Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Corinne et Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis 5 générations. En 2017, la famille Dumas en association avec Sébastien Plagne, un jeune passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins authentiques. Depuis, dans le chai, une petite équipe s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Syrah, Carignan, Cabernet, Merlot ou encore Chardonnay, Viognier, Sauvignon pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Un engagement dans le développement durable Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre son engagement pour l’environnement. Titulaire du label Terra Vitis et de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), le domaine va plus loin encore dans sa démarche en entamant une conversion vers l’agriculture biologique. « En août 2020, nous nous sommes engagés en bio sur les cépages blancs et depuis août 2021, cette pratique soucieuse du respect des équilibres naturels s’applique sur l’ensemble de notre domaine », fait savoir Jean-Christophe Dumas. Pour signer ce renouveau, la maison a décidé de moderniser le packaging de l'ensemble de ses produits. Une cure de jouvence initiée par la 5ème génération... Dans les caves du domaine… L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de répondre aux attentes de chacun. La cuvée Obstiné débutée en 2018 est symbolique de cette démarche. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2017 et 2018, un rouge Grenache - Syrah - Carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins de 2020 ou le millésime 2019 de la cuvée Obstiné qui a reçu une médaille de bronze au Prix Plaisir Bettane+Desseauve en 2021. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan ayant fait un rapide passage en fût de chêne. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région et au-delà. ...
Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans. L’arriere Grand pere de Xavier Loriot, un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis de fille en fils . Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, c’est Charlène Loriot qui est à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5 ha de vignes. Première Femme de la maison a travailler le vin, et qui est toujours sous l’œil vigilant de son père Xavier, afin de préserver ce précieux héritage. L’objectif actuel est de préserver l’aspect environnemental et d'orienter ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient son père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Meunier, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Meunier Rosé, Fragment de Noirs, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Meunier illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir. Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et 0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...
Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...
L’histoire du Château de Lacarelle commence en 1750, au moment où la famille Lacarelle en fait acquisition lors d’une vente aux enchères à Paris. Depuis, neuf générations de la famille s’y sont succédé. Actuellement, trois générations de la famille, menées par le couple Elisabeth Durieu de Lacarelle et Xavier Marraud des Grottes, s’attellent avec passion à perpétuer cette tradition de produire des vins de garde bio et raffinés. Adoption d’une agriculture durable Le sol du domaine de Lacarelle est pauvre naturellement et aussi peu profond. Il s’est donc avéré nécessaire pour la famille de préserver et protéger ce milieu naturel afin de pérenniser le terroir. Pour ce faire, elle a développé une méthode de culture à la fois durable et raisonnée. Les parcelles du domaine sont issues de la décomposition lente du granit, qui est très sensible à l’érosion. Par conséquent, l’exploitation entame chaque année de lourds investissements pour lutter contre ce phénomène. L’utilisation de produits phytosanitaires est mûrement réfléchie, chaque année, afin de réduire les impacts sur l’environnement. Toujours dans cette démarche, le Château de Lacarelle travaille en étroite collaboration avec l’Agence de l’Eau du Rhône, Méditerranée, Corse et ne rejette dans le milieu naturel que de l’eau à la qualité irréprochable. Dans un futur proche, le domaine envisage de se reconvertir à l’agriculture biologique : « une vingtaine d’hectares sont en bio, et on compte agrandir petit à petit, avec une dizaine d’hectares en biodynamie. A terme, le but est de maintenir toute l’exploitation en bio » souligne Elisabeth Marraud des Grottes, gérante du domaine. Chaque année, deux hectares de vignes sont replantés pour assurer la persistance du potentiel du vignoble dans le temps. Une belle sélection de vins Le Château de Lacarelle exploite en tout 138 hectares de vignes sur des parcelles situées sur les coteaux de Saint-Etienne-des-Oullières, Saint-Etienne-de-la-Varenne et Arbuissonas, dans l'aire d'appellation Beaujolais- Villages. Il s’agit de la plus grande exploitation familiale du Beaujolais. Chaque année, elle produit environ un million de bouteilles destinées principalement à l’export vers la Chine ou les Etats-Unis. Depuis toujours, le domaine se voue à produire des vins jeunes mais de qualité. A l’image de son « Château de Lacarelle Rouge » AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde est issu de Gamay à 100% de 31 ans. Frais, léger et fruité avec des tanins souples, il se déguste avec des charcuteries, des fromages ou du chocolat. La production annuelle de ce précieux nectar est particulièrement importante car elle s’élève à 800 000 bouteilles. Le vin propose aussi un blanc issu à 100% de Chardonnay, le « Château de Lacarelle Blanc » en AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde sec, fruité aux notes de miel, vanille et fleurs accompagne les poissons ou viandes blanches, fromages ou desserts. Le « Rosé de Lacarelle » est composé de 100% de Gamay et élaboré de façon traditionnelle. Il présente une robe saumon clair avec des bulles fines. Ce vin de garde a été récompensé d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard en 2015. Le « Château de Lacarelle Crémant de Bourgogne » est quant à lui est un vin brut sec, à la robe or pâle avec des fines bulles. Il se boit dans l’année avec du foie gras, du caviar et tous les desserts sucrés. Souvent récompensé, il a été couronné d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard 2015. ...
C’est en remontant à ses origines que Jean-Sébastien Robicquet, fondateur de la maison, découvre l’histoire oubliée de ses ascendants, notamment Jehan Robicquet, artisan passionné, attaché à sa terre d’accueil, à savoir la région charentaise qui lui ouvre ses portes vers la fin du XVe siècle. Pelletiers ou orfèvres, ses ancêtres ont développé le goût pour la perfection jusqu’à s’accorder les faveurs d’une royauté friande de produits d’exception. C’est ainsi en s’inspirant de cette forte identité retrouvée qu’il fonde son entreprise, « une société engagée dans sa ville et dans sa région et dont les racines remontent au temps de François Ier », nous raconte Jean-Sébastien Robicquet, Président-Fondateur. Une épopée moderne peu conventionnelle animée par le respect et une vraie quête de l’excellence. Des spiritueux uniques à l’authenticité retrouvée Œnologue de formation, Jean-Sébastien Robicquet a souhaité créer une gamme de spiritueux premium au goût historique du terroir. C’est alors qu’il décide de fonder une société axée sur cet objectif en proposant des produits singuliers, inspirés de leurs terres et uniquement à base de raisin. En effet, « dans mon optique d’offrir des spiritueux haut de gamme, j’ai souhaité utiliser exclusivement le plus noble de tous les produits, à savoir le raisin » explique Jean-Sébastien Robicquet. Cognac, Gin, Vodka ou liqueurs sont ainsi élaborés à partir de cette matière noble illustrant parfaitement l’art de vivre à la française. Raisins ou fleurs de vignes sont ici travaillés avec soin afin d’obtenir des spiritueux au goût unique, aux saveurs authentiques et figurant parmi les meilleurs de leur catégorie et, ce, à l’échelle mondiale. Les produits ambassadeurs de la maison Parmi les fleurons de la gamme se trouve la vodka Cîroc - réputée pour sa fraîcheur - créée pour et avec Diageo, le leader mondial des spiritueux. Toujours dans cette gamme premium, G’Vine s’illustre élégamment dans le Top 3 mondial des meilleurs gins super-premium. Grâce à un mariage harmonieux entre le raisin et la fleur de vigne, G’Vine innove par sa rondeur exquise et sa fougueuse délicatesse, faisant de ce spiritueux le précurseur prestigieux du gin super-premium. Enfin, parmi les ambassadeurs de la maison, La Quintinye Vermouth Royal est élaborée afin de « rendre hommage au jardinier botaniste de Louis XIV, Jean-Baptiste de la Quintinye, chargé de réaliser le jardin botanique du fastueux Château de Versailles », continue-t-il. C’est dans cet esprit d’agronome que ce vermouth, composé d’infusions de plantes et de Pineau des Charentes, fut récompensé en 2016 par The Ultimate Spirits Challenge de Paul Pacult du prix du meilleur vermouth français du monde. Maison Villevert propose une liqueur, June, élaborée à base de fleurs de vigne. En Juin, lorsque le soleil réchauffe la terre, ces éphémères fleurs sont récoltées à la main dans les vignobles de France, puis distillées pour en extraire leurs arômes exaltants et captivants. La fleur de Merlot apportera des arômes de fraise des bois, celle de Cabernet Sauvignon la framboise, la fraise et la violette et celle du cépage Ugni Blanc, des notes de poire, de fruits exotiques et de fleurs blanches. Maison Villevert propose aussi une Tequilla, Excellia vieillie en fûts ayant contenus du Sauterne Grand Cru ou du Cognac. Enfin, également viticulteur et bouilleur de cru, Maison Villevert propose une collection - La Guilde du Cognac – destinée à (re)découvrir ce produit en dégustant des cognacs de villages et de bouilleurs de cru. La Guilde offre ainsi un véritable voyage olfactif, gustatif et émotionnel, à travers quatre petits trésors jusque-là cachés provenant de quatre crus du terroir du Cognac. ...
Le nom de Molin’Agly est dérivé du mot molin qui veut dire moulin en occitan et d’Agly, la vallée où se situe cette exploitation. Elle est la propriété d’Eric Pimpurniaux, un Belge qui a reçu le soutien de la population locale pour sa passion du vin. Cinq ilots de vignes Le vignoble qui se trouve à une altitude de 350 à 400m, est éparpillé sur cinq parcelles autour du village de Caudiès de Fenouillèdes. Exposé plein sud et légèrement en pente, l’encépagement du « Mousquier » est composé de Chardonnay et Merlot. « Le Ravin des Sieures » et « Garrigue Haute » sont quant à eux plantés de la Syrah et « Le Cagne » est cultivé de Chardonnay, Sauvignon Blanc et Cabernet Franc. La dernière parcelle, « Bram Fam », est le joyau du domaine avec ses vieilles vignes de Carignan de 50 à 80 ans d’âge. Le domaine de Molin’Agly profite du climat méditerranéen tout en étant préservé de la sécheresse estivale grâce à sa proximité avec les Pyrénées, conférant à ses vins une belle fraîcheur et des arômes puissants. A l’instar de la plupart des agriculteurs de la région (80%), le domaine Molin'Agly est en phase de reconversion pour être agréé sous le label agriculture biologique. Ainsi, les produits chimiques ont été bannis de toutes les parcelles depuis les dernières années. Une cave bien équipée Ne disposant pas de cave propre au domaine, Molin’Agly a opté pour la location d’une cave de la région pour vinifier et élever ses vins. Inutilisée pendant un certain nombre d’années, elle a été complètement rénovée et rééquipée. Elle est dotée d’une cuverie inox, d’un groupe de froid, d’un pressoir et d'égrappoirs. Ces matériels permettent à l’œnologue du domaine d’obtenir des produits à l’hygiène impeccable et de minimiser au maximum syndical l’oxydation des produits qui y sont stockés et en cours d’élevage. Des vins au caractère bien trempé Depuis sa reprise en 2014 par la bande à Eric, Molin’Agly produit une belle gamme de cinq vins qui se distinguent par leur nom à l’image de leur caractère. Ainsi, ces cuvées s’appellent « L’Intense », « L’Audacieux », « L’Espiègle », « Du Nord au Sud » et « Bram Fam ». Cette dernière, qui signifie littéralement « Crie la faim » en occitan, est issue de Syrah lieu-dit éponyme. Toujours fin et très équilibré quel que soit le millésime, ce vin se déguste en accord parfait avec des viandes rouges, du gibier ou des mets relevés tels que tajines ou grillades. Pour le domaine de Molin’Agly, jeunesse ne rime pas avec inexpérience, puisque ses vins se retrouvent d’ores et déjà sur les tables de restaurants belges de renom tels que le « Pilori » à Ecaussines, la « Loungeatude » à Louvain-la-Neuve, ou récemment au restaurant éphémère « La Saison » à Corbais, mais également en France au restaurant « Verte Campagne» à 10 minutes de Toulouse ! ...
Depuis trois générations, la famille Montloin-Rocchietta a patiemment bâti deux havres de paix, dans un environnement unique et préservé. À l’origine, en 1949, on trouvait le Château de Valmer. Au cœur d’un vignoble entre terre et mer, cette demeure bourgeoise s’est peu à peu transformée en pension de famille, puis en hôtel. Aujourd’hui classé 5 étoiles, le Château de Valmer attire une clientèle aisée et discrète. À deux pas de là, au bout d’une majestueuse allée de palmiers, la Pinède Plage se construit peu à peu... Au début, ce n’était que deux simples bungalows de plage qui, au fil du temps, sont devenus, eux aussi, un hôtel 4 étoiles. Le raffinement de la Provence Ainsi, aujourd’hui, le Château de Valmer propose 41 chambres dans une situation unique au cœur d’une nature généreuse. Ici, tout évoque le raffinement de la Provence. Les chambres sont agrémentées de meubles authentiques, avec tout le confort d’un hôtel de luxe moderne. La Pinède Plage, située en bord de mer et face aux iles d’Or, dispose de 32 chambres fraîchement rénovées, confortables, à l’esprit méditerranéen et ouvertes sur la mer. Ses hôtes ont un accès immédiat à la plage privée de sable et à la piscine extérieure, au court de tennis… Des équipements dont peuvent bien sûr profiter les résidents du Château de Valmer. Farniente et gourmandise Chacun des établissements est une invitation au farniente… et à la gourmandise, avec deux restaurants. Ouverte de mai à octobre, La Palmeraie, sous la direction de son chef Jimmy Coutel, vient de recevoir une récompense très convoitée du Gault & Millau : le titre de grand de demain, avec une note de 15/20 et trois toques pour la qualité de la cuisine, inscrite dans la tradition méditerranéenne et provençale. Le service s’effectue dans le jardin andalou ou sur la terrasse ouverte sur le parc. Côté Pinède, le restaurant donne sur la plage, face aux iles d’Or. Le chef, Vincent Colbeau-Justin, y travaille des poissons et des produits frais locaux pour les repas, tandis que, l’après-midi, chacun peut y trouver des snacks, les pieds dans l’eau. Les deux restaurants privilégient les produits du terroir et bio, notamment ceux qui sont cultivés dans le potager bio du domaine ainsi que le vin rosé bio du Château de Valmer. Pas de doute, luxe et élégance, mais aussi authenticité caractérisent bien le Château de Valmer et la Pinède Plage ! ...
Idéalement situé au bord de l’Yonne et niché dans un petit village paisible, l’établissement dégage un charme intemporel. À l’intérieur, le mélange du style champêtre et moderne intrigue, et les tableaux des artistes peintres locaux qui viennent orner le mur blanc captivent toutes les attentions. Dans cet endroit chaleureux, Laure et David accueillent les clients, habitués ou simplement de passage sur l’autoroute, et les invitent à passer un moment convivial autour d’une bonne table. Privatisable, l’endroit se prête à divers événements familiaux ou non tels baptêmes ou anniversaires avec une capacité d’accueil de cinquante personnes en restauration traditionnelle. En revanche, lors des soirées à thèmes comme la « fête de la musique » ou « Garçon la note », qui est un événement en partenariat avec l’Office du tourisme de l’auxerrois, cette capacité s’étend à une centaine de personnes, étant donné que les festivités ont lieu à l'extérieur. Les spécialités maison Laure, chef en cuisine, n’y est pas allée par quatre chemins dans la création de sa carte. Celle-ci est succincte mais l’excellence de la cuisine bourguignonne y est bel et bien au rendez-vous. Laure sait initier ses clients à de belles découvertes culinaires en mettant en scène et sans jamais les dénaturer les produits de saison frais, issus des producteurs locaux. « Nous varions régulièrement les assiettes, mais nous restons toujours sur les produits et les recettes du terroir », fait-elle savoir. Notre passionnée appose sa signature dès l’entrée, en proposant les fameux escargots avec une sauce chaource, la salade accompagnée de croustillants de pieds de cochon, ou encore le foie gras maison sur toast. Pour les plats, les clients ont le choix entre un classique à l’instar de l’entrecôte et ses frites maison, ou une suggestion plus originale qui ne déroge pas au style traditionnel de la maison comme l’andouillette façon « grand-mère ». À noter que la carte suggère toujours un plat à base de poisson en sauce selon l’arrivage et un plat de viande rouge. Côté dessert, le vacherin à la framboise est un incontournable. C'est un sorbet framboise accompagné de meringue, chantilly et coulis de fruits rouges, le tout servi dans un bocal. Voilà un dessert qui clôture cette expérience gustative sur une note bien gourmande. Au plus près de la région Locavore dans l’âme, le couple a sélectionné le meilleur des vins bourguignons et icaunais pour accompagner les plats. Chablis « Vieilles Vignes » et chablis 1er cru « Côte de Léchets », les emblématiques de la région se distinguent parmi la liste. « Nous avons également le bourgogne Irancy du Domaine Cantin», souligne David. Pour les vins blancs locaux, le restaurant travaille avec d'autres domaines tels que Daniel-Etienne Defaix, Race, Giraudon, et Les Coeuriots. En vins rouges, il se fournit auprès des domaines Cantin, Giraudon, Gabrielle et Martin. Concernant les rosés, les fournisseurs attitrés sont les domaines Vignot et Giraudon. Le champagne quant à lui vient du domaine Roland Champion. Aussi, pour s’approvisionner, les fournisseurs locaux sont privilégiés à l’instar de la fabrique d'escargots située à Bassou 89400. ...
Ces hommes de prière, qui vivent dans le silence et la solitude, ont perçu l’impérieuse nécessité de travailler main dans la main avec les vignerons de cet écrin de nature sauvage qui s’étend de la crête orientale du cirque des Dentelles de Montmirail aux contreforts nord-ouest du mont Ventoux. Le vin a toujours été symbole de partage et d’amour. Tout naturellement, les moines se sont sentis liés à leurs voisins vignerons. Cette amitié partagée dans le travail s’est épanouie progressivement jusqu’à donner naissance à de nouvelles cuvées au grand cœur : les vins Caritas. Histoire des abbayes du Barroux En 1970, Dom Gérard Calvet s’installe à Bédoin dans la chapelle de la Madeleine pour vivre la Règle de saint Benoît : « Ora et Labora » (« prière et travail »). Il est rejoint par de nombreux jeunes désirant découvrir la vie monastique. La communauté grandissant, en 1980, la construction d’un monastère de style roman provençal débute au Barroux. Il sera achevé en 1988. Des vignes anciennes et nouvelles s’étalent sur les flancs de la colline silencieuse. En 1986, un groupe de moniales s’installe à proximité, sur une propriété viticole, « La Font de Pertus ». La construction de l’abbaye Notre-Dame-de-l’Annonciation débute alors, tandis que les jeunes sœurs s’engagent à cultiver les vignes. Depuis 1986, les deux communautés (aujourd’hui 57 moines et 30 moniales) s’entraident pour faire prospérer cet héritage spirituel et viticole. Le vignoble des Abbayes Les 9 hectares en terrasses des deux abbayes sont complantés de cépages variés. Pour les rouges et les rosés : grenache noir, syrah, carignan et cinsault. Pour les blancs : roussanne et clairette. Situé entre 350 et 400 mètres d’altitude, le domaine des Abbayes est adossé aux célèbres terroirs de Beaumes-de-Venise et de Gigondas. Ses sols et ses expositions variés permettent l’élaboration de vins complexes où fraîcheur et puissante structure entrent en symphonie. Les vins Caritas À la suite de la rencontre avec Jean-Dominique Artaud, en 2010, moines et moniales adoptent de nouvelles méthodes de culture pour faire progresser la qualité des vins. Avec leurs amis vignerons, ils retrouvent des procédés ancestraux comme la haute densité (7 500 pieds par hectare), ou le palissage haut sur piquets de bois. Le travail effectué à la main – taille, ébourgeonnage, épamprage, écimage, effeuillage et vendanges – ressemble bien à de la haute couture vigneronne. Les moines utilisent des engrais organiques et travaillent les vignes avec des moyens mécaniques. En 2016, les moines commencent un projet commun avec les vignerons Lux Montis. Son nom : CARITAS. Son but : une valorisation plus juste des vins de caractère produits sur ce terroir de montagne classé dans les « vignobles héroïques ». Pour le bien des vignerons courageux du Barroux, de Beaumont-de-Ventoux, de Malaucène et d’Entrechaux regroupés sous la bannière Lux Montis. L’objectif avoué est de permettre à ces montagnards de maintenir leur activité, aujourd’hui et dans les générations à venir. Le territoire tout entier devrait bénéficier de cette belle aventure solidaire. La beauté de ce terroir aux paysages époustouflants et l’équilibre socio-économique de la région sont en jeu : pour ces moines, la vie agricole est l’un des principaux facteurs structurants de cette Provence des papes. Ils veulent donc mettre leur dynamisme à son service. Pour assurer l’excellence recherchée, les nouveaux pieds de vigne sont sélectionnés selon les profils géologiques des terres. La vigne est cultivée avec beaucoup de cœur pour obtenir des raisins généreux. L’élaboration des vins se fait sous la houlette d’un jeune œnologue de talent, Daniel Haïlé, épaulé par Philippe Cambie, œnologue mondialement reconnu qui apporte son génie pour affiner les assemblages et sublimer le travail vigneron. Cette nouvelle aventure a permis de proposer les premières cuvées haut de gamme en ...
Soigneusement installé dans l’un des quartiers artistiques de Paris, « l’établissement est un loft de près de 400 m² environ, dont la particularité est d’avoir accueilli le célèbre artiste français Marcel Duchamp au début du XXesiècle », souligne Marie-Lorraine Benzacar, la fondatrice. Considérés comme l’un des plus grands centres artistiques privés de la capitale française, « les ateliers d’arts plastiques Rrose Sélavy sont un lieu ouvert à tous, où la créativité et le partage sont en parfaite symbiose dans un cadre convivial et atypique », spécifie notre interlocutrice. Les cours, les stages et les ateliers créatifs qui y sont proposés sont appuyés par diverses techniques créatives et matières afin de s’adapter aux besoins de chacun. Le centre artistique pour tous Créé en 2007 par Marie-Lorraine Benzacar, une passionnée de mode et d’œuvres d’art, « notre concept s’articule autour de trois grands axes, dont le troisième sera mis en place début septembre 2017 », annonce Marie-Lorraine Benzacar. Le premier volet concerne particulièrement le centre artistique d’enseignement qui accueille prés de 300 personnes chaque année, enfants et adultes confondus. Ces derniers peuvent ainsi opter pour leur discipline favorite, notamment la sculpture (classique, papier mâché, modèle vivant), le dessin, la peinture (sur papier, sur toile), la céramique, l’expression plastique, le « Street Art » (art urbain) ou encore l’art textile. Au-delà de cette offre individuelle, Rrose Sélavy propose également des stages duo afin de permettre aux parents de passer de bons moments riches en émotion et en partage avec leurs enfants. Les cours comprennent, non seulement tous les domaines cités plus haut, mais aussi d’autres activités artistiques telles que le cinéma d’animation et le manga, l'origami, la couture… Tous les enseignements sont par ailleurs pris en charge par une quinzaine d’intervenants composés essentiellement « d’artistes et de professionnels artistiques diplômés des Beaux-Arts ou de l'équivalent », dixit la propriétaire. Ils se déroulent au rez-de-chaussée et autour de l’entrée principale de l’établissement, à l’exception des événements qui ont lieu à l’étage. Un lieu événementiel atypique « Rrose Sélavy, c’est aussi un lieu original et magique qui accueille toute sorte d’événements personnels et professionnels : anniversaire, baptême, mariage, séminaire, journées presse, soirée d’entreprise etc. » Spécialement aménagée au premier étage, la pièce de réception s’étend sur 120 m² où sont disposés divers meubles d’époque et du mobilier industriel (tables, chaises, canapés). Un salon-bibliothèque, une cuisine ouverte et une salle à manger au décor artistique viennent harmoniser le lieu de façon confidentielle et discrète. Privatisable en journée comme en soirée, le café des arts à l’étage peut recevoir jusqu’à 80 personnes alors que la totalité de l’atelier peut accueillir plus de 150 participants. Fort de sa notoriété et la qualité de ses services, de nombreuses marques et start-up du moment viennent découvrir et investir les lieux chaque année à l’instar de la firme multinationale française Chanel, Canal+, le groupe LVMH ou encore le géant de l’Internet, Google , mais aussi Monoprix, BNP, RENAULT, PUBLICIS ou de petites entreprises. Pour satisfaire les visiteurs, « nous proposons des services clés en main avec plusieurs formules (plateau-repas, cocktail, buffet déjeuner ou diner assis réalisé par un chef sur place, boissons…) avec un forfait à la journée. Il est également proposé aux entreprises des animations artistiques sous forme de « TEAM BUILDING » dans une ambiance conviviale et ludique » précise la fondatrice. Une boutique-atelier bientôt disponible Toujours ancré dans un esprit d’échange et de créativit&...
L’histoire de la maison Sanger est assez originale pour donner envie de s’y intéresser. Elle est aussi importante pour mieux comprendre les spécificités des différentes cuvées. Champagne Sanger : une histoire très ancrée sur son territoire Dès sa création, l’histoire de la maison Sanger interpelle. En effet, cette dernière est née en 1952 dans une école de viticulture par le fait qu’il était nécessaire de former les jeunes à la champagnisation et à la vinification. Suite à la crise phylloxérique en 1919 qui a détruit le vignoble, l’école de viticulture est née. C’est donc en 1952, que ces 16 exploitants et vignerons issu d’une même école décident de s’unir en créant la maison Sanger sur la base d’une coopérative (appelée Coopérative des anciens de la viticulture) afin de poursuivre ses notions de transmission du savoir-faire champenois. Le fait d’avoir regroupé des outils de production, un savoir-faire ancestral, différents terroirs au sein d’une même structure, a permis de créer une multitude de Champagnes pour mettre en valeur le fabuleux terroir de Champagne. Des Pères Fondateurs à aujourd’hui : une philosophie qui perdure dans le temps La maison Sanger repose sur de véritables notions de partage, de transmission et de savoir-faire. L’objectif étant de concilier au quotidien une tradition ancestrale avec un processus de vinification modernisé. Cela en favorisant une œnologie de bon sens et en laissant le temps au temps. Ce qui signifie, en d’autres termes, que chaque professionnel de la coopérative accorde une grande importance au développement durable et à la préservation du terroir. Un exemple concret : le fait de séparer l’origine des terroirs au sein des 60 cuves autorégulées pour valoriser leurs origines. Mais aussi d’élever les vins sur lies et de ne pas les filtrer. Cela permet d’élaborer différentes cuvées ayant chacune leur propre caractère dont le Blanc de Noir ou le Blanc de Blanc Grand Cru, très appréciées des amateurs de vin effervescents. ...
À la suite des différents scandales autour de l’industrie de la viande, les Français sont de plus en plus exigeants quant à la qualité de viande qu’ils consomment. Et cette qualité, ils ont l’assurance de la trouver en quelques clics chez Éric Pineau. Des produits venant directement du producteur Pour pouvoir se procurer des produits d’exception sans passer par des intermédiaires, les consommateurs sont invités à se rendre sur le site et y passer leurs commandes. Les viandes proposées sont issues uniquement de la race charolaise. Elles proviennent de la ferme familiale située dans la commune du Voide (Maine-et-Loire) qui compte un cheptel de 70 bovins. Une fois par mois, la famille Pineau procède à une vente. Afin d’apporter du goût et de la tendreté à la viande, une maturation de 15 à 20 jours est nécessaire. Un artisan boucher s’occupe ensuite de la préparation des colis en fonction des différentes commandes. Une fois les colis préparés, place à la livraison express ! Sur ce point, Antoine Pineau, le fils d’Éric, souligne : « Nous vendons dans toute la France nos colis de viande issue de notre élevage. Ils partent directement de chez l’artisan boucher. » En collaborant avec le service chronofresh, les Pineau s’assurent du strict respect de la chaîne du froid. Des colis personnalisés En fonction de leurs besoins, les consommateurs peuvent se procurer des colis de viande de 5, 10, 15 ou 20 kg. Par ailleurs, ces derniers ont la possibilité de personnaliser leur colis. Ils ont ainsi droit à 50 % (au choix) de viande à cuisson rapide et 50% (au choix) de viande à cuisson longue et/ou de steak haché et/ou de saucisses. « On est les seuls en France à proposer aux clients de personnaliser directement sur le site leurs colis de viande », explique Antoine Pineau. Et au cas où le consommateur manquerait d’idée sur la manière de cuisiner la viande, de nombreuses recettes via le site Internet sont à découvrir. Ces suggestions gourmandes viennent des blogueurs qui travaillent en partenariat avec Éric Pineau. « Les blogueurs reçoivent nos produits, les testent, donnent leur avis et en contrepartie, ils écrivent des recettes », rajoute Antoine Pineau. ...
La malaria. Tout le monde a déjà entendu parler de cette maladie infectieuse propagée par les moustiques, essentiellement en Afrique subsaharienne. Il y a 10 ans, elle causait 1 million de morts par an. Bien que la mortalité ait régressé de moitié, notamment via des campagnes d’assèchement des lieux de reproduction des moustiques et la distribution de moustiquaires, le paludisme (l’autre nom de la malaria) reste un véritable enjeu mondial : c’est la première maladie parasitaire et le réchauffement climatique pourrait conduire à une plus grande migration des moustiques et à un allongement de la saison de transmission du parasite responsable. Lutter contre la Malaria : un combat mené par Jamal Khalife et son équipe de recherche à Lille... D’où l’importance des travaux du Centre d’Infection et d’Immunité de Lille, au sein de l’Institut Pasteur de Lille. Jamal Khalife et son équipe d’une vingtaine de personnes mènent plusieurs recherches, dont celle qui vise à utiliser la connaissance du génome du parasite afin d’identifier des gènes qui sont indispensables à sa survie. « Le parasite est obsédé par l’idée de se transmettre durant sa courte vie. Aussi, nous choisissons des protéines qui sont potentiellement importantes », décrypte le scientifique. « On les extrait, on les étudie pour voir si elles ont une action importante dans le cas du paludisme. » Identifier les gènes essentiels parmi les 5 600 que compte le parasite permettrait des avancées sensibles dans la lutte contre la malaria, qui aujourd’hui touche essentiellement les enfants de moins de 5 ans et les voyageurs dans les zones contaminées. « Au-dessus de l’âge de 5 ans, les hommes et les femmes qui vivent dans les zones endémiques développent une protection. En revanche, s’ils s’en vont durant 3 ou 4 ans dans un pays non touché par la malaria, ils redeviennent vulnérables. » La schistosomiase : deuxième maladie parasitaire mondiale Autre maladie infectieuse à laquelle Jamal Khalife et les chercheurs de l'équipe consacrent leur quotidien : la schistosomiase. C’est la deuxième maladie parasitaire mondiale et elle est provoquée par des vers parasites, qui sont éliminés dans les selles et se propagent dans l’eau des rivières via un mollusque. Chez l’homme, les œufs déposés par les vers sont responsables de manifestations cliniques hépatiques. Là encore, l’équipe lilloise, par des approches génétiques visant à interférer avec l’expression de certaines protéines du parasite, se consacre à déterminer quelles sont les protéines vitales pour ce ver et à comprendre comment leur expression est régulée. En 2014, on estimait qu’au moins 258 millions de personnes avaient besoin d’un traitement préventif contre la schistosomiase. Depuis Lille, des hommes et des femmes travaillent à ces avancées essentielles pour la médecine. Pour soutenir les projets de recherche de l'Institut Pasteur de Lille, faites un don sur www.pasteur-lille.fr ...
Inscrite au patrimoine viticole de la région languedocienne, la cave historique d’Agel au sein de laquelle sont faites les vinifications a été reprise en 2011 par Gontran Dondain, grand passionné de vin et du Languedoc. Après de nombreuses rénovations, cette cave, construite en 1936, a repris son activité lors des vendanges 2014 du vignoble Mas Roc de Bô, lui-même acquis en 2003. Un terroir unique Le vignoble de Mas Roc de Bô est un domaine de 35 hectares perché en altitude sur le plateau de Cazelles. Son terroir, aux aspects lunaires, est constitué de calcaire fissuré, entrecoupé de couches d’argile rouge et d’humus, favorable à la régulation hydrique de ses pieds de vigne. Les pierres blanches qui recouvrent le domaine accumulent la chaleur du jour pour la restituer à la vigne la nuit. Le climat méditerranéen sec et le souffle ininterrompu de la tramontane ont pour effet de retarder la maturité des raisins, à l’origine de la puissance aromatique et de la fraicheur des vins. En 2014, une démarche a été menée auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) afin de faire reconnaitre le terroir unique de Cazelles en Cru du Languedoc avec celui de La Livinière. Un terroir pour deux collections Depuis sa reprise, Mas Roc de Bô produit des vins rouges, Blancs et Rosés à partir de 6 cépages, à savoir le carignan, le grenache, la syrah, le mourvèdre, le cabernet sauvignon et le vermentino. Le domaine décline sa production en deux collections issues de la vinification parcellaire : « Pépite » et « Émotions ». Les cuvées de la collection « Pépite » sont en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles sauf la « Pépite Originale », qui est en IGP Côtes du Brian. La collection « Émotions », quant à elle, met en avant des cuvées de caractère. Les vins millésimés en 2014 sont tous en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles. "Précieux" L’âge n’est pas toujours synonyme d’excellence, preuve pour la cuvée de prestige « Vinum Clarum 2015 », le Rosé Précieux de la collection « Pépite », qui nous livre une robe rose pâle, un nez minéral, frais et intense, avec des notes de fraises et de petits fruits rouges. Ce rosé de gastronomie est idéalement servi avec un nid de mesclun aux poivrons marinés, caviar d’aubergines, olives et thym et sa chips de betterave. ...
Sortir de sa zone de confort est toujours une expérience enrichissante pour se découvrir de nouvelles aptitudes, et vous prépare aux mieux à la vie professionnelle à l’international. Pour diverses raisons, les pays anglophones tels que le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada se trouvent parmi les premiers choix des étudiants. Si vous vous intéressez à ces pays vous aussi, voici quelques informations qui vous seront utiles pour arrêter votre choix. Pourquoi faire ses études supérieures au Royaume-Uni ? Le Royaume-Uni est la troisième destination mondiale des étudiants internationaux, après les USA et l’Australie. Malgré les changements induits par le Brexit, il figure toujours parmi les meilleures destinations pour les études d’excellence. Le Royaume-Uni est l’un des pays les plus ouverts aux études internationales avec plus de 20% de ses étudiants venant de l’étranger. Il possède des institutions de renommée mondiale telles que les universités de Cambridge, Oxford, Imperial et St Andrews. Connus pour le niveau et la qualité de l’enseignement dispensés aux étudiants, ces noms prestigieux ont une grande notoriété pour la future carrière des étudiants. A l’issue de leur formation au Royaume-Uni, les étudiants obtiennent un bachelor, un M1 ou un M2 dans diverses spécialités comme l’économie, la littérature, l’histoire, le droit, la médecine et l’ingénierie. Ils peuvent se spécialiser dans des domaines spécifiques tels que la gestion des catastrophes ou encore les effets spéciaux, ou encore opter pour des combinaisons interdisciplinaires cotées (telles que PPE, par exemple, qui associe la politique, la philosophie et l'économie). Pour adhérer aux établissements britanniques, il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir un très haut niveau académique couplé à une certification CAE ou IELTS. Ensuite, ils tiennent comptent des accomplissements extra-scolaires de l’étudiant. Pour certaines filières, des stages en milieu professionnel ainsi que d’autres évaluations supplémentaires sont requis. Etudier au Royaume-Uni, c’est aussi se donner toutes les chances de perfectionner son anglais. En immersion totale, les étudiants apprennent à utiliser la langue à la manière des natifs et acquièrent tout le vocabulaire nécessaire dans leur domaine de prédilection. Outre le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada (surtout le Québec) attirent également les étudiants français. Obtenir un diplôme sur mesure aux Etats-Unis ou au Canada Mise à part l’attraction des jeunes concernant le mode de vie américain, les Etats-Unis représentent une destination de rêve pour de nombreux étudiants. Ils accueillent la plupart des meilleures universités au monde pour ne citer que Harvard, la plus prestigieuse pour apprendre l’architecture, l’Université de Pennsylvanie pour les études orientées business ou encore Berkeley, pour approfondir la littérature anglaise. En outre, les Etats-Unis disposent de campus et d’infrastructures de haute qualité pour recevoir les étudiants. Le cursus « Liberal Arts College » vous permet de mixer plusieurs disciplines librement – la biologie avec le Chinois, par exemple, ou l’histoire de l’art avec le développement durable. Les études sont sanctionnées par un Bachelor of Arts (BA) ou un Bachelor of Sciences (BSc) au premier cycle et un Master dans les mêmes domaines au second cycle. Depuis Covid, certaines écoles gardent leur statut « SAT optional », vous laissant le choix de présenter un SAT ou ACT, mais une une certification TOEFL ou IELTS reste fortement conseillée. Selon les établissements, la qualité de meneur et la capacité de créer un projet personnel peuvent aussi jouer sur la sélection des étudiants. Les conditions sont à peu près les mêmes pour ceux qui veulent faire des études d’excellence dans les institutions canadiennes. La différence, c’est la possibilité de choisir entre les établissements anglophones et les établissements bilingues. Néanmoins, une certification TOEFL ou IELTS est toujours requise. Les universités américaines et canadiennes se distinguent cependant par la possibilit&ea...
Avec ses vieilles pierres et poutres apparentes, le P’tit Cageot est un endroit fort sympathique où l’on vous propose de savourer une cuisine raffinée en toute convivialité. Cadre typiquement vieil Antibois A l’intérieur, l’esprit récup donne le ton à la décoration. Des cageots placés ici et là, des luminaires réalisés avec des bocaux ont fini par donner un charme particulier à l’endroit. Dans une ambiance digne d’une maison de campagne Provençal, la convivialité est ici au rendez-vous. Arnaud et Roxane ont voulu avant tout miser sur un endroit qui leur ressemble. Au quotidien, quiétude et détente font partie de leur leitmotiv. Une cuisine inspirée des saisons Bien installé derrière le fourneau, Arnaud excelle dans l’art de magnifier la simplicité. En cuisine, ça sent la fraicheur du marché. Noblesse oblige, vous ne trouverez pas de produits aussi frais qu’au P’tit cageot. Tout juste auréolé de son titre de Maître-Restaurateur, le chef se doit de respecter un cahier des charges rigoureux incluant une trentaine de critères comme la qualité de service et d’accueil, produits frais et de saison, cuisine faite maison… Pas de quoi inquiéter Arnaud qui se permet même quelques fantaisies. Mis à part la carte qui change deux fois par saison, la maison propose tous les jours un menu surprise (entrée-plat-dessert). Une formule qui a visiblement la côte auprès des invités. A chaque fois, ces derniers restent bluffés par une cuisine aussi originale que savoureuse. ...
Fondée en 1158 à Argoules, à quelques kilomètres de la Baie de Somme, l’Abbaye de Valloires a conservé son état du XVIIIème siècle. Elle a été détruite et reconstruite dans un style en parfaite contradiction avec l’autorité cistercienne. L’architecture de l’abbatiale est sobre et s’oppose à la décoration intérieure baroque, œuvre de l’autrichien Simon Pfaffenhoffen et du ferronnier Jean Baptiste Veyren. En 1922, Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, y installa un préventorium, après avoir racheté l’Abbaye, pour lutter contre la tuberculose et créa l’Association de Valloires, reconnue d’utilité publique en 1925. En 1976, malgré la fin du préventorium, l’association (toujours propriétaire et gestionnaire des lieux) a poursuivi l’œuvre de Thérèse Papillon en y créant une Maison d’Enfants à Caractère Social, un Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique, un SAMAD, un SSIAD ainsi que le service des Activités Culturelles et Hôtelières. De surprenantes visites guidées De mi-mars à mi novembre sont organisées des visites guidées. L’occasion de venir visiter la magnifique église accueillant un imposant orgue sculpté de 16 mètres de haut et des anges en papier mâché suspendus. A ne surtout pas rater également, la sacristie et son parquet Versailles, ses tableaux peints par Joseph-François Parrocel. Le grand salon, la salle capitulaire, le cloitre réservent également de belles surprises visuelles. En outre, la grande boutique propose des produits régionaux, monastiques et religieux ainsi qu’un grand choix de livres et d’objets souvenirs. Un hébergement confortable et lumineux Pour les visiteurs désirant prolonger leur séjour, l’abbaye dispose de 20 chambres de différentes catégories bénéficiant chacune d’une décoration personnalisée. La plupart d’entre elles ont une vue sur les Jardins de Valloires, classés Jardin Remarquable. A la fois simples, confortables et lumineuses, elles invitent au repos dans un environnement historique. Une belle et unique expérience à vivre en couple, en famille ou entre amis. ...
Cette jeune compagnie se veut être le pionnier de l’authentique en proposant une grande variété de rhums élaborée dans les distilleries parmi les plus prestigieuses. Affectionnés par les consommateurs, les rhums au caractère affirmé de la Compagnie des Indes sont soit le fruit d’assemblages harmonieux entre différentes cuvées de qualité soit de fûts uniques provenant de terroirs de renom tels que la Jamaïque ou la Guyane. Des rhums complexes aux saveurs insoupçonnées « Un rhum au goût de rhum ». Ces propos de Florent Beuchet, gérant et fondateur de cette société, rappellent la noble quête d’honnêteté et d’authenticité dans laquelle il s’est lancé à ses débuts en 2013. C’est en sillonnant les mers, à la manière d’un pirate, qu’il part débusquer sous les tropiques les meilleurs rhums. Sélectionnés par fût, ces derniers sont ensuite assemblés et embouteillés en France ou bien directement embouteillés en France en single cask sans ajout, sans colorant, sans arômes et sans produits chimiques afin de « mettre des vrais rhums représentatifs de leur terroir d’origine en avant », affirme Florent. Riche de son parcours estudiantin en commerce international et de ses expériences dans le domaine des spiritueux, il souhaite partager sa passion en proposant des « rhums authentiques et très aromatiques », continue-t-il. Un plaisir gustatif sans égal En conservant les typicités de chaque terroir, Florent Beuchet mise sur une expérience gustative unique, composée, selon lui, « d’un éventail d’arômes très vaste et distinct selon la distillerie et le pays d’origine ». Les single cask présentés sont ainsi « surprenants », reprend-il. Autre ambassadeur de cette compagnie se trouve le Jamaïca Navy Strength, un rhum puissant, 100% 5 ans d’âge et embouteillé à 57° d’alcool en hommage à l’histoire de la marine britannique. Découvrez, également, le Tricorne, un fort et goûteux rhum blanc issu d’un assemblage unique au monde de rhums provenant des quatre coins du globe. ...
Quelle est votre mission au sein de la DGOS (Direction Générale de l’Offre de Soins) ? Mon rôle consiste à coordonner la mise en œuvre de ce que prévoit le Plan National Maladies Rares. Je viens notamment en aide aux personnes désignées pour élaborer des propositions pour le Plan n°3. Ma mission est donc une mission de suivi et de coordination interministérielle. Qu’est-ce qu’un centre de maladies rares ? Tous ces centres sont organisés en réseaux. Il en existe plusieurs catégories. Les centres de compétences (CC) assurent la prise en charge des patients atteints de maladies rares et la coordination de leur parcours de soin. Les centres de référence maladies rares (CRMR) prennent également en charge les malades mais ils ont des missions complémentaires d’animation et de coordination au sein du réseau, d’expertise, de recours, d’enseignement-formation et de recherche. On dénombre 23 filières de santé maladies rares (FSMR). Quand ont-elles été créées et dans quel but ? Leur création remonte au 2ème plan national maladies rares 2011-2014, lequel a été prolongé jusqu’en 2016. Ces filières ont pour but de favoriser la lisibilité de l’organisation entre les 109 réseaux dont nous disposons actuellement. Ce découpage en 23 filières facilite considérablement l’orientation des malades vers un centre qui soit adapté à leur pathologie. Ces filières ont également pour objectif de coordonner les différentes actions qui sont menées : expertise, recherche, enseignement, formation… On pourrait donc dire des filières qu’elles constituent l’interface entre les différents acteurs du domaine. Les réseaux maladies rares, bien sûr, mais aussi les laboratoires de diagnostic, les unités de recherche, les universités et les structures médico-sociales sans oublier les associations qui sont toutes très impliquées. Pour résumer, les filières de santé maladies rares répondent à un double objectif : faciliter la compréhension de l’organisation (centres de référence, centres de compétences) mais aussi « décloisonner » le système pour favoriser la communication entre ses acteurs.Où en est-on en France du parcours de soins dans le cas des maladies rares ? Une bonne coordination de la prise en charge des patients est essentielle. En France, nous avons la chance de pouvoir nous appuyer sur une offre non seulement de haut niveau mais aussi très structurée. Cette structuration (centres de référence maladies rares, centres de compétences, filières de santé maladies rares) que les autres pays européens nous envient, forme un maillage très dense. Grâce à elle, nous pouvons orienter efficacement les malades et leur proposer une prise en charge adaptée.. C’est ce maillage très dense qui nous permet actuellement d’orienter efficacement les malades et de leur proposer une prise en charge adaptée. Bien que nous ayons beaucoup progressé, l’errance diagnostique reste bien évidemment une préoccupation majeure. Le diagnostic est parfois difficile à établir. Mais à partir du moment, et ce indépendamment de la pose précise du diagnostic, où une personne atteinte de maladie rare sera orientée vers le centre approprié, sa prise en charge sera la plus complète possible. Nos centres sont pluri-professionnels. C’est à dire qu’aux équipes médicales viennent s’ajouter des psychologues, des assistantes sociales, des kinésithérapeutes, des nutritionnistes, etc. Chacun de nos centres réunit donc des professionnels dont la spécialité est adaptée aux pathologies devant être traitées. De plus, ces centres collaborent étroitement avec le médecin traitant, les associations de malades et tous les acteurs d’accompagnement. Et au niveau européen ? Une organisation est en train de se mettre en place an niveau européen. En 2016, la commission européenne a lancé 24 réseaux européens de référence (ERN). Certains de ces réseaux européens sont d’ailleurs coordonnés par des équipes françaises. La France est le premier pays en Europe à avoir élaboré puis mis en œuvre un plan national. Et elle contribue à cette construction européenne.Un mot sur les Assises de Génétique Humaine et Médicale et la Journée Internationale des Maladies rares ? Il est essentiel de parvenir à faire connaître, et même reconnaître davantage les maladies rares. Et des événements comme les Assisses de la Génétique ou encore la Journée Mondiale des Maladies Rares y contribuent. Comme je le disais, le diagnostic de certaines maladies rares est compliqué. Pour un médecin, cela nécessite d’avoir une véritable « culture du doute » face à des symptômes qu’il ne parviendrait pas à expliquer. On estime à 3 000 000 en France le nombre de personnes qui pourraient être atteintes de maladies rares. Or une prise en charge adaptée permet sinon d’assurer la survie, au moins d’améliorer la qualité de vie du malade. Je suis convaincue que plus on communiquera sur les maladies rares, plus on contribuera à réduire l’errance diagnostique. L’errance diagnostique est donc une priorité de santé publique ? Exactement. L’objectif, ...
Ouvrir le champ des possibles grâce au coaching Dédié à l’accompagnement des dirigeants et des managers, qu’ils soient désireux de faire évoluer leur posture professionnelle, de développer leur leadership ou encore de reprendre confiance en eux suite à un changement de trajectoire, Avenir & Talents, le cabinet fondé par Annie Visco, veille à (re)placer l’humain au coeur de la stratégie de l’entreprise. « Parmi mes clients, je compte principalement des dirigeants et des managers mais aussi des entrepreneurs, des communicants et des start-upers » explique Annie Visco. « Je révèle et développe leurs talents tout en faisant en sorte de préserver leur bien-être ». En s’appuyant sur l’analyse de situations professionnelles concrètes, vécues au jour le jour par ses clients, Annie Visco oeuvre à mettre en lumière les ressources dont ils disposent et à leur faire comprendre que leurs limites, ils se les sont imposées eux-mêmes. « Beaucoup d’entre nous n’ont pas conscience de leur potentiel ou n’en utilisent qu’une infime partie » précise Annie Visco. « En tant que coach, mon rôle consiste alors à ouvrir, à élargir le champ des possibles en faisant éclore de nouvelles idées chez mes clients et émerger des solutions innovantes ». Mais pas question de se substituer à la personne que l’on coache. « En effet, la posture du coach diffère de celle du consultant. C’est pourquoi mon action vise à encourager mes clients à trouver en eux-mêmes leur propre vérité, leur propre style de management ». Le développement de la créativité : pierre angulaire d’un coaching réussi Scientifique de formation (dans une autre vie, elle a été géologue) et coach de métier, Annie Visco est également artiste-peintre à ses heures perdues. À la fois rigoureuse et flexible, cette coach accorde une grande importance à la créativité de ses clients, qu’elle les aide à développer. « L’idée » explique-t-elle, « c’est de les faire sortir du cadre, de leur (re)donner confiance afin qu’ils osent essayer de nouvelles façons de faire et bâtir un nouveau modèle qui leur convienne mieux. Souvent, nous craignons d’aller vers l’inconnu, vers ce que nous ne maîtrisons pas. Dans le cadre de mon accompagnement, j’encourage, au contraire, mes clients à sortir de leur zone de confort, à dépasser les limites qu’ils ne pensaient jamais pouvoir atteindre et à explorer - en toute sécurité - ces territoires qu’ils ont en eux mais où ils n’ont encore jamais osé s’aventurer ». Au final, ce véritable ’’voyage en terre inconnue’’ au cours duquel Annie Visco escorte ses clients permet à ceux-ci, à leur retour, de pouvoir compter sur une capacité d’adaptation accrue. Ils seront alors plus à même de savoir prendre les bonnes décisions au bon moment. Écouter, analyser, s’adapter Spécifique aux problématiques rencontrées par ses clients, la prestation que propose Annie Visco est véritablement « sur mesure ». Et pour cause, chaque cas de coaching étant unique, les raisons pour lesquelles ses clients s’adressent à elle sont multiples. Ils peuvent, par exemple, solliciter son expertise pour les aider à développer leur leadership et leur sens stratégique, à naviguer dans la complexité, à gérer les conflits, à prendre des décisions difficiles, à revoir leurs priorités, à apprendre à déléguer, à mieux organiser leur temps, à aborder une nouvelle fonction, à mieux appréhender le pouvoir, à sortir de leur isolement, à revoir leur posture, à développer la performance collective au service d'enjeux stratégiques, à baisser leur niveau de stress pour gagner en prise de recul et en efficacité, etc. « Je leur démontre, notamment, l’avantage du pouvoir ‘’avec’’ par rapport au pouvoir ‘’sur’’ » précise la fondatrice d’Avenir & Talents. Enfin, la demande d’un client e...
La passion du métier et l’amour de la vigne sont au cœur de l’ADN de la maison Breton et fils. Depuis près de 70 ans, ce vigneron indépendant et récoltant-manipulant puise dans les techniques traditionnelles héritées de ses aïeuls pour élaborer des champagnes au caractère affirmé. Des cuvées reflétant le raffinement à la française qui savent séduire les palais les plus exigeants. La diversité avant tout Implanté dans deux départements, sur les coteaux du Sézannais, en plein cœur de la côte des Blancs, Champagne Breton Fils mise sur la diversité de son terroir pour élaborer des champagnes qui réunissent tous les désirs gustatifs. Son vignoble de 16 hectares est réparti sur 11 communes, avec une présence sur les premiers crus et les grands crus. Cette implantation sur de nombreux villages et coteaux s’inscrit dans la stratégie qualitative prônée par la maison. Questionné sur ce point, l’actuel propriétaire, Reynald Breton, explique que « la démarche permet d’avoir un juste équilibre sur des sols argileux, des sols calcaires et des sols argilocalcaires rendant propice la culture du pinot noir, du chardonnay et du pinot Meunier. » Les vignes particulièrement chouchoutées donnent des champagnes inimitables construits sur l’élégance, la générosité et la minéralité. Les efforts sont menés dans l’objectif d’avoir des crus de qualité, sans pour autant faire l’impasse sur le respect de la terre et la préservation du patrimoine. « Nous adoptons la viticulture raisonnée depuis plus de dix ans, et nous avons entamé le processus pour détenir le label "haute valeur environnementale" », confie le vigneron. La responsabilité écologique n’est pas prise à la légère, pour que les vins livrent naturellement toutes les caractéristiques du terroir. Des cuvées pour toutes les envies Animée par l’amour du champagne, le respect des hommes et celui des valeurs ancestrales, la maison Breton Fils s’est engagée à élaborer des cuvées au plus proche des attentes des consommateurs. Les collections « Les classiques », « Les Cuvées spéciales » ou « Les Cuvées Grande Cave » s’adressent notamment aux clients locaux. Parmi les perles de la gamme « Les classiques », s’inscrit le Brut Tradition, composé à parts égales des trois cépages champenois. Ce champagne à la robe jaune légèrement pâle, aux notes florales en nez, avec une bouche structurée et élancée, sera le compagnon idéal d’un dessert gourmand comme une tarte aux poires amandines, un opéra ou une charlotte au chocolat. Les adeptes de vins monocépages seront charmés par le caractère gourmand et complexe du Blanc de blancs Brut à 100 % de chardonnay. Ses notes pâtissières et sa douceur florale le rendent parfait pour accompagner un feuilleté de ris de veau, des huîtres ou un crémeux de homard. Afin de satisfaire sa clientèle à l’international, l’entreprise a aussi créé des marques pour différents marchés. La cuvée BRUUT, par exemple, est proposée exclusivement aux Pays-Bas. Idem pour la marque de luxe De Roval, qui est présente davantage à l’export. « Nous voulons partager notre passion et notre savoir-faire, et faire rayonner l’art de vivre à la française partout dans le monde. Nous sommes présents sur tous les continents », déclare Reynald Breton. ...
BPN a été créé en 2007 dans le dessein de construire un climat favorable à l’essor et à la compétitivité des entreprises adhérentes. Le conseil d’administration composé de 19 « patrons » bretons sous la houlette de son Président Bruno Pivain, industriel breton, coordonne les activités du cluster, imagine des solutions factuelles et efficaces afin de « répondre au mieux aux besoins des membres », selon les propos d’Anne-Marie Cuesta, la déléguée générale de BPN. Pour ce faire, le cluster élabore des axes stratégiques relatifs au renforcement de la performance des entreprises pour rester compétitives sur le marché national et international, le renforcement des capacités des ressources humaines à travers les formations, la facilitation de l’accès aux outils industriels et portuaires pour faire-valoir les entreprises. Sous l’impulsion d’un conseil d’administration proche des entreprises, de multiples actions convergentes sont mises en œuvre et notamment pour la promotion de la marque lancée par le cluster, les « shelti Breiz » des containers 100% Breton et très innovants. Parmi les actions phares de BPN, citons les BtoB organisés régulièrement, là aussi le modèle du cluster a fait école et ce n’est aujourd’hui pas moins de 2 business booster par an qui sont organisés par et pour les entreprises, mais BPN c’est également une veille commerciale quotidienne qui s’est soldée en 2017 par « 60 327 alertes envoyées aux entreprises, pour 688 appels d’offres » selon la déléguée générale. Sans oublier l’évènement phare, PRO&MER le 1er salon de l’emploi et de la formation aux métiers de la Mer, car pour le cluster les compétences sont l’atout 1er des entreprises dans l’optimisation de la compétitivité. Un cluster « tête », deux commissions « supports », trois clusters « piliers » Au bout de plus de dix ans d’existence, BPN a largement dépassé le domaine de la construction, de la réparation et de la conversion navale. Aujourd’hui, cette branche qui prend également en charge les navires et les équipements militaires de défense représente l'un des piliers qui composent BPN. L’année 2012 a été marquée par le lancement de la seconde branche : les énergies marines renouvelables ou EMR. Il s’agit encore d’une « filière en devenir », pour reprendre les termes de son président, « tout est à faire, à créer, à inventer pour développer cette nouvelle filière, notre plus grande difficulté étant d’obtenir de la part des décideurs au plus haut niveau une vision industrielle de ce que vont être les EMR ». Le Président et le vice-président du cluster EMR déplorent de devoir « rester plus dans l’information que dans l’action » dans la mesure où la concrétisation des activités inscrites dans cet axe devra s’accompagner de dispositions gouvernementales. Toutefois, la branche compte déjà 140 entreprises prêtes à se lancer et qui participent pleinement à toutes les initiatives mise en place par BPN. 2014 a été l’année d’une 3ème naissance, celle du cluster Oil and Gas petit dernier de la fratrie mais qui a su rattraper en moins de 3 ans ses deux ainés avec pas moins de 120 entreprises. Le dynamisme du petit dernier est sans nul doute dû au binôme constitué d’un duo de choc qui n’hésite pas à faire bouger les lignes, la marque Shelti Breizh c’est eux ! Prônant le pragmatisme industriel comme principale approche et méthodologie de travail, BPN incite chaque sous-cluster à élaborer une stratégie, un plan d’action, des actions et du résultat. Il appartient aux présidents et aux vice-présidents de chaque branche de mettre tout en œuvre et de coordonner les actions pour obtenir le résultat escompté dans les délais impartis. D’ailleurs, Anne-Marie Cuesta insiste sur cette coercition de résultat à laquelle « le conseil d’administration est tr&e...
Le Théâtre de l’Aquarium est l’une des 5 structures culturelles (lire ci-contre) de ce lieu-dit « La Cartoucherie » (nom d’origine). Il jouit de cet espace culturel exceptionnel, lové à la lisière du bois de Vincennes, dans une ancienne enceinte militaire dédiée à la fabrication de cartouches et transformée en lieu culturel dans les années 70. Depuis, ce site unique au monde est définitivement consacré aux arts de la scène. Les fondateurs de l’Aquarium, Jean-Louis Benoit, Didier Bezace et Jacques Nichet, ont marqué les grandes heures d’un théâtre engagé, avec des créations collectives subversives marquant cette époque en pleine mutation sociale et culturelle. En 2002, Julie Brochen prend la succession et rompt avec cette pratique en privilégiant des œuvres d’auteurs classiques majeurs qu’elle affectionne. C’est en 2009 que François Rancillac, actuel directeur de l’Aquarium, auteur et metteur en scène, en prendra la tête. Il y défend la création et les écritures théâtrales, d’ici et d’ailleurs ; d’hier et d’aujourd’hui. Il invite des artistes en résidence, Aurélie Van Den Daele et La Revue Éclair. Ensemble, ils revendiquent un théâtre d’art de service public, ouvert et généreux, de plain-pied avec le réel, toujours en quête de nouveaux spectateurs (notamment les jeunes). Un théâtre en questions au plus proche des réalités Alors que ses 50 ans ont été fêtés en 2015 avec une pièce documentaire écrite par François Rancillac, L’Aquarium, d’hier à demain, le théâtre de l'Aquarium poursuit son aventure théâtrale avec des saisons rythmées par des fils rouges. Cette saison 2016/2017 s’intitule « Fictions réelles » et convoque l’imaginaire pour inventer, rêver, créer la société d’aujourd’hui et lutter contre ses démons. Place à l’imaginaire, seul apte à transformer humainement le monde ! En mars, avec Les Métamorphoses d’après Ovide et Les contes d’Ovide de Ted Hughes mis en scène par Aurélie Van Den Daele, les histoires humaines et bestiales, oniriques et réelles, se raconteront dans un espace festif, populaire et cathartique. L’humanité se révèle ainsi avec ses passions, sa cruauté, ses excès et ses folies meurtrières. Les habitants du bois, grande fresque bucolique et politique, présentée en avril, sera conçue par la Revue Éclair, qui a arpenté durant plusieurs mois le bois de Vincennes. Corine Miret et Stéphane Olry vous raconteront, en 7 la « révolte du bois de Vincennes », une des plus passionnante tentative d’une part de l’humanité d’inventer un autre monde: la transformation du bois de Vincennes en une sorte de ZAD (zone à défendre) ou forêt de Sherwood. Des chroniques dans lesquelles le spectateur pourra s’immiscer en chantant, dansant, mangeant… selon les envies. L’Aquarium musical La musique ponctue la saison théâtrale de rendez-vous classiques et contemporains. Le quatuor à cordes Leonis propose de (re)découvrir les grands chefs-d’œuvre classiques lors de brunches-concerts dominicaux. L’ensemble de musique contemporaine Aleph vous fera goûter les plaisirs de la musique des XXe et XXIe siècles, avec buffets et collations à l’appui ! Théâtre de partage À la mi-juin, le « Festival des écoles nationales du théâtre public », 8e édition, se déroule à La Cartoucherie, à l’initiative de l’Aquarium. À travers leurs « spectacles de sortie » conçus par de grands metteurs en scène, les comédiens en formation dans les écoles supérieures de théâtre (françaises et étrangères) feront leurs premiers pas de futurs professionnels devant le « milieu » et vous, spectateurs : l’entrée est libre ! Tout au long de l’année, des amateurs de théâtre, néophytes ou aguerris, et des apprentis-comédiens des conservatoires franciliens peuvent éprouver leurs talents de comédiens sur scène en réinventant...
Un espace de vie moderne « Espace & Vie a été créé en 2006 autour du projet novateur des résidences services pour seniors, non médicalisées, nous confie Anne-Laure Pichon Villat, chargée de communication du groupe. Nous nous adressons aux personnes âgées qui ne désirent plus vivre chez elles et qui souhaitent bénéficier d’un espace de vie fonctionnel et des services à la carte. » Les résidences proposent des appartements modernes et fonctionnels adaptés aux seniors, notamment les personnes à mobilité réduite. Les résidences Espace & Vie offrent un cadre de vie serein et convivial grâce aux animations quotidiennes, l’accès à l’espace beauté et détente, la blanchisserie, la restauration avec des menus confectionnés par les cuisiniers de la résidence… Un accompagnement personnalisé Les résidences Espace & Vie mettent les compétences et le dévouement de toute une équipe, pour garantir une qualité de service et une sécurité permanente. Espace & Vie propose un accompagnement personnalisé incluant la présence d’un personnel disponible 24h/24 et 7j/7, un bracelet d’appel d’urgence pour être aidérapidement n’importe où dans la résidence, un service de coordination médicale, l’aide administrative… Les résidents qui en ont besoin peuvent aussi bénéficier de l’aide à la personne pour être assisté dans les gestes de la vie quotidienne ...