Voilà 20 ans que le marketing digital tourne autour d’un objectif majeur : une bonne visibilité sur les moteurs de recherche. Et voilà 20 ans, en regard de cet objectif, que Google occupe la place numéro un dans les stratégies webmarketing des entreprises. Vraiment ? Pour preuve : vous vous souvenez peut-être qu’en 2013, une panne de 5 minutes du géant du web a eu pour conséquence une chute du trafic Internet planétaire de… 40 % ! Peu surprenant, quand on sait que le moteur de recherche concentre autour de 70 % de parts de marché dans le monde, et près de 94 % rien qu’en France. Un marché est donc rapidement né de ce constat, celui du référencement naturel. Et des agences (nombreuses), qui vous proposent de donner un maximum de visibilité à vos pages dans les premiers résultats de Google – des places convoitées par tous. Parmi elle, Eskimoz : une agence encore jeune, installée à Paris, qui pense son métier de façon disruptive. Le référencement naturel vous va si bien Créée il y a cinq ans, l’agence Eskimoz s’est vite démarquée de ses concurrents. Avec un mélange de simplicité, d’évidence et de bonne volonté. C’est-à-dire en privilégiant une approche du référencement naturel à la fois pédagogique, qualitative et innovante. Il faut se remettre dans le contexte d’époque. Les acteurs du SEO pullulent et le marché s’apparente à une jungle opaque, dans laquelle les entreprises craignent de mettre le pied. Les zélotes du référencement en profitent pour instaurer une sorte d’obscurantisme technologique. C’est simple : moins les clients comprennent ce qu’il se passe, plus ils devront obéir aveuglément aux règles – et aux tarifs – imposés. Eskimoz a pris le contrepied de cette idéologie, en favorisant la collaboration avec ses clients et la transparence dans ses méthodes. Pour Andréa Bensaid, fondateur de l’agence, « une entreprise qui intègre les enjeux du référencement naturel simplifie la mise en place des actions nécessaires à l’optimisation de ses pages ». Car on ne travaille bien que si l’on saisit les tenants et aboutissants du problème. Qui s’imaginerait tenter de résoudre une énigme avec seulement la moitié de l’énoncé ? Eskimoz s’est donc attachée à communiquer au maximum avec ses clients afin de travailler en bonne entente. Pour atteindre ensemble un même objectif : gagner des places sur Google. Qualité y es-tu ? Ce désir de transparence induit un corollaire : celui de la qualité. Évidemment, il est toujours plus simple de bâcler son travail et de jeter de la poudre aux yeux quand on a tout fait pour garder ses clients dans l’ombre. Or, Eskimoz évolue en pleine lumière – et doit, par conséquent, garantir un positionnement haut de gamme. Impossible de tricher, car tout se fait en pleine lumière. Chaque action est discutable, et discutée. Chaque étape de la stratégie de référencement naturel répond à des enjeux précis. Et chaque consultant SEO travaille avec quelques interlocuteurs seulement, afin de donner le meilleur de lui-même sur tous les dossiers. C’est que le marché est rude. À mesure que Google devient plus exigeant avec les référenceurs, afin d’apporter des réponses toujours plus satisfaisantes aux internautes, les agences SEO doivent elles aussi offrir plus de valeur ajoutée. Les enjeux sont immenses. Prenez la question de l’e-réputation : en 2013, une étude Deloitte révélait que la notoriété digitale est considérée comme le risque numéro un pour 40 % des entreprises. Un commentaire négatif sur une plateforme de notation peut se chiffrer, pour un opérateur, à plusieurs centaines de milliers d’euros de pertes sèches. Et en 2016, la CNIL indiquait qu’un tiers des plaintes qu’elle reçoit ont trait au sujet. De sorte que si vous devez choisir un prestataire qui puisse protéger votre e-réputation, vous avez tout intérêt à faire confiance à une agence qui soit parfaitement à la hauteur des enjeux, comme l’est Eskimoz. Sans innovation, le SEO n’est rien Troisième pilier de ...
Réputée pour ses vignes et son histoire, la famille Boulachin Chaput perpétue depuis plusieurs générations cette tradition dans la fabrication du champagne. Étendues sur huit hectares et reposant sur un terroir argilo-calcaire, les vignes ont cet avantage d’être exposées sous un soleil naturel, offrant ainsi aux baies une belle maturité et une qualité exceptionnelle. Une culture de grande valeur La maison Boulachin Chaput obtient en 1924 sa première médaille d’or grâce à Paul Boulachin pour sa cuvée Carte blanche brut réserve. Une tradition champenoise que la descendance veut à tout prix préserver en travaillant pour cela dans le respect des gestes ancestraux. Sur les terres de la Côte des Bars, les cépages sont représentés en majeure partie de pinot noir (60 %), mais aussi de pinot meunier (10 %) et de chardonnay (30 %). La famille pratique depuis près de dix ans la viticulture durable sur l'exploitation, et lutte en faveur de la conservation de l’écosystème et le développement du terroir certifié par le Label Terra Vitis. Une ode à la nature « Prendre le temps et laisser s’exprimer la nature au maximum », tel est le leitmotiv des Boulachin, qui propose par exemple son Brut nature sans dosage à déguster dans toute sa pureté et son authenticité ou la Carte noire, un mélange de pinot noir et de chardonnay, qui est assez mûre et vineuse. La Dame noire, fait avec 100 % de pinot noir, millésimée 2006, 2009, 2012 et qui tient son nom d’une parcelle de la vigne de Dame noire, fait partie des autres cuvées phares. Marc Veyrat, célèbre chef cuisinier français, est un grand amateur de ces nectars produits par la maison Boulachin Chaput. Plusieurs projets sont en cours entre la marque et le grand chef rentrant dans le cadre de la promotion des produits du terroir. La tradition d’abord Le succès des champagnes Boulachin Chaput repose sur leur mode de fabrication réalisé dans le respect des traditions, notamment par rapport au vieillissement qui peut aller jusqu’à cinq ans. La fermentation s’effectue dans une cave réchauffée naturellement, pour l’obtention d’un vin de caractère, plus fin et plus complexe. La mise en bouteilles est réalisée courant mai et juin, période où la température est idéale pour le repos des vins. ...
Les origines de Léovillle remontent à 1638, l’année où Jean de Moytié a élaboré les premiers crus de l’histoire du Médoc. Suite à plusieurs successions et partages, Léoville Poyferré nait en 1840 lorsque le Baron de Poyferré et sa femme héritent d’une partie du vignoble et accolent leur nom à Léoville. 15 ans plus tard il figurera au rang de 2nd Grand Cru Classé du Médoc lors du Classement de 1855. Négociants en vins depuis 1804 à Lille, berceau de la famille, les Cuvelier acquièrent tout d’abord le Château Le Crock (Cru bourgeois à St Estèphe) en 1903, puis les Châteaux Léoville Poyferré et Moulin Riche en 1920. Le Grand Cru dans les règles de l’art Le Château Léoville Poyferré se trouve en AOC Saint-Julien, une appellation de 920 ha nichée sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde. « Ici, nous retrouvons à la fois le côté féminin des margaux au sud et le côté masculin des pauillac au nord. Finesse, équilibre et élégance qualifient nos vins aux tanins veloutés, soyeux», nous raconte Anne Cuvelier, en charge de l’oenotourisme. Le vignoble couvre 80 ha, établi sur une terrasse graveleuse et un sous-sol sableux, une configuration géologique favorisant le drainage naturel. L’obsession de la famille Cuvelier pour l’excellence l’a obligée à restructurer plusieurs fois le vignoble et la plantation jusqu’à ce qu’elle trouve l’encépagement idéal : 61 % de cabernet sauvignon, 27 % de merlot, 8 % de petit verdot et 4 % de cabernet franc. Aujourd’hui, l’ensemble du vignoble est mené en lutte raisonnée en vue d’une conversion vers la viticulture biologique. En parallèle, la propriété s’est dotée d’équipements de pointe et de technologies innovantes pour assurer la meilleure qualité des vins. En 2010 le domaine a investi dans de nouvelles cuves tronconiques à double paroi qui permettent une macération pré-fermentaire à froid et de travailler la pureté du fruit et des arômes, la souplesse de l’extraction et l’intensité de la couleur. Puis 2011 a vu l’achat d’une trieuse optique pour un contrôle précis de la maturité des raisins. « Cela permet d’apprécier les vins dès leur jeunesse car les raisins et leurs pellicules et pépins sont vendangés à maturité optimale, puis triés par fluorescence et infrarouge pour éliminer tous débris végétaux et raisins pas assez mûrs », explique-t-elle. La propriété élabore trois vins : Château Léoville Poyferré, Château Moulin Riche et Pavillon de Léoville Poyferré. Visites et dégustations Au-delà d’une découverte, il s’agit d’une immersion dans l’univers du Château Léoville Poyferré et sa légende façonnée par les hommes et les générations qui s’y sont succédé. Pour comprendre comment les raisins se transforment en des cuvées cultes, il faudra reprendre là où tout commence : le vignoble. Les visites se poursuivent dans les installations techniques jusqu’à l’élaboration des vins. Les visiteurs, qu’ils soient amateurs néophytes ou œnophiles avertis, peuvent par la suite choisir entre les trois formules de dégustation proposées par la maison. La Dégustation Panoramique est idéale pour découvrir les grandes cuvées ambassadrices du terroir. Les Dégustations Eclairée et Finesse, s’adressent plutôt aux connaisseurs et aux épicuriens séduits par un mariage de saveurs inattendues : 3 millésimes soigneusement sélectionnés pour accompagner au mieux soit des chocolats grands crus de différentes origines pour l’Eclairée, soit des fromages affinés pour la Finesse. Par ailleurs, le château complète son offre œnotouristique par une magnifique salle de réception d’une capacité de 180 personnes idéale pour des diners de gala, d’une salle de réunion, d’un petit salon et d’une salle à manger pour recevoir les rendez-vous d’affaires. ...
Les Aviateurs est la nouvelle adresse où le Chef Chevrier donne rendez-vous à ses clients. Idéalement situé sur la Rue du Rhône, l’établissement attire les genevois par son concept si particulier. Les Aviateurs, c’est plus un bar tea-room qu’un restaurant et il porte bien son nom. Il plonge les clients dans l’élégance du monde de l’aviation pendant qu’ils savourent leurs plats. Un cadre chic et atypique Le bar Les Aviateurs a vu le jour en 2017 sous l’initiative de IWC, une manufacture horlogère Suisse. En voulant offrir une carte plus élaborée pour répondre à la demande de sa clientèle, IWC fait appel au chef Philippe Chevrier. Plus tard, il y voit l’opportunité de créer un nouveau type d'établissement : un bar tea-room où les clients peuvent venir à tout moment. Néanmoins, l'adresse reste fidèle à son nom. Le chef Chevrier décide de conserver le design intérieur du bar. Le décor quant à lui met en avant des carlingues d’avion, des cadrans de montre, des photos d’aviateurs qui nous ramènent dans les années 30 et 40. Le bar attire les clients par un style élégant de Gentlemen club. Les clients y sont invités à se détendre sur des fauteuils en cuir, autour d’une table haute. Sous la responsabilité d’Elodie Décure, une directrice proche de sa clientèle, les Aviateurs accueille les habitués et les nouveaux clients dans une ambiance chaleureuse et accueillante. A la carte du bar tea-room Les Aviateurs Les Aviateurs ouvre ses portes aux clients dès le matin jusqu’à l’after-work. Pour commencer la journée, le bar tea-room propose des viennoiseries, des muffins et des salades de fruits frais au petit-déjeuner. Pendant la journée, les clients peuvent choisir entre burgers, tartares, croque-monsieur, tartes salées, quiches et salades. Les Aviateurs possède aussi son plat signature qui met à l’honneur les produits locaux : le Burger Les Aviateurs. Pour le préparer, ils utilisent du pain boulanger local, du steak de bœuf 100% suisse coupé au couteau ainsi que du gruyère suisse. En soirée, on y retrouve planches de charcuterie, pâté en croûte et fromages. A l’heure de l’after-work, le bar offre aussi à ses clients du saumon, des rillettes de crabe et de la volaille. Par ailleurs, Les Aviateurs dispose également d’une jolie carte de pâtisserie, œuvre du pâtissier-chocolatier Laurent Exbrayat, pour l’heure du thé. Etant un tea-room digne de ce nom, l’établissement est un endroit de premier choix pour prendre une tasse de thé ou de café seul ou entre amis à l’heure du goûter. Outre les boissons chaudes, le chef Chevrier a conservé la carte des boissons auquel les premiers clients étaient déjà habitués au moment de reprendre le bar. Pour l’enrichir, il a ajouté une carte de cocktails créatifs destinée à satisfaire la clientèle masculine qui y est nombreuse. Mise à part la particularité de son cadre et de son concept, Les Aviateurs s’adapte aussi aux saisons. Nouvelle saison, nouvelle atmosphère Les Aviateurs dispose d’un atout qui fait de lui un endroit privilégié par les clients tout au long de l’année : sa terrasse estivale. Pour profiter pleinement de l’été et du soleil, les clients peuvent prendre leurs repas, leurs goûters ou leurs tasses de café au milieu des oliviers et d’autres arbres méditerranéens. En hiver, la terrasse couverte est chauffée pour permettre aux clients d’y prendre leur verre de cognac ou de fumer un cigare malgré le froid. Pour toutes ces qualités ajoutées aux talents culinaires du chef, les clients fréquentent Les Aviateurs tout au long de l’année. ...
Si la scène du 38 RIV permet à de nombreux talents de s’exprimer, le club se veut être avant tout être un tremplin pour la scène locale et donner aux jeunes artistes l’opportunité de dévoiler leur potentiel au grand jour auprès d’un public averti. Avis aux amateurs ! Tout sur le club Le 38 RIV a ouvert la première fois ses portes aux mélomanes en 2008. À l’époque, Vincent Charbonnier, l’actuel gérant, décide de racheter l’établissement après y avoir effectué une visite. Ce passionné de jazz et ancien contrebassiste a ensuite transformé les lieux en club de jazz. « Cela fait dix ans que ça dure, il y a eu quelques rénovations et de légers changements au niveau des événements ainsi que sur certains types de concerts », nous indique Rémi Taranta, chargé de communication et de programmation. C’est au 2e sous-sol, au sein d’une belle cave voûtée du XIIe siècle, que le club donne rendez-vous chaque soir aux artistes et au public. « Dans ce cadre atypique et intimiste, les gens prennent tout de suite la mesure de l’âme musicale qui habite les lieux », assure notre interlocuteur. Le 38 RIV se décline en trois espaces : une salle de spectacle, un bar pour se rafraîchir et un petit salon. Côté déco, l’authenticité des vieilles pierres s’associe parfaitement aux styles modernes des mobiliers contemporains. Pour permettre aux invités de ne rien rater, chaque salle dispose d’un écran assurant une diffusion en live du spectacle. Une programmation éclectique de qualité Chaque semaine du lundi au dimanche, le club devient le lieu de toutes les rencontres musicales. Ici se côtoient des artistes connus tels que le guitariste Frédéric Favarel, le pianiste Daniel Janke, le saxophoniste Godwin Louis ou encore le trompettiste Ashlin Parker, mais aussi des artistes de la scène locale comme Alexis Valet (vibraphone), Pierre Marcus (contrebasse) ou Julien Francomano (batterie). La programmation est certes variée mais elle consacre une part importante au jazz. « Ce sont essentiellement des concerts de jazz swing mais aussi bebop et hardbop pour les puristes de jazz des années 40, 50 et 60 », nous confie Rémi. Le lundi, le mardi, le jeudi et le vendredi en deuxième partie de soirée, place à l’improvisation à travers les Jam Session Jazz (bœufs musicaux) et Jam Session Funk. Les concerts de jazz sont quant à eux programmés pour le mercredi et le vendredi soir. Le samedi, la musique latine est à l’honneur avec des concerts largement dédiés à la musique brésilienne. Mais comme une fois n’est pas coutume, le club reçoit de temps à autre des groupes de jazz cubain, des artistes afro-caribéens ou même argentins. Pour clôturer la soirée, un trio se charge de faire se déhancher les spectateurs au rythme de la bossa nova et de la samba. Le dimanche, c’est au tour de la musique baroque de s’inviter dans la cave voûtée du 38 RIV. Pour aider les amateurs de jazz qui souhaitent améliorer leur pratique, le gérant anime des ateliers tous les lundis et jeudis avant les concerts. D’une durée d’une heure et demie, ces ateliers dénommés « ateliers d’Octave » s’adressent avant tout à des musiciens avertis qui ont déjà une certaine maîtrise du jazz. Pour ceux qui souhaitent organiser des soirées privées ou des événements d’entreprise, le 38 RIV leur propose un cadre de prestige avec un espace de réception de 70 m2. « Nous suggérons un pack incluant du champagne ou du vin mais aussi un trio de jazz pour animer la soirée », souligne le responsable. ...
Vous vous apprêtez à découvrir la superbe région de Porto, en Corse-du-Sud ? Le charmant hôtel 3 étoiles Capo d’Orto vous ouvre ses portes. Un établissement qui sait prendre soin de ses clients Ce qui nous frappe avec l’hôtel Capo d’Orto, c’est la volonté de l’établissement de proposer des prestations d’excellente qualité à un tarif défiant toute concurrence. Pour preuve : en réservant directement votre séjour en ligne, vous bénéficiez d’une réduction intéressante et d’un petit déjeuner à moitié prix. Trois types de chambres vous sont proposés (classique, confort et privilège) pour 2 à 5 personnes. En plus d’être spacieuses, elles offrent toutes une vue imprenable sur la mer et la montagne. À noter : vous profitez aussi d’un parking et d’une piscine chauffée à 27° toute la saison. De plus, une fois sur place, et avant de découvrir les environs, n’hésitez pas à demander conseil au patron. Il se fera une joie de vous indiquer les endroits à voir absolument et les bonnes adresses pour savourer les spécialités de l’île (nous vous recommandons spécialement les cannellonis au brocciu). En effet, en plus d’accueillir les clients avec le sourire, le gérant connait parfaitement les alentours. C’est d’ailleurs ce qui plait aux visiteurs. Une situation idéale Pour les randonneurs, les Calanche de Piana, les gorges de Spelunca et la forêt d’Aïtone sont des étapes obligatoires. Nous vous conseillons aussi réserver une sortie en mer sur l'une des compagnies de promenades en mer pour une visite guidée au sein de la réserve naturelle de Scandola, des Calanches de Piana et du Golfe de Girolata ou de louer un bateau. Il est, en effet, impossible de passer à côté du golfe de Porto, classé au Patrimoine de l’UNESCO. À savoir : pour les plongeurs de tout niveau, l’entrée de la réserve de Scandola vous propose une eau très poissonneuse. Finalement, entre deux excursions, prenez le temps de vous reposer sur la plage et laissez-vous aller. Bienvenue au Paradis. ...
À travers des recettes qui lui sont propres, élaborées à partir des produits de sa manufacture, la marque aix&terra fait une entrée très remarquée dans l’univers culinaire artisanal avec tout ce qui constitue sa différence et son originalité. Les origines de la marque Articulée autour du meilleur savoir-faire provençal et du plaisir d’inventer d’authentiques recettes, aix&terra a vu son identité sublimée pour devenir en seulement cinq ans, une marque à part entière. N’étant alors en 2010 qu’une échoppe rachetée avec son enseigne par le couple Marina et Richard Alibert, dans l’idée, selon ce dernier, « de lui insuffler une nouvelle dynamique », la petite boutique a été transformée du jour au lendemain en un atelier exclusif de fabrication de recettes pour développer la marque aix&terra dans le concept original d’une authentique cuisine artisanale de Provence. Une manufacture bien structurée La création des premières recettes aix&terra a débuté dans cette manufacture de fortune avec des crèmes gourmandes ou encore du caviar d’aubergine à la truffe noire pour progressivement atterrir jusque dans les grands magasins comme les Galeries Lafayette, les épiceries fines, chez les cavistes et autres enseignes d’hôtels-restaurants haut de gamme. Ce succès a conduit les propriétaires à construire une nouvelle manufacture sur la Nationale 7, dans laquelle ils continuent « à poursuivre leur aventure de fabricant-artisan dans la Drôme provençale », comme l’a si bien souligné Richard Alibert. Cette nouvelle structure est installée dans une bâtisse de 800 m2 où l’Atelier, l’Épicerie et La Table forment trois espaces indépendants. La Table-Épicerie aix&terra Chaleureux et convivial, La Table-Épicerie aix&terra est un espace de restauration prolongé d’une partie épicerie, où est proposée une cuisine inventive, préparée selon les recettes créées à partir des produits de la manufacture. À travers une carte gourmande aux couleurs chaudes qui met majoritairement l’accent sur des inspirations créatives provençales exclusives, La Table aix&terra séduit les visiteurs avec ses crostinis de caviar d’aubergine à la truffe noire, ses toasts aux petites salades, son carpaccio de bœuf à l’huile d’olive et à la truffe noire ou encore ses tartelettes à la crème de citron qui sont des produits vedettes de la maison. Dans la partie épicerie, les clients ont également la possibilité d’acheter les produits aix&terra et repartir avec des fiches-recettes qu’ils pourront reproduire une fois à la maison. ...
Café du Soleil est un ancien relais de chasse reconverti en auberge, pour devenir aujourd’hui un bistrot sympathique à l’identité bien affirmée. Le décor de la maison qui préserve son air d’antan malgré les rénovations subies raconte 400 ans d’histoire. Ici, les habitués comme les clients de passage se sentent très vite chez eux et se laissent emporter par l’ambiance chaleureuse qui rythme la salle, « comme dans un vrai bistrot », selon Adriano Dupraz, le gérant. Offrir une palette de goûts La carte est variée, alléchante et reprend les grands classiques de la cuisine bistronomique. « Elle change selon la saison : la chasse en automne, des plats plus légers et des salades en été, et des recettes plus consistantes à base de fromage en hiver. »D’ailleurs, la fondue suisse constitue la signature de la maison, un plat qui continue à faire son petit effet à chaque dégustation. Elle est préparée uniquement à base du fromage AOC Gruyère et relevée ensuite par du vin blanc. En guise d’entrée, le chef propose l’intemporelle salade paysanne ou encore la salade de foies de volaille, une assiette qui séduit à tous les coups. Les malakoffs, une spécialité locale, s’imposent également et prennent la forme de savoureuses boules de fromages. En guise de plat, les grillades sont au rendez-vous : steak de bœuf grillé servi avec, au choix, de la sauce au poivre vert ou un beurre maison aux échalotes, accompagné de frites maison et d’une petite salade. En parallèle, le chef suggère un plat du jour selon les produits de saison : de la choucroute maison garnie de charcuteries du pays, ou encore de l’escalope de saumon d’Écosse poêlé sur lit de chou et pommes vapeur. Le périple culinaire s’achève sur une touche de gourmandise. « Les clients ont le choix entre la meringue double crème de Gruyère, un dessert phare en Suisse, le moelleux au chocolat et sa boule vanille, ou l’ananas frais au basilic. » Côté vins, la carte met à l’honneur les vins suisses et les vins locaux. Parmi les références : du chardonnay issu du domaine Centaure Claude Ramu en blanc, de l’AOC Gamaret La Clémence de la Cave de Genève en rouge, du rosé de gamay du domaine Château l’Évêque Mevaux. En outre, la cave a toujours en réserve quelques vins étrangers pour satisfaire une clientèle internationale. ...
Bien que l’établissement ait été inauguré le 14 juillet 2004, il ne prend le nom de Vienna House Dream Castle qu’en 2016, à la suite de son rachat par le groupe autrichien Vienna International Hotelmanagement AG qui a ensuite mis en place la gamme d’hôtel Vienna House. La décoration élégante et ramenant à l’ère de la Renaissance, le personnel poli et chaleureux, le confort optimal… Le Vienna House Dream Castle n’a certainement pas usurpé son nom et assure un séjour de rêve. Un lieu hors du commun Cet établissement arbore un design semblable aux châteaux du XVIIe siècle, notamment le château de Potsdam, dont le thème s’inspire des Trois Mousquetaires. Des détails rappelant la Renaissance, des chevaliers en armures… Le Vienna House Dream Castle ne fait pas dans la demi-mesure et a tous les atouts pour enchanter petits et grands. Pour parfaire les séjours, il propose 397 suites et chambres dotées de toutes les commodités. Soucieux de la santé comme du confort de la clientèle, ces chambres disposent d’une literie hypoallergène dédiée aux peaux sensibles. Chaque chambre est agrémentée d’une douche et d’une salle de bains complète. La suite royale se démarque des autres, avec un espace de 200 m² qui inclut un grand salon, une salle à manger, un coin bibliothèque et deux chambres pour enfants. La décoration de ces dernières a été spécialement pensée pour baigner leurs occupants dans un univers chevaleresque invitant à des nuits remplies de doux rêves, proposant pourquoi pas un avant-goût de Disneyland® Paris. Une restauration princière La journée démarre sur les chapeaux de roues dans le restaurant Sans Souci qui propose un petit déjeuner buffet composé de viennoiseries, de plats froids et de plats chauds, qu’il est possible de déguster dans une gigantesque salle inspirée du château de Potsdam Sans Souci, tout comme son nom l’indique. Quoi de mieux que de se réveiller et de se retrouver ensuite dans un univers royal, pour mieux se motiver ? Le déjeuner, servi au sein du bar Excalibur, n’a rien à envier à cette première partie. Vous l’aurez compris, le thème est influencé de l’histoire de cette épée qui en a fait frémir plus d’un à l’époque médiévale, et aujourd’hui encore. À la belle saison, pourquoi ne pas siroter l’une des potions magiques du chef barman sur la terrasse et succomber au fabuleux tableau digne d’une carte postale qu’offrent les jardins à la française de l’hôtel, les collines et le lac. Pour finir la journée en beauté, rien de tel qu’un dîner au sein du sublime restaurant Musketeer’s qui suggère la gastronomie française, tout comme les spécialités internationales, sous forme de buffet. Cerise sur le gâteau : les serveurs se fondent aussi dans le décor avec des costumes d’époque faisant honneur aux Trois Mousquetaires. Des salles de réunion modulables à souhait Le Vienna House Dream Castle dédie également des espaces à destination des professionnels de l’événement et des entreprises. Les neuf salles climatisées, en rez-de-jardin, sont dotées d’une capacité de 300 personnes et sont équipées d’outils et de matériels dernier cri, notamment un vidéoprojecteur et un accès numérique ISDN. Chaque salle jouit d’un accès direct aux jardins permettant aux séminaristes de prendre des pauses dans un cadre fleuri et verdoyant aux senteurs agréables. L’hôtel suggère aussi une multitude d’activités ludiques et enrichissantes de team building, telles que l’accrobranche, le canoë et les jeux de piste. Espace spa : détente et évasion dans un cadre enchanteur Après une séance dans la salle de fitness pour se défouler et se remettre en forme, rendez-vous au sauna ou au hammam, qui promettent détente et bien-être. La piscine intérieure chauffée assure, quant à elle, de douces baignades. Et pour une évasion totale, rien ne vaut les massages et les soins cosmétiques prodigués par des professionnels utilisant les produits griffés La Sultane de Saba, une marque pionnière en matière de...
la Loire-Atlantique, neuvième département touristique de France, ne manque pas d’atouts pour attirer les touristes. On peut y visiter l’une des plus belles zones humides d’Europe, avec 270 espèces d’oiseaux autour de la Maison du lac de Grand-Lieu, découvrir la richesse de la Cité des ducs de Bretagne, Nantes, les joyaux de la Renaissance avec le château de Châteaubriant, arpenter le bord de mer avec les stations balnéaires réputées de La Baule, Pornichet ou Pornic ou encore se balader dans les cités de caractère comme Batz-sur-Mer, Le Croisic, Piriac-sur-Mer... D’autres atouts ? Elle en a au moins un de plus : ses aménagements vélo. En effet, avec plus de 400 km d’itinéraires cyclables aménagés, le département a clairement fait le choix du vélo. Quelques-uns des plus beaux itinéraires d’Europe passent d’ailleurs sur ses terres. La Loire à Vélo rejoint l’estuaire de la Loire à partir de Cuffy… dans le Cher, à 800 km de là ! La Vélodyssée, trait d’union entre la bretonne Roscoff et la basque Hendaye, traverse également la Loire-Atlantique et, notamment, les bords du canal de Nantes, à Brest. Sans oublier Vélocéan (le long du littoral) ou encore les boucles cyclables dans les vignobles (voir les détails ci-dessous). Et en plus, elle est Vélo Friendly ! Un air de liberté En Loire-Atlantique, le visiteur passe d’un monde à l’autre en seulement quelques kilomètres. D’où l’attrait de découvrir le département à vélo, une manière de l’appréhender autrement. En prenant son temps, en rencontrant des gens, en se déconnectant et en changeant de rythme… justement chacun à son rythme. Les sorties peuvent durer une matinée, une journée, voire une semaine ou plus, le vélo offre cette liberté, encore plus sur un territoire qui ne possède que peu de reliefs. La Loire-Atlantique propose une offre « Accueil Vélo » : soit des hébergements, des offices de tourisme, des sites de visite, des loueurs de vélo qui sont là pour conseiller les vacanciers sur leurs itinéraires, mettre à disposition une consigne à bagages le temps d’une visite ou proposer un kit de réparation. ...
Une nouvelle aventure au cœur de la Provence verte Avec une branche de sa famille en Bourgogne, Harry avait déjà un pied dans le monde du vin. Il a pourtant fait toute sa carrière dans l’univers de la finance et de la programmation informatique. Tout juste sorti d’une société éditrice de solutions logicielles, qu'il avait créée à destination des traders sur les marchés financiers, il achète un domaine viticole en Provence. « Avant de me jeter corps et âme dans le monde du vin, j’ai travaillé une quinzaine d’années sur les marchés financiers entre Londres, Paris, New York et Bruxelles, puis une quinzaine d'années dans le monde des logiciels. Il y a de nombreux parallèles à faire entre ma première vie et la vigne. Par exemple, même si l'on ne maîtrise pas tous les paramètres, il faut réussir à mettre en place certaines méthodologies pour créer quelque chose qui soit nouveau et, dans le cadre du vin, séduisant pour le consommateur. » Toute sa vie, il a cherché de nouveaux challenges, préférant la complexité à la facilité, explorant au cours de sa carrière des univers qui lui étaient inconnus. « Ce récent bouleversement vient d’une volonté de changer complètement de rythme de vie. Je voulais travailler avec Céline sur un projet concret, très local. » Au lieu de défendre l’économie numérique française, il s’emploie aujourd’hui avec son équipe à protéger le patrimoine agricole et viticole de sa région d’adoption. « On ne touche que très peu nos vins » Situées à flanc de coteau sur un sol principalement argilo-calcaire exposé plein nord, à l’exception de quelques parcelles plus limoneuses en pied de vallée, les vignes du jeune viticulteur jouissent d’une belle exposition au soleil tout en profitant de la fraîcheur du mistral qui balaie cette région du sud de la France. L’ancien propriétaire avait, avant de se séparer de son domaine, replanté l’intégralité des cépages et travaillait depuis ses débuts la terre manuellement. Bien avant la certification Agriculture biologique ( AB ), que le domaine a obtenue en 2014, les syrah, grenache et sauvignon s’épanouissaient déjà sur une terre vierge de tout intrant chimique. La Mongestine travaille aujourd’hui avec une douzaine de cépages, principalement des AOP coteaux-d’aix, plantés à flanc de colline et à l’orée de la forêt qui domine la vallée. Harry a gardé les bonnes méthodes de son prédécesseur et la même équipe pour continuer à s’occuper des vignes. Cette conduite du plant très rigoureuse se note visuellement lors d’une visite du domaine : au lieu de pieds plus sauvages, une caractéristique des plantations biologiques classiques, les trente hectares plantés sur les 120 ha du domaine affichent des rangées bien droites, très alignées. En cave, Harry ne travaille qu’avec des levures indigènes, permettant à chaque cépage d’exprimer librement toute sa palette. Les jus sont très peu sulfités et du coup beaucoup plus ouverts, plus expressifs. Ces conditions donnent des vins aux degrés alcooliques stables, autour de 13°. Grâce à une fermentation poussée, ils gardent une très bonne tension et une jolie structure et, particulièrement sur les rosés, une rondeur presque soyeuse. « On essaie de travailler à la limite de ce que le terroir peut exprimer des cépages et sans prendre trop de risque en termes de transport et conservation. Par exemple, on arrive à avoir sur des rosés, qui font souvent moins variés que des rouges ou des blancs, des vins qui sont justement différents et qui peuvent exprimer pleinement ce terroir provençal. » Une nouvelle cuvée surprenante Le domaine de la Mongestine a récolté en 2017 sa première cuvée IGP coteaux-du-verdon. Vinifié en mono-cépage dans trois couleurs (roussanne, pinot noir, merlot) et destiné à être commercialisé en entrée de gamme, le millésime s’est montré particulièrement expressif et très aromatique, au-délà des espéran...
C’est à Paimpol, au cœur de la Bretagne, que cette conserverie élabore des recettes succulentes tartinables destinées à sublimer les apéritifs. À déguster entre amis, en famille ou entre collègues, « ces tartines artisanales à vocation gastronomique apportent un vrai plaisir en bouche », nous explique Yann Trébaol, propriétaire de la conserverie. S’exportant, entre autres, à l’international, la Paimpolaise s’affiche aujourd’hui parmi les meilleurs de son domaine avec des nouveautés tous les ans et, en prime, des coffrets cadeaux disponibles tout au long de l’année. Des tartines ambassadrices du terroir Perdue entre terre et mer, la Bretagne reste une région riche de ses traditions, de son histoire et de sa gastronomie. La Paimpolaise Conserverie tient ainsi à révéler ce que cette région a de meilleur à offrir grâce à un éventail de produits artisanaux, allant des tartinables aux soupes, en passant par les tapas disponibles en plusieurs formats. « Élaborées de A à Z dans nos ateliers, les tartinables sont faites à base de poissons, de coquillages et de crustacés, afin d’animer les apéros », reprend le gérant. Fumés ou cuits, assaisonnés ou nature, ces fruits de mer, allant des moules au thon, sont savamment mariés à des produits de la terre tels que le gingembre, le citron, le champignon ou la coriandre. Ces mariages ingénieux, fidèles à l’identité tantôt marine tantôt terrestre de la Bretagne, révèlent toute la fraîcheur et la subtilité des produits de la mer ainsi que la douceur des herbes et des condiments. Agrémentez ainsi vos instants gourmands de tartines de rigadell et aile de raie à la coriandre. Accompagnés de vins, ces toasts allient harmonieusement fraîcheur marine et saveurs propres au terroir. « Les tartinables de haute qualité que nous produisons valorisent la Bretagne et rehaussent l’économie de toute la région », continue notre interlocuteur en précisant le fait que toute la chaîne de production est approvisionnée de produits locaux. Découvertes culinaires inédites, extase gustative et plaisirs du palais se retrouvent ainsi dans chaque bouchée des tartinables de cette conserverie dont la réputation est acquise au-delà des mers. Tapas et soupes : autant de recettes artisanales à découvrir Mis à part les tartinables, la conserverie de Paimpol mise également sur des produits emblématiques tels que les tapas ou les soupes. Les tapas apéritives, déclinées en plusieurs recettes s’adaptant à tous les goûts, s’apprécient autour d’un verre à l’occasion de vos instants conviviaux appelant à la gourmandise. Faisant le bonheur des gastronomes, des amateurs de bonne cuisine et des amoureux des délices de la mer, chaque portion de tapas, notamment celle en format 100 g, révélera ce côté « ensoleillé » et quelque peu fougueux de la Bretagne. Pour ce qui est des soupes, ces dernières sont concoctées de manière artisanale, toujours fidèles à l’identité authentique de la gamme de produits de la Paimpolaise Conserverie. Allant des traditions typiquement bretonnes, à l’instar de la fameuse soupe de poisson, aux innovations gastronomiques, pour ne citer que les veloutés de coquillages et les soupes sont ici l’affaire gourmande de tous ceux qui aiment allier goût du vrai et innovation culinaire. ...
En partie retiré du monde, Le Pré de La Cure est un lieu d’exception au cadre raffiné qui n’a rien à envier à ses pairs. Jouissant du paysage enchanteur des abords du lac Léman, l’établissement invite à la rêverie éveillée dans laquelle on souhaiterait longtemps demeurer… Une invitation gourmande où tout n’est que douceur, bien-être et plaisir avec en prime, vue sur le lac et les remparts. Un restaurant à la cuisine traditionnelle Dans une atmosphère chaleureuse et agréable où il fait toujours bon se retrouver, le restaurant propose de savantes associations de textures et de saveurs soigneusement élaborées par le talentueux chef, Olivier Magnin. Fidèle aux principes de la maison, il compose de belles assiettes avec toujours le respect de la tradition pour créer une cuisine où le fait maison reste à l’honneur. L’établissement propose « une carte qui change 3 fois par saison », annonce Amélie Magnin, propriétaire. Une belle découverte que son lièvre à la royale, « préparé de façon traditionnelle », apprend-on, un plat à partager en famille, entre amis ou en amoureux… juste pour le plaisir des papilles. Découvrez tout autant son soufflé au Grand Marnier, qui reste le « must » des desserts. Un décor d’exception Salle spacieuse et élégante, tables raffinées et dressées avec gout, superbe vue sur le lac Léman… Le Pré de la Cure est un véritable petit bijou niché dans un des plus beaux villages de France. Admirable de beauté, il vous fait profiter d’un cadre contemporain et pourtant digne d’un conte de fées… mais pas seulement ! Situé en face des remparts de la cité médiévale, l’établissement possède également 25 chambres avec toutes les commodités nécessaires pour garantir un séjour agréable. Il est doté d’une piscine couverte chauffée, d'un sauna, d'un hammam et d'un jacuzzi. Le Pré de la Cure est l'un des rares établissements à posséder une telle infrastructure dans les alentours. Dans un rêve éveillé, imprégnerez-vous alors des lieux où tout n’est que beauté, douceur et bien-être, avec un plaisir toujours renouvelé. ...
De précieux documents attestent que le Château de Pravins est un domaine viticole dès 1251. Aujourd’hui, c’est Isabelle Brossard qui en assure la gestion, aidée de Vladimir Vallat. Isabelle a repris l’exploitation en 2005 et s’attache, depuis, à mettre en avant une viticulture respectueuse de l’environnement. Un terroir ancestral Ce vignoble de 5 ha d’un seul tenant est implanté sur un terroir ancien présentant des sols argilo-limoneux. Sur ces terres fertiles s’épanouissent de très vieilles vignes de gamay et également de chardonnay. Depuis 2013, le domaine est mené en agriculture biologique. Pour favoriser la biodiversité, les vignes côtoient 4 ha d’arbres champêtres. Désherbage naturel, utilisation d’engrais organiques, travail du sol… font, entre autres, partie des efforts fournis en vue de préserver la Nature. Côté vinification, les interventions sont limitées au minimum. En effet, celles-ci doivent se dérouler de la manière la plus naturelle possible. Des cuvées uniques Grâce à la richesse de son terroir, cet ancien domaine viticole propose des vins à part. En tout, la maison confectionne 3 gammes : La Grande Réserve, L’Argile ardente et Les Moraines. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Les Moraines 2015 » est la plus représentative. Issu de vieilles vignes de gamay, ce vin dévoile un nez sur les petits fruits rouges et noirs bien mûrs. En bouche, on retrouve toute la puissance des arômes. Il accompagnera parfaitement différents plats comme le gibier au gratin de légumes mais aussi, par exemple, le fromage de chèvre. ...
CoHomly a été lancée en 2016 à l’initiative de Florence Féret-Chapt. Cette mère de famille a souvent galéré pour trouver des étudiants en mesure d’assurer la garde de ses enfants. « Mis à part les circuits classiques comme les petites annonces et le bouche à oreille, il n’y avait pas de solution rapide et efficace », raconte-t-elle. Cette problématique a coïncidé avec le développement du logement intergénérationnel qui offre la possibilité aux étudiants de se loger chez un senior en échange de services. En créant CoHomly, Florence a voulu ainsi étendre cette expérience aux familles en offrant une solution adaptable aux besoins de tous. Un concept gagnant-gagnant La start-up propose une mise en relation simple et rapide, via sa plateforme. Dans le cas d'un job avec hébergement, le concept répond à une réelle problématique puisque chaque année, plus d'un million d'étudiants n'arrivent pas à trouver de logement. En outre, environ 73% d'entre eux sont obligés de travailler afin de continuer leurs études. De leur côté, de plus en plus de parents recherchent des solutions pour assurer le soutien scolaire et la garde de leurs enfants. En se positionnant à la croisée de ces besoins, CoHomly facilite ainsi l'entraide entre les deux parties. En fonction des possibilités de chacun, deux formules sont possibles : en échange de ses services, l'étudiant profite d'un logement gratuit (ou à moindre coût) ; au cas où la famille ne pourrait pas assurer l'hébergement, l'étudiant peut simplement proposer ses services tout en étant rémunéré (tarif horaire). « Au maximum, c'est 8 heures de services hebdomadaires liés à l'enfance et à l'adolescence. Il peut être question d'un cours de mathématique une à deux fois la semaine, de babysitting, d'apprentissage de langues, de sorties d'école, et plus », souligne notre interlocutrice. Grâce à CoHomly, les familles ont accès en quelque sorte à un service personnalisé et les étudiants n'ont pas besoin de courir partout pour trouver des heures de soutien scolaire. Facilité d’utilisation Que l'on soit étudiant ou famille, l'inscription se fait par le biais du site, accessible via tous supports, PC, tablettes et mobiles. Après avoir posté son annonce, chacun a la possibilité de faire des recherches sur le site. « Le site est très facile à utiliser et les annonces sont rigoureusement sélectionnées par notre équipe » , soutient Florence. Sur CoHomly, chacun est libre dans sa proposition d'annonce et la recherche du futur binôme est grandement facilitée. La mise en relation est possible grâce à la souscription d'un abonnement incluant toute une panoplie de services et variable selon la formule choisie et sa durée (de 5€ à 30€/mois). CoHomly est…enfin…la solution idéale pour ne plus passer des heures à éplucher les petites annonces un peu partout sur le Net, auprès des associations, commerçants ou mairie ! Au-delà de la mise en relation et la facilité d’accès au service, Cohomly mise avant tout sur le côté partage, communication et échange. « Il existe beaucoup de valeurs que nous souhaitons transmettre à travers notre concept car l’arrivée d’un étudiant à la maison, c’est un peu le grand-frère ou la grande sœur le temps d’une année d’étude et parfois bien plus ! ». ...
À travers ses processus productifs calqués sur des écosystèmes naturels, Nutreets est à même de produire non seulement en quantité mais également en qualité. Cela dans le strict respect de l’environnement en évitant les pollutions liées aux intrants d’azote et de nitrates tout en préservant nos ressources qui ne sont pas infinies. Une production riche en qualité et en goût Dans un souci de préservation de l’environnement, Nutreets a développé des techniques de production inspirées de l’aquaponie. Cette dernière est connue comme étant une méthode de production biologique qui exploite la complémentarité entre pisciculture et autres cultures en hydroponie. Le principe est simple : l’eau provenant de l’aquarium est acheminée directement jusqu’au bac de culture. Une fois dans le bac, les plantes la purifient en assimilant les éléments nutritifs essentiels à leur développement. L’eau purifiée retourne à l’aquarium et le cycle peut reprendre, ce qui permet une importante économie d’eau. Jusqu’à maintenant, Nutreets s’est contentée de produire les grands classiques tels que les herbes aromatiques (basilic), les jeunes pousses (épinard, mâche, mizuna, roquette), les salades (batavia, feuille de chêne rouge, feuille de chêne blonde, laitue). En ce qui concerne les fruits, Nutreets produit des fraises, framboises, groseilles, melons. Enfin, des choux et des légumes variés tels que les aubergines ou les courgettes composent l’essentiel de la production. Celle-ci est naturelle et ne nécessite ni engrais ni pesticide. Côté pisciculture, anguille, black-bass, esturgeon, perche et Sendre constituent les principales espèces qui sortent de l’aquarium. Des systèmes de production innovants Que ce soit pour les particuliers ou pour les professionnels, Nutreets propose des systèmes de production qui sont adaptés à leurs activités. À commencer par le NutreetsGreenhouse System qui a été pensé pour les maraîchers en « serre verre ». Ce système est constitué de trois modules de production et permet d’atteindre des performances élevées qui se traduisent par une importante polyculture, une très bonne qualité gustative et nutritive, un rendement optimal et des cycles raccourcis. Les pisciculteurs ne sont pas en reste, effectivement, le NutreetsAquaclean System a été élaboré spécialement à leur égard. Ce système est basé sur un mécanisme de traitement des eaux combiné à des modules de production maraîchère. Le but étant de valoriser les effluents issus de la pisciculture. Résultat : une production totalement soutenable avec 0 % de rejet en azote sur l’activité piscicole, un système productif efficace entièrement écologique et une diversification des revenus. Le NutreetsEcoleaf System, quant à lui, est idéal pour la production de légumes feuilles et de poissons. Le point fort de ce système réside dans son adaptabilité à tout type de lieu. Il permet, entre autres, de réaliser 90 % d’économie en eau, de ne pas recourir aux intrants tout en bénéficiant de rendements très élevés. Enfin, conçu pour les particuliers, le Nutreets Free Garden se compose d’un bassin et d’un potager en réseau fermé. Avec ce système, plus besoin d’arroser, de désherber, d’utiliser des engrais et d’autres pesticides. Il suffit de nourrir les poissons et d'attendre que les fruits et légumes soient arrivés à maturité pour les cueillir. Si tous ces systèmes proposés par Nutreets connaissent aujourd’hui un franc succès, c’est en raison de leurs avantages qui peuvent se résumer en deux grands points, à savoir : d’un côté, la soutenabilité écologique (association favorable de cultures, renouvellement des terres, absence de produit chimique et une économie importante d’eau) et, de l’autre, l’efficacité agronomique (fraîcheur des produits, qualité gustative et nutritive, productivité continue et production locale). ...
L’ensemble s’apparente à l’image que l’on peut avoir d’un campus américain. Telle était l’ambition qui a présidé à sa création en 1998, sous l’impulsion de l’Association française contre les myopathies (AFM-Téléthon), avec le soutien pérenne de l’État, de la Région Île-de-France et du Département de l’Essonne. Genopole, devenu GIP (groupement d’intérêt public) en 2002, compte à présent 82 entreprises de biotechnologies, 19 laboratoires académiques de recherche, 25 plates-formes technologiques mutualisées et 104 000 m² de parc immobilier. 2400 emplois directs y sont recensés. Un écosystème scientifique et technologique Comptant parmi les premiers bioclusters européens, Genopole réunit compétences et ressources pour favoriser la création d’entreprises spécialisées dans les sciences de la vie (santé, environnement, agro-alimentaire…) ainsi que la recherche en génomique au sein de laboratoires académiques sous tutelle de l’Inserm, du CNRS, du CEA…. Son écosystème scientifique et technologique contribue à l’effloraison d’innovations qui amélioreront demain nos conditions de vie, notre santé et notre environnement. Ses axes stratégiques vont vers le développement d’une médecine personnalisée, ciblée en fonction du profil génétique des patients, et celui de la biologie de synthèse pour une chimie verte et une industrie moins polluante. Genopole travaille en étroite collaboration avec l’université Évry Val-d’Essonne (UEVE, 15 000 étudiants), rattachée à l’université Paris-Saclay, pour développer de nouveaux enseignements dans les sciences de la vie : c’est ainsi qu’a été créé le premier master européen de biologie systémique et synthétique. Genopole s’adresse aussi au grand public pour vulgariser les avancées scientifiques dans le domaine génétique, au cours de Cafés du gène ou de la Fête de la science. Chercher, entreprendre, innover Genopole n’est pas seulement un campus où les entreprises et les laboratoires trouvent des locaux où s’installer. C’est aussi tout un dispositif d’accompagnement des acteurs de la recherche et de l’entrepreneuriat. Les chercheurs ou jeunes entrepreneurs souhaitant valoriser une innovation manquent souvent d’expérience dans le monde des affaires et de la création d’entreprise. A Genopole, ils peuvent compter sur une équipe de chargés d’affaires qui les conseillent sur les plans juridique, administratif, financier : business plan, benchmark concurrentiel, recrutement, protection de la propriété intellectuelle, affichage à l’international, communication, aide à la recherche de financements publics et privés ... Le label Genopole, accordé après expertise, apporte une crédibilité forte aux entrepreneurs face aux investisseurs. Depuis 1998, 166 sociétés ont pu s’appuyer sur ce label. Citons à titre d’exemples : Global Bioenergies, entreprise cotée a mis au point un procédé de conversion de ressources sucrières en isobutène, un dérivé du pétrole, pour la production de biocarburant et de biomatériaux. InnaVirVax développe un vaccin pour le traitement des infections causées par le VIH SIDA. Ynsect élève et transforme des insectes en huile et farine pour les marchés de la nutrition animale (animaux de compagnie et poissons d'élevage)… Créer des liens, insuffler l’esprit biocluster Un cluster n’a pas de raison d’être sans liens entre ses entités. Genopole invite régulièrement les chercheurs, les entrepreneurs, les étudiants à des colloques, ateliers et animations sur des thématiques business, scientifiques, technologiques… Ces temps de rencontres insufflent un sentiment d’appartenance au biocluster, permet des échanges d’informations et facilite les possibilités de collaborations. Pour les chercheurs, des actions très ciblées sont mises en place, comme les « Atige », allocation postdoctorale visant à favoriser le retour des chercheurs effectuant des stages à l’étranger après ...
Collectif créé dans le but de promouvoir cette destination en tant que destination d’affaires, Meet in Alsace est une démarche collective ralliant des prestataires ainsi que des professionnels du monde du tourisme d’affaires. Célèbre pour sa route des vins et ses vignobles, sa gastronomie ainsi que sa culture, cette destination reine, idéalement située dans une zone frontalière avec la Suisse et l’Allemagne et à seulement 1h48 de Paris, se veut être l’ambassadrice de l’art de vivre à la française avec trois principales villes attractives, dynamiques et dédiées à l’événementiel d’entreprises : Colmar, Mulhouse et Strasbourg. « Les villes alsaciennes attirent entreprises et organisateurs d’événements grâce à des infrastructures adaptées : qu’on opte pour Strasbourg l’Européenne et son Palais de la Musique et des Congrès entièrement rénové, Colmar l’hédoniste et son Musée Unterlinden, ou Mulhouse l’inventive et son Quartier Gare en pleine expansion, les villes alsaciennes savent répondre aux besoins d’une clientèle d’affaires exigeante.», nous explique Marie-Reine Fischer, Présidente de Destination Régions et 1ère Vice-Présidente de l’Agence d’Attractivité de l’Alsace en charge du tourisme. Découvrir les mille et une saveurs de Colmar Capitale des vins d’Alsace, Colmar se veut être une ville gourmande à l’authenticité préservée. Située sur la mythique route des vins, elle est la promesse d’un congrès, d’un séminaire ou d’un team-building d’exception organisés sous le signe de l’intimité d’une ville à taille humaine. En dehors de son patrimoine historique et culturel digne d’intérêt, inspirant de nombreuses activités extraprofessionnelles, Colmar est idéalement dotée d’un équipement de choix adapté aux événements d’entreprise. Hébergez, par exemple, vos collaborateurs dans une des 4 000 chambres de Colmar, et organisez vos congrès dans des centres dédiés ou au sein du Parc des expositions et de congrès. Avec ses 13 500 m2 de surface, cette infrastructure accueillera les manifestations de toute taille grâce à un espace modulable. Découvrez, entre autres, le fameux musée Unterlinden qui a fait l’objet de rénovations importantes permettant ainsi aux entreprises d’organiser leurs événements au cœur d’un cadre prestigieux, designé par les architectes Herzog & de Meuron, et doté de salles pouvant accueillir de 70 à 400 personnes. Pensez ainsi à Colmar pour vos congrès ou vos séminaires organisés sous le signe gourmand d’une ville axée sur le tourisme vitivinicole et culturel. Mulhouse : un musée à ciel ouvert Pour vos team-building, vos séminaires ou vos voyages incentive, pensez à Mulhouse, ville créative et inspirée d’un patrimoine industriel de renom. Séminaires organisés dans un parc botanique et zoologique avec vue sur le bassin d’ours polaires, team-building en forme d’olympiades ou séjours incentive au cœur de la gastronomie locale… Autant d’activités ludiques et culturelles qui surprendront vos clients et vos collaborateurs. Plongez également ces derniers dans un autre monde à l’occasion d’une visite de la Cité de l’Automobile, un musée unique pouvant accueillir vos congrès, séminaires et dîners de gala organisés au milieu de voitures de collection et de légendes, notamment une collection rare de plusieurs Bugatti. A deux pas, l’Écomusée d’Alsace à Ungersheim est le point d’orgue entre le passé et le présent, il se veut être le témoin d’une Alsace authentique mais mue d’une volonté de raconter une histoire toujours plus vivace, contemporaine et créative. Strasbourg : une ville à la pointe de la technologie Patrimoine d’exception, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO pour son centre-ville et sa Neustadt, troisième ville verte de France et infrastructures de pointe caractérisent Strasbourg en matière de tourisme d’affaires. Avec la rénovation récente du Palais de l...
Profitant d’une situation très convoitée en plein cœur du centre historique de la Ville des Lumières, le restaurant L’Éclat côtoie la Cathédrale, la colline de Fourvière et les rives de Saône. À l’intérieur, lustre Tom Dixon, tons boisés et formes design sont sublimés par des jeux de matières et des couverts raffinés. Vitrée, la cuisine permet à la clientèle de découvrir les talents du chef Vincent Leleu et de sa brigade. L’éclat de la cuisine à la française C’est à travers des sélections de recettes gastronomiques raffinées que le restaurant L’Éclat évoque toute l’intensité d’une cuisine riche en traditions. Du choix des produits jusqu’à la présentation artistique et moderne de chaque assiette, en passant par la maîtrise des cuissons, l’établissement garantit de vivre d’intenses découvertes gustatives. La carte propose des mets qui allient diversité et authenticité. Foie gras, merlu, rouget, cabillaud, pigeon de Pornic, bœuf et cochon s’agrémentent de champignons, de truffes et de légumes de saison. Chaque recette témoigne d’un savoir-faire respectueux des produits. Ces derniers révèlent de parfaites textures en bouche sublimées par des concentrés de saveurs. Pour l’approvisionnement, la maison collabore avec des fournisseurs triés sur le volet. « Nous avons fait le choix de ne travailler qu’avec des producteurs qualifiés et des produits de saison », nous précise le jeune chef de talent, Vincent Leleu. Celui-ci privilégie aussi bien les producteurs locaux que d’autres professionnels situés dans les autres régions, pour mettre en valeur toutes les particularités et richesses du pays. Dans la cave à vins qui est visible depuis la salle, toutes les régions sont également mises en valeur. La carte propose actuellement près d’une centaine de références, dont des bios, spécialement choisies pour être en harmonie avec les mets proposés. Une touche d’innovation personnelle Permettant de redécouvrir les standards de la cuisine traditionnelle française, le restaurant L’Éclat met en scène tout le savoir-faire de son chef Vincent Leleu. Avec talent et discipline, il élabore chaque recette avec minutie tout en respectant les valeurs d’une gastronomie ancrée dans l’air du temps. C’est à travers quatre choix de menus alliant tradition et innovation qu’il invite à voyager au sein de la culture culinaire française. Dans son ambiance design, chic et contemporaine, le restaurant propose entre autres de profiter d’agréables repas d’affaires. Servi à midi, le menu affaires à 30 € propose carotte, poire et jésus de Morteau en guise d’entrée. En plat de résistance, lieu jaune, petit pois menthe et œuf de caille feront plaisir aux fins palais. Mêlant fraîcheur et douceur, pomme, aneth et citron seront parfaits à titre de dessert. Les trois autres menus proposés respectivement à 45 €, 55 € et 75 € sont servis midi et soir. Ils permettent de goûter à des saveurs inédites, telles que la Royale d’épinards, tuile de pain et noisettes torréfiées, lard Contadino ou le bœuf en gravlax condiment fenouil anis et jus de bœuf corsé, sans oublier le merlu de ligne, terrine de chou vert brûlé jus de citron de Menton. Parmi les signatures du chef, le foie gras tartare de tomates fraises et coriandre, ainsi que le pigeon de Pornic rôti sur coffre fumé au foin et cranberries sont incontournables. L’exquise tarte Tatin circulaire aux pommes avec sa crème glacée à la vanille de Madagascar et aux cacahuètes titille également les papilles à chaque bouchée. Garante de plaisirs culinaires intenses, la succession des saveurs proposées sonne comme une véritable mélodie qui égaye les sens. Il est possible de faire découvrir cette cuisine haute en couleur aux convives de vos événements. « On fait des dîners pour les particuliers chez eux et pour des entreprises, donc des séminaires, des cocktails dînatoires », nous souffle-t-on. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...
Cette propriété existait déjà depuis 1800 mais elle n’a été exploitée par la famille Rosier que depuis 1956 par le biais du grand-père Paul. Après des études d’œnologie à Orange et Belleville-sur-Saône, Bruno Rosier débute au domaine en 1990 auprès de son père. Il commence par planter de nouveaux cépages et introduit du Viognier sur le domaine. A cette époque, la production était encore amenée à la coopérative La Suzienne. Le domaine sous l’ère Bruno Rosier Dès qu’il reprend en main l’exploitation en 2002, Bruno décide de vinifier lui-même sa production. Il travaille ses 30 hectares de vignes et 20 hectares de lavandin en agriculture raisonnée. Cette technique consiste à mettre des rangées de paille de lavandin distillé sous les vignes. Cette seule action permet à la fois d’étouffer les herbes, de lutter contre l’érosion et la sécheresse et de nourrir le sol. Il s’initie aussi à la production de vins blancs, une grande première pour le domaine. Il commence par 55 tonneaux de Bourguignon de 228 litres dans la vieille cave du domaine. Comme le résultat s’est révélé encourageant, il décide de passer à la vitesse supérieure en investissant dans une cave moderne avec des cuves en inox et des 94 futs de chêne européen. Les vins du domaine Comme Bruno Rosier aime à le répéter, il faut du bon raisin pour faire du bon vin. Il s’efforce toujours de travailler des vins ronds et souples en structure. Il propose à la vente du rouge, du blanc et du rosé, et sa touche personnelle consiste à introduire du Viognier, son cépage fétiche, dans toutes ses cuvées. La cuvée « A l’Envol des Hirondelles » est un Vin de Pays de Méditerranée. Issu de coteaux sablo-argileux mêlés d’éboulis calcaires, ce moelleux 100% Viognier présente une robe jaune paille. Son nez est riche avec des notes de fruits mûrs et de fleurs blanches. En bouche, il est gras et doux avec une finale très longue aux arômes de fruits confits et de fruits exotiques. Il se déguste avec des toasts de tapenade, une tarte Tatin, une belle poire au chocolat ou au pain d’épices. La production de cette cuvée est limitée à seulement 3000 bouteilles. Le « Rosé Plaisir » AOC Grignan les Adhémar, est un vin à la robe rose pâle aux reflets orangés. Son nez est très riche, avec des notes de fruits rouges, pêches et agrumes. La bouche propose des touches d’amandes grillées avec des fleurs blanches. Le millésime 2012 a été récompensé d’une étoile au Guide Hachette 2014. Il se caractérise par une belle rondeur et une fraîcheur qui est parfait pour accompagner la cuisine méditerranéenne, salade, grillade et tajines, et la cuisine asiatique très épicée. ...
La tradition a été bousculée ! La vitiviniculture n’est plus un travail exclusivement masculin. Cette activité peut aussi refléter une élégance féminine et c’est ce que les vigneronnes du territoire Capagathois tiennent à démontrer. Désormais, ce renouveau s’affiche comme l’une des plus grandes fiertés de ces vignobles ancestraux, chatoyants et variés, qui sont devenus de fervents promoteurs des vins de femmes. Dans l’atelier des vigneronnes Les femmes aiment le vin, mais elles aiment aussi faire du vin, et elles le font bien ! Elles répondent parfaitement aux nouvelles demandes qui s’articulent autour de la recherche du goût et du plaisir. Cette nouvelle perspective est issue d’une volonté profonde de respecter la nature et donne naissance à des vins plus légers, plus fruités et moins tanniques. Chez Sabine de Virieu (propriétaire du Domaine de la Conseillère, à Montagnac), la culture du vin, c’est aussi la culture de l’accueil des visiteurs et la transmission de la pédagogie du vin. La production en IGP lui permet une grande créativité, elle souhaite faire découvrir la large palette aromatique entre des merlots et de la syrah pour éveiller les sens, et la conscience du bon vin respectueux de la terre et de la nature. Au Domaine de Daurion, à Caux, Isabelle Cordoba-Collet s’appuie sur un savoir-faire traditionnel pour produire des vins exprimant le terroir volcanique typique de l’appellation Pézenas. Isabelle travaille en finesse et élégance, notamment ses blancs, sur des vignes en conversion pour un plus grand respect et une protection de ses terres. Bien d’autres domaines et produits sont encore à découvrir : la Chartreuse de Mougères et Gersende de Saint-Exupéry, Simone et Virginie Gaujal à Pinet, Sophie Palatsi au domaine de la Clapière à Montagnac… et bien d’autres. On peut dire que les femmes insufflent un avenir prometteur au paysage et aux productions viticoles du Languedoc. ...
Liée à l’histoire de Nevers, grand pôle faïencier depuis le XVIe siècle, sa collection maîtresse est celle de céramiques. La plus grande salle du musée est dédiée à la présentation de cette collection d’exception. Les oeuvres, très diverses, reflètent la richesse d’une production. Pièces en faïence de grand feu du XVIe au XXe siècle, les créations exposées dévoilent tout un pan de l’histoire d’un art, d’une activité économique mais également d’une société, art de cour au XVIe et XVIIe siècles, la faïence entre dans les maisons bourgeoises puis populaires au XVIIIe et XIXème siècle. Grands plats ornementaux, carreaux de pavage, bouteilles à décors, statues, plaques décoratives ou objets atypiques nous racontent cette épopée mêlant grande et petite histoire, savoir-faire technique et art. Une impressionnante collection de verre A cette collection s’ajoute celle de verres émaillés, dits verres filés. Cette collection de verre est la plus importante d’Europe et provient essentiellement de la Collection Loynel d’Estrie, déposée par le Musée du Louvre à Nevers en 1998. Collection insolite, elle donne à découvrir cet artisanat très prisé aux XVIIe et XVIIIe siècles et qui est aujourd’hui perdu. Nevers, foyer de formation des maîtres émailleurs, était doncle lieu idéal pour présenter ces boîtes et figurines. Fascinantes, tant par la variété des sujets abordés, scènes de genre comme scènes religieuses, que par la qualité. Les amoureux des beaux-arts trouveront aussi de quoi satisfaire leur curiosité, avec objets d’arts et tableaux de maître. Mais au-delà des œuvres, une véritable découverte du bâtiment s’offre aux visiteurs sur 2 100 m2 où se côtoient bâtiment contemporain et vestiges médiévaux. ...
Etablissement extrêmement prisé de la ville ocre, « les Jardins de la Médina » propose à ses clients toutes les prestations et les services d’un hôtel de luxe. « L'âme d'un Riad, l'esprit d'un hôtel », telle est la philosophie de ce lieu, une ancienne demeure princière, au cœur du quartier historique de la Kasbah à 2 pas du Palais Royal. Derrière les hauts murs des Jardins de la Médina se cache l'histoire d'un des authentiques riads de Marrakech, autrefois destiné à la villégiature de familles nobles, ayant laissé l'empreinte de l'art de vivre arabo-andalou. Transformée en hôtel de charme en 2001, la propriété a conservé son architecture originelle du XIXème siècle, en intégrant autour d'un jardin d’exception de 3000 m2, les chambres et suites sont disséminées parmi les jacarandas, palmiers centenaires, bigaradiers et autres plantes luxuriantes. De somptueuses chambres et suites, toutes différentes L’hôtel « les Jardins de la Médina » possède une capacité totale de 36 chambres réparties en 4 catégories. 12 Chambres supérieures côté Patio, situées au premier et second étage, conçues à l'image de la Medina de Marrakech. Ombragées et tempérées, elles s'ouvrent sur des patios typiques plantés d'arbustes, de fleurs odorantes et agrémentées de fontaines traditionnelles. 11 Chambres supérieures côté Jardin dont une pour personnes à mobilité réduite, spacieuses et ouvrant directement sur le jardin. Idéales pour les petites familles, elles permettent d'ajouter un lit pour un enfant ou un adulte (200cm x 90cm). 6 Chambres de luxe « Solarium » portant bien leur nom puisqu’elles sont plein soleil. Dominant le jardin et très lumineuses, elles s'ouvrent sur une petite pergola idéale pour le petit-déjeuner. Un escalier mène à une grande terrasse solarium privée qui s'apprécie encore mieux en duo. 7 Chambres de luxe « Sultane » portant les noms de femmes musulmanes Aicha, Mansouria, Davia, Bahia, Kahena, Farah Diba et Oum Khalsoum ayant chacune marqué leur temps. Ces suites avec terrasse privative ou balcon offrent une magnifique vue sur le Jardin et un séjour d’exception. La plupart d’entre elles sont équipées de cheminées, de vastes baignoires ou de larges douches pluies. Une belle et grande piscine et de majestueuses terrasses Marrakech demeurant avant tout une destination de bien-être et de farniente, Les Jardins de la Médina met à la disposition de ses clients une grande et belle piscine (chauffée en saison) au cœur de son jardin luxuriant. A l’heure de la sieste les terrasses vous invitent au farniente et à la contemplation. Du haut de ces solariums, en hiver, vous avez le sentiment merveilleux de pouvoir toucher du doigt les sommets enneigés de l’Atlas. En été, votre regard est attiré davantage par les Jardins de l’Agdal tout proches et par le labyrinthe des ruelles et des toits-terrasses de la médina tout autour de vous. A l’heure bleue, lorsque le soleil descend, le miracle opère. Les lueurs rouges de la médina se mélangent à celles du soleil couchant et les myriades d’étoiles saluent l’illumination de la mosquée de la Koutoubia là bas, juste à côté de place Jemaa El Fna où bât le cœur éternel de la ville rouge. ...