Situé à quelques pas du centre historique de Bordeaux, rue Georges Bonnac, l'Hôtel Burdigala illustre le mariage réussi entre tradition et modernité. Dès l’entrée, sa façade en pierres blondes de Frontenac évoque le style architectural bordelais du XVIIIe siècle. Mais, une fois la porte franchie, la demeure séduit par sa décoration moderne, chic et cosy. Elle propose aujourd’hui un hôtel quatre étoiles et un restaurant bistronomique : La Table de Burdigala. Une très bonne table ! Installée sous une agréable verrière, La Table de Burdigala opte pour un décor contemporain et « urban chic », avec son subtil jeu de voilages. À l’image de la bâtisse, le restaurant dégage une ambiance à la fois élégante et détendue. Il plonge ses convives dans un confort unique et un calme feutré, en contraste avec l’agitation urbaine. À la hauteur de la beauté du lieu, la qualité des plats est irréprochable. À base de produits frais issus du terroir, le Chef Denis Lemercier - Maître Restaurateur revisite le répertoire de la gastronomie classique française en y apportant une touche dosée de modernité et d’originalité. Au gré des saisons, la carte et les menus proposent une grande variété de plats, pour satisfaire toutes les envies, même les plus exigeantes. Parmi eux, le gravlax de saumon et raifort, blanc de poireau en viennoise de sésame noir, en entrée ; et le paleron de bœuf du Limousin braisé aux morilles accompagné de pommes fondantes et de rutabaga, en plat principal, sont les plus prisés. ...
Marie-Line et Michel Roche, les propriétaires commencent à faire des travaux à partir de 1988 pour construire un petit restaurant, puis une partie hôtellerie en 2002. Pour optimiser l’ambiance et le charme du lieu, ils aménagent l’extérieur d’un jardin personnalisé et mettent aussi sur pied une jolie terrasse ombragée. Les clients de l’Auberge y viennent pour « passer un bon moment et se reposer en même temps. », d'après Michel Roche. Aujourd'hui, l'établissement compte 60 places assises, 11 chambres et 4 suites. Une ambiance douce L’Auberge Bienvenue porte bien son nom. Son magnifique jardin fleuri et verdoyant reflète d’ores et déjà son accueil chaleureux. Ses murs extérieurs de couleur naturelle et les auvents roses présagent une ambiance conviviale, où il fait bon vivre. L’intérieur n’en est pas moins coquet et chic. Des belles arcades surplombent la salle, le bois modernisé apporte élégance et raffinement. Les chambres, quant à elles, sont décorées avec goût, bien spacieuses et confortables. Une cuisine originale Au piano : Michel Roche se plaît à revisiter les recettes traditionnelles pour en faire ressortir des plats savoureux. Il ne cuisine que des produits frais, en grande partie issus du terroir. Ses sauces, dont il est le seul à connaître le secret, relèvent le goût de ses assiettes, ce qui lui vaut d’ailleurs d’être primé par plusieurs guides culinaires, tels que Logis, le Guide Michelin, le Bottin Gourmand et le Gault et Millau. Les menus sont tous attirants, l’entrée la plus prisée est la demi-mangue rôtie et son escalope de foie gras poêlée. En résistance, le filet de sandre rôti au four avec sa sauce rehaussée de vin savennières crée une explosion de saveurs qui séduit tous les palais. Pour finir en beauté, le parfait glacé au Cointreau et ses zestes d’orange confits est un incontournable « que l’on a régulièrement à la carte, ce dessert est très sollicité», souligne le maître des lieux. Une carte de vins élaborée au rythme des saisons vient valoriser chaque plat. En été, les vins du Val de Loire sont mis à l’honneur, tandis qu’en hiver, les Bordeaux et Bourgognes prennent le relais. « Il y a de quoi satisfaire les clients, autochtones comme plaisanciers », conclut notre interlocuteur. ...
À travers des recettes qui lui sont propres, élaborées à partir des produits de sa manufacture, la marque aix&terra fait une entrée très remarquée dans l’univers culinaire artisanal avec tout ce qui constitue sa différence et son originalité. Les origines de la marque Articulée autour du meilleur savoir-faire provençal et du plaisir d’inventer d’authentiques recettes, aix&terra a vu son identité sublimée pour devenir en seulement cinq ans, une marque à part entière. N’étant alors en 2010 qu’une échoppe rachetée avec son enseigne par le couple Marina et Richard Alibert, dans l’idée, selon ce dernier, « de lui insuffler une nouvelle dynamique », la petite boutique a été transformée du jour au lendemain en un atelier exclusif de fabrication de recettes pour développer la marque aix&terra dans le concept original d’une authentique cuisine artisanale de Provence. Une manufacture bien structurée La création des premières recettes aix&terra a débuté dans cette manufacture de fortune avec des crèmes gourmandes ou encore du caviar d’aubergine à la truffe noire pour progressivement atterrir jusque dans les grands magasins comme les Galeries Lafayette, les épiceries fines, chez les cavistes et autres enseignes d’hôtels-restaurants haut de gamme. Ce succès a conduit les propriétaires à construire une nouvelle manufacture sur la Nationale 7, dans laquelle ils continuent « à poursuivre leur aventure de fabricant-artisan dans la Drôme provençale », comme l’a si bien souligné Richard Alibert. Cette nouvelle structure est installée dans une bâtisse de 800 m2 où l’Atelier, l’Épicerie et La Table forment trois espaces indépendants. La Table-Épicerie aix&terra Chaleureux et convivial, La Table-Épicerie aix&terra est un espace de restauration prolongé d’une partie épicerie, où est proposée une cuisine inventive, préparée selon les recettes créées à partir des produits de la manufacture. À travers une carte gourmande aux couleurs chaudes qui met majoritairement l’accent sur des inspirations créatives provençales exclusives, La Table aix&terra séduit les visiteurs avec ses crostinis de caviar d’aubergine à la truffe noire, ses toasts aux petites salades, son carpaccio de bœuf à l’huile d’olive et à la truffe noire ou encore ses tartelettes à la crème de citron qui sont des produits vedettes de la maison. Dans la partie épicerie, les clients ont également la possibilité d’acheter les produits aix&terra et repartir avec des fiches-recettes qu’ils pourront reproduire une fois à la maison. ...
Chaque chocolat Weiss porte en lui un concentré d’amour, d’innovation et de rigueur qui fait depuis 1882 la référence de la maison. « From bean to bar », de la fève à la tablette, celle-ci imprime à ses produits toute la passion qu’elle nourrit pour son cœur de métier. Dès ses origines, dans la Saint-Étienne de la fin du XIXe siècle et sous l’impulsion d’Eugène Weiss, l’enseigne avait à cœur de développer leurs chocolats avec attention, pour plaire au plus grand nombre. Une approche intégrale du chocolat Lorsque le fondateur éponyme démarre dans la chocolaterie en 1882, sa vision était claire. S’inspirant du parcours de son père dans la viticulture, il ambitionnait de passer maître dans l’art de l’assemblage. Aujourd’hui encore, la maison tire sa fierté de cette particularité. Plutôt que de privilégier une origine dans ses sélections de matières premières, elle cherche sans arrêt des compositions issues de l’assemblage de fèves aux sources variées. Objectif : « obtenir un chocolat avec des goûts qui plaisent au plus grand nombre ». Autre signe distinctif de la maison : sa maîtrise de tous les cycles de production. Weiss est autant chocolatier que torréfacteur de fèves de cacao. L’enseigne a également développé des compétences de confiseur et de pralinier. Ce qui l’autorise, avec ses produits déclinés en gammes riches avec un savoir-faire centenaire, de satisfaire une clientèle faite de particuliers, de professionnels des métiers de bouche et d’entreprises. Le concept de Haut Chocolat® développé par la maison comme son label propre insiste d’ailleurs sur cette notion de chocolat de qualité, mais accessible à tout le monde. L’innovation rigoureuse pour des produits gourmands et sûrs Dépositaire d’un savoir-faire chocolatier perpétué depuis quatre générations, la maison Weiss n’a de cesse d’améliorer la qualité de ses recettes, tout en leur distillant sa fibre novatrice. Les ateliers de fabrication développent des recettes garanties 100 % pur beurre de cacao. Répondant aux critères du 100 % made in France, les produits de la maison sont également vérifiés exempts de traces de gluten. Les matières premières – fèves, épices et fruits – sont rigoureusement sélectionnées dans les meilleurs terroirs. Finalement, les adeptes de la marque accèdent à un choix vaste et raffiné de produits incluant des tablettes et des bonbons de chocolat à composer dans des ballotins ou prêts à offrir. Professionnels et pâtissiers du dimanche disposent d’une sélection dédiée. Les envies quotidiennes de douceurs sont tendrement satisfaites avec les boîtes de gourmandises, faciles à emporter partout. Aucun chocolat Weiss ne ressemblant à un autre, le Napolitain se démarque dans la liste des produits phares de la maison. Sa carte d’identité : naissance en 1926, un carré dont les arômes sont magnifiés par le café avec lequel il signe un heureux mariage. Ce petit péché, emblématique chez les connaisseurs, se décline en noir, blanc et lait. Les tablettes de la marque rivalisent d’originalité de goût, tous les palais s’y retrouveront. Depuis le Lait Manatée qui fond en bouche avec des effluves des Caraïbes à l’incontournable Noir Ibaria avec ses notes d’oranges. Ces recettes sont à découvrir dans les cinq boutiques de l’enseigne, dans les grands magasins, ainsi que sur le site Internet de la marque. ...
Avec une capacité de production de 45 000 bouteilles par an, la marque mise sur la qualité de ses cuvées afin de séduire les adeptes de vin et autres œnophiles en herbe. Fort d’une tradition familiale et d’un savoir-faire transmis de génération en génération, le champagne Robert-Faivre est une promesse d’authenticité. Au cœur du terroir de Belval Sous Chatillon, David Faivre, petit-fils de Robert Faivre, vous fait partager et écrire l’histoire de la maison familiale. « Notre valeur, c’est l’authenticité » Ces propos de Monsieur Faivre illustrent l’engagement que la maison s’est toujours tenu de respecter. Comme il l’explique, « si auparavant la famille ne s’occupait que des vignes, et que le reste se faisait en coopérative, l’exploitation, allant des vendanges à la vente, en passant par la vinification, se fait désormais au sein même du domaine ». L’authenticité est ainsi mise en avant, afin de retrouver le goût du terroir dans chaque champagne. Parmi ces cuvées qui font la fierté de la maison, le Brut Grande Reserve se démarque par son fruité aromatique, tandis que le Reflet Naturel se distingue par l’alliage raffiné et naturel, entre un éventail d’arômes et une finesse en bouche. D’autres cuvées verront le jour d’ici deux ans, comme une cuvée élevée en fût de chêne ou encore une 100% Meunier Un point d’honneur à l’environnement Si beaucoup de vignerons hésitent à faire le pas vers une agriculture durable, la marque Robert-Faivre s’engage et s’implique dans cette démarche. Conscients du fait que leur activité est tributaire de l’environnement, les héritiers de l’enseigne ont entamé toutes les procédures nécessaires afin de contribuer, eux aussi, à la préservation de ce capital naturel. Grâce à ces efforts dans le but d’implanter les prémices d’une viticulture durable dans la région, la maison a reçu, en 2016, la certification « haute valeur environnementale » (HVE). ...
Labellisée AOC en France et AOP en Europe, l’appellation Muscat du Ventoux concerne près de 250 producteurs de la microrégion située entre le mont Ventoux et Avignon. Les 660 hectares de son vignoble couvrent 56 communes qui produisent entre 1 500 et 2 000 tonnes de raisins par an. Un raisin au riche passé Depuis l’Antiquité, le raisin a toujours été cultivé dans cette région. Cependant, la majorité de la production était destinée à la fabrication de vin. Les pieds de vignes pour les raisins de table ne se trouvaient la plupart du temps que devant la porte des producteurs. Pour le Muscat du Ventoux en particulier, il était produit dans cette région depuis le XIXe siècle, mais ce n’est qu’à partir des années 1960 que les viticulteurs de la région ont commencé à en produire en vue d’une commercialisation. La réputation grandissante de leur produit a poussé ces derniers à réglementer la filière, qui a abouti à une appellation d’origine contrôlée (AOC) en 1997 et à une appellation d’origine protégée (AOP) décernée par l’Europe en 1999. Un terroir particulièrement propice Une des composantes qui a favorisé la culture du Muscat de Ventoux dans la région est le terroir composé de roches sédimentaires calcaires et argilo-calcaires. Le sol est particulièrement riche et fertile, qui correspond tout à fait au bon développement de ce cépage. Les vignes sont installées sur des coteaux à 200 m d’altitude, faisant profiter les vignes d’un ensoleillement idéal, avec plus de 300 jours d’ensoleillement dans l’année. De plus, le mistral, qui balaye la vallée du Rhône, a un effet assainissant sur les vignes en asséchant le mildiou. Le raisin noir en appellation Muscat du Ventoux est cultivé dans la microrégion sur les pentes du mont Ventoux, dans le Vaucluse, dans la vallée du Calavon et sur une partie du massif de Luberon. Apt, Aubignan, Bonnieux ou bien encore Carpentras figurent parmi les localités productrices. Le Muscat de Hambourg Le cépage unique reconnu pour l’appellation est le Muscat de Hambourg. Son origine exacte est inconnue mais, selon l’Italien Pirovano, il serait issu d’un croisement entre le Muscat d’Alexandrie et le Frankental. Il est aussi connu sous les noms de Black Muscat, de Frankental, de Black Muscat of Alexandria, de Black Hambourg ou de Muscat de Ventoux en France. Après la Grèce, la France est le principal producteur mondial avec près de 3 605 hectares. Le Muscat de Ventoux est facilement reconnaissable par la grosseur de ses baies et ses grappes, qui sont moyennement compactes. La couleur des grappes peut varier du sombre bleuté au rosé violet clair, quel que soit leur degré de maturité. Le gout reste similaire. Le raisin possède une chair juteuse agréable et assez musquée. Un cahier des charges très rigoureux Pour bénéficier de l’AOC Muscat du Mont Ventoux, les producteurs doivent se conformer à de nombreux critères qualitatifs inscrits dans un cahier des charges très précis. Les grappes doivent faire au minimum 250 g, être homogènes au niveau visuel et avoir un degré de sucre supérieur à 18 (correspondant à 169 g de sucre par litre). De plus, la grappe doit être lâche avec des raisins à la coloration bleutée sans grain rouge, signe d’une maturité insuffisante. Tout grain flétri est à éliminer par ciselage. Enfin, une pruine doit être présente sur la peau du raisin. ...
Bien loti sur la rive droite bordelaise, ce restaurant propose une cuisine traditionnelle concoctée à base de produits frais et locaux. Avec ses charpentes en bois, sa grande cheminée et ses immenses fenêtres, l’intérieur se prête à une ambiance chaleureuse où la convivialité s’invite naturellement à table. L’extérieur, quant à lui, est propice à un dépaysement total. En plus du calme combiné au décor traditionnel, « on entend la fontaine quand on mange », souligne Yohann Giacometti, le gérant. Des plats riches en saveur À la fois généreuse et goûteuse, la cuisine du chef fera le bonheur des petits et grands. En entrée, entamez votre aventure culinaire à travers l’Assiette Apéro du chef qui est un assortiment de tapas, à partager (ou pas) ! En plat de résistance, dégustez le tartare de bœuf, l'une des spécialités de la maison, apprécié par les habitués. Pour le dessert, un tiramisu clôturera en beauté votre découverte gastronomique. Côté vin, le sommelier vous sélectionne le meilleur parmi une trentaine de références dont ceux issus du vignoble bordelais pour un accord mets et vins en toute harmonie. Un endroit idéal pour les repas de groupe Dans un cadre au charme intemporel, le restaurant Les Oliviers peut accueillir des séminaires, des réunions d’entreprise, des cocktails dînatoires avec une capacité d’accueil de 50 personnes. Les événements professionnels comme privés seront placés sous le signe du succès. Que ce soit en famille, entre collègues ou amis, le restaurant Les Oliviers est une promesse de moments inoubliables au cœur de Bordeaux. ...
L’hôtel Les Barmes de l’Ours est né sous l’initiative de Delphine André. Avocate de formation, elle décide de vivre sa passion pour l’hôtellerie en ouvrant son premier établissement à Val-d’Isère. Pour concrétiser son projet, elle s’entoure d’une équipe de choc, composée notamment du décorateur Michel Force et du tapissier Charles Jouffre. Ensemble, ils réussissent à faire des Barmes de l’Ours une adresse incontournable dans le massif de la Vanoise. Au sein du chalet perché en altitude, une cuisine gourmande et maitrisée, signée Alain Lamaison, est à l’honneur et fera le bonheur des épicuriens. Les coins gourmands des Barmes de l’Ours La Table de l’Ours est un restaurant gastronomique étoilé. Ici, le chef Alain Lamaison réinterprète avec talent et créativité les grands classiques de la cuisine de montagne. Outre les foies gras et les Saint-Jacques, le pigeon Miéral accompagné d’amandine aux graines de lin et petit pois est très apprécié. Il en est de même pour le ris de veau. Les menus « Au fil de la saison » et « Dégustation » invitent à l’exploration d’autres saveurs. La « Rôtisserie » dégage un style qui se rapproche plus de la brasserie. Alain Lamaison y propose une cuisine simple et traditionnelle. Les pièces de bœuf, d’agneau ou de volaille les plus nobles sont dorées dans une imposante rôtissoire devant les convives. En garniture, la maison suggère une purée de pommes de terre aux truffes, des légumes verts ou des pommes allumettes. La formule « Buffet », quant à elle, est un rendez-vous incontournable tous les soirs. Le « Coin Savoyard » met en valeur la tradition culinaire régionale. Il présente des plats aux accents du terroir comme la raclette au lait cru ou au fromage fumé ainsi que la fondue savoyarde des Barmes au xérès. Il partage également les buffets des entrées et des desserts de l’espace « Rôtisserie ». Au Sofa Bar, le chef barman apporte encore plus de valeur à cet endroit grâce à ses cocktails maison avec ou sans alcool. Le plus représentatif de la maison est le Val Fizz, un cocktail au champagne à base de liqueurs régionales comme le génépi. Le barman y ajoute de l’eau-de(vie de poire pour le côté fruité, de la liqueur de sureau pour le côté floral, sans oublier le champagne. Du jus de pomme bio de Savoie adoucit ce mélange. Décorée avec des fruits et une tête de romarin, la boisson sera parfumée par de la chartreuse. Un chalet pas comme les autres Cet hôtel, dont la décoration a été pensée par Michel Force sur les préconisations de la propriétaire des lieux, rappelle les anciennes grandes maisons familiales montagnardes. Dans l’enchantement de ce décor luxueux, l’hôtel signe toute sa différence au travers de cette dualité entre l’ancien et le moderne et ses différentes décorations qui se découvrent au fil des étages. Au premier, place à un style à l’esprit scandinave, marqué, entre autres, par les couleurs tendres et la présence de mobilier gustavien. Au deuxième, une ambiance inspirée des lodges du Grand Nord des Amériques allie noblesse du cuir, douceur du velours et chaleur de la fourrure. Un niveau plus haut : le confort et la rusticité des chalets d’Alpage s’illustrent via l’omniprésence du bois et du mobilier traditionnel. Enfin, pour ceux qui rêvent de sérénité et de design, rendez-vous au quatrième étage avec sa touche contemporaine. ...
C’est en 1644 que naît Pierre Couvreur, première génération de la famille Couvreur. Passant certainement sa vie dans les vignes, il transmet rapidement son savoir-faire à sa descendance. Vient alors une passion commune pour le champagne, qui, aujourd’hui, fait partie de l’histoire des grands crus de France. Une génération d’artisans et une affaire de famille C’est dans le village de Rilly-La-Montagne, situé dans la Montagne de Reims, que la Famille Couvreur travaille depuis déjà plusieurs siècles le champagne avec un vignoble 1er cru de 6,5 hectares, répartis dans trois villages, à savoir Rilly-La-Montagne, Montbré et Taissy. La maison Couvreur a cet avantage d’être bénéficiaire de la certification HVE (haute valeur environnementale). Une certification qui vaut tous les honneurs de par le fait que leur terrain agricole, tant dans sa biodiversité que dans son état sanitaire ainsi que sa fertilité, répond aux exigences réglementaires concernant l’environnement. L’exploitation produit annuellement environ 30 000 bouteilles de champagne, très appréciées par les Allemands, selon un membre de la famille. Un champagne généreux et raffiné Une exploitation bien traditionnelle, avec des cépages champenois repartis en pinot noir, chardonnay et pinot meunier. L'un des millésimes de la marque Yves Couvreur est le Prestige brut 2012, fruité et ample, complexe en bouche. Il se démarque par des arômes de feuille de sous-bois et un parfum d’épices. La cuvée la plus emblématique de la gamme Couvreur reste la Sélection, du 100 % chardonnay, équilibré et agréable en bouche pour les amateurs d’apéritif. Un champagne en hommage à un membre de la famille Couvreur, issu des récoltes de 2009 et mis en caves cinq années, est aussi mis en vente depuis 2015. Cette cuvée tradition ayant les trois cépages champenois répond au nom de François Héritage. ...
Au terroir du vin, de la truffe et du foie gras, la gastronomie fait-maison de Jean-Claude Laurent se déguste au coin du feu ou à la terrasse. Le Chef utilise encore la vieille cuisine ouverte pour préparer ses plats devant les convives. A l’auberge La Source de Peyssou, les produits de Dordogne-Périgord sont à l’honneur. Ainsi, il a vu s’ajouter à son palmarès le titre de Maître Restaurateur avec celui de Maître cuisinier de Belgique et Lauréat « Gourmets des Régions ». Ces distinctions se font bien ressentir dans les assiettes. Une gastronomie simple et authentique Grand amoureux de la cuisine, Jean-Claude Laurent reste longtemps derrière les fourneaux pour concocter des plats dignes de ses titres, de son établissement, de sa région et surtout de sa clientèle. Il prépare aujourd’hui les ingrédients et les sauces comme dans ses premiers souvenirs de commis de cuisine avec les gestes qui concrétisent la communion du cuisinier et des produits. Tout est alors fait-maison, même les petits pains. Doté d’une riche créativité et d’une expérience considérable, le Chef ne fait jamais la même recette deux fois. L’auberge de La Source de Peyssou offre différents menus dont le menu Périgourdin, le découvert, le menu week-end et également un menu pour les évènements. Pour les fêtes de Pâques par exemple, le restaurant offre des huîtres Rockefeller en attendant les filets de Sole fourrés d’une mousse de coquilles Saint-Jacques, croutés d’un beurre de fines herbes. Ils sont suivis de l’agneau braisé à la printanière, pommes nouvelles. La maison suggère également un assortiment de fromages, de la salade et du miel de châtaignes du Périgord. Sans oublier un des ingrédients symboliques de Pâques : le chocolat avec « l’œuf farci ». Le terroir Dordogne-Périgord Dordogne-Périgord est un terroir riche en produits gastronomiques et viticoles. Ici, le respect des produits locaux tels que le foie gras, les truffes, les cèpes ou le cabécou est une tradition. Toutefois, chaque établissement apporte sa touche de créativité à cette cuisine. Dans ce sens, Jean-Claude Laurent combine dans ses préparations des produits régionaux comme le fromage de chèvre Cabécou avec des sirops, épices et agrumes. Grâce à ces mélanges audacieux, les assiettes du Chef ont pris de la couleur et du détail. Chez les propriétaires de l’auberge de La Source de Peyssou, l’amour du métier se fait remarquer. Jean-Claude et Grete Laurent produisent eux-mêmes les courgettes, les haricots, les aubergines, les petits pois et autres légumes qui accompagneront les viandes et poissons et crustacés. Ils se prêtent aussi à l’élevage de moutons et de poulets. Pour le canard, ils font appel à un fermier du pays. Le maître de la maison prépare lui-même son foie gras. Les évènements et formules L’établissement offre quatre formules pour les séjours à Saint-Avit-Sénieur : la formule week-end « Fines bouches », le week-end « Découverte », la Soirée romantique et le week-end « Bien-être ». Celles-ci incluent les nuitées dans les suites. L’auberge de La Source de Peyssou organise de temps en temps des soirées à thème. Les propriétaires ont déjà organisé par exemple un festival de homard ou une déclinaison d’asperge. Lors de cette dernière, l’asperge est présente dès la mise en bouche jusqu’au dessert. Le Chef propose alors différentes préparations comme l’asperge confite ou en gâteau. ...
Soucieuse de sa terre et de la qualité de ses vins, la maison Goulin-Roualet s’est engagée sur la voie de la viticulture durable. L’exploitation travaille sur 3,5 ha de vignes, répartis sur 22 parcelles classées premier cru. « Nos parcelles se trouvent dans quatre villages, plantées sur des sols marneux, argileux ou sableux. Cela permet à chaque cépage d’exprimer des arômes différents », précise Marine Goulin, qui a rejoint son père Christophe en 2013 dans la gestion du domaine. Une terre particulièrement choyée Grâce à un sous-sol en majorité calcaire, les vignes profitent d’un drainage naturel, tout en se chargeant d’une belle minéralité. La maison cultive les trois cépages rois de la Champagne (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) afin d’élaborer des cuvées riches en saveur. À la fois complices et complémentaires, père et fille partagent un même engagement au sein de leur domaine : respect de la Nature et des vignes. « Nous n’utilisons plus de désherbants chimiques et nous nous servons de plantes comme l’ortie et la prêle en complément pour nos traitements », nous rapporte-t-on. La viticulture étant une affaire de famille, c’est naturellement que la deuxième fille Caroline, conseillère viticole, aide également sur le terrain. Culture de l’excellence L’exploitation familiale affirme fièrement son statut de récoltant-manipulant. « Nous faisons tout chez nous, depuis les vignes jusqu’à la mise en bouteille », renchérit la maitresse des lieux. Concernant la vinification, la maison revendique l’exclusion de la technique à froid dans ses pratiques, jugée dénaturante pour les vins et empêchant la pleine expression des arômes. Après une quinzaine de jours de fermentation alcoolique, le vin reçoit une fermentation malolactique par co-inoculation. Celle-ci permettant l’obtention d’arômes plus doux et plus mûrs. De ces techniques spécifiques naissent 6 cuvées d’exception : Carte noire, Saint Vincent, Sous-bois, Or, Blanc de noirs et Rosé. La qualité de ces bijoux œnologiques est telle qu’ils ont été récemment primés par le Guide Hachette. Une étoile pour la cuvée Sous-bois (2017), deux étoiles pour la cuvée Blanc de noirs (2017) et une autre pour la cuvée Saint Vincent (2018). Les gammes ambassadrices Fruit d’un savoir-faire unique transmis de génération en génération, la cuvée Or reflète parfaitement l’identité du domaine familial. Il s’agit d’un assemblage des trois cépages composé d’un tiers de chardonnay et de deux tiers de raisin noir (meunier et pinot noir). Équilibrée, elle séduit par sa finesse et son expression fruitée, le tout accompagné de quelques notes vanillées. La cuvée Sous-bois, quant à elle, est obtenue à partir de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. Vinifiée et élevée en fûts de chêne pendant 6 à 7 mois avant d' être mise en bouteille pour une maturation sur lies de quelques années au cellier, elle conjugue harmonieusement élégance et finesse. Ce champagne se distingue par ses arômes équilibrés, légèrement vanillés, avec une note d’amandes grillées torréfiées. ...
Riches et complexes, les vins du Château Clarettes portent de nombreux atouts grâce aux nombreuses variétés dites nobles de cépages se développant sur le domaine, à savoir pour les vins AOP Mourvèdre, Cinsault, Syrah et Rolle – Chardonnay, Merlot et Sauvignon Blanc pour les vins de Cépage. Un assemblage spécifique de ces derniers contribue à la qualité des produits du domaine. Le respect du terroir, gage de l’authenticité des produits Etalées sur quelques treize hectares à l’entrée du village des Arcs-sur-Argens, les parcelles de vignes du Château Clarettes bénéficient d’une exposition bien particulière. Elles sont situées en plateaux, coteaux et plaines réunies en un seul domaine. Alliée au sol argilo-calcaire très caillouteux, cette singularité confère aux vins du domaine une richesse aromatique hors du commun. Pour le Château Clarettes, préserver l’authenticité de ses vins est un enjeu fondamental. Dans les faits, cela passe par le respect total du terroir et de l’environnement, qui ne peut s’obtenir que grâce à une méthode de culture ultra-raisonnée. Ainsi, le domaine travaille son sol uniquement de manière mécanique, par l’usage de griffes et d’interceps. De plus, les traitements ne sont appliqués que si et seulement si cela s’avère nécessaire. Des moutons passent en sortie d’hiver pour nettoyer les parcelles et apporter un amendement organique naturel. Finalement, les vendanges se font toujours entre 4 et 8 heures du matin, afin de préserver les mouts de l’oxydation et de conserver le potentiel aromatique de la récolte. Nouveau bâtiment, nouveaux défis En 2016, le Château Clarettes s’est installé dans un bâtiment, dont les travaux ont été menés par le cabinet F&V Architectes, cette construction allie esthétique, technicité et praticité, il rassemble en un seul lieu, le chai, la cave, le caveau de vente, les bureaux. Non moins esthétique par ses façades en bois et pierre, cette nouvelle construction a été conçue dans la but de rationaliser la consommation d’énergie. Une belle découverte : le magasin offre une vue imprenable sur l’ensemble du vignoble. Des vins très aromatiques Toujours authentiques, les soixante-mille cols produits annuellement par le château se démarquent de l’AOP Côtes de Provence par leur puissance aromatique. Et plus particulièrement la Grande Cuvée Rosée avec ses arômes de fraises et fraises des bois très prononcées conférés par le Mourvèdre dont elle est majoritairement composée. Ce vin à la robe rose pâle propose une finale très longue en bouche. Le Château Clarettes Grande Cuvée Rouge offre, quant à lui, une grande complexité aromatique donnant sur des notes de réglisse, café torréfié suivies de fruits rouges (cassis et mûres) au nez. En bouche, son attaque fine et épicée offre des arômes de chocolat et de pain grillé. Le millésime 2013 de cette belle cuvée a été primé d’une médaille d’Or au Concours Général Agricole de Paris 2015. ...
Il faut d’abord traverser les pelouses à l’anglaise du parc de l’hôtel pour découvrir le restaurant, face à la mer. Le Castel Marie-Louise est le terrain de jeu du chef Eric Mignard depuis 30 ans. Le chef fait jongler dans l’assiette à sa façon les saveurs de la région. La cuisine gastronomique et créative laisse un souvenir impérissable. Une cuisine pleine d’imagination Dans l’assiette, s'opère une rencontre ingénieuse des produits de la terre et de la mer, issue de l’esprit inventif du chef. « Ma cuisine est une cuisine qui célèbre les saisons et qui magnifie leurs produits. Mes ingrédients sont ceux de la mer et du terroir » explique Eric Mignard. Les spécialités fleurent bon le pays de la Baule : cochon noir, andouille de Guéméné, langoustine, huitre et sel de Guérande. Raffinement ultime, le chef ajoute sa propre touche originale aux recettes traditionnelles. Notamment les huitres servies avec un granité d’anis, ou la tomate de Madame Huitric et son sorbet framboise-betterave. Eric Mignard partage volontiers une de ses recettes créatives dont il a le secret : le foie-gras cuit cru au sel gris de Guérande. Après avoir laissé tremper le lobe deux heures dans du lait et de la glace, il le fait mariner deux à trois jours dans un mélange à lui : sel, sucre et poivre de Pondichéry. « Au nez, des parfums de fruits mûrs, de pain d’épice. à la dégustation, une première approche légèrement sucrée, un gout puissant sans trop, avec des notes de fruits confits ». Ensuite, le foie gras est coupé en tranches très fines, puis garni d’une salade croquante d’automne avec des lamelles fines de betterave, de radis daikon et de potiron. Une vinaigrette balsamique relève le tout. Un mets à savourer avec une belle tranche de pain au levain grillé. Le réveil des papilles Les arômes dansent, se mêlent entre eux et créent des saveurs inconnues. Et vous apprenez bien vite à les apprécier. Dès entrée de jeu, le chef vous soumet un de ces amuse-bouches dont il a le secret, histoire d’apprêter le palais. Puis s’enchaînent, au choix, une succession de mets des plus raffinés : foie gras de canard pressé à la langoustine, filet de Saint-Pierre et son jus d’araignée au Yusu, ou lotte rôtie au sarrasin grillé, avec sa framboise écrasée à l’huile d’amande douce. Sans omettre la spécialité du chef : le pigeon de Mesquer. Pour clore la kyrielle, optez pour une douceur sucrée : un soufflé chaud à la fraise du pays. Mais la véritable vedette de l’assiette du Castel-Louise s’avère être le homard. Eric Mignard lui dédie un menu spécial : le homard est d’abord poché en tartare, puis rôti et accompagné d’une mousseline de carottes des sables à la cannelle et à la badiane, et enfin servi au vin jaune, avec un pied de cochon et encormet. Les amateurs apprécient ces multiples déclinaisons savoureuses. Détente et relaxation à l’anglaise Après le diner, l’idéal est de prolonger ces moments d’agrément au bar de l’hôtel. Un endroit à l’esprit « so british ». Non sans raison, en effet les lieux ont servi de décor lors du tournage de « Hercule Poirot », série policière adaptée des romans d’Agatha Christie. Laissez-vous envouter par l’âme britannique : le barman vous sert un des whiskies ou cognacs soigneusement sélectionnés de l’éblouissante carte. Chaque semaine le Castel Marie-Louise vous donne rendez-vous. Le samedi après-midi, au cours d’un atelier cocktail, le barman dévoile les techniques et les secrets pour réussir de savoureux cocktails. Le dernier vendredi du mois, le sommelier initie les amateurs aux subtilités des arômes des vins, au cours d’un atelier d’œnologie. Pour parfaire les accords, les ateliers sont accompagnés de découvertes gustatives du chef Eric Mignard. ...
La fille et le gendre des propriétaires, Corinne Leveilley Dadda et Georges Dadda ont repris en 2006 le domaine familial Château de Panigon. Le couple mise sur la production raisonnée et les techniques modernes pour produire des vins de renom. Médoc et le Château de Panigon Médoc est situé au Nord-Ouest de Bordeaux, sur la rive gauche de l’Estuaire de la Gironde, le plus large d’Europe. Le terroir argilo-calcaire est recouvert de graves, des cailloux charriés par la Garonne depuis des siècles. Le climat tempéré subit des variations particulières propices au développement des vignes. Ces conditions météorologiques et géographiques conduisent les propriétaires du domaine Château de Panigon à adopter une démarche raisonnée par souci de protéger l’environnement. Le domaine Château de Panigon est depuis toujours une exploitation familiale. En 2006, Corinne et Georges prennent en main l’avenir du Château. En respectant la tradition Médocaine, les propriétaires utilisent les techniques modernes pour le Château de Panigon et le Château Amour Rouge en AOC Médoc. La propriété de la famille Dadda s’étend sur 90 hectares dont 50 plantés à 45 % de Cabernet Sauvignon, un cépage dominant dans l’AOC Médoc. Ce premier cépage assure la finesse, la complexité et la structure tannin des vins. Le Merlot couvre la moitié de l’exploitation. Frais et rond, il donne le côté fruité. Les 5 % restant sont destinés au Petit-Verdot, un cépage qui apporte une pointe d’acidité. Le désherbage se fait avec des outils mécaniques et chaque parcelle est suivie hebdomadairement par des techniciens de la Chambre d’Agriculture de Gironde pour assurer le développement des plantes. Vinification Le moût est vinifié par parcelle dans des cuves inox thermorégulées. Des délestages quotidiens aident à extraire délicatement la matière colorante. Le vin est ensuite élevé dans des barriques de chêne qui lui donneront des notes boisées. Ils y logeront pendant une période allant de 12 à 18 mois. Le palmarès du Château de Panigon A part leurs parutions dans divers guides tels que Hachette, Bettane & Desseauve, Parker, Dussert Gerber et Decanter, les vins du domaine Château de Panigon participent et gagnent plusieurs concours régionaux, nationaux et internationaux. Depuis le millésime 2009, le Château de Panigon, Cru Bourgeois, remporte quatre médailles d’or au Guide Gilbert & Gaillard. Il rafle également deux médailles d’or et une médaille argent au Concours de Bordeaux. Il finit deuxième au WinEvent de Hong Kong en 2011. ...
Situé à la sortie du village de Cournou, le domaine est perché sur les plateaux du Quercy qui dominent la vallée de Saint-Vincent-Rive-d’Olt. La propriété compte actuellement 27 hectares de vignes régies par deux principes simples : « l’ordre et l’art ». La légende de Lou Prince Le nom du Domaine du Prince est tiré d’une histoire, légende ou réalité, de l’un des ancêtres de la famille Jouves. Celui-ci aurait livré son vin à un grand monarque, le roi de France ou peut être le Tsar de Russie, et à son retour, il fut surnommé Lou Prince par les villageois de Cournou. En revanche, l’installation de cette famille dans ce domaine depuis trois siècles relève de faits historiques avérés. Il s’est transmis de génération en génération jusqu’aux frères Didier et Bruno Jouves, qui le gèrent depuis 1995 avec réussite. « La rigueur et la rationalité de Didier dans la conduite des vignes complète harmonieusement la poésie et l’art de Bruno dans la vinification » explique Hélène Jouves, épouse de Didier. A l’intersection de trois influences Dans les vignes, Didier met à profit la situation propice du vignoble pour obtenir des vendanges affinées en maturité. En effet, le Domaine du Prince est sous une influence climatique propice pour ses vignes, situées à égale distance de la Méditerranée, de l’Atlantique et des Pyrénées. Il profite ainsi d’une arrière-saison ensoleillée évitant l’humidité de l’Atlantique et les précipitations méditerranéennes d’automne. En plus, ce climat permet aux vignes d’être moins sujettes aux maladies, autorisant la réduction des traitements de façon consécutive. Son terroir, plus ou moins riche en argile selon les parcelles, facilite l’obtention de cuvées différentes selon leur teneur argileuse. Côté cépage, le domaine possède trois variétés. « Nous avons le Malbec, le Merlot et le Tannât, mais toutes les cuvées que nous produisons sont issues exclusivement du Malbec, qui est le cépage principal du vin de Cahors » précise Hélène. Vinification traditionnelle Après triage mécanique et manuel, les raisins sont ensuite confiés à Bruno qui peut procéder à la vinification. Relevant de tout un art, cette étape cruciale est menée de manière rigoureuse suivant la méthode traditionnelle adoptée au domaine depuis trois siècles. Une macération longue de quatre semaines pour extraire les tannins, suivie d’une fermentation en cuve ou barriques, puis d’un élevage en futs de chêne et finalement une mise en bouteilles au moment idéal après des dégustations approfondies. Le recueil des vins Le Domaine du Prince propose deux types de vins. « Nous produisons environ 100 000 bouteilles que nous commercialisons nous-mêmes ainsi que 150 à 200 hectolitres dédiés au négoce » spécifie Hélène Jouves. Les vins en bouteilles sont déclinés en cinq cuvées en appellation Cahors contrôlée, à savoir la cuvée « Lou Prince », « Rossignol », « L’Envol » « Le Chêne du Prince » et « La Rosée du Prince ». ...
Situé à 40 minutes au nord-ouest de Tours, à Courcelles-de-Touraine, le Château du Golf des 7 Tours est décrit par l'assistant de direction Florent Charcellay comme étant « un château du XVe siècle remanié au cours des différentes époques ». Son emplacement aux accords riches et harmonieux, fait ainsi du lieu un site privilégié qui porte tous les atouts de la séduction. Dans une invitation à la découverte, à la sérénité et au bien-être, le domaine constitue un véritable havre de paix aux associations bien pensées. Un cadre d’exception Le Château du Golf des 7 Tours est un « château en plein cœur de son propre golf 18 trous, sur une propriété de 78 hectares » comme aime l’indiquer Florent. Une propriété qui bénéficie d’un cadre d’exception « avec des bâtiments remarquables » ajoute-t-il non sans oublier de relever le fait que « le Restaurant gastronomique est situé dans la véranda panoramique climatisée du château » et que « la brasserie a pris possession de l’ancienne chapelle réformée du domaine face à la piscine ». Des aménagements bien pensés pour répondre aux attentes de la clientèle en quête à la fois de confort, de bien-être et de satisfaction. Entre gastronomie et tradition Le Château du Golf des 7 Tours est une structure à trois entités constituée par la Brasserie du Golf, le Restaurant Gastronomique et le Château en lui-même, dans une belle harmonie. À travers mille-et-une saveurs, la Brasserie du Golf est particulièrement appréciée pour sa cuisine traditionnelle française. Dans un parfait équilibre évoluant entre gastronomie et tradition, le Château du Golf des 7 Tours constitue un lieu d’exception où il fait bon poser ses valises pour gouter à la sérénité du moment, un petit coin de paradis au cadre idyllique qui vous fait si bien apprécier la nature et le bien-être, mais par la même occasion, vous fait aussi découvrir les subtilités et les talents culinaires du chef Alain le Rest qui aime réinterpréter la cuisine dans le respect du produit. Grande capacité d’accueil Le Château du Golf des 7 Tours a le privilège d’offrir une grande capacité d’accueil. Le restaurant gastronomique a une capacité de 36 couverts, le grand salon en banquet peut accueillir jusqu’à 80 couverts et la brasserie jusqu’à 25 couverts en intérieur et 40 couverts en terrasse. « Les animations ou autres ateliers se font sur demande » tient-il à préciser. C’est ainsi une structure qui peut accueillir de nombreux événements à la demande, selon les préférences de la clientèle intéressée. ...
Exploitation familiale depuis 4 générations, ce domaine a vinifié ses premières cuvées en 2017. Aujourd’hui, il produit des rouges, des blancs et surtout des rosés qui font sa fierté. Une palette de terroirs et de cépages Travaillant sur les 3 appellations, le domaine de Cabaudran bénéficie d’une diversité de terroirs où s’épanouissent le mourvèdre, cépage roi de l’AOP Bandol, mais aussi le grenache, le cinsault et le rolle. Côté vinification, la maison opte pour une vendange matinale pour préserver les arômes. Au niveau des rouges, ceux-ci font l’objet d’une macération de 3 ou 4 semaines en cuve inox. S’ensuit un décuvage avant la mise en barrique. Les rosés à l’honneur Les rosés AOP Bandol et Côtes-de-Provence constituent les cuvées phares du domaine. Le premier, un assemblage de mourvèdre (40 %), de cinsault (30 %) et de grenache (30 %), séduit par ses arômes de fleurs blanches, de fruits blancs et de pêche. Le second, issu de grenache (35 %), de cinsault (35 %), de syrah (10%), de rolle (10 %) et de mourvèdre (10 %), dévoile des arômes d’agrumes et d’abricots accompagnés de notes acidulées. ...
Animé depuis toujours par la passion du vin, Didier Duplouy décide de se reconvertir vigneron à l'âge de 57 ans. Il reprend les vignes du Pallet en fermage le 1er janvier 2014 et créé dans la foulée sa propre entreprise. A son installation, il est aidé par plusieurs amis vignerons retraités qui lui inculquent leur savoir-faire familial. Il commence par construire un bâtiment pour entreposer ses matériels. Cette année, Didier en est à sa troisième récolte. Il se fixe comme objectif de pérenniser son entreprise et de transmettre son concept de domaine breton aux notes d'amour. Un domaine respectueux de l’environnement Le domaine d'Héloïse et Abélard est une petite exploitation viticole de 6,6 hectares. Ses parcelles sont cultivées de Melon de Bourgogne pour le Sèvre-et-Maine et Cabernet Franc pour son rosé, qui donnent en moyenne 220 hectolitres de vins. Dans un souci de considération et de respect pour la nature, Didier Duplouy mène une politique d'agriculture raisonnée. Il envisage même dans les années à venir de se reconvertir à l'agriculture biologique. Un coffret pour deux cuvées Le Domaine d'Héloïse et Abélard produit uniquement deux cuvées. Le " Muscadet Sèvre-et-Maine sur Lie " AOC, est une cuvée premium issue de raisins récoltés à pleine maturité. Elle est élevée 11 mois sur lie avec une vinification maîtrisée de bout en bout avant d'être mise en bouteille. Parée d'une robe jaune dorée, elle possède des notes de fruits compotés et miellés avec une pointe vanillée. Ce vin propose une rondeur et un bel équilibre en bouche avec une finale aux notes anisées. A table, il accompagne les fruits de mer ou les viandes blanches. Le " Rosé Cabernet Franc " IGP Val de Loire est une cuvée à la robe rosée aux reflets tuilés. On distingue au nez des notes poivrées et de petits fruits rouges. Son attaque est souple et harmonieuse sur des notes de cassis et cerise. Elle se déguste avec des crudités, salades composées ainsi que des viandes blanches et rouges. Ces deux vins sont présentés et commercialisés ensemble dans un seul coffret qui véhicule 3 concepts novateurs. Et d'un, il représente le produit breton typique, avec le blason du Pallet sur le devant avec en fond, une croix médiévale composée d’hermines bretonnes. Et de deux, il symbolise l'amour des amants célèbres Héloise et Abélard. Cette histoire est racontée en français et en anglais au dos du coffret. Et pour finir, son design a été pensé pour que le coffret soit idéal à offrir en cadeau. ...
À travers une tradition culinaire française à légère tendance méditerranéenne s’inscrit une carte diversifiée et soigneusement élaborée, où l’inspiration créative du chef en cuisine nous embarque dans un remarquable voyage plus qu’une expérience culinaire. Honneur aux produits locaux Travaillant au jour le jour et quasi à l’ardoise, le restaurant propose une cuisine de marché où les produits frais et locaux sont toujours à l’honneur. Grâce à une carte réduite de 6 entrées, 6 plats et 6 desserts, qui évolue au fil des jours et en fonction des saisons, l’établissement a l’énorme avantage de satisfaire autant les gourmands que les fins gourmets, dans un plaisir toujours renouvelé. Avec une carte des vins assez éclectique, où beaucoup de vins sont proposés au verre, l’établissement reste pour la plupart du temps sur les petits producteurs avec, de par ses origines, un léger penchant pour les vins du Languedoc, comme le Pic Saint Loup. « Nous travaillons avec des vignerons indépendants pour les vins de Bordeaux et de Bourgogne ; sinon pour tout ce qui est vins du Sud, Côtes-du-rhône, Roussillon et Languedoc, nous avons nos propres contacts », tient à préciser Pierre-Louis Cazes, gérant du restaurant, qui, avec sa femme, Céline Weber, fait tourner le restaurant avec l’appui d’un chef et d’un second. ...
Ce restaurant de l’Isère promet trois ambiances en une journée. Si le ton est plus festif dans la matinée, le calme est au rendez-vous l’après-midi. Pendant la soirée, l’heure est à la découverte de l’ambiance cosy et familiale qui règne dans le chalet ! L’Altiport, un décor aux multiples facettes Le cadre et la décoration figurent parmi les points forts de ce restaurant de l’Alpe d’Huez. Sur la terrasse offrant une vue imprenable sur les montagnes, des tables et des chaises sont disposées sous l’ombre des parasols blancs qui donnent un charme naturel aux lieux. À l’intérieur, les visiteurs découvrent un décor à la croisée du style traditionnel et moderne où les poutres et le sol en bois contrastent avec les objets décoratifs en inox et les baies vitrées. Avec les bougies et la lumière tamisée, les tables rondes et leurs nappages en lin, la salle prend une allure romantique et chaleureuse en soirée. Une cuisine traditionnelle et semi-gastronomique Véronique Sarret et son époux Philippe Piloz, qui est aussi derrière les fourneaux, décrivent la cuisine de L’Altiport comme une cuisine « simple, saine, mais avec de très bons produits ». En effet, la carte est élaborée en fonction de ce que le chef trouve sur le marché, des produits frais et de saison, et, d’ailleurs, les propriétaires insistent sur le fait que le restaurant propose « une carte très variable et un large éventail de suggestions ». Cette année, L'Altiport lance, en plus du menu enfant, le menu 3V : végétarien, végétalien et vegan. Le restaurant de L'Altiport veut proposer une cuisine où tout le monde se retrouve et déploie une offre culinaire qui saura satisfaire toutes les envies. Par conséquent, leur carte comporte des spécialités de montagne, des assiettes toutes simples comme une soupe à l’oignon ou des pâtes ainsi que des préparations gastronomiques revisitées avec les légumes anciens sublimés. Parmi les incontournables du restaurant, l’os à moelle servi avec des tartines aux morilles connaît toujours un franc succès auprès du public. Mais la maison a surtout forgé sa réputation avec ses plats de poissons frais et goûteux. Dégustés avec une sauce d'accompagnement, leurs saveurs n'en sont que subtilement rehaussées. Pour le dessert, tout est fait maison : allant des différentes déclinaisons de tartes, jusqu'aux gâteaux et les préparations aux fruits. Pour accompagner les plats, le restaurant propose une carte de vins mettant à l’honneur des références mondialement connues mais aussi des vins locaux qui méritent largement d’être proposés aux clients. Outre les bouteilles inscrites dans la carte, la propriétaire propose également en dégustation des bouteilles qu’elle a découvertes auprès des caves locales. ...
« On ne vend pas une bouteille, on vend une expérience de dégustation ! » C’est en ces mots que Guillaume CHARNIER met en lumière la particularité de son activité. Avec Alexis Donnio, ils n’ont cessé d’améliorer le catalogue de prestations depuis 2015. Adressant leurs services aux néophytes désireux de devenir connaisseurs, ils proposent des cours de dégustation privés durant lesquels ils partagent leur passion autour de ce breuvage d’exception. Private Whisky Society, c’est aussi une cave en ligne de près de 200 références issues de la France, de l’Ecosse, de l’Inde, de l’Irlande, des Etats-Unis, de la Suède, du Danemark... Les produits sont goutés et sélectionnés personnellement par Alexis et Guillaume qui émettent ensuite une note de dégustation sur leur site pour chaque flacon commercialisé. En outre, les coffrets de dégustation offrant de beaux moments de découvertes seront parfaits pour faire le tour des meilleurs whiskies au monde ou en guise d’idées-cadeaux. Attention, la startup ne dispose pas de boutique physique, visitez le site pour faire vos achats en ligne. ...
Confortablement installé dans le 11e arrondissement de Paris, l’établissement offre un cadre convivial et chaleureux qui rappelle familièrement une ambiance de maison de campagne. Dans un décor aux meubles patinés, l’établissement nous plonge dans une douce rêverie où se fondent des milliers de saveurs et de senteurs, un parfait équilibre entre cuisine corse et cuisine bretonne avec, notamment, beaucoup de salé et de sucré. Cuisine gourmande, ambiance familiale Repris à un couple de propriétaires corses, le restaurant garde aujourd’hui encore certains produits qui ont, dans le passé, bâti sa renommée, dont, notamment, le fromage corse, la charcuterie corse, auxquels est venue s’ajouter la vente d’eau minérale corse telle que l’Orezza. Chez Mamie Tevennec flotte en permanence cette atmosphère particulière qui nous fait sentir bien et détendu qu’on se croirait presque comme chez mamie, une métaphore qui explique bien son ambiance familiale. Le chef se plait à composer de belles assiettes avec, tous les jours, un menu du jour proposé à la carte et, le weekend, une formule brunch à volonté à 24 € avec sa flopée de viennoiseries, de saumon cru, de tartes, de charcuteries mais aussi des quiches. Les galettes font partie des spécialités emblématiques de l’établissement, notamment la croustillante avec sa crème de citron nappée de crème brulée, sans oublier le caramel au beurre salé. « Nous faisons tout nous-mêmes », nous indique-t-on et « la pâte des crêpes et des galettes est bio, préparée un peu à la provençale et cuisinée sur place ». Pour accompagner les plats, l’établissement propose plusieurs variétés de vins, des cidres bio ainsi que des cidres bretons de toutes sortes qui se déclinent en plusieurs versions : du doux, du brut, au pichet et en bouteille. Parmi ses meilleures références, on peut citer le Juilly d’Ys ou encore le Père Jules qui sont des cidres de très bonne qualité au même titre que le cidre bio rose. ...
Depuis ses débuts dans l’univers du vin, Jean-Luc Thunevin a souhaité briser les codes du milieu. Le vin Bad Boy en est un exemple concret. Bad Boy : un vin pas comme les autres La première chose qui interpelle quand on observe la bouteille, c’est son étiquette. Cette dernière reprend les codes qui ont fait la réputation de Jean-Luc Thunevin. Le mouton noir, tout d’abord. Mais aussi la notion de « vin de garage » et enfin, le nom. Jean-Luc Thunevin est, en effet, surnommé le Bad Boy de Saint-Émilion. Créé à partir d’un cépage 100% Merlot, ce vin est élevé en barrique neuve pendant 14 mois. D’après les commentaires de son créateur, le vin Bad Boy est très facile à boire et peut facilement être vieilli pendant quelques années supplémentaires. À cela, il faut rajouter le fait qu’il soit proposé à un excellent rapport qualité/prix et que les différents millésimes sont particulièrement bien notés (entre 86 et 90/100 en moyenne selon les millésimes). ...
Marque haut de gamme, Miel et Miels s’appuie sur le travail et le savoir-faire d’une centaine d’apiculteurs français réunis en coopérative pour mettre en pot le meilleur de leurs récoltes. Chaque miel proposé est un produit d’exception où authenticité et traçabilité sont garanties. Ainsi pour chacun, vous pouvez connaitre l’origine botanique et géographique. Des sens mis en éveil … Dans leur petit pot conçu comme un écrin, chaque miel se déguste déjà avec les yeux en dévoilant sa couleur caractéristique. Puis dès l’ouverture, leur arôme se faufile jusqu’aux narines. Il ne reste plus qu’à déposer une goutte de miel en bouche pour que les papilles se réveillent à leur tour. Un bonheur sans cesse renouvelé avec la collection de miels proposée par Miel et Miels. … Par la délicate collection Miel et Miels Miel et Miels a imaginé 3 gammes de produits : les miels de crus, les miels de terroirs et les mariages de saveurs. Les miels de crus sont issus d’une seule variété florale. Parmi ceux-ci, vous pourrez découvrir le miel de coriandre du Cher, un miel à la robe brun clair et à la texture fondante. Mais aussi le miel de carotte du Languedoc qui se caractérise par sa couleur joliment ambrée et son goût subtilement anisé. Et pourquoi pas le miel d’érable des forêts des Ardennes, ce miel aux arômes de caramel qui a obtenu l’Epicure d’Or 2017. Les miels de terroirs sont des produits multi-fleurs spécifiques d’un territoire. La couleur sombre du miel des forêts de Sologne vous donnera sans doute envie d’y gouter. Vous découvrirez alors un miel aux arômes boisés et sauvages. Mais vous préférerez peut-être le miel des Vallées du Dauphiné pour sa robe cuivrée et son goût affirmé. Quant à la gamme Mariage de saveurs, elle mise sur l’alliance du miel et d’ingrédients naturels pour proposer des produits gourmands. Le dernier produit de cette gamme, le mariage au thé Matcha, une recette raffinée et aux bienfaits incontestables, a déjà reçu le prix de l’originalité au concours Miam Bourgogne-Franche-Comté. ...