La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton. Crêpes et galettes bretonnes La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée. Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients. Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne. Un état d’esprit, une éthique La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients. Un restaurant ouvert aux artistes Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes. Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année. ...
Avec leurs 16,5 hectares de terre, Alain et Dominique Duveau produisent pas moins de 20 000 bouteilles chaque année, principalement du Saumur-Champigny, qui représente 90 % de leur exploitation. Un vin que le duc de Berry exploitait jadis au pied du château de Saumur, dans les années 1440. Une tradition toujours respectée Sur les sols du bassin parisien, en Anjou, le Domaine des Sables Verts est reconnu pour son exploitation sur des terres argilocalcaires où le climat et la verdure donnent au vin traditionnel un goût et une noblesse que l’on ne peut trouver ailleurs. Le cabernet franc, le cépage de prédilection de la région, qui se distingue par sa finesse et son léger arôme épicé, est mis en bouteille durant l’hiver. Le Domaine produit également un saumur blanc, à base de chenin, sec et fruité, récolté à la main et élévé en barriques de chêne dans les caves de tuffeau. A partir de ce même cépage et lorsque la météo est favorable, les frères Duveau aiment à élaborer un vin liquoreux en vendanges tardives qu'il appellent "Nectar de Chenin" et qui accompagne généralement le foie gras. À chaque vin son histoire. Celui des frères Duveau prend vie en vieillissant dans les caves, attendant d’être travaillé et dégusté par les amateurs de bon terroir. En tout, cinq vins de différentes appellations sont produits chez eux, dont deux rouge d’excellence, un blanc sec, un blanc liquoreux, ainsi qu’un Crémant rosé en méthode traditionnelle à base de cabernet. Une région où le vin est roi Le Val de Loire possède 70 000 hectares de plantations, avec pas moins de 65 appellations différentes, faisant de cette région l'une des plus grandes exploitations de vins au monde. Avec son paysage et son climat, ou les fleuves et les rivières traversant les châteaux et autres domaines viticoles, le vin a su naturellement s’intégrer dans la culture traditionnelle. Elle est, depuis le 30 novembre 2000, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Respectant toutes les techniques, anciennes comme modernes, dans l’exploitation des vignes, l'Anjou est une contrée où la joie de vivre et le savoir-faire suivent chaque personne dans son quotidien. Pépinières et jardins sans oublier les habitations troglodytiques font d’elle une région d’exception. En hiver, pour ses veillées autour d'un feu de cheminée et de fouées garnies, ou l’été, pour les parties de grillades autour d’une bonne bouteille de blanc frais et sec ou rouge et fruité. Au cours d’un séjour dans la région, un passage au Domaine des Sables Verts est incontournable. Il vous propose chaque année une randonnée autour de l’exploitation, et organise des pique-niques et des visites de caves, tout cela au mois de juin, à l’occasion de « la fleur des vignes ». ...
Restaurant au décor lumineux, moderne et agréable, Le Fanal est une adresse d’exception située en plein port de Banyuls-sur-Mer. Adresse reprise par Pascal Borell et sa compagne il y a plus de 3 ans. Le couple compose des plats inventifs, colorés et saisonniers, qui mettent en avant la cuisine du terroir catalan. Une cuisine qui leur a valu 1 étoile au célèbre Guide Michelin, et le certificat d’excellence Tripadvisor. Une cuisine coup de cœur Le restaurant Le Fanal tient sa renommée de sa cuisine créative, contemporaine et aux influences méditerranéennes, variant selon les saisons et portée sur la découverte de l’essentiel : « le beau produit ». Aux fourneaux, Pascal élabore des entrées et plats savoureux, tandis que sa compagne orchestre de magnifiques desserts et s’occupe du service en salle. Tous deux ont eu à faire leurs preuves auprès de grands restaurants étoilés tels que L’Arpège d’Alain Passard, à Paris, ou encore La Famille By Bardet de Jean Bardet, à Tours. Ici, la carte change régulièrement, et la cuisine est fonction des produits du jour. Dès l’entrée, le délicieux tartare de poisson issu de la pêche locale est accompagné d’une émulsion à base de lait de coco, de concombre et de jus de citron. C’est un plat préparé à partir de poissons découpés en petits morceaux et mélangés à un assaisonnement d’huile d’olive, de jus de citron, de ciboulette et d’un peu d’huître pour apporter une petite touche iodée. La petite crème émulsionnée est versée au-dessus du tartare pour donner plus de fraicheur au plat, sans oublier le caviar perle noir du Périgord en fin de présentation. Autre entrée signature, le cromesquis d’œuf à la truffe. C’est un beignet cuit à basse température et renfermant un œuf au jaune coulant. Croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, il est servi avec une purée de champignons sur laquelle il est déposé. Les champignons utilisés pour cette préparation sont issus de la cueillette du jour. En guise de plat principal, le merlu de ligne. Ce plat cuit à basse température est un tronçon de merlu posé au centre d’une assiette, avec de la quenelle de risotto de fregola sarde. Au-dessus, une sauce accompagnée de fumé et de gingembre. Les desserts sont également élaborés en fonction des saisons. Des desserts comme la nage de pêche à la verveine, qui est une soupe froide à la pêche accompagnée de sirop à la verveine. Celui-ci est servi sur une coupe transparente légèrement givrée, et dans laquelle sont mis le sirop et la pêche découpée en petites billes. Le dessert est complété avec un sorbet au yuzu, et du romarin. Le restaurant sert également trois sortes de pain fait maison pour chaque service : un pain à l’épeautre bio, un aux céréales et un autre au maïs. Et les jolis dressages sont un appel sûr à l’appétit ! Harmonie entre cuisine et vins Les vins de la cave du restaurant Le Fanal se marient merveilleusement bien avec les plats élaborés en cuisine. À la carte, Signature millésime 2014 du Domaine du Mas Blanc. Ce vin blanc sec du terroir de la Côte Vermeille, constitué de quatre cépages, confère une fraicheur aux fines notes citronnées et iodées. Il est parfait pour accompagner le tartare de poisson. Également le Banyuls blanc, indiqué pour la nage de pêche à la verveine. Ce vin doux et naturel est consommé jeune, il se marie efficacement avec les desserts. Légèrement sucré avec des notes fraiches de fruits blancs et des nuances de poire, ce vin blanc peut être conservé longtemps pour mieux apprécier son côté aromatique. ...
Face à une offre de séjours linguistiques très polychrome, l’on se retrouve vite noyé. Pour cet organisme basé à Lille, le temps des packages préconçus qui font fi des vrais besoins des stagiaires est dépassé. Accompagnement et transparence sont au centre des services dispensés par cette institution qui bénéficie d’une validation à l’international et qui a été créé par un véritable expert des séjours linguistiques. Avant de lancer Idéalangues, Yohan Duchatelle a en effet vécu plus de 8 ans à l'étranger dont 7 en pays anglophones et a visité près de 45 pays. Une expérience qui lui permis de connaître plus en détail chaque destination qu'il propose aujourd'hui dans son agence. Des séjours anglophones d’immersion personnalisés Les prestations offertes par Idéalangues ciblent les étudiants mais également les adultes. Les aspirations profondes de ces auditeurs sont explorées à travers un entretien approfondi. Niveau, perspective métier, souhait de compétences à acquérir, tout est pris en compte pour orienter le stagiaire vers une école ou un programme spécifique. Les préférences en matière de localisation et de conditions de vie sur place sont même intégrées. Cette analyse des besoins est effectuée gratuitement. Plus généralement, l’accompagnement de l’organisme est décliné sous trois autres formules payantes : Confort, Confort+ et Duo. Organisation du séjour, inscription, démarches de visa, entre autres, viennent alors enrichir les services de base. L’organisation du transport et/ou l’organisation de stage en entreprise peuvent encore étoffer les prestations, dans certaines formules. Un réseau de partenariat élargi À ce jour, Idéalangues collabore avec près de 250 écoles à travers le monde. Elles sont implantées, pour la plupart, dans des pays où le fondateur a lui-même déjà fait un séjour. Cette bonne connaissance du terrain est effectivement proposée comme un bonus quant à la garantie de qualité des offres recommandées par l’enseigne. Celle-ci a, en outre, la particularité d’afficher des preuves d’accréditations internationales telles que English UK. « Je suis le seul agent français accrédité par Business English UK, ce sont des écoles spécialisées en anglais des affaires », rajoute Yohann Duchatelle. Membre du réseau Quality English et accréditée IALC (Association internationale des centres de langue), l’enseigne a également obtenu de nombreuses distinctions pour son travail. Elle a notamment été récompensée au Canada par un Premier Agency Business Awards au titre de meilleure nouvelle agence, en 2013. ...
L'art brut, expression artistique à la marge, a trouvé en Aloïse Corbaz une figure emblématique. Jean Dubuffet qualifie ces productions de "manifestation vraiment resplendissante, dans la peinture, de la pulsation proprement féminine". Son œuvre, marquée par des influences singulières et une vie tumultueuse, révèle une sensibilité unique et une créativité sans borne qui a marqué également l’auteur de l’amour fou, André Breton qui dans sa collection personnelle détenait quelques-uns de ses dessins. Également, La Cinémathèque française conserve un ensemble de quatre œuvres illustrées de six dessins d'Aloïse Corbaz, mais c’est au musée de la Collection de l’Art Brut à Lausanne qu’on retrouve l’essentiel de ses réalisations. L'art brut et ses origines Terme popularisé par le peintre français Jean Dubuffet que côtoyait Alain Bourbonnais, fondateur de La Fabuloserie, l’art brut désigne une production artistique autodidacte, spontanée et réalisée en dehors des circuits académiques. C'est un art brut, littéralement "brut" et "non contaminé", qui est souvent le fruit de personnes en marge de la société, comme des patients psychiatriques, des marginaux ou des enfants. L'art brut est caractérisé par sa liberté, son originalité et son authenticité. Longtemps marginalisé par le monde de l'art officiel, ce n'est que dans les années 1940 à 1970 que Jean Dubuffet et d'autres artistes ont commencé à reconnaître et à défendre la valeur de ces productions marginales. Aujourd'hui, l'art brut est reconnu comme un mouvement artistique à part entière et des œuvres d'artistes comme Aloïse Corbaz sont exposées et étudiées dans le monde entier. Aloïse ou une théâtralité amoureuse Gouvernante à Potsdam près de Berlin, Aloïse Corbaz tomba amoureuse de l'empereur Guillaume II et rêvait de devenir cantatrice. Contrainte de retourner en Suisse lors de la déclaration de guerre, elle est internée en 1918 à l'asile de Cery, puis à l'asile de la Rosière après avoir manifesté un sentiment d'extase religieux. En secret, elle commence à réaliser à l’âge de 55 ans une œuvre graphique unique en son genre. Son œuvre, d’une qualité remarquable, comporte plus d’un millier de dessins en noir et blanc au départ à la mine de plomb et encre puis, à partir de 1920, réalisés avec des crayons de couleur et des craies grasses offerts par ses médecins et quelques visiteurs. Elle s'appuie également sur le suc de pétales de fleurs écrasées et de pâte dentifrice. Initialement, elle utilise de petits morceaux de papier ou de carton récupérés comme supports d'expression, puis elle passe aux cahiers d'écolier et aux feuilles de papier d'emballage cousues ensemble pour obtenir de grands formats. Ses œuvres sont peuplées de personnages princiers et d'héroïnes historiques, leurs regards noyés de bleu évoquant Marie Stuart, la reine Élisabeth ou encore Cléopâtre. Son univers est le théâtre de saynètes amoureuses et passionnées où le couple envahit les espaces à l'endroit et au revers de la feuille. Aloïse à La Fabuloserie Contrairement à Jean Dubuffet dont la collection est centrée autour d’artistes issus d’un univers psychiatrique, Alain Bourbonnais n'avait pas l'habitude d'acquérir des œuvres de cette nature. Sa vision de l’art brut était moins restrictive et fait encore aujourd’hui débat. Toutefois, une œuvre, Marguerite de Bourgogne, un recto-verso non daté à la craie grasse que l’on retrouve aujourd’hui à La Fabuloserie. Son œuvre, unique dans la Collection hors-les-normes, fut acquise par Alain Bourbonnais en décembre 1972, suite à l'exposition inaugurale à l'Atelier Jacob avec les oeuvres d'Aloïse prêtées par Jean Dubuffet. ...
Rutabago vous réconcilie avec les fourneaux en vous facilitant totalement la vie. Le concept : passez commande sur le site Internet de vos paniers prêts-à-cuisiner et ils vous seront livrés chaque semaine afin que vous puissiez mitonner de bons petits plats. En plus d’être pratique, Rutabago est une invitation à manger équilibré et surtout bio. Que demander de plus ? Paniers prêts-à-cuisiner : des produits sélectionnés avec soin Votre rythme de vie, aussi effréné qu’il est, ne sera plus une excuse pour éviter de cuisiner chez vous grâce à Rutabago. Avec ses recettes classiques ou végétariennes, la marque vous propose ses paniers prêts-à-cuisiner bio dans lesquels tout est inclus : viandes, poissons, légumes et fruits frais jusqu’aux épices et herbes aromatiques. Les producteurs fournissant les ingrédients sont triés sur le volet afin de garantir qualité et fraîcheur. « La traçabilité est importante pour nous et sera gage de fiabilité pour nos clients », fait savoir Pierre Pointard, cofondateur de la start-up. Outre les ingrédients, le panier contient un livret de dégustation qui comprend les fiches de recettes et retrace la provenance de chaque produit. Les recettes ! Parlons-en justement. Se prêtant à une véritable aventure gastronomique, elles ont été concoctées par des chefs, puis validées par une diététicienne. La cuisine française et la cuisine du monde sont également à l'honneur. Les suggestions changent chaque semaine et vous êtes ainsi certains de ne pas toujours manger la même chose. Côté timing, pas de panique, puisque la moitié des recettes ont été formulées pour que vous ne passiez pas un long moment en cuisine. « Une moyenne de vingt minutes, préparation et cuisson incluses », nous indique-t-on. Et dans l'optique de ne livrer qu'en juste quantité, les ingrédients sont pré-dosés et conditionnés de façon optimale. Il est en effet très important de spécifier que selon l'ADEME, chaque français gaspille en moyenne 20 kg de nourriture chaque année. « Consommer les paniers-recettes Rutabago permet de diviser ce taux par deux » explique Mathieu, cofondateur et responsable de la logistique. ...
Implanté à Gennevilliers, ANZI CAB est entré dans la ronde des VTC, il y a maintenant quinze ans. Cette société de location de voiture avec chauffeur est connue et reconnue pour sa fiabilité et son sérieux. Étant un acteur du marché des VTC depuis plus d’une décennie, ANZI CAB dessert Paris et ses régions avec une renommée qui n’est plus à construire. Une démarche visant l’amélioration continue Dans le marché déjà très saturé des VTC à Paris, ANZI CAB compte bien offrir une prestation qui sort des sentiers battus. Conscient des difficultés rencontrées par les Parisiens pour se déplacer dans la capitale, l'entreprise mise sur des prestations au plus près des besoins de sa clientèle. Son objectif : optimiser au maximum l’expérience-client. C’est ce qui lui a valu cette touche qui fait tant la particularité d’ANZI CAB. C’est ainsi qu’adepte de l’amélioration continue, l’enseigne a su offrir au fil du temps des prestations riches en qualité. Trajets agréables et panoplie de services à bord d’une voiture de luxe Anzi Cab assure vos transferts vers les aéroports parisiens Roissy, Orly et Beauvais. Avec la possibilité de lancer un devis en ligne et un prix fixé dès la réservation, ANZI CAB promet à ses clients des tarifs très concurrentiels. En outre, des forfaits sont offerts pour certaines destinations, pour ne citer que le trajet Paris Roissy CDG facturé à 59 euros TTC, ou bien le Paris Beauvais à 145 euros TTC. Les transferts aéroports et gares longue distance avec attente gratuite comptent parmi les services offerts. Pour les déplacements ponctuels ou réguliers, la mise à disposition complète pour la journée permet d’effectuer tranquillement ses courses ou des visites touristiques. Au grand bonheur de la clientèle, les prestations englobent des services divers, dont une prise USB, une borne wi-fi et une tablette 4G pour naviguer, revoir ses mails ou vaquer à ses tâches professionnelles. Une prise de courant permet également de recharger divers appareils. Ce concept vise à ce que la clientèle gère au mieux son temps durant le trajet. Côté confort, l’on peut dire que les clients sont gâtés puisqu’en plus d’être doté d’un intérieur en cuir, le véhicule, une Mercedes classe E, est climatisé. Ses vitres teintées procurent une discrétion totale. Des confiseries telles que petits gâteaux et bonbons délicieux sont mis à disposition des voyageurs avec de l’eau minérale ou gazeuse pour se rafraîchir à son aise. Attachée à l’idée de faciliter les processus, l’enseigne met à disposition des clients une réservation en ligne ainsi qu’un terminal de paiement électronique. ...
A l’extérieur du village de Saint Paul de Fenouillet, à 37 km de Perpignan, se dresse le château de Peyralade, demeure du XVIIIème siècle où Véronique et Xavier Maury reçoivent leur clientèle en table et en chambre d’hôtes. Situé à 45 minutes de la mer et à une heure de la montagne, ce site est dédié à la culture œnologique et gastronomique. Géographiquement, le château de Preyralade s’inscrit pleinement dans le territoire viticole du Roussillon et de sa production où vins rouges et blancs secs disputent désormais la vedette aux célèbres et ancestraux Vins Doux Naturels (VDN) de Maury, Rivesaltes et Banyuls. Mais sa situation également proche de celle du vignoble de Limoux lui permet de bénéficier des célèbres Crémant et Blanquette, effervescents éponymes. L’occasion en un périmètre restreint, de présenter tous les types de vins au cours de ses ateliers oenologiques. Des ateliers œnologiques complets et variés Au château de Peyralade, Xavier & Véronique animent tout au long de l’année un large choix d’ateliers éclectiques (12 au total) qui traitent des vins classiques et spéciaux, de façons ludique et interactive. L’occasion de raconter l’histoire de cette boisson depuis les origines de l’humanité et son lien aux Hommes et aux civilisations, tout en dévoilant son usage médical, social, sacramentel et économique. Dans un autre atelier, sera contée l’histoire des VDN et de leur inventeur Arnaud de Villeneuve, emblématique personnage médiéval des XIII° & XIV° siècles célèbre théologien catalan et médecin du roi Jacques Ier d’Aragon. Xavier dévoilera l’approche sensorielle et les outils du goût, en révélant notamment à chacun ses propres niveaux de perception des quatre saveurs fondamentales et démystifiera le langage des professionnels du vin. Chacun aura également l’occasion de mieux connaître les deux seuls crûs du Roussillon, les AOP Maury et Banyuls, d’apprendre à cerner les contours de leurs terroirs, en piéger les senteurs et en découvrir les saveurs d’exception. Au château de Peyralade, Xavier invitera chacun à confronter les deux AOP Maury et Rivesaltes, ou à découvrir chacune d'entre elles grâce à deux leviers : le premier, intitulé "Verticale" comparera un seul et même vin mais issu de plusieurs millésimes, le second, dénommé "Variation" présentera les interprétations d'un seul et même millésime de plusieurs producteurs. Enfin, les Rancios sont également explorés. Ces vins spéciaux résultent d’un élevage oxydatif long et puissant. Leur mystère sera éclairci à la lumière de plusieurs vins remarquables secs et doux. Un hébergement cosy pour une restauration fine et délicieuse Le château de Peyralade dispose de 2 chambres doubles et d’une suite pour un couple et deux enfants (ou 4 personnes), toutes avec salle d'eau privative et non-fumeur. D.O 620 est la dernière chambre aménagée. Malgré sa grande taille (24 m²), elle est la plus modeste. Ses teintes murales bleues lui confèrent un esprit très cosy et sa salle d’eau au coté rétro offre tout le confort nécessaire pour un séjour de tout repos. La suite Flavène, aux teintes très nature, se compose d’une chambre principale claire pour les parents, et d'une seconde pour 2 enfants (ou 2 adultes) à l'esprit très "cabane". La Anthocyane allie, quant à elle, l’ancienneté de la demeure à la modernité des équipements, en témoigne la présence de meubles d’antan associés à une décoration et des matériaux contemporains. L’anthocyane est la substance naturelle du raisin qui teinte les vins rouges Fort logiquement, cette couleur donne le ton de cette chambre. Le petit-déjeuner est continental et toujours inclus dans le prix de l’hébergement (Breakfast possible avec supplément et réservation la veille). De plus, Véronique et Xavier convient chaque soir leurs clients à partager la table d’hôtes autour d’un apéritif traditionnel suivi d’un repas complet En termes de r...
CAROLEPICELINE a été créée en juillet 2017 sous l’impulsion de Carole Lalay-Martins et de Céline Kissel, deux amies d’enfance tombées amoureuses de Madagascar et de ses richesses naturelles. Aujourd’hui, les deux amies ont à cœur de partager ces trésors naturels, le tout dans une démarche écoresponsable. Respect de l’environnement et de l’humain CAROLEPICELINE, c’est avant tout des épices premium de qualité supérieure, issues d’une agriculture traditionnelle qui respecte l’environnement et en provenance exclusive de l’île de beauté située aux larges de l’océan Indien. « Nos épices sont cultivées sans engrais ni pesticides. Et nous essayons d’accompagner les cultivateurs et les récoltants dans la pérennisation de leurs terres », explique Carole Lalay-Martins, cofondatrice de l’enseigne. Toujours dans cette démarche écoresponsable, l’entreprise fait preuve de rigueur dans le choix de ses fournisseurs et travaille ses packagings afin de limiter ses émissions de CO2. Les produits phares CAROLEPICELINE met à disposition 3 gammes de produits accessibles via sa boutique en ligne : « Épices de Madagascar », « Préparations rhum arrangé » et « Epice ta beauté® ». Parmi les épices proposées, Carole et Céline recommandent tout particulièrement le poivre sauvage voatsiperifery, une épice endémique de l’île à la saveur intense et profonde. Autre produit d’exception : le combava, un petit citron exotique très prisé pour son essence. Ces trésors récoltés dans des régions spécifiques de l’île s’adressent à une cible élargie. « Notre offre se destine au BtoC à travers notre site Internet et la vente de nos produits en boutiques éphémères ou lors d’évènements. Nous avons également une offre dédiée au BtoB par le biais de notre activité Cadeaux d’affaires. Et une autre s’adresse aux professionnels de la restauration avec la vente en vrac », soulignent les co-fondatrices. ...
Situé à l’entrée d’Aniane et de Saint-Guilhem-le-Désert, le domaine s’étend sur 47 hectares de terres. Il représente fidèlement le terroir du Languedoc caractérisé par sa complexité particulièrement digne d’intérêt. En plus du goût singulier de ses vins rouges, blancs et rosés, le domaine propose un « parcours pédagogique » dans ce lieu empreint de charme intemporel dédié au calme et à la sérénité. À terroir d’exception, vin d’exception… Des experts ont pu établir la cartographie du sol du domaine pour que chaque cépage puisse se développer dans les meilleures conditions. Le climat méditerranéen est chaud et humide, ce qui confère une maturité exceptionnelle aux raisins. Le sol majoritairement calcaire et argilo-calcaire offre un goût et une minéralité remarquables. Le but étant de « recaler le vignoble au terroir », comme le décrit Philippe Morel, actuel gérant. Dans une volonté de préserver les particularités de ce sol, un labour traditionnel est effectué sur l'année. De par ses processus minutieux naissent de divins nectars, fidèles à la richesse du terroir. Dans une perpétuelle quête de la perfection, la maison a développé plusieurs collections de vins afin de satisfaire les œnophiles. Les cuvées sont disponibles au sein du caveau ouvert du lundi au samedi et du lundi au dimanche pour juillet et août. Un œnotourisme princier… Entouré de bois et de collines de garrigues et situé au bord de la rivière de Gassac, le Château Capion bénéficie d’un cadre exceptionnel. Un passage au domaine vous donne l’impression que la nature y a fait son nid. Au cours de votre promenade, laissez-vous subjuguer par la beauté des jardins à la française et à l'anglaise entourant les lieux. Le Château Capion propose également de nombreuses animations culturelles et artistiques. De juillet à août, des expositions d’art contemporain sont organisées. Le domaine accueille également des concerts autour de la musique du monde et la musique folk contemporaine. Cerise sur le gâteau : il prévoit le lancement de sa nouvelle gamme de vins nommée « Les Fantaisies de Capion » dont les visuels et les étiquettes sont l’œuvre d'artistes qui changent chaque année. ...
Le restaurant affiche un esprit très Art déco : un côté industriel fait de poutrelles brutes compensé par le charme des peintures murales artistiques et le grand luminaire au plafond. À l’entrée se trouve une petite épicerie fine, comme à l’italienne, qui propose des produits de qualité : fromage, charcuterie, terrines maison, pâtes et d’autres ingrédients pour la cuisine. Un bout d’Italie dans les assiettes Simple mais révolutionnaire, le concept s’articule autour de la rencontre entre la cuisine italienne et la haute gastronomie de l’Hexagone et donne naissance à des plats gouteux comme la délicate gelée de langoustines, crevettes en chaud-froid , coquilles saint jacques gnocchi au parfum de truffe, une planche de charcuterie Italienne finement tranchée, antipasti Misto du Caffé. Ou encore des pâtes et du risotto aux couleurs de saison, sans oublier les salades et crustacés. Le ravioli de foie gras confit reste la star du restaurant, accompagné de girolle ou de truffe de Bourgogne, un vrai délice. Au dessert, le répertoire chante les grands classiques italiens à l’instar du mythique Tiramisu ou de la panna cotta chocalat cerises amarena. Dans une volonté d’offrir la meilleure qualité et fraîcheur des produits, la Trattoria évite tout ce qui est hors saison. Le chef Bruno Caironi secondé par David et Benoit nourrit un respect quasi sacré aux produits locaux qu’il sublime sans les dénaturer dans l’assiette. Côté vins, la carte compte quelques références en provenance des vignobles italiens : les vins rouges de Toscane, du Piémont, ou de Lombardie, ainsi que les moelleux de Sicile. Plutôt éclectique, elle suggère également des vins de Bordeaux, du rully de la région de Bourgogne ou encore du saint-joseph, des côtes-du-rhône. La Formule Rapidamente en mode chrono Même avec un rythme de travail effréné et un budget lunch à respecter, les clients du restaurant peuvent manger sain et à leur cadence grâce à cette nouvelle formule sur un plateau servie du mardi au vendredi au déjeuner. Le chef vous propose une carte " rapidamente" composée de 4 entrées, 4 plats à base de pates, de poissons ou de viande et 4 desserts . Il ne reste qu'à cocher votre choix sur le feuillet avec un petit crayon mis à votre disposition avant de vous régaler . Un verre de vin servi à la demande peut être ajouté également à la formule. Apres un temps d'attente de 10 minutes, le plateau arrive soigneusement dressé sur la table ; affichée à partir de 19 euros , cette formule s'adapte aux envies et aux gouts de chacun, et reste ideale pour un déjeuner d'affaires dans le quartier . En mode chrono ou plus détendu , les clients vont pouvoir profiter d'une pause déjeuner bien gourmande. ...
Entre Vézelay et Avallon, au bord de la route D606, vous ne risquez pas de la rater. L’Auberge des Chenets se distingue par son cadre accueillant et convivial. La façade en pierre, les volets aux couleurs vives et la petite végétation qui borde la devanture sont les premiers détails qui focalisent l’attention. A l’intérieur, on se laisse charmer par une salle intimiste à la lumière tamisée et à la décoration raffinée. D’entrée de jeu, la belle et grande cheminée confère une ambiance cosy et sereine. Les murs en pierre apparente embellis de tableaux contemporains dénotent d’un joli mix entre tradition et modernité : c’est d’ailleurs dans cet esprit-là que l’Auberge des Chenets a été créée. Un chef amoureux de son terroir L’histoire du restaurant Auberge des Chenets est celle d’un chef qui se passionne pour la cuisine notamment la pâtisserie dès son plus jeune âge. Après avoir effectué un apprentissage classique, il a la chance de travailler dans des relais et châteaux qui lui ouvrent les portes de plusieurs grandes maisons à l’instar du célèbre La Chèvre d’or à Eze Village. Suite à cette belle et longue expérience, il est temps pour lui de revenir aux sources dans sa région natale. Il décide d’ouvrir alors son propre établissement dans lequel il sert une cuisine raffinée et délicate qui comble les palais exigeants. Un repas à l’Auberge des Chenets, ce sont des étincelles assurées. Le chef imaginatif et curieux partage une cuisine qui tente de préserver l’identité régionale tout en sortant des sentiers battus. Il travaille avec des produits frais qui mettent à l’honneur le terroir. Selon la saison, il sera alors possible de déguster certains produits phares qui font la réputation de la Bourgogne à l’instar des escargots. Au mois d’octobre, un menu spécial « homard » est affiché durant une quinzaine de jours. L’occasion pour les amateurs de ce met d’exception de le découvrir sous toutes les coutures. En hiver, des week-ends dédiés à la truffe sont organisés selon la disponibilité des produits. Une riche carte de vins La carte de vins est bien fournie, de quoi vous donner l’assurance de bénéficier des meilleurs accords. Etant donné la localisation de l’établissement, celui-ci privilégie les Chablis ou encore les vins de l’Yonne. Pour 2016, ces derniers sont à l’honneur lors de la fête viticole bourguignonne appelée Saint-Vincent Tournante. Créé au Moyen-Age, l’évènement est célébré durant le dernier week-end de janvier et change tous les ans de village viticole bourguignon. ...
Située sur l’avenue Carnot, L’empreinte By Yannick Lecoq se veut simple mais raffiné. Le restaurant propose trois espaces aussi attirants et surprenants les uns des autres. Le premier propose un cadre contemporain avec une cuisine ouverte qui offre un spectacle inédit d’où il est possible d’observer le chef et son équipe. Ici, le partage et la convivialité sont les maitres mots. Dans le deuxième espace, l’ambiance est beaucoup plus intimiste. L’alliance du beige et du noir reflète le côté sobre et élégant du lieu tandis que la baie vitrée illuminant la salle procure une touche de douceur à l’ensemble. Et, durant les beaux jours, la grande terrasse permet de savourer à l’ombre du figuier, les délicieuses créations culinaires du chef. « Empreinte culinaire » Doté de vingt ans d’expérience, le chef Yannick Lecoq a réussi à affiner son « Empreinte culinaire ». Aujourd’hui, c’est au sein de son propre restaurant L’empreinte by Yannick Lecoq qu’il exprime et partage son talent. Fidèle aux valeurs de l’établissement, Yannick propose une cuisine raffinée à base de produits frais et de saison. Inspirés de ses voyages et de ses envies, ses plats sont aussi savoureux que créatifs. Chaque bouchée promet un voyage culinaire transcendant. Le souci du détail est mis en avant : un parfait équilibre au niveau des assaisonnements, un respect au millimètre près de la cuisson et un accord subtil des saveurs. Par ailleurs, le chef apporte une attention particulière aux produits. Dès leur sélection, il se montre extrêmement exigeant pour assurer la qualité et la fraicheur de ses plats et s’approvisionne autant que possible sur le marché local. Lors de la préparation, il veille à ce que les produits ne soient pas dénaturalisés. En outre, le chef apporte aussi un intérêt particulier aux vins. Etant un grand passionné, il veille à assurer les meilleurs accords. L’occasion pour les convives de découvrir la collection du restaurant comprenant 150 références environ. « Une cuisine qui s’adapte » Au menu, quatre formules différentes allant de 17 à 52 euros sont présentées. Pour chacune d’entre elles, les convives ont droit à une entrée, un plat et un dessert. A partir de 40 euros, un plateau de fromages de la Maison Mons vient s’ajouter à la liste. Pour les gourmands aventuriers, la formule à 52 euros leur est spécialement dédiée. Celle-ci est constituée de plats surprenants et authentiques comme le fameux Opéra de foie gras « pomme, pain d’épices et fruits de la passion », l’un des plats signatures du chef. A la carte, les convives choisissent entre : trois entrées, trois plats et trois desserts. C’est l’occasion idéale de déguster la fraicheur des entrées comme le tartare de saumon au citron et à la ciboulette ou encore les asperges blanches de Provence à la vinaigrette et au fruit de la passion, accompagnées d’un œuf poché. Le mélodieux repas s’enchaînerait ensuite sur un magret de canard au vinaigre balsamique ou une délicieuse souris d’agneau braisée au jus de cuisson à la tomate. Et pour finir, une note de douceur avec la salade d’orange à la vanille de Tahiti ou la crème marquise au chocolat et framboise. ...
Architecte et amateur d'art, Alain Bourbonnais se distingue par ses multiples activités, parmi lesquelles sa propre production artistique qui ne saurait être négligée. Dans une correspondance adressée à Jean Dubuffet, il exprime son désir de ne pas être considéré comme un artiste, mais plutôt comme un "fabricant fabuleux". Pour certains, l'œuvre de Bourbonnais ne relève pas tant du fantastique que du monstrueux. Selon son épouse Caroline, elle est caractérisée par un érotisme loufoque. Le monde de Bourbonnais est peuplé de personnages farfelus comme les "Turbulents" et les "Gratte-culs". A l’image de certains de ses personnages, une famille un peu décalée qui vit au rythme d'un carnaval quotidien et qui l’assiste même dans certaines de ses créations qui couvrent une multitude de domaines : dessin, peinture, gravure, assemblage, sculpture motorisée, costume, et même courts-métrages. En 1976, Alain Bourbonnais obtient une carte professionnelle de technicien de l'industrie cinématographique, délivrée par le Centre National du Cinéma avec le titre de "réalisateur". Il réalise alors son premier film expérimental, "Turbulent's Band", ainsi qu'un documentaire sur l'art hors-les-normes, intitulé "Les Articles de bois d'Émile Ratier". Considéré comme un "instantané de vie", ce film permet à Bourbonnais de présenter les artistes dans leur quotidien créatif. Par la suite, il produit d'autres courts-métrages sur des créateurs tels que Joseph Vignes, surnommé "Pépé Vignes", ou encore Simone Lecarré-Galimard. En parallèle, il lance une série de publications intitulée "La Fabuloserie. Petit cahier à grand spectacle", qui donne la parole aux créateurs pour qu'ils s'expriment "à travers leurs mots, leurs écrits, leurs œuvres, leur vie". François Monchâtre, Jano Pesset, Pascal Verbena et Michèle Burles participent à cette initiative au début des années 1980. Pendant ce temps, Bourbonnais œuvre activement à la création de son musée privé, "La Fabuloserie", situé dans l'Yonne. Contrairement à un simple collectionneur, Bourbonnais souhaite partager l'art hors-les-normes et le faire voyager en dehors de son musée, inauguré en 1983. Il écrit dans ses journaux de réflexion : "Ce MAGNIFIQUE MUSÉUM, bien que privé, sera un vivier permettant la circulation des œuvres pour des expositions en province ou à l'étranger." Ce vœu s’est réalisé à travers de nombreuses expositions et continue aujourd'hui à être honoré, reflétant ainsi ses trois vies parallèles. Une vie d’architecte visionnaire, de créateur délirant subversif mais aussi d’animateur de l'Atelier Jacob puis de La Fabuloserie qui regroupe plus d’une centaine de talents de l’art hors-les-normes dont il est le précurseur. Un parcours fait d’expérimentations Depuis l'âge de 12 ans, Alain Bourbonnais s'adonne à l'art du dessin. Ses premières esquisses de voyages, réalisées au crayon, à l'encre de Chine et avec des encres colorées, remontent à l'année 1945. À partir des années 1960, il se tourne vers la peinture. Après une première série de tableaux plutôt classiques, Alain Bourbonnais se lance dans des techniques mixtes de 1963 à 1975. Il associe d'abord des huiles aux pigments pour jouer sur les effets de dilution et obtenir un résultat aléatoire. Sa pratique picturale évolue progressivement pour envahir tous les supports. Les toiles sont remplacées par des portes, qu’il déniche lors d’excursions dans des décharges qu’il organise en famille, les pigments par des matériaux divers. Ces productions, qu'il qualifie de peintures-assemblages, annoncent les futures créations en volume des Turbulents. Mais il ne s'arrête pas là. Gravures, estampes, lithographies ? Non. Alain Bourbonnais préfère parler de "Décalcomanies Turbulées" qu'il tire sur sa presse. Il multiplie les expérimentations et crée une production singulière de multiples. Aucune de ses gravures ...
Spécialiste de l’évènementiel d’entreprises et du tourisme d’affaires, le collectif de tourisme Bourgogne-Franche-Comté Séminaires & Events se veut être un ambassadeur de cette région en tant que destination affaires. Découvertes culinaires, éveil des sens et moments conviviaux de détente sont au programme. Véritable incubateur d’émotions, ce pionnier de l’évènementiel à la touche bourguignonne vous emporte dans un voyage au cœur de la terre immémoriale de l’inédit. Le collectif Bourgogne-Franche-Comté Séminaires & Events: un groupement d’experts à votre service Le collectif regroupe des entreprises hôtelières et touristiques de renom, des agences réceptives ou évènementielles réputées ainsi que des lieux de séminaires, à l’instar des palais des congrès. Depuis 2008, ce groupement s’attèle à repérer et à labelliser les sites à haute potentialité touristique, à fédérer les membres et à positionner favorablement la Bourgogne-Franche-Comté dans le monde du tourisme d’affaires. Grâce à une stratégie marketing axée sur le dispositif MICE (Meetings, Incentive, Congress, Exhibitions), il contribue à la promotion de cette région en tant que destination affaires de prédilection. Pour donner le meilleur de cette contrée, Bourgogne-Franche-Comté Séminaires & Events travaille en étroite collaboration avec plus de 149 partenaires incluant des prestataires de services divers, des lieux de réception inédits comme les châteaux et les hôtels étoilés ainsi que de nombreuses entités dont les activités sont étroitement liées à l’évènementiel dédié aux professionnels. Rigueur, professionnalisme et créativité sont les maîtres-mots de ces partenaires devant adhérer à une charte-qualité établie selon les besoins, les aspirations et les demandes exigeantes d’une clientèle d’affaires privilégiée. Des évènements sur le thème du vin et de la gastronomie Idéalement desservie par un large réseau routier, ferroviaire et aérien, cette région se perd au beau milieu des vignes, des étendues de forêts, des villages et des villes. A mi-chemin entre le traditionnel et le moderne, la Bourgogne-Franche-Comté regroupe à elle seule tout le patrimoine français à savoir la gastronomie et la richesse vinicole. Un séjour incentive, un séminaire ou un team-building sera la promesse d’une escapade inoubliable placée sous les auspices de la cohésion, de la convivialité et de l’esprit d’équipe. Passez ainsi un séjour mémorable sur une route du vin, dans un des nombreux domaines d’un vignoble régional authentique dont les fameux Climats ont été classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Au château de Santenay ou à La Caborde, partez à la découverte d’un héritage précieux parsemé d’artisans attachés à leurs terroirs et de caves représentant la richesse des vignes aux cuvées uniques. « La comédie du vin », « Le vin tout simplement » ou le « Bourgogne world tour » sont autant d’activités qui vous plongent dans l’univers gourmand de l’art de vivre bourguignon. Avec le vin, la gastronomie trouve aussi un lieu d’expression privilégié afin de témoigner de la richesse culinaire de cette contrée. Moutarde, truffes ou volailles de Bresse n’auront plus de secrets pour ceux qui s’initieront à l’expérience gustative en pleine nature, à l’élaboration de recettes traditionnelles derrière les fourneaux ou à la dégustation sur table d’une assiette concoctée par un des 41 chefs étoilés travaillant avec le collectif. Passionnés de cuisine, amoureux du bon goût et cordons bleus en herbe : ce programme personnalisable, cette immersion gourmande au cœur de la haute gastronomie française est faite pour vous. Un riche patrimoine historique Dans cette région de mythes et d’histoires, les férus de légendes trouveront aussi leur bonheur dans un circuit ou u...
Installé dans les locaux d’un ancien cinéma des années trente, appelé « Le Familia », le Théâtre du Pont Tournant représente aujourd’hui un haut lieu de la culture bordelaise. Dans ce quartier populaire de Bacalan, cette structure est devenue l’un des lieux les plus réputés en Aquitaine dans la création et la diffusion de spectacle vivant. Le théâtre en quelques mots Dans les années soixante, l’arrivée des multiplex sonne le glas pour « Le Familia » qui se voit obligé de mettre les clés sous la porte. Quelque temps après, c’est au tour des papeteries La Couronne d’investir la salle de projection. C’est en recherchant un local pour la compagnie Pygmalions que Stéphane Alvarez et son épouse, Carole Pierret, découvrent par hasard ce bel endroit qui leur servira d’abri. Ils succombent instantanément aux charmes de la bâtisse. Nous sommes en 1998. Le couple et toute l’équipe ont depuis œuvré pour faire renaître l’âme culturelle des lieux. Si le quartier était autrefois déserté par les Bordelais, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le théâtre est devenu un rendez-vous privilégié des férus de culture dans lequel ils retrouvent une certaine mixité générationnelle et sociale. Une programmation riche et variée Misant sur la pluridisciplinarité, le Théâtre du Pont Tournant tient à cœur de proposer aux spectateurs une programmation de qualité. Le catalogue de la compagnie présente une programmation variée allant des pièces du répertoire classique comme Molière aux auteurs les plus contemporains à l’instar de Pierre Notte. Ce dernier va d’ailleurs débarquer dans les mois qui viennent sur les planches du Théâtre du Pont Tournant avec sa toute nouvelle pièce, La nostalgie des blattes. La compagnie a également réalisé quelques pièces reconnues comme Paroles de poilus qui a été tournée non seulement en France mais aussi à l’étranger. En outre, de nombreuses pièces de théâtre à succès ont été déjà présentées dont celles de Romain Bouteille, Pierret Étaix, Rufus, Daniel Mesguich, Dreyfus, Philippe Caubère, Jango Édouard... ...
Difficile de ne pas succomber au charme de ce restaurant de Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. Que ce soit à l’intérieur de la salle à l’ambiance conviviale ou dans la cour ombragée sous les orangers, une cuisine traditionnelle aux saveurs de la région est servie avec le sourire. Emilie Giez assure l’accueil et le service pendant que son compagnon Vincent Truffet s’active derrière les fourneaux. Un duo complice qui célèbre leur amour pour les saveurs du Sud au travers d’innombrables suggestions culinaires généreuses et gourmandes. Une cuisine aux produits du terroir « Les Jardins de l’Orangeraie » proposent une cuisine traditionnelle, à laquelle le Chef Vincent Truffet apporte une petite touche de modernité. Les suggestions à la carte exaltent la fraîcheur des produits de saison livrés tous les jours par un maraicher. Cette carte courte se compose de quatre entrées, cinq plats dont deux viandes et trois poissons et quatre desserts. La maison suggère également un « Menu Découverte » à 30 euros à côté des formules du midi. Le potager aromatique qui parfume la cour intérieure du restaurant fournit thym, basilic, romarin, menthe et autres herbes qui viendront rehausser le goût et les arômes de chaque plat. Côté cuisson, Vincent Truffet affectionne particulièrement celle à basse température, une technique qu’il utilise notamment pour la préparation de la souris d’agneau qui confit pendant près de 12 heures. Fort de son succès, ce plat redemandé très régulièrement par la clientèle est souvent présente à la carte. Autre spécialité : l’aïoli, une recette provençale que le chef revisite tous les vendredis à sa manière. Un rendez-vous gourmand à ne pas manquer sous aucun prétexte. La carte des vins « Les Jardins de l’Orangeraie » présentent une carte de vins très sélective. Cela inclut les producteurs de la commune de Roquebrune-sur-Argens. Les propriétaires de l’établissement aiment aller à la rencontre des viticulteurs pour connaître leur méthode de travail, ils ont alors une préférence pour les vins bio. Selon Emilie Giez : « Les démarches de productions et l’origine des vins doivent coïncider avec l’esprit du restaurant. » Un cadre calme et romantique La pièce maitresse des Jardins de l’Orangeraie est incontestablement sa cour intérieure. A l’abri des regards et des agitations des bords de mer, elle se présente comme un véritable havre de paix. Les tables en fer forgé accueillent les diners romantiques dans une ambiance raffinée, calme et sereine. En soirée, les luminaires extérieurs ingénieusement agencés accentuent ce côté romantique. Pour plus d’intimité ou de chaleur, la salle reste l’idéal. A côté de ses voutes et ses pierres apparentes s’affiche une décoration simple et épurée qui coïncide avec le thème de la gastronomie. La salle est agrémentée par des tons chauds tels que le marron chocolat et l’orange dénotant douceur et élégance. ...
« Décloisonner la recherche, poser un regard large sur les maladies, et créer des points de rencontre entre la recherche, le soin et le médico-social », telle est la mission du Plan Maladies Neurodégénératives selon Michel Clanet, ancien chef du Pôle Neurosciences au CHU de Toulouse et président du comité de suivi du plan national. Avec plus d’un million de personnes atteintes en France et une prévalence en progression, les maladies neurodégénératives constituent un des défis médicaux et sociétaux majeurs. Un Centre d’Excellence en Maladies Neurodégénératives (« NeuroToul ») a été créé à Toulouse en janvier. Avec le soutien du CHU, il fait désormais partie du réseau international COEN (« Centres of Excellence in Neurodegeneration »). « C’est l’occasion de fédérer les équipes toulousaines performantes dans ce domaine, de façon à créer une nouvelle dynamique collective permettant de rendre les équipes toulousaines mieux visibles, plus ambitieuses et plus compétitives», décrypte le Pr Olivier Rascol, son coordinateur. Plusieurs centaines de chercheurs, enseignants et cliniciens toulousains (CHU, Inserm, CNRS, INRA, Universités, Toulouse School of Economics, Ecole Vétérinaire, etc.) sont impliqués. Une mise en commun d'expertises de soin et de recherche NeuroToul vient complémenter la création de la Fédération Hospitalo-Universitaire HoPeS (Handicaps Cognitifs, Psychiques et Sensoriels), qui a comme but la mise en œuvre d’une approche « life span » des handicaps présentés par des patients atteints de pathologie d’étiologies diverses. Ce, à partir de la mise en commun d’expertises de soin et de recherche. Ces démarches renforceront le rayonnement de la recherche toulousaine en santé, de façon à contribuer utilement aux progrès dont bénéficieront les malades atteints de maladies neurodégénératives, comme leurs aidants, leurs familles et leurs proches. Ces nouvelles initiatives structurantes, de projection nationale et internationale, ont été possibles grâce au potentiel historique de Toulouse dans le champ des maladies neurodégénératives : la Ville Rose compte à la fois des spécialistes reconnus dans les prises en charge et traitements de la maladie d’Alzheimer, de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaque et des chercheurs de haut niveau. Toulouse possède aussi des plateformes comme le Centre d’Investigation Clinique (CIC1436), des réseaux de recherche structurants (F-CRIN, NS-PARK, etc.) faisant le lien entre investigateurs et promoteurs, et connectant la recherche toulousaine avec les grands centres d’expertise nationaux et internationaux. ...
Depuis 2005, Martine Cazin expose ses œuvres parmi celles d’autres artistes dans la Maison de Brian. Cette dernière lui a été léguée par Brian Featherstone, son compagnon. Outre ses métiers de traducteur aux Nations Unies, écrivain et berger, cet anglais amoureux de la France était connu au village de Simiane-la-Rotonde : il participait activement à la défense et au renouveau du village. Une galerie d’art atypique La Maison de Brian est une maison du 16ème siècle, très connue dans le village de Simiane-la-Rotonde grâce à la place que tenait Brian Featherstone dans la communauté. Les matériaux bruts tels que les poutres en bois et les murs de pierres reflètent l’authenticité de cette demeure, typique des villages de Haute-Provence. Une galerie d’art contemporain occupe la moitié de la maison. Elle reçoit de fin avril à fin août quatre expositions temporaires, soit une par mois. L’esprit de la Maison de Brian s’écarte un peu des idées reçues sur les galeries d’art. Aucune description ne saurait être plus explicite que celle de la propriétaire : « le concept de départ consiste à montrer des œuvres dans une vraie maison habitée, dans les mêmes conditions que chez les gens qui vont les acheter. » Le fait d’être aménagée dans une maison habitée rend la galerie plus vivante et plus naturelle. L’art y fait partie du quotidien, les œuvres bénéficient simplement d’un éclairage adapté. L’exigence d’une artiste Au départ La Maison de Brian, qui est une association loi de 1901, privilégiait les artistes de la région. Mais avec douze années d’existence, elle s’est ouverte à d’autres régions et à Paris. Martine Cazin et ses amis restent toutefois à l’affut des nouveaux talents qui pourraient exposer dans sa galerie. Elle-même, plasticienne et ancienne céramiste aime faire découvrir de nouveaux artistes. Sa curiosité l’emmène souvent dans les expositions de groupe et salons. Sa galerie étant bien connue, beaucoup d’artistes lui adressent des dossiers de candidature. Tout en garantissant le professionnalisme des artistes qu’elle choisit, Martine Cazin agit généralement sur un coup de cœur : « mon choix reste extrêmement subjectif, je me fie à mon propre goût » déclare-t-elle. Trois facteurs peuvent influer son choix. D’abord, elle part du principe que l’art doit être accessible, ce qui met déjà au second plan les œuvres hors de prix. Elle se base ensuite sur sa sensibilité personnelle. Enfin, Martine Cazin pense qu’un art a plus de sens en coexistant avec d’autres. Elle s’aventure donc à chaque fois à marier les œuvres de deux ou trois artistes qui pratiquent des disciplines différentes, par exemple un peintre et un sculpteur. Cela donne un sens à l’ensemble et provoque un sentiment supplémentaire chez le public. Programme 2016 La Maison de Brian a quatre expositions en perspective cette année. Martine Cazin met particulièrement en focus celle du 2 au 31 juillet associant Edmée Delsol et Alexandre Hollan. La première est une Parisienne qui a étudié la peinture et la sculpture aux Beaux-Arts de Paris, elle est connue pour l’association de la pâte de verre au raku. Le second, d'origine Hongroise, qui a développé une carrière de peintre en France : les arbres et les « vies silencieuses » sont ses thèmes de travail. ...
Communiquer avec le grand public, mais aussi avec les professionnels de la santé sur les réalités des neurofibromatoses. Telle est la priorité de l’A.N.R. Cette association existe depuis la fin des années 80, mais il a fallu attendre presque vingt ans pour qu’elle se fasse reconnaître comme établissement d’utilité publique. Aujourd’hui, elle accompagne au quotidien les personnes souffrant de ces maladies à travers l’écoute, l’orientation, la diffusion d’informations et la collecte de fonds pour soutenir la recherche. Neurofibromatose de type 1 : une forme fréquente Il n’y a pas une mais des neurofibromatoses. Jean-Michel Dubois, président de l’association, précise que la maladie de von Recklinghausen, neurofibromatose de type 1, est la plus courante. Cette maladie neurologique affectant les gaines des nerfs, où siègent des tumeurs, a une manifestation externe d’expression cutanée. Il s’agit notamment de taches café au lait sur la peau. La maladie, dont le gène responsable siège sur le chromosome 17q11.2, apparaît dès la naissance indépendamment de l'origine ethnique et touche les deux sexes. Pouvant affecter le malade sous des formes mineures ou plus sévères, la neurofibromatose de type 1 peut aussi donner lieu à d’autres manifestations. Des symptômes osseux, oculaires ou viscéraux peuvent être observés. Des difficultés d’apprentissage et des troubles cognitifs sont assez récurrents dans les cas recensés. En soulignant que les seuls traitements pouvant être dispensés aux patients sont ceux des complications. Orthopédistes, ophtalmologues, neurologues et dermatologues, entre autres, doivent alors collaborer pour assurer leur suivi. De nombreuses autres neurofibromatoses Cette catégorie de maladies génétiques rassemble d’autres formes dont la neurofibromatose de type 2 (NF2), caractérisée par une atteinte du chromosome 22. L’incidence à la naissance de cette forme serait de 1 sur 40 000 contre 1 sur 3 500 pour la NF1. Les manifestations cliniques incluent des tumeurs de type épendymomes, méningiomes ou schwannomes dont la portée est d’autant plus préoccupante qu’elles sont volumineuses. La surdité est l'une des conséquences fréquentes selon la localisation de ces mêmes tumeurs. Le syndrome de Légius, à symptômes purement cutanés, ainsi que la schwannomatose constituent les autres types connus de la pathologie. Des formes segmentaires de neurofibromatose existent avec une localisation limitée sur le corps. Une association pour s'informer et agir Les neurofibromatoses apparaissent au répertoire des maladies rares. Porter et entretenir leur cas au centre de l’attention publique fait ainsi partie des gageures de l’association qui leur est dédiée. Il s’agit également de décanter un peu le flux des informations qui circulent sur les réseaux sociaux, pour donner accès à des données plus pertinentes. Épargner les malades et leurs familles de toutes formes d’exclusion figure aussi au cœur des préoccupations. « Quand on est moins seul, ça peut déjà aider à affronter la maladie », soutient le président de l’A.N.R. L’association entend également être une force de soutien à l’endroit des médecins intervenant dans les centres de référence et de compétences. Il en va de même pour la recherche à laquelle l’association injecte des fonds ou apporte le poids de son image pour argumenter la nécessité de travaux en particulier. ...
D’abord un rappel essentiel : la formation professionnelle tout au long de la vie constitue une obligation nationale. Elle permet à chaque personne, indépendamment de son statut, d'acquérir et d'actualiser des connaissances et des compétences favorisant son évolution professionnelle, ainsi que de progresser d'au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle. Elle comporte ainsi une formation initiale, comprenant notamment l'apprentissage, et des formations ultérieures, qui constituent la formation professionnelle continue, destinées aux adultes et aux jeunes déjà engagés dans la vie active ou qui s'y engagent. En faisant le lien entre les formations et les besoins du monde économique, la formation continue tout au long de la vie dans l'enseignement supérieur permet à ceux qui sont entrés tôt dans la vie active d'avoir une chance d'accéder aux cursus, diplômes ou titres de l'enseignement supérieur. La formation continue tout au long de la vie permet également d'optimiser les temps de formation en prenant en compte les savoirs et savoir-faire de chacun et de répondre plus efficacement aux besoins et aux attentes des individus, des entreprises et de la société. Une formation pour qui ? La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur s'adresse aux actifs, afin de permettre leur maintien dans l'emploi, de favoriser le développement de leurs compétences et l'accès aux différents niveaux de la qualification professionnelle, de contribuer au développement économique et culturel, à la sécurisation des parcours professionnels et à leur promotion sociale. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse aussi aux personnes souhaitant un retour à l'emploi après une interruption de leur activité professionnelle. La formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur s’adresse enfin aux personnes en situation de handicap : des dispositifs spécifiques ont été mis en place dans tous les établissements de l’enseignement supérieur pour adapter les modalités d’accès et de suivi de formations aux différents handicaps et nommer un référent handicap pour suivre les participants de leur candidature à leur diplomation. ...
De nombreuses personnes ont déjà tenté l’expérience de la spiruline en tant que complément alimentaire. Et vous ? Des produits de qualité 100% français Pour les personnes qui ne connaissent pas la spiruline, il faut savoir que c’est une "micro-algue" spiralée de couleur bleu-vert. Intégrée à l’origine dans l’alimentation de nombreuses populations primitives, elle est aujourd’hui appréciée pour ses valeurs nutritionnelles. Elle regorge, en effet, de vitamines, de minéraux et de protéines. Elle est d’ailleurs considérée comme un « super aliment » utilisé pour lutter contre les carences et la malnutrition dans les pays en développement. D’après, l’OMS, c’est même le « meilleur aliment pour l’humanité au 21e siècle ». En France, elle est consommée en tant que complément alimentaire. Ainsi, que vous l’achetiez sous forme de paillettes, concassée, en comprimé, en gélule ou déjà préparée (sous forme de pâte par exemple), elle vous fournit tout ce dont votre corps a besoin. Idéal pour les sportifs qui veulent améliorer autant leur résistance que leur endurance, elle répond aussi aux besoins quotidiens des végétaliens (pour son incroyable apport en protéines et vitamine B12), des femmes enceintes (surtout celles sujettes à des carences en fer et vitamine A) et des séniors (pour une meilleure vitalité et une amélioration des défenses naturelles). Tout le monde peut apprécier à sa juste valeur les bienfaits de la spiruline. Algosud : un producteur français expert Depuis plus de 18 ans, l’entreprise française Algosud propose une offre de qualité pour se démarquer de ses nombreux concurrents. Ayant fait le choix de produire de la spiruline 100% française afin de fournir à ses consommateurs des articles d’excellentes qualités, elle répond parfaitement aux normes en vigueur. C’est ce qui la différencie d’une large majorité d’entreprises du secteur qui ont préféré l’industrialisation et la production à l’étranger. En faisant confiance à Algosud, chaque consommateur trouve ainsi des références de haute qualité, produites sous contrôle d’un laboratoire indépendant. Vous voulez en savoir plus ? L’entreprise partage, en toute transparence, sa charte qualité et ses résultats d’analyse sur son site. ...
En proposant ses ateliers de programmation informatique, Magic Makers poursuit deux objectifs : d’une part, mettre les enfants dans une posture d’acteur vis-à-vis de la technologie en leur permettant, de manière ludique, d’exprimer leur créativité et d’autre part, leur donner les moyens de comprendre et de les préparer au monde de demain. Interrogé sur les raisons qui l’ont poussé à lancer ce projet innovant, la fondatrice Claude Terosier nous explique que « l’enjeu est de permettre aux enfants d’inventer leur métier étant donné que 85% des métiers de 2030 n’existent pas aujourd’hui ». Tout sur Magic Makers Basée à Paris, Magic Makers a été créée en 2012. A l’époque, ancienne étudiante de Télécom Paris Tech, Claude Terosier cherche vainement des ateliers de programmation pour son fils. Convaincue qu’il est possible d’apprendre la programmation de manière simple et ludique, cette ingénieure décide de créer Magic Makers en proposant des ateliers de programmation créative dédiés aux enfants. Leader et pionnière dans le domaine, Magic Makers mobilise aujourd’hui plus de 40 animateurs et organise 150 ateliers par semaine à raison de 1000 inscriptions hebdomadaires. Depuis sa création, environ 10 000 enfants ont pu bénéficier de ses ateliers. « Comme pour un cours de musique, les enfants peuvent s’inscrire toute l’année ou bien suivre des stages pendant les vacances », nous indique-t-elle. Une pédagogie active « Apprendre à coder pour apprendre à créer », c’est en s’appuyant sur cette approche innovante que la start-up construit sa pédagogique. En effet, la démarche veut que l’enfant devienne acteur de son apprentissage. C’est le principe même de la pédagogie dite « active ». « Nous nous sommes inspiré de la pédagogie active du MIT et nous utilisons « scratch », un outil de programmation simplifié », précise Claude Terosier. Mais que l’on ne s’y trompe pas, l’objectif n’est pas de transformer les enfants en véritable « crack » de la programmation ! Ici, l’important, c’est de créer tout en s’amusant. Au cours d’un atelier, l’animateur montre deux ou trois exemples et c’est au tour des enfants de créer leur propre projet : dessins interactifs, jeux vidéo, robots...Tout est prétexte à leur imagination. Les enfants expérimentent, apprennent de leurs erreurs et partagent leurs acquis avec les autres. « En cas de blocage, les enfants posent des questions et l’animateur les aide pour qu’ils trouvent eux-mêmes les réponses ». ...
Situé en Normandie sur la route du cidre, au cœur du pays d’Auge, le domaine familial Pierre Huet se compose de 30 hectares de vergers hautes et basses tiges, sur lesquels on compte plus de 25 variétés de pommes à cidre. Grâce à un terroir naturellement propice à la production de pommes, le domaine Pierre Huet produit et commercialise dans le monde, selon des critères très stricts, quatre des six Appellations d’origine contrôlée (AOC) cidricoles normandes : - Calvados pays d’Auge - Calvados - Pommeau de Normandie - Cidre pays d’Auge Des cidres et des calvados authentiques… Au sein de cette production, la fabrication des cidres et des calvados constitue un savoir-faire inestimable, transmis de génération en génération depuis plus d’un siècle. En conjuguant tradition et innovation, la famille Huet a ainsi pu acquérir une grande notoriété par la commercialisation de son précieux breuvage : le calvados. Elle est passée maître dans l’art des assemblages subtils et délicats. Cette pratique, fruit d’une longue expérience, consiste à assembler des eaux-de-vie de maturité et d’âges différents pour obtenir une qualité constante. …et d’autres produits issus de pommes ou de poires Vous pouvez choisir un poiré demi-sec, un cidre de poires, qui se marie à merveille avec les desserts aux fruits. Pour l’apéritif ou pour accompagner un foie gras, optez pour le pommeau vieilli en fûts de chêne. Le Domaine Pierre Huet propose également de la crème de calvados, de la crème de pomme verte, de la liqueur de poires au calvados, du jus de pommes, ou encore du vinaigre de cidre ou de poiré. Visite du domaine Le domaine Pierre Huet ouvre ses caves à la visite tout au long de l’année. Grâce à votre guide, vous découvrirez l’élaboration du calvados depuis la pomme jusqu’au produit fini. En 2010, un nouvel espace d’accueil comprenant boutique et distillerie a été construit sur le Domaine. Les alambics chauffés aux copeaux de bois y ont une place primordiale, dans une optique de développement durable et d’économie d’énergie. Cet espace a été totalement pensé pour une production plus raisonnée. Une distillerie innovante et unique en Normandie ! Le Domaine vend environ 60 % de sa production en direct à la propriété, 25 % à l’export dans de nombreux pays comme la Belgique, l’Allemagne ou l’Autriche ou encore les États-Unis et le Japon. ...