Verzenay, avec ses 1 000 habitants, se trouve dans la Grande montagne de Reims. Réputé pour ses vignes qui dominent les terres à perte de vue, le village compte environ 410 hectares de vignobles pour une surface totale de 1 062 hectares. Son encépagement comprend 86 % de pinot noir, 14 % de chardonnay et 0.6 % de meunier, avec une classification 100 % Grand cru. Son climat fait une de ses particularités, puisqu’il jouit d’un climat dit « océanique dégradé ». Son terroir quant à lui repose sur un sol argilo-calcaire et de la coccolite (craie). C’est sur cette terre bénie par la nature que la famille Vignon produit ses champagnes dans le respect des traditions. Grâce à un savoir-faire ancestral et une grande passion pour le champagne de terroir, la maison Vignon fait partie des plus respectées dans sa région. Ses cinq hectares de vignes permettent la production de 15 000 à 18 000 bouteilles, dont 30 % est vouée à l’exportation (Allemagne, Japon, Angleterre, Italie, Costa Rica, Espagne, Belgique). Sur ce terroir, Stéphane Vignon prône « le respect au maximum de la nature ». Animé par l’amour de la terre et dans un souci de préserver l’environnement, le vigneron y pratique une viticulture raisonnée, d'ailleurs, le vignoble est en conversion pour obtenir l'HVE (Haute Valeur Environnementale). Des champagnes élaborés avec passion et amour La maison Vignon fait partie des producteurs à user de la technique de vinification parcellaire, dont 65% est travaillée en fûts issus de chênes des forêts de Verzenay. L’élevage en fûts se fait dans un nouveau cellier inauguré en 2006. Les vins quant à eux vieillissent dans une cave voûtée du 19e siècle. Un autre aspect important, les cuvées sont non filtrées, non collées, sur lies, dosées en extra-brut et la chaptalisation n'est pas recherchée. Des champagnes riches en goût et en saveur prennent ainsi vie au sein du domaine, à l’exemple du Vignon les Marquises Rosé (2012) élaboré à partir d'une seule vigne de 1965 et avec lequel la maison a gagné le Concours des Jeunes Talents du Champagne. Laissez-vous également charmer par la cuvée Vignon la Réserve des Marquises (2013), issue de sélection parcellaire de vieilles vignes de plus de 40 ans des terroirs Grand Cru de Verzy et Verzenay. ...
Sous le charme authentique au décor intimiste et raffiné d’un établissement 5 étoiles, le lieu séduit par son ambiance méditerranéenne, enveloppée d’un léger romantisme. L’établissement saisit l’occasion du printemps pour ouvrir son patio florentin et laisser apparaitre une charmante fontaine surplombée d’une façade en trompe-l’œil, afin de permettre aux clients de vivre une exceptionnelle Dolce Vita. Une cuisine de haute tenue Créatif et talentueux, le chef Ugo Gastaldi se plait à composer de belles assiettes où le meilleur des saveurs italiennes se dévoile au grand plaisir des gourmets et des gourmands. Des atouts incomparables qui lui valent de proposer une carte aux charmes méditerranéens au sein du restaurant l’Assaggio et de faire du Castille une référence parisienne. Découvrez une carte variée qui change au gré des saisons avec un très large choix de vins d’Italie qui permettent de belles associations. ...
« Faire plaisir tout en se faisant plaisir », c’est cet état d’esprit qui anime Elisabeth et Jean-Marie dans la fabrication de leurs champagnes. Ce couple issu de familles de viticulteurs mise sur sa passion et la complémentarité de ses expériences pour élaborer des cuvées d’exception issues d’ingénieux assemblages résolument affirmés, qui révèlent de belles qualités organoleptiques. Un terroir grand cru et premier cru Lancée en 2008, la maison Egrot et filles inspire l’innovation. Malgré sa jeunesse, elle compte bien s’imposer dans ce cercle très fermé qu’est la production de champagne. Exploitants chacun de leur côté dans le passé, Elisabeth et Jean-Marie ont décidé de mettre en commun leur savoir-faire pour créer cette marque « dédiée aux générations futures », affirme Elisabeth. Le fort attachement pour le terroir deviendra la ligne de conduite de ces deux vignerons. Le vignoble de six hectares implanté en grand cru et premier cru sur Ay et Louvois est cultivé de façon raisonnée, « dans l’ambition de décrocher la certification Haute valeur environnementale », confie notre interlocutrice. On y retrouve essentiellement du pinot noir, ainsi que quelques parcelles plantées en chardonnay, avec toutefois une petite précision : « on n’a pas de pinot Meunier. Ce n’est pas seulement par choix. Historiquement, nos vignes ont été déjà plantées comme ça. » Trois cuvées qui reflètent l’esprit de la maison Au rang des trésors qui font la fierté de la maison figure le millésime 2009, un champagne gastronomique, aromatique, sensuel et gourmand. Ses bulles fines, ses arômes classiques et sa belle rondeur font de ce vin un compagnon d’exception pour des accords salés et gourmands comme une viande tendre, un carpaccio de poisson et de viande, ou un fromage gras. La cave recèle aussi d’autres incontournables, comme la cuvée Brut, issue du terroir de Louvois. Scintillante par sa belle robe jaune, elle révèle fraîcheur, équilibre et harmonie, de quoi plaire aux œnophiles avertis. Un vin conseillé en apéro ou en accompagnement de produits de la mer (filets de poissons grillés, crustacés gratinés, etc.). Dernière, et non des moindres, la cuvée Extra-brut complète la trilogie, et se distingue par son nez intense et profond, suivi d’une bouche fraîche et large. Ce vin au style ambivalent constitue l’allié de tous vos grands moments de vie. ...
Sur la commune de Saint-Pierre-à-champ, située à l’extrême nord des Deux-Sèvres (79), et juste en limite du Maine-et-Loire, se trouve le domaine de la famille Lemoine. L’exploitation, aujourd’hui dirigée par les frères jumeaux, Alain et Gilles Lemoine, représente la troisième génération de vigneron sur ce domaine d’Anjou. Lutte raisonnée sur le Domaine de la Gachère Dans le plus grand respect de leur terroir, Alain et Gilles Lemoine ont opté pour la conduite de leur vignoble en lutte raisonnée. Objectif : Zéro désherbage. Soucieux de trouver des solutions alternatives au désherbage chimique, les rangs sont cultivés ou enherbés et depuis deux ans des essais de paillages sur cavaillons sont réalisés. « Cette terre, ne nous appartient pas, elle est l’héritage des générations à venir, nous devons la préserver » souligne Alain et Gilles. Qualité et authenticité reconnues Par une implication permanente, l’équipe du Domaine de la Gachère, se voit régulièrement reconnue par ses pères lors des concours. Le concours général agricole de Paris récompense régulièrement les cuvées du Domaine et notamment les rouges : cuvée « Alexia » et la cuvée « les jumeaux ». La crème des Crémants Cette année, les crémants de Loire du domaine sont mis à l’honneur. Le concours national des Crémants de Loire 2017 qui se déroulait à Chambéry a permis à Gilles et Alain de décrocher de bien belles récompenses. Une médaille d’Or pour leur Crémant de Loire blanc 2015 et une médaille d’ Argent pour leur Crémant de Loire Rosé 2015. Pour couronner le tout, La presse nationale et européenne présente à ce concours décerne « le Prix de la presse » au Crémant de Loire blanc 2015 de la Gachère. Suite à ce concours, le directeur de la fédération des producteurs et élaborateurs de Crémant, Mr Olivier Sohler, rappelle« le concours national des Crémants permet de distinguer la crème des Crémants et est un vecteur de haute qualité du produit ». Les blancs secs du domaine Chardonnay, Sauvignon (médaille d’Argent au concours des vignerons indépendants), sans oublier le cépage « GROLLEAU GRIS » idéal avec les huitres. ...
Tout commence en 1825 lorsque Jean-Louis Prieur, un Champenois d’origine, fonde la maison Ch. & A. Prieur et réalise une activité de négoce. Pendant quelques années, la maison cherche, affine et affirme son style. À la fin du XIXe siècle, elle a la brillante idée de miser sur l’image de l’empereur Napoléon pour promouvoir ses champagnes. Le succès est tel qu’Alfred-Marie, le petit-fils du fondateur, décide de déposer la marque « Napoléon » en 1907. Un siècle plus tard, les champagnes Napoléon continuent encore d’enchanter les palais à travers la magie de leurs bulles légères. Deux cépages à l’honneur Négociant-manipulant, la maison Napoléon se procure ses raisins auprès de familles de vignerons. « Nos raisins proviennent majoritairement de la côte des Blancs et de la montagne de Reims », décrit Julia Prévost, responsable marketing de la marque. Les champagnes Napoléon sont issus d’un assemblage harmonieux de deux cépages que sont le chardonnay et le pinot noir. Côté vinification, la maison opte pour un élevage en cuve inox plutôt qu’en fût de chêne. « La vinification en cuve permet à nos champagnes de conserver une belle minéralité à la dégustation. » Si l’appellation Champagne impose 15 mois minimum pour les cuvées non millésimées, Champagne Napoléon s’impose un minimum de 36 mois pour parfaire le vieillissement de ses vins. « Ce temps de vieillissement peut atteindre jusqu’à 10 ans en cave pour les millésimes », précise notre interlocutrice. Des vins d’un autre temps À travers sa gamme œnothèque, la maison Napoléon propose aux œnophiles une collection unique de vieux millésimes. Il s’agit de champagnes en édition limitée dont la particularité varie d’un millésime à l’autre. « Actuellement, ce sont les millésimes 1992, 1996 et 1998 que nous mettons en vente via notre boutique en ligne », précise Julia Prévost. La maison souhaite ainsi rendre accessibles au public des produits jusque-là considérés comme « élitistes ». Cette gamme a pour objectif de prouver l’impact du dosage sur un champagne et se décline en deux expressions : Œnothèque originelle (dosages d’autrefois) et Œnothèque Dosage récent (dosée en 2018, lancement en novembre 2018) avec nouvel habillage. En parallèle, quatre cuvées sont également proposées : Tradition, Blanc de blancs, Rosé et Millésime 2004. La cuvée Tradition est sans conteste celle qui représente le mieux la maison. Élaboré à partir de 50 % de chardonnay et de 50 % de pinot noir, ce champagne a vieilli en cave près de 4 ans. Il se distingue par un mélange d’arômes de pâtisserie, de fruits exotiques et de fruits jaunes. En bouche, la magie s’opère grâce à l’équilibre parfait entre la fraicheur du chardonnay et la puissance du pinot noir. Cette cuvée est recommandée pour l’apéritif et accompagne idéalement des plats de viandes. ...
Située en plein parc naturel régional du Vercors, la chocolaterie La Frigoulette fabrique des chocolats à partir de beurre de cacao, sans huile de palme, ni gluten, ni graisse animale. Le cacao est un premier grand cru produit de façon équitable sur l’île de São Tomé et Principe. C’est exclusivement l’entreprise Kaoka qui fournit les fèves bios et équitables. La chocolaterie La Frigoulette a été lauréate du concours Artinov de la Chambre des métiers de la Drôme en septembre 2012. À São Tomé et Principe En 2014, Bernard Xueref s’investit encore plus dans la culture des cacaoyers en achetant deux hectares de plantations abandonnés, qu’il souhaite revaloriser en créant des parcelles pilotes expérimentales. L’objectif est d’améliorer les méthodes de culture des agriculteurs en conciliant leur savoir-faire et les compétences des techniciens de la CECAB (Coopérative d’exportation de cacao biologique), et d’augmenter le rendement. À la chocolaterie C’est avec l’aide de Paul Keruel, maître chocolatier, que Bernard Xueref invente de nouvelles recettes. Le principe est simple : chaque création s’élabore à partir d’un mélange de deux goûts. Une large palette d’environ 140 saveurs est ainsi à découvrir. On peut se délecter par exemple de tablettes de chocolat noir au gingembre, de chocolat noir aux citrons confits, de chocolat noir aux noisettes grillées, mais aussi de chocolat à la lavande, de truffes au praliné, de mendiants aux fruits secs ou encore de chocolats aux fruits exotiques, de chocolats à l’eau-de-vie, de chocolats à la Clairette de Die, sans oublier les savoureux Malakoff ou les papillotes. Tous les chocolats sont fabriqués de manière artisanale, et emballés à la main. Vous pouvez les acheter en venant à la boutique de la chocolaterie. Ils sont également distribués dans de nombreux magasins bios. Visiter la chocolaterie Vous pouvez venir visiter la fabrique de chocolats du lundi au samedi, mais également faire une pause gourmande au bar en dégustant une tasse de chocolat chaud ou de café de São Tomé. ...
Le Château Pré la Lande produisait déjà du vin en 1860. Actuellement, le domaine est géré par Michel Baucé, qui en est le propriétaire. Depuis son arrivée, le vigneron s’efforce d’assurer une production qualitative avec pour devise : « Faire un grand vin dans le respect de la terre et des hommes. » Un terroir propice à la vigne Le domaine est établi sur le terroir en appellation Sainte-Foy Côtes-de-Bordeaux, une des plus petites appellations du vignoble bordelais. Là, sur un des points culminants de la Gironde, 14 ha de vignes s’épanouissent sur des coteaux ayant un sol à dominante argilo-calcaire. « Du fait de l’altitude, nos vignes bénéficient d’un très bon ensoleillement qui permet d’obtenir des maturités optimales », souligne Michel Baucé. Au niveau de l’encépagement, celui-ci se compose de merlot, de cabernet sauvignon, de cabernet franc et de malbec. Respect de la terre Certifié Demeter, le domaine est entièrement mené en agriculture biodynamique. Afin de préserver les vignes des maladies, Michel Baucé et son équipe se servent de tisanes et de décoctions à base de plantes. Concernant la terre, tout est fait de manière à renforcer la vie du sol : utilisation d’engrais organiques, préparations biodynamiques à partir de bouses de corne, désherbage mécanique sous le rang… Une fois arrivés à pleine maturité, les raisins sont récoltés manuellement dans des cagettes de faible contenance pour éviter tout écrasement. Côté vinification, le domaine préfère de loin laisser la Nature agir et s’abstient de toute intervention. « C’est uniquement le jus de raisin qui fermente, nous n’ajoutons pas de sulfites et encore moins des levures industrielles », souligne fièrement le gérant. Les précieux nectars sont ensuite élevés dans des fûts, des barriques ou des amphores. À ce sujet, Michel Baucé tient à préciser : « Nous sommes peu nombreux à réaliser des élevages en amphores dans la région », avant de rajouter : « La terre cuite n’autorise aucun apport gustatif et le vin obtenu est la pure expression du terroir. » Des vins nature La maison propose 3 cuvées : la cuvée des Fontenelles, la cuvée Terracotta et la cuvée Diane. Ceux qui recherchent l’originalité opteront sans doute pour la cuvée Terracotta. Élevée entre 12 et 18 mois dans des amphores en terre cuite de Toscane, celle-ci permet l’expression authentique du terroir. En bouche, elle séduit par ses arômes de mûres, de cassis et d'épices douces. Gage de l’excellente qualité de ses vins, la maison a décroché des médailles d’or lors de concours prestigieux comme le concours national des vins de Mâcon, le concours de Bordeaux, concours des Féminalise ou encore le concours des vins bio d’Aquitaine. ...
Avec ses vieilles pierres et poutres apparentes, le P’tit Cageot est un endroit fort sympathique où l’on vous propose de savourer une cuisine raffinée en toute convivialité. Cadre typiquement vieil Antibois A l’intérieur, l’esprit récup donne le ton à la décoration. Des cageots placés ici et là, des luminaires réalisés avec des bocaux ont fini par donner un charme particulier à l’endroit. Dans une ambiance digne d’une maison de campagne Provençal, la convivialité est ici au rendez-vous. Arnaud et Roxane ont voulu avant tout miser sur un endroit qui leur ressemble. Au quotidien, quiétude et détente font partie de leur leitmotiv. Une cuisine inspirée des saisons Bien installé derrière le fourneau, Arnaud excelle dans l’art de magnifier la simplicité. En cuisine, ça sent la fraicheur du marché. Noblesse oblige, vous ne trouverez pas de produits aussi frais qu’au P’tit cageot. Tout juste auréolé de son titre de Maître-Restaurateur, le chef se doit de respecter un cahier des charges rigoureux incluant une trentaine de critères comme la qualité de service et d’accueil, produits frais et de saison, cuisine faite maison… Pas de quoi inquiéter Arnaud qui se permet même quelques fantaisies. Mis à part la carte qui change deux fois par saison, la maison propose tous les jours un menu surprise (entrée-plat-dessert). Une formule qui a visiblement la côte auprès des invités. A chaque fois, ces derniers restent bluffés par une cuisine aussi originale que savoureuse. ...
Du cognac dans toute son authenticité. C’est la promesse faite par la maison Frapin à tous les amateurs de cette prestigieuse eau-de-vie, symbole de l’art de vivre français. Avec son vignoble exceptionnel, la maison Frapin incarne avec passion la grande tradition d’une famille installée en Charente depuis 1270. Le vignoble de plus de 240 hectares situé au cœur de la Grande Champagne, l'appellation la plus prestigieuse du Cognac, jouit d’un terroir unique qui apporte complexité, richesse, élégance et finesse aux cognacs. Des produits dont la régularité et la qualité se maintiennent depuis le XIX siècle… Une belle épopée familiale Difficile de parler de Cognac Frapin sans évoquer son historique familial dont le prélude s’entame au XIIIème siècle, lorsque la famille Frapin s’installe en Charente, à Ségonzac. À l’époque, elle se lance dans les activités de viticulture car le cognac n'existait pas encore. C’est à partir du milieu du XVIIème siècle que la production cognaçaise s’amorce. Pour symboliser la marque, la famille choisit la plume en hommage à François Rabelais, célèbre écrivain humaniste et épicurien, fils d’Antoine Rabelais et d’Anne-Catherine Frapin. D’ailleurs, des cuvées « Rabelais » ont également été produites au domaine pour faire honneur à cet illustre aïeul. L’histoire de Frapin est également liée à un autre grand personnage qui n’est autre que Gustave Eiffel. En 1889, à l’occasion de l’exposition universelle de Paris, Pierre Frapin reçoit une médaille d’or symbolisant la qualité des cognacs Frapin. « Les deux personnages font connaissance durant cet évènement. Trois ans après, en 1892, l’équipe de Gustave Eiffel est venue réaliser la charpente métallique d’un chai que l’on montre lors des circuits de visite », raconte l'équipe de communication. De la vigne au flacon Grâce à sa position géographique privilégiée au cœur de la Grande Champagne considérée comme le Premier Cru de cognac, la maison Frapin parvient à produire des vins sublimés par une intense richesse aromatique. « Des vins qui donnent ensuite naissance à des eaux-de-vie plus fines », tient à préciser Patrice Piveteau, Maitre de chai. Ici, seul le cépage Ugni-blanc est cultivé car il a pour atout d’offrir une certaine acidité et une plus grande régularité. Après les vendanges et la vinification, la magie s’opère lors de la distillation faite de façon artisanale. « Nous distillons tout sur lies car cette technique procure une meilleure richesse aromatique », fait savoir notre interlocuteur. Place maintenant au vieillissement. Toujours dans cette quête d’authenticité, le Maître de Chai mise sur deux styles qui diffèrent selon le type de chai. Patrice Piveteau nous explique. « Nous utilisons des chais humides posés à même le sol sur de la terre battue. L’évaporation modérée procure au cognac plus de rondeur et de souplesse. En parallèle, nous avons également des chais secs placés à l’étage sous les toits. L’évaporation accentuée donne un cognac plus fort et puissant avec plus de finesse. » De ces procédés minutieux et originaux naissent des cognac XO haut de gamme comme le XO VIP et l’EXTRA. Le Château Fontpinot XO Frapin mérite aussi toutes les attentions par son caractère exclusif. « Au niveau de la Grande Champagne, nous sommes la seule maison de cognac à détenir cette appellation Château ». Un savoir-faire à venir découvrir avec le circuit de visite que propose la maison toute l’année sur RDV. ...
Les amateurs de vins d’Alsace et les néophytes souhaitant en apprendre plus sur cette région sont tous invités à se rendre au domaine de la famille Kuentz. Entre modernité et méthode de travail traditionnelle : chaque visite est une véritable expérience. Une exploitation familiale fière de ses origines L’histoire du domaine débute dans les années 1950. Au début, seule de la vente en vrac était proposée. Puis, au fil du temps, la famille Kuentz a commencé à développer la vente en bouteille. D’après Jean-Marc Kuentz, le vigneron de quatrième génération en charge du domaine, ce sont les membres des deux dernières générations de sa famille qui ont commencé à développer la vente en bouteille. Ce qui a permis au domaine de faire connaitre ses cépages et ses créations originales. La particularité du domaine Kuentz : le fait de posséder un vignoble à 380 mètres d’altitude sur un sol à dominante marno-calcaire et argilo-calcaire. Ce qui fait de lui le plus élevé d’Alsace (avec tout ce que cela implique en matière de conditions climatiques). Ce qui frappe le plus quand on visite le domaine, c’est la volonté du viticulteur de travailler à la façon des anciens. Ainsi, les vendanges sont évidemment faites à la main. De plus, les bouteilles possèdent des bouchons de liège naturel et les vins sont vieillis en foudres traditionnelles de 1500 à 5000 litres. D’ailleurs, Patricia Nagel, la gérante du domaine, nous indique qu’une formation HVE (Haute Valeur Environnementale) est en cours. La durée de l’audit prenant une année environ, celle-ci devrait être effective en 2021. Les cépages et vins du domaine Kuentz Avant de parler des créations du domaine Kuentz, intéressons-nous aux raisins. Il faut, en effet, savoir que les vins d’Alsace Alphonse Kuentz sont issus de 7 cépages. Les spécialistes reconnaitront les grands noms de la région que sont le Sylvaner, le Pinot Blanc, Gris et Noir, le Riesling, le Muscat sec et le Gewurztraminer. Chacun proposant des goûts et des arômes différents pour se marier avec les plats typiques de la région (et d’ailleurs). En 2020, le domaine propose ses millésimes 2017 et 2018, ses grands crus 2015 et 2016 ainsi que ses vendanges tardives 2009 et 2015. À savoir : tous les vins sont issus à 100% d’un cépage et aucun assemblage n’est réalisé. Ce qui permet de bien apprécier le fruit. Du Gewurztraminer cuvée « Marie-Louise » qui accompagne à la perfection un apéritif ou un dessert à un Riesling Grand Cru « Pfersigberg » pour aller avec du poisson ou de la choucroute en passant par un Pinot Noir vieilli en fût de chêne qui se marie à merveille avec de la charcuterie ou du gibier : tout le monde y trouve son compte. Sans oublier le célèbre Crémant d’Alsace. Bien qu’il soit difficile de choisir un vin en particulier, la cuvée Marie Louise semble tout indiquée pour apprécier à sa juste valeur le travail de la maison Kuentz. On reconnait bien avec cette boisson savoureuse cette volonté de privilégier la qualité avant tout. Même si cela doit impliquer un rendement limité. C’est d’ailleurs ce qui permet aux cuvées Kuentz d’obtenir de très bonnes notes dans les plus grands guides de vin (souvent au-dessus de 15/20). Oenotourisme et visite de la cave Évidemment, comme tous les grands domaines français, le domaine Alphonse Kuentz ouvre ses portes aux visiteurs de passage. C’est le moment parfait pour en apprendre plus sur l’histoire de cette famille de vignerons tout en goûtant (gratuitement) les différentes bouteilles proposées. Vous pourrez ainsi en apprendre plus sur la méthode de travail traditionnelle employée dans le domaine et poser vos questions au moment de la dégustation et/ou en visitant le vignoble. Ne manquez d’ailleurs pas la petite chapelle Régelé qui domine les vignes alentours. Ce petit bâtiment et l’emblème de la famille Kuentz dessiné par l’artiste renommé J.J. Waltz font la fierté de ces exploitants très en lien avec leurs racines. À savoir : une extension du caveau est prévue pour accueillir plusieurs nouveaux événements. ...
C’est pour rendre hommage à leur trisaïeule dénommée Angèle, une femme à fort caractère, que les deux frères Jacques et David Florent ont décidé d’attribuer son nom à ce domaine familial. En effet, c’est elle qui a commencé à planter les premières vignes à la fin du XIXe siècle et a su développer le vignoble au fil du temps. Une viticulture raisonnée Le vignoble, d’environ 30 ha, repose sur des sols argilo-calcaires profonds et limono-argileux. Depuis 25 ans, Jacques et David Florent, les propriétaires du Domaine de l’Angèle, y mènent une lutte raisonnée. La santé du sol et des vignes est au centre de leur préoccupation, avec une attention toute particulière accordée à la faune et à la flore. « Nous avons semé des enherbements dans les vignes afin de favoriser une activité microbienne au niveau du sol. Et nous utilisons uniquement des engrais organiques », souligne David Florent. Pour traiter leurs vignes, les deux frères multiplient les précautions afin d’effectuer des traitements les moins agressifs possibles. La maison privilégie les vinifications en monocépage. La syrah, le grenache et le mourvèdre sont ainsi vinifiés séparément pour être ensuite assemblés. Le Domaine de l’Angèle se démarque également par ses longues macérations. « Pour les rouges, nous poussons les maturités le plus longtemps possible. En général, les fermentations durent 15 jours, puis nous procédons à 15 jours de macération sous marc, ce qui implique une durée de vinification de plus d’un mois », explique notre interlocuteur. Les cuvées La maison produit des vins en AOP (Ventoux et Luberon) et IGP (Vaucluse). Dans la gamme des rouges, la cuvée « Ludivine » mérite une attention particulière. Ce vin 100 % syrah est élaboré à partir de vieilles vignes. Il a fait l’objet d’une longue macération (plus de 30 jours) en cuve béton et a vieilli en barrique entre 12 et 16 mois. N'ayant rien à envier à cette dernière, la cuvée « Hippolyte » occupe tout aussi bien une place de choix parmi les vins du domaine. Un vin 100 % grenache noir qui a subi plus d’un mois de macération en cuve béton et a vieilli 12 à 16 mois en demi-muid. ...
Plantées en coteaux, les vignes idéalement exposées bénéficient des qualités d’un sol argilo-calcaire conférant puissance et saveurs typées aux cépages. Les méthodes traditionnelles conjuguées à la modernité révèlent l’authenticité du champagne, valeur véhiculée par cette maison solidement ancrée entre l’Aube et la côte des Bar. Une nature généreuse préservée « Mes grands-parents et mon père Pascal étaient déjà sensibles à l’environnement », nous confie Adeline Bonnet, associée exploitante. Elle perpétue ainsi des gestes salvateurs pour la biodiversité de sa région en « excluant totalement l’usage d'insecticides et d’herbicides depuis maintenant vingt ans, en favorisant un enherbement contrôlé et en ayant pour objectif de fertiliser le sol avec des composts afin de réduire au maximum l’empreinte carbone et préserver l’écosystème ». Des cuvées d’exception expressives du terroir Les vendanges manuelles et la vinification traditionnelle sont autant de gages de qualité pour les cuvées Camille Marcel. Parmi les cuvées phares de la maison, appréciez le Brut de Noirs, un 100 % pinot noir vieilli trois ans en cave et représentant fidèlement le terroir de la côte des Bar. Ses notes fruitées avec un peu de structure en font une « cuvée puissante aromatique mais élégante et ronde, à servir en repas ou avec du fromage du terroir », conseille Adeline. Appréciez également en cocktail ou en dessert une cuvée spéciale rendant hommage à une ancienne danseuse, courtisane et non moins espionne, Mata Hari. La touche suave et la volupté de ce champagne vous ramènent alors à l’univers envoûtant de cette femme de légende. ...
Les spécialistes de grands vins de Bordeaux connaissent bien les créations du domaine Château de Panigon. En effet, le Château de Panigon, Cru Bourgeois et le Château Amour, Cru Bourgeois ont obtenu de nombreuses récompenses prestigieuses. Au tour de L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC de venir réveiller nos papilles. Un article pour mieux appréhender cette nouvelle référence qui a déjà impressionné de nombreux spécialistes dont le célèbre sommelier Paolo Basso. Château de Panigon : historique du domaine Pour trouver le domaine du Château de Panigon, il faut se rendre à plusieurs dizaines de kilomètres au nord de Bordeaux, vers la commune de Civrac-en-Médoc. Aujourd’hui géré par Corinne Leveilley-Dadda et Georges Dadda (respectivement fille et gendre des anciens propriétaires du domaine), il faut revenir quelques siècles en arrière pour en apprendre plus sur les origines du Château. En effet, bien qu’il soit difficile de dater précisément les origines du domaine, on peut voir apparaitre des mentions de Panigon dans les romans Pantagruel et Gargantua de Rabelais. Puis, quelques siècles plus tard (en 1850) dans le premier guide Cocks, Bordeaux et ses vins. À noter : c’est aussi à cette époque que sont plantés les platanes du château venant protéger de la chaleur le chai à barriques et le cuvier. Encore présents de nos jours, ces arbres centenaires nous proposent, sans aucun doute, une histoire riche, mais, malheureusement, méconnue. Une façon de travailler qui favorise un véritable respect de l’environnement Ce qui caractérise cette exploitation, c’est avant tout son aspect familial. Mais aussi la volonté des propriétaires, depuis 2006, de favoriser des méthodes de travail et une production à la fois moderne et respectant l’environnement. Ainsi, en 2016, le Château de Panigon a reçu le label Haute Valeur Environnementale de niveau 3 (HVE). Gage de la volonté de mettre tout en œuvre pour proposer à leurs clients un vin de grande qualité. Il faut dire que le domaine bénéficie d’un terroir exceptionnel. En effet, en plus de profiter des influences de l’Estuaire de la Gironde et de l’Océan Atlantique, le domaine qui s’étend sur 90 hectares dispose de sols 65% graveleux et 35% argilo-calcaire. Idéal pour un vignoble 50% Merlot, 45% Cabernet-Sauvignon et 5% Petit-Verdot. Ce qui permet de créer des vins à la fois souples et élégants, connus pour leurs tannins soyeux. Il faut aussi savoir que des vendanges vertes sont effectuées et que le vin est ensuite élevé entre 12 et 18 mois en fût afin de développer sa complexité et ses agréables notes fruitées en finale. À ce titre, les deux créations que sont Le Château de Panigon, Cru Bourgeois et Le Château Amour, Cru Bourgeois jusqu’en 2015 ont obtenu plusieurs récompenses : - Médaille d'Or au Women's Wine & Spirits Awards 2018 et au Guide Gilbert&Gaillard 2018 ainsi que Médaille d'argent au Concours de Bordeaux 2016 et au Concours Général Agricole Paris 2016 pour le Château de Panigon ; - Médaille d'or au Guide Gilbert&Gaillard 2018 et au Sakura Japan Women's Wine Award ainsi que Médaille d'Argent au Concours international de Lyon 2018 et au Concours Mundus Vini 2018. Sans oublier une une Médaille d’argent au Concours de Bordeaux 2018 et un Trophée « Coup de Cœur » du Festival des vins de Bordeaux en Chine 2019. L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC en détails Ceci étant dit, ce qui nous intéresse dans cet article est l’arrivée d’un nouveau vin : L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC. Assemblé à partir d’un vignoble 50% Merlot et 50% Cabernet Sauvignon (un cépage typiquement « Médocain ») et produit sur un des meilleurs terroirs de la région constitué de 65 % de graves (dépôt alluvionnaire de la Garonne au quaternaire), il est ensuite élevé 100% en barriques (dont 33% en barriques neuves) pendant 6 mois. Pourquoi ce vin nous intéresse-t-il ? Parce qu’avant tout, d’après Georges Dadda, L’amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC est un vin ...
Redécouvrir le fameux colin d’Alaska Quand on pense au colin d’Alaska, viennent vite à l’esprit les souvenirs de ces petits bâtonnets servis dans toutes les cantines de France, souvent accompagnés de légumes vapeur ou de frites. Panés et ensuite frits, ils ont fait le bonheur et remplissent les ventres de plusieurs générations de têtes blondes. Cette espèce emblématique de la région est pêchée dans les eaux limpides du Pacifique nord, bien au large, loin de toute activité humaine. C’est dans cette vaste étendue d’océan sauvage, l'une des zones les plus propres et les plus préservées du monde, que des hommes et des femmes bravent les éléments afin de remonter dans leurs filets ce poisson noble et délicieux. Fileté et surgelé immédiatement après sa capture, le colin d’Alaska conserve ainsi cette saveur douce si particulière, et surtout ses vitamines et ses minéraux tout au long de son voyage jusqu’à l’assiette du consommateur. On le retrouve alors prêt à l’emploi dans les rayons surgelés de l’hexagone et servi sur les meilleures tables des plus grands restaurants. Accompagné d’une sauce à l’oseille, avec un zeste de citron, en papillote, ou simplement passé quelques minutes au four, il existe une infinité de façons de redécouvrir ce poisson tout en se faisant plaisir. Des pêcheries durables pour garder une nature intacte et sauvage L’engagement de l’Alaska pour une pêche durable est inscrit dans les gènes de cet État du nord des États-Unis depuis des décennies. Ce modèle de gestion des ressources de poissons sauvages est même gravé dans le texte de la Constitution de l’État depuis 1959. La durabilité porte également sur des aspects sociaux et économiques et est citée en exemple partout dans le monde. L’Alaska est ainsi le porte-étendard d’une pêche responsable, soucieuse d’assurer aux générations futures d’importantes réserves de poissons sauvages et de qualité supérieure. Pour y parvenir, les autorités mesurent chaque année les niveaux des stocks des différentes espèces de poissons et fixent des limites de capture qui ne mettent pas en péril ces ressources naturelles. Cette politique assure ainsi la pérennité des stocks au fil des ans et garantit des revenus durables aux communautés locales qui sont souvent engagées dans les activités de pêche depuis plusieurs générations. Une nourriture saine Le programme national nutrition santé, ou PNNS, recommande de manger du poisson au moins deux fois par semaine, en variant les espèces. Mais attention, toutes les espèces de poissons ne se valent pas. Les qualités gustatives et nutritionnelles du produit final vont dépendre, non seulement de l’espèce, mais aussi de l’environnement dans lequel elle évolue. Dans les eaux de l’Alaska, pures et cristallines, les poissons trouvent toutes les conditions pour se développer à un rythme lent, leur permettant de produire des protéines de qualité supérieure et des graisses riches en oméga 3. Manger régulièrement du poisson d’Alaska est l’assurance d’une alimentation riche et saine, respectueuse des Hommes et de l’environnement. ...
A mi-chemin entre Valence et Montélimar, La Treille Muscate est un charmant restaurant-hôtel trois étoiles au cœur du village de Cliousclat. Elle est implantée dans une magnifique bâtisse de pierre typique de la région, recouverte de vigne vierge, calme et paisible et qui jouit d'une vue imprenable sur les villages haut perchés de la vallée de la Drôme provençale. Une cuisine de saison A la Treille Muscate, les assiettes du chef Eric Richard sont de véritables œuvres d'art, à la fois délicieuses et élégamment présentées. La toque au Gault et Millau, la fourchette et le Bib gourmand au guide Michelin sont la preuve d'une cuisine d’excellence et raffinée. Le restaurant est également référencé dans de nombreux guides tels que le Guide du Routard, les Tables et Auberges de France, le Petit Futé ou encore le Gault et Millau. De même, il est présent dans le mythique guide du voyageur anglais : Alastair Sawday’s. Variant suivant les saisons, la carte propose en entrée un Foie gras de canard mi-cuit au torchon. Dans la gamme des plats de résistance, l’Agneau des comtes de Provence grillé au thym frais satisfera toutes les gourmandises. Pour clore en beauté le repas, rien de tel que les glaces et les sorbets faits maison présents à la carte toute l’année. Côté cave, la carte de la Treille Muscate est particulièrement bien fournie, avec une belle sélection de vins AOC Côtes-du-Rhône proposés par des vignerons locaux. Un endroit de charme Le restaurant la Treille Muscate offre une chaleureuse table dans un environnement calme et reposant propice au repas en famille, entre amis ou en couple. Pour profiter de la belle saison et d'une vue superbe donnant sur le lac, le jardin avec ses 55 couverts et la terrasse de 25 couverts invitent à la détente. Blottis dans ce cadre verdoyant, les convives profitent d’une ambiance conviviale et chaleureuse pour des moments gourmands inoubliables. A l’intérieur, la salle voutée capable d’accueillir 60 couverts, garantit quant à elle une atmosphère plus intimiste. La décoration joue sur les couleurs pour conférer plus de dynamique au restaurant. Les clients s’y sentent comme chez eux grâce à l’ingénieux choix des meubles embellissant les lieux et leur agencement. ...
Recommandée par l’organisation onusienne FAO (Food and Agriculture Organization), la consommation d’insectes représente l'une des meilleures alternatives alimentaires proposées en vue de basculer vers un mode de consommation responsable et écologique. Nos habitudes alimentaires tendent, en effet, à favoriser le gaspillage et la dégradation de l’environnement, situation à laquelle l’entomophagie apporte une solution durable. Afin d’appuyer ce changement progressif, ïhou s’est lancé dans la production d’insectes à croquer, de quoi ravir les papilles les plus aventureuses. La consommation d’insectes à redécouvrir Si certains se rappellent les fameuses omelettes aux vers à soie de leurs grand-mères, d’autres se souviennent avoir croqué des sauterelles grillées lors de voyages exotiques. La consommation d’insectes n’est ainsi pas une nouveauté, loin de là. En effet, plus de 2 milliards de personnes à travers le monde consomment régulièrement des insectes. La gamme ïhou a été créée en France afin de sortir des clichés sur la consommation d’insectes et de faire redécouvrir ce mode d’alimentation à haute valeur nutritionnelle. En effet, « le grillon, par exemple, présente un taux élevé de protéines (55 %) tout en contenant des vitamines et des minéraux », explique Mme Déborah Findeis Schäfer, à l’initiative de cette marque. Cette dernière de reprendre « notre ambition d’intégrer l’insecte dans l’alimentation répond à la nécessité de trouver une alternative durable à notre alimentation classique ». L’élevage de grillons ïhou dans le nord-est de la France applique d’ailleurs des normes de production strictes, de quoi assurer une alimentation saine et respectueuse de l’environnement, « le rejet de gaz à effet de serre étant extrêmement faible dans l’élevage d’insectes », continue-t-elle. ...
Fraîcheur et authenticité ne sont pas de vains mots, quand on parle de la cuisine servie à La Cueillette®. Le chef, audacieux et créatif, concocte des menus colorés et goûteux – pour le plaisir – et d’une rare délicatesse, pour la santé. Car bien manger est ici un art cultivé par le maître des lieux, Jean Garnier, médecin et nutritionniste de son état. Un cadre fastueux pour le plaisir des yeux Le château de Cîteaux qui abrite La Cueillette® imprime à cette dernière les fastes de son époque d’origine. Les décors muraux, rehaussés de dorures exceptionnelles, tout comme le grand lustre, ont été reconstitués à l’identique de la salle à manger qui recevait les convives dans le château d’apparat datant de 1860. Chaque dîner dans les murs de ce restaurant de caractère est alors comme une incursion dans une époque, où le raffinement était une vertu essentielle. Dans une ambiance claire, la transparence des couverts dressés semble prédire la légèreté élégante qui enveloppe les plats à venir. Une cuisine simplement créative, pour saisir le meilleur de la nature Les cartes de La Cueillette® sont imaginées par le chef Sébastien Dorier rompu aux arts de la création culinaire sur la base de produits locaux. Le pléthorique n’est pas de mise. On privilégie l’essentiel, le bon goût de chez soi, en sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs aux alentours au rythme des saisons. Les plats seront également créés selon les arrivages du marché. Finalement, les convives se retrouvent avec des plats simples et sains – tel ce filet de volaille fermière de Bourgogne – à apprécier les saveurs authentiques d’antan. Un bon cru sélectionné des domaines alentour finit de célébrer ce que le terroir a de plus vrai. ...
Situé non loin de la magnifique église d’Ars-en-Ré, le restaurant O de Mer offre une cuisine gourmande et raffinée, qui fait plaisir aux fins palais. Faire plaisir, justement, est l’une des valeurs qui animent cet établissement, au sein duquel vous vous sentirez comme à la maison. Un maitre restaurateur aux fourneaux Ayant débuté sa carrière en Europe dans le domaine de la restauration, Thierry Hainaut a forgé son expérience, longue de 25 ans, en Australie. Poussés par leur volonté et leur passion, Thierry et sa femme ont trouvé un coin de paradis à Ars où ils ont décidé de poser définitivement leurs valises. « Il y a 7 ans, nous avons rouvert ce petit restaurant avec Corinne pour retravailler à deux les produits qui nous font plaisir. Mais aussi pour retrouver la compagnie de nos clients, qui sont d’ailleurs devenus des amis très proches », explique Thierry Hainaut. Depuis 2014, le chef a été gratifié du titre de « maitre restaurateur », un statut délivré par l’État pour les restaurants traditionnels français. Ce label engage les restaurateurs à propose runiquement des plats faits maison, notamment avec des produits bruts et frais issus du circuit court.En 2016, Thierry Hainaut devient membre fondateur du Collège Culinaire de France, ce qui a permis à son bistrot de figurer parmi les « Tables gourmandes Poitou-Charentes ». Un cadre intimiste et agréable Le restaurant O de Mer est doté d’une belle salle, où le plancher en bois ancien confère tout son charme au lieu et les tables, couvertes de nappes blanches et entourées de chaises en cuir, renforcent l’aspect élégant du restaurant. Durant la période hivernale, un petit coin feu apporte chaleur et réconfort, tandis que, en été, la terrasse offre une vue imprenable sur le clocher d’Ars. Implanté dans la rue piétonne, ce restaurant intime de 22 couverts est idéal pour les rendez-vous romantiques. Une adresse gourmande au pied du célèbre clocher d’Ars-en-Ré Le chef élabore avec soin et créativité une cuisine gastronomique revisitée selon ses humeurs et la saisonnalité. Sa spécialité est la truffe fraiche. D’ailleurs, la maison a développé une carte, où les mets peuvent être accompagnés de truffe fraiche râpée selon les choix et les envies. En entrée, les convives se laisseront séduire par les saveurs du foie gras des Landes mi-cuit aux algues de Roscoff, salade de mer en tartare et brioche moelleuse. En plat de résistance, ils se laisseront tenter par la bouillabaisse de bar, Saint-Jacques et homard façon « Ô de mer », parfums d’orange et anisette, pommes grenailles et mousseline de rouille. Au dessert, les gourmands seront satisfaits par un petit bonbon chaud de chabichou du Poitou, cœur de miel et truffe, sirop pom’poires. Quant au menu, la maison propose en entrée une Ile flottante au délicat parfum de Tuber Albidum sur un velouté de cèpes de Dordogne. Vient ensuite, en plat de résistance, le bœuf Wagyu australien confit 8 heures et pâtes fraiches réduction de vieux pomerol aux perles du Japon et truffe. Le mélodieux repas s’achève avec le minestrone glacé de fruits de saison d’ici et d’ailleurs, glace à la truffe. ...
Après des expériences en Nouvelle-Zélande, en Thaïlande et en France, Julien Larcher et Charles Domet, deux amis formés à l’École hôtelière, ont repris Simone, Le Resto en mai 2016. Quant au chef Diego Alary, ancien élève de l’École Ferrandi, il a fait ses premières armes aux côtés de Guy Savoy, tout comme son commis. Aujourd’hui, dans sa cuisine ouverte, il décline une cuisine bistronomique inventive, pleine de saveurs, à partir de produits frais et de légumes de saison. Un espace de convivialité La salle peut accueillir 26 couverts. L’été, il est possible de se restaurer en terrasse, à l’ombre des marronniers du boulevard Arago. Julien Larcher et Charles Domet accueillent leurs clients avec chaleur et restent à leur écoute tout au long de leur repas. Quelques plats phares La carte change tous les jours, selon le marché. Citons quelques plats phares. En entrée, vous pourrez déguster l’œuf parfait, un œuf cuit à basse température (63 °C) pendant 1 heure, accompagné d’une purée de céleri-rave ou d’une polenta au parmesan. En plat, vous serez certainement séduit par la tendreté et le gout subtil de la picanha, une aiguillette de rumsteack de bœuf français snackée à la plancha et découpée à la brésilienne. Vous pourrez aussi savourer les ravioles farcies au veau ou encore le pigeon des Pyrénées en chausson. En dessert, vous serez conquis par la ganache chocolat parfumée au yuzu ou à l’anis étoilé, sublimée par une espuma d’orange ou d’amande. Ou bien encore par les perles du Japon cuites dans un lait de coco et vanille, servies avec un coulis de fruits rouges. Un large choix de vins La majorité des vins proposés provient de petits vignerons travaillant en bio ou en biodynamie. La carte est complétée par quelques vins nature ou traditionnels. Les vins du Languedoc-Roussillon et les côtes-du-rhône forment le noyau dur de la carte. Celle-ci joue aussi avec les saisons, en proposant, l’hiver, des vins plus gras comme des vins de Savoie, du Jura, des bordeaux ou des cahors, des vins plus frais et plus vifs l'été. Sont également présents cidres, calvados et même 3 références de bières artisanales de Gisors. Simone La Cave Les clients peuvent retrouver tous ces vins chez Simone, La Cave, située dans une rue perpendiculaire et accessible depuis la salle. Dans ce lieu vous pourrez également déguster des planches de charcuterie, de fromages ou des huitres, toujours accompagnés de bons verres de vin. ...
Fondée par Roger RAVOIRE en 1987, la maison familiale Ravoire et Fils n’a eu de cesse de se développer. Aujourd’hui, elle est présente sur deux vignobles français phares et emploie une quarantaine de salariés. Un rayonnement en France et à l’international Ravoire et Fils ne profite pas seulement de deux sites d’exception (Châteauneuf-du-Pape et Salon-de-Provence). L’entreprise a, en effet, basé ses valeurs sur l’humain et sur une modernisation continuelle de ses outils. Cette dynamique lui permet ainsi de créer des produits aux personnalités propres présents en France et dans le monde. ...
À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie) et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...
Fondée en 2002, par le célèbre architecte d’intérieur et designer et chef Antoine Pinto, la brasserie de luxe belge Belga Queen est considérée comme le plus bel établissement de bouche de Belgique et sans doute d'Europe. Belga Queen est aussi un lieu chargé d’histoire. La brasserie prend place dans un bâtiment datant du début du XVIIIème siècle, ayant auparavant abrité l’Hôtel de la Poste, puis une banque, le Crédit du Nord. L’endroit est aux antipodes d’une brasserie traditionnelle « coude à coude », l’architecture et la gastronomie s’y rencontrant de manière exceptionnelle. Une gastronomie authentique et soignée Belga Queen propose une cuisine belge mise au goût du jour, allégée et agrémentée de touches très nationales à travers notamment l’accompagnement de nombreux plats par la bière. Une gastronomie authentique avec d’excellents produits minutieusement choisis auprès d’artisans belges ayant su garder le respect du terroir. Les vins proviennent de producteurs exclusivement belges tandis que le café Ponti est un mélange de grains ’Pur Arabica’ de plusieurs provenances et torréfiés par un maître belge en la matière. Preuve s’il en faut que le Belga Queen fait la part belge à tout ce que ce pays fait de bon et au-delà. Une architecture dévastatrice Véritable miraculée de l'architecture bruxelloise dévastatrice de la fin des 30 glorieuses, la brasserie Belga Queen en conserve les fondations sérieuses, une salle des coffres impressionnante abritant désormais le légendaire « Club de Cigare », des escaliers propices à se dérober aux regards indiscrets et une verrière surplombant la salle principale dont seuls quelques privilégiés ont pu, à ce jour, observer l'état aérien de grâce et de conservation d'une œuvre d'art à nulle autre pareille. ...
En Bonne Compagnie est né sous l’impulsion de Craig Charlesworth. Lorsqu’il a acquis l’établissement en 2002, il s’agissait alors d’une maison de village. L’emplacement offre un panorama imprenable sur le canal du Midi. Depuis cet exceptionnel point de vue, dégustez les nombreuses spécialités de la maison qui sont un vrai spectacle pour les pupilles et les papilles. Un cadre idyllique d’hier et d’aujourd’hui Depuis sa rénovation en 2011, ce restaurant vous accueille dans une charmante salle qui arbore une décoration offrant une très belle dualité entre l’ancien et le moderne. Si les pierres apparentes donnent du caractère et créent une ambiance chaleureuse, l’escalier en colimaçon, lui, met en avant l’ambiance cocooning de la salle, un style accentué par la mezzanine courbée. Le rendu visuel est magnifique. Et ce n’est pas tout. L’ancienne cour recouverte avec un toit en vitre ainsi que les terrasses ombragées vous invitent à déguster vos plats tout en profitant de la superbe vue panoramique. Une carte authentique faisant découvrir les recettes françaises et du monde Craig s’attelle derrière les fourneaux pour concocter des recettes traditionnelles françaises, avec une pincée de modernité, et des menus authentiques inspirés des saveurs du monde. Une cuisine créative semi-gastronomique qui en séduit plus d’un, d’autant plus que le Chef ne travaille que les produits locaux. De ce fait, la carte change au gré des saisons pour le plus grand bonheur des gourmets et gourmands. Le soufflé à la banane accompagné de vodka au caramel est la petite star de la maison. Ce dessert – qui mélange légèreté et arômes bien prononcés – fait toujours son petit effet et reste sur la carte en toute saison. Pour faire honneur aux savoureux plats, le Chef suggère une carte de vins riche de quelques références issues du Languedoc-Roussillon. ...
Stéphane de Luze, propriétaire du Château de Briat où il produit ses Armagnacs, porte avec passion l’héritage familial dont il représente la 5ème génération. Sa vocation a recueillir les fruits de la terre, à les transcender pour en obtenir des Armagnacs authentiques, s’accompagne d’une autre volonté : accompagner le précieux élixir dans sa nouvelle et légitime ascension. Loin des grosses productions dont profitent d’autres alcools plus populaires, l’Armagnac préserve sa rareté, enfant prodige de petits producteurs ou du "Craft Spirit" depuis toujours Un véritable savoir-faire derrière des Armagnacs charismatiques Les vignes du domaine Pichon-Longueville s’étendent sur 8 hectares, où s’épanouissent des cépages de Baco, de Colombard ou de Folle Blanche. Ici, la production est délibérément limitée. L’agriculture est raisonnée et conjugue tradition et modernité. Un long travail de distillation, un élevage et un vieillissement en barrique de chêne Gascon dont les Armagnacs retiendront la couleur ambrée et une maturité exceptionnelle, donnent à ces bouteilles leur caractère unique, fin et puissant à la fois. Une eau de vie à savourer lors de précieux instants et dont le domaine vous confie la quintessence et le poème. ...