Ils sont de plus en plus nombreux à emprunter le fameux pont reliant l’île au continent pour venir implanter leur entreprise et y vivre. Avec plus de 21 800 habitants à l’année (plus de 200 000 en haute saison) et 2 600 entreprises, la deuxième île de France métropolitaine, la plus méridionale de l’arc atlantique, concilie durablement qualité de vie et dynamique économique. C’est le fruit d’une politique conduite de longue date par la Communauté de communes conjuguant actions liées à la préservation de son patrimoine naturel et à l’attractivité économique, avec comme ambition, aujourd’hui, de faire émerger de nouveaux projets liés aux téléactivités et favoriser la création d’entreprises issues de l’économie numérique. Une île où il fait bon vivre et travailler à l’année Une île 100% nature, dont 84% de sa surface est classée, qui décline une large palette de loisirs tournés vers la mer et offre un cadre de vie confortable pour la vie quotidienne des familles. Un territoire tout aussi soucieux de préserver la richesse des savoir-faire et la diversité de son tissu économique, soutenant ses filières phares, à l’instar de son industrie nautique présente depuis plus de 60 ans et aujourd’hui considérée comme l’une des meilleures références françaises voire européennes sur le segment de marché «pêche et croisière 5 à 10 m ». Une île fière de ses activités traditionnelles Ostréiculture, pêche et agriculture portent haut et fort la notoriété des productions de l’île d’Oléron. Marennes-Oléron, 1er bassin ostréicole d’Europe, a obtenu pour ses huîtres une IGP et deux Label Rouge. Le port de La Cotinière se classe au 8e rang des ports de pêche français avec un CA de 26 M€ en 2014. Sans oublier l’agriculture et le groupement de producteurs locaux « Marennes-Oléron Produits Saveurs » qui œuvrent pour la qualité des produits agricoles ou encore, le « Vignoble de l’île d’Oléron » qui a obtenu le label oenotouristique national Vignobles & Découvertes. Une île durable par excellence Dès 2010, la CdC s’est dotée d’un Agenda 21 plaçant, dès lors, l’île comme site pilote en termes de développement durable. Récemment lauréate de l’appel à projets «Territoires à énergie positive pour la croissance verte» du ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Oléron s’impose comme un territoire de l’excellence environnementale doté d’un programme d’actions global : réduction de la consommation d’énergie dans les bâtiments, gestion durable des déchets, développement des énergies renouvelables, préservation de la biodiversité… ...
Dans le domaine agricole de la famille Damoiseau, les visiteurs sont libres de se promener où ils veulent. Une occasion d’être en lien direct avec les salariés. De cette manière, « ils n’ont pas l’impression de faire une visite guidée et qu’on leur cache certaines choses », explique Hervé Damoiseau, dirigeant actuel de l’usine avec son frère Jean-Luc. Le rhum agricole guadeloupéen Le rhum agricole est issu du pur jus de canne à sucre. Il est principalement produit dans les Antilles françaises. La plantation des cannes est faite par bouturage. Après une année de murissement vient la récolte. La coupe se fait sans brûler la canne ; une façon de préserver sa richesse et sa saveur. Une fois coupées, les cannes sont transportées à la distillerie pour être broyées. Cette opération nécessite une imbibition par eau pure et donne naissance au vesou, qui sera la matière première du rhum, et la bagasse, qui servira à alimenter les chaudières utilisées pour le broyage et la distillation. Les rhums agricoles Damoiseau L’élaboration du rhum agricole Damoiseau se fait dans le respect des traditions des Antilles françaises. C’est du pur jus de canne à sucre (vesou) fermenté et distillé, puis stocké à fort degré pendant 2 à 3 mois dans des foudres de bois qui donneront le rhum blanc, ou « Grappe Blanche ». Un brassage et une aération permettent aux composés volatils de s’évaporer durant la période de maturation. Avant la commercialisation, de l’eau y est ajoutée pour faire passer son degré de 85° à 40°, 50° ou 55°. Parmi la gamme de rhums agricoles Damoiseau se trouvent les rhums blancs. Ti-punch et cocktails seront parfumés d’exotisme grâce à leur équilibre et leur finesse. Leur richesse aromatique est marquée par de fines notes sucrées. Il y a ensuite les rhums agricoles vieux Damoiseau, Les rhums Vieux DAMOISEAU sont majoritairement vieillis dans d’anciens fûts de bourbon, utilisés une seule fois en Bourbon (« single use »). Leur capacité est de 180 à 220 litres. Le rhum devient vieux à partir de 3 ans révolus. La gamme Damoiseau comprend des âges allant de 3 à 12 ans, mais aussi des millésimes (1953, 1989, 1991, 1995, 2005, 2008, 2009). Les rhums non millésimés sont tous en single cask, c’est-à-dire, proviennent du même lot sans assemblage. Les rhums millésimés peuvent faire l’objet, selon les millésimes, d’assemblages subtils. C’est de cette façon qu’ils acquièrent leur couleur ambrée. Le tableau est complété par les rhums ambrés. Ils sont issus des meilleures sélections de canne à sucre cultivée en Grande-Terre. Ayant séjourné douze mois en fûts de chêne, ils en ressortent avec une robe jaune paille ainsi qu’une richesse et une souplesse en bouche exceptionnelles. En perpétuelle évolution Ayant vu le jour en 1942, en pleine guerre, la marque Damoiseau connaît des débuts difficiles pour connaitre dans les années 90 un rapide et grand succès. Il domine à plus de 50 % le marché en Guadeloupe. Cela a amené à créer Damoiseau Export, société de distribution. Le rhum agricole Damoiseau se vend donc également en France métropolitaine et dans plus de 40 pays, notamment au Japon et aux USA. Au pays du soleil levant, le Rum Festa permet aux professionnels et particuliers de se rencontrer ; une occasion pour donner plus de visibilité aux rhums des Antilles. Misant sur le haut de gamme, Damoiseau propose aux consommateurs japonais des rhums hors d’âge et millésimés. Le rhum agricole était absent du marché chinois lorsque Damoiseau s’y est aventuré, il a donc fallu séduire en premier les expatriés avec des soirées antillaises. Mais la marque est maintenant référencée dans une centaine d’établissements de l’Empire du Milieu. Pour sa part, la troisième génération de la famille Damoiseau ne cache pas son ambition. En effet, en plus d’avoir modernisé la production et rationalisé le stockage, elle a fait passer le chai de vieillissement de 300 à 3 000 fûts. Mais les d...
Imaginons un peu ces milliers de fûts de chêne qui reposent patiemment ; certains, jeunes, viennent accueillir les premières distillations de l’année ; d’autres ont plus de 130 ans. Imaginons un peu cette palette d’arômes avec plus de 300 eaux-de-vie différentes prêtes à exploser en bouche. Imaginons alors toute l’élégance du métier de maître de chais, qui, à l’instar du peintre ou du parfumeur, nécessite de posséder un solfège acquis par l’expérience, le travail aiguisé des sens et la maîtrise de soi afin de produire un assemblage harmonieux de textures et de saveurs. Des cognacs raffinés… Et c’est ce savoir qui s’est forgé au fil du temps, bonifié de génération en génération, que nous propose de partager la distillerie Tessendier au travers de trois gammes de cognac (Park , Campagnère, Grand Breuil) où chacune a sa propre spécificité, sa propre histoire… Autant de variétés qui ont vocation à satisfaire tous les goûts. Une maison toujours en quête d’innovation… Pour répondre aux besoins d’une clientèle internationale aux approches gustatives et culturelles souvent très différentes, l’entreprise a toujours su renouveler son offre. En témoigne la dernière bouteille de la gamme Park, où une finition de six mois en fûts de chêne de mizunara (chêne japonais très rare et très qualitatif) apporte une synergie entre les arômes floraux typiques des crus Borderies et le côté ambré des chivas japonais. En témoigne, aussi, depuis une dizaine d’années, la création d’une gamme de rhum où s’exprime tout l’art de l’assemblage de Jérôme et Lilian Tessendier, avec notamment l’arrivée de nouveaux produits dont le Rum Saison réserve. ...
Nous sommes en 1932, Michel Salaün revient en Bretagne après cinq années passées aux États-Unis, et achète son premier autocar. Il va créer son entreprise familiale de transports en commun de voyageurs et son fils Yves Salaün lui succède en 1964. Quelques années plus tard, le petit-fils du fondateur reprend l’aventure et lance l’agence de voyages Salaün Evasion qui sera la première des 128 agences en propriété reparties aux quatre coins du monde. Aujourd’hui, le groupe Salaün regroupe près de 600 collaborateurs français et internationaux qui font voyager plus de 220 000 personnes chaque année. Partir dans un esprit de liberté Spécialisée dans les circuits accompagnés, l’équipe de Salaün Holidays renouvelle sans cesse ses offres en imaginant des formules différentes avec des privilèges exclusifs. Chaque aventure, que ce soit à destination du Portugal, de la Croatie, d’Angleterre, de la Belgique ou d’Allemagne, est créée par des conseillers experts en voyage, par des guides-accompagnateurs expérimentés et des guides locaux francophones soigneusement sélectionnés. Et puisque Michel Salaün, l’actuel président, ne sait faire dans la demi-mesure, il a introduit une nouvelle flotte d’autocar Royal Class, le summum du luxe et du confort, parmi ses offres sur le marché européen et américain. « Nous sommes le premier tour opérateur français à avoir exporté le concept d’autocar Royal Class aux États-Unis » témoigne-t-il. Toujours en quête de l’excellence, le T.O s’est développé à l’international à travers ses marques phares spécialisées dans les circuits et les séjours. Celles-ci conduisent à la découverte des destinations lointaines comme la Russie, les Pays Baltes, l'Asie centrale, les pays scandinaves, les États-Unis et le Canada en proposant des voyages privatisés et hors des sentiers battus. Pour réussir en toute sérénité le pari d’une expérience intense, Salaün Holidays s’entoure des meilleurs partenaires voyage : les plus grandes compagnies aériennes, hôtels et hébergements haut de gamme, filiales réceptives déployées dans le monde, prestataires de transport professionnel, etc. De plus, ce tour opérateur s’engage à développer des offres au juste prix, grâce notamment à sa force de négociation vis-à-vis de son puissant réseau de collaborateurs. Les offres phares de Salaün Holidays Chez Salaün Holidays, le printemps est la saison idéale pour explorer de nouvelles destinations et voir le monde sous un nouveau jour. Les offres Phares sont des offres exclusives permettant de bénéficier d’importantes réductions sur les circuits. Cette année, ce sont les Etats-Unis et les pays asiatiques qui sont mis particulièrement en avant. Plus de 100 destinations en moyen-long courrier sont sélectionnées, répertoriées dans un magazine dédié spécialement à la saison printanière. Le tour opérateur, via les 3200 agences de voyages partenaires et 116 agences en France, fait profiter d’une réduction entre 50€ et 200€ par personne sur les circuits réservés jusqu’au 30 juin 2018. Élaborées sous forme de pension complète, les offres phares s’accompagnent d’un service de transfert domicile-aéroport ou ville-aéroport inclus dans le tarif. Sans oublier la promesse de proximité et de satisfaction que l’équipe de l’assistance client s’engage à tenir. Mais Salaün Holidays n’est pas uniquement une fenêtre sur le monde. Il s’impose également comme un acteur engagé dans le tourisme solidaire et responsable. Les voyages en Inde, au Vietnam, à Madagascar, en Ouzbékistan, au Pérou ou encore en Afrique du Sud permettent aux voyageurs de laisser un impact positif sur l’environnement, l’éducation, la santé ou l’économie locale. Cela se concrétise par la visite des communautés, de divers projets solidaires et associations locales qui militent pour une société plus équitable. ...
Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive. Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution. Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises. Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable. Un partenariat gagnant-gagnant Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire. Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy. La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com ...
Pour l’histoire, Convergence Infirmière est né en 1992, afin de combattre les conventions répressives. Après avoir récemment défendu la généralisation du bilan de soins infirmiers et l’augmentation de 75% des tarifs conventionnels, Convergence Infirmière souhaite également développer de nouveaux rôles susceptibles d’être tenus par les infirmières libérales dans le domaine de la prévention. Ainsi, le syndicat défend ardemment l’idée d’une “Consultation de Prévention Infirmière“, destinée à repérer la fragilité d’un patient. Le but, in fine, étant de repousser sa dépendance ou de détecter les personnes à risque de diabète ou à risque de maladies cardiovasculaires. Convergence Infirmière souhaite également être un acteur majeur dans le suivi des patients chroniques comme pour les malades atteints d’un cancer, afin d’éviter au maximum les hospitalisations. Est-il possible d’optimiser les soins de santé, grâce à un nouveau mode d’organisation ? Convergence Infirmière veut, au travers de nouvelles actions, moderniser l’exercice libéral autour des soins de proximité, en travaillant étroitement avec les autres professionnels de santé, afin d’optimiser la prise en charge d’un maximum de patients à domicile. Pour ce faire, il est indispensable de créer une dynamique d’équipe autour des patients, d’organiser la coordination des différents professionnels, de mettre au point des protocoles pluri-professionnels de soins de premier recours, d’échanger les données de santé, de garantir la continuité et la permanence des soins, de prévenir toutes les complications, de prévoir des réunions de concertation, dans le but d’améliorer le maintien à domicile et la qualité de vie des patients. Pour favoriser les liens entre professionnels, Convergence Infirmière développe une application web nommée ″LEO″ (Lien Échanges Organisation). Elle permettra, à terme, d’enregistrer différentes données de santé, des fiches de coordination, des relevés d’informations, mais également de communiquer par visioconférence ou via un tchat, d’alerter en cas de problème et, bien sûr, de conserver la trace des différents échanges. Ainsi, une équipe-test de soins primaires va voir le jour à Montpellier, regroupant, dans un premier temps, médecins, infirmiers, pharmaciens et kinésithérapeutes. Les ostéopathes, les podologues, les orthophonistes comme les diététiciens auront aussi toute leur place dans ce dispositif. ...
La commune de Sens, riche d’histoire, est célèbre pour ses paysages de fleurs, ses édifices, mais également pour son terroir. Au sein de cette belle localité, la Brasserie Larché est devenue, au fil des années, un patrimoine bourguignon, apprécié par les amateurs de bière. Elle fait partie des premières brasseries dans cette partie de la France, à fabriquer des bières de haute et double fermentation, ce qui consiste à jouer sur la quantité des matières premières afin d’obtenir une bière au corps plus corsé. Aujourd’hui, l’entreprise brasse dix types de bières différentes. Plus de vingt années d’histoire Depuis sa création en 1996, la Brasserie Larché fait partie des producteurs qui ont su préserver l’authenticité de sa marque. Elle reste surtout très présente en Bourgogne et un peu en France (région parisienne et PACA). « Notre zone de chalandise est restreinte mais la volonté de grandir et d’être mieux référencé au niveau national est bien réelle. » nous confie Eric Poirier, actuel gérant. Parmi les fleurons de la gamme figure la bière Alésia, 100 % bio, qui a reçu en 2016 une médaille lors du Concours général agricole dans la catégorie « Bières blondes ». La maison possède d’autres produits ambassadeurs qui font sa fierté à l’instar de la Thomas Becket Ambrée, première bière élaborée par la brasserie, à fermentation haute et refermentée en bouteille avec un ajout de miel de l'Yonne. La marque Thomas Becket se présente sous différentes déclinaisons : blonde, blanche, brune et ambrée et rousse également. De manière saisonnière : « nous brassons une bière de printemps et une bière de Noël » précise notre interlocuteur. Les amateurs pourront également se laisser tenter par la Burgindia (IPA), une bière plus houblonnée, plus pâle et plus amère au goût. Depuis peu, la Brasserie Larché intervient dans la fabrication de caramel de bière et de vinaigre de bière, faisant le bonheur des amoureux de cuisine originale. Et dans une volonté de faire découvrir son savoir-faire, elle se tient prête à accueillir le public dans le cadre d’une visite comprenant la découverte des techniques de fabrication, une dégustation et un passage en boutique. ...
Le domaine Charles Gouthière et Fils possède un vignoble d’exception installé sur la côte des Bar, dans l’Aube, et réparti sur six communes. « Nous avons un sol argilo-calcaire et pierreux, qui nous permet d’obtenir des vins agréablement fruités », explique Fredy Gouthière, gérant du domaine. Ce vignoble accueille les trois cépages traditionnels champenois, en honorant particulièrement le pinot noir, le cépage de prédilection utilisé dans la confection du champagne emblématique Brut Grande Réserve. Forte d’une expérience qui s’est transmise depuis des générations, la maison maitrise l’art de la vinification traditionnelle champenoise dans l’élaboration de sa gamme. Celle-ci gravite autour de 40 000 bouteilles chaque année. Démarche biodynamique En s’engageant dans une démarche de viticulture durable, la maison concrétise ainsi sa sensibilité écologique et sa volonté de protéger l’environnement. Cette initiative exige d’être constamment à l’écoute des vignes dans le but de raisonner l’utilisation des produits phytosanitaires. Et le domaine va encore plus loin : « Une de nos parcelles situées à Chêneau est travaillée selon une démarche biodynamique. Elle procure des cuvées saines, expressives et d’une grande fraicheur. » La cuvée D’antan, un assemblage surprenant des trois cépages, reflète toute l’authenticité de cette parcelle. ...
Le nom du restaurant est tiré des jardins qui entourent le fameux palace de Marrakech et qui furent donnés au prince Mamoun par le sultan en cadeau de mariage. La Mamounia a été ouvert en 1996 par les parents des actuels propriétaires. C’est un endroit convivial et branché, qui convient à toutes les situations : diner en amoureux, déjeuner d’affaires ou tout simplement moment de partage entre amis ou en famille. Un décor dépaysant Le restaurant, installé le long des boulevards de Valence, propose un dépaysement total, transportant ses hôtes dans un voyage à destination du Maroc par son décor des mille et une nuits. Son plafond est entièrement fait de marqueterie traditionnelle marocaine (bois sculpté et peint à la main). Tous les éléments du décor sont des authentiques objets provenant du Maroc, depuis le tapis jusqu’au mobilier et aux banquettes, en passant par les assiettes en faïence. Un chef au parcours atypique Samir Ouazzani est à la fois le chef et le propriétaire de l’établissement. Cet homme ne s’était pas du tout destiné au métier de la restauration, ayant fait ses études et travaillé dans le domaine des techniques industrielles. Il n’a commencé à s’intéresser pleinement à cet univers qu’à partir de 2005, lorsqu’il a pris la relève de ses parents. « J’ai appris sur le tas, tout doucement, au contact de ma mère d’abord, puis avec un chef de cuisine qu’on a fait venir exprès du Maroc », raconte-t-il. Il propose une cuisine savoureuse et authentique, avec la noble intention de faire retrouver à ses clients la saveur des plats de son enfance. Un vaste choix de formules gourmandes « Le restaurant propose une cuisine familiale, trait d’union entre la tradition et de la modernité », explique son chef. Les plats sont élaborés à base de produits frais, issus des producteurs locaux. Les plus gourmands se laisseront tenter par le menu dégustation à 24 €, composé d’une entrée, d’un plat (couscous deux viandes au choix ou tajine au choix) et d’un dessert. Sinon, il est toujours possible de commander à la carte. En entrée, la tchackchouka, compotée de tomates oignons poivrons, ou la harira et ses dattes Medjool entrainent dans un délicieux voyage à la découverte des saveurs orientales. En plat de résistance, le choix s’avère cornélien entre le tajine zbib, composé d’émincés d’agneau, d’oignons au miel et de raisins secs, et le couscous royal, accompagné d’un assortiment de poulet fermier, agneau, merguez, brochette, sans oublier les boulettes de viande. Pour la touche sucrée, les papilles se régaleront du suprême d’orange à la rose et cannelle. La qualité et la fraicheur de la cuisine du restaurant lui ont valu une belle réputation à Valence, tant et si bien qu'il ne cesse d’être recommandé par le guide Gault & Millau depuis 1997. ...
L’entreprise familiale est implantée à Dorlisheim, dans le Bas-Rhin, sur la route des Vins. Dirigée par Vincent Goesel, elle prône actuellement les valeurs d’une agriculture raisonnée, respectueuse de la Terre et de la biodiversité. Terroir et saveurs, une conjugaison parfaite Le vignoble se dresse sur un sol de type argilo-calcaire, qui, grâce à ses éléments minéraux, donne vie et fraicheur à la vigne. « Nous produisons tous les cépages alsaciens », déclare Vincent Goesel. Parmi les variétés cultivées figurent le sylvaner, le riesling, le gewurztraminer ou encore le pinot noir. « À partir de ces cépages, nous produisons des vins blancs et rouges ainsi que des crémants. » Du vin pour tous les goûts La maison dispose d’une large gamme de vins et de cuvées. Parmi les plus appréciés, Vincent Goesel cite « Ma Petite Folie », un vin fruité et moelleux à base de muscat. Arborant un bel arôme de fruit mûr au nez, il offre une véritable révélation en bouche. « La Cuvée de la mer » figure également dans la liste des produits phares de la maison. « Il s’agit d’un assemblage dédié aux fruits de mer », confie le gérant du domaine. ...
Un vaste désert qui s’étend jusqu’à la mer, avec une population à la culture nomade très ancrée, la Mauritanie est loin de ressembler aux destinations touristiques classiques où l’on est habitué à «consommer» son séjour dans des hôtels étoilés. Cette destination invite à voyager autrement et implique de vivre pleinement son voyage. La Mauritanie ne manque pas d’attrait. Ici, le séjour peut être vécu, selon les envies, comme une simple découverte, une vraie aventure humaine ou un défi. Un voyagiste expert et engagé Si les férus de voyages sahariens ont dû oublier un certain temps cette destination pour des raisons de sécurité, la Mauritanie est de nouveau fréquentable et 2018 annonce son retour au-devant de la scène touristique. C’est ce qui a motivé Sylvain PHILIP, fondateur de l’agence Détours Mauritanie, à réactiver sa structure, née en 1994 d’une rencontre avec des natifs du pays désireux de faire connaitre la beauté de cette contrée singulière. Sylvain connait par cœur cette destination insolite, pour y avoir vécu pendant des années. Parfaitement conscient des atouts que peut offrir cette « terre des Hommes » comme se plait à la surnommer Antoine de Saint Exupéry, il veut offrir des voyages atypiques, ouvrant les portes d’un autre monde. L’équipe est composée de guides natifs de la région et sur certains voyages, d'un guide français impliqué au maximum pour assurer un séjour serein. Détours Mauritanie confectionne des voyages sur mesure. Que ce soit un road trip en groupe, un voyage contemplatif ou un voyage à thème, l’équipe relève le défi avec brio grâce à sa maitrise du terrain et sa force de proposition, forgée par des années d’expérience. Elle s’appuie également sur son réseau de partenaires fidèles. Adoptant une démarche engagée, Détours Mauritanie prône les valeurs éthiques du tourisme responsable. « Nous sommes attachés au respect des hommes et de l’environnement. Sans bruit, nous voulons laisser un impact positif sur la communauté locale », confie Sylvain. Une riche aventure humaine dans une destination à part Sylvain décrit la Mauritanie comme une terre de nomades. Le Sahara, s’étendant jusqu’à l’océan Atlantique, les voyageurs évoluent dans une succession de paysages. L’immensité invite à se laisser emporter par les horizons lointains. Ici, l’on réalise qu’avec pas grand-chose et dans la simplicité, le bonheur est possible. La Mauritanie s’apprécie notamment à travers des voyages itinérants. Randonnée pédestre acc o mpagnée de chameaux de bât, méharée avec chameaux sur selle ou bien voyage découverte en véhicule 4X4 sont autant de possibilités pour arpenter les grands espaces mauritaniens. Organisées en plusieurs étapes, elles réservent une riche aventure humaine dont l’initiation à la vie du désert, rencontres avec les nomades ou bivouac à la belle étoile. Pour se ressourcer, les randonnées sahariennes sont parfaites. Déconnecté du monde, le voyageur se retrouve avec lui-même à l’occasion d’un voyage introspectif. « Ici, l’on se débarrasse de tout superflu pour se confronter avec soi-même et se concentrer sur l’essentiel », explique Sylvain. Par ailleurs, les attractions ne manquent pas. La région de l'Adrar, le massif du Tagant, le Parc National du Banc d’Arguin sur la côte Atlantique, valent certainement le détour. Le pays d’Oulad Sassi invite les aventuriers. Autres incontournables, la ville historique de Chinguetti, la vieille cité caravanière de Wadâne, classées par l’Unesco, ou les fresques murales de Oualata. Les plus aguerris feront la Grande Traversée en randonnée entre Adrar et Tagant, sur les traces des nomades en pays des Ida'ou Ali. Les efforts sont vite récompensés par des haltes dans une oasis paradisiaque caché au fond d’un canyon. A défaut, un hébergement sous la khaïma ou bien dans des villages traditionnels où l’on peut s’immerger dans le ...
Devis gonflés, absence de transparence au niveau des tarifs, mauvaises surprises à l’arrivée… Comme tout le monde, Walid Bahri a été à maintes reprises confronté aux problèmes liés au transport d’objets lourds. C’est ainsi que l’idée lui est venue de créer VUAC. La mission de cette startup ? Apporter une solution pratique et efficace pour le transport d’objets volumineux. Des offres selon les besoins et le budget Qu’il s’agisse de particuliers ou de professionnels, VUAC transporte à la demande tous les objets encombrants, en mettant à disposition des véhicules utilitaires avec chauffeur. En fonction des besoins, les clients peuvent choisir, via la plateforme, le volume de l’utilitaire et l’offre qui leur convient. En procédant ainsi, ces derniers sont à l’abri des mauvaises surprises. « Chez nos concurrents, tout est estimé selon la nature et le nombre des objets transportés. Avec VUAC, c’est très différent. Car une fois le volume du véhicule choisi, le prix ne change pas ! S’il reste de la place, le client peut mettre d’autres objets », souligne le fondateur. En effet, faire confiance à VUAC, c’est profiter de nombreux avantages. Bien entendu, la startup s’engage sur la transparence de la tarification. Mais elle se démarque aussi par la rapidité de son service. « Les clients font leur commande en quelques clics sur notre site et nos véhicules sont disponibles en une heure », fait savoir notre interlocuteur. Un professionnalisme à toute épreuve Afin d’assurer un service de qualité, VUAC travaille uniquement avec des transporteurs professionnels qui font l’objet d’une sélection rigoureuse. « Tous nos transporteurs bénéficient d’une longue expérience dans le domaine et sont assurés dans le transport de marchandises », nous indique-t-on. En outre, pour garantir la fiabilité de leurs prestations, les VUAC Drivers disposent des meilleurs équipements. ...
Créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par une ordonnance du 9 octobre 1945 en même temps que l’Ecole Nationale d’Administration et l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, Sciences Po Strasbourg fait partie des dix IEP de France et représente le plus ancien IEP de région. Il est né d’une volonté de moderniser et rénover l’Etat via un projet de formation des élites administratives, politiques et privées. Cette filière d’excellence a bâti sa notoriété sur la base d’un ancrage régional fort se manifestant par ses relations étroites avec l’Université de Strasbourg. « Nous sommes l’un des rares Sciences Po à être intégré dans une université », fait savoir d’emblée, Gabriel ECKERT, directeur de l’institut. Un statut particulier qui est stratégique pour les étudiants ayant la possibilité notamment de réaliser des doubles-cursus de licence en économie et sciences sociales ou de suivre une formation au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) qui est une autre composante de l’Université de Strasbourg. Des cursus pluridisciplinaires Les cursus de Sciences Po Strasbourg reposent sur un schéma identique à celui adopté par les autres instituts d’études politiques. Depuis la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat), l’institut propose une formation de cinq ans répartie en deux cycles. Durant les deux premières années du premier cycle, les étudiants acquièrent un socle de connaissances renforçant leur esprit d’analyse et de compréhension des grands enjeux européens. « Le programme est pluridisciplinaire et généraliste car nous voulons que nos étudiants perçoivent tous les problèmes du monde. Ces derniers doivent être abordés aujourd’hui pas seulement sous l’angle d’un technicien spécialisé mais de manière globale et générale», déclare le directeur de l’institut. Les cours sont orientés autour de cinq champs disciplinaires à savoir le droit, l’économie et la gestion, l’histoire contemporaine et les relations internationales, les sciences sociales et la science politique et enfin, les langues. La troisième année est celle de la mobilité à l’étranger. « Grâce à nos 140 conventions d’échange avec des universités étrangères, nos étudiants passent cette année obligatoire à l’international dans une de nos universités partenaires ». Cette année à l’étranger peut également prendre la forme de stages ou d’activités professionnelles. Le second cycle pour sa part s’organise autour d’une progressive spécialisation. « Si le socle commun de compétences, la transversalité de notre formation et sa pluridisciplinarité sont absolument essentielles dans la carrière et la vie professionnelle de nos étudiants, pour entrer dans une activité professionnelle, il faut une spécialisation. », explique notre interlocuteur. En quatrième année, les étudiants choisissent alors entre l’une des quatre filières : droit et administration publique, économie/entreprise, études européennes, politique et société. Une ouverture sur l’Europe et le monde entier Sciences Po Strasbourg se nourrit d’une forte vocation européenne et internationale. Une orientation qui s’est faite naturellement grâce son emplacement stratégique au cœur de l’Europe, dans une ville frontière abritant les plus importants organismes européens (le Parlement Européen, le Conseil de l’Europe, la Cour Européenne des Droits de l'Homme, le Centre Européen de la Jeunesse etc.). Cette proximité ayant contribué à créer des partenariats avec les plus grandes institutions européennes donne l'opportunité aux étudiants internationaux inscrits au Certificate of European Studies de comprendre l’Europe au cœur de sa capitale. Ce programme enseigné en anglais s’organise chaque semestre et se concentre sur l’Europe dans une perspective globale. L’engagement à l’international se manifeste également par l’adhésion aux éch...
Au départ de Dierre, entre les châteaux d'Amboise et de Chenonceaux, les possibilités de voyages sont multiples, adaptées à toutes vos envies. Votre « Deuche », comme on dit, est l'unique voiture qui vous offre le privilège des itinéraires hors des sentiers battus. 2CV Légende Organisation propose plusieurs circuits au choix : rallye touristique pour le plaisir de la découverte le long de la route, ou chasse au trésor parsemée d'énigmes pour un double concentré de sensations. En famille ou entre amis, la 2CV autorise beaucoup de fantaisies ! Une belle expérience à vivre Vous serez accueillis sur une plate-forme de 2 ha avec 150 m² de barnum de réception, parking privé adossé à la forêt d'Amboise... Alors, le spectacle des véhicules alignés sous leurs plus beaux atours s'offre à vos yeux ébahis. Les regards s'emplissent déjà des images de l'enfance alors que les organisateurs vous présentent les vedettes de la journée : Joséphine, Patagonia… rouge, blanche, bleue, bariolée… Laquelle de ces belles, parmi les trente de la flotte, allez-vous conduire ? Allez-vous vous laisser surprendre par cette petite française dénuée de tout artifice ? Assis derrière le volant ou sur la banquette arrière, on ressent la suspension moelleuse du temps qui s'arrête. Déjà, autour du café d'accueil, lors des consignes de conduite, les souvenirs s'échangent. La marque de fabrique de 2CV Légende Organisation, c'est de vous faire ouvrir les portes des parcs et les cours de châteaux, traverser le cœur des vignobles sur de petits chemins. Compétent et souriant, le personnel encadrant se fait discret mais il est toujours disponible pour expliquer, distiller histoires et anecdotes. Le Val de Loire offre aux visiteurs un patrimoine façonné par le temps, la nature et les hommes. Des courbes des fleuves et rivières à ses coteaux où se nichent les habitations troglodytes, des vestiges gallo-romains aux châteaux de la Renaissance, on y croise François 1er, Diane de Poitiers, Léonard de Vinci… L'émerveillement est permanent lors de ces parcours parsemés de petites pépites que la 2CV permet d'apprécier tout particulièrement. ...
A seulement 20 minutes de Bergerac se trouve le Château des Vigiers qui abrite un hôtel de charme et un restaurant de prestige dans lequel Didier Casaguana exerce sa passion pour la cuisine avec art et dextérité. Un mariage du luxe et de la saveur s’invite dans les assiettes soigneusement préparées par ce chef étoilé. Un décor à l’ancienne avec une touche modernisée « Les Fresques », tel est le nom du restaurant qui fait la fierté du Château des Vigiers. Il doit cette appellation aux murs du château décorés de fresques, un chef d’œuvre signé Liz king, une artiste anglaise. Ces visuels décoratifs forment une sorte de trompe-l’œil qui replonge les convives dans une époque lointaine. Dans l’ensemble, le restaurant offre une décoration assez épurée avec le beige et le marron, un mélange de sobriété et de raffinement. Dehors, les clients apprécient la vue imprenable sur le terrain de golf comportant 27 trous aménagés au milieu des bois de chêne, des pruniers et des vergers. Plus loin, il est possible d’apercevoir le lac. Outre le plaisir des yeux, les papilles sont aussi comblées avec la cuisine gastronomique élaborée au restaurant. Une cuisine de saison raffinée Aux Fresques, la cuisine de saison est à l’honneur. Tout en offrant des plats finement préparés, le restaurant veut « conserver son côté social en privilégiant le commerce équitable et en se fournissant auprès des petits paysans qui cultivent des produits bios » comme le raconte Niels Koetsier, le directeur d’exploitation du domaine. Avec ces produits de qualité quasiment introuvables dans le commerce, le chef et son équipe concoctent des plats qui émoustillent les papilles. Comme entrée en matière, la Pomme de ris de veau braisée et foie gras grillé, rhubarbe compotée, jus à la fleur de thym satisfait les fins palais. Vient ensuite le Dos de Turbot de chez « Jo » poêlé, condiments de printemps aux agrumes et premières herbes côté poisson ou le Pigeon entier de chez « Monsieur Linant » en cocotte, raviolis d’échalote et artichaut Macau, jus au café et noix côté viande. Pour terminer en beauté cette pause gastronomique, le dessert intitulé Mariage de saveurs entre la mangue, la passion et la coriandre parle de lui-même. Il est important de spécifier que le Château des vigiers abrite un second espace de restauration appelé Le Chai dans lequel officie également Didier Casaguana. Cette brasserie dont le style rappelle les anciens chais de vinification avec ses vieilles barriques et ses poutres apparentes est réservée aux adeptes du plein air car elle se trouve sur une terrasse surplombant le parcours de golf. Un chef passionné Son amour du terroir inspire le Chef étoilé Didier Casaguana dans ses préparations culinaires. Il ramène de sa région natale, la Gascogne, son affinité pour les produits locaux en particulier les fruits et les légumes avec lesquels il prépare d’excellents plats qui réveillent les sens. Les Fresques ouvrent ses portes tout l’été. Didier et son équipe vous attendent avec sa carte variée et ses trois menus : menu du midi à 39 €, menu du soir à 49 € et Esprit du chef à 105 €. Pour apprécier l’inventivité du maestro en cuisine, n’hésitez pas à découvrir ce fameux menu Esprit du chef dont le nom en dit déjà long sur ce qui vous attend. Celui-ci est élaboré à partir de produits prestigieux comme le foie gras d’une sélection rare, le homard, le caviar, l’huître, la langoustine, le veau... Seuls les ingrédients sont cités. C’est d’ailleurs toute la beauté de ce concept. Faites confiance aux talents du chef et appréciez l’expérience. ...
Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud. Grands moments de gastronomie Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle. Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement. Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies. ...
Le parcours acrobatique est une activité sportive alliant plaisir et découverte. GRIMP A L'ARB, installé dans une zone préservée et calme, invite ses clients à vivre une expérience ludique et attractive à travers cette discipline. Neuf parcours dédiés à tous les niveaux et à tous les âges ( le parc reçoit les tout-petits à partir de 4 ans) ont été spécialement développés. Des sensations inédites en perspective ! Des formules pour toute la famille Composés de divers obstacles adaptés à leur physique, les parcours pour enfants intitulés « Petits Écureuils » et « Petits Aventuriers » vont éveiller leur goût pour l’aventure. Ils vont explorer la traversée du serpent, l’échelle de papou, les ponts de druides et passerelles. Avec la formule « Exploration et Évasion », les parents peuvent partager des moments de joie avec leurs enfants en traversant ensemble le parcours. Pour les adultes, deux options sont offertes : commencer par le circuit « Découverte » et ensuite s’attaquer au circuit « Confirmé ». Échelle, pont de moustique, passerelles, bascules, pont de murmure, et tyrolienne escapade sont à franchir dans le circuit « Découverte », avec un niveau de difficulté accessible aux jeunes ados. Ils peuvent ensuite continuer avec le circuit « Confirmé » avec des parcours plus en hauteur, et un niveau plus élevé. D’abord le parcours « Sensation » pour vivre une expérience palpitante sur les passages suspendus et la poutre de l’équilibriste. S’enchaînent ensuite les parcours « Émotion » et « Frisson » qui passent par le mur d’escalade et la grande tyrolienne. La hauteur peut atteindre jusqu’à 18 mètres pour le dernier parcours en boucle « No Limit », qui est composé d’une bonne douzaine d’obstacles. Des défis progressifs à relever, mettant à l'épreuve l’endurance du participant. Sur l’ensemble de ses parcours, le parc met à disposition des équipements de protection individuelle (EPI) ainsi qu'une surveillance au sol afin de garantir la sécurité de tous. Pour la prochaine saison 2018, le parc prévoit de revisiter ses parcours pour offrir encore plus de sensations intenses aux participants. Se divertir ensemble GRIMP A L'ARB peut accueillir tous types de public : familles, groupes scolaires, groupes d’amis, centres de loisirs, particuliers, entreprises et diverses associations. Le parc est aussi un très bon choix pour marquer un événement familial, tel qu’un anniversaire ou un enterrement de vie de célibataire. Chaque formule est proposée avec un tarif spécial pour les activités collectives. Entre sensation et plaisir, pratiquer des parcours acrobatiques favorise la cohésion de groupe, c’est pourquoi il reste idéal pour les entreprises qui veulent organiser des team building. L’accueil, les horaires, les services, le tarif sont flexibles afin de satisfaire chaque demande des clients. Il est donc vivement conseillé de faire une réservation en avance sur le site ou par téléphone. ...
Avec des programmes clés, tels que le Bootcamp ou le Cap Énergie, cette agence spécialisée dans le coaching individuel et de groupe se veut être le précurseur d’un développement global en entreprises. Pour ce faire, les team-buildings ou les séminaires revêtent une tout autre forme, plus motivante et axée sur l’analyse des besoins de chacun. Les activités de groupe classiques laissent place à des activités sportives en plein air où l’entraide, la détermination et la rigueur trouvent tout leur sens afin de révéler le potentiel de chacun et de faire naître des capacités et des qualités indispensables à la cohésion d’équipe. Accompagnée et gérée par un coach sportif et/ou un coach professionnel, chaque activité sera ponctuée de résultats qui impacteront positivement chaque salarié ainsi que l’entreprise dans son ensemble. Bootcamp : le team-building par excellence Cadres, free-lances, salariés ou dirigeants ? Stressé à longueur de temps, en désaccord avec des collègues, toujours aux abonnés absents et démotivé par votre métier ? Le Bootcamp est ce qu’il vous faut. Loin de chez vous, en pleine nature, vous apprendrez à dépasser vos limites, à vous surpasser et à soutenir vos collègues dans leurs efforts. Esprit d’équipe, solidarité et dépassement de soi restent les maîtres-mots de chaque Bootcamp. Les activités sportives, choisies après une phase de diagnostic in situ, seront pratiquées en équipe et seront accompagnées d’ateliers menés par un coach mental. À chacun de trouver la meilleure stratégie pour faire avancer le groupe, de sortir le discours motivateur du leader et d’allier physique et mental dans des épreuves où le défi est commun. Ainsi, les affinités naissent, une complicité s’installe et la performance est au rendez-vous à l’issue d’une série de challenges collectifs mettant l’endurance à l’épreuve. Ces résultats se ressentent ensuite au niveau de la performance au travail. Confiance en soi, autonomie et goût de l’effort servent, en effet, à l’atteinte des résultats de production, aux intérêts de chacun, mais aussi et surtout à ceux de l’entreprise. Cap Énergie : un programme au service de la performance Avec Laurence Attias, coach professionnel, Didier Herzog a relevé le défi d’améliorer la performance des collaborateurs d’une entreprise donnée par le biais d’un programme intensif s’étendant sur cinq jours. Gestion du stress, épanouissement professionnel, autonomie, capacité à communiquer efficacement, performance de groupe et confiance en soi figurent parmi les objectifs de ce challenge. Un suivi individuel de chaque salarié est, en effet, effectué chaque jour afin de permettre aux coachs de prodiguer un programme personnalisé pour chacun d’entre eux en vue d’améliorer l’individu en lui conseillant un régime alimentaire sain ainsi qu’une bonne hygiène de vie. Les problématiques récurrentes liées au travail sont ainsi résolues grâce à ce type de programme sur mesure adapté aux besoins des salariés et de l’entreprise. Outre ces méthodes, des formations en groupe réduit sont prodiguées en parallèle pour garantir l’efficacité du « traitement ». Les équipes fédérées sont ainsi plus fortes, avancent main dans la main et contribuent au développement de l’entreprise ainsi qu’à la sensation de bien-être que chacun doit ressentir au travail. ...
Membre de la présidence Euro-Toques Luxembourg, qui réunit des artisans cuisiniers utilisant uniquement des produits frais, le Cibo’s Restaurant, fondé en 2014, et tenu par le chef Étienne-Jean Labarrère-Claverie, sélectionne des produits frais et saisonniers, cuisinés avec amour et selon la tradition française. Fraîchement intégré dans le guide Michelin 2018, l’établissement a déjà été recommandé par le guide Gault & Millau 2015, 2016, 2017 et 2018 avec une note de 14/20 + 2 toques. Ce restaurant à l’esprit chaleureux, sis dans le bâtiment de la piscine de Bettembourg, au Luxembourg, est dédié aux épicuriens en quête de nouvelles saveurs. Des plats à déguster les yeux fermés Le Cibo’s Restaurant met en avant deux menus destinés à surprendre les papilles des convives. Le menu « Laisse-toi faire », à 66 € et servi le soir, est comme l’explique le chef Étienne-Jean Labarrère-Claverie, « préparé suivant mon inspiration ». On se laisse donc surprendre par le talent du chef à travers cette suggestion uniquement servie en soirée. Le menu « Fais-toi plaisir », à 44 €, proposé tous les midis ainsi que les mercredis et jeudis soir, a également été imaginé selon l’idée de se faire plaisir en dégustant des repas de qualité. Le fait maison et les produits de saison se retrouvent également dans les plats de la carte et dans le menu de la semaine, ce dernier proposant trois suggestions d’entrées, de plats et d’un dessert. La formule Bien-être, quant à elle, proposée au déjeuner, associe avec finesse fraîcheur des aliments et repas diététique. Les suggestions du chef Modifiée à chaque saison, la carte du Cibo’s Restaurant reflète toute la créativité du maître des lieux. Étienne-Jean Labarrère-Claverie nous en donne un exemple, à travers la côte de veau de Galice, un plat pour deux personnes et dont « la viande est d’origine espagnole, servie avec six légumes différents glacés au jus de volaille, du foie gras chaud de canard et des pommes dauphines » selon ses explications. La tartelette de rouget barbet, en guise d’entrée, est aussi recommandée par le chef. Il le décrit lui-même comme « un plat méditerranéen à base d’une sauce faite de courgettes, d’olives, d’huile d’olive, d’oignons, de citrons, accompagné d’une petite tapenade. » Côté desserts, le restaurant privilégie des valeurs sûres : crème brûlée, profiteroles, moelleux au chocolat ou encore brioche perdue sont proposés. Le chariot de fromages, à ne pas manquer pour les plus gourmands, est un concentré de plusieurs fromages sélectionnés par Xavier Thuret, sacré meilleur ouvrier de France en 2007. ...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante. Une gamme éclectique de cuvées S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise. Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison. Une expérience inédite au cœur de la Champagne Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé. Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est. ...
L’appellation de Chevaliers d’Argouges a été adoptée en référence aux locataires du château de Gratot. C’est dans cette commune de la Manche que l’enseigne a fait ses premiers pas en 1991. Relogée à Moyon, cette entreprise familiale garde, aujourd’hui encore, le concept d’un chocolat fabriqué par de vrais artisans. Du chocolat essentiellement normand, traditionnellement gourmand De la sélection des matières premières jusqu’aux ballotins et tablettes, les Chevaliers d’Argouges nourrissent une jalousie non dissimulée pour les traditions de leur art. Ici, ganaches et pralinés – toujours fabriqués à la main – continuent d’être couchés sur tables en marbre et découpés à la guitare. Déployant toute l’inventivité de la Normandie, la marque distille des recettes variées s’adressant à toutes les gammes de préférence. Les essences des précieuses fèves de la Guinée, du Venezuela, de l’Équateur et d’ailleurs s’emmêlent gaiement à des notes d’orange, d’amande ou de raisin pour submerger les papilles de notes exquises. Finesse et légèreté sont au rendez-vous dans les illustres tuiles au chocolat. Éclats de caramel, de noisettes hachées-grillées ou d’orange, toutes les fantaisies sont permises avec ces doux péchés parmi les plus appréciés de la maison. Aux grandes occasions, place aux découvertes singulières dont l’enseigne a le secret. À l’instar des ganaches pâtissières mises à l’honneur en 2017. En une seule bouchée, gourmands et gourmets partent pour un voyage combiné entre le fondant des brownies, des tiramisus et des cheese-cakes et l’opulence de la classique ganache. ...
Le château médiéval sert d'écrin à ce musée d'exception qui présente le travail d'artistes autodidactes majeurs. Du Douanier Rousseau à Séraphine de Senlis, de Sanfourche à Alain Pauzié, la collection rassemblée fait découvrir des productions artistiques originales et inclassables se caractérisant par l’exubérance des formes et des couleurs, des rapports d’échelle et des perspectives inhabituelles, ou par l'utilisation de matériaux et supports inattendus. Musée d'Art Naïf et des Arts Singuliers de Laval : hommage à des créateurs hors normes L'oeuvre Naïve ou Singulière est une production individuelle. Chaque créateur contourne les codes esthétiques et invente sa propre écriture plastique. Les œuvres - peintures, sculptures, dessins, collages, créations textiles et céramiques – invitent à un voyage immobile vers un univers fantasmé, plein d'émotion, de fantaisie, de tendresse et d'humour. ...
Ce restaurant, repris en 2016 par Mouss Bouazza et son épouse Muriel, n’est plus à présenter. En effet, Le Bistrot Dumas a depuis longtemps conquis le cœur des Genevois à travers ses plats savoureux, qui font la part belle aux produits frais et de saison. Un décor, une ambiance Dès leur entrée dans la salle, les convives sont d’emblée séduits par un décor authentique, décliné dans un style Art nouveau. À table, une douce lumière tamisée diffusée par de jolis vitraux qui ornent le plafond les invite à la détente et à la bonne humeur. « Chez nous, l’ambiance est toujours conviviale, chaleureuse », aime à préciser Mouss Bouazza, le propriétaire-gérant de l’établissement. De nouvelles saveurs tous les mois Au Bistrot Dumas, les plats se suivent mais ne se ressemblent pas. C’est au gré des saisons que le chef concocte ses délicieuses recettes. « Notre carte change tous les mois et nous avons toujours des nouveautés à proposer », nous indique-t-il. Mais s’il y a bien un plat qui reste et qui fait toujours l’unanimité auprès des convives, c’est bel et bien l’entrecôte beurre Dumas. « C’est la spécialité de la maison, c’est un peu comme une entrecôte café de Paris revisitée et que nous servons avec des frites allumettes. » À part cela, les fins gourmets peuvent déguster en ce moment du foie gras de canard accompagné de marmelade pommes et fruits secs. En plat de résistance, le chef recommande la sole entière des côtes bretonnes cuite sur arêtes ou le filet d’agneau en croûte avec champignons. En dessert, petits et grands se laisseront tenter par une tartelette myrtilles, crème fouettée, crumble, croustillant vanille ou bien un flan caramel, orange sanguine, safran, croquant aux agrumes. Côté vins, les amoureux de grands crus seront gâtés, puisque ce restaurant dispose d’une carte éclectique incluant pas moins de 300 références. Des vins genevois, bien sûr, mais également de grands classiques français, à l’image des vins de Bordeaux ou des vins de Bourgogne. ...