Situé au bord de la plage de Biscarrosse, le restaurant du Grand Hôtel de la Plage accueille les gourmands en quête d’une cuisine savoureuse à déguster dans un cadre idyllique. Située sur la dune, les pieds dans l’eau, la terrasse en pin des Landes offre une vue imprenable sur l’océan Atlantique. À l’intérieur, une décoration moderne et authentique donne déjà un aperçu de l’allure raffinée de l’endroit. Les couleurs noir et blanc de la salle témoignent de son élégance et de sa simplicité tandis que les chaises en rose poudre apportent une note apaisante. De son côté, le bar en Corian, qui a été moulé sur place, charme par ses courbes arrondies et plans inclinés donnant forme à une cabine de bateau. Pour couronner le tout, l’éclat des lumières qui ont été intelligemment installées à travers la salle sublime l’ensemble. D’une cuisine de bistrot à une cuisine gastronomique Lieu emblématique de la ville de Biscarrosse, le restaurant du Grand Hôtel de la plage propose une cuisine bistronomique, qui combine parfaitement la convivialité d’un bistrot à l’aspect gastronomique de plats haute couture. Au menu comme à la carte, un large choix est proposé pour satisfaire les envies de chaque convive, même celle des plus exigeants. Se trouvant à proximité de la mer, le restaurant invite à vivre une fusion avec la nature marine et propose plusieurs plats à base de fruits de mer et de poissons, comme le navarin de homard et langoustines, le filet de maigre au beurre d’orange, le filet de bar aux poivrons confits ou les Saint-Jacques snackées et la purée d’artichauts aux agrumes. De même pour les huitres, qui proviennent directement du bassin d’Arcachon. Les amateurs de viandes ne sont pas en reste. Une série de succulentes suggestions les attend : pot-au-feu de canard, escalope de ris de veau façon viennoise, magret à la mangue rôtie, côte de veau bouchère à la crème de morilles. Aux fourneaux, Lionel Ménard, le chef, est loin d’être à court d’imagination. En s’inspirant de la cuisine de sa grand-mère maternelle, il réalise une cuisine traditionnelle savoureuse et simple, où les produits locaux sont à l’honneur. Néanmoins, il n’hésite pas à explorer les différentes saveurs du monde pour faire découvrir de nouveaux horizons culinaires aux plus aventuriers. Au gré des saisons, le chef se réinvente et se surpasse pour proposer des plats aussi audacieux qu’authentiques. Pour Lionel Ménard, la qualité est primordiale. Il préfère surtout s’approvisionner auprès des producteurs locaux afin de garantir la fraicheur des produits. En outre, il s’assure que le mariage met et vin soit bien réussi pour chaque plat. Une occasion pour les convives de découvrir la belle collection de vins, locaux et venus d’ailleurs, du restaurant. Par ailleurs, le bar ouvert convie à la dégustation des cocktails exotiques et originaux (Americano, ti-punch, piña colada…) ou des portagayola, qui sont une boisson issue de la macération de vin rouge, rosé ou blanc, de fruits entiers, d’armagnac et de sucre. Un endroit historique Demeure de charme des années 1930, l’hôtel a rouvert ses portes en 2013. Les travaux de rénovation ont apporté une touche de modernisme et d’authenticité à l’établissement sans que celui-ci perde son âme d’antan. En tout, il propose 33 chambres, dont 5 au rez-de-chaussée, 14 au premier étage et 14 au second, réparties en 5 catégories différentes. Chaque chambre éblouit par sa décoration sobre et chic, gardant le ton « noir et blanc » de l’établissement. De plus, les chambres sont toutes orientées vers l’océan et bénéficient soit d’un balcon, soit d’une terrasse pour que les clients profitent pleinement de ce paysage inédit. Et pour que la détente atteigne son paroxysme, l’hôtel met à disposition une grande piscine à débordement (durant l’été), un jacuzzi et un sauna. ...
Lieu propice aux escapades gourmandes, le restaurant dévoile de belles surprises culinaires qui valent réellement le déplacement. Ce restaurant bistronomique à la carte évolutive est une excellente adresse à découvrir et à recommander, avec un clin d’œil particulier pour le côté fraîcheur et la qualité des produits. Son cadre à l’ambiance raffinée, qui enchante les pupilles et les papilles, permet un plaisir toujours renouvelé. Sous une véranda qui présente une incroyable vue panoramique sur le village de Gordes et la vallée, le lieu laisse opérer sa magie. Le chef exécutif Antoine James ajoute sa touche personnelle aux belles compositions dont il est le seul à détenir le secret avec Marc de Passorio, chef étoilé signant la carte pour Alexandre Deshaies. Une signature très appréciée et facilement reconnaissable par les habitués. Avec une carte élaborée en collaboration avec le chef étoilé Marc de Passorio, l’établissement a de quoi satisfaire gourmands et gourmets. Tatin d’échalote confite au Châteauneuf du Pape, carré de cochon des Pyrénées Label Rouge, chariot de fromages accompagnée de mesclun et d’une confiture maison sont autant de délices à découvrir, sans parler de son chou à la crème mascarpone et noix torréfiées. Des saveurs de saison Proposée à 25 €, sa formule exclusive du midi comprend une entrée et un plat, ou un plat et un dessert. Pour le midi et le soir, le restaurant propose également un menu au nom évocateur à 32 €, qui change toutes les semaines en fonction des produits disponibles sur le marché, à savoir, le menu Retour du marché. Ayant plus d’un tour dans son sac, L’Esprit des Romarins dispose encore du menu Esprit à 45 €, sans parler de la carte et les suggestions de la semaine. Difficile de résister à son savoureux foie gras, réalisé avec du muscat Beaume de Venise, ou à son carré d’agneau les Comtes de Provence, un agneau 100 % provençal, travaillé au naturel avec tous les condiments et les aromates qu’on peut trouver en Provence. Au dessert, craquez pour son délicieux chocolat Weiss, un très bon chocolat fait comme un After Eight, qui n’est pas sans rappeler les After Eight préparés chaque saison par le chef pâtissier Simon Pacary de Marc de Passorio, mais accommodés à notre façon. ...
L’idée de créer un domaine viticole a surgi comme un vent de folie chez les Biancone. En 1983, Monique et Gérard ont décidé d’allier leur passion pour le vin et les vignes, en bâtissant ensemble le prestigieux Château Rasque. Un paradis créé de toutes pièces Le domaine est localisé à Taradeau, un village situé dans le centre du Var. Monique, fille de viticulteurs bordelais, et Gérard, passionné de vin : la vocation de vignerons s’est révélée comme une évidence chez les Biancone. Gérard, notamment, a également su déployer ses talents de maçon pour aménager le domaine à l’image de ses prestigieux ancêtres, les Rasque, une famille de notaires dracénois ayant occupé les lieux au XVIe siècle. Une des plus grandes fiertés de la famille est l’acquisition du Clos Jasmin, une irrésistible propriété de 12 ha, située au pied de la Sainte Victoire, sur laquelle s’enracinent de vieux ceps centenaires produisant exclusivement des rouges. Au fil des 35 ans passés, Monique et Gérard Biancone ont transmis leur passion ainsi que leur savoir-faire à leurs cinq enfants, qui ont tout simplement grandi au rythme de la vigne. À tel point qu’en 2005 leur fille Sophie reprend les rênes de l’entreprise familiale. Avec l’aide de son frère Enzo, « l’enfant des vignes », elle va apporter un vent de modernité qui ne sera que bénéfique dans la promotion de leurs vins en appellation Côtes-de-Provence. Notons qu’en 2003 la famille a également succombé au charme du domaine Hermitage de Saint-Pont, à Figanières, doté d’un vignoble de 31 ha et de 7 ha de bois. Un terroir particulièrement attachant Le vignoble du Château Rasque s’étend sur un sol argilo-calcaire de 30 ha. Perché à 260 m d’altitude, il bénéficie naturellement des conditions adéquates pour mener les vignes à parfaite maturation. D’autant plus que la couverture caillouteuse du sol limite les écarts de température entre le jour et la nuit et donc stabilise la température pour le bien-être des plantes. Le mariage de l’argile au calcaire permet le bon drainage du sol, ce qui prévient le stress hydrique chez les vignes. Ces traits caractéristiques confèrent d’onctueux arômes exotiques aux blancs et aux rosés, et leur tanicité soigneusement équilibrée aux rouges. Dans la liste des cépages travaillés figurent les célèbres variétés comme le rolle, le grenache, le cinsault, la syrah et l’ugni blanc. La vinification se fait de manière traditionnelle dans le but de tirer le meilleur du raisin, tout en le respectant. Il s’agit également de « valoriser l’âme du terroir », une terre pour laquelle la famille Biancone témoigne d’un amour particulier via une agriculture raisonnée. Ainsi, après les vendanges à la main, les raisins sont refroidis dans un échangeur tubulaire avant de passer au pressoir pneumatique. Le moût sera fermenté dans une cuve en inox, équipée d’un groupe de froid permettant de maintenir la température idéale pour la vinification. L’élevage des vins s’effectue dans des foudres de chêne installés à 8 m sous le sol, afin d’obtenir des cuvées authentiques au reflet de leurs racines. L’élégance en bouteille Grâce aux 3 domaines viticoles qui le composent, le Château Rasque peut produire différents types de vins. Réputée pour ses rosés, la maison consacre 50 % de sa production à ces cuvées. Le reste du pourcentage est départagé entre les rouges (30 %) et les blancs (20 %). Toutefois, la cuvée emblématique est la « Pièce noble », un vin rouge intense, dont la particularité se révèle à travers ses arômes de fruits confits légèrement épicés. Sa longueur en bouche et sa finale chocolatée s’avèrent être un réel plaisir pour le palais. Le Château Rasque est également connu pour ses blancs frais et complexes comme le « Blanc de blanc 100 % rolle » ou le « Clos de Madame ». ...
Le Château Tour Castillon ouvre les portes de son domaine à tous les amateurs de vins du Médoc. L’occasion de découvrir les créations uniques et originales de cette famille de vignerons depuis plusieurs générations. Château Tour Castillon : le domaine L’histoire du vignoble Peyruse remonte à 1914. À cette date, Théobal Peyruse acheta la propriété de Castillon, située à 60 km au nord de Bordeaux. Classée en appellation Médoc, la vigne s’étend sur 40 hectares. Puis, dans les années 90, ce fut au tour de Pierre Peyruse de prendre les rênes de la propriété avant de les laisser à ses enfants, Sébastien et Laure, en 2019. Ces derniers représentent la quatrième génération en charge du domaine et de l’élaboration du vin. Aujourd’hui, le vignoble est réputé pour ses cuvées nobles, issues de l’assemblage de 5 cépages : merlot, cabernet sauvignon, cabernet franc, petit verdot et carménère. Régulièrement récompensées, les créations de la propriété profitent d’un élevage en fût de chêne pendant 2 ans. Ce qui leur permet de révéler une grande élégance ainsi qu’une grande intensité aromatique. L’oenotourisme au château Tour Castillon Pour apprendre à découvrir les vins du vignoble Peyruse, plusieurs événements sont organisés tout au long de l’année. Ainsi, il est possible de visiter le domaine et de déguster les vins du vignoble du lundi au vendredi. Si vous passez dans le coin, sachez que la visite est gratuite. À savoir : il n’y a qu’en juillet/août qu’elle est sans rendez-vous. Le reste de l’année, il est préférable d’annoncer sa venue. En complément, vous pouvez aussi réserver une balade commentée qui est un moment privilégié pour en apprendre plus sur le vignoble tout en profitant de paysages d’exceptionnels. Cette promenade qui peut se faire en famille débute directement dans la vigne et se termine dans les chais. Commentée par un membre de la famille Peyruse, c’est l’occasion unique de parfaire votre connaissance des vins de la région et de la viticulture en général. Il ne faut pas oublier non plus l’apéro estuaire qui vous invite à déguster du bon vin et apprécier une bonne planche de charcuterie dans une montgolfière ou sur un carrelet de pêche tous les mardis et vendredis de juillet et août. Finalement, si vous aimez la musique, vous devez noter dans vos agendas les dates des différentes soirées Music and Wine qui se déroulent au bord de l’Estuaire tout au long du mois d’août. Un groupe différent se produit sur scène à chaque fois. De quoi ravir les épicuriens à la recherche d’expériences de dégustation uniques mêlant musique, tapas et vins du Médoc. ...
Situé en Normandie sur la route du cidre, au cœur du pays d’Auge, le domaine familial Pierre Huet se compose de 30 hectares de vergers hautes et basses tiges, sur lesquels on compte plus de 25 variétés de pommes à cidre. Grâce à un terroir naturellement propice à la production de pommes, le domaine Pierre Huet produit et commercialise dans le monde, selon des critères très stricts, quatre des six Appellations d’origine contrôlée (AOC) cidricoles normandes : - Calvados pays d’Auge - Calvados - Pommeau de Normandie - Cidre pays d’Auge Des cidres et des calvados authentiques… Au sein de cette production, la fabrication des cidres et des calvados constitue un savoir-faire inestimable, transmis de génération en génération depuis plus d’un siècle. En conjuguant tradition et innovation, la famille Huet a ainsi pu acquérir une grande notoriété par la commercialisation de son précieux breuvage : le calvados. Elle est passée maître dans l’art des assemblages subtils et délicats. Cette pratique, fruit d’une longue expérience, consiste à assembler des eaux-de-vie de maturité et d’âges différents pour obtenir une qualité constante. …et d’autres produits issus de pommes ou de poires Vous pouvez choisir un poiré demi-sec, un cidre de poires, qui se marie à merveille avec les desserts aux fruits. Pour l’apéritif ou pour accompagner un foie gras, optez pour le pommeau vieilli en fûts de chêne. Le Domaine Pierre Huet propose également de la crème de calvados, de la crème de pomme verte, de la liqueur de poires au calvados, du jus de pommes, ou encore du vinaigre de cidre ou de poiré. Visite du domaine Le domaine Pierre Huet ouvre ses caves à la visite tout au long de l’année. Grâce à votre guide, vous découvrirez l’élaboration du calvados depuis la pomme jusqu’au produit fini. En 2010, un nouvel espace d’accueil comprenant boutique et distillerie a été construit sur le Domaine. Les alambics chauffés aux copeaux de bois y ont une place primordiale, dans une optique de développement durable et d’économie d’énergie. Cet espace a été totalement pensé pour une production plus raisonnée. Une distillerie innovante et unique en Normandie ! Le Domaine vend environ 60 % de sa production en direct à la propriété, 25 % à l’export dans de nombreux pays comme la Belgique, l’Allemagne ou l’Autriche ou encore les États-Unis et le Japon. ...
C’est près des Gorges du Verdon ainsi que du lac de Sainte-Croix que se trouve la cité Riez-la-romaine, là où se situe Le Rempart. Depuis 1999, ce restaurant chic et convivial propose des plats exquis dans le but d’épater les convives qui s’émerveilleront en même temps en découvrant les œuvres d’art exposées à l’intérieur. La réputation de cet établissement de la rue du marché est telle que les plus grands guides le recommandent pour son originalité ainsi que sa cuisine gourmande. Quand l’originalité s’allie à la créativité Faisant office de galerie d’art, ce restaurant travaille en collaboration avec les artistes locaux qui exposent au Japon ainsi que sur Paris. Au moyen d’un vernissage, l’artiste expose pour la première fois ses œuvres dans les salles pouvant accueillir 80 personnes. Rappelant la savane, les chaises de couleur zébrée ou unie donnent de l’exotisme au décor de la salle principale. Rondes ou rectangulaires avec des pieds droits ou sculptés, les tables en bois sont intensément vernies. En plus des lampadaires et des grands bougeoirs aux coins des murs, les tableaux et les grands miroirs, que ce soit au rez-de-chaussée ou en étage, participent énormément à l’embellissement de l’établissement. Un peu partout dans la salle, des sculptures, de la poterie et de la faïence sont à mis en exergue. A l’extérieur, lors de l’arrivée des beaux-jours, la terrasse ensoleillée promet encore plus de convivialité. La terrasse à l’ombre quant à elle est située sur la rue piétonne. Cet espace en plein air est entouré de tonneaux de vins, d’une tonnelle fleurie ainsi que des pots d’arbustes. Les peintures d’empreinte de pieds marquent le passage se dirigeant vers l’accueil, près duquel se trouve une boutique de produits provençaux. Repas des plus succulents Dans un souci de fraîcheur, le chef Ismaël Cardoso se ravitaille auprès de fournisseurs bios d’Allemagne-en-Provence pour les légumes. La viande de bœuf, quant à elle, est issue de Charolles tandis que l’agneau provient des Alpes. Au restaurant, il présente le menu express du midi et la formule brasserie dite rapide et chic. Parmi les plats phares du Rempart figure la farandole de spécialités provençales, une assiette bien garnie composée notamment d’artichaut barigoule, de mesclun, de tomates anciennes, de jambon cru, de chèvre chaud et de plusieurs autres ingrédients provençaux. Agréablement décorée, l’incontournable Assiette du pirate fait aussi la réputation de la maison. Elle est préparée avec une tartare de dorade rose, une salade de mesclun, des tomates anciennes, des gambas, des noix de Saint-Jacques, des langoustines, des moules, des palourdes et des poulpes en persillade flambés au Pastis et fruits de saison. Pour les plus gourmands, la carte propose la côte de bœuf charolaise grillée au barbecue servie avec une farandole de légumes et une salade accompagnée d’un panaché de sauces et sel de Guérande. A savoir que le restaurant propose plusieurs menus dont celui intitulé « Autour de la truffe » composé d’une petite brouillade de truffes, de ravioles de foie gras de truffes et d’un filet de bœuf rossini aux truffes ou de Noix de Saint-Jacques aux truffes. ...
À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes. Un emplacement privilégié Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie. Une délicieuse cuisine aux accents de Provence Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles. ...
Depuis 2007, le domaine La Grange est la propriété de Renate et Rolf Freund. Soucieuse de préserver l’environnement, la maison mène sur 65 ha de vignes une conduite raisonnée avec la certification Terra Vitis. Côté vinification, on trouve des équipements de pointe, indispensables pour poursuivre des objectifs qualitatifs. Une nouvelle cave, des cuves en inox et des cuves en béton à revêtement époxy ont ainsi permis des améliorations importantes, notamment sur la gamme classique, dont les cuvées ont été récompensées, entre autres, par le Guide Hachette. Une quête permanente de qualité Des notes épicées issues de la garrigue viennent s’ajouter aux arômes des vins, dues certainement au thym et au romarin entourant le vignoble. En dégustation, les tannins apportent structure et matière pour donner une bouche soyeuse tout en rondeur. ...
Cet ancien pavillon de chasse est repris par Félix et Élisabeth Milhard en 1870, qui décident de créer une exploitation viticole sur la propriété et de produire leur propre vin. Après la succession de quatre générations, c’est aujourd’hui Jérémie qui reprend le flambeau. Outre la production de vins, la famille Milhard-Bessard ouvre ses portes pour une visite classique, une visite prestige et une visite atelier. Le domaine bénéficie de nombreux labels qui garantissent la qualité de ses services touristiques. Il est, par exemple, reconnu par le « Best of Wine Tourisme » en 2014. Le domaine La propriété se trouve dans la commune de Petit-Palais-et-Cornemps, à 50 km de Bordeaux et à 12 km du village de Saint-Émilion. Plus précisément, elle est située à la limite de l’appellation Lussac-Saint-Émilion. Les caractéristiques du climat océanique, doux et pluvieux en hiver et frais et humide en été, s’allient avec le sol limoneux-argileux pour un développement optimal des vignes. Les cépages ont en moyenne 45 ans. Ils sont cultivés sur 10 hectares, dont 9 en rouge, composés de 70 % de merlot et 30 % de cabernet franc et 1 en blanc, exclusivement du sémillon. Le respect de l’environnement et des saisons font partie des valeurs de la famille Milhard-Bessard depuis 1870. Les méthodes ancestrales encore utilisées aujourd’hui ne nécessitent aucun produit et désherbant chimique. De simples gestes comme la taille bordelaise avec ébourgeonnage et l’effeuillage manuel à la fin de la floraison et avant les vendanges permettent à la famille Milhard-Bessard de conduire à maturité des raisins naturellement sains Et dans un souci de valoriser l’expression du terroir et de préserver la biodiversité et l’écologie, le Château Vieux Mougnac produit en bio et bénéficie d’une certification Agriculture biologique (AB) depuis 2012. La vinification Les vins sont vinifiés dans des cuves en béton, dont les volumes correspondent aux parcelles. Les températures de fermentation sont contrôlées attentivement lors de l’extraction des arômes et des composants phénoliques naturels. Le pressurage est toujours effectué avec le vieux pressoir hydraulique vertical des années 1940. Les vins vieillissent pendant 2 ans en cuves en béton, sauf les cuvées qui sont élevées 1 an en cuve et ensuite 12 mois en barriques neuves de chêne français. Les vins, quant à eux, sont mis en bouteille au château après clarification et stockés dans leur chai avant d'être commercialisés. ...
Le Domaine Arvieux est situé à Saint-Victor-la-Coste et élabore des rouges, blancs et rosés sous l’appellation Côtes-du-Rhône. La qualité avant tout Vigneron de longue lignée, Nicolas Arvieux gère d’un bout à l’autre toute la chaine de production. Ici, tout se fait de façon artisanale pour que chaque cuvée créée soit vivante, unique et s’imprègne du caractère de celui qui travaille les vignes et au chai… Le Domaine Arvieux se démarque ainsi par un faible rendement au profit de la qualité. « Mon objectif est de maintenir le rendement à 30 hl par hectare pour plus de complexité », fait valoir Nicolas Arvieux. Les vins rouges ne font pas l'objet d'un filtrage afin de conserver les macromolécules et conserver toute la densité du vin. Les dépôts naturels qui en résultent prouvent que les vins restent vivants et naturels. Le coup de cœur est la cuvée Exception, qui porte bien son nom. « C’est uniquement quand la qualité du millésime est excellent que je réussis à sortir des vins comme cela », conclut le maitre des lieux. ...
A Blanquefort, à proximité de Bordeaux, aux portes du Médoc sur la Route des vins, l’Hôtel les Criquets *** réserve la meilleure qualité d’acceuil à ses convives au sein de ses chambres hautement confortables ou dans son appart’hôtel le 126. A côté de ses nombreuses activités de détente, l’établissement est connu pour son restaurant qui offre une cuisine aux bons goûts du terroir. Un chef créatif à l’infini Issu de l’école hôtelière de La Rochelle, le chef Jean-Luc Molle a fait ses armes dans un établissement étoilé du Guide Michelin, à La Rochelle. Il a ensuite pris la tête de l’établissement Les Criquets pour pouvoir pleinement s’affirmer. En collaboration étroite avec les producteurs locaux de la région, le chef met en avant une cuisine totalement improvisée où chaque jour est une occasion de mijoter une recette nouvelle et originale. Contrairement à certains restaurants, Jean-Luc Molle n’a pas de plat phare. À partir des différents produits qu’il a sous la main, il concocte ses recettes au gré des saisons, des marchés et de son inspiration du jour. D’ailleurs, le talent et la créativité du chef s’expriment à travers le menu surprise où seuls les ingrédients sont énoncés. Du reste, il faudra faire confiance au maestro en cuisine. Pour ceux qui ne sont pas trop adeptes des surprises, la carte du restaurant met en avant de succulentes suggestions. Le chef exprime une affinité particulière pour les saveurs asiatiques marquées par les goûts iodés, le sucré-salé et l’acidulé. En entrée, le choix s’effectuera entre le tartare de crevettes, la truffe noire de Brie ou le foie gras mi-cuit avec du chutney d’algues wakamé. En plat de résistance, le Filet de Dorade et Coquillages ou l’Aloyau de Veau Fèves et Petits Pois à la Française émoustillent les papilles. En guise de dessert, un Merveilleux Noisette et Praliné à la Passion ou une Sphère Chocolat Blanc Amande Framboises à l’Hibiscus apporteront un peu de fraicheur. Tous ses succulents plats peuvent se déguster dans la salle à l’ambiance cosy et à la décoration fine et élégante ou plutôt sur la terrasse, qui devient l’endroit incontournable avec l’arrivée des beaux-jours. Cet espace extérieur offre une agréable vue sur le parc arboré entourant l’établissement. Un restaurant vert En partenariat avec la chambre de commerce et de l’industrie de la ville de Bordeaux, le restaurant Les Criquets propose chaque dernier mardi du mois un « Menu (Re)Pas pour la planète ». 100% végétarien, celui-ci est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert et est uniquement cuisiné avec des légumes ou des algues. Jamais en manque d’imagination, le restaurant s’est associé avec la start-up Entomo Farm pour proposer une cuisine pour le moins innovante et originale. En effet, Jean-Luc Molle a présenté lors de manifestations, à titre expérimental pour promouvoir la protéine d’insectes, des plats comme des tartines de tapenade avec olives noires et vers de farines concassées, des burgers aux légumes de soleil avec des morceaux de criquets concassés ou encore des mélanges de chocolat blanc et de fourmis. Une cave à vins éclectique Comme tout restaurant de la région bordelaise qui se respecte, le restaurant possède une belle carte des vins. En effet, ses caves sont enrichies de près de 400 références. La majeure partie des crus est bordelaise. Toutefois, la maison a également d’autres références issues de Champagne, de la Loire et d’autres régions viticoles reconnues dans le pays. Et si le choix des accords s’avère délicat, le sommelier reste disponible pour vous conseiller. En outre, des soirées œnologiques sont régulièrement organisées, avec des thèmes précis autour des vins de Bourgogne, étrangers ou plus largement les vins de France. ...
C’est au cœur du parc naturel régional de Millevaches, dans le Limousin, que Françoise et Jules Lahaye invitent les amoureux de la nature et les fins gourmets à déguster leurs savoureuses spécialités. Des produits nobles comme la viande bovine de race limousine, une cuisine raffinée sublimée par les meilleurs vins et des services dignes des meilleures tables étoilées… Tout un programme ! Un maître restaurateur rend hommage à la viande Privilégiant saveurs, traditions et savoir-faire, la cuisine du Ranch des Lacs propose le meilleur des produits locaux, parmi lesquels figurent la viande bovine de race limousine et des autres produits comme le Belou agneau du pays de Vassivière et le canard / foie gras de la ferme de Beauregard. Le maître restaurateur Jules Lahaye sélectionne uniquement des produits issus de vaches nées, élevées, engraissées et abattues dans le Limousin. L’établissement sert uniquement de la viande ayant bénéficié d’une longue maturation de plus de neuf semaines. Un produit qui surprend par sa texture moelleuse et son succulent goût de noisette. Les entrecôtes, côtes et autres carrés de bœuf préparés par le boucher Hugues Burgalières libèrent ainsi un concentré unique de saveurs. Autre produit phare de la maison : le bœuf de Coutancie, un produit unique en provenance de Dordogne. Nourri aux céréales, fini et massé deux fois par jour durant 20 minutes, ce dernier est reconnu pour être l’équivalent du fameux bœuf de Kobé d’origine nippone. Cette viande d’exception est à la fois tendre et savoureuse. Spécialités de la maison Sur la carte défilent des recettes plus succulentes les unes que les autres, dont la spécialité de la maison : la fondue pelaude, une fondue de viande bovine de race limousine (cela va de soi) accompagnée de différentes sauces, crudités et de gratin de pommes de terre. Le porc cul-noir du Limousin et le caviar de Neuvic sont également aux premières loges pour le plus grand plaisir des gourmands et fins gourmets. Chaque plat est accompagné de petits légumes privilégiés pour leur qualité et sélectionnés chez des producteurs locaux. Une cave aux trésors Pour parfaire les plaisirs gastronomiques de sa clientèle, la maison abrite une cave où plus de 800 vins sont référencés. Et depuis 2009, le tarif caviste a été adopté permettant aux épicuriens de profiter de dégustations moins chères. Les vins à déguster sur place ou à emporter font balader dans les plus grandes régions viticoles du pays mais aussi d’Italie, du Portugal et même du Chili. ...
Le Château de Tracy n’a jamais quitté le giron familial depuis le XIVe siècle. Aujourd’hui, c’est à Juliette d’Assay qu’incombe la tâche de le gérer et de perpétuer un savoir-faire qui s’est forgé au cours de six siècles de tradition viticole. Un vignoble ancestral Au coeur du vignoble Pouilly-Fumé, Château de Tracy s’étend sur une superficie de 36 ha, planté exclusivement en sauvignon. Le domaine a la particularité de disposer d’un vignoble historique, dont certaines parcelles sont plantées en vigne depuis le XIVe siècle. En effet, bien conservé dans les archives du château, un manuscrit de 1396 fait état de l’acquisition des vignes sur le lieu-dit « champ de Cris ». Chose étonnante, des sauvignons y sont encore plantés de nos jours. La maison offre ainsi aux amoureux de vins le privilège de déguster des vins blancs issus de ces cépages historiques. « Avec nos vieilles variétés génétiques de sauvignon, quelque part déguster un Tracy équivaut à déguster aussi l’Histoire ! », fait valoir Juliette d'Assay, la vigneronne. Sur les terroirs de Tracy, les sauvignons s’épanouissent sur des sols différents. Autour du château, ils bénéficient plutôt d’un sol à dominante d'argile à silex apportant aux vins minéralité, finesse et une grande aptitude au vieillissement. Sur les plateaux, les vignes reposent essentiellement sur un sol calcaire kimméridgien, qui va apporter à la fois structure, profondeur, finesse et le côté fruité aux vins blancs. Une agriculture permanente Depuis plusieurs années, le domaine a mis en place des pratiques culturales fondées sur la compréhension des lois naturelles du sol. Une agriculture « permanente », qui a notamment pour objectif de favoriser une parfaite synergie entre le sol, les vignes et le biotope environnant. « Nous n’utilisons presque plus de produits phytosanitaires de synthèse. Nous n'y avons recours que pour des cas vraiment extrêmes. », nous indique-t-on. Des analyses sont effectuées par un laboratoire indépendant afin d'authentifier cette démarche. Résultat, le Château de Tracy peut se targuer de produire des vins exempts de tout résidu de pesticides. Au Château de Tracy, le gros du travail se concentre sur les vignes pour aboutir à des vendanges manuelles. Afin d'acquérir un niveau de maturité bien précis, certaines parcelles font l’objet de plusieurs passages. « Nous sommes prêts à vendanger jusqu'à 5 fois les mêmes parcelles », explique madame d'Assay. Ces opérations vont permettre au domaine de limiter les interventions durant la fermentation pour que celle-ci se fasse de manière la plus naturelle possible. En cave, il est surtout question de laisser les choses aller d’elles-mêmes, quitte à prendre des risques. Ici, on laisse donc vinifier les jus en l’état et, pour éviter de trop marquer le vin, la maison choisit des élevages en cuves inox au lieu de barriques en bois. « Nous mettons tout en oeuvre pour être le plus possible fidèles au millésime. » Des cuvées pleines d’authenticité La maison propose 4 cuvées différentes, reflétant idéalement la typicité des terroirs de Tracy : la cuvée « Mademoiselle de T » qui est actuellement épuisée mais dont l'arrivée du prochain millésime est pour février 2019, « Château de Tracy », « Haute Densité » et « 101 Rangs ». La cuvée « Château de Tracy » est de loin celle qui représente le mieux le domaine. Il s’agit d’un millésime d’une rare complexité aromatique à l’identité affirmée. Obtenu exclusivement à partir de sauvignon blanc, ce vin présente un nez très intense avec des premières notes fraiches de fleurs de sureau, de poivre vert et de citronnelle. À l’ouverture, des notes plus fruitées se dévoilent associées à des arômes de fruits exotiques tels que le fruit de la passion et la mangue fraiche. Des notes florales et salin...
Vingt ans après sa toute première acquisition, l’investisseur chinois Peter Kwok est actuellement à la tête de sept vignobles bordelais : le Château Bellefont-Belcier en Grand Cru classé, le Château Haut-Brisson et le Château Tour Saint Christophe en Saint-Émilion Grand Cru, le Château La Patache et Enclos Tourmaline en Pomerol, Enclos de Viaud en Lalande-de-Pomerol, et le château Le Rey en Castillon Côtes de bordeaux. Ces propriétés s’épanouissent en parfait équilibre avec leur environnement et représentent dignement les typicités de leurs terroirs. Trois d’entre elles se distinguent et constituent aujourd’hui un pôle majeur d’attractivité touristique en Saint-Émilion. Château Tour Saint Christophe : un univers fascinant à préserver Le Château Tour Saint Christophe, en appellation Saint-Émilion Grand Cru, a rejoint le groupe Vignobles K en 2012 et devient par la suite son quartier général. Traversée par une histoire ancestrale, cette propriété se fait remarquer par son impressionnante mosaïque de terrasses viticoles. Parce qu’elles bénéficient d’une exposition optimale et jouissent du drainage naturel du terroir argilo-calcaire, elles laissent exprimer librement la complexité des vins. Pour conserver cet héritage, des travaux de restauration d’environ 1,5 km de murs en pierres sèches ont été engagés, avec l’objectif de faire renaître la configuration originelle de ce micro-paysage. Les vignes, dont l’âge moyen est estimé à trente ans, se composent essentiellement de merlot et de cabernet franc. Le Château Tour Saint Christophe Saint-Émilion Grand Cru est le fruit de cette combinaison en symbiose parfaite, élaborée selon une « vinification intégrale ». D’ailleurs, la propriété ouvre ses portes à tous ceux qui veulent découvrir son secret de vinification. Les visiteurs peuvent explorer les champs de vignes, le chai principal entièrement rénové ainsi que son caveau historique. Pour s’immerger encore plus au cœur du travail de la vigne, ils sont conviés à un atelier d’assemblage suivi d’une initiation à la dégustation des cépages et des vins. Le Château Tour Saint Christophe étoffe son offre œnotouristique par un service de restauration autour d’un menu gastronomique et traditionnel pour mettre à l’honneur les vins de la maison. Ceux qui préfèrent plutôt se promener dans le vignoble peuvent opter pour la formule pique-nique/déjeuner. En outre, la propriété se prête à la réception d’événements type séminaire ou réunion professionnelle, dans un cadre idyllique avec vue imprenable sur le parc paysager. Enfin, un appartement privé avec deux suites spacieuses est à disposition des visiteurs qui souhaitent prolonger l’expérience de plusieurs jours. Enclos Tourmaline : antre des grands millésimes Cette propriété est la plus sincère expression de l’appellation Pomerol. Elle est à l’image de la « pierre aux mille couleurs » et conjugue à merveille la diversité et la complémentarité de ses trois parcelles d’exception. Déployées sur un terroir d’argile bleue et de graves crasses de fer, ses vignes profitent d’un soin particulier, grappe par grappe. La cuvée emblématique de la maison, Enclos Tourmaline Pomerol, en monocépage merlot, s’élabore exclusivement lors des grands millésimes. À maturité optimale, les raisins vendangés à la main passent par une vinification intégrale incluant une macération pré-fermentaire à froid et une fermentation alcoolique. L’élevage se poursuit dans les mêmes barriques, pour une durée comprise entre 18 et 36 mois. La série de l’année 2015 était au nombre restreint de 3 000 bouteilles, une production rare et limitée. Vin à la robe intense, nez de confiture de fraise et de fruits noirs, l’Enclos Tourmaline Pomerol 2015 a une personnalité puissante et captivante. À la dégustation, la cuvée dévoile une attaque fraîche et complexe sur une finale plus généreuse et onctueuse. Elle allie harmonie et élégance, intensité et s...
Partez à la découverte de la Maison Goutorbe : une entreprise familiale spécialisée en création de champagnes de grande qualité. Passion et savoir-faire : les deux piliers pour créer d’excellents vins Pour revenir aux origines du champagne Henri Goutorbe, il faut revenir au début du 20e siècle. Alors pépiniériste, la famille Goutorbe (par le biais d’Henri et René Goutorbe, père et fils) décide de commercialiser du vin de Champagne. Les enfants de René Goutorbe le rejoignent quelques dizaines plus tard pour agrandir et améliorer l’exploitation avec toujours cette même volonté de créer de grands vins de Champagne. Le travail effectué sur la vigne et le domaine favorise l’obtention des labels Haute Valeur Environnementale (HVE) et Viticulture Durable en Champagne (VDC). ...
Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste, ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il. Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...
La passion des vins a donné naissance au restaurant gastronomique le Burgundy Lounge, un écrin exclusivement consacré aux terroirs de Bourgogne (et à quelques appellations de champagne). Alliant cadre cosy, service dévoué et cuisine gastronomique, il mérite amplement le détour. Honneur aux vins de Bourgogne D’un premier coup d’œil, on remarque les quelque 280 bouteilles maintenues en apesanteur, exhibées comme des médailles derrière une grande paroi vitrée. C’est la pièce maitresse de la maison Burgundy Lounge. Les matériaux décoratifs bruts comme le bois rappellent l’univers du vin. On note le style à la française des plafonds avec ses poutres apparentes et les murs aux pierres nues qui rappellent l’univers de la cave. Cette cave justement, le Burgundy Lounge la promeut avec fierté. Elle est joliment fournie grâce au lien que l’établissement s’est construit avec les domaines qu’il suggère à la carte. Plus de 9 000 bouteilles en 800 références et 80 domaines font la renommée du restaurant. Les flacons proposés sont issus des vignobles du Chablis, de la Côte de Beaune et de la Côte de Nuits (et à quelques appellations de champagne). La première étape du voyage auquel vous êtes convié est la sélection du vin. Que vous soyez amateur averti ou simplement curieux, les conseils du chef sommelier Jean-Sébastien Jurin et de son équipe vous seront d’une grande utilité dans la découverte des meilleurs accords. Une harmonie entre mets et vins Quatre espaces aux ambiances distinctes attendent les convives : autour de la table de dégustation, proche de la cuisine, sur des chauffeuses basses dans la mezzanine, ou dans la bibliothèque face à la cave. La sérénité et l’intimité y règnent, avec une lumière tamisée et une disposition de tables confortables offrant des espaces personnels de taille très raisonnable. Dans l’enchantement de ce décor chaleureux, vous gouterez à une cuisine gastronomique, finement sculptée des mains de maitre. Le chef Axel Ruga détient le titre de maitre restaurateur et promet de satisfaire vos papilles en proposant des plats de haute tenue et pleins de saveurs. L’évolution de la carte du Burgundy Lounge suit la saisonnalité des produits et les inspirations de son chef. En parlant d’inspiration, on peut dire que ce dernier en a. Sa technicité et sa personnalité héritées d’une famille de trois générations de restaurateurs se lisent dans ses plats. Sa cuisine est entièrement faite maison, en accord harmonieux avec les vins de Bourgogne. Le chef est alors très exigeant sur la qualité des matières premières et il a noué des relations de confiance avec ses fournisseurs pour ne proposer que des produits de grande fraicheur. Du jambon blanc à la truffe aux Saint-Jacques bretonnes snackées, écrasé de pommes de terre au beurre d’algues, œuf de tobico au wasabi : vos papilles se délecteront ! ...
Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les coteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols, et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIème siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maître-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international. Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages. Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II. La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana. La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et coteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon, au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les coteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret. Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache. A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’appel...
À déguster sous forme de cocktail ou sec accompagné de glaçons, le cognac offre un jeu subtil d’alliances de saveurs pour plaire aux amateurs. La production de cette eau-de-vie constitue le cœur de métier de la Maison Chollet. À travers une expérience de près d’un demi-siècle, le fabricant réalise ses assemblages avec harmonie, tel un véritable musicien ou un peintre, révélant toute la quintessence d'un produit d'exception. Une passion familiale depuis 1952… C’est entre 1952 et 1960 que Jacques et Jeanine Chollet investissent dans l’achat de leur terrain, puis aidés par leurs enfants, ils construisent une distillerie pour produire de l’eau-de-vie. Leur fils Chollet Bertrand reprend le flambeau en 1995 pour s’occuper et gérer le vignoble puis en 2008 c’est au tour de Christophe Chollet et sa compagne Marie Berry de prendre en main la partie élaboration et commercialisation de l’entreprise familiale. Après quarante ans d’existence, la Maison Chollet n’a pas changé son mode de production. Négociée puis sélectionnée méticuleusement, l’eau-de-vie est vieillie en fût de chêne pendant plusieurs années. De ce procédé naissent le VS de deux ans, le VSOP de quatre ans, le XO de dix ans ainsi que l’Altesse âgée de quarante ans, un élixir noble et très recherché. Parmi les produits phares de la maison figurent Les Millésimes « qui sont rares et plutôt difficiles à produire, car nécessitant une traçabilité draconienne », nous confie Marie Berry, propriétaire. Le 3945 : un coup de cœur… À la question « Quel est votre produit ambassadeur ? », Marie nous cite sans hésiter son cognac 3945. Distillé dans de vieux alambics et vieilli en fût de chêne, ce nectar rare et précieux est issu de l’assemblage d’eaux-de-vie de Fins Bois des années 1938 à 1946. De belles caractéristiques qui lui confèrent puissance et caractère. Avec un goût boisé et une bonne tenue en bouche, le 3945 est le must-have pour les amoureux de bon cognac. Et comme la maison possède moins de 400 bouteilles, « seuls les plus chanceux pourront le déguster », déclare notre interlocutrice. ...
Sébastien Labails | Bonjour, je m’appelle Sébastien Labails, je suis le gérant des vignobles de Maxime. Maxime est le propriétaire de nos trois propriétés en Graves et en Saint-Émilion ; il m'a confié les clés de ses vignobles pour gérer tous les aspects allant de la production à la commercialisation. La Une | Et comme tout vignoble, j'imagine que le vôtre a une jolie histoire à nous raconter ? S L | L'histoire du vignoble commence en 2001 pour Maxime, qui tombe littéralement amoureux du château Tourteau Chollet et de son pin de 250 ans ainsi que du château Grand Lartigue, puisqu'il fait l'acquisition de ces deux châteaux en 2001. Maxime est diplômé en expertise comptable, mais son rêve a toujours été de pouvoir faire du vin. Grâce à son diplôme et ses compétences techniques, il a pu acquérir ces deux châteaux après deux ans de recherches. C’est en 2018 que Maxime Bontoux m’a confié la gérance des deux châteaux pour pouvoir développer les activités à la fois au niveau de la production et de la commercialisation. Et pour pouvoir produire le mieux possible, chez vous, on cultive Bio non ? S L | Nous sommes engagés environnementalement : Terra Vitis depuis 2005, nous avons également été le premier vignoble des Graves, en 2012, à être certifié HVE (Haute Valeur Environnementale) à la suite du Grenelle de l'environnement. Également depuis 2019, nous sommes certifiés BEE FRIENDLY, les amis des abeilles : nous sommes très restrictifs en termes d'utilisation d'insecticides, puisque nous les avons tous bannis. Pour lutter contre les verres de grappes nous utilisons dorénavant la confusion sexuelle. Nous nous sommes également engagés dès 2021 en agriculture biologique. Nous avons donc franchi le pas, ce n'est pas facile puisque nous sommes quand même à Bordeaux qui connaît un climat avec des précipitations importantes. Ce qui est délicat c'est de pouvoir protéger les vignobles en agriculture biologique tout en maintenant une récolte saine et de qualité ainsi qu’avec une quantité satisfaisante. Une reconversion donc sur votre agriculture, mais toujours de grands vins, vous nous les présentez ? S L | Au niveau de la gamme des vins, nous avons construit celle-ci de la même façon à la fois sur Saint-Émilion et dans les Graves puisque nous avons en vin rouge : un rouge uniquement élevé en cuve, puis un rouge 50 % barrique et enfin un rouge 100 % barrique. En plus de cela, nous avons deux blancs : notre grand vin blanc « 1760 », 100 % élevé en barrique et ressemblant à s’y méprendre aux grands crus classés de Pessac Léognan ainsi que notre vin Tourteau Chollet blanc. En plus de cela, pour compléter cette gamme, nous avons un vin sans sulfite ajouté qui s'appelle « C’est pas G… » et dans lequel, nous avons réalisé un assemblage de 25 % de chacun de nos cépages rouge : merlot, cabernet sauvignon, petit verdot et Malbec. Il s’agit de notre porte-étendard pour dénoncer le réchauffement climatique. Alors une chose est sûre, c'est que la qualité de vos vins n'est plus à prouver. Entre autres, vous avez été médaillé d'or à Paris, à Bruxelles, cité maintes et maintes fois au guide Hachette et c'est pour ça que nous pouvons retrouver vos vins à certaines tables de grand restaurant. Quelle porte faut-il que je pousse pour pouvoir à la fois déguster un excellent plat avec un de vos excellents vins ? S L | Nous sommes mis en avant dans certains grands restaurants comme le restaurant « Saison » de l'institut Paul Bocuse à Lyon. Nos vins sont également référencés chez « Fauchon » à Paris avec le « 1760 » en rouge et en blanc qui est largement apprécié par l'ensemble des équipes de l'hôtel « Fauchon ». Et si l'on parlait maintenant un petit peu de millésime, millésime exceptionnel comme sur le Ferrand Lartigue par exemple en 2012, pour les autres vins, vous aurez peut-être un millésime à nous conseiller ? S L | Alors sur le Ferrand Lartigue c'est effectivement le millésime 2012 qui est exceptionnel, ma...
Dominé par le château de Quéribus, une ancienne place forte Cathare dont l'existence remonte au Xe siècle, le vignoble des Vignerons de Maury est protégé par un couloir naturel de 17 km de long sur 4 km de large avec au nord les Corbières et au sud les premiers contreforts des Pyrénées. En arrière-plan du vignoble se dessine le pic Bugrach dont la légende affirme qu’il s’agirait du refuge ultime à l’apocalypse annoncée. C’est ici, dans cette terre de légende, mystérieuse et aride balayée par la tramontane que se dévoile au plus profond de la vallée de l’Agly, sur un vignoble de 700 hectares au relief particulièrement pentu, toute la richesse des vins des Vignerons de Maury. Des Vins Doux Naturels et des rouges secs qui font toute la typicité de cette appellation au terroir si particulier. Terroir unique : un héritage de schistes L'âme des vins des Vignerons de Maury est ancrée dans leur terre, composée de schistes noirs, une richesse en apparence paradoxale. Ces sols exigeants confèrent une singularité profonde aux vins, limitant naturellement le rendement à un modeste 25 hl/ha, soit l'équivalent de 3 verres par pied de vigne. La rareté des précipitations, oscillant entre 650 et 700 mm par an, est compensée par la présence de la tramontane, un vent du nord qui sèche les baies et les renforce, tout en agissant comme un antiseptique naturel. Avec 260 jours de soleil par an, la puissance solaire nourrit les grenaches noirs, carignans, syrahs et muscats. Taillés en gobelet, ces cépages se prêtent à merveille à la création de vins doux naturels tout autant qu'à des vins tranquilles. Le sol et le climat ne sont toutefois que deux facettes du terroir des Vignerons de Maury. Le travail des vignerons ainsi que le cahier des charges strict et les conditions sélectives ont été cruciaux pour obtenir l'appellation "Maury Sec". Cependant, au-delà des éléments tangibles, il y a une énergie mystérieuse et une lumière inimitable qui émanent de ces terres et se reflètent dans la singularité des vins. De la Vigne au Verre : une histoire complexe Le terroir unique de Maury a donné naissance à une gamme diverse de vins. Le cépage emblématique, l'âme des Vignerons de Maury est le grenache noir, présent aussi à 80% dans cette appellation. Ce cépage est accompagné de plusieurs variétés comme le carignan, la syrah, le grenache gris et blanc, le macabeu et le muscat blanc. Sur les 700 hectares des 110 vignerons de Maury, chaque cépage trouve sa place dans la mosaïque des sols et des altitudes pour offrir des vins d'une grande variété aromatique et gustative. Une vie au rythme des saisons La vie du vigneron de Maury est rythmée par les saisons avec un lien étroit à la terre et un engagement passionné envers la qualité des vins qu'il produit. Chaque année débute avec la taille, une opération hivernale qui s'étend de la mi-novembre à mi-avril. Dans ce coin de pays où le vent sec prédomine, la taille est une tâche manuelle, principalement pratiquée en gobelet. Cette méthode s'adapte parfaitement aux conditions climatiques, garantissant que chaque pied de vigne reçoit les soins nécessaires pour une récolte à venir optimale. Avec l'arrivée du printemps, de nouvelles étapes du processus viticole commencent. Le vignoble de Maury nécessite un labourage minutieux pour aérer le sol et favoriser la croissance des vignes. Ici, chaque vigne est traitée manuellement, de façon méticuleuse avec le souci constant du respect du terroir et des traditions ancestrales. Un suivi rigoureux des vignes assuré également par la cave qui veille à ce que chaque étape réponde aux exigences du cahier des charges des sélections parcellaires afin de produire des cuvées "haut de gamme". Ainsi, les Vignerons de Maury ont instauré depuis de nombreuses années un système de sélections parcellaires définies avec attention. Des sélections qui tiennent compte de l'âge des vignes, de leur exposition au soleil, du type de sol et de l'équilibre de la récolte. A Maury, la vendange, moment crucial de l'année, commence dès la mi-août. Pendant un...
La maison a bâti sa notoriété autour de ses vins en appellation Côtes-du-Rhône Village Sablet. « C’est un terroir de haute expression, pleine de promesses : un sol débouilli, un sous-sol de safre, un climat provençal, des levures autochtones... Et notre caractère pour sublimer le tout ! », fait valoir la propriétaire des lieux, Cheli Alberca. Un écosystème préservé Le domaine du château Cohola vit au rythme de tout un écosystème : vignes, oliviers, chênes truffiers et ruches d’abeilles. Ici, place à la culture biologique et bientôt à la biodynamie. ...
La famille DAVID-HEUCQ a choisi les méthodes d’exploitation durables pour ses neuf hectares de vignes, afin de préserver les bijoux rares que sont l’environnement et le généreux terroir. Le mariage entre cet amour du terroir, cette rigueur et le savoir-faire garantit raffinement, saveur et caractère aux champagnes H. DAVID HEUCQ. À chaque moment son champagne Environ 85 000 bouteilles de champagne sont produites au domaine H. DAVID HEUCQ chaque année, pour faire le bonheur des œnophiles. La nature s’exprime à travers la large palette proposée par la maison : Réserve Brut, Extra Brut, Rosé Brut, Brut Chardonnay, Délicate Demi-sec, cuvée millésime 2012, Brut millésime 2011, Brut Étincelle et Brut Étincelle Rosé. Ces références uniques dans leur genre sauront trouver leur place dans tous les événements et pour toutes les circonstances : déjeuner, apéritif, réception, etc. Mais parmi tous ces trésors, l’Extra Brut sort du lot. Cette cuvée est obtenue par l’assemblage de 85 % de pinot meunier, de 5 % de pinot noir et de 10 % de chardonnay, puis conservée pendant trois ans. Cette maturité s’exprime par un nez ouvert. Révélant des notes de fruits à chair jaune et une petite touche de caramel, l’Extra Brut est une véritable merveille gourmande. Les nombreuses récompenses reçues (Decanter, Guide Hachette, Gilbert & Gaillard, Concours Général Agricole, Concours ELLE A TABLE de Paris, Concours International de Lyon...) témoignent largement de ses mérites. À la découverte du champagne Amoureux accomplis de leur vignoble et du champagne, les membres de la famille DAVID-HEUCQ sont enchantés de recevoir clients et touristes dans leur domaine. Un caveau d’accueil y est installé, destiné à accueillir jusqu’à 50 personnes. Les déjeuners dans cet écrin de convivialité permettent de profiter de moments gourmands accompagnés de délicieux champagnes au milieu de la nature. Les convives sont également invités à découvrir la cave, la cuverie et les différentes machines (dégorgement, habillage...) ou à déguster des champagnes durant les visites classiques ou les journées portes ouvertes organisées par la maison. ...
Issue d’une longue lignée de viticulteurs, la famille Bliard exprime, depuis presque un demi-siècle, son attachement au terroir champenois. Pour cela, elle revendique une culture biologique avec un soin tout particulier apporté au travail du sol. Résultat : des cuvées toutes en finesse et en élégance, dont la qualité fait l’unanimité auprès des fins palais. La culture de la qualité Depuis 1970, la maison travaille sur un vignoble de 4 hectares, tout en veillant à préserver la Nature en adoptant les principes de l’agriculture biologique. « Nous n’utilisons jamais de pesticide, ni de désherbant, ni d’autres produits chimiques de synthèse d'ailleurs », nous indique Vincent Bliard, propriétaire des lieux. Le vignoble comprend les trois cépages rois de la Champagne à dominance de pinot meunier. Récoltant-manipulant, la maison gère l’intégralité de la chaine de production et Vincent Bliard a l’œil à tout. « Je veux la meilleure qualité possible, donc je supervise personnellement toutes les opérations », souligne-t-il. Pour les vendanges, les raisins sont récoltés manuellement quand ils atteignent leur maturité optimale. Le circuit de cueillette est choisi en fonction de trois critères : le cépage, l’âge des vignes et l’exposition. Afin de respecter au mieux les caractéristiques du raisin, la vinification s’effectue sans intervention particulière. Comme on dit, les bons vins se bonifient avec le temps ! Cela tombe bien, car les Bliard se plaisent à laisser les choses s’opérer de manière naturelle. « Les vins sont élevés dans des foudres de chêne durant un an. Cela leur laisse le temps de s’élaborer sans que nous ayons à intervenir pour accélérer le processus. » Des cuvées exceptionnelles La maison Vincent Bliard élabore principalement trois cuvées : « les trois cépages », qui se déclinent en trois saveurs (carte noire, prestige, excellence), une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée de rosé. Afin de mieux faire connaissance avec la maison, « la carte noire » est sans conteste la plus indiquée. Il s’agit d’un champagne premier cru obtenu à partir de l’assemblage de 40 % de pinot noir, de 35 % de pinot meunier et de 25 % de chardonay. D’une couleur jaune doré, cette cuvée se distingue par ses arômes de fleurs, d’agrumes et de pâtisserie. Idéale à l’apéritif ou pour accompagner des plats de poisson comme le filet de turbot au beurre blanc. ...