Élégant, prestigieux, somptueux… On serait vite tenté d’enchaîner les superlatifs pour décrire l’hôtel Westminster et ses deux restaurants ainsi que son bar, à savoir le Céladon, le Petit Céladon et le Duke’s Bar. En vérité, cet établissement est le meilleur endroit pour vivre une expérience gastronomique inoubliable. Le Céladon, un restaurant étoilé Le Céladon accueille ses convives dans un cadre unique bénéficiant d’un décor typiquement bourgeois. Ce restaurant étoilé au Michelin d’une capacité de 28 couverts promet ainsi une ambiance conviviale et raffinée. Le chef Christophe et sa brigade proposent un large choix de formules à l'instar du Menu express concocté en seulement trois quarts d’heure pour les plus pressés à midi. À noter que le Céladon change son menu très gastronomique toutes les semaines de façon à varier le plaisir des habitués. Le Petit Céladon, le relais week-end Durant le week-end, le Céladon ferme ses portes pour laisser place au Petit Céladon. Les convives sont bercés par une ambiance et un service nettement plus décontracté, sans se défaire du contexte d’un restaurant étoilé. La métamorphose concerne également la carte et l’art de la table. Cerise sur le gâteau : la légèreté est au rendez-vous en ce qui concerne les tarifs. Pour autant, les gourmets ont toujours droit à un menu-carte raffiné proposant une sélection minutieuse de produits frais et de qualité, qui est une ligne de conduite au Céladon. Le Duke’s Bar, le garant d'instants magiques Le Duke’s Bar mise quant à lui sur cette ambiance atypique des clubs anglais pour séduire, puis fidéliser les convives. Dans ce cocon feutré, rien de tel pour se retrouver entre amis et s’accorder des instants de pure détente. Les grands guides sont particulièrement conquis par ce lieu, qu’ils ont intégré dans le cercle très fermé des plus éminents bars de la capitale française. Au programme : snacking, apéritifs et spiritueux très appréciés de la clientèle. Ce coin bistronomique parisien est surtout reconnu pour son fameux club sandwich, mais aussi pour son cocktail de crevettes roses ou pour son inimitable burger de Kobe. ...
Situé au cœur historique de la ville, en bordure de l’ancien lit de la Basse Deûle et du port, l’Hospice Comtesse reste l’un des derniers témoignages lillois de l’action des comtes de Flandres. Fondé en 1237 par la comtesse Jeanne de Flandres dans l’enceinte de son propre palais, l’Hôtel de la Salle, l’hôpital est placé sous la protection de la Vierge. Cette fondation lilloise s’inscrit naturellement dans ce large mouvement de création d’asiles hospitaliers qui se multiplient au cours des XIIe et XIIIe siècles, dans les comtés de Flandre et du Hainaut, à l’image des hôpitaux Saint-Jean de Bruges (1180), Notre-Dame de la Bijloke de Gand ou Notre-Dame à la Rose de Lessines (1260). Patrimone emblématique de l'Histoire de la ville Conformément aux vœux de la fondatrice, l’hôpital accueille des malades, des pauvres et des pèlerins. Régulièrement agrandi pour répondre aux besoins d’hébergement croissants des populations en errance, cette institution hospitalière a été richement dotée au fil des siècles. Ce qui lui permet de disposer de ressources suffisantes afin de faire face aux dépenses de fonctionnement et d’assumer pleinement son rôle charitable. En 1796, suite à la Révolution et aux évolutions de la médecine, l’autorité municipale remodèle l’assistance publique : toutes les fondations hospitalières lilloises sont réorganisées. L’Hospice Comtesse devient un hospice pour les vieillards - les «Vieux-Hommes» - et les orphelins dits «les Bleuets», tandis que les malades sont regroupés à l’hôpital Saint-Sauveur. Un lieu d'une grande richesse artistique Après avoir découvert l'ancienne salle des malades, la chapelle et le jardin médicinal, le visiteur entre dans la maison de la communauté des sœurs augustines qui avaient en charge l’accueil et le soin des malades. Plusieurs salles d’ambiance telles que la cuisine, le réfectoire ou la lingerie s’y succèdent et rappellent tout autant la vocation hospitalière que l’intimité d’une maison flamande des siècles passés. Si le réfectoire, avec son mobilier au décor opulent, restitue l’ambiance solennelle de l’ancien hôpital, la cuisine avec ses innombrables carreaux de faïence bleue – près de 4000 ! – fait revivre le quotidien des lieux. À l’étage, vous partez à la rencontre de l’histoire de Lille et de la vie lilloise. Les collections exposées dans l’ancien dortoir des religieuses tissent le portrait de Lille du XVIe siècle à la Révolution française. Sculptures sur bois, peintures et documents graphiques décrivent le paysage urbain lillois sur plusieurs centaines d’années ; les galeries de portraits des comtes de Flandre et des ducs de Bourgogne ou encore les clefs de la ville soulignent le contexte historique et politique de Lille au travers des siècles. Les importantes corporations de métiers, qui rappellent le passé marchand de la cité, sont racontées, par exemple, par des objets traditionnels comme les bannières ou encore par le tableau La Procession de Lille peinte par François Watteau. Les œuvres de cet artiste mais aussi de son père, Louis Watteau, sont de précieux témoignages de la ville et de la vie lilloise sous l’Ancien Régime. À la fin du parcours, les deux superbes globes, céleste et terrestre, du cartographe vénitien Vincenzo Coronelli, évoquent l’engouement pour les voyages et les découvertes scientifiques des XVIIe et XVIIIe siècles. Ancré dans le paysage et l’histoire de Lille, le musée de l’Hospice Comtesse invite, chaque année, les visiteurs à découvrir, le temps d’une exposition, des artistes contemporains ayant un lien avec la ville mais aussi des grandes présentations thématiques dans lesquelles les collections du musée sont mises à l’honneur. Un musée en constante évolution Le rez-de-chaussée et le premier étage des collections permanentes du musée ont fait l’objet d’une remise en beauté durant l’année 2022, à l’occasion du 60e anniversaire du musée. Un parcours renouvelé, plus valorisant pour les œuvres dont certaines ont ét&eacu...
A tout le reste maudit, à la vigne ce terroir ravit D’origine médiévale, le Château La Salagre a hérité son nom d’une histoire tumultueuse entre un suzerain et son vassal. Selon la légende, du temps des guerres anglaises, le seigneur de Montcuq fut trahi par un de ses vassaux. En représailles et sous ordres du souverain, les terres de ce dernier furent recouvertes de sel et son manoir rasé. Si le nom de la Salagre (du latin saltunager) est resté, le sel a disparu, peut-être dans le ruisseau la Salègre qui traverse le domaine. Aujourd’hui, cette histoire des plus anecdotiques est le symbole de la force de ce terroir. La disparition du sel sur ces terres a permis l’expression des cépages merlots, cabernet-sauvignon, sauvignon et sémillon et la complexité des assemblages qu’ils composent. Conversion bio réussie dès 1999 Si la Salagre fut l’un des précurseurs de la viticulture bio à Bergerac, ce fut surtout le premier des châteaux de Bordeaux Vineam à se lancer dans l’aventure. Avec pas moins de 20 médailles récoltées en 16 ans, cette conversion sera une telle réussite, qu’elle mènera naturellement à celle des châteaux Bourdicotte et Grand-Ferrand en 2010 et Moulin à Vent, Grillon et Rocher Bellevue en 2015. Donnant naissance à l’un des producteurs bio incontournables de notre région. Une équipe enracinée depuis un quart de siècle Eric et Philippe chaperonnent la Salagre depuis plus d’un quart de siècle : ils ont été témoins des grandes gelées de 1991 et de 2013 et de la conversion des châteaux en bio. S’ils reconnaissent que le monde viticole a beaucoup évolué autour d’eux en 26 ans, Eric et Philippe en sont conscients, la qualité des vins qu’ils produisent, elle, demeure. ...
Le Château Les Chaumes revêt une belle histoire. Un livre de comptes datant de 1833 atteste que la propriété produisait déjà du vin à cette époque. Son architecture typique des anciennes villas romaines, ses bâtiments en carré et son vignoble en coteau ont d’emblée séduit Robert Parmentier, qui en a fait l’acquisition en 1965. Après avoir replanté le vignoble, celui-ci confia le développement de l’exploitation à son fils Pierre. En 2014, Henri et Anne, deux autres enfants de Robert, décident à leur tour de reprendre la propriété. Un terroir propice à la culture de la vigne Le vignoble, d’une superficie totale de 23 ha, repose en grande partie sur un terroir présentant des sols argilo-calcaires. « C’est un terroir un peu difficile à cultiver, mais qui donne des vins très concentrés », explique Anne Parmentier, la gérante de l’exploitation. Ici, le merlot y trouve toutes les conditions favorables à son épanouissement. Il n’est donc pas surprenant de constater qu’il compose 60 % de l’encépagement. Viennent ensuite le cabernet (30 %) et le malbec (10 %). Ce dernier est planté sur deux parcelles de 1,60 ha, sur lesquelles il peut s’exprimer comme nulle part ailleurs. « Le malbec a beaucoup de caractère, ce qui permet d’avoir des vins très expressifs », nous indique notre interlocutrice. Une viticulture raisonnée Quand elle a repris l’exploitation, Anne Parmentier n’a pas hésité à recourir aux services de deux ingénieurs agronomes, qui lui ont apporté de précieux conseils, notamment sur la conduite de la vigne. Soucieux de préserver la terre et les vignes, le domaine opte pour des pratiques culturales qui respectent l’environnement. L’utilisation des produits phytosanitaires est limitée au strict minimum. « Je ne traite que lorsque c’est vraiment nécessaire », clame notre interlocutrice. Outre le travail du sol, l’enherbement alterné est aussi privilégié dans le but d’apporter des engrais naturels aux vignes. Tous ces efforts ont contribué à entretenir la bonne santé du sol. D’ailleurs, la gérante constate : « Quand je replante, je m’aperçois avec joie que mes sols sont vivants. » La recherche de la qualité Depuis une vingtaine d’années, le Château Les Chaumes réalise des vendanges mécaniques. La machine permettant de ramasser chaque parcelle à maturité et de rapporter les raisins plus rapidement au cuvier. Ceci évite l'oxydation et leur permet d'exprimer tous leurs arômes. Avant leur arrivée en cuve, ils font l’objet d’un tri manuel au cours duquel seuls les raisins présentant une qualité optimale sont sélectionnés. Côté vinification, la maison s’en tient à des schémas classiques. « Durant la vinification, j’évite autant que possible les manipulations et je n’effectue pas de filtrage après la fermentation malolactique » confie Anne Parmentier. Les vins reçoivent ensuite un élevage en fûts de chêne français et vieillissent entre 12 et 20 mois. Les vins du domaine Le Château Les Chaumes produit quatre cuvées d’exception qui sauront surprendre tous les palais. Deux d’entre elles se distinguent du lot, à savoir le Château Les Chaumes Malbec et le Château Les Chaumes Vieilles Vignes. Pour le premier, il s’agit d’un vin concentré, produit avec de petits rendements et dans lequel on retrouve toute la puissance du malbec. « Ce vin est atypique et possède pas mal de caractère », souligne la gérante. Par ailleurs, cette cuvée a la particularité de présenter un bouquet épicé, des arômes de violette et de réglisse. Un élevage en fût de chêne, avec 25 % de bois neuf, lui confère beaucoup d’élégance. Quant à la cuvée Château les Chaumes Vieilles Vignes, elle séduit par ses arômes de cerise noire et de framboise. En bouche, on note des arômes de violette et de réglisse. À la fois équilibré et concentré, ce vin a subi un élevage en fûts de chêne et dévoile des tanins fins. Enfin, gage...
Maîtres Isabelle Goxe et Laurent Belaïsch sont des commissaires priseurs spécialisés dans l’expertise et la vente d’objets d’art, entre autres les meubles, les tableaux, les pièces de monnaie, les vins et alcools, les bijoux, les arts de la table et les accessoires de mode. Grâce à leur expérience, ils vous offrent les meilleures garanties sur le marché de l’art international, y compris français. A l’Hôtel des Ventes d’Enghien en plein cœur de la ville, ils vous proposent un dimanche de chaque mois, une vente cataloguée de bijoux et d’orfèvrerie et également une vente cataloguée de tableaux, objets d'art et mobilier. Des ventes générales classiques ont lieu le jeudi, des ventes thématiques une fois par trimestre. Si vous pensez détenir des objets de valeur, vous pouvez les faire expertiser par Maîtres Goxe et Belaïsch en vous rendant à l’Hôtel des ventes d’Enghien ou 3 boulevard Arago à Paris. Ils se feront un plaisir de vous donner gracieusement une estimation orale de ceux-ci. Les objets peuvent aussi y être déposés en vue de leurs ventes. Vente du 21 janvier 2018 : Succession John et Ruth Christoforou Lors de cette l’exposition-vente, vous aurez une occasion unique de découvrir environ 160 œuvres réalisées par John Christoforou, ce célèbre peintre expressionniste français. Mais aussi son chevalet de peintre, torturé et déchiqueté, en cohérence avec ses œuvres et un grand nombre de documents préparatoires ou accessoires à son travail. Dans ses toiles apparaissent presque exclusivement des figures, des masques et des totems primitifs, traités en grands cernes noirs qui limitent les éléments de la composition. La violence dans les thèmes abordés et la puissance de sa matière picturale caractérisent ses œuvres. Se dégage de ses toiles souvent très vastes, parfois jusqu’à 3 m de long, la nécessité intérieure de l'artiste à travers la vision d'un monde qui n'a rien de malsain ou de morbide. Vente de 28 janvier 2018 : Lingots et Monnaies d’or, Beaux Bijoux et Orfèvrerie 240 lots avec des lingots et monnaies d'or, de beaux bijoux certains signés STERLÉ, CARTIER, BOUCHERON, MAUBOUSSIN, des montres bracelets et goussets, de l’orfèvrerie des XVIIIe, XIXe et XXe siècles seront mis en vente lors de cette séance. ...
Créée en 1905 par Charles Émile Ellner, cette maison familiale réunit aujourd’hui 3 générations qui travaillent main dans la main. En effet, les champagnes Ellner, c’est d’abord une affaire de famille. Aux commandes : Jean-Pierre Ellner, le petit-fils du fondateur est déjà bien entouré et peut compter sur la génération montante. Ses filles, Emmanuelle et Alexandra s’occupent de l’image de la marque et de la partie administrative tandis que leurs neveux Frédéric et Arnaud prennent en charge les vignes et la vinification. Depuis sa création, la maison s’est fixé une ligne de conduite : produire des champagnes de grande qualité, accompagnant tous les moments de vie. La richesse des terroirs La maison Ellner dispose de 50 ha de vignobles répartis sur l’ensemble de la Champagne : la côte des Blancs, la Montagne de Reims, la vallée de la Marne, les côtes de Sézanne et l’Aube. Les 3 cépages (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) sont plantés sur une grande variété de terroirs. « Mais le chardonnay représente près de 50% de l’encépagement de notre vignoble », tient à préciser Gauthier Bongras, directeur commercial de la marque. Ce cépage est majoritairement présent sur les terres situées à Chouilly et Tauxières, deux villages classés Grand Cru sur la côte des Blancs. Il est aussi présent sur les côtes d’Épernay et les côtes de Sézanne. « Les sols argilo-calcaires de nos vignobles permettent d’élaborer des vins complexes tout en conservant fraicheur et tension », renchérit le responsable. Les cépages noirs (pinot noir et le pinot meunier) se concentrent quant à eux sur la Montagne de Reims et la vallée de la Marne. Enfin, la maison possède également au sud de la Champagne un vignoble de 7ha planté essentiellement en pinot noir. Ce vignoble datant du jurassique supérieur est à l’origine de vins particulièrement riches en arômes. Le style Ellner La maison pratique depuis 2001 une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum l’utilisation de produits chimiques. Côté vinification, les vins sont élevés dans des foudres de chêne qui font 20 à 25 fois la taille d’un tonneau classique. Comparée à un élevage en cuve inox, cette technique permet aux vins de mieux conserver leurs arômes d’origine. Les champagnes ne font pas non plus l’objet de fermentation malolactique. « Chez Ellner, nous donnons du temps au vin, nous ne voulons pas le vieillir artificiellement, c’est un élément vivant et moins on le secoue, plus il donne de belles choses », nous rapporte-t-on. Ici, on laisse donc volontiers ces trésors oenologiques vieillir plus longtemps, ce qui permet aux arômes de dégager toutes leurs subtilités. A titre d’exemple, l’entrée de gamme non millésimée vieillit pendant au moins 4 ans, tandis que les millésimes sont élevés sur lies en bouteille entre 10 et 12 ans. Le vieillissement se fait dans des caves traditionnelles datant du XIXe siècle et s’étendant sur 2 km de galerie. Chaque année, plus de 400 000 bouteilles y sont élevées avant d’être distribuées un peu partout en France et dans le monde, notamment aux États-Unis. Les cuvées ambassadrices Dans la liste des cuvées phares, la Grande réserve est celle qui représente le mieux la maison Ellner. Elle est obtenue par l’assemblage de 60% de chardonnay et de 40% de pinot noir. En bouche, cette cuvée surprend par sa fraicheur florale qui se double d’une nuance fruitée. À déguster, selon les envies, en apéritif ou en début de repas. Vient ensuite la cuvée Premier cru, élaborée à partir de 75% de chardonnay et 25% de pinot noir. S’habillant d’une robe or pâle, elle présente un arôme légèrement brioché. À déguster en apéritif et de préférence associée à un poisson. ...
Du haut de ses 29 ans, Arthur Lotrous possède déjà un solide background dans le milieu de la viticulture. Après un BTS viticulture-œnologie au lycée de Davaye, il acquiert sa première expérience professionnelle au Château Bouscaut à Pessac-Léognan dans le Bordeaux puis au Domaine de la Pierre des Dames à Prissé. « J’ai voulu découvrir de nouveaux horizons et notamment voir ce qui se faisait dans la biodynamie, ce qui m’a amené à travailler au Domaine La Soufrandière/Bret Brothers à Vinzelles », raconte-t-il. Lorsqu’il apprend qu’une exploitation située à Saint-Amour Bellevue dans le Beaujolais était à reprendre, il saute sur l’opportunité en novembre 2018… Passionnément vin Le nom qu’il donne à son nouveau domaine viticole témoigne du profond attachement qu’il voue aux vignes et au vin. « Les sources » désignent la Rue des Sources sur laquelle se trouve le siège de l’entreprise tandis que « Agapé » est un mot grec qui signifie « amour inconditionnel ». Le respect qu’il manifeste à l’égard de ce métier et de la terre s’exprime à travers le choix d’une agriculture biologique sur l’ensemble de son vignoble composé de 6 hectares d’un seul tenant qui surplombe l’appellation Saint-Amour, sur les pentes du Mont-Besset. Le gamay dans toute sa splendeur Sur les sols de grès et d’argile qui se caractérisent par leur bonne rétention d’eau se développent des vignes plantées en gamay et âgées de 60 ans en moyenne. Le jeune vigneron a décidé de travailler son vignoble en « gobelet », une ancienne méthode qui date de l’époque romaine et qui s’applique sur des vignes non palissées. Ce procédé implique des travaux souvent complexes qui exigent de tout faire à la main. De cette démarche particulièrement méticuleuse naissent des cuvées pleines de promesses telles que Mont-Besset, un 100 % gamay aux arômes de fruits rouges et juteux qui révèlent des saveurs de cerise et de douces notes de sous-bois. ...
Périgord peut être arboré sous quatre angles : par le nord qui emprunte son nom de Périgord Vert aux forêts de chênes et des châtaigniers décorant cette région. Un peu plus à l’ouest, le paysage verdoyant laisse place aux plateaux calcaires et aux architectures anciennes datant de l’époque romane et gothique. Le Périgord Noir, lui, situé dans le Sud-Est, se distingue par ses sites préhistoriques et ses authentiques villages médiévaux. Enfin, Bergerac et ses champs de vignes ont inspiré l’appellation Périgord Pourpre pour un rappel à la richesse du terroir. Une destination à multiples facettes Il faudra longer plus de 500 kilomètres au départ de Paris pour atteindre cette terre mythique qui abrite secrètement une partie de l’histoire de la France. « Connue sous le nom de département de mille et un châteaux, la Dordogne était un emplacement stratégique fervemment disputé par le royaume de France et d’Angleterre lors de la guerre de Cent Ans », nous souffle Stéphane, le responsable de la plate-forme. Ce qui explique la belle collection de châteaux fortifiés, de châteaux Renaissance, de manoirs et de maisons fortes qui s’imposent majestueusement sur les sommets et vallées de cette région. Le château de Biron, classé monument historique ou encore le château médiéval de Castelnaud, le musée de la Guerre au Moyen Âge sont, entre autres, les témoins du passé historique du Périgord. Mais cette destination nous ramène encore plus loin, précisément à 400 000 ans plus tôt à travers ses monuments préhistoriques. La formation géologique de la région justifie la concentration de nombreux vestiges, grottes ornées, peintes ou gravées, gisements et sites troglodytiques, notamment dans la vallée de la Vézère. Parmi eux, le Roque Saint-Christophe, un site qui impressionne par sa représentation authentique d’une habitation troglodytique. Un exemple qui illustre parfaitement la richesse archéologique de la Dordogne, le « berceau de l’humanité ». Périgord est aussi une terre de bien-être où la nature semble trouver un parfait équilibre avec l’homme. Chacun peut savourer un moment de douceur et d’évasion lors d’une petite promenade dans les vallées ou d’un camping au cœur de la forêt. « Nous avons également beaucoup de loisirs autour de la rivière, comme la baignade ou le canoë », souligne notre interlocuteur. En prime, la cuisine du Sud-ouest qui met à l’honneur les produits du terroir (la truffe, le magret et le foie gras, les noix du Périgord, les vins de Bergerac, etc.) va procurer une touche à cette expérience déjà si intense. Un site pour répertorier les incontournables de la région Perigord.com, le tout premier site portail du tourisme dans la région, s’attribue comme mission de partager et de promouvoir cette destination. En effet, son premier modèle en tant qu’hébergeurs de prestataires de tourisme en Dordogne date de 1998. Aujourd’hui, le site arbore un design sobre et étudié de façon à offrir le plus de contenus possible aux internautes. Ces derniers peuvent parcourir facilement les rubriques visites, loisirs, hébergements, restaurants, produits locaux et infos pratiques pour personnaliser à souhait leur séjour en Dordogne. Le site mise sur une stratégie de proximité et son éthique d’échange équitable pour se distinguer de ses concurrents. « Nous mettons en relation directe les offres et les demandes, sans frais ni commission, pour que les internautes puissent payer au meilleur tarif et que les prestataires soient rémunérés au juste prix », termine-t-il. ...
Perchée en hauteur, la propriété s’étend sur 680m² et est bordée par un paysage magnifique avec vue sur les monts du Luberon, sur les Alpilles et sur le village de Roussillon. Le Petit Palais d’Aglaé, nom inspiré de l’une des déesses de la mythologie grecque, évoque la splendeur, le bien-être et la beauté. Le culte de perfection L’espace extérieur aménagé autour d’un remarquable jardin, d’une grande piscine et d’un salon agréable invite à la détente et à la méditation. L’émerveillement se poursuit jusqu’à l’intérieur au moment de découvrir le style renaissance italienne, si affirmé et si élégant, qui habille le hall d’accueil. Celui-ci mène ensuite vers les 16 chambres proposées déclinées en chambre classique, chambre classique jardin, chambre deluxe, chambre deluxe terrasse et en chambre familiale. « Toutes les chambres sont dotées de toutes les commodités modernes, comme le wifi, une salle de bain privative, une télévision à écran plat et la climatisation » nous fait savoir Sarah Lauferon, la gérante du lieu. Le choix des meubles, des matières, des luminaires, des couleurs à attribuer à chaque chambre révèle un goût du travail soigné. Au réveil, les hôtes commencent la journée par un petit déjeuner diététique à la française ou aux couleurs provençales, servi en salle ou dans le jardin. Le buffet comprend des boissons chaudes, des jus de fruits frais, des mini-viennoiseries, des cocktails sucrés et salés et un assortiment de fruits. Par ailleurs, le restaurant Les tables d’Euphrosyne est ouvert tous les jours pour égayer le palais de ceux en quête d’une cuisine « bionomique » et créative. S’évader et se divertir Un moment de douceur et de relaxation au Thalie Spa s’impose lors du passage dans l’établissement. Cet espace bien-être prône les bienfaits de l’aromathérapie et travaille avec la marque Decléor pour assurer l’excellence à ses clients. À la demande, ces derniers peuvent également profiter d’une séance de yoga, individuelle ou en groupe. La piscine chauffée, le bar en terrasse et les lieux de sieste cachés sont autant de choix pour se prélasser. En outre, une excursion en ville est suggérée pour découvrir les incontournables de Gordes : le château renaissance, le village des bories, l’abbaye cistercienne de Sénanque, le marché du dimanche et les galeries d’art et de poteries. ...
Le manque d’assurance, la difficulté à faire confiance, l’instabilité émotionnelle ou encore la peur d’être abandonné se rejoignent sous une qualification : le blocage émotionnel. Celui-ci explique le comportement renfermé ou excessivement agressif d’un individu, sa façon à lui de construire un mur de défense par rapport à son environnement. Vivre avec un blocage émotionnel est épuisant, psychologiquement mais aussi physiquement. Mais aujourd’hui, grâce aux travaux de recherche de Dr Pierre-Noël Delatte, chacun peut adopter une nouvelle façon de vivre en apprenant à contrôler son énergie émotionnelle. Comprendre la PBA© La psycho-bio-acupressure (PBA©) est une méthode innovatrice développée par Dr Pierre-Noël Delatte vers les années 1990, qui s’inspire de l’acupuncture. Le principe consiste à appuyer fermement, et trois fois de suite, cinq points réflexes qui forment des circuits imprimés selon un ordre bien particulier. Ce protocole précis permet dans un premier temps de rééquilibrer le système énergétique de la personne et d’évacuer, par la suite, le blocage émotionnel accumulé qui fait emprise sur le mental et le subconscient. « La PBA© agit parfaitement dans plusieurs états de mal-être et de pensées négatives, comme le stress, l’angoisse, la colère, la dépression, la peur, l’anxiété, l’hyperémotivité, etc. », explique Fairouz Rouzaud, cofondatrice de l’Institut Delatte, qui assure l'évolution de la méthode depuis le décès du Dr Delatte. Même les blessures plus profondes, notamment les échecs à répétition et les souvenirs douloureux accumulés dans l’enfance, peuvent être libérées grâce à la PBA©. En outre, cette technique présente aussi l’avantage d’être non invasive et totalement adaptée aux femmes enceintes et aux bébés. D’ailleurs, la passion de madame Rouzaud pour la vie intra-utérine, les divers types de naissances et leurs impacts émotionnels sur l'individu l'a amené à développer une thérapie particulière pour soulager ces derniers. En France, il existe environ 150 thérapeutes/praticiens agréés par l’Institut Delatte à proposer des consultations PBA©. Mieux former pour mieux guérir Chacun peut apprendre à gérer ses émotions et son état énergétique via la PBA©, grâce à une initiation de base dispensée par cet institut de référence. L’on y apprend comment identifier les points d’acupressure et maîtriser le protocole fondamental. À partir de là, plusieurs autres niveaux de perfectionnement sont proposés à ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances. Le cursus échelonné s’achève sur une formation à vocation professionnalisante, un parcours exclusif pour devenir praticien homologué, référencé sur l’annuaire officiel des praticiens agréés et régis par un code de déontologie. « Aussi, l’institut organise tout au long de l'année une formation/recyclage et perfectionnement à destination de nos diplômés sortants.» Fairouz Rouzaud elle-même ainsi que trois autres confrères assurent ces formations au sein de l’Institut Delatte. La cofondatrice se déplace également à l’étranger, notamment au Canada, aux États-Unis, en Suisse, à l'Ile de La Réunion, en Nouvelle calédonie et àTahiti pour partager son expertise. En parallèle, le site psycho-bio-acupressure.com reste un portail d’informations de référence pour mieux comprendre la PBA©, l’Institut Delatte et ses missions. La liste des praticiens agréés, le calendrier des stages et des formations y figurent également. ...
Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel. Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...
La marque Batisse Lancelot a été lancée dans les années 1970 au temps des parents de Guillaume Batisse, première génération de la famille à travailler les vignes et à élaborer du champagne. Les cuvées phares En quatre générations, la maison a su se démarquer à travers des cuvées comme « Prestige » et « Brut Rosé ». Tandis que l’une révèle l’équilibre parfait entre chardonnay et pinot noir, l’autre séduira les papilles avec ses arômes intensément fruités. ...
Atout Linguistique et Les Échanges Franco-Irlandais proposent deux types de programmes de séjours linguistiques permettant aux jeunes d’apprendre une langue étrangère ou de la perfectionner. Rattachés au groupe Centre d’Échanges Internationaux (CEI), ces organismes visent tous deux à lier l’apprentissage au plaisir du voyage. Chaque programme a sa spécificité : les jeunes peuvent profiter d’un séjour sur mesure, adapté à leurs âges, à leurs niveaux ainsi qu’à leurs centres d’intérêt. Au-delà du perfectionnement linguistique, Atout Linguistique et Les Échanges Franco-Irlandais offrent une véritable expérience humaine qui guide le jeune à être plus mature et plus autonome. Atout Linguistique : des formules sur mesure adaptées à tous les âges Fondé en 1962, Atout Linguistique cible principalement les jeunes de 10 à 17 ans. « C’est, à la base, un organisme spécialisé dans les séjours pour les mineurs. Nous posons comme garantie notre savoir-faire de l’encadrement associé à l’expertise de nos contacts sur place, qui s’engagent sur la qualité des séjours », éclaire Aleksandra, manager d’Atout Linguistique. Les offres se déclinent entièrement selon les âges et la demande des participants. Toutefois, le principe reste le même : pas de voyage en groupe. « Tout l’intérêt du programme repose sur une immersion linguistique réelle. Le jeune est aussitôt mis en contact avec des locaux pour qu’il se détache entièrement de l’environnement francophone », poursuit notre interlocutrice. À cet effet, le programme exige du participant une certaine capacité à être autonome. Pour une première expérience, Atout Linguistique recommande les séjours « Summer Camp ». Il s’agit d’une formule permettant aux jeunes de découvrir une langue étrangère à travers différentes activités sportives et récréatives. Ainsi, le participant comprend l’intérêt d’apprendre une nouvelle langue et se familiarise plus efficacement avec cette dernière. Avec un minimum de capacité à communiquer dans la langue choisie, le jeune peut intégrer le programme « Campus International ». Les séjours ont lieu dans des collèges ou des universités de renom qui ouvrent occasionnellement leurs portes aux internationaux durant l’été. Quels que soient leur niveau, les participants bénéficient d’un encadrement permanent au cours de multiples activités. Enfin, la formule « One to One » propose un séjour en famille d’accueil avec des cours particuliers assurés par un membre de la famille. Diverses activités s’articulant autour des centres d’intérêt du participant peuvent être programmées. À noter : Atout Linguistique propose également des formules sur mesure pour les adultes désireux de se lancer dans l’aventure du séjour linguistique. Les Échanges Franco-Irlandais : profiter de l’accueil généreux des familles irlandaises L’association Les Échanges Franco-Irlandais (EFI) est née d’un partenariat avec Newchange, une société irlandaise spécialisée dans les formules novatrices de vacances linguistiques. Cette collaboration est d’autant plus encouragée par le grand sens de l’accueil des Irlandais. Leur culture rend les familles irlandaises « énormément attachantes », selon les termes de Nefissa, organisatrice chez EFI. « Une année sur l’autre, nous reprenons très souvent les mêmes familles. Parfois, ce sont les jeunes eux-mêmes qui décident de repartir dans leur ancienne famille d’accueil. » Ici, place à la « Irish Way of Life » ! Le programme, entièrement individuel, tient à ce que le participant soit en immersion totale durant son séjour linguistique. Un seul francophone par famille est autorisé pour faciliter les échanges. À l’expérience linguistique se marie la découverte d’une autre culture, puisque, effectivement, les Irlandais ont une façon bien différente d...
Nous sommes en 1967 lorsque des viticulteurs, animés par une passion commune pour le vin, décident de fonder une cave en hommage à leurs terres. Véritable ambassadrice d’un patrimoine commun, cette cave se trouve être le point d’orgue de l’excellence de la culture vitivinicole du Haut-Languedoc. La noble quête de la qualité Ce sont près de 80 viticulteurs qui s’attellent à offrir le meilleur de leurs vignes plantées en coteaux au travers des cuvées emblématiques. Leurs parcelles ont été sélectionnées en se basant sur leur qualité, leurs points communs, ainsi que la maturité de leurs raisins. « Cette sélection parcellaire, effectuée avant les vendanges manuelles, permet d’identifier le potentiel de chacune de ces parcelles », nous explique Alain Rogier, Directeur Général de la cave. Les cépages, pour ne citer que la syrah, le mourvèdre ou encore le grenache noir, bénéficient également d’un traitement phytosanitaire respectueux de l’environnement et préservant le goût de chaque grappe. Chaque cuvée devient ainsi un fidèle représentant de ce terroir bénéficiant de trois appellations : l’appellation Languedoc, l’appellation Saint-Chinian et l’appellation communale Saint-Chinian-Roquebrun. Cette dernière, octroyée en 2004, fait la fierté de ces artisans de la terre et la particularité des cuvées de la cave de Roquebrun. Dans cette unité vinicole, « le processus de transformation du raisin au vin se fait [d’ailleurs] sous l’égide d’un œnologue qui n’est autre que le Directeur de la Cave », précise notre interlocuteur. À ce gage de qualité s’ajoute le fait que cette cave « est bâtie sur le modèle des caves du Beaujolais par l’existence d’un plateau de macération carbonique », continue-t-il. Les vins de la cave bénéficient ainsi d’une typicité basée sur une aromatisation naturelle poussée. Égayez ainsi vos instants gourmands de ces vins aromatiques à souhait, à l’instar de la Grange des Combes, un 50 % syrah raffiné et doté d’un bouquet élégant, ou d’une Roches Noires, un 60 % syrah au nez accompli et à la bouche exquise. ...
Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures. Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château. ...
Sur la commune de Saint-Pierre-à-champ, située à l’extrême nord des Deux-Sèvres (79), et juste en limite du Maine-et-Loire, se trouve le domaine de la famille Lemoine. L’exploitation, aujourd’hui dirigée par les frères jumeaux, Alain et Gilles Lemoine, représente la troisième génération de vigneron sur ce domaine d’Anjou. Lutte raisonnée sur le Domaine de la Gachère Dans le plus grand respect de leur terroir, Alain et Gilles Lemoine ont opté pour la conduite de leur vignoble en lutte raisonnée. Objectif : Zéro désherbage. Soucieux de trouver des solutions alternatives au désherbage chimique, les rangs sont cultivés ou enherbés et depuis deux ans des essais de paillages sur cavaillons sont réalisés. « Cette terre, ne nous appartient pas, elle est l’héritage des générations à venir, nous devons la préserver » souligne Alain et Gilles. Qualité et authenticité reconnues Par une implication permanente, l’équipe du Domaine de la Gachère, se voit régulièrement reconnue par ses pères lors des concours. Le concours général agricole de Paris récompense régulièrement les cuvées du Domaine et notamment les rouges : cuvée « Alexia » et la cuvée « les jumeaux ». La crème des Crémants Cette année, les crémants de Loire du domaine sont mis à l’honneur. Le concours national des Crémants de Loire 2017 qui se déroulait à Chambéry a permis à Gilles et Alain de décrocher de bien belles récompenses. Une médaille d’Or pour leur Crémant de Loire blanc 2015 et une médaille d’ Argent pour leur Crémant de Loire Rosé 2015. Pour couronner le tout, La presse nationale et européenne présente à ce concours décerne « le Prix de la presse » au Crémant de Loire blanc 2015 de la Gachère. Suite à ce concours, le directeur de la fédération des producteurs et élaborateurs de Crémant, Mr Olivier Sohler, rappelle« le concours national des Crémants permet de distinguer la crème des Crémants et est un vecteur de haute qualité du produit ». Les blancs secs du domaine Chardonnay, Sauvignon (médaille d’Argent au concours des vignerons indépendants), sans oublier le cépage « GROLLEAU GRIS » idéal avec les huitres. ...
Fondée en 1972, la Cave du Tire-Bouchon a été dirigée par 3 générations de la famille Lepage. La dernière concerne Thierry, double diplômé en œnologie (Beaune, 1987) et en commerce des vins et sommellerie (Bordeaux, 1990), qui a repris les rènes de La Cave du Tire-Bouchon en 2005. Indépendant, puisqu’il travaille sans commerciaux, Thierry Lepage pratique aussi une activité de conseil dans le choix des alcools. Le premier grossiste de bières au sud de Paris La Cave du Tire-Bouchon propose aux particuliers et aux diverses brasseries, près de 1100 références de bières. 50% d’entres elles sont françaises, 35% sont belges, et le reste provient d’environ une quarantaine de pays. Ce qui fait de la Cave du Tire-Bouchon, le premier grossiste de bières au sud de Paris. Le vin n’est pas en reste puisque 150 appellations font partie de l’offre de Cave du Tire-Bouchon, directement achetés auprès des producteurs et donc sans la moindre intermédiation. Le choix des vins se fait sur les marque représentant au maximum leur AOC. Une offre alliant le classique et l’exotique Comme tout caviste digne de ce nom, la Cave du Tire-Bouchon vend plusieurs spiritueux. Parmi les classiques, on retrouve l’armagnac, le cognac, le rhum, le gin, la tequila et la vodka, pour ne citer qu’eux. Sans oublier, l’incontournable whisky importé notamment d’Ecosse et du Japon, les deux plus gros producteurs mondiaux de ce fort alcool brun. Dans un registre bien plus exotique, on note la présence du cachaça, une boisson distillée brésilienne obtenue aprés fermentation du vesou, le jus de canne à sucre. Le cachaça est l'ingrédient de base du cocktail caïpirinha. ...
Brasserie typique du Nord, Le Passage Rihour, tenu par Françoise et Philippe, est une halte gourmande incontournable à Lille. On se laisse volontiers tenter par ses plats régionaux et traditionnels, sans pour autant payer le prix fort. Dans un cadre agréable et décontracté mettant l’accent sur l’accueil et l’efficacité du service, ce restaurant sis en centre-ville propose une carte éclectique faite pour plaire aux plus gourmands. Des moules-frites et des produits frais Avec sa spécialité maison, les moules-frites, Le Passage Rihour sait combler les papilles de ses clients. Ce plat bien apprécié du Nord y est servi à toutes les sauces : crème d’ail, marinière, maroilles, curry et autres. Proposant une cuisine traditionnelle et régionale, l’établissement mise également sur les produits frais avec ses plats à base de poissons pêchés la veille au niveau des côtes bretonnes et servis en quantité généreuse (400 g la portion). Turbos, lottes, soles, coquilles Saint-Jacques et autres produits de la mer sont préparés nature ou rôtis, avec de la sauce. Ces produits frais, arrivés tôt depuis la criée, se retrouvent justement sur le plat emblématique de la brasserie lilloise, qui répond au nom de La marée du Matin. Accompagné d’un risotto et d’une sauce, le poisson y est rôti. Et pour que l’on apprécie mieux les saveurs de ce dernier, le restaurant choisit volontairement de le servir séparément de sa sauce. Des plats destinés aux adeptes de viande Le Passage Rihour, c’est aussi des plats à base de viande bouchère. On y retrouve alors une intéressante sélection de burgers, mais aussi une carte de viande permettant de déguster du jarret de porc en grande quantité, de la carbonade flamande typiquement régionale, du potjevleesch, cette fameuse spécialité flamande signifiant littéralement petit pot de viande, ou encore du welsh, spécialité galloise préparée avec du cheddar fondu, et tout cela, fait maison. Une brasserie classique à l’excellent rapport qualité-prix Dans une démarche économique, la brasserie propose aussi en option une formule complète comprenant entrée, plat et dessert. Par ailleurs, elle met logiquement à disposition de ses visiteurs une sélection de vins issus de toutes les régions viticoles du pays au meilleur prix mais accompagnant merveilleusement les plats proposés. Et évidemment, comme toute brasserie qui se respecte, la sélection de bières est à ne pas rater (à consommer toujours avec modération). ...
Antonino D’ALPA n’a pas atterri dans son métier par hasard. Bercé par les effluves montant des fourneaux de la cuisine maternelle, ce petit-fils de restaurateurs intègre l’école hôtelière dès 13 ans. Début d’un parcours atypique, entre apprentissage des nuances du service en salle et appel de la création. Car c’est là que réside le secret de la touche D’ALPA : une inventivité forte assortie d’une recherche permanente de l’exceptionnel. La présence du chef au service, en sus. Début dans les salles Antonino D’ALPA a commencé très tôt une formation hôtelière. Du haut de ses 13 ans, le voilà s’initiant aux arts des services en salle dans une école spécialisée. Très dynamique, le jeune Sicilien aligne en extra les missions estivales jusqu’à l’obtention de son diplôme et son départ pour la capitale française. Il démarre ici dans des petits restaurants avant d’intégrer et de se faire une place au soleil au Plaza Athénée. De demi-chef de rang, il passe et finit maître d’hôtel pour cette prestigieuse adresse de l’avenue Montaigne. Il assure, par la suite, quatre ans durant, la direction d’un restaurant gastronomique italien à Paris avant de s’installer à son compte, fin 2014. L’aventure en solo, Antonino D’ALPA l’imaginait comme un heureux mariage entre ses deux passions. D’un côté, pour le contact et le relationnel, et de l’autre, pour la cuisine. « Le seul secteur qui puisse me faire marier les deux, c’est l’événementiel », dit-il, à ce propos. Le très entreprenant traiteur gastronomique ne se contente donc pas seulement d’organiser des événements d’exception pour son client. Il met un point d’honneur à participer activement au service lors de ses prestations. La touche Antonino D’ALPA Transmettre à Antonino D’ALPA les commandes de son événement, c’est s’assurer d’offrir un coffret de saveurs dont les convives parleront longtemps. Chez les particuliers comme auprès des professionnels, ce traiteur ne fait pas dans la demi-mesure. En petit comité ou pour des convives nombreux, sa démarche inclut toujours une recherche fine et créative, tant dans le choix du lieu, du mobilier et du décor des tables que dans le menu. Les particuliers verront pratiquement leur chez-soi muer en un restaurant chic éphémère, tant les services sont bien pensés. Raffinement et élégance sont au rendez-vous dans les cocktails dînatoires ou déjeunatoires à l’intention des entreprises. Un équilibre parfait entre le visuel et le gustatif, assorti d’une rigueur incomparable dans le choix des produits : c’est sur cette partition que l’équipe réalise sa chorégraphie de l’organisation. Question de saveurs, ce professionnel a un faible pour les sélections nobles qu’il a découvertes sur son parcours. Foie gras et truffes blanches se déploient dans une ambiance délicate, aux côtés de noix de Saint-Jacques et de tagliolinis tandis que l’Amarone coule en toute élégance dans sa robe vermeille. Des animations exceptionnelles Partager sa passion pour le goût fait partie des passe-temps de prédilection de l’équipe D’ALPA. Son show « Pâtes flambées au cognac » s’intègre avantageusement comme une animation pour un événementiel d’entreprise mémorable. Dans une meule de fromage au lait de bufflonne flambée au cognac, le chef verse ses pâtes à la crème infusée à la sauge. À la clé : des saveurs inédites formant un bel équilibre entre fromage et herbe aromatique. ...
Créé il y a 60 ans, Le Café des Sources était à l’origine un petit café sympathique connu du quartier. « C’était un bistrot espagnol où les gens venaient plutôt pour boire, il n’y avait pas la cuisine », nous raconte Éric Vouriot, l’actuel propriétaire depuis 2009. Il a réussi avec brio le challenge de garder l’esprit de la maison et en faire une adresse iconique de la cuisine canaille à Genève. Cette identité genevoise se reflète bien dans la décoration de la salle : grande façade en baie vitrée, mobilier en bois, vieilles banquettes de 100 ans, l’intemporel tableau noir et un grand bar au milieu : « Un endroit qui est resté identique, authentique », comme le décrit si bien le propriétaire du lieu. Une cuisine simple et authentique La carte propose des plats qui épatent par leur succulence et leur générosité. Parmi eux, le ris de veau aux morilles, la quenelle de brochet soufflée avec sa sauce à l’américaine, ou encore le steak de calamar et crevettes au piment et gingembre, qui sont devenus les incontournables du restaurant et se savourent tout au long de l'année. En période de chasse, d'octobre à la mi-décembre, l'on se laisse facilement tenter par le filet de lièvre rôti au romarin et coings confits ou bien les noisettes de cerf sauce poivrade avec une garniture composée de choux rouge braisé, de spatzlis ou encore de la poire au vin et purée de céleri. Des spécialités typiquement suisses s’ajoutent également à carte, tels le malakoff ou le filet de bœuf à la moelle, bien tendre et délicieux. En dehors de la chasse, les saveurs gourmandes se déclinent pour toutes les saisons. Ainsi, que ce soit en printemps, en été ou en automne, les suggestions du chef ne manqueront pas de surprendre agréablement les épicuriens par des plats travaillés et finement présentés. En dessert, l’on se laisse tenter par le tiramisu au beurre caramel salé ou le baba au rhum et mangues confites. Et comment ne pas parler de la tarte Tatin aux poires caramélisées au beurre salé et sa glace, un dessert qui frôle la perfection. En outre, les clients peuvent se laisser séduire par les suggestions du chef, qui varient dans la semaine selon la saisonnalité et les produits au marché. Côté vins, la quarantaine de références proposées met à l’honneur les vins genevois. Une sélection de vins français, dont ceux en appellation côtes- du-rhône et les vins de Bordeaux, figure aussi sur la carte. Enfin, des vins en provenance du Valais, en Suisse, viennent compléter la liste. Label de qualité Le Café des Sources est le royaume du fait maison : plats, jus, desserts, sauces sont élaborés sur place avec des produits frais et locaux. « Nos produits viennent de Genève ou du Canton de Vaud », renchérit notre interlocuteur. Cette démarche engagée produits locaux lui a valu le label « Ambassadeur du terroir genevois », gage de la qualité de ses produits et de leur origine. Toujours en quête de l’excellence, le restaurant a raflé en 2017 le premier prix catégorie bistrot pendant le concours de la semaine du goût organisé par la ville. ...
La famille Chatonnet a toujours été active dans le monde du vin. Dès 1750, celle-ci produisait déjà des vins de grande qualité. En 1967, André et Jeanine Chatonnet, les parents de Pascal, l’actuel gérant, décident de racheter la propriété, le Château Haut-Chaigneau. Durant près de 40 ans, le couple s’attèle à y cultiver les meilleurs cépages tout en s’efforçant de développer le vignoble au fil des années. Aujourd’hui, leur fils Pascal continue fièrement de poursuivre la voie tracée du succès. Celui-ci suit de près les évolutions en matière de vin, sans pour autant renier ce que ses parents ont accompli avant lui. Un singulier terroir Ce vignoble de 30 ha se répartit sur 3 zones différentes. La majorité des vignes est localisée sur Lalande-de-Pomerol ; 1,2 hectare est implanté sur Saint-Émilion et un demi-hectare sur la Montagne-Saint-Émilion. L’encépagement est dominé par le merlot, suivi par le cabernet franc et le malbec, en toute petite quantité. Sur ces terres, les vignes bénéficient d’un terroir particulier avec des sols composés de mélanges d’argiles et de graves. « Cette particularité au niveau de Lalande-de-Pomerol procure aux vins beaucoup de rondeur et un potentiel de garde important », souligne Céline Cassat, responsable commercial. Zéro résidu Respectueux à la fois de l’environnement et des consommateurs, le domaine pratique une agriculture conventionnelle avec une utilisation très limitée des produits chimiques. Par ailleurs, dans le but de proposer des vins exempts de tous résidus de pesticides, Pascal Chatonnet a créé, à travers ses laboratoires, le label « Phytocheck ». « Ce label certifie que les vins ne contiennent aucune trace de pesticide », indique-t-il. Côté vinification, la maison privilégie de longues macérations pouvant s’étaler sur 3 ou 4 semaines en fonction des cépages. Selon les parcelles, une partie du jus est ensuite vinifiée dans des cuves en bois tandis qu’une autre partie poursuit sa vinification dans des cuves en inox. Quotidiennement, un remontage est réalisé en vue d’extraire le maximum de tanins, d’arômes et de couleurs. « Sous la supervision de notre maitre de chai, nous procédons tous les jours à des dégustations tout en surveillant le bon déroulement des fermentations », nous explique-t-on. Des vins régulièrement primés La maison produit en tout 7 cuvées, dont la qualité est toujours reconnue à sa juste valeur. À l’exemple des cuvées « La Sergue » et « Le Château Haut-Chaigneau », les fleurons du domaine. « La Sergue » a reçu, en 2011, une médaille d’or au concours national des vins de Mâcon pour le millésime 2008 et, en 2014, une médaille d’or au concours Aquitaine de Bordeaux pour le millésime 2011. Issu de l’assemblage de 85 % de merlot, 12 % de cabernet franc et 3 % de malbec, ce vin reste LA référence incontournable de l’appellation Lalande-de-Pomerol. S’habillant d’une robe à la couleur dense, cette cuvée présente une bouche grasse et soyeuse par excellence. Quant à la cuvée « Le Château Haut-Chaigneau », les millésimes 2013 et 2016 ont respectivement gagné la médaille d’or au concours mondial de Bruxelles et la médaille d’argent au concours national des vins de Mâcon. Ce vin a fait l’objet d’une vinification particulièrement soignée et d’un élevage en barrique extrêmement précis. Il illustre le savoir-faire unique de la famille Chatonnet dans la production de grands vins. ...
Ce restaurant de l’Isère promet trois ambiances en une journée. Si le ton est plus festif dans la matinée, le calme est au rendez-vous l’après-midi. Pendant la soirée, l’heure est à la découverte de l’ambiance cosy et familiale qui règne dans le chalet ! L’Altiport, un décor aux multiples facettes Le cadre et la décoration figurent parmi les points forts de ce restaurant de l’Alpe d’Huez. Sur la terrasse offrant une vue imprenable sur les montagnes, des tables et des chaises sont disposées sous l’ombre des parasols blancs qui donnent un charme naturel aux lieux. À l’intérieur, les visiteurs découvrent un décor à la croisée du style traditionnel et moderne où les poutres et le sol en bois contrastent avec les objets décoratifs en inox et les baies vitrées. Avec les bougies et la lumière tamisée, les tables rondes et leurs nappages en lin, la salle prend une allure romantique et chaleureuse en soirée. Une cuisine traditionnelle et semi-gastronomique Véronique Sarret et son époux Philippe Piloz, qui est aussi derrière les fourneaux, décrivent la cuisine de L’Altiport comme une cuisine « simple, saine, mais avec de très bons produits ». En effet, la carte est élaborée en fonction de ce que le chef trouve sur le marché, des produits frais et de saison, et, d’ailleurs, les propriétaires insistent sur le fait que le restaurant propose « une carte très variable et un large éventail de suggestions ». Cette année, L'Altiport lance, en plus du menu enfant, le menu 3V : végétarien, végétalien et vegan. Le restaurant de L'Altiport veut proposer une cuisine où tout le monde se retrouve et déploie une offre culinaire qui saura satisfaire toutes les envies. Par conséquent, leur carte comporte des spécialités de montagne, des assiettes toutes simples comme une soupe à l’oignon ou des pâtes ainsi que des préparations gastronomiques revisitées avec les légumes anciens sublimés. Parmi les incontournables du restaurant, l’os à moelle servi avec des tartines aux morilles connaît toujours un franc succès auprès du public. Mais la maison a surtout forgé sa réputation avec ses plats de poissons frais et goûteux. Dégustés avec une sauce d'accompagnement, leurs saveurs n'en sont que subtilement rehaussées. Pour le dessert, tout est fait maison : allant des différentes déclinaisons de tartes, jusqu'aux gâteaux et les préparations aux fruits. Pour accompagner les plats, le restaurant propose une carte de vins mettant à l’honneur des références mondialement connues mais aussi des vins locaux qui méritent largement d’être proposés aux clients. Outre les bouteilles inscrites dans la carte, la propriétaire propose également en dégustation des bouteilles qu’elle a découvertes auprès des caves locales. ...
Voilà 20 ans que le marketing digital tourne autour d’un objectif majeur : une bonne visibilité sur les moteurs de recherche. Et voilà 20 ans, en regard de cet objectif, que Google occupe la place numéro un dans les stratégies webmarketing des entreprises. Vraiment ? Pour preuve : vous vous souvenez peut-être qu’en 2013, une panne de 5 minutes du géant du web a eu pour conséquence une chute du trafic Internet planétaire de… 40 % ! Peu surprenant, quand on sait que le moteur de recherche concentre autour de 70 % de parts de marché dans le monde, et près de 94 % rien qu’en France. Un marché est donc rapidement né de ce constat, celui du référencement naturel. Et des agences (nombreuses), qui vous proposent de donner un maximum de visibilité à vos pages dans les premiers résultats de Google – des places convoitées par tous. Parmi elle, Eskimoz : une agence encore jeune, installée à Paris, qui pense son métier de façon disruptive. Le référencement naturel vous va si bien Créée il y a cinq ans, l’agence Eskimoz s’est vite démarquée de ses concurrents. Avec un mélange de simplicité, d’évidence et de bonne volonté. C’est-à-dire en privilégiant une approche du référencement naturel à la fois pédagogique, qualitative et innovante. Il faut se remettre dans le contexte d’époque. Les acteurs du SEO pullulent et le marché s’apparente à une jungle opaque, dans laquelle les entreprises craignent de mettre le pied. Les zélotes du référencement en profitent pour instaurer une sorte d’obscurantisme technologique. C’est simple : moins les clients comprennent ce qu’il se passe, plus ils devront obéir aveuglément aux règles – et aux tarifs – imposés. Eskimoz a pris le contrepied de cette idéologie, en favorisant la collaboration avec ses clients et la transparence dans ses méthodes. Pour Andréa Bensaid, fondateur de l’agence, « une entreprise qui intègre les enjeux du référencement naturel simplifie la mise en place des actions nécessaires à l’optimisation de ses pages ». Car on ne travaille bien que si l’on saisit les tenants et aboutissants du problème. Qui s’imaginerait tenter de résoudre une énigme avec seulement la moitié de l’énoncé ? Eskimoz s’est donc attachée à communiquer au maximum avec ses clients afin de travailler en bonne entente. Pour atteindre ensemble un même objectif : gagner des places sur Google. Qualité y es-tu ? Ce désir de transparence induit un corollaire : celui de la qualité. Évidemment, il est toujours plus simple de bâcler son travail et de jeter de la poudre aux yeux quand on a tout fait pour garder ses clients dans l’ombre. Or, Eskimoz évolue en pleine lumière – et doit, par conséquent, garantir un positionnement haut de gamme. Impossible de tricher, car tout se fait en pleine lumière. Chaque action est discutable, et discutée. Chaque étape de la stratégie de référencement naturel répond à des enjeux précis. Et chaque consultant SEO travaille avec quelques interlocuteurs seulement, afin de donner le meilleur de lui-même sur tous les dossiers. C’est que le marché est rude. À mesure que Google devient plus exigeant avec les référenceurs, afin d’apporter des réponses toujours plus satisfaisantes aux internautes, les agences SEO doivent elles aussi offrir plus de valeur ajoutée. Les enjeux sont immenses. Prenez la question de l’e-réputation : en 2013, une étude Deloitte révélait que la notoriété digitale est considérée comme le risque numéro un pour 40 % des entreprises. Un commentaire négatif sur une plateforme de notation peut se chiffrer, pour un opérateur, à plusieurs centaines de milliers d’euros de pertes sèches. Et en 2016, la CNIL indiquait qu’un tiers des plaintes qu’elle reçoit ont trait au sujet. De sorte que si vous devez choisir un prestataire qui puisse protéger votre e-réputation, vous avez tout intérêt à faire confiance à une agence qui soit parfaitement à la hauteur des enjeux, comme l’est Eskimoz. Sans innovation, le SEO n’est rien Troisième pilier de ...
Le terroir du Domaine de Cadablès présente un intérêt bien particulier : les vignes sont plantées sur un volcan. « C’est ce qui apporte la minéralité à nos vins, les rendant très digestes et hors du commun », explique Bernard Isarn. Celui-ci n’a pas hésité à en faire l’acquisition en 2004, « avec la noble ambition d’y produire du vin biologique ». Une maison engagée Poursuivant sa démarche agro-environnementale, le Domaine de Cadablès signe son engagement à travers le label AB en cours et ses vins fins biologiques. La cuvée « Terre Promise » est particulièrement à découvrir. ...