Révéler l’existant Chaque fois qu’une personne fait appel à ses services, que ce soit pour qu’elle l’aide à franchir une étape importante dans sa carrière, à atteindre ses objectifs, à retrouver de la motivation ou à prendre du recul...vital dans certains cas pour éviter le burn out ou la rupture, la démarche d'Anne Delestan, la fondatrice d'Elansité, est la même : ne rien imposer et révéler l’existant. « Je pars toujours du principe que les fondamentaux sont là », explique-t-elle. Et d’ajouter que son action « doit se limiter à révéler cet “existant”. Puis à le faire grandir ». Alors qu’ils croient manquer de quelque chose, la plupart de ses clients auraient, en réalité, oublié les atouts dont ils disposent. « Ils doutent. Ils se sont persuadés qu’ils ne savaient pas alors qu’ils avaient tout simplement oublié qu’ils savaient… On a trop souvent tendance à se focaliser sur d’éventuels dysfonctionnements. Et donc à négliger ce qui fonctionne bien », constate-t-elle. Bref, si l’on a tous en nous quelque chose de Tennessee (ça, ce n’est pas Anne Delestan mais Johnny Hallyday qui le dit…), de la même façon, nous aurions tous, au fond de nous, le potentiel d’aller plus loin – pour autant qu’un coach compétent nous aide à nous en souvenir – et de surmonter les obstacles qui se présentent devant nous. Le coaching comme un cheminement Une autre caractéristique du coaching tel que le conçoit et le pratique Anne Delestan tient au fait qu’il se rapproche d’un cheminement. « Coacher quelqu’un consiste à l’accompagner. À le guider le long d’un chemin de (re)découverte de soi », précise Anne Delestan dont les clients apprécient la « confrontation bienveillante » qu’elle met en place. « J’utilise souvent la métaphore de la danse à deux pour parler du coaching. » Respecter le tempo de l’autre, épouser son rythme, se mettre à son diapason, tout ça, c’est primordial. Ce n’est qu’à ce prix qu’une danse sera harmonieuse et aussi que l’on se montrera respectueux de son partenaire », précise Anne. Qui met ainsi un point d’honneur à toujours prendre soin de « respecter l’écologie » de son interlocuteur. Ne pas balayer ce que l’on a bâti mais s’y appuyer Pour savoir qui on est et où l’on va, il est important de savoir d’où l’on vient… Pour aider ses clients à développer leur potentiel – après l’avoir révélé ou redécouvert – et à renouer le contact avec leur parcours de vie professionnelle, Anne Delestan les encourage à ne pas balayer le socle qu’ils ont bâti. « L’idée, c’est, au contraire, de s’appuyer sur les fondations que l’on a édifiées afin de mieux appréhender ce qu’il nous reste à construire. » ...
Le vignoble de Ribeauvillé connait une histoire tourmentée. En 1895, à cause de lourdes restructurations qui mettent à mal la filière viticole, quelques vignerons décident de se rassembler en une entité unique dans une volonté d’élever le niveau de qualité de leurs produits. Dans cette optique, un mode de fonctionnement spécifique a été mis en place. Les adhérents rapportaient leurs raisins à la coopérative et, en contrepartie, ils bénéficiaient d’une rémunération. Au travers d’une équipe technique et commerciale, la cave se chargeait de la vinification, du vieillissement ainsi que de la vente. Au fil des années, elle a su renforcer sa notoriété dans le paysage viticole français. Régulièrement récompensée, elle vient d’ailleurs d’être élue cette année « Coopérative de l’année 2016 » par La Revue du vin de France. À propos de la cave La cave de Ribeauvillé regroupe une soixantaine de vignerons mais, dans les faits, ce sont 48 vignerons qui détiennent effectivement 95% de la surface totale de production. Dans les années 50, la coopérative s’est initiée à l’exportation et, aujourd’hui encore, une grande partie des débouchés se trouve à l’étranger. D’ailleurs, ses vins sont présents sur les tables de plus de 40 pays dans le monde. Dans un souci d’offrir une meilleure qualité, des sélections parcellaires ont été mises en place. Cette démarche a été adoptée dans l’optique de mettre en valeur l’ensemble des terroirs du domaine. En 2001, une charte de qualité a été signée par les coopérateurs pour que 235 hectares de vignes soient entièrement récoltés à la main. Particulièrement engagé, le domaine s’oriente également vers une démarche raisonnée ou bio, car sa priorité est de valoriser l’expression du terroir, de préserver la qualité environnementale. Les vins La Cave dispose dans ses caves de plusieurs cuvées aussi sublimes les unes que les autres. Hormis celle du clos Zahnacker, on peut citer notamment le Crémant d’Alsace La Grande Cuvée Brut, un vin fin, sec et équilibré, élaboré à partir de pinot noir et de chardonnay. Différents millésimes sont assemblés pour sa mise en bouteille. Le Gewurztraminer 2012 Grand Cru Altenberg de Bergheim Grande Réserve, est issu d’un vignoble fortement pentu au sud du Grasberg. Son terroir est riche en fossile, avec des sols marno-calcaires très caillouteux. Ce vin est long en bouche, structuré et puissant, avec des notes de litchis mûrs en nez. Le Pinot Gris Lieu-dit Silberberg, appellation Alsace Contrôlée, est de couleur jaune pâle. Ce vin, parfaitement équilibré, a été médaillé d’argent aux Grands Concours du monde 2015. Le Riesling 2014 Bio est en appellation AOC Alsace, certifié biologique par Ecocert. Son vignoble de 11 hectares n’utilise aucun traitement chimique. Œnotourisme La cave de Ribeauvillé est animée par de nombreuses activités. Chaque année, elle organise un « Rallye des grands crus », invitant le public à partir à la découverte des vignobles et des terroirs. Il s’agit d’une marche de 8 km s’effectuant à travers le vignoble, ponctuée de dégustations des cuvées et de jeux. En outre, la cave et le musée de la Vigne et de la Viticulture sont mis en avant par le biais de 2 visites guidées quotidiennes, hors weekend. Quant au caveau de dégustation, il est ouvert toute la semaine sans oublier le weekend et les jours fériés ...
Une histoire, deux familles L’histoire du domaine Grain d’Orient commence dans les années 1980, quand Jean-Marie Alary a l’idée un peu folle de planter les premières parcelles de chardonnay dans un département plutôt habitué à voir grandir des plants de muscat. Une vingtaine d’années plus tard, c’est une réussite et, au milieu des années 2000, il décide de passer les quelque dix hectares du domaine en agriculture biologique. Les premiers flacons arborant fièrement le logo AB sur fond vert sortent de cave en 2012. C’est deux ans plus tard qu’il décide de se séparer de son vignoble et de le transmettre à Aliette et Patrice Bourg, les actuels propriétaires. Atypicité des cépages et particularités du terroir Quand on visite un domaine viticole dans le Roussillon, on s’attend naturellement à voir mûrir les cépages traditionnels des coteaux de cette région. Les pieds de grenache, de carignan ou encore de macabeu, pour ne citer que les plus célèbres, se partagent les nombreux hectares cultivés qui s’offrent à la vue du marcheur qui emprunte les petites routes et chemins de ce joli coin de France. Contrairement à leurs voisins, Aliette et Patrice ont fait le pari de continuer l’histoire du domaine avec son esprit original. Ils entretiennent toujours avec autant de soin les cépages atypiques et le terroir exceptionnel qui leurs ont été légués. « Notre vignoble jouit de conditions vraiment particulières. On n’est pas du tout sur un climat méditerranéen mais d’avantage sous des influences océaniques. Du coup, on a beaucoup plus de pluviométrie qu’ailleurs dans le département et, en plus, on est en altitude. Ces conditions nous offrent une exception systématique dans nos arômes », nous explique Aliette Bourg, qui s’occupe du travail à la cave sur le domaine. Cet ensemble de facteurs fait que les parcelles du domaine Grain d’Orient sont réputées pour être de petites enclaves de fraîcheur. Ce microclimat convient particulièrement à la vivacité des chardonnays, qui ont rapidement fait la renommée du domaine dans la région, et de rouges comme les cabernets sauvignons, merlots ou autres syrahs dont s’occupent les Bourg. Nectars précieux, le domaine ne sort que 25 à 30 000 bouteilles chaque année, dont la moitié en chardonnay. Les vins très droits du domaine offrent une palette courte d’arômes fruitiers en bouche lors du passage à la dégustation. Il faut compter autours d’une dizaine d’euros pour chaque bouteille, avec une entrée de gamme, très abordable pour un vin bio de cette dimension, à moins de neuf euros. On se laissera surprendre par les chardonnays, particulièrement le « Grain de sel » et ses arrière-notes iodées qui sont accompagnées, au nez, de senteurs de pamplemousse et de citron vert. Il affiche une minéralité surprenante lors d’une dégustation de foie gras. Pour une viande braisée, on se penchera plutôt vers un cabernet sauvignon, Cab-Attitude selon l’appellation maison, plus rond et ample en bouche qu’il n’y paraît. Il faut préciser que les ceps sélectionnés pour cette cuvée ont plus de 25 ans. Balades en calèche et visite d’exploitation. La cave du domaine est ouverte tous les après-midi pour les visites et les dégustations. Depuis peu, on se voit aussi proposer des balades en calèche au milieu des parcelles. Les mardi, mercredi et jeudi, sur réservation, on s’embarque alors dans un voyage d’une heure à travers le vignoble où l’experte se mue en conteuse et nous présente la riche histoire viticole du secteur. On découvre le passé coopératif de la région à travers quelques anecdotes bien senties. Bavarde, Aliette nous raconte avec passion l’histoire de la vigne du pied jusqu’au produit final en bouteille. En cave, quelques découvertes surprennent l’amateur : peu de bois pour vinifier, à part une cuvée de blanc élevé à la façon bourguignonne, mais des amphores en terre. « Je préfère explorer ce médium qui, je trouve, respecte beaucoup plus les arômes. Les cépages ont été choisis car ils étaient très bien adaptés au terroi...
Implanté à Sainte-Gemmes-sur-Loire depuis plus de 160 ans, le Centre de Santé Mentale Angevin (CESAME), centre hospitalier spécialisé en psychiatrie générale et en psychiatrie infanto-juvénile, prend en charge la population du département du Maine-et-Loire à l’exception des arrondissements de Cholet et de Saumur. Des soins dispensés dans un souci de proximité Les services du CESAME sont regroupés en 7 secteurs adultes et 2 intersecteurs infanto-juvéniles, d’après un découpage territorial. Chaque secteur dispose de l’ensemble des structures permettant de dispenser des soins au plus près de la population : des Centres Médico-Psychologiques (CMP), des Centres de jour, des Centres d’Accueil Thérapeutiques à Temps Partiel (CATTP), des appartements thérapeutiques. Ces lieux d’accueil et de soins sont implantés dans de nombreux lieux du département et de la ville d’Angers. À ce réseau extra-hospitalier de proximité s’ajoutent des lits d’hospitalisation complète sur le site du CESAME, si la situation de la personne en souffrance le justifie. Un établissement tourné vers l’innovation Les missions dévolues au CESAME sont variées et recouvrent aussi bien les actions de prévention, de diagnostic, de soins que celles de réadaptation et de réinsertion sociale. Le nouveau centre de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Roger Mises, localisé au nord du CHU d’Angers, au cœur de la cité, regroupe les activités ambulatoires, les lits d’hospitalisation pour tout le département ainsi que le nouveau CATTP « pour et autour du bébé ». Le service de Soins Intensifs Psychiatriques à Domicile (SIPAD) offre de nouvelles modalités de prise en charge en lien avec les secteurs, afin de permettre à des patients de bénéficier de soins intensifs tout en restant dans leur environnement familial et social. L’Unité de Réadaptation Psychosociale est une structure d’hospitalisation complète qui vise à préparer la sortie de patients dont l’état nécessite un accompagnement plus structuré à la réappropriation des compétences sociales. Le CESAME dispose également d’une Unité Psychiatrique d’Accueil et d’Orientation, qui est avant tout une unité d’accueil pour des personnes traversant une crise psychiatrique, où une équipe soignante et médicale prend en charge les patients et leurs familles. L’évaluation psychiatrique réalisée vise à proposer l’orientation la plus adaptée aux besoins du patient. L’établissement s’inscrit dans une dynamique de développement de son activité autour des alternatives à l’hospitalisation, afin d’élargir la palette d’offres de soins pour répondre de la manière la plus adaptée aux besoins individualisés des patients. Des partenariats variés Le CESAME est au cœur d’un maillage territorial étoffé et travaille en partenariat étroit avec de nombreux établissements sanitaires et médico-sociaux sur les territoires couverts par ses secteurs. Le CESAME a signé plus d’une centaine de conventions de coopération : des médecins, infirmiers et psychologues se déplacent chaque jour dans des établissements partenaires (maisons de retraite, établissements pour adultes handicapés, etc.) pour y apporter un soutien quand un avis psychiatrique est nécessaire. Élaboration d’un nouveau projet d’établissement Le CESAME élabore cette année son projet d’établissement 2016-2020 et vient de valider le projet médical. Tout en se situant dans la continuité des précédents, le projet médical renforce l’offre de soins ambulatoires et d’expertise avec l’ambition, entre autres, de fluidifier les parcours de soins des patients, de s’inscrire dans un cercle plus large de partenaires et de participer à construire une réelle dynamique territoriale. ...
Le collège santé de l'université de Bordeaux met à votre disposition les outils pour répondre à ces défis. Son Unité Mixte de Formation Continue en Santé (UMFCS) propose les formations dispensées par ses différentes composantes dans une approche pluri-professionnelle, médecine, pharmacie, odontologie, santé publique, maïeutique, biologie, sciences infirmières, métiers de la réadaptation... Elle transforme la pédagogie grâce aux apports du numérique et s'appuie sur des équipements innovants tels des salles de télé présence immersive et un centre de simulation en santé. Apprendre devient un jeu.... Découvrez nos formations ! Professeur Jean-Luc Pellegrin, Directeur du collège des sciences de la santé de l'université de Bordeaux ...
Le Taï Shõgun est le tout premier restaurant japonais à avoir ouvert ses portes à Nantes et sur l’ile éponyme. L’établissement à l’architecture contemporaine et au cadre moderne propose deux espaces bien distincts, disposant chacun de son ambiance propre : le kaiten et le teppanyaki. Il bénéficie d’une vue imprenable sur la Loire. Ses cuisiniers sont des chefs japonais qui respectent les valeurs et les principes fondamentaux de la gastronomie japonaise. Tous les plats, qu’ils soient cuits ou crus, sont élaborés uniquement à partir de produits frais et de saison, garants du gout et de la saveur si chers à cette cuisine. Le kaiten ou sushi bar Le concept du « kaiten » est simple et innovant : les convives se servent selon leurs envies. Il s’apparente à un bar sur lequel défilent les assiettes proposées sur la carte. Les plats sont élaborés par les maitres sushis qui officient derrière le comptoir, directement sous le regard des clients. Véritables artistes culinaires, les cuisiniers du Taï Shõgun réalisent des plats travaillés avec minutie, qui affichent un véritable raffinement tant au niveau du gout que sur le plan visuel. Tous les classiques de la cuisine japonaise sont inscrits à la carte : sushis saumon, makis thon, California, calamars sauce yakumi, tempura de crevettes et autres brochettes de poulet, saumon ou canard. Au kaiten, les assiettes affichent une couleur spécifique qui informe le client sur le prix du plat. Ainsi, les convives peuvent savourer tranquillement tout en contrôlant leur ardoise. Le teppanyaki, trait d’union entre cuisine et spectacle La cuisine du « teppanyaki » est une représentation culinaire, presque un show. Les convives, disposés côte à côte autour de l’« hibachi » (un immense grill), assistent directement à la préparation des plats par le chef Hinotsume. Ce dernier ponctue toujours son travail par de petites animations et anecdotes gourmandes. Mis à part son aspect spectaculaire, cette méthode de cuisson présente également des avantages gustatifs. Tout d’abord, les aliments conservent intégralement leurs saveurs naturelles. Sans compter qu’elle préserve les vitamines et les sels minéraux contenus dans les ingrédients. Un vrai repas traditionnel japonais est composé de plusieurs plats. Il débute souvent par le « Ome Rice », déclinaison originale de l’omelette, avec du riz sauté et du ketchup. Il est suivi par l’incontournable « bœuf de Kobé », à la viande hyper tendre lézardée de gras, qui lui confère un gout exceptionnel. Suivent ensuite les mille et une variétés de riz gluant, de soupes miso et de consommés de poissons. La touche finale offre une note plus occidentale, avec les babas au rhum ou les panacottas de fruits rouges. Le tout est accompagné de saké et de tranches de gingembre à prendre entre chaque plat pour se nettoyer le palais. Privatiser le Taï Shõgun Le Taï Shõgun est privatisable, que ce soit pour un évènement professionnel ou familial. Il dispose d’une capacité d’accueil de 150 personnes debout pour des cocktails apéritifs ou dinatoires. La salle du teppanyaki est également privatisable et reçoit des repas d’affaires ou toutes sortes d’évènements jusqu’à 14 personnes. Le restaurant propose évidemment les spécialités japonaises mais peut réaliser des cocktails traditionnels français ou même une cuisine fusion. ...
Imaginez le cadre où Paul Cézanne a peint son fameux Lac bleu. Ajoutez des tables où défilent des palettes de fraîcheur, certaines cueillies à deux pas de là dans le potager de la maison. Saupoudrez du talent d’un chef qui a côtoyé les Jacky Fréon et Joël Robuchon. Le décor est planté pour apprécier la cuisine inventive, gourmande et conviviale des tables de l’Abbaye de Talloires. La tentation de la gourmandise Inutile d’essayer une quelconque manœuvre de résistance. L’adresse millénaire est naturellement enveloppée d’un charme auquel l’on ne peut que céder. Il y a dans son atmosphère beaucoup de sympathie et un rien de secret, de mystérieux que viennent réchauffer les touches plus modernes, épurées de la décoration. Les délicats effluves montant des fourneaux des Jardins des Délices assurent aux gourmets que leurs papilles expérimenteront quelque chose de rare. La perspective n’est pas déçue lorsqu’un sabayon de chèvre apporte son fondant pour caractériser le croquant des légumes en entrée. C’est ensuite dans la légèreté que le maigre sauvage de ligne exprime toute sa saveur, avec son accompagnement de courgette fraîchement cueillie au potager. Les amateurs de douceurs s’échapperont le temps de savourer les touches d’ailleurs qui relèvent le vacherin glacé. ...
En Provence-Alpes-Côte-d’azur, les bois abattus sont moins nombreux que les bois replantés. En tant qu’acteurs de la filière bois, les Arbres Bâtisseurs contribuent au développement durable des surfaces forestières de leur région. Ils utilisent des essences locales naturellement résistantes pour les bâtiments neufs ou rénovés. Vu son double label QUALIBAT et RGE, cette entreprise écologiquement engagée ne se contente pas de construire en bois : elle vise également la basse consommation d’énergie et privilégie les isolants thermiques naturels, sains et durables. Un pour tous et tous pour un Quatre associés fondateurs des Arbres Bâtisseurs ingénieur en environnement, menuisier agenceur et ébéniste/charpentier de marine se sont rencontrés fin 2004 lors d’un chantier naval dans le Sud-Est. Ensemble, ils découvrent leur passion commune pour le métier du bois, l’écoconstruction et un système de travail à forte valeur humaine. Ils souhaitent alors se constituer en Scop, c’est-à-dire une Société Coopérative et Participative (également appelée Société Coopérative Ouvrière de Production). Pour enrichir leurs idées, ils suivent des formations et rejoignent plusieurs associations. Déterminés à relever les défis, les entrepreneurs fondent la Scop Les Arbres Bâtisseurs (ou Arbâts) début 2007. L’entreprise est aujourd’hui un exemple de réussite socio-professionnelle : elle compte actuellement 11 salariés, dont 8 associés. Les salariés-associés y partagent équitablement les décisions, les risques, l’information, les droits de vote, le capital social ainsi que les bénéfices. Un habitat vert par excellence En véritable professionnelle de la construction Reconnu Garant de l’Environnement (RGE), la Scop aRbâts est dédiée à l’efficacité énergétique. Pour améliorer la performance énergétique des bâtiments, elle privilégie les isolants naturels comme le liège, le chanvre, la ouate de cellulose, la laine de bois... Arbâts propose également la végétalisation de la toiture pour renforcer son isolation. La toiture verte résiste au son, au vent, au feu et elle est surtout étanche. Son plus grand atout reste, cependant, sa performance thermique. (Pendant l’été, en l’occurrence, la toiture végétalisée augmente le taux d'humidité de l'air et en réduit la surchauffe.) Les isolants naturels offrent des propriétés hygrométriques et thermiques trés intéressantes en association avec le bois notamment pour le confort d'été (déphasage). L'association de matériaux verts et d'une conception bioclimatique aboutissent à des ouvrages performants, économes et confortables... ...
La start-up utilise une technologie de géolocalisation et un explorateur vidéo pour suggérer aux utilisateurs une nouvelle expérience à essayer dans les endroits où ils se trouvent. L’approche ? Offrir une idée de visite en une minute chrono. Plus besoin de consulter d’innombrables sites ou guides avec cette solution. Des contenus plus interactifs et plus engageants sont générés instantanément sur les smartphones pour un voyage virtuel court mais intense. La vidéo comme force d’attractivité Hôtels et restaurants, parcs de loisirs, sites naturels, monuments historiques, musées, offices du tourisme, et même les cités et collectivités peuvent s’abonner sur la plate-forme et transmettre leur vidéo de présentation. Une vidéo qui doit respecter la charte qualité de l’application, et en s'efforçant de respecter la durée d’une minute, le chiffre clé. « D’après notre étude préalable, ce délai est suffisamment long pour éveiller la curiosité et suffisamment court pour ne pas lasser le public », explique Johann Prod'homme, le cofondateur de la start-up. En outre, MyMinuteTrip propose un service de mise en relation avec des vidéastes professionnels dans le cas où le prestataire souhaite produire une nouvelle vidéo. Toutes les vidéos sont alors catégorisées par rubrique : sites naturels, restauration et hébergement, culture, histoire, sport et divertissement, villes et cités. Elles sont présentées sans commentaires, sans publicité afin de garantir la meilleure objectivité possible. Par la suite, un algorithme se chargera d’identifier un public, des voyageurs ou des touristes d’affaires selon leurs préférences, pour proposer les meilleures activités possibles et les aider à concevoir leur voyage idéal. Bien plus qu’une application MyMinuteTrip pousse encore plus loin son modèle économique en apportant une solution pertinente aux professionnels. « Notre offre ne se limite pas à la diffusion de la vidéo, nous développons derrière une plateforme de services pour faciliter la mise en relation et l'information des voyageurs en temps réel.» L’objectif est d’aider ces derniers à être plus efficaces dans leurs échanges et leur communication et d'avoir une connaissance approfondie des attentes de leurs visiteurs en termes d'expérience de voyage. Les voyageurs utilisateurs peuvent partager leurs vidéos coups de coeur avec leurs proches, et pourront prochainement préparer leur voyage dans un espace dédié. En effet, MyMinuteTrip veut devenir un modèle de road-trip collaboratif et construire une communauté de globe-trotters, de passionnés de voyage et d’aventuriers autour de son concept. Si la start-up est en bonne voie pour conquérir le marché français, elle projette aussi de s’exporter en Europe et jusqu’à l’international dans un futur proche. ...
Plus de limite. Un voyage incentive au Dubaï, un team building à New York City, une soirée événementielle à Miami, un symposium à Londres ou une journée d’étude à Amsterdam. Tout est possible grâce au réseau de prestataires-collaborateurs qui travaillent directement avec l’agence SOP EVENTS, alors spécialisé dans le sud-ouest de la France jusque-là. Les nouvelles formules et les nouvelles destinations offertes donnent des ailes aux événements corporate. Une solution sur mesure pour chaque projet Chaque année, SOP EVENTS organise près de 1 300 événements d’entreprises et de groupes. Pour assurer une telle performance, il faut être une véritable force de proposition et faire preuve de réactivité et d’ingéniosité. Le pool de passionnés, orchestré par Jean-Christophe Castanet, use de sa propre expérience dans l’organisation des séminaires, journées de réunion, congrès, conférences, salons, voyages incentives ou soirées d’entreprise, aussi bien en France qu’à l’étranger. « Nous partons sur la base des besoins exprimés par nos clients, et derrière, nous apportons notre valeur ajoutée, c’est-à-dire deux ou trois nouvelles propositions pour peaufiner le concept. Cette démarche est très appréciée par nos clients », explique le directeur général. Ce sont ces détails dénichés ici et là, ces petits conseils, ces attentions particulières qui distinguent l’ensemble des prestations de SOP EVENTS. Parallèlement, l’agence propose un accompagnement global à chaque événement, en prenant en charge la diffusion des invitations, la création d’un site web dédié, l’enregistrement des participants, l’hébergement, la restauration, le logistique transport, l’accueil et l’animation événementielle. Ces prestations annexes sont négociables en fonction du budget et des contraintes de chaque projet, celui-ci confié à un seul interlocuteur pendant tous les préparatifs jusqu’à l’enquête de satisfaction finale. Zoom sur les offres phares La « demi-journée croisière privée et déjeuner en catamaran » est une formule idéale pour gâter les collaborateurs ou les clients. Embarquement à Montpellier, les hôtes sont accueillis autour d’un apéritif-cocktail pendant que le catamaran se déplace doucement sur la grande bleue en se dirigeant vers les plages vierges de l’Espiguette. Après un déjeuner à bord, la promenade peut être ponctuée d’arrêts baignades ou d’activités nautiques. Pour ceux qui ne veulent pas de compromis, Le Costa Rica semble être la destination parfaite pour un séminaire dépaysant : séjour au soleil, écrin de nature sauvage, paysage paradisiaque et activités inédites. Un complexe luxueux, doté d’un hébergement haut de gamme, d’une salle de séminaire, d’une salle de fitness et d’une plage privée, est à disposition des invités. Un tel cadre ne peut être que propice au ressourcement et à la productivité. En prime, l’accompagnateur SOP EVENTS organise intégralement le programme d’activités sur place, la soirée de gala et le transfert aéroports-hôtels ...
Datant de 1923, cet établissement se trouve au cœur de la Bretagne, à Pontivy, plus précisément au bord du Blavet. Odile et Philippe Berland ont un coup de cœur pour cet endroit chargé d’Histoire et décide de le reprendre en août 2009, à la suite de la cession par la famille Robic. Le couple apprécie la bonne cuisine de ce restaurant, si bien qu’il décide de garder le nom des anciens propriétaires. Cette initiative contribue aussi à préserver l’âme des lieux et à faire connaitre son riche passé. « Le fils de la famille Robic nous a donné tous les descriptifs historiques du bâtiment », déclare avec fierté Philippe Berland. Un cadre chic et spacieux Le restaurant affiche trois espaces pour savourer pleinement les petits plats bretons : une salle de 50 couverts, une autre à 35 places ainsi qu’une terrasse qui peut accueillir 25 personnes. Les différents espaces révèlent une décoration moderne avec une prédominance de couleur sobre. Effectivement, les chaises en résine tressée révèlent une élégance tout à fait particulière. Les murs sont habillés de tableaux faisant référence à la nature. Le tout forme une belle harmonie et confère une ambiance intimiste et agréable. Des saveurs aux milles senteurs Pendant qu’Odile est à l’accueil et au service, Philippe est aux fourneaux, prêt à préparer de succulents mets. « Je suis du métier » raconte-t-il. Ce chef passionné dispose d’un CAP en cuisine et a également suivi une formation en pâtisserie. Il a ensuite évolué dans divers milieux relatifs à l’univers de la gastronomie. Sa riche expérience lui a permis de lancer sa première affaire à Vannes. Ayant eu envie de changer d’horizon, il déménage à Pontivy pour continuer à vivre de sa passion dans ce lieu historique. Le chef se plait à proposer une cuisine simple, préparée à base de produits frais. Il travaille en étroite collaboration avec les producteurs locaux, afin de garantir la qualité de ses mets qui rendent hommage à la richesse du terroir breton. Des spécialités bretonnes Avec des prix abordables, la carte est relativement courte afin que la maison puisse privilégier le fait maison à base de produits bruts. Savoureuse et gourmande, elle est enrichie de plats classiques appréciés de tous. En entrée, rien de tel qu’une grande salade côté terre, composée de pomme de terre, salade, avocat, blanc de volaille, foie gras, magret et tomate. Une autre déclinaison côté mer est aussi proposée. En plat de résistance, les gourmands se laissent tenter par le hamburger maison ou par une entrecôte XL de 300 g accompagnée de salade et de frites maison. Assez éclectique, la carte de vins, quant à elle, privilégie les Coteaux-de-Languedoc comme l’Ermitage du Pic Tour Saint-Loup et le Mas Bruguière. « Nos vins sont sélectionnés par un caviste qui travaille directement avec de nombreux vignerons. On lui fait entièrement confiance », explique Philippe. Menu à découvrir La maison Robic concocte une formule du Boucher, composée d’un plat et d’un dessert à 16 €. Pour répondre aux envies de chacun, trois choix de plats sont proposés : une pièce de bœuf poêlée, un tartare de bœuf minute ou un carpaccio de bœuf à volonté, le tout avec frites et salade. En dessert, une crème brûlée ou une salade de fruits apporte la touche douce et sucrée qu’il fallait pour clore en beauté ce repas. ...
La naissance de BOWO est étroitement liée à l’expérience personnelle de son fondateur Jonathan Chénière. Ayant eu l'occasion de profiter de séjours hôteliers lors de ses nombreux voyages, il a pu dresser le constat que les services hôteliers étaient très difficilement réservables, voire carrément invisibles : « au cours de mes nombreux voyages, je n'ai jamais utilisé les services proposés par l'hôtel, faute de visibilité, de barrière de la langue ou simplement par manque de simplicité. J'ai très certainement loupé de nombreuses occasions de profiter davantage de mon séjour ou encore de découvrir les villes grâce à des conseils avisés », nous confie-t-il. Jonathan Chénière décide alors de mettre à profit ses compétences techniques pour « dépoussiérer » les outils de communication utilisés dans le secteur hôtelier. Il rencontre à ce moment-là Romain Catajar, directeur technique, et ils co-fondent ensemble BOWO. BOWO, c'est toute l'expérience d'un séjour touristique dans une solution en chambre. Une technologie à la pointe BOWO a été pensé et conçu pour les « hôtels indépendants, chaînés ou grands groupes en s'adaptant aux besoins des hôteliers », précise Alysée Flaut, responsable de la communication de la startup. BOWO propose une solution clé en main composée d'une tablette et son application design et ergonomique. La solution est un savant mélange d'esthétisme et de technologie au service de l'hôtel et du client. Elle a été pensée pour et avec les professionnels de l'industrie. Entièrement personnalisable et disponible en plusieurs langues, l'application permet au voyageur d'accéder à toutes les offres de services additionnels de l'hôtel. Le voyageur gagne en autonomie et en simplicité lors de la réservation ou l'achat. Quant à l'hôtel, il gagne en visibilité, en satisfaction et redevient prescripteur du voyage de ses clients. Les fonctionnalités « Enrichir le séjour du client mais également faire en sorte que l'hôtelier puisse dégager davantage de chiffre d'affaires » sont, pour résumer, les objectifs principaux de BOWO, selon les propos d'Alysée Flaut. En effet, BOWO offre au voyageur la possibilité de bénéficier d'un riche catalogue de services : room service, conciergerie, réservation spa ou restaurant, blanchisserie, offres spéciales personnalisées, chauffeurs privés, babysitters, etc... En parallèle, BOWO fournit un éventail de services externes à forte valeur ajoutée qui sont proposées par ses partenaires commerciaux comme des coiffeurs à domicile, des services événementiels d'exception, des coachs sportifs ou des escapades touristiques. BOWO « remet l'hôtelerie au centre du voyage », faisant de la chambre le point de départ vers des expériences incontournables et inoubliables, qui enrichiront les souvenirs du voyage. ...
« Paradis Plage a une âme qui marque l’identité de l’hôtel », confie Kamil Essaidi, de l’équipe de l’établissement niché entre montagne, mer et paysages naturels exceptionnels. Paradis Plage C’est un hôtel indépendant, qui n’est pas rattaché à une grande chaîne. Il est positionné sur une niche bien-être. C'est la passion des propriétaires pour le surf et leur rencontre avec François Payot, le directeur général de Rip Curl, qui ont déclenché la naissance de ce concept. Pour la clientèle, ce sont bien souvent des habitués. L’un d’eux témoigne : « Ici, c’est palpable, il y a une particularité, une certaine transcendance entre l’équipe et les activités, toujours orientées vers le bien-être, un lien magique ». Sylvia, 30 ans, parle de sa retraite yoga réussie. Elle a choisi de s'extirper de sa vie de femme parisienne active pour un retour aux sources, près de mère Nature. Elle dit : « Pendant huit semaines, j'étais comme dans un véritable paradis. J'ai profité, avec mes amis rencontrés sur les lieux, venus pour les mêmes raisons que moi, de paisibles moments. Je conseille le yoga, car il permet de chasser le stress et les ondes négatives des grandes métropoles. À mon retour à Paris, j'étais reposée, ce qui m'a permis d'aller au bureau tonifiée, pleine d'une bonne énergie ». Même un week-end donne la possibilité de complètement se déconnecter, confie Mathilde, une habituée des lieux. Faire du bien, autrement L’idée de Paradis Plage est de faire du bien à ses clients. À quelques kilomètres d'Agadir, 1re station balnéaire marocaine, il y a Taghazout. Toute l’année, les surfeurs y viennent afin de visiter la région connue pour ses belles vagues et ses beaux paysages. Plus loin, il y a Paradis Plage, une superbe vision naturelle. Loin des grandes chaînes hôtelières multinationales, l’établissement est plutôt familial, avec de vrais artisans hôteliers. Tous les appartements sont des suites cosy, très bien décorées avec de l’artisanat local et des matériaux naturels écologiques. Ils sont tous dotés d’un balcon avec une vue sur mer. Avec cinq kilomètres de sable fin, Paradis Plage est la plus belle plage du coin. Et sur toute la longueur de la plage, une partie est semi-privée. Elle est utilisée uniquement par l’hôtel. Avec les quatre activités, le surf, le yoga, le spa et le fitness, l’établissement a été un vrai pionnier en mettant en place tout un dispositif détente en combinant ces quatre piliers dans les packages basés sur les besoins des « guests ». ...
Maîtres Isabelle Goxe et Laurent Belaïsch sont des commissaires priseurs spécialisés dans l’expertise et la vente d’objets d’art, entre autres les meubles, les tableaux, les pièces de monnaie, les vins et alcools, les bijoux, les arts de la table et les accessoires de mode. Grâce à leur expérience, ils vous offrent les meilleures garanties sur le marché de l’art international, y compris français. A l’Hôtel des Ventes d’Enghien en plein cœur de la ville, ils vous proposent un dimanche de chaque mois, une vente cataloguée de bijoux et d’orfèvrerie et également une vente cataloguée de tableaux, objets d'art et mobilier. Des ventes générales classiques ont lieu le jeudi, des ventes thématiques une fois par trimestre. Si vous pensez détenir des objets de valeur, vous pouvez les faire expertiser par Maîtres Goxe et Belaïsch en vous rendant à l’Hôtel des ventes d’Enghien ou 3 boulevard Arago à Paris. Ils se feront un plaisir de vous donner gracieusement une estimation orale de ceux-ci. Les objets peuvent aussi y être déposés en vue de leurs ventes. Vente du 21 janvier 2018 : Succession John et Ruth Christoforou Lors de cette l’exposition-vente, vous aurez une occasion unique de découvrir environ 160 œuvres réalisées par John Christoforou, ce célèbre peintre expressionniste français. Mais aussi son chevalet de peintre, torturé et déchiqueté, en cohérence avec ses œuvres et un grand nombre de documents préparatoires ou accessoires à son travail. Dans ses toiles apparaissent presque exclusivement des figures, des masques et des totems primitifs, traités en grands cernes noirs qui limitent les éléments de la composition. La violence dans les thèmes abordés et la puissance de sa matière picturale caractérisent ses œuvres. Se dégage de ses toiles souvent très vastes, parfois jusqu’à 3 m de long, la nécessité intérieure de l'artiste à travers la vision d'un monde qui n'a rien de malsain ou de morbide. Vente de 28 janvier 2018 : Lingots et Monnaies d’or, Beaux Bijoux et Orfèvrerie 240 lots avec des lingots et monnaies d'or, de beaux bijoux certains signés STERLÉ, CARTIER, BOUCHERON, MAUBOUSSIN, des montres bracelets et goussets, de l’orfèvrerie des XVIIIe, XIXe et XXe siècles seront mis en vente lors de cette séance. ...
En 1992, Corinne Chevrier-Loriaud, 4e génération de vignerons, fait l’acquisition du domaine Château Bel-Air La Royère. Entourée par une équipe à 90 % féminine, celle-ci s’est fixé une mission : redonner au cépage malbec ses lettres de noblesse. Une palette de terroirs En conversion biologique depuis 2016, ce vignoble de 12 ha est réparti sur diverses parcelles avec chacune un terroir spécifique. Ici, les cépages merlot (60 %), malbec (39 %) et cabernet sauvignon (1 %) poussent soit sur des sols sablo-graveleux, soit sur des sols argilo-calcaires. Grâce à cette diversité, le domaine a la possibilité de réaliser d’intéressants mélanges et de produire des vins complètements différents. Des vins devenus une référence La maison produit aujourd’hui 5 vins rouges et 1 vin blanc. Parmi eux, 2 cuvées partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : le « Château Bel-Air La Royère » et « L’Esprit de Bel-Air La Royère ». Élaborée à partir de très vieilles vignes, le « Château Bel-Air La Royère » est un assemblage de merlot (65 %) et de malbec (35 %). Ce vin puissant et structuré a bénéficié de 20 à 22 mois d’élevage en barrique. En bouche, on trouve une explosion de fruits rouges associée à des notes vanillées. Ce vin sublimera des plats de viandes rouges ou du fromage. « L’Esprit de Bel-Air La Royère », quant à lui, est obtenu à partir de merlot (90 %), de malbec (5 %) et de cabernet-sauvignon (5 %). Présentant des tanins souples et soyeux, il séduit également par ses notes de fruits noirs et un boisé élégant. Les vins du domaine Château Bel-Air La Royère sont régulièrement cités par Bettanne & Desseauve, le Guide Hachette ou encore La Revue du vin de France. ...
Passionné très tôt par les vins, Marc Hennequière crée son vignoble à l’âge de 16 ans, en 1980. Vers les années 2000, lorsque sa femme s’installe sur le domaine, ils s’initient ensemble à la champagnisation. Le couple s’acquitte de toutes les tâches, avec l’aide d’un salarié à temps partiel et d’employés saisonniers lors des périodes de palissage et de vendange. Cette petite équipe soudée s’attelle à produire un champagne à l’esprit unique, qui reflète le terroir. Les secrets d’une viticulture durable en Champagne Le vignoble implanté sur la Côte des Bar s’étend sur une superficie de 3,5 hectares. Les cépages (principalement le pinot noir, le meunier et le chardonnay) sont cultivés sur un sol argilo-calcaire, « excellent pour élaborer le champagne », confie Marie-Nelly Hennequière. Le couple possède également quelques parcelles de terrain exposées plein sud, « ce qui permet d’avoir une bonne maturité des raisins ». Divers procédés sont mis en œuvre pour entretenir le sol et les vignes, comme l’usage de charrues, la faible application de produits phytosanitaires et la non-utilisation de désherbants. En effet, les méthodes durables ont spécialement été choisies et adoptées pour « laisser le sol respirer un peu », selon les précisions de la viticultrice. De la vigne au vin La maison Marc Hennequière joue la carte de l’originalité dans la production de ses champagnes en ayant recours à certaines techniques innovantes. « Dernièrement, nous avons décidé de changer un peu notre façon de produire, en lançant la cuvée Prémices qui subit un passage de 6 mois en fûts de chêne. Habituellement, nous ne travaillons qu’avec des cuves en inox », révèle notre interlocutrice. Parmi les 8 cuvées produites aujourd’hui, la cuvée Réserve Marie-Nelly endosse le rôle d’ambassadrice de la maison. « C’est un champagne qui nous définit. » Élaborée à partir de 25 % de chardonnay et le reste en pinot noir et meunier, la cuvée Réserve Marie-Nelly développe un nez complexe et expressif, avec une belle attaque en bouche. Idéale pour déguster une andouillette de Troyes ou une volaille rôtie. ...
Le pays de Dieulefit-Bourdeaux, blotti entre le Dauphiné et la Provence, se situe dans la région touristique de la Drôme Provençale. Le doux parfum des lavandes mêlé aux premiers oliviers et vignobles plane dans cet environnement exceptionnel et protégé, riche de ses paysages de moyenne montagne. Au sein de cette terre d’accueil, des réfugiés des guerres de religion et de la Seconde Guerre mondiale, les villages souvent perchés ont su conserver leur caractère et architecture médiévale hérités pour quelques uns des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Longtemps considérée comme une région de repos qui procure le bien-vivre, le pays de Dieulefit-Bourdeaux est habité par une longue tradition d'hospitalité et de générosité de ses habitants. Destination patrimoine Véritables empreintes de l’histoire du pays, les sites historiques et les musées sont répartis un peu partout, du Poët-Laval à Comps en passant par Bourdeaux et Rochebaudin. Classé parmi les plus beaux villages de France. Le Poët-Laval abrite un site médiéval, perché sur une colline, qui fut bâti à la fin du XIIe siècle. Ce lieu historique renferme une chapelle et une forteresse née sous l’ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem. On se laisse aussi séduire par Dieulefit, labellisée « Ville et métiers d’art ». Effectivement, la réputation du pays en termes de savoir-faire potier n’est plus à démontrer. Le patrimoine potier de Dieulefit est mis en valeur à la Maison de la céramique. Une tradition qui fait d'ailleurs partie intégrante du pays depuis l’époque gallo-romaine, et que les artisans potiers d’aujourd’hui continuent de perpétuer avec talent. Au passage, depuis la tour de l’Horloge, l’église Saint Pierre, la fontaine du Terron ou encore la place des Boulevards, vous pouvez admirer la ville d’en haut. Entre les ruines des deux châteaux du XIIe siècle et la Maison Renaissance, site classé, Bourdeaux qui conserve son allure de village intime n’a rien à envier aux autres. Pour couronner les visites, impossible de faire l’impasse sur l’imposante église romane qui trône fièrement sur Comps, construite au XIIe siècle, entièrement restaurée et classée monument historique. Activités nature Bénéficiant d’un climat doux et tempéré au sein d’une région touristique singulière, le pays de Dieulefit-Bourdeaux possède tout le potentiel pour pérenniser l’écotourisme. Dieulefit, estampillé « Station verte », et le pays propose diverses activités de plein air et de loisirs. Randonnées et excursions sur la montagne Saint-Maurice, promenade à vélo, escalade, vol libre en parapente, et un Espace Sport d’orientation attendent les amoureux de la nature. Pour ceux qui veulent plutôt se détendre, le pays de Dieulefit-Bourdeaux regorge de sites de bien-être et de relaxation, offrant des soins en réflexologie, en ostéopathie, en sophrologie et esthétiques. En outre, l’Office de Tourisme de Dieulefit-Bourdeaux organise des séjours "clé en main" déclinés en plusieurs thématiques, pour découvrir les incontournables du pays. Les séjours poterie, lavande, truffe, bien-être et vitalité, ainsi que les formules week-end bio & terroir et week-end glamping sont autant de choix possibles s’adressant aux familles, couples, ou groupes qui veulent explorer le pays à leur rythme. ...
Lancé en 1996, le restaurant tenu par Benoît Cantalloube se situe face à la basilique de Saint-Sernin, un des plus beaux monuments de Toulouse. Le « 7 » : une métamorphose accomplie Pour apporter un renouveau à l’établissement, Benoît Cantalloube engage Guillaume Momboisse, 26 ans, un ancien apprenti de la maison qui revient après une dizaine d’années. Ce dernier a suivi un riche parcours au restaurant Ô Saveurs, au restaurant Le Chalet de la forêt à Bruxelles mais aussi à Hong Kong au Twenty North. Son défi est de donner un coup de jeune au restaurant. Animé par son enthousiasme et sa créativité, Guillaume Momboisse y propose une cuisine délicate et raffinée. Gastronomie rafraichie et authentique Les plats se concoctent avec des ingrédients frais, achetés quotidiennement sur le carré du Marché de la Gare de Toulouse et vendus par les maraichers de la Haute-Garonne. Ses trouvailles du marché lui permettent de réaliser une cuisine respectueuse du terroir, où les produits méditerranéens forment un heureux mariage. Guillaume Momboisse travaille surtout les viandes de la région comme l’agneau du Quercy, le veau fermier de l’Aveyron ainsi que la sole du bassin d’Arcachon. Inspiré et créatif dans l’élaboration des plats Les convives sont invités à choisir entre trois menus : le Lunch, la Découverte et la Dégustation. À souligner : le menu Lunch, à seulement 24 €, est servi exclusivement le midi, avec une entrée, un plat de poisson ou de viande, et un dessert. Il est renouvelé toutes les semaines. Une carte des vins qui voyage Les vins de Saint-Chinian, de Gaillac, de Fronton et de Madiran sont à l’honneur. « Effectivement, puisque nous sommes installés à Toulouse, nous avons une très jolie carte de vins de région. Néanmoins, par curiosité et par gout, nous nous échappons un petit peu de notre région », indique Benoît Cantalloube. Le plaisir du chef est de faire découvrir de nouveaux horizons. « J’aime bien chiner les vieux vins. Parfois, on tombe sur de véritables petites perles », confie-t-il. Lors des foires et expositions, le chef et son équipe testent quelques vins du monde, notamment des crus de la Nouvelle-Zélande, d’Uruguay et de Chili, qui s’affichent dans une rubrique spéciale de la carte. ...
Fondé en 2008, Satsuki est une épicerie important 90% de ses produits du Japon, le reste provenant de l’Europe. Exclusivement en ligne à ses débuts, l’enseigne compte depuis 2012, un point de vente physique à Lyon. Une offre complète et diversifiée Satsuki dispose d’une offre comprenant 3000 références, sans oublier les conseils prodigués. On retrouve tous les ingrédients nécessaires à la préparation du sushi, de l’algue au riz, en passant par les graines de sésames, le gingembre et l’huile de soja. Les nouilles et les soupes figurent aussi en bonne place en matière de nourriture proposée. Tout comme les boissons, qu’elles soient alcoolisées ou non : le Ramuné (limonade), le célèbre Saké ou encore du Whisky (le seul parvenant à rivaliser avec le scotch). Outre l’alimentaire, l’épicerie japonaise propose de la vaisselle et des ustensiles, en bois, en céramique ou encore en mélamine. Il y a également un large choix d’encens, des sels de bains, des patches chauffants, des produits de beauté et de bien-être, des poupées Kokeshi, de l’origami, des boites Bento (utilisés pour les repas), des figurines et des livres. Des gammes spécialisées de thé vert biologique Satsuki importe du thé vert biologique du Japon, grâce à deux grandes familles japonaises : les Hayashi et les Morimoto. La famille Hayashi produit du thé, cultivé sans pesticides, à Kirishima dans le sud du Japon depuis 1897. Le temps d’augmenter le nombre d’espèces de théier comme l’Asatsuyu, le Yabukita, le Kanaya Midori et le Zairaishu (tiré de plantes à graines de thé). Dans la ville de Miyazaki, se trouve l’ile de Kyûshû et les jardins de thé vert biologique de la famille Morimoto. Cette dernière cultive sept variétés d’arbustes : le Yabukita, le Kanaya Midori, l’Oku Midori, l’Oku Yutaka, le Minimi Sayaka, le Sakimidori et l'hybride Assamica Benifuki. ...
Sur le chemin du changement, il y a de nombreuses approches et cela peut être un véritable défi de choisir celle qui libèrera votre potentiel. De plus, choisir le bon professionnel est une décision importante et personnelle. Elodie Parent, Rapid Transformational Coach, s’est personnellement formée auprès de Marisa Peer, élue thérapeute n°1 en Angleterre par le magazine Tatler et qui a gagné 5 prix internationaux dont récemment le fameux Stevie Awards. Elle peut vous accompagner pour des transformations individuelles et collectives. À travers son coaching vous pourrez libérer votre énergie au service d’une prise de décision éclairée et de la puissance de votre action. Pour un accompagnement en Rapid Transformational Coaching individuel, il faut compter environ 3 séances. La première va permettre de traiter les principaux blocages qui empêchent de libérer tout son potentiel. La seconde pourra être consacrée à se connecter à sa mission de vie, ce qui fait son unicité et ainsi permettra de prendre des décisions de manière plus éclairée et en sérénité. La troisième pourra se centrer sur les manières d’intégrer la nouvelle version de soi dans la réalité du quotidien. Rapid Transformational Coaching ? Rapid Transformational Coaching (RTC) et Thérapie (RTT) relèvent d’une seule approche particulièrement innovante et créée par Marisa Peer, auteure de plusieurs Best Sellers dont Ultimate Confidence et Hypnothérapeute de la famille royale, d’athlètes olympiques et de nombreuses stars. Cette approche est reconnue par les plus grands organismes professionnels dont le General Hypnotherapy Register et The American Board of Hypnotherapy. Après 30 ans de pratique, Marisa Peer a mis au point un protocole unique permettant entre autres de se connecter à des scènes passées et des émotions enfouies, à l’origine des blocages, et de les traiter. Cela afin d’enclencher une libération en profondeur et durable. L’incroyable CAPACITE de notre cerveau à être réceptif aux suggestions Pour que l’incroyable capacité du cerveau à être réceptif aux suggestions soit activée, il faut que la personne soit en état d’hypnose. À travers des suggestions, le Rapid Transformational Coach pourra alors faciliter un travail en profondeur du client. Il peut par exemple suggérer à la personne « qu’elle rayonne la confiance en soi ». Elle va alors se voir rayonnant vraiment la confiance et ce faisant elle active concrètement toutes les ressources qu’elle a en elle dans ce but. Ce qui n’est au début qu’une suggestion s’imprime pour devenir une réalité, une nouvelle habitude. Remonter aux sources du blocage Mais cela n’est pas suffisant, si un blocage inconscient est ancré en soi, il pourra empêcher la suggestion de fonctionner. C’est en cela que RTC/RTT est une approche incroyablement efficace car elle permet de remonter à l’origine du blocage inconscient et de le traiter. Les suggestions vont ensuite pouvoir fonctionner. La session comprend trois étapes : la première consiste à plonger au plus profond de soi même pour revisiter la source d’un blocage. Lors de la seconde étape le client pourra ensuite réaliser un travail de détective pour identifier les liens entre son interprétation des scènes « visitées » et son blocage actuel. Il va ainsi commencer à changer sa relation à son vécu pour se libérer. Il va également pouvoir désactiver des émotions inconscientes qui le bloquaient. La troisième partie de la session, où le patient va simplement écouter les suggestions du RT Coach, est enregistrée afin de permettre au client/patient de repartir avec un audio unique construit sur mesure en fonction de ce qu’il s’est passé pendant la séance. Cet audio lui permettra de se mettre en autohypnose afin d’imprimer les nouvelles « habitudes ». Le mental et le corps, en parfaite connexion, peuvent faire des miracles Cette approche conduit à des changements puissants et permanents. Elle permet au cerveau de dialoguer avec le reste du corps et réciproquement. Après avoir traité l’origine du blocage, cette communication « mental-corps » devient particuli&e...
Pour l’histoire, Convergence Infirmière est né en 1992, afin de combattre les conventions répressives. Après avoir récemment défendu la généralisation du bilan de soins infirmiers et l’augmentation de 75% des tarifs conventionnels, Convergence Infirmière souhaite également développer de nouveaux rôles susceptibles d’être tenus par les infirmières libérales dans le domaine de la prévention. Ainsi, le syndicat défend ardemment l’idée d’une “Consultation de Prévention Infirmière“, destinée à repérer la fragilité d’un patient. Le but, in fine, étant de repousser sa dépendance ou de détecter les personnes à risque de diabète ou à risque de maladies cardiovasculaires. Convergence Infirmière souhaite également être un acteur majeur dans le suivi des patients chroniques comme pour les malades atteints d’un cancer, afin d’éviter au maximum les hospitalisations. Est-il possible d’optimiser les soins de santé, grâce à un nouveau mode d’organisation ? Convergence Infirmière veut, au travers de nouvelles actions, moderniser l’exercice libéral autour des soins de proximité, en travaillant étroitement avec les autres professionnels de santé, afin d’optimiser la prise en charge d’un maximum de patients à domicile. Pour ce faire, il est indispensable de créer une dynamique d’équipe autour des patients, d’organiser la coordination des différents professionnels, de mettre au point des protocoles pluri-professionnels de soins de premier recours, d’échanger les données de santé, de garantir la continuité et la permanence des soins, de prévenir toutes les complications, de prévoir des réunions de concertation, dans le but d’améliorer le maintien à domicile et la qualité de vie des patients. Pour favoriser les liens entre professionnels, Convergence Infirmière développe une application web nommée ″LEO″ (Lien Échanges Organisation). Elle permettra, à terme, d’enregistrer différentes données de santé, des fiches de coordination, des relevés d’informations, mais également de communiquer par visioconférence ou via un tchat, d’alerter en cas de problème et, bien sûr, de conserver la trace des différents échanges. Ainsi, une équipe-test de soins primaires va voir le jour à Montpellier, regroupant, dans un premier temps, médecins, infirmiers, pharmaciens et kinésithérapeutes. Les ostéopathes, les podologues, les orthophonistes comme les diététiciens auront aussi toute leur place dans ce dispositif. ...
Le Pont de l’Ouysse est un héritage familial qui se distingue par une cuisine jalousement conservée dans la tradition et perpétrée de génération en génération. La passion du métier aidant, accentuée par le désir d’aller plus loin dans les études hôtelières, Stéphane et Mathieu, issus de la 5è génération, ont aujourd’hui repris les rênes de ce bel héritage gastronomique familial pour continuer l’aventure. Une cuisine gastronomique de région est privilégiée à laquelle vient s’ajouter des plats d’ailleurs revisités. Une invitation aux plaisirs gustatifs et au dépaysement Dans un style « campagne chic » à l’ambiance cosy, le restaurant Le Pont de l’Ouysse est une irrésistible invitation à la découverte et aux plaisirs gustatifs. Il offre un cadre aux notes nostalgiques où se marie merveilleusement une profusion de couleurs et de senteurs. Le restaurant est particulièrement pensé pour offrir au lieu, une pointe de romantisme très recherché, tout en laissant opérer la magie. Les clients aiment parcourir ses berges aménagées en jardins et en promenades, afin de gouter avec sérénité, au calme et au dépaysement, dans un décor idéalement fleuri… Un véritable plaisir pour les yeux et pour les sens ! « Nous pouvons y accueillir 60 personnes en salle et 70 personnes en terrasse » précise Mathieu Chambon, maître d’hôtel. Une cuisine locale Le restaurant privilégie les circuits courts en travaillant avec des producteurs locaux. « Nous mettons en valeur les produits régionaux (melon, truffe, agneau, pigeon, fraise, asperge, noix, fromage, foie gras, safran etc…) et nous constituons la carte en fonction des produits de saison » tient à préciser Stéphane Chambon, Chef étoilé. La maison s’attelle également à la préparation de différents plats créatifs et authentiques à partir d’un bouquet de fruits de mer tels que Saint-Jacques ou homard, ceci pour répondre aux besoins de certains clients. Les plats-signatures à l’honneur avec des menus et formules à la carte Parmi les plats-signatures figurent notamment le pied de porc truffé, la crème de pommes de terre, le foie gras Bonne Maman, les queues de langoustines rôties ou encore la pomme de terre à la truffe. Afin de satisfaire toutes les gourmandises, la maison a développé plusieurs formules dont le Menu Belcastel à 92 euros, le Menu des moulins à 60 euros et le Menu du Vieux Pont à 40 euros (servi uniquement le midi excepté le dimanche et les jours fériés). Sur la carte des vins, « nous privilégions plutôt le vin régional (vignobles de Cahors et Bergerac), mais nous proposons également des vins provenant de toutes régions de France » spécifie Mathieu. ...
Née il y a 40 ans de la passion de trois guides de haute montagne, Allibert Trekking conçoit et organise plus de 1 400 voyages d'aventure, randonnées, trekking et expéditions sur les cinq continents, dans le respect des populations et de l'environnement. Première agence de voyages d'aventure certifiée ATR, « vers un tourisme responsable », en 2008, Allibert Trekking est engagé dans une démarche de tourisme responsable depuis sa création. Des treks incontournables tels le tour des Annapurnas, le camp de base de l'Everest, au Népal, ou les parcs mythiques de l'Ouest américain, les plus belles randonnées en France avec le GR20 Corse, le tour du Mont-blanc... Chaque année, Allibert Trekking propose de nouveaux voyages d'aventure, de nouvelles destinations et de nouvelles activités tournées vers la nature. Différentes formules pour différentes manières de voyager En famille, en liberté, entre amis... Allibert Trekking a mis en place plusieurs offres adaptées aux besoins et demandes de ses clients. Le voyage accompagné réunit des groupes de 5 à 15 personnes autour d'un guide : il emmène les randonneurs à la découverte d’un pays ou d’une région, partage ses connaissances, anime et assure la cohésion du groupe. La formule famille s'articule autour de circuits de randonnée ponctués d’activités ludiques et de parcours adaptés aux enfants, une manière de leur transmettre le goût du voyage et de l’aventure. Quant aux voyages en liberté, il s'adresse aux personnes plus autonomes souhaitant voyager à leur rythme. Allibert Trekking se charge de la logistique et fournit un roadbook afin de garantir la sécurité sur les différents itinéraires. Cette formule est possible à partir de deux personnes. Allibert Trekking propose également des randonnées culturelles, la gamme Sentiers des arts. Encadrés par des guides-conférenciers, spécialistes de chaque destination, les voyageurs peuvent ainsi découvrir les richesses culturelles de la planète, tout en se réservant des temps de marche. Enfin, pour ceux qui souhaitent partir ensemble, entre amis, en famille, avec des collègues de travail, à la date de leur choix, mais aussi pour les comités d'entreprise, clubs, associations, l'agence a développé des offres spécifiques : les groupes privatifs, des voyages existants déclinés selon les souhaits du groupe, en fonction de leurs envies. ...
C’est en 1668 que le marquis de Vauban, de son vrai nom Sébastien le Prestre, conçoit les premiers plans de l’édifice pour en faire une place forte redoutable de l’époque. La citadelle faisait autrefois office de caserne pour les soldats du roi Louis XIV, puis prison d’État et camp de prisonniers de guerre avant d’être transformée en dépôt militaire. Elle a dû subir de nombreux travaux de rénovation et de restauration afin de conserver son architecture authentique d’antan. Chargée d’histoire, ce lieu unique en son genre tient sa promesse : celle d’un patrimoine vivant fort en émotions. Un patrimoine séculaire revisité Érigée au sommet d’une colline entourée elle-même de sept collines et enfermée par une boucle de la rivière du Doubs, la forteresse surplombe la capitale comtoise, Besançon, de plus de cent mètres et offre un panorama impressionnant depuis ses remparts. Elle s’étend sur douze hectares et abrite trois musées labellisés « Musées de France » dont le Musée de la Résistance et de la Déportation, un musée d’histoire fondé en 1971 par Denise Lorach, ancienne déportée, le Musée comtois, où sont exposées depuis 1948 l’histoire et l’ethnographie bisontines, ainsi que le Muséum de Besançon dont « la particularité est de réunir en son sein des secteurs animaliers très variés afin d’illustrer toute la richesse de la biodiversité », souligne Marie-Pierre Papazian, responsable Marketing en charge des Relations Médias. Avec ses richesses naturelles et ses particularités uniques, la Citadelle, elle, a été classée au titre de monuments historiques français en 1924 et est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2008. Elle compte parmi les sites touristiques et culturels les plus visités de la région Bourgogne-Franche-Comté. Parmi les plus belles citadelles de France telles que celles d’Arras et de Longwy, elle est reconnue comme la plus belle et accueille plus de 270 000 visiteurs par an avec des centres d’intérêt éclectiques : découverte du patrimoine, de l’histoire, des musées, de la biodiversité, des spectacles… Par ailleurs, la Citadelle doit sa renommée à son créateur, l’architecte Vauban. Issu de la petite noblesse bourguignonne, ce dernier devient ingénieur militaire du roi Louis XIV en 1653 jusqu’à sa disparition en 1707. A ce titre, il édifie les plans des fortifications, assure la défense ou le siège des places fortes et participe personnellement aux actions de guerre lorsque cela s’impose. Vauban a beaucoup voyagé pour mener à bien ses projets ; on estime qu’il parcourait pas moins de 4 000 km par an. À la fois créatif et plein d’imagination, « il a su utiliser la particularité géographiques des lieux et les renforcer pour faire de la citadelle de Besançon une forteresse imprenable », précise notre interlocutrice. Une destination touristique aux mille facettes La Citadelle de Besançon propose toute l’année plusieurs activités destinées au grand public. Artistes, historiens et scientifiques conjuguent passion et savoir-faire pour renouveler les programmes en permanence. Au cœur de la forteresse, dans la chapelle Saint-Étienne, un spectacle multimédia est proposé pour permettre aux visiteurs de plonger dans l’histoire de la citadelle et de la capitale comtoise. Sur d’immenses surfaces de projections et tout autour des spectateurs, les siècles défilent, les personnages apparaissent et s’interpellent dans une gigantesque fresque historique. Depuis le temps de Jules César au Moyen Âge, en passant par les règnes de Charles Quint et de Louis XIV jusqu’aux périodes les plus tumultueuses de l’histoire de la forteresse, les présentations interactives et ludiques invitent à voyager dans le passé. En outre, les deux « chemins de ronde », longs d’environ 600 mètres, sont des lieux incontournables pour admirer le paysage exceptionnel : vieille ville de Besançon, collines verdoyantes et vues imprenables du méandre du Doubs. Pour compléter la visite, la citadelle vous convie en petit groupe et sous la conduite d’un guide à d&...