Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Selman et le concept de La Table d’Antoine Chic et cosy, sobre et majestueux, le restaurant Le Selman est ouvert sur l’extérieur et ravit les amoureux de la nature verdoyante et des grands espaces. C’est un lieu intemporel, une invitation au voyage des sens. Le chef Antoine Perray et son concept La Table d’Antoine ont posé leur quartier au restaurant Le Selman, dans le cadre d’une résidence gastronomique. La carte est renouvelée chaque saison. En entrée, daurade royale en ceviche, condiment au citron beldi. En plats : volaille fermière au vin jaune, morilles, châtaignes, ou quasi de veau de lait, mole poblano… En dessert : soufflé cacao grand cru 80 % « cœur de Guanaja ». Concernant le cadre, il est des plus intimistes, idéal pour partager un agréable moment de détente. La fabuleuse escapade dans ce lieu près des montagnes de l’Atlas promet une paisible découverte entre amis, en couple ou en famille. Rien de mieux pour échanger, partager et se ressourcer là où la nature a son mot à dire. Les convives sont invités à profiter de ce cadre idyllique d’exception. ...
A l’écoute des tendances et des évolutions alimentaires de la société actuelle, l’Institut parisien à la renommée internationale a imaginé ce programme novateur et inspiré. Dans la continuité des formations existantes, bases et techniques sont administrées aux étudiants, sauf qu’ici, une attention toute scientifique est accordée aux produits. Recettes sans gluten, sans sucre ou sans œuf, végétariennes ou végétaliennes sont réalisées, sous les conseils des Chefs Pâtissiers Le Cordon Bleu et experts dans le domaine de la nutrition. Ce diplôme répond aux attentes de son époque. Aujourd’hui, savoir ce qu’on mange, d’où viennent les produits, quelles sont leurs compositions ne sont plus des informations prises à la légère. Sensibles au recyclage, à la transparence des circuits, les consommateurs se responsabilisent face à leurs achats. Les nourritures saines, bios, voire végan connaissent un essor significatif. Une pâtisserie d’avenir La pâtisserie traditionnelle est l’œuvre d’un savoir-faire et de techniques qui ont traversé les générations. Elle donne aujourd’hui naissance à des gourmandises plus naturelles. « La pâtisserie de demain, c’est se faire plaisir avec un goût franc, c’est être son propre docteur et savoir ce qu’on met dans son corps », explique Chef Fabrice Danniel, Directeur Adjoint des Arts Culinaires et Responsable du Département Pâtisserie et Boulangerie. Le secteur de la pâtisserie saine et équilibrée connaît une forte croissance, élargissant toujours plus le champ de ses opportunités. Son marché ne cesse de fleurir, profondément ancré dans les traditions, tout en se renouvelant. Mariage, anniversaire, fêtes, les douceurs ne sont jamais absentes du repas idéal. Des concepts de boutiques se réinventent, dédiés à un produit unique ou aux pâtisseries végétaliennes. Place à l’imagination et aux recettes éclairées. Les chefs s’y donnent à cœur joie pour le plus grand plaisir des dégustateurs. Et Le Cordon Bleu Paris veille à former la relève. ...
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie chronique qui provoque l’inflammation des articulations à l’origine de gonflements articulaires et de douleurs. Elle est dite « auto-immune » car elle résulte d’un dérèglement du système immunitaire qui se retourne contre les articulations provoquant leur destruction sans prise en charge adaptée. Bien qu’elle puisse se manifester dès l’enfance, à l’adolescence ou chez les sujets âgés, la maladie se déclenche davantage autour de 50 ans et concerne plus souvent les femmes. « Jusqu’ici, un flou entoure les origines précises du déclenchement de la PR », nous explique Sonia Tropé, directrice de l’ANDAR. Toutefois, on sait que le tabac reste le facteur environnemental le plus connu. S’il est associé à un terrain génétique favorable, le risque de déclencher une polyarthrite rhumatoïde devient alors plus élevé. Selon notre interlocutrice, « cette maladie est mal connue du grand public ». L’ANDAR est donc née dans une volonté de mieux sensibiliser autour de la PR, mais pas que… Un accompagnement et une information de qualité dans la gestion de la maladie « Un des principaux objectifs de l’ANDAR est de servir de trait d’union entre patients et professionnels de la santé pour améliorer la relation de soins, contribuer à la mise en place de la décision médicale partagée et favoriser l’implication du patient », fait savoir la directrice. L’association régie par la loi 1901 a été créée sous l’impulsion de personnes atteintes de polyarthrite appuyées par un réseau de professionnels de la santé qui jusqu’à aujourd’hui, continuent de collaborer de manière constructive avec elle. En plus de participer au développement de la recherche en accordant une bourse annuelle financée en partie grâce à la course Polyar’trottons®, elle a pour vocation de mettre à disposition des patients, des proches et des soignants une information validée sur la PR. « Nous veillons systématiquement à ce que l’information fournie soit justifiée par des publications ou des avis d’experts », tient à souligner Sonia Tropé. Une association aux nombreuses actions innovantes Proposer les formations gratuites en ligne fait partie des moyens mis en œuvre par l’ANDAR pour diffuser l’information sur la PR. Ce MOOC (Massive Open Online Course) est accessible à tous y compris ceux qui ne sont pas adhérents de l’association. Il en est de même pour les webconférences qui invitent chaque mois un expert à venir développer un sujet en lien avec la maladie. Ces conférences interactives sont disponibles en live ainsi qu’en replay. Dans ce même élan, l’ANDAR a développé une plateforme d’information autour de la problématique du travail et de la maladie chronique qui s’adresse aux personnes œuvrant dans le secteur privé ou public, sorties du monde du travail ou à la recherche d’un emploi. Pour rester informés sur la polyarthrite rhumatoïde et sur l’ANDAR, inscrivez-vous à la newsletter mensuelle ! http://bit.ly/ANDARNL ...
Le Moulin de Valaurie est un hôtel 4 étoiles lové dans un écrin de verdure, au centre de la Drôme, qui offre un cadre des plus idylliques conjuguant la tradition et la modernité. L’établissement a la chance d’être installé dans un environnement exceptionnel au milieu d’un gigantesque parc de quatre hectares. Les arbres fruitiers, les rosiers, les vignobles, les oliviers, les plantes aromatiques… Tout est propice à la détente. Les alentours de l’hôtel regorgent également de nombreux attraits. Le village médiéval de Valaurie compte quelques importants sites historiques comme l’église du XIIe siècle ou le musée de la distillerie Eyguebelle. À quelques minutes de l’établissement, le village de Grignan émerveille tout un chacun avec son château Renaissance, inscrit comme monument historique ou encore la fameuse grotte de Rochecourbière. Quand les spécialités régionales et les senteurs provençales vont de pair… Opérant derrière les fourneaux du restaurant, le chef Riccardo Berto a eu l’occasion d’évoluer dans plusieurs pays et divers restaurants étoilés. Il ne manque pas d’idées novatrices et est notamment reconnu pour sa faculté à revisiter les grands classiques de la cuisine française, créant ainsi ses fameuses spécialités « greenstronomiques ». Ce passionné originaire d’Italie travaille surtout le poisson, mais n’en est pas moins doué avec d’autres ingrédients. Rivalisant vaillamment avec la haute gastronomie, il exprime sa grande passion pour les senteurs provençales à chaque plat créé. Il s’évertue à servir des assiettes qui portent forcément sa signature et qui offrent un véritable spectacle pour les pupilles et les papilles. Les fans de tartare, de marinade et du mi-cuit y trouveront assurément leur bonheur. Le repas du soir est caractérisé par une cuisine bio, tandis que le déjeuner évoque un style bistro chic, La Tractoria. Notons que seuls les produits frais et de saison ont leur place dans le restaurant. Pour assurer une qualité optimale, l’établissement se fournit uniquement auprès des producteurs locaux : truffes, asperges du Gard, marrons confits, magrets de canard, pintade de la Drôme… Tous les plats faits maison suggérés par la maison sont sublimés par une carte à vins éclectique et au goût de tous. Les références les plus prisées sont les côtes-du-rhône et quelques perles de la Drôme provençale issues du domaine de Grangeneuve ou du domaine de Montine. Pour déguster ces merveilles, rendez-vous dans la salle du restaurant, qui est une véritable invitation à la détente et, il est peu de le dire, ouvre l’appétit. Si la véranda séduit avec son ambiance assez intimiste et sa décoration pensée dans les détails, la terrasse, elle, donne une vue sur le plan d’eau et le parc. Cette dernière peut accueillir jusqu’à 80 personnes. Par ailleurs, il est possible de siroter un verre au bar, tout simplement, tout en profitant du magnifique cadre. Un véritable havre de paix Étant à l’origine un moulin en pierres apparentes, cet établissement a été entièrement rénové en 2015 pour devenir l’actuel hôtel de prestige qu’est le Moulin de la Valaurie. Il propose dix-neuf chambres confortables, insonorisées et climatisées, au style épuré, élégant et chic. Les belles œuvres de l’artiste peintre Patrick Montagnac viennent en outre optimiser la décoration des chambres, et ce, depuis mai 2016. Lits jumeaux ou lits doubles, grands placards, salle de bains privative avec fenêtre, espace de travail… Tout a été pensé pour proposer un séjour bien-être et hors du temps. La luminosité, le mobilier patiné à l’ancienne et les couleurs tendres contribuent à créer une ambiance qui se veut provençale. Et pour tromper l’ennui, plusieurs activités ont été mises en place. Après une journée à la découverte des sites aux alentours de l’hôtel, rien de tel que de piquer une tête dans sa piscine rafraîchissante. Et pour tromper l’ennui, plusieurs activités ont &e...
Une grande partie des maladies cardiovasculaires est due à l'obstruction d'artères (athérothrombose). « Si le vaisseau qui se bouche irrigue le cœur, cela provoque un infarctus du myocarde ; s'il irrigue le cerveau, un accident vasculaire cérébral, avec une mortalité élevée et des séquelles souvent lourdes pour les survivants », explique le professeur Steg. Le projet iVASC a pour but de faire progresser la compréhension et le traitement de l’athérothrombose. Le professeur Nicoletti, responsable de l'une des équipes du RHU, précise : « Si l'on fait la somme des morts dues aux maladies cardiaques et aux maladies cérébrovasculaires, nous sommes face à la première cause de mortalité dans le monde. C’est un problème de santé publique majeur ». Un plafond de verre à dépasser Ces dernières décennies ont vu des progrès considérables dans le domaine de la pharmacologie et du traitement curatif des maladies cardiovasculaires. Pour ce type de maladie, la prise en charge est multiple : elle fait intervenir des médicaments, très efficaces, mais aussi souvent la pose de stents ou des pontages chirurgicaux. Elle implique surtout un changement de mode de vie pour contrôler les facteurs de risque de la maladie, qui sont bien identifiés (tabac, cholestérol élevé, diabète, hypertension, sédentarité, obésité, par exemple). Malgré tout, les progrès se ralentissent pour plusieurs raisons. Les pistes de recherche sur la genèse et la progression de la maladie sont assez stéréotypées et ont beaucoup porté sur le traitement de l'hypertension artérielle ou d'une élévation du cholestérol, ou sur le diabète. De nouvelles voies doivent désormais être explorées. L'industrie pharmaceutique, l'un des moteurs de ces progrès, s'éloigne de ce domaine car les investissements qui doivent être consentis deviennent énormes pour des rendements parfois modestes. Le coût de réalisation des essais cliniques cardiovasculaires, qui doivent souvent impliquer des dizaines de milliers de malades, devient prohibitif. Justement, le RHU iVASC propose de nouvelles pistes de recherche et de nouvelles modalités pour les études cliniques dans ce domaine. Des facteurs de risque qui peuvent sembler extravagants, mais ne le sont pas Le RHU iVASC a pris le parti de s'intéresser à des facteurs de risque qui, bien que très communs (jusqu'à 80 % des patients), sont restés relativement négligés. Il s'agit de facteurs de risque atypiques. Le premier, c’est la maladie parodontale, une maladie infectieuse de la bouche causée par une mauvaise hygiène buccodentaire. Il peut sembler curieux que la maladie parodontale puisse avoir un retentissement sur les artères. Or, des données expérimentales et cliniques suggèrent un lien. L'un des axes de ce RHU est précisément d'établir s'il existe un lien de cause à effet et si une meilleure hygiène buccodentaire peut prévenir les maladies cardiovasculaires. Le partenaire industriel du RHU iVASC sur cet aspect est Colgate-Palmolive. Un deuxième facteur de risque est à explorer par le RHU iVASC : les troubles respiratoires du sommeil. Ils sont fréquents et caractérisés par des respirations anormales ou des pauses dans la respiration, et par une ventilation insuffisante pendant le sommeil. Outre la fatigue qu'ils provoquent, ils sont soupçonnés de participer à la genèse des accidents cardio et cérébrovasculaires. Avec l'aide du leader industriel français du diagnostic et du traitement de ces troubles, ResMed, ce facteur de risque va être exploré sur le plan clinique dans le RHU iVASC. ...
Le mot fourme vient du latin et signifie « mettre en forme le cailler ». En français moderne, ce mot signifie « fromage ». De là, est apparue la combinaison des mots « fourme d’Ambert », qui signifie « fromage d’Ambert en Auvergne ». Une histoire raconte qu’à l’époque napoléonienne, des écrits de dragon autrichien témoignent de l’achat du fromage à Ambert. Une denrée ensuite jetée dans la rivière parce qu’elle était moisie. Mode de fabrication Fromage à pâte persillée, la fourme d’Ambert se caractérise par sa forme verticale, ronde et haute. Elle est produite principalement en Auvergne, sur la montagne du Puy-de-Dôme (600-1 600 mètres d’altitude), dans 5 cantons du Cantal, mais également dans 8 communes de la Loire. La fabrication de la fourme d’Ambert se fait manuellement et naturellement, respectant ainsi les techniques ancestrales de fabrication et les valeurs même de son terroir d’origine. Le lait de vache est alors mélangé avec un champignon appelé le Penicillium Roqueforti, afin d’obtenir le persillage. Vient ensuite l’étape du caillage puis, le travail en cuve (découpage et brassage). La mise en moule se fait à l’aide d’un tapis afin de préserver les grains coiffés, pour aller directement à l’égouttage, où les fromages sont retournés durant 24-48 heures. Une des étapes les plus importantes est le salage qui se fait manuellement au sel sec, puis le piquage, qui consiste à créer des trous à l’aide de grandes aiguilles, pour permettre le développement du bleu. Pour finir : le passage dans les caves d’affinage, où la fourme d’Ambert repose durant vingt-huit jours. Un goût unique aux mille recettes De ce fromage bénéficiant de l’Appellation d’origine contrôlée (AOP) depuis 1972 naissent des milliers de recettes créées par des professionnels de la gastronomie, mais également par des amateurs de la cuisine. Facile d’utilisation, il rayonne aux quatre coins de la planète par son goût de champignon et sous-bois, à la nuance fruitée. En arôme, il dégage une odeur de cave. La fourme d’Ambert s’accorde avec tous types d’aliments, chauds, froids, ou sucrés, salés et même avec des boissons, comme le mélange du cappuccino de betterave et de la fourme d’Ambert. Elle sublime ainsi toutes les créations culinaires : tartelette de fourme d’Ambert aux brocolis et caramel de pommes, magret de canard, rillettes aux noix et à la fourme d’Ambert, crème brûlée à la fourme d’Ambert. ...
Pour Marie Blangeot, « Coup de cœur rime avec rigueur ». Voilà assurément les deux valeurs cardinales de l’équipe de Parcours & Voyages. Sans oublier le sur mesure. Et cela commence naturellement par l’écoute du client, demandeur d’une expérience unique autour d’un prochain voyage de golf en France ou à l'étranger, seul, en famille, entre amis, avec un Pro ou une association. L’équipe se charge alors de conseiller, de dénicher et d’organiser le séjour golfique de rêves pour en faire un moment aussi privilégié qu’inoubliable en « essayant toujours de satisfaire la demande, de trouver une solution adaptée. » Le modèle de l’agence se rapproche ainsi d’un service de conciergerie, avec un encadrement et un accompagnement permanents. La passion du Golf est évidemment ce qui pousse les clients vers Parcours & Voyages. D’ailleurs, 99% d’entre eux sont des pratiquants. Il convient donc de leur proposer, en marge de leur passion, une destination touristique avec des séjours à la carte en réalisant tous les forfaits selon leurs envies et leurs critères (budget, standing, durée, temps de vol). « Une destination peut être déclinée à l’infini selon le profil du client, qu’il soit seul ou en groupe » précise d’ailleurs Marie Blangeot. Des séjours Golf à la carte Pour l’équipe de Parcours & Voyages, la personnalisation est donc un atout majeur. De fait, les clients rencontrés parfois même au gré de parcours de Golf, sont naturellement attirés par ce privilège et cette part de rêve sur mesure. Avec cette idée que leurs désirs de vacances golfiques doivent être satisfait dans le moindre détail. Car il doit évidemment correspondre à la hauteur de l’investissement, en temps et en budget. « Analyser les attentes, proposer, recommander » est essentiel dans un secteur très concurrentiel, selon Marie Blangeot. L’équipe doit également prendre en compte l’évolution des parcours, 18 ou 9 trous. Ainsi que les nouveaux Resorts sur les destinations émergentes. Il en va de la confiance et de la fidélité des clients. Sans oublier le service et l’écoute. Comme savoir dire non, parfois, quand le profil d’un client ne correspond pas à une offre. Chez Parcours & Voyages, la confiance est capitale. La grande tendance des "Croisières Golf" Dans l’univers du tourisme golfique, le client est donc roi. Qu’il s’agisse d’un chef d’entreprise désireux de vivre une expérience sans contrainte, sans stress, parfaitement gérée. Ou qu’il s’agisse de passionnés, amateurs de Golf et avides de partager des stages avec des joueurs professionnels. Chacun pourra confier ses désidératas à l’équipe de Parcours & Voyages, prête à orchestrer les demandes avec les prestataires sur place. Parfois même avec de belles rencontres golfiques, comme le confie Marie Blangeot : « Il arrive que nos clients soient conviés à partager un verre, un dîner avec des champions en marge d’un tournoi. Une plus-value très appréciée. » Car l’équipe propose aussi des destinations sur des événements majeurs, grâce à des accords avec les organisateurs de grands tournois. Tout comme elle propose des croisières-golf, la grande tendance du moment, qui permettra de proposer aux clients des séjours dans les Caraïbes à partir de décembre prochain. Une grande première pour ceux qui désirent construire un voyage golfique inédit. « Avec Parcours & Voyages, vous vivrez une expérience unique », conclut Marie Blangeot. Un savoir-faire d’ailleurs récompensé par l’Award du Meilleur Tour Opérateur spécialisé golf en 2019. ...
Située dans la région des Hauts-de-France, dans l’Aisne, l’Agglo du Saint-Quentinois bénéficie de plusieurs atouts majeurs en faveur des entreprises souhaitant s’implanter. À commencer par sa situation géographique avantageuse à proximité des autoroutes et les axes ferroviaires avec notamment la présence de la gare TGV Haute-Picardie qui facilite l’accessibilité. Au-delà, l’Agglo propose un cadre de vie exceptionnel. Riche d’un patrimoine culturel et naturel unique, le Saint-Quentinois abrite une ville art-déco mondialement réputée qui n’est autre que Saint-Quentin. Il comprend également le Parc d’Isle, la plus grande réserve naturelle en milieu urbain drainant annuellement près de 500 000 visiteurs. Les nombreux équipements sportifs et de loisirs à l’instar de La BULLE (complexe ludique) ou encore le Pôle Mécanique de la Clef des Champs illustrent entre autres cet environnement attractif. Ici la qualité de l’air et de l’eau sont indéniables, c’est important. Un « Territoire Robonumérique® d’Excellence » Pour ce faire, l'Agglo du Saint-Quentinois s’est engagée comme territoire-pilote de la Robonumérique® (contraction robotique + digital). La démarche a pour objectif d’intégrer dans un véritable écosystème cette notion englobant l’ensemble des innovations technologiques de rupture. « L’économie et l’emploi sont en grande mutation. Ici nous avons la ferme volonté d’innover, de développer des formations dans les domaines technologiques, parce que c’est bon pour les entreprises et pour l’emploi » déclare Frédérique MACAREZ, Maire de Saint-Quentin et Présidente de l’Agglo du Saint-Quentinois. « Dans les écoles, des actions de sensibilisation permettant aux jeunes de découvrir ce domaine sont organisées. Idem dans l’enseignement supérieur où des formations, ateliers et animations sur ce thème sont mis en place pour éveiller les vocations dans les métiers du numérique et des nouvelles technologies », rapporte Jean-Pierre Ciesielski, directeur du Développement Économique de l’Agglo du Saint-Quentinois. Des leaders mondiaux présents sur le territoire Et si le territoire a développé une sensibilité autour de la Robonumérique®, c’est surtout qu’elle a la chance d’abriter de belles industries dont MBK Yamaha, L’Oréal, Le Creuset ou encore Nestlé. Autant d’entreprises dynamiques que l’Agglo fédère autour d’évènements, de projets ou structures spécifiques : Créatis Sport (Startup Studio accueillant des projets innovants autour du sport), Club Robonumérique, Robonumériques Days, incubateurs et pépinières d’entreprise (Euratechnologie et Créatis)… Au sein de la pépinière d’entreprises de l’espace Créatis, Euratechnologies avec son nouvel incubateur et accélérateur de startups sur 180 m², accueille les talents d’aujourd’hui et de demain afin de les accompagner dans leur démarche d’innovation. Le territoire va encore plus loin dans sa démarche. « Nous ambitionnons de faire rayonner la Robonumérique® au niveau national et international et ainsi développer nos entreprises et startup en mode pro-business et pro-emploi.», fait savoir Jean-Pierre Ciesielski. Une vision « Smart Territory » Parmi les lignes directrices adoptées figurent « smart gouvernance » pour améliorer les services publics, « smart mobilité » pour développer les transports intelligents, « smart environnement » pour préserver l’environnement et « smart économie » pour préparer l’avenir des jeunes générations futures. ...
Créée en 2003, l’exploitation a été reprise en 2011 par Gilles Pedini, niçois de longue famille, amoureux de sa région Provençale et passionné par le monde du vin. Le Clos Gautier produit aujourd’hui trois cuvées en Côtes-de-Provence et le Campé d’Enroch en IGP Var Argens. Le domaine propose aussi de l’huile d’olive issues des oliviers multi centenaires de la propriété. Terroir et cépages typiques du Var Le vignoble du Clos Gautier s’étend sur une superficie totale de 33 hectares, au sein d’un terroir typique de la région, se distinguant par une terre argilo-caillouteuse avec un sous-sol argileux. Une partie des parcelles du domaine est située sur le terroir prestigieux de Mouton-Gautier. Grâce, notamment, à ce sous-sol en argile qui retient l’eau en profondeur, les pieds de vigne ne sont pas touchés par la sécheresse, ce qui garantit une maturation continue et linéaire des raisins pour des vins équilibrés. Sur les 33 hectares du Clos Gautier, 80 % des vignes sont dans l’appellation Côtes-de-Provence AOP et le reste en Vin de Pays du Var d’Argens IGP. L’exploitation possède aussi quelques parcelles exceptionnelles de vieilles vignes plantées en 1941 sur 2 hectares et en 1949 sur 6 hectares. Ces deux parcelles sont particulièrement soignées, et exclusivement vendangées à la main, car destinées à l’élaboration de cuvées haut de gamme. En outre, une replantation a été effectuée sur 5 hectares de vignes, en 2011, dans une démarche qualitative et de marche vers le bio. Quant aux cépages, ils sont représentés par la syrah, le grenache, le cinsault, le carignan, le rolle et l’ugni blanc. Quelques pieds de cabernet-sauvignon et de mourvèdre sont également présents Agriculture raisonnée Le Clos Gautier applique une agriculture raisonnée dans toutes ses démarches de production. Pour ce faire, les produits phytosanitaires sont employés de manière très limitée et sont remplacés dans la mesure du possible par des produits naturels tels que le soufre, le cuivre ou l’huile essentielle d’orange. Un îlot de 8,5 hectares autour de la cave est en cours de conversion en bio. La vendange ne s’effectue qu’à maturité optimale des raisins, avec des rendements inférieurs à la législation afin de garantir des jus plus riches. À la cave, les matériels de vinification sont à la pointe de la technologie : cuves en inox thermorégulées, pressoir pneumatique et cuves en béton unimoulées -sans joints- avec contrôle de la température. Les coups de cœur du domaine Parmi toutes les cuvées du domaine, la plus prestigieuse et la plus noble est sans aucun doute le Clos du Château AOP Côtes-de-Provence. Issue des vieilles vignes du vignoble, elle est élevée en barrique bordelaise de chêne durant 11 mois avant d’être embouteillée. Le millésime 2013 a été médaillé d’or lors du Concours des vignerons indépendants 2015 de Paris et médaillé d’argent au Decanter World Wine Awards de Londres. En 2014, la cuvée s’est étoffée d’une gamme de blancs élevée avec bâtonnage des lies fines dans des fûts de 400 litres et dotée de bouchons en liège naturel extra. Cette dernière a déjà remporté une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris en 2015. La cuvée Oser, issue de vignes de 40 ans, n’est pas en reste. En bouche, ce vin a une agréable rondeur avec des notes de fruits rouges. Il peut être servi en apéritif et accompagne savoureusement des plats en sauce. Au dernier Decanter World Wine Awards de Londres, le millésime 2014 a été couronné de la médaille d’or. ...
Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...
Au Moyen Âge, Pierrefeu-du-Var, situé dans le triangle d’or des vins Côtes-de-Provence, formé de Pierrefeu, de Puget-Ville et de Cuers, était déjà réputé pour la qualité exceptionnelle de ses vins. Un terroir complexe Les 22 hectares de vignes du Clos Real se trouvent sur un terroir schisteux très particulier et varié, constitué notamment de schiste, de quartz, de feldspath, de gneiss et de schiste bleu. Les parcelles du vignoble se trouvent sur des terrasses en altitude particulièrement difficiles à cultiver et dont le sous-sol très pauvre est enclavé dans le maquis. Il faut remarquer que, sur la production totale de vins réalisée dans l’Hexagone, celle du vin de schiste ne représente que 5%. Installées dans la vallée fluviale du Réal Martin, les vignes du domaine sont par ailleurs soumises à un microclimat unique, méditerranéen et à tendance continentale. Concernant les cépages de l’exploitation, ils sont conformes aux exigences de l’appellation Côtes-de-Provence. Grenache noir, syrah, vermentino, cinsault, carignan noir connu pour apprécier les sols schisteux et mourvèdre en petite quantité sont présents sur le domaine. Les cépages de vigne sont en moyenne âgés de 19 ans ; toutefois, certaines parcelles comportent des vieilles vignes âgées de 50 ans, voire de 100 ans pour les raisins blancs. La biodynamie au service de l’agriculture et de la vinification Au Clos Real, la méthode d’agriculture mise en pratique est biodynamique. Dans les faits, cela signifie non seulement que les produits phytosanitaires chimiques sont proscrits, mais aussi que l’usage des produits dits naturels comme le cuivre ou le soufre sont drastiquement limités afin de préserver au maximum l’environnement. Pour lutter contre les attaques de parasites et les maladies, des tisanes et des décoctions de plantes dynamisées avec de l’eau sont utilisées. S’agissant de la vendange et de la vinification, le Clos Real procède à la méthode de sélection microparcellaire : les cépages d’une même parcelle sont vendangés et vinifiés ensemble, contrairement à la méthode classique où seuls les mêmes cépages sont vendangés et vinifiés ensemble. Cette pratique était celle qu’employaient les moines au Moyen Âge, qui avaient compris que cette mixité avait un effet bénéfique sur le goût, la couleur, la saveur et la texture des vins. Du fait de la déclivité importante du terrain, seule la vendange manuelle est possible à pratiquer et elle s’effectue en suivant le calendrier lunaire. Le concept de biodynamie est encore et toujours présent à la cave, où le travail est un compromis entre tradition et modernité. Les vins sont élaborés dans des cuves en inox avec deux méthodes thermiques opposées. Dans la réalisation de la presse, aucune pompe ni pressoir ne sont utilisés, car c’est la gravité qui est mise à contribution avec ces caves disposées sous forme de succession d’étages. Au final, on obtient un vin d’une complexité anodine avec une forte empreinte de son terroir. En raison de tous ces facteurs contraignants (biodynamie, petite surface et structure du sol), la production annuelle du Clos Real est faible, avec moins de 600 hectolitres par an. Toutefois, ce faible rendement permet de favoriser la qualité des vins. ...
Niché dans un recoin préservé de l'île privée de Cavallo, l'Hôtel & Spa Des Pêcheurs propose un spa d'exception, offrant une expérience de détente où l’on vient se ressourcer. Dès l'arrivée au débarcadère de l’île, les visiteurs sont transportés dans un autre monde où luxe et bien-être se conjuguent harmonieusement. Une perle de la Méditerranée au large de la Corse Plongé dans le maquis Corse, l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs fait partie de ces endroits privilégiés que l’on conseille parcimonieusement. Implanté sur une île privée, acquise par Jean Castel en 1966, l’hôtel nous plonge au cœur du maquis corse et de ses effluves marines mélangées aux senteurs d’espèces sauvages spécifiques à la région. Construit en 1991 par l’architecte Roberto Valle, l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs est l’unique hôtel de l’île de Cavallo. En véritable refuge pour amateurs d’évasion, l’hôtel propose des services dignes du quatre étoiles qu’il est. Pour y accéder, la seule option est par la mer. On peut au choix prendre la navette publique depuis le port de Piantarella en Corse. Ou alors opter pour un transfert organisé par l’hôtel depuis le port de Santa Teresa Gallura en Sardaigne. Construit intégralement en pierres et en bois pour se fondre dans le paysage, l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs propose 49 chambres et une suite. Décoré dans des tonalités blanches, beige et bleues, les chambres se répartissent entre la maison principale et les petits bungalows situés à une centaine de mètres de la plage. Ici, l’on peut opter pour un séjour farniente ou bien profiter des nombreuses activités à la carte. D’une partie de golf à une randonnée pédestre au milieu de cette île réserve naturelle, en passant par des escapades de plongées, l’Hôtel & Spa Des Pêcheurs propose une variété d’activités pour profiter au mieux du séjour. En dehors du centre de bien-être et de ses bienfaits, l’hôtel dispose d’une salle de sport ainsi que de deux courts de tennis. Des excursions en bateau sont proposées pour explorer les îles alentour. Une occasion à ne pas manquer pour faire de la plongée sous-marine dans les Bouches de Bonifacio. Des cours de voile et de windsurf sont donnés aux amateurs de sensations. Pour ceux et celles qui préfèrent les virées shopping aux aventures, des taxis-boats sont disponibles pour se déplacer jusqu’à Bonifacio, où l’on trouve de magnifiques boutiques de luxe et des magasins traditionnels. Un programme bien-être et détente autour de l’île C’est dans ce cadre idyllique que l’on retrouve le Spa de l’hôtel. Une ode au bien-être où offres taillées sur mesure et personnel professionnel se mettent aux petits soins pour les clients de l’hôtel. L’une des spécificités du spa est de proposer des soins thermaux à base d’une eau particulière. On y trouve en effet une eau fossile, celle de « Salso Bromo Iodica » de Salso Maggiore Terme en Italie. Une eau originaire de la Mer Morte, qui possède des propriétés osmotiques et drainantes. Cette eau est bénéfique pour le système lymphatique, circulatoire et pour le renouvellement cellulaire. L’eau fossile est une eau qui s’est retrouvée piégée dans des roches. Ce type d’eau difficilement renouvelable puisqu’elle met des millénaires à être produite ne se trouve que dans de rares zones. Elle coule notamment en France, en Tunisie du Sud et aussi dans le Sahara. L’hôtel propose ainsi un type de soin qualifié de curatif avec une eau particulièrement riche en sels de magnésium, de calcium et de potassium, qui ont des propriétés bénéfiques sur les os, les muscles et les nerfs. Elle est également riche en oligo-éléments, tels que le fer, le cuivre et le zinc. Outre le spa, il existe aussi de nombreuses offres de massages à la carte. Des séances qui s’adaptent en fonction des besoins du client et où sont mis en avant les dernières techniques de bien-être. Les huiles essentielles se combinent ainsi aux m...
Le propriétaire du Monsieur Bouillon, le chef Philippe Chevrier est notamment connu en Suisse pour sa cuisine étoilée au Domaine de Châteauvieux, seul restaurant 2 étoiles Michelin du canton de Genève mais aussi pour l’originalité et la diversité de ses autres établissements . Il possède en effet 6 restaurants qui ont chacun leur particularité. Si le bar tea-room Les Aviateurs intrigue par exemple par son concept et par sa décoration, le restaurant Monsieur Bouillon est le seul à Genève à dresser toute sa carte autour de 2 produits que nous avons l’habitude d’utiliser quotidiennement. L’œuf et le poulet à l’honneur Les deux produits phares du Monsieur Bouillon, ce sont l’œuf et le poulet. La volaille étant l’un des produits favoris du chef Chevrier, il a choisi de travailler avec des éleveurs locaux. Ce choix a aussi été motivé par les nombreuses possibilités offertes par le poulet et l’œuf en cuisine. Accompagné d’un produit de luxe comme la truffe noire, le poulet devient en effet un plat raffiné. Mais il peut aussi être associé à des recettes simples comme les œufs brouillés ou les œufs à la coque. En outre, le restaurant propose aussi au second plan d’autres viandes et du poisson. Au restaurant Monsieur Bouillon, la cuisine change selon la saison pour faire place à des touches méditerranéennes, à quelques plats végétariens et même à des plats exotiques inspirés de la cuisine japonaise comme les brochettes yakitori et les œufs de poisson. La carte du Monsieur Bouillon satisfait ainsi un très large public. Mais la variété des recettes n’est pas le seul atout du restaurant, il plaît aussi aux genevois pour d’autres raisons. Pourquoi Monsieur Bouillon ? Le chef Chevrier a choisi le nom du restaurant en pensant aux bouillons parisiens, ces endroits où les ouvriers pouvaient manger rapidement dans une ambiance très conviviale. En ouvrant le Monsieur Bouillon, il voulait recréer la même atmosphère tout en s’adaptant au marché local de Genève. Pour ce faire, le chef Chevrier a choisi un décor chic et moderne avec l’aide d’un architecte d’intérieur. Dans ce restaurant si particulier, le cadre est élégant et le service rapide. Le restaurant est accessible à tous au niveau des tarifs et la qualité toujours au rendez-vous. Il ne cuisine en effet que des poulets Romands certifiés IP Suisse, élevés en plein air. Les œufs sont également labellisés Genève Terre Avenir. Ils sont produits dans la Ferme de la Pièce à Céligny, dans la campagne de Genève. Et comme le dit le chef Philippe Chevrier, « le chef n’est pas la star, ce sont les produits. » Par ailleurs, le Monsieur Bouillon est aussi connu pour la générosité de sa cuisine, à l’instar des autres restaurants du chef. La cuisine axée autour de ces deux ingrédients est dirigée par le chef Simone de Santis. Un italien qui a été formé par le chef Chevrier lui-même dans ses autres établissements avant de prendre ses fonctions au Monsieur Bouillon. Un espace à privatiser Situé en plein cœur des quartiers des banques, le Monsieur Bouillon accueille en semaine une clientèle business. Le soir, il y règne une ambiance citadine et le week-end, il accueille de nombreuses familles. Outre le restaurant, le Monsieur Bouillon met aussi à la disposition de tous ses clients un espace privatisable à l’étage. Il s’agit d’un lounge qui peut accueillir différentes sortes d’évènements tels les lancements de produits et les cocktails dinatoires. Dans la même ambiance que le restaurant, le lounge est mis en valeur par des tableaux d’artistes, des œuvres d’art et des meubles vintage. ...
Les Subsistances sont installées dans un ancien couvent des sœurs de l’ordre de la visitation. Bâti vers 1640, l’établissement avait été converti par l’armée en un campement militaire au début du XIXe siècle. Le site s’agrandit grâce à la construction d’autres bâtiments autour, jusqu’à ce que la Ville de Lyon devienne l’unique propriétaire du lieu à partir de 1996. Aujourd’hui, cet espace exceptionnel de 22 000 m² entièrement rénové abrite le Laboratoire international de pratique et de création artistique présidé par Nicole Gautier et dirigé par Guy Walter et Cathy Bouvard. L’École Nationale des Beaux-Arts de Lyon s'est également implantée sur les lieux en 2007. Lieu de vie, de travail et de création Le complexe s’articule autour de trois salles de spectacles, une grande verrière, trois espaces de travail, un espace d’exposition et une résidence d’artistes. « Nous avons des espaces de travail et de représentation de tailles extrêmement différentes. Certains font office de studio de répétition et d’autres sont dédiés aux productions de grandes dimensions », détaille Cathy Bouvard, codirectrice des Subsistances. La résidence d’artistes, quant à elle, accueille des jeunes compagnies et des artistes professionnels de l’art vivant (danse, théâtre, nouveau cirque et numérique) issus du répertoire contemporain et dont la sélection est laissée aux soins de la direction artistique. En plus d’offrir un hébergement sur une durée allant de 15 jours à 1 mois, Les Subsistances mettent à disposition des résidents un accompagnement artistique, un espace de travail, une équipe technique ainsi que des moyens de production adaptés. Au-delà, Cathy Bouvard tient à spécifier qu’« ici on leur prodigue du temps et la liberté de grandir, d’évoluer dans leur art et éventuellement d’aboutir dans leur projet artistique ». En collaboration avec d’autres équipes ou devant un auditoire, ces artistes auront plusieurs opportunités de mettre à l’épreuve leur démarche artistique pour les amener vers une autre lecture de l’art. Les temps forts de la saison 2018-2019 Le Festival Best Of est l’un des rendez-vous phares de l’année. Il réunit des performeurs reconnus autour des spectacles de danse, de musique et de création théâtrale. « Ces représentations sont en fait des projets artistiques créés par des artistes adorés et applaudis aux Subsistances, et qui sont aujourd’hui produits sur la scène internationale », précise la directrice. La saison 2018-2019 verra la participation de la chorégraphe Tânia Carvalho, dans The Recoil of Words, de Steven Cohen, qui va présenter son œuvre Put your Heart under your Feet… and Walk/ à Elu, ou encore de David Bobée œuvrant aux côtés de Ronan Chéneau et Béatrice Dalle dans Warm. En janvier 2019, la nouvelle édition du MOI de la danse revient avec une programmation vibrante : spectacles-performances, ateliers pratiques, cours de danse-minute le weekend, bal de clôture et bien d’autres surprises encore. La directrice met surtout l’accent sur le Grand Témoin, « une rencontre-discussion entre un artiste et le public pour créer un moment de partage et d’émotion ». Après Carolyn Carlson en 2017, Christian Rizzo en 2018, c'est Jan Fabre l'invité de cette édition. Le printemps laisse place à de nouvelles expériences à vivre en famille à travers l’évènement Une semaine sur Mars! « Les Subsistances sélectionnent des créations contemporaines les plus atypiques de la maison, préparées et présentées par un collectif d’artistes internationaux. » Au programme : une semaine de spectacles intenses (théâtre, cirque performance en plein air), pratiques artistiques pour enfants et ateliers pour le grand public. Un trait d’union entre les formes artistiques contemporaines et les hommes Les Subsistances sont un laboratoire pour les artistes mais aussi un pôle d’expérimentation pour le public. «&...
Ouvrir le champ des possibles grâce au coaching Dédié à l’accompagnement des dirigeants et des managers, qu’ils soient désireux de faire évoluer leur posture professionnelle, de développer leur leadership ou encore de reprendre confiance en eux suite à un changement de trajectoire, Avenir & Talents, le cabinet fondé par Annie Visco, veille à (re)placer l’humain au coeur de la stratégie de l’entreprise. « Parmi mes clients, je compte principalement des dirigeants et des managers mais aussi des entrepreneurs, des communicants et des start-upers » explique Annie Visco. « Je révèle et développe leurs talents tout en faisant en sorte de préserver leur bien-être ». En s’appuyant sur l’analyse de situations professionnelles concrètes, vécues au jour le jour par ses clients, Annie Visco oeuvre à mettre en lumière les ressources dont ils disposent et à leur faire comprendre que leurs limites, ils se les sont imposées eux-mêmes. « Beaucoup d’entre nous n’ont pas conscience de leur potentiel ou n’en utilisent qu’une infime partie » précise Annie Visco. « En tant que coach, mon rôle consiste alors à ouvrir, à élargir le champ des possibles en faisant éclore de nouvelles idées chez mes clients et émerger des solutions innovantes ». Mais pas question de se substituer à la personne que l’on coache. « En effet, la posture du coach diffère de celle du consultant. C’est pourquoi mon action vise à encourager mes clients à trouver en eux-mêmes leur propre vérité, leur propre style de management ». Le développement de la créativité : pierre angulaire d’un coaching réussi Scientifique de formation (dans une autre vie, elle a été géologue) et coach de métier, Annie Visco est également artiste-peintre à ses heures perdues. À la fois rigoureuse et flexible, cette coach accorde une grande importance à la créativité de ses clients, qu’elle les aide à développer. « L’idée » explique-t-elle, « c’est de les faire sortir du cadre, de leur (re)donner confiance afin qu’ils osent essayer de nouvelles façons de faire et bâtir un nouveau modèle qui leur convienne mieux. Souvent, nous craignons d’aller vers l’inconnu, vers ce que nous ne maîtrisons pas. Dans le cadre de mon accompagnement, j’encourage, au contraire, mes clients à sortir de leur zone de confort, à dépasser les limites qu’ils ne pensaient jamais pouvoir atteindre et à explorer - en toute sécurité - ces territoires qu’ils ont en eux mais où ils n’ont encore jamais osé s’aventurer ». Au final, ce véritable ’’voyage en terre inconnue’’ au cours duquel Annie Visco escorte ses clients permet à ceux-ci, à leur retour, de pouvoir compter sur une capacité d’adaptation accrue. Ils seront alors plus à même de savoir prendre les bonnes décisions au bon moment. Écouter, analyser, s’adapter Spécifique aux problématiques rencontrées par ses clients, la prestation que propose Annie Visco est véritablement « sur mesure ». Et pour cause, chaque cas de coaching étant unique, les raisons pour lesquelles ses clients s’adressent à elle sont multiples. Ils peuvent, par exemple, solliciter son expertise pour les aider à développer leur leadership et leur sens stratégique, à naviguer dans la complexité, à gérer les conflits, à prendre des décisions difficiles, à revoir leurs priorités, à apprendre à déléguer, à mieux organiser leur temps, à aborder une nouvelle fonction, à mieux appréhender le pouvoir, à sortir de leur isolement, à revoir leur posture, à développer la performance collective au service d'enjeux stratégiques, à baisser leur niveau de stress pour gagner en prise de recul et en efficacité, etc. « Je leur démontre, notamment, l’avantage du pouvoir ‘’avec’’ par rapport au pouvoir ‘’sur’’ » précise la fondatrice d’Avenir & Talents. Enfin, la demande d’un client e...
A deux pas du Centre Mériadeck, une maison au charme indéniable attire et séduit : Le Clos d’Augusta. Installé dans l’ancienne Bûcherie, le restaurant fait la fierté de ses propriétaires Samuel et Cristina Zuccolotto depuis maintenant treize ans. Avec dynamisme et passion, ils se surpassent au quotidien dans le but de satisfaire au mieux les attentes de leurs convives. En cuisine, Samuel enfile sa toque et surprend avec ses plats aussi originaux que savoureux. En salle, Cristina s’occupe de l’accueil et apporte une attention particulière à chaque convive tout au long de leur repas. Un havre de paix en pleine ville Dès l’entrée, la salle dégage une douce chaleur qui confère une ambiance feutrée et cosy. Travaillée et soignée, la décoration allie à la perfection le parfait mariage entre l’ancien et le contemporain. D’un côté, la salle arbore le style colonial et opte pour une couleur beaucoup plus sobre afin de ressortir son côté raffiné. De l’autre, le mélange blanc et vert révèle un brin de dynamisme et apporte de la modernité à l’ensemble. Mais au Clos d’Augusta, rien n’a été fait au hasard. A commencer par cette couleur verte qui a une importance particulière pour Samuel. En effet, elle reflète sa passion pour le golf. Ainsi, la moquette, les poutres apparentes et les vaisselles portent cette teinte vivifiante. D’ailleurs, il confie que le nom du restaurant a été inspiré par Augusta, le célèbre tournoi des maitres dédié aux golfeurs professionnels. Par ailleurs, la disposition des tables vise à apporter plus d’intimité, un critère particulièrement important pour une clientèle exigeante. Pour couronner le tout, les lumières subtilement disposées à travers la salle apportent un coup d’éclat à l’ensemble. Et, à l’extérieur, le jardin du restaurant prépare à une toute autre surprise. Véritable havre de paix, c’est l’endroit parfait pour un diner ou un déjeuner en toute sérénité. L’occasion pour les convives de passer une expérience culinaire inédite tout en admirant la beauté de la nature. Une cuisine créative Mais la surprise ne s’arrête pas à la décoration, elle est aussi et surtout présente dans l’assiette. En effet, les plats surprennent autant par leur présentation que par leur goût. Derrière ce grand art se cache un chef créatif et méticuleux : le chef Samuel Zuccolotto. Sans chichi, il revisite à la perfection les grands classiques et apporte une touche personnelle qui révèle sa parfaite maitrise des textures et des saveurs. Sans les dénaturer, il transforme les produits soigneusement sélectionnés sur le marché en des vrais chefs-d’œuvre culinaires. Parmi ces spécialités : le ravioli de langoustines, maïs à la vanille et voile de pistache qui révèle toute la fraîcheur des saveurs marines, le succulent dos de lieu jaune de ligne aux coquillages et céleri fondant qui promet une aventure gustative riche en émotions ou encore le dessert tout chocolat à la confiture de mangue qui apporte une sensation de douceur. Il est à noter que pour chaque plat, le chef arbore fièrement le « fait maison » y compris pour le pain. A midi, avec le menu affaire à 25 €, le chef Samuel propose une entrée, un plat de résistance et un dessert. Le soir, les convives peuvent composer eux-mêmes leur menu en optant pour l’Augusta à 47 € ou se laisser surprendre par un menu, choisi pour l’ensemble de la table avec la formule découverte à 67 €. En outre, il propose une carte qui évolue au rythme des saisons et qui se compose de plats particulièrement raffinés. Pour accompagner le repas, Cristina expose la magnifique collection de vins de l’établissement et dévoile ainsi son talent de sommelière pour conseiller les convives dans leur choix. ...
Depuis juillet 2012, Carine Ageneau, une passionnée de voyages et de vins, a décidé de faire partager ses passions aux touristes de la région de Montpellier. Si vous souhaitez découvrir Montpellier et sa région d’une façon différente, pourquoi ne pas profiter des excursions proposées par Montpellier Wine Tour ? Le vignoble du Languedoc est en constante évolution et c’est aujourd'hui l’un des plus dynamiques de France. De nouveaux viticulteurs pleins d’ambitions et de talents ont réussi à produire des vins de très grande qualité reconnus sur la scène internationale à force de travail et d’inventivité. Autour de Montpellier, les terroirs du Pic Saint-Loup, des Terrasses du Larzac ou des Grés de Montpellier offre des vins authentiques d’un excellent rapport qualité-prix. Avec Montpellier Wine Tour, vous pourrez découvrir ces vignobles, visiter les meilleurs domaines viticoles et acquérir des connaissances sur la culture de la vigne comme sur la dégustation de vin mais aussi parcourir et visiter des sites emblématiques. Installez-vous dans le minibus Montpellier Wine Tour et suivez le guide pour une expérience conviviale et ludique. Des excursions sur mesure Les œnophiles peuvent, par exemple, choisir l’excursion « Grande Journée découverte », combinant la visite de deux terroirs avec une sélection de 4 domaines viticoles et une pause déjeuner gourmande dans un bon restaurant. Vous pourrez également opter pour la découverte de la gastronomie régionale avec les balades gourmandes qui combinent la découverte des vins et celle des produits du terroir : huiles d’olive, huitres ou encore fromages de chèvre... Montpellier Wine Tour propose aussi des excursions sur mesure, où tourisme, culture, sport, gastronomie et œnologie pourront être les composantes d’un fabuleux séjour. ...
Les Aviateurs est la nouvelle adresse où le Chef Chevrier donne rendez-vous à ses clients. Idéalement situé sur la Rue du Rhône, l’établissement attire les genevois par son concept si particulier. Les Aviateurs, c’est plus un bar tea-room qu’un restaurant et il porte bien son nom. Il plonge les clients dans l’élégance du monde de l’aviation pendant qu’ils savourent leurs plats. Un cadre chic et atypique Le bar Les Aviateurs a vu le jour en 2017 sous l’initiative de IWC, une manufacture horlogère Suisse. En voulant offrir une carte plus élaborée pour répondre à la demande de sa clientèle, IWC fait appel au chef Philippe Chevrier. Plus tard, il y voit l’opportunité de créer un nouveau type d'établissement : un bar tea-room où les clients peuvent venir à tout moment. Néanmoins, l'adresse reste fidèle à son nom. Le chef Chevrier décide de conserver le design intérieur du bar. Le décor quant à lui met en avant des carlingues d’avion, des cadrans de montre, des photos d’aviateurs qui nous ramènent dans les années 30 et 40. Le bar attire les clients par un style élégant de Gentlemen club. Les clients y sont invités à se détendre sur des fauteuils en cuir, autour d’une table haute. Sous la responsabilité d’Elodie Décure, une directrice proche de sa clientèle, les Aviateurs accueille les habitués et les nouveaux clients dans une ambiance chaleureuse et accueillante. A la carte du bar tea-room Les Aviateurs Les Aviateurs ouvre ses portes aux clients dès le matin jusqu’à l’after-work. Pour commencer la journée, le bar tea-room propose des viennoiseries, des muffins et des salades de fruits frais au petit-déjeuner. Pendant la journée, les clients peuvent choisir entre burgers, tartares, croque-monsieur, tartes salées, quiches et salades. Les Aviateurs possède aussi son plat signature qui met à l’honneur les produits locaux : le Burger Les Aviateurs. Pour le préparer, ils utilisent du pain boulanger local, du steak de bœuf 100% suisse coupé au couteau ainsi que du gruyère suisse. En soirée, on y retrouve planches de charcuterie, pâté en croûte et fromages. A l’heure de l’after-work, le bar offre aussi à ses clients du saumon, des rillettes de crabe et de la volaille. Par ailleurs, Les Aviateurs dispose également d’une jolie carte de pâtisserie, œuvre du pâtissier-chocolatier Laurent Exbrayat, pour l’heure du thé. Etant un tea-room digne de ce nom, l’établissement est un endroit de premier choix pour prendre une tasse de thé ou de café seul ou entre amis à l’heure du goûter. Outre les boissons chaudes, le chef Chevrier a conservé la carte des boissons auquel les premiers clients étaient déjà habitués au moment de reprendre le bar. Pour l’enrichir, il a ajouté une carte de cocktails créatifs destinée à satisfaire la clientèle masculine qui y est nombreuse. Mise à part la particularité de son cadre et de son concept, Les Aviateurs s’adapte aussi aux saisons. Nouvelle saison, nouvelle atmosphère Les Aviateurs dispose d’un atout qui fait de lui un endroit privilégié par les clients tout au long de l’année : sa terrasse estivale. Pour profiter pleinement de l’été et du soleil, les clients peuvent prendre leurs repas, leurs goûters ou leurs tasses de café au milieu des oliviers et d’autres arbres méditerranéens. En hiver, la terrasse couverte est chauffée pour permettre aux clients d’y prendre leur verre de cognac ou de fumer un cigare malgré le froid. Pour toutes ces qualités ajoutées aux talents culinaires du chef, les clients fréquentent Les Aviateurs tout au long de l’année. ...
Installé en plein cœur du centre de la ville d’art et culture, sur la Place des Cardeurs, le restaurant l’Epicurien tranche par la qualité des services et des menus proposés. Une adresse discrète à l’ambiance intimiste qui fait le bonheur des aixois et touristes de passage venus déguster une cuisine bistronomique. Un chef inspiré et créatifPour vivre une expérience culinaire hors des sentiers battus, dans une ambiance conviviale aux couleurs du sud, l’Epicurien ouvre ses portes. Un établissement qui porte bien son nom, dirigé par un chef passionné. Ludovic Aillaud fait ses premières gammes dans le Luberon au sein de l’établissement étoilé d’Edouard Loubet où il se découvre une prédilection pour les herbes, qu’il apprendra à maîtriser à la perfection. En parallèle, il continue ses études dans les métiers de la restauration et de l’hôtellerie. Plus tard, il intègre l’établissement marseillais Le Charles Livon et exerce comme second de Christian Ernst. Avec son expérience et ses talents, il est temps pour le chef de voler de ses propres ailes. En 2010, il investit le Forum des Cardeurs et concrétise un rêve : l’ouverture de son restaurant aux allures de bistrot chic, devenu rapidement l’une des références les plus citées de la ville. L’intérieur propose un cadre agréable et cosy ponctué par une décoration raffinée. Les toiles d’artistes ornant les murs et les tables en bois donnent tout son cachet à la salle. Le personnel est sympathique et Laura Aillaud, la maitresse des lieux, garantit un bon acceuil et service. Elle pourra notamment vous conseiller sur les choix des vins car il faut savoir que l'établissement possède une centaine de références variant régulièrement. Des vins de vignerons oeuvrant dans le respect du terroir et de leur écosystème ont été spécialement sélectionnés. Une cuisine de saisonEcrite à l’ardoise, la carte est évolutive et change toutes les semaines. Elle est élaborée suivant la saisonnalité, la qualité et la fraîcheur des produits mais surtout, en fonction de l’inspiration et de l’humeur du chef. Pour flatter les papilles, il n’hésite pas à plonger dans ses livres de cuisine qui lui soufflent les idées les plus originales. Chaque jour, trois entrées, trois plats et trois desserts sont proposés, de quoi satisfaire toutes les envies.Des plats signatures ? Oui. En été, les aixois investissent la belle terrasse de l’Epicurien qui se prolonge dans la rue pour venir déguster les fameux fleurs de courgette qui font la réputation du chef. Il lui arrive même d’organiser des ateliers où il partage tous les secrets de préparation de cette spécialité provençale. En tempura, vapeurs ou farcies, les fleurs de courgette se déclinent en de multiples saveurs. A ce titre, si vous souhaitez participer aux cours de cuisine du chef, il est temps de d’ores et déjà vous renseigner. Mais vous pourrez aussi faire appel à ses services pour animer vos événements (anniversaire, séminaire d’entreprise, enterrement de vie de jeune fille…) dans le cadre d’ateliers privés. ...
Le centre événementiel de Courbevoie-Event a été inauguré en 2014. Si auparavant la municipalité avait privilégié les événements municipaux et associatifs, on assiste actuellement au développement soutenu d’une activité « corporate ». Ce centre événementiel détient des atouts importants à partir desquels il se propose de fournir des prestations de qualité. D’abord, de par son emplacement, le centre profite d’une situation privilégiée à deux pas de Paris-La Défense. Ensuite, il dispose également de grands espaces aux volumes modulables et adaptables à tous les besoins. Quant à ses différentes salles, elles ont une capacité d’accueil de 100 à 1 200 personnes. Enfin, Courbevoie-Event propose aussi à ses clients des lieux à la fois atypiques et agréables. Des prestations variées Afin de satisfaire les besoins les plus exigeants, le centre suggère une prestation clé en main incluant traiteur, hôtesse, photographe, animation… En un mot, le centre prend en charge l’organisation de l’événement : de la demande du client en passant par l’accompagnement jusqu’à la réalisation finale. Mais s’ils le souhaitent, les clients peuvent solliciter d’autres prestataires. Sur ce point, Laurie Séguin, responsable événementiel et commercial souligne : « Les clients ont le choix de venir avec leurs propres prestataires. » Grâce à sa proximité avec différentes infrastructures telles que le stade, la piscine ou encore la patinoire de Courbevoie, le centre peut répondre à la demande des entreprises en quête de team building sportif. Trois lieux, huit espaces et une multitude de possibilités Courbevoie-Event a l’avantage de regrouper trois structures complémentaires, à savoir le centre événementiel, l’espace Carpeaux et le cinéma Abel Gance. À travers son architecture innovante, le centre événementiel est un lieu de prestige qui propose de grands volumes. À commencer par la salle rouge qui constitue un atout de taille pour Courbevoie-Event. D’une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 1 010 personnes en fonction de la configuration, elle est de loin la plus spacieuse. En effet, cette salle a la particularité d’être rétractable (au niveau des tribunes) pour gagner en volume. Les gradins contiennent 840 places et la fosse 170 places. La salle rouge peut accueillir entre autres des spectacles, des cocktails, ou encore des salons. La salle bleue d’une capacité de 294 places est entièrement modulable et se dote d’une « tribune repliée ». Polyvalent et aménageable à souhait, l’atrium est un joli espace doté d’un étage en mezzanine. Selon la configuration, il peut accueillir 600 à 900 personnes. Enfin, une magnifique salle de réception de 300 m² avec un rooftop pour ajouter une touche de prestige à l’événement. « Les clients apprécient particulièrement la luminosité du lieu tout en ayant la possibilité de profiter du soleil », souligne Laurie Séguin. L’espace Carpeaux regroupe la salle Saint-Saëns (un amphithéâtre de 485 places disposant d’une scène de plain-pied), idéale pour les séminaires et les assemblées générales ; le hall avec son architecture originale en demi-niveau qui convient parfaitement à une exposition ou un cocktail ; le cabaret jazz club (haut lieu du jazz francilien) d’une capacité de 100 places est un lieu atypique, parfait pour les événements professionnels ou privés. Laurie Séguin rajoute : « Avec son ambiance atypique, le cabaret jazz club est notre atout charme. » Dernier et non des moindres : le cinéma Abel Gance. Situé au cœur de Bécon-les-Bruyères, il compte 139 places et peut accueillir des débats ou des projections privées en plus de sa programmation quotidienne. ...
Bienvenue dans un univers magique ! Un majestueux palais fleurant bon la cuisine d’exception. Là où l’art, dans toute sa splendeur, règne en maître, les chefs-d’œuvre architecturaux contrastant élégamment avec une décoration contemporaine aiguisent l’appétit des hôtes friands de délices. Exaltation des sens et succulences raffinées viennent embellir ce lieu dédié à la perfection. Une cuisine expressive et prestigieuse Un déjeuner ou un plat à la carte, la cuisine délectable du Pré Catelan Lenôtre s’apprécie sans modération. Ici, la haute gastronomie se conjugue avec des produits maniés avec délicatesse et savamment révélés par une équipe passionnée et maîtrisant l’art de l’effluve culinaire. Allant du ris de veau, au goût flatteur, à la langoustine, audacieuse et succulente, chaque plat est une invitation à l’extase gustative. L’essence des assiettes revêt la forme d’une mosaïque de saveurs excitant les papilles. Idéalement accompagné d’un spiritueux d’une prestigieuse cave à vins et à champagnes aux mille références, chaque menu s’en trouve sublimé. Christelle Brua, pâtissière de renom et ambassadrice de l’excellence gastronomique au féminin, vient magnifier les assiettes de délices sucrés élaborés avec créativité et raffinement, à l’image d’un paris-brest onctueusement préparé pour illustrer l’élégance. Cette table prestigieuse, fière de sa réputation forgée sur plus d’un siècle au service de l’excellence, est l’expression même de la quintessence gastronomique. ...
EUREKAM a réussi à percer le marché européen grâce à son dispositif DRUGCAM, aujourd’hui installé dans une trentaine de centres hospitaliers en France. Créée en 2012, la startup rochelaise est éditrice de systèmes de contrôle numérique pour la sécurisation et la continuité des soins. Ses deux cofondateurs, des passionnés de l’innovation technologique, ont pour ambition de révolutionner le métier de la santé, grâce à des machines capables de prévenir les erreurs médicamenteuses. En combinant intelligence artificielle et savoir-faire technique, l’équipe crée de nouvelles solutions pour mieux soigner. Une technologie innovante Injection d’un produit au lieu d’un autre, préparation de médicament avec une posologie incorrecte, erreur de voie d’administration…, les erreurs médicamenteuses peuvent survenir à n’importe quel instant dans un établissement de santé. En France, ce fléau est à l’origine de 70 000 EIG (évènements indésirables graves) par an, soit environ un cas toutes les demi-journées d’hospitalisation (étude nationale de 2005). « Pour le moment, nous n’avons que la vérification humaine pour éviter ces erreurs. Et encore, cette étape est souvent négligée », se désespère Loïc Tamarelle, président d’EUREKAM. La société était, à l’origine, spécialisée dans la sécurisation des préparations de la chimiothérapie. Aujourd’hui elle s’attache au protocole des praticiens du service anesthésie. « Ce service manipule continuellement des médicaments puissants, relativement à risque, tels les curares, des narcotiques ou de l’adrenaline », fait comprendre l’équipe. Dans la plupart des cas, la préparation reste encore manuelle. Ainsi, le danger auquel s’exposent les patients s’avère immédiat si jamais une erreur médicamenteuse a lieu. Contacté par un grand CHU de la France, EUREKAM accepte alors de développer une technologie innovante permettant de sécuriser le process des préparations médicamenteuses en anesthésie. Sécurité et intégrité Le détrompeur d’EUREKAM est une machine fonctionnant sur la base d’analyses d’images. Grâce à cette technologie, celle-ci est capable de détecter, de reconnaitre et de vérifier l’étiquetage d’un flacon ou d’une ampoule. « La machine va d’abord scanner le texte. Ensuite, elle lit à haute voix les informations écrites », explique le dirigeant de l’entreprise. La synthèse vocale a l’avantage d’offrir beaucoup plus de précisions par rapport à la lecture visuelle, qui, elle, peut être troublée par plusieurs facteurs (fatigue, confusion ou illisibilité, lumière inadaptée, etc.). En plus d’identifier la molécule, elle peut en même temps informer sur sa concentration. « Autrement dit, la machine alerte tout le bloc opératoire s’il s’agit effectivement du bon médicament administré avec le bon dosage. » Toutes les actions entreprises par le médecin ou l’infirmier anesthésiste sont par la suite stockées sur un horodatage numérique. Cette traçabilité médicale entre en jeu quand ils ont besoin de s’assurer de la conformité de leurs actes à la bonne pratique. Une autre façon d’honorer la sécurité, l’intégrité et la valeur éthique exigée par le métier. En outre, l’horodatage est également autorisé en guise de preuve médico-légale. Le détrompeur, nouvelle solution Le Salon SFAR 2018 (Société française d’anesthésie et de réanimation) va accueillir en grande première le lancement de cette nouvelle solution. « Ce détrompeur en est à sa première génération. Vont suivre d’autres versions plus perfectionnées qui iront plus loin encore », assure Loïc Tamarelle. La startup prévoit la version commercialisable pour janvier 2019. En attendant, elle cogite déjà sur la possibilité d’utiliser cette technologie en service de pédiatrie...
On le surnomme le château de la démesure. 426 pièces, 156 mètres de façade, 282 cheminées, 77 escaliers, plus de 800 chapiteaux sculptés : ce colosse de pierre reflète l’ambition insatiable d’un grand homme du XVIe siècle imprégné des idées de la Renaissance. Sa passion pour l’architecture, l’art, la culture et la chasse se découvre tout au long des visites, des spectacles et des évènements organisés au Château de Chambord. Singulière construction, emblème de la monarchie française Œuvre d’art d’exception, Chambord nait d’un désir de François Ier de construire un édifice beau, grand et somptueux. En 1519, il concrétise son rêve en choisissant ces terres marécageuses, au cœur d’une forêt giboyeuse et près de la rivière Cosson. Ce pavillon de chasse s’inspire des châteaux forts médiévaux, tout en livrant une silhouette empruntée à la Renaissance italienne. « Avec son donjon composé de quatre tours massives à l’esprit médiéval, la forteresse s’articule autour d’un axe central : le fameux escalier à double révolution inspiré des travaux de Léonard de Vinci », décrit Pauline Savoyini, chargée de communication. Ce vieux génie polymathe de De Vinci, très proche du roi François Ier, qu’il appelle d’ailleurs « Mon père », a largement contribué à l’identité architecturale de la demeure. Les deux impressionnants escaliers menant jusqu’aux terrasses en haut ressemblent à une double hélice d’ADN et tournent dans la même direction sans jamais se croiser. Éveil à la nature Du haut de ces terrasses à l’italienne rehaussées de petits dômes, de clochetons, de lucarnes et de balustrades sculptées apparait une vue admirable sur le parc, qui représente le cœur même du projet royal de François Ier. « Il s’agit du plus grand parc forestier d’Europe qui s’étend sur une superficie de 5 440 hectares et qui se découvre grâce à des balades à vélo, en voiturette électrique ou même en calèche, via les sentiers qui couvrent 900 hectares depuis l’été 2016 », explique Pauline Savoyini. Cette réserve naturelle abrite une faune et une flore emblématiques, notamment une importante population de cervidés, faisant aujourd’hui l’objet d’un programme scientifique. Une étude intitulée « Chasse et dynamique des populations d’ongulés sauvages » est menée en collaboration avec la fondation François Sommer et l’Office national de la chasse et de la faune sauvage. L’objectif est de modéliser la démographie des cerfs et des sangliers et de mettre en place des outils cynégétiques destinés à assurer la gestion durable des écosystèmes. Une programmation culturelle à la hauteur des lieux Grand amateur de chasse, François Ier manifeste également une passion effrénée pour les arts. C’est d’ailleurs sous son règne que débute la collection d’œuvres d’art des rois de France présentée au Louvre. À l’époque, plusieurs artistes participent aux divertissements et fêtes de cour organisés par le monarque. Dans une volonté de pérenniser cette tradition artistique, Chambord a mis en place une riche programmation culturelle s’articulant autour de la musique, des beaux-arts, du texte, de la danse et du théâtre. Parmi les événements phares figure le Festival de Chambord qui se tient au mois de juillet et dont la programmation marie harmonieusement style musicaux et époques. Autre incontournable : le concert de trompes orchestré par les Sonneurs de l’École de trompe de Chambord partageant la scène avec l’un des meilleurs groupes du moment. Régulièrement, le domaine reçoit des artistes en résidence ayant pour mission de réaliser des créations originales et d’initier le public à l’expression artistique. Du 16 octobre 2016 au 12 février 2017, il présente l’exposition de fin de résidence de Kôichi Kurita Terre Loire dans laquelle le public peut d&...
Située sur la commune de Cabrerets dans le Lot, la grotte du Pech Merle a été découverte par trois enfants en 1922. L’abbé Amédée Lemozi, curé préhistorien du village, s’attelle rapidement à l’étude des peintures et gravures. Dès 1926, elle est ouverte au public. En 1952, elle est classée monument historique. La grotte du Pech Merle La grotte du Pech Merle recèle de remarquables œuvres préhistoriques, extrêmement bien conservées, dans un site naturel de toute beauté. Lors de la visite de cette grotte, vous parcourrez à partir d’une entrée artificielle une grande partie de la galerie inférieure. Vous serez alors plongés dans la même atmosphère et la même acoustique que nos ancêtres il y a 30.000 ans, à une température quasi constante de 12°C. Vous serez éblouis par les « Chevaux ponctués », cette magnifique représentation de deux silhouettes de chevaux, peinte il y a 29.000 ans. Mais aussi par la « Frise noire » et les nombreux dessins de bisons et de mammouths. Vous pourrez également observer des mains au pochoir, des empreintes de pas ou encore découvrir des ossements d’ours des cavernes et de hyènes. Au niveau géologique, vous pourrez admirer de belles et grandes salles dans un décor naturel de stalagmites et stalactites ainsi que des disques de calcite ou une toupie, des formations assez rares. Pour la préservation des peintures, le nombre de visiteurs est limité. Il est donc important de réserver ses places avant de se déplacer. Le musée de Préhistoire Le musée Amédée Lemozi est installé sur le site depuis 1981. Ici, vous aurez accès à deux salles d’exposition permanente : une consacrée à l’art pariétal du Quercy, l’autre à la préhistoire dans la région. Vous pourrez également visionner dans la salle de cinéma un film documentaire sur les peintures de la grotte, salle accessible aux personnes à mobilité réduite. ...