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Culture
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La Grande Saline, un voyage au centre de la terre

Au cœur du vignoble du Jura, à 10 kms d'Arbois, pays de Louis Pasteur, se cache à 246 mètres de profondeur un trésor qui faisait naguère l’attractivité, la prospérité et la richesse d’une région. Ce trésor, c’est le sel de la Grande Saline. Témoin au fil des siècles d'une industrie insolite dans une contrée pourtant si éloignée de la mer, le sel de Salins-les-Bains a été l'ingr...

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Culture
Exposition
Musée La Grande Saline, interview, podcast avec Perrine Lefebvre-Girardot

Salut à tous ! Très heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode de notre podcast “On en parle”. Aujourd'hui, nous allons nous intéresser à cet or blanc dont nous saupoudrons chacun de nos plats, ou presque, qui nous servait à conserver la nourriture et sans lequel Salins-les-Bains n'aurait pas connu ce développement social et économique incroyable. J'ai nommé le sel. Eh o...

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Grande Saline, la Légende de Saint Anatoile ou le Miracle de l’eau

Dans l'histoire riche et mystérieuse de Salins-les-Bains et de la Grande Saline, une légende se distingue par son pouvoir évocateur et sa signification profonde : celle de Saint Anatoile et le miracle de l’eau. Cette légende ancienne, transmise de génération en génération, raconte l'histoire d'un ermite écossais ayant vécu au Ve siècle et d'un miracle qui a marqué à jamais la d...

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Culture
Patrimoine-histoire
Fondation du patrimoine : sauvegarde et appel urgent aux dons pour la Grande Saline

« Entretenir le souvenir des principales productions et reconvertir les éléments notoires du patrimoine régional à des fins culturelles et touristiques : voilà l’une des ambitions de la Mission Patrimoine » confiée à Stéphane Bern par la Fondation du patrimoine en partenariat avec le Ministère de la Culture et la Française des Jeux. L’homme de télé, l’animateur radio, le journa...

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Culture
Exposition
Visite guidée à La Grande Saline de Salins-les-Bains

Bastion du tourisme jurassien avec chaque année 80 000 entrées, la Grande Saline est le pilier incontournable de la région à visiter. Pour les touristes avisés, Salins-les-Bains réserve même un voyage insolite à travers des monuments millénaires, invitant à une immersion captivante d’un passé prestigieux à la rencontre de l’or blanc, le sel de la Grande Saline, fleuron jadis d...

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Restaurants, traiteurs :
les meilleures adresses de la semaine

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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Moustiers Sainte-Marie : un patrimoine touristique à découvrir sans modération

Moustiers Sainte-Marie, cette commune des Alpes de Haute-Provence, bénéficie d’une situation exceptionnelle dans les Gorges du Verdon et d’un climat tempéré chaud. En dessous de hautes falaises calcaires, le village bâti à partir du Ve siècle a su conserver un charme tout provençal avec ses ruelles et placettes, ses fontaines et ses ateliers de faïence. Cette cité de caractère est une destination idéale pour tous les amoureux de la nature et du patrimoine culturel. Des activités sportives …. Si vous aimez les randonnées, vous pourrez parcourir à loisirs les 13 sentiers balisés, pour profiter d’une nature préservée.  Vous pourrez notamment sillonner les réputés GR99 ou GR4. Si vous êtes adeptes du VTT, vous ne serez pas en reste avec la trentaine de circuits qui vous permettront de découvrir des paysages magnifiques. Vous pourrez même vous aventurer sur le TransVerdon avec ses 260 kilomètres. En famille, rendez-vous au lac Sainte Croix où vous pourrez pratiquer la baignade et le farniente sur la plage, mais aussi la planche à voile par exemple. Si vous préférez les sensations fortes, escalade, kayak, canyoning, randonnée aquatique, sports d’eau vive et sports aériens pourront également être au programme de votre séjour. … et un village provençal à découvrir Moustiers Sainte-Marie est particulièrement réputé pour sa faïence. Découvrez cet art en visitant le musée qui lui est dédié. Lors de vos balades au cœur du village, vous pourrez y admirer deux monuments classés historiques. Tout d’abord l’église paroissiale et son haut clocher lombard. Pour atteindre le second, vous devrez emprunter un escalier de 262 marches, taillé à même la roche. Il vous mènera à Notre-Dame de Beauvoir, une magnifique chapelle romano-gothique ancien lieu de pèlerinage. Là vous aurez une superbe vue sur le village ainsi que sur la vallée. Au plaisir des yeux s’ajoutera une part de mystère avec cette étoile dorée surplombant le village. ...

Ergo Motri Santé : pluridisciplinarité
et co-construction au cœur
de la démarche ergonomique

Créé en 2016 par cinq collègues de promotion décidés à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, Ergo Motri Santé (EMS) est un cabinet implanté dans le Centre-Val de Loire qui déploie son expertise pluridisciplinaire sur tout le territoire français. Dès l’année de sa création, EMS a été sacré « jeune entreprise exemplaire » lors du concours lancé par la Jeune Chambre économique d’Orléans puis, en 2017, EMS remporte le concours Talent BGE Centre Val de Loire catégorie Services. Depuis, EMS trace sa route en s’appuyant sur des partenaires de confiance, à l’instar de Nekoé, d’Harmonie Mutuelle, d’Activa Formation ou encore du CRESITT Industrie. Mesurer l’enjeu de l’ergonomie Le cœur de métier d’EMS s’articule autour de l’optimisation du bien-être, de la santé et de la qualité de vie au travail. Ainsi, l’équipe intervient dans plusieurs champs d’applications, à savoir l’évaluation et la prévention des risques professionnels, l’accompagnement des personnes en situation de handicap, la formation et la sensibilisation, la conception et l’aménagement de postes de travail ou encore l’ergonomie de conception avec l’expérience utilisateur (UX). « Réduire l’ergonomie à une norme ou à un standard est illogique parce que chaque individu, chaque structure, perçoit différemment ses besoins. Dans notre métier, il n’existe pas de solution toute faite », souligne Benoit Corret, ergonome au sein d’Ergo Motri Santé. Les prestations étant réalisées sur mesure, le cabinet peut s’adresser à différents types de structures : grands groupes, organismes du secteur public, entreprises à taille humaine... À la suite d’une demande d’intervention, l’ergonome va d’abord s’imprégner du contexte et du fonctionnement de son lieu d’intervention à partir des documents, des observations in situ et des entretiens qu’il effectue avec les hommes et femmes concernés par la problématique de l’entreprise. Puis, dans le cadre d’une EValuation des Risques Professionnels (EVRP) par exemple, l’objectif sera de proposer des préconisations pour réduire les risques de développement de maladies professionnelles ou d’accidents du travail. En appliquant une approche située, l’ergonome va pouvoir saisir le décalage entre la manière dont une personne est chargée de réaliser une tâche et la manière dont elle l’accomplit. « Nous allons justement fonder notre étude sur cette action réelle, sur ce qui se passe vraiment, car elle met en lumière la véritable problématique dans l’entreprise », explique Yves Denis, ergonome. Ensemble, investir dans une meilleure performance EMS mise sur une démarche participative en mobilisant toutes les personnes concernées par le changement. Cette notion de co-construction permet aux salariés de se sentir impliqués dans le processus, tout en favorisant la cohésion sociale dans l’organisation et en intégrant les contraintes des fonctions supports (maintenance, qualité…). Entretiens individuels ou groupes de réflexion font partie des techniques participatives déployées par le cabinet. « Ensuite, notre rôle sera de traiter toutes ces informations et d’​essayer de trouver la cohérence avec les objectifs stratégiques de la structure en termes d’investissement et de productivité », soutient Xavier Prieur, ergonome. L’ergonomie collaborative est également une façon de pérenniser le changement grâce à un apprentissage mutuel pendant l’accompagnement. En effet, chaque intervention réalisée vise à offrir aux différents acteurs l’autonomie nécessaire pour qu’ils puissent prendre leurs propres décisions en ergonomie et être responsables de leur santé au travail. « Nous avons notre expertise et notre propre méthodologie pour recueillir et traiter les données, mais finalement, souvent, ce sont eux qui détiennent la solution. » ...

Saveurs en’Or :
la gastronomie made in Nord-Pas de Calais

Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive. Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution.  Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises.  Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable.  Un partenariat gagnant-gagnant Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire.  Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy. La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com ...

Les vignobles Briolais : l’amour de la terre et des vins

L’histoire des Vignobles Briolais commence en 1976, avec l’acquisition, par Dominique Briolais et sa femme, d’une parcelle de 3 hectares de vignes. Aujourd’hui, la gestion se fait en famille et le domaine s’étend sur près de 44 hectares.   Les domaines en Médoc et Côtes-de-Bourg L’exploitation familiale dispose de trois domaines bien distincts répartis sur les deux rives du vignoble bordelais. Sur l’appellation Médoc, les parcelles de Jau-Dignac-et-Loirac sont situées sur d’anciennes croupes de graves d’origine günzienne. La propriété se trouve idéalement entre océan et estuaire, constamment balayée par un vent marin qui garantit aux raisins une perpétuelle santé. Les cuvées Le Château Pontac Gadet, élevé en barriques, avec des notes vanillées et toastées, et Optimus Le Grand Vin du Château Pontac Gadet, microcuvée vinifiée à la mode ancestrale, mettent en relief ce terroir de 11 hectares. Sur l’appellation Côtes-de-Bourg, le Château Terrefort Bellegrave est une petite parcelle de merlot au sein de la commune de Monbrier, sur un terrain très pentu avec un terroir rocheux. Il donne naissance à des vins rouges virils et puissants, qui font la fierté des Côtes-de-Bourg. Le Château Haut Mousseau, quant à lui, est le cru originel du domaine familial. La terre y est travaillée suivant une méthode d’agriculture raisonnée, qui mêle savoir-faire traditionnel à l’ancienne et techniques modernes. Respectueuse de l’environnement, cette démarche participe à la diversité biologique de l’écosystème viticole.   Récompenses et reconnaissances Médailles d’or ou d’argent aux concours régionaux et nationaux, étoiles, citations dans des revues et guides, prix spécial, les vins des vignobles Briolais ont reçu des récompenses aussi nombreuses que prestigieuses. Le Château Pontac Gadet AOC Médoc illustre ce succès. Il obtient régulièrement une étoile au Guide Hachette depuis l’an 2000 ainsi que plusieurs médailles d’or lors de différents concours, notamment en 2009, lors du Concours des vignerons indépendants. Récemment, le millésime 2013 a raflé la médaille d’or au Concours Féminalise et le millésime 2014 a reçu la médaille d’or au concours de Bordeaux Vins d’Aquitaine. Ce vin, composé de 65 % de cabernet et de 35 % de merlot, révèle des parfums élégants et puissants. Il offre une belle ampleur et une finale persistante et se déguste avec une côte de bœuf, un confit de canard, une dinde aux girolles ou un magret. De même, le Château Haut Mousseau Cuvée Prestige, qui figure, lui aussi, au panthéon des Côtes-de-Bourg, a été étoilé au Guide Hachette depuis 1998 et a décroché d’innombrables médailles lors des concours auxquels il a participé, notamment la médaille d’or au Concours des vignerons indépendants en 2014. Composé de cépages issus des vieilles vignes et des sélections des meilleures parcelles, ce vin est né d’un assemblage de 60 % de merlot et de 40 % de cabernet sauvignon. Il possède une robe soutenue, un nez épicé, aux tanins fondus.   Les gites Les Vignobles Briolais ont développé une offre œnotouristique, notamment via l’ouverture des deux gites répartis sur les deux rives du vignoble bordelais. Deux hébergements sont situés à Teuillac, entre Bourg-sur-Gironde et Blaye, et se trouvent à l’étage. Ils peuvent accueillir jusqu'à 4 personnes chacun, avec une vue sur le vignoble. Sur le site de Château Pontac Gadet, deux gites sont exceptionnellement situés, entre mer et estuaire, au cœur de l’exploitation, avec vue dégagée et jardin privatif. Le premier gite peut accueillir 4 personnes, tandis que le second offre une capacité d’accueil de 6 personnes. Ils disposent de tous les équipements nécessaires au confort des convives. Sur les deux rives, une dégustation conclut la visite des chais. ...

Champagne Yves Couvreur, un classique incroyable

C’est en 1644 que naît Pierre Couvreur, première génération de la famille Couvreur. Passant certainement sa vie dans les vignes, il transmet rapidement son savoir-faire à sa descendance. Vient alors une passion commune pour le champagne, qui, aujourd’hui, fait partie de l’histoire des grands crus de France. Une génération d’artisans et une affaire de famille C’est dans le village de Rilly-La-Montagne, situé dans la Montagne de Reims, que la Famille Couvreur travaille depuis déjà plusieurs siècles le champagne avec un vignoble 1er cru de 6,5 hectares, répartis dans trois villages, à savoir Rilly-La-Montagne, Montbré et Taissy. La maison Couvreur a cet avantage d’être bénéficiaire de la certification HVE (haute valeur environnementale). Une certification qui vaut tous les honneurs de par le fait que leur terrain agricole, tant dans sa biodiversité que dans son état sanitaire ainsi que sa fertilité, répond aux exigences réglementaires concernant l’environnement. L’exploitation produit annuellement environ 30 000 bouteilles de champagne, très appréciées par les Allemands, selon un membre de la famille. Un champagne généreux et raffiné Une exploitation bien traditionnelle, avec des cépages champenois repartis en pinot noir, chardonnay et pinot meunier. L'un des millésimes de la marque Yves Couvreur est le Prestige brut 2012, fruité et ample, complexe en bouche. Il se démarque par des arômes de feuille de sous-bois et un parfum d’épices. La cuvée la plus emblématique de la gamme Couvreur reste la Sélection, du 100 % chardonnay, équilibré et agréable en bouche pour les amateurs d’apéritif. Un champagne en hommage à un membre de la famille Couvreur, issu des récoltes de 2009 et mis en caves cinq années, est aussi mis en vente depuis 2015. Cette cuvée tradition ayant les trois cépages champenois répond au nom de François Héritage. ...

Clos La Coutale :
un savoir-faire qui traverse les époques

Actuellement, Philippe Bernède dirige cette belle propriété située à Vire-sur-Lot.Outre son statut de viticulteur, Philippe Bernède est également un inventeur émérite qui a créé un pigeur et un tire-bouchon révolutionnaire. Côt et merlot, deux cépages complémentaires Le vignoble du Clos La Coutale, doté de 85 hectares de vignes, est installé dans la vallée du Lot. Il s’étale sur des terrasses alluviales de méandres composées de graves et de silices argilo-calcaire, particulièrement propices à la culture de la vigne. Une petite partie de ce terroir est composée de galets roulés. Exposées au sud-ouest, les vignes sont aussi soumises à un microclimat qui est à l’origine d’une maturité très précoce des raisins du domaine. L’encépagement du vignoble est à 80 % composé de côt (ou malbec), qui est à la base de l’appellation Cahors. Ce cépage à grain rond possède une pellicule épaisse riche en tanin et en matière colorante, qui donnent beaucoup de caractère aux vins du domaine. « Le reste du vignoble est planté en merlot, qui apporte du gras et de la rondeur au vin, et qui affirme son bouquet », explique Philippe Bernède, le propriétaire. Les vignes sont âgées en moyenne de 25 ans et ont été conditionnées pour offrir un rendement moyen de 45 hectolitres par hectare. Tout est question de vinification Au Clos La Coutale, la vinification des vins est menée de manière traditionnelle, avec le savoir-faire hérité des générations antérieures. Tout d’abord, les raisins sont égrappés, puis fermentés à une température de 28 °C suivi d’une cuvaison allant de 15 à 18 jours. Les parcelles sont vinifiées séparément en cuves thermorégulées, avec pigeage régulier pour développer les arômes du vin. Le nectar obtenu est ensuite assemblé puis élevé dans des barriques neuves pour une durée variable selon la cuvée.  Le domaine produit ainsi deux cuvées exceptionnelles, récompensées à de multiples reprises. « Le grand-père de mon grand-père a gagné sa première médaille au Concours agricole en 1895 », évoque fièrement Philippe Bernède. Sur les tables de restaurants étoilés Et cette année encore, la cuvée « Clos La Coutale » a gagné une médaille d’or lors du Concours agricole de Paris. Ce vin de garde par excellence figure sur la carte des vins du meilleur sommelier du monde 1989, Serge Dubs. Il est régulièrement cité par des guides spécialisés tels que Gault & Millau, Dussert-Gerbert et le Guide Hachette. Cerise sur le gâteau : il est présent sur les tables de restaurants étoilés, entre autres Le Taillevent, L’Ambroisie de Paris ou encore le Pain Adour et Fantaisie de Grenade-sur-l’Adour. Quant au « Grand Coutale », il s’agit d’une cuvée en série limitée à seulement 3 000 bouteilles. Celle-ci fait l’objet de soins très particuliers depuis la vendange jusqu’à la mise en bouteilles. Symbole du savoir-faire des 6 générations successives du domaine, elle a été à maintes reprises médaillées par de grands jurys professionnels. ...

Alfons Mucha s’affiche à la Maison Bergès-Musée de la Houille Blanche en Isère

A Lancey, petite commune située à 15 km de Grenoble au pied du massif de Belledonne, la Maison Bergès-Musée de la Houille blanche vous accueille depuis 2011 pour vous faire découvrir la personnalité d’Aristide Bergès dont l’action va être décisive dans le développement industriel de la région au début du XXe siècle. Aristide Bergès, un industriel hors du commun … Cet entrepreneur a été un élément moteur du développement industriel dans la région. Au départ, pour faire fonctionner sa papeterie, il met en place des conduites forcées pour capter l’eau dans la montagne. Par la suite il produit de l’électricité et permet à toute la vallée du Grésivaudan de bénéficier de l’éclairage né de cette nouvelle énergie qu’il nomme lui-même la « houille blanche ». … mais aussi un collectionneur d’art Cette maison-musée est également très marquée par l’art. Papiers peints Art nouveau, programme ornemental empreint d’éclectisme, hall d’honneur garni de marbre et de mosaïques, tableaux et dessins de Maurice Bergès, fils cadet d’Aristide, ingénieur et artiste à ses heures perdues, peuvent y être observés. L’exposition temporaire « Alfons Mucha et les Bergès, une amitié » Sous le prisme de l’amitié, l’exposition temporaire sur Alfons Mucha complète toutes les œuvres déjà présentes de l’artiste dans cette maison, comme l’affiche « L’Automatique » créée à partir de « La Rêverie » pour la promotion du papier photographique fabriqué aux papeteries Bergès, des portraits d’Aristide Bergès, des dessus de portes, une série de verres peints, la chambre qu’il occupa pendant ses séjours, des peintures sur toile, des pastels, etc. Sur les 100 m² de l’exposition, vous pourrez découvrir en plus la correspondance entre ce célèbre affichiste tchèque et la famille Bergès, des cartes avec dédicaces, des évocations des œuvres disparues, une vingtaine d’affiches de la Bibliothèque Forney à Paris ainsi que des calendriers publicitaires. ...

Château du Cléray - Maison Sauvion :
des vins à la personnalité bien affirmée

Propriété vitivinicole depuis 1935, le Château du Cléray s’est transmis de génération en génération dans la famille Sauvion. Avec ses vieilles caves voutées, celui-ci compte parmi les plus anciennes propriétés du Pays Nantais. Aujourd’hui, c’est au tour de Pierre-Jean Sauvion, 4e génération, de s’atteler à la tâche et de façonner les vins de la maison. Honneur au muscadet Depuis sa création, le domaine a mis tout en œuvre pour donner au cépage Melon de Bourgogne ses lettres de noblesse. « C’est tout simplement l’un des plus grands cépages blancs au monde et il pousse uniquement dans notre région », explique Pierre-Jean Sauvion, œnologue et directeur technique. Ceci expliquant cela, le Melon de Bourgogne occupe aujourd’hui les deux tiers de l’encépagement de ce vignoble de 100 ha. Le reste se compose de chardonnay, de sauvignon et de folle-blanche (le cépage du gros plant). Les vignes du domaine sont plantées sur un sol silico-argileux, traversé par une veine de schiste qui apporte aux vins une complexité aromatique avec une belle minéralité accompagnée d’une touche saline. « De cette typicité naissent des vins avec une expression plus tardive. » Respect de la vigne et de la Nature Le domaine adopte des pratiques culturales qui respectent la Nature et s'est donc tout naturellement engagé dans une certification HVE (Haute Valeur Environnementale.) « Mon outil de travail, c’est la vigne. Donc je fais tout pour la préserver afin de la léguer un jour aux générations futures », plaide notre interlocuteur. Cependant, pour Pierre-Jean Sauvion, la démarche importe peu, qu’elle soit biologique, raisonnée ou organique. Pour lui, l’objectif reste le même : faire en sorte d’obtenir une qualité optimale. Et cette recherche de la qualité commence dans les vignes. « Nous sommes à l’écoute de la Nature. Et en fonction de cela, nous faisons ce qui est le mieux pour nos vignes. »  Côté vinification, le domaine suit un schéma classique. Cependant, toutes les opérations sont effectuées sous gaz inerte pour éviter l’oxydation. Des façonneurs de plaisir Apporter du plaisir et le partager aux autres. C’est en quelque sorte la philosophie qui a animé la famille Sauvion depuis maintenant 4 générations. Ainsi, elle se définit volontiers comme « des façonneurs de plaisir », qui, chaque année, se plait à présenter de nouvelles saveurs aux œnophiles. Parmi les références de la maison, la gamme haute culture mérite une attention particulière. Issues des meilleurs terroirs et des vieilles vignes de la propriété, ces cuvées représentent le summum du savoir-faire du Château du Cléray. À commencer par le « Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2017 Château de Cléray » ! Un 100 % muscadet qui exhale des arômes de citron, de tilleul, de menthe et de pomme verte. En bouche, on retrouve une grande fraîcheur et une belle finesse. Ce vin accompagnera parfaitement un plateau de fruits de mer ou une mousseline de Saint-Jacques. ...

Château Lucas :
le fruit du travail d’un beau « tandem »

L’histoire du vignoble remonte au temps de l’Empire romain, lorsque Lucius y cultiva les premières vignes et laissa son nom à la commune. Des moines bénédictins s’en occupèrent et firent sa renommée auprès de la cour d’Angleterre. À la fin du XVIe siècle, le père prieur de l’abbaye de Faize le légua à un des ancêtres de la famille Vauthier en récompense des services rendus. Ainsi, depuis 20 ans, Frédéric Vauthier perpétue au Château Lucas un savoir-faire transmis depuis 18 générations pour produire des vins de Lussac-saint-émilion authentiques.   Une agriculture respectueuse de l’environnement Le vignoble du Château Lucas occupe 20 hectares sur le plateau de Lussac-Saint-Émilion. Il est installé sur une terre spécifique aux grands crus de Saint-Émilion, faite de sol argilo-limoneux sur roche mère calcaire. « Ce type de sol permet une belle maturité des raisins », explique Frédéric Vauthier. En outre, la présence de l’argile bleue appelée montmorillonite favorise une irrigation du sol et une redistribution d'eau règulière durant toute la vie de la vigne. Soucieux de s’adapter au fonctionnement des mécanismes de régulation biologique et de l’écosystème local, Frédéric et Anne Vauthier ont fait le choix d’une agriculture raisonnée au sein de leur vignoble. Le sol est labouré à plusieurs reprises dans l’année pour éviter l’usage des herbicides, et les traitements chimiques sont réduits au strict minimum. Par ces procédés, la plante réagit par elle-même et accroit sa résistance naturelle.   Spécialiste des vins de bordeaux Au Château Lucas, la production de vins de bordeaux est un savoir-faire transmis de génération en génération. Frédéric Vauthier n’a pas dérogé à cette tradition dans l’élaboration de trois cuvées exceptionnelles : le « Château Lucas », le « Grand de Lucas » et l’« Esprit de Lucas ». Ces cuvées ont la particularité de garder leurs caractères aromatiques, amples, ronds, équilibrés, généreux et consistants à travers les millésimes. Vins fruités, floraux et tanniques, ils accompagnent les viandes rouges et blanches ou des fromages à pâte molle et les fromages de chèvre. Le « Château de Lucas » est un vin d’assemblage en parts égales de merlot et de cabernet franc, des cépages vendangés à la main en partie et à la machine. Une portion de 20 % de ce vin est vieilli en barriques afin d’apporter plus de richesse au reste de la cuvée. Sa production s’élève à 70 000 bouteilles environ par an. L'Esprit de Lucas n'est vignifié que sur les grands millésimes.   La marque Tant d’Aime « Couple dans la vie de tous les jours, nous formons aussi un couple dans le travail », déclarent les maitres des lieux. De cette union est née la marque Tant d’Aime, une gamme de vins originale. « Au départ, chacun produit sa propre cuvée, qu’on assemble pour obtenir au final un couple de vins complémentaires en vin d’homme et en vin de femme, à déguster ensemble. On veut transmettre l’image du couple, le travail du couple à travers cette marque », décrypte Anne Vauthier. « Ce sont des cuvées intimes, avec de petits volumes, mais qui sont très appliquées », complète Frédéric Vauthier. Cette marque, lancée en 2014, varie de couleur selon les millésimes. Pour cette année, le tandem a choisi d’élaborer un rosé et un blanc. Le « Blanc de Anne et Fred » 2015 en AOP Bordeaux est une cuvée d’exception, dont la production est limitée à 6 000 bouteilles. Celle-ci est le fruit de l’assemblage de la cuvée d’Anne, fraiche, élégante et fine, et celui de Frédéric, plus aromatique et minérale, fermentée en barriques neuves. Elle a été couronnée d’une médaille d’or lors du dernier Concours mondial du sauvignon. Le Tant d’Aime « Rosé de Anne et Fred » 2015 AOP Bord...

CHAMPAGNE JACQUES COPIN, un domaine contemporain depuis 1963

Issus d’une lignée de viticulteurs à l’origine de la coopérative du village, Jacques Copin et son épouse ont privilégié ce métier d’héritage dans ce cadre convivial à Verneuil depuis 1963. Une histoire et une aventure fascinantes au coeur de la vallée de la Marne, où la famille Copin s’est autorisée son indépendance et un travail approfondi, perpétué aujourd’hui par Bruno et sa femme Marielle, ainsi que par leurs enfants, qui prendront bientôt la relève. Actuellement en période de croissance, le domaine vend jusqu’à 77 000 bouteilles par an, commercialisées à 70 % en France, dont 80 % à des particuliers, le reste est exporté dans le monde entier. Pointilleux à la racine Sur un terroir de plus de dix hectares, uniquement sur le terroir de la Vallée de la Marne, profitant d’un sol argilo-calcaire et exposé plein sud, la récolte, qui est de 70 % de pinot meunier, n’a jamais été entre d'aussi bonnes mains. La maison a la particularité d’être très active dans la viticulture durable, pour laquelle Bruno s’autorise des approches personnalisées a chaque parcelle, à mi-chemin entre démarche biologique et démarche conventionnelle. Il effectue notamment un travail mécanique du sol, pratique l’enherbement naturel et opte pour un arrêt des émissions d’herbicides à hauteur de 100% d’ici 2 ans. Ces techniques raisonnées adoptées depuis plusieurs années sont menées afin de garantir une biodiversité et de réduire au maximum l’impact de l’homme sur son écosystème. Peu de Vignerons ont cette réflexion globale. Une belle gamme de champagnes La maison Copin privilégie des gestes ancestraux (vinification en fûts de chêne) qui sont combinés à des approches bien plus innovantes (usage de cuverie inox thermorégulée, microvinification…). De là naissent des champagnes au caractère unique. Parmi les fleurons de la gamme s’inscrit la Cuvée Tradition, à l’image du principal cépage cultivé par le domaine, à savoir le Meunier. Ce champagne évoque la fraîcheur et la subtilité, et donne sur des arômes de fruits d’été. Cette cuvée est récompensée par de nombreux prix : Guide Hachette, Concours Général Agricole, Gault et Millau, Revue du Vin de France, Wine Spectator, Decanter… La cuvée Millésime 2007 mérite également une mention spéciale. Ce Champagne rendant hommage à une année en particulier durant laquelle la nature a exprimé le meilleur d’ellemême fait la fierté des amateurs de champagne par sa complexité aromatique. Enfin, une toute nouvelle cuvée Polyphénols 2006 est présentée au public en ce début d’année. Elle est annoncée par Bruno Copin comme « la plus complexe jamais élaborée par la maison ». À découvrir. ...

Denise’s Art of burger : le temple du burger d’excellence à Genève

L’enseigne est située rue du Rhône, dans le food hall du grand magasin Globus à Genève. Elle s’est lancé un défi de taille : donner au fast-food un nouveau visage en proposant de délicieux burgers gastronomiques, à déguster sur place ou à emporter. Créé sous l’impulsion du chef doublement étoilé Philippe Chevrier, le pari est réussi pour ce snack artisanal et gourmet. Chez Denise, la carte fait aussi la part belle à des hot-dogs, des salades et des desserts gourmands, tous disponibles à emporter. Quand le fast-food devient gourmet Au homard, au bœuf suisse des alpages, à l’agneau, au foie gras ou encore végétarien. Toujours des garnitures uniques et créatives pour des petits pains sains mais gourmands. Des produits du terroir sélectionnés avec soin par une équipe conviviale. C’est l’idée que l’on se fait du burger chez Denise, goûteux mais simple et accessible. Dans ce snack haut de gamme, vous pourrez goûter à l’originalité raffinée de la maison comme « le homard du Maine avec sa rémoulade au citron vert nappé d’une mousseline d’avocat ». Le Spice Lamb propose, quant à lui, une recette alléchante à base d’agneau confit aux sept épices dans un pain pita. On compte au total près de sept recettes finement élaborées et chaque mois possède son lot de surprises avec un burger spécial à la carte. Un classique simple et indémodable ? Le Roast Chicken avec son poulet rôti confit, ses chips maison et sa sauce moutarde à l’ancienne. Si l’enseigne jouit d’une belle sélection de viandes, les végétariens n’en sont pas pour autant délaissés avec au menu un burger spécial galette de maïs aux délicieux légumes. Le tout est servi dans de jolis pains buns à l’épeautre, au sésame, à l’encre de seiche ou encore aux graines de courge, réalisés sur mesure par un artisan boulanger de Genève. Philippe Chevrier, chef doublement étoilé, affirme avec simplicité sa passion pour les produits du terroir et sa volonté de proposer un snack de qualité et accessible à tous ceux qui cultivent le « fast good ».  Tous à la gastronomie Le lieu, décontracté et familial, invite les gourmands à vivre des instants culinaires conviviaux, cristallisés autour d’une idée essentielle : la sélection de bons produits tels que la célèbre tomme genevoise ou le bœuf suisse auprès des meilleurs producteurs locaux. Et pour rompre définitivement avec les clichés sur le burger, l’enseigne se veut responsable et proche de ses consommateurs comme de ses fournisseurs. Chez Denise, tout est fait « maison ». Même les sauces, comme la fameuse sauce Denise. À l’opposé de la malbouffe, on déguste ici le burger au naturel, c’est-à-dire sans arôme, sans conservateur, avec des produits cent pour cent locaux. Résultat ? Dans les cuisines, le burger subit un lifting complet pour retrouver ses lettres de noblesse. Manger sur le pouce mais gastronomique, c’est aussi une invitation à la convivialité, une valeur chère à Philippe Chevrier. Et pour perpétrer le paradis sensoriel découvert dans la cuisine familiale, le chef a choisi de rendre hommage à sa mère en lui dédiant son restaurant. « Depuis ma tendre enfance, le plaisir de la cuisine, transmis par plusieurs femmes dont ma maman, n’a fait qu’inculquer en moi cette passion et cette force qui m’ont fait grandir tout au long de ma vie », explique-t-il. Ces quelques mots rappellent que l’art culinaire est avant tout un savoir-faire empreint d’histoires qui nous replongent dans les souvenirs d’un repas de famille autant qu’une passion pour l’excellence. Sur place, en plus des produits frais et de la conception de burgers uniques, l’invitation à déguster se fait sans complexes et de manière décontractée. On voit les cuisiniers à l’œuvre dans la cuisine vitrée, en train de s’activer autour du toaster et de la plancha. Côté sucré, on se laisserait volontiers envoûter par le cake aux carottes et au gingembre, le cheese-cake new-yorkais à m...

Le domaine de l’architecte : la qualité avant tout

Comme le nom du domaine le sous-entend, Patrick Dursent exerçait auparavant comme architecte. Poussé par la passion du vin et le territoire magnifique qu’il découvre avec vue sur la montagne et la mer, il tente une reconversion pour devenir vigneron.   Un terroir typique du Roussillon Avec ses 14 hectares de parcelle, le Domaine de l’Architecte est une petite exploitation qui mise principalement sur la qualité, en appliquant une agriculture raisonnée. En tout et pour tout, la production annuelle est de 300 hectolitres, limitée à un rendement d’environ 20 hectolitres par hectare. L’exploitation a pour ambition de produire les meilleurs vins du Roussillon.Les 6 cépages différents sont cultivés en altitude sur un terroir très caractéristique, différent de la plaine du Roussillon, avec un climat plus frais, bien ventilé par la tramontane et l’air marin. La vendange est plus tardive qu’en plaine et se fait exclusivement à la main, avec un tri très sélectif des meilleures grappes de raisins.Tous les assemblages et toutes les cuvées monocépages sont élevés en cuve sans être boisés, afin de conserver les notes de fruits et d’épices typiques du terroir et leur souplesse en bouche.   Des vins d’exception Parmi toutes les cuvées de l’exploitation, trois monocépages sortent du lot. En premier lieu, la cuvée « Aux figuiers » Côtes Catalanes IGP est un grenache 100% entièrement vendangé à la main, avec tri sélectif. Le millésime 2014, dont la production est limitée à 2400 bouteilles, vient d’être récompensé au Guide Hachette 2016 et noté 88-90 chez Parker. Très expressif, ce vin a beaucoup de longueur en bouche, avec des notes d’orange et de réglisse. Il s’accorde avec des gibiers de saison, une côte de bœuf ou une escalope de veau à la crème.En deuxième lieu, le domaine propose« Aux coings sauvages », une cuvée 100 % syrah qui conserve le côté poivré et épicé de son cépage. Son nom vient des coings qui bordent sa parcelle. Avec quelques mois d’élevage, ce millésime va parfaire et arrondir ses tanins.Dernier et non des moindres : le 100 % carignan « Aux amandiers » Côtes Catalanes IGP est une cuvée avec des notes de framboise, de groseille et de fraise des bois. Ce vin élégant s’accommode parfaitement avec une terrine gourmande d’automne, un tagine d’agneau aux coings, un sauté de veau au curry ou une souris d’agneau en cocotte.   Parrainez des pieds de vigne À la manière des financements participatifs, le Domaine de l’Architecte a monté un projet nommé « Parrainez des pieds de vigne ». Un concept gagnant-gagnant autant pour les parrains que pour le domaine, qui peut se passer ainsi des banques tout en étant capable de développer la qualité de sa production.Au choix, trois niveaux de parrainage sont proposés. Pour 300 €, le « parrain du domaine » reçoit 12 bouteilles des Voiles Rouges pendant 3 ans, ce qui lui fait économiser 52 €. Pour 500 €, le « parrain bienfaiteur » réalise une économie de 169 € avec ses 12 bouteilles de Voiles Rouges, 6 bouteilles de Voiles Blanches et 6 bouteilles de Voiles Roses offertes pendant 3 ans. Avec 1 000 €, le « parrain grand amateur » obtient pendant 3 ans 12 bouteilles de Voiles Rouges, 6 bouteilles de Voiles Blanches et 3 bouteilles des 3 cuvées d’exception monocépage « Aux amandiers », « Aux figuiers » et « Aux coings sauvages », soit une économie de 339 €.Outre ces économies directes, les parrains bénéficient d’autres avantages exclusifs comme des invitations gratuites pour les dégustations et les soirées organisées par le domaine, une réduction de 15% sur les tarifs publics des vins du domaine et une avant-première sur toute l’actualité de l’exploitation. ...

Les Ecuries de la Tour : la gastronomie du sud-ouest

Petite commune tranquille de Haute-Garonne située à 10 minutes de Blagnac et à 20 minutes de Toulouse, Mondonville abrite une table gourmande qui fait la part belle aux produits du terroir. Aux Ecuries de la tour, le sud-ouest  est à l’honneur à la carte comme dans la cave à vins. Vous y dégusterez des plats traditionnels gascons revisités selon l’imagination et l’inspiration de l’équipe en cuisine placée sous la houlette de Jérôme De Stéfani. Ce chef passionné saura éblouir vos papilles avec des associations de saveurs subtiles qui rappellent des souvenirs d’antan. Une cuisine goûteuse axée sur le régional La cuisine régionale des Ecuries de la Tour saura largement satisfaire les fins palais. Aux fourneaux, le chef Jérôme De Stéfani veut retransmettre dans ses créations culinaires, ses valeurs du sud-ouest et ses origines toulousaines. Il propose ainsi des plats gourmands entièrement qui prônent sa créativité. Etant également Maître Restaurant, le chef réalise du fait-maison avec des produits bruts. Tous les jours, le restaurant propose des formules « Midi » avec en option : un plat du jour unique à 12 euros, une entrée et un plat ou un plat et un dessert à 16 euros et enfin une entrée, un plat et un dessert à 20 euros. Toute la semaine de mardi à dimanche, en journée comme en soirée, la maison propose également deux menus que vous créerez vous-même à partir des suggestions à la carte. Vous avez le choix entre trois ou quatre déclinaisons, c’est selon les envies. Commencez cette escapade gourmande avec une Terrine de foie gras aux mendiants, puis enchaînez avec une Assiette de pêcheur ou un Filet d’agneau en croûte de moutarde, jus de romarin. Achevez cet agréable moment culinaire avec une note douceur en optant pour un Moelleux chocolat noir, caramel beurre salé, glace spéculos. Vos papilles ne s’en remettront pas.   Vive le terroir Pour l’acquisition de ses produits, le restaurant s’oriente vers les agriculteurs et éleveurs locaux. Canard, foie-gras, cochon noir du Bigorre… tous les produits du terroir sont rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs de la région. Le sud-ouest s’invite aussi dans la cave à vins. Côtes de Gascogne, St Sardos, Pacherenc Sec… il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets. Bien sûr, d’autres régions sont représentées, de quoi vous offrir le maximum de choix.   Une belle décoration atypique Le fameux esprit typiquement toulousain se ressent jusque dans la salle. La bâtisse qui date du XVIIème siècle offre une belle association entre chênes et briques rouges. Il a fallu huit années aux propriétaires avant de venir à bout des travaux et ouvrir enfin l’établissement qui a été inauguré en 2007. A l’intérieur, chaque détail décoratif compte : du verre soufflé servant d’appliques pour créer l’éclairage, à la balustrade réalisée par les Compagnons du devoir jusqu’à la collection de téléphones datant de 1890 et disposés un peu partout dans la salle. En quête d’intimité ? Installez-vous dans les petits box dans lesquels se trouvent seulement deux tables pour deux personnes. La grande salle quant à elle procure une ambiance plus conviviale.   ...

Bonbon et Chocolat : Au royaume des friandises

La confiserie Bonbon et Chocolat propose des bonbons, des gommes, des chocolats et des biscuits sur Internet. Fournisseur des grands distributeurs, la boutique en ligne vise également les particuliers en leur offrant des tarifs très concurrentiels. Les bureaux se trouvent à Antony (92), une ville desservie par un dense réseau de transporteurs. Cette situation stratégique optimise la rapidité de livraison dans toute la France, y compris la Métropole. Le numéro 1 de la confiserie en ligne Bonbon et Chocolat répertorie plus de 600 friandises, sélectionnées parmi les meilleurs confiseurs. Les plus grandes marques européennes y sont présentes, comme le leader suisse Ricola, l’allemande Haribo, la franco-belge Lutti, la nationale Malabar Carambar, ou encore l’italienne Ferrero. Comme le dit Anasse Benassi, le site possède surtout « une belle gamme de bonbons un peu différente des autres ». Il en est ainsi des bonbons géants ou encore des friandises rétro des années 80. Les générations X revivent ainsi des souvenirs d’enfance avec les gommes Frizzy Pazy, les colliers Dextrose ainsi que toute une variété de grands classiques. Les adolescents, quant à eux, « s’arrachent la tête » avec les bonbons acidulés Têtes brûlées ou les piquants Carambar Atomic. Outre les sucreries, Bonbon et Chocolat propose aussi des viandes séchées Beef Jerky Jack Link’s. En version originale, poivrée ou pimentée, cette gourmandise salée est idéale pour apaiser les petits creux. ...

18 avril, la petite agence qui donne du caractère à vos événements

Une approche du fond et de la forme pour chaque séjour 18 Avril est une agence créatrice de grands évènements. Basée à Lyon, ses clients sont partout en France, dont une grande majorité à Paris. Une équipe réduite autour de Pascale et Julia, les co-fondatrices. Cette taille plus humaine, que d’autres agences n’ont pas, est assumée fièrement par les deux partenaires. « Nous travaillons exclusivement avec les entreprises et créons du « sur-mesure » pour chaque projet qui nous est confié. Au moment du briefing avec le client, nous installons un vrai dialogue. C’est précisément parce que nous sommes une structure à taille humaine que nous pouvons établir une relation privilégiée avec nos clients : L’écoute, la disponibilité, la transparence et la confiance sont inscrites dans notre relation. Tout en restant à son écoute, nous cherchons à comprendre les messages que le client souhaite faire passer, les objectifs précis de son projet ce genre de chose. Notre manière de travailler n’est pas juste de récupérer des informations pour ensuite remplir des cases ! », explique au téléphone Julia, cofondatrice de 18 Avril. « Nous nous investissons à 200% sur chaque projet, quelle que soit sa dimension, parce que la réussite de l’évènement est aussi notre réussite ! » Nouer une relation particulière avec les clients Quoi de plus frustrant quand on cherche à avoir quelques réponses précises sur l’organisation de son futur événement que de décrocher son téléphone pour entendre quelqu’un à l’autre bout du fil dire qu’il n’a pas directement l’information, et qu’il va falloir rappeler plus tard ou, dans le meilleur des cas, patienter un peu. Ici, pas de standardiste quand on essaye de joindre l’agence, mais une personne forcément au courant du dossier, qui va en connaître intimement les moindres détails. Cette franche proximité dans la relation avec le client plaît et l’agence est de plus en plus sollicitée par les grands groupes pour l’organisation de leurs séjours et de leurs conventions. « Nous restons nous-mêmes avec tous nos clients mais également avec nos fournisseurs : nous privilégions la clarté et la précision des échanges,  le « parler vrai », afin d’éviter les incompréhensions  et donc gagner en efficience : on travaille mieux et plus vite ! L’idée est vraiment d’instaurer une relation de confiance avec tous. Bien entendu, nos réalisations sont toujours à la hauteur de ce qu’ils attendaient (en tout cas jusqu’à présent... (rires), mais au delà de cela, la majorité d’entre eux parlent d’un feeling particulier quand ils travaillent avec nous, et pour nous c’est essentiel ! » Rendre éternels des moments éphémères Les séminaires et autres évènements sont toujours un moment délicat dans la vie d’une entreprise, surtout quand ils sont axés sur le plaisir et la détente des collaborateurs au cours de ce rendez-vous. Pas facile de mesurer le retour sur investissement dans ce cadre là, mais un séminaire qui se déroule bien et qui procure plaisir et émotions aux collaborateurs peut avoir une portée infiniment bénéfique sur le long terme pour une entreprise. Cet « effet papillon » est recherché par le duo. Pour réussir dans sa mission, l’agence s’est entourée avec brio d’une myriade dynamique de collaborateurs free-lance, chacun spécialisé dans son domaine. Cette belle équipe, habituée aux contraintes liées à l’événementiel, permet à 18 Avril d’offrir des expériences inédites et originales, selon l’activité et les besoin spécifiques du client. Les compétences complémentaires proposées dans la communication, la production, la production audiovisuelle ou le buzz marketing sur Internet, pour ne citer que ces exemples, permettent un large éventail de propositions. De l’organisation de plusieurs nuits dans un désert à la mise en place d’un séminaire ou d’une convention au quatre coins du monde, en passant par un...

Champagne Jean Michel :
un riche héritage respectueux de l’environnement

Vignerons depuis 1847, le travail de la vigne est un savoir qui se transmet depuis 5 générations. C’est en 1912 que le Grand-Père MICHEL décide de gérer la production de ses propres bouteilles jusqu’à la commercialisation. Aujourd’hui « Vigneron Indépendant », cette reconnaissance est gage d’authenticité, de qualité et de traçabilité de tout le travail. Le domaine viticole s’étend sur 12 hectares et ses cuvées sont distribuées dans le monde entier. Fidèle à ses valeurs, la Maison se démarque par la vinification douce et précise de ses vins à la « méthode champenoise » et par une culture biologique de ses vignes. Une aventure, assemblage de curiosité et de passion Situé dans les Coteaux Sud d’Epernay réparti sur 7 communes, le vignoble est planté en Pinot Meunier, Chardonnay et Pinot Noir. Ses différents terroirs révèlent des cuvées bien distinctes et riches d’une diversité de saveurs singulières : Brut Réserve, Blanc de Chardonnay et Millésimes de la Maison. Un 100% Pinot Meunier (Blanc de Noirs) figure parmi les cuvées ambassadrices de la marque depuis plus d’un siècle. Toutes ces cuvées millésimées ou mono-cépages Champagne Jean MICHEL, dont certaines vinifiées en fûts de chêne champenois, sont caractérisées par une explosion de fraîcheur et par une palette aromatique sans limite. Remettre la nature au centre de la viticulture Outre le fait que les cuvées soient vinifiées traditionnellement dans des caves datant du XVIIIe siècle, le Champagne Jean MICHEL se caractérise également par son engagement envers la nature. Certifié Haute Valeur Environnementale (HVE) depuis 2013, et aujourd’hui en conversion biologique, le Champagne Jean MICHEL met au coeur de son processus de production le respect de la biodiversité en contribuant à la préservation de la beauté des paysages viticoles. Dans un respect total de ses vins, de ses vignobles et du consommateur, la Maison révèle dans ses Champagnes les subtilités propres du terroir. ...

Background Paris : Immersion au cœur de la culture hip hop à Paris….

… A la rencontre de ceux qui font le Mouvement !

Lancé en juillet 2017 par Hugo Faivre, Background Paris est un projet de tourisme alternatif et expérientiel qui vise à interroger de nouveaux modes d’exposition, partager l’ADN artistique de cette culture et permettre l’échange entre un public international et les artistes locaux par le biais de 3 expériences indépendantes (graffiti, musique et danse). D’une durée de trois heures, chaque expérience peut accueillir 10 personnes et a un coût de 40€/pers. L’expérience « One Can » propose un street art tour ponctué par un live painting Les amateurs de graffiti et les curieux peuvent désormais participer à un street art tour, en petit comité et (re)découvrir un quartier de Paris (10ème, 11ème, 13ème, 18ème, 19ème et 20èmearrondissements) à travers son histoire commune avec les arts urbains. Cette balade urbaine se conclut par une rencontre avec un artiste graffiti dans son atelier ou directement dans la rue afin d’assister à la création en direct.  La musique hip hop à travers deux formats : intime et live L’expérience « One Beat » consacrée à la  musique donne l’occasion de découvrir l’univers d’un studio d’enregistrement pour une heure de masterclass aux côtés d’un musicien et ainsi de connaitre les dessous de la création musicale.  Pour clore cette visite en beauté, les heureux spectateurs sont invités à un événement musical hip hop dans la capitale.  Assistez à une session d’entrainement au contact des danseurs, et plongez en immersion dans l’univers d’un battle de danses hip hop Au niveau des danses hip hop, l’expérience « One Move » propose de partir à la rencontre d’un crew (collectif) de danseurs pour assister à leur session d’entrainement avant d’offrir une plongée en immersion dans l’ambiance d’un battle (compétition) où dépassement de soi et partage flottent dans l’air. Ainsi, ils dévoileront le « work in progress » de leur pratique artistique au sein de leur contexte créatif. ...

Restaurant À l’Agneau : le raffinement d’une gastronomie haute en couleur

Sublimer les produits locaux dans une cuisine de saison. Développer des spécialités autour de la truffe et la décliner dans tous ses états. La table de l’hôtel-restaurant À l’Agneau a plus d’une corde à son arc pour rendre hommage à la gastronomie alsacienne. Un concentré de saveurs à découvrir sous la houlette d’un chef de brigade membre du club des « Étoiles d’Alsace ». Que l’on fasse un crochet rapide dans la ville ou que l’on ait réservé dans l’une des chambres de l’enseigne, l’expérience vaut le détour. Une cuisine de caractère dans un établissement typé L’hôtel-restaurant À l’Agneau connaît une longue tradition dans l’art de l’accueil, puisque l’auberge d’origine opérait déjà en 1769. C’est donc dans un établissement hautement typé que les convives sont accueillis. Beaucoup seront surpris par la décoration où se rencontre la tradition avec une tendance résolument zen feng shui. Les tons ivoire et chocolat de la salle invitent à une parenthèse de décontraction absolue, le temps de savourer ses petits plats. Préparer ses papilles à frayer avec une cuisine de saison où les produits locaux sont déclinés pour rappeler les bonnes saveurs traditionnelles, avec une bonne dose de créativité. À propos, ne surtout pas passer à côté du savoureux plat signature de l’enseigne, l’« Éclaté d’agneau en 3 cuissons ». Trois pièces différentes vont rendre ces trois préparations : une selle farcie à la florentine et cuite à basse température, des flanchets confits à la sarriette et des carrés grillés. À la sortie, un plat unique où opulence et légèreté trouvent un compromis pour découvrir l’agneau dans tous ses états. La carte des vins où l’Alsace tient une place de choix déploie un éventail vaste avec ses 350 références puisées dans le répertoire français. Côté douceurs, la maison aime s’allier la complicité des saisons pour varier les plaisirs. La « Confusion de fruits rouges » titille les papilles avec les notes de verveine où ils ont macéré. Une coque meringuée apporte la touche d’élégance à ce dessert enrichi d’un sorbet ultra-frais. Une spécialité « truffée » de créativité L’« Œuf sans coque avec tartelette aux truffes » est une spécialité de la maison que l’équipe des fourneaux concocte avec beaucoup d’amour. Anne Ernwein, propriétaire et chef du restaurant, nous accorde une expérience intime de sa préparation. Tout commence par la confection de la pâte, d’une finesse délicate. Cuite avec une fondue de truffe, cette tartelette reçoit ensuite une mesure de fontine que l’on fait également fondre. Un carpaccio de viande de grison (de bœuf ou d’agneau) rejoint la préparation, en même temps que les râpés de truffes. Le jaune d’œuf coulant à l’intérieur d’une coque injectée d’huile de truffe finit de donner à ce plat son cachet singulier. À savourer, selon les saisons, avec des verdures type mâche ou asperges assaisonnées de balsamique de Barolo. Au quotidien, la maison propose divers menus pour assortir les découvertes autour des produits que le chef aime travailler. Pendant les beaux jours, c’est au Jardin que l’équipe convie les gourmets à composer des repas fraîcheur ou se détendre autour de spécialités grillées. Gambas, filet de canette, T-Bone de veau sont apprêtés au feu de bois et relevés de saveurs toniques comme la sauce Teryaki, la béarnaise piquante ou des épices douces.  ...

Estaca : une Junior-Entreprise avec laquelle il faut compter

Un cabinet de conseil en technologie à échelle étudiante Les Junior-Entreprises ont le vent en poupe ! Implantées dans des établissements d’enseignement supérieur (écoles de commerce, d’ingénierie, etc.), ces associations permettent aux étudiants qui les rejoignent de mettre leurs connaissances en pratique. « Par le biais de notre Junior-Entreprise, les étudiants de l’Estaca (École Supérieure des Techniques Aéronautiques et de la Construction Automobile) peuvent répondre aux besoins des clients » explique Daniel Braïk, président de la Junior-Entreprise de l’établissement du même nom. « Ils interviennent principalement sur des problématiques d’ingénierie dans les domaines de compétences de l’Estaca que sont l’aéronautique, l’automobile, les transports ferroviaires et l’industrie spatiale. Mais à terme, nous envisageons de diversifier notre offre en proposant de l’information mais aussi du conseil  ».  Une large palette de clients Parmi les clients auxquels Junior Estaca fournit des solutions aussi novatrices qu’efficaces figurent essentiellement des grands groupes mais aussi des entrepreneurs. « Nous travaillons avec Airbus pour l’aéronautique, avec PSA et Jaguar, notamment, pour l’automobile et avec la SNCF pour tout ce qui touche au ferroviaire » précise Daniel Braïk. « Pour autant, notre clientèle compte de plus en plus de startupers qui souhaitent que nous les aidions à créer puis à développer des projets technologiques ». Si un nombre grandissant de clients font désormais appel aux Junior-Entreprises, en général, et à Junior Estaca, en particulier, c’est parce que ces structures ne manquent pas d’atouts.  Faire rimer flexibilité, qualité, créativité et réactivité En choisissant de faire appel à ses services, les clients de Junior Estaca savent qu’ils pourront profiter de nombreux avantages. « Tout d’abord, nous faisons preuve d’une grande souplesse d’organisation » précise Daniel Braïk. « Nous pouvons faire intervenir des équipes d’étudiants sur des domaines variés et pour des durées flexibles. Nos missions durent généralement entre deux et dix mois. De plus, le fait que nous puissions nous appuyer sur le vivier de jeunes talents que forment les étudiants de l’Estaca nous permet de proposer des solutions à la fois innovantes et créatives ». L’aspect financier joue également en faveur de Junior-Estaca.  En effet, s’agissant d’une association à but non lucratif, les tarifs pratiqués par les Junior-Entreprises sont généralement intéressants. « Notre statut associatif nous permet d’être économiquement compétitifs » indique Daniel Braïk. « C’est une combinaison de tout ça (créativité, flexibilité, compétitivité) qui fait que nos clients nous choisissent ». Enfin, parce que les Junior-Entreprises sont rigoureusement encadrées - au sein de la Confédération Nationale des Junior-Entreprises, notamment - et régulièrement contrôlées, les entreprises qui font appel à elles ont la garantie de bénéficier de prestations de qualité.  La Junior-Entreprise : un système « gagnant-gagnant » S’ils choisissent de faire confiance à Junior Estaca pour les accompagner dans leurs projets, grands groupes, TPE/PME et startupers pourront bénéficier, nous l’avons vu, de tout un arsenal d’avantages comme des solutions innovantes, des tarifs attractifs, une organisation d’une grande souplesse, des prestations de qualité et une réactivité importante. Mais il est intéressant de souligner que les avantages sont également du côté des étudiants eux-mêmes. Car si les Junior-Entreprises sont des associations à but non lucratif, elles sont aussi à vocation pédagogique. En rejoignant Junior Estaca, un étudiant pourra ainsi profiter d’une passerelle vers la vie active. Il mettra en pratique ses connaissances, affinera ses compétences, en développera de nouvelles, valorisera son expérience et prendra contact avec de futurs clients/employeurs potentiels. Pour toutes ces rais...

Vivre avec une maladie rare en France : aides, prestations et soutiens associatifs

Une maladie est qualifiée de « rare » si son apparition au sein de la population est moins d’un cas sur 2 000. Les maladies rares sont dans la plupart du temps d’origine génétique. On compte aujourd’hui environ 8 000 maladies rares dont fait partie le syndrome de Rett, l'ostéogenèse imparfaite ou encore la neurofibromatose. L’inexistence de traitement curatif pose actuellement un problème majeur en ce qui concerne une grande partie de ces maladies.   Les MDPH : interlocuteur privilégié des personnes en situation de handicap Les MDPH (maison départementale des personnes handicapées) ont été mis en place dans chaque département pour accueillir, informer, orienter et accompagner les personnes handicapées. Selon la loi n° 2005-102 du 11 février 2005, la MDPH doit « offrir un accès unique aux droits et prestations, à toutes les possibilités d’appui dans l’accès à la formation et à l’emploi, et à l’orientation vers des établissements et services, ainsi que faciliter les démarches des personnes handicapées et de leur famille ». Parmi ses principales missions, la MDPH procède à la création d’une équipe pluridisciplinaire en vue d’étudier chaque cas, de cerner les besoins de la personne et de proposer des solutions à travers un plan personnalisé de compensation (PPC).  Les aides financières qui sont du ressort de la MDPH L’AAH, ou allocation aux adultes handicapés, est octroyée d’une part aux personnes ayant un taux d’incapacité égal à 80 % sur une période de un à cinq ans (voire plus) et, d’autre part, aux personnes qui présentent un taux d’incapacité supérieur ou égal à 50 % mais inférieur à 80 %. Ensuite, l’AEEH, ou allocation d’éducation de l’enfant handicapé, est accordée aux personnes résidant sur le territoire français et qui ont un enfant en situation de handicap de moins de vingt ans.  La prestation de compensation du handicap (PCH) Les personnes en situation de handicap peuvent bénéficier d’un certain nombre d’aides. À commencer par la prestation de compensation du handicap (PCH). Il s’agit d’une aide financière octroyée par le département pour compenser les besoins liés à la perte d’autonomie. Elle s’adresse aux personnes âgées jusqu’à 60 ans et résidant en France mais également aux enfants qui perçoivent l’AEEH (allocation d’éducation de l’enfant handicapé, attribuable jusqu’à 20 ans). La PCH peut concerner différents besoins. L’« aide humaine » par exemple permet au malade de bénéficier de l’assistance d’une tierce personne dans ses activités quotidiennes telles que l’habillage, la toilette, les déplacements...  L’« aide technique » peut être délivrée pour permettre l’acquisition ou la location d’équipement destiné à pallier une limitation d’activité liée à un handicap. La PCH peut financer aussi, si besoin est, l’aménagement du logement et du véhicule. Cela dans le but d’améliorer l’autonomie de l’individu tout en facilitant par la même occasion le travail des aidants. L’« aide animalière » ainsi que les charges spécifiques ou exceptionnelles figurent également parmi les éléments de la PCH.  ...

Les Jardins de l'Orangeraie :
le charme d'un restaurant en Provence

Difficile de ne pas succomber au charme de ce restaurant de Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. Que ce soit à l’intérieur de la salle à l’ambiance conviviale ou dans la cour ombragée sous les orangers, une cuisine traditionnelle aux saveurs de la région est servie avec le sourire. Emilie Giez assure l’accueil et le service pendant que son compagnon Vincent Truffet s’active derrière les fourneaux. Un duo complice qui célèbre leur amour pour les saveurs du Sud au travers d’innombrables suggestions culinaires généreuses et gourmandes. Une cuisine aux produits du terroir « Les Jardins de l’Orangeraie » proposent une cuisine traditionnelle, à laquelle le Chef Vincent Truffet apporte une petite touche de modernité. Les suggestions à la carte exaltent la fraîcheur des produits de saison livrés tous les jours par un maraicher. Cette carte courte se compose de quatre entrées, cinq plats dont deux viandes et trois poissons et quatre desserts. La maison suggère également un « Menu Découverte » à 30 euros à côté des formules du midi. Le potager aromatique qui parfume la cour intérieure du restaurant fournit thym, basilic, romarin, menthe et autres herbes qui viendront rehausser le goût et les arômes de chaque plat. Côté cuisson, Vincent Truffet affectionne particulièrement celle à basse température, une technique qu’il utilise notamment pour la préparation de la souris d’agneau qui confit pendant près de 12 heures. Fort de son succès, ce plat redemandé très régulièrement par la clientèle est souvent présente à la carte. Autre spécialité : l’aïoli, une recette provençale que le chef revisite tous les vendredis à sa manière.  Un rendez-vous gourmand à ne pas manquer sous aucun prétexte.   La carte des vins « Les Jardins de l’Orangeraie » présentent une carte de vins très sélective. Cela inclut les producteurs de la commune de Roquebrune-sur-Argens. Les propriétaires de l’établissement aiment aller à la rencontre des viticulteurs pour connaître leur méthode de travail, ils ont alors une préférence pour les vins bio. Selon Emilie Giez : « Les démarches de productions et l’origine des vins doivent coïncider avec l’esprit du restaurant. » Un cadre calme et romantique La pièce maitresse des Jardins de l’Orangeraie est incontestablement sa cour intérieure. A l’abri des regards et des agitations des bords de mer, elle se présente comme un véritable havre de paix. Les tables en fer forgé accueillent les diners romantiques dans une ambiance raffinée, calme et sereine. En soirée, les luminaires extérieurs ingénieusement agencés accentuent ce côté romantique. Pour plus d’intimité ou de chaleur, la salle reste l’idéal. A côté de ses voutes et ses pierres apparentes s’affiche une décoration simple et épurée qui coïncide avec le thème de la gastronomie. La salle est agrémentée par des tons chauds tels que le marron chocolat et l’orange dénotant douceur et élégance. ...

La filière oléicole de Corse : des hommes attachés à la sauvegarde de leur patrimoine et à la valorisation de l’Oliu di Corsica

En Corse, des oliviers depuis toujours… La Corse, terre méditerranéenne par excellence, héberge l’olivier depuis la nuit des temps.  L’île offre des conditions climatiques optimales pour la culture de l'olivier; les arbres s'y développent parfois jusqu’à des hauteurs de 20 mètres. Ils ont bâti des troncs vénérables, certains depuis plus de 2000 ans…  Des monuments végétaux vivants, véritable patrimoine culturel! Un patrimoine à entretenir et à préserver, du feu en particulier depuis toujours... et de la redoutable bactérie Xylella fastidiosa aujourd’hui. L’AOP, un gage de qualité Obtenue en 2004, l’Appellation d’Origine Contrôlée (devenue Appellation d’Origine Protégée en 2007) est ainsi venue récompenser le travail collectif d’une cinquantaine de récoltants passionnés et attachés à la sauvegarde du patrimoine oléicole insulaire, ainsi qu’à la valorisation de leur huile d’olive. Un signe officiel de qualité qui garantit, entre autres, l’origine - corse - des olives et leur lieu de trituration - la Corse - et récompense la tradition oléicole corse et le savoir-faire de ses hommes. Une belle couleur or brillant caractérise l’Huile d’Olive de Corse- Oliu di Corsica AOP. Elle est produite exclusivement à partir de variétés locales : Sabina, Ghjermana di Casinca, Zinzala, Capanace, Ghjermana d’Alta Rocca (ou di Tallano), Curtinese. Les olives sont cueillies noires, c’est-à-dire à maturité des fruits. Elles perdent ainsi en amertume et piquant et dégagent subtilement les parfums du maquis corse. Selon la variété et le terroir, des nuances aromatiques s’ajoutent à l’arôme du fruit mûr. Chaque lot d’Huile d’Olive de Corse - Oliu di Corsica AOP est dégusté avant la mise en marché par un jury d’experts afin de vérifier l’absence de défauts et le respect de la typicité. Il s’agit d’une disposition unique pour le contrôle d’un produit en  AOP, garantie supplémentaire pour le consommateur. L’Huile d’Olive de Corse - Oliu di Corsica AOP est toujours produite en petite quantité, avec un savoir-faire ancestral associé aux méthodes de production les plus modernes. Sa rareté et sa qualité en font un produit d’exception. « Récolte sur l’arbre » et « Récolte à l’ancienne » pour des saveurs différentes Ce sont principalement les modes de récolte qui influent sur les arômes de l’huile : L’Huile d’Olive de Corse – Oliu di Corsica AOP se décline en une double gamme afin de permettre au consommateur de différencier les huiles les plus « douces » des plus « fraiches » :  Les olives récoltées sur l’arbre, par action mécanique,  avant qu’elles ne chutent, donnent en effet une huile  « fraîche », relevée d’une pointe d’ardence et d’amertume, aux arômes d’amande, d’artichaut ou de pomme. Les olives récoltées à l’ancienne, par chute naturelle sur filets, à surmaturité, offrent quant à elles une huile aux arômes « confits » d’olive noire, de fruits secs ou de fleurs du maquis. C’est une huile à la saveur très douce, exempte d’amertume et de piquant.  Si l’Huile d’Olive de Corse AOP « Récolte à l’ancienne » accommode particulièrement bien les plats chauds tels que viandes et poissons grillés ou purées de pommes de terre, l’Huile d’Olive de Corse AOP « Récolte sur l’arbre »  dévoile tous ses arômes en accompagnement de salades ou de mets froids.  Les bouteilles d’Huile d’Olive de Corse – Oliu di Corsica AOP portent un « macaron » pour les identifier dans l’une ou l’autre gamme.   La mise en place d’une filière locale de plants d’oliviers certifiés Face à la menace représentée par la bactérie Xylella Fastidiosa sur le verger oléicole de Corse, le syndicat AOC Oliu di Corsica met en place une filière locale de plants d’oliviers certifiés.&nbs...

Chez le Père Chaussy : manger lyonnais à Manthes

Ce sont bien les femmes qui ont apporté sa lettre de noblesse à la gastronomie lyonnaise, même si ce sont majoritairement des hommes qui en portent le flambeau de nos jours. Les Mères lyonnaises, ces cuisinières de grandes familles bourgeoises qui ont décidé d’ouvrir leurs propres établissements ont inspiré Serge Chaussy en ouvrant son restaurant « Chez le Père Chaussy ». Leur cuisine était simple et copieuse, avec des accords judicieux qui sublimaient les produits de haute qualité. Cette simplicité a porté haut la gastronomie lyonnaise, si haut que Rabelais s’en est inspiré pour écrire Gargantua. Aujourd’hui encore, certains gastronomes qualifient Lyon de « capitale de la gastronomie mondiale ». Défendre cette image constitue un défi pour les restaurants de spécialités lyonnaises comme « Chez le Père Chaussy ».   Des spécialités Lyonnaises A côté des illustres bouchons lyonnais, des restaurants comme celui de Serge Chaussy mettent du leur dans cette promotion de la gastronomie lyonnaise. En tant que carrefour entre plusieurs terroirs, Lyon a été comblé par d’excellents produits tels que le bœuf charolais, le poulet de Bresse ou les fromages d’Auvergne. La gastronomie s’ancre d’autant plus à la tradition grâce à la gourmandise des Lyonnais, ces derniers discutent cuisine avant, durant et après le repas. La cuisine lyonnaise initiée par les Mères lyonnaises porte une attention particulière à la qualité des produits qui deviennent les stars des assiettes. Serge Chaussy peut s’en procurer grâce à une bonne relation avec les producteurs locaux. Les abats comme les tripes, le gras-double, le foie de veau ou encore la langue de bœuf y tiennent une place importante. Dans cet esprit, « Chez le Père Chaussy » présente une cuisine raffinée qui propose des poissons, viandes, foies gras poêlés... Il y associe son savoir-faire qu’il a hérité de son père. A part le service quotidien, la maison fait également des repas de groupes pour les évènements de familles tels que les baptêmes ou mariages.   La carte du restaurant « Chez le Père Chaussy » change tous les six mois. Parmi les plats phares figure le tablier de  sapeur qui est à lui tout seul un symbole de la gastronomie lyonnaise. C'est une recette à base de fraise de bœuf coupée en escalope, panée, grillée accompagnée d'une sauce à base de vin blanc, oignons, moutarde à l'ancienne, crème, sel et poivre. Le Tablier de sapeur est servi toute l’année comme certains plats qui sont énormément demandés à savoir la tête de veau, la langue de bœuf et les grenouilles à la persillade. A côté, le Chef mise aussi sur des touches personnelles créatives dans la carte des hamburgers, valable tous les jeudis et dimanches soir. Il y propose par exemple « Le Père Chaussy » composé de pain, salade verte et tomates, steak haché, médaillon de bloc de foie gras, légumes cuisinés, sauce au foie gras et frites. Pour digérer tout cela, la carte des vins suggère des crus de Gascogne, des Côtes du Rhône ainsi que ceux des domaines de la région comme la cave de Tain ou cave de Sarras.   ...

PALM HOTEL & SPA MICE : un cadre exceptionnel pour un évènement professionnel unique

Installé en pleine nature, PALM HOTEL & SPA bénéficie d’un environnement d’exception mêlant luxe, confort et ambiance zen. Ici, tous les ingrédients sont réunis pour faire de chaque évènement une expérience inoubliable. Un hébergement haut de gamme Pour chouchouterles séminaristes, l’établissement dispose de quatre catégories de chambres : les chambres supérieures, les chambres de luxe, les suites, suites familiales et les lodges. Les chambres Deluxe bénéficient des mêmes équipements que les chambres supérieures mais disposent en plus d’un salon et d’une varangue qui donne sur les jardins. Les suites sont équipées de douche extérieure et d’une varangue avec solarium et bain à remous. Quant aux lodges, outre le superbe panorama qu’ils offrent sur la Baie de Grand’ Anse, ils proposent aux invités la possibilité de profiter d’une terrasse aménagée avec louveuse et bain à remous. Expériences culinaires inédites PALM HOTEL & SPA dispose de trois restaurants, dont un gastronomique pour assurer la partie « restauration » au cours des séminaires, rendez-vous business ou réunions de travail. Chaque restaurant présente un cadre et une ambiance particulière où les invités sont conviés à découvrir des saveurs exotiques les plus surprenantes. Le Chef Claude POTHIN met en avant les produits locaux tout en sublimant par la même occasion le terroir réunionnais. Des salons et équipements adaptés Pour mener à bien les journées de travail, PALM HOTEL & SPA met à la disposition de ses clients un espace modulable de 200 m2. Ce dernier accueille jusqu’à 3 salons climatisés. En plus de la connexion wi-fi gratuite, divers équipements tels que paper-board, feutres, stylos, papiers, eaux minérales ou gazeuse sont aussi fournis. En option et selon la formule choisie, des matériels comme un ordinateur portable pour l'animateur du séminaire, des vidéo-projecteurs et des écrans ou encore visio-conférence sont disponibles. Cerise sur le gâteau, l’hôtel est doté d’une terrasse panoramique de 1200 m2, le KAH Beach. Elle est dédiée aux cocktails et réceptions pour clôturer en beauté un séminaire, un lancement de produit ou autres. Cet espace de repos est équipé d’un bain à remous et d’un hammam avec un restaurant de plage et une vue imprenable sur l’océan. Privatisable pour différentes réceptions, il fera le bonheur des professionnels en quête d’un endroit d’exception pour leur évènement. Des activités indoor pour des séances de team building réussies Que ce soit à travers des ateliers ou des formations, de nombreuses activités sont proposées aux collaborateurs désireux de renforcer leur esprit d’équipe. PALM HOTEL & SPA peut leur suggérer un programme sur-mesure à même de répondre à leurs besoins. On peut citer par exemple parmi les options incentives de l’établissement : l’expérience œnologique qui consiste en une dégustation de vins,l’atelier sushis & makis, le spectacle de close up ou l’élaboration et dégustation de cocktail. Des activités outdoor pour des expériences sensationnelles En collaborant avec des prestataires de service, PALM HOTEL & SPA offre aux entreprises une occasion unique de développer la motivation de leur personnel. De multiples activités riches en découverte et exploration attendent les participants. A l’instar des randonnées aquatiques durant lesquelles les aventuriers pourront bénéficier d’une session de canyoning au pied de la fameuse cascade de Grand galet à Langevin. Pour les amateurs de sensations fortes, PALM HOTEL & SPA propose le survol en hélicoptère à la découverte des cirques de Cilaos, Salazie et Mafate. Sans oublier le passage au dessus du Piton de la Fournaise, un volcan toujours en activité. Enfin, les excursions en voiture tout terrain seront particulièrement appréciées des explorateurs en herbe. C’est une manière plus pratique d’admirer de  près la beauté du relief. Un parcours enrichissant qui regroupe le passage à proximité du volcan, la découverte des plaines ...