Le restaurant Bellini invite les épicuriens en herbe à découvrir ou à redécouvrir toutes les subtilités et les saveurs de la cuisine traditionnelle italienne. Un décor sobre mais authentique S’inviter au restaurant Bellini est synonyme de voyage pour les sens. Comme préambule à une expérience gustative unique, le décor annonce d’entrée la couleur ! Un cadre cosy, simple et élégant attend les convives. L’ambiance se prête idéalement à un dîner en famille, entre amis ou collègues. Les invités notent une touche d’authenticité qui transparaît à travers ces pierres apparentes. Bien visible, un four à bois s’offre au regard des convives. Bref, tout concourt à donner à ce bel endroit un charme presque inimitable. Une cuisine savoureuse Le chef, Rémi Barthe, concocte avec amour et passion une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits frais. Ainsi, viandes, poissons, fruits et légumes proviennent essentiellement des producteurs locaux. Pour les produits secs, cet établissement importe directement d’Italie. Chez Bellini, la carte se garnit, au gré des saisons, des nouvelles trouvailles du chef. Celui-ci suggère à ses invités d’entamer leur escapade gastronomique par un assortiment d’antipasti suivi d’un succulent veau à la milanaise, fettucines au marsala. Et pour achever comme il se doit ce voyage culinaire, rien de tel qu’un tiramisu aux cerises pour donner l’envie aux grands gourmands de réitérer cette agréable expérience. Mais le restaurant Bellini, c’est aussi des pizzas délicatement cuites dans des fours à bois. D’authentiques pizzas italiennes à emporter ou à déguster sur place selon les envies ! Côté vins, entre les rouges et les blancs, les connaisseurs trouveront certainement leur bonheur parmi une trentaine de références. ...
Entreprise pâtissière industrielle implantée à Estillac en Lot-et-Garonne, la Ronde des Fraîcheurs a ouvert ses portes en 2001. Ce site, d’une surface de 4 400 m2 et doté de 7 lignes de production et de 9 lignes d’étiquetage, est spécialisé dans la fabrication de pâtisseries fraîches. Afin de répondre à une demande grandissante en pâtisseries industrielles, elle entreprend en 2008, un doublement de sa surface de production. Aujourd’hui, sous l’impulsion de son directeur Pascal Marie, les 79 salariés de la société partagent au quotidien leur passion d’un métier à fort savoir faire dans un fonctionnement basé sur des schémas d’organisation et de management innovants. Une offre étendue particulièrement attractive À travers une joyeuse farandole de sélections gourmandes individuelles, familiales ou festives, la Ronde des Fraîcheurs dispose d’une large gamme de pâtisseries traditionnelles classiques (tartes, éclairs et entremets…) travaillées de façon très spécifique pour répondre à chaque besoin. Grâce à un outil de production d’une grande flexibilité lui permettant d’honorer des commandes 5j/7 et ce, de façon régulière tout au long de l’année, l’entreprise est un fournisseur de pâtisserie de référence sur le marché. Particulièrement active ces dernières années en matière d’innovation, la Ronde des fraîcheurs vous propose aujourd’hui de nouveaux concepts adaptés aux tendances de consommation. La Pati Box ou le concept de l’offre pâtissière revisitée Afin de répondre favorablement au souhait de nombreux consommateurs à disposer d’un plus large choix de pâtisseries en version snacking, la Ronde des Fraîcheurs a développé un concept simple et efficace. En effet, consommer certaines pâtisseries hors assiette est un exercice particulièrement difficile notamment pour les grands classiques comme les millefeuilles, Paris-Brest , merveilleux… La Pati Box est selon David Souplet, responsable Recherche et développement, un concept novateur qui permet de « consommer un millefeuille en costume cravate », sans risquer de se tâcher. Le principe consiste à dissocier les garnitures en coupelle et les pâtes sous forme de bâtonnet permettant de « dipper » avec la plus grande facilité. On retrouve ainsi toutes les qualités gustatives du produit traditionnel mais sans l’inconvénient du manque de praticité ! ...
CHÂTEAU DEFFENDS : SON PROPRIÉTAIRE D’officier parachutiste des Troupes de Marine à vigneron indépendant, le parcours du propriétaire actuel du domaine du Deffends est une histoire passionnante à écouter. Au cours des années 1990, la Famille Vergès s’intéressa à ce château. Renouant avec une tradition viticole familiale en provenance des Pyrénées-Orientales, du plateau du Capcir puis des plaines de la côte Vermeille. Xavier Vergès quitte les formations militaires auxquels il appartient depuis plus d’une quinzaine d’années et se plonge dans la gestion de la belle Dame du Deffends. Le vignoble poli par le Mistral a commencé à prendre quelques rides mais jouit toujours d’une excellente réputation. La mission est simple et ardue à la fois : lui offrir une seconde jeunesse. Pour ce faire, il s’entoure d’une équipe de techniciens passionnés qui se chargent de l’épauler dans la réfection du vignoble, l’élaboration de vins de qualité et la gestion quotidienne du vignoble. Il recrute d’anciens militaires de son entourage qu’il reconvertit au travail de la vigne. La famille Vergès, actuelle propriétaire de ce lieu ancestral, perpétue avec passion les traditions instaurées jadis par ses aïeux. CHÂTEAU DEFFENDS : HISTORIQUE Nous sommes au 16° siècle : le Domaine situé sur la Commune de Carnoules en bordure du massif des Maures est bâti par la congrégation des soeurs Ursulines du Sacré Coeur de Jésus. Celles-ci se consacrent à l’éducation des filles ainsi qu’aux soins des malades et des nécessiteux. La Bastide centrale porte alors le nom de « Fulconier ». Le lieu-dit du « Deffends » composé de terres agricoles riches et fertiles est alors le garde à manger du village de Carnoules. On y trouve principalement la culture de la vigne, des oliviers et des arbres fruitiers. C’est au 19° siècle que l’exploitation agri-viticole sera appelée alors dans sa globalité le domaine du Deffends et sera acquis par le célèbre homme de loi Toulonnais, Noël Blache. Avocat de profession, passionné d’agronomie, il orchestrera la création de caves coopératives dans tout le Var. En 1870, il est élu Maire de la ville de Toulon. La légende dit que Noël Blache, homme politique varois et avocat célèbre du XIXe siècle, passionné d’agronomie avait acquis le Château Deffends pour s’éloigner des bruits du grand port. Il se dit même qu’il avait grand mal à quitter son domaine. CHÂTEAU DEFFENDS : LE TERROIR Au cours des siècles, le Château DEFFENDS sera réputé pour ses vins de grande qualité aussi structurés qu’élégants. Site privilégié bâti sur des terrasses de graves argilocalcaires, le Château domine la plaine des Maures. Orientés vers la mer, les 30 hectares de vignes s’organisent sur une douce inclinaison, caressée paisiblement par un soleil puissant, lui conférant ainsi son caractère immuable. Une légère brise maritime accompagne lentement les raisins vers leur maturation. Ce terroir affirmé, au coeur de l’Appellation Côtes de Provence, offre aux passionnés des vins d’exception. CHÂTEAU DEFFENDS : MÉTHODE DE VINIFICATION Classés en AOC Côtes de Provence et maintes fois récompensés dans les guides et Concours nationaux, les vins du Deffends sauront vous séduire par leurs qualités et leur élégance. Caractérisés par un subtil mélange entre typicité et finesse, ils donnent des millésimes d’excellence. La réfection du Vignoble engagée par Xavier Vergès a vu le renouvellement de 60% du vignoble en dix ans. L’introduction de nouveaux cépages a permis de diversifier la palette des assemblages. Ainsi, nous voyons pousser des Sémillons, des tibourens, du cabernet sauvignon, du vermentino à côté de nos traditionnels grenaches, cinsaults, syrahs et des éternels carignans. La conduite du vignoble en agriculture raisonnée de type « terra vitis » devient vite une évidence. Les rendements sont globalement moyens à faibles suivant l’âge des vignes, permettant un joli travail qualitatif et une belle sélection de j...
L’on peut faire attention à ce que l’on met dans ses plats, tout en goûtant aux fastes de la cuisine gastronomique. C’est notamment le cas quand on s’invite aux tables du Cheval blanc. Dans son cadre feutré et lumineux de la route de Wissembourg, à Lembach, cette adresse conjugue goût et bien-être autour de produits célébrant le local. Trois partitions pour un concerto de saveurs de saison Les plats que l’on sert aux tables du Cheval blanc célèbrent la tradition, tout en se parant de touches inventives et modernes. Au fil de ses trois menus riches en rebondissements, le chef joue la carte de la fraîcheur au rythme des saisons. Sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs du voisinage, il les intègre dans des recettes que les papilles découvrent comme un parcours d’exploration. Instant savoureux garanti. Ceux qui préfèrent un guidage en douceur ne manqueront pas d’essayer le « Cannelloni de foie gras poêlé », l'un des incontournables de la maison. Truffe fraîche râpée et sauce aux truffes noires enveloppent le plat d’un grand zeste d’élégance. Dans le même menu, inutile de résister au mariage surprise « Fraise/huile d’olive » pour clore en douceur la fin des réjouissances. Pour les plus connaisseurs, le « Homard bleu rôti en deux services » mêle les notes marines à d’étonnantes touches toniques mariant gingembre, curry doux et poire Williams. Instant suprême de dégustation, réservé aux fins gourmets de souche quand se déploie le menu Épicure. Le filet de bœuf prend des tournures opulentes quand il est servi avec un condiment aux framboises et une légère béarnaise. Le « Grand dessert du Cheval blanc » clôturera en douceur et en grande pompe le service. ...
Caroline Barroux | Alors, j’ai repris l’exploitation familière en 2004, le château Barrabaque, qui est une propriété de 10hectares en appellation Fronsac-Canon-Fronsac. Et l’histoire de ce domaine commence en 1936 avec monsieur Achille Noël qui cultivait une vigne exclusivement rouge. Comment votre domaine a évolué et quel type d’agriculture vous y pratiquez maintenant ? C B | Alors, c’est une propriété qui appartenait à mon grand-père et ma mère a pris le relais jusqu’en 2004. C’est une exploitation avec principalement des rouges puisque l’appellation Fronsac-Canon-Fronsac ce sont des rouges, et dans les années 2000, j’ai diversifié en faisant du blanc et du rosé. Alors, on est en agriculture raisonnée maintenant depuis plus de 25 ans puisque c’est une démarche que ma mère avait démarrée fin des années 80, qui, ces dernières années ont permis de tenir la certification HVE Haute Valeur environnementale, mais cette certification n’a fait que mettre un mot, j’allais dire sur les pratiques éco responsables que l’on a depuis maintenant plus 25 ans. Une agriculture raisonnée depuis très longtemps pour plusieurs types de cépages, un sauvignon et un sémillon blancs, un rouge merleau, cabernet franc, cabernet sauvignon et petite particularité pour le domaine Barrabaque du Malbec, alors comment est-ce qu’on assemble tout ça chez vous ? C B | Alors, les vins de Barrabaque sont tous des vins d’assemblage, le prestige en est majoritairement merlot du cabernet franc et du malbec. Le château Barrabaque tradition, ce sont les trois cépages, j’allais dire majoritaire de notre appellation, merlot cabernet franc et cabernet sauvignon et puis ensuite la cuvée divins 50% malbec et 50% merlot. Les blancs c’est 2/3 sauvignon et 1/3 sémillon. Alors la particularité du caprice de Caroline c’est qu’il est vinifié en barrique, ça donne un vin un peu atypique dans la mesure où il y a à la fois beaucoup de fruits de fraîcheurs, et quand même une complexité qui est amenée par l’élevage en barrique. Et quant aux rosés, c’est un rosé de saignée, la méthode traditionnelle de production de rosé à Bordeaux et qui est un assemblage 50% merlot 50% cabernet. Et avec tous ces assemblages, nous obtenons vos sept vins, vous nous en parlez ? C B | Alors, nous avons d’abord le rosé qui s’appelle le rosé de Barrabaque, en blanc nous faisons deux blancs différents, le caprice de Caroline qui est vinifié en barrique et le gourmandise certaines années et en particulier les années où nous avons des jeunes vignes parce qu’une jeune vigne ne pourra pas faire l’objet du caprice de Caroline. Et ensuite sur les rouges, nous avons quatre rouges principaux la cuvée Hugo qui est, j’allais dire notre entrée de gamme sans vieillissement en barrique, ensuite nous avons le château Barrabaque tradition, le château Barrabaque prestige et pour finir, une cuvée atypique qui s’appelle le Barrabaque Divin. Et pour parler un peu de votre grand-père grâce à qui tout ça a débuté, qu’est-ce qu’il disait sur les millésimes ? C B | Mon grand-père dirait qu’on reconnaît les bons vignerons, les petits millésimes parce qu’un bon vigneron va faire un bon tous les ans. Les millésimes exceptionnels, on en a forcément, c’est 2015 ça va être 2016, ça va être 2018, 2019, mais des millésimes plus difficiles comme 2014, 2012, et bien quand on fait un grand vin, j’allais dire qu’on peut reconnaître si on a un bon vigneron en face de nous. Une parole sage de votre grand-père. Alors, si moi cet été, pour encore mieux apprécier mes vacances je veux venir visiter votre domaine, comment ça se passe ? C B | Alors nous, on peut s’adapter à toutes les possibilités, j’allais dire qu’on est une des rares propriétés ouvertes au public sept jours sur sept parce que nous habitons sur place. Pour les gens qui ne connaissent pas, on peut faire la visite des cuviers, des chais à barrique et terminer par une dégustation, bon les clients qui connaissent finalement ils viennent déguster les nouveautés et ensuite, on propose également des ateliers de dégustations depuis un an maintenant Et je suis sûre que de déguster vos v...
Dans un style bistrot à l’esprit atelier, où la cuisine ouverte permet à toute la salle de voir le chef travailler derrière une verrière, L’Atelier Ramey fait sensation auprès des foodies parisiens en quête d’une nouvelle cantine. Le décor industriel enrichi d’objets chinés pour la plupart transporte dans un joli voyage bistrotier, où une vraie aventure culinaire vous attend. Ce petit repaire de gastronomes propose, le soir, un menu dégustation complet soupe-entrée-plat-dessert au choix à 34 €, une formule midi entrée-plat ou plat-dessert à 21 € et un menu à la carte. Sa Terrine de boudin noir poêlé céleri remoulade au raifort, sa Joue de bœuf braisée mousseline de topinambour et son Filet de bar rôti à l’olive risotto d’agrumes constituent de véritables délices pour les papilles, sans parler de son fameux Baba au rhum ananas raisins confits et son savoureux Riz au lait caramel au beurre salé tuiles dentelles à l’orange. Une riche carte de vins L’Atelier Ramey travaille directement avec le vigneron qu’il connait personnellement. Ayant l’énorme avantage de posséder un bar à vins, le restaurant se repose sur l’expérience de son sommelier Cyril Laroche pour la sélection rigoureuse de tous les vins de la maison, dont les petites pépites du Sud-Ouest et de la vallée du Rhône et de la Loire, avec une large gamme de vins nature. Pour « les petites bulles de la maison », comme les appelle si bien le propriétaire Dani Maïni, l’enseigne a choisi de travailler avec le Domaine de la Taille au Loup Montlouis-sur-Loire Triple Zéro du vigneron Jacky Blot. Pour les vins du Sud-Ouest, le choix de l’établissement s’est porté sur le Domaine d’Elian Da Ros. ...
1,2 mètre pour 25 kilos à l’âge adulte… mais pouvant dépasser les 500 kg ! Pêché depuis plus de 5 000 ans, le thon rouge est l’un des poissons méditerranéens les plus prisés par les consommateurs. Il est notamment pêché à la ligne selon trois méthodes : la palangre, la canne et la traine. Bien que l’espèce ait été fragilisée dans les années 1990, sa pêche est aujourd’hui fortement encadrée pour garantir une exploitation raisonnée. Concernant le thon rouge, les avis d’experts scientifiques sont redevenus positifs, d’où l’action de la marque « Thon Rouge de ligne », qui souhaite apporter une information transparente sur ses conditions d’exploitation, afin de promouvoir ce produit exceptionnel et de rassurer les consommateurs sur la santé du stock et les pratiques de pêche. Un numéro de suivi sur Internet La marque collective Thon Rouge de ligne est le résultat d’une démarche volontaire de pêcheurs artisans battant pavillon français et pratiquant la petite pêche ou la pêche côtière, qui s’engagent à promouvoir de bonnes pratiques et une approche socialement responsable et biologiquement durable de la pêche au thon rouge. Pour le consommateur, Thon Rouge de ligne est la garantie que le thon rouge a été capturé à la ligne, avec respect et selon des pratiques visant à préserver l’espèce et son écosystème, aujourd’hui et pour l’avenir, ainsi qu’à garantir une qualité irréprochable du produit. « Nous plaçons l’homme au centre des activités maritimes pour consolider l’emploi et le développement économique local », préconise l’association VALPEM (Association pour la valorisation des produits de la pêche en Méditerranée) en charge de cette marque collective. « Avec un engagement sur la qualité, la fraicheur et la traçabilité de chaque poisson : navire, technique, lieu et jour de pêche.» Cette traçabilité complète est parfaitement accessible au consommateur : l’obligation de baguer le thon rouge ‒ sans quoi il ne peut être ni débarqué ni commercialisé ‒ permet d’obtenir un numéro d’identification unique qui figure à l’extérieur de tout emballage contenant du thon. En utilisant ce numéro, chacun peut retrouver les différentes informations concernant son poisson sur le site Internet www.thonrougedeligne.com ...
Le Château Hourtin-Ducasse tire son nom de ses deux anciens propriétaires, ayant vécu au XVIIIe et au XIXe siècle. Ce domaine situé à Pauillac, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été repris par la famille Marengo en 1976, qui, aujourd’hui, élabore des vins élégants et équilibrés. Le but du domaine : laisser la vigne livrer sa plus belle expression. L’agriculture de conservation Le Château Hourtin-Ducasse s’étend sur 25 hectares, dont 23 hectares de vignes. Une démarche d’agriculture de conservation sert de ligne de conduite dans le travail du vignoble. Cela consiste à préserver la richesse du terroir et sa biodiversité et à garantir ainsi la qualité des vins. L’agriculture de conservation s’inspire des techniques utilisées dans l’agriculture biologique et dans la biodynamie. Le peu d’intervention humaine dans le développement des plantes n’use que d’éléments naturels tels que des huiles essentielles ou une infusion à base de plantes. Les sept enfants de Michel et de Marie-Noël Marengo font incontestablement partie de leurs motivations dans cette conservation de la qualité de leur terre.Les 70 récompenses reçues par le domaine durant les 27 millésimes prouvent que le succès ne dépend pas toujours du suivi des règles. L’essentiel, c’est d’avoir des valeurs. « L’élément qui nous tient à cœur, c’est de faire parler la nature, de chercher le caractère et le talent du millésime. C’est ce qui fait que chaque millésime est unique », explique Marie-Noëlle Marengo. Le domaine a donc une méthode peu ordinaire dans l’assemblage des cépages. Assemblage de cépages à l’aveugle Chez les Marengo, cet assemblage destiné à la construction de chaque millésime se fait à l’aveugle. Il n’y a pas de proportions précises sur les différents cépages, mais il existe une quinzaine d’échantillons grâce auxquels le caractère du vin va être forgé puis valorisé. C’est une manière de laisser la vigne et son fruit s’exprimer et les millésimes de « raconter ce qui s’est réellement passé dans la nature à travers ses forces et ses faiblesses », selon Marie-Noëlle Marengo.Le pourcentage de renouvellement de barrique se fait en fonction de cet assemblage et dépend des attributs du fruit. Les décisions doivent accompagner, voire pousser, ces potentiels. En 2008, par exemple, le fruit a été très expressif et généreux, son encadrement et son accompagnement ont nécessité un renouvellement de 60 % des barriques. En revanche, il n’y a eu que 32 % de barrique en bois neuf en 2011 pour ne pas risquer d’ajouter des arômes qui s’écartent de ceux qui sont naturels au fruit. Ce dernier a été délicat pendant ce millésime. ...
Ayant littéralement baigné dans la cuisine française depuis sa tendre enfance, le maitre des lieux Ludovic Perraudin y puise toute son inspiration. Cependant, c’est son imagination culinaire surprenante qui fait toute la différence dans chacune de ses créations. Burgermania à Paris C’est dans un cadre entièrement renouvelé que le fils Ludovic opère toute sa magie. Installé derrière son comptoir, ce chef gastronomique élabore des burgers comme vous n’en dégusterez pas ailleurs. Au choix : plus d’une dizaine de variétés. Parmi les burgers qui ont reçu le plein d’éloges de la part des clients figure le Black Spicy, composé de steak de viande bovine française, de pickels, tomate, oignon, cantal AOP, sauce pimentée, tabasco, fleur de sichuan (petit bouton de fleur du sud de la Chine), salade de type iceberg ; le tout enrobé de pain à l’encre de seiche, dont l’apparence noire apporte un contraste au plat. Dans le registre végétarien, le burger Veggie fait le bonheur des foodies avec sa crème truffée, champignons de Paris, tomate, cantal AOP, escorté d’une galette de pommes de terre qui ne cannibalise pas les saveurs des ingrédients mais, bien au contraire, en affirme le gout. Des viandes de qualité Pains issus du boulanger Au Bon Louis, sauce maison, fromage affiné, viandes d’origine française, recettes originales : telles sont les combinaisons gagnantes qui ont fait le succès de Wagy Burgers du Père Claude. La maison va même jusqu’à proposer des steaks de bœuf Wagyu, appréciés pour leur délicatesse, leur texture tendre et persillée. Une cuisson à point est recommandée aux clients afin de savourer au mieux ces viandes d’exception. ...
Dans un décor sobre et chaleureux, les lieux accueillent bon nombre d’habitués ainsi qu’une clientèle familiale, qui ont la possibilité de privatiser l'une des salles à partir de dix convives. Le restaurant est en mesure de proposer différents menus et formules, à savoir un menu à 38 euros avec entrée-plat-dessert, un menu du marché (du mardi au vendredi) avec entrée-plat ou plat-dessert à 25 euros d’une part et entrée-plat-dessert à 30 euros d’autre part, sans oublier 2 entrées du marché au choix – 2 desserts du marché au choix – 2 plats du marché au choix. À travers une carte inventive qui met en avant la fraîcheur des produits et l’authenticité des goûts, le jeune chef se plaît à composer de belles assiettes tout en réinventant les classiques. Quelques suggestions qui font plaisir aux gourmets Crème de Saint-Jacques, petits croûtons et ciboulette aiguisent l’appétit et ouvrent le bal de la gourmandise. Les sens en éveil permanent nous font revenir des saveurs longtemps oubliées, avec son jarret de porc au miel d’épices et embeurrée de choux rouges à tomber par terre. Pour le dessert, difficile de résister à son moelleux au chocolat de Tanzanie, caramel d’orange et sorbet verveine, un véritable délice ! Pour accompagner chacun des repas, le restaurant Stéphane Martin dispose d’une belle carte représentative de toutes les régions, avec une centaine de références qui font la part belle aux vins du Bordelais, aux vins de Bourgogne blancs, aux vins de la vallée du Rhône et aussi aux vins de Vendée, sans oublier ceux du Languedoc-Roussillon, de Provence, du Beaujolais… ...
Pénétrez dans le cadre accueillant de l’établissement, où différents espaces n’attendent que vous. Au gré des saisons, préférez l’espace élégant et raffiné du restaurant et de son patio, avec ouverture sur le jardin, ou optez pour l’écrin de verdure de la terrasse, où se mêlent les parfums subtils des figuiers, des mandariniers et des fleurs de jasmin. Banquets, séminaires et autres événements festifs y sont également les bienvenus. Une cuisine sans frontière À travers une cuisine contemporaine et ouverte au monde, dont le succès n’est plus à démontrer, le restaurant La Grande Ourse n’a rien à envier aux autres enseignes, avec, comme mots d’ordre, le respect de la gastronomie de terroir et la volonté de préserver les valeurs et l’authenticité des goûts ; le tout présenté dans une formule à deux cartes, carte d’hiver et carte d’été. Découvrez un large choix de produits du terroir mais aussi des spécialités Terre-Mer comme des Ravioles à la truffe Blanche d’Alba, sauce Napolitaine, parmesan 18 mois d’affinage ou des Moules de Bouchot Saint Michel, à la crème ou au piment d’Espelette et gingembre entre autres. Poisson ou Crustacés du jour, selon arrivage, seront également de la partie pour ravir vos papilles, suivi d'un irrésistible fondant au chocolat ou profiteroles faits maison, ou encore le café gourmand appelé « Surprise du chef », qui n'est jamais tout à fait le même à chaque fois. Le restaurant La Grande Ourse, c’est aussi une très belle carte de vins, qui met à l’honneur non seulement les vins de France, mais aussi des vins d’origine espagnole. Les vins du Domaine Pellehaut Family réserve ou le Domaine de Laffite Teston Ericka Pacherenc Blanc sec du Vic-Bilh sont proposés au choix, au même titre que les vins de la Vallée du Rhône Crozes Hermitage - Paul Jaboulet ou les Bordeaux du Château Picard - Saint Estèphe. ...
L’exploitation viticole du Château du Raux est une propriété de 30 hectares, comprenant une belle maison de XVIIIe siècle et un vignoble groupé autour des bâtiments. Elle est située à proximité de la Gironde, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc, entre Pauillac et Margaux. La maison est réputée pour son Cru Bourgeois, médaillé à plusieurs reprises, issu de ce domaine familial transmis de génération en génération depuis 1879. Un sol béni de Dionysos Le champ viticole de la maison s’étend sur 20 hectares, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc. Il appartient à Patrick Bernard et à sa famille depuis des générations. Leur vigne, renouvelée au fil des ans, est vieille d’un quart de siècle. À cet âge idéal, les récoltes sont moins abondantes, mais elles donnent des grappes de raisin plus concentrées. Ce sont ces vieilles vignes qui contribuent à produire les meilleurs vins. Bénéficiant d’un sol sablo-graveleux d’excellente qualité et pauvre en minéraux sur un mètre de profondeur, leur terre favorise la lente croissance de la vigne, tandis que le sous-sol en argile assure une alimentation hydrique régulière. Une telle combinaison donne des vins rouges d’exception, aux arômes puissants, à la fois complexes et persistants. Le climat bordelais, en outre, offre les conditions nécessaires pour parfaire cette entreprise familiale : du soleil, un vent d’automne, un hiver sans gelées et un printemps relativement humide. Ce cadeau de la nature, associé à un grand professionnalisme, est garant de la grande qualité de chaque millésime du Château du Raux. Des millésimes d’exception Le vin du Château du Raux bénéficie du climat chaud de la région, avec une bonne répartition des précipitations et une période sèche propice à la vendange. Le merlot et le cabernet-sauvignon, cépages traditionnels en Haut-Médoc, expliquent la belle couleur intense, la puissance, l’élégance et la souplesse présentes dans tous ses millésimes. Le millésime 2013, en l’occurrence, se démarque par la richesse de ses arômes. Le nez est marqué par des notes épicées de type clou de girofle, des notes boisées, sous forme vanillée. Le soupçon de fruits mûrs et de notes boisées qui attisent la gourmandise est également présent dans le millésime 2012. Son attaque puissante reste, cependant, son atout vu qu’elle promet un grand potentiel de garde. Quant aux papilles adeptes des bouches rondes et souples, le millésime 2011 est un excellent choix. Peu ouvert, à la structure fine, aux tanins souples et aux arômes discrets, ce vin séduit par sa rondeur et sa souplesse. Il figure dans « Bordeaux, le millésime 2011 » de Jacques Dupont (Le Point, mai 2012), qui lui a attribué la note 14. Le même auteur a également donné la même note à son cadet, le millésime 2010, dans « Bordeaux, le millésime 2010 » (Le Point, mai 2011). Le millésime 2010 partage la même bouche tendre et légère que son aîné, mais se distingue par son arôme de cassis. ...
Faisant aujourd’hui figure d’institution en matière de gastronomie française, l’établissement est un haut lieu de restauration, où s’apprécie une cuisine qui mêle élégance, tradition et intuition créative. Quand la magie des lieux opère Situé sur la prestigieuse avenue Montaigne au sommet du Théâtre des Champs-Élysées, cet établissement riche d’une réputation construite depuis plus de vingt-huit ans est aujourd’hui le fief de Bruno Franck et de son équipe qui y font jouer leur expérience et leur savoir-faire. Dans une ambiance intérieure raffinée et cosy, laissez-vous transporter dans un confortable voyage ou à l’ombre de son admirable terrasse qui fait face à la tour Eiffel pour une expérience gustative d’exception dans la farandole des saveurs d’une cuisine à la qualité irréprochable. À travers un vaste espace de 440 m2 offrant de multiples possibilités, la maison est constituée de deux niveaux : une salle qui longe une baie vitrée vertigineuse et verticale avec une vue dominante sur l’Ouest parisien et une mezzanine située en hauteur qui révèle son lot de surprises en s’ouvrant sur un paysage plus élargi sur la capitale et qui permet de découvrir un bar lumineux aux couleurs variables ou encore une incroyable terrasse, la terrasse Georges V telle une oasis illuminée de pleins feux par la Dame de fer, la tour Eiffel. Une cuisine d’exception, inventive et raffinée Constamment au rendez-vous, le mariage réussi des textures et des saveurs aux couleurs contrastées se suivent et se succèdent au restaurant Maison Blanche, fortement inspirées des nombreux voyages du chef Fabrice Giraud et des influences méditerranéennes de son enfance. C’est ainsi que, jour après jour, naissent de belles assiettes inventives préparées selon le marché du moment où la surprise et l’authenticité sont toujours à l’honneur. À cela s’ajoute le savoir-faire d’un excellent chef pâtissier Paul Donore, qui, depuis de nombreuses années, fait chanter les desserts à travers de grands classiques revisités à sa manière. Découvrez à travers une carte prometteuse, où sucré et salé forment un bon équilibre, un savoureux saint-pierre au citron confit et au fenouil, un plat emblématique revisité par le chef qui s’harmonise à merveille avec le Crozes de Combier 2012 Clos des Grives, au nez de framboise et de violette. Un lieu hors du commun pour accueillir vos événements Perché sur les hauteurs du Théâtre des Champs-Élysées, le restaurant Maison Blanche est également un haut-lieu de festivités parisiennes, où opère la magie des strass et des paillettes. L’établissement réunit dans diverses ambiances, tout un essaim de noctambules en quête de fêtes et de soirées bien orchestrées. Chaque samedi, cette institution se métamorphose en un night-club branché, où l’ambiance diffuse du Club Montaigne permet de se retrouver autour d’un verre sous la cadence d’une musique rythmée, et ce, jusqu’au bout de la nuit. Maison Blanche, c’est aussi un lieu d’accueil unique pour tous types d’événements. Anniversaires, séminaires, conférences de presse et aussi mariages, dîners de gala ou événements d’entreprise y sont les bienvenus. Pour toute demande de renseignements, une équipe commerciale particulièrement à l’écoute se tient à votre disposition pour la réalisation et la personnalisation de vos événements. N’hésitez pas à demander un devis. ...
Ne vous y méprenez pas ! Si le nom de l’enseigne semble évoquer ces chaînes de restaurants qui se sont spécialisés dans le bœuf, il n’en est rien. Bien sûr, ici, le bœuf s’offre une place de choix à la carte, mais L’Antre Côte est unique car affaire de famille, où se mêlent passion et amour du métier, le patron ayant fait ses classes chez Georges Blanc avec, en poche, des maîtrises en boucherie, charcuterie et poissonnerie. La fraîcheur avant tout… La fraîcheur est l’engagement premier de la maison. Aucun produit n’est surgelé. Les filières d’approvisionnement sont courtes, les légumes de saison. Le restaurant dispose en cuisine d’un laboratoire de 185 m2, véritable atelier de transformation qui lui permet, aussi, de répondre à une demande traiteur. Ainsi, charcuterie, jambon et salaison, boucherie et maturation de viande, fumage et poissonnerie, sans oublier « les mijotages divers de madame la patronne », sont réalisés sur place. Des produits d’exception dans l’assiette… Pour le choix des matières premières, la maison s’est fixé un cahier des charges très strict en ne sélectionnant que des fournisseurs reconnus et représentant de la richesse terroir ardennais. Pour les origines plus lointaines (condiments, épices, bœufs, poissons, etc.), les produits sont toujours issus de sources contrôlées et labellisées. Cuisine française et Invitation au voyage Cuisine de tradition française et bœuf sont fièrement représentés à la carte. Le fin gastronome pourra choisir son morceau de viande suivant leurs origines : entre charolais et black angus, entre bœuf kobe du Japon et Wagu d’Australie. Les suggestions du jour sont parfois surprenantes et s’inspirent des carnets de voyage du patron avec, par exemple, les douces saveurs des vapeurs asiatiques, ou encore le véritable couscous berbère. Avec une première formule autour de 15 euros, l’Antre Côte demeure un restaurant qui ambitionne de satisfaire le plus grand nombre et, cela, au cœur de l’une des plus belles places de France. ...
Petite commune tranquille de l’Aveyron en région Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Onet-le-château abrite une perle de la cuisine bourguignonne. Le restaurant d’Alex et Corinne est décidément réputé pour l’accueil agréable et courtois qu’il réserve à ses convives sans parler de sa cuisine fine et soignée où les produits frais et locaux sont à l’honneur. Etape gourmande en Aveyron Pour y aller, rendez-vous aux portes de Rodez, puis direction le rond-point Saint-Marc, route d’Espalion. A l’accueil, Corinne reçoit avec le sourire, histoire de détendre et mettre à l’aise ses convives. Une fois ceux-ci bien installés, les choses sérieuses commencent. Du mardi midi au vendredi midi, des menus entre 16 et 20 euros sont proposés avec au choix quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. On choisit ses plats à la carte le jeudi et vendredi soir ainsi que le week-end. La carte comprend plusieurs entrées entre 6 à 10 euros, des plats entre 16 à 24 euros et des desserts entre 6 et 7 euros. « Chez nous pas de carte fixe, nous établissons un tableau qui change tous les jours, selon les saisons » raconte Corinne. Le chef prend plaisir à concocter de succulentes spécialités bourguignonnes qui sortent des sentiers battus. Avec sa maîtrise et sa rigueur, il sait satisfaire les palais les plus exigeants. Pour ses réalisations, il mise sur son amour du produit mais aussi sur son expérience. Le couple met désormais à profit leur talent et leur savoir-faire dans leur restaurant Chai Alex and Co. Des plats classiques mais revisités Les suggestions du chef sont aussi attrayantes les unes des autres. Elles sont tirées de recettes traditionnelles mais retravaillées selon son humeur et son inspiration. Parmi les plats signatures figurent les œufs meurettes, des incontournables quand on parle de cuisine bourguignonne. Cette recette à base d’œufs pochés est généralement accompagnée d’une sauce bourguignonne ou d’une sauce meurette faite traditionnellement avec du vin rouge, des oignons, des lardons, et des échalotes. Autre plat phare : le tablier du sapeur, une spécialité lyonnaise à base de bonnet nid d’abeille ou gras-double cuit au bouillon puis plongé dans une marinade à base de vin blanc. La viande est ensuite panée et frite puis servie avec des pommes de terre ou une sauce gribiche, selon les envies. Les succulentes propositions du chef ne s’arrêtent pas là. Ne manquez pas aussi les andouillettes en chemise grillées, couvertes de moutarde à l’ancienne, de jambon de pays et d’une crêpe. Une adresse décidément dédiée aux vins L’établissement fait honneur à l’univers du vin. Les couleurs choisies rappellent celles de ce précieux breuvage avec ses tons roses-mauves. Le parquet au sol donne une note conviviale à la salle ainsi que les larges banquettes qui sont synonymes de confort. En plus de la présence des nombreux luminaires incrustés au plafond, le restaurant est baigné par la lumière grâce aux immenses baies vitrées. La partie carrelée de la salle donnant sur l’espace extérieur offre une jolie vue. Elle est constituée d’une grande table pouvant accueillir 12 personnes. La pièce maîtresse du restaurant est certainement cette cave à vins vitrée trônant majestueusement au coin de la salle, définissant aussi l’expression « chai » en référence au nom de l’établissement. Pour compléter cette ambiance chic et ce décor épuré, une musique jazz en fond sonore. Que demander de plus ? ...
Actuellement, la maison Boutillez-Guer travaille sur un vignoble s’étendant sur une superficie de 5 ha 25, planté à 80 % de chardonnay, 5% pinot noir et 15% en pinot meunier. Ici, le travail de la vigne se fait avec la même passion qui a animé chaque génération depuis les origines de l’exploitation. Fidèle à son héritage, la maison continue de préserver l’authenticité et la tradition, gages de la qualité de ses champagnes d’exception. Une méthode soucieuse de l’environnement Pour tirer le meilleur de son terroir viticole, la maison mise sur une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum tout impact sur l’environnement. « Nous réduisons l’usage de produits chimiques et nous privilégions des procédés naturels tels que l’enherbement et l'utilisation de phéromones pour réduire l'utilisation d'insecticides », nous explique-t-on. Par ailleurs, le plus gros du travail se fait à la main, que ce soit pour la taille des vignes ou pour la vendange. La vinification, quant à elle, se veut être classique avec un élevage en cuve. Fière de son statut de vigneron indépendant et de récoltant-manipulant, la maison maitrise ainsi parfaitement toute la chaîne de production. Des cuvées « premiers crus » Parmi les spécialités de la maison, 4 cuvées sortent du lot : la cuvée Brut tradition, la cuvée Blanc de Blancs, la cuvée Brut Rosé et la cuvée Millésime 2008. La cuvée Brut Tradition est obtenue à partir de l’assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir, dont 50 % de vin de réserve. Elle s’habille d’une couleur or brillant et renferme des arômes briochés. Idéale pour accompagner les volailles ou pour des saveurs plus subtiles telles que le saumon fumé. Ensuite, la cuvée Blanc de Blancs, élaborée essentiellement avec du chardonnay, dont 30 % de vin de réserve, se distingue par sa légèreté et son arôme fruité qui séduiront les plus fins palais. Ce champagne sublimera des plats comme un feuilleté de langoustines ou un tartare de poisson. Pour enchainer, la cuvée Brut Rosé s’obtient par l’assemblage de 70 % de chardonnay et de 30 % pinot noir, dont 10 % de coteau rouge. En bouche, celle-ci mêle harmonieusement raffinement, rondeur et puissance. Le tout, dominé par des parfums de fruits rouges et une fraicheur agréable. Enfin, le Millésime 2008 est, quant à lui, 100 % chardonnay. Ses arômes briochés et ses notes fruitées font de ce champagne le complice idéal pour les instants raffinés. ...
A 50 km de Bordeaux, ville inscrite au patrimoine mondiale de l’UNESCO, l’entreprise vous propose un lieu convivial pour se détendre en bord du bassin pour une dégustation d’huîtres et des explications sur la culture de l’huître et du patrimoine maritime. Premier centre naisseur européen d’huîtres naturels Faisant partie du patrimoine du Bassin d’Arcachon, les huîtres sont mises à l’honneur au Vivier du Jacquet. L’entreprise propose différentes activités et la découverte de ce produit qui fait la réputation de la région depuis plusieurs siècles. Les visiteurs peuvent déguster des huîtres fraichement sorties d’excellentes qualités et découvrir le métier d’ostréiculteur. Ce paysan de la mer vous propose la visite de la ferme ostréicole, les sorties en chaland pour la découverte des parcs à huîtres et l’île aux oiseaux. Le bistrot vous propose de vous régaler avec ses huîtres et fruits de mer accompagnés de pâté et d’un vin blanc Château Lauduc ou de la Maison MARLERE. Tout cela dans une ambiance conviviale et familiale. « Quand les clients me posent des questions (il m’arrive de m’asseoir avec eux et de continuer la discussion) » nous confie Christian. Pour les fins gourmets de passage, cet épicurien prodigue ses précieux conseils concernant les bonnes recettes et la manière de déguster les huîtres. Les plus curieux peuvent également en savoir plus sur les techniques d’élevage de ces joyaux du bassin. Ces explications se font le mardi et le jeudi de Pâques à septembre sur réservation. « Je leur raconte un petit peu l'histoire du patrimoine maritime du Bassin d’Arcachon, et en second lieu, je leur explique la culture de l'huître : du naissain naturel jusqu'à son arrivée dans l'assiette sur un cycle de 3 ans et demi ! » Christian se fait un réel plaisir à partager les secrets de son métier. Sur le bassin d’Arcachon, au cap Ferret, Christian, ce paysan de la mer travaille ses huîtres avec la bioénergie Les huîtres servies au Vivier du Jacquet bistrot à huîtres sont au minimum âgées de 3 ans. Pour accompagner ces huîtres, Christian vous propose des vins blancs Côtes de Gascogne de la maison Marlere, vignoble Laffont et Château Lauduc. Néanmoins, ce sont les huîtres qui sont bel et bien les stars de ce lieu d’exception. En effet, cette ferme ostréicole travaille ses produits avec attention et applique la bioénergie pour la finition. Le résultat de la bioénergie ce sont des huîtres douces et rondes qui restent en bouche comme un grand cru. Dégustez des huîtres de qualité quand et où vous voulez ! Le Vivier du Jacquet accueille aussi bien les simples touristes que les groupes. Idéales pour les réunions de famille et pour diverses manifestations dans le cadre de la législation en vigueur. Les visites hebdomadaires se terminent toujours par une dégustation d’huîtres, vin blanc et il y a également une initiation à l’écaillage. Ces huîtres sont proposées à la vente directe sur place ou à emporter. Le Vivier du Jacquet bistrot à huîtres est également présent sur différents marchés. « Je commercialise mes produits sur la Côte Basque à Hendaye, au marché d'Anglet, marché des Quais des Chartrons de Bordeaux le dimanche matin, et le marché du Bouscat ». Les foires agricoles, les foires à thème et les salons gastronomiques font aussi partie des activités de cette entreprise. « J'expédie également les huîtres partout en France de septembre à mai. » précise-t-il. Il suffit de passer votre commande via le site internet de l’établissement ou par mail. Ces huîtres sont vendues à la douzaine, disponibles en différentes tailles selon les goûts et dont la livraison se fera dans un délai de 24 à 36 heures sur toutes les régions de France. ...
Difficile de ne pas succomber au charme de ce restaurant de Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. Que ce soit à l’intérieur de la salle à l’ambiance conviviale ou dans la cour ombragée sous les orangers, une cuisine traditionnelle aux saveurs de la région est servie avec le sourire. Emilie Giez assure l’accueil et le service pendant que son compagnon Vincent Truffet s’active derrière les fourneaux. Un duo complice qui célèbre leur amour pour les saveurs du Sud au travers d’innombrables suggestions culinaires généreuses et gourmandes. Une cuisine aux produits du terroir « Les Jardins de l’Orangeraie » proposent une cuisine traditionnelle, à laquelle le Chef Vincent Truffet apporte une petite touche de modernité. Les suggestions à la carte exaltent la fraîcheur des produits de saison livrés tous les jours par un maraicher. Cette carte courte se compose de quatre entrées, cinq plats dont deux viandes et trois poissons et quatre desserts. La maison suggère également un « Menu Découverte » à 30 euros à côté des formules du midi. Le potager aromatique qui parfume la cour intérieure du restaurant fournit thym, basilic, romarin, menthe et autres herbes qui viendront rehausser le goût et les arômes de chaque plat. Côté cuisson, Vincent Truffet affectionne particulièrement celle à basse température, une technique qu’il utilise notamment pour la préparation de la souris d’agneau qui confit pendant près de 12 heures. Fort de son succès, ce plat redemandé très régulièrement par la clientèle est souvent présente à la carte. Autre spécialité : l’aïoli, une recette provençale que le chef revisite tous les vendredis à sa manière. Un rendez-vous gourmand à ne pas manquer sous aucun prétexte. La carte des vins « Les Jardins de l’Orangeraie » présentent une carte de vins très sélective. Cela inclut les producteurs de la commune de Roquebrune-sur-Argens. Les propriétaires de l’établissement aiment aller à la rencontre des viticulteurs pour connaître leur méthode de travail, ils ont alors une préférence pour les vins bio. Selon Emilie Giez : « Les démarches de productions et l’origine des vins doivent coïncider avec l’esprit du restaurant. » Un cadre calme et romantique La pièce maitresse des Jardins de l’Orangeraie est incontestablement sa cour intérieure. A l’abri des regards et des agitations des bords de mer, elle se présente comme un véritable havre de paix. Les tables en fer forgé accueillent les diners romantiques dans une ambiance raffinée, calme et sereine. En soirée, les luminaires extérieurs ingénieusement agencés accentuent ce côté romantique. Pour plus d’intimité ou de chaleur, la salle reste l’idéal. A côté de ses voutes et ses pierres apparentes s’affiche une décoration simple et épurée qui coïncide avec le thème de la gastronomie. La salle est agrémentée par des tons chauds tels que le marron chocolat et l’orange dénotant douceur et élégance. ...
Ce mas, situé sur la commune de Tulette, est un héritage familial de Corinne Depeyre, venant de son père qui, lui-même, l’a hérité de son père Henri et de son grand-père Clément. Ainsi, après trois générations, Corinne est la première vigneronne de la famille à reprendre le flambeau. Un rôle qu’elle assure et assume pleinement avec passion. L’agriculture biologique, une réelle conviction Au sein du Domaine Corinne Depeyre, l’agriculture biologique est un véritable art de vivre. Pour la viticultrice, il s’agit d’un gage d’avenir. C’est pourquoi elle cultive ses 19 hectares de vignes suivant cette technique respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Les vignes vivent ainsi au rythme des labours, selon les cycles naturels et grâce à des techniques ancestrales destinées à lutter contre les parasites et les maladies. Corinne Depeyre cultive notamment la phacélie au milieu de son vignoble. Il s’agit d’une fleur qui a la propriété de régénérer les sols naturellement. Des rangées de rosiers ont été plantées au pied des vignes. En plus d’offrir un décor visuellement très attrayant, les rosiers préviennent de l’apparition de maladies comme l’oïdium provoqué par un champignon destructeur. Les vins de Corinne Le Domaine Corinne Depeyre commercialise trois gammes de vins bien distinctes. Parmi les plus connues figurent les cuvées Style, se déclinant en rouge, blanc et rosé. Le Style Rouge Côtes-du-Rhône est issu de vignes de 30 ans d’âge établies sur un terroir argilo-calcaire, recouvert de galets roulés. Il est élevé en cuve de béton souterraine. Le vin se pare d’une robe rouge grenat aux reflets pourpres, marqué par un nez intense, floral et fruité, avec des notes d’épices. En bouche, il développe beaucoup de fraicheur et de la souplesse. Le millésime 2015 a été primé d’une médaille d’or lors du Concours des vins d’Orange. Le Style Blanc Côtes-du-Rhône est né d’un assemblage à 50 % de clairette, 25 % de viognier et de 25 % de roussanne. Il est élevé en cuve en inox et fermente en cuve inox thermorégulée. La robe est jaune pâle avec des reflets verts. Il s’agit d’un vin subtil avec un nez aux notes d’abricots et d’agrumes. Il se savoure en apéritif et accompagne un fromage de chèvre ou un poisson en sauce. La cuvée 2015 a été récompensée d’une médaille d’argent lors du Concours des vins d’Orange et de celui de Mâcon cette année. La troisième cuvée est le Côtes-du-Rhône Rosé, un vin aux couleurs provençales, avec un nez d’agrumes et de petits fruits rouges. La gamme intermédiaire est représentée par la cuvée Phacélies AOP Côtes-du-Rhône Rouge. Elle rend hommage aux fleurs présentes sur les parcelles pour attirer les abeilles. Le vin est issu de vieilles vignes de 50 ans. Le millésime 2014 a été primé d’une étoile au Guide Hachette. Le haut de gamme se décline en deux cuvées rouge et blanc Âme du Chêne AOP Côtes-du- Rhône. La propriété possède également une cuvée dénommée Cuvée de l’Amitié, un vin de pays de Méditerranée encore très confidentiel. La vigneronne travaille uniquement avec le circuit traditionnel (cavistes, restaurateurs) pour commercialiser sa production. « Je n’ai pas du tout l’intention de travailler avec la grande distribution », souligne-t-elle. Elle projette néanmoins de s’ouvrir à l’export. ...
Le vignoble de 25 ha de La Chapinière est aujourd’hui dirigé par Florence Veilex, une passionnée pour qui le vin est avant tout un produit de partage. Une viticulture durable Près de la moitié du vignoble est planté en sauvignon. Cependant, d’autres petits cépages, dont le cot sélection Garnon (une spécificité du domaine), permettent à Florence d’élaborer des cuvées originales. Sur un sol composé d’argile à silex, toutes ces vignes sont cultivées sous le label Terra Vitis pour une Nature préservée et une viticulture durable. De la vendange à la mise en bouteille, le domaine s’efforce de limiter l’utilisation d’intrants. Résultat : des raisins sains atteignant leur pleine maturité. Les cuvées phares Parmi les spécialités de la maison, trois cuvées sortent du lot. Le sauvignon est un blanc sec qui séduit par sa maturité. Le gamay est un vin léger, fruité et facile à boire. Enfin, le cot Garnon possède une très forte personnalité avec un arôme spécifique. ...
Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient. La poudre de baobab : un pré-biotique naturel Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. » Le baobab : une filière équitable Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle. ...
Créée en 1765 au cœur de la Vallée Noble, dans le petit village de Westhalten par la famille Heim, la Maison s’est développée au fil du temps sur les côteaux de Bennwihr, Westhalten Kaysersberg et Barr, devenant Bestheim. Elle représente aujourd’hui 450 familles de vignerons pour 1400 hectares de vignes, ce qui en fait un acteur important dans le paysage viticole alsacien. Forte de cette diversité, Bestheim propose des vins provenant des plus beaux terroirs alsaciens comme les Grands Crus Schlossberg, Zinnkoepflé, Mambourg, Marckrain ou Furstentum. Le Grand Prestige, fer de lance de la maison Bestheim En 2005, le monde des fines bulles connait un chamboulement inédit. En effet, le Crémant d’Alsace « Bestheim Grand Prestige » bouscule la hiérarchie historique en s’imposant à la 2e place lors d’une dégustation à l’aveugle mêlant des effervescents de diverses origines, devançant au passage plusieurs cuvées de Champagne de renommée mondiale. Depuis, la célébrité de cette cuvée n’a jamais faibli. Le « Grand Prestige Rosé », lancé en mars 2016, s’inscrit dans la même lignée. Il s’agit d’un rosé originaire du Strangenberg, terroir des hauts de Westhalten associé à d’autres terroirs calcaires. Il se différencie des rosés bruts traditionnels par sa tannicité bien particulière. Ce vin au fruité très expressif révèle des notes de cerise noire et de griotte, virant à la framboise sauvage et à la fraise des bois. Avec un dosage raisonné (8g/l), il est classé parmi les crémants gastronomiques. Il se marie harmonieusement avec un carpaccio de bœuf relevé au piment d’Espelette, un tartare de noix de Saint-Jacques, un minestrone de moules au safran ou un muesli de pomme de terre aux truffes. Considéré comme une cuvée premium, le « Grand Prestige Rosé » a une production limitée à seulement 12 000 bouteilles. Les autres cuvées du domaine La production de Bestheim ne se limite pas à ces deux cuvées inégalables. Elle propose des vins blancs d’Alsace et des Grands Crus appréciés aussi bien par les connaisseurs que par les néophytes. A découvrir : le Kaefferkopf 2013, Grands Crus d’Alsace révélant une robe avenante d’un jaune doré et brillant. Ce vin blanc de prestige propose un nez complexe qui offre des arômes de citron confit, de pamplemousse, de thé vert et de fleurs blanches. La bouche est vive et structurée. A déguster de préférence avec des coquillages, des poissons nobles et certains mets japonais. Un chai à la pointe de la technologie Sans cesse en quête de la perfection, Bestheim s’est très récemment doté de nouveaux matériels et équipements. Un investissement de près de 20 millions d’euros a été réalisé en 2014 pour l’installation d’une nouvelle chaine de conditionnement et l’agrandissement de la partie stockage. Cet apport a également permis l’acquisition d’un vendangeoir de dernière génération doté de 10 pressoirs pneumatiques et d’un nouveau chai de 130 cuves en inox d’une capacité totale de 130 000 hectolitres. Ces investissements ont notamment été réalisés dans un souci constant de respect de l’environnement et de développement durable qui se concrétise par exemple par une diminution de 20% de la consommation d’énergie sur les trois dernières années. ...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches et Domaine Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches » constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. Depuis bientôt trois décennies, François Lurton parcourt la France du nord au sud pour sélectionner les raisins de sa fameuse cuvée « Les Fumées Blanches ». Si les raisins vinifiés et assemblés pour Les Fumées Blanches sont récoltés dans différentes régions françaises, il en est une qui reste majoritaire et particulièrement chère à François : le Gers. C’est donc sur une terre argileuse plantée sur une roche mère calcaire, en plein pays gascon, que François Lurton va implanter son domaine; le Domaine Les Fumées Blanches. Plus précisément au cœur de la Ténarèze, terre de contraste qui relie l’Armagnac Noir Atlantique à l’Armagnac Blanc méditerranéen. La volonté de François au sein du domaine n’est plus tant d’exprimer toute la complexité du sauvignon blanc mais plutôt à présent, son incroyable délicatesse et sa capacité à exprimer son terroir. Le Domaine Les Fumées Blanches est devenu le fruit de près de trente années d’expériences et d’innovations autour de la culture et d...
En entendant le nom, l’on peut être sujet à quelques confusions. Partons du bon pied et disons tout de suite qu’ici, nous choisissons la voie de la saveur. Car c’est bien de cette signature sucrée du Rocca Serra dont il est question. Préparé amoureusement dans l’intimité du 17, quai Comparetti, le Corail de Bonifacio est confectionné exclusivement à partir d’ingrédients locaux. Une douceur positivement du terroir Une fabrication artisanale à partir d’ingrédients de sélection faisant honneur au savoir-faire des producteurs locaux. C’est dans cette particularité que le Corail de Bonifacio tire tout son cachet. Pour ceux qui n’en ont jamais goûté, il s’agit d’une sorte de palet à base d’amandes. Le confiseur s’en approvisionne auprès d’un producteur de San Giuliano. Pour donner du punch à ce péché mignon, un mélange de miel de châtaigneraie et d’agrumes confits. Le miel est préparé à 100 % à Bonifacio même tandis que les citrons et les oranges achetés sur le marché local sont confits par la maison elle-même. Quelques touches d’épices et de noisette parachèvent la recette de ce concentré de plaisir qui fond en bouche. Les uns le préfèrent tel quel pour saisir la volupté de ses arômes, mais le Corail est également parfait à l’heure du digestif. Il se marie bien avec une liqueur de châtaigne ou de myrte. Chauffé très rapidement au micro-ondes, il raflera bien des suffrages avec juste du thé ou un petit café. ...