est bénéficier de son environnement économique propice : sa position stratégique incomparable (à seulement 1h de Paris, au cœur de l’axe Seine, proche des capitales nord-européennes Londres - Bruxelles), son vivier de compétences et de savoir-faire, son industrie puissante où se concentrent les grandes filières et ses nombreux clusters (automobile, santé, aéronautique…). Du portuaire à l’assurance Au centre du 1er hub logistique portuaire français, Rouen est un port particulièrement spécialisé dans les marchandises diverses et l’agroalimentaire (1er port céréalier Ouest-Européen, trafic total - maritime et fluvial - de 24,5 Mt) ; s’y note aussi une activité forte dans le secteur de la chimie (1er port français pour la quotation des engrais). Historiquement lié à l’activité portuaire, le secteur de l’assurance a connu un essor considérable à tel point qu’il est devenu un marqueur de la vie économique et tertiaire du territoire. Des acteurs majeurs comme la Matmut, AXA ou MAE sont des moteurs d’emplois et d’investissements immobiliers. Cet écosystème assurantiel a également servi d’élément déclencheur au déploiement de plateformes de relation client. « Ce sont les leaders de l’assurance à Rouen, notamment AXA, qui ont expérimenté en premier la relation client à distance », nous explique Dominique Lemoine, Responsable du Développement Tertiaire & Numérique au sein de Rouen Normandy Invest. Ce secteur économique, en constante évolution, a mis l’accent sur la formation et les dispositifs de recrutement. Aujourd’hui, le territoire rouennais accueille 30 centres de relation client (SITEL France, Matmut, Voxens, CTRA Dalkia, …) représentant 3 000 emplois, dont 2 000 directement liés à l’implication de RNI. Territoire d’industrie 4.0 Le territoire abrite des fleurons de l’industrie nationale et internationale dans les secteurs automobile (Renault, pôle de compétitivité Mov’éo), aéronautique (Thales), pharmacie (Aspen, Sanofi), agroalimentaire (Ferrero, Nutriset, Touflet, Cargill), chimie (Lubrizol)… Dans un contexte international concurrentiel, ces industries sont engagées dans la transformation digitale de leurs activités pour répondre aux grandes mutations techniques et environnementales. Le territoire fournit les ressources digitales permettant aux différents acteurs de l’industrie d’opérer cette transformation. Des écosystèmes inter-filières accompagnent ces mutations et confortent l’avenir pour accueillir de nouvelles industries sur le territoire. Les usines Renault et Schneider (labellisée « Usine du futur ») sont des exemples de cette industrie 4.0. Territoire d’innovation Le consortium associant Renault, Transdev, la Matmut et la Métropole Rouen Normandie témoigne de cet élan d’innovation. Ici, en 1ère européenne s’expérimente la mobilité autonome et partagée (Mobility as a Service) avec le transport à la demande via des véhicules électriques, sans intervention humaine, sur routes ouvertes. (https://www.rouennormandyautonomouslab.com/) Côté numérique, Rouen Seine-Eure facilite son développement grâce à un réseau d’acteurs solidaires et réactifs, une gamme de lieux dédiés comme Seine Innopolis ou Le Hub/La Filature attirent aujourd’hui des startups installées à Paris (Qwant) et des pépites locales (Saagie, YesWe Hack, Paygreen…). « Le numérique enrichit notre tissu tertiaire. Et il prend part également à la transformation digitale de nos entreprises », rapporte toujours Dominique Lemoine. Rouen, un des 1ers campus de France ESIGELEC, INSA Rouen Normandie, CESI, NEOMA Business School, CNAM, ENSA Normandie, UniLaSalle, ERFPS sont, avec l’UFR, quelques-unes des grandes écoles qui forment les talents de demain. 44 000 étudiants, des laboratoires de pointe (CORIA, GPM, SGS Multilab…) constituent un véritable vivier de compétences et de savoir-faire sur mesure. Des signatures immobilières Avec un parc tertiaire de 1 100 000 m², Rouen poursuit son développement en matière de tertiaire supérieur : «...
La marque a monté tout un univers créatif pour donner vie à l’intérieur de notre maison et pour égayer notre table. Entourée de très talentueux designers nationaux et internationaux, elle veut hisser le savoir-faire français dans l’art et la décoration. Un savoir-faire savamment exprimé avec créativité dans le travail des matières, des lignes, des courbes et des textures. Le style contemporain revisité Sibo Homeconcept est créateur de nouvelles tendances en articles de verrerie, de vaisselle, de mobilier, de la décoration et divers accessoires qui se regroupent en différentes collections. À mi-chemin entre le style contemporain et un design industriel, chaque collection se compose de pièces uniques dont la plupart sont façonnées à la main. Méticuleusement conçus par des designers, les articles de la marque s’affichent dans les plus grands hôtels et restaurants du monde. Et peu importe le goût de chacun, le concept novateur et simpliste des produits de Sibo Homeconcept séduit aussi bien les particuliers que les restaurateurs et les chefs étoilés. Le choix d’une palette de couleurs neutres pour accompagner les courbes épurées suggère un esprit minimaliste. Et cette esthétique sobre et chic renforce encore plus la fonctionnalité primaire des objets, et n’encombre en rien leur utilisation. La gamme de collection vaisselle Chaque collection vaisselle est fabriquée à partir de matières composites : bois, verre, métal, verre soufflé, grès, porcelaine fine, etc. Et elles sont élaborées de façon à préserver ce côté naturel, qui devient l’âme de la collection. OSLO est une collection qui fait honneur aux matières organiques, plus spécifiquement le grès. Les articles revêtent un design moderne, aux courbes fines et légères. Une finition à la main affine les textures et crée une nuance d’effet mat et brillant. Les couleurs restent dans les tons naturels et sobres, pour souligner l’authenticité de la matière utilisée. NORI : collection marquée par ses formes arrondies et imparfaites. Le design apporte une touche de modernité au charme intemporel des vaisselles rustiques. Le mélange de grès et des émaux réactifs soumis à la chaleur explique la nuance de couleur vert amande, très caractéristique à chaque article. Une sélection conçue pour la maison et pour une utilisation quotidienne. URBAN, quant à elle, est composée exclusivement de flûtes à champagne, de verres à vin et de gobelets. Grâce à leur transparence, ils sont discrets mais ne passeront pas inaperçus et se fondent parfaitement dans la décoration de table. Au style contemporain très affirmé, ces articles sont créés par des artisans verriers en soufflé bouche. Chaque type de produits est commercialisé en lot de six pièces. ...
L’interconnexion entre tous les éléments. Voilà ce que Éric Jullion, ce poète passionné de vin et de vie, veut apporter dans nos verres. Une conversion en bio et biodynamie est ainsi en cours pour accroître la biodiversité des sols. Une tournure très prometteuse « Je ne cherche pas vraiment à avoir un rendement. Mais je tiens à faire transparaitre un état d’esprit dans mes cuvées », fait savoir le vigneron. Les premiers vins labellisés bio seront ainsi mis en bouteille en 2021 pour être commercialisés en 2023. ...
Considérée comme la plus grande église cistercienne d'Europe, cet exceptionnel patrimoine des XIIe et XIIIe siècles, témoigne de la transition entre art roman et art gothique (première utilisation de la voûte d'ogive en Bourgogne). Un prestigieux patrimoine Après la Révolution, seuls l'église et le dortoir des Convers ont été préservés. L'ensemble du domaine, acquis en 1910 par Paul Desjardins -professeur à l'Ecole Normale Supérieure- a accueilli jusqu'en 1939 un grand nombre d'intellectuels internationaux, dans le cadre des "Décades de Pontigny". A découvrir, entre autres témoins de l'innovation cistercienne, le prestigieux vignoble de Chablis, dont la réputation doit beaucoup aux moines et convers de Pontigny. ...
Créé il y a de cela 1 an, MyVrgo est un guide touristique compatible réalité virtuelle qui fonctionne sur tous les supports que ce soit sur ordinateur, sa tablette ou son smartphone. Si l’utilisateur dispose en plus d’un casque de réalité virtuelle, son expérience n’en serait que plus immersive. L’aventure commence par le choix de la destination. À noter qu’actuellement la majorité des destinations concerne la France. « On travaille à l'enrichissement du site et bientôt d'autres pays viendront s'ajouter à la liste », explique un responsable. Ainsi, trois thématiques sont proposées en première page : Go à la plage, Go à la montagne et Go à la ville. Après avoir fait son choix, l’utilisateur reçoit des propositions de villes et de ses alentours. En fonction de ses envies ( s'amuser, se détendre, découvrir, manger ...), le visiteur s'immerge et planifie ses vacances au plus près de ses attentes. Un moyen rapide et pratique Une fois qu’il a sélectionné une rubrique, l’utilisateur accède en quelques clics à l’établissement dans lequel il souhaite se rendre. Il peut entreprendre une visite virtuelle 360° tout en ayant à sa disposition les informations de localisation et de services de l'établissement et faire une réservation en direct. A noter que le site est gratuit pour les utilisateurs et pour les établissements. ...
Une grande partie des maladies cardiovasculaires est due à l'obstruction d'artères (athérothrombose). « Si le vaisseau qui se bouche irrigue le cœur, cela provoque un infarctus du myocarde ; s'il irrigue le cerveau, un accident vasculaire cérébral, avec une mortalité élevée et des séquelles souvent lourdes pour les survivants », explique le professeur Steg. Le projet iVASC a pour but de faire progresser la compréhension et le traitement de l’athérothrombose. Le professeur Nicoletti, responsable de l'une des équipes du RHU, précise : « Si l'on fait la somme des morts dues aux maladies cardiaques et aux maladies cérébrovasculaires, nous sommes face à la première cause de mortalité dans le monde. C’est un problème de santé publique majeur ». Un plafond de verre à dépasser Ces dernières décennies ont vu des progrès considérables dans le domaine de la pharmacologie et du traitement curatif des maladies cardiovasculaires. Pour ce type de maladie, la prise en charge est multiple : elle fait intervenir des médicaments, très efficaces, mais aussi souvent la pose de stents ou des pontages chirurgicaux. Elle implique surtout un changement de mode de vie pour contrôler les facteurs de risque de la maladie, qui sont bien identifiés (tabac, cholestérol élevé, diabète, hypertension, sédentarité, obésité, par exemple). Malgré tout, les progrès se ralentissent pour plusieurs raisons. Les pistes de recherche sur la genèse et la progression de la maladie sont assez stéréotypées et ont beaucoup porté sur le traitement de l'hypertension artérielle ou d'une élévation du cholestérol, ou sur le diabète. De nouvelles voies doivent désormais être explorées. L'industrie pharmaceutique, l'un des moteurs de ces progrès, s'éloigne de ce domaine car les investissements qui doivent être consentis deviennent énormes pour des rendements parfois modestes. Le coût de réalisation des essais cliniques cardiovasculaires, qui doivent souvent impliquer des dizaines de milliers de malades, devient prohibitif. Justement, le RHU iVASC propose de nouvelles pistes de recherche et de nouvelles modalités pour les études cliniques dans ce domaine. Des facteurs de risque qui peuvent sembler extravagants, mais ne le sont pas Le RHU iVASC a pris le parti de s'intéresser à des facteurs de risque qui, bien que très communs (jusqu'à 80 % des patients), sont restés relativement négligés. Il s'agit de facteurs de risque atypiques. Le premier, c’est la maladie parodontale, une maladie infectieuse de la bouche causée par une mauvaise hygiène buccodentaire. Il peut sembler curieux que la maladie parodontale puisse avoir un retentissement sur les artères. Or, des données expérimentales et cliniques suggèrent un lien. L'un des axes de ce RHU est précisément d'établir s'il existe un lien de cause à effet et si une meilleure hygiène buccodentaire peut prévenir les maladies cardiovasculaires. Le partenaire industriel du RHU iVASC sur cet aspect est Colgate-Palmolive. Un deuxième facteur de risque est à explorer par le RHU iVASC : les troubles respiratoires du sommeil. Ils sont fréquents et caractérisés par des respirations anormales ou des pauses dans la respiration, et par une ventilation insuffisante pendant le sommeil. Outre la fatigue qu'ils provoquent, ils sont soupçonnés de participer à la genèse des accidents cardio et cérébrovasculaires. Avec l'aide du leader industriel français du diagnostic et du traitement de ces troubles, ResMed, ce facteur de risque va être exploré sur le plan clinique dans le RHU iVASC. ...
Aménagé pour votre confort, le restaurant La Fonderie offre un cadre agréable et convivial avec, le soir, le spectacle d’« un très beau coucher de soleil », comme le décrit si bien Laura Lesne, la propriétaire de l’établissement. Le nombre de places dans la salle a été volontairement limité pour mettre l’accent sur un décor aéré où la notion d’espace prend tout son sens. On aime s’y rendre pour un repas intimiste et chaleureux où une cuisine originale et raffinée vous met l’eau à la bouche et vous met de bonne humeur. Une belle mosaïque de saveurs Privilégiant la cuisine faite maison, le restaurant La Fonderie met les petits plats dans les grands pour vous faire découvrir des plats innovants et savoureux préparés à base de produits frais et de saison rigoureusement sélectionnés et issus de producteurs locaux. À travers des formules gourmandes ou un choix à la carte, les entrées, plats et desserts se conjuguent au présent et promettent gourmandise et satisfaction. À ne rater sous aucun prétexte : le fameux menu A Fundaria qui associe les meilleures spécialités corses à savoir le Miagliacci, différentes déclinaisons de charcuteries, le cannelloni au brocciu, fromage et le fiadone. Et grâce à un parfait accord mets/vins qui met à l’honneur des vins corses du Domaine de Coste Caserone dont la plupart sont médaillés, chaque bouchée offre une belle explosion de saveurs en bouche. La bonne cuisine combinée à un accueil chaleureux font de la Fonderie un lieu incontournable des gourmands et de gourmets qui y trouvent leur bonheur et prennent plaisir à recommander le restaurant à leurs amis et à leur entourage. ...
Depuis plusieurs années, la filière Sciences, Technologies Santé de l’université Lille Sciences et Technologies occupe la 2eplace en France pour l’insertion professionnelle de ses diplômés. Le taux d’insertion frôle les 100% ! La politique de stages en entreprise, initiée dès la 4eannée du master et développée en dernière année, et les liens étroits noués entre les entreprises et le monde économique facilitent évidemment le recrutement, ainsi que la taxe d’apprentissage. Exemple : les diplômés de master en formation initiale occupent des emplois à temps plein à 97 %. Et un sur cinq occupe un emploi stable. Durée de recherche d’emploi : à peine 2 mois. Les licences professionnelles ne sont pas en reste et le taux d’insertion est de 90 %. De même, neuf sur dix des diplômés de licence occupent des postes de cadres, un gros progrès. La licence ER2E vient d’être distinguée en 1reposition dans le classement EDUniversal des formations dans le domaine des énergies renouvelables. Une très large palette de métiers partout dans le monde Car les métiers de la physique sont presque infinis ! Et les emplois sont variés. D’ingénieur recherche-développement à ingénieur technico-commercial en passant par ingénieur de production ou responsable marketing, la palette est large. Des profilstels que journaliste scientifique, chargé d’études ou responsable ressources humaines. Sans oublier, bien sûr, le consulting et le conseil. Côté secteurs à fort potentiel de développement, la liste est aussi longue. Citons : les énergies renouvelables, la santé, la recherche médicale, l’aéronautique, l’astronomie, la biologie médicale, l’enseignement et la diffusion des connaissances, l’environnement, les télécommunications et le multimédia, les transports… Autant de profils et de métiers de plus en plus recherchés en France et en Europe, voire dans le monde. Un haut niveau de recherche L’un des derniers accords signés par l’UFR de Physique porte sur la création d’une unité de recherche commune avec le Commissariat aux énergies alternatives et le laboratoire de physique des lasers atomes et molécules de Lille (CNRS) et consacrée à la fabrication et au développement de la fibre optique. Un dispositif unique en Europe. Voici un bon exemple du très haut niveau de recherche développé par l’UFR. Les laboratoires et les équipes de recherche sont associés aux grands organismes tels que le CNRS, l’INRIA ou l’INSERM. Plus de 250 chercheurs et enseignants-chercheurs, dont 75 doctorants, forment les équipes pédagogiques dédiées à plus d’un demi-millier d’étudiants. Les formations initiales et professionnelles vont du DEUST au doctorat et s’inscrivent dans un environnement idéal et propice au développement d’un esprit scientifique adapté au monde de l’entreprise. Ainsi formés aux clés de l’innovation et du développement économique, les étudiants bénéficient de plateformes techniques dernier cri, adossées à des unités de recherche à la pointe du progrès. ...
Propriété familiale depuis 1692, le domaine Alary s’est transmis de père en fils. Jean Étienne Alary, onzième génération, assure aujourd’hui la gestion de l’exploitation. Chaque année, ce dernier n’hésite pas à faire preuve d’audace, en expérimentant de nouvelles techniques, pour le plus grand plaisir des œnophiles. Des terroirs d’exception Ce vignoble de 29 ha mené en agriculture bio repose sur différents terroirs. Il bénéficie ainsi d’une grande diversité de sols : un plateau présentant un sous-sol d’argile blanche et rouge, des sols de garrigues et des demi-coteaux constitués d’argile blanche et rouge. « La combinaison de ces terroirs nous permet de produire des vins empreints à la fois d’élégance, de fraicheur et de finesse », souligne Jean Étienne Alary. Sur ces sols propices à la vigne s’épanouissent une belle variété de cépages. En rouge, on trouve en cépages principaux le grenache, la syrah et le mourvèdre. Ceux-ci peuvent être complétés par du carignan, du cinsault ou du picpoul. En blanc, la clairette, la roussanne et le grenache blanc sont majoritaires, suivis des cépages accessoires tels que le viognier et le bourboulenc. « Grâce à cette diversité, nous pouvons élaborer des vins très différents », nous indique-t-on. À côté des classiques, le domaine Alary s’attache à faire revivre des cépages oubliés comme la counoise, le picpoul noir et le picpoul blanc. « Ils sont plus fins, moins riches en alcool et procurent une meilleure acidité », rapporte notre interlocuteur. Innover encore et toujours Afin d’améliorer la qualité de ses vins, le domaine Alary ne cesse d’expérimenter de nouvelles techniques. Pour 2019, la maison prévoit une vinification en chapeau immergé. « Le principe est de faire passer le jus par-dessus le chapeau de marc », explique Jean Étienne Alary. Ici, l’objectif est de procéder à une extraction plus fine dans le but d’éviter d’avoir des tanins grossiers. Enfin, pour préserver l’authenticité de ses vins, le domaine délaisse volontiers les cuves en bois au profit des cuves en inox et en béton. Des vins reconnus Parmi les spécialités de la maison, deux cuvées se démarquent nettement des autres : la cuvée Jean de Verde et l’Estevennas, toutes deux issues de sélection parcellaire. Obtenue à partir de l’assemblage de grenache et de carignan, la cuvée Jean de Verde se démarque par une explosion de fruits noirs, de chocolat et d’épices douces. Ce nectar n’a rien à envier aux grands vins de la vallée du Rhône en termes de puissance, de finesse et d’élégance. Notée 96/100 par le Wine Advocate, il remporte la meilleure note jamais attribuée sur un cairanne. Quant à l’Estevennas, il s’agit d’un vin complexe avec une sucrosité en bouche très intéressante. Il est doté d’une grande qualité de tanins qui lui confère toute sa puissance. Noté 95/100. ...
Après avoir investi les halles de Wazemmes, Grégoire et Nicolas proposent en plein cœur de Lille, au 62 rue de Béthune, un second restaurant Street Food autour du canard. Une fois la porte franchie, vous constaterez que restaurant et boutique sont totalement intégrés dans la décoration imaginée par l’agence flamande Créneau International. L’esprit marché y domine avec ce grand comptoir en bois et ces tables mange-debout. De petits coins cosy sont également disponibles pour des pauses repas plus soft. S’approvisionnant dans le Sud-Ouest mais aussi en Alsace et en Loire Atlantique, Canard Street peut proposer tout au long de l’année de la viande fraiche, exclusivement française et de qualité. Une dégustation au restaurant … Chez Canard Street, vous pourrez déguster burger, croustillant, tartare ou magret, savamment assaisonnés pour en révéler toute la saveur. Des plats modernes et délicieux qui sont réalisés sur place, dans la cuisine ouverte, à partir de cuisses confites ou de magret frais. Comme pour la viande, Grégoire et Nicolas ont souhaité choisir des produits de qualité. Ils ont fait appel à des artisans locaux. Ainsi les pains et les pâtisseries sont confectionnées par Patrick Doucet. Quant aux épices, vinaigre et autres condiments, ils sont achetés auprès d’Epicentriques. Tous les plats sont servis avec des wedges, des pommes de terre grillées et sublimées par du thym, du romarin et du gros sel. Ici tout est mis en œuvre pour faire frissonner de plaisir vos pailles ! … ou chez vous grâce à la boutique Dans la boutique, vous pourrez découvrir par exemple gésiers, rillettes de canard, saucisson au magret ou cou farci. Pour les fêtes, vous pourrez également découvrir un foie gras maison. ...
Pour l’histoire, Convergence Infirmière est né en 1992, afin de combattre les conventions répressives. Après avoir récemment défendu la généralisation du bilan de soins infirmiers et l’augmentation de 75% des tarifs conventionnels, Convergence Infirmière souhaite également développer de nouveaux rôles susceptibles d’être tenus par les infirmières libérales dans le domaine de la prévention. Ainsi, le syndicat défend ardemment l’idée d’une “Consultation de Prévention Infirmière“, destinée à repérer la fragilité d’un patient. Le but, in fine, étant de repousser sa dépendance ou de détecter les personnes à risque de diabète ou à risque de maladies cardiovasculaires. Convergence Infirmière souhaite également être un acteur majeur dans le suivi des patients chroniques comme pour les malades atteints d’un cancer, afin d’éviter au maximum les hospitalisations. Est-il possible d’optimiser les soins de santé, grâce à un nouveau mode d’organisation ? Convergence Infirmière veut, au travers de nouvelles actions, moderniser l’exercice libéral autour des soins de proximité, en travaillant étroitement avec les autres professionnels de santé, afin d’optimiser la prise en charge d’un maximum de patients à domicile. Pour ce faire, il est indispensable de créer une dynamique d’équipe autour des patients, d’organiser la coordination des différents professionnels, de mettre au point des protocoles pluri-professionnels de soins de premier recours, d’échanger les données de santé, de garantir la continuité et la permanence des soins, de prévenir toutes les complications, de prévoir des réunions de concertation, dans le but d’améliorer le maintien à domicile et la qualité de vie des patients. Pour favoriser les liens entre professionnels, Convergence Infirmière développe une application web nommée ″LEO″ (Lien Échanges Organisation). Elle permettra, à terme, d’enregistrer différentes données de santé, des fiches de coordination, des relevés d’informations, mais également de communiquer par visioconférence ou via un tchat, d’alerter en cas de problème et, bien sûr, de conserver la trace des différents échanges. Ainsi, une équipe-test de soins primaires va voir le jour à Montpellier, regroupant, dans un premier temps, médecins, infirmiers, pharmaciens et kinésithérapeutes. Les ostéopathes, les podologues, les orthophonistes comme les diététiciens auront aussi toute leur place dans ce dispositif. ...
Le restaurant Ker Soazig est né dans une volonté de mettre en avant les produits du terroir breton, de valoriser le circuit court et les produits de saison et, par-dessus tout, de prouver qu’il est tout à fait possible de manger bio sans forcément se ruiner. Particulièrement engagé dans cette démarche, Philippe Le Duff a lancé cette crêperie et ce bistrot breton en hommage à sa grand-mère Soazig Kersauson, dont le souvenir plane dans les moindres recoins de cet établissement au charme simple et naturel. Que du bio, que du frais « De la fourche à la fourchette », une notion qui prend tout son sens dès que l’on se met à décortiquer un peu le mode de fonctionnement du restaurant. Afin de respecter son engagement dans le développement durable et dans une optique de promouvoir une alimentation de qualité, Philippe Le Duff a créé la Ferme des loges (proche de Rennes), au sein de laquelle il cultive son propre blé noir 100 % bio (utilisé pour la fabrication des galettes). ILe blé est ensuite moulu à la meule de pierre, comme autrefois, ce qui préserve toutes ses qualités nutritives et gustatives. Pour le reste, la maison ira les chercher auprès des producteurs locaux. Elle travaille aussi en étroite collaboration avec des fournisseurs bio comme Biocoop. Des recettes d’hier et d’aujourd’hui « 100% bio, Ker Soazig essaie aussi d’être 100 % bon. » La carte a été construite selon des recettes inspirées de Soazig Kersauson, la grand-mère de Philippe. Véritable fermière bretonne, elle a su préserver les secrets de la bonne cuisine d’autrefois, qui contribuent aujourd’hui au succès du restaurant. Vous pourrez ainsi retrouver la fameuse crêpe épaisse, « Fraz Pitilig », un dessert typiquement breton. Des menus pour tous les budgets Premier restaurant certifié 100 % bio en France, Ker Soazig est aussi l’un des rares établissements à proposer des tarifs réellement adaptés à tous les budgets. Ainsi, pour moins de 10 €, il sera possible de déguster un menu composé d’un plat et d’un dessert. Le menu enfant, quant à lui, est tarifé à moins de 8 €. Toutes ces suggestions gourmandes se dégustent dans un décor intemporel à l’image de la Bretagne. Dans ce restaurant atypique, on se promène à la découverte de la maison Soazig à travers la remise, l’espace grenier constitué de mobiliers authentiques chinés dans les brocantes ou encore la salle centrale, dont le style est inspiré de son ancienne salle à manger. ...
Du bœuf de Kobe, à l’agneau d’Irlande en passant par le porc Genevois, le chef suisse doublement étoilé au Domaine de Châteauvieux Philippe Chevrier attise les braises dans son steak house à l’américaine. Cet authentique grill à l’américaine situé en plein cœur de Genève, sur la célèbre rue du Rhône est un repère idéal pour les fins gourmets. Célébrée dans un décor époustouflant, la viande est au centre des saveurs gastronomiques. Un peu de New York à Genève Pour Philippe Chevrier, cuisinier genevois doublement étoilé, c’est un vieux rêve qui s’est réalisé, avec l’ouverture de ce grill en fin 2015, à Genève. Le chef multi-restaurateur qui a bâti sa réputation au domaine mythique de Châteauvieux a toujours été fasciné par New-York. Preuve en est, il s’y rend régulièrement depuis 1984 pour participer au marathon. Plus qu’une inspiration, il a ramené du pays de l’oncle Sam de nouvelles façons de savourer la cuisine. Sur deux immenses étages boisés au chic incontestable tout de briques et de poutres, de matières brutes et de gros volumes, le décor de Chez Philippe semble tout droit sorti des quartiers de Brooklyn. Très fréquenté, l’établissement propose un dyptique au charme certain. Au rez-de-chaussée, le bar, lounge et décontracté propose à la carte burger, salades et viandes. Idéal pour un verre entre amis ou un repas sur le pouce. Le petit plus pour un moment after work : un pianiste qui accompagne les moments culinaires dans une ambiance conviviale. La brasserie est ouverte 7 jours sur 7 et prend les dernières commandes à 23h. A l’étage, c’est la partie grill-restaurant qui se dévoile. Plus intimiste, cultivant l’élégance et le raffinement cosy. Un immense loft au plafond haut et au décor vitré accueille le visiteur. Dans une ambiance tamisée et un design épuré, les chefs de Chez Philippe mettent sur le feu une gastronomie tendre et juteuse. Le succès du restaurant repose en effet sur la grande variété de viandes proposées sur le grill. A la carte, vous trouverez une vingtaine de pièces de viandes cuisinées et réputées pour leurs qualités gustatives. On y trouve, entre autres, de l’agneau d’Irlande, du porc Suisse, du boeuf d’Australie et du bœuf de Kobe (japonais). De quoi satisfaire toutes les envies des gourmets. Des tranches de rêve dans l’assiette Comme toujours dans les établissements signés Philippe Chevrier, les produits locaux restent à l’honneur avec des viandes suisses d’exception. Gourmandes, les recettes que l’on retrouve aux tables sont toutes réalisées avec maîtrise et savoir-faire sur le grill. Les plus belles races de bœuf, maturées sur l'os pendant 3 à 5 semaines sont travaillées par les chefs sur la base d’une cuisson au bois de hêtre dont les vertus sont reconnues pour une cuisine plus saine et diététique mais protéinée. Chez Philippe, la viande est aussi sélectionnée sur des marchés d’excellence incontournable, nous dit-on. En témoigne une collaboration fidèle depuis l’ouverture de l’établissement avec la grande boucherie du Molard, une institution Genevoise incontournable depuis 1921. Un boucher est d’ailleurs présent le midi pour découper la viande sous l’œil des clients dans les règles de l’art. Loin de se confiner à l’art terrien, la cuisine prend aussi le grand large. Homards, crevettes, noix de Saint Jacques snackées et autre mets de la mer connaissent également l’épreuve du feu avant de rejoindre le bois somptueux des tables et du bar. Le restaurant propose également un joli banc d’huitres d’Oleron. Du côté des desserts, les clins d’œil à New York se multiplient avec l’Empire State Building, ce gros gâteau meringué, servi aux fruits exotiques l’été et aux fruits rouges l’hiver. Le Genève-New-York est aussi à la carte, une sorte Paris Brest revisité et rebaptisé, véritable gourmandise agrémentée de chocolat et de café. ...
Entre les Brocard et les vins se cachent une véritable histoire d’amour. La grande aventure familiale a commencé en 1973, lorsque Jean-Marc Brocard rencontre son épouse, descendante d’une lignée séculaire de vignerons de Saint-Bris-le-Vineux qui partage avec lui une passion effrénée pour le vin. Le destin de Jean-Marc change radicalement lorsqu’il se rapproche de Louis Petit, un grand virtuose des vins qui l’initie dans l’art de manipuler la vigne comme il se doit, avec patience et respect. Ainsi motivé, Jean-Marc Brocard devient viticulteur et installe son domaine au cœur du vignoble, à Préhy (Yonne). Son fils Julien, ayant grandi au rythme de la vigne, se laisse séduire par le métier de vigneron à partir de 1995. Ce dernier étant passionné par la biodynamie, il décide d’insuffler un nouvel élan à la production en misant sur un mode cultural qui respecte la Nature. Le terroir de prédilection du chardonnay La maison Brocard a choisi de travailler en monocépage. L’heureux élu est le chardonnay, une variété tout à fait caractéristique de l’appellation Chablis. Aujourd’hui, ce cépage règne en maitre absolu sur 200 ha de sol argilo-calcaire. À noter que le chablis est un vignoble de bassin sédimentaire, c’est-à-dire une terre riche en matières et dont le sous-sol est constitué du fameux kimméridgien. Cet étage géologique datant du Jurassique supérieur est notamment composé de couches de marnes et de calcaires qui forgent tout le caractère des vins chablisiens. Ainsi, le chablis fait partie des rares vignobles d’appellation à pouvoir vanter expressément son identité géologique. Et pour les Brocard, se trouver sur un tel terroir ne peut être qu’une fierté. Qui dit « terroir exceptionnel » dit « traitement exceptionnel ». Julien Brocard insiste sur la contribution de l’agriculture biologique et de la biodynamie dans la qualité de ses vins : « Ces méthodes culturales nous conduisent à pratiquer une vinification naturelle. Ainsi, nous n’utilisons que des levures indigènes et laissons place à une fermentation spontanée pour obtenir des vins d’une harmonie optimale. » Les ambassadeurs de la maison Précision, force et fraicheur… Ces trois mots résument le style de production de la maison. Soit, tout ce que représente la cuvée « Sainte Claire ». Au-delà de ses arômes et de ses notes fraiches, caractéristiques du terroir, ce vin raconte une histoire. Son nom rend hommage à l’église voisine du domaine, autour de laquelle se sont enracinées les premières vignes de Jean-Marc Brocard. La cuvée « Montée de Tonnerre » quant à elle, est un emblème par excellence de l’AOC Chablis. « C’est un Premier Cru qui nous tient particulièrement à cœur et qui, d’autant plus, est très apprécié des amateurs de chablis », déclare fièrement notre interlocuteur. Idéal pour une longue garde, le vin en question séduit par ses arômes d’agrumes légèrement épicés et ses délicieuses notes toastées. Enfin, il est impératif de faire mention de « La Boissonneuse », le premier chablis conduit en biodynamie. Cette cuvée symbolise 20 ans de travaux acharnés dans le respect de l’environnement. « Des pratiques culturales entièrement saines qui vont vitaliser la terre et la vigne, afin de donner naissance à un vin naturellement exquis. » Découvrir le domaine Le cadre a tout pour plaire : un domaine, des vignes et une église du XVe siècle qui offre un beau panorama sur l’ensemble du vignoble chablisien. Quand des visiteurs viennent au domaine, les Brocard et leur équipe professionnelle se font un plaisir de les accueillir le temps d’une halte œnotouristique. Au programme : tour du vignoble à pied ou en gyropode, dégustation et déjeuner au domaine… Les œnophiles peuvent également acquérir quelques produits dans les boutiques de vente. Par ailleurs, une salle de réception est mise à disposition des clients désireux de fêter une occasion spéciale dans l’ambiance chablisienne. Les prof...
Fondé en 1987, cet organisme formateur a rejoint le groupe européen de l’information professionnelle WEKA en 2014 pour construire son expertise autour d’un puissant réseau de marques spécialistes. Ce groupe fédère aujourd’hui Formations Directions, Tissot Formation, Techniques de l’Ingénieur, Stratégies Formations, MB Formations et Legal&Network, qui sont des partenaires d’excellence pour l’entreprise. Restructurer les savoirs pour répondre aux nouveaux exigences et enjeux stratégiques Interrogée sur le mode de conception de son programme de formation, Claire Pascal, Directrice Générale, explique que « le catalogue des formations veut s’adapter à l’ère du temps, à la culture des entreprises et aux besoins réels du marché ». À la confluence, elle souligne plus particulièrement le contexte global du secteur, en pleine ébullition dans la réforme de la formation professionnelle engagée depuis l’année 2014. Ce projet de loi bouscule les pratiques dans les entreprises et fait apparaitre de nouvelles demandes dans l’univers de la connaissance. Ainsi, Comundi Compétences intègre dans ses réflexions les nouvelles alternatives pédagogiques capables d’accompagner la réalisation du projet professionnel de chaque salarié tout en stimulant la compétitivité de l’entreprise. Dans ce champ opératoire particulièrement complexe, les 600 experts et consultants-formateurs assurent une veille permanente, anticipent les besoins, identifient les objectifs pédagogiques et apportent des solutions pertinentes. Ces dernières peuvent se décliner sous plusieurs formats en présentiel (coaching, formation métier, cycle long, parcours professionnalisant CPF, ateliers et conférences, etc.) et en digital learning (e-learning, portail MOOC, classe virtuelle, webinar, serious game, etc.). « Notre manière à nous d’apprivoiser et d’assembler ces briques digitales dans le but de composer un contenu innovant fait notre identité » souligne-t-elle. En parallèle, l’entreprise propose également un coaching individuel ou collectif ainsi que des prestations counseling en management et soft skills, ressources humaines et transformation digitale. Une approche pluridisciplinaire à la croisée du distanciel et du présentiel « Pour nous, l’innovation traduit la capacité à recréer et à réinventer l’existant en apportant une valeur ajoutée en plus pour satisfaire les besoins de notre marché ». En avançant ces propos, Claire Pascal illustre parfaitement le cœur du métier même de Comundi Compétences. Elle se réfère notamment à l’offre blended learning, définie comme une modalité d’apprentissage mixte qui altère une formation présentielle et une formation digitalisée. « Grâce à cette méthode, nous pouvons offrir une solution one-to-one, plus précise et plus engageante, pour donner un vrai sens à la formation collective». Toutes les ressources numériques du Comundi Store sont exploitées en avant, pendant ou après un présentiel pour dynamiser l’échange : module de formation MOOC, outils de reporting, application via des serious game, webinar, mobile learning, module d’évaluation et pack préparation concours. Au-delà d’un ensemble de dispositifs numériques, le digital learning est d’abord une culture qui révolutionne, non seulement la démarche pédagogique, mais aussi l’écosystème de l’entreprise à tous les niveaux : les méthodes, les acteurs, le processus, la communication, etc. Le créative learning trip, destiné aux dirigeants, cadres et managers, s’inscrit également dans cette volonté d’innovation. Prenant la forme de visites guidées dans les écosystèmes spécifiques comme les start-up ou les usines, ce programme, co-créé par Emulsion Creative, a pour objectif d’aider les entreprises à découvrir les nouvelles tendances dans leur secteur. Le processus créatif, le design thinking, la pédagogie collaborative, l’intrapreunariat et la transformation digitale seront les principaux thèmes mis en avant pendant les deux jours de visite. En outre, cette offre se décline &...
Le chef Francesco Bertuna rapporte à Paris toutes les bonnes saveurs italiennes pour concocter des plats succulents. Il privilégie la création de recettes originales, revisitées ou classiques, élaborées uniquement avec des produits frais et de saison. Une singularité qui impressionne les convives. « Le restaurant propose 2 ou 3 plats du jour qui changent chaque jour. Les clients ne mangent jamais la même chose », indique le chef. En entrée, la salade de crevettes aux pousses d’épinard s’invite dans l’assiette. Cette suggestion fraiche et raffinée est assaisonnée d’huile d’olive, de vinaigre balsamique, sel et poivre. Une petite sauce à la cannelle légèrement sucrée l’accompagne. En plat de résistance, le choix s’annonce large. Entre le Risotto au champignon shiitaké, courgette et aneth et la Linguine au maquereau, fenouil et raisin sec, anchois, câpres et chapelure toastée, les papilles seront définitivement comblées. « Le tout à déguster avec un bon Renosu Rosso ou un vin de chez Marco Dettori », conseille Francesco Bertuna. Car sa carte de vins fait la part belle aux bouteilles italiennes réputées pour la richesse de leurs arômes et de leurs saveurs. Le voyage culinaire s’achève avec une classique tarte à la ricotta, ce célèbre fromage italien à pâte fraiche qui s’utilise dans des préparations aussi bien sucrées que salées. L’alliée favorite de tous les gourmands. Destination l’Italie À table, une généreuse coupelle d'huile d'olive et des baguettes fraiches accueillent les convives. Dans ce cadre très soigné de l’Olio Pane Vino, la clientèle plonge dans une atmosphère cosy et conviviale. Avec ses murs en pierres apparentes, sa décoration intérieure, où le blanc et la couleur crème dominent, rappelle le charme de l’Italie. Les photos en noir et blanc qui ornent les lieux et le mobilier tout en bois, du parquet au sol, créent un design épuré. La lumière intimiste et les longues tables procurent une ambiance parfaite pour les soirées entre amis ou en famille. Une adresse idéale pour des soirées privatisables ou à thème. ...
Le bâtiment qui abrite le Musée n’est autre que la maison natale de l’artiste lui-même avec un espace d’exposition s’étendant sur les deux niveaux que compte l’édifice. Un florilège d’œuvres à découvrir « La majorité des œuvres exposées au Musée Bartholdi sont celles de Bartholdi lui-même, composées de sculptures, de dessins, de peintures et de photographies » note Isabelle Bräutigam, conservateur du Musée. La société des Amis du Musée Bartholdi ou SAMBA, créée en 2003, ne cesse d’enrichir cette collection par de nouvelles œuvres de l’artiste ou de ses pairs. « En garde, l’art s’engage ! » Cette exposition temporaire qui a lieu actuellement au Musée « se fait en partenariat avec le FRAC Alsace, et présente des œuvres d’artistes contemporains mis au regard avec les œuvres d’Auguste Bartholdi » explique Isabelle. « Elle met en évidence le rôle politique que les artistes d’hier et d’aujourd’hui jouent dans notre société », car il ne faut pas oublier le fait que Bartholdi était un humaniste engagé. Et si l’exposition ne véhicule dans les faits pas de message, elle peut interpeller quelques-uns et peut-être bien leur changer leur vision du monde. ...
Des plages de sable fin aux villages circulaires millénaires, des espaces naturels aux pinèdes exhalant les senteurs de garrigue, le cadre est enchanteur. Molière, Boby LAPOINTE et Pierre-Paul RIQUET, le constructeur du Canal du Midi, y ont laissé des marques indélébiles. Mais ce qui constitue avant tout l’âme de ce pays, c’est la vigne. L’histoire, les paysages, l’architecture, l’archéologie, la géologie, la sociologie et même la gastronomie ne sont que les reflets du travail et des fruits de la vigne depuis si longtemps qu’il n’est pas possible de trouver une pierre qui n’ait servi à construire un mazet ou un muret, un homme qui n’ait taillé, vendangé ou vinifié, une maison, un château ou une cave qui n’ait servi à cette activité. Des vues imprenables mêlant étang, mer et vigne sont visibles vers Pinet, la capitale du Picpoul, non loin de l’ancienne voie romaine ; plus surprenantes, les terres rouges près de Montagnac et Castelnau-de-Guers, composant l’étendoir des fées ! Pinèdes, garrigues, statues monumentales entrent dans cette mosaïque singulière de sols et de paysages ô combien attachante. Saviez-vous que la bauxite, le basalte, les cailloutis villafranchiens se rencontrent au gré des parcelles et donnent au vigneron une palette de vins peu commune ? Pour le promeneur, ce sont les couleurs de la terre qui surprennent le plus : rouge, ocres… Un tableau de Cézanne ! Des domaines prestigieux dressent leurs silhouettes majestueuses en haut de collines ou au cœur de bois et de parcs. Des murailles moyenâgeuses de Vias aux seigneuries et châteaux de Pézenas, l’amateur trouvera des écrins à la hauteur des vins produits. Si l’envie vous prend, vous pourrez convoler en justes noces dans l’une des chapelles médiévales de ces demeures. L’architecture contemporaine a su trouver sa place dans le traditionnel Languedoc : des bâtiments basse consommation, des caveaux ultra-modernes en béton ciré ou un concept intégrant restaurant, caveau, hébergement, le tout décoré d’œuvres contemporaines et d’objets de designers et artisans d’art locaux. Longtemps le vin a été l’apanage des hommes, vignerons de père en fils. Aujourd’hui, de plus en plus de femmes sont à la tête d’exploitations viticoles et les dirigent avec bonheur : Cécile, Christine, Sabine, Anaïs, Sophie, Gersende, Anne, Fabienne, Cathy sont la nouvelle génération de vigneronnes, engagées et passionnées tout autant que leurs prédécesseurs. Dans ce Languedoc qui demeure le plus grand vignoble de France, vous êtes au cœur de trésors bien gardés. Là c’est tout un terroir viticole puissant qui s’investit logiquement dans la bonification de ses produits et le respect de l’environnement, l’embellissement et la restauration de son patrimoine et pour votre plus grand plaisir l’organisation de séjours œnotouristiques. Des expériences de plus en plus immersives ! Un terroir diversifié et riche d’AOP et d’IGP Situé plein sud, le terroir Hérault Méditerranée repose sur une variété de sols composés en grande partie de schiste, d’argile et de silice. Bercés par des influences maritimes, les vignobles du littoral, font la part belle aux cépages locaux tels que le picpoul et le marselan. Au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la mer, les cépages plus familiers du Languedoc, comme le mourvèdre, le grenache et la syrah, font leur apparition dans le paysage viticole. « Nous avons une belle complémentarité au niveau de nos terroirs », nous rapporte-t-on. En effet, tandis que les vins du littoral sont plus déclinés en rosé et en blanc, ceux de l’arrière-pays sont plutôt sur du rouge. En tout, le terroir compte 3 appellations d’origine protégée (AOP Picpoul-de-Pinet, AOP Languedoc et AOP Clairette) et 5 indications géographiques protégées (IGP Côtes-de-Thau, IGP Côtes de Thongue, IGP Coteaux du Libron, IGP Vicomté d’Aumelas et IGP Pays d’Hérault). Parmi les vins les plus emblématiques figurent le Languedoc-Pézenas, les Coteaux-de-Béziers, la Clairette d’Adissan, ...
C’est en 1977 que l’aventure viticole de la famille Fayard commence par l’acquisition du domaine par Jean Pierre et Brigitte. La reconnaissance dans le monde du vin arrive dès le début des années 80. Le domaine commence sa conversion au bio en 2003 et obtient la certification « écocert » pour la totalité de ses vins en 2009. Depuis le millésime 2015, l’ensemble de notre production est inscrite à la Vegan society, car l’absence d’intrants d’origine animale convient à la communauté végétalienne et végétarienne. Le vignoble Situé sur le littoral Varois, le domaine du Château Sainte-Marguerite jouit d’un terroir typique de l’appellation Côtes-de-Provence avec un sol argilo-schisteux qui s’étend à l’île de Porquerolles, la ville de La Crau, la ville de Bormes-les-Mimosas et La Londe Les Maures. Les cépages utilisés sur les parcelles sont le Cinsault, la Grenache et la Syrah pour le Rosé. Les deux derniers cépages sont également utilisés pour le Rouge avec le Cabernet-Sauvignon et le Mourvèdre. Pour le blanc, le principal cépage st le rolle. Près de 550 000 flacons sont en moyenne issus de ces vignes dont 65% de Rosé, 20% de Rouge et 15% de Blanc. La désignation géographique complémentaire « Côtes-de-Provence La Londe » a été reconnue depuis 2008. La cave Grâce à la transmission de la passion et des secrets familiaux depuis des générations, la famille Fayard combine connaissance des traditions et techniques modernes. L’attention portée au terroir et à la vigne reste importante toute l’année avec un travail régulier du sol et une adaptation aux facteurs naturels. Le domaine investit donc dans les moyens techniques tels que les machines à vendanger avec tri embarqué et se dote d’une équipe de 40 vendangeurs. Ce sont les garanties d’une vendange à « top maturité ». Le pressurage direct avec le pressoir pneumatique permet d’éviter le déchirement de la peau ou « rebèche ». Les tiges qui tiennent les grappes sont retirées pour ne pas donner un côté herbacé au jus. Le vin rouge et blanc sont élevés en fut entre 12 et 24 mois suivant les besoins. Le Château Sainte-Marguerite est reconnu Cru Classé Côte-de-Provence depuis 1955. La cuvée Symphonie en est le navire amiral. Une symphonie de saveurs qui, en Blanc, s’habille d’une robe limpide et brillante à reflets or. Ce vin possède un nez fin et complexe, des senteurs d’agrumes, vanille et miel avec des notes grillées. Enfin, une bouche aromatique, riche et persistante glisse vers une finale délicatement miellée. Le palmarès Les deux Châteaux de la famille Fayard, Sainte-Marguerite et Saint-Martin, produit des cuvées de qualité. La Symphonie Rouge du Château Sainte-Marguerite a été médaillée d’argent au Concours Général Agricole de Paris. Pour l’Hermitage Saint-Martin, la cuvée Ikon a été récompensée par le Wine enthusiast avec une note de 93/100 pour le Rouge et 90 pour le Blanc et le Rosé. La Grande Cuvée Enzo en Rosé a aussi brillé lors de la foire de Brignoles. Le grand prix d’ensemble nous a aussi été décerné pour avoir été primé sur 5 vins dans les 3 couleurs au Concours des vins de la Méditerranée. Accessibilité La famille Fayard participe fréquemment à différents salons régionaux, nationaux et internationaux tels que la présentation des millésimes des Côtes-de-Provence à Mandelieu, le salon des clubs des professionnels du vin à l’hôtel Negresco de Nice ou encore Vinisud et Vinexpo. Par ailleurs, elle reçoit quotidiennement au domaine pour une dégustation des vins. Vous pourrez également retrouver ses vins chez de nombreux restaurateurs ainsi qu’un réseau de cavistes répartis sur toute la France. A l'international, la marque est présente dans une trentaine de pays dans le monde. ...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...
Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran Embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire. Les nations sans État comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans, les Kurdes... En fait, tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. » Éditions Yoran Embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran Embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français/roumain, français/lituanien, français/basque, français/gaëlique écossais, français/corse, français/kurde : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 22 nouveaux livres. » L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...
Le palmarès de la Cave des Vignerons de Pierrevert montre que leur union porte ses fruits. En 2016, elle est représentée sur tous les marchés du podium au Concours Général Agricole de Paris. En tout, elle a remporté cinq médailles dont deux médailles d’or pour l’AOP Pierrevert rosé 2015 et IGP bio rosé 2015, une médaille d’argent et deux bronzes. Au Concours des vins IGP de France VINALIES, trois médailles d’argent lui ont été décernées. Une Coopérative Ceci est l’histoire d’une centaine de viticulteurs qui décident de s’allier pour mieux produire et mieux vendre leurs vins. La coopérative « c'est d'abord un projet d'hommes et de femmes s'inscrivant dans une volonté commune de performance » selon Corinne Campana, responsable commercial. Auguste Bastide fonde en 1925 la Coopérative Vinicole Agricole des Coteaux de Pierrevert. C’est la seule coopérative vinicole des Alpes-de-Haute-Provence connue à ce jour, après la fusion avec les Coopératives de Villeneuve et de Quinson en 1992 et avec la Coopérative de Manosque en 1998. L’objectif du projet est de « proposer une large gamme de produits, adaptée au marché et capable d'évoluer rapidement en fonction de la demande des consommateurs » raconte Corinne. La structure composée de cent vingt viticulteurs produit donc des vins rouges, rosés et blancs en AOP Pierrevert, IGP des Alpes-de-Haute-Provence, IGP cépages Cabernet Sauvignon et Merlot et enfin Vin de France « rosé fruité ». Petra Viridis La Cave de la coopérative des vignerons de Pierrevert a atteint ses 90 ans en mars dernier, elle a beaucoup évolué depuis sa création. Le savoir-faire traditionnel des viticulteurs côtoie aujourd’hui les matériels modernes qui interviennent dans le processus de transformation du vin comme les pressoirs pneumatiques, cuves inox réfrigérées et groupe de froid. Cela permet à la Petra Viridis de produire « des vins qui portent la signature du terroir » Le Terroir Le terroir recouvre une surface de 400 hectares qui concerne une dizaine de communes autour de Pierrevert, sur les contreforts de la vallée de la Durance et sur le site de Quinson. La qualité du sol, le climat et surtout le travail des vignerons dévoilent à travers leurs vins les particularités de ce terroir. Les cépages prédominants sont le Grenache noir et la Syrah. Le reste inclut le Merlot, Cabernet Sauvignon, Muscat de Hambourg, Muscat petits grains, Vermentino et Grenache blanc. ...
Situé au sein de Canon-Fronsac, petite appellation de Bordeaux d’environ 300 hectares de vignes et qui réunit 46 producteurs, le Château Gaby, créé en 1660, est un vignoble emblématique de par sa situation et sa belle architecture. Celui-ci a été repris par David Curl en 2006, avec sous sa direction Damien Landouar. Le domaine s’est donné dès lors pour objectif de promouvoir la qualité du vin de Fronsac, en prouvant que le haut du panier n’a rien à envier aux grands crus de Saint-Émilion. C’est donc un travail des plus méticuleux qui est exécuté par Damien Landouar et son équipe, qui ont vu décerner à leurs belles bouteilles de magnifiques récompenses. Le travail minutieux de sols diversifiés L’ensemble des vignes du domaine s’étend sur 16 hectares de sols à dominance calcaire, dont 80 % en jolie exposition sud, très favorable à la culture du merlot. Dans ce fameux paysage vallonné surplombant la Dordogne et faisant le charme de Fronsac, le plateau est argilo-calcaire, et la plaine argilo-sablonneuse. C’est un microclimat frais, et plus précisément maritime bordelais, qui couvre toute la propriété. C’est une agriculture bio de grande exigence que met en avant le domaine, pour obtenir le meilleur des vignes. Ainsi, l’utilisation de produits certifiés bio, à l’instar de la bouillie bordelaise traditionnelle, est de rigueur, principalement pour traiter les vignes contre les maladies. L’élaboration des sols est faite à l’ancienne, et donc à cheval sur les meilleures parcelles. Le domaine sème ses propres engrais bio, et enlève tout ce qui est chimique, afin de prolonger la vie des sols. Les pesticides sont également prohibés et la présence des engrais biologique dans cette agriculture bio permet aux racines de s’enfoncer dans la terre et de chercher plus de richesses dans le sous-sol. Entre autres, le domaine travaille selon 4 principes : Vendanger un raison mur, vinifications naturelles avec peu de souffre et levures indigènes, élevages en barriques en cherchant des tannins élégants, pas de filtrage ou de collage avant la mise en bouteille. Des vins de caractère L’expression de Fronsac regroupe 12 Châteaux des appellations Fronsac et Canon-Fronsac, des vins de garde de qualité et de précision. Pour le Château Gaby en particulier, c’est 3 vins différents et 3 sélections parcellaires différentes. Les pourcentages de cépages utilisés par le domaine sont à 80 % de merlot, 10 % de cabernet franc et 10 % de cabernet sauvignon. Parmi les vins, la Cuvée Gaby, petite production confidentielle avec environ 1 800 bouteilles produites par an. Vinifié avec zéro soufre ajouté et des macérations froides pleines de particularités, c’est un vin complexe nécessitant beaucoup de carafage. Cette bouteille issue de la parcelle à dominance calcaire est reconnue à l’échelle mondiale pour son caractère atypique. La Cuvée Gaby s’est hissée en tête de classement des vins à l’aveugle, surpassant 600 bouteilles toutes appellations confondues, devant un grand jury en 2008. Le Château Gaby est non seulement un grand vin de garde, mais également le grand vin de la propriété. Il est issu des parcelles argilo-calcaires et, pour ce vin, environ 40 000 bouteilles sont produites par an. Élégant et équilibré, il est reconnu pour sa richesse et sa finesse de bouche ronde. Ce délice est est régulièrement un coup de cœur du Guide Hachette. Les Roches Gaby, c’est le vin issu de la plaine argilo-sablonneuse du domaine. Ce paramètre donne à cette belle bouteille un caractère souple, fruité et plein de richesse. Il est consommé plus jeune que le Château Gaby. Ces vins sont servis dans de grands restaurants de Londres comme chez Marcus Wareing au Berkeley Hotel, ou encore au Goring Hotel. De plus, les vins sont en vente directe à la propriété ainsi qu’exportés dans un vingtaine de pays du monde. ...
Dominique Sendron a repris l’exploitation familiale il y a 22 ans. Elle perpétue le savoir-faire en veillant minutieusement à la manipulation des vignes, de la récolte à la mise en bouteille. Un terroir productif Le terroir est habillé d’un sol argilo-calcaire, où sont cultivés essentiellement du meunier (85 %) et du pinot noir. L’exposition sud favorise la maturation des vignes et procure une intensité aromatique aux champagnes. ...