Créé en 1986, l’Institut supérieur des arts appliqués (LISAA) est une école d’enseignement supérieur privé, reconnue par le ministère de la Culture et de la Communication. LISAA forme notamment des créateurs dans le domaine du design graphique, de l’architecture d’intérieur et du design, de la mode, de l’animation et des jeux vidéos. Elle propose des formations préparatoires en arts appliqués mais également des formations au niveau Bachelor et Mastère.
Afin d’assurer un encadrement de qualité, toutes ces formations sont prodiguées par des professionnels en activité : artistes, architectes d’intérieur, designers…
Une pédagogie adaptée aux besoins du marché de l'emploi
LISAA privilégie un enseignement par projet, en partenariat avec des organisations publiques et privées. Ce travail en équipe permet aux étudiants de développer leurs compétences professionnelles et d'être opérationnels rapidement une fois sur le marché de l'emploi. Les écoles travaillent avec Carrefour, L'Oréal, Adagio, Orange, Made.com, Canal+, Sosh, Uniqlo, Givaudan, le festival d'animation de l'AFCA, WWF, Science & vie, le Théâtre du Rond-Point, le théâtre National de Strasbourg, le Petit Palais, le festival We Love Green... Pour compléter cette approche professionnelle, certaines formations sont proposées en alternance.
Un réseau de plus de 5000 diplômés
À travers l'excellence de ses formations et de ses résultats, l'école, qui accueille 3500 étudiants, fait aujourd'hui partie des écoles qui comptent sur la scène de l'enseignement des arts appliqués en France. Un classement dévoilé par le journal Le Monde (1er décembre 2017) la place parmi les 7 écoles d'arts appliqués privées les plus prestigieuses. LISAA est aussi la seule école à figurer dans le top 10 de tous les classements arts appliqués de l'Étudiant en 2018. Rien de surprenant lorsqu'on sait que de nombreux diplômés affichent de très beaux parcours professionnels comme René Richard, directeur artistique de Guy Laroche ou Xiang Fang Ye, co-fondateur de la marque Wasted mais bien d'autres encore : chef de produit maille chez Balenciaga, Architecture Project Manager chez Chaumet, webdesigner chez Publicis, Matte Painter chez Rodeo FX, 3D Generalist chez BUF company... ou encore des créateurs d'entreprise.
Des implantations en France et à l'international
LISAA est présente dans 6 grandes villes françaises : Paris, Rennes, Strasbourg, Nantes, Bordeaux et Toulouse, qui a rejoint le réseau en septembre 2018.
L'école est aussi implantée à l'international puisqu'elle dispose, depuis 2010 d'un campus en Inde (Bangalore) depuis 2016, un campus en Chine, dans la ville de Suzhou.
...
L’Immersive Learning pour accompagner les parents et professionnels de l’éducation : découvrez pourquoi Harvard a choisi de s’appuyer sur l’expertise d’Uptale.
Reach Every Reader : un programme mondial pour faciliter l'alphabétisation
À l’origine du projet Reach Every Reader : le constat qu’une partie des enseignants et des parents sont démunis face aux difficultés ressenties par certains enfants pour apprendre à lire. Et cela malgré les nombreux outils à disposition.
L’objectif est donc d’offrir une aide aux adultes pour accompagner ces enfants. Pour cela, les acteurs de ce projet (la fondation Chan Zuckerberg, Harvard et le MIT) ont choisi d'utiliser Uptale pour créer des expériences immersives et pédagogiques en Réalité Virtuelle. Les raisons de ce choix : sa prise en main facile et immédiate offrant une plus grande autonomie aux professeurs et étudiants.
Un exemple concret : l'utilisateur se retrouve immergé dans un environnement connu où sont révélés des supports simples d'apprentissage de la lecture (liste de course, calendrier, etc.) ; favorisant ainsi une prise de conscience et un changement de comportement vis à vis des réflexes à avoir pour favoriser l'apprentissage de la lecture.
La réalité virtuelle au service des entreprises et universités
Nous connaissions la réalité virtuelle dans les jeux vidéo. Aujourd’hui, cette technologie est en train de transformer complètement le marché de la formation.
Fini l’apprentissage passif. Grâce à l’Immersive Learning, il est possible de s’immerger complètement dans un environnement interactif et pédagogique.
De nombreux usages sont possibles: onboarding de nouveaux arrivants, formation sécurité, gestes techniques, découverte de la réalité du terrain, gestion de scénarii clients complexes.
Uptale : une start-up qui a déjà déployé sa solution chez de nombreux grands comptes
Fondée en 2016 par quatre amis venant de différents univers (informatique, formation et communication), Uptale a réussi à croitre rapidement. Aujourd’hui, elle dispose d'une équipe d'une quinzaine de personnes qui s’occupent au quotidien de créer de nouveaux modules et de former leurs clients à cette solution innovante. Parmi les grands noms qui leur ont déjà fait confiance : Danone, Randstad, Disney ou PSA. Des débuts très prometteurs pour cette jeune start-up.
Uptale continue de perfectionner le réalisme des expériences et sentiments d'immersion en branchant sa plateforme à des services cognitifs (reconnaissance vocale, prise de décision, détection d'émotion) pour offrir aux professionnels de la formation une modalité pédagogique unique.
Reach Every Reader s’inscrit parfaitement dans cette démarche.
...
Flashmatin | Bonjour M.Pinat.
Bernard Pinat | Bonjour Madame. Je m'appelle Bernard Pinat. Je suis Directeur général du groupe ESPI, une école avec plusieurs implantations en France. À titre personnel, je suis arrivé au sein du groupe ESPI en 2013. Depuis 2013, on a développé le groupe de manière relativement soutenue puisque quand je suis arrivé, il y avait 760 apprenants à peu près et là à la rentrée, on en a un peu plus de 3800.
Oui, je crois qu'on peut appeler cela une ascension fulgurante. Alors M. Pinat, est-ce que vous pouvez nous expliquer l'histoire de votre école ?
BP | : Absolument ! Parce que c'est une belle histoire. 1972, deux ans après la loi Hoguet qui est venue encadrer l'activité immobilière et a créé une obligation d'avoir une carte professionnelle. À l'intérieur de cette obligation, il y avait également une obligation de formation. Étienne LE SIDANER qui est le père fondateur de l'ESPI, qui était un acteur de l'immobilier, s'est associé avec deux ou trois personnes. Il s'est dit, plutôt que suivre la formation à l'université ou dans des écoles publiques qui n'existent pas, on va créer nous-mêmes un parcours de formation pour aider les personnes qui veulent répondre aux exigences de cette loi Hoguet. Cette formation, ils l'ont voulu très professionnalisante. Une formation terrain.
Tout cela s'est passé en 1970. Aujourd'hui, cet ADN est encore présent au sein de nos programmes. Depuis une vingtaine d'années, l'ensemble de l'offre de formation de l'ESPI s'inscrit dans le schéma LMD. Un bachelor puis des mastères avec des spécialisations.
Vous avez ouvert votre première école à Paris, puis une autre antenne a été ouverte à Nantes, à Marseille, à Montpellier, à Bordeaux, à Lyon, et une future école s'ouvrira même à Lille en septembre 2022. Vous y proposez donc une licence et plusieurs bachelors. Pouvez-vous nous parler de ces différents cursus ?
BP | : À Paris, il y a le Bachelor, car nous n'avons qu'un seul Bachelor, celui qui permet d'obtenir les trois cartes professionnelles. Donc c'est un Bachelor qui dessinerait au métier de l'agence. Celui-là, il est présent sur toutes les implantations. Nous avons un mastère qui est la continuité du Bachelor qui s'appelle le MAGI, le management administration et gestion de l'immobilier.
Nous avons un deuxième mastère qui s'appelle le MAPI qui est un peu notre mastère phare parce que beaucoup d'étudiants viennent à l'ESPI pour devenir responsables de programmes, directeurs de projets immobiliers. Voilà ce à quoi prépare ce mastère. Ensuite nous avons un troisième mastère qui est le mastère audit expertise-conseil. Ensuite, nous avons un quatrième mastère qui est un mastère lié à l'ingénierie financière qu'on appelle le MIFIM.
Ensuite, nous avons un nouveau mastère que nous venons de créer qui est le mastère MIDI pour préparer tous les étudiants au métier du développement durable. Enfin, le dernier mastère que nous avons, c'est le mastère MEPI. C'est un mastère en entrepreneuriat en projet immobilier.
De quoi devenir un vrai professionnel de l'immobilier, les étudiants de votre école ont le choix. Ils peuvent soit suivre une formation à temps plein ou bien en alternance. Quelle est la différence ?
BP | : On a effectivement des filières à temps plein et des filières en alternance. On a toujours cette fibre très professionnalisante. C'est la raison pour laquelle nous avons très largement développé l'alternance. Le contenu du programme est le même. A temps plein, on va plutôt s'adresser à des personnes qui ne se sentent pas toutes de suite à l’aise dans l'activité professionnelle. Elles vont d'abord suivre six mois de cours pour ensuite faire un stage pendant six mois. Puis l'alternance en apprentissage, nous avons un format et un rythme qui est d'une à trois semaines. C'est-à-dire une semaine de cours, trois semaines en entreprise.
Rappelons d'ailleurs que tous les étudiants qui suivent une formation sur le terrain bénéficient d'un contrat de travail, d'un sa...
Pour expliquer le succès de l’Ecole, on y retrouve comme principale qualité l’efficacité et la diversité. En effet, le Groupe ESPI propose un cursus riche afin d’élargir le panel de choix des étudiants. Pour cela, elle propose différents bachelors, tous orientés aux métiers de l'immobilier.
Une école aux cursus diversifiés
• Le Bachelor « Gestionnaire d’Affaires Immobilières » (GESAI), spécialisé dans la transaction et dans la gestion immobilière. Le titre délivré est reconnu par l’Etat, niveau 6. Il permet l’obtention des trois cartes professionnelles. Pour poursuivre le programme en 2ème ou en 3ème année, l’étudiant doit être titulaire d’un Bac+ 1 / 2 validé.
• « Management, Administration et Gestion de l’Immobilier » (MAGI)
Une fois le parcours GESAI achevé, les Espiens peuvent continuer en entamant ce master. Tout au long du cursus, ils apprendront la gestion juridique, technique et financière des actifs immobiliers. À l’issue de leur Bac+5, ils pourront devenir des Property managers accomplis, des administrateurs de biens ou encore des Responsables d’affaires.
• « Manager en Aménagement et Promotion Immobilière » (MAPI)
Les cours magistraux se concentrent sur l’aménagement ou la rénovation urbaine et le montage d’opérations. Il s’agit du Master phare du groupe universitaire puisqu’il tient pour objectif de former des futurs cadres dans le marché. Ainsi, le MAPI est fait pour ceux qui souhaitent exercer le métier de prospecteur foncier, directeur de projet ou responsable du développement immobilier.
• « Manager en Ingénierie de la Finance Immobilière » (MIFIM)
MIFIM résulte du lien naissant indéniable entre les domaines de la finance et de l’immobilier. Au terme de leurs études, les étudiants seront en mesure de maitriser les financements et en analyser les risques. De plus, ils développeront leur savoir-faire concernant l’acquisition et la valorisation des actifs immobiliers.
• « Manager en Immobilier Durable et Innovant » (MIDI). Ce Master Professionnel est le dernier en date. Il dispense un enseignement détaillé sur le développement durable, les stratégies et le management. En incluant la Finance verte dans leur cursus, le groupe ESPI inclut une problématique actuelle au cœur même des métiers de l’immobilier.
• « Manager en Entreprenariat et Projets Immobiliers » (MEPI)
Afin de soutenir les grandes ambitions des apprenants, le MEPI a été mis en place. Le long de leur parcours, ils boosteront leur confiance en soi pour réaliser progressivement leur rêve de piloter une entreprise immobilière.
ESPI, un formateur qui s’adresse à tous
Le Groupe ESPI se veut accessible et pratique pour tous les amoureux de la sphère immobilière. Ainsi, il offre plusieurs possibilités adaptées à chaque cas.
L’enseignement à temps plein est fait pour les étudiants qui veulent uniquement se concentrer sur la face académique de la formation. Il dure 6 mois et est suivi d’une période de stage.
En revanche, les cours en alternance soulignent l’importance de l’immersion professionnelle dès la formation. Comme son nom l’indique, ils alternent l’emploi du temps de l’Espien en lui proposant 1 semaine de cours présentiels et 3 en entreprise. La loi française exige une formation de 14 heures tous les 2 ans pour pouvoir mettre à jour sa carte professionnelle. Le Groupe ESPI ouvre ses bras aux dirigeants, managers, agents de maîtrise et assistants qui souhaitent se perfectionner davantage. Entre 2020 et 2021, près de 1200 professionnels ont bénéficié d’une formation en alternance. Des visioconférences et de l’E-learning sont proposés pour compléter les cours présentiels.
Un dispositif handicap associé à des formations professionnelles
Si les handicaps physiques et mentaux ont longtemps été un frein dans la poursuite des études, ESPI veut mettre fin à cela. Le directeur de l'établissement soutient que les différences ne devraient pas être un obstacle à l'éducation. Le groupe s'engage à apporter sa contribution en offrant des aides administratives et financières aux personnes à mobilit...
L’institut Le Cordon Bleu forme chaque année plus de 20 000 étudiants partout dans le monde aux Arts Culinaires et au management hôtelier. Mais son vaisseau amiral reste à Paris, fleuron de la gastronomie mondiale. Dans un établissement où la passion et l’excellence anime tous les gestes, il fallait des enseignants et des intervenants au moins aussi prestigieux. Et c’est d’ailleurs l’une des forces de l’institut Le Cordon Bleu Paris : le corps enseignant est composé de professionnels reconnus, respectés et de nombreuses fois récompensés. A la direction des Arts Culinaires, on retrouvera donc Eric Briffard, ancien chef de la table du Cinq, meilleur ouvrier de France, et deux étoiles au Michelin. Et pour le département hôtelier, on croisera, entre autres, Franck Ramage, ancien chef sommelier adjoint au Crillon deux étoiles au Michelin.
Pour tous ces professionnels, la transmission des gestes, de la passion, et du goût des belles choses est essentiel. Tous ces arts ne peuvent pas simplement s’expliquer dans les livres : il faut les pratiquer sous l’oeil attentif d’un mentor, encore et encore pour en avoir une maîtrise parfaite. Et c’est donc tout l’intérêt de l’institut Le Cordon Bleu. Mettre en relation des professionnels prestigieux et reconnus avec ceux qui le seront demain.
Un réseau social qui ouvre de nouveaux horizons
L’une des forces de cet institut est aussi de mettre en relation des étudiants aux cultures riches et diverses. Qu’ils soient anciens professionnels en reconversion ou jeunes bacheliers. Qu’ils viennent d’ici ou d’ailleurs (l’Asie, l’Amérique Latine, l’Afrique …), la diversité des cultures et des expériences est une richesse inestimable pour les étudiants. Elle leur permet de développer leur créativité, d’élargir leurs connaissances des usages à l’international, et d’explorer des idées nouvelles. Comme ces deux étudiantes, l’une chinoise et l’autre taiwanaise, associées pour créer un restaurant de cuisine fusion franco-taiwanaise dont la notoriété ne fait que grandir.
Lors de leur cursus, les étudiants vont également faire des stages dans de grandes maisons renommées. Ces expériences pratiques, choisies en fonction de leurs projets personnels, leur permettront de faire leurs armes. Ils y rencontreront aussi des professionnels aguerris, souvent de vrais références, afin d’étoffer leur réseau. Les étudiants en management hôtelier sont soumis à un régime spécial. Ils doivent impérativement suivre un cursus de trois mois dans l’une des matières culinaires. Et peuvent le faire à l’étranger, dans l’une des écoles du réseau.
Un environnement de travail ultra innovant
Mais pour que les 1000 étudiants parisiens puissent travailler dans les meilleures conditions, un bâtiment éco-responsable ultra innovant est à leur disposition. Situé sur les bords de Seine, ces 4000m2 ont été conçus pour optimiser l’apprentissage. Ils comportent sept salles de classes pour les cours de cuisine, boulangerie, ou pâtisserie. Chaque étudiant y a son poste de travail, comme dans un vrai restaurant. Un chai a aussi été reproduit à l’identique pour les futurs sommeliers. Mais des salles de cours plus classiques sont aussi disponibles pour les cours théoriques.
L’exigence dont font preuve les enseignants Le Cordon Bleu Paris, leur passion, et leur envie de transmettre font aujourd’hui encore de l’établissement une référence mondiale dans les Arts Culinaires et de l’hôtellerie.
...
Les programmes de formation continue en santé (masters et MBA) de l’Université Paris-Dauphine, tous compatibles avec une activité professionnelle, ont été développés dans le but d’adresser le secteur pointu du Management à la santé. Cet établissement de renom, première université en management, mise sur des formations continues en santé « qui ont été pensées afin de couvrir les besoins de toute la ligne hiérarchique d’encadrement du secteur », souligne Béatrice Fermon, directrice associée de l’Executive MBA Santé et responsable du Master « Économie et gestion de la santé ».
L’Executive MBA Santé : le management pour des cadres dirigeants appliqué à la santé
Ayant pour objectif de développer les compétences des acteurs du changement dans le domaine de la santé, cette formation de haut niveau s’adresse principalement aux médecins, managers du secteur ou professionnels aspirant à le devenir. Ce programme, alliant des modules théoriques et pratiques, répond à un besoin « de mettre la théorie au service de la décision et de l’action des managers »d’articuler les enseignements académiques avec le monde professionnel », reprend Béatrice Fermon. Ces modules aux dimensions internationales traitent toutes les facettes du management et de la gestion du secteur, en mettant particulièrement l’accent sur la conduite de projets complexes. Le travail sur des situations professionnelles concrètes et les séances individuelles d’accompagnement professionnel favorisent permettent une montée effective en compétences de management.
Master Economie et Gestion des Etablissements de Santé : pour une meilleure gestion des structures de santé
Dédié aux professionnels des secteurs santé et médico-social ou à ceux en reconversion professionnelle, ce master allie approches sociologiques et économiques et acquisition ou renforcement des compétences managériales. L’objectif est de former des cadres aptes à piloter et à gérer des services grâce à diverses capacités, notamment la compréhension la réalité du monde de la santé pour allier le déploiement stratégique des ressources à la performance. Des compétences de diagnostic de situation, de pilotage de projets, d’innovations managériales et d’arbitrages tenant compte de l’éthique des décisions sont développées dans le cadre de parcours personnalisés. La mise en pratique des connaissances acquises est assurée par l’expertise reconnue des intervenants universitaires et des professionnels du secteur.
Master Management Stratégique des Services et Etablissements pour Personnes Agées : un parcours humain
Cette formation spécialisée dans le pilotage managérial de services et d’établissements pour personnes âgées est proposée afin de cerner les différentes méthodes de gestion des activités en rapport avec la gérontologie, la science du vieillissement. Elle s’adresse aux personnes en reconversion ainsi qu’aux futurs dirigeants d’établissements pour personnes âgées. Axé sur la mise en place de stratégies managériales efficaces et une maîtrise de l’environnement de cette science, ce cursus, comme le souligne Béatrice Fermon, « allie savamment éléments cliniques et gestionnaires afin de proposer une formation dédiée à la gestion des structures et des services destinés aux personnes âgées ». Les qualifications du corps enseignant ainsi que la pédagogie basée sur une approche participative font de cette formation un tremplin d’employabilité. Avec des postes dans l’encadrement supérieur à la clé, les cadres diplômés pourront apporter leur expérience et leur expertise dans un secteur en plein essor.
...
Madame RIGLET, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Etudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP). Avec ses infrastructures modernes, l’IFSI jouit d’un espace de travail de qualité comprenant 17 salles dont 3 sont dédiées à la pratique des soins et réparties sur deux niveaux. Un pôle simulation avec la reproduction d’une chambre d’hôpital, équipée avec mannequin haute-fidélité permet aux étudiants et élèves de développer leurs apprentissages et leurs compétences dans un environnement au plus près de la réalité du terrain et de répondre au concept « jamais la première fois sur le patient ».
Pour leurs recherches, les étudiants ont accès à une salle informatique et un centre de documentation informatisé et bénéficient des conseils d’une documentaliste. Leur confort étant aussi une priorité, des infrastructures adaptées ont été conçues pour eux, notamment un « foyer étudiants » donnant sur une terrasse extérieure leur permettant de se restaurer ou de faire des pauses en inter cours.
Des formations complètes
L’IFSI offre deux départements de formation distincts : un département de formation initiale et un département de formation continue. Dans le cadre de la formation initiale, les étudiants ont la possibilité de faire une expérience de stage à l’étranger, en Europe via le programme Erasmus + ou à l’international dans le cadre d’un projet de stage en santé humanitaire dans des pays comme l’Inde ou le Népal où un groupe d’étudiants est parti en 2018. « L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience », souligne Danielle Benali, directrice adjointe.
Le département de la formation continue permet de professionnaliser des personnels de santé en les préparant :
- Aux concours d’entrée en formation d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture. - Aux diplômes d’Etat d’aide-soignant et d’auxiliaire de puériculture dans le cadre de fomations modulaires.
- Au Diplôme d’Etat d’infirmier pour les médecins extracommunautaires.
- Au tutorat des étudiants et des nouveaux diplômés
- A la première année de formation infirmière afin de fournir aux futurs étudiants en soins infirmiers quelle que soit la filière suivie dans leur parcours scolaire, les outils, les méthodes et les contenus de base indispensables pour réussir une formation universitaire dans les meilleures conditions.
- A se présenter devant un jury de la validation des Acquis de l’Expérience pour les métiers du domaine médico-social
Un encadrement de qualité
Tout au long de son parcours au sein de l’institut, l’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre afin que l’étudiant bénéficie d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant et d’adapter ainsi son parcours de formation en fonction de ses attentes et de ses besoins afin qu’il réalise son projet professionnel.
Au niveau de l’encadrement, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un diplôme de master. Les méthodes pédagogiques pratiquées privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables.
A ce titre et dans l’objectif d’améliorer la qualité des formations, l’IFSI est engagé depuis un an dans une démarche qualité visant à l’obtention de la certification.
L’FSI en quelques chiffres :
- Diplôme d’Etat en Soins Infirmiers : 80% de réussite
- Diplôme d’Etat d’Aide – Soignant : ...
Situé au CNIT, à La Défense, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Franco-Britannique est sous l'égide de l'Œuvre du Perpétuel Secours, association loi 1901. Il a pour mission de former des professionnels de santé compétents à même de s’adapter à l'évolution des pratiques soignantes et de répondre efficacement aux besoins de santé des personnes.
Des formations tout au long de la vie
Madame Danielle BENALI, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Étudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP) au sein de 12 salles de formation dont 2 dédiées à la pratique des soins et un pôle simulation avec chambre et mannequin reproduisant le contexte hospitalier.
À ce titre, l’IFSI offre deux départements de formation :
- Une formation initiale préparant aux diplômes d’infirmier, d’Aide-Soignant et d’Auxiliaire de puériculture. Dans ce cadre, les étudiants infirmiers ont la possibilité de réaliser un projet de stage à l’étranger ou en Europe via le programme Erasmus +. L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience.
- Une formation continue professionnalisant des personnels de santé tout au long de leur exercice professionnel ou favorisant une nouvelle orientation professionnelle (VAE, Passerelles …).
Un encadrement de qualité et des méthodes pédagogiques diversifiées
L’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre pour que les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant.
Pour ce faire, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un master. Les méthodes pédagogiques pratiquées s’inscrivent dans l’innovation et privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables.
De plus, il est intéressant de préciser que l’IFSI a développé de nombreux partenaires parmi lesquels « Médecine Sorbonne Université » et le Conseil Régional de l’Ile de France.
...
Situé au CNIT, à La Défense, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Franco-Britannique est sous l'égide de l'Œuvre du Perpétuel Secours, association loi 1901. Il a pour mission de former des professionnels de santé engagés et compétents, à même de s’adapter à l'évolution des pratiques soignantes et de répondre efficacement aux besoins de santé des personnes.
Des formations tout au long de la vie
Madame Danielle BENALI, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 95 Étudiants en Soins Infirmiers (ESI), 85 élèves Aides-Soignants (AS) et 65 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP) au sein de 12 salles de formation dont 2 dédiées à la pratique des soins et un pôle simulation avec chambre et mannequin reproduisant le contexte hospitalier.
À ce titre, l’IFSI offre deux départements de formation :
- Une formation initiale préparant aux diplômes d’infirmier, d’Aide-Soignant et d’Auxiliaire de puériculture. Dans ce cadre, les étudiants infirmiers ont la possibilité de réaliser un projet de stage à l’étranger ou en Europe via le programme Erasmus +. L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner tout au long de leur parcours de formation.
- Une formation continue professionnalisant des personnels de santé tout au long de leur exercice professionnel ou favorisant une nouvelle orientation professionnelle (VAE, Passerelles, tutorat, Soins d’urgence, soins critiques).
Un encadrement de qualité et des méthodes pédagogiques diversifiées
L’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre pour que les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de mieux connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant.
Pour ce faire, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un master. Les méthodes pédagogiques pratiquées s’inscrivent dans l’innovation et privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables.
De plus, l’IFSI a développé tout un réseau autour de nombreux partenaires parmi lesquels PARIS VI : « Médecine Sorbonne Université », le Conseil Régional de l’Ile de France, l’Agence Régional de Santé mais également avec des lieux de stage qualifiants et professionnalisants, notamment l’Hôpital Franco-Britannique / Fondation Cognacq Jay et des Centres de Formation en Apprentissage.
...
Encourager et porter les candidatures féminines dans le parcours d’ingénieur était et reste un cheval de bataille pour l’EPF. L’ancienne pépinière de femmes ingénieures initiée par Marie-Louise Paris accueille désormais un auditorat mixte. Autre changement marquant pour cette institution forte de quelque 10 000 diplômés, ses pédagogies innovantes qui placent l’individu au cœur de la méthode.
Priorité pédagogies
A l’aube du 21ème siècle où excellence et parité constituent le cœur des enjeux, l’institution prend le pari de réviser profondément ses manières d’enseigner. Valorisation de la personnalité, modes d’évaluation remis au goût du jour, intégration d’outils et de méthodes plus avancés. L’EPF adapte ses vues aux mutations de notre époque pour former des ingénieurs qui s’adaptent aux exigences du futur. L’arrivée du numérique a impulsé des transformations profondes dans notre société, ces dernières années. Les pratiques d’enseignement ont peu, ou pas, suivi la cadence, faisant l’objet d’un vrai statu quo. « On ne s’est pas suffisamment penché sur la révolution d’Internet qui amène une relation au savoir complètement différente » déplore le directeur d’EPF Montpellier. « L’accès au savoir étant désormais facilité, il faut davantage accompagner les étudiants dans l’appropriation des connaissances et l’articulation de ces connaissances entre elles » préconise-t-il. C’est dans cette optique que l’institution prône désormais les pédagogies dites mixtes, tout en privilégiant un nouveau mode d’évaluation.
Tirer parti des plateformes numériques pour concevoir des scénarii d’apprentissage intelligents, afin de tendre vers une plus grande autonomie de l’apprenant. C’est autour de ce concept central que s’articulent les pédagogies mixtes promues à l’EPF. La plateforme pédagogique Moodle est le support numérique de cette approche qui n’exclut pas entièrement les séances en présentiel. Celles-ci sont désormais réservées à des séances de synthèse, et surtout à des accompagnements requis dans des sujets plus élaborés (ou plus complexes), alors même que l’étudiant investit un statut plus actif dans son processus d’apprentissage au travers des classes inversées. L’acquisition de compétences comportementales d’engagement, de prise de risque, d’intégration à une équipe, d’échanges, de communication, en plus des compétences purement techniques, constitue l’avantage de ces innovations chez les ingénieurs sortants de l’EPF.
Une formation étoffée, polytechnique et internationale
« La volonté de l’école est de prodiguer une formation véritablement polytechnique » souligne Elisabeth Zerahian, Responsable du Département Communication & Marketing à l’EPF. Les 3 premières années de formation structurent ainsi, chez l’étudiant, l’acquisition d’un socle scientifique solide. Les 7 majeures proposées dans la suite du cursus ouvrent la voie à un diplôme d’ingénieur généraliste « polytechnicien, adaptable, polyvalent » et promu à toutes perspectives d’ouvertures selon les opportunités qu’il rencontre sur son parcours professionnel. Le grand atout supplémentaire des formations à l’EPF est justement la place accordée à l’ouverture internationale. Outre l’obligation d’apprendre 2 langues étrangères, les étudiants bénéficient d’opportunités d’échanges à travers un réseau de partenaires riche de 150 universités.
Des formations binationales (franco-allemande ou franco-québecoise) ou bi-diplomantes figurent d’ailleurs parmi les options qui s’ouvrent aux Peufien-ne-s en devenir. Les doubles-diplômes se préparent dès la première année avec des institutions allemandes ou québécoises. A partir de la 4ème année, d’autres universités des Etats-Unis, du Mexique ou du Roy...
Dispensées par les experts les plus pointus, ces stages ont pour but de développer le potentiel des entreprises, en terme de compétences, de connaissances et de technologies. Elles touchent de nombreux secteurs et permettent un échange direct avec les professionnels de la recherche. Plus de 1600 stagiaires en profitent chaque année et accèdent ainsi aux compétences de l’un des 1100 laboratoires avec tutelle CNRS, partout en France.
Une passerelle entre laboratoires et entreprises
L’organisme de formation continue du CNRS, CNRS Formation Entreprises, fait partie du département "Services aux entreprises" de la Direction des Relations avec les Entreprises (DRE). En réponse aux attentes actuelles, l’offre de formation s’est développée de manière considérable ces dernières années, tout en favorisant la qualité au nombre. Le catalogue s’articule désormais autour de 16 axes thématiques, allant de la chimie à la biologie en passant par la sociologie, les sciences cognitives ou la bioinformatique. Afin de répondre aux attentes des industriels et des stagiaires, l’organisme crée chaque année une 30 aine de formations sur de nouvelles technologies de pointe.
Aussi bien destinées aux entreprises qu’aux organismes publics ou même aux particuliers, ces formations d’une durée d’1 à 5 jours sont flexibles et organisées en petits groupes. La théorie laisse une large place à la pratique dispensée par les personnels de la recherche directement au sein du laboratoire CNRS détenant la compétence et/ou la technologie. Cette interactivité participe à stimuler les interactions entre industriels et laboratoires et débouche même parfois sur des projets de collaboration.
CNRS Formation Entreprises est également à l’écoute de nombreuses demandes spécifiques et crée ainsi chaque année une quarantaine de formations pour une entreprise et ses collaborateurs. Ces formations intra-entreprises peuvent se décliner à partir d’une formation proposée au catalogue inter-entreprises ou être créées sur-mesure en réponse à un besoin original d’une structure.
Une offre variée, orientée vers de nombreux secteurs
Transport, cosmétique, informatique, biotech, hospitalier, pénitentiaire, collectivité territoriale … la plupart des secteurs sont concernés par les innovations technologiques et les nouveaux enjeux sociétaux. Pour mieux maîtriser une technique sur laquelle vous rencontrez une difficulté, pour avoir un état de l’art d’une nouvelle approche ou tout simplement, évoluer ou faire évoluer un collaborateur, de nombreuses situations invitent à une formation auprès d’experts du CNRS. Parmi les nouveautés au catalogue 2021 les formations : "Biologie dans les systèmes microfluidiques", "Procédés d’oxydation avancée pour le traitements des eaux" s’adressent à des profils divers : ingénieurs biologistes, techniciens ou encore managers.
Outre les formations technologiques qui constituent le cœur de son offre, CNRS Formation Entreprises propose des formations sociétales sur les politiques publiques de santé, les radicalités, les stéréotypes de genre ou encore sur le handicap en entreprises avec notamment une formation sur l’autisme "Personnes autistes dans l'entreprise : inclusion, innovation et création de valeur". Cette dernière est un réel succès qui a déjà permis de former plusieurs managers, référents handicap et professionnels de l’orientation, et suite aux stages inter-entreprises, l’organisme a été sollicité pour des demandes de formation intra-entreprises sur le sujet.
Enseignements à distance et interactivité numérique
En raison du contexte sanitaire et des mesures gouvernementales actuels, CNRS Formation Entreprises a décliné certaines de ses formations 2020 en format numérique à distance, lorsque cela a été possible. Ces adaptions ont concerné quelques formations inter-entreprises initialement prévues en présentiel comme le stage « Introduction au machine learning et au deep learning, mise en oeuvre en Python » et d’autres ont été réalisées sur-mesure suite à la demande d’une so...
Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...
Les chiffres sont éloquents. Le taux d’insertion professionnelle des diplômés de l’UFR Droit Économie et Gestion confirme l’attractivité de ses formations. Selon la dernière enquête*, 90 % d’entre eux sont entrés dans la vie active 30 mois après l’obtention de leur diplôme. 75 %** trouvent un emploi dans les 12 mois qui suivent l’obtention de leur diplôme.
Deux performances qui confirment le bien-fondé de la stratégie menée par la faculté. Allier les compétences d’un corps enseignant de qualité (150 enseignants-chercheurs) avec celles des praticiens de l’entreprise, des collectivités territoriales et de l’administration (plus de 350 intervenants extérieurs). Et entretenir des liens forts et pérennes avec le tissu économique, les entreprises, les associations professionnelles (ANDRH, CNFPT, l’ordre des experts-comptables, la magistrature…).
L’apprentissage en alternance, clé du succès
Désormais, la moitié des masters dispensés par la faculté est proposée en apprentissage, une formule qui associe l’immersion en entreprise et le cours théorique. Grâce à cette séquence d’une année, l’étudiant valide une première expérience professionnelle de découverte et d’orientation dans un secteur qu’il a choisi. Il bénéficie d’un accompagnement personnalisé assuré par un tuteur universitaire et un maître d’apprentissage en entreprise.
Une période qui exige détermination et disponibilité. Ce sont les capacités opérationnelles et d’adaptation qui s’en trouvent améliorées. Des lignes précieuses sur un CV quand il s’agit de convaincre un employeur. Ainsi, la faculté signe chaque année plus de 150 contrats d’apprentissage mais aussi près de 900 conventions de stages.
La construction du projet professionnel n’est pas laissée au hasard : tout au long du cursus universitaire, des ateliers CV, lettre de motivation, préparation à l’entretien et des rencontres avec des professionnels sous forme de petits déjeuners et de forums métiers sont proposés aux étudiants.
Des laboratoires de recherche reconnus
De même, le niveau de recherche soutenu par la faculté conditionne la qualité de l’enseignement. Comme l’explique le doyen de la faculté, le Pr Cem Ertur, de tels niveaux d’excellence sont le fruit d’une harmonie entre recherche et enseignement, véritable écosystème favorable. « La faculté ne pourrait se prévaloir d’un tel classement si nos formations hautement qualifiantes et très recherchées par les entreprises n’étaient adossées à la recherche d’excellence dans nos laboratoires : le laboratoire d’Économie d’Orléans, le Centre de recherche juridique Pothier et Vallorem, le laboratoire de recherche en management. »
* Enquête nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, décembre 2014 et avril 2015.
** Enquête réalisée par les services de la faculté de Droit, d’Économie et de Gestion.
...
Le CFA SMS Centre-Val de Loire a été créé en 2012. Il forme par l'apprentissage aux métiers du secteur social et médico-social. En 2017, un nouvel arrivant : le diplôme d'État d'infirmier, dispensé par les Unités de Formation d'Apprentis de l'Institut Régional de Formation Sanitaire et Sociale (IRFSS) de la Croix-Rouge à Chambray-lès-Tours (37) et de l'Institut de Formation aux Soins Infirmiers (IFSI) de Dreux (28). La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche Associative, Sanitaire, Sociale et Médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région.
Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir
Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA va s'engager avec la Région Centre - Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap.
Devenir infirmier par l'apprentissage
C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (3 ans) et des 1800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus.
...
Savez-vous que près de 40 % de la consommation électrique mondiale est due au fonctionnement des moteurs électriques dans l’industrie ? Depuis sa création, en 1993, le Laboratoire Systèmes Électrotechniques et Environnement (LSEE), situé au sein de la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université d’Artois, à Béthune, est devenu spécialiste de l’amélioration de l’efficacité énergétique des machines électriques.
« Les solutions développées mettent en œuvre des matériaux nouveaux ou des structures originales, tout en prenant en compte cycles de fonctionnement et contraintes industrielles », explique Jean-Philippe Lecointe, professeur en génie électrique et directeur du LSEE. Les chercheurs du laboratoire ont développé des compétences très pointues comme, par exemple, l’utilisation des champs magnétiques externes que rayonnent les machines pour diagnostiquer leur état de santé ou analyser leurs performances énergétiques.
« L’écoconception vient en superposition de ces travaux, avec l’utilisation de matériaux moins polluants ou de procédés de fabrication écoresponsables ou plus écologiques », poursuit le directeur. Le LSEE s’est d’ailleurs distingué en concevant, en partenariat avec EDF et l’ADEME, un moteur à faible impact environnemental : un « moteur vert », avec rendement amélioré, procédés de fabrication et matériaux respectueux de la planète, analyse du cycle de vie, etc.
Une expertise de plus de 20 ans
Cette réalisation résume bien l’ambition des recherches du LSEE. Le laboratoire va même plus loin en essayant de limiter les bruits et vibrations des machines. Ces investigations, menées depuis plus de 20 ans au laboratoire, reposent sur une modélisation analytique des machines électriques. Elles permettant de créer un lien direct entre les grandeurs électriques et les grandeurs acoustiques. Outre des améliorations notables concernant le confort acoustique au voisinage des grandes machines électriques, ces travaux ont également permis de mettre au point des méthodes de diagnostic très innovantes.
« L’expertise du LSEE se manifeste également dans le domaine des systèmes d’isolation électrique. Les isolants constituent un facteur essentiel de la durée de vie des machines électriques et l’anticipation de leur vieillissement permet de réduire notablement les coûts de maintenance et d’améliorer la sûreté de fonctionnement des équipements », détaille Jean-Philippe Lecointe. Le LSEE développe donc des solutions innovantes pour évaluer ou accroître la durée de vie de l’isolant des fils utilisés pour bobiner les actionneurs électriques, comme un diagnostic non invasif on line des équipements, une réduction des contraintes par agencement fin des conducteurs dans leurs encoches, une étude des problèmes d’isolation liés aux hautes températures.
Que ce soit en préconisant des solutions de bobinage innovantes ou en utilisant des matériaux tels que les céramiques pour assurer le fonctionnement à températures élevées, le LSEE est au cœur des préoccupations de l’isolation des machines. Depuis plus de 20 ans, les chercheurs du LSEE analysent et conçoivent des machines électriques pour accroître leur efficacité énergétique, réduire leur émission acoustique ou les rendre plus fiables.
...
Seules cinq équipes universitaires de recherche en chimie en France sont à l’origine d’une molécule actuellement produite sur le marché de la santé. L’équipe « Onco et Neurochimie » fait partie de ce quinté prestigieux avec le développement du Valdoxan. Commercialisé depuis 2008 par les laboratoires Servier, ce médicament est utilisé pour le traitement des épisodes dépressifs chez l’adulte en cadrant l’horloge biologique.
« Notre objectif est de dépasser le stade de la publication des résultats scientifiques dans des revues académiques pour aller vers la valorisation et le développement de candidats-médicaments », explique le Pr Patricia Melnyk, qui dirige ce laboratoire orienté à la fois vers la chimie et le développement thérapeutique. « Actuellement, nous travaillons sur une deuxième molécule, qui est en phase de test chez l’homme. Au-delà de l’effet physiologique, nous nous attachons à décortiquer son mode d’action », poursuit-elle.
Alzheimer, sclérose en plaques, cancer
Ces nouveaux travaux pourraient avoir une influence sur les maladies neurodégénératives et, notamment, la maladie d’Alzheimer. En effet, dans cette pathologie, on observe deux mécanismes physiopathologiques : la pathologie amyloïde et la tauopathie. La première résulte de l'agrégation extraneuronale de peptides amyloïdes et la seconde de l’accumulation intraneuronale de protéine Tau hyper- et anormalement phosphorylée.
Le nouveau composé, dont le premier brevet date de 2004, permet à la fois de diminuer la pathologie amyloïde et de réduire le développement de la pathologie Tau.
Cette découverte est le travail d’un projet de recherche collaboratif entre l’équipe « Onco et Neurochimie » et l’équipe « Alzheimer et Tauopathies » des Drs Luc Buée et Nicolas Sergeant. « C’est la première fois qu’un composé est capable d’agir sur les deux lésions », affirment-ils. Cette nouvelle molécule, développée par AlzProtect, une société émanant de cette collaboration, est au stade des essais cliniques de phase 1 chez l’homme et a aussi obtenu le statut de « médicament orphelin » pour le traitement de la paralysie supranucléaire progressive (maladie neurodégénérative rare), auprès de l’Agence européenne du médicament. Une dizaine de personnes, comprenant des chimistes et des biologistes, travaillent actuellement sur ce projet, au sein des laboratoires académiques ou chez AlzProtect.
D’autres projets en cours
L’équipe « Onco et Neurochimie » étudie le rôle de cibles biologiques impliquées dans la dégradation des protéines altérées pour les traitements des maladies neurodégénératives. Cela passe par la conception de sondes chimiques permettant d’interagir avec ces cibles.
L’équipe intervient dans le domaine de la sclérose en plaques et travaille depuis plusieurs années en collaboration avec l’équipe du Pr Patrick Vermersch de l’unité LIRIC (Lille Inflammation Research International Center), l’un des leaders du domaine. Un partenariat vient d’être signé avec la société pharmaceutique Genzyme Sanofi pour l’étude de molécules novatrices.
« Nous travaillons aussi à la conception et à la synthèse d’inhibiteurs d’interaction protéine-protéine qui vont complètement modifier la survie cellulaire. Cela peut avoir une application dans le domaine des cancers du système digestif (colon, pancréas). »
...
Cette école de Management est intégrée, depuis ses débuts, à l’Université de Caen. « Sa vocation est de former des étudiants et des salariés aux métiers de la gestion et du management tout en développant des activités de recherche en lien avec ces domaines d’expertise », nous explique Patrice Georget, Directeur de l’IAE Caen. Avec le développement en 2011 d’une filière complète par e-learning, cette école se veut être un des pionniers de la formation à distance basée sur une pédagogie interactive qui place l’étudiant au centre de son apprentissage. Excellence et innovation se retrouvent ainsi dans une offre de formation en présentiel ou à distance adaptée à chaque apprenant et surfant sur la vague du progrès technologique.
Une formation mixte : identité de l’IAE
Avec une identité basée sur une expertise académique et une connaissance accrue du domaine du Management, cette école universitaire s’est forgée une solide réputation dans le domaine de la formation avec ses 40 cursus diplômants proposés en formation initiale ou continue, en présentiel ou à distance. La formation initiale, suivie par plus de 1 300 étudiants chaque année, est dédiée aux jeunes désirant faire carrière dans le management, le commerce ou dans d’autres domaines du secteur tertiaire. Sanctionnée par une Licence ou un Master, chaque formation initiale associe maîtrise académique du management et connaissance pratique du milieu professionnel. La formation continue, quant à elle, est « principalement pensée pour les salariés en entreprises désireux d’obtenir une plus forte mobilité professionnelle, tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger, d’avoir une promotion de carrière ou de changer d’orientation professionnelle en reprenant leurs études », poursuit son directeur. Grâce à un large éventail de cursus, l’école propose ainsi des formations continues en management d’entreprises, en finances et en management du social et de la santé. Allant des ressources humaines au management d’établissements de santé en passant par l’ingénierie financière, chaque programme, avec un Master à la clé, est adapté à tous ceux qui souhaitent élargir leur horizon professionnel et saisir de nouvelles opportunités. La gérontologie, les métiers d’agence bancaires, le contrôle de gestion ou le marketing digital, n’auront plus aucun secret pour les apprenants, quelles que soient leurs origines professionnelles. Véritables tremplins, tous les parcours, en formation initiale ou continue, sont conçus et prodigués par des enseignants universitaires, 50 au total, et par près de 350 enseignants issus du monde professionnel « gages de leur qualité et de leur aspect professionnalisant », souligne Patrice Georget.
L’innovation toujours au service de la formation
Les lettres de recommandation sont aujourd’hui un véritable passeport pour l’emploi. L’IAE Caen l’a bien compris et a ainsi développé un système similaire pouvant être inséré dans son CV : les badges. Ces derniers sont produits en collaboration avec le CEMU (Centre d’enseignement multimédia de l’université de Caen). Leur objectif, toujours selon Patrice Georget, est d’« évaluer le savoir-être de l’étudiant et de révéler qui l’on est et trouver une forme de reconnaissance qui va au-delà du diplôme ». En effet, certains étudiants travaillent de nuit et étudient le jour, dépassent ainsi leurs limites et franchissent des obstacles apparemment infranchissables pour arriver au bout de leurs études. Ces efforts, trop souvent ignorés, sont désormais affichés au grand jour grâce au badge « Battant ». Symbole de persévérance et de détermination, ce badge sera le témoin des difficultés que l’étudiant a su surmonter. À celui qui s’investit dans la représentation de son école à l’occasion, par exemple, de concours d’entreprises, sera décerné le badge « Ambassadeur ». Le badge « Communiquant &raq...
Depuis plusieurs années, la filière Sciences, Technologies Santé de l’université Lille Sciences et Technologies occupe la 2eplace en France pour l’insertion professionnelle de ses diplômés. Le taux d’insertion frôle les 100% ! La politique de stages en entreprise, initiée dès la 4eannée du master et développée en dernière année, et les liens étroits noués entre les entreprises et le monde économique facilitent évidemment le recrutement, ainsi que la taxe d’apprentissage. Exemple : les diplômés de master en formation initiale occupent des emplois à temps plein à 97 %. Et un sur cinq occupe un emploi stable. Durée de recherche d’emploi : à peine 2 mois.
Les licences professionnelles ne sont pas en reste et le taux d’insertion est de 90 %. De même, neuf sur dix des diplômés de licence occupent des postes de cadres, un gros progrès. La licence ER2E vient d’être distinguée en 1reposition dans le classement EDUniversal des formations dans le domaine des énergies renouvelables.
Une très large palette de métiers partout dans le monde
Car les métiers de la physique sont presque infinis ! Et les emplois sont variés. D’ingénieur recherche-développement à ingénieur technico-commercial en passant par ingénieur de production ou responsable marketing, la palette est large. Des profilstels que journaliste scientifique, chargé d’études ou responsable ressources humaines. Sans oublier, bien sûr, le consulting et le conseil.
Côté secteurs à fort potentiel de développement, la liste est aussi longue. Citons : les énergies renouvelables, la santé, la recherche médicale, l’aéronautique, l’astronomie, la biologie médicale, l’enseignement et la diffusion des connaissances, l’environnement, les télécommunications et le multimédia, les transports… Autant de profils et de métiers de plus en plus recherchés en France et en Europe, voire dans le monde.
Un haut niveau de recherche
L’un des derniers accords signés par l’UFR de Physique porte sur la création d’une unité de recherche commune avec le Commissariat aux énergies alternatives et le laboratoire de physique des lasers atomes et molécules de Lille (CNRS) et consacrée à la fabrication et au développement de la fibre optique. Un dispositif unique en Europe.
Voici un bon exemple du très haut niveau de recherche développé par l’UFR. Les laboratoires et les équipes de recherche sont associés aux grands organismes tels que le CNRS, l’INRIA ou l’INSERM.
Plus de 250 chercheurs et enseignants-chercheurs, dont 75 doctorants, forment les équipes pédagogiques dédiées à plus d’un demi-millier d’étudiants. Les formations initiales et professionnelles vont du DEUST au doctorat et s’inscrivent dans un environnement idéal et propice au développement d’un esprit scientifique adapté au monde de l’entreprise.
Ainsi formés aux clés de l’innovation et du développement économique, les étudiants bénéficient de plateformes techniques dernier cri, adossées à des unités de recherche à la pointe du progrès.
...
L’Université de Lille propose une offre de formation complète, comme l’atteste la diversité des filières de formation tout au long de la vie (FTLV), couvrant la totalité des champs disciplinaires au gré des cursus, diplômes et titres (DAEU, DEUST, DUT, licence, licence professionnelle, master, doctorat, diplôme universitaire), comme aussi des différents formats pédagogiques proposés : enseignement en présentiel, à distance, hybride, en alternance, par voie d’apprentissage… et ouvert à tous les publics (formation initiale, reprise d’études, formation continue).
Des formations pluridisciplinaires
A Lille, la complétude de l’offre de formation proposée encourage la création de diplômes bi- ou pluridisciplinaires facilitant l’accès à des métiers différents et à des compétences élargies, notamment droit-sociologie-numérique, droit et santé ou droit-finance à l’instar du master Finance, parcours Finance et Droit, option Gestion financière des patrimoines. Cette option vient compléter l’option Risque financier créée l’an passé. Ces dispositifs permettent aux étudiants de master 2 Droit privé (parcours Droit des contrats et Recouvrement de créances) et Droit des affaires (parcours Fiscalité) de suivre la même année le master Finance (parcours Droit Finance) grâce à une offre de cours numérisés. Ainsi, ils peuvent obtenir une double compétence facilitant leur insertion dans les métiers du droit et de la finance.
La pluridisciplinarité est également au principe du master Ingénierie de la santé, dans son nouveau parcours Coordination des trajectoires de santé alliant les Sciences Humaines et Sociales à l’expertise médicale et sanitaire en vue d’une optimisation des parcours de santé dans ces diverses dimensions : prévention, soin, prises en charge médico-sociales.
Attractivité internationale
L’internationalisation est un défi. L’Université de Lille s’y emploie, en veillant à l’attractivité internationale de ses formations et, pour certaines d’entre elles, en dispensant des enseignements bilingues en licence (notamment en Sciences de la vie) et entièrement en langue étrangère en master : c’est le cas notamment du master Biologie végétale, parcours Plant Sciences.
D’autre part, la qualité de l’accueil des étudiants étrangers est assurée grâce à un bouquet de services tels que des cours de français langue étrangère (FLE) et un DU Introduction à la didactique du FLE (ouverture en septembre). En matière d’excellence scientifique, l’attention est portée aux grands défis technologiques et sociétaux liés aux sciences, aux cultures et aux technologies de l’image et du numérique et à la transition énergétique. C’est notamment le cas du master Sciences et Cultures du visuel, seul à être proposé en France, qui ouvrira en septembre, et du master Mention automatique et Système électrique, répondant aux besoins en véhicules intelligents électriques de l’industrie automobile et du transport.
Des formations pour tous publics
Soucieuse des besoins de montée en qualification et de sécurisation des parcours professionnels, l’Université propose des cursus qui ont pour ambition d’être attractifs et accessibles à tous publics. En complément des diplômes d’État (licence, master, doctorat), elle propose des diplômes d’université (DU) et des certificats. Ces certificats font l’objet de validation de crédits qui permettent l’obtention partielle ou totale d’une licence ou d’un master. C’est le cas, par exemple, de 5 certificats en STAPS portant sur l’entretien de la santé et le développement de la condition physique, accessibles tant pour le grand public que pour les sportifs de haut niveau.
Le diplôme universitaire de technologie (DUT) Carrières sociales s’enrichit d’une option Assistants sociaux, permettant d’accéder, via une 3e année d’études, au diplôme d’État d’assistant de service social. De même, le DUT Gestion logistique et Transport réaménage son programme de forma...
Des voies d’accès à la profession plus lisibles.
Entre les différentes réformes, il est parfois difficile de s’y retrouver. Quels parcours doivent emprunter les plus jeunes pour devenir professeur ?
Les modes d’accès à la profession se sont simplifiés au fil des années afin d’être plus lisibles. La voie royale reste celle du concours de recrutement. Il est aujourd’hui accessible dès que l’on est inscrit en Master 1, pour une majorité de filières. Les épreuves du concours externe, identiques pour le concours du public et du privé, se déroulent de mars à juin (en fonction du parcours 1er ou 2nd degré).
« Bien que les modalités de recrutement des enseignants soient identiques entre l’enseignement privé et l’enseignement public, le candidat doit effectuer un choix qui sera déterminant pour sa future carrière, explique Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique Nord - Pas-de-Calais à Lille.
Si au final, le métier est le même, il faut savoir qu’il n’existe quasiment pas de passerelles entre le public et le privé une fois que l’on devient enseignant. ». Le choix du concours engage donc une carrière au sein de l’enseignement public ou bien de l’enseignement privé, (majoritairement des établissements catholiques d’enseignement). Une fois ce concours obtenu, les étudiants intègrent un Master 2 MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation). Il s’agit d’une année de formation par alternance. En effet, le professeur stagiaire est rémunéré à temps plein, dès cette cinquième année d’étude, pour se former, tandis que l’autre partie du temps est consacrée à enseigner, à mi-temps dans une classe. Chaque étudiant est bien sûr accompagné par deux tuteurs, l’un en établissement, l’autre à l’IFP. D’autres concours dits réservés ou internes existent pour ceux qui n’empruntent pas la voie du Master 2. Ces concours sont notamment ouverts à ceux qui font des remplacements depuis plusieurs années.
Prof à 40 ans : et pourquoi pas vous ?
On ne naît pas prof, on le devient par la formation et la pratique professionnelle. On peut aussi le devenir au cours de sa carrière professionnelle… même si, jusqu’alors, elle n’avait pas grand-chose à voir avec l’enseignement.
C’est un phénomène nouveau observé par Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique du Nord-Pas-de-Calais à Lille. Depuis quelques années, un nouveau public s’oriente vers le métier de professeur. « Avant, nous accueillions essentiellement des étudiants. Désormais, on observe de plus en plus de personnes, en reconversion professionnelle, qui souhaitent réorienter leur carrière dans l’enseignement ».
Ceux-là peuvent avoir subi un licenciement, avoir l’impression d’avoir fait le tour de la question dans leur ancien métier et veulent changer d’orientation, ou avoir tout simplement envie de transmettre les compétences acquises durant 10, 20 ou 30 ans. Les métiers de l’enseignement leur sont également accessibles, d’autant plus en cette période « où les demandes de chefs d’établissement pour des remplacements sont importantes ».
L’IFP Nord-Pas-de-Calais accueille et accompagne ces personnes en reconversion professionnelle, qui peuvent être suppléants avec un niveau licence. Cet accompagnement se fait en plusieurs étapes : un entretien préalable, pour clarifier les intentions ; un stage d’immersion en collège ou en lycée, pour appréhender les réalités du métier ; une proposition d’entrée en formation et/ou en suppléance (remplacement) ; enfin, une formation professionnelle adaptée.
Les professeurs en espagnol, en sciences-physiques, en mathématiques sont très recherchés… Alors, pourquoi pas vous ? Parce que le futur enseignant, professeur des écoles, professeur de mathématiques ou de boulangerie, cela peut bien être vous !
...
La première année commune aux études de santé (PACES) est toujours un casse-tête pour les candidats aux métiers de médecin, de pharmacien, de kinésithérapie, d’odontologie et de sage-femme. Les vocations ne manquent pas.
Animé par des étudiants de 2e et de 3e année, le Tutorat Santé de Tours accompagne leurs jeunes collègues dans leur préparation aux épreuves, si sélectives et si déroutantes.
Une équipe de bénévoles dynamiques et disponibles s’est donc réunie et organise « colles », concours et examens blancs corrigés. Des permanences de révisions sont proposées ainsi qu’un suivi via Internet. Plus de trois étudiants sur quatre bénéficient des entraînements du tutorat. Et plus d’un étudiant en 2e année sur deux a réussi son concours grâce à la seule préparation du tutorat. Le programme d’accompagnement est une alternative crédible aux solutions onéreuses. Le coût à l’année est de 50 €.
Le dispositif existe depuis plus de 15 ans au sein de la faculté de médecine de Tours. Le Tutorat Santé est dirigé par un bureau de 7 étudiants de 3e année élus par leurs pairs. Le corps pédagogique et universitaire de la faculté apporte son soutien et supervise les épreuves, les QCM et les concours blancs.
Tutorat Santé de Tours : des formations pour réussir dans les domaines de la santé
Rançon du succès, le programme est distingué par les associations nationales étudiantes de France et a reçu l’agrément OR. Question de bonnes notes !
...
La première école Saint-Luc voit le jour en 1878, à Tournai, en Belgique, près de la frontière française. À l’époque, la gestion est assurée par quatre frères prônant l’idéal des frères des écoles chrétiennes. Depuis sa création, l'établissement ne cesse de se développer au fil des années. C'est en 1960, lors du déménagement de l'école dans ses locaux actuels, que fut créé l'enseignement supérieur des Arts.
Former les étudiants aux métiers de l’art
L’école Saint-Luc propose à tous les étudiants, qu’ils soient du secondaire ou du supérieur, de suivre leur formation dans le même esprit humaniste initié par les frères fondateurs. Au sein de l’école supérieure des Arts, les formations dispensées s’étalent sur 3 ans et débouchent sur un diplôme de bachelor. Entre le domaine des Arts Plastiques, des Arts des visuels et Arts de l'espace, les étudiants ont le choix entre 6 formations : Graphisme, Photographie, Publicité, Création d’intérieurs, Stylisme de Mode et Stylisme de l’Objet. Chaque discipline étant enseignée par des professionnels en activité.
Mieux préparer les étudiants au monde professionnel
Le but étant de préparer les étudiants à l'insertion professionnelle, l'école mise sur 2 piliers indispensables pour appuyer les formations. Les cours théoriques consistent à les aider à acquérir des bases fondamentales, tandis que la pratique développe leur langage plastique.
ESA Saint-Luc Tournai s'emploie ainsi à prodiguer une formation approfondie aux élèves afin de développer leur sens critique tout en respectant la démarche et la singularité de chacun.
La formation est ponctuée de conférences, visites culturelles, voyages d’études, workshops, de participation à des concours internationaux et des stages allant de 15 jours à 2 mois. Elle révèle des artistes capables de développer une démarche de création authentique et autonome. « Ces stages sont réalisés avec des enseignants qui sont tous des professionnels dans le domaine », souligne Pierre-Henri Leman, enseignant.
Par ailleurs, l’école est le théâtre d’une effervescence artistique emprunte d’innovations pédagogiques. Une attention toute particulière est apportée à la mobilité internationale et à la recherche artistique. Durant les voyages pédagogiques, les étudiants visitent pendant une semaine une grande ville culturelle. « En ce moment, les étudiants en option publicité sont à New York pour rencontrer les agences publicitaires sur place », précise notre interlocuteur.
Autre particularité d'ESA Saint-Luc Tournai est son ouverture aux étudiants de toutes origines. C'est dans ce sens que le Pensionnat Passy-Troyennes accueille plus de 300 élèves issus d’horizons divers et désireux de suivre un parcours artistique. A cette structure s’ajoutent 50 chambres réservées aux étudiants du Supérieur.
En pleine mutation, elle ambitionne de créer de nouveaux partenariats pédagogiques et culturelles qui fassent sens pour consolider des liens, créer des ponts utiles et amplifier les synergies artistiques.
...
La toute première clientèle d’Alain Bertholet était un petit groupe d’étudiants envouté par le témoignage de ce grand passionné de voyages. Il a en effet parcouru l’Angleterre, le Canada, le Japon et l’Autriche pendant toute sa jeunesse. Il accepte donc d’organiser leur départ vers l’Angleterre.
Une expérience qui l’a poussé plus tard à lancer Langues Vivantes en Belgique, afin d’offrir la même opportunité aux autres. Le succès du concept fut si grand que la structure se développe rapidement à l‘échelle européenne pour jouir aujourd’hui d’une réputation mondiale.
Un éventail de formules à la carte
Armé de ses 26 années d’expérience, Langues Vivantes a conçu toute une gamme de formules de séjours linguistiques et de programmes académiques à l’étranger, essentiellement à destination d’un jeune public.
« Nous recevons beaucoup de demandes pour une intégration scolaire à l’étranger, que ce soit pour quelques semaines, une année entière ou un cycle complet de 2 ans, où les participants peuvent choisir entre un programme d’anglais scolarité ou un programme de langue intensif », explique Alain Bertholet. Les États-Unis, le Canada, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Irlande, l’Espagne ou encore l’Australie sont les destinations préférées des jeunes Français.
Au cœur de cette expérience qui s’annonce multiculturelle, les participants peuvent choisir d’être accompagnés par une famille d’accueil « triée sur le volet », précise le fondateur, ou d’être hébergés en résidence. Pour la première formule, ils auront le choix entre un séjour thématique en immersion totale dans le quotidien de la famille et un séjour chez un professeur particulier, idéal pour booster sa capacité linguistique sur une courte durée.
En outre, ceux qui aspirent à vivre plus intensément cette aventure à l’étranger peuvent partir en tant que volontaires vers le Costa Rica ou le Cambodge. « Ils vont soutenir une communauté défavorisée à travers des projets sociaux, éducatifs ou environnementaux au service des ONG locales. » Un excellent choix pour développer son âme altruiste et s’enrichir culturellement grâce aux nouvelles rencontres que réserve cette expérience humaine.
La culture de l’excellence depuis 30 ans
Ne serait-ce que pour sa philosophie, Langues Vivantes se démarque nettement de la concurrence. « Nos agences et nos organismes partenaires à l’international sont tous obligatoirement certifiés du point de vue qualitatif, c’est notre priorité absolue », poursuit le fondateur.
Une exigence justifiée dans la mesure où Langues Vivantes est le premier organisme non français à être agréé par l’Office national de garantie des séjours et stages linguistiques, une association reconnue par le ministère de l’Éducation nationale en France. La structure est également membre du Forum d’associations de voyages éducatifs et linguistiques du monde entier (FELCA), du SYTA basé en Amérique, du réseau Association internationale des centres de langue (IALC) et de l’organisme international ICEF.
« Non seulement nous avons fait le choix de l’excellence avec des formules efficaces et sur mesure, mais aussi nous offrons en plus des conditions financières intéressantes pour nos participants. » Un engagement rendu possible grâce à son équipe experte, des partenaires situés partout dans le monde et des nombreuses promotions destinées à récompenser les fidélités.
Par ailleurs, Alain Bertholet mise sur la qualité de l’accompagnement aussi bien pendant la préparation que tout au long du séjour, en mettant une place un groupe de contact à chaque destination.
...
L’Unité Mixte de Développement Professionnel Continu en Santé (UMDPCS) propose près d'une centaine de formations : diplômes nationaux, diplômes universitaires et inter-universitaires, formations courtes et formations ou colloques validant le DPC (développement professionnel continu). Les formats sont adaptés au cas par cas : présentiel, e-learning, hybride, MOOC, etc.
La mixité, une spécificité de l'UMDPCS
La mixité est d'abord celle des professionnels et des acteurs de santé eux-mêmes. Sont concernées toutes les professions de santé, y compris celles dont la formation initiale ne relève pas de l'université, qui ont pour objectif et/ou obligation de se spécialiser ou de se former tout au long de leur vie professionnelle. A ce jour, l’UMDPCS a formé plus de 7000 personnes.
La mixité est également celle des intervenants - universitaires et professionnels - qui contribuent aux actions de formation dans le domaine de la santé. Plus de 50 responsables pédagogiques sont garants de la qualité scientifique et pédagogique de l'offre de formation.
En plaçant, aussi souvent que nécessaire, les acteurs de santé « ensemble » en formation continue comme ils le sont « autour du patient » au quotidien, l’UMDPCS contribue au maintien d’un exercice pluriprofessionnel de qualité tenant compte de l’évolution des pratiques recommandées.
Co-construire des formations innovantes avec l'UMDPCS
L’UMDPCS a pour vocation de développer des actions de formation continue répondant aux attentes des professionnels de santé.
Pour y parvenir, elle propose un soutien et une assistance exclusive dans l'élaboration de projets de formation continue répondant à ses objectifs de qualité (supports pédagogiques, administratifs et logistiques).
...