Tout commence dans les années 1950 lorsque Gérard Soutiran, viticulteur passionné, décide d’apposer pour la première fois son nom de famille sur ses bouteilles de champagne. En 1969, Alain, son fils ainé, monte sa propre structure et développe une gamme de champagnes qu’il nomme Soutiran Pelletier. Vingt ans plus tard, c’est finalement sous l’impulsion de Valérie, la fille d’Alain, que la marque Champagne Soutiran voit le jour et la maison est aujourd’hui dirigée par Patrick et Valerie Renaux-Soutiran. Une viticulture durable La maison travaille actuellement sur un vignoble de 6 ha, dont la plupart des vignes sont plantées sur le prestigieux terroir d’Ambonnay (Marne), tandis que le reste des parcelles se répartit dans des villages classés Premier Cru, tels que Trépail, Chigny-les-Roses et Chamery. Profitant d’un ensoleillement maximal, le terroir d’Ambonnay est particulièrement favorable aux pinots noirs et aux chardonnays. « Le sol est constitué de craie affleurante. C’est cette typicité propre au terroir qui nous permet d’apporter davantage de minéralité dans nos vins », précise Valérie Renaux-Soutiran. Soucieuse de sa terre, de ses vignes et surtout très respectueuse de l'environnement, l’exploitation familiale privilégie une viticulture raisonnée : travail du sol, apport d’engrais organiques, recours à la confusion sexuelle… Côté vinification, elle reste fidèle à un savoir-faire artisanal qui s’est transmis de génération en génération. « Nous utilisons un pressoir à membrane et les jus passent par une fermentation alcoolique et malolactique à température régulée », nous explique-t-on. L’élevage se fait à la fois en cuves inox et en fûts de chêne, ce qui procure aux vins une richesse aromatique exceptionnelle. Une autre particularité de la maison : des vins vieillis en cave bien au-delà des exigences de la règlementation. « Les champagnes Soutiran vieillissent entre 5 à 9 ans avant d’être commercialisés », souligne Valérie Renaux-Soutiran. Ce temps est nécessaire aux vins pour gagner en complexité et donner aux bulles plus de finesse. Les spécialités de la maison Le domaine produit au total 8 cuvées : une cuvée Premier Cru et 7 cuvées Grand Cru. Véritable empreinte de la maison, la cuvée « signature Grand Cru » mérite tous les égards. Composé de 40 % de pinot noir et de 60 % de chardonnay, ce champagne, qui a vieilli 6 ans sur latte, séduit par sa structure aromatique affirmée, à laquelle vient s’ajouter une belle minéralité crayeuse. Ensuite, la cuvée « Perle noire » est sans doute la mieux placée « pour représenter la maison Soutiran », nous indique-t-on. Il s’agit d’un blanc de noir Grand Cru élaboré à partir de 100 % pinot noir. Riche et élégant, il se distingue par sa complexité, avec une longueur en bouche et une fraicheur remarquable. ...
Les origines du château remontent au XVe siècle, plus précisément en 1419. En ce temps-là, le baron de Trubessé, Arnauton Guilhem du Vignau, découvre pour la première fois Cabidos et tombe sous le charme de ce lieu féérique. Il décide de s’établir sur ces terres et transforme une demeure modeste en château digne de son rang. Très vite, les premières vignes sont plantées et vont donner naissance à un vin blanc de qualité. Au cours de nombreux siècles, les générations qui se sont succédé tenteront de préserver cette tradition viticole. Aujourd’hui, le château et ses vignes font le bonheur de la famille Alday, qui s’est rendue propriétaire des lieux en 2015. Sous l’impulsion de Robert Alday, le domaine Château de Cabidos a acquis assez rapidement une belle réputation, grâce à la qualité et à la finesse de ses vins. Il est vrai que, pour magnifier ses nectars, le maitre des lieux a su s’entourer de spécialistes reconnus dans l’univers du vin comme Jean-Claude Berrouet (éminent œnologue) et Jean Brana (un pilier fort de l’AOC Irouléguy). Un terroir propice au petit manseng Le domaine travaille actuellement sur un vignoble de 9 ha, situé entre le vignoble de Jurançon et le vignoble de Madiran. Là, les vignes sont plantées sur des coteaux bénéficiant d’une exposition sud-est. Elles s’épanouissent sur un terroir argilo-calcaire caillouteux et profitent à cet effet d’un excellent drainage naturel. « Cela permet d’avoir une densité de plantation élevée qui dépasse 5 000 pieds de vigne à l’hectare », souligne Pilla Laborde, directeur administratif et financier du Groupe Alday, détaché au suivi de l’exploitation du Domaine de Cabidos. L’encépagement du domaine Château de Cabidos est composé à 77 % de petit manseng. Il s’agit d’un cépage autochtone des Pyrénées qui se distingue par une forte concentration en sucre ainsi que par une capacité à développer des arômes subtils de fruits confits. « C’est le cépage emblématique de notre vignoble. S’il est généralement utilisé en assemblage et pour faire des vins blancs doux, nous l’utilisons pour élaborer des vins blancs monocépages, y compris des blancs secs 100% petit manseng qui sont très appréciés», nous indique-t-on. Le reste de l’encépagement est complété par du chardonnay, du sauvignon et de la syrah. Cette dernière a été récemment introduite dans le vignoble afin de permettre l’élaboration de vin rouge. En route vers le bio La maison opte pour une culture raisonnée et rejette tout apport d’engrais. En outre, l’utilisation de produits chimiques reste limitée. Mais le domaine souhaite aller encore plus loin et a décidé d’entamer sa reconversion vers la viticulture biologique dès 2019. « Une phase de conversion d’un vignoble dure au minimum 3 ans, ce qui veut dire que nos cuvées 2022 seront entièrement biologiques », précise notre interlocuteur. Il est clair que cette reconversion sonne comme une évidence au vu des techniques culturales qui se pratiquent ici de génération en génération. En effet, dans ce vignoble, le gros du travail se fait encore manuellement. À commencer par l’effeuillage ! Une étape cruciale qui vise deux objectifs : diminuer la possibilité de pourriture et permettre aux grappes de bénéficier d’un maximum d’ensoleillement, essentiel pour assurer une bonne maturation. Ensuite, au domaine Château de Cabidos, on continue fièrement de pratiquer les vendanges à l’ancienne. Celles-ci se font en plusieurs étapes. La première vendange, qui a lieu la dernière semaine de septembre, porte sur le chardonnay, le sauvignon et la syrah. La deuxième étape concerne les vendanges tardives du petit manseng, qui se déroulent vers fin octobre-début novembre. S’enchainent ensuite une succession de vendanges tardives portant sur les jeunes et les vieilles vignes. Bref, toutes les opérations ne prennent fin que début décembre. Côté vinification, le domaine s’est doté d’un chai climatisé ainsi que des ...
Dans cet établissement, la gastronomie française est à l’honneur. Benoît Hilaire et sa créativité étonnante vous feront découvrir des plats généreux et raffinés, dotés d’une petite touche personnelle à laquelle il est impossible de résister. Le décor À La Table du Huit, la décoration mise en scène par Maison Margiela inspire tradition et modernité, classicisme et avant-garde. Derrière cette façade haussmannienne créée en 1866 pour la duchesse de Rivoli, princesse d’Essling, se dévoile un univers heureux où luxe et sophistication riment parfaitement avec calme et intimité. Les portes en trompe-l’œil surdimensionnées, ainsi que les murs et le sol en béton ciré, qui tranchent avec le mobilier en lévitation et tout nappé de blanc, sont autant de détails qui rehaussent la beauté des lieux. La féerie continue dehors, dans le jardin, qui se transforme en été en une oasis de verdure et de fraîcheur. Une cuisine française inventive et généreuse Animée par le désir de rester parmi les meilleurs, l’équipe de La Table du Huit orchestre des mets généreux et raffinés suivant les quatre saisons. Présentés sur une carte courte, les plats célèbrent la cuisine française, témoignent des talents du chef Benoît Hilaire et saluent la saisonnalité des produits. Ravioles de gambas, bouillon de crevettes, lentilles du Puy en vinaigrette, croustillants de pied de cochon et terrine de canard, kumquats confits et mâche sont idéaux pour commencer votre escapade. Ensuite, il serait bien dommage de passer à côté des incontournables classiques du Huit, comme le César du Huit aux anchois ou le burger auvergnat au bacon, frites maison. La savoureuse tarte fine aux pommes, vanille de Bourbon, ou le délicieux cheese-cake aux fruits rouges n’attendent qu’à être dévorés en fin de repas. Une carte de vins des plus éclectiques En prime du décor royal et de la carte goûteuse, le sommelier de La Table du Huit a sélectionné les meilleures bouteilles, qui s’accorderont à merveille avec vos mets. Quelques grandes références issues des plus grandes régions sont au rendez-vous (Bordeaux, Loire, Jura, Bourgogne, Rhône…). La sélection de champagnes est aussi riche et variée : Dom Pérignon, Vintage, 2006, Moët & Chandon, Brut Impérial, Krug, Rosé… ...
Situé en Lorraine, le restaurant L’Arnsbourg est une invitation au partage, au plaisir et à la joie. Que ce soit pour déguster des plats originaux ou assister à des soirées organisées par des maisons de champagne, L’Arnsbourg est le point de rendez-vous de tous les amateurs de bonne cuisine du Grand-Est. Suggérer une cuisine à la fois savoureuse, raffinée et gourmande, tel est le souhait de Laure et Fabien Mengus, les heureux propriétaires de l’établissement. L’Arnsbourg : un coin repas au cœur de la nature La maison Mengus commence à gagner du terrain dans le monde gastronomique, aussi bien dans l’Hexagone que dans les pays limitrophes. Instauré en plein cœur de la forêt de Baerenthal depuis un an, L’Arnsbourg séduit plus d’un, non seulement par sa situation géographique singulière, mais surtout par la diversité et l’originalité des mets qu’il propose. Bénéficiant déjà d’une étoile, l’établissement est un lieu d’expression puissant et convivial qui reflète l’image de ses propriétaires. Le couple trentenaire a radicalement transformé L’Arnsbourg en un véritable coin luxueux proposant une table gastronomique remarquable. Un jardin spacieux permet d'admirer la nature et le paysage environnant. Le plaisir des épicuriens En étroite collaboration avec les producteurs locaux, Fabien, le chef, travaille avec des produits frais et de saison qui raviront tous les palais, même les plus exigeants. Légumes, poissons, fruits de mer, viande… il y en a pour tous les goûts ! À L’Arnsbourg, trois types de menus sont proposés. À savoir le « Menu Plaisir », servi uniquement au déjeuner, du mercredi au vendredi, le « Menu Partition » entre trois ou cinq plats et le « Menu Intuition » qui est une succession de sept plats. En entrée, la délicieuse langoustine en quatre déclinaisons nous est suggérée. Le Paleron de bœuf black Angus servi sur charbon de bois sera proposé en guise de plat. Le dessert Mangue-Passion, quant à lui, achève en douceur ce périple culinaire. Ces plats à base de produits nobles et dont les accompagnements changent régulièrement sont sublimés par une carte de vins riche de mille références. ...
La Rotonde propose à ses invités une cuisine traditionnelle à la fois savoureuse et généreuse où les plats sont faits maison. Un cadre somptueux Sans conteste, La Rotonde conjugue aisément raffinement et air du temps. En été, les convives peuvent bénéficier d’un jardin verdoyant à l’ombre de grands parasols en bois. Ils pourront également profiter de la cascade taillée dans une pierre des ardoisières de Morzine avec une vue magnifique sur les montagnes. Pour les soirées plus fraîches, une magnifique terrasse tout en parquet et entièrement vitrée confère un style moderne et contemporain à l’établissement. A l’intérieur, trois salles permettent d’accueillir des groupes. L’ambiance est différente mais c’est tout aussi agréable. Une cuisine traditionnelle et régionale La Rotonde aspire à répondre aux attentes de chacun que ce soit les enfants, adultes en couple, en famille, amis ou collègues. Dans cette perspective, le Chef propose des plats soignés, qui évoluent au fil des saisons, et des envies. Des suggestions qui changent toutes les semaines permettent d’ailleurs à ce dernier d’exprimer toute sa créativité, et aux convives, de découvrir en permanence de nouveaux plats. Vous y retrouverez les spécialités régionales comme la raclette ou la Potence (morceaux de bœuf flambés au whisky) qui sont à la carte toute l’année. Ces dernières sont servies à volonté pour rassasier même les plus gourmands. Durant les beaux jours, garden party et barbecue sont organisés tous les dimanches dans le jardin. Le restaurant proposant également des plats végétariens et sans gluten (également possible pour les pizzas et les fondues), il va sans dire que même les plus difficiles y trouveront leur bonheur. La carte des vins est mise en place par le directeur de la maison, François, sommelier de formation. Une sélection de vins au verre est également proposée toutes les semaines, permettant à tous les palais de trouver l’accord parfait entre le met et le vin tout en étant plus accessible à tous les budgets. Vous pourrez même avoir le plaisir de découvrir des vins « biologiques ». La Rotonde est un endroit cosy, où on aime prendre le temps de partager un plat de la carte soignée, dans un cadre somptueux avec des personnes que l’on apprécie. Le restaurant est ouvert à l’année, ce qui permet aux morzinois et vacanciers d’un week-end de profiter de l’un des seuls restaurants ouverts en ces périodes plus calmes. N’hésitez pas à vous y arrêter, vous ne serez pas déçus. Le restaurant est le fief des morzinois à l’entre-saison et devient alors le cœur du village. ...
Alta 1874 à Champéry a pour vocation « d'offrir une ambiance décontractée et une cuisine savoureuse » selon les propos des deux associés Jérémie Ollivier et Julien Texier. L'endroit a été rénové de A à Z et se dote d'un magnifique bar en zinc et d'une cave ouverte. Décoré de manière boisée mais contemporaine, Alta 1874 affiche sans équivoque un style authentique. Mais l'établissement réserve encore bien des surprises… Un environnement exceptionnel Champéry a su garder son charme historique par une architecture jalousement préservée. Incarnant la carte postale du village suisse, il se situe dans le plus grand domaine skiable du monde, les Portes du Soleil. Ce domaine comprend douze stations à l'instar d'Avoriaz, Morzine ou Les Gets pour ne citer que ces trois. Cela fait d'elle l'une des plus grandes destinations touristiques en Suisse et dans le monde. Si l'endroit attire surtout les amoureux des massifs montagneux en hiver, il regorge d'autres attraits tels que ses chalets traditionnels ou bien la vue saisissante sur les dents du Midi. La rive suisse du lac Léman est également un lieu touristique par excellence, en hiver comme en été. On y trouve notamment le musée du Léman, célèbre pour son aquarium et le château de Chillon dans le canton de Vaud. Une cuisine avec une farandole de couleurs, d'arômes et de saveurs Dans ce cadre de rêve, Alta 1874 a su imposer sa marque par une cuisine italienne hautement savoureuse. Au menu, des plats qui font la part belle aux produits de saison, une manière de garantir leur fraîcheur et d'apporter une vraie farandole d'arômes, de couleurs et de saveurs. En fait, « une partie des ingrédients est approvisionnée sur place », nous confient nos interlocuteurs. Toutefois, attachée à respecter les recettes vernaculaires transalpines, la maison importe aussi d'autres produits directement de l'Italie. Une carte qui change tous les trois mois, parfois constituée de salade de poulpe aux herbes et agrumes ou de tartare de veau aux saveurs italiennes, vous surprendra bien évidemment tout au long de l'année. Les autres plats phares à ne pas manquer comme le risotto à la truffe noire et les lasagnes bolognaises vous convaincront tout aussi bien. La valeur ajoutée de la maison ? Des plats ensoleillés respectueux des produits bruts qui offrent une meilleure expression dans les assiettes. En outre, un large choix de pizzas est concocté avec du Parmigiano (jambon de Parme) et du Tallegio, ainsi que d'autres ingrédients dont la plupart bénéficient d'une appellation d'origine protégée (AOP). Pour accompagner tout cela, la cave offre une large sélection de vins italiens et suisses. À titre d'exemple, le Barolo, intense, élégant et épicé avec un goût enveloppant, se marie bien avec les viandes rouges, les truffes et les fromages. L'Amarone qui se distingue par son bouquet complexe et offre une souplesse veloutée et des arômes variés. Un sommelier conseille la clientèle pour harmoniser mets et vins et les œnophiles peuvent se servir directement à la cave, qui en passant, recèle de vrais trésors cachés. Des activités qui vous transportent Ceux qui veulent allier pause gourmande et décontraction seront comblés par les animations organisées tous les mois. Au programme : des soirées autour de la dégustation de pizzas comme la « pizza vinyle » qui séduit les audiophiles gourmands par le charme inépuisable des galets noirs. Durant ces soirées, ils se laisseront volontiers transporter par le son et le crépitement des disques. Lors de ces moments de détente, « les gens viennent avec leurs propres vinyles et passent leur soirée à les écouter en famille ou entre amis en dégustant des pizzas à volonté », explique Jérémie Ollivier. ...
L’appellation Seyssel est reconnue pour sa méthode traditionnelle, une démarche ancestrale qui permet à un vin de devenir effervescent. Seyssel est également un petit village de vignes, de vignobles et de vins vieux, dont les origines remontent à 2 000 ans. C'est au Ier siècle que les premiers écrits mentionnent la vigne dans la région, avec Pline l’Ancien, un philosophe romain qui vantait déjà les vins de Seyssel. Jouissant d’un climat particulièrement favorable, de mollasses sableuses et d'une bonne exposition au soleil, les vins de Seyssel se distinguent par la finesse des bulles et leur authenticité. Royal Seyssel, un vin, une histoire Dans une bouteille Seyssel, il y a du bon vin, mais il y a aussi quelque chose du passé qui dort là, c’est ce que nous raconte Gérard Lambert : « C’était un vin bu par les rois et reines qui venaient dans la cité voisine d’Aix-les-Bains. Il a été consommé par la reine Victoria et par d’illustres personnalités européennes. Il a été baptisé Royal Seyssel, en leur hommage, en 1901. » Au début, le Royal était effervescent, mais il s’est développé en vin tranquille, appelé le « Seyssel tranquille » issu du cépage Altesse. Ce vin a connu une grande période de gloire mais a vite décliné lorsqu’il fut racheté par un grand groupe. « Il y a eu une dégringolade au niveau des ventes et le site de production a dû fermer en 2007. Cette fermeture a mis en péril tout le vignoble. Tous les vignerons qui apportaient les vendanges ont aujourd’hui les larmes aux yeux », déplore Gérard Lambert. Le Royal, fleuron de l’appellation Seyssel Touché par la disparition de ce patrimoine, le couple Lambert décide de sauver une partie de leur héritage. Mal compris par son entourage, il s’engage dans ce projet fou pour « sauver l’appellation, le tissu viticole et tous les vignerons encore présents ». Il décide d’aller bien plus loin que ses confrères pour lesquels la méthode champenoise consiste pour la plupart du temps à 9-12 mois de vieillissement pour fabriquer les bulles, avant de tourner les bouteilles dans les caves à vin ou à champagne. Selon lui, pour obtenir un bon vin, il faut bien plus. Et de préciser : « Il y a beaucoup de mauvais champagnes, parce qu’ils ne les laissent vieillir qu’un an, alors que les bonnes maisons patientent 2 ou 3 ans avant de tourner les bouteilles. » Ce projet et cette vision lui donnent raison aujourd’hui. Un nectar de haute qualité sur le devant de la scène « Malheureusement, aujourd’hui, ce qu’on trouve dans les bouteilles est très souvent ACIDE, avec de grosses bulles et un dosage trop important.» En revanche, Gérard Lambert ne fait que du millésimé, c’est-à-dire qu’il ne mélange pas plusieurs années. Il laisse en moyenne vieillir ses bouteilles 4 à 6 ans, parfois même 10 ans. Cette méthode crée une qualité largement supérieure à la moyenne, avec une bulle très fine et un nectar pur. Grâce à cette ingéniosité, le Royal de Seyssel est revenu sur le devant de la scène et a été classé pour la deuxième année consécutive parmi les meilleurs effervescents au monde. Les cépages principaux sont la Molette et l’Altesse, qui donnent des vins blancs aux arômes fruités. La Cave Lambert est un petit domaine de 4 ha avec plusieurs cuvées, spécialisé dans l’élaboration de vins de Seyssel en méthode traditionnelle, mais qui offre également une large gamme de vins de Seyssel et de Savoie. À l’œil, le vin Royal Seyssel a une robe jaune avec des bulles très fines. Au nez, il est assez fruité et, en bouche, il est agréable et léger. Il est idéal à l’apéritif avec des canapés salés, des crustacés, des homards ou des langoustines. Une véritable merveille pour les papilles. ...
En véritable écrin de la culture française et bordelaise, la Grande Maison de Bernard Magrez offre un voyage vers un paradis architectural, paysager, œnologique et gustatif typiquement français. Le propriétaire du Château Pape Clément s’est associé avec un chef de renom international, pour faire de l’établissement le haut lieu de la gastronomie française. Côté cave, le propriétaire est un expert en la matière. Plus de 1480 références, dont les 259 Crus Classés Bordelais figurent dans la carte des vins. On y propose également les 4 grands crus classés à Bordeaux appartenant à Bernard Magrez à savoir le Château Pape Clément (Pessac-Léognan), Le Château Fombrauge (Saint-Emilion), Clos Haut Peyraguey (Sauternes) et le Château La Tour Carnet (Médoc). Rare, Bernard Magrez vous invite chaleureusement à visiter ses 4 grands Crus Classés à Bordeaux, et participez gracieusement à ses cours de dégustation. « Mozart » est en cuisine En véritable chef d’orchestre, Joël Robuchon dirige la cuisine du restaurant éponyme avec vivacité et charisme. Rester derrière les fourneaux depuis ses 15 ans l’a propulsé devant de la scène culinaire française et mondiale. L’International Herald Tribune est allé jusqu’à qualifier son restaurant parisien de « Meilleur restaurant du monde » en 1994. Il est aussi auteur d’une quinzaine d’ouvrages qui sont de véritables « bibles » de la gastronomie, sans parler des émissions télévisées qui sont devenues cultes. « Meilleur Ouvrier de France » en 1976, « Chef de l’année » en 1987, « Cuisinier du siècle » en 1990, les éloges n’en finissent pas lorsqu’il s’agit de décrire le parcours du Chef le plus étoilé au monde. Ses étoiles, il les a collectionnées depuis 1984 où il en a obtenu trois en trois années consécutives. Depuis 2013, il en a 27 à son palmarès. Son actuel restaurant qui siège à la Grande Maison de Bernard Magrez a déjà ses 2 étoiles, figure dans le « top 8 des meilleurs restaurants dans le monde en 2015 » par Condé Nast Traveler, le « 1er restaurant d’hôtel de luxe en Europe » par le World luxury hotel awards et un « lieu incontournable parmi 52 destinations dans le monde » par The New-York Times. Cet emblème de la cuisine française de haute voltige conçoit une véritable mise en scène des bons produits dans ses assiettes, les détails sont millimétrés. Un simple moment de repas chez Joël Robuchon se transforme en un grand ballet où se combinent élégance et grâce. Là, nous n’en sommes qu’à la présentation. Avant la dégustation, un moment d’hésitation vous envahit, comment découvrir ces nouvelles saveurs sans gâcher ce chef-d’œuvre décoratif ? Mais une fois lancé, il devient difficile de poser la fourchette. Joël Robuchon travaille en étroite collaboration avec le Chef Tomonori Danzaki pour donner une touche de modernité et d’exotisme à ses créations ou ses interprétations des recettes traditionnelles françaises. Chaque bouchée du « Caviar, en surprise sur araignée de mer et une infusion de corail anisée » déclenche des étincelles qui inondent les convives d’«émotions gustatives ». Une autre proposition intemporelle de la maison, la « Pintade Fermière, et foie gras rôti, pommes de terre confites au jus gras » ne manque pas de surprendre les papilles. Il en est de même pour les autres entrées, plats et desserts qui sont signés par le Chef et sa Chef Pâtissière Satomi Kanai. Les trois salons du Restaurant Joël Robuchon Les salons du restaurant présentent une décoration luxurieuse et raffinée dans un style Napoléon III revisité. Les couleurs rouge et or s’harmonisent parfaitement aux bois sombres des meubles de la Maison Moissonnier. Le soir, la lumière tamisée des lustres Baccarat remplace celle du jour qui entre par les hautes fenêtres. La cristallerie et l’argenterie Chris...
Le château de Montvillargenne voit le jour dès 1914 sous l’initiative de la famille de Rothschild. Avant de devenir l’hôtel de luxe tel qu’on le connaît aujourd’hui, il a servi d’abri pour les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale et de couvent pour le Sacré-Cœur de Jésus. C'est en 1985 que le château de Montvillargenne devient un établissement hôtelier. En 2003, c’est la consécration puisqu’il décroche sa quatrième étoile. Un duo de chefs en action Implanté au cœur de la forêt de Chantilly, le restaurant gastronomique du château vous reçoit dans une salle bien éclairée qui offre une magnifique vue sur les terrasses. La carte est dressée par deux Chefs hors pair, dont l’artiste culinaire Stéphane Gourault qui orchestre les mets. Il orne les tables avec des assiettes uniques, généreuses en couleurs et en saveurs, le tout, dans une belle mise en scène. Stéphane est très attaché à la saisonnalité des produits qu’il choisit, qui sont, autant que possible, locaux, renouvelant ainsi la carte chaque saison. Notons que le Chef se sert aussi dans le potager du château pour justement garantir la fraîcheur de sa cuisine. De son côté, le Chef pâtissier, tel un maestro, crée les desserts les plus gourmands et les plus originaux. Ce duo talentueux saura émoustiller les papilles en concoctant à sa façon les spécialités françaises revisitées. Suggestion de plats Depuis l’entrée jusqu’au dessert, les plats font honneur à la richesse du terroir. L’entrée la plus prisée est représentée par les cuisses de grenouille, les œufs de caille pochés sur un toast de pain de campagne et le velouté froid de petits pois. Une assiette très raffinée idéalement suivie d’un bon plat de côte de porc d’antan de Picardie, d'une réduction d’un jus à la sarriette, d'une julienne des sables de la baie de Somme « Maison Bayard » en pommes Anna et laitue braisée. En dessert, laissez-vous tenter par des classiques revisités comme la Tartelette renversée au citron et à l'avocat. Pour accompagner ces plats divinement savoureux, Le Vilargène vous réserve une carte de vins éclectique où se marient grands crus et vins de petits producteurs, trouvés dans les grandes régions viticoles du pays. Le bar James Édouard : un véritable plaisir pour tous les sens Ce bar accueille tous ceux qui veulent profiter d’un moment de détente et de partage dans une ambiance feutrée. Les cocktails sont accompagnés d'une carte snacking pour un déjeuner sur le pouce. Pour le plus grand plaisir de tous, les barmans concoctent de nouveaux cocktails chaque mois. À l’heure du thé, pâtisseries et gourmandises invitent à prendre place sur les fauteuils en cuir ou sur la terrasse bien ensoleillée. ...
Saint-Jeannet a longtemps été connu pour l’agriculture, cette commune a même été surnommée « Saint-Jeannet le Riche ». Un muscat indigène a particulièrement intéressé une clientèle parisienne avant que les vignobles, victimes de la mondialisation, ne rétrécissent. Toutefois, un vigneron résiste grâce à un savoir-faire singulier et une connaissance du terroir. Le vignoble Le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur est perché à 400 m d’altitude, à 6 km de la mer. L’exploitation s’étend sur 4 hectares. Georges Rasse n’est pas près de rompre avec son vignoble datant de l’époque romaine, même si ses confrères ont jeté l’éponge depuis longtemps. Mieux, il garde la technique que son père René lui a transmise dans la stabilisation naturelle du vin au soleil. De nouveaux cépages sont introduits aussi, après quelques expérimentations par rapport à leur résistance au climat et à leur adaptation au sol. Georges Rasse s’engage également à respecter l’environnement, en entamant sa reconversion au bio. En attendant sa labellisation, il continue de satisfaire les palais. Une technique de vinification particulière En Provence, Georges Rasse fait partie des vignerons à être convaincus des bienfaits du soleil sur le vin. Il retravaille donc une technique traditionnelle de Saint-Jeannet pour stabiliser naturellement ses crus et ainsi éviter l’utilisation du sulfite et d’intrant de type collage. Les vins sont logés pendant 3 mois à 2 ans dans des bonbonnes disposées sur la terrasse du caveau. Seules les bonbonnes en verre blanc peuvent être utilisées pour ne pas modifier le vin. Œnotourisme En collaboration avec des tour-operateurs, le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur organise des visites et des dégustations de vins. Une formule « camping à la ferme » propose 25 emplacements de tentes aux pieds des oliviers. La moitié de la production est mise en vente directement sur place. Outre les visites, le vignoble participe chaque mois d’avril à une démarche collective baptisée « La France de ferme en ferme », qui consiste à partager son métier et sa passion. Chaque année, la Fête de la musique est rythmée par un concert. Georges Rasse rencontre également les sommeliers des restaurants clients une fois par an. ...
Au départ de l’aventure, le Vélo du Soir parcourt les rues de Paris avec son triporteur pour proposer aux salariés des entreprises des paniers à cuisiner pour l’apéritif ou le diner. Quelques années plus tard, fort de son succès, la start-up continue de proposer des produits de qualité, modernes et originaux, à des tarifs compétitifs mais s’est spécialisée dans l’organisation d’événements de petites ou de grandes entreprises. Vous pourrez faire appel à ses services pour des petits-déjeuners, des apéritifs, des cocktails ou des buffets. Le concept du Vélo du Soir Le Vélo du Soir a développé un nouveau concept de traiteur événementiel en privilégiant les circuits courts et la collaboration avec de petits producteurs ou des artisans soigneusement sélectionnés. Ainsi lors de vos buffets ou vos cocktails, vous pourrez déguster des créations simples et modernes, confectionnées à partir de produits du terroir, de produits frais, de produits de qualité. Aucun produit industriel ni aucun produit surgelé. Vous pourrez savourer des compositions culinaires savoureuses respectant les saveurs authentiques des produits bruts qui sont mis à l'honneur : rillettes de thon et de saumon de la conserverie familiale Furic, olives Kalamata de la maison Kalios, jambon de Bayonne de la Ferme Elizaldia, Médaille d'Or du Concours Général, mozzarella, pesto et porchetta issus de coopératives italiennes. Au niveau boisson, vous pourrez gouter à des jus de fruits frais, à des bières produites par des microbrasseries, des thés issus d’une start-up ou encore du champagne Marquis de Pomereuil du Domaine familial des Riceys, dont le Vélo du Soir est le seul distributeur dans Paris intra-muros. Vous pouvez donc composer votre buffet avec de nombreux produits choisis dans la palette variée de ceux proposés. Le Vélo du Soir vous fait bénéficier de tarifs performants, avec possibilité de location de vaisselle, de verrerie, de nappes, voire de compositions florales. Le service par des serveurs compétents et professionnels est également proposé par la start-up. Le vélo triporteur des débuts est toujours le symbole de l’entreprise, il participe à de nombreux événements en tant qu’animation. Avec le Vélo du Soir, vous êtes sûrs de savourer des produits dont la fraicheur et le gout seront au-rendez-vous, dans des ambiances conviviales. ...
C’est dans le sud de la Bourgogne dans la campagne brionnaise que Marie-Christine et Philippe reçoivent leurs convives. Le couple a installé son restaurant dans une dépendance d’un ancien château. Il y instaure un décor authentique fait de pierres et de poutres apparentes, de vieilles tomettes et d’une grande cheminée. Ce cadre de charme plonge les clients dans une ambiance de type taverne où chaleur et convivialité sont au rendez-vous. Et pour ceux qui veulent rester pour la nuit, la ferme-auberge possède également quatre chambres d’hôtes, classées 3 épis Gîtes de France. Côté cuisine Le concept de la maison est simple : servir des plats composés de produits issus de sa propre exploitation ou des exploitations voisines. « Nous proposons une cuisine à base de produits locaux : les végétaux de notre jardin, les viandes de notre élevage familial, et d’autres produits du terroir », précise la cheffe Marie-Christine Paperin. À table, elle tient à conserver le « Menu Campagnard », le menu historique, en le revisitant un peu. « C’était le premier menu servi à l’époque où mon beau-père préparait toutes les charcuteries, ma belle-mère faisait les fromages blancs », nous raconte-t-elle, un brin nostalgique. Aujourd’hui, ce menu est composé d'une assiette de charcuterie faites maison ( terrine, jambon cru, pâté...) à l’entrée, accompagnée d’une galette de pommes de terre et d’une salade, de fromage blanc à la crème et d'un dessert. Pour les clients qui restent séjourner, la cheffe recommande la formule « Menu du jour » pour découvrir des plats variés et goûter aux belles viandes charollaises que son époux élève avec passion. Pour les sorties dominicales en famille, rien de tel que le « Menu du dimanche », où l’on sert en plat principal de la viande de bœuf grillée accompagnée d’une salade et de légumes de saison. La carte des vins « On a plutôt une carte locale, sur le même registre que les menus », explique la cheffe. La maison sélectionne les producteurs de la région qui fournissent des vins vraiment à son goût. Bourgogne, beaujolais et vins brionnais enrichissent la carte pour des accords mets et vins réussis. ...
Ces hommes de prière, qui vivent dans le silence et la solitude, ont perçu l’impérieuse nécessité de travailler main dans la main avec les vignerons de cet écrin de nature sauvage qui s’étend de la crête orientale du cirque des Dentelles de Montmirail aux contreforts nord-ouest du mont Ventoux. Le vin a toujours été symbole de partage et d’amour. Tout naturellement, les moines se sont sentis liés à leurs voisins vignerons. Cette amitié partagée dans le travail s’est épanouie progressivement jusqu’à donner naissance à de nouvelles cuvées au grand cœur : les vins Caritas. Histoire des abbayes du Barroux En 1970, Dom Gérard Calvet s’installe à Bédoin dans la chapelle de la Madeleine pour vivre la Règle de saint Benoît : « Ora et Labora » (« prière et travail »). Il est rejoint par de nombreux jeunes désirant découvrir la vie monastique. La communauté grandissant, en 1980, la construction d’un monastère de style roman provençal débute au Barroux. Il sera achevé en 1988. Des vignes anciennes et nouvelles s’étalent sur les flancs de la colline silencieuse. En 1986, un groupe de moniales s’installe à proximité, sur une propriété viticole, « La Font de Pertus ». La construction de l’abbaye Notre-Dame-de-l’Annonciation débute alors, tandis que les jeunes sœurs s’engagent à cultiver les vignes. Depuis 1986, les deux communautés (aujourd’hui 57 moines et 30 moniales) s’entraident pour faire prospérer cet héritage spirituel et viticole. Le vignoble des Abbayes Les 9 hectares en terrasses des deux abbayes sont complantés de cépages variés. Pour les rouges et les rosés : grenache noir, syrah, carignan et cinsault. Pour les blancs : roussanne et clairette. Situé entre 350 et 400 mètres d’altitude, le domaine des Abbayes est adossé aux célèbres terroirs de Beaumes-de-Venise et de Gigondas. Ses sols et ses expositions variés permettent l’élaboration de vins complexes où fraîcheur et puissante structure entrent en symphonie. Les vins Caritas À la suite de la rencontre avec Jean-Dominique Artaud, en 2010, moines et moniales adoptent de nouvelles méthodes de culture pour faire progresser la qualité des vins. Avec leurs amis vignerons, ils retrouvent des procédés ancestraux comme la haute densité (7 500 pieds par hectare), ou le palissage haut sur piquets de bois. Le travail effectué à la main – taille, ébourgeonnage, épamprage, écimage, effeuillage et vendanges – ressemble bien à de la haute couture vigneronne. Les moines utilisent des engrais organiques et travaillent les vignes avec des moyens mécaniques. En 2016, les moines commencent un projet commun avec les vignerons Lux Montis. Son nom : CARITAS. Son but : une valorisation plus juste des vins de caractère produits sur ce terroir de montagne classé dans les « vignobles héroïques ». Pour le bien des vignerons courageux du Barroux, de Beaumont-de-Ventoux, de Malaucène et d’Entrechaux regroupés sous la bannière Lux Montis. L’objectif avoué est de permettre à ces montagnards de maintenir leur activité, aujourd’hui et dans les générations à venir. Le territoire tout entier devrait bénéficier de cette belle aventure solidaire. La beauté de ce terroir aux paysages époustouflants et l’équilibre socio-économique de la région sont en jeu : pour ces moines, la vie agricole est l’un des principaux facteurs structurants de cette Provence des papes. Ils veulent donc mettre leur dynamisme à son service. Pour assurer l’excellence recherchée, les nouveaux pieds de vigne sont sélectionnés selon les profils géologiques des terres. La vigne est cultivée avec beaucoup de cœur pour obtenir des raisins généreux. L’élaboration des vins se fait sous la houlette d’un jeune œnologue de talent, Daniel Haïlé, épaulé par Philippe Cambie, œnologue mondialement reconnu qui apporte son génie pour affiner les assemblages et sublimer le travail vigneron. Cette nouvelle aventure a permis de proposer les premières cuvées haut de gamme en ...
Ancien relais de poste transformé en hôtel 3 étoiles, l’Anthon dispose de 13 chambres, équipée chacune d’une salle de bains privative. Les fenêtres ouvrent sur l’arrière-cour verdoyante et les massifs arborés. Une romantique gloriette se trouve dans le jardin, près du sauna. À quelques mètres des bois, des bulles transparentes permettent aux hôtes de dormir confortablement à la belle étoile. Le restaurant de l’hôtel, au rez-de-chaussée, inclut une spacieuse salle en rotonde et une terrasse. Les hôtes y sont marqués par l’accueil chaleureux du personnel, la compétence du sommelier Laurent Chiocca, et surtout, la créativité du chef Flaig. Georges Flaig et son génie de la précision Le jeune chef, Georges Flaig, s’est formé auprès des grands maîtres comme Loiseau et Westermann. Revenu à la maison, il succède à son arrière-arrière-grand-père aux fourneaux.Il fait la cuisine autrement, tout en apportant un air du Sud aux classiques du Grand Est. À chaque bouchée, les papilles reconnaissent les saveurs du terroir, avec cette touche « en plus » qui n’existe que chez Anthon. Il décrit son art comme « une cuisine avec des choses assez simples mais précises, bien travaillées avec des produits locaux ». Le carpaccio de bœuf Highland, une de ses entrées phares, est agrémenté de copeaux de parmesan, chapeauté par des feuilles de roquette et contourné par une sauce pesto. Pour le plat principal, le chef revisite une vieille recette alsacienne : la raviole schnieders päetzle à la truite. Le déjeuner se termine enfin par un millefeuille glacé de chocolat noir sur un coulis d’oranges amères. L’épaisseur demi-millimétrique de chaque disque de chocolat, le dressage, la consistance et le goût révèlent simplement la virtuosité technique. Ce savoir-faire-là, le chef le partage avec ceux qui suivent ses cours de cuisine. Avis aux amateurs et aux futures toques ! ...
Dans un décor empreint de modernité et d’originalité, Anova Hôtel & Spa est une invitation permanente à la gourmandise et aux séjours sur mesure. Dominant en été le golf international 18 trous et en hiver les pistes de ski, il conjugue, au présent, la magie des lieux et la combinaison des saveurs. Un trio d’espace dans un cadre d’exception Anova Hôtel & Spa offre un cadre d’exception ouvert sur les Alpes françaises. Mélangeant des éléments de déco rustiques et chics, l’enseigne se trouve à proximité immédiate du golf de Montgenèvre, à une distance de 1,5 km de la frontière italienne. L’établissement réunit en un seul lieu un espace d’hébergement avec des chambres à l’intérieur élégant, qui donnent toutes sur la montagne, un espace bar et restaurant à l’ambiance chaleureuse, ainsi qu’un bassin de détente avec des banquettes de massage, d'un jacuzzi, d'un sauna et d'un hammam. Entre le restaurant et le bar, une salle de jeux est disponible pour faire le bonheur des petits et des grands. Une cuisine du terroir et d’ailleurs À travers une cuisine authentique et originale, où les saveurs du terroir et les parfums d’Italie se marient autant qu’ils se complètent, l’enseigne dispose d’un large choix d’espaces pour les gourmands et les gourmets. Qu’il s’agisse d’une halte rapide ou d’une étape gourmande, tout est possible : siroter un verre, déjeuner en terrasse ou encore dîner au coin de la cheminée. Laissez-vous surprendre par les spécialités du chef, qui à travers une cuisine du terroir et d’ailleurs, fait danser les papilles, même celles des plus exigeants. Des plats-signatures à découvrir et à recommander L’espace restaurant & bar de l’Anova Hôtel & Spa est le lieu idéal pour découvrir dans un plaisir sans cesse renouvelé, les spécialités franco-italiennes du chef, allant de la fondue savoyarde à la tartiflette au reblochon en passant par le risotto végétarien aux légumes de saison et la tarte citron by Anova. En mesure de proposer différents menus incluant des menus enfant, sans gluten, végétalien et végétarien, l’enseigne sait satisfaire tous les palais avec les meilleurs accords mets-vins. ...
Le Château de Tracy est un vignoble dont des traces écrites notent leur existence dès 1396. C’est dire la réputation et la qualité des sols, du climat particulier et des raisins que l’on peut y trouver. Un sauvignon dont les vignobles sont situés au cœur d’un domaine historique qui appartient depuis la fin du XIXème siècle à la même lignée familiale les d'Assay. Les cuvées du domaine se déclinent en version prestige avec le Château de Tracy, le Haute Densité et la Cuvée des 101 rangs mais aussi le Mademoiselle TT. Véritable trésor de la région, leur prix reste pourtant accessible avec des bouteilles comme celles de la cuvée de Château de Tracy 2020 à seulement 24€. Le domaine fait également partie de l’AOC du Pouilly-fumé. Une AOC qui regroupe plus d’une quarantaine de vignobles dont les cépages profitent d’un sol majoritairement composé de silex et de calcaire. C’est d’ailleurs cette particularité géographique qui recouvre les fruits arrivés à maturité d’une légère pruine grise donnant l’illusion d’un voile de fumée caractéristique de la fameuse appellation Pouilly-fumé. Une certification BIO en cours Attaché à la qualité de son vin, le Château de Tracy s’est engagé depuis deux ans déjà dans une démarche de certification BIO. Menée avec l’organisme indépendant ECOCERT, le vignoble est ainsi l’un des premiers à intégrer la démarche. Il s’engage ainsi à mettre en avant le terroir à travers une volonté de sauvegarder l’identité du sol et ainsi de ne pas dénaturer la nature. Une vision partagée depuis le début des années 50 puisque le domaine a toujours évité l’utilisation d’insecticides et de désherbants chimiques pour produire son vin. Cette conversion reste un enjeu de taille pour le domaine qui cultive ses vignobles depuis plus de six siècles. Un défi aussi, puisqu’il s’agit de transformer durablement les 33ha de vignobles installés sur les coteaux dominant la Loire, la butte de Tracy et jusqu’au plateau de Pouilly-sur-Loire. Notons qu’en 2014, le domaine avait déjà reçu le niveau 3 de la certification Haute Valeur Environnementale pour ses méthodes de cultures vertueuses. Des techniques et méthodes éprouvées Le Château de Tracy possède des particularités bien uniques. Un sol qui jouit d’une qualité exceptionnelle avec une partie du terroir formé de marnes kimmeridgiennes des Champs de Cris. Il s’agit de petits cailloux blancs spécifiques à l’endroit qui apportent sa minéralité au vin. De plus, près du tiers du vignoble est composé de silex. L’ensemble de ces formations géologiques permet de produire des cuvées reconnues des amateurs de vin blanc et de cette appellation. Adossés à ce sol si particulier, les modes de cultures sont tout aussi innovants. Le vignoble a ainsi mis en place des préparations biodynamiques notamment en prévision de l’automne 2021. Des techniques qui se traduisent notamment par l’utilisation de pulvérisation à base de minéraux. Entre autres, la préparation 501 ou silice de corne. Une méthode naturelle qui consiste à placer du cristal de roche dans une corne de vache en l’enterrant durant l’été pour favoriser pendant l'automne l’assimilation de la lumière et compenser ainsi certains déficits. Parmi les techniques présentes également, la sélection massale fait partie des spécificités du domaine. Utilisée au détriment de la sélection clonale, il s’agit pour le viticulteur de remplacer les pieds morts par des greffons prélevés en sarment sur leurs plus beaux pieds de vigne. Ce qui permet ainsi de maintenir une plus grande diversité génétique et finalement multiplier le potentiel aromatique des fruits avec des pieds différents. Et enfin, la densité de plantation sur le domaine reste unique avec certaines parcelles où l’on retrouve près de 17 000 pieds/ha. Soit quasiment trois fois plus que la densité des plantations bordelaises. 2021, une année complexe pour le Château de Tracy De mémoire de viticulteur, l’année en cours ne fut pas ...
Entourée de l’église emblématique amboisienne et de deux bâtiments calmes, la Brasserie Hippeau se veut un lieu serein. Il y’a un an, tout a été transformé. Exit la décoration traditionnelle et typique. Une mezzanine a été installée pour avoir une vue imprenable sur la Loire. Les murs ont été peints en noir pour une ambiance feutrée et confidentielle. Seul le mur de briques est un vestige de l’authenticité des lieux. Fauteuils en rotin, murs en pierre de tuffeau, mobilier noir et blanc, le luxe à la brasserie Hippeau raconte la sobriété et l’espace. Minimaliste, on vous l’accorde, mais la vraie créativité se révèle dans les mains du chef. Avec une carte qui change tous les trois mois, pas de risque de lassitude pour les habitués de l’endroit. Le chef est un jeune prodige. A seulement 24 ans, il a travaillé dans des tables renommées en Touraine. Aujourd’hui, il en est à sa quatrième carte. Et le maître de la cuisine marie à merveille le sucré-salé en gardant à cœur de réinterpréter la cuisine régionale française avec deux mots d’ordre : originalité et couleur. Une cuisine colorée et originale C’est avec un gazpacho de légumes de saison que les nuances s’expriment avec de rondes tomates tricolores. Noires, vertes et jaunes, elles accompagnent avec originalité une glace au basilic , rafraichissante avec sa subtile saveur d’anis. La soupe est accompagnée de petits soufflés pour donner du croquant à cette entrée d’origine espagnole, dans un bol noir pour révéler les couleurs offertes par le fruit. Place à la cuisine régionale avec des escargots au romarin revisités puisqu’ils ne sont pas servis dans leur coquille. Dans un jus de romarin, ils sont accompagnés d’un petit feuilleté avec une pâte croustillante. Une création prisée par les amateurs de bonne cuisine française. Le saumon mariné gravlax est lui aussi subtilement épicé avec son sel, sucre et aneth. Le chef y a ajouté des courgettes, une brisure de pain grillé et une fine crème de légumes sur le côté. Le tout présenté avec charme et authenticité sur une petite ardoise. De quoi éveiller les sens avant de goûter aux plats signatures. Pour un moment gastronomique rafraichissant, le céviche de poisson blanc, cru et mariné dans de l’huile d’olive. Il est épicé et parfumé de douces notes d’agrumes avec une garniture au choix. Idéal avec un Chardonnay ou un sancerre blanc. Pommes de terres grenailles finement aillées, poêlées de légumes croquants, gratin dauphinois chaud, risotto coulant aux petits légumes, sont autant d’accompagnements gourmands qui complètent ce mets. Pour les viandes rouges, c’est une copieuse bavette d’angus de 200 grammes qui se mange mieux quand elle est saignante ou cuite à la plancha. Un Chinon rouge fera ressortir le gout si particulier de cette viande. ...
L’interconnexion entre tous les éléments. Voilà ce que Éric Jullion, ce poète passionné de vin et de vie, veut apporter dans nos verres. Une conversion en bio et biodynamie est ainsi en cours pour accroître la biodiversité des sols. Une tournure très prometteuse « Je ne cherche pas vraiment à avoir un rendement. Mais je tiens à faire transparaitre un état d’esprit dans mes cuvées », fait savoir le vigneron. Les premiers vins labellisés bio seront ainsi mis en bouteille en 2021 pour être commercialisés en 2023. ...
Déjà de l’extérieur, Le Bouchon Gourmand attire irrémédiablement l’attention avec sa belle terrasse ombragée par des platanes et son mobilier de couleur ardoise. L’intérieur, parfaitement assorti avec la terrasse, propose une ambiance à la fois claire et sombre due à ses murs en gris parsemés de « touches de rouge partout pour donner une chaleur à l’ensemble », décrit Cédric Dupuis, le maitre des lieux. Le tout est agrémenté par une musique de jazz en sourdine, qui invite au calme et à la volupté. La simplicité du « fait maison » Extrêmement attentif sur le concept du circuit court, Cédric Dupuis dresse la majorité de ses plats à partir de produits issus de la région. Les poissons sont, par exemple, achetés à deux pas du restaurant, aux Halles. Côté qualité et fraicheur, le chef se porte totalement garant de ses produits : « Je préfère payer un peu plus cher pour avoir une qualité meilleure. » Il assure ainsi à ses clients une cuisine absolument faite maison, saine, copieuse et toujours bien présentée. Le Bouchon Gourmand propose au choix une carte et plusieurs formules. Très variée, la carte propose des plats à des prix réellement abordables. Mentions spéciales au double burger aux trois fromages, très prisé des ados, à l’épaule de veau cuisson basse température, à la côte de bœuf de race bovine, aux seiches à la persillade à la plancha, sans oublier le duo tartare de Saint-Jacques : des plats savoureux qui font le bonheur des habitués. Les différentes formules sont, quant à elles, à destination d’un large public. On y trouve la formule végétarienne mais aussi la formule express, le midi, pour les travailleurs un peu pressés qui n’ont pas beaucoup de temps pour manger : sur un même plateau sont rassemblés l’entrée, le plat et le dessert, « afin que les clients ne soient pas tributaires du service ». Une cave à vins à 99 % régionale Pour accompagner ses plats, Le Bouchon Gourmand dispose d’une carte des vins exceptionnelle, composée uniquement de vins issus de châteaux et domaines de la région, du Minervois, de la Clape et des Corbières. « Nous avons la réputation d’avoir une très bonne cave à vins, qui correspond à tous les goûts », se félicite Cédric Dupuis. Toujours disponible, celui-ci ne se lasse jamais pour prêter conseil à ses convives. « En général, c’est moi qui oriente les clients, soit par rapport à ce qu’ils mangent, soit par rapport à leurs goûts personnels », note-t-il. À titre d’exemple, Cédric Dupuis propose son confit de canard avec un 100 % Syrah du Château de Parazza, qu’il décrit comme « un mariage extraordinaire ». ...
Ce restaurant se démarque pour son emplacement qui donne une vue sur le village d'Olmeto et son paysage verdoyant. Installé sur la célèbre terrasse, rien de plus agréable que de faire la rencontre des propriétaires des lieux, souriants, généreux, et surtout amoureux de la bonne cuisine ! Une passion qu’ils savent transmettre à travers les plats gourmands où l’association de saveurs, de couleurs et de textures fait mouche chez les fins gourmets. La place de la gourmandise Tendrement blotti au sein de la petite station balnéaire de Propriano connue pour ses plages idylliques, le restaurant I Bagni ne cesse d’attirer du monde au fil des années. Discret, chaleureux, accueillant, les mots ne suffisent pas pour décrire ce petit havre de paix où la bonne humeur se ressent à des kilomètres. Ici, la famille Ettori propose à ses convives une cuisine bistronomique et ne travaille qu’avec du frais. La spécialité est avant tout la grillade, mais le chef cuisine aussi le poisson et la viande en plat. Un menu s’affiche tous les jours et varie selon les saisons, comprenant un plat, un dessert et un digestif ou un café. Côté carte, Marie Ettori conseille un melon avec du jambon, des brochettes de bœuf et un moelleux à la châtaigne, le tout accompagné d’un bon vin local, comme la Pratavone. Pour les plus gourmands, rien de tel que la bonne tripette servie tous les jours fraîche, ou le sanglier, qui, parfois, n’est disponible que sur demande. Une ambiance unique ! À chaque endroit, son ambiance : celle de l’I Bagni est hors du commun, avec son cadre sympathique, et un espace important pouvant recevoir jusqu’à 300 personnes. Chaque lundi, une soirée années 1980 est organisée au sein de l’établissement, avec, en prime, la possibilité de danser. Le rendez-vous incontournable reste celui du mercredi, où le veau à la broche est mis à l’honneur, grillé au feu de bois. Une dégustation sous le signe de la convivialité, puisqu’elle est accompagnée par les performances d’artistes locaux jusqu’au bout de la nuit. ...
Tel un bijou dans son écrin de verdure, La Table du Château de Laléard est une belle découverte pour qui sait apprécier le caractère particulier des vieilles bâtisses. Représentant une des meilleures tables à des kilomètres à la ronde, le domaine est un véritable lieu d’exception. Une étendue de tapis vert en pleine campagne, ponctuée de magnifiques espaces arborés, fait le charme de cet établissement où la cuisine familiale est toujours à l’honneur. Privilégiant les produits de saison et de marché, l’enseigne s’attache à collaborer avec les producteurs locaux qui sont ses principaux fournisseurs. Découvrez les talents du chef Thierry Favier à travers une cuisine authentique, concoctée avec passion à partir de produits locaux et de région. Délectez-vous d’escargots, d’huitres et de foie gras pour le plaisir des papilles. Le restaurant ne dispose pas de carte proprement dite pour la simple et bonne raison que tout tourne autour des suggestions du chef Thierry Favier. En fonction des produits qu’il rapporte, un menu à l’ardoise est dressé. Le menu plafond se compose d’une entrée-plat-fromage-dessert avec, notamment, 2 choix de plats et 2 choix de desserts qui varient tous les 3 mois, c’est-à-dire à chaque saison. Des découvertes culinaires à ne pas rater En famille ou en amoureux, ne vous privez pas du plaisir de savourer son duo de foie gras maison au chutney ou encore sa gelée « Pineau des Charentes » suivie de son incontournable moelleux au chocolat de Guarana qui est une véritable découverte en matière de dessert. Une belle gamme de vins accompagne le tout, dont principalement le Baudry Vieilli, un excellent vin de région. Mais cela n’empêche pas qu’on y trouve aussi du cognac ou du Pineau des Charentes par exemple… L’enseigne a bâti sa renommée sur la relation de confiance qu’elle a entretenue avec les petits producteurs qui lui proposent d’excellents vins biodynamiques ou sans soufre également. Soigneusement sélectionnés par Thierry Favier en personne, les vins sont issus de maisons et de producteurs avec qui le château a l’habitude de travailler. ...
Fondé en 2008, Satsuki est une épicerie important 90% de ses produits du Japon, le reste provenant de l’Europe. Exclusivement en ligne à ses débuts, l’enseigne compte depuis 2012, un point de vente physique à Lyon. Une offre complète et diversifiée Satsuki dispose d’une offre comprenant 3000 références, sans oublier les conseils prodigués. On retrouve tous les ingrédients nécessaires à la préparation du sushi, de l’algue au riz, en passant par les graines de sésames, le gingembre et l’huile de soja. Les nouilles et les soupes figurent aussi en bonne place en matière de nourriture proposée. Tout comme les boissons, qu’elles soient alcoolisées ou non : le Ramuné (limonade), le célèbre Saké ou encore du Whisky (le seul parvenant à rivaliser avec le scotch). Outre l’alimentaire, l’épicerie japonaise propose de la vaisselle et des ustensiles, en bois, en céramique ou encore en mélamine. Il y a également un large choix d’encens, des sels de bains, des patches chauffants, des produits de beauté et de bien-être, des poupées Kokeshi, de l’origami, des boites Bento (utilisés pour les repas), des figurines et des livres. Des gammes spécialisées de thé vert biologique Satsuki importe du thé vert biologique du Japon, grâce à deux grandes familles japonaises : les Hayashi et les Morimoto. La famille Hayashi produit du thé, cultivé sans pesticides, à Kirishima dans le sud du Japon depuis 1897. Le temps d’augmenter le nombre d’espèces de théier comme l’Asatsuyu, le Yabukita, le Kanaya Midori et le Zairaishu (tiré de plantes à graines de thé). Dans la ville de Miyazaki, se trouve l’ile de Kyûshû et les jardins de thé vert biologique de la famille Morimoto. Cette dernière cultive sept variétés d’arbustes : le Yabukita, le Kanaya Midori, l’Oku Midori, l’Oku Yutaka, le Minimi Sayaka, le Sakimidori et l'hybride Assamica Benifuki. ...
Implantée à Sallèles-d’Aude, un village situé au sud de la France, en Occitanie, l’entreprise s’est spécialisée au début dans le conditionnement de vin. Aujourd’hui, elle change de cap en devenant experte dans la négoce de produits finis. Cette activité prospère se base sur un partenariat solide avec les producteurs locaux qui fournissent, entre autres, les ingrédients essentiels pour faire le vin. Il revient aux experts de CVS d’assembler et élever les cuvées pour finalement les commercialiser en produits finis. La qualité à tous les niveaux Les vins de CVS, baptisés sous la marque Princeps, sont élaborés à partir d’ingrédients de qualité achetés auprès de producteurs de la région. À cela s’ajoute un soigneux savoir-faire consistant à assembler et à élever les élixirs. Antoine Depoizier, responsable commercial, nous parle de « techniques d'assemblage sur mesure propres à CVS » qui attribuent un fort caractère aux vins. Les nectars en question représentent notamment les appellations du Languedoc-Roussillon, à savoir l’IGP Oc et l’AOP Corbières. ...
Situé dans l’aire d’appellation de Bordeaux et de Côtes-de-Bordeaux, le Château du Garde est né en 1925 sous l’impulsion d’Antonio Subra. L’agriculteur d’origine espagnole a pratiqué toutes sortes d’activités agraires sur son exploitation avant de se consacrer exclusivement à la vigne. Aujourd’hui, Jean-Benoît Subra a repris les rênes avec pour objectif de produire des crus de haute volée qui rendent hommage à leur appellation. Place à l’agrobiologie Les 35 hectares du Château du Garde bénéficient de toutes les conditions requises pour assurer le développement du merlot, du cabernet franc, du cabernet sauvignon, du sémillon et du sauvignon gris. Les sols argilo-limoneux présentant des traces de graves disposent des substances nutritives essentielles à la création de vins de terroir notamment grâce à un traitement qui se veut plus respectueux de l’environnement. Le Château du Garde certifié Haute Valeur Environnementale 3 a toujours tenu à cultiver ses terres selon une démarche de développement durable. Un grand vin de Bordeaux Proposant une vaste gamme de vins en rouge, en blanc et en clairet (vin rouge clair, historiquement inventé par les anglais), le domaine a sorti en 2015 une nouvelle cuvée qui fait sa fierté. Le « Château Rauzé Lafargue » est un vin solaire en AOP Côtes de Bordeaux, issu d’un assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon. Ce rouge à la robe rubis profonde et veloutée dévoile des arômes frais et fruités. En bouche, il éveille les palais avec sa belle structure et sa sucrosité avec une finale soyeuse et enrobée. ...