Le coaching professionnel, qu’est-ce que c’est ? Le terme coaching est aujourd’hui largement usité, « dans l’air du temps » brouillant parfois le sens de son objectif premier. Revenons un instant à son histoire pour (re)donner à ce métier toutes ses lettres de noblesse. Le coaching plonge ses racines dans un passé lointain. De par son étymologie tout d’abord puisque le terme est à la fois anglophone « the coach » et francophone « le cocher ». Le terme renvoie donc à celui qui conduisait les voitures à l’époque et assurait par conséquence un rôle d’accompagnateur. Le coaching était également déjà pratiqué dans l’Antiquité avec les philosophes comme Socrate, qui par une technique de questions ouvertes, pratiquait la « maïeutique » (par analogie au personnage grec Maïa qui veillait aux accouchements) et amenait ainsi ses interlocuteurs à « accoucher » d’eux-mêmes, c’est-à-dire de leurs propres ressources, de leurs propres réponses et de leurs propres solutions. On peut dire que le coaching est l’art de poser les bonnes questions. C’est une technique pratiquée par un professionnel qui s’est formé dans une école spécialisée et qui est certifié. Le coach respecte un processus, des étapes-clés dans l’accompagnement pour amener un individu ou un groupe à mobiliser ses ressources, c'est-à-dire son potentiel, pour gagner en performance. Par une technique de questions ouvertes et sur une période limitée, le coach invite un individu à clarifier sa situation, à définir les enjeux de son projet, à créer de nouvelles options et de nouvelles possibilités, à bâtir un plan d’actions cohérent et réaliste en phase avec ses valeurs profondes. L'objectif du coaching est de permettre à la personne accompagnée de se mettre en action et d'atteindre ses objectifs plus rapidement et plus durablement. Le coaching c’est aussi un Art dans la relation que le coach va créer avec la personne qu’elle accompagne. Le coach doit être doté d’une écoute attentive et bienveillante et amener les personnes à porter un regard différent sur leur situation. Le coach doit être également inconditionnellement constructif et positif. Il s’appuie sur ce qui fonctionne et inscrit le « coaché » dans une dynamique positive. Le coaching offre donc à la personne concernée à la fois un cadre de réflexion sur son identité profonde, un espace de créativité dans lequel émergent de nouvelles possibilités et de nouvelles stratégies pour atteindre ses objectifs professionnels. Le coaching professionnel, pour qui ? Le coaching professionnel s’adresse à tout professionnel qui veut se donner les moyens de réussir et qui accepte de se remettre en question et d’envisager de nouvelles options pour atteindre ses objectifs rapidement. La motivation est fondamentale dans le processus de l’accompagnement et la personne reste responsable des résultats qu’elle obtient. E.L' Coaching International, avant tout une philosophie…. La création de l’entreprise E.L' Coaching International est d’abord le résultat d'un cheminement et d'une réflexion personnelle et professionnelle de sa gérante, Séverine BUCHOT. Titulaire d'un CAPES de Lettres Modernes et certifiée pour enseigner le français aux étrangers, elle a enseigné avec passion la langue et la littérature française pendant 12 ans à un public très varié, francophone et étranger, notamment dans des multinationales à l’étranger où elle a aidé des chefs d'entreprises et des chefs de projets à favoriser leurs échanges avec leurs collaborateurs francophones. Sa volonté a toujours été au fil de ses expériences d'aider les personnes à développer leur potentiel grâce au langage. Elle a également réalisé à quel point notre façon de communiquer, de nous comporter et l'énergie que nous dégageons peut avoir un impact sur l'atteinte de nos objectifs, la réussite de nos projets et la relation que nous avons avec nous-même et l...
La créativité n’est pas une faculté propre aux artistes. C’est aussi un état d’esprit, une façon d’envisager les choses. Elle est à la portée de chaque individu mais encore faut-il savoir de quelle manière la développer de façon efficiente. La créativité, un levier du coaching Directrice artistique et conseil en communication pendant une vingtaine d'années, Émilie CLEACH a pris conscience à quel point les entreprises gagneraient à développer leur agilité créative, leur capacité à sortir des mécanismes automatiques pour s'ouvrir à des solutions à la fois pertinentes et différenciantes. Devenue coach et facilitatrice en créativité, elle accompagne désormais des personnes et des équipes dans leur démarche de changement et de transformation. Pour atteindre ses objectifs, elle s’appuie notamment sur des outils et des processus structurés de créativité. « L’important est de permettre aux personnes d’activer leur énergie créative pour aller plus loin dans leur recherche de solution et dans leur démarche d’innovation », précise-t-elle. Membre de Créa-France (Association française pour le développement de la créativité) et de l’EMCC (Association européenne de coaching et de mentorat), Émilie CLEACH adopte une approche professionnelle dans toutes ses prestations. Du coaching individuel Qu’il s’agisse de coaching personnel ou professionnel, l’accompagnement proposé conduit les personnes au-delà de leur frontière habituelle et leur donne l’opportunité d’ouvrir le champ des possibles. Pour cela, la démarche adoptée suit des processus structurés incluant au passage diverses étapes et s'appuie sur des techniques de créativité comme le « photolangage », une méthode qui se sert de supports visuels comme des embrayeurs de processus associatif dans le but de décadrer la vision, de déclencher la prise de conscience et favoriser l'émergence de solutions. Une fois le projet ou la problématique clarifié, la deuxième étape va déterminer ce qui empêche la personne d’atteindre ses objectifs ou de résoudre son problème. Et la meilleure façon d’y parvenir est d’abord de l’amener à se redécouvrir, à mieux se connaître en identifiant ses besoins et ses désirs. Après cela, le rôle du coach consiste à réactiver des ressources jusque-là insoupçonnées et qui seront mobilisées pour atteindre l’objectif fixé et établir un plan d'action. « Le but est vraiment d’offrir à chacun la possibilité de développer ses compétences créatives, de gagner en agilité et pour trouver ses propres solutions, adaptées aux situations bien sûr mais aussi à soi-même » , nous explique Émilie. Les supports créatifs sont très aidants pour cela. Du coaching d’équipe Avoir une équipe soudée et savoir communiquer en interne sont des conditions sine qua non pour assurer la réussite d'un projet. « Pour recréer du lien et restaurer les interactions entre les individus, je les entraîne d’abord à mieux se connaître individuellement et ensuite à se reconnaître, c’est-à-dire à se donner de la reconnaissance à l’intérieur de l’équipe », souligne Émilie. Si la cohésion d’équipe peut se construire de différentes manières, notre coach a opté pour un processus en 3 étapes, basé sur le Creativ Problem Solving — une technique créative de résolution de problème — : Clarification de la situation, Recherche élargie des solutions, Plan d'action. A chaque étape, des outils spécifiques sont utilisés pour faciliter l'intelligence créative et collective. Les modalités d'animation sont elles aussi variées et dynamiques, allant des techniques de Coaching classique au World Café en passant par le Business Model Canvas... Chaque intervention fait l'objet d'une phase de conception personnalisée en amont. Émilie CLEACH a également développé un...
A la suite à la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté, la nouvelle région a voulu rassembler les forces du territoire en unifiant les deux Agences économiques historiques à savoir l’ARD (Franche-Comté) et l’ARDIE (Bourgogne) en une seule entité. De cette initiative est née en 2017, l’Agence Économique Régionale de Bourgogne-Franche-Comté (AER BFC). L’AER BFC est une Société Publique Locale (SPL) chargée d’une double mission : favoriser les créations économiques et d’emplois et assurer le développement économique régional en intervenant auprès des entreprises et des territoires. Accroître les activités économiques du territoire Société Publique Locale, l’AER BFC est composée d’actionnaires publics dont la Région Bourgogne-Franche-Comté qui en est majoritaire. L’actionnariat est également détenu par les EPCI (Établissement Public de Coopération Intercommunale) régionaux : plus d’une cinquantaine sont entrés au capital de l’Agence. Ainsi, avec près de la moitié des EPCI régionaux, la gouvernance de l'Agence assure la représentation de 73% de la population. « Nous œuvrons pour le compte de nos actionnaires notamment de la Région qui assure l’essentiel de notre chiffre d’affaires. Le pilotage régional est organisé à partir des orientations du schéma régional de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII) qui a été adopté par la Région et qui définit clairement les missions de l’agence économique », nous explique Arnaud Marthey, Président de l’AER BFC. Ce SRDEII détermine les priorités régionales et a été imposé par la loi NOTRe qui selon les précisions de notre interlocuteur « donne désormais des compétences fortes à la Région, le chef de file du développement économique local mais également aux intercommunalités ». Lesdites orientations incluent entre autres des plans d’actions visant à apporter un soutien aux TPE et PME. Accompagner les entreprises existantes dans leur croissance constitue justement l’une des priorités de l’AER BFC. Pour booster le développement des filières et des entreprises, l’Agence mise sur des méthodes finement pensées. A titre d’exemple, elle est actionnaire dans près de 57 entreprises cotées en bourse basées en Bourgogne-Franche-Comté lui permettant de se placer au cœur des décisions stratégiques prises au sein de celles-ci. La gouvernance de l'AER BFC est aussi en train d’évoluer pour y associer des chefs d’entreprises et des représentants du monde entrepreneurial, au sein d’une instance spéciale, pour bénéficier de leur expertise de terrain. Dans tout cet élan, l’AER BFC contribue aussi au développement de l’innovation et de l’éco-innovation. « Nous avons à cœur de favoriser la compétitivité de nos entreprises, leur permettre d’évoluer dans leurs pratiques, dans les nouvelles technologies et dans plusieurs domaines innovants », fait savoir Arnaud Marthey. Le territoire compte notamment 5 pôles de compétitivité : Nuclear Valley, Plastipolis, Pôle des MicroTechniques, Pôle Véhicule du Futur et Vitagora. Il abrite trois villes labellisées French Tech : Besançon, avec la labellisation HealthTech ; Chalon-sur-Saône, avec la labellisation IOT Manufacturing ; et Dijon, avec la labellisation FoodTech. Une de ses filières phares est l’énergie avec l’Hydrogène. La région a la chance d'être détentrice d’une labellisation « Territoire Hydrogène » qui lui permet d’être un vrai laboratoire pour cette énergie d’avenir. Cette filière profite notamment de la forte dynamique en matière de recherche. Il faut dire que la région possède des atouts considérables. « Nous avons près de 6000 chercheurs avec un ratio de chercheurs privés parmi les plus importants, nous disposons de 14 centres d'excellence mondial et 51 unités de recherche en Région &...
Des prestations de coaching et de formation adaptées aux besoins de chacun Parce que chaque entreprise est unique et se voit confrontée à des problématiques qui lui sont spécifiques, il est essentiel de les accompagner différemment. « Aucun des programmes d’accompagnement que nous mettons en place, qu’il s’agisse de coaching ou de formation, n’est identique » précise Isabelle Charvin, Directeur Général associée de Neocoach. « Une entreprise a des besoins qui ne sont pas les mêmes que ceux d’une autre. Et ces besoins sont susceptibles d’évoluer avec le temps. L’expérience de nos équipes - chaque coach de Neocoach a occupé, à une moment donné de sa carrière professionnelle, des fonctions de direction ou de management - leur permet de s’adapter rapidement à leur interlocuteur ». En fonction des besoins qui auront été identifiés, les équipes de Neocoach endosseront leur costume de « consultant, de formateur ou de coach ». Les stratégies qui seront mises en place seront parfaitement adaptées. « Si l’on devait comparer le coaching et la formation à l’industrie textile, chez Neocoach, nous ferions du ‘’sur-mesure’’… avec du design créatif » explique Isabelle Charvin. « Nos programmes sont uniques. C’est à dire qu’ils sont conçus au cas par cas, de sorte qu’ils puissent répondre précisément aux besoins managériaux spécifiques de chacun de nos clients : un manager qui souhaite réussir sa prise de poste, un dirigeant qui désire développer son leadership ou faire franchir un cap à son entreprise, des problématiques de conflits d’équipes à gérer, la recherche d'efficacité des équipes de direction mais aussi de commerciaux à améliorer… Les demandes que l’on nous adresse sont très diverses. Et s’y adapter nécessite une grande agilité ». Une approche qualitative et centrée sur les résultats S’appuyant à la fois sur le vécu professionnel de ses équipes - parce qu’ils ont tous été, dans une vie antérieure, des dirigeants ou des managers, les coachs de Neocoach savent de quoi ils parlent - et sur la solidité de la formation qu’elles ont reçue - Isabelle Charvin ainsi que tous ses affiliés sont certifiés ICF -, Neocoach dispose de nombreux atouts pour accompagner efficacement les dirigeants qui ont recours à son expertise. « Notre objectif, c’est d’avancer avec nos clients avec efficacité mais aussi avec plaisir » précise-t-elle. « Notre rôle consiste à les aider à gagner en confiance et à faire émerger leurs solutions gagnantes. En tant que coachs, nous ne devons pas fournir de réponses ‘’toutes faites’’ à nos clients mais, au contraire, faire en sorte qu’ils trouvent en eux les réponses aux questions qu’ils se posent ». En effet, un coach - s’il est compétent, qu’il a suivi une formation sérieuse et qu’il respecte les règles de déontologie qui s’appliquent à son activité - évitera de se substituer à la démarche de son client mais mobilisera les ressources de ce dernier. « D’ailleurs » ajoute Isabelle Charvin, « ces réponses, ce sont nos clients eux-même qui sont le plus à même de les trouver ». ...
Son cœur de métier est la gestion de biens immobiliers permettant l’accueil industriel et tertiaire de ces entreprises. Elle répond aux besoins spécifiques liés à leurs activités : salles blanches ultra propres, laboratoires équipés, aménagement logistique et autres prestations sur site telles que des espaces collaboratifs et de co-working, des salles de réunion, un accès très haut débit fibré, une restauration de proximité, etc… Des parcs d’activités dédiés La SEML Route des Lasers assure l’aménagement, la construction, l’exploitation et la maintenance de 4 parcs d’activités dont un acquis récemment. Sur la commune du Barp, près du Bassin d’Arcachon, les parcs technologiques et scientifiques LASeRIS 1 & 2 s’étendent sur une surface totale de 40ha. Accueillant à l’origine les entreprises primo-contractantes du Laser Mégajoule exploité par le CEA-CESTA, ils offrent aujourd’hui un espace de développement privilégié aux sociétés souhaitant s’implanter en Gironde et bénéficier de l’émulation créée par le LMJ. Aujourd’hui, 35 entreprises, soit environ 300 personnes, travaillent quotidiennement sur Laseris. A Pessac, à proximité des grands laboratoires et centres de recherche de l’université de Bordeaux, la Cité de la Photonique accueille 32 entreprises, ce qui représente environ 470 emplois. Elle compte 7 bâtiments pour une surface totale de 23 000 m². La SEML Route des Lasers a fait l’acquisition d’un nouveau parc de 11ha en 2017, nommé AMPeRIS. Cet ancien site industriel situé à Pessac est réaménagé pour y accueillir notamment des plateformes technologiques, des start-up, des ETI et des services. SERMA Technologies est la première société à s’y implanter. Un accompagnement personnalisé pour l’implantation de votre entreprise La SEML Route des Lasers accompagne les entreprises souhaitant s’implanter en Gironde ou étendre leurs activités sur nos sites. Elle met à leur disposition son savoir-faire en tant qu’aménageur-constructeur, gestionnaire et mainteneur. Elle définit leurs besoins architecturaux, énergétiques et étudie avec elles les faisabilités techniques et financières de leur projet. Un écosystème environnant les aide dans leur développement technologique ou financier autour du centre de ressources Unitec, du pôle de compétitivité ALPHA-RLH, du centre technologique optiques et lasers, ALPHANOV, du CEA Tech et des nombreux laboratoires universitaires. ...
La force d’un réseau, l’agilité de coachs indépendants Ensemble, on est plus fort ! C’est probablement ce que se sont dit 6 coachs professionnels exerçant tous dans la région Occitanie. Depuis 2017, ils se sont regroupés pour former OcciCoachs. Les membres fondateurs sont, en effet, partis d’un constat simple : plutôt que de travailler seul, il est bien plus enrichissant d’unir leurs expertises, de mutualiser leurs compétences et de s’adosser à la force d’un collectif. Comme ils l’expliquent : « l’idée, c’est vraiment de se regrouper entre coachs partageant des valeurs et la même ambition pour l’humain, et de proposer à nos clients la richesse d’un réseau solide, professionnel, tout en conservant nos personnalités, nos singularités ». Des valeurs et une approche du coaching communes « Nous partageons la même approche du coaching et la même sensibilité. Autour de valeurs communes comme l’expertise, la bienveillance, et la performance, nous plaçons l’humain au cœur de l’organisation. Cela nous permet de pouvoir répondre rapidement aux besoins ou aux projets des entreprises, des collectivités ou des associations, que ce soit collectivement ou individuellement ». Les membres d’OcciCoachs sont certifiés RNCP1 (bac +5) et adhèrent au code de déontologie de l’EMCC (European Mentoring and Coaching Council). Le coaching : des bénéfices concrets Pour l’entreprise, le coaching s’adresse aux dirigeants, aux cadres, aux managers intermédiaires, et aux équipes. S’agissant de coaching individuel, les coachs interviennent régulièrement pour accompagner : - l’optimisation et le développement du leadership ; - l’évolution professionnelle (changement de poste, changement d’orientation, prise de responsabilités, etc.) ; - le management, la motivation et la gestion des équipes (créer du lien, donner du sens, gérer les fortes personnalités, développer la motivation, optimiser son organisation, accompagner le changement, etc.) ; - la gestion positive du stress, pour davantage de plaisir au travail. S’agissant de coaching d’équipe, les coachs apportent leurs compétences pour : - faire vivre la vision du dirigeant ; - créer de la cohésion et réguler les équipes ; - favoriser l’engagement collectif au profit de l’entreprise ; - co-construire le changement, les stratégies ou les nouvelles organisations Un coaching individuel ou d’équipe est toujours orienté « résultats ». Il se traduit par un plan d’actions opérationnel pour atteindre rapidement l’objectif déterminé communément et au préalable avec le client. Un coaching s’organise sur une durée limitée, généralement 2 à 6 mois. ...
Apprendre à identifier (et à exploiter) nos sensations corporelles Élaborée par Oliver Masselot et Samy Kallel et conceptualisée à travers le livre "Le Leadership du Coeur (éditions GERESO), l'Intelligence Neuro-Sensorielle s’appuie sur la mise en valeur d'une source d’informations d’une très grande richesse mais pourtant largement sous-exploitée. « Un nombre incalculable de messages nous parviennent par le corps, via le ressenti corporel » explique Olivier Masselot. Pour nous aider à identifier et à analyser efficacement toutes ces informations, l'Intelligence Neuro-Sensorielle combine, entre autres, des outils issus des neurosciences (entre autres l'ANC du Dr Jacques Fradin) et d’autres, liés à la sensorialité. « Cette approche dynamique de l’être humain, à la fois globale et holistique, permet d’en avoir une vision différente, plus lucide, de mettre en place rapidement les protocoles adéquats et de révéler des choses qui échappent généralement aux approches plus classiques » précise Olivier. Mieux armé pour affronter l’inconnu et gérer les imprévus Partant du principe que « nous sommes responsables de notre façon d’interpréter et d'aborder les situations qui se présentent à nous », Olivier Masselot travaille sur la sensorialité afin de permettre aux personnes qui font appel à ses services - des leaders, des créatifs et des managers, pour la plupart - « d’être capables de gérer l’imprévu avec davantage de lucidité et d’agilité ». En effet, notre crainte de l’inconnu provient très souvent du fait que nous privilégions « notre cerveau ‘automatique’ qui ne réagit qu’en fonction de ce qu’il a appris, au détriment de notre cerveau ‘adaptatif’, lequel nous permet d’improviser et donc de mieux aborder l’inconnu. L’idée, c’est de passer d’une ‘dynamique de peur’ axée sur la résistance et le désir de tout contrôler à une ‘dynamique de coeur’, orientée sur l’ouverture ainsi que sur la connexion à l’autre et à l'environnement » fait remarquer Olivier. Appliquée au monde du travail, l’Approche Neuro-Sensorielle aide un manager, par exemple, à « mettre en place un management moins rigide qui favorise l'intelligence collective et les initiatives, à prendre les bonnes décisions au bon moment, à entretenir de bonnes relations avec chacun et à favoriser un consensus ‘gagnant-gagnant’ avec ses collaborateurs, ses fournisseurs et ses clients ». Remettre l’humain au centre des stratégies « La philosophie de l’Approche Neuro-Sensorielle, c’est que plus l’humain s’épanouit, plus l’entreprise va s’épanouir également » explique Olivier. Mais il est fréquent qu’un management trop rigide débouche sur de mauvaises réponses. Ou encore que la culture d’une entreprise ne soit plus en phase avec ce que vivent et ce que ressentent ses salariés. Or une telle situation qui « créera plus de problèmes qu’elle n’enrésoudra » s’avère préjudiciable non seulement aux hommes et aux femmes qui composent ses effectifs mais aussi à l’entreprise elle-même. En proposant une autre vision du rapport manager-collaborateur-environnement, l’intervention d’Olivier peut conduire à une véritable refonte de la culture d’entreprise, plus résiliente, parce que davantage centrée sur une dynamique collaborative. Et pour permettre aux dirigeants d’intégrer parfaitement - et durablement - ce qu’il leur aura révélé au cours de son accompagnement, Olivier Masselot a mis en place au sein de l'Approche Neuro-Sensorielle une belle bibliothèque d’entraînement en e-learning. ...
Stimuler la créativité permet d’améliorer son adaptabilité Une nouvelle fonction à occuper ? Une nouvelle équipe à encadrer ? Un nouveau challenge à relever ? Dans le monde de l’entreprise, on doit constamment s’adapter. Mais face au changement, nous ne sommes pas tous égaux. En les accompagnant, Olwen Wolfe, la fondatrice de Worlding, aide ses clients à prendre conscience de leurs capacités d'adaptation créative et des moyens de les mettre en oeuvre en toutes circonstances. « Appliquée au monde du travail, la pensée créative permet aux individus d’être plus efficaces, mieux armés pour faire face à l’imprévu » explique-t-elle. En stimulant la créativité de ses clients (des dirigeants et des managers, pour une large majorité d’entre eux), Olwen Wolfe les aide ainsi à trouver en eux la force d’innover, d’être créatifs et de s’adapter pour surmonter efficacement tout obstacle auquel ils n’auraient encore jamais été confrontés. « La clé », précise-t-elle, « c’est de soutenir leur quête d’efficacité en favorisant l’utilisation de leurs ressources personnelles intérieures ». Une large palette de techniques Si elles s’articulent toutes autour de la pensée créative, les méthodes qu’utilisent Olwen Wolfe et ses équipes sont diverses et variées. « Les prestations que je délivre sont toutes ‘sur mesure’, c’est à dire qu’elle sont adaptées aux besoins et à la personnalité de chacun de mes clients » explique Olwen. « Mais qu’il s’agisse de coaching, de formation ou encore de supervision, les actions que je mène ont toutes pour toile de fond deux approches qui se complètent. Il s’agit, d’une part, du CPS, le Creative Problem Solving (résoudre les problèmes par la créativité, en français). C’est un processus créatif structuré qui a été élaboré il y a une soixantaine d’années outre-Atlantique et que j'adapte en Europe ». Contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire, le Creative Problem Solving ne se cantonne pas à résoudre les problèmes. « Ce système permet aussi aux individus de saisir des opportunités au terme d’une réflexion au cours de laquelle ils auront exploré des options auxquelles ils n’auraient pas forcément songé » précise Olwen. « Pour travailler, je m'appuie également sur des démarches qu’a inspirées Carl Jung. Plus précisément de la typologie jungienne et du dialogue intérieur qui sont réunis au sein de l'Intelligence de Soi © ». Autant de leviers que Olwen Wolfe actionne pour aider ses clients à prendre conscience de leur potentiel, atteindre leurs objectifs et s’adapter au changement. Savoir tirer parti des différences culturelles au sein d’une équipe De par son vécu (elle est franco-américaine), Olwen Wolfe connait parfaitement les spécificités des équipes multiculturelles. « Au sein d’une équipe, la diversité, aussi bien en termes de nationalités que de générations, de personnalités ou encore d’expérience constitue certes une force mais elle entraîne également des incompréhensions et des tensions. Seul un accompagnement adapté permet d’améliorer la complémentarité entre les membres de cette équipe et de tirer parti de leur interculturalisme. Par le biais de mes interventions, je contribue à favoriser le travail en synergie des collaborateurs à travers leurs différences ». ...
Une pérennité managériale dans un contexte de mutations La France, contrairement aux Etats-Unis, au Canada et à la Chine a longtemps dissocié le management du leadership, et a récemment pris conscience des enjeux d’investir dans les ressources managériales. Les dirigeants et les managers d’aujourd’hui doivent pleinement incarner leur leadership ; donner du sens, exprimer clairement leur vision, et susciter l’envie auprès des collaborateurs d’aller vers un objectif commun. Mais pas seulement… Alors que la littérature abonde de styles de leadership différents – leadership directif, collaboratif, participatif, visionnaire...– frisant parfois la schizophrénie pour ceux qui souhaiteraient passer d’un style à un autre selon les interlocuteurs, les circonstances ou les modes, lequel adopter ? On assiste à une prise de conscience que le paradigme du leader doit changer et évoluer vers un style unique, singulier et authentique, lui permettant ainsi d’asseoir son plein épanouissement et celui de ses collaborateurs tout en assurant la durabilité des organisations. Il était temps que l’on repense ce concept car ailleurs dans le monde le leadership authentique fait flores et l’adhésion profonde et personnelle des collaborateurs est un facteur puissant de résultats. Le leadership authentique apparaît aujourd’hui comme le style de leadership le plus approprié pour faire face aux transformations de l’entreprise tout en permettant de réconcilier la performance et l’humain de façon durable. Né de la psychologie positive et humaniste, W.L Gardner éminent universitaire et chercheur américain, auteur prolifique de plusieurs ouvrages et études sur le leadership, le management et les organisations affirme : « l’authenticité c’est à dire la connaissance de soi et la capacité à agir de façon consistante ou cohérente avec le meilleur de ce soi, est le socle de tout style de leadership et assure sa moralité en même temps que sa durabilité ». Un capitaine et des valeurs Les éléments clés du leadership authentique sont la conscience de soi et l’éthique. Ces questions semblent encore ici en France beaucoup déplacées, comme hors sujet dans un univers ou seules comptent l'efficience et le résultat. Pourtant, chaque nouvelle marche à franchir est de plus en plus haute. Les remises en question, profondes, sécurisantes, bouleversantes, interrogent de plus en plus souvent nos valeurs individuelles et collectives profondes. La civilisation du numérique et de la finance fait ployer nos organisations collectives, et questionne en profondeur les valeurs des sociétés. Et la nature ayant horreur du vide, les obsessionnels du chiffre se font petit à petit supplanter. Sans compter que les nouvelles générations ont besoin d'aimer ce qu'elles font, d’adhérer à un projet porteur de valeurs : c'est le seul moyen de les stabiliser dans l'entreprise. "Le leader authentique sait ce qui fait sens pour lui et est capable de le partager. Il noue des relations grâce auxquelles les personnes se sentent engagées et donnent le meilleur d’elles-mêmes. Il inspire confiance car il travaille sur lui-même et se remet en cause." souligne François-Daniel Migeon, homme clé de l'importation du concept en France et auteur du "Leader authentique" " publié chez Eyrolles en 2013 où il développe le concept comme « le chemin le plus court vers une contribution professionnelle riche de sens, efficace et durable ». Nommé directeur général de la Modernisation de l'Etat entre 2007 et 2012, il partage son expérience en déclarant : "J'ai eu la faiblesse de penser que l'essentiel du changement serait rendu possible grâce à des méthodes et des techniques. Au fil du temps, j'ai accordé de plus en plus d'importance aux hommes et aux femmes qui portaient la transformation". Mieux être et rentabilité optimisée Aucun hasard donc pour un tel engouement ; des chiffres sonnants et trébuchants. Le cabinet de conseil américain KRW International, spécialisé en Leadership, a établi dans une étude que "les dirigeants dont la personnalité a été bien notée par les employés obtenaient une rentabilité des actifs moyenne de 9,35...
Carfully est une start-up antillaise qui a vu le jour en 2012. Elle est le résultat de la persévérance de trois jeunes entrepreneurs passionnés : Satyam, Yoann et Jérôme. Tout est parti d’une boutade adressée par Satyam à un collègue parisien qui cherchait à l’époque une voiture pour ses vacances en Martinique. Devant l’insistance de ce dernier le cofondateur lui rétorqua : « Tu n’as qu’à louer la voiture de ma mère ! » C’est de là que naîtra ensuite l’idée de lancer une plate-forme spécialisée dans la location de voitures entre particuliers. Carfully, bien plus qu’une simple location de voitures En repositionnant le concept des grandes enseignes telles que Drivy ou Ouicar sur le terrain du tourisme, Carfully a initié une petite révolution sur le marché de la location de voitures. Depuis le site, les particuliers ont accès à un large choix de type de véhicules adaptés à leurs besoins. À leur arrivée à l’aéroport, ces derniers bénéficient d’un service personnalisé. Yoann explique : « C’est le propriétaire du véhicule qui vous attend à votre arrivée et qui vous emmène sur le parking. »Par ailleurs, Carfully dispose d’un avantage certain face à ses concurrents. « Avec nous, il n’y a pas d’attente à l’aéroport… Quand vous arrivez pour récupérer la voiture auprès des grosses enseignes, vous devez attendre plus d’une heure alors que là, en un quart d’heure, vous repartez avec votre véhicule. » En ce qui concerne le service, cette start-up arrive à répondre à un niveau d’exigence très élevé venant des locataires. Choisir Carfully, c’est opter pour la confiance ! En effet, ce spécialiste de la location de voitures dispose d’un parc véhicule performant. « On avait une voiture qui avait deux ans, 31 000 km, en bon état, pas de surprise à l’arrivée », raconte l'un des utilisateurs. Pendant toute la durée de la location, le véhicule est assuré tout risque. En cas de panne, l’utilisateur va bénéficier d’une assistance incluant des prestations telles que le remorquage ou l’octroi d’un véhicule de remplacement. ...
Après une carrière en tant que formatrice pour enfants, Ulrika Bibas propose ensuite ses compétences aux adultes dans le domaine de la communication et du développement personnel avant d’évoluer comme consultante en gestion de carrière. Rapidement, elle décide de se spécialiser dans le coaching de vie en suivant une formation sur l’Analyse Transactionnelle. Aujourd’hui coach certifiée en pratique du coaching, bilans de compétence et formatrice, elle est titulaire de la Certification Professionnelle (CP) accréditée par la Fédération de la Formation Professionnelle (FFP). L’Analyse Transactionnelle comme cadre de référence Un des principaux enjeux dans la pratique du coaching est de décrypter la demande de la personne et identifier ses besoins d’accompagnement. Afin d’y parvenir, un coach a recours à de nombreux outils. Lancée par Eric Berne, l’Analyse Transactionnelle s’inscrit comme l’un des cadres de référence les plus pragmatiques pour guider un coaché vers le changement avec autonomie, confiance et liberté. « Si je parle de coaching de vies aujourd’hui en prenant soin de mettre l’accent sur le “s ” à “vie”, c’est parce que mon approche de l’humain se fonde sur l’idée par laquelle nous n’avons pas qu’une vie. À chaque étape de notre existence, nous vivons des transitions : passage de l’enfance, à l’adolescence jusqu’à l’âge adulte, évolution du statut de célibataire à personne mariée… Et même dans sa carrière professionnelle, une personne peut passer de salariés actifs à chercheurs d’emploi ou vivre une reconversion pour changer de profession », explique notre interlocutrice. En effet, l’Analyse Transactionnelle est une théorie de communication qui facilite la compréhension approfondie d’une personne afin de l’accompagner dans son évolution. Elle repose sur un postulat définissant 3 États du Moi : le moi parent, le moi enfant et le moi adulte. Chaque état est associé à des émotions et des expériences qui influencent le comportement. C’est pourquoi Ulrika Bibas pousse toujours ses coachés à révéler leur connaissance de soi pour identifier ce dont ils sont constitués et ainsi mieux les aider. « Notre développement personnel est au service de notre évolution professionnelle pour une transition de vie en vue de la réalisation de soi », déclare-t-elle. Ainsi, qu’importe l’objectif de son client qu’il soit professionnel ou personnel, le développement personnel reste le socle d’un coaching de vie. « Une personne doit prendre conscience de ce dont elle est remplie pour savoir où elle est capable d’aller. » Donner une dynamique à ses projets à travers le bilan de compétences En complémentarité à l’Analyse Transactionnelle, Ulrika Bibas mise sur l’approche narrative, une méthode conversationnelle à vocation d’inciter un coaché à nourrir des récits identitaires qui ne sont pas chargés de visions limitantes mais qui génèrent de nouveaux scénarios de vies et d’initiatives nouvelles. L’objectif étant d’éveiller tout son potentiel et ses ressources. La pratique narrative trouve son sens dans toutes les dimensions du coaching. Ulrika Bibas a recours à cette technique notamment dans le cadre d’un bilan de compétences. Fort d’un solide background dans la gestion de carrière, elle met à profit son expertise et ses connaissances en accompagnant les personnes qui sont à un tournant de leur vie. Le bilan de compétences a pour objectif de faire émerger un projet réaliste et stimulant en faisant le point sur le parcours du coaché, ses atouts, sa personnalité et ses intérêts. Il est avantageux dans la mesure où il permet dans un premier temps d’engager une introspection qui pousse la personne à revenir sur son « moi » le plus profond. Après avoir découvert toutes les facettes de sa personnalité, elle sera plus en mesure de mettre en lumière son portefeuille de compétences et de donner un nouveau souffle à son existence. Dans sa démarche, Ulrika Bibas propose essentiellement trois typ...
Passer de la théorie à la pratique : tel est l’objectif de la Junior-Entreprise ETIC INSA Technologies, une association à but non lucratif et à vocation pédagogique qui met en relation étudiants de l’école et monde de l’entreprise. ETIC INSA Technologies : histoire et chiffres Fondée au sein de l’INSA Lyon en 1981, ETIC INSA Technologies accompagne les entreprises dans la réalisation et le suivi de projets ou d’études techniques. En 2017, elle a engrangé plus de 115 000 € de chiffre d’affaires et a permis à 28 projets de voir le jour grâce à un vivier de 5000 étudiants ingénieurs répartis dans 9 spécialités. Ses valeurs, l’humanisme, l’excellence, l’ouverture, l’engagement et le dépassement lui ont permis de gagner la confiance de ses clients et d’être récompensée à de nombreuses reprises. En effet, elle a obtenu le prix de la meilleure Junior-Entreprise de France en 2016 et celui de la meilleure étude en ingénierie et meilleur développement commercial en 2017. Certifiée ISO 9001 et disposant de tarifs avantageux, de nombreux grands noms (Eiffage, Saint-Gobain, EDF, Alstom, Vinci, Veolia…) lui ont déjà fait confiance. Les prestations d’ETIC INSA Technologies En prenant en considération son expérience et ses projets des dernières années, il apparait évident qu’ETIC INSA Technologies est qualifiée pour accompagner toute entreprise dans sa transformation digitale (accompagnement sur une stratégie de webmarketing, outils de gestion de base de données, application mobile et simulation 3D …). Toutefois, la Junior-Entreprise de l’INSA Lyon reste spécialisée en ingénierie où elle propose une offre de prestation très large allant de l’accompagnement technique (traduction et veille technologique, étude de marché, RSE…) à la réalisation de projets (étude de faisabilité technique en énergétique, matériaux, transferts thermiques, conception et modélisation mécanique et électrique, assistance à maîtrise d’ouvrage…). De plus, la formation reçue par les étudiants de l’INSA Lyon les sensibilise aux enjeux de l’époque et leur permet de comprendre et de s’engager dans le processus RSE. Au-delà d’accompagner ses clients dans la réalisation de leurs projets, ETIC INSA Technologies leur propose également de les accompagner dans l’adaptation de ces projets aux enjeux sociétaux et environnementaux actuels. À titre d’exemples, ETIC INSA Technologies a réalisé, pour une start-up, un prototype d’un largueur de capsules de trichogrammes pour drone. La Junior-Entreprise a également conçu une application web permettant la répartition automatique d’un grand nombre de données en tenant compte de contraintes importantes pour une administration ou encore une étude permettant d’améliorer la supervision du démantèlement des centrales nucléaires en développant une horloge mère connectant différents systèmes à la même heure pour un grand groupe. ...
Vous souhaitez proposer à vos clients ou collaborateurs une expérience unique et originale ? Les Galeries Lafayette Paris Haussmann vous accueillent en vous proposant un large choix de prestations adaptées au tourisme d’affaires. Les Galeries Lafayette Paris Haussmann : votre partenaire tourisme d’affaires Parce que la vaste clientèle des Galeries Lafayette recherche un espace adapté à ses envies, le magasin a su développer des offres pour les particuliers et … les entreprises. Ainsi, pour organiser un évènement professionnel, remercier vos collaborateurs ou proposer des prestations aux agences spécialisées, les Galeries Lafayette vous proposent des prestations adaptées. Les espaces privatisables du magasin feront la réussite de vos événements. Pour vos réunions, incentives ou cocktails, le Salon Opéra, designé par Ora Ito, permet de recevoir jusqu’à 200 personnes. Cette salle entièrement équipée et éclairée par la lumière du jour, permet de profiter d’une ambiance chaleureuse. Vous pouvez également privatiser les 800m2 de la Terrasse du bâtiment principal et recevoir jusqu’à 400 personnes, tout en profitant d’une vue imprenable sur Paris et ses monuments. Un grand magasin proposant des prestations inédites De nombreuses activités peuvent être réservées au cœur du magasin Coupole. Ainsi, il est possible d’organiser un défilé de mode privé ou d’assister à un défilé les vendredis* à 15 h au sein du Salon Opéra (*selon calendrier). Vous pouvez aussi réserver des ateliers variés tels qu’un atelier maquillage, parfum, mode, maroquinerie. Animés par des professionnels du secteur, ils sont disponibles à la réservation pour des groupes. Autre suggestion : participer à un parcours gourmet qui invite les participants à déguster différents produits aussi raffinés que savoureux. Le magasin propose de visiter son patrimoine et de partir à la découverte de ses secrets architecturaux et historiques. Certains ponctuent avec une visite de la Galerie des Galeries (présentant 4 expositions par an). Sans oublier les nombreux services en magasin qui font la joie de tous les amateurs de shopping (service détaxe pour les personnes résidant hors de l’Union Européenne, personnel multilingue, bureau de change, livraison à l’hôtel, conseil en style, etc.), la possibilité d’offrir des cadeaux d'affaires ou des cartes cadeaux. Avec les Galeries Lafayette, vous avez toutes les clés pour proposer une expérience shopping unique à vos clients et collaborateurs. ...
Se concentrer sur l’humain La richesse d’une entreprise est faite des personnes qui composent ses effectifs. Accompagner les salariés vers un « mieux-être » améliorera donc également les performances de l’entreprise. « L’humain a toujours été ma priorité. C’est ce qui m’anime, ce qui me fait avancer » explique Gyslaine Gauthier, coach professionnelle et fondatrice de H Comme Humain. Ma vision du coaching consiste donc à bâtir une relation d’aide à la fois bienveillante et humaniste avec mon client et à l’accompagner vers un ‘’mieux-être’’. Concrètement, si j’interviens auprès d’un dirigeant, la plupart du temps, je travaille sur la notion de performance ou encore sur la gestion du stress. En revanche, si c’est une équipe que j’ai pour mission d’accompagner, j’adopte alors une vue d’ensemble des interactions existantes tout en m’intéressant aussi aux individualités dont elle est constituée. Par exemple, il n’est pas rare qu’un manager soit un salarié qui aura été promu et qui éprouvera des difficultés à assumer son nouveau statut. Notamment parce qu’auprès de ses équipes, il sera passé du stade de collègue, voire d’ami à celui de supérieur hiérarchique ». Bienveillante mais exigeante Son passé d’infirmière libérale spécialisée en cancérologie et en soins palliatifs a permis à Gyslaine de développer une approche très emphatique du coaching tout en maintenant une juste distance avec les personnes qu’elle accompagne. « J’ai une écoute très humaniste et bienveillante que n’auront probablement pas un ancien manager qui se serait reconverti dans le coaching ». Mais tout en faisant monte de bienveillance, Gyslaine n’hésite pas à faire sortir le coaché de sa zone de confort si cela peut l’aider à trouver en lui les réponses aux questions qu’il se pose. « Un coach n’apporte jamais de réponses. C’est au coaché de les trouver lui-même » explique-t-elle. « Pour autant, au cours de mon accompagnement, je vais révéler à mon client des réalités qu’il n’avait pas forcément envie de voir. Mais au final, c’est lui qui décidera de la voie qu’il désire emprunter. Mon but, c’est de l’aider à s’autonomiser ». Seule une formation reconnue permet un accompagnement de qualité Tout coach digne de ce nom doit avoir suivi une formation auprès d’un établissement reconnu. « Dans le contexte actuel, la formation constitue plus que jamais un critère essentiel dans le choix d’un coach » indique Gyslaine. « On assiste à une recrudescence des coachs. Mais alors que la profession est très encadrée, le terme de coach tend, quant à lui, à être galvaudé. On l’utilise partout, à tort et à travers. Et cela risque de décrédibiliser le métier ». Lorsque l’on choisit un coach, la première chose à faire, c’est donc de vérifier qu’il est bien certifié. « C’est un gage de qualité et de professionnalisme ». La mise en place d’un contrat de coaching est un autre point à scruter en priorité. « Je fais systématiquement signer à mon client un contrat dans lequel est précisé le cadre au sein duquel interviendra sa prise en charge : le lieu, les horaires, les objectifs à atteindre, la durée de l’accompagnement, etc. Si un coach reste vague quant au nombre de séances, méfiance… » précise Gyslaine. ...
Drone Event, créée en 2015, est spécialisée dans l’animation de drones de loisir et suggère des ateliers ludiques pour des événements d’entreprise. Pour ceux qui s’intéressent aux nouvelles technologies, c’est l’occasion rêvée pour apprendre à manipuler les drones tout en bénéficiant des conseils et de l'encadrement d’instructeurs chevronnés. Afin d’assurer une sécurité optimale et de se plier aux exigences de la réglementation, Drone Event n’hésite pas à utiliser les grands moyens. « Toutes les animations se font à l’intérieur, le filet est encadré et tous les drones sont très légers et carénés en mousse », explique Mme Bénédicte Moussier, la responsable. Des activités variées Ce spécialiste de l’animation de drones de loisir suggère diverses activités dans le but de rassembler les collaborateurs autour des valeurs de leur entreprise. Des sessions de télépilote de drone civil permettront par exemple de mieux gérer le stress et de restaurer la communication entre les individus. Grâce à la présence de formateurs, les néophytes peuvent rapidement s’initier en quelques minutes aux techniques de pilotage des drones. Une fois les bases acquises, les équipes vont pouvoir tester leur habileté en effectuant une course sur le circuit Drone Racer. « Les clients choisissent entre un parcours 3 drones (3 personnes pilotent simultanément) ou un parcours 6 drones (6 personnes pilotent avec la possibilité de faire 2 équipes) tout en ayant des retours vidéo sur les écrans », développe Bénédicte Moussier. Le parcours est jalonné d’obstacles, parfait pour faire de petits slaloms, mais également de balises lumineuses (LED). En matière d’organisation, Drone Event allie parfaitement savoir-faire et professionnalisme. « À partir du moment où l'on nous donne de l’espace, nous nous adaptons et nous pouvons installer le circuit sur n’importe quel lieu d’événement, nous nous chargeons nous-mêmes de l’installation », souligne Bénédicte Moussier. Les circuits en question sont réalisés dans des lieux fermés permettant aux pilotes d’opérer en toute sécurité ! Que ce soient pour des séminaires, conventions ou soirées d’entreprise, l’animation drone est aussi un excellent moyen pour renforcer les liens dans une équipe. Le principe reste le même : dans un premier temps, une initiation en double commande pour se familiariser avec les techniques de pilotage ; ensuite chaque participant devra évoluer en un minimum de temps sur un parcours semé d’obstacles en évitant de faire des erreurs. Cela pour éviter une pénalité à son équipe, car chaque erreur coûte un point de moins. En fonction de la configuration du lieu et du nombre de participants, de nombreux parcours peuvent être réalisés pour offrir plus de sensations. ...
Depuis sa création en 1964, la CFDT s’est battue pour obtenir des droits nouveaux pour les salariés, pour construire une France plus juste et plus équitable. La CFDT s’est toujours impliquée dans l’accompagnement des salariés pour une rémunération plus juste, pour améliorer les conditions de travail, pour réduire les inégalités, pour augmenter la solidarité, pour créer des droits nouveaux et renforcer ceux existants, pour sécuriser le travail. Et, surtout, a toujours placé les salariés au cœur des projets et des activités des entreprises, plutôt que de s’en servir comme variable d’ajustement. Le but de la CFDT est de rendre les entreprises plus performantes au niveau social, économique et environnemental. La CFDT revendique le dialogue social, car pour la confédération, il est toujours préférable de discuter, négocier plutôt que de provoquer le blocage et d’entrer dans le conflit. Ainsi les bonnes idées et les bonnes volontés sont mises en commun pour améliorer la performance économique de l’entreprise, en préservant l’emploi, en améliorant les conditions de travail et le pouvoir d’achat des salariés. Elle préfère avancer pas à pas afin d’obtenir des avancées significatives pour tous les salariés. La CFDT agit à plusieurs niveaux : État, branches professionnelles et entreprises. Depuis cinquante ans, de nombreuses avancées pour les salariés… Ces dernières années, la CFDT a obtenu de nouveaux droits pour tous les salariés. En voici quelques exemples. En 2003, la CFDT obtient la prise en compte des carrières longues lors de la réforme des retraites. Ainsi, tout salarié qui a commencé tôt sa carrière peut partir en retraite à 60 ans. Lors de la mise en place de la loi sur la modernisation du marché du travail en 2008, la CFDT a milité pour la rupture conventionnelle du CDI. Cette disposition permet à l’employeur et au salarié de convenir d’un commun accord de la rupture du contrat qui les lie. Depuis janvier 2015, chaque salarié a droit à un compte personnel de formation pour renforcer ses compétences tout au long de sa vie professionnelle. Ce compte permet de développer les niveaux de qualification et de sécuriser les parcours professionnels. Une autre mesure longtemps revendiquée par la CFDT est venue enrichir les droits des salariés ces dernières années. C’est la mise en place du compte pénibilité. Ce système permet aux salariés travaillant dans des conditions jugées difficiles de partir jusqu’à deux ans plus tôt à la retraite. … et encore en 2017 En 2017, la CFDT continuera à accompagner les avancées sociales et à défendre les intérêts des salariés tant au plan national que régional, tant au niveau des branches que des entreprises. Par exemple, la CFDT se mobilise pour une nouvelle avancée sociale : la généralisation de la prévoyance lourde. En effet, elle désire que chaque salarié soit bénéficiaire d’un grand nombre de garanties au niveau de sa complémentaire santé, notamment concernant les arrêts de travail, le décès, l’incapacité de travail ou l’invalidité. ...
Après une carrière dans le milieu commercial, Anne-Laure Grasso est à un tournant de sa vie et décide qu’il est temps de changer de vocation. Son background lui a permis d’accroître ses facultés d’écoute, son empathie ainsi que ses aptitudes à créer des liens. Elle choisit alors de mettre à profit toutes ses qualités en s’intéressant à la psychologie systémique et intégrative. Rapidement, elle suit d’innombrables formations notamment dans le domaine de la psychothérapie, ce qui lui permet aujourd’hui d’aider ses patients à venir à bout d’obstacles spécifiques, à explorer en profondeur leur véritable nature et à atteindre leurs objectifs personnels. Une démarche dédiée aux enfants « Hauts potentiels » La notion « haut potentiel » désigne un enfant qui possède un développement intellectuel supérieur par rapport à son âge. En plus de disposer d’un autre système de pensée souvent en arborescence, il a une perception, un mode raisonnement ainsi qu’une analyse de l’environnement différents. À ces aptitudes intellectuelles exceptionnelles s’ajoutent une hypersensibilité, un sens accru de la justice, de l’empathie et de la lucidité. Cette intelligence hors normes est perçue comme un cadeau. Son intensité et son ampleur finissent pourtant par avoir un impact sur l’enfant en freinant l’intégration dans la société, en envahissant le champ de la pensée et en entraînant finalement des souffrances. À cause de leurs amplitudes émotionnelles plus importantes que les autres, ils sont sujets à des crises émotionnelles : peur, colère, tristesse, mépris, etc. D’où l’importance de leur offrir un accompagnement adapté pour les soutenir dans la gestion de leurs émotions. Une mission dont s’investit Anne-Laure Grasso depuis maintenant plusieurs années. La thérapeute tend la main aux enfants précoces et hypersensibles subissant un manque de confiance en eux, de l’anxiété, une exclusion sociale ou en échec scolaire. « Par ma formation systémique, je travaille toujours en étroite collaboration avec les parents. Pour aider un jeune, je dois avoir une compréhension globale des systèmes et sous-systèmes dans lesquels il vit. Tenir compte de ce contexte permet de faire des liens et aboutit à des évolutions majeures », nous confie la thérapeute. Des outils thérapeutiques adaptés aux besoins de chacun Coaching, approche systémique, PNL, art thérapie… Anne-Laure Grasso maîtrise de nombreux outils sélectionnés essentiellement en fonction des besoins de l’enfant et de l’objectif défini à atteindre. L’art thérapie s’inscrit entre autres comme l’une de ses spécialités et consiste à éveiller le potentiel d’expression artistique et de créativité pour des fins thérapeutiques. La peinture, le dessin, la sculpture et la pâte à modeler sont quelques exemples des médias utilisés et très appréciés des jeunes pour leur caractère spontané et ludique. « Cette méthode me permet de demander aux enfants de dessiner par exemple ce qui se passe dans leur cœur et de mieux comprendre leur état émotionnel… Je leur demande de parler à leurs émotions. Ils créent un personnage et se familiarisent avec cet objet transitionnel », déclare notre interlocutrice. Au cours de la démarche, les parents jouent un rôle essentiel dans leur posture et écoute empathique.Ils font partie intégrante de la solution. Pour son travail, Anne-Laure Grasso propose un accompagnement individuel ou des ateliers de groupe accueillant au maximum 6 participants. La thérapie s’articule autour de différentes thématiques. L’atelier « Bulle d’imagination » va par exemple travailler sur le développement de l’imaginaire pour prendre conscience de sa force intérieure tandis que l’atelier « La magie est en moi » met en lumière chaque potentiel pour améliorer et développer la capacité des enfants à réussir. ...
Avec treize ans d’expérience dans l’accompagnement d’entreprises, start-up et associations, Marie-Anne Haour entend tirer profit de sa connaissance du Design Thinking pour apporter un coaching plus efficient pour aider ses clients à travailler et innover différemment. Le coaching, un métier en plein essor Ces dernières années, le coaching s’est largement développé au vu des évolutions que connaissent la société et les individus qui la composent. Face à ces changements, le coaching est rapidement devenu un outil indispensable pour accompagner les personnes dans leur évolution à la fois personnelle et professionnelle. En général, cet accompagnement vise à libérer les potentiels de chacun en mettant en place des stratégies pouvant aider à atteindre des objectifs spécifiques. En fonction des besoins, le coaching peut ainsi revêtir plusieurs formes. Mais qu’il s’agisse de coaching individuel, d’équipe ou d’organisation, les techniques utilisées tendent vers un seul et même but : la résolution d’une problématique de développement. Une méthodologie originale La méthodologie de coaching prônée par Marie-Anne Haour, fondatrice de Simiya, s’appuie sur un puissant processus d’innovation qu’est le Design Thinking. « Il s’agit d’un processus d’innovation centré sur l’humain, l’idée est de passer par l’humain afin de proposer des solutions qui sont viables économiquement et réalisables technologiquement », explique Marie-Anne HAOUR. L’intérêt de cette méthode repose sur le fait qu’elle génère une nouvelle manière de travailler avec un état d’esprit complètement différent de celui qu’on trouve traditionnellement en entreprise. Cet état d’esprit repose sur l’empathie, la confiance créative, l’optimisme dans un contexte complexe et s’appuie sur l’intelligence collective. « Par exemple, depuis quelques années, j’accompagne aussi bien des groupes du CAC 40, que des groupes scolaires à changer leur façon d’innover avec plus d’agilité et de collaboratif grâce au Design Thinking. » Dans le cadre d’ateliers, elle accompagne les équipes sur des projets concrets où elle injecte aussi bien de la formation sur la méthodologie du Design Thinking, que du coaching autour de la nouvelle posture à adopter dans le cadre de ce type de travail. « En créant un contexte bienveillant et en accompagnant les individus et le collectif avec du coaching, on arrive à des résultats incroyables en termes de transformation dans les mentalités et dans les réflexes de travail collaboratif . » Des offres de coaching pour des cibles différentes Simiya propose des offres de coaching pour les entreprises, notamment au niveau des cadres dirigeants, des jeunes cadres ou des équipes formées autour d’un projet. L’accompagnement a pour objectif de permettre à ces équipes de progresser en termes de performance et d’innovation. Cela passe nécessairement par un changement d’état d’esprit et une collaboration optimisée. Et pour améliorer la manière de collaborer, Marie-Anne Haour privilégie l’approche systémique qui est centrée sur les interactions de l’individu avec les autres. Outre le coaching d’entreprise, Simiya accompagne également les individus dans leurs moments de transition. « J’explore avec eux leurs envies et leurs besoins, et les aide à élargir leur réflexion pour les amener à définir des projets d’avenir concrets », souligne la fondatrice. Enfin, un accompagnement sera bientôt proposé aux personnes qui ont été touchées par un cancer pour les aider dans leur reconstruction. Ici, il ne s’agit pas d’intervenir au niveau psychologique mais plutôt de mettre l’accent sur la réalisation et la prise de confiance en soi à travers l’action. ...
Créée en avril 2015, l'agence de développement économique Openîmes assure la promotion de deux pôles porteurs (Santé et Sécurité civile) en proposant des offres personnalisées aux entreprises qui envisagent de s'installer sur le territoire. Une filière santé définie autour des dispositifs médicaux Le marché des dispositifs médicaux est aujourd’hui un secteur en pleine croissance. Soutenu par une innovation importante et constante, les dispositifs répondent à des besoins de plus en plus variés. Selon les estimations, environ 800 000 dispositifs médicaux sont présents sur le marché français. À court ou à long terme, ils vont constituer un enjeu de taille pour la santé de demain. Selon le Pr Paul Landais « une interaction forte entre les fabricants de dispositifs médicaux et la communauté médicale est essentielle pour les années à venir. L’intérêt de constituer ce pôle est prioritaire. » Sur ce point, Nîmes ne manque pas d’atouts à faire valoir lorsqu’il s’agit d’aborder la question du développement des dispositifs médicaux. Le Grand Nîmes profite en effet d’un écosystème favorable, qui s’explique notamment par la présence de nombreux acteurs de la chaîne de valeur formant un ensemble cohérent et collaboratif. Les créateurs d'entreprises sont soutenus par un réseau dense d'accompagnement avec l'incubateur BIC Innov'Up et plusieurs pôles de compétitivité (Eurobiomed, Optitec, Aerospace Valley). Le CHU de Nîmes possède en son sein un institut spécialisé dans l'évaluation clinique des dispositifs médicaux (IDIL). Plusieurs instituts sont spécialisés dans des domaines très pointus comme l'ARAMAV dans les domaines de la basse-vision et les implants rétiniens, ou l'institut méditerranéen des métiers de la longévité (I2ML). Ils permettent des interactions fructueuses entre les mondes de la recherche et de l'entreprise. De nombreuses entreprises médicales sont d'ailleurs présentes sur Nîmes. Ces dernières bénéficient d’un écosystème doté d’un tissu économique et industriel à même de satisfaire leurs besoins technologiques. Advance, Bastide le confort médical, Advicenne Pharma, Idetec Medical Imaging, Cézanne Thermo Fisher… entre autres figurent parmi les entreprises qui ont judicieusement choisi de s’implanter sur le Grand Nîmes. Des compétences en médecine d’urgence L’agglomération nîmoise est une des premières régions françaises dans le secteur des dispositifs médicaux, il dispose aussi de solides arguments pour développer sur son territoire une autre spécificité : la médecine d’urgence et de catastrophe. Là aussi, Nîmes Métropole se singularise, en abritant la base de Sécurité civile, qui concentre sur l’aéroport de Nîmes-Garons l’ensemble des moyens aériens français de la Sécurité civile, avec pour projet de devenir à terme un pôle européen. La Sécurité civile a basé à Nîmes la partie médicale de l'hôpital de campagne mobile ESCRIM (Élément de la Sécurité Civile Rapide d’Intervention Médicalisée). Relevant du SDIS 30, cet hôpital opère sur les lieux de catastrophe pour assurer la continuité des soins jusqu’au rétablissement de structures médicales durables. Enfin, le pôle logistique de la Croix Rouge regroupe à Nîmes des moyens mobilisables dans le cadre de missions d’urgence : dortoirs, cellule médico-psychologique, PC de commandement… L’intérêt pour les entreprises est évident : ils seront ici non seulement en contact avec les acteurs de la médecine d’urgence et de catastrophe, mais aussi avec les professionnels de la Sécurité Civile. Le projet de territoire : BaseCamp https://www.youtube.com/watch?v=TTtOjnBrmFk ...
La souplesse d’une association combinée à l’efficacité professionnelle En intégrant la Junior-Entreprise Dièse à son cursus, l’ENSIIE permet à ses élèves de réaliser missions, études et autres projets mettant en oeuvre les connaissances qu’ils auront acquises au cours de leur scolarité. « Nos clients nous sollicitent le plus souvent pour du développement web, de la création de logiciels, de la production de supports multimédia ainsi que du conseil informatique et digital. Ces derniers temps, la plupart de nos missions consistent à créer des sites web, notamment des boutiques en ligne ou encore des applications web » explique Noah Delophont, membre du pôle communication de la Junior-Entreprise Dièse. « Notre souplesse d’intervention ainsi que le vivier de talents dans lequel nous pouvons puiser constituent indéniablement deux de nos atouts. Et parce que nous nous adaptons rapidement aux besoins de nos clients, nous sommes capables de leur proposer un accompagnement qui soit véritablement ‘sur-mesure’. C’est pourquoi nous intervenons aussi bien auprès de start-ups que de TPE/PME ou encore de grands groupes comme GRDF. Et le fait que notre génération ait grandi dans un univers digital nous permet de proposer à nos clients des solutions innovantes auxquelles ils n’auraient pas forcément songé ». Si l’on devait décrypter l’ADN de la Junior-Entreprise Dièse, nul doute que l’innovation et l’enthousiasme y figureraient en bonnes places. Une réelle plus-value pédagogique Par le biais des missions qu’ils réalisent auprès de leurs clients, les membres de la Junior-Entreprise Dièse ont non seulement l’opportunité de mettre en pratique ce qu’ils ont appris mais aussi d’acquérir et de développer de nouvelles compétences. Autant de critères que ne manqueront pas de valoriser les recruteurs. « Pour certains élèves, ce sera la première fois qu’ils conduiront une véritable mission de A à Z et devront respecter des délais, tenir un budget, surmonter des contraintes techniques, etc. » précise Noah Delophont. « Mais nous ne sommes pas livrés à nous-même pour autant. Des filets de sécurité sont prévus. En cas de problème, nous pouvons demander conseil à nos professeurs, aux élèves-ingénieurs de dernière année ou encore aux anciens élèves. Parce que nous disposons de tout un réseau sur lequel nous appuyer, en cas de besoin, c’est d’une immersion progressive et en douceur dans le monde du travail dont Dièse nous permet de profiter ». En plus de les auditer annuellement afin de s’assurer qu’elles respectent bien la loi et ne mettent pas en danger le mouvement, la Confédération Nationale Junior-Entreprises (CNJE) propose d’ailleurs régulièrement des formations aux Junior-Entreprises. ...
La supervision, garantie d’un coaching de qualité Si la formation que reçoit un coach professionnel est importante, la supervision dont il fera l’objet tout au long de sa carrière l’est tout autant. « L’idée, c’est de favoriser un travail sur soi mais aussi en soi du professionnel (coach, formateur, consultant, éducateur, etc.) qui accompagne son client » explique Martine Volle, fondatrice de Present Consulting, sa société qui propose, depuis plus de 20 ans, des prestations de coaching et de supervision. « Par le biais d’un dialogue réflexif mais aussi d’un apprentissage collaboratif, la supervision permet ainsi de réfléchir sur soi-même et de prendre du recul, tout en restant dans un cadre professionnel ». Car pour être en mesure de dispenser un accompagnement efficace, un coach doit pouvoir évoquer, lors de ses séances de supervision, les éventuelles difficultés qu’il rencontre. Il doit également s’efforcer d’analyser son ressenti et de questionner son geste professionnel. « Dans le cadre de mon activité de supervision » précise Martine Volle, « j’interviens à différents stades. Au niveau du geste professionnel de l’accompagnant, c’est à dire de sa façon de faire, qu’il s’agisse des outils qu’il utilise, des compétences qu’il met en oeuvre ou encore des règles éthiques qu’il doit respecter. Mais j’aide également l’accompagnant à être en parité tout en gardant une juste distance avec son client, à ne pas trop s’impliquer et garder conscience des risques de ‘’transferts’’, de projections ou de reflets sur lui. Un coach n’est pas une machine mais un être d’émotions. Et s’il se fait happer par la situation de son client, un coach risquera de perdre son discernement. Et son accompagnement perdra en efficacité… ». En veillant sur la sécurité morale de l’accompagnant et en vérifiant que son geste est correctement effectué, le superviseur s’assure donc que le coach est toujours apte à accompagner ses clients. De plus en plus d’accompagnants veulent se former à la supervision Conscients du rôle capital que joue la supervision dans tout processus d’accompagnement, un nombre croissant de professionnels franchissent désormais la porte de l’école IDSUP, l'Institut du Développement de la Supervision que Martine Volle a ouverte, il y a quatre ans de cela. « Les motivations des accompagnants qui décident de suivre la formation que je propose sont diverses » explique Martine Volle. « Certains jouissent d’une certaine séniorité dans leur métier et sont régulièrement sollicités pour du mentoring. Ils décident alors de se professionnaliser et de développer des compétences spécifiques de supervision. D’autres ne souhaitent pas nécessairement devenir superviseurs lorsqu’ils s’inscrivent à ma formation. Mais ils estiment à juste titre, d’ailleurs - que cette démarche les aidera à prendre du recul par rapport à leur propre pratique professionnelle. Enfin, parmi les participants, je compte des personnes qui, sans être coachs, accompagnent tout de même des processus de changement dans des entreprises et veulent réfléchir à ces processus ». À l'issue de leur formation, les alumni, devenus superviseurs certifiés, peuvent entrer dans la Community IDSUP qui favorise la R&D sur la supervision. ...
Souplesse et adaptabilité pour maîtres-mots Structure de coaching à taille humaine, le cabinet Entreprises en Mouvement fait de sa petite taille un atout tout en souplesse et en adaptabilité. « L’offre que nous proposons à nos clients est véritablement ‘’sur-mesure’’ » explique Louis-Joseph de la Fouchardière, son fondateur. « Nous sommes, par exemple, capables de nous adapter en mobilisant rapidement des partenaires en nombre suffisant pour répondre efficacement aux attentes du client. Qu’il s’agisse de coaching individuel, de formation ou d’un accompagnement d’une équipe dirigeante dans le cadre d’une transformation d’entreprise. De plus, le fait que l’ensemble des intervenants soient issus du monde de l’entreprise contribue à rassurer nos clients. Ce vécu nous permet d’être en empathie avec les équipes managériales que nous avons à coacher, de leur proposer une large palette de prestations et de partager avec elles notre sens des réalités du monde de l’entreprise ». Faire sauter les verrous Qu’il s’agisse de comités de direction ou d’équipes opérationnelles, les interlocuteurs du cabinet peuvent compter sur son expertise pour les accompagner dans la transformation de leur entreprise, les aider à exploiter tout leur potentiel et repousser leurs limites. « Beaucoup de mes clients ont le sentiment d’avoir atteint un plafond d’efficacité. Et de ne pas pouvoir aller plus haut » explique-t-il. « Mon travail consiste alors à les aider à faire sauter le verrou qui bloque leur progression. Par le biais d’une écoute attentive, je leur permets de développer leur potentiel, de mobiliser leurs ressources et de découvrir - en eux-mêmes - d’autres ressources leur permettant d’apporter des réponses nouvelles à leurs problématiques ». Pour accompagner son client tout en prenant soin de ne pas se substituer à sa démarche, Louis-Joseph de la Fouchardière met en place une véritable « alliance » entre lui et la personne qu’il est chargé de coacher ou le dirigeant de l’équipe de direction dont il assure l'accompagnement. « Cela va bien au-delà de la confiance ou encore du respect mutuel » précise-t-il. « En établissant ce lien de confiance entre lui et moi, fondé sur un partage clair des objectifs du coaching et un échange régulier sur la progression du collectif, je m’assure que mon client s’autonomise et que mon accompagnement sera efficace. Toujours bienveillant mais jamais complaisant, je m’autorise parfois un petit ‘’pas de côté’’. Si la situation l’exige, injecter dans le processus de coaching une dose de confrontation bienveillante permet, en effet, au client de visualiser le blocage. Et, partant, d’apprendre à le dépasser ». Récemment, il a ainsi fait remarquer à un dirigeant qu’il serait heureux de continuer à faire des affaires avec lui mais qu’il préférait ne plus intervenir d’ici trois mois, cela dans le but de déclencher une prise de responsabilité. Au fur et à mesure des séances, le coaché va ainsi non pas vaincre ses peurs et ses appréhensions mais apprendre à composer avec elles, aboutissant ainsi à un mouvement plus robuste. Dans le cas d’un coaching d’équipe dirigeante, le collectif va devenir une ressource plutôt qu'un lieu où s’expriment les chapelles et les enjeux de pouvoir. ...
Prendre du recul pour aller de l’avant Le coaching, ça n’est pas que pour les autres ! « À un moment ou à un autre, au cours de sa vie professionnelle, tout le monde peut avoir besoin d’une aide extérieure. Mon rôle, c’est d’aider une personne en perte de repères professionnels, voire en situation de burn out, à prendre le recul nécessaire pour (re)trouver confiance en ses capacités et (re)prendre le contrôle de son parcours professionnel », explique Danielle Guilbaud. Une fois qu’il aura pu identifier d’éventuels points de blocage, le « coaché » sera alors en mesure de redéfinir ses priorités et de progressivement se repositionner. Mais si le coach pousse son client à se remettre en question, c'est pour mieux le guider ensuite. Il ne lui dicte pas sa conduite. « Je n’impose jamais rien. Je me contente de révéler à mes clients des ressources qu’ils avaient en eux mais dont ils n’avaient pas conscience, qu’ils ne savaient pas utiliser, ou dont ils avaient oublié l'existence », précise Danielle. En grattant le vernis, le coach fera donc ressurgir des qualités oubliées par le coaché. Pour autant, c’est à ce dernier qu’il appartient de puiser en lui-même l’énergie nécessaire pour redéfinir ses objectifs. Et c’est sur ses propres ressources qu’il devra s’appuyer pour y parvenir. Agir avec bienveillance mais sans complaisance « Une belle personne à faire émerger. » Dans le cadre de sa mission, Danielle Guilbaud aide ses interlocuteurs à se poser les bonnes questions. Quitte à devoir parfois les mettre face à leurs contradictions. Mais c’est à ce prix que le changement – tant espéré – pourra s’opérer et que la motivation – qui pouvait sembler tarie – ressurgira. « Quand ils viennent me consulter, certains de mes clients sont dans une grande confusion. Ils ne savent plus très bien où ils en sont. Mon rôle, ce n’est surtout pas de les juger mais de les aider à clarifier la situation. À y voir plus clair. Et à retrouver une certaine sérénité. » Car face à un monde du travail en pleine mutation, force est de constater que le coaching professionnel tel que le pratique Danielle Guilbaud a de beaux jours devant lui. « Quand j’ai démarré, le coaching professionnel s’adressait principalement aux cadres et aux dirigeants. Alors qu'en réalité, ce sont toutes les personnes en activité qui gagneraient à prendre du recul et à se remettre en question de temps à autre. » ...