Une petite soif ? Laissez-vous surprendre par le goût inimitable des jus de fruits Elite naturel ! Parfaits pour toute la famille, ils sont à consommer sans modération. Un partenariat « juteux » Active depuis 1975, Elite naturel est une entreprise familiale de boissons implantée en Turquie. À partir de 2003, elle s’est lancée dans le bio et s’illustre rapidement dans le domaine. Devenue leader des jus de fruits bio, la société a acquis depuis une renommée mondiale. Une notoriété qu’elle a su développer en partenariat avec la société Colibri. Cette dernière étant l’importateur distributeur de la marque Elite naturel. Colibri dispose d’un vaste réseau de clients auprès desquels il peut promouvoir non seulement sa propre marque mais également les marques Elite naturel. « Colibri travaille avec 90 % des magasins bio de France, y compris des épiceries fines, des pharmacies et quelques restaurants », souligne Béatrice Claman, la responsable commerciale. Des produits toujours plus innovants Constamment à la recherche de nouveaux goûts à proposer aux consommateurs, Elite naturel ne cesse d’innover ses produits. Aujourd’hui, l’entreprise peut se vanter de disposer d’une riche gamme de jus bio aux saveurs surprenantes : cerise, pastèque, abricot, mulberry, myrtille, melon… autant de délices pour les papilles ! Béatrice Claman explique fièrement : « On arrive à proposer des jus extraordinaires qui n’existent pas en France. » Mais le produit « star » de l’entreprise reste sans conteste le jus de grenade bio. Une nouvelle variété a justement été lancée sous le nom de grenade « Pink ». Sa douceur et sa couleur rose naturelle offrent un réel plaisir pour les sens. D’un point de vue purement gustatif, les consommateurs apprécieront du 100 % pur jus, sans ajout de sucre ni d’eau. En outre, c’est « le seul jus de grenade équitable au monde », rajoute Béatrice Claman. Ce qui en fait un produit vraiment exceptionnel. ...
Véritable invitation à la détente et au repos, l’enseigne attire la sympathie par son ambiance intimiste et chaleureuse, que l’on prend plaisir à savourer et qui procure de purs moments de bien-être. La Butte s’inspire de son environnement naturel et renvoie à l’image de la côte et de tout le littoral pour donner un cadre contemporain avec des dominantes de beige et de gris. À travers une cuisine particulièrement lisible et authentique, où les produits du terroir sont essentiellement à l’honneur, on s’y rend pour le plaisir de (re)découvrir ou retrouver des plats aux goûts très francs, avec d’agréables et incroyables explosions en bouche. Un repas savoureux Ne passez pas à côté de son homard poché, poêlé au beurre noisette et cru à cœur, qui garde vraiment sa saveur, servi avec des asperges ou des légumes du moment, ou tout autre accompagnement selon la saison. Poursuivez l’aventure avec son délicieux ormeau poêlé au beurre, accompagné de vermicelles et de jus de volaille sur un lit d’algues rouges (Dulse). Finissez en beauté avec son Mingaux à base de gros lait fermier, une spécialité bretonne qui ne manquera pas de vous plaire. La Table de La Butte, c’est aussi, une très belle carte de vins riche de près de 350 références, avec de très bons Bordeaux et des cuvées exceptionnelles de la maison Trimbach par exemple. Quel que soit le vin choisi, la satisfaction et le plaisir seront toujours au rendez-vous. ...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
Propriété de la famille Aubry, le Domaine du Mont Verrier a été légué en 1892 aux Hospices de Villefranche. Jusqu’en 1990, il a ainsi servi de lieu de villégiature aux sœurs hospitalières de la congrégation Sainte-Marthe de Beaune. Menacé de démantèlement, le domaine a été racheté en 2007 par Gérard Legrand, passionné de vin et d’Histoire. Celui-ci réalise de gros travaux de rénovation permettant l'ouverture en 2009 d’une maison d’hôtes. Pendant 10 ans, Gérard Legrand s’est également attelé à restructurer et à diversifier le vignoble. Un travail de longue haleine qui porte aujourd’hui ses fruits. Un conservatoire expérimental à ciel ouvert Le terroir du lieu-dit de Mont-Verrier possède une étonnante singularité. « Nous disposons d’un terroir qui a la particularité de changer en l’espace de quelques mètres, ce qui nous permet d’avoir une belle diversité de cépages », souligne Céline Charrier, responsable promotion et export. Ici, on passe aisément d’un sol argilo-calcaire à des sols de roches volcaniques et granitiques. C’est pour mettre en lumière cette diversité que Gérard Legrand a eu l’idée de planter en collaboration avec la SICAREX Beaujolais et le Conservatoire du Vignoble Charentais une importante collection ampélographique. Présentant plus de 200 cépages différents, il s’agit tout simplement de l’une des plus grandes collections ampélographiques privées de France : « C’est en quelque sorte un conservatoire expérimental à ciel ouvert pour voir comment ces différents cépages s’adaptent à ce terroir extrêmement diversifié ». De vieilles vignes Après restructuration, le vignoble s’étend aujourd’hui sur 40 hectares. Sur l’ensemble de l’exploitation, Gérard Legrand a pris soin de garder 50 % de vieilles vignes. L’encépagement se compose à majorité de gamay, cépage roi du Beaujolais. « Nous avons de très vieux gamay plantés sur une parcelle centenaire », confie Céline Charrier. Le chardonnay, dont certains pieds datent de 1950, et le pinot noir viennent compléter l’encépagement. La biodiversité à l’honneur Avec le label HVE en ligne de mire (au printemps 2019), le domaine a depuis longtemps concentré ses efforts sur la préservation et la valorisation de la biodiversité. Ainsi, un verger comptant plus de 60 variétés d’arbres fruitiers (pommiers, pruniers, pêchers...), un potager ainsi qu’un jardin de plantes vivaces côtoient harmonieusement les vignes. En outre, le vignoble est mené intégralement en culture raisonnée sous l’œil avisé de Jean Louchet, chef de culture. « Il a l’expérience et la connaissance des pratiques en matière de lutte raisonnée en même temps que la maitrise des amendements naturels », rapporte notre interlocutrice. Sous l’impulsion de ce chef, une attention particulière est portée au niveau de l’enherbement. « Au printemps, les interrangs se remplissent de fleurs, qui seront ensuite fauchées et qui, par décomposition, donneront un engrais naturel. » En cas de besoin, le domaine réalise également son propre engrais organique préparé à base de fumure. Pour illustrer cet intérêt, le Domaine lance en 2019 (millésime 2018) sa première cuvée sans sulfites en Beaujolais Pierres Dorées vinifié selon la pure tradition beaujolaise, avec une macération semi-carbonique à partir des seules levures indigènes présentes sur la pruine des baies et surtout sans sulfites ajoutés. La qualité avant tout Toujours soucieux d’offrir le meilleur aux œnophiles, le Domaine du Mont Verrier ne néglige aucun détail dans le processus d’élaboration de ses vins. Et cela commence d’abord par la maitrise des rendements afin de préserver la complexité et la concentration des raisins; « Nous pratiquons l’ébourgeonnement. Par conséquent, nous gardons uniquement les rameaux qui vont apporter les meilleurs fruits avec tous les arômes et la sucrosité nécessaire &ra...
Le restaurant Victor Hugo propose quotidiennement à sa clientèle des plats nobles et généreux qui honorent la cuisine française traditionnelle. Concoctés par le talentueux chef Damien Delgado à partir de produits frais de saison, présentés ensuite avec une touche contemporaine, ces plats ont fait de la maison un authentique écrin de la gastronomie française. Une cuisine savoureuse à l’honneur En entrée, la variation autour du thon fait la singularité du restaurant. « Il s’agit de travailler le thon de trois manières différentes », décrit Damien Delgado. En mi-cuit avec une vinaigrette de mangue épicée, en nem ou bien mariné dans le miel et la sauce soja, le thon sera dans tous les cas un vrai délice. En guise de plat de résistance, rien de tel que la noix de Saint-Jacques accompagnée d’une purée de panais et de salsifis avec une noisette poivre et sel. En dessert, l’habituel citron déstructuré prend, dans ce lieu d’exception, une toute autre saveur. La base de la pâte est broyée puis présentée dans le fond d’une verrine. Une crème au citron traditionnelle l’accompagne et est enrichie d’une meringue suisse, « petit clin d’œil à la marque Mövenpick », spécifie le chef. Le dynamisme d’une table gourmande La carte est, quant à elle, très évolutive. Elle est renouvelée deux fois dans l’année afin de saluer la saisonnalité des produits. Et toujours dans cette volonté de satisfaire la clientèle, des plats allégés sont proposés toute l’année sur un menu « Go Healthy ». Celui-ci est « une initiative du siège Mövenpick et tourne autour de la diététique et de la santé », explique Damien Delgado. La cave à vins de la maison est pareillement des plus éclectiques, comprenant une large palette de vins du monde et des vins français. Le Mâcon Blanc en est exemplairement l’un des plus appréciés par les convives. Pour couronner le tout, le 58 Bar & Lounge a coutume d’organiser une multitude d’autres activités, telles « Le rendez-vous du mercredi », les soirées afterwork tous les soirs de la semaine, les happy hours et l’animation live music un mercredi sur deux, où l’ambiance et les racines latines du chef sont mises à l’honneur (Bossa nova, tango Argentin, musique Cubaine et Flamenco). ...
Henri et Françoise Lévêque nourrissaient un rêve en commun : celui de fabriquer des vins qui magnifieraient leur terroir. En 1966, le duo de choc, accessoirement philatéliste, met en marche le projet et décide de revendre une précieuse collection de timbres pour réinvestir les fonds dans l’achat d’une parcelle de deux hectares. Il était loin d’imaginer que cette petite aventure au départ allait donner naissance à l’une des plus importantes maisons viticoles des Graves, aussi membre de l’Union des Grands Crus de Bordeaux. Le Château de Chantegrive désormais établi sur une superficie de 92 hectares met à l’honneur des cuvées authentiques, symboles de gourmandise et de finesse. Le respect de la terre au centre de toutes les attentions Chantegrive se trouve sur un terroir d’exception constitué majoritairement de Graves, ces fameux galets rougets composés de silex du Périgord ainsi que de quartz, de quartzites, de la Lydienne issue des Pyrénées. Le rôle de ces gros cailloux est d’emmagasiner la chaleur durant la journée pour la restituer la nuit et ainsi tempérer les vignes. Par ailleurs, le vignoble est entouré par la Garonne à l’est qui apporte l’humidité et régule la température et à l’ouest par la forêt des Landes qui modère le climat océanique. Pour mieux sublimer ce terroir, la directrice Marie-Hélène Lévêque s’entoure des meilleurs spécialistes tels qu’Hubert de Boüard, œnologue et propriétaire du Château Angélus à Saint-émilion. Cuvée Caroline, porte-étendard de la maison Bien qu’attaché aux méthodes traditionnelles, Chantegrive n’en reste pas moins ouvert aux procédés modernes. Partant de cette envie d’innovation, le domaine utilise alors des techniques dites « bourguignonnes » pour fabriquer un vin blanc en barriques de chêne. L’initiative aboutit à la création de la Cuvée Caroline, devenue rapidement un best-seller adulé des plus éminents critiques et guides de vins. Composé de 50 % de sémillon, de 45 % de sauvignon blanc et 5 % de sauvignon gris, ce vin blanc frais et raffiné se singularise par sa richesse aromatique sur fond de chèvrefeuille, de pêche blanche et d’acacia. En bouche, il révèle une belle onctuosité et une touche de gourmandise. ...
Tantôt salon tantôt table gastronomique, Les Éditeurs vous emmène dans un voyage gustatif où les saveurs françaises sont savamment mêlées à la cuisine venue d’ailleurs. Assurant un service continu, dans une ambiance décontractée mais chic, cette table urbaine, qui se veut être traditionnelle dans l’âme, saura ravir vos papilles. Une explosion de saveurs C’est dans un cadre unique et exceptionnel que vous êtes accueilli aux Éditeurs. Ballotté entre bonne cuisine, littérature et ambiance cosy, vous y trouverez un véritable cocon gourmand. Régalez-vous en dégustant, bien lové dans des fauteuils et banquettes en cuir rouge, le foie gras de la maison, suivi d’une choucroute de la mer et d’une minute de chocolat noir « Tanzanie » pour clore le tout en beauté. Accompagnez tout cela d’un vin issu de la cave du restaurant, comprenant plus d'une vingtaine de références. A la carte, à travers le menu ou les choix à l'ardoise, faites votre choix parmi les nombreux plats savoureux rappelant toute la richesse de la gastronomie française. La littérature : une passion à partager Le restaurant Les Éditeurs puise ses origines dans la passion pour la littérature, passion partagée avec les hôtes grâce à la bibliothèque bien fournie mise à disposition. Dans un cadre artistique rappelant les anciens cafés littéraires, ce restaurant est un lieu à part où art culinaire et culture littéraire ne font qu’un. Idéal pour un brunch en week-end, un dîner en tête-à-tête ou un rendez-vous d’affaires, cette table élégante fera de vous, le temps d’une escapade culinaire, un critique littéraire et gastronomique hors pair. ...
Chacun a des besoins spécifiques en ce qui concerne le choix de sa cave à vin. Là où de nombreux généralistes se limitent simplement à la proposition de modèles, Ma Cave à Vin va plus loin en faisant profiter gratuitement à tous ses clients des meilleurs conseils de ses experts. À propos de Ma Cave à Vin Ma Cave à Vin est une enseigne spécialisée en cave à vin, cave à cigares, cave à fromage et cave à charcuterie & chocolat. Réunissant une équipe de passionnés et d’experts, la boutique s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels (hôtels, restaurants, grandes enseignes, etc.). « Nous proposons trois grandes lignes de produits incluant des produits standards, modulaires mais aussi du sur-mesure », explique Philipe RODRIGUEZ, le fondateur. L’enseigne se démarque véritablement à travers une expertise éprouvée depuis 14 ans et une activité de conseils permettant à chaque client de trouver LE produit qui correspond à la fois à ses besoins et surtout à son budget. Bien qu’une grande partie des produits soient écoulés sur le marché français, l’enseigne consacre 12 à 15 % à l’export et livre dans plus de 60 pays dans le monde. Des produits de qualité Depuis sa création, Ma Cave à Vin s’efforce de proposer des solutions de conservation qui allient innovation technique et design moderne. Qu’il s’agisse de vin, de fromage, de cigares ou encore de charcuterie, l’objectif pour l’enseigne est de faire en sorte que les consommateurs profitent d’une expérience de dégustation optimale. Et pour y arriver, elle suggère une variété de produits qui garantissent les meilleures conditions possibles de conservation. Pour les épicuriens ou les professionnels qui souhaitent par exemple conserver la qualité et les arômes de leurs fromages, Ma Cave à Vin leur propose sa gamme de vitrines et caves à fromage. Celle-ci se décline en plusieurs modèles selon leur dimension, capacité (de 40 à 180 kg), nombre de température (1 ou 2) et niveau de gamme. Sur ce point, le fondateur tient à nous apporter davantage de précision : « L'un de nos points forts réside dans notre capacité à répondre à toutes les demandes, et ce, grâce à notre large gamme de produits incluant les produits les plus simples jusqu’au très haut de gamme. » Cela dit, l’enseigne est surtout connue pour sa grande expertise en matière de caves à vin. Un choix varié de caves à vin Avec plus de 600 modèles à son actif, Ma Cave à Vin est de loin le leader sur le marché, d’autant plus que les concurrents ne se bousculent pas vraiment sur le secteur. « C’est un marché assez récent, aujourd’hui l’idée de mettre une cave à vin dans un appartement ou dans une cuisine séduit de plus en plus de gens », nous confie notre interlocuteur. Qu’elle soit de vieillissement, de service, encastrable ou polyvalente, la cave à vin permet de préserver idéalement les bouteilles dans les conditions adéquates. Concernant la cave à vin de vieillissement, l’enseigne offre un large choix parmi plus d’une centaine de modèles disponibles. Ces dernières sont conçues pour assurer des conditions de conservation optimales incluant une température stable (10 et 14 °C), une hygrométrie comprise entre 55 et 80 %, une bonne aération ainsi qu’une absence totale de lumière et de vibration. En ce qui concerne les caves à vin de service, elles permettent de stocker les vins à température idéale de dégustation. En fonction de leur besoin, les clients peuvent opter pour des modèles comprenant 1, 2, 3 ou 4 zones de température ou des modèles à multi-température étagés. De leur côté, les caves à vin encastrables sont les plus indiquées pour les petits espaces. En effet, elles ont l’avantage de pouvoir s’incruster sans problème sous un plan de travail, en hauteur dans une colonne ou simplement enchâssées entre deux cloisons. Pour finir, les caves à vin polyvalentes permettent de retrouver les trois fonctionnalités (vieillissement, conservation et préparation pour le service) dans...
L’interface intuitive et ergonomique à souhait s’annonce résolument comme une invitation au voyage. Voyage à travers les terrains connus, mais aussi sur les pistes plus rarement fréquentées par les aventureux épris de vins. Au bout du périple, la même perspective : entrer dans l’intimité des vignerons de France, expérimenter des moments de partage authentiques, selon les envies du moment. Familles, couples, groupes d’amis ou partenaires d’affaires, tous sont les bienvenus pour une découverte vitivinicole et œnologique riche en sensations. Un concept né d’une passion familiale Que Marie Dupuis, fondatrice d’Oenotourisme.com ait eu l’idée de ce site découle, quelque part, d’une évidence. Très jeune, elle partage avec sa mère les moments forts d’une animation pédagogique et ludique autour des arômes des vins. Si son cursus académique ne la prédestinait pas réellement à exercer dans le secteur, elle a fini par y trouver sa vocation. Après avoir commercialisé – par location ou vente – le parcours olfactif des vins à différents acteurs, elle envisageait un lieu de rencontre en ligne des offres et des demandes œnologiques et vitivinicoles. Son site a vu le jour en mai 2017, faisant le bonheur des vignerons qui ont tant de choses à faire découvrir mais parfois si peu de temps – ou de ressources – pour en faire la promotion. Entrer dans l’intimité du vin et des vignobles de France Du Jura à la Corse, en passant par la Savoie Bugey, ou encore la vallée du Rhône, les parcours à suivre sont infinis. Les compositions d’activités le sont d’autant que qu'oenotourisme.com encourage fortement les virées hors des sentiers battus, en plus des chemins incontournables. Tout le monde, connaisseur ou nouveau venu, peut ainsi se présenter avec ses envies du moment et ses désirs de découvertes. Le site l’aiguillonne vers des idées d’expériences aux sensations diverses, au travers de vignobles plus ou moins connus. Les « pépites œnotouristiques » pour reprendre le lexique de la maison. Des présentations synthétiques, mais très complètes des vignobles et des domaines à y découvrir sont à disposition sur la plate-forme, depuis les types de vins que l’on y produit jusqu’à la nature des activités accessibles sur place. L’organisation de la visite se retrouve simplifiée grâce à la possibilité de la réserver en ligne et de payer, le cas échéant. L’essentiel est, pour Oenotourisme.com que les familles, couples ou groupes aient une découverte forte en émotions du domaine qu’ils choisissent. La plate-forme entend bien être l’instigateur d’une « expérience humaine et sensorielle inoubliable ». Les épicuriens se dirigeront vers des parcours Mets et vins qui célèbrent les arômes des vins et les saveurs du terroir. Les amateurs d’aventures insolites peuvent assortir leur parcours œnologique d’expéditions en montgolfière, par exemple. Des séances de yoga au milieu des vignobles ? Qu’à cela ne tienne, les domaines possèdent de plus en plus de formules hors-norme, responsables ou bien-être. En tout cas, tout le monde y trouve son compte, les familles avec enfants, comme les personnes à mobilité réduite. Communautaire dans l’âme, le site ambitionne en grandissant d’être un lieu de partages d’expériences. « La plateforme est participative : les particuliers commentent et notent eux-mêmes de manière à ce que la qualité des prestations de nos adhérents soit récompensée », ajoute la fondatrice à ce propos. ...
En septembre 2014, Charles Danet et Agnès Peyre ont ouvert le restaurant Le Timbre, situé à proximité du Jardin du Luxembourg et du quartier Montparnasse. Ce restaurant porte bien son nom puisqu’il est agréablement étroit, de la taille d’une salle de séjour. Il peut accueillir jusqu’à 22 personnes. Les tables en bois disposées côte à côte en deux rangées renforcent l’ambiance intimiste et conviviale du lieu. Dans la cuisine ouverte sur la salle, seul le chef Charles Danet s’expose aux regards pour concocter votre repas. Après l’Australie et Bruxelles, il met toute son expérience au service d’une cuisine de bistrot personnelle et innovante. Il excelle dans les méthodes de cuisson, notamment la basse température. Pas de carte, des menus fixes L’établissement propose uniquement des menus fixes, renouvelés toutes les 2 semaines. À midi, vous avez le choix entre le menu à 23 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, et le menu à 28 €, incluant une entrée, un plat et un dessert. Le soir, également 2 formules : à 36 € avec une entrée, un plat et un dessert ou à 45 € avec 2 entrées, un plat et un dessert. Les plats phares, le pigeon désossé cuit à basse température et la poitrine de cochon caramélisée au gingembre, sont plébiscités par les clients. Mais vous pourrez peut-être y déguster un filet de merlu de ligne avec une émulsion à l'ail des ours ou un maquereau mariné, huile d'orange et eau de tomate verte. Tous ces plats sont mariés avec subtilité à des légumes de saison. Vous serez également conquis par les desserts comme les figues rôties servies avec une glace Panettone maison ou le crémeux au chocolat NYANGBO 68% et noisettes du Piémont. Notons également les fantastiques truffes noires du pays de Forcalquier en saison. Une carte des vins composée avec passion Agnès Peyre a mis sa touche personnelle pour composer la carte des vins. Elle offre une sélection de domaines qui mettent en avant le travail de vignerons de petites propriétés, travaillant en agriculture biologique, en biodynamie, ainsi que certains vins « nature ». Vous découvrirez, par exemple, La Roche aux moines de Clément Baraut, des blancs du Jura de Jean-François Ganevat, des bourgognes de Sylvain Pataille et Fanny Sabre, des vins du Basque Imanol Garay ou du Languedocien Romain Portier. Chaque jour, des vins au verre sont suggérés : 3 rouges, 3 blancs et 1 rosé. ...
L'origine du Champagne Moyat-Jaury Guilbaud remonte à 3 générations de vignerons. Le domaine situé à Polisot, dans la Côte des Bar tient son nom de Monsieur Jaury, grand-oncle de l’actuel propriétaire Claudie Moyat-Jaury qui y a planté les premières vignes. Etonnamment, ces vieilles vignes existent toujours et continuent de produire des champagnes des plus surprenants. Du champagne pour tous les instants Ce domaine élabore 5 champagnes qui séduisent par leur raffinement, perceptible dès la présentation de la bouteille. Tradition Brut, Tradition Demi-Sec, Chardonnay Brut, Extra Brut et Rosé Brut de saignée, ont été « travaillés de façon à exprimer le meilleur de chaque cépage et de chaque parcelle », insiste Laurent Guilbaud. Des récompenses viennent ainsi saluer cette qualité à l’instar d’une médaille d’or pour l’Extra Brut lors des Féminalises 2017 ainsi que pour Tradition Brut, au Concours International de Lyon. Des éloges bien mérités qui signent une démarche de viticulture durable « que nous considérons comme un enjeu déterminant pour l’avenir », souligne-t-il. ...
Le mécanisme du moulin tourne encore, non pas pour moudre le grain mais pour servir de valeur ajoutée au repas des convives dans les salles. L’eau qui actionne la roue vient de la petite rivière du Garon qui longe la terrasse. C’est un aperçu de ce qui attend les gourmets durant une pause gustative au restaurant Le Petit Meunier. Les assiettes et les vins y sont d’une grande variété, alliant tradition et modernité. Une qualité issue de la tradition Jérôme privilégie une cuisine du marché, donc très variée. Il travaille aussi bien les poissons que les viandes et légumes. Le Petit Meunier se trouve à Messimy, petite commune sise à côté de Thurins connu comme étant la capitale de la Framboise. Ce fruit fait donc partie des produits phares de la maison et reste très apprécié en dessert. Le restaurant Le Petit Meunier est particulièrement exigeant sur la présentation des assiettes, mais surtout sur la qualité et la fraîcheur des produits. Pour s’en procurer, les propriétaires favorisent le circuit court en construisant des relations avec les producteurs locaux. Ils font même partie d’une association de producteurs et de restaurateurs de la région. Le restaurant présente une carte gastronomique qui change tous les six mois, des plats du jour ainsi que différents menus tels que le menu des saveurs, le menu des délices, le menu prestige et le menu enfant. Pour une belle entrée en matière, le Chef suggère des Saint Jacques juste poêlées et croquettes de pied de porc pannées accompagnées d’une crème aux lardons et romarin. C’est une recette qui plait énormément aux gourmands et gourmets car elle incarne un parfait mariage entre terre et mer. En plat principal, il faut choisir entre des assiettes de poissons comme le Pot au feu de Lotte, gambas et légumes oubliés ou les préparations à base de viandes telles que le Cœur de Ris de veau sauté à l’ail, servi avec le jus corsé de veau. En dessert, le sablé spéculoos avec sa mousse mascarpone et ses framboises fraîches est un clin d’œil de Jérôme Gagneux à Thurins. Pour accompagner tout cela, la maison suggère des vins très variés. Parmi la sélection, le Coteaux-du-Lyonnais issu domaine du Clos Saint Marc fait partie des plus prisés. Un cadre à l’image de la cuisine Comme la cuisine, le cadre allie également l’ancien et le moderne. Dans une salle aux poutres et murs de pierres apparentes, les convives peuvent manger au coin de la cheminée en contemplant le mécanisme du moulin à travers la grande baie vitrée. Les douces vibrations de la roue accompagnent cet instant gourmand. L’ambiance est beaucoup plus moderne mais tout aussi chaleureuse dans l’autre salle. La réception d’évènements Le restaurant Le Petit Meunier est disponible pour différentes réceptions personnalisées, avec buffet ou à la carte. Il accueille les repas d’anniversaire, les réunions de famille ou les fiançailles. D’autres évènements se sont également déroulés au Petit Meunier comme la 30ème Soirée Network du Club Plaisirs Gourmands, des chefs d’entreprises qui veulent développer leur réseau professionnel et leur business à travers la gastronomie. Dernièrement, l’établissement a organisé un « repas dans le noir » un geste de solidarité au profit de l’Ecole des chiens guides d’aveugles à Marcy l’étoile. ...
Située avenue Emile Zola dans le 15e arrondissement de Paris, La Mousson propose une cuisine traditionnelle cambodgienne. C’est un carrefour gastronomique entre la cuisine chinoise et la cuisine vietnamienne. Une ambiance exotique La propriétaire de La Mousson, Sarany Ly, est une véritable ambassadrice de la culture khmère. Elle se plait à recevoir ses convives dans une salle joliment décorée, à son image. Une promesse d’un délicieux périple au cœur du Cambodge. Le cadre, les éléments décoratifs ainsi que la musique de fond ont été soigneusement choisis pour vous emmener tout droit vers le fameux site d’Angkor, les monts Cardamome ou au cœur des marchés de Phnom Penh. Évasion culinaire au royaume du Cambodge Au restaurant La Mousson, vous vous laissez charmer par des plats raffinés, riches en saveurs et en senteurs avec une note sucrée-salée. Les épices et herbes aromatiques qui sont à la base de l’art culinaire cambodgien sont à l’honneur : galanga, cannelle, citronnelle, poivre de Kampot, tamarin... Dans cet établissement, les sens sont gatés de l’entrée au dessert. Le Nataing, une entrée composée de porc et de crevettes hachées au riz soufflé ou les bouchées La Mousson, une création du chef, sont idéaux pour donner un avant-gout de ce qui va suivre. L’incontournable Hamok cuit à la vapeur (estouffade de poisson, poulet ou noix de Saint-Jacques au lait de coco), le Prahok Ktih (poisson fermenté, mélangé avec du porc haché, du lait de coco et des épices khmères) ou la fondue cambodgienne, une des spécialités de la maison, sont ensuite chaudement recommandés. Même au dessert, l’exotisme est toujours à son comble. Il n’y a qu’à gouter les douceurs typiques faites maison pour le prouver : le Nôm Popeay (pâte de soja jaune enrobée de farine de riz gluant au coco râpé et sésame). Sinon, ce gâteau de riz gluant enrobé dans une feuille de bananier nommé Nôm Ansom fera valser vos sens. La cave à vins de La Mousson, quant à elle, propose une large palette de vins français : des références qui se marient parfaitement avec l’exotisme des mets cambodgiens. Une alliance qui forme une harmonie de culture peut-être improbable pour certains mais absolument exquise. ...
Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration. Une nouvelle aventure pour la famille Fille L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité. Un grand succès pour une première Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 « On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation. ...
Même si nous la dégustons tout au long de l’année, l’huître de Bretagne a sa propre Histoire avec des caractéristiques bien particulières parfois méconnues mais aux multiples bienfaits et facettes qu’il est bon de connaître. Cette « Star » des gastronomes possède en sa coquille de multiples atouts dont Cancale, en Côte d'Émeraude, Capitale de l’Huître en France depuis François 1er, et inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco grâce à son savoir-faire en matière d’ostréiculture. Huître de Bretagne, une Histoire au fil des siècles L'histoire des huîtres en Bretagne-Nord remonte à la nuit des temps. De la Préhistoire à l’Antiquité, on la retrouve dès le VIe siècle dans les fastueux banquets de l’Empire romain, où l'huître plate de Bretagne avait déjà conquis une place de choix dans les menus. Importées par Rome depuis les côtes bretonnes lors des invasions en Gaule, ces délices marins ont traversé les âges. Un parcours parfois tumultueux, qui au fil des siècles, s’est toujours invitée à la table des plus fins gastronomes. Même si leur présence s'est estompée au cours du Moyen Âge, on la retrouve sous le règne de Louis XIV où l'huître retrouve ses lettres de noblesse, au point que le monarque en faisait sa pitance matinale. Au XVIe siècle, François Ier lui-même, épris de gastronomie, ne tarissait pas d'éloges sur l'huître de Cancale, contribuant à rehausser son statut. Le port et les côtes bretonnes deviennent alors le cœur battant de cette industrie florissante. Des étendues d'élevage s'étendent des baies de Saint-Malo et de Saint-Brieuc jusqu'aux côtes du Trégor et à la rade de Brest. Cependant, la frénésie d'exploitation au XVIIIe siècle engendre une surexploitation des ressources, menaçant la pérennité des bancs d'huîtres plates. Un édit royal intervient alors, interdisant la pêche du 1er avril au 31 octobre pour permettre la régénération de ces précieuses populations marines. Alors que les premiers conchyliculteurs utilisaient des coquilles d'huîtres disposées le long du rivage pour favoriser le développement des larves, c’est grâce à Victor Coste, médecin naturaliste au service de Napoléon III et de Ferdinand de Bon, commissaire de la Marine, que les prémices de l’ostréiculture moderne ont vu le jour au milieu du XIXe siècle. Leur méthode révolutionnaire, axée sur la restauration des bancs d'huîtres plates décimés par une surpêche, introduisit l'utilisation de collecteurs dédiés à la récupération des larves, instaurant ainsi un contrôle plus efficace du cycle de croissance et de récolte. De nos jours, les techniques d'élevage évoluent, accompagnées par le perfectionnement des outils d'exploitation et par une volonté permanente des jardiniers de la mer à s’assurer du respect des écosystèmes marins et de l’environnement (voir vidéo ci-dessus). Ce développement marque une nouvelle ère pour l'huître de Bretagne-Nord, assurant sa préservation et son rayonnement pour le plus grand plaisir des gastronomes. Huître de Bretagne, un merroir d'exception Les huîtres en Bretagne révèlent une diversité captivante en douze crus distincts, s'étendant de la majestueuse baie du Mont-Saint-Michel avec Cancale à la rade de Brest en passant par Paimpol, Tréguier, Arguenon, Fresnaye, Morlaix-Penzé, rade de Brest, les Abers, , offrent un éventail exceptionnel de terroirs propices à l'élevage de ces délices maritimes. Tel un vignoble ou en l'assemblage d'un vin avec ses multiples cépages, chaque cru d'huîtres, reflet fidèle de son terroir, dévoile des caractéristiques singulières, offrant ainsi une palette de saveurs uniques aux fins gastronomes. Ainsi, les ostréiculteurs, ces jardiniers de la mer, maîtrisent l'art minutieux de l'élevage des huîtres en Bretagne. Leur métier exige une expertise rigoureuse, de la pose des collecteurs pour capturer les larves jusqu'au délicat processus de demi-&ea...
Le Rendez-Vous Saint-Germain entraîne depuis 2012 les gourmands et les gourmets dans un périple culinaire à la découverte de la cuisine de brasserie et de la bistronomie. Situé à quelques mètres seulement de Saint-Michel, l’établissement propose dès 7 h 30 une formule petit-déjeuner. Ici, liberté et détente accompagnent chaque assiette préparée avec amour et passion de la cuisine française. Un délice en plein Paris Paris, berceau mondial de la haute gastronomie. Mais que dire de sa cuisine typique de bistrot et de brasserie, qui occupe une grande place dans son patrimoine culturel ? Des plats généreusement concoctés pour le plaisir des papilles qui ne demandent qu’à livrer leurs secrets. Le Rendez-Vous Saint-Germain est l’endroit idéal pour déguster ce style de cuisine conviviale et généreuse. Y manger sainement, seul ou en groupe, ou tout simplement y boire un verre, il n’y a rien de mieux. Le chef revisite des recettes traditionnelles du bon terroir, tout en mettant en valeur ses propres créations. Un plus incontournable : tout est frais et tout est fait maison même le chocolat chaud et l'infusion. Une carte riche et équilibrée Difficile de ne pas succomber à la tentation, en voyant ces grandes bâtisses anciennes qui entourent le Rendez-Vous Saint-Germain. Sa terrasse offre une vue imprenable sur le Musée de Cluny, qui, en période d’été, redonne de la magie aux assiettes, à l’exemple de la Salade Auvergnate (jambon de pays, pommes de terre sautées, Cantal, œuf dur) ou encore de la Tarte à l'orange meringuée. Côté plats, les coups de cœur vont au velouté de fèves au lard croustillant, à l'Aïoli et ses légumes fondants ou encore au confit de canard et ses pommes de terre persillées, le tout accompagné d’un vin de propriété soigneusement sélectionné. En dessert, la maison suggère l’incontournable fondant au chocolat ou leur délicieuse crème brûlée. Différentes suggestions sont proposées chaque jour à l'ardoise ainsi qu'une formule à 15,90 euros. Le week-end, un brunch à 20 euros est servi sur réservation. ...
Le Château des Vergers est la propriété de la famille Bassouls, qui l’a rachetée en 2002. Pierre Henri Bassouls, fondateur de l’entreprise Prismaflex international, se charge de la gérance du domaine et confie le soin de cultiver ses vignes à Frédéric Berne, vigneron passionné et expérimenté. L’Homme et ses valeurs Frédéric Berne est un vigneron de 31 ans originaire de la campagne Beaujolaise. Il a grandi au sein de la ferme familiale, ce qui a contribué à amplifier son amour pour la nature. Depuis ses 13 ans, il a toujours voulu être vigneron. Après quatre années passées dans une école de viticulture, il prend un poste d’ouvrier viticole auprès d’un maître vigneron. Quelques années plus tard, à la recherche d’un endroit pour accueillir son mariage, il rencontre le propriétaire du Château des Vergers, et leur discussion s’oriente naturellement vers la viticulture. Ce dernier, séduit par les arguments et la philosophie de Frédéric, lui confie en novembre 2013 la clé des champs de son domaine. Depuis quelques décennies, Frédéric constate que le domaine de l’agriculture en général est un ring où les paysans se battent pour produire plus et pour moins cher, et cela sans se soucier des ravages qu’ils font à la nature. Il fait partie de ces rares hommes qui se préoccupent et respectent encore réellement la nature et l’environnement. Il applique cette démarche depuis les vignes jusqu’à la cave. « Je pratique une vinification naturelle où il n’y pas de levurage. L’idée est de récolter la plus belle des vendanges, et derrière, d'intervenir le moins possible afin d’obtenir un vin vraiment authentique du terroir » explique-t-il. « Je suis dans une démarche de vins qualitatifs, pour des personnes vraiment amateurs de produits d’excellence ». Lantignié, un terroir unique Le Château des Vergers est installé dans la petite commune de Lantignié, sur le flanc de la montagne d’Avenas. « Le terroir est installé sur des granites, et c’est la combinaison entre le Gamay et cette roche qui donne la structure et le fruité de nos vins » explique Frédéric. De ce vignoble de 6 hectares, il produit annuellement 30000 bouteilles déclinées en cinq cuvées. L’AOP Beaujolais, vin peu tannique, fruité et léger ; L’AOP Morgon « Corcelette », très structuré, riche et puissant qui se bonifie avec le temps ; L’AOP Chiroubles « les terrasses », élevé en barrique un an qui lui confère sa finesse aux notes de fruits et d’épices ; L’AOP Beaujolais Village rouge « Terroirs de Lantignié », vin fruité avec une belle structure très fine et enfin le L’AOP Beaujolais rosé, issu à 100% de Gamay, vin frais et tendre qui se partage entre amis. ...
Établi dans les Pyrénées orientales, au cœur du Roussillon, le Domaine Clos Saint Georges jouit d’une situation privilégiée dans le terroir particulier « Les Aspres ». Le vignoble de 120 hectares certifié Haute Valeur Environnementale produit une gamme de cuvées en rouge, blanc et rosé sous les appellations AOP Côtes du Roussillon, AOP Côtes du Roussillon Villages "Les Aspres", IGP Vin de Pays d'Oc, IGP Côtes Catalanes. Le rouge à l’honneur La cuvée de Pierre, un rouge millésimé de 2010 fait particulièrement la fierté du domaine. Ce vin de garde sous l’appellation AOP Côtes du Roussillon Villages « Les Aspres » est passé par un élevage long, comme tous les vins de l’appellation. « Les Aspres ne sont mis sur le marché qu’après 7 à 8 ans », précise Claude Ortal, propriétaire des lieux. Ce vigneron indépendant pur et dur et passionné par son métier est épaulé dans son ouvrage par son épouse, Dominique Ortal. Elle est l'une des rares à avoir été nommée par Monsieur le President de la République, Chevalière de l'Ordre National de la Légion d'Honneur au nom de la viticilure. ...
Pressoirs de Provence a la passion du fruit. Entre ses créations classiques et ses mélanges exotiques, la société familiale fait le nécessaire pour garder l’authenticité du fruit dans la bouteille. D’ailleurs, pour Arnaud Redheuil, le dirigeant de l’entreprise, chaque jus doit donner l’impression aux consommateurs de croquer directement dans le fruit. L’occasion de voyager dans le cœur des vergers de Saint-Rémy-de-Provence, où tout a commencé. Pressoirs de Provence : une aventure familiale et humaine Nous sommes en 1982, date à laquelle la société Sojufel Provence Production commence à produire et à vendre des jus de fruits. Devant le succès de cette boisson naturelle et savoureuse, l’entreprise décide de créer la marque Pressoirs de Provence avec un seul objectif : proposer des produits authentiques tout en valorisant le travail des agriculteurs provençaux. À savoir : depuis le début, Sojufel – Pressoirs de Provence travaille avec un réseau de plus de 300 agriculteurs qui s’engagent, tout comme la société, à respecter aussi bien la qualité des fruits cueillis que l’environnement. En 2009, Arnaud Redheuil et son père reprennent l’activité afin de développer la marque tout en respectant sa philosophie. Quelques années plus tard, on peut dire que le pari est réussi puisque Pressoirs de Provence obtient de nombreuses médailles lors des dégustations à l’aveugle des différentes éditions du concours général agricole de Paris. Ainsi, la marque a su gagner, au fil du temps, la reconnaissance de ses pairs et des consommateurs. D’ailleurs, en 2015, Arnaud Redheuil sera intronisé par les disciples d’Escoffier (un réseau d’élite de professionnels de la gastronomie). Une technique de production maîtrisée prenant soin du fruit Chez Pressoirs de Provence, tout commence et finit par le fruit. Aucun ajout de conservateur, d’additif, de colorant et d’exhausteur de goût : une recette simple qui plaît aux consommateurs exigeants. Ainsi, après que la cueillette du producteur est livrée, les lots de fruits sont goûtés et analysés selon des critères précis et rigoureux (acidité, couleur, sucrosité, odeur, etc.). Puis, les fruits retenus sont lavés à l’eau claire, séchés et préparés pour le pressage. À cette étape, le jus viendra s’écouler naturellement grâce à une méthode traditionnelle et progressive. Le mélange sera même réalisé à la main. Nous en venons, ensuite, à l’étape de pasteurisation afin de débarrasser le nectar obtenu de bactéries, levures et moisissures et de bloquer, en même temps, l’oxydation. Cette phase est très importante puisque le jus ne peut être conservé à température ambiante que quelques heures seulement. Finalement, il est embouteillé sans attendre. Cela pour préserver la saveur et la fraîcheur des fruits pressés. Des jus et nectars primés livrés directement chez le consommateur À ses débuts, l’entreprise distribuait ses jus de fruits en circuit court. En effet, on ne pouvait les trouver qu’en épicerie fine, chez le primeur ou en hôtel-restaurant. Puis, la marque a voulu bousculer ses habitudes de vente en mettant en place des partenariats à long terme afin de consommer différemment le jus de fruits et le sortir de l’image classique du petit déjeuner. De plus, depuis quelques mois, il est possible de commander en ligne et de se faire expédier son jus ou nectar favori sur toute la France (à condition de commander trois bouteilles minimum). L’occasion pour les amateurs de jus de fruits frais de découvrir les spécialités de l’entreprise (telles que le jus de pomme, le nectar d’abricot ou le nectar de poire, tous les trois médaillés or). Mais aussi certains mélanges étonnants (jus pomme-cassis, pomme-orange-passion, multifruit ou encore exotique, tous médaillés or). Cela sans oublier les grands classiques qui font le bonheur des petits et des grands. Ainsi, au total, ce sont plus de 60 boissons médaillées qui attendent tous les fans de fruits sur le site. ...
Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près. La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux. Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine. À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts. Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement. Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...
Le Château Rollan de By fait partie des vins produits sur Les Domaines Rollan de By. Ce vin remonte à l’origine du domaine puisqu’il sera le premier château dont le propriétaire fera l’acquisition en 1989. S’étalant sur 2 ha, cet écrin viticole grandira très vite à Bégadan, un village du Médoc. Au bout de six ans, l’ancien designer fera l’acquisition du Château Haut Condissas, puis s’enchaînent les autres Tour Seran, La Clare, Greysac et Château de By. Chaque château a sa propre personnalité satisfaisant ainsi le palais de chacun. Un vin au cœur de l’AOC Médoc Le vignoble se compose de Merlot, Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc et Petit Verdot. Avec un engagement fort pour la protection de la nature, le vignoble est conduit dans le respect du terroir. Certifié Haute Valeur Environnementale (HVE3) mais aussi Natura 2000, les pratiques culturales des Domaines permettent à la vigne de pousser dans un environnement naturel, de protéger et de favoriser le développement de la biodiversité qui l’entoure. Des vignes à la mise en bouteille Les raisins principalement vendangés à la main sont ensuite vinifiés de manière parcellaire, visant l’équilibre parfait entre tradition et modernité. Les bouteilles aux allures traditionnelles et rassurantes enferment des vins aux profils attrayants, modernes et accessibles. Avec une large proportion de Merlot, les vins se dégustent aussi bien jeunes sur le fruit et la rondeur qu’après quelques années en cave ou l’élevage en barrique aura opéré toute sa magie. ...
L’annexe façon « Bistrot de poissons » de Marius et Janette propose une cuisine savoureuse et authentique avec des produits frais à volonté. Larguez les amarres ! Un relooking très réussi Le petit Marius a récemment fait peau neuve à travers un décor sobre et élégant signé Pierre-Yves-Rochon. Dans une atmosphère décontractée, les convives n’auront aucun mal à garder le pied marin même si la mer ne semble jamais bien loin. En effet, quelques éléments de décor placés ici et là résonnent comme un écho à l’appel de l’océan. Difficile dans ce cas d’y résister ! Les esprits s’évadent et bientôt la curiosité vient naturellement titiller l’appétit. Une belle carte autour de la mer En fonction des arrivages et de la saison, le chef Khoï Vu se plaît à concocter un menu très varié. Pour commencer, la salade de poulpe aux herbes fraîches, les petites fritures d’encornets ou les petits nems de langoustines sont un pur régal ! Ensuite pour aborder le vif du sujet, les invités ont droit à un menu « retour de pêche » préparé avec des produits frais qui viennent directement de la mer. Parmi les spécialités de la maison, les gourmets peuvent notamment déguster la solette de l’île de Ré au beurre demi-sel, les Saint-Jacques en coquille cuites au naturel ou encore l’incontournable aïoli de cabillaud. Son secret ? Un poisson légèrement mis en salaison, très moelleux et servi avec une belle couleur nacrée. Côté dessert, les convives se laisseront volontiers tenter par un crumble du Bistrot, une crème brûlée à la vanille ou pourquoi pas un riz au lait « comme autrefois » pour les plus nostalgiques. ...
Reliant Dijon à Santenay, la route des grands crus de Bourgogne a été créée en 1937 par le conseil général de la Côte-d’Or. Traversant une mer de vignes qui forme un paysage atypique façonné par la nature et perfectionné par la main de l’homme, il s’agit là de la première route à avoir associé le développement du tourisme à la commercialisation des vins de Bourgogne. Ce concept visionnaire, auquel elle doit son incomparable succès, lui a ainsi permis d’acquérir une notoriété bien au-delà des limites de l’Hexagone. La route des grands crus de Bourgogne, comme si on y était… Sur un parcours de 60 kilomètres qui permet la traversée de 37 villages aux appellations légendaires ainsi que les villes de Dijon et de Beaune, particulièrement réputées pour leurs richesses patrimoniales, la route des grands crus est un itinéraire merveilleux au cœur du vignoble de la Bourgogne où sont répertoriés des centaines de climats aux noms intrigants pour ne citer que Le clos des ducs, Les amoureuses, La ruchotte, Creux de Tillet, Les pas de chat ou encore Climat du val… Loin de la signification originelle du terme « climat », il fait ici référence à une traduction typiquement bourguignonne du mot « terroir ». Ce qui confère à l’ensemble un caractère spécifique qui fait toute la différence. Partiellement aménagée en chemins pour les randonneurs et en véloroute pour les cyclistes, la route est une pure invitation à la découverte. Les paysages typiques, l’histoire du vignoble de Bourgogne et ses « climats » lui valent d’être, depuis l’été 2015, inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. La Route des grands crus de Bourgogne : la vidéo 14 mai 1937 – 14 mai 2017 : 80 ans de succès Première route viticole touristique de France, la Route des Grands Crus de Bourgogne fête aujourd’hui ses 80 ans d’existence ! Une célébration marquée notamment par l’exposition photographique Nature humaine du réalisateur Cédric Klapisch, qui a tourné son dernier film sur la route des grands crus, accueillie au cœur du Château du Clos de Vougeot du 14 mai au 14 juillet. L’occasion de découvrir la magnifique architecture style cistercien et Renaissance du berceau du vignoble bourguignon. A travers la découverte de ce site emblématique des climats du vignoble de bourgogne, c’est avant tout l’entrée dans le monde de la viticulture de terroir, inventée en bourgogne, que l’on comprend et que l’on ressent. Berceau de nombreuses inspirations cinématographiques Faisant désormais partie des sites de prédilection des réalisateurs, les villes et villages situés sur la Route des grands crus de Bourgogne ont toujours inspiré de nombreux films pour ne citer que les grands succès d’antan que furent La Grande Vadrouille, avec Bourvil et Louis de Funès, Les Amants, avec Jeanne Moreau, Le Repos du guerrier, avec Brigitte Bardot et Michel Serrault, sans oublier L’Étudiante de Claude Pinoteau tourné à Dijon avec Sophie Marceau et Vincent Lindon ou encore le fameux Cyrano de Bergerac avec Gérard Depardieu. Claude Lelouch a récemment choisi Beaune pour le tournage de son film intitulé Chacun sa vie dont la sortie en salles a eu lieu en mars. Quant à Cédric Klapisch, il a choisi le cœur du vignoble pour tourner son nouvel opus Ce qui nous lie, dont la sortie est programmée le 14 juin, et qui relate l’histoire d’une lignée de frères et de sœurs qui reprend l’exploitation familiale en Bourgogne. ...
A mi-chemin entre Valence et Montélimar, La Treille Muscate est un charmant restaurant-hôtel trois étoiles au cœur du village de Cliousclat. Elle est implantée dans une magnifique bâtisse de pierre typique de la région, recouverte de vigne vierge, calme et paisible et qui jouit d'une vue imprenable sur les villages haut perchés de la vallée de la Drôme provençale. Une cuisine de saison A la Treille Muscate, les assiettes du chef Eric Richard sont de véritables œuvres d'art, à la fois délicieuses et élégamment présentées. La toque au Gault et Millau, la fourchette et le Bib gourmand au guide Michelin sont la preuve d'une cuisine d’excellence et raffinée. Le restaurant est également référencé dans de nombreux guides tels que le Guide du Routard, les Tables et Auberges de France, le Petit Futé ou encore le Gault et Millau. De même, il est présent dans le mythique guide du voyageur anglais : Alastair Sawday’s. Variant suivant les saisons, la carte propose en entrée un Foie gras de canard mi-cuit au torchon. Dans la gamme des plats de résistance, l’Agneau des comtes de Provence grillé au thym frais satisfera toutes les gourmandises. Pour clore en beauté le repas, rien de tel que les glaces et les sorbets faits maison présents à la carte toute l’année. Côté cave, la carte de la Treille Muscate est particulièrement bien fournie, avec une belle sélection de vins AOC Côtes-du-Rhône proposés par des vignerons locaux. Un endroit de charme Le restaurant la Treille Muscate offre une chaleureuse table dans un environnement calme et reposant propice au repas en famille, entre amis ou en couple. Pour profiter de la belle saison et d'une vue superbe donnant sur le lac, le jardin avec ses 55 couverts et la terrasse de 25 couverts invitent à la détente. Blottis dans ce cadre verdoyant, les convives profitent d’une ambiance conviviale et chaleureuse pour des moments gourmands inoubliables. A l’intérieur, la salle voutée capable d’accueillir 60 couverts, garantit quant à elle une atmosphère plus intimiste. La décoration joue sur les couleurs pour conférer plus de dynamique au restaurant. Les clients s’y sentent comme chez eux grâce à l’ingénieux choix des meubles embellissant les lieux et leur agencement. ...