Spécialiste de l’évènementiel d’entreprises et du tourisme d’affaires, le collectif de tourisme Bourgogne-Franche-Comté Séminaires & Events se veut être un ambassadeur de cette région en tant que destination affaires. Découvertes culinaires, éveil des sens et moments conviviaux de détente sont au programme. Véritable incubateur d’émotions, ce pionnier de l’évènementiel à la touche bourguignonne vous emporte dans un voyage au cœur de la terre immémoriale de l’inédit. Le collectif Bourgogne-Franche-Comté Séminaires & Events: un groupement d’experts à votre service Le collectif regroupe des entreprises hôtelières et touristiques de renom, des agences réceptives ou évènementielles réputées ainsi que des lieux de séminaires, à l’instar des palais des congrès. Depuis 2008, ce groupement s’attèle à repérer et à labelliser les sites à haute potentialité touristique, à fédérer les membres et à positionner favorablement la Bourgogne-Franche-Comté dans le monde du tourisme d’affaires. Grâce à une stratégie marketing axée sur le dispositif MICE (Meetings, Incentive, Congress, Exhibitions), il contribue à la promotion de cette région en tant que destination affaires de prédilection. Pour donner le meilleur de cette contrée, Bourgogne-Franche-Comté Séminaires & Events travaille en étroite collaboration avec plus de 149 partenaires incluant des prestataires de services divers, des lieux de réception inédits comme les châteaux et les hôtels étoilés ainsi que de nombreuses entités dont les activités sont étroitement liées à l’évènementiel dédié aux professionnels. Rigueur, professionnalisme et créativité sont les maîtres-mots de ces partenaires devant adhérer à une charte-qualité établie selon les besoins, les aspirations et les demandes exigeantes d’une clientèle d’affaires privilégiée. Des évènements sur le thème du vin et de la gastronomie Idéalement desservie par un large réseau routier, ferroviaire et aérien, cette région se perd au beau milieu des vignes, des étendues de forêts, des villages et des villes. A mi-chemin entre le traditionnel et le moderne, la Bourgogne-Franche-Comté regroupe à elle seule tout le patrimoine français à savoir la gastronomie et la richesse vinicole. Un séjour incentive, un séminaire ou un team-building sera la promesse d’une escapade inoubliable placée sous les auspices de la cohésion, de la convivialité et de l’esprit d’équipe. Passez ainsi un séjour mémorable sur une route du vin, dans un des nombreux domaines d’un vignoble régional authentique dont les fameux Climats ont été classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Au château de Santenay ou à La Caborde, partez à la découverte d’un héritage précieux parsemé d’artisans attachés à leurs terroirs et de caves représentant la richesse des vignes aux cuvées uniques. « La comédie du vin », « Le vin tout simplement » ou le « Bourgogne world tour » sont autant d’activités qui vous plongent dans l’univers gourmand de l’art de vivre bourguignon. Avec le vin, la gastronomie trouve aussi un lieu d’expression privilégié afin de témoigner de la richesse culinaire de cette contrée. Moutarde, truffes ou volailles de Bresse n’auront plus de secrets pour ceux qui s’initieront à l’expérience gustative en pleine nature, à l’élaboration de recettes traditionnelles derrière les fourneaux ou à la dégustation sur table d’une assiette concoctée par un des 41 chefs étoilés travaillant avec le collectif. Passionnés de cuisine, amoureux du bon goût et cordons bleus en herbe : ce programme personnalisable, cette immersion gourmande au cœur de la haute gastronomie française est faite pour vous. Un riche patrimoine historique Dans cette région de mythes et d’histoires, les férus de légendes trouveront aussi leur bonheur dans un circuit ou u...
La force d’un réseau, l’agilité de coachs indépendants Ensemble, on est plus fort ! C’est probablement ce que se sont dit 6 coachs professionnels exerçant tous dans la région Occitanie. Depuis 2017, ils se sont regroupés pour former OcciCoachs. Les membres fondateurs sont, en effet, partis d’un constat simple : plutôt que de travailler seul, il est bien plus enrichissant d’unir leurs expertises, de mutualiser leurs compétences et de s’adosser à la force d’un collectif. Comme ils l’expliquent : « l’idée, c’est vraiment de se regrouper entre coachs partageant des valeurs et la même ambition pour l’humain, et de proposer à nos clients la richesse d’un réseau solide, professionnel, tout en conservant nos personnalités, nos singularités ». Des valeurs et une approche du coaching communes « Nous partageons la même approche du coaching et la même sensibilité. Autour de valeurs communes comme l’expertise, la bienveillance, et la performance, nous plaçons l’humain au cœur de l’organisation. Cela nous permet de pouvoir répondre rapidement aux besoins ou aux projets des entreprises, des collectivités ou des associations, que ce soit collectivement ou individuellement ». Les membres d’OcciCoachs sont certifiés RNCP1 (bac +5) et adhèrent au code de déontologie de l’EMCC (European Mentoring and Coaching Council). Le coaching : des bénéfices concrets Pour l’entreprise, le coaching s’adresse aux dirigeants, aux cadres, aux managers intermédiaires, et aux équipes. S’agissant de coaching individuel, les coachs interviennent régulièrement pour accompagner : - l’optimisation et le développement du leadership ; - l’évolution professionnelle (changement de poste, changement d’orientation, prise de responsabilités, etc.) ; - le management, la motivation et la gestion des équipes (créer du lien, donner du sens, gérer les fortes personnalités, développer la motivation, optimiser son organisation, accompagner le changement, etc.) ; - la gestion positive du stress, pour davantage de plaisir au travail. S’agissant de coaching d’équipe, les coachs apportent leurs compétences pour : - faire vivre la vision du dirigeant ; - créer de la cohésion et réguler les équipes ; - favoriser l’engagement collectif au profit de l’entreprise ; - co-construire le changement, les stratégies ou les nouvelles organisations Un coaching individuel ou d’équipe est toujours orienté « résultats ». Il se traduit par un plan d’actions opérationnel pour atteindre rapidement l’objectif déterminé communément et au préalable avec le client. Un coaching s’organise sur une durée limitée, généralement 2 à 6 mois. ...
À travers ses processus productifs calqués sur des écosystèmes naturels, Nutreets est à même de produire non seulement en quantité mais également en qualité. Cela dans le strict respect de l’environnement en évitant les pollutions liées aux intrants d’azote et de nitrates tout en préservant nos ressources qui ne sont pas infinies. Une production riche en qualité et en goût Dans un souci de préservation de l’environnement, Nutreets a développé des techniques de production inspirées de l’aquaponie. Cette dernière est connue comme étant une méthode de production biologique qui exploite la complémentarité entre pisciculture et autres cultures en hydroponie. Le principe est simple : l’eau provenant de l’aquarium est acheminée directement jusqu’au bac de culture. Une fois dans le bac, les plantes la purifient en assimilant les éléments nutritifs essentiels à leur développement. L’eau purifiée retourne à l’aquarium et le cycle peut reprendre, ce qui permet une importante économie d’eau. Jusqu’à maintenant, Nutreets s’est contentée de produire les grands classiques tels que les herbes aromatiques (basilic), les jeunes pousses (épinard, mâche, mizuna, roquette), les salades (batavia, feuille de chêne rouge, feuille de chêne blonde, laitue). En ce qui concerne les fruits, Nutreets produit des fraises, framboises, groseilles, melons. Enfin, des choux et des légumes variés tels que les aubergines ou les courgettes composent l’essentiel de la production. Celle-ci est naturelle et ne nécessite ni engrais ni pesticide. Côté pisciculture, anguille, black-bass, esturgeon, perche et Sendre constituent les principales espèces qui sortent de l’aquarium. Des systèmes de production innovants Que ce soit pour les particuliers ou pour les professionnels, Nutreets propose des systèmes de production qui sont adaptés à leurs activités. À commencer par le NutreetsGreenhouse System qui a été pensé pour les maraîchers en « serre verre ». Ce système est constitué de trois modules de production et permet d’atteindre des performances élevées qui se traduisent par une importante polyculture, une très bonne qualité gustative et nutritive, un rendement optimal et des cycles raccourcis. Les pisciculteurs ne sont pas en reste, effectivement, le NutreetsAquaclean System a été élaboré spécialement à leur égard. Ce système est basé sur un mécanisme de traitement des eaux combiné à des modules de production maraîchère. Le but étant de valoriser les effluents issus de la pisciculture. Résultat : une production totalement soutenable avec 0 % de rejet en azote sur l’activité piscicole, un système productif efficace entièrement écologique et une diversification des revenus. Le NutreetsEcoleaf System, quant à lui, est idéal pour la production de légumes feuilles et de poissons. Le point fort de ce système réside dans son adaptabilité à tout type de lieu. Il permet, entre autres, de réaliser 90 % d’économie en eau, de ne pas recourir aux intrants tout en bénéficiant de rendements très élevés. Enfin, conçu pour les particuliers, le Nutreets Free Garden se compose d’un bassin et d’un potager en réseau fermé. Avec ce système, plus besoin d’arroser, de désherber, d’utiliser des engrais et d’autres pesticides. Il suffit de nourrir les poissons et d'attendre que les fruits et légumes soient arrivés à maturité pour les cueillir. Si tous ces systèmes proposés par Nutreets connaissent aujourd’hui un franc succès, c’est en raison de leurs avantages qui peuvent se résumer en deux grands points, à savoir : d’un côté, la soutenabilité écologique (association favorable de cultures, renouvellement des terres, absence de produit chimique et une économie importante d’eau) et, de l’autre, l’efficacité agronomique (fraîcheur des produits, qualité gustative et nutritive, productivité continue et production locale). ...
Président de Kapt, agence spécialisée dans le tourisme digital, Sébastien Guardiola lance KooKooning en 2015. Ce site propose un service de réservation d’hébergements et d’activités basé sur un panel de thématiques : vacances en famille, séjour détente et bien-être, vie de célibataire… Ainsi, pour organiser les vacances parfaites, les voyageurs n'ont qu'à choisir leur activité préférée ou une envie (spa, œnologie, randonnée, visites...) et la plate-forme se charge de leur trouver un hébergement offrant l'activité en question sur place ou à proximité. Avec Kookooning, les séjours se préparent désormais selon un centre d'intérêt et c'est ce qui fait toute la différence ! Une escapade riche en découvertes Entre trouver une offre répondant à ses attentes et rechercher un hébergement correspondant à son budget, la préparation d’un séjour n’est pas toujours aisée pour celui qui voudrait s’initier à la menuiserie, ou encore découvrir les joies de l’apiculture tout en changeant d’air. Chez KooKooning, « le client a toutes les clés en main pour un séjour réussi autour d’une passion », affirme Sébastien Guardiola. À travers la France métropolitaine et dans les DOM-TOM, son site propose au total pas moins de 6 500 annonces d’hébergement et d’activités liées à la détente, la nature, les produits du terroir, la restauration, ou encore les loisirs familiaux. Si les loisirs créatifs étaient très recherchés au départ, aujourd’hui la demande s’oriente davantage vers les activités artisanales, et le fondateur de KooKooning entend bien mettre en avant les offres en la matière. Le tourisme pour valoriser le savoir-faire local Grâce à l’appui de l’accélérateur de tourisme national Open Tourisme Lab dont la campagne débutera à la fin du premier semestre 2018, Sébastien Guardiola espère concrétiser au mieux ce projet, si bien que « l’objectif à présent est de faire décoller le chiffre d’affaires de l’entreprise étant donné que notre offre en hébergements et activités est déjà assez importante », confie-t-il. Mais au-delà de l’essor financier, KooKooning cherche à soutenir le travail des artisans afin de faire perdurer leurs activités et de faire vivre l’économie locale. D’après le fondateur, « les loisirs artisanaux ne sont pas assez développés dans le secteur du tourisme ». ...
Situé dans le département du Calvados, sur le littoral de la Manche, Port-en-Bessin-Huppain est réputé pour son port de pêche. Chaque année, plus de 2000 tonnes de coquilles Saint-Jacques sont ramassées par les 150 marins pêcheurs de la commune. En 2004, Port-en-Bessin-Huppain crée une manifestation autour de la coquille Saint-Jacques baptisée le Gout du Large. Pendant un week-end de novembre, de nombreuses animations sont proposées aux visiteurs. Des animations tout au long du week-end Chaque matin, le retour de pêche est fêté en ouvrant la criée habituellement réservée aux professionnels à tous les visiteurs. Coquilles Saint-Jacques et autres produits de la mer peuvent être achetés pour un moment unique à vivre. Des cours de cuisine ainsi que des démonstrations culinaires vous dévoileront comment mettre la coquille Saint-Jacques à toutes les sauces, pour le plaisir des papilles des grands comme des plus petits. Vous pouvez également profiter de ce week-end pour découvrir le port de pêche grâce aux visites guidées. Au cours de celles-ci, vous en apprendrez plus sur les différentes techniques de pêches. Si vous êtes amateur de beaux gréements, vous pourrez en admirer quelques-uns comme la Jolie Brise. Démonstrations de sauvetage en mer, démonstration de savoir faire des ramendeurs ou comment réparer les filets de pêche, exposition de maquettes de bateaux, conférence sur l'histoire de l'activité portuaire et exposition de peintures viennent compléter les diverses activités présentées pendant le « Gout du Large ». En parallèle, le festival « Musique sous les embruns » Pour que la fête soit parfaite, les spectateurs pourront retrouver une ambiance festive autour de musiciens et de musiques évoquant l’océan et les voyages. ...
Un cadre sur quatre est en situation de stress au travail. Les résultats de l’étude menée par l’AMETRA et trois autres services de santé au travail pendant un an et demi auprès de 500 salariés des TPE et PME des départements du Gard et de l’Hérault permettent de mettre des chiffres sur la souffrance au travail chez cette catégorie socioprofessionnelle. Ce stress touche inégalement les femmes et les hommes : une personne de sexe féminin sur trois déclare cet état de fait contre une sur cinq concernant leurs homologues masculin. D’autres chiffres sont probants : 80% des cadres se disent trop fatigués après leur journée de travail pour effectuer ce qu’ils voudraient dans leur vie privée; un tiers déclare manquer de moyens pour faire du travail de bonne qualité; 49% estiment que le travail affecte leur santé. « Cette étude conduite avec l’Université québécoise permet d’identifier les facteurs de risques liés au métier. Il nous appartient désormais de restituer, de prendre en compte ces problématiques de terrain et de guider au mieux les entreprises. Nos ressources internes sont spécialisées dans ces domaines pour les entreprises et les salariés du secteur tertiaire », décrypte Véronique Demon, directrice de l’AMETRA Diffuser les bonnes pratiques L’AMETRA, qui compte 10 200 entreprises adhérentes pour 105 000 salariés, estime que l’on peut établir de bonnes pratiques pour réduire cette part de stress au travail : « Il faut guider, former et mettre à disposition les moyens et les ressources pour réaliser les attentes, améliorer la reconnaissance pour une meilleure prise en compte du travail de chacun », conseille la directrice. « On peut aussi améliorer les conditions de travail et diffuser les réseaux d’aides en cas de difficulté et de souffrance au travail », ajoute-t-elle. Ce rôle d’aide et d’écoute, l’AMETRA entend le tenir avec d’autres partenaires, en mettant en place des ateliers d’échanges de pratiques autour de situations concrètes et en construisant des outils ainsi que des méthodes d’aide aux managers. ...
La complicité de son fondateur avec l’illustre Jean Dubuffet se ressent dans chaque recoin du musée La Fabuloserie. Agnès et Sophie Bourbonnais y perpétuent le concept imaginé par leur père architecte, créateur et collectionneur, dans les années 80. Celui d’un repaire pour des créations et des créateurs dont la singularité n’a d’égale que l’éclectisme. La Fabuloserie : l’histoire d’une passion C’est dans sa propre maison de campagne de Dicy, dans l’Yonne, qu’Alain Bourbonnais écrit les premières lignes des aventures de La Fabuloserie. On est en 1983. Une suite naturelle à l'Atelier Jacob, première galerie d'art-hors-les-normes ouverte à Paris de 1972 et 1982. À l’heure où le brut faisait encore figure de mouton noir dans l’univers ultra-codé de l’art, le père de l’art hors-les-normes voulait donner à celui-ci un espace d’expression qui lui est propre. Amoureusement conçu avec les compétences d’architecte de son instigateur, le musée La Fabuloserie est aujourd’hui un écrin de découvertes où foisonnent des créations hors réseaux d’une étonnante variété. Une collection hors-les-normes d’exception Franchir le seuil de La Fabuloserie n’est pas un acte anodin. Quasi initiatique, cette expérience lève le voile sur des formes et des couleurs qui explosent dans un joyeux et surprenant méli-mélo. Et pour cause, le lieu composé d'une maison-musée et d'un jardin habité expose en permanence une collection démarrée dès 1970 par le fondateur, et enrichie, au fil du temps. En 2017, les créations venant de Pologne rejoignent ainsi le patchwork déjà éclectique de la maison. Les expositions temporaires ponctuant la vie du musée sont autant d’occasions de voyager au centre de l’art en quittant les sentiers battus. ...
Situé à Saint-Sauveur, une commune limitrophe de Pauillac, le Château Hourtin-Ducasse possède 25 hectares de vignes où sont présents 4 cépages : cabernet-sauvignon, cabernet franc, merlot et petit verdot. Une démarche résolument écologique Pour cultiver leurs vignes, Michel Marengo et son épouse privilégient depuis plus de 15 ans des méthodes respectueuses de l’environnement, en s’inspirant de l’agriculture biologique et de la biodynamie. Ils excluent d’utiliser du cuivre dans le traitement des sols ainsi que tout produit de synthèse. Ils se sont tournés vers l’utilisation d’huiles essentielles pour traiter les vignes, principalement celles d’auge, ortie, lavande, agrumes ou algue. Mais leur engagement écologique va plus loin puisqu’ils produisent de l’électricité via des panneaux photovoltaïques et qu’ils mettent à disposition deux bornes pour le rechargement des voitures électriques. De plus, ils accueillent sur leur domaine chauve-souris et mésanges bleues dans des maisonnettes. Ces 2 espèces se gavent d’insectes et de parasites et participent au « nettoyage » de leurs vignes. Leurs vins Le Château Hourtin-Ducasse ne produit qu’une cuvée de vin rouge chaque année pour ne conserver que le meilleur du millésime. Pour être sûrs de proposer le meilleur vin, accompagnés par un œnologue et par le responsable du chai, ils dégustent à l’aveugle plusieurs lots pour ne retenir que le meilleur assemblage, le plus représentatif de leur terroir et du millésime. Le vin est alors élevé dans des barriques en chêne afin de mettre le fruit en valeur et d’obtenir équilibre, finesse et élégance. Chaque année, le millésime raconte une histoire différente. Par exemple le millésime 2015 révélera un nez jeune, fermé, de fruits noirs compotés, légèrement mentholé. A la différence du millésime 2017 qui, lui, aura un nez fruité, charnu, soyeux, tendre, gourmand, typé cabernet-sauvignon avec une finale métallique typée. Le Château Hourtin-Ducasse produit également un excellent vin rosé. Travaillé comme un Côtes-de-Provence, il est le résultat d’un parfait équilibre entre cabernet franc et cabernet-sauvignon. L’objectif est de proposer un vin d’une agréable fraîcheur, pour partager des moments de plaisir. Toutes leurs étiquettes portent les principales informations également en braille. Ainsi la marque, l’appellation et le millésime sont lisibles par tous. Visite du Château Toue l’année, vous pouvez participer à des visites-dégustations du domaine. Après la présentation de la culture des vignes et une visite des chais, vous dégusterez plusieurs millésimes pour vous permettre de déceler les différentes expressions révélées par la magie de ce terroir. Autour d'une assiette de produits locaux (saucisson, fromage, cannelé, ...), vous serez peut-être séduits par la rondeur du 2007, la fraîcheur du 2008 ou la longueur du 2010, la minéralité du 2011, le fruit du 2013 ou la richesse du 2014. Pour la visite dite « Apéro », vous goûterez 3 millésimes. Pour celle « de 7 à 17 », vous survolerez 10 années de Château Hourtin-Ducasse, du 2007 au 2017, avec 4 millésimes dont le vin en primeur prélevé en barriques. Si vous choisissez « l’Ampélo », vous aurez l’occasion de découvrir en plus un échantillon du jus de chaque cépage utilisé, accompagné de sa baie. ...
Ouverte en janvier 2017, La Maison des Parfums Candora baigne dans un cadre chaleureux où flottent en permanence de délicates fragrances et des senteurs de bougies parfumées. À travers dix-sept eaux de toilette aux parfums suaves et de qualité premium, inspirées chacune de Dame Nature (Seringa, Fleur d’Oranger, Herbes Sauvages, Gingembre, Baies Roses ou encore Cèdre et Vétiver…), Candora joue la carte de la séduction auprès des entreprises avec son atelier de parfums pas comme les autres. Un atelier unique en son genre Si la maison, elle, est récente, la marque Candora a été créée en 2011 sous l’impulsion de Béatrice Delorme et Emmanuel Frossard, sœur et frère. Leur concept ? Proposer la création de parfum sur mesure en associant différentes eaux de toilette spécialement formulées pour cet usage. « Notre Atelier est très ludique, il séduit aussi bien les hommes que les femmes, pour des entreprises dans des secteurs aussi variés que Chanel Couture, La Poste, Burton ou l’équipe informatique d’Axa », précise Emmanuel Frossard. Candora : des parfums sur mesure... De fil en aiguille, le tandem a ouvert l’Atelier des Parfums Candora notamment dédié aux entreprises pour permettre à chacun de créer un parfum sur mesure, en procédant au mélange (ou pas) de deux ou trois fragrances parmi les dix-sept eaux de toilette existantes. « Originales ou plutôt classiques, féminines ou masculines, plus de huit cent combinaisons sont possibles pour couvrir toutes les envies », nous indique-t-on. Les apprentis parfumeurs laissent libre cours à leur imagination pour obtenir une composition olfactive unique. Chaque atelier s’apparente à un jeu où de multiples possibilités sont offertes, avec même la gravure du flacon au nom de son choix, dans le cadre d’une création unique et personnalisée. Ce programme d’assemblage ludique et créatif d’une durée de 1 h 30 est idéal dans le cadre de team-building, pour animer un séminaire, récompenser les équipes commerciales ou encore inviter des clients privilégiés. « Notre offre permet de créer des échanges entre les différents participants, la convivialité est ainsi un des atouts de nos activités », explique notre interlocuteur. Un point important à souligner : ces programmes permettent aussi de créer un parfum d’équipe ou la signature olfactive de l’entreprise. Une belle exclusivité à ne pas manquer ! ...
L’établissement est situé dans le centre-ville de Bordeaux, afin de répondre aux besoins de proximité. Il est le fruit du regroupement de trois établissements historiques de Bordeaux. Avec une importance particulière accordée au développement durable, les locaux neufs et adaptés participent à l’objectif d’amélioration de la qualité de la prise en charge et des conditions de travail en proposant un environnement confortable et adapté. La Nouvelle Clinique Bel Air est un pôle de référence pour de nombreuses spécialités : la chirurgie du rachis, la médecine et la chirurgie urologique, la chirurgie cancérologique, la chirurgie esthétique-plastique et reconstructrice, la chirurgie maxillo-faciale, la chirurgie ophtalmologique, la chirurgie ORL face et cou, la chirurgie orthopédique, la chirurgie stomatologique, la médecine du sommeil et la radiologie. La Nouvelle Clinique Bel Air est également dotée d’un centre de chirurgie réfractive et d’un plateau d’explorations fonctionnelles ophtalmologiques. Ses équipements Afin de proposer un parcours adapté, la clinique dispose de 800 m2 de consultation et d’un service de radiologie. 120 lits et places accueillent chaque jour les patients. Des espaces familles et détente sont à disposition. Un centre autonome de la chirurgie de la cataracte favorise cette prise en charge de très courte durée pour plus de confort. Un plateau technique performant est composé de dix salles opératoires, de deux salles d’endoscopies, et d'une stérilisation. Des équipements performants pour toutes les spécialités, pour une chirurgie de qualité. La qualité de l’offre de soins 102 praticiens libéraux et 170 salariés travaillent chaque jour à la bonne prise en charge des patients. L’écoute tout au long du séjour du patient est une priorité. Les parcours patients sont adaptés pour favoriser les séjours de courte durée et l’ambulatoire. La Nouvelle Clinique Bel Air accueille chaque année près de 20 000 patients, pour 60 % d’entre eux en ambulatoire. La clinique est l’établissement qui accueille le plus de patients en ambulatoire dans la région. Les circuits et organisations sont donc favorisés. ...
Repris en 2009 par Didier Veysset, le restaurant Buldo est un établissement centenaire possédant une terrasse sur l’eau, unique à Lyon. En effet, grâce à son ponton sur pilotis, pouvant accueillir jusqu'à 90 personnes, Buldo permet de se restaurer et de se détendre sur les bords de la Saône. A deux ou en famille, il est possible de passer un moment de tranquillité ou de faire la fête. D’ailleurs, une salle de 20 à 70 personnes au premier étage peut être privatisée à l’occasion d’une communion, d’un baptême ou d’un anniversaire. Une cuisine copieuse et savoureuse Lieu de la convivialité et de la bonne chère, le restaurant Buldo propose une cuisine traditionnelle et familiale, notamment avec les grenouilles, proposées dans le menu à volonté bien connu des habitués. Des surprises culinaires sont à prévoir, grâce au chef et ses plats mitonnés, un délicieux mélange de saveurs inhabituelles, savouré de façon copieuse, dans une ambiance rendu agréable notamment par la qualité et la sympathie du service. Un cadre agréable et instructif Situés dans le 9ème arrondissement, le restaurant Buldo et ses terrasses offrent une vue imprenable sur l'Île Barbe, classée à l'UNESCO, Centre du Patrimoine Mondial. Véritable amateur d'art contemporain, le restaurant Buldo soutient l’œuvre du défunt artiste lyonnais Jean Couty en prenant l'initiative d’offrir la possibilité à sa clientèle d'accéder à son œuvre et de découvrir ou redécouvrir son univers à un prix réduit. Une belle manière de joindre l’esthétisme à la curiosité grâce à un cadre profitant d’un paysage idyllique et de la formidable œuvre d’un artiste lyonnais. ...
Au sud-ouest d’Épernay, les Coteaux du Sézannais et du Petit-Morin sont les portes d’entrée de la Champagne. A 1 heure de Paris, vous aurez accès à la richesse d’un magnifique terroir alliant plaisir des yeux et des papilles. Au cœur de la Champagne Les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin produisent d'excellents vins de champagne grâce aux 300 vignerons exploitant les 2300 hectares plantés de vignes. Chardonnay, Pinot meunier et Pinot noir s’y côtoient sur les terres crayeuses, donnant d'agréables champagnes sur la minéralité et aux notes d'agrumes. Chaque viticulteur sera heureux de vous accueillir sur son exploitation pour vous faire déguster ce précieux nectar, célèbre dans le monde entier. Vous pourrez également savourer ces champagnes à l’occasion d’un repas au « Relais Champenois » à Sézanne, où les spécialités champenoises et les produits locaux sont mis à l'honneur, comme les escargots, les lentillons de champagne ou encore le fameux biscuit rose champenois. Côté Histoire... Les amateurs d’histoire seront ravis de parcourir cette région où le destin de notre pays s’y est joué à deux reprises. Ils pourront découvrir la colonne commémorative de Champaubert, célébrant la victoire napoléonienne de 1814 lors de la campagne de France, ou se rendre à Montdement-Montgivroux pour se souvenir de la bataille de la Marne de 1914 et découvrir son magnifique Monument de la Victoire. Mais la région offre aussi un merveilleux patrimoine architectural. Ainsi lors de votre venue, vous pourrez, entre bien d'autres choses, séjourner au château d’Étoges, cet ancien relais du Roi de France parfaitement restauré, au cœur d’un parc de 20 hectares ; vous balader dans les ruelles pavées de Sézanne, cette jolie cité médiévale fortifiée, classée petite cité de caractère ; visiter Notre-Dame du Reclus à Talus-Saint-Prix, cette abbaye cistercienne posée dans un cadre de verdure ; contempler les vitraux contemporains de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul à Villenauxe-la-Grande ou encore le splendide château de Montmirail. …. et Côté nature Si vous aimez les espaces naturels, vous pourrez admirer les nombreux animaux sauvages (faisans, canards sauvages, perdrix, chevreuils et sangliers) qui vivent dans les marais de Saint-Gond, véritable musée à ciel ouvert. Vous pourrez aussi vous ressourcer au cœur de la forêt de la Traconne, ancien domaine de chasse royal, massif forestier de plusieurs milliers d’hectares où des panneaux explicatifs vous permettront de différencier les différentes espèces d’arbres. En un mot, les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin offrent tous les ingrédients pour un week-end plein de charme et de plaisir. A consommer sans modération ! ...
Une cité tout entière aux couleurs du dieu de la vigne et du vin ? Cela se passe à Toulon. Et cela fait 24 ans que ça dure ! Si, au début des années 1990, les festivités se déroulaient essentiellement dans le centre-ville et sa place d’Armes, désormais la fête des Vins et de la Gastronomie a pris de l’ampleur : « Nous sommes présents dans de nombreux quartiers de la ville », décrit Laurent Jérôme, président de l’association organisatrice et adjoint au maire de Toulon. « Au pont du Las, sur le cours Lafayette, dans le centre-ville, au Mourillon, à Saint-Jean-du-Var, sur la place d’Armes, etc. » Le principe de ces festivités? Célébrer le vin et la gastronomie. Ce sont 150 exposants qui sont invités le temps de la manifestation. On y trouve des vignerons venus de toute la France, et même de plus loin : cette année, on pourra déguster un vin bulgare. Même éclectisme du côté des gourmandises, avec des spécialités locales, provençales mais aussi du Sud-Ouest, de Bretagne ou même de Grèce. Pour déguster le vin, rien de plus facile : il suffit de se munir du verre millésimé vendu pour l’occasion au prix de 5 €. À vous ensuite d’en profiter… avec modération. Un programme d’animations gourmandes Autour du vin et des dégustations, des animations gourmandes sont une nouvelle fois de la partie. Les visiteurs sont invités à se rendre dans la cinquantaine de restaurants participant à la manifestation avec des menus spécialement conçus pour l’occasion. Ils peuvent également embarquer dans le train gourmand. Celui-ci parcourra les marchés provençaux toulonnais, à la recherche de saveurs locales, accompagnées tantôt de vin blanc, de vin rosé ou de vin rouge. Original ! Une visite de la rade, dégustations à l’appui, est aussi au programme, tout comme des ateliers de cuisine. « L’objectif de cette manifestation, qui est la plus importante du département autour du vin et de la gastronomie, c’est vraiment de faire la fête durant trois jours », ajoute Laurent Jérôme. Le programme est, quant à lui, à consommer sans modération : défilé des confréries, fanfare bigophonique, musique déambulatoire, goguette moderne avec les Barbarians, les Carnoulettes (majorettes masculines), les Pulsabatouk, des musiciens percussionnistes, les lanceurs de drapeaux italiens, il va y en avoir pour tous… à tous les coins de rue ! L’ensemble des participants se retrouvera d’ailleurs lors du grand défilé du samedi après-midi, à partir de 14 h 30. Et n’oublions pas la reconstitution d’un atelier où l’on pourra découvrir les étapes et les secrets de fabrication des tonneaux, des démonstrations autour du liège, ou encore des ateliers d’écriture autour du vin. Bref, encore une fois, les fêtes de Bacchus, qui devraient attirer 50 000 personnes en ce mois de mars 2016, s’affirment comme le rendez-vous incontournable autour des vins et de la gastronomie ! ...
Ne vous y méprenez pas ! Si le nom de l’enseigne semble évoquer ces chaînes de restaurants qui se sont spécialisés dans le bœuf, il n’en est rien. Bien sûr, ici, le bœuf s’offre une place de choix à la carte, mais L’Antre Côte est unique car affaire de famille, où se mêlent passion et amour du métier, le patron ayant fait ses classes chez Georges Blanc avec, en poche, des maîtrises en boucherie, charcuterie et poissonnerie. La fraîcheur avant tout… La fraîcheur est l’engagement premier de la maison. Aucun produit n’est surgelé. Les filières d’approvisionnement sont courtes, les légumes de saison. Le restaurant dispose en cuisine d’un laboratoire de 185 m2, véritable atelier de transformation qui lui permet, aussi, de répondre à une demande traiteur. Ainsi, charcuterie, jambon et salaison, boucherie et maturation de viande, fumage et poissonnerie, sans oublier « les mijotages divers de madame la patronne », sont réalisés sur place. Des produits d’exception dans l’assiette… Pour le choix des matières premières, la maison s’est fixé un cahier des charges très strict en ne sélectionnant que des fournisseurs reconnus et représentant de la richesse terroir ardennais. Pour les origines plus lointaines (condiments, épices, bœufs, poissons, etc.), les produits sont toujours issus de sources contrôlées et labellisées. Cuisine française et Invitation au voyage Cuisine de tradition française et bœuf sont fièrement représentés à la carte. Le fin gastronome pourra choisir son morceau de viande suivant leurs origines : entre charolais et black angus, entre bœuf kobe du Japon et Wagu d’Australie. Les suggestions du jour sont parfois surprenantes et s’inspirent des carnets de voyage du patron avec, par exemple, les douces saveurs des vapeurs asiatiques, ou encore le véritable couscous berbère. Avec une première formule autour de 15 euros, l’Antre Côte demeure un restaurant qui ambitionne de satisfaire le plus grand nombre et, cela, au cœur de l’une des plus belles places de France. ...
Situé en plein cœur de Paris, dans le 20e arrondissement, le restaurant Abyssinia est une invitation à la découverte d’un pays envoûtant qu’est l’Éthiopie. Les gérants, chaleureux et toujours prêts à vous servir, vous invitent à partager des plats exotiques amoureusement mitonnés par Tesfaye Kidane. Pouvant accueillir quarante couverts, la salle est ornée de peintures et de masques africains. Dans des tons de marron et de blanc, elle offre un contraste parfait entre modernité et tradition. Masenqo, krar et kissar (des instruments de musique éthiopiens) peaufinent cette décoration atypique. Voyage hors frontière garanti ! Des plats hautement recommandés… Ici, tout le monde y trouve son compte. Les plats aux noms énigmatiques émerveilleront vos papilles. Les épices, une valeur sûre dans la cuisine éthiopienne, promettent saveur et authenticité. Vous pouvez avoir une confiance aveugle en l’équipe qui vous aiguillera dans vos choix. Parmi les suggestions avancées par la maison, figurent par exemple le samoussa ou l’azifa (purée de pois chiche) en entrée, le Key Wot (ragoût de bœuf) ou le dorowot (poulet mariné) en plat de résistance et le baklava éthiopien (une sorte de mille-feuille trempé dans du miel) en dessert. Veillez à bien vous nettoyer les mains avant, car « ici, on mange avec les doigts », précise Monsieur Kidane, le propriétaire. Le concept est simple et unique : chacun commande son plat puis le tout est rassemblé sur un grand plateau pour cinq personnes dans lequel tout le monde pioche ici et là pour goûter aux plats des autres. Des avis enthousiastes… La maison se préoccupe particulièrement de la satisfaction de ses clients. Ces derniers ressortent de l’établissement avec le sourire aux lèvres et des souvenirs plein la tête. Ceux qui sont déjà venus reviennent avec entrain et conseillent l’enseigne aux amateurs de gastronomie tropicale… « Dans notre restaurant, vous découvrirez un petit bout de l’Éthiopie », déclare notre interlocuteur. ...
Isolée au beau milieu de la forêt domaniale de Mormal, le plus grand massif forestier du Nord, l’Auberge du Croisil offre une cuisine traditionnelle, avec des spécialités régionales. Dans ce sens, l’établissement met en avant les gibiers dès que la saison le lui permet. Le Croisil détient deux titres prestigieux : Qualité tourisme et Artisan en’or. Ce sont les gages d’un service de qualité en matière d’accueil, de savoir-faire, d’hygiène et de confort, et d’une cuisine fait-maison, avec des produits provenant du Nord-Pas de Calais. Une véritable destination touristique Le temps semble s’être arrêté dans ce petit manoir traditionnel de la forêt de Mormal. On y ressent l’âme d’une auberge d’antan, avec une décoration simple et sans superflu. Le ton naturel du bois prédomine la salle, des chaises au bar et même au niveau des murs. Tout cela fournit chaleur et confort au restaurant. Toutefois, certains seront plus à l’aise sur la terrasse ombragée, si le temps n’est pas trop capricieux. Le plaisir de la pureté de l’air et des chants d’oiseaux leur fera oublier les agitations et chahuts de la ville. Bref, c’est un lieu convivial pour se retrouver en famille et savourer la cuisine régionale. Ce lieu se complète efficacement avec les sites touristiques aux alentours. Le plus près est le parc naturel régional de l’Avesnois avec ses arbres têtards, cours d’eau, ruisseaux, vergers en fleurs et rivières sinueuses. Tout un patrimoine qui lui vaut sa place parmi les 48 parcs naturels régionaux de France. L’ancien Jardin de Roseraie, appelé aujourd’hui Zoo de Maubeuge expose plus d’une cinquantaine d’espèces différentes qui attireront petits et grands. Pour les plus curieux, il existe un site archéologique de 2,5 hectares à Bavay dédié à la découverte de la cité antique de Bagacum. Le village de Maroilles qui fournit le fromage du même nom, fièrement présenté à la carte de l’Auberge du Croisil, est également un site touristique et historique à part entière. Une cuisine traditionnelle régionale L’équipe de l’Auberge du Croisil, dirigée par Edgar et Nathalie, accueille les convives avec une gentillesse caractéristique à la campagne. La carte du restaurant propose un peu de tout, mais elle met en valeur les produits du terroir. Le fromage Maroilles y est le meilleur ambassadeur de l’Avesnois, avec la flamiche au Maroilles et le filet de truite saumonée sauce crème Maroilles en entrée chaude. En outre, les gens y viennent pour le cassoulet ou encore la terrine du chef. La maison est reconnue depuis près d’un an en tant qu’ « Artisan en’or » pour sa cuisine fait maison. C’est également la marque du savoir-faire culinaire dans le Nord-Pas de Calais, la maison étant spécialisée dans les gibiers. Effectivement, du mois d’octobre jusqu’en mars, le Croisil suggère à leur carte des terrines de gibier fait-maison, de la fricassée d’abats de gibier à l’Affligem ou encore un mijoté de biche à la forestière. Des saveurs à remonter avec du vin, issu des 82 références inscrites à la carte. Une salle de réception pour différents évènements La salle de l’Auberge du Croisil est apte à recevoir jusqu’à 80 personnes en formule assise pour divers évènements familiaux, ceux qui veulent un mariage champêtre ne seront pas déçus. Cela n’exclut pas les repas d’entreprises et autres évènements professionnels et privés. La terrasse reste également à disposition selon les besoins. Il est toutefois à noter que ce service est indissociable avec les spécialités régionales en cuisine. Une proposition qui n’est pas du tout déplaisante lorsqu’on voit les 4 choix de menu en semaine et 4 en weekend. ...
Situé au centre du Pays de Cocagne, le restaurant Cuq en Terrasses vous propose un séjour gastronomique inédit dans un cadre rustique et chic. Le restaurant vous séduira par sa vue panoramique ainsi que son cadre bucolique. Optant pour le vintage, le décor apporte une touche sensible et esthétique à toute la salle. A l’extérieur, la grande véranda donne sur la plaine du Lauragais. « Menu unique, endroit unique » Adeptes du Slow Food, Philippe Gallice et Andonis Vassalos optent pour la formule du menu unique. Chaque soir (sauf le mercredi), ils proposent à leurs convives un menu composé d’amuses bouches, d’une entrée, d’un plat, d’un assortiment de fromages et de dessert. En s’inspirant de ses grands voyages et des plats classiques, le chef Andonis doit se surpasser tous les jours pour trouver le menu parfait. Créatif, il n’hésite pas à explorer les différentes saveurs et textures pour transporter ses convives entre les frontières du goût. Pour le chef, la réussite de ses recettes repose surtout sur la qualité des produits qu’il utilise. Ainsi, il n’use que de produits frais issus de son potager ou du marché local. De même pour les vins que l’établissement collectionne depuis ses dix-sept années d’existence et qui sont exclusivement issus des meilleurs vignobles de la région. Des produits soigneusement sélectionnés donc, pour offrir des plats d’une grande qualité. Autant de rigueur et d’exigence récemment récompensées par Le Guide Michelin qui a attribué à l’établissement le titre de « l’assiette Michelin ». Outre sa cuisine, le restaurant sort du lot par sa qualité d’accueil. En effet, Philippe se charge lui-même de recevoir ses clients. Il ne se contente pas de présenter le menu mais prend le temps d’expliquer la composition de chaque plat. Il parvient ainsi à transformer cette étape qui parait futile en un vrai moment d’échange. Entre un bon plat et une ambiance conviviale, tout est ici réuni pour que le diner devienne une expérience inoubliable. Un cadre idyllique en Midi-Pyrénées Cuq en Terrasses est une ancienne maison de maitre du 18ème siècle entièrement rénovée. Actuellement, elle propose cinq chambres d’hôtes dont le caractère vous charmera. Chaque chambre reflète le souci du détail des propriétaires : décoration raffinée et personnalisée dans le ton de l’établissement, une vue imprenable sur la campagne et un service aux petits soins. Pour ceux qui veulent plus d’intimité et d’autonomie, l’établissement propose deux appartements équipés. Elégants et raffinés, tout est fait pour que ces appartements répondent parfaitement aux attentes des voyageurs les plus exigeants. Et pour les passionnés de la nature, sachez que la demeure possède un magnifique jardin de 12.000m2 qui expose près de 300 espèces de plantes rares et d’arbustes. D’ailleurs, plusieurs fruits n’attendent qu’à être cueillis par les gourmands explorateurs. Cuq en Terrasses jouit aussi de la richesse et de la grande diversité du patrimoine de la région Midi-Pyrénées. Les voyageurs sont conviés à découvrir les paysages variés de la région qui regorgent de plusieurs trésors naturels et architecturaux avec les nombreux sites préhistoriques ainsi que les joyaux culturels et gastronomiques. Etant placé en plein centre de la région, Cuq en Terrasses donne l’accès à plusieurs sites touristiques dans un rayon de 100km dont le château de Loubens (9km), le château de Magrin (12km), le lac de Saint Ferreol (19km), le parcours de golf de 18 trous FIAC à 22 km, la petite ville artisanale de Durfort à 24km, le cité médiévale de Carcassonne à 63 km pour ne citer que ces exemples. ...
À travers ses spiritueux issus d’un autre temps et un mode d’élaboration traditionnel qui a traversé les âges, Distillerie La Favorite séduit non seulement les visiteurs par ses rhums exceptionnels mais aussi par son côté pittoresque. Il était une fois une distillerie Fondée en 1842, Distillerie La Favorite s’érige comme une véritable institution en Martinique. Elle fait l’objet d’un rachat en 1905 par la famille Dormoy. Cette dernière installe alors à l’époque une machine à vapeur, qui, d’ailleurs, est encore fonctionnelle de nos jours. Depuis, la distillerie a connu trois générations de Dormoy. Sous l’impulsion d’André Dormoy, elle obtient le fameux label rouge en 1973. Pour l’AOC, il a fallu attendre 22 ans pour obtenir gain de cause auprès de l’organisme responsable. Mais le jeu en valait la chandelle ! Un savoir-faire immuable Cette entreprise à taille humaine qui emploie treize personnes à l'année (et plus de 30 en période de production) assure une production authentique et artisanale depuis plus de 100 ans. Distillerie la Favorite dispose d’une plantation de canne à sucre s’étendant sur 62 hectares. Tout est fait sur place ! De la coupe (qui s’effectue encore à la main) en passant par l’extraction, la fermentation jusqu’à la mise en bouteille. Cela démontre une maîtrise totale de toute la chaîne de production. Incomparable dans toute l’île, Distillerie la Favorite est la dernière du genre à utiliser des éléments de broyage actionnés uniquement par la machine à vapeur. Une machine d’origine datant de 1906 et fabriquée par Henri MARRIOL. La distillation proprement dite se fait grâce à des colonnes créoles en cuivre, et ce, dans le respect de la tradition. En ce qui concerne l’énergie, la distillerie est autonome et fonctionne en circuit fermé. En effet, les fibres de cannes restantes après extraction servent par la suite de combustibles pour alimenter les fours. Distillerie La Favorite intègre donc non seulement une dimension patrimoniale mais aussi écologique. La production en chiffres En moyenne, l’entreprise produit chaque année à peu près 500 000 litres de rhum, soit à peine 3% des volumes produits en Martinique. Mais la production reste tributaire du climat. Elle peut tout aussi bien connaître une hausse ou enregistrer une baisse selon le cas. Ainsi, 75 % de la production est réservée au marché local. Le reste (25 %) est destiné à l’exportation dont le tiers (1/3) dédié à la métropole. Les 2/3 arrivent sur le marché européen (Allemagne, Belgique, Espagne, Andorre, Italie) et nord-américain (les États-Unis). Des rhums de qualité supérieure Respectant un cahier des charges très strict, Distillerie la Favorite est à même de garantir la qualité à tous les consommateurs. La maison propose une gamme étoffée de rhums vieux et hors d'âge et des rhums blancs très parfumés, fruités aux arômes prononcés de canne fraîche, le tout dans le respect d'un équilibre entre tradition et innovation avec des embouteillages nouveaux, suivant les nouvelles tendances de consommation. ...
Prendre du recul pour aller de l’avant Le coaching, ça n’est pas que pour les autres ! « À un moment ou à un autre, au cours de sa vie professionnelle, tout le monde peut avoir besoin d’une aide extérieure. Mon rôle, c’est d’aider une personne en perte de repères professionnels, voire en situation de burn out, à prendre le recul nécessaire pour (re)trouver confiance en ses capacités et (re)prendre le contrôle de son parcours professionnel », explique Danielle Guilbaud. Une fois qu’il aura pu identifier d’éventuels points de blocage, le « coaché » sera alors en mesure de redéfinir ses priorités et de progressivement se repositionner. Mais si le coach pousse son client à se remettre en question, c'est pour mieux le guider ensuite. Il ne lui dicte pas sa conduite. « Je n’impose jamais rien. Je me contente de révéler à mes clients des ressources qu’ils avaient en eux mais dont ils n’avaient pas conscience, qu’ils ne savaient pas utiliser, ou dont ils avaient oublié l'existence », précise Danielle. En grattant le vernis, le coach fera donc ressurgir des qualités oubliées par le coaché. Pour autant, c’est à ce dernier qu’il appartient de puiser en lui-même l’énergie nécessaire pour redéfinir ses objectifs. Et c’est sur ses propres ressources qu’il devra s’appuyer pour y parvenir. Agir avec bienveillance mais sans complaisance « Une belle personne à faire émerger. » Dans le cadre de sa mission, Danielle Guilbaud aide ses interlocuteurs à se poser les bonnes questions. Quitte à devoir parfois les mettre face à leurs contradictions. Mais c’est à ce prix que le changement – tant espéré – pourra s’opérer et que la motivation – qui pouvait sembler tarie – ressurgira. « Quand ils viennent me consulter, certains de mes clients sont dans une grande confusion. Ils ne savent plus très bien où ils en sont. Mon rôle, ce n’est surtout pas de les juger mais de les aider à clarifier la situation. À y voir plus clair. Et à retrouver une certaine sérénité. » Car face à un monde du travail en pleine mutation, force est de constater que le coaching professionnel tel que le pratique Danielle Guilbaud a de beaux jours devant lui. « Quand j’ai démarré, le coaching professionnel s’adressait principalement aux cadres et aux dirigeants. Alors qu'en réalité, ce sont toutes les personnes en activité qui gagneraient à prendre du recul et à se remettre en question de temps à autre. » ...
L'art et la manière Les Maîtres Cuisiniers de France ont à cœur de maintenir, transmettre et développer la tradition de la grande cuisine française en encourageant l’apprentissage et en multipliant ses actions à l’international. L’association valorise la relation entre Chef de cuisine et Directeur aux formations professionnelles et techniques pour amener les apprentis cuisiniers au meilleur de leur savoir-faire. C’est avec passion que l’Association des Maîtres Cuisiniers de France organise le concours du Meilleur Apprenti Cuisinier de France depuis 1956 et s’associe de nouveau avec tous les centres de formation professionnelle et les écoles hôtelière de France pour mettre en lumière la transmission. Les futurs chefs à l'épreuve Cette 64ème édition du Meilleur Apprenti Cuisinier de France, est soutenue et parrainée par Régis Marcon. Cuisinier triplement étoilé du guide Michelin et Maître Cuisinier de France, Chef de l’Année par le Gault et Millau en 2000, élu en 2001 Auvergnat de l’année et Cuisinier de l’année par le magazine « Le Chef », également promu Chevalier de La Légion d’Honneur en 2002. Mais aussi, Président du Comité International d’Organisation et Président du Bocuse d’Or France, coach et jury après avoir été Lauréat du Bocuse d’Or (1995). Les apprentis cuisiniers vont concourir dans les treize régions de France avant d’être sélectionnés pour la Finale Nationale du Meilleur Apprenti Cuisinier de France 2017. Fin septembre débutera la concours avec la finale régionale d’Aquitaine – Limousin – Poitou Charentes, le 26 septembre au CFA de Poitiers puis la finale régionale de Provence – Alpes et Côte d’Azur le 25 octobre à l’Ecole Hôtelière d’Avignon ainsi que celle d’Auvergne Rhône Alpes, le 8 novembre au Lycée Hôtelier de Grenoble, de Centre- Val de Loire à Bourges le 15 novembre, de Bretagne le 17 novembre, d’Île de France qui le 20 novembre à l’INHAC Groupe Ferrandi-Paris, du Nord Pas de Calais le 27 novembre. La date et le lieu de nos quatre autres régions seront communiquées prochainement. À l’issue de ces épreuves, 13 nalistes seront sélectionnés pour la Finale Nationale prévue le 22 janvier 2018 à l’école Ferrandi-Paris. Face à un jury composé de 10 Maîtres Cuisiniers de France connus et reconnus, les candidats seront évalués sur les thèmes suivants à réaliser en 4 heures. Le premier plat : Soufflé d’œuf poché en croustade Le second plat : Quasi de veau poêlé, sauce porto, laitue braisée et pomme fondante Puis le dessert sera une interprétation libre autour de l’ananas et des épices. Les différentes recettes ont été élaborées avec grand soin par les Maîtres Cuisiniers de France et le thème de la finale par Monsieur Régis Marcon, lui-même. ...
Proposant une cuisine typiquement française inspirée des traditions gastronomiques de la région, cet établissement est le rendez-vous incontournable des fins gourmets. Dans une ambiance sympathique rappelant les anciennes auberges à l’accueil chaleureux, le chef et son équipe concoctent les meilleurs plats à base de produits du terroir. Une table d’exception dans un cadre authentique Travaillant directement avec les producteurs locaux, la maison Pergola donne la priorité aux produits frais de la région afin d’élaborer des menus aux plats authentiques. Avec une carte riche et alléchante dès le premier abord, cette table se veut être l'un des pionniers de la cuisine de qualité. Le cadre agréable et cosy des deux salles du restaurant, dotées de charmantes cheminées appelant à la convivialité, confère aux lieux une ambiance authentiquement basque. Une décoration simple mais élégante des tables, la qualité des services, et la possibilité de se restaurer sous l’ombre d’une belle terrasse : autant d’attributs qui en font une table d’exception. « Une cuisine traditionnelle revisitée » Ces propos de Jean-Marie Mir, gérant de l’établissement, mettent l’accent sur son attachement aux valeurs culinaires artisanales que le restaurant souhaite véhiculer. Parmi les plats signature que les hôtes affectionnent particulièrement se trouve l’opéra au noir de Bigorre et foie gras, ponctué d’un pain perdu, ananas poêlé à la coriandre ; tout cela accompagné d’un vin issu de la cave éclectique du restaurant. Cette cave, composée de grands crus provenant de toute la France, privilégie les vins d’exception, pour ne citer que les Bordeaux. ...
Le trafic de la grande voie navigable a fait la richesse de la petite commune de Serrières. Le port était devenu le repère des mariniers qui s’y arrêtaient fréquemment durant leurs voyages d’exploration fluviaux. Ces mariniers ont laissé dans leur sillage des traces de leur passage, qu’il est aujourd’hui possible de découvrir au sein de l’église Saint-Sornin, abritant le célèbre musée des Mariniers du Rhône. On dit que les lieux sont toujours habités par l’âme de ces vieux loups de mer. Tous les trésors liés à la batellerie du fleuve du Rhône, à l’instar des fameuses croix, y sont précieusement entreposés. Serrières est également jonché de vieux quartiers dans lesquels se trouve un superbe patrimoine bâti. Le soir, au soleil couchant, une balade sur le quai invite à vous délecter de la sérénité des lieux. Après avoir sillonné les rues de la ville, une pause gourmande s’impose. Au 65, quai Jules Roche, Le Bateau d’Émile s’est amarré près du fleuve pour vous faire découvrir son délicieux univers. Un refuge qui plait aux gourmands et aux gourmets Le Bateau d’Émile, ce nom vous est familier et c’est tout à fait normal. Il fait référence à ce vieux film sorti dans les années 1960, dans lequel Lino Ventura incarne Émile, un marin-pêcheur qui hérite d’un gros pactole malgré lui. À ses côtés : Annie Girardot, dans le rôle de Fernande Malanpin. Ce long métrage a inspiré le premier propriétaire des lieux, qui a créé le restaurant en 1988. Vingt-six ans plus tard, Stéphanie et Benoît Durieux reprennent l’établissement au charme certain, localisé sur la N86, en face du Rhône, au pied du chemin qui monte jusqu’aux hauteurs d’Annonay. Ce choix ne s’est pas fait au hasard, puisque c’est ici que notre chef a fait son apprentissage il y a une quinzaine d’années. Afin de faire perdurer ses vieux souvenirs, il choisit de garder l’identité des lieux et le thème du restaurant, mais en y proposant une cuisine d’inspiration. Celle-ci témoigne de sa longue et riche expérience dans le milieu culinaire. Benoît Durieux bénéficie en effet du titre tant convoité de maitre restaurateur. Cela implique de proposer une cuisine faite maison, réalisée à partir de composants bruts et généralement issus des circuits courts. D’ailleurs, le chef exprime une exigence pointue quant à la fraîcheur et à la qualité des produits qu’il trouve auprès de fournisseurs locaux. Cette rigueur lui permet de réaliser des plats délicieux, revisitant la cuisine classique française avec une touche d’originalité et de créativité. Ambiance bistro L’ambiance qui règne à bord du bateau est conviviale et chaleureuse. Vous pouvez vous installer à la terrasse durant les beaux jours. Sise en contrebas de la route, elle est ornée d’une belle verdure offrant un coin ombragé. À l’intérieur, la salle en longueur, avec son grand bar et ses banquettes confortables, dénote un décor bistro. Le joyeux bateau compte plusieurs abonnés, qui y apprécient l’ambiance décontractée, bien qu’il accueille aussi énormément de touristes de passage. ...
Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement). Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...