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© Interview avec Alexandre Pons, sommelier du Restaurant Le 1920 à Megève
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Interview avec Alexandre Pons
Sommelier au Restaurant Le 1920




situé à Megève
Région Auvergne - Rhône-Alpes

Pouvez-vous nous décrire votre parcours de sommelier ?

Alexandre Pons J'ai fait mes études Bac et BTS Hôtelier sur Toulon, ville dont je suis originaire. Puis, j'ai complété ma formation à Lyon aux côtés de mon professeur, Arnaud Chambost, Meilleur Ouvrier de France (M.O.F) Sommelier. C'est là, que j'ai pu découvrir ce merveilleux monde de la sommellerie. Après avoir fait mes gammes avec Géraldine Carret, sommelière de talent, j'ai souhaité partir sur le continent américain pour découvrir une nouvelle culture et développer mes langues étrangères aux côtés de Jérôme Bocuse. Depuis mon retour en France, j'ai eu l'honneur de travailler au sein de La Mère Brazier, une institution lyonnaise (restaurant deux étoiles au Michelin) aux côtés du Chef Sommelier (M.O.F Sommelier) Denis Verneau, en tant que sommelier puis assistant chef sommelier. Après 3 années aux côtés de ces deux professeurs de renom, le Palace La Réserve à Ramatuelle m'a remis les clefs de sa cave et j'ai donc pu prendre les rênes de l'équipe de sommellerie. Une merveilleuse année à leurs côtés, riches d'enseignements et de découvertes avant de m'envoler jusqu'au Four Seasons de Megève et rejoindre la famille Rotschild.

En tant que sommelier, quelles sont les différentes activités de votre métier ? Conseils auprès des clients, visites de domaines viticoles,...

AP Le métier de sommelier reste très complet. Le conseil auprès du client reste l'étape finale. Différentes activités restent primordiales au préalable : rencontres avec les vignerons pour découvrir les meilleurs breuvages, les plus surprenants, connaître leur histoire et leur travail pour savoir ensuite le restituer aux clients. Un côté très gestionnaire dans l'achat des vins, la gestion des stocks, des prix... Un travail de fond important et de partage avec le Chef pour proposer les accords les plus adéquats aux convives du Restaurant Le 1920. Manager l'équipe de sommellerie et établir un vrai partage entres amateurs de vin mais aussi avec le reste de l'équipe. Comme je vous l'ai dit un métier qui est très complet et qui demande une remise en question quotidienne.

Quels conseils de sommelier donneriez-vous à nos lecteurs pour choisir un vin ?

AP Tout d'abord, n'hésitez pas à vous laisser conseiller. Il est tellement plus agréable d'aimer et d'apprécier un vin inattendu. Bien sûr, les grands classiques restent inévitables ! Mais, le monde du vin est si vaste et divers que nous pouvons chaque jour découvrir de nouveaux accords. Laissez-vous guider par mes collègues sommeliers ou suivez les accords proposés par différents guides ou applications. Vous serez toujours surpris. Ensuite, je conseille toujours aux clients de ne pas avoir d'idées reçues sur les accords. Vins rouges puissants avec un fromage puissant.... Non testez, essayez, faites selon vos gouts et selon vos envies. Mais aussi selon les étiquettes et les prix. Les meilleurs vins ne sont pas forcément les plus chers ou ceux qui donnent le plus envie. Partir à la découverte du vigneron restera le moyen le plus agréable, le plus rentable et le plus surprenant d'apprécier de nouveaux breuvages. Et surtout ne jamais oublier la première chose que mon professeur m'a apprise : "le Vin qui est bon, c'est le vin qui nous plaît".

En fonction des budgets de chacun, quelles seraient les domaines et vins à recommander, la cave idéale pour un amateur de vin à se constituer... Pour des vins de 3 à 5 €

AP Toujours un gros casse-tête de trouver des vins de qualités à ce prix là, mais les pépites restent légions :
- Syrah 2015 Rouge - Cellier des Gorges de l'Ardèche - Ardèche.
- Côté Mas Blanc 2015 - Domaines Paul Mas - Languedoc.
- Comte des Clos Rouge 2014 - Bordeaux.
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© Alexandre Pons, sommelier au Restaurant Le 1920 à Megève

Pour des vins de 5 à 10 €

AP Des petits trésors se cachent partout en France et pas forcément sous appellation protégée :
- Verdarail Château Salettes 2015 Rouge - Provence.
- Mâcon La Roche Vineuse Domaine Merlin 2016 Blanc - Bourgogne.
- Château Barbeyrolles 2016 Rosé - Provence.

Pour des vins de plus de 10 €

AP Un budget très intéressant pour un panel plus étendu :
- Crozes Hermitage Alain Graillot 2013 - Rhône.
- Moulin à vent Domaine des Nugues Rouge 2015 - Beaujolais.
- Clarendon Domaine Gavoty Blanc 2015 - Provence.
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© Alexandre Pons, sommelier au Restaurant Le 1920 à Megève
© Restaurant Le 1920, deux étoiles au Guide Michelin
© Hôtel, restaurant Le 1920 au Four Seasons à Megéve

Pour des vins d’exception

AP Les bouteilles d'exception que vous pourrez boire ou bien laisser encore vieillir doucement au cœur de votre cave :
- Château Grillet Blanc 2010 - Rhône.
- Ulysse Collin les Perrières Champagne - Champagne.
- Saint-Estèphe Cos d'Estournel Rouge 2005 - Bordeaux.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-restaurant-le-1920 Restaurant Le 1920 Tél. : 04 50 78 62 65
Site Internet


Restaurant Le 1920 : les avis

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Découvrir la vie de château dans le Loiret

Sully-sur-Loire, Chamerolles, Gien : trois châteaux à découvrir au coeur du Loiret...  Le château médiéval de Sully-sur-Loire fait revivre l’histoire des célèbres ducs de Sully. Classée monument historique depuis 1928, cette forteresse, bâtie à la fin du XIVe siècle, située au cœur de la ville, saura charmer les amateurs d’Histoire. D’importants travaux ont été entrepris afin d’aménager de nouvelles zones de visites (bureau du régisseur et appartement de Psyché), qui complètent à merveille les salles basses du donjon, la salle d’honneur ou encore la chambre du roi. Au total, ce sont 19 salles de visite mais également près de 400 œuvres d’art exposées.  Surtout, visiter le château de Sully c’est aussi suivre les pas de personnage prestigieux comme Maximilien Ier de Béthune, proche et grand ministre du roi Henri IV, resté dans l’Histoire de France sous le nom de Sully. Le célèbre philosophe Voltaire, accusé en mai 1716 d’avoir écrit des vers tendancieux, sera « exilé » à Sully, qui, loin d’être une prison, devient un doux séjour. Il s’y plaisait déjà beaucoup. Alors, pourquoi pas vous ? Adresse : Chemin de la Salle-Verte – 45600 Sully-sur-Loire – 02 38 36 36 86 chateausully.fr Le château de Chamerolles est d’abord une demeure familiale. Bâti à l’aube de la Renaissance par un certain Lancelot Ier du Lac, le château s’ouvre aujourd’hui sur 47 hectares de magnifiques jardins façonnés comme à la Renaissance, avec un parc, un plan d’eau, des parterres… Découvrir ce château à taille humaine, c’est aussi découvrir son histoire mouvementée entre ses différents propriétaires : la famille Dulac, dont le fils se convertira au protestantisme, mais aussi Claude-Guillaume Lambert, conseiller général des finances de Louis XVI, traduit devant le tribunal révolutionnaire.  Considéré comme l’un des châteaux de la Loire, classé monument historique depuis 1927, le domaine de Chamerolles ne se contente pas d’offrir la visite d’un château : une promenade des parfums fait découvrir l’histoire des senteurs et de la toilette à travers les siècles. Le visiteur va découvrir les différents usages du parfum, d’abord à visée médicinale avant de devenir emblématique de la séduction. Adresse : 45170 Chilleurs-aux-Bois – 02 38 39 84 66 chateauchamerolles.fr Le château-musée de Gien est l’un des tout premiers châteaux de la Loire. Construit à l’emplacement d’un rendez-vous de chasse plus ancien qui accueillit Jeanne d’Arc, le château de Gien appartient à la couronne dès le XIVe siècle. Le château-musée de Gien est en pleine évolution. Les travaux, débutés en 2012, se poursuivent mais, déjà, on devine les contours du site qui accueillera ses premiers visiteurs au printemps 2017. L’ampleur du projet a nécessité la fermeture du site en 2012. Le visiteur pourra profiter, à la réouverture du site, d’une nouvelle muséographie qui aura une approche différente, tournée davantage vers l’écologie et la découverte de la nature. Celle-ci mettra en scène les collections selon le nouvel axe de découverte : « chasse, Histoire et nature en Val de Loire ».  Adresse : Rue de la Place du Château – 45500 Gien 02 38 67 69 69 ...

Château de Livran : une histoire de cœur

Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...

Les bâtisseurs d’une France plus verte

En Provence-Alpes-Côte-d’azur, les bois abattus sont moins nombreux que les bois replantés. En tant qu’acteurs de la filière bois, les Arbres Bâtisseurs contribuent au développement durable des surfaces forestières de leur région. Ils utilisent des essences locales naturellement résistantes pour les bâtiments neufs ou rénovés. Vu son double label QUALIBAT et RGE, cette entreprise écologiquement engagée ne se contente pas de construire en bois : elle vise également la basse consommation d’énergie et privilégie les isolants thermiques naturels, sains et durables. Un pour tous et tous pour un Quatre associés fondateurs des Arbres Bâtisseurs ingénieur en environnement, menuisier agenceur et ébéniste/charpentier de marine se sont rencontrés fin 2004 lors d’un chantier naval dans le Sud-Est. Ensemble, ils découvrent leur passion commune pour le métier du bois, l’écoconstruction et un système de travail à forte valeur humaine. Ils souhaitent alors se constituer en Scop, c’est-à-dire une Société Coopérative et Participative (également appelée Société Coopérative Ouvrière de Production). Pour enrichir leurs idées, ils suivent des formations et rejoignent plusieurs associations. Déterminés à relever les défis, les entrepreneurs fondent la Scop Les Arbres Bâtisseurs (ou Arbâts) début 2007. L’entreprise est aujourd’hui un exemple de réussite socio-professionnelle : elle compte actuellement 11 salariés, dont 8 associés. Les salariés-associés y partagent équitablement les décisions, les risques, l’information, les droits de vote, le capital social ainsi que les bénéfices. Un habitat vert par excellence En véritable professionnelle de la construction Reconnu Garant de l’Environnement (RGE), la Scop aRbâts est dédiée à l’efficacité énergétique. Pour améliorer la performance énergétique des bâtiments, elle privilégie les isolants naturels comme le liège, le chanvre, la ouate de cellulose, la laine de bois... Arbâts propose également la végétalisation de la toiture pour renforcer son isolation. La toiture verte résiste au son, au vent, au feu et elle est surtout étanche. Son plus grand atout reste, cependant, sa performance  thermique. (Pendant l’été, en l’occurrence, la toiture végétalisée augmente le taux d'humidité de l'air et en réduit la surchauffe.) Les isolants naturels offrent des propriétés hygrométriques et thermiques trés intéressantes en association avec le bois notamment pour le confort d'été (déphasage). L'association de matériaux verts et d'une conception bioclimatique aboutissent à des ouvrages performants, économes et confortables... ...

Coaching Ways France - Devenir coach, l’expérience d’une vie 

Une école où le « savoir-être » prime le « savoir-faire » Organisme de formation au coaching professionnel bénéficiant d’une large implantation sur l’ensemble de l’hexagone, Coaching Ways France propose à ses élèves des formations à la fois sérieuses et certifiées. Mais alors que d’autres établissements se cantonnent à l’accompagnement des personnes, Coaching Ways France propose à ses élèves d’aller plus loin. « Notre but » précise Arnaud Hélard, Directeur Marketing de Coaching Ways France, « c’est que les personnes qui suivent nos formations acquièrent véritablement une posture de coach. Qu’elles soient en mesure d’incarner cette posture. Car c’est précisément cette approche qui permettra à nos élèves, une fois devenus coachs eux-mêmes, de contribuer à faire évoluer les consciences ». Au-delà d’un « savoir-faire », c’est donc un « savoir-être » que Coaching Ways France entend transmettre.  Une approche centrée sur l’humain Fondé en Belgique - en 2005 - par Max Meulemans, Coaching Ways s’est rapidement exporté en France. Sous l’impulsion conjointe de Caroline Pinguet et de Christian Legrand, plusieurs écoles ont ainsi vu le jour à Lille et à Paris dès 2012. Ont suivi Aix-en-Provence en 2013 puis Bordeaux et Strasbourg en 2015 et enfin Nantes qui accueillera une école Coaching Ways France en 2019. Tous ces établissements ont en commun une même approche, à la fois innovante (car prenant en compte les évolutions structurelles, sociétales et comportementales), globale (appréhendé dans son entièreté, l’individu est contextualisé à son environnement et systématiquement replacé dans son écosystème) et centrée sur l’humain (« savoir-faire » et « savoir-être » sont indissociables). « Notre approche contribue, par le biais des formations que nous proposons, à favoriser un développement durable et vertueux des individus » explique Arnaud Hélard. Car la seule, la vraie clé du succès d’une transformation, c’est l’humain. Et tout au long de leur formation, les apprentis-coachs réaliseront que leurs futurs clients auront déjà en eux, sans même le savoir, les réponses à toutes leurs questions. En effet, à la différence d’un consultant, un coach ne se substituera pas à son client. Car « le meilleur outil dont dispose celui-ci n’est autre que… lui-même ! L’idée, ce n’est pas de fidéliser le client mais plutôt de l’aider à s’autonomiser au maximum. Découvrir que la solution vient de lui pérennisera son évolution et lui (re)donnera confiance en ses capacités ». C’est pour toutes ces raisons que l’enseignement prodigué par Coaching Ways France, en accordant une large part au facteur humain et à l’expérience humaine, constitue une réelle expérience de vie.   Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine À l’image de Montaigne (1533-1592) qui estimait que l’important n’était pas de remplir la tête des étudiants de toutes sortes de connaissances (culturelles, scientifiques, etc.) mais plutôt de les éduquer afin qu’ils soient capables de faire le tri entre les informations qu’ils engrangeaient, Coaching Ways France fait l’emporter la qualité de l’enseignement et des compétences pédagogiques sur le nombre de techniques enseignées. « Lorsqu’ils arrivent, nos nouveaux élèves sont avides de méthodes de coaching, de techniques. Ils sont persuadés qu’un bon coach se doit de connaître le maximum d’outils. Mais c’est davantage la posture qu’ils acquerront progressivement qui comptera que le nombre de techniques qu’ils étudieront. D’une part, parce qu’une fois acquise la posture du coach, l’efficacité des techniques de coaching sera décuplée. D’autre part, parce que ça prend du temps de digérer, d’assimiler et de s’approprier les techniques ...

L’enseignement catholique recrute ! Formez-vous !

Des voies d’accès à la profession plus lisibles.  Entre les différentes réformes, il est parfois difficile de s’y retrouver. Quels parcours doivent emprunter les plus jeunes pour devenir professeur ?  Les modes d’accès à la profession se sont simplifiés au fil des années afin d’être plus lisibles. La voie royale reste celle du concours de recrutement. Il est aujourd’hui accessible dès que l’on est inscrit en Master 1, pour une majorité de filières. Les épreuves du concours externe, identiques pour le concours du public et du privé, se déroulent de mars à juin (en fonction du parcours 1er ou 2nd degré).  « Bien que les modalités de recrutement des enseignants soient identiques entre l’enseignement privé et l’enseignement public, le candidat doit effectuer un choix qui sera déterminant pour sa future carrière,  explique Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique Nord - Pas-de-Calais à Lille. Si au final, le métier est le même, il faut savoir qu’il n’existe quasiment pas de passerelles entre le public et le privé une fois que l’on devient enseignant. ». Le choix du concours engage donc une carrière au sein de l’enseignement public ou bien de l’enseignement privé, (majoritairement des établissements catholiques d’enseignement). Une fois ce concours obtenu, les étudiants intègrent un Master 2  MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation). Il s’agit d’une année de formation par alternance. En effet, le professeur stagiaire est rémunéré à temps plein, dès cette cinquième année d’étude, pour se former, tandis que l’autre partie du temps est consacrée à enseigner, à mi-temps dans une classe. Chaque étudiant est bien sûr accompagné par deux tuteurs, l’un en établissement, l’autre à l’IFP. D’autres concours dits réservés ou internes existent pour ceux qui n’empruntent pas la voie du Master 2. Ces concours sont notamment ouverts à ceux qui font des remplacements depuis plusieurs années. Prof à 40 ans : et pourquoi pas vous ? On ne naît pas prof, on le devient par la formation et la pratique professionnelle. On peut aussi le devenir au cours de sa carrière professionnelle… même si, jusqu’alors, elle n’avait pas grand-chose à voir avec l’enseignement. C’est un phénomène nouveau observé par Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique du Nord-Pas-de-Calais à Lille. Depuis quelques années, un nouveau public s’oriente vers le métier de professeur. « Avant, nous accueillions essentiellement des étudiants. Désormais, on observe de plus en plus de personnes, en reconversion professionnelle, qui souhaitent réorienter leur carrière dans l’enseignement ».  Ceux-là peuvent avoir subi un licenciement, avoir l’impression d’avoir fait le tour de la question dans leur ancien métier et veulent changer d’orientation, ou avoir tout simplement envie de transmettre les compétences acquises durant 10, 20 ou 30 ans. Les métiers de l’enseignement leur sont également accessibles, d’autant plus en cette période « où les demandes de chefs d’établissement pour des remplacements sont importantes ». L’IFP Nord-Pas-de-Calais accueille et accompagne ces personnes en reconversion professionnelle, qui peuvent être suppléants avec un niveau licence. Cet accompagnement se fait en plusieurs étapes : un entretien préalable, pour clarifier les intentions ; un stage d’immersion en collège ou en lycée, pour appréhender les réalités du métier ; une proposition d’entrée en formation et/ou en suppléance (remplacement) ; enfin, une formation professionnelle adaptée. Les professeurs en espagnol, en sciences-physiques, en mathématiques sont très recherchés… Alors, pourquoi pas vous ? Parce que le futur enseignant, professeur des écoles, professeur de mathématiques ou de boulangerie, cela peut bien être vous ! ...

Le Lulli : une belle découverte en plein cœur de Paris

Sur un fond de tonalités végétales, Le Lulli offre une belle luminosité à laquelle vient s’ajouter une grande verrière installée tout au long du restaurant. Transformé en un lieu du chic et du charme avec en plus « un magnifique jardin au jeu de lumières infinies», comme le décrit si bien le chef Jean-Baptiste Orieux, Le Lulli est une véritable œuvre d’art pour qui sait l’apprécier. Constitué à 50 % d’une clientèle d’affaires et à 50 % de « personnes qui recherchent un produit plus élevé qu’un restaurant traditionnel ou qu’une brasserie parisienne », l’établissement est un lieu dédié à la clientèle parisienne, un endroit « où l’on peut passer un bon moment avec un service de qualité 5 étoiles », se félicite-t-on. À 35 ans et après 12 ans d'expérience auprès du chef meilleur ouvrier de France Jean-Yves Leuranguer au Fouquet’s Barriere, Jean Baptiste Orieux a pris la tête des cuisines du grand hôtel du palais royal et de son restaurant le Lulli en juillet 2017. Une cuisine très France avec plusieurs spécialités  Le restaurant Le Lulli offre à sa clientèle « une cuisine savoureuse, préparée avec des produits frais », nous précise-t-on, mais également des spécialités variées tout aussi succulentes les unes que les autres, incluant 4 entrées, 6 plats et 6 desserts. Les formules déjeuner incluent deux plats à 29€ ou trois plats à 38€ avec des propositions appétissantes à chaque semaine. Jean-Baptiste Orieux a imaginé une carte au goût du jour, construite autour de produits locaux choisis pour leurs propriétés et leurs qualités, bio ou encore sans gluten. Il offre ainsi une sélection de plats très raffinés, réalisés avec les meilleurs produits de saison. Bar pané au sésame condiment gingembre, ballotine de foie gras de canard mi-cuit et Granny Smith bio, dos de cabillaud avec chou-fleur façon risotto aux algues et craquant de sarrasin, maigre confit avec bonbon de poireaux, hollan­daise au Gewurztraminer ... En dessert, on se laisse volontiers tenter par le pavlova framboise et sa meringue délicate ou l’opéra café et choco­lat... biscuit croustillant »… Le Lulli, le restaurant du Grand Hôtel du Palais Royal, est RÉCOMPENSÉ POUR LA DEUXIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE EN 2017 PAR LE GUIDE MICHELIN qui lui attribue « L’Assiette MICHELIN ». ...

Épices du monde : le meilleur des épices à portée de clic

Épices pures ou en mélange, aromates et herbes. Les rayons d’Épices du monde déploient des produits provenant des quatre coins de la planète. Les férus de saveurs exotiques et méconnues trouveront ici leur bonheur. À ces condiments d’exception – délices d’ailleurs choisis suivant des critères de qualité rigoureux – viennent s’ajouter des épices locales défendant le goût de leur terroir. Mettre le monde dans son assiette Des épices de Madagascar à celles de la cuisine mexicaine, en passant par le célèbre piment d’Espelette, tous les goûts, les senteurs et les saveurs du monde se retrouvent dans l’éventail de produits proposés dans cette boutique en ligne. Les condiments qui y sont présentés, des plus connus à ceux qui le sont moins, sont alors une véritable invitation à un voyage culinaire fleurant bon la découverte. Grâce à ces produits de qualité, le monde s’invite dans vos assiettes. Cette enseigne de renom suggère de nombreuses recettes  pour varier les plaisirs de l'apéritif jusqu'au dessert. Une gamme de 350 références triées selon la fiabilité et la renommée des fournisseurs, garantissant la traçabilité quant à l’origine de chaque produit. Cet engagement relevant de la rigueur est ainsi le gage de la qualité de chacune de ces références, aussi gourmandes les unes que les autres. Le client peut donc apprécier en toute confiance tout ce qui est cumin, curry, poivre de Kampot ou de Malabar... ...

Codataschool : des formations à 360°
en Big Data, Intelligence Artificielle
et développement Web

Codataschool a été créé en 2017 à l’initiative de Laure Bourgois, docteure en Intelligence Artificielle (IA Symbolique et simulations). Cet organisme propose plus de 50 formations axées sur le Big Data, l’Intelligence Artificielle et le développement Web. L’offre s’adresse aussi bien aux professionnels, à l’instar des développeurs, qu’aux chefs d’entreprise. C’est après son parcours d’enseignante à l’université dès l’âge de 23 ans et ses 18 ans d’expérience en recherche et développement (France Telecom R&D, IFSTTAR et autres organismes publics et privés) que Laure Bourgois, 42 ans, a créé Codataschool.  « Nous élaborons nos formations selon les besoins du marché des entreprises. Nous permettons aux ingénieurs et aux décideurs d’intégrer l’IA dans leurs applications afin de créer des services innovants à forte valeur ajoutée », déclare d’entrée de jeu la fondatrice pour souligner les particularités de son offre. Elle constate : « La formation est non plus un stock (auparavant un ingénieur était titulaire d’un bac + 5 et ce diplôme constituait une assise pour la vie entière) mais un flux : il faut se former en permanence. Le but de ces formations est d’améliorer votre compétitivité grâce aux nouvelles technologies. L’or de demain, c’est la donnée à extraire et à structurer. » Modulables, ces formations peuvent s’adapter également à tous types de profils, débutant comme expert. Plus de pratique Chacun des 3 domaines (big data, IA, développement Web) intègre différentes thématiques de formation. En développement Web, l’apprenant est formé, par exemple, au développement Front End et Back End, deux outils essentiels et complémentaires. Autre exemple, dans le domaine du Big Data, l’étude des concepts et outils issus du Machine Learning occupe une part assez importante, étant donné la corrélation existante entre ces deux technologies. Codataschool propose des formations appliquées en IA Symbolique, Traitement Automatique des Langues Naturelles, Outils de simulations et Internet des Objets (IOT). Chez Codataschool, les formations se déclinent sous différents formats, en fonction des besoins des apprenants. Mis à part le format séminaire dédié aux chefs d’entreprise, tous les autres formats (module, projet, accompagnement) privilégient la pratique. Petite nouveauté : l’organisme suggère un format challenge dans lequel les concepts et les technologies sont assimilés via des sprints. Trois valeurs Codataschool s’est construit autour de trois valeurs que sont l’égalité des chances, l’intégrité et le bien commun. En considérant le numérique comme étant un vecteur d’ascension sociale, l’organisme s’attelle à promouvoir l’égalité femmes-hommes. « Il y a des femmes qui excellent dans le domaine de l’Intelligence Artificielle. Malheureusement, elles sont trop peu nombreuses, autour de 15 % dans la technique selon différents instituts », déplore notre interlocutrice. En ce qui concerne l’intégrité, celle-ci se rapporte aux données. Conscient de l’enjeu que ces dernières représentent, Codataschool met tout en œuvre pour garantir leur sécurité et leur fiabilité. De plus, Codataschool propose des formations et outils pour l'aide à la détection des fake news, qui se propagent insidieusement sur la Toile. Enfin, l’organisme affiche son attachement à la question de l’éthique, en veillant à ce que les solutions développées puissent améliorer la vie des personnes concernées. ...

Vacances Passion, un héritier engagé des valeurs de la Ligue de l'Enseignement

Vacances Passion s'inscrit dans la lignée et l’Esprit de la Ligue de l’Enseignement en proposant des vacances et loisirs accessibles à tous, tout en encourageant l'épanouissement personnel par l’éducation, la culture, le sport, les loisirs et la participation au débat et valeurs républicaines. Un engagement commun en faveur d'une société plus égalitaire, plus sociale selon les principes de son fondateur historique Jean Macé « Notre chemin à tous est forcément le même : faire penser ceux qui ne pensent pas ; faire agir ceux qui n'agissent pas ; faire des hommes et des citoyens ». La Ligue de l'Enseignement, une Institution engagée depuis 1866 La Ligue de l'Enseignement a été fondée en 1866 par Jean Macé, intellectuel, journaliste et homme politique engagé (voir encadré). Son objectif était de promouvoir l'éducation et l'instruction pour tous, sans distinction de classe sociale ou de religion. En 1882, avec la loi Jules Ferry, l'école devient laïque, gratuite et obligatoire, et la Ligue joue un rôle majeur dans sa mise en œuvre. Un dur combat, un compromis parfois difficile à trouver entre défenseurs d’une école publique, laïque accessible à tous et partisans d’une école privée. Ainsi, les actions de la Ligue de l’Enseignement œuvrent sans discontinuer pour l'accès à la culture, la lecture publique, le développement des bibliothèques en France, l’éducation mais pas seulement… Dans les années 30, elle structure ses activités de manière « spécialisée » et « sectorielle » en donnant naissance dès 1928 aux Unions Françaises des Œuvres (UFO), en 1933 avec l’UFOLEP pour rendre accessible les activités sportives et physiques, en 1934 avec l’UFOCEL pour développer les Arts et le Cinéma puis l’UFOVAL avec les Vacances pour Tous, le pionnier des colonies de vacances en France. Une organisation qui apparaît à la veille des congés payés instaurés en 1936 par le gouvernement du Front Populaire de Léon Blum. Une mesure historique, une avancée sociale majeure qui a permis pour la première fois aux travailleurs de bénéficier d'un droit légal à des vacances rémunérées et améliorer les conditions de travail et de vie des salariés et familles françaises. Globalement, l’ensemble de ses actions s'inscrivent dans une logique d'intérêt ou de service public, conférant à la Ligue de l'enseignement, à la fin de la IIIe République, un statut à la fois d'organisation para-administrative et de groupe de pression politique et idéologique influent au sein du système et des valeurs républicaines. Aujourd’hui, la Ligue de l'enseignement est une confédération d'associations françaises qui rassemble environ 25 000 associations locales. Elle se positionne comme la principale coordination associative française, revendiquant près de 2 000 000 d'adhérents indirects structurée en 103 fédérations départementales, regroupées au sein d'unions régionales. Les milliers de salariés et les centaines de milliers de bénévoles qui la composent agissent toujours dans des domaines et actions sociales variées tels que l'éducation populaire, l'enseignement, les pratiques artistiques, culturelles, les activités sportives, les vacances, les loisirs et même la formation professionnelle. Vacances Passion : un voyage pour tous, inspiré par la Ligue de l'Enseignement Vacances Passion, l'un des héritiers de la Ligue de l'Enseignement, est bien plus qu'une simple agence de voyages. Avec ses marques sœurs « Vacances pour Tous », pionnier en France des colonies de vacances et « Séjours éducatifs », spécialiste du voyage scolaire, Vacances Passion est devenue le symbole d'une philosophie de vie, portant les valeurs de la Ligue de l'Enseignement et de son fondateur, Jean Macé. Des valeurs humanistes portées sur la citoyenneté, l'éducation ou l'idée est de permettre à tous indépendamment, de leur origine sociale, de bénéficier de moments de détente et de découvertes. En pratique, Vacances Passion p...

Mas Costeplane : des vins d’excellence en biodynamie

Avec son appartenance à l'AOP Languedoc et à l'IGP Cévennes certifiés Demeter et Agriculture Biologique, le vignoble du Mas Costeplane est l'incarnation même de l'excellence viticole en biodynamie. Une viticulture qui est bien plus qu'une simple méthode d'agriculture biologique puisqu’elle vise à travailler en harmonie avec les cycles de la nature, à favoriser la création d'un écosystème afin de régénérer les sols, renforcer la vitalité des vignes pour ne produire que des raisins certes en quantité limitée mais d'une qualité exceptionnelle. En France, moins de 500 domaines viticoles sont sous le label Demeter. Ils appliquent de bonnes pratiques agronomiques qui permettent aux vins d’exprimer pleinement ses qualités et la typicité d’un terroir. Quant au Mas Costeplane, pionnier dans le domaine de la biodynamie, il est à retenir que ses sols n’ont vu aucun pesticide depuis plus de 50 ans. Un gage de qualité qui restitue dans la bouteille tout le reflet du terroir avec pour chaque millésime des raisins sains, récoltés à parfaite maturité tout en évitant intrant ou additif en vinification. Mas Costeplane : terroir d’excellence, respect de la Nature et biodiversité Sur 30 hectares, le mas Costeplane bénéficie d'un terroir d'exception caractérisé par des sols argilo-calcaires entourées de collines où prédominent garrigues, chênes verts, pins, plantes aromatiques et une biodiversité végétale et animale exceptionnelle. Le seul voisin du Mas est la miellerie du Clairan qui se situe à 2 kms environ du domaine. En somme, une véritable terre promise pour ce vigneron car elle lui apporte un terroir équilibré avec des conditions climatiques certes rudes mais idéales pour la culture de la vigne. Le climat avec la proximité de la mer, le soleil méditerranéen souvent torride en été, les vents frais des Cévennes avec une centaine de nuits de gel en hiver confèrent aux raisins et aux cépages cultivés une richesse et une complexité unique. Dans cette perspective, Loïc Manchec en vigneron attentif, véritable gardien de la terre prend en compte l'ensemble de son environnement, des insectes aux oiseaux qui survolent les vignes aux micro-organismes foisonnant dans le sol.  Ici, au Mas Costeplane, chaque élément de cet écosystème est considéré comme essentiel pour maintenir l'équilibre et la vitalité de la vigne où 7 cépages sont cultivés afin de donner des vins authentiques au véritable reflet du terroir. Richesse des cépages pour des vins blancs authentiques… Pour les blancs, le Vermentino, le Grenache blanc et le Chardonnay sont à l'honneur. En ce qui concerne le Vermentino, ce cépage nécessite un climat chaud et sa culture ne peut se faire que sur des parcelles bien exposées au soleil. Pioch de l’Oule 2020 en blanc en AOP Languedoc (15 €), vinifié, assemblé avec le Grenache blanc et le vermentino donne un vin blanc aromatique avec au nez des senteurs d’herbes sauvages, de fenouil, de zestes de citron vert, de citronnelle et de fruits à chair blanche. En bouche, il révèle une belle fraîcheur avec une longueur, une ampleur et un léger piquant herbacé. D’une couleur « paille brillante » aux reflets verts, ce vin a reçu la note de 90/100 au Blind Tasted de Andreas Larsson, meilleur sommelier au monde et fervent défenseur de de la dégustation à l’aveugle. Une véritable récompense pour Mas Costeplane puisque le succès est également au rendez-vous avec une production en vin blanc notamment pour la cuvée Vermentino 2022 blanc en IGP Cévennes (7,80 €) en rupture chaque année dès la fin juin. Un vin à la robe d'une pureté cristalline aux reflets verdoyants et au bouquet d’agrumes, de fleurs blanches avec en bouche une rondeur et une finale légèrement saline. En somme, toute l’expression magistrale de ce cépage qu’est le Vermentino que l'on retrouve dans les vins du domaine Costeplane. Pour les amateurs de chardonnay, cépage de raisin blanc originaire de la Bourgogne, on le retrouve également au Mas Costeplane dans une production assez confidentielle limitée à 30 Hl/ha pour ne conserver uniquement que le meilleur. Résultat, u...

Pietra : des bières à l’identité corse

Depuis, ils y fabriquent des bières artisanales dans le plus pur respect de la tradition brassicole, en pratiquant une sélection rigoureuse des matières premières. La brasserie Pietra se situe à Furiani, près de Bastia, en Haute-Corse.  Les bières de la brasserie Pietra La bière Pietra, le produit fondateur de la brasserie Pietra, est brassée à partir de malt et de farine de châtaigne corse. Mélangée au malt lors de l’empâtage, la farine de châtaigne est utilisée comme une matière première et non comme un arôme. Cette recette unique au monde confère à la Pietra une saveur tout en contraste. Puissante et délicate, charpentée et moelleuse, la Pietra titre 6 % d’alcool. Elle affiche une belle robe ambrée et une mousse intense à fleur châtaigne. Depuis, sont nées d’autres recettes exclusives : - Pietra Bionda, présentant un parfait équilibre entre malt pâle, farine de châtaigne et houblon aromatique ; - Pietra Rossa, une bière aux fruits rouges présentant des notes de griotte, et une pointe de framboise et de mûre ; - Colomba, une bière blanche à base de malt d’orge et de froment, infusée aux herbes du maquis, avec des notes fraîches d’agrumes et un arôme épicé ; - et, depuis peu, Colomba Rosée, une bière blanche aux arômes naturels d’orange et de framboise, brassée à partir de malt d’orge et de malt de blé, fraîche, légère et fruitée.  Également disponible en saison : la Pietra de Noël. Visite La brasserie se visite tout l’été, du lundi au vendredi. Le reste de l’année, elle est accessible sur rendez-vous. ...

Le Scoop : une cuisine bistronomique qui fait toute la différence

Le Scoop est une adresse bien connue du Touquet, à Le Touquet Paris Plage (62520). Prônant une cuisine bistronomique, cet établissement doit son succès au bouche à oreille et retrouve une seconde jeunesse grâce à une nouvelle gérance arrivée le 29 juin 2017. Virginie Thomas, à la tête du restaurant, s’attache à respecter l’identité d’origine du Scoop que lui connaissent ses habitués, tant au niveau du service que des plats proposés.  Une restauration traditionnelle et des spécialités thaïes Si Le Scoop a su acquérir de nombreux adeptes depuis de nombreuses années, c’est en partie pour la qualité de ses plats, préparés à la minute. Un de ses points forts :  « Tous les ingrédients sont frais, tout est fait maison des entrées jusqu’aux desserts et les plats sont également à emporter », nous fait savoir la nouvelle propriétaire des lieux. Les tarifs ne sont pas pour autant exorbitants, car les clients apprécient aussi l’excellence du rapport qualité-prix. Le restaurant a surtout construit sa réputation autour d’une cuisine traditionnelle et thaïe. Sur la carte composée essentiellement de plats typiques de bistrot, les tartares de viande et de poisson sont énormément prisés. Si les frites fraîches constituent l'un des points forts du restaurant, le Scoop du Touquet suggère aussi d'autres plats à succès : « L’œuf cocotte aux cèpes et aux truffes ou les gambas croustillantes comme entrées, le tartare de saumon thaï ou le tartare traditionnel comme plats de résistance, le TiramiScoop, la tarte aux pommes ou le coulant caramel au beurre salé comme desserts ». Côté vins, la carte est riche en propositions, à travers de nombreuses références en vins bordelais, de Bourgogne, de la vallée du Rhône, d’Alsace, de Provence, du Sud, ou encore en vins étrangers. « Une adresse où le client est roi » Le Scoop applique à la lettre ce célèbre adage en mettant sur un pied d’égalité la qualité de ses mets et le sens du service. Virginie Thomas souligne ce principe propre à l’établissement depuis ses débuts : « Les gens viennent au Scoop pour la cuisine et l’âme du restaurant. Ils s’y sentent comme chez eux. Nous aimons être proches de nos clients, dont nous connaissons les habitudes, et nous sommes à l’écoute de leurs moindres désirs. » C’est ainsi qu’elle s’attache à faire régulièrement un tour de tables pour être à l’écoute des convives. « C’est important de nouer un contact avec les gens, ils aiment se sentir valorisés, savoir que l’on s’occupe d’eux », précise-t-elle. La satisfaction de la clientèle est donc primordiale pour ce restaurant proposant également une salle pouvant être privatisée pour des repas de groupes, séminaires ou anniversaires etc..., d’une ambiance intimiste à l’étage supérieur. Une nouvelle déco va parfaire le tout et favorisera l’esprit de sérénité et de zénitude souhaité par la maison.   ...

Quand le coaching professionnel fertilise l’existant

Révéler l’existant Chaque fois qu’une personne fait appel à ses services, que ce soit pour qu’elle l’aide à franchir une étape importante dans sa carrière, à atteindre ses objectifs, à retrouver de la motivation ou à prendre du recul...vital dans certains cas pour éviter le burn out ou la rupture, la démarche d'Anne Delestan, la fondatrice d'Elansité, est la même : ne rien imposer et révéler l’existant. « Je pars toujours du principe que les fondamentaux sont là », explique-t-elle. Et d’ajouter que son action « doit se limiter à révéler cet “existant”. Puis à le faire grandir ». Alors qu’ils croient manquer de quelque chose, la plupart de ses clients auraient, en réalité, oublié les atouts dont ils disposent. « Ils doutent. Ils se sont persuadés qu’ils ne savaient pas alors qu’ils avaient tout simplement oublié qu’ils savaient… On a trop souvent tendance à se focaliser sur d’éventuels dysfonctionnements. Et donc à négliger ce qui fonctionne bien », constate-t-elle. Bref, si l’on a tous en nous quelque chose de Tennessee (ça, ce n’est pas Anne Delestan mais Johnny Hallyday qui le dit…), de la même façon, nous aurions tous, au fond de nous, le potentiel d’aller plus loin – pour autant qu’un coach compétent nous aide à nous en souvenir – et de surmonter les obstacles qui se présentent devant nous. Le coaching comme un cheminement  Une autre caractéristique du coaching tel que le conçoit et le pratique Anne Delestan tient au fait qu’il se rapproche d’un cheminement. « Coacher quelqu’un consiste à l’accompagner. À le guider le long d’un chemin de (re)découverte de soi », précise Anne Delestan dont les clients apprécient la « confrontation bienveillante » qu’elle met en place. « J’utilise souvent la métaphore de la danse à deux pour parler du coaching. » Respecter le tempo de l’autre, épouser son rythme, se mettre à son diapason, tout ça, c’est primordial. Ce n’est qu’à ce prix qu’une danse sera harmonieuse et aussi que l’on se montrera respectueux de son partenaire », précise Anne. Qui met ainsi un point d’honneur à toujours prendre soin de « respecter l’écologie » de son interlocuteur. Ne pas balayer ce que l’on a bâti mais s’y appuyer Pour savoir qui on est et  où l’on va, il est important de savoir d’où l’on vient… Pour aider ses clients à développer leur potentiel – après l’avoir révélé ou redécouvert – et à renouer le contact avec leur parcours de vie professionnelle, Anne Delestan les encourage à ne pas balayer le socle qu’ils ont bâti. « L’idée, c’est, au contraire, de s’appuyer sur les fondations que l’on a édifiées afin de mieux appréhender ce qu’il nous reste à construire. »  ...

Château de Chaintres : des vins plaisir
qui invitent au partage et à la convivialité

Parti d’une lutte raisonnée, puis biologique et mettant en place maintenant les préceptes de la biodynamie, le Château de Chaintres s’attache à vinifier le plus naturellement possible dans le respect de la tradition : il produit des appellations  Saumur Champigny, Saumur Rosé, Saumur Blanc et Crémant de Loire, certifiés bio par Ecocert France depuis les millésimes 2013. Une particularité du domaine est sa diversité de terroirs dont le tuffeau, la roche calcaire dominante de la région, qui fournit aux vignes un drainage naturel et contrôlé. Les cépages nobles de la région, et les seuls utilisés à Chaintres, sont le cabernet franc et le chenin. Une qualité reconnue à sa juste valeur Par son savoir-faire unique, le domaine élabore des vins de terroir élégants, amples et généreux pour accompagner les viandes rouges et les poissons charnus. Une qualité reconnue à sa juste valeur à travers des récompenses prestigieuses au fil des années. Les plus récentes, deux médailles au concours « Decanter 2018 », argent pour  le Saumur Champigny Les Sables 2017 et Or pour le Saumur Champigny Vieilles Vignes 2017, qui est élevé au minimum 10 mois sur lies fines avant la mise en bouteille. ...

BOWO : réinventer l’expérience voyageur dans l’hôtellerie

La naissance de BOWO est étroitement liée à l’expérience personnelle de son fondateur Jonathan Chénière. Ayant eu l'occasion de profiter de séjours hôteliers lors de ses nombreux voyages, il a pu dresser le constat que les services hôteliers étaient très difficilement réservables, voire carrément invisibles : « au cours de mes nombreux voyages, je n'ai jamais utilisé les services proposés par l'hôtel, faute de visibilité, de barrière de la langue ou simplement par manque de simplicité. J'ai très certainement loupé de nombreuses occasions de profiter davantage de mon séjour ou encore de découvrir les villes grâce à des conseils avisés », nous confie-t-il. Jonathan Chénière décide alors de mettre à profit ses compétences techniques pour « dépoussiérer » les outils de communication utilisés dans le secteur hôtelier. Il rencontre à ce moment-là Romain Catajar, directeur technique, et ils co-fondent ensemble BOWO. BOWO, c'est toute l'expérience d'un séjour touristique dans une solution en chambre. Une technologie à la pointe BOWO a été pensé et conçu pour les « hôtels indépendants, chaînés ou grands groupes en s'adaptant aux besoins des hôteliers », précise Alysée Flaut, responsable de la communication de la startup. BOWO propose une solution clé en main composée d'une tablette et son application design et ergonomique. La solution est un savant mélange d'esthétisme et de technologie au service de l'hôtel et du client. Elle a été pensée pour et avec les professionnels de l'industrie. Entièrement personnalisable et disponible en plusieurs langues, l'application permet au voyageur d'accéder à toutes les offres de services additionnels de l'hôtel. Le voyageur gagne en autonomie et en simplicité lors de la réservation ou l'achat. Quant à l'hôtel, il gagne en visibilité, en satisfaction et redevient prescripteur du voyage de ses clients.  Les fonctionnalités « Enrichir le séjour du client mais également faire en sorte que l'hôtelier puisse dégager davantage de chiffre d'affaires » sont, pour résumer, les objectifs  principaux de BOWO, selon les propos d'Alysée Flaut. En effet, BOWO offre au voyageur la possibilité de bénéficier d'un riche catalogue de services : room service, conciergerie, réservation spa ou restaurant, blanchisserie, offres spéciales personnalisées, chauffeurs privés, babysitters, etc... En parallèle, BOWO fournit un éventail de services externes à forte valeur ajoutée qui sont proposées par ses partenaires commerciaux comme des coiffeurs à domicile, des services événementiels d'exception, des coachs sportifs ou des escapades touristiques. BOWO « remet l'hôtelerie au centre du voyage », faisant de la chambre le point de départ vers des expériences incontournables et inoubliables, qui enrichiront les souvenirs du voyage. ...

Le Mans Métropole Habitat : au plus près de l’habitat

Parce qu’elle a su garder dans ses pierres les empreintes de toutes les époques, la métropole Le Mans se distingue par la diversité de son patrimoine. Ville incontournable, son programme de rénovation urbaine prévoyait la démolition de 407 logements, la construction de 440 logements et la réhabilitation de 4.867 logements. Avec un investissement de près de 160 M d’€, l’action de la politique de l'habitat, s’articule autour de trois grands axes : l'enregistrement et le suivi des demandes de logement social, le soutien à la construction et à la réhabilitation des logements locatifs sociaux. Des équipes de professionnels mobilisées au service des habitants 268 collaborateurs s’investissent chaque jour pour développer et améliorer le patrimoine et la qualité du service rendu aux locataires. Autant dire une organisation orientée vers la proximité vu que 70% d’entre eux travaillent sur le terrain. ...

Podcast avec Delphine Hackstein de SnowTrex, N°1 de la réservation de voyages aux Sports d'Hiver

Bonjour Delphine ! Delphine Hackstein | Bonjour ! SnowTrex est un tour opérateur qui propose des vacances à la montagne l’hiver, mais pas que ! Avant de nous faire découvrir tous les séjours que vous pouvez nous proposer, pourriez-vous nous raconter l’histoire de SnowTrex ? D E | Tout d’abord, cela a commencé avec TravelTrex qui a été fondée en 1999 à Cologne, en Allemagne. Elle s’est spécialisée dans la destination de voyage de sports d’hiver, avec notamment la marque SnowTrex.  TravelTrex a été créée par Andreas Rühl. Qu’est-ce qui l’a poussé à créer ce groupe ? D E | Lui, à la base avait deux raisons principales. Je pense que d’une part, il avait son amour des sports d’hiver et aussi sa passion en tant qu’entrepreneur. Donc lui, dans un premier temps, peut passer plus de temps sur le ski. Il a passé son brevet de moniteur de ski et justement, il a accompagné de nombreux voyageurs de ski avec divers prestataires. Il n’a pas hésité à organiser ces premiers voyages de groupe de ski en 91 avec des moniteurs de ski, et à l’époque c’était sous la marque Ski Fascination. En 1998, le prestataire SnowTrex Utrecht a tenté également de s’implanter sur le marché allemand. C’est là qu’Andreas Rühl, le fondateur, a vu l’opportunité que représentait leur concept différent, c’est-à-dire pas de voyage en groupe. De ce fait, il a voulu initier une coopération. Ensuite, une brève collaboration entre les deux. Par la suite, TravelTrex, existait en 99 et s’est concentrée surtout sur la marque SnowTrex. Depuis, SnowTrex est donc devenu une firme internationale. Comment cela se passe chez vous ? Est-ce que ce sont des voyages organisés ou les clients peuvent-ils choisir la combinaison qu’ils veulent pour leurs vacances ? D E | Les clients veulent et peuvent composer les voyages souhaités de manière tout à fait individuelle, c’est-à-dire qu’on a une large offre d’hébergements, dans des régions ciblées et des segments de prix divers. Actuellement, on a à peu près 2500 hébergements et on propose 500 stations environ. À cela, ils ont le choix entre des hôtels, des appartements, des chalets, des pensions, dans lesquels tout est possible, que ce soit la restauration autonome, si l’on parle de l’appartement en France, des formules tout compris pour peut-être un tour en Autriche par exemple. Autrement, c’est ce qui est un gros point positif chez nous. Les clients peuvent organiser eux-mêmes leur arrivée et leur départ. Ils sont un peu libres de faire ce qu’ils veulent. Comment cela se passe quand on veut organiser un voyage avec vous ? D E | Cela dépend de nos clients. Ils sont un peu indécis et veulent se faire aidés individuellement par téléphone ou par un des collaborateurs, qui sont là pour ça. Là, on parle notamment de Country Manager, qui est mon poste. C’est ce que je fais pour le marché français. J’aide les clients français à trouver des destinations. Parfois, le processus peut prendre un peu de temps. Mais nous, on est toujours là. On prend le temps pour nos clients, pour vraiment répondre à leurs besoins. Aussi, les clients peuvent réserver leur voyage sur le site internet de SnowTrex. Ils ont la possibilité de composer leur voyage en quelques minutes grâce à de nombreux filtres basés sur les besoins et les soins personnels. On peut voir la taille, l’altitude de la station, la distance entre les hébergements et les pistes. Je dirais donc le temps nécessaire à la préparation de la réservation, et qui varie considérablement d’un client à l’autre. Sachant qu’une multitude de voyage s’offre à nous sur votre site. Que l’on peut autant réserver un séjour d’une semaine en France ou bien de 5 jours en Autriche. Tout cela dépend de nos envies et de nos besoins. Alors Delphine, si j’ai envie d’aller skier cet hiver, où est-ce que vous pouvez m’emmener ? D E | Nous, on a 2500 hébergements de disponible sur le site et 500 stations également. Si on veut parler des pays, cela peut aller de la France à l’Andorre, la République Tchèque et la Bulgarie. La destination phare de SnowTrex est surtout ...

Festival Interceltique de Lorient : évènement mythique !

Pour l’histoire, le Festival de Lorient est né du championnat national des Bagadou (compétition musicale rassemblant les bagadoù), organisé grâce aux formations bretonnes, qui associent à l’époque les bombardes et les binious des instruments typiques écossais. C’est durant le XXème siècle, dans les années 1930, que la musique écossaise incorpore la formation musicale bretonne après des échanges entre les deux communautés. Vient ensuite le premier concours qui se déroule principalement à Brest, juste après la guerre. C’est seulement en 1971 que la Fédération des Sonneurs breton prend contact avec les comités des fêtes populaires de Lorient, qui décide alors d’accueillir les Championnats. Les Championnats nationaux des Bagadou voient dès leurs débuts, accueillir des invités venant de différents pays celtiques qui évoluent d’abord au Festival International de Cornemuse Lorient, qui devient ensuite le Festival Interceltique de Lorient en 1976. Le Festival sera rejoint en 1985 par huit régions de racine celtique comme l’Espagne, l’Ecosse, l’Irlande, la Bretagne, les Pays Bas, Cornouilles, Ile de Man et qui évoluent vers une amplitude d’échange musicale, artistique et social. Au début des années 1990, le Festival prône l’ouverture vers les grandes villes en emmenant avec lui ses musiques et ses traditions populaires, ce qui fait venir rapidement des groupes d’autres pays comme les Etats-Unis, les Amériques Latines, le Vietnam, l’Australie, la Nouvelle-Zélande... Dans les années 2000, le Festival est devenu planétaire et continue les échanges ainsi que l’ouverture au monde de la tradition celtique. Lorient, capitale celtique « Le Rendez-vous des expressions contemporaines des pays celtiques », telle est la définition du Festival Interceltique. Touchant toutes les formes musicales des pays celtiques ainsi que le jazz, le rock, le folk ou encore les œuvres symphoniques, cet évènement est une vitrine vivante s’ouvrant sur le monde et qui offre une place de choix aux créations et aux métissages. Il est aussi un carrefour où se rencontrent d’autres disciplines comme la littérature, la danse, l’art plastique, le cinéma ou la lutherie. Les 10 jours de festivité, seront l’occasion pour eux, de montrer et partager toute une culture. Des échanges et des débats se feront autour de leur histoire, suivi des ateliers de musique, des défilés, des concours de cornemuse, de gaita, d’accordéon, de harpe celtique, des concours de danse et de chant. Du sport comme les courses de voiles, du golf, du gouren ou des jeux athlétiques bretons sont également au programme. L’un des points d’orgue de l’évènement est la Grande Parade des Nations Celtes. A l’occasion, 3500 artistes vêtus de tenues traditionnelles défilent sur le thème « celtique » dans les rues de Lorient. Outre cette parade assistée par des dizaines de milliers de spectateurs, La Triomphe des sonneurs est aussi un immanquable. Ce défilé regroupant des centaines de musiciens se déroule le même jour à 19h. Autre incontournable : le Highlands Games, où tous les habitués attendent le fameux lancer de troncs et les face-à-face entre lutteurs. Hommes, femmes de tout âge participent à ces « olympiades » qui dureront plus d’une semaine. A noter que l’organisation de ce Festival Interceltique de Lorient se fait grâce à la bonne volonté des habitants, mais aussi des amateurs de la communauté celte venant d’autres pays.  Le Festival aux mille histoires Pour l’année 2017, le Festival Interceltique de Lorient célèbre l’Année de l’Ecosse, avec comme slogan « Fort caractère, cœur battant, esprit universel ». Pilier de l’histoire celtique, l’Ecosse reste fidèle au festival depuis sa création à ce jour, et ne cesse d’émerveiller le monde à travers ses paysages époustouflants, son accueil chaleureux, son riche patrimoine et surtout sa scène culturelle constamment en évolution. L’Ecosse compte prendre les devants de la scène pour cette nouvelle édition du festival avec pas moins de 100 artistes à son actif. Des grands noms comme Capercaillie, mondialement connu pour sa mus...

Typaction, catalyseur de potentiel professionnel

On ne s’improvise pas coach Coachs en décoration, en immobilier, en séduction… Depuis quelque temps, force est de constater que les coachs en tous genres fleurissent. Pourtant, et comme le rappelle Agnès Leblanc, coach certifiée et fondatrice de Typaction, « on ne s’improvise pas coach. Le capital humain, c’est important. Pas question de faire n’importe quoi. Il ne suffit pas de croire que l’on fait preuve d’empathie ou que l’on est de bon conseil pour le devenir du jour au lendemain ». En effet, un coaching efficace nécessite non seulement de la pratique mais aussi une formation solide. Mais au-delà du processus d’accompagnement que le coach mettra en place et des techniques qu’il appliquera pour « aider son client à changer pour atteindre un objectif ou surmonter une difficulté », c’est vers l’alignement et la construction de repères « intérieurs » solides que le coaching doit tendre. C’est donc un changement de fond, induit par une méthode de questionnement et s’inscrivant dans la durée, qui doit s’opérer.   Guider la personne en fonction de ce qu’elle est C’est à l’issue d’une séance de team building à laquelle elle avait participé lorsqu'elle était manager qu’Agnès Leblanc a su qu'elle voulait devenir coach. Depuis, elle s’est formée au coaching et a appris à faire prendre conscience aux autres de ce qui peut parfois les freiner dans leur carrière. « Tout n’est bien souvent qu’une question de perspective. La perception que l’on a des choses qui nous entourent dépend de l’angle sous lequel on les regarde ». Au coach, donc, d’aider son client à réaliser que la perception qu’il a de ses capacités ou de l’image qu’il pense renvoyer à ses collaborateurs est faussée. « Selon moi » explique Agnès Leblanc, « un coach joue en quelque sorte un rôle de catalyseur de potentiel. Il aide son client à (re)découvrir ce qu’il a en lui. Mais il lui montre aussi comment l’utiliser ». S’appuyer sur une triple expertise Forte de son expérience en entreprise, en matière de gestion de carrière, Agnès Leblanc peut s'appuyer sur une triple expertise : le coaching professionnel mais aussi le Centre de Bilan de Compétences et le Conseil en Personal Branding. Quant au coaching professionnel proprement dit, la palette d’outils (indicateur de développement personnel, quotient d’intelligence émotionnelle, PNL, Systémique, etc.) dont elle a appris à se servir et qu’elle utilise régulièrement depuis maintenant plus de dix ans lui permet de faire en sorte que ses clients (managers, dirigeants) retrouvent confiance en eux et développent durablement leur potentiel. ...

L'Allée des Vignes, une voie toute tracée…

Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique,  fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...

Provence Tradition : d’authentiques herbes de Provence

L’appellation « herbes de Provence » n’impliquant aucune obligation de la part du fabricant, on se retrouve avec des produits le plus souvent importés. Venant du Maroc, de Pologne et d’autres pays de l’Est, ces fausses herbes de Provence inondent les rayons des supermarchés avec une qualité très discutable. Inacceptable pour Vincent Mignerat qui a milité activement pour la structuration d’une filière plante aromatique en Provence. Premiers pas Il y a 35 ans, les plantes aromatiques du sud de la France faisaient l’objet d’une exploitation sauvage. À cela s’ajoutait une diminution de la régénération naturelle des plantes liée au déclin du pastoralisme. C’est dans ce contexte qu’arrive une demande venant de la Scandinavie portant sur du thym gris des collines. Pour répondre à cette demande, une filière plante aromatique s’est mise en place dans la région. Au départ, Provence Tradition était une marque née de la volonté d’une poignée de producteurs de proposer aux consommateurs locaux des produits authentiques. Devenue entreprise, elle s’attaque très rapidement au marché national prenant comme cible l’épicerie fine. Les saveurs de la Provence Misant sur la qualité de ses produits, Provence Tradition décroche des clients prestigieux tels que la Grande Épicerie de Paris ou Lafayette Gourmet. En parallèle, l’entreprise se tourne vers la grande distribution pour permettre aux budgets modestes d’accéder à des produits de qualité. Provence Tradition affiche effectivement un label rouge, gage d’une qualité irréprochable. À travers les herbes de Provence et le thym en particulier – les deux produits phares de la maison –, le consommateur retrouve toute la puissance aromatique des plantes. Leur secret réside dans la teneur en huiles essentielles qui obéit à un cahier des charges strict du label rouge, exigeant un minimum de 2 %. Autre particularité du terroir provençal, les plantes profitent des meilleures conditions. « La plante souffre juste ce qu’il faut », souligne Vincent Mignerat. ...

Domaine de Calet :
vers une viniculture durable

Le Domaine de Calet a élu domicile sur une terre bénéficiant d’un microclimat et de conditions géologiques favorables. L’endroit sis à 85 m au-dessus de l’eau et offrant une vue panoramique se conjugue idéalement avec la viniculture. Cette situation géographique exceptionnelle fait des cuvées en AOC Costières-de-Nîmes des vins naturellement bons. La terre des galets roulés Les sols du domaine prennent racine sur un vaste tapis de galets roulés. Ces petites pierres arrondies ont la faculté de capter les rayons du soleil de manière à chauffer convenablement le sol et la vigne. Elles permettent également de conserver la température idéale pour une parfaite maturation des raisins. « Je ne vends pas du vin, je vends une manière de vivre » Yvon Gentes a une vision bien particulière. Désireux de partager ses idéologies, il nous confie : « Pour moi, ce qui est important, c’est que le vin soit bien équilibré, mais surtout qu’il soit naturel. » En effet, notre vigneron s’est lancé dans l’aventure écoresponsable. De la plantation à la mise en bouteille, il veille à ce que ses cuvées subissent le moins de procédé chimique possible. De ce concept est né « Éternité », qui est la cuvée phare de la maison. Et pour mieux commercialiser ses vins bio, le viticulteur se charge lui-même de la vente des nectars. « Je suis convaincu qu’il faut que le vigneron parle de ses produits », affirme-t-il avec détermination. Tout ce travail rigoureux lui a permis de rafler beaucoup de récompenses dans les concours nationaux et internationaux, notamment à Singapour. ...

Domaine de Calet : des vins équilibrés et expressifs en hommage au terroir rhodanien

Après avoir vécu une trentaine d’années en Scandinavie, Yvon et Anne-Lena Gentes envisagent une reconversion professionnelle. Arrivés en France, ils tombent littéralement amoureux de ce domaine entre mer et montagne situé aux portes de la Camargue qui leur rappelle les fjords scandinaves. Le couple décide alors d’en faire acquisition puis s’engage dans un immense chantier visant à améliorer l’environnement. « Nous nous sommes entourés d’agronomes et d’œnologues internationaux qui nous ont aidés dans notre démarche. Tout a été réhabilité : du domaine, à la cave, en passant par l’encépagement jusqu’aux modes de culture », nous confie Yvon Gentes. Un travail de longue haleine qui a fini par porter ses fruits : le Domaine de Calet s’inscrit aujourd’hui comme l’une des références en AOC Costières-de-Nîmes dans la Vallée du Rhône. Un mode de travail selon une approche écologique Situé à 20 km de Nîmes à la limite ensoleillée entre la Provence et le Languedoc-Roussillon, le vignoble bénéficie d’une situation géographique privilégiée et surtout d’un climat méditerranéen exceptionnel aux étés très chauds, à la saisonnalité des pluies très marquée, le tout accompagné d’un mistral qui assainit les vignes. Le terroir se caractérise par la présence de galets issus de débâcles glaciaires d’origine rhodanienne qui captent mieux la chaleur du soleil pour chauffer le sol et la vigne. Les cépages tels que la syrah, le mourvèdre, le carignan ou le grenache en rouge ainsi que la roussane, le bourboulenc, le chardonnay ou la clairette en blanc s’expriment avec intensité et harmonie et donnent naissance à des vins méridionaux, fougueux et équilibrés qui sont désormais certifiés Ecocert. Car pour Yvon Gentes, avoir des produits qui ne respectent pas l’homme et la nature, aussi bons soient-ils, n’a aucun intérêt. Dans sa démarche qui prône une symbiose entre le vigneron et la terre, il adopte des méthodes biotechniques innovantes comme la confusion sexuelle qui permet de lutter contre les parasites sans avoir à recourir aux intrants chimiques. La vinification s’annonce quant à elle plus vertueuse pour les consommateurs grâce à la réduction du taux de sulfites dans les vins. « Aujourd’hui, dans les produits conventionnels, les doses de sulfite autorisées sont de l’ordre de 180 mg par hectolitre et passent à 100 mg par hectolitre en bio. Chez nous, la teneur avoisine les 20 mg par hectolitre », explique le vigneron. Des vins « haute couture », incontournables des tablées Avec une production annuelle de 2000 à 2500 bouteilles, le Domaine de Calet s’illustre pour sa gamme riche et variée qui s’exporte à l’international notamment dans les pays scandinaves, en Russie ou en Ukraine. Grâce à des vignes âgées de plus de 40 ans qui donnent des raisins d’une qualité exceptionnelle, il est en mesure de proposer des cuvées haut de gamme telles que l’Éternité, un vin rouge puissant issu d’une production intime de 600 bouteilles par an. Offrant un bel équilibre entre les tanins et l’acidité, ce vin est parfait en accompagnement de veau, de bœuf ou de poissons à chair blanche tel que cabillaud et flétan communément associés aux vins rouges en Norvège. La Cuvée Grand Mas s’inscrit également comme l’une des fiertés de la maison et a été considérée comme l’un des plus grands vins de France lors d’une présentation à Tokyo. Élevé en fûts de chêne et produit à partir de 80 % de syrah, 15 % de grenache et 6 % de mourvèdre, ce vin rouge harmonieux, profond et boisé s’accorde à merveille avec de l’agneau, du bœuf et des plats épicés. Plus récemment, la maison vient de proposer la cuvée Long terme, un rouge plus élégant, rond et généreux. « Avec ses arômes de fumée et de sous-bois, le Long Terme s’adresse à un public plus jeune. Il a d’ailleurs reçu une méda...

Des vins séduisants et chaleureux en IGP Pays d’Oc

Tous les propriétaires qui s'y sont succédés, ont forgé au fil du temps, la philosophie de la propriété, et contribué à lui offrir cette reconnaissance internationale tant méritée. S'appuyer sur un savoir-faire traditionnel  ne l'a nullement empêché de se doter de toutes les techniques et innovations modernes pour élaborer des vins conviviaux ou plus raffinés. Un travail parcellaire Soucieux de préserver l’environnement, le Domaine de la Baume privilégie des pratiques respectueuses à la fois de la vigne et de la terre. Toujours en quête de qualité, il applique son savoir-faire au niveau de chaque parcelle. Il n’est donc pas étonnant de voir des parcelles taillées différemment. Arrivés à maturité, les raisins sont récoltés durant la nuit. « Les vendanges de nuit préservent la fraicheur et les arômes », nous indique-t-on. Afin de préserver la typicité de chaque cépage, chacune des parcelles est récoltée et vinifiée séparément. Cette pratique vise à permettre aux cépages d'exprimer leur pleine expression. À ce sujet, le Domaine de la Baume se démarque par des techniques modernes de vinification que sont la stabulation à froid (pour les vins blancs et rosés) et la macération préfermentaire à froid (pour les rouges). « Nous mettons au service de chacune de nos parcelles notre savoir-faire et notre plus grande attention afin d’exprimer le meilleur de leur potentiel », souligne l'oenologue du domaine, Jonathan Sanchez. Un domaine qui joue la carte de la diversité Travaillant sur l’IGP Pays d’Oc, le domaine élabore des vins plaisir pour tous les jours mais surtout pour des occasions spéciales. Arrivés à maturité, les raisins sont récoltés durant la nuit. En tout, la propriété propose 12 vins répartis sur 3 gammes différentes : Les blancs : - le Sauvignon blanc Les Mariés - le Chardonnay Les vignes de Madame - le Viognier Élisabeth Le rosé : - le Pinot noir rosé Les Vignes d'Héloïse Les rouges : - le Cabernet Sauvignon Les Thermes - le Syrah La Jeunesse - le Merlot Le Grand Chataignier - le Petit Verdot Saint Geniès L'Elite d'or : - l'Elite d'or Cabernet Sauvignon (rouge) - l'Elite d'or Chardonnay (blanc) La cuvée Terres  - la cuvée Terres Syrah (rouge) - la cuvée Terres Viognier (blanc) « L'Elite d'Or, une cuvée plus premium élevée en fûts de chêne et Terres de la Baume disponibles en blanc et rouge, font particulièrement la fierté du domaine », déclare Cathy Stoffel, cheffe de produit. « Les cuvées Terres de la Baume sont d'ailleurs issues des meilleures parcelles de Viognier et Syrah de la propriété », précise notre interlocutrice. Vins d’exception, les cuvées Terres, élaborées exclusivement de Viognier pour le vin blanc et de Syrah pour le rouge, illustrent en effet tout le potentiel qualitatif du Languedoc-Roussillon. Produits en très petite quantité, ces vins ont fait l’objet d’un élevage de 12 mois en barriques de chêne français. Ils séduisent ainsi par leur complexité aromatique incomparable, associée à un fort potentiel de garde. Pour preuve de leur qualité, ces cuvées ont remporté la médaille d’or du concours des Grands Vins du Languedoc 2017 (pour la cuvée Viognier millésime 2016) et la médaille d’argent au concours Syrah du monde 2018 (pour la Syrah millésime 2017). Pour reprendre le Responsable du Domaine, Monsieur Frédéric Glangetas,  : « En alliant la tradition et la modernité, Domaine de la Baume mise sur ses origines internationales et la diversité des terroirs du Languedoc pour transmettre le meilleur de l'esprit du Sud de la France. » ...