La masse de données qui circule dans le monde est si énorme que l’on aurait besoin d’un millier de forêts amazoniennes pour parvenir à toutes les transcrire sur papier. Heureusement que des solutions comme le big data existent et ont été conçus pour justement comprendre ces informations, les analyser afin d’en extraire les données utiles et essentielles au moment voulu. Jusqu’ici, la science des données reste la meilleure arme stratégique pour prédire l’avenir. Le concept Basé sur le modèle pédagogique des bootcamps, Jedha propose des formations présentielles et intensives de huit semaines pour maîtriser la data science : outils de web analytics, de data visualisation, SQL et Python appliqué au Machine Learning. Les 40 heures de cours s’alternent entre cours sur l’algorithme et statistiques d’une part, et des entraînements individuels et exercices de groupe, d’autre part. « Nous abordons chaque module en fonction des problématiques actuelles en entreprise, de telle sorte que l’ensemble de la formation puisse apporter une solution réelle et immédiate à nos apprenants », précise Antoine KRAJNC, CEO et fondateur de Jedha. D’autres consultants externes, issus d’une dizaine d’entreprises expertes dans le métier, viennent régulièrement échanger et partager leurs propres expériences avec les étudiants. La dernière semaine du programme est entièrement consacrée à la pratique avec un projet de Data Science. L’espace de travail se transforme en un véritable laboratoire où les apprenants peuvent expérimenter les techniques acquises, confronter leurs compétences et découvrir de nouvelles possibilités dans le but de résoudre une problématique donnée, avec pour finalité bien évidemment de décrocher le certificat. Une communauté collaborative En parallèle, le bootcamp organise des workshops dans ses locaux. Quand une trentaine de personnes connaisseuses et passionnées de la data science se réunissent autour d’un sujet, cela crée une vraie émulation d’idées et de connaissances. « La première heure est dédiée à la présentation, après les participants se retrouvent autour d’une bière ou d’un petit café pour discuter et se construire un réseau. » Le public de ces events se compose de jeunes étudiants, d’entrepreneurs, mais aussi de professionnels dans le métier ou en reconversion ainsi que des data analyst confirmés. Par ailleurs, l’équipe Jedha est à même de concevoir un accompagnement sur mesure des projets d’entreprise dans le data management et data analysis. Cette formule cible au plus près les besoins spécifiques de chaque écosystème tout en développant les compétences de l’équipe interne. ...
En 2014, INNOPREV lançait le "Flashmob Gestes et Postures" Ces chorégraphies musicales réalisées sur mesure, permettent de développer les compétences en lien avec les risques physiques tels que les Gestes et Postures de Travail. Cette formation a fait ses preuves auprès de groupes de différents secteurs d'activité comme ErDF, LACOSTE, Kellogg’s ou Albéa-Lacrost. Aujoud’hui, « Serious-Dance » va plus loin Positionnées comme prestation « anti-crise », dans un contexte de télétravail et d'isolement des collaborateurs, les « Serious-Dance » remettent l'humain au cœur des organisations. En lien avec la culture de l’entreprise, les « Serious-Dance » instaurent des bases communes pour améliorer les liens sociaux et la cohésion des collaborateurs tout en développant leurs compétences. Sollicitant le visuel, l’auditif et le kinesthésique, l’apprentissage par les « Serious-Dance » est global et performant, car il met en action les corps et les esprits. Faites l’expérience des Danses Sérieuses Les « Serious-Dance » sont des formations expérientielles, elles rentrent dans la catégorie des « Serious Games » et s'intègrent parfaitement au plan de développement des compétences, aux événements d’entreprise ainsi qu’aux démarches de prévention des risques professionnels. ...
Siégeant à Paris 8, rue des Favorites, la Société Française de Sophrologie est actuellement présidée par Claude Chatillon, elle-même sophrologue. Cette association regroupe les praticiens et les établissements dispensant des formations dans la discipline. La transmission d’un savoir de qualité, acquis par un cheminement d’études rigoureux figure ainsi parmi ses chevaux de bataille. La référence en matière de formation Étant le premier organisme constitué sur le sol français pour diffuser la sophrologie, la S.F.S. s’est logiquement investie dans la mission d’harmoniser et de cautionner les offres de formation. Les personnes souhaitant emprunter cette voie de professionnalisation peuvent ainsi trouver un établissement référencé sur le site de la Société française de sophrologie. De nombreuses écoles membres de la S.F.S forment chaque année des sophrologues, aussi bien en Métropole qu’à Nouméa. Assurer la qualité des contenus Telle qu’elle a été introduite par le professeur Alfonso Caycedo, la sophrologie renvoie à un ensemble de techniques, de concepts et de philosophie dont la mise en œuvre requiert un apprentissage rigoureux. La Société française de sophrologie a toujours accordé une priorité à la qualité du cursus mis à la disposition des personnes qui souhaitent en faire leur spécialité. L’organisme est ainsi l'un des acteurs principaux des états généraux de la formation qui ont permis d’en définir les critères de qualité. Le respect de ces derniers fait partie des engagements pris par les écoles qui sont affiliées à la S.F.S. Entre autres, il s’agit de respecter un volume horaire minimum qui est actuellement de 300 heures. Ce qui correspond à une durée de formation de 2 ans répartis entre « temps de formation, temps de maturation et de réflexion, et temps de pratique », pour reprendre les propos de Mme Chatillon. Par la suite, de multiples voies de spécialisation s’offrent aux sophrologues, au titre de formation spécialisée ou par la formation continue, professionnalisant un peu plus leur pratique. Les congrès professionnels, échanges ou supervisions sont autant d’opportunités qu’ils peuvent saisir, à cet effet. ...
Le site Voyage-Langue.com a été lancé par des spécialistes des séjours linguistiques parmi les plus reconnus de France. Fort d'une expérience de plus de 10 ans sur ce marché, les maîtres-mots de l’organisme sont exigence de qualité et objectif constant de pratiquer les meilleurs tarifs du marché. La qualité garantie aux prix les plus bas Lorsque nous cherchons un séjour linguistique pas cher, nous ne souhaitons en aucun cas faire de concessions sur la qualité du séjour ! Afin de garantir cette qualité, les conseillers visitent chaque école de langue avant de les sélectionner en suivant différents critères fondamentaux : Les écoles doivent être reconnues et accréditées (par le label British Council par exemple) ; Elles doivent se situer en centre ville et être accessibles aux transports en commun ; Elles doivent être équipées de tout le matériel moderne nécessaire à l’apprentissage d’une langue (tableau interactif, ordinateur etc.). Chaque classe ne doit pas dépasser le nombre de 15 étudiants ; Les étudiants doivent être répartis par niveau de langue grâce à une évaluation dès le premier jour ; Les formations doivent être diversifiées (cours standard, semi-intensif, intensif, préparation au TOEFL, IELTS, TOEIC, Business, Juniors, Adultes, Ados, Seniors, …) ; Le taux de Français par établissement ne doit pas être supérieur à 7 ou 8%. En plus de ses exigences de qualité, Voyage-langue offre une garantie de prix les plus bas. L’organisme ne facture pas de commission supplémentaire et négocie avec ses partenaires des promotions pour chaque séjour. En aucun cas la baisse de prix est la conséquence d’une réduction du temps de cours ou d’une baisse qualitative de la formation. Des programmes adaptés aux besoins de chacun Voyage-Langue.com propose aujourd’hui plus de 50 destinations de séjours linguistiques et vous permet d’apprendre 7 langues différentes (anglais, espagnol, allemand, italien, arabe, chinois et japonais). Le site se distingue également par la diversité des formations proposées avec entre autres des séjours linguistiques pour les enfants et ados de 8 à 17 ans, des séjours réservés aux personnes de 30 ans et plus, des préparations au TOEFL, TOEIC, IELTS ou encore des cours d’anglais des affaires. Séjour linguistique ado et enfant Les plus jeunes, de moins de 17 ans, bénéficient de programmes Juniors tout compris incluant le logement en famille d’accueil ou résidence, la pension complète, les transferts d’aéroport et les activités encadrées par l’école de langue. Séjour linguistique étudiant À partir de 18 ans, Voyage-Langue offre l’opportunité d’apprendre l’anglais et d’occuper un emploi grâce à trois programmes : La formule « Anglais+Job » à Londres, Oxford, Brighton, Cambridge ou Malte. Les cours d'anglais sont concentrés sur une demi-journée afin de permettre à l’étudiant de travailler à mi-temps. Des cours spécialisés sont organisés pour guider l’étudiant dans ses recherches de job, l’aider dans la rédaction de son cv en anglais et la préparation de ses entretiens d’embauche. Le programme « Anglais+Job » à Brisbane ou Gold Coast en Australie. Cette fois-ci, le programme garantit un job dans l’hôtellerie ou la restauration de luxe après une période de 2 à 3 mois de cours d’anglais. La formule « Diplôme+Job » à Toronto ou Vancouver de 10 mois à 1 an : ce programme diplômant permet d’étudier puis de travailler au Canada sans le PVT (Permis Vacances Travail). Séjour linguistique adulte Enfin, les personnes de 30 ans et plus ne sont pas en reste puisque Voyage-Langue a sélectionné pour eux des écoles de langue réservées à leur tranche d’âge à Londres, New York, Malte et Toronto. Cette formule leur permet d'apprendre ou de perfectionner leur anglais avec la garantie de cours adaptés à leurs intérêts ainsi que des activités de découvertes spécialement pensées pour eux. ...
1. Des formats de formation inédits ! En 2030, la formation professionnelle sera complètement transformée. Elle replacera systématiquement l’apprenant au cœur de la démarche (« learner centric ») et proposera une approche ludique, plus personnalisée à chacun, selon son niveau, son projet et les compétences à acquérir. Le Rapid Learning (apprentissage rapide), la Gamification (la ludo-pédagogie et le fait d’intégrer le jeu dans les parcours de formation) et l’Adaptative Learning (apprentissage adaptatif – parcours de formation totalement personnalisés) seront démocratisés. L’hologramme le sera également et permettra de se former autrement : en téléportant des formations ou des formateurs sur son smartphone ou dans un lieu à distance, par exemple. Les formats seront principalement inspirés des nouvelles pratiques du digital et de l’innovation pour répondre aux nouveaux modes de consommation de la formation et aux besoins des apprenants. 2. Se former partout, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ATAWAD) L'ATAWAD (Any Time, AnyWhere, Any Device) désigne la possibilité qu'offrent les technologies numériques d'être toujours connecté. Grâce à cette « mobiquité » exacerbée, il sera facile de se former selon sa préférence, d’où on le souhaite, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ordinateur, tablette, mobile, lunettes connectées). 3. La formation sera collaborative (social learning) Cette modalité pédagogique crée un véritable cercle vertueux car le principe du social learning est bien d’appliquer des technologies sociales à des fins de formation. Cela peut se formaliser par le biais des plateformes communautaires (réseaux sociaux, forums, wikis, etc.) où les connaissances des uns renforcent les compétences des autres. La formation de demain se trouvera ainsi enrichie par les formés eux-mêmes, qui proposeront leurs propres contenus et mettront à disposition leur expérience et bonnes pratiques (« reverse mentoring » digitalisé). 4. La puissance du blended learning Dans un contexte où la révolution numérique est omniprésente, prendre le meilleur de l’humain et du digital pour les mettre au service de la formation, cela sera la promesse du blended learning (apprentissage mixte). En 2030 l’humain sera à nos yeux encore plus plébiscité pour deux raisons majeures : - Les grandes évolutions digitales en matière de formation seront digérées et le sujet ne sera plus une course à la technologie mais bien à la meilleure pédagogie : la meilleure approche et les meilleurs outils pour atteindre des objectifs de montée en compétences et la performance pour les entreprises. - Les formateurs (parfois en opposition avec le numérique par crainte) auront une maturité différente sur le volet numérique et utiliseront le digital avec beaucoup plus de pertinence dans leurs actions présentielles. Cela deviendra la norme. 5. Les impacts de la formation seront mesurables (ROI) En 2030, la formation professionnelle mesurera l’implication du formé et les impacts dans sa vie professionnelle pour optimiser le retour sur investissement (ROI). Les entreprises auront également accès à un tableau de bord permettant de mesurer avec précision le ROI de leurs actions de formation. 6. L’Intelligence Artificielle au service de la formation et de l’emploi L’intelligence artificielle (IA) va permettre l’automatisation des tâches à faible valeur ajoutée. On peut imaginer qu’en 2030, les apprenants auront des « bots » ou coachs de vie professionnelle. De véritables Assistants personnels intelligents, pour développer sa compétence, son employabilité, se former tout au long de sa vie selon ses envies et ses besoins. Ils proposeront à tous des formations adaptées au marché du travail, aux emplois à pourvoir et à nos compétences parallèles à développer en temps réel. 7. Des labels d’excellence pour entreprises et formateurs Les entreprises devront être éligibles à un label RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) pour la qualité et l’intensité données &...
Créé en 2006, sur une Méthode Originale Déposée, Horse concept adopte une approche pour le moins intrigante. Cela consiste à transposer la relation homme-cheval dans un contexte managérial du monde de l’entreprise. Le choix du cheval comme partenaire de formation n’est pas sans raison. Cet animal possède des dons extrasensoriels hors du commun qu’il utilise pour assurer sa survie en cas de danger. Cette faculté lui permet, entre autres, d’identifier au sein de son groupe les leaders crédibles et dignes de confiance. Au cours des séances de formation, l’idée est donc de scruter et d’analyser les comportements du manager en fonction des ressentis et de la réaction de l’animal. « Chacun peut être un manager mais pour cela il faut acquérir les bons comportements », explique M. Luc Ramseyer, président de l’entreprise. En effet, contrairement à ce que l’on pourrait croire, le concept mise plus sur le comportement que sur la personnalité des participants. « Nous sommes avant tout des comportementalistes équins et humains », affirme Luc Ramseyer. Enfin, le Horse concept se décline sous trois formes : le horse-coaching (séances de coaching complet pour groupes de cadres et managers), le horse-training (formation avec coach individuel en leadership), et le horse-team building (stages de cohésion pour équipes et comités- 5 à 200 participants). Une équipe pluridisciplinaire Pour garantir des résultats concrets, Horse concept bénéficie de l’expertise de toute une équipe pluridisciplinaire de professionnels. Cette équipe compte dans ses rangs un docteur en éthologie (la science qui étudie les comportements) de l’université de Strasbourg et du CNRS, des équithérapeutes, des coachs équestres formés aux USA, ou encore des coachs en entreprise, experts en gestion des ressources humaines, management, vente, négociation, communication et cohésion d'équipe. « De par notre expérience, nous avons également la capacité de gérer des projets à l'international pour les entreprises multinationales », souligne Luc Ramseyer. Le professionnalisme dont fait preuve Horse concept est encore plus accentué à travers ses recherches basées sur les données de l'Institut des neurosciences. Des sessions de découverte et de sensibilisation Afin de permettre aux entreprises de faire découvrir la pertinence de cette formation à leurs cadres, Horse concept propose des sessions de découverte prévues sur une demi-journée et habituellement combinée avec une réunion de société. « Au lieu de proposer directement un et demi à deux jours de formation complète, il sera plus facile de cette manière pour les sociétés de rassembler leurs cadres pour vivre un moment marquant et très intéressant à un coût raisonnable », explique Luc Ramseyer. Ces sessions de « Sensibilisations » s’adressent à des groupes de cinq à cent personnes et elles sont proposées en trois langues : le français, l’anglais et l’allemand. En procédant ainsi, Horse concept souhaite démontrer aux entreprises l’efficacité de son approche pédagogique. En effet, elles ne pourront tirer que des avantages en investissant dans ce genre de formation. Une formation complète viendra plus tard renforcer les premiers acquis obtenus lors de ces sessions de sensibilisation. « Nos stages de Formation sont tous associés à une approche par la Communication Bienveillante CB ou non-violente CNV, et le développement de l'intelligence émotionnelle, partie intégrante de la démarche pédagogique Horse-Concept. En parallèle et toujours dans cette optique du respect de l'humain, Horse concept propose également des conseils en entreprise, en management général et ainsi qu’en organisation d’entreprise, le tout en relation étroite avec la gestion des Ressources Humaines pour toujours y associer la qualité de vie au travail. », rajoute Luc Ramseyer. ...
Fondé en 1987, cet organisme formateur a rejoint le groupe européen de l’information professionnelle WEKA en 2014 pour construire son expertise autour d’un puissant réseau de marques spécialistes. Ce groupe fédère aujourd’hui Formations Directions, Tissot Formation, Techniques de l’Ingénieur, Stratégies Formations, MB Formations et Legal&Network, qui sont des partenaires d’excellence pour l’entreprise. Restructurer les savoirs pour répondre aux nouveaux exigences et enjeux stratégiques Interrogée sur le mode de conception de son programme de formation, Claire Pascal, Directrice Générale, explique que « le catalogue des formations veut s’adapter à l’ère du temps, à la culture des entreprises et aux besoins réels du marché ». À la confluence, elle souligne plus particulièrement le contexte global du secteur, en pleine ébullition dans la réforme de la formation professionnelle engagée depuis l’année 2014. Ce projet de loi bouscule les pratiques dans les entreprises et fait apparaitre de nouvelles demandes dans l’univers de la connaissance. Ainsi, Comundi Compétences intègre dans ses réflexions les nouvelles alternatives pédagogiques capables d’accompagner la réalisation du projet professionnel de chaque salarié tout en stimulant la compétitivité de l’entreprise. Dans ce champ opératoire particulièrement complexe, les 600 experts et consultants-formateurs assurent une veille permanente, anticipent les besoins, identifient les objectifs pédagogiques et apportent des solutions pertinentes. Ces dernières peuvent se décliner sous plusieurs formats en présentiel (coaching, formation métier, cycle long, parcours professionnalisant CPF, ateliers et conférences, etc.) et en digital learning (e-learning, portail MOOC, classe virtuelle, webinar, serious game, etc.). « Notre manière à nous d’apprivoiser et d’assembler ces briques digitales dans le but de composer un contenu innovant fait notre identité » souligne-t-elle. En parallèle, l’entreprise propose également un coaching individuel ou collectif ainsi que des prestations counseling en management et soft skills, ressources humaines et transformation digitale. Une approche pluridisciplinaire à la croisée du distanciel et du présentiel « Pour nous, l’innovation traduit la capacité à recréer et à réinventer l’existant en apportant une valeur ajoutée en plus pour satisfaire les besoins de notre marché ». En avançant ces propos, Claire Pascal illustre parfaitement le cœur du métier même de Comundi Compétences. Elle se réfère notamment à l’offre blended learning, définie comme une modalité d’apprentissage mixte qui altère une formation présentielle et une formation digitalisée. « Grâce à cette méthode, nous pouvons offrir une solution one-to-one, plus précise et plus engageante, pour donner un vrai sens à la formation collective». Toutes les ressources numériques du Comundi Store sont exploitées en avant, pendant ou après un présentiel pour dynamiser l’échange : module de formation MOOC, outils de reporting, application via des serious game, webinar, mobile learning, module d’évaluation et pack préparation concours. Au-delà d’un ensemble de dispositifs numériques, le digital learning est d’abord une culture qui révolutionne, non seulement la démarche pédagogique, mais aussi l’écosystème de l’entreprise à tous les niveaux : les méthodes, les acteurs, le processus, la communication, etc. Le créative learning trip, destiné aux dirigeants, cadres et managers, s’inscrit également dans cette volonté d’innovation. Prenant la forme de visites guidées dans les écosystèmes spécifiques comme les start-up ou les usines, ce programme, co-créé par Emulsion Creative, a pour objectif d’aider les entreprises à découvrir les nouvelles tendances dans leur secteur. Le processus créatif, le design thinking, la pédagogie collaborative, l’intrapreunariat et la transformation digitale seront les principaux thèmes mis en avant pendant les deux jours de visite. En outre, cette offre se décline &...
L’institut Le Cordon Bleu forme chaque année plus de 20 000 étudiants partout dans le monde aux Arts Culinaires et au management hôtelier. Mais son vaisseau amiral reste à Paris, fleuron de la gastronomie mondiale. Dans un établissement où la passion et l’excellence anime tous les gestes, il fallait des enseignants et des intervenants au moins aussi prestigieux. Et c’est d’ailleurs l’une des forces de l’institut Le Cordon Bleu Paris : le corps enseignant est composé de professionnels reconnus, respectés et de nombreuses fois récompensés. A la direction des Arts Culinaires, on retrouvera donc Eric Briffard, ancien chef de la table du Cinq, meilleur ouvrier de France, et deux étoiles au Michelin. Et pour le département hôtelier, on croisera, entre autres, Franck Ramage, ancien chef sommelier adjoint au Crillon deux étoiles au Michelin. Pour tous ces professionnels, la transmission des gestes, de la passion, et du goût des belles choses est essentiel. Tous ces arts ne peuvent pas simplement s’expliquer dans les livres : il faut les pratiquer sous l’oeil attentif d’un mentor, encore et encore pour en avoir une maîtrise parfaite. Et c’est donc tout l’intérêt de l’institut Le Cordon Bleu. Mettre en relation des professionnels prestigieux et reconnus avec ceux qui le seront demain. Un réseau social qui ouvre de nouveaux horizons L’une des forces de cet institut est aussi de mettre en relation des étudiants aux cultures riches et diverses. Qu’ils soient anciens professionnels en reconversion ou jeunes bacheliers. Qu’ils viennent d’ici ou d’ailleurs (l’Asie, l’Amérique Latine, l’Afrique …), la diversité des cultures et des expériences est une richesse inestimable pour les étudiants. Elle leur permet de développer leur créativité, d’élargir leurs connaissances des usages à l’international, et d’explorer des idées nouvelles. Comme ces deux étudiantes, l’une chinoise et l’autre taiwanaise, associées pour créer un restaurant de cuisine fusion franco-taiwanaise dont la notoriété ne fait que grandir. Lors de leur cursus, les étudiants vont également faire des stages dans de grandes maisons renommées. Ces expériences pratiques, choisies en fonction de leurs projets personnels, leur permettront de faire leurs armes. Ils y rencontreront aussi des professionnels aguerris, souvent de vrais références, afin d’étoffer leur réseau. Les étudiants en management hôtelier sont soumis à un régime spécial. Ils doivent impérativement suivre un cursus de trois mois dans l’une des matières culinaires. Et peuvent le faire à l’étranger, dans l’une des écoles du réseau. Un environnement de travail ultra innovant Mais pour que les 1000 étudiants parisiens puissent travailler dans les meilleures conditions, un bâtiment éco-responsable ultra innovant est à leur disposition. Situé sur les bords de Seine, ces 4000m2 ont été conçus pour optimiser l’apprentissage. Ils comportent sept salles de classes pour les cours de cuisine, boulangerie, ou pâtisserie. Chaque étudiant y a son poste de travail, comme dans un vrai restaurant. Un chai a aussi été reproduit à l’identique pour les futurs sommeliers. Mais des salles de cours plus classiques sont aussi disponibles pour les cours théoriques. L’exigence dont font preuve les enseignants Le Cordon Bleu Paris, leur passion, et leur envie de transmettre font aujourd’hui encore de l’établissement une référence mondiale dans les Arts Culinaires et de l’hôtellerie. ...
Il réunit une cinquantaine d’équipes spécialisées en biologie végétale, issues de cinq instituts de recherche de la région sud parisienne : l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB), l’Institut de Sciences des plantes de Paris Saclay (IPS2), l’Institut de Biologie intégrative de la cellule (I2BC), l'UMR de Génétique quantitative et évolution (GQE-Le Moulon) et l’UMR Biologie et gestion des risques en agriculture (BIOGER). Ce projet est soutenu par 9 institutions : l’INRA, le CNRS, le CEA, AgroParisTech, les Universités Paris-Sud, Evry-Val d’Essonne, Versailles-Saint-Quentin et Paris-Diderot, ainsi que l’Université Paris-Saclay qui porte le projet. L’objectif principal des EUR consiste à renforcer la relation entre recherche et formation et à internationaliser les formations, le but à terme étant de créer des « graduate schools » avec un continuum master / doctorat / laboratoires de recherche. Pour cela, SPS-GSR dispose de programmes d’enseignement réunissant un large panel de disciplines de la biologie végétale et d’infrastructures permettant aux étudiants de se former aux nouvelles technologies et approches dans ce domaine. Le LabEx SPS SPS-GSR s’appuie sur le Laboratoire d’Excellence Saclay Plant Sciences (LabEx SPS), un projet Investissements d’Avenir qui a développé depuis 2011 un grand nombre d’activités axées sur la biologie végétale incluant recherche, formation, innovation et développement d’infrastructures. « Plus qu’un projet, Sciences des plantes de Saclay est un véritable réseau avec comme objectif de faire fructifier les interactions entre les équipes impliquées », souligne le Dr Marie-Jeanne Sellier, manager du projet. SPS met l’accent sur quatre thématiques prioritaires, à savoir 1) l’intensification durable de l’agriculture dans un contexte environnemental fluctuant, 2) l’amélioration de la qualité végétale pour diverses utilisations alimentaires et non-alimentaires, 3) les plantes pour comprendre les mécanismes biologiques fondamentaux et 4) le développement de nouvelles ressources ou biotechnologies pour la recherche, l’innovation et le transfert de technologie. Les recherches s’étendent sur différentes échelles du gène à la plante entière et font intervenir de nombreuses techniques d’analyse différentes grâce aux infrastructures de pointe des laboratoires (biochimie, imagerie, biologie moléculaire et cellulaire, approches omiques, modélisation, bioinformatique, etc.). Enfin, en matière d’innovation, SPS se veut être un accélérateur d’innovation végétale. Il joue pour cela un rôle d’intermédiaire en favorisant les interactions entre les équipes de recherche et des partenaires privés dans des secteurs liés aux ressources végétales. « Nous avons identifié six domaines d’application dans lesquels nos recherches, fondamentales et appliquées, peuvent offrir des débouchés dans le monde industriel », développe le Dr Marie-Jeanne Sellier. Ces six domaines d’application concernent l’adaptation des plantes à leur environnement, la sélection variétale et les biotechnologies, les semences et le rendement, l’alimentation et la nutrition, la cosmétique et la santé et enfin la bioénergie et les matériaux biosourcés. En parallèle, SPS soutient financièrement des projets innovants dans la démarche d’aller jusqu’aux brevets et start-up. L’obtention du projet EUR « Saclay Plant Sciences Graduate School of Research » a entraîné la reconduction des activités du LabEx SPS jusqu’en 2027. « Les deux projets ne font à présent plus qu’un. Les activités de formation seront renforcées tout en continuant à développer recherche, innovation et infrastructures dans les années à venir », rapporte la manager. ...
Surfant sur la vague de l’économie collaborative, Anthony Brice s’est lancé dans un projet ambitieux avec seulement 5 000 € en poche. Il a créé une plateforme de mise en relation entre les particuliers désireux d’apprendre et de transmettre aux autres grâce à un système de matching offre-demande. « Plus tard, je me suis demandé comment je pouvais orienter ma solution vers les professionnels et les centres de formation. C’est ainsi que m’est venue l’idée de réaliser ce nouveau projet », nous raconte le fondateur-CEO de la start-up. À ses débuts, Tutos’Me Pro a démarré avec quelques formateurs déjà inscrits sur Tutos' Me avant d’évoluer vers un collectif de 5 300 formateurs, professeurs et intervenants éducatifs œuvrant dans 300 secteurs différents. Centre de formation sous-traitant Tutos’Me Pro met à disposition des institutions (écoles, centres de formation, entreprises, collectivités, etc.) ses meilleurs formateurs, expérimentés et multidisciplinaires. La plateforme veut révolutionner le parcours classique du recrutement d’intervenants professionnels qui est non seulement lourd et contraignant, mais très souvent infructueux. Comment ? En sélectionnant à la place du client le formateur qui saura répondre précisément à ses besoins. Anthony Brice explique : « Les clients nous soumettent directement leurs demandes, puis nous leur envoyons le formateur le plus pertinent et en mesure de répondre à leurs objectifs. C’est aussi simple. » Pour se montrer encore plus persuasive, la plateforme Tutos’Me Pro accompagne aussi le montage des projets pédagogiques et des projets de formation interne en entreprise en s’appuyant sur son réseau d’experts. Cette formule clé en main inclut la conception d’une formation sur mesure, la création d’une antenne de formation jusqu’à la mise en place d’un partenariat d’appel d’offres. « L’idée est de permettre aux entreprises de former leurs collaborateurs au sein de leur propre structure tout en nous confiant la gestion de ce projet. » La solution gagnante L’innovation apportée par Tutos’Me Pro est de permettre aux institutions de trouver un formateur « en moins de trois jours », mais surtout de prendre en charge toutes les questions liées au recrutement (négociation, contrat, paie, déclaration unique d’embauche, arrêts maladie, etc.) sous une facture unique. « Mieux, les clients gagnent la flexibilité du paiement par session au lieu de recruter des formateurs internes en contrat en CDI », renchérit notre interlocuteur. ...
Le Lycée français Rodolphe Töpffer a repris comme leitmotiv la phrase de ce pédagogue genevois et inventeur de la bande dessinée : « Aimer l’école aujourd’hui, c’est aimer la vie demain ». Dans cet esprit, le lycée met tout en œuvre pour apporter à chaque élève un enseignement sérieux, solide et valorisant, dans une atmosphère familiale et bienveillante. N’accueillant que 200 élèves chaque année, avec des classes à effectif réduit, le lycée veille ainsi à l’équilibre et à l’épanouissement personnel de chacun. Une pédagogie à l’écoute des élèves L’équipe professorale, expérimentée, motivée, disponible et avec un sens pédagogique affirmé, reste à l’écoute des élèves pour les guider de façon personnalisée. Etudes surveillées et soutien individuel sont programmés chaque jour. Elle transmet aux élèves des méthodes de travail leur permettant d’acquérir faculté de raisonnement, apprentissage de l’autonomie, développement du sens critique, esprit d’initiative et inventivité. Le Lycée favorise le désir d’apprendre et la curiosité en organisant entre autres la Fête de la francophonie, de la poésie, de la science ou la semaine des talents. Il donne une grande importance aux langues avec des cours supplémentaires pour préparer les diplômes de langues comme le Toefl, le Cambridge ou encore une initiation au chinois. Bien préparer les élèves au monde de demain Le lycée souhaite que chaque élève devienne un citoyen acteur du monde de demain. Il a donc mis en place un programme destiné à préparer les élèves à leur avenir. Avec entre autres des cours de robotique, une option d’arts plastiques et un atelier de création de startup avec la collaboration de Graines d’entrepreneur. Il accompagne les élèves dans leur orientation en les invitant à se rendre au Forum des formations universitaires, aux portes ouvertes des Universités ou encore au stage boussole de l’Université de Genève afin d’y suivre quelques cours. ...
Sortir de sa zone de confort est toujours une expérience enrichissante pour se découvrir de nouvelles aptitudes, et vous prépare aux mieux à la vie professionnelle à l’international. Pour diverses raisons, les pays anglophones tels que le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada se trouvent parmi les premiers choix des étudiants. Si vous vous intéressez à ces pays vous aussi, voici quelques informations qui vous seront utiles pour arrêter votre choix. Pourquoi faire ses études supérieures au Royaume-Uni ? Le Royaume-Uni est la troisième destination mondiale des étudiants internationaux, après les USA et l’Australie. Malgré les changements induits par le Brexit, il figure toujours parmi les meilleures destinations pour les études d’excellence. Le Royaume-Uni est l’un des pays les plus ouverts aux études internationales avec plus de 20% de ses étudiants venant de l’étranger. Il possède des institutions de renommée mondiale telles que les universités de Cambridge, Oxford, Imperial et St Andrews. Connus pour le niveau et la qualité de l’enseignement dispensés aux étudiants, ces noms prestigieux ont une grande notoriété pour la future carrière des étudiants. A l’issue de leur formation au Royaume-Uni, les étudiants obtiennent un bachelor, un M1 ou un M2 dans diverses spécialités comme l’économie, la littérature, l’histoire, le droit, la médecine et l’ingénierie. Ils peuvent se spécialiser dans des domaines spécifiques tels que la gestion des catastrophes ou encore les effets spéciaux, ou encore opter pour des combinaisons interdisciplinaires cotées (telles que PPE, par exemple, qui associe la politique, la philosophie et l'économie). Pour adhérer aux établissements britanniques, il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir un très haut niveau académique couplé à une certification CAE ou IELTS. Ensuite, ils tiennent comptent des accomplissements extra-scolaires de l’étudiant. Pour certaines filières, des stages en milieu professionnel ainsi que d’autres évaluations supplémentaires sont requis. Etudier au Royaume-Uni, c’est aussi se donner toutes les chances de perfectionner son anglais. En immersion totale, les étudiants apprennent à utiliser la langue à la manière des natifs et acquièrent tout le vocabulaire nécessaire dans leur domaine de prédilection. Outre le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada (surtout le Québec) attirent également les étudiants français. Obtenir un diplôme sur mesure aux Etats-Unis ou au Canada Mise à part l’attraction des jeunes concernant le mode de vie américain, les Etats-Unis représentent une destination de rêve pour de nombreux étudiants. Ils accueillent la plupart des meilleures universités au monde pour ne citer que Harvard, la plus prestigieuse pour apprendre l’architecture, l’Université de Pennsylvanie pour les études orientées business ou encore Berkeley, pour approfondir la littérature anglaise. En outre, les Etats-Unis disposent de campus et d’infrastructures de haute qualité pour recevoir les étudiants. Le cursus « Liberal Arts College » vous permet de mixer plusieurs disciplines librement – la biologie avec le Chinois, par exemple, ou l’histoire de l’art avec le développement durable. Les études sont sanctionnées par un Bachelor of Arts (BA) ou un Bachelor of Sciences (BSc) au premier cycle et un Master dans les mêmes domaines au second cycle. Depuis Covid, certaines écoles gardent leur statut « SAT optional », vous laissant le choix de présenter un SAT ou ACT, mais une une certification TOEFL ou IELTS reste fortement conseillée. Selon les établissements, la qualité de meneur et la capacité de créer un projet personnel peuvent aussi jouer sur la sélection des étudiants. Les conditions sont à peu près les mêmes pour ceux qui veulent faire des études d’excellence dans les institutions canadiennes. La différence, c’est la possibilité de choisir entre les établissements anglophones et les établissements bilingues. Néanmoins, une certification TOEFL ou IELTS est toujours requise. Les universités américaines et canadiennes se distinguent cependant par la possibilit&ea...
Conscient de l’envergure des enjeux qu’impliquent le taux élevé du chômage, l’étendue de la demande sur le marché de l’emploi et la hausse de la reconversion professionnelle, le centre de GAP cadre l’intégralité de ses activités dans la formation pour l’emploi. Pour une facilité d’accès « Étant donné la précarité à laquelle notre société fait face aujourd’hui, on met en place des actions de formation qui visent à faciliter l’accès à l’emploi », explique Catherine Campagnoli, directrice du centre de GAP. Reposant sur des principes pédagogiques singuliers, ces formations sont axées sur un apprentissage en situation réelle de travail. Dispenser des connaissances de bases théoriques fait partie des démarches du centre. Mais c’est loin d’être la finalité espérée. Imprégner les stagiaires dans l’environnement professionnel de manière à ce qu’ils soient immédiatement opérationnels au sein des entreprises : tel est son objectif principal. Animé par la volonté d’atteindre ce but et d’optimiser davantage la qualité des formations, le centre de GAP propose plusieurs types de formations dans les métiers du bâtiment (maçon et maçon du bâti ancien, tailleur de pierre, etc.), du second œuvre (électricien, carreleur, plaquiste, installateur en chauffage, etc.) et dans le métier du tourisme ou du commerce (vendeur en matériels de sports, etc.) ou du tertiaire. Les conseillers de l’AFPA et les différents points d’information mis en place (journées portes ouvertes, catalogues, salons, etc.) sauront accompagner les intéressés dans leur choix : formation certifiante, qualifiante, préparatoire, compétences métiers ou solution entreprise. Une démarche d’insertion Les actions du centre de GAP ne se limitent pas aux formations. Le centre intervient également dans l’insertion professionnelle de ses stagiaires à la fin des apprentissages. Outre les périodes de stage en entreprise dont ils bénéficient systématiquement, les stagiaires peuvent effectivement compter sur tout un pôle d’accompagnement dans leur recherche de travail. « On met à leur disposition les outils nécessaires et un portefeuille d’entreprises avec lesquelles on collabore. Le but est de leur permettre d’élargir leurs propres réseaux et qu’ils démarchent auprès des entreprises avec des CV actualisés et orientés », continue Catherine Campagnoli. Et, cerise sur le gâteau, certaines entreprises viennent même recruter directement auprès du centre. Un large public cible Le centre de GAP s’adresse donc en tout premier lieu aux demandeurs d’emploi sans qualification professionnelle, en leur prodiguant une formation complète qui les prépare à leur futur métier. Même si nos publics sont demandeurs d'emploi, notre offre de formation s'adresse à toute personne souhaitant se former, artisans, entreprises, salariés, aux collectivités. ..Sachant que toutes les formations sont modulaires (Valider une partie de la formation en ne passant que certains modules), la possibilité d’acquérir des compléments de formation sur un domaine plus pointu s’offre aussi aux intéressés. C’est l’idéal pour ceux dont l’envie est de se reconvertir professionnellement. Ou encore pour ceux qui souhaitent acquérir un savoir-faire spécifique ou une technique particulière pour plusieurs raisons, dont la progression perpétuelle des technicités, des matières utilisés, des outils et du monde de l’entreprise en général. En dehors des particuliers, le centre de GAP est également un levier majeur pour les entreprises. Il contractualise des plans de formation avec ces dernières, suivant les besoins et l’évolution de leur secteur d’activité, afin d’améliorer les compétences de leurs ressources humaines. ...
Depuis 5 000 ans, l’Ayurveda, littéralement « science de la vie », et médecine intégrative est pratiquée en Inde comme un art de vivre. Cette ancienne médecine holistique est reconnue depuis 45 ans par l’Organisation mondiale de la santé. Elle est enseignée en Inde, en universités et instituts gouvernementaux (une centaine), le doctorat de base, étant de 6 ans (BAMS : doctorat en Ayurveda, médecine et chirurgie). Narendra Modi a créé le ministère des médecines traditionnelles : AYUSH ( Ayurveda, yoga et naturopathie, Unani, Siddha et homéopathie), dont le Dr Kotecha en est le secrétaire d’état. Faire connaitre une partie des connaissances liées à cette discipline et les partager à travers des formations combinant à la fois théories et pratiques, tel est l’objectif de l’AssPPA (Association pour la promotion et la pratique de l'Ayurveda). Une médecine douce Médecine traditionnelle indienne, l’Ayurveda traite l’individu dans son ensemble. « Elle se fonde sur l’observation de l’être humain, de son environnement mais aussi sur son hygiène de vie et alimentaire », explique Marie Christine Campo-Paysaa, la fondatrice de l’association. Pour les soins et les thérapies, l’Ayurveda utilise essentiellement les massages, des plantes, des pierres et des minéraux, mais aussi des métaux tels que le cuivre, le zinc, le fer, le mercure, l’argent, l’or. En médecine ayurvédique, le corps et l’esprit sont indissociables. Ainsi, pour restaurer l’équilibre et l’harmonie globale, le yoga, la méditation et les massages occupent une place privilégiée. Une rencontre déterminante L’association voit le jour en 1995 sous le nom de Corps et Conscience. « À l’époque, nous ne proposions que des séances de hatha yoga et de yoga nidra », nous indique-t-elle. En 2003, Marie-Christine Campo-Paysaa fait la connaissance du Dr Kotecha, un éminent médecin ayurvediste. « Cette rencontre a été comme un déclic et nous nous sommes tournés vers l’Ayurveda », raconte notre interlocutrice. C’est dans ce contexte que va naitre le Centre Ayurveda d’Aquitaine. Des formations complètes Le centre dispense des formations diplômantes, portant non seulement sur les bases théoriques de l’Ayurveda mais également sur les pratiques des différentes techniques de massage. S’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels désirant se reconvertir, ou compléter leurs connaissances, ces formations durent entre 15 et 17 jours, impliquant 6 jours d’enseignement théorique. Grâce à un partenariat noué avec Chakrapani Ayurveda Clinic & Research Center (clinique fondée par le Dr Kotecha) basée à Jaipur, les étudiants ont l’opportunité de finir leur cursus en Inde. ...
Le coronavirus bouscule les habitudes de consommation, fragilisant un secteur qui doit aujourd’hui composer avec un avenir incertain. Comment se traduit aujourd’hui l’impact du Covid-19 sur l’hôtellerie ? JFG : On entend pas mal de chiffres mais ils ne sont pas consolidés. Nous disposons d’une première étude très récente sur le parc hôtelier de Singapour. Cette étude indique un choc de demande, qui a baissé drastiquement et dont les prévisions à court terme sont du même ordre. Les hôteliers se retrouvent avec des recettes en forte baisse et des coûts fixes importants qui eux ne bougent pas. Nul ne sait vraiment quelles sont les pratiques de consommation du tourisme qui vont s’établir dans notre monde d’après : envie de se déplacer ? Choix des destinations (plus ou moins contraints par les ouvertures de frontières et des liaisons aériennes) ? Pour les gestionnaires des hôtels, c’est impossible à ce stade de se projeter dans l’après en posant des hypothèses d’activité (volume, durée). Comprenons-nous bien, ça ne veut pas dire qu’ils ne vont pas s’en sortir ! Un nouveau paysage économique Les acteurs de l’hôtellerie sont-ils tous égaux pour surmonter cette crise ? JFG : On peut mettre en avant trois variables qui vont être importantes. D’une part les pays où une partie des pertes pourra être prise en charge par des mécanismes globaux : on pense au chômage partiel comme en France et en Allemagne. Ensuite, on va voir des zones géographiques où l’activité va reprendre, quand les conditions sanitaires seront acceptables. Enfin, la crise va impacter les grands groupes mais les décisions de gestion les plus difficiles seront probablement sur les épaules de patrons de petites structures. De l’incertitude au renouvellement Le marché hôtelier doit-il changer de modèle ? JFG : La question se pose sur certains outils de gestion et méthodes. Par exemple le pricing dynamique se trouve remis en cause dans une période critique de demande. Mais il retrouvera son utilité le jour où le marché sera revenu sur un équilibre classique. On peut imaginer que les gestionnaires hôteliers vont intégrer des contraintes beaucoup plus fortes de l’environnement dans leur plan stratégique. Une des questions qui émerge est celle d’une remise en cause du modèle d’internationalisation de l’hôtellerie, avec des logiques plus régionales. L’avenir nous le dira… ...
Favoriser la double carrière dans les couples expatriés, tel est l’objectif que s’est fixé Absolutely French. Cette startup leur offre un vrai coup de pouce. Comment ? Grâce à une formation de français, qui propose une approche à la fois ludique et conviviale aussi bien de la langue que de la culture. Conjoint.e d’expatrié.e Ayant été conjointe d’expatrié dans 6 pays différents, Armelle Perben, fondatrice d’Absolutely French, sait mieux que quiconque les conséquences qu’impliquent une telle situation sur la carrière professionnelle. « Dans la grande majorité des cas, ce sont presque toujours les femmes qui sacrifient leur carrière afin de suivre leur mari », explique-t-elle. Une fois arrivées à destination, ces dernières rencontrent ensuite énormément de difficultés pour décrocher un emploi. Si, finalement, elles y parviennent, le poste proposé ne correspond ni à leurs études ni à leurs expériences professionnelles. C’est en partie pour tenter de corriger cette situation qu’Armelle Perben crée Absolutely French en 2015. Pédagogie active La startup élabore les cours des français en fonction des besoins des conjoints. Ici, la pédagogie se veut être active : les participants évoluent dans des situations réelles qui les incitent à échanger directement avec les locuteurs natifs. « Nous les amenons au marché et ils font eux-mêmes les courses, cela leur permet, par exemple, de travailler les outils linguistiques servant à exprimer la quantité ou les chiffres », nous indique-t-on. Après le marché, tout le monde se retrouve ensuite en cuisine. Évidemment, les apprentis en profitent pour apprendre quelques notions grammaticales tout en cuisinant. Il est vrai qu’avec Absolutely French les apprenants n’ont pas le temps de s’ennuyer ! Et c’est justement le but recherché, puisque la startup se sert expressément des jeux comme leviers d’apprentissage. Partir à la découverte de Paris à travers des jeux de pistes, simuler un entretien d’embauche, visiter des lieux importants comme la mairie ou la poste… Quelle que soit l’activité proposée, celle-ci est toujours présentée de manière ludique. Les formations intègrent également les informations jugées utiles au quotidien. « Quand ils arrivent en France, beaucoup d’étrangers ne savent pas trier les déchets ou quel numéro composer pour appeler les services publics », rapporte notre interlocutrice. Projet de vie Afin de favoriser l’intégration des expatriés, Absolutely French les assiste et les accompagne dans leur projet de vie. Une mise au point portant sur l’avancement du projet ou sur les difficultés rencontrées est réalisée régulièrement. « Nous leur donnons des informations sur une école ou bien sur un travail qu’ils souhaitent faire. » Pour aller plus loin, Absolutely French intervient même sur le plan relationnel, en aidant les apprenants à développer leurs réseaux d’amis grâce au Club Absolutely. Régulièrement, des évènements sont organisés pour que les expats puissent se rencontrer dans une ambiance conviviale et partager leurs expériences. ...
Fondé en 1903 par des prêtres dominicains, le Collège Champittet était, à ses débuts, un internat exclusivement réservé aux garçons. Aujourd’hui, l’établissement accueille également des filles et abrite non seulement un internat mais surtout un externat qui concerne 90 % des élèves. Le Collège propose une éducation académique à des enfants âgés de 3 à 18 ans. De par son histoire, il a des valeurs profondément inscrites. « L’école a des racines catholiques mais elle est ouverte à toutes les communautés, formes de pensée, de religion ou de croyance », précise Philippe de Korodi, le directeur. À travers ses 115 années d’existence, l’établissement a évolué et est passé d’une référence locale à un rayonnement international. En effet, 60 % des élèves inscrits viennent de toutes les régions du monde. De plus, l’école fait partie du groupe Nord Anglia Education, une organisation regroupant 55 écoles d’excellence dans le monde. Un cadre unique avec des infrastructures haut de gamme Située non loin de Lausanne, à 200 m du lac Léman, l’école dispose d’un campus arboré établi sur une surface totale de 40 000 m². Le cadre bénéficie de nombreux espaces verdoyant sous l’ombre de grands arbres majestueux. En hauteur, depuis les fenêtres du Collège, les élèves profitent d’une magnifique vue sur les Alpes. Outre les différents bâtiments scolaires, le campus est doté de plusieurs équipements sportifs incluant des terrains de sport ainsi que de deux courts de tennis. Des cursus adaptés au profil des élèves Le Collège Champittet dispense un programme bilingue (anglais, français) à tous ses élèves. L’école les prépare également à trois diplômes prestigieux à savoir : la maturité suisse, le baccalauréat français et le baccalauréat international. «Tous ces diplômes ont des caractéristiques différentes qui nous permettent d’orienter l’élève selon son profil personnel », développe le directeur. Pour les élèves non francophones, un programme spécifique dénommé F.L.E (français langue étrangère) leur permet d’atteindre en seulement une année le niveau B1/B2 du CECR (Cadre européen commun de référence). Un autre élément qui démarque le Collège Champittet porte sur son approche pédagogique qui prône l’usage des nouvelles technologies. « Les élèves ont accès à des iPad collectifs très tôt mais, dès l’âge de 7 ans, l’école leur fournit un iPad personnel », nous indique-t-on. Cette approche permet à la fois de booster la curiosité intellectuelle et de favoriser une meilleure collaboration entre les élèves. Depuis 2016, l’établissement a aussi entamé une nouvelle approche axée sur la multidisciplinarité. Le programme STEAM (science, technologie, ingénierie, les arts et les mathématiques) en partenariat avec le M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) a pour objectif de développer les aptitudes de l’enfant à trouver rapidement des solutions face à des problèmes concrets. ...
« Il y a de nombreux emplois maritimes dans ces domaines, confirme Alain Pomes, directeur du Centre européen de formation continue maritime (CEFCM). Et ça ne va pas s’arrêter : l’avenir de l’humanité repose sur l’eau, l’énergie et la nourriture. Ces trois éléments, c’est la mer qui les fournira.» Dans l’immédiat, la pêche, l’aquaculture, l’algoculture ou encore les énergies marines renouvelables font également partie des secteurs qui recrutent. Centre européen de formation continue maritime : 2 700 stagiaires chaque année Pour répondre à la demande, le Centre européen de formation continue maritime accueille 2 700 stagiaires chaque année. Ceux-ci peuvent se former aux métiers d’officier de marine marchande, de matelot, de mécanicien, etc. Un marin français sur deux passe par le CEFCM ! Deux sur trois accèdent à ces métiers par la formation continue. Ces professions sont souvent plébiscitées par des salariés en reconversion. Car les métiers maritimes ne manquent pas d’atouts, notamment en termes de rémunérations : ils sont deux à quatre fois plus payés que des équivalents sur la terre ferme. « L’avancée dans une carrière peut être très rapide, reprend Alain Pomes. De plus, les reconversions sont faciles, la mer est un véritable ascenseur social, les marins, grâce à leur polyvalence, n’ont aucun mal à retrouver un travail à terre.» ...
Selon les données de l’INSEE, 60% des entreprises françaises employant plus de 50 salariés ont recours aujourd’hui à la sous-traitance. En délocalisant une partie de leurs activités, ces entreprises peuvent ainsi se concentrer davantage sur leur cœur de métier. Si cette tendance se confirme, les offres en free-lance vont très vite connaitre une forte hausse. Le freelancing peut donc s’avérer intéressant d’autant plus que les travailleurs indépendants sont aujourd’hui mieux rémunérés par rapport aux salariés. Les études menées par l’INSEE révèlent une augmentation de 2,9% (2006-2011) des revenus des indépendants contre moins d’1% (début 2008) pour les salariés. Si ces derniers y voient une opportunité leur permettant de compléter leur revenu, les seniors, les personnes en recherche d’emploi ou de reconversion, les salariés et les jeunes étudiants peuvent également se mettre à leur propre compte afin de développer un business en ligne et arrondir leur fin de mois. Cependant, ceux qui souhaitent se lancer doivent faire face à une problématique : quel est le meilleur moyen pour faire connaître ses activités tout en se démarquant de la concurrence et décrocher rapidement ses premiers contrats ? cyboolo est la solution qui répond justement à ces besoins. Valoriser le savoir-faire et les compétences des indépendants cyboolo est une plateforme LMS qui accompagne les indépendants quel que soit leur statut - auto entrepreneur, micro entrepreneur, EI(RL), SASU, EURL -, dans la création de cours en ligne. « Ces cours en ligne constituent un puissant vecteur pour mettre en avant ses compétences professionnelles et sa personnalité », explique Olivier Truc, le fondateur. En effet, les free-lances et les indépendants rencontrent les mêmes problèmes au cours de leur démarrage. L’isolement, l’absence de référence, et de visibilité sur le web pour certains, des moyens financiers limités, manque de temps pour gérer la prospection commerciale et le développement de réseau de clients,... la liste est loin d’être exhaustive. Avec cyboolo, les indépendants accèdent à une plateforme clé en main intégrant un support e-marketing, un outil e-learning et une solution e-commerce grâce notamment à un système de paiement intégré. Vendre une formation en ligne ou tout simplement dénicher des clients ou des missions en suggérant un service gratuit de formation en ligne : la solution répond au besoin spécifique de chaque utilisateur. De multiples avantages L'application cyboolo, accessible depuis un explorateur web, a été conçue pour faciliter la prise en main de ses utilisateurs. Quelques minutes suffisent pour créer son propre site internet, son catalogue de formations en ligne et du contenu multimédias (textes, images et vidéos). A l’image d’un éditeur de texte, l’outil séduit par sa simplicité d’utilisation. Il développe une interface simple et intuitive, fonctionne sur tous supports (ordinateur, tablette ou smartphone) et convient aussi bien à un novice qu’à un expert en informatique. D’ailleurs, la connaissance du code n’est pas requise et l’utilisateur n’a pas non plus à se soucier des contraintes techniques telles que la gestion de base de données ou la création et le stockage de vidéos. « Tout peut se faire depuis la plateforme, et l’utilisateur n’a pas besoin d’un compte associé sur un autre service », fait savoir notre intelocuteur. Générateur de mentions légales, conformité au RGPD, gestion de la franchise en base de la TVA, Chat en ligne et commentaires vidéos viennent compléter la panoplie des fonctionnalités offertes aux utilisateurs. Des utilisateurs, de plus en plus nombreux, qui vont du coach sportif au consultant informatique en passant par le thérapeute ou le photographe freelance. En offrant aux indépendants la possibilité de publier des contenus uniques, essentiels pour exister sur les réseaux sociaux, ainsi qu’une alternative innovante aux blogs souvent chronophages, cyboolo les aide à se démarquer et à renforcer leur image de marque de manière simple, rapide et abordable. ...
Lorsqu'il s'agit de préparer ses études à l'international, il est essentiel d'avoir accès à des informations fiables et à un soutien professionnel. C'est là qu’Admission Accomplie entre en jeu. En tant que cabinet spécialisé, ils sont là pour vous guider à chaque étape de votre parcours. Leur équipe d'experts peut vous aider à sélectionner les meilleures universités en fonction de vos objectifs et de vos intérêts académiques. De plus, ils vous offrent un accompagnement personnalisé pour constituer un dossier de candidature solide, rédiger une lettre de motivation convaincante et préparer les entretiens d'admission. Grâce à leur expertise et à leur connaissance approfondie du processus d'admission, Admission Accomplie vous donne les outils nécessaires pour maximiser vos chances de succès dans votre projet d'études à l'international Le coach, un partenaire incontournable pour bien gérer les projets complexes Les raisons qui poussent les lycéens français à s’expatrier après le bac n’ont guère changées, mais se sont faites plus pressantes ces dernières années. Au même temps, le Brexit, la réforme du bac et les changements dans Parcoursup ont incontestablement influencé le paysage éducatif dans lequel ces étudiants évoluent et vers lequel ils postulent. Le nouveau bac garde les richesses de l’ancien, mais présente de nouveaux défis pour les étudiants postulant à des filières STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie et Maths) dans les écoles d’excellence. Un bon cabinet de conseil vous aidera à mettre l'accent sur les points forts acquis grâce aux atouts du système éducatif français, tels que l’esprit analytique et synthétique, et une culture générale solide et large. Et, pour augmenter vos chances d’être pris dans les universités les plus sélectives en STIM, Admission Accomplie conseille que les étudiants suivent des cours supplémentaires en sciences pour se mettre au niveau de leurs pairs britanniques. Suite à l’augmentation des frais de scolarité au Royaume-Uni, la mobilité des étudiants a été affectée. Au UK, on voit une exigence pour intégrer que les meilleurs établissements – on cherchera des écoles plus accessibles au Pays-Bas ou en Irlande, par exemple. Typiquement un étudiant va postuler dans trois voire quatre pays, et son projet doit être appréhendé dans sa globalité. De plus, ces applications multi-destinations nécessitent la mise en place dès la Seconde de différentes stratégies pour enrichir le profil de l’étudiant en expériences en compétences pour augmenter leurs chances d'admission dans les pays visés. La préparation adéquate pour effectuer des études à l'international nécessite l'accompagnement d'un coach expérimenté. Admission Accomplie, fort d'une expertise de plus de 20 ans, est un cabinet d'accompagnement renommé, composé d'agents certifiés de l'enseignement supérieur. C’est aussi un centre UCAS agréé. Leur connaissance approfondie des systèmes éducatifs et leur capacité à cerner les critères et les préférences des candidats garantissent un soutien personnalisé et efficace pour réussir leur parcours universitaire à l'international. Postuler dans une université internationale avec Admission Accomplie La candidature à une grande université étrangère requiert une attention minutieuse portée au parcours de l'étudiant, notamment ses résultats scolaires, lettres de recommandation, lettre de motivation et tests externes. Une lettre de motivation bien rédigée joue un rôle crucial pour se démarquer des autres candidats et exprimer son projet d'avenir en lien avec le programme de l'université d'accueil. En plus des éléments traditionnels du dossier de candidature tels que les résultats scolaires et les lettres de recommandation, la personnalité du candidat est également prise en compte lors de la sélection des dossiers par les établissements internationaux. Les stages effectués pendant les vacances scolaires démon...
« Dans une classe de sixième accueillant 30 élèves, l’on sait qu’il existe en moyenne deux ans d’écart de niveau en mathématiques. Ce constat montre une faille dans l’apprentissage », constate Laetitia Grail, cofondatrice de myBlee Math également professeure de mathématiques pendant dix ans. Ainsi disponible sur iPad, l’application myBlee Math veut aider les enfants de 5 à 12 ans à s’améliorer dans cette discipline non pas en les cloisonnant à un niveau mais en découpant l’apprentissage en différentes phases pour qu’ils puissent évoluer en fonction de leurs capacités et à leur rythme. L’innovation technologique au service d’une pédagogie innovante myBlee Math est un outil complet enseignant les mathématiques de la maternelle à la sixième. Il est le fruit d’un travail de partenariat avec des enseignants et entités spécialisées dans l’enseignement. « Il a fallu trois années pour créer la bibliothèque de 2 000 exercices et leçons conformes au programme des cycles 1, 2 et 3 de l’Éducation nationale », explique la CEO. Les contenus se décomposent en plusieurs modules et notions, avec des niveaux de difficultés progressifs. L’équipe de myBlee Math a choisi d’intégrer les meilleures pédagogies utilisées en France et dans le monde, telles la pédagogie Montessori ou la méthode de Singapour. Aujourd’hui, elle ne cesse d’explorer de nouvelles pratiques en se penchant sur les neurosciences. L’innovation se trouve également au niveau de la technologie utilisée. L’interface intuitive, le game design, la reconnaissance d’écriture manuscrite, la correction adaptative ou encore le texte-to-speech sont conçus de façon à optimiser l’interactivité et l’efficacité d’apprentissage. « L’enfant peut tourner un rapporteur aussi facilement sur une tablette que sur une feuille de papier ! », déclare Laetitia Grail. Un parcours d’apprentissage personnalisé De plus, l’application myBlee Math utilise un moteur d’adaptive learning basée sur une intelligence artificielle pour créer un parcours d’apprentissage personnalisé et adapté à chaque profil. Concrètement, le niveau d’exercice proposé est pertinemment choisi en fonction de l’évolution de chaque enfant. « L’application comprend l’enfant : il l’évalue et l’accompagne dans sa progression. » L’usage de myBlee Math se fait sous la houlette des professeurs et des parents. À l’école, les enseignants disposent d’un mode de pilotage pour suivre les activités de la classe et de chaque élève, puis pour attribuer, corriger ou planifier des travaux. Les parents ont aussi accès à une fonctionnalité similaire. Ils peuvent consulter le reporting, visualiser le parcours de leur enfant et lui confier des exercices depuis leur smartphone. ...
La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé, créée en collaboration avec le monde socio-professionnel, s’appuie sur une pédagogie innovante et active, et répond parfaitement aux besoins actuels et émergents du marché en matière d’employabilité. Une pédagogie professionnalisante, gage d’employabilité La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé se distingue par son approche multidisciplinaire, transversale et professionnalisante. Les candidats peuvent rejoindre la spécialité génie biologique et santé après 2 années de classe préparatoire intégrée en biologie, accessible via le concours national GeiPi Polytech, ou après un bac+2 via le concours interne de l’école. Il est également possible d’intégrer la deuxième année du cycle préparatoire intégré après une première année commune aux études de santé validée (Paces ou équivalent) via le dispositif Pass’Med. « Dans les secteurs de santé, les étudiants vont intervenir non pas dans les soins, mais plutôt dans la partie organisationnelle, gestion des risques et management de la qualité. Il existe un lien très étroit et très intéressant entre la démarche qualité-gestion des risques dans les industries de santé (agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique..) et celle des structures sanitaires et médico-sociales », explique Nathalie Faisant, chargée de communication. « Les étudiants ont cette double compétence de pouvoir passer d’un secteur à l’autre », poursuit-elle. Cette approche est innovante car, « sur l’université d’Angers et globalement au niveau nationnal, il n’existait pas de formation d’ingénieurs dans cette spécialité », continue Jean-Michel Oger, directeur du département Issba. Tout l’intérêt de cette formation repose aussi sur la méthodologie novatrice adoptée. « Les étudiants sont amenés à réfléchir autour d’une problématique plutôt que d’acquérir des connaissances pures », souligne Alphonse Calenda, responsable de la formation continue et directeur adjoint de l’Istia. Par ailleurs, des stages de longue durée, s’étendant au total sur 15 mois, permettent la mise en œuvre des différentes compétences professionnelles. Tout au long de son cursus, l’apprenant travaille sur son projet personnel et professionnel dans le cadre d’un accompagnement spécifique par des « coachs » professionnels. Ceux-ci vont l’accompagner de manière à pouvoir identifier non seulement un secteur d’activité mais aussi une fonction dans l’entreprise ou un métier sur lequel il va davantage vouloir se diriger après l’obtention de son diplôme. À l’issue de la 4e année et après un premier module de pré-approfondissement, l’étudiant peut choisir en connaissance de cause la voie qu’il veut suivre durant sa 5e année. Trois voies sont proposées : Ingénierie innovante des produits de santé, Management des processus complexes en santé et Gestion des risques des secteurs de santé. A terme, l’ingénieur pourra occuper différentes fonctions dans le management de structures et de projet, dans la qualité, dans la gestion des flux, dans la gestion des risques, dans l’innovation et la conception. Des formations continues pour les professionnels en activité Les secteurs de la santé et du sanitaire et médico-social font actuellement face à une rationalisation organisationnelle modifiant considérablement la gestion de leurs ressources. Les ingénieurs sortant de la spécialité génie biologique et santé sont progressivement préparés à ces profondes mutations. De leur côté, les salariés en activité ou en reconversion doivent s’adapter pour pouvoir anticiper ces évolutions et poursuivre leur action, en mettant à jour leurs connaissances et en complétant leurs compétences. « La formation continue proposée par l’école représente alors pour eux une r&...
Créée en 1971, l’ECI propose des séjours linguistiques en se spécialisant dans les séjours destinés aux jeunes de 12 et 18 ans. Allant d’Irlande aux États-Unis, en passant par l’Angleterre ou l’Australie, la pratique de la langue étrangère ciblée, notamment l’anglais, est assurée par des programmes en immersion totale dans le cadre d’hébergements en famille ou d’intégrations dans des écoles de langue de renommée internationale. L’immersion linguistique totale Séjours au pair, stages en entreprise à l’étranger ou encore intégration en écoles de langue sont autant de formules de séjours linguistiques et éducatifs proposées par l’ECI. « À l’écoute des parents, dans le but de les conseiller sur le meilleur choix pour leurs enfants, l’association élabore ses formules en assurant aux participants un accompagnement permanent par un professeur ou un membre de l’ECI », explique Valérie Deltour, la directrice de l'association. Parmi la dizaine de formules au choix, l’immersion totale reste néanmoins le fleuron de ces séjours riches en apprentissage et en découverte. En effet, toujours selon la responsable, « cette expérience vécue au sein d’une famille américaine, destinée aux lycéens et étalée sur deux mois, se veut le cœur de métier de l’association », une offre garantissant ainsi un apprentissage rapide et efficace de la langue choisie. À cette formule viennent s’ajouter les séjours linguistiques en Angleterre ou en Irlande. Pour ce qui est de l’Irlande, il s’agira de découvrir la culture du pays tout en bénéficiant d’une « immersion dans un milieu international [multilinguistique et multiculturel], au sein d’établissements spécialisés dans la langue anglaise [accueillant de jeunes élèves venus des quatre coins du monde]», continue-t-elle. La pratique, l’approfondissement et la maîtrise de la langue choisie sont ainsi assurés par ces programmes enrichissants à l’étranger, organisés, pour la plupart, durant la période estivale. De nombreuses autres destinations sont, par ailleurs, proposées par l’association afin de satisfaire toutes les demandes en matière de séjours linguistiques. ...
L’iaelyon est rattaché à l’université Jean Moulin. Cette école de management publique fait partie des 32 écoles universitaires de management qui proposent des Diplômes d'Etat en Management et Gestion. L’école est certifiée Qualicert et bénéficie de l’accréditation internationale EPAS. A l’iaelyon, vous pourrez choisir entre 7 licences générales, 12 licences professionnelles, 13 masters et un programme doctoral. Mais cette école est devenue également un acteur majeur dans la formation continue. Entretien avec Corinne Forgues, directrice du Développement de la Formation Continue Quelle est l’offre de formation continue que propose l’iaelyon ? L’offre est très large, à la fois diplômante avec des diplômes niveau master en français, un MBA en anglais, un Executive Doctorate in Business Administration en partenariat avec BSI, 5 diplômes d’université qui sont positionnés à bac+3 ou à bac+5. Nous avons également une activité d’offres sur-mesure pour les entreprises où nous construisons entièrement des programmes dédiés au public spécifique des entreprises. Nous proposons également des formations courtes, certaines certifiantes. Nous faisons de la VAE (Validation des Acquis par l’Expérience). Ceci sur tous les champs du management et de la gestion. La demande est forte surtout sur les formations intra et sur les formations courtes en management. Nous avons également des formations techniques sur la finance, le marketing, etc. La demande des entreprises pour des formations sur-mesure est en constante augmentation. A qui s’adressent vos formations ? Pour intégrer un master, il faut a priori au minimum un niveau bac+4, mais grâce à la Validation des Acquis par l’Expérience Personnelle et Professionnelle, nous pouvons intégrer des personnes qui ont un niveau d’études initial inférieur à bac+4 au vu de leur expérience professionnelle. Les profils sont très variés. Nous avons des personnes avec des diplômes d’ingénieur, des diplômes de juristes qui viennent parce qu’elles ont besoin à un moment de leur carrière d’une nouvelle dimension managériale et gestion ou des participants qui veulent renforcer leurs compétences métier. Nos participants viennent majoritairement des entreprises, mais également du monde de la santé, du monde des ONG, du monde associatif, du secteur public. Pourquoi choisir l’iaelyon ? L’école se trouve dans la Région Lyonnaise, donc à proximité de nombreuses entreprises dynamiques. Nous avons une offre qui est très large et qui répond aux profils de nombreux professionnels. De plus l’offre est construite pour pouvoir concilier temps professionnel et temps en études. Nous essayons d’adapter au maximum les emplois du temps au rythme professionnel. Par exemple les populations commerciales ont du mal à libérer du temps en semaine, donc nous faisons des formations le vendredi après-midi et le samedi. Les contrôleurs de gestion ont besoin d’être libres en début de mois et en fin de mois, donc ils n’ont jamais de cours à ce moment-là. Avec la modularisation des formations, on peut obtenir un diplôme en 3 ou 4 ans, en choisissant chaque année quelques modules, pour à la fin aller vers le diplôme. ...