Paris, Lyon et Lille auront l’honneur d’accueillir respectivement le Salon mondial du tourisme, Mahana et Tourissima pour l’année 2019. Trois évènements qui permettront aussi bien aux professionnels qu’au public de se mettre au parfum des dernières tendances du tourisme en France et à l’étranger. Le Salon mondial du tourisme, du 14 au 17 mars 2019, à Paris Expo, Porte de Versailles Depuis plusieurs années, le Salon mondial du tourisme s’attache à mettre en évidence les acteurs qui prônent un tourisme raisonné. Cette fois encore, le Salon aura à cœur de présenter les meilleures alternatives permettant de voyager autrement. À cet effet, de nombreux espaces dédiés à l’information sont proposés aux visiteurs : espaces Bonnes Affaires, Conseils pratiques, Tendances et Innovations… Pour l’édition 2019, le Salon va d’ailleurs accueillir deux nouveautés : le « Village Services aux voyageurs » et le « Village Associations et Initiatives ». Regroupant les professionnels spécialisés dans l’accompagnement, l’espace « Village Services aux voyageurs » renseignera les futurs globe-trotters sur les précautions à prendre pour faire face aux imprévus survenant au cours de leur périple. Quant à l’espace « Village Associations et Initiatives », celui-ci réunit différentes associations qui œuvrent pour un tourisme respectueux. Les visiteurs auront ainsi l’occasion de s’informer sur les offres en matière de voyages responsables. L’édition 2019 du Salon mondial du tourisme se démarquera également par un focus consacré aux mythiques routes de la soie. Téléchargez votre e-invitation gratuite (deux personnes) pour le Salon mondial du tourisme ici. Mahana Lyon, du 8 au 10 mars 2019, à la Halle Tony-Garnier À l’occasion de sa 39e édition, le salon Mahana de Lyon accueillera près de 200 professionnels. Pendant 3 jours, outre les destinations incontournables, le public va découvrir de nouvelles destinations telles que l’Allemagne (avec la région de la Forêt noire), Beyrouth ou encore Tanger. Afin d’accompagner les visiteurs dans leurs recherches et de les aider à dénicher de bonnes affaires, le Salon mettra à leur disposition des espaces thématiques et de conseils. Côté nouveautés, l’espace « Village Services aux voyageurs » fournira de précieuses informations, en particulier sur les assurances, les destinations à risques ou encore la protection des voyageurs. En outre, l’évènement présentera de nouvelles offres touristiques. Citons, par exemple, « Le Passage du Nord-Ouest sur les traces de Roald Amundsen » en pôle Croisières ou « Le Maroc impérial en 12 jours », proposé par le voyagiste Thelliers Voyages dans la thématique Itinérance. Téléchargez votre e-invitation gratuite (deux personnes) pour Mahana ici. Tourissima, le Salon du tourisme et des activités nature de Lille, du 25 au 27 janvier 2019, au Grand Palais de Lille Comme à son habitude, le salon Tourissima, qui en sera à sa 31e édition en 2019, place l’humain au cœur des voyages, tout en valorisant un tourisme respectueux de l’environnement. Plus de 200 professionnels vont présenter de nouvelles idées afin d’explorer le monde différemment, selon son rythme et ses envies. Des suggestions d’activités à réaliser en France ou à l’étranger vont aussi aider les visiteurs à mieux organiser leurs prochains séjours Nature. Au niveau des destinations, une large palette de voyages thématiques attend les voyageurs. Hurghada, Bodrum, la Calabre, Pau et les Pyrénées sont d’ores et déjà annoncées comme étant les nouvelles destinations au départ de l’aéroport de Lille. De nouveaux exposants comme Europa-Park ou Gaïa Voyages feront aussi leur entrée. Le public pourra donc prendre connaissance de leurs offres. En plus de l’espace « Village Services aux voyageurs », Tourissima offre un espace « Équipement & Matériel » dédié aux innovations et aux trouvailles pour les activités Nature. Les amateurs de sport en plein air y trouveront des objets et access...
La Maison Mathieu-Princet a été créée par Michel Mathieu et son épouse Françoise Princet qui exploitent leur vignoble depuis les années 1960. Aujourd’hui, le couple est épaulé par leurs filles Sylvie et Véronique ainsi que par Patrick Lefebvre, Responsable de l’exploitation. Cette maison travaille sur un vignoble de 9 ha, réparti sur 5 communes de l’appellation Champagne, dont 2 en Premier Cru, à savoir Grauves et Bisseuil. Des cuvées reconnues pour leur qualité Récoltant-manipulant, Vigneron indépendant, la Maison Mathieu-Princet maitrise toute la chaine de production en mettant en avant le savoir-faire artisanal. Chaque étape fait l’objet d’une attention particulière. Les champagnes Mathieu-Princet se démarquent surtout par un long vieillissement sur lies, pouvant aller jusqu’à 5 ans, voire plus, pour les millésimes. À l’image de la cuvée « La Réserve des Alice » (la Grande Réserve Brut), qui a vieillit 5 ans en cave et est considérée comme étant la plus représentative de la maison. Issue d’un assemblage de 70 % chardonnay et 30 % de pinot noir, ce champagne Premier Cru dévoile des odeurs de sous-bois, des arômes de pain grillé, vanille et goût boisé. En bouche, on trouve une belle harmonie entre la finesse du chardonnay et la puissance du pinot noir. Élégance et compléxité caractérisent cette cuvée à déguster à l'apéritif ou au cours d'un repas. Mais une cuvée sort du lot. Outre sa fraîcheur, la délicatesse de ses arômes, le caractère rarisime de sa bouteille sérigraphiée fait de la cuvée Blanc de Chardonnay la cuvée coup de cœur de la maison. ...
« Il y a de nombreux emplois maritimes dans ces domaines, confirme Alain Pomes, directeur du Centre européen de formation continue maritime (CEFCM). Et ça ne va pas s’arrêter : l’avenir de l’humanité repose sur l’eau, l’énergie et la nourriture. Ces trois éléments, c’est la mer qui les fournira.» Dans l’immédiat, la pêche, l’aquaculture, l’algoculture ou encore les énergies marines renouvelables font également partie des secteurs qui recrutent. Centre européen de formation continue maritime : 2 700 stagiaires chaque année Pour répondre à la demande, le Centre européen de formation continue maritime accueille 2 700 stagiaires chaque année. Ceux-ci peuvent se former aux métiers d’officier de marine marchande, de matelot, de mécanicien, etc. Un marin français sur deux passe par le CEFCM ! Deux sur trois accèdent à ces métiers par la formation continue. Ces professions sont souvent plébiscitées par des salariés en reconversion. Car les métiers maritimes ne manquent pas d’atouts, notamment en termes de rémunérations : ils sont deux à quatre fois plus payés que des équivalents sur la terre ferme. « L’avancée dans une carrière peut être très rapide, reprend Alain Pomes. De plus, les reconversions sont faciles, la mer est un véritable ascenseur social, les marins, grâce à leur polyvalence, n’ont aucun mal à retrouver un travail à terre.» ...
Si ce modèle de maison-bateau séduit de plus en plus les particuliers, le porteur du projet aspire surtout à investir l’industrie hôtelière : « La Maison KayFlô permet de créer un hôtel à flot dans des espaces naturels ou à quai au cœur des plus belles villes avec une offre de standing en location saisonnière ou à la nuitée» précise-t-il. Voilà maintenant une dizaine d’années que Jean-Marc Salpetrier, ingénieur en génie civil et urbanisme, cogite sur la concrétisation de ce projet initié avec le coup de crayon originel de Gildas Plessis. La Maison KayFlô a été révélée pour la première fois au Nautic de Paris en décembre 2016. Le lancement de la 1ere série est programmé fin 2018 avec la réalisation du premier hôtel à flot en mer dans la baie du Marin à la Martinique. Avec cette maison flottante, une innovation s’opère : L’urbain s’étend en mer et le touriste « terrien » investit l’espace littoral. Nul besoin d’un permis de navigation ou d’un permis de construire, pour bénéficier de son « chez-soi » sur la mer, oui c’est possible ! Une maison-bateau « éconologique » : économique et écologique Cette maison-bateau, signée KayFlô, peut se déplacer pour une exploitation à flot ou à quai. À bord, sa structure monocoque-catamaran brevetée lui permet de gagner considérablement en espace, en volume et aussi de mieux s’intégrer dans l’environnement littoral. « L’espace de vie de la maison-bateau KayFlô est de 100 m² environ, répartis sur 3 niveaux : un niveau chambres et toilettes, un espace de vie avec vue à 360 degrés avec un salon surélevé, une cuisine fonctionnelle, une grande véranda et enfin un niveau haut avec une terrasse panoramique ».Il est possible d’y aménager un jacuzzi, un spa, un coin grillade, une piscine de mer et bénéficier de tout le confort d’une maison moderne. Et grâce à sa conception à deux coques latérales similaires à un catamaran, la maison-bateau KayFlô jouit en plus d’une grande stabilité. Mieux encore, elle peut être totalement autonome grâce à l’installation de 20 m² de panneaux solaires, de deux éoliennes, son système de récupération d’eau pluviale et son traitement des eaux usées. Enfin, investir dans une maison-bateau KayFlô est financièrement avantageux, car elle est proposée à partir de 3 000 euros le mètre carré, soit trois fois moins que le prix moyen du mètre carré à Paris ! « Le fait que le projet soit conçu avec une dimension industrielle nous permet d’offrir la solution au meilleur coût pour s’adresser à l’industrie touristique internationale et aussi aux particuliers. ». Par ailleurs, en France, nul besoin de payer des taxes foncières et d’habitation, une taxe de francisation liée à l’immatriculation du navire suffit. Une expertise 100 % française Afin de satisfaire ce marché à forte exigence de qualité, le concepteur s’est entouré de professionnels de la mer avec notamment un spécialiste dans l’architecture et la construction navale et un designer de renommée internationale. Il s’agit entre autres de Yacht Concept et du Chantier de l’Arsenal dirigés par Laurent Da Rold tous deux sis à La Rochelle, et du designer Franck Darnet à Nantes. Par ailleurs, le projet KayFlô a également bénéficié d’un soutien inébranlable du CMT Comité Martiniquais du Tourisme, de la Technopole Cacem, de l’Office de l’Eau, de l'ADEME Agence De l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie et la BPI Banque Publique d’Investissement. Pour en savoir plus et contacter KAYFLO, rendez-vous sur le site internet www.kayflo.com ...
L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs. À la découverte de la cuisine méditerranéenne Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison. Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre. Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu. Qui dit bon repas dit bon vin En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas. L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône. ...
La Finlande a accueilli, en 2016, plus de 650 congrès internationaux. La moyenne de 600 événements professionnels annuels draine dans ce pays de contrastes – véritable passerelle entre l’Orient et l’Occident – quelque 70 000 congressistes. La qualité premium des prestations, l’expertise locale en matière d’organisation d’événements et l’hospitalité légendaire des habitants ont contribué à hisser le pays au rang des destinations offrant les expériences de voyages d’affaires les plus enrichissantes. Dans un cadre naturel d’exception, le pays de Häkkinen met à disposition un répertoire d’infrastructures où innovation et confort des usagers sont au cœur des préoccupations. Embarquement immédiat Une croyance populaire associe la Finlande à une destination très sélective, difficile à atteindre. La réalité est que le pays est plus qu’accessible : en témoignent les quelque 200 vols internationaux que draine quotidiennement le principal aéroport finlandais. En plus de Helsinki-Vantaa, six autres aéroports à travers le pays sont habilités pour l’accueil des trafics internationaux. Au départ de Paris, la capitale finlandaise n’est qu’à 3 h de vol par la compagnie Finnair (en co-operé par Air France) qui assure les vols directs. Les autres compagnies comme Lufthansa assure la desserte mais avec un escale en Allemagne. Les tour-opérateurs spécialisés ne manquent pas, pour les démarches en amont du voyage. Une fois sur place, les déplacements n’occasionnent pratiquement aucun souci, étant donné la variété des moyens disponibles – bateaux à vapeur, voitures, autocars, trains – et la fluidité des circulations en ville. Aucun risque de froisser vos collaborateurs par un quelconque retard au rendez-vous. D’autant que les locaux sont très rigoureux sur la ponctualité. Des événements pros en Finlande, pourquoi ? Dépaysement et bien-être. Quoi de mieux pour se concentrer sur le cœur de ses affaires ? De ce côté, la Finlande rafle tous les bons points parmi ses voisins européens. Nous ne parlons pas seulement d’étendues mais également d’intégrité de l’environnement et des époustouflants contrastes dont la nature a nanti le pays. Les petites îles foisonnent, se comptant par dizaines de milliers, idem pour les lacs. Ces parenthèses d’escapades sont directement accessibles depuis les grands centres urbains. Sans compter les expériences uniques comme le soleil de minuit – deux mois sans que l’astre ne se couche – et les aurores boréales. Par ailleurs, le grand dynamisme des villes, en matière de programmations culturelles, offre l’opportunité d’associer ses événements à des moments festifs inoubliables. Sanna Tuononen, du Finland Convention Bureau, attire ainsi l’attention sur l’émergence d’événements culturels axés sur la gastronomie. « C’est assez actif, surtout à Helsinki. Les séminaristes ou autres sortes de groupes MICE peuvent partager des cours de cuisine, ou différentes sortes d’expériences autour de la gastronomie finlandaise. » Ensuite, toute la féerie de l’hiver finlandais se déroule dans un cadre d’exception en Laponie. Destinations affaires Quatre destinations se démarquent, dans le répertoire des possibilités, pour ce qui est de l’accueil des événements professionnels. La capitale Helsinki tient naturellement la tête de peloton avec ses allures de ville moderne très dynamique que viennent rafraîchir les espaces verts et les îles qui l’entourent. Alors que la ville rassemble tous les arguments technologiques et infrastructurels nécessaires, elle garde une dimension humaine. Le Radisson Blu Plaza constitue un bel exemple des adresses d’accueil adaptées aux voyageurs d’affaires. Les quartiers finnois de la chaîne très haute de gamme disposent d’un espace affaires composé d’un hall d’exposition et de cinq salles de réunion d’une capacité individuelle de 8 à 80 personnes. Le Finlandia Hall offre, de son côté, une gamme de solutions spécialisées. Turku accueille également de nombreux suffrages, gr&a...
Avant-gardiste et perfectionniste, Carbon est l'aboutissement de 4 années d'essais et d'expérimentations. Carbon représente l’union parfaite entre la tradition et la modernité Fondée par Alexandre Mea et dirigée par Jean-Baptiste Prevost, la Maison de Champagne Carbon, pionnière, se différencie et incarne une marque de défis. CARBON est l’assemblage audacieux de savoir-faire, un équilibre entre le respect de notre histoire familiale et une ingénierie innovante. ...
Depuis quatre générations, la Maison Guy Lamoureux élève ses cuvées au cœur de la côte des Bar, dans le village des Riceys, le plus grand terroir de champagne et la seule commune aux trois AOC champenoises, dont le fameux Rosé des Riceys, un des vins préférés du Roi Soleil. A l’écoute du terroir Chez les Lamoureux, les vignes sont traitées de façon raisonnée, selon leurs besoins. « Nous labourons la terre en respectant l’écosystème, nous n’utilisons pas d’insecticides et nous limitons au maximum les désherbages chimiques », résume Stéphane Lamoureux, vigneron récoltant-manipulant et vigneron indépendant. Honneur au Rosé des Riceys (vin tranquille) « Nous sommes particulièrement attachés à cette petite et non moins célèbre appellation, dont l’originalité repose sur la macération du pinot noir » précise Stéphane Lamoureux, « les grappes sont encuvées entières et l’expérience détermine la durée de la cuvaison, entre 3 et 6 jours. Il faut déguster quotidiennement le moût en fermentation afin de saisir l’instant magique où apparaît le fameux goût du Rosé des Riceys. Sans attendre, le moût doit être alors pressé, en douceur. C’est un vin de passionnés » D’une technique codifiée mais maîtrisée naît un rosé atypique à la robe rouge garance et au goût de fruits rouges frais, finalisé par la note « réglissée » du pinot noir. Ce procédé de macération étant maîtrisé et très satisfaisant, il sert de base de travail pour l’élaboration du Champagne Rosé. Le principe est similaire mais la macération est plus courte, d’où son nom, Champagne Rosé de Saignée qui fait référence à l’action de séparer le moût des peaux, « la saignée ». D’autres cuvées gourmandes pour tous les goûts. On ne saurait évoquer l’exploitation sans mentionner sa cuvée Tradition, issue du pinot noir, aux notes de pêche et de mirabelle, gourmande et généreuse. Cette cuvée est l’ambassadrice de la maison. A noter également le Coteaux Champenois, vin tranquille qui allie la force à la douceur du terroir, avec un nez structuré, charpenté ainsi qu’une bouche chaleureuse. D’un heureux mariage du pinot noir et du chardonnay est née la cuvée millésimée Mademoiselle Bouquet, délicate et séductrice. Quoique peu représentatif de la région, le chardonnay à lui seul a inspiré une nouvelle cuvée, l’Ermitage, un champagne extra-brut millésimé. ...
Installé sur une immense terrasse de plain-pied de 2 500 m2, le Restaurant Les Ombres est une table prestigieuse à l’ambiance intimiste qui sait apporter de l’originalité à la gastronomie. Alain Ducasse a déclaré : « Aux Ombres, j’ai voulu réaliser la synthèse de ce que je suis aujourd’hui. Riche d’un parcours culinaire au cours duquel j’ai célébré la Méditerranée, ciselé la cuisine française contemporaine et créé la Naturalité, j’ai eu envie de rassembler ces trois courants majeurs en un restaurant qui condense mon ADN originel. » LA MÉDITERRANÉE « En tant que cuisinier, c’est sur la Riviera que je suis né », aime à dire Alain Ducasse. Le chef découvre ce terroir à 20 ans et se passionne depuis pour ses produits généreux. Les saveurs de la Méditerranée sont inscrites à jamais dans le cœur d’Alain Ducasse et dans son répertoire culinaire. LA MODERNITÉ Nourrir un client urbain, curieux et informé, dans un lieu d’exception : telle est la vocation d’Alain Ducasse pour Les Ombres. En constante évolution, délibérément contemporaine et parisienne, la cuisine répond ici avec brio aux exigences des convives avertis. LA NATURALITÉ Céréales, légumes, poissons issus de la pêche durable : tels sont les piliers de cette philosophie culinaire, inventée par Alain Ducasse avec Romain Meder dès 2014. « La Naturalité est une telle évidence qu’elle ruisselle sur tous mes restaurants. Aujourd’hui, notre responsabilité est de proposer une cuisine bonne à penser avant d’être bonne à manger. » Ce sont ces trois lignes maîtresses que l’on retrouve dans les menus proposés par les Chefs Rui Martins ( chef exécutif des Ombres et du Café Jacques) et Alexandre Sampere, qui fut le sous-chef de Romain Meder au restaurant Alain Ducasse au Plaza Athénée. Un « enfant » de la Naturalité, avec tout ce que cela comporte d’audace et de maîtrise des nouvelles techniques : extraction, déshydratation, fermentation... Ce jeune chef est aussi un saucier hors pair, passionné par les jus et les condiments. Autant de qualités qui le désignent, aux yeux d’Alain Ducasse, comme le nouvel homme des Ombres. ...
Néanmoins, ces traitements n’agissent que pour retarder la progression de la maladie et la survenue d’un handicap permanent. Le challenge des recherches médicales scientifiques menées aujourd’hui reste donc l’identification de traitements ciblés sur les mécanismes cérébraux impliqués et personnalisés. Symptômes, handicap, mécanismes physiologiques, traitements sont autant de notions qui seront abordées lors du prochain Open Brain Bar de l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM) qui se tiendra le 22 mai 2018. La sclérose en plaques (SEP) est une maladie inflammatoire du système nerveux central (cerveau, moelle épinière et nerfs optiques) qui touche aujourd’hui près de 100.000 personnes en France. Environ 90% des patients présentent leur premier symptôme entre 25 et 35 ans, avec une proportion de femmes élevée soit 3 femmes pour un homme. La SEP se caractérise par des lésions « les plaques » dans lesquelles la gaine protectrice des neurones « la myéline » est détruite entrainant une dégénérescence neuronale avec une perte de la communication entre le cerveau et les organes périphériques. Les symptômes de la maladie sont très hétérogènes d’un patient à l’autre. De même la progression et le délai d’apparition du handicap irréversible varient en fonction de la capacité de chaque personne atteinte à « réparer » ses lésions cérébrales. La transversalité des recherches, la clé de l’espoir Dans ce contexte, les équipes de recherche de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM) orientent leurs recherches selon 3 axes principaux, la prédiction précoce d’une évolution sévère de la maladie, la stimulation de la réparation de la myéline et la protection des neurones. Chercheurs en biologie, en physiologie, médecins, ingénieurs, mathématiciens statisticiens unissent leur expertise et leur volonté pour trouver des thérapies innovantes, ciblées et personnalisées pour un jour guérir cette maladie. Violetta ZUJOVIC (Equipe Dr NAIT-OUMESMAR) et Céline LOUAPRE (Equipe du Pr LUBETSKI) mènent conjointement un projet visant à modéliser l’évolution de la maladie grâce à une analyse statistique innovante de mesures cliniques, biologiques et d’imagerie. Dans ce même but, la start-up Ad Scientiam (Saad ZINAÏ,Directeur médical) a lancé un dispositif digital permettant au patient de réaliser lui-même ses tests médicaux sur smartphone, à domicile de façon régulière, tests qui sont aujourd’hui réalisés par un neurologue à intervalles de temps très espacés. Une étude pilote est actuellement menée par le Dr Elisabeth MAILLARD (Equipe Pr LUBETZKI) au sein du centre d’investigation clinique (CIC) de l’ICM. Comment favoriser la réparation de la myéline chez les patients présentant une faible capacité de régénération intrinsèque ? Benedetta BODINI et Bruno STANKOFF (Equipe du Pr LUBETSKI) ont pu montrer par IRM que les patients chez lesquels les lésions cérébrales étaient spontanément réparées présentaient un handicap irréversible moindre au cours de la maladie que les autres. Cette notion de bons et mauvais « remyélinisateurs » a également était identifiée par une étude biologique menée par Violetta ZUJOVIC (Equipe Dr NAIT-OUMESMAR) et isabelle REBEIX (Equipe Bertrand FONTAINE) portant sur les cellules immunitaires, les lymphocytes T de patients. Enfin des travaux menés par l’équipe du Pr LUBETSKIet du Pr STANKOFF, pionniers dans le développement de la TEP (tomographie par émission de positons) appliquée à la sclérose en plaques permettent aujourd’hui de visualiser la dégénérescence neuronale au cours de l’évolution de la maladie, mécanisme qui échappe à la résolution de l’IRM. ...
Située au Montat, aux portes de Cahors, Biscuiterie fine de France est une entreprise familiale dotée d’une expertise et d’un savoir-faire artisanal à même de satisfaire tout type de projet et autres demandes spécifiques de ses clients. Pour la petite histoire Rachetée il y a de cela vingt-cinq ans par le couple Jean-Marie et Chantal Robert, la petite biscuiterie qui fabriquait alors des meringues en sachet s’est vite muée en une plus grande structure. Issu du secteur industriel, M. Robert décide d’adresser l’essentiel de la production aux industriels glaciers. Au fur et à mesure du temps et des demandes des clients, un savoir-faire biscuitier s’est développé au sein de l’équipe. En tout, une vingtaine d’employés s’attellent à réaliser des gammes très diversifiées qui touchent aujourd’hui un large panel de clients. Grâce à des outils de production performants alliés à un savoir-faire artisanal, Biscuiterie fine de France répond aux demandes, même les plus exigeantes. Les engagements Désireuse de promouvoir le savoir-faire français, Biscuiterie fine de France s’inscrit dans la démarche Clean Label. Ce qui implique une totale transparence au niveau des produits utilisés. Les ingrédients utilisés ne contiennent ni conservateurs ni exhausteurs de goût. Les colorants et arômes naturels sont davantage privilégiés. Du point de vue écologique, les collaborateurs sont engagés dans une démarche visant à économiser l’eau et l’énergie et à réduire les déchets. Des produits dédiés à tous La vocation première de Biscuiterie fine de France est de proposer des produits innovants aux industriels. Aujourd’hui, son expérience a permis la réalisation de créations de plus en plus abouties. Mis à part les traditionnelles meringues, l’entreprise fournit entre autres différents éclats de biscuits (palets bretons, spéculoos, crumbles, macarons) utilisables dans des préparations pâtissières comme les crèmes glacées ou les coupes de fruits. Pour les particuliers, l’entreprise a lancé récemment une gamme innovante d’aide pour la pâtisserie sous la marque « Biscuiterie fine de France » qui est disponible auprès des GMS. Le consommateur final aura ainsi accès à des produits de qualité qui n’ont rien à envier à la concurrence à l’instar des concassées de spéculoos, des éclats de palets bretons, ou encore un produit très innovant comme la chapelure de pain d’épice. ...
Chi va piano va sano e lontano : Qui veut voyager loin, ménage sa monture. Depuis 15 ans, le restaurant italo-méditerranéen Vapiano a su faire d’un célèbre proverbe, sa propre devise. Ici, celui qui désire aller loin, doit aller sereinement et manger sainement. Le concept de Vapiano en découle, par la qualité et l’authenticité de ses plats, tout comme par la convivialité de son atmosphère. Un cuisine italienne faite maison et des produits frais La philosophie de Vapiano se caractérise par des plats « faits maison » préparés sous les yeux des clients avec des produits frais. Chaque bouchée est un voyage en Italie, chez la mamma ! Au menu, on retrouve toutes les spécialités qui font la grandeur de l’Italie :antipasti, pizza, pasta, risotto, insalata et dolci. De l’entrée au dessert, les ingrédients sont frais, la pâte à pizza et les sauces sont préparées au jour le jour et les recettes changent au fil des saisons. Vapiano met aussi à la disposition sur toutes les tables des plants de basilic, menthe, thym ou encore de romarin afin que chacun puisse sublimer son plat à sa façon. Enfin, pour accompagner ces précieux mets, rien de mieux qu’un choix large de vins, cafés et thés de grande qualité ainsi que de boissons non alcoolisées. Un design naturel et une atmosphère chaleureuse : un parfum de dolce vita Vapiano a pensé son design et créé son ambiance afin de rappeler visuellement et olfactivement l’Italie. Grace notamment au travail de l’architecte et designer d’intérieur milanais Matteo Thun, qui a su traduire dans l’aménagement des restaurants toute la fraîcheur et la qualité de la cuisine Vapiano. L’association des matériaux nobles du mobilier, des oliviers centenaires implantés dans chaque restaurant, de la verdure des murs végétaux, ainsi que de l’éclairage identique à la lumière du soleil téléporte la clientèle dans un authentique lieu méditerranéen où elle pourra boire un verre et déguster des antipasti dans les espaces bar et lounge avant d’apprécier un repas entre amis autour d’une grande table en chêne clair. De l’ambiance conviviale, à l’art de recevoir, en passant par le design, chez Vapiano tout est pensé pour s’accorder une parenthèse italienne le temps d’un repas. ...
Sur les 25 hectares du Domaine Terra di Catoni, 10 sont réservés à la vigne. Vermentino, Sauvignon et Sciaccarellu y prospèrent à flanc de montagne et profitent d’un ensoleillement maximal. Grâce aux brises maritimes de cette région, les vignes sont préservées des maladies habituelles et les raisins bénéficient d’une qualité phytosanitaire exceptionnelle. Des vins blancs et rosés originaux Le Domaine Terra di Catoni est la seule exploitation viticole en Corse à proposer un pur Sauvignon, un vin blanc sec et plein de fraicheur, très légèrement iodé, un vin pour accompagner vos repas de fruits de mer ou de crustacés. Il produit un autre vin blanc issu de l’assemblage de sauvignon et de vermentino pour un vin très aromatique aux notes subtilement florales, un vin très sec qui se marie parfaitement avec les poissons ou les viandes blanches. Pour son vin rosé, le Domaine a choisi de le créer à partir de Sciaccarrellu, ce cépage typiquement corse qui développe des arômes de fruits rouges, légèrement épicés, un vin qui sera parfait pour vos repas estivaux. Le domaine produit chaque année entre 12.000 et 15.000 bouteilles. La découverte du Domaine N’hésitez pas à venir découvrir le Domaine Terra di Catoni et ses terres surplombant le mer Tyrrhénienne. Vous découvrirez le soin apporté aux vignes tout au long de l’année et l’élaboration technique des vins. Vous pourrez y déguster ces vins créés avec passion et délicatesse mais aussi découvrir les huiles d’olives produites sur ce même domaine. Vous pourrez retrouver ces vins dans de nombreux restaurants de l’ile, des vins qui s’accordent à merveille avec les spécialités corses. ...
Une salle ornée de pièces de musée authentiques, une terrasse très prisée en temps estival donnant sur un jardin verdoyant, le cadre séduit d’emblée par la vue bien dégagée sur le lac Léman et les sommets neigeux des Alpes. D’ores et déjà, les yeux se régalent de ce spectacle avant même de découvrir ce que le chef propose. Deux cartes proposées pendant toute l’année Derrière les fourneaux, le chef Gilles Vincent dirige une fine équipe rompue à l’art de la bonne cuisine pour concocter les incontournables du restaurant. Au menu : des plats typiques de la gastronomie française et des recettes inspirées de l’art culinaire asiatique pour sortir des sentiers battus. Du foie gras en entrée, du carré d’agneau servi avec ses pommes galettes et une ratatouille, des soufflés parfumés aux fruits de saison, ce ne sont que des exemples des préparations qui ne font jamais défaut dans le restaurant. Outre la carte classique, le chef et son équipe concoctent également des menus conçus avec des produits frais de saison dans une carte qui se renouvelle quatre à cinq fois dans l’année. Des formules au-delà des cartes Jamais à court de créativité, le restaurant propose des formules toutes faites à l’instar du menu d’affaires et du menu du soir. Le buffet accueille tous les jours les visiteurs désireux de satisfaire leurs palais pour un petit déjeuner, un déjeuner, un dîner et un apéritif. À la demande des clients, un segment de la salle peut être privatisé. Dans la même optique, le personnel se prêtera volontiers aux besoins d’organisation d’une animation personnalisée pour les clients célébrant un événement particulier. Un service à la hauteur de la renommée L’accueil figure parmi les points forts du restaurant. Le chef de la réception, M. Laurent Bouriot résume la ligne directrice de leur politique à ce sujet : « On est toujours à l’écoute du client et on fait tout notre possible pour le satisfaire. » Et ce tout inclut, bien sûr, le wi-fi gratuit sur place, le parking, le garage chauffé, mais aussi et surtout le large choix de grands crus pour accompagner avec goût les assiettes de viande et le filet d’omble chevalier du lac et autres spécialités du restaurant. Pour épater les convives, Toni Mittermair, le directeur propriétaire du domaine, a sélectionné près de 400 références de vins composées de bouteilles venant des caves suisses et françaises. La carte de vins très achalandée met aussi à l’honneur d'autres vins de renommée internationale, vieillis dans plusieurs pays. ...
Le monde des affaires étant de plus en plus complexe et stimulant, s’entourer de partenaires stratégiques contribue à promouvoir l’engagement, optimiser les processus et instaurer des relations positives pour augmenter les performances des équipes. SL Consultant accompagne les entreprises dans leurs changements en leur proposant un service de coaching chargé d’impulser la croissance individuelle et l’efficacité collective. Contribuer au développement des performances humaines Un coach professionnel a besoin d’avoir une expertise en dynamique d’entreprise et de comprendre les enjeux organisationnel et managériaux pour mieux appréhender les éléments systémiques et stratégiques. Sylvie Roche détient un socle de connaissances sur l’écosystème des organisations et du management grâce à ses nombreuses années d’expérience passées dans de grandes entreprises. Après avoir suivi plusieurs formations notamment d’ingénieur en ingénierie pédagogique, en leadership ou encore en conduite du changement et reçu une accréditation Insights Discovery et MBTI, elle élargit son champ de compétences par la maîtrise de plusieurs outils complémentaires : analyse transactionnelle, programmation neuro-linguistique, hypnose ericksonienne, etc. « Avoir différentes boîtes à outils est indispensable pour un coaching plus personnalisé. Une technique qui fonctionne pour une personne ne marchera pas forcément pour une autre face à la différence de contexte, de personnalité ou de problématique à résoudre », confie-t-elle. Elle complète son expertise grâce à une formation de coach professionnel. Aujourd’hui, elle met son savoir-faire au service des professionnels souhaitant entre autres profiter d’un coaching orienté solution. Sa spécialité ? L’accompagnement de personnes en situation de burn-out. ...
Animés par le désir de proposer une viande de premier choix pour satisfaire la demande croissante du marché français en viande ovine, les 1 000 membres de l’association d’éleveurs GIE Ovins du Limousin se sont rassemblés pour défendre un bien commun par une démarche qualité. L’obtention de l’IGP leur a permis d’assurer l’excellence de l’agneau Baronet, déjà très avantagé par le terroir sur lequel il évolue. Sa végétation, ses prairies, ses herbes, son climat, sa pluviométrie, sa géologie et son altitude font effectivement du Limousin un endroit idéal pour élever les moutons. « Il est voué à nourrir les animaux », affirme Didier Briantais, directeur du GIE Ovins du Limousin. Au-delà, les éleveurs doivent respecter les critères du cahier des charges pour fournir une viande conforme : lait maternel pendant au moins 60 jours, traçabilité, alimentation au foin et à l’herbe en période hivernale, avec éventuellement un complément de céréales et de fourrage… Un produit d’exception pour des repas gourmands « Grâce aux propriétés spécifiques du terroir et à la rigueur des méthodes d’élevage employées, les viandes offrent une chair tendre, délicatement parfumée, avec un taux de gras idéal », souligne Didier Briantais. Elles sont aussi facile à cuisiner : des chefs de renom tels qu’Alain Longeval ou Emmanuel Ardillon prônent d’ailleurs la marque en créant des recettes. Un véritable ravissement pour les papilles qu’offrent, par exemple, la « Selle d’agneau du Limousin et pommes dauphine » ou la « Roulade de poitrine d’agneau du Limousin farcie ». ...
Le Retour à la Terre Rive Droite Véritable pionnier dans le XIe arrondissement de Paris, Biocoop Le Retour à la Terre Rive droite a été créé il y a bientôt dix ans. Comme pour les deux autres magasins, Rive droite fourmille de produits en tout genre qui étonnent et séduisent par leur originalité et leur diversité. On peut y découvrir un festival de fruits et de légumes oubliés, dont certains en provenance de notre verger conservatoire de Normandie, un bar à vrac de 150 références (céréales, pâtes, légumes et fruits secs, biscuits, cafés), des produits de petits producteurs que nous aimons faire découvrir, des produits originaux que l’on ne trouve nulle part ailleurs, comme le beurre de lait de chèvre ou de brebis. Nous mettons aussi l’accent sur les produits sous mentions Nature & Progrès, Demeter, ou issus du commerce équitable nord/sud (bananes, cafés, chocolats) ou nord/nord (produits Ensemble). On y trouve aussi des cosmétiques et des compléments alimentaires, des produits d’entretien écologiques, des jouets pour enfants et des livres. Un grand espace traiteur à l’entrée offre un large choix de pains (avec ou sans gluten), une grande variété de fromages, des tartes salées et sucrées, des desserts vegan ou non, des œufs extra-frais à la pièce, etc. Horaires : du lundi au samedi de 10 h à 20 h sans interruption. Nocturnes les lundis, jeudis et vendredis soir jusqu’à 20 h 30. Le Retour à la Terre Rive Gauche Ouvert il y a six ans dans le quartier de la Sorbonne, Biocoop Le Retour à la Terre Rive gauche se caractérise par une grande verrière qui lui confère un cachet tout particulier. Dans ce cadre magnifique, nos équipes ont à cœur de vous proposer ce qu’il y a de meilleur. À l’espace traiteur, choisissez parmi un large choix de pains (avec ou sans gluten), de fromages à la coupe, de charcuteries, de pâtisseries, de thés, de cafés et de super-aliments en vrac. Comme sur les deux autres magasins, vous trouverez une sélection exceptionnelle de fruits et de légumes exclusivement de saison, dont la très grande majorité provient de France. L’accent est mis sur les produits sous mentions Nature & Progrès, Demeter, ou issus du commerce équitable nord/sud (bananes, cafés, chocolats) ou nord/nord (produits Ensemble). On y trouve également un florilège de miels, de chocolats, de vins, de jus, de confitures ainsi qu’un choix exceptionnel de produits en vrac (céréales, fruits secs, pâtes, riz, etc.). La particularité de notre magasin Rive gauche est son espace dédié « beauté-santé » où le client est conseillé par nos équipier(e)s formé(e)s en naturopathie ou herboristerie. Horaires : du lundi au samedi de 10 h à 20 h sans interruption. Nocturnes les lundis et vendredis soir jusqu’à 20 h 30. Le Retour à la Terre Les Champs À deux pas des Champs-Élysées, notre magasin Le Retour à la Terre Les Champs offre (comme les deux premiers) un choix exceptionnel de produits bio : fruits et légumes, pains frais avec ou sans gluten, viandes, spécialités laitières/vegan/crues, vins et bières, miels, chocolats, cosmétiques et compléments alimentaires, produits d’entretien écologiques. Son rayon vrac est imposant, avec 150 variétés : céréales, fruits secs, mélanges de graines, biscuits, etc. Au rayon traiteur, on trouve de la charcuterie d’excellence, des fromages de brebis, de vache ou de chèvre, des pâtisseries (vegan ou non).La particularité, c’est son espace « Café » où vous pourrez consommer sur place des salades composées, des quiches maison, des soupes cuisinées avec les légumes du magasin, le tout accompagné de jus de fruits frais, de café ou de thé équitable. Nous proposons également de délicieuses glaces artisanales aux saveurs originales. Horaires : du lundi au samedi de 11 h à 21 h sans interruption. L’espace café ouvre ses portes dès 9 h. Attaché à nos valeurs, Biocoop le Retour à la Terre est la première enseigne de Paris à ne proposer aucun produit alimentaire contenant de l’huile de palme. ...
Flashmatin : Pouvez-vous présenter l'Institut de la Vision ? Serge PICAUD : L’Institut de la Vision a pour missions principales de comprendre le fonctionnement de la vision et de prévenir les pathologies pouvant entraîner la perte de vue. Le jury international réuni par l’HCERES (Haut Conseil de l'Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur) a conclu que ce centre de recherche fait partie des meilleurs centres de recherche mondiaux dédiés aux maladies de la vision. Les vingt équipes académiques se répartissent sur cinq axes majeurs : le développement du système visuel, la génétique des maladies visuelles, le traitement des informations visuelles, les thérapies et le développement de techniques d’imagerie ainsi que de nouveaux instruments diagnostiques. Quels sont les résultats innovants et les solutions thérapeutiques qui y ont déjà été développés ? En dix ans d’existence, l’Institut a enregistré des avancées significatives dans la compréhension des maladies de la vision et le développement de stratégies thérapeutiques, dont certaines arrivent aujourd’hui au stade de l’essai clinique. Pour vous donner quelques exemples, GenSightBiologics, une start-up de l’Institut de la Vision, est en train de mener des essais cliniques sur une pathologie héréditaire appelée « Neuropathie Optique Héréditaire de Leber » (NOHL). Pour cette première mondiale par thérapie génique, les résultats montrent une amélioration durable de la vision et de la qualité de vie des patients traités. D’autres essais cliniques portent actuellement sur des implants rétiniens développés pour restaurer la vision de patients aveugles par Pixium Vision, une autre start-up de l’Institut de la vision. Leur implant photovoltaïque est actuellement en essai clinique sur des patients souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), qui peuvent à nouveau lire des mots ! Des essais cliniques très prometteurs viennent également d’être lancés avec une approche alternative, la thérapie optogénétique : nous utilisons le génome d’une algue pour transformer les neurones résiduels de la rétine en une sorte de photorécepteur. L’objectif est encore de restaurer la perception visuelle chez d’autres patients devenus aveugles. Enfin, nous avons participé à l’amélioration des traitements pour le glaucome en retirant un conservateur toxique des gouttes. Fin 2018, vous avez été labellisé IHU (Institut Hospitalo-Universitaire). Que va apporter cette nouvelle structuration ? Le premier ministre, Edouard Philippe, a en effet avalisé l’avis du jury international en attribuant au Pr Sahel la mission de construire l’hôpital de demain en ophtalmologie. Cette nouvelle structure va réunir l’Institut de la Vision et le Centre Hospitalier des Quinze-Vingts pour accélérer le transfert clinique des innovations thérapeutiques et diagnostiques. L’objectif est d’améliorer l’accès aux soins et la prise en charge des patients pour leur apporter une réponse thérapeutique, quelque soit le stade de leur pathologie. Cet objectif est extrêmement ambitieux puisque de nombreuses pathologies rétiniennes n’ont pas encore de traitement pour prévenir leur évolution vers la cécité. Nous devons également former les personnels soignants et techniques pour permettre le déploiement des innovations thérapeutiques sur l’ensemble du territoire. L'Institut de la Vision est soutenu par la Fondation Voir & Entendre et ses donateurs. Pouvez-vous nous expliquer l'importance des dons et legs pour vos recherches ? A l’Institut de la Vision, chercheurs et cliniciens travaillent pour prévenir l’évolution des maladies de la vision vers la cécité. Pour développer nos recherches et être soutenus par les agences de financement publiques, nous devons leur présenter les preuves de concept des futures stratégies thérapeutiques. Grâce à nos donateurs, nous pouvons amorcer ces projets et obtenir les preuves de concept initiales. Les dons sont donc essentiels ! Ils sont de véritables déclencheurs de la recherche et permettent aux chercheurs d’initier tous leurs t...
La chaleur n’a pas quitté cette ancienne forge de Mesquer, bâtie en 1711 dans la presqu’île guérandaise. Dans ce bâtiment authentique aux murs de pierres et poutres apparentes, les vacarmes du marteau et de l’enclume ont laissé place à la mélodie des couteaux et des fourchettes. La Vieille Forge fait partie du « Collège culinaire de France ». Elle s’engage alors à offrir une cuisine régionale et faite maison et à faire connaître le métier de restaurateurs. Les produits de la mer, les pigeons et les vins issus de nos régions n’attendent que les gourmets dans cet établissement mesquerais. Le goût de la simplicité A La Vieille Forge, le Chef Ludovic Favrel revendique une cuisine simple et sans artifices. En d’autres termes, il préfère mettre dans ses assiettes quelques goûts que les clients identifieront, plutôt que d’y rassembler mille et une saveurs dans lesquelles ils risquent de se perdre. La carte et les menus évoluent au fil des saisons. Toutefois, certains produits sont servis toute l’année de façon à valoriser les ingrédients fournis par les producteurs locaux et promouvoir la richesse du terroir. La maison informe d’ailleurs ses clients sur la traçabilité des produits. Un terroir riche Les conditions environnementales de Mesquer sont propices à l’ostréiculture, d’où la présence de nombreux parcs à huîtres. Grâce à sa proximité avec la mer et les marais salants, le restaurant La Vieille Forge s’approvisionne facilement en huîtres de kercabellec frais. Le Chef Ludovic sert ces mollusques peu salés en nature, coulis ou sabayon. Les pigeons issus de l’élevage local sont très appréciés dans les meilleurs restaurants français. A La Vieille Forge, ils sont préparés de deux façons. Les filets sont poêlés et les cuisses confites pendant longtemps. Ils sont accompagnés avec des légumes de saison tels que les petits pois ou les navets et du jus à la réglisse. Les menus Quotidiennement, quatre menus sont proposés par le restaurant. Le menu dégustation peut s’ouvrir sur des Saint-Jacques ou un Croustillant de ris de veau avant de glisser vers du Poisson noble du marché et terminer avec de la Crousti noisette et son crémeux chocolat. Le menu saveurs régionales suggère les produits du terroir comme le Filet de dorade sauvage en cannelloni ou le Tournedos de lapin du bois de boule. Quant au menu du jour, il dépend du marché. Enfin, le menu surprise est servi à l’ensemble de la table. Avec cette formule, les clients font confiance au savoir-faire et au talent du chef qui leur fera la surprise. Le Cadre Le restaurant La Vieille Forge présente deux ambiances différentes dans ses deux salles. La première est plus ancrée dans la tradition avec les poutres apparentes en bois, les murs de pierres visibles et une lumière tamisée. Le soufflet du forgeron est resté pour orner la pièce. Dans le deuxième espace, le décor est un peu plus moderne avec la grande baie vitrée qui donne sur le jardin et son bassin à poisson. Le plaisir du partage Ludovic et Isabelle organisent des cours de cuisine environ six fois par an pour partager leur passion. Six personnes par séance profitent des conseils et astuces de Ludovic sur les thèmes « Poisson », « sucrée » ou encore « Les légumes ». Il est même possible d’assister au cours en binôme c’est-à-dire un adulte et un enfant. ...
Celà fait 26 ans maintenant que Nathalie et Richard Roulot, viticulteurs passionnés, ont pris la relève de l'exploitation familiale. Ils dirigent ce domaine exceptionnel blotti au sein de la vallée de la Marne, plus précisément à Festigny, selon un savoir-faire hérité de leurs aïeuls. Leur terroir a la particularité de présenter des coteaux très variés permettant l’obtention de vins équilibrés, ayant atteint pleinement leur maturité. Bien qu’on y trouve surtout le pinot meunier, la maison cultive aussi du chardonay et du pinot noir sur ces huit hectares, afin de parfaire ses assemblages. Des valeurs écoresponsables Toute l’année, le couple Roulot ainsi que ses salariés s’occupent de la production, jusqu’à la commercialisation des 30 000 bouteilles vendues annuellement. Attentionnée et soucieuse de la qualité du travail, la maison applique des règles très strictes, qui commencent dès la vigne. « Nous avons opté pour une culture de bon sens depuis 20 ans » confirme Nathalie Roulot, « nous utilisons le moins possible de traitements phytosanitaires, qu'on sait particulièrement nuisibles au développement de la biodiversité ». Les vignes sont travaillées manuellement toute l’année. Ces précautions garantissent des raisins sains et nobles et, ainsi, des champagnes de grande qualité. Les raisins produits sur le domaine passent ensuite dans le pressoir et la cuverie installés dans le domaine.« Car il est important pour nous de spécifier que nous faisons tout nous-mêmes en tant que récoltant manipulant » déclare Nathalie. Perfectionnistes dans le vieillissement des vins La cuvée Tradition, qui est connue comme étant l’ambassadrice de la maison, est constituée de 95 % de pinot meunier, complétée par le pinot noir. Elle charme les palais des œnophiles par son fruité et sa rondeur. Autre cuvée incontournable : les Millésimes, qui portent la signature de la rareté et du prestige. Chez la famille Roulot-Fournier, les cuvées vieillissent le plus longuement possible. « Celles en vente actuellement ont cinq années de vieillissement en bouteilles dans nos caves. Nous tenons à commercialiser nos champagnes à maturité », précise Nathalie Roulot. Cette mesure est « gage de qualité et du bon développement des arômes ». ...
Quel regard portent les artistes sur le paysage qui nous entoure ? Contrairement à leurs aînés des grands courants picturaux (classique, baroque, romantique, réaliste, impressionniste…) qui se sont passionnés pour le paysage, les plasticiens contemporains ne l’abordent plus seulement pour l’idéaliser ou le traduire. Les artistes de la Biennale d’Issy nous livrent leur vision du monde à travers la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin et la vidéo. La puissance de la nature au cœur du réchauffement climatique Les artistes s’attachent aussi bien aux aspects les plus alarmants de l’intervention humaine sur Terre qu’à l’évocation de la majesté et de la beauté de la nature. Ainsi, Nils-Udo traduit la force créatrice de la nature dans sa peinture tandis que François Bard représente des rocs inamovibles. Frédéric Oudrix nous offre une végétation exubérante, Stéphane Erouane Dumas des forêts de bouleaux figés par le givre se reflètant dans un lac gelé. Traqueur d’orages, Basile Ducournau parcourt le Nouveau-Mexique pour capter le moment précis où la foudre tombe parfaitement dans l’axe d’une route qui s’éloigne en direction de l’horizon. Madame Briot, un arbre sculptural à l’élégance féminine, semble être renversé. Mais il est bien réel et révèle la richesse méconnue de la nature. Dans les autres œuvres d’Emma Tandy, la végétation y apparaît luxuriante, tout comme dans les friches que photographie Yann Monel. Le paysage soulève de nombreuses questions, notamment celle de l’environnement. Avec ses Paysages nucléaires présentés en diptyques, Jean-Pierre Attal met en perspective un avenir nucléaire incertain, avec une usine implantée dans son environnement naturel d’un côté, le même site dépourvu d’installation humaine de l’autre. Brigitte Sillard aborde la question du changement climatique avec son image d’un palétuvier qui dépérit à Madagascar dans une mangrove disparue. Régis Rizzo peint des lycaons de la savane africaine sur fond de paysage industriel pour illustrer le retour des animaux sauvages dans les villes. Cristina Ruiz Guiňazǔ présente un ange assoupi sur le sol d’un désert s’étendant à l’infini, et Pierre Monestier d’étranges quadrupèdes à gueule de canon décimant une armée sans armes. Quant à Rubén Fuentes, il peint des étendues montagneuses dont les cimes prennent la forme de silhouettes d’anciennes déesses précolombiennes, dénonçant la disparition des forêts primaires. Le paysage, terrain d’expression des artistes engagés Les artistes présentent aussi leur vision de l’évolution du paysage, avec lucidité, de manière parfois engagée. Ainsi, Caroline Secq dénonce l’apparition d’un 8e (in)continent avec une installation d’objets et de sacs plastiques rejetés par la mer qu’elle récolte sur les plages. Christophe Dalecki détourne nos objets du quotidien en plastique et donne naissance à de grands bouquets d’ombres et de lumière verte. Certains artistes révèlent l’empreinte de l’homme sur le paysage, comme Justin Weiler avec ses dessins semblables à des partitions dont les notes s’avèrent être des impacts de balles ; une musique douloureuse, témoin du lourd passé de la guerre civile au Liban. A Beyrouth, les anfractuosités provoquées par les tirs deviennent des nids d’oiseaux dans les fresques réalisées et photographiées par le street artiste Anoy. D’autres, comme Barthélémy Toguo, sensible aux situations de détresse en Afrique et dans le monde, nous livrent des œuvres engagées : ainsi, Jugement dernier est composé de deux mains levées, comme en joue face à l’obstination de l’humanité à s’autodétruire. Avec ambivalence, les aquarelles de Jean-Michel Alberola inspirent la quiétude de scènes champêtres, alors que nous sommes face à la désolation du camp de Birkenau où la nature finit par recouvrir la voie ferrée et ronger les baraquements. Dans une architecture sans vie, Anselm Kiefer mêle ses ...
Depuis 5 000 ans, l’Ayurveda, littéralement « science de la vie », et médecine intégrative est pratiquée en Inde comme un art de vivre. Cette ancienne médecine holistique est reconnue depuis 45 ans par l’Organisation mondiale de la santé. Elle est enseignée en Inde, en universités et instituts gouvernementaux (une centaine), le doctorat de base, étant de 6 ans (BAMS : doctorat en Ayurveda, médecine et chirurgie). Narendra Modi a créé le ministère des médecines traditionnelles : AYUSH ( Ayurveda, yoga et naturopathie, Unani, Siddha et homéopathie), dont le Dr Kotecha en est le secrétaire d’état. Faire connaitre une partie des connaissances liées à cette discipline et les partager à travers des formations combinant à la fois théories et pratiques, tel est l’objectif de l’AssPPA (Association pour la promotion et la pratique de l'Ayurveda). Une médecine douce Médecine traditionnelle indienne, l’Ayurveda traite l’individu dans son ensemble. « Elle se fonde sur l’observation de l’être humain, de son environnement mais aussi sur son hygiène de vie et alimentaire », explique Marie Christine Campo-Paysaa, la fondatrice de l’association. Pour les soins et les thérapies, l’Ayurveda utilise essentiellement les massages, des plantes, des pierres et des minéraux, mais aussi des métaux tels que le cuivre, le zinc, le fer, le mercure, l’argent, l’or. En médecine ayurvédique, le corps et l’esprit sont indissociables. Ainsi, pour restaurer l’équilibre et l’harmonie globale, le yoga, la méditation et les massages occupent une place privilégiée. Une rencontre déterminante L’association voit le jour en 1995 sous le nom de Corps et Conscience. « À l’époque, nous ne proposions que des séances de hatha yoga et de yoga nidra », nous indique-t-elle. En 2003, Marie-Christine Campo-Paysaa fait la connaissance du Dr Kotecha, un éminent médecin ayurvediste. « Cette rencontre a été comme un déclic et nous nous sommes tournés vers l’Ayurveda », raconte notre interlocutrice. C’est dans ce contexte que va naitre le Centre Ayurveda d’Aquitaine. Des formations complètes Le centre dispense des formations diplômantes, portant non seulement sur les bases théoriques de l’Ayurveda mais également sur les pratiques des différentes techniques de massage. S’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels désirant se reconvertir, ou compléter leurs connaissances, ces formations durent entre 15 et 17 jours, impliquant 6 jours d’enseignement théorique. Grâce à un partenariat noué avec Chakrapani Ayurveda Clinic & Research Center (clinique fondée par le Dr Kotecha) basée à Jaipur, les étudiants ont l’opportunité de finir leur cursus en Inde. ...
Avec un peu plus de 3 millions de Français qui en sont atteints, soit 4,5 % de la population, les maladies rares constituent un enjeu majeur de santé publique. Faisant figure de pionnière dans le domaine, la France est le premier pays européen à avoir déployé un plan national de grande ampleur visant à favoriser l’accès au diagnostic et à améliorer la prise en charge des malades. Et les filières maladies rares sont un rouage essentiel de cette organisation. Assurer l’interface entre les différents acteurs du domaine des maladies rares Créées dans le cadre du second plan national (PNMR 2011-2014), les filière de santé maladies rares s’articulent autour de pathologies présentant des aspects communs (symptômes, prise en charge, etc.). Ces organisations ont pour objectif de coordonner les actions (expertise, recherche, enseignement, formation…) qui sont menées afin d’améliorer la prise en charge des malades. Les filières constituent donc une « interface entre les acteurs du domaine des maladies rares » précise Anne Chevrier, chef de projet maladies rares-Ministère de la Santé. Parce qu’elles « décloisonnent » le système, elles favorisent la communication entre les maillons de la chaîne de soins. En effet, chacune des 23 filières maladies rares regroupe un large panel d’intervenants : centres de référence maladies rares (CRMR), centres de compétences (CCMR), laboratoires de diagnostic, unités de recherche, structures médico-sociales, associations de malades… Chargée de leur animation, la DGOS (Direction Générale de l’Offre de Soins) permet aux filières d’avancer de façon mutualisée sur des problématiques transversales et de communiquer entre elles. « Les filières de santé maladies rares apportent une véritable valeur ajoutée au parcours de soins des malades » remarque Hélène Dollfus, médecin hospitalo-universitaire spécialisée dans la génétique médicale et l’ophtalmologie à Strasbourg. Simplifier la lisibilité de l’organisation La précocité du diagnostic est essentielle. Plus vite une maladie rare sera diagnostiquée, plus vite la prise en charge du patient par un centre de référence/compétences adapté à sa pathologie pourra démarrer et plus grandes seront les chances sinon de guérir la maladie, à tout le moins de ralentir son évolution. Mais parce qu’il subsiste des gènes qui n’ont pas encore été identifiés, diagnostiquer une maladie rare peut se révéler extrêmement difficile. « L’errance diagnostique dure, en moyenne, quatre ans » précise Sophie Bernichtein, chef de projet de la filière Maladies Rares Brain Team. Et parce qu’ils sont peu confrontés à ces pathologies, beaucoup de médecins ne les envisagent pas dans leur diagnostic. « C’est une véritable culture du doute qu’il faut contribuer à développer » indique Sophie Bernichtein. En rendant l’organisation plus lisible et plus accessible, les filières facilitent l’orientation des patients vers les centres adaptés et contribuent à réduire l’errance diagnostique. « Il est essentiel de simplifier l’offre de soins » précise Sophie Bernichtein. Une répartition des rôles clairement définie Les maladies rares se caractérisent par leur faible prévalence (la commission européenne a fixé le seuil à cinq personnes atteintes sur 10 000) mais aussi par leur complexité. En termes de diagnostic comme de prise en charge. Celle-ci « implique des intervenants multiples dont il faut coordonner l’action » précise Sophie Bernichtein. Les réseaux étant pluridisciplinaires, « aux équipes médicales s’ajoutent des psychologues, des assistantes sociales, des kinésithérapeutes, des nutritionnistes, etc. Chaque centre réunit des professionnels dont la spécialité est adaptée aux pathologies traitées » indique Anne Chevrier. Médecins traitants et associations de malades sont également sollicités. Des modèles de simplification, basés sur une répartition claire des mi...
Depuis le XVIe siècle, ce regroupement de professionnels passionnés par le vin, la plus vieille confrérie vinicole de France, s’attelle à valoriser le patrimoine vinicole de la région alsacienne dans son intégralité. L’authenticité trouve ici son essence au travers de manifestations organisées dans un château emblématique, siège de la confrérie et symbole de l’éternelle renommée des vins d’Alsace. Dédiés aux professionnels, mais accessibles au grand public, ces événements, appelés « chapitres », sont un hommage au savoir-faire ancestral et au talent des viticulteurs qui travaillent d’arrache-pied pour mettre le meilleur du terroir en bouteille. Mis à part ces manifestations séculaires, la confrérie Saint-Étienne organise des événements d’entreprise toujours axés sur la richesse vinicole régionale dont elle est la fière ambassadrice. L’excellence au service du vin Depuis des siècles, la confrérie s’est donné pour mission de promouvoir le vin d’Alsace en misant sur leur aspect qualitatif. C’est pourquoi un concours, le Sigille des vins d’Alsace, est organisé deux fois par an au cœur de la région, dans le château de la confrérie de Saint-Étienne. « À l’issue de ce concours très exigeant, les vins dégustés à l’aveugle, répondant aux critères de qualité intrinsèque et de typicité, reçoivent une distinction : le Sigille. Tirant ses origines du latin signifiant "sceau", le Sigille est un gage de qualité et d’authenticité pour les vins qui en sont récompensés », nous explique Éric Fargeas, membre de la confrérie. Une fois l’estampille de cette dernière apposée sur la bouteille, le vin vient figurer dans le palmarès de la confrérie et rejoint une œnothèque riche de plus de 60 000 références. Idéale pour immerger ses collaborateurs ou ses clients dans le monde du vin, cette œnothèque, se trouvant dans une cave aménagée dans le château, figure parmi les vestiges intemporels de l’art du vin alsacien, avec des millésimes datant, pour certains, du milieu du XIXe siècle. Mis à part ce concours, les fameux « chapitres » sont l’occasion de découvrir le riche panel de choix que la région a à offrir en matière de vins. Chaque chapitre est une opportunité de découvrir les traditions vinicoles du terroir, mais également celles de la confrérie de Saint-Étienne. Intronisations, animations vinicoles ou dîners de gala y célèbrent les vins du pays. Pour des événements d’entreprise couronnés de succès C’est dans un château datant du XVIe siècle, haut lieu de la viticulture, que votre événement aura lieu, sous les auspices de l’authenticité et du charme alsacien. Les salles et les aménagements de cette bâtisse rustique pourront accueillir des manifestations d’entreprise de toute taille : boutiques éphémères, incentive, séminaires, minisalons, team-building ou réunions d’affaires. « À la pointe de la technologie, avec des salles équipées de wifi et un parc technique innovant, le château vous ouvre ses portes avec un brin de modernité tout en gardant le cachet d’un bâtiment qui date de 1560 », continue Éric Fargeas. Les ateliers ou séminaires autour du vin qui y seront organisés seront suivis d’activités ludiques, à l’instar de séances de tir à l’arc, de ballon captif et bien d’autres encore. Découvrez également les divers ateliers proposés chaque année par la confrérie, pour ne citer que les ateliers d’initiation au vin, ceux dédiés aux accords mets-vin ou ceux intitulés « vins d’Alsace et saveurs de l’Inde », à découvrir… ...