Située sur le quai de la Marine, le lieu fleure bon les vacances. Face au Deauville Yacht Club, une ambiance bistrot-chic règne au Comptoir et la Table où les tables en bois rustiques rappellent les brasseries parisiennes confortables et sans chichis. La décoration donne le ton de la mer. Nappes blanches et banquettes confortables, cette ambiance classique rappelle le charme de la station balnéaire normande très prisée des Parisiens.
Décoré par Beineiche, ce repère culinaire du Calvados est minimaliste avec beaucoup d’espace. Fidèle au style des vieux restaurants deauvillais des années 50, le clinquant n’est pas de rigueur. Seule exigence : des produits frais et de qualité pour une clientèle avertie.
Nuances de truffes
De véritables produits frais, tout droit débarqués des ports de pêches font la réputation de ce haut établissement du « 21e arrondissement de Paris ». A l’honneur bien sûr, la truffe, véritable crédo culinaire du Comptoir. En entrée, elle ouvre le bal avec son fameux œuf poché à la truffe, préparé simplement mais authentiquement pour sublimer ses arômes délicats. Avec sa crème de truffes et ses quelques croutons, les papilles sont enchantées par ce gout puissant et atypique si prisé des fins gourmets. Son odeur, envoutante, donne du cachet à l’assiette, et évoque la terre, l’humidité et les effluves forestières. Pour ne pas dénaturer ce gout rare, le dressage est simple et élégant. Ici, le champignon unique est frais en toute saison. En hiver, c’est celle du Périgord qui trône dans l’assiette . En été, c’est celle d’Italie qui vient accompagner les plats signatures de ce restaurant prisé pour ses interprétations de la truffe.
En entrée, le carpaccio de Saint-Jacques étonne avec ses fines lamelles et son rapé de truffes. Le gout subtil de noisette et la chair très fine de ce fruit de mer en font un mets estival de choix. Le calamar en poêlée et caramélisé est très prisé par les habitués du lieu. Ce fruit de mer est également dressé sans chichis, avec une salade toute simple pour apprécier le gout tendre et sucré de cette recette fraiche et marine. Le homard se veut frais dans ce restaurant, accompagné d’une poêlée de légumes du marché croquants et d’herbes.
En plat principal, on se délecte d’une sole rôtie accompagnée de linguines à la truffe. Ce champignon gastronomique sublime un risotto chaud et onctueux accompagné de son rapé. Le Comptoir et la Table varie aussi les accompagnements du diamant noir avec des produits de la mer cuisinés avec la même philosophie : sobriété et gout. En poissons, le choix est là. Turbot, cabillaud, sole, Saint-Pierre et bar viennent enchanter les assiettes des amateurs des produits de la mer frais et de qualité.
Vins aux arômes délicats
Avec une carte de vins variée et prestigieuse, plusieurs crus accompagneront vos plats avec leurs arômes délicats. Pour le carpaccio de Saint-Jacques, un Meursault. Un Sancerre blanc viendra libérer les arômes des poissons frais du menu avec ses effluves d’agrumes et de fleurs. La côte de veau aux girolles sera sublimée avec un Pauillac rouge et sa complexité intense idéale pour une viande rouge. Ceux qui veulent couronner leur repas avec un instant de douceur gourmande, c’est une carte de desserts classiques qu’on découvre dans cet établissement. Tarte aux pommes, tulipe de fruits frais, crêpe suzette ou encore crème brûlée à la vanille paracheveront votre repas avec sobriété et délice.
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Promotion des produits du terroir, authenticité, originalité, cuisine maison à des prix abordables. C’est en cela que ce restaurant s’affiche comme une alternative à l’existant…
Et pour atténuer les effets négatifs des dispositions calamiteuses imposées par les instances en charge du projet de requalification de l’accueil, l’établissement offre entre autres à ses clients le stationnement gratuit sur son parking privé : bienvenue au Mont Saint Michel !
Rétablir la réputation du mont Saint-Michel et de sa baie
Au lieu d’une retraite bien méritée, Joël Lerognon, ancien maire de la ville voisine, ingénieur et ancien chef d’entreprise, enfant du pays, ne pouvait se résoudre à voir l’image du Mont écornée aussi bien par les dispositions prises par les instances publiques que par certains comportements des acteurs économiques locaux.
Malgré l’attractivité présentée par les nouveaux ouvrages, réalisés dans le cadre du grand projet, remarquables par leur conception et leur gigantisme aux conséquences encourageantes sur le retour de l’insularité du Mont, la fréquentation des visiteurs est descendue à environ 2.300.000 visiteurs par an à comparer aux 3.200.000 d’avant les travaux et des 4.200.000 prévus à l’époque pour l’horizon 2015 ! Ces chiffres attestent d’une situation dont n’ont pas pris la mesure les responsables évoqués précédemment.
Cette situation est d’autant plus regrettable que la réalisation du grand projet de rétablissement du caractère maritime, justifiée par près de 2 siècles d’erreurs de l’homme jouant l’apprenti sorcier, suivis d’un siècle d’études, d’essais de controverses pour aboutir à un projet d’équilibre et respectueux de la nature, conduit à un chantier de plus de 20 ans, véritable prouesse de nos architectes et ingénieurs.
Il n’est pas présomptueux d’avancer que par son ampleur et sa qualité technique et architecturale , cet ensemble d’ouvrages s’inscrit dans la continuité de l’œuvre des moines bâtisseurs du moyen âge.
On regrettera d’autant plus que les errements évoqués précédemment aient écorné l’aura du Mont et nuisent à l’économie locale.
S’ajoutent à ce handicap, les innombrables entraves à l’action de ceux qui veulent entreprendre et sortir de la banalité. La faute suprême étant la réussite quant elle apparait à l’horizon….
Voici le contexte dans lequel le fondateur de la Ferme St Michel a voulu procurer aux pélerins et touristes venant au Mont quelques moments de détente, de plaisir et de découverte.
Ce projet il l’a réalisé, entouré d’une équipe passionnée et professionnelle, à laquelle il fixa le challenge de se placer en tête des établissements locaux. L’avenir confirmera ce pari ambitieux.
Pour y parvenir, partant d’une ruine située à l’arrivée au Mont, une ancienne ferme des polders fut entièrement rénovée, faîte de pierres apparentes, de boiseries anciennes, d’une charpente cathédrale, d’ une imposante cheminée et d’ un four à pain.
L’ensemble de 4 salles d’une capacité de 200 convives constitue également une exposition permanente de tableaux, dessins et sculptures d’artistes de la famille.
La cuisine met en valeur des plats spécifiques à la baie, aux polders : le véritable agneau de pré salé, les carottes des polders, les pommes du verger familial, les moules et huitres de la baie et bien d’autres ….
Une clientèle très large se constitue mais exclusivement par la réputation acquise et le classement des guides : TRIP ADVISOR, la Fourchette, Michelin et bien sur le bouche à oreille compensant l’absence quasi-totale de la clientèle de passage suite à l’occultation par des rideaux d’arbres, imposés par les instances en charge de l’urbanisme local. S’ajoutent des mesures discriminatoires telles la fameuse barrière fable du site à travers le monde.
La Ferme St Michel contribue chaque jour à redon...
Situé à Parigné, entre Rennes et Fougères, le restaurant fait partie intégrante de ce magnifique château datant du XVIème siècle, entièrement rénové alliant modernité et charme historique. L'établissement est un hôtel 4 étoiles de 19 chambres classé « Relais du Silence et Symbole de France ». De nouvelles chambres sont en cours de construction ainsi qu’un spa avec un espace dédié bien-être. La propriété, qui s'étend sur près de 78 hectares, englobe le château, une chapelle, un practice de golf (la construction du parcours de 9 trous débutera en 2017 et par la suite un 18 trous) et un parc avec un étang où chevaux et autres animaux cohabitent paisiblement. A noter que le célèbre Mont Saint-Michel se trouve à 30 minutes de voiture du Château du Bois Guy.
Le château à travers l'histoire
Le Château de Bois Guy, de style Renaissance, a été édifié au XVème siècle du temps des seigneurs bretons. Parmi ses plus illustres propriétaires figure Aimé Picquet du Bois-Guy, un chef de partisans royalistes du temps de la Révolution, qui a d'ailleurs laissé son nom à la propriété. En 2009, Michael Linhoff et Mathias Haefeli en font l'acquisition. Aujourd’hui, c'est grâce à ces deux hommes passionnés et les travaux de rénovation qu'ils ont menés que le Château est devenu un Domaine résolument chaleureux et élégant.
Un domaine magnifique, une cuisine exceptionnelle
L’équipe de restauration, sous la houlette de Line Schmidt, attache une importance toute particulière à l’utilisation de produits frais et de saison, issus de producteurs locaux pour servir une cuisine de grande qualité.
C’est ainsi que le restaurant a été récompensé en 2015 par l’obtention du label "Restaurant de Qualité" reconnu par le Collège Culinaire de France. L’équipe, toujours en quête de perfection, a également en ligne de mire une étoile au Guide Michelin.
La carte et les menus sont régulièrement renouvelés selon les inspirations, sans cesse teintées d’originalité de la chef. Pour se donner une idée de la frugalité des plats, voici quelques suggestions proposées dans le menu à 40 €. En entrée au choix : Velouté de Topinambour à l’huile de Truffe & Coquilles Saint-Jacques ou la Panna Cotta de Légumes de saison & salade avec sauce aux Herbes Sauvages.
Pour le plat, choisissez entre le Filet de Saint Pierre, accompagné de petits Navets et mini Poireaux ou Magret de Canard, Pomme Anna & Champignons, servi avec sa Sauce au Vin Rouge. En dessert, rien de tel qu’un Gâteau Mazarin accompagné de Fruits de Saison & de Caramel au Beurre Salé.
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Cancale et la baie du mont Saint-Michel sont un merveilleux décor pour cette crêperie ouverte depuis 2008. À l’intérieur, bois brut, ardoise et granit évoquent bien entendu la Bretagne.
La crêperie...
Bertrand Larcher, propriétaire du restaurant, propose des galettes créatives de haut de gamme.
Les crêpes et les galettes sont confectionnées à partir de farines de sarrasin ou de froment bio moulues à la pierre. Toutes les garnitures sont réalisées avec des produits locaux, sélectionnés avec attention et achetés à de petits producteurs, pour la grande majorité bio.
Vous apprécierez particulièrement la pâte fine de la galette ainsi que son croustillant. Et, bien sûr, la garniture copieuse, aux saveurs incroyables.
Vous trouverez des crêpes classiques mais aussi des associations plus originales qui raviront votre palais, comme la Cancalaise à base de hareng fumé ou la Charentaise mariant fromage de chèvre et miel.
En dessert, vous serez sans doute conquis par la délicieuse crêpe sucrée au beurre yuzu ou par la crêpe avec sa boule de glace au thé vert.
La carte est très régulièrement renouvelée, produits de saison obligent.
Laissez-vous tentez par un des 60 cidres à la carte. Ou par un Breizh cola !
... ou la table de Breizh Café
Vous pouvez également choisir de vous restaurer à la table de Breizh Café au premier étage de l’établissement. Vous y découvrirez la cuisine du chef Fumio Kudaka, qui cuisinera sous vos yeux. Il marie à merveille produits locaux et inspiration japonaise. Vous pourrez savourer des huitres creuses avec une sauce tartare au yuzukoshõ ou du homard avec un condiment d’algues au kabosukoshõ et accompagné d’une salade de quinoa. Sans oublier les nouilles koba confectionnées avec du sarrasin.
Vous pourrez accompagner votre repas d’un authentique saké.
Et aussi des chambres.
Pour profiter pleinement de la région, n'hésitez pas à réserver une des 5 chambres meublées situées au-dessus des restaurants. Chacune vous offre une vue exceptionnelle sur la baie de Cancale.
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Parfaitement installé au bout du Sillon, la plus grande plage de sable de Saint-Malo, Le Coude à Coude est une invitation au voyage et au plaisir de la cuisine bistronomique. Dans ce petit établissement contemporain créé en 2009, l’accueil chaleureux de Karine Cordeau accompagné de musique discrète et des plats cuisinés divinement par le restaurateur, ne laissent pas indifférents les visiteurs de passage en Bretagne. L’atout majeur du restaurant, « c’est sa petite taille, sa cuisine ouverte ainsi que les jolis produits issus du terroir breton », souligne le propriétaire et chef Nicolas Bourdon.
Une cuisine instinctive et traditionnelle
Outre les crêpes, la cuisine bretonne cache plusieurs autres particularités et spécialités. Au Coude à Coude, le chef privilégie les produits du terroir, les fruits de mer, et plus particulièrement les poissons. Ces derniers sont sublimés par un accompagnement singulier (fenouil confit, émulsion de moules au curry) et une cuisson soignée. Pas uniquement ibère, ni seulement bretonne mais parfois un peu des deux, le style culinaire du restaurant mélange les produits frais locaux pour en faire une cuisine inventive à part entière à travers laquelle « les plats sont ancrés dans la tradition et la cuisine de grand-mère », explique notre interlocuteur.
Une carte inventive et authentique
Le Coude à Coude se distingue aussi par la créativité de son chef qui innove en permanence dans ses préparations. Sa « cuisine du marché » où tout est réalisé devant les convives flatte les palais les plus exigeants. Composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, la formule du jour servie chaque midi est renouvelée régulièrement pour justement garantir cette notion de « fraîcheur et de qualité »... Le soir, les convives pourront choisir les plats sur l'ardoise de produits frais.
Quant aux amateurs de bons vins, plus de 150 références sont mises à leur disposition pour leur plus grand plaisir. La carte est constituée par Nicolas, aidé de ses deux conseillers Christophe Péroux et Thierry Duchêne. La sélection créée notamment avec la collaboration de la Cave de l'abbaye St Jean vous fait voyager dans les plus beaux vignobles de France.
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Le restaurant D’Eux-Mêmes garantit à ses hôtes de jolies découvertes culinaires rouennaises. Inspirée de l’esprit Escoffier, la cuisine respecte le gout authentique des produits frais. David Oper et Amélie Tessier, propriétaires du restaurant et du bistrot gourmand, soutiennent : « La cuisine est instinctive et ludique. Le produit est la star car notre philosophie c’est de dénicher un produit local d’exception ! ». Au restaurant, une carte audacieuse, des produits frais et des prix attractifs séduisent les gourmets.
Aux Halles : l’esprit marché
Aux Halles, Ici, c’est comme au marché, un même lieu pour savourer plusieurs ambiances : cave à vins, boucherie, terre et mer, et aussi espace boudoir et salon privé. Une salle privative dédiée au rugby reçoit les sportifs pour la troisième mi-temps mais aussi pour les clients d’affaire. Fauteuils en cuirs, tables et sièges colorés, le décor des Halles by D’Eux-Mêmes est une invitation aux moments festifs et conviviaux. Côté cuisine, les mets sont riches de saveurs. Spontanéité et inventivité sont les lignes de conduite du chef. On y goute sa spécialité : le fish and chips. Les merlans en colère, voutés et alignés en cercle, sont panés. Au milieu, se nichent des frites croustillantes. Côté boucherie, les amateurs apprécient les déclinaisons de jambons basques ou normands. Les pièces sont de qualité : iberico ou bodega reserva, avec 24 à 60 mois d’affinage. Une spécificité maison : thon, saumon et canard sont fumés à la sciure de bois à l’intérieur de la cuisine. En bref, aux Halles, c’est ici, que l’on sirote un mojito glacé ou une sangria rosé et que l’on croque de bons tapas, tout en bavardant entre copines. Les amateurs de vins s’accoudent au bar, et dégustent un des crus sélectionnés avec soin.
Restaurant D’Eux-Mêmes : jeux de saveurs
Au restaurant, fraîcheur et originalité sont maîtres-mots. « On s’inspire des voyages autant au niveau de la décoration comme de l’assiette » sourit David Oper, propriétaire des lieux. Les produits du terroir sont choisis avec soin par le chef. Les fournisseurs sont des producteurs locaux pêcheurs du Havre, éleveurs de Normandie. Les plats d’inspiration normande enchantent les papilles. En entrée, dégustez le foie gras de canard mi-cuit en terrine, assaisonné aux grains de café torréfiés, le chef présente un accord délicat de sucré-salé. Le pressé d’épaules et de pieds de cochons normands est un plat réputé du pays. Ici, le chef l’arrose de vin rouge et le sert à la façon d’une terrine, agrémenté d’une sauce à la moutarde de violette. En plat principal, on choisit la côte de bœuf frottée finement à la fleur de sel avec ses pommes de terres montées au beurre frais. Côté mer, on goûte le pavé de cabillaud snacké au beurre ½ sel, étuvée de poireaux aux coques, émulsion au lard fumé légèrement iodé. Les curieux la saint jacques raidies à la plancha, betterave en déclinaison de textures et de saveurs, quelques gouttes d’hules de noisettes. En dessert, optez pour une des créations originales du chef : parfait glacé à la clémentine, copeaux de chocolat noir, jus de clémentines réduit aux clous de girofles ou bien un biscuit moelleux à l’amande et chocolat blanc, fine compote de pommes à la vanille bourbon et sa glace. Tout chocolat : palet chocolat a l’ariaga noir, crémeux au miel de fleur et cacao, glace chocolat une douceur pleine de sensualité. La carte des vins propose une sélection variée avec quelques crus bourgeois.
Amoureux du gout du « vrai », le chef met à l’œuvre dans l’assiette l’esprit D’Eux-Mêmes : des produits frais, une cuisine spontanée pour le plaisir des sens.
Le Restaurant D’Eux-Mêmes est continuellement à la recherche d’artistes locaux afin de vous proposer un endroit toujours en mouvements. Le Restaurant propose régulièrement des animations ainsi que ...
Le restaurant Ker Soazig est né dans une volonté de mettre en avant les produits du terroir breton, de valoriser le circuit court et les produits de saison et, par-dessus tout, de prouver qu’il est tout à fait possible de manger bio sans forcément se ruiner.
Particulièrement engagé dans cette démarche, Philippe Le Duff a lancé cette crêperie et ce bistrot breton en hommage à sa grand-mère Soazig Kersauson, dont le souvenir plane dans les moindres recoins de cet établissement au charme simple et naturel.
Que du bio, que du frais
« De la fourche à la fourchette », une notion qui prend tout son sens dès que l’on se met à décortiquer un peu le mode de fonctionnement du restaurant. Afin de respecter son engagement dans le développement durable et dans une optique de promouvoir une alimentation de qualité, Philippe Le Duff a créé la Ferme des loges (proche de Rennes), au sein de laquelle il cultive son propre blé noir 100 % bio (utilisé pour la fabrication des galettes). ILe blé est ensuite moulu à la meule de pierre, comme autrefois, ce qui préserve toutes ses qualités nutritives et gustatives.
Pour le reste, la maison ira les chercher auprès des producteurs locaux. Elle travaille aussi en étroite collaboration avec des fournisseurs bio comme Biocoop.
Des recettes d’hier et d’aujourd’hui
« 100% bio, Ker Soazig essaie aussi d’être 100 % bon. » La carte a été construite selon des recettes inspirées de Soazig Kersauson, la grand-mère de Philippe. Véritable fermière bretonne, elle a su préserver les secrets de la bonne cuisine d’autrefois, qui contribuent aujourd’hui au succès du restaurant. Vous pourrez ainsi retrouver la fameuse crêpe épaisse, « Fraz Pitilig », un dessert typiquement breton.
Des menus pour tous les budgets
Premier restaurant certifié 100 % bio en France, Ker Soazig est aussi l’un des rares établissements à proposer des tarifs réellement adaptés à tous les budgets. Ainsi, pour moins de 10 €, il sera possible de déguster un menu composé d’un plat et d’un dessert. Le menu enfant, quant à lui, est tarifé à moins de 8 €.
Toutes ces suggestions gourmandes se dégustent dans un décor intemporel à l’image de la Bretagne. Dans ce restaurant atypique, on se promène à la découverte de la maison Soazig à travers la remise, l’espace grenier constitué de mobiliers authentiques chinés dans les brocantes ou encore la salle centrale, dont le style est inspiré de son ancienne salle à manger.
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La devanture annonce d’ores et déjà la couleur. Trois inscriptions attirent irrémédiablement l’attention : « cuisine authentique », « Plat bistrot à 9,90 € » et « Agriculture biologique ». En réalité, il s’agit là des trois piliers fondamentaux du restaurant : proposer une cuisine simple, savoureuse et accessible. Vous pourrez ainsi retrouver des plats bistrots mais aussi une sélection des recettes régionales. Les gourmands n’ont qu’à bien se tenir.
Destination : les plus grandes régions de France
Une fois que vous aurez poussé les portes de l’établissement, un sentiment de dépaysement vous envahira. Les choses n’ont pas été faites à moitié dans ce bistrot-bar.
Ainsi, divers espaces ont été aménagés de façon à vous faire voyager à travers toute la France. Au sein de la salle dédiée au Sud-Ouest, vous vous installez dans une sorte de cave à vins constituée de casiers à bouteilles et d’un plafond vouté au charme naturel. Dans la partie Normandie, la présence de pots à lait donne le ton. Honneur également à la Provence, avec une décoration ensoleillée aux accents du Sud.
Des recettes simples et savoureuses
Ici, le bio et la saisonnalité sont privilégiés. Adepte du circuit court, Le Bistrot de nos terroirs travaille également en partenariat avec des producteurs locaux pour s’approvisionner en produits certifiés AB, Label Rouge, AOC…
Pour le plaisir des sens, il propose une palette de suggestions gourmandes. Des recettes de grand-mère sont servies dans le restaurant ouvert 7 jours sur 7.
Burger façon terroir, tartines, viandes françaises et, au fil des saisons, des plats régionaux tels que la blanquette de veau, le bœuf bourguignon, le pot-au-feu… Autant de plats qui nous font vivre la nostalgie de notre enfance, lorsque grand-maman concoctait des mets succulents pour nous réchauffer le cœur.
Une des spécificités du restaurant porte sur ses tarifs particulièrement abordables, avec un plat Bistrot à 9,90 € et un menu entrée + plat ou plat + dessert à 13,90 €.
Pour accompagner tous ces plats gourmands, rien de tel qu’une bonne bouteille. La cave est composée de plus de 20 références de vins AOC et bio. Le restaurant travaille avec un caviste qui se charge de trouver les meilleurs produits en fonction des terroirs.
En résumé, Le Bistrot de nos terroirs est un véritable lieu de vie pour se restaurer, déguster une boisson chaude l’après-midi ou même encore profiter des beaux jours en terrasse pour découvrir un vin accompagné d’une planche à partager.
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Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud.
Grands moments de gastronomie
Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle.
Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement.
Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies.
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Dans un cadre verdoyant au milieu des vergers de Nouvoitou, le Manoir du petit corcé met à disposition cinq salles privatisables pour les repas de groupes, mariages, anniversaires, baptêmes ou pour différentes réceptions professionnelles. Un cadre d’exception, une cuisine créative et raffinée, un service dévoué, tous les ingrédients sont là pour faire de ces évènements des moments uniques.
Le plus beau jour de votre vie
Pourquoi se contenter d’un bon mariage lorsqu’on peut exiger l’excellence ? Le Manoir du petit Corcé organise une cérémonie à la hauteur de vos rêves dans ce cadre aux allures d’Éden. La formule clé en main offre un libre choix sur toutes les prestations: l’aménagement et la décoration de la salle, la logistique, le menu et le buffet ou encore l’animation. Toute l’équipe s’active pour accompagner les tourtereaux depuis les préparations jusqu’au grand jour, et même après. Le Chef concocte pour les nouveaux mariés une Porchetta à leur retour de mariage, c’est un cochon entier désossé cuit au four à pain.
En parlant de cuisine, le menu mariage est élaboré annuellement. Le Chef Nicolas Gicquel et son équipe proposent des plats traditionnels teintés d’une touche de modernité. Les amoureux auront l’embarras du choix entre le « Foie gras mi-cuit, gelée de rhubarbe & pain d’épices maison accompagné de sa verrine mousse de foie gras et tartare de pommes granny Smith », le « Tartare de Saint Jacques, daurade et mangues basilic » et six autres entrées. Pour les plats, le choix s’effectue entre le « Magret de canard, sauce au poivre Gratin de pommes de terre-patates douces et mélimélo de légumes » et cinq autres suggestions. Pour couronner le tout, le « Fraisier à la pistache et éclats de framboises », le « Cheese cake au citron & son coulis de fruits rouges » ou la Charlotte aux trois chocolats » sauront émerveiller les papilles. Des assiettes de fromages comme le « Munster pané, chapelure de noisettes & cumin » et la « Mousse de fromage frais, sablé parmesan & compotée de figues ou coings » sont également disponibles, sans oublier les vins d’accompagnement.
Entre professionnels, on se comprend
Conscient des enjeux des réunions et réceptions professionnelles, le personnel de l’établissement se dévoue corps et âme à la réussite des évènements d’entreprise. Les cinq salles indépendantes peuvent accueillir des séminaires et conférences, des repas d’entreprises ou des showrooms. L’endroit est privilégié par sa position un peu isolée dans les vergers qui favorise la tranquillité. Rien de tel pour rapprocher les collaborateurs. Le Manoir du petit Corcé travaille en réseau avec des prestataires pour fournir une prestation complète aux entreprises.
La maison présente trois formules de séminaires qui incluent la location de la salle, une petite bouteille d’eau pour chaque participant, un petit déjeuner et un déjeuner. Un écran et un paper board sont mis à la disposition des entreprises dans chaque salle. En cas de besoin, il est également possible d’obtenir un vidéoprojecteur, une table de mixage et des enceintes. Dans la formule « carte blanche du chef », les participants doivent choisir entre viande et poisson puis le Chef s’occupe du reste. Pour la « formule n°1 », plusieurs propositions au choix sont offertes. Enfin, le Cocktail du Manoir complète la « formule n°2 ».
Un cadre irréprochable
L’environnement extérieur du Manoir du petit Corcé est régulièrement entretenu par un paysagiste pour que les invités soient accueillis dans les meilleures conditions possibles, à n’importe quel moment. Pour une cérémonie féerique, différentes salles de réception sont disponibles avec des espaces privés adaptés. Le décor est moderne mais reste assez neutre pour donner plus de possibilités aux mariés sur la décoration qu’ils veulent.
La salle Armorique peut accueillir jusqu’à 250 personnes, elle s’accompagne ...
En plein centre-ville de Chateauneuf-en-Thymerais, se dresse Le Relais d'Aligre, un retaurant qui a su s'affirmer dans cette contrée. Ici le travail d'équipe est la règle d'or. De la fourche à la fourchette, la maison fait découvrir sa passion des bons mets. Service traiteur, menus spécifiques, Eric Canville met les petits plats dans les grands. Ce qui lui a valu d'être valorisé par le Bottin Gourmand et labellisé Maître Restaurateur.
Une cuisine valorisant les produits de mer et du terroir
A l'intérieur du restaurant tous les sens sont en éveil, une vraie promenade gastronomique. Le Chef cuisine des spécialités faites maison, aux gouts et saveurs authentiques propres à la région.
Ayant appris auprès de son père, Éric dès son plus jeune âge fréquente une école de restauration à Mont-Saint-Aignan. A la direction de ce restaurant depuis plus d'une vingtaine d'années, il travaille en étroite collaboration avec son chef cuisinier. Sa passion pour le bon produit le pousse à s'approvisionner auprès des agriculteurs les plus proches, pour allier au mieux produits frais de saison et instinct culinaire. En collaboration avec son équipe, il est toujours à la quête du nouveau et a pour concept de faire évoluer la carte au rythme des saisons. Les spécialistés de la maison sont originales et variées.
Comme entrée, le restaurant propose la Tempura de gambas, vinaigrette au fruit de la passion, salade de légumes. Pour élaborer ce délice, le chef commence par préparer la pâte à Tempura qui est un mélange d'eau, de farine et d'oeufs. Il prend soin de nettoyer les gambas, d'enlever les têtes et le boyau noir. Les gambas sont trempées dans la pâte puis mises dans de l'huile chauffée. Le tout est accompagné d'une vinaigrette faite à base de jus de fruit de la passion, d'huile d'olive et de moutarde. Il y associe des légumes émincés et des feuilles de légumes. Ce plat s'impose par sa couleur jaune, sa forte odeur d'épices, et son côté croustillant en bouche.
Le restaurant se distingue également par ses plats signatures comme le mijoté de ris de veau aux girolles, crème de porto blanc. Les ris de veau sont couverts avec de l'eau froide puis chauffés à l'eau bouillante. Après les avoir pressés avec du linge propre, le chef les mélange avec des carottes et des oignons, puis y ajoute du beurre fondu à la cocotte. Il y associe les girolles nettoyées et sautées à la poêle, pour finir en versant la crème de porto blanc au-dessus. C'est un mets très raffiné en bouche et d'une couleur rosée à l'oeil.
En guise de dessert, embarras du choix entre de multiples variétés à l'instar du Sorbet alcool. Un mélange d'eau et de sucre porté à ébullition et refroidi quelques instants après. Le chef y ajoute ensuite du sirop, du jus de citron et de l'alcool. A vu d'oeil le sorbet a l'air cristallisé, au gout c'est d'un dessert onctueux et alcoolisé.
Au Relais d’Aligre, il est question d'une cuisine traditionnelle rehaussée par une touche de modernité. Ici, le chef et son équipe sont en perpétuelle quête d'originalité.
La carte des vins
Au Relais d'Aligre, du vin rouge, blanc et rosé sont proposés en fonction des gouts et des repas. La carte fait la part belle aux produits viticoles de la région, tels que l'AOC des Coteaux du Giennois. C’est un vin issu des cultures viticoles situées sur les Coteaux de la Loire. Ils sont faits sur la base du cépage Sauvignon pour les blancs, et d'une combinaison de gamay et de pinot noir pour les rouges. Pour un meilleur accord mets et vins, les vignobles de la Vallée du Rhône sont aussi à l'honneur avec des sélections comme le Delas Saint Joseph Hedonisa et le P.Amadieu Châteauneuf du Pape.
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A Etables-sur-Mer, une cité balnéaire des Côtes d’Armor, se trouve le restaurant Via Costa. On quitte la Bretagne pour un dépaysement total : décor exotique, ambiance d’ailleurs, mer turquoise, sable fin. L’endroit semble sorti tout droit d’une carte postale d’une plage de Bali. A l’entrée, se dresse un imposant portique orné de motifs végétaux indiens. A l’intérieur, murs en bois exotiques, paillotes, palmiers, bouddhas en pierre et transats plantent le décor : le visiteur semble pénétrer dans un de ces lieux surprenants perdus au bout du monde. Idéal pour un après-midi de détente. Le visiteur prolonge volontiers son escale au Via Costa pour le restant de la soirée.
Cocktails et farniente
L’après-midi est encore chaud. Il est temps de s’attabler à la terrasse du Via Costa. La carte propose des idées originales autour du cocktail. Le barman vous sert un de ces breuvages traditionnels aux vacances ensoleillées : Mojito, Cosmopolitan, Margarita. Pour des sensations plus intenses, il confectionne pour vous une des spécialités de la maison : un Daïquiri frais et acidulé, ou un Pina Colada, une mixture glacée à base de coco et ananas. Il existe également des versions sans alcool : milkshake à la vanille ou au chocolat. Les hôtes expérimentent un moment totalement zen : siroter un cocktail glacé devant une mer d’azur, avec en arrière-fond, des sons de musiques du monde.
Excursion gourmande
Côté assiette, le chef emmène les hôtes explorer le continent asiatique. Les ingrédients sont locaux : poisson frais breton. Les mets du terroir côtoient les plats des îles. Au départ, au choix : une cuisine tout en fraîcheur comme le tartare de Saint-Jacques de la baie et saumon fumé, ou bien des plats exotiques : accras de morue et salade de poulet Tandoori. Le voyage des papilles se poursuit avec de nouvelles surprises. La spécialité du chef ici, c’est le carpaccio. Les lamelles de bœuf marinées sont préparées et arrangées à toutes les sauces. Chaque plat est une invitation à découvrir le mariage de nouvelles saveurs. Le convive découvre des inspirations méditerranéennes : le carpaccio aux copeaux de chèvre, noix et tomates confites, ou bien le carpaccio à la mozarella di buffala et pignons de pins. Et d’autres inspirations inattendues : le carpaccio façon thaï, aux oignons rouges, pousses de soja fraîches, sésame, gingembre et coriandre.
Côté lagon, les amateurs des fruits de mer retrouvent des produits frais et des saveurs totalement exotiques : wok de gambas marinées au gingembre et à la coriandre ou dos de cabillaud rôti au crumble de chorizo. Le dépaysement est assuré côté sable. Les spécialités culinaires du chef sont innovantes : tajine berbère d’agneau aux abricots et poulet Massalé à la réunionnaise.
Pour le dessert, le chef suggère de gouter à des horizons lointains : traverser l’Atlantique et dévorer un véritable cheesecake new-yorkais, ou bien s’arrêter au milieu de la mer et tenter une exotic island, une ile flottante à la noix de coco et aux zestes de citron vert. Ceux qui préfèrent les charmes du pays, savoureront la douceur d’une tarte fine aux pommes, et son coulis de caramel au beurre salé.
Ambiance caliente !
Pas question de rentrer chez soi pour le moment. L’équipe du Via Costa propose aux convives un large éventail d'activités, histoire de s’attarder après le repas. Des événements sont régulièrement organisés pour animer la soirée. Les convives peuvent s’initier à de nouveaux pas de danse, zumba et salsa, à l’ombre d’une paillote. A la nuit tombante, les visiteurs se laissent entraîner au rythme de la musique. DJ et groupes animent la soirée dans un climat décontracté. La programmation musicale est variée et répond à tous les goûts : jazz, reggae, musique du monde, etc. Tout le monde doit s’amuser !
Le Via Costa organise à la demande des séminaires et réceptions pour les groupes pour un minimum de 20 personnes. Les menus, à partir de 35€, permettent de se régaler dans un environnement atypique. A l’ord...
Thiron-Gardais est une commune française située en région Centre-Val de Loire, connue pour son abbaye et l'ancien collège militaire Royal de Stéphane Bern. C’est dans ce cadre préservé que les deux frères Rémi et Simon ont ouvert l’Auberge de l’Abbaye qui fait à la fois office d’hôtel et de table gourmande.
Côté Cuisine :
Le chef propose une carte de saison, faite maison dans un savoureux mélange entre simplicité et créativité.
Deux menus vous sont proposées tout au long de l’année ainsi qu'une formule midi en semaine.
Les boissons sont également à l’honneur avec une carte des vins offrant une belle sélection de vignerons indépendants et producteurs bio.
Côté hébergement :
Cette belle auberge entièrement restaurée propose sept chambres trois étoiles et tout confort.
Une région à découvrir :
Situé sur le territoire du parc naturel régional du perche, Thiron-Gardais et ses environs vous propose de vous mettre au « vert » en découvrant le charme des collines du Perche, ses manoirs, son patrimoine historique et culturel.
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La brasserie La Gaëlle ouvre ses portes aux amateurs de bière le vendredi et le samedi soir. Pour promouvoir ses produits, Christophe Hordé propose de la restauration sur réservation, des soirées ou une visite de la brasserie.
Un bar-brasserie
La Gaëlle produit des bières 100 % céréales « avec un peu plus de houblon que des bières classiques », précise Christophe. Outre la blonde de base, La Gaëlle sert une blonde dite d’automne pour son côté fruité et sa longueur en bouche qui est plus importante. Il y a ensuite la cuvée Judicaël, la rousse et la bière ambrée, qui a permis à la brasserie de remporter la médaille de bronze au concours régional des bières de Bretagne. Enfin, la maison produit trois brunes : la normale, celle d’été et une plus épicée, qui sort à Noël.
La cuvée Judicaël
Liée à l’histoire de la commune, la cuvée Judicaël a un franc succès auprès des visiteurs. Historiquement, la bière a toujours été brassée par les moines. C’était le cas au royaume de la Domnenet, l'un des quatre royaumes bretons au 7e siècle. Le prince Judicaël, qui s’était retiré au monastère de Saint-Jean-de-Gaël, après avoir été écarté du trône, y a découvert un breuvage fermenté et il introduit dans cette recette le houblon, plante connue pour ses vertus médicinales. Cette bière révélait un goût fruité, très original à l’époque. Une fois arrivé à la tête du royaume, Judicaël inventa une bière baptisée La cervoise d’or. Cette dernière était servie à chaque événement de sa vie. Judicaël l’aurait également présentée au roi Dagobert, connu pour avoir développé la production de bière en France par l’intermédiaire des abbayes. La brasserie La Gaëlle fidèle à cette tradition a créé une bière blonde, la Judicaël, conçue avec une levure belge trappiste.
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Situé à Paimpol, place du Matray en centre-ville, l’établissement est entièrement construit en grosses pierres apparentes lui permettant de garder son charme d’antan. Ce style à l’ancienne se poursuit jusqu’au bar à l’intérieur, où là l’ambiance devient plus chaleureuse, rappelant celle d’une brasserie. Que ce soit en salle, à l’étage ou sur la grande terrasse ensoleillée, les clients sont sûrs de passer un moment agréable, dans une atmosphère propice à la détente.
Crêpes et plats du jour
La maison propose une carte assez riche, et représentative de la région : crêpes, galettes, moules, salades, desserts, autant de choix pour faire plaisir aux petits et aux grands. En matière de crêpes et galettes, les recettes classiques sont légèrement revisitées façon bretonne : « On a la galette Saint-Riom à base de noix de Saint-Jacques avec une sauce et une petite salade, qui marche très bien », confie Dominique Henry. L’on recommande aussi la galette Kerloury, avec en garniture de l’andouille de Guémené et des champignons, accompagnés d’une sauce moutarde. En dessert, les clients ne peuvent pas passer à côté de la crêpe arrosée de caramel au beurre salé bien onctueux, entièrement fait maison. D’autres desserts sont aussi à découvrir sur place, tels le classique far breton ou la crêpe maison avec sa boule de glace : « On réalise beaucoup de desserts nous-mêmes, et on essaye de les varier pour accompagner notre café gourmand », continue le propriétaire. Quotidiennement, l’établissement suggère des menus à base de spécialités locales : de la salade de truite de Trieux en guise d’entrée ou noix de st jacques baie st brieuc au coco de paimpol en résistance.
Des produits frais et locaux
La carte s’inspire des saisons ainsi que de la disponibilité des produits de la pêche, qui sont abondants dans la région. « On ne travaille qu’avec les producteurs locaux et avec des produits frais : les huîtres viennent de Paimpol et la viande est d’origine bretonne », continue notre interlocuteur. Côté boisson, une sélection de bières locales et de cidre artisanal de Paimpol est proposée pour égayer les plats, à l’image du cidre brut Val de Rance, médaille d’argent Concours général agricole Paris 2017.
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Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes.
À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs.
Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur.
Une farandole de saveurs
Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés.
Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment.
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C’est à Gazeran, vaste commune rurale des Yvelines, que le couple Sébastien et Myriam Bourgeois a décidé de déposer ses valises il y a une quinzaine d’années. Les tourtereaux tombent sous le charme de la Villa Marinette, cette auberge centenaire qu’ils réaménagent de façon élégante, conviviale et agréable. « Nous voulions à tout prix que nos convives se sentent comme chez eux », confie Myriam Bourgeois. « Nous avons décoré le restaurant comme une vraie maison de famille », poursuit-elle. Derrière la façade renouvelée en 2016 se cache effectivement un lieu cossu, décoré chaudement, à l’image de ces maisons bourgeoises.
De beaux produits frais mélodieusement sublimés
Sur place, une équipe avenante et chaleureuse est au taquet pour recevoir les convives comme il se doit. Ces derniers « peuvent choisir une première formule à 34 €, qui est servie au déjeuner en semaine, du mercredi au vendredi », explique la propriétaire. Cette formule est constituée d’une entrée, d’un plat, d’un dessert, d’une demi-bouteille d’eau minérale et d’un café. À midi ainsi que le soir, la carte et le menu dégustation en 5 services sont proposés.
Dans la liste des plats phares, difficile de ne pas citer le lièvre à la royale, une recette traditionnelle préparée à la mode d’Antonin Carême. Après avoir été désossé, le lièvre est farci de truffe, de foie gras, d’abats ou encore de ris de veau. Cependant, il faudra veiller à choisir les bons jours pour aller déguster ce met raffiné à la Villa Marinette, car il n’est pas systématiquement proposé en suggestion. « La saison de la chasse au lièvre étant limitée, celle-ci a des conséquences sur la disponibilité du produit : nous ne pouvons pas le suggérer tout le temps à la carte », prévient Myriam Bourgeois.
Qu’à cela ne tienne, d’autres beaux produits frais sont mélodieusement sublimés par le chef selon la saison. À l'automne, saison du gibier, on pourra, par exemple, déguster les noisettes de chevreuil. Et au printemps, le ris de veau accompagné de morilles fraiches saura nous ravir.
Une belle sélection de vins
En harmonie avec sa cuisine, l'établissement possède une cave de 200 références. « Pour étoffer notre carte des vins, nous sélectionnons à la fois des grands noms de domaines réputés (Prieur, Tollot-Beaut, Huet, Chapoutier, Jaboulet ) comme des vignerons et vignobles moins connus du grand public (Cherrier, Morey, Boire, Ogier, Otter) mais dont l’amour du métier rend de très bons vins souvent récoltés en biodynamie » nous souffle la propriétaire. La maison se plaît à faire découvrir à ses clients des régions viticoles méconnues françaises ou étrangères.
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A Saint-Mars-la-Jaille, le restaurant le Chalet fait le bonheur des locaux et touristes de passage, désireux de découvrir une vraie cuisine du terroir. En salle ou en terrasse, la carte traditionnelle illustre le talent et l’inventité de ce chef passionné et décontracté.
Un art maîtrisé à la perfection
Jean-Marc, originaire du Sud-Ouest de la France, privilégie une cuisine traditionnelle préparée à base de produits bruts et frais issus du terroir local. Ce qui lui a valu une récompense le 15 Décembre 2015 : celle de Maître Restaurateur. Un label témoignant de la qualité et de la fraîcheur de la cuisine proposée.
Ce titre de Maître Restaurateur nécessite entre autres l’adoption du circuit court. C’est pourquoi le chef s’approvisionne auprès des fournisseurs régionaux comme la boucherie La Désirade, le Druide du Boisiller, les producteurs bios du wagon pour ne citer que ces exemples. Effectivement, il concocte une cuisine simple et de qualité qui éveille la sensibilité gustative. Il déclare d’ailleurs «travailler les produits locaux différemment.» En résulte alors des plats gourmands comme ces Ravioles d’escargots de Monsieur Leroy aux pleurotes qui sont à tomber.
Une cuisine du sud-ouest
La formule du midi invite à prendre un menu express à 11€ ou un menu complet à 13€50, avec une entrée, un plat et un dessert, au choix.
A la carte, le Saumon fumé accompagné d’une crème légère et d’un pain grillé avec une salade gourmande « la salade Landaise » qui est composée de gésiers, de magret fumé, de foie gras joints à un croustillant de canard est servi en entrée. En plat de résistance, le Civet de Gambas au chorizo comble les gourmands amoureux de bonnes saveurs. Pour finir le repas en beauté : « La Bretonne » une glace à la vanille, double caramel au beurre salé, avec des éclats de crêpes dentelles à la crème fouettée maison.
En outre, Jean-Marc travaille énormément le boudin artisanal qu’il a lui-même conçu avec un artisan-boucher-charcutier du coin mais aussi le canard qui est une des spécialités du Sud-Ouest.
Quant à la carte de vins, elle est assez éclectique avec une prédominance des vins de Loire et du Sud-Ouest. « L’été, on va privilégier les vins frais (…) Il y a toujours le petit côté découverte», selon le maître des lieux.
Les plats de bistrot et service traiteur
A la fois restaurant, traiteur et pizzeria, le Chalet satisfait toutes les envies.
De nombreuses spécialités incontournables sont à découvrir à la pizzeria : « l’Espelette » préparée à base de fromage, du bœuf épicé, des poivrons, des oignons et des lardons ou encore la pizza « Saint Marsienne » concoctée avec du fromage, du boudin noir artisanal, des oignons et d’une pomme fruit.
Pour les événements privés, le service-traiteur se tient prêt à proposer des services personnalisés et peut dresser un devis adapté à tous les budgets. « Nous proposons des plats différents qui nous distinguent des autres traiteurs. Notre clientèle apprécie cette singularité.», confie-t-il. Chaque tapas, tartine, pinchos et autres petits sandwichs espagnols sont réalisés avec des produits de saison.
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Présent depuis 1934, le Cornet d’Amour a su diversifier ses prestations afin de satisfaire une clientèle de plus en plus exigeante. Véritable institution reconnue pour ses glaces aux parfums surprenants, l’établissement a également intégré une partie restauration. Les fins gourmets y trouvent une large variété de mets qui savent agréablement enchanter les papilles.
Un décor qui en met plein la vue
Avec une capacité d’accueil à hauteur de 220 places, cet établissement dispose d’un espace suffisant pour assurer le confort de tous ses clients.
La décoration toute en couleurs du Cornet d’Amour vous plonge dans un monde de fantaisie donnant libre cours aux imaginations les plus vives. Un décor pétillant avec différents styles de table vous attend pour garantir des moments fun entre amis ou en famille. Équipé d’une terrasse chauffée offrant vue sur la mer, le Cornet d’Amour revêt un cachet particulier. La proximité de la mer procure une sensation d’évasion et de plaisirs inédits.
Une carte étonnamment variée et adaptée à tous les budgets
Le Cornet d’Amour vous invite à déguster ses glaces artisanales dont le secret et le savoir-faire sont transmis de génération en génération. Tout est fait maison ! Savourez un mélange de saveurs déclinées en une cinquantaine de parfums tels que citron vert menthe ou fraise-basilic. Bien que le Cornet d’ Amour se soit illustré dans les glaces, l’établissement propose également à travers sa cuisine de brasserie des plats typiques de la région comme le welsh mais aussi des plats à base de poisson ou de viande. Les palais les plus exigeants sauront apprécier la qualité des produits frais et locaux qui entrent dans la composition des plats.
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Au Touquet, à Wimereux ou en plein cœur du Marais parisien, vous trouvez une adresse atypique et pleine de surprises : Le Burger Fermier des Enfants Rouges.
Un Burger délicieux qui ne ressemble à aucun autre
Malheureusement pour le burger, ce plat n’a pas toujours eu bonne réputation en France. Toutefois, certains restaurateurs ont décidé de redonner à ce sandwich mythique ses lettres de noblesse. Parmi eux, Le Burger Fermier des Enfants Rouge. Grâce à sa recette simple et sans artifice, l’entreprise répond aux attentes de sa (vaste) clientèle. Il suffit de consulter les avis des consommateurs sur leurs différentes pages Facebook pour s’en rendre compte. En effet, les clients sont unanimes : ce burger est un véritable délice. Mais comment font-ils ? Tout simplement en utilisant des produits locaux (Buns maison avec une farine du pas de calais, viande de race Angus, fromage, frites fraiches…) et en offrant la possibilité de choisir la cuisson et le fromage (assez rare pour le souligner). Même les boissons sont locales. Il n’en faut pas plus pour offrir des saveurs incomparables.
Un Burger Fermier issu du monde paysan
L’histoire du Burger Fermier remonte à une dizaine d’années et est liée, en partie, à celle du Marché des Enfants Rouges en plein cœur du Marais à Paris. À cette époque, Christine Muller, la gérante, décide de proposer un produit simple et gourmand avec un seul objectif : celui de faire travailler les entreprises locales. Elle ouvre alors, au fil du temps, 3 enseignes à Paris, au Touquet et Wimereux. Fille de paysan et propriétaire terrienne elle-même, elle explique que cette idée lui est venue après avoir observé qu’elle avait trop de bêtes. Ainsi, en utilisant son réseau et en se fournissant chez des producteurs locaux, elle commence à cuisiner des burgers. Le succès est immédiat et les restaurants ne désemplissent pas. A savoir : les boutiques sont ouvertes tous les jours sauf lundi pour le Touquet, mardi pour Wimereux et lundi et mardi pour Paris. Ainsi, si vous êtes de passage dans l’un de ces trois coins de France, n’hésitez pas à vous arrêter un moment. Vous ne serez pas déçu de l’expérience. Petite anecdote sympathique : Christine Muller nous explique qu’elle conserve les restes pour les donner à ses bêtes de retour dans sa ferme. Il paraitrait même que les vaches adorent les frites précuites tandis que les veaux seraient plus amateurs de pain.
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Situé à 1,5 kilomètre d’un tronçon de la Loire classé « Patrimoine Mondial de l’Unesco », et à quelques minutes seulement du centre-ville d’Angers, le restaurant Les Bateliers est un établissement proposant une cuisine traditionnelle revisitée. Cuisine orchestrée par le chef Dominique Lepage, également un des deux propriétaires des lieux avec Didier Salmon. Ceux-ci tiennent le restaurant depuis 11 ans, et bénéficient d’une situation idéale entre vignobles et lieux touristiques.
Cuisine du terroir, cuisine régionale
L’établissement met tout d’abord en avant une cuisine traditionnelle basée sur les produits de saison. Et donc, la carte change chaque mois, et le produit le plus en vue est toujours mis en valeur dans les plats. Plus récemment, était à l’honneur un produit phare, l’asperge. La carte valorise la fraîcheur des produits des pays de la Loire.
Aux fourneaux, Dominique et son équipe élaborent de jolis dressages en assiette, et des plats toujours variés. Celui-ci a été chef de partie dans de belles tables parisiennes, puis second de cuisine à l’Auberge d’Eventard, qui est l’un des plus grands restaurants gastronomiques de la région de la Loire. Par la suite, il s’est associé avec Didier Salmon pour créer le restaurant Les Bateliers.
A la carte, des entrées signatures à l’instar du foie gras poêlé au citron confit, coppa grillée et pommes de terre nouvelles au lard. Autre entrée, le trio de tomates grappe pelées à vif et sa farce fine à la chair de tourteau et mesclun, coulis de tomates mentholé à l’huile d’Argan.
Comme plat principal, pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, et en dessert, mille-feuille craquant sauce framboise ou glace au lait d’amande.
C’est une cuisine généreuse et pleine de saveurs à laquelle toute l’équipe en cuisine participe, pour mettre au rang de vedette les produits de la région, mais aussi le terroir du Pays de la Loire.
Une carte des vins raffinée
Le restaurant propose une carte des vins étoffée, raffinée, et conférant des accords mets-vins des plus subtils. L’établissement étant tout d’abord situé sur la route des vignobles et au cœur de celui d’Angevin, il met en avant de belles bouteilles de propriétés de la région, se mariant admirablement aux plats orchestrés en cuisine.
Pour les entrées à base de poissons, elles sont servies avec un Coteaux-de-l’Aubance. C’est un vin à la robe intense jaune or et reflets verts, dénotant des senteurs florales de fruits à chair blanches, dissimulant un équilibre par sa richesse gourmande et sa fraîcheur prononcée en bouche. Egalement indiqué pour les foies gras poêlés ou en terrine, la cuisine exotique et les charcuteries fines, cet AOC de la région de la Loire est une bouteille au mono-cépage Chenin.
Le Saumur-Champigny est, lui, bien indiqué pour les entrées. Ce vin à la robe rouge grenat et lumineuse, dégage des senteurs épicées de fruits rouges et fleurs. Riche et corpulent sur la longueur en bouche, il finit avec un équilibre et une douce fraîcheur embaumant le palais.
En accompagnement de la pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, un Château de Principe, qui permet de souligner la tendance gibier de la viande domestique.
Le dessert mille-feuille craquant, sauce framboise, peut être servi avec tout vin effervescent à bulle de la Loire. Idéalement, un Saumur, vin rouge à la robe lumineuse couleur rouge rubis, doté d’un nez fin et léger accompagné de fruits, violettes et iris. Souple en bouche et parfois dense, ce vin est composé des cépages Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, et Pineau d’Aunis.
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Le Scoop est une adresse bien connue du Touquet, à Le Touquet Paris Plage (62520). Prônant une cuisine bistronomique, cet établissement doit son succès au bouche à oreille et retrouve une seconde jeunesse grâce à une nouvelle gérance arrivée le 29 juin 2017. Virginie Thomas, à la tête du restaurant, s’attache à respecter l’identité d’origine du Scoop que lui connaissent ses habitués, tant au niveau du service que des plats proposés.
Une restauration traditionnelle et des spécialités thaïes
Si Le Scoop a su acquérir de nombreux adeptes depuis de nombreuses années, c’est en partie pour la qualité de ses plats, préparés à la minute. Un de ses points forts : « Tous les ingrédients sont frais, tout est fait maison des entrées jusqu’aux desserts et les plats sont également à emporter », nous fait savoir la nouvelle propriétaire des lieux. Les tarifs ne sont pas pour autant exorbitants, car les clients apprécient aussi l’excellence du rapport qualité-prix.
Le restaurant a surtout construit sa réputation autour d’une cuisine traditionnelle et thaïe. Sur la carte composée essentiellement de plats typiques de bistrot, les tartares de viande et de poisson sont énormément prisés. Si les frites fraîches constituent l'un des points forts du restaurant, le Scoop du Touquet suggère aussi d'autres plats à succès : « L’œuf cocotte aux cèpes et aux truffes ou les gambas croustillantes comme entrées, le tartare de saumon thaï ou le tartare traditionnel comme plats de résistance, le TiramiScoop, la tarte aux pommes ou le coulant caramel au beurre salé comme desserts ».
Côté vins, la carte est riche en propositions, à travers de nombreuses références en vins bordelais, de Bourgogne, de la vallée du Rhône, d’Alsace, de Provence, du Sud, ou encore en vins étrangers.
« Une adresse où le client est roi »
Le Scoop applique à la lettre ce célèbre adage en mettant sur un pied d’égalité la qualité de ses mets et le sens du service. Virginie Thomas souligne ce principe propre à l’établissement depuis ses débuts : « Les gens viennent au Scoop pour la cuisine et l’âme du restaurant. Ils s’y sentent comme chez eux. Nous aimons être proches de nos clients, dont nous connaissons les habitudes, et nous sommes à l’écoute de leurs moindres désirs. » C’est ainsi qu’elle s’attache à faire régulièrement un tour de tables pour être à l’écoute des convives. « C’est important de nouer un contact avec les gens, ils aiment se sentir valorisés, savoir que l’on s’occupe d’eux », précise-t-elle. La satisfaction de la clientèle est donc primordiale pour ce restaurant proposant également une salle pouvant être privatisée pour des repas de groupes, séminaires ou anniversaires etc..., d’une ambiance intimiste à l’étage supérieur. Une nouvelle déco va parfaire le tout et favorisera l’esprit de sérénité et de zénitude souhaité par la maison.
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À travers une histoire de famille plutôt réussie qui a commencé en 1987, le restaurant connait à ce jour 30 ans de succès bien mérité. Succédant à ses parents, initiateurs de l’aventure, Valérie assure, depuis maintenant un an, la gérance de l’établissement, guidée par la même passion du métier et son expérience professionnelle Shanghaïenne.
Le Palais de Port-Marly a l’énorme avantage de proposer en un seul lieu un bouquet de saveurs gourmandes inspirées de trois pays que sont la Thaïlande, le Vietnam et la Chine. Disposant d’un menu à 26 € pour le midi et le soir, avec entrée-plat-dessert, l’enseigne dispose également d’une formule à 16,50 € « pour les gens plutôt pressés » et qui peut être servie en une demi-heure, incluant 1 entrée et 1 plat.
Une cuisine pleine d’exotisme
En entrée, il vous est conseillé les nems faits maison, « que nos clients apprécient énormément », selon Valérie, mais aussi les raviolis vietnamiens et les rouleaux de printemps au bœuf, servis tièdes, que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Dans le registre des plats, optez pour le bœuf sauté Mongoli qui n’est autre que du bœuf émincé mariné dans du soja et sauté avec des grains de poivre et des petits oignons sur plaque chauffante, « ce qui permet aux clients de choisir la cuisson de la viande ». Comme c’est rarement le cas dans la restauration asiatique, l’établissement est en mesure de proposer « de la viande bleue, à point ou saignante ». Les crevettes à la sauce piquante sont également à découvrir. Crevettes sauvages préalablement décortiquées, sautées avec des petits oignons, une sauce piquante parfumée légèrement aigre douce. Cette sauce se marie aussi très bien avec du cabillaud ou des Saint-Jacques. Parfait pour les amateurs de fruits de mer. Sans oublier le saumon au jus de coco pour un plat très en sauce au très joli rendu, accompagné de riz gluant ou de riz nature.
Le Palais de Port-Marly pratique principalement la cuisine au wok, « pour une cuisson rapide et où la matière première ne perd pas de son goût ni de sa texture ». Cette technique contribue aussi de réduire l’utilisation de matière grasse. Toutefois, ce qui fait la particularité de la cuisine asiatique, ce sont les épices dont les préférées de la maison sont l’épice de saté à base de cacahuètes, de piment, d’ail et d’herbes concassés, qui permet d'obtenir une sauce accompagnant délicieusement le bœuf et les crustacés, et également le basilic avec son croquant en bouche, le curry et aussi la citronnelle.
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Datant de 1923, cet établissement se trouve au cœur de la Bretagne, à Pontivy, plus précisément au bord du Blavet. Odile et Philippe Berland ont un coup de cœur pour cet endroit chargé d’Histoire et décide de le reprendre en août 2009, à la suite de la cession par la famille Robic. Le couple apprécie la bonne cuisine de ce restaurant, si bien qu’il décide de garder le nom des anciens propriétaires. Cette initiative contribue aussi à préserver l’âme des lieux et à faire connaitre son riche passé. « Le fils de la famille Robic nous a donné tous les descriptifs historiques du bâtiment », déclare avec fierté Philippe Berland.
Un cadre chic et spacieux
Le restaurant affiche trois espaces pour savourer pleinement les petits plats bretons : une salle de 50 couverts, une autre à 35 places ainsi qu’une terrasse qui peut accueillir 25 personnes.
Les différents espaces révèlent une décoration moderne avec une prédominance de couleur sobre. Effectivement, les chaises en résine tressée révèlent une élégance tout à fait particulière. Les murs sont habillés de tableaux faisant référence à la nature. Le tout forme une belle harmonie et confère une ambiance intimiste et agréable.
Des saveurs aux milles senteurs
Pendant qu’Odile est à l’accueil et au service, Philippe est aux fourneaux, prêt à préparer de succulents mets. « Je suis du métier » raconte-t-il. Ce chef passionné dispose d’un CAP en cuisine et a également suivi une formation en pâtisserie. Il a ensuite évolué dans divers milieux relatifs à l’univers de la gastronomie. Sa riche expérience lui a permis de lancer sa première affaire à Vannes. Ayant eu envie de changer d’horizon, il déménage à Pontivy pour continuer à vivre de sa passion dans ce lieu historique.
Le chef se plait à proposer une cuisine simple, préparée à base de produits frais. Il travaille en étroite collaboration avec les producteurs locaux, afin de garantir la qualité de ses mets qui rendent hommage à la richesse du terroir breton.
Des spécialités bretonnes
Avec des prix abordables, la carte est relativement courte afin que la maison puisse privilégier le fait maison à base de produits bruts. Savoureuse et gourmande, elle est enrichie de plats classiques appréciés de tous. En entrée, rien de tel qu’une grande salade côté terre, composée de pomme de terre, salade, avocat, blanc de volaille, foie gras, magret et tomate. Une autre déclinaison côté mer est aussi proposée. En plat de résistance, les gourmands se laissent tenter par le hamburger maison ou par une entrecôte XL de 300 g accompagnée de salade et de frites maison.
Assez éclectique, la carte de vins, quant à elle, privilégie les Coteaux-de-Languedoc comme l’Ermitage du Pic Tour Saint-Loup et le Mas Bruguière. « Nos vins sont sélectionnés par un caviste qui travaille directement avec de nombreux vignerons. On lui fait entièrement confiance », explique Philippe.
Menu à découvrir
La maison Robic concocte une formule du Boucher, composée d’un plat et d’un dessert à 16 €. Pour répondre aux envies de chacun, trois choix de plats sont proposés : une pièce de bœuf poêlée, un tartare de bœuf minute ou un carpaccio de bœuf à volonté, le tout avec frites et salade.
En dessert, une crème brûlée ou une salade de fruits apporte la touche douce et sucrée qu’il fallait pour clore en beauté ce repas.
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10/10
21/03/2018 - Publié il y a 3 ans
Nous y avons dîner en couple avec des amis. Tout a été superbement magnifique et excellent. Je recommande vivement