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Théâtres, cabarets : agenda Spectacles sur votre ville et votre région

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Culture
Exposition
Visite guidée à La Grande Saline de Salins-les-Bains

Bastion du tourisme jurassien avec chaque année 80 000 entrées, la Grande Saline est le pilier incontournable de la région à visiter. Pour les touristes avisés, Salins-les-Bains réserve même un voyage insolite à travers des monuments millénaires, invitant à une immersion captivante d’un passé prestigieux à la rencontre de l’or blanc, le sel de la Grande Saline, fleuron jadis d...

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Culture
Patrimoine-histoire
Fondation du patrimoine : sauvegarde et appel urgent aux dons pour la Grande Saline

« Entretenir le souvenir des principales productions et reconvertir les éléments notoires du patrimoine régional à des fins culturelles et touristiques : voilà l’une des ambitions de la Mission Patrimoine » confiée à Stéphane Bern par la Fondation du patrimoine en partenariat avec le Ministère de la Culture et la Française des Jeux. L’homme de télé, l’animateur radio, le journa...

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Culture
Festival
Pézenas, ou la ville de Molière : à la découverte de l’un des plus grands auteurs français

Certaines villes méritent indéniablement le détour. Dans le sud de la France, plus précisément dans le département de l’Hérault, une petite ville nommée Pézenas fait partie de ces villes qui ont tout pour plaire.

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Culture
Patrimoine-histoire
Au cœur des collines cathares, Fanjeaux allie patrimoine historique et innovation numérique

En plein Pays cathare, la cité médiévale de Fanjeaux accueille un nouveau parcours artistique, accompagné d’un dispositif de visite numérique et innovant.

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Culture
Théâtre
Festival Bellevue en scène : dix ans de théâtre amateur

Événement culturel phare de la communauté de communes des Coteaux Bellevue, le Festival Bellevue en scène souffle cette année ses dix bougies. Du 4 au 7 octobre 2018, cette dixième édition s’invite à Montberon avec à la clé une programmation fort alléchante.

Théâtre, Cinéma : les événements à découvrir sur votre ville et région

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Montberon
Association DIAM
Festival Bellevue en scène : dix ans de théâtre amateur
Les subsistances
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Lyon
LES SUBSISTANCES
Les Subsistances : le spectacle vivant sous toutes ses coutures
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Paris
Le Bal Blomet
Un cabaret d’art et club de jazz légendaire
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Nantes
Théâtre Beaulieu
Théâtre Beaulieu, un succès constamment grandissant
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Versailles
Reminisens Restaurant Théâtre
Ticket moyen
120 €
ReminiSens : éveiller ses sens au cœur de Versailles, la royale
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Beauvais
Le Quadrilatère
Le Quadrilatère : un haut lieu de la culture beauvaisienne
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Courbevoie
SPL Centre événementiel et culturel - Courbevoie-Event
Centre événementiel de Courbevoie : des espaces à la mesure de vos événements 
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Bordeaux
Théâtre du Pont Tournant
Théâtre du Pont Tournant : pour la promotion d’une culture de proximité
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Paris
Théâtre de l’Aquarium
Théâtre de l'Aquarium :
un théâtre de création et de partage
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Avignon
Le Théâtre du Chêne Noir
Le Théâtre du Chêne Noir : une maison d’artistes
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Montreuil
Compagnie Boogie Lockers
COMPAGNIE BOOGIE LOCKERS

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Art brut à La Fabuloserie : le Manège aux rêves de "Petit Pierre"

Nous voilà dans le « jardin habité » de la maison-musée de La Fabuloserie à Dicy, dans l’Yonne. Un musée dédié à l’art hors-les-normes ou, selon l’expression réservée à Jean Dubuffet, à l’art brut. C’est là que se dresse le Manège ! Une incroyable création de Pierre Avezard, surnommé "Petit Pierre", un homme sourd-muet et borgne qui a consacré toute sa vie à une œuvre : son manège. Des avions, des trains, des personnages, une tour Eiffel en bois de plus 20 mètres… et au centre de tout cela, un manège. Tout est conçu de bric et de broc à partir de matériaux recyclés. Un véritable festival d’idées et d’ingéniosité, fruit d’une vie entière. Plus qu’une simple construction hétéroclite ou un simple divertissement, le "Manège de Petit Pierre" est une vision utopique d’un monde, semblable au "Palais idéal du Facteur Cheval". Elle reflète aussi et surtout la manifestation de la victoire du monde intérieur de cet homme contre une maladie et une réponse au regard souvent moqueur porté par les gens sur le handicap ou sur la différence. Petit Pierre ou quand la vie tourne comme un manège "Petit Pierre" est né en 1909 avec le syndrome de Treacher-Collins, une maladie congénitale rare. Il souffre d'une absence de palais et de pavillons d’oreilles, ce qui le rend presque sourd et muet. Ridiculisé, raillé par les autres enfants, il abandonne l’école et c’est sa grande sœur Thérèse qui lui enseigne à lire et à écrire. Heureusement, ses parents lui offrent un soutien affectif solide et lui donnent un surnom rassurant, "Petit Pierre". Après avoir quitté l’école, il devient alors garçon-vacher dans une ferme de son Loiret natal. Et là, encore une fois, ses collègues se moquent de lui. Il se réfugie alors dans le fenil de l'étable, où il dort sur le foin. Artiste sans le savoir, c’est là qu'il commence à préparer des jours meilleurs, un monde fait d’utopies où en autodidacte, "il invente, cherche, expérimente, joue, insulte" selon le précepte de l’art hors-les-normes. Un concept formulé dans les années 70 par Alain Bourbonnais, architecte talentueux, collectionneur avisé, ami de Jean Dubuffet avec qui il entretient de nombreuses correspondances, mais également artiste et fondateur de La Fabuloserie. Un manège pour se réinventer Là, pour pouvoir vivre sereinement dans un monde qui le rejette, "Petit Pierre" défit, se réinvente dans un univers fabuleux au point d’étonner et de surprendre son entourage. Ainsi, il crée un système ingénieux pour nourrir ses vaches préférées avec des betteraves. Son patron, impressionné par son ingéniosité, lui offre un lopin de terre en guise de récompense. C’est là que commence l'histoire de son manège. Il collecte des matériaux à la ferme : boîtes de conserve, pneus, fils de fer, et les transforme en objets tels que des moulins à vent ou des bouquets en métal. Il utilise également les débris d’un avion tombé dans le champ en face de la ferme pendant la guerre. Les voyages inspirent aussi le manège. Son frère Léon, ingénieur aéronautique, lui transmet ses connaissances en mécanique. Chaque année, ils partent en voyage ensemble, ils visitent des sites tels que la maquette du Concorde, la tour Eiffel, l’Atomium à Bruxelles, ou le chantier de l’aérotrain près d’Orléans… À son retour, "Petit Pierre" construit des modèles miniatures de ces structures. La tour Eiffel en acacia, au centre du manège, mesure plus de 20 mètres de haut. Dans ce jardin onirique et instable, "Petit Pierre" accueille les visiteurs les dimanches, qui le réclament et l’acclament. Une revanche sur la vie mais aussi une belle leçon de vie dans un monde chaotique, où l'art de "Petit Pierre" réside dans sa capacité à transformer ce qui est délaissé par la société en émotions convoitées par tous. Victime d’une crise d’hémiplégie, il doit se retirer en ...

Une fabrique d’images en live, une grande expo sur la BD et des logos !

Du 19 avril au 27 mai 2017, La Fabrique, résidence de créateur, permettra  à l’illustratrice Sophie Dang Vu de s’installer dans la collection permanente du Musée et d’y faire vivre une technique issue de l’imprimerie. N’hésitez pas à la rencontrer pour assister à la fascinante naissance d’une image ! L’exposition temporaire Histoire(s) de Logo(s) (novembre à janvier 2018) s’intéressera quant à elle à la toute récente identité visuelle du Musée, prétexte pour dévoiler aux visiteurs les secrets de la création d’un logo, qui renvoie autant au patrimoine des symboles qu’à la signalétique contemporaine. Le neuvième art à l'honneur Du 14 avril au 20 septembre 2017, le Musée passera en mode BD.  Il y a encore tant à dire et à expliquer du neuvième art ! L’exposition Bande dessinée, l’art invisible, conçue en partenariat avec Lyon BD Festival,  en est le point d’orgue. Les visiteurs entreront dans les coulisses de la BD, de sa fabrication, de ses spécificités, de ses langages, de ses métiers. Le domaine de la BD recèle une foule de surprises, et d’abord l’antériorité de cet art qui entre désormais dans les musées. Car il y a de la BD dans les images du Mirouer de la rédemption, premier livre illustré imprimé (1478), de même que dans les gravures de William Hogarth sur l'hypocrisie de la société londonienne ou dans les images d’Epinal. Et bien sûr, le Musée possède la fameuse Histoire de Monsieur Crépin de Rodolphe Töpffer (1837), considérée comme l’ancêtre de la BD. Mais bien d’autres grands artistes se sont approchés tout près de la bande dessinée (dont Gustave Doré), et on les découvrira au fil de l’exposition. ...

Musée national des douanes : 35 ans au service de l’Histoire et de la valorisation de l’administration des douanes

Le Musée national des douanes (MND) a fait son nid dans la halle de l’Hôtel des fermes du roi, un des plus précieux vestiges architecturaux de Bordeaux. Dédié exclusivement à l’Histoire et à la valorisation de l’administration des douanes, le musée regroupe actuellement plus de 13 000 objets, dont 600 sont exposés dans le parcours permanent. Le reste est dévoilé occasionnellement, lors d’expositions temporaires qui sont, le plus souvent, associées à un thème spécifique. L’exposition permanente, un parcours riche de découvertes « Nous avons des collections très variées et assez intrigantes pour nos visiteurs », introduit Aurélie Guichemerre, conservatrice et chargée de communication au MND. « Très variées », en effet, car, entre les œuvres d’art, les équipements et toute une panoplie de documents d’archives, il y a beaucoup à découvrir. Le parcours permanent du MND se décline en trois temps. Une première section retrace brillamment les moments clés de l’Histoire en abordant notamment l’Ancien Régime, la Révolution française, l’époque napoléonienne ou encore l’ère contemporaine. La deuxième section met en avant l’évolution du métier d’agent douanier. Y sont présentés toute une collection d’uniformes et d’accessoires, mais aussi un vaste panel d’outils et de matériels de travail dont l’utilisation remonte au XIXe et au XXe siècle. Quant à la dernière section (inaugurée récemment), elle dévoile un aspect plus contemporain. En ce lieu sont exposées les missions actuelles de la douane (perception des taxes, régulation des marchés, protection des citoyens, des espèces menacées, du patrimoine culturel…) et les différentes fonctions exercées par ses 16 800 agents (employés de bureau, maîtres-chiens, pilotes…). Se plonger dans la documentation historique Le centre de documentation historique (CDH) est accessible uniquement sur rendez-vous. Doté d’une bibliothèque et d’une médiathèque, cet espace est surtout dédié à la recherche. « Nous accueillons souvent des chercheurs, des journalistes souhaitant recueillir des éléments pour alimenter leurs articles ou même des personnes qui sont à la recherche d’une piste généalogique. Dans ce dernier cas, nous regroupons les informations trouvées dans les registres du personnel », explique Aurélie Guichemerre. Le CDH est dirigé par une documentaliste qui se charge d’aider les visiteurs à mieux s’orienter dans leurs recherches. Le centre propose également différentes prestations afin de répondre aux demandes les plus spécifiques. Parmi les éléments de documentation mis à disposition figurent des ouvrages, des photographies et des documents d’archives, tous en lien avec l’histoire et les différents services de la douane. ...

Musée Despiau-Wlérick : hommage à la sculpture figurative française

L’endroit tire son appellation de la combinaison des patronymes des deux sculpteurs qui ont grandi dans cette ville landaise. Le premier, Charles Despiau. Le second, Robert Wlérick. Labellisé « Musée de France », l’établissement a bien des singularités à partager à ses visiteurs qu’il reçoit tout au long de l’année. Antre de la sculpture figurative française de 1880 à 2000 Sous son appellation actuelle, le musée Despiau-Wlérick a été créé et ouvert au public en 1968. L’endroit qui l’accueille, lui, nourrit une longue tradition muséographique, puisqu’un érudit originaire de Saint -Sever y a installé un établissement de conservation dès 1885. Pierre Eudoxe Dubalen a rassemblé une collection exceptionnelle par son éclectisme, recouvrant des branches variées. Archéologie, histoire naturelle, beaux-arts, tout était représenté avec, notamment, des objets d’art et des peintures. Un véritable « musée encyclopédique du XIXe siècle » pour reprendre les termes de Christophe Richard, conservateur en chef actuel. Plus tard, animée par le besoin de rendre hommage à deux sculpteurs du terroir, la ville de Mont-de-Marsan initie ce qui va devenir le musée Despiau-Wlérick. À l’instar de son pair, Robert Wlérick était une figure importante de la sculpture figurative française de l’entre-deux-guerres. L’on rénove ainsi les deux bâtiments médiévaux du centre de la ville pour accueillir le projet de conservation dédié à ces deux personnages. L'établissement s’est, à présent, constitué comme fer de lance de cette spécialité figurative à l’échelle nationale. Sa collection inclut des milliers de sculptures reproduisant la figure humaine dans les proportions les plus variées. Un lieu de culture fortement dynamique La collection permanente du musée rassemble un ensemble de sculptures figuratives, dont certaines vraiment exceptionnelles. Quelques-unes proviennent, effectivement, de l’Exposition internationale de Paris de 1937 et se distinguent en conséquence par leur taille. Parfois jusqu’à un imposant 4,60 m de haut. Imposante, l’évolution numérique des fonds du musée l’est aussi. « On est passé de quelques pièces, à l’époque du musée Dubalen, en sculpture à plus de 2 400 numéros à l’heure actuelle », évoque avec une fierté non dissimulée le conservateur en chef Christophe Richard. De fait, l’adresse abrite une collection « unique en France dans son domaine ». Au fil de la découverte de ces pièces, le visiteur accède également à une riche programmation d’expositions temporaires. Les monuments aux morts seront prochainement à l’honneur à travers les œuvres du fonds. Les éléments originaux du monument dédié à Charles Despiau feront d’ailleurs partie des pièces mises en exergue à cette occasion. Tout au long de l’année, l'établissement compose de nombreuses animations ciblant divers publics. Les jeunes peuvent bénéficier des visites scolaires organisées et tout le monde peut participer à divers ateliers. Taille de béton microcellulaire ou modelage de terre, les activités promettent des moments de partage à vivre en toute convivialité. En ce sens, le musée constitue un point de départ intéressant à d’autres explorations. Outre le jardin des sculptures, une occasion de découverte hors les murs unique, le donjon Lacataye, constitue un excellent prétexte pour des flâneries à travers remparts, chapelles et maisons romanes. ...

Les Heures Musicales de Biot : une fête pour les mélomanes

Les Heures Musicales de Biot sont devenues un rendez-vous incontournable pour les artistes comme pour les amoureux de la musique classique. Créées en 1984, elles offrent chaque année une programmation originale et variée. Musique classique, musique de chambre, œuvre lyrique, interprétations authentiques, formations inédites s’y côtoient. De nombreux grands noms y ont déjà participé, pour en devenir des fidèles comme par exemple Renaud Capuçon et Natalie Dessay. En 2018, la 35e édition Cette année 2018, 6 concerts (18 et 27 mai, 8, 12, 17 et 20 juin) se dérouleront à l’église Sainte-Marie-Madeleine avec son acoustique exceptionnelle. Pour fêter cette 35e édition, une personnalité absente des précédents festivals fera l’honneur de sa présence. ...

Lieu d’Europe – Strasbourg : promouvoir l’idéal européen

Cette maison de maitre au style néoclassique attire irrémédiablement l’attention. Ancienne résidence de nombreuses familles dont l’histoire est liée à celle de Strasbourg, la villa Kayserguet prend un coup de jeune lorsqu’elle commence à abriter le Lieu d’Europe et se pare d’un espace vitré donnant sur le parc. Lieu d’Europe (Strasbourg) : un centre de partages et de rencontres sur l'importance des institutions européennes... À l’intérieur, la visite débute par l’exposition permanente qui « veut montrer le lien très fort entre la ville de Strasbourg, ville aux origines européennes anciennes, et la construction européenne », explique Anne Billaut, directrice. Dans la partie historique, elle déroule la construction chronologique des institutions européennes en démarrant avec le Conseil de l’Europe qui voit le jour en 1949. « Fait intéressant : ce sont les Anglais qui ont suggéré que Strasbourg soit la ville siège de cette organisation intergouvernementale européenne », souligne Anne Billaut. Cette première pierre angulaire a permis ensuite à Strasbourg d’accueillir les autres institutions. À l’étage, les visiteurs ont accès à un centre de ressources et d’informations sur les institutions européennes. « Documents et brochures en plusieurs langues sont en libre service. Une documentaliste est également présente et guide les visiteurs dans leurs recherches », indique la directrice de l’établissement. Lieu de débats, d’échanges, de partages et de rencontres, le Lieu d’Europe est également doté, au premier étage, d’une salle de réunion et de projection baptisée « Daniel Riot », en hommage à ce journaliste français spécialiste de l’Union européenne. ...

Yoran embanner, l’éditeur breton engagé

Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran Embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire. Les nations sans État comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans, les Kurdes... En fait, tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. »  Éditions Yoran Embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran Embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français/roumain, français/lituanien, français/basque, français/gaëlique écossais, français/corse, français/kurde : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 22 nouveaux livres. »  L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...

Dans l’intimité de l’impressionnisme au Château d’Auvers-sur-Oise

Le Château d’Auvers remet l’impressionnisme sur un piédestal, mais quel piédestal ! Une scénographie puisant intelligemment dans les ressources de la technologie, une augmentation manifeste de la réalité des œuvres, tout participe à faire de ce nouveau parcours une expérience autrement plus immersive. Plus de sensations, plus d’émotions. Rendez-vous pour une vraie communion avec Cézanne, Pissarro et consorts. Instant d’immersion dans un vrai cadre de recueillement Le Château d’Auvers était un cadre tout indiqué pour abriter une scénographie de la trempe de « Vision impressionniste ». Ayant vu le jour au temps de Marie de Médicis, l’endroit a gardé une forte empreinte de ses inspirations italiennes, même s’il a ultérieurement fait l’objet de remaniements « à la française ». En témoigne le riche contraste, sur un parc de huit hectares, de ses jardins tantôt français, tantôt en terrasses. Inscrit à la liste supplémentaire des monuments historiques depuis 1993, le château n’est pas seulement un patrimoine architectural. Pendant plus de deux décennies, il s’est investi de la mission de transmission de l’héritage artistique impressionniste. Prenant parti des avancées technologiques, le parcours de relais autorise une véritable plongée dans les exemplaires de lithographies et de peintures exposées. L’héritage transmis par le courant aux visions qui lui ont succédé est également mis en exergue dans le choix d’œuvres données à voir. ...

Galerie 88 : l’art dans tous ses états

Des expositions hautes en couleur Son choix se porte pour les artistes strictement non-figuratifs, exception faite pour les photographes. Le choix des artistes et de leurs oeuvres est collégial, et intègre l'avis de  Denise-Louise Samson, propriétaire des lieux et elle-même plasticienne, ainsi que de ses deux collaborateurs, Sylvie Langlois, et Jean-Pierre Giraud. Depuis deux ans, chaque exposition porte le titre de ONE (l'unique!)  suivi d'un numéro correspondant à leur ordre d'exposition. Ainsi la derniere exposition de l'année 2017 porte le titre de ONE-VI, la sixième exposition depuis juin 2016. Elle était dédiée au photographe toulousain, Jacques MATALY, dont la renommée dépasse les frontières de l'Hexagone. Denise-Louise Samson-Dissès l'accompagnait de ses sculptures et installations. Elle évoquait le Trait ou  la ligne d'horizon, véritable obsession pour tous les deux. " .... Derrière l'horizon il y a l'infini, il y a tout, tout ce que nous ne savons pas, tout ce qui nous échappe et nous inquiète... derrière, juste derrière , s'ouvrent les contrées de nos fantasmes, de nos peurs et de nos croyances... Toujours il y aura l'horizon infranchissable, car l'infini est une idée inhumaine, impossible à imaginer qui heurte l'enfant et contrarie l'adulte..." Alain MONNIER. La saison artistique 2018 commencera cette année le  9 Juin et se terminera le 15 septembre et présentera trois expositions individuelles. Un événement à ne pas manquer  PHAART (Parcours Haut-Adour Art Rencontre et Territoire) qui se déroulera les 20-21-22 Avril 2018. Les Galeries et les ateliers de Bagneres et du Haut-Adour ouvriront à nouveau, comme chaque année, leurs portes (de 10h à 19h pour les 21 et 22) et accueilleront plus de 60 artistes qui viendront de tout l'Hexagone. ...

Au cœur des collines cathares, Fanjeaux
allie patrimoine historique
et innovation numérique

Idéalement situé entre Toulouse et Carcassonne, le village de Fanjeaux est étreint par une Nature vallonnée. Il domine 360 mètres de plaine. Paisible et joyeux, c’est aussi un site hors des sentiers battus, idéal pour les sports de plein air, les randonnées et les découvertes historiques. Afin de partager ses secrets, il propose au public d’emprunter un nouveau et surprenant parcours. Une innovation en termes de médiation culturelle et de création numérique qui pense à tous les publics, notamment aux enfants. Un parcours artistique dans le village Parsemées tout au long de la promenade, de drôles de sculptures métalliques racontent une histoire cathare. Ces dix figures imposantes et contemporaines sont l’œuvre de l’artiste Loïc Tellier. L’idée : que chacun puisse sauter à pieds joints dans un livre d’histoires. Méticuleusement mises en scène, ces sculptures convient le visiteur à découvrir autrement le village. A titre d’exemple, au Seignadou, cinq personnages vous invitent à vous asseoir près d’eux et à assister à leur disputation. Une interaction narrative possible grâce au superbe dispositif qui accompagne la promenade : maquette numérique, application mobile, livret-jeu et audioguide sont autant d’outils qui enrichissent le programme. Une application ludique Disponible à l’office de tourisme, l’application gratuite permet d’emprunter le parcours en bénéficiant d’un contenu oralisé. Les sculptures se mettent à parler entre elles, l’artiste explique ses créations et le village de Fanjeaux conte ainsi son histoire et ses secrets. Le Moyen Âge est mis en lumière : la disputation, les croisades, l’Inquisition et plus encore. Chaque scène a un contenu associé, qu’il suffit de déclencher en temps voulu sur son smartphone. Afin d’attiser la curiosité des enfants, un livret-jeu à 3 €, intitulé « Fanjeaux et le mystérieux sortilège », leur permet de résoudre des énigmes et de rencontrer les légendes occitanes : celle de la sorcière Saurimonde qui transforme les habitants en statues, celle des chevaliers ou encore celle des troubadours. Pour récompenser les aventuriers en herbe, un petit cadeau est à récupérer à l’office de tourisme après la balade. Collines et cités médiévales En sus de cette proposition, un nouveau sentier d’interprétation est également possible à Laurac-Le-Grand. Des chroniques historiques accompagnent un environnement grandiose et bucolique. Le Pays Cathare est à découvrir sans modération. Rendez-vous est pris donc avec ses paysages panoramiques, ses champs de colza, ses vallons et ses villages chargés d’Histoire, mais bien ancrés dans le monde actuel. Office de tourisme Au cœur des collines cathares Horaires d’ouverture : De septembre à juin : du lundi au vendredi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h Juillet et août : tous les jours, de 10 h à 13 h et de 14 h 30 à 18 h 30 ...

Une coquille Saint-Jacques musicale !

La fête de la Coquille saint-Jacques revient en 2016, les 23 et 24 avril, pour la première fois sur le port de Paimpol. L’occasion d’assister à des concerts gratuits comme ceux de Bagad de Vannes, Outside Duo, Cali, PlaymoDj’s Final Set, The Dalann Fly Cats, Ramoneurs de Menhir et la Zmala. Danses et fêtes au programme... Danses, fanfares, chants marins, déambulations rythmeront également ces deux jours, sans oublier bien évidemment la pêche… autour de la coquille Saint-Jacques ! Un rendez-vous festif et gastronomique ! ...

Guitar Fest 2023, une édition sous le signe du succès !

Dans le centre médiéval de Montluçon, dans les anciens hôtels Chanisay et Méchain, le MUPOP attire chaque année des milliers de visiteurs passionnés de musique. Pour sa collection d’instruments de musique bien sûr, l’une des plus grandes de France, mais aussi pour un évènement en passe de devenir incontournable : le Guitar Fest ! Le Guitar Fest, l’évènement phare de la musique populaire ! Le Guitar Fest serait-il en passe désormais de devenir incontournable dans le paysage musical ? En tout cas, c’est probablement l’évènement qui rassemble le plus d’amateurs de musique et d’artistes de renom venus célébrer la guitare et son rôle central dans la musique populaire lors de sa dernière édition en octobre 2022. Pour sa deuxième édition, en octobre, avec du rock au jazz en passant par le blues et le folk, le festival promet une expérience musicale immersive pour tous les amateurs de guitare. Les concerts, les master classes, les expositions et les rencontres avec les artistes font du festival un rendez-vous privilégié pour les mélomanes, les guitaristes et les passionnés de musique. Axel Bauer, artiste français emblématique sera à l’honneur pour cette deuxième édition. Il est en effet le parrain du Guitar Fest. Figure marquante de la musique populaire française, Axel Bauer se fait connaître en 1983 avec « Cargo de nuit ». En 1992, il revient dans les charts avec « Éteins la lumière », puis en 2001 en duo avec Zazie, il signe « A Ma Place » Axel Bauer partagera son expérience et sa passion avec les participants lors du festival. Une occasion unique pour les amateurs puisque le guitariste cumule déjà aujourd’hui plus de 3 millions de disques vendus, huit albums produits et plus de sept cent concerts. Sa présence illustre l'engagement du Guitar Fest à mettre en avant les artistes talentueux et à favoriser l'échange et le partage autour de la musique et de la guitare. Le Guitar Fest, cette année, promet une programmation captivante qui comblera les attentes des amateurs de musique et des passionnés de guitare. Des artistes de renom et des talents émergents se produiront sur scène, offrant une diversité musicale qui saura séduire un large public. En 2022 déjà, le Guitar Fest avait été un énorme succès. La première édition avait en effet réuni Yarol Poupaud, ancien guitariste de Johnny Halllyday, mais aussi Philippe Almosnino « guitariste de Louise attaque » et bien d’autres encore. Le tout à l’occasion de l’exposition « Les Paul - Le Son du rock a 70 ans » où les célèbres guitares Les Paul avaient été mises à l’honneur. Réservez vos dates pour le Guitar Fest Le Guitar Fest offre bien plus que des concerts exceptionnels. Le festival propose également des activités spéciales et des expositions dédiées à la guitare, permettant aux participants de plonger dans l'univers fascinant de cet instrument emblématique. Des ateliers de guitare seront animés par des professionnels chevronnés, offrant aux amateurs la possibilité d'améliorer leurs compétences et d'apprendre de nouvelles techniques. Des conférences et des tables rondes seront également organisées, abordant des sujets variés tels que l'histoire de la guitare, l'évolution des styles musicaux et l'innovation technologique dans la fabrication d'instruments. Parallèlement, des expositions mettront en valeur des guitares emblématiques appartenant à des artistes légendaires, ainsi que des photographies et des objets rares liés à l'histoire de la musique populaire. Avec sa collection de plus de 3000 instruments de musique, le MUPOP est le premier musée de France dans le genre. L'ambiance électrisante du Guitar Fest est l'une des attentes les plus fortes pour les festivaliers. La passion partagée pour la musique et la guitare crée une atmosphère unique, où les émotions se mêlent aux sons envoûtants. L'énergie des concerts, les applaudissements enthousiastes et la communion entre les artistes et le public font de cet événement un moment inoubliable. Parmi les moments forts attendus, Axel B...

Un haut lieu de l’art textile à Aubusson

Installée dans l’ancienne École d’art décoratif d’Aubusson entièrement réhabilitée et inaugurée le 10 juillet 2016 par le Président de la République, la Cité de la tapisserie a été créée dans le but de porter haut cet art pluriséculaire emblématique d’Aubusson : l’art de la « lisse ». La tapisserie : un monde en couleur Dans les collections, pas moins de 330 tapisseries murales, 15 000 œuvres graphiques et 50 pièces de mobilier… À travers un parcours d’exposition inédit sur plus de 1 200 m2, la Cité internationale de la tapisserie invite à découvrir l’univers de la tapisserie et de ses savoir-faire, du XVe siècle à nos jours. Le parcours d’exposition dévoile ce grand patrimoine en trois espaces. Avec des tissages du monde entier, les « Tapisseries du monde » montrent l’universalité de l’art de la tapisserie. L’espace « Les mains d’Aubusson » dédié aux métiers et savoir-faire de la tapisserie fait le lien avec la labellisation de l’UNESCO. Enfin, avec ses 7 m de hauteur, la « Nef des tentures » invite à une déambulation au fil des œuvres et de l’histoire de la tapisserie d’Aubusson dans des décors en trompe-l’œil. Une véritable « Cité » Pour prolonger la visite, des démonstrations de tissage et de restauration sont accessibles en groupe dans les espaces professionnels. Car plus qu’un musée, la Cité internationale de la tapisserie s’emploie au rayonnement de la tapisserie d’Aubusson notamment en renouant avec l’art contemporain, le design ou l’architecture (plateforme de création contemporaine, pépinière à destination de porteurs de projets textiles innovants, atelier de tissage mis à disposition des lissiers pour des commandes de grande envergure), mais aussi à travers la transmission et la conservation du savoir-faire (centre de ressources et bibliothèque de niveau européen sur la tapisserie et les arts textiles, espace de formation pour l’enseignement d’un Brevet des métiers d’art, ou encore l’Atelier de restauration de tapisseries du Mobilier national). ...

Un hymne à la paix pour le centenaire de la guerre

Verdun, 21 février 1916. Le soleil se lève à peine que l’armée allemande déchaîne des tirs d’obus sur les lignes françaises. Cet assaut marque le début de 300 jours et de 300 nuits de combats terribles, sans discontinuité, qui sera l’affrontement le plus meurtrier de la Grande Guerre. La Bataille de Verdun emporte avec elle pas moins de 300 000 êtres chers. Depuis 1996, l’événement-spectacle Des flammes…à la lumière évoque cet épisode tragique de l’histoire avec émotions intenses, à travers un gigantesque spectacle de son et lumière à 360°. De la guerre… à la paix Ce projet ambitieux et sans pareil en Europe a été relevé haut la main par l’association Connaissance de la Meuse, fondée et présidée par Jean-Luc Demandre, qui n’est autre que le metteur en scène et coscénariste de l’événement. « Notre idée de départ était de rendre hommage à tous les combattants en revivifiant l’histoire dans la mémoire collective », explique-t-il. En recueillant les documents d’archives, les traces écrites, les divers ouvrages et les témoignages des anciens combattants, il décide d’approcher le sujet par un regard croisé à la fois sur les soldats au champ de bataille que sur les civils. D’un côté, le scénario se rapproche de l’expérience pénible que devaient vivre les hommes, les femmes et les familles déchirés par la guerre et obligés d’abandonner leur village dans les larmes. Le spectacle veut s’incruster dans le quotidien de ces gens lambda qui se retrouvent du jour au lendemain au milieu d’une guerre sans merci. Quelques kilomètres plus loin, les soldats des deux camps ennemis s’affrontent sans relâche, se blessent et se redressent, tombent et se relèvent en essayant de survivre dans le froid, dans la nuit, dans la boue, entourés de rats et des poux... Au cœur de ces moments ténébreux, l’histoire met en lumière le récit de deux jeunes soldats français et allemands qui vont croiser le chemin d’un Belge devenu volontaire pour soigner les blessés de guerre. Émotion, sacrifice, amitié, dévouement s’entremêlent dans leur histoire. Vers la fin du spectacle, « à l’évocation de l’armistice, nous avons deux soldats qui se donnent une poignée de main : Verdun est un haut lieu de la souffrance mais aussi un haut lieu de l’espoir. L’espoir que non seulement la paix est possible, mais que les ennemis d’hier peuvent vivre en amitié et en harmonie aujourd’hui », nous souffle Jean-Luc, une pointe d’émotion dans la voix. Un spectacle vivant Cet événement-spectacle de la guerre 14-18 représente la plus grande performance jamais réalisée en France. Il se déroule sur une scène de deux hectares à ciel ouvert avec une tribune de 2 500 places numérotées. Un panorama impressionnant éclairé sous le feu de 1 000 projecteurs et souligné par des jeux de lumière et des effets spéciaux exceptionnels pour une expérience mémorable. « Nous utilisons des techniques du théâtre et du cinéma pour réaliser le spectacle en s’appuyant sur un parc de matériel à la pointe, sans pour autant effacer l’humain qui est au cœur de la performance », souligne notre interlocuteur. Pour l’été 2018, marqué par le centenaire de la Grande Guerre, de nouvelles scènes s’ajouteront à l’événement, notamment la première bataille aérienne de l’histoire, une fête foraine dans une ville d’arrière-front et des confessions poignantes entre l’arrière et le front. En apothéose, des éléments de décor surgissent de part et d’autre au rythme du spectacle, créant ainsi des émotions et des surprises sans fin. Par ailleurs, près de 900 costumes sont confectionnés sur mesure pour les 250 acteurs français qui feront vivre l’histoire. Derrière, le spectacle Des flammes… à la lumière mobilise pas moins de 450 bénévoles passionnés, petits et grands. Ils prennent part à la scénographie, la logistique, les préparatifs tec...

Théâtre Beaulieu, un succès constamment grandissant

Après avoir fondé la compagnie Même Pas Cap, à Nantes, en 2001, le comédien Olivier Collin dépose le nom du Théâtre Beaulieu. Cette dénomination remplace celle de la salle Sémaphore lorsque la troupe la loue afin d’assurer ses représentations. Un concept intelligent et porteur Le concept de Même Pas Cap est de monter des pièces de théâtre de boulevard et des comédies, ayant eu un écho ou un grand succès à Paris, comme c’est le cas pour « Toc Toc » de Laurent Baffie, « Le père noël est une ordure » du Splendid ou encore « Oscar » incarné autrefois par Louis de Funès. L’idée est d’augmenter la période des représentations, chaque pièce étant jouée 60 fois, soit deux pièces par saison. La salle contient 280 places et a enregistré pour toute la durée de production du grand succès « Le Noir te va si bien » plus de 16 000 entrées (40 guichets fermés sur 60). L’an passé, « Thé à la menthe ou t’es citron » comédie primé aux Molières  en 2011 a été mise en scène par son auteur Patrick Haudecoeur au théâtre Beaulieu. La fréquentation du théâtre Beaulieu s’accentue de saison en saison, passant de 5000 à 16 000 spectateurs (par pièce) de ses débuts en 2009 à aujourd’hui, dans la salle Sémaphore. De plus, la troupe nantaise a rarement vu son affluence baissé la barre des 30 000 spectateurs par saison. La construction d’un nouveau théâtre en 2019 En septembre 2019, sera construit le théâtre Beaulieu, d’une capacité de 320 places à 800 mètres de la salle Sémaphore, lieu ou se produit actuellement la compagnie Même Pas Cap. Et ce, en raison d’une réussite progressive dépassant les limites de l’enceinte qu’occupe actuellement la troupe nantaise. D’ailleurs, le projet sera financé par la billetterie, sans la moindre subvention. ...

La citéCirque de Bègles : un projet unique mettant le cirque contemporain à l’honneur.

La citéCirque est le nom donné à tout le volet de la politique culturelle de la ville de Bègles en faveur du spectacle vivant et du cirque. Le projet s’appuie sur le CREAC, association conventionnée avec la ville. La citéCirque est à la fois un équipement et un établissement culturel dont les principes et le périmètre d’intervention sont en évolution constante, notamment dans le cadre de la métropole. L’équipement cirque est constitué de l’Esplanade des Terres Neuves qui accueille les chapiteaux et du Bâtiment 7, du chapiteau et du matériel roulant. Il convient d’y ajouter les locaux administratifs et logistiques ainsi que la Chapelle de Mussonville. La notion d’équipement du projet la citéCirque fait encore appel à d’autres lieux et d’autres espaces qui ne sont pas spécifiquement localisés à Bègles. Depuis des années, en effet, et à l’occasion de partenariats avec d’autres opérateurs et communes, la programmation cirque du projet béglais s’installe, réside, se co-organise, se co-produit dans d’autres lieux de l’agglomération girondine : le Théâtre des 4 Saisons à Gradignan, la M270 à Floirac, la Manufacture Atlantique, le parc des Angéliques à Bordeaux entre autres. Les salles et les espaces publics de plusieurs communes constituent autant de lieux d’appui pour les projets actuels ou en devenir, notamment dans le cadre de « l’Été métropolitain » porté par l’Agglomération. HISTORIQUE Le projet cirque se développe à Bègles depuis 2006. Il se déploie dans un quartier en pleine mutation urbaine, au nord de la ville à l’endroit des anciens terrains militaires et jusqu’au boulevard faisant la jonction avec la ville de Bordeaux. Grâce à une importante opération de réaménagement urbain, les murs de l’ancienne friche militaire ont laissé la place aux « Terres Neuves ». À l’image du cirque et de son nomadisme, le projet la citéCirque se déploie sur la ville vers la métropole et plus récemment sur l’ensemble de la Grande Région sur des principes d’itinérances et de mutualisations avec des partenaires et des opérateurs, des artistes et des compagnies. Pour s’approprier ce territoire et faire sens, le projet cirque est rapidement apparu comme un acteur culturel susceptible d’accompagner la transformation de la ville et la mixité des populations. La croissance démographique notable à cet endroit, comme le développement d’activités économiques et de formation, d’une vie étudiante, se mêlent à un habitat populaire et ancré dans une tradition ouvrière. SES EQUIPEMENTS Pour développer son projet cirque et accompagner la citéCirque, la Ville de Bègles s’est dotée en 2013 de son propre chapiteau. Des éléments de régie, une piste et des gradins ont été conçus sur mesure de sorte à compléter la structure. Le chapiteau constitue tout à la fois un lieu de diffusion pour les compagnies ne disposant pas de leur propre chapiteau, une salle de spectacle modulable dans l’esprit du cirque (le cercle, la verticalité), un lieu de résidence et de production, un outil d’accompagnement des compagnies locales, un levier pour l’itinérance et le développement du territoire dans l’idée de la citéCirque. Dans cette continuité a été inaugurée fin 2013 l’Esplanade des Terres Neuves. Imaginée par l’architecte Christophe Gautié du cabinet Flint, elle est à la fois une place urbaine et un espace chapiteau en centre-ville. Cet espace permet l’accueil de chapiteaux de différentes tailles avec un sol adapté et modulable, le stationnement des convois, et prévoit les réseaux d’alimentation et d’évacuation nécessaires à la vie en caravanes. En 2019, la Ville de Bègles prévoit l’ouverture d’un nouvel espace culturel de 300 m2 : Le chapitÔ. Ce dernier a été imaginé comme un lieu de vie et d’activités en direction de tous les habitants et usagers de ce territoire : les jeunes, les étudiants, les travailleurs, les habitants. Il est le lieu du service culturel de la Vill...

A la découverte de l'Art Naïf

Le château médiéval sert d'écrin à ce musée d'exception qui présente le travail d'artistes autodidactes majeurs. Du Douanier Rousseau à Séraphine de Senlis, de Sanfourche à Alain Pauzié, la collection rassemblée fait découvrir des productions artistiques originales et inclassables se caractérisant par l’exubérance des formes et des couleurs, des rapports d’échelle et des perspectives inhabituelles, ou par l'utilisation de matériaux et supports inattendus.  Musée d'Art Naïf et des Arts Singuliers de Laval : hommage à des créateurs hors normes L'oeuvre Naïve ou Singulière est une production individuelle. Chaque créateur contourne les codes esthétiques et invente sa propre écriture plastique. Les œuvres - peintures, sculptures, dessins, collages, créations textiles et céramiques – invitent à un voyage immobile vers un univers fantasmé, plein d'émotion, de fantaisie, de tendresse et d'humour. ...

Ferme-musée de la Soyotte : art de vivre à la vosgienne

Il était une fois un groupe d’éclaireurs menés par Jean BERNARD ; lassés des feux de camp et autres réjouissances du genre ils décidèrent de se mettre à la danse. Folklorique s’entend, car nous sommes en 1955. La Soyotte venait de naître avec, devant elle, une décennie d’histoire d’amour exclusive avec la danse éponyme. Chansons et musiques traditionnelles ont ensuite enrichi les activités de l’association jusqu’à ce qu’elle acquière, dans les années 70, la ferme vite tournée en musée. Faire revivre la vie des ruraux d’antan La demeure du XVIIIe dont l’association fait l’acquisition en 1976 abrite, aujourd’hui, une collection très enviable. Ayant à cœur de sauvegarder le patrimoine vosgien, en promouvant la recherche et le développement des us et coutumes régionaux, cette adresse intime près de Saint-Dié-des-Vosges étonne par la richesse de son répertoire. Démarrée avec les outils et les instruments utilisés pour les besoins des spectacles du groupe, cette collection compte maintenant presque 9000 objets. Les vieux métiers de la région et l’habitat sont notamment tout particulièrement représentés dans la maison que les membres de l’association loi de 1901 ont pris soin de remettre entièrement en état. « […] en regardant soigneusement comment c’était au départ, […] dans la cuisine, j’ai gratté le revêtement (pour savoir !), Claudine et son mari ont ôté le faux plafond et refait à l’identique», se rappelle Marie-Thérèse Bernard, la présidente. Une (re)mise en scène d’une étonnante précision Aujourd’hui, les visiteurs auront plaisir à découvrir les « petits travaux d’hiver » à travers les collections de matériels entreposés dans l’ancien grenier à foin. Balais, fagots, paniers et sabots ont été replacés comme si leurs usagers n’étaient pas bien loin. La schlitte rappelle combien les fermiers d’antan ont su faire preuve de génie pour déplacer leurs charges d’un endroit à l’autre. Tous les travaux agricoles sont revisités et expliqués à travers la collection d’outillages : charrettes, chariots, brouettes, vans… Les femmes racontent leurs dures conditions d’existence métiers à tisser, carreaux de dentellières et costumes. « Elles travaillaient pour des marchands de Lunéville et Nancy. Tout était commandé en automne, avec des échantillonnages, était fabriqué durant l’hiver et était redonné aux vendeurs réels pour Pâques… » ...

Musée de Tautavel : à la découverte de la préhistoire

C’est après la découverte, en 1971, de l’Homme de Tautavel, un homo erectus ayant vécu il y a 450 000 ans, que l’idée de création d’un centre culturel et de recherche sur la préhistoire est née. Le Centre européen de recherches préhistoriques de Tautavel, inauguré en 1992, rassemble aujourd’hui en un seul lieu une réserve archéologique, un centre de recherche et un musée. Connu pour ses animations et son programme culturel qui rythme l’année, le musée propose à ses visiteurs un véritable voyage en famille dans le passé. Le Musée de Préhistoire de Tautavel Les collections archéologiques du musée de Tautavel, parmi les plus riches au monde et les plus anciennes de France (580 000 ans), sont exposées sur plus de 1 500 m² de galeries, suivant une présentation thématique : les animaux, les climats correspondant à chaque période, les outils utilisés par les hommes, les restes humains et les métiers de la préhistoire. Un espace dédié aux expositions temporaires est inclus dans le parcours de visite et propose toute l’année un programme varié sur la préhistoire, les sciences et l’archéologie. Le musée propose des visites en plusieurs langues (anglais, espagnol, allemand, catalan et néerlandais) et en braille, afin de permettre à un maximum de personnes de s’approprier la vie de nos lointains ancêtres. Des reconstitutions grandeur nature et des projections sont également utilisées pour rendre l’expérience plus réaliste. De plus, un nouveau projet est en gestation. « En 2019, le musée de Tautavel va être entièrement remis au goût du jour. Tout en restant une référence scientifique, il va être doté d’équipements muséographiques modernes pour amplifier l’expérience de visite des futurs visiteurs », nous confie David Angelats, chargé de communication.   Le musée des premiers habitants de l’Europe Ouvert en 2000 au Palais des congrès et de la préhistoire de Tautavel, cet établissement annexe, situé à 200 mètres du Musée de Préhistoire de Tautavel, entièrement rénové en 2011, se veut être plus moderne et plus ludique, en faisant la part belle aux manipulations interactives. Il est consacré à la partie la plus ancienne de la préhistoire en Europe et replace le site de Tautavel dans la chronologie des sites anciens européens. Les deux musées font l’objet d’un même billet d’entrée. ...

Théâtre de l'Aquarium :
un théâtre de création et de partage

Le Théâtre de l’Aquarium est l’une des 5 structures culturelles (lire ci-contre) de ce lieu-dit « La Cartoucherie » (nom d’origine). Il jouit de cet espace culturel exceptionnel, lové à la lisière du bois de Vincennes, dans une ancienne enceinte militaire dédiée à la fabrication de cartouches et transformée en lieu culturel dans les années 70. Depuis, ce site unique au monde est définitivement consacré aux arts de la scène. Les fondateurs de l’Aquarium, Jean-Louis Benoit, Didier Bezace et Jacques Nichet, ont marqué les grandes heures d’un théâtre engagé, avec des créations collectives subversives marquant cette époque en pleine mutation sociale et culturelle. En 2002, Julie Brochen prend la succession et rompt avec cette pratique en privilégiant des œuvres d’auteurs classiques majeurs qu’elle affectionne. C’est en 2009 que François Rancillac, actuel directeur de l’Aquarium, auteur et metteur en scène, en prendra la tête. Il y défend la création et les écritures théâtrales, d’ici et d’ailleurs ; d’hier et d’aujourd’hui. Il invite des artistes en résidence, Aurélie Van Den Daele et La Revue Éclair. Ensemble, ils revendiquent un théâtre d’art de service public, ouvert et généreux, de plain-pied avec le réel, toujours en quête de nouveaux spectateurs (notamment les jeunes). Un théâtre en questions au plus proche des réalités Alors que ses 50 ans ont été fêtés en 2015 avec une pièce documentaire écrite par François Rancillac, L’Aquarium, d’hier à demain, le théâtre de l'Aquarium poursuit son aventure théâtrale avec des saisons rythmées par des fils rouges. Cette saison 2016/2017 s’intitule « Fictions réelles » et convoque l’imaginaire pour inventer, rêver, créer la société d’aujourd’hui et lutter contre ses démons. Place à l’imaginaire, seul apte à transformer humainement le monde ! En mars, avec Les Métamorphoses d’après Ovide et Les contes d’Ovide de Ted Hughes mis en scène par Aurélie Van Den Daele, les histoires humaines et bestiales, oniriques et réelles, se raconteront dans un espace festif, populaire et cathartique. L’humanité se révèle ainsi avec ses passions, sa cruauté, ses excès et ses folies meurtrières. Les habitants du bois, grande fresque bucolique et politique, présentée en avril, sera conçue par la Revue Éclair, qui a arpenté durant plusieurs mois le bois de Vincennes. Corine Miret et Stéphane Olry vous raconteront, en 7 la « révolte du bois de Vincennes », une des plus passionnante tentative d’une part de l’humanité d’inventer un autre monde: la transformation du bois de Vincennes en une sorte de ZAD (zone à défendre) ou forêt de Sherwood. Des chroniques dans lesquelles le spectateur pourra s’immiscer en chantant, dansant, mangeant… selon les envies. L’Aquarium musical La musique ponctue la saison théâtrale de rendez-vous classiques et contemporains. Le quatuor à cordes Leonis propose de (re)découvrir les grands chefs-d’œuvre classiques lors de brunches-concerts dominicaux. L’ensemble de musique contemporaine Aleph vous fera goûter les plaisirs de la musique des XXe et XXIe siècles, avec buffets et collations à l’appui ! Théâtre de partage À la mi-juin, le « Festival des écoles nationales du théâtre public », 8e édition, se déroule à La Cartoucherie, à l’initiative de l’Aquarium. À travers leurs « spectacles de sortie » conçus par de grands metteurs en scène, les comédiens en formation dans les écoles supérieures de théâtre (françaises et étrangères) feront leurs premiers pas de futurs professionnels devant le « milieu » et vous, spectateurs : l’entrée est libre ! Tout au long de l’année, des amateurs de théâtre, néophytes ou aguerris, et des apprentis-comédiens des conservatoires franciliens peuvent éprouver leurs talents de comédiens sur scène en réinventant...

Les Canuts, une histoire toujours d’actualité

Trois salles d’exposition vous proposent de découvrir le cycle du ver à soie, l’apport social des canuts et de suivre l’évolution de cinq siècles de soierie lyonnaise. A 11h et à 15h30 vous pouvez suivre une visite commentée qui vous emmène dans l’atelier de tissage. Maison des Canuts : visite au Pays de la soierie lyonnaise et de l'invention de Jacquard... On vous explique l’invention de Jacquard illustrée par une démonstration de tissage sur métier à bras. Les articles de la boutique : foulards, écharpes, cravates sont 100% Made in Lyon.     ...

Place à l'art hors-les-normes

L'expression "art hors-les-normes" lui fut suggérée par ce dernier, qui souhaitait que le terme « art brut » soit réservé à sa propre collection. Elle désigne des productions insolites, réalisées par des autodidactes, des « hommes du commun à l’ouvrage». A découvrir Dans la « maison-musée » sont exposées plus de mille créations aux médiums très divers (dessins, peintures, assemblages, sculptures…) et les étonnants Turbulents d’Alain Bourbonnais lui-même. Le « jardin habité » présente des sculptures d’habitants-paysagistes et l’émouvant Manège de Petit Pierre qui, en 2019 -2020, est à l‘honneur pour fêter les 30 ans de son installation à La Fabuloserie. En 2020 -2021 un éclairage particulier est donné sur les créations de Jano Pesset et de Jean Bordes. ...

Écomusée de la Truffe : pour tout découvrir sur ce fabuleux champignon

Tout d’abord installé en plein centre du bourg de Sorges, l’écomusée de la Truffe a déménagé en juillet 2010 dans une ancienne ferme rénovée datant du XIXe siècle, à l’entrée du bourg. Sur environ 300 m², il se situe au 1er étage du bâtiment, au-dessus de l’office de tourisme et à côté du centre de documentation pour les passionnés de truffe. Ici, vous allez pouvoir découvrir tous les secrets de ce champignon. Caractéristiques de la truffe noire du Périgord La truffe est un champignon se développant sous terre, entre 5 et 20 cm de profondeur, au pied d’un arbre tel que chêne ou noisetier. Elle préfère les sols calcaires. On compte jusqu’à 40 espèces de truffe. D’un diamètre entre 2 et 7 cm, la truffe noire du Périgord est en forme de tubercule de couleur brun noirâtre avec une surface bosselée. Elle est récoltée en hiver, de novembre à février. Sa chair est ferme. Elle a une odeur forte, très aromatique. Grâce à son goût subtil, elle est très appréciée pour sublimer de nombreuses préparations culinaires. Environ six à dix tonnes sont produites chaque année dans le Périgord. Visite de l’écomusée de la Truffe Lors de votre visite de l’écomusée de la Truffe de Sorges, vous traverserez plusieurs salles avec vitrines et panneaux explicatifs, vous découvrirez dessins et schémas qui vous éclaireront sur les différentes espèces, vous comprendrez l’association de l’arbre et du champignon, vous apprendrez comment s’effectue le cavage, c’est-à-dire la récolte des truffes. Mais aussi vous pourrez apprécier le matériel du parfait trufficulteur et visionner une vidéo sur son savoir-faire. À la sortie, place à la gastronomie avec des vidéos de recettes de cuisine, puis avec la boutique où vous pourrez trouver une belle palette de produits régionaux. Des tablettes sont disponibles pour accompagner votre visite : des visites adultes, des visites enfants et traduites en plusieurs langues. Ou vous pourrez opter en été pour une visite guidée. L’écomusée est accessible aux handicapés. Le sentier des truffières Si vous souhaitez approfondir votre découverte de la truffe, vous pouvez emprunter le sentier des truffières, long de 3,5 kilomètres, qui vous permettra de vous immerger dans la faune et la flore spécifiques des truffières. Grâce aux différents panneaux explicatifs, vous constaterez la diversité des lieux de production de ce champignon (le plan est disponible au musée). Des visites guidées sont organisées en juillet et août  les mardis et jeudis après-midi. ...

Le Quadrilatère : un haut lieu de la culture beauvaisienne

Une entrée sur l’histoire de la Ville L’établissement intègre un espace patrimonial situé au cœur du bâtiment, face à l’enceinte gallo-romaine.  Produit et mise en oeuvre dans le cadre du label Ville d’art et d’histoire, l’espace patrimonial permet de découvrir la construction et l’évolution de la ville depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours. Pensé comme une expérience, cet espace offre différents outils ludiques à expérimenter en famille. Un lieu de médiation de l’art La programmation du Quadrilatère associe une politique d’expositions temporaires, un programme culturel et éducatif à destination d’un large public. Les expositions monographiques ou collectives présentent des oeuvres et recherches artistiques contemporaines et accompagnent l’évolution des pratiques artistiques. Proposée comme des temps de rencontre entre les oeuvres et le public, la programmation culturelle se construit autour de dispositifs de médiation et d’accompagnement à la découverte de l’art contemporain. Une équipe aux petits soins pour le public L’équipe du Quadrilatère utilise son imagination afin de proposer des actions de médiation innovantes. Le but étant de rendre accessible au plus grand nombre la découverte des arts et du patrimoine. Pour cela, les expositions et les médiations favorisent souvent l’expérience, qu’elle soit artistique, scénographique, chorégraphique, ou gustative et toujours conviviale! ...