Entre l'Auvergne, la Bourgogne et le Berry, l’Hôtel Le Pont Neuf jouit d’une situation exceptionnelle, étant lui-même situé entre deux circuits automobiles reconnus à l’international qui sont Magny-Cours et Lurcy-Lévis. Au calme, dans un cadre idyllique, l’établissement propose une gastronomie impeccable, des chambres luxueuses et un parc champêtre.
D’une salle coquette à une assiette gourmande…
Au sein du restaurant, la salle est décorée avec goût et raffinement. L’art de la table est ici un art récurrent et bien maîtrisé. Les tons neutres et le style chic des lieux annoncent déjà le standing de la maison. Un décor moderne avec des touches traditionnelles, des couleurs mauves et orangées, des fenêtres qui baignent la pièce d’une lumière éclatante font d’elle un endroit idéal à la détente et au plaisir.
À salle d’exception, assiette d’exception. Les plats sont d’une finesse inouïe. Le visuel épuré incite à la gourmandise. Les suggestions du chef : le foie gras maison en entrée, du charolais au poivre comme plat principal, et enfin de la banane tatin pour le dessert. Un bon vin blanc de caractère de la région saura sublimer et révéler cet accord parfait.
D’une assiette gourmande à un hôtel de charme…
Après un bon repas dont seule la maison a le secret, vous pouvez prolonger votre séjour dans l’hôtel. Les quarante-cinq chambres feutrées et confortables vous accueillent l’instant d’un moment féerique. Le calme, la quiétude et la sérénité y règnent en maîtres. La piscine, le sauna, le tennis et la salle de remise en forme font de cet endroit une source du bien-être. D’autres activités comme de la randonnée dans la forêt de Tronçais ou encore le rafting sur l’Allier s’ajoutent à la longue liste des services proposés par la maison.
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Entre Vézelay et Avallon, au bord de la route D606, vous ne risquez pas de la rater. L’Auberge des Chenets se distingue par son cadre accueillant et convivial. La façade en pierre, les volets aux couleurs vives et la petite végétation qui borde la devanture sont les premiers détails qui focalisent l’attention. A l’intérieur, on se laisse charmer par une salle intimiste à la lumière tamisée et à la décoration raffinée. D’entrée de jeu, la belle et grande cheminée confère une ambiance cosy et sereine. Les murs en pierre apparente embellis de tableaux contemporains dénotent d’un joli mix entre tradition et modernité : c’est d’ailleurs dans cet esprit-là que l’Auberge des Chenets a été créée.
Un chef amoureux de son terroir
L’histoire du restaurant Auberge des Chenets est celle d’un chef qui se passionne pour la cuisine notamment la pâtisserie dès son plus jeune âge. Après avoir effectué un apprentissage classique, il a la chance de travailler dans des relais et châteaux qui lui ouvrent les portes de plusieurs grandes maisons à l’instar du célèbre La Chèvre d’or à Eze Village. Suite à cette belle et longue expérience, il est temps pour lui de revenir aux sources dans sa région natale. Il décide d’ouvrir alors son propre établissement dans lequel il sert une cuisine raffinée et délicate qui comble les palais exigeants. Un repas à l’Auberge des Chenets, ce sont des étincelles assurées. Le chef imaginatif et curieux partage une cuisine qui tente de préserver l’identité régionale tout en sortant des sentiers battus.
Il travaille avec des produits frais qui mettent à l’honneur le terroir. Selon la saison, il sera alors possible de déguster certains produits phares qui font la réputation de la Bourgogne à l’instar des escargots. Au mois d’octobre, un menu spécial « homard » est affiché durant une quinzaine de jours. L’occasion pour les amateurs de ce met d’exception de le découvrir sous toutes les coutures. En hiver, des week-ends dédiés à la truffe sont organisés selon la disponibilité des produits.
Une riche carte de vins
La carte de vins est bien fournie, de quoi vous donner l’assurance de bénéficier des meilleurs accords. Etant donné la localisation de l’établissement, celui-ci privilégie les Chablis ou encore les vins de l’Yonne. Pour 2016, ces derniers sont à l’honneur lors de la fête viticole bourguignonne appelée Saint-Vincent Tournante. Créé au Moyen-Age, l’évènement est célébré durant le dernier week-end de janvier et change tous les ans de village viticole bourguignon.
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Idéalement situé au bord de l’Yonne et niché dans un petit village paisible, l’établissement dégage un charme intemporel. À l’intérieur, le mélange du style champêtre et moderne intrigue, et les tableaux des artistes peintres locaux qui viennent orner le mur blanc captivent toutes les attentions. Dans cet endroit chaleureux, Laure et David accueillent les clients, habitués ou simplement de passage sur l’autoroute, et les invitent à passer un moment convivial autour d’une bonne table.
Privatisable, l’endroit se prête à divers événements familiaux ou non tels baptêmes ou anniversaires avec une capacité d’accueil de cinquante personnes en restauration traditionnelle. En revanche, lors des soirées à thèmes comme la « fête de la musique » ou « Garçon la note », qui est un événement en partenariat avec l’Office du tourisme de l’auxerrois, cette capacité s’étend à une centaine de personnes, étant donné que les festivités ont lieu à l'extérieur.
Les spécialités maison
Laure, chef en cuisine, n’y est pas allée par quatre chemins dans la création de sa carte. Celle-ci est succincte mais l’excellence de la cuisine bourguignonne y est bel et bien au rendez-vous. Laure sait initier ses clients à de belles découvertes culinaires en mettant en scène et sans jamais les dénaturer les produits de saison frais, issus des producteurs locaux. « Nous varions régulièrement les assiettes, mais nous restons toujours sur les produits et les recettes du terroir », fait-elle savoir. Notre passionnée appose sa signature dès l’entrée, en proposant les fameux escargots avec une sauce chaource, la salade accompagnée de croustillants de pieds de cochon, ou encore le foie gras maison sur toast. Pour les plats, les clients ont le choix entre un classique à l’instar de l’entrecôte et ses frites maison, ou une suggestion plus originale qui ne déroge pas au style traditionnel de la maison comme l’andouillette façon « grand-mère ». À noter que la carte suggère toujours un plat à base de poisson en sauce selon l’arrivage et un plat de viande rouge. Côté dessert, le vacherin à la framboise est un incontournable. C'est un sorbet framboise accompagné de meringue, chantilly et coulis de fruits rouges, le tout servi dans un bocal. Voilà un dessert qui clôture cette expérience gustative sur une note bien gourmande.
Au plus près de la région
Locavore dans l’âme, le couple a sélectionné le meilleur des vins bourguignons et icaunais pour accompagner les plats. Chablis « Vieilles Vignes » et chablis 1er cru « Côte de Léchets », les emblématiques de la région se distinguent parmi la liste. « Nous avons également le bourgogne Irancy du Domaine Cantin», souligne David. Pour les vins blancs locaux, le restaurant travaille avec d'autres domaines tels que Daniel-Etienne Defaix, Race, Giraudon, et Les Coeuriots. En vins rouges, il se fournit auprès des domaines Cantin, Giraudon, Gabrielle et Martin. Concernant les rosés, les fournisseurs attitrés sont les domaines Vignot et Giraudon. Le champagne quant à lui vient du domaine Roland Champion.
Aussi, pour s’approvisionner, les fournisseurs locaux sont privilégiés à l’instar de la fabrique d'escargots située à Bassou 89400.
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Dans un décor entièrement rénové où il fait bon se retrouver, cette charmante bâtisse historique au cadre chaleureux est située au carrefour de la route des grands vins, entre Beaune et Cluny. Avec son jardin, ses grandes salles au plafond à la française et son magnifique caveau, elle représente l’endroit parfait pour accueillir vos différents évènements tant privés que professionnels.
Des plats traditionnels avec de bons vins
À travers une cuisine du terroir, au gré du marché qui privilégie le cycle court pour la majorité des produits, Les Trois Maures est en mesure de proposer un menu de 2 à 5 services (qui change à 5 reprises dans l'année), allant de18 à 45 €. Ses plats à la portion généreuse et particulièrement savoureux n’attendent plus que vous.
Ravissez vos papilles avec sa Fricassée d’escargots sauce Brillat et Morteau, son Tournedos de charolais avec son jus à l’huile de truffe ou sa Poire pochée à la dijonnaise avec sa crème glacée pain d’épices qui sont de véritables délices.
Les Trois Maures, c’est aussi une très belle carte des vins issus essentiellement de l’ensemble des régions viticoles françaises, surtout de la Bourgogne, mais aussi avec quelques vins étrangers d’Italie et d’Autriche. Pour accompagner chacun de vos repas, son Sancerre « Côtes des Monts damnés » Domaine Brochard, son Mercurey 1er cru « Clos du roi » Domaine Tupinier-Bautista ou encore son Cornas « Arènes sauvages » Cave de Tain sont d’excellents choix et des références bien connues des habitués de l’établissement.
Dans un village à très fort terroir, où la romance est à l’honneur, avec un château du XIe et du XIIIe siècle, et aussi grâce à un bon partenariat avec les propriétaires du château, le restaurant a le privilège d’organiser des évènements dans un cadre d’exception. En effet, « à la demande des clients, nous organisons des diners de dégustation, des dégustations commentées ou à l’aveugle et des animations ludiques autour du vin », fait valoir le gérant Lucien Tolfo.
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C’est dans le sud de la Bourgogne dans la campagne brionnaise que Marie-Christine et Philippe reçoivent leurs convives. Le couple a installé son restaurant dans une dépendance d’un ancien château. Il y instaure un décor authentique fait de pierres et de poutres apparentes, de vieilles tomettes et d’une grande cheminée. Ce cadre de charme plonge les clients dans une ambiance de type taverne où chaleur et convivialité sont au rendez-vous. Et pour ceux qui veulent rester pour la nuit, la ferme-auberge possède également quatre chambres d’hôtes, classées 3 épis Gîtes de France.
Côté cuisine
Le concept de la maison est simple : servir des plats composés de produits issus de sa propre exploitation ou des exploitations voisines. « Nous proposons une cuisine à base de produits locaux : les végétaux de notre jardin, les viandes de notre élevage familial, et d’autres produits du terroir », précise la cheffe Marie-Christine Paperin. À table, elle tient à conserver le « Menu Campagnard », le menu historique, en le revisitant un peu. « C’était le premier menu servi à l’époque où mon beau-père préparait toutes les charcuteries, ma belle-mère faisait les fromages blancs », nous raconte-t-elle, un brin nostalgique. Aujourd’hui, ce menu est composé d'une assiette de charcuterie faites maison ( terrine, jambon cru, pâté...) à l’entrée, accompagnée d’une galette de pommes de terre et d’une salade, de fromage blanc à la crème et d'un dessert. Pour les clients qui restent séjourner, la cheffe recommande la formule « Menu du jour » pour découvrir des plats variés et goûter aux belles viandes charollaises que son époux élève avec passion. Pour les sorties dominicales en famille, rien de tel que le « Menu du dimanche », où l’on sert en plat principal de la viande de bœuf grillée accompagnée d’une salade et de légumes de saison.
La carte des vins
« On a plutôt une carte locale, sur le même registre que les menus », explique la cheffe. La maison sélectionne les producteurs de la région qui fournissent des vins vraiment à son goût. Bourgogne, beaujolais et vins brionnais enrichissent la carte pour des accords mets et vins réussis.
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C’est à Joigny, dans un cadre intimiste, que Jean-Michel Lorain officie, mettant ses talents de chef au service d’une table qui célèbre les ingéniosités de Mère Nature. Réserver chez cet enfant terrible de la gastronomie française, c’est ouvrir ses palais à l’expérience d’un voyage dont les papilles ressortent ragaillardies et transformées.
Quand gastronomie rime avec simplicité
Placée sous le signe de la légèreté et de la fraîcheur, la cuisine gastronomique vue par le chef de la Côte Saint-Jacques puise ses inspirations au cœur des produits. Sélectionnés chez des fournisseurs triés sur le volet, ils rendent le meilleur d’eux-mêmes dans un défilé de saveurs aussi changeantes que les saisons. Le classique y fraye délicatement avec l’exceptionnel, à travers des plats signatures comme la poularde de Bresse à la vapeur de champagne. Pour les très grandes occasions, la maison convie à un parcours savoureux où les papilles se retrouvent au détour de mille nouvelles initiations. Le thé fumé lapsang souchong révèle le foie gras sous un jour nouveau. Tous les sens sont en émoi, à l’instant du dessert, devant un service sucré qui déploie d’opulentes notes florales dans un camaïeu de rose. L’ambiance contemporaine et claire de la salle, qui rend élégamment la finesse des couverts, ajoute une touche d’ailleurs à toutes ces pérégrinations au cœur du goût.
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Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine.
Mariage de régions et de saveurs
« Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins.
Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012.
Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines.
Un amour effréné pour la Bourgogne
L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. »
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La Bourgogne-Franche-Comté, une région de bonne cuisine
La Bourgogne-Franche-Comté produit des escargots, le bœuf charolais et le poulet de Bresse qui servent à la préparation de plats délicieux comme le filet de bœuf charolais aux champignons et le poulet de Bresse à la crème aux truffes. Le comté, fromage produit en Franche-Comté, est un des plus utilisés dans la cuisine française.
La région se veut être une des régions françaises les plus connues en matière de bonne cuisine. Les spécialités régionales sont, entre autres, le bœuf bourguignon et le coq au vin.
Elle est aussi connue pour son vignoble qui compte plus de 80 AOC de Bourgogne et celui du Jura qui produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura ainsi que des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois.
Le Rabutin, de père en fils
Le Rabutin est un restaurant pizzeria traiteur ouvert en 2000 par M. Funès. Armé d’une quarantaine d’années d’expérience culinaire, il y travaille depuis 2002 avec son fils Mickael.
Le restaurant charme par sa proximité avec le château de Bussy-Rabutin et le Muséoparc d’Alésia, dans la ville d’Alise-Sainte-Reine.
À l’extérieur de l’établissement, on trouve une terrasse fleurie et ombragée. L’intérieur est magnifiquement décoré selon le gout du propriétaire. En effet Mickael Funès est passionné de Harley Davidson. « À partir du moment où le client entre dans le restaurant, il entre chez moi. Je l’ai décoré sur un thème un peu rétro, un peu Harley », nous explique-t-il.
Le restaurant compte aussi un bar et dipose d’une salle des fêtes à proximité, qui accueille des concerts sur invitation et bien d’autres évènements.
Une cuisine familiale et traditionnelle bourguignonne
Le Rabutin propose des pizzas à l’andouillette et à l’époisses avec des huiles d’olive méticuleusement sélectionnées et des farines importées d’Italie. Mais le restaurant fait de la cuisine traditionnelle bourguignonne son véritable point d’honneur.
Mickael Funès utilise 98 % de produits frais comme le bœuf charolais de Bourgogne, le poulet de Bresse, les betteraves, les concombres, les tomates, les œufs. Il s’assure bien évidemment que ce sont des produits locaux de qualité. « Nous proposons des assiettes très généreuses avec des produits de qualité. Nous servons du label Charolais de Bourgogne », souligne-t-il. Il travaille aussi avec des producteurs locaux bien connus comme Ma très bonne glace.
Le Rabutin, c’est aussi un service traiteur avec des buffets campagnards, dont des plateaux de charcuterie issues du Jura, du Doubs et du Morvan.
Pour l’entrée, le choix est vaste. Les œufs cocotte à la dijonnaise sont une cuisson d’œufs frais dans une petite cocotte, dans un four à pizza à très haute température. En fin de cuisson, on y rajoute une petite sauce crème à la moutarde à l’ancienne. Il sont servis avec des mouillettes et s’accordent parfaitement avec du vin blanc.
La terrine de campagne maison est une terrine de campagne traditionnelle faite à base de gorge de porc et de foies de volaille. Cette entrée est dressée avec une tranche de terrine, un petit bouquet de salade verte à l’huile d’olive bio et au vinaigre balsamique, ainsi que des framboises. Elle s’accorde parfaitement avec le Boisset Bourgogne.
Pour le plat principal, la tête de veau traditionnelle est cuisinée avec du veau Charolais de Bourgogne et servie chaude avec sa sauce Gribiche et des pommes vapeur. Les œufs en meurette sont des œufs pochés dans du vin rouge, égouttés, servis sur un crouton de pain aillé et nappés d’une sauce au vin rouge. Ils sont parfaits avec des vins d’appellation Maranges comme les Clos Roussots.
La mousse au chocolat, la crème caramel, la crème brulée au grand marnier, la tarte aux fruits de saison et la crème de cassis de Dijon sont les principaux desserts du Rabutin.
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Ce restaurant indépendant ouvert 7 jours sur 7 (hors dimanche soir) propose à ses clients une cuisine authentique et simple agrémentée d'incontournables classiques Auvergnat. Dans un cadre convivial à l'esprit bistrot, un accueil chaleureux vous invite à déguster un grand classique de la région qu’est la Truffade Auvergnate. Il s’agit d’un plat typique à base de pomme de terre, assaisonné de poivre et d'ail et de tomme fraîche du cantal servi avec un jambon sec AOC d'Auvergne. Soucieux de la tradition, les 2 compères ont pris soin de vous préparer ce plat « à l’ancienne ». A déguster pour les puristes avec un cotes d'Auvergne rouge ou blanc selon vos envies.
Une carte raisonnable mais variée
Le Zinc se démarque de la plupart des enseignes par sa cuisine généreuse concoctée à base de produits frais. En effet, l’établissement privilégie les circuits courts et la proximité de ses fournisseurs locaux pour répondre aux exigences de fraicheur et de traçabilité des produits jusque dans l'assiette. En s’approvisionnant auprès de fournisseurs comme "la ferme Auvergnate" ou "lou vidalou" fromager affineur cantalou, la maison s'assure d’avoir les bons produits. En été comme en hiver, le chef vous propose ses incontournables rognons de veau aux morilles et le boudin noir au foie gras poelé du domaine de Limagne.
Le Zinc se fait aussi une spécialité dans la viande, en mettant à l'honneur les races à viande locale : Charolaise, Limousine ou Aubrac et ce dès que possible.
et que dire du vin ?
La carte des vins du Zinc n’a pas à rougir face à celle d’autres établissements spécialisés. De nombreux vignobles exclusivement français y figurent, du sud en remontant par la vallée du Rhône, en s'arretant en Val de Loire et en Bourgogne jusqu'au bordelais pour finir, bien évidemment, sur les vins d'Auvergne à découvrir.
Parmi une trentaine de références, le chef laisse le soin à ses clients de faire leurs choix mais ne manque pas une occasion de leur faire profiter de ses expériences si besoin.
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Fraîcheur et authenticité ne sont pas de vains mots, quand on parle de la cuisine servie à La Cueillette®. Le chef, audacieux et créatif, concocte des menus colorés et goûteux – pour le plaisir – et d’une rare délicatesse, pour la santé. Car bien manger est ici un art cultivé par le maître des lieux, Jean Garnier, médecin et nutritionniste de son état.
Un cadre fastueux pour le plaisir des yeux
Le château de Cîteaux qui abrite La Cueillette® imprime à cette dernière les fastes de son époque d’origine. Les décors muraux, rehaussés de dorures exceptionnelles, tout comme le grand lustre, ont été reconstitués à l’identique de la salle à manger qui recevait les convives dans le château d’apparat datant de 1860. Chaque dîner dans les murs de ce restaurant de caractère est alors comme une incursion dans une époque, où le raffinement était une vertu essentielle. Dans une ambiance claire, la transparence des couverts dressés semble prédire la légèreté élégante qui enveloppe les plats à venir.
Une cuisine simplement créative, pour saisir le meilleur de la nature
Les cartes de La Cueillette® sont imaginées par le chef Sébastien Dorier rompu aux arts de la création culinaire sur la base de produits locaux. Le pléthorique n’est pas de mise. On privilégie l’essentiel, le bon goût de chez soi, en sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs aux alentours au rythme des saisons. Les plats seront également créés selon les arrivages du marché. Finalement, les convives se retrouvent avec des plats simples et sains – tel ce filet de volaille fermière de Bourgogne – à apprécier les saveurs authentiques d’antan. Un bon cru sélectionné des domaines alentour finit de célébrer ce que le terroir a de plus vrai.
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Située sur l’avenue Carnot, L’empreinte By Yannick Lecoq se veut simple mais raffiné. Le restaurant propose trois espaces aussi attirants et surprenants les uns des autres. Le premier propose un cadre contemporain avec une cuisine ouverte qui offre un spectacle inédit d’où il est possible d’observer le chef et son équipe. Ici, le partage et la convivialité sont les maitres mots. Dans le deuxième espace, l’ambiance est beaucoup plus intimiste. L’alliance du beige et du noir reflète le côté sobre et élégant du lieu tandis que la baie vitrée illuminant la salle procure une touche de douceur à l’ensemble. Et, durant les beaux jours, la grande terrasse permet de savourer à l’ombre du figuier, les délicieuses créations culinaires du chef.
« Empreinte culinaire »
Doté de vingt ans d’expérience, le chef Yannick Lecoq a réussi à affiner son « Empreinte culinaire ». Aujourd’hui, c’est au sein de son propre restaurant L’empreinte by Yannick Lecoq qu’il exprime et partage son talent. Fidèle aux valeurs de l’établissement, Yannick propose une cuisine raffinée à base de produits frais et de saison. Inspirés de ses voyages et de ses envies, ses plats sont aussi savoureux que créatifs.
Chaque bouchée promet un voyage culinaire transcendant. Le souci du détail est mis en avant : un parfait équilibre au niveau des assaisonnements, un respect au millimètre près de la cuisson et un accord subtil des saveurs. Par ailleurs, le chef apporte une attention particulière aux produits. Dès leur sélection, il se montre extrêmement exigeant pour assurer la qualité et la fraicheur de ses plats et s’approvisionne autant que possible sur le marché local. Lors de la préparation, il veille à ce que les produits ne soient pas dénaturalisés.
En outre, le chef apporte aussi un intérêt particulier aux vins. Etant un grand passionné, il veille à assurer les meilleurs accords. L’occasion pour les convives de découvrir la collection du restaurant comprenant 150 références environ.
« Une cuisine qui s’adapte »
Au menu, quatre formules différentes allant de 17 à 52 euros sont présentées. Pour chacune d’entre elles, les convives ont droit à une entrée, un plat et un dessert. A partir de 40 euros, un plateau de fromages de la Maison Mons vient s’ajouter à la liste.
Pour les gourmands aventuriers, la formule à 52 euros leur est spécialement dédiée. Celle-ci est constituée de plats surprenants et authentiques comme le fameux Opéra de foie gras « pomme, pain d’épices et fruits de la passion », l’un des plats signatures du chef.
A la carte, les convives choisissent entre : trois entrées, trois plats et trois desserts. C’est l’occasion idéale de déguster la fraicheur des entrées comme le tartare de saumon au citron et à la ciboulette ou encore les asperges blanches de Provence à la vinaigrette et au fruit de la passion, accompagnées d’un œuf poché. Le mélodieux repas s’enchaînerait ensuite sur un magret de canard au vinaigre balsamique ou une délicieuse souris d’agneau braisée au jus de cuisson à la tomate. Et pour finir, une note de douceur avec la salade d’orange à la vanille de Tahiti ou la crème marquise au chocolat et framboise.
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Un jardin fleuri et une grande piscine qui ajoute une note de convivialité tout en invitant à la détente. Bienvenue à La Ferme aux vins. Bourguignons ou voyageurs de passage sont accueillis par une équipe dynamique, souriante et chaleureuse, placée sous la houlette de Marie-Pierre Bêche, la directrice des lieux.
Quand le temps le permet, les parasols s’ouvrent à l’extérieur pour recevoir les clients avides de soleil et d’air frais. L’intérieur est tout aussi propice à la convivialité. Le décor propose un doux et ingénieux mélange entre confort et modernité. C’est dans cette ambiance de charme qu’évolue le chef Xavier Bitarelle, un spécialiste de la cuisine traditionnelle qui maitrise son art à la perfection.
Capital confiance
La Coupole à Paris, Dalloyau, l’Hostellerie de Levernois : Xavier Bitarelle fait ses armes dans les établissements les plus prestigieux. Cette longue et riche expérience lui vaut toute la confiance de la famille Jacquier, qui lui confie les rênes du restaurant La Ferme aux vins en 2008. Rappelons que, depuis 4 générations, l’existence du groupe Hôtels Bourgogne Qualité est fondée sur les valeurs portées par la famille Jacquier, profondément attachée à la Bourgogne, et passionnée par les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Aujourd'hui, Hotels Bourgogne Qualité, ce sont 11 hôtels en Bourgogne, de l’économique au 5 étoiles, ainsi que 7 restaurants gourmets et gastronomiques.
Xavier Bitarelle, un maestro de la cuisine bourguignonne
Prêt à redynamiser La Ferme aux vins, ce chef efficace et fignoleur y sculpte les parfums, les goûts et les harmonies pour au final proposer une cuisine de terroir relevée par une pointe d’innovation. Ainsi, au fil des saisons, les clients sont sûrs de trouver une carte évolutive qui s’approprie les beaux produits qu’offre la Bourgogne. Car le chef reste des plus exigeants quant à la qualité et à la fraicheur de ses ingrédients commandés auprès de fournisseurs locaux.
Toute cette rigueur et ce perfectionnisme se découvrent aisément au travers des plats proposés : magret de canard aux baies de cassis, volaille de Bresse à l’époisse...
La carte affiche aussi ses spécialités, les fondues bourguignonnes, vigneronnes ou bressanes, pour faire honneur au concept de « cuisine conviviale ». On n’oubliera pas de mentionner les menus, dont celui qui est intitulé « Bourgogne » qui offre de jolis clins d'œil à la région. Sur l’ensemble, le prix moyen par convive de 35 € reste des plus raisonnables.
Une belle carte des vins
La carte des vins met en scène la Bourgogne. Elle est élaborée sur des coups de cœur et au fil des rencontres et des dégustations faites avec les viticulteurs. Pour que vous soyez au fait des meilleurs accords mets-vins, l'équipe de serveurs vous guide dans votre choix, qui peut vite devenir cornélien compte tenu de la richesse de la cave constituée de plus de 200 références.
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Dirigé par deux femmes, Sandrine Delannoy et Catherine Lauriot, le restaurant La Table de Chapaize s’est fait connaitre pour sa cuisine moderne et savoureuse. Sandrine, en salle, et Catherine, en cuisine, ont mis en commun leur savoir-faire et leurs compétences dans ce bel établissement situé au pied de l’église romane de Chapaize, un trésor architectural datant de la première moitié du XIe siècle.
Un cadre cosy
Dirigée autrefois par Gilles Bérard, un chef de renom, La Table de Chapaize a désormais à sa tête Catherine et Sandrine, qui ont inauguré les lieux en juillet 2013. Dès l’acquisition, les nouvelles propriétaires n’ont pas tardé à transformer l’établissement à leur image. La salle est décorée de façon sobre et élégante : la mezzanine offre une ambiance intimiste et discrète, tandis que la grande salle apporte chaleur et convivialité. Ce cadre cosy et confortable est propice à l’accueil de groupes d’amis ou de familles.
Le mariage de deux talents
Le parcours des deux maitresses des lieux est pour le moins étonnant. Ayant auparavant exercé dans le secteur des industries, Catherine, la chef, a entamé sa reconversion en suivant une formation à l’école hôtelière de Chagny. Elle a poursuivi son apprentissage en se perfectionnant auprès des meilleurs chefs et formateurs. Auparavant ingénieure agronome, Sandrine, son associée, exprime un fort attachement pour les produits du terroir et une passion pour les vins. D’ailleurs, elle n’a pas manqué d’enrichir ses contacts dans ces deux domaines pour élaborer les cartes du restaurant. Ensemble, ces deux passionnées se sont fixé un seul objectif : faire plaisir à leurs convives.
Le plaisir des yeux, le bonheur du goût
À La Table de Chapaize, les saveurs fraiches sont à l’honneur. La chef aime surprendre en variant sa façon de cuisiner. Les spécialités de la maison sont le sucré-salé et la terrine de foie gras maison mi-cuit, qu’il est d’ailleurs conseillé de commander en avance. Les menus changent tous les mois pour permettre aux convives de découvrir d’autres saveurs. La maison propose une première formule à 27 €, composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert ou de fromage. Un menu à 33 € est également servi. Les suggestions dépendent des produits frais disponibles sur le marché ou fournis par les producteurs locaux. Pour cette formule, les gastronomes seront séduits par les saveurs du foie gras maison et son chutney servi en entrée. En plat principal, le filet de veau accompagné d’un jus aux baies de genièvre et d’une mousseline de céleri comble les fins palais. Enfin, en dessert, le cheese-cake au fromage frais de lys coulis de framboise attise la curiosité.
À l’occasion des fêtes, La Table de Chapaize élabore des menus spéciaux : Saint-Valentin, Pâques, Fête des mères... Les grands évènements de l’année sont dignement célébrés par des formules spéciales qui sortent tout droit de l’imagination de la chef.
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La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton.
Crêpes et galettes bretonnes
La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée.
Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients.
Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne.
Un état d’esprit, une éthique
La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients.
Un restaurant ouvert aux artistes
Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes.
Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année.
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Au cœur du village de Bourgvilain, l’auberge Larochette séduit par son décor unique mais simple. A l’extérieur, la façade artistiquement dressée attire instinctivement le regard des passants. Durant les beaux jours, la terrasse ombragée et fleurie permet de profiter pleinement de la beauté du paysage et de s’imprégner à l’atmosphère de la région. En rouge et crème, l’intérieur de l’auberge reflète le parfait équilibre entre le luxe et la simplicité. Les meubles anciens réaffirment le côté « vieille auberge » de l’établissement tandis que les objets de décoration contemporaine, signés Faïencerie de Charolles, témoignent de l’esprit jeune et moderne de ses nouveaux propriétaires, Céline Becker et Nicolas Guillaume. Dotés d’un esprit artistique, ils exposent plusieurs toiles de Marie Ecochard et de Thedy sur les murs, pour le grand plaisir des passionnés d’art. Et pour couronner le tout, la bougie allumée sur chaque table et le feu qui crépite de la cheminée apportent une touche chic & cosy à l’ensemble.
Une symphonie culinaire
Depuis une centaine d’années, l’auberge Larochette est un lieu emblématique de la ville de Bourgvilain. Aujourd’hui encore, l’auberge continue à maintenir les valeurs qui ont fait sa fierté : une cuisine gourmande dans un cadre chaleureux. En cuisine, le chef Nicolas fait preuve de justesse et propose des plats à la fois traditionnels et créatifs. Les convives auront le choix entre trois menus différents selon leurs envies en plus d’un menu du jour servi tous les midis et constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert.
Avec le menu tradition, ils redécouvriront le goût authentique des produits fermiers du terroir grâce aux plats simples et savoureux préparés avec passion par le chef. A l’honneur : une salade de pomme de terre, maquereau fumé maison accompagné de roquette suivi d’un suprême de poulet, déclinaison de patate douce, jus de poulet au miel de pissenlit et baies de Goji.
Avec le menu du terroir charolais, ils pourront déguster aux plats phares de l’auberge comme l’entrecôte charolaise juste poêlée accompagnée d’un gratin dauphinois ou encore, en dessert, le fameux soufflé chaud aux fruits de la passion.
Dans le menu gourmand, le chef les invite à découvrir des plats semi-gastronomiques et raffinés comme la mousse légère de crustacé accompagnée d’un crabe royal en salade et d’un espuma d’avocat ou encore du Rouget barbet doré aux poireaux, accompagné d’une soupe de poissons.
Dans les assiettes, le chef cherche surtout à exposer le goût et les saveurs en laissant les produits s’exprimer. Et pour assurer la qualité de ses créations culinaires, il se montre particulièrement exigeant sur le choix des produits qu’il utilise et s’approvisionne autant que possible auprès des producteurs locaux.
Par ailleurs, il veille à ce que chaque plat s’accorde avec la bonne collection de vins, régionaux et venus d’ailleurs, de l’établissement. D’ailleurs, les convives pourront même choisir deux ou trois bouteilles en même temps puisque la carte propose des vins en demi-bouteille.
Un talent à découvrir
Du haut de ses trente ans, le chef Nicolas fait preuve d’une grande maturité. A la tête de l’auberge depuis janvier 2015 avec sa compagne Céline, il s’est rapidement démarqué et s’est bâti une très bonne réputation qui grandit à une vive allure. D’ailleurs, moins de douze mois après son ouverture, l’auberge Larochette a obtenu son bib gourmand et sa fourchette auprès du Guide Michelin. Pour Nicolas, la cuisine est avant tout une passion. En quête de l’excellence, il ne cesse de se réinventer et de tester de nouvelles saveurs pour emmener ses convives vers un voyage culinaire inédit.
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Conçu et pensé jusque dans les moindres détails pour votre confort et votre tranquillité, Le Marius est un très bel hôtel aux chambres de grand standing, dont les noms évocateurs font référence aux champagnes. Située dans des caves voûtées typiquement champenoises, la partie restaurant de l’établissement est une halte enchanteresse au décor atypique, qui, avec ses belles pierres bourguignonnes taillées, lui confère un certain caractère, entre tradition et modernité.
Du traditionnel au semi-gastronomique, la cuisine du Marius met en avant les produits de terroir pour satisfaire une clientèle à la belle représentativité étrangère. Grâce à des distinctions comme « Maître-Restaurateur », « Fait Maison », « Guide logis », « 3 Cocottes » au « Petit Futé », « Guide Michelin » et récemment « Gault & Millau », l’établissement, dont la réputation n’est plus à faire, se distingue particulièrement par la qualité de son accueil et de ses services.
Des menus pour tous les goûts
La carte du restaurant a la particularité de changer régulièrement, avec trois menus spécifiques : le menu Tradition à 28 €, regroupant tout ce qui est local, avec trois entrées au choix ; le menu Millésime à 38 €, qui propose des mets beaucoup plus recherchés avec quatre entrées au choix ; et enfin le menu Prestige, qui est un peu l’équivalent du menu gastronomique, proposé au tarif de 52 €, avec des mets très raffinés tels que le foie gras, les gambas ou encore le ris de veau.
Découvrez aussi une riche carte des vins d’à peu près 120 références, avec une très belle représentation des Riceys (un vin qui ne pétille pas), du champagne Joffrey, millésime 2009, du champagne Prestige ou rosé ou du Coteau champenois rouge, sans oublier du très bon vin d’Alsace, quelques Beaujolais, du Muscadet, du Sancerre en passant par des Bordeaux, des vins du Sud-Est, et quelques vins étrangers, dont des argentins, des sud-africains ou des chiliens.
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À Dijon, le restaurant La Closerie propose une cuisine raffinée, toujours concoctée à partir de produits frais et de saison. Du 100 % fait maison qui ravira à coup sûr les fins palais.
Deux salles, deux ambiances
Le restaurant dispose de deux salles distinctes. Côté jardin, les invités ont droit à un cadre intimiste, qui révèle une atmosphère empreinte de douceur et d’authenticité. Avec ses poutres apparentes datant du XVIIe siècle et ses murs de pierres, le lieu ne manque certes pas d’originalité. Côté cour, l’ambiance est plutôt à la décontraction avec le bar à vins, qui offre un espace lounge propice aux échanges et à la convivialité.
De l’authenticité et de la saveur
En cuisine, le chef Arnaud Riandet affectionne les produits locaux et s’approvisionne donc en circuit court. « Pour moi, le plus important est de travailler des produits frais et de qualité », nous explique-t-il. Ce dernier concocte chaque jour une cuisine raffinée, qui marie à la perfection tradition et modernité.
En entrée, le jambon persillé avec sa crème de moutarde et pesto de cresson fait toujours l’unanimité auprès des convives. En plat, le chef suggère la joue de bœuf confite au vin rouge ou bien la volaille « Gaston-Gérard » façon revisitée et son gratin dauphinois, une pure merveille. Enfin, le vacherin au cassis noir de Bourgogne clôturera en beauté cette découverte culinaire.
Pour accompagner idéalement tous ces plats, l’établissement propose pas moins de 250 références de vins. Une carte qui fait honneur à la Bourgogne, puisque 90 % des vins servis sont issus de la région.
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Sis dans un ancien hôtel particulier du 15e siècle, le restaurant La Closerie a été entièrement pensé pour répondre aux besoins des clients. Il se décline en effet en deux salles différentes, avec deux ambiances spécifiques. La première salle, côté jardin, propose un cadre élégant et intimiste marqué par la présence d’un beau plafond à la française et d’une cheminée en pierres de Bourgogne.
Envie de prendre un verre entre amis ? La seconde salle, côté cour, est l’endroit idéal. Ce bar à vin dont l’animation est assurée par un sommelier distille une ambiance lounge et décontractée, où règne également la convivialité.
Une cuisine authentique dans un cadre de charme
La Closerie propose une cuisine raffinée et surtout faite maison, comme l'exigent les critères d'affiliation au titre de Maître Restaurateur, où les recettes traditionnelles se mêlent à l’inventivité et à l’imagination du chef Emeric Buisson. La réputation de ce chef s’est construite à travers ses menus élaborés avec des produits frais et de premier choix qui évoluent au gré des saisons. Dans la gamme des plats phares qui font sa renommée figure le jambon persillé assorti de crème fouettée à la moutarde, une entrée très appréciée de la clientèle. En ce qui concerne les plats, la joue de bœuf confite au vin rouge, fricassée de légumes se distingue du lot. Les fins gourmets apprécieront la tendreté et l’onctuosité de la viande, laquelle a fait l’objet d’une concoction de vin rouge durant un minimum de huit heures. Enfin, dans le registre des desserts, la maison se fait un réel plaisir de proposer le vacherin au cassis et pain d’épices. Sa particularité réside dans la combinaison parfaite de deux produits du terroir. Le chef a également utilisé du pain d’épices issu de la fameuse maison « Mulot & Petitjean » pour sublimer ce dessert très particulier.
Les vins de Bourgogne à l’honneur
La carte des vins de La Closerie fait la part belle aux vins de Bourgogne, lesquels sont certainement les mieux indiqués pour accompagner les plats concoctés dans cet établissement dijonnais. Dans la liste de ses meilleures références figurent les vins de la Côte de Nuits, de la Côte de Beaune ou encore de Gevrey-Chambertin.
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Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le chef, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens. Avec, à chaque fois, la promesse d’un plaisir renouvelé !
Un cadre élégant
Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux repas d’affaires. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une belle terrasse à proximité de la piscine pour plus de tranquillité.
Le raffinement dans vos plats
Grâce à un partenariat privilégié avec ses fournisseurs locaux, l’établissement s’assure d’offrir à ses clients les meilleurs produits afin de leur concocter des plats incomparables. Au gré des saisons et des saveurs, le chef se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française. En entrée, le duo d’œufs en meurette est juste à tomber. Un vrai régal pour les gourmands de passage. En plat, rien de tel qu’un filet de bœuf charolais avec sauce aux morilles pour s’imprégner des saveurs régionales. Tous les dimanches, ce restaurant a l’habitude de convier les initiés à son traditionnel brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». L’occasion aussi pour l’établissement de faire connaître aux convives le savoir-faire de ses trois pâtissiers d’exception et leur célèbre chariot de desserts.
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Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le Chef Gonzalo Pineiro, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens, avec à chaque fois la promesse d’un plaisir culinaire renouvelé !
Un cadre élégant
Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux déjeuners d’affaires. Pour des repas plus intimes, le restaurant dispose de beaux espaces privatifs comme le Salon Président et le Salon Bourgogne, pouvant accueillir respectivement 10 à 30 personnes. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une jolie terrasse, ouverte sur le jardin, à proximité de la piscine chauffée.
Le raffinement dans vos plats
Au gré des saisons et des saveurs, le chef Gonzalo Pineiro se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française, à travers des produits frais et de qualité. « En approvisionnement, nous privilégions au maximum les producteurs locaux », souligne Alexander Krips, directeur de l’établissement. La qualité et la fraicheur des produits utilisés se ressentent naturellement dans les assiettes. Pour s’en convaincre, il suffit de déguster les succulents escargots de Bourgogne au Chablis ou bien les Oeufs Bio en Meurette au Pinot Noir en entrée. Pour prolonger le plaisir, le Chef et sa brigade suggèrent le Filet de bœuf Charolais accompagné de son incontournable purée d’Amandine du Château à l’huile de Truffes, une spécialité de la maison ! Au Château Bourgogne, les poissons sont également à l’honneur : entre la Saint-Jacques, la Lotte ou le Turbot Sauvage, les invités ont droit à un choix alléchant. De quoi partager un bon moment autour de plats incomparables !
Le restaurant jouit d’une bonne réputation dans la région, notamment grâce à son célèbre plateau de fromages avec plus de 15 variétés. Pour les palais sucrés, les 3 pâtissiers régaleront les convives avec des douceurs entièrement faites maison. Côté vins, l’établissement présente une carte éclectique comprenant près de 300 références de Bourgogne et d’ailleurs. Demandez conseil au sommelier, qui sublimera vos plats et vous fera découvrir les cépages et appellations régionaux.
Tous les dimanches, Le Château Bourgogne a l’habitude de convier les initiés à son propre brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». Chaque semaine, un nouveau thème est à l’honneur, avec une composition de menu différente. L’équipe en cuisine fait alors marcher son imagination et sa créativité pour sortir un repas complet et à volonté, salé, sucré, chaud et froid, pour un voyage gustatif garanti ! Le thème est dévoilé quelques jours à l’avance sur leur page Facebook.
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Originalité et volupté se retrouvent dans une cuisine gastronomique fidèle aux succulences traditionnelles. Dans un cadre mêlant harmonieusement l’ancien et le contemporain, les assiettes révèlent le goût authentique de produits façonnés avec art et passion. Chaque recette, synonyme de virtuosité et d’extase gustative, est la promesse d’un voyage culinaire au pays de l’excellence.
Les délices du palais dans un havre de paix
La terrasse ombragée, les chambres douillettes, le charmant bar intérieur, les salles décorées de meubles contemporains signés Philippe Starck et les salons intimistes de cette magnifique bâtisse d’époque sont autant d’invitation au régal. A mi-chemin entre l’élégance ancienne et l’originalité moderne, chaque recoin du restaurant est savamment pensé afin de prodiguer une sensation gourmande de plénitude aux hôtes. Allant d’une entrée d’escargots revisités, à un plat de ris de veau en passant par un souffle chaud en guise de dessert, chaque bouchée est le reflet d’un savoir-faire culinaire d’exception. Des cuvées prestigieuses issues de la cave à vins, riche et intense, du restaurant viendront sublimer les menus dégustés au cœur d’un magnifique parc propice à la détente.
Une passion à partager
L’esprit généreux et allègre de la maison trouve son essence dans le désir de partager la passion de l’art culinaire et de savourer ensemble l’amour du bon vin. Des cours de cuisine et des séances initiatiques à l’œnologie sont ainsi organisés dans cette demeure facile d’accès et puisant une part de son charme bourguignon dans sa proximité avec les vignobles du Pouilly-Fuissé.
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Installé dans l’un des « plus beaux villages de France », dans le village médiéval fortifié de Montpeyroux, le Bistrot Zen offre un cadre sympathique et convivial en plein cœur de la campagne avec quarante couverts à l’intérieur et quarante à l’extérieur. Racheté en 2014, l’établissement a été entièrement restauré de façon à créer une ambiance originale, moderne et chaleureuse, depuis la salle à manger à la cuisine jusqu’à la cave à vin. « Cette ancienne cave est constituée de petites salles voûtées en pierre avec des recoins partout, des bougies, des petits éclairages…», révèle le chef et propriétaire Cyrille Zen en parlant de cet espace qui fait sa fierté.
Une cuisine de bistrot originale et locale
Ayant un goût particulier pour les « bons produits », le chef Cyrille Zen se distingue par sa cuisine qui mélange la tradition et la modernité. Ouvert il y a trois ans, le Bistrot Zen a été créé à partir d’un concept original qu’est la cuisine de bistrot. Les plats sont généreux, mais soignés et élaborés avec, essentiellement, des produits de la région.
Grâce à une collaboration étroite avec les producteurs locaux, qui se trouvent dans un rayon de trente kilomètres environ, « nous changeons les cartes tous les mois et demi ou tous les deux mois selon les saisons », explique le chef. À côté de son établissement étoilé à Saint-Jean-en-Val, en Auvergne, « ici, nous proposons des plats signatures – ma propre signature culinaire, mais avec des formules plus abordables pour les personnes qui n’ont pas le moyen de venir chez nous en tant qu’étoilé », souligne-t-il.
Composées de trois entrées, trois plats et trois desserts, les formules de menu « entrée-plat », « plat-dessert » ou « entrée-plat-dessert » peuvent être accompagnées de fromage en supplément si besoin est. Comme plat emblématique, le chef est reconnu pour ses choux farcis à la joue de bœuf, avec en entrée des asperges, des escargots ou du maquereau mariné façon aigre douce. Au dessert, il suggère du chocolat et de la framboise.
Avant de partir, l’établissement propose de déguster des vins de la région culturelle et historique d’Auvergne. Sous la conduite de la femme du chef, Audrey, la cave du Bistrot Zen conserve une panoplie de références de vins de toutes les régions françaises, notamment du Languedoc. Toutefois, « nous privilégions des produits de vignerons locaux à l’instar d’Yvan Bernard, pour faire découvrir des vins qui ne sont pas des produits de négoce », précise le propriétaire.
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À quelques kilomètres de Fontainebleau, à deux pas du château de Bourron, Le Martingo est le lieu de rendez-vous incontournable des gourmets de la région. À l’extérieur, le restaurant séduit par son édifice en briques, à l’image de l’architecture locale. Une fois la porte franchie, la salle dégage une ambiance à la fois chaleureuse, chic et intimiste. La décoration y a été minutieusement repensée pour être au goût du jour tout en préservant l’esprit d’antan de la bâtisse. Et, durant les beaux jours, la terrasse ombragée est une véritable invitation à la détente et au plaisir.
Une bonne table !
À l’image de l’établissement, la cuisine s’inspire du terroir avec une petite touche de fraîcheur. Grâce à des produits frais issus du marché local, le chef Nicolas Guillebeaux propose des plats authentiques, savoureux et gourmands.
Tous les midis, une formule « déjeuner » propose deux entrées, deux plats et un dessert ou un fromage au choix. La proposition est renouvelée chaque semaine selon la disponibilité des produits sur le marché. Au gré des saisons, la carte propose des plats gastronomiques à base d’ingrédients nobles. L’occasion pour les convives de déguster le fameux foie gras à la truffe ou le succulent confit de canard, des plats estampillés « fait maison ».
Pour accompagner cette bonne cuisine, la carte des vins met en avant les grands classiques ainsi que des révélations du paysage viticole français. Parmi les plus prisés figurent le vin rouge Irancy, un Bourgogne, et le vin blanc ou rosé Sancerre, de la vallée de la Loire.
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L’Eveil des Sens établi dans un espace cosy, familial et traditionnel vous initie à la tradition culinaire française. La maison révèle un décor sobre et épuré et dispose d’une terrasse ombragée entourée par un environnement verdoyant et spacieux.
Un palmarès irrévocable
A Trelins, en Loire, l’Eveil des Sens a été, à la base, une auberge communale dont le fonds de commerce a été repris en 1999 par José et Sandrine Afonso. Dans l’optique de disposer d’un endroit à son image, il fait de nombreux réaménagements et créé en 2014, un Hôtel deux étoiles.
Vu la rareté du service hôtelier dans les Communes du Forez, cet établissement tombe à pic. Il propose six chambres confortables et accueillantes dont certaines ont été adaptées pour accueillir les personnes à mobilité réduite.
De nombreux plats pour mettre l’eau à la bouche
Dans le restaurant, les menus sont diversifiés. Laissez-vous tenter par le menu gourmand à 20 euros, le menu gourmet à 22 euros ou le menu gastronome à 27 et 34 euros. Les petits garnements ne sont pas en reste chez l’équipe des Afonso qui leur a élaboré un menu enfant. La carte quant à elle est souvent renouvelée tout en mettant à l’honneur des produits frais et locaux pour une meilleure exploration des saveurs.
Le chef concocte une cuisine traditionnelle savoureuse et raffinée. Sa terrine de canard accompagnée d’une confiture d’oignons ou bien son magret de canard sauce aigre douce fait chavirer les papilles. Les grenouilles poêlées ou encore l’assiette du pêcheur préparée selon les arrivages du jour attisent l’appétit. Et en dessert, il propose sa palette de gourmandise.
La carte de vin raffinée qui se veut être en impeccable accord avec les mets se décline en plusieurs références : Côtes du Forez, des Côtes du Rhône, des vins de Bourgogne mais aussi des vins de Bordeaux.
En salle ou sur la terrasse ombragée, l’Eveil des Sens est prêt à accueillir une cinquantaine de personnes. La salle du restaurant dotée d’un décor sobre, moderne et chic est mise en valeur par les nombreux luminaires muraux et les plafonniers. Ombragée par les grands arbres de la cour, la terrasse est dotée d’une aire de jeu pour enfants, la rendant idéale pour des sorties gourmandes en famille.
Les sites qui méritent d’être visités
Non loin du restaurant, sur le Bourg du village, l’église Saint Maurice de l’an 1515 trône majestueusement. L’édifice actuel est construit sur un lieu en hauteur par l’architecte Bonnard.
Aux environs, la cave des vignerons foréziens doit sa notoriété aux ordres monastiques notamment les prieurés dépendants de Cluny mais aussi aux Comtes du Forez. A découvrir immanquablement si vous êtes de passage dans la région.
En quête de sérénité ? Au contrebas du village, la rivière Lignon du Forez confère un paysage agréable et offre un environnement apaisant. Il s’agit du mythique cours d’eau qui se trouve dans le célèbre roman d’Urfé.
Autre site à ne pas manquer : le château de Goutelas qui date de 1558 et qui se situe sur les coteaux de Forez. La bâtisse incarne à merveille un style Renaissance. Le plan architectural est en forme H pour marquer l’idéologie humaniste de son propriétaire de l’époque Jean Papon.
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8/10
07/12/2017 - Publié il y a 3 ans
une ambiance chaleureuse