Avec l’âge, la vulnérabilité aux maladies et la perte d’autonomie augmentent. « Savoir prévenir et accompagner la dépendance est aujourd’hui essentiel. » Pour être bien chez soi met tout en œuvre pour appliquer cette devise, tout en respectant les spécificités de l’île de la Réunion. Une équipe « pluri-professionnelle » La prise en charge des personnes âgées hospitalisées lors de leur retour à domicile dépassant la simple fourniture d’équipements, Mona Kanaan, Docteur en Pharmacie, décide d’innover. En mars 2006, elle crée Pour être bien chez soi qui s’articule autour d’une équipe d’experts chargée d’assurer une prise en charge plus globale, s’étendant aux aidants (familles et environnements des patients). Structurée en départements répondant aux besoins spécifiques des personnes âgées malades, la société compte actuellement 20 collaborateurs. Elle propose une prise en charge « à la carte », spécifiquement adaptée à l’état de santé de chaque patient. Elle intervient sur toute l’île de la Réunion, jusque dans les sites enclavés. Une société ayant à cœur de répondre aux exigences de qualité Selon Mona Kanaan, directrice de Pour Bien être chez soi, « le secteur de la santé des personnes âgées à Domicile et dans les hébergements intermédiaires type Résidences Autonomies EHPA et EHPAD de la Réunion mériterait plus d'attention et de moyens de la part des institutions et des agences régionales de santé.» Il y a un manque criant de professionnels coordonnées type SSIAD et HAD pour accompagner les nombreux PSAD sur le terrain. L'addition de la précarité à l'isolement aux maladies métaboliques avec une prévalence de l'insuffisance rénale, respiratoire est 7 fois plus importantes par rapport à la métropole. Le domicile étant une priorité pour maintenir et préserver les personnes âgées dans les meilleures conditions. Il est pertinent de positionner en face des structures professionnelles de santé coordonnées, sérieuses et d'envergure permettant autant la coordination de soins de proximité que de la prévention sous toutes ses formes. Devant ces difficultés, Pour bien être chez soi a souhaité valoriser son professionnalisme. Elle est certifiée ISO 9001 mais également ISO 26000 : 2010 depuis février 2017. Ainsi engagée dans une dynamique RSE (responsabilité sociétale et environnementale), elle s'attache à répondre au maximum aux besoins de la collectivité dans le respect de la bonne gouvernance. Une société préconisant l’information Pour bien être chez soi favorise toute communication sur le quotidien des personnes âgées. Fin mars 2018, elle a donc organisé un symposium international intitulé « Le défi du vieillissement réussi », pour un partage de connaissances. ...
Implantée sur trois sites (Saint-Nazaire, Guérande et Assérac), AlgoSource s’est dotée dès 1993 d’une branche de production principalement dédiée à la spiruline, Alpha Biotech. C’est ainsi la plus ancienne société de production de cette microalgue, mondialement réputée comme superaliment, pour sa teneur exceptionnelle en protéine, en fer et en d’autres minéraux marins. Des vertus redécouvertes et ré-exploitées, à raison, par nos contemporains après avoir profité à nos ascendants de l’époque antique. De la spiruline et plus encore La spiruline en tant que telle représente déjà de grands potentiels dans l’équilibre alimentaire des personnes affiliées à une façon de se nourrir particulière. Par exemple, les vegans peuvent parfaitement l’intégrer dans leur régime pour couvrir les besoins en protéines et en vitamines essentielles comme la B12. « Il y a à peu près quinze ans, nous avons commencé à travailler sur l'extraction de molécules d'intérêt de cette spiruline », retrace Jean-Michel Pommet, Directeur Innovation et Développement, pour évoquer la genèse de l’un des produits phares de la maison. Le Spirulysat® se reconnaît à sa pigmentation caractéristique bleu roi que lui confère la phycocyanine. L’enseigne a beaucoup investi dans des études cliniques pour démontrer les vertus santé de cette molécule. Un usage particulier et professionnel en expansion Durant les trois à cinq dernières années, l'engouement pour la spiruline a augmenté, tant pour les particuliers que les professionnels. Avec sa forme liquide particulière (95% de la spiruline est consommée en forme sèche), le Spirulysat ®, le groupe se développe de façon exponentielle et couvre aujourd'hui un réseau de quelques 500 points de vente sur le territoire national et hors frontières. Un liquide bleu qui nous veut beaucoup de bien « Le meilleur aliment du XXIe siècle », c’est ainsi que la Conférence des Nations unies pour l’alimentation décrit la spiruline. Sous l’appellation de Spirulysat®, AlgoSource commercialise la sienne en ciblant des publics de plus en plus préoccupés à puiser dans la nature ce qu’il leur faut pour entretenir leur bien-être. La molécule à pigment bleu affiche un grand potentiel de revitalisation qui en fait un complice des sujets appelés à fournir des efforts physiques ou intellectuels soutenus. Les préparations à base de ce composé pourraient rapidement concurrencer les boissons énergisantes chimiques pourtant bien implantées. La marque est d’ailleurs estampillée Sport Protect, comme le souligne notre interlocuteur, compte tenu des témoignages consommateurs sur leurs performances. De la même manière, de nombreuses personnes en convalescence ont témoigné d'un rétablissement plus rapide avec ce produit. La société AlgoSource poursuit ses investissements dans la démonstration clinique des bienfaits santé de son produit riche en phycocyanine afin d'obtenir des allégations santé reconnues d'un point de vue règlementaire au niveau européen auprès de l'Agence Européenne de Sécurité Alimentaire, l'EFSA. ...
A Aix-en-Provence, à une centaine de mètres au nord du centre-ville, le restaurant l'Esprit de la Violette vous accueille dans un cadre raffiné et agréable. Dès l'entrée, le grand jardin au design graphique et parfaitement entretenu donne le ton. Si vous préférez prendre votre déjeuner bercé par le chant des cigales, la terrasse extérieure n'attend plus que vous. Mais sachez que l'intérieur vous promet autant d'élégance. Ici, rien de trop pompeux. On reste dans un esprit sobre tout en raffinement avec de jolis jeux de lumière. Les nappes de tables noires ébène tendent à surprendre. Mais passée cette première impression, la décoration contemporaine et recherchée se révèle dans toute sa splendeur. Marc de Passorio, retour de l’étoile L'histoire de l'Esprit de la Violette commence en 2014. Alors que Jean-Marc Banzo décide de mettre en vente son établissement, Marc de Passorio saute sur l'occasion et reprend le restaurant sur un coup de cœur. Un projet qui lui tient terriblement à cœur puisqu'il choisit d'abandonner ses autres activités pour s'y consacrer exclusivement. Une passion et un dévouement qui seront rapidement récompensés. En 2014, il reçoit le prestigieux prix du Gault & Millau d’or en PACA puis en 2015, un rêve d'enfant se concrétise : le chef est consacré par une étoile Michelin. Un titre qui vient aussi récompenser sa cuisine inventive, généreuse et un brin décalé. Car il faut dire que ses créations culinaires savent amuser nos papilles. Entre émotion et éblouissement, découvrez le foie gras de canard cuit au torchon délicatement accompagné d'une pâte de calisson d'AIX " feuille de poire " . La carte des desserts est tout aussi mélodieuse. L' " After Eight " Millésime été 2015 Chocolat Samana Grand Cru République Dominicaine par exemple achèvera de vous convaincre. Toutes ces succulentes suggestions sont minutieusement préparées avec des produits de saison. Le chef puise sa source d'inspiration sur les étals des marchés d'Aix et travaille avec beaucoup de producteurs locaux. Une manière de rendre hommage à la richesse des produits du terroir. Au cours de ses innombrables périples aux quatre coins du monde, il a aussi rapporté des trésors qui viennent ajouter une note d'innovation à sa cuisine. Entre originalité, raffinement et générosité A l'Esprit de la Violette, il existe plusieurs manières originales de déguster votre repas. Investissez, pour un délicieux moment entre amis, l'impressionnante cathédrale des vins. Il s'agit d'une salle spécifique dédiée aux vins où de nombreuses bouteilles sont agencées façon " cathédrale ". A découvrir également, le carré VIP, un espace intimiste directement installé dans la cuisine qui est propice aux dégustations en tout genre. Vous y verrez le chef et sa brigade à pied d'œuvre. Une découverte et une expérience sous le signe du partage que vous n'oublierez pas de sitôt. Car pour Marc de Passorio, transmettre sa passion est essentiel. D'ailleurs, il organise aussi des cours de cuisine accueillant débutants ou amateurs éclairés. Décidément, ce chef dynamique est présent partout, même là où on l'attend le moins. En 2015, l'Esprit de la Violette accueille un événement pas comme les autres où gastronomie et haute couture forment un heureux mariage. A cette occasion, la maison de couture Sandrine Godin a présenté sa collection tandis qu'en cuisine, le chef a concocté un dîner digne de ce nom associant modernité, tradition, excellence et élégance. Mais ce n'est pas tout ! Il lui arrive aussi d'organiser des soirées littéraires avec des écrivains incluant bien sûr, un menu qui surpasse aisément toutes les exigences. ...
La méthanisation est une technique innovante de production d’énergie renouvelable ayant recours à la décomposition de la biomasse en milieu anaérobie (absence de dioxygène) pour former du gaz. En France, cette filière est en à ses balbutiements avec seulement 700 unités de méthanisation réparties sur l’ensemble du territoire. La situation est en train d’évoluer favorablement notamment depuis la mise en place par l'État du Plan Énergie Autonomie Azote (EMAA) en 2013 et l’appel à projets lancé par le Ministère de l’Environnement en 2014 pour la promotion de la méthanisation dans les régions rurales. Ces incitations des pouvoirs publics ont poussé la Communauté d’Agglomération Maubeuge-Val de Sambre (CAMVS) à réaliser une étude d’opportunités sur le potentiel du territoire dans le développement d’une unité de méthanisation. Suite à une réunion d’informations en 2016 conviant les acteurs du secteur agricole, 17 agriculteurs se sont finalement portés volontaires en 2017 pour créer la Société par Actions Simplifiées Sambre Agriculture Méthanisation Environnement » (SAS SAME) qui portera le projet. Une initiative portée par la SAS SAME et la CAMVS L’installation d’une unité de méthanisation peut être à l’initiative d’un groupement d’agriculteurs, d’une collectivité territoriale, d’un collectif de citoyens ou de stations d’épuration des eaux usées. Pour le cas de la CAMVS, le projet est issu d’un partenariat entre un collectif d’agriculteurs et la collectivité elle-même. Il a abouti à la création de la SAME qui compte au total 18 associés dont 17 agriculteurs et l’agglomération. « C’est la première fois en France qu’une agglomération collabore en tant qu’actionnaire d’une association d’agriculteurs. Nous sommes tous égaux en capital et en voix », fait savoir Luc Dessars, agriculteur et également président de la SAS SAME. D'autres situations inédites ont ponctué la phase de lancement de cette unité de méthanisation. « Nous avons eu la chance d’avoir pleinement reçu le soutien de l’agglomération et des citoyens. Nous n'avons fait l'objet d'aucun rejet ». En effet, établir une telle installation sur un territoire suscite logiquement des interrogations du point de vue sanitaire et environnemental, sur les éventuelles émissions de nuisances sonores et olfactives sans compter l’impact sur le paysage et le trafic routier. La SAS SAME n’a pas rencontré de réelles difficultés sur ces sujets. « Nous n’avons pas eu de contestation car tout a été bien expliqué et mis en place », rassure notre interlocuteur. De quoi permettre au groupement de démarrer cet immense chantier sur les chapeaux de roues. Les travaux ont commencé en juin 2021 et dureront entre 12 à 14 mois selon les prévisions. Un investissement d’avenir pour l’environnement et l’économie Le projet d’unité de méthanisation est issu d’une longue co-construction avec l’agglomération, les agriculteurs, la ville de Feignies, la Région Hauts de France, les associations de protection de l’environnement ainsi que l’État par l’intermédiaire de la Chambre d’Agriculture. Il a pu être concrétisé grâce à des financements extérieurs d’un montant total de 12 millions d’euros. L’agglomération quant à elle a pris en charge les frais d’étude et de faisabilité. L’usine est implantée à Feignies sur la zone de La Marlière, au sud de l’axe routier RD 649. « Notre localisation géographique est avantageuse car nous n’avons quasiment pas de voisinage, ce qui a contribué à l’acceptabilité de cette initiative », explique le président de la SAS SAME. L’objectif de l’unité est de produire une quantité d’énergie équivalente à la consommation annuelle de gaz de 1200 foyers pour la production d’eau chaude et de chauffage. Son principe consiste à fabriquer du biogaz à partir d’une fermentation anaéro...
Implantée en région Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2013, cette Fondation scientifique est le résultat d’un partenariat public-privé qui associe des institutionnels, des établissements scientifiques et des entreprises qui font de la protection de la santé et de l’environnement une priorité.« Pour atteindre son objectif, la Fondation travaille au développement de connaissances scientifiques innovantes ainsi qu’à la valorisation de ces connaissances auprès du plus grand nombre »,précise Wilfried Sanchez. Tout au long de l’année, la Fondation organise différents évènements tels qu’un Forum, des colloques scientifiques, des séminaires thématiques rassemblant académiques et industriels, des réunions internationales de prospectives mais aussi des conférences grand public et des expositions. Le Forum Santé, Environnement & Molécules : générateur de solutions basées sur la science Le Forum Santé, Environnement & Molécules, SEM, de la Fondation Rovaltain est un espace privilégié d’échanges et de rencontres entre les acteurs de la sphère académique, les entreprises et les autres parties prenantes. Organisé autour de tables rondes, le SEM a pour objectif de croiser regards et expériences afin de partager les enjeux, d’identifier les verrous et de co-construire des solutions aux problématiques de notre société en matière de protection de la santé et de l’environnement. Il est également l’occasion d’évènements satellites tels que des ateliers thématiques afin d’approfondir certains sujets et un espace d’exposition afin de présenter les solutions et technologies disponibles. L’édition 2016 avait rassemblé plus de 130 participants dont une vingtaine d’entreprises afin de réfléchir sur des sujets tels que les polluants émergents et plus particulièrement les résidus de médicaments, la disparition des abeilles et l’économie verte. L’édition 2018 qui se déroulera du 11 au 13 octobre, offrira en plus des journées professionnelles, une journée grand public afin de permettre au plus grand nombre d’appréhender les travaux réalisés par les scientifiques sur ces sujets de plus en plus médiatiques. Pour ce faire, projections, expositions et ateliers seront organisés. Outre cet évènement, la Fondation dispose d’autres outils de co-construction de solutions basées sur la science. C’est le cas de la Ruche des Sciences, séminaire international et pluridisciplinaire de prospective. La Ruche des Sciences permet de rassembler, sur une courte période, une vingtaine d’experts scientifiques travaillant sur une thématique commune mais dans des disciplines différentes. Cet exercice permet de faire émerger des pistes d’actions mais aussi des besoins de recherches innovantes qui s’inscrivent dans une démarche « comprendre pour agir ». Après une première expérience sur la problématique de la disparition des pollinisateurs, la Fondation Rovaltain reste à l’écoute de sujets d’intérêt pour les entreprises et les pouvoirs publics. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé, créée en collaboration avec le monde socio-professionnel, s’appuie sur une pédagogie innovante et active, et répond parfaitement aux besoins actuels et émergents du marché en matière d’employabilité. Une pédagogie professionnalisante, gage d’employabilité La formation d’ingénieurs en génie biologique et santé se distingue par son approche multidisciplinaire, transversale et professionnalisante. Les candidats peuvent rejoindre la spécialité génie biologique et santé après 2 années de classe préparatoire intégrée en biologie, accessible via le concours national GeiPi Polytech, ou après un bac+2 via le concours interne de l’école. Il est également possible d’intégrer la deuxième année du cycle préparatoire intégré après une première année commune aux études de santé validée (Paces ou équivalent) via le dispositif Pass’Med. « Dans les secteurs de santé, les étudiants vont intervenir non pas dans les soins, mais plutôt dans la partie organisationnelle, gestion des risques et management de la qualité. Il existe un lien très étroit et très intéressant entre la démarche qualité-gestion des risques dans les industries de santé (agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique..) et celle des structures sanitaires et médico-sociales », explique Nathalie Faisant, chargée de communication. « Les étudiants ont cette double compétence de pouvoir passer d’un secteur à l’autre », poursuit-elle. Cette approche est innovante car, « sur l’université d’Angers et globalement au niveau nationnal, il n’existait pas de formation d’ingénieurs dans cette spécialité », continue Jean-Michel Oger, directeur du département Issba. Tout l’intérêt de cette formation repose aussi sur la méthodologie novatrice adoptée. « Les étudiants sont amenés à réfléchir autour d’une problématique plutôt que d’acquérir des connaissances pures », souligne Alphonse Calenda, responsable de la formation continue et directeur adjoint de l’Istia. Par ailleurs, des stages de longue durée, s’étendant au total sur 15 mois, permettent la mise en œuvre des différentes compétences professionnelles. Tout au long de son cursus, l’apprenant travaille sur son projet personnel et professionnel dans le cadre d’un accompagnement spécifique par des « coachs » professionnels. Ceux-ci vont l’accompagner de manière à pouvoir identifier non seulement un secteur d’activité mais aussi une fonction dans l’entreprise ou un métier sur lequel il va davantage vouloir se diriger après l’obtention de son diplôme. À l’issue de la 4e année et après un premier module de pré-approfondissement, l’étudiant peut choisir en connaissance de cause la voie qu’il veut suivre durant sa 5e année. Trois voies sont proposées : Ingénierie innovante des produits de santé, Management des processus complexes en santé et Gestion des risques des secteurs de santé. A terme, l’ingénieur pourra occuper différentes fonctions dans le management de structures et de projet, dans la qualité, dans la gestion des flux, dans la gestion des risques, dans l’innovation et la conception. Des formations continues pour les professionnels en activité Les secteurs de la santé et du sanitaire et médico-social font actuellement face à une rationalisation organisationnelle modifiant considérablement la gestion de leurs ressources. Les ingénieurs sortant de la spécialité génie biologique et santé sont progressivement préparés à ces profondes mutations. De leur côté, les salariés en activité ou en reconversion doivent s’adapter pour pouvoir anticiper ces évolutions et poursuivre leur action, en mettant à jour leurs connaissances et en complétant leurs compétences. « La formation continue proposée par l’école représente alors pour eux une r&...
L’appellation de Chevaliers d’Argouges a été adoptée en référence aux locataires du château de Gratot. C’est dans cette commune de la Manche que l’enseigne a fait ses premiers pas en 1991. Relogée à Moyon, cette entreprise familiale garde, aujourd’hui encore, le concept d’un chocolat fabriqué par de vrais artisans. Du chocolat essentiellement normand, traditionnellement gourmand De la sélection des matières premières jusqu’aux ballotins et tablettes, les Chevaliers d’Argouges nourrissent une jalousie non dissimulée pour les traditions de leur art. Ici, ganaches et pralinés – toujours fabriqués à la main – continuent d’être couchés sur tables en marbre et découpés à la guitare. Déployant toute l’inventivité de la Normandie, la marque distille des recettes variées s’adressant à toutes les gammes de préférence. Les essences des précieuses fèves de la Guinée, du Venezuela, de l’Équateur et d’ailleurs s’emmêlent gaiement à des notes d’orange, d’amande ou de raisin pour submerger les papilles de notes exquises. Finesse et légèreté sont au rendez-vous dans les illustres tuiles au chocolat. Éclats de caramel, de noisettes hachées-grillées ou d’orange, toutes les fantaisies sont permises avec ces doux péchés parmi les plus appréciés de la maison. Aux grandes occasions, place aux découvertes singulières dont l’enseigne a le secret. À l’instar des ganaches pâtissières mises à l’honneur en 2017. En une seule bouchée, gourmands et gourmets partent pour un voyage combiné entre le fondant des brownies, des tiramisus et des cheese-cakes et l’opulence de la classique ganache. ...
Implanté à Sainte-Gemmes-sur-Loire depuis plus de 160 ans, le Centre de Santé Mentale Angevin (CESAME), centre hospitalier spécialisé en psychiatrie générale et en psychiatrie infanto-juvénile, prend en charge la population du département du Maine-et-Loire à l’exception des arrondissements de Cholet et de Saumur. Des soins dispensés dans un souci de proximité Les services du CESAME sont regroupés en 7 secteurs adultes et 2 intersecteurs infanto-juvéniles, d’après un découpage territorial. Chaque secteur dispose de l’ensemble des structures permettant de dispenser des soins au plus près de la population : des Centres Médico-Psychologiques (CMP), des Centres de jour, des Centres d’Accueil Thérapeutiques à Temps Partiel (CATTP), des appartements thérapeutiques. Ces lieux d’accueil et de soins sont implantés dans de nombreux lieux du département et de la ville d’Angers. À ce réseau extra-hospitalier de proximité s’ajoutent des lits d’hospitalisation complète sur le site du CESAME, si la situation de la personne en souffrance le justifie. Un établissement tourné vers l’innovation Les missions dévolues au CESAME sont variées et recouvrent aussi bien les actions de prévention, de diagnostic, de soins que celles de réadaptation et de réinsertion sociale. Le nouveau centre de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Roger Mises, localisé au nord du CHU d’Angers, au cœur de la cité, regroupe les activités ambulatoires, les lits d’hospitalisation pour tout le département ainsi que le nouveau CATTP « pour et autour du bébé ». Le service de Soins Intensifs Psychiatriques à Domicile (SIPAD) offre de nouvelles modalités de prise en charge en lien avec les secteurs, afin de permettre à des patients de bénéficier de soins intensifs tout en restant dans leur environnement familial et social. L’Unité de Réadaptation Psychosociale est une structure d’hospitalisation complète qui vise à préparer la sortie de patients dont l’état nécessite un accompagnement plus structuré à la réappropriation des compétences sociales. Le CESAME dispose également d’une Unité Psychiatrique d’Accueil et d’Orientation, qui est avant tout une unité d’accueil pour des personnes traversant une crise psychiatrique, où une équipe soignante et médicale prend en charge les patients et leurs familles. L’évaluation psychiatrique réalisée vise à proposer l’orientation la plus adaptée aux besoins du patient. L’établissement s’inscrit dans une dynamique de développement de son activité autour des alternatives à l’hospitalisation, afin d’élargir la palette d’offres de soins pour répondre de la manière la plus adaptée aux besoins individualisés des patients. Des partenariats variés Le CESAME est au cœur d’un maillage territorial étoffé et travaille en partenariat étroit avec de nombreux établissements sanitaires et médico-sociaux sur les territoires couverts par ses secteurs. Le CESAME a signé plus d’une centaine de conventions de coopération : des médecins, infirmiers et psychologues se déplacent chaque jour dans des établissements partenaires (maisons de retraite, établissements pour adultes handicapés, etc.) pour y apporter un soutien quand un avis psychiatrique est nécessaire. Élaboration d’un nouveau projet d’établissement Le CESAME élabore cette année son projet d’établissement 2016-2020 et vient de valider le projet médical. Tout en se situant dans la continuité des précédents, le projet médical renforce l’offre de soins ambulatoires et d’expertise avec l’ambition, entre autres, de fluidifier les parcours de soins des patients, de s’inscrire dans un cercle plus large de partenaires et de participer à construire une réelle dynamique territoriale. ...
Nous sommes en 1982. Issu de la lignée des premiers vignerons de la famille Rollin, attachés à leur terre et produisant du vin pour les plus grandes maisons de champagne, Monsieur Rollin décide de créer sa propre marque en produisant des cuvées typiques du terroir au sol argilo-calcaire de la vallée de la Sarce. Sa fille, Sandrine Braux et son mari Eric Braux, ont repris le flambeau en 2010, et perpétuent cet héritage en mêlant tradition et modernité. Des cuvées purement traditionnelles D’emblée, nous nous retrouvons dans un vignoble de six hectares sur lequel sont cultivés les deux principaux cépages champenois, avec la prédominance du pinot noir. Une fois les vendanges manuelles effectuées, ces cépages subissent une transformation suivant un procédé de vinification artisanale. La maison tient à préserver les traditions, tout en accélérant le processus de modernisation. S’ensuit alors la production de 8 cuvées différentes de qualité aux goûts relevés rappelant la diversité des saveurs du terroir champenois. Du champagne de qualité en préservant l’environnement Parmi les cuvées d’exception de la gamme Rollin, la cuvée Grande Réserve sort du lot. Il s’agit d’un champagne élégant et mature à souhait, ponctué de notes trés fruitées. Pour un apéritif, optez pour l’Or Noir, un 100 % pinot noir équilibré et doté d’une finesse aromatique sans égal. Ce champagne de qualité est élaboré suivant des procédés respectueux de l’environnement, ce qui a valu à la maison Rollin l’octroi du label national de viticulture durable « Terra Vitis » en 2012. ...
OPUS MI développe un concept de l’événementiel ayant pour ancrage la culture et le patrimoine. L’approche joue la carte du privilège en alignant les valeurs des entreprises clientes à des actualités culturelles à fort potentiel, ou à des lieux chargés d’histoire. Entre accès privés à des monuments et transformation du QG de la firme en galerie d’art éphémère, l’agence n’est pas à court d’inspirations pour booster l’image interne et le rayonnement ses clients dans le respect de leurs singularités et de leurs valeurs. Des écrins valorisants pour des événements d'exception et attractifs « Votre image d’entreprise est un objet précieux, traitez-la en conséquence. » C’est un peu dans cette perspective qu’OPUS MI met son savoir-faire au service de ses clients. Les prestations de l’agence parisienne repose sur un principe : offrir aux événements de chaque firme des cadres d’exception, à travers des programmes et des mises en scènes authentiques. Frédéric Le Compagnon, le fondateur, parle tout simplement d’ « écrins valorisants » pour évoquer les lieux que son agence ouvre aux événements que pilote celle-ci, afin d’en garantir le rayonnement. Dans la même foulée, l’apport de la maison rend ces programmations plus authentiques, plus à même d’attirer les participants qui sont souvent très sollicités. Les cadres-écrins en question varient, selon le cas, entre des monuments et d’autres lieux patrimoniaux, notamment à Paris, dont OPUS MI organisent l’accès privilégié et la visite exclusive. Exclusive en termes d’horaires : les groupes investissent les lieux en dehors du créneau normal d’ouverture au public. Exclusive en termes de contenu et d’expérience : des accompagnements personnalisés par d'excellents conférenciers qui offrent une expérience VIP aux participants. Des moments de convivialités autour d’une coupe de champagne, d’un petit déjeuner ou d’un cocktail peuvent agrémenter ces instants d’exception. Communiquer intramuros autour de l’art L’événementiel en entreprise constitue un autre créneau où OPUS MI intervient avec une offre des plus singulières. Le temps d’un événement, l’agence transforme les antres de la firme cliente en une galerie d’exposition éphémère. Elle apporte dans les murs de l’entreprise un événement qui fait l’actualité, à travers un choix d’œuvres sélectionnées selon un parcours qui fait du sens par rapport à son axe de communication. Les œuvres photographiques accrochées apportent également un autre cachet à la décoration. De quoi hautement impressionner les partenaires qui viennent visiter. D’autant qu’un conférencier qui a travaillé sur l’exposition peut intervenir dans les locaux du client. En notant que l’élaboration de cette exposition respecte entièrement la communication de l’entreprise: ses valeurs ou les réflexions qu’elle porte voire son cœur de métier. ...
Le trafic de la grande voie navigable a fait la richesse de la petite commune de Serrières. Le port était devenu le repère des mariniers qui s’y arrêtaient fréquemment durant leurs voyages d’exploration fluviaux. Ces mariniers ont laissé dans leur sillage des traces de leur passage, qu’il est aujourd’hui possible de découvrir au sein de l’église Saint-Sornin, abritant le célèbre musée des Mariniers du Rhône. On dit que les lieux sont toujours habités par l’âme de ces vieux loups de mer. Tous les trésors liés à la batellerie du fleuve du Rhône, à l’instar des fameuses croix, y sont précieusement entreposés. Serrières est également jonché de vieux quartiers dans lesquels se trouve un superbe patrimoine bâti. Le soir, au soleil couchant, une balade sur le quai invite à vous délecter de la sérénité des lieux. Après avoir sillonné les rues de la ville, une pause gourmande s’impose. Au 65, quai Jules Roche, Le Bateau d’Émile s’est amarré près du fleuve pour vous faire découvrir son délicieux univers. Un refuge qui plait aux gourmands et aux gourmets Le Bateau d’Émile, ce nom vous est familier et c’est tout à fait normal. Il fait référence à ce vieux film sorti dans les années 1960, dans lequel Lino Ventura incarne Émile, un marin-pêcheur qui hérite d’un gros pactole malgré lui. À ses côtés : Annie Girardot, dans le rôle de Fernande Malanpin. Ce long métrage a inspiré le premier propriétaire des lieux, qui a créé le restaurant en 1988. Vingt-six ans plus tard, Stéphanie et Benoît Durieux reprennent l’établissement au charme certain, localisé sur la N86, en face du Rhône, au pied du chemin qui monte jusqu’aux hauteurs d’Annonay. Ce choix ne s’est pas fait au hasard, puisque c’est ici que notre chef a fait son apprentissage il y a une quinzaine d’années. Afin de faire perdurer ses vieux souvenirs, il choisit de garder l’identité des lieux et le thème du restaurant, mais en y proposant une cuisine d’inspiration. Celle-ci témoigne de sa longue et riche expérience dans le milieu culinaire. Benoît Durieux bénéficie en effet du titre tant convoité de maitre restaurateur. Cela implique de proposer une cuisine faite maison, réalisée à partir de composants bruts et généralement issus des circuits courts. D’ailleurs, le chef exprime une exigence pointue quant à la fraîcheur et à la qualité des produits qu’il trouve auprès de fournisseurs locaux. Cette rigueur lui permet de réaliser des plats délicieux, revisitant la cuisine classique française avec une touche d’originalité et de créativité. Ambiance bistro L’ambiance qui règne à bord du bateau est conviviale et chaleureuse. Vous pouvez vous installer à la terrasse durant les beaux jours. Sise en contrebas de la route, elle est ornée d’une belle verdure offrant un coin ombragé. À l’intérieur, la salle en longueur, avec son grand bar et ses banquettes confortables, dénote un décor bistro. Le joyeux bateau compte plusieurs abonnés, qui y apprécient l’ambiance décontractée, bien qu’il accueille aussi énormément de touristes de passage. ...
Idéalement situé sur le village de Cascastel et de Corbières, au centre du triangle Narbonne-Perpignan-Carcassonne (Hautes Corbières, dans l’Aude), le Domaine Grand Guilhem travaille les AOC Corbières, Rivesaltes et Muscat de Rivesaltes et produit aussi des Vins de France. Les vignobles répartis sur 18 parcelles sont plantés de 8 cépages, dont le macabeo, un cépage blanc d’origine espagnole. Le respect de la Terre au cœur de ses actions Le Domaine Grand Guilhem a commencé sa reconversion en agriculture biologique en 1997. Mais c’est en 2011 qu’il adopte un virage à 360° en fabriquant des vins naturels « faits exclusivement avec des raisins sans ajout de levures, de sulfites ni autres intrants », explique Gilles Contrepois, maitre des lieux. « À l’époque, ce n’était pas dans l’air du temps. Mais je ne me voyais absolument pas mettre des produits chimiques dans la vigne, dans mes vins et pour les consommateurs ». Attestant de son engagement, le Domaine Grand Guilhem est officiellement certifié Ecocert en 2004 et fait partie de l’Association des vins naturels. Aujourd’hui, il fabrique huit gammes de vins incluant les trois couleurs. Une particularité de la maison est la production de vin orange, un vin blanc vinifié comme du vin rouge, avec une structure tanique, beaucoup de caractère et une expression aromatique large et variée. Étant un vin très digeste, il n’a nul besoin de se cantonner à des produits particuliers puisqu’il se marie avec tous les plats. ...
Les champagnes Dérouillat, c’est à la fois une histoire de cœur et une histoire de terre. Tout commence d’une aventure de deux hommes : Georges Dérouillat et William Franquet. Chacun de leur côté, ils décident de replanter d’anciens vergers, l’un sur la côte des Blancs et l’autre tout autour de Monthelon. Une épopée qui continue à la suite de l’union de leurs enfants Jean Dérouillat et Régine Franquet. Depuis, quatre générations se sont succédées au sein de la maison Dérouillat. Des terroirs variés Fondée en 1929, cette maison travaille actuellement sur un vignoble d’environ 6 ha. Elle réunit les trois cépages champenois plantés sur différents terroirs, à savoir la côte des Blancs, les coteaux sud d’Épernay et le sud de l’Aisne. « C’est cette diversité qui caractérise nos assemblages », souligne Fanny Dérouillat. Récoltant-manipulant, le domaine familial gère tout : de la vigne à la cave. Privilégiant une viticulture saine et durable, il opte pour des techniques culturales respectueuses de l’environnement. Les engrais chimiques ont été remplacés depuis des années par de la fumure et des algues compostées. Il faut dire que la petite famille est particulièrement soucieuse de sa terre. Aucun désherbant n’est toléré, car cela impacte sur la stabilité du sol. Côté vinification, la maison Dérouillat allie volontiers tradition du métier et modernité des techniques. Ainsi, les raisins sont pressés à l’aide de cages en bois puis élevés dans des cuves en inox. Deux gammes pour sept champagnes En tout, sept élégantes cuvées réparties entre deux gammes sont élaborées : créations privilèges et trésors confidentiels. Chaque cuvée reflète idéalement la qualité et les spécificités du terroir. Parmi les spécialités proposées, la cuvée George William-Secret de famille est sans doute la plus représentative mais aussi la plus intrigante de toutes. Comme un clin d’œil aux fondateurs de la maison, ce champagne fruité et racé garde jalousement le secret de son élaboration. ...
Un voyage dans l’Histoire de la Bretagne : voilà ce que vous propose le musée de la Carte postale, récemment installé au sein du Quatro, nouveau centre culturel de la ville de Baud, dans le Morbihan. Une visite qui vaut le détour, ne serait-ce que pour découvrir une collection de plusieurs milliers de cartes postales qui replonge le visiteur dans l’ambiance de la région à la fin du XIXe et tout au long du XXe siècle. Musée de la Carte postale de Baud : entre passé et présent Sur 240 m2 d’exposition, le curieux pourra y admirer les images figées des paysages, des villes et villages mais aussi se pencher sur les correspondances échangées par nos aïeux avec ces petites écritures serrées… La nouvelle scénographie du « Carton voyageur », contemporaine et interactive, mêle à la fois photographies anciennes et diaporamas, films d’époque et dessins, objets et musique, tout en explorant les multiples facettes du quotidien des Bretons au siècle dernier. Le parcours permanent, baptisé « Bretagne recto-verso », propose un va-et-vient entre passé et présent et souligne une culture bretonne créative et vivante. Il se prolonge par une exposition temporaire consacrée en 2016 aux carnets de croquis de l’artiste peintre Charles Homualk. Que l’on soit seul ou en famille, plusieurs parcours de visite sont proposés pour suivre un thème particulier ou picorer selon ses envies. À ne surtout pas manquer : la 3D des années 1900 et le studio photo. ...
La noblesse d’un lieu Pour faire un produit de qualité incomparable, il faut un lieu magistral. La riche et mouvementée histoire du domaine remonte très loin dans les racines du Moyen Âge et retrace à elle seule un petit pan de l’histoire de la région et de celle du reste de la France. Le bâtiment qui trône fièrement aujourd’hui date de 1772 et est le cinquième château élevé au même endroit. Pensée par Victor Louis, à qui l’on doit entre autres les chefs-d’œuvre architecturaux du Palais-Royal de Paris et du Grand Théâtre de Bordeaux, la bâtisse est un pur joyau du XVIIIe siècle. Ancienne propriété du fameux duc d’Épernon, la maison fut passée au marquis de Montazet pour plus tard être achetée par les Dampierre, actuels propriétaires. De prestigieuses personnalités qui ont marqué leur époque se sont succédé dans les chambres du château au fil des siècles, mais depuis plus de 200 ans, ce sont toujours les mêmes recettes qui, jalousement gardées par la famille Dampierre, servent à confectionner un des cognacs les plus appréciés par les amateurs d’eau-de-vie. Un produit rare et apprécié Dans la propriété, on trouve comme cépages réservés aux cognacs de l’ugni blanc, de la folle-blanche et du colombard, un vieux cépage de la région généreux en fruit. Ils expriment chacun dans leur subtilité le meilleur du terroir calcaire de ce coin de campagne française et de son climat océanique particulier. La plus belle « signature » de la maison, le cognac XO, est la fierté de la famille Dampierre et fait preuve de toute l’attention nécessaire à la création de ce produit d’exception. Les professionnels du secteur ont reconnu en 2015 le savoir-faire du château concentré dans cette eau-de-vie en lui attribuant cinq médailles d’or dans différents concours internationaux dont la très convoitée première place du concours général agricole de Paris. Sa robe est ambrée, soutenue et avance une belle brillance limpide. Au nez, on trouve d’élégantes traces de vanille et de caramel alors qu’au palais c’est une attaque franche et chaleureuse qui nous interpelle avant de laisser place à une bouche tonique. La dégustation du nectar s’accompagne parfaitement avec un tartare de thon ou plus simplement avec une cuillère de caviar. La carafe est elle-même une petite œuvre d’art. Élégante et fine, elle est dans une livrée splendide et ne démérite pas aux côtés de son contenu. Découvrir le berceau d’un savoir-faire Cet endroit subtil et riche d’histoire est ouvert aux visites du public. Le château est un bâtiment classé au patrimoine historique depuis trois cents ans et plusieurs excursions accompagnées permettent de se rendre au plus proche de l’âme du site ; son chai datant du XVIIe siècle et sa cave en pierres taillées si particulière où est encore distillé, dans l’alambic traditionnel, le précieux nectar. Le produit va ensuite délicatement vieillir pendant quinze ou vingt ans dans des fûts de chêne frappés aux armes de la famille avant d’être mis en carafe en éditions très limitées. Les visites, payantes, incluent une balade au cœur des installations viticoles et une dégustation en fin de parcours. ...
Les amateurs de musique ancienne ne vont pas manquer de cocher les dates dans leur agenda. Pour la trente-quatrième année, Les Riches Heures Musicales de la Rotonde sont au programme de l’été. L’occasion d’écouter de la musique ancienne, instrumentale et vocale, dans un cadre exceptionnel et avec l’acoustique si particulière de la Rotonde, le donjon du château. En trois décennies, l’événement estival de Simiane est devenu l’une des références pour les aficionados de musique d’antan. Edition 2016 au Château de Simiane-la-Rotonde Pour cette édition 2016, du 2 au 14 août, le festival a choisi le thème « Musiques pour les rois », rappelant le mécénat qu’ont pratiqué au fil des siècles les souverains européens dans les domaines de la culture, de l’architecture, de la littérature ou de la musique. Ainsi, Simiane proposera un voyage musical dans les cours européennes les plus brillantes du XIIIème au XVIIIème siècle, depuis Londres jusqu’à Amboise et Chambord pour François Ier et Versailles pour Louis XIV en passant par le Royaume de Naples et l’Espagne. Immanquable ! ...
2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...
Au sud-ouest d’Épernay, les Coteaux du Sézannais et du Petit-Morin sont les portes d’entrée de la Champagne. A 1 heure de Paris, vous aurez accès à la richesse d’un magnifique terroir alliant plaisir des yeux et des papilles. Au cœur de la Champagne Les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin produisent d'excellents vins de champagne grâce aux 300 vignerons exploitant les 2300 hectares plantés de vignes. Chardonnay, Pinot meunier et Pinot noir s’y côtoient sur les terres crayeuses, donnant d'agréables champagnes sur la minéralité et aux notes d'agrumes. Chaque viticulteur sera heureux de vous accueillir sur son exploitation pour vous faire déguster ce précieux nectar, célèbre dans le monde entier. Vous pourrez également savourer ces champagnes à l’occasion d’un repas au « Relais Champenois » à Sézanne, où les spécialités champenoises et les produits locaux sont mis à l'honneur, comme les escargots, les lentillons de champagne ou encore le fameux biscuit rose champenois. Côté Histoire... Les amateurs d’histoire seront ravis de parcourir cette région où le destin de notre pays s’y est joué à deux reprises. Ils pourront découvrir la colonne commémorative de Champaubert, célébrant la victoire napoléonienne de 1814 lors de la campagne de France, ou se rendre à Montdement-Montgivroux pour se souvenir de la bataille de la Marne de 1914 et découvrir son magnifique Monument de la Victoire. Mais la région offre aussi un merveilleux patrimoine architectural. Ainsi lors de votre venue, vous pourrez, entre bien d'autres choses, séjourner au château d’Étoges, cet ancien relais du Roi de France parfaitement restauré, au cœur d’un parc de 20 hectares ; vous balader dans les ruelles pavées de Sézanne, cette jolie cité médiévale fortifiée, classée petite cité de caractère ; visiter Notre-Dame du Reclus à Talus-Saint-Prix, cette abbaye cistercienne posée dans un cadre de verdure ; contempler les vitraux contemporains de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul à Villenauxe-la-Grande ou encore le splendide château de Montmirail. …. et Côté nature Si vous aimez les espaces naturels, vous pourrez admirer les nombreux animaux sauvages (faisans, canards sauvages, perdrix, chevreuils et sangliers) qui vivent dans les marais de Saint-Gond, véritable musée à ciel ouvert. Vous pourrez aussi vous ressourcer au cœur de la forêt de la Traconne, ancien domaine de chasse royal, massif forestier de plusieurs milliers d’hectares où des panneaux explicatifs vous permettront de différencier les différentes espèces d’arbres. En un mot, les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin offrent tous les ingrédients pour un week-end plein de charme et de plaisir. A consommer sans modération ! ...
Une ville qui change de visage Au cœur de la vieille ville bretonne, utilisant le bâti historique du Couvent des Jacobins dont il emprunte le nom, le nouveau Centre des Congrès de Rennes vient parachever toute une série d’investissements de la ville afin de se placer dans l’élite des destinations d’affaires françaises. Notamment en termes de mobilité, la ville est reliée au réseau de lignes à grande vitesse pour lui permettre d’être connectée, bien entendu à Paris en moins d’une heure trente, mais aussi au reste des grandes métropoles françaises en un très peu de temps. Les déplacements sur rails vont se prolonger au sein de la ville avec la création récente d’une seconde ligne de métro qui fait le lien entre la gare LGV et le Couvent des Jacobins. Signe de l’importance accordé par la ville à la création du Centre des Congrès, les deux lignes métropolitaines de la ville ont été pensées pour se croiser en deux points ; à la gare, et place Sainte-Anne devant le Centre des Congrès. Ces séries d’investissements et bien d’autres, dont la refonte totale récemment de la gare elle-même, concourent au positionnement de la ville et de son rayonnement dans un secteur fortement concurrentiel. Un outil pour demain Plusieurs dimensions façonnent les singularités et les particularités de ce projet. Déjà l’accolement du Centre au Couvent des Jacobins, lieu emblématique de la ville pour la diffusion et le partage des connaissances dès le Moyen Âge, qui crée une légitimité et une filiation entre deux époques distantes. Ensuite la situation même du Centre, au cœur historique de la capitale bretonne, avec toutes les commodités que cela suppose en termes de restaurations, logements, bars et hôtels pour les participants. On est très loin de l’image des autres Centres des Congrès plus classiques, souvent excentrés, obligeant à multiplier les transports afin de s’y rendre ou pour continuer un meeting dans un bon restaurant. Ici, tout est accessible à pied, entre deux rendez-vous, on trouve le temps de profiter de l’ambiance toute particulière de Rennes et de ses quartiers historiques. À cela, il faut ajouter qu' « Étant un Centre des Congrès nouveau, il profite des choix technologiques les plus récents. On garantit à nos clients organisateurs d’événements, et à leurs clients congressistes, une très grande capacité de communication entre les pièces, par exemple la liaison en full duplex entre toutes les salles sans branchement supplémentaire. C’est un centre extrêmement moderne par les technologies qu’il embarque avec lui », explique J.F Kerroc’h, directeur général de Destination Rennes. Un engagement total de tous les acteurs d’un territoire Ce centre n’arrive pas d’un seul coup dans un paysage vierge, mais accompagne une réflexion de tous les acteurs de la chaîne de l’accueil du territoire. « Nous avons constitué un conseil des acteurs du tourisme et des rencontres professionnelles qui assoit ses activités dans l’ambition d’accueil du territoire. De ces réflexions menées collectivement, on a retiré une proposition, pour les organisateurs, composés de 35 engagements. Un de ces engagements est de garantir, jusqu’à trois ans avant la tenue d’un événement, les chambres qui y sont associées. C’est une garantie économique puisque l’on s’engage sur les prix. » Le démarrage de ce Centre des Congrès est un travail collectif de la chaîne tourisme, mais il mobilise aussi des acteurs académiques et économiques, afin de faire réussir le projet et le propulser dans une dimension supérieure. L’enjeu est d’offrir à ces acteurs un outil moderne afin de prendre des initiatives et de porter des candidatures dans leurs réseaux à l’accueil de congrès. « Tout le monde est solidaire de la qualité de la destination. On s’est efforcé de construire des systèmes d’alliances avant même la tenue du premier congrès. C’était une condition préalable », termine J.F Kerroc’h. ...
Aider le coaché à mobiliser des ressources sous-exploitées Contrairement à la formation ou encore au conseil, le coaching implique que le professionnel s’abstienne de proposer des réponses à son client pour l’aider à résoudre son problème ou à atteindre un objectif. Et pour cause, un bon coach ne doit en aucun cas se substituer à la personne qu’il accompagne. Comme le précise le fondateur d’Intelligence Coaching, « dans le cadre d’une prestation de coaching, je pars systématiquement du principe que c'est le coaché qui sait ce qu'il faut faire et non le coach. Mon rôle, c’est de tout mettre en œuvre pour que cette personne (re)devienne autonome. Qu’elle puise en elle-même les ressources dont elle croyait manquer et qu’elle les développe. Un coach n’est pas là pour conseiller, orienter ni même influencer son client mais pour faire en sorte que celui-ci trouve ses propres solutions ». À la question de savoir quelle serait la finalité du coaching, l'équipe d'Intelligence Coaching répond qu’il s’agit d’une démarche visant à « révéler chez quelqu’un des talents et des capacités. Que ceux-ci aient été oubliés, que le coaché les ait sous-exploités ou encore qu’ils aient fait leur apparition ». Un (bon) coach ne serait donc non ni plus ni moins qu’un révélateur. Et il agirait sur son client à la façon d’un produit contrastant, cette substance utilisée en imagerie médicale et qui, une fois administrée au patient, permet de visualiser une structure organique qu’en temps normal, on ne saurait distinguer des tissus voisins… Un coaching de qualité pour se démarquer dans un contexte très concurrentiel « Le coaching ne s’improvise pas. Il est essentiel de se former et d’adopter une posture professionnelle ». Pour marquer sa différence avec les autres coachs (« c’est devenu une véritable jungle où tout le monde s’auto-proclame coach »), l'équipe d'Intelligence Coaching a choisi de miser sur la qualité et l'excellence. « Nous nous positionnons sur une très haute qualité d’accompagnement. C’est un réel engagement que nous prenons envers nos clients, celui de les accompagner de la meilleure manière qui soit. Et de les amener à atteindre leurs objectifs. Pour un manager, cela pourra consister à surmonter les conflits qu’il pourrait éventuellement rencontrer ou à mieux encadrer ses équipes. Nos collaborateurs sont qualifiés au plus haut niveau de compétence. Nous nous appuyons sur une formation et une expérience solides. De plus, nous obéissons à des règles déontologiques strictes ». En effet, un coach compétent se doit d’être attentif aux techniques qu’il utilise. « Notre job, c’est de faire prendre conscience à nos clients de certaines choses qu’ils pourraient refuser de voir. De leur dire des vérités parfois "chocs" mais qui les feront avancer ». Toute nécessaire qu’elle soit, la bienveillance dont le coach doit faire preuve ne doit donc pas virer à la complaisance. Une autre spécificité d’Intelligence Coaching consiste à proposer un coaching spécialement adapté aux personnes qui préparent concours, examens et autres entretiens. Au menu de cette préparation spécifique, des techniques permettant de gérer son stress et de rester motivé(e) tout au long des révisions, des exercices de prise de parole en public, des mises en situation et des simulations. ...
Un vaste désert qui s’étend jusqu’à la mer, avec une population à la culture nomade très ancrée, la Mauritanie est loin de ressembler aux destinations touristiques classiques où l’on est habitué à «consommer» son séjour dans des hôtels étoilés. Cette destination invite à voyager autrement et implique de vivre pleinement son voyage. La Mauritanie ne manque pas d’attrait. Ici, le séjour peut être vécu, selon les envies, comme une simple découverte, une vraie aventure humaine ou un défi. Un voyagiste expert et engagé Si les férus de voyages sahariens ont dû oublier un certain temps cette destination pour des raisons de sécurité, la Mauritanie est de nouveau fréquentable et 2018 annonce son retour au-devant de la scène touristique. C’est ce qui a motivé Sylvain PHILIP, fondateur de l’agence Détours Mauritanie, à réactiver sa structure, née en 1994 d’une rencontre avec des natifs du pays désireux de faire connaitre la beauté de cette contrée singulière. Sylvain connait par cœur cette destination insolite, pour y avoir vécu pendant des années. Parfaitement conscient des atouts que peut offrir cette « terre des Hommes » comme se plait à la surnommer Antoine de Saint Exupéry, il veut offrir des voyages atypiques, ouvrant les portes d’un autre monde. L’équipe est composée de guides natifs de la région et sur certains voyages, d'un guide français impliqué au maximum pour assurer un séjour serein. Détours Mauritanie confectionne des voyages sur mesure. Que ce soit un road trip en groupe, un voyage contemplatif ou un voyage à thème, l’équipe relève le défi avec brio grâce à sa maitrise du terrain et sa force de proposition, forgée par des années d’expérience. Elle s’appuie également sur son réseau de partenaires fidèles. Adoptant une démarche engagée, Détours Mauritanie prône les valeurs éthiques du tourisme responsable. « Nous sommes attachés au respect des hommes et de l’environnement. Sans bruit, nous voulons laisser un impact positif sur la communauté locale », confie Sylvain. Une riche aventure humaine dans une destination à part Sylvain décrit la Mauritanie comme une terre de nomades. Le Sahara, s’étendant jusqu’à l’océan Atlantique, les voyageurs évoluent dans une succession de paysages. L’immensité invite à se laisser emporter par les horizons lointains. Ici, l’on réalise qu’avec pas grand-chose et dans la simplicité, le bonheur est possible. La Mauritanie s’apprécie notamment à travers des voyages itinérants. Randonnée pédestre acc o mpagnée de chameaux de bât, méharée avec chameaux sur selle ou bien voyage découverte en véhicule 4X4 sont autant de possibilités pour arpenter les grands espaces mauritaniens. Organisées en plusieurs étapes, elles réservent une riche aventure humaine dont l’initiation à la vie du désert, rencontres avec les nomades ou bivouac à la belle étoile. Pour se ressourcer, les randonnées sahariennes sont parfaites. Déconnecté du monde, le voyageur se retrouve avec lui-même à l’occasion d’un voyage introspectif. « Ici, l’on se débarrasse de tout superflu pour se confronter avec soi-même et se concentrer sur l’essentiel », explique Sylvain. Par ailleurs, les attractions ne manquent pas. La région de l'Adrar, le massif du Tagant, le Parc National du Banc d’Arguin sur la côte Atlantique, valent certainement le détour. Le pays d’Oulad Sassi invite les aventuriers. Autres incontournables, la ville historique de Chinguetti, la vieille cité caravanière de Wadâne, classées par l’Unesco, ou les fresques murales de Oualata. Les plus aguerris feront la Grande Traversée en randonnée entre Adrar et Tagant, sur les traces des nomades en pays des Ida'ou Ali. Les efforts sont vite récompensés par des haltes dans une oasis paradisiaque caché au fond d’un canyon. A défaut, un hébergement sous la khaïma ou bien dans des villages traditionnels où l’on peut s’immerger dans le ...
« Que du frais et des produits de qualité ». Le restaurant Seb’on s’appuie sur ce concept pour séduire sa clientèle. Et ça marche ! « Nos clients viennent pour notre travail artisanal identitaire mettant à l’honneur le fait maison avec tendance gastronomique », raconte Sébastien Héloin, maître des lieux. Ainsi, pour préparer une glace au praliné, il préfère concocter sa propre praline lui-même, en caramélisant et en torréfiant les noisettes. Le plaisir de chaque convive étant la priorité de l’établissement, il s’efforce de changer ses menus toutes les semaines, en fonction des saisons et de la disponibilité des produits. « Néanmoins, grâce à un partenariat avec les fournisseurs de Rungis, il arrive que des changements s’opèrent en cours de semaine », annonce le propriétaire. Les spécialités de la maison Malgré la diversité de sa carte, l’établissement propose toujours son plat-signature depuis son ouverture, le 28 juillet 2014, à savoir le foie gras au vin rouge. Préparé avec des épices de vin chaud, de la cannelle ou des clous de girofle, ce mets est à faire précéder d’une entrée à base de poisson ou de viande. Il est très apprécié des « franchouillards », mais aussi des touristes venus visiter Montmartre, qui l’appellent parfois le « foie gras parisien ». Pour découvrir tout le savoir-faire du chef, les noix de Saint-Jacques snackées agrémentées de risotto noir et de jus de homard sont à déguster absolument. « Ce plat est préparé à base de riz noir riche en céréales, qui, autrefois, en Chine, était réservé à l’empereur », explique-t-il. Dans le registre du dessert, Monsieur Héloin fait preuve d’innovation en concoctant son diplomate au litchi, gâteau servi avec un crémeux de clémentine corse, le même que celui utilisé pour agrémenter les tartes au citron. Au coup de cœur… Pour accompagner les plats proposés par le restaurant Seb’On, le chef aime suggérer quelques accords à sa clientèle. Toutefois, toujours fidèle à son concept de diversification, il lui arrive de présenter d’autres vins choisis « au coup de cœur ». Ainsi, les convives pourront savourer des vins issus de la vallée du Rhône, de la Bourgogne ou des Hautes Côtes de Nuits, et notamment de chez Pierre Naigeon, un jeune passionné qu’il admire particulièrement. ...
Dans un terroir au sol perméable et argilo-calcaire poussent des cépages typiques des Pays de la Loire. C’est au cœur de cette région historique qu’est situé le Domaine de l’Enchantoir, produisant des cuvées répondant à l’appellation unique « Saumur Puy-Notre-Dame », qualifiant le vin fait à un seuil minimum de 85 % de cabernet franc. Fiers de cette distinction, Jean-Michel et Fabienne Brunet, heureux propriétaires de cette exploitation séculaire, nous emmènent à la découverte de cette terre déjà viticole depuis le Moyen-Age. « Un milieu dédié aux vignes » Ces propos de Jean-Michel et Fabienne Brunet justifient la forte réputation vinicole de Puy-Notre-Dame, une notoriété datant du 19ème siècle. Grâce à son microclimat d’altitude propice à la culture vinicole, ce terroir est le lieu de prédilection de deux cépages caractéristiques, à savoir le cabernet franc, pour le vin rouge, et le chenin, pour le vin blanc. Afin de rendre hommage à cette terre généreuse, le Domaine de l’Enchantoir privilégie ces deux cépages, avec un peu de chardonnay, sur ses 17 hectares de vignobles. Par cette recherche de l’authenticité, cette maison produit des cuvées rouges, blanches, rosées et pétillantes riches en saveurs subtiles et voluptueuses, et fortes de la mosaïque d’arômes propres à ce « terroir qualitatif », précise nos interlocuteurs. L’agriculture bio mise à l’honneur Certifié « Agriculture biologique », le Domaine de l’Enchantoir se veut être la figure de proue de plusieurs générations de vignerons soucieux de l’environnement et prônant un processus de vinification traditionnelle. Les cuvées issues de cette culture raisonnée gardent ainsi toute la typicité gustative du terroir, à l’instar du « Terres pourpres », un saumur rouge au caractère affirmé et succulent en bouche. Toujours dans cet esprit, les trois vins blancs produits par la maison ont le mérite d’être certifiés 100 % bios afin de préserver ce riche patrimoine naturel de Puy-Notre-Dame. ...