On a tous déjà eu ces moments « oops » où sur le point de faire ses courses, l’on se rend compte que l’on n’a pas sa liste sur soi. Alors on improvise des achats approximatifs débouchant parfois sur des acquisitions parfaitement inutiles. Pour en finir avec ces épisodes où les courses virent à une prise de tête, une start-up francilienne a eu l’idée de créer une application adaptée. Par la même occasion, la marque entend aider les utilisateurs à mieux manger. Leur dispositif embarque, en effet, l’indicateur du Nutri-score pour évaluer rapidement si les aliments figurant sur la liste sont assez sains. Scan’Up, pour choisir enfin les bons aliments Sorte de réinvention 2.0 de la liste de courses, Scan’Up se compose d’une application mobile et d’un boîtier connecté pour la cuisine. La première est disponible gratuitement sur iOS et Android. « On est parti du constat que la plupart des consommateurs font une liste de courses et achètent toujours les mêmes produits, mais cherchent à améliorer leur alimentation », explique Caroline Péchery pour retracer la genèse du concept. Celui-ci opère sur un mode assez simple. L’utilisateur scanne le code-barres du produit qu’il souhaite ajouter à sa liste de courses. Cela peut se faire soit directement depuis l’application, soit via le boîtier connecté. Pour chaque produit intégré, l’appli va générer un ensemble d’informations : détails sur son profil nutritionnel, liste des allergènes figurant dans la composition et prix moyen constaté. « L’idée, souligne notre interlocutrice, c’est que par rapport à ces informations, l’utilisateur va pouvoir rechercher des alternatives de produits équivalents mais plus sains. » Le tout, parmi une dizaine de marques différentes (du même produit). Des fonctionnalités multiples Le vrai plus de cette appli, c’est que toute la famille va pouvoir intégrer ses besoins personnels. Une fonction de partage de la liste de courses est effectivement disponible, avec enregistrement en temps réel des modifications. Par ailleurs, un bilan nutritionnel est généré à partir de l’ensemble des produits figurant sur liste. Cela donne un aperçu rapide et facile à lire, quant à la proportion de produits sains. De plus, l’appli autorise une commande directe des produits retenus depuis son interface. Par la suite, l’utilisateur se voit livrer son panier après qu’une enseigne de conciergerie collaborant avec Scan’Up a fait les courses à sa place. Se faire plaisir et découvrir de nouveaux produits L’enseigne projette, en outre, de faire accéder les utilisateurs à une gamme de produits gratuits. Ces opportunités s’adressent aux personnes acceptant de faire partie des panels lorsqu’une marque commande un test consommateur auprès de Scan’Up. Les amateurs d’achats malins, eux, en auront également pour leur compte. « Ils pourront bénéficier de promotions et de réductions sur des produits », promet notre interlocutrice. Quant à ceux qui s’alignent déjà sur une façon de se nourrir en particulier – vegan, bio, sans gluten… –, ils auront très vite le plaisir de retrouver rapidement des produits adaptés. Une liste thématique allant dans ce sens est, en effet, sur le point d’être mise en place sur l’interface de l’appli. ...
Impliqué dans des thématiques de recherche au cœur de la société de l’information et de la communication, l’Institut d’Électronique et de Télécommunications de Rennes est l’un des rares instituts présents sur toutes les longueurs d’onde en électronique. Ses axes de recherche se déclinent autour de 10 thèmes majeurs : systèmes rayonnants complexes ; matériaux fonctionnels ; systèmes de communications numériques ; signal et électronique embarquée ; analyse et codage d’image 2D et 3D ; prototypage rapide ; automatique des systèmes hybrides ; dispositifs électroniques ; capteurs intégrés ; propagation et localisation et télédétection active (radar) et passive (hyperspectrale). Une pluri-expertise reconnue nationalement, mais aussi à l’international, qui est le fruit d’une recherche multi-établissements (CNRS, Université de Rennes 1, INSA de Rennes, Université de Nantes et CentraleSupélec Campus de Rennes) et multi-sites (Rennes, Lannion, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Coëtquidan, Nantes, Angers et la Roche-sur-Yon). Rattaché à l’Institut des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes (INSIS) du CNRS, ce laboratoire du Grand Ouest, soutenu par les collectivités territoriales, accueille des chercheurs associés par convention d’accueil (UBO, ESEO, CEREMA-Nantes). Une recherche sur les systèmes de télécommunications au sens large La recherche amont sur les systèmes de télécommunication au sens large est la force de l’IETR qui intervient aussi bien au niveau dispositifs et matériels (antennes, circuits micro-ondes, sondeurs de canal, implantation sur DSP, FPGA, dispositifs électroniques, capteurs et circuits intégrés...), systèmes (haut débit, sans fil, systèmes sur puce, radiologicielle, modulation/démodulation, multiporteuses, techniques d’étalement de spectre, propagation [indoor, outdoor, radiomobile, ionosphérique, etc.]...) et matériaux pour la conception et la réalisation de systèmes antennaires et dispositifs hyper-fréquences innovants. Au-delà de la qualité de ses recherches, reconnu au travers de nombreuses collaborations contractuelles régionales, nationales ou européennes, l’IETR, membre du LabEx Comin Labs et de l’IRT B-Com, participe activement aux pôles de compétitivité Moveo, i-trans et Aerospace Valley et est très fortement impliqué dans les pôles Images & Réseaux, iD4Car et Mer Bretagne, ainsi que dans plusieurs réseaux régionaux. Plus de 170 contrats de recherche ont impliqué ses chercheurs depuis les quatre dernières années. La valorisation de ses travaux se manifeste par le dépôt de 37 brevets prioritaires et 22 extensions de 2008 à 2013, mais aussi par le transfert de technologies via la création de 12 start-ups depuis 1986. Des plateformes technologiques dernier cri En plus de ses plateformes technologiques, l’IETR dispose dans le domaine des « Antennes » de nombreuses infrastructures métrologiques de pointe dont certaines uniques en Europe et accueille la salle blanche du Centre Commun de Microélectronique de l’Ouest reconnue centrale proximité NanoRennes par le CNRS. L'IETR vient d'acquérir le système aéroporté PIMA (plateforme d'ingénierie multimodale aéroportée) qui en fait une plateforme académique unique en Europe. ...
Assesseur et coach certifiée maître praticien par l’EMCC, également formatrice inscrite au répertoire des CFI, Céline DALBÉRA se destine pour ce métier depuis toujours. « Sans le savoir, j’ai toujours été coach avant même l’apparition de ce métier en France », nous confie-t-elle. Et pour cause, elle a toujours fait du développement du potentiel humain son unique credo, que ce soit dans sa carrière d’ingénieur agronome ou dans sa vocation d’enseigner. Elle s’initie très tôt au management des équipes, s’intéresse à la pédagogie créative et apprend à cultiver l’intelligence émotionnelle dans ses relations. JARDINS D’ACCORDS est la continuité logique de son parcours, où elle partage avec d’autres consultants externes la conviction que le développement durable de la personne est le principal facteur clé de la performance collective. Se connaître soi-même pour mieux se reconnecter aux autres Son expertise se déploie sur plusieurs champs d’intervention : coaching individuel, coaching de groupe, formation, accompagnement de projets stratégiques, techniques et projets de changement. « Notre philosophie repose sur la valorisation du capital humain et la mobilisation des formes d’intelligence, aussi bien émotionnelle, relationnelle que collective. » Scientifique comme elle est, Céline DALBÉRA construit ses accompagnements et sa pédagogie en se référant aux neurosciences car il faut comprendre les principes du fonctionnement à la fois des individus et du système pour piloter un changement significatif qui soit pérenne. Ce travail s'appuie sur le respect de l’écologie personnelle de chaque collaborateur et l’écologie de l’organisation. Ici, la notion d’écologie englobe la logique qui relie l'histoire, les valeurs, la personnalité/la culture, les rythmes et l’évolution des relations qu’une personne/organisation entretient avec son environnement. « Notre vigilance porte sur la cohérence entre ces deux concepts, de telle manière qu'il y ait harmonie entre les parties prenantes de l’écosystème et que l’individu s’épanouisse dans le collectif. » De ce fait, le choix du processus d’intervention et des techniques utilisées varie en fonction de la complexité de l’environnement étudié (entreprise, associations, collectivités, etc.). Stimuler la dynamique émotionnelle Aux JARDINS D’ACCORDS, accompagner un changement signifie révéler le meilleur de la personne, l’aider à dépasser son cap d’évolution et lui permettre d'exprimer son plein potentiel. Céline DALBÉRA réalise cette mission en s’appuyant sur deux stratégies : orienter l’ascension vers les ressources déjà présentes et exploiter la synergie des deux hémisphères cérébraux. Pourquoi est-il si important d’apprécier les compétences, les qualités, les performances et les moyens déjà en place ? « Quand on regarde les neurosciences, on constate que l’énergie, le désir, l’enthousiasme et même l’apprentissage et la mémoire sont nourris par les signes de reconnaissance positifs, la célébration des réussites. » En d’autres termes, elle encourage les équipes à s'appuyer sur leurs réussites passées, comme un moyen de se projeter dans le futur. « Dans ma méthodologie, j'invite à transformer la problématique en une ambition, une vision, puis à mobiliser les ressources individuelles au service du collectif en créant du lien entre les collaborateurs : c'est cela qui génère une fédération des équipes, de l’innovation et une performance durable. » ...
Qu’il s’agisse de travailleurs indépendants ou des équipes de grands groupes, weréso est en mesure de répondre à toutes les attentes et peut s’adapter aisément à toutes les formes d’organisation. weréso, une communauté avant tout ! En termes de chiffre, weréso c’est plus de 600 entreprises, 203 weréso Academy et 1300 membres réunis dans un unique réseau. L’échange humain est au cœur même de l’esprit weréso. C’est ce qui fait son point fort et le distingue des autres espaces de coworking. En effet, chaque détail a été pensé de façon à ce que les gens se rencontrent. Cela passe par l’organisation du lieu en lui-même qui intègre notamment des espaces de vie destinés à favoriser les échanges. Le tout dans la convivialité et la bonne humeur. « L’aménagement de cuisine confortable et de douches illustrent parfaitement cette idée de rapprochement». nous fait savoir Armand Verger, le fondateur. Mais weréso, c’est aussi et surtout une équipe dynamique qui prend à cœur de faciliter la relation entre les clients. La communauté se caractérise avant tout par sa complémentarité. Le fondateur souligne en effet : « L’idée c’est que dans un lieu comme weréso, les personnes soient suffisamment complémentaires pour pouvoir développer des synergies entre elles ; complémentaires dans les métiers, dans les activités et dans les formes d’organisation ». Ainsi, en associant un lieu à une communauté, weréso ouvre la voie au développement d’un réseau et d’opportunités professionnelles. Une offre très flexible et à la portée de tous les budgets ! D’abord, afin de permettre à ses clients de gagner en mobilité, weréso propose des lieux qui sont non seulement proches de leurs domiciles mais aussi dans les grandes villes de France comme Paris, Lille, Lyon, Asnières et bientôt à Bordeaux et Marseille. D’ailleurs, une des ambitions de cet espace de coworking c’est de « mailler le territoire et au-delà » rappelle Armand Verger. En effet, dans quelques années, weréso ouvrira également des espaces en Europe. Que ce soit à la carte (à l’heure) ou sur la base d’un abonnement mensuel, il propose une offre flexible qui s’adapte à tous les budgets. A l’intérieur d’espaces modulables et chaleureux, les clients ont la possibilité de choisir la formule adaptée à leurs besoins. Celle-ci inclut des bureaux d’espaces partagés, idéal pour stimuler la créativité aussi bien que des bureaux privatifs pour pouvoir discuter en toute confidentialité. L’offre weréso permet de profiter du lieu et de ses services dans les meilleures conditions. Pour plus de liberté et ce, quelle que soit la formule choisie, weréso à travers l’offre all inclusive, fait profiter de nombreux avantages aux utilisateurs. Celle-ci comprend : Wifi, accès 7j/7 24h/24, impressions, café à volonté, accès aux salles de réunion (une heure par jour pour les abonnés) et à la weréso Academy. ...
La bienveillance comme levier de développement Quelle que soit la nature de la mission qui lui aura été confiée (coaching professionnel, consulting, formation, accompagnement de projet), Nelly Trevgoda écoute mais ne juge pas. Toujours bienveillante, jamais complaisante, elle s’applique à accompagner ses clients jusqu’au résultat qu’ils souhaitent obtenir. Qu’il s’agisse d’atteindre ses objectifs, de développer ses compétences managériales, ou encore d’identifier des difficultés et de les surmonter. Mais n’allez surtout pas la comparer à un psy ! « Chacun son métier », répond-elle lorsque l’on fait mine de relever quelques similitudes entre les deux professions. En coaching professionnel, ne seront abordées que les problématiques liées au travail. « Pas question de remonter jusqu’à la petite enfance », précise-t-elle. « De plus, là où un psy s’intéressera au “pourquoi’’ de telle ou telle situation, le coach, quant à lui, se concentrera sur le “comment’’ ». Une fois la problématique formulée, le coach élaborera alors un plan d’action de façon pragmatique. Valoriser sans dénaturer L’implication du « coaché » est un facteur déterminant dans la réussite du coaching. « Certains clients sont en quête de conseils. Mais bien souvent, c’est en eux qu’ils devront puiser les ressources dont ils croient manquer. » Comme l’explique Nelly Trevgoda, « un coach ne sera pas dans le “Je sais mieux que vous alors laissez-moi vous dire quoi faire” mais plutôt dans le “Je vais vous aider à trouver votre potentiel et à l’exploiter.” » Donner des directives à quelqu’un et l’aider à faire émerger des choses qu’il possède déjà mais dont il ignore l’existence ou dont il sous-estime l’importance sont deux choses très différentes. Nelly Trevgoda, qui, avant d’embrasser la profession de coach, a étudié la restauration de tableaux anciens à Avignon, aime à comparer son activité à celle du restaurateur. « L’éthique c’est de mettre en valeur une œuvre, tout en prenant soin de ne pas altérer sa nature. Avec mes clients, c’est le même processus : le coaching leur permet de se mettre en lumière et de rester en accord avec leur personnalité profonde. » Une large palette d’outils Que l’on restaure un tableau du XVIIIe siècle ou que l’on mette en place un accompagnement personnalisé pour un manager désireux d’améliorer son leadership, il est nécessaire de disposer non seulement d’une formation solide, mais aussi des bons outils. Coach accréditée et formée à l’analyse transactionnelle ainsi qu’à l’approche systémique des organisations, Nelly Trevgoda peut compter sur une « boîte à outils » bien remplie pour mener à bien sa mission. Loin de se contenter d’exercices théoriques, Nelly adopte au contraire une démarche pragmatique. Elle accorde notamment une grande importance à la pratique par le biais de mises en situation concrètes. ...
Un nouvel espace de coworking à Chalon Le travail de free-lance vient avec son lot d’avantages : indépendance, choix des horaires de travail, gestion de son temps libre, choix de ses partenaires. La liste est sans fin. Mais comme toutes les bonnes choses, il est accompagné de son lot d’inconvénients. Parmi les différentes demandes exprimées par les travailleurs indépendants de Saône-et-Loire, il revenait souvent l‘absence d’un espace de coworking digne de ce nom à Chalon-sur-Saône. C’est chose faite avec l’ouverture récente de Chalon-Coworking, le tout nouvel espace de travail partagé du centre-ville. Les avantages de travailler dans le même espace « Je travaille moi-même comme free-lance depuis 2004 et j’entendais parler des espaces de coworking, particulièrement les Anglo-Saxons, qui se développaient de plus en plus. L’idée d’ouvrir mon propre endroit a germé depuis dans mon esprit, mais ce n’est qu’il y a deux ans que j’ai commencé effectivement les démarches. », explique Pierre Canthelou, fondateur de Chalon-Coworking. Il y a une énorme différence entre les espaces de coworking des grandes villes et ceux des plus petites agglomérations comme Chalon. Les attentes et les besoins, comme le public cible, ne sont pas les mêmes. Mais les avantages quand on sort de chez soi pour travailler dans un espace commun, avec d’autres free-lances, sont partout les mêmes. À Chalon-Coworking, on bénéficie d'un bel open space équipé de la fibre. L’accueil, assuré par Pierre lui-même, est parfait : café, écoute, ambiance de travail studieuse. « Une fois que le coworker passe le pas de la porte, il est généralement surpris par l’espace. C’est vrai que l’on se projette facilement ici. » En plus d’accueillir les travailleurs, le gérant s’occupe de faire la promotion de leurs activités sur son site Internet et sur les réseaux sociaux. Il met en relation les différents utilisateurs de l’espace en plus de les rapprocher d’autres réseaux professionnels de la région. Pierre organise aussi des ateliers orientés vers les professionnels. Tous les mois par exemple, une experte dans les techniques de massage vient soulager les nuques des participants. Mais les ateliers sont variés : informatique, design, développement de logiciels, il y en a pour tous les goûts. Le dernier vendredi du mois, il propose un petit déjeuner où les participants sont invités à discuter entre eux. Encore une manière de faire du réseautage dans une ambiance conviviale. Que l’on cherche un espace où venir travailler une heure, une journée ou même toute l’année, Chalon-Coworking est le nouveau bureau du centre-ville de Chalon-sur-Saône où venir poser son ordinateur. ...
La formation par l'apprentissage constitue une voie d'accès à la qualification encore peu répandue dans le secteur sanitaire. Elle répond pourtant à un problème de précarité grandissante des stagiaires et étudiants, tout en contribuant à la fidélisation du personnel dans les établissements de santé. C'est une voie d'excellence ouverte à toutes et à tous jusqu'à l'âge de 29 ans révolus, sans limite d'âge pour les personnes reconnues travailleurs handicapés. Aide-soignante : rôles et missions L'aide-soignant(e) intervient en milieu hospitalier ou extra-hospitalier, le plus souvent dans une équipe pluri-professionnelle, sous la responsabilité de l'infirmier(ère), en réalisant des soins préventifs, curatifs ou palliatifs. Son rôle s'inscrit dans une approche globale de la personne soignée et prend en compte la dimension relationnelle des soins, qui ont pour objet de promouvoir, protéger, maintenir et restaurer la santé des personnes, dans le respect de leurs droits et de leur dignité. Devenir Aide-soignant(e) par l'apprentissage Pour suivre les études conduisant au diplôme d'État d'aide-soignant (DEAS, niveau V), les candidats doivent être âgés au moins de 17 ans au moment de leur entrée en formation, et réussir des épreuves d'admission écrites (avec possibilité de dispense) et orales. La signature d'un contrat d'apprentissage nécessite d'être recruté par un établissement du secteur sanitaire, au sein duquel s'effectuera la formation pratique. Le CFA SMS accompagne les candidat(e)s à réfléchir sur leur projet professionnel, à prospecter pour trouver un employeur et finaliser un contrat d'apprentissage. La durée de la formation est de 16 mois, partagée entre 595 heures à l'UFA et 1 645 heures sur le lieu d'emploi. ...
Des prestations de coaching et de formation adaptées aux besoins de chacun Parce que chaque entreprise est unique et se voit confrontée à des problématiques qui lui sont spécifiques, il est essentiel de les accompagner différemment. « Aucun des programmes d’accompagnement que nous mettons en place, qu’il s’agisse de coaching ou de formation, n’est identique » précise Isabelle Charvin, Directeur Général associée de Neocoach. « Une entreprise a des besoins qui ne sont pas les mêmes que ceux d’une autre. Et ces besoins sont susceptibles d’évoluer avec le temps. L’expérience de nos équipes - chaque coach de Neocoach a occupé, à une moment donné de sa carrière professionnelle, des fonctions de direction ou de management - leur permet de s’adapter rapidement à leur interlocuteur ». En fonction des besoins qui auront été identifiés, les équipes de Neocoach endosseront leur costume de « consultant, de formateur ou de coach ». Les stratégies qui seront mises en place seront parfaitement adaptées. « Si l’on devait comparer le coaching et la formation à l’industrie textile, chez Neocoach, nous ferions du ‘’sur-mesure’’… avec du design créatif » explique Isabelle Charvin. « Nos programmes sont uniques. C’est à dire qu’ils sont conçus au cas par cas, de sorte qu’ils puissent répondre précisément aux besoins managériaux spécifiques de chacun de nos clients : un manager qui souhaite réussir sa prise de poste, un dirigeant qui désire développer son leadership ou faire franchir un cap à son entreprise, des problématiques de conflits d’équipes à gérer, la recherche d'efficacité des équipes de direction mais aussi de commerciaux à améliorer… Les demandes que l’on nous adresse sont très diverses. Et s’y adapter nécessite une grande agilité ». Une approche qualitative et centrée sur les résultats S’appuyant à la fois sur le vécu professionnel de ses équipes - parce qu’ils ont tous été, dans une vie antérieure, des dirigeants ou des managers, les coachs de Neocoach savent de quoi ils parlent - et sur la solidité de la formation qu’elles ont reçue - Isabelle Charvin ainsi que tous ses affiliés sont certifiés ICF -, Neocoach dispose de nombreux atouts pour accompagner efficacement les dirigeants qui ont recours à son expertise. « Notre objectif, c’est d’avancer avec nos clients avec efficacité mais aussi avec plaisir » précise-t-elle. « Notre rôle consiste à les aider à gagner en confiance et à faire émerger leurs solutions gagnantes. En tant que coachs, nous ne devons pas fournir de réponses ‘’toutes faites’’ à nos clients mais, au contraire, faire en sorte qu’ils trouvent en eux les réponses aux questions qu’ils se posent ». En effet, un coach - s’il est compétent, qu’il a suivi une formation sérieuse et qu’il respecte les règles de déontologie qui s’appliquent à son activité - évitera de se substituer à la démarche de son client mais mobilisera les ressources de ce dernier. « D’ailleurs » ajoute Isabelle Charvin, « ces réponses, ce sont nos clients eux-même qui sont le plus à même de les trouver ». ...
Au-Delà est une agence de communication événementielle, prenant en charge les projets de ses clients de A à Z. Ainsi elle accompagne chaque entreprise pour sa communication interne (conventions, séminaires, lancement de produits, voyages de motivation, workshop, ...) et externe (assemblées générales, soirées clientèles, lancements de produits, inaugurations, …). 3 questions à Charlotte Caliouw, fondatrice et directrice d’Au-Delà Quel est votre parcours et pourquoi avoir créé Au-Delà ? Mon parcours professionnel événementiel débute il y a 18 ans en agence événementielle parisienne. Après 4 ans exercés en tant que chef de projet puis directrice de production de l'agence, j’entre chez HENKEL, dans la division Schwarzkopf Professional, au poste de chargée de com événementielle puis responsable de communication pour 4 années. Forte de cette double expérience, il y a 10 ans, je crée AUDELA, car j’ai la chance de maîtriser la dimension stratégique et politique inhérentes aux grandes sociétés et les aspects opérationnels, techniques « terrain » qui sont demandés à une agence. Cela permet à l’agence de se positionner comme conseil à tous les niveaux demandés pour la mise en œuvre d’un événement. Comprendre les enjeux et la problématique de nos clients (y compris les non-dits !) grâce à cette expérience dans un grand groupe, nous permet de répondre au mieux à leurs attentes et à leurs exigences. Et ce même vécu nous permet de proposer un encadrement adéquat tout au long de la mise en œuvre du projet : notre connaissance des rouages internes de l’entreprise nous permet d’anticiper certains revirements. Quelles sont les valeurs qui font la force de votre entreprise ? L’ENGAGEMENT : ADN DE L’ENTREPRISE Nous prenons en charge un projet, ses équipes, ses contraintes. Nous sommes l’appui principal de notre client tout au long de la mise en œuvre de son événement. Tous les actes que nous entreprenons n’ont qu’une finalité : servir efficacement ce projet. Notre investissement est la garantie d’une relation de partenariat durable et de qualité avec chacun de nos clients. LE RESPECT : PLUS QU’UNE LIGNE DE CONDUITE Cette notion est fondamentale pour nous et se décline à tous les niveaux d’engagements. Humain, dans nos relations clients et nos relations fournisseurs. Financier, dans notre façon d’aborder les investissements et la politique tarifaire de l’agence. Délais : nous remettons les clés de nos événements en temps et en heure. LE SUR-MESURE : OBJECTIF ALCHIMIE Chaque projet est unique. Il répond à une problématique précise, intimement liée à la vie, aux valeurs, à l’histoire de l’entreprise, au projet et aux ambitions qu’elle porte. Écouter, analyser, comprendre chaque vision, chaque attente, afin de proposer des événements et idées adaptés, voilà notre objectif. Avec justesse et minutie, chaque projet ne ressemble qu’à l’entreprise qui l’initie. LA PASSION : ESSENCE DE NOTRE TRAVAIL Partager des expériences uniques avec nos clients, servir leurs objectifs, réaliser des projets exclusifs nourrit notre motivation, insuffle toujours plus de dynamisme à nos réflexions et emplit nos créations d’émotion. Quelles sont les étapes de l’organisation d’un évènement ? On peut distinguer 3 phases : 1- La stratégie La détermination de l’événement : sa définition stratégique, ses objectifs propres, ses enjeux pour l’entreprise, la portée attendue. La prise de briefing par l'agence : elle est primordiale pour cerner et appréhender l’événement et la culture les besoins de l'entreprise. Le brainstorming : il fait naître les idées et de lui découle la stratégie de réponse de l’agence. La réponse de l’agence : elle doit correspondre aux attentes mais peut aussi insuffler d’autres partis-pris pour soutenir la stratégie demandée par le client via d’autres formats que ceux demandés parfois. 2- La mise en œuvre opérationnelle Selon l&rsquo...
Collectif créé dans le but de promouvoir cette destination en tant que destination d’affaires, Meet in Alsace est une démarche collective ralliant des prestataires ainsi que des professionnels du monde du tourisme d’affaires. Célèbre pour sa route des vins et ses vignobles, sa gastronomie ainsi que sa culture, cette destination reine, idéalement située dans une zone frontalière avec la Suisse et l’Allemagne et à seulement 1h48 de Paris, se veut être l’ambassadrice de l’art de vivre à la française avec trois principales villes attractives, dynamiques et dédiées à l’événementiel d’entreprises : Colmar, Mulhouse et Strasbourg. « Les villes alsaciennes attirent entreprises et organisateurs d’événements grâce à des infrastructures adaptées : qu’on opte pour Strasbourg l’Européenne et son Palais de la Musique et des Congrès entièrement rénové, Colmar l’hédoniste et son Musée Unterlinden, ou Mulhouse l’inventive et son Quartier Gare en pleine expansion, les villes alsaciennes savent répondre aux besoins d’une clientèle d’affaires exigeante.», nous explique Marie-Reine Fischer, Présidente de Destination Régions et 1ère Vice-Présidente de l’Agence d’Attractivité de l’Alsace en charge du tourisme. Découvrir les mille et une saveurs de Colmar Capitale des vins d’Alsace, Colmar se veut être une ville gourmande à l’authenticité préservée. Située sur la mythique route des vins, elle est la promesse d’un congrès, d’un séminaire ou d’un team-building d’exception organisés sous le signe de l’intimité d’une ville à taille humaine. En dehors de son patrimoine historique et culturel digne d’intérêt, inspirant de nombreuses activités extraprofessionnelles, Colmar est idéalement dotée d’un équipement de choix adapté aux événements d’entreprise. Hébergez, par exemple, vos collaborateurs dans une des 4 000 chambres de Colmar, et organisez vos congrès dans des centres dédiés ou au sein du Parc des expositions et de congrès. Avec ses 13 500 m2 de surface, cette infrastructure accueillera les manifestations de toute taille grâce à un espace modulable. Découvrez, entre autres, le fameux musée Unterlinden qui a fait l’objet de rénovations importantes permettant ainsi aux entreprises d’organiser leurs événements au cœur d’un cadre prestigieux, designé par les architectes Herzog & de Meuron, et doté de salles pouvant accueillir de 70 à 400 personnes. Pensez ainsi à Colmar pour vos congrès ou vos séminaires organisés sous le signe gourmand d’une ville axée sur le tourisme vitivinicole et culturel. Mulhouse : un musée à ciel ouvert Pour vos team-building, vos séminaires ou vos voyages incentive, pensez à Mulhouse, ville créative et inspirée d’un patrimoine industriel de renom. Séminaires organisés dans un parc botanique et zoologique avec vue sur le bassin d’ours polaires, team-building en forme d’olympiades ou séjours incentive au cœur de la gastronomie locale… Autant d’activités ludiques et culturelles qui surprendront vos clients et vos collaborateurs. Plongez également ces derniers dans un autre monde à l’occasion d’une visite de la Cité de l’Automobile, un musée unique pouvant accueillir vos congrès, séminaires et dîners de gala organisés au milieu de voitures de collection et de légendes, notamment une collection rare de plusieurs Bugatti. A deux pas, l’Écomusée d’Alsace à Ungersheim est le point d’orgue entre le passé et le présent, il se veut être le témoin d’une Alsace authentique mais mue d’une volonté de raconter une histoire toujours plus vivace, contemporaine et créative. Strasbourg : une ville à la pointe de la technologie Patrimoine d’exception, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO pour son centre-ville et sa Neustadt, troisième ville verte de France et infrastructures de pointe caractérisent Strasbourg en matière de tourisme d’affaires. Avec la rénovation récente du Palais de l...
Le centre événementiel de Courbevoie-Event a été inauguré en 2014. Si auparavant la municipalité avait privilégié les événements municipaux et associatifs, on assiste actuellement au développement soutenu d’une activité « corporate ». Ce centre événementiel détient des atouts importants à partir desquels il se propose de fournir des prestations de qualité. D’abord, de par son emplacement, le centre profite d’une situation privilégiée à deux pas de Paris-La Défense. Ensuite, il dispose également de grands espaces aux volumes modulables et adaptables à tous les besoins. Quant à ses différentes salles, elles ont une capacité d’accueil de 100 à 1 200 personnes. Enfin, Courbevoie-Event propose aussi à ses clients des lieux à la fois atypiques et agréables. Des prestations variées Afin de satisfaire les besoins les plus exigeants, le centre suggère une prestation clé en main incluant traiteur, hôtesse, photographe, animation… En un mot, le centre prend en charge l’organisation de l’événement : de la demande du client en passant par l’accompagnement jusqu’à la réalisation finale. Mais s’ils le souhaitent, les clients peuvent solliciter d’autres prestataires. Sur ce point, Laurie Séguin, responsable événementiel et commercial souligne : « Les clients ont le choix de venir avec leurs propres prestataires. » Grâce à sa proximité avec différentes infrastructures telles que le stade, la piscine ou encore la patinoire de Courbevoie, le centre peut répondre à la demande des entreprises en quête de team building sportif. Trois lieux, huit espaces et une multitude de possibilités Courbevoie-Event a l’avantage de regrouper trois structures complémentaires, à savoir le centre événementiel, l’espace Carpeaux et le cinéma Abel Gance. À travers son architecture innovante, le centre événementiel est un lieu de prestige qui propose de grands volumes. À commencer par la salle rouge qui constitue un atout de taille pour Courbevoie-Event. D’une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 1 010 personnes en fonction de la configuration, elle est de loin la plus spacieuse. En effet, cette salle a la particularité d’être rétractable (au niveau des tribunes) pour gagner en volume. Les gradins contiennent 840 places et la fosse 170 places. La salle rouge peut accueillir entre autres des spectacles, des cocktails, ou encore des salons. La salle bleue d’une capacité de 294 places est entièrement modulable et se dote d’une « tribune repliée ». Polyvalent et aménageable à souhait, l’atrium est un joli espace doté d’un étage en mezzanine. Selon la configuration, il peut accueillir 600 à 900 personnes. Enfin, une magnifique salle de réception de 300 m² avec un rooftop pour ajouter une touche de prestige à l’événement. « Les clients apprécient particulièrement la luminosité du lieu tout en ayant la possibilité de profiter du soleil », souligne Laurie Séguin. L’espace Carpeaux regroupe la salle Saint-Saëns (un amphithéâtre de 485 places disposant d’une scène de plain-pied), idéale pour les séminaires et les assemblées générales ; le hall avec son architecture originale en demi-niveau qui convient parfaitement à une exposition ou un cocktail ; le cabaret jazz club (haut lieu du jazz francilien) d’une capacité de 100 places est un lieu atypique, parfait pour les événements professionnels ou privés. Laurie Séguin rajoute : « Avec son ambiance atypique, le cabaret jazz club est notre atout charme. » Dernier et non des moindres : le cinéma Abel Gance. Situé au cœur de Bécon-les-Bruyères, il compte 139 places et peut accueillir des débats ou des projections privées en plus de sa programmation quotidienne. ...
La supervision, garantie d’un coaching de qualité Si la formation que reçoit un coach professionnel est importante, la supervision dont il fera l’objet tout au long de sa carrière l’est tout autant. « L’idée, c’est de favoriser un travail sur soi mais aussi en soi du professionnel (coach, formateur, consultant, éducateur, etc.) qui accompagne son client » explique Martine Volle, fondatrice de Present Consulting, sa société qui propose, depuis plus de 20 ans, des prestations de coaching et de supervision. « Par le biais d’un dialogue réflexif mais aussi d’un apprentissage collaboratif, la supervision permet ainsi de réfléchir sur soi-même et de prendre du recul, tout en restant dans un cadre professionnel ». Car pour être en mesure de dispenser un accompagnement efficace, un coach doit pouvoir évoquer, lors de ses séances de supervision, les éventuelles difficultés qu’il rencontre. Il doit également s’efforcer d’analyser son ressenti et de questionner son geste professionnel. « Dans le cadre de mon activité de supervision » précise Martine Volle, « j’interviens à différents stades. Au niveau du geste professionnel de l’accompagnant, c’est à dire de sa façon de faire, qu’il s’agisse des outils qu’il utilise, des compétences qu’il met en oeuvre ou encore des règles éthiques qu’il doit respecter. Mais j’aide également l’accompagnant à être en parité tout en gardant une juste distance avec son client, à ne pas trop s’impliquer et garder conscience des risques de ‘’transferts’’, de projections ou de reflets sur lui. Un coach n’est pas une machine mais un être d’émotions. Et s’il se fait happer par la situation de son client, un coach risquera de perdre son discernement. Et son accompagnement perdra en efficacité… ». En veillant sur la sécurité morale de l’accompagnant et en vérifiant que son geste est correctement effectué, le superviseur s’assure donc que le coach est toujours apte à accompagner ses clients. De plus en plus d’accompagnants veulent se former à la supervision Conscients du rôle capital que joue la supervision dans tout processus d’accompagnement, un nombre croissant de professionnels franchissent désormais la porte de l’école IDSUP, l'Institut du Développement de la Supervision que Martine Volle a ouverte, il y a quatre ans de cela. « Les motivations des accompagnants qui décident de suivre la formation que je propose sont diverses » explique Martine Volle. « Certains jouissent d’une certaine séniorité dans leur métier et sont régulièrement sollicités pour du mentoring. Ils décident alors de se professionnaliser et de développer des compétences spécifiques de supervision. D’autres ne souhaitent pas nécessairement devenir superviseurs lorsqu’ils s’inscrivent à ma formation. Mais ils estiment à juste titre, d’ailleurs - que cette démarche les aidera à prendre du recul par rapport à leur propre pratique professionnelle. Enfin, parmi les participants, je compte des personnes qui, sans être coachs, accompagnent tout de même des processus de changement dans des entreprises et veulent réfléchir à ces processus ». À l'issue de leur formation, les alumni, devenus superviseurs certifiés, peuvent entrer dans la Community IDSUP qui favorise la R&D sur la supervision. ...
Julien Favre, porteur du projet, est parti du constat que trouver une formule d’assurance pour sa maison, sa voiture ou son voyage relève d’une démarche complexe et fastidieuse. Il a su exploiter efficacement l’émergence des leviers numériques pour centraliser et trier toutes les solutions d’assurance et les mettre à disposition des internautes. Optimiser la recherche d’un service d’assurance en la réduisant à quelques clics est ainsi au cœur de l’innovation d’Assur.com. Un concept à dimension technologique « Notre technologie permet d’accompagner les internautes dans leur recherche d’assurance qui convient le mieux à leurs besoins » introduit Mona Saidi, marketing manager du projet. Cette technologie prend forme via un moteur de recherche interne, une interface intuitive et un système de QCM simple. Derrière, un algorithme performant identifie, sélectionne et centralise toutes les réponses qui correspondent au mot-clé parmi les produits référencés sur la plateforme. Ceux-ci sont regroupés par catégorie : santé, habitation, voyage, véhicule, prévoyance, assurance professionnelle et divers pour les demandes plus spécifiques. Contrairement aux autres portails, Assur.com oriente sa démarche vers une approche centrée client en proposant un service beaucoup plus instantané, simplifié et impartial. En effet, la recherche ne requiert ni remplissage de formulaires ni données personnelles et les résultats affichés redirigent directement vers le site de l’assureur sans qu’il y ait transaction directe sur la plateforme. « Le service est résolument à caractère informatif que commercial, nous ne souhaitons pas influencer la décision d’achat des utilisateurs » précise l’équipe. Améliorer l’expérience client Le site est conçu de façon à donner un confort de navigation optimale : user-friendly, fluide et sans intrusion. Sur ce même principe, les assureurs sont encouragés à proposer un site web attractif et ergonomique qui offre la possibilité d’une souscription online en quelques secondes. Dans son axe de développement, Assur.com cherche à affiner son algorithme, de sorte qu’il devienne une technologie autonome, capable de prendre en charge automatiquement les mises à jour. Pour cela, Julien Favre et son équipe envisagent d’intégrer d’autres framework d’intelligence artificielle comme Scrapping ou Semantic Analysis. En parallèle, ils travaillent également sur de nouveaux partenariats afin de couvrir tous les segments d’assurance sur le marché français. À plus long terme, le projet aspire à percer le marché européen et américain. ...
Le DAP a pour rôle d’attirer et d’accélérer la création des jeunes pousses afin de dynamiser l’écosystème du Pays d’Aix. La plate-forme s’intéresse plus particulièrement aux projets technologiques et innovants, et finance la phase d’amorçage liée aux études techniques, études de marché, brevets, finalisation de prototype et présérie. Les porteurs peuvent intégrer une pépinière d’entreprises ou l’un des espaces économiques du territoire, tout en bénéficiant d’un accompagnement professionnalisé. Un prêt d’honneur à taux zéro Le DAP est géré par Pays d’Aix Développement (PAD) et cofinancé par l’État, la métropole Aix-Marseille-Provence-Territoire du Pays d’Aix et quelques entreprises privées. Le dispositif est une solution de financement de la R&D avant la création de l’entreprise. Un dispositif d’autant plus intéressant que ce type de financement constitue l’un des blocages majeurs rencontrés par les entrepreneurs. Le prêt d’honneur est donc proposé à un taux 0 %, remboursable avec différé sur une période de cinq ans à compter du premier exercice positif de l’entreprise ou de ses trois ans d’existence. Afin de bénéficier de ce prêt d’honneur, les candidats porteurs de projets doivent remplir trois critères déterminants. D’abord, ils doivent démontrer le caractère technologique et innovant du projet, en s’appuyant sur la potentialité de croissance et la valeur ajoutée que celui-ci peut apporter sur le long terme à la communauté. Le choix de l’emplacement géographique est également une condition d’éligibilité. La future start-up devra s’installer en Pays d’Aix ou sur le bassin minier de Provence, une fois son activité lancée. Enfin, le prêt d’honneur est octroyé uniquement en amont de la création de l’entreprise, pour répondre au concept de base du dispositif. L’étape de la sélection Un comité de sélection intervient une fois que tous les critères sont réunis. En plus de Pays d’Aix Développement (PAD), des représentants des banques partenaires, des investisseurs, des incubateurs ainsi que des pôles de compétitivité composent le jury. Ils ont pour rôle notamment de vérifier le respect des conditions d’éligibilité et d’évaluer la faisabilité de chaque projet. Les dossiers retenus passeront par la suite en comité d’engagement, qui va examiner et valider les moyens et les modalités stratégiques du financement accordé. Un autre comité, celui de pilotage, prend le relais et assure le suivi, la cohérence et l’exécution des dispositions prises. Une belle collection de lauréats Le DAP entend par domaine d’innovation tous les champs possibles, que ce soit en électronique, numérique, biotechnologie, aéronautique, santé… Cette grande ouverture a permis au dispositif de lancer des projets tout aussi originaux qu’ambitieux, dont certains ne nous sont pas inconnus. Novadem, par exemple, une entreprise experte dans la robotique aérienne à destination des marchés civils et militaires. Le projet a fait partie des premiers bénéficiaires du prêt d’honneur en 2006, et voit aujourd’hui sa notoriété croître au niveau international. On cite aussi Axyn robotique, spécialisé dans la conception de solutions robotiques au service des personnes handicapées ou en manque d’autonomie. Côté numérique, Editag via sa solution Moontag, a conquis les industriels et les entreprises grâce à un système intégré pour connecter objets et processus. L’innovation médicale n’est pas en reste, comme en témoigne le succès du service CardioNexion conçu par @-Health. Et pour finir, le DAP tient son 100e champion, Adéquabio, qui développe des systèmes biologiques de dépollution, notamment par le traitement des effluents phytosanitaires. ...
Le doyen du coworking en France Historiquement, La Bo[a]te est le premier espace de coworking à avoir ouvert ses portes en France. Excusez du peu. Ce doyen dans la location d’espaces de travail partagés est né de l’initiative de Martine Sousse et Marin Garrigues. Une dizaine d’années plus tôt, les deux complices animaient ensemble un espace de mécénat pour une grande marque internationale de soda. Ils mettaient alors à la disposition des jeunes du quartier un lieu, des ordinateurs, une connexion Internet et un savoir-faire pour leur enseigner à se servir des nouveaux outils numériques et les accompagner dans leur découverte du tout jeune réseau Internet. Capitalisant sur leur expérience, ils rachètent l‘endroit en 2007 et ouvrent cet espace de coworking, avant le nom donc, qu’ils nomment La Bo[a]te, en hommage aux ferrys qui traversent quotidiennement le Vieux-Port. Un lieu, plusieurs activités Au départ, il y a un lieu atypique du centre-ville de Marseille. Le sol est fait d’un vieux parquet en bois. Sur les murs, on remarque des affiches vintages, comme les meubles et les canapés qui trônent dans la pièce principale. On n’est pas du tout dans l’idée des espaces de coworking que l’on peut voir ailleurs. Il y règne une ambiance cosy et artistique. Plusieurs formules de coworking sont proposées aux start-up et aux petites entreprises. À partir de 50 euros (TTC) par mois, on y vient travailler bien sûr, mais aussi échanger et partager. « un espace de coworking sans animations et sans une communauté des coworkers qui collaborent entre eux, ce n’est que de la location de bureau, explique Marin Garrigues. Dans notre idée du coworking, il y a toute une partie de l’activité qui est consacrée à créer des synergies pour qu'ils développents leur activité et leurs projets grâce à l’organisation par exemple, de rencontres informelles, de MeetUp, de réunions autour de thématiques nouvelles, Machine learning, Design thinking, Veille autour d'appels a projets, Open data, ateliers du code (pour les enfants) » On vient à La Bo[a]te principalement pour travailler, mais on y discute aussi avec d’autres porteurs de projets innovants afin de grandir ensemble. Car au-dela du coworking, c'est aujourd'hui de "co-growing" qu'il faut parler. Le lieu, qui a gardé à cœur son esprit « mécénat », accueille régulierement des associations et collectifs autour de problématiques entrepreuneuriales, citoyennes et créatives. En 2018 la Boate va dupliquer le modèle avec un partenaire important de la Métropole Aix-Marseille. Une manière de consolider son offre au jeunes entreprises et aux porteurs de projets ...
Faisant frontière avec la Suisse, sur 230 km, la Bourgogne-Franche-Comté compte deux aéroports régionaux et dispose de six aéroports internationaux, à proximité. Une mobilité facilitée, également, par quatorze gares TGV, soit le réseau ferroviaire le plus vaste de France. Neuf autoroutes la desservent, et 1612 km de voies fluviales reconnues internationalement, entrelacent le paysage. Son emplacement est sans conteste stratégiquement favorable à l’entreprenariat transfrontalier et international. C’est d’ailleurs, un atout essentiel qui a propulsé la Bourgogne-Franche-Comté dans le palmarès des régions françaises destinatrices des IDE (investissements directs étrangers) en 2019 : la région s’est ainsi hissée au 5ème rang des régions pour le nombre total de projets et au 2ème rang pour le nombre de projets dans la production. Une croissance remarquable Les chiffres l’indiquent, les choix stratégiques d’investissement dans la recherche, la formation, l’industrialisation créent un écosystème favorable au développement économique. Avec un solde commercial excédentaire de 21,5 milliards d’euros d’exportation, la région se place au second rang des exportateurs français, pour un PIB égal à 72 milliards d’euros. Terreau fertile de connaissances et de savoir-faire à l’industrie fleurissante, la Bourgogne-Franche-Comté soutenue par son Agence Economique Régionale ne cesse de s'illustrer pour l’excellence de ses compétences. Un exemple : éminemment reconnus puisqu’inscrits au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO : les savoir-faire en mécanique horlogère et mécanique d’art de l’Arc jurassien, produits d’un travail binational suisse et français. « La forte culture industrielle, la présence de pôles d’excellence en recherche séduisent les investisseurs. Les capacités de R&D et le dynamisme des écosystèmes tournés vers le futur dont des atouts essentiels pour le développement de nouvelles activités » assure Arnaud Marthey, le Président de l’AER. » Ainsi cinq pôles de compétitivité se distinguent, la filière nucléaire, la plasturgie, les microtechniques, la mobilité et l’agroalimentaire. Un exemple : liés à la mobilité, le pôle "Véhicule du futur" et l’AER BFC œuvrent ensemble pour inventer les transports propres de demain, en développant une filière hydrogène. Ici, la productivité s’appuie sur un schéma structurel ; constitué, de plateformes technologiques, de clusters, et de centres de formation répondant précisément à la demande ; lequel est identifiable dans tous les domaines de développement, de la santé au luxe. La région Bourgogne-Franche-Comté accompagne jeunes et personnes en recherche de reconversion, en proposant une très grande variété d’enseignements professionnels, technologiques ou universitaires, initiaux ou continus, répondant aux besoins spécifiques du marché. Ainsi, en synergie avec l’ensemble de ses partenaires institutionnels et privés, de la formation et de l'emploi, l’AER BFC participe à faire se rencontrer les besoins en savoir-faire et en connaissances scientifiques, des entreprises et industries implantées localement. Des programmes uniques en France sont ainsi proposés en Bourgogne-Franche-Comté comme par exemple le "Master Energie" de l’UTBM qui garantit une expertise dans les domaines de l’efficacité énergétique et des énergies propres, avec une compétence particulière en matière d’Hydrogène ou le parcours « Ingénieur Mécanismes et Industrie du Luxe. » de l’ENSMM de Besançon ou encore les programmes en les sciences agronomiques de l’alimentation et de l’environnement de Agrosup à Dijon. La Bourgogne-Franche-Comté compte 60 000 étudiants et 19 200 jeunes en formation par apprentissage. Cinq thématiques d’excellence se dégagent, les sciences dures, les territoires, l’environnement, les aliments et la santé. Terre de recherche, d'innovation et de développement dura...
Créé en 2016 par cinq collègues de promotion décidés à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, Ergo Motri Santé (EMS) est un cabinet implanté dans le Centre-Val de Loire qui déploie son expertise pluridisciplinaire sur tout le territoire français. Dès l’année de sa création, EMS a été sacré « jeune entreprise exemplaire » lors du concours lancé par la Jeune Chambre économique d’Orléans puis, en 2017, EMS remporte le concours Talent BGE Centre Val de Loire catégorie Services. Depuis, EMS trace sa route en s’appuyant sur des partenaires de confiance, à l’instar de Nekoé, d’Harmonie Mutuelle, d’Activa Formation ou encore du CRESITT Industrie. Mesurer l’enjeu de l’ergonomie Le cœur de métier d’EMS s’articule autour de l’optimisation du bien-être, de la santé et de la qualité de vie au travail. Ainsi, l’équipe intervient dans plusieurs champs d’applications, à savoir l’évaluation et la prévention des risques professionnels, l’accompagnement des personnes en situation de handicap, la formation et la sensibilisation, la conception et l’aménagement de postes de travail ou encore l’ergonomie de conception avec l’expérience utilisateur (UX). « Réduire l’ergonomie à une norme ou à un standard est illogique parce que chaque individu, chaque structure, perçoit différemment ses besoins. Dans notre métier, il n’existe pas de solution toute faite », souligne Benoit Corret, ergonome au sein d’Ergo Motri Santé. Les prestations étant réalisées sur mesure, le cabinet peut s’adresser à différents types de structures : grands groupes, organismes du secteur public, entreprises à taille humaine... À la suite d’une demande d’intervention, l’ergonome va d’abord s’imprégner du contexte et du fonctionnement de son lieu d’intervention à partir des documents, des observations in situ et des entretiens qu’il effectue avec les hommes et femmes concernés par la problématique de l’entreprise. Puis, dans le cadre d’une EValuation des Risques Professionnels (EVRP) par exemple, l’objectif sera de proposer des préconisations pour réduire les risques de développement de maladies professionnelles ou d’accidents du travail. En appliquant une approche située, l’ergonome va pouvoir saisir le décalage entre la manière dont une personne est chargée de réaliser une tâche et la manière dont elle l’accomplit. « Nous allons justement fonder notre étude sur cette action réelle, sur ce qui se passe vraiment, car elle met en lumière la véritable problématique dans l’entreprise », explique Yves Denis, ergonome. Ensemble, investir dans une meilleure performance EMS mise sur une démarche participative en mobilisant toutes les personnes concernées par le changement. Cette notion de co-construction permet aux salariés de se sentir impliqués dans le processus, tout en favorisant la cohésion sociale dans l’organisation et en intégrant les contraintes des fonctions supports (maintenance, qualité…). Entretiens individuels ou groupes de réflexion font partie des techniques participatives déployées par le cabinet. « Ensuite, notre rôle sera de traiter toutes ces informations et d’essayer de trouver la cohérence avec les objectifs stratégiques de la structure en termes d’investissement et de productivité », soutient Xavier Prieur, ergonome. L’ergonomie collaborative est également une façon de pérenniser le changement grâce à un apprentissage mutuel pendant l’accompagnement. En effet, chaque intervention réalisée vise à offrir aux différents acteurs l’autonomie nécessaire pour qu’ils puissent prendre leurs propres décisions en ergonomie et être responsables de leur santé au travail. « Nous avons notre expertise et notre propre méthodologie pour recueillir et traiter les données, mais finalement, souvent, ce sont eux qui détiennent la solution. » ...
Située dans la région des Hauts-de-France, dans l’Aisne, l’Agglomération du Saint-Quentinois bénéficie de plusieurs atouts majeurs en faveur des entreprises souhaitant s’implanter. À commencer par sa situation géographique avantageuse à proximité des autoroutes et les axes ferroviaires avec notamment la présence de la gare TGV Haute-Picardie qui facilite l’accessibilité. Au-delà, l’agglomération propose un cadre de vie exceptionnel. Riche d’un patrimoine culturel et naturel unique, le Saint-Quentinois abrite une ville art-déco mondialement réputée qui n’est autre que Saint-Quentin. Il comprend également le Parc d’Isle, la plus grande réserve naturelle en milieu urbain drainant annuellement près de 500 000 visiteurs. Les nombreux équipements sportifs et de loisirs à l’instar de la BUL (Base urbaine de loisirs) ou encore le pôle mécanique la Clef des Champs illustrent entre autres cet environnement attractif. Un « Territoire Robonumérique® d’Excellence » « Nous avons une responsabilité, relever ce défi national qui est celui de l’innovation, de l’avenir et de l’emploi. » Telle est l’ambition exprimée par Xavier BERTRAND, Président de l’Agglo du Saint-Quentinois et Président du Conseil Régional Hauts-de-France. Pour ce faire, l'Agglo du Saint-Quentinois s’est engagée comme territoire-pilote de la Robonumérique® (contraction robotique + digital). La démarche initiée en 2012 a pour objectif d’intégrer dans un véritable écosystème cette notion englobant l’ensemble des innovations technologiques de rupture. « Dans les écoles, des actions de sensibilisation permettant aux jeunes de découvrir ce domaine sont organisées. Idem dans l’enseignement supérieur où des formations, ateliers et animations sur ce thème sont mis en place pour éveiller les vocations dans les métiers du numérique et des nouvelles technologies », rapporte Jean-Pierre Ciesielski, directeur du Développement Économique de l’Agglo du Saint-Quentinois. Des leaders mondiaux présents sur le territoire Et si le territoire a développé une sensibilité autour de la Robonumérique®, c’est surtout qu’elle a la chance d’abriter de belles industries dont MBK Yamaha, L’Oréal, Le Creuset ou encore Nestlé. Autant d’entreprises dynamiques que l’agglomération fédère autour d’évènements, de projets ou structures spécifiques : Club Robonumérique, Robonumériques Days, incubateurs et pépinières d’entreprise (Euratechnologie et Créatis)… Au sein de la pépinière d’entreprises de l’espace Créatis, Euratechnologies avec son nouvel incubateur et accélérateur de startups sur 180 m², accueille les talents d’aujourd’hui et de demain afin de les accompagner dans leur démarche d’innovation. Le territoire va encore plus loin dans sa démarche. « Nous ambitionnons d’organiser la Robonumérique® autour d’un cluster et ainsi de développer des entreprises et start-ups autour de ce thème », fait savoir Jean-Pierre Ciesielski. L’on ne peut nier que l'économie, les activités, l’industrie, l’emploi et les métiers sont en totale mutation avec la révolution technologique, c'est pourquoi « dans le Saint-Quentinois, nous voulons faire de ces grands changements une opportunité », fait savoir Frédérique Macarez, Vice-président en charge de l’économie, de la stratégie robonumérique et smart territoire, et de l’enseignement supérieur. « Il faut que cela devienne une chance pour nos habitants et nos secteurs d’activité et que cela constitue des perspectives pour notre jeunesse », rajoute-t-elle. Force est de constater que le territoire n'y va pas de mains mortes dans la concrétisation de cette ambition puisqu'« une politique très volontariste est mise en pratique pour réussir la transition " robonumérique " dans une logique de gagnant-gagnant », souligne encore madame Macarez. Une vision « Smart Territory » « Pour renforcer l’attrait éco...
Prendre du recul pour aller de l’avant Le coaching, ça n’est pas que pour les autres ! « À un moment ou à un autre, au cours de sa vie professionnelle, tout le monde peut avoir besoin d’une aide extérieure. Mon rôle, c’est d’aider une personne en perte de repères professionnels, voire en situation de burn out, à prendre le recul nécessaire pour (re)trouver confiance en ses capacités et (re)prendre le contrôle de son parcours professionnel », explique Danielle Guilbaud. Une fois qu’il aura pu identifier d’éventuels points de blocage, le « coaché » sera alors en mesure de redéfinir ses priorités et de progressivement se repositionner. Mais si le coach pousse son client à se remettre en question, c'est pour mieux le guider ensuite. Il ne lui dicte pas sa conduite. « Je n’impose jamais rien. Je me contente de révéler à mes clients des ressources qu’ils avaient en eux mais dont ils n’avaient pas conscience, qu’ils ne savaient pas utiliser, ou dont ils avaient oublié l'existence », précise Danielle. En grattant le vernis, le coach fera donc ressurgir des qualités oubliées par le coaché. Pour autant, c’est à ce dernier qu’il appartient de puiser en lui-même l’énergie nécessaire pour redéfinir ses objectifs. Et c’est sur ses propres ressources qu’il devra s’appuyer pour y parvenir. Agir avec bienveillance mais sans complaisance « Une belle personne à faire émerger. » Dans le cadre de sa mission, Danielle Guilbaud aide ses interlocuteurs à se poser les bonnes questions. Quitte à devoir parfois les mettre face à leurs contradictions. Mais c’est à ce prix que le changement – tant espéré – pourra s’opérer et que la motivation – qui pouvait sembler tarie – ressurgira. « Quand ils viennent me consulter, certains de mes clients sont dans une grande confusion. Ils ne savent plus très bien où ils en sont. Mon rôle, ce n’est surtout pas de les juger mais de les aider à clarifier la situation. À y voir plus clair. Et à retrouver une certaine sérénité. » Car face à un monde du travail en pleine mutation, force est de constater que le coaching professionnel tel que le pratique Danielle Guilbaud a de beaux jours devant lui. « Quand j’ai démarré, le coaching professionnel s’adressait principalement aux cadres et aux dirigeants. Alors qu'en réalité, ce sont toutes les personnes en activité qui gagneraient à prendre du recul et à se remettre en question de temps à autre. » ...
Ce choix leur permet de sélectionner des associés qui ont envie d’investir leur épargne dans des projets viticoles collaboratifs et solidaires. Les associés sont pour la grande majorité des amateurs de vin, sensibles aux valeurs de partage, de plaisir, et qui souhaitent préserver la terre et la diversité de ses terroirs. Devenir associé sur un vignoble Terra Hominis, c’est pouvoir participer pleinement à la vie du vignoble. C’est également faire partie de clubs dédiés qui permettent de profiter d’événements gourmands et conviviaux : dégustation privée, séjours épicuriens, balade en mer… Laissez-vous tenter par cette aventure humaine unique où partage, transmission, entraide et respect sont les valeurs essentielles. 4 questions à Ludovic Aventin, fondateur de Terra Hominis Pourquoi avoir créé Terra Hominis ? Cette activité innovante part de plusieurs constats : - Une génération importante de jeunes vignerons sont formés, - Les deux tiers des vignerons ont plus de 55 ans, et ne souhaitent pas céder leur vignoble à de grosses structures viticoles, - Les jeunes qui souhaitent s’installer en viticulture ne sont pas soutenus par les banques, - Et enfin, la période est morose, les Français disposent d’épargne et cherchent à lui donner du sens. Terra Hominis a donc été créé pour faire le lien entre la Terre et les Hommes. Et ainsi permettre la préservation de nos terroirs et du savoir-faire viticole. Nous avons déjà racheté 16 domaines représentant 90 hectares de vignes, détenus par plus de 1600 associés. En quoi cela n’est-il pas du simple crowdfunding ? Le but des actionnaires n’est pas de faire fortune. D’ailleurs, on parle d’associés plutôt que d’actionnaires anonymes ; nous tissons vraiment ensemble des relations humaines fortes, notamment par le biais de nos différents clubs, et ce système de financement participatif permet de sélectionner nos associés, pour qu’ils partagent vraiment nos valeurs. Le domaine qu’ils possèdent en copropriété est mis en fermage auprès d’un jeune vigneron qui n’aurait pas eu les moyens d‘acheter ses vignes pour exprimer tout son talent. Nous permettons donc à la fois à de jeunes vignerons de s’installer et à des passionnés de vin d’avoir un bout de vigne et des bouteilles pour ancrer leur passion. Qu’est-ce-qui rassemble l’ensemble de vos associés ? L’objet de la participation repose avant tout dans le soutien aux vignerons et dans la préservation de notre terroir et de notre patrimoine culturel. Le loyer perçu en vin n’est pas et ne doit pas être l’élément fondateur de la motivation mais la conséquence. Tisser des relations humaines entre vignerons et associés et entre associés, est pour nous essentiel pour apporter une âme à nos vignobles. Tout le monde y gagne. L’associé s’initie à la vie du vin et du domaine ; et le vigneron, en créant des liens profonds avec les associés, trouve en eux de fabuleux ambassadeurs. Comment s'articule le montage ? L’achat d’un domaine coûte plusieurs centaines de milliers d’euros. Pour Mas Angel, le premier domaine, les 6.4 hectares ont été divisés en parts de 1 300 €, propriété d’une centaine d’associés. Le rendement de ces parts est de 4.5 % par an et il est payé en bouteilles de vin. Les cuvées du Mas Angel varient entre 11 à 32 € en prix public mais les associés les payent, à tarif privilégié (40% de remise), ce qui rend très attractif le principe. Du coup, une bonne partie de la production leur est vendue à eux et leurs relations, avant même la mise en bouteilles du vin. De plus, les associés peuvent commander les vins de l’ensemble des vignobles Terra Hominis à tarif préférentiel (entre 15 à 40% de remise en fonction des cuvées et des vignobles). Et je rappelle que c’est un placement sécurisé puisque le vigneron a seul la responsabilité financière et juridique de l'exploitation. Il est donc seul à en assumer les risques liés aux investissements de l’exploitation. ...
Ayant soufflé ses quinze bougies cette année, l’agence Cézame est forte de son expertise dans le domaine du tourisme d’affaires. Allant de la conception à l’organisation intégrale, en passant par les conseils prodigués par une équipe chevronnée, chaque événement se déroule sous le signe de la réussite. Prônant la rigueur, l’efficacité et la qualité des services, cette agence s’est forgée une réputation, qui va aujourd’hui au-delà des mers, grâce, notamment, à un réseau de partenaires internationaux fiables et garants de la réussite de chaque projet. Une offre sur mesure pour votre satisfaction Le sur-mesure, la signature de Cézame. Tel un « pass » pour un univers enchanteur, cet opérateur vous ouvre les portes vers le succès et le développement de vos activités. Pour ceux qui ont fréquemment besoin de se rendre à l’extérieur pour y rencontrer leurs clients ou leurs partenaires, l’agence s’occupe de tout, allant du transport à l’hébergement, en passant par l’accueil. De nombreux autres services relevant de la logistique sont également inclus dans ces prestations rendues possibles grâce à la « présence de correspondants servant de relais partout dans le monde, allant de New York à Strasbourg, en passant par Bangkok », nous explique Matthieu Delavallade, expert en tourisme d’affaires et gérant de l’agence Cézame. Suivant le but de ses voyages, l’agence s’efforce de fournir une offre personnalisée en accord avec les attentes réelles du client. Outre ces déplacements méticuleusement organisés, les entreprises souhaitant organiser des séminaires, des conventions, des lancements de produits ou des congrès trouveront ici un partenaire de confiance. Dans le respect du cahier des charges, les lieux de réception, les activités extraprofessionnelles, l’hébergement ainsi que l’accompagnement technique seront choisis et octroyés dans le but de faire de chaque projet une réussite. Pour les entreprises et les groupes qui souhaiteraient remercier, fédérer ou souder leurs collaborateurs, Cézame offre également ses services en la matière, avec à la clé, des événements sur mesure élaborés de A à Z, qu’importe la destination ou la thématique choisie. « Toujours grâce à nos partenaires et correspondants locaux, nous pouvons émettre des recommandations personnalisées en fonction de ce que le client recherche », continue Matthieu Delavallade. La billetterie d’affaires : l’innovation en marche L’agence Cézame se veut être le précurseur du voyage de demain. Nul besoin de se déplacer pour réserver un billet ici et là, même si les destinations ne sont pas les mêmes. Cette société de services permet à ses clients, « grâce à la centralisation du processus d’achat de billets, d’acheter des billets d’avion ou de train au même endroit avec tout l’après-vente qui va avec », reprend notre interlocuteur. Et ce dernier de poursuivre : « cela est possible grâce à un partenariat fiable avec la SNCF et l’IATA, symbolisé par l’octroi d’agrément provenant des deux parties. Ce processus permet, à qui le voudrait, de choisir parmi toutes les destinations de son choix, allant des classiques aux tendances ». Ce savoir-faire inégalé, basé sur un service orienté vers la satisfaction, fait de cette entreprise le plus beau fleuron de son domaine. ...
Le coaching s’adresse à tout le monde Contrairement à une idée répandue selon laquelle il ne concernerait que les personnes ayant un problème à résoudre, le coaching s’adresse à tout le monde. « Si l’on fait appel aux services d’un coach professionnel, cela peut être parce que l’on peine à surmonter une difficulté mais pas seulement. Bon nombre de mes clients sollicitent mon aide parce qu’ils désirent accélérer leur développement, relever un défi, aborder sereinement un changement ou encore déployer tout leur potentiel ». Car le coaching a véritablement vocation à s’adresser à toutes les personnes qui veulent être actrices de leur propre évolution. En effet, qui n’a jamais eu la sensation de perdre le contrôle de ses journées, passées à traiter les urgences au fil de l’eau sans parvenir à prendre le moindre recul ? Qui n’a jamais dû encadrer une équipe sans qu’on lui ait appris comment procéder ? Qui ne s’est jamais senti dépassé lors d’une prise de poste ? Qui n’a jamais douté de sa légitimité professionnelle en endossant de nouvelles responsabilités ? Qui n’est jamais resté dans un poste qui ne faisait plus sens, continuant d’aller au travail avec une boule au ventre, parce qu’il ne parvenait pas à gérer sa peur du changement ? Qui ne céderait pas à la panique, s’il ne dispose, à douze mois de la fin de ses droits au chômage, d’aucune piste professionnelle ? Qui ne s’est jamais laissé submerger par ses émotions ou son stress ? Qui ne s’est jamais posé la question de savoir comment concilier sa vie professionnelle et sa vie personnelle ? Quel étudiant, quelle mère de famille souhaitant retravailler ou encore quel retraité à l’aube du « premier jour de sa nouvelle vie », n’a jamais eu besoin qu’on l’aide à orienter ses choix ? La liste est loin d’être exhaustive… Vous faire coacher vous permettra de développer non seulement vos performances mais aussi votre adaptation sociale et relationnelle ainsi que votre satisfaction. Parce que se faire aider, ce n’est pas faire preuve de faiblesse, bien au contraire. En vous faisant accompagner, vous arriverez mieux - et plus rapidement - à trouver vos propres solutions et à progresser. Identifier nos freins… pour mieux les débloquer ! Qu’il intervienne auprès d’un cadre pour l’aider à mieux performer et à faire évoluer sa pratique professionnelle, d’un particulier désireux de progresser dans son développement personnel ou encore d’un jeune pour l’accompagner dans le choix d’une orientation qui valorisera ses talents, François Baleynaud prend soin « d’identifier les croyances qui empêchent le coaché d’avancer, pour les déstabiliser et leur substituer un moteur de motivation ». Authentique et d’une grande humanité, ce coach utilise ainsi les outils dont sa formation (DESU 2010 « Pratiques du Coaching » Paris 8) et son parcours - tant personnel que professionnel - l’ont dotés pour « déboulonner » ce qui empêche ses clients de trouver les solutions qu’ils recherchent. Mais pas question de leur souffler ces fameuses réponses ! « Un coach n’est pas un consultant » précise François Baleynaud. « Il doit accompagner son client sans se substituer à lui». Plutôt que de lui proposer des réponses « toutes prêtes », un coach compétent (« qui continue de se former et fait l’objet d’une supervision ») fera, au contraire, en sorte que son client trouve lui-même les réponses aux questions qu’il se pose. « Un peu à la manière de Socrate qui répondait aux questions que lui posaient ses élèves par autant de questions afin de les aider à accoucher de leurs propres réponses ». Rien d’étonnant, donc, à ce qu’un « bon coach ne parle que 20 % du temps que dure une séance » précise François Baleynaud. « Parler moins pour écouter plus » comme aurait pu le formuler un ancien Président de la République… « En tant que coach, il est essentiel de parvenir à se départir de cette envie de ‘’faire &ag...
Une pérennité managériale dans un contexte de mutations La France, contrairement aux Etats-Unis, au Canada et à la Chine a longtemps dissocié le management du leadership, et a récemment pris conscience des enjeux d’investir dans les ressources managériales. Les dirigeants et les managers d’aujourd’hui doivent pleinement incarner leur leadership ; donner du sens, exprimer clairement leur vision, et susciter l’envie auprès des collaborateurs d’aller vers un objectif commun. Mais pas seulement… Alors que la littérature abonde de styles de leadership différents – leadership directif, collaboratif, participatif, visionnaire...– frisant parfois la schizophrénie pour ceux qui souhaiteraient passer d’un style à un autre selon les interlocuteurs, les circonstances ou les modes, lequel adopter ? On assiste à une prise de conscience que le paradigme du leader doit changer et évoluer vers un style unique, singulier et authentique, lui permettant ainsi d’asseoir son plein épanouissement et celui de ses collaborateurs tout en assurant la durabilité des organisations. Il était temps que l’on repense ce concept car ailleurs dans le monde le leadership authentique fait flores et l’adhésion profonde et personnelle des collaborateurs est un facteur puissant de résultats. Le leadership authentique apparaît aujourd’hui comme le style de leadership le plus approprié pour faire face aux transformations de l’entreprise tout en permettant de réconcilier la performance et l’humain de façon durable. Né de la psychologie positive et humaniste, W.L Gardner éminent universitaire et chercheur américain, auteur prolifique de plusieurs ouvrages et études sur le leadership, le management et les organisations affirme : « l’authenticité c’est à dire la connaissance de soi et la capacité à agir de façon consistante ou cohérente avec le meilleur de ce soi, est le socle de tout style de leadership et assure sa moralité en même temps que sa durabilité ». Un capitaine et des valeurs Les éléments clés du leadership authentique sont la conscience de soi et l’éthique. Ces questions semblent encore ici en France beaucoup déplacées, comme hors sujet dans un univers ou seules comptent l'efficience et le résultat. Pourtant, chaque nouvelle marche à franchir est de plus en plus haute. Les remises en question, profondes, sécurisantes, bouleversantes, interrogent de plus en plus souvent nos valeurs individuelles et collectives profondes. La civilisation du numérique et de la finance fait ployer nos organisations collectives, et questionne en profondeur les valeurs des sociétés. Et la nature ayant horreur du vide, les obsessionnels du chiffre se font petit à petit supplanter. Sans compter que les nouvelles générations ont besoin d'aimer ce qu'elles font, d’adhérer à un projet porteur de valeurs : c'est le seul moyen de les stabiliser dans l'entreprise. "Le leader authentique sait ce qui fait sens pour lui et est capable de le partager. Il noue des relations grâce auxquelles les personnes se sentent engagées et donnent le meilleur d’elles-mêmes. Il inspire confiance car il travaille sur lui-même et se remet en cause." souligne François-Daniel Migeon, homme clé de l'importation du concept en France et auteur du "Leader authentique" " publié chez Eyrolles en 2013 où il développe le concept comme « le chemin le plus court vers une contribution professionnelle riche de sens, efficace et durable ». Nommé directeur général de la Modernisation de l'Etat entre 2007 et 2012, il partage son expérience en déclarant : "J'ai eu la faiblesse de penser que l'essentiel du changement serait rendu possible grâce à des méthodes et des techniques. Au fil du temps, j'ai accordé de plus en plus d'importance aux hommes et aux femmes qui portaient la transformation". Mieux être et rentabilité optimisée Aucun hasard donc pour un tel engouement ; des chiffres sonnants et trébuchants. Le cabinet de conseil américain KRW International, spécialisé en Leadership, a établi dans une étude que "les dirigeants dont la personnalité a été bien notée par les employés obtenaient une rentabilité des actifs moyenne de 9,35...