En 1992, Corinne Chevrier-Loriaud, 4e génération de vignerons, fait l’acquisition du domaine Château Bel-Air La Royère. Entourée par une équipe à 90 % féminine, celle-ci s’est fixé une mission : redonner au cépage malbec ses lettres de noblesse. Une palette de terroirs En conversion biologique depuis 2016, ce vignoble de 12 ha est réparti sur diverses parcelles avec chacune un terroir spécifique. Ici, les cépages merlot (60 %), malbec (39 %) et cabernet sauvignon (1 %) poussent soit sur des sols sablo-graveleux, soit sur des sols argilo-calcaires. Grâce à cette diversité, le domaine a la possibilité de réaliser d’intéressants mélanges et de produire des vins complètements différents. Des vins devenus une référence La maison produit aujourd’hui 5 vins rouges et 1 vin blanc. Parmi eux, 2 cuvées partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : le « Château Bel-Air La Royère » et « L’Esprit de Bel-Air La Royère ». Élaborée à partir de très vieilles vignes, le « Château Bel-Air La Royère » est un assemblage de merlot (65 %) et de malbec (35 %). Ce vin puissant et structuré a bénéficié de 20 à 22 mois d’élevage en barrique. En bouche, on trouve une explosion de fruits rouges associée à des notes vanillées. Ce vin sublimera des plats de viandes rouges ou du fromage. « L’Esprit de Bel-Air La Royère », quant à lui, est obtenu à partir de merlot (90 %), de malbec (5 %) et de cabernet-sauvignon (5 %). Présentant des tanins souples et soyeux, il séduit également par ses notes de fruits noirs et un boisé élégant. Les vins du domaine Château Bel-Air La Royère sont régulièrement cités par Bettanne & Desseauve, le Guide Hachette ou encore La Revue du vin de France. ...
Depuis l’enseigne de négociant-vinificateur implantée par le fondateur éponyme à Gigondas en 1936, la Maison Gabriel Meffre n’a pas cessé un seul jour d’entretenir son amour pour le vin. Aujourd’hui, elle est propriétaire de 70 ha de vignes (Domaine de Longue Toque & Château Grand-Escalion) et travaille en étroite collaboration avec une trentaine de vignerons partenaires en vallée du Rhône et dans le sud de la France. La maison accueille au caveau et toute l'année les particuliers et les professionnels pour des dégustations, des visites, et des ateliers ludiques et enrichissants... De Gigondas et d’ailleurs C’est dans le petit village de Gigondas, dans le Vaucluse, que le père fondateur de la Maison lance son affaire avec son épouse Juliette. Nous sommes au milieu des années trente. Spécialisée dans la vinification et le négoce, cette enseigne va se déployer au fil des années, gagnant d’autres compétences pour s’imposer aujourd’hui comme une référence en tant que producteur et négociant-éleveur dans la vallée du Rhône méridionale. Forte du savoir-faire acquis le long de son parcours, la Maison élabore de nombreux crus recouvrant toutes les appellations de sa région d’implantation. Gigondas du Domaine de Longue Toque : la cuvée emblématique de la Maison Meffre L’on relèvera notamment le gigondas du Domaine de Longue Toque (28ha), cuvée emblématique de la Maison. Ce vin soyeux et élégant est issu d’un terroir d'éboulis calcaire et d’anciennes terrasses alluviales où grenache et syrah s’épanouissent pleinement. Le millésime 2015 de ce cru livre en bouche mille explosions de sensations, entre notes de réglisse et arômes d’épices grillées, fruits rouges mûrs et tanins veloutés. Les 44 ha du Château Grand-Escalion, autre propriété de la Maison, lui valent une présence sur l’AOP costières-de-nîmes. Les œnologues de la Maison déclinent dans la cuvée « Safranée » tous les talents du grenache à relever le caractère de la syrah. L’expression la plus fine du savoir-faire de ces mêmes œnologues se retrouve pareillement dans la gamme de sélections parcellaires Laurus, rassemblant des vins de garde et de caractère développés avec des vignerons partenaires. L’élégance et l’harmonie du vacqueyras 2014 convaincront ceux qui découvrent, pour la première fois, les crus de cette gamme. Des notes de petits fruits noirs clôturent en beauté les arômes juteux de mûres et de framboises qu’enveloppent les senteurs parfumées de la vanille et de la lavande. Son grand caractère a d’ailleurs valu à cette référence de nombreuses distinctions. ...
Sur les coteaux au sud de Reims, au cœur de la côte des Noirs, à Ambonnay, la maison H. Billiot et fils est implantée sur l’un des cinq premiers grands crus en champagne. Le vignoble, tourné plein sud, se compose de pinot noir (75 %) et de chardonnay (25 %), qui sont répartis en 18 parcelles sur une superficie totale de 4,70 hectares. Sur son vignoble, Laetitia Billiot revendique un travail à l’ancienne et de façon raisonnée. « On continue à labourer nos terres, à éviter le désherbage et à traiter uniquement si besoin est », déclare-t-elle. Champagne H. Billiot et fils : l’expression d’un terroir La maison H. Billiot et fils révèle les typicités de ses terres à travers ses sept cuvées, « qui viennent toutes d’Ambonnay et qui offrent des caractéristiques très fruitées avec énormément d’arômes », confie la vigneronne. Dans son élan, elle ajoute « qu’au domaine, on clame la puissance de ce terroir à Ambonnay. Sur fond de notes très aromatiques, ce sont des vins qui restent très fins et trés délicats. » Parmi ces nectars qui remplissent nos caves figurent les cuvées de prestige Julie et Laetitia dont les secrets de fabrication sont jalousement gardées. Une nouvelle cuvée Essence de Billiot rejoint la gamme cette année, pur Blanc de Noirs d'Ambonnay, puissance des pinots en bouteilles numérotées uniquement disponibles sur réservation. L’œnotourisme, une activité pétillante Satisfaire sa clientèle est une priorité pour la maison H. Billiot et fils. À la demande de ses convives, la maison organise des visites du terroir, organisées sur l’un des plus beaux points de vue d’Ambonnay, avec en prime, la dégustation d’une bouteille fraîche. Pour les esprits curieux, la maison propose aussi un circuit qui permet, en plus de découvrir le domaine H. Billiot et fils, de visiter le musée du champagne ou d’autres maisons avoisinantes. ...
Tout l’espace intérieur du Trianon Palace Versailles a été imaginé en 2008 par l’architecte d’intérieur Fiona Thompson. Elle a apporté à ce cadre majestueux un style contemporain élégant et délicatement coloré, pour vous baigner dans une atmosphère immaculée et intime. Côté cuisine, Frédéric Larquemin a rejoint en novembre 2016 le Trianon Palace Versailles, après s’être formé à l’Ecole Ferrandi et avoir travaillé auprès d’Alain Ducasse et de Gordon Ramsay. Le restaurant étoilé au Guide Michelin « Gordon Ramsay au Trianon » Une verrière pour de la lumière naturelle, des nappes blanches, du cuir capitonné, en un mot un lieu confortable et agréable pour se restaurer. Ici, le chef confectionne une cuisine contemporaine inventive, tout en revisitant les grands classiques de la gastronomie française et en s’inspirant de ses expériences internationales. Il aime travailler les produits de saison achetés au marché ou aux producteurs locaux. A la carte, vous pourrez par exemple découvrir le pressé de foie gras et canard fumé, pommes vertes, cresson et gelée au madère ou le turbot de ligne français braisé, radis, câpres, coques et sauce au Champagne. En dessert, vous pourrez vous régaler, entre autres, avec la Pomme rôtie au caramel demi-sel et fruits de la passion, une réinterprétation de la célèbre tarte Tatin imaginée par le Chef Pâtissier Eddie Benghanem. Pour profiter pleinement de ce lieu, pourquoi ne pas réserver la table du chef, un espace pour 6 personnes qui surplombe la cuisine et d’où vous pourrez admirer le travail de toute la brigade. La Véranda by Gordon Ramsay, la brasserie de luxe du Trianon A la Véranda by Gordon Ramsay, le chef propose une cuisine continentale contemporaine tous les jours le midi comme le soir. Vous pouvez aussi profiter de ce lieu pour un petit-déjeuner buffet. Le Bar Galerie Le Bar Galerie est l’endroit idéal pour profiter d’un savoureux tea-time, servi tous les après-midi. Découvrez tous les week-ends le très apprécié chariot de pâtisseries pour accompagner avec délice votre boisson chaude préférée. ...
Véritable ode à la musique populaire, le MuPop nous fait redécouvrir cette musique que l’on écoute tous les jours. Lieu incontournable de l'Allier, le Musée de la musique populaire emporte le visiteur à la découverte de la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Le MuPop : la musique si elle nous était contée ! La cité médiévale de Montluçon accueille l’un des endroits les plus emblématiques de la région de l’Allier. Construit par l’architecte Philippe Tixier en lieu et place des anciens hôtels particuliers Méchain et Charnisay, le Musée de la Musique Populaire ou MuPop plonge le visiteur au cœur de l’univers de la musique. Dans une architecture entre modernité et renaissance, les concepteurs du musée ont voulu croiser les époques. L’hôtel Chamisay a ainsi été restauré dans le respect de son intégrité patrimoniale. Quant à l’hôtel Méchain, victime du temps, a lui pris un tournant plus contemporain. Pour accueillir le visiteur, cela commence avec un parcours musical immersif. Muni d’un casque et d’un capteur, le visiteur conçoit lui-même sa visite en pointant son capteur vers les 150 points d’écoute répartis à travers le musée. 8 heures d’instruments en tout genre qui permettent de redécouvrir la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Baptisé SEM ou système d’écoute mobile individuel, on passe des musiques traditionnelles d’il y a 400 ans à la fanfare, suivi du bal populaire avant de partir à la rencontre de la musique électrique, Elvis, Johnny et jusqu’au Hard-Rock et au Métal. Afin de rendre l’expérience toujours plus enrichissante, le MuPop propose également un parcours instrumental enrichi et un parcours numérique interactif. Dans ce dernier, cinq écrans tactiles invitent le visiteur à tester ses connaissances sur les instruments phares de la musique populaire. De la vielle à nos jours ! Le MuPop, c’est d’abord l’histoire d’un musée vieux de plus de 50 ans. Tout commence en 1959, lorsque le musée de Montluçon dans l’enceinte du château des Ducs de Bourbon, était alors dédié à l’histoire et l’ethnologie locale. Conçu par Jean Favier, le musée conservait en son sein des vielles. Instruments de musique atypique, les vielles étaient selon Jean Favier spécifiques à la région en matière de musique locale. Dans les années qui suivirent, face à une collection de plus en plus croissante le musée de Monluçon devient le Musée des vielles. Dans les années 90, la collection s’étend d’abord aux cornemuses de Jean-Michel Renard, puis viennent les rejoindre en 1997, des guitares électriques de toutes sortes. Au fil des années, d’expositions en expositions, le MuPop devient le véritable porte étendard de la musique populaire. Mais le Mupop, ce ne sont pas que ses instruments. C’est aussi un endroit où l’on peut voir comment à évoluer la musique au fil des années. Des posters, des instruments, des vidéos sont aussi présents dans chaque salle. Des machines électroniques comme le jukebox et le scopitone sont aussi exposées. Symboles de la musique rock, on se laisse emporter dans une autre époque. A la recherche d’un nouveau monde, on y retrouve aussi un local de répétition d’un groupe punk de la région parisienne. A l’intérieur tout y est du synthétiseur en passant par le violon ou encore la batterie. On y retrouve même des mégots de cigarette et des cannettes de bière ! Pourquoi visiter le MuPop Derrière son aspect formel, le MuPop est un véritable lieu d’échange. On y incite les visiteurs à expérimenter, à toucher. On peut tester les instruments de musique comme les guitares avec des amplis. On vit l’exposition. Le musée réserve toujours de nouvelles expositions à découvrir : sur différents thèmes comme les costumes des artistes, leurs albums. Le musée est aussi un lieu d’échange où on peut se faire de nouveaux amis. On peut y rencontrer des amateurs et des passionnés de musique et partager ses expériences. Les amateurs de danse sont aussi les bienve...
À travers un panel de services, Calleo facilite le quotidien des praticiens en assurant une permanence téléphonique de qualité et une gestion efficace de leur planning. Le télésecrétariat, une solution efficace et moins coûteuse Pour les professionnels de la santé, recourir aux services d’une secrétaire travaillant au sein de leur cabinet n’est pas toujours la meilleure solution. En effet, pour la grande majorité des médecins, le salaire attribué aux secrétaires représente jusqu’à 15 % de leurs recettes. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de professionnels préfèrent s’attacher les services d’une secrétaire à distance. Aujourd’hui, pour des raisons économiques, 32 % des médecins adoptent ainsi le télésecrétariat comme solution alternative. De manière générale, le secteur de la santé s’intéresse également au secrétariat externe dans la mesure où celui-ci facilite l’accès aux soins. En établissant un lien privilégié entre patient et médecin, il peut être perçu comme un moyen de lutter contre la désertification médicale. Tout sur Calleo Présent sur le marché depuis une quinzaine d’années, Calleo propose aux professionnels de la santé un service de télésecrétariat complet et adapté à leurs besoins. Qu’ils soient généralistes, spécialistes ou paramédicaux, les professionnels peuvent compter sur Calleo pour la gestion de leurs appels et rendez-vous. De manière ponctuelle ou régulière, une équipe expérimentée et professionnelle prend en charge les appels au quotidien conformément aux consignes du médecin. Les praticiens peuvent dès lors se consacrer entièrement à leurs activités sans craindre d’être dérangés par les appels des patients. Le professionnalisme dont font preuve les télésecrétaires de Calleo garantit zéro perte au niveau des appels et les patients sont assurés de ne subir aucune attente au téléphone. Par ailleurs, le médecin peut avoir accès en temps réel à son agenda médical en ligne et celui-ci a la possibilité de consulter à tout moment ses messages et ses rendez-vous ! En cas d’urgence ou de changement du planning, le praticien sera alerté immédiatement via SMS. Face à ses concurrents, Calleo offre une qualité de service très élevée et choisit d’opérer uniquement dans le secteur médical. ...
Sénégal, Mali, Cameroun, Ghana, ici, on goute à chaque bout d’Afrique. Dans un décor basique, orné de tableaux typiques et de statuettes majestueuses, le restaurant est d’une simplicité chaleureuse. La musique est là pour rappeler l’identité du lieu dans des sons jazz, soul, makossa, mbalax, bikutsi ou des iles. Des soirées à thème invitent régulièrement les convives à la fête et à la danse. Un vrai melting-pot au Délices AFRICA où toutes les communautés aussi bien africaines qu’européennes, passent un moment hors du temps. Il y règne comme maitre-mot : la sympathie et la gourmandise. Inspiration africaine Préparés avec soin par la cheffe cuisinière, Marie Dumas, spécialiste en cuisine africaine, les entrées font sensation auprès de la clientèle friande de découverte. « Mon inspiration vient de toute l’Afrique », sourit-elle. En entrée, les accras de morue, croustillants et moelleux, des tapas typiquement antillais, sont plébiscités. La salade de morue avec ses avocats, ses concombres, ses citrons verts est également très demandée. La salade ghanéenne a aussi ses lettres de noblesse parmi la clientèle avec son goût sucré-salé. Pour cette entrée composée des crevettes, de l’ail, des œufs, de la banane plantain, de la laitue et d’autres crudités sont de mise dans un goût épicé selon les besoins du client. Les épices de poisson parmi lesquelles, les messep (basilic sauvage) et l’odzem (gingembre local) sont importées d’Afrique pour ravir les papilles des curieux et des amateurs de condiments exotiques. Des mises en bouche qui vous mettent en haleine puisque le vrai voyage, ici, c’est dans les plats. Florilège de saveurs Le poulet braisé fait mouche. Il est fermier (produit typiquement français) et préparé lentement au charbon de bois. C’est un incontournable du continent. Le poisson (bar, sole, tilapia) est aussi préparé dans ce savoir-faire. Les accompagnements conseillés par la Cheffe pour ces grillades braisées sont : le bâton de manioc, le chikouang, le riz parfumé et cantonné, la banane plantain et évidemment, les épices sur demande du client, c’est l’évasion faite maison. Direction Cameroun avec son poulet DG, accompagné de ses bananes plantains, de ses oignons fondants en bouche, de ses carottes et d’un coulis de tomates relevé au gingembre. Il est présenté dans l’authentique tradition africaine, où chacun se sert directement dans le plat. Un vrai florilège de saveurs ravira vos sens avec le classique mafé avec sa pâte d’arachide, du tiep bou diemme avec son riz typiquement sénégalais garni aux légumes. Une autre découverte camerounaise est le fameux que dis-je, le fabuleux ndolé avec (ses feuilles qu’on pourrait prendre pour des épinards) avec des cacahuètes vapeurs, bouillies garnies aux crevettes et à la viande fraiche. Pour les desserts, c’est une vraie expérience fruitée qui s’offre à vous avec des fruits exotiques (selon les saisons) tels que la mangue, la papaye, l’ananas, la noix de coco, les glaces ou encore le café gourmand dressés dans un style simple mais très étudié. Boire local Des boissons locales sont également suggérées pour accompagner vos spécialités. Le cocktail planteur typiquement antillais ravira les amateurs de rhum et de boissons sucrées pour un apéritif. La Flag, bière ivoirienne, se marie bien avec la salade ghanéenne ou de morue. Pour le Ndolé, une Castel. Une sélection de vins locaux est proposée pour accompagner les plats. D’humeur festive, le Pti-punch, sucré à souhait avec de la canne, du rhum et du citron ravive le gout sucré des tapas avec fraicheur. Vous y trouverez également des cocktails maisons : le Bissap ou le jus de gingemble au rhum, les tops ou les maltas Guinness. Le Restaurant Délices AFRICA possède également un service traiteur avec les mêmes spécialités pour notamment : les mariages, les anniversaire et d’autres cérémonies comme les séminaires, les repas d’entreprises, les repas syndicaux, etc...
Parmi les 4 millions de personnes atteintes de diabète en France, tous les ans ce sont plus de 6 000 personnes qui deviennent aveugles ou malvoyantes à cause de cette maladie. À l’échelle mondiale, la Fédération Internationale des Diabétiques estime que le nombre de diabétiques augmentera de 54% d'ici 20 ans alors que dans le même temps le nombre d'ophtalmologistes pour diagnostiquer cette maladie augmentera de 2%. Face à ce constat, AISCREENINGS a mis au point une solution de diagnostic à distance en ophtalmologie basée sur des algorithmes d'intelligence artificielle pour dépister l’apparition des premiers symptômes de la rétinopathie diabétique, première cause de cécité dans le monde. Le concept d’aiVision En s’appropriant les dernières technologies d’intelligence artificielle, la solution aiVision permet d'accélérer le diagnostic ophtalmologique. L'ancien parcours patient était centré autour de l'ophtalmologiste qui recueillait l'image de fonds d'oeil, l'analysait et posait son diagnostic. Avec le manque d'ophtalmologistes, ce parcours patient prenait 4,5 mois en moyenne en France avec des différences régionales où cela pouvait prendre entre 8 et 12 mois en Bretagne et dans les Hauts de France. Le nouveau parcours patient aiVision permet d'accélerer le diagnostic en s'appuyant sur une meilleure articulation entre les professionnels de santé orthoptistes, infirmiers, ophtalmologistes libéraux ou les services hospitaliers. « Le patient se rend chez un orthoptistes qui va prendre des clichés en quelques secondes. Ces fichiers seront adressés de manière sécurisée vers notre système d'analyse basé sur des algorithmes d'Intelligence Artificielle qui va aider l'ophtalmologiste à poser son diagnostic plus rapidement.», explique Arnaud Lambert, à l'origine du projet. A ce jour, la performance et la précision d'analyse d'aiVision reposent sur plus de 150 000 clichés de fond d'oeil qui lui permettent d'atteindre une reconnaissance de la maladie dans 93% des cas, soit une performance plus « proche que celle d'un ophtalmologiste ». En pratique, aiVision réduit à 12 jours le délai d'obtention du diagnostic et permet d'effectuer 120 interprétations de résultats par heure par les ophtalmologistes. Avec son avance technologique, aiVision contribue à améliorer le taux de dépistage de la rétinopathie diabétique qui reste largement insuffisant en France puisque selon l'Assurance Maladie, 40% des patients diabétiques n'ont pas consulté d'ophtalmologistes sur les 2 dernières années. En poursuivant ses recherches, aiVision créera des algorithmes de diagnostic autonome qui pourront être utilisés - notamment en Afrique et en Asie où les ophtalmologistes sont très largement insuffisants par rapport à l'évolution des patients diabétiques (+156% en Afrique dans les 20 prochaines années.) Pour un perfectionnement de l’expertise Le projet aiVision est mené en partenariat avec les laboratoires de recherche de l’École polytechnique de l’université Paris-Saclay. Elle a été également la première start-up à être acceptée et incubée à la Fondation d’ophtalmologie Rothschild. Séduit par le concept et le fort potentiel de la solution, BPI France a accordé une bourse French Tech Emergence réservée aux projets les plus innovants. Ainsi, en juillet 2017, le Pôle Compétitivité francilien a attribué le titre d'Entreprise Innovante à la jeune pousse, qui est devenue finaliste dans la catégorie « Big Data » durant les journées de l'e-santé organisée par la Fondation Pierre Fabre. aiScreeings a été finaliste aux Prix Galien en France et aux USA. Devant cette belle collection de reconnaissances, la start-up ambitionne de devenir un leader dans la téléophtalmologie dans l'identification des maladies de la rétine. « Nous adapterons la solution aiVision pour le marché nord-américain pour 2019 » nous confie son fondateur Arnaud Lambert. En parallèle, la solution continue d'être déployée dans les hôpitaux, cliniques, établissements de soins publics ou privés, et en partenariat avec des distributeurs spécial...
Ouvert depuis le mois de mars à Senlis, le Best Western Plus Hôtel Escapade est un havre de paix. Son architecture épurée invite à la sérénité. Idéalement situé sur la sortie de l’autoroute A1, à quelques minutes de Roissy et de Villepinte, il est l’étape idéale pour se ressourcer et se détendre. Restaurant, piscine intérieure de 12 mètres de long chauffée à 28 degrés, sauna, salle de fitness, salles consacrées aux mariages ou aux séminaires, l’hôtel dispose de nombreux atouts pour répondre à toutes les exigences. Des chambres zen et élégantes L’établissement propose plusieurs styles de chambre invitant toutes au repos. Turquoises, fushias ou noires et or, elles se divisent en plusieurs catégories : Classique, Confort, Supérieure ou Suite junior. Chacune bénéficie d’une décoration apaisante et moderne, de la fibre, d’un minibar, d’un coffre-fort personnel et d’un plateau d’accueil avec bouilloire. Spacieuses, elles proposent des espaces allant de 18 à 35 m2. Les salles de bains attenantes sont d’une teinte claire parcourue d’une frise noire et or, dans lesquelles vous pourrez notamment revêtir un des doux peignoirs mis à disposition. Un restaurant de qualité L’Hôtel Escapade Senlis peut être fier de l’excellente cuisine réalisée à partir de produits frais par son chef. Petits plats mijotés, terrines maison, grillades, plats végétariens sont au menu d’une table de grande qualité, abordables pour tous les budgets. La carte éveille les papilles à la seule lecture des mets proposés. Les enfants ont également leur menu. Il est aussi possible de se la jouer farniente côté bar, devant une boisson chaude ou fraiche. Installé sous une verrière dans un jardin d’hiver, le lounge est ouvert toute la journée. En soirée, le personnel y propose des en-cas et des apéritifs (champagne, soda ou cocktails). Des espaces dédiés au bien-être Exit le stress de la route, la fatigue de la journée. Un feu de cheminée vous convie au calme dès l'entrée dans l'Hôtel. Puis, rien de tel qu’un sauna pour marquer la pause et s’offrir un moment à soi. La grande piscine de 12 m sur 4 m dispose aussi d’un espace de repos avec transats. Pour celles et ceux qui souhaitent pratiquer un peu de sport, la salle de fitness est équipée d’un vélo, d’un elliptique, d’un marcheur, d’un rameur et d’un appareil de musculation. En bref, que vous soyez en voyage pour le plaisir ou pour les affaires, seul ou en famille, ne manquez pas de vous arrêter dans cet établissement cosy et raffiné, qui n’a pour souhait que de vous cocooner. ...
L’histoire du Château de Lacarelle commence en 1750, au moment où la famille Lacarelle en fait acquisition lors d’une vente aux enchères à Paris. Depuis, neuf générations de la famille s’y sont succédé. Actuellement, trois générations de la famille, menées par le couple Elisabeth Durieu de Lacarelle et Xavier Marraud des Grottes, s’attellent avec passion à perpétuer cette tradition de produire des vins de garde bio et raffinés. Adoption d’une agriculture durable Le sol du domaine de Lacarelle est pauvre naturellement et aussi peu profond. Il s’est donc avéré nécessaire pour la famille de préserver et protéger ce milieu naturel afin de pérenniser le terroir. Pour ce faire, elle a développé une méthode de culture à la fois durable et raisonnée. Les parcelles du domaine sont issues de la décomposition lente du granit, qui est très sensible à l’érosion. Par conséquent, l’exploitation entame chaque année de lourds investissements pour lutter contre ce phénomène. L’utilisation de produits phytosanitaires est mûrement réfléchie, chaque année, afin de réduire les impacts sur l’environnement. Toujours dans cette démarche, le Château de Lacarelle travaille en étroite collaboration avec l’Agence de l’Eau du Rhône, Méditerranée, Corse et ne rejette dans le milieu naturel que de l’eau à la qualité irréprochable. Dans un futur proche, le domaine envisage de se reconvertir à l’agriculture biologique : « une vingtaine d’hectares sont en bio, et on compte agrandir petit à petit, avec une dizaine d’hectares en biodynamie. A terme, le but est de maintenir toute l’exploitation en bio » souligne Elisabeth Marraud des Grottes, gérante du domaine. Chaque année, deux hectares de vignes sont replantés pour assurer la persistance du potentiel du vignoble dans le temps. Une belle sélection de vins Le Château de Lacarelle exploite en tout 138 hectares de vignes sur des parcelles situées sur les coteaux de Saint-Etienne-des-Oullières, Saint-Etienne-de-la-Varenne et Arbuissonas, dans l'aire d'appellation Beaujolais- Villages. Il s’agit de la plus grande exploitation familiale du Beaujolais. Chaque année, elle produit environ un million de bouteilles destinées principalement à l’export vers la Chine ou les Etats-Unis. Depuis toujours, le domaine se voue à produire des vins jeunes mais de qualité. A l’image de son « Château de Lacarelle Rouge » AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde est issu de Gamay à 100% de 31 ans. Frais, léger et fruité avec des tanins souples, il se déguste avec des charcuteries, des fromages ou du chocolat. La production annuelle de ce précieux nectar est particulièrement importante car elle s’élève à 800 000 bouteilles. Le vin propose aussi un blanc issu à 100% de Chardonnay, le « Château de Lacarelle Blanc » en AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde sec, fruité aux notes de miel, vanille et fleurs accompagne les poissons ou viandes blanches, fromages ou desserts. Le « Rosé de Lacarelle » est composé de 100% de Gamay et élaboré de façon traditionnelle. Il présente une robe saumon clair avec des bulles fines. Ce vin de garde a été récompensé d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard en 2015. Le « Château de Lacarelle Crémant de Bourgogne » est quant à lui est un vin brut sec, à la robe or pâle avec des fines bulles. Il se boit dans l’année avec du foie gras, du caviar et tous les desserts sucrés. Souvent récompensé, il a été couronné d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard 2015. ...
Le taux de mobilité internationale des Français a explosé ces cinq dernières années. Très souvent, ces déplacements hors frontières entrainent une rupture des repères culturels, particulièrement déstabilisante notamment pour les jeunes enfants. Dans ce contexte peu rassurant où les expatriés et leur famille se sentent vulnérables, une solution digitale a été conçue pour leur apporter des soins de qualité, une assistance et des conseils psychologiques déployés dans leur propre langue et dans leur culture. Un réseau de proximité même à distance La start-up a été créée en 2010, avec comme objectif de départ de monter un réseau de professionnels de santé pour accompagner psychologiquement et prendre soin des expatriés, francophones ou non, via la téléconsultation. « Nous voulons offrir un climat de confiance aux personnes qui partent vivre à l’étranger, pour qu’elles puissent s’exprimer plus aisément et se faire comprendre plus facilement » explique Matthieu BRANCHER, Directeur Marketing & Innovation. Le visiteur qui s’est inscrit sur le site est libre de choisir son interlocuteur parmi les 150 experts en psychologie, psychiatrie, neuropsychologie mais aussi en orthophonie, médecine générale et en dermatologie, spécialement formés dans la vidéo-consultation. Cette équipe multiculturelle, qui consulte en plus d’une trentaine de langues différentes, est accessible sur rendez-vous 24h/24. Un système de gestion en interne permet aux praticiens d’organiser leur agenda et les dossiers patients, de générer des prescriptions et de garder la correspondance avec leurs clients. Tous ces échanges s’effectuent dans un univers entièrement sécurisé, où chaque information cryptée garde son anonymat et stockée auprès d’hébergeurs agréés. Par ailleurs, Eutelmed consacre un espace de prévention dédié aux dispositifs d’aides psychologiques à destination des expatriés face au changement d’environnement de travail, du cadre culturel ou la difficulté d’établir un lien social. Ainsi, elle met à disposition des visiteurs des contenus actualisés et interactifs : webinar, video live, podcast, blog et articles web qui traitent des thématiques concernées par la mobilité internationale. « La plateforme veut centraliser toutes les réponses et tous les services de soins qu’elle peut offrir à ces personnes qui partent vivre à l’étranger ». ...
Si vous souhaitez assister à des événements, faire du shopping ou visiter la ville de Nantes, ce lieu est fait pour vous. Un hôtel avec une localisation exceptionnelle Vous avez de nombreuses raisons de vous arrêter à l’hôtel Amiral. En couple, le temps d’un séjour amoureux, en famille pour découvrir la ville et ses mystères, ou encore dans le cadre d’un voyage d’affaires : chacun y trouve son compte. Localisé en plein cœur du quartier historique, vous vous trouvez à quelques minutes des établissements culturels (dont le théâtre Graslin), de la galerie marchande du passage Pommeraye, des restaurants (nous vous conseillons la brasserie La Cigale) et de nombreux monuments à visiter. Sans oublier les incontournables que sont le Château des ducs de Bretagne, le musée Jules Vernes et les Machines de l’Ile. Que vous choisissiez une chambre simple, double, triple ou familiale, vous appréciez tout autant la modernité de l’établissement que son confort. Idéal pour vous ressourcer et vous sentir chez vous avec une équipe qui saura vous conseiller et qui reste à votre écoute 24h/24 En arrivant sur place, vous vous rendrez compte d’une chose : l’équipe qui vous accueille fait son maximum pour répondre précisément à toutes vos attentes. Un hôtel engagé dans une démarche environnementale La volonté de l’hôtel Amiral de se transformer en hôtel écoresponsable remonte au début des années 2000. Ainsi, en 2006, l’établissement obtient le label Qualité HôtelCert. Quelques années plus tard, en 2008, il sera récompensé par le label Clef Verte puis par l’Écolabel européen, en 2011. Le propriétaire de l’établissement, Jean-François Nicoul, et la directrice, Nadine Witczak, investissent toujours plus, pour permettre à l’établissement de répondre aux normes et exigences écologiques imposées par ces différents labels. Ce choix est récompensé en mai 2015, avec l’obtention de la Palme du Développement durable hôtelier. De plus, l’hôtel Amiral fait aussi partie du groupe pilote volontaire pour l’expérimentation de l’Affichage environnemental. En 2017, il obtient la note A, belle récompense qui symbolise les efforts entrepris afin de limiter au mieux l’impact carbone d’une nuit d’hôtel avec petit déjeuner. Ce parcours met en avant les efforts de l’établissement en matière d’économie d’eau et d’énergie ainsi que sa résolution de se fournir auprès de producteurs locaux et de faire le nécessaire pour gérer au mieux ses déchets. Sans oublier sa volonté de sensibiliser ses clients et son personnel aux gestes et bonnes pratiques écologiques. ...
L’éventail des sujets abordés, la richesse des cartes et la foule de rencontres gourmandes à laquelle le lecteur est convié en font un livre qui se savoure plus qu’il ne se lit. À la découverte des trésors culinaires nos régions Oreiller de la Belle Aurore, Demoiselles de Cherbourg à la nage, mogettes de Vendée, rigotte de Condrieu, angélique de Niort… l’inventaire des mets et délices de la cuisine française est intarissable. Que mange-t-on de bon en Provence et Côte d’Azur ? Dans quelles régions de France peut-on déguster la vesse-de-loup ou la truffe noire ? Autant de questions auxquelles gourmets et gourmands trouveront une réponse dans l’Atlas gastronomique de la France. De la fourme d’Ambert à la vanille de Tahiti, du musée de la Confiserie à l’omelette de la mère Poulard, cet ouvrage aborde trois thématiques qui recouvrent toutes les facettes des repas traditionnels français et des spécialités culinaires françaises. La première, historique, retrace les origines de la gastronomie française, de la table des rois au marché de Rungis, et décrit la manière dont elle s’inscrit au cœur de l’identité de notre pays. La deuxième partie est consacrée aux produits du terroir : des poissons, crustacés et mollusques, aux fruits, en passant par les assaisonnements, ou encore le vin et le gibier… Le troisième volet de ce livre de référence propose un véritable tour de France à la découverte des spécialités régionales et des lieux emblématiques de la gastronomie. La gastronomie, patrimoine culturel de la France En 2010, l’Unesco a inscrit le repas gastronomique des Français sur la liste du Patrimoine immatériel de l’Humanité. Le livre de Jean-Robert Pitte permet de découvrir ou redécouvrir ce trésor. Et de mettre à l’honneur le savoir-faire des artisans des métiers de bouche, éleveurs, agriculteurs, pêcheurs et bistrotiers... Une idée cadeau pour découvrir l’un des plus beaux joyaux de notre patrimoine : sa gastronomie. ...
Rachetée en 1964 par le chef étoilé au Guide Michelin Arthur Keller, cette guinguette du bord de Marne au nom très évocateur est aujourd’hui un lieu de charme et d’exception, absolument à découvrir. Baignant dans une atmosphère moderne et épurée avec des tables non nappées en bois massif, l’Hôtel Restaurant Le Quincangrogne, récemment affilié aux Logis de France, offre une agréable vue sur la Marne. Dans un concept particulièrement convivial, sa cuisine ouverte sur une verrière de 4 m de long permet par ailleurs une vue générale sur ce qui se passe derrière les fourneaux, sans parler de son immense plateau de fromages et de son imposante cheminée. À travers une cuisine gastronomique empreinte d’une touche méditerranéenne et de subtilités asiatiques et qui privilégie les produits régionaux, Le Quincangrogne séduit par la diversité de ses plats qui sont, par ailleurs, de véritables découvertes culinaires. Des plats inventifs Démarrez les hostilités avec sa délicieuse entrée d’escargots de la ferme de Pamfou flambés à l’anis, accompagnés d’une émulsion lactée de noisettes de la Ferme de Férolles (Seine-et-Marne). Continuez avec son cochon de la ferme d’Aubetin, à Dagny (Seine-et-Marne), frotté à la fleur de sel et confit pendant 14 heures, accompagné d’un beurre mousseux demi-sel, avant de terminer avec sa clémentine confite dans son jus, meringuée, accompagnée de son sorbet relevé à la bergamote. Pour accompagner chacun de vos repas, la carte des vins du Quincangrogne est riche en surprises. Elle vous permet un excellent choix parmi de nombreuses références de vins typiquement français, dont les plus appréciés sont le Beaune 1er cru du Domaine Berthelemot ou le Clos des Mouches et le Condrieu de chez Robert Niero. ...
Bordeaux s’inscrit comme l’une des principales voies du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Le Château au Grand Paris faisait partie des relais accueillant autrefois les pèlerins. Édifié au XVIIème siècle, il était géré par des moines qui y cultivaient un petit vignoble. L’ancien bâtiment garde encore les traces de ce riche passé à travers la présence de quelques éléments décoratifs et architecturaux. « La maison est constituée de grandes ouvertures et d’un très haut plafond. Sur la cheminée, la fameuse coquille Saint-Jacques est encore visible », nous confie Isabelle Castenet, aujourd’hui à la tête du domaine avec son frère Christophe Langel. Un mode de production traditionnelle Le domaine Château au Grand Paris est situé à une cinquantaine de kilomètres à l’est-sud-est de Bordeaux. Il est établi sur un terroir relativement abrupt composé de coteaux avec des sols argilo-calcaires ainsi que des terres plus limoneuses à certains endroits qui jouent sur la diversification de la production. « Sur la même exploitation, nous avons plusieurs variétés de raisins qui nous permettent d’avoir des vins plus complexes », plaide notre interlocutrice. Bordeaux étant une région d’assemblage par excellence, la maison fait honneur à la tradition en réalisant également plusieurs associations. « Nos assemblages s’effectuent selon la typicité de chaque cuve et sont souvent différents pour que nous puissions toujours avoir un même produit au fil des années ». Un vin blanc aromatique et fruité pour des instants de gourmandise En travaillant de nombreuses appellations telles que l’AOC Bordeaux, l’AOC Bordeaux Supérieur et l’AOC Entre-deux-mers, le Château au Grand Paris parvient à proposer une riche gamme de cuvées aromatiques et fruitées. Et bien que le vignoble bordelais soit réputé pour ses illustres vins rouges, la maison désormais certifiée HVE a bâti sa notoriété sur son vin blanc à l’instar de la cuvée Entre-Deux-Mers. Ce vin blanc sec composé de sauvignon, de muscadelle et de sémillon plaît pour ses arômes de fleurs blanches et ses saveurs fruitées sur fond de notes de pêche et de pamplemousse. A vocation apéritive, il accompagne à merveille les fruits de mer, les coquillages, les poissons, les huîtres et les crustacés. Preuve de son excellence : ce produit est régulièrement primé par de grands guides tels que Gilbert & Gaillard. ...
Bien que plusieurs compagnies aient cherché à approcher Fox Tripper pour les commodités qu'elle propose, cette dernière favorise l'intégration via les providers d'IFE tels Panasonic Avionics, Thales Avionics, Rockwell & Collins... dans l'optique de proposer un produit au point et performant aux compagnies aériennes. De nombreux partenariats seront ainsi confirmés cette année, pour le plus grand bonheur des voyageurs dans le monde. Optimiser l’expérience passager La start-up veut rendre le petit écran derrière le siège passager à bord des avions en un véritable marketplace regroupant des offres promotionnelles, des prestations et activités diverses à réserver, ainsi que des informations intéressantes sur les villes survolées. « On veut montrer une façon plus intelligente d’occuper les heures de vol pendant le voyage », explique le cofondateur Mehdi Mokhtar pour résumer son concept. Pour ce faire, Fox Tripper a développé un moyen d’exploiter le système de géolocalisation et la connexion wi-fi à bord des avions. Ainsi, le but est de dépasser les limites fonctionnelles de ces interfaces intégrées, « pour rattraper le décalage entre notre usage du smartphone ou tablette avec celui des IFE ». Les films et publicités qui défilent sur ces écrans seront donc remplacés par des contenus plus pertinents et ciblés, permettant au voyageur d’enrichir et d’organiser son séjour depuis son siège. Fox Tripper a sélectionné des prestataires sérieux et de confiance composés notamment de guides, de diverses activités et excursions, ou encore d’offres de location de voiture ou de service VTC pour satisfaire toutes les demandes. Par ailleurs, le partenariat signé avec la société Allemande GetYourGuide, un leader mondial qui propose plus de 32 000 activités à travers le monde permet à Fox Tripper d'élargir ses offres. Une solution stratégique « On veut permettre aux compagnies aériennes de moderniser leur système de divertissement, pour être à la hauteur de ce que veulent les clients », continue notre interlocuteur. L’application est donc un véritable outil stratégique pour les compagnies, leur permettant d’améliorer la qualité de service à bord, de repenser l’expérience client tout en rentabilisant leur système IFE. Elle est mise à leur disposition clé en main, sous forme de licence et avec des mises à jour gratuites. Et pour aller encore plus loin, la start-up est en train de développer un module statistique servant à récolter des données et des chiffres sur les préférences des utilisateurs de façon anonyme. Bref, adopter l’application Fox Tripper, c’est savoir se démarquer dans un contexte de concurrence de plus en plus agressive. ...
Amoureux de Brooklyn et de sa mixité, Yann Bourgeois a décidé de se réapproprier l’esprit de ce quartier de NYC. Il a ainsi créé 4 « diners » à Paris, des endroits devenus le QG préféré des foodies. Que des ingrédients d’exception Depuis la mise en place du premier Bedford, ces bistrots de quartier se sont vus régulièrement attribuer une place d’honneur parmi les meilleurs burgers de Paris et bars à cocktail. Leur secret ? C’est l’esprit sur lequel est fondé leur concept : « Bon, sympa, pas cher et avec des produits de qualité et une démarche d'approvisionnement responsable », assure Yann Bourgeois. Les produits sont choisis sur des critères d’excellence : des oeufs et des légumes bio, des steaks hachés d’Aubrac (meilleure viande de France), du pain et des desserts issus de la prestigieuse boulangerie Rachel’s. Un palace des burgers Le restaurant gâte les sens avec ses savoureux burgers, ses salades, ses bagels, ses tapas à l’américaine et une partie grill avec entrecote, steack de thon, pave de saumon... Les plus gourmands peuvent même se laisser tenter par un brunch les weekends et les jours fériés jusqu'à 18h. Non stop sont servis le Bagel Lox (saumon, cream cheese, tomate, oignons), le Burger royal Bedford, le Chuck Norris burger, le Brooklyn chicken burger, le Classic cheeseburger à 7€ et la salade Chinatown (chou rouge et chou chinois, poulet grillé, sauce sésame, céréales, coriandre). ...
À travers des produits de qualité qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs, Made in France Box reflète, dans les moindres détails, toute l’authenticité de la cuisine française. Ce concept innovant a vite fait de faire parler de lui avec, comme principe, de dénicher à la source le meilleur du terroir et le faire découvrir au plus grand nombre. Le meilleur du terroir livré chez vous Présentée dans un package de carton luisant, simple à offrir et peu encombrant, une box contient huit variétés de produits d’une région qui peuvent varier selon la disponibilité. Le pack renferme, notamment, un livret justifiant du choix de la sélection avec une présentation de chaque produit et l’histoire de chaque producteur ainsi que des idées de recettes exclusives. Parmi les box les plus prisées, figurent les box à fort terroir, comme le confit d’oignon rose au miel et chouchen de la box Bretagne ou aussi le caramel de pommes dieppois au beurre salé de Jean-Pierre Roussel, qui est l'un des produits de la box Normandie. Un mois, une région Made in France Box porte haut le flambeau de la cuisine française et permet de découvrir et de retrouver des saveurs longtemps oubliées qui mettent chaque mois l’accent sur une région différente. Recevoir régulièrement chez soi d’authentiques produits du terroir n’est pas un luxe réservé à une clientèle restreinte. Aujourd’hui, chacun a la possibilité d’accéder au produit à peu près partout dans le monde. Grâce à un simple abonnement sur le site, la France vient à vous le plus simplement du monde, dans votre boîte aux lettres comme une lettre à la poste. ...
Un orthoptiste est un professionnel paramédical de la vision, formé au sein des Unités de formation de recherche (UFR) des 14 centres hospitaliers universitaires (CHU) de France. Il est spécialisé en rééducation, en réadaptation et en exploration de la fonction visuelle. La rééducation Les orthoptistes, historiquement, prennent en charge les déséquilibres oculaires, les strabismes, les amblyopies… et soulagent les patients de leurs céphalées, de leurs douleurs oculaires, de leurs problèmes de mise au point, de leur vision floue, de leur vision double, qu’ils travaillent sur écran ou qu’ils soient obligés de fixer de manière importante. Se sont ajoutées, depuis plus de dix ans, les prises en charge des troubles d’apprentissage chez les enfants, les troubles de l’équilibre et les troubles d’orientation du regard. La réadaptation Les orthoptistes sont en charge des patients atteints de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et de basse vision en général (glaucome, rétinopathie diabétique…) ainsi que de ceux qui sont atteints de troubles neurovisuels ou de conséquences neuro-ophtalmologiques des pathologies générales. Entrent dans ces catégories de nombreuses pathologies neurodégénératives telles que la sclérose en plaques, les séquelles d’accident vasculaire cérébral (AVC) ou la maladie de Parkinson sur lesquelles l’orthoptiste œuvre dans le but de rendre aux patients des capacités de fixation et de traitement de l’information visuelle restantes les plus efficaces possibles. Ce type de prises en charge contribue à un maintien à domicile plus aisé pour ces patients ainsi que pour la population vieillissante. L’exploration de la fonction visuelle Les orthoptistes sont ces professionnels que vous pouvez rencontrer dans les cabinets d’ophtalmologie et qui interviennent en amont de la consultation du médecin, pratiquant différentes mesures de votre œil et différents examens de votre vision. Dans un contexte de diminution démographique importante du nombre d’ophtalmologistes, de l’augmentation des actes techniques ainsi que de l’accroissement et du vieillissement de la population, la filière visuelle a dû se réorganiser. Les partenaires privilégiés que sont les ophtalmologistes confient trois quarts des mesures techniques à l’orthoptiste. Ils peuvent ainsi passer moins de temps avec chacun de leurs patients et donc recevoir plus de patients au cours d’une même journée. Et c’est dans le même esprit que les orthoptistes peuvent aussi réaliser de nouveaux actes comme le contrôle entre deux rendez-vous de pathologies chroniques, le bilan visuel avant prescription ou renouvellement de lunettes, le dépistage de la rétinopathie diabétique, qui est le premier acte de télémédecine remboursé par la Sécurité sociale, dont le but est d’éviter de ne découvrir la pathologie que trop tard. Les orthoptistes travaillent uniquement sur prescription médicale en libéral ou sont salariés d’un ophtalmologiste. Près de 4 000 orthoptistes Leur effectif est en constante augmentation puisque, à ce jour, on en dénombre près de 4 000 sur tout le territoire, dont les deux tiers sont en libéral près de chez vous et un tiers exerce auprès des ophtalmologistes ou dans les structures hospitalières. La filière visuelle connaitra une avancée supplémentaire et une réduction encore plus importante des délais de rendez-vous chez les ophtalmologistes lorsque les orthoptistes libéraux seront autorisés à réaliser les mêmes actes et les mêmes délégations que les orthoptistes salariés. ...
C’est dans un cadre idyllique empreint d’histoire que Le Moulin de Châlons reçoit ses hôtes de marque. Grâce à la beauté des lieux et le raffinement des plats servis, chaque invité se sent naturellement privilégié ! Un décor romanesque Non loin de l’établissement, quelques beaux sites attirent le regard. L’église Sainte-Radegonde est un monument incontournable qui mérite un petit détour. On peut y admirer d’imposantes fortifications datant du Moyen Âge et une nef qui a été raccourcie au XVe siècle. Les voussures du portail sont ornées d’anges et autres motifs. Si l’envie leur prend, les visiteurs peuvent continuer leur exploration dans les environs pour découvrir les irrésistibles cabanes de la Tremblade. Aux alentours de la région, quelques châteaux sont à visiter absolument ! Parmi eux, le château de Beaulon et le château de la Roche-Courbon connus non seulement pour leurs valeurs historiques mais aussi pour leur grande richesse viticole. Au milieu de tous ces beaux monuments, Le Moulin de Châlons ne manque pas d’attraits. L’hôtel ayant été jadis un ancien moulin à marée arbore fièrement une décoration contemporaine et raffinée aujourd’hui. Se voulant être un lieu de détente d’exception, il met en scène de belles chambres aux teintes chaleureuses et à la décoration personnalisée. En tout, l’enseigne compte dix chambres (toutes équipées) revêtant un cachet particulier grâce à l’ambiance romantique qui y règne. Idem du côté restaurant. Pierres apparentes, lumières tamisées, ici, tous les ingrédients sont réunis pour permettre aux invités de plonger dans une atmosphère presque envoûtante. Les convives se prêtent au jeu en toute décontraction à travers une ambiance à la fois chic et chaleureuse. Par beau temps, une terrasse extérieure avec vue sur la rivière est la promesse de moments d’exception. Une cuisine à la hauteur des lieux Derrière les fourneaux, le chef Maxime Yoncourt livre une partition de haute volée ! Au gré des saisons, ce dernier concocte une cuisine gastronomique mêlant élégance et finesse, le tout rehaussé d’une petite touche d’inventivité. Le foie gras mi-cuit ou la gelée pineau des Charentes constituent de parfaites entrées en matière. En plat principal, les fins gourmets ne seront point déçus en choisissant un succulent filet de dorade. Pour parachever cette expérience culinaire unique, le parfait glacé au cognac est le dessert le plus indiqué. Comme le client est roi, il arrive que le chef s’adapte à des demandes spécifiques. Ce dernier peut être amené, par exemple, à préparer un plat 100 % végétal. Pas de quoi le faire paniquer ! Là encore, Maxime surpasse les attentes de ses convives. Résultat, des plats méticuleusement travaillés et raffinés pour le grand bonheur des végétariens ! Quant aux vins, la table du Moulin de Châlons dispose d’une très belle carte ! De nombreuses références qui mettent en avant toute la richesse des régions viticoles françaises. À travers sa cave éclectique, ce restaurant laisse volontiers à ses convives le champ libre pour choisir à leur guise. Mais bien sûr, l’équipe reste disponible pour les aiguiller vers les meilleurs accords. ...
Où en est la recherche sur le cancer aujourd’hui ? Thierry Philip : Nous avons fait beaucoup de progrès dans la compréhension du cancer, que ce soit du point de vue des mécanismes, de la génétique ou de l’immunologie. C’est-à-dire que nous savons désormais comment fonctionne une cellule malade du cancer. Pour résumer, quand une cellule devient malade, le fonctionnement normal voudrait qu’elle s’autodétruise. Or, avec le cancer, cette cellule oublie en quelque sorte de mourir. Nous comprenons mieux aujourd’hui ces mécanismes, ce qui nous permet de mieux combattre le cancer. Nous restons conscients que la maladie est horriblement complexe : à la manière d’un fleuve qu’on souhaiterait dominer, nous avons réussi à construire un énorme barrage mais nous ne savons pas encore comment éviter la formation de petites rivières de part et d’autre… D’où la nécessité de continuer à faire avancer la recherche sur le sujet ! Quelles sont les grandes avancées en matière de recherche ? Les progrès récents concernent tout d’abord la chirurgie. D’une part, lors de l’intervention : nous pouvons désormais pratiquer des interventions sous anesthésie de 12 à 13 heures sans problème, y compris chez les personnes âgées. D’autre part, après l’intervention : si la chirurgie détruit, nous pouvons reconstruire désormais un sein, une paroi abdominale, une bouche, etc. Le traitement par rayons a également énormément progressé : nous avons réussi à augmenter son efficacité tout en limitant sa toxicité. Nous travaillons actuellement pour aboutir à des traitements très efficaces sur des durées plus courtes. Quant à la chimiothérapie, la véritable révolution consiste à pouvoir faire le portrait des anomalies pour proposer un traitement personnalisé. Et encore mieux, nous espérons que, d’ici à cinq ans, nous saurons comment modifier les défenses de l’organisme pour rejeter la tumeur : c’est l’immunothérapie. Qu’en est-il des traitements ? Nous sommes désormais capables de guérir 80 % des enfants, 60 % des femmes et 50 % des hommes. Quant aux personnes que l’on n’arrive pas encore à guérir, nous leur permettons de vivre plus longtemps avec la maladie. Comme la moitié des cancers se déclare à plus de 65 ans, un allongement de dix ans de l’espérance de vie est une avancée importante. Quels sont les grands espoirs que porte l’Institut Curie aujourd’hui ? Nous nous réjouissons d’abord d’avoir enfin dans ce pays une vraie politique de prévention. Si, par exemple, tous les jeunes de moins de 20 ans décidaient aujourd’hui de ne jamais fumer, la mortalité due au cancer diminuerait de 50 % au cours des 50 prochaines années ! Ensuite, nous avons découvert que le sport est un vrai médicament de prévention du cancer, avec une activité physique, à allure modérée, de seulement 30 minutes à raison de trois fois par semaine. Enfin, les techniques de dépistage connaissent d’énormes progrès. Or, plus le cancer est détecté rapidement, meilleures sont les chances de guérison. À l’Institut Curie, nous développons des techniques permettant de détecter des cellules anormales présentes dans le sang. Ces techniques devraient permettre d’orienter les dépistages et donc de les rendre beaucoup plus ciblés et donc plus efficaces. Quels sont aujourd’hui la place de l’Institut Curie, son rôle, ses grands projets ? L’Institut Curie est l’ancêtre des centres anticancéreux, créés par le général de Gaulle en 1945. Dès 1909, nous permettions déjà des synergies entre la recherche, les soins et l’enseignement. Notre enjeu aujourd’hui, c’est de préfigurer le centre de cancérologie moderne, celui du XXI e siècle. Un endroit où la recherche fondamentale, celle qui cherche à comprendre, est présente : nous comptons 1 200 chercheurs de 77 nationalités différent...
L’Asie du Sud-Est figure parmi les destinations touristiques les plus prisées au monde. Elle recèle de nombreux attraits avec une multitude d’activités et de découvertes. « Ce sont des destinations très abordables, avec beaucoup d’hôtels haut de gamme à des prix accessibles », précise Pascal Bouchet, directeur d’Azygo.com. Azygo.com est une agence de voyages en ligne spécialisée dans les voyages sur mesure. Elle dispose de plus de 25 ans d’expérience dans l’organisation de voyages en Asie du Sud-Est. Afin d’assurer un accompagnement de qualité, Azygo.com travaille avec des guides locaux certifiés parfaitement francophones. « Nous avons l’avantage d’avoir tous nos experts sur place », souligne le responsable. L’Asie du Sud-Est : nature et culture à explorer L’aspect financier n’est pas la seule raison qui explique la forte attractivité touristique de l’Asie du Sud-Est. En effet, cette région est une destination au patrimoine riche et diversifié. La culture y est fortement influencée par le bouddhisme avec d’incroyables temples et vestiges antiques à explorer, comme le site d'Angkor au Cambodge ou les pagodes de Bagan au Myanmar (ex Birmanie). La région abrite une très belle nature parfois encore sauvage, des paysages somptueux qui offrent la perspective de formidables randonnées et autres activités sportives. Enfin, ces destinations sont réputées pour leurs plages et îles paradisiaques, notamment dans le sud de la Thaïlande et du Vietnam, mais aussi en Indonésie. Des découvertes inédites À travers le site Internet de l’agence Azygo.com, les voyageurs ont accès à une cinquantaine de programmes entièrement personnalisables. « Ce que nous proposons sur le site ne sont que des idées de voyages, nos offres pouvant s’adapter en fonction des demandes des voyageurs », souligne Pascal Bouchet. Déclinées par destination et par thématique, les propositions de voyages emmènent les visiteurs vers des découvertes inédites. Le circuit authentique en Thaïlande offre, par exemple, une occasion unique de découvrir cette destination sous un autre angle, loin des sentiers battus. Ce circuit suggère en effet une immersion au cœur de la vie quotidienne locale. Au programme : des rencontres avec les habitants, la visite des marchés les plus populaires ou encore des petites virées sur les fameux tuk-tuk, les samlors et autres moyens de transport locaux. Par ailleurs, le circuit prévoit une visite de la campagne thaïlandaise pour observer de près des activités artisanales telle que la distillation de l’alcool de riz ou le fumage de poisson. Sans doute l'une des plus belles destinations de la région, Azygo.com vous emmène faire un voyage à Sapa et Lao Cai, sur les hauts plateaux du Nord Vietnam. Vous pourrez parcourir les sentiers à la rencontre des ethnies Hmong, Tay et Phu La et succomberez sûrement aux charmes de cette région montagneuse atypique du Vietnam et ses fabuleuses rizières en terrasse. Dépaysement garanti! ...
Clos Beauregard : appellation Pomerol Les vins de Pomerol sont produits dans le vignoble bordelais, le plus grand vignoble d’AOC français avec ses 119 000 ha de vignes, ses 60 appellations et son climat tempéré. L’appellation Pomerol possède le label européen AOP (Appellation d'Origine Protégée) et le label français AOC (Appellation d’Origine Contrôlée). Le vignoble Pomerol est relativement petit, il s’étend sur environ 800 ha et produit de très grands crus. Il est limité au nord par le ruisseau de la Barbanne, à l’est par Saint-Emilion, au sud et à l’ouest par Libourne. Planté à majorité de merlot, le vignoble évolue sur des sols argilo-sableux, graveleux et bénéficie d’un climat océanique à caractère tempéré. Ces vins sont connus pour leur reflet éclatant. Au nez, ils sont élégants et ont des notes de fruits mûrs. En bouche, on constate leur finesse aromatique et leur longueur. On peut les boire jeune ou attendre qu’ils vieillissent pour être davantage structurés. Ils peuvent être conservés pendant plus de 30 ans. Clos Beauregard, Les points forts de la propriété Clos Beauregard était rattaché au Château Beauregard jusqu’en 1930. Les Grands Chais de France (GCF) gèrent ce vignoble depuis 2011 avec une équipe de grande compétence. La propriété couvre six hectares dans le vignoble de Pomerol, entre le Château Pomeaux et le Château Beauregard. Planté à majorité de Merlot, qui favorisent l’élaboration de vins de très grande finesse. L’âge moyen des pieds de vigne est d’environ vingt ans. Mode de production traditionnelle Les différentes étapes d'élaboration d'un grand vin, de la culture de la vigne à l'élevage en barriques, respectent les méthodes de vinification traditionnelles bordelaise. Le respect de l’environnement et la volonté d’avoir des pieds de vigne et des produits de qualité font partie de la philosophie de la propriété. « Notre philosophie, c’est la viticulture raisonnée. Nous respectons le plus possible l’environnement et la nature. Nous étudions l’environnement et nous prenons des décisions pour utiliser au minimum les produits extérieurs afin de protéger le vignoble. Le but étant de ne pas remettre en cause la qualité de la récolte ». nous explique M. J.M. Dulong. La vinification dure environ 3 semaines dans des cuves avant de déclencher le processus d’élevage qui se fera pendant 12 à 14 mois en barriques de chêne français. Nous travaillons par exemple avec les tonneliers Gourguignon, Ermitage et Taransaud. Clos Beauregard, un vin élégant et complexe Le millésime 2012 se distingue à l’œil par sa belle robe brillante et une couleur rouge profond. Au nez, il est fruité, assez puissant, complexe et épicé. En bouche, il est équilibré, charnu et a une attaque longue avec des arômes de confiture, de myrtille et de fruits rouges mûrs. Ce vin accompagnera parfaitement une viande rouge, du gibier, un plateau de fromage ou encore des desserts aux fruits rouges. Le millésime 2014 est caractérisé à l’œil par une belle robe pourpre, profonde, soutenue et brillante. Au nez, il est fruité, complexe et élégant. Souple en bouche, il est bien structuré avec une bonne teneur en tanins. ...
Le Petit Clou des Vents est un petit vignoble situé à Soumensac (Lot-et-Garonne). Il jouit de l’altitude, du vent et de la douceur climatique du Sud-Ouest. Sylvain Jougla et sa femme Lucile ont décidé de s’installer ici en 2011. Ils ont racheté des vignes de tout âge, entre 12 et 47 ans aujourd'hui et ont fait le choix de conduire leurs 3,5 hectares de vignes en agriculture bio et biodynamique, prenant le temps nécessaire pour travailler le sol et les pieds des vignes manuellement, grappe par grappe, avant de procéder à une vendange tardive. « Après les vendanges, 80 % des raisins subissent une fermentation par grappes entières à macération pour obtenir un style de vin particulier », fait savoir le propriétaire Sylvain Jougla, vigneron-artisan. Et ce style de vin séduit non seulement les cavistes et quelques tables gastronomiques de France, mais aussi les œnophiles étrangers. La marque est présente notamment au Japon, au Taïwan et dans les pays scandinaves. Les cuvées de la maison Le domaine Le Petit Clou des Vents élabore une gamme de six cuvées. « Elles sont différentes : chacune a ses propres caractéristiques et défend un terroir particulier », indique notre interlocuteur. Les blancs sont profonds, ronds et pleins de caractère à l’instar de la cuvée Claire. Les rouges, eux, sont pour la plupart d’une puissance enivrante avec une bouche longue et soyeuse. La cuvée Les Grenades quant à elle se veut tout en fluidité, légère et à boire frais. « Les Mayeuls », un trésor élevé en cuve, se distingue de la collection par son fort potentiel de garde. Ce rouge a beaucoup de fraicheur et dévoile des notes d’herbes aromatiques. Tous ces bijoux œnologiques se découvrent à l’occasion de visites-dégustations sur rendez-vous. ...