Situé à quelques enjambées de la maison de la Radio, le restaurant Chaumette continue d’honorer l’art culinaire traditionnel français. Une valeur qui a fait de la maison un endroit unique en son genre. Un vestige du siècle dernier Caché derrière une authentique façade en bois se trouve le restaurant Chaumette. À l’intérieur règne une ambiance rétro, bon enfant et chaleureuse. Le décor, propre aux bistrots des années 1930, réveille un sentiment de nostalgie et de bien-être : boiseries, petites tables serrées. Ici sont suspendues des photos anciennes. Et là trônent des cadres dédicacés, où l’on peut lire des lignes élogieuses à faire pâlir d’envie n’importe quel restaurateur. La preuve que Chaumette a été l’endroit coup de cœur de plusieurs personnalités comme Édith Piaf, Arletty, Jacques Brel ou Joséphine Baker. Un haut lieu de la cuisine traditionnelle française Vincent Spirito et son équipe conservent le concept qui a su séduire les convives du restaurant Chaumette durant presque huit décennies : une cuisine traditionnelle française et faite maison, des ingrédients frais et de qualité issus en majeure partie de filières françaises. Savourez en entrée une terrine de foie gras de canard, confiture d'oignons ou du vol-au-vent d'escargots crème de champignons. En plat, passer à côté du pot-au-feu, l’emblème incontournable du restaurant depuis sa création, serait bien dommage. Mais cela n’empêche pas de se laisser éblouir par d’autres spécialités : noix de ris de veau, blanquette de veau, rognon de veau à la moutarde de Meaux, civet de sanglier, pigeon rôti découpé sur toast à la farce d'abats… Et au dessert aussi, quelques classiques sont au rendez-vous : millefeuille à la vanille bourbon, soufflé au chocolat... Côté cave, Chaumette privilégie les vignerons indépendants et ceux qui ont une démarche globale de respect de l’environnement et des méthodes de production. Les vins bio voire nature sont mis à l'honneur sur l'ensemble des vignobles mais particulièrement en Languedoc, Loire, Rhône... ...
Bruno Hertz reprend l’exploitation de son père en 1979, après obtention de son diplôme national d'œnologie (DNO), en 1976. Il est aujourd’hui propriétaire de plusieurs vignes, dont une située au Rangen-de-Thann, Grand-Cru réputé pour son sol d’origine volcanique. Un pari risqué à l’époque de son achat, puisque cette zone n’était pas très appréciée des travailleurs de la terre. Sa principale vigne, celle de la famille Hertz, s’étend sur six hectares et se trouve dans la commune d’Eguisheim, dont une partie dans le Grand-Cru Pfersigberg. Un vin de terroir Sur les hauteurs des collines d’Alsace, le climat favorable et l’air pur donnent aux vignes une noblesse et des cépages généreux. Grâce à un terroir de qualité, la maison peut produire une vaste sélection de cuvées, dont le Riesling Rangen 2009 cuvée Michaela, qui est un vin de garde (20 ans) blanc puissant en arôme, évoquant les agrumes très mûrs, avec une pointe de fraîcheur au goût. Il s’accorde bien avec les poissons fraîchement pêchés des lacs du terroir alsacien, ou tout simplement accompagné d’une assiette de fromage. Le vigneron Bruno Hertz nous parle également « d’un coup de cœur » pour le Gewurztraminer Sélection de Grains Nobles 2007, issu d’une vendange sur mûrie. Les grains atteints de pourriture noble lui donnent toute sa richesse. Ample et souple en bouche, il révèle un doux parfum de fruit exotique. Un travail où le terroir est priorisé Respectueux et attentif dans la fabrication du vin, Bruno Hertz n’hésite pas à vanter des techniques particulières quant à la production de ce breuvage. Il priorise dans ses champs de vignes l’utilisation de fumier de cheval et s’aide d’un logiciel pour l’optimisation et l’évaluation des risques phytosanitaires. Les récoltes se font manuellement, et sont synonymes de fête chez les Hertz, où vendangeurs et producteurs se réunissent pourles repas et surtout celui de fin de vendanges. Après les vendanges, la garde dans les anciennes caves contribue à donner aux vins toutes leurs qualités organoleptiques. Des saveurs et des arômes qui se dégustent à l’occasion d’une visite au domaine, durant laquelle Bruno Hertz convie les touristes à faire un tour dans les vignobles avec sa 2CV. ...
Pour les vendeurs qui ne veulent pas passer par des agences immobilières, il existe maintenant une nouvelle alternative : Getkey. Une plateforme qui met le particulier au centre de tout Le concept de Getkey est simple : c’est une plateforme immobilière qui met en relation les vendeurs et les acheteurs. Toutefois, d’après Olivier Garcin, fondateur et Président, l’originalité de Getkey est de replacer le particulier au cœur de son projet immobilier et lui proposer des outils professionnels pour vendre entre particuliers. Pour ce faire, il a décidé avec son associé, Stephan Garcin, de proposer un accompagnement de A à Z ainsi que des outils digitaux pour vendre entre particuliers. Cela peut aller de l’estimation du bien à la mise à disposition d’un photographe professionnel ou encore des outils de multidiffusion (pour favoriser une excellente visibilité à l’annonce). Sans oublier la gestion des appels. Une fois l’acquéreur trouvé, c’est au vendeur de faire le reste. En effet, Getkey intervient seulement en avant-vente. Côté tarif, cette jeune startup propose actuellement un forfait fixe de 1490 € quel que soit le prix du bien et uniquement en cas de vente ! Getkey : histoire de la création Créée en septembre 2018, la plateforme Getkey en est encore à ses prémisses. Pourtant, cela ne l’empêche pas d’avoir déjà conclu de nombreuses ventes. En effet, 4 biens ont été vendus un mois après la création… dont un qui n’est resté que 15 jours sur le site, offrant à son vendeur une économie de 12 000e environ (comparé à une vente en agence). Une raison simple pour expliquer ce succès : 70 % des vendeurs ne veulent pas passer par une agence. Pourtant, seuls 25 % parviennent réellement à vendre leur bien. La faute à une méconnaissance du marché et un manque de conseil. C’est pour cela qu’Olivier Garcin, investisseur et rénovateur passionné s’est associé avec son cousin, Stephan Garcin, spécialiste en gestion de patrimoine et agent immobilier pour créer la plateforme Getkey. Basée en Bretagne (mais possédant un rayonnement sur toute la France), l’ADN de la start-up repose sur deux piliers : offrir aux vendeurs un meilleur retour sur investissement et avoir une forte implication sociale. En effet, 1% du chiffre d'affaires de Getkey sera reversé 1 fois par an à des associations venant en aide aux mal-logés en France. ...
Se procurer des vins anciens ou des vins de grands producteurs, en tant que consommateur lambda, tient du défi. Donner accès au plus grand nombre à cette catégorie de « vins vendus sous allocation » figure dans les priorités de Vintage & Cie. Tenant boutique au 199, rue du Faubourg-Saint-Honoré, l’enseigne se targue d’être le stock le plus important de vins anciens d’accès grand public à Paris. Une adresse pour se procurer un cru, naturellement, mais aussi rejoindre un cercle de connaisseurs pour une expérience profonde de ce centre d’intérêt. Une aventure de passion et de raison C’est d’abord son émotion lors d'une dégustation de grands crus qui amène Louis Duquesne à imaginer le concept de son affaire. Le constat que l’achat de certains vins est l’apanage d’une clientèle privilégiée – en l’occurrence celle qui a une relation préalable avec un domaine donné – combiné à une demande croissante pour une offre limitée finit de le décider à le concrétiser. Il installe donc, fin 2014, un QG, rue du Faubourg-Saint-Honoré, et ouvre le stock qu’il a personnellement constitué. Dans cette collection, des vins difficiles à trouver soit parce qu’ils sont issus de petites productions, soit parce qu’ils sont signés de grands noms ou frappés de millésimes anciens. « En chiffre approximatif, on a à peu près 1000 références », nous confie cet entrepreneur averti, tout en soulignant que son dépôt est assurément « le stock de vins anciens le plus important [ouvert au public] à Paris ». Le répertoire pourrait paraître discret mais c’est par choix qu’il s’en tient à ce plafond, l’important étant, pour lui, d’être sélectif plutôt qu’exhaustif. Triés sur le volet Un œnologue dédié travaille pour le compte de l’enseigne, sa mission étant notamment de baliser le processus de sélection des crus intégrés dans le stock. Différentes régions sont représentées dans les références mises en vente : Bourgogne, Bordeaux, Rhône et Loire. La maison procède par progression à la couverture des vignobles des différents terroirs caractérisés par leur « diversité exceptionnelle ». Dans cette gamme large, l’enseigne met un point d’honneur à choisir ce qui se fait de mieux dans le vin en France, tout en intégrant des variétés pour que les plus petites, comme les plus grosses bourses y accèdent. Les crus du domaine Rayas, du châteauneuf, sont particulièrement recommandés par le propriétaire qui leur trouve une belle unicité malgré une production issue de différentes parcelles. Autrement, la maison possède par exemple les très rares Jaboulet Hermitage, La Chapelle 1961 et Château Margaux 1900. Moments de partage autour des vins rares Pour prolonger l’expérience de ces vins rares, le sous-sol de la boutique parisienne abrite un salon et un bar où les habitués peuvent se retrouver. « L’idée est de reproduire l’ambiance d’un salon à la maison et de pouvoir échanger avec nos œnologues ou de faire des dégustations », précise le patron de la maison. Des clients privés ou des entreprises peuvent bénéficier de ces sessions, rigoureusement planifiées en amont en tenant compte du budget de chacun. « Notre vision est que le vin peut être un produit de luxe et d’exception qui crée une expérience gustative absolument unique. […] Notre ambition, c’est qu’il n’y ait pas de spéculations sur le vin, c’est de mettre en relation le producteur avec le buveur, avec le minimum d’intermédiaires, dans la plus grande convivialité possible », réitère Louis Duquesne. Les thèmes et l’approche d’accompagnement varient, par ailleurs, selon que les demandeurs soient plus calés ou plus néophytes en la matière. Sur une base plus régulière, les dégustations du jeudi soir en libre accès rassemblent les amateurs autour d’une bouteille donnée ou d'un vigneron désirant communiquer autour de l’un de ses crus....
La célébration des 2 600 ans de Marseille aura été pour lui une très belle occasion de faire la promotion de cette marque de chocolat d’exception qui bouscule tous les codes en se payant le culot de porter avec audace un symbole de reconnaissance universel : le rameau d’olivier. Francesco Martorana associe l’Espérantine de Marseille au singulier concept de « gourmandise raisonnée », un petit laisser-aller gourmand qui ne peut que faire du bien. Loin de la qualification classique de « péché mignon », qui laisse supposer que manger du chocolat est culpabilisant, surtout pour les femmes, l’Espérantine de Marseille est intimement liée au bon usage de la gourmandise, c’est-à-dire, un juste équilibre entre les textures et les saveurs, avec l’envie de partager. Des ingrédients de première qualité pour une gamme de chocolats de haut vol Grâce à une sélection des meilleurs cacaos grands crus issus des maisons comme Valrhona, qui dégagent des effluves gourmands mêlés à d’authentiques saveurs, d’incroyables assemblages se découvrent et se dévoilent pour faire grandir naturellement le plaisir d’en consommer. À partir de ces nobles matières premières, L’Espérantine de Marseille produit deux gammes de chocolat : Les Espérantines et Pulsion cacao. La première est issue du très fameux et exclusif chocolat à l’huile d’olive de Francesco Martorana. Les Espérantines se sont imposées avec brio dans le cercle très restreint des chocolats de prestige et ont obtenu le prix de Cordon Bleu de la meilleure Confiserie à Paris. Une distinction bien méritée au vu de l’implication dans la recherche et la créativité de son créateur, Francesco Martorana. La seconde a été regroupée sous la bannière Pulsion Cacao, une sélection de produits de première qualité qui nous apprend à apprécier le chocolat autrement. Bien plus qu’un simple réflexe gourmand, la pulsion n’obéit à aucune règle. Avec ses différentes variétés de chocolats, Francesco Martorana a su faire naître ces pulsions dans le bon sens, des pulsions d’autant plus légitimées par d’incroyables productions « fait maison », qui, en plus de titiller les papilles, nourrissent la créativité. À travers une incroyable palette d’ingrédients, où se retrouvent des fruits secs grillés caramélisés, des chocolats noir, lait ou blanc pur beurre de cacao, ce sont des saveurs précises et tranchées qui vous poussent à retrouver le vrai goût des traditions chocolatières. Les spécificités d’un chocolat artisanal Subtil mélange de chocolat et d’huile d’olive, l’Espérantine de Marseille est un emblème de libération pour les férus de chocolat, qui peuvent décomplexer leur envie de gourmandise. Avec le rameau d’olivier, qui apporte une dimension symbolique à la marque, l’Espérantine de Marseille est un chocolat exclusif de fabrication 100 % artisanale. Un réel savoir-faire et un méticuleux travail d’assemblage et de choix contribuent d’ailleurs à son succès, ponctué par le rameau d’olivier, un symbole qui rassure et qui démontre une autre façon d’être gourmand. ...
Dans une région propice à la détente et à la découverte de la nature, le Mas des Herbes Blanches s’inscrit parfaitement dans ce cadre avec ses bâtiments construits en pierres sèches. Créé en 1973 comme un vieux mas provençal et rénové en 2016, cet hôtel vous accueille dans un site exceptionnel avec une magnifique vue panoramique sur la campagne environnante. Charme, confort …. Séjourner dans l’une des 33 chambres ou 14 suites de cet établissement est une belle occasion de se ressourcer dans un cadre intimiste et charmant. Au calme et dans un écrin naturel, chaque chambre vous plonge dans une ambiance poétique et apaisante grâce au mariage de nobles matériaux et de teintes claires. Ainsi vous serez conquis par les ravissantes tomettes, le marbre, les murs patinés à la chaux, le chêne cérusé ou encore les rideaux en lin. D’une superficie de 20 à 55 m², chacune révèle ses facettes tout au long de la journée dans une belle atmosphère lumineuse. Si vous optez pour une suite, vous aurez en plus le plaisir de vous glisser dans l’eau limpide de votre piscine privative ou de vous reposer sur votre terrasse. … et détente Ses espaces bien-être vous font bénéficier d’un service de professionnels. Offrez-vous d’agréables moments de détente grâce à son spa Sothys tout en profitant de la vue sur la vallée à travers une grande baie vitrée. Piscine intérieure chauffée, jacuzzi, hammam, sauna et salle de fitness sont ainsi mis à votre disposition. Mais vous préférerez peut-être vous relaxer lors d’un massage. Dès cette année, vous pourrez même vous installer sous une tonnelle pour des massages en simple ou en duo. ...
A la suite à la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté, la nouvelle région a voulu rassembler les forces du territoire en unifiant les deux Agences économiques historiques à savoir l’ARD (Franche-Comté) et l’ARDIE (Bourgogne) en une seule entité. De cette initiative est née en 2017, l’Agence Économique Régionale de Bourgogne-Franche-Comté (AER BFC). L’AER BFC est une Société Publique Locale (SPL) chargée d’une double mission : favoriser les créations économiques et d’emplois et assurer le développement économique régional en intervenant auprès des entreprises et des territoires. Accroître les activités économiques du territoire Société Publique Locale, l’AER BFC est composée d’actionnaires publics dont la Région Bourgogne-Franche-Comté qui en est majoritaire. L’actionnariat est également détenu par les EPCI (Établissement Public de Coopération Intercommunale) régionaux : plus d’une cinquantaine sont entrés au capital de l’Agence. Ainsi, avec près de la moitié des EPCI régionaux, la gouvernance de l'Agence assure la représentation de 73% de la population. « Nous œuvrons pour le compte de nos actionnaires notamment de la Région qui assure l’essentiel de notre chiffre d’affaires. Le pilotage régional est organisé à partir des orientations du schéma régional de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII) qui a été adopté par la Région et qui définit clairement les missions de l’agence économique », nous explique Arnaud Marthey, Président de l’AER BFC. Ce SRDEII détermine les priorités régionales et a été imposé par la loi NOTRe qui selon les précisions de notre interlocuteur « donne désormais des compétences fortes à la Région, le chef de file du développement économique local mais également aux intercommunalités ». Lesdites orientations incluent entre autres des plans d’actions visant à apporter un soutien aux TPE et PME. Accompagner les entreprises existantes dans leur croissance constitue justement l’une des priorités de l’AER BFC. Pour booster le développement des filières et des entreprises, l’Agence mise sur des méthodes finement pensées. A titre d’exemple, elle est actionnaire dans près de 57 entreprises cotées en bourse basées en Bourgogne-Franche-Comté lui permettant de se placer au cœur des décisions stratégiques prises au sein de celles-ci. La gouvernance de l'AER BFC est aussi en train d’évoluer pour y associer des chefs d’entreprises et des représentants du monde entrepreneurial, au sein d’une instance spéciale, pour bénéficier de leur expertise de terrain. Dans tout cet élan, l’AER BFC contribue aussi au développement de l’innovation et de l’éco-innovation. « Nous avons à cœur de favoriser la compétitivité de nos entreprises, leur permettre d’évoluer dans leurs pratiques, dans les nouvelles technologies et dans plusieurs domaines innovants », fait savoir Arnaud Marthey. Le territoire compte notamment 5 pôles de compétitivité : Nuclear Valley, Plastipolis, Pôle des MicroTechniques, Pôle Véhicule du Futur et Vitagora. Il abrite trois villes labellisées French Tech : Besançon, avec la labellisation HealthTech ; Chalon-sur-Saône, avec la labellisation IOT Manufacturing ; et Dijon, avec la labellisation FoodTech. Une de ses filières phares est l’énergie avec l’Hydrogène. La région a la chance d'être détentrice d’une labellisation « Territoire Hydrogène » qui lui permet d’être un vrai laboratoire pour cette énergie d’avenir. Cette filière profite notamment de la forte dynamique en matière de recherche. Il faut dire que la région possède des atouts considérables. « Nous avons près de 6000 chercheurs avec un ratio de chercheurs privés parmi les plus importants, nous disposons de 14 centres d'excellence mondial et 51 unités de recherche en Région &...
Pouvez-vous nous présenter Maladies Rares Infos Services ? Il s’agit d’une association composée d’une équipe de professionnels (médecins, scientifiques) et qui propose une offre globale de services : informer sur les maladies rares, soutenir les patients et leurs familles, les aider à comprendre leur maladie, les orienter dans le parcours de soins mais aussi conseiller les professionnels de la santé et de l’accompagnement social. Des formations « sur-mesure » consacrées aux maladies rares sont d’ailleurs proposées aux professionnels. Nous permettons également à nos usagers d’être accompagnés pour signaler l’effet indésirable d’un médicament. Enfin, nous avons créé, en 2011, l’Observatoire des maladies rares, dont la mission consiste à collecter des données, dont nous manquions jusqu’alors, pour mieux connaître le quotidien des patients et ainsi faire en sorte de l’améliorer. Comment répondez-vous aux questions que l’on vous pose? Par téléphone, mail ou chat. Nous proposons aussi le « réseau social patients maladies rares ». C’est une vraie révolution qui répond à un réel besoin. Sur le Forum Maladies Rares qui regroupe plus de 300 communautés en ligne, les malades mais aussi leurs proches ont la possibilité d’échanger des informations et de partager leurs expériences. Ce réseau social représente aussi une formidable porte d’entrée vers les autres ressources dédiées aux maladies rares. Et chaque année, ce sont quelque 400 000 personnes qui le fréquentent. Sur quoi porte la plupart des questions ? Elles touchent à de nombreuses problématiques. Le plus souvent, les malades et leurs familles veulent comprendre la maladie et ses conséquences. Une autre demande concerne l’orientation des malades. Un patient peut, par exemple, nous solliciter pour être aiguillé vers le centre expert compétent. Beaucoup de questions touchent aussi au lien social. À ce titre, les associations et les communautés en ligne jouent un rôle très important en permettant aux malades de rompre l’isolement. Enfin, nous traitons un grand nombre de demandes qui ont trait à l’accompagnement social des personnes malades et de leurs familles : insertion scolaire, professionnelle, prise en charge, etc. Globalement, nos usagers veulent comprendre, être informés et qu’on les écoute. En quoi l’accès à l’information pose-t-il problème ? En France, on sait produire de l’information de qualité sur les maladies rares. Le problème serait plutôt la communication pour faire en sorte que le plus grand nombre ait accès à l’information disponible et la comprenne. Car c’est là tout le paradoxe : il existe des dispositifs pour prendre en charge les personnes malades, les aider, les accompagner. Pour autant, ces dispositifs sont très peu connus, non seulement des malades eux-mêmes mais aussi des professionnels qui ne sont pas spécialisés. D’où la nécessité de communiquer pour faire savoir qu’il est possible d’obtenir rapidement une information et d’être orienté - vers un centre expert, une association, un acteur de proximité, etc. - en s’adressant à un service de référence tel que Maladies Rares infos Services ou encore Orphanet. En centralisant les informations liées aux maladies rares et en bénéficiant d’une forte visibilité, nous offrons une porte d’entrée unique aux personnes touchées par une maladie rare ainsi qu’aux professionnels avec un objectif : faciliter le parcours de santé et de vie au bénéfice de tous ses acteurs. ...
Tenu et géré par un groupe de producteurs associés, Saveurs De Nos Fermes propose une grande diversité de produits frais provenant directement des exploitations. Un réel bonheur pour les consommateurs à la recherche de produits à la fois sains et de qualité! Les débuts d’une belle aventure Tout a commencé lorsqu’un groupe de producteurs décide de vendre leurs produits autrement que sur les étals du marché local. Très vite, l’idée de créer un magasin en commun a séduit plus d’un. Après trois années de collaboration Saveurs De Nos Fermes ouvre pour la première fois ses portes en 2008. Aujourd’hui, ils ne sont pas moins de 10 producteurs-associés à œuvrer ensemble pour assurer la bonne marche du magasin. Une large gamme de produits variés Pour assurer l’approvisionnement du magasin, les producteurs livrent régulièrement des produits frais issus de leurs exploitations. Miels et confitures, compotes, vins, jus de fruits, charcuteries, viandes, volailles, fruits et légumes, escargots et poissons, produits laitiers… il y en a pour tous les goûts et les budgets ! Et pour offrir plus de choix, Saveurs De Nos Fermes peut compter également sur ses 30 dépôts vendeurs pour étoffer les produits proposés dans le magasin. Parmi tous ces produits, les fromages sont également très appréciés des consommateurs. Qu’il s’agisse de fromages de vache, de chèvre ou de brebis, Saveurs De Nos Fermes bénéficie du savoir-faire incomparable de ses fromagers au nombre de sept dont trois producteurs-associés et le reste opérant en tant que dépôts-vendeurs. Sept producteurs de fromage Le magasin propose à ses clients ce qui se fait de mieux en matière de fromage. Des produits avec une qualité exceptionnelle à l’instar des fromages affinés tels que le PrazVechin, d’excellents fromages blancs en faisselle, des tommettes natures ou au carvi. Ils proviennent d’une exploitation dans le Val d’Arly qui compte un cheptel d’une soixantaine d’animaux. Ces derniers pâturent de l’herbe en extérieur durant la majeure partie de l’année. Ce qui explique en partie la qualité des fromages obtenus. Aux Saveurs De Nos Fermes, les clients ont également l’occasion de déguster des produits rares. En effet grâce au savoir-faire de l’un des producteurs du magasin, les consommateurs ont la chance de trouver du bleu de Termignon au rayon fromagerie. Pour offrir davantage de choix, un autre producteur apporte du beaufort d’Alpage tandis qu’un autre propose d’excellents reblochons et de la raclette. Des tomes des Bauges et des tomes au marc sont aussi disponibles. Par ailleurs, le magasin propose à ses clients de délicieux fromages de chèvres. Ils viennent d’une exploitation située en montagne (à 600 m d’altitude). Là, une cinquantaine de chèvres de race alpine chamoisée profite d’une herbe fraiche et abondante. De leur lait naissent de délicieux fromages blancs, des crottins et briques crémeuses, différentes sortes de tomes, du sérac… Autant de plaisirs gustatifs que les consommateurs peuvent retrouver dans le magasin. Pour finir : le fromage de brebis qui vient d’une exploitation située sur la commune de Chamoux au creux du Val Gelon, à 350m d’altitude. Grâce à un procédé artisanal et un savoir-faire unique, les producteurs y élaborent de très bons fromages. ...
Dans la rue Saint-Léonard, L’Instinct Gourmand est devenu le lieu de rendez-vous incontournable des nantais. La façade crée un contraste réussi entre l’ancien et le moderne avec sa plaque de fer qui prolonge le bâtiment et ses grandes portes vitrées. A l’intérieur, le restaurant dispose de deux salles dotées d’un sol en parquet aux tons bruns avec des éléments boisés clairs habillant les murs. Le plafond est sublimé par les poutres apparentes noires. Dans ce décor plutôt sobre, la couleur rouge du comptoir apporte une touche de gaieté tandis que le tissu bleu des chaises amène une sensation de douceur. « Un bistrot sans étiquette » Loin de tout formalisme, le bistrot se veut sans étiquette. Sylvain Le Bras et Thomas Brunel, les deux propriétaires, estiment que c’est aux clients de définir leur cuisine. Pour proposer une cuisine aussi gourmande, le chef Sylvain puise dans la richesse de ses vies passées. Il a fréquenté de grandes maisons notamment chez Bernard Loiseau (Trois étoiles au Michelin) ou encore chez Raymond Blanc au Manoir des Quat’Saisons. C’est d’ailleurs là-bas que les deux amis se rencontrent. Ensemble, ils décident d’ouvrir une table discrète, rue Saint-Léonard. A L’Instinct Gourmand, chaque plat est aussi inventif que maitrisé et démontre l’équilibre parfait entre les saveurs tout en mettant à l’honneur les produits. L’ardoise est assez courte mais les plats, à base de produits nobles, savent satisfaire les fins palais. Le midi, les convives ont droit à « La P’tite Monnaie », une formule simple et délicate à 15,90 euros constituée de deux entrées, deux plats et deux desserts au choix (renouvelée toutes les semaines). Le soir, le chef concocte un menu raffiné à 32 euros où les convives choisissent entre 3 entrées, 3 plats et 4 desserts. En entrée, la maison suggère par exemple le Foie gras maison aux fruits du mendiant et aux fruits de la passion, les oursins en brouillade avec des topinambours ou la Raviole ouverte de langoustines accompagnée d’un matignon de légumes avec du jus d’étrilles. Côté plat, le Filet de Saint-Pierre aux asperges blanches et jaune d’œufs, la côte de veau accompagnée de mini-légumes et d’une purée de panais ou encore le filet de canette accompagné d’un millefeuille de navets et d’une cuisse confite émoustille les papilles. Et en dessert, le fameux Fondant au chocolat noir, cœur coulant au caramel beurre salé qui est la spécialité de la maison donc toujours disponible à la carte. Pour que le plaisir soit à son comble, chaque plat est travaillé de façon à s’adapter davantage à la sélection de vins. Une occasion pour les convives de jeter un œil sur la carte qui regroupe les meilleurs vins du pays, notamment de la Loire. Un bib pour L’Instinct Gourmand Dans ce bistrot-chic, le service est à la hauteur de la qualité de la cuisine. Efficace, réactive et souriante, l’équipe est aux petits soins. Une qualité qui n’est pas passée inaperçue et qui a valu à l’établissement un prix honorifique. En effet, en janvier dernier, le Guide Michelin a attribué un Bib Gourmand qui récompense l’excellent rapport qualité/prix à L’Instinct Gourmand. Mais bien que Sylvain Le Bras et Thomas Brunel soient contents de cette récompense, ils savent qu’ « il leur reste encore beaucoup à faire ». ...
L’idée de départ était d’améliorer les troupeaux français en les croisant avec des têtes issues du cheptel anglais. Le système d’exploitation appliqué en Anjou, à cette époque, a favorisé le succès de l’expérience. Aujourd’hui, ce croisement de taureaux Durham à la Mancelle génère des viandes de haute qualité bouchère, réclamées par les connaisseurs. La plus anglaise des races françaises Reconnaissable à son allure longiligne, son fort gabarit et la pie rouge foncé de sa robe, la Rouge des prés était d’abord baptisée de la désignation Maine-Anjou. Elle portera ce nom jusqu’en 2004. « Longtemps, cette race qui est née au XIXe siècle a été exploitée de façon mixte, avec une production laitière relativement importante », précise M. Albéric VALAIS, le DG du Domaine rouge des prés. Aujourd’hui, elle s’aligne exclusivement dans les troupeaux allaitants, étant plus volontiers recherchée pour les riches caractères gustatifs de ses viandes. Un savoir-faire pointu pour l’élevage Question de terroir, les Pays de la Loire sont demeurés le site d’élevage de prédilection de cette race. C’est en tout cas la zone de couverture de l’appellation d’origine protégée. Ensuite, quelques troupeaux sont retrouvés au nord des Deux-Sèvres et en bordure de l’Ille-et-Vilaine. Des contextes particuliers définissent naturellement cette répartition des zones d’élevage. La race s’adapte à des facteurs pédoclimatiques doux. « Cette douceur angevine, elle cadence un petit peu notre année. C’est-à-dire que l'on a la chance chez nous d’avoir un printemps plus précoce. Ça permet de sortir les animaux à l’herbe très tôt. Au mois de mars, une bonne partie des troupeaux sont déjà arrivés en pâture », se réjouit Albéric Valais. Dans ces conditions, les bêtes jouissent alors d’une période d’alimentation à l’herbe très faste. Celle-ci se poursuit jusqu’en juin, voire au-delà. La douceur de l’automne permet de rattraper la « disette estivale » et de reprendre de l’état en perspective de l’hiver. Cette spécificité climatique offre aux éleveurs la possibilité de valoriser leurs prairies de façon optimale, alternant le recours aux prairies de fond de vallée ou de bord de ruisseau à l’exploitation des prairies sèches, à bon escient. La viande d’appellation Maine-Anjou Attribuée en 2004, l’AOC Maine-Anjou marque la consécration de la viande issue des Rouges des prés. Celle-ci se reconnaît d’emblée par sa couleur rouge intense, se distinguant tout de suite lorsque confrontée à des morceaux coupés dans d’autres races. Côté goût, ce sont les notes persillées du gras qui signent son originalité. La jutosité et la saveur de la chair sont typiques et très recherchées par les gourmets. Les néophytes en la matière peuvent toujours essayer la technique de la « mastication prolongée ». Loin du rendu granuleux qui se produit avec d’autres viandes, celle-ci a « une attaque en bouche onctueuse qui va rester même si vous mâchez longtemps ». Principalement découpés dans les quartiers arrière, les morceaux se déclinent en bourguignon, côtes, faux-filets, entrecôtes et rosbifs. D’excellentes pièces destinées au pot-au-feu ou aux recettes de fondues sont également proposées. Pour en arriver à ces produits de qualité éminemment courus, il a fallu respecter un cahier des charges rigoureux. L’homogénéisation des systèmes de production – « une vache et sa suite pour 1 hectare d’herbe » – et les conditions de finition des animaux sont parmi les priorités des éleveurs de cette appellation. Pour les dernières, le mot d’ordre est « matières premières mélangées et non OGM ». ...
Dans un décor empreint de modernité et d’originalité, Anova Hôtel & Spa est une invitation permanente à la gourmandise et aux séjours sur mesure. Dominant en été le golf international 18 trous et en hiver les pistes de ski, il conjugue, au présent, la magie des lieux et la combinaison des saveurs. Un trio d’espace dans un cadre d’exception Anova Hôtel & Spa offre un cadre d’exception ouvert sur les Alpes françaises. Mélangeant des éléments de déco rustiques et chics, l’enseigne se trouve à proximité immédiate du golf de Montgenèvre, à une distance de 1,5 km de la frontière italienne. L’établissement réunit en un seul lieu un espace d’hébergement avec des chambres à l’intérieur élégant, qui donnent toutes sur la montagne, un espace bar et restaurant à l’ambiance chaleureuse, ainsi qu’un bassin de détente avec des banquettes de massage, d'un jacuzzi, d'un sauna et d'un hammam. Entre le restaurant et le bar, une salle de jeux est disponible pour faire le bonheur des petits et des grands. Une cuisine du terroir et d’ailleurs À travers une cuisine authentique et originale, où les saveurs du terroir et les parfums d’Italie se marient autant qu’ils se complètent, l’enseigne dispose d’un large choix d’espaces pour les gourmands et les gourmets. Qu’il s’agisse d’une halte rapide ou d’une étape gourmande, tout est possible : siroter un verre, déjeuner en terrasse ou encore dîner au coin de la cheminée. Laissez-vous surprendre par les spécialités du chef, qui à travers une cuisine du terroir et d’ailleurs, fait danser les papilles, même celles des plus exigeants. Des plats-signatures à découvrir et à recommander L’espace restaurant & bar de l’Anova Hôtel & Spa est le lieu idéal pour découvrir dans un plaisir sans cesse renouvelé, les spécialités franco-italiennes du chef, allant de la fondue savoyarde à la tartiflette au reblochon en passant par le risotto végétarien aux légumes de saison et la tarte citron by Anova. En mesure de proposer différents menus incluant des menus enfant, sans gluten, végétalien et végétarien, l’enseigne sait satisfaire tous les palais avec les meilleurs accords mets-vins. ...
A seulement 20 minutes de Bergerac se trouve le Château des Vigiers qui abrite un hôtel de charme et un restaurant de prestige dans lequel Didier Casaguana exerce sa passion pour la cuisine avec art et dextérité. Un mariage du luxe et de la saveur s’invite dans les assiettes soigneusement préparées par ce chef étoilé. Un décor à l’ancienne avec une touche modernisée « Les Fresques », tel est le nom du restaurant qui fait la fierté du Château des Vigiers. Il doit cette appellation aux murs du château décorés de fresques, un chef d’œuvre signé Liz king, une artiste anglaise. Ces visuels décoratifs forment une sorte de trompe-l’œil qui replonge les convives dans une époque lointaine. Dans l’ensemble, le restaurant offre une décoration assez épurée avec le beige et le marron, un mélange de sobriété et de raffinement. Dehors, les clients apprécient la vue imprenable sur le terrain de golf comportant 27 trous aménagés au milieu des bois de chêne, des pruniers et des vergers. Plus loin, il est possible d’apercevoir le lac. Outre le plaisir des yeux, les papilles sont aussi comblées avec la cuisine gastronomique élaborée au restaurant. Une cuisine de saison raffinée Aux Fresques, la cuisine de saison est à l’honneur. Tout en offrant des plats finement préparés, le restaurant veut « conserver son côté social en privilégiant le commerce équitable et en se fournissant auprès des petits paysans qui cultivent des produits bios » comme le raconte Niels Koetsier, le directeur d’exploitation du domaine. Avec ces produits de qualité quasiment introuvables dans le commerce, le chef et son équipe concoctent des plats qui émoustillent les papilles. Comme entrée en matière, la Pomme de ris de veau braisée et foie gras grillé, rhubarbe compotée, jus à la fleur de thym satisfait les fins palais. Vient ensuite le Dos de Turbot de chez « Jo » poêlé, condiments de printemps aux agrumes et premières herbes côté poisson ou le Pigeon entier de chez « Monsieur Linant » en cocotte, raviolis d’échalote et artichaut Macau, jus au café et noix côté viande. Pour terminer en beauté cette pause gastronomique, le dessert intitulé Mariage de saveurs entre la mangue, la passion et la coriandre parle de lui-même. Il est important de spécifier que le Château des vigiers abrite un second espace de restauration appelé Le Chai dans lequel officie également Didier Casaguana. Cette brasserie dont le style rappelle les anciens chais de vinification avec ses vieilles barriques et ses poutres apparentes est réservée aux adeptes du plein air car elle se trouve sur une terrasse surplombant le parcours de golf. Un chef passionné Son amour du terroir inspire le Chef étoilé Didier Casaguana dans ses préparations culinaires. Il ramène de sa région natale, la Gascogne, son affinité pour les produits locaux en particulier les fruits et les légumes avec lesquels il prépare d’excellents plats qui réveillent les sens. Les Fresques ouvrent ses portes tout l’été. Didier et son équipe vous attendent avec sa carte variée et ses trois menus : menu du midi à 39 €, menu du soir à 49 € et Esprit du chef à 105 €. Pour apprécier l’inventivité du maestro en cuisine, n’hésitez pas à découvrir ce fameux menu Esprit du chef dont le nom en dit déjà long sur ce qui vous attend. Celui-ci est élaboré à partir de produits prestigieux comme le foie gras d’une sélection rare, le homard, le caviar, l’huître, la langoustine, le veau... Seuls les ingrédients sont cités. C’est d’ailleurs toute la beauté de ce concept. Faites confiance aux talents du chef et appréciez l’expérience. ...
Siégeant à Paris 8, rue des Favorites, la Société Française de Sophrologie est actuellement présidée par Claude Chatillon, elle-même sophrologue. Cette association regroupe les praticiens et les établissements dispensant des formations dans la discipline. La transmission d’un savoir de qualité, acquis par un cheminement d’études rigoureux figure ainsi parmi ses chevaux de bataille. La référence en matière de formation Étant le premier organisme constitué sur le sol français pour diffuser la sophrologie, la S.F.S. s’est logiquement investie dans la mission d’harmoniser et de cautionner les offres de formation. Les personnes souhaitant emprunter cette voie de professionnalisation peuvent ainsi trouver un établissement référencé sur le site de la Société française de sophrologie. De nombreuses écoles membres de la S.F.S forment chaque année des sophrologues, aussi bien en Métropole qu’à Nouméa. Assurer la qualité des contenus Telle qu’elle a été introduite par le professeur Alfonso Caycedo, la sophrologie renvoie à un ensemble de techniques, de concepts et de philosophie dont la mise en œuvre requiert un apprentissage rigoureux. La Société française de sophrologie a toujours accordé une priorité à la qualité du cursus mis à la disposition des personnes qui souhaitent en faire leur spécialité. L’organisme est ainsi l'un des acteurs principaux des états généraux de la formation qui ont permis d’en définir les critères de qualité. Le respect de ces derniers fait partie des engagements pris par les écoles qui sont affiliées à la S.F.S. Entre autres, il s’agit de respecter un volume horaire minimum qui est actuellement de 300 heures. Ce qui correspond à une durée de formation de 2 ans répartis entre « temps de formation, temps de maturation et de réflexion, et temps de pratique », pour reprendre les propos de Mme Chatillon. Par la suite, de multiples voies de spécialisation s’offrent aux sophrologues, au titre de formation spécialisée ou par la formation continue, professionnalisant un peu plus leur pratique. Les congrès professionnels, échanges ou supervisions sont autant d’opportunités qu’ils peuvent saisir, à cet effet. ...
Depuis plus de 50 ans, Plage Royale sait vous faire bénéficier d’un cadre idyllique au bord de la Méditerranée, que ce soit pour vous restaurer ou pour passer un après-midi de détente. Installée le long de la Croisette, elle vous offre plus de 780 m² de sable doré et 150 transats pour profiter du soleil en toute tranquillité, à l’écart de la foule. Mais vous pourrez également séjourner à l’ombre sur la terrasse tout en dégustant un délicieux cocktail maison. Plage Royale a misé sur le blanc pour son mobilier moderne et confortable ainsi que pour sa décoration, afin de mettre en valeur cet environnement unique. Le restaurant Le chef Alexandre Elia aime revisiter les classiques locaux en les habillant des saveurs des différents pays méditerranéens. Tous les plats sont préparés à base de produits frais. La carte change à chaque saison. Cet hiver, vous pourrez ainsi découvrir la succulente terrine de foie gras de canard à la compotée de coings et baies de goji ou le pavé de morue à la Portugaise, cuit au four avec huile d’olive, câpres, tomates séchées, olives et oignon. Vous pourrez également satisfaire vos papilles avec le loup grillé accompagné d’une fricassée de légumes et de pommes vapeur ou la bouillabaisse royale au safran et condiments. Un menu enfant est également proposé pour que toute la famille puisse partager un agréable moment. Vos événements Dans cet espace complètement modulable, vous pourrez organiser événements privés ou professionnels selon vos envies. Toute l’équipe de Plage Royale est à votre écoute pour mettre en place votre projet dans les meilleures confitions. Mariage, anniversaire, cocktail, concert, réunion de travail ou déjeuner d’affaires pourront ainsi bénéficier de la terrasse ou de la plage en accès privatisé. ...
Dans son élégante résidence balnéaire surplombée par le Monte San Petrone, l’hôtel Orizonte propose plusieurs espaces de restauration pour y apprécier une cuisine moderne riche en saveurs locales. De l’entrée au dessert, en passant par la décoration raffinée et chaleureuse de la salle, tout y reflète un traitement minutieux des détails pour sublimer les sens. Un cadre aux multiples atouts Décorée pour prodiguer une ambiance conviviale, la principale salle du restaurant se pare de tons chauds aux notes boisées, soulignée par un parquet de teinte chocolat et égayée par des miroirs anciens. Pour profiter du spectacle balnéaire tout au long des repas, les tables se prolongent directement sur le bleu de la mer et offrent une vue privilégiée sur l’horizon, grâce à de grandes baies vitrées. Sur la Paillotte, idéale pour apprécier les grillades et les pizzas de la maison, la terrasse invite à apprécier les plaisirs gustatifs en plein air, avant de partir en promenade le long de Moriani Plage ou vers la plage de la Prunete. Disposant de 45 chambres, allant de la double ou quintuple, l’hôtel promet également de confortables nuits durant des séjours de randonnées en altitude ou de découverte historique et culinaire dans la Castagnicia, l’arrière-pays du village de Cervione. Une cuisine de qualité, des recettes inspirées Proche du village de Cervione, l’Orizonte propose des plats riches en goûts et en saveurs, grâce à un approvisionnement continu en produits locaux frais. En effet, il profite de liens privilégiés avec les producteurs locaux et se targue même de disposer d’un potager enrichi de multiples herbes aromatiques. Il propose ainsi une carte étoffée alliant modernité et tradition, en misant sur 80 % de produits du terroir pour faire naître de nouvelles saveurs. De même, l’adresse propose la découverte d’une sélection de vins corses, comme ceux du Domaine de la Punta ou du Clos d’Alzeto, spécialement choisis pour leurs qualités organoleptiques et leur histoire. ...
Profondément enracinée dans le vignoble, les origines de la famille Beyer se confondent avec l’histoire de la viticulture alsacienne. Cette mémoire séculaire est le gage de leur savoir-faire. Son histoire est transcrite et relatée dans d’innombrables documents historiques dont le plus ancien date de 1792. Dans cette famille, c’est non plus du sang qui coule dans ses veines, mais du vin. Chaque génération a su, au fil du temps, transmettre la passion pour le vin et garantir la pérennité de l’entreprise. Visant toujours plus haut et plus loin, les descendants de Lucas Beyer ont agrandi progressivement le domaine, en faisant l’acquisition de nouvelles parcelles dans le cœur historique du terroir Grand cru. Un terroir d’exception Le domaine Émile Beyer possède un vignoble de 17 hectares, avec des parcelles réparties autour du village d’Eguisheim. Les vignes bénéficient de conditions météorologiques favorables. Grâce à cette proximité avec le massif des Vosges, qui empêche la formation de nuage venant de l’ouest, le terroir, très calcaire, composé essentiellement de marnes calcaires, de grès et d’argiles, profite d’un microclimat atypique, particulièrement sec et ensoleillé. C’est sur la parcelle Pfersigberg, qui signifie littéralement la « colline des pêchers », qu’est produit le grand cru du même nom, situé à l’ouest du village. La flore spontanée, calciphile et xérophyte, est représentée par l’origan, l’aristoloche ou le géranium sanguin. Cette végétation typique peut être observée également autour des pierriers bordés d’une strate arbustive composée d’érables champêtres, de prunelliers...Ce grand terroir va exprimer toute la pureté du calcaire coquillier en donnant aux raisins une acidité dentelée et une belle structure saline. Avec un sol formé de calcaires conglomératiques du Muschelkalk et du Jurassique interstratifiés de marnes gréseuses, l’endroit est idéal pour le riesling, véritable fer de lance du domaine. La « colline des chênes » est le terroir du Grand Cru Eichberg, situé entre 220 et 340 m d’altitude. Le sol est constitué de marnes de l’Oligocène et d’éboulis gréseux qui sont intégrés dans une matrice limono-argileuse et siliceuse plus profonde. Ces terrains plus frais sont légèrement plus tardifs. Le choix de la qualité Produire moins pour obtenir un raisin parfait, Christian Beyer a choisi l’exigence dans sa gestion du domaine. Les rendements y sont rigoureusement maitrisés avec une viticulture biologique (label Ecocert) et biodynamique et des fermentations sur lies fines de plus de 12 mois. La vendange se fait intégralement à la main, avec un tri très rigoureux. Cette rigueur de travail a porté ses fruits et a permis au domaine de porter haut les couleurs de l’appellation Alsace. Les vins sont régulièrement cités et recommandés par des guides français et internationaux comme dans les revues Les Meilleurs Vins de France ou le Decanter. Romain Iltis, sacré meilleur sommelier de France en 2012, a récemment mis en lumière la cuvée Riesling Grand Cru Eichberg. Depuis juillet 2011, le domaine Émile Beyer poursuit sur cette forte volonté de respecter la terre et le terroir, en commençant une phase de reconversion à l’agriculture bio et en suivant en conséquence un cahier des charges draconien. Il est désormais titulaire du label bio Ecocert. Pour cette année, le domaine compte passer en biodynamie. ...
Prendre du recul pour aller de l’avant Le coaching, ça n’est pas que pour les autres ! « À un moment ou à un autre, au cours de sa vie professionnelle, tout le monde peut avoir besoin d’une aide extérieure. Mon rôle, c’est d’aider une personne en perte de repères professionnels, voire en situation de burn out, à prendre le recul nécessaire pour (re)trouver confiance en ses capacités et (re)prendre le contrôle de son parcours professionnel », explique Danielle Guilbaud. Une fois qu’il aura pu identifier d’éventuels points de blocage, le « coaché » sera alors en mesure de redéfinir ses priorités et de progressivement se repositionner. Mais si le coach pousse son client à se remettre en question, c'est pour mieux le guider ensuite. Il ne lui dicte pas sa conduite. « Je n’impose jamais rien. Je me contente de révéler à mes clients des ressources qu’ils avaient en eux mais dont ils n’avaient pas conscience, qu’ils ne savaient pas utiliser, ou dont ils avaient oublié l'existence », précise Danielle. En grattant le vernis, le coach fera donc ressurgir des qualités oubliées par le coaché. Pour autant, c’est à ce dernier qu’il appartient de puiser en lui-même l’énergie nécessaire pour redéfinir ses objectifs. Et c’est sur ses propres ressources qu’il devra s’appuyer pour y parvenir. Agir avec bienveillance mais sans complaisance « Une belle personne à faire émerger. » Dans le cadre de sa mission, Danielle Guilbaud aide ses interlocuteurs à se poser les bonnes questions. Quitte à devoir parfois les mettre face à leurs contradictions. Mais c’est à ce prix que le changement – tant espéré – pourra s’opérer et que la motivation – qui pouvait sembler tarie – ressurgira. « Quand ils viennent me consulter, certains de mes clients sont dans une grande confusion. Ils ne savent plus très bien où ils en sont. Mon rôle, ce n’est surtout pas de les juger mais de les aider à clarifier la situation. À y voir plus clair. Et à retrouver une certaine sérénité. » Car face à un monde du travail en pleine mutation, force est de constater que le coaching professionnel tel que le pratique Danielle Guilbaud a de beaux jours devant lui. « Quand j’ai démarré, le coaching professionnel s’adressait principalement aux cadres et aux dirigeants. Alors qu'en réalité, ce sont toutes les personnes en activité qui gagneraient à prendre du recul et à se remettre en question de temps à autre. » ...
C’est à Marne-la-Vallée, à proximité de Disneyland® Paris, que se dresse cet hôtel inauguré en 2003 et doté de 396 chambres et suites. Perdu dans un écrin de verdure ponctué par un magnifique lac, cet établissement fait partie de la prestigieuse chaîne hôtelière Vienna House qui, depuis 1989, s’atèle à donner le meilleur de chaque pays et de chaque région au service de séjours placés sous le signe de l’inédit. Dans cet esprit, l’hôtel Magic Circus accueille ses hôtes dans le monde féerique du cirque. Couleurs des chambres, motifs et cadres muraux, sculptures ornementales sont autant d’éléments décoratifs rappelant cet univers fait d’enchantement et d’émerveillement. Place à la magie et au charme inégalé du cirque C’est dans un environnement festif, convivial et entièrement non-fumeur que votre famille se retrouvera à l’occasion d’un séjour au sein de cet hôtel unique en son genre. En s’inspirant du monde du cirque, le rouge et l’or restent les couleurs vives prédominantes de chaque recoin du bâtiment, un clin d’œil à ces spectacles drôles et envoûtants qui ont égayé de leur fougue notre quotidien, de précieux souvenirs d’enfance… Déambulez alors dans un espace où tout est fait pour rappeler ce chapiteau enchantereur sous lequel les clowns aux gros nez rouges aimaient nous faire rire à tue-tête, où les ballerines nous éblouissaient de leur beauté, où les magiciens nous emportaient dans leur monde mystérieux, et où les acrobates flirtaient avec le vide pour nous ébahir. Que vous soyez dans votre chambre ou ailleurs dans l’hôtel, imprégnez-vous ainsi des sculptures de chevaux, des images de jongleurs ou du carrousel grandeur-nature et voyez le cirque en entier prendre vie sous vos yeux… Vos enfants pourront d’ailleurs se mettre à rêver dans cette ambiance féerique en profitant d’un coin manèges et de spectacles animés par des clowns et par des acrobates. Une mascotte viendra également animer les petits déjeuners, de quoi donner le sourire à vos bambins qui pourront, par la suite, s’adonner à des activités ludiques teintées d’aventures avec de jolis souvenirs photo et des récompenses à la clé. Pour un séjour propice à la détente Appréciez chaque instant de bonheur passé dans les quelque 396 chambres et suites donnant sur la campagne ou sur le somptueux lac. Ces chambres, entièrement équipées, pourront accueillir toute une famille, grâce aux structures communicantes de certaines, dans un environnement sain, festif, mais aussi élégant. Le restaurant L’Étoile, proposant le meilleur de la gastronomie française, sera propice aux repas familiaux. Les plats généreux et respectant la saisonnalité sont servis sous forme de buffet, de quoi ravir les plus gourmands. Dans le Bar des Artistes, les parents pourront prendre un apéritif et y déguster un vin du terroir ou un cocktail. Par ailleurs, pour les instants-détente, rien de tel que le centre de bien-être avec sa piscine intérieure ou son espace fitness. Découvrez également, à pied ou en VTT, la richesse des environs, notamment celle de la Champagne, des magnifiques villages d’époque, du parc des félins, de la Vallée Village et celle des fameuses et incontournables cités médiévales de la région. ...
C’est en 1895 que le premier Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s'est établi à Paris dans le but de perpétuer les traditions culinaires françaises au travers de parcours dédiés à l’hôtellerie, au tourisme et à la restauration. Ce leader de l’art culinaire s’exportera au fil des années à l’international en ouvrant des campus aux quatre coins du monde, ceci dans une volonté de faire rayonner la culture française, mais aussi de valoriser le patrimoine culinaire de chaque pays. Allant des professionnels aux particuliers, en passant par les étudiants souhaitant faire carrière dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie, « chaque formation sanctionnée par un Diplôme reconnu à l’international est un véritable passeport pour une carrière internationale », nous explique Sylvy Morineau, Directrice académique du Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier. Le renouveau de l’institut parisien L’excellence, la passion, la transmission, la créativité et surtout la modernité constituent les valeurs fondamentales animant le réseau Le Cordon Bleu. Dans cette optique d’harmoniser tradition avec innovation, Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier opère un renouveau en s’installant dans son nouveau campus de 4 000 m2 face à la Seine et la statue de la Liberté. De nombreuses salles dédiées à chaque spécialisation, un atelier dédié au public, un espace multimédia ainsi que des salles de démonstrations uniques font la singularité de ce campus prônant l’excellence pédagogique. Une de ses particularités réside dans la présence d’un jardin potager de 800 m2 sur le toit de l’établissement. « Cette végétalisation [véritable fleuron de l’agriculture urbaine] est utilisée comme un jardin pédagogique pour les étudiants en arts culinaires. Ces derniers pourront ainsi apprendre à monter un jardin potager et à reconnaître certains ingrédients pouvant pousser en jardin urbain, c’est-à-dire les herbes aromatiques, les fruits et les légumes », signale Eric Briffard, Chef exécutif et directeur des arts culinaires. À ce lieu, dont les produits sont utilisés dans les cuisines de l’institut parisien, s’ajoutent des ruches dont le miel est utilisé lors des classes pratiques en cuisine. Dans le rang des nouveautés, le campus est également fier de son tandoor (four en terre cuite) et de sa salle dotée de woks. Ces derniers, hommages à la cuisine asiatique, ont été aménagés afin de permettre aux étudiants de revisiter les plats traditionnels français en s’inspirant des succulences de l’Orient. Différents types de parcours C’est en proposant un panel riche et éclectique que Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s’est forgé une réputation solide dans le domaine de la formation. La cuisine, la pâtisserie, les métiers du vin, la boulangerie et le management hôtelier n’auront plus de secrets pour ceux qui auront l’opportunité de suivre des programmes dispensés par des formateurs expérimentés composés de chefs, d'experts internationaux, de professeurs universitaires et de spécialistes intervenant dans le milieu de l’hôtellerie et du tourisme. Des diplômes viendront clore chaque parcours, à l’instar d’un cursus sanctionné par un Bachelor en Management des arts culinaires ainsi que d’un programme débouchant sur un Bachelor en Management Hôtelier International. Chaque parcours sera dédié à la découverte des facettes des métiers liés à la gastronomie, des pratiques managériales et de la gestion d’entreprises spécialisées dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie. Ces bachelors, dispensés en anglais, offrant un trimestre d'études à l'étranger dans un des 35 instituts du réseau et complétés par un stage à chaque fin d’année, seront un gage de réussite ouvrant grand les portes de l’emploi. Les étudiants qui ...
Une première pour la Communauté de communes des Olonnes (CCO). De juin 2016 à mars 2017, à Olonne-sur-mer, face à l’esplanade du Vendée Globe, l’exposition « Les aventuriers de l’océan, du Moyen Âge au Vendée Globe » promet de belles découvertes. Selon Cécile Lataste, directrice de l’action culturelle à la Communauté de communes des Olonnes, l’objectif est de « présenter l’ancrage historique des Sables-d’Olonnes et des communes des alentours sur leur identité maritime ». Le Vendée Globe, à l’origine du concept Célèbre course à voile autour du monde sans escale ni assistance, le Vendée Globe contribue à faire connaitre les Sables-d’Olonne. Durant les quatre années qui séparent chaque nouvelle édition, l’esprit de la course doit être préservé. Or, une fois les dernières tentes démontées, l’engouement autour du Vendée Globe se perd. « Entre chaque édition, il n‘existe pas de dynamique de valorisation du patrimoine historique et culturel des Olonnes. Il faut s’approprier cet évènement pour pouvoir rebondir et mettre en lumière ce patrimoine », affirme Cécile Lataste. Pour la CCO et ses partenaires, alimenter l’intérêt suscité par cette course mythique permettra de promouvoir l’énergie entourant le Vendée Globe, tout en développant l’image positive qu’il apporte aux Olonnes et à la Vendée. D’où l’idée de cette exposition. Une exposition bien pensée « Cette exposition a été conçue pour présenter la naissance géographique du port des Sables-d’Olonnes, qui a évolué au cours de l’Histoire, et pour révéler les motivations qui ont conduit les hommes à partir du port des Sables-d’Olonnes et à y revenir », explique Cécile Lataste. Le projet novateur met principalement l’accent sur 5 ilots s’articulant autour de l’espace central, qui sont une invitation à voyager dans le temps et dans l’espace. À l’entrée, direction le premier ilot qui retrace la navigation commerciale au Moyen Âge et à la Renaissance. Les visiteurs y croiseront le routier et pilote maritime Garcie Ferrande, pionnier du routage maritime. Dans le deuxième ilot, le thème de la piraterie est mis en avant : l’occasion de plonger au cœur même de la vie de ces flibustiers, dont François l’Olonnais est le personnage le plus représentatif. Place ensuite à la pêche routière au sein du troisième opus qui « retrace également l’histoire des hommes partis très loin pour pouvoir pêcher et rapporter un poisson spécifique : la morue ». À l’honneur : Collinet l’armateur, marin expérimenté qui explore les bancs de Terre-Neuve dès l’âge de 13 ans. Le quatrième volet, dont la figure représentative est le marin-pêcheur et navigateur Philippe Thesson, raconte l’aventure des marins d’État, embarqués dans les grands voyages. Le cinquième ilot est, quant à lui, dédié aux skippers du Vendée Globe qui n’ont qu’un seul objectif : revoir les Sables-d’Olonne, en vainqueurs de préférence ! Petits et grands, néophytes ou inités, tout le monde pourra vivre cette invitation au voyage. Bonne navigation ! ...
Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...
L’exposition idéale des sept hectares de plants de pinot noir et de chardonnay confère aux cuvées de la marque toute leur typicité. Allant de la cuvée Blanc de Noirs, un monocépage pinot noir puissant au goût relevé et fruité, à la cuvée Brut, aux arômes agréables, et élaborée à 60 % de chardonnay et 40 % de pinot noir, le champagne Germar Breton, qui élabore également une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée Rosé, se veut être l’ambassadeur de l’excellence de la côte des Bar. Un terroir d’exception mis à l’honneur Le champagne de la maison Germar Breton puise sa mosaïque d’arômes et de goûts dans le sol riche situé dans quatre communes de Barsuraubois. Les saveurs propres à ce terroir unique sont savamment révélées au travers de cuvées, « privilégiant la richesse des arômes du chardonnay et du pinot noir », affirmentKarine et Laurent Breton, propriétaires de la maison de Champagne Germar Breton depuis 1989. Donnant la priorité au savoir-faire artisanal, cette maison exigeante en matière de qualité mise sur des procédés d’élaboration oscillant entre tradition et modernité. Cet attachement aux valeurs ancestrales confère ainsi aux cuvées Germar Breton toute leur authenticité. Une terre bénie travaillée avec soin Afin de préserver la richesse de cette terre généreuse, Karine et Laurent Breton s’attèlent à travailler les vignes en donnant la primauté aux pratiques durables. Les produits fongicides sont alors utilisés de manière raisonnée et le « traitement ne se fait que quand c’est nécessaire, suivant les besoins et le climat », continuent Karine et Laurent Breton. Cette agriculture raisonnée préserve ainsi « l’héritage précieux que représentent les vignes héritées de nos grands-parents et parents », nous confient-ils. ...
Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...