Ayruu est un concept mis en place par Trigone Tech, une start-up créée en 2015. Il a été lancé, en 2017, par Sandrine Wu Jye et Nicolas Feuillade. « Ayruu est venu d’une idée à la suite d'une expérience vécue lors d’un voyage », explique Nicolas. Cette application mobile fait appel aujourd’hui à la technologie moderne qu’est l’intelligence artificielle (I.A). « On a pensé avant tout en concevant cette application aux entreprises », souligne les co-fondateurs. Des fonctionnalités très pratiques Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, cette application va considérablement simplifier les déplacements des voyageurs. Cela passe nécessairement par un accès direct à des informations essentielles. En quelques clics, le voyageur pourra, par exemple, connaître le meilleur moyen de se déplacer d’un point A à un point B tout en sachant la distance, la durée du trajet et le coût. Avec Ayruu, le voyageur pourra également « s’affranchir » de toute une multitude d’applications. Aujourd'hui on a besoin d’avoir une application pour chaque compagnie aérienne pour pouvoir utiliser sa carte d’embarquement. En intégrant directement la carte d’embarquement avec le code-barres dans l’application, l’utilisateur pourra passer tous les contrôles, et ce, pour n’importe quelle compagnie aérienne. Cette application mobile, téléchargeable sur les stores (Apple puis Android), est aussi intéressante pour les entreprises qui cherchent à optimiser le déplacement de leurs salariés. « À travers Ayruu, les entreprises ont accès à une plate-forme d’administration qui permet de gérer certains paramètres de déplacement », selon encore les co fondateurs. En optant pour cette solution, l’entreprise réalise à la fois un gain de temps et d’argent. Elle assure dans la foulée la sécurité de ses salariés ainsi que la confidentialité des données. En février 2018, Trigone Tech lancera la nouvelle version de son application mobile. « Elle permettra de toucher tous les voyageurs d’affaires que ce soit M. ou Mme lambda ainsi que les entreprises », souligne Nicolas. ...
Des prestations de coaching et de formation adaptées aux besoins de chacun Parce que chaque entreprise est unique et se voit confrontée à des problématiques qui lui sont spécifiques, il est essentiel de les accompagner différemment. « Aucun des programmes d’accompagnement que nous mettons en place, qu’il s’agisse de coaching ou de formation, n’est identique » précise Isabelle Charvin, Directeur Général associée de Neocoach. « Une entreprise a des besoins qui ne sont pas les mêmes que ceux d’une autre. Et ces besoins sont susceptibles d’évoluer avec le temps. L’expérience de nos équipes - chaque coach de Neocoach a occupé, à une moment donné de sa carrière professionnelle, des fonctions de direction ou de management - leur permet de s’adapter rapidement à leur interlocuteur ». En fonction des besoins qui auront été identifiés, les équipes de Neocoach endosseront leur costume de « consultant, de formateur ou de coach ». Les stratégies qui seront mises en place seront parfaitement adaptées. « Si l’on devait comparer le coaching et la formation à l’industrie textile, chez Neocoach, nous ferions du ‘’sur-mesure’’… avec du design créatif » explique Isabelle Charvin. « Nos programmes sont uniques. C’est à dire qu’ils sont conçus au cas par cas, de sorte qu’ils puissent répondre précisément aux besoins managériaux spécifiques de chacun de nos clients : un manager qui souhaite réussir sa prise de poste, un dirigeant qui désire développer son leadership ou faire franchir un cap à son entreprise, des problématiques de conflits d’équipes à gérer, la recherche d'efficacité des équipes de direction mais aussi de commerciaux à améliorer… Les demandes que l’on nous adresse sont très diverses. Et s’y adapter nécessite une grande agilité ». Une approche qualitative et centrée sur les résultats S’appuyant à la fois sur le vécu professionnel de ses équipes - parce qu’ils ont tous été, dans une vie antérieure, des dirigeants ou des managers, les coachs de Neocoach savent de quoi ils parlent - et sur la solidité de la formation qu’elles ont reçue - Isabelle Charvin ainsi que tous ses affiliés sont certifiés ICF -, Neocoach dispose de nombreux atouts pour accompagner efficacement les dirigeants qui ont recours à son expertise. « Notre objectif, c’est d’avancer avec nos clients avec efficacité mais aussi avec plaisir » précise-t-elle. « Notre rôle consiste à les aider à gagner en confiance et à faire émerger leurs solutions gagnantes. En tant que coachs, nous ne devons pas fournir de réponses ‘’toutes faites’’ à nos clients mais, au contraire, faire en sorte qu’ils trouvent en eux les réponses aux questions qu’ils se posent ». En effet, un coach - s’il est compétent, qu’il a suivi une formation sérieuse et qu’il respecte les règles de déontologie qui s’appliquent à son activité - évitera de se substituer à la démarche de son client mais mobilisera les ressources de ce dernier. « D’ailleurs » ajoute Isabelle Charvin, « ces réponses, ce sont nos clients eux-même qui sont le plus à même de les trouver ». ...
Vous souhaitez vous épanouir professionnellement ? Gérer vos tâches quotidiennes de façon plus efficace, prendre de nouvelles responsabilités, développer votre leadership, définir et mettre en œuvre un plan d’action ? Le cabinet proactif Ressources, met à votre disposition un service aussi performant que novateur. Un coaching professionnel pour accélérer la réussite de ses projets En tant que spécialiste du développement de l’efficacité professionnelle, du management de carrière et du bien-être au travail, ProActif Ressources est en mesure de répondre aux attentes des managers, dirigeants et porteurs de projet. En s’appuyant sur l’expertise de sa créatrice, Véronique Sanna, et d’un réseau solide de spécialistes et partenaires, ProActif Ressources propose des parcours d’accompagnement individuels et collectifs autour des services du coaching, de la formation et du mentorat. Mieux se connaitre pour réussir Tout commence par une phase de diagnostic, étape indispensable pour comprendre ses modes de fonctionnement et identifier les freins qui compromettent la réalisation de ses projets ou celle des équipes. La force de l’accompagnement réside dans l’utilisation, de méthodes et outils reconnus scientifiquement. Ils sont issus des dernières recherches en neuroscience basées sur le mécanisme de la pensée (biais cognitifs) qui permettent d’évaluer l’incidence des raisonnements sur les émotions et les comportements productifs et contreproductifs. De plus, l’approche en coaching cognitif (travail sur les croyances limitantes) et comportemental (centré sur l’atteinte d’objectifs opérationnels) s’avère être un véritable atout pour accompagner la conduite du changement et évoluer avec plus de sérénité dans des situations complexes. Comment se déroule la prestation ? Pour ceux qui souhaitent aller au-delà du diagnostic, qui comprend une séance de débriefing 1 h 30, il est possible de s’entrainer à agir et interagir avec son environnement. Dans ce cadre, un parcours d’accompagnement personnalisé est proposé. Son objectif : vous permettre d’élaborer et de mettre en œuvre un plan d’action tant pragmatique qu’opérationnelle en vous guidant sur le chemin de la réussite de votre évolution et de votre performance. Le parcours varie de 8 à 10 séances de 1 h 30 environ. Un coaching bref de 4 à 6 séances peut aussi être envisagé selon la demande et vos besoins. Les séances se déroulent dans les locaux de ProActif Ressources, en visio, ou encore par téléphone selon vos souhaits et disponibilités. Booster son efficacité, développer son intelligence émotionnelle, gérer son stress, manager sa carrière, transmettre son patrimoine professionnel : voici quelques champs d’actions de ce cabinet de coaching. ProActif Ressources s’engage au quotidien à vos côtés pour vous permettre de libérer votre potentiel et de réaliser vos plus beaux projets. ...
Un mastodonte de l'événementiel à l'international GL events est l’acteur principal quant à l’organisation d’événements au niveau mondial. Il assure un leadership incontesté dans le domaine et bénéficie de la confiance des grandes institutions internationales pour assumer la coordination de leurs principaux rendez-vous. Parmi le millier d’événements que le groupe orchestre chaque année, on compte l’organisation des trois dernières Conférences des parties (COP), dont celle de Paris qui a été un succès salué internationalement, ainsi que les derniers Jeux olympiques au Brésil. Le groupe s’est aussi illustré en participant à la mise en place du Festival de Cannes et celle de la dernière Coupe du monde de Rugby. « Fort de cette activité internationale, GL events venues a constitué un réseau d’une quarantaine de sites dans le monde entier, de São Paulo à Budapest, en passant par La Haye ou bien Barcelone, offrant une solution unique multi-destinations à nos clients. », confiait récemment à la presse Christophe Guérin, Directeur général Destination Paris chez GL events. C’est de la volonté de repositionner la capitale française à cette longue liste de destinations prémiums qu’est né Paris Venues. Des cadres historiques uniques pour vos événements Pour offrir un choix d’emplacements à l’identité marquée à ses clients, Paris Venues a réuni cinq lieux emblématiques et chargés d’histoire au cœur de la ville lumière. L’Espace événement et le Pavillon de la Chesnaie du Roy du Parc Floral de Paris, lieu idéal pour accueillir des événements de plein air dans un cadre de nature et de verdure, La Maison de la mutualité, site légendaire de la rive gauche et le Paris Event Center, considéré comme un espace moderne et tendance. À cette liste, s’ajoute le Palais Brongniart, anciennement Palais de la Bourse, monument napoléonien phare du XIXe siècle. Chaque lieu à sa spécificité et est complémentaire des autres. Ils offrent chacun un cadre subtil et particulier pour la réussite de l’organisation d’événements et laisseront un souvenir impérissable dans la mémoire des visiteurs. « Plutôt que d’avoir des sites isolés, on a décidé de les réunir pour faciliter l’accueil des participants. Cela leur permet d’obtenir une diversité et une complémentarité. Sur une destination parisienne très prisée et très concurrentielle, on a une capacité d’accueil de 15 000 personnes et la possibilité maintenant d’accompagner un même client sur tous nos sites », explique Fanny Gautier, Responsable Communication Destination Paris. Pour répondre aux besoins croissants d’une clientèle variée et toujours plus exigeante, GL events Paris a mutualisé et augmenté sa force de vente en créant une direction générale spécifique pour la destination Paris dans le but de présenter beaucoup plus de solutions que les sites seuls ne pouvaient le faire auparavant. « D’une réunion de 10 à 2 000 personnes, en passant par une convention interne, un salon d’enseigne ou un dîner de gala, GL events Paris Venues possède forcément une solution adaptée aux besoins de ses clients. En fonction de leurs attentes, nous pouvons proposer une offre sur mesure ou packagée. Pour les participants, c’est l’assurance d’un vrai confort mais c'est aussi d'une grande facilité et simplicité dans l’organisation des réservations avec un seul interlocuteur », poursuit Christophe Guérin. ...
Depuis sa création en 1964, la CFDT s’est battue pour obtenir des droits nouveaux pour les salariés, pour construire une France plus juste et plus équitable. La CFDT s’est toujours impliquée dans l’accompagnement des salariés pour une rémunération plus juste, pour améliorer les conditions de travail, pour réduire les inégalités, pour augmenter la solidarité, pour créer des droits nouveaux et renforcer ceux existants, pour sécuriser le travail. Et, surtout, a toujours placé les salariés au cœur des projets et des activités des entreprises, plutôt que de s’en servir comme variable d’ajustement. Le but de la CFDT est de rendre les entreprises plus performantes au niveau social, économique et environnemental. La CFDT revendique le dialogue social, car pour la confédération, il est toujours préférable de discuter, négocier plutôt que de provoquer le blocage et d’entrer dans le conflit. Ainsi les bonnes idées et les bonnes volontés sont mises en commun pour améliorer la performance économique de l’entreprise, en préservant l’emploi, en améliorant les conditions de travail et le pouvoir d’achat des salariés. Elle préfère avancer pas à pas afin d’obtenir des avancées significatives pour tous les salariés. La CFDT agit à plusieurs niveaux : État, branches professionnelles et entreprises. Depuis cinquante ans, de nombreuses avancées pour les salariés… Ces dernières années, la CFDT a obtenu de nouveaux droits pour tous les salariés. En voici quelques exemples. En 2003, la CFDT obtient la prise en compte des carrières longues lors de la réforme des retraites. Ainsi, tout salarié qui a commencé tôt sa carrière peut partir en retraite à 60 ans. Lors de la mise en place de la loi sur la modernisation du marché du travail en 2008, la CFDT a milité pour la rupture conventionnelle du CDI. Cette disposition permet à l’employeur et au salarié de convenir d’un commun accord de la rupture du contrat qui les lie. Depuis janvier 2015, chaque salarié a droit à un compte personnel de formation pour renforcer ses compétences tout au long de sa vie professionnelle. Ce compte permet de développer les niveaux de qualification et de sécuriser les parcours professionnels. Une autre mesure longtemps revendiquée par la CFDT est venue enrichir les droits des salariés ces dernières années. C’est la mise en place du compte pénibilité. Ce système permet aux salariés travaillant dans des conditions jugées difficiles de partir jusqu’à deux ans plus tôt à la retraite. … et encore en 2017 En 2017, la CFDT continuera à accompagner les avancées sociales et à défendre les intérêts des salariés tant au plan national que régional, tant au niveau des branches que des entreprises. Par exemple, la CFDT se mobilise pour une nouvelle avancée sociale : la généralisation de la prévoyance lourde. En effet, elle désire que chaque salarié soit bénéficiaire d’un grand nombre de garanties au niveau de sa complémentaire santé, notamment concernant les arrêts de travail, le décès, l’incapacité de travail ou l’invalidité. ...
Le numérique, un levier essentiel pour le développement. C’est partant de ce postulat que la Communauté de l’Agglomération Maubeuge-Val de Sambre décide de lancer plusieurs projets destinés à dynamiser le tissu économique local. Création d’un portail marketing territorial, déploiement de la fibre optique, ouverture d’une agence de numérique, développement du pôle de compétences Cybersécurité et Cyberdéfense font partie ainsi des actions menées et considérées comme des clés de l’attractivité territoriale. Une cartographie économique du territoire Dans le cadre de la promotion du territoire, la CAMVS a entamé une démarche de marketing territorial visant à renforcer et développer l’image du territoire par la mise en place d’outils innovants et pertinents. Aujourd’hui, l’agglomération connaît en effet un manque de lisibilité et de visibilité face à ses partenaires et concurrents. « A partir de plusieurs indicateurs, nous nous sommes rendus compte que l’image de la CAMVS auprès des investisseurs, des acteurs économiques et même une partie de la population locale n’était pas aussi positive qu’on le voudrait. Pour retourner cette image, il fallait avoir une politique très volontariste pour valoriser nos atouts » explique Benjamin Saint-Huile, le Président de l'Agglo. La création d’un portail de marketing territorial a ainsi constitué pour les élus, la réponse la plus pertinente et la plus efficace pour résoudre ce manque de lisibilité. « Cette plateforme a pour objectif premier de valoriser les entreprises du territoire » spécifie notre interlocuteur. Terre de travail et d’innovation, l’agglomération est très prisée des entreprises par la qualité des travailleurs ainsi que par son positionnement stratégique au centre des grandes entités urbaines. Le territoire essentiellement industriel a été choisi par de grands groupes internationaux pour y implanter leurs activités pour ne citer que Vallourec dans le domaine de la métallurgie ou MCA dans le secteur de l’automobile. Le Président fait d’ailleurs savoir « qu’en termes de chiffres, nous sommes le territoire avec la plus forte activité industrielle en Haut de France». Forte de ses leviers, la CAMVS veut valoriser son tissu économique en développant ses services en direction de potentiels investisseurs. Elle mise sur son nouvel outil numérique pour optimiser son attractivité. « Avec ce nouveau site, notre idée n’est pas seulement de montrer que nous avons du foncier ou des compétences disponibles. Nous voulons aller beaucoup plus loin qu’une simple présentation du tissu économique local. » D’où la mise en place de la notion de « package ». A travers la plateforme, l’agglomération veut présenter toute une offre globale qui donnerait envie aux investisseurs de venir. Elle réunit ainsi de nombreux services et informations autour du logement, des politiques sportives et culturelles, des offres de soins etc. Un important volet consacré à la formation a également été mis en place. Maubeuge est un territoire expérimental sur le sujet puisqu’il est le premier à avoir créé en France un Groupement d’Intérêt Public regroupant au sein d’une même entité, toutes les structures liées à l’emploi, la formation et l’insertion (Maisons de l’emploi, Missions locales etc.). Au sein de cette agence territoriale des ressources humaines, toutes les offres proposées par les entreprises sur ces champs de l’emploi, de la formation et de l’insertion sont disponibles. « Ce portail constitue en définitif le réceptacle de nos différentes politiques. En tant que notre ambassadeur, il va développer notre attractivité et montrer que notre territoire est connecté » insiste Benjamin Saint-Huile. Agence du numérique et formation sur la cybersécurité Pour faire valoir son statut de « territoire connecté », la CAMVS entame un autre grand projet : celui du déploiement de la fibre optique. « L’objectif est de couvrir l’ensemble du territoire d’ici trois ans...
La supervision, garantie d’un coaching de qualité Si la formation que reçoit un coach professionnel est importante, la supervision dont il fera l’objet tout au long de sa carrière l’est tout autant. « L’idée, c’est de favoriser un travail sur soi mais aussi en soi du professionnel (coach, formateur, consultant, éducateur, etc.) qui accompagne son client » explique Martine Volle, fondatrice de Present Consulting, sa société qui propose, depuis plus de 20 ans, des prestations de coaching et de supervision. « Par le biais d’un dialogue réflexif mais aussi d’un apprentissage collaboratif, la supervision permet ainsi de réfléchir sur soi-même et de prendre du recul, tout en restant dans un cadre professionnel ». Car pour être en mesure de dispenser un accompagnement efficace, un coach doit pouvoir évoquer, lors de ses séances de supervision, les éventuelles difficultés qu’il rencontre. Il doit également s’efforcer d’analyser son ressenti et de questionner son geste professionnel. « Dans le cadre de mon activité de supervision » précise Martine Volle, « j’interviens à différents stades. Au niveau du geste professionnel de l’accompagnant, c’est à dire de sa façon de faire, qu’il s’agisse des outils qu’il utilise, des compétences qu’il met en oeuvre ou encore des règles éthiques qu’il doit respecter. Mais j’aide également l’accompagnant à être en parité tout en gardant une juste distance avec son client, à ne pas trop s’impliquer et garder conscience des risques de ‘’transferts’’, de projections ou de reflets sur lui. Un coach n’est pas une machine mais un être d’émotions. Et s’il se fait happer par la situation de son client, un coach risquera de perdre son discernement. Et son accompagnement perdra en efficacité… ». En veillant sur la sécurité morale de l’accompagnant et en vérifiant que son geste est correctement effectué, le superviseur s’assure donc que le coach est toujours apte à accompagner ses clients. De plus en plus d’accompagnants veulent se former à la supervision Conscients du rôle capital que joue la supervision dans tout processus d’accompagnement, un nombre croissant de professionnels franchissent désormais la porte de l’école IDSUP, l'Institut du Développement de la Supervision que Martine Volle a ouverte, il y a quatre ans de cela. « Les motivations des accompagnants qui décident de suivre la formation que je propose sont diverses » explique Martine Volle. « Certains jouissent d’une certaine séniorité dans leur métier et sont régulièrement sollicités pour du mentoring. Ils décident alors de se professionnaliser et de développer des compétences spécifiques de supervision. D’autres ne souhaitent pas nécessairement devenir superviseurs lorsqu’ils s’inscrivent à ma formation. Mais ils estiment à juste titre, d’ailleurs - que cette démarche les aidera à prendre du recul par rapport à leur propre pratique professionnelle. Enfin, parmi les participants, je compte des personnes qui, sans être coachs, accompagnent tout de même des processus de changement dans des entreprises et veulent réfléchir à ces processus ». À l'issue de leur formation, les alumni, devenus superviseurs certifiés, peuvent entrer dans la Community IDSUP qui favorise la R&D sur la supervision. ...
Depuis quelques années, la Nouvelle-Aquitaine s’est particulièrement intéressée au sort des start-up qui affluent ou se créent dans la région. Cet intérêt s’est notamment manifesté pour les aider à franchir la phase de scale-up (changement d’échelle arrivant généralement après 10 à 20 salariés). Lorsque la demande s’accélère, que l’activité prend de l’ampleur, les entrepreneurs doivent faire face à de multiples questions et problématiques d’ordre stratégique, humain, financier, juridique, ou technique auxquels ils ne sont pas toujours préparés. Objectifs et missions Up Grade Nouvelle-Aquitaine a pour mission d’accompagner les start-up à fort potentiel, en situation d’hypercroissance, ayant pour ambition de se développer à l’international. Pour ce faire, Up Grade NA se dote d’une équipe de conseillers très expérimentés appuyés par différents experts et chefs d’entreprises pour évaluer, conseiller et accompagner les entreprises sélectionnées pour le programme. « Dans cette phase de changement d’échelle, nous faisons en sorte que les entreprises ne tombent pas dans les pièges juridiques, stratégiques ou financiers, et qu’elles puissent définir les stratégies adéquates pour se déployer à grande échelle »,explique Perrine Laquèche, directrice d’Up Grade NA. C’est pourquoi les axes de travail sont orientés autour de trois dimensions majeures : les aspects marketing et commerciaux, la structuration de l’entreprise (talents et RH, qualité, production, juridique etc.), le pilotage et le financement des activités. Un accompagnement en deux volets Le programme d’accompagnement s’étend sur 12 mois. Pendant cette période, chaque dirigeant d’entreprise sera amené à échanger avec un start-up manager expérimenté qui se positionnera en tant que sparring-partner. Cet accompagnement individuel intensif va inciter l’entrepreneur à prendre du recul pour réfléchir sur ses réelles ambitions et effectuer un diagnostic sur la situation de son entreprise. Les rencontres entre les deux parties s’effectuent 3 à 4 fois par mois dans le but d’établir les programmes d’actions prioritaires basés sur les besoins de l’entreprise.« L’accompagnement récurrent et régulier permet de rompre notre solitude de créateur d’entreprise : partager nos préoccupations et questionnements, les difficultés, et croiser nos expériences avec d’autres entrepreneurs , explique Jean-François Létard, dirigeant d’OLIKROM, une des start-up accompagnée, de 14 salariés, dont 50% du business se fait à l’international. L’accompagnement d’Up Grade NA inclut également des séances d’ateliers collectifs avec des experts et des échanges entre les dirigeants d’entreprise. « Une réunion collective s’effectue une fois par mois dans l’objectif de croiser les expériences et de favoriser les échanges entre entrepreneurs autour de thématiques clés. C’est une approche très opérationnelle et stratégique », fait savoir la directrice. ...
Un cabinet de conseil en technologie à échelle étudiante Les Junior-Entreprises ont le vent en poupe ! Implantées dans des établissements d’enseignement supérieur (écoles de commerce, d’ingénierie, etc.), ces associations permettent aux étudiants qui les rejoignent de mettre leurs connaissances en pratique. « Par le biais de notre Junior-Entreprise, les étudiants de l’Estaca (École Supérieure des Techniques Aéronautiques et de la Construction Automobile) peuvent répondre aux besoins des clients » explique Daniel Braïk, président de la Junior-Entreprise de l’établissement du même nom. « Ils interviennent principalement sur des problématiques d’ingénierie dans les domaines de compétences de l’Estaca que sont l’aéronautique, l’automobile, les transports ferroviaires et l’industrie spatiale. Mais à terme, nous envisageons de diversifier notre offre en proposant de l’information mais aussi du conseil ». Une large palette de clients Parmi les clients auxquels Junior Estaca fournit des solutions aussi novatrices qu’efficaces figurent essentiellement des grands groupes mais aussi des entrepreneurs. « Nous travaillons avec Airbus pour l’aéronautique, avec PSA et Jaguar, notamment, pour l’automobile et avec la SNCF pour tout ce qui touche au ferroviaire » précise Daniel Braïk. « Pour autant, notre clientèle compte de plus en plus de startupers qui souhaitent que nous les aidions à créer puis à développer des projets technologiques ». Si un nombre grandissant de clients font désormais appel aux Junior-Entreprises, en général, et à Junior Estaca, en particulier, c’est parce que ces structures ne manquent pas d’atouts. Faire rimer flexibilité, qualité, créativité et réactivité En choisissant de faire appel à ses services, les clients de Junior Estaca savent qu’ils pourront profiter de nombreux avantages. « Tout d’abord, nous faisons preuve d’une grande souplesse d’organisation » précise Daniel Braïk. « Nous pouvons faire intervenir des équipes d’étudiants sur des domaines variés et pour des durées flexibles. Nos missions durent généralement entre deux et dix mois. De plus, le fait que nous puissions nous appuyer sur le vivier de jeunes talents que forment les étudiants de l’Estaca nous permet de proposer des solutions à la fois innovantes et créatives ». L’aspect financier joue également en faveur de Junior-Estaca. En effet, s’agissant d’une association à but non lucratif, les tarifs pratiqués par les Junior-Entreprises sont généralement intéressants. « Notre statut associatif nous permet d’être économiquement compétitifs » indique Daniel Braïk. « C’est une combinaison de tout ça (créativité, flexibilité, compétitivité) qui fait que nos clients nous choisissent ». Enfin, parce que les Junior-Entreprises sont rigoureusement encadrées - au sein de la Confédération Nationale des Junior-Entreprises, notamment - et régulièrement contrôlées, les entreprises qui font appel à elles ont la garantie de bénéficier de prestations de qualité. La Junior-Entreprise : un système « gagnant-gagnant » S’ils choisissent de faire confiance à Junior Estaca pour les accompagner dans leurs projets, grands groupes, TPE/PME et startupers pourront bénéficier, nous l’avons vu, de tout un arsenal d’avantages comme des solutions innovantes, des tarifs attractifs, une organisation d’une grande souplesse, des prestations de qualité et une réactivité importante. Mais il est intéressant de souligner que les avantages sont également du côté des étudiants eux-mêmes. Car si les Junior-Entreprises sont des associations à but non lucratif, elles sont aussi à vocation pédagogique. En rejoignant Junior Estaca, un étudiant pourra ainsi profiter d’une passerelle vers la vie active. Il mettra en pratique ses connaissances, affinera ses compétences, en développera de nouvelles, valorisera son expérience et prendra contact avec de futurs clients/employeurs potentiels. Pour toutes ces rais...
Coaching « professionnel » : un adjectif à double sens Le coaching se développe à la faveur d’une demande croissante. Ce terme regroupe néanmoins des acceptions innombrables, ce qui rend la sélection d’un coach ardue – Face à cette multiplicité d’offre, la société Différence COACHING à Strasbourg a choisi un positionnement clair, dans une optique résolument professionnelle et s’adresse à une clientèle ciblée. Les termes « coach » et « coaching » ne sont en effet pas vraiment protégés : ils ne définissent pas précisément le profil, le contenu, ou le niveau de qualité de la prestation. Passé le premier tri entre coaching de vie et coaching professionnel (qui vise des objectifs d’ordre professionnel), la formation suivie ainsi qu’une certification reconnue s’imposent comme deux premiers critères de sélection, garants de la professionnalité dans cette pratique (en particulier par le respect d’une éthique et d’une charte). S’agissant d’un coaching effectué dans le cadre ou à des fins professionnels, quels autres critères une entreprise peut-elle considérer dans le choix d’un prestataire ? La qualité de la relation entre manager et coach, devrait être l’un de ces critères : celle-ci suppose la compréhension fiable et précise des tenants et aboutissants du milieu professionnel, du contexte donné et de la situation, aspects qui contribuent à la crédibilité professionnelle du coach. Ces aspects contribuent selon Alexandre Bouriant coach professionnel et créateur de Différence COACHING, à l’établissement possible d’une relation de confiance mutuelle qui contribuera grandement à l’efficacité d’une mission, en particulier quand cette dernière est commanditée par une entreprise et non par le manager lui-même. L’impact des cultures professionnelles dans la relation de coaching Vous l’avez sûrement remarqué : quand vous parlez avec quelqu’un venant de votre milieu professionnel, la « proximité » ressentie permet d’atteindre immédiatement une communication privilégiée. Une fois celle-ci installée, la part exprimée du dialogue se réduit à ce que l’on peut comparer à la partie visible d’un iceberg. Par contre, la partie immergée (sous-entendus, expériences vécues) qui contient une foule d’informations transmises de façon implicite, est souvent porteuse du sens profond et des aspects clé. Ce niveau de communication repose sur un bagage culturel professionnel commun aux interlocuteurs (études, milieu professionnel, spécialité, fonction, etc.). En face du coaché, s’il ne dispose pas de ce bagage proche de son client, le coach sera démuni de repères adéquats. Il lui manque alors des informations pour accéder à une perception fiable et complète du contexte professionnel et du ressenti de la personne coachée. L’efficacité de l’intervention du coach s’en trouve, de fait, limitée. De cette compétence communicative du coach par sa proximité culturelle avec le coaché, dépendra donc l’existence et l’étendue du dénominateur commun découlant de leurs bagages respectifs. C’est donc sur la base de l’expérience acquise par le coach dans une première vie professionnelle (branche, management, monde de l’entreprise) que pourra s’établir sa crédibilité face au coaché et une possible « intimité professionnelle ». Cette première expérience, avant celle de son métier de coach, est donc un prérequis et un critère de choix pour une réponse adéquate à la mission de coaching professionnel et favorise l’efficacité de son intervention. C’est à partir de cette constatation que Différence COACHING a décidé de centrer son offre de coaching sur cette optique professionnelle, ce afin de mieux adresser et satisfaire une clientèle ciblée de dirigeants et managers. Mieux identifier un possible dénominateur commun sur la base d’un positionnement de coaching spécifique Pour ses clients, Différence COACHING apporte son bagage sp&eacut...
En plein cœur de Paris, Thierry Givone propose des escapades dans les vignobles français dans l’intimité de sa salle de dégustation. Pour lui, la satisfaction du client passe par un accueil simple et des cours décontractés. « Les gens ne sont pas là pour devenir sommeliers, mais pour apprendre des choses et surtout profiter de leurs vacances », explique-t-il. Voyage au cœur des régions viticoles Le Wine Tasting In Paris veut avant tout faire découvrir aux touristes étrangers la culture et l’art de vivre à la française. Pour cela, Thierry Givone reçoit de petits groupes d’une douzaine de personnes lors de diverses sessions. Du French Wine Tour aux événements d’entreprise, en passant par la session premium, chaque visiteur a l’occasion de faire un peu plus connaissance avec les régions viticoles les plus emblématiques de France, telles que la Loire, la Bourgogne, Bordeaux, les Côtes-du-rhône ou la Champagne. La particularité des terroirs, les méthodes de fabrication ou encore les différences entre les vignobles sont discutées lors des sessions. Outre cela, les visiteurs sont initiés à l’art de la dégustation du vin : la robe, le nez et la bouche. Le vin : une passion à partager Sa Bourgogne natale et son oncle viticulteur ont transmis à Thierry Givone la passion du vin. Après une carrière internationale de directeur marketing dans l’industrie, il décide de lancer sa propre société, un projet qui lui tenait à cœur. Il crée donc le Wine Tasting In Paris en 2014. « Le choix du vin était assez logique », affirme-t-il. Son passé dans le marketing et sa parfaite maîtrise de l’anglais lui ont facilité la tâche. ...
Plus qu'une simple location d’adresse L’expérience dans la domiciliation d’entreprise de Domaparis remonte au milieu des années 90, quand Yveline Crépeau, fondatrice de la société, effectuait encore ce service de manière épisodique pour quelques rares clients. De fil en aiguille, cette activité annexe est devenue le cœur du métier de Mme Crépeau. « La domiciliation d’entreprise est nécessaire aux créateurs de sociétés qui n’ont pas forcément beaucoup de moyens pour démarrer, ou qui n’ont pas besoin de bureau car beaucoup d’activités se font maintenant par Internet », explique Yveline Crépeau. « Nous répondons aussi aux besoins des personnes qui travaillent de chez elles mais qui, d’un point de vue fiscal, ne veulent pas avoir leur adresse professionnelle assimilée à leur adresse personnelle », continue-t-elle. Plusieurs clients ayant leurs activités en province ou à l’étranger ont aussi décidé de profiter de la prestigieuse adresse pour être visibles sur Paris. Une partie importante de la clientèle de la société est formée de grandes holdings internationales qui cherchent une domiciliation au cœur de la capitale française, gage de crédibilité quand elles se développent dans l’hexagone. C’est d’autant plus d’actualité depuis le Brexit qui oblige de nombreuses sociétés anglaises à implanter leurs sociétés en France pour poursuivre leurs activités dans de bonnes conditions et être visible pour capter la clientèle française. "Créer, c'est vivre deux fois " Albert Camus En effet, la domiciliation d’entreprise, pour Domaparis, ce n’est pas simplement la mise à disposition d’une adresse, aussi remarquable soit-elle. En plus de la location de l’adresse du 55 boulevard Pereire, boulevard qui en passant doit son nom à deux frères, brillants hommes d’affaires du milieu du XIXe siècle, Domaparis propose aux chefs d’entreprise un accompagnement sur mesure dans les différentes étapes de la vie de leur société. Du dépôt des statuts jusqu’au développement de leur structure, en passant par le traitement du courrier entrant et même la permanence téléphonique, Yveline Crépeau et son équipe dynamique font en plus profiter les entrepreneurs d’un suivi précis de l’actualité légale concernant le monde des affaires et de conseils avisés permettant aux entrepreneurs de prendre toujours les meilleures décisions pour l’avenir de leur firme. Tous ces petits plus font la différence quand il faut être réactif dans un marché toujours plus mouvant. Le gain de temps est indéniable et les bénéfices se font rapidement ressentir. Aujourd’hui, les entreprises modernes sont amenées à régulièrement changer physiquement de locaux au fur et à mesure de leur croissance ; domicilier son siège social chez Domaparis, c’est l’assurance d’avoir une seule et unique adresse tout au long de la vie de son entreprise et ainsi éviter de modifier les statuts d’une entreprise et économiser les coûts de formalités correspondants. Par ailleurs, Domaparis offre des tarifs très attractifs : une remise de 50 % la première année sur le prix de la domiciliation simple, une façon concrète d’être solidaire et d’aider les nouveaux chefs d’entreprise dans la mise en place de leur projet professionnel. Le club Domaparis, un réseau professionnel de qualité Domaparis privilégie la relation de proximité avec ses clients. Certaines sociétés sont même hébergées grâce aux services d’Yveline Crépeau depuis plus de vingt ans. Essentielle Interlocutrice, forte d’une expérience variée, elle a créé une relation particulière avec chacun(e) des femmes et des hommes au-delà de ces projets entrepreneuriaux. Pour renforcer les liens entre les différentes entreprises qu’elle accompagne et faciliter les synergies, elle a initié un club, le club Domaparis. Une fois par an, toutes les sociétés hébergées sont invitées à se réunir lors d’un cocktail organisé chez...
Spécialiste de la psychologie systémique et intégrative®, l’école PSI est l’un des rares organismes de formation, si ce n’est le seul, à proposer des formations complètes dans le domaine. Ce courant, qui engage le développement profond de l’être, a été développé en 2008 par Jean-Luc Pignol avec le concours de son épouse Martine, Gestalt-Thérapeute. Il s’agit d’utiliser, par le biais d’une grille de lecture clinique, les références contemporaines du développement de la personne qui sont adaptées au traitement ou aux étapes de celui-ci. « Faire école » Jean-Luc Pignol bénéficie de nombreuses années d’expérience en tant que psychologue clinicien, psycho-thérapeute, intervenant, formateur, consultant, coach, formateur InterQualia®, facilitateur de changement® auprès de diverses organisations. Il est intervenu au sein d’entreprises industrielles et tertiaires, de laboratoires de recherche, d’industrie pharmaceutique, du secteur de la banque et de l’assurance, d’hôpitaux et de maisons de santé, de maisons de retraite, d’EHPAD, HAD, SSAD, du secteur social et médico-social, etc. Après avoir été sollicité par des confrères et consœurs pour transmettre ses savoirs, ses savoir-faire et savoir-être, Jean Luc Pignol décide de « faire école » avec l’appui de son épouse. « Un peu à l’image du compagnonnage, notre école est fondée sur la relation maitre-apprenti dans laquelle l’acquisition des notions essentielles du métier se fait en bonne partie par la pratique », souligne le fondateur. Des formations complètes et de qualité À travers plusieurs cursus et différents modules, l’école PSI dispense des formations pour devenir praticien en psychologie systémique et intégrative® (P-PSI), intervenant en organisation (coach ou facilitateur), clinicien des organisations, psychopraticien ou psychothérapeute. Ces formations basées sur des modules qui peuvent s'assembler s’adressent à des professionnels en activité qui ont déjà suivi une formation initiale mais qui veulent se professionnaliser en se formant en matière d'accompagnement du changement en psychologie systémique intégrative®, à la psychothérapie, à la systémie ou bien aux approches corporelles. Une fois certifiés en PSI, ces professionnels pourront ensuite suivre une formation adaptée leur permettant d’exercer la PSI d’une façon plus experte et ainsi transmettre à leur tour l'approche PSI. Côté formateurs, l’école dispose d’une équipe composée essentiellement de professionnels qui excellent dans leurs compétences respectives. À l’exemple de Martine Pignol, qui possède plus de 20 ans d’expérience en tant que psychothérapeute. Gestalt-Thérapeute depuis 2002, elle a été également formée en analyse transactionnelle et aux approches systémiques. En outre, elle s’est formée avec J. Kepner et Ruella Frank aux approches corporelles. Elle est didacticienne en PSI et certifiée DSP Ruella Frank. ...
Équipement de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Doubs, la Maison de l’économie offre 1 400 m2 dédiés aux événements d’entreprises. Des locaux de taille variable (amphithéâtres, salles, bureaux…), des services haut de gamme, un accompagnement personnalisé et la garantie de manifestations réussies sont la signature d’une équipe investie et qualifiée. Pour les entreprises qui souhaiteraient y organiser leurs événements, la Maison de l’économie propose des formules sur mesure où chaque étape du projet est placée sous le signe du professionnalisme. Une offre enrichie en 2016 Congrès, séminaires, formations, lancements de produits, assemblées générales ou encore réunions d’affaires… Tout se fait ici dans un cadre propice au travail et facilement accessible. Outre un parking, la structure dispose en effet de plusieurs espaces qui permettent des prestations à la carte et adaptées au format de chaque projet. Certaines sont internes – la Maison de l’économie propose ainsi l’accès à une cafétéria – pour d’autres, une liste de prestataires externes est disponible : traiteurs, décorateurs, techniciens… « Chacun de nos clients est particulier », souligne Corinne Francart, la responsable de ce service. « Le temps accordé à l’analyse de la demande est fondamental pour proposer le meilleur service possible. C’est à nous de trouver la bonne réponse aux attentes du client et de l’accompagner. Il arrive qu’au cours de nos discussions, il choisisse finalement d’autres prestations que celles qu’il avait imaginées. C’est aussi le côté agréable du travail de pouvoir conseiller le client pour le mieux ». Ainsi, le Grand hall accueille des dîners de gala, La Galerie, des cocktails ou des expositions, et, pour les réunions, les salons Ledoux, Vauban ou Pasteur sont modulables. Depuis un an, la Maison de l’économie a enrichi son offre avec une nouvelle salle des conférences. « Il s’agit d’un espace haut de gamme où l’identité régionale est omniprésente. L’utilisation du bois rappelle la place de la forêt dans notre région et l’architecte local a reproduit sur les côtés de la salle, dans une ligne de ciel, la silhouette des monuments emblématiques de Franche-Comté : la citadelle de Besançon, le château de Montbéliard, la porte Saint-Pierre de Pontarlier, le château de Joux…», ajoute Corinne Francart. « L’ambiance lumineuse a, de plus, été récompensée par un prix national décerné à la CCI du Doubs et à l’entreprise Le Point lumineux, par l’Association française de l’éclairage (AFE) pour la mise en lumière des lieux », reprend-elle. Plus de 300 événements y sont organisés chaque année. ...
Depuis 1971, la société Clamageran Expositions accompagne les organisateurs de salons d’envergure nationale et internationale à travers ses solutions de transport et prestations logistiques annexes. Clamageran Expositions est maintenant depuis plusieurs décennies leader dans son domaine et traite plus de 700 salons, congrès, événements internationaux par an, dont le Salon International de l’aéronautique et de l’espace (salon leader au monde, organisé tous les deux ans à Paris-Bourget). Clamageran Expositions a le privilège d’être un prestataire officiel de cet événement prestigieux. Une large gamme de prestations Sous licence transport de la Fédération française des commissionnaires et auxiliaires de transports, les prestations de Clamageran Expositions sont déployées sur plusieurs niveaux, depuis le traitement des formalités douanières, jusqu’au transport en passant par la manutention et le stockage. A travers son double agrément d’agent de fret aérien IATA et transitaire en douane, la société assure la préparation et le transport des marchandises jusqu’au lieu de livraison finale, que ce soit par voie aérienne, terrestre ou maritime. Aussi, sa qualité de transitaire est renforcée par une certification OEA (Opérateur Economique Agréé) lui permettant la simplification des démarches douanières à l’importation et exportation. « Cet agrément, délivré par la Direction générale des douanes, signifie également que notre chaîne logistique est entièrement sécurisée : l’ensemble de nos circuits, nos bureaux, nos magasins et nos entrepôts », explique Lucien Lawson, Directeur Commercial International et Marketing de la société. «Propriétaire d’une importante flotte d’engins de manutention (chariots-élévateurs etc…) , de tous types de camion , notre présence permanente à l’intérieur des principaux parcs des expositions avec des entrepôts dédiés font que nous sommes le partenaire idéal de vos salons», rajoute-t-il. S’appuyer sur un réseau de partenaires De par son implantation géographique, Clamageran Expositions peut intervenir pratiquement sur tout le territoire français. En effet, elle est implantée en permanence à l’intérieur des parcs des expositions de Paris Expo Porte de Versailles, Paris Nord Villepinte permettant la couverture complète des salons de Paris et la région Parisienne. Les deux autres bases sont installées respectivement à EUREXPO Lyon et au Parc CHANOT à Marseille, des bureaux d’exploitations à Nantes permettant la couverture du Grand Ouest de la France ainsi qu’un bureau implanté dans le Sud de la France pour les salons de la Côte d’Azur. Dans le souci de concilier les contraintes de temps et l’efficacité, la société collabore également avec d’autres partenaires logistiques spécialisés, triés sur le volet. « Les organisateurs et les prestataires avec qui nous travaillons doivent s’inscrire dans le même niveau de qualité exigé par nos engagements et nos clients », souligne notre interlocuteur. En outre, son statut d’adhérent-associé à l’Union française des métiers de l’événement (UNIMEV) lui accorde la possibilité de développer un réseau de partenaires professionnels dans l’industrie des expositions. Mais l’expertise de Clamageran Expositions s’exporte aussi en dehors de la France. Un département « salon à l’étranger » est entièrement consacré à l’accompagnement logistique des exposants français qui vont exposer en Europe et dans le monde. En tant que membre fondateur d’IELA (International Exhibition Logistics Associates), un réseau de 163 sociétés-membres présentes dans 54 pays constitue un gage de professionnalisme au service de l’industrie des expositions et événements dans le monde. Agrément ISO 20121 Au-delà de ses compétences transversales dans le transport et la manutention, la société souhaite orienter son axe d‘évolution vers le développement durable. En avril 2015, elle a engagé une démar...
Se concentrer sur l’humain La richesse d’une entreprise est faite des personnes qui composent ses effectifs. Accompagner les salariés vers un « mieux-être » améliorera donc également les performances de l’entreprise. « L’humain a toujours été ma priorité. C’est ce qui m’anime, ce qui me fait avancer » explique Gyslaine Gauthier, coach professionnelle et fondatrice de H Comme Humain. Ma vision du coaching consiste donc à bâtir une relation d’aide à la fois bienveillante et humaniste avec mon client et à l’accompagner vers un ‘’mieux-être’’. Concrètement, si j’interviens auprès d’un dirigeant, la plupart du temps, je travaille sur la notion de performance ou encore sur la gestion du stress. En revanche, si c’est une équipe que j’ai pour mission d’accompagner, j’adopte alors une vue d’ensemble des interactions existantes tout en m’intéressant aussi aux individualités dont elle est constituée. Par exemple, il n’est pas rare qu’un manager soit un salarié qui aura été promu et qui éprouvera des difficultés à assumer son nouveau statut. Notamment parce qu’auprès de ses équipes, il sera passé du stade de collègue, voire d’ami à celui de supérieur hiérarchique ». Bienveillante mais exigeante Son passé d’infirmière libérale spécialisée en cancérologie et en soins palliatifs a permis à Gyslaine de développer une approche très emphatique du coaching tout en maintenant une juste distance avec les personnes qu’elle accompagne. « J’ai une écoute très humaniste et bienveillante que n’auront probablement pas un ancien manager qui se serait reconverti dans le coaching ». Mais tout en faisant monte de bienveillance, Gyslaine n’hésite pas à faire sortir le coaché de sa zone de confort si cela peut l’aider à trouver en lui les réponses aux questions qu’il se pose. « Un coach n’apporte jamais de réponses. C’est au coaché de les trouver lui-même » explique-t-elle. « Pour autant, au cours de mon accompagnement, je vais révéler à mon client des réalités qu’il n’avait pas forcément envie de voir. Mais au final, c’est lui qui décidera de la voie qu’il désire emprunter. Mon but, c’est de l’aider à s’autonomiser ». Seule une formation reconnue permet un accompagnement de qualité Tout coach digne de ce nom doit avoir suivi une formation auprès d’un établissement reconnu. « Dans le contexte actuel, la formation constitue plus que jamais un critère essentiel dans le choix d’un coach » indique Gyslaine. « On assiste à une recrudescence des coachs. Mais alors que la profession est très encadrée, le terme de coach tend, quant à lui, à être galvaudé. On l’utilise partout, à tort et à travers. Et cela risque de décrédibiliser le métier ». Lorsque l’on choisit un coach, la première chose à faire, c’est donc de vérifier qu’il est bien certifié. « C’est un gage de qualité et de professionnalisme ». La mise en place d’un contrat de coaching est un autre point à scruter en priorité. « Je fais systématiquement signer à mon client un contrat dans lequel est précisé le cadre au sein duquel interviendra sa prise en charge : le lieu, les horaires, les objectifs à atteindre, la durée de l’accompagnement, etc. Si un coach reste vague quant au nombre de séances, méfiance… » précise Gyslaine. ...
L’histoire de Coding Days a commencé lorsque Alexandre Zana, un étudiant en école de commerce, a décidé un jour d’apprendre à coder. En effet, il avait beaucoup de mal à formuler ses besoins et à communiquer avec des développeurs, l’obligeant à mettre en place lui-même ses projets. C’est à travers cette expérience qu’il se passionne pour la programmation et qu'il apprend le code informatique de façon autodidacte. La suite ? Il souhaite aller plus loin et décide de se rendre chez Makers Academy, à Londres, pour une formation intensive au code pendant 12 semaines, avant de revenir en France et fonder la start-up, début 2017. Cette expérience chez Makers Academy était l’une des plus belles de sa vie, après Coding Days ;-). Faire ses premiers pas dans le code « Notre philosophie n’est pas de former des développeurs ou experts en code, mais de former des compreneurs, des gens qui sont capables d’assimiler le code et ses enjeux », explique, explique Émilie Rehmann, responsable marketing. En d’autres termes, le concept vise à démocratiser le développement web et à le rendre ainsi accessible au plus grand nombre. La start-up cible un public débutant très large : chef de projet marketing en entreprise, entrepreneurs et intrapreneurs qui veulent booster leurs business, simple étudiant à la recherche d’une compétence supplémentaire, ou designer qui souhaite créer son propre site internet. Coding Days forme notamment celles et ceux qui exercent des professions libérales et qui ont un réel besoin relatif à leur site internet, mais qui n’ont pas les compétences techniques appropriées. L’objectif ? Parler le langage web pour mieux comprendre l’univers de la programmation. « Armés d’un bagage technique, ils seront capables de trouver les bons mots pour mieux s’exprimer et faire évoluer leur projet personnel. » À l’issue de la formation, les apprenants peuvent déchiffrer les jargons utilisés dans ce domaine (client, serveur, hébergement, langage, notions HTML5 et CSS3, frameworks, bibliothèques, Front-End et Back-End, etc.) et repartent même avec leur propre site web à l’issue de la formation d’une semaine. Les formateurs de Coding Days interviennent également dans des écoles de commerce telles que l'EM Normandie, l’ISCOM, l’ESD ou encore Audencia Nantes. Ils forment aussi des étudiants d'écoles de communication, de journalisme et de design qui s’intéressent de plus en plus au monde digital et aux nouvelles technologies. Déjà établie à Paris et donnant également des cours à Londres, la startup poursuit sa conquête de l’Europe et donnera prochainement des formations à Madrid. Une pédagogie active En se lançant dans cette aventure, les fondateurs de Coding Days et l’équipe pédagogique ont développé une pédagogie innovante inspirée des méthodes Montessori, de la pédagogie inversée ou encore de l’intelligence collective qui requiert beaucoup de pratique. « Notre propre méthodologie est ce qui nous permet justement de nous adresser à des personnes vraiment novices dans la programmation web.» Il poursuit en insistant sur l’importance de la pédagogie au sein des formations de Coding Days : « Ce n’est pas la même chose d’apprendre à coder et d’apprendre à comprendre le code. La pédagogie n’a rien à voir. » déclare Alexandre Zana. En parallèle, l’équipe collabore avec une vingtaine de mentors (développeurs full-stack, CEO, growth hackers, data scientists, experts en cyber-sécurité, etc.) qui sont des experts, passionnés par la pédagogie issus des start-up françaises ou des groupes internationaux. Un mentor est dédié à chaque groupe de cinq personnes (1 pour 3 durant la semaine pour créer son site) et aura comme mission de cadrer l’échange et de favoriser l’interaction pendant les séances de challenge. De leur côté, les participants, autrement appelés les « Explorers » travaillent chacun sur leur site internet personnel à partir de la plate-forme E-learning conçue par Coding Days pour booster l’imagination tout en stimulant l’apprentissage. Plutô...
Junior-entreprise (JE) de l’ESCP Europe, ESCP Europe Conseil a été créée en 1972. Avec pour objectif de donner l’opportunité aux étudiants de cette grande école de commerce d’affûter leurs compétences managériales et leurs comportements entrepreneuriaux en mettant en pratique leur enseignement théorique. L’association mise sur ses 45 ans d’expérience, l’excellence de son parcours académique et l’appui de ses prestigieux parrains (Oliver Wyman, le BCG et Capgemini Consulting) pour conforter sa position de leader. Des performances qui s’illustrent dans les divers classements. En effet, ESCP Europe Conseil fait partie des 30 meilleures junior-entreprises du pays et se positionne 4e en termes de chiffre d’affaires. Des services pour des clients aux profils variés Calqué sur les modèles des cabinets de conseils, ESCP Europe Conseil se compose d'admnistrateurs formés d'un bureau (président, vice-président, secrétaire général, responsables des ressources humaines et trésoriers) ainsi que de responsables des différents pôles qui prennent en charge la réalisation des missions, à savoir le pôle développement commercial, le pôle qualité et le pôle Communication et Événementiel. « L’équipe est choisie selon un processus de recrutement sélectif, axé sur les performances des étudiants afin d’assurer des prestations de qualité », nous explique le nouveau président de l’association Nathan Haas. La JE accompagne autant un auto-entrepreneur désireux d’initier un projet qu’une entreprise du CAC 40. « Nous avons des profils de clients très variés et nous travaillons même pour des associations », fait savoir le président. Cette clientèle peut miser sur le savoir-faire, la rigueur et l’expertise des étudiants pour réaliser des business plan, du benchmarking, des enquêtes de satisfaction ou encore des travaux de traduction. Une junior-entreprise toujours en action Animée d’une forte dynamique, ESCP Europe Conseil planche régulièrement sur de nouveaux moyens destinés à améliorer la qualité de ses formations envers les étudiants mais aussi de ses prestations envers sa clientèle. Une des dernières initiatives repose sur le lancement du parcours scolaire aménagé. Selon les explications de Nathan Haas, ce Business Track « est calqué sur un rythme d’apprentissage. Nous alternons entre période de cours et période dédiée uniquement à la JE, ce qui permet de libérer du temps pour servir au mieux les besoins des clients ». Car pour ESCP Europe Conseil, la satisfaction client est stratégique. D’ailleurs, dans le dessein de mieux accompagner les entreprises, l’association vient d’ouvrir une antenne à Londres. « À travers ESCP Europe, nous avons la chance d’avoir différents campus en Europe et nous avons des chefs de projet sur chaque campus. Le fait de créer un bureau à Londres nous permet ainsi de répondre aux demandes dont les enjeux sont de plus en plus axés sur l’international et ne sont pas seulement franco-français », fait valoir notre interlocuteur. ...
La plateforme de coaching de vie, Parenthèses Coaching, vous propose une réponse adaptée à vos besoins. N'attendez pas pour vous occuper de vous afin de vous offrir une vie meilleure. Plus qu’un site : une aventure humaine Lancée officiellement en mars 2017, la plateforme Parenthèses Coaching est à l’initiative de 6 coachs provenant de la même école de formation : Coach Academie. Leur objectif principal : apporter au grand public toutes les informations liées au coaching de vie. A ce titre, un blog a été ouvert que chacun peut apprécier en fonction de ses besoins du moment. Vous y trouvez, par exemple, un dossier complet sur le développement personnel qui répond à toutes vos interrogations sur le sujet. Au fil du temps, l’équipe s’est agrandie et compte aujourd’hui pas moins de 21 coachs de vie. A terme, d’après les dires du créateur de la plateforme, Éric Sciscione, il est prévu de s’étendre sur tout le territoire français en intégrant de nouvelles personnes qui souhaitent rejoindre, à leur tour, cette belle aventure. Le seul critère de sélection : que le nouveau coach soit en accord avec les valeurs de bienveillance, d’authenticité et d’efficacité de Parenthèses Coaching. Des professionnels du coaching de vie à votre écoute En plus d’être un site qui se donne pour mission d’évangéliser le coaching, Parenthèses Coaching propose aux particuliers qui le souhaitent un accompagnement personnalisé. Attention : cette équipe de coach est spécialisée en coaching individuel. Ainsi, un chef d’entreprise peut tout à fait faire appel à eux, mais en qualité d’individu avec des enjeux personnels (gestion du stress, création d’entreprise, reconversion professionnelle, meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle, apprendre à mieux communiquer, etc.). Après un premier entretien gratuit, le coach que vous rencontrez vous fournit les bons outils pour vous permettre de surmonter vos difficultés tout en vous proposant un tarif accessible. ...
Une ville qui change de visage Au cœur de la vieille ville bretonne, utilisant le bâti historique du Couvent des Jacobins dont il emprunte le nom, le nouveau Centre des Congrès de Rennes vient parachever toute une série d’investissements de la ville afin de se placer dans l’élite des destinations d’affaires françaises. Notamment en termes de mobilité, la ville est reliée au réseau de lignes à grande vitesse pour lui permettre d’être connectée, bien entendu à Paris en moins d’une heure trente, mais aussi au reste des grandes métropoles françaises en un très peu de temps. Les déplacements sur rails vont se prolonger au sein de la ville avec la création récente d’une seconde ligne de métro qui fait le lien entre la gare LGV et le Couvent des Jacobins. Signe de l’importance accordé par la ville à la création du Centre des Congrès, les deux lignes métropolitaines de la ville ont été pensées pour se croiser en deux points ; à la gare, et place Sainte-Anne devant le Centre des Congrès. Ces séries d’investissements et bien d’autres, dont la refonte totale récemment de la gare elle-même, concourent au positionnement de la ville et de son rayonnement dans un secteur fortement concurrentiel. Un outil pour demain Plusieurs dimensions façonnent les singularités et les particularités de ce projet. Déjà l’accolement du Centre au Couvent des Jacobins, lieu emblématique de la ville pour la diffusion et le partage des connaissances dès le Moyen Âge, qui crée une légitimité et une filiation entre deux époques distantes. Ensuite la situation même du Centre, au cœur historique de la capitale bretonne, avec toutes les commodités que cela suppose en termes de restaurations, logements, bars et hôtels pour les participants. On est très loin de l’image des autres Centres des Congrès plus classiques, souvent excentrés, obligeant à multiplier les transports afin de s’y rendre ou pour continuer un meeting dans un bon restaurant. Ici, tout est accessible à pied, entre deux rendez-vous, on trouve le temps de profiter de l’ambiance toute particulière de Rennes et de ses quartiers historiques. À cela, il faut ajouter qu' « Étant un Centre des Congrès nouveau, il profite des choix technologiques les plus récents. On garantit à nos clients organisateurs d’événements, et à leurs clients congressistes, une très grande capacité de communication entre les pièces, par exemple la liaison en full duplex entre toutes les salles sans branchement supplémentaire. C’est un centre extrêmement moderne par les technologies qu’il embarque avec lui », explique J.F Kerroc’h, directeur général de Destination Rennes. Un engagement total de tous les acteurs d’un territoire Ce centre n’arrive pas d’un seul coup dans un paysage vierge, mais accompagne une réflexion de tous les acteurs de la chaîne de l’accueil du territoire. « Nous avons constitué un conseil des acteurs du tourisme et des rencontres professionnelles qui assoit ses activités dans l’ambition d’accueil du territoire. De ces réflexions menées collectivement, on a retiré une proposition, pour les organisateurs, composés de 35 engagements. Un de ces engagements est de garantir, jusqu’à trois ans avant la tenue d’un événement, les chambres qui y sont associées. C’est une garantie économique puisque l’on s’engage sur les prix. » Le démarrage de ce Centre des Congrès est un travail collectif de la chaîne tourisme, mais il mobilise aussi des acteurs académiques et économiques, afin de faire réussir le projet et le propulser dans une dimension supérieure. L’enjeu est d’offrir à ces acteurs un outil moderne afin de prendre des initiatives et de porter des candidatures dans leurs réseaux à l’accueil de congrès. « Tout le monde est solidaire de la qualité de la destination. On s’est efforcé de construire des systèmes d’alliances avant même la tenue du premier congrès. C’était une condition préalable », termine J.F Kerroc’h. ...
Prendre du recul pour aller de l’avant Le coaching, ça n’est pas que pour les autres ! « À un moment ou à un autre, au cours de sa vie professionnelle, tout le monde peut avoir besoin d’une aide extérieure. Mon rôle, c’est d’aider une personne en perte de repères professionnels, voire en situation de burn out, à prendre le recul nécessaire pour (re)trouver confiance en ses capacités et (re)prendre le contrôle de son parcours professionnel », explique Danielle Guilbaud. Une fois qu’il aura pu identifier d’éventuels points de blocage, le « coaché » sera alors en mesure de redéfinir ses priorités et de progressivement se repositionner. Mais si le coach pousse son client à se remettre en question, c'est pour mieux le guider ensuite. Il ne lui dicte pas sa conduite. « Je n’impose jamais rien. Je me contente de révéler à mes clients des ressources qu’ils avaient en eux mais dont ils n’avaient pas conscience, qu’ils ne savaient pas utiliser, ou dont ils avaient oublié l'existence », précise Danielle. En grattant le vernis, le coach fera donc ressurgir des qualités oubliées par le coaché. Pour autant, c’est à ce dernier qu’il appartient de puiser en lui-même l’énergie nécessaire pour redéfinir ses objectifs. Et c’est sur ses propres ressources qu’il devra s’appuyer pour y parvenir. Agir avec bienveillance mais sans complaisance « Une belle personne à faire émerger. » Dans le cadre de sa mission, Danielle Guilbaud aide ses interlocuteurs à se poser les bonnes questions. Quitte à devoir parfois les mettre face à leurs contradictions. Mais c’est à ce prix que le changement – tant espéré – pourra s’opérer et que la motivation – qui pouvait sembler tarie – ressurgira. « Quand ils viennent me consulter, certains de mes clients sont dans une grande confusion. Ils ne savent plus très bien où ils en sont. Mon rôle, ce n’est surtout pas de les juger mais de les aider à clarifier la situation. À y voir plus clair. Et à retrouver une certaine sérénité. » Car face à un monde du travail en pleine mutation, force est de constater que le coaching professionnel tel que le pratique Danielle Guilbaud a de beaux jours devant lui. « Quand j’ai démarré, le coaching professionnel s’adressait principalement aux cadres et aux dirigeants. Alors qu'en réalité, ce sont toutes les personnes en activité qui gagneraient à prendre du recul et à se remettre en question de temps à autre. » ...
Fort de son expérience industrielle acquise dans un grand groupe international, Olivier intervient dans les dynamiques de fonctionnement qui restent bloquées sans solution apparente qu’il s’agisse de domaines technique, organisationnel ou humain. Un parcours articulé autour de l'humain en environnement industriel Ingénieur de formation, Olivier de la Touche est double diplômé auprès de l’École centrale Paris et de l’université technique de Munich. Son parcours professionnel s’est construit dans un environnement industriel. Ancien chef de service au sein de Peugeot Citroën Automobiles, il s’est vu confier des missions à responsabilités, que ce soit au niveau de la production sur des lignes existantes, pour le lancement de nouvelles lignes de production voire même des démarrages d’usines à l’international, en particulier au Brésil et en République tchèque. Il a également accompagné des équipes de production dans la mise en place d'un nouveau système de production et des équipes de R&D (Recherche et Développement) dans le suivi de la maturité de leurs projets. « Tout au long de mon parcours, j’ai appris combien la réussite d’un projet est intimement liée à une convergence complexe de différents flux qu’ils soient techniques, organisationnels, culturels ou humains », indique-t-il. Ce dernier a également constaté qu’un seul point de blocage dans l'un des flux pouvait freiner, voire stopper l’ensemble de la dynamique d’un projet. Ainsi, dans le but de professionnaliser ses techniques d’accompagnement de projet et d’équipes, Olivier décide, en 2015, de se former au coaching. Début 2018, il se lance dans une nouvelle activité avec l’acquisition d’une double certification : celle de coach en entreprise et de praticien en PNL. Des prestations variées Qu’il soit en individuel ou en équipe, un coaching efficient passe avant tout par une bonne compréhension de la situation. Pour ce faire, Olivier adopte une démarche basée en grande partie sur l’observation. Ici, il ne s’agit en aucun cas d’observation « passive » où le coach reste tranquillement assis à regarder ce qui se passe. « Observer, c’est aller comprendre la problématique sous plusieurs angles d'attaque, l’aborder sous différentes facettes avec des points de vue différents et prendre en compte la réalité de l'ensemble des acteurs impactés ; cela me permet de bien comprendre les modes de fonctionnement », explique notre interlocuteur. En coaching individuel, Olivier s’attelle d’abord à instaurer un lien de confiance, essentiel pour permettre à la personne de s’ouvrir et de se confier sans complexe. A cette fin, le coach s’appuie sur le partage d’expérience et la confidentialité. Une fois la confiance établie, Olivier va s’assurer que le coaching qu’il propose s’inscrit réellement dans la rencontre d’objectifs communs, la demande étant généralement initiée non pas par le coaché mais par son manager ou la fonction RH de l’entreprise. Ensuite, le travail du coach va consister à réaliser une mise au point globale. Celle-ci se porte non seulement sur les points de satisfaction mais aussi sur les obstacles que rencontre l’individu au sein de son organisation. L’étape suivante se concentre sur la réactivation de la motivation. Finalement, qu’est-ce que la personne veut ? Quels sont les objectifs qu’elle désire atteindre ? « Mon but est d’aider l’individu à se projeter vers l’avant. Cette projection va permettre de réveiller sa motivation. » Ce genre d’accompagnement se révèle être bénéfique à la fois pour le salarié mais aussi pour l’organisation. En effet, le changement qui s’opère sur le coaché aura un impact positif sur tout son environnement de travail incluant ses relations avec son chef et ses collaborateurs. « On sait maintenant que les salariés heureux au travail sont plus productifs et plus créatifs, la personne se sentant plus autonome, responsable, épanouie. Cela va se traduire par plus de fluidité, d’engagement et de résultat », précise-t-...
Impliqué dans des thématiques de recherche au cœur de la société de l’information et de la communication, l’Institut d’Électronique et de Télécommunications de Rennes est l’un des rares instituts présents sur toutes les longueurs d’onde en électronique. Ses axes de recherche se déclinent autour de 10 thèmes majeurs : systèmes rayonnants complexes ; matériaux fonctionnels ; systèmes de communications numériques ; signal et électronique embarquée ; analyse et codage d’image 2D et 3D ; prototypage rapide ; automatique des systèmes hybrides ; dispositifs électroniques ; capteurs intégrés ; propagation et localisation et télédétection active (radar) et passive (hyperspectrale). Une pluri-expertise reconnue nationalement, mais aussi à l’international, qui est le fruit d’une recherche multi-établissements (CNRS, Université de Rennes 1, INSA de Rennes, Université de Nantes et CentraleSupélec Campus de Rennes) et multi-sites (Rennes, Lannion, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Coëtquidan, Nantes, Angers et la Roche-sur-Yon). Rattaché à l’Institut des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes (INSIS) du CNRS, ce laboratoire du Grand Ouest, soutenu par les collectivités territoriales, accueille des chercheurs associés par convention d’accueil (UBO, ESEO, CEREMA-Nantes). Une recherche sur les systèmes de télécommunications au sens large La recherche amont sur les systèmes de télécommunication au sens large est la force de l’IETR qui intervient aussi bien au niveau dispositifs et matériels (antennes, circuits micro-ondes, sondeurs de canal, implantation sur DSP, FPGA, dispositifs électroniques, capteurs et circuits intégrés...), systèmes (haut débit, sans fil, systèmes sur puce, radiologicielle, modulation/démodulation, multiporteuses, techniques d’étalement de spectre, propagation [indoor, outdoor, radiomobile, ionosphérique, etc.]...) et matériaux pour la conception et la réalisation de systèmes antennaires et dispositifs hyper-fréquences innovants. Au-delà de la qualité de ses recherches, reconnu au travers de nombreuses collaborations contractuelles régionales, nationales ou européennes, l’IETR, membre du LabEx Comin Labs et de l’IRT B-Com, participe activement aux pôles de compétitivité Moveo, i-trans et Aerospace Valley et est très fortement impliqué dans les pôles Images & Réseaux, iD4Car et Mer Bretagne, ainsi que dans plusieurs réseaux régionaux. Plus de 170 contrats de recherche ont impliqué ses chercheurs depuis les quatre dernières années. La valorisation de ses travaux se manifeste par le dépôt de 37 brevets prioritaires et 22 extensions de 2008 à 2013, mais aussi par le transfert de technologies via la création de 12 start-ups depuis 1986. Des plateformes technologiques dernier cri En plus de ses plateformes technologiques, l’IETR dispose dans le domaine des « Antennes » de nombreuses infrastructures métrologiques de pointe dont certaines uniques en Europe et accueille la salle blanche du Centre Commun de Microélectronique de l’Ouest reconnue centrale proximité NanoRennes par le CNRS. L'IETR vient d'acquérir le système aéroporté PIMA (plateforme d'ingénierie multimodale aéroportée) qui en fait une plateforme académique unique en Europe. ...
De l’ingénierie au coaching professionnel Après avoir exercé le métier d’ingénieur pendant plus de 15 ans, Céline Poloce suit une formation de coach pour créer sa structure et lancer son activité professionnelle. « Je suis quelqu’un de rationnel » précise-t-elle. « Par mon parcours scientifique, mon approche des choses est très analytique. J’ai une vision très systémique et globale des interactions qui existent entre mes clients et leur environnement professionnel ». Pour autant, Céline n’hésite pas à combiner des outils très pragmatiques avec d’autres, moins rationnels. « Ma capacité à actionner une large palette de leviers, très concrets pour certains, plus métaphoriques pour d’autres, me permet de m’adapter rapidement à mes interlocuteurs. Je peux ainsi les aider à répondre efficacement aux questions qu’ils se posent ». Se garder de proposer des réponses à ses clients À la différence d’un consultant, un coach ne conseille pas son client mais permet plutôt à celui-ci de mobiliser les ressources nécessaires pour surmonter les obstacles qui lui barrent la route. En clair, un coach ne saurait se substituer à son client. Céline a donc appris à neutraliser les réflexes qu’elle avait hérités de son ancienne activité professionnelle. « L’une des missions de l’ingénieur consiste à résoudre les problèmes des autres à leur place. On recherche son expertise et son analyse » indique-t-elle. « Au contraire, un coach doit faire en sorte que ce soit son client qui trouve lui-même les réponses les plus adaptées pour atteindre ses objectifs. À moi de l’aider à voir la situation qu’il est en train de vivre d’un autre oeil. Tout n’est bien souvent qu’une question de point de vue. ». Sortir de sa zone de confort Basée sur la confiance et le respect, la relation qui se noue entre le coach et son client vise à obtenir des résultats concrets et mesurables. Pour y arriver, il peut s’avérer nécessaire de « bousculer » le coaché et de le faire sortir de sa zone de confort. « L’idée » explique Céline, « c’est d’emmener le client là où il n’est jamais allé, hors des sentiers balisés ». En le poussant à oser s’aventurer en « terre inconnue » plutôt qu’en « terrain connu », le coach amènera ainsi son client à l’autonomie. Prendre conscience de son potentiel et comprendre son propre mode de fonctionnement permettra au coaché d’être mieux armé pour affronter les difficultés de son travail quotidien. « Qu’il s’agisse pour un dirigeant de prioriser les actions à mener dans son entreprise, de modifier son leadership, ou encore de s’impliquer différemment en osant lâcher du lest et en confiant davantage d’autonomie à ses équipes ». ...