Ce choix leur permet de sélectionner des associés qui ont envie d’investir leur épargne dans des projets viticoles collaboratifs et solidaires. Les associés sont pour la grande majorité des amateurs de vin, sensibles aux valeurs de partage, de plaisir, et qui souhaitent préserver la terre et la diversité de ses terroirs. Devenir associé sur un vignoble Terra Hominis, c’est pouvoir participer pleinement à la vie du vignoble. C’est également faire partie de clubs dédiés qui permettent de profiter d’événements gourmands et conviviaux : dégustation privée, séjours épicuriens, balade en mer… Laissez-vous tenter par cette aventure humaine unique où partage, transmission, entraide et respect sont les valeurs essentielles. 4 questions à Ludovic Aventin, fondateur de Terra Hominis Pourquoi avoir créé Terra Hominis ? Cette activité innovante part de plusieurs constats : - Une génération importante de jeunes vignerons sont formés, - Les deux tiers des vignerons ont plus de 55 ans, et ne souhaitent pas céder leur vignoble à de grosses structures viticoles, - Les jeunes qui souhaitent s’installer en viticulture ne sont pas soutenus par les banques, - Et enfin, la période est morose, les Français disposent d’épargne et cherchent à lui donner du sens. Terra Hominis a donc été créé pour faire le lien entre la Terre et les Hommes. Et ainsi permettre la préservation de nos terroirs et du savoir-faire viticole. Nous avons déjà racheté 16 domaines représentant 90 hectares de vignes, détenus par plus de 1600 associés. En quoi cela n’est-il pas du simple crowdfunding ? Le but des actionnaires n’est pas de faire fortune. D’ailleurs, on parle d’associés plutôt que d’actionnaires anonymes ; nous tissons vraiment ensemble des relations humaines fortes, notamment par le biais de nos différents clubs, et ce système de financement participatif permet de sélectionner nos associés, pour qu’ils partagent vraiment nos valeurs. Le domaine qu’ils possèdent en copropriété est mis en fermage auprès d’un jeune vigneron qui n’aurait pas eu les moyens d‘acheter ses vignes pour exprimer tout son talent. Nous permettons donc à la fois à de jeunes vignerons de s’installer et à des passionnés de vin d’avoir un bout de vigne et des bouteilles pour ancrer leur passion. Qu’est-ce-qui rassemble l’ensemble de vos associés ? L’objet de la participation repose avant tout dans le soutien aux vignerons et dans la préservation de notre terroir et de notre patrimoine culturel. Le loyer perçu en vin n’est pas et ne doit pas être l’élément fondateur de la motivation mais la conséquence. Tisser des relations humaines entre vignerons et associés et entre associés, est pour nous essentiel pour apporter une âme à nos vignobles. Tout le monde y gagne. L’associé s’initie à la vie du vin et du domaine ; et le vigneron, en créant des liens profonds avec les associés, trouve en eux de fabuleux ambassadeurs. Comment s'articule le montage ? L’achat d’un domaine coûte plusieurs centaines de milliers d’euros. Pour Mas Angel, le premier domaine, les 6.4 hectares ont été divisés en parts de 1 300 €, propriété d’une centaine d’associés. Le rendement de ces parts est de 4.5 % par an et il est payé en bouteilles de vin. Les cuvées du Mas Angel varient entre 11 à 32 € en prix public mais les associés les payent, à tarif privilégié (40% de remise), ce qui rend très attractif le principe. Du coup, une bonne partie de la production leur est vendue à eux et leurs relations, avant même la mise en bouteilles du vin. De plus, les associés peuvent commander les vins de l’ensemble des vignobles Terra Hominis à tarif préférentiel (entre 15 à 40% de remise en fonction des cuvées et des vignobles). Et je rappelle que c’est un placement sécurisé puisque le vigneron a seul la responsabilité financière et juridique de l'exploitation. Il est donc seul à en assumer les risques liés aux investissements de l’exploitation. ...
Permettez-moi de vous la conter à ma façon et surtout d’un point de vue plus scientifique ! La chenille est née pour manger des feuilles ! C’est son karma ou sa destinée. Pour ce faire, elle a des pattes qui lui permettent de se déplacer sur un périmètre très limité et de grosses mâchoires pour s’adonner à son activité favorite. Elle vit ainsi, sans se poser de questions, parce que c’est le chemin qui a été écrit pour elle. A sa taille adulte ou à maturité, la chenille, arrivée à un point de non-retour, se trouve lancée dans son processus de transformation programmé. Une pointe d’anthropomorphisme nous autorise à proposer une hypothèse selon laquelle, une vie à manger des feuilles sur une zone géographique réduite trouve forcément une limite : l’ennui ! La chenille a cette chance que, dans son ADN, le processus de transformation est déjà inscrit. Il est donc bientôt temps pour elle, de goûter à la liberté, de déployer ses ailes, d’agrandir son périmètre de vie et d’exploration, de butiner les fleurs - plus nobles que les feuilles - et surtout, de se laisser guider par l’Amour… qui la mènera au plaisir et à sa reproduction ! Jusque-là, rien de nouveau dans mon histoire… mais laissez-moi poursuivre… Poussée par son instinct, notre chenille va donc grimper sur une branche et tisser son cocon avec un fil de soie (ou fil de « Soi »). A l’intérieur de ce cocon, elle libèrera une sorte de mucus foncé qui colorera l’enveloppe pour se fondre dans le décor et la rendra presque invisible, « en mode camouflage ». Lors de cette étape, la chenille va s’étirer, au point de faire craquer la peau de son dos pour se débarrasser du « costume » de sa vie précédente. La voici donc, à l’état de chrysalide, à la fois fragilisée par cette mise à nu et protégée par ce « cadre protecteur » épais et discret. La transformation commence donc par une mise à nu et une mise en sécurité. Allons plus loin encore… Le processus va se poursuivre par une « liquéfaction du passé » ! En effet, depuis toujours la chenille porte au fond d’elle-même, dans son ADN, son devenir : ses ailes et sa liberté ! Pourtant, elle a vécu toute une première vie dans un monde contraint et dicté. Elle s’y est nourrie. Et c’est cela qui rend possible sa transformation ; parce que pendant toute cette période de métamorphose, elle vivra grâce à ce qu’elle aura engrangé jusque-là. La métamorphose commence alors réellement et, peu à peu, la Nymphe (ou chrysalide) va voir son corps se désagréger, se transformer en une sorte de « soupe moléculaire de particules élémentaires » et finalement se réduire à l’essence-même de son être. C’est seulement en revenant à son essence, en repartant du plus pur de son être, que cet individu vivant va pouvoir renaître selon ses nouveaux possibles, ses nouvelles perspectives. Et dans un mouvement continu, son corps va se recomposer selon les besoins de ce nouveau destin : un abdomen plus long pour faire place aux organes de reproduction, des antennes qui capterons l’existence de l’Autre papillon réceptif à ses phéromones, des ailes afin de pouvoir se déplacer et parcourir les kilomètres qui le séparent de cet Autre et, enfin, une trompe qui viendra remplacer la mâchoire devenue inutile puisqu’à l’avenir ce sont les fleurs dont le papillon se délectera en les inspirant seulement. Finalement, tout ce parcours aura été impulsé par une promesse de plaisir, de découvertes, de liberté et même, d’ouverture à l’Autre, au désir et à l’Amour ! Tout ce temps de vie – en pause - aura servi à faire émerger le potentiel merveilleux qui se cachait au fond de cet animal contraint. Alors, oui, la chenille passe par un moment de fragilité extrême et de mise à nu, un moment d’arrêt dans un cadre sécurisé, et oui, ce moment lui aura été indispensable pour permettre bien plus que sa renaissance : sa transcendance ! La chenille ne s’est pas seulement transformée. Un papillon est tout sauf une chen...
Vous avez besoin d’innover ? Vous recherchez une technologie ou des savoir-faire scientifiques pour accélérer le développement de votre entreprise ou pour vous démarquer ? PULSALYS, la SATT Lyon Saint-Etienne propose aux industriels de toute taille et entrepreneurs, un ensemble de services dédiés à la détection, l’évaluation, la protection, l’accélération et le transfert de technologies et de savoir-faire issus des laboratoires de l’université de Lyon. Pour répondre au mieux aux attentes et exigences du marché, PULSALYS investit, en propre ou en co-investissement, dans la maturation technico-économique des projets (exemplification de résultats, prototypage, identification d’applications et marché cibles, évaluation juridique, etc.), et optimise ainsi la qualité et la réussite des transferts auprès de ses partenaires. Consultez nos offres de technologies http://www.pulsalys.fr/entreprise/offres-technologies/ Contactez-nous pour toute demande http://www.pulsalys.fr/contact/ ...
Ayant soufflé ses quinze bougies cette année, l’agence Cézame est forte de son expertise dans le domaine du tourisme d’affaires. Allant de la conception à l’organisation intégrale, en passant par les conseils prodigués par une équipe chevronnée, chaque événement se déroule sous le signe de la réussite. Prônant la rigueur, l’efficacité et la qualité des services, cette agence s’est forgée une réputation, qui va aujourd’hui au-delà des mers, grâce, notamment, à un réseau de partenaires internationaux fiables et garants de la réussite de chaque projet. Une offre sur mesure pour votre satisfaction Le sur-mesure, la signature de Cézame. Tel un « pass » pour un univers enchanteur, cet opérateur vous ouvre les portes vers le succès et le développement de vos activités. Pour ceux qui ont fréquemment besoin de se rendre à l’extérieur pour y rencontrer leurs clients ou leurs partenaires, l’agence s’occupe de tout, allant du transport à l’hébergement, en passant par l’accueil. De nombreux autres services relevant de la logistique sont également inclus dans ces prestations rendues possibles grâce à la « présence de correspondants servant de relais partout dans le monde, allant de New York à Strasbourg, en passant par Bangkok », nous explique Matthieu Delavallade, expert en tourisme d’affaires et gérant de l’agence Cézame. Suivant le but de ses voyages, l’agence s’efforce de fournir une offre personnalisée en accord avec les attentes réelles du client. Outre ces déplacements méticuleusement organisés, les entreprises souhaitant organiser des séminaires, des conventions, des lancements de produits ou des congrès trouveront ici un partenaire de confiance. Dans le respect du cahier des charges, les lieux de réception, les activités extraprofessionnelles, l’hébergement ainsi que l’accompagnement technique seront choisis et octroyés dans le but de faire de chaque projet une réussite. Pour les entreprises et les groupes qui souhaiteraient remercier, fédérer ou souder leurs collaborateurs, Cézame offre également ses services en la matière, avec à la clé, des événements sur mesure élaborés de A à Z, qu’importe la destination ou la thématique choisie. « Toujours grâce à nos partenaires et correspondants locaux, nous pouvons émettre des recommandations personnalisées en fonction de ce que le client recherche », continue Matthieu Delavallade. La billetterie d’affaires : l’innovation en marche L’agence Cézame se veut être le précurseur du voyage de demain. Nul besoin de se déplacer pour réserver un billet ici et là, même si les destinations ne sont pas les mêmes. Cette société de services permet à ses clients, « grâce à la centralisation du processus d’achat de billets, d’acheter des billets d’avion ou de train au même endroit avec tout l’après-vente qui va avec », reprend notre interlocuteur. Et ce dernier de poursuivre : « cela est possible grâce à un partenariat fiable avec la SNCF et l’IATA, symbolisé par l’octroi d’agrément provenant des deux parties. Ce processus permet, à qui le voudrait, de choisir parmi toutes les destinations de son choix, allant des classiques aux tendances ». Ce savoir-faire inégalé, basé sur un service orienté vers la satisfaction, fait de cette entreprise le plus beau fleuron de son domaine. ...
Se concentrer sur l’humain La richesse d’une entreprise est faite des personnes qui composent ses effectifs. Accompagner les salariés vers un « mieux-être » améliorera donc également les performances de l’entreprise. « L’humain a toujours été ma priorité. C’est ce qui m’anime, ce qui me fait avancer » explique Gyslaine Gauthier, coach professionnelle et fondatrice de H Comme Humain. Ma vision du coaching consiste donc à bâtir une relation d’aide à la fois bienveillante et humaniste avec mon client et à l’accompagner vers un ‘’mieux-être’’. Concrètement, si j’interviens auprès d’un dirigeant, la plupart du temps, je travaille sur la notion de performance ou encore sur la gestion du stress. En revanche, si c’est une équipe que j’ai pour mission d’accompagner, j’adopte alors une vue d’ensemble des interactions existantes tout en m’intéressant aussi aux individualités dont elle est constituée. Par exemple, il n’est pas rare qu’un manager soit un salarié qui aura été promu et qui éprouvera des difficultés à assumer son nouveau statut. Notamment parce qu’auprès de ses équipes, il sera passé du stade de collègue, voire d’ami à celui de supérieur hiérarchique ». Bienveillante mais exigeante Son passé d’infirmière libérale spécialisée en cancérologie et en soins palliatifs a permis à Gyslaine de développer une approche très emphatique du coaching tout en maintenant une juste distance avec les personnes qu’elle accompagne. « J’ai une écoute très humaniste et bienveillante que n’auront probablement pas un ancien manager qui se serait reconverti dans le coaching ». Mais tout en faisant monte de bienveillance, Gyslaine n’hésite pas à faire sortir le coaché de sa zone de confort si cela peut l’aider à trouver en lui les réponses aux questions qu’il se pose. « Un coach n’apporte jamais de réponses. C’est au coaché de les trouver lui-même » explique-t-elle. « Pour autant, au cours de mon accompagnement, je vais révéler à mon client des réalités qu’il n’avait pas forcément envie de voir. Mais au final, c’est lui qui décidera de la voie qu’il désire emprunter. Mon but, c’est de l’aider à s’autonomiser ». Seule une formation reconnue permet un accompagnement de qualité Tout coach digne de ce nom doit avoir suivi une formation auprès d’un établissement reconnu. « Dans le contexte actuel, la formation constitue plus que jamais un critère essentiel dans le choix d’un coach » indique Gyslaine. « On assiste à une recrudescence des coachs. Mais alors que la profession est très encadrée, le terme de coach tend, quant à lui, à être galvaudé. On l’utilise partout, à tort et à travers. Et cela risque de décrédibiliser le métier ». Lorsque l’on choisit un coach, la première chose à faire, c’est donc de vérifier qu’il est bien certifié. « C’est un gage de qualité et de professionnalisme ». La mise en place d’un contrat de coaching est un autre point à scruter en priorité. « Je fais systématiquement signer à mon client un contrat dans lequel est précisé le cadre au sein duquel interviendra sa prise en charge : le lieu, les horaires, les objectifs à atteindre, la durée de l’accompagnement, etc. Si un coach reste vague quant au nombre de séances, méfiance… » précise Gyslaine. ...
Révéler l’existant Chaque fois qu’une personne fait appel à ses services, que ce soit pour qu’elle l’aide à franchir une étape importante dans sa carrière, à atteindre ses objectifs, à retrouver de la motivation ou à prendre du recul...vital dans certains cas pour éviter le burn out ou la rupture, la démarche d'Anne Delestan, la fondatrice d'Elansité, est la même : ne rien imposer et révéler l’existant. « Je pars toujours du principe que les fondamentaux sont là », explique-t-elle. Et d’ajouter que son action « doit se limiter à révéler cet “existant”. Puis à le faire grandir ». Alors qu’ils croient manquer de quelque chose, la plupart de ses clients auraient, en réalité, oublié les atouts dont ils disposent. « Ils doutent. Ils se sont persuadés qu’ils ne savaient pas alors qu’ils avaient tout simplement oublié qu’ils savaient… On a trop souvent tendance à se focaliser sur d’éventuels dysfonctionnements. Et donc à négliger ce qui fonctionne bien », constate-t-elle. Bref, si l’on a tous en nous quelque chose de Tennessee (ça, ce n’est pas Anne Delestan mais Johnny Hallyday qui le dit…), de la même façon, nous aurions tous, au fond de nous, le potentiel d’aller plus loin – pour autant qu’un coach compétent nous aide à nous en souvenir – et de surmonter les obstacles qui se présentent devant nous. Le coaching comme un cheminement Une autre caractéristique du coaching tel que le conçoit et le pratique Anne Delestan tient au fait qu’il se rapproche d’un cheminement. « Coacher quelqu’un consiste à l’accompagner. À le guider le long d’un chemin de (re)découverte de soi », précise Anne Delestan dont les clients apprécient la « confrontation bienveillante » qu’elle met en place. « J’utilise souvent la métaphore de la danse à deux pour parler du coaching. » Respecter le tempo de l’autre, épouser son rythme, se mettre à son diapason, tout ça, c’est primordial. Ce n’est qu’à ce prix qu’une danse sera harmonieuse et aussi que l’on se montrera respectueux de son partenaire », précise Anne. Qui met ainsi un point d’honneur à toujours prendre soin de « respecter l’écologie » de son interlocuteur. Ne pas balayer ce que l’on a bâti mais s’y appuyer Pour savoir qui on est et où l’on va, il est important de savoir d’où l’on vient… Pour aider ses clients à développer leur potentiel – après l’avoir révélé ou redécouvert – et à renouer le contact avec leur parcours de vie professionnelle, Anne Delestan les encourage à ne pas balayer le socle qu’ils ont bâti. « L’idée, c’est, au contraire, de s’appuyer sur les fondations que l’on a édifiées afin de mieux appréhender ce qu’il nous reste à construire. » ...
Julien Favre, porteur du projet, est parti du constat que trouver une formule d’assurance pour sa maison, sa voiture ou son voyage relève d’une démarche complexe et fastidieuse. Il a su exploiter efficacement l’émergence des leviers numériques pour centraliser et trier toutes les solutions d’assurance et les mettre à disposition des internautes. Optimiser la recherche d’un service d’assurance en la réduisant à quelques clics est ainsi au cœur de l’innovation d’Assur.com. Un concept à dimension technologique « Notre technologie permet d’accompagner les internautes dans leur recherche d’assurance qui convient le mieux à leurs besoins » introduit Mona Saidi, marketing manager du projet. Cette technologie prend forme via un moteur de recherche interne, une interface intuitive et un système de QCM simple. Derrière, un algorithme performant identifie, sélectionne et centralise toutes les réponses qui correspondent au mot-clé parmi les produits référencés sur la plateforme. Ceux-ci sont regroupés par catégorie : santé, habitation, voyage, véhicule, prévoyance, assurance professionnelle et divers pour les demandes plus spécifiques. Contrairement aux autres portails, Assur.com oriente sa démarche vers une approche centrée client en proposant un service beaucoup plus instantané, simplifié et impartial. En effet, la recherche ne requiert ni remplissage de formulaires ni données personnelles et les résultats affichés redirigent directement vers le site de l’assureur sans qu’il y ait transaction directe sur la plateforme. « Le service est résolument à caractère informatif que commercial, nous ne souhaitons pas influencer la décision d’achat des utilisateurs » précise l’équipe. Améliorer l’expérience client Le site est conçu de façon à donner un confort de navigation optimale : user-friendly, fluide et sans intrusion. Sur ce même principe, les assureurs sont encouragés à proposer un site web attractif et ergonomique qui offre la possibilité d’une souscription online en quelques secondes. Dans son axe de développement, Assur.com cherche à affiner son algorithme, de sorte qu’il devienne une technologie autonome, capable de prendre en charge automatiquement les mises à jour. Pour cela, Julien Favre et son équipe envisagent d’intégrer d’autres framework d’intelligence artificielle comme Scrapping ou Semantic Analysis. En parallèle, ils travaillent également sur de nouveaux partenariats afin de couvrir tous les segments d’assurance sur le marché français. À plus long terme, le projet aspire à percer le marché européen et américain. ...
Promouvoir efficacement les vins spiritueux français hors de nos frontières Cocorico ! À l’international, force est de constater que les vins et spiritueux français ont la cote ! Jugez plutôt, pour l’année 2017, ce sont plus de 2 milliards (2 388 000 000, pour être précis !) de bouteilles de vins et spiritueux français qui ont été exportées. De l’avis des professionnels du secteur, les 12,9 milliards d’euros que toutes ces ventes auront générés constitue un record « historique ». Et quelque chose nous dit que Business France qui organise régulièrement des dégustations professionnelles de vins et spiritueux français hors de nos frontières n’est pas étranger aux excellents résultats enregistrés par la filière viti-vinicole. Car voilà, lorsque l’on est un producteur ou un négociant en vins et spiritueux, il peut se révéler difficile de commercialiser efficacement sa production en Europe et au-delà : comment s’y prendre pour communiquer sur ses produits ? Qui contacter ? Autant d’obstacles à surmonter… Et c’est là que Business France intervient. En organisant régulièrement des dégustations professionnelles Tastin’France auprès d’acteurs locaux (distributeurs, cavistes, importateurs, restaurateurs, négociants, etc.) triés sur le volet, Business France permet, en effet, aux producteurs, agents et négociants français de faire connaître leurs vins et spiritueux dans les meilleures conditions qui soient. « L’idée, c’est vraiment de leur donner les moyens d’aller à la rencontre des professionnels locaux et d’aider nos producteurs, agents et négociants à répondre à leurs besoins en termes de développement à l’international » explique Fabienne Le Goc, Responsable du Pôle Rencontres BtoB - Service Vins et Spiritueux chez Business France. Tout mettre en oeuvre pour déclencher les commandes à l’export Pour faire découvrir les vins et spiritueux français et mettre en relation les producteurs et les négociants français avec les décideurs étrangers, Business France dispose de tout un arsenal. Tout d’abord, cette société dispose d’un solide savoir-faire. « Nous faisons profiter nos clients de notre expertise en leur fournissant des prestations de conseil pour améliorer leur démarche d’exportation » précise Fabienne Le Goc. Business France peut également s’appuyer sur son réseau : répartis dans 93 bureaux, 60 experts aident les producteurs et négociants français à exporter dans 73 pays du globe. Car sa parfaite connaissance des marchés locaux et de leurs spécificités constitue indéniablement l’un ses principaux atouts. De plus, la logistique que Business France est capable de déployer (organisation de dégustations ciblées, envois d’échantillons, organisation de voyages, rédaction de communiqués de presse, édition d’un catalogue de produits, réalisation d’études de marché, prêt de matériel de dégustation , etc.) pour accompagner les professionnels hexagonaux dans leur projet d’internationalisation participe clairement au succès de son action. Bref, autant de leviers que Business France ne manque pas d’actionner pour booster les commandes à l’export des acteurs du marché des vins et spiritueux qui font appel à leurs services. « Nous sommes un activateur d’affaires » indique Fabienne Le Goc. Pour l’année 2018, ce sont ainsi 57 dégustations qui ont été programmées : 19 d’entre elles auront pour cadre les principaux marchés européens (Belgique, Pays-Bas, Europe de l’Est, Scandinavie, etc. ). Et 38 porteront les couleurs de nos vins et spiritueux ailleurs dans le monde ! « En tout, cela représente une trentaine de ‘’tours’’ qui seront organisés dans plus de 50 pays ». ...
Les compétences complémentaires des professionnels et experts travaillant au sein d’In’Crea Conseil permettent à ce cabinet de proposer des missions de coaching classiques, des diagnostics sociologiques des organisations et un accompagnement de la communication autour de ces missions. « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». Une équipe pour initier, développer et intensifier les synergies En 2005, Catherine Buat décide de travailler à son propre compte en lançant une activité de conseil, de coaching et de formation. Quelques années plus tard, certifiée MCC (Master Certified Coach) par l’International Coach Federation, elle souhaite développer son activité et cherche alors de nouveaux associés. « J’ai voulu un positionnement original sur le marché : la volonté d’être résolument systémique à la fois par les outils que nous utilisons et par les liens que nous établissons entre approche sociologique, coaching, conseil et formation », explique-t-elle. C’est dans ce contexte que nait In’Crea Conseil. Résolument impliqué dans le développement des entreprises finistériennes, In’Crea Conseil c’est également un groupe GERME animé par Catherine BUAT et un groupe APM animé par Pierre GUILCHER. Créer la différence d’où naitra la performance Spécialisé en coaching d’entreprises, In’Crea Conseil se sert des apports de la systémique et de l’intelligence collective comme des leviers de performance et de progrès. L’objectif est de faire réfléchir les équipes autour de nouvelles manières de travailler ensemble, favorables à l’épanouissement et à l’expression des talents. « Notre objectif, c’est également de les accompagner dans la communication de ces changements auprès de leurs propres équipes dans le but d’amplifier et de démultiplier les effets du coaching. » L'importance de la dimension sociétale chez In’Crea Conseil La dimension humaniste fait partie intégrante de l’ADN d’In’Crea Conseil « Notre mission est d’accompagner nos clients dans l’élaboration d’une vision stratégique et l’organisation à mettre en place pour y parvenir », rapporte notre interlocutrice. « Nous sommes là pour les aider à donner du sens notamment par leur implication dans le développement de leur territoire, sur la question de l’écologie et aussi, autour de la Qualité de Vie au Travail. Parce qu’une fois de plus… tout est lié ! » Rejoignez-nous sur increa-conseil.com ...
A la suite à la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté, la nouvelle région a voulu rassembler les forces du territoire en unifiant les deux Agences économiques historiques à savoir l’ARD (Franche-Comté) et l’ARDIE (Bourgogne) en une seule entité. De cette initiative est née en 2017, l’Agence Économique Régionale de Bourgogne-Franche-Comté (AER BFC). L’AER BFC est une Société Publique Locale (SPL) chargée d’une double mission : favoriser les créations économiques et d’emplois et assurer le développement économique régional en intervenant auprès des entreprises et des territoires. Accroître les activités économiques du territoire Société Publique Locale, l’AER BFC est composée d’actionnaires publics dont la Région Bourgogne-Franche-Comté qui en est majoritaire. L’actionnariat est également détenu par les EPCI (Établissement Public de Coopération Intercommunale) régionaux : plus d’une cinquantaine sont entrés au capital de l’Agence. Ainsi, avec près de la moitié des EPCI régionaux, la gouvernance de l'Agence assure la représentation de 73% de la population. « Nous œuvrons pour le compte de nos actionnaires notamment de la Région qui assure l’essentiel de notre chiffre d’affaires. Le pilotage régional est organisé à partir des orientations du schéma régional de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII) qui a été adopté par la Région et qui définit clairement les missions de l’agence économique », nous explique Arnaud Marthey, Président de l’AER BFC. Ce SRDEII détermine les priorités régionales et a été imposé par la loi NOTRe qui selon les précisions de notre interlocuteur « donne désormais des compétences fortes à la Région, le chef de file du développement économique local mais également aux intercommunalités ». Lesdites orientations incluent entre autres des plans d’actions visant à apporter un soutien aux TPE et PME. Accompagner les entreprises existantes dans leur croissance constitue justement l’une des priorités de l’AER BFC. Pour booster le développement des filières et des entreprises, l’Agence mise sur des méthodes finement pensées. A titre d’exemple, elle est actionnaire dans près de 57 entreprises cotées en bourse basées en Bourgogne-Franche-Comté lui permettant de se placer au cœur des décisions stratégiques prises au sein de celles-ci. La gouvernance de l'AER BFC est aussi en train d’évoluer pour y associer des chefs d’entreprises et des représentants du monde entrepreneurial, au sein d’une instance spéciale, pour bénéficier de leur expertise de terrain. Dans tout cet élan, l’AER BFC contribue aussi au développement de l’innovation et de l’éco-innovation. « Nous avons à cœur de favoriser la compétitivité de nos entreprises, leur permettre d’évoluer dans leurs pratiques, dans les nouvelles technologies et dans plusieurs domaines innovants », fait savoir Arnaud Marthey. Le territoire compte notamment 5 pôles de compétitivité : Nuclear Valley, Plastipolis, Pôle des MicroTechniques, Pôle Véhicule du Futur et Vitagora. Il abrite trois villes labellisées French Tech : Besançon, avec la labellisation HealthTech ; Chalon-sur-Saône, avec la labellisation IOT Manufacturing ; et Dijon, avec la labellisation FoodTech. Une de ses filières phares est l’énergie avec l’Hydrogène. La région a la chance d'être détentrice d’une labellisation « Territoire Hydrogène » qui lui permet d’être un vrai laboratoire pour cette énergie d’avenir. Cette filière profite notamment de la forte dynamique en matière de recherche. Il faut dire que la région possède des atouts considérables. « Nous avons près de 6000 chercheurs avec un ratio de chercheurs privés parmi les plus importants, nous disposons de 14 centres d'excellence mondial et 51 unités de recherche en Région &...
Créée en avril 2015, l'agence de développement économique Openîmes assure la promotion de deux pôles porteurs (Santé et Sécurité civile) en proposant des offres personnalisées aux entreprises qui envisagent de s'installer sur le territoire. Une filière santé définie autour des dispositifs médicaux Le marché des dispositifs médicaux est aujourd’hui un secteur en pleine croissance. Soutenu par une innovation importante et constante, les dispositifs répondent à des besoins de plus en plus variés. Selon les estimations, environ 800 000 dispositifs médicaux sont présents sur le marché français. À court ou à long terme, ils vont constituer un enjeu de taille pour la santé de demain. Selon le Pr Paul Landais « une interaction forte entre les fabricants de dispositifs médicaux et la communauté médicale est essentielle pour les années à venir. L’intérêt de constituer ce pôle est prioritaire. » Sur ce point, Nîmes ne manque pas d’atouts à faire valoir lorsqu’il s’agit d’aborder la question du développement des dispositifs médicaux. Le Grand Nîmes profite en effet d’un écosystème favorable, qui s’explique notamment par la présence de nombreux acteurs de la chaîne de valeur formant un ensemble cohérent et collaboratif. Les créateurs d'entreprises sont soutenus par un réseau dense d'accompagnement avec l'incubateur BIC Innov'Up et plusieurs pôles de compétitivité (Eurobiomed, Optitec, Aerospace Valley). Le CHU de Nîmes possède en son sein un institut spécialisé dans l'évaluation clinique des dispositifs médicaux (IDIL). Plusieurs instituts sont spécialisés dans des domaines très pointus comme l'ARAMAV dans les domaines de la basse-vision et les implants rétiniens, ou l'institut méditerranéen des métiers de la longévité (I2ML). Ils permettent des interactions fructueuses entre les mondes de la recherche et de l'entreprise. De nombreuses entreprises médicales sont d'ailleurs présentes sur Nîmes. Ces dernières bénéficient d’un écosystème doté d’un tissu économique et industriel à même de satisfaire leurs besoins technologiques. Advance, Bastide le confort médical, Advicenne Pharma, Idetec Medical Imaging, Cézanne Thermo Fisher… entre autres figurent parmi les entreprises qui ont judicieusement choisi de s’implanter sur le Grand Nîmes. Des compétences en médecine d’urgence L’agglomération nîmoise est une des premières régions françaises dans le secteur des dispositifs médicaux, il dispose aussi de solides arguments pour développer sur son territoire une autre spécificité : la médecine d’urgence et de catastrophe. Là aussi, Nîmes Métropole se singularise, en abritant la base de Sécurité civile, qui concentre sur l’aéroport de Nîmes-Garons l’ensemble des moyens aériens français de la Sécurité civile, avec pour projet de devenir à terme un pôle européen. La Sécurité civile a basé à Nîmes la partie médicale de l'hôpital de campagne mobile ESCRIM (Élément de la Sécurité Civile Rapide d’Intervention Médicalisée). Relevant du SDIS 30, cet hôpital opère sur les lieux de catastrophe pour assurer la continuité des soins jusqu’au rétablissement de structures médicales durables. Enfin, le pôle logistique de la Croix Rouge regroupe à Nîmes des moyens mobilisables dans le cadre de missions d’urgence : dortoirs, cellule médico-psychologique, PC de commandement… L’intérêt pour les entreprises est évident : ils seront ici non seulement en contact avec les acteurs de la médecine d’urgence et de catastrophe, mais aussi avec les professionnels de la Sécurité Civile. Le projet de territoire : BaseCamp https://www.youtube.com/watch?v=TTtOjnBrmFk ...
Une école reconnue et une formation de haut niveau Reconnue par l’État, Espace Transitions dispense des formations inscrites au Registre national des certifications professionnelles. Gage de qualité s’il en est, cette inscription au RNCP atteste du fait que la formation est adaptée au marché de l’emploi. Et qu’elle débouche sur un métier. Celui de coach professionnel, en l’occurrence. « Parmi nos élèves, certains envisagent une reconversion professionnelle. D’autres sont des cadres ou des managers qui, s’ils n’ont pas l’intention de quitter leurs fonctions, souhaitent changer de posture et modifier leur manière d’encadrer leurs équipes. D’autres sont consultants, travaillent dans les RH ou viennent de cabinets de bilan de compétences et souhaitent se doter d’une démarche d’accompagnement car ils ont compris qu’acquérir une posture de coach constituait une complémentarité appréciable. Nous comptons aussi parmi nos élèves des personnes de tous âges qui veulent mettre l’expérience professionnelle qu’elles ont acquise au service des autres et monter leur propre activité. Certains souhaitent disposer de revenus complémentaires à la retraite ou en complément de leur emploi. » Accompagner les transitions L’une des spécificités d’Espace Transitions réside dans l’importance accordée à l’accompagnement des futurs coachs. « Nous permettons aux stagiaires de vivre leur propre mutation tout en apprenant le métier de coach et en découvrant leur singularité. Et c’est parce qu’ils ont vécu cette mutation que les coachs peuvent accompagner leurs clients. » C’est un métier en plein essor qui demande des professionnels possédant une véritable expertise d’accompagnement. En clair, si le coaching s’inscrit dans une « relation d’accompagnement qui permet à la personne accompagnée d’explorer son potentiel et de développer ses ressources, tant personnelles que professionnelles », on pourrait en dire tout autant de la formation au coaching. « Réaliser sa propre transformation nécessite de réaliser un gros travail sur soi. » D’où l’importance d’un accompagnement attentif, bienveillant et de qualité. « Nous aidons nos élèves à travailler sur leur propre transition, mais aussi à élaborer un projet de vie professionnel adapté à leurs attentes. » Un projet professionnel structuré « En quittant l’école, à l’issue de leur formation, nos coachs disposent d’une formation solide. Ils auront également mûri un projet professionnel structuré, sur mesure, affiné en fonction de leur expérience, de leurs envies et de leurs priorités », insiste Maud Poitevin. Ils mènent de nombreuses expérimentations telles que le « co-coaching » entre pairs, des missions de coaching supervisées, ils sont tutorés… Cela leur permet de définir leurs spécificités : les clients qu’ils cibleront en priorité, par exemple, du coaching individuel ou collectif, coaching de vie ou professionnel, coaching stratégique ou de dirigeants. Certains pourront alors choisir de travailler avec des personnes souffrant d’un handicap, de coacher à l’aide de chevaux. D’autres accompagnent en marchant ou utilisent le « nez de clown ». Et il y en a qui créent leur propre méthodologie. Développer « l’écoute profonde » de l’autre Dans le cadre de leur formation, les futurs coachs apprennent à développer une vraie qualité de relation à l’autre. C’est une autre singularité de l’école. « Nous mettons l’accent sur “l’écoute profonde” de soi et de l’autre. Cette notion de “pleine présence” est essentielle à nos yeux. Nous la travaillons par le biais, notamment, d’exercices de respiration et de méditation. Car c’est en étant présent à soi-même que l’on pourra l’être pour son interlocuteur. Et pour cela, il est important que ce que l’on pense, ce que l’on sent et ce que l’on ressent soient parfaitement align&e...
Devis gonflés, absence de transparence au niveau des tarifs, mauvaises surprises à l’arrivée… Comme tout le monde, Walid Bahri a été à maintes reprises confronté aux problèmes liés au transport d’objets lourds. C’est ainsi que l’idée lui est venue de créer VUAC. La mission de cette startup ? Apporter une solution pratique et efficace pour le transport d’objets volumineux. Des offres selon les besoins et le budget Qu’il s’agisse de particuliers ou de professionnels, VUAC transporte à la demande tous les objets encombrants, en mettant à disposition des véhicules utilitaires avec chauffeur. En fonction des besoins, les clients peuvent choisir, via la plateforme, le volume de l’utilitaire et l’offre qui leur convient. En procédant ainsi, ces derniers sont à l’abri des mauvaises surprises. « Chez nos concurrents, tout est estimé selon la nature et le nombre des objets transportés. Avec VUAC, c’est très différent. Car une fois le volume du véhicule choisi, le prix ne change pas ! S’il reste de la place, le client peut mettre d’autres objets », souligne le fondateur. En effet, faire confiance à VUAC, c’est profiter de nombreux avantages. Bien entendu, la startup s’engage sur la transparence de la tarification. Mais elle se démarque aussi par la rapidité de son service. « Les clients font leur commande en quelques clics sur notre site et nos véhicules sont disponibles en une heure », fait savoir notre interlocuteur. Un professionnalisme à toute épreuve Afin d’assurer un service de qualité, VUAC travaille uniquement avec des transporteurs professionnels qui font l’objet d’une sélection rigoureuse. « Tous nos transporteurs bénéficient d’une longue expérience dans le domaine et sont assurés dans le transport de marchandises », nous indique-t-on. En outre, pour garantir la fiabilité de leurs prestations, les VUAC Drivers disposent des meilleurs équipements. ...
Un mastodonte de l'événementiel à l'international GL events est l’acteur principal quant à l’organisation d’événements au niveau mondial. Il assure un leadership incontesté dans le domaine et bénéficie de la confiance des grandes institutions internationales pour assumer la coordination de leurs principaux rendez-vous. Parmi le millier d’événements que le groupe orchestre chaque année, on compte l’organisation des trois dernières Conférences des parties (COP), dont celle de Paris qui a été un succès salué internationalement, ainsi que les derniers Jeux olympiques au Brésil. Le groupe s’est aussi illustré en participant à la mise en place du Festival de Cannes et celle de la dernière Coupe du monde de Rugby. « Fort de cette activité internationale, GL events venues a constitué un réseau d’une quarantaine de sites dans le monde entier, de São Paulo à Budapest, en passant par La Haye ou bien Barcelone, offrant une solution unique multi-destinations à nos clients. », confiait récemment à la presse Christophe Guérin, Directeur général Destination Paris chez GL events. C’est de la volonté de repositionner la capitale française à cette longue liste de destinations prémiums qu’est né Paris Venues. Des cadres historiques uniques pour vos événements Pour offrir un choix d’emplacements à l’identité marquée à ses clients, Paris Venues a réuni cinq lieux emblématiques et chargés d’histoire au cœur de la ville lumière. L’Espace événement et le Pavillon de la Chesnaie du Roy du Parc Floral de Paris, lieu idéal pour accueillir des événements de plein air dans un cadre de nature et de verdure, La Maison de la mutualité, site légendaire de la rive gauche et le Paris Event Center, considéré comme un espace moderne et tendance. À cette liste, s’ajoute le Palais Brongniart, anciennement Palais de la Bourse, monument napoléonien phare du XIXe siècle. Chaque lieu à sa spécificité et est complémentaire des autres. Ils offrent chacun un cadre subtil et particulier pour la réussite de l’organisation d’événements et laisseront un souvenir impérissable dans la mémoire des visiteurs. « Plutôt que d’avoir des sites isolés, on a décidé de les réunir pour faciliter l’accueil des participants. Cela leur permet d’obtenir une diversité et une complémentarité. Sur une destination parisienne très prisée et très concurrentielle, on a une capacité d’accueil de 15 000 personnes et la possibilité maintenant d’accompagner un même client sur tous nos sites », explique Fanny Gautier, Responsable Communication Destination Paris. Pour répondre aux besoins croissants d’une clientèle variée et toujours plus exigeante, GL events Paris a mutualisé et augmenté sa force de vente en créant une direction générale spécifique pour la destination Paris dans le but de présenter beaucoup plus de solutions que les sites seuls ne pouvaient le faire auparavant. « D’une réunion de 10 à 2 000 personnes, en passant par une convention interne, un salon d’enseigne ou un dîner de gala, GL events Paris Venues possède forcément une solution adaptée aux besoins de ses clients. En fonction de leurs attentes, nous pouvons proposer une offre sur mesure ou packagée. Pour les participants, c’est l’assurance d’un vrai confort mais c'est aussi d'une grande facilité et simplicité dans l’organisation des réservations avec un seul interlocuteur », poursuit Christophe Guérin. ...
Une pérennité managériale dans un contexte de mutations La France, contrairement aux Etats-Unis, au Canada et à la Chine a longtemps dissocié le management du leadership, et a récemment pris conscience des enjeux d’investir dans les ressources managériales. Les dirigeants et les managers d’aujourd’hui doivent pleinement incarner leur leadership ; donner du sens, exprimer clairement leur vision, et susciter l’envie auprès des collaborateurs d’aller vers un objectif commun. Mais pas seulement… Alors que la littérature abonde de styles de leadership différents – leadership directif, collaboratif, participatif, visionnaire...– frisant parfois la schizophrénie pour ceux qui souhaiteraient passer d’un style à un autre selon les interlocuteurs, les circonstances ou les modes, lequel adopter ? On assiste à une prise de conscience que le paradigme du leader doit changer et évoluer vers un style unique, singulier et authentique, lui permettant ainsi d’asseoir son plein épanouissement et celui de ses collaborateurs tout en assurant la durabilité des organisations. Il était temps que l’on repense ce concept car ailleurs dans le monde le leadership authentique fait flores et l’adhésion profonde et personnelle des collaborateurs est un facteur puissant de résultats. Le leadership authentique apparaît aujourd’hui comme le style de leadership le plus approprié pour faire face aux transformations de l’entreprise tout en permettant de réconcilier la performance et l’humain de façon durable. Né de la psychologie positive et humaniste, W.L Gardner éminent universitaire et chercheur américain, auteur prolifique de plusieurs ouvrages et études sur le leadership, le management et les organisations affirme : « l’authenticité c’est à dire la connaissance de soi et la capacité à agir de façon consistante ou cohérente avec le meilleur de ce soi, est le socle de tout style de leadership et assure sa moralité en même temps que sa durabilité ». Un capitaine et des valeurs Les éléments clés du leadership authentique sont la conscience de soi et l’éthique. Ces questions semblent encore ici en France beaucoup déplacées, comme hors sujet dans un univers ou seules comptent l'efficience et le résultat. Pourtant, chaque nouvelle marche à franchir est de plus en plus haute. Les remises en question, profondes, sécurisantes, bouleversantes, interrogent de plus en plus souvent nos valeurs individuelles et collectives profondes. La civilisation du numérique et de la finance fait ployer nos organisations collectives, et questionne en profondeur les valeurs des sociétés. Et la nature ayant horreur du vide, les obsessionnels du chiffre se font petit à petit supplanter. Sans compter que les nouvelles générations ont besoin d'aimer ce qu'elles font, d’adhérer à un projet porteur de valeurs : c'est le seul moyen de les stabiliser dans l'entreprise. "Le leader authentique sait ce qui fait sens pour lui et est capable de le partager. Il noue des relations grâce auxquelles les personnes se sentent engagées et donnent le meilleur d’elles-mêmes. Il inspire confiance car il travaille sur lui-même et se remet en cause." souligne François-Daniel Migeon, homme clé de l'importation du concept en France et auteur du "Leader authentique" " publié chez Eyrolles en 2013 où il développe le concept comme « le chemin le plus court vers une contribution professionnelle riche de sens, efficace et durable ». Nommé directeur général de la Modernisation de l'Etat entre 2007 et 2012, il partage son expérience en déclarant : "J'ai eu la faiblesse de penser que l'essentiel du changement serait rendu possible grâce à des méthodes et des techniques. Au fil du temps, j'ai accordé de plus en plus d'importance aux hommes et aux femmes qui portaient la transformation". Mieux être et rentabilité optimisée Aucun hasard donc pour un tel engouement ; des chiffres sonnants et trébuchants. Le cabinet de conseil américain KRW International, spécialisé en Leadership, a établi dans une étude que "les dirigeants dont la personnalité a été bien notée par les employés obtenaient une rentabilité des actifs moyenne de 9,35...
Création de salles, formation des maitres du jeu, accompagnement en communication… The Great Escape Game Location fournit un service complet à destination des professionnels qui souhaitent se lancer sans risques sur le marché très prometteur de l’escape game. Des expériences de jeu différentes Basé à Montpellier, The Great Escape Game a ouvert ses portes en 2006 à l’initiative d’Hélène Henry et de sa sœur Marie. « Nous avons commencé avec deux salles et nous avons récemment ouvert la quatrième », déclare Hélène Henry pour expliquer le plein essor de son activité. Depuis la création de leur espace game, les deux sœurs ont fait en sorte que les offres proposées puissent convenir à un large public et notamment les familles. Pari réussi. Grâce à des scénarios bien ficelés et des décors réalistes, The Great Escape Game a vite acquis une notoriété auprès d’un public varié. Les quatre salles de jeu (the Ring, l’Abattoir, le Cachot et les Recrues) proposent des expériences différentes. Dans chacune d’elles, les joueurs y trouvent leur bonheur, qu’ils soient amateurs ou aguerris, parents ou enfants ou bien encore salariés d’entreprise. Sur ce point, notre interlocutrice précise : « Une de nos spécificités est que nous disposons d’un format inédit de 2 ou 3 joueurs dans la salle “le cachot”. Mais comme nous avons quatre salles, on peut aussi recevoir jusqu’à une vingtaine de personnes pour des team-building. » Un concept unique dédié aux professionnels Aujourd’hui, monter une salle d’escape game peut s’avérer très couteux en termes de temps mais aussi d’argent. The Great Escape Game Location est actuellement la seule structure qui propose des locations de salles d’escape game dédiées aux professionnels. Véritable pionnier en la matière, The Great Escape Game Location propose des services clé en main incluant la création d’un scénario adapté, la mise en place de la salle et de toutes les installations (ambiance sonore, décoration, énigmes, etc.), la formation complète des maitres du jeu, la gestion du stock des consommables et l’accompagnement en communication. « Pour les professionnels, nous allons jusqu’à mettre en place leur site Internet, en leur proposant notre expérience en graphisme à travers des visuels et des textes accrocheurs pour mieux promouvoir leurs activités », souligne la cofondatrice. Grâce à cette offre innovante, les professionnels peuvent être rassurés sur la rentabilité de leur escape game. D’autant plus que les salles ont été testées et approuvées plusieurs fois au préalable. Deuxième avantage, la formule peut s’adapter à toutes sortes d’activités. « Un hôtel peut, par exemple, ouvrir une salle d’escape game. Ce sera un service complémentaire pour sa clientèle », suggère Hélène Henry. « Cela peut concerner également des stations de ski, des clubs de vacances, des centres commerciaux et même des municipalités. » ...
Passionnée par l’humain, Magali Ménard, coach certifiée et fondatrice d’Actea Formation Conseil, place l’individu au centre des préoccupations et en fait le principal acteur de l’innovation relationnelle. Ses thématiques d’intervention : confiance en soi, performance et intelligence collective, leadership, intégration en entreprise et conduite du changement. Partenaire en innovation relationnelle Ayant développé son propre concept, Actea se fonde sur 4 leviers d’action interdépendants : la relation à soi, aux autres, à l’organisation et au changement. Autour d’un maillage de différents outils et approches, Actea propose du coaching individuel pour les dirigeants et managers. Cet accompagnement peut se faire en présentiel ou à distance via Skype. Le rôle et les missions du coach ? Stimuler le développement du leadership, l’habileté relationnelle, l'intelligence émotionnelle, la gestion des priorités, l’aptitude au changement, le déploiement des potentiels et talents…. En lien avec vos objectifs et les enjeux pour l’organisation. Le coaching autrement, en plaçant l'individu au cœur Je considère mon client comme un partenaire... Mon rôle d'accompagnant nécessite de comprendre vos enjeux professionnels sans toutefois vouloir être l’expert de votre métier. Je tenterai de poser les bonnes questions, vous avez déjà en vous les réponses. C’est l’art du questionnement où l'approche repose sur le coach lui-même. Le coach EST la méthode. Je me fonde sur quelques principes clés : respecter le caractère unique de chacun, une posture orientée "solutions", un angle de vue "positif" des événements, la mise en mouvement comme moteur pour se transformer et évoluer. Chaque coaching est différent car adapté à vos besoins, dans votre unicité et dans le respect de votre rythme. Nous sommes co-acteurs de votre réalisation avec pour moteurs mon intuition et votre motivation. Des prestations variées, personnalisées, créatives et innovantes Les séminaires de Team-building entièrement créés sur-mesure avec un réseau de partenaires pluridisciplinaires (théâtre d’entreprise, créations artistiques…), les conférences sur la confiance et l’estime de soi dans les organisations, l’accompagnement de CODIR ou organes directionnels, les formations personnalisées sur le bien-être au travail, le développement personnel ou l’expérience client font également partie des activités de l’organisme. En fonction de la nature de l’intervention, Magali Ménard mobilise des outils de coaching adaptés tels que les neurosciences, la psychologie positive, le théâtre d’entreprise ou encore l’innovation managériale. ...
L'Escape Game sensorielle Tactisens est une enseigne d’escape room qui saura vous ravir. L’Aventure Sensorielle est basée sur l’expérimentation des sens et s’affranchit des codes de l’Escape Game classique pour plaire aux jeunes et aux moins jeunes. Dans l’Aventure Sensorielle les joueurs ne restent pas bloqués s'ils n’arrivent pas à résoudre une énigme. Objectif de ce jeu d’évasion: défier vos sens dans les temps impartis. Un concept captivant d’Escape Game Se jouant en équipe de 2 à 12 personnes et d’une durée de 75 minutes, l’Aventure Sensorielle se décline en 5 salles dédiées chacune à un sens. Dans un espace de 100 m2, les participants suivent le protocole de test du Dr Windar. Ce personnage clé relie l’Aventure Sensorielle avec l’Escape Game Windar Theory imaginée par Tactisens. Un Escape Game bien ficelé « Windar Theory » est un Escape Game immersif et zéro cadenas. 60 minutes et des énigmes à résoudre pour avancer dans l’aventure et récupérer les recherches du docteur, avant qu’elles ne soient utilisées à des fins terribles… ...
C’est près de Cambrai dans la commune Les Rues-des-Vignes que l’Abbaye de Vaucelles a été construite à partir de 1132. Un lieu entièrement dédié à la prière et au travail manuel comme le veut l’ordre des cisterciens. Cette construction hors-norme a été abandonnée par les moines avant la Révolution. En 1971, l’abbaye en ruine est rachetée par les époux Lagoutte qui commencent les travaux de restauration. Fin 2017, le département du Nord a repris l’exploitation du site avec le projet de développer l’offre culturelle. Aujourd’hui ne subsistent plus que l’aile des moines et le bâtiment claustral. Un site à visiter De mi-mars à fin octobre, l’abbaye est ouverte au public pour la visite de l’aile des moines. Dans ce bâtiment long de 80 mètres, vous apprécierez l’architecture romane du scriptorium et les élégantes colonnes de la chapelle ; vous admirerez le joyau de l’abbaye avec la salle capitulaire la plus grande d’Europe à la formidable acoustique, salle où se rassemblaient les moines deux fois par jour ; vous découvrirez avec recueillement le passage sacré où les moines revêtaient leurs habits monastiques avant de se rendre aux offices religieux. Puis vous pourrez aller flâner dans le superbe parc de 7 hectares, avec entre autres le jardin médiéval et la roseraie. Là, vous profiterez de la sérénité du lieu. Vous pourrez également aller jusqu’au belvédère pour admirer l’ensemble du site. Un lieu exceptionnel pour vos réceptions L’abbaye offre plusieurs salles de réceptions pour tout événement privé ou professionnel. Suivant les nombre d’invités, vous pourrez louer une des 2 salles du bâtiment claustral, la salle des moines avec piste de danse ou la merveilleuse salle capitulaire, salle lumineuse avec ses ouvertures directes sur le jardin. ...
Accompagner les personnes et les organisations dans leur développement Véritables pionniers du coaching en France, voilà maintenant plus de dix ans que Michel Moral et Florence Lamy accompagnent leurs clients. « Avec Michel, nous sommes un peu des dinosaures » avoue malicieusement Florence Lamy. S’ils aident les personnes qui font appel à eux à trouver en elles-mêmes les ressources nécessaires pour développer leur potentiel, reprendre confiance, gérer leurs émotions ou encore surmonter les obstacles qui leur barrent la route, Florence et Michel interviennent surtout auprès des organisations : entreprises, collectivités, associations, etc. « Notre approche s’articule autour de la notion d’intelligence collective » précise Florence. « L’idée, dans le cas d’une transformation d’entreprise (restructuration, croissance, fusion), par exemple, c’est de parvenir à (re)créer un équilibre entre le bien-être et la créativité des salariés, d’un côté et la recherche de la performance, de l’autre. De réussir à donner du sens et à préserver les liens entre les salariés ». Pour accompagner leurs clients tout au long de la transformation culturelle de leur entreprise et les aider à gérer le stress pouvant en résulter, Florence et Michel utilisent un outil spécifique, le « cultural transformation tool ». Cet outil permet d’identifier les valeurs positives et celles qu'il faudrait modifier au sein d’une équipe. « Le coaching est un outil d’accompagnement au changement » précise Florence. Entre les mains d’un coach compétent, une équipe pourra ainsi reconsidérer les interactions entre ses membres et en tirer les enseignements nécessaires. De même, un salarié pourra revoir sa manière de collaborer. Voire démarrer une nouvelle carrière ! Des spécialistes de la supervision des coachs De même que l’on se s’improvise pas coach professionnel du jour au lendemain, on ne s’autoproclame pas non plus superviseur. Pour être en mesure d’accompagner efficacement ses clients et de les aider à atteindre leurs objectifs, un coach doit avoir reçu une formation reconnue et s’appuyer sur des règles déontologiques strictes. Mais il est tout aussi important que ce coach ait recours à la supervision. « Michel et moi sommes très axés sur la supervision » précise Florence. « Nous avons même développé un savoir-faire spécifique dans ce domaine. Très tôt, il nous a paru important d’avoir une vision professionnelle de la supervision. Nous avons d’ailleurs été les premiers en France à mettre en place une formation de superviseur ». Définir quelle doit être la posture du superviseur, en établir les principes fondamentaux, mettre en place un référentiel de compétences spécifiques… Autant d’éléments qui sont les garants d’une supervision de qualité. « L’impact bénéfique de la supervision est doublement intéressant car il va cascader non seulement sur les accompagnants mais aussi sur leurs clients » indique Florence. Gage de qualité s’il en est, le programme de formation qu’ont élaboré Florence et Michel s’est vu décerner l’ESQA (European Supervision Quality Award). Ce label, délivré par l’EMCC (European Mentoring and Coaching Council, Conseil Européen du Coaching, du Mentorat et de la Supervision en VF) atteste de la qualité de l’enseignement dispensé par une école de formation à la supervision du coaching. Une démarche exigeante fondée sur la complémentarité Tels le Yin et le Yang, Florence et Michel se complètent mutuellement. « Ingénieur de formation, Michel est très cartésien. Son esprit d’analyse et de synthèse est remarquable » indique Florence. « Moi, j’ai une approche plus synergétique, davantage tournée vers l’artistique. L’écriture, le théâtre, la musique ou encore les arts plastiques font partie des outils que j’utilise pour accompagner mes clients. J’ai également été formée à la médecine ...
De l’ingénierie au coaching professionnel Après avoir exercé le métier d’ingénieur pendant plus de 15 ans, Céline Poloce suit une formation de coach pour créer sa structure et lancer son activité professionnelle. « Je suis quelqu’un de rationnel » précise-t-elle. « Par mon parcours scientifique, mon approche des choses est très analytique. J’ai une vision très systémique et globale des interactions qui existent entre mes clients et leur environnement professionnel ». Pour autant, Céline n’hésite pas à combiner des outils très pragmatiques avec d’autres, moins rationnels. « Ma capacité à actionner une large palette de leviers, très concrets pour certains, plus métaphoriques pour d’autres, me permet de m’adapter rapidement à mes interlocuteurs. Je peux ainsi les aider à répondre efficacement aux questions qu’ils se posent ». Se garder de proposer des réponses à ses clients À la différence d’un consultant, un coach ne conseille pas son client mais permet plutôt à celui-ci de mobiliser les ressources nécessaires pour surmonter les obstacles qui lui barrent la route. En clair, un coach ne saurait se substituer à son client. Céline a donc appris à neutraliser les réflexes qu’elle avait hérités de son ancienne activité professionnelle. « L’une des missions de l’ingénieur consiste à résoudre les problèmes des autres à leur place. On recherche son expertise et son analyse » indique-t-elle. « Au contraire, un coach doit faire en sorte que ce soit son client qui trouve lui-même les réponses les plus adaptées pour atteindre ses objectifs. À moi de l’aider à voir la situation qu’il est en train de vivre d’un autre oeil. Tout n’est bien souvent qu’une question de point de vue. ». Sortir de sa zone de confort Basée sur la confiance et le respect, la relation qui se noue entre le coach et son client vise à obtenir des résultats concrets et mesurables. Pour y arriver, il peut s’avérer nécessaire de « bousculer » le coaché et de le faire sortir de sa zone de confort. « L’idée » explique Céline, « c’est d’emmener le client là où il n’est jamais allé, hors des sentiers balisés ». En le poussant à oser s’aventurer en « terre inconnue » plutôt qu’en « terrain connu », le coach amènera ainsi son client à l’autonomie. Prendre conscience de son potentiel et comprendre son propre mode de fonctionnement permettra au coaché d’être mieux armé pour affronter les difficultés de son travail quotidien. « Qu’il s’agisse pour un dirigeant de prioriser les actions à mener dans son entreprise, de modifier son leadership, ou encore de s’impliquer différemment en osant lâcher du lest et en confiant davantage d’autonomie à ses équipes ». ...
Depuis sa réouverture au public le 1erjuin dernier, le toit de la Grande Arche est sans conteste l’un des monuments français les plus emblématiques. Fermé pendant presque 10 ans, le toit a subi une rénovation totale orchestrée par l’agence Valode et Pistre, le groupe Eiffage et le groupe City One, qui en a conçu la nouvelle destination touristique et culturelle incontournable de la région parisienne. Le Toit de la Grande Arche, la plus belle terrasse du Grand Paris Véritable lieu culturo-événementiel, le toit de la Grande Arche a la faculté de se transformer pour proposer aux visiteurs des expériences exceptionnelles à 110m de hauteur. Grâce notamment à une ascension dans les airs par le biais de l’un des 4 ascenseurs panoramiques et l’accès à un pont promenade de 110 mètres de long, situé dans la continuité de l’axe historique allant du Louvre à la Grande Arche de la Défense, en passant par les Champs Elysées et l’Arc de Triomphe. La vue à 360° sur tout Paris est totalement inattendue tant la profondeur de champs est immense. L’Arche du PhotoJournalisme, un espace culturel connecté à l’actualité Premier espace dédié au photoreportage et à la photographie d’actualité, sous la direction artistique de Jean-François Leroy, Fondateur du Festival international du photojournalisme «Visa pour l’Image / Perpignan», l’Arche du Photojournalisme accueille chaque année 4 expositions majeures d’une durée de 3 mois chacune, qui mettent à l’honneur des grands reporters français et internationaux. L’endroit dispose également de 200m² supplémentaires pour des expositions ‘‘pop-up’’, lorsque l’actualité dicte un besoin d’exposition immédiat. Jusqu’au 10 Janvier 2018 c’est Eugene Richards, ancien photoreporter de l’agence Magnum qui expose plus de 50 années de travaux. "Les Jardins de Joséphine", le restaurant bistronomique Ouvrez votre palais à de nouvelles saveurs avec le restaurant bistronomique, et sa carte signée par le chef Jean-Christian Dumonet, qui y marie à merveille gastronomie et ambiance bistrot, proposant toujours des produits de saison. Lina’s comble nos papilles gustatives Le corner Lina’s offre une restauration rapide et de qualité, il permet une pause gustative aux visiteurs, le temps d’une promenade sur le toit. Ces derniers peuvent consommer sur place, ou encore déguster leur collation sur le belvédère. ...
Érigé le 8 juillet 1993, à trente mètres de la gare, le centre du congrès du WTC Grenoble représente la référence dans l’accueil des congrès, des conférences, des assemblées générales, des séminaires, des salons et autres forums dans la ville. Il accueille près de 200 événements chaque année grâce à ses espaces fonctionnels et lumineux s’étendant sur une superficie totale de 2 500 m2. Le centre de congrès est notamment doté de deux espaces principaux à savoir l’Atrium, d’une surface de 1 200 m2 et l’auditorium pouvant recevoir des plénières de 530 participants. Douze salles modulables accueillent, quant à elles, les ateliers, les réunions, les sous-commissions ou les séminaires. Pour une organisation placée sous le signe de la réussite, le matériel joue un rôle crucial, c’est pourquoi le centre met à disposition des équipements de pointe tels que les éléments pour la vidéo projection, le wifi, etc. Une équipe à l'écoute Les prestations ne se limitent pas à la location de salles toutes équipées puisque le centre de congrès dispose d’une équipe de professionnels pour assurer un accompagnement sur mesure. Celle-ci peut prendre en charge toute la partie organisationnelle et la logistique comme la gestion de l’inscription en ligne ou l’édition des badges par exemple. Les chargés d’affaires sont en mesure de dresser un plan de conception en conseillant dans le choix et l’aménagement des salles. Les mises en scène nécessaires sont également prises en charge par cette équipe expérimentée. Elle peut installer des tribunes, des tables rondes, des pupitres et d’autres équipements spécifiques. Pour optimiser la visibilité, rien de tel que de miser sur une banderole extérieure placée sur la façade du bâtiment, un visuel qui met en avant l’entreprise, son événement et ses éventuels partenaires et sponsors. Le centre dispose aussi d’écrans LDC dans le hall d’accueil comme devant toutes les salles. Ces écrans donnent les indications pour s’orienter dans le centre de congrès, afficher un message d’accueil personnalisé ou encore présenter le nom de l’atelier ou le titre de la réunion. L’entreprise peut installer d’autres supports, à l’instar des stands parapluies et des kakémonos. L’équipe offre une assistance de qualité tout au long de l’événement. Plus que de simples loueurs de salles, les chargés d’affaires se qualifient eux-mêmes de « facilitateurs d’événements », proposant tout un panel de services complémentaires. Grenoble, la référence en tourisme d’affaires L’histoire de la ville de Grenoble remonte à l’Antiquité, dont elle garde quelques vestiges, dont une crypte baptismale. Avec des activités économiques, universitaires et industrielles qui montent en flèche, Grenoble devient l’une des destinations préférées en matière de tourisme d’affaires. Elle est l’une des dix villes françaises, et l’une des cent villes européennes, qui reçoivent le plus de congrès. Elle est en outre la deuxième ville préférée des cadres, après la capitale française. Par ailleurs, selon le magazine américain Forbes, Grenoble est la cinquième ville la plus innovante au monde. Elle est notamment prisée pour son accessibilité optimale, puisque se trouvant à quelques heures de train depuis Paris, Genève et Lyon, à moins d’une heure de deux aéroports, avec des navettes qui desservent ces aéroports et la gare.Comme le centre de congrès du WTC le prouve si bien, Grenoble est une ville d’événement par excellence. Les voyageurs d’affaires ont en l’occurrence un large choix en matière d’hébergement. Par ailleurs, la ville met à disposition des lieux de réception d’exception, tels que la Bastille, qui est l’emblème de Grenoble avec son superbe panorama donnant sur la ville et sur les montagnes. La ville doit justement sa réputation de capitale des Alpes grâce à sa grande proximité avec les massifs alpins ...
Souplesse et adaptabilité pour maîtres-mots Structure de coaching à taille humaine, le cabinet Entreprises en Mouvement fait de sa petite taille un atout tout en souplesse et en adaptabilité. « L’offre que nous proposons à nos clients est véritablement ‘’sur-mesure’’ » explique Louis-Joseph de la Fouchardière, son fondateur. « Nous sommes, par exemple, capables de nous adapter en mobilisant rapidement des partenaires en nombre suffisant pour répondre efficacement aux attentes du client. Qu’il s’agisse de coaching individuel, de formation ou d’un accompagnement d’une équipe dirigeante dans le cadre d’une transformation d’entreprise. De plus, le fait que l’ensemble des intervenants soient issus du monde de l’entreprise contribue à rassurer nos clients. Ce vécu nous permet d’être en empathie avec les équipes managériales que nous avons à coacher, de leur proposer une large palette de prestations et de partager avec elles notre sens des réalités du monde de l’entreprise ». Faire sauter les verrous Qu’il s’agisse de comités de direction ou d’équipes opérationnelles, les interlocuteurs du cabinet peuvent compter sur son expertise pour les accompagner dans la transformation de leur entreprise, les aider à exploiter tout leur potentiel et repousser leurs limites. « Beaucoup de mes clients ont le sentiment d’avoir atteint un plafond d’efficacité. Et de ne pas pouvoir aller plus haut » explique-t-il. « Mon travail consiste alors à les aider à faire sauter le verrou qui bloque leur progression. Par le biais d’une écoute attentive, je leur permets de développer leur potentiel, de mobiliser leurs ressources et de découvrir - en eux-mêmes - d’autres ressources leur permettant d’apporter des réponses nouvelles à leurs problématiques ». Pour accompagner son client tout en prenant soin de ne pas se substituer à sa démarche, Louis-Joseph de la Fouchardière met en place une véritable « alliance » entre lui et la personne qu’il est chargé de coacher ou le dirigeant de l’équipe de direction dont il assure l'accompagnement. « Cela va bien au-delà de la confiance ou encore du respect mutuel » précise-t-il. « En établissant ce lien de confiance entre lui et moi, fondé sur un partage clair des objectifs du coaching et un échange régulier sur la progression du collectif, je m’assure que mon client s’autonomise et que mon accompagnement sera efficace. Toujours bienveillant mais jamais complaisant, je m’autorise parfois un petit ‘’pas de côté’’. Si la situation l’exige, injecter dans le processus de coaching une dose de confrontation bienveillante permet, en effet, au client de visualiser le blocage. Et, partant, d’apprendre à le dépasser ». Récemment, il a ainsi fait remarquer à un dirigeant qu’il serait heureux de continuer à faire des affaires avec lui mais qu’il préférait ne plus intervenir d’ici trois mois, cela dans le but de déclencher une prise de responsabilité. Au fur et à mesure des séances, le coaché va ainsi non pas vaincre ses peurs et ses appréhensions mais apprendre à composer avec elles, aboutissant ainsi à un mouvement plus robuste. Dans le cas d’un coaching d’équipe dirigeante, le collectif va devenir une ressource plutôt qu'un lieu où s’expriment les chapelles et les enjeux de pouvoir. ...