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Interview avec Alain Gousse
Sommelier au Restaurant L'Oustau de Baumanière



Restaurant deux étoiles aux Guide Michelin
situé aux Les Baux-de-Provence
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Pouvez-vous nous décrire votre parcours de sommelier ?

Alain Gousse Je suis sorti de l’école hôtelière de Dijon en juillet 1987 pour intégrer la plus grande brigade de sommeliers au monde au restaurant de La Tour d’Argent à Paris. J’ai été successivement commis sommelier, chef caviste et sommelier. Je suis allé ensuite à Chablis pour mon premier poste de Chef Sommelier ; une superbe expérience par le contact direct et permanent des vignerons. Un petit retour sur Paris à l’Hotel de Crillon pendant un an avant de descendre à Lyon au restaurant La Rotonde pendant 18 ans. En 2013 je pars pour l’Albert 1er à Chamonix, une station de ski dynamique été comme hiver, avant de rejoindre l’Oustau de Baumanière en mai dernier.

En tant que sommelier, quelles sont les différentes activités de votre métier ? Conseils auprès des clients, visites de domaines viticoles,...

AG Au restaurant, la gestion de la cave est à mon avis la partie la plus importante. La gestion des supports de ventes (cartes des vins, du bar…)
Le contact client, le service des boissons. A la cave les achats et les sorties de vins, mise en place des produits dans les logiciels (appellations, prix de vente, les services concernés, mise en avant au verre…), rangement de cave, propreté, suivi des ventes… En dehors du travail, dégustations, visites de vignerons, salons, journaux professionnels…


Quels conseils de sommelier donneriez-vous à nos lecteurs pour choisir un vin ?

AG Il est préférable de se servir des guides et notamment de la revue du vin de France qui est la référence en France. Et sinon, s’adresser à un bon professionnel, qu’il soit sommelier ou caviste.

En fonction des budgets de chacun, quelles seraient les domaines et vins à recommander, la cave idéale pour un amateur de vin à se constituer... Pour des vins de 3 à 5 €

AG Les vins du Bordelais dans les petites appellations :
- Bordeaux, Entre deux Mers.
- Les Côtes de Gascogne (Tariquet par exemple)
- Les vins d’Ardèche (Vignerons Ardéchois)

Pour des vins de 5 à 10 €

AG - Les vins de la Vallée du Rhône (Coteaux du Lyonnais, Côtes du Rhône, Ventoux)
- Les domaines Perrin et Fondrêche travaillent bien.

Pour des vins de plus de 10 €

AG La Loire avec Pouilly Fumé, Sancerre, Saumur Champigny, Chinon.
- Château de Tracy
- Domaine François Cotat
- Domaine Guiberteau
- Domaine Philippe Alliet

Pour des vins d’exception

AG La Bourgogne, la Vallée du Rhône, la Champagne, et le Bordelais.
- Domaines Arnoux Lachaud
- Domaine Christophe Curtat
- Domaine du Coulet Mathieu Barret
- Champagne Ulysse Colin
- Château Tertre Rotebœuf François Mitjaville
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-restaurant-l-oustau-de-baumaniere Restaurant L'Oustau de Baumanière Tél. : 04 90 54 33 07
Site Internet


Restaurant L'Oustau de Baumanière : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Champagne GREMILLET, une grande maison parmi les petites ou l’inverse …?

Champagne GREMILLET compte parmi les plus belles réussites de son secteur. La maison ne revendique pas une longue histoire (1979) mais au contraire se veut contemporaine et innovante. Elle s’est construite vite et continue avec passion et optimisme son ascension au travers des 500 000 bouteilles annuelles exportées dans le monde. Une viticulture respectueuse de l'environnement et une volonté constante de créer et favoriser la biodiversité. Une terre bénie Le domaine est planté à 85 % en pinot noir, cépage roi de la région et bénéficie d’approvisionnements en chardonnay issu des plus beaux terroirs de Champagne dont Crament en grand cru. Les assemblages qui en découlent donnent naissance à une gamme de 8 champagnes tous empreint de fraîcheur et d’élégance. Des champagnes pétillants pour tous les goûts Anne GREMILLET de la maison éponyme ( qui donne son nom à) fait l'éloge du « Blanc de noirs » de la collection « Les Purs » qui est composé à 100 % de pinot noir. La viticultrice le désigne comme « le fer de lance de la maison » et le plus représentatif du terroir aubois. La fille du fondateur souligne également « la cuvée Évidence » de la collection « Les Uniques ». Depuis quelques semaines, cette cuvée se présente dans un luxueux flacon aux formes arrondies qui exprime la volonté de présenter des produits haut de gamme qui s’inscrivent parmi les plus grandes cuvées de Champagne. Une cuvée composée à 100 % de chardonnay dont un tiers est vinifié en fût de chêne. Un élevage minutieux qui optimise les qualités organoleptiques de ce nectar des dieux dont l'arôme grillé et bien toasté fait le bonheur des œnophiles et gastronomes. Circuit aménagé pour l’œnologie La maison propose un circuit-visite bien pensé pour les amateurs d’œnologie. Tout commence par la visite du Clos Rocher, l’un des rares en Champagne. Il s'agit d'une parcelle de 1,40 hectare plantée de pinot noir et close de murets et grille en fer forgé. La cuvée qui en est issue repose tranquillement en cave et sera commercialisée pour la 1ère fois en 2019. Elle devrait être le fleuron de la maison et en asseoir sa réputation. S'ensuit la visite de l'Arboretum, jardin original où Jean-Michel Gremillet à planté 82 arbres de diverses origines en hommage aux pays qui consomment les champagnes de la maison. Le circuit continue au cellier et permet la découverte au plus près du pressoir, des cuves, des ateliers de dégorgement et du musée de la vigne et du vin. La visite s'achève au showroom avec un splendide panorama sur le vignoble et la dégustation commentée de 3 cuvées maison. « Tous vos succès méritent un Gremillet » Un champagne pour tous ceux qui osent rêver et entreprendre… ...

2018, une année marquante !

Du 2 au 6 novembre 2018, Paris réunit pour la première fois patients, médecins et chercheurs du monde entier spécialisés sur les neurofibromatoses. Au menu de ce congrès médical, des exposés, des échanges, des séances d’information, mais également un concert caritatif dont les recettes seront versées au profit de la Fondation dans l’optique de booster le financement de la recherche. Tout sur les neurofibromatoses Les neurofibromatoses sont des maladies génétiques neurologiques classées rares et incurables. En France, environ 15 à 20 000 personnes seraient touchées et cela concerne une naissance sur 3 500. Les neurofibromatoses se transmettent à l’enfant par l’intermédiaire des gènes de l’un des parents mais, dans d’autres cas, elles surviennent par mutation génétique spontanée. La maladie se présente sous plusieurs types dont la plus fréquente est la NF 1 appelée également « maladie de Von Recklinghausen ». La NF 2 ou « neurofibromatose acoustique » est quant à elle beaucoup plus rare. D’autres types sont également recensés : la schwannomatose, NF segmentaire ou encore le Syndrome de Legius. La NF 1, la plus connue, affecte particulièrement la gaine des nerfs et peut se manifester sous des formes très variées : cutanée, osseuse, gliomes des voies optiques …« Les médecins disent qu’elle a une expressivité extrêmement variable ce qui rend la recherche de traitement très difficile », précise Jean-Michel Dubois, président de l’A.N.R (Association Neurofibromatoses et Recklinghausen). Chez de nombreux enfants atteints, des difficultés d’apprentissage et des troubles cognitifs sont assez récurrents. Pour faire face à ces maladies, l’association A.N.R ne ménage pas ses efforts. Créée en 1986, celle-ci a pour objectif de regrouper, fournir des informations pertinentes et soutenir la recherche à travers le financement de projets. De par ses actions, l’association entend également appuyer les médecins intervenant dans les centres de compétences et de référence. « Nous organisons des manifestations pour pouvoir engranger des fonds destinés à la recherche », indique notre interlocuteur. La Fondation CAP NF Bien que reconnue d’utilité publique, l’A.N.R dispose de capacités et de moyens limités qui ne lui permettent pas de travailler sur le long terme. Afin de disposer de moyens plus conséquents, notamment au niveau du financement, l’association a impulsé la création d’une fondation. C’est ainsi qu’en janvier 2017, la Fondation CAP NF – combattre les tumeurs de l’enfant et de l’adulte – voit le jour. Créée sous l’égide de la Fondation de France, elle a été mise en place afin de servir d’outil pérenne pour la collecte des fonds et soutenir efficacement la recherche. La Fondation CAP NF a pour mission de stimuler les initiatives destinées à assurer l’amélioration du diagnostic, la prévention, la recherche, le traitement et la connaissance des neurofibromatoses. En outre, elle intervient sur des campagnes d’informations destinées non seulement à la communauté médicale mais aussi au grand public. En matière d’événement, la fondation organise chaque année une rencontre nationale lors de la journée neurofibromatoses. « Nous essayons d’aller un peu partout en France, c’est l’occasion de rencontrer des malades, des familles, ou encore des équipes médicales et d’échanger avec eux », confie le président. Un événement de portée mondiale L’année 2018 sera à marquer d’une pierre blanche pour la lutte contre les neurofibromatoses en France. En effet, pour la première fois, Paris a l’occasion d’accueillir un congrès médical de portée mondiale au sein de la Maison de la Chimie du 2 au 6 novembre 2018. « Nous sommes partie prenante de cet événement  et il faut dire que nous avons milité pour que cela se passe à Paris », nous dévoile le président de l’A.N.R. Le congrès se tient sous le parrainage du ministre de la Santé, la maire de Par...

Ferme équestre du Puits de Riquier, la liberté à dos de cheval

La gestion de l’hébergement et de la table d’hôtes du lieu a été confiée à l’association Club d’Animation de la Ferme équestre du Puits de Riquier. Toute personne faisant une réservation à la ferme devient ainsi automatiquement membre passif de cette association, la participation financière faisant office de cotisation. Les membres actifs sont ceux qui l’animent. Des hébergements originaux Pour accueillir ses stagiaires,  la Ferme équestre du Puits de Riquier dispose de site d’hébergement pour le moins originaux. Il s’agit en l’occurrence de chalets en bois et de tipis indiens. La particularité des chalets ? Ils ont été conçus et réalisés par Laure elle-même, avec l’aide de membres de l’association, d’où leur nom de Fanny, Charlotte et Claudine. Le chalet Fanny ne dispose pas de chambre. Il est commun à toute la clientèle pour servir de sanitaire. A l’instar des indiens, les tipis de la ferme proposent à ses stagiaires de dormir à même la terre. Toutefois, ils bénéficieront de plus de confort avec des matelas gonflables. Dans le grand tipi Tashunka, qui peut accueillir 4 à 6 personnes, il est possible de faire un feu de bois à l’intérieur. La ferme dispose également des infrastructures nécessaires pouvant servir de relais aux motards. Les stages équestres Le stage équestre est l’activité centrale proposée par Laure au sein de sa ferme. Il est destiné aux amateurs de chevaux et de randonnée, qu’ils soient débutants ou confirmés. L’apprentissage s’étend sur une semaine, du dimanche soir au samedi matin. Il inclut deux heures au minimum de randonnées en cheval par jour, des sorties en extérieur et différents animations et jeux ainsi que le tournage du cheval en longe. Pour toutes les activités équestres de la ferme, et précisément pour les stages, Laure recommande vivement de nouer le contact avec les chevaux, en les brossant et en les sellant notamment pour faciliter la relation homme-animal. Les randonnées à cheval Le ranch, installé près des lacs du Verdon et de plusieurs sentiers de randonnées, est le coin idéal pour les randonneurs, marcheurs et touristes. Le « Rando des Lacs » propose trois journées de balade en cheval autour des lacs, avec  des pique-niques en pleine nature à base de produits du terroir. Le « Randovar » est un rendez-vous annuel qui invite à une traversée du Var, du Verdon à la Méditerranée. Il dure huit jours et permet la découverte de la richesse et la beauté de la flore et de la faune du département. Cette formule offre la possibilité d’amener et de monter son propre cheval. Autre formule disponible : la « Rando Magique », une promenade d’une heure et demi dans les environs d’une ferme templière et de la Fontaine aux Souhaits, suivie d’une dégustation de fromages et de vins de la région. Week-end en romantique Pour les amoureux qui veulent passer un moment inoubliable et inédit, la Ferme équestre du Puits du Riquier a développé une offre spéciale. Le temps d’un week-end, ils bénéficient d’une randonnée à cheval à la fontaine romantique, suivie d’un diner aux chandelles avec repas gastronomique et champagne. De plus, ils profitent d’une nuit dans un des chalets de la ferme et les photos souvenirs leurs seront envoyées gratuitement. ...

Ecouter Mozart ou Bernstein en plein cœur du Pays Basque

C’est l’histoire d’un heureux baptême, initié par une volonté politique forte, d’apporter la musique au plus près des habitants du Pays Basque nord. C’est également celle d’un orchestre qui sévit sur la côte Basque depuis 1975, tant sur le plan de la diffusion que dans une dimension éducative, faisant face aux difficultés inhérentes au monde culturel. Originellement programmé de Biarritz à Hendaye, celui qu’on appelait Orchestre régional Bayonne Côte Basque se voit rebaptisé d’un nom bilingue, prenant en compte le rayonnement de ses actions. En effet, l’élargissement de l’agglomération ne pouvait pas ne pas avoir de conséquences et lors de la saison 18-19, ce ne sont plus dix mais vingt concerts qui seront donnés sur le territoire, en passant par l’intérieur de celui-ci : Ustaritz, Cambo, Hasparren ou Mauléon. De Ravel à la création contemporaine Au programme de l'OSPB, la musique russe de Borodine, Tchaikovski, les sonorités jazz de Bernstein, Gershwin, l’exaltation hispanique de Ravel, d’Albeniz, mais aussi de la musique de chambre dont les correspondances de Mozart traduites en langue basque ou une création électroacoustique et multimédia avec la Scène nationale Sud-Aquitain. Les concerts symphoniques seront dirigés par le chef Victorien Vanoosten, présent pour l’orchestre depuis 2017, avec la particularité qu’il dirigera depuis son piano deux séries à la virtuosité attendue, dont le concert du Nouvel an, attirant chaque année pas moins de 3000 spectateurs. Soutenir les jeunes talents De par sa vocation éducative, l’orchestre étant formé principalement des enseignants du conservatoire régional Maurice Ravel, des élèves du PESMD de Bordeaux et de l’école supérieure de musique Musikene (Espagne), se joindront aux musiciens lors de deux concerts. ...

Champagne E. Jamart : une histoire millésime

Comment est née l'aventure E. Jamart ? Karine : Dans les années 30, Émilien Jamart, boulanger, a acquis un bâtiment. C’était une ancienne exploitation viticole, qui avait gardé toute sa configuration, notamment son pressoir. De grandes récoltes se sont succédé. Les vignerons du village ne pouvaient plus monnayer  les prestations de pressureur. Ils ont  laissé le vin à Émilien Jamart, mon arrière-grand-père, qui s’est retrouvé en possession du stock. Nourri de sa passion du vin, transmise par son beau-père, caviste chez Moët & Chandon, il a vinifié, puis est devenu marchand de vin. Au fur et à mesure, il a acquis des vignes. Et il a créé la société en 1936. Comment se déroule la vinification ? Karine : La vinification se fait en cuve béton carrelé. S’ensuit la fermentation alcoolique et malolactique naturelle, sans passage au froid, pour conserver tous les arômes. À la propriété, nous réalisons toutes les étapes, de l’embouteillage à la conservation dans nos caves. Concernant les cuvées, trois gammes sont disponibles. D’abord, les Intemporelles ! Ces assemblages font la signature de la maison. Ils la caractérisent depuis son origine. Ils vieillissent sur lies au minimum deux ans. Ensuite, nous avons une gamme de vins de prestige, appelés les Exceptionnelles, des millésimes qui sont conservés au minimum cinq ans sur lies. Ils ont le temps de développer tous leurs arômes et toute leur complexité. Trois types de vins dans cette gamme : le blanc de blancs, le blanc de noirs, et également une cuvée, qui est notre cuvée premium, appelée la trilogie, avec un assemblage des trois cépages champenois. Des événements prévus pour cette année 2017 ? Karine : Cette année, nous participons à des salons partout en France. Nous organisons aussi au domaine un week-end portes ouvertes, avec une bourse aux capsules. ...

Une cuisine italienne authentique

La nostalgie des repas familiaux en Toscane Il est rare dans Paris de trouver des restaurants italiens privilégiant autant l’authenticité de leur cuisine. Sis dans le XVIe arrondissement, Ancora Tu a su brillamment relever le défi. C’est un vrai bistrot italien comme on en trouve en Italie, où vous êtes accueuillis comme à la maison, proposant de la vraie cuisine italienne, avec les mêmes prix que ceux des restaurants là-bas. Les rigatoni alla Pugliese ( sauce tomate et burrata), les gnocchi aux gorgonzola, la Ribollita, la Tagliata... pleins de bons petits plats que les femmes de Ancora Tu aiment vous mijoter. Un point d’honneur sur le savoir-faire artisanal Ancora Tu est fait maison dans le respect de la tradition avec des ingrédients fournis par des petits producteurs italiens qui travaillent artisanalement. Des pâtes fraîches faites maison avec les farines artisanales bio de Molino Agostino à l'huile d'olive Intini, petit producteur dans les pouilles, le choix des produits chez Ancora Tu est primordial car elles pensent que les plats gagnent en saveur et en authenticité. La carte des vins, quant à elle, est également bien pensée. Des vins de Sicile comme le Nero D'Avola ou encore le Primitivo des Pouilles sont en adéquation parfaite avec les plats servis. ...

Caveau des Lys : une ode à la cuisine gastronomique de saison au cœur de Fontainebleau

Dans un décor médiéval fait de pierres apparentes et de voûtes, cet établissement de style lounge au cadre raffiné et à la musique d’ambiance ne manque pas de caractère. Prenez le temps de déguster la cuisine raffinée, savoureuse et soignée du chef François Le Touche, où le fait maison est particulièrement à l’honneur. En plus du menu des Lys proposés à chaque repas, incluant 3 plats à 47 € ou 4 plats à 50 €, le restaurant propose également une formule déjeuner à 29 €, du mercredi au samedi, ainsi que différents plats à la carte allant de 16 à 30 €.  Son foie gras de canard fait maison, son filet de taureau poêlé et son crumble d’abricot aux coulis de fruits rouges sont d’autant plus renversants qu’incroyablement délicieux.  Une sélection de bons vins Pour accompagner chacun de vos repas, Le Caveau des Lys vous propose une carte des vins plutôt éclectique, incluant des bouteilles de 75 cl, des demi-bouteilles ainsi que des vins au verre « ouverts à tous les budgets », comme le précise Marion Orfeuille, coordonnatrice, qui conseille notamment le Saint-Amour, l’Aloxe-Corton, le Nuits-Saint-Georges ou encore le Saint-Émilion.   Aimant composer de belles assiettes, le chef met les petits plats dans les grands à travers un mariage réussi de saveurs et de textures pour un résultat à couper le souffle. Très présent également dans son deuxième restaurant au nom évocateur, Le Jardin des Lys, il est animé de la même passion pour offrir le meilleur dans vos assiettes. ...

VinoVision Paris : pleins feux sur les vins septentrionaux

Les professionnels, spécialistes du vin ou ayant un intérêt en relation avec les crus, se donneront rendez-vous du 12 au 14 février 2018 pour une 2ème  édition de VinoVision Paris. Cet événement né à l’initiative des interprofessions des Vins du Val de Loire, du Centre-Loire, de Bourgogne, du Beaujolais, d’Alsace et du Syndicat Général des Vignerons de la Champagne et organisé par Comexposium se tiendra Porte de Versailles pour rendre un nouvel hommage aux vins septentrionaux. Et par la même occasion, aux terroirs qui bercent leur création sous le signe de la diversité. Une place de marché pour des vins singuliers VinoVision Paris n’est pas un salon comme les autres. Il ambitionne d’être une plateforme de référence, un haut lieu de rencontre entre les négociants, vignerons et producteurs qui nourrissent un intérêt partagé pour les vins du nord. Ces crus développés à partir des vignobles du Val de Loire et de la Savoie, du Jura et de Bourgogne. L’Alsace, la Champagne et le Beaujolais se feront également porte-fanions de ces terroirs septentrionaux pour défendre les honneurs de leurs crus réputés vivaces et frais. Objectif de sortie : changer le regard porté sur les Mondeuse, Gamay, Gewurztraminer et autres Cabernet Franc élevés sous climats froids. Un salon international à taille humaine Privilégier le contact et les opportunités d’échanges entre les participants est au centre des préoccupations, côté organisateur. Pour répondre à la gageure, des conférences et des Masterclass se succèderont sur les trois jours de l’événement. Les intervenants compteront notamment le Syndicat des cavistes professionnels, la Winetech et l’Union de la Sommellerie Française. Les vins septentrionaux seront abordés par leur singularité, durant les Masterclass, à travers des thèmes variés. Entre autres, on discutera : facettes du Cabernet Franc, terroirs d’Alsace - avec un clin d’œil au Riesling – et vignobles de Bourgogne sous l’angle de leurs climats. La « Tasting Avenue », de son côté, ouvrira aux participants les portes d’une expérience intime des spécificités des vins à l’honneur. Les effervescents et les champagnes d’un côté, les vins tranquilles de l’autre, deux zones de libre dégustation sont prévues. Un site Internet mobile dédié sera accessible pour les aspects techniques et les poursuites des échanges pendant et au-delà du salon. Carrefour de visions partagées Les futurs participants attendus à la prochaine édition de l’événement partagent, en tout cas, l’idée d’un VinoVision Paris qui met les demandes en face d’offres à leur taille. Les producteurs sont effectivement assurés que les vins septentrionaux remplissent, par bien des manières, les souhaits des œnophiles. Authenticité, accessibilité, variété, modernité sont autant de critères qui définissent les tendances d’achat actuelles. Les différents crus présentés par chaque région sont à même de satisfaire à ces conditions. En matière d’expansion professionnelle, le salon offre naturellement aux exposants des opportunités de convaincre, et peut-être de conclure, avec des prospects internationaux. Sans manquer d’encourager les nouvelles affaires entre professionnels français. Pour ce nouveau cru, les dates ont été choisies exprès pour coïncider avec l’évènement des vins méditerranéens. En accueillant ses 500 exposants et 5000 visiteurs, VinoVision Paris ambitionne de créer des synergies. En effet, en 2018 les salons Vinisud (le mondial des vins méditerranéens) et VinoVision Paris se rapprochent et organisent leurs événements conjointement, pour répondre encore mieux aux attentes des professionnels du vin en France et à l’international. Pendant 8 jours, le monde du vin vibrera en France au rythme successif de 3 événements (VinoVision Paris du 12 au 14 février, les rencontres d’affaires WWM du 14 au 17 février 2018 à Paris et Vinisud du 18 au 20 février à Montpellier). ...

Dolphin Coaching : libérez-vous des croyances qui vous empêchent d’avancer et osez révéler votre potentiel

Le coaching s’adresse à tout le monde Contrairement à une idée répandue selon laquelle il ne concernerait que les personnes ayant un problème à résoudre, le coaching s’adresse à tout le monde. « Si l’on fait appel aux services d’un coach professionnel, cela peut être parce que l’on peine à surmonter une difficulté mais pas seulement. Bon nombre de mes clients sollicitent mon aide parce qu’ils désirent accélérer leur développement, relever un défi, aborder sereinement un changement ou encore déployer tout leur potentiel ». Car le coaching a véritablement vocation à s’adresser à toutes les personnes qui veulent être actrices de leur propre évolution. En effet, qui n’a jamais eu la sensation de perdre le contrôle de ses journées, passées à traiter les urgences au fil de l’eau sans parvenir à prendre le moindre recul ? Qui n’a jamais dû encadrer une équipe sans qu’on lui ait appris comment procéder ? Qui ne s’est jamais senti dépassé lors d’une prise de poste ? Qui n’a jamais douté de sa légitimité professionnelle en endossant de nouvelles responsabilités ? Qui n’est jamais resté dans un poste qui ne faisait plus sens, continuant d’aller au travail avec une boule au ventre, parce qu’il ne parvenait pas à gérer sa peur du changement ? Qui ne céderait pas à la panique, s’il ne dispose, à douze mois de la fin de ses droits au chômage, d’aucune piste professionnelle ? Qui ne s’est jamais laissé submerger par ses émotions ou son stress ? Qui ne s’est jamais posé la question de savoir comment concilier sa vie professionnelle et sa vie personnelle ? Quel étudiant, quelle mère de famille souhaitant retravailler ou encore quel retraité à l’aube du « premier jour de sa nouvelle vie », n’a jamais eu besoin qu’on l’aide à orienter ses choix ? La liste est loin d’être exhaustive… Vous faire coacher vous permettra de développer non seulement vos performances mais aussi votre adaptation sociale et relationnelle ainsi que votre satisfaction. Parce que se faire aider, ce n’est pas faire preuve de faiblesse, bien au contraire. En vous faisant accompagner, vous arriverez mieux - et plus rapidement - à trouver vos propres solutions et à progresser. Identifier nos freins… pour mieux les débloquer ! Qu’il intervienne auprès d’un cadre pour l’aider à mieux performer et à faire évoluer sa pratique professionnelle, d’un particulier désireux de progresser dans son développement personnel ou encore d’un jeune pour l’accompagner dans le choix d’une orientation qui valorisera ses talents, François Baleynaud prend soin « d’identifier les croyances qui empêchent le coaché d’avancer, pour les déstabiliser et leur substituer un moteur de motivation ». Authentique et d’une grande humanité, ce coach utilise ainsi les outils dont sa formation (DESU 2010 « Pratiques du Coaching » Paris 8) et son parcours - tant personnel que professionnel - l’ont dotés pour « déboulonner » ce qui empêche ses clients de trouver les solutions qu’ils recherchent. Mais pas question de leur souffler ces fameuses réponses ! « Un coach n’est pas un consultant » précise François Baleynaud. « Il doit accompagner son client sans se substituer à lui». Plutôt que de lui proposer des réponses « toutes prêtes », un coach compétent (« qui continue de se former et fait l’objet d’une supervision ») fera, au contraire, en sorte que son client trouve lui-même les réponses aux questions qu’il se pose. « Un peu à la manière de Socrate qui répondait aux questions que lui posaient ses élèves par autant de questions afin de les aider à accoucher de leurs propres réponses ». Rien d’étonnant, donc, à ce qu’un « bon coach ne parle que 20 % du temps que dure une séance » précise François Baleynaud. « Parler moins pour écouter plus » comme aurait pu le formuler un ancien Président de la République… « En tant que coach, il est essentiel de parvenir à se départir de cette envie de ‘’faire &ag...

Champagne de Villepin : réflexion autour de la qualité et de l’environnement

Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Un détail qui caractérise les champagnes de Villepin, comme l’explique Bruno de Villepin : « Ces terres dites fortes, lourdes, sont à l’origine de la forte personnalité de nos cuvées ». Pour conserver cette particularité, l’exploitation effectue un gros travail dans le domaine de la viticulture, afin d’obtenir une qualité constante de ses raisins, gage de la qualité de ses vins. Une lutte raisonnée est notamment appliquée au sein des vignes, dans une volonté de préserver les belles spécificités de ce terroir champenois. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...

Bœuf Limousin : fleuron de l’élevage bovin

Une race de prestige  La Limousine est une race à vocation bouchère originaire de la région du Massif Central, à la robe froment vif. Son excellent rendement en viande et sa facilité d’élevage ont fait d’elle la deuxième race à viande en France avec plus d’un million de têtes pour plus de cinq-mille éleveurs dans tout l’Hexagone. Un mode de production spécifique La production de Bœuf Limousin est encadrée depuis 1988 par un cahier des charges Label Rouge qui garantit de bonnes pratiques d’élevage (élevage au près, densité à l’hectare et en bâtiment limitées, …) mais aussi les bonnes pratiques de transport et d’abattage (conditions de transport maîtrisées, abattage dans le respect des bonnes pratiques et de la règlementation). Avec une alimentation à base d’herbe, (87% au minimum consommée au pré ou en fourrage), complémentée avec des céréales. Une viande haut de gamme et de qualité supérieure La qualité supérieure de la viande est ce qui fait sans le moindre doute sa renommée : « elle a la particularité d’être peu grasse, tendre et savoureuse. Il est possible de tirer parti de tous les morceaux. Toutes les pièces sont utilisées mais les plus fameuses sont certainement l’entrecôte, le faux filet et le rumsteck souligne Jean Marc Escure. Sa qualité est garantie par des tests organoleptiques menés en laboratoire » conclut-il. ...

Clos des Serènes : la simplicité et la passion

Attiré depuis toujours par le monde viticole, Julien Daumas, réalise en 2014 son rêve d'élaborer son propre vin. Il fait l’acquisition de 2,7 hectares à Saint-Laurent-des-Arbres et crée son domaine qu'il baptisera le Clos des Serènes. Respect du sol et des vignes Ce vignoble d’un seul tenant, composé de vieilles vignes, présente un encépagement formé par les cépages grenache, cinsault, carignan et mourvèdre. Ces derniers sont plantés sur un terroir sablonneux qui apporte aux vins finesse et élégance. Pour travailler la vigne, Julien Daumas fait tout simplement appel à son bon sens paysan. Ici, aucun produit de synthèse n’est toléré et la vie du sol est respectée au maximum. Côté vinification, le domaine opte pour des vendanges manuelles et les raisins font l’objet d’un tri rigoureux. Après vinification en cuves thermorégulées, une partie des vins est élevée en barrique. Le domaine donne du temps au vin pour qu’il se clarifie et ne réalise aucune filtration. Un vin de partage Privilégiant la qualité à la quantité, le Clos des Serènes produit un vin rouge (en AOC Lirac) qui reflète toute la typicité du terroir. La cuvée éponyme allie donc délicatesse et longueur en bouche, dans un assemblage grenache (50 %), mourvèdre (10 %), carignan (20 %) et cinsault (20 %). Idéal pour accompagner des plats de viandes. ...

Devenez copropriétaires d’un vignoble grâce à Terra Hominis

Ce choix leur permet de sélectionner des associés qui ont envie d’investir leur épargne dans des projets viticoles collaboratifs et solidaires. Les associés sont pour la grande majorité des amateurs de vin, sensibles aux valeurs de partage, de plaisir, et qui souhaitent préserver la terre et la diversité de ses terroirs. Devenir associé sur un vignoble Terra Hominis, c’est pouvoir participer pleinement à la vie du vignoble. C’est également faire partie de clubs dédiés qui permettent de profiter d’événements gourmands et conviviaux : dégustation privée, séjours épicuriens, balade en mer… Laissez-vous tenter par cette aventure humaine unique où partage, transmission, entraide et respect sont les valeurs essentielles. 4 questions à Ludovic Aventin, fondateur de Terra Hominis Pourquoi avoir créé Terra Hominis ?  Cette activité innovante part de plusieurs constats : - Une génération importante de jeunes vignerons sont formés, - Les deux tiers des vignerons ont plus de 55 ans, et ne souhaitent pas céder leur vignoble à de grosses structures viticoles, - Les jeunes qui souhaitent s’installer en viticulture ne sont pas soutenus par les banques, - Et enfin, la période est morose, les Français disposent d’épargne et cherchent à lui donner du sens. Terra Hominis a donc été créé pour faire le lien entre la Terre et les Hommes. Et ainsi permettre la préservation de nos terroirs et du savoir-faire viticole. Nous avons déjà racheté 16 domaines représentant 90 hectares de vignes, détenus par plus de 1600 associés.  En quoi cela n’est-il pas du simple crowdfunding ? Le but des actionnaires n’est pas de faire fortune. D’ailleurs, on parle d’associés plutôt que d’actionnaires anonymes ; nous tissons vraiment ensemble des relations humaines fortes, notamment par le biais de nos différents clubs, et ce système de financement participatif permet de sélectionner nos associés, pour qu’ils partagent vraiment nos valeurs. Le domaine qu’ils possèdent en copropriété est mis en fermage auprès d’un jeune vigneron qui n’aurait pas eu les moyens d‘acheter ses vignes pour exprimer tout son talent. Nous permettons donc à la fois à de jeunes vignerons de s’installer et à des passionnés de vin d’avoir un bout de vigne et des bouteilles pour ancrer leur passion.  Qu’est-ce-qui rassemble l’ensemble de vos associés ? L’objet de la participation repose avant tout dans le soutien aux vignerons et dans la préservation de notre terroir et de notre patrimoine culturel. Le loyer perçu en vin n’est pas et ne doit pas être l’élément fondateur de la motivation mais la conséquence. Tisser des relations humaines entre vignerons et associés et entre associés, est pour nous essentiel pour apporter une âme à nos vignobles. Tout le monde y gagne. L’associé s’initie à la vie du vin et du domaine ; et le vigneron, en créant des liens profonds avec les associés, trouve en eux de fabuleux ambassadeurs. Comment s'articule le montage ? L’achat d’un domaine coûte plusieurs centaines de milliers d’euros. Pour Mas Angel, le premier domaine, les 6.4 hectares ont été divisés en parts de 1 300 €, propriété d’une centaine d’associés. Le rendement de ces parts est de 4.5 % par an et il est payé en bouteilles de vin.  Les cuvées du Mas Angel varient entre 11 à 32 € en prix public mais les associés les payent, à tarif privilégié (40% de remise), ce qui rend très attractif le principe. Du coup, une bonne partie de la production leur est vendue à eux et leurs relations, avant même la mise en bouteilles du vin. De plus, les associés peuvent commander les vins de l’ensemble des vignobles Terra Hominis à tarif préférentiel (entre 15 à 40% de remise en fonction des cuvées et des vignobles). Et je rappelle que c’est un placement sécurisé puisque le vigneron a seul la responsabilité financière et juridique de l'exploitation.  Il est donc seul à en assumer les risques liés aux investissements de l’exploitation. ...

Oi Sushi : le meilleur des spécialités nippones au cœur de Paris

Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun. Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon. Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise… Manger sainement à la japonaise Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis. En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement. Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix.    ...

Le Dit Vin : les saveurs du Sud

Près de la Tour de Constance et du centre des monuments nationaux, dans la Rue du 4 septembre de la cité d’Aigues Mortes, le restaurant Le Dit Vin reçoit les locaux et voyageurs de passage. C’est dans une ambiance chaleureuse et conviviale que le personnel de l’établissement accueille les convives au bar, dans les salles ou dans le patio. Grâce à une jeune équipe aux fourneaux, la carte évolue au gré des saisons. Une partie vitrée du plancher du rez-de-chaussée laisse entrevoir l’impressionnante collection de vins qui est bien gardée entre les murs de pierres anciennes de la cave.    Bar à tapas Pour une journée gastronomique bien remplie chez Le Dit Vin, on a le choix de savourer des tapas autour du comptoir ou déguster un menu selon les suggestions de la Carte et de le savourer autour d’une belle table. Un large choix de tapas froids, chauds, salés et sucrés ainsi que de fromages et mini-desserts figurent à l’ardoise. Pour 12 euros, une proposition constituée de 5 mini-brochettes de bœuf ou de gambas est proposée. Et pour moins que cela, il est possible de déguster 6 croquettes de jambon ou un bol de frites maison. Si les préférences penchent pour les tapas froids, la Bûche et pâté Landais, le Tartare de Daurade aux agrumes et mangue ainsi que les huîtres de Bouzigues sont disponibles.  Du Muscat, une coupe de Champagne ou un Américano maison peuvent s’accorder à ces amuse-bouches ainsi qu’une sélection maison de vins au verre issus de différents domaines de Languedoc comme l’Ermitage du Pic Saint Loup et le Château Puech-Haut, de Condrieu comme le Château Mont de Lys ou de Beaujolais tel que Marcel Lapierre. A la carte figurent plus de 100 références dont une majorité venant de la région. Une nouvelle formule, « la Carte OFF » a été élaborée récemment pour y présenter quelques flacons de renom, à découvrir sur place.   La carte et les formules du restaurant Selon les envies, chacun peut composer son propre menu en choisissant à la carte qui change chaque saison. Parmi les entrées, du Foie gras de canards élevés en plein air mi-cuit maison ou poêlé en croquette et du Nem de taureau accompagné de purée de maïs et d’aïoli au Wasabi. Ensuite, le choix est ouvert entre une assiette de poisson comme la Lotte marinée au lait de coco et gingembre, en wok de nouilles chinoises ou un plat de viande accompagné de garniture de saison comme l’Epaule d’agneau cuite 7h au four, jus de cuisson, ail et échalotes. Pour clore le repas en beauté, l’Assiette gourmande de la pâtissière du restaurant est simplement divine.   Accueil des groupes Le restaurant a la chance de bénéficier de plusieurs espaces aménagés parmi lesquels figure le coin bar, la terrasse, le patio et le rez-de-chaussée. Son agencement facilite l’accueil des groupes ou d’événements privés.  A l’étage se trouve une grande salle dans laquelle de nombreux professionnels organisent des réunions, des séminaires ou des assemblées générales. L’équipe en place se charge de s’occuper de tout selon les besoins des clients. ...

SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE DERMATOLOGIE (SFD) : un acteur majeur au cœur de la recherche

Créée le 22 juin 1889, la SFD s’est fixé comme objectif de promouvoir la dermatologie française auprès de la communauté médicale au niveau national mais aussi international. Pour y parvenir, cette société savante s’est investie dans de nombreuses missions qui se rejoignent autour d’une même finalité : assurer une progression constante de la recherche, et ce, dans tous les domaines de la dermatologie. Les principales missions de la SFD   Le soutien et le développement de la recherche, l’amélioration des pratiques professionnelles ainsi que le développement de la formation continue, tels sont les trois grands points autour desquels œuvre la SFD. En parallèle, la SFD appuie la création et la structuration de groupes thématiques qui réunissent des hospitaliers, des chercheurs et des dermatologues. Ces groupes constituent notamment le fer de lance de la SFD en matière de recherche clinique. Une fierté pour la Société. Comme le souligne Pascal Joly,  le Président de l’association : « la dermatologie mondiale nous les envie. »  En effet, ces derniers sont essentiels pour le développement de la recherche en Dermatologie mais aussi et surtout pour leur dynamisme et la multiplicité de leurs actions. La SFD participe également à la formation médicale des dermatologues à travers l’organisation d’un grand congrès annuel appelé « Les Journées dermatologiques de Paris » (JDP). Au programme de ce congrès, figurent des sessions de formation médicale continue, mais aussi des sessions de recherche durant lesquelles des groupes exposent les résultats de leurs travaux. Les JDP connaissent aujourd’hui un succès notable à en juger par la forte affluence des participants. Ainsi toujours selon le Président, « Les JDP accueillent régulièrement plus de 4 500 congressistes dont près de 40 % viennent de l’étranger. » Enfin, en ce qui concerne les financements, il fait savoir que la SFD consacre plus de 60 % de son budget pour financer diverses actions de recherche (projets de recherche, bourses de formation à la recherche…). ...

Le développement personnel optimisé pour créer votre vie idéale 

De l’ingénierie au coaching Avant de devenir un expert du développement personnel suivi par plus de 70 000 personnes, David Colom était ingénieur diplômé de l’École des Mines de Saint-Étienne. « À l’époque, je travaillais auprès de grandes entreprises comme Alstom, Areva ou encore Cegelec » se souvient-il. « J’étais spécialisé dans le management de la qualité et l’amélioration continue des processus de l’entreprise. J’étais également certifié Black Belt (ceinture noire = le plus haut niveau) de la méthode 6 Sigma, la plus puissante et la plus connue des méthodes de résolution de problèmes dans le monde des grandes entreprises. J’avais eu une enfance heureuse et à 32 ans, j’avais enfin rencontré la femme de ma vie. Mais quatre ans plus tard, je me suis aperçu que la vie que je menais ne me satisfaisait pas alors que tout allait bien, au travail comme dans ma vie de couple. Pour sortir de la terrible dépression qui me faisait me demander, tous les jours en rentrant du boulot, effondré dans mon canapé, pourquoi je n’étais pas heureux, je me suis tourné vers le développement personnel. J’avais entendu parler de Anthony Robbins (la référence du coaching au niveau international) par une personne de mon réseau qui avait obtenu d’excellents résultats. Ça m’a permis de découvrir un nouveau monde et d’autres experts de renommée auprès desquels je me suis formé. Jusqu’alors, je n’avais encore jamais eu l’occasion de travailler sur moi-même ». Contre toute attente, David constate alors qu’il existe des similitudes très importantes entre son métier d’ingénieur et le développement personnel. « J’ai réalisé que les préceptes que j’appliquais quotidiennement aux entreprises, dont l’amélioration continue, je ne les avais jamais transposés à ma propre vie ». Peu de temps après avoir réparé cette omission, David Colom a pu constater de gros changements dans sa vie. « J’avais enfin créé ma vie idéale. La même année, je me suis marié, je suis devenu papa et j’ai démissionné pour monter ma société ». Car cette méthode qu’il avait mise au point et dont il avait pu tester l’efficacité sur lui-même, David a rapidement éprouvé le besoin de la partager. « C’est la raison pour laquelle je me suis formé au coaching » explique-t-il. « J’ai d’ailleurs une double certification : par l’ICF (International Coaching Federation), d’une part et par le High Performance Institute aux USA, d’autre part ».  Une approche globale et structurée S’adressant à une très large palette de personnes (parmi ses clients figurent des dirigeants d’entreprise, des étudiants, des retraités, des mamans, des cadres, des médaillés olympiques, etc.), David Colom leur propose une approche globale. « L’idée » précise-t-il, « c’est de les aider à créer leur vie idéale en améliorant leurs douze domaines de vie que sont la santé, le mental, la vie spirituelle, la vie émotionnelle, la gestion du temps, la personnalité, la famille et les amis, la vie parentale, la vie de couple, la vie professionnelle, les finances et le style de vie. Pas question de se focaliser sur une thématique au détriment d’une autre ». Partant du principe qu’une vie idéale, c’est un tout indivisible, David Colom agit simultanément sur la totalité des domaines. De cette façon, il est possible de profiter d’un effet cascadant, chaque amélioration d’un domaine se répercutant sur les onze autres. En plus d’être globale, la méthode qu’a conçue David Colom s’articule autour de trois axes qui sont la clarté (avec la définition d’un projet de vie complet et l’exploration de la connaissance de soi-même : ses valeurs, ses talents…), la productivité (s’organiser afin d’obtenir rapidement plus de résultats tout en entreprenant moins d’actions et en mobilisant moins de ressources) et la motivation (parvenir à maintenir un niveau ...

Chasseur d’appartement ou agent immobilier : quelles différences ?

Chasseur d’appartement : la différence avec l’agent immobilier Le chasseur d’appartement travaille dans le cadre d’un mandat de recherche pour le compte d’un client. Il recherche donc à sa place un appartement à acheter ou à louer. L’agent immobilier possède un mandat de vente ou de mise en location de la part d’un propriétaire. Son but est de vendre ou de louer les biens qu’il entre dans son portefeuille. Ainsi, il n’est pas exclu que le chasseur d’appartement ait recours à un agent immobilier… Car il va effectuer sa recherche sur tous les canaux disponibles : agences, annonces de particulier à particulier, démarchage. - En revanche, chasseurs et agents sont soumis aux mêmes dispositions réglementaires : - Être titulaire d’une carte professionnelle - Disposer d’une assurance responsabilité civile professionnelle (RCP) - Disposer d’une garantie financière immobilière Processus de recherche Une recherche effectuée par un chasseur d’appartement suit généralement le processus suivant : - Établissement d’un cahier des charges précis de la demande du client - Proposition d’un mandat de recherche exclusif à valider - Signature du mandat par le client - Sélection des annonces correspondant au besoin - Visite des biens à la place du client - Élaboration d’un rapport détaillé - Visite de la dernière sélection avec le client - Négociation avec le propriétaire - Accompagnement administratif Le paiement du chasseur immobilier ne s’effectue que si une affaire est conclue (signature des actes notariés ou du bail). Le prix est fixé d’avance lors de la signature du mandat. Les honoraires varient inversement au prix du bien recherché. Plus le logement est cher, plus le taux d’honoraires est bas. Il oscille entre 1 et 5%. Pourquoi le mandat est-il exclusif ? L’exclusivité du mandat garantit la rémunération du chasseur, pour ne pas qu’il travaille pour rien. Si le bien est trouvé par le biais d’une agence ? Dans ce cas, le chasseur négocie avec l’agence le montant de la commission de celle-ci. Parfois, certains chasseurs baissent leurs propres honoraires pour compenser les coûts de l’agence. Quand faire appel à l’un ou l’autre ? Le chasseur d’appartement s’occupe de tout à votre la place. Il effectue pour vous la recherche et la sélection. Ainsi, cela représente un gain de temps important parce que vous n’avez pas besoin de démarcher plusieurs agences, de passer des heures sur le Web à éplucher les annonces. De plus, connaissant bien le marché, il ne sélectionne que ce qui correspond à votre demande. L’agent immobilier est à privilégier lorsque vous disposez de plus de temps. Car même si l’agent vous prévient lorsqu’il rentre un bien qu’il pense correspondre à votre besoin, vous devez toujours chercher par vous-même dans son catalogue. Par ailleurs, il faudra sûrement contacter plusieurs agences pour maximiser la recherche.  Tout comme l’agent, le chasseur immobilier peut s’occuper de différentes recherches : achat de la résidence principale, achat d’un résidence secondaire, investissement locatif, location, local commercial. ...

Maladies rares, 1 personne sur 2000 atteinte : définition et avancées d’un enjeu de santé publique majeur

Depuis quelques années, que ce soit en Europe ou plus particulièrement en France, de réelles avancées ont été réalisées dans la lutte contre les maladies rares. Elles se traduisent entre autres par une meilleure prise en charge et un accès privilégié à l’information. Qu’est-ce qu’on entend par maladie rare ? Selon les spécialistes, une maladie est qualifiée de « rare » lorsque celle-ci présente une faible prévalence qui est de l’ordre d’une personne sur  2000. Aujourd’hui, le nombre d’individus concernés par ce type de maladies est en constante progression notamment en raison de leur grande variété. La plupart des maladies rares (près de 80%) sont génétiques. Jusqu’ici, les experts de la santé ont réussi à identifier 8000 maladies dont le quart se manifeste au-delà de la quarantaine. Ces maladies impactent directement sur la qualité de vie des personnes affectées puisque dans la moitié des cas, elles occasionnent une perte partielle ou complète de la motricité. On constate également une perte progressive tant au niveau des fonctions sensorielles que cognitives. Par ailleurs, il est important de souligner qu’il n’existe pas de traitement curatif pour la grande majorité des maladies rares. On parlera alors dans ce cas de « maladies orphelines » en faisant référence à ces pathologies qui ne disposent d’aucun traitement.  A titre d’exemples figurent la microcéphalie, la drépanocytose, l'hémophilie, la myasthénie auto-immune, les leucodystrophies ou encore la fibrose pulmonaire idiopathique. Le point sur la situation de la France face aux maladies rares En France, 4,5% de la population sont touchés par des maladies rares. Dans la moitié des cas, ces maladies affectent des enfants âgés de moins de 5 ans et sont à l’origine de 10% de la mortalité infantile (enfant de 1 à 5 ans). Depuis quelques années, de nombreuses actions ont déjà été menées à l’échelle nationale. D’ailleurs, la France est connue au niveau européen pour être le premier à avoir développé et réalisé un plan national. Une action rendue possible grâce à l’impulsion des différents acteurs à savoir les associations et professionnels de la santé appuyés par les pouvoirs publics. En effet, dès 1995, les maladies rares ont commencé à occuper une place importante dans les débats sur la santé publique. La ministre des affaires sociales en exercice à cette époque décide alors de créer la mission des médicaments orphelins. En 2001, les principaux acteurs impliqués se sont réunis autour d’une plateforme dédiée aux maladies rares. Orphanet, Maladies rares infos services, Alliance maladies rares, Eurodis en sont quelques exemples. En 2003, un plan stratégique a été lancé dans le but d’améliorer la prise en charge des patients touchés par ces maladies. Ce plan initié par le ministre de la santé, Jean François Mattei s’inscrit dans le cadre de la loi santé publique 2004-2007. Le PNMR ou Plan National Maladies Rares voit officiellement le jour. ...

Restaurant Truffes folies : quand les truffes prennent le pouvoir…

Installé pas loin de la tour Eiffel, le restaurant Truffes folies accueille ses clients dans une ambiance feutrée, sobre et pleine de cachet. En amoureux ou en famille, ceux en quête de saveurs authentiques seront ravis de prendre place sur les tables de cet établissement de charme pour une (re) découverte des différentes déclinaisons de ce champignon de luxe. Une panoplie de combinaisons possibles… follement atypique ! En déployant des recettes revisitées, cet établissement parisien choisit la truffe comme produit de prédilection. Toujours considérée comme « une pépite d’or de la gastronomie », elle y est disponible en différentes variétés, de la truffe noire du Périgord considérée comme la reine des truffes et recherchée pour son goût marqué, en passant par la truffe blanche, plus douce, jusqu’à la truffe d’Italie au parfum très typé. La meilleure qualité est sélectionnée auprès de producteurs locaux afin d'offrir des plats aux saveurs intrigantes et envoûtantes. La carte vante différentes recettes, des associations peu communes, mais comme par magie, le goût est toujours rendez-vous. L’œuf cocotte aux truffes, le bon vieux risotto paré de ses pétales de truffes, et en dessert le tiramisu revisité à la truffe, feront un déjeuner idéal. Côté vin, la carte simple mais complète compte une dizaine de références. Un établissement qui n’a jamais fait comme les autres Tandis que les grandes maisons présentent la truffe comme un produit de luxe inaccessible au plus grand nombre, le restaurant nous prouve finalement que manger ce mets d’exception sans se ruiner est possible. Accessible à toutes les bourses, l’endroit offre une cuisine mi-bistrot, mi-gastronomique. Et pour encore plus de proximité, maintenant il est possible de commander à emporter. Le restaurant Truffes folies tire également sa renommée de son épicerie fine. Mais là encore, l’originalité est le maître-mot. Le chef Bocciarelli a concocté effectivement une sélection de produits qui sortent des sentiers battus et qui invitent à découvrir la truffe autrement. Ketchup à la truffe noire pour vos frites, le miel aux truffes pour accompagner vos tartines, ou même le pop-corn goût truffe lors de vos soirées cinéma en famille. Plus de soixante produits sont élégamment présentés sur les étagères de l’épicerie fine pour surprendre vos papilles. ...

Hôtel La Dimora : le raffinement aux parfums de l’île de Beauté

L’hôtel La Dimora, où luxe et discrétion sont les mots d’ordre, accueille ses hôtes au cœur même de la route des vins de Patrimonio. Dans un cadre au style oscillant entre modernité et authenticité, l’hôtel se veut être le pionnier du bien-être et de l’hospitalité à la méditerranéenne. Le lieu de vie au charme intemporel plonge les hôtes dans une ambiance tantôt exotique tantôt bucolique. Délices des papilles, relaxation et dépaysement sont au rendez-vous. La Dimora : l’âme corse dans un lieu d’exception Ce lieu de charme qu’est la ferme datant du XVIIIe siècle fut la résidence d’été d’un éminent personnage insulaire issu de la noblesse corse : le Comte de Morlas. Cette âme historique fut précieusement gardée en aménageant chaque recoin du lieu, à l’instar du salon au décor contemporain incrusté dans les anciennes bergeries ou de l'espace petit déjeuner situé sur l’ancien pressoir. Outre ces espaces emblématiques, chaque bâtiment et chacune des chambres de l’hôtel « ont su garder le côté initial de la pierre », selon Carole Leccia, propriétaire de cet établissement étoilé, afin de mettre l’authenticité et l’âme des lieux à l'honneur. Les matières naturelles, telles que la pierre, le calcaire ou le marbre, sont privilégiées afin de créer une belle harmonie entre le confort et la nature. Chaleureusement accueillis suivant la tradition corse, les hôtes profiteront de prestations de qualité alliant professionnalisme et convivialité dans divers aménagements intimistes, à l’instar de ceux situés au bord de la piscine chauffée. Les deux magnifiques villas privées, les suites luxueuses ainsi que les 15 chambres entièrement équipées et décorées suivant l’esprit élégant et discret de la maison deviendront un véritable havre de paix pour leurs occupants qui « auront l’impression d’être seuls au monde », continue Carole. Les férus d’activités en plein air trouveront, quant à eux, leur compte en s’adonnant à la pétanque, aux balades en montagne ou en « déambulant dans les magnifiques villages perchés » bordant l’hôtel. De plus, La Dimora propose un espace bien-être à l’ambiance cocooning et propice à la détente. Un lieu atypique privilégiant le bien-être À deux pas des plus belles plages de l’île de Beauté, les hôtes de La Dimora savoureront leur séjour en l’agrémentant de séances dédiées à la relaxation. Un espace bien-être composé d’un hammam, d’un jacuzzi extérieur et d’une salle de soins est en effet mis à disposition des invités, la détente étant l’une des valeurs sûres de l’établissement. Ceux qui aiment se faire chouchouter peuvent profiter de séances de massages relaxants, de réflexologie plantaire ou de gommages au savon noir : une gamme complète de relaxation pour se ressourcer pleinement. Selon notre interlocutrice, l’espace bien-être, dans le but de rendre hommage à la nature généreuse de la Corse, « privilégie les produits bio locaux, notamment les huiles essentielles à base d’immortelles », une plante emblématique de la région dotée de nombreuses vertus thérapeutiques et adoucissantes. L’hôtel La Dimora se veut également être un lieu d’accueil privilégié lors de séjours de charme, de voyages de noces ou lors de célébrations diverses. Une table riche des saveurs du terroir Dans le cadre exceptionnel de La Dimora, les hôtes se délecteront de plats concoctés avec passion dans le pur respect de la tradition corse. La table de l’établissement propose de belles assiettes gourmandes et raffinées obtenues en « travaillant essentiellement les produits du terroir », nous confie Carole. Le fromage traditionnel corse, la charcuterie artisanale, les fruits et les légumes locaux sont ainsi mis en avant dans la « Carte des petits mets » évolutive au gré des saiso...

Assur.com : moteur de recherche intelligent pour trouver une solution d’assurance

Julien Favre, porteur du projet, est parti du constat que trouver une formule d’assurance pour sa maison, sa voiture ou son voyage relève d’une démarche complexe et fastidieuse. Il a su exploiter efficacement l’émergence des leviers numériques pour centraliser et trier toutes les solutions d’assurance et les mettre à disposition des internautes. Optimiser  la recherche d’un service d’assurance en la réduisant à quelques clics est ainsi au cœur de l’innovation d’Assur.com. Un concept à dimension technologique  « Notre technologie permet d’accompagner les internautes dans leur recherche d’assurance qui convient le mieux à leurs besoins » introduit Mona Saidi, marketing manager du projet. Cette technologie prend forme via un moteur de recherche interne, une interface intuitive et un système de QCM simple. Derrière, un algorithme performant identifie, sélectionne et centralise toutes les réponses qui correspondent au mot-clé parmi les produits référencés sur la plateforme. Ceux-ci sont regroupés par catégorie : santé, habitation, voyage, véhicule, prévoyance, assurance professionnelle et divers pour les demandes plus spécifiques. Contrairement aux autres portails, Assur.com oriente sa démarche vers une approche centrée client en proposant un service beaucoup plus instantané, simplifié et impartial. En effet, la recherche ne requiert ni remplissage de formulaires ni données personnelles et les résultats affichés redirigent directement vers le site de l’assureur sans qu’il y ait transaction directe sur la plateforme. « Le service est résolument à caractère informatif que commercial, nous ne souhaitons pas influencer la décision d’achat des utilisateurs » précise l’équipe. Améliorer l’expérience client Le site est conçu de façon à donner un confort de navigation optimale : user-friendly, fluide et sans intrusion. Sur ce même principe, les assureurs sont encouragés à proposer un site web attractif et ergonomique qui offre la possibilité d’une souscription online en quelques secondes. Dans son axe de développement, Assur.com cherche à affiner son algorithme, de sorte qu’il devienne une technologie autonome, capable de prendre en charge automatiquement les mises à jour. Pour cela, Julien Favre et son équipe envisagent d’intégrer d’autres framework d’intelligence artificielle comme Scrapping ou Semantic Analysis. En parallèle, ils travaillent également sur de nouveaux partenariats afin de couvrir tous les segments d’assurance sur le marché français. À plus long terme, le projet aspire à percer le marché européen et américain. ...

Faculté de Chirurgie dentaire de Nantes : confraternité et savoir

La faculté de chirurgie dentaire de Nantes délivre 12 diplômes nationaux et 8 diplômes d’université. Les cours dispensés à l’UFR d’odontologie de Nantes permettent aux étudiants ayant leur PACES de poursuivre leurs études par la formation initiale de chirurgie dentaire. Ils peuvent également s’inscrire en master 1 Biologie Santé et master 2 Signaux et Images en biologie médecine. Dès la 5e ou la 6e année, les étudiants peuvent accéder après concours au cycle long et suivre une des 3 filières d’internat prévues, à savoir : la chirurgie orale, l’orthopédie dento-faciale et la médecine bucco-dentaire. Toutes les disciplines de l’odontologie Tout au long de leur vie professionnelle, les chirurgiens dentistes déjà diplômés pourront parfaire ou approfondir leurs connaissances en participant à une des formations continues proposées. Ces formations concernent toutes les disciplines de l’odontologie, les pratiques expertales en odontologie légale, la restauration esthétique dentaire, l’endodontie, l’implantation orale, la radioprotection… La faculté organise également des soirées thématiques, où des praticiens viennent partager leur savoir avec les étudiants d’une manière directe et conviviale. ...

Domaine du Siorac : « un savoir-faire, un terroir… »

Depuis 1818, 7 générations de la famille Landat ont façonné cette propriété située non loin de Bergerac entre les bastides d’Eymet et d’Issigeac. 27 hectares de vignoble jouissent de ce terroir argilo-calcaire en AOC Bergerac. Le raisin est vinifié selon des méthodes de travail innovantes, sans dénaturer le patrimoine qu’ils préservent et défendent.   Le domaine « Vigneron indépendant » Le vignoble présente un encépagement varié avec une répartition végétale typique de la région de Bergerac. 70 % de la superficie est consacrée aux cépages rouges et 30 % aux cépages blancs. Ils permettent des assemblages équilibrés pour des vins de qualité. Le Domaine du Siorac est « Vigneron indépendant ». Il travaille sa vigne, récolte son raisin, vinifie et élève son vin, met en bouteille sa production à la propriété, commercialise ses produits, accueille, conseille la dégustation et prend plaisir à présenter le fruit de son travail et de sa culture. Le domaine est ouvert tous les jours, sauf le dimanche, les jours fériés et les samedis, de janvier à mars. En période estivale, une visite guidée est proposée tous les mardis et jeudis (visite du vignoble, du chai et dégustation périgourdine).   Les autres produits du domaine Depuis le début, la famille Landat est fortement marquée par sa culture natale ; elle a su réhabiliter une tradition culinaire locale : le verjus. Elle récolte des raisins verts en surnombre puis les presse jusquʼà obtenir ce fameux jus de raisin acide et finement parfumé bien connu des grands chefs. Dʼun gout acidulé, il est un excellent exhausteur de saveurs pour les viandes blanches et les poissons. Le Domaine du Siorac a également pensé aux personnes ne buvant pas d’alcool. Du jus de raisin blanc et du jus de raisin rosé pétillant 100 % naturel et « pur fruit » sont proposés. Le premier est 100 % sémillon et le deuxième est composé essentiellement de merlot. Ils ne contiennent aucun sucre ajouté.   Les vins Les vins rouges sont issus dʼun assemblage de merlot, de cabernet franc, de cabernet sauvignon et de malbec. Ils sont sur le fruit et permettent d’accompagner charcuterie, grillades ou fromages légers. Le rosé est un mélange équilibré et harmonieux de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon qui s’ouvre sur une bouche perlante, ronde et gourmande. Ce rosé demi-sec est un vin dʼété par excellence et peut être servi de l’apéritif au dessert. Le blanc sec, typé sauvignon, a un nez intense de fruits jaunes frais et une bouche grasse aux arômes dʼagrumes. Il s’accordera parfaitement aux fruits de mer, aux coquillages, aux viandes blanches et aux fromages. Le très polyvalent blanc moelleux est régulièrement sélectionné par le Guide Hachette. Agréable assemblage de sémillon, de sauvignon blanc, de muscadelle et de sauvignon gris, il dévoile son fruité avec une même finesse au nez quʼen bouche. ...