Propriété du roi de France, le domaine de Bastore fut cédé le 3 juillet 1711 à Vincent de La Montaigne, un conseiller au parlement de Bordeaux. C’est de là que vient le nom « Bastor Lamontagne ». Au fil du temps, le château connait plusieurs propriétaires qui ont, chacun à leur manière, façonné son caractère si particulier. C’est en novembre 2018 que le domaine ouvre une nouvelle page de son histoire avec l’arrivée de la famille Helfrich, les nouveaux propriétaires des lieux. Un terroir prédisposé à la viticulture Depuis 2016, la propriété est en entièrement bio. Idéalement situé sur la deuxième terrasse de la Garonne, le vignoble du domaine Château Bastor-Lamontagne repose sur un terroir essentiellement gravelo-sableux avec une matrice argileuse légère et des variantes parcellaires tenant aux différentes proportions de graves. Cette typicité donne lieu à des vins présentant une belle harmonie entre finesse et acidité. Classé Grand Cru, le Château Bastor-Lamontagne est membre de l'Union des Grands Crus. Côté encépagement, celui-ci se compose majoritairement de sémillon (43,5 ha) qui apporte aux vins leur aspect fruité. Ce cépage est complété par le sauvignon blanc (4,3 ha), procurant fraicheur et vivacité, ainsi que par le sauvignon gris, cultivé en petite quantité (1,3 ha). Des vins aux arômes sensuels Au château, tout se fait d’une manière traditionnelle : de la vinification jusqu’à la mise en bouteille, en passant par l’élevage. Résultat : des vins bio dotés d’une grande élégance, à l’image de la cuvée « Château Bastor-Lamontagne » ! Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits exotiques, d’ananas confit, miellé d’acacia. La bouche est ample, soutenue par une fraicheur persistante. Un vin séduisant qui s’apprécie aisément de l’apéritif au dessert ! La cuvée « Les Remparts de Bastor-Lamontagne », quant à elle, est élaborée à partir des vignes les plus jeunes et des premières tries. Ce deuxième vin du château est plus fruité. Ses arômes de fruits associés à sa rondeur et à sa vivacité séduiront plus d’un. Enfin, la cuvée « So Sauternes » est l’illustration parfaite d’une nouvelle façon d’apprécier les vins de Sauternes. En phase avec les goûts actuels, ce vin fringant, à la fois fruité et vivace, est excellent à l’apéritif. ...
L’exploitation familiale se trouve à Meurville. Ici, Yoan Tapprest élabore des champagnes de vigneron, connus pour être parmi les plus représentatifs, cisélés et avec un caractère plus ancré. Mené en viticulture raisonnée, le domaine s’inscrit dans une démarche de qualité et de respect de la biodiversité. Des champagnes au style traditionnel Notre vigneron a opté pour la fermentation malolactique. « Cela adoucit les vins, en diminuant l’acidité et en leur conférant des arômes beurrés », affirme-t-il. Après une vinification en cuve, une partie des vins est élevée en fûts durant 12 à 18 mois, selon les caractéristiques des vins pour élaborer les assemblages propres au domaine. ...
Située sur la côte méditerranéenne, la ville de Menton a su préserver un patrimoine architectural de toute beauté. Les villas et les palaces de styles Belle Époque et contemporain se côtoient dans une parfaite harmonie, et offrent à cette cité balnéaire un charme incontestable. De plus, Menton peut être visitée toute l’année grâce à son microclimat à tendance subtropicale. Fort de tous ces atouts, Menton a su développer une offre exceptionnelle et variée pour tous les événements professionnels. Ainsi des salons, des congrès, des séminaires, mais aussi des activités sportives s’y déroulent pour le plus grand plaisir des participants (jusqu’à 500 personnes). Plusieurs sites exceptionnels pour organiser vos événements L’ancien casino de la ville a été rénové et réaménagé. Aujourd’hui rebaptisé Palais de l’Europe, il offre huit salles de 40 à 700 places, répartis sur deux niveaux. Parmi ces salles, un théâtre à l’italienne est disponible. Le palais est idéal pour l’organisation de congrès, de salons ou de séminaires. Si vous souhaitez un cadre plus original pour vos séminaires, choisissez le musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman à proximité de la mer. Ce lieu à l’architecture avant-gardiste met à votre disposition une salle privatisable pouvant accueillir 250 personnes debout et 150 assises. Quant à la salle Saint-Exupéry, ancienne église écossaise, elle est dotée d’une salle de 180 fauteuils et d’une scène de 33 m². Vous pouvez aussi surprendre vos collaborateurs en les invitant dans le sublime jardin Maria Serena à l’ombre de sa palmeraie ou dans le jardin Serre de la Madone qui dispose de salles pour de petits séminaires, mais aussi des lieux pour des réceptions. Mais la ville dispose également d’autres espaces privatifs proposés par les partenaires du bureau du tourisme d’affaires dotés d’espaces business dont cinq hôtels et un casino face à la mer. Dans tous les cas, une équipe de professionnels vous aide à mettre en place la solution la plus adaptée à votre projet. Un environnement idéal pour les affaires et la détente Dans cet environnement entre mer et montagne, vos rencontres professionnelles se dérouleront dans des conditions de travail apaisées. Le cadre naturel de la ville de Menton permet des réunions plus productives et détendues. Et pourquoi ne pas profiter également de cette superbe situation pour pratiquer une activité sportive puisqu’un large éventail a été mis en place. Un accès facile Le cœur de la ville de Menton est facilement accessible puisqu’il se situe à seulement trente minutes de l’aéroport de Nice. Il est également proche de la sortie de l’autoroute A8, et à proximité de Monaco et de l’Italie. Si vous devez séjourner plusieurs jours, la trentaine d’hôtels trois et quatre étoiles de la ville seront ravis de vous accueillir dans l'une de leurs chambres, mille au total. ...
Inscrit parmi les maisons de champagne françaises, le domaine Charles Mignon doit sa renommée à son dévouement à la qualité. Il n’exploite que les meilleurs cépages de la région, lesquels sont issus de ses propres vignobles dans la vallée de la Marne et de la Côte de Blancs, ou fournis par une cinquantaine de domaines partenaires. Des cuvées au goût du terroir Nées de la haute tradition champenoise, les sept cuvées de la maison Charles Mignon ont été cultivées avec passion, assemblées avec talent et manipulées avec rigueur. Un véritable modèle d’excellence. Le Premium Reserve Brut Premier Cru témoigne parfaitement de l’esprit de la maison. Ici, la puissance du pinot noir côtoie l’élégance du chardonnay pour donner un champagne aristocrate qui s’avère être une parfaite entrée en matière. La minéralité et la pureté sont à l’honneur, faisant le bonheur des amateurs. La cuvée Comte de Marne Brut Grand Cru mettra les épicuriens dans tous leurs états. Elle est faite de 55 % de pinot noir et de 45 % de chardonnay, les meilleurs cépages issus de terroirs classés Grand Cru. Riche et complexe, ce vin aux arômes puissants exprime la générosité de la nature. Cette cuvée trouvera harmonieusement une place à côté des mets raffinés tels que le foie gras poêlé ou les noix de Saint-Jacques. Découvrir le domaine dans la convivialité Le domaine Charles Mignon a également mis en place toute une structure à travers laquelle il invite à découvrir l’univers champenois. Une visite personnalisable est proposée au domaine, au cours de laquelle Manon Mignon, la fille de Bruno Mignon, partage ce fascinant monde avec ses convives. Elle se plaît à expliquer l’élaboration du champagne et à répondre aux éventuelles questions, le tout dans une ambiance familiale et chaleureuse. La famille prône également les mérites de la région à travers une exposition et un film mettant en scène la beauté du paysage, les machines utilisées et la méthode d’élaboration des champagnes. Afin d’octroyer une touche pétillante à la visite et aux moments de découverte, les convives sont invités à déguster les trésors de la maison. ...
9 Rue Gachet à Pau, un endroit attire irrémédiablement l’attention. Forcément, avec cette foule qui attend dehors, il est à se demander ce qui se cache derrière cette façade verte sur laquelle est marquée « Les Sardines ». Une poissonnerie ? Certainement pas. Vous connaissez beaucoup de gens qui achètent leur poisson au milieu de la nuit ? En s’approchant un peu, l’écriteau devient plus visible. Cette enseigne n’est autre qu’un bar à vins, bières et alimentation spirituelle. Déjà la notion « d’alimentation spirituelle » intrigue. A vrai dire, Les Sardines ne sont pas qu’un endroit pour boire ou manger. On y va pour chercher cette ambiance fun et branchée qui rend heureux, léger. Une propriétaire pétillante Un bar à vins. C’est tout ce qui manquait dans cette commune tranquille du sud-ouest notamment réputée pour son château et ses 750 hectares d’espaces verts. Autant dire que Lydia Becerra a trouvé le créneau gagnant en y ouvrant le sien. Fait étonnant : rien ne la prédisposait au départ à se lancer dans ce métier. Initialement spécialisée dans le domaine de la compatibilité et de la gestion, elle part plusieurs mois en Amérique Latine. Mais c’est en France qu’elle retrouve ses marques et donne naissance à son premier enfant. Sa passion pour le voyage et les découvertes aura pourtant raison d’elle. Car même si elle se plaît au pays, elle décide quand même de partir pour l’Espagne où elle ouvre son premier restaurant. L’appel de la France n’est pas loin. Sa vie, ses amies, sa famille lui manquent terriblement si bien qu’elle reprend la direction des Pyrénées-Atlantiques. Rapidement, elle repère un endroit sympa bénéficiant d’une bonne localisation qu’elle décorera avec des objets de récup’ glanés ici et là notamment des tables et chaises d’écoliers qui nous replongent en enfance. Il faut dire qu’aux Sardines, il n’y a pas que l’ambiance qui est décalée. Le décor est aussi original avec cet immense bar ou encore ce plafond habillé de planchettes de bois disposées aléatoirement pour attirer l’attention. Sur les murs, des affiches vintage rehaussent le côté rétro-chic des lieux. L’établissement est aussi pourvu d’un deuxième étage privatisable à l’ambiance plus intimiste. Bonne cuisine, bonne ambiance Ouvert du mardi au samedi de 18h à 2h, le bar à vins est devenu le haut lieu des soirées animées du Palais des Pyrénées. Déjà, il doit son succès à sa formule de restauration. La maison propose beaucoup de plats à la plancha comme les couteaux, les sardines, le chorizo, les cœurs de canard, les calamars ou les moules. La carte est également constituée de rillettes de sardines, de croquettes de jambon, de croquettes de cèpes, foie gras mi-cuit maison et autres plats succulents et conviviaux qui sont servis jusque tard dans la nuit. A ne pas manquer : l’incontournable côte de bœuf du pays basque servie avec des pommes de terre et des cèpes, rehaussée de pimientos del padro. La carte des vins est particulièrement variée. Les vins du pays et ceux du monde entier y sont présents : Chianti « When we dance » Bio, Toscana « Alberia » pour les rouges, Gewurztraminer « Wolfberger », Jurançon « Domaine Lasserre » pour les blancs, Côtes de Provence « Les Hauts de Masterel », Roussillon « Miraflor » pour les rosés. Côté boissons exotiques et cocktails, ce ne sont pas les propositions qui manquent : Diplomatico, Don papa, Mojito, Caipirinha, Gin tonic… Il y a de quoi vous faire tourner la tête. ...
En raison de sa petite taille, on pourrait presque passer à côté de cette charmante échoppe grenat. Ce qui serait vraiment dommage car de vraies pépites s’y cachent et ne se dévoilent qu’aux explorateurs les plus curieux ! Une fois entré, vous ne pouvez que succomber au charme des lieux où la spontanéité a trouvé ses lettres de noblesse. Il était une fois à Cannes En 2008, Bruno Gendarme ouvre pour la première fois les portes de La Table du Chef. Il s’y consacre pendant quelques années à proposer une cuisine simple mais savoureuse avec les produits du marché. Neuf ans plus tard, il décide de rendre les tabliers et de céder la place à une nouvelle génération pétrie de talents. L’avenir de l’établissement repose maintenant sur les épaules d’un chef très prometteur en la personne d’Omar Nimaga. Ayant fréquenté ensemble l’Atelier Maître Albert de Guy Savoy, Bruno et Omar partagent les mêmes préceptes en cuisine. La passation de pouvoir s’inscrit donc dans la continuité. Ce qui est une très bonne nouvelle pour le restaurant et surtout pour ses habitués ! Un restaurant pas comme les autres La Table du Chef se plaît à surprendre ses convives. Ici, pas de carte, le menu change tous les jours au gré de l’humeur du chef et en fonction des saisons. Les produits utilisés sont frais à souhait et proviennent en grande partie de producteurs locaux. On y sert une cuisine française authentique aux saveurs méditerranéennes. À midi, le chef propose deux entrées au choix : poisson ou viande, c’est selon l’humeur. Le soir, un menu surprise est suggéré. La dégustation se décline en quatre plats : une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert qui changent tous les jours en fonction de la saison et des produits du marché. Si vous appréciez les produits marins, la dorade royale est à essayer absolument. Pour les amateurs de viande, ce sera du canard ou du bœuf. Pour accompagner le tout, une carte de vins des plus éclectiques : bourgogne, bordeaux ou languedoc sont cités parmi les références ! ...
La production a fait son nid dans le charmant village d’Aӱ, qui est installé au pied des coteaux des vins de Champagne. Les champagnes Gosset, aujourd’hui plébiscités par les plus grandes tables, sont un symbole d’un art de vivre mêlant délicatement passion et savoir-faire. Des vins au cœur de l’Histoire Jean Gosset (1484-1556), « Seigneur d’Aӱ et de Mareuil », est l’instigateur de toute cette aventure. Il transmet à sa descendance la passion pour le vin qui, au fil des générations, devient une véritable identité familiale. En 1584, Pierre Gosset, petit-fils de Jean, décide de fonder sa propre entreprise de négoce, axée principalement sur la commercialisation de vins rouges. Cette initiative permet à la famille d’entrer dans la corporation des marchands de vin. Trois siècles plus tard, l’entreprise familiale se transforme en une société anonyme dénommée « Champagne Gosset », un projet concrétisé par André Gosset en 1952. À son décès, son épouse Susanne le succède à la présidence. Elle apporte une touche personnelle à la production, en présentant son champagne rosé arborant un style glamour et féminin. Claude Gosset est celui qui contribuera à faire entrer les champagnes Gosset dans l’ère de la modernité et de la qualité à partir de 1970. En 1993, les Gosset confient les clés de la maison au groupe Renaud Cointreau. Conscients de la valeur de l’identité familiale, les nouveaux propriétaires décident de conserver le style Gosset, tout en apportant un brin d’innovation. Quand savoir-faire rime avec passion En 2009, les Cointreau déménagent la production à Épernay, dans un chai grandiose et up-to-date. Le nouveau domaine se dote de bâtiments du XIXe siècle qui renferment 1,7 km de caves pouvant accueillir 2,5 millions de bouteilles. Ce fut un véritable plaisir pour Jean-Pierre Mareigner de mettre ses talents de chef de cave au service d’une maison aussi prestigieuse. Pendant 33 ans, ce virtuose des vins se révèle comme le garant de l’excellence des cuvées, en misant sur un style de fermentation « sans malo ». Jean-Pierre Mareigner a énormément contribué à la notoriété de la maison Gosset, dont le savoir-faire a été labellisé « Entreprise du patrimoine vivant » (EPV) en 2013. Aujourd’hui, Odilon de Varine reprend les rênes en cave avec autant de dextérité que son prédécesseur. La Présidence de la Maison GOSSET est assurée depuis 2007 par Jean-Pierre Cointreau. ...
Une harmonie délicate, sans ostentation Pour aller au-devant des voyageurs et mieux les recevoir, la maison a été construite sur ses volumes d'origine : des volumes simples ultra spacieux, aux murs blancs éclairés d'immenses fenêtres. Inondés de lumière naturelle, chaque volume, chaque détail, chaque meuble, chaque équipement a été choisi avec précaution. Avec autant de précision, les matériaux et les tissus contentent le regard et le toucher. Pas de chiqué, du simplement beau et utile, une harmonie délicate, sans ostentation. Des chambres d'une élégance affirmée Temple du bien-être nouvelle génération, l'Hôtel Particulier Béziers ne comporte que 9 Chambres – Suites. Ultra spacieuses et lumineuses, elles portent la signature d' un style épuré, intemporel et élégant sans jamais être guindé. Espaces ouverts sur des salles de bain très confortables, ou espaces intimes plus cocooning, chacun peut choisir son expérience et jouer sa partition. Les équipements et commodités sont issus du monde du luxe : baignoires balneo lumineuses au centre des chambres, literie « king size » signée André Renault, linge de lit en satin de coton soyeux…. Des Soins relaxants pour le corps et le visage, pouvant même être proposés en Duo, sont dispensés par de mains expertes et peuvent compléter agréablement un séjour. On y va donc pour décompresser, pour s'occuper de soi et/ou partager ces jolis moments avec ses proches.... « Soyez les bienvenus », Le choix d'un nombre très limité de chambres a été volontairement choisi et assumé afin de garantir à chaque hôte, un accueil de qualité. Il correspond à cette quête d'authenticité et d'émotion que ces nouveaux codes du luxe de l'hôtellerie nous offrent de manière inestimable. Chaque client est écouté, choyé, accompagné dans ses moindres désirs. Nous parlons là d'un art de vivre , à la fois si personnel, si exigeant, si sensible et esthétique... qui se résume finalement en 2 mots simples : Luxe et Bonheur ! ...
Ingénieur en génies des procédés, Hervé Grangeon a vécu une longue carrière dans le secteur de l’industrie. Fort de son background professionnel, ce fervent passionné de whisky décide alors de se mettre à son compte et de lancer son entreprise en 2015 après une formation au Centre International des Spiritueux à Segonzac. À la Distillerie Ergaster, il fabrique une sélection de whiskies et de gins, dont l’Herboriste, un nectar aux beaux reflets d’or qui incarne finesse et juste équilibre des arômes. Le gin Herboriste, comme une invitation au voyage 100 % bio, sans ajout de sucre, de colorant ni d'arôme et issu d’un procédé de fabrication artisanale, Herboriste est un dry distilled gin obtenu à partir de baies de genièvre très aromatiques, ramassées manuellement sur les hauts plateaux de Lozère, les Causses. Les baies sont associées à d’autres aromates très puissants tels que le cumin et la coriandre. Un processus de macération à base de citronnelle est ensuite réalisé pour apporter des saveurs inédites qui s’achèvent par un réglissé de gentiane. À l’œil, Herboriste dévoile une belle couleur aux reflets dorés obtenus grâce à cette association avec la citronnelle. Au nez, il se veut intense, expressif avec des arômes de fruits et d’épices. Toute la magie s’opère au moment de la dégustation. La bouche est à la fois suave, généreuse et capiteuse avec une longue persistance et une intensité marquée. À boire seul ou à sublimer en cocktail Herboriste apporte une touche de gourmandise à toutes les tablées. Il accompagne à merveille une cuisine méditerranéenne ou des spécialités orientales comme la Tajine de joue de bœuf aux pruneaux et amandes ou la Tajine d’agneau. Boisson apéritive et festive par excellence, Herboriste se déguste idéalement sous forme de cocktails. Pour préparer un rafraîchissement puissant et volumineux en bouche, rien de tel que de l’associer avec une Ginger beer, quelques zestes de Pomelo et quatre à cinq glaçons. ...
PALM HOTEL & SPA est implanté dans la partie Sud de l’île de La Réunion, région la plus authentique et encore sauvage. C’est l’endroit idéal pour passer un séjour des plus relaxants et vivre de vrais moments de sérénité et d’évasion. Le Sud sauvage et ses merveilles Le sud représente la partie encore vierge de l’île. Les visiteurs y découvrent le charme d’une nature tropicale intacte où la luxuriance de la végétation ne fait qu’accentuer la sensation d’immensité et d’espace. En empruntant une petite route qui longe quelques champs de cannes à sucre, les visiteurs débouchent sur une jolie baie entourée de sable corallien, bordée de palmiers et de cocotiers. La beauté de l’endroit est tout simplement époustouflante. Niché sur les hauteurs d’une falaise, PALM HOTEL & SPA offre aux visiteurs une vue panoramique sur la baie de Grand’ Anse et ses alentours. Un endroit paradisiaque Point de départ privilégié pour l’exploration de nombreux sites inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, PALM HOTEL & SPA s’établit dans un lieu à couper le souffle mêlant luxuriance, charme et nature tropicale. Jouissant d’une vue panoramique exceptionnelle, les visiteurs s’imprègnent de l’ambiance à travers toute une palette de couleurs qui s’offrent à leurs yeux ébahis. D’un côté la mer et son bleu intense et de l’autre des nuances de verts avec la montagne, les fleurs et les champs de canne à sucre. Un décor empreint d’authenticité Dans un somptueux jardin aux allures de cartes postales, les hôtes évoluent à travers une multitude de palmiers endémiques. Dès leur entrée dans le hall de la réception, ces derniers remarquent une charpente qui rappelle celle des anciennes demeures créoles. Un mur bâti en pierre de lave, une cloison de bois ajourée, des paillottes en vétiver ou encore des bardeaux sur les toits, ici la décoration s’embellit avec de petites touches réunionnaises. De luxueuses chambres dans une ambiance cocooning En tout, 4 catégories de chambres sont proposées par l’établissement : les chambres de luxe, les chambres supérieures, les suites familles et les suites classiques. Leur point commun ? Outre leur exotisme et leur raffinement, elles offrent une vue imprenable sur la baie de Grande Anse et sa belle plage de sable blanc. A l’intérieur des chambres, le décor revêt un style contemporain original mêlant exotisme et raffinement. Les portes et le plancher accueille des matières nobles comme le palissandre, le tatajuba ou encore l’Ipé. Les salles de bains sont dotées de doubles vasques en marbre. Bref, tous les ingrédients sont réunis pour faire de ces lieux, de véritables havres de paix. Un établissement engagé Conscient de l’importance de l’environnement sauvage dans lequel il est implanté, PALM HOTEL & SPA a entrepris une démarche visant à le préserver de manière durable. En effet, l’établissement s’est engagé en faveur d’un tourisme responsable et est certifié «Ecolabel Européen, services d’hébergement touristique». L’utilisation d’énergies renouvelables, le tri et la réduction des déchets, la gestion de la consommation de l’eau ainsi que la promotion du circuit court, tels sont les engagements écologiques pris par l’établissement afin de contribuer au développement durable de la région. ...
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Construit en 1750, le Château de La Dauphine rayonne aujourd’hui de par son histoire, sa philosophie de travail, la qualité de ses vins et son dynamisme en matière d’œnotourisme. Incontestablement, cette culture de l’excellence placée à tous les niveaux fait de ce domaine un des fleurons de l’appellation Fronsac. Le respect de la Nature Implanté sur les coteaux de Fronsac, le vignoble de 53 ha se compose majoritairement de merlot (85 %) et de cabernet franc (15 %). Le domaine, certifié bio depuis 2015, prône une méthode culturale respectueuse de l’environnement à travers la pratique de la biodynamie. Un choix justifié par le souci de replacer la vigne dans un milieu où elle puisse se développer en parfaite symbiose avec la Nature environnante. Afin de favoriser cet « échange », un projet ambitieux a été mené consistant à reconstituer la biodiversité autour des vignes. Plantation d’arbres et de haies, mise en place de ruches et de nichoirs à oiseaux, conception de points d’eau, réinsertion d’animaux… Tout est fait pour créer un équilibre naturel dans lequel la vigne ne sera qu’un élément d’un vaste ensemble végétal. Côté vinification, le domaine se dote d’outils modernes à la pointe de la technologie tels que les cuviers circulaires à gestion gravitaire. Ceux-ci permettent d’avoir une totale maitrise de la vinification parcellaire. Un vin à l’image d’un grand cru classé Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Château de La Dauphine 2015 » sort du lot. « Il s’agit de notre premier millésime certifié bio à la suite de 3 années de conversion », souligne Marion Merker, responsable œnotourisme et Brand Ambassador. Issu d’un assemblage de merlot et de cabernet franc, ce vin présente un nez très élégant avec des notes de fruits rouges mûrs associées à quelques touches d’épices. En bouche, rondeur et souplesse caractérisent ce grand millésime doté d'un excellent potentiel de garde. Le 15 avril 2019, à l’occasion de la réouverture des appartements du dauphin et de la dauphine de France au château de Versailles, le Château de La Dauphine a été l’unique vin autorisé à être servi pendant la soirée de l’inauguration. Preuve que cette cuvée est à classer dans les hautes sphères des vins d’exception. Un domaine qui excelle dans l’œnotourisme Étant un des acteurs les plus dynamiques de l’œnotourisme dans la région, le Château de La Dauphine multiplie les offres de qualité qui sont régulièrement récompensées. « Au concours Best of Wine Tourism, nous avons obtenu 3 Best Of d’or dans différentes catégories », précise la responsable. En 2018, le domaine s’est, par exemple, illustré dans la catégorie « Valorisation œnotouristique des pratiques environnementales » grâce à son offre « Visite nature ». Un riche parcours proposant une balade écologique à la découverte des actions éthiques et environnementales de la propriété. L’exploration commence dans les vignes. « Nous expliquons aux visiteurs les typicités de notre terroir, le cycle végétatif de la vigne et certaines de nos pratiques environnementales », nous dévoile-t-on. La visite s’enchaine ensuite à l’atelier biodynamique, véritable « sanctuaire » dédié à ce mode cultural qui repose avant tout sur le respect du vivant. Là, les visiteurs sont initiés à la biodynamie et découvrent les ustensiles, les plantes et différentes préparations. « Tous les ingrédients de la biodynamie y sont présents, les gens peuvent toucher, sentir », rapporte Marion Merker. La promenade se poursuit au rucher, qui se compose d’une dizaine de ruches, une autre manière pour le domaine de contribuer au biotope étant donné le rôle essentiel des abeilles dans la pollinisation. Puis le parcours mène les promeneurs dans un potager planté sur le principe de la permaculture (forme d’agriculture ayant pour but de développer des modes de vie qui...
Fondée il y a 32 ans par Vincent Fonvieille, La Balaguère tire son nom d’un vent chaud venu d’Espagne voire de bien plus loin. Spécialiste de la randonnée dans les Pyrénées, le tour opérateur est très fortement engagé dans le développement durable de ce territoire. Acteur reconnu et impliqué, il intervient à différents niveaux de la vie locale et régionale. Tout d’abord, en tant qu’agent économique, car le tourisme développé est solidaire et concerne beaucoup d’autres acteurs tels que les accompagnateurs, les commerçants, les hébergeurs ou encore les transporteurs. Mais il remplit également un rôle d’animation, de formation, social, en participant à la vie locale, dans sa vallée, son département et surtout à l’échelle du massif pyrénéen. Le rôle majeur de La Balaguère dans les Pyrénées est surtout d’initier et de réaliser des projets, des regroupements, des événements, dont Eldorando, le festival International de la randonnée. Un engagement labellisé en faveur du tourisme responsable Membre fondateur d’"Agir pour un Tourisme Responsable" (ATR), La Balaguère a été la première entreprise à se mobiliser pour tenter d’obtenir ce nouveau label, ce qu’elle a brillamment réussi au début du mois de Mars 2016. Grâce à quatre engagements majeurs pris. En premier lieu, elle fournit au client une information claire et transparente, le sensibilise au tourisme responsable, (diffusion de la charte éthique du voyageur), l'informe sur le respect de l'environnement, du patrimoine, des cultures locales, et prend en compte ses observations à ce sujet. Ensuite, dans le pays de destination, la société a privilégié le recrutement local, formé et sensibilisé les équipes au tourisme responsable, s'engage envers les prestataires dans une relation durable, et soutient activement et financièrement le développement local. Le troisième point concerne les prestataires au niveau local : sur le plan social, La Balaguère respecte des conditions de travail correctes pour les employés, et met en place une politique de gestion des déchets et des ressources naturelles. Enfin, elle applique ces règles au sein même de l'entreprise, en formant le personnel au tourisme responsable, en manageant par la communication, en ayant un système de partage de la valeur ajoutée et en appliquant une politique de gestion environnementale. Une offre complète, variée et adaptée La Balaguère définit la qualité de son offre de randonnées par l’ancrage au territoire mais aussi par la découverte respectueuse à pied ou à vélo d’un massif ou d’un pays. Ainsi, le tour opérateur constitue des petits groupes de 5 à 15 personnes et a mis en place des guides locaux et une organisation locale dans chaque pays. En somme, des prestations et un service de qualité fournis en échange de prix justes, permettant une rémunération équitable de la chaîne des acteurs. Le service proposé par La Balaguère se distingue aussi par une forte tendance à l’innovation et à l’originalité. Notamment, en ralentissant la cadence de la marche et en donner du sens à l’itinérance. Fidèle à son ancrage, La Balaguère est fortement spécialisée sur le massif des Pyrénées, mais s’est aussi porté sur d’autres destinations de cœur sans logique précise, comme le Maroc, la Mauritanie, le Mali, l’ile de Madère, les Canaries, le Cap Vert, le Sri Lanka, le Liban, Jordanie, la Colombie, le Cambodge, l’Inde, le Népal, la Tanzanie, la Thailande ou encore le Vietnam. ...
Entre Agde et Pézenas, vallées, mer et volcans se partagent la terre sur pratiquement 40 kilomètres, influant directement sur la vie géologique et l'expressivité des vignes. Plus de 90 domaines et caves coopératives unissent les 20 communes de l’agglomération et donnent à explorer un passionnant parcours œnologique, fort de 3 Appellations d’Origines Protégées (AOP) et de 5 Indications Géographiques Protégées (IGP). La nature s’exprime ici pleinement, révélant ses précieux jeux d’arômes. Des vins minéraux du bord de mer aux vins d’arrière-pays plus charpentés : le savoir-faire des domaines s’accorde avec leur environnement, riche de cépages emblématiques. Clairette du Languedoc et autres savoureux cépages à associer aux produits du terroir La clairette du Languedoc est l’une des plus anciennes AOC de France (1948) et poursuit une belle épopée commencée il y a 2000 ans. Son histoire s’est révélée suite à des recherches archéologiques sur des sites gallo-romains. Le piquepoul est le cépage blanc le plus répandu de la destination en terme de superficie cultivée. Traditionnellement utilisé en monocépage, en accord avec les fruits de mer, son emploi a été revisité depuis. Elevage en fût de chêne, effervescence ; assemblage avec des cépages tels que la roussane et le vermentino, les vignerons de cette appellation ne cessent de se réinventer. Entre cépages endémiques et originaux, les Indications Géographiques Protégées (IGP), plus souples que les AOC, dévoilent une véritable palette de Cézanne, tendue vers l’inventivité. Aujourd’hui, les domaines redoublent d’inspiration pour sublimer ces cépages : le gewurztraminer alsacien prolonge sa maturité grâce à l’ensoleillement méditerranéen, le terret blanc originaire du pourtour du bassin de Thau, un tant soit peu oublié, accompagne désormais les huîtres. Parmi les cépages rouges, il faut citer les immanquables : grenache, syrah, mourvèdre, carignan, grands classiques du Languedoc. D’origine espagnole, l’alicante et le tempranillo, sont audacieusement repris par des vignerons, livrant des notes tanniques. Le pinot d’origine bourguignonne et le petit verdot d’origine bordelaise s’inscrivent également dans ces nouveaux rouges légers et subtils. Cette palette d’arômes évoque autant le terroir que l’imagination. Les vignerons et producteurs ont matière à faire plaisir et à rendre à dame nature toute la noblesse de son œuvre. La créativité est ici devenue un art, ce délicat travail du maître de chai, à l’écoute des fruits de ses vignes épanouies, entre garrigue et bord de mer. ...
Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle. Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine. Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée. Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie. Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence. Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages. Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins. Un virtuose de romantisme culinaire Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin. Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne. Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales. L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine. ...
Le Château du Clos Lucé se divise en trois parties bien distinctes. Le manoir avec sa façade en briques roses et ses pierres blanches, demeure mise à disposition par François Ier pour Léonard de Vinci, le parc Leonardo da Vinci avec ses maquettes grandeur nature des œuvres et inventions du génie et le Jardin de Léonard reproduit selon les croquis de botanique, fruit de l’imagination de cet homme d’esprit universel. 1516-1519, 2016-2019… Les années 2016 à 2019 sont à marquer d’une pierre blanche pour le Château du Clos Lucé car elles correspondent au 500e anniversaire de l’arrivée de Léonard de Vinci à Amboise où il vécut de son arrivée en 1516, jusqu’à sa mort en 1519. A cette occasion, le château du Clos Lucé rend hommage à l’histoire française des œuvres et travaux réalisés par ce grand homme ainsi qu’à ses idées et ses valeurs humanistes. En 2016, en première mondiale, les ateliers vivants du grand maître sont restitués et « achèvent la campagne de restauration qui dure depuis près de 60 ans » comme l’explique Irina Metzl, du service communication. Pendant l’été, les Nocturnes du Clos Lucé sont une occasion d’appréhender l’art sous diverses formes et de faire revivre l’esprit de la fête de Léonard de Vinci. Le château accueille aussi chaque année le Festival Européen de Musique Renaissance. Sur trois jours, le public a le plaisir de découvrir une facette méconnue du génie toscan ses talents de musiciens. La 11e édition en 2016 offre une programmation d’œuvres et créations inédites de Doulce Mémoire, de l’ensemble Vedado & la mezzo-soprano Latana Phoung et du Quatuor Van Kuijk. Du Clos Lucé au Louvre, les trois chefs-d’œuvre de Léonard de Vinci Cette exposition temporaire met en lumière l’histoire française des trois chefs-d’œuvre dont Léonard de Vinci n’a jamais voulu se séparer depuis son départ d’Italie, à savoir La Joconde, La Vierge, l’Enfant Jésus et Sainte-Anne, et le Saint-Jean-Baptiste. Elle se tient du 17 juin au 15 novembre 2016 et a été mise en place grâce au commissariat d’Alessandro Vezzosi du Museo Ideale à Vinci, en Italie, et en partenariat avec le Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France, du Louvre. En 2017, Léonard de Vinci organisateur des fêtes royales Un aspect moins connu de l’artiste aux mille facettes qui se révèle un Maître dans l’art d’organiser pour François 1er – Roi de France – et sa cour des fééries nocturnes, des spectacles qui faisaient appel à son génie créateur pour créer l’illusion, éblouir et donner à rêver. L'objectif était également pour le Roi de montrer sa puissance, de faire rayonner son image au sein des cours d’Europe dont les Ambassadeurs étaient des invités de marque. De la restitution de la Victoire de Marignan à la Fête du Paradis, effets spéciaux et jeux de lumières illustrent tout le génie de Léonard de Vinci inscrit dans son histoire française au Château du Clos Lucé, sa dernière demeure." ...
A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...
On le dit peu, mais l’Etat recrute encore ! « Et notamment des cadres, insiste François Chambon, directeur de l’Institut Régional d’Administration de Metz (IRA). Les administrations engagent des réformes, et justement, elles ont de plus en plus besoin d’attachés d’administration pour les piloter. » Pour préparer les futurs cadres de l’Etat à assumer leurs fonctions et leur mission de service public, il y a l’IRA. Soit cinq établissements en France, situés à Lille, Lyon, Nantes, Bastia… et Metz. L’établissement messin accueille des étudiants de la toute nouvelle région Grand Est, ainsi que d’Ile-de-France. Trois voies de recrutement existent. Le concours externe pour les étudiants d’un minimum de bac + 3 (même si la plupart sont dans les faits titulaires d’un Master 1 ou 2) attire chaque année environ 700 candidats qui passent les épreuves entre février et mai. Seuls 70 d’entre-eux sont admis. Le concours interne est accessible aux fonctionnaires qui ont au moins quatre ans de service public : une cinquantaine rejoignent l’IRA chaque année. Enfin, il y a le Troisième concours, ouvert aux salariés du privé ou à ceux qui ont exercé un mandat électif pendant au moins cinq ans : 7 à 8 personnes intègrent la promotion de l’IRA par ce biais.« Nous avons donc ainsi 130 personnes par promotion, avec des profils et des âges très variés, du jeune étudiant au quinquagénaire qui souhaite donner une nouvelle orientation à sa carrière ». La formation s’effectue ensuite durant une année… mais elle n’est pas seulement théorique. Quatre mois de stage sont obligatoires afin d’appliquer les compétences acquises. Cette année est rémunérée : les élèves externes bénéficient d’un traitement mensuel brut d’environ 1 590 €, les élèves interne ou issus du troisième concours touchent en moyenne à 1 770 €. Administration scolaire, centrale ou territoriale A l’issue de la formation, les élèves deviennent attachés d’administration. « Trois univers principaux s’ouvrent à eux, reprend François Chambon. L’administration scolaire et universitaire pour administrer le système éducatif français ; l’administration territoriale de l’Etat, c’est-à-dire les préfectures, sous-préfectures, directions régionales comme la Direccte ou la Dreal, où ils mettent en place les politiques publiques ; l’administration centrale, c’est-à-dire les services centraux à Paris, dans les différents ministères où ils participeront à des missions d’expertises, et à l’élaboration des projets de lois, de décrets, etc ». Les domaines d’intervention sont variés : ressources humaines, gestion budgétaire, juridique, management, etc. « A la sortie, chacun de nos élèves - sous réserve qu’il ait réussi sa formation – se voit proposer un poste par l’administration. Chaque années, les élèves ont eu des affectations essentiellement réparties entre le Grand Est et l’Ile-de-France.» Une formation à l’IRA permet aussi d’accéder à de plus hautes fonctions à terme : par la voie de la promotion interne et par concours, les attachés d’administration peuvent ensuite devenir directeur de préfecture, administrateur civil, sous-préfet, conseiller de tribunal administratif, conseiller de chambre régionale des comptes ... ...
Lancée par d’anciens camarades de fac, l’enseigne Mets Vins apporte un vent de fraîcheur dans le concept de dégustation. Pas besoin de se déplacer pour goûter à un cru ou à une singularité gustative régionale. Une box, livrée chez soi chaque mois, et place à une profusion de découvertes gastronomiques et œnologiques des plus originales. Concentré de plaisirs du palais en box Un site Internet. Un onglet pour s’abonner. Un coffret d’épiceries fines assorties d’une bouteille de vin livré au domicile du client chaque mois. L’approche adoptée par Romain Palayret et consorts pour faire (re)-découvrir les finesses de notre terroir est d’une grande simplicité et d’une imparable efficacité. Le focus est mis sur une région différente à chaque livraison qui compte entre 3 et 5 colis d’épiceries fines : confits, épices, confiseries, condiments ou autres. Les accords mets & vins sont disponibles en deux versions : « Terroir français » et « l’Excellence ». « Entre 2 vins », coffret destiné aux amateurs de vins inclut plutôt, comme l’appellation le suggère, deux bouteilles différentes. La composition de ces fameux box découle d’un long travail d’exploration, de dégustation et de sélection des articles à inclure, parmi les offres des producteurs. Un guide Mets Vins en bonus Les paquets mensuels expédiés par Mets Vins incluent également un guide informatif. L’occasion d’en découvrir plus sur la région d’origine des produits, ses appellations, les caractéristiques organoleptiques du vin. Ce feuillet pédagogique inclut encore tout ce qu’il faut savoir sur le domaine dont est issu le cru ainsi que la description des épiceries fines et de leurs producteurs. ...
Novembre 1989. Une annonce publiée dans l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur fut le déclencheur d’un nouveau projet de vie, un challenge que Pierre Carle et son épouse, Éléna, réussirent avec brio. Petit, Pierre Carle passait ses vacances chez ses arrières-grands-parents et sa grand'mère, des passionnés de la vigne et anciens négociants en Cognac et vins, qui habitaient Saint-Emilion. Bercé par ce souvenir d’enfance, il a continué à nourrir le rêve de devenir vigneron. Après avoir fait des brillantes études pour faire carrière dans l’industrie ferroviaire, il s’installe avec sa femme et ses enfants dans le XVIIe arrondissement. Mais son rêve de gamin continue de titiller son esprit. « Je me suis dit que si l'on n’essaye pas alors on risque de le regretter toute notre vie », se remémore Pierre Carle. Après un an et demi de recherche, il tombe littéralement sous le charme de cette propriété du Périgord. Un domaine de 34 hectares, un château typique du XVIIe siècle, un sol peu fertile et très minéral rivalisant avec celui de Saint-Émilion, autant d’atouts qui font mouche auprès du couple. Le vignoble S’étendant sur vingt hectares, le vignoble est établi sur des coteaux argilo-calcaires et jouit d’un climat océanique tempéré. « Du point de vue de la configuration, notre terroir est semblable à celui de Saint-Émilion », décrit Pierre Carle. Le domaine travaille en appellations Bergerac rouge, rosé et blanc sec, Côtes-de-Bergerac blanc moelleux et Saussignac blanc liquoreux. Les vins sont obtenus à partir des cépages phares de Bordeaux : le merlot, le cabernet sauvignon et le cabernet franc pour le rouge, en blanc : le sémillon, la muscadelle et le sauvignon. Les vins bergerac rouges affichent des petits rendements et sont conçus à partir de raisins vendangés plus ou moins tardivement selon les cépages. Par la suite, ils sont élevés pendant au moins vingt mois, le temps de bien affiner la structure des vins. Les vins en appellation Bergerac sec subissent un long élevage sur lies, de douze à trente mois afin de dévoiler parfaitement toute la complexité et l’intensité de leurs arômes. Enfin, le Saussignac est un vin liquoreux, plus sucré, de longue garde qui développe un arôme très riche. Son élaboration est définie par l’un des plus rigoureux décrets d’AOC en France et exige du jus de raisin très concentré et l'absence de toute méthode artificielle d'enrichissement. Une agriculture biologique Le vignoble du château Chabrier a été certifié bio en 1999 bien que Pierre Carle, en tant que précurseur, ait pratiqué l’agriculture bio bien avant. Au départ, le domaine a évolué dans le sens d’une viticulture raisonnée : n’intervenir dans le traitement des vignes uniquement lorsque cela est indispensable. Cependant, cette pratique connaît ses limites et expose les employés à certains risques d’allergies et d’intolérances. Le propriétaire a donc décidé d’arrêter définitivement les produits issus de la chimie de synthèse, néfastes autant pour l’environnement que pour l’homme. « Le meilleur des insecticides reste les insectivores, ça marche tout seul et c’est gratuit… C’est comme ça que faisaient ma grand'mère et mon arrière-grand-père à l’époque », reprend Pierre Carle avec grande conviction. Il préfère laisser l’équilibre naturel de l’écosystème faire son travail dans les vignes. Les produits de traitement de sol et de la vigne autorisés sont ceux d’origine minérale et végétale uniquement. D’ailleurs, le propriétaire rappelle que les meilleurs millésimes du siècle dernier, en 28, 47, 49 ou 55 sont tous issus d’une agriculture biologique. Avec cette démarche axée sur la préservation du sol et de l’environnement, le domaine se contente fièrement de ses rendements « plus faibles qu’ils ne le devraient » pour réaliser des vins de haute qualité. Les cuvées emblématiques Le Gros-Caillou, appellation...
Une entrée sur l’histoire de la Ville L’établissement intègre un espace patrimonial situé au cœur du bâtiment, face à l’enceinte gallo-romaine. Produit et mise en oeuvre dans le cadre du label Ville d’art et d’histoire, l’espace patrimonial permet de découvrir la construction et l’évolution de la ville depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours. Pensé comme une expérience, cet espace offre différents outils ludiques à expérimenter en famille. Un lieu de médiation de l’art La programmation du Quadrilatère associe une politique d’expositions temporaires, un programme culturel et éducatif à destination d’un large public. Les expositions monographiques ou collectives présentent des oeuvres et recherches artistiques contemporaines et accompagnent l’évolution des pratiques artistiques. Proposée comme des temps de rencontre entre les oeuvres et le public, la programmation culturelle se construit autour de dispositifs de médiation et d’accompagnement à la découverte de l’art contemporain. Une équipe aux petits soins pour le public L’équipe du Quadrilatère utilise son imagination afin de proposer des actions de médiation innovantes. Le but étant de rendre accessible au plus grand nombre la découverte des arts et du patrimoine. Pour cela, les expositions et les médiations favorisent souvent l’expérience, qu’elle soit artistique, scénographique, chorégraphique, ou gustative et toujours conviviale! ...
Président de Kapt, agence spécialisée dans le tourisme digital, Sébastien Guardiola lance KooKooning en 2015. Ce site propose un service de réservation d’hébergements et d’activités basé sur un panel de thématiques : vacances en famille, séjour détente et bien-être, vie de célibataire… Ainsi, pour organiser les vacances parfaites, les voyageurs n'ont qu'à choisir leur activité préférée ou une envie (spa, œnologie, randonnée, visites...) et la plate-forme se charge de leur trouver un hébergement offrant l'activité en question sur place ou à proximité. Avec Kookooning, les séjours se préparent désormais selon un centre d'intérêt et c'est ce qui fait toute la différence ! Une escapade riche en découvertes Entre trouver une offre répondant à ses attentes et rechercher un hébergement correspondant à son budget, la préparation d’un séjour n’est pas toujours aisée pour celui qui voudrait s’initier à la menuiserie, ou encore découvrir les joies de l’apiculture tout en changeant d’air. Chez KooKooning, « le client a toutes les clés en main pour un séjour réussi autour d’une passion », affirme Sébastien Guardiola. À travers la France métropolitaine et dans les DOM-TOM, son site propose au total pas moins de 6 500 annonces d’hébergement et d’activités liées à la détente, la nature, les produits du terroir, la restauration, ou encore les loisirs familiaux. Si les loisirs créatifs étaient très recherchés au départ, aujourd’hui la demande s’oriente davantage vers les activités artisanales, et le fondateur de KooKooning entend bien mettre en avant les offres en la matière. Le tourisme pour valoriser le savoir-faire local Grâce à l’appui de l’accélérateur de tourisme national Open Tourisme Lab dont la campagne débutera à la fin du premier semestre 2018, Sébastien Guardiola espère concrétiser au mieux ce projet, si bien que « l’objectif à présent est de faire décoller le chiffre d’affaires de l’entreprise étant donné que notre offre en hébergements et activités est déjà assez importante », confie-t-il. Mais au-delà de l’essor financier, KooKooning cherche à soutenir le travail des artisans afin de faire perdurer leurs activités et de faire vivre l’économie locale. D’après le fondateur, « les loisirs artisanaux ne sont pas assez développés dans le secteur du tourisme ». ...
De précieux documents attestent que le Château de Pravins est un domaine viticole dès 1251. Aujourd’hui, c’est Isabelle Brossard qui en assure la gestion, aidée de Vladimir Vallat. Isabelle a repris l’exploitation en 2005 et s’attache, depuis, à mettre en avant une viticulture respectueuse de l’environnement. Un terroir ancestral Ce vignoble de 5 ha d’un seul tenant est implanté sur un terroir ancien présentant des sols argilo-limoneux. Sur ces terres fertiles s’épanouissent de très vieilles vignes de gamay et également de chardonnay. Depuis 2013, le domaine est mené en agriculture biologique. Pour favoriser la biodiversité, les vignes côtoient 4 ha d’arbres champêtres. Désherbage naturel, utilisation d’engrais organiques, travail du sol… font, entre autres, partie des efforts fournis en vue de préserver la Nature. Côté vinification, les interventions sont limitées au minimum. En effet, celles-ci doivent se dérouler de la manière la plus naturelle possible. Des cuvées uniques Grâce à la richesse de son terroir, cet ancien domaine viticole propose des vins à part. En tout, la maison confectionne 3 gammes : La Grande Réserve, L’Argile ardente et Les Moraines. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Les Moraines 2015 » est la plus représentative. Issu de vieilles vignes de gamay, ce vin dévoile un nez sur les petits fruits rouges et noirs bien mûrs. En bouche, on retrouve toute la puissance des arômes. Il accompagnera parfaitement différents plats comme le gibier au gratin de légumes mais aussi, par exemple, le fromage de chèvre. ...